Canada : face à la polémique, les cérémonies de destruction de livres jugés racistes suspendues

[Source : RT en français]

[Illustration : © Chris HELGREN Source: Reuters]

[Ndlr :

«Là où l’on brûle les livres, on finit aussi par brûler des hommes».

L’avertissement de Heinrich Heine prononcé il y a près de deux cent ans est aujourd’hui gravé sur une plaque près du monument souterrain érigé à Berlin en souvenir des auteurs de tous les livres brûlés lors du gigantesque autodafé nazi en 1933. Empêcher les mots et les images de circuler, c’est encore et encore tenter d’assassiner la liberté. L’obscurantisme, l’extrémisme, le totalitarisme, le fondamentalisme et l’indigénisme font le lit de la tyrannie. La preuve par le CSCP en Ontario. Jusqu’à quand, le ventre sera-t-il toujours fécond, d’où a surgi la bête immonde ?]

Un groupe scolaire francophone de l’Ontario a annoncé avoir amendé son projet polémique visant à retirer des écoles et brûler des livres jugés offensants pour les populations autochtones.

À la suite de la controverse liée à la décision d’écoles de la province de l’Ontario de procéder à la destruction de milliers de livres qualifiés de néfastes pour les populations autochtones, le Conseil scolaire catholique Providence (CSCP) annonce la révision de son processus de retrait d’ouvrages et la suspension de son projet de cérémonies dans lesquels les livres concernés sont brûlés. 

Selon Radio Canada, près de 200 livres dont le contenu était encore à évaluer échappent – pour le moment – à une éventuelle destruction. Parmi eux se trouvent des albums de Tintin (L’Oreille cassée, Tintin et les Picaros), huit BD de Lucky Luke et un livre issu du film Avatar.

Les révélations de Radio Canada selon lesquelles la «gardienne du savoir» autochtone qui a accompagné le CSCP – une commission scolaire francophone regroupant 23 écoles primaires et 7 écoles secondaires – n’était en fait pas amérindienne aurait accéléré cette décision. La porte-parole du CSCP, Lyne Cosette, s’est exprimé sur la situation en ces termes : «Nous sommes profondément troublés et inquiets», écrit la porte-parole du CSC Providence, Lyne Cossette. «Nous avions la certitude que Suzy Kies était de descendance autochtone […] Nous nous étions fiés à sa parole […] Ces révélations nous poussent à entreprendre une nouvelle réflexion sur notre processus de refonte. En ce sens, nous mettons sous révision notre processus et mettons sur pause l’ensemble du projet Redonnons à Mère Terre.»

Une «purification par la flamme» lors de «cérémonies de réconciliation»

Le projet Redonnons à Mère Terre consistait à organiser dans les école une «cérémonie de réconciliation» lors de laquelle une trentaine de livres seraient brûlés – Suzy Kies aurait évoqué une «purification par la flamme», toujours selon le média canadien – et leurs cendres utilisées comme engrais pour planter un arbre. Une seule de ces cérémonies a pour le moment eu lieu, en 2019, les autres avaient été reportées en raison de la pandémie de Covid-19.

Le 7 septembre, Radio-Canada avait rapporté que plus de 4 000 livres avaient été retirés des bibliothèques du CSCP. «Au total 4 716 livres ont été retirés des bibliothèques du conseil scolaire, dans 30 écoles, soit une moyenne de 157 livres par école […] Ils ont été jetés, certains brûlés et enterrés», a relaté la radio canadienne, qui évoquait «une grande épuration littéraire» et selon qui l’objectif visé serait celui d’«une réconciliation avec les Premières Nations».

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/90463-canada-face-polemique-ceremonies-destruction-de-livres-juges-racistes-suspendus




Hommage macroniste et creux à Jean-Paul Belmondo

[Source : ripostelaique.com]

Par Charles Demassieux

L’élite macroniste a donc rendu hommage à Jean-Paul Belmondo, kidnappant cette personnalité populaire par excellence au profit d’une poignée de privilégiés dont quelques-uns ont, depuis la mort de l’acteur, apporté la preuve de leur ignorance crasse de sa carrière exceptionnelle. La cour d’honneur des Invalides, d’accord – Belmondo ayant à sa façon servi la France –, mais un hommage plus populaire eût été bienvenu, un peu comme celui rendu à Johnny Hallyday, en 2017. Tout ce monde recevant le salut présidentiel – Premier ministre, ministres, députés et j’en passe – avant la famille Belmondo. La honte, car il y a des préséances qui puent…

Concernant la cérémonie en question, on se demande encore s’il s’agissait d’un hommage à Jean-Paul Belmondo ou d’un satisfecit présidentiel. Car Macron a de nouveau entonné sa logorrhée indigeste, après avoir arboré la démarche martiale d’un chef de guerre passant ses troupes en revue, lui qui se préparait à fuir la France le 1er décembre 2018, à cause d’une fièvre jaune ! On ne rit pas…

Ainsi, devant un parterre de personnalités sans masques – ben alors, et les gestes machins ?! –, Macron a fait du Macron, ce qu’il sait le mieux faire : un dithyrambe insincère et abscons, en saupoudrant son discours de novlangue creuse. Quelqu’un peut-il me dire ce que c’est que la « gouaille solaire » : une nouvelle crème de protection ?!

On a aussi été copieusement servis par les poncifs abstraits qui ne veulent rien dire : « Héros aux mille visages dont la carrière charrie mille vies […] Mythologie d’une France heureuse. […] Il épousa la France. Lui qui, par tous ses rôles, traversa à grandes embardées l’histoire de notre pays. Jean-Paul Belmondo habita la France. » Bon, Manu, définitivement : André Malraux est mort depuis 1976, alors arrête de le singer, ça devient gênant !

Notons tout de même cette envolée lyrique, qui serait presque drôle si ce n’était pas consternant : « Belmondo fut la figure qui transperça tous les styles. »

Ceci n’a pas empêché l’authentique émotion de submerger certains, à commencer par la dernière fille, Stella, et le petit-fils de l’acteur, Victor ; Victor dont a pu apprécier l’hommage authentique précédant celui, tout plat, de l’Élysée : « Heureux de voir à quel point les Français lui témoignent de leur amour, lui qui les aimait tant […] On pense à toi, on t’aime et amuse-toi bien avec tes copains qui t’ont tant manqué. » Ce « soleil » qui « ne s’éteint pas », voilà comment Victor a décrit son grand-père, et ça avait plus d’allure que des phrases sans vie.

Insincère, je disais ? En voici l’exemple : eh non, ce n’est pas sur les Champs-Élysées que Belmondo – alias Michel Poiccard – est abattu dans le film À bout de souffle, de Jean-Luc Godard, mais au bout de la rue Campagne-Première, dans le 14e arrondissement de Paris, Môssieur le Président ! Et puis le film de Philippe de Broca c’est L’Homme de Rio et pas Un homme à Rio !

Par contre, je veux bien croire que Macron ait rêvé d’avoir la force et le courage du commissaire Jean Letellier dans Peur sur la ville, d’Henri Verneuil. Mais il ne faut pas prendre ses rêves pour des réalités…

Merci cependant pour Chi Mai, du film Le Professionnel, de Georges Lautner, qui a retenti dans la cour des Invalides pour clore la cérémonie, car c’est sans doute l’une des plus belles musiques d’Ennio Morricone.

Enfin, le vrai chagrin, la vraie émotion, je les ai certainement plus vus dans les yeux des anonymes, pleurant et applaudissant, plutôt que dans ceux, blasés, de toute de cette caste politique. Je mets à part la sincère émotion d’acteurs comme Jean Dujardin ou Richard Anconina et les autres.

Quoi qu’il en soit, adieu Jean-Paul et merci pour tout…

Charles Demassieux




Un nouveau « Peuple de Vaccinés »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Marilis Valo, pour FranceSoir

TRIBUNE – C’est Ernest Renan qui, le premier, a émis l’idée qu’une religion est à l’origine « une secte qui a largement réussi ».

Nous sommes maintenant nombreux à remarquer que nos élites affichent un comportement qui s’éloigne de plus en plus du rationnel, et qu’elles tiennent des propos qu’on accepterait plus facilement s’ils sortaient de la bouche de gourous de sectes. D’ailleurs, depuis peu, j’entends régulièrement s’exprimer tout haut l’idée que ce que M. Macron a nommée une « guerre », en est bien une, et non des moindres : une guerre de religions.

Il est de fait que les médias « mainstream » ont tendance à mettre systématiquement en relief le conflit plus ou moins larvé, opposant ceux qui professent une foi indéfectible dans le discours scientifique politiquement correct, et ceux qui remettent ce discours en question. Ceci, bien sûr, ne contribue pas à apaiser les esprits, car ces mêmes médias oublient de mentionner que la plupart de ceux qui expriment leurs doutes le font en termes mesurés et raisonnables, dans le but justement d’éviter d’entrer dans le jeu pervers de la dualité : « J’ai raison et ils ont tort ». Ces nouveaux « incroyants » sont couramment catalogués comme complotistes sans cervelle, « magma » qui ne connaît rien à la science, et plus récemment : personnes vulnérables sombrant dans des dérives sectaires.closevolume_off

En parallèle, que ce soit sur la toile ou dans le monde réel, j’entends maintenant des personnes de tous âges et de tous milieux exprimer leur malaise face à la violence avec laquelle nous est assenée la doctrine prêchée par nos « élites » scientifiques et politiques actuelles. Une doctrine que beaucoup osent désormais nommer sans ambage : la nouvelle religion mondiale. 

Du reste, nombre de fidèles de religions traditionnelles bien établies, se sentent moralement obligés de passer par un baptême d’un nouveau genre, celui de la vaccination, pour obéir aux injonctions de leur hiérarchie spirituelle. Ces croyants sincères pensent ainsi protéger leur prochain et se protéger eux-mêmes. Ils ne réalisent pas le risque qu’ils encourent de glisser insidieusement d’une foi pure en un Dieu qui leur demande de sauver leur âme, à une foi aveugle en une technologie dont d’aucuns prétendent qu’elle sauvera leur corps. Alors, nous sommes en droit de nous poser la question : assistons-nous à l’émergence de la nouvelle Église de l’immunité artificielle ? Une Église qui exigerait du croyant qu’il adore une substance créée par l’homme, en lieu et place d’adorer un Dieu ? Et qui demanderait au croyant de communier régulièrement avec ce produit tout droit sorti d’un laboratoire en le faisant pénétrer dans son corps, corps qui deviendrait alors le temple de la sainte Substance ?

Et la vie intérieure dans tout cela ? Eh bien, elle semble avoir totalement disparu de l’équation. Car, par définition, une religion vouée à la technologie ne peut s’intéresser qu’au corps, qu’à la forme extérieure et matérielle de notre être.

Reprenant et élargissant l’idée originale d’Ernest Renan, J.F Kahn l’a fait suivre par cette petite phrase : « On donne d’ailleurs le nom de secte à toute église non officielle qui concurrence les églises officielles » (Dictionnaire incorrect, éditions Plon).

Il se trouve que depuis quelques temps, les disciplines qui mettent en avant l’importance de la vie et de la progression intérieures, réfutant l’idée que seule compte la survie du corps, se voient qualifiées de sectes par les médias mainstream : à commencer par Le Monde dans un article du 22 août : « Complotisme, développement personnel : à quoi ressemblent les nouvelles sectes ? » Mieux encore, des disciplines millénaires comme le yoga et la méditation se voient accusées d’être le prélude à de dangereuses dérives complotistes et sectaires. Le Point n’y va pas par quatre chemins et affirme : « Jeûne, crudivorisme, méditation : ces nouvelles dérives sectaires » (avril 2021). Plus révélateur encore, cet article de l’Alsace du 24 août 2021 intitulé : « L’univers du yoga vulnérable aux théories complotistes » dans lequel on y lit que la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) s’inquiète du fait que certains pratiquants de cette discipline expriment un net «scepticisme à l’égard de la médecine conventionnelle ». En d’autres termes, douter de la valeur de la médecine conventionnelle suffit à rendre un yogi suspect de complotisme et de sectarisme.

Quant à ceux qui protestent contre l’instauration du « passe » en invoquant une violation des droits de l’homme, ils ne sont pas épargnés : « Les renseignements inquiets des dérives sectaires des anti-passe sanitaire », nous apprend en août dernier RTL, qui déplore que « les thèses sur la dictature sanitaire mondiale (…) risquent de déboucher sur des phénomènes de sujétion psychologique ».

