NON ! Non, je n’obéirai pas à une injonction vaccinale ! Point… final !

Par Alain Tortosa

Quels que soient mon métier, les chantages, les sanctions, les menaces de blâmes, les mises à pied ou autres licenciements…, je ne me plierai jamais à une injonction vaccinale contre le Covid.

Non je ne suis pas « anti-vax »…
Non je ne suis pas complotiste, extrémiste ou délirant…
Non je ne fais pas de la désinformation…
Non je ne suis pas irresponsable…
Non je ne mets pas les autres en danger…

Je ne suis pas contre la vaccination anticovid même s’il pouvait y avoir matière…

En revanche, je suis contre l’obligation vaccinale et contre l’absence de consentement libre et éclairé qui ne peut exister sans une information loyale et plurielle qui est censurée par les médias.

Je suis d’autant plus opposé à l’obligation vaccinale contre le Covid :

  • que le gouvernement a répété durant des mois que cette vaccination devait relever du choix de chaque individu, et ce, quelle que soit sa profession ;
  • qu’une vaccination est un acte médical fort qui modifie notre système immunitaire ;
  • que cette maladie ne menace qu’une infime partie de la population, population qu’il est possible de traiter et protéger autrement ou qui décédera quoiqu’il arrive de ses comorbidités ou de son âge ;
  • que les moyens financiers ont été orientés quasi exclusivement vers le « vaccin » ;
  • que ces « vaccins » sont en phase III de tests et soumis à une AMM conditionnelle à l’absence de traitements ;
  • que ces vaccins ont bénéficié de dérogations sur des sécurités élémentaires ;
  • que les laboratoires ont été déchargés de leurs responsabilités ;
  • que l’ARNm est expérimental et qu’il n’a jamais été diffusé à grande échelle et encore moins sur une population jeune et en bonne santé ;
  • qu’il existe des traitements efficaces utilisés avec succès dans de nombreux pays et qui ont été interdits en France ;
  • que le risque de Covid grave pour une personne de moins de 60 ans en bonne santé est quasi nul ;
  • que le risque de décès du Covid pour une personne de moins de 60 ans en bonne santé est nul ;
  • que le rapport bénéfice vs risque ne peut qu’être défavorable pour une personne jeune en bonne santé ;
  • qu’il existe des effets secondaires réels rares, peu remontés, mais graves ;
  • que même les sociétés d’assurance refusent d’indemniser les victimes d’un vaccin « expérimental » ;
  • que les effets secondaires remontés sont d’autant plus graves que l’on est jeune ;
  • que les effets à long terme de maladies auto-immunes ou de cancers sont inconnus ;
  • que les effets à long terme sur la fertilité ne sont pas connus ;
  • que l’apport du vaccin versus les traitements préventifs et curatifs n’a jamais été évalué ;
  • qu’aucune politique ciblée sur les personnes à risque n’a jamais été mise en œuvre ;
  • que des pays qui ont massivement vacciné, connaissent de fortes nouvelles vagues ;
  • que la vaccination massive durant une épidémie favorise les variants ;
  • que l’immunité vaccinale de masse contre un coronavirus relève du mythe ;
  • que les vaccins n’empêchent pas la contamination comme cela a été confirmé par le Ministre de la Santé, mais aussi par l’obligation du port du masque qui demeure pour les personnes vaccinées… et la volonté d’une obligation vaccinale dont l’objet est de protéger les personnes vaccinées et donc qu’il ne saurait exister une vaccination « solidaire ».

Alain Tortosa — 7 juillet 2021

https://7milliards.fr/tortosa20210707-non-a-une-injonction-vaccinale.pdf




Vos petits-enfants porteront encore des masques en 2050 et ils ne se rappelleront pas pourquoi

[Source : anguillesousroche.com]

L’éminent auteur britannique Peter Hitchens prévient que si les gens continuent d’accepter allègrement les restrictions du confinement, leurs petits-enfants porteront encore des masques en 2050 et personne ne se souviendra pourquoi.

« Si les gens ne s’y opposent pas maintenant, leurs petits-enfants porteront des masques dans les années 2050, mais personne ne se souviendra pourquoi », a tweeté Hitchens.

Il répondait à un nouveau rapport qui révèle qu’en dépit de la promesse du gouvernement britannique de lever toutes les restrictions relatives au confinement et au port du masque pour la « journée de la liberté » du 19 juillet, les compagnies aériennes, les magasins et autres entreprises les maintiendront en place.

Ryanair et EasyJet ont répondu à l’annonce du gouvernement en jurant de forcer les gens à continuer à porter un masque indéfiniment.

« Afin de protéger la santé de nos clients et de notre équipage, l’utilisation de masques faciaux restera obligatoire sur tous les vols Ryanair, quel que soit le pays de départ/de destination », a déclaré la compagnie aérienne dans un communiqué.

EasyJet a adopté un ton similaire, annonçant : « À l’heure actuelle, il n’y a pas de changement dans la politique de masque à bord d’easyJet et nous continuerons à garder cela à l’étude. »

« Ils rejoindront les entreprises d’autres secteurs qui ont décidé de refuser la clientèle des personnes qui ne suivent pas les ‘conseils’ du gouvernement après le 19 juillet », écrit Michael Curzon.

En d’autres termes, quoi que dise le gouvernement, puisqu’il n’interdira pas explicitement aux entreprises d’appliquer les mandats de masquage, la prétendue « journée de la liberté » n’est rien de tel et les restrictions resteront de facto en place indéfiniment.

Ce sera de la musique aux oreilles des conseillers du gouvernement SAGE comme Susan Michie, une communiste avouée qui insiste sur le fait que les gens devraient être forcés de porter des masques « pour toujours ».

En février 2020, le Dr Anthony Fauci a admis qu’un masque facial typique acheté dans le commerce « n’est pas vraiment efficace pour empêcher l’entrée du virus, qui est assez petit pour passer à travers le matériau ».

Une étude danoise évaluée par des pairs et portant sur 6 000 participants a révélé qu’« il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre ceux qui portaient un masque et ceux qui n’en portaient pas lorsqu’il s’agissait d’être infecté par le Covid-19 »rapporte le Spectator.

« 1,8 % des personnes portant un masque ont attrapé le Covid, contre 2,1 % dans le groupe témoin. Par conséquent, il semble que tout effet des masques sur la prévention de la propagation de la maladie dans la communauté soit faible. »




Médiator : un conte pour Noël ?

[Source : Site Web du Dr Marc GIRARD] (rolandsimion.org)]

lundi 23 septembre 2019 par Marc Girard

L’actualité médiatique me conduit à ressortir cet article sur la mystification Médiator (date de première mise en ligne : 01/01/2011(([1] N’en déplaise à ceux qui ne veulent plus entendre parler de Frachon après l’avoir adulée, ce n’est pas moi qui ai changé d’avis…))). Ni l’émission de C dans l’air à laquelle j’avais participé et où le plus ardent adulateur d’Irène Frachon(([2] Et le plus sévère pourfendeur de Servier.)) avait été le président du LEEM (le syndicat national de l’industrie pharmaceutique), ni la politique sanitaire de Macron et de sa bande, ni les blocages de la justice sur des affaires d’une tout autre gravité, ne m’incitent à renier ma prédiction que grâce à la bouffonnerie Frachon, la situation serait « pire qu’avant ».

L’affaire Médiator, on l’a dit et documenté, défie le sens commun. Et par le nombre de victimes (extrêmement faible toutes choses égales par ailleurs), et par l’inexplicable tardiveté de cette micro-révélation relativement à l’immense scandale des anorexigènes impunément commercialisés par Servier depuis 1963, et par l’invraisemblance des circonstances ayant conduit à sa révélation, et par le caractère éminemment suspect de l’unanimité dans la dénonciation qui devrait soulever d’autant plus de résistances qu’elle vise une corruption censément généralisée – « palpable » dit le Petit Poucet (TF1 News, 30/12/10) : quand on « palpe » où ça fait mal, on s’attire généralement des gueulements, et pas des louanges généralisées – notamment des instances qui mériteraient le plus d’être palpées…(([3] Plus d’un an après la mise en ligne de cet article, je lis sous la plume de Jacques Ellul (Exégèse des nouveaux lieux communs, La Table Ronde, Paris, 2004 : p. 18.) : « Ce qui révèle le plus aisément le lieu commun, c’est précisément cet accord de tous ! » A l’aune de ce critère, il est facile de reconnaître le « lieu commun » dans cette dénonciation apparemment implacable de la pseudo-affaire Médiator.))

À l’évidence, il y a de la magie dans tout cela.

Eu égard à l’intérêt assumé du présent site pour les contes de fées, il peut être utile de relire l’actualité à la lumière des analyses désormais bien classiques de V. Propp.(([4] V. Propp. Morphologie du conte. Paris, Seuil, 1970.))

Le héros, c’est le Petit Poucet : caractère superbement trempé, comme attendu d’un pneumologue exerçant dans une ville où quand il y a de la brume, c’est qu’il va pleuvoir, alors que quand il n’y en a pas, c’est qu’il pleut… Comme souvent dans la littérature merveilleuse, la tradition est parasitée par une autre source – La Belle au Bois dormant en l’occurrence – puisque se réveillant d’un sommeil de cent ans, le Petit Poucet prétend vouloir éviter un deuxième scandale.(([5] Sur ce point, les sources varient un peu, Poucet déclarant, selon d’autres versions, vouloir éviter « un troisième » scandale (France-Soir, 22/12/10), accréditant de la sorte l’existence d’un précédent avec l’Isoméride pourtant présenté dans son livre (p. 28) comme la démonstration de l’exception française par contraste avec la jobardise des Américains. Historiquement, il convient de rappeler que c’est depuis ce jour où notre Agence a ridiculisé les autorités américaines dans la gestion du scandale fenfluramines que l’on trouve des coqs sur tous les clochers de France.)) Les enfants rient beaucoup à cette version, car, bien moins naïfs que ne l’imaginent les adultes, ils savent très bien qu’il y a plus que « deux » ou « trois » scandales au Royaume de la Pharmacie, et que quand un canard comme Le Figaro vous tresse plusieurs couronnes de laurier par jour, c’est qu’il y a un blèmepro – comme ils disent…

Le méchant, c’est le fabricant du médicament. Comme tous les êtres malfaisants, il a les yeux rouges – et l’haleine fétide : même les crapauds craignent sa bave !… Tous les ans, à la même saison, il charme de jeunes vierges en leur faisant croire qu’elles seront bien plus séduisantes si elles perdent quelques grammes avant de paraître en bikini. Il les abandonne exsangues et moribondes sur les plages de sable, hélas hors d’atteinte du Parquet – lequel (comme la DDE, cette fois avec la neige) n’est évidemment pas équipé pour intervenir en pareil terrain.

Le chevalier, c’est le super-épidémiologiste qui a tout découvert avant tout le monde sans rien dire à personne. Malgré sa vaillance, il a été transformé en statue de pierre par le méchant (il l’a d’ailleurs échappé belle, parce que pour le même prix, il aurait pu se retrouver sous forme d’un « petit cercueil« ). Bref et pour dire, sa délivrance dépend du héros. Petit Poucet doit venir, lui donner un grand coup de pied et, lui, doit alors débiter une formule magique : « Ouille mon cul ! Hue mes c*** ! À dada sur mon bidet ! Prout ! Prout ! Prout ! » Le comique de la situation tient d’une part à la disproportion entre le petit pied de Poucet et le derrière du chevalier, d’autre part aux connotations sexuelles et scatologiques d’une formule magique en forme de comptine, bien classiques dans la littérature merveilleuse – et qui font beaucoup rire les enfants.

Le roi, c’est le ministre de la santé. Dans la logique narrative du conte, il n’a pas besoin d’être intelligent : c’est juste une instance de décision.(([6] Qui dispense le narrateur de la moindre justification concernant les décisions en question : nous reviendrons sur ce point à la fin.)) Ainsi, il peut prendre d’abord des décisions favorables au méchant, puis se déclarer en faveur du héros, tout en regrettant le sort injuste réservé au chevalier. Bonjour pour le suspense…

Les donateurs, ce sont tous les faux-culs de l’administration sanitaire qui, après avoir soutenu le méchant durant des décennies, se découvrent une soudaine passion pour la mission de Poucet. Ce sont eux, par exemple, qui vont lui conseiller les caramels mous pour rendre moins mal aimable la responsable de la pharmacovigilance à l’AFSSAPS.(([7] Les versions varient là encore sur ce point : selon certaines, c’est une pinte de bière à la cerise qui lui aurait ouvert les portes de l’AFSSAPS.)) Les enfants sont généralement horrifiés par tant de duplicité.

La récompense, c’est l’aura médiatique, d’autant plus convaincante qu’elle émane d’intervenants – parlementaires, experts, administratifs, journalistes – dont les liens d’intérêts sont particulièrement « palpables ».(([8] Elle peut aussi émaner de « grands reporters » avouant sans fard ne rien connaître au monde de la santé, mais forcés de gagner leur croûte depuis que leur rédaction a jugé plus rentable de couvrir l’actualité en Irak ou en Afghanistan par des couper-coller en corrigeant juste au jour le jour le nombre de victimes – à trois poils près, il faut le dire.)) Elle permet à Poucet enfin reconnu de pérorer sur n’importe quoi, sans être jamais contredit : les enfants adorent ça, car ils ont tous, au fond d’eux-mêmes, le goût des fatrasies.

Le narrateur, c’est un député socialiste de la région toulousaine(([9] Certains critiques parlent de « metteur en scène ». C’est idiot : dans la littérature merveilleuse, on a des narrateurs, pas des metteurs en scène…)): avec sa faconde méridionale, il s’y entend à mettre les enfants dans sa poche – lesquels l’adorent de toute façon.

Marc Girard


Articles de cet auteur





Actionner un interrupteur dans la tête

[Source anglophone : rockefeller.edu]

[Illustration de Ellen Weinstein]

Grâce à une nouvelle technologie, les scientifiques sont en mesure d’exercer un contrôle sans fil sur les cellules du cerveau des souris en appuyant simplement sur un bouton. La première chose qu’ils ont faite a été de donner faim aux souris.

Par W. Wayt Gibbs

1er avril 2017

[Ndlr : la date de l’article peut bien sûr laisser penser à un poisson d’avril. Cependant, le lien ci-dessous pointe sur une autre page du site de l’Université Rockefeller qui présente notamment :
Jeffrey M. Friedman, M.D., Ph.D.
professeur titulaire de la chaire Marilyn M. Simpson
CHERCHEUR, INSTITUT MÉDICAL HOWARD HUGHES
(Sections) GÉNÉTIQUE ET GÉNOMIQUE | MÉCANISMES DES MALADIES HUMAINES | NEUROSCIENCES ET COMPORTEMENT
Étudie les mécanismes moléculaires qui régulent la prise alimentaire et le poids corporel.]

Préparez vos chapeaux en fibre de verre : le contrôle de l’esprit n’est pas une idée aussi farfelue qu’il n’y paraît. Dans le laboratoire de Jeffrey M. Friedman, cela se produit tout le temps, bien que les sujets soient des souris et non des humains.

Friedman et ses collègues ont démontré qu’ils pouvaient télécommander par radio l’appétit et le métabolisme du glucose chez les souris — une technique sophistiquée permettant de modifier sans fil les neurones du cerveau des animaux. En appuyant sur un interrupteur, ils sont capables de donner faim aux souris ou de supprimer leur appétit, tout en leur permettant de mener une vie normale. Ils utilisent cet outil pour élucider les bases neurologiques de l’alimentation, et il est probable qu’il aura des applications pour l’étude d’autres comportements câblés.

M. Friedman, professeur titulaire de la chaire Marilyn M. Simpson, travaille sur cette technique depuis plusieurs années avec Sarah Stanley, ancienne post-doctorante de son laboratoire, aujourd’hui professeur adjoint à l’école de médecine Icahn de Mount Sinai, et des collaborateurs du Rensselaer Polytechnic Institute. Conscient des limites des méthodes existantes pour déclencher les cellules cérébrales chez les animaux vivants, le groupe a entrepris d’inventer une nouvelle méthode. L’approche idéale, ont-ils pensé, devrait être aussi peu invasive et aussi peu dommageable que possible. Et elle devrait fonctionner rapidement et de manière répétée.

Il existe d’autres moyens d’envoyer des signaux aux neurones, mais chacun a ses limites. Dans la stimulation cérébrale profonde, par exemple, les scientifiques font passer un fil dans le cerveau pour placer une électrode à proximité des cellules cibles. Mais l’implant peut endommager les cellules et les tissus voisins et perturber ainsi le comportement normal. L’optogénétique, qui fonctionne de manière similaire mais utilise des fibres optiques et une impulsion lumineuse plutôt que l’électricité, présente le même problème. Une troisième stratégie, qui consiste à utiliser des médicaments pour activer des cellules génétiquement modifiées introduites dans des souris, est moins invasive, mais les médicaments sont lents à agir et à disparaître.

La solution trouvée par le groupe de Friedman, appelée radiogénétique ou magnétogénétique, permet d’éviter ces problèmes. Grâce à leur méthode, publiée l’année dernière dans Nature, les biologistes peuvent activer ou désactiver les neurones d’un animal vivant à volonté — rapidement, à plusieurs reprises et sans implant — en modifiant les cellules pour les rendre réceptives aux ondes radio ou à un champ magnétique.

« En effet, nous avons créé une illusion perceptive selon laquelle l’animal avait une baisse de glycémie. »

« Nous avons combiné des molécules déjà utilisées dans les cellules à d’autres fins d’une manière qui permet à une force invisible de prendre le contrôle d’un instinct aussi primaire que la faim », explique M. Friedman.

La méthode relie cinq outils biologiques très différents, ce qui peut sembler fantaisiste et alambiqué, comme un bricolage de Rube Goldberg à l’échelle moléculaire. Elle s’appuie sur une protéine fluorescente verte empruntée aux méduses, un anticorps particulier dérivé des chameaux, des sacs spongieux de particules de fer [Ndlr : donc magnétisables] et l’équivalent cellulaire d’une porte fabriquée à partir d’une protéine qui perce la membrane [Ndlr : comme une protéine de type Spike], le tout livré et installé par un virus génétiquement modifié [Ndlr : comme le SRAS-CoV-2]. La télécommande de cet engin est un outil de soudure modifié (bien qu’un aimant acheté dans le commerce fonctionne également).

[Ndlr : à mettre en relation avec :
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
Ce que cache le test PCR ?
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
Le gouvernement américain publie accidentellement des documents sur le contrôle mental électromagnétique dans une demande FOIA
Le contrôle mental au temps du Covid
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Est-ce que certaines des technologies de contrôle mental existantes et expérimentées sont ou seront pour autant utilisées contre l’Humanité ?]

Le premier défi des chercheurs était de trouver un élément dans un neurone qui pourrait servir d’antenne pour détecter le signal radio ou le champ magnétique entrant. Le choix logique s’est porté sur la ferritine, une protéine qui stocke le fer dans les cellules sous forme de particules semblables à des ballons d’à peine une douzaine de nanomètres de large. Le fer est essentiel aux cellules, mais il peut aussi être toxique. Il est donc séquestré dans les particules de ferritine jusqu’à ce qu’il soit nécessaire. Chaque particule de ferritine porte en elle des milliers de grains de fer qui s’agitent en réponse à un signal radio, et se déplacent et s’alignent lorsqu’ils sont immergés dans un champ magnétique. Nous avons tous ces particules qui s’agitent à l’intérieur des cellules de notre cerveau, mais ces mouvements n’ont normalement aucun effet sur les neurones.

Friedman et Stanley, avec l’équipement qu’ils utilisent pour envoyer des ondes radio.
Photo par Zachary Veilleux

L’équipe de Friedman a réalisé qu’elle pouvait utiliser un virus génétiquement modifié pour créer des portes dans la membrane externe d’un neurone. S’ils pouvaient ensuite attacher chaque porte à une particule de ferritine, ils ont pensé qu’ils pourraient être en mesure d’agiter suffisamment la ferritine pour ouvrir la porte. La « porte » que nous avons choisie s’appelle TRPV1 », explique Stanley. « Une fois que TRPV1 est activé, les ions calcium et sodium s’écouleraient ensuite dans la cellule et déclencheraient le feu du neurone ». Les morceaux empruntés aux chameaux et aux méduses ont fourni ce dont les scientifiques avaient besoin pour connecter la porte à la ferritine (voir l’encadré Comment équiper un cerveau, plus bas).

Une fois que l’équipe a fait fonctionner le nouveau mécanisme de contrôle, elle l’a mis à l’épreuve. Pour Friedman et Stanley, dont l’objectif est de démêler les causes biologiques de la suralimentation et de l’obésité, la première application était évidente : essayer d’identifier les neurones spécifiques impliqués dans l’appétit. Le groupe a modifié les neurones détecteurs de glucose — des cellules censées surveiller le taux de glycémie dans le cerveau et le maintenir dans une fourchette normale — pour les mettre sous contrôle sans fil. Pour ce faire, ils ont inséré les gènes TRPV1 et de la ferritine dans un virus et — en utilisant une autre astuce génétique — les ont injectés dans les neurones capteurs de glucose. Ils ont ensuite pu manipuler les cellules pour voir si elles sont impliquées, comme on le soupçonne, dans la coordination de l’alimentation et la libération d’hormones, telles que l’insuline et le glucagon, qui permettent de contrôler la glycémie.

Comment équiper un cerveau pour la radiocommande

Des scientifiques ont trouvé un moyen astucieux de contrôler les neurones par radio en combinant des gènes d’humains, de chameaux et de méduses. Ils utilisent un virus modifié pour installer une porte dans la membrane externe de chaque neurone cible, puis ils ouvrent cette porte en utilisant des particules de ferritine qui répondent à de puissants signaux radio. Une fois la porte ouverte, les ions calcium se déversent dans la cellule et déclenchent le feu dans le neurone.

Illustration by Jasu Hu
Illustration par Jasu Hu
  1. Pour installer le système de radiogénétique dans les neurones, les scientifiques ont équipé un adénovirus des différents gènes nécessaires au fonctionnement du système. Ils ont ensuite injecté le virus modifié dans les cellules du cerveau qu’ils voulaient modifier.
  2. L’un des gènes ajoutés produit la TRPV1, une protéine qui aide normalement les cellules à détecter la chaleur et le mouvement. Dans chaque neurone, la protéine TRPV1 (en rose) s’intègre à la membrane externe de la cellule. Comme une porte, elle peut changer de forme pour ouvrir ou fermer un canal ionique. Pour ajouter une poignée à la porte, les chercheurs ont cousu TRPV1 à un « nanocorps » (violet) — une variété d’anticorps exceptionnellement simple que l’on trouve chez les chameaux.
  3. Les particules de ferritine remplies de fer (en vert) servent de capteur au système. Pour leur permettre de s’accrocher à la poignée de porte du nanocorps, les chercheurs ont ajouté un gène pour la GFP, une protéine de méduse qui brille en vert sous la lumière ultraviolette. Le nanocorps et la GFP se collent l’un à l’autre et le système est maintenant connecté. Lorsqu’ils sont exposés à de fortes ondes radio ou à des champs magnétiques, les particules de ferritine s’agitent, le canal ionique s’ouvre et les ions calcium (en rouge) entrent dans la cellule pour l’activer.

Une fois que le virus a eu le temps d’infecter et de transformer les neurones cibles, les chercheurs ont allumé un émetteur radio réglé sur 465 kHz, un peu en dessous de la bande utilisée pour la radio AM.

Les neurones ont répondu. Ils se sont mis à tirer, signalant une pénurie de glucose, même si le taux de glycémie de l’animal était normal. D’autres parties du corps ont réagi comme elles l’auraient fait en cas de baisse réelle de la glycémie : le taux d’insuline a baissé, le foie a commencé à produire davantage de glucose et les animaux ont commencé à manger davantage. « En fait », dit Friedman, « nous avons créé une illusion de perception selon laquelle l’animal avait une faible glycémie alors que les niveaux étaient normaux ».

Inspirés par ces résultats, les chercheurs se sont demandé si le magnétisme, comme les ondes radio, pouvait déclencher l’ouverture des portes cellulaires par la ferritine. Ce fut le cas : Lorsque l’équipe a placé les cages des souris à proximité d’une machine IRM ou qu’elle a fait passer un aimant de terre rare sur les animaux, les neurones sensibles au glucose se sont déclenchés.

Stimuler l’appétit est une chose. Pourraient-ils aussi le supprimer ? Le groupe a modifié le gène TRPV1 pour qu’il laisse passer le chlorure, qui agit pour inhiber les neurones. Lorsqu’ils ont inséré le TRPV1 modifié dans les neurones, l’afflux de chlorure a fait en sorte que les neurones se comportent comme si le sang était surchargé de glucose. La production d’insuline a augmenté chez les animaux et ils ont moins mangé. « Cela semble indiquer clairement que le cerveau, tout comme le pancréas, est impliqué dans la régulation du glucose », déclare Friedman.

Friedman et Stanley espèrent que les biologistes seront en mesure d’utiliser le système de télécommande pour s’attaquer à toute une série de processus neuronaux autres que l’appétit. Et au-delà d’un outil de recherche fondamentale, la méthode pourrait potentiellement conduire à de nouvelles thérapies pour les troubles du cerveau.

Par exemple, on pourrait imaginer l’utiliser pour traiter la maladie de Parkinson ou les tremblements essentiels — des maladies qui sont parfois traitées par stimulation cérébrale profonde, au moyen de fils implantés dans le cerveau des patients et reliés à un bloc-piles logé dans la poitrine. Il serait potentiellement moins invasif d’injecter le virus paralysé au même endroit du cerveau et de le laisser modifier de façon permanente les cellules qui s’y trouvent, pour qu’elles répondent à un contrôle sans fil.

En théorie, il serait également possible de rendre les cellules d’un patient réceptives aux ondes électromagnétiques en les retirant du corps, en leur administrant du TRPV1 et de la ferritine, puis en les remettant en place, explique Friedman. Il s’agirait d’un protocole semblable à ceux actuellement utilisés dans les traitements par cellules souches et dans certaines immunothérapies contre le cancer, dans lesquels les propres cellules des patients sont modifiées et réimplantées dans leur corps.

À ce stade, cependant, l’utilité clinique du système est une question de spéculation. « Nous sommes loin de l’utiliser chez l’homme pour des traitements médicaux », déclare Friedman. « Il y aurait beaucoup à faire avant même de pouvoir le tester ».




Les brebis galeuses répondent aux Diafoirus qui foisonnent sur les médias

Par Nicole Delépine

[Illustration : Diafoirus père et fils soignant Argan, le malade imaginaire]

« Médecins du “malade imaginaire” de Molière, Monsieur Diafoirus et son fils Thomas (“grand benêt nouvellement sorti des écoles, fait toutes choses de mauvaise grâce et à contretemps”), deux cuistres grandiloquents et rétrogrades dont le charlatanisme finit par éclater au grand jour. »

Et comme nos vaccinateurs actuels de toute nature (pharmaciens, vétérinaires, pompiers, ambulanciers, aides-soignants, etc.) dépêchés par le gouvernement, Molière a l’idée de dépêcher son patient chez le pharmacien… Comme quoi on n’invente rien.

« On m’a cru malade, et on m’a dépêché le pharmacien. Je me suis fâché. Un révolté avoir recours à l’apothicaire !
— Mais, monsieur, a fait le Diafoirus, tout le monde se drogue ici.
»

 (Jules VallèsL’Insurgé, G. Charpentier, 1908)

Devant la disparition du Sars Cov 2 de France et de Navarre, comme le démontre la surveillance du Réseau sentinelle

Réseau sentinelle du 4 juillet 2020 : 3 cas pour 100 000 habitants. « Le gouvernement dictature vise l’immortalité. Mortalité cancers, suicides, noyades, accidents, AVC, infarctus, accidents domestiques ? OMERTA » @divergente151

Et ce 5 juillet il y a moins d’un cas pour 100 000 !

Et malgré la très faible dangerosité du variant delta (dont les symptômes sont ceux d’un bon rhume avec parfois maux de tête, gorge sèche, nez qui coule) qu’on veut nous vendre comme le péril jaune des années soixante, notre gouvernement veut continuer à nous faire peur et rameute « les bonnes volontés » pour désinformer.

Boris Johnson avec seulement 50 % de vaccinés par Astra Zeneca en majorité (efficacité réduite sur variant delta) relâche toutes les restrictions et admet le variant delta comme bénin sous la pression populaire. Belle manifestation géante à Londres le 29 juin. Plus utile qu’une prédiction de Ferguson pour prendre les bonnes décisions.

Les gouvernements mondialistes qui veulent à tout prix injecter leurs pseudo vaccins avant qu’ils ne soient périmés rameutent les diafoirus habituels, les médecins corrompus qui hantent les plateaux télé depuis des mois, mais aussi de nouveaux volontaires, syndicalistes, politiques, etc., pour alimenter la peur.

MENSONGE MAJEUR DES PROVACCINS covid

IL NE S’AGIT PAS DE VACCINS SELON PASTEUR,

MAIS DE MÉDICAMENTS DE THÉRAPIE GÉNIQUE JAMAIS EXPÉRIMENTÉS CHEZ L’HOMME À TITRE PRÉVENTIF

Selon la définition de Pasteur, un vaccin est un concentré d’antigènes spécifiques de la maladie à combattre, qui, injecté à un être vivant, suscite la fabrication d’anticorps spécifiques. La fabrication d’un vaccin se déroule en deux temps : d’abord la production de l’antigène, puis sa mise en forme pharmaceutique. L’antigène peut être constitué d’un microbe tué ou atténué, soit, le plus souvent, d’un ou plusieurs fragments de celui-ci. Cela permet à l’organisme de développer des défenses immunitaires contre la maladie ciblée. Ainsi, si un jour l’individu vacciné rencontre le vrai virus le système immunitaire le reconnaîtra et s’activera immédiatement pour le protéger de cette maladie. Le système immunitaire fabrique des anticorps pour éliminer spécifiquement ce microbe ; il s’agit du mécanisme de défense naturelle.

Ce qu’on nous présente comme « vaccins anticovid » ne contient aucun antigène. Ce sont en réalité des médicaments contenant un ARN messager destiné à nos cellules pour les forcer à fabriquer la protéine Spike en espérant que cette présence créera une réaction immunitaire anti Spike. Cette technique médicamenteuse pseudo vaccinale n’a jamais été utilisée chez l’homme. Elle n’a pas suivi le cycle normal des essais qui prend habituellement 7 à 10 ans. Sous prétexte d’urgence, les agences sanitaires lui ont accordé une autorisation conditionnelle de mise sur le marché, sans attendre la fin des essais de phase 3 dont les premiers sont attendus pour 2023. Leur utilisation en population générale constitue donc un essai gigantesque, un pari jamais tenté susceptible d’aboutir à une catastrophe sanitaire mondiale.

LEURS LIENS D’INTÉRÊTS MOTEURS DES DIAFOIRUS MÉDECINS ?

Les médecins signataires de la tribune du JDD demandant l’obligation ont attiré l’attention des éveillés : ces 96 médecins qui réclament la « vaccination obligatoire » cumulent « en même temps » 8 millions d’€ de conflits d’intérêts avec différents labos qu’ils ont oublié de signaler contrairement à ce que la loi leur demande (sans compter leurs contrats commerciaux couverts par le secret défense)

source @LerouxArthur10

Dans cette tribune agissent-ils comme médecins ou comme représentants de commerce de leurs employeurs pharmaceutiques ? Et pourquoi ne respectent-ils pas la loi Transparence Santé ?

Mention spéciale pour Jean-Paul Hamon

Le Dr Jean-Paul Hamon ancien militant pour une médecine libre qui écrivit « comment ils tuent la médecine de proximité ? » a sombré lui aussi dans le délire vaccinal. Que lui ont-ils fait pour qu’il renie ainsi son passé de défenseur de la liberté médicale, fidèle à Hippocrate ?

Si on la chance de ne pas avoir une nouvelle flambée c’est parce que la moitié de la population française a reçu sa première dose […] Je pense qu’il faut sortir la boîte à claques et avoir le courage de dire aux Français “vaccinez-vous””, Jean-Paul Hamon dans #LaMatinaleWE 4 juillet 2021.

Ne sait-il pas que la première dose ne protège pas et expose au contraire à la possible aggravation de la maladie comme l’a reconnu O. Veran(([1] https://www.europe1.fr/sante/un-octogenaire-demande-au-conseil-detat-a-etre-deconfine-apres-avoir-ete-vaccine-4034911)): « les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant » ? Ignore-t-il que les pays qui ont le plus vacciné sont ceux qui ont le plus souffert d’une recrudescence de cas et de morts pendant 6 à 8 semaines(([2] Depuis qu’on vaccine (anticovid), la mortalité moyenne quotidienne a augmenté dans 13 pays sur 14))?

Et d’autres

– Dr Peloux (ancien président de l’association des médecins urgentistes, fidèle soutien du président Hollande et coutumier de la collaboration avec le pouvoir.

– Dr Prudhomme (actuel président de l’association des médecins urgentistes) qui voudrait vacciner le monde entier en cassant les brevets pour avoir l’air « de gauche », peu importe le danger des vaccins qui n’en sont pas…

L’un des meilleurs est le Dr Wargon (dont l’épouse est ministre de la Ville.(([3] Elle promeut la mixité sociale alors qu’elle habite dans une belle maison de 150 m2 évaluée 1 500 000 € à St-Mandé (94) alors que son mari exerce à Saint-Denis (93)!!! Bel exemple de mixité sociale !!! (voir l’article de Paul Le Poulpe sur Riposte Laïque) ? Ce couple pourrait habiter dans la riante ville de Saint-Denis !!!))), chef du service des urgences à l’hôpital de Saint-Denis (93) qui insulte littéralement le Pr Raoult

@CNEWS et ne dépare pas l’ensemble des médias malgré la réputation d’indépendance qu’on essaie de lui créer.

