L’émergence du néofascisme en santé publique

[Source : anthropo-logiques.org]

Par Jean-Dominique Michel

Je republie ici un texte paru sur le site du Brownstone Institute, une des sources où paraissent des contenus pertinents et non assujettis à la propagande crapuleuse qui a colonisé l’entier des médias « mainstream ».

Ceux-ci sont parvenus, avec une idéologie et des moyens totalitaires faits de désinformation, de calomnie et de harcèlement (comme nous l’avons développé précédemment), à imposer une pensée unique fallacieuse et criminelle. Ils ont intoxiqué les populations avec un narratif soigneusement ciselé mais qui est une insulte à la réalité et à l’intelligence.

Alors que les meilleurs experts au monde (par milliers) n’ont cessé de dénoncer les décisions destructrices et absurdes qui ont été prises, quand en avons-nous lu quoi que ce soit dans ces médias ?

Martin Kulldorf, épidémiologiste et professeur émérite de santé publique de l’Université de Harvard, a bien résumé la situation aux États-Unis, la même chose devant être dite ici :

Après avoir supervisé le pire fiasco de l’histoire en matière de santé publique, poussé à la fermeture des écoles, ignoré les dommages collatéraux et l’immunité naturelle, mal protégé les personnes âgées, etc., il est troublant que  Fauci soit toujours à la tête du NIAID (organisme responsable de la gestion des épidémies, NdT).

Quand avez-vous lu dans les colonnes de Heidi News du Temps, de Libé ou du Monde, ou entendu sur les plateaux de la RTS, de BFM ou de la RTBF que la plupart des meilleurs spécialistes en santé publique s’opposaient avec fermeté aux mesures débiles qui nous été imposées comme les confinements, le port du masque ou l’imposition d’injections géniques hasardeuses et expérimentales à la population tout entière ?!

Nulle part et jamais, tant ces organes de « presse » ne sont plus que des propagandistes sans scrupules d’un agenda fasciste et qui n’a accessoirement jamais rien eu à voir avec la santé publique. Voici par exemple ce que rappelle le Dr Gemma Aherane maintenant qu’aux États-Unis, un début de reconnaissance commence à se manifester quant à la nocivité des confinements :

Maintenant que les médias mainstream commencent à reconnaître les dommages complexes produits par les confinements, pouvons-nous s’il vous plaît nous souvenir que les experts qui ont été exprimé des réticences ont été harcelés et ont vu leurs conditions d’existence menacées. Ils ont été ostracisés, salis et ridiculisés. Ne l’oublions pas.

N’oublions en effet pas qu’ici, ce sont des gens comme Bertrand Kiefer, Serge Michel, Stéphane Benoît Godet, Claude Ansermoz, Alexis Favre et bien d’autres ainsi que des émissions comme Mise au Point et Temps Présent qui se sont chargés de manière zélée de cette sale besogne, en collusion avec les « experts » véreux de nos hôpitaux universitaires.

C’est donc avec conviction que je publie ici cette tribune du Dr David Bell, médecin en santé publique ayant travaillé pour l’OMS, portant sur l’abjection littéralement fasciste qui s’est emparée des politiques de santé publique sous l’action conjuguée des politiciens, des autorités médicales, des fonctionnaires (comme les lamentables « médecins cantonaux ») et des médias.

À bon entendeur…


L’émergence du néofascisme dans la santé publique

Par David Bell

Le fascisme est l’art de cacher la vérité derrière une façade de vertu saine. Il est, vraisemblablement, aussi vieux que l’humanité. Mussolini lui a simplement donné un nom – en cachant ses idées autoritaires derrière l’assèchement des marécages, la rénovation des villages, les enfants à l’école et les trains à l’heure. L’image du nazisme dans les années 1930 n’était pas celle de vitres brisées et de vieillards battus dans la rue, mais celle de jeunes souriants et heureux travaillant ensemble en plein air pour reconstruire le pays.

[Ndlr : le fascisme repose techniquement sur une alliance de l’État et des corporations privées, comme ce que l’on voit de plus en plus de nos jours avec le « PPP » ou « partenariat public-privé ».]

Il est dangereux de coller de telles étiquettes à l’époque actuelle, car elles sont porteuses d’un lourd bagage, mais cela permet aussi de déterminer si le bagage actuel que nous avions cru progressiste est en réalité régressif. Ces jeunes gens souriants et heureux des années 1930 étaient en fait formés aux arts de l’autosatisfaction, du dénigrement des idées fausses et de l’obéissance collective. Ils savaient qu’ils avaient raison et que le problème venait de l’autre camp. Cela vous est-il familier ?

Les changements sociétaux de ces deux dernières années ont été définis et dirigés par la « santé publique ». Il est donc juste de chercher des analogies avec la santé publique dans le passé pour aider à comprendre ce qui se passe, quels en sont les moteurs et où ils pourraient mener. Nous avons vu nos professions de santé publique et les associations qui les représentent appeler à la discrimination active et à la coercition sur le choix médical. Ils ont plaidé en faveur de politiques qui appauvrissent les autres, tout en maintenant leurs propres salaires, en contrôlant la vie familiale normale et même en dictant la façon dont ls gens peuvent faire le deuil de leurs morts.

Des hôpitaux ont refusé des transplantations à des personnes qui avaient fait des choix médicaux sans rapport avec l’hôpital et que celui-ci n’appréciait pas. Je les ai vus refuser à une famille l’accès à un proche mourant jusqu’à ce qu’il accepte des injections qu’il ne voulait pas, puis autoriser un accès immédiat, confirmant ainsi que ce n’était pas l’immunité, mais la conformité, qui était recherchée.

Nous avons tous vu d’éminents professionnels de la santé vilipender et dénigrer publiquement des collègues qui cherchaient à réaffirmer des principes sur lesquels nous avons tous été formés : absence de coercition, consentement éclairé et non-discrimination. Plutôt que de faire passer les gens en premier, un collègue professionnel m’a informé, lors d’une discussion sur les preuves et l’éthique, que le rôle des médecins de santé publique était d’appliquer les instructions du gouvernement. Obéissance collective.

Ces mesures ont été justifiées par le « plus grand bien » – un terme indéfini car aucun gouvernement défendant ce discours n’a, en deux ans, publié de données claires sur les coûts et les avantages démontrant que le « bien » est plus grand que le mal. Cependant, le décompte réel, bien qu’important, n’est pas la question. Le « plus grand bien » est devenu une raison pour les professions de santé publique d’annuler le concept de la primauté des droits individuels.

Ils ont décidé que la discrimination, la stigmatisation et la suppression des minorités étaient acceptables pour « protéger » une majorité. C’est ce qu’était, et est toujours, le fascisme. Et ceux qui ont promu des slogans tels que « la pandémie des non-vaccinés » ou « personne n’est en sécurité tant que tous ne le sont pas » connaissent l’intention et les résultats potentiels de la désignation de boucs émissaires pour les minorités.

Ils savent aussi, grâce à l’histoire, que la nature fallacieuse de ces déclarations n’empêche pas leur impact. Le fascisme est l’ennemi de la vérité, et jamais son serviteur.

Le but de cet article est de suggérer que nous appelions un chat un chat. Que nous disions les choses telles qu’elles sont, que nous disions la vérité. Les vaccins sont des produits pharmaceutiques dont les avantages et les risques varient, tout comme les arbres sont des objets en bois avec des feuilles. Ce sont les personnes qui ont des droits sur leur propre corps, et non les médecins ou les gouvernements, dans toute société qui considère que toutes les personnes ont une valeur égale et intrinsèque.

La stigmatisation, la discrimination et l’exclusion sur la base de choix de soins de santé, que ce soit pour le VIH, le cancer ou le COVID-19, est une erreur. Exclure et vilipender des collègues pour des opinions divergentes sur l’utilisation de médicaments sûrs est arrogant. Dénoncer ceux qui refusent de suivre des ordres contraires à l’éthique et à la morale est dangereux.

Suivre aveuglément les diktats des gouvernements et des entreprises simplement pour se conformer au « groupe » n’a rien à voir avec la santé publique éthique. Tout cela a plus en commun avec les idéologies fascistes du siècle dernier qu’avec ce qui était enseigné dans les cours de santé publique que j’ai suivis. Si c’est la société que nous souhaitons développer aujourd’hui, nous devons le dire ouvertement et ne pas nous cacher derrière des façades de fausse vertu comme « l’équité vaccinale » ou « tous dans le même bateau ».

Ne nous laissons pas enfermer dans les subtilités politiques de la « gauche » et de la « droite ». Les dirigeants des deux principaux régimes fascistes d’Europe des années 30 étaient issus de la « gauche ». Ils s’appuyaient fortement sur les concepts de santé publique du « plus grand bien » pour éliminer les penseurs inférieurs et les non-conformistes.

Notre situation actuelle appelle à l’introspection, pas à la partisanerie. En tant que profession, nous nous sommes conformés aux directives visant à discriminer, stigmatiser et exclure, tout en brouillant les exigences en matière de consentement éclairé. Nous avons contribué à supprimer les droits humains fondamentaux – à l’autonomie corporelle, à l’éducation, au travail, à la vie familiale, à la circulation et aux déplacements. Nous avons suivi les autoritaires des entreprises, en ignorant leurs conflits d’intérêts et en les enrichissant alors que notre public s’appauvrissait. La santé publique n’a pas réussi à mettre les gens aux commandes et est devenue le porte-parole d’une petite minorité riche et puissante.

Nous pouvons continuer sur cette voie, et cela finira probablement comme la dernière fois, sauf peut-être sans les armées des autres pour renverser la monstruosité que nous avons soutenue.

Ou nous pouvons trouver l’humilité, nous rappeler que la santé publique doit être au service du peuple et non l’instrument de ceux qui cherchent à le contrôler, et éliminer le monstre de notre milieu. Si nous ne soutenons pas le fascisme, nous pouvons cesser d’être son instrument. Nous pourrions y parvenir simplement en suivant l’éthique et les principes fondamentaux sur lesquels reposent nos professions.

David Bell, chercheur senior du Brownstone Institute, est un médecin de santé publique basé aux États-Unis. Après avoir travaillé en médecine interne et en santé publique en Australie et au Royaume-Uni, il a travaillé à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), en tant que chef de programme pour le paludisme et les maladies fébriles à la Foundation for Innovative New Diagnostics (FIND) à Genève, et en tant que directeur des technologies de santé mondiale à Intellectual Ventures Global Good Fund à Bellevue, aux États-Unis. Il est consultant en biotechnologie et en santé mondiale. MBBS, MTH, PhD, FAFPHM, FRCP

  • Pour lire l’article original en anglais : cliquer ici.



MISE À JOUR COVID : Quelle est la vérité ?

[Source : surgicalneurologyint.com]

Par Russel L. Blaylock
Neurochirurgien retraité, Theoretical Neuroscience Research, LLC, Ridgeland, Mississippi, États-Unis.

Adresse de correspondance :
Russell L. Blaylock, Theoretical Neuroscience Research, LLC, Ridgeland, Mississippi, États-Unis.

DOI : 10.25259/SNI_150_2022Copyright : © 2022 Surgical Neurology International Cet article en libre accès est distribué sous les termes de la licence Creative Commons Attribution-Non Commercial-Share Alike 4.0, qui permet à d’autres de remixer, transformer et s’appuyer sur le travail à des fins non commerciales, comme tant que l’auteur est crédité et que les nouvelles créations sont sous licence aux mêmes conditions.

Comment citer cet article : Blaylock RL. MISE À JOUR COVID : Quelle est la vérité ?. Surg Neurol Int 22-Apr-2022;13:167

Comment citer cette URL : Blaylock RL. MISE À JOUR COVID : Quelle est la vérité ?. Surg Neurol Int 22 avril 2022;13:167. Disponible sur :
https://surgicalneurologyint.com/surgicalint-articles/covid-update-what-is-the-truth/

La pandémie de COVID-19 est l’un des événements de maladies infectieuses les plus manipulés de l’histoire, caractérisé par des mensonges officiels dans un flux sans fin dirigé par les bureaucraties gouvernementales, les associations médicales, les commissions médicales, les médias et les agences internationales. 3 , 6 , 57 ] Nous avons été témoins d’une longue liste d’intrusions sans précédent dans la pratique médicale, y compris des attaques contre des experts médicaux, la destruction de carrières médicales parmi les médecins refusant de participer au meurtre de leurs patients et une réglementation massive des soins de santé, dirigée par des personnes non qualifiées disposant d’une richesse énorme , pouvoir et influence.

Pour la première fois dans l’histoire américaine, un président, des gouverneurs, des maires, des administrateurs d’hôpitaux et des bureaucrates fédéraux déterminent les traitements médicaux non pas sur la base d’informations scientifiques précises ou même sur l’expérience, mais plutôt pour forcer l’acceptation de formes spéciales de soins et de « prévention » – y compris le remdesivir, l’utilisation de respirateurs et finalement une série de vaccins à ARN messager essentiellement non testés. Pour la première fois dans l’histoire du traitement médical, les protocoles ne sont pas formulés sur la base de l’expérience des médecins traitant avec succès le plus grand nombre de patients, mais plutôt d’individus et de bureaucraties qui n’ont jamais traité un seul patient, notamment Anthony Fauci, Bill Gates, EcoHealth Alliance, le CDC, l’OMS, les agents de santé publique des États et les administrateurs d’hôpitaux. 23 , 38 ]

Les médias (télévision, journaux, magazines, etc.), les sociétés médicales, les conseils médicaux des États et les propriétaires des médias sociaux se sont désignés comme la seule source d’information concernant cette soi-disant « pandémie ». Des sites Web ont été supprimés, des médecins cliniciens hautement qualifiés et expérimentés et des experts scientifiques dans le domaine des maladies infectieuses ont été diabolisés, des carrières ont été détruites et toutes les informations dissidentes ont été qualifiées de « désinformation » et de « mensonges dangereux », même lorsqu’elles proviennent des meilleurs experts. dans les domaines de la virologie, des maladies infectieuses, des soins intensifs pulmonaires et de l’épidémiologie. Ces obscurcissements de la vérité se produisent même lorsque ces informations sont étayées par de nombreuses citations scientifiques de certains des spécialistes médicaux les plus qualifiés au monde.23 ] Incroyablement, même des individus, comme le Dr Michael Yeadon, un ancien scientifique en chef à la retraite et vice-président de la division scientifique de la société pharmaceutique Pfizer au Royaume-Uni, qui a accusé la société de fabriquer un vaccin extrêmement dangereux, sont ignorés et diabolisé. De plus, lui, ainsi que d’autres scientifiques hautement qualifiés, ont déclaré que personne ne devrait prendre ce vaccin.

Le Dr Peter McCullough, l’un des experts les plus cités dans son domaine, qui a traité avec succès plus de 2000 patients COVID en utilisant un protocole de traitement précoce (que les soi-disant experts ont complètement ignoré), a été victime d’un assaut particulièrement vicieux par ceux qui bénéficient financièrement des vaccins. Il a publié ses résultats dans des revues à comité de lecture, signalant une réduction de 80 % des hospitalisations et une réduction de 75 % des décès grâce à un traitement précoce. 44 ] Malgré cela, il subit une série d’attaques incessantes de la part des contrôleurs de l’information, dont aucun n’a traité un seul patient.

Ni Anthony Fauci, le CDC, l’OMS ni aucun établissement médical gouvernemental n’ont jamais proposé de traitement précoce autre que le Tylenol, l’hydratation et appeler une ambulance une fois que vous avez des difficultés à respirer. C’est sans précédent dans toute l’histoire des soins médicaux, car le traitement précoce des infections est essentiel pour sauver des vies et prévenir les complications graves. Non seulement ces organisations médicales et ces chiens de garde fédéraux n’ont même pas suggéré un traitement précoce, mais ils ont attaqué quiconque tentait d’initier un tel traitement avec toutes les armes à leur disposition – perte de licence, retrait des privilèges hospitaliers, honte, destruction de réputation et même arrestation. 2 ]

Un bon exemple de cet outrage à la liberté d’expression et à la fourniture d’informations sur le consentement éclairé est la récente suspension par le conseil médical du Maine de la licence médicale du Dr Meryl Nass et l’ordre de se soumettre à une évaluation psychiatrique pour avoir prescrit de l’ivermectine et partagé son expertise. dans ce champ.9 , 65 ] Je connais personnellement le Dr Nass et je peux témoigner de son intégrité, de son intelligence et de son dévouement à la vérité. Ses références scientifiques sont impeccables. Ce comportement d’une commission des licences médicales rappelle la méthodologie du KGB soviétique à l’époque où les dissidents étaient incarcérés dans des goulags psychiatriques pour faire taire leur dissidence.

D’AUTRES ATTAQUES SANS PRÉCÉDENT

Une autre tactique sans précédent consiste à retirer les médecins dissidents de leurs postes de rédacteurs en chef, de réviseurs et à retirer leurs articles scientifiques des revues, même après la publication de ces articles. Jusqu’à cet événement pandémique, je n’ai jamais vu autant d’articles de revues retirés – la grande majorité faisant la promotion d’alternatives au dogme officiel, surtout si les articles remettent en question la sécurité des vaccins. Normalement, un article ou une étude soumis est examiné par des experts dans le domaine, appelé examen par les pairs. Ces critiques peuvent être assez intenses et minutieuses, insistant pour que toutes les erreurs dans le document soient corrigées avant la publication. Ainsi, à moins qu’une fraude ou un autre problème caché majeur ne soit découvert après la publication de l’article, l’article reste dans la littérature scientifique.

Nous assistons maintenant à un nombre croissant d’excellents articles scientifiques, rédigés par les meilleurs experts dans le domaine, qui sont retirés des principales revues médicales et scientifiques des semaines, des mois, voire des années après leur publication. Un examen attentif indique que dans de trop nombreux cas, les auteurs ont osé remettre en question les dogmes acceptés par les contrôleurs des publications scientifiques, notamment en ce qui concerne la sécurité, les traitements alternatifs ou l’efficacité des vaccins. 12 , 63 ] Ces revues s’appuient sur la publicité abondante des sociétés pharmaceutiques pour leurs revenus. Plusieurs cas se sont produits où de puissantes sociétés pharmaceutiques ont exercé leur influence sur les propriétaires de ces revues pour supprimer des articles qui remettaient en question les produits de ces sociétés. 13 , 34 , 35 ]

Pire encore est la conception réelle d’articles médicaux pour la promotion de médicaments et de produits pharmaceutiques qui impliquent de fausses études, des soi-disant articles écrits par des fantômes. 49 , 64 ] Richard Horton est cité par le Guardian comme ayant déclaré que « les journaux se sont transformés en opérations de blanchiment d’informations pour l’industrie pharmaceutique. »13 , 63 ] Des articles frauduleux avérés « écrits par des fantômes » parrainés par des géants pharmaceutiques sont régulièrement publiés dans des revues cliniques de premier plan, telles que JAMA et New England Journal of Medicine, qui ne seront jamais supprimés malgré des abus scientifiques et une manipulation des données prouvés.49 , 63 ]

Les articles écrits par des fantômes impliquent l’utilisation de sociétés de planification dont le travail consiste à concevoir des articles contenant des données manipulées pour soutenir un produit pharmaceutique, puis à faire accepter ces articles par des revues cliniques à fort impact, c’est-à-dire les revues les plus susceptibles d’affecter la prise de décision clinique des médecins. De plus, ils fournissent aux médecins en pratique clinique des réimpressions gratuites de ces articles manipulés. The Guardian a trouvé 250 entreprises engagées dans cette activité d’écriture fantôme. L’étape finale dans la conception de ces articles pour publication dans les revues les plus prestigieuses est de recruter des experts médicaux reconnus dans des institutions prestigieuses, pour ajouter leur nom à ces articles. 11 ]

D’une importance vitale est l’observation par des experts dans le domaine de l’édition médicale que rien n’a été fait pour arrêter ces abus. Les éthiciens médicaux ont déploré qu’en raison de cette pratique répandue, « on ne puisse faire confiance à rien ». Alors que certaines revues insistent sur la divulgation d’informations, la plupart des médecins qui lisent ces articles ignorent ces informations ou les excusent et plusieurs revues rendent la divulgation plus difficile en demandant au lecteur de trouver les déclarations de divulgation à un autre endroit. De nombreuses revues ne contrôlent pas ces déclarations et les omissions des auteurs sont courantes et sans sanction.

En ce qui concerne les informations mises à la disposition du public, la quasi-totalité des médias est sous le contrôle de ces géants pharmaceutiques ou autres qui profitent de cette « pandémie ». Leurs histoires sont toutes les mêmes, à la fois dans le contenu et même dans la formulation. Des dissimulations orchestrées se produisent quotidiennement et des données massives exposant les mensonges générés par ces contrôleurs de l’information sont cachées au public. Toutes les données provenant des médias nationaux (télévision, journaux et magazines), ainsi que les nouvelles locales que vous regardez tous les jours, proviennent uniquement de sources « officielles » – dont la plupart sont des mensonges, des distorsions ou complètement fabriquées à partir de tissu entier – toutes visant à tromper le public.

Les médias télévisés reçoivent la majorité de leur budget publicitaire des sociétés pharmaceutiques internationales, ce qui crée une influence irrésistible pour rapporter toutes les études concoctées soutenant leurs vaccins et autres soi-disant traitements. 14 ] Rien qu’en 2020, les industries pharmaceutiques ont dépensé 6,56 milliards de dollars pour ce type de publicité.13 , 14 ] La publicité Pharma TV s’élevait à 4,58 milliards, un incroyable 75% de leur budget. Cela achète beaucoup d’influence et de contrôle sur les médias. Des experts de renommée mondiale dans tous les domaines des maladies infectieuses sont exclus de l’exposition médiatique et des médias sociaux s’ils s’écartent de quelque manière que ce soit des mensonges et des distorsions concoctés par les fabricants de ces vaccins. De plus, ces sociétés pharmaceutiques dépensent des dizaines de millions en publicité sur les réseaux sociaux, Pfizer étant en tête du peloton avec 55 millions de dollars en 2020.14 ]

Bien que ces attaques contre la liberté d’expression soient suffisamment terrifiantes, pire encore est le contrôle quasi universel que les administrateurs d’hôpitaux ont exercé sur les détails des soins médicaux dans les hôpitaux. Ces mercenaires indiquent maintenant aux médecins les protocoles de traitement auxquels ils adhéreront et les traitements qu’ils n’utiliseront pas, peu importe à quel point les traitements « approuvés » sont nocifs ou à quel point les traitements « non approuvés » sont bénéfiques. 33 , 57 ]

Jamais dans l’histoire de la médecine américaine les administrateurs d’hôpitaux n’ont dicté à leurs médecins comment ils pratiqueront la médecine et quels médicaments ils peuvent utiliser. Le CDC n’a pas le pouvoir de dicter aux hôpitaux ou aux médecins concernant les traitements médicaux. Pourtant, la plupart des médecins s’exécutèrent sans la moindre résistance.

La loi fédérale sur les soins a encouragé cette catastrophe humaine en offrant à tous les hôpitaux américains jusqu’à 39 000 dollars pour chaque patient des soins intensifs qu’ils mettent sous respirateur, malgré le fait qu’au début, il était évident que les respirateurs étaient une cause majeure de décès parmi ces patients confiants et sans méfiance. . De plus, les hôpitaux ont reçu 12 000 dollars pour chaque patient admis aux soins intensifs, ce qui explique, à mon avis et à d’autres, pourquoi toutes les bureaucraties médicales fédérales (CDC, FDA, NIAID, NIH, etc.) ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour empêcher la vie. – économiser les traitements précoces.46 ] Laisser les patients se détériorer au point d’avoir besoin d’être hospitalisés signifiait beaucoup d’argent pour tous les hôpitaux. Un nombre croissant d’hôpitaux sont menacés de faillite, et beaucoup ont fermé leurs portes, avant même cette « pandémie ».50 ] La plupart de ces hôpitaux appartiennent désormais à des sociétés nationales ou internationales, y compris des hôpitaux universitaires.dix ]

Il est également intéressant de noter qu’avec l’arrivée de cette « pandémie », nous avons assisté à une augmentation du nombre de chaînes d’entreprises hospitalières rachetant un certain nombre de ces hôpitaux financièrement à risque.1 , 54 ] Il a été noté que des milliards d’aide fédérale Covid sont utilisés par ces géants hospitaliers pour acquérir ces hôpitaux financièrement menacés, augmentant encore le pouvoir de la médecine d’entreprise sur l’indépendance des médecins. Les médecins expulsés de leurs hôpitaux ont du mal à trouver d’autres membres du personnel hospitalier à rejoindre, car eux aussi peuvent appartenir au même géant. En conséquence, les politiques de mandat de vaccination incluent un nombre beaucoup plus important d’employés hospitaliers. Par exemple, la Mayo Clinic a licencié 700 employés pour avoir exercé leur droit de refuser un vaccin expérimental dangereux, essentiellement non testé. 51 , 57 ] La Mayo Clinic l’a fait malgré le fait que bon nombre de ces employés ont travaillé pendant le pire de l’épidémie et sont licenciés lorsque la variante Omicron est la souche dominante du virus, a la pathogénicité d’un rhume pour la plupart et les vaccins sont inefficaces dans la prévention de l’infection.

De plus, il a été prouvé que la personne vaccinée asymptomatique a un titre nasopharyngé du virus aussi élevé qu’une personne infectée non vaccinée. Si le mandat du vaccin vise à prévenir la propagation du virus parmi le personnel hospitalier et les patients, ce sont les vaccinés qui présentent le plus grand risque de transmission, et non les non vaccinés. La différence est qu’une personne malade non vaccinée n’irait pas travailler, l’épandeur vacciné asymptomatique le fera.

Ce que nous savons, c’est que les principaux centres médicaux, tels que la Mayo Clinic, reçoivent chaque année des dizaines de millions de dollars en subventions des NIH ainsi que des fonds des fabricants pharmaceutiques de ces «vaccins» expérimentaux. À mon avis, c’est la véritable considération qui motive ces politiques. Si cela pouvait être prouvé devant un tribunal, les administrateurs faisant ces mandats devraient être poursuivis dans toute la mesure de la loi et poursuivis par toutes les parties lésées.

Le problème de la faillite des hôpitaux est devenu de plus en plus aigu en raison des mandats de vaccination des hôpitaux et du grand nombre de membres du personnel hospitalier, en particulier des infirmières, qui refusent d’être vaccinés de force. 17 , 51 ] Tout cela est sans précédent dans l’histoire des soins médicaux. Les médecins des hôpitaux sont responsables du traitement de leurs patients individuels et travaillent directement avec ces patients et leurs familles pour initier ces traitements. Des organisations extérieures, telles que le CDC, n’ont aucune autorité pour intervenir dans ces traitements et le faire expose les patients à de graves erreurs de la part d’une organisation qui n’a jamais traité un seul patient COVID-19.

Lorsque cette pandémie a commencé, les hôpitaux ont reçu l’ordre du CDC de suivre un protocole de traitement qui a entraîné la mort de centaines de milliers de patients, dont la plupart se seraient rétablis si des traitements appropriés avaient été autorisés. 43 , 44 ] La majorité de ces décès auraient pu être évités si les médecins avaient été autorisés à utiliser un traitement précoce avec des produits tels que l’ivermectine, l’hydroxy-chloroquine et un certain nombre d’autres médicaments sûrs et composés naturels. Il a été estimé, sur la base des résultats de médecins traitant avec succès les patients les plus covid, que sur les 800 000 personnes dont on nous dit qu’elles sont mortes de Covid, 640 000 auraient non seulement pu être sauvées, mais auraient pu, dans de nombreux cas, retourner à leur pré -l’état de santé de l’infection avait exigé un traitement précoce avec ces méthodes éprouvées. Cette négligence du traitement précoce constitue un meurtre de masse. Cela signifie que 160 000 seraient en fait décédés, bien moins que le nombre de morts aux mains des bureaucraties, des associations médicales et des conseils médicaux qui ont refusé de défendre leurs patients. 43 , 44 ]

Incroyablement, ces médecins compétents ont été empêchés de sauver ces personnes infectées par le Covid-19. Ce devrait être un embarras pour la profession médicale que tant de médecins suivent sans réfléchir les protocoles mortels établis par les contrôleurs de la médecine.

Il faut aussi garder à l’esprit que cet événement n’a jamais rempli les critères d’une pandémie. L’Organisation mondiale de la santé a modifié les critères pour en faire une pandémie. Pour se qualifier pour un statut pandémique, le virus doit avoir un taux de mortalité élevé pour la grande majorité des gens, ce qu’il n’a pas fait (avec un taux de survie de 99,98 %), et il ne doit avoir aucun traitement existant connu – que ce virus avait – dans fait, un nombre croissant de traitements très efficaces.

Les mesures draconiennes mises en place pour contenir cette « pandémie » artificielle ne se sont jamais avérées efficaces, comme le masquage du public, les confinements et la distanciation sociale. Un certain nombre d’études soigneusement menées au cours des saisons grippales précédentes ont démontré que les masques, quels qu’ils soient, n’avaient jamais empêché la propagation du virus parmi le public. 60 ]

En fait, de très bonnes études ont suggéré que les masques propageaient en fait le virus en donnant aux gens un faux sentiment de sécurité et d’autres facteurs, tels que l’observation que les gens brisaient constamment la technique stérile en touchant leur masque, en l’enlevant de manière inappropriée et en laissant échapper des agents infectieux. aérosols autour des bords du masque. De plus, des masques étaient jetés dans les parkings, les sentiers pédestres, posés sur les tables des restaurants et placés dans les poches et les sacs à main.

Quelques minutes après la mise en place du masque, un certain nombre de bactéries pathogènes peuvent être cultivées à partir des masques, ce qui expose la personne immunodéprimée à un risque élevé de pneumonie bactérienne et les enfants à un risque plus élevé de méningite. 16 ] Une étude menée par des chercheurs de l’Université de Floride a mis en culture plus de 11 bactéries pathogènes de l’intérieur du masque porté par les enfants dans les écoles.[ 40 ]

On savait également que les enfants ne couraient pratiquement aucun risque de tomber malades du virus ou de le transmettre.

De plus, il était également connu que le port du masque pendant plus de 4 heures (comme cela se produit dans toutes les écoles) entraînait une hypoxie (faible taux d’oxygène dans le sang) et une hypercapnie (taux de CO2 élevés) importantes, qui ont de nombreux effets délétères sur la santé, y compris entraver le développement du cerveau de l’enfant.4 , 72 , 52 ]

Nous savons que le développement du cerveau se poursuit longtemps après les années d’école primaire. Une étude récente a révélé que les enfants nés pendant la « pandémie » ont un QI nettement inférieur, mais les conseils scolaires, les directeurs d’école et les autres bureaucrates de l’éducation ne sont évidemment pas concernés.18 ]

LES OUTILS DU MÉTIER D’ENDOCTRINATION

Les concepteurs de cette pandémie anticipaient un refoulement du public et que de grandes questions embarrassantes seraient posées. Pour éviter cela, les contrôleurs ont nourri les médias d’un certain nombre de tactiques, l’une des plus couramment utilisées était et reste l’escroquerie de «vérification des faits». À chaque confrontation avec des preuves soigneusement documentées, les «vérificateurs des faits» des médias ont répliqué avec l’accusation de «désinformation» et une accusation infondée de «théorie du complot» qui a été, dans leur lexique, «démystifiée». On ne nous a jamais dit qui étaient les vérificateurs de faits ou la source de leurs informations de «démystification» – nous devions simplement croire les «vérificateurs de faits». Une récente affaire judiciaire a établi sous serment que les « vérificateurs de faits » de Facebook ont ​​utilisé l’opinion de leur propre personnel et non de vrais experts pour vérifier les « faits ».59 ] Lorsque des sources sont en fait révélées, il s’agit invariablement du CDC corrompu, de l’OMS ou d’Anthony Fauci ou simplement de leur opinion. Voici une liste de choses qui ont été qualifiées de « mythes » et de « désinformation » qui se sont avérées plus tard vraies.

  • Les vaccinés asymptomatiques propagent le virus de la même manière que les infectés symptomatiques non vaccinés.
  • Les vaccins ne peuvent pas protéger adéquatement contre les nouvelles variantes, telles que Delta et Omicron.
  • L’immunité naturelle est de loin supérieure à l’immunité vaccinale et dure très probablement toute la vie.
  • Non seulement l’immunité vaccinale diminue après plusieurs mois, mais toutes les cellules immunitaires sont altérées pendant de longues périodes, ce qui expose les vaccinés à un risque élevé d’infections et de cancer.
  • Les vaccins COVID peuvent provoquer une incidence significative de caillots sanguins et d’autres effets secondaires graves
  • Les partisans du vaccin exigeront de nombreux rappels à mesure que chaque variante apparaîtra sur la scène.
  • Fauci insistera sur le vaccin covid pour les petits enfants et même les bébés.
  • Des passeports de vaccination seront nécessaires pour entrer dans une entreprise, voler dans un avion et utiliser les transports en commun
  • Il y aura des camps d’internement pour les non vaccinés (comme en Australie, en Autriche et au Canada)
  • Les non-vaccinés se verront refuser un emploi.
  • Il existe des accords secrets entre le gouvernement, les institutions élitistes et les fabricants de vaccins
  • De nombreux hôpitaux étaient soit vides, soit peu occupés pendant la pandémie.
  • La protéine de pointe du vaccin pénètre dans le noyau de la cellule, altérant la fonction de réparation de l’ADN cellulaire.
  • Des centaines de milliers de personnes ont été tuées par les vaccins et beaucoup plus ont été endommagées de façon permanente.
  • Un traitement précoce aurait pu sauver la vie de la plupart des 700 000 personnes décédées.
  • La myocardite induite par le vaccin (qui a été niée initialement) est un problème important et disparaît en peu de temps.
  • Des lots mortels spéciaux (lots) de ces vaccins sont mélangés à la masse d’autres vaccins Covid-19

Plusieurs de ces affirmations de ceux qui s’opposent à ces vaccins apparaissent maintenant sur le site Web du CDC, la plupart encore identifiées comme des «mythes». Aujourd’hui, de nombreuses preuves ont confirmé que chacun de ces soi-disant «mythes» était en fait vrai. Beaucoup sont même admis par le « saint des vaccins », Anthony Fauci. Par exemple, on nous a dit, même par notre président déficient cognitif, qu’une fois le vaccin sorti, toutes les personnes vaccinées pourraient enlever leur masque. Oops! On nous a dit peu de temps après que les vaccinés ont des concentrations élevées (titres) du virus dans le nez et la bouche (nasopharynx) et peuvent transmettre le virus à d’autres personnes avec lesquelles ils entrent en contact, en particulier les membres de leur propre famille. Reprenez les masques – en fait, le double masquage est recommandé. 27 , 42 , 45 ]

Une autre tactique des partisans du vaccin consiste à diaboliser ceux qui refusent de se faire vacciner pour diverses raisons. Les médias qualifient ces personnes à l’esprit critique d' »anti-vaccins », de « négationnistes des vaccins », de « résistants aux vaccins », de « meurtres », d' »ennemis du plus grand bien » et de ceux qui prolongent la pandémie. J’ai été consterné par les attaques vicieuses, souvent sans cœur, de certaines personnes sur les réseaux sociaux lorsqu’un parent ou un être cher raconte l’histoire de la terrible souffrance et de la mort éventuelle qu’eux-mêmes ou leur proche ont subies à cause des vaccins. Certains psychopathes tweetent qu’ils sont heureux que l’être cher soit décédé ou que la personne vaccinée décédée soit un ennemi du bien pour avoir raconté l’événement et devrait être interdite. C’est difficile à conceptualiser. Ce niveau de cruauté est terrifiant et signifie l’effondrement d’une morale, décente,

C’est déjà assez grave pour le public de tomber aussi bas, mais les médias, les dirigeants politiques, les administrateurs d’hôpitaux, les associations médicales et les conseils d’administration des licences médicales agissent de la même manière moralement dysfonctionnelle et cruelle.

LA LOGIQUE, LE RAISONNEMENT ET LES PREUVES SCIENTIFIQUES ONT DISPARU DANS CET ÉVÉNEMENT

Les preuves scientifiques, les études soigneusement menées, l’expérience clinique et la logique médicale ont-elles eu un effet sur l’arrêt de ces vaccins inefficaces et dangereux ? Absolument pas! Les efforts draconiens pour vacciner tout le monde sur la planète se poursuivent (sauf l’élite, les postiers, les membres du Congrès et autres initiés).31 , 62 ]

Dans le cas de tous les autres médicaments et vaccins conventionnels antérieurs examinés par la FDA, les décès autrement inexpliqués de 50 personnes ou moins entraîneraient un arrêt de la distribution du produit, comme cela s’est produit en 1976 avec le vaccin contre la grippe porcine. Avec plus de 18 000 décès signalés par le système VAERS pour la période du 14 décembre 2020 au 31 décembre 2021 ainsi que 139 126 blessures graves (y compris les décès) pour la même période, il n’y a toujours aucun intérêt à arrêter ce programme de vaccination mortelle. 61 ] Pire encore, aucune agence gouvernementale n’a mené d’enquête sérieuse pour déterminer pourquoi ces personnes meurent et sont gravement et définitivement blessées par ces vaccins.15 , 67 ] Ce que nous voyons est une série continue de dissimulations et d’évasions par les fabricants de vaccins et leurs promoteurs.

La guerre contre les médicaments et les composés naturels efficaces, bon marché et très sûrs, qui ont prouvé sans aucun doute qu’ils ont sauvé des millions de vies partout dans le monde, s’est non seulement poursuivie, mais s’est intensifiée. 32 , 34 , 43 ]

Les médecins sont informés qu’ils ne peuvent pas fournir ces composés vitaux à leurs patients et s’ils le font, ils seront retirés de l’hôpital, verront leur licence médicale retirée ou seront punis de nombreuses autres manières. Un grand nombre de pharmacies ont refusé de remplir les ordonnances d’lvermectine ou d’hydroxychloroquine, alors que des millions de personnes ont pris ces médicaments en toute sécurité pendant plus de 60 ans dans le cas de l’hydroxychloroquine et des décennies pour l’ivermectine.33 , 36 ] Ce refus de remplir les ordonnances est sans précédent et a été conçu par ceux qui veulent empêcher les méthodes alternatives de traitement, toutes basées sur la protection de l’expansion du vaccin pour tous. Plusieurs entreprises qui fabriquent de l’hydroxychloroquine ont accepté de vider leurs stocks de médicament en les faisant don au Stock national stratégique, ce qui rend ce médicament beaucoup plus difficile à obtenir. 33 ] Pourquoi le gouvernement ferait-il cela alors que plus de 30 études bien faites ont montré que ce médicament réduisait les décès de 66% à 92% dans d’autres pays, comme l’Inde, l’Égypte, l’Argentine, la France, le Nigeria, l’Espagne, le Pérou, le Mexique, et d’autres?23 ]

Les détracteurs de ces deux médicaments qui sauvent des vies sont le plus souvent financés par Bill Gates et Anthony Fauci, qui gagnent tous deux des millions grâce à ces vaccins.48 , 15 ]

Pour arrêter davantage l’utilisation de ces médicaments, l’industrie pharmaceutique et Bill Gates/Anthony Fauci ont financé de fausses recherches pour prouver que l’hydroxychloroquine était un médicament dangereux et pouvait endommager le cœur. 34 ] Pour rendre ce cas frauduleux, les chercheurs ont administré au plus malade des patients covid une dose presque mortelle du médicament, à une dose bien supérieure à celle utilisée sur n’importe quel patient covid par le Dr Kory, McCullough et d’autres médecins, médecins « réels » et compatissants qui traitaient réellement des patients covid.23 ]

Bien sûr, les médias contrôlés et tout-petits ont martelé le public avec des histoires sur l’effet mortel de l’hydroxychloroquine, le tout avec un air terrifié de fausse panique. Toutes ces histoires de dangers de l’ivermectine se sont avérées fausses et certaines d’entre elles étaient incroyablement absurdes. 37 , 43 ]

L’attaque contre l’ivermectine a été encore plus vicieuse que contre l’hydroxy-chloroquine. Tout cela, et bien plus encore, est méticuleusement relaté dans l’excellent nouveau livre de Robert Kennedy, Jr. Le vrai Anthony Fauci. Bill Gates, Big Pharma et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique .32 ] Si vous êtes vraiment concerné par la vérité et par tout ce qui s’est passé depuis que cette atrocité a commencé, vous devez non seulement lire, mais étudier attentivement ce livre. Il est entièrement référencé et couvre tous les sujets de manière très détaillée. Il s’agit d’une tragédie humaine aux proportions bibliques conçue par certains des psychopathes les plus vils et sans cœur de l’histoire.

Des millions de personnes ont été délibérément tuées et paralysées, non seulement par ce virus artificiel, mais par le vaccin lui-même et par les mesures draconiennes utilisées par ces gouvernements pour « contrôler la propagation de la pandémie ». Il ne faut pas ignorer les « morts par désespoir » causées par ces mesures draconiennes, qui peuvent dépasser des centaines de milliers. En conséquence, des millions de personnes sont mortes de faim dans les pays du tiers monde. Rien qu’aux États-Unis, sur les 800 000 morts, revendiqués par les bureaucraties médicales, bien plus de 600 000 de ces décès étaient le résultat de la négligence délibérée d’un traitement précoce, bloquant l’utilisation de médicaments réutilisés hautement efficaces et sûrs, tels que l’hydroxy- la chloroquine et l’ivermectine, et l’utilisation forcée de traitements mortels tels que le remdesivir et l’utilisation de ventilateurs.

Pour aggraver tout cela, en raison des mandats de vaccination parmi tout le personnel hospitalier, des milliers d’infirmières et d’autres travailleurs hospitaliers ont démissionné ou ont été licenciés. 17 , 30 , 51 ] Cela a entraîné des pénuries critiques de ces travailleurs de la santé vitaux et des réductions dangereuses de lits de soins intensifs dans de nombreux hôpitaux. En outre, comme cela s’est produit dans le système de santé du comté de Lewis, un système hospitalier spécialisé à Lowville, NY, a fermé son unité de maternité à la suite de la démission de 30 membres du personnel hospitalier suite aux commandes de vaccins désastreuses de l’État. L’ironie dans tous ces cas de démissions est que les administrateurs ont accepté sans hésiter ces pertes massives d’effectifs malgré les élucubrations sur le manque d’effectifs en période de « crise ». Cela est particulièrement déroutant lorsque nous avons appris que les vaccins n’empêchaient pas la transmission virale et que la variante prédominante actuelle est d’une pathogénicité extrêmement faible.

LES DANGERS DES VACCINS SONT DE PLUS EN PLUS RÉVÉLÉS PAR LA SCIENCE

Alors que la plupart des chercheurs, virologues, chercheurs en maladies infectieuses et épidémiologistes ont été intimidés au silence, un nombre croissant de personnes hautement intègres et dotées d’une expertise considérable se sont manifestées pour dire la vérité, c’est-à-dire queces vaccins sont mortels.

La plupart des nouveaux vaccins doivent subir des tests de sécurité approfondis pendant des années avant d’être approuvés. Les nouvelles technologies, telles que les vaccins à ARNm et à ADN, nécessitent un minimum de 10 ans de tests minutieux et un suivi approfondi. Ces nouveaux soi-disant vaccins ont été « testés » pendant seulement 2 mois, puis les résultats de ces tests de sécurité ont été et continuent d’être tenus secrets. Le témoignage devant le sénateur Ron Johnson de plusieurs personnes qui ont participé à l’étude de 2 mois indique que pratiquement aucun suivi des participants à l’étude préalable à la libération n’a jamais été effectué.67 ] Les plaintes de complications ont été ignorées et malgré les promesses de Pfizer que toutes les dépenses médicales causées par les « vaccins » seraient payées par Pfizer, ces personnes ont déclaré qu’aucune n’avait été payée.66 ] Certaines dépenses médicales dépassent 100 000 dollars.

À titre d’exemple de la tromperie de Pfizer et des autres fabricants de vaccins à ARNm, citons le cas de Maddie de Garay, 12 ans, qui a participé à l’étude de sécurité préalable à la commercialisation du vaccin Pfizer. Lors de la présentation de la sénatrice Johnson aux familles des victimes du vaccin, sa mère a raconté les crises récurrentes de son enfant, qu’elle est maintenant confinée dans un fauteuil roulant, qu’elle doit être alimentée par sonde et qu’elle souffre de lésions cérébrales permanentes. Sur l’évaluation de la sécurité de Pfizer soumise à la FDA, son seul effet secondaire est répertorié comme ayant un « mal de ventre ». Chaque personne a soumis des histoires horribles similaires.

Les Japonais ont eu recours à un procès FOIA (Freedom of Information Act) pour forcer Pfizer à publier son étude secrète sur la biodistribution. La raison pour laquelle Pfizer voulait que cela reste secret est qu’il a démontré que Pfizer avait menti au public et aux organismes de réglementation sur le sort du contenu du vaccin injecté (le support nano-lipidique enfermé dans l’ARNm). Ils ont affirmé qu’il restait au site de l’injection (l’épaule), alors qu’en fait leur propre étude a révélé qu’il se propageait rapidement dans tout le corps par la circulation sanguine dans les 48 heures.

L’étude a également révélé que ces transporteurs de nano-lipides mortels s’accumulaient à des concentrations très élevées dans plusieurs organes, notamment les organes reproducteurs des hommes et des femmes, le cœur, le foie, la moelle osseuse et la rate (un organe immunitaire majeur). La concentration la plus élevée se trouvait dans les ovaires et la moelle osseuse. Ces transporteurs de nano-lipides ont également été déposés dans le cerveau.

Le Dr Ryan Cole, un pathologiste de l’Idaho, a signalé un pic spectaculaire de cancers très agressifs chez les personnes vaccinées (non rapporté dans les médias). Il a découvert une incidence effroyablement élevée de cancers très agressifs chez les personnes vaccinées, en particulier de mélanomes très invasifs chez les jeunes et de cancers de l’utérus chez les femmes.26 ] D’autres rapports d’activation de cancers précédemment contrôlés apparaissent également chez les patients cancéreux vaccinés. 47 ] Jusqu’à présent, aucune étude n’a été réalisée pour confirmer ces rapports, mais il est peu probable que de telles études soient réalisées, du moins des études financées par des subventions du NIH.

La forte concentration de protéines de pointe trouvée dans les ovaires dans l’étude de biodistribution pourrait très bien altérer la fertilité chez les jeunes femmes, modifier les menstruations et les exposer à un risque accru de cancer de l’ovaire. La concentration élevée dans la moelle osseuse pourrait également exposer les vaccinés à un risque élevé de leucémie et de lymphome. Le risque de leucémie est très inquiétant maintenant qu’ils ont commencé à vacciner les enfants dès l’âge de 5 ans. Aucune étude à long terme n’a été menée par aucun de ces fabricants de vaccins Covid-19, notamment en ce qui concerne le risque d’induction de cancers. L’inflammation chronique est intimement liée à l’induction, à la croissance et à l’invasion du cancer et les vaccins stimulent l’inflammation.

On dit aux patients cancéreux qu’ils devraient se faire vacciner avec ces vaccins mortels. Ceci, à mon avis, est fou. Des études plus récentes ont montré que ce type de vaccin insère la protéine de pointe dans le noyau des cellules immunitaires (et très probablement de nombreux types de cellules) et une fois là, inhibe deux enzymes de réparation de l’ADN très importantes, BRCA1 et 53BP1, dont le devoir est de réparer dommages à l’ADN de la cellule.29 ] Les dommages à l’ADN non réparés jouent un rôle majeur dans le cancer.

Il existe une maladie héréditaire appelée xeroderma pigmentosum dans laquelle les enzymes de réparation de l’ADN sont défectueuses. Ces personnes malheureuses développent de multiples cancers de la peau et une incidence très élevée de cancers d’organes en conséquence. Ici, nous avons un vaccin qui fait la même chose, mais à un degré moins étendu.

L’une des enzymes de réparation défectueuses causées par ces vaccins est appelée BRCA1, qui est associée à une incidence significativement plus élevée de cancer du sein chez les femmes et de cancer de la prostate chez les hommes.

  • Il convient de noter qu’aucune étude n’a jamais été réalisée sur plusieurs aspects critiques de ce type de vaccin.
  • Ils n’ont jamais été testés pour les effets à long terme
  • Ils n’ont jamais été testés pour l’induction de l’auto-immunité
  • Ils n’ont jamais été correctement testés pour leur sécurité à n’importe quel stade de la grossesse
  • Aucune étude de suivi n’a été réalisée sur les bébés de femmes vaccinées
  • Il n’y a pas d’études à long terme sur les enfants de femmes enceintes vaccinées après leur naissance (surtout lorsque des étapes neurodéveloppementales se produisent).
  • Il n’a jamais été testé pour ses effets sur une longue liste de conditions médicales :
  • Diabète
  • Cardiopathie
  • Athérosclérose
  • Maladies neurodégénératives
  • Effets neuropsychiatriques
  • Induction des troubles du spectre autistique et de la schizophrénie
  • Fonction immunitaire à long terme
  • Transmission verticale des défauts et désordres
  • Cancer
  • Maladies auto-immunes

L’expérience antérieure avec les vaccins contre la grippe démontre clairement que les études de sécurité réalisées par les chercheurs et les médecins cliniciens liés aux sociétés pharmaceutiques étaient essentiellement toutes soit mal faites, soit délibérément conçues pour montrer à tort la sécurité et dissimuler les effets secondaires et les complications. Cela a été démontré de façon spectaculaire avec les fausses études mentionnées précédemment, conçues pour indiquer que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine étaient inefficaces et trop dangereuses à utiliser. 34 , 36 , 37 ] Ces fausses études ont entraîné des millions de décès et de graves catastrophes sanitaires dans le monde. Comme indiqué, 80 % de tous les décès n’étaient pas nécessaires et auraient pu être évités avec des médicaments réutilisés, sûrs et peu coûteux, avec un très long historique de sécurité parmi des millions de personnes qui les ont pris pendant des décennies, voire toute leur vie. 43 , 44 ]

Il est au-delà de l’ironie que ceux qui prétendent être responsables de la protection de notre santé aient approuvé un ensemble de vaccins mal testés qui a entraîné plus de décès en moins d’un an d’utilisation que tous les autres vaccins combinés administrés au cours des 30 dernières années. Leur excuse lorsqu’ils ont été confrontés était – « nous avons dû négliger certaines mesures de sécurité parce que c’était une pandémie mortelle ».28 , 46 ]

En 1986, le président Reagan a signé la National Childhood Vaccine Injury Act, qui accordait une protection générale aux fabricants pharmaceutiques de vaccins contre les litiges pour blessures intentés par les familles des personnes blessées par le vaccin. La Cour suprême, dans un avis de 57 pages, s’est prononcée en faveur des sociétés de vaccins, permettant effectivement aux fabricants de vaccins de fabriquer et de distribuer des vaccins dangereux, souvent inefficaces à la population sans crainte de conséquences juridiques. Le tribunal a insisté sur un système d’indemnisation des blessures causées par les vaccins qui n’a versé qu’un très petit nombre de récompenses à un grand nombre de personnes gravement blessées. On sait qu’il est très difficile de recevoir ces récompenses. Selon la Health Resources and Services Administration, depuis 1988, le Vaccine Injury Compensation Program (VICP) a accepté de payer 3 597 indemnités parmi 19, 098 personnes blessées par le vaccin ont fait une demande pour un montant total de 3,8 milliards de dollars. C’était avant l’introduction des vaccins Covid-19, dont les décès à eux seuls dépassent tous les décès liés à tous les vaccins confondus sur une période de trente ans.

En 2018, le président Trump a promulgué la loi sur le «droit d’essayer» qui autorisait l’utilisation de médicaments expérimentaux et de tous les traitements non conventionnels en cas de conditions médicales extrêmes. Comme nous l’avons vu avec le refus de nombreux hôpitaux et même le refus général des États d’autoriser l’ivermectine, l’hydroxy-chloroquine ou toute autre méthode «officielle» non approuvée pour traiter même les cas terminaux de Covid-19, ces individus infâmes ont ignoré cette loi.

Étrangement, ils n’ont pas utilisé cette même logique ou la même loi en ce qui concerne l’ivermectine et l’hydroxychloroquine, qui ont toutes deux subi des tests de sécurité approfondis par plus de 30 études cliniques de haute qualité et ont donné des rapports élogieux sur l’efficacité et la sécurité dans de nombreux pays. . De plus, nous avions un dossier d’utilisation allant jusqu’à 60 ans par des millions de personnes, utilisant ces médicaments dans le monde entier, avec un excellent bilan de sécurité. Il était évident qu’un groupe de personnes très puissantes en collaboration avec des conglomérats pharmaceutiques ne voulait pas que la pandémie se termine et voulait que les vaccins soient la seule option de traitement. Le livre de Kennedy présente ce cas en utilisant de nombreuses preuves et citations. 14 , 32 ]

Le Dr James Thorpe, expert en médecine materno-fœtale, démontre que ces vaccins covoid-19 administrés pendant la grossesse ont entraîné une incidence de fausse couche 50 fois plus élevée que celle rapportée avec tous les autres vaccins combinés. 28 ] Lorsque nous examinons son graphique sur les malformations fœtales, il y avait une incidence 144 fois plus élevée de malformations fœtales avec les vaccins Covid-19 administrés pendant la grossesse par rapport à tous les autres vaccins combinés. Pourtant, l’American Academy of Obstetrics and Gynecology et l’American College of Obstetrics and Gynecology approuvent l’innocuité de ces vaccins à tous les stades de la grossesse et chez les femmes qui allaitent leur bébé.

Il convient de noter que ces groupes de spécialités médicales ont reçu un financement important de la société pharmaceutique Pfizer. L’American College of Obstetrics and Gynecology, juste au 4ème trimestre de 2010, a reçu un total de 11 000 $ de la seule société pharmaceutique Pfizer.70 ] Le financement des subventions du NIH est beaucoup plus élevé.20 ] La meilleure façon de perdre ces subventions est de critiquer la source des fonds, leurs produits ou programmes pour animaux de compagnie. Peter Duesberg, en raison de son audace à remettre en question la théorie favorite de Fauci sur le sida causé par le virus du VIH, n’a plus reçu aucune des 30 demandes de subvention qu’il a soumises après avoir été rendues publiques. Avant cet épisode, en tant que principale autorité sur les rétrovirus dans le monde, il n’avait jamais été refusé pour une subvention du NIH. 39 ] C’est ainsi que fonctionne le système « corrompu », même si une grande partie de l’argent des subventions provient de nos impôts.

LOTS CHAUDS — LOTS MORTELS DE VACCINS

Une nouvelle étude a maintenant fait surface, dont les résultats sont terrifiants.25 ] Un chercheur de l’Université de Kingston à Londres, a réalisé une analyse approfondie des données des VAER (un sous-département du CDC qui recueille des données volontaires sur les complications des vaccins), dans laquelle il a regroupé les décès signalés à la suite des vaccins en fonction des numéros de lot du fabricant des vaccins. . Les vaccins sont fabriqués en grandes quantités appelées lots. Ce qu’il a découvert, c’est que les vaccins sont divisés en plus de 20 000 lots et qu’un sur 200 de ces lots (lots) est manifestement mortel pour quiconque reçoit un vaccin de ce lot, qui comprend des milliers de doses de vaccin.

Il a examiné tous les vaccins fabriqués – Pfizer, Moderna, Johnson et Johnson (Janssen), etc. Il a découvert que sur 200 lots de vaccins de Pfizer et d’autres fabricants, un lot sur 200 s’est avéré plus de 50 fois plus mortel que les vaccins. lots provenant d’autres lots. Les autres lots de vaccins (lots) provoquaient également des décès et des incapacités, mais loin d’être à ce point. Ces lots mortels auraient dû apparaître au hasard parmi tous les « vaccins » s’il s’agissait d’un événement non intentionnel. Cependant, il a constaté que 5% des vaccins étaient responsables de 90% des événements indésirables graves, y compris des décès. L’incidence des décès et des complications graves parmi ces « lots chauds » variait de plus de 1 000 % à plusieurs milliers de pour cent de plus que les lots comparables plus sûrs. Si vous pensez que c’était par accident, détrompez-vous. Ce n’est pas la première fois que des « lots chauds » étaient, à mon avis, fabriqués et envoyés à dessein à travers le pays, généralement des vaccins conçus pour les enfants. Dans l’un de ces scandales, des «lots chauds» d’un vaccin se sont tous retrouvés dans le même état et les dégâts sont immédiatement devenus évidents. Quelle a été la réponse du fabricant ? Ce n’était pas pour retirer les lots mortels du vaccin. Il a ordonné à son entreprise de disperser les lots chauds à travers le pays afin que les autorités ne voient pas l’effet mortel évident.

Tous les lots d’un vaccin sont numérotés, par exemple Modera les étiquette avec des codes tels que 013M20A. Il a été noté que les numéros de lot se terminaient par 20A ou 21A. Les lots se terminant par 20A étaient beaucoup plus toxiques que ceux se terminant par 21A. Les lots se terminant par 20A ont eu environ 1700 événements indésirables, contre quelques centaines à vingt ou trente événements pour les lots 21A. Cet exemple explique pourquoi certaines personnes ont eu peu ou pas d’effets indésirables après avoir pris le vaccin tandis que d’autres sont soit tuées, soit gravement et définitivement blessées. Pour voir l’explication du chercheur, rendez-vous surhttps://www.bitchute.com/video/6xIYPZBkydsu/À mon avis, ces exemples suggèrent fortement une altération intentionnelle de la production du « vaccin » pour inclure des lots mortels.

J’ai rencontré et travaillé avec un certain nombre de personnes concernées par la sécurité des vaccins et je peux vous dire qu’elles ne sont pas les méchants anti-vaccins qu’on vous dit qu’elles sont. Ce sont des personnes morales, pleines de principes et compatissantes, dont beaucoup sont des chercheurs de haut niveau et des personnes qui ont étudié la question de manière approfondie. Robert Kennedy, Jr, Barbara Lou Fisher, Dr Meryl Nass, Professeur Christopher Shaw, Megan Redshaw, Dr Sherri Tenpenny, Dr Joseph Mercola, Neil Z. Miller, Dr Lucija Tomjinovic, Dr Stephanie Seneff, Dr Steve Kirsch et le Dr Peter McCullough pour n’en nommer que quelques-uns. Ces gens n’ont rien à gagner et beaucoup à perdre. Ils sont violemment attaqués par les médias, les agences gouvernementales et les milliardaires d’élite qui pensent qu’ils devraient contrôler le monde et tous ses habitants.

POURQUOI FAUCI NE VOULAIT-IL AUCUNE AUTOPSIE DE CEUX QUI SONT DÉCÉDÉS APRÈS LA VACCINATION ?

Il y a beaucoup de choses à propos de cette « pandémie » qui sont sans précédent dans l’histoire médicale. L’un des plus surprenants est qu’au plus fort de la pandémie, si peu d’autopsies, en particulier d’autopsies totales, étaient pratiquées. Un virus mystérieux se propageait rapidement dans le monde, un groupe sélectionné de personnes dont le système immunitaire était affaibli tombaient gravement malades et beaucoup mouraient et la seule façon dont nous pouvions rapidement acquérir le plus de connaissances sur ce virus – une autopsie, était découragée.

Guerriero a noté qu’à la fin avril 2020, environ 150 000 personnes étaient décédées, mais il n’y avait que 16 autopsies réalisées et rapportées dans la littérature médicale. 24 ] Parmi celles-ci, seules sept étaient des autopsies complètes, les 9 restantes étant partielles ou par biopsie à l’aiguille ou biopsie incisionnelle. Ce n’est qu’après 170 000 décès par Covid-19 et quatre mois après le début de la pandémie que la première série d’autopsies a été effectivement réalisée, soit plus de dix. Et ce n’est qu’après 280 000 décès et un mois de plus que la première grande série d’autopsies a été réalisée, au nombre d’environ 80.22 ] Sperhake, dans un appel pour que les autopsies soient faites sans poser de questions, a noté que la première autopsie complète rapportée dans la littérature avec des photomicrographies est apparue dans une revue médico-légale de Chine en février 2020.41 , 68 ] Sperhake a exprimé sa confusion quant à la raison pour laquelle il y avait une réticence à effectuer des autopsies pendant la crise, mais il savait que cela ne venait pas des pathologistes. La littérature médicale était jonchée d’appels de pathologistes pour que davantage d’autopsies soient effectuées. 58 ] Sperhake a en outre noté que l’Institut Robert Koch (le système allemand de surveillance de la santé) a au moins initialement déconseillé de faire des autopsies. Il savait également qu’à l’époque, 200 institutions d’autopsie participantes aux États-Unis avaient pratiqué au moins 225 autopsies dans 14 États.

Certains ont affirmé que cette pénurie d’autopsies était basée sur la peur d’infection du gouvernement parmi les pathologistes, mais une étude de 225 autopsies sur des cas de Covid-19 a démontré un seul cas d’infection parmi le pathologiste et il a été conclu qu’il s’agissait d’une infection contractée. autre part.19 ] Guerriero termine son article appelant à davantage d’autopsies par cette observation : « Au coude à coude, les médecins légistes et cliniciens ont surmonté les obstacles des études d’autopsie chez les victimes de Covid-19 et ont ainsi généré des connaissances précieuses sur la physiopathologie de l’interaction entre le SARS-CoV- 2 et le corps humain, contribuant ainsi à notre compréhension de la maladie. »24 ]

Les soupçons concernant la réticence mondiale des nations à autoriser des études post mortem complètes des victimes de Covid-19 peuvent être basés sur l’idée que c’était plus que par hasard. Il y a au moins deux possibilités qui se démarquent. Premièrement, ceux qui ont mené la progression de cet événement « non pandémique » vers une « pandémie mortelle » mondiale perçue, cachaient un secret important que les autopsies pourraient documenter. À savoir, combien de décès ont été réellement causés par le virus ? Pour mettre en œuvre des mesures draconiennes, telles que le port obligatoire de masques, les fermetures, la destruction d’entreprises et finalement la vaccination forcée obligatoire, ils avaient besoin d’un très grand nombre de morts infectés par le covid-19. La peur serait le moteur de tous ces programmes destructeurs de lutte contre la pandémie.

  • Elder et al dans son étude ont classé les résultats de l’autopsie en quatre groupes. 22 ]
  • Mort certaine du Covid-19
  • Probablement la mort du Covid-19
  • Mort probable du Covid-19
  • Non associé au Covid-19, malgré le test positif.

Ce qui a peut-être inquiété ou même terrifié les ingénieurs de cette pandémie, c’est que les autopsies pourraient bien montrer, et ont montré, qu’un certain nombre de ces soi-disant décès de Covid-19 sont en réalité morts de leurs maladies comorbides. Dans la grande majorité des études d’autopsie rapportées, les pathologistes ont noté de multiples conditions comorbides, dont la plupart aux extrêmes de la vie pourraient à elles seules être mortelles. Auparavant, on savait que les virus du rhume avaient une mortalité de 8 % dans les maisons de retraite.

En outre, des preuves précieuses pourraient être obtenues à partir des autopsies qui amélioreraient les traitements cliniques et pourraient éventuellement démontrer l’effet mortel des protocoles mandatés par le CDC que tous les hôpitaux étaient tenus de suivre, tels que l’utilisation de respirateurs et le remdesivir, un médicament mortel qui détruit les reins. . Les autopsies ont également démontré une accumulation d’erreurs médicales et de soins de mauvaise qualité, car le fait de protéger les médecins des unités de soins intensifs des yeux des membres de la famille conduit inévitablement à des soins de moindre qualité, comme l’ont rapporté plusieurs infirmières travaillant dans ces domaines. 53 – 55 ]

Aussi mauvais que tout cela ait été, la même chose est faite dans le cas des décès dus au vaccin Covid – très peu d’autopsies complètes ont été effectuées pour comprendre pourquoi ces personnes sont mortes, c’est-à-dire jusqu’à récemment. Deux chercheurs hautement qualifiés, le Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste et expert hautement qualifié en maladies infectieuses, et le Dr Arne Burkhardt, pathologiste faisant autorité et ayant été professeur de pathologie dans plusieurs institutions prestigieuses, ont récemment pratiqué des autopsies sur 15 personnes ayant mort après vaccination. Ce qu’ils ont trouvé explique pourquoi tant de personnes meurent et subissent des dommages aux organes et des caillots sanguins mortels. 5 ]

Ils ont déterminé que 14 des quinze personnes sont décédées des suites des vaccins et non d’autres causes. Le Dr Burkhardt, le pathologiste, a observé de nombreuses preuves d’une attaque immunitaire sur les organes et les tissus des individus autopsiés, en particulier leur cœur. Cette preuve comprenait une invasion étendue de petits vaisseaux sanguins avec un nombre massif de lymphocytes, qui provoquent une destruction cellulaire importante lorsqu’ils sont libérés. D’autres organes, tels que les poumons et le foie, ont également été gravement endommagés. Ces découvertes indiquent que les vaccins amenaient le corps à s’attaquer avec des conséquences mortelles. On peut facilement voir pourquoi Anthony Fauci, ainsi que les agents de santé publique et tous ceux qui font la promotion de ces vaccins, ont publiquement découragé les autopsies sur les vaccinés décédés par la suite. On peut aussi voir que dans le cas des vaccins, qui étaient essentiellement non testés avant d’être approuvés pour le grand public, au moins les organismes de réglementation auraient dû être tenus de surveiller et d’analyser attentivement toutes les complications graves, et certainement les décès, liés à ces vaccins. La meilleure façon de le faire est d’effectuer des autopsies complètes.

Bien que nous ayons appris des informations importantes de ces autopsies, ce qui est vraiment nécessaire, ce sont des études spéciales des tissus de ceux qui sont décédés après la vaccination pour la présence d’infiltration de protéines de pointe dans les organes et les tissus. Ce serait une information critique, car une telle infiltration entraînerait de graves dommages à tous les tissus et organes impliqués, en particulier le cœur, le cerveau et le système immunitaire. Des études animales l’ont démontré. Chez ces individus vaccinés, la source de ces protéines de pointe serait les porteurs nanolipidiques injectés de l’ARNm produisant la protéine de pointe.

CONCLUSION

Nous vivons tous l’un des changements les plus drastiques de notre culture, de notre système économique et de notre système politique de l’histoire de notre nation ainsi que du reste du monde. On nous a dit que nous ne reviendrions jamais à la « normale » et qu’une grande réinitialisation a été conçue pour créer un « nouvel ordre mondial ». Tout cela a été décrit par Klaus Schwab, chef du Forum économique mondial, dans son livre sur la « grande réinitialisation ».66 ] Ce livre donne beaucoup d’informations sur la pensée des utopistes qui sont fiers de revendiquer cette «crise» pandémique comme leur moyen d’inaugurer un nouveau monde. Ce nouvel ordre mondial est sur les planches à dessin des manipulateurs d’élite depuis plus d’un siècle.73 , 74 ] Dans cet article, je me suis concentré sur les effets dévastateurs que cela a eu sur le système de soins médicaux aux États-Unis, mais aussi sur une grande partie du monde occidental. Dans des articles antérieurs, j’ai discuté de la lente érosion des soins médicaux traditionnels aux États-Unis et de la façon dont ce système est devenu de plus en plus bureaucratisé et enrégimenté. sept , 8 ] Ce processus s’accélérait rapidement, mais l’apparition de cette « pandémie » fabriquée, à mon avis, a transformé notre système de santé du jour au lendemain.

Comme vous l’avez vu, une série d’événements sans précédent s’est produite au sein de ce système. Les administrateurs d’hôpitaux, par exemple, ont assumé la position de dictateurs médicaux, ordonnant aux médecins de suivre des protocoles dérivés non pas de ceux qui ont une vaste expérience dans le traitement de ce virus, mais plutôt d’une bureaucratie médicale qui n’a jamais traité un seul patient COVID-19. L’utilisation obligatoire de respirateurs sur les patients des soins intensifs Covid-19, par exemple, a été imposée dans tous les systèmes médicaux et les médecins dissidents ont été rapidement démis de leurs fonctions de soignants, malgré leur démonstration de méthodes de traitement nettement améliorées. De plus, les médecins ont été invités à utiliser le médicament remdesivir malgré sa toxicité avérée, son manque d’efficacité et son taux de complications élevé. On leur a dit d’utiliser des médicaments qui nuisent à la respiration et de masquer chaque patient, malgré les difficultés respiratoires du patient. Dans chaque cas, ceux qui ont refusé d’abuser de leurs patients ont été renvoyés de l’hôpital et ont même fait face à une perte de licence ou pire.

Pour la première fois dans l’histoire de la médecine moderne, le traitement médical précoce de ces patients infectés a été ignoré à l’échelle nationale. Des études ont montré qu’un traitement médical précoce permettait d’économiser 80 % du nombre plus élevé de ces personnes infectées lorsqu’il était initié par des médecins indépendants.43 , 44 ] Un traitement précoce aurait pu sauver plus de 640 000 vies au cours de cette « pandémie ». Malgré la démonstration de la puissance de ces premiers traitements, les forces de contrôle des soins médicaux ont poursuivi cette politique destructrice.

Les familles n’étaient pas autorisées à voir leurs proches, obligeant ces personnes très malades hospitalisées à affronter seules leur mort. Pour ajouter l’insulte à l’injure, les funérailles étaient limitées à quelques membres de la famille en deuil, qui n’étaient même pas autorisés à s’asseoir ensemble. Pendant tout ce temps, les grands magasins, tels que Walmart et Cosco, étaient autorisés à fonctionner avec des restrictions minimales. Les patients des maisons de soins infirmiers n’étaient pas non plus autorisés à recevoir des visites familiales, étant à nouveau forcés de mourir seuls. Pendant tout ce temps, dans un certain nombre d’États, le plus transparent étant celui de New York, des personnes âgées infectées ont été délibérément transférées des hôpitaux vers des maisons de retraite, ce qui a entraîné un taux de mortalité très élevé chez ces résidents de maisons de retraite. Au début de cette « pandémie », plus de 50 % de tous les décès survenaient dans des maisons de retraite.

Tout au long de cette « pandémie », nous avons été nourris d’une série interminable de mensonges, de distorsions et de désinformation de la part des médias, des responsables de la santé publique, des bureaucraties médicales (CDC, FDA et OMS) et des associations médicales. Des médecins, des scientifiques et des experts en traitements infectieux qui ont formé des associations visant à développer des traitements plus efficaces et plus sûrs, ont été régulièrement diabolisés, harcelés, honteux, humiliés et subissent une perte de licence, une perte de privilèges hospitaliers et, dans au moins un cas, ordonné de subir un examen psychiatrique.2 , 65 , 71 ]

Anthony Fauci a reçu le contrôle essentiellement absolu de toutes les formes de soins médicaux lors de cet événement, notamment en insistant pour que les médicaments dont il a bénéficié soient utilisés par tous les médecins traitants. Il a ordonné l’utilisation de masques, bien qu’il se soit d’abord moqué de l’utilisation de masques pour filtrer un virus. Les gouverneurs, les maires et de nombreuses entreprises ont suivi ses ordres sans poser de questions.

Les mesures draconiennes utilisées, le masquage, les verrouillages, les tests des personnes non infectées, l’utilisation du test PCR inexact, la distanciation sociale et la recherche des contacts s’étaient auparavant avérées peu ou pas utiles lors des pandémies précédentes, mais toutes les tentatives de rejeter ces méthodes n’ont servi à rien. Certains États ont ignoré ces ordonnances draconiennes et ont enregistré le même nombre de cas ou moins, ainsi que des décès, que les États avec les mesures les plus strictement appliquées. Encore une fois, aucune preuve ou démonstration évidente dans ce sens n’a eu d’effet sur la fin de ces mesures socialement destructrices. Même lorsque des pays entiers, comme la Suède, qui ont évité toutes ces mesures, ont démontré des taux d’infections et d’hospitalisation égaux à ceux des nations avec les mesures les plus strictes et les plus draconiennes, aucun changement de politique de la part des institutions de contrôle n’a eu lieu.

Les experts en psychologie des événements destructeurs, tels que les effondrements économiques, les catastrophes majeures et les pandémies précédentes, ont démontré que les mesures draconiennes s’accompagnent d’un coût énorme sous la forme de « morts de désespoir » et d’une augmentation spectaculaire des troubles psychologiques graves. Les effets de ces mesures pandémiques sur le développement neurologique des enfants sont catastrophiques et en grande partie irréversibles.

Au fil du temps, des dizaines de milliers de personnes pourraient mourir à la suite de ces dommages. Même lorsque ces prédictions ont commencé à apparaître, les contrôleurs de cette « pandémie » ont continué à toute vapeur. Augmentation drastique des suicides, augmentation de l’obésité, augmentation de la consommation de drogue et d’alcool, aggravation de nombreuses mesures sanitaires et augmentation terrifiante des troubles psychiatriques, notamment la dépression et l’anxiété, ont été ignorés par les responsables contrôlant cet événement.

Nous avons finalement appris que de nombreux décès étaient le résultat de négligence médicale. Les personnes atteintes de maladies chroniques, de diabète, de cancer, de maladies cardiovasculaires et de maladies neurologiques n’étaient plus suivies correctement dans leurs cliniques et cabinets médicaux. Les opérations non urgentes ont été suspendues. Beaucoup de ces patients ont choisi de mourir chez eux plutôt que de risquer d’aller à l’hôpital et beaucoup ont considéré les hôpitaux comme des « maisons de la mort ».

Les registres des décès ont montré qu’il y avait une augmentation des décès chez les personnes âgées de 75 ans et plus, principalement expliquée par les infections à Covid-19, mais pour les personnes âgées de 65 à 74 ans, les décès avaient augmenté bien avant le début de la pandémie. 69 ] Entre 18 ans et 65 ans, les dossiers démontrent une hausse choquante des décès non-Covid-19. Certains de ces décès s’expliquent par une augmentation spectaculaire des décès liés à la drogue, quelque 20 000 de plus qu’en 2019. Les décès liés à l’alcool ont également augmenté de manière substantielle et les homicides ont augmenté de près de 30 % dans le groupe des 18 à 65 ans.

Le chef de la compagnie d’assurance OneAmerica a déclaré que leurs données indiquaient que le taux de mortalité des personnes âgées de 18 à 64 ans avait augmenté de 40 % au cours de la période pré-pandémique.21 ] Scott Davidson, PDG de la société, a déclaré que cela représentait le taux de mortalité le plus élevé de l’histoire des dossiers d’assurance, qui collecte chaque année de nombreuses données sur les taux de mortalité. Davidson a également noté que cette augmentation du taux de mortalité n’avait jamais été observée dans l’histoire de la collecte de données sur les décès. Les catastrophes précédentes d’une ampleur monumentale n’ont augmenté les taux de mortalité que de 10%, 40% est sans précédent.

Le Dr Lindsay Weaver, médecin-chef de l’Indiana, a déclaré que les hospitalisations dans l’Indiana sont plus élevées qu’à tout moment au cours des cinq dernières années. Ceci est d’une importance cruciale puisque les vaccins étaient censés réduire considérablement les décès, mais c’est l’inverse qui s’est produit. Les hôpitaux sont inondés de complications liées aux vaccins et de personnes dans un état critique à cause de la négligence médicale causée par les fermetures et d’autres mesures pandémiques. 46 , 56 ]

Un nombre dramatique de ces personnes meurent maintenant, le pic se produisant après l’introduction des vaccins. Les mensonges de ceux qui se sont nommés dictateurs médicaux sont sans fin. D’abord, on nous a dit que le confinement ne durerait que deux semaines, ils ont duré plus d’un an. Ensuite, on nous a dit que les masques étaient inefficaces et n’avaient pas besoin d’être portés. Cela s’est vite inversé. Ensuite, on nous a dit que le masque en tissu était très efficace, maintenant ce n’est plus le cas et tout le monde devrait porter un masque N95 et avant cela, ils devraient porter un double masque. On nous a dit qu’il y avait une grave pénurie de respirateurs, puis nous découvrons qu’ils sont inutilisés dans les entrepôts et dans les dépotoirs de la ville, toujours dans leurs caisses d’emballage. Nous avons été informés que les hôpitaux étaient principalement remplis de personnes non vaccinées et nous avons découvert plus tard que c’était exactement le contraire dans le monde entier.

Lors de la sortie des vaccins, les femmes ont été informées que les vaccins étaient sûrs pendant tous les stades de la grossesse, seulement pour découvrir qu’aucune étude n’avait été réalisée sur la sécurité pendant la grossesse lors des «tests de sécurité» avant la sortie du vaccin. On nous a dit que des tests minutieux sur des volontaires avant l’approbation de l’EUA pour un usage public ont démontré l’extrême sécurité des vaccins, seulement pour apprendre que ces malheureux sujets n’étaient pas suivis, que les complications médicales causées par les vaccins n’étaient pas payées et que les médias couvraient tout cela .67 ] Nous avons également appris que les fabricants pharmaceutiques des vaccins avaient été informés par la FDA que d’autres tests sur les animaux n’étaient pas nécessaires (le grand public serait les cobayes.) Incroyablement, on nous a dit que les nouveaux vaccins à ARNm de Pfizer avaient été approuvés par la FDA. , qui était une tromperie de couperet, en ce qu’un autre vaccin avait l’approbation (comirnaty) et non celui utilisé, le vaccin BioNTech. Le vaccin communautaire approuvé n’était pas disponible aux États-Unis. Les médias nationaux ont déclaré au public que le vaccin Pfizer avait été approuvé et n’était plus classé comme expérimental, un mensonge flagrant. Ces mensonges mortels continuent. Il est temps d’arrêter cette folie et de traduire ces personnes en justice.

Clause de non-responsabilité

Les points de vue et opinions exprimés dans cet article sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de la Revue ou de sa direction.

Références

1. Abelson R. Soutenues par l’aide fédérale Covid, de grandes chaînes hospitalières rachètent des concurrents. https://www.nytimes.com/2021/05/21/health/covid-bailout-hospital-merger.html.

2. Albright L. La non-conformité médicale et sa persécution. https://brownstone.org/articles/medical-nonconformaity-and-its-persecution [Dernier accès le 6 février 2022].

3. Ausman JI, Blaylock RL.éditeurs. Le virus de la Chine. Quelle est la vérité?. États-Unis : James I. et Carolyn R. Ausman Education Foundation (AEF) ; 2021. p.

4. Beder A, Buyukkocak U, Sabuncuoglu H, Keskil ZA, Keskil S. Rapport préliminaire sur la désoxygénation induite par un masque chirurgical lors d’une intervention chirurgicale majeure. Neurocirugie. 2008. 19 :

5. Bhakdi S. Présentation des résultats de l’autopsie. https://www.brighteon.com/4b6cc929-f559-4577-b4f8-3b40f0cd2f77 Présentation de la pathologie sur les résultats https://pathologie-konferenz.de/en [Dernier accès le 6 février 2022].

6. Blaylock RL. Pandémie de Covid-19 : Quelle est la vérité ?. Surg Neurol Inter. 2021. 12:

7. Blaylock RL. L’assurance maladie nationale (Partie 1) : le cauchemar socialiste. 19 août 2009 https://haciendapublishing.com/national-health-insurance-part-i-the-socialist-nightmare-by-russell-l-blaylock-md [dernière consultation le 6 février 2022].

8. Blaylock RL. Régimentation en médecine et son prix humain (partie 1 & 2) édition Hacienda. p.

9. Blaylock RL. Quand le rejet de l’orthodoxie devient une maladie mentale. 15 août 2013 https://haciendapublishing.com/when-rejecting-orthodoxy-becomes-a-mental-illness-by-russell-l-blaylock-md [dernière consultation le 6 février 2022].

10. Bloche MG. Reprise en société des Hôpitaux Universitaires. https://scholarship.law.georgetown.edu/cgi/viewcontent.cgi?referer=https://www.google.com/&httpsredir=1&article=1731&context=facpub [dernière consultation le 6 février 2022].

11. Bosh X, Ross JS. Ghostwriting : recherche d’inconduite, de plagiat ou d’or des fous. Amer J Med. 2012. 125 : 324-6

12. Breggin PR, Breggin GR.éditeurs. Les meilleures revues médicales vendent leurs âmes. Breggin PR, Breggin GR. Covid-19 et les prédateurs mondiaux : nous sommes la proie. Ithaca, NY : Lake Edge Press ; 2021. p. 285-292

13. .éditeurssp.

14. Bulik BS. Les 10 meilleurs dépensiers publicitaires dans Big Pharma pour 2020. Fierce Pharma 19 avril 2021 https://www.fiercepharma.com/special-report/top-10-ad-spenders-big-pharma-for-2020 [Dernier accès le 06 février 2022].

15.

16. Chughtai AA, Stelzer-Braid S, Rawlinson W, Pontivivi G, Wang Q, Pan Y. éditeurs. Contamination par des virus respiratoires sur la surface extérieure du masque médical utilisé par les travailleurs de la santé hospitalière. BMC Infect Dis. 2019. p.

17. Les hôpitaux Coleman-Lochner LUS ont été poussés à la ruine financière alors que les infirmières ont démissionné pendant la pandémie. 21 décembre 2021 https://www.bloomberg.com/news/articles/2021-12-21/us-hospitals-pushed-to-financial-ruin-as-nurses-quit-en-masse [Dernier accès en 2022 06 février].

18. D’Souza K. Les effets pandémiques peuvent avoir abaissé le QI du bébé, selon une étude d’EdSource. https://edsource.org/2021/pandemic-may-have-lowered-baby-iq-study-says/661285. [Dernier accès le 06 février 2022].

19. Davis GG, Williamson AK. Risque de transmission du covid-19 lors de l’autopsie. Arch Path Lab Med. 2020. 144 : 1445a-1445

20. Département de la santé et des services sociaux : Partie 1. Informations générales. https://grants.nih.gov/grants/guide/rfa-files/RFA-HD-20-013.html [dernière consultation le 6 février 2022].

21. Durden T. éditeurs. Le PDG de Life Insurance déclare que les décès ont augmenté de 40% chez les 18 à 64 ans. Rapport Tyler Durden. 2022. p.

22. Elder C, Schroder AS, Aepfelbacher M, Fitzek A, Heinemann A, Heinrich F. Mourir avec une infection par le SRAS-CoV-2, une étude d’autopsie des 80 premiers cas consécutifs à Hamberg, en Allemagne. Inter J Legal Med. 2020. 134 : 1275-84

23. Alliance des soins intensifs Covid de première ligne. https://covid19criticalcare.com [Dernier accès le 06 février 2022].

24. Gueriero M. Restriction des autopsies pendant l’épidémie de Covid-19 en Italie. Prudence ou peur ? Pathologique. 2020. 112 : 172-3

25. Hope JR.rédacteurs. Mort subite par « sort chaud »—Dr. Michael Yeadon tire la sonnette d’alarme. La revue du désert. 2022. p.

26. Huff E. Un médecin de l’Idaho signale une « augmentation de 20 fois » du nombre de cancers parmi les personnes « vaccinées » contre le covid. https://www.naturalnews.com/2021-09-14-idaho-doctor-20times-increase-cancer-vaccinated-covid.html [dernière consultation le 6 février 2022].

27. Ioannou P, Karakonstantis S, Astrinaki E, Saplamidou S, Vitsaxaki E, Hamilos G. Transmission de la variante B1.1.7 du SRAS-C0V-2 parmi les agents de santé vaccinés. Infect Dis. 2021. p. 1-4

28. Interview de James Thorpe par le Dr Steve Kirsch. Rumble https://rumble.com/vru732-dr.-james-thorp-on-medical-censorship.html [dernière consultation le 06 février 2022].

29. Jiang H, Mei YF. La protéine de pointe SARS-CoV-2 altère la réparation des dommages à l’ADN et inhibe la recombinaison V(D)J in vitro. Virus. 2021. 13: 2056

30. Jimenez JVigdor N. Covid-19 news : Plus de 150 employés d’hôpitaux du Texas sont licenciés ou démissionnent pour des mandats de vaccination. https://www.nytimes.com/live/2021/06/22/world/covid-vaccine-coronavirus-mask [Dernier accès le 06 février 2022].

31. Katz E. Postal demande une exemption temporaire du mandat de vaccin ou de test de Biden. https://www.govexec.com/workforce/2022/01/postal-service-seeks-temporary-exemption-bidens-vaccine-or-test-mandate/360376 [dernière consultation le 6 février 2022].

32. Kennedy R. éditeurs. Le vrai Anthony Fauci. Bill Gates, Big Pharma et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique. Édition Skyhorse ; 2021. p. 24-29

33. Kennedy RF.editorsp. 24-25

34. Kennedy RF.éditeurssp. 26-30

35. Kennedy RF.editorsp. 32

36. Kennedy RF.éditeurssp. 35-56

37. Kennedy RF.editorsp. 47-56

38. Kennedy RF.editorsp. 135

39. Kennedy RF.editorsp. 217

40. Lee M. Université de Floride trouve des agents pathogènes dangereux sur le masque facial des enfants. NTD https://www.ntd.com/university-of-florida-lab-finds-dangerous-pathogens-on-childrens-face-masks_630275.html [dernière consultation le 6 février 2022].

41. Liu Q, Wang RS, Qu GQ, Wang YY, Liu P, Zhu YZ. Rapport d’examen brut d’une autopsie de décès Covid-19. Fa Yi Xue Za Zhi. 2020. 36 : 21-23

42. Loffredo J. Entièrement vaccinés sont les « super-épandeurs » de Covid, déclare l’inventeur de la technologie de l’ARNm. https://childrenshealthdefernce.org/defender/justin-Williams-Robert-Malone-fully-vaccinated-covid-super-spreaders [Dernier accès le 6 février 2022].

43. Marik PE, Kory P, Varon J, Iglesias J, Meduri GU. Protocole MATH+ pour le traitement de l’infection par le SARS-CoV-2 : le rationnel scientifique. Exp rev Ant-infectieux Ther. 2020. p.

44. McCullough P, Kelly R, Ruocco G, Lerma E, Tumlin J, Wheeland KR. Base physiopathologique et justification du traitement ambulatoire précoce de l’infection par le SRAS-CoV-2 (COVID-19). Amer J Med. 2021. 134 : 16-22

45. McCullough P.éditeurs. Étude : Les travailleurs de la santé entièrement vaccinés portent 251 fois la charge virale et constituent une menace pour les patients non vaccinés, Collègues. p.

46. ​​McCullough P. « Nous sommes au milieu d’une catastrophe biologique majeure » : l’expert Covid, le Dr Peter McCullough. https://www.lifesitenews.com/news/were-in-the-middle-of-a-major-biological-catastrophe-top-covid-doc-mccullough/?_kx=9EtupqemhhFXJ1kgCo9W3xUNfwrkqB5nT7V2H15fUnA%3D.WXNMR7 [Dernier accès le 06 février 2022].

47. McGovern C. Des milliers rapportent avoir développé des tumeurs anormales à la suite de coups de Covid. 1er novembre 2021 https://www.lifesitenews.com/news/thousands-report-developing-abnormal-tumors-following-covid-shots [Dernier accès le 6 février 2022].

48. Mercola J. Bill Gates et Anthony Fauci : un partenariat « formidable et néfaste ». https://childrenshealthdefense.org/defender/rfk-jr-the-real-anthony-fauci-bill-gates [Dernier accès le 6 février 2022].

49. Moffatt B, Elliott C. Ghost Marketing : Entreprises pharmaceutiques et articles de journaux écrits par des fantômes. Persp Biol Med. 2007. 50 : 18-31

50. Mulvany C. éditeurs. Covid-19 aggrave la faillite des hôpitaux à risque. Association de gestion financière des soins de santé. 2020. p.

51. Muoio D. Combien d’employés les hôpitaux ont-ils perdus à cause des mandats de vaccination ?. https://www.fiercehealthcare.com/hospitals/how-many-employees-have-hospitals-lost-to-vaccine-mandates-numbers-so-far [dernière consultation le 6 février 2022].

52. Nalivaeva NN, Turner AJ, Zhuravin IA. Rôle de l’hypoxie prénatale dans le développement cérébral, les fonctions cognitives et la neurodégénérescence. Neuroscience avant. 2018. p.

53. Nicole Sirotek partage ce qu’elle a vu en première ligne à New York. # Meurtre. https://rumble.com/vt7tnf-registered-nurse-nicole-sirotek-shares-what-she-saw-on-the-front-lines-in-n.html [Dernier accès le 6 février 2022].

54. Noether MMat S. Avantages de la fusion des hôpitaux : points de vue des dirigeants d’hôpitaux et analyse économétrique. Janvier 2017 https://www.aha.org/guidesreports/2017-01-24-hospital-merger-benefits-views-hospital-leaders-and-econometric-analysis [dernière consultation le 6 février 2022].

55. Témoignage de l’infirmière Colette Martin devant la Chambre des représentants de la Louisiane. https://www.youtube.com/watch?v=cBwnIRUav5I [dernière consultation le 6 février 2022].

56. Infirmière Dani : Ce sont les protocoles hospitaliers Covid-19 qui tuent les gens. https://rumble.com/vqs1v6-nurse-dani-its-the-covid-19-hospital-protocols-are-killing-people.html [dernière consultation le 06 février 2022].

57. La clinique Parpia R. Mayo licencie 700 employés pour avoir refusé de se faire vacciner contre le Covid-19. https://thevaccinereaction.org/2022/01/mayo-clinic-fires-700-employees-for-refusing-to-get-covid-19-vaccinations [dernière consultation le 6 février 2022].

58. Pomara C, Li Volti G, Cappello F. Morts du Covid-19 : sommes-nous sûrs qu’il s’agit d’une pneumonie ? S’il vous plaît, autopsie, autopsie, autopsie !. J Clin Med. 2020. p.

59. .éditeurs. Post Editorial Board Facebook admet la vérité : les « vérifications des faits » ne sont qu’une opinion (de gauche). Poste de New York. p.

60. DG de Rancourt. Le masque ne fonctionne pas. Une revue de la science pertinente à la politique sociale covid-19. https://archive.org/details/covid-censorship-at-research-gate-2 [Dernier accès le 06 février 2022].

61. Redshaw M.éditeurs. Alors que les rapports de blessures après les vaccins Covid approchent le million de dollars. CDC, FDA clear Pfizer, boosters Moderna pour tous les adultes. p.

62. Roche D. éditeurs. Les membres du Congrès et leur personnel sont exemptés du mandat de vaccin de Biden, Newsweek 9/10/21 Boston Herald Editorial Staff. Éditorial : Les élites politiques exemptées des mandats vax. Boston Herald. 2021. p.

63. Ross E. Comment les tactiques de relations publiques des sociétés pharmaceutiques faussent la présentation de la recherche médicale. https://www.theguardian.com/science/2011/may/20/drug-companies-ghost-writing-journalism [dernière consultation le 6 février 2022].

64. Saul S. Ghostwriters utilisés dans les études sur le Vioxx, dit l’article. 15 avril 2008 https://www.fpparchive.org/media/documents/public_policy/Ghostwriters%20Used%20in%20Vioxx%20studies_Stephanie%20Saul_Apr%2015,%202008_The%20New%20Times.pdf [dernière consultation le 06 février 2022] .

65. Saxena V. Doctors perd sa licence médicale. Ordonné d’avoir Psych Eval pour Ivermectin Scrits, partageant la « désinformation » de Covid. Disponible sur : https://bizpacreview.com/2022/01/16/doctor-loses-license-orderedto-have-psych-eval-for-prescribe-ivermectin-sharining-covid-falsehoods-1189313. [Dernier accès le 06 février 2022].

66. Schwab K, Malleret T. éditeurs. La pandémie de Covid-19 et la grande réinitialisation. Forum Publishing 2020 Forum économique mondial. Cologny/Genève : p.

67. Le sénateur Ron Johnson sur les blessures causées par le vaccin Covid-19 aux sujets testés. https://www.youtube.com/watch?v=6mxqC9SiRh8 [dernière consultation le 6 février 2022].

68. Sperhake JP. Autopsies du Covid-19 décédé ? Absolument!. Méd. Juridique 2020. p.

69. Svab P.éditeurs. Pic de décès non Covid chez les Américains âgés de 18 à 49 ans. The Epoch Times. p.

70. US Medical, Scientific, Patient and Civic Organization Funding Report: Pfizer: Fourth Quarter 2010. https://cdn.pfizer.com/pfizercom/responsibility/grants_contributions/pfizer_us_grants_cc_q4_2010.pdf [Dernier accès le 6 février 2022].

71. Vivek Saxena. Les médecins perdent leur licence, ont reçu l’ordre d’avoir une évaluation psychologique pour les scrits d’ivermectine, partageant la « désinformation » de Covid. https://www.bizpacreview.com/2022/01/16/doctor-loses-license-ordered-to-have-psych-eval-for-prescribe-ivermectin-sharing-covid-falsehoods-1189313.

72. Westendorf AM. L’hypoxie améliore l’immunosuppression en inhibant la fonction des lymphocytes T effecteurs CD4+ et en favorisant l’activité des Treg. Cell Physiol Biochem. 2017. 41 : 1271-84

73. Wood PM.rédacteurs. Technocratie : la route difficile vers l’ordre mondial. édition cohérente ; 2018. p.

74. Wood PM.rédacteurs. Technocratie en hausse : le cheval de Troie de la transformation mondiale. édition cohérente ; 2015. p.




La « vérité révélée », la Terre est plate et j’en aurais la preuve ?

Comment se forge-t-on SA vérité ?
Suis-je libre de mes vérités ?

Par Alain Tortosa

Je/nous sommes les premiers à critiquer les covidistes, les bouffeurs de médias mainstream en leur reprochant de gober n’importe quoi.

Notre principal reproche est de ne voir en eux aucune remise en question, aucun sens critique, aucun doute et de ne pas se forger leur propre opinion.

Une question me taraude :

« Pourquoi n’avons-nous pas gobé le roman du Covid ou de l’Ukraine pour ne parler que d’eux ? »

Sommes-nous si différents de celles et ceux que nous voyons comme des moutons incapables de penser par eux-mêmes ?

S’ils peuvent être qualifiés de boussoles qui pointent uniquement vers le nord, ne serions-nous pas nous aussi des boussoles, mais qui pointent uniquement vers le sud ?

Nous suffit-il d’être face à une théorie du complot pour « gober » et en faire « notre vérité » alors même que notre pensée serait modelée par une vérité proposée et complotiste ?

À titre personnel, je passe suffisamment pour un dingue auprès des esprits lobotomisés par les médias, pour ne pas énumérer quelques théories du complot auxquelles j’aurais pu adhérer depuis quelques mois.

Bien entendu, je ne manque pas de raisonnements, d’arguments scientifiques ou factuels pour penser que mon opinion n’a rien de farfelue et qu’elle repose sur des bases extrêmement solides.

Mais les autres, en face, ne manquent-ils pas aussi d’arguments qu’ils croient leurs ?

Quand on les entend parler, cela me fait penser à une secte. Tous répètent le même discours au point que j’ai l’impression d’entendre BFM TV lorsqu’ils ouvrent la bouche.

Ici encore ne pourrait-on pas nous faire le même reproche ?

« Les complotistes n’auraient-ils pas aussi un discours tout aussi formaté bien que diamétralement opposé ? »

Je me rassure en pensant que je ne manque pas de preuves qui me permettent de penser que je ne suis pas dans une croyance, une religion, mais dans une démarche scientifique rigoureuse.

Pour ne parler que du Covid, nous ne manquons pas de preuves de mensonges et de dissimulations :

  • Le nombre de morts volontairement faussé par des directives de l’OMS et autres autorités.
  • Une nouveauté du 21e siècle, l’épidémie de non-malades avec les PCR bidons qui n’ont ni valeur diagnostique ni pronostique.
  • Les chiffres du réseau Sentinelle qui n’a jamais vu de pandémie.
  • Les mensonges sur sa prétendue dangerosité pour la population générale.
  • La supposée absence de traitements efficaces.
  • L’interdiction de prescrire des molécules de plus de 40 ans inoffensives et efficaces.
  • Le Rivotril pour terminer des patients interdits de soins, pour ne pas saturer des hôpitaux prétendument saturés pour pouvoir les sauver.
  • Fauci qui finance le P4 de Wuhan sur des gains de fonction.
  • L’inefficacité du masque et des confinements prouvés par des siècles d’expériences.
  • Les pourcentages de saturation des réanimations qui sont des faux.
  • L’inefficacité totale du « vaccin ».
  • Une population injectée pour une souche disparue depuis plus de deux ans.
  • La prétendue « innocuité » des injections alors que les données officielles sont terrifiantes.
  • Des injections prétendument sures pour les grossesses 4 mois après les premières doses sur des femmes n’ayant pas encore accouché.
  • L’autorisation pour des soignants vaccinés et positifs au Sars-cov2 d’aller au travail tandis que les non-vaccinés négatifs n’ont pas le droit.
  • L’interdiction de télétravail et donc de consultation à distance pour les médecins non vaccinés.
  • Les manifestations massives passées sous silence ou totalement minorées.
  • La corruption de l’OMS.
  • Les médecins médiatiques avec conflits d’intérêts.
  • La censure et des campagnes de terreur pour ceux qui osaient et osent l’ouvrir.
  • La création du ministère de la Vérité et des fact-checkeurs.
  • Les lois bafouées.
  • La déontologie médicale réduite à néant.
  • Mac Kinsley.
  • Le Conseil d’État, le Conseil constitutionnel.
  • Etc., etc.

Je pourrais sans doute en faire des pages…

Je peux affirmer sans risque que dans le cas du Covid nous ne manquons pas d’arguments factuels sur cette escroquerie mondiale.

Quant à la variole du singe, nous disposons déjà, alors même que nous n’en sommes qu’au début, de tous les éléments qui prouvent la manipulation. Les mainstream ont même ressorti des Karine Lacombe et autres alors même que nous avons les preuves de leurs mensonges passés et de leurs conflits d’intérêts.

Pour autant, sommes-nous, suis-je, à l’abri d’une forme de malhonnêteté intellectuelle ou de manipulation inversée à chercher du complot partout ?

Et ce d’autant plus que mon monde qui n’était pas joli joli avant la crise (cf mon livre(([1] 7milliards d’esclaves et demain ? Vers un capitalisme de l’humain
https://7milliards.fr))
) est devenu carrément pourri depuis quelques mois.

Lucifer est au pouvoir, les réseaux pédophiles sont visibles, le nombre de personnalités éclaboussées ne fait que croître, l’avortement à 9 mois est devenu « moral » comme l’achat d’enfants en Ukraine ainsi que le changement de sexe dès 3 ans, etc.

Nous vivons en plein Sodome et Gomorrhe au point que « notre » « Président » déclarait en 2020 :

« La bête de l’Événement est là !(([2] https://www.youtube.com/watch?v=k5IclzvoiZI))(([3] https://josue-caleb.com/apocalypse-13-avenement-de-la-bete/))(([4] https://www.youtube.com/watch?v=XsDIMS9ec5c))(([5] https://www.youtube.com/watch?v=e0fU5cnliY0))».

Si la planète entière n’avait pas disjoncté, le gars aurait été viré le lendemain de l’interview, mais dans les faits ce fut un non-événement !

Bref, nous ne manquons pas d’éléments objectifs pour soutenir notre esprit critique.

J’écris depuis des mois qu’il faudrait être irresponsable pour prendre comme vérité n’importe quelle « information » issue des médias.

Le traitement totalement délirant et mensonger apporté sur la guerre en Ukraine ne peut que nourrir ces convictions sans parler du prétendu réchauffement climatique causé par le CO2 et une fin du monde inéluctable si on ne passe pas au tout électrique avec des éoliennes et que l’on ne supprime pas toute liberté aux gueux. Je ne résiste donc pas au plaisir de citer une fois de plus cette phrase que l’on attribue à Coluche :

« dans le journal, la seule chose qui est vraie est la date ! ».

Mais suis-je vraiment objectif, ai-je la capacité de me faire MA vérité ou suis-je autant une éponge que les paniqués de la grippe de la tomate(([6] https://www.watson.ch/fr/international/maladie/428308574-grippe-de-la-tomate-qu-est-ce-que-cette-etrange-maladie-d-inde)) qui nous menace !?

Ceux-ci ont beau jeu de voir en moi un parano, celui qui aime vautrer son esprit dans des bas-fonds, celui qui, par jouissance et perversion, voit le mal partout !

Même si le mal est partout, cela ne prouve en rien ma liberté de pensée.

Mise à l’épreuve

C’est pourquoi j’ai décidé de me mettre à l’épreuve.

Pour ce faire, je vais m’attaquer à la théorie de la Terre plate !

Typiquement le type d’affirmation qui peut faire rire de prime abord, mais quel covidiste pourrait ne pas rire si on lui disait que le Covid est un complot contre les peuples, que l’OTAN et les USA sont principalement responsables de la situation en Ukraine, que nous ne sommes jamais allés sur la lune ou que le 11 septembre est un coup monté par la CIA ou je ne sais qui, etc.

J’ai donc décidé de me pencher sérieusement sur le sujet et certainement pas comme les « vérificateurs » de l’information. Je pourrais vous citer un article lamentable sur la Terre plate publié dans le Nouvel obs(([7] https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-sciences/20160820.RUE3638/j-ai-essaye-d-interviewer-quelqu-un-qui-croit-que-la-terre-est-plate.html?gclid=EAIaIQobChMI67u05I-Z-AIVytvVCh0dqgjtEAMYASAAEgJNR_D_BwE)) dans lequel le gardien de la vériténe manquait pas de préciser les accointances entre un défenseur de la théorie et les thèses négationnistes. Vous voyez typiquement une forme de « journalisme » qui pourrait me donner envie de croire en cette théorie.

Mais non, si je m’y mets, je le fais sérieusement !

Je me placerai dans un état d’esprit « pourquoi pas » associé à « mais il va me falloir des preuves solides » avant de me ridiculiser.

Expérience non sans danger

Étant donné que je vais l’aborder comme tous les autres sujets qui ont guidé mes recherches et que de nombreuses « vérités » se sont effondrées par le passé, je vous avoue mon appréhension.

J’ai vraiment peur, si, si, de finir par y croire. Avant de débuter l’enquête, je n’ai strictement aucun doute que la Terre est sphérique en rotation sur elle-même et en orbite autour d’une étoile nommée Soleil. Je dirais que cela fait partie de mes (rares ?) certitudes, de mes croyances fortes.

Mais comme je vais jouer le jeu, comme je ne vais pas m’interdire de changer d’avis et que je ne vais pas dire des phrases vides de sens comme « c’est n’importe quoi », j’ai vraiment la trouille.

Rendez-vous compte que si à la fin de ce texte j’ai acquis, non pas forcément la conviction, mais des doutes sur la forme de la planète, que va-t-il rester de mon monde ?

Soit ce changement sera la preuve que je suis incapable d’avoir une pensée propre ni la capacité de résister aux sirènes du complotisme, soit que rien n’est vrai de ce qui m’a été inculqué depuis ma naissance. Je n’aurai alors plus rien de solide sur quoi m’appuyer.