Cerise sur ce millefeuille de récriminations, le site gouvernemental vie-publique.fr nous assenait une brève étonnante datée du 3 mars dernier, que je ne peux résister à l’envie de citer dans son intégralité :

« Covid-19 : de nouvelles dérives sectaires en 2020

140 000 personnes touchées par des dérives sectaires. Entre thérapies “parallèles” et « défiance » à l’égard de la vaccination, ce phénomène constitue un point de vigilance majeur dans le contexte de la pandémie du Covid-19. C’est ce qui ressort en particulier d’un récent rapport sur les dérives sectaires. »

Pour toute personne ayant vécu l’enfer d’une véritable emprise sectaire, ces mots pourraient porter à rire – s’ils ne révélaient pas une intention sous-jacente : le culte voué à la toute-puissante substance qu’on inocule aux populations doit, « quoi qu’il en coûte », s’imposer dans nos vies, et quiconque doute du dogme officiel doit être stigmatisé, considéré comme un hérétique et traité comme tel.

Comme l’histoire des dictatures nous l’a souvent montré, un culte d’État a toujours besoin d’hérétiques, car sans eux, qui porterait le poids de la culpabilité ?

C’est curieux comme ceci me rappelle la déclaration faite par M. Véran le 26 août dernier : « Le doute [vis-à-vis du vaccin] aura tué et continue de tuer ».

Marilis Valo est écrivain.

Auteur(s): Marilis Valo, pour FranceSoir

[Voir aussi :
Virus, climat, Hongrie : la malignité perverse de la Secte au pouvoir
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
Les amateurs de confinement présentent les symptômes de l’appartenance à une secte
Les « brebis galeuses » répondent à la secte des Covidistes
Sur la toxicité de la Secte HA! : contribution à sa décantation
La Secte « en marche » joue son va-tout
L’insanité « sanitaire » de la Secte Delta
Comment la science devient une religion
La religion de l’Antéchrist]




Buzyn convoquée devant la Cour de justice de la République concernant la gestion du Covid-19

[Source : RT en français]

[Photo : © Christophe Archambault Source: Reuters]

[NDLR : Buzyn va-t-elle être la victime expiatoire d’un pouvoir à l’agonie qui n’a plus que la vaccination obligatoire à proposer comme avenir aux français ?
Dans ce cas, la possible mise en examen de Buzyn pour « mise en danger de la vie d’autrui » tomberait à point nommé.]

L’ancienne ministre de la Santé, Agnès Buzyn, sera convoquée devant la Cour de justice de la République le 10 septembre au sujet de la gestion du Covid-19. Elle pourrait être mise en examen.

Agnès Buzyn, ministre de la Santé qui avait démissionné mi-février 2020 au début de l’épidémie de Covid-19, est convoquée le 10 septembre à la Cour de justice de la République (CJR) à Paris en vue d’une possible mise en examen, rapporte l’AFP le 9 septembre citant une source judiciaire, et confirmant une information du Monde.

Cette convocation à la CJR, seule juridiction habilitée à juger des ministres dans l’exercice de leur fonction, a lieu dans le cadre de l’enquête menée depuis juillet 2020 sur la manière dont le gouvernement a géré cette épidémie.

À l’issue de cette audition, Agnès Buzyn peut être mise en examen ou ressortir sous le statut plus favorable de témoin assisté si elle parvient à convaincre les juges qu’il n’existe pas suffisamment d’indices graves ou concordants pouvant être retenus contre elle. Contactée par l’AFP, l’ancienne ministre n’a pas répondu immédiatement.

Un risque de propagation du virus «pratiquement nul»

Elle avait quitté le gouvernement mi-février 2020 pour briguer, en vain, la mairie de Paris, et avait été remplacée par Olivier Véran. L’ex-ministre avait créé un tollé en qualifiant les élections municipales de «mascarade» et en déclarant qu’elle «savai[t] que la vague du tsunami était devant nous» au moment de son départ du ministère, à la mi-février.

Pourtant, en janvier, elle avait déclaré publiquement : «Le risque d’importation [du virus] depuis Wuhan est pratiquement nul», ajoutant que «les risques de propagation du coronavirus dans la population sont très faibles».

Devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur la gestion de la crise sanitaire, Agnès Buzyn avait indiqué fin juin 2020 avoir alerté l’Elysée et Matignon dès janvier de la même année sur le «danger» potentiel du coronavirus.

L’enquête avait été ouverte en juillet 2020 après que la commission des requêtes de la CJR, composée de hauts magistrats, avait estimé que neuf plaintes visant l’exécutif étaient recevables. Depuis, d’autres plaintes ont été jugées recevables et jointes à l’enquête.

La commission d’instruction de la CJR avait été saisie de la seule infraction «d’abstention de combattre un sinistre» mais, d’après Le Monde, Agnès Buzyn serait également convoquée le 10 septembre pour une possible mise en examen pour «mise en danger de la vie d’autrui». L’AFP n’a pu confirmer cette information auprès d’une source judiciaire.

Le 8 septembre, le procureur général près la Cour de cassation François Molins, qui représente l’accusation à la CJR, a déclaré que «14 500 plaintes» sur la gestion de la pandémie avaient été déposées à la CJR. Des juges d’instruction parisiens mènent en parallèle une enquête portant cette fois sur la gestion de cette crise par l’administration.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/90440-buzyn-convoquee-devant-cour-justice-republique-concernant-gestion-covid-19




Vers une gouvernance médico-génocidaire mondiale planifiée ?

[Source : ripostelaique.com]

Par Philippe Rossi

Au niveau national

Depuis plus d’une décennie, nous avançons à marche forcée vers une gestion médico-vaccinale autoritaire de notre société dont le but n’est clairement plus la recherche de la santé et de l’intégrité physique des populations.

Ainsi, tous les représentants nationaux de la « santé » sous prétexte d’un dogmatisme pasteurien surfait voire mensonger, n’ont eu de cesse d’alourdir (légalement ?) la charge « vaccinale » obligatoire de la population : la fausse bonhomie de Bachelot (et son plan vaccinal avorté de 2009), l’autoritarisme de Touraine (avec son « la vaccination, ça ne se discute pas »), le cynisme de Buzyn (avec ses 11 vaccins obligatoires délétères pour l’immunité des enfants) et la tyrannie mafieuse de Véran (avec son interdiction persistante faite aux médecins de soigner et son chantage à l’emploi envers les soignants, jadis encensés).

Le piétinement de la vérité et l’utilisation du mensonge ont atteint le sommet de l’ignominie avec le gouvernement Macron : l’inutilité, l’utilité puis l’imposition des masques (criminelle pour les enfants et adolescents), les confinements, les couvre-feux, l’attestation de déplacement dérogatoire préparant le futur passeport « vaccinal » qui ne devait jamais se mettre en place mais quand même à l’œuvre aujourd’hui (grâce à Mr Breton, Fabius, Juppé… !), une vaccination non obligatoire promise mais quand même imposée avec la perspective de son extension à toute la population annoncée par Macron dans son discours brutal, ségrégationniste et psychotique du 12 juillet 2021 qui scelle ainsi la dislocation du contrat social dont le premier représentant de l’État est censé être le garant.

Après avoir neutralisé le débat démocratique, Macron, le représentant d’une gouvernance mondiale sanitaire autoritaire en marche veut, avec le soutien de médecins gavés de conflits d’intérêt, d’hommes politiques corrompus et/ou aveuglés et des médias menteurs, légaliser une « vaccination » perpétuelle criminelle tout en ignorant une bonne dizaine de textes nationaux et/ou internationaux protégeant l’intégrité physique des individus de l’abus de l’interventionnisme médical. Une obligation encouragée aujourd’hui par une bande de sénateurs socialo-félons !

Va-t-il être le fossoyeur terminal de la souveraineté nationale française et réussir à vendre définitivement la souveraineté corporelle de ses administrés aux puissances financières et pharmaceutiques au mépris de leur intégrité physique ?

Son agenda mondialiste avec l’appui de sociétés puissantes de gestion d’actifs comme Blackrock semble de plus en plus clair : refonte du paradigme économique au prétexte d’une crise sanitaire en vue de la mise en place du triptyque poursuivi depuis des décennies : asservissement, surveillance et dépopulation. Le problème du chômage et des retraites pourrait être ainsi réglé de manière radicale !

La firme pharmaceutique Pfizer qui engrange des bénéfices insensés et qui est aujourd’hui leader européen des injections expérimentales nocives, l’est-elle par hasard ?

D’une part, cette firme a réussi à vendre confortablement sa filiale nutrition infantile au groupe suisse Nestlé grâce à l’intervention de Macron de 2008 à 2011, travaillant pour le compte de la banque Rothschild.

https://www.swissinfo.ch/fre/election-pr%C3%A9sidentielle-fran%C3%A7aise_macron-le-banquier-de-nestl%C3%A9-%C3%A0-l-elys%C3%A9e/43153142

D’autre part et curieusement, n’était-elle pas prête à inonder le marché européen avec sa potion injectable dès novembre 2009, avant la déclaration officielle de la pseudo-pandémie ?

Pourquoi cette commande de 1 600 000 000 flacons à vaccins aussi spécifiques ?

Au plan international

Les objectifs de Bill Gates, premier investisseur de L’OMS qui oriente la politique sanitaire mondiale sont très clairs : vaccinations perpétuelles, identité numérique intra-corporelle, dépopulation !

https://www.ted.com/talks/bill_gates_innovating_to_zero?language=fr#t-1374074

https://www.gavi.org/fr/sante-mondiale-et-developpement/objectifs-de-developpement-durable

En juillet 2021, Gates, le pourvoyeur de vaccins, s’est associé au pourvoyeur de migrants, Soros, pour acquérir l’entreprise « Mologic » spécialiste britannique de la fabrication de tests de dépistage.

https://www.ft.com/content/6cec5334-265b-4de7-b176-9d854cce4d86

https://www.fr24news.com/fr/a/2021/07/bill-gates-et-george-soros-rejoignent-le-rachat-de-la-societe-britannique-de-tests-covid.html

https://thepressfree.com/soros-et-gates-soutiennent-le-rachat-du-groupe-britannique-de-technologie-de-diagnostic/

L’association de ces puissances financières privées diaboliques préfigure l’avenir chaotique médico-dictatorial et immigrationniste dans lequel nous sommes en train de plonger, si un sursaut vital et national n’a pas rapidement lieu.

Qui ? Pour arrêter cette marche inexorable vers l’abîme mondialiste, déculturé, décivilisé, transhumaniste, ségrégationniste, génocidaire…

Au vu des forces financières et économiques impliquées dans le processus mortifère en cours, seule une coalition de responsables politiques souverainistes pourra sortir notre pays de l’étau cauchemardesque mondialiste qui est en train de se refermer sur nos vies.

Les leaders des différentes forces souverainistes doivent impérativement oublier leur ego et proposer à la nation un projet de refonte nationale basé très clairement sur l’abandon de l’ignoble passeport ségrégationniste et l’inscription dans la constitution de l’absolue liberté vaccinale des individus afin de protéger leur intégrité physique du cannibalisme financier des firmes pharmaceutiques qui camouflent leurs vils intérêts commerciaux dans un discours et des pratiques faussement scientifiques.

Philippe Rossi




Le cœur battant de la France

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]

« Macron n’a qu’une seule chose à faire : ses valises ! »


Les 3 manifestations complètes contre le pass sanitaire – Paris – 4 septembre 2021




Quand le MEDEF montre les crocs, Bercy passe à la trappe

Par Jean-Michel Grau

On pourrait résumer en une phrase l’état d’esprit qui anime notre sémillant ministre de l’économie en ruine, Bruno Le Maire :

Fort avec les faibles, faible avec les forts.

Après la taxe inique sur le gasoil qui allait mettre le feu aux poudres dans la France périphérique en alimentant pendant des mois la révolte des Gilets Jaunes, durement réprimée à coups de LBD, il aura suffi cette fois-ci que le patron du MEDEF, Geoffroy Roux de Bezieux hausse le ton pour que notre comique des finances rentre dans le rang 4 jours après.

En cause : l’accès aux centres commerciaux de plus de 20 000 mètres carrés conditionné au pass sanitaire. Le président du MEDEF demandait donc ce 2 septembre l’arrêt du pass sanitaire en vigueur dans certains départements pour ces centres commerciaux de plus de 20 000 mètres carrés.

« Sur les centres commerciaux, on a un énorme problème », a déclaré Geoffroy Roux de Bézieux sur RMC/BFMTV. « Cela fait -30 %, -40 % de chiffre d’affaires dans les centres commerciaux où il y a le pass sanitaire… Je vais demander au Premier ministre que le pass sanitaire sur les centres commerciaux soit arrêté », a annoncé le président de l’organisation patronale avant une rencontre dans la journée avec Jean Castex.(([1] francais.rt.com/france/90214-ca-fait-mal-president-medef-demande-arret-du-pass-sanitaire-dans-les-centres-commerciaux))

À peine 4 jours après cette déclaration musclée du patron des patrons, le locataire de Bercy faisait savoir le 6 septembre que le pass sanitaire ne serait plus exigé que dans 64 centres commerciaux sur le territoire français à compter du 8 septembre, contre 178 à l’heure actuelle.(([2] francais.rt.com/france/90341-nombreux-centres-commerciaux-exemptes-pass-sanitaire-partir-8-septembre-covid-19))

Et comme pour ménager la susceptibilité de notre sourcilleux Bruno, le patron du MEDEF, bon prince, lui soufflait l’explication à donner dans ce revirement :
« Il faut arrêter le pass sanitaire dès que possible, dès que les chiffres pandémiques qui ont l’air de baisser le permettront », a-t-il ajouté.