« Quand le Dr Brigitte Millaud prend comme support le nombre de morts dans le monde (environ 4 millions) pour pousser à la vaccination, j’ai envie de lui demander, il y a-t-il un vaccin contre la faim, car bon an mal an, c’est 8 millions de morts par an, un peu de pudeur », dit un Twittos qui pourrait ajouter que ces morts covid étaient en grande partie évitables en utilisant les traitements précoces interdits dans les pays occidentaux et plus strictement en France. Et que les restrictions sanitaires qu’on nous a inutilement imposées seront responsables de la mort par famine de plusieurs centaines de milliers d’enfants du tiers monde.(([4] Le nombre de personnes souffrant de faim dans le monde pourrait doubler, « atteignant plus de 250 millions d’ici la fin de 2020 », a prévenu mardi 21 avril 2020 le Programme alimentaire mondial (PAM) ))(([5] ONU infos Des millions d’enfants menacés par la famine en 2021 dans plusieurs pays, dont la RDC, le Yémen et le Soudan du Sud
https://news.un.org/fr/story/2020/12/1085632))

L’éternel Martin Blachier est capable de rejoindre 5 plateaux le même jour, utilise des arguments tout sauf scientifiques :

« Vous devez vous faire vacciner pour les autres […] S’il y a une petite vague épidémique en septembre ou octobre, ces gens que vous fustigez feront refermer le pays et ils y arriveront »

(dans #HDPros le 5 juillet).

Ignore-t-il que le vaccin ne prévient pas la transmission aux autres comme l’a également précisé O Veran(([6] Ibid référence 1)): « le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers », mais ses activités télévisuelles ne lui laissent certainement pas le temps d’écouter son ministre.

Et bien sûr, ils sont allés chercher Irène Frachon, l’officielle lanceuse d’alerte pour avoir participé à la mise en évidence du drame du médiator, mais qui avait déjà soutenu en 2017 la vaccination obligatoire pour les petits nés après 2018 dont l’épouvantable vaccin hépatite B !

« L’appel d’Irène Frachon aux récalcitrants.(([7] https://www.leparisien.fr/societe/sante/les-etudes-sont-serieuses-faites-moi-confiance-allez-vous-faire-vacciner-lappel-direne-frachon-aux-antivax-05-07-2021-HDP47PCCENGNZF2SMTEE2NYAM4.php)) Lanceuse d’alerte de l’affaire du Mediator, Irène Frachon prend position pour la vaccination dans une tribune ce lundi sur notre site. Le bénéfice est immense, clame-t-elle après avoir épluché les études ».

On est heureux d’apprendre qu’elle a épluché les études… qui n’existent pas puisque les essais ne seront terminés qu’en 2023 au plutôt… Devin, la belle Irène ?

Il faut croire que cette « bonne opposante » préfère les morts du Médiator aux milliers de décès déjà répertoriés liés aux pseudovaccins, par l’agence européenne du médicament EudraVigilance(([8] 17 5 0 3 décès début juillet 2021 #EudraVigilance)) ou le système américain VAERS.(([9] VAERS 6 9 8 5 pour les USA sans parler des milliers d’accidents graves laissant des handicapés à vie)) Viendra-t-elle aussi défendre les familles lors des procès futurs ?

Mais manifestement, tous les morts ne se valent pas et Mme Frachon se serait honorée de rester cachée. Nul n’est parfait.

Quant au conseil de l’ordre, il suit bien sûr comme d’habitude les consignes gouvernementales et se prononce pour l’obligation, mais après avoir interdit les traitements précoces aux médecins, personne ne s’étonnera.

DIAFOIRUS JOURNALISTES

En plus de ceux cités préalablement dans notre article « les brebis galeuses répondent à la secte des covidistes »,(([10] https://nouveau-monde.ca/les-brebis-galeuses-repondent-a-la-secte-des-covidistes/)) la liste s’allonge chaque jour.
Nous en citerons quelques-uns de plus :

Emmanuelle Ducros :

« Si les soignants ne veulent pas se vacciner, ils n’ont rien à faire dans les lieux de soins »(([11] https://t.co/ELl2TpYiGK
https://twitter.com/StephanMarie11/status/1410568757706174471?s=20))

Sans vouloir se répéter, on se demande comment toutes ces personnes deviennent brutalement des spécialistes si bien formés qu’ils se permettent de jeter l’opprobre sur les citoyens mieux informés qu’eux sur la balance avantages/risques des médicaments et sur l’inefficacité des pseudo vaccins à prévenir la transmission de la maladie.

DIAFOIRUS POLITIQUES ET SYNDICALISTES

Le plus célèbre est évidemment Francois Bayrou toujours là pour « la bonne cause » et auquel on doit en partie l’élection du président actuel.

« Invité du Grand Jury RTL — Le Figaro – LCI ce dimanche 4 juillet, le Haut-commissaire au plan François Bayrou s’est prononcé en faveur d’une vaccination obligatoire contre le Covid-19. François Bayrou a rappelé qu’en France, « chaque bébé qui naît reçoit 11 vaccinations obligatoires » et que “pour aller dans un département français, la Guyane, il faut être obligatoirement vacciné contre la fièvre jaune”. »

« La vaccination fait partie de la vie et c’est probablement la conquête médicale — avec l’hygiène — la plus importante depuis le début des temps. Et c’est un Français, Pasteur, qui l’a inventée », a-t-il insisté.

Évidemment l’argumentation pèche sur deux points majeurs : la vaccination des bébés a été imposée sans consensus du pays par la désormais célèbre Mme Buzyn après une consultation de professionnels et de la société civile qui ne souhaitaient pas cette obligation. Le professeur Fischer déjà lui a rédigé le rapport selon ses conclusions personnelles trahissant les conclusions des médecins.

« Aux yeux du président du Modem, qui craint particulièrement qu’un nouveau variant ne finisse par être “particulièrement nocif pour les enfants en bas âge” “la vaccination est la seule digue contre ce qui nous pend au nez”, à savoir une nouvelle vague de Covid-19 ».

Brutalement grand médecin visionnaire, le maire de Pau ! Il est étrange de voir tant de personnalités se permettre des avis péremptoires sans la moindre compétence. Brutalement, il sait que les bébés sont concernés alors que leur risque réel du covid est de zéro, et visionnaire pour cette nouvelle vague qui toucherait les enfants ! Les covidistes ont dû s’offrir un lot de boules de cristal.

D’autres personnalités tout aussi compétentes en médecine ont déclaré qu’il faut rendre le vaccin obligatoire. Nous voyons qu’il n’y a plus de problème de numerus clausus médical en France puisque des vocations sont apparues rapidement et d’emblée savantes.

Ce virus a fait des miracles et a rendu fou comme répète Pascal Praud à juste raison chaque jour sur l’heure des pros. Quand vont-ils juger la qualité des chimiothérapies prescrites aux cancéreux ?

-Yannick Jadot (chef des écolos)

– Le philosophe Michel Onfray tristement peu « philosophe », le doute ayant déserté ses dires et peu respectueux du peuple puisqu’il sait ce qui est bon pour les sans dents.

Mais aussi le président du Medef avec son « ami » syndicaliste(([12] EXCLUSIF. Berger et Roux de Bézieux appellent « solennellement les salariés à se faire vacciner sans tarder » (lejdd.fr) ))!

Les numéros un de la CFDT et du Medef, Laurent Berger et Geoffroy Roux de Bézieux, plaident en faveur d’« un sursaut » vaccinal. Ils évoquent même une vaccination obligatoire pour les salariés au contact du public !

Il est rare que les deux leaders syndicaux prennent la parole ensemble. Mais face au plafonnement de la vaccination et à l’inquiétante progression du variant Delta,(([13] Il est contagieux et donnera beaucoup de rhumes des foins ! quelle tragédie ! tout cela serait comique si ce n était pas si grave d’injecter des drogues dangereuses.)) Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, et Geoffroy Roux de Bézieux, président du Medef, ont décidé de « réveiller le sens civique de chacun », en plaidant pour une vaccination massive des salariés dans les entreprises.

« Nous sommes attachés à deux principes : le volontariat et le secret médical. Le premier peut toutefois connaître des exceptions pour les salariés au contact du public au nom de l’indispensable protection des autres. »

Enterré le secret médical… Ça continue…

Pour eux,

« la vaccination est la seule manière de retrouver une vie normale. (…) Si nous prenons la parole, ensemble, une nouvelle fois, c’est pour appeler au sursaut. » « La reprise économique, la relance de l’emploi ne pourront se faire qu’à la condition d’une vaccination massive de nos concitoyens, disent-ils également. Mais c’est aussi parce que nous sommes animés d’une même foi humaniste. »

Et les traitements précoces, jamais entendu parler ?

Tous les Français sont heureux de découvrir l’humanisme du Medef et de son complice de la CFDT, y compris les nouveaux chômeurs quotidiens suite à fermetures ou délocalisations qui se multiplient…

Extraordinaire attelage pour défendre l’indéfendable, un pseudo vaccin qui n’existe pas, qui protégerait « les autres » et permettrait de reprendre une vie « normale ».

Et pendant ce temps-là est votée l’épouvantable loi de bioéthique qui permet d’avorter d’un bébé de neuf mois prêt à naître, et autorise de concevoir des chimères homme-animal, entre autres folies.

Et pendant ce temps-là se prépare le vote de la réforme des retraites qui avait réuni des millions de gens dans les rues, malgré les lanceurs de LBD et les yeux crevés, avant que le Premier ministre Edouard Philippe n’impose le 49-3 le 29 février et dans la foulée les mesures sanitaires et l’enfermement total à partir du 17 mars 2020. Combien d’opposants à cette loi perfide verrons-nous en ce mois de juillet pendant lequel le ministre de la Santé et le Premier ministre tentent de raviver la peur d’un variant mineur à l’aide des complices et collaborateurs qui ruinent notre pays économiquement et psychologiquement.

Qui peut croire à la sincérité de cet attelage inédit pour la santé des Français ?

Alors que les multiples études des pays largement « vaccinés » démontrent de façon irréfutable et répétitive que ces injections géniques, outre leurs effets secondaires multiples, ne préviennent pas de nouvelles contaminations ni de formes graves comme l’avait expliqué le ministre Veran le 30 mars 2021 en réponse, avant d’affirmer le contraire ces jours-ci.

Le syndrome des masques se reproduit, un jour oui, un jour non.

 Alors que l’immunité collective ne peut être atteinte par ces thérapies géniques contre un virus qui mute. Le mensonge répétitif à ce sujet ne peut masquer la réalité. Le professeur Raoult l’avait expliqué, démontré, il y a plusieurs mois et les faits avérés des résultats des campagnes de vaccination dans les pays les plus vaccinés le démontrent.(([14] L’immunité collective post injection pseudo-vaccinale anticovid, mythe versus faits avérés ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

MAIS L’INJECTION GÉNIQUE N’EST PAS UN VACCIN

LEUR INCONSCIENCE (ou leur corruption ?) LES LAISSERA-T-IL METTRE EN DANGER NOS ENFANTS ?

Même le PDG de Moderna modère l’enthousiasme des politiques sur la vaccination itérative permanente :

« Stéphane Bancel : “le virus ne disparaîtra pas de la planète !”
1/ oui zéro covid (suppression) n’a pas de sens
2/ pas certain qu’une vaccination massive et itérative soit la solution. Vaccinons les groupes à risque et dopons les soins.(([15] https://w.lpnt.fr/2434159t via @LePoint))»

QUELQUES POLITIQUES SAUVENT L’HONNEUR

Florian Philippot se bat pour la liberté et contre l’obligation vaccinale anti covid et pour les traitements précoces, depuis le début du coronacircus.

Dans une vidéo du 1er juillet 2021,(([16] https://youtu.be/P34BpxRD4T0)) il explique le rapport du sénat Jomier paru le 1er juillet.

Trois sénateurs veulent nous vacciner à tout prix, selon leur rapport intitulé “recommandations relatives à la vaccination anticovid”. Ils représentent à eux trois tout le spectre politique du sénat.

Leur raisonnement est la probabilité de la quatrième vague à l’automne. Pour eux le traitement précoce connu de plusieurs milliards d’individus n’existe pas, il n’est même pas cité. Leur angle d’attaque est la vaccination contre le covid pour soi-disant éviter de nouvelles restrictions. Ils veulent rendre la vaccination obligatoire au moins pour certaines catégories. Ils veulent vacciner les moins de 60 ans, car plus de 1/3 des plus de 60 ans hospitalisés ont été vaccinés. Ils veulent obtenir des taux élevés de vaccination dans “des viviers d’infection”, dont les jeunes à partir de 12 ans. Si le taux de vaccination est inférieur à 50 %, ils imposeront des mesures non médicamenteuses comme la fermetures des écoles. ET POURTANT LES ENFANTS NE TRANSMETTENT PAS LE COVID ET NE FONT JAMAIS DE FORMES GRAVES ; zéro mort chez l’enfant sain. OU SONT CES VIVIERS ?

Le gouvernement voudrait passer une loi imposant la vaccination obligatoire pour tous à partir de 12 ans faisant fi de la convention d’Oviedo que la France a pourtant signée. Il faudra bien sûr faire un recours au Conseil constitutionnel. Il faut soixante députés ou sénateurs pour ce recours.

Par ailleurs Francois Asselineau, Jean Frédéric Poisson et parfois Dupont-Aignan ont protesté contre la dictature sanitaire. Espérons qu’ils seront rejoints bientôt par d’autres élus, et politiques prenant conscience de la mascarade Covid qui ruine le pays depuis 18 mois.





Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulés

[Source : reseauinternational.net]

Par Joseph Mercola.

Les rapports de décès et de blessures graves dus aux vaccins COVID-19 s’accumulent à une vitesse vertigineuse. Ceux qui regardent les chiffres et ont une certaine connaissance des taux historiques de blessures dues aux vaccins s’accordent à dire que nous n’avons jamais rien vu de tel, où que ce soit dans le monde. Bien que les données soient difficiles à obtenir pour certains pays, celles que nous pouvons vérifier révèlent des tendances profondément troublantes.

– États-Unis – En date du 11 juin 2021, le Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) des États-Unis avait enregistré 358 379 événements indésirables1, dont 5 993 décès et 29 871 blessures graves. Dans le groupe d’âge des 12 à 17 ans, on a enregistré 271 blessures graves2 et 7 décès. Chez les femmes enceintes, on a enregistré 2 136 événements indésirables, dont 707 fausses couches ou naissances prématurées.3

Tous ces chiffres sont forcément inférieurs à la réalité car, historiquement, moins de 10% des effets secondaires des vaccins sont signalés au VAERS4. Une enquête du Département américain de la Santé et des Services sociaux a estimé ce chiffre à 1%.5 6

Quoi qu’il en soit, le taux de décès rapporté pour les injections de vaccins COVID-19 dépasse maintenant le taux de décès rapporté pour plus de 70 vaccins combinés au cours des 30 dernières années, et il est environ 500 fois plus mortel que le vaccin contre la grippe saisonnière7, qui a toujours été le plus dangereux.

Les injections de vaccins COVID sont également cinq fois plus dangereuses que le vaccin H1N1, dont le taux d’effets secondaires graves était de 25 pour un million8,9. En supposant que les injections de vaccins anti-COVID aient le même taux d’effets secondaires et que quelque 200 millions de personnes aient reçu le vaccin, le nombre estimé de personnes souffrant d’un effet secondaire grave serait d’environ 5 000. Nous avons déjà largement dépassé ce chiffre, puisque 35 86410 personnes ont été gravement blessées ou tuées.

Même si près de 6 000 décès ont été signalés dans le VAERS, ce chiffre est probablement sérieusement compromis. J’ai récemment interviewé le Dr Vladimir Zelenko, qui a traité avec succès des patients COVID, et nous avons discuté de la possibilité très nette que toutes les personnes ayant reçu le vaccin COVID meurent de complications dans les deux ou trois prochaines années.

Il a personnellement connaissance de 28 décès liés au vaccin qui n’ont pas été acceptés par le VAERS. Zelenko pense que le nombre de décès pourrait déjà dépasser 100 000.

Le fait de recevoir le vaccin anti-COVID place immédiatement la personne injectée dans une situation de risque très élevé de mourir du COVID. La plupart d’entre elles ont la fausse assurance d’être protégées, mais en réalité, elles sont beaucoup plus vulnérables et, par conséquent, elles ne prendront pas de mesures proactives très agressives pour éviter de mourir de l’amorçage pathogène ou du renforcement immunitaire paradoxal avant qu’il ne soit trop tard.

N’oubliez pas de noter dans votre agenda de revoir mon interview révolutionnaire avec Zelenko ce dimanche 4 juillet 2021. Nous passons en revue les protocoles que vous pouvez utiliser pour vous protéger, vous et votre famille ou ceux que vous aimez, qui regrettent maintenant d’avoir reçu le vaccin COVID.

– Union européenne – Dans la base de données de l’Union européenne sur les effets indésirables des vaccins anti-COVID, appelée EudraVigilance, 1 509 266 blessures ont été signalées, dont 15 472 décès, au 19 juin 202111. EudraVigilance n’accepte que les rapports des membres de l’UE, et ne couvre donc que 27 des 50 pays européens.

Il est remarquable de constater qu’environ la MOITIÉ de toutes les blessures signalées – 753 657 – sont classées comme « graves », ce qui signifie que la blessure met la vie en danger, nécessite une hospitalisation, entraîne une condition médicalement importante, un handicap significatif ou une incapacité persistante.

– Royaume-Uni – Le système britannique Yellow Card avait reçu, au 9 juin 2021, 276 867 rapports d’événements indésirables suite à la « vaccination » COVID, dont 1 332 décès.12

– Israël – Selon un rapport du Comité du Peuple israélien, un organisme civil composé d’experts de la santé, « il n’y a jamais eu de vaccin qui a nui à autant de personnes »13. Par exemple, les données israéliennes montrent que les garçons et les hommes âgés de 16 à 24 ans qui ont été vaccinés ont un taux de myocardite (inflammation du cœur) 25 fois supérieur à la normale.14

(La myocardite touche également les adolescents et les jeunes adultes aux États-Unis. Bien que les responsables du CDC affirment qu’aucun décès confirmé n’a été signalé, au moins deux décès ont été liés temporellement au vaccin.15 16 17 18 19)

– Australie – En Australie, deux personnes sont mortes de caillots sanguins après avoir reçu le vaccin anti-COVID d’AstraZeneca. En revanche, une seule personne – une femme âgée – est décédée du COVID-19 cette année.20 21

Si quelque chose ne va pas, vous êtes tout seul

La douleur et la souffrance que ces vaccins ont déjà engendrées sont difficiles à imaginer. Il est clair que des millions de personnes dans le monde ont vu leur vie bouleversée par ces injections. Beaucoup ne s’en remettront peut-être pas, ni physiquement ni financièrement. Il est vraiment important de réaliser que si quelque chose tourne mal, vous êtes en grande partie seul.

Avant de prendre la décision de participer à cette expérience sanitaire sans précédent, il peut être judicieux d’évaluer votre assurance personnelle et votre capacité financière à faire face à une blessure grave, car les fabricants de vaccins sont protégés contre les poursuites judiciaires. Vous ne pouvez pas les poursuivre en justice pour obtenir des dommages et intérêts. Vous ne pouvez pas non plus poursuivre le gouvernement ou toute autre personne.

Si vous êtes blessé par une injection du vaccin et que vous vivez aux États-Unis, votre seul recours est de demander une indemnisation au titre de la Countermeasures Injury Compensation Act (CICP), en vertu de laquelle les vaccins COVID-19 sont une contre-mesure couverte22. La CICP est gérée par une agence au personnel clairsemé relevant du Département américain de la Santé et des Services sociaux.

Vous trouverez des détails et des hyperliens vers les formulaires de demande d’indemnisation dans l’encadré juridique du Congressional Research Service, « Compensation Programs for Potential COVID-19 Vaccine Injuries »23. Vous ne pouvez pas demander et ne recevrez pas d’indemnisation du National Vaccine Injury Compensation Program (VICP), qui couvre d’autres vaccins, notamment le vaccin contre la grippe.

L’indemnisation par le VICP est très limitée et difficile à obtenir. Au cours de ses 15 années d’existence, il n’a versé que 29 indemnités, soit moins d’une sur 1024 25 26. Vous n’êtes admissible que si votre blessure nécessite une hospitalisation et entraîne une invalidité importante et/ou un décès, et même si vous répondez aux critères d’admissibilité, vous devez épuiser votre assurance maladie privée avant que celle-ci ne prenne en charge la différence.

L’indemnité moyenne du CICP est de 200 000 $, et les cas de décès sont plafonnés à environ 370 000 $. En attendant, vous pouvez facilement accumuler une facture d’hôpital d’un million de dollars si vous souffrez d’un grave accident thrombotique.

Il n’y a pas de remboursement pour la douleur et la souffrance, seulement pour les salaires perdus et les factures médicales impayées. Cela signifie qu’une personne retraitée ne peut pas y prétendre même si elle meurt ou se retrouve en fauteuil roulant. L’indemnisation salariale est d’une durée limitée et plafonnée à 50 000 dollars par an. Pour couronner le tout, vous ne pouvez pas faire appel de la décision du CICP. Les appels sont simplement examinés par un autre membre du personnel du même bureau.

Pouvez-vous vous permettre une blessure par injection du vaccin COVID ?

Même s’ils peuvent les obtenir, les indemnités accordées par le CICP risquent d’être une goutte d’eau dans l’océan pour la plupart des gens. L’indemnité moyenne est de 200 000 $, et les cas de décès sont plafonnés à 370 376 $27. Par ailleurs, vous pouvez facilement accumuler une facture d’hôpital d’un million de dollars si vous souffrez d’un grave accident thrombotique28. Vous devez également payer votre propre aide juridique et tout témoin professionnel dont vous pouvez avoir besoin pour soutenir votre demande.

Au début du mois de juin 2021, KRDO news a rapporté29 le cas de Kendra Lippy, une femme de 38 ans qui n’avait aucun problème de santé avant de se faire vacciner avec Johnson & Johnson. Dans la semaine qui a suivi, elle a souffert de maux de tête, de douleurs abdominales et de nausées. Son diagnostic : De graves caillots sanguins qui ont évolué vers une défaillance de plusieurs organes et un coma.

Elle a dû subir l’ablation de la plus grande partie de son intestin grêle et aura besoin d’une nutrition parentérale totale pour le reste de sa vie – une méthode d’alimentation qui contourne son système gastro-intestinal. Elle a été hospitalisée pendant 33 jours, dont 22 jours dans l’unité de soins intensifs. Elle a maintenant besoin d’une ergothérapie et d’une physiothérapie pour retrouver des fonctions de base comme marcher, écrire et tenir une fourchette.

La facture d’hospitalisation de Lippy dépasse déjà le million de dollars, une somme qu’elle ne pourra probablement jamais rembourser, et on ne sait pas de quel type de traitement médical elle aura besoin dans les années à venir. Il est clair que Lippy se dirige vers la faillite, et les factures médicales sont la cause la plus courante aux États-Unis.

Des stipulations supplémentaires qui rendent les paiements rares

Il existe également des conditions de temps. Pour être admissible, vous devez déposer une demande d’indemnisation dans l’année qui suit la date d’administration du vaccin. Il s’agit d’un obstacle important, car les effets secondaires graves peuvent mettre du temps à se développer. Par exemple, après la pandémie de grippe porcine de 2009, des personnes ont commencé à déclarer un syndrome de Guillain-Barré des années après avoir reçu le vaccin H1N1. À ce moment-là, ils n’étaient plus admissibles.30

Mais le pire, c’est qu’il vous incombe désormais de prouver que votre blessure est le « résultat direct de l’administration de la contre-mesure, sur la base de preuves médicales et scientifiques convaincantes, fiables et valides, allant au-delà de la simple association temporelle ».

En d’autres termes, vous devez prouver ce que le développeur du vaccin lui-même doit encore vérifier, puisque vous faites partie de leur étude toujours en cours ! Le CICP est aussi notoirement secret sur les raisons de l’approbation ou du rejet des demandes. Comme le rapporte l’Insurance Journal,

« il ne divulgue même pas les détails les plus élémentaires, comme les types de maladies que les gens prétendent avoir contractées à cause des vaccins ».31

Au 1er juin 2021, 1 360 Américains avaient demandé à être indemnisés par le CICP pour des blessures et des décès résultant de contre-mesures pandémiques, mais seuls 869 ont été jugés éligibles pour déposer une demande32. Aucune n’a été jugée. Le professeur Peter Meyers, ancien directeur de la Vaccine Injury Litigation Clinic, qui a qualifié le CICP de « processus de trou noir »33, prévient qu’il s’agit d’un « programme minable ». Il a déclaré à Life Site News34 :

« Il s’agit d’un programme secret et opaque dans le cadre duquel des fonctionnaires inconnus du Département de la Santé et des Services sociaux prendront des décisions ; nous ne savons pas combien de personnes prennent des décisions, qui elles sont, ni quel est le processus ».

Ce secret signifie qu’il n’existe pas de statistiques officielles sur les types de blessures pour lesquelles les personnes déposent une demande, ni sur la contre-mesure qui aurait causé leur blessure. À propos, les vaccins ne sont pas les seules contre-mesures à être protégées de la responsabilité. Les erreurs de traitement hospitalier sont également protégées, et nous savons que certains hôpitaux tuaient régulièrement des patients, qu’ils aient ou non une infection confirmée par le COVID-19, en les plaçant sous respirateur même lorsqu’ils n’en avaient pas besoin.35

Pouvez-vous faire confiance à ces criminels en col blanc ?

Comme nous l’avons mentionné, les fabricants de vaccins sont protégés de toute responsabilité financière. Vous ne pouvez les poursuivre que si vous pouvez prouver une « faute intentionnelle », telle qu’une tromperie délibérée, un comportement frauduleux ou la dissimulation d’informations pertinentes. Pour contourner ce problème, les fabricants de vaccins peuvent simplement ne pas rechercher certains problèmes.

Le potentiel d’infertilité en est un parfait exemple. La protéine spike est soupçonnée d’être toxique pour la reproduction, et les données de biodistribution de Pfizer montrent qu’elle s’accumule dans les ovaires des femmes36. Malgré cela, Pfizer n’a effectué aucun test de toxicologie de la reproduction. Comme ils n’ont pas cherché, ils peuvent dire sans sourciller qu’ils « ne savaient pas » que la piqûre pouvait provoquer des problèmes de reproduction. Le fait est qu’ils auraient dû s’en douter, et faire les tests pour s’en assurer.

Nous voyons déjà des signes de toxicité reproductive. Les données suggèrent que le taux de fausses couches chez les femmes qui reçoivent le « vaccin » anti-COVID au cours des 20 premières semaines de grossesse est de 82%. Le taux normal est de 10%, ce n’est donc pas une augmentation mineure. L’infertilité sera beaucoup plus difficile à établir, et pourrait prendre des décennies.37

Dans une lettre adressée le 28 mai 2021 à la rédaction du New England Journal of Medicine, les docteurs Ira Bernstein, Sanja Jovanovic et Deann McLeod, HBSc, de Toronto, ont attiré l’attention sur ce point en soulignant que les études préliminaires sur la sécurité publiées dans le NEJM en avril 2021 étaient erronées car elles incluaient des « grossesses cliniquement non reconnues ».38

Ils ont inclus des graphiques ajustés reflétant cette erreur et ont demandé aux auteurs de l’étude de retirer les données erronées mais, fait intéressant, leur lettre a disparu d’Internet la dernière semaine de juin, bien qu’elle soit toujours dans les archives de Wayback au 27 juin 2021. Par coïncidence, le 17 juin 2021, le NEJM a republié l’étude d’avril sans expliquer pourquoi elle était republiée et sans corriger les données.

Compte tenu des antécédents criminels de Pfizer, Johnson & Johnson et AstraZeneca, il est difficile de comprendre comment des millions de personnes font confiance à ces entreprises pour ne pas mentir afin de gagner de l’argent. Comme le rapporte Life Site News39 :

« Les trois principaux fabricants de vaccins, Pfizer, Johnson & Johnson et AstraZeneca, ont été condamnés par des tribunaux d’État et fédéraux à payer un total de plus de 8,6 milliards de dollars d’amendes pour répondre à des dizaines d’allégations de mauvaise conduite au pénal et au civil.

À elle seule, la société Pfizer a été condamnée à une amende de 2,3 milliards de dollars – le règlement le plus important de l’histoire, selon le Département de la Justice – pour avoir délibérément fraudé et dénaturé ses médicaments qui avaient déjà été retirés des rayons en raison de leurs dangers avérés.

Mais grâce à six dénonciateurs qui ont apporté des preuves contre la société, celle-ci aurait pu continuer à faire de la publicité mensongère et à vendre ses produits dangereux.

« Nous avons fait un compromis en Amérique », a déclaré Meyers, « en accordant aux fabricants de vaccins une protection en matière de responsabilité pour s’assurer qu’ils continueront à fabriquer des vaccins qui, avant l’immunité juridique, étaient enlisés dans des procès pour effets secondaires ».

Les fabricants de voitures, d’échelles ou d’autres produits peuvent être poursuivis s’ils sont défectueux. Les fabricants de vaccins bénéficient d’une responsabilité générale pour garantir la production de leurs produits, d’un financement public pour les produire, de commandes gouvernementales garanties pour les produits, d’une commercialisation de masse payée par le gouvernement et de mandats …

« Le compromis semble injuste aujourd’hui parce que le programme CICP est tellement défectueux », a déclaré Meyers, en particulier lorsque les fabricants de vaccins engrangent des bénéfices colossaux (Pfizer est prêt à récolter 26 milliards de dollars avec ses vaccins COVID cette année et la fabrication des vaccins COVID produit des milliardaires dont les salaires annuels sont des multiples d’une décennie de paiements CICP à des dizaines de personnes).

Les prestations du CICP sont des « compensations avares », a-t-il ajouté, pour des personnes qui souffrent et attendent face à la cupidité des entreprises et à l’opacité des gouvernements. En dépit du casier judiciaire des entreprises pharmaceutiques, Meyers pense qu’elles seraient « folles de prendre le risque de commettre une faute ». S’il s’avérait que les fabricants de vaccins cachent en fait des informations sur les risques des vaccins COVID, dit-il, “ce serait une catastrophe” ».

Le gouvernement et les grandes entreprises pharmaceutiques sont-ils coupables de mauvaise conduite délibérée ?

Je ne sais pas pour vous, mais le sentiment que j’ai lorsque je regarde la cascade de blessures et de décès survenant dans les jours ou, dans de nombreux cas, dans les heures qui suivent l’injection, est que quelque chose ne tourne pas rond, et que les fabricants de vaccins balaient tout sous le tapis. N’est-ce pas une faute intentionnelle ? Ne pas effectuer de tests de toxicologie reproductive après avoir découvert que la protéine spike s’accumule dans les ovaires – n’est-ce pas une faute intentionnelle répréhensible ?

Continuer à prétendre que l’ARNm reste dans le muscle de l’épaule alors qu’ils ont des données montrant qu’il est distribué dans pratiquement tous les organes du corps humain – n’est-ce pas cacher des informations importantes ? N’est-ce pas une faute intentionnelle répréhensible ?

Je soutiens que les responsables gouvernementaux sont également coupables de malfaisance médicale. Comme l’a fait remarquer le Dr Robert Malone, l’inventeur de la plateforme technologique de base des vaccins à ARNm et à ADN40, la version la plus récente de l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) qui régit ces injections de vaccins anti-COVID révèle que la FDA a choisi de ne pas exiger une collecte et une évaluation rigoureuses des données post-vaccinales, alors qu’elle avait le pouvoir de le faire.

Encore une fois, si vous ne cherchez pas les blessures, vous avez peu de chances de les trouver. En l’absence d’un processus solide de collecte et d’évaluation des données, ils peuvent dire que les vaccins sont sûrs et les faire passer dans le processus d’autorisation beaucoup plus facilement. Le problème auquel ils sont maintenant confrontés est que le VAERS reçoit un nombre tellement élevé de rapports que même s’ils ne représentent que 10% des blessures réelles, ou moins, il est absolument indubitable qu’il existe de sérieux problèmes.

Le fait de ne pas exiger des fabricants de vaccins qu’ils mettent en place un système complet de collecte des données sur les événements indésirables est, au mieux, un signe d’incompétence. Mais ce n’est pas tout. La FDA commence vraiment à se montrer fourbe lorsqu’elle refuse de reconnaître que les rapports du VAERS indiquent l’existence de problèmes.

Qualifier de « coïncidence » plus de 35 000 fois n’est tout simplement pas crédible, et rejeter les risques d’invalidité permanente et de décès en disant qu’ils « en valent la peine » est plus qu’insensible, étant donné que nous disposons de traitements sûrs et efficaces et que personne n’a besoin de jouer sa santé sur une thérapie génique expérimentale.

Les injections de COVID sont clairement plus risquées que ce qui est annoncé

Comme l’indiquait un article du Wall Street Journal du 22 juin 202141, bien que le VAERS ne puisse pas nous dire si les injections ont été la cause d’un effet secondaire donné, lorsque des groupes de rapports forment une tendance, il est temps d’enquêter.