Sans compter la solitude… Je ne me vois guère dire à autrui que je pense que la Terre est plate ou que les dinosaures n’ont jamais existé. Adieu tout reste de crédibilité ébréchée par les années Covid !

Mes propos peuvent faire sourire, mais j’ai réellement la trouille de basculer, car ceux qui y croient vraiment et qui se penchent sur le sujet depuis des dizaines d’années disposent d’arguments qui ne sont pas totalement ridicules. Il faudrait être stupide ou de mauvaise foi pour penser ces platistes simplement allumés…

L’épreuve du feu, la Terre est plate

Carte de la Terre plate(([8] http://1.bp.blogspot.com/-Rs8wjZYIEEg/VinyzHEsnAI/AAAAAAAAB4s/oRXi1JJ-kow/s1600/Azimuthal%2BEquidistant%2BProjection.jpg)):

On peut voir sur la carte que l’Australie et la Nouvelle-Zélande sont extrêmement éloignées de l’Amérique du Sud ou de l’Afrique du Sud.

Méthodologie :

Pour ce faire je me suis appuyé principalement sur 2 documentaires :

Bien entendu, je le répète, il me faut sortir du « c’est complètement con », car toutes les théories du complot peuvent être qualifiées ainsi.

Voici pêle-mêle quelques arguments platistes qui peuvent faire écho et dont je n’aborde pas dans mon texte principal les raisons scientifiques pouvant les contrer.

  • En premier lieu, nous vivons dans le mensonge permanent. Le complot est mondial(([12] Sur ce point-là je ne peux que les suivre, les complots ne manquent pas, mais même si cela plaide en leur faveur, ce n’est pas pour autant une preuve.)).
  • Comment est-il possible de voir depuis un point du globe un autre point qui ne pourrait être visible du fait de la courbure de la Terre(([13] Il est possible de voir au-delà de l’horizon en fonction de certaines conditions atmosphériques grâce à la réfraction de la lumière. C’est pourquoi on peut observer le bas d’un mur ou d’un immeuble au bout d’un lac alors même qu’il devrait être invisible du fait de la courbure de la Terre. Cela fonctionne aussi avec les ondes radio. Dans une autre vie, je pouvais capter en été la télé de Catalogne avec une antenne râteau alors que j’étais à plus de 300 km de l’émetteur terrestre. En revanche l’opération était impossible en hiver.))?
  • Pourquoi ne sommes-nous pas éjectés à l’équateur alors qu’il y a une vitesse de 1600 km/h. Les plus anciens d’entre-nous se rappellent avoir posé un petit objet au bord d’un 33 tours pour le voir s’envoler(([14] C’est une notion de vitesse relative. Si nous lâchons une gomme à 1 mètre du sol à bord d’un TGV à 300 km/h, elle devrait se fracasser à l’arrière du wagon ou du moins tomber en arrière. Si la gomme était à l’arrêt au moment où on la lâche, elle mettrait 0,5 seconde à chuter d’une hauteur d’un mètre. À 300 km/h le TGV parcourt 83 mètres par seconde. Ainsi la gomme tomberait 37 mètres en arrière. En réalité la gomme tombe à la verticale, car elle se déplace aussi à 300 km/h. L’air dans le train se déplace aussi à 300 km/h sinon nous aurions une sensation de vent. Ainsi une mouche peut voler dans un TGV sans être contrainte de voler aussi vite que la vitesse du train.)).
  • Pourquoi ne sommes-nous pas réduits en poussière si l’on tient compte de la vitesse supposée de la Terre autour du soleil, de la vitesse du système solaire dans la galaxie, de la vitesse de la galaxie dans l’univers, etc. soit des millions de km/h(([15] Comme pour le TGV, ce qui compte c’est l’accélération et la vitesse relative. Si la Terre s’arrêtait de tourner d’un coup nous serions éjectés. Dans un TGV nous ne sentons pas l’air dans le wagon, ni la moindre sensation d’accélération ou de freinage lorsqu’il est à vitesse constante. Ainsi, que l’on soit à 5 km/h ou 1 million de kilomètres par heure si tout ce qui nous entoure est à la même vitesse il n’y a aucune vitesse relative entre nous et notre environnement direct.))!
  • Lors d’un vol en avion à 10000 m d’altitude, l’horizon demeure rectiligne(([16] Le diamètre de la Terre est tel qu’un petit segment semble rectiligne. Il faut s’élever à environ 30 km pour que la courbure de la Terre devienne vraiment visible avec un angle de 5 degrés. Voir la simulation sur
  • https://www.youtube.com/watch?v=xpUcZXiKtfU&t=592s)).
  • Il n’y aurait aucune photo de la Terre, seules des photos assemblées et photoshopées(([17] Ici on est contraint de basculer dans de la conspiration à très grande échelle. Pas de stations orbitales, pas d’humains en orbite, pas de sondes envoyées sur mars ou autres qui ont pu prendre la Terre en photo.)). (Et si nous ne sommes jamais allés sur la lune, impossible de photographier la Terre dans son intégralité. J’imagine qu’il n’y aurait aussi aucune sonde comme Voyager et autres).
  • Les GPS(([18] Je n’ai pas de réponses à apporter. Vrai ? Pas vrai ? Pourquoi ? Aucune idée !)) ne fonctionneraient pas en antarctique. « preuve » qu’ils ne tournent pas sur une sphère.
    [Note de Joseph : la trentaine de satellites GPS ne couvre approximativement que la zone située entre les cercles polaires nord et sud, mais pas ce qui se trouve plus près des pôles, comme on peut le voir notamment à partir du site https://satmap.space qui permet de visualiser en temps réel la position des satellites par rapport à la surface de la Terre. Voir la carte pour le 9 juin 2022 à 11 heures 30, heure du Québec : ici. Il y a peu de satellites qui adoptent une orbite passant près des pôles.]
  • Il n’y aurait aucun vol direct(([19] Je suis en train de suivre un vol entre Santiago du Chili et Auckland en Nouvelle-Zélande et il est bien direct au-dessus du pacifique. La durée du vol constituant une preuve.
    https://fr.flightaware.com/live/flight/LAN801)) via l’océan Pacifique et les avions feraient un énorme détour. Avec une terre plate, pas le choix.

Ils proposent aussi des réponses à de nombreuses questions comme par exemple :

  • Comment ne tombons-nous pas au bord et comment les océans ne se vident pas dans l’espace ? Tous les continents seraient autour du centre du disque et il y aurait un gigantesque océan circulaire bordé de glace(([20] Si cette vision est réelle, nous sommes dans un complot mondial qui implique des millions de complices. Aviateurs, marins, astronautes, satellites, météorologues et j’en passe.))
    [Note de Joseph : la théorie de la gravitation qui est validée par de nombreuses expériences et observations répond simplement à cette question et n’implique aucun complot : la masse de la Terre retient aussi bien l’eau que l’atmosphère].
    La dimension du cercle serait inconnue, peut-être même quasi infinie. Je ne vous dis pas comme on est dans la merde s’il y a un réchauffement climatique et que les glaces fondent !
  • Comment peut-il y avoir des saisons alors qu’il n’y a pas d’hémisphères(([21] https://www.youtube.com/watch?v=R52_PdZlSq8))? En fait la Terre et la Lune seraient des petits spots qui tournent au-dessus du disque et qui selon leur position feraient les saisons.
    [Note de Joseph : ceci ne fournit aucune explication pour justifier la rotation de ces spots et qui plus est sur des cercles de taille variable selon les saisons. De plus, s’imaginer que le Soleil serait juste un spot tantôt lumineux et tantôt éteint — éventuellement accroché sur un dôme invisible ou transparent — est incompatible avec le fait que les habitants de la France voient le Soleil lumineux et haut dans le ciel quand il fait encore nuit au même moment au Québec et qu’il est encore sous l’horizon. Un même spot ne peut pas être simultanément éteint et allumé.]
  • Et les éclipses(([22] https://www.youtube.com/watch?v=dtHuTVXZGFw))? Il y a plusieurs théories, soit le soleil et la lune se retrouveraient au même endroit du fait de leur rotation en escargot, soit, comme dans le Truman Show, il y aurait un dôme gigantesque au-dessus du disque. Nous serions alors dans une expérience. L’histoire ne dit pas ce qu’il y aurait au-delà du dôme ni ses dimensions.
    [Note de Joseph : jusqu’à preuve du contraire ces « théories » sont incapables de prédire la position et le moment exact des éclipses, ni d’ailleurs des heures de lever et de coucher des différents astres, ni de leur passage au méridien du lieu… contrairement à la mécanique céleste basée sur la théorie de la gravitation.]
  • Le mouvement relatif des planètes. Si on regarde le mouvement de Mars(([23] http://wheresthecurve.org/2019/02/flat-earth-mars-retrograde-is-impossible)), à certaines périodes on peut avoir le sentiment que la planète recule. C’est logique si la Terre et Mars tournent autour du Soleil du fait des vitesses relatives, mais assez délirant si on pense que Mars tourne autour de la Terre. Quand bien même Mars tournerait autour du soleil, cela n’expliquerait pas le mouvement. Certains platistes ne trouvent pas gênant qu’une planète puisse faire demi-tour quant à ceux qui croient qu’il y a un dôme, ceci ne pose aucun problème étant donné que l’on peut projeter ce que l’on veut sur celui-ci. Les techniciens du dôme ne manquant pas d’humour en faisant reculer Mars…
  • Si la lune était en orbite autour de la Terre, elle serait éjectée ! Cela pose un problème parce que nous avons observé que les lunes de Jupiter tournaient autour de la planète, or Jupiter se déplace encore plus vite que la Terre. Pourquoi ne sont-elles pas éjectées ? Il existe des théories que je n’ai pas comprises sinon il y a le dôme dans lequel on peut projeter ce que l’on veut. Ici encore nous sommes dans la conservation du mouvement, aussi bien la Terre que la lune se déplacent à la même vitesse et il y a les phénomènes de gravité.

Toutes ces théories et explications peuvent sembler tordues ou même très tordues, mais ne prouvent ni que la Terre est une sphère en rotation, ni qu’elle est un disque(([24] Disons que je suis gentil.)).

Quelques questions sans réponse !

  • Le pendule de Foucault. Expérience assez simple. Vous attachez un poids (ici 30 kg) sur un câble de 60 mètres. Vous tirez le poids et le lâchez. Si la Terre ne tourne pas alors le pendule va osciller sur le même plan (pendant quelques heures du fait des frottements). Mais si elle est en rotation (et sphérique) alors le plan va se modifier au fil des heures, la Terre n’étant plus au même endroit. A priori les platistes ne disposent d’aucune théorie qui tienne la route pour expliquer ce phénomène observable.
  • Le gyroscope(([25] https://www.youtube.com/watch?v=WUHH32sQVx4)) C’est une toupie alimentée qui tourne sans s’arrêter. Elle se positionne par défaut perpendiculairement au sol et résiste à tout changement de position. Si la Terre ne tourne pas, alors la position ne change jamais. Mais hélas pour les platistes, il y a un décalage de 15 degrés par heure. C’est pourquoi les avions disposent d’un système de correction et un gyroscope non rigide, mais sensible à la gravité. Ici encore je n’ai pas eu accès à une explication des platistes qui puisse me convaincre.
  • L’interféromètre Ligo(([26] https://www.cite-espace.com/actualites-spatiales/lisa-pathfinder-feu-vert-ondes-gravitationnelles/)) aux USA. Pour son fonctionnement il est indispensable de disposer de 4 km de ligne droite. Comme les ondes vont tout droit, si la Terre était un disque, il suffirait de fabriquer un support rectiligne. Mais si elle est sphérique, alors l’onde générée va se retrouver dans l’espace au bout d’une certaine distance. C’est pourquoi ils ont dû construire un support dont l’extrémité était un mètre plus haut pour compenser la courbe de la Terre. Cette expérience est relativement facile à reproduire au bord d’un lac si on dispose d’un laser assez fin.
  • Les dépressions(([27] https://meteocentre.com/intermet/pression/pression8.htm)). Dans l’hémisphère nord, les dépressions tournent dans le sens inverse des aiguilles d’une montre et dans l’hémisphère sud dans le sens des aiguilles d’une montre. Pourquoi en serait-il ainsi sur une Terre plate ?
  • Les Satellites(([28] https://flatearthfacts.com/flat-earth-model/proof-the-earth-is-flat/satelliets-dont-exist/))(([29] https://www.youtube.com/watch?v=8_SYJIPPq-8&t=9s)) Difficile de mettre des satellites au-dessus d’un disque immobile sans qu’ils tombent. Il n’y aurait donc aucun satellite et tous seraient des fakes, uniquement des tours d’émission (que personne n’a vue). À se demander comment les GPS pourraient fonctionner sur l’océan. À titre personnel j’ai bien pointé des antennes satellites et il fallait une sacrée précision pour récupérer le signal. Comment cela pourrait-il fonctionner à l’équateur alors que les antennes satellites sont positionnées à 90° vers le ciel ? Mystère.
  • La preuve par le Chili et la Nouvelle-Zélande. À 5 h 14 GMT un avion(([30] https://fr.flightaware.com/live/flight/LAN801)) a décollé ce jour de Santiago(([31] https://latitude.to/map/cl/chile/cities/santiago)) du Chili à destination d’Auckland(([32] https://latitude.to/map/nz/new-zealand/cities/auckland/articles/page/1)) en Nouvelle-Zélande. Quand bien même on nous ment, son atterrissage est prévu à 17 h 42 GMT soit un temps de vol de 12 h 28 (auquel il faudrait rajouter 30 minutes de taxi au sol). La distance(([33] http://walter.bislins.ch/bloge/index.asp?page=Distances+on+Globe+and+Flat+Earth)) entre Santiago et Auckland est de 8 932 km sur une Terre sphérique, soit une vitesse moyenne de 673 km/h. Le problème, et de taille, est que la distance entre ces deux villes est de 21 952 km sur une Terre plate !!! La distance n’est pas discutable, la durée du vol n’est pas discutable et vérifiable par les passagers, il n’y a aucun raccourci possible entre ces deux villes, ce qui fait que la vitesse moyenne de l’avion était donc de 1 760 km/h !

    Quand on regarde un Boeing 787-9 Dreamliner dont le rayon d’action officiel est de moins de 16 000 km, on ne peut pas dire qu’il ressemble à un avion supersonique comme le Concorde. Hors ce vol « extraordinaire » s’est fait à une vitesse moyenne de Mach 1,4. Non seulement l’avion disposait de capacité supersonique, mais de plus avec un rayon d’action de 20 000 km avec 250 passagers à bord ! Rappelons que le rayon d’action du Concorde était d’environ 6 200 km (3x moins) à Mach 2 pour 3 fois moins de passagers !

    Si d’aventure on nous avait aussi menti sur les lois de la physique et sur la résistance de l’air, pouvez-vous me dire pourquoi le vol Miami-Madrid du même jour a mis quant à lui 8 h 25 de vol pour 7 100 km soit du 840 km/h alors qu’il aurait pu mettre 4 heures en vitesse supersonique ? Bref voici une preuve, difficilement discutable, que la Terre n’est pas plate, mais sphérique.

Conclusion

Les tenants de la théorie qui sont si nombreux pourraient facilement se cotiser pour louer un cargo et partir faire le tour du monde (comme Christophe Colomb) ou aller vers les glaces du bord du disque dans la zone que nous appelons équateur. S’ils sont si sûrs d’eux, pourquoi ne pas le faire ?

Je crains que nous ayons la réponse. C’est comme pour Jean-Michel, il serait si simple de mettre fin à la rumeur…

Je ne crois donc pas que la Terre est un disque plat.

  • Non pas parce que je suis baigné depuis ma naissance par l’image d’une planète sphérique.
  • Non pas parce que l’idée serait ridicule au point de la balayer d’un revers de main.

Mais parce qu’il existe des preuves scientifiques solides qui montrent que la Terre est sphérique et que les théoriciens de la Terre plate ne peuvent expliquer.

Je viens donc de me prouver que j’ai la capacité intellectuelle d’adhérer ou pas à une théorie complotiste (et aussi la liberté de me tromper).

Je ne suis pas, comme pourraient l’affirmer les prétendus « vérificateurs », aveuglé par mon désir de voir des complots partout.

Suis-je rassuré de ne pas croire en la Terre plate ?

Oui, mais je suis en partie presque déçu. C’eût été sympa que ce soit vrai.

En revanche, là où ma colère ne tarit pas c’est à propos de ceux qui cherchent à discréditer systématiquement tous ceux qui doutent et adhèrent à une théorie autre dite « du complot ». Pour eux, dès lors que nous pensons que l’on nous ment au niveau mondial sur tel ou tel sujet, c’est la preuve de notre déviance et de notre folie.

Si je pense qu’il y a complot sur un des sujets suivants comme le Covid, le 11 septembre, l’homme sur la lune, la Terre plate, l’Ukraine, la variole du singe, la grippe de la tomate, le réchauffement climatique, les chemtrails, les ovnis ou les reptiliens, etc. c’est que j’ai abandonné tout bon sens, que je suis dans la foi, que je ne raisonne plus scientifiquement.

Il faut de fait obligatoirement me dénigrer, me faire taire ou me ridiculiser. Les médias et les vérificateurs de l’information sont unanimes à ce sujet :

« Il ne faut surtout pas discuter avec un complotiste, il va chercher à vous manipuler et biaisera la vérité pour ne pas changer de croyances. Les non-complotistes étant de bonne foi comme il se doit »

Il est là le fanatisme qui refuse le dialogue et fait que des scientifiques comme Toubiana, Perronne, Toussaint,… n’ont pas pu avoir un libre accès aux médias mainstream ni participer à des débats contradictoires.

Cette omerta, ce ministère de la Vérité étant de nature à alimenter toutes les théories complotistes.

Honnêteté ?

Alors suis-je scientifiquement et intellectuellement honnête ?

Si je n’adhère pas à la théorie de la Terre plate (qui a le droit d’exister) et que j’adhère à la théorie de la plandémie sur le Covid, est-ce une preuve que je serais dans l’erreur dès lors que je suis convaincu par l’existence d’une ou plusieurs théories dites complotistes ?

En voyant ces différents documentaires et en écoutant certains « sages » qui ne voient que pathologie psychiatrique ou absence totale de culture scientifique dans cette défiance, j’ai quand même été un peu écorné et contraint de me poser à nouveau la question « et s’ils avaient raison ? ».

Ne vous inquiéter pas cela n’a guère duré. Tous ces vérificateurs se sabordent eux-mêmes en disant qu’il y a consensus, en ne donnant pas la parole aux contradicteurs, en associant une pathologie mentale, en approuvant la censure, en dénigrant l’auteur qui sera quasi toujours « révisionniste, antisémite ou d’extrême droite ».

Ces censeurs qui nous reprochent de ne pas nous demander si nous sommes dans l’erreur ne se remettent jamais en question et ne mènent pas une enquête afin de découvrir leur vérité. Ils « enquêtent », mais uniquement à charge avec pour objectif unique de prouver que l’autre à tort.
Bref le contraire d’une démarche scientifique ouverte et d’une recherche de vérité.

J’ai de fait 1 000 fois plus de respect pour une personne qui doute, qui étudie et adhère à la théorie de la Terre plate qu’à ces gardiens de la Foi qui n’ont qu’une Vérité, aucune éthique, morale ou honnêteté intellectuelle.

Même si je le savais sur un plan théorique grâce au nombre délirant d’heures passées à me demander si je n’avais pas tort dans mes diverses croyances, j’ai désormais une preuve de plus de ma capacité à me faire MA propre opinion et résister à des théories « complotistes ».

Prouvez et je changerai d’avis !

Je sais aussi, comme je le savais déjà, que je suis prêt à croire que la crise du Covid n’est pas une plandémie, que Poutine est l’unique enculé, que Zelenski et les Américains sont des saints, que le réchauffement climatique est causé par l’activité humaine et le CO2, que le 11 septembre est un attentat terroriste, etc., mais à l’unique condition que vous m’ameniez des preuves solides et non des théories fumeuses.

Jamais un covidiste convaincu ne prendra le risque de voir s’effondrer son faux Dieu.

merci
Alain Tortosa
9 juin 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220609-terre-plate-verite-propre.pdf





Si le covid n’est pas un complot… — 2e volet

[Source : dondevamos]

Après avoir posé la question de la répétition des fausses alertes pandémiques et des traitements et vaccins toxiques développés par Bill Gates, fauci et leurs amis depuis 20 ans, en fait depuis 2001 et la création de la fondation Gates, la crise de l’anthrax et le 11 septembre, la question qui se pose forcément est : pourquoi retrouve-t-on les mêmes protagonistes ?

Nous allons en citer quelques-uns, d’abord en France, puis en Angleterre et aux USA, épicentres de la recherche sur les modélisations et les traitements à toutes les épidémies / pandémies.

3. Pourquoi les mêmes protagonistes d’une pandémie à l’autre ?

Si on voit arriver de nouvelles têtes, on compte un certain nombre de protagonistes du covid, parmi les plus acharnés à imposer la doxa covidiste, qui étaient déjà à la manoeuvre pour le H1N1 voire pour les autres « épidémies ». Cette persistance à la fois dans l’erreur et sur les écrans de télé est incohérente: normalement quand on fait des erreurs professionnelles, surtout si elles entraînent des gaspillages massifs d’argent public, on est sanctionné. 

Dans ces cas, on observe qu’il n’y a pas de sanctions, et on assiste à des évolutions de carrière vers les sommets.

Antoine Flahault :

Flahault

Référent grippe dans les années 2000, spécialiste des « modélisations mathématiques » des épidémies, il a été membre du Conseil d’Administration  du LEEM Recherche mais selon lui aucun « conflit d’intérêt » [1]

Il a officié comme télétoubib pendant le H1N1 puis le covid et a fondé à Rennes l’Ecole des hautes études en santé publique (EHESP) qu’il a dirigée de 2007 à 2012, avant de devenir prof de santé publique à l’école de médecine de Genève où il a créé l’ « Institue of Global Health ».

Il a publié 12 articles sur le covid en 2021, et fait divers « scénarios » d’épidémies.

H1N1 grippe porcine de 2009 :

Flahault disait le 5 mai 2009 que « nous sommes en situation de pandémie ». À ce moment, selon le rapport de la commission du Sénat sur la gestion du H1N1, il « affirmait dans la presse que près de 35 % de la population française pourrait être touchée par le virus H1N1, ce qui pourrait entraîner 30 000 morts lors d’un pic intervenant après l’été ».

2022-05-29 15_17_53-9782259208390-475x500-1

Il a indiqué à la commission d’enquête « qu’il n’entretenait pas de liens d’intérêts directs avec l’industrie pharmaceutique et qu’il n’appartenait plus au conseil d’administration du syndicat des entreprises du médicament, le « LEEM recherche ». Néanmoins, son nom apparaît parmi les membres de cette structure au titre de ses fonctions de directeur de l’Ecole des hautes études en santé publique, ce qui « ne constitue pas à ses yeux un lien d’intérêt ». En août 2009 Flahaut déclarait encore que « la grippe A cause 100 fois plus de morts directs que la grippe classique ».

Il déclarait dans Le Monde alors que seulement 1000 « cas » et 27 morts dans le monde étaient recensés :

« De fait, nous sommes en situation de pandémie. Tous les ingrédients sont déjà présents. Un virus grippal, nouveau du point de vue génétique et de ses propriétés immunologiques, se transmet de personne à personne et circule à travers le monde. L’épidémie n’est pas restée confinée dans le pays où elle a émergé et s’est diffusée via les connexions aériennes ».

Il présentait plusieurs scénarios dont un « soft » qu’il dit « proche de la pandémie de 1968 » soit « l’équivalent d’une grosse grippe saisonnière » avec « 20 à 30.000 décès« , qui  « serait susceptible d’entraîner une désorganisation du système de santé, de l’absentéisme et fragiliserait notre société, comme pourrait le faire un ouragan puissant ». On a eu une vingtaine de décès attribués au H1N1 au final. Son chiffre de 30.000 morts a été repris en boucle dans les médias.

Il recommandait d’utiliser le Tamiflu même s’il n’était pas super efficace car il servait seulement à « diminuer la pression virale ». En août 2009 il disait que le Tamiflu n’était « pas dangereux pour les enfants » après la parution d’une étude anglaise pointant les effets indésirables. Il misait sur le « vaccin » (pas encore créé) pour éviter la saturation des hôpitaux.

Quand tout le monde a compris que le H5N1 était passé tranquillement, il a Le déclaré le 18 février 2010 dans Le Figaro que le H1N1 « reviendra sans doute l’an prochain » et que les vaccins anti grippe devaient intégrer des souches du virus de 2009 et envisageait une vaccination de toute la population.

Flahault a tout de même admis en avril 2010 avoir exagéré ses prévisions du nombre de morts et que « le Tamiflu est très modérément efficace« , tout en recommandant de l’utiliser contre le H1N1.

Covid :

2022-05-29 15_24_47-_Dans cette crise, le masque est le préservatif du coronavirus_ _ Corse Matin -

Ce tenant du « zéro mort du covid » a appelé :

  • À « prendre des mesures fortes tout de suite, et jusqu’à l’été » type « confinement » dès le 13 mars 2020, soit 3 jours avant l’annonce de jupicrétin. Il voulait aussi que l’OMS « guide l’action des Etats ».
  • À porter des muselières.
  • À maintenir un état d’alerte permanent : « l’important aujourd’hui n’est pas tant de prédire que de se préparer à un scénario plausible et redoutable. Ma crainte aujourd’hui, c’est que la situation actuelle nous entraîne vers une augmentation très conséquente du nombre de malades et une poussée épidémique incontrôlable, à l’instar de ce que les Etats-Unis ont connu l’été dernier » disait-il en février 2021. De fait, il n’a cessé d’alerter sur les prochaines « vagues », comme ici en avril 2021 où il parlait déjà d’une « vague » à l’automne : « Pour cet expert, l’enthousiasme suscité par la vaccination ne doit pas nous exonérer d’une certaine vigilance vis-à-vis du virus, et du maintien de mesures de contrôle ».
  • À « vacciner » tout le monde régulièrement.
  • À ne pas utiliser la chloroquine car les essais n’avaient pas été menés selon les protocoles, qui pourtant n’ont pas été respectés pour le développement accéléré des « vaccins ». 

En février 2022 il est encore en train de dire qu’il ne faut pas de « relâchement » des « restrictions » pseudo sanitaires et garder le « pass vaccinal » jusqu’à la mi mars 2022 :

« La circulation du virus demeure très intense. En allégeant prématurément, les pays voisins risquent un ralentissement de la décrue et la mise en danger des populations vaccinées mais immunodéprimées, âgées, ou encore non vaccinées, comme les enfants ayant des facteurs de risque ».

Il est partisan des mesures les plus restrictives et ne se cache même pas de prendre l’Asie (comprendre : la Chine) comme exemple : « Préférons-nous revivre une année comme 2020, ou plutôt nous inspirer des pays d’Asie et du Pacifique ? ».

confinement

Début février 2022 il voulait imposer la « 3e dose », « Et les politiques peuvent traduire une telle recommandation par l’instauration d’un usage étendu du pass vaccinal » disait-il à Libération,

« Les hospitalisations pédiatriques atteignent aussi des niveaux records. Ne risque-t-on pas d’augmenter la circulation du virus en ôtant le masque trop tôt dans les écoles ? Le télétravail réduisait les interactions sociales sans trop peser sur l’économie générale. N’aurait-on pas pu attendre davantage avant d’en lever l’obligation ? Le vent d’optimisme qui souffle un peu rapidement en Europe risque d’inviter la population à baisser trop rapidement la garde et à renoncer aux gestes barrières, à la distanciation sociale qui la protégeaient contre la transmission du coronavirus. Cela pourrait retarder la décrue épidémique, voire relancer les transmissions et son cortège d’hospitalisations et de décès ».

Le 6 mai 2022, Flahault alertait sur le risque d’une énième « vague » de covid durant l’été et appelait les gouvernements à prendre « des mesures préventives »: « Si tous les indicateurs sanitaires repassent actuellement dans le vert en France comme dans toute l’Europe de l’Ouest, deux nouveaux sous-variants d’omicron, BA.4 et BA.5 pourraient dès la mi-juin relancer les contaminations, selon le professeur Antoine Flahault. L’épidémiologiste et enseignant de santé publique à l’université de Genève invite les pouvoirs publics à prendre des mesures préventives« . Et bien-sûr on le retrouve sur la variole du singe, qui selon lui pouvait évoluer en « pandémie ».

Jean-François Delfraissy

delfraissy

Cet expert du SIDA avait déjà 70 ans au début du covid. Quelques dates de sa carrière :

  • 1982-1986 : membre de la commission scientifique spécialisée en infection et immunité de l’Inserm.
  • 1984-1987 : Secrétariat général de la Société française d’immunologie.
  • 1990-1994 : conseiller médical auprès de la mission sida à la Direction des hôpitaux et membre du conseil d’administration Ensemble contre le sida
  • 2001-2005 : Dirige l’unité de recherche clinique Paris-Sud.
  • 2005-2017 : Directeur de l’Agence nationale de recherches sur le sida (ANRS)
  • 2008 : Directeur de l’I3M à l’Inserm et membre de la fondation de GSK
  • 2014 : Chargé par Valls du plan Ebola
  • 2016 : président du Comité consultatif national d’éthique
  • Mars 2020 : Président du « conseil scientifique covid » du micron.

H1N1 :

H1N1

Lors de son audition au Sénat en 2010 il a admis des liens avec l’industrie :

« Je suis directeur de l’Institut de microbiologie et des maladies infectieuses, professeur de médecine à Bicêtre et je dirige également l’Agence nationale de recherche sur le Sida et les hépatites virales. Je n’étais pas, jusqu’à mai 2009, expert de la grippe. Je n’avais donc pas de lien particulier avec les laboratoires de vaccins, ni avec les produits antigrippaux. 

Par ailleurs, dans le cadre du Sida, je suis expert international pour le compte d’un certain nombre de laboratoires pharmaceutiques.Lorsque j’ai pris mes fonctions de directeur, j’ai annoncé à mon conseil d’administration que j’arrêterai toute relation au niveau national mais que je garderai pour certaines formes d’expertises les boards internationaux de l’industrie, que je revendique comme nécessaires pour participer à la collaboration internationale. Il s’agit de Merck, Gilead et Tibotec ».

À ce moment il est toujours membre du conseil scientifique de GlaxoSmithKline, et a fait partie de la fondation Roche. Il dirigeit l’IMMI (Institut de Microbiologie et de Maladies Infectieuses) à qui la recherche sur le H1N1 a été confiée :

« Dès l’annonce de l’émergence du virus A(H1N1) et du risque pandémique qu’il représentait, les ministères chargés de la Recherche et de la Santé ont confié à l’IMMI, au nom d’AVIESAN, la coordination des recherches H1N1″.

Quand le président Autain lui demande « A partir de quel moment était-il scientifiquement établi que la grippe H1N1 serait majoritairement bénigne ? Dès lors que la virulence du virus était similaire à celle de la grippe saisonnière, pourquoi une double vaccination sur le modèle du vaccin H5N1 a-t-elle été jugée nécessaire ? » il répond qu’il n’a « pas tous les éléments de réponse » et que 15 à 20 millions de français ont « développé des formes asymptomatiques ».

Il appelait à se faire « vacciner », disant que c‘était sûr, mais devant la commission il a dit qu’il n’est pas spécialiste des vaccins.

Covid :

jean-francois-delfraissy-au-senat-le-15-septembre-2020_6280158

Dès le début mars 2020 il tourne en boucle à la télé en tant que président du comité consultatif d’éthique (ex le 11 mars 2020 sur France Info ou le 3 mars 2020 sur Radio Classique  où il appelait déjà à « des mesures encore plus restrictives »  et disait que « La vision collective doit dépasser le droit individuel, à condition que cela soit clair, annoncé, transparent et transitoire« !). Cependant il admettait à ce moment-là que la « létalité du covid » était « faible ».

Le 24 mars il déclarait : « Nous n’avons pas de traitement » et évoquait l’absence problématique de « vaccin« .

7 avril 2020 Delfraissy déclare que ne pas obéir au « confinement » était un « suicide collectif » et appelait à maintenir la rétention de masse : « Selon le médecin, l’isolation que nous vivons depuis plusieurs semaines devrait se poursuivre encore plusieurs autres. Au moins jusqu’au mois de mai. « Je pense qu’il vaut mieux le dire d’emblée maintenant. Il est trop tôt pour prévoir une date de sortie« . Selon lui l’afflux de « malades » saturait les zopitaux et il y avait des effets positifs au « confinement ».

Au milieu du 1er « confinement » en avril 2020 il déclare que le covid aura « un rebond » à l’automne. Delfraissy est un adepte des « rebonds », qu’il annonce tous les 3 ou 4 mois (juin 2021novembre 2021mars 2022…). Il nie tout le temps avoir le moindre conflit d’intérêts mais annonce sa présence bénévole à plusieurs conseils consultatifs de labos ces dernières années dont Gilead.

Il a été nommé par le micron dès le début du « confinement » dans le nouveau conseil « scientifique » spécial covid, opaque, dont aucun compte rendu réunion n’existe, et dont le micron ne suivait l’avis que si ça l’arrangeait. Ses positions :

  • Pour le « confinement » qu’il regrette de ne pas avoir réclamé plus tôt, et qu’il voulait continuer
  • Contre l’hydroxychloroquine (HCQ) dès le départ (3 mars 2020)
  • Pour les tests PCR à fond dès le 20 mars 2020, dès la fin du « confinement ».
  • Pour les muselières partout quand on en a eu (avant il ne les trouvait pas utiles)
  • A parlé à longueur de temps de « saturation des zopitaux » à cause du covid même si on sait que c’est faux. Il n’a jamais fait aucun mea culpa ni là-dessus ni sur rien.

Didier HOUSSIN

Houssin
  • 2005-2011 : Directeur général de la Santé et délégué interministériel à la lutte contre la grippe aviaire.
  • 2013 : président du conseil d’administration de l’Anses
  • Janvier 2020 : président du Comité d’urgence Covid-19 de l’Organisation mondiale de la santé (nommé à 70 ans)

H5N1 :

Moins connu car moins médatique, il est aujourd’hui à l’OMS à plus de 70 ans. Dès le début de l’alerte de l’OMS en mai 2009 en tant que directeur général de la santé (même poste que Salomon) il a enclenché la machine épidémique en France : campagne de propagande, recherche des cas potentiels, délcarations intempestives sur les injections de masse déjà prévues en mai 2009… L’ « épidémie » n’a démarré officiellement qu’en septembre 2009 en France. À ce moment il prévenait déjà qu’il faudra sûrement 2 injections au moins pour les jeunes.

En tant que DGS il a poussé les gens à se faire injecter, signant même des conventions avec diverses multinationales pour qu’elles incitent leurs salariés (BNP, Air France, IBM, Micghelin, PSA,Renault, Sanofi, SNCF). Il a aussi préconisé le traitement « systématique » avec le Tamiflu de Roche et sinon avec le Relenzea de GSK. Et alors que les mutations du virus étaient connues, il disait que les « vaccins » basés sur la première souche de virus étaient toujours « sûrs » et efficaces.

Il était aussi très favorable à l’utilisation à tout va du Tamiflu; disponible gratuitement en France pour toutes formes de grippe, bien que la seule étude dont on disposait était celle du frabriquant et que les données brutes étaient secrètes.

2022-05-29 21_14_05-Alerte 6 dans le monde, alerte 5 en France - L'Express - Opera

Devant la commission d’enquête du Sénat sur la préparation de la pandémié H1N1, Houssin a expliqué l’échec de les injections de masse en France parce que « nous n’étions pas suffisamment armés pour battre en brèche les argumentaires et les rumeurs qui se sont développés sur le réseau« , contrairement aux Américains, où le CDC d’Atlanta et la FDA avaient des « équipes qui ont pour seule tâche de suivre Facebook ou Twitter et de réagir dès l’apparition de signaux inquiétants » c’est-à-dire des gens qui posent des questions ou donnent des informations n’allant pas dans le sens de la propagande épidémico-vaccinale.

« Nous aurions aimé avoir une couverture vaccinale semblable à celles obtenues en Suède, en Norvège ou au Canada, mais il se trouve que la population française ne s’est pas montrée assez inquiète, craignant peut-être davantage le vaccin« , ajoutait-il. Là encore, la question de la dangerosité du H1N1 n’entre même pas en ligne de compte.

Il était très satisfait de sa gestion du H1N1 et trouvait que l’alerte de l‘OMS avait été super. En 2020, il expliquait avoir fortement renforcé la gestion « pandémique » au cours de l’épisode de la grippe porcine, bien que la H1N1 n’ait pas du tout eu l’ampleur espérée :

« le plan pandémie grippale avait été élaboré entre 2005 et 2009, dans le cadre de la menace H5N1, puis il a été amélioré en 2010 avec des fiches précises, notamment sur la réduction des déplacements en période épidémique (fiche C9) et celle des rassemblements (fiche C10). Nous avions beaucoup travaillé sur les plans de continuité d’activité dans de nombreux secteurs, avec le recours au télétravail. Nous avions aussi créé le Centre opérationnel de régulation et de réponse aux urgences sanitaires sociales (CORRUSS) au ministère de la Santé, ainsi que l’Établissement pour la réponse aux urgences sanitaire (EPRUS), ce dont j’étais le plus fier.

Dans la gestion de ces crises, on avait également tiré les leçons avec la nécessité d’une dimension interministérielle des plans. Nous avons aussi travaillé dans l’interdisciplinarité, en mixant les données issues de l’épidémiologie, des sciences de la communication, du droit et des sciences politiques et économiques« .

Bref, l’artillerille lourde était prête à être déployée un peu plus, peu importe qu’on tue les mouches au bazooka.

Covid :

2022-05-29 21_42_38-Confinement_ l'ancien directeur général de la Santé Didier Houssin affirme que _

Président du Comité d’urgence Covid-19 de l’Organisation mondiale de la santé et membre de l’académie de « médecine » en France. Dès avril 2020 il disait que tout le monde devait mettre un tissu facial y compris dans la rue, pour « se protéger mutuellement » y compris après la fin de la rétention de masse, mais comme ces machins ont une efficacité très limitée (on savait déjà qu’ils ne servent à rien) il trouvait que le « confinement » était tout à fait justifié. Bien-sûr, selon lui, le mieux était d’avoir un « vaccin ».

Il prenait exemple sur la gestion de crise à Wuhan pour expliquer qu’il « y aura une phase de transitioon, de réapprentissage de la vie normale« . C’est lui qui a lancé l’équipe d’enquête sur l’origine du virus qui n‘a rien donné, et considérait l’origine naturelle du virus comme la plus probable.

Selon lui il était « très peu probable » que le SARS Cov 2 vienne d’un laboratoire. Il défend une gestion préventive des maladies en mode guerrier face à un risque qu’il qualifie de « permanent »:

« On se prépare aux guerres, on a une armée, on l’entraine, on l’équipe, parce qu’on sait que les guerres peuvent survenir. C’est la même chose pour les épidémies. On n’est plus au temps de la peste et du choléra où il faut seulement subir, on peut aussi se préparer. Il faut intégrer dans les grands risques celui là »

Houssin livre

Le « comité d’urgence » covid de l’OMS basé à Genève qu’il préside, a maintenu la pression épidémique, par exemple fin octobre 2021 il annonçait que la « pandémie » était loin de finir et demandait aux Etats de « reconnaître tous les vaccins qui ont reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence » de l’OMS.

En avril 2022 alors plus rien ne se passait nulle part au niveau du covid, il considérait toujours que la « pandémie » était « une urgence de santé publique » et le comité de l’OMS déclarait -encore- que « la situation est loin d’être terminée«  et qu’il fallait continuer les tests. La situation était donc encore à l' »urgence », comme depuis 2 ans.

Il a poussé au développement des pouvoirs de l’OMS et à l’extension du règlement sanitaire international. Il disait « Et tout en continuant à faire face à la pandémie actuelle, l’OMS se prépare à la prochaine », et justement un mois plus tard, nouvelle alerte sur la variole du singe, dont Bill Gates avait parlé aussi.

Michel Cymes (télé)

H5N1:

cymes

Ce télétoubib par excellence a fait peur à tout le monde sur la gravité de la grippe A, puis a incité tout le monde à se « faire vacciner ». Le H1N1 lui avait déjà permis de faire « exploser l’audience de France 5 », annonçait un média télé le 2 décembre 2009, il a manifestement conservé la recette pour le covid.

En novembre 2009 il déclarait :

« À ceux qui prétendent que le vaccin contre la grippe A est dangereux ou qui m’accusent d’être à la botte des laboratoires pharmaceutiques, je réponds que c’est le devoir du service public d’inciter les gens à se faire vacciner. Il y aura probablement dans l’hiver plusieurs vagues de grippe. Et, si les corps politiques et médicaux ne sont pas clairs, moi, je prends position. C’est tout ».

Covid :

Pour le covid, il a d’abord été raisonnable en disant que c’était « une forme de grippe » et qu’il n’était « absolument pas inquiet« , puis a été critiqué, puis pris position en faveur des mesures les plus restrictives et des injections. Il a d’ailleurs fait deux doses puis a attrapé le covid.

Il traitait les critiques de « quelques centaines ou quelques milliers » de « complotistes complètement malades » et en août 2021 il traitait les « zantivax », « anti pass » et les manifestantspro libertés d’ « égoïstes » :

« L’énorme majorité des Français est pour la vaccination, l’énorme majorité des Français est pour le pass sanitaire. Il n’y a pas d’autre solution aujourd’hui. Et ces personnes égoïstes se baladent dans les rues en criant des slogans« .

En octobre 2021 il s’en prenait aussi aux soignants non injectés :

« Je pense qu’un jour il faudra demander des comptes à ceux qui ont été médecins ou infirmières et qui ont refusé de se faire vacciner pour des raisons qui leur sont probablement personnelles. Je ne m’apitoie absolument pas sur le sort des infirmières ou des médecins qui ont fini par quitter ce métier parce qu’ils n’ont pas voulu se faire vacciner. C’est leur choix, c’est leur problème« .

Il a fini par prendre sa retraite des plateaux télé pour tourner des séries.

Simon Cauchemez

Ce spécialiste non pas de la médecine mais des modélisations informatiques était déjà présent pour le H5N1 en 2005 puis en 2009 pour le H1N1, pas vraiment dans les médias à l’époque mais avec des modélisations sur la transmission du virus qui ont fait la une de la presse. 

H1N1 :

ferguson cauchemez

Pendant le H1N1 il était un collègue de Neil Ferguson, autre modélisateur star des médias, au département d’épidémiologie des maladies infectieuses de l’Imperial College de Londres. C’est là qu’ont été réalisés les « modèles » alermistes qui ont servi à orienter les politiques publiques.

En 2008, il publiait avec Flahault et Ferguson notamment une étude sur l’impact de la fermeture des écoles sur la transmission de la grippe dont la conclusion était que fermer les écoles durant une période prolongée réduisait le nombre de « cas », mais que si les enfants avaient quand-même des contacts sociaux l’impact de cette mesure était réduit.

Tous ces travaux ont été repris dans la presse, et le Guardian demandait en juillet 2009 s’il fallait fermer les écoles pour limiter l’ « épidémie » de HN1, puisque « les enfants sont plus contagieux et plus vulnérables au H1N1 » : « Le gouvernement devrait repenser sa politique actuelle de laisser les écoles ouvertes pendant la pandémie avant que les 30.000 écoles primaires et secondaires de Grande Bretagne ne terminent les vacances d’été, avertissent Cauchemetz et Ferguson ».

Covid : 

2022-05-28 19_15_01-Simon Cauchemez_ «Vaccins et météo ne seront pas suffisants pour tout relâcher l

Au moment du covid il avait rejoint l’unité de Modélisation Mathématique des Maladies Infectieuses de l’Institut Pasteur[2], qui « développe des outils de pointe pour l’étude des épidémies, qui aident à mettre en lumière leurs facteurs de risque ainsi que les ressorts et les profils de leur transmission, en vue d’améliorer les mesures prédictives et les campagnes de prévention« .

On a donc encore eu droit à ses modélisations sur la propagation du covid. France Info nous expliquait en décembre 2020 que « ce sont ses calculs qui orientent les choix du gouvernement face au covid« , et aussi ceux du Conseil « Scientifique » dont il est membre. Ils ont servi à justifier les « confinements », les « couvre-feu », la « vaccination » forcée par exemple.

Beaucoup d’observateurs tels que le statisticien Vincent Pavan reprochent à ces « modèles » leurs incertitudes, en particulier pour de nouveaux virus, puisqu’on manque de données à mouliner pour faire des prédictions fiables et que sur le plan purement mathématiques ces modèles n’ont pas plus de sens que la lecture de l’avenir dans les entrailles de poulet.

Même Cauchemez l’a admis devant France Info, expliquant que « Dans les premiers mois, les données restaient très limitées et nous devions donc travailler dans un contexte de grande incertitude. Aujourd’hui, nous commençons à avoir plus de recul (…) En général, au démarrage d’une épidémie, les données sont très limitées et de mauvaise qualité. Il y a beaucoup de biais potentiels. Par exemple, au début, nous n’allons voir que les cas les plus graves avec un risque de surestimer la mortalité. C’est ce qui s’était passé avec le virus H1N1 en 2009« . Il aurait été intéressant de le préciser à l’époque: nous aurions peut-être évité de détruire nos économies et la vie sociale.

Toutefois, pas moins d’une trentaine de « modèles » différents, réalisés avec des données différentes par des équipes différentes, ont été utilisés pendant le longépisode du covid.

cauchemez 2

Cauchemetz est aussi membre d’un groupe modestement appelé « Midas Network » créé par le National Institute of General Medical Sciences (USA), et dont l’objectif est de « faire avancer la science pour améliorer la préparation et la réponse globale contre les menaces des maladies infectieuses, par la recherche, l’entrainement, la communication et les services« .

Sur la base de ses « modèles », il a poussé à des mesures ultra restritives : rétentions de masse, injections de masse censées réduire les hospitalisations, y compris bien-sûr les enfants (sans ça l’ « épidémie » ne pouvait pas être stoppée selon lui en avril 2021), ne voulait jamais « relâcher les efforts » (même en avril 2021) et a soutenu les politiques les plus liberticides au nom de cette grippe, se justifiant en agitant ses modélisations hasardeuses.

Cependant, cet oracle du covid qui n’a cessé de voir des « pics » et des « vagues » arriver a rapidement dit que même avec les injections de 90% de la population, la « vie normale » n’allait pas revenir. 

Ce sont encore des modélisations, auxquelles il a pu participer, qui ont affirmé que les mixtures anti covid étaient « efficaces ». Mais aucune modélisation n’a été faite sur les effets graves de ces produits expérimentaux.

Bruno Lina

Virologue au HCL (Lyon) et au CNRS déjà en 2009

Président du conseil scientifique que GEIG et conseiller de la directrice générale de l’OMS dans un comité technique sur l’évolution de la « pandémie « pendant le H1N1. Il était aussi membre du « comité de lutte contre la grippe » mis en place par Bachelot.

2020 : membre du conseil « scientifique » de macron et directeur du Centre national de référence de la grippe – Centre International de Recherche en Infectiologie – CIRI  à Lyon et coordonnateur au Centre national de référence enterovirus et parechovirus – Hospices Civils de Lyon.

Il collabore aussi centre de modélisation Covid de l’Institut Pasteur, pilotée par Simon Cauchemez.

H1N1:

2022-05-30 19_17_52-La-verite-sur-la-grippe-A-H1N1

Président du Conseil Scientifique du GEIG déjà au moment du H1N1 et encore au moment du covid. Le GIEG, financé à 100% par 5 grands labos[3], a été mis en cause pour avoir incité le gouvernement au tout vaccinal lors du H1N1.

Il a fait la promotion du test PCR développé par l’Institut Pasteur puis du Tamiflu de Gilead dont les effets favorables n’ont jamais été démontrés, et qui par contre a rapidement montré des effets toxique. Il répondait ainsi aux détracteurs en novembre 2011 qu’il  « n’existe pas d’essai clinique réalisé dans les règles qui permet de prouver l’efficacité du Tamiflu contre les cas de grippes sévères« , mais que « de nombreuses conclusions observationnelles montraient qu’il semblait réduire le nombre de morts dans les pays qui l’ont utilisé. En 2009, le Japon, qui a utilisé massivement le Tamiflu est aussi celui qui a eu le taux de mortalité le plus faible à cause de la grippe A« .

Dans les médias il a pris position en faveur des « vaccins », même développés de manière accélérée. Selon le Parisien du 29 octobre 2009, « le 20 octobre, à l’occasion du lancement officiel de la campagne de vaccination de la grippe A au ministère de la Santé, le professeur Lina était invité à s’exprimer, assis à la gauche de Roselyne Bachelot. Il a notamment répété qu’il était « très important de se faire vacciner » contre ce virus ».

2022-05-30 19_29_31-Grippe _ le Tamiflu accusé d'être inefficace - Opera

Il était parmi les alarmistes, déclarant par exemple (décembre 2009) que « tout est possible avec le virus de la grippe A« , même s’il devait admettre que rien n’était vraiment alarmant à ce moment.

Il a été défendu par Bachelot qui le trouvait très compétent et ne trouvait rien à redire sur ses conflits d’intérêts :

« En matière de grippe, je suis entourée d’un panel d’experts très large : Comité de lutte contre la grippe, Comité technique des vaccinations et Haut Conseil de la santé publique. Sans compter les réunions de travail avec des infectiologues, des pédiatres ou des urgentistes, ce qui fait au total plus d’une centaine de personnes.(…) Beaucoup des scientifiques remarquables que je consulte sont également sollicités par les laboratoires pharmaceutiques pour valider leurs produits et leurs procédures. Ces experts, qui font dans l’immense majorité des cas preuve d’une grande indépendance d’esprit, sont tenus de faire des déclarations d’intérêt public consultables par tous. Le professeur Bruno Lina, qui est l’un des meilleurs spécialistes mondiaux de la grippe, a été mis en cause de façon injuste.« 

En septembre 2009 il a publié avec Jérome Salomon un bouquin au titre prometteur : « La vérité sur la GRIPPE A H1N1« . Mui aussi oubliait de mentionner ses nombreux liens d’intérêts, à la télé et ailleurs.

En 2010, il a mené des travaux sur le croisement de H5N1 (grippe aviaire, assez violent mais peu contagieux) et H1N1 (grippe porcine, contagieux et peu virulent), au labo P4 de Lyon : « L’expérience, qui va coûter provisoirement 200 000 euros — après cette gabegie nous ne sommes plus à quelques euros près — a officiellement pour but d’anticiper une éventuelle mutation des deux virus« , expliquait la journaliste Pryska Ducoeurjoly.

Covid :

2022-05-30 20_04_49-Covid-19 _ « L’épidémie n’est pas finie », selon Bruno Lina, virologue et membre

SI en janvier 2020 il afirmait que « nous ne sommes pas face à un virus extrêmement dangereux (…) Ce virus a affecté 400 personnes et fait 9 décès. Au même stade, le SRAS, lui, avait déjà causé 200 décès pour 400 cas. « , il a rapidement changé d’avis.

Bruno Lina a incité tout le monde à se faire tester, puis à appliquer les fameux « gestes barrières » et compagnie. En juillet 2020 il a contribué à une étude avec François-Xavier Lescure, Yazdan Yazdanpanah et d’autres qui annonçait l’efficacité du Remdesivir combiné à une autre moldécule.

Dès octobre 2021 il lançait la propagande sur les injections pour les 5 – 11 ans au nom du fameux « covid long »: « À partir du moment où le vaccin est disponible et que des enfants font des infections au coronavirus, la question se pose »

Il a soutenu l’essai Discovery auquel il a participé avec des patients à Lyon. Il a été stoppé avant la fin, après avoir traîné en longueur, et dit qu’on n’avait pas de preuve de l’efficacité de la chloroquine. En novembre 2021 il appelait à s’injecter la 3e dose appelée « dose de rappel » pour « retrouver une protection de très haut niveau« . Selon lui la 3e dose « remet les compteurs à zéro«  en termes de protection.

Au bout de la 4e dose il a dit qu’il fallait « changer la composition » des mixtures et s’est même interrogé sur l’intérêt d’une 4e dose tout en prévoyant des rappels sur « des années ».

Il disait aussi sur BFM qu’il n’y a aucun problème à s’injecter la mixture anti-covid en même temps que l’injection anti grippe saisonnière. Mais pour la chloroquine, il réclamait tout le temps des « preuves solides » ou davantage de patients pour les essais Discovery (inculant la chloroquine).

En janvier 2022 il admettait que tout le monde allait être immunisé : « il est probable que nous ayons tous acquis une forme d’immunité, par la vaccination, l’infection ou les deux » mais en mars 2022 ils déclarait que « l’épidémie n’est pas finie« .

Il déroulait dans le jargon covidiste l’argumentaire habituel fondé sur les « cas positifs » identifiés avec des PCR inappropriés:

« Certes Omicron est moins agressif que Delta ou Alpha mais il ne faudrait pas en tirer la conclusion erronée que c’est un virus banal et peu dangereux. L’épidémie n’est pas finie ; la vague BA.2 est le prolongement de la cinquième vague car nous ne sommes jamais retombés sous le seuil de 500 nouveaux cas positifs par jour pour 100 000 habitants en moyenne sur sept jours comme dans la période de calme de juin 2020 ou du début de l’été 2021« .

Roselyne Bachelot

H1N1;

2022-05-29 14_03_22-Grippe H1N1 _ quand la France s’était (trop) préparée à une pandémie _ Public Se

Ministre de la Santé après avoir travaillé plus 10 ans dans l’industrie pharma[4], elle a volontairement effrayé la population en annonçant la pandémie des mois avant que des cas ne surviennent en France. Par exemple, le 19 août 2009 -1 mois avant la déclaration de l’épidémie en France- elle disait qu’il fallait se préparer « au pire » et comptait sur le plan pandémies.

Elle a commandé 94 millions de doses de « vaccins » (alors qu’officiellement elle pensait qu’une seule dose surffirait) auprès de Sanofi, Novartis, Baxter, GlaxoSmithKline. Ces labos ont mis « la pression » sur les gouvernements pour passer très vite commande de bien plus de doses que nécessaire, avant même que les produits soient disponibles. 

Déjà, les labos étaient préservés de toute responsabilité, quoi qu’il y ait dans les produits injectés. Les clauses mentionnaient ainsi que « les opérations de vaccination de la population seront décidées par la seule administration et seront placées sous la seule responsabilité de l’Etat.

En conséquence, l’administration s’engage à garantir le titulaire [les labos] contre les conséquences de toute réclamation ou action judiciaire qui pourraient être élevées à l’encontre de ce dernier dans le cadre de ces opérations de vaccination, sauf en cas de faute établie du titulaire« . Un avenant a prévu qu’en cas de faute manifeste sur la conformité des produits, les labos pouvaient être poursuivis, mais sauf à démontrer cette « faute » c’était donc déjà au contribuable de tout assumer.

Les contrats, a juré Roselyne, ont été négocié par ses soins et pas du tout à l’Elysée.

Une fois ses commandes passées, Bachelot a très lourdement insisté pour que « toute la population » se fasse « vacciner », d’autant qu’en 2009 la France était le premier producteur de vaccins au monde. Le 16 septembre 2009 c’est elle qui a déclaré l’épidémie en France. Elle affirmait alors : « Nous avons décidé d’acquérir une quantité de vaccins suffisante pour nous permettre de proposer la vaccination à l’ensemble de nos concitoyens qui souhaiteront se faire vacciner. Les tout premiers vaccins nous ont été livrés début septembre.

Mais ces vaccins ne seront utilisés que dans le cadre d’autorisations de mise sur le marché (AMM) dûment délivrées par les autorités sanitaires européennes qui garantiront leur efficacité et leur sécurité (…) Je rappellerai simplement que, au-delà de la protection individuelle qu’elle procure, la vaccination est aussi un acte altruiste, en ce sens qu’elle contribue à protéger son entourage, ses proches, ses collègues.

vaccin-grippe-aviaire-bachelot_1

C’est particulièrement important lorsque ces derniers présentent des facteurs de risque qui les rendent plus vulnérables ou qu’ils ne peuvent pas être vaccinés eux-mêmes, du fait de contre-indications médicales« .

Elle a mis en place un « comité de lutte contre la grippe » dont elle a nommé les experts, tous liés à l’industrie pharma. Le H1N1 a été la première maladie pour laquelle des « vaccins » ont été développés si rapidement, sans avoir de recul avant d’être injectés à la population[5].

En août 2009, alors en  visite à La Réunion, en bonne VRP des laboratoires qu’elle fut pendant une vingtaine d’années, elle déclarait que « le pic épidémiologique sera certes dépassé à La Réunion à la mi-octobre mais la grippe n’aura pas disparu. Il faudra donc continuer à protéger le public et en particulier les populations les plus fragiles. Le vaccin restera utile et servira aussi à nous prémunir pour 2010 et 2011« .

C’est aussi la première fois qu’on utilisait un adjuvant à base de squalène et de polysorbate. Et bien que ce soit un bide, elle déclarait le 24 novembre 2009 que la campagne de « vaccination » était « un grand succès ».

En juin 2010 lors d’une audition au Sénat elle a déclaré : « En prévision des prochaines alertes, c’est bien notre capacité de préparation et d’adaptation que nous devons renforcer afin de choisir, le moment venu, la réponse la plus appropriée enrichie de l’expérience acquise.

Bachelot H1N1

Le virus grippal, vous l’avez bien compris, est un sujet de choix, puisque, dès juin 2009, vous avez initié un travail sur les mutations virales. L’émergence du virus pandémique H1N1 constitue un cas emblématique. Il s’agit bien d’un virus pandémique, mais nous avons su très vite qu’il n’était pas celui que nous attendions.

Je me réjouis qu’à travers vos travaux le Parlement ait pu produire sa propre expertise et, surtout, organisé un espace de dialogue fécond et serein entre le scientifique et le politique. Ainsi, pour la première fois, face à une alerte sanitaire, nous avons mis en œuvre une gestion pro-active, et non plus seulement réactive, en particulier grâce à la préparation et à la vaccination« . Cette campagne d’injections aurait selon elle coûté 500 millions d’euros, exactement le montant du déficit des hôpitaux publics cette année-là.

Les contrats passés avec les labos étaient déjà particulièrement opaques et favorables aux industriels, comme le fait de passer des commandes fermes, la confidentialité absolue des contrats, ou l’absence de toute responsabilité de la part des fabricants de « vaccins ». En janvier 2010 Bachelot a tout de même réussi à résilier une commande de 50 millions de doses tout en déclarant à la presse que « Cette grippe a tué 18 personnes ce week-end, en particulier des personnes qui n’avaient aucun facteur de risque« .

Covid :

Roselyne-Bachelot-une-insubmersible-au-ministere-de-la-Culture

Devenue ministre de la Culture, elle n’a pas hésité à sacrifier tout le secteur, qui a subi les « confinements » et autres « couvres-feu » avant d’être définitivement mis à terre par les laissez-passer « sanitaires » puis « vaccinaux ».

Aux artistes qui lui demandaient des sous ou des actions concrètes fin 2021, elle répondait contre toute évidence que « la culture n’est pas sacrifiée » et même qu’elle « continue« , se croyant obligée de souligner que « ce qui menace la culture, c’est la pandémie pas les mesures gouvernementales« . CQFD.

En tout cas, aujourd’hui en Europe la fréquentation des cinémas a chuté de 60% depuis la « crise sanitaire » et sa gestion lamentable.

En Février 2022, la fréquentation en France dans les salles de cinéma et de spectacle vivant (concerts, théâtres…) avait baissé d’environ 25 % par rapport à la même période avant la crise « sanitaire », selon les chiffres annoncés par le ministère de Roselyne Bachelot..

Neil Ferguson »

Ferguson cartoon

Cet informaticien hollandais financé par les labos et par Bill Gates était déjà à l’origine de modélisations dantesques qui ont littéralement créé la crise de la vache folle puis de la grippe dite  « aviaire » pour laquelle il avait pronostiqué jusqu’à 150 millions de morts alors qu’il y en a eu moins de 300 dans le monde.

« Comme le rapportait à l’époque le Daily Telegraph, c’était « la première fois que des épidémiologistes modélisaient une épidémie majeure au fur et à mesure qu’elle se déroulait, puis intervenaient pour changer son cours« . »C’est vraiment la pensée innovante de Neil sur le plan informatique qui a rendu cela possible », déclare Deirdre Hollingsworth, épidémiologiste de l’université d’Oxford qui a travaillé avec le professeur Ferguson à l’Imperial » (Financial Time, 20 mars 2020).

H1N1:

2022-05-30 21_25_58-First analysis of swine flu spread supports pandemic plan _ New Scientist - Oper

C’est encore à cause de ses modélisations pour le H1N1 que le tout début d’ « épidémie » a été repéré dans l’oeuf, et qu’en France l’Institut de veille sanitaire avait prédit jusqu’à 96.000 morts dans le pays (alors qu’on en a finalement dénombré 312). 

En 2009, celui qui est aujourd’hui surnommé « Dr Confinement » par les anglais était professeur de médecine à l’Imperial College et avait récemment travaillé de manière rémunérée pour Baxter, GSK et Roche.

Il était aussi membre du comité vaccination grippe A de l’OMS (créé en avril 2009), qui conseillait la directrice générale Margaret Chan, du groupe de travail scientifique européen sur la grippe (ESWI), et ses liens d’intérêts avec les fabricants de « vaccins » posaient déjà question.

Une étude qu’il a publiée en mai 2009 affirmait que le H1N1 était aussi grave que la grippe de 1957 qui aurait fait 2 millions de morts. Et alors que l’ « épidémie » régressait déjà au Mexique, l’OMS augmentait le niveau d’alerte mondial de 4 à 5. Un article de Futura Sciences expliquait : « Selon les auteurs, comme pour beaucoup d’autres, le nombre de cas réels ne peut qu’être sous-estimé car la maladie reste parfois bénigne chez des sujets qui, néanmoins, sont porteurs, et même colporteurs, du virus ». Au final il envisageait 65.000 morts en Grande-Bretagne en l’absence de mesures spectaculaires.

Le taux de létalité du virus était évalué entre 0,3% et 1,5%, ce qui change la donne, mais plus probablement à 0,4%. Ferguson et son équipe annonçaient donc qu’un tiers de la planète pourrait être infecté (The Guardian, 12/05/2009).

Comme Ferguson conseillait le comité d’urgence de l’OMS[6], son étude y a été prise très au sérieux. Quand il a fait ses modélisations en 2009 pour la grippe porcine, il n’y avait pas d’épidémie et l’OMS avait seulement détecté quelques cas avec des symptômes légers.

« Néanmoins, [l’OMS] décida, à l’issue de réunions secrètes, de déclarer une pandémie mondiale« , explique Kennedy dans son livre[7], et « fit pression sur divers pays africains et européens pour qu’ils passent des contrats avec GlaxoSmithKline et d’autres sociétés pharmaceutiques. Ces accords confidentiels obligeaient les nations signataires, dont l’Allemagne, la Grande-Bretagne, l’Italie et la France, à acheter pour 18 milliards de dollars de divers vaccins contre la grippe H1N1 expérimentaux, non testés, adoptés en procédure accélérée et sans responsabilité pour les entreprises productrices ».

Covid :

Ferguson covid 1

Dès janvier 2020 l’équipe de Ferguson alertait sur la menace mortelle du SARS-Cov-2 qui était actif en Chine. En mars, une nouvelle modélisation annonçait 250 à 510.000 morts en Grande-Bretagne et 2,2 millions aux Etats-Unis. Elle a été diffusée auprès des gouvernements très rapidement début mars 2020, sans être publique ce qui empêchait de vérifier les calculs, qui de toute manière ne pouvaient à ce stade qu’être de la spéculation.

Le pire est que cette étude formulait des recommandations -baées sur les modélisations- pour enrayer ladite « épidémie », à savoir les mesures aussi liberticides qu’inutiles imposées dans les pays alignés : enfermement des populations pendant des mois d’affilée, traçage, injections de masse, sanctions, censure.

C’est cette étude qui a servi à justifier les mesures prises soudain par l’OMS comme par la plupart des gouvernements occidentaux. Elle était publiée le 16 mars, et le 17 le micron plaçait tout le pays en rétention à domicile. Même la fondation Héritage, dans un article de Kevin Dayaratna de mai 2020, soulignait l’opacité et les défauts des modèles de Ferguson :

« J’ai demandé à Ferguson et à ses collègues leur modèle à plusieurs reprises pour voir comment ils avaient obtenu leurs chiffres, mais ils n’ont jamais répondu à mes e-mails« . 

lockdwn london

En refaisant les calculs avec un collègue à partir de données récupérées à droite à gauche (comme Ferguson), « constaté que la mortalité prévue due à la maladie pourrait aller de près de 78 000 décès à 810 000 décès aux États-Unis au 1er août« . Un sacré écart, qui rend difficile un décision politique rationnelle en se basant sur de tels résultats. 

Concernant l’opacité des modèles de Ferguson, l’auteur de l’article ajoute :

« Après que nous ayons publié notre travail, la nouvelle a fait surface que Microsoft avait en fait fait des progrès dans la mise à disposition du modèle de l’équipe de l’Imperial College. Mais les codes qu’il a publiés sont une version hautement modifiée de ce que l’équipe impériale a réellement utilisé. Et, il s’avère que le modèle présente de graves défauts, dont un ancien ingénieur logiciel de Google discute longuement dans son blog« .

L’étude, dont les grandes lignes ont été largement reprises dans les médias, préconisait carrément de faire disparaître le virus. Sans aucune vérification, ni même temps de débat, l’OMS a repris ces chiffres alarmistes et fantaisistes pour effrayer les gouvernements et les populations, et les gouvernements occidentaux ont mis en application les mesures de Ferguson.

Ferguson ne conseillait pas seulement l’OMS, mais aussi le 1er ministre anglais qui l’a viré le 6 mai 2020 au prétexte [8] qu’il avait vu sa copine à plusieurs reprises en plein confinement qu’il avait lui-même inspiré. 

Pas plus tard qu’en mars 2022 il s’autocongratulait lors d’une conférence sur la pertinence de ses modèles, si utiles pour appuyer la décision politique.

ferguson model

Il contribue pourtant encore à diverses études, comme celle de janvier 2020 parue dans le Lancet (encore), pour assurer en se basant sur des modélisations que les injections avaient un intérêt vis-à-vis d’une dizaine de virus (papillomavirus, rotavirus, rubéole, fièvre jaune, encéphalite japonaise notamment). Celle-ci conclut que « la vaccination des dix agents pathogènes sélectionnés aura évité 69 millions de décès (intervalle de crédibilité à 95 % 52-88) entre 2000 et 2030, dont 37 millions ont été évités entre 2000 et 2019. De 2000 à 2019, cela représente une réduction de 45 % des décès par rapport au scénario contrefactuel sans vaccination » et surtout les meilleurs résultats concerneraient les enfants de moins de 5 ans.

Il est membre de la direction du Vaccine Impact Modelling Consortium créé et financé par la Fondation Gates et le GAVI, dont le président est José Manuel Barroso de Goldman Sachs, et qui lui-même est créé et financé par la fondation Gates, qui a pondu cette étude. L’objectif du Vaccine Impact Modelling Consortium est de « coordonner plusieurs groupes de recherche » pour modéliser l’impact des programmes de vaccination à travers le monde.

On retrouve comme « partenaire » de ce « consortium » avec le GAVI et la fondation Gates l’Imperial College de Londres où bosse Ferguson[9] et qui bénéficie de dons de la fondation Gates ainsi que de l’OMS, qui elle aussi reçoit d’importants financements de la fondation Gates.

En effet, Bill Gates se targue de modéliser les « pandémies » et finance les deux structures qui ont réalisé des modélisations du covid : l’institut de Ferguson à l’Imperial College de Londres qui a reçu plus de 184 millions de $ tout de même entre 2006 et 2018 de la fondation Gates, et l’institut de modélisation de l’université de l’Etat de Washington.

Anthony Fauci

Fauci H1N1

Avec Gates, Fauci, directeur de l’institut des maladies infectieuses du NIH, le NIAID depuis 1984, il est LE pilier de l’organisation de la gestion de crise « covid ». 

Durant son interminable mandat il a renforcé les liens du NIH et du NIAID avec l’industrie pharmaceutique au cours de la vague du SIDA –largement amplifiée par l’AZT dont Fauci a fait une promotion intensive. Sa femme Christine Grady est médecin et directrice du département de bioéthique du NIH depuis 2012, en charge des essais cliniques.

Il a commencé à collaborer avec Bill Gates dans le domaine de la santé dès 1998, deux ans avant la création de la fondation Gates en commençant par « vacciner » les populations d’Afrique et d’Amérique latine, avec une grande campagne contre la polio lancée en 2000, et en 2003 le lancement d’une douzaine d’essais de « vaccins » anti SIDA en Afrique.

H1N1:

Fauci 2022 - 1

À l’époque, comme il l’avait déjà fait pour l’anthrax, l’hépatite B ou le Zika par exemple, Fauci s’est montré très loquace dans les médias et très alarmiste, tenant absolument à parler de « pandémie » quand tous les signaux restaient au vert. Il expliquait qu’un tiers de la population américaine risquait d’être contaminée, si bien que le gouvernement US a commandé 195 millions de doses de « vaccins » (notamment en spray nasal) développés en express et à peine testés, livrables à partir d’octobre 2009.

Le développement desdits « vaccins » a été largement financé par le NIAID, dirigé par FAUCI. C’est le NIAID qui organisait les essais avec des médecins relais dans les hôpitaux depuis le mois d’août 2009, et l’OMS a recommandé d’y ajouter des adjuvants (comme le squalène qui se sont avérés toxiques) pour augmenter l’impact des mixtures et donc avoir plus de doses avec la même quantité de produit.

On doit noter que ces médecins relais touchent, comme les agents du NIAID, des royalties sur les produits développés, versées par les industriels. Il était questions de deux doses pour tout le monde même les enfants de moins de 10 ans, sauf pour les femmes enceintes qui étaient protégées avec une seule dose.

L’échec du H1N1, des « vaccins » et du Tamiflu n’a pas empêché Fauci de continuer à prêcher pour les vaccins à sa sauce, notamment un « vaccin universel contre la grippe ».

Covid :

Fauci Trump

Fauci n’est pas impliqué dans l’affaire du covid que par sa gestion de crise : il est aussi impliqué dans les recherches sur les gains de fonction qui permettent à des virus d’animaux de contaminer les humains, notamment sur des coronavirus de chauve-souris, et notamment au laboratoire de Wuhan. En effet, le NIAID finance depuis 2014 les recherches menées par une société appelée EcoHealth Alliance, qui pilote ce type de recherche à Wuhan[10].

En 2017 Fauci a encore filé 6 millions à EcoHealth Alliance pour tester le Remdesivir comme remède contre le SARS-Cov-2, toujours au labo de Wuhan.

En 2018, l’OMS a créé le Global Preparedness Monitoring Board pour préparer le monde aux futures « pandémies », dont Fauci a été co-président, et quand Trump a créé sa task-force covid le 29 janvier 2020 il mis Fauci à sa tête. Il y avait aussi plusieurs affidés de Fauci dans cette task force, comme Deborah Birx, ex médecin militaire et spécialiste des recherches sur le SIDA, ou Robert Redfield, directeur du CDC depuis 2018, ex médecin militaire spécialiste du SIDA également.

Durant l’été 2021, Fauci a contribué à l’organisation par Trump d’un grand exercice de simulation d’une pandémie appelé Crimson Contagion, qui impliquait des dizaines d’établissements de santé et d’institutions dans le pays. Le scénario était celui de touristes venus de Chine avec une « nouvelle forme de grippe ».

Fauci 2020

Avant le début de l’ « épidémie » à l’automne 2019, ce fanatique de ce qu’il qualifie de « vaccins » mais qui s’en éloigne de plus en plus en appelait à la création d’un « vaccin universel contre la grippe ».

Fauci était alerté depuis le 31 janvier 2020 par des scientifiques que le virus du covid avait l’air fabriqué et que son génome ne correspondait pas aux critères de l’évolution du virus. Kristian Andersen sous-entendait même qu’il pouvait avoir été développé dans le cadre de travaux financés par le NIAID. Le lendemain lors d’une conférence en visio deux virologues ont dit que le covid venait très probablement du labo de Wuhan.

Pourtant Fauci s’est empressé de qualifier de « théories du complot » toutes les interrogations sur l’origine non naturelle dudit virus. Comme c’est vers lui que les spécialistes occidentaux, comme chez nous Delfraissy, se sont tournés dès la fin 2020 et surtout en janvier et février 2021 pour prendre les informations sur la « pandémie », cette bonne parole s’est propagée sans difficulté à travers le monde occidental.

Fauci a vu dans le covid une nouvelle opportunité pour faire des affaires, et a créé dès le début de l’épidémie son « réseau de prévention covid » avec ses inspecteurs principaux les plus fidèles, pour obtenir l’approbation la plus rapide possible pour les « vaccins » qu’ils étaient déjà en train de développer pour le SIDA. Kenny explique : 

« Fauci a accompli cette mission redoutable en transformant ses essais de VIH existants, pratiquement du jour au lendemain, en essais de phase III sur le vaccin covid-19″.

En tous les cas, le 22 février 2020, Fauci a annoncé sur CNN : « on est au bord d’une pandémie« , et trois jours plus tard alors que seulement 14 cas de covid étaient déclarés aux USA, il lançait avec l’argent public du NIAID un essai de Remdesivir de Gildead à l’université du Nebraska. D’autres essais avaient lieu depuis février à Wuhan[11].

Deux mois plus tôt le Remdesivir n’avait donné aucun résultat contre le Zika, mais le 29 avril Fauci déclarait qu’il devenait aux Etats-Unis la « nouvelle norme de soins », donc le traitement de base donné aux gens contre le covid[12]. Certains pensent que c’est la raison du taux de décès hallucinant aux Etats-Unis. Et le 1er mai il était autorisé sans que les études n’aient été publiées[13].

FAuci CNN

En parallèle, il a tout fait pour dénigrer et bannir les traitements qui avaient déjà commencé à montrer leur efficacité, en premier lieu l’hydroxychloroquine et l’ivermectine qui, si elles avaient été autorisées, auraient empêché l’autorisation du Remdesivir. Le 29 août 2021 alors qu’on avait déjà des dizaines d’études disant le contraire, il déclarant « Il n’y a pas la moindre preuve que cela fonctionne, et cela pourrait potentiellement présenter une toxicité » et qu’il « n’y a aucune preuve clinique que cela fonctionne ».

Le NIAID et le CDC ont dépensé 79 millions de dollars d’argent public pour développer le Remdesivir. Lors des essais, un faux placebo toxique (le sulfobutyl) a été donné au groupe témoin, dont les résultats étaient forcément moins bons. Kennedy explique que Fauci a commencé à utiliser cette technique il y a déjà 40 ans pour bidonner les essais et dissimuler les effets indésirables de produits toxiques qu’il cherchait à développer.

Malgré ça les résultats n’ont pas été favorables. Fauci a donc changé les critères pour que les hospitalisations apparaissent plus courtes, mais une partie des cobayes ont du se faire réhospitaliser, ce qui montre qu’ils étaient sortis trop tôt. 

Et Fauci dictait les mesures à prendre, aussi bien au gouvernement US qu’au monde entier. En avril 2021, il expliquait sur France 24 que « une pandémie implique une réponse mondiale » pour dépasser les « divisions politiques ». Selon lui « Il y a eu beaucoup de divisions politiques qui ont rendu très difficile la tâche de faire face à la situation« .

2022-05-30 22_16_24-Fauci on possible lockdown_ 'Whatever it takes' - Opera

Ce qu’il qualifie de « politique » est ensuite précisé, et on comprend qu’en fait il s’agit de toutes les critiques par rapport à la doxa pseudo « sanitaire » qu’il a imposée :

« certaines questions liées à la pandémie ont acquis une connotation politique par exemple une réticence à porter le masque en raison d’une idéologie politique ou une réticence à éviter les attroupements ».

Selon lui « LA science a été très bonne parce que nous avons mettre au point des vaccins en un temps record« . On sait aujourd’hui par des dizaines d’études que ces « vaccins » sont complètement inutiles contre le covid. 

Selon une étude du Dr Michael Yeadon sur les effets des différents lots de vaccins, 5% des lots sont responsables de 90% des effets graves dont les décès.

« Si vous pensez que c’est par accident, détrompez-vous. Ce n’est pas la première fois que des « lots chauds » étaient, à mon avis, fabriqués et envoyés à dessein à travers le pays, généralement des vaccins conçus pour les enfants« , explique Russell L. Blylock, qui raconte un de ces scandales, étouffé : des lots pourris d’un « vaccin » se sont retrouvés dans le même Etat US et les dégâts sont donc devenus très vite évidents.

fauci vaccin

Du coup, pour éviter que ça ne se voie trop, le fabricant n’a pas retiré les lots mais les a dispatchés dans le pays pour diluer les effets graves.

Parmi les nombreux travaux sur les effets toxiques des « vaccins », Steve Kirsch qui a créé le Covid 19 Early Treatment Fund en mars 2020 a fait une étude de données basée sur huit méthodes différentes. Celle-ci attribue 150.000 décès aux « vaccins » aux USA depuis janvier 2020 jusqu’en octobre 2021. Il a été violemment attaqué dans des médias de masse et scientifiques.

« Il était évident qu’un groupe de personnes très puissantes en collaboration avec des conglomérats pharmaceutiques ne voulait pas que la pandémie se termine et voulait que les vaccins soient la seule option de traitement« , analysait en avril 2022 le neurologue Russell L. Blaylock.

Il détaillait le rôle de chef d’orchestre joué par Fauci, à travers une série d’actions qui avaient pour objectifs :

  • Réduire de 3 ans à 6 mois les essais cliniques, puis injecter le groupe témoin de manière à ne plus pouvoir comparer les « vaccinés » aux non « vaccinés ». L’essai Pfizer devait initialement durer jusqu’au 2 mai 2023.
  • Refuser d’améliorer le système de suivi VAERS « conçu pour échouer » selon Kennedy, et « qui supprime systématiquement la déclaration de la plupart des dommages liés aux vaccins » et ne détecte au mieux qu’1% des problèmes liés aux « vaccins »[14].
  • Rallier les médias de masse et les fournisseurs de réseaux sociaux pour soutenir sa propagande et censurer les paroles dissidentes.
  • Amener le CDC à refuser les autopsies de personnes décédées après l’injection.
  • Placer dans les instances comme la FDA et le CDC des financiers et des fidèles du NIAID, du NIH et de la fondation Gates, pour s’assurer que les mixtures seraient directement approuvées sans qu’il n’y ait d’études sur les effets à long terme : « Plus de la moitié du comité VRBPAC de la FDA qui a approuvé les EUEA de Moderna, Johnson et Johnson et Pfizer, a accordé l’homologation finale du du vaccin Pfizer, était composé de bénéficiaires de subventions du NIH, du NIAID, de la BMGF et de sociétés pharmaceutiques. Plus de la moitié des participants au comité ACIP (Advisory Committee on Immunization Practices) du CDC étaient aussi en situation de conflits d’intérêts« 
  • Vacciner l’ensemble de la population sans que cela soit justifié (d’ailleurs il a monté le taux de couverture immunitaire collective en cours de route), il s’est assuré qu’il n’y aurait plus de groupe contrôle. Et alors qu’il se disait contre la vaccination obligatoire, il a clairement changé d’avis quand tous les volontaires ont été piqués.

On sait parfaitement que les labos, notamment Pfizer, ont dissimulé les résultats des essais et menti dans les communiqués de presse qui étaient les seuls documents disponibles au moment où les premières décisions ont été prises.

Toujours à fond avec ses « vaccins », et après 40 ans de recherches infructueuses, le NIH lançait en mars 2022 de nouveaux essais cliniques pour tester 3 « vaccins » ARNm contre le SIDA. « Avec le succès de sécurité et de haute efficacité des vaccins contre le covid, nous avons une opportunité fantastique d’apprendre comme la technologie ARNm peut remplir les mêmes objectifs contre l’infection au HIV« avait déclaré Fauci.

Bill Gates

bill gates book

Bill Gates est bien connu, ce qui l’est moins ce sont ses liens avec le gouvernement et la sécurité US et la philosophie eugéniste de sa famille.

Son père Bill Gates Sr, avocat d’affaires, a été président du barreau de Washington et a créé le cabinet de lobbying Preston Gates & Ellis présent aussi en Chine. Il était aussi élu de la région de Seattle, était eugéniste et militait en faveur d’un « contrôle de la population », notamment en siégeant au conseil d’administration national du Planning Familial créé par l’eugéniste et raciste Margaret Sanger et de United Way, une ONG axée sur l’éducation.

Gates a pu bosser pour IBM grâce à sa mère qui était au conseil d‘administration et connaissait le PDG John OPEL. En 1982 il a éjecté son copain Paul Allen de Microsoft pendant qu’il a eu un cancer. En 1998 plusieurs procédures sont lancées contre lui pour abus de position dominante (trust) envers les consommateurs qui ne pouvaient pas télécharger d’autres logiciels que Microsoft sur leurs ordis équipés de Windows. Mais il a réussi à conserver sa branche « logiciels » et les ordinateurs et à n’avoir qu’une amende de 800.000$.

2022-05-31 21_49_50-Microsoft Co-founder Bill Gates Holding a CD-ROM Photo d'actualité - Getty Image

Bref, Gates se lance dans la philanthrope au milieu des années 90, avec la William H Gates foundation en 1995 déjà orientée sur la santé et sur l’éducation, l’International AIDS Vaccine Initiative (IAVI, lancé au forum de Davos sur le SIDA) en 1996, la Gates Learning Foundation en 1997, le Children’s Vaccine Program doté de 100 millions $ en 1998 année où il rencontre Fauci, puis le GAVI son alliance mondiale (argent) public- (bénéfice) privé pour les « vaccins » en 2000 année de création de la fondation Bill & Melinda Gates[15], devenue en quelques années la plus grosse fondation au monde par son budget.

Il a choisi le créneau des vaccins, expliquait un article du New York Times en novembre 2020, parce que les effets en termes de vies sauvées étaient facilement visibles et quantifiables, ce qui lui permettait de se refaire une image. C’est même lui a relancé l’industrie vaccinale, moribonde car ces produits, à la fin des années, n’étaient pas considérés comme « rentables » par l’industrie. 

De plus, il s’agissait de haute technologie, et il était à l’aise dans ce domaine. Au final, « Par ses dons, M. Gates a contribué à la création d’un nouveau modèle économique, qui mêle subventions, engagement anticipé sur des marchés et garantie d’un certain volume de commandes. Sa dimension incitative a attiré davantage de fabricants, dont certains issus de pays en développement, permettant ainsi de démultiplier la production de vaccins salutaires » s’enthousiasmait la journaliste du NYT.

D’aucuns ont même reconnu son « expertise technocratique », et on comprend que Gates est l’égérie de l’industrie phramaceutique et de se sactionnaires.

En 2003, il a lancé son Grand Challenge for Global Health (GCGH) destiné à orienter les financements du NIH vers des « vaccins » et autres traitements –mais surtout des « vaccins »- contre des maladies qui touchent d’autres continents ou n’existent pas encore[16]. Il a aussi lancé l’ère de la « santé globale », que certains qualifient de colonialisme sanitaire.

Gates 2

Depuis, il finance à tour de bras, via sa fondation, des programmes de recherche, des entreprises privées, d’autres fondations comme la Johns Hopkins University, des médias et même l’OMS, dans de nombreux domaines liés de près ou de loin à la santé. Cela lui a permis de créer un réseau mondial tourné vers ses propres objectifs.

En mai 2005 Gates a ouvert la 58e assemblée de l’ONU pour faire sa propagande sur les « vaccins ».

« Il a annoncé que sa fondation augmentait de 250 millions de dollars sa contribution au projet «Grands défis pour la santé globale». Cette initiative lancée en 2003, avec une première dotation de 200 millions de dollars, vise à pallier le manque d’argent dont pâtirent la recherche et le développement de médicaments pour les maladies spécifiques aux pays pauvres, comme la malaria. Elle financera, dès cet été, des projets sélectionnés parmi plus de 1500 idées provenant de 75 pays, par exemple des vaccins qui n’ont pas besoin d’être conservés au frais ».

C’est aussi en 2005 que l’OMS a lancé son « Règlement sanitaire international », qui risque de s’imposer en Europe à l’initiative du micron.

En 2007 il créé le H8 qui réunit pour des rencontres discrètes OMS, UNICEF, le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP), l’UNAIDS, la banque mondiale, la fondation Gates, GAVI et le Global Fund[20].

H1N1 :

Remy_Steinegger_-_World_Economic_Forum_-_Melinda_French_Gates,_Bill_Gates_-_World_Economic_Forum_Annual_Meeting_Davos_2009_(by-sa)

Une petite sauterie discrète de 14 milliardaires « philanthropes » et eugénistes a eu lieu le 5 mai 2009 quelques jours après que l’OMS déclare la « pandémie » H1N1. Cette réunion de ce qu’on a appelé le « Good Club » a été organisée à l’Université Rockefeller à l’instigation de la fondation Gates, de David Rockefeller et de Warren Buffet (qui avait transféré la plupart de sa fortune dans la fondation Gates, qu’il copilotait avec le couple).

Il y avait aussi George Soros, Michael Bloomberg, le fils Rockefeller qui s’appelle aussi David, des milliardaires dirigeants de multinationales, ou encore Oprah Winfrey.

Dans l’invitation il était question de faire face à la récession et de préparer le futur en développant leur « philanthropie » (qualifiée par le Guardian de « philanthro-capitalisme) et disant aux gouvernements ce qu’ils doivent faire.

Un des problèmes à régler, selon les dires d’un invité, était celui de la croissance de la population mondiale qui engendre « une menace environnementale, sociale et industrielle » (en rapport probablement avec les matières premières). C’est là que Gates a annoncé qu’il consacrerait la plus grande partie de sa fortune à « améliorer le monde ».

2022-05-31 22_05_50-Bill Gates and his father Bill Gates, Sr

Les membres de ce club se targuaient d’avoir donné plus de 70 milliards en bonnes œuvres les 12 dernières années.

Pour H1N1, Gates a évidemment promu ses « vaccins », car ils sont aussi un moyen de réduire la population « Avec de très bons résultats sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, le contrôle des naissances, on pourrait la réduire de, peut-être, 10 ou 15 pour cent » a-t-il expliqué lors d’une conférence TED en février 2010.

C’est l’OMS qui a lancé la « pandémie » de H1N1 en avril 2009 avec moult alertes graduelles[17] et le changement de la définition de la pandémie pour enlever le critère de mortalité. En 2009, l’OMS était déjà largement sous le contrôle du geek timbré qui en était déjà le principal donateur[18].

L’année précédente, la fondation Gates avait donné 39 millions de $ au PATH (Programme for Appropriate Technology in Health) pour « soutenir le développement rapide de vaccins pour se protéger contre une future pandémie de grippe » vec des partenaires publics et privés. 

Il y avait 4 axes de recherches: 

  • les vaccins antigrippaux vivants atténués ;
  • la technologie des vaccins recombinants ;
  • les vaccins à base de peptides ;
  • de nouveaux adjuvants, des ingrédients vaccinaux qui aident à stimuler la réponse immunitaire, permettant potentiellement d’étendre davantage l’approvisionnement en vaccins. Car de « nouvelles technologies » de « vaccins » seraient selon eux apyes à fournir les 14 mlliards de doses nécessaires en cas de « pandémie », au lieu des 400 millions produites chaque année pour la grippe saisonnière.
Gates agenda 2030

En 2008 également, la fondation Gates, le Wellcome Trust anglais et l’Institut pasteur ont entamé une collaboration pour lancer des projets afin d’ « améliorer l’effort de recherche et réduire le risque issu des menaces d’épidémies de grippe durant les prochaines décennies« , comme l’expliquait Yamada, un affidé de la fondation Gates:

« Au cours des 18 prochains mois, nous développerons, maintiendrons et diffuserons un inventaire central des activités de recherche financées qui sont pertinentes pour la grippe humaine afin de nous assurer que les intervenants sont bien informés. Nous coordonnerons également des exercices de feuille de route pour identifier les lacunes dans les connaissances. Ceux-ci aideront les bailleurs de fonds et les chercheurs à établir des priorités de financement de la recherche, en mettant l’accent sur les vaccins, les pharmacothérapies et l’épidémiologie/la science de la population (par exemple, le diagnostic, la surveillance, la transmission et la modélisation) ».

Gates a aussi financé les modélisations flippantes de la « pandémie », qui déjà se sont avérées fausses et inutilement alarmistes[19]. Au tout début de l’épidémie, une étude financée par la fondation Gates et le National Institute of General Medical Sciences faisait remonter le H1N1 à la grippe espagnole et pôuvait donc se transmettre à l’homme et entre humains, ce qui a alimenté les titres de la presse.

Selon Kennedy, « En 2020 de nombreux essais de vaccins contre le VIH menés par Gates / Fauci en Afrique sont soudainement devenus des essais de vaccins contre le covid-19« .

En janvier 2010, vers la fin de l’ « épidémie », Gates a appelé à lancer la « décennie du vaccin ». 

Covid : 

gates fauci

La préparation du covid ou de la « pandémie » de covid, c’est selon, s’est accélérée avec la création en janvier 2017 au forum de Davos de la Coalition do Epidemic Preparadness and Innovations (CEPI) pour une gestion mondiale des épidémies et financer la recherche sur le développement de « vaccins » pour les « nouvelles épidémies« .

Financement : la Fondation Bill Gates, le Wellcome Trust, le forum de Davos au départ. Puis par des gouvernements (Belgique, Autriche, Australie, Canada, Danemark, Ethiopie, Grèce, Allemagne, Suisse, Arabie Saoudite, Luxembourg, Indonésie, Angleterre…) + USAID, Commission européenne + secteur privé (pas en 2021) + ONU via la fondation « Covid 19 solidarity reponse fund ».

Gates a toujours été très actif dans les « vaccins », jusque’à présent principalement en Afrique, et a redoublé d’efforts à l’approche du covid. En septembre 2017, quelques mois plus tard, c’est le 1er don du département de la Défense à EcoHealth Alliance pour des recherches sur les virus de chauve-souris dans l’ouest de l’Asie, puis en octobre a lieu un exercice pandémique organisé par Gates et Johns Hopkins sur une épidémie de coronavirus entre 2025 et 2028.

Bill gates 4

Cet exercice SPARS a eu lieu avec la participation de Luciana Borio vice-présidente d’In-Q-Tel une société d’investissement dans les technologies très proche de la CIA, Joseph Buccina d’In-Q-Tel et directeur de l’Intelligence Community Support, Walter Orenstein ex haut fonctionnaire de la Santé passé à la fondation Gates.

Dans cette simulation, les médias et les réseaux sociaux sont mobilisés pour diffuser en boucle les messages officiels de peur, rassurer sur les « vaccins » et occulter les vraies infos sur leurs effets toxiques, pour attaquer les voix dissidentes.

En mai 2018 après avoir financé trois exercices organisés par le John Hopkins Center for Public Health, Gates a mis en place le Global Preparadness Monitoring Board, créé officiellement par Tedros de l’OMS et par le président de la Banque Mondiale. Un de ses objectifs est de renforcer les pouvoirs de l’OMS et de mettre au pays défavorisés. 

On trouve au conseil d’administration qui est présidé par l’ancien secrétaire général de la Croix Rouge internationale, un représentant de la fondation Gates, Jeremy Farrar du Wellcome Trust, le directeur général du CDC chinois, et Anthony Fauci y siégeait encore récemment.

2022-05-31 19_08_57-Bill Gates, Emmanuel Macron, _Big Pharma_

Le 4 septembre 2019, la fondation Gates nouait un partenariat avec BionTech qui travaillait sur des vaccins ARNm, avec un investissement de 55 millions $ pouvant aller jusqu’à 100 millions sur la recherche autour de vaccins contre les « maladies infectieuses ». 2 mois plus tôt BionTech a levé 325 million $ et préparait son entrée en bourse (début octobre 2019) sans avoir jamais mis un seul produit sur le marché.

En octobre 2019 c’est l’Event 201 organisé par la fondation Johns Hopkins, le forum de Davos et la fondation Gates pour préparer une pandémie mondiale.

Un focus important était fait sur le contrôle de l’information, notamment sur les réseaux, sociaux, ce qui est amusant quand on relève qu’en octobre 2019, justement, Zuckerberg devait s’expliquer devant le sénat US pour la censure intempestive d’informations, principalement au sujet de la dangerosité des « vaccins ».

2022-05-31 22_03_31-Bill Gates , co-founder and co-chair of the Bill & Melinda Gates

En janvier 2020, Bill Gates et le Wellcome Trust annoncent mettre 150 millions de dollars chacun à la Coalition for Epidemic Preparadness Innovations (Cepi) pour développer des « vaccins » covid (en réalité un remixage de « vaccins » contre le VIH qui ne donnaient rien).

Gates dit vouloir lever 3,5 milliards et organiser une grande conférence des donateurs le 8 mars à Londres. Et le 23 janvier l’OMS alerte d’une « flambée » de SARS Cov2 et prévient les Etats qu’il faut agir :

« Les pays doivent prêter une attention particulière à la réduction de l’infection chez l’homme, à la prévention de la transmission secondaire et de la propagation internationale, et s’attacher à contribuer à la riposte internationale moyennant des efforts multisectoriels de communication et de collaboration et une participation active à l’amélioration des connaissances sur le virus et la maladie, ainsi qu’aux progrès de la recherche. Les pays doivent aussi suivre les conseils de l’OMS concernant les voyages« .

Le même jour, l’OMS déclarait les tests RT-PCR valables pour le covid, en s’appuyant sur les recommandations d’un groupe de recherche en virologie basé à l’hôpital universitaire La Charité à Berlin, financé par la fondation Gates.

2022-05-31 20_20_21-Advancing research into accessible coronavirus treatments - COVID-19 Therapeutic

Juste avant le grand déclenchement des mesures « sanitaires » dans les pays alignés, le 10 mars 2020, la fondation Gates, le Wellcome Trust et Mastercard ont lancé le « COVID-19 Therapeutics Accelerator » (accélérateur thérapeutique COVID)  doté de 125 millions $ (+150 rajoutés peu après par Gates avec son argent personnel) pour « accélérer la réponse au covid ».

La fondation Gates expliquait alors que « L’accélérateur poursuivra plusieurs aspects du cycle de développement afin de rationaliser le cheminement du produit candidat à l‘évaluation clinique, à l’utilisation et à la fabrication« . 

L’initiative, qui pour l’instant n’a financé que des projets US et anglais, a été rejointe par d’autres organismes comme le GLOPID-R une structure destinée à nous « préparer aux épidémies de maladies infectieuses », et on trouve à sa direction Jeremy Farrar proche des renseignements US et dirigeant du Wellcome Trust, ou Barbara Kerstiens, en charge de ce sujet à la commission européenne et le désormais incontournable Yazdanpanah.

Parmi les grands donateurs de plus d’un million de $, il y a Zuckerberg de Facebook, Madonna, l’entrepreneur du net chinois Zhang Yiming qui a été désigné par le ministère américain de la Justice en septembre 2020 comme une tête de pont du parti communiste chinois (il a démissionné en mai 2021).

Quand Trump a lancé officiellement la procédure de retrait du financement US à l’OMS, en juillet 2020 (moins 400 millions de $ par anpour l’OMS) il a maintenu le financement de 1,16 milliard de $ au GAVI (via l’USAID) ce qui renforçait mécaniquement le poids de Bill Gates dans l’OMS. En juin 2020 les US ont aussi donné 8,8 milliards au GAVI sur 5 ans lors du « Global Vaccine Summit ».

En août 2020, pour accélérer la finalisation des candidats « vaccins » d’AstraZeneca, Johnson & Johnson, et Novavax, Gates a encore organisé la levée de 350 millions de $. 

La première « pandémie moderne »

2022-05-31 20_02_29-Bill Gates_ «Nous n’allons pas revenir à la normale avant un à deux ans» - Opera

Avant même que l’OMS déclence le scénario « pandémique », Gates a mobilisé les gouvernements occidentaux pour financer des recherches et la fourniture de mixtures partout dans le monde, sans que les pays défavorisés soient consultés. Ils devaient pourtant payer 1, 2 $ voir davantage, sans savoir ce qui allait leur être livré ni quand.

Des masses incroyables d’argent ont été draînées vers l’industrie pharma grâce à l’activisme pro « vaccins » et pro Big Pharma de Gates.

Le tout, en faisant sa propagande médiatique, car étrangement ce geek timbré est considéré par les médias et politiques mainstream comme le référent santé mondial. Il était pour un « confinement total » fin mars 2020 pour faire face au « genre de scénario cauchemardesque » (le covid) qui selon lui survenait, affirmant que si on confinait bien on n’aurait à le faire qu’une seule fois. Alors qu’il savait que comme ses mixtures n’arriveraient pas sur le marché immédiatement, le cirque allait forcément continuer.

Il va sans dire qu’il a soutenu les 2e, 3e (censée combattre les nouveaux variants avaec une ancienne souche de virus), 4e doses de mixtures. Finalement il a dit (janvier 2022) qu’on devra avoir une « dose annielle » de mixture anti-covid pendant plusieurs années.

Dès le 7 avril 2020, il annonçait qu’il allait financer pas moins de 7 vaccins en développement et les usines pour les fabriquer. Tout en déclarant quelques mois plus tard (en août) que « le vaccin initial ne sera pas idéal en termes d’efficacité contre la maladie et la transmission. Il n’aura peut-être pas une longue durée et sera principalement utilisé dans les pays riches comme mesure palliative » mais comptait déjà sur les « vaccins » suivants qui selon lui seraient plus efficaces.

Irlande du Nord 2

On a vu qu’en effet ils n’ont pas été efficaces, mais les suivants ne l’ont pas été davantage.

C’est encore lui qui donnait le tempo des « confinements » « déconfinements », du degré de mesures liberticides et de traçage qu’il convenait d’instaurer, etc.

Fin avril 2020 il annonçait que le fameux « retour à la normale » qui était en fait la carrotte pour que les citoyens crédules se montrent obéissants, ne reviendrait pas avaant un ou deux ans.

Il considérait que « Les gens seront très préoccupés par l’idée d’être infectés et changeront drastiquement leurs comportements, (…) tant qu’il ne sera pas prouvé que les thérapies ou un vaccin rendent le risque de mort résiduel ».  Il posait déjà ses conditions, et tout le monde avait compris que le plan était bien d »injecter massivement de nouveaux produits à un maximum de population mondiale.

Les pays occidentaux sortaient à peine de la première grande rétention de masse d’une population ahurie par la propagande, que Gates faisait ses petites prescriptions car évidemment la vie ne pouvait pas reprendre comme avant: pas de rassemblements avant le printemps 2021 (et c’est ce qu’il s’est passé en plus!), des distances « sanitaires » entre les gens, et surtout le « produit miracle » qu’il fallait attendre comme le messie :

« Si au printemps 2021, les gens pourront aller à de grands événements publics – comme un match ou un concert dans un stade – ce sera parce que nous aurons un traitement miraculeux qui a donne aux gens la confiance nécessaire pour sortir à nouveau« .

2022-06-01 20_54_23-20352616009_f37933f4f2_k

En décembre 2020, quand ses produits « miracle » commençaient à être injectés à la population occidentale, il annonçait que « les 4 à 6 prochains mois pourraient être le pire de la pandémie » aux USA. 

En février 2021 il disait qu’on ne sortirait pas du covid avant 2022, date qu’il a toujours annoncée. On peut maintenant se demander si ce n’est pas parce que d’autres épidémies devaient arriver.

Quant à la chloroquine, Gates lui a réglé son compte en finançant une « grande étude » à l’université de Washington, qui a conclu que l’hydroxycholorquine n’empêchait pas d’attraper le covid et ne réduisait pas les symptomes. On notera que les essais sur l’hydroxychloquine menés par l’OMS, par les Etats-Unis, par la France et certainement ailleurs ont été stoppés d’un coup. On nous a dit qu’aucune efficacité n’était apparue, mais comme rien n’a été publié on est obligés de les croire sur parole.

Il y a été si fort avec sa propagande que 28% des Américains considéraient qu’il s’agitait ainsi dans le but d’implanter des micropuces aux gens par le biais des mixtures.

2022-05-31 22_15_47-the_late_show_with_stephen_colbert_and_guests_bill_gates__melinda_gates

Une des dernières inventions de Bill Gates dans l’affaire du covid, avant de passer à celle du monkeypox, est la création de la GERM Team (Global Epidemic Response and Mobilization) : une équipe internationale de 3000 experts pour intervenir partout dans le monde et prendre en main la gestion des « épidémies » à la place des gouvernements.

Il l’a lancée avec l’OMS, avec un budget estimé à 1 milliard de $ par an. Objectif affiché : casser les foyers de maladie avant qu’elles ne deviennent des « épidémies » [21]. De la santé globale préventive, en somme.

Il veut aussi « améliorer les systèmes de santé« , qui ont été détruits et doivent être reconstruits, à sa manière. Mais il faut dire que ce volet-là n’est pas prioritaire actuellement, Gates étant concerntré sur les nouvelles technologies de « vaccins ».

Investissements et conflits d’intérêts

2022-05-31 20_45_28-Bill Gates, médecin du monde - Opera

La fondation Gates a des liens d’intérêts et même des conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique. Et contrairement à ce qu’ont dit certains « débunkers », sa fondation gagne bien de l’argent grâce à ses « investissements » dans des grandes et petites entreprises, notamment les biotechnologies.

Elle a ainsi des liens anciens avec Gilead, qui vend le Remdesivir. Il y a quelques années, elle a investi ainsi que le NIAID dans le développement de produits anti SIDA que Gilead a récupérés. Les deux ont collaboré pour essayer le Remdesivir en Afrique contre Enola et le Zika, sans succès.

En fait, la fondation Gates –tout comme le GAVI- subventionne depuis des années de nombreux travaux de développement de divers produits médicaux menés par d’obscures start-ups comme par des multinationales telles que Pfizer, GSK, Sanofi, Roche ou même des hôpitaux comme le Birmingham Hospital and Women Health (BWH) de Boston… Et elle « investit » comme le Wellcome Trust par exemple, en prenant des partis du capital de start-ups, touchant parfois le gros lot en cas de rachat.

Au titre des retours sur investissement, en 2016 la fondation Gates a touché 80 millions de $ de la part de Pfizer lors de la revente d’une start-up de biotechnologies, Anaacor Pharmaceuticalls dans laquelle la fondation avait pris des parts, à Pfizer.