Aussitôt dit, aussitôt fait, ce qui donne aujourd’hui dans la bouche de Bruno Le Maire :

« La décision a été prise en raison de la baisse continue du taux d’incidence constatée sur l’ensemble du territoire »

Sacré Bruno ! Une baisse continue de 4 jours après les déclarations fracassantes du patron du MEDEF ! Il ne manque pas d’humour. La continuité est apparemment à géométrie variable à Bercy…

Mais notre Bruno national ne pouvait pas en rester là. Tout drapé dans son orgueil blessé par ce retournement de veste aussi inopiné que forcé, en répondant à une question de Jean-Jacques Bourdin sur BFM qui lui demandait si l’instauration du pass sanitaire était « nuisible » pour l’économie française, Bruno Le Maire a rétorqué sans sourciller :

« Non, c’est très bon pour l’économie (sic). Il protège les consommateurs, donc il protège notre économie. » Et d’ajouter, penaud :

« Il y a un seul secteur, je le reconnais volontiers, où effectivement il y a eu un impact, c’est les centres commerciaux. »

Un détail… Du Macron pur jus, ou comment « en même temps » affirmer tout de go que les centres commerciaux ont été impactés par le pass sanitaire tout en maintenant que celui-ci est très bon pour l’économie ! On en reste pétrifié de consternation.

Qu’il me soit permis ici de décerner à Bruno Le Maire, le titre de « clown de l’année ».




Les Français ne peuvent plus compter que sur eux-mêmes et sur leur mobilisation — Rémi Tell

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Co-fondateur du collectif Peuple Libre, créé en mai dernier, Rémi Tell revient nous parler de l’évolution des événements, tant sur le plan sanitaire que sociétal et politique. 

Souvent remarqué aux côtés du président des Patriotes Florian Philippot, il se dit fier de savoir joindre ses forces aux siennes pour lutter contre « l’ennemi » commun, un ennemi qu’il juge profondément corrompu, notamment par l’industrie pharmaceutique. Pour illustrer ses propos, il reprend l’exemple du remdesivir, d’une pétition de soignants pour la vaccination obligatoire, ou encore de la façon dont Emmanuel Macron est devenu millionnaire avant d’être élu président. Selon lui, retrouver nos libertés et ainsi redonner naissance au débat démocratique est une priorité. C’est ce qui permettrait ensuite à chacun de pouvoir reprendre son chemin pour reconstruire la société sur des bases saines.



Cela passe nécessairement par les manifestations, car « les garde-fous traditionnels sont tombés ». En plus de ces rassemblements auxquels il participe régulièrement, Rémi Tell souligne les effets importants qu’a eu le boycott sur les restaurants, les salles de sport ou les cinémas pendant l’été, et invite tout le monde « au courage » pour continuer la lutte. Selon lui, il en va « de l’avenir de nos enfants, de notre humanité, de notre civilisation, de notre rapport plurimillénaire au bien et au mal, à la vérité. »

Voir aussi : Le Collectif Peuple Libre, une nouvelle mobilisation

Auteur(s): FranceSoir




C’est reparti comme en 40

Par Jean-Michel Grau

Chassez le naturel, il revient au galop.

On connaissait déjà la couverture du Monde de Macron sur fond de foule aux Champs-Élysées qui avait plagié l’affiche d’Hitler du graphiste Lincoln Agnew sur fond de foule à Nuremberg.(([1] rtbf.be/info/medias/detail_le-monde-a-t-il-vraiment-assimile-emmanuel-macron-a-adolf-hitler?id=10108123))

Le Monde avait probablement été inspiré par le slogan de campagne de Macron en 2017 de « La France en marche » repris du même slogan de Vichy…

Aujourd’hui, c’est le groupe européen « Renaissance », soutien de la majorité présidentielle, qui récidive dans une affiche vantant la politique européenne des vaccins dans un message et un graphisme dignes des pires affiches de la collaboration pétainiste de 1940.(([2] francais.rt.com/france/90203-vaccins-europe-fait-taire-nationalistes-propagande-macroniste-malhonnete-renaissance))

Il y a des noms de mouvements politiques qui sentent fort la réminiscence des années 40.

« Renaissance » en fait partie, surtout lorsque le mot est accolé à l’Europe. Doit-on rappeler ici que les premiers européistes étaient fascistes, nazis et pétainistes et que Walter Hallstein le premier président de la Commission européenne était un ancien nazi ?(([3] comite-valmy.org/spip.php?article8641))

Ainsi Goebbels, chargé par Hitler de développer un « programme européen », déclarait dans son journal : « Le but de notre combat doit être, toujours et encore, de créer une Europe homogène. »

Et il ajoutait : « Mais l’Europe ne peut connaître une organisation claire que par les Allemands. »

Sans commentaire.

Par ailleurs, les unités de Waffen SS, étaient déjà européennes : belges, hongroises, néerlandaises, françaises, baltes… S’il n’y avait pas aujourd’hui l’OTAN fermement et durablement installée à Bruxelles, le rêve de Macron d’armée européenne aurait été exaucé depuis longtemps.

Mais le fantasme d’une « gross Europa » n’était pas qu’allemand…

Pierre Laval, chef du gouvernement français, était déjà un partisan de la Nouvelle Europe (Das Neue Europa). Le 22 juin 1942, il prononce le discours suivant :

« De cette guerre surgira inévitablement une nouvelle Europe. On parle souvent d’Europe, c’est un mot auquel, en France, on n’est pas encore très habitué. On aime son pays parce qu’on aime son village. Pour moi, Français, je voudrais que demain nous puissions aimer une Europe dans laquelle la France aura une place qui sera digne d’elle. Pour construire cette Europe, l’Allemagne est en train de livrer des combats gigantesques. Elle doit, avec d’autres, consentir d’immenses sacrifices. Et elle ne ménage pas le sang de sa jeunesse. Pour la jeter dans la bataille, elle va la chercher dans les usines et aux champs. Je souhaite la victoire de l’Allemagne, parce que, sans elle, le bolchevisme, demain, s’installerait partout. »(([3] comite-valmy.org/spip.php?article8641))

Le 20 avril 1943, il est reçu par Hitler, avec Ribbentrop et le fasciste italien Bastianini, afin de participer à l’organisation de la Nouvelle Europe.

Sous-secrétaire d’État aux affaires étrangères, Bastianini avait proclamé le « programme Europe » qui fut massivement diffusé en Italie. Il s’agissait d’un plan de future union ou confédération européenne, repris par Ribbentrop et relancé en avril par Mussolini et Laval lors de leurs entrevues avec Hitler.(([3] comite-valmy.org/spip.php?article8641))

Comme on le voit ici, les origines de l’Union européenne n’ont rien de franchement démocratique.

Quant au rôle joué par Jean Monnet dans la construction européenne, je rappelais dans un article précédent(([4] nouveau-monde.ca/de-lunion-europeenne-a-lunion-de-lenfermement/)) qu’il avait préconisé avec les traités, un effet d’engrenage, à savoir un transfert « en douceur, mais irréversible des compétences régaliennes vers des organismes techniques échappant à la volonté des peuples.» On ne peut être plus clair…

Si l’on ajoute que l’ancien président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker déclarait en 2015: « Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens », faut-il encore s’étonner qu’aujourd’hui l’Union européenne impose le pass sanitaire à tous ses ressortissants ?

Justement, pour revenir à l’affiche du groupe « Renaissance » auquel appartient Macron, on ne s’étonnera donc pas qu’elle puise son inspiration dans le régime de Vichy.

Si l’on compare cette affiche à celle de la Ligue française éditée en 1941 sous Vichy, on ne peut qu’être surpris par leur parenté visuelle : même regard haineux du personnage principal. Contre le juif, le capitaliste, le franc-maçon pour Marianne… Contre Jean-Luc Mélenchon, Marine Le Pen, Viktor Orban et Boris Johnson pour la présidente de la Commission européenne.

Ensuite, l’accent est mis sur le contraste entre la figure principale et ses cibles : têtes angéliques de Marianne et d’Ursula Van der Leyen, respectivement ceintes de lauriers et d’étoiles, symboles de gloire pour l’une et de divinité pour l’autre, les étoiles entourant la tête de Van der Leyen telle une auréole…

Inversement, les cibles – juif, capitaliste et franc-maçon pour l’affiche de Vichy – et les nationalistes, ou perçus comme tels, pour l’affiche du groupe « Renaissance UE », sont caricaturés avec une expression négative, voire grimaçante.

Il s’agit là de grosses ficelles utilisées par la propagande de toutes les dictatures, auxquelles on peut rajouter le bâton tenu fermement dans la main de Marianne, mais que les commanditaires de l’affiche du groupe européen se sont abstenus de rajouter, car dans leur esprit, l’arme fatale contre le nationalisme réside dans les « vaccins ». Certes, on aurait pu imaginer la présidente de la Commission européenne armée d’une seringue à la main, mais apparemment, ils n’ont pas osé…

Enfin, mettre dans le même paquet deux adversaires politiques français, qui, soit dit en passant, ne sont ni anti-UE, ni même anti-vaccins Covid, avec deux chefs d’État européens en dit long sur le désarroi des européistes pour défendre l’indéfendable : une UE aux abois pour qui il ne reste plus que la dictature sanitaire à proposer aux européens comme avenir.

Avec le premier président de la Commission européenne de 1958 à 1967, Walter Hallstein, toute la rhétorique du IIIe Reich fut adoptée suite à la reprise du projet de « la nouvelle Europe ». La différence était que la propagande exercée était dorénavant accompagnée de deux nouveaux concepts de communication importés des USA : le marketing politique et le storytelling. Cette nouvelle force de communication fut facilitée par le soft power, développé par l’américain Joseph Nye. La propagande se transforma alors en communication. (([3] comite-valmy.org/spip.php?article8641))

Mais c’était sans compter avec le forum de Davos de Klaus Schwab, né dans l’Allemagne d’Hitler et dont le père était un nazi fanatique, qui nous fait faire aujourd’hui un grand pas en arrière de 80 ans avec le grand retour de la propagande des années 40. La preuve par Macron et son groupe européen « Renaissance UE ». Le plus paradoxal est que cette propagande pour le moins vintage se veut être au service de l’innovation et de l’intelligence artificielle dont Klaus Schwab est le chantre le plus fanatique et Macron, le serviteur le plus zélé.

En témoignent les derniers mots échangés entre le maître et son dauphin dans une visioconférence en direct du Forum de Davos en janvier dernier :(([5] nouveau-monde.ca/le-loup-garou-explique-aux-innocents/))

— Macron :

« Les innovations vont nous permettre de créer de la valeur et de répondre aux défis économiques. Mais elles vont poser des problèmes auxquels nous n’avons pas assez réfléchi en termes démocratiques, en termes de libertés publiques et d’augmentation des inégalités sociales. »

— Schwab :

« Il y a des dirigeants qui ont une idée très claire de ce qu’ils veulent faire de cet avenir que l’on veut construire pour le bien de tout le monde. »

— Macron :

« N’oublions jamais que notre objectif est toujours en société de construire la vie bonne (sic), avec les vertus qui vont avec, et la volonté de respecter l’autre. »

« Le bien de tout le monde » et « la volonté de respecter l’autre » : quand on sait que cette dictature sanitaire, dont Schwab est le grand architecte et Macron le chef de chantier, nous mène droit à l’esclavage et ne s’arrêtera que quand on aura mis hors d’état de nuire cette bande de criminels au service de l’oligarchie financière mondialiste, il y a de quoi s’étrangler. Pour mieux s’insurger.




Joe Biden : destitution, démission ? Le dilemme impossible des démocrates

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Anthony Lacoudre, pour FranceSoir

CHRONIQUE – Depuis le désastre de la gestion par Joe Biden du départ des troupes américaines d’Afghanistan, les discussions à Washington DC vont bon train, à droite comme à gauche, concernant la nécessité de mettre un terme aux fonctions du président au plus vite.

État d’incapacité mentale

Ce qui était déjà évident pour le public informé pendant la campagne électorale en 2020 est devenu impossible à camoufler par les grands médias : Joe Biden n’est pas seulement incompétent, il est frappé d’incapacité mentale, ce qui est très différent.