Les quatre effets indésirables graves qui forment actuellement une tendance sont la thrombocytopénie (faible nombre de plaquettes), la myocardite non infectieuse (inflammation cardiaque), surtout chez les moins de 30 ans, la thrombose veineuse profonde et le décès.42

Pour que de tels effets soient tolérables, même s’ils sont rares, il faudrait que le vaccin (ou le médicament) soit absolument crucial pour la survie. Pensez à une pandémie hautement infectieuse d’Ebola, par exemple – quelque chose où la mort est rapide et pratiquement assurée, et où le traitement, une fois infecté, est inefficace.

Aucun de ces critères ne s’applique au COVID-19, dont le taux de létalité est équivalent à celui de la grippe saisonnière, sauf pour les personnes âgées et les plus fragiles. Il faudrait également que le vaccin soit un véritable vaccin, c’est-à-dire qu’il confère une immunité. Les injections de thérapie génique anti-COVID-19 ne le font pas non plus.

Dans l’ensemble, il est clair que les décès et les blessures causés par ces injections sont passés sous silence, et nous ne pouvons pas permettre que cela continue. Nous devons continuer à faire pression pour la transparence, l’honnêteté et la responsabilité.

N’oubliez pas de voir mon interview révolutionnaire avec le Dr Vladimir Zelenko. Nous passons en revue les protocoles que vous pouvez utiliser pour vous protéger, vous et votre famille ou ceux que vous aimez, qui regrettent maintenant d’avoir reçu le vaccin COVID.


source : https://www.lewrockwell.com

  1. MedAlerts/VAERS, June 11, 2021
  2. MedAlerts/VAERS, June 11, 2021, « Cases where Vaccine is COVID19 and Serious »
  3. The Defender, June 18, 2021
  4. BMJ, 2005;330:433
  5. AHRQ, December 7, 2007
  6. The Vaccine Reaction, January 9, 2020
  7. Trial Site News, May 25, 2021
  8. Insurance Journal, December 29, 2020
  9. CNBC, March 25, 2021
  10. MedAlerts/VAERS, June 11, 2021
  11. Based Underground, June 22, 2021
  12. « Gov.UK Yellow Card Reporting Summary », June 17, 2021 (Covers 12/9/2020 – 6/9/2021)
  13. Aletho News, April 21, 2021
  14. Ottawa Citizen, June 4, 2021
  15. STAT News, June 10, 2021
  16. NBC News, June 23, 2021
  17. The Defender, June 24, 2021
  18. The Defender, June 15, 2021
  19. WLWT, June 14, 2021
  20. USA Today, June 22, 2021
  21. The Defender, June 21, 2021
  22. « Congressional Research Service Legal Sidebar CICP », March 22, 2021
  23. « Congressional Research Service Legal Sidebar CICP », March 22, 2021
  24. Life Site News, June 15, 2021
  25. Insurance Journal, August 14, 2020
  26. Insurance Journal, December 29, 2020
  27. Insurance Journal, December 29, 2020
  28. The Defender, June 2, 2021
  29. KRDO, June 2, 2021
  30. Insurance Journal, December 29, 2020
  31. Insurance Journal, December 29, 2020
  32. HRSA, June 1, 2021
  33. Yahoo News, August 21, 2020
  34. Life Site News, June 15, 2021
  35. 11alive.com, June 4, 2021
  36. Trial Site News, June 6, 2021
  37. Trial Site News, May 25, 2021
  38. Wayback, June 27, 2021
  39. Life Site News, June 15, 2021
  40. Trial Site News, May 30, 2021
  41. WSJ Opinion, June 22, 2021 (Archived)
  42. WSJ Opinion, June 22, 2021 (Archived)



Dans une démocratie, l’individu doit passer avant le collectif !

Par Alain Tortosa

La liberté individuelle d’abord !

La « sécurité », l’autoroute vers la dictature !

« En même temps… » ou les limites de la démagogie…

Nous sommes nombreux à vouloir croire au « en même temps », forme d’idéal sociétal dans lequel il serait possible de concilier sur un pied d’égalité toute chose et son contraire… or cela relève de la manipulation, de l’utopie ou de la démagogie.

L’utopie du « en même temps »

Prenons l’exemple du système judiciaire… Nous sommes a priori tous d’accord pour dire qu’il est important que les coupables n’échappent pas à la justice, mais en même temps qu’aucun innocent ne soit condamné. Dans un monde parfait, une humanité parfaite, cela serait sans doute possible, mais pas dans la réalité.

Quoique vous fassiez un des deux objectifs prendra le dessus sur l’autre :

  • Soit vous aurez un système qui, à la marge, laissera des coupables en liberté.
  • Soit vous aurez un système qui, à la marge, mettra des innocents en prison.

Pourquoi ? Parce que la perfection n’existe pas, que la justice est humaine et l’erreur aussi…

La société exige de plus en plus que les coupables n’échappent pas à la justice tandis qu’elle fait semblant de croire que des innocents n’iront pas en prison.

Pourquoi ?
Pour la simple raison que chaque individu refuse le hasard ou le destin, qu’il ne veut pas être victime d’autrui, tout en pensant que, statistiquement, il est quasi impossible qu’il se retrouve en prison comme innocent.

C’est le même principe que la survie statistique d’un banc de sardines où les sardines « acceptent »(pour peu qu’elles fussent en capacité de penser) d’en sacrifier quelques-unes pour la survie du groupe.

C’est aussi le même raisonnement qui pousse les plus paniqués (et donc manipulés) à exiger la « vaccination » obligatoire pour tous dans le cadre du Covid. Cette « vaccination » n’ayant strictement rien d’altruiste comme certains cherchent à nous en convaincre. L’objectif ici encore est d’échapper à la menace, au « méchant » Covid «injuste», et d’accepter que certains vaccinés aient des séquelles graves ou y perdent la vie, y compris des enfants.

Ce principe accepté et revendiqué par les médias m’est totalement inacceptable !

En ce qui concerne le Covid, des morts de personnes âgées ou avec de fortes comorbidités, c’est regrettable et triste. Cela devient en partie inadmissible si on leur a refusé les traitements comme depuis plus d’un an ou qu’on les a « terminés » avec du Rivotril au lieu de les soigner.

En revanche, la mort de ne serait-ce qu’un seul enfant suite à une injection d’un vaccin…
… Décès induit non pas par une maladie frappant au hasard, mais par l’action ciblée de l’homme m’est totalement viscéralement inacceptable !

Et il en est de même d’un enfant emporté par une maladie versus un enfant tué par un vaccin ! Concernant la justice, mon raisonnement demeure le même… Autant il est déplorable, injuste, dégueulasse, immonde qu’un pédophile échappe à la justice et poursuive ses méfaits, autant il est totalement inacceptable qu’un innocent soit condamné à 30 ans de prison pour ces crimes odieux qu’il n’aurait pas commis.

Est-ce à dire que je préconiserais de laisser les coupables et les pédophiles en liberté ? Si tel est votre pensée me concernant, passez votre chemin et ne polluez pas mon texte… Comme disait une certaine publicité que seules les personnes de mon âge peuvent connaître :

« Nous n’avons pas les mêmes valeurs. »

Il est évident que la justice des hommes doit tout mettre en œuvre (non pas pour condamner ou pour punir) pour protéger les innocents de personnes qui peuvent nuire à autrui. Le maximum doit évidemment être fait ! En revanche, la PREMIÈRE préoccupation doit être de tout faire pour ne pas condamner un innocent.

Dans ce cadre l’habeas corpus doit être la ligne et il ne saurait exister la moindre condamnation basée sur une « intime conviction » de jurés, quitte à — je le redis — laisser en liberté le pire des monstres que la Terre n’ait connu.

Et ne me faites pas le coup du « et si ce monstre avait tué ton enfant », les mêmes qui m’ont inondé pendant des mois sur les réseaux sociaux de « et si c’était ton enfant qui mourrait faute de places en réanimation ? ». Ma réponse serait toujours la même ; « J’espère que mon enfer ne me rendrait pas aussi con que vous ».

La « sécurité » a tué la liberté.

Or notre monde a troqué et troque de plus en plus la liberté contre la «sécurité». La société n’a plus aucun scrupule à s’approprier la novlangue de Georges Orwell et d’affirmer que « la liberté c’est l’interdit ».

J’ai l’impression que le peuple est à ce point manipulé qu’il n’en est plus à penser ou dire que l’on peut être à la fois « libre et en sécurité ». (De même que pour l’exemple précédent de la justice ou de la vaccination, cela relève de l’utopie.)

Il est évident que plus nous allons vers la « sécurité », plus nous cherchons à contrôler, y compris l’incontrôlable, et plus c’est aux dépens de la liberté individuelle, de la démocratie et des droits de l’homme.

Mais notre société semble avoir franchi ce cap !

La liberté n’est même plus une donnée fondamentale. La valeur de la société est ainsi devenue la « sécurité».

Vous comprendrez bien qu’il m’est impossible d’adhérer à ce système qui grignote nos libertés individuelles depuis des dizaines d’années, mais qui est passé à la vitesse supérieure avec le Covid.

Au nom de la « sécurité », la dictature sanitaire n’a pas hésité à supprimer le parlement, à transformer les médias nationaux en service de presse du gouvernement, à censurer toutes les oppositions, à assigner à résidence l’ensemble de la population innocente et en bonne santé, à masquer de force toutes les personnes en bonne santé y compris des enfants, à créer un passeport sanitaire, et maintenant à vouloir vacciner de force toutes les personnes en bonne santé y compris celles et ceux qui ne sont pas concernés par cette maladie !
… Maladie dont les traitements demeurent interdits !

Tout ceci au nom de cette fameuse « sécurité », nous construisons des États de plus en plus totalitaires tels que décrits dans les romans les plus noirs de la fiction !

Comme je l’ai déjà écrit, on n’hésite plus à faire de l’interdit et de la « sécurité » un synonyme du mot « liberté ».

Je m’y oppose viscéralement !

Il ne saurait exister de modèle démocratique dans lequel la liberté individuelle ne serait pas la valeur primaire et fondamentale, tandis que l’interdit serait l’exception !

Rien ne saurait avoir plus d’importance que la liberté individuelle et les droits de l’homme dans une démocratie !

Est-ce à dire que je prônerais l’anarchie, le « chacun pour soi » et la loi de la jungle ? Bien sûr que non !

Il va de soi que la sécurité demeure aussi un droit et que nul individu n’a le droit moral de tuer son voisin pour lui voler sa voiture (encore que cela peut se discuter si c’est pour récupérer la voiture d’un dictateur sanguinaire).

La sécurité de chacun doit être une préoccupation de tous les instants, mais elle doit être systématiquement mise en corrélation avec le risque de perte de liberté individuelle.

Il en est de même d’autres domaines où il est plus facile d’interdire l’accès à 100 % des personnes sous prétexte qu’il y a eu une noyade que d’investir dans un pourquoi, qui, comment…

La gestion des libertés individuelles.

Je verrais 3 niveaux de gestion des libertés.

1. Cette liberté est-elle de nature à nuire à quiconque ?

Il est indispensable de généraliser dans les faits le : « Tout ce qui ne nuit pas est autorisé ! »

Par exemple, doit-on rendre le casque obligatoire en moto pour un adulte ou une obligation de ceinture de sécurité ?
La réponse est bien entendu, « Non » !

Charge à la société de former les individus à l’importance de mettre un casque ou de mettre une ceinture et aux sociétés d’assurance de mettre en place des polices tenant compte du risque réel et non imaginaire. D’autre part, je rappellerais à tout un chacun que nous vivons dans un monde ultralibéral où l’accident et le soin sont des marchés et qu’ils sont bons pour la croissance. De plus nous manquons cruellement de donneurs d’organes et si les accidents domestiques ou de la route disparaissaient, ce serait une catastrophe pour des milliers de personnes en attente de greffe. Ceci pour dire que rien n’est noir ou blanc !

2. Cette liberté peut nuire à autrui, mais existe-t-il des aménagements possibles ?

S’il est possible de faire cohabiter des libertés contradictoires alors l’aménagement est la règle (et certainement pas l’interdit comme actuellement) !

Prenons l’exemple de la cigarette…
Je ne fume pas, je déteste son odeur et pour autant je déteste l’interdiction de fumer dans les restaurants. Et je déteste tout autant l’autorisation de fumer en terrasse qui les rend irrespirables. Et par pitié, ne me faites pas le coup des cancers, car ils sont aussi un marché capitaliste. Ici encore, à la société de convaincre sans interdire, quitte à faire des visites organisées pour les lycéens dans des unités de soin contre le cancer… Là encore, les polices d’assurance pourront s’adapter en fonction du risque réel.

Ici, la solution pour les libertés est extrêmement simple, il suffit d’autoriser les restaurants fumeurs et les restaurants non-fumeurs. Le marché se chargera naturellement de réguler… Un restaurateur qui est pour ou contre acceptera ou refusera. Un restaurant qui pense qu’il y a un marché pour les non-fumeurs transformera son restaurant en non-fumeur et inversement.

C’est ce que l’on appelle la liberté.

Dans le cadre du Covid, on pourrait étendre le concept aux concerts, théâtres, cinémas, restaurants, etc., certains n’accueillant que des vaccinés avec des masques et les autres usant de leur liberté…

Notons que les adaptations peuvent aussi être sous la forme de certains créneaux horaires ou certains trains ou avions…

La seule limite à cette liberté sera issue du cadre de nos valeurs humaines communes. Par exemple il ne saurait être acceptable d’avoir des restaurants ou des lieux interdits aux blancs ou interdits aux noirs, des restaurants ou des lieux réservés à telle ou telle communauté religieuse et interdits à une autre, etc.

3. Les libertés totalement inconciliables.

Dans l’hypothèse où il est totalement impossible de mettre en œuvre des solutions permettant le « et en même temps », il n’y a d’alternative que la « dictature démocratique ».

La majorité doit pouvoir se prononcer via le parlement ou via le référendum selon l’importance du sujet. Mais j’insiste, uniquement dans les cas où aucune solution de cohabitation n’est possible. Dans ces cas, et uniquement ces cas, la liberté sera limitée par la majorité. Liberté limitée dans le temps et qui devra être modifiée en fonction de l’évolution du désir de la majorité. Pas toujours facile de trouver des exemples… Tiens, prenons l’exemple de l’alcool au volant qui, pour le coup, fait des ravages. Il est très facile de l’interdire totalement… mais moins de le faire appliquer.

Une loi qui interdit, mais qui n’a pas les moyens de se faire appliquer ne présente aucun sens hormis démagogique. D’autre part, boire un seul verre de vin au restaurant, puis reprendre la voiture ne semble pas délirant hormis pour les adorateurs de l’interdit et de la « sécurité » à tout prix. (Nous pourrions aussi interdire les repas trop gras ou trop caloriques qui risquent d’entraîner de la somnolence ou interdire de reprendre la route moins de 4 heures après la fin du repas, etc.)

Nous voyons ici qu’il est impossible de concilier toutes les options, hormis de multiplier par 5 le réseau routier. Un pour 0g/l, un pour 0,2g/l, un pour 0,4g/l, un pour 0,8g/l, etc. D’autre part dans ce cas de figure, une personne bourrée peut tuer des innocents et c’est inacceptable. Mais le réflexe, si facile, de l’interdit pur est simple ne doit pas être la solution.

Alors que faire ?
Une commission réunissant des experts, des médecins, des associations, des usagers, des restaurateurs, des assureurs et la grande autorité de défense des libertés (à créer), etc. devrait statuer et conclure qu’une consommation d’alcool jusqu’à x g/l représenterait un risque acceptable comme il est acceptable que des personnes sans casque chutent dans un escalier et décèdent. Un référendum serait alors organisé dans lequel les Français seraient amenés à se prononcer sur la dose maximale et, par exemple, de conclure que le taux serait fixé à 0,5g par litre pour les 5 prochaines années ou une nouvelle votation serait organisée.

De fait, aucune loi, aucun règlement ne saurait exister sans faire des libertés individuelles la préoccupation principale.

Interdire sans nuance est à la fois facile et populaire !

Nous voyons bien que la liberté, c’est complexe. Cela doit être une obsession, mais il est plus facile d’interdire !

Nous devons nettoyer et réécrire en conséquence l’ensemble de nos lois.

Ici encore, reprenons l’exemple de la vaccination de l’ensemble de la population contre le Covid. Imaginons qu’il existe un vrai vaccin contre le Covid, ce qui n’est pas… Dans ces conditions, il serait plus facile de faire de la mauvaise médecine, de vacciner 100 % de la population, que d’identifier les personnes à risque, leur fournir un traitement adéquat, mettre l’argent, ou les vacciner uniquement elles.

Le principe de la vaccination générale revient à investir sur une thérapeutique ciblée sur les personnes qui n’en ont pas besoin pour protéger la minorité qui en aurait besoin et pour laquelle la thérapeutique proposée est inefficace. Bref le contraire d’un traitement ciblé et adapté à chaque individu, bien le contraire de la bonne médecine !

Que conclure ?

En résumé nous voyons bien que deux modèles de sociétés s’affrontent.

  • Le modèle sécuritaire basé officiellement sur le « collectif » et qui conduit inexorablement à une société de non droits individuels et une dictature plus ou moins light.
  • Le modèle basé sur les libertés individuelles qui fait réellement de l’interdit l’exception dès lors qu’aucune alternative ou solution n’est possible.

Le tout étant bien sûr au sein d’un cadre inspiré par la Déclaration universelle des droits de l’homme, d’égalité des individus et du respect de valeurs fondamentales.

Dans mon « idéal » démocratique…
Je place l’individu au centre et le collectif doit être à son service, le moins contraignant et le moins intrusif possible…

Le modèle démocratique n’est plus, dès lors, le mythe de tout un peuple désireux d’aller vers une même voie, vers un même destin, mais un peuple dont l’idéal est l’appartenance à un cadre avec ses valeurs fondamentales.

La « dictature démocratique » étant systématiquement soumise à vote ou à referendum, mais uniquement mise en œuvre lorsque des libertés individuelles s’opposent et sont inconciliables.

Merci

Alain Tortosa.

6 juillet 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210706-en-meme-temps-et-autres-utopies.pdf




Oui ! Nous savons !

[Source : La Minute de Ricardo]






Manifestation devant les grands médias : la défiance règne

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Romain Pauc

« Il ne peut y avoir de liberté sans vérité », témoigne Marc, un des citoyens protestant ce samedi 3 juillet pour demander un traitement de l’information plus honnête, et des journalistes davantage indépendants.



Une centaine de personnes non-encartées dans un parti se sont rassemblées et ont ainsi marché dans Paris : leur objectif était de s’arrêter devant les sièges des « grands médias », les médias « mainstream », dont ils trouvent le journalisme « arriéré ».

Sylvain Baron faisait partie des déclarants de cet évènement : il était notre invité d’un « Entretien essentiel » il y a quelques semaines pour nous faire part de son analyse de la souffrance du peuple, et de sa déconnexion avec les élites.

Marchant devant Radio France et France Télévision, ils ont choisi de commencer par manifester devant BFM TV, la chaîne dont l’éditorialiste Emmanuel Lechypre avait appelé à une vaccination « de force », au mépris du droit de choisir des Français, et à l’encontre de toute déontologie médicale.

Ces manifestations sont organisées tous les premiers samedis de chaque mois, le prochain rassemblement se tiendra donc le samedi 7 août. Organisé par des Gilets jaunes, ils appellent chacun à venir, tous les citoyens désireux d’une nouvelle information, et d’un nouveau système médiatique en France.

Auteur(s): Romain Pauc




Pourquoi la Secte aurait-elle suscité la panique sinon pour asservir aujourd’hui ?

Par Lucien Samir Oulahbib

[Photo : JOHANNES EISELE / AFP]

Comme il est de plus en plus probable maintenant d’entériner la « manip » faite sur ce virus et surtout le fait qu’il vienne d’un labo P4 installé en Chine communiste, il faut distinguer dans l’analyse deux hypothèses :

  • celle qu’il ait été volontairement distribué via diverses cérémonies sportives et militaires ;
  • celle qu’il soit issu d’un « accident » (ce qui aurait alors suscité la panique des dirigeants communistes, car ne sachant pas comment ce » gain de fonction » pourrait être létal — ce qui aurait été cependant le but recherché, selon la première hypothèse).

L’idée première fut de « confiner » en attendant mieux, en particulier : les traitements précoces (la première étude sur l’hydroxychloroquine fut chinoise) ; et ce que les dirigeants ont appelé par la suite « vaccin » (qui n’a cependant pas été exporté). La Secte qui nous gouverne (scientiste-hygiéniste et affairiste adepte du « Trans ») apprenant cet « accident » se mit alors en mode panique et suivit sa frange communiste chinoise dans cette pratique archaïque appelée « confinement ».

Mais les partisans de la première hypothèse (l’accident volontaire) peuvent rétorquer que cette « panique » a pu être simulée de la même façon que l’apparente décontraction du Président français disant qu’il fallait continuer à aller au théâtre. Pratiquement au même moment, sa ministre de la santé entérinait le fait de classer l’hydroxychloroquine comme substance vénéneuse (débutée en novembre au moment même de la diffusion officielle du virus via les cérémonies), faisant fi des études chinoises et françaises qui s’amorçaient (elle aurait pu suspendre le classement de cet antiviral comme toxique dangereux). Et le nouveau ministre de la Santé l’interdisait carrément quelques mois plus tard (ainsi que tout autre médicament), suite à une étude frauduleuse retirée depuis, mais jamais attaquée juridiquement jusqu’à présent (juillet 2021) par les autorités concernées dont il a toujours la charge. Il tolère cependant, mais au compte-gouttes que les médecins puissent prescrire, laissant « en même temps » à certaines officines le soin de les poursuivre dans une contradiction somme toute peu gênante selon la doctrine de la Secte (les contradictions n’ont pas à être dépassées ou résolues, mais « gérées » — j’ai étudié cela dans Éthique et épistémologie du nihilisme, les meurtriers du Sens, et dans divers articles sur « le néo-léninisme contemporain »).

Ce « concours de circonstances » fait cependant de plus en plus peser la balance du côté de l’intention volontaire et de la simulation généralisée (panique au-dehors, mais la vie continue en privé y compris dans les restaurants et les bordels chics). Mais dans quel but ?… Et puis les partisans de la seconde hypothèse (« l’accident » opportuniste) peuvent ne pas lâcher prise en avançant que le problème n’est pas là, mais plutôt dans sa manipulation affairiste (les traitements géniques en lieu et place de combinaisons efficaces entre antiviraux et antibiotiques articulés à diverses prises de vitamines C et D) et aussi sa manipulation politique comme cette « opportunité » dite du « Grand Reset ». Celle-ci permet aux adeptes du tout numérique et de l’écologisme frugal d’imposer leur furie idéologique grâce à l’arrêt de l’économie « non essentielle » et des transports, au nom d’un nouveau paganisme qui déifie la Terre et aussi d’une Volonté infinie capable de soumettre la vie à la moindre torsion du préfixe « Trans » fonctionnant alors comme prémisse onto/eschato/téléo/logique sacrée : trans/ition éco/logique/nomos/sexuel/identité, humanisme, animal, etc.

Les partisans du caractère volontaire de « l’accident » n’en démordent cependant pas : il s’agirait de réduire la population mondiale de 7 milliards à environ 500 000 « trans » en faisant en sorte que l’essai clinique actuel (appelé pompeusement « vaccin ») fabrique suffisamment de « variants » mortellement fulgurants de type Ebola.

Qu’en penser ? Comment trancher ?…

Pour l’instant concernant l’analyse il semble bien que l’hypothèse de « l’accident » volontaire pèse plus dans la balance que le côté involontaire, d’autant que cela ne nuit pas au fait que ladite opportunité du Grand Reset peut fort bien être pensée comme étant le réel but à atteindre.

Néanmoins, il semble bien que ce dernier point pèse plus dans l’analyse en dernier ressort que la mise à mort de milliards d’individus du moins au vu des faits à disposition : en effet la maladie reste peu létale et les « variants » n’entament pas (pour l’instant, juillet 2021) cette caractéristique objective du moins lorsque les chiffres ne sont pas biaisés.

Aussi convient-il d’admettre, du moins pour le moment (juillet 2021), que la balance des faits penche plutôt vers l’accident simulé en vue de réorienter drastiquement le cours du monde vers le « Trans » (affairiste) que vers la seule hypothèse d’exterminer les trois quarts de l’humanité.

Ce qui ne veut pas dire cependant que cette dernière possibilité ne fasse pas de manière indirecte, douce, via une implosion, un « suicide », d’aucuns disant, par exemple, que les civilisations s’effondrent lorsqu’elles n’arrivent plus à « gérer » la somme des contradictions laissées à l’abandon, tant l’élite est de plus en plus occupée à se vautrer dans le narcissisme et le nombrilisme (« après moi le déluge »). Ceux-ci sont amplifiés aujourd’hui dans ses caprices cristallisés en idées fixes par la médiatisation névrotique de l’égotisme parfois sulfureux (pédocriminalité), mais voilés dans l’altruisme forcené (obligatoire, disproportionné, donc esclavagiste) ce qui est le comble de l’hypocrisie, disait Pascal, car à force de simuler l’ange on donne prise à la Bête.




Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

[Source : Le blog de Liliane Held-Khawam (lilianeheldkhawam.com)]

Par Liliane Held-Khawam

Comment transformer notre monde, la société, et donc l’humain ?

Révolutionner l’organisation sociétale est une obsession des dirigeants européens en vue de la réalisation des objectifs du Programme de développement durable 2030 des Nations Unies. Le nom complet de celui-ci est d’ailleurs: » « Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l’horizon 2030 ». Les 3 premiers mots de ce titre sont indispensables à la compréhension de ce qui se passe. Ce site et les livres qui y sont présentés poursuivent tous le même objectif: comprendre et faire comprendre les stratégies et moyens utilisés pour réaliser cette révolution qui vise rien de moins que la restructuration de la vie la vie sur terre. Et cela passe par la révolution numérique et l’industrie qui la sous-tend.

Le graphène en fait partie, et occupe une bonne place dans le Digital Single Market de l’UE. Une thèse relevait en 2015 que le graphène est une nanoparticule bidimensionnelle d’épaisseur atomique présentant des propriétés uniques, qu’elles soient mécaniques, électriques ou thermiques. Ceci ajouté à une faible densité et une très grande surface spécifiquefait que l’ajout de graphène et de nanoparticules dérivées (oxyde de graphène, graphite exofilé) pour renforcer des matrices polymères est devenu un sujet d’études d’intérêt majeur dans le domaine des nanocomposites

https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01138100/
Les terrains d’application dans le but d’aller toujours plus vite, toujours plus haut, pour toujours moins cher.
fet_flagships_factsheet_20190905_final_d79bb51d-92f1-0390-5359064ac3e6f5b1_61526-graphene

L’oxyde de graphène, un outil de disruption technologique indispensable à la révolution digitale

L’oxyde de graphène est semble-t-il un composant majeur qui doit participer à cette révolution globale. Ce mot est évité au profit de la disruption technologique, histoire de ne pas trop expliquer en quoi cette chose consiste. Au final, il s’agit de la même chose. En fait, il s’agit ni plus ni moins de faire advenir la 4ème révolution dont parle Klaus Schwab qui devrait mener au transhumanisme, lui-même n’étant qu’un phase transitoire vers le posthumanisme.

Et les révolutionnaires ne lésinent pas sur les moyens. Et c’est à cela que l’on reconnait le degré d’importance accordé à un projet: le fric mis à disposition. Ainsi, la Commission européenne, les Etats membres et Etats associés financent un programme de 1 milliard d’euros afin de réaliser les objectifs de disruption basés sur le graphène.

Selon des membres du Laboratoire fédéral d’essai des matériaux et de recherche , « le programme phare sur le graphène est la plus grande initiative de recherche de l’UE à ce jour et, selon la Commission européenne, « la plus grande distinction de l’histoire pour l’excellence de la recherche ». Doté d’un budget d’un milliard d’euros, le programme Graphene Flagship a pour mission de faire passer le graphène du domaine des laboratoires universitaires à la société européenne dans dix ans – générant ainsi de la croissance économique, de nouveaux emplois et de nouvelles opportunités pour les Européens en tant qu’investisseurs et employés. Avec le programme Graphene Flagship, l’Europe a lancé une nouvelle forme d’initiative de recherche commune et coordonnée d’une ampleur sans précédent. Graphene Flagship réunit un consortium académico-industriel visant une percée en matière d’innovation technologique. L’effort de recherche couvrira l’ensemble de la chaîne de valeur, de la production des matériaux à l’intégration des composants et des systèmes, et visera un certain nombre d’objectifs spécifiques qui exploitent les propriétés uniques du graphène.« 

https://graphene-flagship.eu/

L’oxyde de graphène, le matériau qui permet la surveillance de la santé! Étude à lire. INDISPENSABLE

L’orientation des soins de santé humaine s’est progressivement déplacée des hôpitaux vers les communautés (familles, individus) nous dit une étude qui présente la médecine idéale où la santé humaine est sous surveillance permanente grâce à des capteurs composés de graphène. Les hôpitaux classiques et autres personnels soignants qui ne sont pas préparés à la télémédecine risquent de se retrouver hors du système dans peu de temps. Souvenez-vous d’ailleurs quand nous avions abordé les sujets qui semblaient lointains. Eh bien le lointain est devenu actuel. 

https://lilianeheldkhawam.com/2018/10/28/etes-vous-daccord-davoir-un-clone-numerique-vous-laurez-quand-meme-lhk/

Extraits de l’étude

Des efforts considérables ont donc été consacrés aux capteurs et aux dispositifs de surveillance de la santé. En raison de ses caractéristiques uniques, notamment ses propriétés chimiques et physiques, le graphène est extrêmement attrayant pour l’électronique flexible et les capteurs.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Dans cette revue, les réalisations récentes dans les capteurs à base de graphène pour la surveillance de la santé humaine, y compris les capteurs portables flexibles non invasifs et les dispositifs invasifs ont été examinées. Les capteurs à base de graphène ont été explorés pour mesurer un large éventail de signes vitaux et de biomarqueurs du corps humain, qui sont très prometteurs dans un avenir prévisible pour des applications dans les soins de santé, la médecine personnalisée/préventive, le traitement des maladies, l’interaction homme-machine, comme ainsi que les interfaces cerveau-ordinateur.De nouvelles structures ont été utilisées pour améliorer les performances, tandis que leurs mécanismes de détection et les innovations technologiques ont également été discutés en profondeur.

Les capteurs portables non invasifs sont plus acceptables et souhaitables dans les applications de soins de santé, car ils sont moins invasifs et réduisent les risques tout en maintenant leur fonction et leurs performances. L’attitude du public envers les appareils portables est passée de la curiosité aux soins de santé de qualité clinique (Rogers et al., 2019). Cependant, il reste encore un long chemin à parcourir avant de répondre aux exigences des dispositifs médicaux. Avec les progrès des matériaux et des techniques de fabrication, les dispositifs médicaux implantables deviennent de plus en plus attractifs, en raison de leur capacité à surveiller de manière précise et à long terme l’état des tissus, des organes, du système, tout en fournissant également des conseils/des assistants/des pronostics pour diagnostic et thérapeutique, qui remplacent progressivement les appareils portables et portables traditionnels. Cependant, pour les dispositifs implantables, plusieurs défis tels que la biocompatibilité, l’encrassement biologique ainsi que l’alimentation électrique doivent être résolus. L’électronique transitoire/biodégradable présente un immense potentiel dans les applications implantables, qui peuvent être dégradées de manière contrôlée et/ou auto-déclenchante sans chirurgies secondaires ni risques d’infection. Par ailleurs,la chose intéressante est que les feuilles de GO hautement dispersées peuvent être biodégradées par la myéloperoxydase qui est dérivée des neutrophiles humains, qui peut être utilisée dans l’électronique biodégradable pour les implants (Kurapati et al.,2015).

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

En général, les capteurs pour la surveillance de la santé humaine, qu’il s’agisse de capteurs invasifs ou non invasifs, peuvent être considérés comme un « sens augmenté », qui est une extension des sens humains.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Un fichier externe contenant une image, une illustration, etc. Le nom de l'objet est fchem-07-00399-g0001.jpg
Présentation de la plate-forme de capteurs à base de graphène (y compris oxyde de graphène)
pour la surveillance de la santé.
Une distinction majeure peut être faite entre les applications non invasives et invasives, y compris les capteurs portables pour surveiller les signaux biophysiques, biochimiques, environnementaux et les dispositifs implantables pour le système nerveux, cardiovasculaire, digestif et locomoteur. 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Des quantités considérables de données seront générées avec le développement des technologies de capteurs et de la science des matériaux en raison de la détection omniprésente allant de l’Internet des objets (IoT) aux soins de santé. Ainsi, des méthodes statistiques et informatiques, telles qu’une gamme de techniques d’apprentissage automatique, peuvent être utilisées dans le traitement des données et l’extraction efficace d’informations. Des capacités d’analyse de données en temps réel sont souhaitées pour une gestion robuste des données (Paulovich et al., 2018). Les problèmes éthiques et moraux dans la collecte, l’analyse et le stockage des données, en particulier les données concernant la santé personnelle, doivent être correctement résolus pour protéger la vie privée.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Bien que les capteurs à base de graphène aient reçu une attention considérable dans la surveillance de la santé et les applications biomédicales, il est crucial de considérer l’impact du graphène et de ses dérivés sur la santé humaine, tels que sa biocompatibilité, sa toxicité, ainsi que ses risques potentiels pour l’environnement avant que le graphène ne soit intégré à la peau humaine, en particulier lorsqu’il est implanté dans le corps humain. De nombreuses études ont été consacrées aux nanomatériaux à base de graphène (GBN). Cependant, il y a encore un manque de recherche systématique sur la santé humaine ou les effets environnementaux (Dasari Shareena et al., 2018).