En 2019 elle a investi 55 millions de $ (pouvant monter à 100 millions) dans BioNtech, qui développait justement un des « vaccins » anti covid mis sur le marché. 

2 mois plus tôt BionTech a levé 325 million $ auprès d’investisseurs internationaux et elle préparait son entrée en bourse (début octobre 2019) sans avoir jamais mis un seul traitement sur le marché.

2022-06-02 19_55_55-Bill Gates_ ‘Vaccines are a miracle

D’un autre côté, le NIH a donné des centaines de millions de dollars aux programmes de recherche de la fondation Gates, notamment pour des « vaccins » contre le SIDA. En 2003 Fauci et Gates ont lancé une douzaine d’essais de « vaccins » anti SIDA en Afrique.

Avec Gilead, il était notamment question de traitements expérimentaux en Afrique contre le SIDA comme le Tenofovir[22], et Gilead Sciences est d’ailleurs le premier donateur pour les programmes anti-SIDA depuis au moins 2016, devant la fondation Gates sauf en 2020.

Il a financé dans les années 2000, via la fondation Gates, des travaux de Gilead -qui produisait le Tamiflu présenté comme le remède miracle contre le H1N1, sur le SIDA par exemple. À ce moment il y avait du beau linge au conseil d’administration de cette boîte qui démarrait seulement, comme Donald Rumsfeld (ex ministre de la Défense de Bush 2) qui en détenait aussi un paquet d’actions vendues avant que l’opinion ne se pose trop de questions sur l’inocuité ou l’efficacité de ce produit et George Schulz (ex ministre de l’Intérieur de Bush 2). En 2005 Bush 2 a mis 7 milliards pour la préparation d’urhence à une « pandémie » de grippe.

Angleterre

La fondation Gates collabore aussi avec Moderna  qui a reçu 125 millions de $ du HHS ainsi que des fonds de Gates pour un « vaccin » à ARN messager anti Zika en 2017 [23], et a subventionné Moderna pour  des « vaccins » à ARN messager contre le VIH. Elle a versé 20 millions de $ la première année en 2016 et les financements pouvaient monter jusqu’à 100 millions[24].

Moderna passait alors pour avoir « une approche disruptive » de la médecine avec ses « vaccins » à ARNm, qu’elle avait testé pour la première fois sur l’humain en 2010 avec un vaccin anti grippe. Et alors que toutes les grosses boîtes et start-ups qui avaient tenté de développer des « vaccins » à ARNm s’y étaient cassé les dents, il a été dit que les essais avaient été concluants et que ce produit était sûr.

En 2018 Moderna a encore levé plus de 500 millions de $ dont 230 millions de diverses fondations mais surtout celle de Gates, et valait 7 milliards. L’objectif était de « découvrir de nouveaux candidats-médicaments contre les maladies rares, tout en restant déterminé à faire progresser de nouveaux candidats au développement de vaccins pour répondre à de graves besoins non satisfaits ».

Forbes notait au moment de cette levée de fonds importante :

« Moderna affirme disposer de 1,4 milliard de dollars en espèces, en plus de la possibilité d’accéder à 250 millions de dollars supplémentaires en subventions de la Fondation Bill & Melinda Gates et de plusieurs agences gouvernementales, notamment la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA) et la Defense Advanced Research Projects. Agence (DARPA) ».

Avec tout cet argent, qui finit par faire la pluie et le beau temps dans de nombreux domaines de la recherche médicale à commencer par les biotechnologies et les « vaccins », Bill Gates est craint et l’autocensure à son sujet est la norme depuis bien longtemps aux USA. Il y a même une expression, explique le New York Times: le « Bill Chill« , comme un courant qui refroidit les ardeurs critiques dès qu’il est question de sa personne.

La commission européenne, soumise aux lobbys industriels et financiers, a aussi lancé son programme de financement de la « recherche » sur de nouvelles mixtures. En avril 2020, elle lance la « riposte mondiale au coronavirus », qui consiste à financer des recherches privées pour « développer et déployer des vaccins, des tests et des traitements contre le coronavirus » puis acheter des millions de doses de « vaccins » pour l’Europe et les pays défavorisés.

2022-06-01 22_12_33-(2) Commission européenne 🇪🇺 sur Twitter _ _

En décembre 2020 elle avait levé 16 milliards via une campagne de collecte menée avec l’ONG mondialiste Global Citizen. Un grand concert co-présenté par von der Leyen avec plein de stars made in USA (Shakira, Coldplay, Usher, Jennifer Hudson, Miley Cyrus, Justin Bieber…) a été organisé.

Le communiqué de la commission précise :

« Financée par Bloomberg Philanthropies, la Bill & Melinda Gates Foundation et le Wellcome Trust, cette campagne est axée sur les aspects suivants: remédier aux conséquences de la pandémie sur les communautés les plus vulnérables, garantir un accès équitable à des technologies abordables permettant de lutter contre le coronavirus et renforcer les systèmes de santé partout dans le monde« .

L’argent collecté devait être reversé à une série d’organismes bien connus :

Gates est en train de faire en Europe ce qu’il a fait aux Etats-Unis : réorienter l’argent public destiné à la santé des citoyens du pays vers la « santé globale », avec des canaux de financements mondiaux qui, on l’a vu, profitent toujours d’abord aux industries anglo-saxonnes.

4. Pourquoi une telle impunité, toujours renforcée ?

2022-06-02 20_46_47-Une gestion déplorable - ladepeche

La question qui vient logiquement ensuite est : Pourquoi des individus responsables de tant de désastres sont-ils toujours actifs lors de l’épidémie suivante ? On le voit avec la « variole du singe » : ce sont encore les mêmes protagonistes qui tournent en boucle à la télé, les mêmes qui sont aux postes de décision.

Par exemple, Delfraisssy, Flahault, Lina et Bachelot se sont retrouvés devant la commission d’enquête du Sénat « sur la manière dont a été programmée, expliquée et gérée la campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1) », mais sont encore là, à des postes clés. Il est vrai que cette commission ne cherchait pas à comprendre pourquoi on a misé sur des « vaccins » expérimentaux, mais pourquoi la vaccination avait raté.

Du coup les conclusions ont été qu’il fallait mieux « communiquer » :

« le message sanitaire délivré par les pouvoirs publics a été opacifié par un véritable brouillard médiatique, tandis que la communication institutionnelle, utilisant des instruments traditionnels, n’a pas su prendre la mesure de l’état d’esprit de la population et réagir correctement pour susciter son adhésion ».

En effet, la « menace » n’était pas perçue comme assez importante par les citoyens pour prendre le risque de se faire injecter, et au fil du temps la motivation déjà faible a littéralement chuté. Du coup, les sénateurs disaient qu’il fallait davantage « susciter l’adhésion » ce qui veut simplement dire qu’on allait devoir manipuler le consentement des citoyens par la propagande.

« Ce qui est regrettable, c’est certes que la communication n’ait pas été ajustée en conséquence, mais aussi que les décisions prises concernant l’organisation de la campagne n’aient pas mieux intégré la faible perception du risque par la population et la nécessité de susciter son adhésion et celle des professionnels de santé, notamment libéraux, à une campagne de vaccination que l’on souhaitait massive mais qui reposait sur la liberté de choix ».

2022-06-02 20_41_32-Covid-19 - Retrouvez toutes les campagnes de communication de l'ARS Auvergne-Rhô

On se souciait aussi déjà beaucoup d’ « internet », qui diffusait des informations contraires à la propagande officielle, et où les « messages institutionnels » n’étaient pas assez présents : on l’a vu, ça a été corrigé avec le covid où on a connu à la fois une propagande massive sur tous les canaux, et une censure jamais vue de toute opinion contraire à la doxa.

On nous parlait d’un « échec » de la « vaccination » sans jamais se demander si elle était justifiée au vu du nombre incroyablement bas de décès (323). L’utilité de cette campagne d’injections expérimentales n’a même pas été un sujet.

Au lieu de se féliciter qu’on ait évité de nombreuses victimes d’effets indésirables, la commission disait que « Les résultats de la campagne de vaccination contre le virus A(H1N1) sont indéniablement insatisfaisants : seule une très faible partie de la population a adhéré à la vaccination, alors même que les moyens, logistiques et financiers, déployés pour organiser la campagne, ont été particulièrement importants. Toutefois, la France n’est pas le seul pays à accuser un tel échec : celui-ci est très largement partagé« . Le seul objectif des sénateurs était-il de piquer tout le monde, peu importe la dangerosité du H1N1? On dirait.

Une des propositions de la commission pour régler le problème de l’influence des labos sur les décisions était de renforcer le rôle de l’Europe dans les achats de mixtures. Le rapport demande ainsi de « Promouvoir, au niveau communautaire, une meilleure coordination entre les États membres en matière de gestion de crise sanitaire et la mise en place d’une stratégie mutualisée d’achats de vaccins« .

carte H1N1

Le député François Autain, président de cette commission, avait beau jeu de dénoncer « la pression des laboratoires«  et le « chantage de l’industrie pharmaceutique » si sa commission réclame en parallèle une centralisation accrue des décisions, rendant encore plus facile le contrôle de la décision par l’industrie.

Il n’y a pas eu à ma connaissance de procédure judiciaire contre les responsables de ce gaspillage, ni de sanctions disciplinaires puisque tous ceux qui ont été impliqués ont poursuivi leurs carrières sans problème. Même les indemnisations des victimes des injections se font encore attendre pour la plupart des victimes.

D’ailleurs, l’Etat a été condamné par des tribunaux à en indemniser certaines, par exemple en 2020 quand le tribunal de Nanterre a obligé l’Etat à verser 558.000€ à une jeune femme atteinte de narcolepsie suite à l’injection anti H1N. Mais seulement une cinquantaine de dossiers auraient été définitivement indemnisés en 2021, certains sont en cours et beaucoup n’ontpas été reconnus.

En évitant de faire un bilan, voire même de régler les comptes après le H5N1, le H1N1, ainsi que sur toutes les mixtures injectées par Bill Gates et Fauci depuis 20 ans, on s’assure que le scénario sera encore pire la fois d’après. 

Le Sénat réclamait aussi que les préfets renforcent les « zones de défense » au niveau territorial : il fallait « Instituer dans chaque zone de défense un conseil zonal de préparation aux crises sanitaires présidé par le préfet de zone et composé de représentants de l’ensemble des acteurs de la gestion de crise sur le terrain« .

L’impunité organisée

2022-06-02 19_52_26-Bill Gates_ ‘Vaccines are a miracle

Pharmacovigilance, négociation des contrats, absence de débat contradictoire et scientifique, précipitation: une bonne partie des ingérdients qyi ont réaillé pour le H1N1 ont été reproduits et amplifiés avec le covid.

Par contre certaines choses intéressantes ont été dites par cette commission, comme le fait que les professionnels de santé ont été laissés complètement hors des réflexions et du dispositif, problèmes qui a été encore plus marqué dans le cas du covid avec une véritable éviction des médecins de ville de tout le dispositif, avec le résultat qu’on connait (pour les explications je renvoie notamment vers les travaux des membres du Conseil Scientifique Indépendant). 

La commission d’enquête sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans la gestion par le gouverne-ment de la grippe A (H1N1), créée par le groupe Communiste, a été un peu plus loin.

Mais les parlementaires continuaient à faire comme si le H1N1 avait été grave (bien qu’ils reconnaissent que la « pandémie » annoncée n’était jamais arrivée) et recommandaient d’ « Elargir les plans de lutte antipandémiques à l’ensemble des maladies infectieuses » ou encore de renforcer les pouvoirs de l’Europe pour « une action concertée » même si on voit mal en quoi déconnecter davantage la décision du terrain et concentrer les pouvoirs entre les mains de quelques individus pourrait avoir un effet bénéfique. L’affaire du covid, notamment les magouilles de Von der Leyen pour les contrats des « vaccins », l’a d’ailleurs violemment montré.

11 vaccins

On a l’impression d’un système qui tourne tout seul, quelle que soit la dangerosité du virus. C’est comme si chaque acteur jouait sa partition, celle pour laquelle il est payé, celle à laquelle il a été préparé, c’est-à-dire une menace grave justifiant des actions mondiales, même si on est face à une épidémie de faible intensité. 

Peu importe la réalité: on plaque dessus un scénario établi d’avance au cours d’exercices, de conférences, d’études et rapports diffusés à grand renfort médiatique.

C’est un processus en deux temps : d’abord on injecte de l’argent dans des travaux de recherche ou des ONG sur tel ou tel sujet, par exemple les maladies infectieuses émergentes, puis cet argent diffuse, corrompt, fait oublier l’éthique partout où il passe, et la « pandémie » qui n’existe pas encore devient un sujet.

« Cette préparation collective, notamment de la communauté scientifique, à l’émergence d’une pandémie s’est auto-alimentée, comme le soulignait M. Jérôme Sclafer, avec l’accroissement de l’activité éditoriale autour de ce sujet : selon la base de données américaine Medline qui répertorie les principales revues médicales, si deux publications seulement en moyenne par an, dans les années 1980, portaient un titre contenant l’expression « grippe pandémique », en 1997, dix-huit publications avec un tel titre ont accompagné l’alerte sur la grippe de Hong Kong.

L’intérêt pour ce concept a encore augmenté à partir de 2003 puisque cinquante et une publications ont titré sur la grippe pandémique en 2004, cent vingt-quatre en 2005, puis plus de deux cents par an à partir de 2006″ notait le rapport sur le rôle de l’industrie pharmaceutique.

On imagine où on en est aujourd’hui.

dictature sanitaure 2

Concernant le H1N1, l’opinion publique a dû se contenter de ces deux enquêtes parlementaires pour comprendre comment une telle gabegie a été possible, pourquoi on a insisté pour refiler du Tamiflu et des « vaccins » à une population désinformée par les autorités, pourquoi on a effrayé la population alors que rien ne l’a jamais justifié. Aucun des problèmes n’a été réglé, la seule chose qui a avancé depuis est la gestion disproportionnée des « épidémies »qu’elles soient réelles ou purement hypothétiques.

En avril 2010, l’OMS a admis des erreurs dans sa communication sur les « incertitudes » de la « pandémie ». Le quotidien Le Monde notait alors que « Face aux recommandations de l’agence onusienne, les Etats ont accumulé des doses de vaccins qui n’ont finalement été d’aucune utilité. D’aucuns se sont interrogés sur les liens de l’OMS avec l’industrie pharmaceutique, notamment des laboratoires comme GlaxoSmithKline ».

Il n’y a évidemment pas eu d’enquêtes à ce sujet, au contraire les décisions suivantes ont montré que l’OMS a renforcé son processus d’alerte et de gestion « pandémiques », mais on y reviendra.

Définition Pandémie - rapport Sénat H1N1

D’ailleurs, l’OMS a expliqué que si la « vaccination » a été un bide, ce n’est pas du tout parce que le virus était bénin, mais à cause des « nouveaux médias » : les réseaux sociaux ! Le Monde relatait : « Les nouveaux médias – Twitter, blogs, email… – ont en outre perturbé la communication autour de la grippe, ont souligné les experts de l’OMS. Il y a eu « des informations, des rumeurs, beaucoup de spéculations et des critiques dans de nombreux supports » médiatiques, a rappelé Keiji Fukuda », spécialiste de la communication pandémique à l’OMS[25].

L’impunité vient de plusieurs facteurs, dont l’un des principaux est que beaucoup d’acteurs de la gestion « pandémique » baignent dans la propagande de l’industrie pharmaceutique qui les transforme progressivement en VRP de cette même industrie. Elle vient aussi du fait que personne n’ose remettre en question la « doxa » car les carrières sont souvent liées aux financements privés qui ont un intérêt à vendre toujours plus de produits, toujours plus chers. $

Beaucoup ont travaillé sur ces liens d’intérêt, comme Laurent Mucchielli dans plusieurs articles et dans ses livres « La doxa du covid« .

Est-ce que cela a changé depuis le H1N1 ? Au contraire, l’industrie pharma a encore grossi (1200 milliards de chiffre d’affaires en 2019) et l’étau s’est refermé davantage : les liens d’intérêt se sont renforcés, les membres des plus hautes instances n’ont aucune indépendance par rapport aux industries avec lesquelles ils collaborent de plus en plus étroitement [26].

On a même passé un cap assez hallucinant avec le conseil de « défense » du micron, dont les décisions sont secrètes pour 70 ans. Du jamais vu en matière « sanitaire ». Et comme le micron est irresponsable, on ne peut pas le poursuivre pour ce qu’il fait sauf à prouver la corruption active. Ce qui est impossible vu l’opacité complète sur l’ensemble de ses décisions.

Big Pharma 2021

Des médecins et des politiques au service de Big Pharma

En 2019, le Corporate Europe Observatory a souligné l’augmentation importante des dépenses de lobbying de l’industrie pharma en Europe. Un article du Point expliquait ainsi que les dix groupes pharmaceutiques les plus actifs en lobbying « disposent de 60 laissez-passer pour le Parlement européen et ils ont organisé 112 réunions avec des membres haut placés de la Commission européenne. Le budget annuel de lobbying de la seule Fédération européenne des industries et associations pharmaceutiques (EFPIA) atteint 5,5 millions d’euros, et même 6 millions si l’on ajoute ses deux sous-groupes, l’European Biopharmaceutical Enterprises et Vaccines Europe.

Au total, les 3 organismes ont obtenu 42 réunions avec des commissaires, leurs cabinets ou leurs directeurs généraux, et disposent de 10 laissez-passer au Parlement européen. L’EFPIA siège également dans 8 groupes de conseil à la Commission, qui fournissent aux législateurs leur expertise sur des questions politiques« . 

von der leyen bourla

Ce lobbying poursuit deux objectifs principaux (mais pas exclusifs): diffuser des messages alarmistes sur les maladies pour lesquelles de nouveaux traitements viennent d’être repositionnés ou développés par les labos, et augmenter les prix. En 2020 et 2021, les investissements de Big Pharma en lobbying avaient encore explosé, aussi bien aux USA qu’en Europe où on a atteint la somme de 50 millions de dollars -déclarés (mais la transparence en la matière n’est qu’un leurre).

« Outre l’omniprésence des lobbyistes pharmaceutiques, les statistiques des réunions permettent d’identifier les cinq visiteurs les plus fréquents lors des réunions sur la production et la distribution de vaccins et de médicaments. Elles se répartissent en trois catégories : les organisations internationales, les fondations philanthropiques et une organisation de la société civile.

Avec respectivement 5 et 7 réunions, le CEPI et Gavi sont deux des quatre groupes à l’origine de l’initiative internationale COVAX (les autres étant l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’UNICEF), et ont été très actifs pour des raisons évidentes. Ils ont certainement besoin d’un soutien européen, financier et politique. Alors que leur objectif déclaré est de fournir au monde des médicaments et des vaccins contre le COVID-19, il y a un hic : ni le CEPI ni GAVI ne sont enclins à ouvrir une discussion sur les droits de propriété intellectuelle« , notait le Corporate Europe Observatory dans un autre rapport en mai 2021.

Lacombe enfants

On a vu avec le cas Bill Gates qu’un des moyens par lesquels l’industrie pharmaceutique diffuse l’argent est la rémunération d’études cliniques. Celles-ci peuvent aussi bénéficier d’argent public, mais ce sont bien les labos qui les mènent. Les médecins hospitaliers qui recutent des cobayes sont rémunérés par l’industrie, et cette rémunération peut mettre du beurre dans les épinards.

Ces médecins hopitaliers qui collaborent avec l’industrie pour des essais ou des travaux de recherche de molécules sont couvés par Big Pharma qui s’en sert comme « influenceurs », ou « Key Opinion Leaders », c’est-à-dire qu’ils sont en position de s’exprimer auprès des décieurs, des autres médecins ou du grand public.

marty CNES

Du coup, ils touchent en moyenne 3.700€ annuels de cadeaux (davantage que la moyenne des médecins) pour faire la promotion de de tel ou tel produit, et surtout 41.000 € en moyenne pour des interventions à des congrès, des expertises spécifiques etc. Et cette rémunération augmente… en fonction du prix des traitements prescrits par le « médecin »: plus il prescrit de médocs chers, plus il touchera de l’industrie.

Des sommes qui sont dix fois plus importantes aux USA.

Evidemment, le top de l’influenceur est celui qui est présent dans des autorités décisionnaires en matière médicale. Il va être recruté comme « conseiller », ou carrément dans des conseils scientifiques et conseils d’administration des entreprises pharmaceutiques, ou même dans des organisations satellites. 

L’industrie pharma a aussi mis la main sur la presse médicale, en premier lieu les médias de référence comme le BMJ ou le Lancet[27]. Ce qui amène Laurent Mucchielli à parler de « trafic d’influence organisé par les industries pharmaceutiques, que l’on peut également qualifier de « corruption systémique » de la recherche médicale« . L’industrie ne rémunère pas tous les médecins, et cible des « influenceurs » (les télétoubibs qui oublient systématiquement de préciser leurs liens d’intérêts), qui ont reçu 3,5 milliards en France entre 2012 et 2018.

deray LCI

Une étude française parue en 2021 dans le British Medical Journal a identifié 548 médecins « influenceurs » en France, qui interviennent dans des congrès, sont membres d’associations professionnelles, ont publié des recommandations entre 2014 et 2019. Durant cette période, les industriels ont versé 6 milliards d’euros pour les médecins dont 3 milliards d’euros de rémunération et 1,7 milliard de cadeaux en nature, et ces influenceurs ont une plus grosse part du grisbi.

Depuis 2016 une loi oblige pourtant ces gens à préciser leurs liens d’intérêt à chaque intervention publique. Mais cette loi n’est jamais appliquée et le CSA s’en tape.

Ces « influenceurs » n’hésitent pas à faire la promotion de la nouvelle pharmacopée. Par exemple en novembre 2019, donc quelques mois avant le début officiel du covid, 86 médecins regroupés dans un « collectif ACCèS+ » (dont Karine Lacombe) signaient une tribune dans l’Opinion pour accélérer la mise sur le marché des nouveaux médocs. À eux tous ils cumulaient 16 millions d’euros de liens d’intérêts avec l’industrie depuis 2013, soit une moyenne de 31.000€. Médiapart a ensuite montré que ladite tribune a été coordonnée par Agipharm, une association qui réunit 14 labos US.

delfraissy 2

En 2020, Pfizer a annoncé un investissement de plus de 500 millions d’euros au macronistan. Objectif :

« travailler avec les établissements de santé en France pour augmenter de manière significative le nombre de patients inscrits dans ses essais cliniques au cours des cinq prochaines années. Cette démarche est soutenue par l’engagement continu du pays à vouloir simplifier les programmes d’accès précoce aux médicaments innovants, et permettre ainsi l’accès plus rapide aux patients en France dont les besoins médicaux ne sont pas couverts aujourd’hui« .

On ne reviendra pas sur la fameuse étude du Lancet contre l’hydroxychloroquine débunkée en 24h, qui est un cas emblématique du ridicule dans lequel s’est enfoncée une certaine « science ». Mais on notera que véran s’en est servi pour renforcer l’interdiction de l’HCQ dès le lendemain et qu’il n’est jamais revenu sur cette décision criminelle puisqu’elle a entraîné des décès qui auraient pu être évités. À ce moment, tous les « influençeurs » étaient vent debout contre l’hydroxychloroquine et contre Raoult, plus facile à attaquer que la chloroquine.

lobby_planet_cartoon_crop europe

Par ailleurs, il est devenu quasiment impossible de faire de la recherche dans le domaine médical sans recourir à l’argent du privé, grâce à la privatisation de la recherche universitaire introduite au début des années 2000 sur injonction européenne.

On notera aussi que l’industrie du « vaccin » est tenue par quatre géants : GSK, Merck, Pfizer et Sanofi dont les chiffres d’affaires de ce secteur en 2019 allaient respectivement de 9,2 milliards à 6,4.

Les manigances de big pharma sont connues depuis des lustres, il y a même parfois des condamnations (Pfizer les cumule, avec plus de 6 milliards versés en dédommagements aux USA), mais le système perdure et se renforce. La mainmise est aussi de plus en plus prégnante aux plus hauts niveaux politiques : on n’a pas fini d’étudier les liens de la micronie avec les labos, du micron avec Pfizer notamment[28], que ce soit ou non via McKinsey.

Avec le covid, des milliers de plaintes ont été envoyées à diverses institutions censées appliquer les lois, et aussitôt classées sans suite. Quand un tribunal décidait de faire sauter des mesures liberticides locales type couvre-feu, muselières obligatoires, déplacements limités etc. on a vu les préfets passer outre systématiquement.

L’impunité aujourd’hui est totale, et est facilitée par l’opacité totale dans laquelle sont prises les décisions : opacité du conseil de « défense » du micron où se décidait par exemple l’ouverture du Puy-du-Fou pendant une rétention de masse stricte, opacité des essais des labos, opacité des contrats, opacité sur les traitements efficaces, opacité sur les effets indésirables des « vaccins », censure systématique, en tous lieux et places, des contradictions.

2022-06-03 22_46_58-Emer Cooke, directrice de l'EMA et _apothicaire de l'Europe_, donne le feu vert

L’industrie aime aussi recruter les anciens décideurs politiques, ou envoyer ses dirigeants dans les instances de décision. Par exemple plusieurs membres de l’Agence Européenne du médicament ont aussi travaillé pour l’industrie pharma (comme sa directrice actuelle Emer Cooke qui a commencé sa carrière dans l’industrie et a notamment passé 7 ans à l’EFPIA, le lobby de Big Pharma auprès des instances européennes), ou bien y sont allés dès la fin de leurs fonctions, comme son Directeur exécutif, Thomas Lönngren, qui dès le lendemain de son départ en 2011 avait rejoint le conseil d’administration de NDA Ltd, société de lobbying au service des firmes pharmaceutiques, qui l’a recruté en tant qu’influenceur de premier plan. Il avait de nombreux autres liens d’intérêt avec diverses boîtes du secteur.

C’est cette agence européenne du médicament qui autorise les médicaments en Europe (Rmedesivir, vaccins etc.), qui assure l’opacité sur les essais cliniques et empêche le développement de médicaments génériques, par exemple.

L’infiltration est la même au niveau européen et international, notamment à l’OMS[29].

where_does_all_the_money_go___pavel_constantin corruption

Pourquoi cette corruption ne fait-elle que se renforcer ? Tout simplement parce qu’elle n’est pas exceptionnelle mais systémique et que l’argent est le nerf de la guerre. Et pour qu’elle soit systémique il faut bien que les conditions favorables soient réunies sur le long terme et cela n’est pas dû au hasard. Il n’y a qu’à considérer l’ampleur du phénomène dans le temps et dans l’espace, mais on va voir progressivement quels processus sont en cours.

On peut déjà être certains d’une chose : cette impunité ne va pas s’arrêter, au contraire elle va continuer à prendre de l’ampleur, probablement jusqu’à ce que l’industrie pharma et les instances de décision nationales et surtout internationales se confondent complètement.

Ne négligeons pas non plus la corruption, phénomène mal perçu aux plus hauts niveaux de l’Etat et des institutions internationales, mais qui pourtant est réel. Je ne donnerais qu’un chiffre à ce sujet: un rapport d’Interpol estimait qu’au bas mot 12,5 % des marchés publics passés en Europe sont des dessous de table. C’est-à-dire que si on paie 100 millions pour des « vaccins », 12,5 millions sont renvoyés aux politiques qui ont pris la décision et organisé le contrat des deux côtés. Selon l’OCDE, plus de la moitié des cas de corruption transnationale avaient pour objectif de remporter un marché public.

Selon le type de marché, les commissions et rétrocommissions peuvent représenter 10 à 25 % du montant des contrats selon Transparency International, 10 à 30 % pour l’OCDE. Au niveau européen, ça pourrait représenter 6,3% du PIB.


On sait qui a commis des erreurs mais on ne cherche pas à identifier les responsabilités sur le plan pénal. Il n’est donc pas question de protéger les citoyens mais les donneurs d’ordre. La corruption des différents niveaux de décision par l’argent de Big Pharma n’est pas un scoop; on le sait depuis des années. Mais rien n’est fait pour lutter contre, à part des règlements ineptes de fausse « transparence ». Ce qu’il faudrait, c’est cloisonner la décision politique ou sanitaire et l’industrie, empêcher l’infiltration. 

Au lieu de cela, l’influence de l’industrie pharma et de ses sbires ne cesse de se renforcer malgré les scandales. À ce stade la question à se poser est : à qui tout cela profite, et qui a les moyens d’empêcher que les citoyens ne se mêlent de leur prore santé?


[1] Dans son audition au Sénat le 28 avril 2010 devant la commission d’enquête il a déclaré : « J’ai été membre du LEEM Recherche, aux côtés d’ailleurs de la présidente de l’Institut Pasteur, du directeur général de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), du directeur général de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA), au titre de ma fonction de directeur de l’Ecole des hautes études en santé publique ». Le 26 février le LEEM Recherche est devenu l’Alliance pour la recherche et l’innovation des industries de santé (ARIIS) et Flahaut était mentionné sur leur site mais niait encore faire partie de la structure.

[2] Apparemment c’est l’Institut Pasteur qui est allé le chercher en 2013 pour « disposer d’outils d’aide à la décision en cas de nouvelle pandémie« .

[3] Le GEIG organise des congrès financés par l’industrie pharma.

[4] Elle fut déléguée à l’information médicale des laboratoires ICI Pharma de 1969 à 1976, et chargée des Relations Publiques chez Soguipharm de 1984 à 1989, en gros elle gérait la com de ces labos. Entre les deux missions dans le privé elle a fait ses premiers pas en politique comme conseillère générale dans le fief de son père.

[5] Même l’OMS admettait en août 2009 que « par manque de temps, les données cliniques seront inévitablement limitées au moment où on commencera à administrer les vaccins contre la grippe pandémique. Les tests d’innocuité et d’efficacité devront donc se poursuivre après avoir commencé à les administrer« .

[6] Un comité dont quasiment tous les experts avaient des liens d’intérêts de longue date avec l’industrie pharma.

[7] « Anthony Fauci, Bill Gates et Big Pharma – Leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », paru en mars 2022.

[8] Ferguson était membre du Scientific Advisory Group for Emergencies (Sage) qui conseille le gouvernement anglais.

[9] Plus précisément au MRC Centre for Global Infectious Disease College créé pour modéliser les pandémies.

[10] Ce projet destiné à « comprendre le risque d’émergence d’un coronavirus de chauve-souris » devait initialement être financé par le NIAID jusqu’en juin 2024 mais il a été stoppé prématurément après que la DARPA ait compris qu’il y avait quelques problèmes de sécurité au laboratoire de Wuhan. On était alors en juin 2020.

[11] Les résultats de l’étude chinoise n’ont pas été favorables au Remdesivir, pointant ses dangers et son inutilité face au covid.

[12] La FDA l’a autorisé dans les jours suivants, ce qui a entraîné son remboursement à 100%, à un prix de plus de 2000$ le traitement.

[13] Une étude parue dans le Lancet en mai 2020 a montré que 12% des patients traités au Remdesivir avaient eu des effets graves et ont dû arrêter le traitement, contre 5% des patients non traités.

[14] En 2010 l’Agence fédérale pour la qualité des soins de santé (AHRQ) a évalué un système bien plus performant qui a été jeté aux oubliettes par le CDC car il a révélé que les « vaccins » causaient des dommages graves chez 1 personne sur 40. 

[15] La fondation Bill & Melinda Gates est née de la fusion de la Fondation William H. Gates et de la Gates Learning Foundation. En 2006 elle avait environ 30 milliards de $ de budget, quand Warren Buffet lui a donné une bonne partie de sa fortune, soit encore 30 milliards de $.

[16] Cf. « The grand impact of the Gates Foundation » de Kirstin RW Matthews et Vivian Ho. https://doi.org/10.1038/embor.2008.52

[17] Selon le rapport du Sénat sur le rôle de Big Pharma dans la « pandémie » H1N1, « l’OMS avait déjà, selon M. Ulrich Keil, directeur de l’Institut d’épidémiologie à l’Université de Munster, lancé plusieurs « fausses alertes » avant le déclenchement de la pandémie grippale de 2009. M. Ulrich Keil cite les exemples de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et de la grippe aviaire. Toutefois, à la différence des cas précédents, la grippe A (H1N1)v a donné lieu à l’engagement, pour la première fois dans de telles proportions, de mesures de production de vaccins, et à l’engagement de campagnes de vaccination de masse ».

[18] Gates finançait –et finance toujours- l’OMS via plusieurs canaux : sa fondation qui en 2008-2009 a donné 338 millions de $ (le gouvernement US, 1er donateur a donné 424,5 millions $), mais le GAVI qui reçoit des financements de sa fondation, a donné 85 millions à l’OMS, et le Programme for Appropriate Technology in Health (PATH) lui aussi principalement financé par la fondation Gates, a donné 9 millions $. De plus, la fondation Gates finançait déjà diverses structures qui donnaient aussi à l’OMS (par exemple la Johns Hopkins University, le International Development Research Centre, le Global Fund to Fight AIDS, Tuberculosis and Malaria).

[19] Le centre de modélisation de l’Imperial College de Londres est financé par Bill Gates et c’est là que travaillait Neil Ferguson.

[20] Le « Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme », créé par l’OMS en 2001 avec l’appui du G8 et bien-sûr des financements de la fondation Gates (2,74 milliards $ tout de même depuis sa création, et 760 millions rien que pour 2020-2022).

[21] La GERM team a été présentée par Gates en avril 2022 dans une conf TED, en version intervention hollywoodienne : « Ce serait une équipe à temps plein dont la seule et unique priorité serait la prévention des pandémies. Elle serait constituée de divers spécialistes couvrant des domaines très variés : des épidémiologistes, des spécialistes des données, des logisticiens. Il faut davantage qu’un savoir-faire médical et scientifique, il faut aussi des compétences en communication et en diplomatie…« .

Il dit aussi que l’Australie a très bien géré la crise covid, mais il n’y a jamais eu de morts là-bas et a parlé d’un « médicament à inhaler ». Mais les « vaccins » doivent « être plus faciles à inoculer ».

[22] Que Gates compte apparemment donner en priorité aux « jeunes filles des bidonvilles« . 

[23] Le PDG de Moderna Stéphane Bancel déclarait que « Nous avons défini Moderna pour imiter la biologie en donnant à votre corps les instructions pour que vos cellules fabriquent les protéines dont vous avez besoin pour vous protéger« . À l’occasion de ce partenariat, CNBC notait : « En cas de succès, les méthodes de Moderna pourraient conduire à la production rapide de médicaments thérapeutiques et d’une myriade de vaccins à moindre coût. C’est un argumentaire qui a fait de Moderna Therapeutics, basée à Cambridge, dans le Massachusetts, actuellement évaluée à près de 5 milliards de $, la société de biotechnologie privée la plus valorisée des États-Unis. Sa réserve de 1,9 milliard $ en espèces a été levée auprès de financeurs et partenaires tels que les géants pharmaceutiques Merck et AstraZeneca et la Fondation Bill et Melinda Gates« .

[24] Les recherches étaient principalement menées par une filiale de Moderna spécialisée dans la recherche de « vaccins » contre les maladies infectieuses, Valera.

[25] On notera qu’il était toujours actif pour le covid, et n’a pris sa retraite aux Etats-Unis qu’en novembre 2021. Fukada a milité pour un renforcement du Règlement Sanitaire International pour que l’OMS puisse décider au niveau mondial des mesures à prendre en cas de « pandémie ».

[26] Les labos ont augmenté leurs actions de lobbying et les rémunérations diverses et variées auprès des médecins hospitaliers. Par exemple en 2020 Didier Raoult dénonçait l’entrisme de Gilead au sein du Collège des universitaires des maladies infectieuses et tropicales (CMIT) : 97 des 114 médecins de ce comité avaient eu une rémunération ou un avantage de la part de Gilead depuis 2012.

[27] « En 2009, le docteur Marcia Angell, ancienne éditrice en chef du très célèbre New England Journal of Medicine déclarait qu’« il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie des recherches cliniques publiées, ni de se fier au jugement de médecins de confiance ou à des directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédacteur en chef du NEJM » rappelle par exemple Mucchielli.

[28] Plusieurs éléments interrogent quant à la relation de jupicrétin avec Pfizer, comme l’argent qu’il a réellement touché du contrat Pfizer – Nestlé qu’il a négocié chez Rothschild pour 12 milliards de dollars (rachat par Nestlé de la branche nutrition infantile Pfizer Nutrition), la rpésence de VRP de Pfizer dans le cabinet de véran, comme le médecin de l’AP-HP François-Xavier Lescure conseiller covid de véran tout en étant rémunéré par Pfizer, ou le soutien actif de l’industrie pharmaceutique à sa campagne, en attente d’un retour sur investissement.

[29] Après le H1N1 déjà un rapport du conseil de l’Europe cité par Le Monde dénonçait « de graves lacunes (…) en ce qui concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer à l’égard des principales décisions relatives à la pandémie ».




Le projet de biopouvoir de l’OMS, une vieille lune scientiste. Mise à jour

[Source : RĿ]

Par Pierre-Antoine Pontoizeau

Les deux dernières années ont montré que la communauté médicale pesait d’un poids considérable sur la destinée des peuples et les décisions politiques des États. Les confinements ont été onéreux et à l’évidence préjudiciables. Or, les nouvelles thérapies sont à évaluer avec prudence après un enthousiasme et une pression exercés en faveur d’un tout vaccinal très discutable. Pourtant, des médecins ont commandé, dirigé jusqu’à faire taire leurs opposants sur les plateaux de télévision. Et la prudence n’est toujours pas de mise.

En ce moment même, l’OMS organise un coup d’État mondial pour concentrer tous les pouvoirs en ses mains. À l’instar de la déclaration récente du docteur Fauci réclamant tous les pouvoirs, sans avoir à se justifier devant aucune assemblée, l’OMS poursuit sa conquête du pouvoir en toute impunité. Ces dernières propositions concernant son pouvoir de prescription aux États des conduites à suivre est clair, à tel point que la Pologne conteste cette atteinte à la souveraineté des États : « Traité de l’OMS sur la prévention des pandémies : des chercheurs polonais sonnent l’alerte » (francesoir.fr) L’institution déciderait et les États s’exécuteraient. Le biopouvoir mondial s’installe donc au nom de la prévention sanitaire des pandémies. Isoler, vacciner, imposer une thérapie préventive, dicter les conduites, organiser des camps d’isolement, etc.

Seulement, tout cela n’est pas le fruit d’une opportunité. C’est le résultat d’une réflexion ancienne. Le projet du biopouvoir est connu depuis 1935. Nous avons trop oublié cette prévision et ses motivations. Alexis Carrel (1873-1944), prix Nobel de médecine en 1912 pour ses travaux sur la suture vasculaire et la transplantation de cellules sanguines et d’organes, publie : L’homme, cet inconnu, qui remporta un succès considérable dès sa parution en 1935, publié en de nombreuses langues jusque dans les années cinquante. C’est dans le dernier chapitre de cet ouvrage qu’on trouve déjà toute la description du projet de biopouvoir.

Alexis Carrel affirme que la médecine a besoin des institutions qui lui permettront de mener à bien ses projets. Ce n’est pas anecdotique de signaler que la recherche médicale vise autre chose que de simples progrès scientifiques, mais bien la maîtrise d’un ensemble de savoirs à des fins politiques. Il écrit :

« L’Institut Rockefeller a entrepris l’exploration d’un champ plus vaste. En même temps que les agents producteurs des maladies et leurs effets sur les animaux et les hommes, on y analyse les activités physiques, chimiques, physico-chimiques et physiologiques manifestées par le corps. Dans les laboratoires de l’avenir, ces recherches s’avanceront beaucoup plus loin. L’homme tout entier appartient au domaine de la recherche biologique. Certes, chaque spécialiste doit continuer librement l’exploration de son district propre. Mais il importe qu’aucun aspect important de l’être humain ne soit ignoré. La méthode employée par Simon Flexner dans la direction de l’Institut Rockefeller pourrait être étendue avec profit aux instituts biologiques et médicaux de demain. À l’Institut Rockefeller, la matière vivante est étudiée de façon très compréhensive depuis la structure de ses molécules jusqu’à celle du corps humain. Cependant, dans l’organisation de ces vastes recherches, Flexner n’imposa aucun programme aux membres de son Institut. Il se contenta de choisir des savants qui avaient un goût naturel pour l’exploration de ces différents territoires. On pourrait par un procédé analogue organiser des laboratoires destinés à l’étude de toutes les activités psychologiques et sociales de l’homme, aussi bien que de ses fonctions chimiques et organiques. » 

(230, IV)

Au-delà de cette institution, il appelle de ses vœux le haut conseil, qui trônerait au-dessus de toutes les autres institutions pour les inspirer, les commander. En légitimant la puissance potentielle de la médecine et des progrès qu’elle peut accomplir :

« La création d’une telle institution constituerait un événement de grande importance sociale. Ce foyer de pensée serait composé, comme la Cour Suprême des États-Unis, d’un très petit nombre d’hommes. Il se perpétuerait lui-même indéfiniment, et ses idées resteraient toujours jeunes. Les chefs démocratiques, aussi bien que les dictateurs, pourraient puiser à cette source de vérité scientifique les informations dont ils ont besoin pour développer une civilisation réellement humaine. » 

(231, IV)

Il explicite que la vie humaine est à diriger au nom du gouvernement des corps et des esprits. Le politique n’en a pas la compétence, le médecin oui. Il va plus loin dans l’expression de l’ambition d’un pouvoir exercé par ces savants qui dirigeraient le monde. Il imagine l’institution d’un pouvoir médical légitime à commander l’avenir de l’humanité :

« À ces savants il faudrait donner une position aussi élevée, aussi libre des intrigues politiques et de la publicité que celle des membres de la Cour Suprême. À la vérité, leur importance serait beaucoup plus grande encore que celle des juristes chargés de veiller sur la Constitution. Car ils auraient la garde du corps et de l’âme d’une grande race dans sa lutte tragique contre les sciences aveugles de la matière. » 

(232, IV)

Le biopouvoir se fait potentiellement dictature légitime aux yeux de son inspirateur. Cette légitimité tient à une conception du politique où il s’agit de régner avant tout sur les humains, bien plus que sur des territoires. Là, le messianisme du docteur Carrel est manifeste. Il écrit :

« Une minorité ascétique et mystique acquerrait rapidement un pouvoir irrésistible sur la majorité jouisseuse et aveulie. Elle serait capable, par la persuasion ou peut-être par la force, de lui imposer d’autres formes de vie. » 

(234, V)

Il revendique déjà l’impunité de l’exercice de ce pouvoir s’exerçant sans limite au nom de son savoir détenteur de la vérité sur la vie, la bonne vie et la mort. À cet égard, le docteur Fauci est l’héritier direct de cette revendication de toute-puissance, n’ayant de compte à rendre à personne :

« À ces savants il faudrait donner une position aussi élevée, aussi libre des intrigues politiques et de la publicité que celle des membres de la Cour Suprême. À la vérité, leur importance serait beaucoup plus grande encore que celle des juristes chargés de veiller sur la Constitution. Car ils auraient la garde du corps et de l’âme d’une grande race dans sa lutte tragique contre les sciences aveugles de la matière. » 

(232, IV)

Ces médecins-tyrans n’écouteraient donc plus le patient, n’entendraient rien à ce qui contredirait leur décision. Un monde sans plainte, sans remise en cause. Comment peut-on au troisième millénaire fantasmer un tel pouvoir alors que la connaissance scientifique n’a rien à voir avec la vérité ou la liberté. La science ne sait pas ce qui est bon ou mauvais, là est sa limite. Elle est temporaire, falsifiable. Qui a oublié que la gravité de Newton, efficace dans les sciences de l’ingénieur, est bien fausse au regard de la relativité qui sera elle aussi contestée, falsifiée, même si elle permet d’interagir avec les phénomènes. Entre ce que nous savons des limites de la science depuis la crise des mathématiques et de la physique contemporaine, comment peut-on soutenir raisonnablement ce délire scientiste ? De plus, la médecine est encore moins une science, mais un art au carrefour de plusieurs sciences. Ces médecins spéculent donc sur les angoisses, la peur de la mort et de la souffrance jusqu’à vouloir gouverner les corps, décider de qui doit naître et mourir, voire comment produire des hommes nouveaux, greffés, pucés, etc. Il est temps de mettre l’esprit scientifique à sa place sauf à verser dans l’idéologie scientiste. Ce fut le trait de caractère du communisme et du nazisme que de prétendre dire la vérité au nom d’une théorie de l’histoire ou d’une théorie des races réputées indéfectiblement vraies.

Il est simplement urgent d’enseigner la philosophie des sciences, l’esprit critique et de développer le sens de la liberté par l’ouverture à d’autres dimensions que le seul savoir scientifique et technicien.


[Source : guyboulianne.com]

L’archevêque Viganò met en garde les nations contre la prise de pouvoir du traité pandémique de l’OMS : « La cession de souveraineté est considérée comme un crime de haute trahison »

L’Assemblée mondiale de la santé s’est réunie à Genève, en Suisse, du 22 au 28 mai 2022 pour discuter de la mise en œuvre du traité de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur la pandémie par 194 nations. L’archevêque Carlo Maria Viganò a publié le 22 mai dernier une note avertissant les nations qui envisagent d’adhérer au Traité sur la pandémie de l’OMS que la remise de la souveraineté à l’organisme mondial constitue un “crime de haute trahison” : « Dans les prochains jours, les nations qui adhèrent à l’Organisation mondiale de la santé voteront des résolutions concernant la gestion des pandémies par l’OMS », a écrit Viganò. « Ces résolutions transféreront la souveraineté concernant la santé des citoyens à un organisme supranational largement financé par l’industrie pharmaceutique et la Fondation Bill & Melinda Gates. »

Le Canada ne doit pas renoncer à sa souveraineté en matière de soins de santé, mais c’est exactement ce que certains dirigeants canadiens essaient de faire. Et il y a une pression énorme de partout dans le monde pour que nous le fassions. Le Traité international sur la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies (Traité de l’OMS en cas de pandémie) doit être signé en mai 2024. Une réunion des membres de l’OMC s’est tenue en décembre 2021 et une deuxième réunion est prévue au plus tard le 1er août 2022, lorsque le libellé du traité sera rédigé.

Le traité comprend 190 pays et serait juridiquement contraignant. Le traité définit et classe ce qui est considéré comme une pandémie et cela pourrait consister en de larges classifications comprenant une augmentation des cancers, des maladies cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, etc. Si une pandémie est déclarée, l’OMS prend en charge la gestion sanitaire mondiale de la pandémie.

Ce traité a des implications très graves pour notre souveraineté nationale en matière de santé. En vertu de ce traité, le Canada céderait essentiellement sa souveraineté nationale en matière de santé à l’OMS lorsqu’il s’agit de répondre aux pandémies. Plus préoccupant encore, si ce traité est inscrit, l’OMS aurait le plein contrôle sur ce qu’on appelle une pandémie. Ils pourraient dicter comment nos médecins peuvent réagir, quels médicaments peuvent et ne peuvent pas être utilisés, ou quels vaccins sont approuvés. Nous aboutirions à une approche unique pour le monde entier. Le Canada est un pays vaste et diversifié avec des différences régionales. Une réponse unique à une crise sanitaire ne fonctionne même pas partout au Canada, et encore moins dans le monde entier.

Nous devons également émettre de sérieuses réserves quant à l’évolution du rôle de l’OMS. L’objectif initial était que les nations souveraines mettent en commun leurs ressources pour aider à lutter contre le paludisme, Ebola et d’autres problèmes de santé qui nuisent en grande partie aux pays en développement. Au lieu de cela, l’accent a non seulement changé pour inclure les réponses à la pandémie dans des pays souverains comme le nôtre, mais une grande partie de leurs fonds proviennent désormais de donateurs privés, comme la Fondation Gates. Il n’est pas controversé de dire que les donateurs privés viennent avec des intérêts privés.

Nous devons être vigilants pour protéger notre système de santé des intérêts privés potentiels, et nous devons maintenir notre souveraineté sur notre réponse à la pandémie.


DÉCLARATION relative à la cession de souveraineté
à l’OMS pour la gestion des urgences sanitaires

Dans les prochains jours, les nations qui adhèrent à l’Organisation mondiale de la santé voteront des résolutions concernant la gestion des pandémies par l’OMS. Ces résolutions transféreront la souveraineté en matière de santé des citoyens à un organisme supranational largement financé par l’industrie pharmaceutique et la Fondation Bill & Melinda Gates. Si ces résolutions sont approuvées à la majorité, l’OMS aura l’autorité internationale exclusive en cas de pandémie pour imposer toutes les règles, y compris les quarantaines, les confinements, les vaccinations obligatoires et les passeports vaccinaux. Il convient également de garder à l’esprit que cette organisation jouit de l’immunité et que ses membres ne peuvent donc être ni jugés ni condamnés s’ils commettent des crimes.

Etant donné que la cession de souveraineté est considérée comme un crime de haute trahison par les lois de chaque nation, et que les Parlements ne peuvent légiférer contre les intérêts de la Nation, encore moins violer les libertés naturelles et les droits fondamentaux des citoyens qu’ils représentent, je crois qu’il n’échappera à personne que cette tentative de l’OMS de s’approprier un pouvoir qui appartient en propre aux nations individuelles vise à empêcher toute forme d’opposition à l’Agenda 2030, qui dans le domaine de la santé vise également à accomplir la réduction drastique des services médicaux et hospitaliers, la privatisation de l’industrie de la santé et la prévention des maladies grâce aux vaccins.

La psycho-pandémie a démontré l’asservissement des dirigeants, du système politique, des médias, de la justice, de toute l’industrie médicale et même du Saint-Siège lui-même aux diktats d’un groupe de fonctionnaires d’une entité supranationale qui a un conflit d’intérêts flagrant. Les effets néfastes désastreux du sérum d’ARNm expérimental ne sont reconnus que maintenant, alors que nombreux sont ceux qui s’attendent à juste titre à ce que les responsables de ces décisions soient tenus responsables devant un tribunal indépendant.

Il semble donc pour le moins absurde que l’on veuille désormais donner un pouvoir de décision contraignant à l’OMS, alors que dans sa gestion de la récente urgence pandémique et de la campagne de vaccination, le plus grand mal a été fait en termes de nombre de décès et de patients dont la santé a subi des dommages permanents. Outre l’impunité dont elle jouit pour les crimes qu’elle a commis grâce au silence des grands médias, l’OMS a également une discrétion totale sur la manière de répondre aux urgences à venir qui sont manifestement planifiées par le lobby pharmaceutique. La marginalisation des personnels de santé qui font appel au serment d’Hippocrate risque de devenir la norme par laquelle éliminer toute voix dissidente.

À cet égard, il est significatif que les Nations qui s’opposent au Nouvel Ordre Mondial – comme la Russie et le Brésil – soient conscientes des conséquences très graves que la ratification de ces résolutions entraînerait, et pour cette raison, elles s’opposent à leur approbation. Au cours de son mandat, le président Trump a également envoyé un signal sans équivoque en arrêtant le financement du Trésor américain à l’OMS. C’est l’une des raisons pour lesquelles l’État profond a bloqué sa réélection en 2020, soutenant un individu compromis et corrompu dont le fils Hunter est impliqué dans le financement de biolabs américains en Ukraine.

J’exprime donc tout mon soutien aux citoyens — en particulier scientifiques, médecins et juristes — qui dénoncent cette menace à la souveraineté nationale des Nations adhérentes, et qui demandent que la lumière soit faite sur les événements passés et sur les conséquences que les décisions de l’OMS ont causé pour la santé de la population mondiale. J’exhorte les chefs d’État et de gouvernement qui seront appelés à s’exprimer sur la ratification de ces résolutions à les rejeter, car elles sont contraires au bien commun et destinées à réaliser le coup d’État mondial que l’OMS et le FEM ont planifié depuis des années sous les noms de l’Agenda 2030 et de la Grande Réinitialisation. La gouvernance mondiale de la santé est l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial, comme l’ont clairement indiqué des experts faisant autorité qui ne sont pas compromis avec le système, et en tant que telle, elle doit être rejetée et combattue. La logique de contrôle, de profit et de pathologisation de masse doit être remplacée par une politique de santé publique qui a pour objectif premier la santé des citoyens et la protection de leurs droits inaliénables.

Le Saint-Siège — qui est Observateur permanent auprès des Nations Unies et également de l’OMS depuis un an maintenant — a le devoir de réaffirmer le droit des individus d’accepter ou de refuser des traitements de santé, en particulier face au danger concret d’effets indésirables, encore en partie inconnues, de ce traitement génétique expérimental. Et si jusqu’à présent Bergoglio et sa cabale se sont livrés aux délires de Gates, Schwab et Soros, le moment est venu pour l’Église catholique de défendre les plus faibles, les enfants à naître, les enfants et les personnes âgées sans défense, ainsi que ceux qui ont ont été victimes de chantage par le cynisme d’hommes d’affaires et de conspirateurs afin de les forcer à être inoculés avec un sérum contaminé par des lignées cellulaires de fœtus avortés. Le silence conspirateur actuel du Vatican, après les déclarations hâtives qu’il a faites au début de la pandémie et ses approbations honteuses de BigPharma, sera imputé à la condamnation du Sanhédrin romain, qui s’est rendu complice d’un crime contre Dieu et homme. Jamais dans toute l’histoire la Hiérarchie ne s’est prostituée au pouvoir temporel d’une manière aussi servile et abjecte. Prions pour que certains évêques trouvent le courage de se distancer de la ligne collaborationniste de Bergoglio et trouvent les mots pour ouvrir les yeux de ces braves gens qui ont jusqu’à présent été trompés par la propagande mondialiste.

Mgr Carlo Maria Viganò (signature)

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

21 mai 2022




La « variole du singe » comme possible effet secondaire de « vaccins » anti-Covid ?

[Source : planetes360.fr]

Miles Guo lanceur d’alerte chinois :

« La variole du singe n’est qu’une excuse ! C’est le désastre des vaccins Covid, Il a été causé à 100 % par les vaccins Covid ! Les éruptions cutanées sont les conséquences des vaccins Covid ! »


[Source : cosmopolitan.fr]

Vaccin contre le Covid-19 : un nouvel effet secondaire dangereux pour la peau ?

Par ELISE POIRET 09/02/2022

Une étude menée par des scientifiques turcs atteste que sept personnes ont développé une pathologie rare de la peau après la vaccination contre le Covid-19.

Plus d’une personne sur dix fait état d’effets secondaires liés à la vaccination contre le Covid-19, selon l’Agence européenne des médicaments. Si beaucoup souffrent de maux de tête, de fièvre ou encore de douleurs à l’endroit de l’injection, certains auraient aussi développé des symptômes cutanés.

Vaccin contre le Covid-19 : une maladie rare de la peau chez certains patients

Une récente étude publiée dans l’International Journal of Dermatology a mis en lumière ce qui semblerait être un nouvel effet indésirable lié à la vaccination contre le Covid-19. En effet, selon les recherches menées par des scientifiques turcs, plusieurs patients vaccinés auraient développé une maladie rare de la peau, appelée pemphigoïde bulleuse.

Qu’est-ce que la pemphigoïde bulleuse ?

La pemphigoïde bulleuse est une maladie bulleuse de la peau, qui se caractérise par des bulles (ou cloques), en général de grande taille, se développant sur une peau rouge (cela ressemble de l’urticaire ou à de l’eczéma), informe la société française de dermatologie. Le nombre de bulles présentes sur la peau est variable d’un individu à l’autre. Parfois, il peut même ne pas y en avoir, ce qui rend le diagnostic plus compliqué. Les patients atteints de cette maladie souffrent aussi de démangeaisons.

La pemphigoïde bulleuse est une maladie auto-immune, ce qui signifie qu’elle est, comme toutes les pathologies auto-immunes, liée « à la fabrication anormale par l’organisme d’anticorps dirigés contre soi-même », explique la SFD. Ce phénomène touche essentiellement la peau et notamment le corps et les membres, plus rarement le visage. La maladie peut aussi toucher les muqueuses (buccales et génitales) mais cela concerne moins de 10% des cas. Elle n’est ni contagieuse, ni héréditaire.

Cette pathologie affecte majoritairement les personnes âgées de plus de 70 ans.

Quel lien entre la pemphigoïde bulleuse et le vaccin contre le covid-19 ?

Les recherches dirigées par les scientifiques turcs mettent en avant les cas de sept personnes ayant développé la maladie bulleuse, quatre à six semaines après avoir reçu leur première, deuxième ou troisième injection de vaccin contre le Covid-19. À noter qu’il s’agit de personnes âgées.

Parmi les sept patients, quatre d’entre eux ont développé l’affection pour la première fois. Tandis que les trois autres ont eu un épisode récurrent après leur vaccination. « Dans deux des quatre cas d’apparition de la maladie, la pemphigoïde bulleuse a été observée après la deuxième dose de CoronaVac à virus inactivé. Pour les deux autres, cela s’est produit après leur troisième dose, pour laquelle ils ont reçu une première dose du vaccin Pfizer-BioNTech », indiquent les chercheurs. Avant d’ajouter : « La période de latence de la nouvelle pemphigoïde bulleuse variait de 2 semaines à 1 mois après la vaccination, alors qu’elle était aussi courte qu’une semaine après la première dose chez un patient présentant une exacerbation post-vaccinale. » Selon l’étude, l’état de la peau des patients s’est amélioré grâce à un traitement.

Les scientifiques sont tout de même prudents. À ce jour, ils ne peuvent établir un lien définitif entre la maladie et les vaccins contre le Covid-19. Ils estiment que d’autres recherches sur le sujet doivent encore être menées.


Par Joseph Stroberg

D’après les expérimentations et démonstrations de chercheurs qui suivent réellement la démarche scientifique (mais pas la mauvaise cuisine des virologues et autres microbiologistes), comme Stefan Lanka, les virus ne sont pas la cause des maladies, mais sont produits naturellement par les cellules qui subissent une agression (par des toxines chimiques ou d’autres facteurs agressifs ou stressants) ou une déficience plus ou moins grave en nutriments. Voir :

La théorie des exosomes contre celle des virus
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Démontage de la théorie virale
VIRUS TUEUR ??
L’enterrement de la théorie virale
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva – Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
Sur la contagion :
Parlons contamination
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions
Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes
Ebola : briser les mensonges et la supercherie

Alors pourquoi les militaires s’acharnent-ils à modifier des virus (en fait « exosomes ») pour en faire des armes biologiques ?

Parce qu’ils se fient aux croyances de virologues et autres prétendus experts des germes, des virus ou des épidémies (qui pourtant n’adoptent jamais intégralement les méthodes rigoureuses de la science, mais se contentent de reproduire ce que Big Pharma leur a enseigné lors de leurs études universitaires).
Et peut-être parce qu’accessoirement les récipients contenant les exosomes modifiés pour espérer en faire des armes bactériologiques contiennent au moins une partie des toxines qui sont à l’origine de la production de ces derniers et que ces toxines continuent à produire des effets néfastes sur la santé si elles entrent en contact avec des organismes vivants.




Stop au coup d’État de l’OMS contre la démocratie !

Appel de R FJ Kennedy et son association CHD Children Health Defense(([1] Children’s Health Defense • Help Children’s Health Defense and RFK, Jr. end the epidemic of poor health plaguing our children. (childrenshealthdefense.org) )): nous devons stopper l’accord !

« Pensez-vous qu’il n’y a pas pire que le Great Reset ? Eh bien si !

Il y a le Great Reset associé au traité que l’OMS veut imposer partout et à tout prix…

La raison effrayante pour laquelle ils ne déclareront pas la fin de la pandémie. »

Alerte d’action : C’est maintenant ou jamais. Nous devons STOPPER L’OMS

#StopTheTreaty.(([2] Action Alert: It’s Now or Never. We Must #StopTheTreaty. • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) )) World Freedom Declaration—Health Freedom Defense Fund

Déclaration d’opposition aux modifications apportées par l’OMS au Règlement sanitaire international — Health Freedom Defense Fund(([3] Déclaration d’opposition aux modifications apportées par l’OMS au Règlement sanitaire international — Health Freedom Defense Fund))

La souveraineté des nations individuelles et les droits fondamentaux des citoyens garantis par la constitution sont en jeu.

Le 28 mai 22, l’organe directeur de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), se réunit pour discuter des modifications proposées au Règlement sanitaire international (RSI) existant à partir de 2005.(([4] Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France (francesoir.fr) ))

Où en était-on en 2020 :

« Monsieur Perronne fait radicalement fausse route comme d’ailleurs la plupart “des gens normaux” qui pensent que Boris Johnson s’est retrouvé à côté de la plaque ou encore qu’Agnès Buzyn et son Comité scientifique “se sont retrouvés dépassés”.

En réalité, les gouvernements de la planète n’ont commis aucune erreur même si c’est ce qu’ils voudraient bien nous faire croire. Ils n’ont fait que suivre les consignes qui leur étaient données par le Conseil Mondial par le biais de l’OMS sous l’emprise totale des eugénistes et malthusiens tels que Bill Gates ou David Rockefeller ».

Les évènements nous ont montré que l’auteur de l’article du Saker(([5] Tribune : Inspiré du « Décryptage de la Pandémie de Covid-19 : un exercice d’ingénierie sociale machiavélique » d’après Amar − Septembre 2020 sur Saker francophone)) que nous citions dans France soir avait complètement raison et que ce dont on parle aujourd’hui n’est que la continuité de ce qui est en marche depuis 2005.

Le conseil mondial de l’OMS : 194 états dans le monde ont ratifié le Règlement Sanitaire International (RSI – 2005) de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

Ce règlement prévoyait déjà :

« en cas de crise sanitaire majeure, tous les états membres s’engagent à respecter toutes les consignes émanent du Conseil Mondial et à faire en sorte que toutes ces consignes priment sur les lois et les codes juridiques des états ».

Et il semble bien que ce soit exactement ce qui s’est passé et continue plus ou moins à se passer car quelques états ont néanmoins résisté comme la Suède, les Pays-Bas et la Biélorussie.

Règlement Sanitaire International :

Nous écrivions : cet instrument contraignant de droit international est entré en vigueur le 15 juin 2007.

Actuellement les gouvernements mondialistes réunis à Davos veulent renforcer le pouvoir de l’OMS en cas de pandémie… et vous savez que déclarer une pandémie dépend de leur bon vouloir et que les critères changent au gré de leurs désirs.

Ces règlements sont destinés à servir de fondement à un traité sur la pandémie qui favoriserait un « gouvernement mondial unique » au nom de la santé publique.

Les représentants de 194 pays, dont les États-Unis, décideront bientôt s’il convient d’accorder à l’OMS le pouvoir de gérer les futures pandémies à l’échelle mondiale, y compris le pouvoir de sanctionner les pays qui ne s’y conforment pas. Malheureusement, l’administration Biden est sur le point de céder le contrôle ultime du système de santé américain et de s’exonérer de toute responsabilité.(([6] https://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/WHA75/A75_18-fr.pdf))

Il faut néanmoins noter que plusieurs états dont la Floride aux USA refusent cet ukase des quelques milliers de puissants milliardaires et chefs d’État réunis à Davos.

Docteur Hamelin Md sur tweeter le 25 mai 2022

« Déjà la Russie, le Brésil, la Floride rejettent le Projet de souveraineté supra nationale de l’OMS Et 12/13 amendements requis par l’OMS sont retirés du Projet sous pression de pays adhérents Fox News alerte les sur le risque d’une perte de souveraineté sanitaire. Et les Media ? »

Plusieurs nouveaux amendements proposés par l’administration Biden élargiraient l’autorité et les ressources de l’OMS aux dépens des contribuables américains. Les modifications apportées aux articles 2, 3 et 5 de l’article 12 de l’IRH, qui traitent de la « détermination d’une urgence de santé publique de portée internationale, d’une urgence de santé publique de portée régionale ou d’une alerte sanitaire intermédiaire, sont particulièrement préoccupantes. »

Ces modifications permettraient à l’OMS de déclarer unilatéralement une urgence de santé publique.

Pour les citoyens américains, cela signifie qu’une urgence de santé publique pourrait être déclarée par un responsable non élu, permettant aux Centers for Disease Control and Prevention (CDC) de détenir, d’examiner et potentiellement de soigner les Américains soupçonnés d’être malades.

L’OMS aurait le pouvoir d’introduire des systèmes de surveillance, des mesures de conformité et la mise en œuvre de la réponse médicale dans le monde entier.

C’est une violation à la fois des droits inaliénables des individus et de la souveraineté des nations. Cela supprimerait également la transparence et la responsabilité, car l’OMS est à l’abri de toute forme de procédure judiciaire.

Tedros et ses successeurs (donc leur propriétaire B. Gates, Fauci et le WEF) auront tous les pouvoirs sur les peuples en s’affranchissant de l’accord des États pour déclarer les états d’urgence pandémiques et nous savons ce que cela veut dire depuis la crise Covid-19.

15 mai 2022·Twitter

@SoloBucketpond 15 mai L’article 12 donnerait pouvoir TOTAL au directeur de l’OMS (Tedros) de déclarer une pandémie SANS l’accord des chefs d’État des pays membres, ce qui est encore le cas à présent. Tedros s’arrogerait le droit de déclarer un état d’urgence mondial même si les critères n’étaient pas réunis et que les États membres n’étaient pas d’accord !

Les points 6 et 7 n’existent pas et sont rajoutés pour accroître encore plus leur pouvoir sur nous !

Article 59 : l’OMS retire le droit d’amender ce texte, donc à accepter tel quel ou à rejeter, ce qui est inédit ! Ils ne veulent pas que des modifications y soient apportées. Le totalitarisme sans aucune limite.

Et le délai de rétractation/rejet passe de 18 mois à 6 mois… (mare seau sur twitter 15 mai)

Normalement le texte proposé en mai 2022 aurait dû être proposé aux états quatre mois plutôt, mais ce n’était pas le vœu de Tedros ni du WEF [Forum Économique Mondial]

Le traité de l’OMS induirait la création d’un identifiant, un QR code numérique mondial. Le contrat a été passé par l’OMS à T-Systems, filiale de Deutsche Telekom. Voici la preuve qu’ils veulent nous surveiller comme du bétail. (philippe Murer sur twitter) :

NOUS NE POUVONS PAS PERMETTRE CET ABUS DE POUVOIR, VÉRITABLE COUP D’ÉTAT CONTRE LES DÉMOCRATIES

L’OMS triche

En redéfinissant une pandémie, l’OMS a affirmé que la grippe porcine était une grave crise de santé publique et a fait pression sur les gouvernements pour qu’ils acceptent un vaccin qui causait la narcolepsie et d’autres effets secondaires graves.

Pendant la pandémie de COVID, l’OMS a supprimé le traitement précoce et a encouragé l’utilisation d’interventions médicales qui n’étaient ni sûres ni efficaces.

« L’OMS a également lancé une campagne agressive et globale de “désinformation” qui a abouti à une censure flagrante, imposant le silence de la dissidence. Cette suppression du discours a bloqué des solutions potentielles qui auraient pu sauver d’innombrables vies ».

S’il était adopté, le Traité sur la pandémie proposé par l’OMS sera la fin pour l’autonomie corporelle et la souveraineté nationale. Nous devons agir maintenant pour #StopTheTreaty en exprimant notre opposition aux modifications du Règlement sanitaire international.

Remplissez le formulaire ci-dessous pour contacter vos élus au niveau des États et au niveau fédéral

et leur faire savoir que nous sommes dans ce schéma mondial corrompu et que nous ne resterons pas les bras croisés ou ne nous conformerons pas.

Signez la « Déclaration mondiale de la liberté » créée par nos amis du Health Freedom Defense Fund.

La Déclaration stipule :

« en tant que citoyens du monde, nous défendons les droits, les libertés et la vie privée de tous les membres de la communauté mondiale en appelant au rejet des amendements du RSI et à la tentative de l’OMS d’usurper le pouvoir et l’autorité de la politique de santé de sa place légitime — chez elle parmi les peuples ».

Nous ne pouvons pas nous permettre de centraliser le pouvoir sous l’égide d’une organisation mondiale de santé publique qui ne reconnaît pas les avantages de l’immunité naturelle, suggère que les vaccins sont le seul moyen de mobiliser l’immunité et s’est éloignée de la science, de la transparence et de la responsabilité. La santé publique est maintenant utilisée comme un moyen d’enchâsser des mesures tyranniques qui ne protégeront pas notre santé et réussiront à nous enlever notre autonomie. C’est un moment de liberté « utilisez-le ou perdez-le ».

Il y a urgence, agissez maintenant.

Inscrivez-vous pour recevoir gratuitement des nouvelles et des mises à jour de Robert F. Kennedy, Jr. et de la Children’s Health Defense. CHD met en œuvre de nombreuses stratégies, y compris juridiques, dans le but de défendre la santé de nos enfants et d’obtenir justice pour ceux qui ont déjà subi des complications. Votre soutien est essentiel à la réussite de la mission de CHD.

NOUS DEVONS STOPPER L’ACCORD

Déclaration pour la Liberté Mondiale

Nous, soussignés, nous opposons aux amendements proposés au Règlement sanitaire international (RSI), une tentative de mettre en œuvre l’équivalent en matière de santé publique d’un « gouvernement mondial unique », en violation des droits inaliénables et de la souveraineté des nations et des citoyens.

Déclaration d’opposition aux modifications apportées par l’OMS au Règlement sanitaire international

Les amendements au RSI doivent être votés lors de la 75e Assemblée mondiale de la santé, qui débutera le 22 mai 2022. S’ils sont acceptés, les amendements au Règlement sanitaire international entreront en vigueur dans les six mois pour tous les États membres qui les auront ratifiés et seront juridiquement contraignants pour ces États membres.

Adoptés en 2005, les RSI existants respectent la souveraineté de toutes les nations membres. Les amendements proposés, cependant, élargiraient et codifieraient l’autorité de l’OMS pour mettre en œuvre des mandats de santé mondiale en violation directe de la souveraineté nationale et des droits des citoyens.

Ces propositions tentent d’éliminer l’autonomie législative d’une nation, en cas d’urgence de santé publique réelle ou supposée, en accordant à l’OMS un pouvoir unilatéral d’évaluation et de détermination d’une urgence sanitaire et en donnant à l’OMS le pouvoir de dicter les politiques et les réponses.

Tout cela fait suite à la crise du COVID-19, au cours de laquelle l’OMS a grossièrement mal géré toutes les facettes de la réponse sanitaire mondiale en encourageant les blocages destructeurs de l’économie, en supprimant les traitements préventifs précoces et en recommandant des interventions sur les produits qui ne se sont révélées ni sûres ni efficaces.

Sous le couvert de règlements sanitaires, ces amendements permettraient à l’OMS de s’emparer des pouvoirs de gouvernance exécutifs sur les États membres, accordant des pouvoirs de direction à des bureaucrates non élus et non responsables.

Vous trouverez ci-dessous quelques-unes des nombreuses dispositions ambiguës et préoccupantes des amendements proposés par le ministère américain de la Santé et des Services sociaux (US Department of Health & Human Services) le 18 janvier 2022.

Le nouveau texte proposé est affiché en gras et souligné, et les suppressions proposées du texte existant sont affichées en barré, exactement comme elles sont écrites dans la proposition. Tous les autres textes restent inchangés.

Article 5 : Surveillance

NOUVEAU 5 : L’OMS élabore des critères d’alerte rapide pour évaluer et mettre à jour progressivement le risque national, régional ou mondial que représente un événement de causes ou de sources inconnues…

Dans la pratique, cela donnerait à l’OMS l’autorité unilatérale de mettre en place un système universel de surveillance de la santé sans examen public ni transparence, laissant ouverte la possibilité de sources fabriquées.

Article 9, section 1

L’OMS peut prendre en compte des rapports provenant de sources autres que des notifications ou des consultations ; elle évalue ces rapports selon les principes épidémiologiques établis et communique ensuite des informations sur l’événement à l’État Partie sur le territoire duquel l’événement est censé se produire. Avant de prendre toute mesure fondée sur ces rapports, l’OMS consulte l’État Partie sur le territoire duquel l’événement est censé se produire et tente d’obtenir une vérification de sa part conformément à la procédure énoncée à l’article 10.

Cette suppression de l’article 9 élimine les consultations avec l’État membre lors d’une « prétendue » urgence sanitaire tout en plaçant l’OMS en position de dicter la manière dont un État Partie doit procéder à l’intérieur de ses propres frontières territoriales. Cela constitue une menace pour la souveraineté nationale et l’autodétermination.

Article 10, section 4

Si l’État Partie n’accepte pas l’offre de collaboration dans les 48 heures, l’OMS peut, lorsque l’ampleur du risque pour la santé publique le justifie, partager immédiatement avec d’autres États Parties les informations dont elle dispose, tout en encourageant l’État Partie à accepter l’offre de collaboration de l’OMS.

Toute nation qui rejette la déclaration de l’OMS n’aura que 48 heures pour reconsidérer sa position et se conformer à celle-ci, ou faire l’objet de pressions de la part d’autres nations et/ou de pénalités telles que des sanctions économiques. L’avis de la nation concernée ne sera plus pris en compte.

Article 12, section 2

Si le Directeur général estime, sur la base d’une évaluation effectuée en vertu du présent Règlement, qu’il se produit une urgence de santé publique de portée internationale, potentielle ou réelle, il en informe tous les États Parties et cherche à consulter l’État Partie… Si le Directeur général détermine et si l’État Partie est d’accord sur cette détermination que l’événement constitue une urgence de santé publique de portée internationale, le Directeur général, conformément à la procédure énoncée à l’article 49, demande l’avis du Comité établi en vertu de l’article (« Comité d’urgence ») sur les recommandations temporaires appropriées.

L’article 12 crée une nouvelle sous-classe d’urgence sanitaire habilitant le directeur général de l’OMS à déclencher unilatéralement les protocoles de pandémie sur la base de la simple supposition d’une menace « potentielle ». La stipulation selon laquelle une nation doit être d’accord avec l’évaluation du secrétaire général est éliminée. Des bureaucrates distants seraient habilités à promulguer une politique de santé non seulement sur des nations entières, mais aussi, par extension, sur des individus, sans tenir compte des souhaits de la nation ou du peuple.

Nouveau chapitre IV (article 53 bis-quater) : Le Comité de conformité

1. Les États Parties établissent un comité d’observation qui est chargé de : (a) Examiner les informations qui lui sont soumises par l’OMS et les États Parties concernant le respect des obligations découlant du présent Règlement ; (b) Contrôler, prodiguer des conseils et/ou faciliter l’assistance sur les questions relatives au respect des règles en vue d’aider les États Parties à se conformer aux obligations découlant du présent Règlement.

L’un des changements les plus insidieux des amendements au RSI est la création d’un « comité de conformité » qui servira de mécanisme administratif et d’application pour garantir que les États se conforment aux directives d’urgence de l’OMS concernant les infrastructures, les dépenses d’investissement, la collecte d’informations et la mise en œuvre de mesures d’urgence.

  • En résumé, les amendements au RSI permettraient, entre autres changements : Intensifier la surveillance de tous les pays et de leurs citoyens.
  • Donner à l’OMS le pouvoir de dire aux autres États membres quand un État membre ne fait pas de déclaration et de lancer des actions punitives.
  • Accorder au directeur général de l’OMS le pouvoir de déclarer quand et où une pandémie ou une « prétendue » urgence se produit en utilisant des sources non divulguées.
  • Conférer au directeur général des pouvoirs illimités pour définir et mettre en œuvre des interventions.
  • Donner à l’OMS la possibilité d’accéder à des capitaux et de les mobiliser en cas de pandémie.

Cette prise de pouvoir de l’OMS, de ses donateurs et des parties prenantes représente une attaque directe contre la souveraineté politique et économique de toutes les nations et de leurs citoyens.

En manquant de façon répétée à ses obligations envers les populations du monde entier par la promotion de politiques qui ont causé des dommages économiques, sociaux, physiques, émotionnels et mentaux catastrophiques dans le monde entier, l’OMS a failli à sa mission d’intendant mondial de la santé publique et ne peut plus être chargée de définir des politiques pour les citoyens du monde.

Pour ces raisons, l’OMS ne devrait pas se voir attribuer plus d’argent, de pouvoir ou d’autorité, ni être autorisée à contrôler l’agenda sanitaire mondial, ni à mettre en œuvre des mesures de biosécurité qui ne répondent pas aux besoins des populations.

Les accords mondiaux négociés par des bureaucrates non élus et non responsables ne doivent jamais être autorisés à gouverner une nation.

Il est impératif que chaque nation et territoire conserve sa souveraineté, surtout en période de crise, afin que l’ensemble de la communauté mondiale puisse être protégée des politiques dirigées au niveau mondial qui profitent aux grands acteurs financiers et idéologiques.

Les soussignés demandent respectueusement que toutes les nations et leurs représentants répudient de tels accords.

Nous nous opposons fermement aux amendements actuels du RSI qui exigeraient des nations et de leurs citoyens qu’ils adhèrent aux diktats d’un organisme mondial non responsable.

Nous nous opposons à toute participation à un traité, un accord ou tout autre document mondial juridiquement contraignant qui entraverait la souveraineté d’une nation dans le domaine de la santé publique.

Nous affirmons que les nations et leurs habitants sont les mieux placés et les mieux équipés pour prendre des décisions appropriées en matière de santé.

Nous demandons que les peuples de chaque nation soient chargés de déterminer leur réponse aux crises sanitaires.

En tant que citoyens du monde, nous exigeons le respect des droits, des libertés et de la vie privée de tous les membres de la communauté mondiale en rejetant les amendements au RSI et la tentative de l’OMS d’usurper le pouvoir et l’autorité de la politique de santé de la place qui lui revient, chez elle, parmi les gens.

Agissez dès maintenant en envoyant un courriel ou en téléphonant à votre président, Premier ministre, députés, sénateurs, représentants et autres fonctionnaires pour leur demander respectueusement de rejeter les amendements au RSI. Vous pouvez trouver des numéros de téléphone et des adresses électroniques en effectuant une recherche sur Internet. Veuillez partager cette information avec toutes les personnes que vous connaissez !

Le 18 mai 2022, cette déclaration a été rédigée et signée par,

Leslie Manookian
Health Freedom Defense Fund





Démontage de la théorie virale

[Source : drrobertyoung.com]

Par Robert O Young DSc, PhD, Praticien naturopathe

L’existence des virus de la polio, de la rougeole, du VIH, du CMV, de l’EBV, de l’hépatite C, de l’Ebola, de la grippe, du Zika et maintenant du coronavirus [SRAS-CoV-2] a-t-elle été démontrée et scientifiquement prouvée ?

Le premier isolement d’un virus a été réalisé en 1892 par le chasseur de bactéries russe Dimitri Iwanowski, qui a recueilli du liquide provenant de plants de tabac malades. Il a fait passer ce liquide à travers un filtre suffisamment fin pour retenir les bactéries. Pourtant, à la surprise d’Iwanowski, le filtrat exempt de bactéries rendait facilement malades les plantes saines. En 1898, un botaniste néerlandais, Martinus Willem Beijerinck, répétant l’expérience, a également reconnu l’existence d’une cause invisible et a nommé l’agent infectieux « virus de la mosaïque du tabac ». La même année que le rapport de Beijerinck, deux scientifiques allemands purifiaient un liquide contenant des virus filtrables qui provoquaient la fièvre aphteuse chez les bovins (les virus étaient à une époque appelés « virus filtrables », mais le terme « filtrable » a fini par s’appliquer uniquement aux virus et a été abandonné). Walter Reed a suivi en 1901 avec un filtrat responsable de la fièvre jaune, et bientôt des dizaines d’autres virus pathogènes ont été découverts.

En 1935, un autre Américain, Wendell M. Stanley, est revenu au point de départ et a créé des cristaux purs du virus de la mosaïque du tabac à partir d’une solution liquide filtrée. Il a affirmé que ces cristaux pouvaient facilement infecter les plantes, et a conclu qu’un virus n’était pas un organisme vivant, puisqu’il pouvait être cristallisé comme du sel tout en restant infectieux. Par la suite, les bactériologistes du monde entier ont commencé à filtrer les virus, et un nouveau domaine de la biologie est né : la virologie.

Historiquement, la science médicale a hésité sur la question de savoir si un virus est vivant. À l’origine, il était décrit comme non vivant, mais on dit actuellement qu’il s’agit d’une molécule extrêmement complexe ou d’un micro-organisme extrêmement simple, et on le qualifie généralement de parasite ayant un cycle de vie. (Le terme « tué » est appliqué à certains vaccins viraux, ce qui implique une conviction officielle que les virus vivent). Généralement composés de noyaux d’ADN ou d’ARN recouverts de protéines [ou d’une membrane lipidique], et n’ayant aucune capacité de reproduction intrinsèque, les virus dépendent de l’hôte pour leur réplication. Ils doivent utiliser les acides nucléiques des cellules vivantes qu’ils infectent pour reproduire leurs protéines (c’est-à-dire inciter l’hôte à les produire), qui sont ensuite assemblées en de nouveaux virus comme des voitures sur une chaîne de montage. Théoriquement, c’est leur seul moyen de survivre et d’infecter de nouvelles cellules ou de nouveaux hôtes.

La théorie du virus qui se réplique

On a ensuite découvert que, lorsque les bactéries commencent à mourir lentement, elles créent de minuscules formes de survie, apparemment sans vie, appelées spores. On a alors soupçonné que ces spores étaient toxiques et qu’il s’agissait de ce qu’on appelle des poisons pathogènes. Cela a ensuite été réfuté, car les spores se transforment rapidement en bactéries lorsque leurs ressources vitales sont restaurées. Lorsque les scientifiques ont observé en laboratoire que les bactéries faibles et très consanguines périssaient très rapidement en se transformant en structures beaucoup plus petites que les spores, on a d’abord cru que les bactéries étaient tuées par les prétendus poisons pathogènes, appelés virus, et que les virus se répliquaient ainsi.

La micrographie ci-dessus a été réalisée à l’aide de la microscopie à fond noir et montre les globules rouges et l’évolution des phages bactériens et des spores bactériennes (les taches blanches de la transformation biologique des globules rouges).

L’invention des virus bactériens

Comme on croyait que ces structures — encore invisibles à l’époque de leur découverte — tuaient les bactéries, on les a appelées phages/bactériophages, « mangeurs de bactéries ». Ce n’est que plus tard que l’on a découvert qu’il était possible de transformer en phages des bactéries hautement consanguines et donc presque non viables, ou des bactéries qui sont détruites si rapidement qu’elles n’ont pas le temps de former des spores.

L’introduction de la microscopie électronique a permis de découvrir les structures résultant de la transformation biologique ou du pléomorphisme des bactéries lorsque celles-ci mouraient soudainement ou lorsque le métabolisme des germes hautement consanguins était dépassé par des processus déclenchés par l’ajout de « phages ». On a également découvert qu’il existe des centaines de types de « phages » d’apparence différente. La découverte des phages, les « virus » bactériens, a renforcé l’hypothèse erronée et la croyance qu’il existait des virus humains et animaux qui se ressemblaient et avaient la même structure. Ce n’est pas et ne peut pas être le cas, pour plusieurs raisons différentes.

Après avoir introduit les techniques d’examen chimique en biologie, on a découvert qu’il existe des milliers de types de phages et que les phages d’un même type ont toujours la même structure. Ils sont constitués d’une molécule particulière, faite d’acide nucléique, qui est recouverte d’une enveloppe de protéines d’un nombre et d’une composition donnés. Ce n’est que plus tard que l’on a découvert que seules les bactéries qui avaient été fortement consanguines dans le tube à essai pouvaient se transformer en phages elles-mêmes, par contact avec des phages, mais que cela ne s’appliquait jamais aux bactéries naturelles ou aux bactéries qui venaient d’être isolées de leur environnement naturel. Au cours de ce processus, on a découvert que ces « virus bactériens » servent en fait à fournir à d’autres bactéries des molécules et des protéines importantes, et que les bactéries elles-mêmes ont émergé de ces structures.

Avant que l’on puisse établir que les « virus bactériens » ne peuvent pas tuer les bactéries naturelles, mais qu’ils les aident au contraire à vivre et que les bactéries elles-mêmes émergent de ces structures, ces « phages » étaient déjà utilisés comme modèles pour les prétendus virus humains et animaux. On supposait que les virus humains et animaux ressemblaient aux « phages », qu’ils tuaient prétendument les cellules et provoquaient ainsi des maladies, tout en produisant de nouveaux poisons pathogènes et en transmettant ainsi les maladies. À ce jour, de nombreuses maladies nouvelles ou apparemment nouvelles ont été attribuées à des virus dont l’origine est inconnue ou non reconnue.

Ce réflexe a trouvé une confirmation apparente dans la découverte des « virus bactériens ».

Il est important de noter que les théories de la lutte et de l’infection n’étaient acceptées et louées par une majorité de spécialistes que si et quand les pays ou régions où ils vivaient souffraient également de la guerre et de l’adversité. En temps de paix, d’autres concepts dominaient le monde de la science [272].

Il est très important de noter que la théorie de l’infection — partant de l’Allemagne — n’a été mondialisée que par le troisième Reich, lorsque les chercheurs juifs, dont la plupart s’étaient opposé et avaient réfuté les théories de l’infection exploitées politiquement, ont été démis de leurs fonctions [273].

La détection des phages et la transformation biologique —L’existence des phages peut être prouvée rapidement.

Phage bactérien naissant d’une cellule du sang et/ou du corps. Un processus biologique connu sous le nom de pléomorphisme

Première étape : leur présence est confirmée par un effet, à savoir la transformation des bactéries en phages, et aussi par une micrographie électronique de ces phages. Les expériences de contrôle montrent que les phages n’apparaissent pas si les bactéries ne se transforment pas ou si les bactéries commencent aléatoirement à se décomposer en raison d’une annihilation soudaine extrinsèque, sans former de phages.

Les micrographies (micrographies n° 1 à n° 6) ci-dessus montrent la transformation cellulaire des globules rouges, par microscopie à contraste de phase, en bactéries à bâtonnets, en bactéries à paroi cellulaire déficiente, en levure de forme Y, puis en bactéries phages.

Deuxième étape : le liquide contenant les phages est concentré et appliqué sur un autre liquide, qui a une forte concentration au fond du tube à essai et une faible concentration en haut du tube à essai. Le tube à essai contenant les phages est alors puissamment centrifugé et toutes les particules se rassemblent en fonction de leur masse et de leur poids à l’endroit de leur propre densité. La densité est le rapport du poids (masse) par unité de volume, exprimé respectivement en kg/l ou g/mg. C’est pourquoi cette étape de concentration et de purification des particules ayant la même densité est appelée centrifugation à gradient de densité.

La couche où se rassemblent de nombreuses particules de même densité devient « trouble », on l’appelle une « bande ». Cette étape est documentée, puis les particules concentrées, purifiées et sédimentées dans une « bande » sont extraites à l’aide d’une aiguille de seringue. La quantité concentrée de particules extraite est appelée un isolat. Une micrographie électronique simple et rapide confirmera la présence de phages dans l’isolat, ce qui est en même temps une indication de la pureté de l’isolat, si la micrographie ne montre aucune autre particule que les phages. L’apparence et le diamètre des phages seront également établis à l’aide de cette micrographie.

L’expérience témoin réalisée pour cette étape consiste à traiter et à centrifuger le liquide des bactéries qui n’ont pas formé de phages, où aucun phage n’apparaît à la fin de la procédure.

Après l’étape d’isolement réussi des phages vient la caractérisation biochimique décisive des phages. La caractérisation biochimique de leur composition est essentielle pour identifier le type spécifique de phage, car différents types de phages semblent souvent similaires. L’isolat obtenu par centrifugation en gradient de densité est maintenant divisé en deux parties. Une partie est utilisée pour déterminer la taille, le type et la composition de l’acide nucléique ; dans une procédure distincte, l’autre partie est utilisée pour déterminer la quantité, la taille et la morphologie des protéines des phages. Depuis les années 1970, ces tests sont des techniques standard simples que tout étudiant en biologie apprend au cours de son premier semestre.

Ces tests représentent la caractérisation biochimique des phages. Dans presque tous les cas, ces résultats ont été et sont publiés dans une seule publication, car un phage a une structure très simple qui est très facile à analyser. Les expériences de contrôle pour ces tests utilisent du liquide provenant de bactéries qui ne forment pas de phages et ne peuvent donc présenter aucune preuve biochimique. L’existence d’environ deux mille types différents de phages a été scientifiquement démontrée de cette manière.

Les virus dits pathogènes

https://www.drrobertyoung.com/post/there-is-no-evidence-of-the-existence-for-any-virus-isolated-by-anyone-anywhere-in-the-world

Les « bactériophages », définis à juste titre comme des mini-spores et des éléments constitutifs incomplets des bactéries, ont été isolés scientifiquement, tandis que les virus dits pathogènes n’ont jamais été observés chez l’homme ou l’animal ou dans leurs fluides corporels et n’ont jamais été isolés et ensuite analysés biochimiquement. À ce jour, aucun des chercheurs impliqués dans la recherche en virologie [à part Stefan Lanka] ne semble avoir réalisé ce point très important.

L’utilisation de la microscopie électronique et la biochimie revenaient très lentement à la normale après 1945 et personne ne s’était rendu compte qu’aucun virus pathogène n’avait jamais été isolé chez l’homme ou l’animal. Ainsi, à partir de 1949, les chercheurs ont commencé à appliquer la même idée que celle utilisée pour les phages (bactériophages), afin de répliquer les « virus » humains et animaux. John Franklin Enders, né en 1897 dans la famille d’un riche financier, a été actif dans diverses fraternités après avoir terminé ses études, puis il a travaillé comme agent immobilier et a étudié les langues étrangères pendant quatre ans avant de se tourner vers la virologie bactérienne, qui le fascinait. Il a ensuite simplement transposé les idées et les concepts qu’il avait appris dans ce domaine de recherche aux virus supposés pathogènes chez l’homme.

Des expériences et des interprétations non scientifiques ont donné naissance à la virologie

Avec ses expériences non scientifiques et ses interprétations qu’il n’a jamais confirmées par des contrôles négatifs, Enders a mené toute la médecine infectieuse « virale » dans une impasse. Il est important de noter à ce stade qu’Enders, comme de nombreux spécialistes des maladies infectieuses, travaillait pour l’armée américaine, qui a toujours été et reste à ce jour une grande victime de la peur des contagions. C’est principalement l’armée américaine qui a répandu sa croyance erronée selon laquelle, outre les armes chimiques, il existait également des armes biologiques sous la forme de bactéries et de virus.

En 1949, Enders annonça qu’il avait réussi à cultiver et à faire croître le prétendu virus de la polio in vitro sur différents tissus. L’expertise américaine a tout cru immédiatement. Ce qu’Enders a fait, c’est ajouter des fluides provenant de patients atteints de poliomyélite à des cultures de tissus qu’il prétendait avoir fait stériliser, puis il a prétendu que les cellules mouraient à cause du virus, que le virus se répliquait de cette manière et qu’un vaccin pouvait être récolté à partir de la culture respective. À cette époque, les épidémies de polio (polio = paralysie flasque) étaient très fréquentes en été et on pensait qu’elles étaient causées par le virus de la polio.

Un vaccin devait permettre d’éradiquer le prétendu virus. Après l’introduction du vaccin contre la polio, les symptômes ont été rediagnostiqués, entre autres, comme étant la sclérose en plaques, la paralysie flasque aiguë, la méningite aseptique, etc., et plus tard, on a prétendu que la polio avait été éradiquée. Au cours de ses expériences, Enders et coll. ont stérilisé les cultures de tissus afin d’exclure la possibilité que des bactéries tuent les cellules. Ce qu’il n’a pas pris en considération, c’est que la stérilisation et le traitement de la culture cellulaire lors de la préparation à l’infection présumée étaient exactement ce qui détruisait et tuait les cellules. Au lieu de cela, il a interprété les effets cytopathiques comme l’existence et l’action d’un soi-disant virus de la polio, sans jamais avoir isolé un seul virus et décrit sa biochimie.

Les expériences de contrôle négatif nécessaires, qui auraient montré que la stérilisation et le traitement des cellules avant l’« infection » dans le tube à essai tuaient les cellules, n’ont jamais été réalisées. Cependant, pour cette « performance », Enders a reçu le prix Nobel en 1954.

[Voir aussi :
VIRUS TUEUR ??
►Dossier Vaccins et virus et particulièrement :
Sur la thérie virale :
L’enterrement de la théorie virale
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva – Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
Sur la contagion :
Parlons contamination
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions
Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Sur les effets de la 5G et autres ondes pulsées :
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Rayonnements sans fil et ostéoporose
Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples
Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale
5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Questions relatives à la 5G
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Divers :
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Les Racines de nos Maladies
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Graphène et 5G]
]

L’invention du virus de la polio et « OUI » aussi du virus de la rougeole ! MAINTENANT, nous avons l’invention du coronavirus !

Le virus de la rougeole, un phage bactérien ou de simples débris cellulaires ?

1954 est également l’année où Enders a appliqué et introduit la même technique afin de répliquer prétendument le virus de la rougeole. Comme il avait reçu le prix Nobel pour le prétendu virus de la polio la même année, tous les chercheurs ont cru que sa technique était scientifiquement valable. Ainsi, jusqu’à présent, tout le concept de la polio et de la rougeole a été fondé sur cette technique non scientifique et sur cette fraude.

Ainsi, les vaccins contre la polio et la rougeole ne contiennent pas de virus, mais des particules de tissu rénal de singe mort ou de cellules cancéreuses humaines. À ce jour, aucune expérience de contrôle négatif n’a été réalisée sur les soi-disant virus de la polio et de la rougeole, ce qui aurait montré que ce sont les procédures de laboratoire qui ont entraîné les effets cytopathiques sur les cellules.

En outre, toutes les affirmations et expériences faites par Enders et coll. et les chercheurs ultérieurs conduisent à la seule conclusion objective, à savoir qu’ils observaient et analysaient en fait les particules ou fragments cellulaires et leur activité dans le tube à essai, les interprétant à tort comme des particules et des caractéristiques des prétendus virus de la polio et/ou de la rougeole.

Débris cellulaires PAS de soi-disant virus

TOUS les virus, qu’il s’agisse du VIH, de l’EBV, du CMV, de l’hépatite C, du virus du Nil occidental, de l’Ebola, de la rougeole, du Zika et maintenant du coronavirus, sont tous des virus fantômes — l’existence virale n’a JAMAIS été démontrée scientifiquement et jamais prouvée !

Un dessin 3D des soi-disant coronaviurs fantômes – https://www.drrobertyoung.com/post/there-is-no-evidence-of-the-existence-for-any-virus-isolated-by-anyone-anywhere-in-the-world

Les explications suivantes s’appliquent à tous les « virus pathogènes » (humains ou animaux). Les six articles fournis par le Dr Bardens au cours du « procès de la rougeole » comme preuve de l’existence du virus de la rougeole décrivaient de manière didactiquement idéale les différentes étapes de la chaîne d’interprétations erronées jusqu’à la croyance en l’existence d’un virus de la rougeole.

Le premier article a été publié en 1954 par Enders et coll. : « Propagation dans des cultures de tissus d’agents cytopathogènes provenant de patients atteints de rougeole » (Proc Soc Exp Biol Med. 1954 Jun ; 86 (2) : 277-286).

Cette publication peut être trouvée sur Internet, comme toutes les autres publications présentées lors du procès de la rougeole. Dans cette expérience, Enders et coll. ont considérablement réduit la quantité de solution nutritive et ont ajouté des antibiotiques destructeurs de cellules à la culture cellulaire avant d’introduire le liquide prétendument infecté. La mort subséquente des cellules a ensuite été interprétée à tort comme la présence et l’isolement du virus de la rougeole. Aucune expérience de contrôle n’a été réalisée pour exclure la possibilité que ce soit la privation de nutriments ainsi que les antibiotiques qui aient provoqué les effets cytopathiques.

L’aveuglement d’Enders et de ses collègues peut s’expliquer par le fait qu’il voulait vraiment aider les gens, alors que l’« hystérie virale » s’intensifiait après la guerre et pendant la guerre froide. Elle peut également s’expliquer par le fait qu’Enders et nombre de ses collègues n’avaient aucune idée de la médecine ou de la biochimie et qu’ils étaient en concurrence avec l’Union soviétique pour le développement du premier vaccin contre la rougeole. Une telle pression pour le succès peut également expliquer pourquoi Enders et ses collègues ont ignoré leurs propres réserves et mises en garde exprimées en 1954, lorsqu’ils avaient observé et noté que de nombreuses cellules mouraient également après avoir été traitées normalement (c’est-à-dire sans être « infectées »), ce qu’ils pensaient être causé par des virus inconnus et d’autres facteurs. Tous ces faits et mises en garde n’ont pas été pris en compte par la suite.

Le deuxième article présenté par le demandeur dans le « procès de la rougeole » a été publié en 1959 [274] et, pour les raisons présentées ci-dessus, les auteurs ont conclu que la technique introduite par Enders n’était pas appropriée pour l’isolement de TOUT virus. Non seulement cette réfutation n’est PAS discutée par TOUS les autres chercheurs, mais elle est complètement ignorée !

Le « dogme viral » des virus pathogènes est encore promu aujourd’hui !

Dans un troisième article [275], les auteurs ont photographié des particules cellulaires typiques à l’intérieur des cellules et les ont interprétées à tort comme étant le virus de la rougeole. Ils n’ont isolé aucun virus. Pour des raisons inexpliquées, ils n’ont pas réussi à déterminer et à décrire la structure biochimique de ce qu’ils présentaient comme un virus dans une expérience distincte. Dans la brève description des méthodes utilisées, on peut lire que les auteurs n’ont pas appliqué la technique standard d’isolement des virus, à savoir la centrifugation en gradient de densité. Ils ont simplement centrifugé des fragments de cellules mortes au fond d’un tube à essai et ensuite, sans décrire leur structure biochimique, ils ont interprété à tort les débris cellulaires comme des virus.

Débris cellulaires PAS de soi-disant virus

De la manière dont les expériences ont été réalisées, on ne peut que conclure que des particules cellulaires ont été interprétées à tort comme des virus. Nous retrouvons la même situation dans la quatrième [276] et la sixième [277] publication avancée par le demandeur comme preuve de l’existence d’un virus de la rougeole. La cinquième publication [278] est une revue décrivant le processus de consensus quant aux molécules d’acide nucléique provenant des cellules mortes qui représenteraient le soi-disant génome du virus de la polio ou de la rougeole. Le résultat est que des dizaines d’équipes de recherche travaillent avec de courts morceaux de molécules spécifiques aux cellules, après quoi — suivant un modèle donné — elles assemblent toutes les pièces sur papier. Cependant, ce puzzle composé de tant de pièces n’a jamais été scientifiquement prouvé comme un tout et n’a jamais été isolé d’un virus, car les virus de la polio, de la rougeole, du VIH ou de l’hépatite C, d’Ebola ou de Zika n’ont jamais été vus, ni chez l’homme ni dans un tube à essai. Se référant à cette publication, l’expert désigné par le tribunal a déclaré qu’elle décrivait l’étalon-or, c’est-à-dire le génome entier du virus. Il est évident que l’expert n’a pas lu cet article, dont les auteurs ont déclaré que la composition moléculaire et les fonctions exactes du génome du virus de la rougeole devront faire l’objet de recherches ultérieures, raison pour laquelle ils ont dû s’appuyer sur d’autres modèles de virus afin de parvenir à un consensus sur la structure et les fonctions de TOUT génome de virus. La chose la plus facile à remarquer pour quiconque est que dans toutes ces publications, ainsi que dans toutes les autres publications sur le « virus de la rougeole » et d’autres virus pathogènes, y compris le VIH, l’EBV, le CMV, Ebola et Zika, aucune expérience de contrôle n’a jamais été réalisée [NDLR : ceci avant les travaux assez récents de Stefan Lanka]. Aucun chercheur n’a utilisé la technique de centrifugation en gradient de densité. Au lieu de cela, ils se sont contentés de centrifuger les débris cellulaires au fond d’un tube à essai. Cette technique, utilisée pour recueillir toutes les particules d’un fluide, s’appelle la granulation. D’un point de vue logique et scientifique, on peut dire que dans toutes les publications sur les soi-disant « virus pathogènes », les chercheurs n’ont en fait démontré que des particules et des caractéristiques de cellules. Je voudrais également souligner que les virus dits géants [279], c’est-à-dire un acide nucléique enveloppé, peuvent être trouvés partout dans la mer et dans les organismes de base. Comme tous les phages bactériens, non seulement ils sont inoffensifs, mais ils ont des fonctions bénéfiques. On peut également les isoler en utilisant la centrifugation en gradient de densité, ce qui prouve leur existence (voir le graphique ci-dessus).

Micrographie d’une agrégation de globules rouges infectés par le Coronavirus fantôme. Ces cellules dites infectées ne sont rien d’autre que des globules rouges en cours de transformation biologique qui subissent des changements pléomorphiques dus à une acidité accrue et à un pH en baisse — <7,2. La transformation biologique des cellules du sang ou du corps est un processus naturel qui se déroule dans un environnement acide des fluides interstitiels des compartiments de l’interstitium et qui se déverse ensuite dans le plasma sanguin via une pression hydrostatique causée par l’accumulation de déchets acides alimentaires et métaboliques qui n’ont pas été correctement éliminés par le système lymphatique via les quatre voies d’élimination — urination, défécation, transpiration et/ou respiration…
https://www.drrobertyoung.com/post/dismantling-the-viral-theory.

Je recommande également la revue pertinente du professeur Lüdtke (1999) [280]. Il note qu’aux débuts de la virologie, la majorité des virologues ont toujours conclu que les structures qu’ils avaient prises pour des virus s’avéraient être des composants des cellules et qu’elles n’étaient donc que le résultat de l’expérience et non la cause des changements observés.

Après la découverte et la caractérisation des phages et après l’introduction du dogme selon lequel l’acide nucléique était le génome de toutes les cellules et de tous les virus, le consensus est né, selon lequel ces virus doivent exister aussi chez les humains et les animaux. En 1992, le dogme affirmant que l’acide nucléique est le génome de toutes les cellules a été rétracté dans la communauté scientifique. Cependant, le « dogme viral » des virus pathogènes est encore promu aujourd’hui, au détriment de milliards de personnes. — Pour quoi faire ?

Conclusion concernant les virus fantômes et les virus de la polio et de la rougeole

Micrographie électronique du soi-disant virus de la polio, dont il n’a jamais été démontré scientifiquement qu’il provoque les symptômes de la paralysie. L’illustration a été colorisée pour l’effet.