Les innombrables montages vidéo montrant Joe Biden incapable de formuler une phrase compréhensible font fureur sur les médias sociaux depuis son élection. Pour prendre un exemple récent, à la question « quand les enfants de moins de douze ans pourront-ils se faire vacciner ? », Joe Biden a répondu de la façon suivante, devant les yeux éberlués du journaliste : « Et la question est de savoir si oui ou non nous serons en position où vous, euh… hum… êtes, pourquoi les… les… les experts ne sont, ne peuvent dire nous savons que ce virus est en fait un… hum… euh… Va être, ou excusez-moi, quand nous saurons pourquoi tous les médicaments approuvés ne sont pas approuvés temporairement mais sont approuvés de façon permanente. Et c’est en route aussi… ». (CNN Town Hall du 21 juillet 2021). Puis il s’est mis à parler de l’homme qui a marché sur la Lune et des extraterrestres ! (sic)

Quand il prononce des phrases compréhensibles (en lisant sur un téléprompteur), le résultat est tout autant inquiétant. Lors d’une conférence de presse organisée le 7 juillet dernier, il déclarait : « La prise de l’Afghanistan par les talibans n’est pas inévitable parce que vous avez 300 000 troupes afghanes, bien équipées, aussi bien que ne l’est n’importe quelle armée dans le monde, avec une force aérienne, contre environ 75 000 talibans. Ce n’est pas joué. La probabilité que les talibans contrôlent tout et détiennent le pays en entier est très faible ».

Autrement dit, Joe Biden n’est plus connecté au monde réel, il n’est plus maître de ses moyens intellectuels. Il n’arrive pas à évaluer les différentes options et à assimiler l’avis de ses conseillers, il ne comprend pas les conséquences de ses actions (ou de son inaction), ce qui fait courir un grand danger au pays, qu’il s’agisse des affaires intérieures (crise migratoire, inflation, dette publique, criminalité, etc…) ou des affaires étrangères, sujet sur lequel le président agit seul en tant que Commander in Chief.

La question n’est donc pas tant de savoir s’il va être destitué mais plutôt par qui. En effet, deux options sont envisageables à ce stade.

Vers un impeachment en 2023 ?

Il ne fait désormais plus aucun doute que si les républicains recouvrent la majorité dans les deux chambres du Congrès à la suite des élections du mois de novembre 2022, un procès en destitution (impeachment) sera immédiatement tenu contre Joe Biden. La procédure est constituée de deux étapes. Une mise en accusation conduite par la Chambre des représentants (à la majorité simple) suivie d’une condamnation ou d’un acquittement par le Sénat (à la majorité renforcée).

Les sujets de condamnation ne manquent pas. Les soupçons de trafic d’influence orchestré de concert avec son frère et son fils, alors que Joe Biden était le vice-président de Barack Obama, pourraient refaire surface.

Il est toutefois probable que le chef d’inculpation relèvera plus de la haute trahison. L’abandon volontaire du contrôle de la frontière avec le Mexique associé à la déroute du départ des troupes américaines d’Afghanistan constituent un cocktail explosif. Réussir à provoquer deux crises humanitaires en l’espace de quelques mois est inédit, de la part d’un président dont le slogan électoral était « America is back » (l’Amérique est de retour).

Concernant l’Afghanistan, Joe Biden aura donc été incapable d’anticiper les conséquences de sa politique. Il a fait partir l’intégralité des troupes – en fermant l’aéroport militaire de Bagram – avant d’organiser l’évacuation des diplomates, des citoyens américains et des alliés (étrangers ou afghans) ainsi que le rapatriement des prisonniers de guerre (immédiatement libérés par les talibans) et des armes, munitions et équipements militaires parmi les plus sophistiqués du monde (y compris hélicoptères Apaches de dernière génération, des drones, etc…). Une erreur de jugement dramatique mettant directement en cause la sécurité nationale des États-Unis.

À ce jour, une douzaine de milliers d’Américains sont tenus en otage par les talibans. Le général (en retraite) Don Bolduc précise sur Fox News (22 août) : « Il est évident qu’il s’agit d’un désastre absolu aux conséquences géopolitiques inconcevables. Il n’y a aucun doute que nous avons d’ores et déjà une situation d’otages. J’ai opéré à Kaboul chaque année (ndlr: pendant dix ans), je connais la situation intimement. Il ne sera pas possible de rejoindre l’aéroport de Kaboul sain et sauf dans les conditions qui ont été établies par la stratégie de ce retrait. C’est insensé ».

« Joe Biden a supervisé une politique étrangère qui a généré la plus grande humiliation de l’histoire des États-Unis. Les nations du monde, amies et ennemies, nous observent et se disent « que s’est-il donc passé en Amérique en si peu de temps ? » Ils n’en reviennent pas. Ils ne respectent plus les États-Unis et son président »

(Donald Trump, discours du 21 août en Alabama).

La culpabilité du président sera incontournable notamment si les membres de la Chambre des représentants parviennent, dans le cadre de leur enquête, à prouver que Joe Biden a dirigé les opérations en Afghanistan en faisant fi des avis et conseils de son entourage (renseignement, État-major, ministre de la Défense).

Le sénateur républicain Lindsey Graham annonce la couleur :

« Si Joe Biden ne rapatrie pas l’intégralité des citoyens américains, s’il ne rapatrie pas ceux qui ont combattu à nos côtés, ils vont être massacrés et Joe Biden aura commis un crime grave (ndlr un « high crime » justifiant un impeachment comme le prévoit la Constitution). S’il fait ça, il doit partir. N’importe quel officier militaire passerait en cour martiale pour cela ».

Voir aussi : Joe Biden : une gestion « covid » calamiteuse

Destitution par Kamala Harris

La seconde option consisterait pour la vice-présidente Kamala Harris à anticiper l’impeachment et à recourir – de façon préventive avant les élections de mi-mandat – à la procédure de destitution prévue par le 25ème amendement constitutionnel.

D’après cet amendement, lorsqu’un président en fonction n’est plus en capacité d’agir (physiquement ou mentalement), le vice-président peut formellement constater ladite incapacité (sénilité, démence).

Puis, si une majorité des membres du gouvernement se rangent derrière l’avis du vice-président, ce dernier remplace automatiquement le président dans ses fonctions.

Si le président s’oppose à sa propre destitution, le Congrès est alors saisi pour un vote à la majorité des deux tiers en faveur ou contre la destitution. Le vice-président remplace alors le président destitué, ce qui, en l’occurrence, porterait au pouvoir Kamala Harris.

Cette même Kamala Harris, en qui 55 % des Américains voient une personne qui n’est pas qualifiée pour exercer les fonctions de président (sondage Rasmussen Research d’août 2021). Cette même Kamala Harris qui s’est vantée devant les caméras de CNN au mois d’avril dernier d’avoir été fortement impliquée dans les discussions du retrait des troupes d’Afghanistan, opération qu’elle approuvait dans ses moindres détails, précisant toutefois malicieusement que « la décision finale appartient à Joe Biden ».

Claudia Tenney, membre républicain de la Chambre des représentants (élue de New York) résume bien la situation (interview du 20 août) : « Avec la vice-présidente Harris, je sais que nous n’avons pas un problème de déclin cognitif. Elle n’est peut-être pas compétente pour être présidente, mais au moins elle sera capable de tenir compte de l’avis de ses conseillers et elle comprendra la réalité de la situation sur le terrain ».

Le scénario de la démission

Pour éviter l’humiliation de l’une ou de l’autre de ces deux hypothèses (impeachment ou destitution), il est également envisageable que l’entourage de Joe Biden réussisse à le convaincre de démissionner, notamment si le président continue de plonger dans les sondages d’opinion.

Depuis quelques semaines en effet – avant même que n’intervienne la débâcle de Kaboul ! – Joe Biden est « sous l’eau » (under water) : les Américains qui désapprouvent sa politique étant désormais plus nombreux que ceux qui l’approuvent. Par ailleurs, d’après un sondage récent (Rasmussen Research), si l’élection présidentielle avait lieu aujourd’hui, Donald Trump l’emporterait avec 6 % d’avance sur Joe Biden. Les prochains sondages d’opinion post épisode Afghan risquent d’être fracassants.

La démission de Joe Biden avant les élections de mi-mandat viserait ainsi à éviter que le président entraîne l’ensemble des élus du parti démocrate dans sa chute.

La problématique du Sénat

En cas de destitution ou de démission de Joe Biden intervenant avant les élections de mi-mandat, se posera alors la problématique du contrôle du Sénat.

On rappellera que le Sénat est actuellement composé de 50 sénateurs démocrates et de 50 sénateurs républicains. En cas de blocage, Kamala Harris, en sa qualité de vice-présidente, vient apporter la 101ème voix. Les démocrates sont donc actuellement majoritaires au Sénat.

Mais si Kamala Harris devient calife à la place du calife, les démocrates perdent la majorité au Sénat. Il reviendra en effet aux 100 sénateurs de désigner le nouveau vice-président successeur de Kamala Harris (sans que celle-ci ne puisse participer au vote), ce qui forcera les deux partis à se mettre d’accord sur un candidat « neutre » que les démocrates ne contrôleront pas.

Les démocrates ont donc le choix entre conserver Joe Biden à la présidence quel que soit son état de santé jusqu’aux élections de mi-mandat, quitte à faire sombrer le navire entier, ou remplacer Joe Biden par Kamala Harris lorsque la situation ne sera plus tenable, perdant au passage la majorité au Sénat.

Auteur(s): Anthony Lacoudre, pour FranceSoir




États-Unis : quand les fraudes sont désormais des faits…

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Elisabeth Dancet, journaliste pour FranceSoir

CHRONIQUE – Le cyber-symposium organisé par l’entrepreneur Mike Lindell à Sioux Falls dans le Dakota du Sud a réuni les chercheurs pour récapituler les faits avérés sur ce qui s’est véritablement passé le 3 novembre 2020 lors des élections présidentielles. Du 10 au 12 août, législateurs et représentants élus des 50 États, procureurs et avocats, geeks, représentants de la presse, citoyens et patriotes ont découvert comment les votes ont été manipulés par des algorithmes exécutés via les machines de votes dans tous les États, et constaté par eux-mêmes la montagne d’évidences rassemblées par les différents groupes de citoyens indépendants experts, ingénieurs, statisticiens attestant du plus vaste cyber-crime jamais perpétré dans le monde occidental. Rappelons que ces groupes sont non partisans, et beaucoup de ces chercheurs n’ont pas voté pour Donald Trump. Ces volontaires physiciens, mathématiciens, hackers et spécialistes de cyber sécurité ont mis leurs compétences au service du recouvrement de l’intégrité du système électoral. Ils croient en leur République et en la Constitution et ont refusé d’adhérer aux mensonges martelés par les médias, constatant dès la nuit de l’élection – et pour les spécialistes du renseignement, plusieurs semaines avant la date – que « quelque chose clochait vraiment avec les résultats ».

Les algorithmes identifiés et révélés au public

Durant la soirée de dépouillement des élections le 3 novembre, la mathématicienne Draza Smith observe ces mouvements singuliers dans la progression des votes, y compris des votes soustraits au président Trump ou des fractions de votes attribués aux candidats, tout cela en temps réel. Grâce à ces mouvements, elle repère le fonctionnement de systèmes de perturbation connus en mathématiques des cyber experts, et mis en œuvre pour aboutir à un résultat prédit à l’avance, à partir d’un historique de données, en l’occurrence l’historique des votes d’un État donné. Ces systèmes s’appellent des régulateurs PID, ces algorithmes rectifient au fur à mesure les données reçues, en effectuant des actions correctives proportionnelles, intégrales et dérivées pour aboutir aux résultats recherchés. Mais le fait que de trop nombreux citoyens se soient déplacés pour voter pour Trump a saturé ces régulateurs. Ceci explique pourquoi les États clés ont arrêté de compter sous divers prétextes fallacieux durant la nuit du 3 au 4 novembre 2020 : les régulateurs n’avaient plus assez de votes en réserve pour effectuer les mouvements d’oscillation prévus en direction de la victoire de Biden.