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Cependant, il est encore trop tôt pour tirer des conclusions en raison de la rareté des données et du manque de compréhension des effets d’accumulation à long terme (Fadeel et al., 2018).

À lire : 
https://lilianeheldkhawam.com/2020/05/31/vos-donnees-biologiques-et-medicales-sont-lenjeu-et-ce-nest-pas-facultatif-vincent-held/

Méconnaissance de l’impact de l’oxyde de graphène sur la santé. Étude internationale

L’euphorie due à ce produit miracle peut se transformer un de ces jours en catastrophe aussi bien pour la santé humaine que pour celle de l’environnement. Une étude publiée à fin 2018 tirait la sonnette d’alarme:

« Le graphène et ses dérivés sont présentés comme des matériaux « miracles » avec de nombreuses applications dans différents secteurs de la société, de l’électronique au stockage d’énergie en passant par la médecine. L’exploitation croissante des matériaux à base de graphène (GBM) nécessite une évaluation complète de l’impact potentiel de ces matériaux sur la santé humaine et l’environnement. Ici, nous discutons de la synthèse et de la caractérisation des GBM ainsi que de l‘évaluation des risques humains et environnementaux des GBM à l’aide de systèmes modèles in vitro et in vivo dans le but de comprendre les propriétés qui sous-tendent les effets biologiques de ces matériaux ; tous les GBM ne se ressemblent pas et il est essentiel de démêler les relations structure-activité pour cette classe de matériaux. »

https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsnano.8b04758

Laboratoire fédéral d’essai des matériaux et de recherche 
https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-73908.html

En novembre 2018, ces scientifiques écrivaient que « La caractérisation des matériaux, à son tour, est un élément clé de l’évaluation des dangers. L’évaluation toxicologique des nanotubes de carbone en est un exemple. Il y a dix ans, il a été suggéré que les nanotubes de carbone présentent une pathogénicité « de type amiante » dans un modèle animal en ce sens que les nanotubes de carbone longs et rigides, mais pas courts ou enchevêtrés, ont provoqué la formation de granulomes et une inflammation après injection intrapéritonéale chez la souris. Nous comprenons maintenant que les nanotubes de carbone adhèrent dans une certaine mesure au paradigme dit de la fibre pathogène, et que certains types de nanotubes de carbone multiparois peuvent être considérés comme potentiellement cancérigènes pour l’homme. Cependant, d’autres membres de la même famille de matériaux se sont révélés non toxiques et peuvent même subir une dégradation, suggérant que tous les nanotubes de carbone ne ressemblent pas à l’amiante (examiné dans la réf). En fait, les nanotubes de carbone, s’ils sont purifiés de manière appropriée et modifiés en surface, offrent des perspectives prometteuses en nanomédecine, par exemple pour l’administration et/ou l’imagerie de médicaments ou de gènes. » 

https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsnano.8b04758

Quelques remarques finales de l’étude citée ci-dessus sont plus que fascinantes au vu des textes que nous aborderons plus bas dans cette publication. En voici quelques-unes:

  • Le présent aperçu de la littérature a montré que même si l’évaluation des dangers des GBM arrive à maturité, avec un nombre toujours croissant d’études portant sur l’impact potentiel des GBM sur les systèmes vivants, des lacunes dans les données subsistent, ce qui, par conséquent, empêche la prédiction de toxicité basée uniquement sur les propriétés matérielles des GBM.
  • Pour conclure, le battage médiatique qui suit inévitablement les progrès technologiques devrait être tempéré par une évaluation scientifique solide de l’impact potentiel sur la santé humaine et l’environnement afin d’assurer le développement sûr et durable de nouveaux produits et applications. La présente étude de la littérature peut peut-être servir de première étape vers une collecte systématique de données sur la sécurité ou la biocompatibilité des GBM.

L’oxyde de graphène dans le vaccin induit la mort cellulaire! Étude chinoise

Il y a un an, une étude chinoise portant le titre de « Progrès récents de l’oxyde de graphène en tant que vecteur potentiel de vaccin et adjuvant » a été publiée après avoir été transmise en février 2020. Un troublant just in time puisqu’elle arrive au moment du démarrage de la crise covidienne dont le vaccin pourra bénéficier de la technologie.

Encore plus intriguant, ils admettaient dans leur publication l’usage de l’oxyde de graphène en médecine. L’oxyde de graphène (GO), largement utilisé pour l’administration de biomolécules, excelle dans le chargement et l’administration d’antigènes et montre le potentiel d’activation du système immunitaire. Or dans la phrase suivante, on peut lire Cependant, GO s’agrège dans le liquide biologique et induit la mort cellulaire, et il présente également une faible biosolubilité et biocompatibilité. Plutôt effrayant non?

Des adjuvants et des transporteurs ont été ajoutés de manière appropriée à la formulation du vaccin pour améliorer l’immunogénicité de l’antigène et induire une immunité de longue durée. Cependant, il existe un besoin urgent de développer de nouveaux adjuvants tout usage car certains adjuvants approuvés pour un usage humain ont une fonctionnalité limitée. L’oxyde de graphène (GO), largement utilisé pour l’administration de biomolécules, excelle dans le chargement et l’administration d’antigènes et montre le potentiel d’activation du système immunitaire. Cependant, GO s’agrège dans le liquide biologique et induit la mort cellulaire, et il présente également une faible biosolubilité et biocompatibilité. Pour pallier ces limitations,divers protocoles de modification de surface ont été utilisés pour intégrer des substances compatibles aqueuses avec GO afin d’améliorer efficacement sa biocompatibilité.

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

Vous constaterez que hormis une personne pharmacienne, les auteurs chinois de ladite étude sont actifs à l’ École de médecine ou des matériaux de l’Université des sciences et technologies électroniques de Chine. Le profil de cette école de médecine est troublant et nous rappelle notre papier qui se demandait si la santé avait été transmise aux ingénieurs…
https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/02/notre-sante-livree-aux-ingenieurs/comment-page-1/
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

L’étude espagnole qui montre que malgré toutes les mises en garde, les industriels envoient de l’oxyde de graphène dans le corps humain!

Voici une étude qui témoigne que l’oxyde de graphène est envoyé dans le corps humain par plusieurs voies: les masques, les écouvillons des PCR, et les vaccins. Ce produit toxique que nous pourrions qualifier de poison est non seulement présent dans les masques, mais aussi dans les écouvillons et dans les vaccins. Des chercheurs espagnols ont jeté un gros pavé dans la mare en apportant la preuve de cette présence inquiétante. La chose est édifiante, scandaleuse et très probablement criminelle. Il faut le dire et le faire savoir. Bref, la vidéo est sous-titrée en anglais.



[Ndlr : version doublée en français :]



Le biostatisticien Ricardo Delgado, le Dr José Luis Sevillano et l’équipe de chercheurs et de professeurs avec lesquels le site LA QUINTA COLUMNA ont mené leurs recherches ont confirmé la présence de nanoparticules d’oxyde de graphène dans les flacons de vaccination. Traduit et sous-titré par Orwell City (www.orwell.city).

Merci au site « Ciel voilé » qui nous a remis le document en espagnol.

deteccion-de-oxido-de-grafeno-en-suspension-acuosa.-informe-preliminar-1-dr.-pablo-campra-madrid

Les médias mainstream admettent enfin la présence du graphène dans les masques… pas encore dans les vaccins.

Si votre enfant ne supporte pas le port du masque, c’est dû au fait que celui-ci héberge très probablement des intrus indésirables qui portent le nom de nanoparticules d’oxyde de graphène. (Voir la vidéo ci-dessus). Il y a quelques semaines, les médias mainstream ont dû rendre compte de la présence problématique de nanoparticules d’oxyde de graphène dans certains masques testés. Et ces particules qui sont inhalées ne sont pas neutres en matière de santé. De fait, elles sont hautement dangereuses.

« Tout a commencé cette année au Canada, au Québec précisément, où 30 millions de ces masques FFP2 ont été distribués notamment dans les écoles. Les autorités constatent alors une multiplication de remontées de symptômes qui vont de difficultés à respirer à des irritations de la peau.

BFMTV.com

Fin mars, le ministère de la Santé décide de rappeler tous les masques en circulation qui ont été distribués et émet un avis radical. « Santé Canada conseille aux Canadiens de ne pas utiliser de masques faciaux contenant du graphène, car ils pourraient inhaler des particules de graphène, ce qui pourrait poser des risques pour la santé ».

En avril, un particulier lance même une action collective contre un distributeur. « Les masques en graphène ont été faussement présentés comme sûrs pour les humains, malgré de nombreuses connaissances contraires », peut-on lire dans le libellé de la poursuite déposée par le Groupe de Droit des Consommateurs, cité par Le Journal de Montréal. » 

Dans le cas de l’équipe espagnole on n’a analysé que certains masques. Mais voilà, il y a tous ceux qui ne l’ont pas été et qui continuent d’inonder la place publique, dont les écoles! Et plutôt que de faire retirer ces masques et de laisser les enfants respirer librement, on préfère palabrer sur la question. « Y-a-t-il un vrai risque pour la santé? La question est loin d’être tranchée. Comme tout nanomatériau, le graphène peut présenter des risques, surtout s’il est ingéré ou respiré. Mais on ne sait pas s’il y a un vrai risque d’inhalation par les humains à travers un masque. Les études sont encore en cours. » 

https://www.bfmtv.com/sante/faut-il-interdire-les-masques-ffp2-contenant-du-graphene_AN-202106020283.html

Les « normes qui entourent le graphène ont été établies pour un contexte d’utilisation classique du nanomatériau, c’est-à-dire installé à l’intérieur d’appareils électroniques, pas dans un masque qui est à proximité de la bouche et du nez d’êtres humains. »

https://www.bfmtv.com/sante/faut-il-interdire-les-masques-ffp2-contenant-du-graphene_AN-202106020283.html

Que les études prennent du temps n’est pas un problème, mais que des autorités sanitaires totalement débordées depuis un an ne sonnent pas l’arrêt du port du masque au nom du principe de précaution est un immense scandale!

Et alors que certains produits empoisonnent littéralement les citoyens, on nous tient des discours abracadabrants sur des molécules qui ont soigné depuis des de nombreuses décennies… Nous pensons évidemment aux antibiotiques, à l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine.

HeiQ Materials AG dépose un brevet conjointement avec l’École polytechnique de Zurich (ETHZ). But fabriquer des membranes de graphène

HeiQ, une entreprise zurichoise spécialisée dans les technologies qui rendent les tissus « intelligents », avait développé un traitement antiviral appelé Viroblock, que l’on peut appliquer sur des masques chirurgicaux, des blouses médicales ou des gants. Voici donc le masque qui détruit les virus. Et ce miracle de la technologie est présenté par la société HeiQ en tant qu’outil antiviral pouvant combattre entre autres le Covid-19. Il est donc plus qu’un outil de protection.

Et cette entreprise est associée à l’EPFZ (ETH) dans le cadre d’un brevet qui concerne la fabrication de membranes de graphène:  » La présente invention concerne un procédé de production de membranes poreuses (« trouées ») de graphène qui sont imperméables tout en étant hautement respirantes en raison de la transmission améliorée de la vapeur à travers les pores perforés à l’intérieur des couches de graphène ». Vous pouvez lire le brevet (ou pas) et découvrir l’association qui est faite avec les matériaux (cuivre, argent, etc.)… Et tout ces trésors incluant l’oxyde de graphène sont travaillés à l’échelle nanométrique.

Annexes

Le marché des masques traités anti-virus en plein boom grâce au Covid-19. La société HeiQ Materials AG.

Le port du masque n’est pas près d’être suspendu. Il fait partie de la nouvelle société en cours de transhumanisation.

https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/23/vers-le-port-permanent-dun-masque-connecte-la-maltraitance-morale-de-nos-jeunes-en-question/
https://lilianeheldkhawam.com/2021/01/28/le-masque-premier-pas-vers-le-transhumanisme/comment-page-1/

Les investisseurs se régalent de cette innovation prometteuse de gros sous. De plus, les autorités sanitaires regardent ailleurs, et même vont jusqu’à financer… Un régal financier! 

https://resources.swissquote.com/sites/default/files/2021-02/swi_1_epaper_fr.pdf

Masques et tissus « intelligents » pour désactiver le Covid-19…

Le brevet n’étant pas disponible, il nous est impossible de dire si la société HEIQ, co-détentrice du brevet concernant le graphène (ci-dessus), fabrique ses masques en tissus intelligents avec ou sans graphène…

… et beaucoup d’autres virus

Vous trouverez dans cette vidéo la manière dont fonctionne l’une des inventions qui permet à ces tissus « intelligents » de combattre les virus. Des particules d’argent (nanoparticules ?) vont détruire les virus en les attirant d’abord (effet magnétique ?).




L’Inconstant Martin Blachier, voix de la « Macronie vaccinale »

[Source : iROCBlog]

Par Régis DESMARAIS

Martin Blachier est reparti en mission médiatique. Sa tâche redoutable : convaincre les récalcitrants au vaccin Covid de se faire vacciner. Si l’exercice est amusant par ses contradictions, omissions ou incohérences, il ne doit pas effrayer : on assiste au spectacle redoutable d’une déroute d’un pouvoir trahi par les faits.

La matinale de Radio Classique, haut lieu de la pensée officielle, accueillait, ce lundi 5 juillet 2021, Martin Blachier. Ce personnage, encore jeune, d’allure sportive et un brin Steve Mac Queen (l’acteur) est adulé des médias de masse. Il incarne à la perfection l’ère de la Macronie, c’est-à-dire une ère de décadence et de confusion des savoirs et des valeurs. Dans les propos de Martin Blachier, et dans la durée, tout est instable, contradictoire, péremptoire, changeant, incohérent et à terme nocif, si ce n’est comique quand on a compris la mission du personnage et la pièce dans laquelle il se perd.

Faire « le job »

Ce matin du 5 juillet 2021, Martin Blachier a fait le job, à savoir « vendre » la vaccination obligatoire, faire croire que c’est la seule alternative à cette pandémie aux très faibles taux de mortalité et de létalité. Cet homme qui, il y a peu, affirmait qu’il ne ferait jamais vacciner ses enfants, a déclaré sur les ondes que ceux qui refusaient la vaccination obligatoire étaient soumis à des théories complotistes ! Le journaliste qui interviewait Monsieur Blachier a réagi, fait rare en cette époque, pour dire qu’il ne fallait tout de même pas mettre tout le monde dans le même sac. Il est vrai, Martin Blachier est excessif car il se met lui aussi dans le même sac puisqu’il refuse la vaccination obligatoire pour ses enfants (et à juste titre). On devine qu’il doit être soumis à une théorie complotiste disant que les enfants ne sont pas à risque par rapport à la Covid.

Le Docteur Blachier, médecin en santé publique, qui intervient donc à un niveau macro (une population) et non micro (le malade), affirme donc qu’il n’y rien de nouveau à vouloir imposer une vaccination obligatoire contre la Covid dès lors qu’il y a déjà d’autres vaccins obligatoires et que 3 milliards de personnes se sont fait récemment vacciner et que tout va bien. Si tout va bien pour elles, pourquoi cela irait mal pour vous, remarque Martin Blachier avec une voix teintée d’assurance audacieuse. Dans son élan, M. Blachier va même jusqu’à critiquer les positons du professeur Raoult sur la vaccination car aujourd’hui les gens se laissent aller à exprimer des opinions et rien d’autre. Évidemment, Martin Blachier, dans son ignorance hédoniste, « oublie » que le docteur Raoult se positionne sur l’analyse des faits, des données, les observations des malades, et n’exprime pas des opinions ou des hypothèses basées sur des modèles prédictifs. Martin Blachier oublie l’explosion des déclarations des effets secondaires survenant après la vaccination et le fait qu’en quelques mois de vaccination, les États-Unis présentent plus d’effets secondaires mortels après vaccination qu’en plus de 15 ans, tous vaccins confondus. Les statisticiens, les chiffres et sans doute les morts semblent soumis à des théories complotistes, le complot étant de regarder et de décrire la réalité factuelle…. Étrange tournant de notre civilisation qui choisit de devenir sourde et aveugle.

Le « job » sur le terrain des amalgames et des confusions

Monsieur Blachier  est un avant-gardiste. Il aborde un sujet en mélangeant torchons et serviettes ou plutôt produits en phase d’essai et vaccins testés selon des normes rigoureuses. Faut-il rappeler à Monsieur Blachier que les vaccins actuellement obligatoires en France ont fait l’objet des différentes phases de tests nécessaires et normalisées avant d’être mis sur le marché avec une autorisation de mise sur le marché NON conditionnelle ? Faut-il lui rappeler que les vaccins « anti-covid » sont encore en phase expérimentale et que l’on ne connait pas leurs effets secondaires à moyen et long termes. En fait, on ne connait même pas leur exacte composition et les seules études qui vantent leur efficacité sont celles des fabricants :on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même… même si autrefois ces fabricants ont été condamnés à plusieurs milliards de dollars d’amendes pour études frauduleuses sur leurs médicaments ! Martin Blachier connaît-il le Dr R. Malone ? Ce dernier,  inventeur de la technologie du vaccin à ARNm, ne cesse de mettre en garde contre les actuels vaccins mis trop rapidement sur le marché.

Martin Blachier a enfin l’audace de se targuer d’être indépendant. Une fois de plus, nous sommes bien dans l’ère de la Macronie décomplexée, c’est-à-dire une époque où la corruption morale est totale et où les mots, les faits et leur signification n’ont plus aucun sens. Il faut rafraichir la mémoire de Martin Blachier pour que ce dernier se souvienne des avantages financiers perçus de Johnson et Johnson, pour que M. Blachier redécouvre qu’il est consultant pour GileadJanssenIpsen et Lundbeck et que sa société a reçu presque un million d’euros de Big Pharma ! Martin Blachier est invité de toute urgence à consulter la définition du mot indépendance, le job en sera mieux fait car plus crédible …

Un matraquage obscène pour la vaccination

Il est important de rappeler aux lecteurs de couper la télé, la radio et de ne regarder que les pages sports et culture de la presse papier. Actuellement, une campagne obscène et vulgaire  de matraquage pour la vaccination obligatoire est en cours. Obscène car elle repose sur l’intimidation, la stigmatisation et la peur. Le message est simple, les éléments de langage sont connus : le variant Delta est hyper contagieux – on oublie de dire qu’il est hyper peu dangereux et que ses symptômes sont ceux du Rhume -, le confinement à la rentrée est plus que probable si on ne fait rien, ceux qui ne se vaccineront pas seront responsables de la contamination des autres et du déclin économique du pays. Le message est bien rôdé, relativement éculé et d’un cynisme féroce car bâti sur des opinions et des intentions malsaines.

Aujourd’hui beaucoup de gens ont compris que :

  • les problèmes économiques sont induits par des décisions politiques inappropriées et non par la pandémie : sur ce point M. Blachier alterne dans ses interventions entre la dénonciation des confinements et le soutien aux mesures de gestion de la crise sanitaire.
  • la vaccination n’empêche pas d’être contaminé et d’être contaminant et ne protège guère, voire pas du tout, contre les variants (Olivier Véran l’a même écrit dans un mémoire en défense présenté au Conseil d’État). Par ailleurs, la situation épidémique en Israël et au Royaume-Uni montre à quel point la vaccination n’est guère performante. Dans ces pays, une flambée épidémique a lieu au sein de la population vaccinée mais M. Blachier l’ignore.

L’arnaque du « zéro Covid »

La volonté d’imposer la vaccination obligatoire repose sur l’idée qu’il faut éradiquer le Sars-Cov-2 et aboutir au « zéro Covid ». Ainsi, avec 80%, voire 100% de la population vaccinée, il n’y aurait plus de pandémie et plus de contraintes sociales. Hélas, ce type de propos relève de la croyance, d’une religion bâtie autour du dieu vaccin et aussi des approximations de Monsieur Blachier et des autres  « experts » en plateaux télé. En effet, la Covid-19 est une zoonose, c’est-à-dire une maladie qui peut se transmettre des animaux à l’homme. Le variant anglais est sur ce point illustratif de la nature de cette maladie puisqu’il provient d’élevages de visons. De fait, pour atteindre le « zéro Covid », il faudrait vacciner tous les êtres humains mais aussi tous les animaux transmetteurs et poser la double hypothèse que le virus cesse de muter et que le vaccin serait efficace à 100% : folie irréalisable et inconcevable sauf dans les rêves délirants des patrons de Big Pharma qui verraient surgir des milliards de profits en diffusant des milliards de doses pour vacciner tout le règne animal de la planète. Nous sommes dans un « monde de dingues » pour détourner une expression symbolique de M. Macron.

Ayez conscience du spectacle

Pour terminer et donner un peu d’apaisement à ceux qui seraient stressés par les propos délirants de M. Blachier et les injonctions à se faire vacciner : voyez ce qui se passe en Inde (Uttar Pradesh) ou au Mexique : l’Ivermectine a fait quasiment disparaître la phase épidémique dans ces pays.

Blachier3

Le show de Martin Blachier, car c’est un spectacle médiatique, pour rôdé qu’il soit, est désormais éventé, bien connu et sans surprise. Écouter Martin Blachier c’est comme voir la énième suite d’un blockbuster dans lequel s’épuisent des acteurs vieillissants à la recherche d’un ultime cachet. Parfois pathétique mais souvent émouvant de naïveté. Le problème, c’est que le public se lasse et devient, avec le temps et la diffusion des informations, plus exigeant. Les éléments de langage utilisés par M. Blachier se confrontent aux faits, et c’est cruel pour le pouvoir. Désormais, nous assistons presque médusés à une agitation « d’experts » et de « politiques » qui se bousculent sur la scène médiatique comme des acteurs égarés sur une scène de théâtre mais des acteurs qui confondraient la réalité du monde avec ce qui se dit et se passe sur les planches.




Angleterre : le Cabinet convient qu’il est temps de « vivre avec Covid » et d’abandonner l’idée du passeport vaccinal

[Source : nicolasbonnal.com]

  • Les ministres sont sur le point de suspendre les plans pour l’utilisation obligatoire de la « certification Covid ».
  • Les projets de pubs et de restaurants avaient déjà été mis en veilleuse.
  • Le Mail peut désormais révéler que les ministres ont également abandonné l’idée de les imposer lors d’événements de masse.

Par JASON GROVES RÉDACTEUR POLITIQUE POUR LE DAILY MAIL

Les passeports Covid ne seront pas obligatoires dans les festivals de musique, les événements sportifs et autres rassemblements de masse lorsque les restrictions de verrouillage seront levées le mois prochain.

Les ministres devraient suspendre les plans pour l’utilisation obligatoire de la «certification Covid» après la Journée de la liberté le 19 juillet.

Les projets de pubs et de restaurants avaient déjà été mis en veilleuse à la suite d’une réaction brutale des députés et du secteur hôtelier.

Les ministres devraient suspendre les plans pour l’utilisation obligatoire de la «certification Covid» après la Journée de la liberté le 19 juillet

Le Mail peut désormais révéler que les ministres ont également abandonné l’idée de les imposer lors d’événements de masse. Les organisateurs seront toutefois autorisés à gérer leurs propres programmes, la Premier League faisant partie de ceux qui devraient introduire une forme de certification pour prouver que ceux qui fréquentent les terrains de football ne présentent pas de risque Covid.

Cette décision intervient dans un contexte de confiance croissante dans le fait que Boris Johnson poursuivra ses plans pour lever les règles de distanciation sociale le mois prochain malgré une augmentation des cas de Covid.

Il a déclaré hier au Cabinet que notre succès de vaccination signifie que la Grande-Bretagne pourra « vivre avec Covid » car le lien entre les cas de virus et les hospitalisations a été rompu.

Hier, 20 479 autres cas ont été enregistrés – avec un total de sept jours en hausse de 70% en une semaine – mais une source gouvernementale a déclaré que la Journée de la liberté se déroulerait comme prévu, même si les cas sont plus de deux fois plus élevés qu’ils ne le sont actuellement.

« Nous devons nous habituer à l’idée de traiter Covid davantage comme une grippe », a déclaré la source. « Les gens ont le vaccin contre la grippe, qui aide à réduire les maladies graves, mais nous obtenons toujours un grand nombre de cas et un nombre important de décès. »

« Lorsque nous arriverons au 19 juillet, les cas semblent être potentiellement très élevés, peut-être jusqu’à 30 000 ou 40 000 par jour. Mais ce n’est pas en soi une raison pour ne pas aller de l’avant, à condition que les hospitalisations et les décès restent à des niveaux relativement bas. »

Les admissions à l’hôpital ont augmenté d’un peu plus de 10 % au cours de la semaine dernière, avec un nombre moyen de décès quotidiens de 17, soit moins de 2 % des niveaux observés en janvier. 23 autres décès ont été annoncés hier.

Un porte-parole de Downing Street a déclaré :

« Le Cabinet a convenu qu’une fois que nous aurons terminé la feuille de route, nous pourrons vivre avec Covid à l’avenir – même si les cas continuent d’augmenter – grâce aux protections fournies par le vaccin. »

Dans ce qui semblait être une série coordonnée d’interventions, Michael Gove a déclaré que les gens devront vivre avec Covid de « la manière dont nous vivons avec la grippe », qui fait des milliers de morts chaque hiver mais n’exige pas que la société et l’économie être enfermé.

Le ministre de l’Intérieur, Priti Patel, a également abordé la question, affirmant que les Britanniques devraient « s’adapter » à la vie avec le coronavirus. Ce changement fait suite à la nomination de Sajid Javid au poste de secrétaire à la Santé à la suite de la démission de Matt Hancock. Dans une déclaration d’intention, M. Javid a profité de sa première comparution aux Communes lundi pour faire passer le message qu’il était temps de « commencer à revenir à la normale » après 15 mois de restrictions paralysantes.

Les ministres semblent désormais presque certains de lever les principales mesures de distanciation sociale le 19 juillet – mais les débats se poursuivent sur l’opportunité de continuer à demander aux gens de porter des masques dans les transports publics et de travailler à domicile.

Une question qui semble avoir été réglée est celle des passeports Covid. Des sources de Whitehall ont déclaré au Mail qu’elles seraient mises de côté pour un usage domestique, malgré les essais en cours à Wimbledon et Wembley. Des programmes pilotes ont contrôlé l’accès aux événements de masse en exigeant des personnes présentes qu’elles fournissent la preuve qu’elles ont été vaccinées ou testées pour Covid.

Les ministres pensent maintenant que le succès de notre programme de vaccination signifie que de telles mesures ne seront pas nécessaires dans toute la Grande-Bretagne cet été, évitant ainsi un autre affrontement potentiel avec les députés.

Le changement fait suite à la nomination de Sajid Javid au poste de secrétaire à la Santé à la suite de la démission de Matt Hancock



« Il semble peu probable que nous devions rendre la certification Covid obligatoire, même pour les événements de masse », a déclaré une source.

« Ce sera nécessaire pour les voyages à l’étranger et certains événements peuvent choisir de gérer leurs propres programmes, mais il ne semble pas que nous ayons besoin d’une législation à ce stade. »

« Le travail n’a pas été vain. Il sera nécessaire pour les déplacements et nous aurons un système en place qui pourrait être utilisé si nous en avons besoin en hiver. » En effet, les plans de généralisation des passeports pourraient être relancés en cas de nouvelle vague majeure de Covid. Cela permettrait aux sites de rester ouverts même si les cas montent en flèche. Le numéro 10 a déclaré que le Premier ministre était « de plus en plus confiant » qu’il n’y aurait pas besoin de retarder davantage la levée des restrictions à nos libertés.

M. Johnson a déclaré au Cabinet que les dernières données « montrent que les cas continuent d’augmenter, mais que les hospitalisations et les décès ont connu une croissance beaucoup plus faible ».

La députée conservatrice Siobhan Baillie s’est félicitée des commentaires, déclarant: « Nous devons avoir un dividende des vaccins. Nous devons revenir à la normale et apprendre à vivre avec le risque. »

L’ancien ministre Steve Baker a mis en garde contre la question de savoir si un examen de la distanciation sociale dirigé par M. Gove pourrait laisser certaines restrictions en place après le 19 juillet. Il a déclaré à Sky News:  « Je veux savoir à quoi ressemblera réellement le monde quand nous retrouvons notre liberté. »

https://www.dailymail.co.uk/news/article-9738819/Vaccine-passports-over.html?ito=email_share_article-masthead




Dr YEADON : Nous allons nous interposer entre ces criminels et nos enfants

[Source : Quantum Leap]

« J’en veux à tous les médecins du NHS qui ont été stupides au point de croire tout ce qu’on leur a dit, qui n’ont pas traité leurs patients, qui ne leur ont pas permis de se voir, qui ont prétendu que les masques les protégeaient, qui ont prétendu que le test PCR fonctionnait, qui les ont vaccinés alors que la plupart d’entre eux n’en avaient pas besoin… »




Source anglaise complète :






Rapport officiel anglais : Il est urgent d’arrêter la vaccination anti COVID

[Source : Conscience du peuple (conscience-du-peuple.blogspot.com)]

Rapport officiel anglais : Il est urgent d’arrêter la vaccination anti COVID. Faites suivre à vos contacts qui n’ont pas encore reçu l’injection ou en attente d’une seconde dose.

Publication de Stephane Guay, Microbiologiste 

https://b3d2650e-e929-4448-a527-4eeb59304c7f.filesusr.com/ugd/593c4f_b2acdef3774b4e9ca06e9fae526fd5cd.pdf

Un « rapport préliminaire urgent sur les données de la carte jaune » publié par l’Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd, basée au Royaume-Uni et soumis à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA), 👉 indique que

« la MHRA dispose désormais de suffisamment de preuves sur le système de la carte jaune pour déclarer les vaccins COVID-19 dangereux pour une utilisation chez l’homme. »

Semblable au Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) des États-Unis, la MHRA décrit le but de son système de carte jaune comme fournissant « un avertissement précoce indiquant que la sécurité d’un médicament ou d’un dispositif médical peut nécessiter une enquête plus approfondie ».

Le rapport, signé par Evidence-based Medicine Consultancy Ltd et le directeur d’EbMC Squared CiC, le Dr Tess Lawrie (MBBCh, PhD), déclare :

« nous avons recherché les rapports Yellow Card en utilisant des mots clés spécifiques à la pathologie pour regrouper les données selon les critères suivants. cinq [sic] grandes catégories cliniquement pertinentes :

  • EIM hémorragiques, coagulantes et ischémiques
  • Effets indésirables du système immunitaire
  • EIM « douloureux »
  • Effets indésirables neurologiques
  • Effets indésirables impliquant une perte de la vue, de l’ouïe, de la parole ou de l’odorat
  • EIM de la grossesse »

Le rapport poursuit en disant :

« Nous sommes conscients des limites des données de pharmacovigilance et comprenons que les informations sur les effets indésirables signalés ne doivent pas être interprétées comme signifiant que le médicament en question provoque généralement l’effet observé ou est dangereux à utiliser. 👉Nous partageons ce rapport préliminaire en raison du besoin urgent de communiquer des informations qui devraient conduire à l’arrêt du déploiement de la vaccination pendant qu’une enquête complète est menée. Selon l’article récent de Seneff et Nigh, les pathologies potentielles aiguës et à long terme comprennent :

  • Amorçage pathogène, maladie inflammatoire multisystémique et auto-immunité
  • Réactions allergiques et anaphylaxie
  • Amélioration dépendante des anticorps
  • Activation des infections virales latentes
  • Neurodégénérescence et maladies à prions
  • Émergence de nouvelles variantes du SARSCoV2
  • Intégration du gène de la protéine de pointe dans l’ADN humain »




L’opération Covid-19 met à nu le « Nombre de la Bête »

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

« (…)fait que, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, soient marqués sur la main droite ou sur le front, de sorte que personne ne puisse acheter ou vendre à moins qu’il a la marque. »

Nouveau Testament, Apocalypse, chapitre 13

Comme la vague de criminalité Covid est si ÉNORME, il y aura de graves conséquences !

Il y a maintenant des fissures énormes et irréparables qui s’ouvrent dans la façade du Plan Covid-Arnaque (Plandemie).

Le SYSTÈME de la BÊTE

La chose extraordinairement unique à propos de cette plus grande conspiration criminelle mondiale de l’histoire du monde, c’est qu’elle devait impliquer tout le monde – chaque entité institutionnelle majeure, c’est-à-dire qui était nécessaire pour mener à bien ce gigantesque canular.

Cela signifie que le  SYSTÈME DE LA BÊTE[1] a  révélé à quel point il est puissant et omniprésent à travers la planète.

Le graphique suivant ne capture que certaines de ces entités institutionnelles et mouvements mondialistes qui ont constitué le  SYSTÈME DE LA BÊTE depuis le tout début. Il comprend également des opposants féroces qui ont exposé le canular CORONA actuel  .

CARTE DE CONSPIRATION CRIMINELLE COVID

Même un examen superficiel du précédent diagramme du complot COVID-5G révèle que chaque grande institution mondiale et nationale, qui est vitale pour la continuité du  SYSTÈME DE LA BÊTE, s’est inscrite sur la « carte de la frénésie de crime Covid » en constante évolution.

La première de ces organisations criminelles est peut-être le complexe gouvernemental et médical (GMC) qui a participé à ce génocide mondial sans précédent en tant que principal criminel opérationnel de Covid.