Ma conclusion est toujours la même : le terrain ou l’environnement interne est tout et le germe ou le soi-disant virus n’est RIEN ! Le germe ou le soi-disant virus ne peut être qu’un symptôme d’une dégradation cellulaire due à un déséquilibre de l’équilibre délicat du pH alcalin des fluides corporels et NON la cause de cette dégradation. C’est pourquoi, il y a des années, j’ai offert à n’importe quel scientifique dans le monde une prime de découverte de 5 millions de dollars américains s’il pouvait prouver l’existence du virus VIH en utilisant les postulats de Koch. Cela fait maintenant plus de 20 ans et j’attends toujours, même si actuellement je n’ai plus les fonds nécessaires pour payer le prix en raison d’un assassinat politique ! Il est regrettable qu’un ancien prix de 5 millions de dollars US offert il y a 20 ans n’ait pas été suffisant pour changer le dogme médical viral actuel qui verse actuellement des milliers de milliards de dollars à devinez qui [281] ?

Cliquez ici pour en savoir plus : http://medcraveonline.com/IJVV/IJVV-02-00032.php

Pour commander votre exemplaire de Second Thoughts About Viruses, Vaccines and the HIV/AIDS Hypothesis [Secondes réflexions sur les virus, les vaccins et l’hypothèse du VIH/SIDA], rendez-vous sur le site : https://www.amazon.com/…/ref=dbs_a_def_rwt_hsch_vapi_taft_p…

Conférence à Dubaï —La deuxième conférence annuelle sur les maladies bactériennes, virales et infectieuses

http://www.drrobertyoung.com/events.html

Conférence principale à la 3e conférence annuelle sur les maladies bactériennes, virales et infectieuses, juin.

Rejoignez Robert O Young PhD et Galina Migalko MD à Dubaï les 18 et 19 juin 2019 pour la conférence annuelle sur les maladies bactériennes, virales et infectieuses. Ils seront les principaux orateurs et animeront un atelier sur la nouvelle biologie.

Deux conférences principales à la 3e conférence annuelle sur les maladies bactériennes, virales et infectieuses, les 18 et 19 juin 2020.

Titre

La genèse de la maladie (syndrome) respiratoire aiguë sévère ou SRAS (Coronavirus — COVID — 2 et COVID — 19) se trouve dans les fluides interstitiels de l’Intestium

Résumé

La pneumopathie interstitielle (IFLD), ou pneumopathie parenchymateuse diffuse (DPLD), [3] est un groupe de maladies pulmonaires affectant l’interstitium (les fluides ou l’espace interstitiels autour des alvéoles (sacs d’air des poumons). [4] Elle concerne l’épithélium alvéolaire, l’endothélium capillaire pulmonaire, la membrane basale et les tissus périvasculaires et périlymphatiques. Elle se produit lorsque des acides métaboliques, alimentaires, respiratoires et environnementaux blessent les tissus pulmonaires, ce qui déclenche une réaction anormale de guérison. Normalement, l’organisme produit la quantité de tissu nécessaire pour réparer les dommages causés par les acides, mais dans le cas de la pneumopathie interstitielle, le processus de réparation se dérègle en raison du pH acide (la guérison idéale se produit à un pH de 7,365)[5]) des fluides interstitiels, qui affecte la guérison normale du tissu entourant les sacs d’air (alvéoles), qui devient alors cicatriciel et épaissi. Micrographie de la pneumonie interstitielle habituelle (PIE). L’UIP est le modèle le plus courant de pneumonie interstitielle (un type de pneumopathie interstitielle) et représente généralement une fibrose pulmonaire causée par une acidose décompensée des fluides interstitiels du plus grand organe du corps humain — l’Interstitium. Coloration H&E. Spécimen d’autopsie. Cela rend plus difficile le passage de l’oxygène dans la circulation sanguine. Le terme ILD est utilisé pour distinguer ces maladies des maladies obstructives des voies respiratoires, mais la cause de toutes les maladies pulmonaires est due à une acidose décompensée des fluides interstitiels (le pH est inférieur à 7,2) qui est systémique bien que touchant la zone la plus faible des poumons. Ces faiblesses peuvent être attribuées au mode de vie et aux choix alimentaires. Il existe des types spécifiques de pneumopathie interstitielle chez les enfants. L’acronyme chILD est utilisé pour ce groupe de maladies et est dérivé du nom anglais, Children’s Interstitial Lung Diseases — chILD.[6] Une pneumopathie interstitielle prolongée peut entraîner une fibrose pulmonaire, mais ce n’est pas toujours le cas. La fibrose pulmonaire est spécifiquement causée par l’augmentation des acides dans les fluides interstitiels du poumon en raison d’une manière inversée de vivre, de manger, de boire, de respirer, de penser, de sentir et de croire. La pneumopathie interstitielle est associée à des résultats typiques tant radiographiques (fibrose basale et pleurale avec alvéoles) que pathologiques (fibrose hétérogène dans le temps et dans l’espace, alvéoles histopathologiques et foyers fibroblastiques). Nos résultats utilisent des technologies avancées avec un Bio-Electro Scanning 3D non invasif et non radioactif des fluides interstitiels du plus grand organe du corps, l’Interstitium, pour déterminer une chimie complète, y compris le pH. Ce test a montré dans tous les cas de maladie pulmonaire du liquide interstitiel, y compris les maladies virales, et les tumeurs malignes avec une précision de 98 % pour l’acidose métabolique décompensée, du DFCI, des niveaux élevés d’acide lactique et des niveaux élevés de calcium. Étant donné que les fluides interstitiels traversent chaque organe, chaque glande et chaque tissu, nous disposons désormais d’une image complète de la fonctionnalité et de la chimie de chaque organe, chaque glande et chaque tissu, y compris tous les os et les muscles.

Titre

Qu’est-ce que des virus comme le VIH et Corona ont en commun avec les exosomes ?

Résumé

Il n’existe qu’une seule maladie, une seule affection et un seul traitement. Cette maladie est l’acidification excessive du sang et des liquides interstitiels due à un mode de vie, d’alimentation, de boisson, de respiration, de pensée, de sentiment et de croyance inversé. Six facteurs majeurs contribuent à la baisse du pH acide des fluides corporels. Lorsque le pH des fluides corporels est compensé par ces six facteurs et que les membranes cellulaires et le matériel génétique commencent à se dégrader, les cellules libèrent des exosomes comme moyen de défense pour activer et soutenir les lymphocytes afin qu’ils libèrent des espèces d’oxygène ou des antioxydants pour réduire les charges acides stockées dans les fluides interstitiels de l’Interstium. Le seul traitement consiste à soutenir le système immunitaire en augmentant les quantités d’oxygène (O — ) et d’hydrogène (H —) réduits afin de restaurer la conception alcaline des fluides corporels, d’ouvrir les canaux d’élimination afin d’éliminer les déchets acides toxiques alimentaires, métaboliques, respiratoires et environnementaux retenus dans les fluides interstitiels de l’Interstium et de restaurer ainsi la santé, l’énergie et la vitalité du corps.

Pour plus d’informations et pour vous inscrire, rendez-vous sur le site : https://bacterialdiseases.infectiousconferences.com/organiz…

Voici le résumé de la conférence du Dr Young :

The Dismantling of the Viral Theory (Le démantèlement de la théorie virale)

Robert O Young CPT, MSc, DSc, PhD, Praticien naturopathe.

Résumé

Il y a maintenant plus de 100 ans d’histoire et de recherches documentées sur le virus de la polio et sur le fait que son traitement par inoculation a réussi ou non à éradiquer la polio. Je suggère dans cet article et dans ma conférence qu’il y a des résultats significatifs basés sur des recherches historiques, passées et actuelles, y compris les miennes, que la théorie virale de la polio et peut-être d’autres maladies modernes, telles que le syndrome post-polio, la paralysie induite par le vaccin de la polio, la légionellose, les maladies du SNC, le cancer, le VIH/SIDA et maintenant Zika peuvent être causées par un empoisonnement chimique acide dû au DDT (dichloro-diphényl-trichloroéthane) et à d’autres pesticides DDT, à des vaccinations acides et à d’autres facteurs, notamment le mode de vie et l’alimentation, plutôt que par un virus infectieux isolé. Je présenterai dix graphiques historiques décrivant l’histoire de la polio, la production de DDT, de BHC, de plomb, d’arsenic, les vaccinations contre la polio et la théorie de l’auteur selon laquelle l’empoisonnement chimique, la vaccination, le mode de vie et les choix alimentaires sont des causes plus probables des symptômes de la polio, des maladies neurologiques, du cancer, du VIH/SIDA et maintenant de Zika.

https://www.linkedin.com/…/lecture-dubai-annual-conference…/ https://bacterialdiseases.infectiousconferences.com/organiz…

Références :

  • [1] Morton S. Biskind, MD. “Public Health Aspects of the New Insecticides”. American Journal of Digestive Diseases, New York, 1953, v 20, p331.
  • [2] Handbook of Pesticide Toxicology, edited by Wayland J. Hayes, Jr. and Edward R. Laws, Academic Press Inc., Harcourt Brace Jovanovich, Publishers, San Diego, 1991, p769
  • [3] Toxicological Profile: for DDT, DDE, and DDE. Agency for Toxic Substances and Disease Registry, September 2002.
  • [4] U. Beck, E. Löser “Chlorinated Benzenes and other Nucleus-Chlorinated Aromatic Hydrocarbons” Ullmann’s Encyclopedia of Industrial Chemistry, 2012, Wiley-VCH, Weinheim.
  • [5] Chlorobenzene”. Immediately Dangerous to Life and Health. National Institute for Occupational Safety and Health (NIOSH)
  • [6] U.S. Vital Statistics, U.S. Government Printing Office, Washington, D.C.
  • [7] Historical Statistics of the U.S., The U.S. Government Printing Office, Washington, D.C.
  • [8] Van Nostrand’s Encyclopedia of Science and Engineering (1995), vol. 5, p1725. The phrase “Pesticides As A Panacea: 1942-1962” is a subtitle found in Encyclopedia Britannica, Macropaedia (1986).
  • [9] Thomas, Robert E. (1955), Salt & Water, Power & People: A Short History of Hooker Electrochemical Co. Niagara Falls, NY: Hooker Chemical Co.
  • [10] Booth, Gerald (2000), “Ullmann’s Encyclopedia of Industrial Chemistry – Nitro Compounds, Aromatic”. doi:10.1002/14356007.a17_411. ISBN 3527306730
  • [11] Weber, Manfred; Weber, Markus; Kleine-Boymann, Michael (2004). “Ullmann’s Encyclopedia of Industrial Chemistry – Phenol”. doi:10.1002/14356007.a19_299.pub2. ISBN 3527306730.
  • [12] Haller, H. L., Bartlett, P. D., Drake, N. L., and others: The Chemical Composition of Technical DDT, American Chemical Society, Journal, volume 67, pages 1591- 1602, 1945.
  • [13] Jo-Yu Chin, Christopher Godwin, Chunrong Jia, Thomas Robins, Toby Lewis, Edith Parker, Paul Max, and Stuart Batterman, “Concentrations and Risks of p-Dichlorobenzene in Indoor and Outdoor Air,” Indoor Air, 2013 Feb; 23(1): 40–49, Published online 2012 Jul 18. doi: 10.1111/j.1600-0668.2012.00796.x.
  • [14] Duesberg, PH, “Inventing the AIDS Virus,” Regnery, (1996). ISBN 0-89526-399-8. [15] Icon Group International (Author), Chlorobenzene: Webster’s Timeline History, 1851 – 2007 May 17, 2010
  • [16] Ibid [17] Ibid
  • [18] Risse, GB (1988). Fee E, Fox DM, eds. Epidemics and History: Ecological Perspectives. in AIDS: The Burden of History. University of California Press, Berkeley. ISBN 0-520-06396-1.
  • [19] A Disease of Cleanliness: Polio in New York City, 1900-1990, in David Rosner, ed., Hives of Sickness: Public Health and Epidemics in New York City Rutgers University Press, 1995, pp. 115-130.
  • [20] McDonough, F., The Origins of the First and Second World Wars (Cambridge Perspectives in History), Cambridge University Press, August 28, 1997.
  • [21] Goel, A, Aggarwal, P, “Pesticide Poisoning,” Natl Med J India. 2007 Jul-Aug; 20(4):182-91.
  • [22] Ibid.
  • [23] Biskind, MS (1953) “Public Health Aspects of the New Insecticides,” American Journal of Digestive Diseases 20: 331-341.
  • [24] TIME Magazine, U.S. Edition, March 14, 1994 Vol. 143 No. 11. [25] Baily, J. W.: J. Am. Vet. M. A. 113 : 251, Sept. 1948.
  • [26] Biden-Steele, K. and Stuckey, R. E.: “Poisoning by DDT Emulsion: Report of a Fatal Case”, Lancet, 2: 235-236, Aug. 17, 1946.
  • [27] Biskind, M. S.: “DDT Poisoning and X Disease in Cattle”, J. Am. Vet. M. A. 114: 20, Jan. 1949.
  • [28] Biskind, M. S.: “DDT Poisoning a Serious Public Health Hazard”, Am. J. Dig. Dis. 16: 73, Feb. 1949.
  • [29] Biskind, M. S.: “DDT Poisoning and the Elusive ‘Virus X’: A New Cause for Gastro- Enteritis”, Am. J. Dig. Dis. 16: 79, March 1949.
  • [30] Boyd, C. L.: “A Report on “XX Disease in Texas”, J. Am. Vet. M. A. 113 : 463, Nov. 1948.
  • [31] Cameron, C. R., and Burgess, F.: “The Toxicity of DDT”, Brit. M. J. 1: 865-871, June 23, 1945.
  • [32] Carte ; R. H., Hubanks, P. E., et al: “Effect of Cooking on the DDT Content of Beef”, Science, 107: 347, April 2, 1948.
  • [33] Case, R. A. M.: Toxic Effects of DDT in Man”, Brit. M. J., 2: 842-845, Dec. 15, 1945.
  • [34] Council on Pharmacy and Chemistry, A. M. A.: “Health Hazards of Pesticides”, J. A. M. A. 137: 1603, Aug. 28, 1948.
  • [35] Crescitelli, F., and Gillman, A.: “Electrical Manifestations of Cerebellum and Cerebral Cortex Following DDT Administration to Cats and Monkeys”, Am. J. Physiol., 147: 127- 137, Sept. 1946.
  • [36] Deederer, C.: “DDT Toxicity”, M.Rec. 161: 216-220, April 1948
  • [37] Domenici, T. J.: “Hepatitis without Jaundice and without Hepatomegaly”, N. Eng. J. Med. 240: 88, Jan. 20, 1949
  • [38] Dunn, J. E., Dunn, J. C., and Smith, R. S.: “Skin Sensitising Properties of DDT for 31
  • Guinea Pig”, Pub. Health Rep. 61: 1614-1620, 1949.
  • [39] Editorial: Pesticides: “Chemical Contaminants of Foods”, J.A.M.A. 137: 1604, Aug. 28, 1948.
  • [40] Fitzhugh, O. G., and Nelson, A. A.: “The Chronic Oral Toxicity of DDT”, J. Pharm.acol. and Exper. Therap. 89: 18-30, Jan. 1947.
  • [41] Gamier, G.: “Treatment of Scabies with DDT”, .Presse Med. 56: 458, June 23, 1948. [42] Garett, ii. M., « Toxicity of DDT for Man », Alabama St. M. A. J., 17 : 74, Aug. 1947.
  • [43] Globus, J. H.: “DDT Poisoning; Histopathologic Observations on the Central Nervous System in So-Treated Monkeys, Dogs, Cats and Rats”, J. Neuropath. 7: 418-431, Oct. 1948.
  • [44] Haymaker, W., Ginzler, A. M., and Ferguson, J. L.: “Toxic Effects of Prolonged Ingestion of DDT on Dogs, with Special Reference to Lesions in Brain”, Am. J. M. Sc. 212: 423, Oct. 1946.
  • [45] Hill, K. R., and Daniiani, C. R.: “Death Following Exposure to DDT, Report of a Case”, New Eng. J. Med., 235: 897-899, Dec. 19, 1946.
  • [46] Hill, K. 3. and Robinson, G.: “A Fatal Case of DDT Poisoning in a Child, with an Account of Two Accidental Deaths in Dogs”. Brit. M. J. 2: 845-847, Dee. 15, 1945.
  • [47] Ingle, L.: “Toxicity of Chlordane to White Rats”, J. Econ. Entomol. 40: 264-268, 1947.
  • [48] Jandorf, B. J;. Sanett, H. P., and Bodansky, Oscar: “Effect of Oral Administration of DDT on Metabolism of Glucose and Pyruvie Acid in Rat Tissues”, J. Pharmaeol. and Exper. Therap. 88: 333-337, Dec. 1946.
  • [49] Jenkins, D. W.: “A Review of the Insecticide Hexachloro-cyclohexane (‘666’)”, Office of Technical Services, U. S. Dept of Commerce, Washington, D • C., No. PB 4034, Med. Div. Rept. No. 56, Sept. 26, 1945.
  • [50] Kempe, H. E.: “Progress Report on Benzene Hexachloride for the Destruction of Sheep Scab Mites”, Vet. Med., Feb. 1948, pp. 76-79.
  • [51] Kirk, H.: Vet. Red. 58: 43, 1946.
  • [52] Kirk, H.: “DDT in Canine Practice”, Vet. Med. Feb. 1947, PP. 76-78.
  • [53] Lawhon, G. J., Jr.: “X Disease in South Carolina”, N. Am. Vet. 29: 643, Oct. 1948.
  • [54] Leider, M.: “Allergenic Eczematous Contact-Type Dermatitis Caused by DDT”, J. Invest. Dermatol. 8: 125-126., March 1947.
  • [55] Lillie, R. D., Smith, M. I., and Stohlman, E. F.: Pathologic Action of DDT and Certain of its Analogs and Derivatives”, Arch. Path. 43: 127-142, Feb. 1947.
  • [56] Mackerras, I. M., and West, R. F. K.: “DDT Poisoning in Man”, M. J. Australia, 1: 400-401, March 23, 1946.
  • [57] Mobbs, J. F.:” Toxicity of Hexaehloroeyclohexane in Scabies, J.A.M.A. 138: 1253, Dec. 25, 1948. Personal Communication.
  • [58] Morrill, C. C. : “Hyperkeratosi.s or X Disease”, N. Am. Vet. 29: 642, Oct. 1948.
  • [59] Neal, P. A., Sweeney, T. B., Spicer, S. S., and von Oettingen, W. F.: “The Excretion of DDT in Man, Together with Clinical Observations”, Pub. Health Rep., 61: 403, March 22, 1946.
  • [60] Neal, P. A., von Oettingen, W. F., Smith, W. W., et al: Toxicology and Potential Dangers of Aerosols, Mists and Dusting Powders Containing DDT”, Pub. Health Rep. Suppl. 177, 1944.
  • [61] Neal, P. A., von Oettingeu, W. F., Dunn, R. C., and Sharpless, N. E.: “Toxicology and Potential Dangers of Aerosols and Residues from Aerosols Containing 3 Percent of DDT. Second Report, ibid., Suppl. 183, 1945.
  • [62] Nelson, A. A., Draize, 3. H., Woodard, G., et al: “Histopathological Changes Following Administration of DDT to Several Species of Animals”, U. S. Pub. Health Rep. 59: 1009, Aug. 4, 1944.
  • [63] Neve, Helen: “Toxic Effects of DDT on a Cat”, Vet. Rec. 58: 43, 1946. Vet. Med., Feb. 1947, p. 78.
  • [64] Niedelman, M. L.: “Contact Dermatitis Due to DDT”, Occup. Med. 1: 391-395, April 1946.
  • [65] Radeleff, R. D.: “DDT Spray Outmodes Dipping Vat”, Vet. Med. Oct. 1947, pp. 372- 373.
  • [66] Radeleff, R. D.: “Chlordane Poisoning: Symptomatology and Pathology, Vet. Med. Aug. 1948, pp. 342-347.
  • [67] Robinson, J. H. : “Harvest Analysis of DDT Residues”, Food Packer, 29: 50-53, 1948.
  • [68] Riker, W. F., Jr., Huebner, Virginia, R., Raska, S. B., and Cattell, McKeen: “Studies on DDT, Effects on Oxidative Metabolism”, J. Pharmacol. and, Exper. Therap., 88: 327- 332, Dec. 1946.
  • [69] Sarrett, H. P., and Jandorf, B. J.: “Effects of Chronic DDT Intoxication in Rats on Lipids and Other Constituents of Liver”, ibid., 91: 340-344, Dec. 1947.
  • [70] Smith, M. I.: “Accidental Ingestion of DDT, with a Note on its Metabolism in Man”, J.A.M.A., 131: 519-520, Juno 8, 1946.
  • [71] Smith, M. I., and Stohlnian, E. F.: “Pharmacologic Action of 2, 2 his (p-Chlorophenyl) 1,1,1-Trichloroethane and its Estimation in the Tissues and Body Fluid”, Pub. Health Rep., 59: 984, July 28, 1944.
  • [72] SmIth, M. I., and Stohlman, E. F.: “Further Studies on the Pharmacologic Action of DDT”, ibid., 60: 289, March 16, 1945.
  • [73] Smith, N. 3.: “Death Following Accidental Ingestion of DDT”, J.A.M.A., 136: 469- 471, Feb. 14, 1948.
  • [74] Smith, R. F., Fullmes, O. H., and Messenger, P. S.: “DDT Residues on Alfalfa Hay and Seed Chaff”, J. Econ. Entomol. 41: 755-8, 1948.
  • [75] Strycker, G. V., and Godfroy, B.: « Dermatitis Resulting from Exposure to DDT », J. Missouri St. M. A., 43 : 384-386, June 1948.
  • [76] Taylor, E. L.: “Danger of Ununction with DDT”, Lancet, 2: 320, Sept. 8, 1945.
  • [77] Telford, H. S., and Guthrie, J. E.: “Transmission of the Toxicity of DDT Through the Milk of White Rats and Goats”, Science, 102: 647, Dec. 21, 1945.
  • [78] Thoungh, TI. C.: “Poisonous Effects of DDT on Humans”, Indian M. Ga:. 81: 432, Oct. 1946.
  • [79] U. S. Dept. Agriculture, “Bureau of Entomology and Plant Quarantine: Now Insecticides in Grasshopper Control”, Bull. E-722, May 1947. Bull. EC.1, March 1948.
  • [80] U. S. Dept. Agriculture, Bureau of Entomology and Plant Quarantine: “New Insecticides for Controlling External Parasites of Livestock”, Bull. E. 762, Dec. 1948.
  • [81] Westerfteld, C.: “The Use of DDT in Medicine-A Review”, Vet. Med., Oct. 1946, pp. 355-360.
  • [82] Wigglesworth, V. D.: “A Case of DDT Poisoning in Man”, Brit M. J. 1: 517, April 14, 1945.
  • [83] Wilson, J. B.: Are Pesticides Making Your Food Unsafer? Hygiea, Jan. 1949. p. 44.
  • [84] Woodard, G., Ofner, Ruth B., and Montgomery, C. M.: “Accumulation of DDT in the Body Fat and its Appearance in the Milk of Dogs”, Science, 102: 177-178, Aug. 17, 1945.
  • [85] Wright, C. S., Doan, C. A., and Haynie, H. C.: “Agranulocytosis Occurring after Exposure to DDT Pyrethrum Aerosol Bomb”, Am. J. Med., 1: 562-567, Nov. 1946.
  • [86] The Pesticide Residues Amendment of 1954, Pub. L. No. 83-518, ch. 559, 68 Stat. 511 [codified at 21 USC § 346a (1981)]; and the Food Additives Amendments of 1958, Pub. L. No. 85-529, Ch. 4.72 Stat. 1785 [codified at 21 USC § 348 (1981)], respectively.
  • [87] 20 Fed. Reg. 750 (1955) [codified until repealed at 21 CFR § 120. 1 (f) (1956). [88] DDT Regulatory History: A Brief Survey (to 1975). United States Environmental
  • Protection Agency (EPA).
  • [89] Ibid.
  • [90] TIME Magazine, U.S. Edition, March 14, 1994 Vol. 143 No. 11.
  • (91] Handbook of Pesticide Toxicology, edited by Wayland J. Hayes, Jr. and Edward R. Laws, Academic Press Inc., Harcourt Brace Jovanovich, Publishers, San Diego, 1991.
  • [92] Peter Duesberg and Brian J. Ellison, Inventing the AIDS Virus, Regnery Pub.,1996. [93] Ibid.
  • [94] Biskind, MS (1953) “Public Health Aspects of the New Insecticides,” American Journal of Digestive Diseases 20: 331-341.
  • [95] Peter Duesberg and Brian J. Ellison, Inventing the AIDS Virus, Regnery Pub.,1996. [96] DDT Regulatory History: A Brief Survey (to 1975). United States Environmental
  • Protection Agency (EPA).
  • [97] Poliomyelitis: Fact sheet N°114″. World Health Organization. Sep 2016. Retrieved 14 Sep 2016.
  • [98] Ibid.
  • [99] DDT Regulatory History: A Brief Survey (to 1975). United States Environmental
  • Protection Agency (EPA).
  • [100] Ibid.
  • [101] Handbook of Pesticide Toxicology, edited by Wayland J. Hayes, Jr. and Edward R.
  • Laws, Academic Press Inc., Harcourt Brace Jovanovich, Publishers, San Diego, 1991.
  • [102] Rea WJ, Johnson AR, Fenyves E, Butler J. Related Articles: The environmental aspects of the post-polio syndrome. Birth Defects Orig Artic Ser. 1987;23(4):173-81. No abstract available. Pub Med ID: 3620615; UI: 87299998.
  • [103] Ibid.
  • [104] Casarett and Doull’s Toxicology (1996).
  • [105) Rea WJ, Johnson AR, Fenyves E, Butler J. Related Articles: The environmental aspects of the post-polio syndrome. Birth Defects Orig Artic Ser. 1987;23(4):173-81. No abstract available. Pub Med ID: 3620615; UI: 87299998.
  • [106] PubMed ID: 7611631, UI: 95336052 (London, May, 1995)
  • [107] Pub Med ID: 7611630, UI: 95336051 (Bethesda, MA, May, 1995)
  • [108] Pub Med ID: 8818905, UI: 96415998 (Lyon, France, Aug., 1996)
  • [109] Alfredo Morabia (1 January 2004). A History of Epidemiologic Methods and Concepts. Springer. pp. 133–4. ISBN 978-3-7643-6818-0. Retrieved 22 June 2013.
  • [110] Ibid.
  • [111] Morton S. Biskind, MD. “Public Health Aspects of the New Insecticides”. American
  • Journal of Digestive Diseases, New York, 1953, v 20, p331. [112] Ibid.
  • [113] Young RO (2016) Second Thoughts Concerning Viruses, Vaccines and the HIV/AIDS Hypothesis – Part 2. Int J Vaccines Vaccin 2 (3) : 00034. DOI: 10.15406/ijvv.2016.02.00034
  • [114] Dirt and Disease: Polio before FDR Rutgers University Press, 1992. [115] Ibid.
  • [116] Menkes, John H., Child Neurology, pg. 420, (1995).
  • [117] A Paralyzing Fear: The Story of Polio in America. Produced by Paul Wagner, Nina Gilden Seavey. Directed, written by Nina Gilden Seavey. Narration written by Stephen Chodorov. With: Narrator: Olympia Dukakis. Camera (Colorlab color), Allen Moore, Reuben Aaronson; editor, Catherine Shields; music, Paul Christianson; associate producers, Tom Wentworth, Malvina Anderson Martin. Reviewed on videocassette, N.Y., March 3, 1998. Running time: 90 min.
  • [118] FILM REVIEW; Once a Fear Beyond Fear Itself, by STEPHEN HOLDEN, Published: March 4, 1998, New York Times.
  • [119] Ibid.
  • [120] Duesberg, Peter and Ellison, Brian J., Inventing the AIDS Virus, Regnery Pub.,1996.
  • [121] Ibid.
  • [122] Ibid.
  • [123] Ibid.
  • [124] Ibid.
  • [125] Rose DR (2004). “Fact Sheet—Polio Vaccine Field Trial of 1954.” March of Dimes Archives. (2004).
  • [126] Ibid.
  • [127] American Journal of Digestive Diseases, 1953 20:330 [128] Ibid.
  • [129] Ibid.
  • [130] Jenkins, D. W.: “A Review of the Insecticide Hexachloro-cyclohexane (‘666’)”, Office of Technical Services, U. S. Department of Commerce, Washington, D.C., No. PB 4034, Med. Div. Rept. No. 56, Sept. 26, 1945.
  • [131] Biskind, M., “DDT Poisoning and the Elusive ‘Virus X’.” A New Cause for Gastroenteritis.” Am. J. Dig., Vol. 16, Num 3, pg. 79-84, (1949).
  • [132] Biskind, MS, Bieber, I, “DDT Poisoning A New Syndrome With Neuropsychiatric Manifestations,” American Journal of Psychotherapy, p261, (1949).
  • [133] Presented before the Select Committee to Investigate the Use of Chemicals in Food Products, United States House of Representatives, U.S. December 12, 1950 Westport, Conn.
  • [134] “Salk and Sabin: poliomyelitis immunisation”. J Neurol Neurosurg Psychiatry. 75 (11): 1552. doi:10.1136/jnnp.2003.028530. PMC 1738787. PMID 15489385.
  • [135] H. Rept. No. 2356, 82d Cong., 2d sess. 1 (1952), reprinted in A Legislative History of the Federal Food, Drug and Cosmetic Act and Its Amendments 499 (hereinafter Legislative History)
  • [136] Scobey, RR, “Is The Public Health Law Responsible For The Poliomyelitis Mystery?” Syracuse, N.Y., Archive of Pediatrics (May, 1951).
  • [137] White, Mark; Sharon M. McDonnell; Denise H.Werker; Victor M. Cardenas; Stephen B. Thacker (2001). “Partnerships in International Applied Epidemiology Training and Service,”. American Journal of Epidemiology 154 (11): 993–999. doi:10.1093/aje/154.11.993.
  • [138] Van Nostrand’s Encyclopedia of Science and Engineering, Van Nostrand Reinhold 1995, v 5, p1775
  • [139] “Salk and Sabin: poliomyelitis immunisation”. J Neurol Neurosurg Psychiatry. 75 (11): 1552. doi:10.1136/jnnp.2003.028530. PMC 1738787. PMID 15489385.
  • [140] Ralph R. Scobey, MD. “The Poison Cause of Poliomyelitis and Obstructions to Its Investigation.” Archive of Pediatrics, April 1952.
  • [141] The National Adipose Tissue Survey, reported in Handbook of Pesticide Toxicology, edited by Wayland J. Hayes, Jr. and Edward R. Laws, Academic Press Inc., Harcourt Brace Jovanovich, Publishers, San Diego, 1991, pg. 303.
  • [142] The National Adipose Tissue Survey, reported in Handbook of Pesticide Toxicology, edited by Wayland J. Hayes, Jr. and Edward R. Laws, Academic Press Inc., Harcourt Brace Jovanovich, Publishers, San Diego, 1991, pg. 303.
  • [143] Van Nostrand’s Encyclopedia of Science and Engineering (1995), vol. 5, pg.1725. [144] Offit, Paul A. (2007). The Cutter Incident: How America’s First Polio Vaccine Led to
  • the Growing Vaccine Crisis. Yale University Press. p. 38. ISBN 0-300-12605-0. [145] Albert Sabin to Henry Kumm, Sabin Papers, UC, Pittsburgh Press, 1954. [146] American Journal of Digestive Diseases, 1953 20:330.
  • [147] Trevelyan, B., Smallman-Raynor, M. and Cliff, A.D., The Spatial Dynamics of Poliomyelitis in the United States: From Epidemic Emergence to Vaccine-Induced Retreat, 1910–1971, Ann Assoc Am Geogr. 2005 Jun; 95(2): 269–293.
  • [148] Baicus, A., History of Polio Vaccination, World J Virol. 2012 Aug 12; 1(4): 108–114. Published online 2012 Aug 12. doi: 10.5501/wjv.v1.i4.108.
  • [149] Ibid.
  • [150] Women’s History Month: “Oveta Culp Hobby” by Senator Kay Bailey Hutchison
  • Humanities Texas, March 2012.
  • [151] Harry M. Marks, “The 1954 Salk Poliomyelitis Vaccine Field Trial,” Institute of the History of Medicine, Johns Hopkins University, Baltimore, MD: 2008.
  • 152[ National Museum of American History, “Whatever Happened to Polio?” Time line, http://americanhistory.si.edu/polio/timeline/index.htm (accessed March 28,, 2012).
  • [153] Abid.
  • [154] Norrby E., Prusiner S.B., Polio and Nobel Prizes: looking vack 50 years. Ann Neurol.
  • 2007 May;61(5):385-95.
  • [155] Eloise Batic, You Are There 1955: Ending Polio exhibit text (2012).
  • [156] Boston Herald newspaper, April 18, 1955, “Drug Companies Expecting Big Profit on
  • Salk Vaccine”,
  • [157] Washington Bureau of the Detroit Free Press reports, June 3, 1955.
  • [158] Michigan University. Poliomyelitis Evaluation Center (1955), An evaluation mof the 1954 poliomyelitis vaccine trials; summary report. Ann Arbor: n.p., pp. 17-18 as quoted in Marks, Harry M. “The 1954 Salk Poliomyelitis Vaccine Field Trial.” Institute of the History of Medicine, Johns Hopkins University. Baltimore: 2008, p. 20.
  • [160] McBean E. The Poisoned Needle. Mokelumne Hill, California: Health Research,1957:1
  • [161] McBean E. The Poisoned Needle. Mokelumne Hill, California: Health Research, 1957:119.
  • [162] McBean E. The Poisoned Needle. Mokelumne Hill, California: Health Research,1957:1
  • [163] Offit, Paul A. The Cutter Incident: How America’s First Polio Vaccine Led to the Growing Vaccine Crisis, Yale University Press, 2005, pp. 100, 116–19, 133. ISBN 0-300- 10864-8
  • [164] Ibid.
  • [165] Smith, JS, “Patenting the Sun: Polio and the Salk Vaccine,” 1st Edition, William
  • Morrow & Co; 1st edition (April 1990).
  • [166] Offit PA (2005), “The Cutter incident, 50 years later” (PDF). N. Engl. J. Med. 352 (14): 1411–1412. doi:10.1056/NEJMp048180. PMID 15814877
  • [167] McBean E., The Poisoned Needle. Mokelumne Hill, California: Health Research,1957:1.
  • [168] Harris RJ et al Contaminant viruses in two live vaccines produced in chick cells. J Hyg (London) 1966 Mar:64(1) : 1-7
  • [169] McBean E. The Poisoned Needle. Mokelumne Hill, California: Health Research,1957:1
  • [170] Ibid.
  • [171] Ibid.
  • [172] Ibid.
  • [173] Ii. Results. American journal of public health and the nation’s health. 1955;45:15–48. [PMC free article] [PubMed]
  • [174] Harper’s Magazine. “’Who is responsible, and why, for the chaotic confusion over the polio inoculations?’ A noted medical journalist disentangles the essential facts.” August, 1955.
  • [175] Ibid.
  • [176] Ibid.
  • [177] American Cancer Society, Volume 8, Issue 1, Pages 1–218, (1955).
  • [178] Paul JR. A history of poliomyelitis. New Haven, CT: Yale University Press; 1971.
  • [179] Ibid.
  • [180] Ibid.
  • [181] Ibid.
  • [182] Rogers N. Dirt and disease: Polio before fdr. New Brunswick, NJ: Rutgers University Press; 1992.
  • [183] Ibid.
  • [184] Smith, Derek R; Leggat Peter A (2005). “Pioneering figures in medicine: Albert Bruce Sabin–inventor of the oral polio vaccine”. The Kurume medical journal. 52 (3): 111–6. doi:10.2739/kurumemedj.52.111. PMID 16422178
  • [185] Rose, David, March of Dimes Archives, August 26, 2010. http://www.marchofdimes.org/mission/a-history-of-the-march-of-dimes.aspx
  • [186] American Journal of Public Health and the Nations Health: May 1956, Vol. 46, No. 5: 547–562. Citation | PDF (2177 KB) | PDF Plus (744 KB)
  • [187]
  • [188] Sweet BH, Hilleman MR. The Vacuolating Virus: SV-40. As cited in The polio vaccine and simian virus 40 by Moriarty, T.J. http://www.chronicillnet.org/online/bensweet.html
  • [189] O’Hern M. Profiles: Pioneer Women Scientists. Bethesda, MD: National Institutes of Health.
  • [190] Curtis T, Manson P. Scientist’s Polio Fear Unheeded: How U.S. Researcher’s Warning Was Silenced. The Houston Post 1992:A1 and A12.
  • [191] Sweet BH, Hilleman MR. The Vacuolating Virus: SV-40. As cited in The polio vaccine and simian virus 40 by Moriarty, T.J. http://www.chronicillnet.org/online/bensweet.html
  • [192] Moriarty T.J. The polio vaccine and simian virus 40. Online News Index.
  • http://www.chronicillnet.org/online/bensweet.html
  • [193] Shah K, Nathanson N. Human exposure to SV40. American Journal of Epidemiology, 1976;103:1-12.
  • [194] Curtis T. The origin of AIDS: A startling new theory attempts to answer the question, “Was it an act of God or an act of man”, Rolling Stone, March 19,1992:57.
  • [195] Bookchin D, Schumaker J. Tainted Polio Vaccine Still Carries Its Threat 40 Years Later. The Boston Globe, January 26, 1997.
  • [196] Innis MD. Oncogenesis and poliomyelitis vaccine. Nature, 1968;219:972–3. [197] Soriano F, et al. Simian virus 40 in a human cancer. Nature, 1974; 249:421–4.
  • [198] Weiss AF, et al. Simian virus 40-related antigens in three human meningiomas with defined chromosome loss. Proceedings of the National Academy of Science, 1975;72(2):609–13.
  • [199] Scherneck S, et al. Isolation of a SV-40-like papovavirus from a human glioblastoma. International Journal of Cancer, 1979;24:523–31.
  • [200] Stoian M, et al. Possible relation between viruses and oromaxillofacial tumors. II. Research on the presence of SV40 antigen and specific antibodies in patients with oromaxillofacial tumors. Virologie, 1987 ; 38:35–40.
  • [201] Stoian M, et al. Possible relation between viruses and oromaxillofacial tumors. II. Detection of SV40 antigen and of anti-SV40 antibodies in patients with parotid gland tumors. Virologie, 1987 ; 38:41–6.
  • [202] Bravo MP, et al. Association between the occurrence of antibodies to simian vacuolating virus 40 and bladder cancer in male smokers. Neoplasma, 1988;35:285–8.
  • [203] O’Connell K, et al. Endothelial cells transformed by SV40 T-antigen causeKaposi’s sarcoma-like tumors in nude mice. American Journal of Pathology, 1991;139(4):743–9.
  • [204] Weiner LP, et al. Isolation of virus related to SV40 from patients with progressive multifocal leukoencephalopathy. New England Journal of Medicine, 1972;286:385–90.
  • [205] Tabuchi K. Screening of human brain tumors for SV-40-related T-antigen. International Journal of Cancer 1978;21:12–7.
  • [206] Meinke W, et al. Simian virus 40-related DNA sequences in a human brain tumor. Neurology 1979;29:1590–4.
  • [207] Krieg P, et al. Episomal simian virus 40 genomes in human brain tumors. Proceedings of the National Academy of Science 1981; 78:6446-50.
  • [208] Krieg P, et al. Cloning of SV40 genomes from human brain tumors. Virology 1984;138:336–40.
  • [209] Geissler E. SV40 in human intracranial tumors: passenger virus or oncogenic >hit- and-run= agent? Z Klin Med, 1986;41:493–5.
  • [210] Geissler E. SV40 and human brain tumors. Progress in Medical Virology, 1990;37:211–22.
  • [211] Bergsagel DJ, et al. DNA sequences similar to those of simian virus 40 in ependymomas and choroid plexus tumors of childhood. New England Journal of Medicine, 1992;326:988–93.
  • [212] Martini, M., et al. Human brain tumors and simian virus 40. Journal of the National Cancer Institute, 1995;87(17):1331.
  • [213] Lednicky JA, et al. Natural Simian Virus 40 Strains are Present in Human Choroid Plexus and Ependymoma Tumors. Virology, 1995;212(2):710–7.
  • [214] Tognon M, et al. Large T Antigen Coding Sequence of Two DNA Tumor Viruses, BK and SV-40, and Nonrandom Chromosome Changes in Two Gioblastoma Cell Lines. Cancer Genetics and Cytogenics, 1996;90(1): 17–23.
  • [215] Vilchez RA, et coll. Association between simian virus 40 and non-hodgkin lymphoma. Lancet, (March 9, 2002), 359: 817–23.
  • [216] Carbone, M., et coll. SV-40 Like Sequences in Human Bone Tumors. Oncogene, 1996;13(3):527–35.
  • [217] Pass, HI, Carbone, M., et al. Evidence For and Implications of SV-40 Like Sequences in Human Mesotheliomas. Important Advances in Oncology, 1996:89-108.
  • [218] Rock, Andrea. The Lethal Dangers of the Billion Dollar Vaccine Business, Money, December 1996:161.
  • [219] Carlsen, W. Rogue virus in the vaccine: Early polio vaccine harbored virus now feared to cause cancer in humans. San Francisco Chronicle, July 15,2001:7. Research by Susan Fisher, epidemiologist, Loyola UniversityMedical Center.
  • [220] National Institutes of Health. Zones of Contamination: Globe Staff Graphic.
  • [221] Bookchin D, Schumacher J. Tainted polio vaccine still carries its threat 40 years later. The Boston Globe, January 26, 1997.
  • [222] SV-40 Contamination of Polio Vaccine. Well Within Online, (February 3,2001, updated). http://www.nccn.net/~wwithin/polio.htm
  • [223] Rosa FW, et al. Absence of antibody response to simian virus 40 afterinoculation with killed-poliovirus vaccine of mothers offspring with neurological tumors. New England Journal of Medicine, 1988;318:1469.
  • [224] Rosa FW, et al. Response to: Neurological tumors in offspring after inoculation of mothers with killed poliovirus vaccine. New England Journal of Medicine, 1988, 319:1226.
  • [225] Martini F, et al. SV-40 Early Region and Large T Antigen in Human Brain Tumors, Peripheral Blood Cells, and Sperm Fluids from Healthy Individuals. Cancer Research, 1996;56(20):4820–5.
  • [226] Fisher, Barbara. Vaccine safety consumer group cites conflict of interest in government report on cancer and contaminated polio vaccine link. National Vaccine Information Center (NVIC); Press Release, January 27, 1998.
  • [227] National Cancer Institute (June 2001).
  • [228] The Landsteiner and Popper study, first published in Germany, was reported in Robert W Lovett, MD. The Occurrence of Infantile Paralysis in Massachusetts in 1908. Boston Medical and Surgical Journal, pg. 112, July 22, 1909.
  • [229] Young, RO (2016) Second Thoughts about Viruses, Vaccines, and the HIV/AIDS Hypothesis – Part 1. Int J Vaccines Vaccin 2 (3) : 00032. DOI: 10.15406/ijvv.2016.02.00032
  • [230] Young, RO (2016) Second Thoughts Concerning Viruses, Vaccines and the HIV/AIDS Hypothesis – Part 2. Int J Vaccines Vaccin 2 (3) : 00034. DOI: 10.15406/ijvv.2016.02.00034
  • [231] Young RO (2016) Second Thoughts Concerning Viruses, Vaccines and the HIV/AIDS Hypothesis – Part 3 HIV/AIDS and the Monomorphic Disease Model. Int J Vaccines Vaccin 2 (3) : 00035. DOI: 10.15406/ijvv.2016.02.00035
  • [232] Young RO (2016) Who Had Their Finger on the Magic of Life – Antoine Bechamp or Louis Pasteur?. Int J Vaccines Vaccin 2 (5) : 00047. DOI : 10.15406/ijvv.2016.02.00047
  • [233] Peter Duesberg and Brian J. Ellison, Inventing the AIDS Virus, Regnery Pub., 1996. [234] Gerald L. Geison, The Private Science Of Louis Pasteur, Princeton University Press, 1995.
  • [235] The Landsteiner and Popper study, first published in Germany, was reported in Robert W Lovett, MD. The Occurrence of Infantile Paralysis in Massachusetts in 1908. Boston Medical and Surgical Journal, pg. 112, July 22, 1909.
  • [236] Shaw D. Unintended casualties in war on polio. Philadelphia Inquirer June 6, 1993:A1.
  • [237] Moriarty T.J. The polio vaccine and simian virus 40. Online News Index. http://www.chronicillnet.org/online/bensweet.html
  • [238] Koprowksi H. Tin anniversary of the development of live virus vaccine. Journal of the American Medical Association 1960;174:972–6.
  • [239] Hayflick L, Koprowski H, et al. Preparation of poliovirus vaccines in a human fetal diploid cell strain. American J Hyg 1962;75:240–58.
  • [240] Hayflick L, Koprowski H, et al. Preparation of poliovirus vaccines in a human fetal diploid cell strain. American J Hyg 1962;75:240–58.
  • [241] Koprowski H. In a letter sent to the Congressional Health and Safety Subcommittee, April 14, 1961.
  • [242] Rock, Andrea. The Lethal Dangers of the Billion Dollar Vaccine Business, Money, December 1996:161.
  • [243] Scheibner V. Vaccination: 100 Years of Orthodox Research Shows that Vaccines represent a Medical Assault on the Immune System. Blackheath, NSW, Australia: Scheibner Publications, 1993153.
  • [244] Curtis T. Expert says test vaccine: backs check of polio stocks for AIDS virus. The Houston Post, March 22, 1992:A-21.
  • [245] Carlsen, W. Rogue virus in the vaccine: Early polio vaccine harbored virus now feared to cause cancer in humans. San Francisco Chronicle, July 15,2001:7. Research by Susan Fisher, epidemiologist, Loyola UniversityMedical Center.
  • [246] Neustaedter R. The Vaccine Guide. Berkeley, California: North Atlantic Books, 1996:107–8
  • [247] Curtis T. Expert says test vaccine: backs check of polio stocks for AIDS virus. The Houston Post, March 22, 1992:A-21.
  • [248] Essex M, et al. The origin of the AIDS virus. Scientific American, 1988; 259:64–71. [249] Karpas A. Origin and Spread of AIDS. Nature, 1990; 348:578.
  • [250] Kyle WS. Simian retroviruses, poliovaccine, and origin of AIDS. Lancet, 1992; 339:600–1.
  • [251] Elswood BF, Stricker RB. Polio vaccines and the origin of AIDS. Medical Hypothesis, 1994:42:347–54.
  • [252] Myers G, et al. The emergence of simian/human immunodeficiency viruses. AIDS Res Human Retro 1992:8:373–86.
  • [253] Curtis T. The origin of AIDS: A startling new theory attempts to answer the question “Was it an act of God or an act of man”, Rolling Stone, March 19,1992:57.
  • [254] O’Hern M. Profiles: Pioneer Women Scientists. Bethesda, MD: National Institutes of Health.
  • [255] Curtis T. Expert says test vaccine: backs check of polio stocks for AIDS virus. The Houston Post, March 22, 1992:A-21.
  • [256] Curtis T. Expert says test vaccine: backs check of polio stocks for AIDS virus. The Houston Post, March 22, 1992:A-21.
  • [257] Essex M, et al. The origin of the AIDS virus. Scientific American, 1988; 259:64–71. [258] Karpas A. Origin and Spread of AIDS. Nature, 1990; 348:578.
  • [259] Kyle WS. Simian retroviruses, poliovaccine, and origin of AIDS. Lancet, 1992; 339:600–1.
  • [260] Elswood BF, Stricker RB. Polio vaccines and the origin of AIDS. Medical Hypothesis, 1994:42:347–54.
  • [261] Workshop on Simian Virus-40 (SV-40): A Possible Human Polyomavirus. National Vaccine Information Center, January 27-28, 1997. http://www.909shot.com/polio197.htm (Includes a summary of evidence presented at the Eighth Annual Houston Conference on AIDS.)
  • [262] Martin B. Polio vaccines and the origin of AIDS: The career of a threatening idea. Townsend Letter for Doctors, January 1994:97–100.
  • [263] Curtis T. Did a polio vaccine experiment unleash AIDS in Africa? The Washington Post, April 5, 1992:C3+.
  • [264] Myers G, et al. The emergence of simian/human immunodeficiency viruses. AIDS Res Human Retro 1992:8:373–86.
  • [265] World Health Organization. T-lymphotropic retroviruses of nonhuman primates. WHO informal meeting. Weekly Epidemiology Records, 1985; 30:269–70.
  • [266] Ibid.
  • [267] Elswood BF, Stricker RB. Polio vaccines and the origin of AIDS. Medical
  • Hypothesis, 1994:42:347–54.
  • [268] Ohta Y, et al. No evidence for the contamination of live oral poliomyelitis vaccines with simian immunodeficiency virus. AIDS, 1989; 3:183–5.
  • [269] Huet T, et al. Genetic organization of a chimpanzee lentivirus related to HIV-1. Nature, 1990; 345:356–9.
  • [270] Desrosiers RC. HIV-1 origins: A finger on the missing link. Nature, 1990;345:288– 9.
  • [271] Sabin AB. Properties and behavior of orally administered attenuated poliovirus vaccine. Journal of the American Medical Association, 1957; 164:1216–23.
  • [272] Siehe Ausführungen zu Virchows Leben und Wirkung in WissenschafftPlus Nr. 5/2015 und Nr. 6/2015. 2 Anticontagionism between 1821 and 1867.
  • [273] Aufsatz von Erwin H. Ackerknecht in der Zeitschrift Bulletin of the History of Medicine, Volume XXII, The Johns Hopkins Press, 1948.
  • [274] Bech V, Magnus Pv. Studies on measles virus in monkey kidney tissue cultures. Acta Pathol Microbiol Scand. 1959; 42 (1): 75–85.
  • [275] Nakai M, Imagawa DT. Electron microscopy of measels virus replication. J. Virol. 1969 Feb; 3v (2): 187–97.
  • [276] Lund GA, Tyrell, DL, Bradley RD, Scraba DG. The molecular length of measles virus RNA and the structural organization of measles nucleocapsids. J. Gen. Virol. 1984 Sep;65 (Pt 9): 1535–42.
  • [277] Daikoku E, Morita C, Kohno T, Sano K. Analysis of Morphology and Infectivity of Measles Virus Particles. Bulletin of the Osaka Medical College. 2007; 53 (2): 107–14.
  • [278] Horikami SM, Moyer SA. Structure, Transcription, and Replication of Measles Virus. Curr Top Microbiol Immunol. 1995; 191: 35–50.
  • [279] Siehe WissenschafftPlus Nr. 1/2014.
  • [280] Zur Geschichte der frühen Virusforschung. Übersichtsarbeit von Prof. Karlheinz Lüdtke. Reprint 125 des MAX-PLANCK-INSTITUT FÜR WISSENSCHAFTSGESCHICHTE, 89 Seiten, 1999.
  • [281) The government of the United States of America holds patents on the following viruses: Ebola, Patent number #CA2741523A1, Swine Flu, Patent number 8124101, HIV, Patent number #5676977, the cure for cancer, Patent number #6630507.




VIRUS TUEUR ??

[Source : santeglobale.world]

Dans l’antre du mystérieux virus : Remise en question totale

Par Makia Freeman

https://m.alterinfo.net/Dans-l-antre-du-mysterieux-virus-Remise-en-question-totale_a156680.html [NDLR : le lien ne dirige pas vers un article particulier et semble défectueux.]

Qu’est-ce qu’un virus ? Descendez au fond de l’antre où se cache le mystérieux virus et remettez tout en question. La pandémie bidon de coronavirus est une mystification monumentale, bien au-delà de ce que vous pourriez imaginer.

Gare ! Voilà le virus tueur !

Enfin… peut-être pas. Derrière toute pandémie, il y a toujours une flopée d’hypothèses sous-tendant les rapports médicaux et les décisions politiques et juridiques ultérieures. Le public ne sait pas qu’il s’agit d’hypothèses, puisqu’on les fait passer systématiquement pour des faits. Ainsi, pour bien justifier tout ce qui se trame dans le monde en ce moment — « distanciation » sociale, surveillance, censure, confinement, quarantaine, loi martiale médicale, crashs économiques, nouvelles monnaies numériques, pouvoirs exorbitants des gouvernements, avec leurs prévisions de vaccins obligatoires et de micropuces — les fonctionnaires du ministère de la Propagande doivent vous convaincre que ces hypothèses sont des faits. C’est pourquoi nous allons nous attaquer au mystère afin de poser quelques questions fondamentales, non seulement sur le coronavirus, mais aussi sur ce qu’est la mystérieuse entité virus dont on nous parle. Qu’est-ce qu’un virus ? Un virus peut-il passer de l’animal à l’humain ou d’un homme à l’autre ? Saviez-vous que le CDC a admis que son précieux test PCR est par essence inutile, puisqu’il n’indique pas si le virus est la cause de la maladie ? De toute façon, a-t-on prouvé à 100 % que les virus rendent malades les humains ? Comment les théories en contredisant la théorie des germes et la théorie du terrain interviennent-elles ici ? Bon, bouclez votre ceinture, ouvrez votre esprit et préparez-vous à la balade dans l’antre du virus.

Qu’est-ce qu’un virus ?

La médecine grand public occidentale (allopathie) s’est développée grâce à l’influence des Rockefeller. Ils l’ont imaginée pour vendre leurs potions à base de pétrole, qui est devenu la base des médicaments actuels de Big Pharma. Les Rockefeller et les autres familles des banques centrales du Nouvel Ordre Mondial, ont pris le contrôle des facultés de médecine et de la formation médicale, et grâce au rapport Flexner, ils ont pris le pas sur les médecines concurrentes, comme l’homéopathie. Ils se sont assurés que l’allopathie se focalise uniquement sur les produits pharmaceutiques et ont bloqué les précieuses connaissances nutritionnelles des médecins. En premier lieu, comme ce même système médical grand public définit ce que sont les monstres du genre virus, vous comprendrez que tout ce binz suscite de raisonnables soupçons. C’est aussi cette même famille Rockefeller qui a financé l’ONU (et a fait don de terres pour son siège à New York), coopté l’enseignement et publié en 2010 un document analysant la manière dont devront se comporter les gouvernements face à un scénario de pandémie.

Si l’on se fie à science allopathique, les virus sont des entités constituées de fragments d’ADN ou d’ARN (matériel génétique) enveloppés d’une membrane protéique et/ou lipidique. Dans les faits, n’étant pas vivants, les virus ont besoin d’une cellule hôte pour se répliquer. Ils sont minuscules — bien plus petits que les bactéries. Le virus serait à la frontière du vivant et de l’inanimé.

On trouve pourtant une autre vision du virus. Le défunt promoteur du régime primitif à base de viande crue, Aajonus Vonderplanitz (décédé en 2013), a donné une interview fascinante lors du canular de la grippe porcine de 2009, au moment où tout le monde paniquait (un peu moins qu’avec le coronavirus, mais dans les mêmes tons que lors des épidémies battues en neige par la presse, d’Ebola et de Zika). Voici ce qu’il a dit :

  • les virus sont créés par l’organisme pour se nettoyer quand les bactéries ne peuvent pas décomposer tous les déchets ;
  • tous les virus étant des réactions cellulaires nécessaires, ils ont un rôle bénéfique ;
  • semblables à du solvant ou du savon, les virus sont créés par les cellules pour aider à dissoudre et éliminer les toxines (le solvant transforme les déchets en soluté, en solution liquide facile à éliminer) ;
  • les virus sont spécifiques à la cellule qui les crée ;
  • les virus ne peuvent pas voyager au sein des espèces ;
  • il n’y a pas de virus en dehors des organismes ; et
  • pour qu’un virus traverse les espèces, il faudrait qu’il soit fabriqué et injecté, c’est-à-dire extrait, gardé en laboratoire, altéré et modifié génétiquement, transformé en arme, puis mis dans des vaccins et des armes biologiques.

On peut trouver à tout moment des virus dormants et latents dans notre organisme sans qu’ils ne provoquent de maladie. La seule présence d’un virus n’indique rien sur sa santé. Il est fort possible que du fait de la toxicité de notre monde (malbouffe, OGM, eau chlorée et fluorée, ciel empoisonné, rayonnements électromagnétiques), l’organisme doive fabriquer des solvants pour aider à évacuer les poisons.

Et si l’organisme produisait des virus pour réagir à sa propre toxicité ? Et si la propagation et la réplication apparentes de virus résultaient du fait que le corps en crée beaucoup pour se nettoyer ?

Comprend-on mal le virus ?

Grâce à ses expériences, le scientifique français Antoine Bechamp découvrit de minuscules particules qu’il appela microzymas. Par la suite, d’autres chercheurs qui les découvrirent, les appelèrent protides, somatides ou exosomes. Étant pléiomorphes (elles prennent de nombreuses formes), ces minuscules particules peuvent traverser un cycle de vie qu’elles entament sous forme de « bourgeons » (commencent à germer) ou de rejetons, puis se développent en prenant la forme de virus ou de bactéries. Il est très important de comprendre que les micro-organismes sont pléomorphes.
Bechamp émit l’hypothèse que les germes étaient en réalité des sous-produits chimiques de tissus morts et des caractéristiques dégénératives de l’état déséquilibré du corps. Il déclara que ces entités vivantes appelées microzymas (minuscules enzymes) bâtissaient des bactéries pour réagir à des facteurs de l’hôte et de l’environnement.

« Affirmant avoir découvert que les “granulations moléculaires” [mouvement brownien, NdT] au sein des fluides biologiques étaient en réalité des unités élémentaires de la vie, il les appela microzymas — c’est-à-dire minuscules enzymes — et leur attribua le rôle de producteurs d’enzymes et de bâtisseuses de cellules, capables d’évoluer dans des conditions favorables sous forme de bactéries. Démentant que des bactéries puissent envahir un animal en bonne santé et le rendre malade, Béchamp affirma plutôt que l’état malsain de l’hôte et de l’environnement déstabilisent les microzymas natifs de l’hôte, et les amène à décomposer les tissus de l’hôte en produisant des bactéries pathogènes. »

Selon James Hildreth, docteur en médecine de l’université Johns Hopkins : « Le virus est un exosome à part entière, à tous les sens du terme. »

Dans son article Dismantling The Viral Theory, le Dr Robert O. Young écrit :

« TOUS les virus, VIH, virus d’Epstein-Barr, cytomégalovirus, virus de l’hépatite C, virus du Nil occidental, virus d’Ebola, virus de la rougeole, virus Zika et maintenant coronavirus, TOUS sont des virus fantômes — leur existence n’a JAMAIS été démontrée scientifiquement et n’a jamais été prouvée !… De ce fait, les vaccins contre la polio et la rougeole ne contiennent pas de virus, mais des particules de tissu rénal de singe mort ou de cellules humaines cancéreuses. Jusqu’ici, aucune expérience n’a non plus été réalisée pour vérifier l’existence soit du virus dit de la polio, soit celui dit de la rougeole, ce qui aurait montré que ce sont les procédures de laboratoire qui induisent les effets cytopathogènes sur les cellules… la seule conclusion objective… est qu’en observant et en analysant les particules ou fragments cellulaires et leur activité dans un tube à essai, ils les ont pris pour des particules et des caractéristiques des supposés virus de la poliomyélite et/ou de la rougeole. »

Voici ce qu’a aussi écrit Robert Young sur le « coronavirus » :

« Les micrographies suivantes, faites à l’aide de la microscopie en contraste de phase, montrent ce que j’observe. Dans la première on voit des globules rouges sains, riches en oxygène ; dans la deuxième micrographie, manquant d’oxygène, les globules rouges sont malades. On peut aussi voir la dégénérescence des membranes cellulaires, avec les pointes ou les bosses indiquant “l’effet corona”, un symptôme dû au mode de vie “acide” et à l’empoisonnement par les rayonnements. »

Globules rouges oxygénés. Crédit Robert Young
Effet corona : Globules rouges en manque d’oxygène. Crédit Robert Young

L’équipe de réparateurs piézoélectriques

Cette vidéo, qui met en évidence des aspects de la fausse pandémie de coronavirus, dit aussi que les virus sont des entités créées par l’organisme. Ils ne font aucun mal et sont conçus pour évacuer les déchets. L’auteur de la vidéo décrit les virus comme une « équipe de réparateurs piézoélectriques, » dotés d’un revêtement de polysaccharide sur la tête, capables de se mouvoir vers les cellules endommagées et de faciliter la glycolyse (conversion de sucre en énergie). En d’autres termes, les virus se rendent auprès des cellules qui doivent être réparées et leur apportent de l’énergie (sucre) et de l’électricité (un genre de recharge de batterie). Selon ce point de vue, faire porter le chapeau des maladies au virus, revient à accuser un secouriste innocent sur la scène du crime ; ce n’est pas parce que quelqu’un a vu un crime et est venu aider qu’il est l’auteur du crime. La situation est semblable à celle de la diabolisation du cholestérol dont j’ai parlé ailleurs ; il s’avère que le cholestérol est un nutriment essentiel et qu’il est là pour réparer les dommages corporels, et non pas parce qu’il les a provoqués. À propos, il y a environ 8 ans, des scientifiques de Berkeley ont transformé d’inoffensifs virus en générateurs piézoélectriques.

Test PCR vicieux. Il est possible d’avoir le virus — et après ? Ça n’a rien à voir avec la maladie

Est-il prouvé à 100 % que les virus fourguent des maladies à l’homme ?

Même si vous croyez mordicus à la théorie des germes, il y a de sérieux problèmes avec la méthode de test acceptée en général pour dépister les virus. Cette méthode s’appelle test PCR (amplification en chaîne par polymérase). Le test PCR amplifie une partie précise du brin d’ADN ciblé. Il est qualitatif et non quantitatif ; en d’autres termes, il peut dire si un virus est présent ou non, mais il ne peut pas dire en quel nombre, et il ne peut pas évaluer avec précision si la présence du virus suffit ou non à rendre malade. Comme je l’ai relevé dans mon article 6 Solid, Scientific Reasons to Assuage Your Coronavirus Panic [Six raisons scientifiques de poids pour calmer votre panique du coronavirus], le CDC (US Center for Disease Controladmet lui-même que le test Covid19 positif au coronavirus (avec la méthode PCR) ne veut pas dire que le virus est à l’origine de la maladie ou des symptômes dont vous pourriez souffrir ! Voici ce qu’a dit précisément le CDC :

« Le résultat positif [du test] indique l’infection active du 2019-nCoV, mais n’exclut pas l’infection bactérienne ou l’infection conjointe d’autres virus. Il est possible que l’agent détecté ne soit pas la cause certaine de la maladie. »

Chose étonnante, ce n’est pas du tout le cas. La théorie des germes n’est qu’une théorie. Pour ceux qui aimeraient avoir une explication plus technique de la nouvelle compréhension des virus, voyez le Dr Thomas Cowan, le Dr Andrew Kaufman et en particulier, le Dr Stefan Lanka. Kaufman a eu plusieurs interviews récentes avec Crrow777 et Richie de Boston, dans lesquelles il développe l’idée qu’il n’a jamais été prouvé que les virus sont cause de maladies. Cowan et Kaufman parlent des expériences faites après la grippe espagnole de 1918 (il s’est avéré que l’épidémie avait été provoquée par les champs électromagnétiques, l’électrification et/ou les vaccins). À l’époque, ils essayèrent de contaminer des gens en bonne santé avec des gens malades, mais les gens en bonne santé ne tombèrent jamais malades. Ils firent aussi éternuer des chevaux malades et leur firent expectorer du mucus, des liquides, des gouttelettes… dans un sac, mirent du fourrage dans ce sac, puis le donnèrent à manger à des chevaux en bonne santé. Ils ne purent jamais rendre malades les chevaux sains.

Le Dr Stefan Lanka est le roi du domaine viral. Ce biologiste et virologue allemand en est arrivé à comprendre qu’on nous ment à grande échelle sur la nature des virus. Il a offert une récompense de 100 000 euros à celui qui pourrait prouver scientifiquement que la rougeole est l’œuvre d’un virus. Cette affaire est allée jusqu’à la Cour suprême allemande où il a gagné. Paul Fassa rapporte :

« Au début, il semblait qu’il avait perdu. Mais le Dr Lanka a porté son affaire devant la haute cour, avec d’autres experts et le soutien de deux laboratoires indépendants. Il a fini par ne pas devoir payer. Il s’est avéré que la “preuve” fournie était une photo composite de diverses images de microscopie électronique. La photo composite mêlait divers composants de cellules endommagées. La photo composite n’a pas pu être dupliquée. La Cour suprême fédérale allemande a confirmé qu’il n’y avait pas assez de preuves montrant l’existence du virus de la rougeole. »

Dans l’article Biologist Proves Measles Isn’t A Virus, Wins Supreme Court Case Against Doctor [Prouvant devant la Cour suprême que la rougeole n’est pas un virus, le virologue gagne le procès qui l’opposait au médecin], voici ce qu’écrit Dave Mihalovic :

« Par décision ultime, les juges de la Cour suprême fédérale allemande ont confirmé que le virus de la rougeole n’existe pas. De plus, d’après la littérature scientifique, pas une seule étude scientifique dans le monde n’a pu prouver l’existence du virus. Cela soulève la question de ce qui a été vraiment injecté à des millions de gens au cours des dernières décennies. Pas un seul scientifique, immunologue, spécialiste des maladies infectieuses ou médecin, n’a jamais pu établir la base scientifique, non seulement de la vaccination contre la rougeole, mais aussi de la vaccination des nourrissons, des femmes enceintes, des personnes âgées et même de nombreux sous-groupes d’adultes. »

Le Dr Lanka a dit ce qu’il pensait des épidémies ou pandémies virales similaires, comme la grippe aviaire H5N1 (qui était battue en neige par la presse en 2005). En définitive, on trouve même d’autres virologues éminents, le professeur Peter Duesberg par exemple, qui affirment, preuves solides à l’appui, que le VIH n’est pas à l’origine du SIDA. Voici quelques autres citations du Dr Lanka (traduites de l’allemand) :

« Quels virus trouve-t-on, et puis à quoi servent-ils ?

On trouve des structures que l’on peut décrire comme des virus chez de nombreuses espèces de bactéries et formes de vie simples, similaires aux bactéries. Ce sont des éléments qui cohabitent avec différentes cellules d’un type commun qui sont restées indépendantes. C’est ce qu’on appelle une symbiose, une endosymbiose. Elle est apparue au cours du processus de combinaison de différents types de cellules et structures ; une endosymbiose qui a donné naissance au type de cellule actuel, au type de cellules dont sont faits les humains, les animaux et les plantes… Très important : Les virus sont des éléments constitutifs d’organismes très simples, par exemple d’algues du type confervacé, une espèce particulière de chlorella, une algue unicellulaire, et de très nombreuses bactéries. Comme on les trouve là, ces composants viraux sont dits bactériophages. Quoi qu’il en soit, dans les organismes complexes, en particulier chez les humains, les animaux ou les plantes, on n’a jamais vu de structures du genre que l’on pourrait appeler virus.

Contrairement aux bactéries dans nos cellules, aux mitochondries ou aux bactéries se trouvant dans chaque plante, aux chloroplastes qui ne peuvent pas quitter la cellule commune puisqu’ils dépendent de son métabolisme, les virus peuvent sortir de la cellule puisqu’ils n’ont aucune tâche vitale de survie à l’intérieur de la cellule.

Les virus sont donc des éléments constitutifs de la cellule qui ont remis entièrement leur métabolisme à la cellule commune et peuvent donc la quitter. En dehors de la cellule commune, ils aident d’autres cellules, en transférant des substances de construction et énergétiques. Aucune autre fonction n’a jamais été observée chez eux.

Ces vrais virus, dont l’existence a été scientifiquement démontrée, remplissent, dans les processus très complexes d’interactions entre différentes cellules, une fonction d’aide, de soutien et ne sont en aucun cas malfaisants.

De même, dans les cas des maladies, que ce soit dans l’organisme malade ou dans les liquides corporels, on n’a jamais vu ou isolé de structure pouvant être décrite comme des virus. Avancer qu’il existe un virus quelconque qui rend malade est une escroquerie évidente, un fatidique mensonge aux conséquences dramatiques. »

Lanka a aussi lâché cette bombe :

« Pourquoi donc l’existence de virus pathogènes est-elle toujours perpétuée ?

Pour justifier leur existence, les protagonistes et les praticiens de la faculté de médecine ont besoin de la peur paralysante, stupide et destructrice du virus fantôme cause de maladies.

En premier lieu, avec les vaccins, cela leur sert à faire du mal aux nombreuses populations, dans le but de se constituer une clientèle de malades chroniques et de gens souffreteux qui accepteront tout ce qu’on leur fait.

Deuxièmement, afin de ne pas avoir à admettre que leurs traitements des maladies chroniques ne marchent pas et ont massacré et tuent toujours plus de gens que toutes les guerres ont pu le rendre possible jusqu’ici. Tous les praticiens de la faculté de médecine en sont conscients, mais très peu osent en parler. Il n’est donc pas étonnant non plus que parmi les groupes professionnels, ce sont les praticiens de la faculté de médecine qui ont le plus grand taux de suicide, loin devant les autres groupes professionnels.

Troisièmement, les praticiens de la faculté de médecine ont besoin de la peur paralysante et stupide du virus diabolique pour dissimuler leur origine historique en tant qu’instrument d’oppression et de meurtre du Vatican s’étant développé à partir de l’armée romaine occidentale, à l’époque où il luttait pour s’élever dans le monde. »

Pour comprendre tout cela, il nous faut revoir la théorie des germes et la théorie du terrain.

Théorie des germes contre Théorie du terrain

Théorie des germes, vacciner le poisson dans l’eau sale – Théorie du terrain, nettoyer l’eau de l’aquarium

Selon l’article susmentionné, Inner Terrain vs. Outer Terrain : Which Do You Emphasize for Good Health ?, les deux théories concurrentes ont influencé la pensée dans de nombreux domaines (médecine, biologie et bien d’autres). Cela commença dans les années 1800 en France, à l’époque où Louis Pasteur défendait la théorie des germes (le monde est plein de germes pathogènes, de microbes, de bactéries… capables de vous infecter si vous avez la malchance d’être du genre malchanceux), tandis qu’Antoine Béchamp et Claude Bernard défendaient la théorie du terrain (les microbes se métamorphosent en fonction de la qualité du sang ou des tissus dans lesquels ils résident). Une citation attribuée à Claude Bernard dit que « le germe n’est rien, le terrain est tout. »

Pasteur l’emporta et la théorie des germes devint la doctrine dominante. Cela eut l’effet malheureux de rendre les gens effrayés par leur environnement et vulnérables à la propagande de Big Pharma (nous sommes là pour vous protéger ; prenez juste vos médicaments et faites-vous piquer, et tout ira bien). Cela poussa aussi les gens à prendre moins soin de leur hygiène de vie — mauvais choix alimentaires et style de vie —, ce qui implique la dégradation du terrain et l’affaiblissement du système immunitaire qui rendent plus sensibles à la maladie. Mais, et si on se mettait le doigt dans l’œil avec la théorie des germes ? Que se passe-t-il s’il est bien plus important de se soucier de ses propres forces, santé et hygiène de vie, que d’éventuels germes capables de tuer et flottant partout ? Et si cette crise de coronavirus rendait tout le monde maniaque, effrayé et obsédé par l’environnement, par les contacts humains élémentaires et naturels, et faisait oublier la force interne et le pouvoir du microbiome intestinal et du système immunitaire ?

Un virus peut-il passer de l’animal à l’homme ou d’un homme à un autre ?

Selon les scientifiques citées ci-dessus, la réponse est non. Le virus est formé spécifiquement par l’organisme dans le but de se guérir en nettoyant son terrain (en évacuant les déchets toxiques). Selon cette nouvelle façon de voir, les virus sont spécialement conçus pour une cellule, un groupe de cellules ou un organe, de sorte qu’ils ne vont pas se balader d’un organe à un autre, et encore moins d’un organisme humain à un autre.

Où trouve-t-on la photo du coronavirus ?

Dans un monde où tout — littéralement tout — est photographié et enregistré sur vidéo, pourquoi n’y a-t-il pas de vraies images du virus, du véritable coronavirus censé être à l’origine du souk ambiant ? Il ne doit pas être très difficile de se procurer un microscope électronique et de le photographier. Pourquoi a-t-on seulement des images de synthèse (générées par ordinateur) ? [Les plus fréquentes photos montrent des ouvrages de laine tricotés au crochet par la grand-mère de célèbres virologues, NdT]

Importance de l’iode et de l’oxygène dans la crise du coronavirus

Sur une autre note, étant donné la panique autour du Covid19, il est important de revoir tout de suite certains fondamentaux de la santé et en particulier l’iode et l’oxygène.

Minéral très important, l’iode est le seul halogène nécessaire à l’organisme. Or, en cas de manque, l’organisme se tourne vers d’autres halogènes, fluor, chlore et brome, qui sont tous toxiques. S’il y en a trop, la maladie se déclare. Il faut se méfier de l’eau de Javel servant à éliminer de supposés virus tueurs, car cela expose au chlore. En outre, la fréquence de 6 GHz (utilisée dans de nombreux téléphones sans fil, routeurs et autres appareils) affecte l’absorption de l’iode. Parmi les symptômes du manque d’iode, il y a la détresse respiratoire (un symptôme du Covid19). La carence en iode est aussi impliquée dans le cancer.

La 5G est indéniablement liée au coronavirus, mais nous ne comprenons toujours pas précisément comment. La 5G a été déployée pour la première fois à Wuhan, en Chine, à l’épicentre de l’épidémie. Pourtant, tout le monde ne tombe pas malade en présence de la 5G. L’une des causes possibles est la nouvelle bande de fréquences qu’il utilisera (60 GHz ou WiGig, nouveau nom du Wi-Fi 60 GHz). Tout comme la fréquence de 6 GHz affecte l’absorption de l’iode, la fréquence de 60 GHz affecte l’absorption de l’oxygène. En fait, la fréquence 60 GHz a une action sur la molécule d’oxygène. Elle a la capacité d’empêcher les molécules O2 de se lier facilement à l’hémoglobine, ce qui signifie moins d’absorption d’oxygène. Cela entraîne la sous-oxygénation ou l’hypoxie, précurseur de la maladie. De nouveau, comme dans le cas de l’iode, le symptôme de manque d’oxygène est la détresse respiratoire (symptôme du Covid19).

Dans cette affaire, le virus fournit l’excuse parfaite en servant de bouc émissaire aux produits chimiques toxiques et aux rayonnements électromagnétiques qui nous rendent malades…

Si les virus ne voyagent pas entre les organismes, que se passe-t-il quand quelqu’un « attrape » la grippe ?

C’est la question clé. Si les virus ne sont pas du tout ce qu’on raconte, comment expliquer ce qui ressemble à la contagion virale ou à l’infection virale ? N’est-ce pas réel ? Eh bien, il est certain que nombre de gens tombent malades après avoir côtoyé un malade, mais la vraie question est comment cela se fait-il. Une réponse possible serait que le terrain du receveur était dégradé au point de s’infecter, que ce soit parce qu’il s’inquiétait ou avait peur de tomber malade (la peur affaiblit le système immunitaire) ; il a pensé qu’il allait tomber malade (et cette pensée a eu la force de se concrétiser inconsciemment) ou il a développé une sorte d’élan émotionnel accordant sa fréquence sur celle de la personne malade. Dans la vie, nous avons tous des moments de vitalité et de déprime ; au cours des moments de déprime, nous devenons plus sensibles aux maladies. Le grand génie Nikola Tesla a déclaré : « Le jour où la science commencera à étudier les phénomènes non physiques, elle fera plus de progrès en une décennie qu’au cours de tous les siècles précédents de son existence. » Il a dit aussi que « si vous voulez découvrir les secrets de l’univers, pensez en termes d’énergie, de fréquence et de vibration. »

Parmi les possibilités de tomber malades, il y a l’exposition à des poisons, les raisons mentales, les raisons émotionnelles, la régénération ou la désintoxication et les chocs émotionnels. Le Dr Ryke Geerd Hamer (fondateur de la Nouvelle médecine germanique) a établi que « chaque maladie est provoquée par un choc qui prend l’individu complètement au dépourvu, » et c’est devenu sa première loi biologique.

Ainsi, attraper une maladie n’a rien à voir avec « des germes malfaisants qui nous infectent, » mais dépend plutôt de l’état mental et émotionnel, du système immunitaire, du microbiome et de la réceptivité.

[Voir aussi le dossier Vaccins et virus et particulièrement :
Sur la thérie virale :
L’enterrement de la théorie virale
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
Sur la contagion :
Parlons contamination
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions
Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Sur les effets de la 5G et autres ondes pulsées :
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Rayonnements sans fil et ostéoporose
Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples
Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale
5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Questions relatives à la 5G
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Divers :
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Les Racines de nos Maladies
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Graphène et 5G]

Conclusion : Cette crise doit être une opportunité pour voir les virus de manière différente

Il serait sage, au milieu de toute la peur du coronavirus, de se rappeler que la théorie des germes n’est qu’une théorie, et que chacun peut prendre en charge sa santé. Le système immunitaire peut être renforcé grâce aux choix alimentaires sains, à suffisamment de soleil (vitamine D3), d’exercice et de sommeil. On peut réduire ou éliminer l’exposition aux poisons que sont par exemple le fluorure, le chlore, l’aluminium, le mercure et les rayonnements électromagnétiques du sans-fil. On peut prendre des compléments alimentaires qui renforcent l’immunité, comme la vitamine C, les antioxydants, l’iode et l’oxygène, ainsi que des remèdes naturels, comme l’extrait de feuille d’olivier, les champignons médicinaux et l’huile d’origan.

[NdT : il est bien connu aussi que la prise régulière de chlorure de magnésium renforce considérablement l’organisme. C’est grâce à lui qu’a été éliminée l’épidémie de chikungunya dans les îles françaises de l’océan Indien. L’information selon laquelle il guérit même le terrifiant Ebola a aussi réussi à être propagée malgré la censure de la presse. En fait il renforce tellement l’organisme, qu’il ne laisse prise à aucune épouvantable maladie dite virale et même parasitaire.]

Il existe une maxime capitale disant que le savoir chasse la peur. Et si la vraie conspiration était l’exploitation de l’ignorance des masses de la vraie nature des virus ? Et s’il n’existait aucun virus tueur ? Et si le vrai virus était la peur, peur du virus, peur de l’inconnu et peur de mourir ? Il est difficile de dire que les contrôleurs du Nouvel ordre mondial sont des maîtres manipulateurs qui savent parfaitement exploiter la psychologie humaine. Le moment est venu pour chacun de foncer bille en tête et de remettre en question tout ce qu’il croyait savoir. Voici l’occasion de passer à un nouveau niveau de compréhension, de compréhension et de connaissance, afin que chacun puisse garder sa liberté.

Après tout, comment être libres en restant ignorant, puisque l’ignorance donnera toujours prise à l’exploitation.

The Freedom Articles, Makia Freeman

Deep Down the Virus Rabbit Hole — Question Everything




La variole du singe ? Du lard ou du cochon ?

Par Nicole Delépine

C’est quoi la variole du singe ? Dr Malone : « C’est un Jeu de détournement d’attention. »

Vanilla 🇫🇷⭐️⭐️@Azulbleue :

« La VARIOLE DU SINGE existe depuis TOUJOURS et est complètement BÉNIGNE dans l’immense majorité des cas, ne nécessite aucun traitement et se guérit toute seule !!! RENSEIGNEZ-VOUS ET PAR PITIÉ NE VOUS LAISSEZ PAS AVOIR CETTE FOIS-CI. »

L’ORTHOPOXVIRUS SIMIEN : RAPPEL CLINIQUE selon l’OMS

« L’infection des cas initiaux résulte d’un contact direct avec du sang, des liquides biologiques ou des lésions cutanées ou muqueuses d’animaux infectés. En Afrique, on a documenté des infections humaines à la suite de la manipulation de singes, de rats géants de Gambie et d’écureuils infectés, les rongeurs étant vraisemblablement le principal réservoir du virus. La consommation de viande d’animaux infectés et insuffisamment cuite est un facteur de contamination possible.

La transmission secondaire, c’est-à-dire interhumaine, peut résulter de contacts étroits avec des sécrétions infectées des voies respiratoires, des lésions cutanées d’un sujet infecté ou d’objets récemment contaminés par des liquides biologiques ou des matières provenant des lésions d’un patient. La transmission se produit principalement par les particules des gouttelettes respiratoires et nécessite en général un contact face à face prolongé, ce qui expose les membres de la famille des cas évolutifs à un risque infectieux plus grand. Elle peut également survenir par inoculation ou par voie placentaire (orthopoxvirose simienne congénitale). Rien ne permet à ce jour d’affirmer que la seule transmission interhumaine permette de maintenir l’orthopoxvirose simienne dans la population humaine ».

La durée d’incubation (intervalle s’écoulant entre l’infection et l’apparition des symptômes) : en général de 6 à 16 jours, peut aller de 5 à 21 jours.

La période symptomatique se divise en deux phases : la première caractérisée par de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires et une certaine fatigue, mais aussi par la présence de ganglions enflés et volumineux sous la mâchoire et au niveau du cou.

Dans la seconde phase, qui survient dans les 1 à 3 jours (voire plus) suivant l’apparition de la fièvre, c’est la fameuse éruption cutanée. Elle émerge en une seule poussée.

La période d’éruption cutanée (dans les 1 à 3 jours suivant l’apparition de la fièvre) avec les différents stades du rash, commençant souvent par le visage puis s’étendant sur les autres parties du corps. Le visage (dans 95 % des cas), les paumes des mains et les plantes des pieds (dans 75 % des cas) sont les plus touchés.

Le rash évolue en une dizaine de jours à partir des maculo-papules (lésions à base aplaties) vers les vésicules (petites ampoules remplies de liquide), puis les pustules et enfin les croûtes. La disparition complète de ces dernières peut prendre jusqu’à trois semaines.

Le nombre des lésions varie de quelques-unes à plusieurs milliers, touchant la muqueuse buccale (dans 70 % des cas), les organes génitaux (30 %), les conjonctives (paupières) (20 %), ainsi que la cornée (globe oculaire).

L’orthopoxvirose simienne guérit en général spontanément et les symptômes durent donc de 14 à 21 jours. Les cas graves se produisent plus fréquemment chez les enfants et sont liés à l’ampleur de l’exposition au virus, au mauvais état de santé du patient et à la gravité des complications.

ATTENTION SOURCE DE CONFUSION (déjà le premier cas grec était une varicelle, cf. infra)

Diagnostics cliniques différentiels à envisager : autres maladies à éruption cutanée, comme la variole, éradiquée officiellement de la planète des laboratoires militaires en conservent vraisemblablement) la varicelle, la rougeole, les infections bactériennes cutanées, la gale, la syphilis et les allergies médicamenteuses. L’adénopathie au stade prodromique peut être un signe clinique permettant de distinguer l’orthopoxvirose simienne de la variole.(([1] Principaux repères sur l’orthopoxvirose simienne (who.int) ))

UNE ÉTUDE SÉRIEUSE DE L AIMSIB(([2] Les Espagnols risquent de mourir en masse du monkeypox — AIMSIB))

Non spécialiste sur ce sujet, je ne peux que vous livrer quelques réflexions tirées de l’article de l’AIMSIB dans lequel nos collègues le dr Reliquet et Bernard Guennebaud mettent en garde sur les erreurs à ne pas commettre.

En fait, pas d’affolement contrairement au titre qui pourrait le laisser penser, c’est seulement s’ils décidaient de vacciner larga manu les sujets contacts avec le vaccin antivariolique humain (inefficace sur la variole du singe). Ils vous expliquent les erreurs à éviter et vous conseillent d’avertir vos amis espagnols.

« Résumé : Bill Gates l’a promis depuis des mois, quelqu’un l’a peut-être fait, voilà que le virus MKP de la variole du singe, version ouest-africain, est apparu concomitamment dans de nombreux pays européens dont la France, les USA, le Canada et ailleurs, touchant particulièrement une population d’homosexuels masculins ce qui n’est à ce jour expliqué par personne.

Comment des sujets qui n’ont pas voyagé peuvent avoir contracté cette maladie spécifiquement nigériane, extrêmement peu contagieuse et sur tous les continents en même temps ? Un gain de fonction bricolé en laboratoire hissera-t-il ce virus au-dessus de ses 2 % de mortalité habituelle ce qui le rendrait cent fois plus mortel que CoV-2 et corroborerait les prédictions de Gates ?

Ce qui est sûr, c’est que l’exploitation médiatique à visée de propagande thérapeutique a déjà commencé et que surtout, horreur de toutes les horreurs, les épidémiologistes les plus nuls du monde (ou les plus corrompus, mais ce sont souvent les mêmes) nous préparent une vaccination dangereuse, celle des sujets déjà mis en contact avec les malades.

Tout est démontré depuis le XIXe siècle, cette vaccination, si elle est mise en œuvre, tuera… Vincent Reliquet et Bernard Guennebaud coopèrent ici pour un éclairage urgent. Prévenez vos amis Espagnols, une nouvelle folie commence, probablement orchestrée depuis mars 2021 et vous verrez comment. »

LA PEUR BAISSAIT. IL FAUT LA RAVIVER, MAIS LES PEUPLES SERONT MOINS DUPES (espoir…)

La variole humaine est éradiquée depuis les années 80, mais il existe des souches dans un labo US et un Russe à ce que l’on sait. Quid des labos secrets, par exemple ceux d’Ukraine ?

 Il existe d’autres poxvirus comme celui du chameau ou celui du singe, le monkeypox. 

Ces virus peuvent, le cas échéant, contaminer des humains comme cela s’était produit à plusieurs reprises depuis 1980.

Selon Nice-Matinl’Espagne envisagerait de vacciner les contacts avec le vaccin utilisé contre la variole humaine (citée par AIMSIB). Et c’est là que le bât blesse et inquiète nos collègues qui ont travaillé cette histoire de la médecine depuis des années.

« Aucun vaccin n’a pour le moment été approuvé en Europe, mais face à la montée des cas de variole du singe sur le territoire espagnol, le ministère de la Santé a décidé de commander des milliers de doses de vaccin contre la variole classique. Le vaccin devrait être injecté aux personnes cas contacts. »

« Vacciner les sujets-contacts de la variole, la mauvaise idée de toujours

Cette vaccination des contacts fut utilisée de façon de plus en plus systématique et contraignante au cours de la campagne d’éradication de la variole humaine.

Il n’y a guère de doutes à avoir aujourd’hui pour pouvoir attribuer à cette vaccination des contacts les flambées épidémiques qui suivaient ces vaccinations et qui furent qualifiées “d’explosives et d’inattendues” par l’OMS.

Mais comme cette vaccination des contacts était pratiquée conjointement à l’isolement (mise en quarantaine le plus souvent) des malades et des contacts, la transmission du virus fut interrompue et ce succès fut largement attribué à tort à cette vaccination des contacts.

Cette mesure, qui aggravait la maladie et amplifiait les épidémies, fut ainsi introduite dans les plans variole des États et même rendue obligatoire en France pour les contacts de haut niveau par un décret de février 2003. » (…)

L’éradication de la variole fut une aventure dont l’issue favorable ne fut obtenue que de justesse. Il y avait beaucoup d’obstacles sur le terrain pour pouvoir appliquer partout où la variole était présente, l’isolement des cas qu’il fallait d’abord découvrir puis celui de leurs contacts.

Le succès de ces interventions, rendues parfois périlleuses par un réseau précaire de communications, fut malheureusement compromis par la vaccination de plus en plus systématique des contacts en raison de ce que j’ai proposé d’appeler les effets Buchwald :

Premier effet Buchwald : chez une personne non immunisée, la vaccination pendant la période d’incubation ou quelques jours auparavant aggravera la maladie. Collectivement, cet effet se manifestera par un accroissement des formes graves et de la mortalité chez les malades (létalité).– Second effet Buchwald : chez une personne immunisée (par une ancienne vaccination ou une ancienne variole), la même vaccination déclenchera la maladie qu’elle aurait sinon évitée. Collectivement, cet effet se manifestera par une amplification des épidémies. » et aggravera la maladie par une amplification des épidémies.

Suit une longue démonstration sur les errements officiels et les rapports cachés sur l’éradication de la variole humaine dans laquelle B. Guennebaud grand spécialiste et historien du sujet tente de démontrer le rôle aggravant de la vaccination des cas contacts et le flou des données accessibles, ce qui après l’expérience du covid n’étonnera personne et encore moins les dossiers classés « secret défense ».

Conclusions à en tirer au stade actuel sur la variole du singe : Prudence !

« L’irruption de cas de variole du singe frappant concomitamment une population plutôt homosexuelle masculine à la fois en France, au Royaume-Uni, au Portugal, en Espagne, en Suède, aux USA et au Canada(([3] bilan d’extension au 22/05/2022 :
https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/2022-dgs-urgent_55_monkeypox.pdf)), chez des sujets qui n’ont aucunement voyagé en Afrique de manière récente, laisse pantois. Il apparaît évidemment comme 
hautement improbable que cette dissémination soit le fait du hasard d’autant plus qu’une simulation de mars 2021 nous en donnait déjà une glaçante prédiction ».(([4] https://www.nti.org/wp-content/uploads/2021/11/NTI_Paper_BIO-TTX_Final.pdf))

Il est trop tôt à ce jour pour confirmer la suite de la simulation imaginée il y a plus d’un an, on ne peut que rester stupéfait par la date de démarrage de « l’épidémie » collant absolument à la réalité actuellement vécue en Europe est un peu tôt à ce jour pour confirmer la suite de la simulation imaginée il y a plus d’un an, on ne peut que rester stupéfait par la date de démarrage.

On rappelle que Bill Gates est devenu le maître incontesté de toutes les décisions de l’OMS, car il en a pris le contrôle en même temps que toutes les décisions sanitaires des pays membres, en mars 2020(([5] à 24 minutes, https://www.aimsib.org/2022/01/30/dou-viens-tu-sars-cov-2/)). Cette simulation a eu lieu au plus haut niveau comme en atteste la liste des membres présents (voir l’article de l’AIMSIB), faut-il s’étonner ou pas d’y retrouver un salarié de la Bill et Melinda Gates Fundation, Chris Elias, ainsi d’ailleurs qu’un membre du board de chez Merck ?

Qu’en est-il dans la réalité ? Ce virus de la variole du singe est-il augmenté pour résister à la vaccination existante, comme dans la simulation du MSC ou s’agit-il d’un largage de virus sauvage non modifié ? (Dans des valises oubliées dans des aéroports comme nous le prédisait le sulfureux Bill Gates, informaticien qui se voudrait grand chef de la médecine mondiale !)

@Noiregoutte 19 mai :

il y a les pseudo élites toutes puissantes réunies à Davos, mais aussi LES PEUPLES DES MILLIARDS D’INDIVIDUS

Quoiqu’il en soit nos Satan modernes ne font pas nécessairement ce qu’ils veulent et la prise de conscience des peuples sur la manipulation que nous subissons depuis plusieurs décennies et singulièrement depuis deux ans et demi, est une donnée non prise en compte par nos pseudo tout puissants.

Restons calmes pour ne pas dire zen.

Ne cédons pas à la peur que nos élites et médias souhaiteraient utiliser pour remplacer la peur du covid et de la guerre en Ukraine qui s’effritent.

MAIS ATTENTION AUX FAKE ET AUX DÉSIRS DE DAVOS :

« les médias mensongers vont-ils relater ses propos ? Klaus Schwab aux participants du Forum de Davos pour le WEF : “L’avenir est construit par nous, une communauté puissante ici dans cette salle”. »

Eh bien non MR IL EXISTE AUSSI LES PEUPLES ET SURTOUT LES PEUPLES.

LE PREMIER CAS GREC / VARIOLE DU SINGE : LE PREMIER CAS SUSPECT EN GRÈCE ÉTAIT EN FAIT UNE VARICELLE !

« Alors qu’il existe des symptômes proches entre les deux maladies, un premier cas suspect de variole du singe avait été détecté chez un touriste anglais en Grèce. La varicelle lui a finalement été détectée par suite de deux examens successifs ».(([6] https://www.leparisien.fr/societe/sante/variole-du-singe-le-premier-cas-suspect-en-grece-etait-en-fait-une-varicelle-23-05-2022-BVKQ637WPBABVP5GX2QUQFSL24.php#xtor=AD-14814))

ET LA RÉACTION DU PR PERRONNE(([7] Réaction du Professeur Perronne à l’annonce de la variole du singe — Enfant de la Société — Sott.net))

« Maintenant que vous savez comment ça marche, on crée la peur et on impose un vaccin jamais validé, expérimental, dont on ne connaît pas le contenu, et que la compagnie va jusqu’à payer université, hôpitaux et médecins pour vous extorquer un consentement non éclairé, tout en ne payant pas les dommages et décès de vos proches…Vous savez cette fois, ce sera plus facile de choisir de dire “non”…

Le monkeypox a une létalité faible de 2 à 3 %. Rien à voir avec celle de la variole humaine qui dépasse 30%.sauf s’ils y ont introduit des gènes pour gain de fonction.

Bizarre, Bill Gates avait annoncé qu’il y allait avoir une épidémie d’un virus dérivé de la variole et a investi sur un nouveau vaccin. Il est fort !
Bizarre que ça touche surtout les homosexuels masculins. Dans le communiqué DGS, il est dit que ça atteint surtout les homosexuels masculins et que la transmission se fait surtout par voie respiratoire. Il y a quelque chose qui m’échappe.C’est aussi très bizarre que les cas arrivent simultanément dans plusieurs pays éloignés. Il y a peu de chance pour une extension rapide et large, car les personnes symptomatiques sont couvertes de grosses vésicules, y compris sur le visage et se repèrent donc de loin. Ces malades ont de la fièvre et une grande fatigue. Ils ne sont pas en état de courir partout dans les transports ou au travail. Facile de les isoler (sauf si on leur dit de rentrer chez eux pour contaminer tout le monde). Le monkeypox est peu transmissible d’homme à homme. Il faut un contact étroit et prolongé.

Ça semble impossible qu’il y ait émergence spontanée, en quelques jours, de cas isolés au Canada, aux USA et dans plusieurs pays d’Europe. Surtout que les malades n’avaient pas voyagé avant. La ficelle est trop grosse ! »

t.me/unis_vers/14385

MAIS RÉSISTONS, REFUSONS ET LE VACCIN ANTIVARIOLIQUE ET UN ÉVENTUEL VACCIN ANTI-VARIOLE DU SINGE !

N’oublions pas que pour la Variole du singe : les plus de 45 ans sont immunisés à 85 % par leur vaccination antivariolique des premiers jours. Ils ne pourront pas nous faire le coup de protéger les vieux !!!

MANIPULATION AGAIN !

Attention aux manipulations, même des archives : UK : ils sont en train de retirer des sites officiels les cas de variole du singe apparus en 2018, 2019, 2020… etc.

Au moment même des annonces, ils modifiaient déjà les sites qui parlaient de cette maladie. Tous ont été modifiés en mai 2022. Le 1er truc, de 1 % de mortalité, ils sont passés de 1 à 10 %, bientôt le « 1 % » va disparaître. Il faut chercher dans les livres d’avant 2000….

9:01 AM · 23 mai 2022· https://t.me/unis_vers/14457 :



Et révisons le diagnostic de varicelle, ça peut servir !

On les a vaccinés 4 fois avec un vaccin à ARN messager expérimental.
Et quand ça les a rendus malades, on leur a dit que c’était la variole du singe. Du coup on va les revacciner pour ça aussi.
(NDLR : C’est vrai que vous êtes un peu cons quand même)

Par Alain Brugerie sur twitter #vaiolodellescimmie :

«  La variole du singe c’est rare, peu contagieux et ça guérit tout seul. Le but de cette médiatisation débile étant évidemment d’entretenir un climat de trouille et de dépendance sanitaire chez les obsédés du Covid et autres hypocondriaques #cnews #BFM #LCI »

SANS OUBLIER LES FAKE NEWS : MERCI AUX TWITTOS à Jeanne d’Arc la bien nommée ! Allez faites tourner les fakes news sur la variole ! Regardez comme ils nous enfument ces enfoirés, articles à l’appui ! #FakeNews #VarioleDuSinge

Dr Malone : « C’est un Jeu de détournement d’attention. »

Le Dr Robert Malone explique qui finance réellement ces programmes : « C’est quoi la variole du singe ? »

« … Ils ont déjà stocké des vaccins contre la variole. Ce qu’ils ont acheté, c’est plus de vaccins contre la variole… Le nom du produit s’appelle JYNNEOS… Il est commercialisé par Bavarian Nordic et tout ce que vous avez à faire, c’est de chercher la notice du produit JYNNEOS et vous trouverez la notice du produit et vous découvrirez que ce n’est absolument pas un produit bénin, tout comme l’ancien produit Dr. X, qui est un peu plus sûr que ce que j’ai connu avec ce produit lorsque je travaillais pour le DOD. Ce produit a comme l’un des principaux effets indésirables graves et rares. Attendez un peu, myocardite cardiotoxique. »

Et Bavarian Nordic c’est Fauci




Revue de Presse 14/05/2022

Par MF

REVUE DE PRESSE DU 9 MAI 2022

ÉDITO — Moins ça marche, plus on continue !

Les preuves de l’inefficacité des vaccins anti-covid s’accumulent, qu’à cela ne tienne, on commande toujours des lots, y compris pour les enfants, on jette ceux qui sont périmés (en d’autres temps, on aurait appelé ça « jeter l’argent par les fenêtres »), on élargit le spectre des personnes habilitées à vacciner, y compris sans prescription médicale, et on accumule des données effrayantes sur les effets indésirables des injections, de l’hépatite auto-immune au syndrome d’immunodéficience acquise, du Creutzfeld-Jacob à la stérilité, n’en jetez plus il y en a 80 000 pages pour Pfizer et même l’ANSM détaille les effets de l’AstraZeneca !

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

L’OMS révèle ses techniques de manipulation de masse

Ce qui peut expliquer l’uniformité des stratégies européennes. Ça sent le McKinsey..

Le pire est à venir pour les enfants, la vaccination obligatoire

https://www.francesoir.fr/opinions-editos/allons-enfants-de-la-patrie-2

Jusqu’où iront-ils ?

Modalités de la vaccination des enfants et calendrier des directives

Au passage, on notera la disparition de l’avis médical…

La Réunion, dose de rappel obligatoire pour les soignants

https://la1ere.francetvinfo.fr/reunion/obligation-vaccinal-les-soignants-bientot-soumis-a-une-nouvelle-dose-de-rappel-pour-continuer-a-exercer-1283168.html

Interdits d’exercer et ne pouvant pas se faire remplacer, le bras de fer se poursuit entre autorités et soignants.

Une citoyenne blessée accuse les médias

https://www.francesoir.fr/politique-france/une-citoyenne-blessee-accuse-les-medias

et demande le retrait du titre « les non-vaccinés mettent en danger les vaccinés ».

Les preuves du crime dans le CSI du 12 mai 2022

Grand banditisme, et perversion des médias mainstream.

Un humain génétiquement modifié est-il brevetable ?

Une marche de plus vers l’enfer sur terre ?

D’autres pandémies à venir ?

https://www.midilibre.fr/2022/05/07/apres-le-covid-des-virus-emergents-inquietent-depuis-peu-les-scientifiques-a-quoi-faut-il-sattendre-10281113.php

Toujours le même discours pour faire peur, et la solution proposée, des vaccins !

Constat de l’état de l’AP-HP

https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/opinion-martin-hirsch-a-lap-hp-des-annees-de-mauvaises-decisions-1406015

Un gâchis !

https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/opinion-martin-hirsch-a-lap-hp-des-annees-de-mauvaises-decisions-1406015

Et le cynisme en prime !

ÉTRANGER

ALGÉRIE, chantage de Pfizer

https://www.jeuneafrique.com/1171814/politique/coronavirus-lalgerie-accuse-pfizer-de-chantage/

Et les gagnants sont… les vaccins chinois et russes !

CHINE, le confinement de Shanghai n’est pas une mesure sanitaire

Paranoïa de contrôle et préparation de la réélection du président.. . à vie ?

Et

Baisse des cas mais renforcement des restrictions

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/05/11/nouveau-resserrement-du-confinement-a-shanghai/

Pénurie de nourriture, hausse des prix, difficultés d’accès aux soins...

Et

Des employés s’enfuient de l’usine où ils étaient confinés

https://www.francesoir.fr/politique-monde/confinement-centaines-chinois-ont-fui-lusine-de-quanta

dans des conditions de travail et de vie insoutenables, sans pouvoir rentrer chez eux...

ITALIE, le cri d’alarme d’une députée contre l’obligation vaccinale

https://nouveau-monde.ca/nouveau-cri-dalarme-de-la-deputee-italienne-sarah-cunial-contre-lobligation-vaccinale/

Elle s’adresse au Pape « Vous ne pouvez plus dire que se faire vacciner est un acte d’amour, car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol. »

ITALIE, moratoire sur la vaccination à l’initiative d’un avocat

https://www.francesoir.fr/politique-monde/la-confederation-legale-pour-les-droits-de-lhomme-exige-moratoire-vaccination

Manifeste signé par plus de 167 000 citoyens.

UE, comment elle s’apprête à confisquer nos données de santé

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/05/06/comment-lue-sapprete-a-confisque-nos-donnees-de-sante/

Le transfert progressif de notre souveraineté sanitaire vers l’Union, puis un jour vers l’OMS, est en marche.

L’OMS affole la presse avec 15 millions de morts du Covid

https://www.francesoir.fr/societe-sante/oms-15-millions-morts-covid-surmortalite-presse

Surmortalité liée aux mesures anti-covid et aux statistiques biaisées.

USA, combien Pfizer a-t-il payé à la FDA pour que son vaccin soit approuvé ?

https://vaccineimpact.com/2022/just-released-documents-by-pfizer-show-biontech-paid-fda-2875842-00-drug-user-fee-for-covid-19-vaccine-approval/

2875 millions de dollars !! Qui peut croire que ce vaccin devait protéger la population ??

USA, nouveau scandale, paiements occultés à Fauci et membres du NIH

https://www.epochtimes.fr/nouveau-scandale-350-millions-de-dollars-de-paiements-occultes-destines-a-fauci-collins-et-dautres-membres-des-nih-2022660.html

« Nous pensons qu’il existe un énorme conflit d’intérêts inhérent aux NIH »

L’État profond travaillait contre Trump pour gérer l’épidémie de Covid

https://www.epochtimes.fr/letat-profond-travaillait-contre-trump-reponse-covid-19-ancien-conseiller-departement-de-sante-devoile-2021175.html

« 90 % des personnes en 2020 et 2021, qui ont été désignées comme positives au Covid avec des tests PCR étaient faussement positives ». « Nous aurions pu gérer cette pandémie simplement en protégeant correctement les personnes vulnérables et en permettant à tous les autres de vivre une vie normale, de s’exposer naturellement et sans danger en étant immunisés naturellement », poursuit le Dr Alexander.