Ces observations viennent compléter la découverte par le physicien Douglas Frank d’un autre algorithme installé pour faire aller l’élection dans le sens voulu par l’État profond. Ce système applique des clés de modification des votes par tranche d’âge pour changer les votes au fur et à mesure du processus de l’élection, sur la base du recensement de 2010. La stratégie a été établie par État, puis déclinée par comté en utilisant des algorithmes polynomiaux du sixième ordre. Le recensement de 2010 est un choix astucieux des cyber criminels, car il donne au système une ligne de crédit, autrement dit des réserves de voix d’électeurs fantômes par tranche d’âge, tout en respectant la courbe du recensement : les citoyens qui ne votent pas, les électeurs décédés et ceux qui ont quitté l’État et auraient dû être retirés des listes électorales. Pour faire tourner les algorithmes, il faut voter avec des machines, que celles-ci soient programmées et connectées à Internet. Le professeur Frank a appliqué ce même algorithme et a ainsi pu prédire les résultats de tous les comtés de l’Ohio. En ajustant les clés, il a réitéré le calcul et a retrouvé les résultats de 13 autres États : une clé par État, selon la courbe de sa population. Rien de naturel dans ces résultats donc, mais l’application dudit algorithme. Comme l’a affirmé le professeur Frank durant le séminaire : « Nous possédons les preuves mathématiques des fraudes électorales massives intervenues dans tous les comtés des États-Unis ; il s’agit maintenant de faire passer le message au grand public, en expliquant ces manœuvres techniques sophistiquées de la manière la plus compréhensible possible. »

Les fraudes constatées par comté

De son côté, le capitaine Seth Keshel, vétéran du renseignement militaire et spécialiste de l’analyse des probabilités, a présenté un travail statistique remarquable accompli sur l’ensemble des 3242 comtés des 50 États. Croisant pour chaque État l’historique des résultats des élections précédentes en remontant parfois jusqu’à 1948, les mouvements de population et l’évolution du nombre d’inscrits aux différents partis sur les listes électorales, pour établir les résultats prévisionnels dans chaque circonscription, il a déterminé les comtés où la fraude est plus que probable (cf. la carte ci-dessous). Selon les États, les fraudes ont été perpétrées via les bulletins de vote par correspondance ou grâce aux algorithmes, ou en combinant les deux procédés. Suite à ses calculs, S. Keshel incite les élus et les citoyens à exiger un audit judiciaire complet des élections dans ces comtés. Ses projections statistiques conduisent aux mêmes résultats que les autres chercheurs indépendants. Donald Trump a gagné tous les États clés : l’Arizona, la Géorgie, le Michigan, la Pennsylvanie, le Nevada, le Minnesota, le Wisconsin. D’après Keshel, ce système frauduleux a aussi servi à voler leur siège à cinq sénateurs républicains lors des dernières élections. Il encourage les États où Trump a gagné, comme le Texas, à conduire des audits dans certains comtés où des fraudes ont également été commises. Dans ces circonscriptions, Trump a bénéficié d’une part importante du vote hispanique et a gagné beaucoup plus largement que les résultats officiels. Il appelle à l’action les législateurs des États concernés pour soutenir et conduire les audits judiciaires nécessaires, aller au bout du processus et rétablir la vérité sur les élections générales.

La détermination des patriotes renforcée par ce symposium

Rassembler en un même lieu à la fois un panel d’experts non partisans, parvenus aux mêmes conclusions de manière indépendante, diffuser en temps réel les présentations des analyses et des preuves devant un parterre où les 50 États sont représentés, a porté un sacré coup à « l’État profond ». Pendant le symposium, les attaques se sont multipliées, en interne et à l’extérieur, l’équipe de Mike Lindell a été infiltrée, les serveurs utilisés pour la retransmission du séminaire ont crashé, ces intimidations ont touché aussi les personnes : Mike Lindell a été menacé dans le hall de son hôtel. Tina Peters, une des rares employées électorales du comté de Mesa dans le Colorado, ayant osé témoigner durant le séminaire, a confirmé que les machines de vote Dominion sont connectées à Internet, et que les mots de passe sont aux mains uniquement du secrétaire d’État et des employés de Dominion. Pendant son absence, les machines de vote, routeurs et équipements électroniques ont été saisis dans son bureau. Le colonel Phil Waldron, impliqué depuis le début dans l’identification des fraudes, a rejoint l’équipe d’experts rassemblée par Lindell. Cet expert en cyber attaques a identifié ces perturbateurs dont le rôle est de discréditer les législateurs venus participer au symposium : activité connue des services de renseignement et destinée à diviser le peuple, que ce soit par les préférences politiques, la couleur de peau ou la religion.

Comme l’a expliqué le professeur de droit David Clements, organiser une telle fraude à l’échelle nationale est l’œuvre d’un véritable cartel criminel, avec ses commanditaires, organisateurs, spécialistes, complices et hommes de main. Avant d’enseigner, D. Clements a acquis une longue expérience de procureur et instruit plus de 120 affaires devant différents jurys, il a enquêté, poursuivi et mis sous les verrous les membres de cartels de la drogue. Il s’agit maintenant de découvrir les commanditaires, acteurs et complices du cartel qui a organisé le vol électoral dans tout le pays. Il avertit publiquement les complices, qu’ils soient parmi les fonctionnaires électoraux, les employés des fabricants de machines de votes Dominion, IMS ou Smartmatic, et politiciens de tous bord des différents États, qu’il est temps de venir témoigner afin d’alléger leur peine.

Grâce à ce symposium, et malgré les opérations menées pour déstabiliser et décrédibiliser Mike Lindell et ses équipes, la synergie créée entre les participants constitue le ferment d’actions citoyennes dont l’envergure s’accroît. Les législateurs, représentants du congrès et sénateurs des États repartent avec un plan d’action, ils ressortent soudés et déterminés à mener les audits judiciaires pour faire la lumière sur les élections, et se sentent soutenus et renforcés dans leur responsabilité constitutionnelle et leur serment de servir leur peuple. Trop d’Américains sont maintenant déterminés à connaître la vérité sur ces élections. Le rapport complet sur l’audit judicaire du comté de Maricopa en Arizona devrait être rendu public dans la deuxième semaine de septembre. D’autres audits sont engagés – tout en faisant face à de nombreux obstacles -, en Pennsylvanie et en Géorgie.

Durant la campagne, Joe Biden a commis un lapsus qui ne faisait certainement pas partie du script qu’on lui avait préparé, déclarant publiquement : « Nous avons mis au point le système de fraude électorale le plus étendu et le plus inclusif dans l’histoire de la politique américaine. »

Celui-ci est en train d’être démantelé et révélé au public.

Auteur(s): Elisabeth Dancet, journaliste pour FranceSoir




«Zone libre» : les restaurateurs affichent leur refus de contrôler le passe sanitaire

[Source : Médias Citoyens Diois (mediascitoyens-diois.info)]

Par Paul Sugy

[Illustration : La page Facebook du collectif «Zone libre». Capture d’écran Facebook]

Un collectif veut garantir aux clients que le passe sanitaire ne sera pas contrôlé dans certains établissements. Cette petite «pastille verte» commence à faire des adeptes, au risque d’attirer l’attention des autorités.

Pour ce restaurateur d’une ville de l’est de la France, il était hors de question de contrôler ses propres clients : il n’est «pas leur mère». Avec ou sans passe sanitaire, donc, tous continuent d’être accueillis dans son établissement, et l’entrée en vigueur des mesures estivales n’y a rien changé. Il faut dire que l’irréductible aubergiste n’en est pas à son coup d’essai: pendant le confinement, il continuait de servir trente à quarante couverts par jour, comme si de rien n’était…

Mais voilà : sur fond de contestation grandissante, ce réfractaire tient là un véritable argument marketing. Et les clients du troquet ne s’y sont pas trompés, qui viennent plus nombreux qu’à l’accoutumée siroter avec leur cervoise le goût savoureux de la liberté. «Les gens me connaissent depuis longtemps, explique-t-il. Ils savent que je ne suis pas dans la conformité… Ils se le disent entre eux, ils en parlent, et la rumeur se répand. Ceux qui viennent boire ici aujourd’hui le font en partie parce qu’ils savent que je ne les embêterais pas.»

L’un d’entre eux ajoute tout de même que la configuration des lieux aide aussi à prendre le risque de s’y attabler, même sans passe sanitaire : donnant sur une petite cour, la taverne offre une confortable «issue de secours» au cas où les forces de l’ordre viendraient effectuer une visite impromptue. Quant au risque d’une fermeture administrative, le patron le redoute mais le relativise quelque peu: «Avec un référé-liberté , on peut réduire considérablement le temps de fermeture; mais enfin chaque jour compte, et quand je reste fermé je n’ai pas d’argent qui rentre». Alors, s’il faut en passer par là, il reste toujours les vieilles combines. Comme celle-ci : on peut scanner cinq fois le même QR code pour cinq clients différents. L’application dont disposent les restaurateurs, elle, ne fait pas la différence et le gérant des lieux pourra toujours expliquer s’être fait berner au cas où la patrouille arrive.

Du reste, la ville assure de son côté au Figaro n’avoir «pas connaissance» de cette initiative, et poursuivre malgré tout les contrôles dans les établissements de son territoire soumis à l’obligation de vérifier le passe sanitaire.

«TOUS BIENVENUS»

Ce restaurant qui clame haut et fort son rattachement à la «zone libre» n’est pas le seul; et pour encourager à la désobéissance, un mouvement est même né sur les réseaux sociaux, proposant aux récalcitrants d’appâter les clients non-vaccinés au moyen d’un discret petit macaron vert distribué à qui en fait la demande. «Ici, on respecte votre liberté, votre dignité et le secret médical» peut-on y lire, au milieu d’un slogan, «tous bienvenus», qui forme une drôle de contrefaçon du célèbre «venez comme vous êtes» d’une enseigne de fast-food bien connue.

«Zone libre», proclame ce macaron vert affiché sur la vitrine de certains restaurateurs. Capture d’écran Facebook

À l’origine, l’initiative n’était pourtant pas si insolente que cela: «J’ai eu l’intuition qu’il fallait un message positif pour contrebalancer la morosité des annonces d’Emmanuel Macron», confie l’instigateur du mouvement. Au lendemain de l’introduction du passe sanitaire, il propose alors à ceux des commerçants de son quartier qui ne sont pas soumis à l’obligation de contrôler le passe d’afficher le petit macaron vert, pour rappeler aux clients qu’il subsiste «quelques espaces de liberté». «C’était une façon de fédérer derrière un message réjouissant, mais je n’avais pas en tête de lancer un mouvement de désobéissance civile», ajoute-t-il.

L’appétit vient en mangeant. Alors que l’autocollant connaît un vif succès, il est vite sollicité par des restaurateurs («une vingtaine en quelques jours») qui imaginent déjà en faire l’emblème de leur refus d’appliquer les consignes. Et d’inoffensif qu’il était, voilà le petit macaron vert devenu malgré lui un symbole dissident.

L’ennui, c’est qu’être visible est à double tranchant. De même que l’idée, un temps imaginée par le collectif, de constituer un annuaire des établissements réfractaires, en est toujours au point mort. Et s’il se «garde bien de communiquer les noms et adresses des restaurateurs» qui lui ont demandé des macarons, le fondateur de «Zone libre» admet donc que concilier la volonté de publiciser ces établissements, tout en les préservant d’un contrôle administratif désagréable, constitue un drôle de numéro d’équilibriste. Encore que tous les restaurants concernés n’ont pas le même souci de la discrétion: certains n’hésitent pas même à communiquer auprès de la presse locale, comme ici à l’endroit de nos confrères de La Dépêche .

Pour les plus prudents, le petit rond vert reste néanmoins planqué dans le tiroir-caisse, et on ne le sort que discrètement, pour quelques photos avec des clients de connivence. Beaucoup du reste le reconnaissent: si l’on veut recevoir des clients non-vaccinés sans trop attirer l’attention, le plus sûr reste de compter sur le bouche-à-oreille. Message reçu cinq sur cinq pour beaucoup d’abonnés de la page Facebook du mouvement «Zone libre», qui ne publient que des informations très vagues («Zone Libre à […] chez un restaurateur courageux») et ne communiquent ensuite les bonnes adresses que par message privé.

Paul Sugy




Urgent: pourquoi un week-end décisif ?

[Source : La Minute de Ricardo]



[Voir aussi :
La clef de la libération
Note sur l’avenir
L’avenir se crée maintenant
Liberté et responsabilité
Souveraineté
Comment s’unir
Dépasser le conflit
Quand la paix existera-t-elle vraiment ?
Masse critique
Prendre sa santé en main
Sortir de la crise
L’âme d’une nation
L’enjeu majeur de notre époque
Entendre et écouter pour communiquer, maintenant et dans l’Humanité future
Note sur les problèmes et les opportunités]




Les Etats-Unis autorisent pleinement le vaccin de Pfizer, obligation vaccinale pour l’armée

[Source : RT en français]

[Photo : © KIM HONG-JI Source: Reuters]

Washington a pleinement approuvé le vaccin de Pfizer, qui bénéficiait jusqu’ici d’une autorisation temporaire d’urgence. Dans la foulée, le Pentagone a annoncé que le vaccination contre le Covid allait devenir obligatoire dans l’armée américaine.