Le GMC comprend l’OMS, le CDC, la FDA, le NIH [dirigé par Fauci], l’AMABig Pharma [Ndlr : ensemble des grosses entreprises pharmaceutiques] et plusieurs autres poids lourds de la santé qui ont tous conspiré pour mener un complot criminel extrêmement complexe afin de commettre un génocide mondial et de couvrir la vague mondiale de criminalité Covid. [Ndlr : cela reste malgré tout une hypothèse.]

Dès le départ, les chances d’empêcher un complot criminel aussi complexe de se dénouer complètement étaient minces, voire inexistantes, et plus proches de « NULLES ». En effet, comment compter sur les innombrables co-conspirateurs pour se serrer les coudes lorsque les choses deviennent difficiles — vraiment difficiles, comme c’est sur le point de l’être alors que les perspectives d’un nouveau verrouillage mondial augmentent en raison du « variant Delta » inexistant et totalement faux.
[Voir : ]LA VARIANTE DELTA REDOUTÉE :
une autre opération noire de Covid et un psyop mondial de proportions épiques

Le fait que la cabale mondialiste du Nouvel Ordre Mondial ait même imaginé qu’elle pouvait maintenir cette conspiration criminelle et cette dissimulation témoigne d’un degré d’orgueil et d’arrogance jamais atteint dans l’histoire.

Maintenant que l’ensemble du système de santé américain, ainsi que les différents gouvernements à tous les niveaux à travers les États-Unis, ont souffert d’une perte de confiance incomparable en raison du génocide gériatrique délibéré exécuté au cours de l’année et demie écoulée, qu’est-ce que les médecins autrefois dignes de confiance espèrent voir se produire ?

Maintenant que les mêmes responsables de la santé et les hommes de main politiques ont imposé à la population des vaccins hautement expérimentaux, qui se sont avérés extrêmement dangereux pour la santé humaine et souvent mortels, comment les médecins du monde entier vont-ils répondre aux accusations de « meurtre par médicament » et de « viol médical » ?

Avouons-le : la fête est finie pour Big Pharma et tous leurs nombreux co-conspirateurs criminels qui ont empoisonné les citoyens américains pendant plusieurs décennies.

L’effondrement en chute libre de la confiance qui se produit actuellement ne fera que s’accélérer à mesure que de plus en plus de personnes mourront des injections répétées de vaccins Covid, ou deviendront mortellement malades des expositions au défilé annuel des prochaines grippes en raison de leur vulnérabilité accrue après avoir reçu les vaccins.

Il est devenu tout à fait clair que l’une des principales raisons de la poussée démesurée pour vacciner chaque personne sur la planète — SANS CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ — était de la rendre considérablement plus sensible à tous les agents infectieux communs qui circulent lors de chaque saison de grippe. Les victimes vaccinées seront également beaucoup plus vulnérables face aux nombreux autres micro-organismes pathogènes et microbiens virulents en raison de leur système immunitaire fortement compromis et/ou supprimé.

Bien entendu, tous ces développements intentionnels ont été soigneusement mis en œuvre par le  SYSTÈME DE LA BÊTE (SB).

Parce que le SB satanique s’est maintenant pleinement exposé, il n’a d’autre choix que d’aller à fond dans sa tentative de verrouiller l’ensemble de la civilisation planétaire. Car une fois que la boîte de Pandore a été ouverte, il est impossible de remettre les choses comme elles étaient. Ce qui veut dire que LA GRANDE ARNAQUE COVID était en réalité un énorme coup de poker aux conséquences considérables… pour l’élite au pouvoir.

Ce qui est maintenant clair, c’est que les criminels covidiens se sont mis à nu comme jamais auparavant dans l’histoire de l’humanité, et ils seront — finalement — traqués et sévèrement punis, à moins qu’ils ne dépeuplent la planète de tous les chercheurs de vérité.

Contrairement aux « attaques sous faux drapeau du 11 septembre », à la « guerre contre le terrorisme » et à d’autres crimes odieux contre l’humanité, le complot criminel hautement prémédité et organisé du Covid a été placé carrément dans l’arrière-cour de tout le monde. Chaque personne sur Terre a été profondément affectée par la pure malveillance démontrée par les pouvoirs en place tout au long de cette guerre de bioterrorisme en cours. Et cela seul change tout, car tout le monde, à des degrés divers, joue sa peau dans le jeu.

Qui sont au juste les individus et les organisations qui commettent ce plus grand « crime de l’ère » ?

Marque de la bête

Quelle plus grande preuve existe-t-il de l’existence d’un SYSTÈME DE LA BÊTE apparemment tout-puissant que la « Marque de la Bête ?

N’est-ce pas le but de l’Agenda de Super Vaccination Covid ? Pour s’assurer que chaque personne sur la planète soit dotée de la  « Marque de la Bête » laborieusement conçue par Bill Gates ?

Quoi de mieux que d’imposer un programme de vaccination obligatoire au COVID-19 à toute l’humanité ?

Bien que ce plan d’agression médicale par vaccination anti-Covid puisse sembler tiré par les cheveux, c’est exactement l’objet du plan.

Par conséquent, il est impératif que les États-Unis, informés et conscients, fassent tout ce qui est nécessaire pour empêcher l’approbation par la FDA des vaccins les plus dangereux et les plus mortels de l’histoire des États-Unis.

Conclusion

À la lumière de ces dures réalités, il est fort probable que les pouvoirs en place souffriront bientôt à la fois de la fatigue psychologique et de l’épuisement des gens suite à la dissimulation.

Pensez simplement à la main-d’œuvre, au temps et à l’énergie qu’il faut à la fois pour perpétuer cette fausse pandémie de COVID-19, puis pour la couvrir, puis pour administrer un programme de super vaccination anti-Covid extrêmement nocif et mortel  dans le monde entier.

Il va sans dire qu’une opération bioterroriste de cette taille et de cette ampleur est vouée à entraîner BEAUCOUP d’erreurs, beaucoup d’erreurs graves. Voir :  CE MÉMO SECRET EST-IL UN SUPER COUP MONTÉ PAR LES CRIMINELS BRITANNIQUES DE LA COVIDIE ?

La simple surveillance de tous les lanceurs d’alerte devient également une opération majeure. Le niveau d’espionnage et de surveillance 24h/24 et 7j/7 est à lui seul un travail colossal qui doit être entrepris sans failles. De plus, tout ce qu’il faut, c’est un dénonciateur courageux pour faire exploser — pour de bon — tout le stratagème criminel covidien.

Chaque entité institutionnelle au sein du SYSTÈME DE LA BÊTE a connu un effondrement complet de la confiance dans le monde entier depuis que COVID-19 a été nommé pour la première fois.

En fait, les systèmes politiques, médicaux, scientifiques, juridiques, universitaires et autres systèmes influents ont perdu à jamais la confiance du peuple. [Ndlr : tout au plus de la partie du peuple qui a gobé l’histoire officielle]. De même, les gouvernements à tous les niveaux ont subi de manière irréversible la perte de confiance des gouvernés, qui est nécessaire pour continuer cette ruse covidienne. Finalement, le public forcera ces fonctionnaires criminels et corrompus à quitter leurs fonctions. Et, de nombreux criminels covidiens seront probablement poursuivis dans toute la rigueur de la loi.

Ce n’est qu’alors que Nous, le Peuple, nous reposerons tranquillement.

Note spéciale :  ce que ces super-criminels covidiens ont fait jusqu’à présent est si outrageusement barbare qu’ils se sont créés un dilemme « ça passe ou ça casse ». En d’autres termes, s’ils ne verrouillent pas la planète comme jamais auparavant, ils subiront tous les conséquences les plus graves. Être pendu en direct sur Internet serait pour eux s’en tirer à bon compte. Par conséquent, à l’avenir, les criminels covidiens feront tout ce qui est nécessaire pour éviter leur chute respective et certaines punitions. Cela signifie que la situation ne fera que s’intensifier pendant le mandat du POTUS [Ndlr : « Président des États-Unis »] Imposteur Joe Biden, et que les contrôleurs covidiens deviendront beaucoup plus effrontés et imprudents dans leurs efforts pour dépouiller les Américains de leurs droits et libertés constitutionnels.

Source : OPERATION COVID-19 EXPOSES THE BEAST SYSTEM

Source : State of the Nation

Traduction automatique [Révisée par Nouveau Monde]


NOTE de H. Genséric

[1] Beaucoup de gens soulignent des similitudes entre les caractéristiques des vaccins et la marque de la bête du livre de l’Apocalypse.

La marque de la bête est décrite dans le Nouveau Testament, plus précisément dans l’Apocalypse, chapitre 13. Dans ce dernier livre de la Bible, l’auteur, connu sous le nom de Jean l’Ancien, décrit les visions qu’il voit à la fin du monde.

Deux bêtes surgissent de la mer, et la seconde bête « fait que, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, soient marqués sur la main droite ou sur le front, de sorte que personne ne puisse acheter ou vendre à moins qu’il a la marque. »

On en arrive aujourd’hui à la situation catastrophique suivante : personne ne peut acheter ou vendre, aller au travail ou à l’école, ou voyager, etc. sans posséder la marque de la bête, c’est-à-dire le « pass vaccinal » et autres documents de marquage et puces électroniques intégrées au corps humain au moyen des soi-disant vaccins.

Voici ce qu’a dit Bill Gates dans un article sur le sujet dans Yahoo Finance :

« La solution ultime, la seule chose qui permettrait un retour complet à la vie normale,  de pouvoir s’asseoir sans crainte dans un stade plein de gens, serait de créer un vaccin. Et cela pas seulement dans notre pays mais dans le monde entier afin de créer une vaste immunité et que « cette chose » quelle qu’elle soit ne se propage pas en grand nombre »

Vouloir un vaccin pour lutter contre le Covid 19 n’est pas suspicieux en soi. C’est ce que Bill Gates a dit ensuite qui a soulevé des soupçons.
En effet, dans un autre article : Bill Gates veut pucer les gens avec une micro chip pour « lutter contre des maladies » comme le Coronavirus (Kurios.com). Durant une session de Reddit, Gates a parlé de « certificats numériques » révélant qui a guéri ou qui a été vacciné contre le Covid 19. Ceci a soulevé des inquiétudes chez de nombreuses personnes qui craignent que le milliardaire américain, promoteur de vaccins tueurs en Afrique, veuille implanter des puces à tout le monde.

Et, en effet, Gates a suggéré une telle possibilité :

« Cependant, le sujet de controverse concerne les certificats numériques. On aura donc un registre des gens testés, vaccinés »

A quoi fait-il référence ?
Peut-être à son « quantum dot tatoo » ? Il s’agit d’un tatouage invisible accompagnant le vaccin : il est fait de points quantiques : de très petits cristaux semi-conducteurs qui reflètent la lumière et qui brillent en présence de lumière infrarouge.

Ces tatouages incluent l’application de micro aiguilles résorbables contenant le vaccin et des capsules microscopiques contenant des points fluorescents à base de cuivre. Ces capsules étant biocompatibles. (Jamesfitzer.org)

Ces tatouages ont pour but de contenir le carnet de santé de chaque personne. C’est la fondation Bill et Melinda Gates qui a poussé à trouver une solution pour identifier les gens vaccinés et qui a financé cette recherche publiée dans le « Journal of Translational  Medecine »

Ces tatouages sont en cours de développement par les chercheurs du MIT (Institut de technologie de Massachussetts) et Rice University. 

Ceux-ci ont créé une encre qui peut être incorporée dans la peau avec le vaccin et qui est lisible uniquement par un smartphone spécial (camera et filtre spécialisés)

Ce système de dépistage dans la peau destiné à tous les habitants du monde ressemble à la fameuse « marque de la bête » .

http://
http://

VOIR AUSSI :
Sur la route du servage. Neuralink Brain Chip mettra fin au langage dans 5 à 10 ans
Assassinats par vaccins : le plus grand scandale du 21e siècle
En 2009, Projet Dépopulation : Bill Gates rassemble les « meilleurs » milliardaires du monde
– De Platon à Packard : de la gestion du troupeau humain par les élites et le bio-contrôle. Par N. BONNAL
– Les vaccins covidiques intègrent une micropuce de la DARPA  


[Voir aussi :
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
Les camps FEMA, les sans domicile fixe et la puce RFID
Si, Bill Gates a bien dit que nous aurions besoin de passeports numériques pour les vaccins
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?]




Pr Perronne : « Les pays où l’épidémie est repartie avec des morts ont vacciné massivement ! »

[Source : lemediaen442.fr]

Dans cette vidéo, lors d’un rassemblement qui s’est déroulé samedi 3 juillet 2021, le Pr Christian Perronne explique que l’épidémie repart de plus belle après les vaccinations massives.

« Pendant plusieurs années j’ai été vice-président du groupe d’experts à l’OMS pour le vaccin en Europe. Là, aujourd’hui, on n’a pas affaire à des vaccins, mais à des produits expérimentaux qui sont potentiellement dangereux, puisqu’on n’a pas encore tous les résultats sur les effets secondaires. Et de toute façon, ces produits qu’on injecte aujourd’hui ne protègent pas. Si vous regardez le dictionnaire Vidal à la page « vaccin – Moderna, Pfizer contre le Covid », c’est écrit en grand, c’est écrit en gras que ce produit ne protège pas contre les formes graves. Et à côté de ça, on a des journalistes, les experts qui ont beaucoup de conflits d’intérêts à la télévision, qui disent que ce vaccin protège contre les formes graves. Alors je vous explique pourquoi. Roselyne Bachelot a été ministre de la Santé […], elle s’est fait vacciner et dans les jours qui ont suivi elle a fait une forme grave du Covid. Je connais plein de gens qui ont fait des formes graves après deux vaccins. Si vous regardez, il y a des pays dans le monde où l’épidémie s’était très bien passée, a été parfaitement gérée. Il y avait peu de cas, peu de morts. Au Vietnam, il avait quelques dizaines de morts en un an et demi, tout allait bien, tranquille. Et j’ai un ami vietnamien qui m’a envoyé un message : “Nos dirigeants qui reviennent du Forum de Davos veulent imposer la vaccination à tout le peuple vietnamien.” Ils ont commencé et l’épidémie est repartie, il y a des morts. Tous les pays où l’épidémie est repartie avec des morts, ce sont les pays qui ont vacciné massivement. Regardez Israël, la Grande-Bretagne, le Brésil, l’Inde… »

https://twitter.com/LEGENERAL_OFF/status/1411433386091106308

Voir la vidéo entière avec Richard Boutry, Christian Perronne, Martine Wonner, Me Carlo Alberto Brusa… :






Singapour veut être le premier pays à cesser de compter les cas quotidiens de COVID-19 et à les traiter comme une grippe normale

[Source : exoportail.com]

Singapour envisage de devenir le premier pays à ne plus compter les cas de COVID-19 sur une base quotidienne et à les traiter comme une grippe saisonnière normale.

Le pays d’Asie du Sud-Est n’a enregistré que 36 décès depuis le début de la pandémie, et les autorités veulent maintenant abandonner les mesures telles que le comptage quotidien des infections.

Trois membres éminents du groupe de travail Covid-19 de Singapour ont élaboré un plan visant à mettre fin à 18 mois de restrictions sévères afin de rétablir la liberté de déplacement et de rassemblement public en quarantaine.

L’espoir est de laisser les gens «reprendre le cours de leur vie» en abandonnant les règles strictes et en contrôlant le virus par d’autres moyens.

« Au lieu de surveiller chaque jour les chiffres de l’infection par le virus Covid-19, nous nous concentrerons sur les résultats », ont écrit les ministres du commerce, des finances et de la santé dans une tribune commune publiée dans le Straits Times.

« Combien tombent très malades, combien dans l’unité de soins intensifs, combien doivent être intubés pour l’oxygène, et ainsi de suite. C’est comme la façon dont nous surveillons maintenant la grippe. »

« Nous ne pouvons pas l’éradiquer, mais nous pouvons transformer la pandémie en quelque chose de beaucoup moins menaçant, comme la grippe, la maladie des mains, des pieds et de la bouche, ou la varicelle, et reprendre le cours de nos vies. »

Tous les détails de la feuille de route n’ont pas encore été révélés, mais les ministres ont suggéré des mesures telles que des alcootests, des traitements plus thérapeutiques et une plus grande responsabilité personnelle.

La proposition de Singapour pourrait être un signe précoce du monde qui commence à vivre avec le Covid après plus d’un an de restrictions dans le monde entier.

Entre-temps, un groupe de médecins a adressé une «lettre ouverte urgente» au comité d’experts de Singapour sur la vaccination Covid-19, demandant l’arrêt de la vaccination des jeunes à Singapour jusqu’à ce que les CDC américains expliquent pourquoi un adolescent ayant reçu le vaccin est décédé.

Sources : 
https://greatgameindia.com/singapore-covid-19-normal-flu/ 
et https://www.straitstimes.com/opinion/living-normally-with-covid-19

Traduction : ExoPortail 




« L’espérance de vie de 2020 est exactement la même que celle de 2015 » Pierre, Décoder l’éco

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Un Entretien essentiel atypique : Pierre, de Décoder l’éco, une chaîne YouTube dans laquelle il partage ses analyses didactiques et parfois icononclastes, est un analyste statisticien qui vient nous présenter ses résultats sur les indicateurs statistiques des causes de mortalité des années 2020-2021.

Interrogé par Xavier Azalbert, Pierre nous propose une analyse détaillée des décès en France et en Europe, s’attachant tout au long de l’émission à remettre tous les chiffres en perspective entre l’ensemble des décès toutes causes confondues et les décès imputés au covid, pour savoir si nous sommes dans la norme habituelle.



« Les vraies différences de mortalités ne sont pas entre années mais entre pays. »

Pour savoir si un événement a un impact sur l’ensemble de la mortalité, il faut prendre en compte la taille de la population, son évolution et l’âge des gens.

Tout au long de l’émission, il reprend les chiffres qu’il analyse avec précision, invitant les spectateurs à sortir de la peur quotidienne pour exercer un œil critique et prendre du recul sur cette crise.




L’un des projets de loi de censure d’Internet au Canada a échoué

[Source : anguillesousroche.com]

Une belle victoire, mais ce n’est pas encore fini.

Le projet de loi controversé C-10, qui aurait fortement restreint la liberté d’expression en ligne des Canadiens, n’a pas été adopté par le Sénat avant la pause estivale.

« Nous l’avons fait ! Nous avons gagné une bataille pour la liberté d’expression ! » a déclaré le député Pierre Poilievre, du Parti conservateur du Canada (PC), dans une vidéo publiée sur Twitter.

Il a ajouté : 

« Vous vous souvenez du projet de loi C-10, le projet de loi sur la censure qui permettrait aux gouvernements de contrôler ce que vous voyez et dites en ligne ? Eh bien, le Sénat a fermé ses portes pour l’été sans adopter ce projet de loi. »

« En d’autres termes, il n’a pas force de loi aujourd’hui, et si Trudeau déclenche les élections anticipées dont il a parlé, le projet de loi mourra. Même s’il gagne cette élection, il devra présenter à nouveau le projet de loi dès la première étape et tout recommencer.

Et s’il perd et que les conservateurs prennent le pouvoir, nous nous assurerons que ce projet de loi ne verra plus jamais la lumière du jour.

Les conservateurs ont utilisé tous les outils procéduraux de leur boîte à outils pour retarder et bloquer l’avancement de ce terrible projet de loi. Nous l’avons empêché de passer en force à la Chambre des communes, en le retardant probablement de trois ou quatre semaines cruciales, ce qui a fait tourner le chrono et empêché le Sénat, même s’il a une majorité Trudeau, de l’adopter. »

Selon le ministre du Patrimoine Steven Guilbeault, qui faisait la promotion du projet de loi, celui-ci a pour but de « réglementer Internet et les médias sociaux de la même manière que la radiodiffusion nationale ».

Mais les critiques ont heureusement vu dans le projet de loi un moyen pour le gouvernement de restreindre le discours en ligne des Canadiens.

Poilievre, cependant, a averti que la lutte contre les tentatives de Trudeau de censurer Internet n’est pas terminée.

« Cela dit, ce n’est que le début de votre combat. Si vos efforts pour signer des pétitions, contacter des politiciens et élever votre voix ont porté leurs fruits cette fois-ci, vous devrez recommencer », a-t-il expliqué. « Il ne fait aucun doute que la gauche autoritaire, les médias libéraux et le petit groupe de libéraux de Justin Trudeau, avides de pouvoir, tenteront une fois de plus de vous priver de votre liberté d’expression, en ligne et par d’autres moyens. »

Il a appelé les gens à être prêts pour le prochain combat :

« Faisons en sorte d’être prêts la prochaine fois que Trudeau et son équipe s’en prendront à notre liberté d’expression. Mais pour l’instant, prenons un moment pour célébrer. Nous pouvons avoir des victoires si nous défendons nos principes et faisons ce qui est juste, nous pouvons gagner. »

Lire aussi : Le Canada dévoile un projet de loi orwellien de « pré-crime » sur les discours haineux – « Si vous le pensez, nous vous arrêterons »

Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche




Covid-19 : pourquoi les Russes boudent-ils le vaccin Spoutnik V ?

[Source : Le Cri des Peuples]

Il est salué dans le monde entier, efficace, sans effets secondaires et est homologué dans 65 pays, alors pourquoi n’y a-t-il pas davantage de Russes qui se font vacciner au Spoutnik V ?

Suivi de « Poutine : il est hors de question de rendre la vaccination obligatoire »

Par Jonny Tickle

Source : RT, 26 avril 2021

Traduction : lecridespeuples.fr

La défiance historique des Russes envers les vaccins, la propagande nationale et internationale contre les vaccins Covid-19 en général (cf. les effets secondaires graves voire mortels constatés avec AstraZeneca, Pfizer et Moderna) et le Spoutnik-V en particulier, et surtout une absence d’incitation (la Russie a déjà déconfiné, et aucun chantage au retour à la vie normale n’y a jamais été exercé, Poutine ne cessant d’assurer qu’il n’y aura aucune forme d’obligation directe ou indirecte telle que le Pass sanitaire) sont les causes principales de ce désamour pour la  vaccination.

Précision à destination des Européens qui voudraient se faire injecter le vaccin russe, de facto boycotté par l’UE sous la pression de Washington et Big Pharma : le micro-Etat de Saint-Marin, en Italie, propose un tourisme vaccinal assez abordable (il suffit de réserver 2 fois 3 nuits d’hôtel à 25 jours d’intervalle + 50 euros pour s’y faire administrer les deux doses de Spoutnik).

Image
Les 65 pays (3.2 milliards d’habitants au total) qui ont homologué le vaccin russe

En août 2020, la Russie est devenue le premier pays au monde à enregistrer un vaccin contre le Covid-19. Malgré une réputation mondiale favorable et bien méritée de Spoutnik V, l’adoption nationale a été d’une lenteur décevante, mais il y a de nombreuses raisons à cela.

Développé par le centre Gamaleya de Moscou et nommé d’après le tout premier satellite artificiel, Spoutnik V a suscité des applaudissements internationaux, des responsables de la santé et des experts de pays tels que les États-Unis et l’Allemagne saluant les réalisations impressionnantes des scientifiques russes.

Institut d’épidémiologie et de microbiologie, le Centre Gamaleya n’est certainement pas étranger aux avancées scientifiques significatives, avec des succès dans la lutte contre Ebola et le MERS.

Voir Polio, Ebola, Covid-19… : le secret du leadership russe en recherche vaccinale

Le vaccin lui-même a une base solide. En tant que vecteur viral, Spoutnik V est construit de la même manière que les vaccins Oxford-AstraZeneca et Johnson & Johnson, mais contrairement à ces vaccins, aucun effet secondaire significatif n’a été signalé par aucun des dizaines de pays utilisant le vaccin. Notamment, il existe d’importantes différences de composition. Par exemple, Spoutnik V utilise un adénovirus humain, tandis qu’Oxford-AstraZeneca utilise de l’adénovirus de chimpanzé modifié.

Et de plus, Spoutnik V fonctionne. En février, la prestigieuse revue médicale britannique The Lancet a publié des données des scientifiques de Gamaleya montrant que le vaccin est efficace à 91,6%.

De plus, il ne semble pas non plus y avoir de problème d’approvisionnement, en particulier à Moscou et à Saint-Pétersbourg, où les doses sont facilement disponibles. Dans la capitale, il est même possible de se faire vacciner dans le prestigieux centre commercial GUM, sur la Place Rouge, avec vue sur le Kremlin. Cette disponibilité ne se limite pas aux deux capitales. Dans les villes du sud, telles que Krasnodar et Sotchi, on peut facilement se faire administrer le vaccin dans les centres commerciaux.

Voir Covid-19 : derrière l’illusion du choix, le ‘passeport sanitaire’ peut rendre la vaccination obligatoire

Cependant, au lundi 26 avril, selon la Première ministre Tatyana Golikova, seulement 5% (7 500 000 personnes) de la population russe avaient été entièrement vaccinés, un chiffre nettement inférieur à celui observé aux États-Unis et au Royaume-Uni, qui ont mis plus de temps pour approuver un vaccin. La proportion de Russes vaccinés est encore plus faible que celle de la France et de l’Allemagne, deux parties de l’Union européenne qui ont connu d’énormes ratés au début de leur programme de vaccination.

Covid doses administered 29-5-21
Covid doses administered 29-5-21 2
Chiffres de la population totalement vaccinée au 29 mai 2021, selon les données de ourworldindata, pour les USA, le Royaume-Uni, la France et la Russie. On voit que si, en valeur absolue, la population russe totalement vaccinée est légèrement supérieure à celle de la France, en valeur relative, elle est moitié moindre.
1 Covid dose administered 29-5-21 2
1 Covid dose administered 29-5-21
Chiffres de la population ayant reçu au moins une dose de vaccin au 29 mai 2021.

Contrairement à l’UE, le manque de personnes vaccinées contre le Covid-19 ne semble pas être dû à une pénurie de doses – du moins tant que la demande de vaccin reste faible. Selon le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, le pays n’a eu aucun problème à vacciner les personnes qui le souhaitent, mais la demande « laisse beaucoup à désirer ».

Alors, pourquoi le succès très médiatisé du vaccin russe s’est-il terminé avec si peu de citoyens voulaient recevoir le vaccin ?

Voir Malgré le désastre sanitaire et la pénurie, l’UE continue de snober le vaccin russe

Scepticisme vis-à-vis des vaccins

Le facteur le plus important, du moins selon les données de sondages disponibles, semble être le manque de confiance dans les vaccins en général.

Dans un article publié en mars, une étude de la banque d’investissement suisse Crédit Suisse a révélé que la Russie se classait à la dernière place sur huit pays sélectionnés, avec environ 30% de ses habitants souhaitant se faire vacciner contre le Covid-19. Ce chiffre est bien en deçà des pays en développement tels que la Chine, l’Inde et la Thaïlande, où plus des quatre cinquièmes ont déclaré qu’ils étaient prêts à se faire vacciner.

Ces résultats sont globalement similaires au sondage de février d’une autre société, le Levada Center, qui a révélé que seulement 30% des Russes étaient intéressés par Spoutnik V, tandis que 62% étaient totalement contre l’idée de se faire vacciner, et que seuls 4% l’avaient déjà fait. Le Centre Levada est enregistré en tant qu’agent étranger par le ministère russe de la Justice.

Les conclusions du Crédit Suisse sont cohérentes avec ses précédentes enquêtes, qui ont également révélé que moins de la moitié des Russes font confiance aux vaccins nationaux (38% en janvier 2021).

Et ce ne sont pas seulement les vaccins auxquels les gens ne semblent pas croire. Selon Vadim Pokrovsky de l’Académie des sciences de Russie, les citoyens ont très peu confiance en tout ce qui est approuvé par le gouvernement.

« Il y a des gens qui s’opposent complètement à la vaccination, pas seulement au vaccin contre le Covid-19 », a déclaré Pokrovsky au quotidien moscovite Gazette. « D’autres personnes, en particulier celles qui ont été élevées pendant l’Union soviétique, sont instinctivement méfiantes si elles pensent que l’État fait activement la promotion de quelque chose. »

Cependant, comme le rapport du Crédit Suisse l’a également noté, certains ont fait valoir que le moment et les circonstances entourant l’approbation de Spoutnik V pourraient également avoir joué un rôle dans la réduction de la confiance de la population dans le vaccin russe.

L’enregistrement de Spoutnik V a été révélé par le président Vladimir Poutine le 11 août de l’année dernière. S’exprimant à la télévision, il l’a qualifié de « moment important pour le monde entier » et a rassuré les Russes sur le fait que cela fonctionne « plutôt efficacement » et qu’il « a passé toutes les inspections nécessaires ». Même sa fille a déjà été vaccinée, a-t-il révélé.

Cependant, à ce stade, la formule approuvée n’avait pas encore passé son essai de phase trois. Cela a conduit Moscou à être accusé de brûler les étapes pour déployer le vaccin plus rapidement que d’habitude, en sautant une partie vitale du processus.

Alors que les résultats des phases un et deux avaient été extrêmement positifs, l’absence d’une troisième série de tests était source de préoccupation et a été critiquée par certains scientifiques occidentaux comme une « décision imprudente et insensée » et un « coup politique ».

En particulier, aux États-Unis, le directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses du pays, Anthony Fauci, a exprimé « de sérieux doutes » qu’un vaccin « sûr et efficace » aurait pu être produit après avoir été testé sur moins de 100 personnes.

Voir Face à l’annonce par la Russie d’un vaccin contre le Covid-19, les médias basculent dans le camp des anti-vaccins

Cependant, une fois finalement réalisés, les résultats intermédiaires de la phase III ont montré une efficacité de 91,6%. Bien que cela ait convaincu de nombreux experts, y compris le Dr Fauci, les Russes n’étaient pas entièrement convaincus. Les données positives, publiées en février, n’ont toujours pas eu l’effet souhaité d’améliorer massivement la confiance dans le vaccin.

Poutine n’a pas été vacciné tôt, et certains doutent qu’il ait été vacciné du tout

Contrairement aux gouvernements de nombreux autres pays, le Kremlin a été beaucoup moins énergique dans ses efforts pour encourager les citoyens à se faire vacciner. L’exemple le plus frappant en est le refus du Président Poutine de se faire vacciner publiquement.

En décembre, le porte-parole de Poutine, Dmitri Peskov, a révélé que le retard était dû à « l’attente que toutes les formalités soient accomplies », comme l’essai de phase III, ayant précédemment noté qu’il « ne pouvait pas utiliser un vaccin non certifié ».

Lorsque Poutine a finalement décidé de recevoir le vaccin, le 23 mars, il a pris la décision inattendue de choisir de le faire en privé. D’autres dirigeants, tels que le britannique Boris Johnson, l’Ukraine Volodymyr Zelensky et l’américain Joe Biden, ont tous reçu leurs injections devant les caméras.

Voir En rejetant le vaccin russe, l’UE fait primer l’idéologie sur la santé publique

La décision du Président de ne pas faire de sa vaccination un événement public, et son refus de nommer le vaccin qu’il a reçu, ont conduit à toute une série de théories du complot, certains allant même jusqu’à suggérer qu’il aurait reçu un vaccin étranger au lieu d’un vaccin russe. D’autres disent qu’il n’a même jamais été immunisé du tout, tant de folles rumeurs constituant du carburant supplémentaire pour une population déjà sceptique à l’égard des vaccins. Cependant, le Kremlin a déclaré que sa réticence à préciser le vaccin utilisé était d’éviter de faire preuve de favoritisme à l’égard d’un des trois vaccins produits dans le pays.

Cela s’est encore compliqué lorsque Peskov a expliqué que Poutine n’aimait pas l’idée de « vaccination devant les caméras » pour ne pas « singer » les autres dirigeants, malgré le fait que son torse nu ait déjà été vu à la télévision à plusieurs reprises. La présidence russe a également souligné que ce genre de publicité n’était pas convaincant pour les sceptiques, soulignant qu’à un tel niveau, il serait facile de se faire injecter tout autre chose qu’un vaccin anti-Covid-19.

640x410_ministre-sante-sports-roselyne-bachelot-fait-vacciner-contre-grippe-lors-visite-centre-vaccination-14e-arrondissement-paris-12-novembre-2009
En 2009, Bachelot avait-elle vraiment reçu le vaccin contre la grippe A ou une simple solution saline inoffensive ? 94 millions de doses avaient été achetées face au prétendu fléau de la grippe H1N1, permettant surtout aux laboratoires de se gaver… Face à la commission d’enquête, Bachelot avait déclaré « Les liens d’intérêt ne sont pas forcément des conflits d’intérêt », nouveau « Responsable mais pas coupable ».

Un jour après que Poutine a reçu son injection de rappel, Peskov a affirmé que l’exemple personnel du Président serait « mobilisateur » et entraînerait « un effet très positif ». Selon le portail en ligne gogov, un agrégateur non officiel, le nombre quotidien de personnes recevant leur première injection a considérablement augmenté depuis que le Président a été vacciné, passant de 61 563 le 23 mars à 184 151 le 23 avril. On ne peut qu’imaginer à quel point cela aurait pu être amplifié si Poutine avait été vacciné plus tôt, et devant les caméras.

Désinformation et presse négative

À l’instar du déploiement du vaccin Covid-19 dans de nombreux autres pays, la campagne russe a été entachée d’énormes quantités de désinformation, à la fois en ligne et dans les médias grand public.