Pourquoi lancer un mandat d’arrêt contre Fauci ?

https://nouveau-monde.ca/pourquoi-lancer-un-mandat-darret-contre-le-docteur-de-lamerique-anthony-fauci/

Exposé détaillé des individus et sociétés responsables des stratégies de la pandémie et de leurs mensonges, à lire absolument !

JUSTICE

Trois médecins devant le Conseil de l’Ordre pour avoir prescrit des antihistaminiques

https://www.francesoir.fr/societe-sante/medecins-haute-savoie-antihistaminiques-conseil-de-lordre

Où commence et s’arrête la liberté de prescrire ?

Afrique du Sud, McKinsey, encore lui !

https://www.lemonde.fr/afrique/article/2022/05/05/afrique-du-sud-mckinsey-et-les-societes-de-conseil-bouscules-par-les-scandales-de-corruption-de-l-ere-zuma_6124911_3212.html

Rapport de la commission Zondo consacré au pillage des caisses de l’État dans les années 2010.

INDE, la Cour suprême juge la vaccination obligatoire anticonstitutionnelle

https://www.francesoir.fr/politique-monde/la-cour-supreme-indienne-juge-la-vaccination-obligatoire-anti-constitutionnelle

Respect de l’intégrité physique et de l’autonomie personnelle… à quand dans le monde ?

USA, le Missouri et la Louisiane intentent un procès à Biden, Fauci, etc.. pour collusion avec les réseaux sociaux (censure sur le covid et les vaccins)

https://nypost.com/2022/05/05/biden-sued-for-colluding-with-big-tech-to-suppress-free-speech-on-hunter-laptop/

et l’Arizona délivre un mandat d’arrêt contre Fauci pour avoir caché des traitements

https://reseauinternational.net/larizona-delivre-un-mandat-darret-contre-fauci-pour-avoir-cache-des-medicaments-et-des-traitements-salvateurs-contre-le-covid-au-public/

COVID

Les sous-variants BA4 et BA5

https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2022/04/30/omicron-ce-que-lon-sait-des-sous-variants-ba-4-et-ba-5

Apparus en Afrique du Sud, leur pouvoir infectieux est élevé et leur devenir épidémiologique inconnu à ce jour.

TRAITEMENTS ET PRÉVENTION

Aucune incidence du port du masque chez les enfants sur le taux de contamination

https://reinfocovid.fr/science/aucune-correlation-entre-le-port-du-masque-et-le-taux-de-sars-cov2-chez-les-enfants/

Les plus jeunes ont des indicateurs de transmission inférieurs à ceux des plus âgés.

USA, les hôpitaux payés pour utiliser un traitement inefficace et dangereux

Remdesivir, Paxlovid, Molnupiravir, 10 fois plus chers que l’ivermectine, efficace et non toxique.

INJECTIONS

La DREES affiche une chute d’efficacité des vaccins

https://www.francesoir.fr/societe-sante/drees-efficacite-vaccins

Les vaccinés sont surreprésentés dans les hospitalisations et décès.

Moderna ira jusqu’au bout alors que son vaccin est déconseillé aux moins de 30 ans !

https://www.leparisien.fr/societe/sante/covid-19-lagence-europeenne-des-medicaments-examine-lutilisation-du-vaccin-de-moderna-chez-les-moins-de-5-ans-05-05-2022-SGV56EUKHJE77CBVF2KV35GUZ4.php

Les enfants n’ont rien à craindre du Covid, mais tout des vaccins, il faut le répéter !!

EFFETS INDÉSIRABLES

Le 24 mai le Dr Amine Umlil sera auditionné au Sénat sur les effets indésirables des vaccins

https://www.francesoir.fr/politique-france/amine-umlil-auditionne-au-senat-le-24-mai

Audition publique et retransmise sur internet.

Allemagne, une étude confirme l’hépatite auto-immune sévère induite par le vaccin

https://lesakerfrancophone.fr/une-nouvelle-etude-confirme-que-le-vaccin-covid-provoque-une-hepatite-auto-immune-severe

Arrêtons la vaccination des enfants !!

Allemagne, le sang est modifié chez TOUS les vaccinés

https://www.kla.tv/Interviews-fr/22503

Il est possible de faire la distinction selon le statut vaccinal, ce qui pose la question d’un délit.

Allemagne, des complications 40 fois plus importantes que celles du rapport Ehrlich

https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccination-contre-le-sars-cov-2-une-etude-allemande-fait-etat-deffets-secondaires

Un demi-million d’effets secondaires graves !!

Royaume-Uni : Syndrome d’immunodéficience acquise après 3 doses

https://planetes360.fr/les-donnees-officielles-indiquent-que-les-personnes-triplement-vaccinees-developpent-le-syndrome-dimmunodeficience-acquise-a-un-rythme-alarmant/

Système immunitaire décimé, favorisant infections et cancers.

Déni concernant les effets très graves des injections chez les femmes enceintes

https://nouveau-monde.ca/pourquoi-un-tel-deni-des-effets-graves-des-vax-anticovid-chez-les-femmes-enceintes/

ANSM : AUCUN signal de sécurité n’existe à ce jour !!

Et

https://www.aimsib.org/2022/05/08/vacciner-les-femmes-enceintes-est-une-folie-absolue/

Ou comment clouer le bec d’un Conseiller Ordinal en manque d’informations valides !

80 000 pages d’effets indésirables décryptés (documents de Pfizer)



Alexandra Henrion-Caude les décode pour Radio Courtoisie.

Creutzfeld-Jacob, Pfizer dès 2020 avait signalé des contaminations du vaccin !!



mais envisagé seulement un risque théorique.

L’ANSM détaille tous les effets indésirables de l’AstraZeneca

https://www.lelibrepenseur.org/covid-19-lansm-detaille-tous-les-effets-indesirables-lies-au-vaccin-dastrazeneca/

Et la liste s’allonge…

Refuser l’obligation vaccinale prévue et informer, informer...

https://nouveau-monde.ca/refuser-lobligation-vaccinale-prevue-informons-chaque-jour/

Pour rappel, un accident indésirable sur 5 est un trouble cardiaque.

RÉSISTANCES

Conseil scientifique indépendant du 5 mai 2022

Hélène Banoun :

« La minute d’actu »

Claude Escarguel :

« “Les coopérations bactéries/virus et leurs implications thérapeutiques dans la prévention des formes graves et longue de Covid” »



HOLD-OUT, le film après Hold-up et Hold-on

https://www.francesoir.fr/videos-lentretien-essentiel/pierre-barnerias-hold-out

3e volet de ce documentaire avec des intervenants prestigieux.

Et

https://rumble.com/v134m5x-hold-out-film-complet-par-le-collectif-de-journalistes-indpendants-citizen-.html

et

https://dissidencetv.fr/19/04/2022/sante/covid-19/hold-out-film-complet/

12 min Base de données EMA, disparition des cas déclarés de décès d’enfants au fil du temps.

22 min, images impressionnantes de structures évoquant un champignon dans le vaccin Moderna, 24 min identification d’un ver de type helminthe, et structures non identifiées, organisées en ligne, le tout indique que les vaccins ont été conçus depuis longtemps.

47 min, des structures triangulaires (qui n’existent pas dans la nature)

Oxyde de graphène (totalement interdit !), transformant le corps humain en émetteur-récepteur ? Produits toxiques, comme le PEG induisant une réaction adverse du corps risque de maladies auto-immunes.

1 h 23, excipient du Janssen, formation d’une structure foliée, et de formes rondes se multipliant sous le microscope (phénomène microtubulaire soumis à une influence magnétique ??). Etc.




Côtoyer des personnes « vaxxo »… ou pas

[Source : lumiere-dans-la-matrice.org]

Par Pierre Lassalle

Nous souhaitons, au travers de cet article, réaliser une mise au point sur ce que nous connaissons et pensons, concernant les changements irréversibles qui se sont produits ces deux dernières années sur la planète entière.

(…) il est bon que vous sachiez que, de nos jours, et du point de vue de la Justice (cf. les décisions de la Cour Suprême des États-Unis)(([1] Vaccinés brevetés : Micheldogna.fr/de-la-confusion-a-la-logique)), que les « vaxxés » du monde entier (nous les appelons des « injectés », car les « faux-vaxxins » n’ont jamais eu pour but de protéger du Covid-19 !), sont considérés comme des « produits brevetés » appartenant aux Big Pharma qui les ont « injectés » (Moderna, Pfizer, etc.). En tant que tels, ces gens ne sont plus considérés comme des humains, et ils sont donc déchus de leurs droits d’êtres humains, disent-ils, et sont appelés dorénavant des « transhumains ». Ceci est, notamment, dû au fait que le produit expérimental qu’ils ont accepté de se faire inoculer a transformé, de manière irréversible, la totalité de l’ADN de leurs cellules, qui sont désormais « génétiquement modifiées », et ce jusqu’à la fin de leur vie (cela commence six heures après l’injection, comme des scientifiques suédois viennent de le prouver)(([2] ADN modifié et protéine spike : Resistance-mondiale.com/etude-les-injections-pourraient-modifier-ladn-humain-en-produisant-de-la-proteine-spike-sur-le-long-terme))(([3] ADN modifié : Anguillesousroche.com/sante/une-nouvelle-etude-retentissante-prouve-que-le-vaccin-arnm-de-pfizer-modifie-de-facon-permanente-ladn-humain)).

[NDLR : voir aussi L’Homme génétiquement modifié devient-il brevetable ?.
Dans le document de la Cour Suprême, la question posée est celle de la possibilité ou non de breveter une technique particulière de manipulation chimique de l’ADN. Ce n’est pas celle de breveter l’individu qui subirait l’application de cette technique. Le parallèle avec les semences OGM de Bayer-Monsanto ne pourrait pas non plus tenir, car le commerce des êtres humains n’a pas encore officiellement lieu, contrairement à celui de variétés végétales. Autrement dit, si une entreprise peut actuellement essayer de revendiquer la possession de plantes biologiques qui se voient polluées par du matériel génétique issu de plantes OGM, elle ne peut pas pour l’instant le faire pour ce qui serait d’êtres humains pollués par des vaccins. Nous n’en sommes pas là, même si une telle aberration n’est pas exclue pour un avenir relativement proche au train où vont les choses.]

Beaucoup de gens ayant refusé la vaxxination se comportent « bizarrement », comme s’ils regrettaient (presque !) de ne pas être vaxxinés, et laissant entendre à tous les nigauds qui le veulent bien, qu’il n’existe aucune différence entre eux et les « vaxxés » ! Maintenant, vous savez que c’est faux (voir plus haut : la Justice ne pense pas la même chose qu’eux !)

De plus, la Justice française a décidé de considérer les « vaxxés » qui en meurent comme des gens qui se sont suicidés, étant donné, disent-ils, que le produit injecté n’était même pas un vaccin, qu’il était expérimental(([4] Evaluation d’essais cliniques du vaccin contre le Covid : Par Christine-cotton.1ere-page.fr/audition-opecst-christine-cotton)) et de surcroît non obligatoire. (Demandez à votre assureur, il vous le confirmera : les assureurs ne veulent plus assurer les « vaxxés » !).

[Voir aussi :
Simplissime : les contrats d’assurance-vie et de prêts interdisent la vaccination anti-covid]

[Également], depuis que la vaxxination est devenue « populaire » (un peu d’humour noir ne fait pas de mal !), des scientifiques, médecins et chercheurs indépendants ont effectué des recherches sur les « vaxxés », afin de comprendre le fonctionnement des « faux vaxxins ».

Notamment, l’un d’entre eux a découvert le phénomène suivant : réalisant de nombreuses prises de sang, il a constaté que le sang des « vaxxés » était contaminé par une substance « étrange », un nano matériau, identifié comme étant du graphène, c’est-à-dire du carbone.

[Voir aussi :
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Piqûre de rappel : les informations cachées relatives aux « vaccins » anti-Covid
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X
Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés
Sur la nanotechnologie et l’hydrogel :
Nanoparticules et nanotechnologies
La nanotechnologie dans les vaccins
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
Sur le graphène :
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations]

Or, pour la petite histoire, il est bon de savoir que le carbone est la base du corps physique. Ainsi, injecter du carbone sous la forme du graphène (produit toxique pour l’être humain, notamment pour les voies respiratoires, et qui se trouve également dans les masques qui ne servent à rien !), amène l’être humain à se densifier davantage.

[NDLR : c’est sous forme d’oxyde que le graphène serait particulièrement toxique.]

La preuve ?

De nombreux chercheurs, ainsi que des infirmières et des tatoueurs, ont constaté que le sang des « vaxxés » s’épaississait de plus en plus, se coagulant et empêchant, notamment, les prises de sang ou les rendant très difficiles. Pour ces gens, ce fait démontre un « signe » de dégénérescence et de vieillesse prématurée !

[Voir aussi :
Témoignage d’un tatoueur sur le sang des vaccinés]

Pour en finir avec le carbone/graphène, sachez que sa composition atomique est : 6.6.6 !!! Eh oui, il comprend six électrons, six neutrons et six protons !

En résumé, le produit expérimental injecté transforme toutes les cellules, qui deviennent génétiquement modifiées de manière irréversible, et il densifie les gens, les faisant « descendre » lentement mais sûrement dans l’abîme ! Vive la Bête ! (Bon, encore de l’humour noir !).

Revenons à ce chercheur ayant effectué de nombreuses prises de sang, et qui a eu l’idée de comparer le sang des parents « vaxxés » à ceux de leurs enfants non vaxxés !

Résultat : Le sang des parents est contaminé, notamment par le graphène qui l’épaissit, mais celui des enfants également ! Il citait notamment le cas d’un enfant, dont le sang était « fichu », car contaminé au dernier degré, et qui devenait paralysé du bras droit et de la jambe droite, car il avait « absorbé » du graphène venant de ses parents ! Bravo les parents !

Eh oui, nous en arrivons au plus terrifiant de cette histoire : les gens « vaxxés », ces fameux « transhumains », projettent dans leur entourage une partie des « saletés » qui se trouvent dans le produit expérimental qu’on leur a injecté !(([5] Analyses sanguines : Changera3.blogspot.com/2022/03/trimission-du-graphene-entre-les-vaxxes par le Dr Philippe van Welbergen))

[NDLR : Pour établir scientifiquement hors de tout doute que cette apparente transmission de graphène (ou d’oxyde de graphène) aurait bien lieu, il faudrait s’assurer notamment que les enfants n’ont pas été injectés en douce par les parents ou des personnels de santé et qu’ils n’ont pas non plus été contaminés par des masques ou des écouvillons de tests PCR pouvant en contenir. Voir Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine.
Par ailleurs, le graphène est naturellement éliminé par le corps en quelques mois, ce qui fait que pour conserver ses effets nanotechnologiques potentiels, il est nécessaire d’en réinjecter régulièrement, au moins une fois tous les six mois, voire tous les trois mois pour mieux garantir le maintien de ses propriétés.
En absence de rappels d’injection, si les vaccins ne contenaient que du graphène ou de l’oxyde de graphène comme saletés, le retour à la santé serait toujours possible après moins d’un an.]

Et, d’après nos recherches, nous avons eu de multiples preuves de ces dangereuses projections des injectés. Nous connaissons environ cinquante personnes voire davantage, qui ont reçu des « saletés » provenant des injectés, simplement parce qu’ils n’ont pas été prudents et les ont côtoyés (parents, amis, compagnon/compagne, etc.).

Nous sommes certains pour l’avoir vérifié, que le fait de côtoyer des injectés durant quelques heures met votre vie en danger.

[NDLR : compte tenu de la remarque précédente sur la contamination possible par les masques et les écouvillons, on ne peut se montrer en toute rigueur aussi « certain » de l’existence d’une transmission de vaccinés à non-vaccinés.]

La projection la plus fréquente est un virus que ramassent les gens en contact avec un injecté. (Il suffit de quelques heures de proximité ou un bisou, voire se serrer la main). Or, ce virus « ramassé » n’est pas le Covid-19, mais un virus recombiné à l’intérieur des gens injectés par le produit qu’ils ont en eux. Et ce virus qu’ils projettent ensuite est beaucoup plus virulent que le Covid-19 ! Il vous laisse K.O. durant trois semaines environ avec des phases plus ou moins dangereuses selon votre état de santé. La cinquantaine de personnes que nous connaissons qui l’ont contracté étaient toutes des gens en pleine forme… Que se serait-il passé avec des gens faibles ou en mauvaise santé ?

[NDLR : il existe bien d’autres causes possibles à des états maladifs semblables à la grippe ou à la Covid-19, et notamment l’exposition à la 5G, alors que la théorie virale n’a jamais été validée scientifiquement et que la science véritable — pas le scientisme des virologues et autres microbiologistes — tend au contraire à démontrer la fausseté de cette théorie.
Voir :
Sur la thérie virale :
L’enterrement de la théorie virale
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
Sur la contagion :
Parlons contamination
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions
Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Sur les effets de la 5G et autres ondes pulsées :
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Rayonnements sans fil et ostéoporose
Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples
Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale
5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Questions relatives à la 5G
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Divers :
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Les Racines de nos Maladies]

De plus en plus de chercheurs indépendants sont persuadés que les injectés projettent différents éléments du produit qu’ils ont reçu et qui peuvent être plus ou moins dangereux pour ceux qui les reçoivent. Bien sûr, cela dépend de l’état de santé des receveurs !

Selon certains témoignages de personnes que nous connaissons, et qui ont simplement été en contact de l’air ambiant où des injectés projettent leur propre air « mal habité », nous répertorions également des symptômes comme : maux de tête, problèmes respiratoires, extrême fatigue, étourdissements, orgelets, odeurs corporelles nauséabondes, envie de vomir ou vomissements, congestions nasales ou rhinites, toux anormale, déshydratation, dérèglements des menstruations, problèmes pour se connecter au monde spirituel, etc.

Une autre chose tout à fait étonnante : les injectés ont été transformés en antenne GPS !

En effet, ils émettent une adresse (informatique) MAC lisible sur n’importe quel smartphone. Pour le vérifier, télécharger sur votre smartphone l’application « Bluetooth scanner », puis ouvrez-la et activez le GPS du smartphone (acceptez la géolocalisation), enfin tapez sur recherche (ou « search ») : il apparaît alors des adresses MAC constituées de 12 chiffres/lettres ne correspondant à aucun appareil alentour… mais si vous cliquez sur chaque adresse, vous obtenez une estimation de la distance à laquelle se trouve la personne injectée « marquée » ! Cela signifie que les injectés sont marqués comme du bétail et qu’ils sont devenus des antennes GPS ambulantes !(([6] GPS : Micheldogna.fr/lindispensable-analyse-pour-tous-les-vaxxes/)) (trouvé sur www.micheldogna.fr). Serait-ce la « marque de la Bête », annoncée dans l’Apocalypse de Jean ?

[Voir aussi :
Projet Bluetooth Expérience X
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés]

Rappelons-nous ce que Bill Gates avait dit l’an dernier (2021) : d’après lui, il suffisait qu’un tiers de la population mondiale soit « vaxxée » pour que tous les autres soient contaminés !

Or, ce ne sont pas des paroles en l’air, quand nous savons que le Professeur Didier Raoult, l’un des plus grands spécialistes européens des virus et vaccins, a révélé dans une entrevue que Bill Gates dirigeait la vaccination mondiale depuis une quinzaine d’années ! Et, d’autant plus, si nous savons que Bill Gates fait partie d’une secte dont le « commandement » N° 1 est : maintenir la population mondiale sous le seuil des 500 millions de personnes… par respect envers la Nature !

Ce soi-disant philanthrope, fervent partisan des transhumanistes, est convaincu que l’avenir de l’humanité passe par une dépopulation… qu’il dirige activement !

Et l’oligarchie dont il fait partie se positionne aussi pour la dépopulation, afin de soi-disant lutter contre le réchauffement climatique !(([7] L’ouvrage : Covidisme et Messianisme de Youssef Hindi))(([8] Dépopulation Bill Gates : Strategika.fr/2022/01/27/vaccination-sterilisation-urgence-climatique-oms-gates-rockefeller-great-reset-demographique))

[Voir aussi :
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
Les décès excessifs indiquent un programme de dépopulation
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS : « Il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle »
Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »]

Alors, nous laissons le lecteur franchir le petit pas restant, afin de saisir l’horrible complot mis en place par les scientifiques et médecins transhumanistes, avec l’aide des médias de masse et des politiciens, concernant la dangerosité des « faux vaxxins »…

La plupart des gens non vaxxinés ne se rendent pas du tout compte de ce qui vient de se passer dans le monde… et ils ont intérêt à se réveiller rapidement, car ce n’est pas fini !

Ainsi, et avant d’aller un peu plus loin, il nous faut retenir ceci :

  • Les gens « vaxxés » (avec deux doses et plus) ont toutes leurs cellules génétiquement modifiées.
  • Ce ne sont plus des êtres humains naturels ! C’est la raison pour laquelle la Justice américaine les considère comme des êtres « brevetés » et « transhumains », perdant ainsi tous leurs droits d’humains, puisqu’ils n’en sont plus !
  • Ces êtres, que nous appelons « injectés », disposent d’un sang contaminé, notamment par le graphène, un nano matériau(([9] Hydroxyde de graphène (nanolames) : Odysee.com/par Andreas Noack)). Leur sang s’épaissit, ce qui entraîne nombre de problèmes de santé, faisant d’eux des vieillards prématurés… si tant est que cela ne les tue pas rapidement.
  • Des scientifiques indépendants ont détecté et filmé des symbiotes dans les produits à ARNmessager. Oui, vous avez bien lu : des symbiotes, c’est-à-dire de tout petits « êtres » ayant l’aspect d’un poulpe avec de longs tentacules qui, bien évidemment, grandissent à l’intérieur du corps, et notamment le système nerveux.(([10] Symbiote « La Chose » : Rumble.com/oeufs-avec-tentacules-colores par le Dr Franc Zalewski))(([11] Symbiote « Hydra Vulgaris » : Micheldogna.fr/la-bestiole-de-cauchemar-trouvee-dans-les-vaxx-covid par le Dr Carrie Madej)) Le but de ces êtres monstrueux est de se connecter, une fois adulte, au cerveau de l’injecté pour le « téléguider » (en lien avec la 5G !)(([12] Contrôle de l’humain par l’ADNm et les ondes : Guyboulianne.com/2021/04/26/conference-du-dr-charles-morgan-a-lacademie-militaire-de-west-point-controler-a-distance-le-cerveau-humain-via-des-vaccins-arnm)). Les injectés, dans un premier temps, peuvent souffrir de toutes sortes de problèmes et dysfonctionnements au cerveau, voire dans un deuxième temps, en mourir !
  • Les injections de ces produits démoniaques se développent : un scientifique de chez Moderna a déclaré l’an dernier (2021) que leur soi-disant « vaxxin » était une « bombe à retardement ». D’autres chercheurs ont confirmé que ce produit expérimental se révélerait sur une longue durée (entre trois et cinq ans). Ainsi, nous ne verrons les dégâts totaux de ces horribles expériences que dans trois-quatre ans environ (2025).
  • Les injectés projettent un virus non identifié (nous l’appelons Covid-21 !), qui est plus virulent que le Covid-19, et donc dangereux, selon votre état de santé préalable.
  • De nombreux chercheurs indépendants soupçonnent que les injectés ne projettent pas que ce virus, et qu’à l’avenir d’autres « éléments » pourraient s’y ajouter.

Le mauvais virus qu’ils projettent se transmet par voie aérienne : le simple fait de respirer dans le même endroit qu’un injecté, durant plusieurs heures, vous met en danger !(([13] Vaccins auto-diffusants : Nexus.fr/actualite/vaccin/self-spreading-vaccines))

  • Des recherches sont en cours : les enfants non « vaxxés » attrapent facilement les « saletés » des « vaxxins » de leurs parents et se retrouvent avec un sang contaminé, ce qui met leur jeune vie en danger de mort !
  • Prendre quelqu’un dans ses bras, lui donner des bisous, ou pire de vrais baisers, ou vivre un acte sexuel… voire le simple fait de serrer la main d’un injecté… met votre vie en danger… et pourrait faire de vous, un jour, un injecté qui pourtant n’est pas « vaxxé » !

Des gens très naïfs et ignorants croient encore que les politiciens, les médecins, les scientifiques transhumanistes ou les médias de masse disent la vérité, ou certaines de temps en temps… En réalité, ce n’est JAMAIS le cas !

Ces gens rêvent que beaucoup de vaxxinés se sont fait piquer pour poursuivre leur métier exemplaire afin de continuer à servir les autres, ou pour le moins « protéger » leur famille… Belle chanson, et grosse illusion ! Certains médecins ont dénoncé leurs confrères qui se laissaient « vaxxer » pour continuer à gagner de grosses sommes d’argent : ils préfèrent l’argent à la vérité !

Certains rêveurs se disent aussi que c’est juste un mauvais moment à passer et que tout s’arrangera ensuite ! NON ! Rien ne va s’arranger tout seul ! Plus les gens se soumettent et plus les forces obscures se trouvant derrière ces méfaits se renforcent et enfoncent le clou !

Certains hurluberlus croient, ou essaient de se persuader, que les « vaxxins » ne vont pas couper les gens du monde spirituel : arrêtez de rêver ! Vous avez des yeux pour voir et une sensibilité pour vous en rendre compte ! Face à des injectés, il est évident qu’ils sont coupés du monde spirituel, puisqu’ils ne sont plus humains. Et il n’y aura pas de procédé « magique » qui va tout annuler d’un coup ! … N’en déplaise à de nombreux charlatans-naturopathes et autres hypnotiseurs de bas étage, qui s’inventent soudainement un nouveau métier de « faux sauveurs », avec des baguettes facticement magiques, qui ne visent qu’à s’attirer une nouvelle clientèle aux abois… troublée pas leur erreur, leurs symptômes et la peur de la mort !

Et, pour continuer cette idée de « perceptions », nous avons remarqué de manière notoire ces dernières années, à quel point les gens ont une sensibilité dangereusement défaillante ou très faible !

C’est dans la vingtaine que nous développons naturellement notre sensibilité. Il est certain, et cela a été prouvé notamment par le scientifique de l’INSERM, Michel Desmurget(([14] L’ouvrage : La Fabrique du Crétin Digital de Michel Desmurget)) que l’éducation et l’omniprésence des écrans tuent la sensibilité !

Ainsi est-il totalement anormal que les jeunes de la vingtaine ne ressentent pas (notamment) les effets nocifs de leur smartphone chéri ! Si ce n’est à cause d’une très, très mauvaise sensibilité…

Aussi bien le smartphone, que le compteur Linky, le wifi, ou la 5G qui débarque plein pot, émettent des ondes très nuisibles à l’être humain (et tout le vivant dans la Nature) ! Plus de dix mille études scientifiques dans le monde expliquent la dangerosité du smartphone ! Or, c’est notre sensibilité qui nous renseigne sur ces nuisances. Comment se fait-il que la majorité ne ressente rien ?

De nos jours, c’est le monde à l’envers : les gens qui disposent d’une sensibilité normale passent pour des malades ou des « demi-fous », parce qu’ils ont une hypersensibilité aux technologies destructrices d’aujourd’hui !

Notez que l’hypersensibilité aux ondes n’est pas récente, puisque les Russes appellent ce phénomène la « maladie des ondes » depuis un siècle ! (Sur ce sujet, et sur le diabète induit par la technologie moderne(([15] L’ouvrage L’Arc-en-Ciel Invisible d’Arthur Firstenberg))).

[Voir aussi :
Dossier 5G et ondes pulsées]

Ce sont justement ces gens-là qu’il est bon d’écouter : ils nous avertissent des dangers que la masse des gens conditionnés est incapable de ressentir à cause d’une sensibilité malheureusement trop défectueuse !

Certains grands naïfs considèrent que les « vaxxés » sont des victimes ! En aucun cas, puisque les « vaxxins » n’étaient pas obligatoires et qu’ils sont arrivés après la fin de la pandémie : il suffisait de se renseigner et de faire preuve de discernement. Mais, ces gens qui vont vous justifier par x ou y fausse raison : « Je ne pouvais pas faire autrement ! », sont toujours ceux qui refusent de penser par eux-mêmes et se comportent comme des gens soumis.

Nous pouvons TOUJOURS « faire autrement », c’est la raison pour laquelle nous avons une pensée, ainsi que le discernement et le jugement sain qui l’accompagnent ! Si ce n’est pas le cas, alors nous avons affaire à des gens qui se sont couchés, se sont soumis au mal, et ont un peu trop facilement renié leur humanité !

Comme le disait un philosophe français (dont j’ai malheureusement oublié le nom) : « Ils se sont agenouillés sous la menace d’une… grippe ! » Eh oui, à l’origine les coronavirus sont des cousins des virus grippaux !

Finalement, la létalité du Covid-19 est de 0,23 %, ce qui signifie que 99,77 % des gens qui l’ont attrapé s’en sont sortis ! C’est mieux que pour certaines grippes !

De formidables ignorants croient encore que nous sommes déjà à l’ère du Verseau ! Heureusement que l’ère du Verseau, ce n’est pas « ça » ! Ils devraient se renseigner un peu et ils découvriraient que des catastrophes doivent arriver (pandémies, famines, guerres, tremblements de terre, etc.) bien avant l’aube de l’ère du Verseau.

Pour l’instant, nous vivons les prémisses des « moments difficiles » qui doivent advenir avant l’établissement d’un Nouveau Monde, qui nous mènera vers l’ère du Verseau !

Ces gens si naïfs préfèrent être « fraternels » (savent-ils ce que ce mot signifie ?) avec les injectés qui ont renié leur humanité, plutôt qu’avec leurs frères et sœurs en esprit, qui veulent bâtir le futur…

Alors, nous leur demandons : voulez-vous véritablement bâtir un Nouveau Monde ?

Combien d’entre eux répondront « Oui ! » ? Sans doute très peu, car la réalité est que ces gens veulent demeurer bien au chaud de « papa-maman », ou de leurs « frères-sœurs », ou encore de leurs « zamis », même s’ils sont injectés, uniquement par affectif, par habitude, voire par sécurité financière, parce qu’ils refusent le changement qui nous est proposé dans le monde. Bâtir un Nouveau Monde impliquera d’énormes changements !

Réveillez-vous !

En effet, il ne reste plus vraiment le temps de tourner en rond et de faire semblant que « tout va bien » ! Bientôt, il sera trop tard pour vous aussi…

Nous vous signalons que cette période de séparation ou de division, que nous avions prédite depuis plusieurs années, a été annoncée par le Christ, notre Dieu Créateur…

« Lorsque le Fils de l’homme viendra dans l’éclat de sa gloire, avec tous ses Anges, alors il siégera sur le trône de sa gloire. Et tous les peuples seront rassemblés devant sa face, et il séparera les uns d’avec les autres, comme le berger sépare les brebis d’avec les boucs. Et il placera les brebis à sa droite et les boucs à sa gauche. »

 (Matthieu 25, 31,33).

Le Fils de l’Homme venant dans l’éclat de sa gloire fait référence à la période actuelle de Sa Parousie.

La division ou séparation était inéluctable, car beaucoup trop de gens refusaient de penser par eux-mêmes et vivaient dans un tel état de soumission au mal qu’ils empêchaient l’humanité de progresser et la laissaient s’étouffer dans les griffes des forces ténébreuses.

Ce comportement inhumain ne peut demeurer sans conséquences. Elles se préparaient dans l’invisible depuis longtemps : maintenant, nous les avons sous le nez !

Nous vivons des temps apocalyptiques…

Une autre fois, peut-être, nous révélerons les arrière-plans spirituels de ce qui se passe actuellement…

Pour une Humanité épousée de l’Esprit de Vérité !

Pierre Lassalle




BMJ Gate : interprétation manipulée des données statistiques au bénéfice des mensonges officiels

[Source : francesoir.fr]

 Par Gérard Delépine

« Le CDC patronne une nouvelle étude truquée, biaisée pour faire croire au succès vaccinal et le comité de lecture du British Medical Journal n’y voit pas malice.

TRIBUNE — Les Américains, à plus de 90 %, ne croient plus à la gravité du Covid-19 — merci Omicron — ni à l’intérêt des mesures coercitives, bien que l’éternel menteur Fauci tente d’alimenter la peur via les CDC, agences gouvernementales. Vainement, cette fois en mai 2022 : « Epidemy is over ».

Lire aussi : L’étrange docteur Fauci envisage désormais des traitements précoces

Ainsi, la plus grosse manipulation récente sur les vaccins Covid vient du CDC (Centers for disease control and prevention; voir les agences gouvernementales par État). Pour tenter de convaincre encore et de vendre encore et encore leurs injections dangereuses, l’article tente de faire croire à l’efficacité des pseudo-vaccins alors que l’épidémie régressait naturellement (en courbe en cloche comme toutes les épidémies).

[Notes relatives au CDC : Le président des États-Unis nomme les directeurs des agences de santé majeures à un niveau national, avec l’approbation du Sénat. Les gouverneurs jouent le même rôle pour les agences de santé des États. Le « U.S. Department of Health and Human Services » (HHS) est la principale agence de santé aux États-Unis. Cette agence reçoit ses instructions directement du Congrès et de la Maison-Blanche en ce qui concerne la gestion des finances, la coordination, la réglementation ou encore la fourniture de services de santé.]

Le Center for Disease Control and Prevention (CDC) est une agence du HHS et la principale agence de santé publique aux États-Unis. Le CDC travaille en collaboration avec des organisations partenaires (institutions académiques, agences gouvernementales, organisations privées…) pour assurer le suivi, la prévention et le contrôle de la santé humaine et environnementale.

Le CDC patronne une nouvelle étude truquée, biaisée pour faire croire au succès vaccinal et le comité de lecture du British Medical Journal n’y voit pas malice.

Comment transformer un bilan catastrophique réel en succès imaginaire

Cette étude de propagande marchande a été publiée dans le British Medical Journal (BMJ) le 27 avril 2022 (([1] Public health impact of Covid-19 vaccines in the US : observational study BMJ 202 04 27 2022;377:e069317)) et a été immédiatement reprise sans modération par les médias médicaux et grand public (voir les articles de VnExplorer et Femme actuelle.

Elle prétend que « l’augmentation de la couverture vaccinale pourrait influer sur la mortalité et l’incidence du Covid-19, car une couverture vaccinale plus élevée serait associée à des taux plus faibles de mortalité et d’incidence du covid-19 au niveau de la population aux États-Unis ».

Il ne s’agit pas d’une étude randomisée, mais d’une simple étude observationnelle dont les conclusions, soumises aux biais temporels, sont toujours incertaines.

En janvier et février 2021, aux États-Unis, le nombre quotidien de nouveaux cas a fortement régressé en même temps que la pseudo-vaccination progressait, mais rien n’indique qu’il puisse y avoir la moindre relation de cause à effet entre les deux.

Voir aussi : Pour le directeur de la FDA, la principale cause de décès aux États-Unis est la « désinformation »

En effet, les premières injections datent de la mi-décembre 2020 et fin février 2021 seulement 17 % des Américains avaient reçu une dose, et moins de 10 % deux doses depuis plus de deux semaines, délai couramment admis pour prétendre à une protection.

Or l’évolution naturelle des épidémies suit une évolution en cloche et celle du Covid n’échappe pas à la règle ainsi que l’a souligné dès avril 2020 le Pr Isaac Ben Israël alors que les vaccins n’existaient pas.

« Le nombre de nouveaux cas du virus atteint un pic après environ 40 jours et décline progressivement pour atteindre presque 0 après 70 joursCela est vrai dans n’importe quelle partie du monde – que les pays interrompent leurs activités économiques ou pas. »

D’ailleurs, en octobre 2021, alors que le pourcentage d’injectés atteignait ses chiffres les plus élevés (88 %), l’absence d’immunité contre l’infection s’affirmait clairement avec l’explosion des cas hebdomadaires culminant à six fois les pics atteints lors de la première vague d’avant les vaccins.

Curieusement, les auteurs du CDC n’ont tenté ni d’analyser, ni d’expliquer cette récidive explosive de l’épidémie, ni le dramatique échec global de la politique sanitaire américaine du « tout vaccin », sur la prévention des formes graves qui place le pays dans les pires bilans mondiaux de mortalité Covid.

La mortalité Covid globale des États-Unis, en mai 2022, culmine en effet à près de 3 000 par million, soit 20 fois plus que l’Algérie (pourcentage de plus de 60 ans égal à celui de la France) qui a utilisé le protocole Raoult et 200 fois plus que le Nigeria (qui a largement utilisé la nivaquine) et dont moins de 3 % de la population a été vaccinée.

Nier l’échec mondial des pseudo-vaccins, c’est nier l’évidence

Les chiffres de l’OMS et les courbes de l’Université John Hopkins sont sans appel ; les pays qui ont appliqué la stratégie OMS du tout vaccin sont ceux qui totalisent le plus d’infections.

Et, ces pays qui ont appliqué la stratégie OMS du tout vaccin sont aussi ceux qui souffrent des mortalités les plus élevées par rapport aux pays adeptes des traitements précoces (par chloroquine ou autres antipaludéens, Ivermectine, antibiotiques, zinc, vitamine D.)

En niant l’évidence mondiale de l’échec des pseudo-vaccinations, le CDC qui les a très largement promus n’améliorera pas sa réputation et prolongera la campagne vaccinale et tous ses effets secondaires parfois gravissimes.

Le comité de lecture du British Medical Journal, qui n’a pas émis les critiques que tout scientifique indépendant devait soulever, était-il aveuglé par la qualité des auteurs ou tenu d’accepter cet article par sa direction ? Après le Lancet Gate (voir les articles de FranceSoirDissentvoice et Agoravox) et le Nature Gate, un BMJ Gate.

Voir aussi : NatureGate et la fable du confinement aveugle
et : Ferguson ment grossièrement et le journal Nature le publie !

La réputation des jadis grandes revues scientifiques se décrédibilise chaque jour un peu plus.

Rappelons le commentaire de Richard Horton (The Lancet) :

« Si cela continue, nous ne serons pas en mesure de publier d’autres données de recherche clinique parce que les sociétés pharmaceutiques sont si puissantes financièrement aujourd’hui, et sont capables d’utiliser des méthodologies telles que nous acceptons des articles qui sont apparemment méthodologiquement parfaits, mais qui, en réalité, parviennent à conclure ce qu’ils veulent conclure ».

« Quand il y a une épidémie comme le Covid, en réalité, il y a des gens comme nous – les médecins – qui voient la mortalité et la souffrance… et il y a des gens qui voient de l’argent. C’est tout »

Et malheureusement, si l’article du Lancet a été retiré, le ministre Véran n’a pas modifié sa position ni son ordonnance vis-à-vis des traitements précoces du covid, toujours peu utilisés en France et pour lesquels les médecins résistants, fidèles à Hippocrate sont poursuivis s’ils décident de soigner leurs patients. La position avouée du ministre est évidemment de contraindre de fait à l’injection de tous les dangers et inefficace de surcroit.

En toute impunité, M. Véran, mais jusqu’à quand ?




Bilan catastrophique des injections anticovid et manipulation médiatique

Par le Dr Gérard Delépine

Les Américains ne sont plus dupes de la propagande vaccinale à 90 %.(([1] Americans Say Covid-19 Pandemic Is Over—Even If Fauci, CDC Disagree (forbes.com) )) Évidemment la presse médicale autrefois fiable, mais maintenant aux ordres de Big Pharma, falsifie l’interprétation des résultats pour tenter de faire croire à l’efficacité des injections toxiques et inutiles (BMJ Gate : interprétation manipulée des données statistiques au bénéfice des mensonges officiels). D’autres sont encore dupes comme les Français et il faut continuer à faire croire au miracle pour imposer une cinquième dose et pire encore la vaccination généralisée des enfants.

INFORMONS AUTOUR DE NOUS POUR QUE CESSE CE DRAME

Comment transformer un bilan catastrophique réel en succès imaginaire

Une étude de propagande marchande a été publiée dans le British Medical Journal (BMJ) le 27 avril 2022(([2] Public health impact of Covid-19 vaccines in the US : observational study BMJ 202 04 27 2022;377:e069317)) et a été immédiatement reprise sans modération par les médias médicaux(([3] https://www.frequencemedicale.com/psyaddictologie/actualites/8390-Covid-19-l-efficacite-de-la-vaccination-est-validee-dans-le-monde-reel)) et grand public(([4] https://vnexplorer.net/covid-19-le-vaccin-a-t-il-reellement-ete-efficace-contre-lepidemie-une-etude-repond-s1310776.html))(([5] https://www.femmeactuelle.fr/sante/news-sante/covid-19-le-vaccin-a-t-il-reellement-ete-efficace-contre-lepidemie-une-etude-repond-2134115)). Elle prétend que « l’augmentation de la couverture vaccinale pourrait influer sur la mortalité et l’incidence du Covid-19, car une couverture vaccinale plus élevée serait associée à des taux plus faibles de mortalité et d’incidence du covid-19 au niveau de la population aux États-Unis ».

Il ne s’agit pas d’une étude randomisée, mais d’une simple étude observationnelle dont les conclusions, soumises aux biais temporels, sont toujours incertaines. Nous avons démonté cette étude ailleurs.

Les responsables israéliens de la vaccination tentent de se justifier par le même procédé fallacieux.

Ils publient une nouvelle étude biaisée dans l’interprétation des données, pour faire croire au succès vaccinal et amoindrir ainsi leurs responsabilités dans les complications vaccinales.

Comment transformer un mauvais bilan réel en succès imaginaire

Cette étude de propagande marchande publiée dans le Journal américain « Contrôle des infections Am J »(([6] How many lifes saved by covid vaccin? Proof from d’Israël Ronen Arbel, Candace Makeda Moore 2, Rouslan Sergienko 3, Joseph Pliskin 4 2022 mars;50(3):258-261.doi : 10.1016/j.ajic.2021.12.019. Publication en ligne le 29 décembre 2021)) a été immédiatement reprise sans vérification par les médias grand public. Elle prétend que :

« les vaccins contre le COVID-19 ont sauvé plus de vies que prévu en appliquant simplement l’efficacité des vaccins individuels à la population vaccinée en Israël ».

Il ne s’agit pas d’une étude randomisée, mais de la vieille technique de triche mathématique consistant à comparer le nombre de vrais décès observés à celui des décès virtuels d’une simulation très exagérée !(([7] Quand les résultats de simulations mathématiques remplacent les résultats réels dans l’information médicale diffusée par les médias par delepine 19 octobre 2018
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/quand-les-resultats-de-simulations-208775))

« Les décès projetés tels qu’attendus à partir de l’efficacité du vaccin et les données réelles sur la mortalité ont été comparés pour la population des plus de 70 ans quand le taux de vaccinés a dépassé les 90 % ».

Il suffit que la prophétie mathématique initiale surestime par 10 le nombre estimé de morts pour que l’évolution naturelle aboutisse à des chiffres 10 fois inférieurs permettant de se glorifier d’une diminution de 90 % de la mortalité.

Dans le cas précis, la prophétie mathématique estimait à 5 120 la menace et comme il n’y a eu que 370 morts enregistrés, ils se glorifient d’avoir sauvé 4750 Israéliens sans jamais mettre en doute des modèles mathématiques fumeux dont l’exemple de la Suède(([8] L’échec de la modélisation de l’Imperial College est bien pire que nous ne le savions
Phillip W. Magness)) et bien d’autres pays ont démontré l’absence totale de cohérence avec la réalité.(([9] https://evaluation-modelisation-covid.github.io/france/))(([10] LAURENT MUCCHIELLI Prophètes de malheur : rendez les exponentielles ! 18 MARS 2021))(([11] G et N Delépine Comment se gargariser d’avoir sauvé virtuellement plus de 3 000 000 d’européens. Toute honte bue !
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/comment-se-gargariser-d-avoir-225132))

Quittons le monde imaginaire des pythies et revenons au réel

L’évolution naturelle des épidémies suit une évolution en cloche et celle du covid n’échappe pas à la règle ainsi que l’a souligné dès avril 2020 le Pr Isaac Ben Israël alors que les vaccins n’existaient pas.

« Le nombre de nouveaux cas du virus atteint un pic après environ 40 jours et décline progressivement pour atteindre presque 0 après 70 jours. Cela est vrai dans n’importe quelle partie du monde — que les pays interrompent leurs activités économiques ou pas. »

La diminution naturelle des cas quotidiens peut, un temps, faire croire à l’efficacité de n’importe quelle mesure ou traitement appliqué au moment du pic de l’épidémie. Pour éviter ce biais temporel bien connu, il suffit de prendre en compte la totalité de l’évolution connue et de comparer les évolutions d’avant et d’après traitement et aussi à celles des pays les plus proches.

L’exemple d’Israël confirme l’inutilité des injections Pfizer

Dans ce pays qui faisait figure de champion Pfizer et était cité en exemple par tous les médias, plus de 72 % de la population est vaccinée. Mais ce taux de pseudo vaccination n’a pas protégé la population des récidives de plus en plus fortes de l’épidémie.

En décembre 2021, alors que le pourcentage d’injectés atteignait ses chiffres les plus élevés, l’absence d’efficacité contre l’infection s’affirmait clairement avec l’explosion des cas quotidiens culminant à 9 fois les pics atteints lors de la première vague d’avant les vaccins (55 000 vs 6000).

La comparaison de l’évolution des cas et de la mortalité journalière entre Israël et son pays frère peu vacciné (Palestine) montre que les injections Pfizer n’ont pas du tout protégé la population israélienne des contaminations, bien au contraire.

Et aussi la comparaison au Liban qui a subi la vague Covid, mais d’une intensité sans commune mesure avec celle d’Israël :

Curieusement, les auteurs de l’étude n’ont tenté ni d’analyser ni d’expliquer cette récidive explosive de l’épidémie observée en Israël et pas chez ses voisins.

Les injections Pfizer n’ont pas non plus diminué la fréquence des formes graves ni la mortalité comme le prétendent en permanence le gouvernement et les médias. Les décès attribués au Covid ont été plus fréquents depuis les pseudos vaccins : durant les quinze mois des vaccins, plus de 8000 décès ont été enregistrés contre moins de 3000 durant les dix mois d’épidémie sans vaccins.

La comparaison de l’évolution des cas et de la mortalité journalière entre Israël et son pays frère peu vacciné (Palestine) montre que les injections Pfizer n’ont pas du tout protégé la population israélienne ni des formes graves ni de la mort.

Nier l’échec mondial des pseudo vaccins, c’est nier l’évidence.

L’échec des injections Pfizer en Israël s’est répété dans le monde entier(([12] https://nouveau-monde.ca/lechec-avere-des-vaccins-covid/)). Les chiffres de l’OMS et les courbes de l’université John Hopkins sont sans appel : depuis l’introduction des vaccins en décembre 2020, le nombre global de cas a été multiplié par 7 :

Et les pays qui ont appliqué la stratégie OMS du tout vaccin sont ceux qui totalisent le plus d’infections

Et ces pays qui ont appliqué la stratégie OMS du tout vaccin sont aussi ceux qui souffrent des mortalités les plus élevées par rapport aux pays adeptes des traitements précoces (par chloroquine ou autres antipaludéens, Ivermectine, antibiotiques, zinc, vitamine D.)

Cet article de propagande aux biais trop évidents aurait dû être amendé ou refusé par le comité de lecture du Journal américain « Contrôle des infections Am J. L’avoir publié confirme que trop de revues sont contrôlées (parce que financées) par l’industrie pharmaceutique. L’évolution anti-scientifique de trop nombreuses revues médicales jadis prestigieuses les décrédibilise.(([13] Lancetgate: why was this “monumental fraud” not a huge scandal? | Dissident Voice))(([14] LancetGate : quel rôle joue le laboratoire Gilead qui développe le Remdesivir ? (francesoir.fr) ))(([15] Lancet Gate : l’étude anti-hydroxychloroquine s’avère être une « escroquerie intellectuelle » — AgoraVox le média citoyen))(([16] Ferguson ment grossièrement et le journal Nature le publie ! (francesoir.fr) ))

Rappelons le commentaire de Richard Horton (The Lancet) :

Si cela continue, nous ne serons pas en mesure de publier d’autres données de recherche clinique parce que les sociétés pharmaceutiques sont si puissantes financièrement aujourd’hui, et sont capables d’utiliser des méthodologies telles que nous acceptons des articles qui sont apparemment méthodologiquement parfaits, mais qui, en réalité, parviennent à conclure ce qu’ils veulent conclure”.

Quand il y a une épidémie comme le Covid, en réalité, il y a des gens comme nous — les médecins — qui voient la mortalité et la souffrance… et il y a des gens qui voient de l’argent. C’est tout”

Et malheureusement si l’article du Lancet de mai 2020 a été retiré, la désinformation par de grandes revues médicales s’étend et, le ministre Véran n’a pas modifié sa position, ni son ordonnance vis-à-vis des traitements précoces du covid, toujours peu utilisés en France et pour lesquels les médecins résistants, fidèles à Hippocrate sont poursuivis s’ils décident de soigner leurs patients(([17] Denis Agret, dernier en date avec trois ans d’interdiction d’exercice !)). La position avouée du ministre est évidemment de contraindre de fait à l’injection de tous les dangers (et inefficace de surcroît).

En conclusion, ces injections sont inutiles et ne font qu’aggraver les contaminations et la mortalité, et par ailleurs sont dangereuses et à l’origine de très nombreux effets secondaires dont certains graves et mortels(([18] Le point sur les complications des pseudovaccins anticovid au 4 mars 2022 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([19] https://reaction19.fr/droit-de-pensee/art-dinformer/nicole-et-gerard-delepine/delepine-2022/delepine-mai-2022/080522-pourquoi-un-tel-deni-des-effets-graves-des-vax-anticovid-chez-les-femmes-enceintes-dr-nicole-delepine/))(([20] LE VOTE MACRON, C’ETAIT CELUI POUR LA CINQUIEME DOSE, aussi dangereuse et inutile que les précédentes (cf Israel) | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) ))(([21] DES MYOCARDITES ET MAINTENANT UNE EXPLOSION DES CANCERS POST INJECTIONS | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) )). Il faut cesser ces injections et cette désinformation.

Exiger un moratoire international doublé d’enquêtes transparentes sur les conséquences





Le « traité pandémique » de l’OMS mettra fin à la liberté telle que nous la connaissons et remettra les « clés du pouvoir » à son plus grand bailleur de fonds privé, M. Bill Gates

[Source : mirastnews.net]

Ce qui suit concerne le nouveau traité pandémique proposé par l’Organisation mondiale de la santé qui peut potentiellement éradiquer la souveraineté nationale telle que nous la connaissons. Il s’agit aussi de la banalité du mal et de l’impact de nos choix quotidiens individuels sur les générations futures et l’histoire du monde.

Par Tessa Léna

Quel est l’accord avec le traité sur la pandémie de l’Organisation mondiale de la santé ?

En décembre 2021, l’Organisation mondiale de la santé a annoncé son intention d’élaborer un nouveau traité sur la pandémie «renforçant» la coopération internationale lors de futures pandémies. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Le langage de l’annonce était vague, nous devons donc l’interpréter dans son contexte. Voici de la bouche du cheval : (décembre 2021) :

« Dans une décision consensuelle visant à protéger le monde contre les futures crises de maladies infectieuses, l’Assemblée mondiale de la santé a convenu aujourd’hui de lancer un processus mondial pour rédiger et négocier une convention, un accord ou un autre instrument international en vertu de la Constitution de l’Organisation mondiale de la santé pour renforcer la pandémie prévention, préparation et réponse.

Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, a déclaré que la décision de l’Assemblée mondiale de la santé était de nature historique, vitale dans sa mission, et représentait une occasion unique en son genre de renforcer l’architecture mondiale de la santé pour protéger et promouvoir la bien-être de tous. »

Plus de la bouche du cheval (avril 2022):

« Dans une décision consensuelle visant à protéger le monde contre les futures crises de maladies infectieuses, en décembre 2021, l’Assemblée mondiale de la santé a convenu de lancer un processus mondial en créant un organe intergouvernemental de négociation (INB) pour rédiger et négocier une convention, un accord ou un autre instrument international. en vertu de la Constitution de l’Organisation mondiale de la santé pour renforcer la prévention, la préparation et la riposte aux pandémies…

Dans le cadre de cette décision historique, l’Assemblée mondiale de la Santé a demandé au Directeur général de tenir des auditions publiques, conformément à la pratique courante de l’OMS, pour soutenir le travail de l’INB. Selon le calendrier de l’INB, le premier tour de ces audiences a été fixé du 12 au 13 avril 2022, avec un second tour prévu du 16 au 17 juin. Ces informations sur les modalités du premier tour d’audience devraient également s’appliquer au second tour.

Mensonges, Mensonges, Mensonges

Commençons par la question du langage déformé. Dans un monde honnête sans agenda sombre, sans quatrième révolution industrielle et sans langage à l’envers, leur traité pourrait sembler une belle idée. Par exemple, qu’est-ce qui peut mal se passer avec une coopération internationale significative et bienveillante en temps de crise ? Un beau conte de fées, non ?

Malheureusement, ce n’est pas du tout un conte de fées, mais plutôt un film d’horreur, car nous vivons dans un monde de mensonges éhontés et de langage à l’envers – et les mots ne signifient plus ce qu’ils sont censés signifier.

A LIRE AUSSI : Pfizer et CDC ont commis une fraude en retenant des données critiques, causant des dommages et la mort de millions de personnes ! + Regardez Bill Gates tenter de vendre son équipe GERM et ses jeux GERM au monde

Pour nous tromper, les bureaucrates essaient de créer dans nos esprits le sentiment qu’ils se réunissent pour nous protéger, comme un conseil bienveillant de sages grand-mères indigènes — alors qu’en réalité, c’est plutôt comme s’ils cherchaient à nous piéger, étant une bande de loups avides et impitoyables déguisés en brebis qu’ils sont.

« Santé » ne signifie pas la santé réelle, mais plutôt la promotion de tout produit ou interférence souhaitable pour les actionnaires et les PDG des sociétés pharmaceutiques et technologiques.

Tout comme Fauci s’est récemment assimilé à la science, les porte-parole des entreprises assimilent tout ce qu’ils veulent nous vendre ou nous imposer à la «santé», puis disent qu’ils protègent notre «santé» alors qu’en fait, ils ne font que protéger leurs poches.

Nous vivons dans un monde où nos dirigeants (traduction : nos semblables qui n’ont aucun avantage intrinsèque sur nous mais qui ont pris de l’avance sur la base d’une extrême soif de pouvoir) profitent pleinement du fait que, pour faire des choses destructrices avec le moins de résistance, puis les appeler « des choses utiles qui sont bonnes pour le peuple », et s’en tirer pendant un certain temps. C’est l’astuce !

Et d’ailleurs, si les deux dernières années sont une indication, la « coopération internationale » signifie en pratique que tous les dirigeants affiliés au WEF vont de l’avant et jettent leurs gens sous le bus à l’unisson, au son de messages uniformes dans les médias.

La « coopération internationale » signifie que tous les pays font la même chose destructrice, entraînant des morts et des souffrances humaines inutiles, une perturbation des structures sociales et de l’économie mondiale, le tout pour ouvrir la voie à leur « nouvelle normalité » préférée. C’est de la coopération internationale !

Audiences publiques

Compte tenu de la nature historique autoproclamée de ce traité, l’Organisation mondiale de la santé a consacré les deux jours entiers au premier tour des audiences publiques (et ils n’en ont pas fait beaucoup de publicité). Le premier tour a eu lieu en avril 2022. Le deuxième tour aura lieu en juin de cette année.

Le Dr Tess Lawrie a écrit un article très émouvant sur le traité de pandémie de l’OMS et la soumission de commentaires vidéo par le Conseil mondial de la santé.

Voici les commentaires du Dr Lawrie sur le traité proposé, après avoir eu la chance de participer à un appel avec l’OMS (ainsi qu’avec l’ONUSIDA, la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies, le Programme des Nations Unies pour l’environnement et l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est) dans le cadre du processus de soumission.

• Appels à être « axés sur la sécurité humaine » et pas seulement « axés sur la sécurité sanitaire ». Apparemment, ils ne veulent pas seulement contrôler votre corps, mais tous les aspects de votre vie.

• Approbation rapide des diagnostics d’urgence – et enregistrement réglementaire unifié pour les diagnostics. En d’autres termes, plus de contrôle.

• Un accès équitable aux vaccins et « un mécanisme pour tenir les contrevenants responsables ». Donc, si une nation conclut qu’un vaccin n’est pas sûr – comme cela s’est produit lors de cette dernière pandémie – l’OMS aurait le pouvoir de passer outre cela et de piquer sa population de toute façon.

• Les vaccins doivent être développés dans les 100 jours. Ceci est absurde. Il faut dix ans pour que les médicaments sûrs soient correctement testés et déclarés sûrs. Il y a plus de 3,5 millions de personnes dans la base de données de l’OMS qui ont été blessées par les vaccins Covid et cela pourrait être la pointe de l’iceberg.

Je suis d’accord que ces puces sonnent comme s’il s’agissait de contrôle, donc pas surprenant que cela s’accompagne de plus de censure !  

Plus de censure

Alors que les commentaires publics étaient ouverts, la campagne #StopTheTreaty du Conseil mondial de la santé, où le Dr Tess Lawrie fait partie du comité directeur, a fait parler de lui dans la « communauté de la liberté ». Mais si vous le cherchiez sur Google, vous n’en sauriez rien ! Voici ce que j’ai écrit quelques heures seulement après la fin de la période de commentaires :

« Si vous recherchez l’expression « traité pandémique de l’OMS » sur DuckDuckGo, #StopTheTreaty  figure parmi les meilleurs résultats. Sur Google, rien de tel n’existe. Si vous recherchez réellement l’expression « arrêter le traité », sur DuckDuckGo #StoopTheTreaty est le résultat numéro un. Google, en revanche, vous dit tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le traité de Versailles de 1919 !) »

Pour l’Organisation mondiale de la santé, ce n’est pas le premier rodéo

Il est curieux que ce ne soit pas la première fois que l’OMS essaie de servir l’industrie pharmaceutique et divers actionnaires de l’industrie en utilisant la « préparation à une pandémie » comme outil juridique.

Par exemple, en 2009, ils ont annoncé une pandémie de grippe (H1N1) qui a activé les accords d’achat de vaccins et contraint les pays participants à de gros lots de doses dont ils n’avaient pas besoin. La sortie précipitée d’un produit médical de qualité inférieure a conduit, entre autres, à un «fiasco de la narcolepsie».

Selon le rapport de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe :

« L’Assemblée parlementaire s’alarme de la manière dont la pandémie de grippe H1N1 a été gérée, non seulement par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), mais aussi par les autorités sanitaires compétentes au niveau de l’Union européenne et au niveau national.

Elle est particulièrement troublée par certaines des conséquences des décisions prises et des conseils donnés, qui conduisent à une distorsion des priorités des services de santé publique dans toute l’Europe, au gaspillage de sommes importantes d’argent public, ainsi qu’à des craintes et à des craintes injustifiées concernant les risques pour la santé auxquels est confronté le public européen à grande.

L’Assemblée note que de graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence des processus décisionnels liés à la pandémie, ce qui a suscité des inquiétudes quant à l’influence possible de l’industrie pharmaceutique sur certaines des décisions majeures relatives à la pandémie.

L’Assemblée craint que ce manque de transparence et de responsabilité n’entraîne une chute de la confiance dans les conseils donnés par les grandes institutions de santé publique. Cela pourrait s’avérer désastreux dans le cas de la prochaine maladie à portée pandémique – qui pourrait s’avérer bien plus grave que la pandémie H1N1…

Le rapporteur considère que certains des résultats de la pandémie, tels qu’illustrés dans ce rapport, ont été dramatiques : distorsion des priorités des services de santé publique dans toute l’Europe, gaspillage d’énormes sommes d’argent public, provocation d’une peur injustifiée parmi les Européens, création de les risques pour la santé liés aux vaccins et aux médicaments qui n’ont peut-être pas été suffisamment testés avant d’être autorisés dans le cadre de procédures accélérées, sont tous des exemples de ces résultats.

Même Forbes a écrit en 2010 que « depuis le début, les actions de l’Organisation mondiale de la santé vont du douteux à l’incompétence flagrante ». Une citation poignante :

« Les décisions douteuses de l’OMS démontrent que ses responsables sont trop rigides ou trop incompétents (ou les deux) pour apporter les ajustements nécessaires au système d’alerte à la pandémie – des lacunes que nous attendons d’une organisation scientifiquement contestée, auto-importante et irresponsable.

L’OMS peut être en mesure d’effectuer et de signaler une surveillance mondiale – c’est-à-dire de compter le nombre de cas et de décès – mais son rôle politique devrait être considérablement limité.

Les bureaucrates de l’ONU se font passer pour des autorités sur toutes sortes de produits, de politiques publiques et d’activités humaines, de la désertification et de la biodiversité à la réglementation des produits chimiques, aux utilisations de l’océan et aux tests de plantes génétiquement modifiées.

Cependant, les politiques, exigences et normes réglementaires de l’ONU défient souvent le consensus scientifique et le bon sens. Ses responsables ne sont pas des amis du commerce, de la santé publique ou de la protection de l’environnement. Le résultat est un monde plus précaire, plus dangereux et moins résilient. En ce qui concerne la peste, l’ONU est peut-être le plus grand fléau de tous.

Qu’est-ce qu’une pandémie, de toute façon ?

Il est à noter que juste avant que l’OMS ne déclare une pandémie, elle a changé la définition du mot. Extrait du British Medical Journal :

« L’OMS avait défini pendant des années les pandémies comme des épidémies causant » un nombre énorme de décès et de maladies », mais début mai 2009, elle a supprimé cette expression – décrivant une mesure de gravité – de la définition.

Des scientifiques clés conseillant l’Organisation mondiale de la santé sur la planification d’une pandémie de grippe avaient effectué un travail rémunéré pour des sociétés pharmaceutiques qui avaient tout à gagner des conseils qu’elles préparaient. Ces conflits d’intérêts n’ont jamais été divulgués publiquement par l’OMS, et l’OMS a rejeté les enquêtes sur sa gestion de la pandémie A/H1N1 comme des « théories du complot ».

Une enquête conjointe du BMJ et du Bureau of Investigative Journalism a révélé des preuves qui soulèvent des questions troublantes sur la façon dont l’OMS a géré les conflits d’intérêts entre les scientifiques qui ont conseillé sa planification en cas de pandémie, et sur la transparence de la science sous-jacente à ses conseils aux gouvernements.

Était-il approprié que l’OMS prenne conseil auprès d’experts qui avaient des liens financiers et de recherche déclarables avec des sociétés pharmaceutiques produisant des antiviraux et des vaccins contre la grippe ? »

Se vanter des tours

En 2019, Marc Van Ranst, commissaire belge à la grippe, a donné une conférence lors de la conférence ESWI/Chatham House Influenza Pandemic Preparedness Stakeholders Conference. À environ 13 minutes, il s’est vanté d’avoir « abusé du fait que les meilleurs clubs de football… de football en Belgique étaient vaccinés de manière inappropriée et contre tous les accords… ils ont fait de leurs joueurs de football des personnes prioritaires ». Le public a répondu en riant.

“Trust WHO”

Afin de comprendre la corruption au sein de l’OMS, on peut vouloir regarder un documentaire pré-pandémique intitulé « Trust WHO« , produit par Lilian Franck. Entre autres choses, il examine divers conflits d’intérêts ainsi que des exemples de la façon dont l’organisation a été influencée par l’industrie du tabac et l’industrie nucléaire.

L’ONU a été détournée

L’année dernière, j’ai interviewé Mary Otto-Chang, une ancienne employée des Nations Unies, qui a parlé du détournement de l’ONU et de l’accord de 2019 entre l’ONU et le Forum économique mondial sur la quatrième révolution industrielle comme objectif de coopération.

Donc, ce que nous envisageons, c’est d’utiliser l’autorité de l’ONU en tant qu’organisation internationale soi-disant juste et merveilleuse qui protège les gens pour les objectifs commerciaux et philosophiques des personnes les plus riches du monde. Quel mensonge compliqué !

Banalité du mal

La plupart des choses horribles que les gens se font ne viennent pas de nulle part. Il y a généralement une période de « réchauffement » pendant laquelle les actions perverses sont banalisées et les sens des gens sont « recyclés ».

Parfois, en utilisant un langage à l’envers, les sens des gens sont rééduqués au point d’échanger complètement les significations, où la guerre devient la paix et le meurtre devient la compassion. Il faut du temps pour déshumaniser des données démographiques entières – sur la base d’une ethnie, d’une religion, d’un état de santé particulier, ou de toute autre affiliation arbitraire.

Par exemple, au début de l’Allemagne nazie, il y avait une campagne pour tuer les enfants handicapés mentaux (et aussi faire des expériences inhumaines sur eux), et on disait souvent aux parents que leurs enfants étaient emmenés pour de meilleurs soins. Les parents ne savaient pas que leurs enfants étaient assassinés – mais les infirmières qui ont tué les handicapés savaient exactement ce qu’elles faisaient, mais peut-être que certaines d’entre elles croyaient qu’elles accomplissaient des actes de miséricorde !

Il existe un documentaire puissant et incontournable à ce sujet, intitulé « Les infirmières tueuses du Troisième Reich ». J’avais écrit à ce sujet l’année dernière :

« La seule chose qui était nécessaire pour que les infirmières fassent la transition vers la zone d’horreur était de décider que les pauvres imbéciles souffrants n’avaient aucune agence. Dès que dans leur esprit, les infirmières ont dépouillé les enfants handicapés et les adultes malades mentaux de leur agence humaine et les ont transformés en créatures semblables à des animaux de compagnie souffrants, les tuer est devenu vertueux. Les infirmières tenaient les bébés handicapés avec amour, puis les tuaient.

Nos choix comptent

Une chose à laquelle j’ai beaucoup pensé au cours de ma vie, c’est à quel point nos choix ont des conséquences à long terme : pour nous-mêmes, pour les gens qui nous entourent, et même pour l’histoire du monde !

Par exemple, pour revenir au sujet de la préparation à une pandémie, une grande partie de ce qui s’est passé aux États-Unis en 2020 a été rendue possible grâce à la décision de Bush en 2005 de refaire le plan de préparation à une pandémie. Qui y a prêté attention en 2005 ? Qui pourrait imaginer que cela aurait un impact aussi profond sur nos vies ? Personne, probablement, sauf ceux qui l’ont planifié. Et pourtant nous y sommes…

Ou un autre exemple. Lorsque les gens acceptent la censure contre les groupes auxquels ils ne sont pas liés, ils ne pensent souvent pas que les censeurs viendront ensuite pour eux – et pourtant, le plus souvent, c’est exactement ce qui se passe.

Ou parfois, un choix que nous faisons à un très jeune âge nous revient des années plus tard, et tout ce à quoi nous avons essayé d’échapper nous regarde droit dans les yeux, et nous devons y faire face de toute façon.

C’est-à-dire que le courage et essayer de faire ce qu’il faut ne sont pas seulement louables, ils sont aussi très pratiques, surtout pendant les périodes difficiles.

Il n’y a certainement pas de formule, et pas de prescription universelle pour une période comme celle-ci, mais il est important de voir les escrocs dans des chaises hautes pour qui ils sont (y compris lorsqu’ils parlent de traités de préparation à une pandémie «pour notre propre bien»), et de voir à travers eux sans avoir peur. Lorsque nous sommes solidaires, avec de l’amour dans nos cœurs, nous sommes forts.

Pour en savoir plus sur le travail de Tessa Lena, assurez-vous de consulter sa biographie,
Tessa Fights Robots.https://dailyexpose.uk/2022/05/08/who-pandemic-treaty-power-a-warning/

Traduction : MIRASTNEWS




La condamnation de l’obligation vaccinale par la Cour suprême indienne

[Source : RL]

Par P.-A. Pontoizeau

Nous partageons, a priori, avec l’Inde d’être des grandes démocraties. L’Inde est toujours donnée en exemple d’être la plus grande démocratie du monde avec son milliard et demi d’habitants et ses Etats fédérés. Or, la Cour suprême vient de condamner définitivement la vaccination obligatoire.

Ses motifs sont simples. L’intégrité physique est protégée et elle est inaliénable. Au passage, les conventions internationales signées par la France nous engagent de même. Aucun individu ne peut être forcé à la vaccination. Les juges indiens prennent à leur compte toutes les conventions internationales signées depuis la guerre pour protéger les personnes des décisions abusives des États ou de médecins se considérant maître de nos corps et de nos destins. L’Inde nous rappelle ainsi que l’autonomie de jugement, la décision personnelle sont au-dessus de toute autre considération. Il n’y a pas de transgression possible à ce droit.

Et ces juges, plus préoccupés du libre consentement éclairé que les Occidentaux, ajoutent une obligation à l’attention des laboratoires et des institutions sanitaires. Toutes les données sont publiques, dont celles sur les effets indésirables. Les scientifiques doivent travailler librement, les personnes doivent juger librement, en pleine connaissance de cause, sans préjugé, sans oukase, sans dogmatisme.

Les juges indiens ont aussi averti que la propagande et la menace, les pressions exercées indûment sur les personnes désirant ne pas se faire vacciner étaient inacceptables. Personne ne doit être intimidé, marginalisé, persécuté pour ses opinions et ses choix de santé.

Cette décision des juges de la Cour suprême indienne pose une question. Le raisonnement des juges indiens est-il universel ? Y a-t-il la raison nationale indienne et une autre raison contraire, celle du conseil constitutionnel Français par exemple ? Le juste raisonnement peut-il aboutir à des conclusions contraires selon les pays (clin d’œil à nos « amis » mondialistes !)

Le seul argument raisonnable que j’ai entendu pour justifier de contredire notre droit démocratique commun à l’Inde et à la France était celui de l’utilité. Il aurait été utile à tous de briser temporairement notre liberté parce que l’enjeu collectif le légitimait. Pour cela, il faut croire et surtout prouver que le résultat utile est à la hauteur de l’amputation des libertés fondamentales. Il aurait fallu que l’engagement responsable des États et des laboratoires soit tenu : vaccination obligatoire selon la thérapeutique affirmée en deux doses, protection absolue contre la maladie à l’instar des vaccins traditionnels, innocuité réelle sans effets indésirables graves, et fin de l’épidémie rapide dans la foulée de ce sacrifice. Rien de tout cela n’est au rendez-vous, et les laboratoires savaient en refusant d’endosser la responsabilité de leur production : inédit ! Cet argument d’utilité est faux, n’y revenons pas trop. En résumé : « vaccin » inefficace, « vaccinés » contaminés voire décédés, effets indésirables graves, etc.

[Note de Joseph : l’idée que les vaccins traditionnels protègent de maladies relève de croyances. Cela n’a jamais été démontré de manière rigoureusement scientifique. La formation médicale des médecins en matière vaccinale se résume à quelques heures de propagande fournie par les compagnies vaccinales qui par ailleurs fournissent des études biaisées, voire frauduleuses, sur le sujet.
De plus, la théorie vaccinale et celle plus générale des germes sont contestables et contestées par des pionniers d’un nouveau paradigme médical (basé notamment sur les découvertes de Béchamp, adversaire scientifiquement rigoureux de Pasteur qui lui a fraudé).
Voir le dossier Vaccins et virus.]

En conséquence, les démocraties Occidentales ont violé leur code de santé publique qui oblige à mettre sur le marché des produits sûrs dans leurs bénéfices. Ces démocraties ont violé leurs valeurs fondamentales : respect de la personne humaine, dignité, libre consentement, inviolabilité du corps humain, etc. Reste alors une seule question. Est-il possible maintenant de contredire dans les autres démocraties la sage décision des juges indiens ? Y a-t-il un autre choix démocratique que de revenir urgemment à la protection absolue de la personne humaine et au respect du code de santé publique ? Si nos juges prétendent qu’il y a un autre choix, c’est que nous renonçons aux valeurs humanistes qui ont été patiemment construites au fil des périodes criminelles où les médecins ont été au centre de pouvoirs exorbitants. Le célèbre professeur Fauci n’a-t-il pas récemment revendiqué le droit des institutions sanitaires mondiales à décider sans rendre compte à quiconque. C’est la fin de la démocratie. Pas de concertation, pas de pouvoir législatif, mais aussi pas de jugement, pas d’enregistrement des plaintes, puisque le savant décide et ne rend compte à personne. Voilà le basculement de l’Occident dans le biopouvoir, celui de quelques docteurs Folamour qui veulent tous les pouvoirs sans rendre compte à quiconque.

Partageons le jugement de la Cour suprême indienne du 2 mai 2022 pour interpeler nos contemporains.
https://www.indiatvnews.com/news/india/covid19-vaccination-not-mandatory-supreme-court-order-unvaccinated-individuals-restrictions-2022-05-02-773615

Pierre-Antoine Pontoizeau




Preuve que la pandémie a été planifiée avec un but

[Source anglaise : stopworldcontrol.com]

[Transmis par Philippe Loubière]

[NDLR : Le présent article représente une mise à jour du suivant :

]

100% VÉRIFIÉ PAR LES FAITS

Notre objectif est de présenter des informations 100% précises. Chaque fait peut être vérifié dans les références au bas de la page. Si vous voyez quelque chose qui n’est pas correct à 100%, s’il vous plaît laissez-nous savoir.

VIDÉO INCROYABLE – REGARDEZ MAINTENANT!

LE PLAN

L’Organisation mondiale de la santé a un plan pour dix ans de maladies infectieuses, selon un virologue de l’OMS

[Vidéo en anglais]


!function(r,u,m,b,l,e){r._Rumble=b,r[b]||(r[b]=function(){(r[b]._=r[b]._||[]).push(arguments);if(r[b]._.length==1){l=u.createElement(m),e=u.getElementsByTagName(m)[0],l.async=1,l.src="https://rumble.com/embedJS/u4"+(arguments[1].video?'.'+arguments[1].video:'')+"/?url="+encodeURIComponent(location.href)+"&args="+encodeURIComponent(JSON.stringify([].slice.apply(arguments))),e.parentNode.insertBefore(l,e)}})}(window, document, "script", "Rumble");

Rumble("play", {"video":"v10y8h2","div":"rumble_v10y8h2"});

TÉLÉCHARGER LA VIDÉO

N’hésitez pas à diffuser et traduire cette vidéo de toutes les manières possibles.
Montrez au monde ce qui se passe.

Téléchargez les documents
présentés dans LE PLAN

Des documents qui ouvrent les yeux de l’humanité

✔︎ Preuve du grand jury 1

✔︎ Rapport sur le décès par vaccin

Documents annonçant la pandémie de coronavirus

✔︎ Scénarios pour l’avenir par la Fondation Rockefeller

✔︎ Un scénario futuriste par le John Hopkins Center

✔︎ Plan australien de gestion de la santé pour la grippe pandémique

✔︎ L’OMS a demandé au monde de se préparer à une pandémie imminente de coronavirus

✔︎ La bande dessinée de l’UE montre la pandémie qui commence en Chine et la tyrannie médicale

Soyez conscient du niveau extrême d’hypocrisie qui se trouve dans ces documents. Ces criminels prétendent protéger l’humanité, alors qu’en réalité ils suppriment et interdisent tous les traitements efficaces contre le covid, tout en censurant, licenciant, arrêtant et même assassinant les médecins qui guérissent les patients covid.

Des milliers de médecins disent que la pandémie était planifiée

Un groupe de près d’un millier de médecins en Allemagne appelé « Médecins pour l’information », qui est soutenu par plus de 7 000 professionnels, y compris des avocats, des scientifiques, des enseignants, etc., a fait une déclaration choquante lors d’une conférence de presse nationale(([1] Groupe allemand de médecins pour information)):

« La panique corona est une pièce de théâtre. C’est une arnaque. Une escroquerie. Il est grand temps que nous comprenions que nous sommes au milieu d’un crime mondial. »

Ce grand groupe d’experts médicaux publie un journal à 500 000 exemplaires chaque semaine, pour alerter le public sur la désinformation dans les médias grand public sur le coronavirus. Ils organisent également des manifestations de masse avec des millions de personnes dans toute l’Europe.

Des centaines de médecins espagnols disent que la pandémie a été créée

En Espagne, un groupe de 600 médecins appelé « Médecins pour la vérité » a fait une déclaration similaire lors d’une conférence de presse.

« Le Covid-19 est une fausse pandémie créée à des fins politiques. C’est une dictature mondiale avec une excuse sanitaire. Nous exhortons les médecins, les médias et les autorités politiques à mettre fin à cette opération criminelle en répandant la vérité. »(([2] Groupe espagnol de Médecins pour la vérité))

Alliance mondiale des médecins

« Le plus grand crime de l’histoire »

« Médecins pour l’information » et « Médecins pour la vérité » ont uni leurs forces avec des groupes similaires de praticiens du monde entier dans le cadre de la « World Doctors Alliance »(([3] Alliance mondiale des médecins)). Cette alliance historique relie plus de cent mille professionnels de la santé à travers le monde. Ils révèlent comment la pandémie est le plus grand crime de l’histoire et offrent des preuves scientifiques solides à l’appui de cette affirmation. Ils engagent également des actions en justice contre les gouvernements qui jouent le jeu de cette opération criminelle.

Alliance mondiale pour la liberté

Connecter les avocats

De même, l’Alliance mondiale pour la liberté a été formée – un réseau d’avocats, d’experts médicaux, de politiciens, de banquiers et de nombreux autres professionnels qui travaillent ensemble pour dénoncer le « crime Covid » et qui commencent à construire un nouveau monde de liberté. Ils veulent s’assurer que ce genre d’escroqueries mondiales qui détruisent des millions de vies ne puisse plus jamais se reproduire.

QUE SAVENT-ILS?

Pourquoi des milliers d’experts médicaux dans le monls que la pandémie est un « crime mondial » ? ils que nous ne savons pas? Jetons un coup d’œil à quelques faits intéressants…

Des millions de trousses de dépistage de la COVID-19 vendues en 2017 et 2018

La nouvelle maladie COVID-19 est apparue en Chine vers la fin de 2019. C’est pourquoi il a été nommé COVID-19, qui est un acronyme pour Corona Virus Disease 2019. Les données de la Solution du commerce intégré mondial, cependant, montrent quelque chose d’étonnant:

En 2017 et 2018, des centaines de millions de kits de test COVID-19 ont été distribués dans le monde entier.

Cela a coulé une seconde: littéralement des centaines de millions de kits de test COVID-19 ont été exportés et importés, partout dans le monde, en 2017 et 2018.

Des centaines de millions !

« Vite! Cachez-le ! »

Ces données déconcertantes ont été découvertes par quelqu’un le 5 septembre 2020, qui les a publiées sur les médias sociaux. Il est devenu viral partout dans le monde. Le lendemain, le 6 septembre, le WITS a soudainement changé l’étiquette originale « COVID-19 » en « kits de test médical ». Mais leur dissimulation est arrivée trop tard : cette information critique a été découverte et est révélée par des millions de personnes dans le monde entier.

Vous pouvez télécharger un PDF qui montre les données originales de ce site Web. Il peut également être vu sur les archives Web.(([4] Méthode brevetée de Richard Rothschild pour tester la COVID-19 ))(([5] Inventions de R. Rothshild))

DISTRIBUTION DE MASSE

Pourquoi le monde entier a-t-il explosé dans la distribution massive de centaines de millions de kits de test COVID-19, juste avant que la pandémie mondiale ne frappe?

En 2017, Fauci a garanti une pandémie
dans les deux prochaines années

En 2017, Anthony Fauci a fait une prédiction très étrange, avec une certitude encore plus étrange. En toute confiance, Fauci a garanti que pendant le premier mandat du président Trump, une épidémie surprise d’une maladie infectieuse se produirait sûrement. Voici ce qu’il a dit(([6] Fauci garantit une épidémie dans les deux prochaines années)):

Il ne fait AUCUN DOUTE qu’il y aura un défi pour la prochaine administration dans le domaine des maladies infectieuses.

Il y aura une ÉPIDÉMIE SURPRISE.Il n’y a AUCUN DOUTE dans l’esprit de quiconque à ce sujet.

Comment Fauci pourrait-il garantir une épidémie surprise pendant le premier mandat de l’administration Trump? Qu’est-ce qu’il savait que nous ne savons pas?

« Au cours des deux prochaines années, il y aura une épidémie surprise. Il n’y a AUCUN DOUTE dans l’esprit de quiconque à ce sujet. »

ANTHONY FAUCI

Bill et Melinda Gates ont garanti une pandémie mondiale imminente

En 2018, Bill Gates a annoncé publiquement qu’une pandémie mondiale était en route qui pourrait anéantir 30 millions de personnes. Il a dit que cela se produirait probablement au cours de la prochaine décennie.(([7] Bill Gates annonce une pandémie mondiale))

Melinda Gates a ajouté qu’un virus artificiel est la plus grande menace de l’humanité, et a également assuré que cela frapperait l’humanité dans les années à venir.(([8] Melinda Gates dit que la plus grande menace de l’humanité est un virus artificiel))

Laissez leur choix de mots résonner dans votre esprit pendant un moment…

« Une pandémie mondiale est en route.
Un VIRUS ARTIFICIEL est la plus grande menace de l’humanité.
Cela se produira au cours de la PROCHAINE DÉCENNIE. »

BILL ET MELINDA GATES

Pratiquer pour une pandémie

Bill Gates est le premier distributeur mondial de vaccins, qui a doublé sa fortune de 50 milliards de dollars à plus de 100 milliards simplement en vendant des vaccins dans le monde entier. Il a dit que cela a été son « meilleur investissement commercial » de tous les temps. Quelques mois avant l’épidémie, Bill Gates a organisé un événement à New York appelé Event 201. Devinez en quoi consistait l’événement? C’était un « exercice de pandémie de coronavirus ».

Oui, vous avez bien lu : Bill Gates a organisé un exercice sur la pandémie de coronavirus, juste avant que la pandémie de coronavirus ne se produise !

Bill Gates a créé un événement de pratique pour une pandémie mondiale de coronavirus, juste avant qu’une pandémie mondiale de coronavirus ne se produise.

Enthousiasme à l’idée de vendre des vaccins au cours de la prochaine année

Après cet « exercice pour une pandémie de coronavirus », Bill Gates a tweeté :

Je suis particulièrement enthousiasmé par ce que l’année prochaine pourrait signifier pour l’un des meilleurs achats en santé mondiale : les vaccins.

Pensez-y : le numéro 1 mondial des distributeurs de vaccins garantit une pandémie mondiale dans les prochaines années, et sa femme dit que nous devrions tous craindre un virus artificiel qui est « en route ». Ensuite, ils organisent un exercice pour une pandémie mondiale imminente et disent que les vaccins seront la seule solution. Prochain… Bill Gates tweete à quel point il est enthousiaste à l’idée de vendre des vaccins l’année prochaine. Immédiatement après, la pandémie annoncée éclate.

Et en effet, d’emblée Bill Gates proclame que la seule solution pour l’humanité est d’acheter ses vaccins…

pandémie de coronavirus 2020 prévue en 2013

L’information suivante est particulièrement intéressante parce qu’elle montre combien d’informations sont disponibles, pour ceux qui osent faire la recherche. En 2013, un artiste musical au nom particulier de Dr. Creep a écrit une chanson de rap appelée PANDEMIC. Rien de spécial à ce sujet, n’est-ce pas que l’une de ses paroles se lit comme suit:(([9] Paroles de la chanson de 2013 qui a prédit la pandémie de coronavirus en 2020))

« 2020 combiné avec CoronaVirus, les corps s’empilent. »

Comment est-il possible qu’un musicien inconnu puisse prédire avec précision qu’une pandémie de coronavirus se produira sept ans plus tard?

La chanson a également prédit les émeutes qui ont fait rage dans toute l’Amérique pendant cette pandémie:

« L’État se révolte, utilisant la rue à l’extérieur. Ça vient à vos fenêtres. »

Encore une fois : comment un artiste louche pouvait-il savoir, en 2013, qu’en 2020, un coronavirus balayerait la terre, suivi d’émeutes de masse ? Sa réponse est intéressante :

« J’ai fait des recherches en 2012 et j’ai lu les soi-disant « théories du complot ». Vous savez, ces enquêtes que les médias ne veulent pas que nous examinions. Selon ces théories, les pandémies étaient inévitables au cours de la décennie 2020-2030. J’ai donc écrit la chanson Pandemic à ce sujet. »

Pigé ? Cet homme a fait des recherches sur ce que l’on appelle communément les « théories du complot ». Des choses que nous sommes programmés pour ignorer comme des « absurdités ». Mais apparemment, ces enquêtes ne sont pas toujours aussi stupides après tout, car certaines d’entre elles ont prédit avec précision que exactement en 2020, cette pandémie et les émeutes se produiraient.

Que peut-on découvrir d’autre lorsque nous commençons à faire de la recherche? Continuez à lire pour en savoir plus…

« Préparez-vous à une pandémie mondiale de coronavirus »

En septembre 2019 – également juste avant l’épidémie – le Conseil mondial de suivi de la préparation a publié un rapport intitulé « Un monde en danger ».

Il a souligné la nécessité d’être prêt à… une épidémie de coronavirus !

Sur la couverture du rapport se trouve la photo d’un coronavirus et de personnes portant des masques faciaux.

Dans le rapport, nous avons lu le paragraphe intéressant suivant:

« Les Nations Unies (y compris l’OMS) mènent au moins deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système. L’un d’eux implique la libération délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel. »

L’avez-vous saisi ? 

Annonce de l’épidémie en provenance de Chine

En 2018, l’Institut de modélisation des maladies a produit une vidéo montrant un virus de la grippe (qui est un coronavirus) originaire de Chine, de la région de Wuhan, et se propageant dans le monde entier, tuant des millions de personnes. Ils l’ont appelé « Une simulation pour une pandémie mondiale de grippe ». C’est exactement ce qui s’est passé deux ans plus tard.

VIRUS DE WUHAN

Comment pouvaient-ils savoir qu’il y aurait une pandémie mondiale de coronavirus qui commencerait dans la région de Wuhan, en Chine? Comment pouvaient-ils le prédire avec autant de précision juste avant que cela ne se produise?

Ce coronavirus a-t-il été conçu ?

D’où vient le virus ? L’un des plus grands experts mondiaux en armes biologiques est le Dr Francis Boyle. Il est convaincu qu’il provient d’un laboratoire d’armes biologiques à Wuhan – le laboratoire de biosécurité de niveau 4.

Cette installation est spécialisée dans le développement de… les coronavirus !

Ils travaillent avec les virus existants pour les armer – ce qui signifie qu’ils les rendent beaucoup plus dangereux, pour être utilisés comme une arme biologique. Dans le clip vidéo de deux minutes suivant, vous voyez un porte-parole de l’administration Trump, l’expert en armes biologiques, le Dr Francis Boyle, et le président Trump parler de la façon dont ce virus est venu du laboratoire de Wuhan.

Vient maintenant la partie intéressante: en 2015, Anthony Fauci a donné à ce même laboratoire 3,7 millions de dollars.

Figurez-vous ceci: le même homme qui a garanti une épidémie surprise d’un virus dans les deux prochaines années, a donné près de 4 millions de dollars à un laboratoire qui développe des coronavirus armés. Dans le court clip ci-dessous, vous pouvez voir un journaliste interroger le président Trump sur cette subvention accordée par Fauci au laboratoire de Wuhan.

Plusieurs films ont prédit la pandémie de coronavirus

La programmation prédictive est le processus d’information de la population sur les événements qui vont bientôt se produire. Au cours des dernières années, plusieurs films et séries télévisées ont été produits sur… une pandémie mondiale de coronavirus !

Le film « Dead Plague »[peste noire] dépeint une pandémie mondiale avec un coronavirus, et mentionne même l’hydroxychloroquine comme remède.

Un autre film intitulé « Contagion » montre comment un coronavirus se propage dans le monde entier – avec la distanciation sociale, les masques faciaux, les confinements, le lavage des mains, etc. en conséquence.

Littéralement, tout ce que nous voyons maintenant est prédit en détail dans ces films.

La bande dessinée de l’Union européenne a visualisé la pandémie mondiale

En 2012, une étrange bande dessinée a été produite par l’Union européenne, pour être distribuée uniquement à leurs employés.(([10] La bande dessinée de l’UE dépeint la pandémie mondiale)) Le titre de la bande dessinée est « INFECTED », et il montre un nouveau virus originaire d’un laboratoire chinois et se propageant à travers le monde. La solution à cette pandémie est décrite dans la bande dessinée : les mondialistes appliquent un plan de santé mondial. Cela signifie : Plus de liberté médicale, mais la tyrannie médicale par des entités mondialistes.

Tel est le message de cette bande dessinée, publiée aux salariés de l’Union européenne. L’une des citations de la bande dessinée se lit comme suit:

« Les mesures de sécurité qui ont suivi ont rendu notre existence totalement insupportable. »

Pandémie représentée lors des Jeux olympiques d’été de 2012

Lors du spectacle d’ouverture des Jeux olympiques d’été de 2012, une pandémie de coronavirus s’est jouée aux yeux du monde entier. Des dizaines de lits d’hôpital, un grand nombre d’infirmières devenant les marionnettes d’un système de contrôle, la mort qui se cachait, un géant démoniaque se soulevant au-dessus du monde, et tout le théâtre était éclairé de telle sorte que, vu du ciel, il ressemblait à un coronavirus.

Pourquoi les Jeux Olympiques ont-ils montré une pandémie de coronavirus, dans leur spectacle d’ouverture?

Confinement mondial prévu en 2008

L’auteur et enquêteur Robin de Ruiter a prédit en 2008 qu’il y aurait un confinement mondial.(([11] Robin de Ruiter prédit des confinements))

Il a dit que le but de cela serait de créer un nouveau monde de contrôle autoritaire.

Parce qu’une grande partie de ce qu’il a écrit en 2008 se passe maintenant sous nos yeux, ce livre a été réédité.

Les journalistes ont prédit une pandémie planifiée

En 2014, le journaliste d’investigation Harry Vox a prédit une pandémie mondiale planifiée et a expliqué pourquoi la « classe dirigeante » ferait une telle chose:

« Ils ne reculeront devant rien pour compléter leur boîte à outils de contrôle. L’une des choses qui manquaient dans leur boîte à outils était les quarantaines et les couvre-feux. Le plan est d’infecter des centaines de milliers de personnes et de créer la prochaine phase de contrôle. »(([12] Harry Vox a prédit la pandémie mondiale))

« Le plan est d’infecter des centaines de milliers de personnes et de créer la prochaine phase de contrôle. »

HARRY VOX, JOURNALISTE D’INVESTIGATION RENOMMÉ

« Scénario pour l’avenir » décrit la pandémie mondiale

Ce chercheur de renom fait référence à un document célèbre de la Fondation Rockefeller dans lequel tout ce que nous voyons se passer maintenant est littéralement prédit en détail: la pandémie mondiale, les confinements, l’effondrement de l’économie et l’imposition d’un contrôle autoritaire.

Tout est décrit avec une précision terrifiante… dix ans avant que cela ne se produise !

Le document s’intitule « Scénario pour l’avenir de la technologie et du développement international ».(([13] « Scénario pour l’avenir » décrit une pandémie mondiale)) Cela dit tout: un scénario pour l’avenir. Il a un chapitre intitulé « LockStep », dans lequel une pandémie mondiale est rapportée comme si elle s’était produite dans le passé, mais qui est clairement destinée à être une répétition pour l’avenir.

Le « Scénario pour l’avenir » se poursuit avec la comparaison de deux réponses différentes à leur pandémie prévue: les États-Unis n’ont « fortement découragé » que les personnes de prendre l’avion, tandis que la Chine a imposé une quarantaine obligatoire à tous les citoyens. La première réponse est accusée de propager encore plus le virus, tandis que l’imposition d’un confinement étouffant est saluée. Ensuite, il décrit la mise en œuvre du contrôle totalitaire : Pendant la pandémie, les dirigeants nationaux du monde entier ont fait preuve d’autorité et imposé des règles et des restrictions hermétiques, allant du port obligatoire de masques faciaux aux contrôles de la température corporelle aux entrées des espaces communs tels que les gares et les supermarchés.

Il est clair que la flexion de l’autorité est la réponse souhaitée. Mais la situation s’aggrave, selon ce « scénario du futur » :

« Même après l’estompement de la pandémie, ce contrôle et cette surveillance plus autoritaires des citoyens et de leurs activités sont restés, et même intensifiés. »

« Dans les pays développés, cette surveillance accrue a pris de nombreuses formes: des identifiants biométriques pour tous les citoyens, par exemple, et une réglementation plus stricte des industries clés dont la stabilité était jugée vitale pour les intérêts nationaux. »

Manuel pour le contrôle global

Maintenant que la pandémie annoncée est bel et bien là, la même Fondation Rockefeller a présenté la deuxième étape : un manuel sur la façon de mettre en œuvre de nouveaux systèmes de contrôle pendant cette pandémie. Le livre révèle que ce n’est que lorsque tous les réseaux de contrôle requis sont en place que le monde peut s’ouvrir à nouveau.

Lorsque vous combinez les deux documents Rockefeller, vous voyez le plan :

1) Tout d’abord, ils annoncent une pandémie mondiale avec un coronavirus et disent ce à quoi cela devrait conduire: un tout nouveau niveau de contrôle autoritaire.

2) Deuxièmement, ils donnent des étapes pratiques sur la façon d’appliquer ce système de contrôle.

Ce sont des illustrations et des citations de leur guide :

« Les applications numériques et les logiciels de suivi protégés par la vie privée devraient être largement utilisés pour permettre un suivi plus complet des contacts. »

« Afin de contrôler pleinement l’épidémie de Covid-19, nous devons tester la majorité de la population sur une base hebdomadaire. »

Conformément à leur « scénario de l’avenir », l’ensemble de la population mondiale devrait obtenir une identification numérique indiquant qui a reçu tous les vaccins. Sans vaccinations suffisantes, l’accès aux écoles, aux concerts, aux églises, aux transports en commun, etc., sera refusé.

Et maintenant, à partir de 2020, c’est exactement ce que Bill Gates et de nombreux gouvernements réclament.

Les contacts de chacun doivent être vérifiés

Dans une vidéo du gouvernement qui a fuité(([14] Andrew Cuomo s’entretient avec Bill Clinton sur le contrôle autoritaire)), nous voyons une conversation entre l’ancien président américain Bill Clinton et Andrew Cuomo, le gouverneur de l’État de New York. Ils discutent de la façon de mettre en place un grand système de contrôle pour tester l’ensemble de la population et vérifier tous leurs contacts. Ils discutent de la façon de construire une armée pour mener à bien ce système de contrôle.

ANDREW CUOMO,
GOUVERNEUR DE NEW YORK

Un tout nouveau niveau de contrôle mondial

Bill Gates a également précisé que seules les personnes vaccinées contre le Covid-19 devraient être autorisées à voyager, à aller à l’école, à assister à des réunions et à travailler.(([15] Bill Gates parle d’une identité numérique pour contrôler les gens)) Des identifiants numériques de vaccins sont déjà en cours de développement(([16] Relier les vaccins à une identification numérique)) et Gates détient un brevet sur la technologie qui permet de retracer le corps d’un individu n’importe où. Cette technologie s’appelle WO2020-060606(([17] Gates a un brevet sur la technologie pour retracer n’importe qui n’importe où)). En outre, Gates souhaite mettre en place un réseau mondial de surveillance qui suivra toutes les personnes ayant été en contact avec le Covid-19.(([18] Gates veut un système de surveillance mondial))

Connecter votre corps à l’intelligence artificielle

Big Tech et Big Pharma veulent nous connecter tous à des réseaux mondiaux qui peuvent nous surveiller 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 et… décider si nous pouvons nous déplacer librement ou non. Dans cet esprit, une invention particulière de 2015 devient intrigante.

En 2015, Richard Rothschild a inventé une « méthode de test pour COVID-19 ». Cette méthode consiste à envoyer nos informations de santé personnelles au « cloud », qui est contrôlé par Big Tech.(([19] Inventions de Richard A Rothschild))

Richard Rothschild n’est pas un professionnel de la santé, mais un avocat. Pourquoi un avocat veut-il créer une méthode pour détecter les virus? Nous trouvons la réponse en regardant une autre de ses inventions. Il a développé un système dans lequel les gens sont filmés pour recueillir des informations détaillées sur leur visage, leur corps, leurs mouvements, etc. Ces données vidéo sont ensuite combinées avec d’autres informations personnelles et envoyées au cloud, où elles sont connectées à l’intelligence artificielle.

Si toutes nos données médicales personnelles sont « dans le cloud », elles peuvent être utilisées par les autorités pour nous surveiller et nous contrôler.

Le plan : injecter à l’humanité un vaccin altérant l’ADN

Le célèbre journaliste d’investigation Anthony Patch a fait des années de recherche sur les plans de contrôle du monde au moyen de pandémies créées et de vaccins obligatoires. Lors d’une entrevue en 2014, ce chercheur a prédit ce qui suit :

« Ils vont libérer un coronavirus d’origine humaine. En conséquence, les gens exigeront un vaccin pour les protéger. Ce vaccin ajoutera un troisième brin d’ADN au corps d’une personne, ce qui en fera essentiellement un hybride. Une fois qu’une personne est injectée, presque immédiatement son ADN subit une transformation. Ce changement génétique fera perdre aux gens la capacité de penser par eux-mêmes, sans même qu’ils soient conscients que cela s’est produit. Ainsi, ils peuvent être contrôlés plus facilement, pour devenir des esclaves pour l’élite. »

Bien sûr, cela semble fou – et c’est fou en effet. Pourtant, nous devons nous rendre compte que cet enquêteur professionnel n’est pas dupe. Il a investi des années de recherche sur ce sujet, et c’est ce qu’il a découvert pendant cette période.

20 ans de recherche disent : le vaccin va changer notre ADN

Docteur Carrie Madej a dirigé deux cliniques médicales en Géorgie, aux États-Unis, et a étudié l’ADN et les vaccins au cours des vingt dernières années. Elle a réalisé une vidéo urgente dans laquelle elle prévient qu’il existe un plan pour injecter à l’humanité des vaccins très dangereux contre le Covid-19. L’objectif de ces nouveaux vaccins sera double :

1) reprogrammer notre ADN et faire de nous des hybrides plus faciles à contrôler.
2) nous connecter à l’intelligence artificielle grâce à une identification numérique de vaccin, ce qui ouvrira également un tout nouveau domaine de contrôle.

Cette experte médicale dit avoir observé à plusieurs reprises comment les maladies se propageaient sur les populations par avion. Pour des raisons de sécurité, elle n’est pas en mesure de partager plus de détails à ce sujet en public.

Regardez ce documentaire critique sur les dangers des vaccins à venir :

Dépeupler la terre au moyen d’épidémies organisées

John Coleman était un officier de renseignement de la CIA qui a écrit un livre intitulé « Le Comité des 300 ». Dans le livre, il explique comment les sociétés secrètes manipulent les gouvernements, les soins de santé, les industries alimentaires, les médias, etc. Ce livre peut être trouvé sur le site de la CIA.(([20] Télécharger le livre de l’officier de la CIA Coleman))

L’un des principaux objectifs des nombreuses sociétés secrètes qui contrôlent les gouvernements et les médias est de dépeupler la terre.

Le Dr Coleman dit ce qui suit au sujet de leur stratégie :

DR. JOHN COLEMAN,
CIA INTELLIGENCE OFFICER

Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000

En 1980, un monument en granit a été érigé en Géorgie, aux États-Unis, appelé les Guidestones. Un ensemble de 10 lignes directrices est inscrit sur la structure dans huit langues modernes, et un message plus court est inscrit au sommet de la structure dans quatre écritures de langues anciennes. La première ligne directrice est la suivante :

1. Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000 en équilibre perpétuel avec la nature.

L’officier de la CIA, le Dr Coleman, a révélé que l’une de leurs méthodes pour « maintenir l’humanité » consiste à provoquer « des épidémies organisées de maladies mortelles à action rapide ».

Utiliser des vaccins pour réduire l’humanité

Lors d’une conférence TED, Bill Gates a fait écho à cet objectif, lorsqu’il a littéralement déclaré que de nouveaux vaccins peuvent être utilisés pour réduire la population mondiale de 10 à 15 % !(([21] Gates parle de réduire la population mondiale en utilisant des vaccins))

Vaccin contre le Covid-19 pour le contrôle de la population ?

Mike Adams est un scientifique de l’alimentation publié, auteur du livre scientifique populaire Food Forensics et fondateur de CWC Labs accrédités iso. Il y a des années, il a dit ce qui suit :

Une arme biologique modifiée sera libérée dans les centres de population.

Il y aura des appels à un financement gouvernemental massif pour que l’industrie des vaccins propose un vaccin. Miraculeusement, ils auront un vaccin développé en un temps record. Tout le monde devra faire la queue et prendre ce vaccin.

Il y a en effet eu la publication d’une arme biologique artificielle, suivie d’un mandat de vaccination, d’un financement gouvernemental massif pour l’industrie des vaccins et d’un vaccin qui a été développé en un temps record.

Le reste de son message est que ce vaccin commencera lentement à tuer des millions – voire des milliards – de personnes au cours de quelques années. Il s’agira d’un vaccin tueur à gages, conçu pour réduire la population mondiale.

RÉSUMÉ : La PANDÉMIE ÉTAIT-ELLE PLANIFIÉE ?

Des milliers de médecins du monde entier qualifient la pandémie de crime mondial, de dictature mondiale avec une excuse sanitaire.

Dans les années qui ont précédé la COVID-19, le monde entier a soudainement commencé à distribuer des centaines de millions de kits de test PCR pour la COVID-19.

En 2013, un chercheur a prédit qu’une pandémie mondiale avec un coronavirus se produirait en 2020. Il le savait en raison d’une enquête personnelle sur les soi-disant « théories du complot ».

En 2017, Anthony Fauci a garanti une épidémie surprise d’une maladie infectieuse au cours du premier mandat de l’administration Trump.

Juste avant le début de la pandémie mondiale de coronavirus, Bill Gates a organisé un exercice mondial sur la pandémie de coronavirus : Event 201.Peu de temps avant l’épidémie, le Global Preparedness Monitoring Board a dit au monde d’être prêt pour une pandémie de coronavirus.

En 2018, l’Institute for Disease Modeling a prédit une pandémie mondiale avec un virus de la grippe, originaire de Chine dans la région de Wuhan.

En 2018, Bill et Melinda Gates ont annoncé que dans les années à venir, il y aurait une pandémie mondiale d’un virus artificiel.