L’Agence américaine des médicaments, la Food & drug administration (FDA), «a approuvé le premier vaccin contre le Covid-19» dans le pays, a-t-elle déclaré ce 23 août dans un communiqué. Le vaccin de Pfizer bénéficiait depuis décembre d’une autorisation d’urgence. Il continue à être disponible pour les enfants et adolescents de 12 à 15 ans sous cette autorisation conditionnelle, a précisé la FDA.Lire aussi L’EMA examine de possibles nouveaux effets secondaires liés aux vaccins anti-Covid à ARN messager

«Même si des millions de personnes ont déjà reçu de façon sûre des vaccins contre le Covid-19, nous reconnaissons que pour certains, cette autorisation pourra donner plus de confiance dans la vaccination», a déclaré la responsable par intérim de la FDA, Janet Woodcock, citée dans le communiqué. «L’importante étape d’aujourd’hui nous rapproche un peu plus de renverser le cours de la pandémie aux Etats-Unis», a-t-elle ajouté. 

«Nous avons évalué les données scientifiques et les informations incluses dans des centaines de pages [et] conduit notre propre analyse de la sûreté et de l’efficacité» du vaccin, a détaillé Peter Marks, responsable scientifique au sein de la FDA. Il a précisé que le processus de production du vaccin avait également été vérifié, y compris via des visites d’usines.

Cette autorisation complète pourrait permettre à certaines autorités d’imposer la vaccination sans crainte de recours légaux. De fait, dans la foulée l’homologation définitive du sérum de Pfizer, le Pentagone a annoncé que le vaccin contre le Covid-19 allait devenir obligatoire dans l’armée américaine.

«Maintenant que le vaccin de Pfizer a été approuvé, le ministère va diffuser une directive imposant à tous les personnels engagés de se faire vacciner», a ainsi déclaré le porte-parole militaire John Kirby. 




Les effets de la vaccination sur le sang

[Source : reseauinternational.net]

Voici une vidéo très didactique qui montre l’impact de la vaccination sur le sang au microscope.

Elle constitue une démonstration visuelle de tous les articles qui décrivent la survenue des thromboses, tronc commun, semble-t-il, à toutes ces injections.

Elle a aussi l’avantage d’être courte. « Une image vaut mille mots… »




[Ndlr : les ondes pulsées telles que le Wi-Fi, la 4G et la 5G produisent des effets similaires.
Voir Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?]




Monstrueux : l’Australie va « vacciner » de force 24000 enfants dans un stade

[Source : ripostelaique.com]

Par Martin Moisan

La symbolique nous glace d’effroi. L’information nous vient d’Australie où le gouvernement annonce qu’au cours d’un week-end, il va faire vacciner 24 000 enfants dans un stade placé sous protection policière afin d’en interdire l’accès aux parents. 

https://twitter.com/Elanders_Voice/status/1427384722490105856?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1427384722490105856%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fripostelaique.com%2Fvaccination-forcee-des-enfants-le-temps-est-au-rapport-de-force.html

https://www.businessbourse.com/2021/08/17/en-australie-24-000-enfants-seront-amenes-dans-un-stade-pour-les-vacciner-les-parents-nayant-pas-le-droit-dentrer-le-tout-sous-controle-policier-experimentation-de-therapie-genique-en-cours/

Plus aucun argument sanitaire ne tient pour justifier une telle mise en scène. On voit bien là que le gouvernement australien met en oeuvre et à dessein les pires méthodes totalitaires jamais vues dans l’Histoire. La symbolique parle d’elle-même. Pourquoi un stade, pourquoi une telle opération de masse, pourquoi cette mobilisation policière, pourquoi arracher ces enfants à leurs parents et les isoler dans une enceinte close, pourquoi cette mise en scène qui renvoie au pire de ce qu’a jamais connu la mémoire de l’humanité ? Pourquoi, si ce n’est pour affirmer une autre intention que la simple justification sanitaire ? A-t-on jamais vu une chose pareille autrement que sous la pire terreur des pires régimes totalitaires ? Jamais. C’est donc que la justification de la vaccination de masse n’est pas d’ordre sanitaire, mais d’un tout autre ressort.

Cette mise en scène démontre le caractère terroriste et absolument totalitaire de la vaccination de masse imposée par les mondialistes. Et du coup elle annule tout l’habillage sanitaire qui jusqu’ici justifiait la vaccination. Pourquoi devoir recourir à une telle brutalité et à une telle théâtralisation, si ce n’est parce que les intentions des promoteurs de cette gigantesque manipulation sont tout autres que simplement sanitaires ? A-t-on jamais vu une campagne de vaccination s’accompagner de telles mesures ?

La piquouze symbole de la folie nazie. Voyez la seringue sur le mémorial contre la guerre et le fascisme de Vienne. Voyez la mémoire qu’a laissée le nazisme : une seringue dans un bras supplicié par un médecin fou. L’expérience sur la personne humaine était une des folies des nazis, une folie matérialiste et prométhéenne. On sait quel était leur projet : l’éradication des races inférieures, des inutiles, la libération de l’espace vital pour les seuls Aryens. Quel est aujourd’hui le projet des mondialistes pour qu’ils emploient de telles méthodes et qu’ils affichent un telle référence ? En tout cas sûrement pas la seule lutte contre un quelconque virus.

“Schmattes”, les victimes des nazis, des loques. Quelle est la conception de l’homme que porte le projet mondialiste ? Pour parler des corps suppliciés de leurs victimes, les nazis employaient le mot yiddish de “Schmattes”, les chiffons, ou mieux, les loques… Pour les Allemands, les corps des Juifs étaient des poupées de chiffon, des loques qu’il fallait brûler. Épouvantable conception matérialiste, épouvantable déni d’humanité pour les siècles des siècles. Quelle est la conception de l’Homme que portent les mondialistes pour qu’ils recourent à leur tour aux mêmes symboles que les nazis ?

La personne humaine considérée par les mondialistes comme de la matière indifférenciée, la référence à la Shoah parfaitement justifiée. 24 000 innocents dans un stade… Le caractère massif de l’opération et sa symbolique épouvantable renvoient à la pire conception matérialiste de la personne humaine. Les mondialistes nous traitent, ils traitent nos enfants comme de la viande, comme les nazis traitaient les “Schmattes”, les loques. Il n’y a plus aucun doute là-dessus, et les victimes de la Shoah et leurs descendants ne devraient pas revendiquer l’exclusivité de la mémoire pour vitrifier tout débat sur ce point. Au contraire, car la comparaison est parfaitement fondée. Tout indique en effet qu’on est dans le même genre de processus, non encore complètement abouti certes, non encore complètement compréhensible, mais de même nature contre ce qu’il y a de plus fondamental dans l’Homme et dans l’humanité. Par ailleurs, la Shoah est désormais tombée en quelque sorte dans le domaine public. L’obligation de mémoire rendue universelle autorise de fait et comme par prolongement, l’utilisation de cette référence pour des analyses et des comparaisons historiques justifiées ; notamment quand les enfants sont séparés de force de leurs parents pour leur inoculer une substance inconnue et non testée. Car c’est bien de cela qu’il s’agit, et cette fois-ci de manière ostensiblement massive. Les victimes de la Shoah et leurs descendants, si elles veulent que jamais ces choses ne se reproduisent, devraient ouvrir le débat et ne pas figer la référence pour finalement la rendre stérile pour le reste de l’humanité. L’utilité de la mémoire humaine c’est de protéger l’humanité, pas seulement les descendants de telle catégorie de victimes.

L’épouvantable intention sous l’habillage sanitaire. Rien pour le moment, du moins dans l’information officielle disponible, ne permet de prouver de manière absolument certaine l’intention génocidaire, ou du moins un projet global de transformation massive de l’anthropologie humaine. Les méthodes, en revanche, et ce qu’il nous est possible de constater de la réalité du processus confirment qu’il s’agit bien d’autre chose que d’une simple lutte contre une quelconque pandémie. L’accumulation, le faisceau d’indices concordants, tout indique que le processus est d’une tout autre nature. Pire, la revendication totalitaire nettement affirmée par le pouvoir australien, mais aussi français et derrière la France, par un cartel de pays, démontre qu’il s’agit bien d’une entreprise qui ne pourrait pas se réaliser autrement que par l’emploi de moyens totalitaires. À moyens totalitaires, entreprise et projet totalitaires. Qui peut dire le contraire ?

L’affichage du caractère totalitaire de l’obligation vaccinale, preuve de l’intention mortifère. L’Australie assume la barbarie vaccinale comme les nazis assumaient l’holocauste. La vaccination massive et forcée des enfants est un signe très net de cette assumation. Il ne peut plus y avoir de doute, les méthodes confirment le caractère totalitaire du projet et donc son intention mortifère, contraire à la nature de l’Homme et à son caractère sacré.

Le temps n’est plus au prêche, il est au rapport de force et à l’action.

Martin Moisan




Le Calcul ou le Secret

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Alain Leduc, pour FranceSoir

TRIBUNE – « Seul un dieu peut encore nous sauver… » Nur noch ein Gott kann uns retten, cette phrase, le philosophe Martin Heidegger l’a prononcée lors de sa célèbre interview au journal allemand der Spiegel en 1966 (elle ne sera publiée que dix ans plus tard). Elle conclut son analyse pessimiste et résignée du destin de l’homme occidental(isé) au vingtième siècle, tout entier sous l’emprise de la technique et en particulier de ce que le philosophe appelle la cybernétique. À l’époque, l’informatique n’en était encore qu’à ses débuts et sans doute utiliserait-il aujourd’hui des termes plus familiers à nos oreilles tels que technologie numérique, monde virtuel ou encore I.A. (Intelligence Artificielle).

Si la pensée de Heidegger dans son ensemble ne suscite pas mon enthousiasme du fait notamment de son anthropologie « destinale » qui fait de l’être humain le sujet impuissant de forces historiques qui le dépassent, il faut tout de même rendre hommage à sa vision prophétique qui, loin de se borner à une conception purement instrumentale de la technique, entrevoit les terribles implications psychosociales de celle-ci sur le devenir même de l’homme, son créateur. La technique numérique, ce n’est pas seulement l’outil (hardware + software) qui rend une grande partie du travail humain superflu, qui oblige ceux qui l’utilisent à de permanentes mises à jour génératrices de stress, d’angoisse, de dépressions et qui permet insidieusement le traçage et le contrôle à distance des populations ; ce n’est pas une simple machine dont nous ne parviendrions pas encore à maîtriser toute la puissance. C’est bien plus que cela. L’informatique, en effet, ne se contente pas de rester à l’extérieur de nous-mêmes ou de modifier notre rapport au monde, comme l’ont fait avant elle la roue, l’écriture, l’imprimerie, la machine à vapeur ou le chemin de fer. Elle pénètre en nous. Elle infiltre jour après jour un peu plus notre esprit, nos modes de vie, notre relation aux autres, au monde et à nous-mêmes, nous incitant, sans que nous en ayons bien conscience, à nous comporter, à agir et à penser sur un mode binaire, algorithmique, calculateur, comme de petits robots. Et c’est pourquoi elle est, selon Heidegger, notre possible destin.

On pourrait bien sûr, à ce stade, opposer au pessimisme du philosophe tout ce que la technique informatique a rendu possible en matière de démocratisation des échanges, de diffusion des connaissances et de diversification des sources d’information. Ceux qui liront ces lignes sont bien placés pour le savoir. Mais ces apports incontestables, liés à un usage éclairé et maîtrisé de l’outil informatique, n’invalident malheureusement pas le phénomène massif d’aliénation des esprits et de formatage des comportements que l’on peut observer partout où cette technologie s’est implantée.

Pour comprendre l’origine de ce pouvoir sans précédent de fascination et d’imprégnation, il convient de revenir au fondement même de cette technique qui est de reconstituer le réel à partir du calcul. Cette définition permet à la fois de mesurer la vocation démiurgique de la technologie informatique, puisqu’il s’agit bel et bien de concurrencer la Création, mais aussi sa consubstantielle limitation. Le calcul suppose en effet une pensée froide, analytique, incapable d’insuffler la vie à sa re-création. Cette machine à calculer ne peut que copier, reproduire en le codant le matériau qu’on lui demande de traiter ; elle constitue en soi une approche appauvrie, simplifiée, stéréotypée du réel, ne serait-ce déjà que parce qu’elle fait fi du temps et de l’espace où se réalise pourtant notre humanité. Le monde qu’elle génère ne peut donc être qu’une surface, un reflet à deux dimensions, sauf si bien sûr elle parvient à persuader ses utilisateurs que ce n’est pas le cas, sauf si elle parvient à infiltrer suffisamment les esprits pour qu’ils finissent par lui reconnaître une sorte d’existence autonome, susceptible de cohabiter avec le monde réel, voire de rivaliser avec lui. Là se situe l’aspect diabolique de cette « méta-technique » et le grand danger qu’elle fait peser sur l’humanité.