À la télévision, certains programmes se sont concentrés sur les inconvénients potentiels de la vaccination. Des histoires effrayantes, en particulier concernant les vaccins étrangers, ont souvent figuré en bonne place sur les chaînes d’information. En particulier, plus tôt dans l’année, les médias ont fréquemment rapporté le nombre de décès suite à la vaccination par le vaccin AstraZeneca, de fabrication occidentale, en particulier ceux liés aux caillots sanguins.

Avant son déploiement, le programme Vesti Nedeli sur Channel Russia 1 a surnommé l’AstraZeneca un « vaccin de singe » (référence à son adénovirus de chimpanzé), une description qui a certainement pu inquiéter un public déjà sceptique face aux vaccins. Ce propos a été condamné dans les médias étrangers, notamment dans le journal britannique The Times, qui affirmait que « les Russes » diffusaient de fausses informations sur le vaccin. En réponse, l’ambassade de Russie à Londres a qualifié le rapport du journal de « désinformation ».

Si les effets secondaires et décès de Pfizer / Moderna étaient rapportés aussi régulièrement que ceux (bien moindres) d’AstraZeneca, qui voudrait encore se faire vacciner ?

Il y a également eu beaucoup de désinformation sur le Spoutnik V de la Russie. En particulier, sur les réseaux sociaux tels que Vkontakte, WhatsApp et TikTok, les théories du complot sur les dommages potentiels causés par le vaccin se sont généralisées.

Sur Telegram, des chaînes comme « Sorok Sorokov » ont promu le contenu anti-vax, qualifiant Spoutnik V d’ « anti-humain » et « incluant une lignée cellulaire créée sur les cellules d’un enfant assassiné ». La chaîne partage régulièrement des vidéos et des citations de sceptiques sur les vaccins, dénichant et republiant des articles de quiconque note une légère inquiétude au sujet des vaccins.

Pour les jeunes, le site Web le plus dangereux pour les fausses informations est TikTok. Populaire auprès des jeunes Russes, le site Web est inondé de mensonges et de fausses déclarations. Cependant, s’adressant au média DW, financé par l’État allemand, la société a assuré qu’elle n’autorisait pas le contenu anti-vaccination.

Selon Alexandra Arkhipova, anthropologue et chercheuse principale à l’Université RANEPA, les Russes ont été inondés de désinformation sur des complots, tels que des rumeurs selon lesquelles « des personnes se font piquer ou se faire injecter quelque chose de dangereux sous le couvert de la vaccination ».

En fait, la situation avec les reportages des médias sur Spoutnik V a même atteint un point où le bureau du Procureur général a commencé à bloquer activement les sites « contenant de fausses informations sur le coronavirus et le puçage obligatoire des personnes. »

Voir Moscou : en boycottant le vaccin russe, Macron mène une « guerre contre son propre peuple »

Manque d’incitation

Un autre facteur affectant le déploiement du vaccin est un simple manque de motivation des Russes à prendre le temps de se rendre dans une clinique. Bien que le pays ait connu un confinement sévère au printemps 2020, les restrictions ont été assouplies depuis le déploiement massif du programme de vaccination en janvier de cette année. Étant donné que les restaurants, bars et boîtes de nuit sont ouverts, beaucoup de gens n’ont pas ressenti le besoin de recevoir le vaccin, n’ayant aucune incitation à obtenir une quelconque liberté supplémentaire en échange.

https://twitter.com/StephanMarie11/status/1398334003065798658

De plus, alors que certaines personnes dans d’autres pays se font vacciner avant de potentielles vacances d’été, la taille immense de la Russie signifie que les citoyens peuvent facilement se rendre à la plage ou dans une grande ville pour passer des vacances dépaysantes sans quitter le pays. Les vols à l’intérieur de la Russie fonctionnent comme d’habitude, certaines compagnies aériennes utilisant leurs avions excédentaires – généralement utilisés pour les liaisons internationales – pour emmener plus de personnes vers des stations balnéaires populaires telle que celle de Sotchi.

Pour ceux qui ont déjà eu le Covid-19, on pense également qu’il n’est pas nécessaire de se faire vacciner. Selon le maire de Moscou, Sergueï Sobianine, environ 50% des Moscovites avaient des anticorps contre le coronavirus il y a cinq mois, un chiffre qui devrait être beaucoup plus élevé en avril 2021.

Et après ?

À l’intérieur du Kremlin, les responsables commencent peut-être à s’inquiéter du manque de Russes qui choisissent de se faire vacciner. Outre l’admission de Peskov selon laquelle la demande « laisse beaucoup à désirer », Poutine semble également amplifier son message pro-vaccin. Mercredi, lors de son discours annuel à l’Assemblée fédérale, le Président a utilisé sa plate-forme nationale, en direct à la télévision, pour exhorter les Russes à se faire vacciner.

« La vaccination est d’une importance cruciale », a-t-il déclaré aux responsables réunis. « L’opportunité de prendre le vaccin doit être disponible partout, afin que nous obtenions la prétendue immunité collective d’ici l’automne. »

« La réalisation de cet objectif dépend de tout le monde, de tous nos citoyens. Je vous en prie, je demande une fois de plus à tous les citoyens russes de se faire vacciner. »

Voir Covid-19 : pourquoi le vaccin russe est plus fiable que ses concurrents occidentaux

À l’approche de l’été, le Kremlin voudra utiliser le temps chaud et la baisse des chiffres d’infection pour faire vacciner davantage de personnes afin d’éviter une nouvelle troisième vague dévastatrice à l’automne. Tant que le pays peut fournir les approvisionnements pour répondre à la demande, il peut empêcher toute nouvelle catastrophe. Cela dépend simplement du bon vouloir des gens.


Poutine : il est hors de question de rendre la vaccination obligatoire

Réunion sur les questions économiques

Le Président a tenu une réunion, par vidéoconférence, pour discuter de la situation économique actuelle en Russie, le 26 mai 2021.

Source : en.kremlin.ru

Traduction : lecridespeuples.fr

Vidéo

Transcription :

[…] L’épidémie de coronavirus a souligné l’importance et la signification absolues de notre travail principal (en tant que gouvernement) : protéger les gens, assurer la vie et la santé de nos citoyens.

Maintenant que les restrictions sont assouplies et que l’économie se redresse, les entreprises et les organisations rétablissent leurs modes de travail habituels. La saison des vacances d’été est proche. Tout cela signifie que les gens se connectent davantage les uns aux autres et visitent les lieux publics. Dans ces conditions, il est très important de réduire systématiquement les risques de propagation du virus. Et à cette fin, comme je l’ai dit plus d’une fois, il est nécessaire de parvenir à ce que l’on appelle l’immunité collective.

La vaccination complète est le moyen le meilleur et le plus civilisé de réaliser cette tâche, comme le disent les experts à la fois dans notre pays et dans le reste du monde.

Je sais que les gens expriment des opinions différentes sur cette question. Certains d’entre eux soutiennent le fait de rendre la vaccination anti-coronavirus obligatoire. Certains pensent que celle-ci devrait être imposée à l’ensemble de la population du pays, tandis que d’autres pensent en termes de certaines professions, celles qui entrent en contact avec de nombreuses personnes en raison de leur travail. Ce dernier groupe comprend les personnes travaillant dans la vente, la restauration publique, les institutions médicales, éducatives et sociales, etc.

Je voudrais à nouveau exprimer ma position à ce sujet. Je pense que la vaccination obligatoire est inopportune et ne devrait pas être introduite. Les gens doivent se rendre compte par eux-mêmes de la nécessité de se faire vacciner. Ils doivent comprendre que s’ils ne le font pas, ils pourraient faire face à un danger très grave et même mortel. Cela s’applique principalement aux personnes âgées.

Je voudrais insister à nouveau et faire appel à tous nos concitoyens : veuillez y réfléchir sérieusement. Rappelez-vous que le vaccin russe, comme le montre la pratique de son utilisation des millions de fois (dans le monde), est le plus fiable et le plus sûr aujourd’hui, et que les conditions de vaccination ont été créées dans ce pays. Permettez-moi de répéter que sur la base de l’utilisation de ce vaccin des millions de fois, les spécialistes constatent qu’il ne nuit pas à la santé des gens ni ne provoque de graves complications. Il protège vraiment les gens de la menace d’infection ou prévient une forme grave. Les spécialistes, les scientifiques disposent d’informations fiables et démontrées sur cette question. Nous devons faire confiance à leur opinion professionnelle et les écouter. Ceci est directement lié à la situation économique et sociale, comme nous pouvons le voir d’après l’expérience de l’année écoulée. Mais ce n’est pas le point principal ; c’est très important, mais pas l’aspect le plus important. La santé passe avant tout. Veuillez y réfléchir en ces termes. […]




Pénuries massives et généralisées à tous les secteurs : pourquoi ?

[Source : Le Grenier de l’éco]

Pénuries

Le grand secret que vous cachent les médias

Aurez vous le courage de le comprendre ?

Par Charles Sannat

Les pénuries sont en train de s’aggraver. Elles sont désormais généralisées à tous les secteurs et à tous les pays. Cependant le Covid a bon dos et ne suffit en aucun cas à expliquer l’ampleur de ces pénuries. Il y a une hypothèse qui permet de mettre en cohérence tous les éléments que nous vivons et qui peuvent sembler aussi incohérents et si déroutants.

Je vous propose cette semaine de réfléchir à l’hypothèse de la rareté et de la raréfaction des ressources et des matières premières. N’assistons-nous pas au ralentissement des activités humaines ? Je partage avec vous cette théorie pour enrichir votre réflexion.

Ici, encore une fois, aucune vérité absolue, mais des pistes de réflexion pour prendre de la hauteur et vous aider à protéger VOS intérêts financiers, car vos sous, intéressent tout le monde !!

[Voir aussi : L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]
.




La star hollywoodienne Kirstie Alley dit qu’elle croit que les démocrates et la foule « woke » sont déterminés à normaliser la pédophilie auprès des masses

[Source : anguillesousroche.com]

« Les gens deviennent si « ouverts d’esprit » qu’ils soutiendront la pédophilie [sic] comme des personnes « aimant simplement les enfants ». Vous pensez que je plaisante. Je ne plaisante pas. C’est la direction que prend cette folie. Vous pouvez me dire « ok boomer » autant que vous voulez, mais c’est la direction que nous allons prendre si nous ne changeons pas », a-t-elle tweeté vendredi :

Elle a ajouté : 

« ET maintenant, avec toute cette ‘éducation’ sexuelle, plus de filles que jamais tombent enceintes et le taux d’avortement explose… alors, où voulez-vous en venir ? »

« J’ai le vent en poupe mais j’ai le cœur lourd avec la merde qu’on fait avaler à nos enfants. Un « code moral » n’est pas démodé. Les morales sont simplement des lignes directrices pour une meilleure survie. Une « éducation » sexuelle explicite et des idéaux « choisis » imposés aux enfants ne sont PAS une meilleure survie. »

« Aucune autre génération n’a eu un accès aussi facile aux dessous de l’humanité. Tellement d’écrans et un bombardement chronique d’images et de concepts. Notre société actuelle aurait fait l’éloge de Caligula. Protégez vos enfants. »

« Je regardais la télé… nous sommes allés trop loin à mon avis. J’ai de la peine pour nos enfants. Leur exposition à tout ce qui est pervers sur tout type d’écran est ahurissante. Et ce qui est encore plus tragique, c’est que tout cela est présenté comme « normal ». »




Covid-19 et traitements : nous sommes en guerre, en effet

[Source : mediapart.fr]

Par Enzo Lolo

L’essentiel se passe sous les radars médiatiques, mais la bataille déjà évoquée se poursuit et fait rage. L’ivermectine n’en est certainement pas le seul enjeu, mais elle est l’un des plus faciles à observer si on s’en donne la peine.

Partout dans le monde, il se trouve des « partisans » de l’ivermectine, qui y voient un traitement efficace et sans risque, susceptible de réduire rapidement la gravité de la pandémie de Covid-19, et des « détracteurs », qui s’opposent à la prescription d’ivermectine, avançant que son efficacité n’est pas prouvée, voire que la molécule est peut-être dangereuse.

L’affrontement prend des proportions inhabituelles et se déroule sur des terrains pour le moins étonnants, qui dépassent largement le cadre habituel du débat scientifique.

Arguments scientifiques

Parmi les partisans, les principaux arguments en faveur de l’ivermectine sont tirés de la littérature scientifique : une soixantaine d’essais cliniques, dont une trentaine d’essais contrôlés randomisés ont été menés dans le monde (avec des résultats systématiquement meilleurs dans les groupes traités à l’ivermectine), puis une dizaine de méta-analyses menées à partir desdits essais (comme celles de Kory et al. ou de Bryant et al. publiées dans l’American Journal of Therapeutics), concluant à une efficacité importante de l’ivermectine en traitement préventif ou précoce, avec un niveau de certitude « modéré » (ce qui est le cas pour de nombreux médicaments recommandés par les agences de santé publique.)

Ils se réfèrent également à diverses études épidémiologiques, qui indiquent une évolution favorable de l’épidémie partout où l’ivermectine a été largement prescrite.

Ils s’appuient également sur le très bon profil de sécurité de l’ivermectine, souligné par l’OMS dans le passé, qui les conduit à conclure que, même en cas de doute sur l’efficacité de la molécule contre le Covid-19, la balance bénéfice/risque ne peut qu’être favorable, et que dans ce cas il serait moins risqué de la prescrire que de s’abstenir.

Les partisans de l’ivermectine comptent parmi eux des chercheurs et des médecins du monde entier, dont plusieurs groupes de scientifiques (FLCCC aux USA, BIRD au Royaume-Uni, Association Médicale de Tokyo…)

Les détracteurs, de leur côté, soulignent que plusieurs des essais cliniques sur l’ivermectine sont fragiles dans leur méthodologie, et que la plupart d’entre eux n’ont pas atteint une significativité statistique. Un argument souvent évoqué est que lors d’études in vitro, les concentrations d’ivermectine utilisées n’étaient pas reproductibles dans le corps humain.

Les détracteurs comptent dans leurs rangs des poids lourds, tels que l’OMS et la plupart des agences de santé publique (FDA et NIH aux États-Unis, EMA en Europe, ANSM en France, etc.), qui déconseillent l’utilisation de l’ivermectine contre le Covid-19.

Ces dernières s’appuient elles-mêmes notamment sur un essai clinique publié dans le prestigieux JAMA (controversé, comme on l’a évoqué plus tôt), mais aussi sur un communiqué des laboratoires Merck, qui met en doute la sécurité de l’ivermectine — sans toutefois présenter aucune référence scientifique à l’appui.

Un débat faussé

S’il est normal qu’un débat scientifique ait lieu, la façon dont ce débat se déroule n’est pas sereine, et s’éloigne singulièrement des méthodes habituelles du débat scientifique.

D’une façon inédite, la censure est entrée en jeu : assimilant tout discours favorable à l’ivermectine à de la désinformation potentiellement dangereuse, les grands réseaux sociaux sociaux suppriment les contributions, y compris si elles émanent de scientifiques. Ainsi, YouTube, qui a explicitement interdit d’exprimer que l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine sont efficaces contre le Covid-19 (Fig.1), supprime de nombreuses vidéos dans lesquelles des scientifiques font état des résultats de leurs travaux sur l’ivermectine. C’est ce qui est arrivé au Dr Pierre Kory et à l’enregistrement de son témoignage devant le Sénat américain, mais aussi à la chaîne « Dark Horse Podcast » de Bret Weinstein, dont tout le compte a été supprimé par YouTube après la mise en ligne d’entretiens menés avec Pierre Kory puis avec le Dr Robert Malone, inventeur de la technologie des vaccins à ARNm.

Fig.1 — Extrait des conditions d’utilisation de YouTube (capture d’écran du 29 juin 2021) © YouTube

Twitter, appliquant le même genre de règles, a également appliqué des suspensions provisoires aux comptes de Pierre Kory, du Dr Peter McCullough, mais aussi à celui de la Sécurité Sociale de plusieurs états du Mexique, comme le Quintana Roo (Fig.2).

Fig.2 — Compte Twitter de l’IMSS du Quintana Roo (capture d’écran du 30 mai 2021) © Twitter

Autre indice de la tension autour des informations concernant l’ivermectine : en France, le Dr Gérard Maudrux, dont le blog détaille les éléments scientifiques et juridiques en faveur du traitement précoce, en répondant point par point aux arguments contraires, est poursuivi par l’Ordre des Médecins.

L’Inde au tribunal

En Inde, où lors de l’envolée épidémique de mars-avril 2021 l’ivermectine a été incluse dans les recommandations du Ministère de la Santé comme traitement précoce du Covid-19 (première publication le 23 avril 2021), la guerre a pris une autre forme : alors que la plupart des états qui composent l’Inde se conformaient à la recommandation du Ministère national de la santé, et qu’une partie des médecins y prescrivaient l’ivermectine dès les premiers symptômes de Covid-19, Mme Soumya Swaminathan, cheffe scientifique de l’OMS et de nationalité indienne, tweetait que l’ivermectine était déconseillée. Un état au moins, le Tamil Nadu, est alors revenu sur ses recommandations : alors qu’il avait publié le 11 mai des recommandations incluant l’ivermectine en traitement précoce, il a modifié ses recommandations le 13 mai, en en retirant tout traitement précoce.

La bataille sourde se joue jusqu’au sein du Ministère indien de la Santé, dont les différents services s’opposent sur la question des traitements précoces. Si les instances scientifiques du Ministère, l’AIIMS (Institut des Sciences Médicales de Toute l’Inde) et l’ICMR (Conseil Indien de la Recherche Médicale) sont à l’origine des recommandations officielles de traitement précoce incluant l’ivermectine, une troisième instance, la DGHS (Direction Générale des Services de Santé) a rédigé de son propre chef des recommandations alternatives, excluant tout traitement précoce, suscitant des félicitations et une publicité de la part de Mme Swaminathan.

L’Association du Barreau Indien (IBA) a lancé le 26 mai une procédure judiciaire contre Mme Swaminathan, lui reprochant d’avoir sciemment occulté des données scientifiques indiquant l’efficacité de l’ivermectine, dans le but de tromper le peuple indien et de le dissuader d’avoir recours à l’ivermectine pour se soigner. S’appuyant sur l’évolution de l’épidémie en Inde, rapidement favorable dans la plupart des états ayant mis en œuvre des traitements précoces, tandis que la situation se dégradait dans le Tamil Nadu, une deuxième procédure est lancée le 13 juin, toujours contre Mme Swaminathan, mais également contre M. Ghebreyesus, Directeur Général de l’OMS et contre le directeur de la DGHS.

En Malaisie également, une association de consommateurs porte plainte contre le Ministère de la Santé, contestant son refus d’envisager l’ivermectine comme traitement.

L’OMS contestée

Il est à noter que les recommandations de l’OMS sont à la base de nombreuses décisions, à la fois sur le plan de la santé publique, mais aussi sur le plan médiatique. Par exemple, Facebook base l’essentiel de sa communication concernant le Covid-19 sur les positions de l’OMS, présentées comme « la vérité ». C’est sur cette base que Facebook a supprimé, pendant des mois, les publications présentant comme plausible l’hypothèse d’une fuite de laboratoire, et qu’aujourd’hui, les publications relayant des éléments scientifiques en faveur de l’ivermectine (ou contredisant la thèse de l’efficacité et de la sécurité des vaccins) peuvent être supprimées : ce n’est pas conforme à la position de l’OMS, c’est donc, selon Facebook, de la désinformation.

Mais à différents niveaux, les positions de l’OMS sont critiquées. En Inde, outre les actions de l’IBA, on notera qu’un jugement de la Haute Cour de Mumbai a autorisé l’État de Goa à traiter préventivement la population à l’ivermectine, prenant en compte l’argument selon lequel la recommandation de l’OMS de ne pas recourir à l’ivermectine est faussé (flawed).

Diverses voix accusent les responsables de l’OMS de conflits d’intérêts dans leurs décisions défavorables à l’ivermectine.

Dans le cas de Merck, dont le communiqué de presse déjà cité est repris par diverses agences de santé publique, l’intérêt commercial à dénigrer l’ivermectine ne fait pas de doute : le laboratoire vient de vendre au gouvernement états-unien pour 1,2 milliard de dollars de sa nouvelle molécule anti-Covid, le Molnupiravir — encore en cours d’essais — à 700 $ la dose.

D’autres pays ont récemment fait fi des positions de l’OMS : l’Indonésie (4e population du monde après la Chine, l’Inde et les USA) a récemment autorisé la prescription d’ivermectine contre le Covid-19, ainsi que le Zimbabwe.

Silence des médias

Une dimension particulièrement frappante de ce débat et des faits surprenants qui l’accompagnent est que l’immense majorité des médias n’y font aucune allusion. Que ce soit sur les publications scientifiques, sur les conflits juridiques, sur la situation en Inde, sur la censure de réseaux sociaux, presque rien ne filtre dans la presse mainstream.

Il arrive parfois que des médias, comme la télévision bavaroise, en parlent, et — chose étonnante — cela paraît suffisamment remarquable pour faire l’objet d’articles ! De façon plus sensationnelle, aux États-Unis on a vu une journaliste de Fox 24 révéler en direct que sa rédaction l’empêchait de parler d’ivermectine, puis s’expliquer en détail dans une vidéo.

Mais le plus souvent, quand un média important traite le sujet de l’ivermectine, c’est à charge, et sans grand égard pour les données scientifiques, comme on l’a observé pour « Le Monde », et comme TrialSiteNews l’a mis en lumière pour l’agence de presse Australian Associated Press. C’est préoccupant à bien des égards. Tout se passe comme si la quasi-totalité des médias avait considéré qu’une seule hypothèse scientifique était valable (« il n’y a pas de traitement précoce pour le Covid-19 »), et qu’elle était immuable. La presse, dans son ensemble, ne cherche pas à analyser les enjeux de pouvoir et les enjeux financiers liés au Covid-19, et semble avoir balayé, sans l’examiner, l’hypothèse d’une capture réglementaire des instances de décision sanitaire par les laboratoires pharmaceutiques, par exemple.

C’est inquiétant parce que la narration unique soutenue par les grandes agences de santé publique et relayée par les médias (« il n’existe pas de traitement précoce du Covid-19, et notre seule chance de revenir à une situation de liberté est d’administrer à la quasi-totalité de la population les vaccins, qui sont sûrs et efficaces ») exacerbe les divisions dans la population, entre ceux qui considèrent les non-vaccinés comme des dangers publics, et ceux qui, considérant qu’on manque de recul sur les vaccins et qu’il existe des solutions sans risque et moins chères pour réduire l’épidémie, ressentent comme des oppresseurs ceux qui soutiennent la mise en place de procédés de surveillance générale, et des moyens de coercition ou de discrimination à l’égard des non-vaccinés.

C’est enfin inquiétant parce que l’absence de débat médiatique concerne également les vaccins, sur lesquels le débat scientifique est pourtant vif, avec des appels à cesser immédiatement la vaccination des jeunes, et des publications scientifiques comme celle de Walach et al. publiée dans Vaccines, estimant qu’en la connaissance actuelle des données de pharmacovigilance, le nombre de décès causés par les vaccins et celui des décès évités sont du même ordre — sans même prendre en considération l’hypothèse de l’efficacité de traitements précoces ou préventifs. [Màj : la publication a été rétractée par la direction de Vaccines le 02/07/2021.]

Il semble qu’un accord entre médias, la « Trusted News Initiative » (TNI) puisse avoir une part de responsabilité dans les entraves au débat scientifique : partant de la louable intention de combattre les fausses informations susceptibles de mettre des personnes en danger, cet accord conduit à une uniformisation des informations disponibles, et accroît le double risque qu’une information de qualité soit à tort considérée comme fausse, et qu’une théorie erronée soit martelée comme vraie de toutes parts. La TNI regroupe en effet la BBC, Associated Press, l’Agence France Presse, Reuters, Radio-Canada, le Financial Times, The Washington Post, The Hindu, Twitter, Facebook, Microsoft, etc.

Quel processus d’examen scientifique les guide dans leur jugement, pour considérer qu’une information d’ordre scientifique ou médical est vraie ou fausse ? Il serait compréhensible que cet ensemble de médias se fonde sur les positions de l’OMS, mais comment écarter l’hypothèse qu’une « capture » de celle-ci par des intérêts privés, où les conflits d’intérêts de ses responsables puissent conduire l’OMS à adopter des positions moins scientifiques que favorables aux affaires de telle ou telle industrie ? Si tel était le cas — ce que certains observateurs dénoncent déjà, comme on l’a décrit ici —, c’est une part considérable de la presse mondiale qui se ferait, peut-être à son insu, porte-parole d’une désinformation massive et potentiellement criminelle.

Qui mènera l’enquête pour en avoir le cœur net ?




L’immunité collective post injection pseudo-vaccinale anticovid, mythe versus faits avérés ?

Par Gérard Delépine

Actuellement tous les membres du gouvernement et les médias nous promettent qu’on sera débarrassé du Covid et qu’on retrouvera nos libertés dès que nous serons tous vaccinés grâce à l’immunité collective. Avant de les croire, vérifions les faits avérés dans le monde réel.

Quatre grands pays (GB, Israël, Chili, Seychelles) et un mini état (Gibraltar), champions de la vaccination, constituent les modèles de « réussite vaccinale » avec plus de 60 % de leurs populations vaccinées et un recul moyen de six mois.

L’examen de leur situation sanitaire Covid19 basé sur les données de l’OMS et OurWorldinData permet de mesurer objectivement l’effet d’une couverture vaccinale élevée.

Explosion post-vaccinale des contaminations et de la mortalité à Gibraltar

À Gibraltar, la vaccination a commencé en décembre 2020, et a inclus les visiteurs espagnols permettant d’atteindre un taux de couverture vaccinale de 115 %.

Six mois après cette vaccination les chiffres officiels de l’OMS objectivent une explosion des contaminations (multiplié par 4) et des morts attribuées au Covid19 (multipliées par 19).

Les autorités sanitaires qui ont organisé la campagne de vaccination prétendent qu’il n’y a aucune relation de cause à effet sans donner la moindre explication alternative.

Situation très préoccupante aux Seychelles depuis la vaccination

L’archipel de près de 100 000 habitants avait été presque entièrement épargné par l’épidémie avant la campagne de vaccination qui a commencé en janvier 2021. Champion africain de la vaccination, il compte actuellement près de 70 % de sa population entièrement vaccinée et doit faire face depuis à une situation sanitaire incontrôlée.

Selon l’agence de presse des Seychelles, un tiers des cas actifs impliquait des personnes entièrement vaccinées. Les autres avaient reçu une seule dose ou alors n’étaient pas encore vaccinées.

En réponse à cette flambée de l’épidémie, l’archipel a durci les mesures. Les écoles sont fermées, les réunions entre membres de foyers différents ne sont plus autorisées et le télétravail est fortement encouragé. De plus, les bars, restaurants et commerces doivent désormais fermer plus tôt le soir et les activités sportives sont annulées.

Le couvre-feu à 23 heures reste quant à lui toujours d’actualité. La ministre de la Santé Peggy Vidot parle même d’une « situation critique ». La saison touristique 2021 est maintenant fortement compromise.

La victoire à la Pyrrhus britannique

Il est de bon ton dans les médias de prétendre que les résultats de la vaccination sont excellents en Grande-Bretagne champion européen de l’Astra Zeneca. Pourtant curieusement les données de l’OMS et de OurWorldinData montrent le contraire.

En effet, les contaminations et la mortalité ont fortement augmenté pendant les trois mois post-vaccination cumulant autant de morts attribuées au Covid-19 que les dix mois précédents.

De même, la vaccination a été suivie d’une forte hausse des contaminations journalières

Avant la vaccination au 7/12/2020, après dix mois d’épidémie la Grande-Bretagne recensait 1 753 599 cas confirmés contre 4 828 467 aujourd’hui (+175 %)

Et si une certaine diminution des contaminations, transitoire en mars et début avril a fait espérer que le vaccin protégerait l’avenir, l’apparition d’un variant a fait disparaître cet espoir avec reprise forte des contaminations depuis début juin.

Le 2 juillet l’incidence des nouveaux cas confirmés dépassait les 20 000 cas

représentant le chiffre le plus élevé depuis le 2 février 21.

Cette évolution montre qu’après une forte poussée de mortalité et de contamination post vaccinale précoce, les vaccins ne protègent pas d’une récidive de l’épidémie.

La catastrophe chilienne malgré une vaccination très large

Le Chili est le champion sud-américain de la vaccination, avec près des deux tiers de la population vaccinée. La campagne de vaccination contre le coronavirus a commencé vendredi 24 décembre et au 25 juin 2021, un total de 21 966 892 doses a été administré.

Mais cette vaccination a été suivie malgré des confinements récidivants par une forte hausse, tant des contaminations que de la mortalité.

La mortalité hebdomadaire a été multipliée par 2,5 depuis la vaccination et ne paraît pas devoir diminuer malgré une reprise des confinements.

Dans ce pays, on peut réellement parler de catastrophe vaccinale. Il faut espérer que les autorités sanitaires sauront sortir du dogme vaccinal et recommanderont enfin les traitements précoces qui ont été utilisés avec succès en Inde et au Mexique (entre autres).

Le faux succès d’Israël

Israël est le champion moyen-oriental du vaccin Pfizer. En termes de personnes vaccinées, le succès de la campagne de vaccination est indéniable avec 63 % de la population israélienne qui auraient reçu au moins une dose de vaccin.

Mais du point de vue médical, c’est un échec.

La vaccination commencée le 19 décembre 2020 a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

En novembre 2020, 18 000 nouveaux cas confirmés avaient été enregistrés. Les mois de janvier (218 000 cas) et février (134 000 cas) ont établi les records mensuels de contaminations depuis le début de l’épidémie.

Le 18 décembre 2020 (veille du début de la vaccination), après dix mois d’épidémie Israël comptait 366 000 cas confirmés. Les sept mois suivant la vaccination ont fait passer ce nombre à 842 218.

Cette période post vaccinale a aussi été marquée par une mortalité sans précédent.

Les avocats de la vaccination prétendent que cette augmentation ne serait pas due à la vaccination, mais seulement à la coïncidence malencontreuse de la survenue d’une flambée épidémique. Mais comment une poussée au hasard surviendrait avec le même délai dans tous les pays qui vaccinent beaucoup ?

Et, comme en Grande-Bretagne, après une accalmie transitoire, on observe actuellement une reprise de l’épidémie depuis la mi-juin

L’autre argument traditionnel des pro vaccins est que la vaccination n’aurait pas eu le temps d’agir, mais les exemples du Chili et des Émirats Arabes Unis montrent que même six mois après le début de la vaccination, le nombre de contaminations hebdomadaires reste plus élevé qu’avant vaccination.

Conclusions

Dans tous les pays champions de la vaccination, celles-ci ont été suivies d’une augmentation considérable des contaminations et de la mortalité pendant 8 à 24 semaines.

Les accalmies de 2 à 3 mois qui ont parfois suivi ne témoignent pas d’une immunité vaccinale, puisqu’autant en Grande-Bretagne qu’en Israël, on assiste à des reprises de l’épidémie par les variants que la vaccination a favorisés.

Espérons que la raison reviendra aux dirigeants pour qu’ils arrêtent cette course insensée à la vaccination pour une épidémie peu létale, sauf pour une petite minorité de la population, et pratiquement terminée en France. Les dramatiques effets secondaires de ces injections en essai thérapeutique jusqu’en 2023 sont un élément de plus qui devrait rendre les prescripteurs prudents sur ce gigantesque essai mondial.




Comment surseoir à la vaccination : les clés pour défendre ses droits

[Source : infovaccinsfrance.org]

Mais sommes-nous vraiment obligés de vacciner ?

Certes, personne ne manquera de rappeler il y a des obligations vaccinales en France :
http://www.infovaccin.fr/legislation_vaccinale.html#oblig

Mais on oublie trop souvent que nous avons aussi des lois qui protègent nos libertés individuelles. Et elles sont en totale contradiction avec les lois d’obligation. D’un côté, des lois d’obligation, de l’autre, des lois garantissant vos libertés fondamentales.

Qu’est-ce qui prime en réalité ? La liberté. Et si. Jurisprudence oblige.

« En vertu de l’affaire Salvetti, il ne saurait y avoir le moindre acte médical obligatoire dans aucun pays d’Europe. L’arrêté de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, section I du 9 juillet 2002, requête n° 42197/98 , fait jurisprudence. »

 http://www.legavox.fr/article/imprimer.php?id_article=3692

Les lois d’obligation vaccinale constituent une atteinte à l’intégrité physique et violent tous les textes qui garantissent les libertés fondamentales:

  1. La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen/Les lois d’obligation sont anticonstitutionnelle(26 aout 1789 et 10 décembre 1948)
  2. La Convention européenne des droits de l’homme(4 novembre 1950)
  3. La Constitution française(4 novembre 1958)
  4. La résolution 36-55 de l’ONU(25 novembre 1981)
  5. La loi sur le respect du corps humain insérée dans le Code Civil, Art. 16-1 et suivants (29 juillet 1994)
  6. La loi Barnier sur le principe de précaution(2 février 1995)
  7. Le Code de déontologie médicale inséré dans le Code de la santé publique, art. R 4127-2 et R 4127-36 (6 septembre 1995)
  8. La convention européenne pour la protection des Droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine: Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine ou Convention d’Oviedo       (4 avril 1997)
  9. La charte des droits fondamentaux de l’Union Européenne(18 décembre 2000, art. 3)
  10. La loi Kouchner insérée dans le code de la santé publique, Art. L 1111-4 (4 mars 2002

À la lecture de toutes les lois actuellement en vigueur, on voit bien qu’il y a un problème. La méconnaissance de ces lois nous pénalise au quotidien. Sans compter la propagande et la pression exercée sur les récalcitrants. Tout est fait pour convaincre, non pour s’interroger. La question demeure: Comment faire valoir ses droits ? Ce document propose de vous donner les clés pour y arriver. Plusieurs approches sont possibles. Et l’une n’exclue pas l’autre, beaucoup se complètent.