Le coronavirus SARS-CoV-2 pourrait avoir été créé dans le laboratoire de biosécurité de niveau 4 à Wuhan, qui a reçu des millions de dollars d’Anthony Fauci.

Des films several ont dépeint la pandémie de coronavirus avec beaucoup de détails et ont même mentionné l’hydroxychloroquine comme remède.

Une bande dessinée produite par l’Union européenne dépeint un virus qui se propage dans le monde entier. La crise est résolue par la mise en œuvre d’une tyrannie médicale totalitaire.

Les Jeux olympiques d’été de 2012 ont présenté dans leur spectacle d’ouverture le scénario d’une pandémie d’un coronavirus.

Le journaliste d’investigation Harry Vox a prédit en 2014 qu’une pandémie mondiale serait créée afin que la « classe dirigeante » puisse mettre en œuvre un niveau plus élevé de contrôle autoritaire.

Le journaliste d’investigation Anthony Patch a prédit une pandémie mondiale avec un virus artificiel – qui serait utilisé pour forcer l’humanité à utiliser un vaccin altérant l’ADN.

Carrie Madej étudie l’ADN et les vaccins depuis des décennies, et ses recherches ont montré que le plan est d’utiliser le vaccin CONTRE LA COVID-19 pour lancer le processus de transhumanisme : reprogrammer l’ADN humain.

L’officier de la CIA, le Dr John Coleman, a étudié en profondeur les sociétés secrètes et déclare que leur objectif est de dépeupler la terre au moyen de pandémies organisées de maladies mortelles et à action rapide.

Dans l’État de Géorgie, aux États-Unis, un immense monument a été érigé en 1980 avec dix directives pour l’humanité en huit langues. Le premier de ces « Dix Commandements » est que l’humanité doit être réduite à un demi-milliard de personnes.

Bill Gates a déclaré lors d’une conférence TED que de nouveaux vaccins peuvent être utilisés pour réduire la population mondiale de 10 à 15%.

Mike Adams, le « Health Ranger », a prédit il y a des années ce que nous voyons se produire aujourd’hui : la sortie d’une arme biologique artificielle, suivie d’un mandat de vaccination, d’un financement gouvernemental massif pour l’industrie des vaccins et d’un vaccin qui a été développé en un temps record.

En 2010, la Fondation Rockefeller a publié le « Scénario pour l’avenir…» dans lequel ils décrivent une pandémie mondiale à venir qui vise à entraîner la mise en œuvre d’un contrôle autoritaire sur le peuple et qui devrait s’intensifier après la pandémie.

En 2020, la Fondation Rockefeller a publié un manuel sur la façon de créer ce monde de contrôle, avec un guide étape par étape. Ils affirment que la vie ne peut pas revenir à la normale tant que le monde n’est pas devenu « verrouillé » avec ce contrôle descendant de gouvernements autoritaires.

Nous constatons en effet que Bill Gates et beaucoup d’autres dans le monde prennent immédiatement le contrôle de manière sans précédent: en appliquant les identifiants de vaccins (micropuces à implanter dans les personnes), en imposant le port de masques faciaux, la distanciation sociale, les confinements forcés, la recherche extrême des contacts, etc.

L’élément de ce contrôle descendant est la censure et la déplateforme extrêmes de littéralement chaque voix de médecins, de scientifiques et d’autres experts qui osent remettre en question ou critiquer ce qui se passe.

Toutes les prédictions ont été faites peu de temps avant que cela ne se produise

Le temps est maintenant

Noter que chaque prédiction de cette pandémie a été annoncée quelques années ou même des mois avant qu’elle ne se produise. Le fait qu’un événement aussi unique en histoire ait été prédit en détail – par des films, des émissions, des enquêteurs, des médecins, ceux qui financent les laboratoires qui développent ces virus, ceux qui gagnent des milliards de dollars de ces pandémies, et ceux qui veulent créer un tout nouveau niveau de contrôle dans notre monde, etc. – révèle clairement que c’était planifié.

Y a-t-il des signes que la pandémie est manipulée ?

Jusqu’à présent, nous avons examiné les indications que la pandémie avait été planifiée à l’avanceSi c’est effectivement orchestré, alors cela devrait aussi être évident pendant la pandémie. Une pandémie planifiée est aussi une pandémie contrôlée. Observe-t-on effectivement que la pandémie est manipulée ? Absolument. D’autres articles sur StopWorldControl.com révèlent à quel point littéralement toutes les voix médicales, scientifiques, gouvernementales, éducatives et journalistiques qui diffèrent de la propagande médiatique sont censurées de manière agressive.

Jamais auparavant dans l’histoire de l’humanité il n’y a eu une telle censure mondiale des médecins et des scientifiques respectés du monde entier.

En outre, il y a un affichage sans précédent de la fraude mondiale avec les chiffres covid. Littéralement, chaque information sur la COVID-19 est fausse. Le personnel médical du monde entier a admis qu’il subissait de fortes pressions pour enregistrer chaque patient en tant que patient covid, et chaque décès – quelle qu’en soit la cause – en tant que décès covid.

Vous pouvez voir les preuves de cette affirmation scandaleuse dans cette révélation choquante de la plus grande fraude de l’histoire du monde.

Qui est derrière le plan pour contrôler le monde?

Nous avons parlé d’un groupe de personnes que l’on appelle les « mondialistes ». Alors, qui sont ces « mondialistes » de toute façon ? Ce sont des gens riches et influents dans le monde entier qui envisagent de créer un gouvernement mondial. Cela leur permettra de contrôler chaque être humain sur la planète. Leur stratégie est de dominer tous les domaines de nos sociétés: les soins de santé, les industries alimentaires, les médias, les gouvernements, la religion – tout.

La domination totale du monde a été un désir diabolique de nombreux dirigeants puissants tout au long de l’histoire du monde. Il suffit de penser aux empires mondiaux notoires de Rome, de la Grande-Bretagne, des Perses, des Russes, etc.

Cette passion perverse n’a jamais quitté les cœurs corrompus de l’humanité, mais les moyens d’atteindre cet objectif ont changé. Au lieu d’envahir les nations avec des chars et des bazookas, ils asservissent maintenant l’humanité en utilisant la force de la peur. Une fois qu’ils peuvent créer suffisamment de panique, ils peuvent présenter la « solution ». Cette solution, cependant, signifie supprimer nos libertés et nous soumettre à leur contrôle.

Les principaux acteurs du mondialisme sont les Nations Unies, le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé, l’Union européenne, le Fonds monétaire international, la Banque mondiale et en particulier les nombreuses banques privées qui contrôlent déjà le monde. Ces entités visibles ne sont cependant qu’une façade qui cache les véritables pouvoirs, qui sont les nombreuses « Sociétés Secrètes ». Beaucoup de ces mondialistes se sont récemment réunis dans une petite ville appelée Davos, en Suisse, où ils ont exprimé comment la pandémie sera utilisée pour déployer leurs plans. Voici quelques-unes des déclarations qu’ils ont faites(([22] DAVOS et le rassemblement des mondialistes)):

« C’est maintenant le moment historique dans le temps, non seulement pour combattre le virus, mais aussi pour FAÇONNER LE SYSTÈME.

La pandémie représente une fenêtre d’opportunité pour RÉINITIALISER NOTRE MONDE.

Le monde doit agir conjointement et rapidement pour RÉORGANISER TOUS LES ASPECTS de nos sociétés et de nos économies, de l’éducation aux contacts sociaux et aux conditions de travail.

CHAQUE PAYS, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être TRANSFORMÉE. »

Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial

Le Forum économique mondial a créé un graphique « rouet » avec tous ses objectifs. Ici, nous pouvons voir les trois « projets » suivants: COVID19, suivi de la gouvernance mondiale et de la gouvernance de l’Internet.

Personne ne veut de ces organisations

Aucun humain sur la terre n’a voté pour que ces organisations existent, sans parler de prendre le contrôle total de nos vies, de nos familles, de nos communautés, de nos emplois, de notre santé, de nos industries, etc. Pourtant, ils se présentent comme nos « leaders mondiaux » qui planifient tout notre avenir.

L’Organisation mondiale de la santé s’est positionnée comme l’autorité sur notre santé, sans qu’aucun d’entre nous ne les ait choisies.

Ils appliquent une tyrannie dans les médias grand public et les médias sociaux, où aucune expression d’expertise médicale ou scientifique n’est autorisée, à moins qu’elle ne soit conforme aux directives de cette organisation « mondiale ».

Des dizaines de milliers de médecins et de scientifiques ont été censurés dans le monde entier par Facebook, Youtube et Twitter. Pourquoi? Parce que ces géants des médias sociaux cherchent à dépeindre que SEULES les informations de l’Organisation mondiale de la santé sont vraies. C’est un exemple clair de la tyrannie mondiale des mondialistes. Ils installent leurs propres institutions « mondiales » – qui n’ont AUCUNE autorité sur l’un d’entre nous. Mais simplement parce qu’ils s’appellent eux-mêmes des leaders « mondiaux », ils assument l’autorité sur toute l’humanité.

Cela signifie la perte complète de la liberté médicale, la perte de la liberté d’expression, la perte de la vraie science, la perte du vrai journalisme et l’imposition de dictatures par des organisations pour lesquelles personne n’a voté, dirigées par des individus que personne n’a choisis ou voulus. Et pourtant, ils s’emparent simplement de la propriété de notre monde entier.

Ils sont le « gros, gros, méchant intimidateur sur le terrain de jeu » qui joue au patron sur tout le monde.

L’Organisation mondiale de la santé est dirigée par un terroriste

Le chef de l’Organisation mondiale de la santé était membre d’un parti communiste révolutionnaire violent en Éthiopie : le Front de libération du peuple du Tigré.(([23] Le chef de l’Organisation mondiale de la santé était membre d’un groupe terroriste violent)) Le département de la Sécurité intérieure indique clairement:

« Le TPLF se qualifie d’organisation terroriste de niveau III… sur la base de ses activités violentes… »

Laissez-vous comprendre : l’homme qui dirige l’Organisation mondiale de la santé est littéralement un terroriste communiste, qui a été impliqué dans l’imposition du communisme en Éthiopie. Ce même homme intimide maintenant le monde entier, nous dit à tous ce que nous pouvons et ne pouvons pas faire, censure tous les professionnels de la santé qui ont une opinion différente, exigeant l’obéissance aveugle de toute l’humanité, tout en imposant des mandats de vaccination au sponsor financier numéro un de l’OMS: Bill Gates.

Est-ce le monde dans lequel vous voulez vivre, à partir de maintenant?

De plus en plus de pandémies, jusqu’à ce que l’humanité se soumette

Les mondialistes theses menacent également l’humanité de plus de souffrances si nous ne nous soumettons pas à leur contrôle total. Le prince Charles a récemment rejoint les mondialistes et a déclaré publiquement:

Il y aura de plus en plus de pandémies, si nous ne faisons pas « la grande réinitialisation » maintenant.(([24] DAVOS et le rassemblement des mondialistes))

Bill Gates appelle déjà cela « pandémie un » et parle de « pandémie deux et trois ». L’enquêteur qui, en 2013, avait prédit qu’une pandémie de coronavirus se produirait en 2020, suivie d’émeutes, a déclaré que le plan était de créer une série de pandémies au cours de 2020-2030.

Cette décennie est la période choisie pour transformer le monde en une grande prison.

Les mondialistes prévoient de provoquer autant de pandémies que nécessaire afin de briser l’épine dorsale de l’humanité, jusqu’à ce que tout le monde se soumette à son contrôle mondial. L’obligation de vacciner est essentielle à leur plan, car les vaccins nous connecteront aux systèmes de contrôle mondiaux. Seuls les vaccinés pourront se déplacer librement.

Commencez-vous à comprendre pourquoi plus de 700 médecins d’Allemagne, 600 médecins d’Espagne, des milliers d’experts médicaux des États-Unis et bien d’autres dans le monde entier qualifient cette pandémie de crime « mondial »?

Des dirigeants de l’Église catholique mettent en garde l’humanité

L’archevêque d’An et plusieurs cardinaux de l’Église catholique romaine ont écrit une lettre à l’humanité, pour nous avertir de la tyrannie mondiale sous le couvert de COVID-19. Ceci est un extrait de ce message historique, qui a été traduit dans de nombreuses langues et envoyé aux dirigeants du monde entier.(([25] Lettre de l’archevêque et des cardinaux à l’humanité))

[Voir aussi :
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles]

Nous avons des raisons de croire, sur la base des données officielles sur l’incidence de l’épidémie en fonction du nombre de morts, qu’il existe des puissances intéressées à créer la panique parmi la population mondiale dans le seul but d’imposer en permanence des formes inacceptables de restriction des libertés, de contrôle des personnes et de suivi de leurs mouvements. L’imposition de ces mesures illibérales est un prélude inquiétant à la réalisation d’un gouvernement mondial hors de tout contrôle.

Y a-t-il de l’espoir? Que pouvons-nous faire?

Y a-t-il un espoir pour notre avenir, ou sommes-nous livrés aux mains impitoyables de ces méchants méga-milliardaires qui veulent dépeupler la terre et prendre le contrôle total de l’humanité ?

Oui, il y a de l’espoir. L’avenir est plus brillant que nous ne pouvons même l’imaginer !

Ce n’est pas un scénario pessimiste, mais un signal d’alarme pour que l’humanité cesse de croire aveuglément les médias mafieux et les politiciens pervers, et qu’elle se lève comme un seul homme pour un avenir de liberté. Je vous invite à vous joindre à un mouvement unique et historique de Combattants mondiaux de la liberté, qui conduiront l’humanité dans une nouvelle ère d’espoir, de restauration et de plus de liberté que nous n’en avons jamais connue.

Soutenez la lutte pour la liberté

Bonjour,

Je m’appelle David Sorensen. Je suis l’auteur de StopWorldControl.com. Je l’offre comme une ressource gratuite pour toute l’humanité, afin de protéger notre liberté et notre avenir.

Titulaire d’une maîtrise en communication, j’ai choisi de laisser derrière moi une vie de gros sous, de servir le monde avec mes capacités.

Des appels désespérés à l’aide du monde entier inondent ma boîte aux lettres. Les gens de Chine, de Slovaquie, du Moyen-Orient, d’Amérique du Sud, etc. voient comment leur vie leur est enlevée, et la tyrannie est imposée par des gouvernements corrompus, soutenus par des médias appartenant aux criminels trillionaires.

La clé pour briser leur emprise diabolique sur l’humanité est la VÉRITÉ. Par conséquent, je veux répondre aux appels à l’aide et traduire le site Web dans autant de langues que possible, afin d’informer toute l’humanité.

C’est une tâche monumentale qui nécessite des fonds. Si vous souhaitez m’aider à me battre pour la liberté du monde, alors s’il vous plaît envisager de faire un don généreux ici. S’il vous plaît, ouvrez votre cœur et soutenez cette plate-forme unique pour la voix de la liberté.

Ensemble, nous pouvons aider à protéger l’humanité des fous avides de pouvoir et à créer un monde de liberté et de bonheur.

Références




Le CDC admet que la « pandémie de Covid » était le produit d’un test inapproprié

[Source : RI]

[NDLR : pour rappel, l’article original datant de décembre 2021]

par Paul Craig Roberts.

Discrètement, sans l’attention des médias, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont retiré le processus PCR comme test valide pour la détection et l’identification du SRAS-CoV-2.

« Après le 31 décembre 2021, les CDC retireront la demande d’autorisation d’utilisation d’urgence auprès de la Food and Drug Administration (FDA) des CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel, le test introduit pour la première fois en février 2020 pour la détection du SRAS-CoV-2 uniquement ».

Les CDC admettent que le test PCR ne peut pas différencier le SRAS-CoV-2 des virus de la grippe.

J’ai signalé il y a plusieurs mois que les « autorités sanitaires » étaient parvenues à cette décision, mais qu’elles retardaient sa mise en œuvre jusqu’à la fin de 2021. Elles avaient besoin de ce faux test pour entretenir la peur afin d’obtenir le plus de vaccinations, et donc de profits, possible.

Il est extraordinaire que le retrait du test par le CDC n’ait reçu aucune attention de la part des médias ou des politiciens.

Le Dr Kary Mullis, lauréat du prix Nobel et inventeur du processus PCR, a déclaré il y a plusieurs années que « le PCR est un processus. Il ne vous dit pas que vous êtes malade ». Il n’a jamais été conçu pour être un test Covid.

Le Dr Pascal Sacre, le célèbre Belge spécialisé dans les soins intensifs, a déclaré que le processus RT-PCR a été détourné et appliqué comme une stratégie implacable et intentionnelle pour créer l’apparence d’une pandémie basée sur des résultats de tests bidons et non sur de véritables patients atteints du Covid afin de violer les droits humains et constitutionnels des citoyens.

Comme je l’ai toujours signalé, le test PCR a été délibérément effectué à des cycles élevés, connus pour produire des faux positifs. La plupart des prétendus « cas Covid » n’étaient rien d’autre que des fabrications intentionnelles. Les hôpitaux ont fait partie de l’escroquerie, car ils ont été incités par des récompenses financières à déclarer pratiquement tous les décès comme des décès dus au Covid. C’était facile à faire, car chaque personne mourante, quelle qu’en soit la cause, subissait un test PCR qui produit jusqu’à 97% de faux positifs et était ainsi déclarée « mort Covid ».

La question qui se pose au monde est de savoir si les « autorités sanitaires », qui ne sont en fait que les avocats des profits de Big Pharma, comme l’a prouvé Robert F. Kennedy Jr., les politiciens et les médias menteurs seront tenus responsables des blessures et des décès causés par le « vaccin » lui-même, des pertes et des fermetures d’entreprises causées par les confinements insensés, et des violations extraordinaires des lois de Nuremberg par la vaccination obligatoire.

Les peuples du monde doivent comprendre que la « pandémie de Covid » orchestrée est le plus horrible crime de masse jamais commis dans l’histoire de l’humanité. C’est « l’Occident libre » qui a organisé et perpétré ce crime horrible.

Les personnes qui ont fait confiance à Fauci, qui ont fait confiance à Biden, qui ont fait confiance à l’establishment médical et qui ont fait confiance aux médias ont vu leur vie ruinée.

La race humaine sera-t-elle trop stupide pour comprendre cette tromperie et les conséquences pour les droits de l’homme et la liberté humaine ? Continuera-t-elle à faire confiance aux autorités et aux médias qui l’ont trompée avec un récit contrôlé qui exigeait de réduire au silence et de punir tous les vrais experts ? Si tel est le cas, ils auront été effectivement réduits en esclavage.

Paul Craig Roberts

source : https://www.paulcraigroberts.org
traduction Réseau International




Robert Kennedy Jr : « résistez, résistez, car une fois qu’ils ont le pouvoir ils ne le rendent jamais ! »

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Avocat et fondateur de l’association Children’s Health Defense, Robert Kennedy Jr. explique sur notre plateau en quoi consistent son association et les combats qu’elle mène pour la protection des enfants. Il en profite pour dénoncer la corruption des agences de santé américaines et leurs compromissions avec l’industrie pharmaceutique, la complaisance de certains médias mainstream à leur égard ainsi que l’influence considérable de personnalités publiques telles que Bill Gates ou Anthony Fauci.



Traduction et doublage : Jeanne Traduction

 La version originale (en anglais) de l’entretien : « So the only thing is the only choice we have now is resist. » Robert Kennedy Jr

Son association a été à l’avant-garde de la défense de la santé des enfants depuis de nombreuses années. CHD est une organisation à but non lucratif (code 501 (c) aux Etats Unis) avec une section européenne.

Sa mission consiste à mettre fin aux épidémies infantiles en travaillant d’arrache-pied pour éliminer les expositions nocives, traduire les responsables en justice et établir des mesures de protections pour prévenir les dommages futurs.

Sur le site de l’association, on peut lire : « il y a trop d’enfants malades », « les coupables sont connus » avec une photo de cheminées d’industries, « des discours factices ».  En réponse à cela, l’association travaille sur le projet de sécurité des vaccins afin de restaurer la santé des enfants et propose une base de données de recherche.

Robert Kennedy Jr. est également l’auteur d’un best-seller : « Anthony Fauci, Bill Gates et Big Pharma – la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique ». Ce livre a été traduit en français, allemand et bientôt italien et espagnol. Dans sa version française, le professeur Perronne l’a préfacé expliquant que ce livre servirait probablement de base pour de nombreuses actions judiciaires.

Lire aussi : « On ne peut plus accepter ces mensonges d’État » Christian Perronne

Le livre a été vendu à plus d’un million d’exemplaires aux États-Unis.

Robert Kennedy Jr. répond sans concession et en toute transparence à nos questions sur l’origine de CHD, comment sa vision a évolué avec la crise sanitaire Covid-19. Il met en perspective le rôle de l’industrie pharmaceutique et la capture des autorités et régulateurs.  Son constat est cinglant envers Anthony Fauci, qui a la mainmise sur le système de santé aux États-Unis (National Institutes of Health et la Food Drug Administration) ainsi que Bill Gates, qui finance une grande partie de l’industrie pharmaceutique.

Il dresse aussi un constat cinglant sur les médias et l’absence de liberté d’expression qui y règne actuellement. Ainsi, il voit dans le rachat de Twitter par Elon Musk un signe d’espoir, tout en demandant à voir si les promesses formulées par le créateur de Tesla pour plus de liberté sur Twitter seront finalement tenues.

Enfin il délivre un message sans équivoque aux Français : « Quand les hommes ont pris le pouvoir, ils ne veulent jamais le lâcher. Il vous faut donc résister, résister et résister ! »

Lire aussi : Robert F. Kennedy : « à Berlin, c’était des gens qui veulent continuer de jouir des libertés »




Olivier Véran, marionnette de McKinsey ?

[Source : lepointcritique.fr]

Olivier Véran s’est toujours défendu d’avoir menti aux Français pendant la pandémie, allant jusqu’à qualifier la diffusion de fakenews de crime de « haute trahison ». Il n’aura pourtant reculé devant aucun mensonge pour forcer les Français à se faire vacciner. Le conflit d’intérêts soulevé par le scandale McKinsey est-il le chaînon manquant permettant enfin d’expliquer pourquoi il a choisi d’hypothéquer leur santé en leur dissimulant des informations cruciales ?

Six mensonges d'Olivier Véran, marionnette de McKinsey ?
© Anita Jankovic

Combien de Français se seraient fait vacciner s’ils avaient su que le vaccin est toujours en phase de test et qu’ils contribuent en se vaccinant à déterminer si les injections sont sûres, comme le précise sur son propre site l’ANSM ? Combien savent que la Commission européenne a rappelé, le 13 janvier 2022, que l’actuelle vaccination contre le COVID est un essai clinique est qu’elle ne peut à ce titre être imposée à aucun citoyen, dont le consentement éclairé est une condition sine qua non ?

Peu sans doute, et c’est bien pour cela que l’obligation vaccinale n’a fait l’objet d’aucune loi. Convaincre plutôt que contraindre, mais à quel prix ? L’objectif de cet article n’est pas de faire l’inventaire des mensonges commis pendant deux ans par Olivier Véran mais de l’interpeller sur six d’entre eux, constitutifs d’une extorsion de consentement dont les conséquences sont potentiellement gravissimes pour le ministre mais aussi et surtout pour les Français.

Au-delà de cet inventaire, il nous paraît urgent, à l’heure de reconduire, ou pas, Emmanuel Macron à la tête de l’État, d’appeler un chat un chat et de demander au ministre s’il a bénéficier de contreparties pour accepter de prendre un tel risque.

Mensonge no 1 : Le vaccin n’est plus en phase de test

« Je vais me permettre peut-être d’éclaircir les choses. Lorsqu’un vaccin a été autorisé, ce qui a été le cas pour les vaccins que nous avons autorisés en France, il y a ensuite une phase d’examen en population générale qui va durer plusieurs années pour voir, et c’est pareil avec tous les médicaments et les produits de santé, ça s’appelle pas un médicament qui est en test, ça s’appelle si vous voulez un médicament qui est en phase de post-test. Un médicament qui est totalement validé ou un médicament qui est validé. […] On le sera pendant des années et ça n’a jamais posé de problème aux Français qui souffrent de maladies chroniques, lorsqu’un médicament innovant arrive et qu’il est validé, c’est-à-dire qu’on sait qu’il est sûr et efficace, derrière on va regarder en population générale. »

Olivier Véran, On est en direct, 26 mars 2022

Non, et le ministre le sait parfaitement, le vaccin ne bénéficie à ce jour que d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle, ce qui signifie concrètement que :

« L’acheteur reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont actuellement pas connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont actuellement pas connus. » (Contrat albanais Pfizer, p. 19)

Source : PfizerLeak  les contrats Pfizer et leurs clauses surprenantes

  • Les PDG de Pfizer et Moderna ne se sont jamais cachés de ne pas être en mesure d’apporter les garanties minimales de sécurité attendues d’un vaccin, ils l’ont chacun reconnu publiquement :

« Si vous vouliez avoir des données scientifiques parfaites de 10 ans de recul et de sécurité, il faut attendre 10 ans, il n’y a pas de miracle. C’est une question de balance bénéfice-risque. C’est bien sûr une question personnelle. »

Stéphane Bancel, 10 décembre 2021

  • Le vaccin n’a jamais été évalué pour les utilisations suivantes [1, page 124-126] :
    Utilisation durant la grossesse et l’allaitement
    Utilisation chez les personnes immunodéprimées
    Utilisation chez les personnes fragiles avec comorbidités, dont : bronchite pulmonaire obstructive chronique (BPCO), diabète, maladie neurologique chronique, troubles cardio-vasculaires
    Utilisation chez les patients atteints de troubles auto-immuns ou inflammatoires
    Interaction avec d’autres vaccins
    Données de cancérogénicité et de génotoxicité » (p. 56)
  • On sait aujourd’hui que la mise sur le marché des vaccins est entachée d’une série de fraudes ou de manquements déontologiques gravissimes. La COVID Canadian Covid Care Alliance a publié plusieurs documents, dont une vidéo, une lanceuse d’alerte de l’entreprise Ventavia ayant coordonné l’essai clinique pour Pfizer attaque aujourd’hui le laboratoire. Son avocat expliquait le 23 février dernier :

« Les essais cliniques de Pfizer sont truffés de fraude et d’abus du processus scientifique au point qu’il ne reste plus aucune crédibilité. »

Mensonge no 2 : Les myocardites postvaccinales sont rares et d’évolution toujours favorable

« Aux États-Unis, ils ont fait 7 millions d’injections chez les 5-11 ans. Sur 7 millions d’injections, 14 effets indésirables à titre de myocardite réversible, c’est-à-dire qu’il y a plus de risques, et même beaucoup plus de risques statistiques de faire une forme grave de COVID quand on a entre 5 et 11 ans même quand on n’a pas de comorbidités que d’avoir un effet indésirable grave et réversible lié aux vaccins. »

Olivier Véran, BFM, 22 décembre 2021

Le Pr P. McCullough, cofondateur et actuel président de la Cardiorenal Society of America, alertait au contraire à nouveau, le 26 janvier 2022, sur le risque de myocardite et de péricardite induites par les vaccins ARN messager, évoquant plus de 200 études confirmant la réalité d’un tel risque qui concernerait l’ensemble des enfants et des adultes de moins de 50 ans.

Il explique dans une autre intervention le rôle joué par les nanoparticules lipidiques :

« Les myocardites dues au covid sont légères. Par contre, la myocardite induite par le vaccin est un gros problème. Il y a des changements spectaculaires dans l’ECG. Les troponines sont de 10 fois à 100 fois plus élevées qu’avec l’infection naturelle. »

Selon une étude du réseau de soins américain Kaiser Permanente, publiée en preprint le 27 décembre 2021 [2], ce risque tous vaccins ARNm confondus (Pfizer et Moderna) serait de :

  • 1/2 700 pour les garçons de 12-17 ans.
  • 1/1 860 pour les hommes de 18-24 ans.

Ces incidences sont cohérentes avec celles retrouvées dans de nombreuses études [3-7], mais aussi et surtout avec la cardiotoxicité de la protéine Spike que le ministre de la Santé ne peut pas ignorer [8-13].

Peut-on supposer que les myocardites postvaccinales sont réversibles et sans gravité ?

  • Une étude parue en 2016 [14] décrit la myocardite comme « une maladie potentiellement mortelle associée à une morbidité élevée chez certains patients pédiatriques, en raison de sa capacité à se présenter comme une maladie aiguë et fulminante et à évoluer vers une cardiomyopathie dilatée ». Pourquoi supposer qu’il en serait autrement aujourd’hui ?
  • Les pathologistes allemands et américains disent avoir observé la présence de cicatrices précoces lors de l’autopsie de plusieurs adolescents vaccinés et alertent sur le fait que, dans la mesure où les cellules du cœur ne se renouvellent quasiment pas, les dommages induits par les myocardites postvaccinales sont irréversibles [15-18].
  • Ce risque est aujourd’hui confirmé par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) américains [19] et par la Food and Drug Administration (FDA), qui reconnaît dans son rapport d’évaluation du booster Pfizer « des risques graves de myocardite et de péricardite », et n’exclut pas des séquelles potentielles à long terme.
  • La FDA a conditionné l’homologation du vaccin pédiatrique Pfizer à la réalisation d’une série d’essais pour évaluer la fréquence de cet effet secondaire, sa gravité, son mécanisme d’apparition et ses éventuelles séquelles. Six essais ont été exigés par le régulateur américain dont l’issue n’est pas connue à ce jour.
  • Enfin, dans un document daté du 26 octobre 2021, Pfizer reconnaît qu’il a besoin d’un délai de cinq ans pour déterminer si les myocardites vaccinales induiront ou non des séquelles. Dans un autre document (formulaire de consentement, p. 20), il estime que leur incidence se situe entre 1/1 000 et 1/10 000 cas.

Pour comprendre la gravité de ce phénomène, c’est la première fois dans l’histoire que les médecins sont confrontés à des infarctus chez les enfants, comme le relate ici une infirmière américaine lors de la table ronde COVID-19: A Second Opinion organisée fin janvier par le sénateur Ron Johnson :

« J’ai transporté à l’hôpital un enfant de 10 ans avec une crise cardiaque. Le médecin m’a dit : ce n’est pas possible, les enfants de 10 ans ne font pas de crise cardiaque ! Je lui ai répondu : il a été vacciné hier, c’est parfaitement possible ! »

(Nicole Sirotec, 26 janvier 2022)

Comment comprendre dans ces conditions le silence du corps médical français face à une telle situation et l’actuel acharnement à vouloir les vacciner dès l’âge de 5 ans alors qu’ils ne sont pour la majorité d’entre eux pas concernés par le COVID ?

On rappellera que ce n’est pas parce qu’une autorisation est délivrée afin de permettre l’administration du médicament, il doit nécessairement être imposé à l’ensemble d’une population :

  • au Japon, la revue MedCheck alerte sur « le risque de décès de causes cardio-vasculaires, en particulier AVC hémorragique et TV/PE » auquel la vaccination COVID-19 serait étroitement associée. Les éditeurs évoquent un risque de mortalité lié à la vaccination 5 fois plus élevé que celui lié au COVID-19 chez les personnes âgées de 20 à 29 ans ;
  • les autorités de santé britanniques ne recommandent pas le vaccin chez les adolescents en raison d’une balance bénéfice-risque qu’ils estiment défavorable [20] ;
  • la Floride recommande aujourd’hui de ne pas vacciner les enfants en bonne santé. C’est le premier État à le faire ;
  • après l’arrêt de la vaccination Moderna chez les jeunes adultes dans plusieurs pays d’Europe, le Vietnam et Taïwan ont suspendu la vaccination des adolescents et des enfants suite à des décès et des effets secondaires graves (TrialSite News). Le Brésil déclare l’envisager à son tour selon l’agence Reuters.

Combien de médecins se souviennent aujourd’hui que le premier principe qui leur a été inculqué lorsqu’ils débuté les études est « d’abord de ne pas nuire » (primum non nocere), qu’une balance bénéfice-risque s’évalue toujours individuellement et que le critère pour stopper un essai clinique n’est pas qu’il tue moins la maladie qu’il prétend combattre (est-ce seulement encore le cas depuis que l’on sait que l’immense majorité des personnes estampillées décédées du COVID sont simplement mortes avec le COVID ?), mais simplement qu’il tue ? Pour rappel, le Pr P. McCullough rappelait en juillet 2021 :

« Pour le vaccin de la grippe porcine 1976, ils l’ont arrêté après 25 décès. La limite pour arrêter un programme est de 25 à 50 morts. »

Mensonge no 3 : La balance bénéfice-risque de la vaccination serait systématiquement en faveur des vaccins, notamment chez les enfants

« Il y a plus de risque statistique de faire une forme grave de COVID-19 quand on a entre 5 et 11 ans, même quand on n’a pas de comorbidité que d’avoir un effet indésirable grave et réversible lié au vaccin. »

Olivier Véran, BFM, 22 décembre 2021

Combien de parents ont fait vacciner leur enfant sur la base des déclarations du ministre de la Santé ? Nous avons détaillé cette balance dans un précédent article.
Parlons-nous la même langue que le ministre ?

Plus récemment, la chercheuse Stefanie Seneff (MIT) a cherché à calculer pour chaque tranche d’âge non pas la balance bénéfice-risque de la vaccination mais la balance coût-risque des injections, c’est-à-dire le risque de mourir de l’inoculation versus celui de mourir du COVID et le bénéfice de la vaccination pour réduire le risque de décéder du COVID.

Ses calculs aboutissent aux ratios suivants, sans appel pour les enfants et les adultes, y compris ceux de plus de 75 ans, le bénéfice (0,13 %) n’étant perceptible qu’au-delà de 80 ans et le risque de décès étant augmenté par la vaccination pour toutes les tranches d’âge [28] :

  • Âge < 18 ans : les personnes de cette tranche d’âge ont un risque augmenté de mourir du COVID si elles sont vaccinées et elles sont 51 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir du COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 18 à 29 ans : les personnes sont 16 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont 8 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que du COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 30 à 39 ans : les personnes sont 15 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont 7 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir de la COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 40 à 49 ans : les personnes sont 9 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont 5 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir de la COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 50 à 59 ans : les personnes sont 2 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont légèrement plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir de la COVID si elles ne sont pas vaccinées.

Ses calculs sont par ailleurs cohérents avec plusieurs études majeures publiées récemment (PantazatosMeyerCrawfordOhanaKuhbandner) [29-33].

Le Pr Peyromaure dénonçait il y a quelques mois une hérésie (Europe 1). Le Pr Claverie et le Pr La Scola mettent en garde contre l’absence de recul concernant les risques vaccinaux, notamment d’apparition de pathologies cancéreuses ou dégénératives à moyen et long terme, l’étude clinique sur laquelle a été évaluée le vaccin ne comportant que 1 000 enfants.

L’article de Kostoff et al. de décembre 2021 Pourquoi vaccinons-nous les enfants contre le COVID-19 ? recense l’ensemble des arguments qui plaident contre l’utilité des injections au sein de cette tranche d’âge, au regard notamment des risques qu’elles engendrent [34]. Comment un ministre peut-il encore les recommander 4 mois plus tard après la publication de cette étude ?

Mensonge no 4 : Le vaccin est sûr pour les femmes enceintes

Conférence de presse d’Olivier Véran concernant la situation sanitaire et la vaccination, 26 août 2021

« Dire qu’on manquerait de recul sur les vaccins est erroné. Nous avons une expertise des vaccins plus importante que sur nombre de médicaments d’usage courant. […] Et je redis ici, les femmes enceintes doivent se faire vacciner pour se protéger et protéger leur bébé. »

Olivier Véran, 26 août 2021

Est-ce vraiment ce que dit la science ?

  • Les femmes enceintes et allaitantes ont été exclues de l’essai clinique, le vaccin n’a donc jamais été testé sur elles en amont de la campagne de vaccination. Les études viennent tout juste de commencer : les résultats ne seront pas connus avant août 2022 (Pfizer), 2024 (Moderna) et fin 2025 pour l’étude C-VIPER.
  • Olivier Véran a pourtant expliqué, le 26 août 2021, qu’aucune agence sanitaire ne peut autoriser l’inoculation d’un produit en l’absence de données cliniques. Or il n’y en a pour l’instant aucune.
  • Le risque d’effets nocifs sur l’embryon ou le fœtus est clairement mentionné dans le Plan de gestion des risques du vaccin Comirnaty® Pfizer [35, p. 110] qui mentionne l’existence de cinq essais en cours visant à évaluer ses risques (le premier se terminera le 30 avril 2023) [35, p. 133, 146, 155].
  • Une étude parue en novembre 2021 met à son tour en garde contre l’impact potentiel de la vaccination maternelle contre la COVID-19 sur le développement fœtal et néonatal [36] : « N’avons actuellement aucune donnée pour évaluer les résultats de la vaccination maternelle contre le COVID-19 sur la santé de la progéniture, et cela peut prendre des années à générer. »
  • Le Plan de management des risques du vaccin Pfizer est d’ailleurs formel :

« L’administration du vaccin ARNm COVID-19 pendant la grossesse ne doit être envisagée que lorsque les avantages potentiels l’emportent sur les risques potentiels pour la mère et le fœtus. » [35, p. 86]

Sur quelles bases s’est faite et continue à se faire la vaccination des femmes enceintes ? L’enthousiasme planétaire des agences de santé et leur confiance instinctive dans le vaccin sont-il une raison suffisante à leur imposer le vaccin ?

  • Les auteurs d’une étude parue en septembre 2021, bien après l’élargissement de la vaccination à l’ensemble des femmes enceintes, dénoncent des recommandations « à la fois mitigées et contradictoires » et « la nécessité d’identifier, de rassembler et de diffuser rapidement les données disponibles sur l’innocuité des vaccins » [37].
  • L’ANSM indique qu’aucun signal de sécurité n’existe à ce jour mais identifie à ce jour 6 événements indésirables à surveiller : événements thromboemboliques, contractions utérines douloureuses, morts in utero, HELLP syndrome, métrorragies, mastites [38, p. 9]. Les parturientes en sont-elles informées ?
  • Bien que l’Agence affirme que les données de pharmacovigilance française n’ont pas « montré de conséquences des vaccins à ARN messager sur le déroulement de la grossesse », elle réalise pourtant en parallèle une étude (Covacpreg) visant à suivre le déroulement des grossesses des femmes vaccinées.
  • Au 4 mars 2022, elle recensait 588 événements indésirables tous vaccins confondus [39], dont 70 % d’événements indésirables graves (+ 25 % en deux mois), alors que ce taux est seulement de 24 % en population générale. À aucun endroit ne sont précisés ni le nombre de doses administrées ni donc l’incidence de ces événements.
  • À titre d’information, trois médecins du Pentagone ont récemment alerté sur une explosion des effets au sein de l’Armée américaine depuis le déploiement des vaccins, la gravité de ces accusations ayant provoqué le lancement d’un essai clinique visant à les confirmer :
  • Fausses couches : + 279 % (x 3,79) ;
  • Malformations congénitales : + 155 % (x 2,55) ;
  • Infertilité féminine : + 471 % (x 5,71) ;
  • Dysfonctionnement ovarien : + 437 % (x 5,37).

Mensonge no 5 : Le vaccin n’a aucun impact sur la fécondité

« Non, les vaccins à ARN messager ne perturbent en aucun cas la fertilité des femmes. C’est aussi quelque chose qu’on entend souvent. Il n’y a aucun lien qui n’existe, ni en théorie ni dans la pratique, et ce après des mois de recul et des milliards de femmes vaccinées. »

Olivier Véran, Conférence de presse, 26 août 2021

Non, il est impossible de l’affirmer et là encore, Olivier Véran ne peut l’ignorer puisque les études concernant les troubles menstruels n’ont commencé que fin juillet. Il le peut d’autant moins au regard des alertes émises par la communauté scientifique :

  • Des milliers de femmes dans le monde ont signalé l’apparition des troubles menstruels depuis le début de la campagne de vaccination : fausses couches, absence temporaire ou disparition des règles, entraînant un diagnostic de ménopause précoce. Ménopause ou stérilité ?
    D’autres évoquent des saignements ininterrompus pendant plusieurs semaines, avec pour possible conséquence la destruction prématurée de leur stock d’ovocytes. Le Collectif Où est mon cycle ? relate le cas d’une jeune femme ayant déclaré une endométriose peu de temps après sa vaccination, qui s’est résolue par l’ablation de son utérus.
    L’association Vérity (France), le collectif Real Not Rare (États-Unis) ou le Testimonies Project (Israël) diffusent quotidiennement de nouveaux témoignages de possibles effets secondaires des vaccins dont un grand nombre concerne des problèmes gynécologiques.

La parole se libère, les témoignages sont aujourd’hui légion (le collectif Où est mon cycle ? était reçu ces derniers jours au Parlement européen et par les sénateurs français) mais la question suivante se pose : ces drames étaient-ils évitables ?

La stérilité masculine est un autre point d’inquiétude :

  • Deux études parues l’une en octobre 2020 [45], l’autre en novembre 2020[46] ont montré que la protéine Spike se lie aux cellules ovocytaires, placentaires, mais également testiculaires, comme le montrait l’étude de biodistribution conduite par Pfizer [AMM p. 54].
  • De nouvelles données ont confirmé ce risque en 2021 : une étude publiée le 20 décembre 2021 [48] montre un remaniement des ovaires par la protéine Spike chez le Poisson-zèbre ; une autre, datée du 11 mai 2021 [49] identifie l’implication de la protéine Spike sur le système de reproduction masculin et la fertilitévia notamment la formation d’anticorps contre une hormone (la kisspeptine).

Peut-on raisonnablement dire qu’aucun lien n’existe ni en théorie ni dans la pratique et se satisfaire des propos rassurants du ministre évoquant les milliards de femmes injectées quand on sait que :

Mensonge no 6 : Le vaccin ne modifie pas le génome

« Non le vaccin ARN messager ne modifie pas le génome. D’ailleurs il ne peut même pas rentrer dans le noyau des cellules. Les noyaux sont des sortes de citadelles imprenables. L’ARN il est détruit en quelques heures, de jours, le temps de faire produire hors du noyau par nos cellules des anticorps contre le virus. »

Olivier Véran, Conférence de presse, 26 août 2021

Aucune étude de génotoxicité n’a été réalisée par les laboratoires [1, p. 50], mais plusieurs scientifiques ont alerté en amont de la campagne de vaccination sur l’existence d’un possible risque de modification du génome par les vaccins ARNm [52, 53].

Les récentes découvertes scientifiques leur donnent aujourd’hui raison :

  • Ce risque a été confirmé in vitro dès mai 2021 par l’Académie des sciences [54].
  • Une étude publiée en juin 2021 a montré que les cellules de mammifères possèdent une transcriptase inverse native (la polymérase thêta, Polθ) permettront donc de réinscrire des segments d’ARN peuvent dans notre ADN [55, 56].
  • Un article daté du 25 février 2022 mettant en évidence une transformation de l’ARN du vaccin Pfizer en ADN dans des cultures de cellules hépatiques clôt à cette polémique [57].

Combien auraient accepté de « se faire injecter dans le corps un produit de thérapie ou cellulaire », qui est la catégorie dans laquelle la FDA et l’Agence européenne des médicaments classent les vaccins à ARN messager (pages 7 et 23 du formulaire de déclaration d’inscription en bourse de BioNTech) ? Selon Stefan Oelrich, le PDG de Bayer, qui s’interrogeait à voix haute lors du World Helath Summit 2021, ils auraient été… 0,5 %.

Ceci explique-t-il cela ?

De l’obligation vaccinale à l’extorsion de consentement

Nous n’avons relevé ici que les affirmations du ministre de la Santé qui sont factuellement mensongères. D’autres sont éminemment problématiques (le vaccin ne donne pas le cancer, le sida, la maladie de Creutzfelds-Jakob…), car elles ne reposent sur aucun fondement scientifique et sont donc de nature à biaiser le consentement des Français :

Nous avons dénoncé il y a plusieurs semaines le mensonge du ministre de la Santé devant la représentation nationale visant à exclure a priori le rôle du vaccin dans les décès recensés par l’ANSM, dont il est par ailleurs légitime de penser qu’ils sont largement sous-estimés par rapport à nos voisins européens :

  • pas de cause de décès retrouvée dans 44 % des cas étudiés ;
  • aucune ne recherche des causes du décès pour les personnes de plus de 50 ans, la conduisant à exclure de ses investigations 75 % des cas ;
  • pas d’objectif d’exhaustivité dans le recensement des cas (site de l’ANSM).

Son silence interroge et inquiète d’autant plus aujourd’hui puisque le Gouvernement refuse toujours catégoriquement de supprimer le passe vaccinal et de réintégrer les soignants alors que plus rien ne le justifie (déclarations d’Olivier Véran et d’Emmanuel Macron).

Risques vaccinaux réévalués

Études, données de pharmacovigilance, autopsies… les alertes concernant les risques vaccinaux ne cessent de se multiplier. Jamais un vaccin n’aura été associé à un volume aussi élevé d’effets secondaires, dont on considère habituellement (rapport Lazarus) [62]), comme l’a d’ailleurs confirmé récemment Martin Blachier, qu’ils ne sont déclarés qu’à hauteur de 1 % (selon d’autres études, le facteur de sous-déclaration serait de 20 [29] ou de 41 [63, 64]) :

  • L’OMS dénombre à ce jour (5 avril 2022) 3 541 451 effets secondaires observés dans le monde (source : http://www.vigiaccess.org/), dont 40 % se manifestent chez les 18-44 ans.
  • À titre de comparaison, elle dénombre 272 202 effets secondaires pour le vaccin contre la grippe, 15 085 pour le vaccin contre le tétanos, 711 pour le vaccin contre les oreillons survenus depuis 1968, c’est-à-dire survenus en plus de 30 ans versus 1 an. Ces événements indésirables représentent donc 13 fois le nombre d’effets secondaires recensés en plus de 50 ans après une vaccination contre la grippe.
  • Aux États-Unis, le VAERS recense 1 205 753 effets secondaires post vaccination COVID, dont 26 396 décès pour un total de 2 074 104 d’effets secondaires et 35 763 décès post-vaccinaux, ce qui représente 74 % des décès post-vaccinaux et 58 % des effets indésirables recensés en 31 ans, tous vaccins confondus sur le territoire américain.
  • En Europe, la base EudraVigilance (base officielle de l’EMA) recense début avril plus de 42 000 décès post vaccination COVID, tous vaccins confondus, le chiffre symbolique des 1 000 000 effets secondaires a été dépassé fin septembre, il s’élève aujourd’hui à 1  746 550.
  • En France, l’ANSM recensait en décembre 2021 [38] : 121 486 événements indésirables (soit 271 % des 45 000 cas/an moyens tous médicaments confondus), dont 29 157 événements indésirables graves, 1 512 décès (dont 1 167 pour le vaccin Pfizer), auxquels s’ajoutent : 8 454 hospitalisations ;
    680 invalidités ;
    1 300 mises en jeu du pronostic vital.
    Elle recense 152 308 événements indésirables au 04 avril 2022, soit 25 % de plus en 3 mois .

Le lien avec le vaccin est-il avéré ? Impossible de l’affirmer, mais la comparaison au sein de chaque base avec les années précédentes et les autres vaccins est édifiante. Pourquoi se cantonner aux seules données françaises, dont la présentation est particulièrement opaque alors que la promotion des vaccins s’est faite sur la base des données mondiales ? L’explication est peut-être à trouver ici :

D’autres signaux sont éminemment préoccupants, notamment :

  • La multiplication des études portant sur des séries de cas cliniques et/ou des mécanismes physiopathologiques pouvant expliquer l’incidence de ces effets secondaires : plus de 1 000 selon une revue de la littérature (non exhaustive) actualisée au 10 janvier 2022. À titre d’exemple, une étude parue le 3 avril 2022 dénonce, encore une fois, une toxicité cardiaque des vaccins COVID-19 « sans précédent » selon les auteurs [65].
  • Les premières autopsies de personnes vaccinées réalisées en Allemagne [16, 17, 66, 67] et aux États-Unis [18] : les pathologistes alertent depuis plus de six mois sur leurs découvertes (lésions inédites, incidence hors norme de décès de personnes jeunes, notamment mineures).
  • La réévaluation du nombre d’effets indésirables déclarés dans en pharmacovigilance sur la base d’une série d’études [28-33, 63, 64] et, de manière plus inquiétante, sur les données des assureurs allemands : 10 fois plus d’effets secondaires selon l’assureur allemand BKK ProVita. L’un des plus éminemment pathologistes au monde, le Dr Peter Schirmacher, qui a réalisé les toutes premières autopsies de personnes vaccinées alertait à nouveau le 23 mars 2022 30 % des décès suspects imputables au vaccin dans sa pratique, de nombreux cas probablement non signalés et l’inefficacité de la vaccination obligatoire en population générale.
  • L’identification régulière de nouveaux signaux potentiels de sécurité : aphasie postvaccinale (52 en 2019 vs 3 057 rattachés au COVID), pemphigoide bulleuse auto-immune, déjà évoquée comme possible effet secondaire en octobre 2021 (série de cas, dont un mortel), troubles auditifs (l’OMS se décide à enquêter), ces signaux viennent compléter une liste hors norme de pathologies postvaccinales (plus de 1 200 types d’effets secondaires surveillés par Pfizer, recrutement de 1 800 employés supplémentaires pour analyser les signalements d’effets secondaires) [68, p. 6, 30-38].
  • La publication des premières études visant à comparer les effets secondaires des vaccins contre le COVID et du vaccin contre la grippe [69]. Le résultat est sans appel :

« La dyspnée, l’arrêt respiratoire, l’embolie pulmonaire, l’infarctus du myocarde, la thrombose, les hémorragies cérébrales et la pneumonie étaient les effets indésirables les plus fréquemment mentionnés dans les rapports de décès. […] Il existe un important excès de risque de décès, d’hospitalisation et de rapports mettant en jeu le pronostic vital pour tous les vaccins COVID-19 par rapport aux vaccins antigrippaux. »

Que se passe-t-il avec le vaccin Pfizer, alors même que la FDA, dont le directeur général a récemment divulgué comment les laboratoires négociaient l’homologation de leurs produits (ce que confirme la lettre d’accompagnement du virement adressé par Pfizer à l’attention de la scientifique principale de la FDA, le Dr Marion Gruber, qui a démissionné de son poste en novembre 2021 après avoir approuvé le vaccin Pfizer et dont l’époux est le vice-président de la recherche et développement clinique des vaccins), a dû être contrainte par la justice de divulguer les données cliniques de la vaccination Pfizer (en cours de publication).

https://twitter.com/Anaiss_tea/status/1494059501070479360

Les études montrent par ailleurs aujourd’hui que :

  • les effets secondaires sont majorés en cas de vaccination d’une personne ayant été précédemment infectéeOn le sait depuis septembre 2021 : comment comprendre le slogan « Une injection = une infection », considéré comme aberrant par un grand nombre de scientifiques ? [70]
  • les injections répétées induisent une fatigue du système immunitaire et/ou une auto-immunité systémique [71-74]. On le sait en réalité depuis une étude de 2009 selon laquelle : « Une immunisation répétée avec un antigène provoque une auto-immunité systémique chez des souris autrement non sujettes à des maladies auto-immunes spontanées. » [74] Sur quels fondements scientifiques reposent les boosters, actuellement contestés par l’EMA et l’OMS ?
  • le PDG de Moderna l’a d’ailleurs confirmé en 2016 en mettant en cause l’exposition répétée aux nanoparticules lipidiques :

« Ces nanoparticules peuvent entraîner des effets secondaires dangereux, surtout si un patient doit prendre des doses répétées pendant des mois ou des années. »

  • le mécanisme vaccinal auquel se réfère le ministre de la Santé a été démenti il y a plusieurs mois : la protéine Spike est non seulement toxique [75-84] mais elle atteint l’ensemble des organes [85-93] (c’est écrit noir sur blanc dans les AMM de Pfizer et de Moderna [93, p. 47]) où elle persiste pendant au moins 60 jours [94, 95] sans qu’on sache si le corps l’éliminera un jour ni pendant combien de temps l’ARNm de synthèse injecté continue d’en produire [96].

Cet échange entre deux médecins concernant l’explosion des décès dans l’Armée américaine devrait logiquement glacer le sang de tout ministre de la Santé :

« Il y a une augmentation de 4 133 % des notifications de décès de militaires dans VAERS (pharmacovigilance vaccinale) entre 2020 et 2021 ! […] Le Dr Theresa Long (lanceuse d’alerte) m’a dit que l’an dernier 88 soldats de Fort Bragg avaient été retrouvés morts dans leur lit ! »

Bénéfices individuels et collectifs imaginaires

Le miracle vaccinal s’est définitivement dissipé il y a plus de six mois :

  • les personnes vaccinées et non vaccinées transmettent le virus de la même manière [97-104] ;
  • une étude d’envergure a démontré en septembre 2021 que le nombre de contaminations n’est pas corrélé au niveau de la couverture vaccinale [105], les pays vaccinés étant au contraire ceux où le virus circule le plus (OMS).
  • l’Afrique enregistrait en octobre 2021 la baisse des nouveaux cas la plus significative malgré un niveau de vaccination le plus faible dans le monde alors que l’Europe rapporte le taux d’incidence hebdomadaire des cas le plus élevé (OMS). À titre d’exemple, le Nigeria, pionnier dans le recours aux traitements précoces, totalise 3 142 morts pour une population de 206 millions d’habitants (136 fois moins qu’en France) malgré le taux de vaccination le plus faible au monde (8 %).

Le variant Omicron a définitivement rebattu les cartes :

  • en France, le taux d’incidence est actuellement le plus élevé en Bretagne, région la plus vaccinée. Son plus bas niveau est a contrario observé en Guadeloupe, département le moins vacciné. Avec l’émergence du variant Omicron, on parle désormais d’une efficacité négative du vaccin sur les contaminations.
  • en Norvège, une étude vient de chiffrer l’efficacité du vaccin chez les adolescents deux mois après leur deuxième dose : 23 % [106], confirmant les résultats de l’étude danoise de décembre 2021 qui avait déjà montré que les personnes doublement vaccinées s’infectent désormais plus que les personnes non vaccinées (efficacité négative de – 76,5 % pour le vaccin Pfizer et – 39,3 % pour le vaccin Moderna) [107].
  • les données récentes de la littérature pointent au contraire une contribution majeure du vaccin dans le développement de formes graves (anticorps facilitants, patients immunodéprimés jamais inclus dans les essais cliniques…), les décès causés par Omicron touchant essentiellement des personnes vaccinées (> 94 %), quasi exclusivement de plus de 60 ans.
Statistiques des décès COVID France par statut vaccinal, décembre 2021, issues de la Drees

Le mythe de l’épidémie de vaccinés est désormais une illusion à ce point criante qu’aucun Français, y compris vacciné, ne peut décemment croire en une quelconque utilité du passe sanitaire.

Comment comprendre dès lors la volonté d’Olivier Véran et du Président de la République de continuer à imposer une obligation vaccinale, illégale au regard du droit européen, au nom d’un risque sanitaire qu’aucune donnée scientifique ne soutient plus désormais, sans s’alarmer à aucun moment ni de la gravité des alertes émises par les scientifiques, ni du poids que font peser sur l’hôpital et sur la société les effets secondaires des vaccins dont Olivier Véran a lui-même reconnu que 24 % d’entre eux étaient des effets secondaires graves ? Jusqu’à combien de doses sont-ils prêts à aller avant de reconnaître que ces vaccins ne sont pas efficaces, s’interrogeait à voix haute un professeur de biologie il y a déjà six mois ? [108]

Israël, laboratoire à ciel ouvert de la vaccination Pfizer avait déjà prévenu en août 2021 : « Ne pensez pas que les boosters sont la solution. » [109] La toute dernière étude du New England Journal of Medicine parue le 5 avril 2022 [110] le confirme pour la quatrième dose, avec :

  • une chute de l’efficacité à près de 10 % en deux semaines ;
  • qui commence à s’effriter après 4 semaines ;
  • qui reste relativement élevée contre les formes graves mais jusqu’à la 6e semaine seulement.

Chacun jugera s’il souhaite ou non se faire inoculer une quatrième fois en un an, en fonction de son risque individuel, mais il doit pouvoir décider en connaissance des risques. Selon le pathologiste Ryan Cole dont nous publions une interview il y a quelques semaines [60], la balance ne plaide pas en faveur d’une énième injection.

https://twitter.com/Anaiss_tea/status/1512309617522528259

Jacques Cohen, Pr émérite à l’URCA de Reims et immunologiste, le confirme d’ailleurs et exprime ses craintes concernant de futures injections : « On a vacciné avec un certain nombre d’incidents. Mais si on met une troisième dose, là, c’est un peu tenter le diable, c’est-à-dire augmenter le taux d’effets secondaires. » Les Dr Michael Palmer et Sucharit Bhakd du collectif Doctor for ethics l’expliquaient dans un article publié le 10 janvier 2022 [111].

La « réactogénicité plus sévère après la 2e dose » figure déjà parmi les signaux actuellement sous surveillance de l’ANSM. Sur quels critères scientifiques est-elle imposée aujourd’hui aux Français, il y a quinze jours au plus de 80 ans, depuis aujourd’hui au plus de 60 ans, et demain ?

L’ombre de la méthode McKinsey ?

Aucun médecin ne peut lucidement soutenir aujourd’hui un programme de vaccination non ciblée, encore moins l’imposer à la population. Aucune institution garante de la Constitution ne peut permettre une telle dérive et une telle entorse au droitpiétant plus de 10 textes de lois, dont le Code de Nuremberg. C’est précisément l’intelligence diabolique du passe sanitaire, qui présente accessoirement l’avantage pour le Gouvernement de ne pas avoir demain à indemniser les victimes, du moins si l’on en croit le rejet de l’amendement proposé par le sénateur Alain Houpert visant à corriger cette injustice puisqu’Olivier Véran a assuré le contraire, comme il avait assuré le 23 décembre 2020 que la vaccination ne serait jamais obligatoire et le passe sanitaire, limité aux événements exceptionnels :

Pourquoi en sommes donc nous là aujourd’hui ? Pourquoi des doses continuent-elles d’être commandées ? Pourquoi les Français doivent-ils vivre avec l’angoisse de devoir se soumettre à des injections objectivement délétères, sans aucune raison apparente ?
Est-on en droit de parler d’escroquerie ou de tromperie aggravée compte tenu de l’absence d’impact des vaccins sur la mortalité COVID, pourtant revendiquée dans l’AMM pour justifier la précipitation de sa mise sur le marché [1] ?

Le conflit d’intérêts entre le président du Conseil constitutionnel et le cabinet McKinsey est connu depuis des mois. On apprend aujourd’hui à la faveur du contexte électoral que c’est le même cabinet McKinsey qui assure depuis l’origine le pilotage de la stratégie vaccinale française sous la tutelle du ministre de la Santé.

Premier problème, des membres de McKinsey accompagnent gracieusement Emmanuel Macron depuis la création d’En marche ! dont plusieurs cadres sont également des associés du cabinet.

Y a-t-il eu appel d’offres ? On l’ignore, mais si tel est le cas, jamais il n’aurait pu être remporté par un prestataire dont le siège est basé dans un paradis fiscal, en l’occurrence le Delaware. Le Paquet national financier enquête, mais déjà certains s’interrogent.

Est-ce McKinsey qui a recommandé d’interdire aux médecins de prescrire, y compris pour eux-mêmes ou pour les proches ?
Lui a-t-il le cas échéant également dicté la liste des molécules censurées ?
Le gouverneur du Kansas vient de réhabiliter leur utilisation et de requalifier en « négligence délibérée » le refus de prescrire ou de délivrer de l’ivermectine ou de l’hydroxychloroquine dont l’efficacité est à leurs yeux avérée :

Est-ce le cabinet McKinsey qui a suggéré que l’on remplace l’évaluation clinique des patients par des tests PCR dont on savait depuis le début qu’ils ne permettent pas d’identifier si une personne est contagieuse ou malade et dont on sait aujourd’hui qu’ils ont effectivement produit un nombre de faux positifs estimé dans certains pays à… 97 % ? (§ 17, iii du jugement rendu par la Cour d’appel de Lisbonne le 11/11/2020) ?

Est-ce également lui qui a proposé que les médecins puissent administrer du rivotril hors AMM sur la base d’un test PCR ?

Est-ce enfin le cabinet McKInsey qui a conseillé au Sénat de rejeter la demande du Pr Toubiana qui réclamait un accès complet aux statistiques de mortalité toutes causes confondues en fonction du profil de vaccination ? Peut-on parler d’« obstruction » comme le pense son auteur ?

Est-ce le cabinet McKInsey qui a encouragé les confinements dont l’échec est aujourd’hui acté [112-114] et dont le retentissement dramatique sur l’économie et la santé mentale autorise à le qualifier de « barbare » ?
Combien de Français se sont fait vacciner pour ne plus jamais revivre ça, combien de jeunes l’ont fait en toute confiance suite aux déclarations d’Olivier Véran ?
On se souvient du slogan qu’il avait utilisé, lors de la visite d’un vaccinodrome :

« Le vaccin est 100 % efficace contre les confinements » ?

Second problème, McKinsey est également actionnaire du laboratoire Pfizer [115, p. 262] dont il a assuré le placement des vaccins dans 78 pays (c’est en tout cas le nombre de pays où il est implanté), via les mandats de vaccination et les passeports sanitaires. Autrement dit, des obligations vaccinales déguisées reposant sur trois piliers fondamentaux : la pression économique, sociale et morale, le refus de soins pour les personnes non vaccinées et la confiance dans le vaccin. Or c’est là que les choses se compliquent.

Faut-il voir dans les mensonges d’Olivier Véran et dans les provocations du Président de la République à l’encontre des non-vaccinés une manière de responsabiliser les Français, quoi qu’il en coûte pour leur santé, ou bien plutôt une méthode de vente agressive ? McKinsey était-il informé des conclusions de l’essai clinique, dont la publication récente des données,sur ordre de la justice confirment selon Philip G. Kerpen ce que les scientifiques ont mis depuis en évidence :

  • Des effets secondaires plus graves et plus fréquents chez les plus jeunes, qui tendent à augmenter en fonction de la dose (p. 324)
  • Une baisse de l’immunité les deux jours suivant l’injection, persistante pendant sept jours (p. 319)
  • Pas ou peu de bénéfices chez ceux ayant déjà contracté le COVID.

Si tel était le cas, Olivier Véran l’était-il également ? La récente nomination (26 août 2021) au poste de directeur de l’Innovation de Pfizer de l’ancien consultant de McKinsey, Aamir Malik, alors en poste lors de la campagne de 2017 interdit-elle de le penser ?

Accélérer alors que tous les signaux sont au rouge, c’est en substance la méthode qu’a utilisée le cabinet McKinsey lors de la crise des opioïdes pour aider l’entreprise Purdue Pharma à augmenter ses ventes. Les décès par overdose augmentent et dissuadent les pharmaciens de maintenir la distribution d’Oxycontin ? Offrez-leur des rabais ! Cynique ? Oui. Bilan : 500 000 morts, un recul de l’espérance de vie des Américains et le plus gros scandale sanitaire de ce siècle. McKinsey sera condamné par la justice, en pleine crise du COVID, peu avant d’être reconduit dans ses missions par le Gouvernement, et s’engagera à ne plus conseiller aucune entreprise pour placer ses produits.

Les passeports sanitaires seraient-ils une alternative relevant du même procédé ? La justice le dira, une plainte a été déposée par plusieurs associations pour « corruption » et « recel de favoritisme ». Mais on ne peut que s’étonner du mimétisme entre la stratégie vaccinale française et celle adoptée pour le compte de Purdue Pharma puisque, depuis la promesse de ne pas imposer la vaccination aux Français et de limiter le pass sanitaire à des situations exceptionnelles, la réponse du Gouvernement face à la terreur des Français de se faire injecter le vaccin a toujours été la suivante :

  • élargir le nombre d’activités et de lieux soumis au pass sanitaire ;
  • augmenter le nombre d’injections requises pour son maintien ;
  • réduire arbitrairement la durée d’immunité sans jamais tenir compte des alertes émises par la communauté scientifique.

Il manquait en effet une explication rationnelle permettant de comprendre comment un ministre de la Santé avait pu mentir aux Français avec un tel aplomb et leur faire courir de tels risques.

Faut-il en conclure que l’acharnement vaccinal qu’ils subissent depuis un an et l’injonction qui leur est faite de se sacrifier au nom de l’intérêt supérieur de la nation n’a jamais eu d’autre finalité que de les transformer en produits de consommation de l’industrie pharmaceutique ?
Combien de millions ont-ils offerts aux laboratoires en leur permettant de tester gratuitement une nouvelle technologie et en effectuant pro bono le placement de leurs « vaccins » ?
Une compensation a-t-elle été négociée en échange de ce cadeau commercial ?

S’il y a une autre explication, il est urgent de la donner.

Références

  1. European Medicines Agency (EMA). Assessment report. Comirnaty: Common name: COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified) Procedure No. EMEA/H/C/005735/0000. 2021 Feb 19. EMA/707383/2020 Corr.1*1 https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/comirnaty-epar-public-assessment-report_en.pdf.
  2. Institut Paul-Ehrlich. Rapport sur les cas suspects d’effets secondaires et de complications vaccinales après vaccination pour se protéger contre le COVID-19 (période de déclaration du 27 décembre 2020 au 31 août 2021). Langen. 2021 Szpt 20. https://www.pei.de/SharedDocs/Downloads/DE/newsroom/dossiers/sicherheitsberichte/sicherheitsbericht-27-12-bis-31-08-21.pdf.
  3. Witberg G, et al. Myocarditis after BNT162b2 mRNA vaccine against Covid-19 in Israel. N Engl J Med. 2021. DOI: 10.1056/NEJMoa2109730. DOI: 10.1056/NEJMoa2110737.
  4. Prasad V. Myocarditis under age 40: An update. Brownstone Institute. 2021 Dec 28. https://brownstone.org/articles/myocarditis-under-age-40-an-update/.
  5. Patone M, et al. Risks of myocarditis, pericarditis, and cardiac arrhythmias associated with COVID-19 vaccination or SARS-CoV-2 infection. Nature Medicine. 2021 Dec 14. DOI: 10.1038/s41591-021-01630-0.
  6. Mevorach D, et al. Myocarditis after BNT162b2 mRNA vaccine against Covid-19 in Israel. N Engl J Med. 2021; 385:2140-2149. DOI: 10.1056/NEJMoa2109730.
  7. Chua GT, et al. Epidemiology of acute myocarditis/pericarditis in Hong Kong adolescents following comirnaty vaccination. Clinical Infectious Diseases. 2021 Nov 28. ciab989. DOI: 10.1093/cid/ciab989.
  8. Nuovo GJ, et al. Endothelial cell damage is the central part of COVID-19 and a mouse model induced by injection of the S1 subunit of the spike protein. Ann Diagn Pathol. 2021 Apr;51:151682. DOI: 10.1016/j.anndiagpath.2020.151682.
  9. Schneider J, et al. SARS-CoV-2 direct cardiac damage through spike-mediated cardiomyocyte fusion. Research Square. 2020 Oct 30. DOI: 10.21203/rs.3.rs-95587/v1.
  10. Avolio E, et al. The SARS-CoV-2 spike protein disrupts human cardiac pericytes function through CD147-receptor-mediated signalling: a potential non-infective mechanism of COVID-19 microvascular disease. 2020 Dec 21. DOI: 10.1101/2020.12.21.423721.
  11. Raghavan S, et al. SARS-CoV-2 spike protein induces degradation of junctional proteins that maintain endothelial barrier integrity. front cardiovasc med. 2021 June 11. DOI: 10.3389/fcvm.2021.687783.
  12. Prasad V. Myocarditis under Age 40: An Update. Brownstone Institute. 2021 Dec 28. https://brownstone.org/articles/myocarditis-under-age-40-an-update/.
  13. Guntry SR, et al. Observational findings of PULS cardiac test findings for inflammatory markers in patients receiving mRNA vaccines. Circulation. 2021 Nov 8;144:A10712. DOI: 10.1161/circ.144.suppl_1.10712.
  14. Teixeira Farinha I, Oliveira Miranda J. Myocarditis in Paediatric Patients: Unveiling the Progression to Dilated Cardiomyopathy and Heart Failure. J. Cardiovasc. Dev. Dis. 2016 Nov 8;3(4):31. DOI: 10.3390/jcdd3040031.
  15. Institut Paul-Ehrlich. Rapport sur les cas suspects d’effets secondaires et de complications vaccinales après vaccination pour se protéger contre le COVID-19 (période de déclaration du 27 décembre 2020 au 31 août 2021). Langen. 2021 Sept 20. https://www.pei.de/SharedDocs/Downloads/DE/newsroom/dossiers/sicherheitsberichte/sicherheitsbericht-27-12-bis-31-08-21.pdf.
  16. Bhakdi S, Burkhardt A. On COVID vaccines: why they cannot work, and irrefutable evidence of their causative role in deaths after vaccination. Doctors for COVID Ethics symposium. 2021 Dec 10. https://doctors4covidethics.org/wp-content/uploads/2021/12/end-covax.pdf.
  17. Drustan JY. L’autopsie des personnes vaccinées révèle une atteinte des organes vitaux d’origine auto-immune dans 90 % des cas étudiés. LePointCritique. 2022 Mar 08. https://lepointcritique.fr/2022/03/08/dr-sucharit-bahkdi-autopsies-personnes-vaccinees-covid-19-prouve-attaque-auto-immune/.
  18. Cole R. Post-investigational vaccine. White Coat Summer. 2021 Sept 01. https://rumble.com/vlxw0z-covid-19-vaccins-et-autopsies-dr.-ryan-cole.html/.
  19. Oster ME, Shay DK, Su JR, et al. Myocarditis cases reported after mRNA-based COVID-19 vaccination in the US from December 2020 to August 2021. JAMA. 2022 Jan 25;327(4):331-340. DOI: 10.1001/jama.2021.24110.
  20. Drustan JY. COVID des enfants : des symptômes légers de six jours à huit semaines. LePointCritique. 2022 Fev 24. https://lepointcritique.fr/2022/02/24/covid-enfants-symptomes-legers-6-jours-a-8-semaines/.
  21. Gandini S, et al. A cross-sectional and prospective cohort study of the role of schools in the SARS-CoV-2 second wave in Italy. Lancet Reg Health Eur. 2021 Jun;5:100092. DOI: 10.1016/j.lanepe.2021.100092.
  22. Paul A. Biological and molecular evidence why children are effectively COVID immune and can be considered already vaccinated. 2021 Sept 20. https://trialsitenews.com/covid-injections-offer-children-no-opportunity-for-the-benefit-and-only-potential/.
  23. Alexander PE. 150 research studies affirm naturally acquired immunity to COVID-19: Documented, linked, and quoted. Brownstone Institute. 2021 Oct 17. https://brownstone.org/articles/79-research-studies-affirm-naturally-acquired-immunity-to-covid-19-documented-linked-and-quoted/.
  24. King’s College. Long COVID uncommon in children, analysis finds. 2021 Aug 04. https://www.kcl.ac.uk/news/long-covid-uncommon-in-children.
  25. University of Bristol. Covid-19: Risks of severe illness in children shown to be very low in largest study yet. 09/07/2021. https://www.bristol.ac.uk/news/2021/july/ncmd-covidrisks.html.
  26. Høeg TB, et al. SARS-CoV-2 mRNA vaccination-associated myocarditis in children ages 12-17: A stratified national database analysis. 2021 Sept 8. DOI: 10.1101/2021.08.30.21262866.
  27. UCL. First findings from world’s largest study on long Covid in children. 2021 Sept 02. https://www.ucl.ac.uk/news/2021/sep/first-findings-worlds-largest-study-long-covid-children.
  28. Dopp K, Seneff S. COVID-19 and all-cause mortality data by age group reveals risk of COVID vaccine-induced fatality is equal to or greater than the risk of a COVID death for all age groups under 80 years old as of 6 February 2022. 13 February 2022. https://www.skirsch.com/covid/Seneff_costBenefit.pdf
  29. Pantazatos S, Seligmann H. COVID vaccination and age-stratified all-cause mortality risk [Preprint]. Oct. 2021. DOI: 10.13140/RG.2.2.28257.43366.
  30. Meyer PE. The impact of Covid-19 vaccines on all-cause mortality in eu in 2021: a machine learning perspective [Preprint]. Jan. 2022. DOI: 10.13140/RG.2.2.16851.71205.
  31. Crawford M. UK Data Shows No All-Cause Mortality Benefit for COVID-19 Vaccines. 22/11/2021. https://roundingtheearth.substack.com/p/uk-data-shows-no-all-cause-mortality?utm_source=url.
  32. Ohana S, Henrion-Caude A. Young adult mortality in Israel during the COVID-19 crisis. 2021 Aug 12. https://steve-ohana.medium.com/young-adult-mortality-in-israel-during-the-covid-19-crisis-ff7456cff74f.
  33. Kuhbandner C. Der Anstieg der Übersterblichkeit im zeitlichen Zusammenhang mit den COVID. 2022 Jan 21. https://osf.io/5gu8a/.
  34. Kostoff RN, et al. Why are we vaccinating children against COVID-19? Toxicol Rep. 2021;8:1665-1684. DOI: 10.1016/j.toxrep.2021.08.010.
  35. European Medicines Agency (EMA). Comirnaty (COVID-19 mRNA Vaccine) Risk Management Plan. 2021 Nov 25. https://www.ema.europa.eu/en/documents/rmp-summary/comirnaty-epar-risk-management-plan_en.pdf.
  36. Karrow NA. Maternal COVID-19 Vaccination and its potential impact on fetal and neonatal development. vaccines. 2021 Nov 18;9(11):1351. DOI: 10.3390/vaccines9111351.
  37. Holness NA, et al. Covid-19, Pregnancy, and vaccinations. J Natl Black Nurses Assoc. 2021 Jul;32(1):1-9. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34562346/.
  38. ANSM. Suivi des cas d’effets indésirables des vaccins COVID-19. Données du 26/11/2021 au 09/12/2021. 2021 Dec 21. https://ansm.sante.fr/uploads/2021/12/21/20211221-covid-19-vaccins-fiche-synthese-26-11-2021-09-12-2021.pdf.
  39. ANSM. Enquête de Pharmacovigilance sur les effets indésirables des vaccins COVID-19 chez les femmes enceintes et allaitantes. Rapport n°9 03/12/2021 au 27/01/2022. 2022 Mar 04. https://ansm.sante.fr/uploads/2022/03/04/20220304-covid-19-vaccins-grossesse-rapport-9-3.pdf.
  40. Hossein N. Les liens entre dérèglements menstruels et vaccins contre le Covid vont être étudiés à grande échelle. 2021 Sept 10. https://cutt.ly/rIEcHcb.
  41. Ramírez DSR, Pérez MML, Pérez MC, et al. SARS-CoV-2 antibodies in breast milk after vaccination. Pediatrics. 2021 Nov 1:148 (5):e2021052286. DOI: 10.1542/peds.2021-052286.
  42. FranceSoir. Vaccination SARS-CoV-2 : le Dr Wodarg et le Dr Yeadon disent stop ! FranceSoir. 2020 Dec 03. https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccination-sars-cov-2-le-dr-wodarg-et-le-dr-yeadon-disent-stop.
  43. Jean-Pierre G. ARN vaccinaux de Pfizer, producteurs de protéines spikes. FranceSoir. 2021 Jul 06. https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/arn-vaccinaux-de-pfizer-producteurs-de-proteines-spikes.
  44. Claverie JM. Les ARN messagers (ARNm) sont-ils surdosés ? LinkedIn. 2021 Dec 04. https://www.linkedin.com/posts/claverie-jean-michel-9260016_les-vaccins-mrna-sont-ils-surdos%C3%A9s-activity-6872959582122110976-RF6w/.
  45. Vishvkarma R, Rajender S. Could SARS-CoV-2 affect male fertility?. Andrologia. 2020 Oct;52(9):e13712. DOI: 10.1111/and.13712.
  46. Navarra A, Albani E, Castellano S, Arruzzolo L, Levi-Setti PE. Infection par la maladie à coronavirus-19 : implications sur la fertilité et la reproduction masculines. Front Physiol. 2020 Nov 17. DOI: 10.3389/fphys.2020.574761.
  47. Comme l’ont mis en évidence les chercheurs de Reinfocovid à partir de la seule lecture des rapports des laboratoires, les ARNm encapsulés atteindraient en effet de nombreux organes (rate, cœur, reins, poumons, cerveau), notamment les ovaires et les testicules où ils ont été retrouvés lors des études de biodistribution du vaccin (Reinfocovid. Les ARNm vaccinaux atteignent les organes reproducteurs. 15/04/2021. https://reinfocovid.fr/science/les-arnm-vaccinaux-atteignent-les-organes-reproducteurs/).
  48. Ventura Fernandes BH, et al. Toxicity of spike fragments SARS-CoV-2 S protein for zebrafish: A tool to study its hazardous for human health? Sci Total Environ. 2021;813:152345. DOI: 10.1016/j.scitotenv.2021.152345.
  49. Moshrefi M, et al. The probable destructive mechanisms behind COVID-19 on male reproduction system and fertility. J Assist Reprod Genet. 2021;38(7):1691-1708. DOI: 10.1007/s10815-021-02097-1.
  50. Downing NS, Shah ND, Aminawung JA, et al. Postmarket Safety Events Among Novel Therapeutics Approved by the US Food and Drug Administration Between 2001 and 2010. JAMA. 2017;317(18):1854-1863. DOI: 10.1001/jama.2017.5150.
  51. ANSM. Suivi des cas d’effets indésirables des vaccins Covid-19 : Données du 17/09/2021 au 30/09/2021. https://ansm.sante.fr/uploads/2021/10/08/20211007-vaccins-covid-19-fiche-de-synthese-vf-2.pdf.
  52. Vélot C. Covid-19 : Rapport d’expertise sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM. Criigen. 25/12/2020. https://criigen.org/rapport-dexpertise-sur-les-vaccins-genetiquement-modifie/.
  53. Vélot C. « Ne faisons pas un remède pire que le mal » : l’entretien essentiel, avec Christian Vélot. FranceSoir. 26/06/2021. https://www.francesoir.fr/videos-lentretien-essentiel/ne-faisons-pas-un-remede-pire-que-le-mal-entretien-essentiel-avec.
  54. Zhang L, et al. Reverse-transcribed SARS-CoV-2 RNA can integrate into the genome of cultured human cells and can be expressed in patient-derived tissues. PNAS. 2021 May 25;118(21):e2105968118. DOI: 10.1073/pnas.2105968118.
  55. Chandramouly G, et al. Polθ reverse transcribes RNA and promotes RNA-templated DNA repair. Sci Adv. 2021 Jun 11;7(24):eabf1771. DOI: 10.1126/sciadv.abf1771.
  56. Les Actualités. Une nouvelle découverte montre que les cellules humaines peuvent écrire des séquences d’ARN dans l’ADN. https://lesactualites.news/technologie-et-science/une-nouvelle-decouverte-montre-que-les-cellules-humaines-peuvent-ecrire-des-sequences-darn-dans-ladn/.
  57. Aldén M, Falla FO, Yang D, et al. Intracellular reverse transcription of Pfizer BioNTech COVID-19 mRNA Vaccine BNT162b2 in vitro in human liver cell line. Curr. Issues Mol. Biol. 2022 Feb 25;44(3):1115-26. DOI: 10.3390/cimb44030073.
  58. Borchardt EK, Martinez NM, Gilbert WV. Régulation et fonction de la pseudouridylation de l’ARN dans les cellules humaines. Annu Rev Genet;2020 Nov 23:54:309-336. DOI: 10.1146/annurev-genet-112618-043830.
  59. Interanional Covid Summit (ICS). IHU Marseille (France), 2022 Sept 30-Av 02. https://crowdbunker.com/v/6GQSaZ41.
  60. Équipe LePointCritique. « Je vois les cancers les plus étranges que j’ai jamais vus, et des cancers que nous avions réussi à maîtriser » (Dr. Ryan Cole). LePointCritique. 2022 mar 08. https://lepointcritique.fr/2022/03/08/vaccination-je-vois-les-cancers-les-plus-etranges-que-jai-jamais-vus-dr-ryan-cole/.
  61. Joob B, Wiwanitkit V. Expected viscosity after COVID-19 vaccination, hyperviscosity and previous COVID-19. Clin Appl Thromb Hemost. 2021 Jan-Dec;27:10760296211020833. DOI: 10.1177/10760296211020833.
  62. Lazarus R, Klompas M. Electronic Support for Public Health–Vaccine Adverse Event Reporting System (ESP:VAERS) [Internet]. https://digital.ahrq.gov/sites/default/files/docs/publication/r18hs017045-lazarus-final-report-2011.pdf.
  63. Rose J, Crawford M. Estimating the number of COVID vaccine deaths in America [Internet]. https://downloads.regulations.gov/CDC-2021-0089-0024/attachment_1.pdf.
  64. FranceSoir. Steve Kirsch estime que les effets secondaires de la vaccination sont sous-déclarés d’un facteur 41. FranceSoir. 2021 sapt 39. https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/steve-kirsch-sous-declaration-vaers.
  65. Al-yafeai Z, et al. Vaccine-Associated Atrial Fibrillation. Authorea. 2022 March 31. DOI: 10.22541/au.164873409.98970007/v1.
  66. DieWelt. Le pathologiste en chef de Heidelberg appelle à plus d’autopsie de personnes vaccinées. 2021 Aug 3. https://www.welt.de/vermischtes/article232900871/Corona-Pathologe-fordert-mehr-Obduktionen-von-Geimpften.html.
  67. Institut Paul-Ehrlich. Rapport sur les cas suspects d’effets secondaires et de complications vaccinales après vaccination pour se protéger contre le COVID-19 (période de déclaration du 27 décembre 2020 au 31 août 2021). Langen. 2021 Sept 20. https://www.pei.de/SharedDocs/Downloads/DE/newsroom/dossiers/sicherheitsberichte/sicherheitsbericht-27-12-bis-31-08-21.pdf.
  68. Pfizer. 5.3.6 Cumulative analysis of post-authorization adverse event reports of PF-07302048 (BNT162B2) received through 28-feb-2021. 2022 Apr 1. https://phmpt.org/wp-content/uploads/2022/04/reissue_5.3.6-postmarketing-experience.pdf.
  69. Motano D. Frequency and Associations of Adverse Reactions of COVID-19 Vaccines Reported to Pharmacovigilance Systems in the European Union and the United States. Front Pub Health. 2022 Feb 03. DOI: 10.3389/fpubh.2021.756633.
  70. Raw RK, Kelly CA, Rees J, et al. Previous COVID-19 infection, but not long-COVID, is associated with increased adverse events following BNT162b2/Pfizer vaccination. J Infect. 2021 Sep;83(3):381-412. DOI: 10.1016/j.jinf.2021.05.035.
  71. Doctors for Covid Ethics. The dangers of COVID-19 booster shots and vaccines: Boosting blood clots and leaky vessels. new discoveries in the immunology of SARS-CoV-2 and COVID-19 vaccines. 2021 Sept 15. https://childrenshealthdefense.eu/eu-issues/covid-19boostershots-boosting-blood-clots-leaky-vessels/.
  72. Liu Y, et al. The SARS-CoV-2 Delta variant is poised to acquire complete resistance to wild-type spike vaccines. 2021 Sept 7. DOI: https://doi.org/10.1101/2021.08.22.457114.
  73. Zhang Z, Zheng Y, Sun Q, et al. SARS-CoV-2 spike protein dictates syncytium-mediated lymphocyte elimination. Cell Death & Differentiation. 2021 Apr 20;28:2765–2777. https://www.nature.com/articles/s41418-021-00782-3
  74. Tsumiyama K, et al. Self-organized criticality theory of autoimmunity. PLoS One. 2009;4(12):E8382. DOI: 10.1371/journal.pone.0008382.
  75. Lesgard JF. Pourquoi la protéine spike est toxique dans le Covid-19… Et aussi dans les vaccins ARNm et ADN. FranceSoir. 20/08/2021. https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/pourquoi-la-proteine-spike-est-toxique-dans-le-covid-19-et-aussi-dans-les-vaccins.
  76. BakerAN, Richards SJ, CS Guy, et al, The SARS-COV-2 spike protein binds sialic acids and enables rapid detection in a lateral flow point of care diagnostic device. ACS central science. 2020:6(11):2046-52. DOI: 10.1021/acscentsci.0c00855.
  77. McCairn K. SARS-CoV2 : Alertes sur les potentialités toxiques de la protéine spike. FranceSoir. 15/04/2021. https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/sars-cov2-alertes-sur-les-potentialites-toxiques-de-la-proteine-spike.
  78. Lei Y, Zhang J, Schiavon CR, et al. SARS-CoV-2 spike protein impairs endothelial function via downregulation of ACE2. Circ Res. 2021 ;128(9):1323- 26. DOI: 10.1161/CIRCRESAHA.121.318902. https://www.ahajournals.org/doi/full/10.1161/CIRCRESAHA.121.318902. Traduction : https://www.labandepassante.com/post/la-protéine-spike-seule-est-suffisante-pour-provoquer-la-maladie.
  79. Buret J. En faisant produire la protéine spike par les cellules, vacciner revient à inoculer la maladie. FranceSoir. 07/10/2021. https://www.francesoir.fr/societe-sante/spike-vacciner-revient-a-inoculer-la-maladie.
  80. FranceSoir. « La protéine spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme », déclare le Pr Bridle. FranceSoir. 01/06/2021. https://www.francesoir.fr/societe-sante/nous-avons-fait-une-erreur-la-proteine-spike-est-elle-meme-toxique-et-dangereuse-pour.
  81. Lesgards JF, Bourdineaud JP. Nous ne sommes pas « anti-vax », nous sommes « anti-spike » ! FranceSoir. 13/10/2021. https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/nous-ne-sommes-pas-anti-vax-nous-sommes-anti-spike.
  82. Jean-Pierre G. ARN vaccinaux de Pfizer, producteurs de protéines spikes. FranceSoir. 06/07/2021. https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/arn-vaccinaux-de-pfizer-producteurs-de-proteines-spikes.
  83. FranceSoir. La protéine de pointe du nouveau coronavirus joue un rôle clé supplémentaire dans la maladie. 08/05/2021. https://www.francesoir.fr/societe-sante/la-proteine-de-pointe-du-nouveau-coronavirus-joue-un-role-cle.
  84. Lesgards JF. Pourquoi la protéine Spike est toxique dans le COVID-19… Et aussi dans les vaccins ARNm et ADN. France Soir. 20/08/2021. https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/pourquoi-la-proteine-spike-est-toxique-dans-le-covid-19-et-aussi-dans-les-vaccins.
  85. Pfizer. SARS-COV-2 mRNA Vaccine (BNT162, PF-07302048): 2.6.4 Overview of Pharmacokinetic Test. s.d. https://perma.cc/R3BG-9WT2.
  86. Bahl K, Senn JJ, Yuzhakov O, et al. Preclinical and clinical demonstration of immunogenicity by mRNA Vaccines against H10N8 and H7N9 Influenza Viruses. Molecular Therapy. 2017;25(6):1316-27. DOI: 10.1016/j.ymthe.2017.03.035.
  87. Stokes A, Pion J, Binazon O, et al. nonclinical safety assessment of repeated administration and biodistribution of a novel rabies self-amplifying mRNA Vaccine in Rats. Regulatory Toxicology and Pharmacology. 2020;113:104648. DOI: 10.1016/j.yrtph.2020.104648.
  88. Wang R, et al. Potential adverse effects of nanoparticles on the reproductive system. Int J Nanomedicine. 2018;13:8487-8506. DOI: 10.2147/IJN.S170723.
  89. Mérian J, et al. Synthetic lipid nanoparticles targeting steroid organs. J Nucl Med. 2013;54(11):1996-2003. DOI: 10.2967/jnumed.113.121657.
  90. Swart N. Natural immunity vs Covid-19 vaccine-induced immunity – Marc Girardot of PANDA. 28/06/2021. https://www.biznews.com/health/2021/06/28/covid-19-vaccine-immunity.
  91. Brady M, McQuaid C, Solorzano A, et al. Spike protein multiorgan tropism suppressed by antibodies targeting SARS-CoV-2. Commun Biol. 2021;4:1318. DOI: https://doi.org/10.1038/s42003-021-02856-x.
  92. Seneff S. Worse than the disease? Reviewing some possible unintended consequences of the mRNA vaccines against Covid-19 [Pire que la maladie ? Examen de certaines conséquences involontaires possibles des vaccins à ARNm contre le Covid-19]. Int J Vacc Th Prac Res. 2021;2(1). https://ijvtpr.com/index.php/IJVTPR/article/view/23. Traduction française : https://skidmark.blog/2021/07/12/pire-que-la-maladie-examen-de-certaines-consequences-involontaires-possibles-des-vaccins-a-arnm-contre-le-covid-19-par-stephanie-seneff-traduction-francaise/.
  93. European Medicines Agency. Assessment report. COVID-19 Vaccine Moderna. Common name: COVID-19 mRNA Vaccine (nucleoside-modified). Procedure No. EMEA/H/C/005791/0000. 2021 Mar 11. https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/covid-19-vaccine-moderna-epar-public-assessment-report_en.pdf.
  94. Ogata AF, et al. Circulating severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 (SARS-CoV-2) Vaccine antigen detected in the plasma of mRNA-1273 Vaccine Recipients. Clin Infect Dis. 2021 May 20;ciab465. DOI: 10.1093/cid/ciab465.
  95. Bansal S, et al. Cutting edge: Circulating exosomes with COVID spike protein are induced by BNT162b2 (Pfizer-BioNTech) vaccination prior to development of antibodies: A novel mechanism for immune activation by mRNA vaccines. J Immunol. 2021;207(10):2405-2410. DOI: 10.4049/jimmunol.2100637.
  96. Le lien entre protéine spike et protéine à prion – Quels sont les effets des injections anti-Covid-19 ? Entretien exclusif entre Stephanie Seneff du MIT et le Dr Mercola. Sott.net.14/09/2021. https://fr.sott.net/article/38118-Le-lien-entre-proteine-spike-et-proteine-a-prion-Quels-sont-les-effets-des-injections-anti-Covid-19-Entretien-exclusif-entre-Stephanie-Seneff-du-MIT-et-le-Dr-Mercola.
  97. Acharya CB, et al. No Significant Difference in Viral Load Between Vaccinated and Unvaccinated, Asymptomatic and Symptomatic Groups Infected with SARS-CoV-2 Delta Variant [Aucune différence significative dans la charge virale entre les groupes vaccinés et non vaccinés, asymptomatiques et symptomatiques infectés par la variante delta du SRAS-CoV-2]. 2021 Sept 29. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.09.28.21264262v1.
  98. Riemersma KK, et al. Shedding of Infectious SARS-CoV-2 Despite Vaccination. [Excrétion du SRAS-CoV-2 infectieux malgré la vaccination] 2021 Oct 15. DOI: https://doi.org/10.1101/2021.07.31.21261387.
  99. Brown CM, Vostok J, Johnson H, et al. Outbreak of SARS-CoV-2 Infections, Including COVID-19 Vaccine Breakthrough Infections, Associated with Large Public Gatherings — Barnstable County, Massachusetts, July 2021. MMWR Morb Mortal Wkly Rep 2021;70:1059-1062. DOI: 10.15585/mmwr.mm7031e2
  100. MSNBC. Dr. Fauci: “The CDC Hasn’t Changed, The Virus Has Changed”. 28/07/2021. https://www.youtube.com/watch?v=8Vgn43Ly-L8.
  101. Covid-19 Impfstoffe: Das israelische Fernsehen lässt die Bombe platzen [Vaccins contre le C vid-19 : la télévision israélienne largue la bombe]. 2021 Sept 27. https://uncutnews.ch/covid-19-impfstoffe-das-israelische-fernsehen-laesst-die-bombe-platzen/.
  102. Mallapaty S. COVID vaccines cut the risk of transmitting Delta — but not for long [Les vaccins COVID réduisent le risque de transmission de Delta – mais pas pour longtemps]. Nature. 2021 Oct 5. https://www.nature.com/articles/d41586-021-02689-y#ref-CR1.
  103. Servellita V, et al. Predominance of antibody-resistant SARS-CoV-2 variants in vaccine breakthrough cases from the San Francisco Bay Area, California. 2021 Aug 25. DOI: https://doi.org/10.1101/2021.08.19.21262139.
  104. Singanayagam A, et al. Community transmission and viral load kinetics of the SARS-CoV-2 delta (B.1.617.2) variant in vaccinated and unvaccinated individuals in the UK: a prospective, longitudinal, cohort study. Lancet Infect Dis. 2021 Oct 29;S1473-3099(21)00648-4. DOI: 10.1016/S1473-3099(21)00648-4.
  105. Subramanian SV, Kumar A. Increases in COVID-19 are unrelated to levels of vaccination across 68 countries and 2947 counties in the United States. Eur J Epidemiol. 2021 Sept 30. DOI: 10.1007/s10654-021-00808-7.
  106. Veneti L, et al. Vaccine effectiveness with BNT162b2 (Comirnaty, Pfizer-BioNTech) vaccine against reported SARS-CoV-2 Delta and Omicron infection among adolescents, Norway, August 2021 to January 2022. Mar 2022. DOI: 10.1101/2022.03.24.22272854.
  107. Hansen HC, et al. Vaccine effectiveness against SARS-CoV-2 infection with the Omicron or Delta variants following a two-dose or booster BNT162b2 or mRNA-1273 vaccination series: A Danish cohort study. 20/12/2021. DOI: 10.1101/2021.12.20.21267966.
  108. Bio Moon. Pfizer n’est pas Pasteur : la troisième dose, et après? FranceSoir. 2021 Oct 30. https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/pfizer-nest-pas-pasteur-la-3eme-dose-et-apres.
  109. Wadman M. A grim warning from Israel: Vaccination blunts, but does not defeat Delta. Science. 2021;373(6557). https://www.science.org/content/article/grim-warning-israel-vaccination-blunts-does-not-defeat-delta.
  110. Bar-On YM, et al. Protection by a fourth dose of BNT162b2 against Omicron in Israel. N Engl J Med. 2022 Apr 5. DOI: 10.1056/NEJMoa2201570.
  111. Palmer M, Bhakdi S. M Elementary, my dear Watson: why mRNA vaccines are a very bad idea. Doctors for COVID Ethics. 10/01/2022. https://doctors4covidethics.org/elementary-my-dear-watson-why-mrna-vaccines-are-a-very-bad-idea/.
  112. Drustan JY. Évaluation scientifique d’une idéologie sanitaire. LePointCritique. 2022 Mar 4. https://lepointcritique.fr/2022/03/04/evaluation-scientifique-ideologie-sanitaire/.
  113. Bendavid E, Oh C, Bhattacharya J, Ioannidis JP. Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19. Eur J Clin Invest. 2021 Apr;51(4):e13484. DOI: /10.1111/eci.13484.
  114. Alexander PE. Plus de 400 études sur l’échec des interventions Covid obligatoires (confinements, restrictions, fermetures). Browstone Institute. 2021 Nov 30. https://brownstone-org.translate.goog/articles/more-than-400-studies-on-the-failure-of-compulsory-covid-interventions/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=op,wapp.
  115. Assassi É, Bazin A (dir.). Rapport fait au nom de la commission d’enquête (1) sur l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques sur « Un phénomène tentaculaire : l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques ». Rapport no 578, remis à M. le Président du Sénat le 16 mars 2022. https://t.co/oaaxcBw0wp.

Le site lepointcritique.fr ne se fixe pour mission que d’informer le public. Il n’a donc en aucun cas vocation à se substituer ni à un avis ni à un diagnostic médical, encore moins à conseiller ses lecteurs sur l’usage ou le non-usage d’un médicament.




Les pilotes vaccinés COVID font des arrêts cardiaques en plein vol, mais les médias restent silencieux pour ne pas créer une « hésitation vaccinale »

[Source : cogiito.com]

Par : Ethan Huff

https://citizens.news/612098.html

Un pilote américain en parfaite santé avant son vaccin COVID, capitaine d’un Airbus 321 de la compagnie American Airlines, a failli mourir en plein vol d’un arrêt cardiaque probablement causé par les “vaccins” contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19), 7 minutes après son atterrissage à Dallas. Il s’est manifesté de son lit d’hôpital pour partager son histoire avec les médias alternatifs.

[Voir aussi :
USA — Déjà 111 pilotes d’avion morts après le Vax !]

Le capitaine Snow est très en colère contre la compagnie aérienne qui l’a forcé à prendre ce vaccin par chantage à l’emploi : “pas de vaccin-pas de travail

Il a lancé un appel aux médias alternatifs en racontant son histoire ; depuis, il souffre de nombreux effets secondaires liés au vaccin COVID et son état de santé très impacté ne cesse de décroitre. Il affirme que si son accident cardiaque s’était produit 7 minutes plus tôt, l’avion se serait probablement écrasé avec tous les passagers. Ce n’est pas la première fois que les compagnies aériennes harcèlent et font du chantage à leurs pilotes, c’est tout à fait documenté et de nombreux signalement ont été envoyé aux syndicats et aux avocats pour prévenir ce type de comportement des compagnies d’aviation, la FAA qui couvrent et ne divulguent jamais ces accidents trop fréquents comme déclaré dans la vidéo ci dessous.


!function(r,u,m,b,l,e){r._Rumble=b,r[b]||(r[b]=function(){(r[b]._=r[b]._||[]).push(arguments);if(r[b]._.length==1){l=u.createElement(m),e=u.getElementsByTagName(m)[0],l.async=1,l.src="https://rumble.com/embedJS/u4"+(arguments[1].video?'.'+arguments[1].video:'')+"/?url="+encodeURIComponent(location.href)+"&args="+encodeURIComponent(JSON.stringify([].slice.apply(arguments))),e.parentNode.insertBefore(l,e)}})}(window, document, "script", "Rumble");

Rumble("play", {"video":"vyurw4","div":"rumble_vyurw4"});

“Nous en avons assez, nous nous levons pour dénoncer ce qui nous arrivent (nous LES pilotes américains) et les responsables vont payer, pas seulement au niveau des compagnies aériennes, ils vont tous être poursuivis pour ce qu’ils nous ont fait et nous n’allons plus subir cette injustice à partir de maintenant…

je suis là pour vous dire la vérité, il y a plus de 200 cas identiques à celui du Capitaine Snow et personne ne fait rien, alors nous allons agir…car ils mettent en danger les passagers et leurs équipages…”

Comme les grands médias sous contrôle refusent d’aborder cet épisode, le capitaine Robert Snow d’American Airlines a saisi l’occasion d’en parler au journaliste Stew Peters dans une interview récente à travers son représentant : Joshua Yoder. Cette vidéo est disponible sur le site de Steve Kirsch et sur cogiito.com.

Stew Peters demande si tous les retards, les annulations de vol, les transfers de baggages qui se perdent et qui vont à l’opposé où ils devraient aller, si tous ces accidents, en apparence mineurs, sont-ils liés aux vaccins COVID ?

La réponse est oui dans la plus grande majorité des cas! Le témoin Joshua Yoder déclare :

J’ai été contacté par une pilote vaccinée par coercition qui vient d’avoir sa 4e crise cardiaque et qui m’a dit

” Josh, je ne sais pas si je vais vivre encore longtemps…”

https://rumble.com/v11gxvu-vaxxed-pilot-goes-into-cardiac-arrest-in-cockpit-freedom-flyers-expose-mass.html

En résumé, le Capitaine de bord, Robert Snow est furieux que le gouvernement des États-Unis oblige les pilotes de ligne à se faire injecter des substances – ce qui est contraire à la loi, pour être clair – afin de conserver leur emploi.

Le règlement est flagrant, tyrannique et n’a tout simplement aucun sens d’un point de vue épidémiologique qui suppose que les injections offrent réellement une protection (ce qui n’est pas le cas).

“De plus, quel est l’avantage de vacciner les pilotes ?

a demandé Kirsch.

“Ce n’est pas comme si le pilote allait transmettre le COVID aux passagers. La probabilité que cela se produise est très proche de zéro.”

Soudain, pro-vax contre anti-vax n’a plus d’importance lorsque l’avion dans lequel vous êtes risque de s’écraser

Kirsch a cherché à savoir quels autres organes de presse avaient repris l’histoire du Capitaine Snow. En utilisant Google pour effectuer une requête à la fois dans la recherche “Tout” et dans la recherche “Actualités”, Kirsch n’a trouvé aucun article dans les médias prétendus “fiables” sur le sujet.

Bien sûr, il y en avait quelques-uns dans la recherche “Tout” sur des sites de médias alternatifs, mais pas un seule provenant d’une source d’information majeure. Dans la section “Actualités” de Google, pas un seul article sur le Capitaine Snow n’est apparu.

C’est inquiétant car, l’incident du Capitaine Snow lors d’un récent vol aurait pu provoquer une catastrophe faisant de nombreuses victimes. Il démontre les dangers d’imposer ces vaccins COVID aux pilotes qui, à haute altitude, pourraient subir de graves effets sur leur santé et affecter leurs performances.

Dieu nous en préserve, mais si un pilote venait à mourir en plein vol, ce serait au second pilote de faire atterrir l’avion en toute sécurité pendant le reste du trajet. Et si quelque chose arrivait à ce second pilote pour les mêmes raisons, la partie serait terminée.

La presse californienne a repris l’histoire, selon l’un des lecteurs de Kirsch, mais ce n’est pas exactement une source grand public. Il est difficile de dire combien de personnes ont pu voir le titre et lire l’histoire.

Un autre a déclaré que le journal The Hill a repris l’histoire et prévoit de publier un article à ce sujet, nous verrons si cela se concrétise.

“Pouvons-nous, d’une manière ou d’une autre, parrainer M. Robert Snow et d’autres pilotes blessés de diverses compagnies aériennes pour qu’ils viennent participer à une discussion de groupe ? (c’est possible, mais les compagnies aériennes vont les licencier, ils auront donc besoin d’une protection financière…), répond un autre.

Étant donné que cette affaire a le potentiel d’affecter des personnes qui, autrement, ne seraient pas intéressées par le fait qu’un étranger soit blessé par “malchance” ou non, il me semble qu’un tel événement aurait le potentiel de devenir majeur.”

Ce même commentateur a poursuivi en déclarant quelle personne saine d’esprit se soucierait-elle des anti-vax par rapport aux pro-vax si son avion risquait de s’écraser à cause d’un accident vaccinal ? Une large diffusion de cet accident qui aurait pu être dramatique pourrait amener plus de gens à réfléchir sur les implications de ce type de mandats.

“Si le nombre de pilotes accidentés vaccinaux (COVID) est aussi élevé que ce Pilote le prétend, nous avons peut-être une chance de faire changer d’avis le public”, ajoute encore le commentateur.