Confrontée à cette menace, une société véritablement guidée par la sagesse et le souci de l’intérêt commun aurait pris d’infinies précautions. Elle aurait d’abord veillé à développer chez ses citoyens de solides capacités de réflexion critique en leur garantissant une éducation sainement enracinée dans l’expérience du réel, en les rendant sensibles à l’infinie beauté de la Création. Et elle aurait dans le même temps pris toutes les mesures techniques et législatives nécessaires pour empêcher que quiconque puisse utiliser cette puissance informatique à des fins de manipulation. Sur de pareilles bases, l’idolâtrie de la machine, les conduites addictives et l’empire de Big Brother auraient beaucoup de mal à prospérer. Mais la plupart des puissances politico-économiques des pays industrialisés n’ont pas fait ce choix, encourageant au contraire, via une ingénierie sociale de plus en plus performante, une confusion permanente entre le réel et le virtuel, laissant penser que ce qui se passe sur l’écran et dans les circuits intégrés possède plus d’efficience et donc plus d’intérêt que le détour fastidieux par le monde réel. Elles ont donc tout fait pour amplifier le pouvoir de fascination du virtuel dans lequel elles ont vu le moyen idéal de renforcer et d’étendre leur mainmise sur les peuples. Dans ce processus, il est à noter qu’à l’uniformisation des masses de plus en plus soumises à la gestion et au contrôle hypercentralisés de l’Intelligence Artificielle, répond celle des élites, désormais sans racines, sans attache territoriale, sans culture la plupart du temps, mais solidaires dans leur fantasme de domination absolue.

Dieu merci, cette infiltration, cette injonction subliminale à devenir des individus adaptés, stéréotypés et donc classables n’a pas fonctionné pleinement pour tout le monde. Beaucoup ont su résister, garder leur liberté intérieure, leur recherche de sens, leur élan vers la beauté, vers la nature, vers autrui, bref vers cette zone extérieure, non quantifiable et non numérisable, qui existe toujours déjà au delà de l’horizon que nous imposent nos PC et autres objets connectés. Beaucoup d’autres, hélas, se sont laissés séduire par le chant des sirènes, mettant progressivement leur pensée et leurs actes au diapason de cette nouvelle religion techno-centrée et de ses commandements, du genre : tu t’adapteras. Tu participeras activement au flux matriciel.(([1] Pour ceux qui savent déchiffrer les symboles, le « programme » du candidat Macron était de ce point de vue extrêmement explicite : soit vous êtes en marche, i. e. en fonctionnement (position « on »), soit vous êtes à l’arrêt (« off »).)) Tu préfèreras la compétition au partage et à la solidarité. Au lieu de perdre du temps à chercher le sens de ta vie, tu poursuivras des objectifs. Tu travailleras jour après jour à améliorer ton image. Même dans ta vie privée, tu t’efforceras de rester connecté, etc., etc. On pourrait synthétiser toutes les atteintes portées par la technologie numérique à notre humanité profonde sous le terme de dépossession. Dépossession instrumentale (perte du sens de nos métiers, dépendance croissante à toutes sortes d’applications chargées de nous simplifier la vie), et, bien plus grave, dépossession de notre autonomie de pensée : normes intégrées, « valeurs » intériorisées, réflexes conditionnés, velléités critiques autocensurées (le politiquement correct)… Tous, à différents degrés, nous avons été amenés à subir cette dépossession de nous-mêmes, phénomène pouvant aller dans certains cas jusqu’aux addictions les plus destructrices.

Quand la crise du covid a éclaté, le dispositif d’asservissement était donc déjà bien en place à l’extérieur comme à l’intérieur des esprits, avec son cortège d’effets néfastes pour notre humanité : individualisme, indifférence, fragilité psychologique, stress et angoisse de fond… Et il suffira d’une manœvre extrêmement habile et perverse pour donner à son déploiement un formidable coup d’accélérateur. Cette manœuvre est l’instrumentalisation de la peur collective face à l’épidémie. Elle a permis, au nom de l’impératif de protection des populations, à la fois de mettre celles-ci en ordre de marche, d’amplifier le processus de contrôle et de traçage global des individus et de faire, au passage, des États démocratiques des outils de répression au service des puissances transnationales. Jusqu’à présent, le discours de la pensée unique était plutôt de postuler un État impuissant face aux forces du marché et donc essentiellement appelé à garantir la paix sociale en faisant ce qu’il faut de concessions (toujours minimes) pour empêcher que les peuples deviennent trop remuants. Cette nouvelle vocation répressive, dont les Gilets Jaunes ont eu à subir l’extrême violence depuis l’arrivée au pouvoir de M. Macron, semble désormais devenue, au motif de protection sanitaire, un fait acquis et même légitime aux yeux de nombreux citoyens. Si la manœuvre covid a si bien réussi, c’est que la très grande majorité des gens « connectés » ont pris depuis longtemps l’habitude, conformément aux directives implicites de la technosphère, de gérer seuls leur carrière et leur destin individuels et d’abandonner les affaires du monde à la seule compétence supposée des spécialistes de l’économie et des personnes censées les représenter au niveau politique. Cette dépolitisation volontaire et massive des citoyens a laissé les mains libres aux vrais détenteurs du pouvoir.

Enfin, à toute cette liste des dépossessions engendrées par la technologie numérique et l’idéologie déshumanisante qui l’accompagne, il faut ajouter la dépossession thérapeutique. Sans remonter jusqu’à Molière, on peut dire qu’elle a été, elle aussi, encouragée depuis longtemps par une industrie pharmaceutique profondément gangrenée par les puissances de l’argent avant de se réaliser, lors de la crise, dans des proportions proprement ahurissantes. Il aura suffi d’un an de stratégie de la terreur pour que la population, ici comme ailleurs, se déclare prête à recevoir une pseudo-vaccination, sans avoir la moindre idée du produit qu’on lui injecte, tout cela dans l’espoir de retrouver « la vie d’avant ». Là encore, ce qui se manifeste est une sorte de fascination superstitieuse pour la technique, censée être la solution à tous nos maux, alors qu’à y regarder de plus près elle en est le plus souvent la cause.

La crise que nous traversons apparaît donc comme une étape décisive vers la réalisation de la prophétie heideggérienne. La technique et la technocratie mondiale qui en ont pris les commandes semblent sur le point de conduire l’homme vers un total oubli de lui-même, vers une nouvelle ère dite « transhumaniste » où nous n’aurions plus d’existence légitime, voire autorisée, que comme éléments constitutifs d’un système. C’est cette vision de cauchemar qu’on retrouve dans un grand nombre de romans de science-fiction mettant en scène des personnages singuliers, marginaux et en quête de sens confrontés à des univers totalitaires, hyper-technicisés et ultra-centralisés, comme s’il fallait toujours conjurer par l’écriture cette crainte récurrente d’un avenir sans au-delà et sans espoir. En sommes-nous déjà là ? Notre monde est-il condamné à devenir celui de Brave new World, de Fahrenheit 451 ou de Matrix ? Devons-nous, dès lors, comme le suggère, sans doute ironiquement, la phrase de Heidegger, placer notre dernier et unique espoir dans la venue d’un dieu providentiel ?

… Mais ce dieu est en nous

Pour répondre à cette question, je commencerai par une remise en perspective. Tout ce qui vient d’être dit du pouvoir déshumanisant de la machine informatique ne constitue pas une absolue nouveauté. La pulsion de domination, le matérialisme aliénant, le repli « petit-bourgeois » sur sa sphère de confort ou encore la servitude volontaire sont autant de tendances régressives présentes dans la psyché humaine depuis la nuit des temps. L’I.A., de ce point de vue, n’est sans doute que la possibilité d’une maximisation sans précédent de ces tendances, voire leur aboutissement : du fait que cette technologie ne se contente pas de rester à l’extérieur de nous-mêmes et qu’elle tend à reconfigurer notre « appareil psychique », elle peut apparaître comme une sorte de suprême mise à l’épreuve de notre humanité.

Mais, à moins d’être techniquement modifié dès l’enfance ou pire dès la conception,(([2] Terrifiante possibilité évoquée par Huxley dans Le meilleur des Mondes ou encore par Michael Ende dans son chef d’oeuvre, lui aussi au combien prophétique, Momo. Tout projet totalitaire perçoit spontanément l’enfant comme le danger n° 1.)) aucun être humain n’est réductible à un fonctionnement, à une place et un rôle déterminés dans un système, serait-il le plus vertueux du monde. Il y a en lui quelque chose qui excède les limites d’une organisation sociale, quelle qu’elle soit. Cette chose, c’est par exemple « l’étincelle divine » dont parle le vicaire savoyard, porte-parole de Rousseau dans Emile, pour évoquer la conscience (morale), cette voix qui résonne au plus profond de notre être à la manière d’un tribunal intérieur ; c’est aussi l’appel que nous ressentons, pour peu que nous nous libérions de nos entraves quotidiennes, devant la souffrance d’autrui, devant l’injustice ; c’est l’émotion qui s’empare de nous face à l’infini du ciel étoilé ou face à l’œuvre d’art ; c’est le désir, souvent enfoui certes, mais toujours prêt à remonter à la surface, de comprendre ce que nous sommes, de trouver un sens à notre vie ; c’est encore ce sentiment, qui nous saisit parfois, d’être mystérieusement rattachés à tout ce qui vit et même à tout ce qui est… Cette étincelle, ces appels, ces élans existent en chacun d’entre nous. Ils sont la partie complémentaire de notre existence contingente, liée au hasard de notre naissance et de notre cadre de vie. Ils sont la manifestation de ce que certains appellent l’âme et d’autres notre part de mystère ou le dieu qui est en nous. Personnellement, j’aime appeler cette chose le Secret. Les mots sont ici de toute façon de pâles simplifications et il ne faut pas en abuser. C’est à chacun de trouver sa propre réponse, sa propre voie vers le sens d’une vie qui n’appartient qu’à lui.

« Là où est le danger, croît aussi ce qui sauve(([3] Wo aber Gefahr ist, wächst / Das Rettende auch.))» écrit le poète Hölderlin dans son hymne Patmos. Il est bon de se souvenir de ces paroles d’espoir à l’heure où un suprême déracinement menace l’essence même de notre humanité. Le projet totalitaire en cours consiste précisément à couper l’homme de sa part « secrète » afin de le réduire à sa dimension exclusivement matérielle, à en faire une entité entièrement déterminée par des forces ou plutôt des rapports de forces qu’un savant calcul permettrait de maîtriser. Naturellement pour le bien de tous ! Ce projet n’est pas nouveau, lui non plus ; on le retrouve dans toute l’histoire de l’humanité, partout où ont germé des utopies ou des idéologies considérant l’homme comme un problème en soi, comme un être non rationnel, non scientifique, dangereusement imprévisible et nécessitant donc, à l’image de l’enfant qui résiste spontanément aux lois du monde des adultes, un bon encadrement d’experts (politiques, scientifiques) et un système d’éducation et d’information centré sur le culte de l’adaptation, afin qu’il reste sur le droit chemin. Nous avons tous appris à détester ce genre d’organisation humaine quand elle prend les traits du fascisme, du nazisme ou du communisme stalinien ou maoïste ; mais nous avons baissé la garde devant la pensée unique qui, depuis des décennies, avançait jour après jour sous le masque de la démocratie et de la science experte. Beaucoup se sont laissés imprégner de l’idée que le monde devenu global irait vers le chaos, si rien n’était fait pour lui imposer un ordre et une organisation froidement rationnels, où notre part subjective et émotive (considérée par les scientolâtres comme un pur enchaînement de réactions chimiques) serait savamment canalisée et contrôlée par le biais de l’Intelligence Artificielle. Cela afin qu’aucune déviance n’advienne.

Aujourd’hui, la profonde crise politique que nous traversons marque le point critique d’une évolution globale de nos sociétés vers un matérialisme absolu, vers une conception purement mécaniste de l’homme : un homme sans secret, entièrement déterminé par le milieu et par le siècle. Conséquence directe de cette rupture : la disparition irréversible du sacro-saint clivage gauche/droite. Ce n’est en effet pas un hasard si les forces traditionnelles de gauche (partis, syndicats, associations, une bonne partie du monde enseignant et des intellectuels) sont restées totalement inertes durant cette crise, devenant même de facto, par leur silence ou leur appel à la vaccination massive, des complices de la Grande Manipulation. Elles ont toutes en commun une vision de l’histoire et de la société qui refuse de penser l’individu dans sa singularité et ne lui accorde de valeur qu’en tant que représentant d’une classe, d’un milieu ou d’une catégorie socio-professionnelle. L’idée que l’individu armé de sa richesse intérieure, de son lien avec la nature et le cosmos, guidé par une foi sincère, habité de sa seule soif d’amour et d’authenticité, ou parfois même de son simple bon sens, puisse être le dernier rempart face à la terreur collective et à l’asservissement des peuples qu’elle sert à justifier, ne leur est même pas venue à l’esprit. Au point que beaucoup de leurs représentants regardent à présent les foules défiler dans les rues de France sans comprendre ce qui est en train de se passer.