REFUSER TOUT NET

Des vaccins obligatoires ? Mais nous sommes en France, non ? La France fait bien partie de l’Europe ? Oui ? Bien. Et bien la convention européenne des droits de l’homme – ou Convention d’Oviedo – ratifiée par l’Union Européenne le 4 avril 1997 garantit les libertés individuelles et n’impose aucune vaccination obligatoire « L’intérêt et le bien de l’être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science » 
http://conventions.coe.int/treaty/fr/treaties/html/164.htm

L’article 5 précise que « Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement. » En gros, c’est équivalent de la loi Kouchner en France, sauf qu’elle s’étends à tous les pays de l’Union Européenne.

=>En pratique, ces lois-là sont soit méconnues soit bafouées, donc argumenter sur ce seul aspect s’avère malheureusement fastidieux.

JE VEUX DES INFORMATIONS

La loi « Kouchner » du 04 mars 2002 n° 2002-303, art. L1 111-4 du Code de la Santé Publique : « AUCUN ACTE MÉDICAL ni aucun traitement ne peut être pratiqué SANS LE CONSENTEMENT LIBRE et ÉCLAIRÉ de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment ». Cette loi est très importante. Chaque parent/patient peut, conformément à loi Kouchner demander aux vaccinateurs des informations exhaustives sur l’acte médical proposé, et le refuser. (1) http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000227015 Le consentement doit être LIBRE: « Le médecin doit en outre obtenir dans tous les cas, le consentement du patient avant toute intervention. »  (Déontologie médicale du CSP, art. R 4127-36 )

=>Approche déjà un peu plus facile. Il est naturel de s’interroger sur la nature du/des produits que l’on se propose de vous injecter dans le corps. 

QUELLES INFORMATIONS ?

Comment procéder, quelles questions poser ? Vous pouvez vous appuyer sur ce questionnaire à soumettre au médecin ( c’est « la lettre qui tue ») Dans tous les cas, le professionnel doit y répondre, et ce, avec le plus grand sérieux, conformément à la loi Kouchner (ou à la Convention d’Oviedo) concernant le consentement ÉCLAIRÉ. La première partie – lettre à personnaliser – étant destinée au médecin qui serait réfractaire à votre demande d’information ou qui, malgré les questions pertinentes soulevées voudrait malgré tout pratiquer un acte que vous réprouvez ou encore menacerait de vous dénoncer.

Il veut vacciner ? Ok, il l’assume et le certifie par écrit. De son côté, il a aussi le devoir de donner toute l’information sur l’acte proposé, conformément aux lois en vigueur. À défaut de pouvoir remettre la lettre en mains propres contre signature, si le médecin refuse de la prendre, on l’envoie en R avec AR.

=> ATTENTION, comme le souligne le « Docteur du 16 » sur son blog, certains médecins soucieux du respect des pratiques vaccinales peuvent chercher à vous intimider en vous soumettant eux aussi un document attestant que vous avez été informé des risques que vous faites courir à votre enfant en refusant les vaccinations. Ce serait alors le refus éclairé ! Sauf qu’il n’a aucune base juridique, contrairement au consentement libre et éclairé rappelé par la loi Kouchner du 4 mars 2002 ou encore la Convention d’Oviedo du 4 avril 1997. « 

DONNER L’INFORMATION et pouvoir apporter la preuve qu’on l’a donnée – un devoir pour le professionnel

« En vertu du Principe de Précaution, le praticien a le devoir, pour tous les actes qu’il pratique, d’apporter la preuve qu’il a donné au patient une information claire, loyale, appropriée et exhaustive sur tous les risques encourus »

Cour de cassation du 25 février et 14 octobre 1997. L’obligation d’information du médecin n’implique pas forcément celle de rédiger un écrit mais il appartient au médecin, en cas de contestation, « d’apporter la preuve par tous moyens de son exécution, notamment par des présomptions au sens de l’article 1353 du Code  civil » (Civ. 1ère, 14 octobre 1997, Bull. n° 278)
https://www.courdecassation.fr/publications_26/rapport_annuel_36/rapport_2002_140/deuxieme_partie_tudes_documents_143/tudes_theme_responsabilite_145/professionnels_sante_6115.html 
Or quel meilleure preuve qu’un document écrit ? Prenez des notes lors de l’entretien ou enregistrez la conversation :
lire la responsabilité du médecin vaccinateur.

LE PRINCIPE DE PRÉCAUTION

Saviez-vous qu’avant toute vaccination, des tests préalables devaient être effectués afin de déterminer si votre état de santé était en mesure de les recevoir ? « Les sujets à vacciner doivent être soumis à un examen médical PRÉALABLEMENT à CHAQUE INJECTION »I-3
http://www.legifrance.gouv.fr/jo_pdf.do?numJO=0&dateJO=19520305&numTexte=02595&pageDebut=02595&pageFin=
Et un certificat médical doit être délivré à l’issue de cet examen, avant injection. Les vaccins sont destinés avant tout à des sujets en bonne santé, des sujets dont on doit s’assurer le bon état de santé au moyen de plusieurs tests médicaux… Or, si les textes de lois précisent que les vaccinations obligatoires nécessitent des examens préalables, ils ne précisent pas exactement lesquels. Ces examens qu’on ne réalise jamais dans la pratique alors qu’ils sont partie intégrante des lois d’obligation, permettent aussi d’établir des certificats de contre-indication; si on a déterminé que vous n’étiez pas apte= contre-indication définitive ou temporaire. On vaccine donc sans la moindre précaution. Tout cela, au mépris de la santé du patient et au mépris du principe de précaution. C’est ce qu’on appelle de la négligence grave.

=> Bien que la loi oblige à pratiquer des examens avant-vaccination, ils n’en précisent pas les termes. Il est seulement indiqué, en annexe 
http://www.legifrance.gouv.fr/jo_pdf.do?numJO=0&dateJO=19520305&pageDebut=02593&pageFin=&pageCourante=02596, que l’examen préalable doit au moins comprendre une analyse d’urine afin de rechercher l’albumine et le glucose, obligation rappelée par la circulaire du 15 juillet 1965 (JO du 8 août 1965).

D’après l’’avocat au barreau de Grenoble Jean-Pierre Joseph, pour avoir un bilan complet il faudrait réaliser des examens cliniques et biologiques. Soit, au moins:

  • un Ionogramme complet, dosage de l’urée
  • lipodogramme
  • bilan endocrinien
  • titrage de tous les anticorps spécifiques aux vaccinations éventuelles déjà subies
  • test de dépistage des différentes hépatite et du SIDA
  • électrophorèse et immunophorèse des protéines sériques, de manière à avoir une image globale des capacités ou incapacités éventuelles de l’organisme à fabriquer les anticorps
  • radiographie panoramique dentaire, ceci dès qu’il y a au moins une dent dévitalisée
  • radiographie pulmonaire, pour éliminer tout image de tuberculose pulmonaire évolutive.

Tout ça. Personnellement, j’ajouterai aussi des tests d’allergie aux composants des vaccins.

La Cour d’Appel de Riom (arrêt du 30 octobre 1962) rappelle l’exigence d’examens consciencieux, attentifs et conformes aux données actuelles de la science permettant de procéder à un acte médical. L’absence de précautions serait contraire au code de déontologie médicale.

=>On peut choisir cette approche, notamment pour les administrations. « Je veux bien faire les vaccins mais d’après l’article de loi ci-joint, il y a des examens obligatoires à faire avant. Et comme ils sont obligatoires, ils doivent être gratuits. Pouvez m’indiquer quelles sont les démarches à faire pour accomplir ces tests gratuits ?

TOUT SIMPLEMENT : PLUS DE DTP DEPUIS 2008

Vous voulez bien faire les vaccins obligatoires mais seulement les obligatoires. Normalement, le médecin honnête devrait vous dire « désolé mais c’est impossible car il n’existe plus actuellement sur le marché un seul vaccin correspondant aux obligations vaccinales, soit il contient des valences non-obligatoires en plus, soit il n’est pas adapté pour une primo-vaccination (voir obligations vaccinales en France).
Si le médecin vous réponds « pas de problème, on ne fera que les obligatoires» méfiez-vous. Le mensonge par omission est très courant en ce domaine.. demandez à voir quel vaccin il propose alors. Voici un modèle de lettre que vous pouvez soumettre au médecin concernant la non-disponibilité d’un vaccin DTP :
http://www.infovaccin.fr/alerte_DTP_susp.html 
ou ce modèle de lettre  » Pour les parents qui refusent de vacciner leurs enfants ».
Le vaccin le plus proche du DTPolio® et qui peut être proposé en remplacement – le Revaxis® – n’a pas d’AMM pour les enfants de moins de 6 ans ni pour une primo-vaccination, et les autres vaccins comportent des valences non obligatoires et donc non couvertes pour leurs effets indésirables par l’État*, puisque non obligatoires, l’obligation de vaccination contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite est donc suspendue pendant la période d’indisponibilité du vaccin DTPolio®. 

Radical. Pas de DTP ? C’est bien regrettable… ou ENCORE :

D’autres modèles de lettres, d’autres approches, à vous de choisir celle qui vous sied le mieux, toujours en adaptant à votre cas :

  1. « Puisque j’ai foi en la vaccination, j’assume ! » :
    http://www.alis-france.com/download/engagement_medecin_vaccinateur.pdf
  2. Un autre genre de « lettre qui tue » :
    Certificat à faire signer avant vaccination.
  3. Je veux bien les vaccins, mais à la condition qu’ils soient fabriqués ainsi que l’a préconisé l’agence du médicament, en dilution supérieure à la 4°em centésimale (4CH). (lettre à mettre à jour concernant le BCG) :
    modèle de lettre à envoyer aux administrations qui exigent des vaccinations
  4. Lettre inspirée par la méthode de J-P. Joseph (examens médicaux obligatoires), à mettre à jour concernant le BCG :
    modèle de lettre pour refuser la vaccination auprès des autorités
  5. REFUS: ATTENTION À LA DÉLATION, malgré vos irréfutables  arguments, le médecin vaccinateur peut choisir de vous menacer: « si vous ne voulez pas vacciner, ce n’est plus la peine de venir dans mon cabinet ». Mais il peut aussi décider de vous signaler.

Les parents signalés peuvent rencontrer des difficultés :

  • L’autorité administrative (crèches, écoles, halte garderie…) peut refuser l’accès des enfants aux dits établissements et/ou peut les en exclure.

    Un signalement entre les mains du Procureur de la République qui en référera au Juge pour enfants peut être fait. Notamment parce que l’Ordre National des Médecins les y incite, considérant que ne pas vacciner, c’est maltraiter !  http://a7.idata.over-blog.com/3/27/09/71/Le-droit-des-patients-vu-par-l-Ordre-des-Medecins.jpg C’est hélas un moyen de pression assez répandu.

    En suite de ce signalement, les parents pourront être convoqués devant le Juge pour enfants aux fins d’ouverture éventuelle d’une mesure d’assistance éducative motivée par la mise en danger de la santé de l’enfant, aux fins de contraindre les parents à faire effectuer ladite vaccination, cette mesure pouvant aller jusqu’au retrait de l’enfant de son milieu naturel aux fins de placement en foyer ou famille d’accueil http://www.initiativecitoyenne.be/article-des-parents-menaces-par-le-chantage-vaccinal-d-un-medecin-123173691.html

  • De plus, par la voie du signalement, les parents s’exposent à une peine d’emprisonnement de 6 mois ainsi qu’une amende de 5ème classe soit 3.750 € selon les articles L 3111-2, L 3111-3 et L 3112-1 du CSP. http://www.alis-france.com/download/vaccination_repression.pdf

    En tout état de cause, les parents désireux de refuser cette vaccination, en connaissance de cause, devraient rédiger un courrier à adresser tant au médecin pédiatre, qu’au Procureur de la République du ressort du lieu de vie de l’enfant, qu’aux établissements scolaires et/ou sanitaires, aux fins de justifier et d’expliquer ledit refus, des arguments purement juridiques pouvant être évoqués dans ledit courrier, indépendamment de toute croyance médicale sur l’absence d’innocuité des vaccins.

=> Au médecin qui vous menacerait ouvertement, n’hésitez pas à donner un retour de bâton: « Signalez moi a la PMI, pendant ce temps moi je vous signale a l’ordre des médecins pour mensonge et intimidation »  http://www.conseil-national.medecin.fr/contacts-ordre-des-medecins

PMI ou POLICE MÉDICALE INFANTILE

Que faire face à la PMI ?

  1. Les menaces de la PMI ne valent rien juridiquement. Leur mission n’est pas de menacer.
  2. Lorsque le PMI vous contacte et demande à vous rencontrer dans le plus bref délai, inutile de paniquer ; demandez un courrier écrit avec les motifs de l’entretien.
  3. Si la PMI refuse et insiste en vous informant oralement des motifs; vous refusez tant que vous n’avez pas une convocation écrite conforme.
  4. La PMI va vous demander pourquoi vous tenez à avoir un écrit.
  5. Vous répondez calmement que ça va vous permettre d’apporter des réponses concrètes et que vous allez demander la légalité de la convocation et de ces motifs à un avocat.

En règle générale la PMI fait très attention car elle est obligée de respecter la procédure, sinon elle abandonne. Vous ne devez vous rendre à leur convocation QUE c’est si elle est commandée par un juge. Et dans ce cas, vous pouvez vous faire assister. N’oubliez pas: si vous contrôlez votre peur et que vous leur faites sentir que vous n’avez pas peur, ils n’agiront pas de la même façon. Et si votre peur est trop forte, demandez conseil avant d’agir. Dire NON aux vaccins n’est pas un CRIME.CONTACTEZ L’UNACS à Nantes  En cas de doutes, questions, inquiétudes, faites vous aider, vous n’êtes pas seuls. (MERCI Jacques Bessin, président de l’UNACS d’avoir écrit ce petit texte)

CRÈCHE & COLLECTIVITÉS

On pourrait en effet concevoir qu’un établissement privé puisse exiger à l’entrée telle ou telle vaccination, même facultative (ou « fortement recommandée » comme le ror). Cela ne serait possible que si une loi l’autorisait à agir ainsi. Ce n’est pas le cas. « Les autres vaccinations ne sont pas obligatoires. La preuve d’autres vaccinations (variole, coqueluche, BCG, ROR…) ne doit pas être réclamée. »

http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F767.xhtml

ou

http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriAdmin.do;jsessionid=DAFF698959C210264A93965F3DFF5B2F.tpdjo13v_3?oldAction=rechExpJuriAdmin&idTexte=CETATEXT000007849723&fastReqId=151144436&fastPos=18

« les enfants admis dans les crèches » doivent être soumis aux vaccinations prévues par les textes en vigueur sauf lorsqu’ils présentent une contre-indication attestée par certificat médical. 

Exemple de courrier à soumettre à la crèche concernant le règlement intérieur (à modifier si non-vacciné ror) : 
https://www.facebook.com/groups/raphetbea/634367916600887/

Comment argumenter pour l’inscription d’un enfant en crèche : 
http://www.alis-france.com/download/temoignage_famille.pdf

LA PRÉSENTATION DU CARNET DE SANTÉ

« Le carnet de santé est un document confidentiel, nul ne peut en exiger sa présentation. »
Article L. 2132-1 du CSP modifié par Loi n°2001-1246 du 21 décembre 2001 – art. 34 JORF 26 décembre 2001 :

« Le carnet est établi au nom de l’enfant. Il est remis aux parents ou aux personnes titulaires de l’exercice de l’autorité parentale ou aux personnes ou aux services à qui l’enfant a été confié. Ils doivent être informés que nul ne peut en exiger la communication et que toute personne appelée, de par sa fonction, à prendre connaissance des renseignements qui y sont inscrits est soumise au secret professionnel. »

L’Article R3111-17 du Code de la Santé Publique mentionne clairement que le chef d’établissement à un devoir de contrôle de la situation de l’enfant au regard des vaccinations obligatoires, mais aucune autorité pour exiger le carnet de santé, tout autre document en tenant lieu suffit.

=> Ce qui signifie que même une copie n’est pas exigible, le carnet de santé étant intégralement soumis au secret médical. Pour les institutions réclamant ces informations, un certificat du médecin attestant que l’enfant se porte bien et est à jour de ses vaccinations suffit (ou un certificat de contre-indication).

=>Utilisation du carnet de santé comme certificat de vaccination: Deux doubles pages insérées dans le carnet sont consacrées aux vaccinations et portent chacune un numéro de formulaire (cerfa n°12594*01 et n°12595*01). Leur photocopie a valeur de certificat de vaccination. Ainsi, le carnet n’a pas à être présenté lors de l’inscription à l’école ou dans une collectivité: http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F810.xhtml




La conspiration des imbéciles

Par Alain Nicolaï

[Illustration : De haut en bas et de gauche à droite quelques participants du complot avec le badge de l’Agenda 2030 de l’ONU :
►Enrico Giovannini, Ministre de l’Infrastructure, Italie.
►Boris Johnson, Premier ministre du Royaume-Uni.
►Tédros Addhamon Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS.
►Bill Gates, Fondation Bill et Mélinda Gates.
►Emmanuel Macron, Président de la République française.
Merci à Maurizio Blondet, https://www.maurizioblondet.it]

Le site Lifesite a publié le 1er juillet 2021 un article détaillant une publication tirée du site internet du Forum Économique Mondial (Forum de Davos) un des sites quasiment officiels de la finance et du nouvel ordre mondial qui a sorti l’an dernier son plan machiavélique pour l’avenir de la planète « The Great Reset » calqué en grande partie sur l’agenda 2030 de l’ONU.

Voici le lien de l’article original publié par le FEM qui vous permettra de vous rendre compte que les termes et les propos du FEM ont été parfaitement respectés par le journaliste de LifeSiteNews
(https://www.weforum.org/agenda/2021/06/3-tactics-to-overcome-covid-19-vaccine-hesitancy/).

Ci-dessous la première partie de l’article uniquement consacré à ce que propose le Forum Économique Mondial pour encourager la population à se faire vacciner.

Article de Michael Haynes publié sur LifeSiteNews le 1er juillet 2021

« Surmonter l’hésitation, la procrastination et le rejet du vaccin COVID-19 » est « le plus grand défi de communication marketing de notre vie », a déclaré récemment un article sur le site Web du Forum économique mondial (WEF).

L’article a été rédigé par trois professionnels du marketing : Rohit Deshpandé, professeur de marketing Sebastian S. Kresge à la Harvard’s Business School ; Ofer Mintz de l’Université de technologie de Sydney; et Imram Currim, professeur de marketing à la Paul Merage School of Business, Université de Californie, Irvine.

Les chercheurs veulent utiliser la psychologie pour promouvoir les vaccins, en notant comment les clients prennent des décisions dans un processus de réflexion, de ressenti et d’action. L’ensemble du processus est répliqué lorsqu’un individu doit décider de recevoir une injection de COVID-19, ont déclaré les auteurs.

Le groupe avait mené des recherches sur la façon de lutter contre ce qu’ils ont décrit comme un « problème de demande » pour les injections de COVID, l’offre dépassant la demande. Cela les a amenés à suggérer « de créer et de mettre en œuvre de telles solutions pour informer, persuader et convaincre les segments de clientèle d’agir, et nous pensons que ce type d’approche pourrait également stimuler les efforts de communication sur le vaccin COVID-19 »

Alors que l’accent a été mis sur la promotion de la troisième partie de ce processus – le « faire » ou l’événement de vaccination lui-même – le groupe a déploré le fait que beaucoup de travail était encore nécessaire pour convaincre réellement ceux décrits comme « le vaccinateur procrastinateur, hésitant et populations de rejet.

Afin de convaincre ce segment de la population, « nous devons nous concentrer sur les étapes de « penser » et de « ressentir » de la prise de «décision», ont déclaré les experts en marketing.

À ce titre, Deshpandé, Mintz et Currim ont élaboré trois recommandations « pour éradiquer les hésitations vaccinales ».

Connaissance et désinformation

Les trois auteurs ont appelé à une campagne contre la « désinformation » sur le vaccin, expliquant comment aborder la façon dont les gens pensent du vaccin. Notant que beaucoup de ceux qui hésitaient à propos de l’injection pensaient qu’elle était « précipitée, avec des effets secondaires sous-déclarés », le groupe a suggéré une politique de confrontation directe avec ces personnes.

« Cela peut être résolu par les dirigeants locaux qui contactent et éduquent de manière proactive les sceptiques via des médias tels que les appels téléphoniques, le publipostage, la télévision, les panneaux d’affichage et les canaux numériques. »

Cela seul n’a cependant pas été jugé suffisant : des « approches plus affirmées » ont été demandées dans la lutte contre la soi-disant « désinformation sur les vaccins, en particulier sur les réseaux sociaux ». Pour ce faire, une « formation et un financement » devraient être fournis pour aider les professionnels de la santé ou les groupes à but non lucratif.

La guerre des sentiments

Ceux qui se sont opposés à l’injection ont de forts sentiments contre elle, ont déclaré les trois auteurs, et en tant que tels, « l’utilisation de sources d’informations auxquelles ces personnes ont confiance pourrait améliorer leurs sentiments à propos du vaccin ».

Dans ce contexte, le WEF a énuméré les « prestataires médicaux, les dirigeants politiques et religieux », mais a également souligné l’importance des « communautés ».

Les trois auteurs ont suggéré une forme d’alarmisme émotionnel à utiliser contre les « sceptiques vis-à-vis des vaccins ». « Une autre façon d’améliorer les sentiments des sceptiques vis-à-vis des vaccins est de jouer sur la peur de manquer (FOMO), à la fois socialement et économiquement », a écrit le groupe.

Promotion incessante du vaccin

La dernière étape concerne la disponibilité pratique du vaccin, car les auteurs lui ont présenté une série de suggestions à la population.

« Les incitations peuvent fonctionner », ont-ils écrit. Les entreprises et les États pourraient lancer un programme d’incitation aux vaccins en « fournissant des congés payés, des produits gratuits et des cadeaux de loterie ».

Certaines des suggestions du WEF ont déjà été mises en œuvre dans un certain nombre d’États. Le gouverneur de New York Andrew Cuomo (D) a offert un billet de loterie « vax and scratch » gratuit avec un jackpot de 5 millions de dollars. Les billets coûtent généralement 20 $.

Le gouverneur républicain de l’Ohio, Mike DeWine, a offert aux résidents de son État la chance de gagner 1 million de dollars pour se présenter pour un vaccin COVID, tandis que les résidents de Virginie-Occidentale de moins de 35 ans recevront un bon d’épargne de 100 $ pour se faire vacciner.

« Nous pensons que l’application de l’approche centrée sur le patient « penser – ressentir – faire » au problème de communication du vaccin COVID-19 améliorera les efforts visant à accélérer l’immunité collective mondiale », ont écrit Deshpandé, Mintz et Currim. « Assurer une réouverture et une reprise économiques sûres et surmonter cet important défi sanitaire et économique pourraient dépendre de telles tactiques. »


Constat

Sans rentrer dans les détails techniques plus complexes, il s’avère que :

  1. tous ces produits n’ont obtenu qu’une mise sur le marché conditionnelle.
    https://professionnels.vaccination-info-service.fr/FAQ/Repondre-aux-questions-sur-la-vaccination-COVID/Qu-est-ce-qu-une-autorisation-de-mise-sur-le-marche-conditionnelle
  2. aux USA, aucun de ces produits n’a pas été approuvé par la Food Drug Administration. Celle-ci poursuit ses investigations et donnera son avis en 2021 ou en 2022.
  3. tous ces produits sont injectés chez les humains alors que la phase III, phase d’expérimentation chez les animaux, était en cours. Les phases IV et V (phase clinique) obligatoires pourtant pour tous les vaccins ont été supprimées, violant ainsi tous les principes légaux et de précautions.
  4. ceux qui se font injecter ces produits dans le corps signent avant une décharge exemptant le fabricant qui l’a conçu de toute poursuite. Ce qu’il faut savoir aussi, c’est que la composition de ces injections n’est pas portée à la connaissance des patients.

Conclusion

Ce qu’ils appellent désinformation est en fait de l’information que les médias à leurs ordres censurent.

Ce qu’ils appellent hypocritement marketing n’est en fait que de la propagande. Propagande encore plus pernicieuse que celle que notre pays a connue sous la botte allemande. Plus pernicieuse, puisque nos ennemies n’ont pas d’uniformes, mais se font passer pour d’authentiques républicains qui défendent nos intérêts. Sournoise, puisqu’une grande partie de la population fait confiance aux injonctions des autorités politiques relayées à longueur de journée par les médias, ne réfléchit plus, mais suit un mouvement qui vient d’en haut.

Vous ne remarquez pas ce bourrage de crâne incessant ? Vous ne trouvez pas suspects ces spots publicitaires de Santé France payés par vos impôts et qui vous poussent à vous faire injecter des solutions dont vous ne connaissez même pas la nature, mais qui vous rendront soi-disant libres ?

Braves gens, sachez que maintenant il est prouvé qu’il existe d’autres solutions très efficaces pour guérir du covid19, comme l’ivermectine ou le protocole Raoult bien appliqué. Ces traitements ont sauvé de nombreuses vies notamment en Afrique et aux Indes, mais actuellement ils n’en ont que pour la vaccination.

Vous devez comprendre que les variants dont le gouvernement et les médias vous serinent, tôt ou tard, entraîneront des rappels, « des mises à jour. »

Un point capital, qui devrait vous interpeller : avez-vous entendu depuis le début de l’épidémie en 2020 sur les chaînes publiques ou privées, au Parlement, au Sénat… d’honnêtes débats contradictoires comme l’exige impérativement la démocratie ? Cette absence de dialogue est extrêmement révélatrice de l’émergence d’un système dictatorial. (Voir le lien 3)

Réalisez une fois pour toutes que l’on vous trompe, que l’on vous prend pour des imbéciles. Ne restez pas là sans rien faire, mais ne cherchez pas à attaquer en justice Pfizer, Moderna… Ils sont couverts. Non. Mais attaquez en justice les membres du gouvernement qui vous ont sciemment amenés dans ce traquenard, et les hauts fonctionnaires qui ont suivi aveuglément les ordres, même s’ils étaient contraires à la déontologie. Leur pouvoir est temporel et ils en ont abusé sans vergogne. La roue tourne, ils ne pourront pas éternellement fuir leurs responsabilités. De nombreux collectifs d’avocats vous attendent. Certains ont près de 70000 membres. Comme beaucoup de choses censurées actuellement, vous n’en avez sans doute jamais entendu parler. Deux  adresses email de collectifs parmi ceux qui reçoivent encore des adhérents : reaction19fr@gmail.com et contact@mysmartcab.fr

Définitivement, il faut leur faire comprendre qu’en France il y a des lois et que l’on n’est pas au Far West.

Ils se croient intouchables, ils vont sentir leur douleur…

Compléments

  1. https://nouveau-monde.ca/nous-sommes-en-guerre-ou-linversion-de-toutes-les-valeurs/
  2. Vaccination Covid-19 – Dernier avertissement par le dr Vanden Bossche | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation
  3. https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-dr-amine-umlil-defie-olivier-veran-de-venir-debattre-contre-lui-sur-un-plateau



Problème mondial, solution mondiale !

Par Alain Tortosa

Problème mondial, solution mondiale !

Illusion d’indépendance (à tous les niveaux) dans un monde global

La force politique, c’est l’éducation des peuples !

L’absentéisme aux élections

J’entends beaucoup dire que l’absentéisme s’explique par la perte d’espoir et la conviction que, quel que soit le candidat, le résultat sera le même.

Autant je partage cette opinion à titre personnel en pensant « à quoi bon voter », autant je pense que cela n’explique que très partiellement le problème.

Je crains que ce ne soit beaucoup plus grave et plus profond :

Une perte totale d’idéal politique et une absence de rêve !

Cela fait tellement d’années que l’on nous rabâche les mêmes propos…

« Le communisme est une impasse » et « il ne reste plus que le capitalisme. »

Le leitmotiv est que « nous vivons dans un monde ultralibéral et il ne saurait exister une autre voie ».

Personnellement je pense qu’il existe une troisième voie dans le distributisme, mais ce n’est pas l’objet de mon propos d’aujourd’hui.

Croyez-bien que si nous étions une majorité à croire en un modèle alternatif, nous serions représentés dans les élections et notre candidat serait au pouvoir depuis bien longtemps quand bien même les partis auraient fait leur possible pour le combattre au début.

Mais par la suite, ils auraient retourné leur veste comme ils le font si bien !

L’idéal politique a donc été remplacé par une résignation pour certains et l’adhésion aux valeurs de la consommation et de la « réussite sociale » pour les autres.

Point de politique sans économie

Le système politique mondial repose sur l’économie et uniquement l’économie…

Il serait illusoire ou utopiste d’imaginer changer de politique sans changer l’économie et le rapport à cette économie pour chaque humain.

Comme je l’ai développé dans mon livre « 7 milliards d’esclaves et demain », le système capitaliste pervertit tout concept, idée ou possibilité de changement, en les transformant en nouveaux marchés souvent plus lucratifs que les précédents.

Ainsi l’équitable, les énergies renouvelables ou l’écologie, pour ne citer qu’eux, ne sont QUE de nouveaux marchés pour le système et une façon de faire de l’argent.

Rendez-vous compte que nous en sommes arrivés à l’obligation de jeter sa voiture en parfait état de marche, officiellement trop « polluante », pour acheter une « voiture propre » et avoir le droit de conduire dans une grande ville.

Ils nous ont vendu le « jeter » comme un acte « écologique » et nous ne sommes pas dans la rue ou en train de tenir la tête de notre président au bout d’un manche !

Dans le même temps, le système nous fait croire que le licencié d’aujourd’hui sera l’embauché de demain pour des métiers plus enrichissants et intéressants alors même que le travail, tel que nous l’entendons, est de plus en plus destiné à disparaître du fait de l’automatisation.

Point de politique sans indépendance

Seul l’homme libre (ou le pays libre) peut agir efficacement et en profondeur sur le système…

… Et il ne suffit pas de décréter sa liberté pour l’être.

Moi-même qui écris ces lignes n’est pas totalement libre, parce que je fais partie du système et que je ne peux m’en extraire, car il est partout.

Il n’est donc possible de le combattre que de l’intérieur pour parvenir à une chance d’efficacité.

Je reconnais profiter et être bénéficiaire des divers avantages matériels que le système que j’exècre me procure. Moi-même bénéficie des milliards d’esclaves qui travaillent à mon confort dans les pays pauvres.

Moi-même suis complice des millions de morts par an dus aux conditions de travail épouvantables ou à la pollution dans ces pays.

L’ordinateur que j’utilise pour écrire ces lignes est taché du sang de travailleurs, qui depuis les mines de terres rares ou son acheminement sont décédés.

Illusion de liberté !

C’est ainsi que l’esclave d’hier qui appartenait à son maître, maître qui avait intérêt à le maintenir en vie avec un toit et le nourrir, est devenu « l’homme libre » d’aujourd’hui !

Homme libre qui perçoit un salaire qu’il reverse (quasi) intégralement à ses maîtres afin de pouvoir disposer d’un toit et de pouvoir se nourrir ou s’habiller.

Le concept de liberté par le travail obligatoire pour survivre m’a toujours fait sourire…

C’est aussi pourquoi le système a inventé le crédit à vie !

Le crédit permet de rendre l’esclave docile, il empêche les révoltes pour ne pas perdre ce que l’on possède.

Permettez à tout humain d’acquérir une voiture et une maison à crédit et vous ferez de lui un esclave ad vitam æternam.

Vous comprenez bien de fait que l’homme (ou le pays) endetté ne peut pas être libre !

L’union fait la force

L’économie est basée sur un rapport de force… rapport de force qui détermine notamment le prix de chaque bien de consommation.

Nous n’ignorons pas que le système procède de la division des peuples pour l’affaiblir et mieux le contrôler.

Nous en avons vécu une illustration évidente avec la crise du Covid où tout est mis en œuvre pour opposer frontalement les « moutons terrorisés » contre les « résistants ».

Pourquoi les petits commerçants se font-ils laminer par la grande distribution ?

En partie parce qu’ils sont assez bêtes pour ne pas s’être regroupés avec une centrale d’achat unique qui pourrait négocier des prix de gros…

D’autre part le système est conscient de sa faiblesse, car les maîtres du monde sont très peu nombreux et donc à la merci d’une révolte des peuples.

Prenons l’exemple d’une prison…

Je suis bien conscient que les gardiens possèdent les armes et les clefs, mais il n’en demeure pas moins vrai que le système fonctionne principalement sur l’acceptation des prisonniers à se laisser enfermer.

Si nous sommes aujourd’hui privés de libertés, c’est uniquement parce que nous ne sommes pas unis et que nous acceptons de fait les mesures dictatoriales.

Combien de « résistants » qui sont viscéralement opposés au port du masque ont refusé le masque pour leurs enfants ?

Combien sont allés au conflit face à l’administration et les ont retirés de l’école en cas d’échec ?

Mes enfants ne sont pas masqués et ils ne seront pas vaccinés !

Non, ce n’est pas avec des mots que l’on fait céder l’arbitraire, mais avec des actes !