“Malheureusement, je pense que la seule façon dont la connaissance, et l’acceptation des ravages du vaxx COVID va se généraliser, car le commun des mortels se trouvera à un moment ou à un autre directement et personnellement concerné, ainsi que des personnes de sa connaissance, au point que cela lui sautera aux yeux, à gauche comme à droite”, a ajouté un autre.

Les dernières nouvelles sur le génocide de la grippe de Fauci peuvent être consultées sur le site suivant Genocide.news.

Sources :

SteveKirsch.substack.com

NaturalNews.com

Voici la vidéo d’un embaumeur qui déclare trouver des caillots sanguins dans la zone de l’artère Iliaque, il n’y a jamais de caillots dans cette artère, mais les vaccinés en ont d’énormes :






La FDA et Pfizer savaient que l’injection COVID provoquait une immunosuppression

[Source : mondialisation.ca]

Par Dr Joseph Mercola

Le 1er avril 2022, un autre lot de 11 000 documents Pfizer a été rendu public par la Food and Drug Administration américaine. Les données des essais de Pfizer révèlent que l’immunité naturelle était aussi efficace que le vaccin et que les effets secondaires du vaccin étaient plus graves chez les moins de 55 ans. Étant donné que le risque de COVID sévère est considérablement plus faible chez les personnes plus jeunes, un risque élevé d’effets secondaires est inacceptable, et l’injection aurait dû être limitée aux personnes présentant un risque élevé de COVID sévère.

Le taux d’effets indésirables par dose pour le mRNA jab de Pfizer, basé sur ses propres études, est de près de 1 sur 800, et le taux de myocardite est de 10 sur 100 000 – bien plus élevé que le taux de 2 sur 100 000 rapporté précédemment.

Le formulaire de consentement de Pfizer précise que l’effet sur le sperme, les fœtus et les enfants allaités est inconnu. Pourtant, les autorités sanitaires et les médias considèrent comme un « fait » que l’injection n’affecte pas la santé reproductive ou la fertilité et qu’elle est parfaitement sûre pour les femmes enceintes et les mères allaitantes.

Les documents de Pfizer montrent qu’ils n’ont pas exclu le risque d’augmentation des anticorps dépendants. La maladie améliorée associée au vaccin (VAED) est répertoriée comme un « risque potentiel important ». Au 28 février 2021, Pfizer avait recensé 138 cas de VAED présumés, dont 75 étaient graves, entraînant une hospitalisation, une invalidité, des conséquences potentiellement mortelles ou le décès ; 38 cas étaient mortels et 65 n’étaient pas résolus.

Pfizer et la FDA savaient également que des personnes de tous âges présentaient une suppression transitoire de la fonction immunitaire pendant une semaine après la première dose.

https://www.youtube.com/embed/5eJ5TIT6zvk

Avec un nouveau lot de 11 000 documents de Pfizer, publiés le 1er avril 2022, de vieux soupçons ont trouvé un nouveau soutien. Comme le rapporte la coanimatrice de « Rising », Kim Iversen (vidéo ci-dessus), la première révélation qui fait l’effet d’une bombe est que l’immunité naturelle fonctionne, et que Pfizer le savait depuis le début.

Les données de l’essai clinique ont montré qu’il n’y avait pas de différence de résultats entre les personnes ayant déjà été infectées par le COVID et celles qui ont été vaccinées. Aucun des deux groupes n’a connu d’infection grave. L’immunité naturelle était également statistiquement identique à la vaccination en termes de risque d’infection.

Les jeunes adultes sont plus susceptibles de subir des effets secondaires

La deuxième révélation est que les effets secondaires des injections étaient plus graves chez les jeunes, âgés de 18 à 55 ans, que chez les personnes âgées de 55 ans et plus. (Le risque d’effets secondaires augmentait également avec les doses supplémentaires, de sorte que le risque était plus élevé après la deuxième dose qu’après la première).

Comme beaucoup d’entre nous l’ont dit depuis le début, le risque de COVID grave est considérablement plus faible chez les jeunes que chez les plus de 60 ans, ce qui rend inacceptable un risque élevé d’effets secondaires.

Comme l’a noté The Naked Emperor sur Substack (1), « avec un vaccin qui produit des réactions et des événements indésirables plus fréquents et plus graves chez les personnes plus jeunes, le vaccin aurait dû être limité aux personnes qui étaient réellement à risque de COVID-19 grave. »

Les documents de Pfizer montrent un taux élevé de myocardite

Il est intéressant de noter que la documentation de Pfizer comprend également des informations médicales que les médias grand public et les vérificateurs de faits ont qualifiées de désinformation ou d’informations erronées. Un formulaire de consentement pédiatrique énumère plusieurs effets secondaires possibles, dont un taux de myocardite de 10 sur 100 000 – bien plus élevé que le taux de 1 sur 50 000 (c’est-à-dire 2 sur 100 000) rapporté précédemment.

Nous savons également que la myocardite est beaucoup plus fréquente chez les jeunes hommes, de sorte que pour eux, le risque est nettement supérieur à 10 sur 100 000, puisqu’ils constituent la majeure partie de ces blessures.

Les effets sur la santé reproductive sont inconnus

Le formulaire de consentement précise également que les effets sur le sperme, les fœtus et les enfants allaités sont inconnus. Pourtant, les autorités sanitaires et les médias considèrent comme un « fait » que l’injection n’affecte pas la santé reproductive ou la fertilité et qu’elle est parfaitement sûre pour les femmes enceintes et les mères qui allaitent.

Si un effet est inconnu, par définition, vous ne pouvez pas prétendre qu’il est inoffensif. Si vous le faites, vous mentez, purement et simplement, et le Dr Rochelle Walensky, directrice des Centres de contrôle et de prévention des maladies, n’est qu’une des nombreuses personnes coupables de cela. Elle a assuré à plusieurs reprises au public que le vaccin ne présentait aucun risque pour la santé des femmes enceintes ou de leurs bébés. Voici Walensky en mai 2021 :

https://www.youtube.com/embed/WSgNTUjzwxQ

Et la voilà, en octobre 2021, qui continue à affirmer qu’il n’y a aucun risque.

https://www.youtube.com/embed/yKh_kPptRGY

De même, en août 2021, lorsque le Comirnaty a été homologué, le Dr Anthony Fauci, directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases, a affirmé que le vaccin COVID était sans danger pendant la grossesse :

Regardez la vidéo en anglais ICI

L’American College of Obstetricians and Gynecologists (ACOG) fait également des déclarations définitives sur la sécurité, affirmant que « la vaccination peut avoir lieu à n’importe quel trimestre, et l’accent doit être mis sur la réception du vaccin dès que possible afin de maximiser la santé de la mère et du fœtus ».(2) Pourtant, même l’étiquette de Comirnaty (3, 4) indique que « les données disponibles sur Comirnaty administré aux femmes enceintes sont insuffisantes pour informer des risques associés au vaccin pendant la grossesse ».

Le renforcement dépendant des anticorps n’a pas été exclu

De nombreuses personnes qui ont mis en garde contre la possibilité que les injections d’ARNm provoquent un renforcement des anticorps (ADE) – une situation dans laquelle vous finissez par être plus sensible à une infection grave que vous ne l’auriez été autrement – ont été dénigrées et diabolisées par les médias et qualifiées de propager de la désinformation.

Pourtant, le propre formulaire de consentement de Pfizer indique clairement :

« Bien que cela n’ait pas été observé à ce jour, on ne peut pas encore exclure que le vaccin étudié puisse rendre plus grave une maladie ultérieure liée au COVID-19. »

Comme l’a noté Iversen, si l’ADE n’était vraiment pas un sujet de préoccupation, le formulaire de consentement ne l’inclurait pas. Pourtant, il est là.

La maladie améliorée associée au vaccin (VAED) est également répertoriée comme un  » risque potentiel important  » dans le tableau 5 de la page 11 d’un document intitulé  » 5.3.6 Cumulative Analysis of Post-Authorization Adverse Event Reports « (5).

Au 28 février 2021, Pfizer comptait 138 cas de VAED présumés, dont 75 étaient graves, entraînant une hospitalisation, une invalidité, des conséquences potentiellement mortelles ou le décès ; au total, 38 cas se sont avérés mortels et 65 sont restés non résolus (6, 7).

De plus, comme le note le Daily Expose (8),

« les essais cliniques de phase 3 sont conçus pour découvrir les effets secondaires fréquents ou graves avant qu’un vaccin ne soit approuvé, y compris les EIM. Mais c’est là que réside le problème, [car] aucun des vaccins COVID-19 n’a terminé les essais de phase 3. »

L’essai de phase 3 de Pfizer doit se terminer le 8 février 2024 (9), soit dans près de deux ans ! Malgré cela, Pfizer a conclu dans sa soumission à la FDA qu’ » aucun des 75 cas ne pouvait être considéré de manière définitive comme un VAED [Vaccine-associated enhanced disease, Maladie renforcée associée aux vaccins].  »

« [Comment diable n’ont-ils pas pu conclure définitivement que le VAED était à blâmer alors que 75% des cas confirmés de « percée » qui leur ont été rapportés étaient des maladies graves entraînant une hospitalisation, une invalidité, des conséquences mortelles de la mort ? ». demande The Daily Expose.(10)

Pfizer était au courant de l’immunosuppression

Une autre déclaration révélatrice trouvée dans les documents est la suivante :

 » L’évaluation clinique en laboratoire a montré une diminution transitoire des lymphocytes, observée dans tous les groupes d’âge et de dose après la dose 1, qui s’est résorbée en une semaine environ… « .

En d’autres termes, Pfizer savait que, dans la première semaine suivant l’injection, des personnes de tous âges subissaient une immunosuppression transitoire, ou en d’autres termes, un affaiblissement temporaire du système immunitaire, après la première dose.

Comme l’a noté Iversen, cela peut avoir faussé les taux d’infection, car les personnes n’étaient considérées comme partiellement vaccinées que 14 jours après leur première injection (11), et officiellement complètement vaccinées deux semaines après la deuxième dose.

Si les personnes sont susceptibles d’être infectées pendant cette première semaine, mais qu’elles sont considérées comme non vaccinées pendant cette période, cela donne l’impression que les personnes non vaccinées sont plus sujettes à l’infection, alors que ce n’est tout simplement pas le cas. Le propre essai de Pfizer a montré que l’infection était significativement plus fréquente dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo – 409 contre 287 – dans les sept premiers jours suivant le vaccin.(12)

Les personnes entièrement vaccinées sont plus susceptibles de mourir du COVID

Le fait que Pfizer et la Food and Drug Administration américaine savaient que l’injection provoquait une immunosuppression est incriminé, maintenant que les données du gouvernement britannique montrent que, par rapport aux personnes non vaccinées, celles qui ont reçu deux doses sont : (13)

  • Jusqu’à trois fois plus susceptibles de recevoir un diagnostic de COVID-19
  • Deux fois plus de risques d’être hospitalisées à cause du COVID-19.
  • Trois fois plus de risques de mourir du COVID-19.

Les documents de Pfizer admettent qu’il y a eu une baisse temporaire de la fonction immunitaire après la première dose, mais les données du monde réel montrant un risque accru d’infection grave et de décès dû au COVID chez les personnes ayant reçu une double injection suggèrent que l’EIM peut aussi être en jeu plus tard.

Le graphique ci-dessous, créé par Daily Expose (14) à partir des données du rapport de surveillance des vaccins de l’UKHSA pour la semaine 13, 2022 (15) (pages 40 et 45), révèle qui est le plus susceptible de contracter le COVID. Et le taux d’infection des triples-vaccinés est encore plus élevé que celui des doubles-vaccinés.

covid-19 case rate

Le graphique suivant a été créé par le Daily Expose (16) à partir des données des pages 41 et 45, en comparant les taux d’hospitalisation COVID.

covid-19 hospitalization rate

Enfin, il y a une comparaison des taux de mortalité, basée sur les pages 44 et 45 du rapport de surveillance des vaccins de l’UKHSA pour la semaine 13, 2022.(17) Toute personne âgée de plus de 40 ans qui a reçu une double injection est maintenant plus susceptible de mourir du COVID qu’une personne non vaccinée du même âge.

covid-19 death rate

Efficacité négative des vaccins dans le monde réel

Le Daily Expose poursuit en calculant et en établissant un graphique du taux d’efficacité du vaccin COVID dans le monde réel, et les nouvelles sont terribles : (18)

« Si les taux pour 100 000 sont plus élevés chez les vaccinés, ce qui est le cas, cela signifie que les injections de COVID-19 ont une efficacité négative dans le monde réel. Et en utilisant la formule d’efficacité des vaccins de Pfizer, nous pouvons déchiffrer avec précision quelle est l’efficacité réelle dans chaque groupe d’âge.

La formule d’efficacité des vaccins de Pfizer : Taux de non-vaccination pour 100k – Taux de vaccination pour 100k / Taux de non-vaccination pour 100k x 100 = Efficacité du vaccin …

Ces données montrent que toutes les personnes doublement vaccinées de plus de 18 ans ont entre 2 et 3 fois plus de risques d’être infectées, avec une efficacité vaccinale de moins 87 % chez les 18-29 ans et de moins 178 % chez les plus de 80 ans.

[Toutes les personnes doublement vaccinées de plus de 30 ans ont entre 0,2 et 2 fois plus de risques d’être hospitalisées, avec une efficacité vaccinale de moins 1 % chez les 30 à 39 ans et de moins 76 % chez les plus de 80 ans.

Le graphique suivant montre l’efficacité réelle du vaccin COVID-19 contre le décès parmi la population doublement vaccinée en Angleterre, sur la base des taux de décès fournis ci-dessus …

[Toutes les personnes doublement vaccinées âgées de plus de 40 ans ont entre 2 et 3 fois plus de risques de mourir du COVID-19, avec une efficacité vaccinale de moins 90 % chez les 30 à 39 ans et de moins 156 % chez les plus de 80 ans ».

covid-19 vaccine effectiveness

Pfizer a embauché 600 personnes pour traiter un nombre sans précédent de rapports.

Au cours des deux dernières années, nous avons gardé un œil sur le système américain de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS), secouant la tête avec incrédulité alors que les chiffres augmentaient par centaines chaque semaine, dépassant rapidement les blessures liées à tous les autres vaccins combinés au cours des 32 dernières années.(19)

Au 25 mars 2022, on comptait 1 205 753 rapports liés au vaccin COVID, dont 145 781 hospitalisations et 26 396 décès.(20) Aucun produit médical de l’histoire moderne n’est comparable. Rien n’a été aussi dommageable et mortel que ces injections expérimentales.

Entre décembre 2020 et fin février 2021, Pfizer a expédié 126 212 580 doses de sa piqûre d’ARNm dans le monde entier. Divisé par 158 000 effets secondaires, nous obtenons un taux d’événements indésirables par dose de près de 1:800.

Dans un lot précédent de documents, nous avons appris que Pfizer avait reçu 42 086 rapports de cas contenant un total de 158 893 événements au cours des trois premiers mois du déploiement. Dans ce communiqué, le nombre de doses expédiées était expurgé, mais dans le communiqué du 1er avril 2022, il ne l’était plus, ce qui signifie que nous pouvons maintenant calculer le taux d’événements indésirables signalés à Pfizer au cours de ces trois premiers mois.

Entre décembre 2020 et fin février 2021, Pfizer a expédié 126 212 580 doses de sa piqûre d’ARNm dans le monde entier. Divisé par 158 000 effets secondaires, nous obtenons un taux d’événements indésirables par dose de près de 1 sur 800 (21), ce qui est tout simplement follement irresponsable.

Nous disposons également de documents montrant que Pfizer, à la fin du mois de février 2021, avait embauché 600 employés supplémentaires à temps plein pour traiter l’afflux sans précédent de rapports d’effets indésirables, et qu’elle prévoyait qu’à la fin du mois de juin 2021, elle en embaucherait plus de 1 800 (22).

En fin de compte, la vaccination COVID restera dans l’histoire comme la plus grande fraude médicale jamais commise avec la participation volontaire des entreprises pharmaceutiques et des organismes de réglementation. Et il n’y a pas de perspective de fin.

En mars 2022, la FDA a autorisé les doses 4 et 5, sur la base d’une étude préliminaire (23,24) qui a révélé qu’une quatrième injection Moderna était efficace à 11 % et provoquait des effets secondaires chez 40 % des patients, et qu’une quatrième injection Pfizer était efficace à 30 % et provoquait des effets secondaires chez 80 % des personnes.

Je ne sais pas ce qu’il faudra pour que ce cauchemar de santé publique prenne fin et que les parties responsables soient appelées à répondre de leur négligence criminelle, mais apparemment, nous n’avons pas encore atteint l’indignation de masse critique.

Dr Joseph Mercola

Article original en anglais :

FDA and Pfizer Knew COVID Shot Caused Immunosuppression
By Dr. Joseph Mercola, le 14 avril 2022

Traduction : Mondialisation.ca avec DeepL.

Notes

La source originale de cet article est Mercola.com
Copyright © Dr Joseph MercolaMercola.com, 2022




Zuckerberg a truqué les élections du Michigan pour aider Biden

[Source : anguillesousroche.com]

Mark Zuckerberg a aidé à truquer l’élection du Michigan en 2020 dans le cadre d’un complot démocrate visant à aider Joe Biden à remporter la présidence, selon un nouveau rapport explosif.

Un organisme à but non lucratif lié à la CTC de Zuckerberg a eu accès aux bulletins de vote par correspondance et a écarté les fonctionnaires « indésirables » du processus électoral.

C’est ce que rapporte le site Thefederalist.com : Des documents obtenus en exclusivité par The Federalist grâce à une demande de documents ouverts montrent que la PDG de National Vote at Home Institute, Amber McReynolds, travaille avec Benson pour changer la politique électorale du Michigan. NVAHI partage des liens de leadership avec le Center for Tech and Civic Life, un groupe qui a fait la navette entre l’argent de Zuckerberg et les agences électorales gouvernementales avant l’élection de 2020, comme le Federalist l’a précédemment rapporté. Dans plusieurs cas, la NVAHI et le CTCL ont travaillé ensemble pour influencer l’élection de 2020.

Les documents montrent également que l’organisation privée financée par le magnat de Facebook Zuckerberg existe pour pousser les États à adopter le vote postal de masse du type de celui qui a semé le chaos lors de l’élection de 2020.

Il est prouvé que les bulletins de vote par correspondance sont beaucoup plus susceptibles d’être frauduleux, comme l’a conclu en 2005 une commission fédérale bipartisane sur l’intégrité des élections présidée par l’ancien président Jimmy Carter. Cela s’explique par le fait que les bulletins de vote par correspondance offrent plus de possibilités d’influencer, d’obtenir et de trafiquer les bulletins de vote.

Dans un exemple récent, lors d’une élection du conseil municipal de Dallas, au Texas, en 2017, les enquêteurs ont découvert qu’une personne avait frauduleusement signé 700 bulletins de vote par correspondance, soit plus que la différence totale de voix entre les candidats concurrents à l’époque. Lors de l’élection de 2020 dans le Wisconsin, des fonctionnaires ont pris part à un trafic de bulletins de vote et ont utilisé des boîtes de dépôt pour les bulletins de vote par correspondance, ce qu’un juge a ensuite jugé contraire à la loi de l’État.

Des groupes privés disent aux employés publics ce qu’ils doivent faire

Dans le Michigan, cette organisation hautement partisane a directement affecté les règles de vote, montrent les nouveaux documents. Dans les courriels, M. McReynolds a suggéré à M. Benson de recourir à la réglementation administrative pour mettre en place une option permanente de vote par correspondance dans l’État. La réglementation administrative consiste à établir des règlements basés sur une interprétation de la loi, ce qui donne souvent lieu à des règlements qui diffèrent de l’intention initiale de la loi et parfois de son texte explicite.

« Je pensais que vous pourriez avoir un pouvoir de réglementation », a écrit McReynolds dans un courriel le 5 février 2019. « Le langage ci-dessous indique que les électeurs ont le droit de voter sans donner de raison, ce qui, pour moi, a laissé ouverte la possibilité de demandes d’absentéisme permanentes ou spécifiques à une élection. Pour moi, cela signifie que vous n’avez probablement pas besoin d’une modification législative. »

« Merci Amber », a répondu Benson, « Je vais contacter Jonathan Brater et Mike Brady de notre équipe juridique et politique pour explorer. »

Brater a servi de directeur de la politique juridique de Benson en 2019, et Brady a commencé à travailler comme son directeur juridique en chef en février 2019, selon LinkedIn. Benson a nommé Brater directeur des élections en novembre 2019.

Le porte-parole de Benson, Jake Rollow, a déclaré que les actions de Benson étaient conformes à la loi de l’État.

« Les électeurs du Michigan ont inscrit le droit de voter par correspondance dans la constitution de notre État en 2018, et après avoir prêté serment, la secrétaire Benson s’est mise au travail pour mettre en œuvre la volonté des électeurs », a déclaré Rollow.

Un groupe privé, lié à Zuckerberg, influe sur la politique électorale

Le National Vote At Home Institute a concentré son action pour 2020 dans le Michigan sur son objectif principal, à savoir l’augmentation du vote postal de masse. En janvier 2020, le NVAHI avait « engagé un lobbyiste pour faire pression discrètement en faveur d’une solution administrative qui accélérerait le traitement et le comptage des bulletins de vote dans le Michigan », selon une présentation de 2020 obtenue grâce à la demande de documents ouverts du Federalist. NVAHI a détaillé un plan en cinq étapes pour promouvoir le vote par correspondance universel, selon des documents de réunion de 2019.

Les États qui reçoivent une étoile du système de notation de la NVAHI sont ceux qui exigent une excuse valable pour voter en dehors d’un isoloir privé le jour du scrutin. Les États ayant obtenu cinq étoiles, la note la plus élevée, ont atteint l’objectif final de la NVAHI, à savoir le « vote intégral à domicile ».

La NVAHI a développé quatre stratégies pour pousser une politique de vote par correspondance à 100 % dans les 50 États, selon les documents de la réunion de 2019. Les documents disent que l’organisation utilise la première stratégie pour éliminer les garanties de l’État sur les bulletins de vote par correspondance : « Stratégie 1 : Réduire à zéro le nombre d’États de l’étape 1 et de l’étape 2 (excuse requise). Nous pouvons y parvenir par le biais d’une législation fédérale ou État par État (législature ou, si possible, initiatives de vote) », peut-on lire dans le matériel de réunion.

La deuxième stratégie du groupe consiste à augmenter le nombre d’États disposant d’une option de vote par correspondance permanent : « Stratégie 2 : augmenter le nombre d’États qui sont à l’étape 4 (vote par correspondance permanent). Donc, faire passer les États actuels sans excuse (IL, FL, MN, OH, MI, NM, et autres) à l’étape 4 », peut-on lire dans le document de la réunion.

La troisième stratégie de la NVAHI consiste à augmenter le nombre d’États où le vote par correspondance est obligatoire : « Stratégie 3 : Augmenter le nombre d’États qui sont à l’étape 5 (VAH complet). CA et UT sont en cours. Nous prévoyons que d’autres États iront dans cette direction », peut-on lire dans les documents de la réunion.

La dernière stratégie du groupe est d’influencer la façon dont les bureaux électoraux gouvernementaux traitent les bulletins de vote par correspondance : « Stratégie 4 : Travailler avec les États pour améliorer leurs procédures actuelles en ce qui concerne le traitement des bulletins de vote par correspondance. Cela inclut une variété de réformes qui améliorent le processus actuel », peut-on lire dans les documents de la réunion.

En 2020, le Cercle des conseillers de la NVAHI a fait le point sur les efforts du groupe en matière de politique nationale, selon les documents publics obtenus par le fédéraliste. Une carte dans cette mise à jour revendiquait des progrès dans le Michigan au cours de 2018/2019 avec « l’absentéisme sans excuse », mais encore plus était prévu pour 2020, y compris « des corrections pour permettre un traitement plus précoce des bulletins de vote ».

Selon les courriels obtenus par la demande de documents du Federalist, McReynolds a rencontré Benson au sujet des élections du Michigan à plusieurs reprises en 2019.

« J’aimerais me connecter avec vous au sujet de certains éléments de suivi de ma visite », a écrit McReynolds dans un courriel du 26 janvier 2019. « Peut-être une discussion rapide à un moment donné pendant que vous êtes à la NASS [Association nationale des secrétaires d’État]. »

Après une visite précédente, montrent les courriels, McReynolds a prévu de rencontrer Benson et plusieurs autres secrétaires d’État lors de la conférence NASS à Washington.

« Je voulais voir si nous pouvions nous connecter à DC [sic] pendant la NASS », a écrit McReynolds dans un courriel du 28 janvier 2019. « J’espérais passer une heure à discuter de quelques sujets. »

McReynolds a également demandé à rencontrer Benson en privé à D.C. pour discuter des élections du Michigan, et Benson a accepté, montrent les courriels.

« Peut-être que vous et moi pouvons discuter du Michigan spécifiquement par nous-mêmes », a déclaré McReynolds dans un courriel du 30 janvier 2019. « Ça sonne bien ! » a répondu Benson.

En février 2019, Benson a pris des conseils sur les demandes de vote par correspondance à la fois de McReynolds et de Stephen Silberstein. Silberstein est un donateur de gauche lié à Democracy Alliance et à National Popular Vote, selon InfluenceWatch.

« C’est très utile », a déclaré Benson. « Nous allons mettre en œuvre un grand nombre de vos suggestions. »

Peu après leur réunion de janvier 2019 à D.C., McReynolds a offert à Benson et à l’ancienne secrétaire d’État Kim Wyman (R-Wash) le poste de coprésidents du nouveau cercle de conseillers de NVAHI, montrent les courriels.

« Je suis heureux de servir », a répondu Benson le 19 février 2019. Wyman, cependant, n’est pas actuellement répertorié comme un membre du groupe.

Le porte-parole de Benson nie toute influence privée

Rollow a affirmé que McReynolds avait des interactions « limitées et minimes » avec McReynolds.

« On lui a demandé de rejoindre le cercle des conseillers de la NVAHI, mais ses interactions directes avec McReynolds ont été limitées et minimes », a déclaré Rollow.

Mme Benson a rejoint Tiana Epps-Johnson, fondatrice et directrice du Center for Tech and Civic Life, financé par Zuckerberg, dans le cercle des conseillers de la NVAHI. En 2020, le CTCL a canalisé environ un demi-milliard de dollars de Zuckerberg vers les agences électorales publiques en 2020, comme le Federalist l’a précédemment rapporté.

Des employés partisans qui dirigent des élections publiques

Après que les fonctionnaires aient accepté les subventions de la CTCL, les « mentors de subvention » de la NVAHI ont parfois eu accès aux bulletins de vote par correspondance et ont écarté les fonctionnaires du processus électoral. Dans le Wisconsin, le responsable de la NVAHI dans l’État, Michael-Spitzer Rubenstein – qui avait auparavant travaillé pour des campagnes politiques démocrates – a personnellement accédé à des bulletins de vote par correspondance, malgré les objections du secrétaire municipal de Green Bay, Kris Teske.

Ce dernier a ensuite démissionné en raison de sa frustration face à l’intervention de groupes tiers comme la CTCL et la NVAHI dans les élections.

« Je ne sais plus quoi faire. J’essaie d’expliquer le processus mais il n’est pas entendu »a déclaré Teske. « Je ne comprends pas comment des personnes qui ne connaissent pas le processus peuvent nous dire comment gérer l’élection. »

The Federalist a contacté McReynolds pour un commentaire mais n’a pas reçu de réponse.




Vera Sharav : « Un groupe d’oligarques a capturé les gouvernements de la même manière que les nazis »

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

« Un groupe d’oligarques mondiaux assoiffés de pouvoir, qui se compose de Big Pharma, des banques centrales, et des compagnies technologiques de biosurveillance, a capturé les gouvernements de la même manière que les nazis. »

Dans ce debriefing exceptionnel, nous avons reçu Vera Sharav, rescapée de l’holocauste et éminente militante des droits de l’homme. Elle a partagé avec nous ses analyses sur les parallèles qu’il est possible d’établir entre les évènements survenus au cours de la crise du Covid-19 et la période du nazisme. Cette interview a été conduite en partenariat avec Ariane Bilheran, docteure en psychologie. Elle a écrit plusieurs ouvrages sur la manipulation mentale et la psychologie du pouvoir et elle est l’auteure de la tribune Totalitarisme, idéologie et paranoïa publiée dans France Soir.



Vera Sharav, née en 1937 en Roumanie, est la fondatrice de l’organisation à but non lucratif Alliance for Human Research. Elle s’est illustrée par son fervent militantisme contre les pratiques illicites et frauduleuses de l’industrie pharmaceutique depuis la mort de son fils adolescent suite à une réaction à la Clozapine, un médicament prescrit dans le cadre du traitement d’un trouble schizo-affectif.

Dans son combat, Vera Sharav s’est particulièrement intéressée au sujet des dispenses de consentement émises par la Food and Drug administration (FDA) dans le cadre d’études cliniques. Son engagement l’avait notamment conduite à faire campagne contre « Northfield Laboratories », fabricants du substitut sanguin PolyHeme, une affaire dont les médias et le Sénat américain s’étaient saisis.

Naturellement, elle s’est rapidement positionnée contre la vaccination anti-Covid imposée dans différents pays du monde au moyen d’un arsenal législatif liberticide, qui viole le consentement libre et éclairé normalement exigé avant de pratiquer un acte médical ou d’administrer un traitement. Pour Vera Sharav :

« du temps d’Hitler, ce sont surtout les juifs qui étaient diabolisés en tant que propagateur de maladies infectieuses. Aujourd’hui, ce sont les résistants à l’obligation vaccinale et au passeport vaccinal. »

En revanche, elle soutient que ces injonctions s’inscrivent dans le cadre d’un projet plus large, le Nouvel Ordre Mondial, aussi appelé Grande Réinitialisation, qui vise à prendre le contrôle de chaque aspect de la vie du citoyen. Le passe vaccinal est un pilier fondamental de ce plan, censé consolider le projet d’identité numérique. « L’objectif sous le régime nazi et aujourd’hui est le même. Il s’agit de prendre le contrôle de la vie des gens et de s’assurer qu’ils obéissent aux décrets du gouvernement quel qu’il soit », martèle-t-elle. Et de mettre en garde :

« Lorsque nous voyons des scènes horribles de policiers en uniformes noirs, tout comme les nazis, attaquer brutalement les manifestants à Paris, à Ottawa, en Israël… ces scènes sont des rappels douloureux au prélude de l’Holocauste : la solution finale. »

Vera Sharav est aussi revenue sur le rôle central tenu dans cette crise par le Dr Anthony Fauci, conseiller de la Maison-Blanche sur la gestion de la crise sanitaire, et sur les violations manifestes du Code de Nuremberg qu’induit ce qu’elle qualifie d’« expérimentation massive ». Elle l’assène :

« Le Code de Nuremberg est garanti à chaque être humain en temps de guerre comme en temps de paix. En d’autres termes, déclarer un état d’urgence ne suspend pas le Code de Nuremberg. »

Ce debriefing a été réalisé en partenariat avec The Translation Bridge, chargé de la traduction de cette vidéo.

[Voir aussi :
La Dictature médicale Secrète : Entretien historique entre la rescapée de l’holocauste Vera Sherav et l’avocat Reiner Fuellmich
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19]




L’agence de presse Reuters, le cabinet McKinsey et Pfizer, l’énorme conflit d’intérêts ! Mise à jour

[Source : Nexus]

Conflit d’intérêts : peut-on être membre du conseil d’administration et actionnaire d’un grand groupe pharmaceutique et, dans le même temps, P-DG d’une agence de presse internationale se revendiquant « vérificateur de faits » ?

Reuters est une des plus grandes agences de presse internationales, dont les dépêches sont régulièrement reprises dans les journaux du monde entier. Le groupe Thomson Reuters annonçait le 25 février 2020 le départ de son P-DG, James C. Smith, remplacé par Steve Hasker. Le premier a été président de l’agence de presse tout en étant membre du conseil d’administration et actionnaire du laboratoire Pfizer durant six ans, alors que le second a travaillé pendant dix ans pour le cabinet de conseil McKinsey & Co en tant que consultant média.

◆ Les agences de presse, pourvoyeuses d’information

Pour rappel, « une agence de presse est une organisation qui vend aux médias de l’information (textes, photos, vidéos, etc.) à la manière d’un grossiste fournissant des détaillants, ce qui permet à ces médias de s’informer sur des pays dans lesquels ils n’ont pas, ou pas assez, de correspondants, et dans des domaines où l’agence peut compléter ou renforcer leur propre production », selon la définition de Wikipédia. Autrement dit, ces agences sont la source des informations que retransmettent ensuite les médias nationaux.

Mais en plus d’informer, ces agences de presse souhaitent maintenant lutter contre la désinformation, en faisant du fact-checking. Reuters a, par exemple, signé un accord avec Twitter et Facebook pour « fournir plus rapidement des informations crédibles sur le réseau social dans le cadre d’un effort visant à lutter contre la propagation de la désinformation » et pour « vérifier les faits ».

 Des journaux sous influence ?

Depuis le début de la crise Covid-19 et la découverte d’un vaccin contre le virus, la grande majorité des médias mainstream ont relayé des informations consistant à prouver que la vaccination de masse était la seule solution pour sortir de la crise, tendant à maximiser les bienfaits des vaccins et à minimiser leurs effets secondaires. Toute critique du vaccin était (et est encore) taxée de complotisme. Plus de 22 000 articles mentionnant Pfizer et son vaccin ont été publiés, majoritairement en faveur de celui-ci.

Pfizer indique sur son site que l’ancien P-DG de Thomson Reuters est administrateur du groupe pharmaceutique depuis 2014 alors qu’il travaillait encore pour le groupe de presse. N’y a-t-il pas dans ce cas un énorme conflit d’intérêts ? James C. Smith aurait-il pu influencer la campagne médiatique pro-vaccination de Reuters et par conséquent de nombreux médias et la population ?

De même, les dix années passées par le nouveau P-DG de ce groupe de presse en tant que consultant média chez McKinsey & Co, le cabinet américain à l’origine de la politique de vaccination de masse de nombreux gouvernements, auraient-elles pu influencer les choix de rédaction de Reuters ?

 McKinsey & Co, le cabinet qui dirige le monde

McKinsey & Co est un cabinet privé de conseil ayant une influence mondiale. Il n’est pas rare de voir d’anciens employés du cabinet parachutés à des postes influents que ce soit dans  le privé ou dans le public.

La France a décidé de faire appel à ce cabinet en décembre 2020. Le 27 décembre commençait la campagne de vaccination. Rappelons que McKinsey conseille entre autres les gouvernements des Etats-Unis, du Royaume-Uni et de l’Australie sur leur stratégie vaccinale.

Le cabinet américain a également travaillé, par le passé, avec le groupe Pfizer et un des responsables actuels des ventes de vaccins pour Pfizer aux États-Unis a travaillé pendant huit ans chez McKinsey.

L’impressionnante toile tissée par le cabinet McKinsey & Co et le conflit d’intérêts flagrant entre Reuters et Pfizer posent question. Les médias, les gouvernements et les populations ne seraient-ils pas sous influence?

Lire notre article papier « Profits outranciers, manigances et délits d’initiés chez McKinsey » dans notre nouveau numéro 138 en vente en kiosque et en ligne :


[Bonus]

Mise à jour




USA : le gouvernement fédéral a payé des centaines de médias pour faire de la publicité pour les vaccins COVID-19 alors que ces mêmes organes de presse présentaient une médiatisation positive des vaccins

[Source : theblaze.com]

Par Chris Pandolfo

Traduction : Jean Bitterlin

Les laboratoires pharmaceutiques américains financent les campagnes électorales des candidats des deux bords. Ces candidats sont donc corrompus avant même d’être élus.

Les laboratoires pharmaceutiques américains financent les organismes de santé publique en faisant de ces organismes des entités corrompues (OMS, CDC, HHS) ; entités qui le leur rendent bien par le biais du calendrier vaccinal dément imposé aux familles ou en impulsant des campagnes de propagande.

Les laboratoires pharmaceutiques américains financent les journaux et chaînes de télévision par le biais des publicités (80 % des recettes) qui serviront à augmenter les ventes des laboratoires pharmaceutiques.

Le contribuable américain finance les organismes de santé publique, lesquels organismes participent aux campagnes de propagande organisées par le personnel politique et les chefs d’agences de Santé publique mis au pouvoir par les laboratoires pharmaceutiques.

Est-ce bien différent chez nous ?

Jean Bitterlin

En réponse à une requête FOIA (Freedom of Information Act, loi américaine qui oblige les organismes publics à répondre aux questions posées par les citoyens — NdT) déposée par TheBlaze, le ministère de la Santé et des Services à la Personne (en anglais le HHS – NdT) a révélé qu’il a acheté de la publicité dans les principaux médias parmi lesquels ABC, CBS, et NBC, tout comme dans les stations de nouvelles de la télévision par câble, Fox News, CNN et MSNBC, dans les médias institutionnels parmi lesquels le New York Post, le Los Angeles Times et le Washington Post, dans les entreprises de médias numériques comme BuzzFeed et Newsmax, ainsi que dans des centaines de journaux et de stations de télévision locaux. Ces organes de presse étaient collectivement responsables d’avoir publié d’innombrables articles et de segments vidéo concernant le vaccin qui étaient pratiquement uniformément positifs au sujet du vaccin tant sur son efficacité que sur sa sûreté.

Des centaines d’organes de presse étaient payés par le gouvernement fédéral pour faire la publicité des vaccins comme faisant partie d’une « campagne médiatique de compréhension » d’après les documents du ministère de la Santé et des Services à la Personne obtenus par TheBlaze. L’administration Biden a acheté des publicités à la télévision, la radio, la presse écrite et dans les médias sociaux pour bâtir une confiance dans les vaccins, en synchronisation avec la disponibilité grandissante des vaccins. Le gouvernement s’est également appuyé sur des médias gagnés à la cause mettant en vedette des « influenceurs » de « communautés durement touchées par la COVID-19 » et des « experts » comme le conseiller médical en chef de la Maison-Blanche, le Dr Anthony Fauci, et d’autres universitaires afin d’être interviewés et promouvoir la vaccination lors des journaux télévisés.

Ne manquez pas le contenu de Dave Rubin exempt de la censure des géants du net. Écoutez le compte-rendu de Rubin maintenant

Bien que pratiquement toutes les salles de rédaction aient produit des articles couvrant les vaccins COVID-19, l’argent du contribuable qui a été versé dans leurs entreprises n’a pas été divulgué au public dans leurs reportages, puisque la pratique courante exige que les équipes éditoriales fonctionnent de manière indépendante vis-à-vis des services de publicité des médias et les équipes journalistiques n’ont pas jugé utile d’en faire la divulgation, comme l’ont expliqué certaines publications qui ont reçu des commentaires de lecteurs.

L’administration Biden s’est engagée dans une campagne massive pour éduquer le public et promouvoir la vaccination comme étant le meilleur moyen de prévenir la maladie grave ou le décès dus au COVID-19.

Le Congrès a alloué 1 milliard de dollars au cours de l’année fiscale 2021 au Secrétaire à la Santé pour être dépensés dans des activités visant à « renforcer la confiance dans les vaccins aux États-Unis ». La loi fédérale autorise le HHS (Ministère ou Département de la Santé et des Services à la Personne — NdT) à agir par l’intermédiaire des Centres de Contrôle des Maladies et de la Prévention des États-Unis et d’autres agences pour passer des marchés avec des entités publiques et privées afin de « mener une campagne nationale fondée sur des preuves visant à accroître la sensibilisation et la connaissance de la sécurité et de l’efficacité des vaccins dans la prévention et le contrôle des maladies, de combattre la désinformation sur les vaccins et à diffuser des informations scientifiques fondées sur les preuves au sujet des vaccins, dans le but d’augmenter les taux de vaccination dans toutes les tranches d’âge… pour réduire et éliminer les maladies évitables par la vaccination ».

Quiconque a passé du temps à lire les nouvelles, à regarder la couverture médiatique télévisée, ou à naviguer sur les médias sociaux au cours de l’année écoulée a plus que probablement été exposé à la publicité du gouvernement. Les publicités du HHS publiées sur YouTube ont été visionnées des millions de fois et des publicités présentant des célébrités tels le chanteur Sir Elton John et l’acteur Sir Michael Caine ont été le sujet de couvertures médiatiques, comme cette chronique de NBC News :

Elton John, Michael Caine apparaissent dans une publicité comique sur le vaccin Covid — NBC News Maintenant youtu.be.

Les « publicités de vaccins basés sur la peur » du HHS présentant des histoires de « survivants » parmi les patients atteints du coronavirus qui étaient hospitalisés dans des unités de soins intensifs ont été couvertes par CNN et discutées dans les émissions « The View » d’ABC jusqu’à ce qu’elles soient dévoilées en octobre dernier.

Bien que le gouvernement fédéral ait payé chacune de ces entreprises et autres pour une publicité pro vaccin tandis que les journaux télévisés couvraient les mêmes vaccins, de nombreux comités de rédaction disent qu’ils ont des politiques de pare-feu qui empêchent les annonceurs d’influencer la couverture des nouvelles.

Les annonceurs paient pour un espace afin de partager leurs messages, comme c’était le cas ici, et ces publicités sont clairement étiquetées comme telles », a expliqué dans un communiqué Shani George, vice-présidente à la communication du Washington Post. « La salle de rédaction est totalement indépendante du département de la publicité », a-t-elle déclaré.

Une porte-parole du Los Angeles Times a fait une déclaration similaire, soulignant que « la salle de rédaction fonctionne indépendamment de la publicité ».

TheBlaze a contacté plusieurs autres publications qui ont soit refusé de commenter ou n’ont pas répondu avant la publication (de cet article — NdT).

La campagne d’éducation du public sur le COVID-19 du HHS a également utilisé des médias de proximité gagnés à la cause — le marketing du bouche-à-oreille — dans le but d’avoir des « messagers et des influenceurs de confiance » pour parler aux agences de presse afin de « fournir des informations factuelles et opportunes et des mesures que les gens peuvent prendre pour se protéger, protéger leurs familles et leurs communautés ».

À la suite de cet effort, divers responsables gouvernementaux ont souvent été cités par les reporters couvrant la pandémie COVID-19, offrant des informations factuelles sur l’efficacité et l’innocuité des vaccins. Un article du mois d’octobre de BuzzFeed News (featuring the « essential facts ») au sujet de qui était éligible pour l’injection de rappel COVID-19, par exemple, a rapporté des déclarations pro-vaccins de Rochelle Walensky, la directrice du CDC, du représentant de la FDA Peter Marks, du Secrétaire du HHS Xavier Becerra, et de George Rutherford, épidémiologiste à l’Université de Californie à San Francisco.

L’article soulignait comment les études montrent que les « rappels fonctionnent » et citait des données de la FDA qui suggèrent que de recevoir une injection de rappel « peut rétablir une forte protection contre le virus ». BuzzFeed News a conseillé à toutes les personnes âgées de 65 ans ou plus, aux personnes ayant des problèmes de santé qui les exposent à un risque élevé de maladie grave du COVID-19, à celles comme les personnels soignants qui courent le risque de par leur travail d’entrer en contact avec des personnes positives au COVID-19, et à tous ceux qui sont dans des zones à forte transmission du virus de prendre le vaccin de rappel, conformément aux directives du CDC.

D’autres publications, telles que le Los Angeles Times, ont présenté des conseils venant d’experts sur la façon dont les lecteurs pourraient convaincre les personnes hésitantes de leur entourage à changer d’avis. Le Washington Post a couvert « les messages pro-vaccins que les gens veulent entendre ». Newsmax a rapporté comment on «  a démontré que les vaccins sont sûrs et efficaces » et « a encouragé les citoyens, surtout ceux qui sont à risque, de se faire vacciner ».

Le HHS n’a pas immédiatement répondu lorsqu’on lui a demandé si l’agence utilisait l’argent des contribuables pour que les personnes interviewées soient payées ou pour qu’une société de relations publiques les place dans des interviews avec des organes de presse.

Depuis que les vaccins COVID-19 fabriqués par Pfizer-BioNTech, Moderna et Johnson & Johnson ont reçu une approbation d’utilisation en urgence aux États-Unis l’an passé, plus de 215 millions de personnes ont été pleinement vaccinées contre la COVID-19. On estime que 94,6 millions de personnes ont également reçu au moins une dose de rappel. Environ 65 % de la population des États-Unis est désormais pleinement vaccinée contre la COVID-19 dont 75 % de la population adulte des États-Unis et 88,8 % des personnes âgées.

Le HHS n’a pas encore révélé combien d’argent en publicité a été dépensé sur chaque plate-forme médiatique.

Traduction Jean Bitterlin le 18 mars 2022




Pas de fleurs pour le sidarnarqueur

[Source : Néo Santé]

Par Yves Rasir

Depuis son décès, beaucoup d’entre vous me demandent pourquoi je ne me suis pas joint aux multiples et vibrants hommages rendus au Pr Luc Montagnier. Et depuis ma lettre du 26 février, certains lecteurs me suggèrent d’ajouter son nom  à la liste des morts suspectes survenues chez les opposants au covidisme et  chez les antivaxs inquiets de la présence éventuelle de graphène. Concernant cette deuxième réaction, je fais remarquer que le célèbre Prix Nobel de médecine 2008 était âgé de 89 ans  – un âge propice à un trépas naturel – et que, selon ce qu’on en sait, il s’est éteint paisiblement entouré des siens. Cela ne cadre pas beaucoup avec l’hypothèse d’un meurtre maquillé. À ce compte-là, je suis nettement  plus troublé par les récentes  disparitions successives de l’ex-député européen Paul Lannoye et du docteur en sciences Pierre Lutgen, qui venaient juste de faire cause commune pour dénoncer l’inefficacité et la dangerosité du nouveau vaccin antimalaria du laboratoire GSK.  Ces deux vieux amis de Néosanté avaient l’air  en bonne forme lors de leur conférence de presse du 28 octobre 2021, mais comme ils étaient tous deux octogénaires, il serait sot d’écarter une double perte attribuable aux rigueurs de l’hiver. Le complotisme et moi, ça ne fait toujours pas un, ou en tout cas pas toujours un. Concernant mon abstention à la glorification post-mortem du professeur Montagnier,  il me faut visiblement  rappeler que je n’ai jamais été son admirateur et que je me range au contraire parmi ses détracteurs impénitents. Comme je l’ai toujours critiqué de son vivant, il eût été hypocrite de ma part de pleurer son départ et de faire chorus aux éloges posthumes.

Une effroyable mystification

Attention : ma réticence à manier l’encensoir n’a évidemment rien à voir avec le méprisable mépris dont ont fait preuve l’establishment médical,  le monde politique et les médias à la botte de ces deux pouvoirs. Par leur silence  gêné et leur absence aux obsèques, ces trois composantes de la société ont véritablement craché sur le cercueil d’un homme qu’elles ont auparavant vénéré pour sa co-découverte du VIH. Elles ont brûlé le savant qu’elles avaient adoré au triple prétexte que celui-ci s’était égaré plus tard dans des recherches sur la mémoire de l’eau, qu’il avait proposé une explication peu conventionnelle à l’épidémie d’autisme (piste infectieuse sur fond de diverses pollutions) et  qu’il avait, à l’occasion de la crise covid, rejoint ouvertement les rangs des vaccinosceptiques. Pour ma part, ce sont au contraire ces trois « déviances » qui me faisaient garder de l’estime envers Luc Montagnier. J’ai notamment beaucoup aimé que ce nobélisé couvert d’honneurs sorte des sentiers  battus,  reprenne audacieusement les travaux de Jacques Benveniste sur les propriétés de l’eau et qu’il en explore à son tour  la mystérieuse capacité à conserver la trace électromagnétique de molécules pourtant physiquement éliminées par les hautes dilutions. Son rêve d’une médecine d’avenir basée sur la compréhension des énergies ondulatoires me semblait même visionnaire et très complémentaire des découvertes du Dr Hamer. Pour l’avoir rencontré à deux reprises, je peux également témoigner des qualités humaines du Pr Montagnier, personne affable et délicieusement courtoise,  toujours  ouverte à la conversation et ne prenant jamais de haut ses interlocuteurs. Mais comment voulez-vous que je participe au panégyrique  alors que je tiens le virologue pour co-responsable de la plus grande escroquerie médico-scientifique de tous les temps ? Pour moi, en effet, Luc Montagnier restera à jamais, avec son collègue  américain Robert Gallo, celui qui aura mystifié la planète en faisant d’un  innocent rétrovirus le coupable du syndrome d’immunodéficience acquise. Par respect envers la majorité des lecteurs qui suivent Néosanté depuis longtemps, je ne vais pas répéter ici tout ce que nous avons déjà écrit dans la lettre hebdomadaire et  publié dans notre mensuel. Je vous renvoie aux archives de la newsletter (notamment celle du 14 décembre 2014) et aux numéros de la revue (n°2, 6, 17, 28 et 53) qui abordent le thème du sida. En très résumé, cette maladie n’en est pas vraiment une, elle n’est pas d’origine virale et n’est donc pas sexuellement transmissible, comme en attestent notamment  la fausseté  systématique des prédictions pandémiques catastrophistes et l’impressionnant cantonnement du fléau aux hommes occidentaux. Ses vraies causes sont  un mode de vie délétère (usage de drogues dures ou récréatives mais très nocives, abus d’antibiotiques,  malnutrition, existence nocturne,  sexualité anale débridée…) et bien évidemment un terrain psychologique prédisposant aux comportements suicidaires. Pour ceux qui veulent se ré-informer sur le sujet, je conseille toujours le livre « L’invention du virus du sida » (éditions Marco Pietteur), du rétrovirologue américain   et célèbre «dissident »  Peter H. Duesberg. Dans l’édition française de cet ouvrage, plusieurs annexes démontent le mythe du sida africain et démontrent que cette épidémie frappant essentiellement les homosexuels toxicomanes a d’incontestables racines chimiques. La mystification opérée  par le duo Montagnier-Gallo a ceci d’effroyable qu’elle a  permis de recycler l’AZT, médicament anticancéreux abandonné en raison de sa toxicité, dans le traitement antiviral des sidéens. Avant sa dilution dans les trithérapies au milieu des années 90, ce redoutable poison immunodépresseur aura probablement tué des millions de patients !

Un revirement insuffisant

Ce que peu de gens savent, c’est que l’auteur principal de la théorie HIV/sida avait lui-même partiellement renié sa découverte. Assez rapidement, Luc Montagnier a réalisé que la piste virale était truffée de tellement d’anomalies et d’incohérences (malades sans virus, virus sans maladie, tableaux cliniques  par trop hétérogènes,  séropositifs invulnérables,  guérisons spontanées…) qu’elle ne tenait plus debout. Il a donc amorcé un virage en soutenant que le VIH était bien le coupable principal mais qu’il lui fallait nécessairement des complices, des « cofacteurs » sans lesquels les défenses immunitaires n’entraient pas en dépression. Dans certains cas, comme il l’avoue dans le chapitre « Pourquoi nous n’avons pas vaincu le sida » de son livre « Les Combats de la Vie », il est même évident que l’infection par le virus ne constitue elle-même qu’un facteur de risque et que le déclenchement de son agressivité dépend d’autres facteurs immunodéprimants. Aux yeux du  futur Prix Nobel de médecine, il était clair que l’effondrement de l’immunité était surtout imputable au stress oxydant, c’est-à-dire à l’oxydation cellulaire consécutive au stress psychologique et/ou à des nuisances environnementales comme  la malbouffe ou les radiations électromagnétiques. Pour lui, la première parade au sida devait être de réformer l’alimentation et de combler les carences vitaminiques.  Ça vaut la peine de relire son bouquin autobiographique car il permet de voir que l’ancien chercheur à l’Institut Pasteur avait considérablement évolué et qu’il accordait désormais une importance primordiale au terrain par rapport aux microbes. Ce livre paru en 2008 est d’ailleurs sous-titré « Mieux que guérir, prévenir ». À l’époque, sa lecture ne m’avait pas cependant  pas étonné car j’avais assisté, 5 ans plus tôt, au colloque  « Le sida en Afrique » organisé au parlement européen par  le regretté Paul Lannoye. Dans son intervention à ce congrès, le virologue insistait déjà beaucoup sur la nécessité  de combattre la malnutrition pour espérer vaincre l’épidémie. Ça vaut aussi la peine de relire les actes de ce colloque (publié par Marco Pietteur) car il y avait également  plusieurs orateurs « repenseurs » qui y prenaient la parole, comme le Pr Etienne de Harven, autre spécialiste des rétrovirus et co-auteur deux ans plus tard du livre « Les 10 plus gros mensonges sur le sida » (éditions Dangles). Aux cours des échanges, Montagnier a concédé que le VIH n’avait jamais été isolé ni purifié et qu’il n’y avait que des « preuves indirectes » de son implication causale dans l’écroulement immunitaire. À un moment  de la discussion, il a même admis que la charge virale ne voulait rien dire et que le dépistage moléculaire  était inapproprié pour mesurer le degré d’infectiosité. Pour rappel, l’inventeur de la technique PCR, le prix Nobel de Chimie Kary Mullis, était un fervent « dissident du sida » qui a d’ailleurs signé la préface du bouquin de Duesberg. Dans celle-ci et dans son autobiographie, il raconte comment il a vainement tenté d’obtenir de Montagnier la preuve scientifique  que le VIH était responsable du sida. Celui-ci s’est toujours accroché à ses « preuves indirectes » mais n’a jamais fourni ce qu’on lui demandait….

Une pitoyable courbe rentrante

Non content de balayer les critiques et de refuser à ses pairs les preuves réclamées, celui que sanctifient aujourd’hui les résistants au covidisme a commis pour moi un délit beaucoup moins pardonnable : le parjure. Il a en effet nié avoir tenu des propos qu’il avait bel et bien tenus mais qui lui valaient l’opprobre des gardiens de la doxa  sur le sida. Les faits remontent à 2009 : de manière assez surprenante, Luc Montagnier accepte d’être interviewé par le  jeune réalisateur américain Brent Leung pour son documentaire « House of Numbers » (*), un film qui ne fait  pas mystère de contester l’hypothèse HIV/sida et qui fera couler beaucoup d’encre. De manière encore plus surprenante, le professeur  se lâche durant l’entretien et affirme carrément que l’exposition au virus n’a guère d’importance et que le système immunitaire peut s’en débarrasser en quelques semaines moyennant de simples mesures d’hygiène. Comme le montre la séquence, le cinéaste  est tellement stupéfait qu’il fait répéter au virologue français ce qu’il vient de dire en anglais.  Montagnier persiste et déclare que le sida africain peut être efficacement combattu par une meilleure nutrition et par l’accès à l’eau propre (« l’eau est la clé », insiste-t-il), des mesures qui ne sont pas spectaculaires mais ne sont pas mises en œuvre parce qu’elles ne rapportent rien à l’industrie pharmaceutique. Plus tard,  sans doute impressionné par les levées de boucliers contre le film qualifié de « négationniste », Montagnier prétendra qu’il n’a pas vraiment dit ça et que le montage de l’interview avait déformé ses propos, ce qui n’est pas du tout le cas. À l’époque, cette courbe rentrante m’a tellement irrité que j’ai publié dans Néosanté la transcription exacte des paroles prononcées par Montagnier.  À ma connaissance, il ne les a jamais assumées  pleinement et n’a plus  jamais osé s’écarter à ce point de la théorie pasteurienne. Au contraire, il avait rejoint ces médecins obsédés par les germes et qui leur attribuent toutes sortes de responsabilités pathogènes par le mécanisme des « infections froides », un concept dont la solidité m’a toujours paru sujette à caution. Dans le dossier covid, j’ai évidemment apprécié son engagement aux côtés des « novaxs » décommandant de se soumettre aux injections expérimentales et alertant sur les phénomènes d’échappement immunitaire ou de facilitation des infections par la vaccination. À force d’espérer un vaccin antisida qui n’est jamais venu et dont l’impossibilité à le développer avait dû le faire réfléchir, l’homme était visiblement devenu un « vaccinoprudent », si pas un adversaire résolu de cette méthode qu’il rendait responsable de l’apparition de variants. En revanche, je prends avec des pincettes son ralliement empressé à l’hypothèse du coronavirus artificiel et à la théorie hyper-complotiste selon laquelle une séquence du VIH aurait été ajoutée au génome du sars-cov-2. Si je ne m’abuse, ce scénario d’épouvante repose sur une seule étude indienne rétractée et n’a jamais été confirmé par d’autres recherches. Et quand bien même on aurait bricolé du matériel coronaviral pour lui greffer des éléments rétroviraux, est-ce que cela justifie l’énorme effet nocebo que le cri d’alarme de Montagnier a pu ajouter à l’hystérie covidienne ? Avant de balancer sa bombe, le co-découvreur du VIH  aurait été bien inspiré de ressortir ses propos « rassuristes » sur l’immunodéficience humaine, ses causes réelles  et ses solutions naturelles.  La frayeur irrationnelle suscitée envers la grippe covid aurait alors été amoindrie au lieu d’être amplifiée. Comme il ne l’a pas fait, ne comptez pas sur moi pour m’associer au chœur des lanceurs de fleurs. Que le sidarnaqueur  repose désormais en paix et nous la fiche maintenant qu’il a rejoint son gourou Louis Pasteur et pris conscience de leurs communes et lamentables erreurs…


Documentaire House of Numbers

Documentaire SIDA : le doute

Émission Le SIDA — le plus gros mensonge du 21e siècle

Dossier SIDA : la fin de l’hypnose VIH

[Voir aussi :
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Repenser le SIDA
Vous aviez raison, Président Thabo Mbeki
Fauci et la grande arnaque du SIDA
L’escroquerie du SIDA (sidasante.com)]




Parlons contamination

[Source : RI]

par Edy Fernandez.

Votre croyance – par les influences de toutes sortes que vous subissez – en un « virus » défini comme étant un agent pathogène contagieux et dangereux crée chez vous des peurs, plus ou moins conscientes. Ces peurs créent des stress oxydatifs et des lésions invisibles de votre terrain, ce qui s’additionne aux effets des toxines déjà présentes en quantités plus ou moins importantes dans votre organisme.

Nous subissons en effet diverses pollutions et agressions de par notre environnement et tout ce que nous ingérons et inhalons, tant sur le plan physique que psychique, ce qui est générateur de quantité de toxines au niveau cellulaire.

« Le stress cellulaire dû à la charge toxique que nous subissons quotidiennement, qu’elle soit d’origine environnementale ou psychosomatique, exposition aux ondes électromagnétiques, pollutions chimiques, vaccins, alimentation malsaine, souffrance psychique et traumatismes divers, génère des vésicules extra cellulaires, des exosomes, qui contiennent des informations qui peuvent être alarmantes si on y est exposé, car elles avertissent les autres qu’ils doivent activer immédiatement leurs voies de détoxination, ces informations étant transférées au groupe afin qu’il puisse se créer une résistance au sein de la communauté.

Nous fonctionnons à ce niveau comme les plantes et les arbres, qui se transmettent des messages afin de résister à une agression.

Il s’avère malheureusement que l’exposition répétée à ces sources de pollution diminue graduellement la résistance du groupe, ce qui nous rend davantage sujets aux maladies ». (Informations extraites du film « Terrain », partie 2, qu’on peut visionner ici)

Ces différents stress et toxines sont alors générateurs de symptômes divers, qu’on appelle péjorativement maladie, mais qui ne sont en réalité qu’un processus naturel de nettoyage et de remise en état d’un terrain encrassé ou altéré. Un processus de guérison, certes non exempt de désagréments, dans lequel les bactéries interviennent systématiquement, leur rôle étant de nettoyer et réparer l’organisme et de rétablir la qualité du terrain.

Car le corps a besoin de se nettoyer périodiquement, et il est toujours préjudiciable d’entraver ce processus par la prise inappropriée de médicaments, ce qui est générateur de maladies chroniques.

Si une personne en bonne santé ne court guère de risques, il est cependant clair que ce processus de nettoyage peut s’avérer critique, voire fatal, en fonction d’une piètre qualité du terrain.

Comme le dit Jung :

« Nous ne sommes pas là pour guérir de nos maladies, mais nos maladies sont là pour nous guérir ».

Ou bien :

« La maladie est l’effort que fait la nature pour guérir l’homme ».

Vous le constatez, il n’est pas nécessaire qu’un virus existe réellement physiquement, sa seule représentation suffit à générer des symptômes en relation directe avec le potentiel morbide qu’on attribue au virus (foyers de Hamer).

Un virus est donc, avant tout, mental.

Pour le dire schématiquement, comme nous l’enseigne l’épigénétique (c’est à dire, globalement, l’influence de l’environnement sur la génétique), nos pensées, nos représentations mentales, nos croyances limitantes, créent nos maladies. Car les pensées, ainsi que les émotions, sont de puissantes énergies.

Je laisse volontairement ici de côté la question du sens des maladies et des messages qu’elles véhiculent à notre seule intention, sachant que tout est un et que le visible n’est que l’expression de l’invisible, toutes choses qui nous entraîneraient beaucoup trop loin.

« Les crises, les bouleversements et la maladie ne surgissent pas par hasard. Ils nous servent d’indicateurs pour rectifier une trajectoire, explorer de nouvelles orientations, expérimenter un autre chemin de vie. Si vous ne faites pas face à votre ombre, elle vous viendra sous la forme de votre destin ».

(Carl Gustav Jung)

Une fois vos symptômes déclarés, vous allez ensuite pouvoir « contaminer » votre entourage par un effet de mimétisme, c’est à dire par résonance vibratoire, par un échange de photons qui transportent une information (que nous le voulions ou non, nous sommes des êtres interconnectés et nous discutons en permanence avec tous les corps vivants que nous croisons ou rencontrons, par voie électromagnétique, par un échange de photons).
Quand l’organisme de votre proche voisin entre en résonance avec cette information, se met au diapason, il est alors susceptible de développer les mêmes symptômes, ou des symptômes similaires, s’il en a besoin ou si son terrain s’y prête.

La contagion peut être perçue comme :

« l’expression d’une toxicité qui se répand à travers le mycélium de l’interconnexion humaine afin d’inspirer, inciter ou soutenir un processus de détoxination chez d’autres personnes ».

(Dr Kelly Brogan)

On constate cela très facilement avec les maladies initiatiques de l’enfant, quand, par exemple, toute une fratrie ou toute une classe d’école déclare tout à coup les mêmes symptômes, par effet de mimétisme (rougeole, scarlatine, oreillons, varicelle…).

Ce qu’il est essentiel de comprendre est que ce n’est jamais une maladie (un « virus » contagieux) qui est transmise directement de personne à personne, mais UNE INFORMATION susceptible de provoquer des symptômes particuliers en fonction du terrain qui reçoit cette information.

Nous ne contaminons pas les autres en leur projetant des germes à la figure, nous ne sommes pas en lutte les uns avec les autres ou avec le vivant dans son ensemble, et l’autre n’est pas un potentiel danger, tout au moins dans le domaine de la santé. Tout ce que nous faisons est de transmettre des informations au groupe, de par nos permanentes et profondes interrelations. Nous dialoguons au niveau vibratoire et sur divers plans énergétiques. Et cela change tout, d’une part dans la conception de la maladie et, d’autre part, dans le rapport que nous avons à l’autre et à la nature.

Il est aisé de comprendre que tout ceci va totalement à l’encontre des intérêts mortifères du système et de Big Pharma, qui n’ont de cesse de nous diviser et de nous présenter la vie sous la forme d’une guerre incessante contre tout ce qui bouge et respire, et l’espace commun comme le lieu de tous les dangers.

La médecine du futur, qui est déjà là, sera une médecine informationnelle et holistique, qui utilisera pour soigner les formidables pouvoirs de l’eau (nous sommes constitués à 96 % de molécules d’eau), la lumière et les ondes sonores. Exit la chimie, et son cortège d’horreurs et de tromperies !


[Voir aussi :]

Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes

TERRAIN expose le canular tyrannique de la pandémie mondiale, construite sur le modèle erroné de la maladie, connu sous le nom de “théorie des germes”. Ce documentaire en deux parties explore la théorie du terrain, un modèle de santé fonctionnant en symbiose avec la nature pour promouvoir le bien-être et la guérison, sans recourir à un paradigme médical corrompu et défaillant. TERRAIN motive et inspire les spectateurs à comprendre le pouvoir et la responsabilité du consentement. La première partie de TERRAIN remet en question la théorie des germes, un système de croyance obsolète et non scientifique basé sur des fraudes et des mauvaises interprétations. (Vidéo 55 min)


Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?

La question de l’existence de virus pathogènes reste importante, car la croyance en de tels virus mobilise des milliards de dollars de ressources et de fonds de recherche. Ces deux dernières années, nous avons également vu comment un prétendu virus peut être utilisé comme un outil politique pour mettre les populations au pas. Ce n’est pas la première fois que cela se produit : par exemple, la “découverte” du VIH dans les années 1980 a donné naissance à une industrie de plusieurs milliards de dollars et a également été utilisée à des fins politiques dans la plupart des régions du monde.


L’invention du SARS-CoV-2

Un mathématicien allemand travaillant avec le Dr Stefan Lanka vient de publier un rapport intitulé “Analyse structurelle des données de séquençage en virologie – Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2FR“. Il fournit encore plus de preuves que les virologues sont pris dans un monde de simulations informatiques – des simulations qui ne sont pas fiables même selon leurs propres termes, sans compter qu’elles sont déconnectées de la réalité. Cette analyse est une contribution importante qui expose un autre élément de l’anti-science utilisée pour soutenir cette fausse pandémie. En outre, il s’agit d’un démantèlement technique de la manière dont tous les “virus” sont inventés et ensuite “trouvés”, dans un jeu de tromperie permanent.


L’enterrement de la théorie virale

Pour déterminer la validité d’une théorie scientifique touchant une discipline particulière, il est bien davantage utile de connaître la démarche scientifique et le propre de la science que d’être un expert du domaine en question. Le propre de la science est le doute, la remise en question des connaissances acquises à la lumière de nouvelles données ou informations, par exemple suite à l’exploration de nouvelles voies ou à l’observation du réel sous un nouvel angle de vue ou selon une nouvelle perspective. Une théorie explicative de phénomènes observés ne peut être véritablement d’ordre scientifique que si elle est contestable par l’argumentation ou l’expérimentation dans le cadre de la démarche scientifique. Si a contrario elle se pose en vérité absolue ou définitive, alors elle ne relève pas de science, mais de superstition ou de croyances religieusement ou affectivement entretenues. À la lumière de nombreux faits et constats, nous allons tenter de montrer ici en quoi la théorie virale ne relève pas de science, mais de scientisme et de croyances erronées.

Lettre ouverte aux services de police de l’Ontario, relative à l’absence de preuves de l’existence du SRAS-CoV-2

Procédure de violation, de responsabilité et mise en demeure, avec des preuves vérifiées, et avec un groupe de pairs la présente à la « commission des services de police de Peterborough. Bref exposé des faits « COVID-19 », incluant des transgressions et des responsabilités :


L’interprétation erronée du virus — 2e partie

Début et fin de la crise corona, par le Dr Stefan Lanka. (…) Un des deux faits décisifs pour le SARS et la crise corona c’est qu’au moins 20 à 30 % de toutes les pneumonies sont atypiques. Les causes de la pneumonie atypique sont clairement connues et par conséquent on ne doit PAS affirmer qu’elles sont dues à un nouveau virus. Cette information est censurée par les infectiologues et virologues et est le fondement des peur et panique actuelles, parce que l’on crée l’impression chez ceux qui sont affectés, dans le public et chez les responsables politiques que la pneumonie atypique serait particulièrement dangereuse et souvent fatale (…)


La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple

Contrairement à ce que croient la majorité des gens, il n’y a pas de virus pathogène. Les affirmations au sujet de l’existence des virus et des maladies virales sont basées sur de mauvaises interprétations historiques et non, comme on le pensait dans le passé, sur des fraudes ou des tromperies délibérées. Nous avons maintenant du mieux, dans le sens positif des découvertes « scientifiques » et des explications pour l’origine, la thérapie et la prévention des maladies, et pas seulement des maladies « virales ».


Ebola : briser les mensonges et la supercherie

Nous sommes avertis, de temps en temps, qu’une nouvelle épidémie d’Ebola (ou de Marburg) pourrait se propager. C’est l’une de ces attractions à venir dans le théâtre qui montre un film de virus après l’autre. (…) La campagne massive pour faire croire que le virus Ebola peut attaquer à tout moment, après le moindre contact, est plutôt réussie. (…) Pour ne pas résoudre les problèmes du peuple, une histoire servant de couverture est nécessaire, une histoire qui disculpe la structure du pouvoir.

Lire la suite


La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2

Après les deux clous précédents enfoncés dans le cercueil de la théorie virale, dans cette troisième phase, le Dr Stefan Lanka montre qu’en appliquant la même technique que celle utilisée par les virologues, en utilisant les acides nucléiques qui ne proviennent pas de matériel supposé infectieux, mais de tissus humains, d’animaux et de plantes sains, vous pouvez construire le génome de n’importe quel « virus ». (Vidéo 8 min)


Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal

Après avoir étudié la biologie moléculaire au MIT, le Dr Kaufman a obtenu son diplôme de médecine à l’université de Caroline du Sud, puis s’est spécialisé en psychiatrie au centre médical de l’université de Duke. Des virus aux injections et aux médicaments, cette vidéo (> 1 h 20) aborde les hypothèses de base qui sous-tendent l’ensemble du récit sur le covid.


L’effondrement de l’hypothèse virale

Urmie Ray est docteur puis chercheur en mathématiques de l’Université de Cambridge, ancienne professeur de mathématiques à l’université de Reims, et associée à diverses périodes avec l’Institut Max Planck de Bonn (Allemagne) notamment. Urmie a démissionné de son poste de professeur d’université afin de se consacrer pleinement à l’étude de questions culturelles et historiques et ainsi mieux comprendre l’époque actuelle. Après une analyse de la déformation de la science en dogme dans son dernier livre : « On Science : Concepts, Cultures, and Limits » (Routledge, 2021), elle s’est depuis 2020 intéressée notamment à « l’hypothèse virale », sur laquelle est basée toute la justification des mesures inédites actuelles. (Vidéo > 1 h 40)


La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA

Et d’autres articles dans le dossier Vaccins et virus




François, pape des pauvres et de l’écologie ? Ou pape de l’élite globale ?

[Source : mondialisation.ca]

[Illustration : Flickr.com]

Par Matthieu Smyth

Le pape François. Le pape de la rupture. Le pape écolo, anticapitaliste, ami des pauvres et des migrants. Le pape bienveillant avec les gays et les divorcés, mais hostile aux traditionnalistes. Le réformateur de la curie romaine corrompue, l’éradicateur des abus sexuels ecclésiastiques… Ou plutôt le pape des paradoxes ? En effet, c’est avec Bayer-Monsanto et BP que François envisage de sauver l’environnement, avec Bank of America et les grands noms de Big Pharma comme Merck ou Johnson & Johnson qu’il désire refonder un capitalisme éthique. Serait-il alors surtout le pape d’une nouvelle logique de marketing ? En effet, c’est justement au nom de la défense de l’environnement, de l’inclusivité ou encore de la justice sociale que les acteurs corporate (c’est-à-dire du secteur privé) de la gouvernance globale sont décidés à faire accepter partout leur agenda — lequel n’est autre que de s’octroyer à eux-mêmes les pleins pouvoirs sur la planète.

Bergoglio, à cet égard, est un cas d’école. Il a choisi de faire du Vatican un porte-parole de cette gouvernance globale dans le sillage du Forum Économique Mondial de Davos (FEM). De fait, les décideurs de cette gouvernance, parce qu’ils n’entendent plus exploiter à leur profit la quête de bonheur consumériste des masses, mais comptent plutôt s’appuyer sur la coercition, ont désormais adopté une stratégie marketing qui cherche à déguiser leur soif de puissance en affichant une volonté de rupture d’avec le capitalisme néolibéral, individualiste et énergivore. L’élite globale accumule tous les biens qui lui manquent encore, confisque les libertés publiques et concentre les pouvoirs dans ses seules mains, mais elle habille ce golpe dans un narratif soucieux d’écologie, axé vers le bien commun, hostile aux libertés individuelles et critique vis-à-vis du libre marché. Le message que François adresse au monde est un des plus beaux exemples de cette nouvelle « com ».

Le pape du confinement, du contact tracking, des expériences médicales forcées et de la ségrégation

À la fin de l’hiver 2020, le pape François est apparu comme un héraut des restrictions prétendument sanitaires. Lorsque, au grand désarroi de beaucoup de catholiques, les gouvernements ont commencé d’interdire les réunions religieuses, il s’est empressé d’appuyer ces mesures de toute son autorité. Pour la première fois dans l’histoire, un pape, de concert avec les puissances séculières, interdisait aux catholiques d’aller à la messe ni à aucune autre cérémonie. Les quelques prélats qui s’opposaient aux mesures de « confinement » se sont vus réprimander ou ignorer — c’étaient d’ailleurs des conservateurs dont les propos étaient faciles à discréditer aux yeux du public. Quant à Mgr Viganò, qui dénonce publiquement cette collusion de la papauté et de la gouvernance globale corporate, il ne trouve plus d’écho dans les médias.

À l’opposé du mot d’ordre de son prédécesseur polonais, le pape a donc sans vergogne joint sa voix à celles de tous ceux qui, à l’instar du ministre de la santé britannique Hanson ou du français Véran, reprenaient l’antienne composée par les « experts » en santé publique : « Ayez peur ! » ; une antienne dont le verset aurait pu être :

« Tant que le vaccin n’est pas là, la méthode inédite de XI Jinping pour briser la courbe des infections est notre seul salut ».

Dans le très consensuel et très institutionnel New York Times, François est monté au créneau face à l’incompréhension populaire pour défendre l’approche chinoise : « Comme si les mesures que les gouvernements devaient imposer pour le bien de leur peuple constituaient une sorte d’attaque politique contre l’autonomie et la liberté personnelle ». Les populations sont incarcérées à domicile, les familles sont séparées, les rites collectifs bannis, les anciens agonisent isolés, les petites entreprises sont ruinées, des milliers de jeunes sont poussés au suicide, mais pour le bien commun. Les rares gouvernements qui, de par le monde, refusaient de céder à la panique et ne se pliaient pas aux mots d’ordre du PCC et de l’OMS, se virent rappelés à l’ordre par Bergoglio : car ils « ignorent les preuves douloureuses de la liste des victimes qui s’allonge, avec des conséquences pénibles inévitables ».

Depuis, il est devenu un avocat vigoureux de la campagne mondiale d’injections géniques expérimentales à but vaccinal. Pas un mot sur les traitements précoces essayés avec succès dans les pays pauvres. Pas un mot sur la létalité extrêmement faible du SARS-CoV-2. Pas un mot sur le caractère expérimental des injections concoctées par Pfizer, Moderna, AstraZeneca ou Johnson & Johnson. Et pas un mot sur leur dangerosité potentielle. Bergoglio ne s’écarte pas d’un iota du discours officiel répété inlassablement depuis des mois dans les médias : le monde est confronté à une terrible menace ; il faut rester chez soi ou sinon se « distancier socialement », subir le contact tracking et porter un masque ; seule une vaccination universelle peut nous en préserver.

Dans son livre interview Oltre la tempesta, François joint sa voix à celles des médias officiels et des politiciens afin d’enjoindre le public de « croire en la science ». Le Successeur de Pierre met sa foi et son espérance dans les déclarations triomphales de Pfizer ou Moderna, comme naguère on l’eu fait dans les articles du Credo : « Il nous faut trouver l’espoir et la foi dans la science aujourd’hui encore : grâce au vaccin, nous retrouvons lentement le chemin de la lumière ». On ne peut pas imaginer un seul instant que le choix des mots « foi et espoir » soit le fruit d’une inconséquence. Ces termes ne peuvent se référer dans la bouche d’un pape qu’aux deux premières des trois vertus chrétiennes dites théologales.

François appuie donc de toute son autorité la stratégie politique globale mise en œuvre à l’unisson par les gouvernements du G20 (grosso modo), et visant à imposer une expérimentation génique à tous les humains, que ce soit à travers le marketing, le chantage ou la coercition pure et simple. Dans une vidéo, il n’hésite pas à qualifier l’injection de « devoir moral », ni à la désigner comme un « acte d’amour »  (la troisième vertu théologale justement). Le sort des enfants soumis à cette expérience ne le préoccupe pas non plus. Outre ses appels répétés à la « vaccination » universelle, il a imposé la « vaccination » obligatoire au Vatican.

Encore plus surprenant : la Congrégation pour la doctrine de la foi — l’antique Inquisition — a souhaité lever les réticences que des croyants auraient pu éprouver à l’idée de se faire injecter un agent élaboré à partir de cellules prélevées sur des fœtus avortés. Rome, et dans la foulée toutes les conférences épiscopales du monde, n’ont pas reculé, pour se conformer à l’orthodoxie vaccinale officielle prônée par Anthony Fauci, Tedros Adhanom Ghebreyesus ou Bill Gates, à violer le tabou bimillénaire de l’orthodoxie catholique face à l’avortement. Sous prétexte d’urgence sanitaire. Là encore, François n’a eu à faire face qu’à l’opposition d’une poignée d’évêques.

En toute logique, François est partisan du passeport sanitaire ; passeport qu’il a du reste instauré au Vatican et dans certains séminaires. Dans le sillage du Vatican, quelques diocèses zélés, notamment au Canada, ont commencé à demander des preuves de « vaccination » pour pouvoir aller à la messe. Le chantage, le viol de la vie privée, la surveillance universelle numérique et la ségrégation sociale que le passeport sanitaire suppose laissent indifférent le pontife argentin.

Le pape du partenariat global

On pourrait voir dans tout cela du simple suivisme. Après tout, le pape reprend le discours et la politique de la quasi-totalité des gouvernements occidentaux. Mais il n’en est rien : le Vatican de François Bergoglio se veut un des partenaires actifs du grand bouleversement socioéconomique initié par la gouvernance globale, et prôné notamment par le Forum de Davos (WEF). Cette gouvernance globale est sensée réunir les principaux acteurs du privé et du public dans un « partenariat » justement. Avec ce partenariat qui est en fait une inféodation des pouvoirs publics, l’élite des technocrates peut tranquillement décider de l’avenir de la planète loin des aléas des processus démocratiques : c’est le Global Private-Public Partnership (GPPP).

Dans ce partenariat, les stakeholder capitalists — soit le complexe financiaro-informatique (pour simplifier : BlackRock, Vanguard et Big Tech) et les banques centrales (la BRI, la Fed, la BCE etc.) — constituent les partenaires « majoritaires ». Ils sont « partie-prenante » du bien public de manière décisive. Ce sont eux les véritables décideurs. Les partenaires « minoritaires » sont les gouvernants et leurs appareils d’état (à l’exception de la puissance publique de la Chine laquelle est plus haut dans la chaine alimentaire). Les états ne sont que des exécutants, un peu comme le « middle-management » de l’oligopole mondial technocratique. Dans l’entre deux, on trouve une pléiade d’autres stakeholders : banques internationales d’investissement, multinationales du Hi Tech et du Big Data, Big Pharma… Mais aussi des institutions internationales comme le FMI, la Banque Mondiale ou l’OMS, sans oublier les fondations privées telles le Wellcome Trust, le Rockefeller Institute ou la Fondation Bill & Melinda Gates. 

Et puis il faut encore ajouter les partenaires représentatifs globaux. Ces organes de discussions internationales s’efforcent de formuler les grandes stratégies politiques initiées par les « Senior Partners », puis de coordonner l’action des acteurs de leur mise en place. Le principal à l’heure actuelle est sans conteste le Forum Économique Mondial (WEF) dont le chairman exécutif Klaus Schwab a su faire de Davos, au fil du temps, le « hub » incontournable de ce partenariat. À la différence des très discrets clubs de discussion et Think Tank plus anciens comme le Council for Foreign Relations, la Rand Corporation, le Chatham House, le Bilderberg Group, le Group of Thirty ou la Commission Trilatérale, le WEF assume à grand renfort de publicité la mission qui lui a été accordée de coordonner les partenaires d’une gouvernance mondiale désormais assumée sans vergogne. Klaus Schwab ne s’est pas non plus caché d’avoir instalé des relais à des échelons inférieurs mais stratégiques avec ses Young Global Leaders (tel Emmanuel Macron), voire plus bas encore grâce aux Global Shapers.

La gouvernance globale n’a plus à se cacher d’essayer de tirer les ficelles de la planète désormais qu’elle les tire sans entrave. C’est donc le WEF qui se charge de faire son public relation. Il lui revient de vendre les concepts désignant la stratégie initiée par les policy makers de la gouvernance : le Great Reset et la IVe Révolution Industrielle. Sur les décombres de la crise du COVID et grâce à la « fenêtre d’opportunité » qu’elle offre, les stakeholder capitalists pourront « réinitialiser le monde », animé par une nouvelle forme de capitalisme qui transcende tant le keynésianisme que le néolibéralisme.

Ce futur radieux dont rêvent les stakeholders pour « ceux qui ne sont rien », comme le dit le président à Macron, est plaisamment décrit par le WEF comme un monde « où vous ne posséderez plus rien, n’aurez plus de vie privée, mais où vous serez heureux ». Il sera généreusement octroyé aux plébéiens par un consortium de grands financiers contrôlant les multinationales. Celles-ci exploiteront seules un marché planétaire, désormais captif après l’extinction programmée des petites entreprises indépendantes. Cette concentration absolue des biens et des pouvoirs dans les mains d’un oligopole technocratique sera mise en œuvre en particulier grâce à une numérisation centralisée de tous les objets manufacturés (IoT : « Internet of Things ») et de toutes nos activités (IoB : « Internet of Bodies »). Ce qui suppose la suppression de la vie privée au profit d’une surveillance numérique totale à travers des algorithmes pilotés par l’AI. Dès lors, l’activité humaine sera placée sous un contrôle non moins total, en premier lieu à travers le contrôle de toutes nos transactions. Dans cette vie idéale, les humains seront enfermés pour lutter contre le changement climatique et la biodiversité dans des villes « smart » mais « soutenables », mangeront une nourriture synthétique non carnée mais « écoresponsable » (car produite par les géants si bienveillants de l’agroalimentaires), accueilleront des modifications pour les « augmenter »…

Ce coup d’état planétaire, dont le but pourrait aussi se résumer simplement à la monétisation et l’accaparement de tous les biens naturels, doit s’effectuer — on l’aura compris — « pour notre bien ». Autrement dit, en instaurant un capitalisme prétendument « vert », décarboné et éthique, en donnant sa chance à tous, ou encore en offrant à chacun une santé optimale, les titanesques multinationales financières et industrielles, dont l’avidité infinie a jusqu’ici méthodiquement saccagé la planète et ruiné notre santé, vont chercher à s’approprier — pour mieux les préserver bien sûr — les derniers « actifs » (pour employer leur jargon) qui leur échappent encore, tels que nos corps, nos libertés ou les « communs »…

Or, le Vatican aimerait bien tenir son rang, sous la férule des géants de la finance, parmi les partenaires représentatifs globaux du GPPP, au côté du WEF ou du Chatham House. Mais avec une discrète dimension « religieuse » et soucieuse d’éthique que vient orner la patine d’une tradition vénérable. C’est un prestige assez « bankable » aux yeux de tous ces technocrates à la pointe de la modernité. Un peu comme la « méditation de pleine conscience » commercialisée par Jon Kabta Zinn et bénie depuis par l’élite managériale de Davos. François offre à la gouvernance globale une caution morale à la fois télégénique et antique qu’elle ne dédaigne pas, tout comme elle ne dédaigne pas d’instrumentaliser celle, d’origine plus moderne, des célébrités du showbiz. François ne rivalise pas avec des hôtes de Davos tels que Leonardo Di Caprio ou Bono, mais il jouit d’une certaine forme de popularité mondiale en particulier en dehors de son Église. Certes celle-ci est en déclin accéléré jusque dans ses bastions latino-américains et africains où les évangéliques la bousculent, mais le pape reste le seul et unique leader religieux d’envergure vraiment mondiale. Aucune autre religion ne peut se targuer d’un leadership aussi global que celui exercé par le pape. Grâce à la papauté, la gouvernance globale peut faire entendre au monde entier ses consignes depuis le haut du trône de Pierre. Gageons que Klaus Schwab, qui se voit comme le pasteur de la paroisse des élites, apprécie ce détail.

Le pape du Great Reset

En plus d’être une caution morale, François — mais avec plus de discrétion — joue un rôle comparable à celui de la malheureuse Greta Thunberg avec laquelle le Forum de Davos s’exhibe si volontiers. Tout comme elle, le pape critique le système économique actuel et appel de ses vœux un monde plus écologique. Ce sont justement les éléments principaux du narratif dont les décideurs planétaires, comme le CEO de BlackRock Larry Fink, ont choisi de s’emparer pour vendre la grande transformation qu’ils souhaitent mettre en œuvre.

À cet égard, le Vatican entretient d’étroites relations avec la finance internationale : l’APSA (Amministrazione del Patrimonio della Sede Apostolica, autrement dit la gestion du colossal portefeuille boursier et foncier du Vatican) n’avait-il pas depuis 2006 comme conseiller spécial Peter Sutherland ? Ardent partisan de « l’open border », il présidera aussi la Commission Internationale Catholique pour les Migrations depuis 2015 jusqu’à sa mort. Par ailleurs, ce « père de la globalisation » est l’ancien président du GATT, co-fondateur de l’OMC, chairman de BP et de Goldman-Sachs, et bien entendu membre du Foundation Board du WEF, entre autres choses… De même, en 2021, le pape François a nommé un Agenda Contributor du WEF, le très malthusien économiste Jeffrey Sachs, à l’Académie Pontificale des Sciences Sociales (il est par ailleurs un ami de Peter Daszak président d’Ecohealth-Alliance, l’institut qui finançait la recherche sur les « gains de fonction » chez les coronavirus, et lequel Daszak a été nommé par Sachs à la tête du comité du Lancet sur les origines de la pandémie, car, oui, c’est vraiment un petit monde).

Sans surprise, François s’implique personnellement avec le WEF : à quatre reprises, François a adressé un message à son sommet annuel ; parallèlement une table ronde présidée par le Vatican se tient chaque année au même sommet de Davos. Surtout il apparaît comme le fidèle porte-parole des thématiques promues par le WEF. Le pape s’est chargé de devenir un des communicants du « PR » de la grande transition économico-politique que Klaus Schwab a packagé sous l’appellation de « Great Reset ».

L’encyclique Fratelli tutti  d’octobre 2020 est révélatrice à cet égard : « Abstraction faite des manière différentes avec lesquels les divers pays ont répondu à la crise, leur incapacité à travailler ensemble est devenue vraiment évidente » écrit-il. « Quiconque s’imagine que la seule leçon qu’il faille en tirer est le nécessité d’améliorer ce que nous faisions déjà, ou de de rendre plus adéquates les systèmes et les régulations existantes, est dans le déni. […] La fragilité des systèmes qui dominent le monde face à la pandémie ont démontré que tout ne peux pas être résolu par la liberté du marché. […] Il est impératif d’adopter une politique économique proactive orientée vers la “promotion d’une économie qui favorise la diversité productive et créativité entrepreneuriale (business creativity)” (encycl. Laudato Si’), et rende possible la création des emplois et non leur destruction ».

Pour François, l’élément essentiel de cette mutation est bel et bien la gouvernance globale des partenaires privés et publics dont il est partisan. Dans son message de 2021 au FMI et à la Banque Mondiale, il déclare ainsi que la campagne d’expérimentation génique à but vaccinal actuel offre un cadre privilégié à ce partenariat libre de toute contrainte démocratique : « Ici, je réitère mon appel aux leaders gouvernementaux, aux entreprises et organisations internationales de faire l’effort d’œuvrer ensemble pour fournir des vaccins pour tous, en particulier aux plus vulnérables et à ceux qui sont le plus dans le besoin. […] Il demeure le besoin urgent d’un plan global qui puisse créer de nouvelles institutions et régénérer celles qui existent, spécialement celles de la gouvernance globale, et ainsi contribuer à bâtir un nouveau network de relations internationales pour promouvoir le développement humain intégral de tous les peuples ». 

C’est un leitmotiv pour François. Déjà Jean XXIII (encyclique Pacem in terris), le Concile Vatican II (constitution Gaudium et spes), et surtout Benoît XVI (encyclique Caritas in veritate) avaient identifié « un besoin urgent d’une véritable autorité politique mondiale » (§ 67). Mais, comme il le fait dans son encyclique Laudato Si’ de 2015, ou encore dans son message à l’ONU de la même année « pour une écologie intégrale », François, lui, ne cesse de réclamer une gouvernance globale plus forte notamment face au changement climatique. Cet appel adressé aux décideurs pour qu’ils se mobilisent contre le changement climatique, s’inscrit dans une critique de l’économie de marché, du consumérisme et de la compétition commerciale inhérente qui reflète l’agenda des élites globalistes : le consommateur et la compétition n’ont pas de place dans un marché captif aux mains d’un oligopole ; de même les dangers, notamment climatiques ou infectieux, qui pèsent sur la planète ont sonné le glas de l’état-nation westphalien tout comme de ce qui pouvait subsister ici ou là de démocratie. Place à la gouvernance mondiale technocratique.

 François ne cesse donc d’appeler de ses vœux un « nouvel ordre mondial » dont la « pandémie » serait la matrice. Le vrai « drame », aujourd’hui, « serait de gâcher la chance que nous donne la crise du COVID-19 ». On aura reconnu le story telling désormais célèbre du chairman du WEF Klaus Schwab, « La pandémie représente une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour repenser, réinventer et réinitialiser notre monde ». Pour François, « Le chemin du salut [je souligne] pour l’humanité passe par la création d’un nouveau modèle de développement », et donc par les politiques que justement la gouvernance globale prône, tel que le revenu universel minimum (notamment face au COVID), ou encore bien entendu la transition  « verte » et décarbonée.

Le pape de Bayer-Monsanto et Johnson & Johnson : un tournant historique

La papauté avait déjà connu dans le passé de sévères crises. Elle a pu devenir tour à tour le jouet de pontifes avides de pouvoir dont l’ambition était toute terrestre, ou au contraire le jouet de princes désireux de s’appuyer sur son prestige. Rome a cherché des soutiens ou des accommodements extérieurs parfois embarrassants. Pie VIII condamna en 1830 les insurgés catholiques polonais pour complaire au Tsar. Léon XIII excommunia les insurgés irlandais catholiques pour s’attirer les faveurs de l’Empire britannique. Le Vatican négocia longuement avec Lénine, passa un accord avec Mussolini et signa un concordat avec Hitler… Mais ici nous sommes face à un tournant historique. Jamais Rome n’avait été tentée d’embrasser les idéaux de ces régimes avec lesquels elle cherchait un compromis. Jamais la papauté n’avait eu pour ambition de devenir un de leur relais.

Aujourd’hui, pourtant, l’institution qui revendique une juridiction universelle sur les chrétiens s’affirme en même temps comme la partenaire d’une gouvernance mondiale technocratique placée sous l’égide des grandes multinationales. Elle se veut la partenaire « spirituelle » de l’élite technocratique et corporate qui aspire à dominer totalement la planète. Cette adhésion à l’agenda de ce néocapitalisme global a été formalisée par le lancement à Rome du Conseil pour un Capitalisme Inclusif. Il rassemble auprès du pape, dans une confrérie de « Guardians », des CEO œuvrant pour un capitalisme « éthique », « vert » et « équitable »… avec notamment ceux de Johnson & Johnson, Merck, Bank of America, BP ou Bayer-Monsanto — Bayer-Monsanto dont l’expertise en éthique et en écologie est mondialement reconnue. « Un nouveau partenariat historique entre des leaders des plus grands groupes mondiaux financiers et commerciaux et le Vatican […]. Il témoigne de l’urgence de rassembler les impératifs moraux tant que commerciaux pour réformer le capitalisme en une force puissante pour le bien de l’humanité. Sous l’égide morale de Sa Sainteté le pape François […] ». 

Placé sous la responsabilité de Lynn Forester de Rothschild, Managing Partner d’Inclusive Capital Partners, ce Conseil « suivra les avertissements du pape François » et « répondra aux demandes de la société qui réclame un modèle de croissance plus équitable et soutenable ». Sans surprise, le site web (à la page « commitments ») de nos capitalistes inclusifs est calqué sur les pages de celui des dix-sept Global Goals onusiens et davosiens pour 2030. Le WEF, on l’a compris, déploie une rhétorique qui peut sembler « de gauche » : il insiste sur les responsabilités écologiques des grands acteurs économiques actuels en particulier vis-à-vis du climat, sur leur volonté inclusive de ne négliger aucune minorité, sur leur souci de donner à tous sa chance, sur leur désir d’accueillir les réfugiés… De même, François se présente comme le pape « vert », gay friendly, ami des migrants, adversaire du changement climatique. Tout autant d’éléments décisifs du marketing que la gouvernance globale attache au nouveau paradigme économique qu’elle entend promouvoir.

Nous retrouvons d’ailleurs un discours semblable — avec tous ses tics de langage — à celui de Davos dans les documents du Dicastère pour la Promotion du Développement Humain Intégral institué le 17 août 2016 par la fusion de diverses autres commissions. Elle « exprime les soucis du Saint-Siège à propos des problèmes de justice et de paix, notamment ceux liés aux migrations, à la santé, au œuvres charitables et à la protection de la création » ; et ce en particulier « pour toute la famille humaine confrontée à la pandémie du COVID-19 ». Bien entendu, c’est à tous ceux qui sont partie prenante — les stakeholders — du destin de la planète et donc du développement humain qu’il revient de trouver les solutions adéquates.

Le pape de la IVe Révolution Industrielle et du transhumanisme

« Développée » par le père Philip Larrey, « en collaboration avec le Dicastère pour la Promotion du Développement Humain Intégral, avec le Saint-Siège ainsi qu’avec un consortium de leaders et de “luminaires”, Humanity 2-0 cherche à unir l’humanité autour de la cause commune de créer un monde meilleur pour nos enfants ». Humanity 2.0 « est un vecteur pour faciliter des entreprises collaboratives entre le secteur public, le privé et celui “basé sur la foi” — des secteurs traditionnellement cloisonnés ». On notera la présence de CEO tels que ceux de CISCO, Virgin ou Publicis dont le partenariat corporate vient bénir les ambitions du dit « vecteur ». Cependant, quasiment aucune référence chrétienne sur ce site, dominé par le visage d’Athéna, si ce n’est une citation de Thomas d’Aquin.

Son chairman, le père Larrey, est prêtre et doyen de la faculté de philosophie de l’Université du Latran mais aussi un apôtre de la Quatrième Révolution Industrielle chère à Klaus Schwab (actoninstitute.it). Il est aussi l’auteur du livre Artificial Humanity où il étale sa foi dans l’Intelligence Artificielle future — comme une entité réellement intelligente ! — et formule le souhait qu’elle reste humaine. 

François, en affichant sa foi dans ce qu’il pense être la technologie de demain, reprend presque mot pour mot ce discours sur l’IA, et appelle les chrétiens à « prier pour une IA “humaine” » : « La robotique peut nous rendre possible un monde meilleur si elle demeure liée au bien commun. […] Prions pour que le progrès de la robotique et de l’intelligence artificielle puisse toujours servir l’humanité. […] Nous pourrions dire : qu’elle “soit humaine” ». Non, «l’IA, la robotique et les autres innovations technologiques doivent être utilisées de telle sorte qu’elles contribuent au service de l’humanité et à la protection de notre maison commune», déclare-t-il Forum de Davos de 2018. On reconnait là un des thèmes chères au courant transhumaniste tel que l’expose Yuval Noah Harari un de ses portes paroles médiatiques. L’IA serait potentiellement dangereuse, mais pour que le bon peuple soit protégé de ces périls, il faut que l’élite technocratique la dirige…

L’idéologie transhumaniste, en particulier la croyance en la grande convergence bionumérique qu’il faut faire advenir, est un des points clefs de la IVe Révolution Industrielle prônée par Davos. L’humain et la machine doivent fusionner autour du data, avec l’aide de l’édition génomique et d’implants informatiques, en vue de créé « l’humain augmenté ». La barrière entre le biologique aléatoire et la technologie informatique programmable doit sauter. L’idée de vie tout comme celle de liberté sont obsolètes : la vie et en particulier l’âme humaine ne sont que des algorithmes particulièrement complexes de réactions chimiques et électromagnétique. Quiconque détiendra le data de ces algorithmes sera en mesure de « hacker » l’humain, comme le prétend Yuval Noah Harari devant ses maîtres de Davos en 2018. L’espérance en la possibilité de réaliser une vie éternelle ici-bas, soit en déjouant le vieillissement cellulaire, soit par un transfert de données cérébrales dans quelque disque dur surpuissant, commence à mobiliser de gros investissements. Même avec beaucoup d’imagination, on ne voit pas très bien comment concilier cette vision avec l’enseignement des prédécesseurs de François.

Cela n’a pas empêché le Père Larrey, dans le cadre des Global Leaders de présider des conférences à Rome, de concert avec Carlos Moreira et David Ferguson, tous deux penseurs du transhumanisme, co-auteurs du Transhumancode et liés comme il se doit au WEF de Davos avec leur Think Tank oiste — dont une en juillet 2019 rien de moins que sur cette même thématique du Transhuman Code. Nos bons apôtres de l’utopie technocratique à venir ont d’ailleurs recommencé en octobre 2021 sur le thème de la « Technology that Empowers Humanity »…

« Si nous voulons que tout reste comme tel… »

L’historien ne peut que s’interroger : comment une telle mutation est-elle possible ? Les divers scandales d’abus sexuels auxquels Bergoglio est personnellement mêlé fournissent un début d’explication. Le pape a couvert pendant longtemps d’éminents prélats (McCarrickZanchettaMaradiaga et d’autres encore) pourtant visés par de très graves accusations d’abus sexuels et de corruptions financières. Il a fallu que les crimes soient étalés de manière publique pour qu’il devînt impossible pour lui de ne plus les démettre de leur fonction. Le pape s’est montré tel qu’il est : un homme d’appareil prêt à toutes les extrémités pour protéger ses collaborateurs. Mais parallèlement, c’est ce même pape qui cherchait à donner satisfaction à l’opinion publique en adoptant une politique générale très agressive envers les prêtes accusés d’abus sexuels du même ordre. Un homme d’appareil tenu par l’esprit de corps, doublé d’un communicant comme se doit de l’être tout bon stakeholder moderne, toujours prêt à défléchir les accusations avec du story-telling bien huilé.

C’est donc sans motif que les conservateurs s’inquiètent de l’exposition de statuettes de la Pachamama dans une église non loin du Vatican comme d’une manifestation de syncrétisme voire de néopaganisme écologiste. Pas plus que ne doivent être prises pour argent comptant les déclarations publiques bruyantes « pour la planète », « pour le climat » ou « pour l’environnement » des stakeholder financiers ou industriels de Davos. Ces déclarations révèlent seulement l’appétit de l’élite globale de faire main-basse sur ce qu’il reste de biens naturels lui échappant encore. Non, pas plus que ses partenaires, François ne vénère la Terre-Mère : il « fait de la com’ ».

Oui, à l’évidence, le monde change et Rome change aussi. Le sommet de la hiérarchie catholique ne souhaite pas se retrouver dans une position contre-culturelle : elle préfère suivre l’idéologie dominante, jusqu’à son transhumanisme. À cela je propose une première explication très simple : la papauté est désormais extrêmement faible et François ne s’y résout pas. Quel que soit le prix. De par le monde, les églises sont vides ou en train de se vider comme en Amérique latine. Ne s’accrochent que des groupes socialement ultra minoritaires, disséminés, et tous marqués à des degrés divers par un net conservatisme, voire par le traditionalisme. Le Vatican est devenu une institution d’un autre âge, inadaptée à la taille et à l’influence des communautés qu’il supervise. Le pape n’a plus les moyens de s’adresser à tous les humains comme s’il était une autorité spirituelle et morale écoutée par des centaines de millions de condisciples dans le monde. Son seul atout face au monde sécularisé, c’est ce qu’il représente encore en théorie et non en réalité : une certaine aura associée à sa soutane blanche, la Place et la Basilique Saint-Pierre, le palais du Vatican, la Sixtine, les Gardes suisses (s’ils sont vaccinés !) et les universités pontificales. 

Or François a bâti sa vie sur une conformité aux cadres hiérarchiques auxquels il s’identifie. Il a mené toute sa carrière sous le signe de son adhésion conformiste au gré des flots à tous les discours dominants qui se sont succédés : depuis celui de Peròn jusqu’à celui de Schwab. Or, le catholicisme, trop affaibli, n’est désormais plus en mesure de lui fournir un schéma de pensée socialement hégémoniques, tandis que son instinct le plus profond de bureaucrate lui interdit de se soustraire à la pensée grégaire du moment. François n’aurait donc pas pu opter de se consacrer à la petite minorité catholique qui écoute encore le pape sans provoquer aux yeux du grand public la disparition de la Rome pontificale dans une forme d’anonymat et d’oubli. Un choix impossible pour un homme d’appareil. Non, son désir est de rester fidèle à l’institution romaine telle qu’il la voit : celle-ci doit rester un acteur planétaire — comme avant en un sens. Pour cela, la Rome de François a fait le choix d’essayer de devenir un stakeholder de la gouvernance globale en allouant à ses titanesques corporate partenaires ce qui reste de prestige séculaire à la papauté. Pour cela, elle a décidé de collaborer activement à l’instauration d’un système totalitaire global fondé sur la surveillance numérique et les expérimentations géniques. « Se vogliamo che tutto rimanga come è, bisogna che tutto cambi ! ».

Matthieu Smyth

Matthieu Smyth est Professeur à l’Université de Strasbourg (France) (Sciences religieuses)

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Matthieu Smyth, Mondialisation.ca, 2022

[Voir aussi :
Bill Gates a-t-il demandé à Bergoglio de fermer l’Église catholique ?
À la vitesse de la lumière Bergoglio entraîne l’Église catholique dans sa chute
La nouvelle prière Bergoglienne
Le Pape François a rencontré secrètement le PDG de Pfizer avant de rendre la vaccination obligatoire au Vatican
Le Diable a un pied dans la porte et le Vatican ne fait rien — où l’on retrouve encore Bill Gates
Vatican et troisième « vaccin » selon le Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »]




Pfizer, un colosse aux pieds d’argile ?

Par Nicole Delépine

Chaque seconde, les fabricants de vaccin les plus importants (Pfizer, BioNTech, Moderna) réalisent, ensemble, plus de 1000 dollars de profits.