Les multinationales imposent leurs règles, car leur puissance financière (et donc aussi corruptrice) est supérieure à celles de certains pays.

Ici encore, nous avons pu observer cette même puissance financière qui a fait voler en éclat l’indépendance de l’OMS.

Et que dire des lobbies à Bruxelles ?

Qui détient la dette publique française ?

Sur le site du ministère de l’Économie et des Finances, il est possible de lire que 64 % des créanciers(([1] https://www.economie.gouv.fr/facileco/comptes-publics/dette-publique)) ne seraient pas français.

C’est certainement un minimum, car derrière un créancier français, il est très possible que se cachent des créanciers étrangers…

D’autre part les étrangers posséderaient 40 % du capital(([2] https://www.lefigaro.fr/societes/au-moins-40-du-cac-40-est-detenu-par-des-etrangers-20201001)) des sociétés françaises du Cac40.

De plus, 75 % du chiffre d’affaires(([3] https://portail-ie.fr/analysis/2627/les-actionnaires-acteurs-cle-de-la-guerre-economique)) des entreprises françaises du cac40 serait réalisé à l’étranger…

Nous voyons d’ores et déjà que la France ne s’appartient pas et que les entreprises françaises dépendent de l’étranger.

Indépendance économique de la France ?

Indépendance énergétique ?

Selon un rapport de 2019, 54,6 % de l’énergie consommée en France est produite sur le territoire(([4] https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/bilan-energetique-de-la-france-pour-2019)) et donc presque la moitié de l’énergie provient de l’étranger (pétrole, etc.).

Indépendance productive ?

« La part du PIB représenté par l’industrie est deux fois supérieure en Allemagne (20 % contre 10 % en France(([5] https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/opinion-distribuer-ou-produire-la-france-va-devoir-choisir-1208757))). »

L’INSEE a osé titrer que « Le “made in France” représente 81 % de la consommation des ménages » oubliant de préciser que l’immense majorité de cette consommation « française » porte sur des services.

Il est en effet assez rare de faire appel à un plombier chinois pour déboucher ses toilettes.

Et de préciser :

«  La consommation en biens manufacturés inclut 64 % d’importations, voire plus de 85 % pour les biens fabriqués. Cette part est même de 87 % pour la consommation de textiles, de produits de l’industrie de l’habillement ou du cuir et de la chaussure, aux neuf dixièmes de façon directe.(([6] https://www.insee.fr/fr/statistiques/4166056))»

Pour UniversNature(([7] http://www.univers-nature.com/actualite/societe-lois-politique/matieres-premieres-la-france-toujours-tres-dependante-56613.html)):

« Si l’on prend en compte ce qui est appelé “flux caché”, c’est-à-dire les matières premières utilisées pour les produits importés, les chiffres doivent être multipliés par plus de deux. On obtient une consommation totale annuelle voisine de 2,3 milliards de tonnes, soit environ 30 tonnes par habitant et par an. »

« Au niveau de la production intérieure, l’extraction des ressources naturelles est quantifiée à 734 millions de tonnes par an, soit 11,5 tonnes par habitant. La différence entre les 30 tonnes consommées et ces 11,5 tonnes produites expriment la dépendance moyenne de chaque Français vis-à-vis de la lutte pour l’accès aux ressources naturelles, qui est en train de s’installer au niveau planétaire. »

Indépendance agricole ?

Le magasine « réussir(([8] https://www.reussir.fr/lenjeu-de-la-souverainete-alimentaire-en-france-en-5-chiffres-cles))» précise :

« Le poids de la France dans les exportations mondiales de biens agricoles et alimentaires a été divisé par deux entre 1998 et 2017, souligne l’assemblée permanente des Chambres d’agriculture ».

« 40 % des légumes que nous consommons en France sont importés et 60 % des fruits, selon l’interprofession des fruits et légumes frais (Interfel), contre respectivement 28 % et 43 % en 2000 »

« L’excédent agricole français tend même à disparaître et la France pourrait connaître son premier déficit agricole en 2023 »

Et la surface agricole française ?

« La France possède la plus grande surface agricole utile d’Europe : 54 %, plus de la moitié du territoire, est affecté à un usage agricole, soit presque 29 millions d’hectares… alors que cinquante ans plus tôt, on en comptait 35 millions ! Lentement mais sûrement, les terres agricoles diminuent : en surface, c’est quasiment l’équivalent d’un département français qui disparaît tous les 10 ans(([9] http://www.fairebien.com/diminution-des-terres-agricoles/))»

Nous en sommes donc à un tel degré de décrépitude que nous allons perdre notre autosuffisance alimentaire.

C’est dramatique d’un point de vue indépendance, mais pas forcément d’un point de vue capitaliste.

Paradoxalement en termes économiques, une indépendance alimentaire ne serait pas forcément bénéfique pour les Français (cf 7 milliards).

Que déduire de ceci ?

  • Nos grandes entreprises françaises font trois quarts de leur chiffre d’affaires à l’étranger et les étrangers en possèdent 40 %.
  • Les deux tiers de la dette française sont détenus par des créanciers étrangers.
  • La moitié de l’énergie consommée en France est importée.
  • 85 % des biens utilisés par les Français sont importés.
  • Plus de la moitié des ressources naturelles sont importées.

Et même notre indépendance agricole est menacée et devrait devenir déficitaire à très court terme. Elle l’est déjà dans de nombreux domaines !

Comment pourrions-nous parler raisonnablement d’indépendance et de liberté de notre pays dans ces conditions ?

L’illusion de l’indépendance politique

Dès lors, vous pouvez voter pour qui vous voulez, quitter l’Europe si vous le désirez, mais vous resterez totalement dépendants des géants étrangers de la finance et de la production…

Et ce dans un pays dont la population représente moins de 1 % de la population mondiale.

De fait, plus nous serons séparés, plus notre poids démographique et économique sera ridicule et moins nous aurons d’arguments de poids pour influencer et contre-balancer.

L’association Réaction 19 a bien compris l’importance de s’unir pour lutter contre la dictature sanitaire, d’où les actions menées pour créer des Réaction 19 dans d’autres pays européens afin de créer une Europe (et un monde ?) pour les libertés individuelles.

Il faut voir aussi que l’économie est principalement basée sur les vases communicants et les échanges financiers.

La création de richesse est un processus d’une extrême complexité !

Injecter de l’argent est extrêmement dangereux et peut conduire à une destruction de sa valeur.

Il faut donc mettre en œuvre des processus de changement très lents pour ne pas effondrer le château de cartes ce qui serait catastrophique pour le peuple.

Si d’aventure vous trouviez demain une mine d’or et que vous inondiez le monde de cet or, non seulement l’or ne vaudrait plus rien, mais cela conduirait à une catastrophe économique sans précédent.

La France ne pouvant créer massivement de la richesse ex nihilo, notamment parce que nous ne sommes pas riches en matières premières…

De fait si d’aventure elle « augmentait » son indépendance et donc sa puissance financière et économique (indispensable à toute indépendance), cela se traduirait mathématiquement au détriment d’autres pays.

Ceci est un fait, les pays du Sud sont globalement les esclaves au service des États du Nord.

Autant il peut être relativement facile de trouver quelques solutions à l’échelle locale, autant le problème se complexifie lorsque l’on pénètre dans la macro-économie.

Personnellement je pense qu’il faut donc des réformes mondiales pour qu’il y ait des bénéfices locaux.

Le fait est que la France ne pèse « rien » d’un point de vue économique et que nous ne nous appartenons pas et sommes à la merci de nos créanciers !

Les solutions d’apparence simple sont-elles autre chose qu’illusoires ?

Allons-y !

  • Imaginons que nous élisions demain un homme politique (femme ? je pense à une certaine personne — clin d’œil) intègre et de bonne volonté.
  • Imaginons même que cette personne résiste aux sirènes des lobbies et autres corrupteurs.
  • Imaginons que cette personne n’ait pas la tête qui tourne avec une cour autour d’elle et tant de « sollicitudes »…

Quelle va être sa marge de manœuvre dès lors que nous sommes endettés et que nous sommes à la fois dépendants du système financier mondial, mais aussi des autres pays et des multinationales des matières premières, non pas pour notre confort, mais pour notre simple SURVIE !

Ces promesses de liberté ou d’indépendance me semblent tout aussi illusoires ou, pire, démagogiques et populistes que le Brexit.

Le Royaume-Uni demeure toujours endetté, toujours autant dépendant des Goldman Sachs et autres JP Morgan, toujours dépendant des échanges internationaux et sans autosuffisance dans quelque domaine que ce soit et donc toujours obligé de se plier au diktat de l’ultralibéralisme !

Les entreprises anglaises ont un besoin vital des fonds étrangers et un besoin vital de l’étranger pour des débouchés économiques.

Le pays est-il libéré de l’Europe et de ses contraintes ou de ses lourdeurs ?

Il a dû, pour sa survie, conclure un accord de libre-échange avec l’Union Européenne !

De fait le Royaume-Uni doit toujours se plier à l’ensemble des règles européennes, normes, etc. pour commercer avec elle.

En revanche le pays ne dispose plus du moindre pouvoir décisionnel auprès du parlement européen ou de droits de veto.

Il n’a plus la moindre influence politique directe sur l’Europe et doit donc en subir les contraintes, mais pour quels avantages ?

Peut-il claquer la porte à l’Europe sans risquer de mourir ou de planter un drapeau américain sur le toit de son parlement ? Bien sûr que non !

Des économies ? De mémoire, le pays recevait plus de l’Europe qu’il ne donnait et de toutes les façons il est aussi obligé de passer au portefeuille pour bénéficier du marché européen.

De toute évidence, le rapport de force entre le Royaume-Uni et l’Europe n’est pas favorable au Royaume-Uni comme il ne sera pas favorable demain à la France si celle-ci décide de quitter aussi l’Union dont elle aura un besoin vital pour survivre.

Hormis de la symbolique ou de l’électoralisme, quel est son bénéfice ?

Vous appelez cela gagner en indépendance ? Moi, pas vraiment !

Et je pense qu’il en serait strictement de même pour la France si elle quittait l’Europe demain…

  • Économie ? Elle serait obligée de négocier avec l’Europe pour sa survie et devrait continuer à respecter tous les traités européens, mais aussi mondiaux
  • Monnaie ? Si elle abandonne l’Euro pour revenir au Franc, elle devra quand même demeurer membre du Fond Monétaire International. Elle peut faire quoi ? Un peu d’inflation pour relancer la machine économique par de la dévaluation de la monnaie et un financement de la relance par l’épargne des Français. Combien ? Au-delà de 3 %, elle payerait la facture et les autres pays imposeraient des droits de douane sur les importations françaises, donc le bénéfice serait nul… C’est un peu comme les villes ou villages qui mettent en œuvre une monnaie locale, mais qui factuellement a son équivalent en euros. De fait votre monnaie locale ne s’appelle pas Euro, mais c’est de l’euro ! Il en serait probablement de même pour le nouveau nouveau franc.
  • Frontières ? La belle illusion. Les seules politiques possibles seraient plus symboliques que factuelles. Si vous limitez les flux migratoires entrants, vous subirez des mesures coercitives sur les flux migratoires sortants et cela nuira grandement à votre économie. Avons-nous aujourd’hui une politique de reconduite à la frontière ? Je ne le pense pas et je pense qu’il en serait de même demain. Sans compter sur la démographie et les naissances qui diminuent ainsi que les « français » qui ne veulent plus faire les « sales » boulots et donc une importation quasi obligatoire de main-d’œuvre étrangère sous-qualifiée.

Bref, tu fais quoi ?

  • Tu mets des droits de douane pour les importations ? Ils en mettent le double pour tes exportations…
  • Tu nationalises des entreprises ? Cela te ruine et tu perds tous les investissements en France.
  • Tu dévalues ta monnaie pour favoriser les exportations ? Tu te prends des sanctions des pays étrangers et tu finances ta fausse relance par l’épargne des Français.

Et si d’aventure nous décidions de quitter le système monétaire international pour devenir la RUSSIE de 1920, en trois ans nous deviendrions plus pauvres que le Bangladesh…

Nous sommes paralysés par nos dettes, notre dépendance totale vis-à-vis des entreprises mondiales et par tous les traités qui nous lient à tous les pays.

Le monde actuel est global, il n’y a plus la moindre indépendance et la moindre autosuffisance dans les pays riches !

Quitter l’Europe serait donc selon moi un non-sens et une erreur qui pourrait se révéler dramatique et réjouirait les puissances de l’argent.

Plus les peuples sont désunis et plus la dictature peut imposer ses règles !

Je le redis encore, il n’y a selon moi pas la moindre solution franco-française qui ne soit autre chose que de la démagogie, des mots, ou simplement cosmétique.

Nous vivons sur une planète ultralibérale, mondialiste et il ne peut exister de solutions globales locales, sinon à la marge.

Est-ce à dire que c’est foutu ?

Le pouvoir politique c’est la liberté

Je pense et je le redis qu’à problème mondial il ne peut y avoir que des solutions mondiales.

La France n’est plus la puissance coloniale qu’elle était.

Elle n’est plus rien d’un point de vue démographique, géostratégique, militaire, économique… ni même un phare idéologique (la pute des multinationales et des grandes banques).

Même l’Europe n’est quasi rien au regard du continent américain et de l’Asie !

Nous ne pouvons pas agir sur ces leviers, mais en revanche il nous reste la possibilité de lutter (un peu) contre la corruption.

Transparence et justice !

Cette Europe tant décriée est l’Europe que nous avons accepté… Elle ne nous a pas été imposée.

Il est trop facile de dire que l’on nous a volé notre vote alors même que nous n’avons pas réagi à cette mascarade.

Pire encore, nous avons dit non à la constitution européenne, par peur d’une Europe fédérale, alors que cette constitution, quand bien même imparfaite, était le prélude à une Europe politique.

Résultats des courses, nous nous sommes retrouvés dans une Europe sans aucune politique sociale commune, sans défense commune, sans santé commune, etc.

Notre Europe, suite à notre « non », est devenue une Europe économique encore plus au service des marchés et au détriment des peuples.

Mais rendez-vous compte que nous ne pouvions faire un plus beau cadeau aux marchés !

Posez-vous la question si le marché, Big Brothers, Amazon, Goldman Sachs et compagnie verraient d’un sale œil si la France quittait l’Union, puis si par la suite tous les autres pays faisaient de même, ou si elle ouvrirait une bouteille de champagne ?

Personnellement, j’ai ma réponse !

Chaque pays européen devenu « libre » chercherait à tirer son épingle du jeu en tirant encore plus dans les pattes de ses voisins !

La puissance ultralibérale négocierait individuellement avec chaque État pour lui ponctionner le maximum de sang !

Est-ce ce que nous voulons ?

Ils sont devenus les maîtres du monde parce qu’ils ont vite compris l’intérêt de supprimer leurs frontières.

Ils ont compris le mondialisme bien avant les peuples !

Leurs entreprises tentaculaires multinationales n’ont aucune limite territoriale ou politique et ils visent à imposer une dictature mondiale et certainement pas une démocratie mondiale.

Et vous voudriez leur opposer des frontières de plus en plus étriquées, à eux qui n’en ont pas, pour créer un contre-pouvoir politique, voire économique, afin de les contrôler ?

Je n’imagine pas une solution autre que de créer ce contre-pouvoir à l’échelle mondiale et non d’un pays comme la France dont l’aura a fondu comme neige au soleil depuis bien longtemps !

Comment une division pourrait-elle conduire à autre chose qu’une défaite ?

C’est exactement le même problème que le port du masque notamment dans les écoles.

Pourquoi les enfants sont-ils masqués ? Parce que c’est obligatoire ?

Que nenni, ils sont masqués UNIQUEMENT parce que les parents l’ont accepté.

Et ils l’ont accepté. Pourquoi ? Parce que le système autorise et valorise le mensonge, la cupidité et la corruption. Ils n’ont disposé que d’une information anxiogène, biaisée et mensongère.

Si demain nous voulons que les Gafa, pour ne citer qu’eux, payent les mêmes impôts que les autres entreprises — pas plus, pas moins — il suffit que le peuple du monde dise « je veux qu’il paye des impôts ».

Ce n’est pas plus difficile que ça.

En revanche si c’est la France qui le dit, ils éclateront de rire (avec raison)!

France qui ne pourra pas leur imposer, car elle n’a pas la moindre liberté économique ni autosuffisance ni même un marché suffisamment important pour mettre en péril leurs entreprises capitalistes.

La force du politique

Elle n’est pas dans des réformes impossibles ou populistes, mais de permettre l’éducation des masses.

Le politique doit permettre l’accès à une information vérifiée, sourcée et pluraliste.

Les conflits d’intérêts doivent être révélés au grand jour (les empêcher est illusoire).

Le peuple doit savoir quand un ancien directeur de Goldman Sachs est nommé commissaire européen et quand un ancien ministre de la santé devient président d’une firme pharmaceutique.

Les médias doivent redevenir indépendants des puissances de l’argent ou tout du moins les médias alternatifs doivent avoir une place aussi importante afin que tous les Français puissent y accéder.

Nous devons redevenir le phare du monde, celui qui illumine la voie vers la liberté.

Nous devons devenir contagieux, ouvrir les yeux aux peuples et leur dire qu’il leur suffit de dire « non » dans un élan mondial !

Nous devons éclairer les Français, éclairer les Européens, éclairer les habitants du monde en leur permettant l’accès à une information libre, éclairée et réellement pluraliste.

Ils pourront alors dire « non », et la dictature mondiale n’aura d’autre choix que de dire « OK » !

Merci

Alain Tortosa

28 juin 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210628-illusion-independance.pdf





10 raisons perverses pour rendre la vaccination obligatoire des soignants français… ou pas…

Par Alain Tortosa

Interdire.

C’est sans doute le sport préféré au pays des droits de l’homme. Tout faire pour interdire la liberté. « L’interdit c’est la liberté » tel devrait être la nouvelle devise de la France en novlangue.

Mater les résistants.

Après plus d’un an de dictature, des soignants osent encore résister, vouloir prescrire, soigner, user de leur libre arbitre de se « vacciner » ou pas. « Il faut frapper un grand coup dont ils ne se relèveront pas ! »

Mentir librement.

Ses soignants, qui ne sont pas anti-vax, dénoncent par leur action tous les mensonges pour faire croire à l’efficacité des confinements, des masques ou des injections expérimentales…

Les faire taire et les mater permettra de continuer à mentir librement au peuple désinformé.

Obtenir un « consensus » dictatorial.

Le refus de s’injecter de soignants est un acte fort indiquant au peuple que les autorités sanitaires mentent.

Leur existence est une brèche immense dans le « consensus » instauré par le Ministère de la Vérité.

En les obligeant à s’injecter, il y aura « consensus vaccinal »… « Petit à petit ils y sont tous venus… »

Désigner les boucs émissaires.

Les statistiques de contamination dans de nombreux pays, la contamination et le décès DU COVID de personnes vaccinées en France constituent une preuve de l’inefficacité de ces « vaccins ».

Il faut le cacher au peuple et désigner les coupables : « Les soignants non vaccinés tueurs de vaccinés. »

Fuite en avant pour camoufler les échecs.

La politique gouvernementale, depuis le début de la crise, a TOUJOURS été « nous voyons bien que la mesure est un échec, nous allons donc l’intensifier », y compris pour les « vaccins ».

Tuer le débat.

Si tous les soignants sont « vaccinés », pourquoi parlerait-on de l’utilité ou de l’efficacité des injections ?

Mettre en danger et détruire les preuves du crime.

Injecter massivement des substances dangereuses expérimentales à 100 % des français permettra d’empêcher d’étudier la dangerosité du produit en supprimant l’échantillon témoin non vacciné.

Rassurer et empêcher tout réveil du peuple.

Si tous les soignants se « vaccinent », c’est la « preuve » de l’innocuité, je peux donc m’injecter aussi.

Servir d’exemple aux autres professions.

« Tu vois ce que j’ai fait aux soignants ? Je peux te le faire aussi, alors ne résiste pas et injecte-toi. »

Alain Tortosa

https://7milliards.fr/tortosa20210704-vaccination-obligatoire-soignants-pourquoi.pdf




La cécité sur l’histoire de l’islam envenime les tensions au lieu de les apaiser

Par Lucien Samir Oulahbib*

[Photo : Adolf Hitler et Mohammed Amin al Husseini, le mufti de Jérusalem. 1941]

Ainsi ces extraits de l’article de Rudi Roth « Comment Henry Laurens du Collège de France dédouane Amin al-Husseini, le mufti collaborateur de la Shoah » sont déroutants :

(…) Un autre proche d’Eichmann, Herbert Krumey, a confirmé par écrit que le mufti était impliqué personnellement dans la Shoah [23]Nathan Weinstock, op. cit., 2011, p. 291. Le mufti témoigne à Edouard Saab du Monde : « Il semble que mon entrevue avec Eichmann ait compromis les démarches déployées à l’époque auprès du Führer pour arrêter le génocide des juifs[24]Nathan Weinstock, op. cit., 2011, p. 290, et note 64 p. 459… » Même le responsable de l’éditeur d’Albin Michel, Jean Mouppata, écrit : « … sa participation à un congrès international antijuif à Cracovie (à deux pas d’Auschwitz) en 1944, il était forcément informé de la réalité du génocide[25]Jean Mouttapa, Un arabe face à Auschwitz, Albin Michel, 2004… ».

(…) Il est intervenu à plusieurs reprises auprès des nazis qui avaient accepté d’épargner des Juifs (en décembre 1942 pour 75 000 à 80 000 Juifs roumains, en février 1973 concernant 5 000 enfants juifs de Bulgarie,…) pour « les envoyer… par exemple en Pologne » ; et : « Au moment précis où la Shoah était à son apogée, Al-Husseini mettait ainsi le poids arabe dans la balance pour maintenir l’intensité de la destruction des Juifs[26]Klaus-Michael Mallmann, Martin Cüppers, op. cit., p. 138-140 ».

Mais bien sûr nos bien pensants se taisent (comme André Laurens plus haut) ou alors expliquent (lorsqu’ils sont « identitaires ») que le « conflit judéo-arabe » ne « concerne pas la France », ce qui est bien sûr faux, et ce de plus en plus tant cette sous-estimation « systémique » des velléités meurtrières de certains religieux musulmans [Ndlr : qui ne représentent heureusement qu’une petite minorité de musulmans.] comme ce Mufti (grand-père d’Arafat) vise de plus en plus à avaliser une alliance de fait avec l’islam (analysée dans le détail par Bat Ye’or), et ce de part et d’autre du spectre politique, en réalité. Ceci ne fait qu’envenimer la situation globale, tant des millions d’Africains (à commencer par les femmes) ne veulent plus s’y inscrire, ayant fui le joug islamique que d’aucuns cherchent pourtant toujours à magnifier, à gauche comme à droite, en lui construisant ses temples forteresses qui visent en fait à empêcher l’insertion des populations légalement immigrées ou naturalisées dans la culture, la civilisation, la nation française qui ne reconnaît ni race ni religion, mais un seul peuple une seule nation au-delà des diversités séculaires qui elles ne sont pas comparables avec l’immigration récente comme en Corse et dans les DOM-TOM.

Aussi, en permettant d’avaliser l’idée que sans voile islamique ces femmes d’origine cultuelle musulmane seraient « discriminées », cette régression de fait les fragilise encore plus, alors que ce signe ne peut circonscrire le tout d’une foi, sous-entendant sinon que si ces femmes ne le portent pas elles seraient en fait des Occidentales ou des prostituées, certains tirant même un trait d’égalité sans que cela n’offusque nos fausses féministes (qui hurlent maintenant de rage à la vue d’un bouquet de fleurs offert).

C’est bien sûr ce que refuse d’admettre une Clémentine Autain (par ailleurs en plein syndrome de Stockholm à voir sa position lors des viols de Cologne…), d’origine stalinienne, qui veut faire violemment cause commune avec l’islam tant elle s’est frénétiquement soumise, et de son plein gré, au discours alter-islamique ambiant (assez semblable au « wokisme » US) y compris, au fond, à celui d’un Ramadan qu’elle fait mine de contredire parfois alors qu’il s’agit d’une opposition de degré et non de nature (voir à ce propos ma pièce de théâtre Partage des richesses. com) le pompon étant cependant toujours détenu par les assimilés à l’islam que sont ces anciens trotskistes et autres admirateurs néo-nazes transis de virilité islamique qui pullulent également en UK, en Belgique et maintenant aux USA.

En même temps les voilà également bras armés de la Secte affairiste-hygiéniste totalitaire (« nous perdons patience », disent certaines de leurs Affiches) parachevant ainsi leur boucle théocratique.

* Dernier ouvrage paru : Rhombe (ou comment sortir de la filiation abrahamique)




Une “obligation vaccinale” est illégale si elle n’est pas “proportionnée au but de santé”

Par Lucien-Samir Oulahbib

Il n’y aurait pas de souci à se faire, déjà parce qu’à la différence des « onze vaccins » rendus obligatoires ces médicaments géniques proposés contre la C-19 n’ont que des autorisations provisoires. Et donc tant qu’ils ne seront pas dûment avalisés (d’ici au moins deux ans) il s’avère que même si une « loi » de circonstance était votée au Parlement celle-ci serait légalement invalidée, du moins si le Conseil Constitutionnel et le Conseil d’État restent des juridictions autonomes. Ensuite, quand bien même par la suite ces médicaments seraient labellisés, il s’avère que la nécessité du consentement reste cruciale, du moins toujours en « État de Droit », tant et si bien d’ailleurs qu’une décharge est actuellement signée par chaque participant à l’expérimentation grandeur nature actuelle, d’où l’impossibilité d’obliger à s’y soumettre (article 36 du Code de santé publique).

Certes, des « médias » font état de l’existence d’une telle obligation pour certains médicaments (les « onze vaccins »). Il s’avère cependant que cela reste lié au caractère très létal des maladies concernées, ce qui implique l’importance de la notion de « proportionnalité » qu’ils sont obligés d’admettre.

Pour ce faire, il faudrait juridiquement qu’« ils » (les membres de la Secte hygiéniste-affairiste) arrivent à démontrer qu’une maladie aussi peu létale que celle de C-19 (du moins en dessous de 84 ans) bénéficie d’un statut égal à celui des maladies qui sont à l’inverse très mortelles. Et ceci d’autant plus que nous avons des médicaments qui marchent, et ce de mieux en mieux. D’où, d’ailleurs, le refus de l’admettre (et le fait de les écarter), car autrement cela mettrait bien sûr à bas cette idée fixe (au sens de Pierre Janet) de vouloir à tout prix imposer un médicament expérimental pour une maladie somme toute très contrôlable (du moins selon les vrais spécialistes capables de prouver ce qu’ils disent sur la base de vraies études — à l’inverse du LancetGate sur lequel on attend toujours une enquête et des sanctions).

Il faut donc plutôt et en effet s’attendre à l’inverse : le fait que des actions en justice (celle actuellement effectuée en Inde est très éloquente à ce sujet) soient déclenchées à l’encontre de tous ceux qui ont empêché sciemment les médecins de prescrire, et ont bloqué des médicaments qui marchent (au nom d’effets secondaires supposés, pendant que ceux — pourtant innombrables — qui proviennent de leurs médicaments expérimentaux sont toujours balayés d’un revers de main). Sans parler des chantages et autres intimidations. C’est plutôt dans ce sens que le balancier doit aller.

Sinon c’est la goutte d’eau de trop : l’explosion.




France : un journaliste RMC-BFM pris en flagrant délit de mensonge concernant le vaccin Pfizer ?

[Source : businessbourse.com]

La page du Vidal a-t-elle été mise à jour suite à cet imbroglio sur le plateau de BFM autour de l’efficacité du Vaccin ?

[Ndlr : la page Vidal a été éditée en date du 2 juillet, soit le lendemain de l’émission, avec l’ajout de la notice suivante :

Edit du 2 juillet 2021 : Attention, cet article a été publié fin 2020 et reflète les connaissances à cette date. Depuis, une masse considérable de données a été recueillie, en particulier grâce aux campagnes vaccinales, que cet article n’aborde évidemment pas. En particulier, on sait désormais que le vaccin BioNTech Pfizer (COMIRNATY) est très efficace pour prévenir les formes sévères de la COVID-19, y compris chez les personnes âgées, y compris pour les variants Alpha, Bêta, Gamma et Delta.]


[Ndlr : lien vers la page Vidal en question :
Vaccin Pfizer/BioNTech contre la COVID19 : enfin des données à analyser ! (vidal.fr)]

[Ndlr : capture d’écran avec surlignage en vert clair du passage problématique :]

[Ndlr : Page Vidal sauvegardée en PDF :]




CRYPTO-MONNAIES: Qui tire les ficelles ?… Olivier Delamarche Balance TOUT !

[Source : businessbourse.com]

Entre véritable révolution technologique et manipulation de marché à peine déguisée, qu’en est-il vraiment de la situation sur les crypto monnaies ? Quels dangers pouvons-nous rencontrer sur cette nouvelle classe d’actif numérique ? Réponse avec Olivier Delamarche.


[Voir aussi :
Bitcoin et autres cryptomonnaies au service du Nouvel Ordre Mondial?
La disparition du cash est en marche : cryptomonnaies et destruction des libertés
Bitcoin et autres monnaies cryptées : instruments de libération ou de contrôle ?
Note sur le prochain système monétaire
La ruée vers une société sans cash ne sert que les intérêts globalistes
La dépendance technologique et la fin de la liberté
Un système presque gratuit
Note sur la souveraineté monétaire
Cette chose sur laquelle on ne peut pas tricher]




Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité

[Source : Anthropo-logiques]

Par Jean-Dominique Michel

Je viens de recevoir l’excellente nouvelle que le CSAPE (Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens) a déposé en date du 28 juin dernier devant la CPI une plainte pénale visant le président Emmanuel Macron, le gouvernement et les haut-fonctionnaires impliqués dans la gestion criminelle de l’épidémie de Covid.

Voici le communiqué reçu ce jour de son secrétaire général :

Le CSAPE vous informe qu’en suite de l’interpellation du 02 mars 2021, par mise en demeure restée sans réponse, une plainte contre des dirigeants français vient d’être déposée à la Cour pénale internationale (CPI) avec demande d’ouverture d’enquête pour crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, servitude et génocide, sous le numéro OTP-CR-271/21.

Nous rendons publique la plainte et nos découvertes au niveau mondial et nous vous incitons à vous associer à l’action du CSAPE en déposant également plainte avant que la situation ne devienne irréversible pour cause d’absence de résistance effective – (les actions devant les juridictions françaises étant vouées à l’échec pour les raisons d’ailleurs exposées dans la plainte).

Il s’agit de l’avenir de l’humanité dont nos enfants.

Vous pouvez prendre connaissance de la plainte jointe.

Après avoir découvert les informations révélées, toutes factuelles, vous serez certainement convaincus de la nécessité d’agir. Dans ce cas le CSAPE peut vous aider dans la démarche.

Il faut être conscient que toutes les bonnes volontés doivent mettre une pression supérieure à celle que nous impose la dictature en place. Rassembler autour d’une action coercitive et participer à un travail d’équipe en relayant cette action sont des moyens incontournables pour vaincre une politique totalitaire et délétère.

Vous pouvez également nous rejoindre en adhérant au CSAPE en retournant le bulletin d’adhésion téléchargeable sur le site www.csape.international et nous aider par une cotisation et/ou un don pour le travail accompli par les initiateurs.

Avec nos remerciements,

Bien cordialement.

Patrice LEPILLER
Secrétaire général du CSAPE

Dossier de plainte du CSAPE contre la France pour crime contre l’humanité : télécharger le pdf.

Les requérants expliquent qu’ils ont décidé de déposer une plainte nominative contre :

Pour avoir organisé une situation de dommages considérables et de crimes sur la population française :

  • Le président de la République française, monsieur Emmanuel MACRON ;
  • Le premier ministre, monsieur Jean CASTEX, chef du gouvernement ;
  • L’ensemble du gouvernement actuel représentant l’exécutif ; L’ensemble du comité scientifique dirigé par monsieur Jean-François DELFRAISSY ;
  • L’Institut Pasteur en son Président : Christian VIGOUROUX, président de section au Conseil d’État et les Membres de droit représentants du ministre de la Recherche, du Budget, de la Santé, du président du Centre national de la recherche scientifique, le directeur général de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, ainsi que Sanofi Pasteur.

Pour avoir participé activement en France :

  • La ministre de la Santé, madame Agnès BUZYN ;
  • Le directeur général de la Santé, Jérôme SALOMON ;
  • Le président de l’Assemblée nationale, monsieur Richard FERRAND ;
  • L’académie nationale de médecine, Dr CHARPENTIER Bernard, 1ère division, Président
  • Le conseil de l’ordre des médecins, Dr Patrick BOUET ;
  • Le conseil de l’ordre des infirmiers monsieur Patrick CHAMBOREDON ;
  • Le conseil de l’ordre des masseurs-kinésithérapeutes, monsieur Pascale MATHIEU ;
  • L’ensemble des ARS (agences régionales de santé) dont la liste des noms est communiquée ;
  • L’ensemble des académies scolaires dont la liste des noms est communiquée.

Pour avoir organisé et participé activement depuis l’international :

  • Le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus (Genève, Suisse) ;
  • Le docteur Christian Drosten (Berlin, Allemagne) ;
  • Bill Gates (Seattle, Washington, États-Unis) ;
  • La commission européenne en sa présidente Ursula von der Leyen (Bruxelles, Belgique) ;
  • L’Agence européenne du médicament (EMA) en sa directrice Emer Cooke (Amsterdam, Netherlands).