Argent public, profits privés

« Cette entreprise américaine a réalisé 900 millions de dollars de profits au cours du seul premier trimestre de 2021. La source de ces profits est à chercher dans les près de 4 milliards de doses de vaccins à ARN messager (ARNm) que les gouvernements du monde entier lui ont commandées dont 2,4 milliards par la seule Commission Européenne et 600 millions par les USA.

Pourtant, Pfizer n’a contribué ni à la recherche scientifique autour de ce vaccin ni à son développement. La technologie ARNm a été inventée dans les laboratoires de BioNTech, cette innovation a été financée par d’énormes subventions publiques. Par exemple Les États-Unis ont financé à hauteur de 11 milliards de dollars la recherche, le développement et la précommande de doses. L’État allemand y a investi 375 millions d’euros.

Pfizer possédait la capacité de produire ce vaccin en masse et détenait les brevets des procédés industriels utilisés, l’entreprise a pu vendre le vaccin comme son propre produit. La propriété privée des moyens de production a donc permis à Pfizer d’avoir la main sur une avancée scientifique financée, à l’origine, par de l’argent public ».

Avidité maximale

Pour des frais de production s’élevant à 1,18 dollar par dose de vaccin, Pfizer a vendu au gouvernement américain la dose au prix de 19,50 dollars !

L’Union Européenne avait réussi à négocier le prix des injections Pfizer à 12 euros, mais lorsqu’elle a décidé de multiplier sa demande de vaccins, l’entreprise a augmenté ses prix de plus de 25 %.(([1] Pfizer quietly warns investors about tidal wave of potential fraud revelations soon to come (op-ed) – Miami Standard
Published on February 11, 2022 By Miami Standard News Staf))

Au 14 février 2022, un total de 10 101 955 700 doses de vaccin a été administré, et 66 % des habitants des pays du G7 — Allemagne, Canada, États-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni — ont reçu au moins deux doses.

À l’opposé, à peine 6 % de la population globale du continent africain a été injectée (?), ce qui leur a évité les effets secondaires majeurs.

Les données de l’OMS montrent pourtant que les injections Pfizer n’ont pas diminué la mortalité Covid19 dans les pays les plus vaccinés qui se retrouvent dans le groupe des plus fortes mortalités.

L’inefficacité médicale multiplie les profits

La très faible durée (2-3 mois) de la protection alléguée de l’injection Pfizer a constitué un formidable accélérateur de profits pour Pfizer, car les gouvernements ont depuis multiplié les commandes.

Ainsi la Commission européenne qui avait initialement commandé 600 millions de doses (300 en décembre 2020 et 300 janvier 2021) a signé pour plus de 1,8 milliard de doses (à prix majoré !) en mai 2021 prévoyant ainsi 6 rappels par adulte en 2022 et 2023 !

Une propagande omniprésente pour Pfizer s’accompagne d’une dévalorisation des produits concurrents

« il est attesté que Pfizer a mené des campagnes de désinformation visant ses concurrents. Ainsi, un documentaire diffusé par Channel 4 — une chaîne britannique — a révélé que Pfizer avait payé de prétendus “experts” pour affirmer que le vaccin d’AstraZeneca (beaucoup moins cher) pouvait entraîner un cancer et menaçait la vie des patients immunodéprimés ».

MAIS L’AVENIR EST PEUT-ÊTRE MOINS ROSE

Les dissimulations de la FDA condamnées en justice.

Cet article(([2] Pfizer quietly warns investors about tidal wave of potential fraud revelations soon to come (op-ed) – Miami Standard
Published on February 11, 2022 By Miami Standard News Staf)) relate les réactions de Pfizer à la suite des révélations hautement probables de la justice quand elle aura connaissance de documents cachés jusque-là.

Pfizer met discrètement en garde les investisseurs contre les conséquences possibles des révélations de fraudes.

Cette tribune craint que la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis obéisse aux tribunaux qui l’ont condamnée à communiquer le premier lot mensuel de 55 000 pages de données de Pfizer concernant le « vaccin Pfizer ». Est-ce imaginable que ce monstre de pouvoir obéisse ?

L’agence avait initialement décidé de ne produire que 500 pages de documents Pfizer par mois, ce qui aurait nécessité plusieurs décennies pour en obtenir la totalité. Tout le monde avait hurlé, mais personne n’espérait une issue positive. Cependant, les contestations judiciaires ont abouti à l’accélération de ce calendrier d’accès aux documents.

On imagine que Big Pharma cherche des solutions pour poursuivre les dissimulations comme Pfizer en a l’habitude. Mais ici le scandale est mondial et les bénéfices encore plus époustouflants que les fois précédentes. Y arriveront-ils ?

Cette année, Pfizer s’attend à générer plus de 54 milliards de dollars de ventes, à moins que son énorme arnaque ne s’effondre complètement. Rêvons un peu.

Dans son plus récent rapport sur les résultats du quatrième trimestre de l’année 2021, Pfizer a averti les investisseurs que les choses ne s’annonçaient pas aussi bien que prévu.

Aurons-nous rapidement la totalité des rapports qui révèlent la fraude et la tromperie comme certains l’espèrent ?

Le communiqué Pfizer prévient les investisseurs

« qu’il pourrait y avoir de nouvelles données précliniques, cliniques ou de sécurité défavorables et d’autres analyses de données précliniques, cliniques ou de sécurité existantes ou d’autres informations concernant la qualité des données précliniques, cliniques ou de sécurité, y compris par audit ou inspection »

En d’autres termes, les rapports fournis à la FDA pour obtention d’une AMM PROVISOIRE auraient été falsifiés… Quelles seront les conséquences ?

Le communiqué Pfizer mentionne que « les publications à venir pourraient affecter le cours de l’action de la société », prévenant les investisseurs que le temps des bénéfices record de Pfizer touche bientôt à sa fin en raison de « préoccupations concernant l’intégrité des données cliniques ».

Maintenant que Pfizer a engrangé des milliards grâce à la fraude, la société affirme que le covid pourrait magiquement « disparaître complètement ».

Pfizer fait référence dans son rapport au fait que le temps de la plandémie pourrait prendre fin alors qu’une masse critique de la population mondiale réalise enfin à la vérité sur l’escroquerie plandémique.

« Il semblerait que l’objectif de Pfizer depuis le début était de pressurerla planète pour des profits obscènes aussi longtemps que possible grâce à son arnaque au “vaccin”. Sachant que les gens finiraient par tout comprendre, cependant, le plan a été conçu de manière à cacher toutes les données incriminantes des essais cliniques jusqu’en 2076 ».

Rappelons qu’en France les délibérations du conseil de défense sont dissimulées par un secret défense pour 50 ans, mais que le gouvernement se flatte de la gestion transparente de ses décisions.

MAIS le calendrier des publications prévu en 2076 est bousculé par la justice. « Quel serait l’impact d’un procès pour crimes contre l’humanité sur l’entreprise ? » a demandé quelqu’un de Zero Hedge.

« Ce n’était pas pour rien », a déclaré quelqu’un d’autre à propos de la persistance des confinements et des obligations vaccinales, dont nous savons maintenant qu’ils n’ont rien fait pour arrêter la propagation. « C’était pour les profits et instaurer le contrôle social ».

Plus de nouvelles connexes sur les injections mortelles de covid de Pfizer peuvent être trouvées sur Corruption.news et aussi sur de nombreuses sources établies à partir des données officielles des agences sanitaires.(([3] EFFETS DÉLÉTÈRES DES INJECTIONS ANTICOVID : STOP ! / LE POINT AU 8 02 22 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))
Les sources de cet article incluent ZeroHedge.com, NaturalNews.com, Brighteon.TV

Effectivement de nombreuses informations apparaissent, comme cette conversation entre Fauci — le Mr Santé des présidents des USA toujours en poste — et un biologiste sur la « fabrication du virus » en mars 2020 ! On comprend que Pfizer et Fauci soient inquiets des révélations qui n’attendront pas cinquante ans comme prévu (y compris en France !). Le Grand Jury démarré en ce mois de février 2022 par l’avocat international Reiner Fuellmich et associés permettra aussi d’en savoir plus.

Les actions Pfizer

QUAND VOTRE SANTÉ N’EST PLUS QU’UN JEU EN BOURSE ! ARRIVEZ-VOUS À Y CROIRE ? Triste réalité, pourtant…

Selon Boursorama La valeur du jour à Wall Street Pfizer déçoit les investisseurs avec ses perspectives 2022 – 08/02/2022 à 17:22 — Boursorama

AOF•08/02/2022 à 17:22

(AOF) — Pfizer occupe la dernière place du S&P 500 avec un repli de 5,8 % à 50,10 dollars, dans le sillage de perspectives 2022 décevantes. En même temps que la publication de ses résultats trimestriels, le laboratoire pharmaceutique a en effet annoncé viser cette année un bénéfice ajusté par action de 6,35 à 6,55 dollars, alors les analystes de FactSet en attendent 6,71. De même, les revenus devraient être compris en 98 et 102 milliards de dollars, pour un consensus s’élevant à 103,2 milliards.

Parmi ces revenus, Pfizer espère réaliser environ 32 milliards de dollars de ventes pour son vaccin anti-covid, le Comirnaty, ainsi que 22 milliards pour sa pilule antivirale, le Paxlovid. Malheureusement, cela reste là aussi en dessous des attentes du marché, puisque les données Refinitiv font état d’anticipations de 33,79 milliards et 22,88 milliards de dollars respectivement.

Au niveau de la production, le laboratoire a dépassé son objectif de réaliser 3 milliards de doses du Comirnaty en 2021 et veut désormais en fabriquer plus de 4 milliards cette année.

Mais malgré des perspectives en deçà des attentes, Pfizer a toutefois su engendrer plus de bénéfices que prévu au quatrième trimestre 2021. Le groupe a en effet publié un profit trimestriel de 3,39 milliards de dollars, soit 59 cents par action, très loin des 847 millions, ou 15 cents par action, générés un an plus tôt à la même époque. Hors éléments exceptionnels, le BPA ressort ainsi à 1,08 dollar (+151 %), bien au-dessus du consensus FactSet de 87 cents.

Les revenus du laboratoire pharmaceutique ont quant à eux plus que doublé (+105 %) à 23,84 milliards de dollars.

Sur l’ensemble de l’année 2021, le bénéfice ajusté s’est élevé à 4,42 dollars par action et le chiffre d’affaires a atteint 81,3 milliards. Les ventes du vaccin anti-covid ont contribué à hauteur de 36,8 milliards de dollars, alors que celles de l’antiviral, autorisé à partir de fin décembre, ont été limitées à 76 millions.

Mais probablement cela va aller beaucoup plus mal pour les ventes de vaccins, comme le PDG de Moderna le craint probablement qui a vendu de grosses quantités d’actions avant la chute récente des cours.

En attendant, Pfizer tente de prolonger l’autorisation « d’urgence » du pseudovaccin en ce 14 février 22.





Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

[Voir aussi :
Premier jour du procès : Reiner Fuellmich s’adresse au Jury, et expose les faits. Mise à jour]

Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importanteCette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultimequi est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement inefficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

[Note de Joseph : en toute rigueur scientifique, ce n’est pas le virus lui-même qui est traité, sachant notamment qu’il n’a jamais été isolé (voir :
L’enterrement de la théorie virale
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Le virus existe-t-il ? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey), mais les symptômes attribués à une maladie nommée Covid-19 et dont les causes sont manifestement autres qu’un virus naturel.]

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui.

Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en mains par l’autre partie par le biais de leur principale plate-forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous.
Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.
Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Organisation mondiale de la santéBill GatesBlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.
Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Kurz, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, -la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. […]


[Source : http://myreader.toile-libre.org/uploads/My_620229c67d6b4.pdf]

Transcription complète

Grand Jury – Session 1

https://youtu.be/ELTFNkCdzjA

  • Viviane Fischer — Avocate d’Allemagne
  • Ana Garner — Avocate des États-Unis
  • Rui Fonseca e Castro — Juge du Portugal
  • Deana Sacks — Avocate des États-Unis
  • Reiner Fuellmich Avocat des États-Unis et d’Allemagne
  • Dipali Ojha Avocate d’Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt — Avocat d’Afrique du Sud

00:17 Viviane Fischer :

Bonjour et bienvenue au premier jour de la procédure du grand jury. Nous sommes ici dans une salle qui a été spécialement construite à cet effet, pour entendre des témoins et des experts sur ce qui s’est passé dans la crise de Corona. Et nous sommes reliés à un groupe international d’avocats. Et pour commencer, je donne la parole à l’avocate Ena Garner des États-Unis d’Amérique.

00:46 Ana Garner :

Merci Viviane. C’est un honneur et un plaisir pour moi de participer à cette enquête du grand jury international. Un grand jury criminel contre certains des auteurs qui, dans une collaboration criminelle mondiale, ont commis des crimes contre l’humanité sur la population mondiale entière sous la forme d’une pandémie planifiée appelée Covid-19. Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête du grand jury sert de modèle de procédure légale, pour présenter à un jury composé de citoyens du monde, toutes les preuves disponibles du crime contre l’humanité qu’est le Covid-19, à ce jour contre les dirigeants, organisateurs, instigateurs et complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.

Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans la poursuite d’un dessein commun, de commettre des crimes contre l’humanité, et tous ces actes criminels condamnés dans les différentes communautés de jurés à travers le monde. Cette enquête est du peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle sera désignée sous le nom de « Tribunal de l’opinion publique ». N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel. Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal et ce qui est bon ou mauvais. Cette procédure pourrait être l’un des événements extrajudiciaires les plus importants de l’année.

Nous, en tant que groupe d’avocats internationaux, présenterons des preuves réelles provenant de vrais experts, tels que des scientifiques, des historiens, des médecins, ainsi que des victimes. Il n’y a pas d’acteurs dans cette présentation, seulement des personnes réelles qui désirent apporter la justice au monde. Et nous avons besoin de votre aide. La raison de la mise en place d’un processus de grand jury est que notre monde est à un stade critique de l’humanité, qui dépendra du réveil de tous les peuples, afin inverser un cours qui pourrait modifier à jamais la façon dont nous vivons en tant qu’humains libres, nous devons inverser la trajectoire de ce cours maintenant. Et la représentation d’une enquête du grand jury est le moyen le plus rapide que nous connaissons pour apporter les preuves devant le tribunal public du monde. Vous, le peuple. Aux États-Unis, seuls les procureurs de district ou les procureurs généraux des différents États sont autorisés à engager de telles procédures pénales. Mais comme personne ne l’a fait aux États-Unis, nous venons vous présenter les preuves sous une forme calquée sur ce type de procédure judiciaire qui est courante aux États-Unis.

Nous basons ce modèle sur le grand jury pénal américain. En général, le grand jury détermine si les preuves sont suffisantes pour prononcer une mise en accusation criminelle contre un ou plusieurs accusés. Il se déroule à huis clos, et ni l’accusé ni son avocat ne sont présents dans ce type de procédure. Cependant, nous effectuons ce processus sous les yeux du tribunal de l’opinion publique. Vous, le peuple. Le but de cette enquête est de révéler les preuves qui pourraient être utilisées dans ce type de procédure dans votre juridiction. Nous vous invitons à nous rejoindre dans une transparence ouverte en utilisant de vraies preuves, de vrais avocats, un vrai juge et de vrais témoins experts, qui pourraient être présentés dans une véritable procédure de grand jury criminel devant les tribunaux des États-Unis. L’histoire de la réussite de ce pays a été écrite par des personnes qui ont fait confiance à la gouvernance constitutionnelle pour le peuple. Nos ancêtres ont relevé les défis épiques de notre histoire sur la base de notre Constitution. C’est cette Constitution et sa reconnaissance des droits et libertés naturels qui ont libéré des êtres humains libres du joug de la Couronne britannique. Par conséquent, reconnaissant l’urgence, nous vous demanderons, en tant que tribunal de l’opinion publique, d’examiner les preuves présentées, afin de réclamer nos droits et libertés accordés à chaque personne dans ce pays et dans le monde à la fin de cette procédure.

5:34 Viviane Fischer :

Merci, Mme Garner, je voudrais me tourner vers le juge Rui Fonseca e Castro, qui préside cette procédure. Monsieur Fonsesca, bonjour.

5:47 Rui Fonseca e Castro :

La légitimité du tribunal de l’opinion publique s’appuie sur le Droit Naturel. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à l’effondrement fulgurant de l’État de droit démocratique. Au nom d’une idée de biens communs qui n’a jamais été entérinée, les droits et libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés, et nous pouvons déjà sentir l’approche d’une gigantesque vague de victimes. Les systèmes judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions. C’est-à-dire qu’il n’y a plus de juges à Berlin.

Devons-nous attendre sans rien faire que nous soyons complètement anéantis ? Ou plutôt, assumer nos responsabilités en tant que membres de nos communautés ? C’est notre droit et surtout notre devoir, envers le peuple et les générations futures de résister à l’oppression et à la tyrannie. La loi naturelle, immanente pour les êtres humains, indépendamment de sa positivité, nous donne des droits sacrés de résistance à l’oppression. Si les Constitutions sont la source des droits et libertés fondamentaux, le droit naturel est sa source originelle.

Le droit naturel confère au peuple la légitimité de défendre les droits et libertés fondamentaux, face à des États devenus tyranniques. Nous voyons bien maintenant l’incapacité des systèmes de justice nationaux et internationaux à protéger les peuples contre la tyrannie qui s’est installée. C’est donc dans le droit naturel, et le droit non écrit inhérent à la condition humaine que ce tribunal de l’opinion publique trouve sa légitimité pour engager la procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui. Merci.

8:10 Viviane Fischer :

Merci pour cette introduction, M. le juge Fonseca e Castro. Je voudrais maintenant donner la parole à l’avocate Diana Paula Sachs des États-Unis d’Amérique.

8:34 Deana Pollard Sacs :

Bonjour. Je m’appelle Deana Pollard Sacs, et depuis 22 ans, je suis professeur de droit, spécialiste de la constitution, militante des droits civils et avocate. Je suis ici aujourd’hui pour discuter de l’origine de notre clause de liberté, qui remonte à la loi naturelle, et pour expliquer pourquoi les vaccins Covid-19 sont tous inconstitutionnels selon notre jurisprudence historique. Le 4 juillet 1776, nos Pères Fondateurs ont signé la Déclaration d’Indépendance. Et voici ce qu’ils ont dit :

« Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

En 1891, notre Cour suprême, dans une affaire appelée Botsford, a expliqué que la liberté médicale est inaliénable et constitue l’un des droits les plus précieux que nous puissions avoir.

Ils ont dit :

« Aucun droit n’est considéré comme plus sacré ou n’est plus soigneusement gardé par la “Common Law” que le droit de chaque individu à la possession et au contrôle de sa propre personne, libre de toute contrainte ou interférence d’autrui, à moins que par une autorité claire et incontestable de la loi, le droit d’une personne puisse être considéré comme un droit d’immunité totale, à laisser en paix ».

En 1914, le juge Cordozo, qui devint plus tard juge à la Cour suprême des États-Unis, s’exprimait ainsi :

« Tout être humain adulte et sain d’esprit a le droit de déterminer ce qu’il doit faire de son propre corps, et un chirurgien qui pratique une opération sans le consentement de son patient commet une agression pour laquelle il est responsable des dommages. »

Ces mêmes concepts et déclarations textuelles de nos tribunaux ont été réitérés au fil des décennies. En 1990, par exemple, dans une affaire appelée Cruzan contre le directeur du département de la santé du Missouri, la Cour suprême a essentiellement affirmé que chaque individu a le droit de refuser un traitement médical. Cela remonte à la common law anglaise. Et voici ce que le juge Brennan a dit dans l’affaire Cruzan :

« Le droit anglo-américain part du principe d’une autonomie complète. Il s’ensuit que chaque homme est considéré comme le maître de son propre corps, et qu’il peut, s’il est sain d’esprit, interdire expressément l’exécution d’une intervention chirurgicale destinée à sauver sa vie ou tout autre traitement médical. »

Comment se fait-il alors que nos gouvernements nous imposent un traitement médical sans consentement, pas un vrai consentement. Ils contraignent nos concitoyens à prendre un vaccin de nature expérimentale sous la menace de perdre leurs moyens de subsistance, leurs maisons et leur éducation. Eh bien, notre gouvernement s’appuie sur une affaire appelée Jacobson contre Massachusetts. Je vais donc vous expliquer ce cas et vous dire pourquoi il va dans notre sens, à savoir que nous avons le droit de choisir la médecine et les traitements médicaux pour notre corps. L’affaire ne soutient pas les fabricants de vaccins et ne soutient pas les mandats de vaccination. En 1902, lors d’une petite pandémie pop qui a tué des centaines de millions de personnes dans le monde, l’État du Massachusetts a adopté une loi stipulant que chaque personne devait être vaccinée contre la variole ou payer une amende de cinq dollars. C’est exactement ce que disait la loi. C’était une loi du type « soit ou » donnant aux gens l’option de payer une amende de 5 dollars s’ils ne veulent pas se faire vacciner.

M. Jacobson pensait que sa liberté d’action le protégeait à la fois de la vaccination et du paiement de l’amende de 5 dollars. Il est donc allé jusqu’à la Cour suprême des États-Unis après avoir payé l’amende de 5 $ et a voulu récupérer son argent. Et la Cour suprême a examiné les preuves médicales. Le vaccin contre la variole était utilisé depuis 100 ans. Il était utilisé dans le monde entier avec une grande efficacité et permettait d’enrayer l’une des pires pandémies de l’histoire du monde. Après avoir examiné attentivement les preuves médicales, après avoir formulé des conclusions concernant l’efficacité et l’innocuité du vaccin et la nécessité du vaccin antivariolique, le tribunal a décidé que M. Jacobson ne pouvait pas récupérer ses 5 $. Maintenant, gardez à l’esprit que M. Jacobson pensait qu’il était dans l’intérêt de la liberté de circuler en ville et d’être vu dans toute la ville sans être vacciné. Il a donc fait étalage du fait qu’il n’était pas vacciné parce qu’il croyait avoir le droit de sortir et de se promener sans le traitement médical qu’il ne voulait pas. Et donc l’opinion de la cour était basée sur tous ces faits. Ces faits ne soutiennent pas les mandats Covid aujourd’hui. En fait, l’une des dernières choses que la cour a dites dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts, et je cite, nous décidons maintenant seulement que la loi couvre le cas présent et que rien n’apparaît clairement qui justifierait que cette cour la considère comme inconstitutionnelle et inopérante dans son application au plaignant M. Jacobson. Il y a plusieurs raisons expliquant pourquoi M. Jacobson ne cautionne pas les mandats de vaccination proposés aujourd’hui concernant le coronavirus.

Tout d’abord, il y a une énorme différence concernant les risques publics encourus. La pandémie de variole tuait jusqu’à 60 % des personnes dans les villages où elle sévissait. Entre 20 et 60 % des gens mouraient, soit un taux de mortalité global d’environ 30 %. À certaines périodes, plus de 90 % des bébés exposés à la variole mouraient. Maintenant, comparez ça au Covid-19, il tue une minuscule fraction de 1 % des gens. Le risque public n’est même pas comparable.

La deuxième chose est que les vaccins Covid-19 ne sont pas vraiment des vaccins. Contrairement à l’histoire des vaccins, qui arrêtaient l’infection et la transmission, ces vaccins ne font ni l’un ni l’autre. Ces vaccins expérimentaux n’existent pas depuis 100 ans. Ils n’ont pas été essayés et testés, et nos concitoyens sont soumis à des vaccins expérimentaux alors qu’aucun d’entre nous ne sait vraiment quels en seront les effets à long terme. Et enfin, la loi dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts donnait la possibilité aux gens de payer 5 $. Aujourd’hui, cela reviendrait à un peu moins de 150 $. Comparez cela à des gens qui perdent leur gagne-pain, tout ce pour quoi ils ont travaillé, leur maison et leur étude universitaire parce qu’ils refusent de se soumettre à un vaccin expérimental. Il n’y a tout simplement aucune comparaison possible. Jacobson contre Massachusetts ne soutient pas les fabricants de vaccins ni les obligations en matière de vaccins. Alors certains d’entre vous se demandent peut-être pourquoi les mandats de vaccination du Covid n’ont pas été déclarés totalement inconstitutionnels ?

Eh bien, certains l’ont été. Mais il y en a un qui a résisté à l’examen de la Cour suprême le 13 janvier 2022. Je veux donc expliquer que, tout d’abord, le mandat de vaccination des travailleurs de la santé découle de la clause sur les impôts et les dépenses de la Constitution américaine, qui se trouve à l’article 1, section 8. Le Congrès a toujours eu une grande latitude pour imposer des conditions aux fonds fédéraux. Donc vous prenez l’aigre avec le doux. Et si vous voulez de l’argent fédéral, vous devez vous soumettre aux conditions du Congrès. Tout au long de l’histoire, le Congrès a été autorisé à mettre des conditions à la réception des fonds de Medicare et de l’assurance-maladie et a spécifiquement autorisé des conditions pour limiter la transmission des maladies transmissibles. Malgré tout, l’opinion était de cinq contre quatre, avec seulement cinq juges convenant que le mandat de vaccination pour les travailleurs de la santé a passé le test initial pour voir si oui ou non la cour arrêterait l’application du mandat de vaccination. Mais la vraie question est, comme l’a indiqué le juge Thomas, pourquoi l’efficacité du vaccin n’a-t-elle pas été prise en compte ? Elle n’a pas été prise en compte. Et le juge Thomas l’a dit très clairement dans sa position dissidente, rejointe par trois autres juges. La raison pour laquelle l’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été prises en compte est que la question n’était pas devant la Cour. Sur les 22 États qui ont contesté le mandat de vaccination, aucun n’a affirmé que le mandat violait la clause de liberté. La clause de liberté est l’endroit où nous trouvons nos libertés médicales. Tout au long de l’histoire, la clause de liberté a été utilisée pour nous protéger contre des procédures médicales non désirées et même pour nous permettre d’exiger les actes médicaux que nous souhaitons.

Vous verrez donc derrière moi une photo de la Cour suprême des États-Unis. J’ai été confronté au fait que, lorsque nos juges se verront présenter les faits médicaux concernant l’efficacité du vaccin, la nécessité du vaccin et la manière dont nos gouvernements intimident et contraignent les gens à se faire vacciner contre leur gré, la Cour soutiendra nos droits à la liberté et déclarera tous les vaccins inconstitutionnels. Plus tard dans la journée et dans les jours qui suivent, vous entendrez un certain nombre de professionnels de la santé expliquer pourquoi ce vaccin n’a rien à voir avec les vaccins du passé. Je vous encourage donc à rester à l’écoute et je vous remercie de nous avoir suivis.

18:12 Viviane Fischer :

Merci, Mme Deana Pollard Sacs, pour votre déclaration introductive. Je voudrais maintenant donner la parole au Dr Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne, pour une présentation générale.

18:25 Reiner Fuellmich :

Merci. Bonjour. Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importante. Cette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultime, qui est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement in-efficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui. Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en main par l’autre partie par le biais de leur principale plate — forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.

Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Or-ganisation mondiale de la santé, Bill Gates, BlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.

Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Courts, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, — la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. Après nos déclarations préliminaires, nous commencerons dans une semaine par appeler d’anciens membres de l’armée américaine, James Bush, qui a participé à l’opération Dark Winter en 2001, d’anciens membres des services de renseignement britanniques Brian Gerrish et Alex Thompson, et les journalistes d’investigation Whitney Web et Matthew Erett, et d’anciens employés et conseillers de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Sylvia Barront et le Dr Astrid Stuckelberger. Ils nous expliqueront le contexte historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes confrontés, et ils nous montreront comment cet agenda a été planifié depuis au moins 20 ans, en commençant par l’opération Dark Winter en 2001, et une dizaine d’années plus tard, le scénario lockstep de la Fondation Rockefeller, pour finir par la répétition générale, l’Event 201 en octobre 2019. Et ils expliqueront comment, alors qu’il n’y avait pas de cas — ce dont ils avaient besoin pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, ils les ont créés. En demandant à l’accusé Drosten d’inventer l’histoire des infections asymptomatiques qui n’existent pas, et comment ce test PCR peut détecter par un dépistage de masse de personnes parfaitement saines, celles qui sont infectées, c’est un mensonge, comme nous le montrerons.

Nous poursuivrons avec le prochain groupe de témoins, le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue expérimenté et ancien membre du Bundestag allemand et du Conseil de l’Europe, qui a réussi à démasquer la première tentative de pandémie de la partie adverse, la grippe porcine d’il y a douze ans, comme une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kammërer, biologiste de l’université de Vertzbroke, le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, le docteur Sylvia Barront, le docteur Astrid Stuckelberger, le professeur Dolores Chill de l’université de Dublin, le professeur Antonia Tagati d’Italie, le professeur Berkholtz d’Allemagne. Ces experts vont nous expliquer ce qui se cache derrière la légende de l’épidémie du marché humide de Wuhan. Ils montreront que le virus n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire. Le test PCR ne peut rien nous dire sur les infections, mais il est la seule base de toutes les mesures anti-Corona, y compris la mesure ultime, les soi-disant vaccins. Et les soi-disant vaccins sont non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereux. Indépendamment de l’origine naturelle ou humaine du virus, notre système immunitaire est parfaitement capable de faire face au virus, comme le prouve un taux de létalité des infections compris entre 0,4 ou 0,5 % ou même moins. Il n’y a eu aucune surmortalité nulle part, avant le début des injections expérimentales. Il n’y a même pas eu de cas au début de 2020. Cependant, ils avaient besoin de cas pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, car c’était la seule base sur laquelle il serait possible, selon leurs propres règles inventées et acceptées par tous les gouvernements des États membres de l’Organisation mondiale de la santé, d’utiliser de nouveaux médicaments non testés — les injections expérimentales — sur des personnes.

Après une première tentative ratée d’annoncer cette urgence de santé publique de portée internationale parce qu’il n’y avait pas de cas, ils ont réessayé fin janvier 2020 après avoir créé des cas à l’aide de ce désormais tristement célèbre test PCR de Drosten, et ont annoncé cette urgence de santé publique de portée internationale deux semaines plus tard. Ces experts nous diront que ces cas étaient presque tous des résultats de tests faussement positifs, rien d’autre.

Le prochain groupe d’experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Artist du Texas, du Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wodarg d’Allemagne et de John O’Looney, Undertaker d’Angleterre. Ces experts nous expliqueront comment, dès le départ, nous avons été les témoins d’une interdiction délibérée et totalement insensée des méthodes normales, efficaces et sûres de traitement des maladies respiratoires et, à la place, à une obligation de traitements qui doivent aujourd’hui être considérés comme des fautes médicales graves. Intubation, Remdesivir, Midazolam.

John O’Looney expliquera comment il a d’abord cru les allégations de l’autre partie concernant une pandémie, et a même aidé la BBC à diffuser sa propagande de panique, jusqu’à ce qu’il réalise que sous le couvert de la pandémie, des gens étaient tués intentionnellement.

Nous appellerons ensuite le groupe suivant d’experts, dont le professeur Alexandra Henrion Caude de France, le Dr Mike Yeadon, le professeur Sucharit Bhakdi d’Allemagne, le professeur Luc Montagnier de France, le Dr Vanessa Schmidt Kruga d’Allemagne, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin ARNm des États-Unis, et la professeur Anna Blochat, pathologiste d’Allemagne. Ils nous montreront que si le virus n’a pas provoqué de surmortalité, son taux de survie est de 99,97 %. Les injections tuent maintenant des gens et ont causé une surmortalité allant jusqu’à 40 % depuis septembre, en raison d’un empoisonnement par la protéine spike et de l’arrêt de notre système immunitaire.

Le Dr Mike Yeadon nous expliquera comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des dosages mortels, pour voir comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés de manière à ce que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui se passe.

Le groupe d’experts suivant nous expliquera comment on a pu en arriver là. Ce groupe comprend le professeur Matthias Desmond de Belgique, le docteur Ariane Bilheran de France, le docteur Meredith Miller des États — Unis, le professeur Harald Walach d’Allemagne et Stefan Kuhn, employé du ministère allemand de l’Intérieur. Ces experts nous expliqueront comment l’autre partie, après avoir établi rapidement l’urgence de santé publique de portée internationale, nous a présenté le confinement, les obligations absurdes et dangereuses du port du masque et la distanciation sociale très nuisible, à la fois physiquement et psychologiquement, jusqu’à ce qu’ils arrivent à leur objectif ultime, les injections inefficaces et dangereuses, voire mortelles. Et ils nous expliqueront en détail comment notre consentement à tout cela a été rendu possible par une gigantesque opération psychologique dont le message de panique nous a été transmis par la propagande implacable des médias grand public et de nos politiciens, tous deux détenus par l’autre camp.

Le groupe d’experts suivant comprend Leslie Manukin, ancienne banquière d’affaires américaine, Naomi Wolf, journaliste et auteur américaine, Anzwef, économiste allemand, le professeur Christian Christ, économiste allemand, le professeur Hogareko, économiste allemand, et Marcus Karl, économiste allemand. Ces experts nous expliqueront en détail la destruction intentionnelle de nos économies et la manière dont l’autre camp travaille à un crash contrôlé du système financier afin d’échapper aux crimes qu’il a déjà commis au cours des dix dernières années, des décennies de pillage de nos caisses publiques jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, et d’introduire une Banque Mondiale Unique, une monnaie numérique et un passeport numérique.

Le dernier groupe d’experts comprend Matthew Erett, un journaliste d’investigation du Canada, Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, Ilana Rachel Daniel d’Israël, le rabbin Smith de New York, Patrick Wood, un expert en technocratie des États-Unis, Avital Livni d’Israël. Dans la dernière partie de l’enquête, ces experts nous expliqueront comment une partie importante du programme de l’autre camp est liée au contrôle de la population, ou plutôt à l’eugénisme. Après la Seconde Guerre mondiale, l’eugénisme avait mauvaise réputation, comme l’a dit Julian Huxley, qui a fondé l’ensemble de l’UNESCO. Mais lui et le très grand groupe de personnes qui soutenaient l’idée de l’eugénisme allaient bientôt pouvoir poursuivre leurs efforts dans ce sens, il l’a expliqué ouvertement.

Les parallèles entre ce qui s’est passé il y a 80 ans et ce qui se passe maintenant ne doivent pas être ignorés. Vera Sharav nous le rappellera.

Après avoir entendu toutes les preuves, nous ne doutons pas que vous recommanderez des actes d’accusation contre tous nos défendeurs putatifs pour crimes contre l’humanité. Merci.

36:30 Viviane Fischer :

Merci pour cette vue d’ensemble et aussi pour nous avoir donné un aperçu de l’ensemble des experts que nous allons entendre. Je voudrais maintenant revenir à l’avocate Ena Garner des États-Unis, pour nous donner plus d’informations sur le test PCR.

36:52 Ana Garner :

Merci. Pour comprendre l’énormité de la planification de cette collaboration criminelle à l’échelle mondiale, nous devons commencer par la base de la pandémie. C’était un gros mensonge. C’était un mensonge pour les gouvernements du monde de déclarer, presque à l’unisson, une pandémie mondiale. Un mot comme tant d’autres impliqués dans ce récit officiel, dont la définition a été modifiée pour répondre aux objectifs du programme.

Plus précisément, ce dont je voulais parler, c’est du grand mensonge basé sur le test PCR, sur les tests. Ce n’est pas une pandémie, mais une « casedémie ». Les informations qui nous ont été données par le CDC et la FDA sur le test PCR sont manifestement fausses, et nous aurons des éléments pour le prouver. En fait, cette méthode n’est pas du tout un test, pas un test de diagnostic, mais une technologie de fabrication génétique, qui recherche des bribes de code spécifiques et les amplifie en les doublant à chaque cycle. Son inventeur, Karry Mullis, qui a obtenu un prix Nobel pour le procédé qu’il a inventé, a déclaré qu’il n’a jamais été question d’en faire un outil de diagnostic valable, et il est connu de tous ceux qui l’utilisent qu’il ne peut pas détecter d’infection active. Drosten, l’un des accusés, le savait. Il savait que le test n’avait aucun sens et qu’il était faux. Cependant, ce test a été utilisé pour créer une panique mondiale et l’obtempération. Le CDC a même admis que son propre test, récemment retiré, était basé sur des échantillons truqués. Les seuils de cycle grossièrement excessifs recommandés par l’OMS, c’est-à-dire le nombre d’amplifications que subit une petite quantité de matériel génétique, pour déterminer s’il y a quelque chose de présent, sont bien au-delà des normes de l’industrie, et ils rendent tout test inutile, avec des résultats faussement positifs à des taux approchant les 100 %. Des études ont montré que le taux de faux positifs de ce test PCR est en fait plus proche de 97 %. Cela signifie que 3 % de la population dont le test est positif sont peut — être malades de quelque chose, mais nous ne savons pas de quoi ils sont malades, parce que le test ne le détermine pas. Ce test a été utilisé de manière abusive dans le monde entier pour justifier frauduleusement l’existence d’une pandémie et pour déterminer des chiffres de cas et de décès faussement gonflés.

Nous démontrerons par des preuves claires et convaincantes que les défendeurs ont participé à ce mensonge mondial et ont qualifié une maladie largement dispersée géographiquement, avec des taux de survie équivalents à ceux d’une grippe saisonnière, de pandémie permettant de fausses déclarations mondiales d’urgence de santé publique. À partir de cette situation d’urgence qui dure maintenant depuis près de deux ans, les gouvernements ont imposé des restrictions draconiennes, la séparation et l’isolement des populations vulnérables, comme les personnes âgées et les enfants, ainsi que la mise en place de vaccins obligatoires dans le monde entier.

Nous savons que la prochaine étape sera la mise en place de passeports vaccinaux, qui verrouilleront encore plus notre planète, ainsi que des camps de quarantaine partout. Notre confiance a été trahie par la corruption du système, et nous vous fournirons des faits vérifiables prouvant que nous avons tous été gravement trompés pour croire à un gros mensonge. Et les objectifs finaux étant, selon les termes de l’un des accusés, Bill Gates, de vacciner chaque homme, femme et enfant de la planète, avec des injections expérimentales modifiant les gènes.

Ces tests PCR ont été utilisés pour augmenter le nombre de cas et de décès. Examinons la définition d’un cas. Historiquement, un cas était une personne malade, et pas seulement un test positif en l’absence de tout symptôme. Avec des tests effectués dans le monde entier sur des personnes en bonne santé, ils ont grossièrement gonflé le nombre de cas. Et cela nous est diffusé en permanence par les médias grand public, par le Department of Highway Signs aux États-Unis et peut — être dans d’autres pays, et a été utilisé pour inciter la panique et l’obtempération dans le monde entier.

Les inconvénients importants sont la raison pour laquelle le test PCR ne devrait être effectué que sur des patients symptomatiques et pourquoi un test positif ne devrait être considéré que comme un seul facteur de tout diagnostic. Vous ne pouvez pas diagnostiquer quelqu’un en l’absence de symptômes cliniques et en l’absence de diagnostic médical.

Nous nous retrouvons donc à tester des personnes en bonne santé en grand nombre, ce qui donne lieu à des chiffres faussement gonflés et à la panique. Le CDC et la FDA ont reconnu ce potentiel, tout comme les auteurs de ces crimes, que nous allons présenter.

Les preuves montreront que Drosten, qui prétend avoir inventé le test du Covid-19, était conscient de ses limites et de sa fausseté. Le test n’était spécifique d’aucun virus ni d’aucune bactérie. Par conséquent, il est inutile pour déterminer ce qui pourrait même causer des symptômes. Ce à quoi le test est bon, c’est à provoquer une panique mondiale. Même les morts, autre chiffre faussement gonflé, qui doit être examiné à la lumière de ces faux tests PCR. Un décès avec un test PCR positif est considéré comme un décès dû à Covid. Que vous ayez été admis à l’hôpital à la suite d’un accident de voiture, d’une crise cardiaque ou même d’un accouchement. Si vous avez été testé positif et que vous êtes décédé dans les 28 jours environ suivant votre test, votre décès a été attribué à Covid-19. Même notre CDC a admis, plus tard au cours de la pandémie, que 95 % des décès attribués au Covid étaient dus à d’autres causes. C’était simplement basé sur un faux test. Les fabricants savaient aussi tout cela, y compris je cite : « l’inventeur du test Covid-19, Drosten ».

Nous assistons maintenant à un message de peur qui a provoqué une discrimination institutionnalisée contre les personnes qui ne choisissent pas d’être vaccinées et qui ne choisissent pas d’être testées. Ceci est moralement répréhensible selon toute norme humaine. Le résultat de ces faux tests est un énorme préjudice catastrophique pour les populations du monde entier. Il y a des scientifiques et des médecins qui témoigneront de l’énorme préjudice catastrophique qui a été causé par ces tests. La preuve juridique de l’intention et de la connaissance se trouve dans les divers documents de la FDA et les documents connexes, et ils sont conçus pour obscurcir et égarer même les avocats qui lisent et parcourent ces documents. Comme vous pouvez commencer à le voir ici, les piliers de la narration officielle du Covid et celle des médias, qui sont une seule et même chose, tombent comme des dominos lorsque l’on montre les preuves.

Il existe des preuves irréfutables de fraude et de malfaisance multiforme dans tout le régime Covid. Si vous avez le courage et l’honnêteté intellectuelle de les regarder, de les étudier et de les considérer équitablement, faites-le. Cela peut être choquant pour certains, incroyable pour d’autres, mais je vous assure que ces preuves sont réelles et inquiétantes. L’une des choses qui en découlent est que le système doit prétendre que la seule réponse à ces nombres exagérés de cas et de décès est les vaccins, et ils ont fait cela pour que leur utilisation d’urgence soit autorisée et qu’ils figurent sur les calendriers des enfants. Et c’est ce qui va suivre. Merci de votre attention.

44:54 Viviane Fischer :

Merci beaucoup Mme. Garner pour cette voix additionnelle. J’aimerais maintenant me tourner vers Dipali Ojha, de l’Inde. Est-ce que vous nous entendez ?

45:09 Dipali Ojha :

Oui. Merci beaucoup. Bonjour à tous. Je suis l’avocate Dipali Ojha, d’Inde. C’est un grand honneur pour moi de présenter ma déclaration d’ouverture au Grand Jury du Tribunal populaire de l’opinion publique. Je remercie le Juge Rui Da Fonsesca et tous mes collègues juristes pour cette présentation pleine d’espoir et de perspicacité.

En mars 2020, la plupart d’entre nous ont été pris au dépourvu lorsque les gouvernements du monde entier ont annoncé le début d’une pandémie supposée être créée par un nouveau virus SARS — CoV2 qui pourrait provenir de Wuhan, en Chine. Dès la déclaration de la pandémie, une série d’annonces sans précédent a été faite, comme la fermeture des frontières internationales, l’arrêt complet des vols internationaux, l’obligation de porter un masque, le respect d’une distance sociale et des mesures des plus mortelles comme le confinement. En Inde, les services ferroviaires se sont arrêtés net pour la première fois en 167 ans d’histoire. Chaque pays a rapidement adopté des mesures similaires, censées prévenir et contrôler la propagation de l’infection.

Dans cet état de chaos, de panique, de choc, d’incertitude et de peur, la plupart d’entre nous se fient aux médias grand public comme source d’informations authentiques sur ce virus et les ravages qu’il a provoqués chez nous. L’un des aspects les plus marquants de la communication que nous recevons constamment des gouvernements et des autorités sanitaires du monde entier est qu’il n’existe aucun remède connu contre le virus Sars-Cov-2. Dans plusieurs pays, les patients malades se voyaient refuser l’admission dans les hôpitaux et étaient renvoyés chez eux en prétextant qu’il n’y avait pas de remède à cette maladie. Pendant cette phase, il y avait des médecins honnêtes et des médecins de première ligne qui traitaient les patients avec d’anciens médicaments, ce qui n’est certainement pas un phénomène nouveau dans le courant de la médecine allopathique. Et certains médecins ont proposé leurs propres protocoles de traitement sur la base de leur vaste et riche expérience clinique.

Tandis que les médecins font leur devoir solennel de sauver la vie de leurs patients de la meilleure manière possible, en utilisant de vieux médicaments dont la sécurité a été prouvée, en association avec des suppléments comme le zinc, la vitamine C, la vitamine D, etc., nous avons assisté à une opposition véhémente de la part des mêmes autorités sanitaires qui étaient à la tête de la conception de la réponse à la pandémie. L’agitation de ces autorités sanitaires s’est manifestée par le rejet de toute information révélant l’efficacité des traitements précoces et l’existence de thérapies alternatives pour traiter les patients atteints du Covid-19.

Toute personne d’intelligence ordinaire aurait trouvé cela déraisonnable dans la mesure où sauver des vies serait évidemment le premier et le plus important des objectifs, surtout lorsque les médecins, sur la base de leur expertise clinique, affirmaient pouvoir guérir les patients grâce aux traitements précoces.

Je vais dévier ici un moment pour partager avec vous quelque chose du point de vue de mon pays, l’Inde. En Inde, nous avons une riche tradition de systèmes de médecine alternative comme l’Ayurveda, le Siddha, le Unani et d’autres systèmes de guérison comme la naturopathie et l’homéopathie. En fait, il existe un ministère spécifique au sein du gouvernement indien appelé AYUSH, qui est un acronyme pour Ayurveda, Yoga et Naturopathie, Unani, Siddha et Homéopathie.

Les médecins reconnus qui sont formés pour pratiquer ces systèmes de médecine alternative ont traité avec succès des patients Covid-19. Cependant, après le lancement de ces vaccins expérimentaux, nous ne devrions pas les appeler des vaccins. En fait, il s’agit d’injections, ce qui serait une description plus appropriée. Après le déploiement de ces injections expérimentales, le blocage de toute discussion autour des traitements alternatifs semble être devenu plus prononcé, y compris le licenciement des médecins qui ont préconisé des traitements précoces pour le Covid, ceux qui ont proclamé que les traitements précoces étaient effectivement sûrs et efficaces. Certains médecins ont même fait l’objet de mesures disciplinaires de la part de leur conseil médical. Certains ont été ridiculisés publiquement et ont risqué l’annulation ou la suspension de leur licence médicale.

Une telle réaction académique de la part des autorités sanitaires, des gouvernements et des conseils médicaux était en soi un signal d’alarme indiquant que quelque chose, quelque part, n’allait pas et n’était pas correct. Il est intéressant de noter que la plupart des personnes qui dictaient les réponses pour le Covid-19 des pays du monde entier ne traitaient même pas les patients Covid, mais ne prêtaient aucune attention aux médecins honnêtes et diligents qui traitaient réellement les patients sur le terrain avec un traitement précoce.

Comme mon savant collègue l’a déjà souligné, la raison possible du blocage de toute information concernant l’efficacité des traitements précoces pour l’autorisation d’utilisation d’urgence qui n’est accordée que lorsqu’il n’y a pas de médicament adéquat, premièrement approuvé et disponible pour le traitement.

L’affirmation selon laquelle il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 a permis aux fabricants de vaccins de demander l’autorisation d’utilisation d’urgence. En outre, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité lorsque cette autorisation leur est accordée. Je souhaite informer ici qu’en Inde, il n’existe pas de dispositions spécifiques comme celles établies par la FDA américaine concernant l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence et que, par conséquent, jusqu’à récemment, les traitements alternatifs ou les médicaments de traitement précoce faisaient partie du protocole national indien de gestion du Covid.

L’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine étaient inclus dans un protocole national jusqu’à fin septembre 2021. En fait, des États comme l’Uttar Pradesh et Goa en Inde se sont fait connaître au niveau mondial pour avoir démontré avec succès l’utilisation de l’Ivermectine dans le contrôle de la propagation du Covid-19 et la guérison rapide des patients. Cependant, ces réussites ont été délibérément sapées et supprimées par toutes ces personnes et plateformes médiatiques compromises qui ont lourdement investi dans des entreprises de vaccins ou qui ont un intérêt direct, sous une forme ou une autre, à ce que le succès de ces médicaments de traitement précoce ne soit pas connu de tous. L’absence manifeste de tout débat scientifique sur l’efficacité des traitements précoces, associée au musellement des voix qui tentent de faire connaître l’efficacité des médicaments de traitement précoce, est un signe clair que les gouvernements et les autorités sanitaires du monde entier poussent le vaccin comme la seule solution pour guérir le Covid-19.

Un autre aspect spécifique à l’Inde est qu’il n’y a pas d’immunité pour les fabricants de vaccins en Inde, ce qui a été confirmé par une déclaration sous serment déposée par le gouvernement indien auprès de la Cour suprême de l’Inde. Récemment, nous avons aidé à fournir une pétition à la Haute Cour de Bombay par un père qui a perdu sa fille suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Il a demandé une indemnisation d’environ 1,3 milliard de dollars pour la perte de la vie de sa fille.

C’est le deuxième cas que nous avons aidé à déposer. Le premier cas a été déposé en novembre 2021 par une mère qui a perdu son jeune fils suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Dans ce cas, le fils a été contraint de prendre le vaccin expérimental afin d’accéder au système de transport public qui ne permet qu’aux personnes vaccinées de voyager, conformément à l’ordre administratif du gouvernement. En plus de la compensation monétaire pour la perte de la vie de son fils à cause de ces injections expérimentales, cette mère a également demandé une enquête approuvée par la Première Agence d’Investigation d’Inde sur le rôle de toutes les personnes impliquées dans l’enchaînement des événements, depuis les fabricants de ces vaccins, les personnes en charge de la réponse au Covid-19 ici en Inde et tous ceux qui ont prétendu que ces vaccins Covid sont 100 % sûrs et efficaces.

Nous nous attendons à ce que plusieurs plaintes soient déposées dans tout le pays dans un avenir proche par des victimes de ces expériences médicales.

Il serait inapproprié d’appeler ces produits des vaccins, car les vaccins sont censés fournir une immunité contre une maladie. Alors que l’on nous avait promis que les vaccins Covid nous protégeraient d’un virus prétendument mortel, nous constatons aujourd’hui que ces vaccins Covid n’empêchent pas d’entrer en contact avec la maladie et n’en arrêtent pas la transmission. En outre, ces vaccins ont montré qu’ils avaient des effets secondaires graves, y compris des décès, de sorte qu’il est impossible de justifier des produits médicaux expérimentaux qui n’arrêtent ni l’infection ni la transmission.

En outre, les personnes vaccinées sont tenues de suivre le comportement approprié en cas de confinement, de rester à l’intérieur, de porter des masques et de respecter les distances sociales.

Il y a un autre aspect alarmant de la manière dont ces injections expérimentales sont administrées à la population mondiale que je souhaite porter à votre attention. Il s’agit du consentement éclairé et de la manière dont les lois établies autour du consentement éclairé ont été ouvertement violées.

Dans le procès que nous avons intenté ici en Inde, outre les précédents judiciaires spécifiques à l’Inde établis par nos tribunaux, nos hautes cours et la Cour suprême, nous avons également cité les dispositions de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de 2005, qui imposent de fournir des informations détaillées au public afin d’obtenir son consentement éclairé à de telles expérimentations médicales.

Toutes ces dispositions ont été violées. Par exemple, l’article 3 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme stipule que la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés et que l’intérêt et le bien — être de l’individu doivent avoir la priorité sur le seul intérêt de la science et de la société.

De même, l’article 6 de la même déclaration stipule que toute intervention médicale préventive, diagnostique et thérapeutique ne peut être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations adéquates. Ce consentement doit, le cas échéant, être exprimé et peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour toute raison sans inconvénient ni préjudice.

Il existe également un autre jugement de référence que nous avons cité dans les procédures que nous avons déposées, à savoir le jugement rendu par la Cour suprême du Royaume-Uni dans l’affaire Montgomery contre Lanarshire Health Board, qui date de 2015. Alors que nous discutons des points cruciaux concernant l’absence de consentement éclairé et la violation de plusieurs conseils et accords internationaux dans ce processus de déploiement de ces vaccins expérimentaux, la partie adverse, M. Global, s’appuie généralement sur un examen très peu convaincant pour justifier ces produits médicaux expérimentaux, à savoir que les avantages l’emportent sur les risques.

Nos témoins experts présenteront les preuves qui montrent l’étendue de la façon dont ces produits expérimentaux ont infligé à la population les effets sérieux et graves de ces injections, y compris des décès, le manque de transparence autour des données des essais cliniques, la sous-déclaration des décès causés par ces vaccins, toutes ces preuves que nos experts présenteront au grand jury lors des prochaines audiences démoliront complètement ce raisonnement, couramment utilisé pour pousser ces vaccins expérimentaux que les avantages de ces injections expérimentales l’emportent sur les risques.

Pour conclure, je souhaite attirer l’attention du jury sur ce qui suit. La raison pour laquelle les autorités déclarent qu’il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 n’est pas claire jusqu’à aujourd’hui puisqu’il n’y a pas eu de débat scientifique ou de discussion entre les personnes en charge de la réponse Covid dans les pays et les médecins, les scientifiques et les docteurs qui prétendent avoir une histoire de succès prouvée et documentée autour du traitement précoce efficace. Deuxièmement, il n’y a eu aucune initiative, aucun effort pour mener des essais cliniques sur l’efficacité des médicaments de traitement précoce de la part des personnes responsables de la conception de la réponse officielle des pays au Covid. Il y a eu un déni général concernant l’immunité naturelle ou l’immunité développée après une infection naturelle, malgré la publication de plusieurs études à cet effet.

Les grandes entreprises technologiques censurent délibérément quiconque choisit de parler de l’existence de traitements alternatifs et du fait qu’ils sont plus sûrs que les injections expérimentales.

Enfin, le fait que de vieux médicaments, pour lesquels il existe de nombreuses données sur la sécurité, soient ignorés et qu’une injection médicale expérimentale lancée à la hâte soit présentée comme sûre et efficace. Nous savons qu’il n’y a aucune transparence autour des données sur les essais cliniques réalisés. Compte tenu du nombre d’effets indésirables signalés chaque jour dans le monde, ces produits expérimentaux sont tout sauf sûrs.

Nos témoins experts couvriront chacun de ces aspects en détail lors des prochaines audiences. Et je suis persuadé qu’après avoir examiné les éléments de preuve amenés au dossier, le grand jury sera parfaitement équipé pour évaluer le rôle et la complicité de chaque personne, chaque entité, chaque organisation impliquée dans la commission de ces horribles crimes contre l’humanité.

Merci de votre attention.

59:12 Viviane Fischer :

Merci beaucoup. Maintenant, l’avocat Dexter Ryneveldt d’Afrique du Sud est avec nous. Pouvez-vous nous entendre ?

59:25 Dexter Ryneveldt :

Je vous entends très bien.

59:28 Viviane Fischer :

Fantastique. La parole est donc à vous.

59:31 Dexter L-J. Ryneveldt :

Merci beaucoup. Mes sincères excuses. Je suis Dexter Ryneveldt, un avocat pour la défense des droits en Afrique du Sud. C’est avec un grand honneur et une grande reconnaissance que je vous présente, membres de ce jury, une déclaration du tribunal de l’opinion publique, une déclaration d’ouverture.

Tout d’abord, je tiens à remercier Lemuel Malloy, Yvonne Katsanda, Kabura Monieki et Walter Mashillo, ainsi que tous les courageux témoins blessés par le vaccin Covid-19 dans le monde entier, pour leur aimable assistance et leur participation.

Je vais commencer par ce que Thomas Payne a dit il y a 200 ans, et qu’il a d’ailleurs énoncé de manière très éloquente :

« Les plus grandes tyrannies sont toujours perpétrées au nom des causes les plus nobles ».

Cette déclaration est encore plus pertinente aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a 200 ans, et elle le sera encore pendant des années et des siècles.

La question posée à vos honorables membres du jury, quelle est la cause la plus noble ? Elle a été et est toujours exploitée depuis le début de cette pandémie de SARS-CoV-2 Covid-19, qui n’est autre que la cause qui englobe : santé du corps, santé de l’esprit, se résumant à la santé de l’humain. Nous pouvons tous convenir que la cause la plus noble est ce qui est dans le meilleur intérêt de la santé humaine et comment cela affecte notre famille et nos amis, ainsi que notre capacité à générer un revenu. Les preuves présentées montreront exactement comment les défendeurs ont orchestré et manipulé cette cause la plus noble qu’est la santé humaine pour faire avancer l’agenda du contrôle total et de la domination sur une population qui ne s’en rend pas compte, et comment ils ont fait de sérieuses incursions dans les droits populaires, constitutionnels et inaliénables et la liberté. Depuis le début de la pandémie, mesdames et messieurs les jurés, les défendeurs ont déployé et investi des efforts et des sommes considérables dans les relations publiques. En fait, leurs campagnes de relations publiques, avec l’aide des grands médias d’entreprise, capitalisent ces préoccupations de la santé humaine pour leurs bénéfices financiers et leurs aspirations à la domination et au contrôle total.

À leur avantage, ils utilisent le slogan « suivez la science ». C’est une phrase d’accroche que nous connaissons tous si bien. Car chaque fois qu’ils parlent, ils justifient toujours l’expression « suivons la science », « c’est ce que la science » dit pour justifier et légitimer leurs politiques publiques de santé pour le soi-disant bien commun dans le monde entier avec les mesures de confinements.

En abordant les préoccupations de santé humaine en ce qui concerne le Covid-19, les questions pertinentes suivantes doivent être posées, mesdames et Messieurs.

La première question, quelle est la vraie nature du virus SARS-CoV — 2 ? Est-il vraiment nouveau ? Et si oui, dans quelle mesure pouvons-nous dire qu’il est nouveau ? La réponse courte à cette question est non, il n’est pas nouveau. Ici, les preuves apportées par les experts médicaux et scientifiques montreront sans l’ombre d’un doute que nous n’avons pas affaire à un nouveau virus. En fait, mesdames et messieurs, membres de ce jury, le virus SARS — CoV — 2 peut à bien des égards être considéré comme une grippe saisonnière, sa composition est très comparable au virus SARS-CoV-1.

La deuxième question que nous devons poser est la suivante : existe-t-il des traitements médicaux appropriés et viables pour combattre la maladie de Covid-19 ? Sans entrer dans trop de détails, ma collègue Dipali Ojha a clairement indiqué que, oui, en effet, ils facilitent les traitements alternatifs. Et pas seulement les traitements alternatifs faciles, mais ils facilitent les traitements alternatifs qui marchent.

Et c’est la preuve qui vous sera très certainement présentée à chacun. La troisième et dernière question que nous devons poser par rapport à cette préoccupation est : quel est le taux de survie au Covid-19 ?

Une fois de plus, les preuves montreront que la prévision du taux de survie au début de la pandémie n’était rien d’autre qu’une prévision statistique informatisée utilisée pour susciter la peur. Et je crois que nous connaissons tous très bien cette peur qui a été instillée en chacun d’entre nous. Mais en réalité, le taux de survie est de 99,5 %. Certains experts prouveront même que le taux de survie peut atteindre 99,97 %. Le taux de mortalité réelle actuel est loin de correspondre aux prévisions statistiques informatisées. En fait, le taux de mortalité de la grippe saisonnière est plus élevé que celui du Covid-19. Rien que cette déclaration, Mesdames et Messieurs, doit nous amener à réfléchir et à nous demander si cela en valait la peine. Toutes les mesures de confinement, d’aseptisation, de distanciation sociale ? Cela en valait-il vraiment la peine ?

Les trois questions que je viens de vous poser, membres du jury, nous amènent aux États-Unis, à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis. Il s’agit d’un atelier qui a été mené et je vais en tirer une citation, que vous pouvez rechercher Internet. Il s’agit d’une réponse rapide aux maladies infectieuses par des contre-mesures médicales, mettant en œuvre des capacités durables grâce à un partenariat permanent entre les secteurs public et privé. Et dans lequel le Dr Peter Daszak a écrit au Dr Anthony Fauci : je cite :

« De facto, une crise de maladie infectieuse bien réelle, présente et à un seuil d’urgence, est souvent largement ignorée. Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité de contre – mesures médicales, telles que le simple vaccin contre le coronavirus. Les médias sont un facteur clé et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront lorsqu’ils verront des bénéfices à la fin du processus.»

Fin de citation.

Cette citation en elle-même, Mesdames et Messieurs, est incriminante. Elle est sans ambiguïté. Elle expose le plan derrière la pandémie. Et par un simple clic sur un bouton, membres du jury, vous pouvez rechercher vous-même sur Internet qui sont les bénéficiaires financiers de cette pandémie. Sans nul doute, ce sont les investisseurs. Ce sont les actionnaires des compagnies de vaccins, au grand désespoir de la population, des hommes et femmes ordinaires. Quelle est l’intention ultime pour anéantir les petites et moyennes entreprises ? Les seules entreprises florissantes actuellement sont les sociétés pharmaceutiques et les grands conglomérats technologiques. Nous voyons aussi l’impact direct que cela a eu sur les petits magasins et sur les entreprises de taille moyenne aussi. Les déclarations qui vous seront présentées indiqueront clairement pourquoi les citoyens ont participé aux expériences médicales mondiales sur les vaccins, et le noyau du système de croyances des participants aux vaccins, — et vous l’entendrez de la bouche des victimes blessées par ces vaccins, le noyau du système de croyances qui explique pourquoi ils ont participé à cette expérience médicale, est qu’ils pensaient que ce serait dans leur meilleur intérêt sanitaire et, en fin de compte, financier.

Donc, avec cet ensemble, nous voyons qu’il y a un lien direct : je dois le faire pour ma santé et si je ne le fais pas, je vais y perdre financièrement, je ne serai pas en mesure de gagner un revenu. Et c’est pour cela que je vous expose l’intérêt financier. S’ils ne participent pas aux vaccins expérimentaux, ils risquent de perdre leur revenu. Ce n’est rien d’autre que de la coercition et du chantage, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est ce que nous appelons, Mesdames et Messieurs, l’approche de la carotte et du bâton. Les preuves présentées permettront d’élucider les processus et protocoles d’expérimentation médicaux, éthiques qui doivent toujours être respectés lors de la réalisation d’expériences médicales de masse. Les expériences médicales doivent respecter les normes les plus élevées de l’éthique médicale définies dans la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg, ainsi que la prescription législative codifiée de chaque pays respectif. Les preuves montreront que, sans nul doute, la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg et le code de conduite pour les expériences médicales de chaque pays ont été violés. En fait, ils sont toujours violés avec cette vaccination obligatoire. C’est poussé dans le monde entier.

Et tout cela a été accompli avec le slogan « suivez la science ». Les preuves montreront que le SARS-CoV-2, le Covid-19, peut se comparer à une grippe ordinaire. Honorables membres du jury, l’inventeur de l’ARNm, le Dr Robert Malone, a mentionné sur de multiples plateformes médiatiques alternatives les raisons pour lesquelles les vaccins expérimentaux à ARNm Covid-19 sont dangereux et constituent une fraude avec possibilité de graves séquelles à long terme. Entre autres, il peut s’agir de myocardites, de péricardites, et les preuves l’indiqueront clairement. Nous vous présenterons aussi un large aperçu des tests médicaux et scientifiques de laboratoire menés dans le passé sur la technologie médicale à ARNm jusqu’à ce jour, et pourquoi il n’est pas prudent de déployer les vaccins à ARNm à l’échelle mondiale, sur une population sans méfiance. Les preuves seront corroborées par des pharmacologues, des toxicologues, des immunologistes, des virologistes, des physiologistes et des biochimistes, entre autres. Mais ce n’est qu’un prélude aux preuves qui seront présentées par le professeur Bhakdi, le professeur Palmer ou le Dr Wodarg. Et je cite :

« Dans l’ensemble, il est évident qu’une nouvelle méthode d’introduction de matériel génétique dans les cellules humaines, par le biais d’adénovirus ou de virus adéno-associés est frauduleuse en entraîne des effets secondaires dangereux, dont les causes ne sont pas encore entièrement claires. Si de tels risques peuvent être acceptables dans le cas d’affections sinon incurables comme l’amyotrophie spinale, il est absolument irresponsable de les imposer à des personnes en bonne santé qui présentent peu ou aucun risque de connaître un jour un Covid-19 sévère.»

Fin de citation.

Membres du jury, pour comprendre pleinement l’étendue du plan derrière cette pandémie, nous devons mettre l’attention sur la mesure dans laquelle les défendeurs ont supprimé la procédure standard ou suivi la science. Nous n’avons pas besoin d’aller trop loin pour comprendre le plan de jeu. Nous pouvons simplement examiner comment ils ont changé les définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques, pour les adapter et justifier leur mantra « suivre la science ». En dernière analyse, nous devons étudier comment ils ont changé, adapté les définitions médicales et scientifiques. Et les définitions dont nous parlons sont les suivantes : pandémie, endémie, vaccins, immunité collective et immunité naturelle. Les preuves médicales et scientifiques montreront comment ces définitions ont été modifiées, adaptées pour correspondre aux crimes prémédités et intentionnels des accusés, de crime contre l’humanité.

Les adaptations des principales définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques sont criminelles, en ce sens qu’elles suivent le récit scientifique. Elles ne sont pas en phase avec les normes et pratiques épidémiologiques bien établies. Les preuves illustreront clairement les divergences entre le récit « suivez la science » et les informations et données médicales et scientifiques objectives et bien établies. Honorables membres du jury, j’attire votre attention sur une citation de Booker T. Washington. Je cite :

« Un mensonge ne devient pas vrai, ce qui est faux ne devient pas juste, et le mal ne devient pas le bien simplement parce que c’est accepté par la majorité. »

Même si la majorité, pour les besoins du raisonnement, — et je veux juste revenir rapidement en arrière, car la citation s’arrête à majorité — même si la majorité, pour les besoins du raisonnement accepte les définitions médicales et scientifiques déformées, on ne peut pas les considérer comme correctes ou véridiques. Un simple changement de définitions médicales et scientifiques, effectué sur un coup de tête sans justifications médicales et scientifiques claires et exemptes d’ambiguïté, ne peut justifier aucun changement chez les patients, et ne peut donc pas être considéré comme une vérité. Peu importe le nombre de fois que les défendeurs et/ou leurs collaborateurs répètent un mensonge, dans le cas qui nous occupe, les médias, il ne peut devenir vrai. Les questions les plus importantes dans l’esprit de la population, d’honorables membres du jury, sont les suivantes : comment se fait — il que les défendeurs aient pu faire autant de progrès dans le déploiement de la pandémie planifiée et des vaccins ? Pourquoi un nombre considérable de personnes se sont — elles laissées prendre au récit de la pandémie des défendeurs au point de se présenter pour être vaccinées avec un vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ?

Pour répondre à cette question, nous devons nous pencher sur le concept suivant : l’astroturfing. Je vais vous lire la définition d’astroturfing tirée de Merriam Webster :

« Activité organisée destinée à créer la fausse impression d’un mouvement populaire généralisé et spontané, en faveur ou en opposition à quelque chose, comme une politique, mais qui est en réalité initiée et contrôlée par un groupe ou des organisations dissimulées, comme des entreprises. »

Des preuves seront fournies pour montrer comment les accusés et les co-conspirateurs ont mobilisé le soutien de la population et déployé les grands médias pour faire progresser le programme de meurtre de masse mondial prémédité, en convainquant une partie de la population d’accepter volontairement les vaccins expérimentaux de thérapie génique Covid-19. Nous démontrerons qu’à travers la formation d’un état psychologique de masse à grande échelle, l’équité mentale du peuple a été intoxiquée. En conséquence directe, le peuple a fait confiance au récit du courant dominant, même s’il était totalement absurde et manifestement faux. Je vous laisse avec la citation suivante d’Aristote. Elle résume l’essence même de notre situation actuelle au niveau local. Mais avant de le citer, ce tribunal de l’opinion publique vous demande de considérer dûment toutes les preuves qui seront présentées dans leur totalité et de trouver en vous la force de voir la vérité telle qu’elle est.

C’est une plandémie et non une pandémie. Et quand vous regardez les deux mots plandémie, pandémie, il y a une lettre qui est différente et c’est le « l ». Donc ce que nous disons, nous allons présenter toutes les preuves. Vous apprendrez exactement pourquoi nous sommes là où nous sommes, et à la suite de cela, vous pourrez dire en toute confiance, j’ai appris, donc je vais prendre ce L majuscule et je vais l’insérer dans le mot pandémie, ce n’est pas une pandémie, c’est une pLandémie.

Les preuves sont claires et directes. En conséquence, les preuves présentées aujourd’hui sont suffisantes pour constituer une preuve prima facie contre tous les accusés et leurs actes d’accusation peuvent être, en fait doivent être émis contre les accusés et leurs capacités personnelles ou professionnelles, ainsi que contre les co-conspirateurs dans chaque pays du monde qui ont joué un rôle instrumental en colportant la grande illusion de suivre la science jusqu’à causer littéralement la mort. Et voici la citation d’Aristote :

« Les gouvernements qui ont le souci de l’intérêt commun, sont constitués selon des principes de justice stricts et sont donc des régimes véritables. Mais ceux qui n’ont en vue que l’intérêt des gouvernants sont tous des régimes défectueux et pervertis, car ils sont despotiques, alors qu’un État est une communauté d’hommes libres ».

Je vous remercie, honorables membres du jury.

1:20:06 Viviane Fischer :

Merci, M. Ryneveldt. Et merci à tous pour les déclarations préliminaires. Nous sommes arrivés à la fin des déclarations préliminaires et je voudrais faire savoir au jury, aux téléspectateurs que vous pouvez faire partie du jury. Nous avons mis en place une adresse électronique, contact@grand-jury.net, où vous pouvez nous contacter, si vous êtes, par exemple, un avocat et que vous souhaitez soutenir cet effort pour fournir les preuves afin que les mises en accusation puissent commencer. N’hésitez pas à nous contacter. Également si vous êtes une victime, si vous avez eu des problèmes, par exemple avec votre entreprise, si vous avez subi des dommages liés à la vaccination, si vous avez subi toutes sortes de pertes ou de restrictions, vous pouvez prendre contact avec nous et nous pouvons présenter votre cas, peut-être même ici, pendant que la procédure est en cours ou sous une autre forme, par exemple sur un site Web afin que le monde entier sache ce qui vous est arrivé.

1:21:22 Reiner Fuellmich :

Quelques mots de conclusion pour aujourd’hui, peut-être. Nous apprécions beaucoup la participation des téléspectateurs à cette procédure. C’est une procédure modèle. Et je dirai au nom de l’ensemble du groupe d’avocats, que vous avez rencontré pour certains, et d’autres que vous verrez pendant la suite de la procédure lorsque nous interrogerons les témoins, par exemple, que je tiens à vous remercier et à vous implorer de nous soutenir, de regarder cela, de dire au monde ce qui se passe réellement, parce qu’il n’y a pas beaucoup de sources auxquelles vous pouvez faire confiance. Il y a quelques sources. Celle-ci est l’une d’entre elles. Et nous pensons que c’est l’une des plus importantes d’entre elles. Car ce que nous faisons ici, ce que nous entreprenons, c’est de vous donner une image complète, une image complète de ce qui s’est passé et de ce qui se passe. Parce que ce n’est qu’en voyant le tableau complet que vous arriverez à la conclusion que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux en qui beaucoup d’entre nous ont l’habitude de faire confiance. Nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements. Nos institutions ont été infiltrées par ceux qui commettent ces crimes contre l’humanité. Plus important encore, une fois que vous aurez réalisé cela, vous arriverez également à la conclusion que c’est seulement nous, le peuple, qui ferons la différence. Nous mettrons fin à tout cela et nous nous assurerons qu’il y aura un nettoyage après coup, y compris les procédures nécessaires pour que justice soit faite. Et afin de traduire en justice ceux qui ont commis ces crimes contre l’humanité. Merci beaucoup.




La fin du Covid. Libres, enfin libres… encore que…

Par Alain Tortosa

[Humour]

Et oui, le grand jour est arrivé, le Covid est mort, nous n’avons plus besoin de masques protecteurs, de confinements régulateurs de virus, de vaccinations altruistes et de passe-vaccinal libérateur…

Ah ! nous l’attendions depuis longtemps et cela prouve à tous les complotistes que la méthode gouvernementale était la bonne.

Bon, d’accord, nous allons devoir payer l’addition avec de nouvelles taxes ou une inflation de 10 %, mais c’était ça ou l’extinction de l’espèce humaine.

Libres, libres, nous sommes libres…

Libres, oui, mais pas de faire n’importe quoi comme pourrait nous le répéter notre Président bienfaiteur lumineux ou Valérie Pécresse, tous deux grands défenseurs des libertés s’il en est !

Je vous rappelle que le monde est très très dangereux.
Poutine nous menace ainsi que le terrorisme !

Alors oui le monde est débarrassé… pardon, le monde contrôle l’odieux Sars-cov2, mais la menace peut revenir à tout moment. Nous avons vu comment, nous, frêles Occidentaux, sommes fragiles face à la violence d’un virus qui ne respecte même pas les frontières. Pour protéger la population, nous n’avons pas hésité à investir massivement dans le personnel de sécurité chargé de contrôler les mauvais Français.

Qui sait si le monstre ne va pas revenir demain ou dans deux ans ? (les scientifiques de Wuhan prépareraient la V3 avec l’aide de Fauci et autres instituts français.)

Nous devons plus que jamais rester vigilants et demeurer dans la peur si possible 24 heures sur 24… Nous sommes peut-être à l’aube d’un conflit nucléaire mondial ! Je vous rappelle que les Russes sont des psychopathes sans âme qui n’aiment pas leurs enfants.

Et comme dit le dicton « un Français endetté, c’est bien, mais un Français dans la peur, c’est mieux ».

Attention, ces menaces ne sont rien face au défi qui nous attend ! Cela fait des années que gouvernements et médias corrompus nous y préparent, mais maintenant il va falloir rentrer dans le dur.

« Nous devons sauver la planète Terre de nous-mêmes ! »

Nous sommes face à un défi énorme que l’homme (pardon « iel ») n’a jamais connu.

Si nous ne le faisons pas, les générations futures (s’il y a des survivants) ne nous pardonneront jamais de ne pas avoir acheté de voitures électriques.

Les mêmes experts qui ont modélisé l’épidémie sont formels et unanimes.

Il y a de plus un consensus sur la planète pour dire que dans dix ans, si nous ne faisons rien, il y aura la fonte totale des glaces, la disparition des ours polaires ainsi que 30 % à 50 % des espèces vivantes, et une montée des océans de 23,82 mètres.

Qui pourrait douter de ces prévisions à 5 ou 10 ans quand nous constatons la redoutable précision de la météo à 5 jours !

Pour revenir au réchauffement, tout le monde sait que la chaleur n’est pas propice à la vie et que les jungles luxuriantes se trouvent aux pôles. Nous savons tous que les différentes ères glaciaires ont permis l’explosion de la vie sur Terre.

Et autre point à considérer, le réchauffement climatique devrait entraîner d’énormes sécheresses et la fin de la pluie. Là aussi il faudrait être le dernier des idiots pour imaginer que plus de chaleur entraînerait plus d’évaporation et donc plus de précipitations… Tout le monde sait qu’à l’équateur il pleut beaucoup moins qu’en Antarctique !

Bref, c’est la catastrophe annoncée et assurée…

Des centaines de millions de personnes vont mourir de faim et de soif (heureusement c’est des pauvres) et des milliards d’individus (là aussi des pauvres, ouf) vont devoir se déplacer vers des zones moins arides…

Disons que s’ils venaient chez nous ce serait moins drôle…

Pourtant cela ferait des économies de transport…

Ben oui, réfléchissez un peu… Aujourd’hui nos esclaves vivent à des milliers de kilomètres pour produire notre richesse et nous permettre de vivre dans l’opulence. Si nous avions des ghettos, par exemple dans le Larzac où personne ne veut vivre, les pauvres pourraient produire local… C’est ça l’écologie ! Il suffirait de leur donner un statut de sous-homme, sur le modèle des non-vaccinés, et ainsi il ne serait que justice que le fruit de leur travail leur permette tout juste de ne pas crever de faim.

Et en plus on pourrait créer des parcs à thème selon le type d’esclaves, ce qui pourrait permettre de faire des sorties Week-end pour les enfants… Sans compter que plutôt que d’acheter un dinosaure en plastique « made in China » à la boutique du parc, on pourrait acheter une phalange d’un enfant de six ans tranchée du matin par une machine-outil…
Du Bio ET du local !

Bon, je me suis un peu égaré, mais dès que l’on pense avenir de l’homme et progrès sociaux, je suis intarissable… J’espère ne pas avoir volé trop d’idées à Valérie, qu’elle m’en excuse…

Donc l’Armageddon est pour demain si nous n’agissons pas.

La France doit relever ce défi et être un phare pour la planète Terre et les planètes voisines.

Alors on va rester sans rien faire, assister à la fin du monde ?

Décidément l’homme n’apprend rien de son histoire Regardez les catastrophes dans la galaxie…
Sans aller si loin, il suffit de se tourner vers Mars. Il y a quelques milliards d’années, c’était une planète verdoyante avec une atmosphère respirable, des lacs et des rivières. Et voilà, il suffit qu’une tribu de macaques énarques établisse une colonie pour que, quelques dizaines d’années plus tard, la planète soit telle qu’on la connaît, hostile et sans vie.

Il faut donc « prendre le taureau par les cornes » ou comme dirait nos amis du Québec libre « ne pas niaiser avec la puck ».

Il nous faut désigner l’ennemi, ennemi qui est identifié depuis des dizaines d’années… Naïvement certains croyaient que c’était la surexploitation des ressources, la croissance infinie, la surconsommation, les produits chimiques, les pollueurs… mais que nenni !

« L’ennemi est bien entendu le CO2… »

Quel être décérébré pourrait ignorer que ce gaz est mortel ?! Rendez-vous compte que des imbéciles pensent que la surface forestière mondiale pourrait augmenter du fait du CO2 dont se nourrissent les plantes ?! Mais quelle stupidité !

Heureusement, le sujet est suffisamment sérieux pour que des imbéciles ne s’en mêlent pas.

C’est bien lui, le CO2, qu’il faut combattre, mais surtout pas les produits chimiques, les pesticides et tous les autres gaz à la dangerosité totalement marginale. Et fermons les yeux sur les pollutions engendrées par l’exploitation des terres rares qui rendraient stériles pour des dizaines d’années les zones d’extraction et de mise en valeur.
Ba-li-ver-nes.

Oui mes frères, permettez-moi cette familiarité, nous devons redoubler d’efforts pour lutter contre ce fléau.

Stop à l’égoïsme et à l’individualisme, l’heure est à la solidarité et à l’union telle que nous avons connu l’ébauche dans ce combat contre l’odieux Covid.

Pour lutter contre ce fléau, le conseil de défense a décidé de mesures phares :

  • Port obligatoire du masque à partir de 3 mois pour se protéger des polluants et diminuer la quantité de CO2 expulsée par chaque individu.
  • Confinement durant les pics de pollution (peuvent durer entre 24 heures et 6 mois).
  • Interdiction de tous véhicules de plus de 3 ans afin de favoriser les véhicules propres.
  • Limitation des déplacements individuels avec crédit kilométrique et taxe carbone.
  • Abaissement de la vitesse sur autoroutes à 50 km/h pour diminuer les émissions.
  • Interdiction de prendre l’avion sauf pour les personnes indispensables à la marche du pays.
  • Passeport climatique pour des raisons d’éthique et de solidarité. Il ne s’agirait pas de laisser des petits cons aux poumons obstrués saturer nos réanimations alors que nous, les bons Français, aurions fait les efforts nécessaires.
  • Stage de rééducation pour les irréductibles. Ici nous pouvons pointer du doigt l’irresponsabilité de ces salopards de complotistes qui manipulent les honnêtes gens simples d’esprit en leur laissant croire que l’évolution climatique serait un phénomène naturel.
  • Modification de la Constitution et du Code pénal avec introduction du délit pénal de « criminel climatique ».

C’est grâce à ces mesures pondérées, de bon sens, mais efficaces que nous pourrons contenir le réchauffement climatique.

Nous sommes bien conscients qu’il faudra faire plus et même beaucoup plus pour sauver la planète, mais le gouvernement soucieux, une fois de plus, du bien-être de chaque Français a décidé de faire preuve de pédagogie et avancer doucement.

Il a notamment déclaré « jamais nous ne toucherons à l’habitat individuel ».

Ceci n’a pas empêché Sainte Greta, canonisée par notre nouveau pape transgenre récemment élu, et prix Nobel de la paix ET de l’économie pour cinq années consécutives, de faire une crise de nerfs et déclarer que « vous devriez avoir honte, bande de cons, il faut aller beaucoup plus loin » comme :

  • Interdiction de l’habitat individuel.
  • Interdiction de véhicules individuels motorisés.
  • Interdiction de faire plus de 1,5 enfant (permis vert obligatoire).
  • Interdiction de chauffer sa maison à plus de 15 degrés.
  • Interdiction des avions publics (seuls les jets privés seront autorisés).
  • Interdiction de porte-containers à moteurs (à voiles en tissu bio uniquement).
  • Interdiction de courir pour toute personne à partir de 3 ans.
  • Interdiction des aires de jeu pour enfant.
  • Interdiction de surproduction de CO2 par la respiration. Taxe, amende et prison pour les plus grands producteurs.
  • Date de péremption de 3 ans sur tous les biens de consommation avec obligation de les remplacer par leur équivalent écologique.

Grâce à cet élan de l’humanité, encore plus beau que la solidarité qui a pris naissance contre le Covid, les progrès vont être extraordinaires.

Déjà des chercheurs imaginent des modifications génétiques sur l’humain qui permettraient de moins consommer d’oxygène et donc de moins expulser de CO2. Un vaccin est en cours de mise au point (à prendre tous les 15 jours) qui ferait baisser notre consommation de 30 % et plus à chaque rappel. Il a déjà été prouvé qu’il était sans le moindre effet secondaire à long terme.

Vous voyez bien que l’avenir est radieux et qu’il faudrait vraiment être de mauvaise foi pour s’en offusquer.

Grâce à toutes ces mesures, nous serons demain tous libres et nos enfants nous remercieront.

À nous faire regretter le Covid ?

Merci

Alain Tortosa.

1er février 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220201-fin-covid-tous-libres.pdf




La chute des grands médias et les plus gros mensonges qu’ils ont racontés en 2021

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Brandon SmithLe 30 décembre 2021 − Source Alt-Market

Si l’année écoulée a confirmé une chose, c’est que les médias grand public sont totalement malhonnêtes. Oui, la plupart des gens s’en doutaient déjà, mais les 12 derniers mois ont apporté plus de confirmation que les dernières années réunies. L’année 2021 a clairement montré que les médias grand public sont le bras armé de la propagande des élites politiques et des entreprises, des grands gouvernements aux grandes entreprises pharmaceutiques.

Bien qu’il y ait eu quelques exemples brillants de journalisme indépendant et généralement impartial dans les MSM [Ndlr : Main Stream Media = médias dominants], ces moments sont aussi rares que les observations du monstre du Loch Ness et presque aussi incroyables. On a menti au public de façon si constante que nous ignorons parfois le journalisme légitime lorsqu’il apparaît, car il est plus sûr de supposer que les médias sont toujours malhonnêtes.

J’ai personnellement remarqué une avalanche de publicités récemment payées par les grandes plateformes médiatiques traditionnelles comme le New York Times, qui tentent désespérément de convaincre le public qu’elles sont toujours pertinentes. Le message est qu’ils sont la seule « vraie source » d’informations, tandis qu’ils supplient les gens de s’abonner et de lire à nouveau leur vomi tout chaud. Les médias de gauche s’effondrent, les colporteurs de propagande en ligne et les prostituées du click-bait comme Buzzfeed et Vox implosent. Le manque de profits est évident et les licenciements ont été agressifs.

Ces plateformes ont survécu ces dernières années grâce au battage médiatique et au capital-risque des start-ups, mais l’argent gratuit s’est épuisé et elles ne savent plus quoi faire. Le plan de Buzzfeed était d’entrer en bourse et de vendre des actions, mais ce plan a échoué si complètement et l’action de la société a plongé si fort que l’événement a exposé tous les autres médias technologiques naissants à un examen plus approfondi. En d’autres termes, personne ne fait confiance à ces médias, du moins pas assez pour y investir, et maintenant le voile de leur supposé « succès » a été levé. Buzzfeed prétendait valoir 1,5 milliard de dollars ; la réalité a révélé qu’ils ne valent presque rien.

Les médias traditionnels ont également vu leur audience s’effondrer au cours des dix dernières années, mais l’année dernière en particulier n’a pas été tendre avec eux. TOUTES les grandes chaînes d’information ont vu leurs taux d’audience baisser, CNN ayant enregistré la plus forte baisse. CNN est confrontée à une réduction épique de 68 % de ses chiffres en prime time en 2021, tandis que MSNBC a maintenant la plus petite audience en prime time qu’elle ait connue depuis 2016. Fox a également fait face à des baisses d’audience cette année, mais continue de rester le média d’information par câble le plus regardé jusqu’à présent, probablement en raison de la popularité continue de commentateurs comme Tucker Carlson.

Certains pourraient blâmer la perte de la couverture des élections, mais ce n’est pas comme s’il n’y avait pas eu assez de nouvelles pour faire le buzz en 2021. Avec des millions de personnes travaillant toujours à domicile et faisant face à des restrictions Covid intermittentes cette année (dans les États bleus), on pourrait penser que cela représente un public captif pour la machine à peur. Bon sang, même YouTube et d’autres plateformes de médias sociaux nous imposent quotidiennement le contenu du MSM tout en enterrant toute alternative. Pourtant, leurs chiffres continuent de chuter et le public se moque.

YouTube a même supprimé le bouton « J’aime pas », juste pour protéger les médias d’entreprise et la Maison Blanche du bombardement hilarant de pouces en bas qu’ils reçoivent sur chaque vidéo. Il est inacceptable que nous, les paysans, ayons la possibilité d’exprimer notre mécontentement.

Alors, où les gens se tournent-ils pour leurs informations si ce n’est vers les « médias dominants » ? Bien que les statistiques ne soient pas aussi bien suivies pour les sources indépendantes, il est évident, au vu des chiffres d’audience et d’abonnement, que les médias alternatifs deviennent rapidement la force dominante en matière d’information. Mes propres chiffres d’audience ont augmenté d’au moins 30 % rien qu’au cours des deux dernières années et cela semble être la tendance générale pour les médias conservateurs et libertariens. Des sites web comme Social Blade, qui suit les statistiques des chaînes YouTube, confirment la conclusion selon laquelle les médias alternatifs sont en train de devenir les médias de référence.

Pourquoi cela se produit-il ? C’est un phénomène qui s’est produit depuis longtemps. Les chiffres des médias traditionnels sont en baisse depuis de nombreuses années et les tranches d’âge de leur audience ont augmenté de façon spectaculaire. Cela s’est accéléré après 2016, lorsque le masque des médias grand public est complètement tombé et que s’est révélé ce que nous connaissons désormais comme la « guerre des cultures ».

La migration des audiences est indéniable dans les médias de divertissement et de culture pop. Les plateformes grand public financées par un flux de trésorerie constant provenant des coffres des entreprises de Disney, Time Warner, Comcast, Viacom, etc, régnaient autrefois en maître dans les publications de divertissement. Les médias technologiques de taille moyenne s’efforçaient de rester dans les bonnes grâces de ces sociétés en échange de faveurs et d’un accès privilégié. Aujourd’hui, des entreprises qui ont des milliards de dollars à leur actif sont contrecarrées par des chaînes YouTube à bas prix comme Geeks And Gamers, The Quartering, Nerdrotic, Clownfish TV, etc.

L’effusion de sang a été si horrible que les sociétés de médias sociaux (avec leur agenda partagé) se sont associées aux majors pour supprimer ces types de chaînes, les démonétiser ou les effacer de la vue du public avec leurs algorithmes. Les chaînes alternatives attirent l’attention parce qu’elles offrent quelque chose que les gens veulent – une opinion et une analyse honnêtes au lieu d’une opinion achetée et payée par les corporations.

Dans la sphère politique et sociale, de nombreuses réussites ont été enregistrées, notamment le podcast de Joe Rogan, Steven Crowder, Ben Shapiro, l’émission « You Are Here » de Blaze TV, Tim Pool, et la liste est encore longue. Dans le domaine des médias économiques, des sites comme Zero Hedge continuent d’attirer des millions de lecteurs que la plupart des autres institutions grand public souhaiteraient avoir.

Bien sûr, certaines de ces sources d’information sont encore en train de rattraper ceux d’entre nous qui étaient considérés comme des « théoriciens du complot » il y a quelques années. Mais ce n’est pas grave. Je ne dis pas qu’il n’y a pas plus rien à faire. Ce que je dis, c’est qu’une révolution est en train de se produire dans la façon dont les gens consomment les médias et qu’au moins certaines vérités parviennent aux gens normaux.

Je travaille et publie dans les médias alternatifs depuis 16 ans et je ne pense pas que les nouveaux venus dans ce domaine réalisent à quel point les Américains se sont affranchis du discours dominant au cours de cette période. Lorsque j’ai commencé, le simple fait de rêver à l’audience que nous avons aujourd’hui était considéré comme un fantasme naïf. Aujourd’hui, je continue à trouver un grand espoir dans la croissance du journalisme indépendant.

Le fait est que, pendant des décennies, les institutions corporatives ont trompé les masses en leur faisant croire qu’elles seules étaient qualifiées pour agir en tant que gardiennes et gardiens du goulot d’étranglement de l’information. Elles seules étaient les véritables « journalistes ». Elles ont maintenant perdu le respect du public et leur rôle de gardiennes est terminé. Sur cette note, examinons quelques-unes des raisons pour lesquelles la confiance dans les médias dominants a implosé. Examinons quelques-uns des plus gros mensonges perpétués par les MSM en 2021…

L’« insurrection » du 6 janvier

Probablement l’une des plus grandes infox de la décennie. Les médias grand public ont sans cesse répété la propagande selon laquelle la manifestation conservatrice au Capitole le 6 janvier était une sorte de tentative planifiée de prise de contrôle national et de coup d’État violent ayant entraîné plusieurs morts. La réalité était beaucoup moins sexy.

Tout d’abord, le FBI a été forcé d’admettre qu’il n’y avait aucune preuve à l’appui de l’affirmation selon laquelle la manifestation était un coup d’État organisé. Et quand une institution extrêmement hostile aux patriotes admet cela, vous savez que le gouvernement n’a RIEN.

Pas un seul mort attribué à l’origine aux manifestants du 6 janvier n’a été causée par eux, de sorte que cette fable a été jetée dans le trou de mémoire. Bien qu’il y ait eu de la violence et qu’une manifestante non armée ait été abattue par la police (Ashli Babbitt), le résultat de l’événement n’avait rien à voir avec une insurrection. Les manifestants sont entrés, ont tourné en rond pendant un petit moment, certains ont volé quelques souvenirs, puis tout le monde est parti. Cela peut à peine être considéré comme une « émeute ». Comparez cela aux émeutes de BLM à travers le pays, qui ont entraîné de multiples meurtres réels par des personnes y participant directement, sans parler des milliards de dollars de dégâts matériels. Les médias ont qualifié ces émeutes de « protestations pacifiques » tout en condamnant les participants du 6 janvier comme des monstres.

Lorsque les conservateurs protestent contre quelque chose, au moins nous allons à la source au lieu de brûler les maisons et les entreprises de personnes innocentes. Et je veux expliquer quelque chose d’autre aux gauchistes parce que je ne pense pas qu’ils comprennent – Quand vous verrez une « insurrection » conservatrice (rébellion contre la tyrannie centralisée), ils ne seront pas désarmés comme ils l’étaient le 6 janvier et ils ne s’arrêteront pas tant que tous les éléments corrompus de l’establishment ne seront pas écartés du pouvoir. Si vous vous êtes cachés sous votre lit après les événements du 6 janvier, vous n’en avez vraiment aucune idée.

La défaillance du réseau électrique du Texas

Wow, quel gâchis politique la couverture de cet événement a été. Plusieurs personnes meurent à la suite d’une tempête hivernale qui frappe le Texas et met hors service une partie de son réseau électrique indépendant. La première chose que font les médias grand public est d’écrire des articles sur la façon dont cela « prouve qu’ils ne pourront jamais faire sécession de l’Union ». Ces gens sont obsédés par la centralisation au point qu’ils perdent la tête si vous produisez votre propre électricité.

Paul Krugman, un expert en communication notoire de l’establishment, s’est lancé dans une tirade dans le New York Times, rejetant toute preuve que les défaillances des éoliennes financées par le gouvernement fédéral ont conduit à la crise du réseau électrique du Texas. Les faits sur ce sujet sont enterrés à ce jour.

Les chiffres prouvent que Paul Krugman et le MSM ont complètement tort. Le Mises Institute a publié un article complet sur ce sujet, basé sur une analyse de l’Institute For Energy Research, mais je vais résumer :

Les médias et Paul Krugman ont affirmé que l’incident avait été causé par le réseau de gaz naturel mal préparé du Texas et que les éoliennes n’y étaient pour rien. Par extension, les médias ont affirmé que cela rendait « risible » toute idée qu’un État comme le Texas puisse devenir indépendant d’une gouvernance centralisée et d’un réseau centralisé. Il est important de noter que Krugman ne propose aucune statistique réelle pour étayer ses arguments. Un « économiste » devrait être mieux informé.

La vérité est que les éoliennes défaillantes ont effectivement été la principale source du déclin du réseau électrique. Avant la tempête hivernale de février, les éoliennes produisaient environ 28 % (près d’un tiers) de l’électricité du Texas, tandis que le gaz naturel en fournissait 43 %. À la fin du gel, l’énergie éolienne n’était plus que de 6 %, tandis que le gaz naturel a pris le relais pour atteindre 65 % du réseau. En d’autres termes, soit Krugman a menti, soit il n’a pas tenu compte des statistiques réelles. Bien qu’il y ait eu des défaillances dans certaines centrales au gaz naturel, la faute en revient en grande partie à l’énergie éolienne financée par le gouvernement fédéral. Pendant la crise du réseau, le gaz naturel a perdu 7 % de sa production globale, tandis que les éoliennes financées par le gouvernement fédéral ont perdu 47 % de leur production. C’EST UN FAIT.

Gardez également à l’esprit que la demande d’électricité dans l’État est montée en flèche à cette époque, battant tous les records précédents, peut-être parce que la population de l’État est passée de 29 à 30 millions d’habitants entre la fin de 2019 et le début de 2021. Des millions de personnes venaient de déménager au Texas en quelques mois pour échapper aux politiques des États bleus, comme les impôts élevés et les obligations oppressives autour de la crise Covid. Et c’est ici que nous trouvons ce qui est probablement le motif central derrière les mensonges des médias sur le Texas – L’establishment ne veut pas que les Américains migrent et se rassemblent pour lutter contre les obligations. Mentir sur le Texas à chaque occasion, même pendant une tragédie, révèle leurs craintes sous-jacentes.

La recherche sur le gain de fonction de Fauci

Anthony Fauci est peut-être le menteur le mieux payé de l’histoire récente, mais ses mensonges vont au-delà du simple rôle de propagandiste pour le gouvernement. La pandémie de Covid s’est heureusement traduite par un taux moyen de mortalité par infection très bas (seulement 0,27 % officiellement), ce qui signifie que plus de 99,7 % de la population n’a pas à s’inquiéter du virus à un moment donné. Avec le variant léger Omicron maintenant en circulation, le nombre de décès est encore plus bas. Cependant, il y a eu des décès qui n’auraient pas dû se produire et Fauci en est en partie responsable.

Bien que le plus grand laboratoire de virologie de niveau 4 d’Asie se trouve à Wuhan, en Chine, juste à côté de l’épicentre de l’épidémie de Covid-19, les médias grand public, sur ordre du gouvernement et de l’establishment médical, se sont battus bec et ongles pour nier tout lien. S’il s’agissait d’une enquête sur un meurtre, ce serait comme si un détective entrait dans une pièce pour trouver un cadavre et un voisin debout au-dessus avec un couteau ensanglanté, puis achetait une glace au suspect et l’envoyait promener. Si vous n’avez pas été témoin de l’agression au couteau, pourquoi enquêter davantage ?

Pourquoi les médias étaient-ils si catégoriques pour ignorer l’évidence ? Peut-être parce que des agences gouvernementales comme le NIAD et le NIH, sous la direction d’Anthony Fauci, ont participé au financement de recherches clandestines sur le « gain de fonction » des coronavirus dans ce même laboratoire de Wuhan. Cela expliquerait pourquoi la souche initiale de Covid qui s’est répandue dans le monde au début de 2020 correspondait à 96 % aux échantillons conservés dans ce laboratoire depuis 2013. Les 4 % restants pourraient être attribués à une manipulation génétique par gain de fonction.

Fauci a nié toute implication dans la recherche sur le gain de fonction, qui est principalement utilisée pour la militarisation d’un virus ou d’autres micro-organismes. Les médias l’ont violemment défendu et ont accusé toute personne critiquant Fauci d’être des théoriciens de la conspiration cinglés. Il s’avère qu’il mentait à nouveau. La publication de plus de 900 documents relatifs à la recherche sur les coronavirus financée par Fauci et le gouvernement américain à Wuhan prouve que les médias ont soit défendu aveuglément Fauci sans examiner les preuves, soit qu’ils partagent le même agenda.

La pandémie des non-vaccinés

Le terme « Breakout case » est aujourd’hui couramment utilisé dans les médias pour décrire les personnes entièrement vaccinées qui tombent tout de même malades et meurent d’une infection Covid. Mais il n’y a pas si longtemps, on disait que tous ceux qui tombaient malades à cause du virus n’étaient pas vaccinés. Les médias et le gouvernement continuent d’insister sur l’idée que les personnes non vaccinées remplissent les hôpitaux et les lits de soins intensifs, mais il n’existe AUCUNE preuve pour étayer ces affirmations. Pendant ce temps, les pays les plus vaccinés de la planète sont également confrontés à des taux d’infection parmi les plus élevés de la planète et à des décès incessants.

En Irlande, par exemple, plus de 63% des décès récents du fait de la Covid-19 étaient des personnes entièrement vaccinées. En Israël, près de 60 % des personnes hospitalisées pour la Covid sont entièrement vaccinées. L’Uruguay, le Bahreïn, les Maldives et le Chili ont tous des taux de vaccination très majoritaires et tous ont connu des pics de décès et d’infections dus à la Covid-19.

Si les vaccins fonctionnent réellement, comment cela est-il possible ?

Conclusion : Les vaccins ne fonctionnent pas, du moins pas de la manière dont les entreprises pharmaceutiques l’ont initialement prétendu. Ajoutez à cela le fait que les personnes ayant une immunité naturelle sont 13 à 27 fois plus protégées contre la Covid-19 que les personnes qui se soumettent au vaccin. On peut se demander quel est l’intérêt de ces vaccins expérimentaux à ARNm, dont l’innocuité n’est pas prouvée par des données à long terme.

« Stagflation » transitoire

Le déni de l’inflation américaine par les médias grand public est monnaie courante depuis un certain temps. Aujourd’hui, ils ne peuvent plus le cacher. Avec une inflation des prix qui atteint des sommets inégalés depuis 40 ans (selon les chiffres officiels), le portefeuille de l’Américain moyen en prend un coup, et cela ne peut qu’empirer à partir de maintenant.

Les médias semblent être spécifiquement investis dans la dissimulation des données économiques réelles au public et dans la protection de la Réserve fédérale et des pratiques bancaires centrales en général. Je n’entrerai pas dans mes théories sur la raison pour laquelle c’est le cas (j’ai déjà beaucoup écrit sur ce sujet dans mon dernier article), je dirai seulement qu’une population non préparée est une population facile à contrôler quand un crash économique se produit.

La Covid-19 empêche-t-elle le public de fréquenter les salles de cinéma ?

L’industrie du cinéma était sur le déclin bien avant l’arrivée de la pandémie de Covid-19, et il est indéniable que cela était largement dû à la propagande d’extrême gauche implantée dans les films hollywoodiens depuis 2016. Oui, Hollywood était « Woke » avant cela, mais loin d’être aussi mauvais que ce que l’industrie est devenue au cours des cinq dernières années. Hollywood appelle cette politisation des films « inclusivité », mais avoir plus de personnes noires et brunes dans les films n’est pas le problème. Il s’agit plutôt de l’injection de l’idéologie gauchiste « Woke » et du cultisme dans tout, des films aux séries télévisées en passant par les publicités.

La guerre culturelle est TRÈS réelle, et malheureusement, la plus grande erreur des conservateurs a été d’ignorer le combat dans le divertissement populaire jusqu’à récemment. Il y a cependant de l’espoir, et il se trouve dans le mantra « Get Woke Go Broke ! / Être Éveillé vous brise ! « . Les spectateurs votent avec leur porte-monnaie et le consensus est qu’ils ne veulent pas que la politique de gauche empoisonne leur divertissement. Ces deux dernières années, les gauchistes dans les médias ont dit que l’effondrement des profits des théâtres était dû à la peur du public vis-à-vis de la Covid-19. Cette excuse a récemment été détruite par le dernier film Spiderman, qui n’a pas de politique « Woke » et qui a attiré des millions de spectateurs dans les salles. Le film a rapporté plus d’un milliard de dollars en 5 jours, battant les records précédents.

Il est clair que la Covid-19 n’est pas du tout un facteur, mais si vous regardez presque tous les films ratés de l’année dernière, il y a un fil conducteur qui les relie : la propagande « Woke ». Personne n’en veut, personne n’aime ça. Les médias n’ont plus d’autre moyen de la nier.

Il y a beaucoup d’autres mensonges que je n’ai pas eu l’occasion de couvrir ici, mais je pense que vous avez saisi l’image. Qui sait ce que l’année prochaine nous réserve en termes de propagande de la part de nos gardiens d’entreprise ? Au moins, pour l’instant, les médias alternatifs ont pris le relais pour combler le vide et apporter des faits là où il n’y avait que tromperie. Pour se débarrasser de la vérité, ils devront se débarrasser de nous. Sinon, le marché libre a parlé.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Gates blâme la « liberté » occidentale

[Source : L’échelle de Jacob]

[Voir aussi :
Qui est l’Antéchrist ?]


Gates avec Xi Jinping

idem
Gates avec Trudeau
Idem
Gates avec la Reine Elisabeth d’Angleterre
Gates avec Jeffrey Epstein
Gates avec le roi Philippe et la reine Mathilde de Belgique
Gates avec Macron
Idem
Gates avec Merkel
idem
Idem (Photo par Adam Berry/Getty Images)
idem
idem
Gates avec le Prince Charles (Photo par Steve Parsons – WPA Pool/Getty Images)
Gates avec Trudeau, Obama, Hollande et Modi
Gates avec Mandela
Bill Gates, le Dr Francis Collins et le Dr Anthony Fauci, lors d’un atelier sur la santé mondiale 2017 de la Fondation Gates sur des sujets qui comprenaient la recherche sur les vaccins.
Gates au Forum Économique Mondial de Schwab