Mais, patience. Pour nombre d’entre eux aussi sonnera l’heure du réveil.

Tel est l’enjeu.

Nous sommes à la croisée des chemins.

Irons-nous vers cette société du fonctionnement généralisé où chacun, en échange d’une petite part – illusoire et conditionnelle – de sécurité, de confort et de reconnaissance sociale, devra passer sa vie assujetti aux caprices d’une élite devenue démente à force de se prendre pour Dieu ? Ou choisirons-nous au contraire la voie d’une société d’individus libres, uniques et épanouis dans leur humanité parce que conscients de leur part secrète et divine ?

À l’heure où tout indique qu’un grand bouleversement de nos repères traditionnels est en cours, je suis sûr que c’est cette dernière voie que nous choisirons, car elle est portée par une onde généreuse et créatrice sur laquelle toutes les stratégies, toutes les pensées « calculantes », faute d’énergie vitale, finiront par se briser.

Auteur(s): Alain Leduc, pour FranceSoir


[Voir aussi :
Vers l’IA ou vers l’Humanité
Note sur l’illusion de l’« information »
Vie et mort des systèmes
Note sur la science, la magie et la religion
Les machines pour jouer à Dieu
La faillite de la science matérialiste ?
Prise de conscience et autisme
L’Homme programmé ou l’Homme libre ?
La vue, la vision et la vie
Ce que crée l’Homme et le sens de la mesure
Réflexion sur la vie, la matière et la conscience]





C’est une extermination que ces félons sont en train de réaliser

[Source : ripostelaique.com]

Par Victor Hallidée

Sus aux pollueurs occidentaux !

Tous doivent disparaître !

Israël est sur l’avant-scène sacrificielle. Ses dirigeants mondialistes montrent l’exemple au monde occidental. Tout doit disparaître !

Il ne leur suffit pas d’avoir traité comme des cobayes 80% de leur population en lui injectant un produit expérimental aux résultats calamiteux, il faut qu’ils étendent maintenant leur nuisance mortelle aux tout-petits, les enfants de 3 ans !

Quand des dirigeants en arrivent là, à faire de la propagande séductrice, à  susurrer des promesses de lendemains qui chantent, offrir des privilèges,  des friandises (glaces, MacDo, entrées gratuites en boîte, etc…) et à menacer si la carotte  ne marche pas assez bien…

Tout ceci pour pousser toute une population à se faire injecter un produit des plus douteux, qui n’a subi aucun contrôle réglementaire notamment sur les moyen et long terme, c’est qu’il y a un loup, un gros danger quelque part.

Ceci se vérifie aisément quand même les labos qui fabriquent ce produit n’en garantissent ni l’efficacité  ni l’innocuité. Et quand par contrat ils refusent d’assumer la responsabilité des effets secondaires de leurs produits. Très graves en l’occurrence.

Et tout ceci pour une pandémie dont le taux de mortalité est identique à  celui de la grippe annuelle.

Une maladie qui se soigne très bien,  avec des produits sûrs…

Si les médicaments, connus et éprouvés depuis des dizaines d’années, n’avaient pas été mystérieusement retirés du marché, si les médecins étaient libres de les prescrire comme ils l’étaient auparavant. Avant que l’État ne leur passe la camisole et la muselière.

Tout ceci pour conduire à une seule “solution” :  inoculer un produit expérimental aux masses… un produit qui occasionne un taux de mortalité et des risques ahurissants, du jamais vu : déjà, en quelques mois, bien plus de morts qu’en 30 ans de politique vaccinale…

Alors qu’auparavant si les essais pharmacologiques in vivo occasionnaient entre 25 et 50 morts, on stoppait net les essais cliniques.

Mais là  non ! Les morts post injection se comptent par milliers mais on continue de plus belle !

Déjà des dizaines de milliers de morts. Et ce n’est que la partie émergée de l’iceberg disent les spécialistes…. Le pire étant probablement à venir.

Mais sans doute est-il prévu par les félons qui gouvernent que les morts qui adviendront plus tard suite aux “vaccins” seront attribuées aux variants et les non vaccinés désignés comme les transmetteurs et coupables.

Malgré toutes les preuves – notamment la déclaration  explicite de Véran devant le conseil d’État –  que ces injections fragilisent ceux qui les ont reçues et ne protègent personne. Ni l’injecté ni ceux alentours.

L’inouï est que malgré tous ces morts et graves effets secondaires,  malgré que les plus grands scientifiques mondiaux demandent la suspension de cette scandaleuse expérimentation pseudo-vaccinale de masse, malgré qu’ils mettent en garde contre la dangerosité de ces produits…

Les dirigeants de presque tous les pays occidentaux font la sourde oreille, continuent de plus belle leur propagande mensongère, leurs menaces et intimidations. Toujours plus pressés  d’étendre l’amplitude des injections.

Leur seul souci manifeste est que personne n’échappe aux mailles de leur filet. Que personne ne soit épargné. Le tour des enfants arrive !

De toute évidence, les intentions des dirigeants politiques sont criminelles, génocidaires. C’est une extermination de masse que ces félons sont en train de réaliser.

Allons-nous les laisser nous exterminer, tuer nos enfants ?

REFUSONS D’OBTEMPÉRER !

UNISSONS-NOUS !

RÉVOLTONS-NOUS !

C’EST UNE AFFAIRE DE VIE  OU DE MORT !

Victor Hallidée 




Manifestation du 14 août en France : encore plus de rassemblements prévus

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Ce samedi 14 août encore une fois, des manifestations contre le pass sanitaire sont prévues à Paris et partout en France. Celles-ci ont commencé le 17 juillet suite aux annonces d’Emmanuel Macron et continueront sans doute tant que le pass sanitaire sera d’actualité.

Ces manifestations sont inédites par leur densité et leur multiplicité partout sur le territoire, alors que nous sommes en plein été et que de nombreux français sont en vacances. À Paris, Lyon, Toulouse, Lille, mais aussi dans des petits villages… Ceux qui refusent le pass sanitaire et le contrôle social que celui-ci instaure, peuvent presque toujours trouver un point de manifestation proche de chez eux.

Pour connaître les lieux de rassemblements proches de chez vous, cette liste peut vous aider :

À Paris samedi dernier, 17 000 manifestants se sont rassemblés selon les chiffres du gouvernement. Avec quatre manifestations différentes, il est difficile de se rendre compte de l’ampleur de la foule, mais une compilation aérienne de celles-ci permet de se faire une idée et de constater que l’influence était très largement supérieure : 

https://www.youtube.com/embed/U6gB4uO4mbI

Pour ce samedi, trois manifestations sont prévues.

Une manifestation des Gilets jaunes partira à 13h30 de la place de la Bourse et rejoindra la place du palais royal. Elle est organisée par Sébastien Philippart, figure des Gilets jaunes depuis 2018. Sa manifestation, apartisane et apolitique, est un rassemblement simple de citoyens protestant contre une « tyrannie à usage sanitaire » selon le déclarant de cet évènement. Joint par téléphone, il appelle tous les Français présents sur la capitale à le rejoindre. L’intéressé se distingue des autres déclarants de la manifestation Gilets jaunes, au départ de la Porte Dorée, qu’il juge sortir de chez eux « maintenant que les caméras sont présentes » et rappelle qu’il manifestait déjà cet hiver quand ils étaient « 30 ou 40, dans la neige, on marchait dans le froid. »

L’autre manifestation organisée par les Gilets jaunes partira dès 11h30 au métro Porte Dorée, et prévoit un départ à 13h en direction de Place de Clichy, en passant par la place de la Nation et place de la République.

Pour Florian Philippot, ces manifestations montrent qu’il « se passe quelque chose de puissant au sein du peuple français ». Celle qu’il organise partira de la place de Catalogne à 14h30 :

Le collectif Paris pour la liberté n’organise pas de manifestation ce samedi, mais en prévoit de grande ampleur le 28 août. 

Le nombre de manifestants continue de grandir chaque semaine. Ils étaient 237 000 samedi dernier selon les chiffres du gouvernement. Sûrement beaucoup plus en réalité, et ils seront encore plus nombreux ce week-end.

Les services de renseignements annoncent 250 000 manifestants ce samedi en France, soit 13 000 de plus que la semaine dernière. On n’arrête pas le progrès : désormais, les médias annoncent les chiffres officiels avant même les manifestations, ont grincé certains observateurs.

Un calcul simple nous permet de nous questionner légitimement sur la précision de ces chiffres : les renseignements comptabilisent eux-mêmes 200 lieux de rassemblements, soit une moyenne prévisionnelle de 1250 participants par manifestation. Si certains rassemblements mobilisent effectivement quelques dizaines ou centaines de manifestants, il est plus qu’improbable à voir l’impressionnante compilation des cortèges de manifestations partout en France, que la moyenne réelle soit aussi basse. Ce genre d’indiscrétion semble donc bien davantage politique que mathématique… À confirmer ce week-end !

À voir aussi : Chiffres des manifestations : entre manipulation et communication

Le récapitulatif à l’heure où nous publions : (à retrouver ici)

SAMEDI 14 AOUT

  • Abbeville – Samedi 14 – 14H – Mairie
  • Agen – Samedi 14 – 14H – Gravier
  • Aix-En-Provence – Samedi 14 – 10H – place de Général de Gaulle (Fontaine de la Rotonde)
  • Albertville – Samedi 14 – 10H – Parking du pénitencier (Palais de justice)
  • Albi – samedi 14 – 14h – place du Vigan
  • Alès – Samedi 14 – 17H – Sous-préfecture
  • Amiens – Samedi 14 – 14H – Maison de la culture
  • Angers – Samedi 14 – 15H – Place du Ralliement
  • Angouleme – Samedi 14 – 14H – Place New York
  • Annecy – Samedi 14 – 14h – Le Pâquier
  • Annonay-Davézieux – Samedi 14 – 10h > 18h30 Rond-Point d’Annonay-Davézieux
  • Argentan – samedi 14 – 8h45 – gare SNCF
  • Arras – Samedi 14 – 15H – Place des héros
  • Aubenas tous les samedis à 14h, place du château
  • Autun – samedi 14 – 15h – place de la mairie
  • Auxerre – Samedi 14 – 14H – Place de l’arquebuse
  • Avignon – Samedi 14 – 14H – Place de l’Horloge
  • Bar-le-duc – samedi 14 – 14H – Gare SNCF
  • Bayonne – Samedi 14 – 14H – Devant la mairie
  • Beauvais – Samedi 14 – 14H – Mairie ???
  • Bédarieux – (34400) samedi 14 – 9h30 – square schumann
  • Belfort – Samedi 14 – 16H – préfecture
  • Bellac– samedi 14 – 10h au marché de Bellac , place du 138e RI (Place du Champ de Foire). Rendez-vous au fond du marché, côté parking
  • Bergerac – Samedi 14 – 10h30 – palais de justice
  • Besançon – samedi 14 – 14H – Place de la révolution
  • Bessèges – Samedi 14 – 14H – Mairie (à 100m de la mairie sous le cèdre)
  • Béziers – Samedi 14 – 10H30 – place du 14 juillet
  • Blois – Samedi 14 – 14H – Place Louis XII
  • Bordeaux – samedi 14 -motards ANTI-PASSE SANITAIRE 13H centre routier pour rejoindre les manifestants piétons place de la bourse à 14h https://fb.me/e/4PviJOOWm
  • Bordeaux – Samedi 14 – 13H30 – Place de la bourse
  • Bouillante (Guadeloupe) – Samedi 14 – 8H – Mairie ?
  • Boulogne Sur Mer – Samedi 14 – 17H – Parvis de Nausicaa
  • Bourges – samedi 14 – 15H – place seraucourt
  • Bourg-en-Bresse – Samedi 14 – 14h – préfecture
  • Brest Samedi 14 – 14H Place de Strasbourg https://fb.me/e/2xhJmJtlm
  • Bretenoux Tous les samedis 14H > 20H Parking du rond-point de la Cèré https://fb.me/e/Jkytg713
  • Briançon – Samedi 14 – 14H – Champs de Mars
  • Brignoles (83) – samedi 14 – 15h – devant l’Hôpital en bas du Cours des Ursulines
  • Caen – Samedi 14 – 14 h – Place du Théâtre
  • Cahors – Samedi 14 – 14H – tribunal
  • Calais – Samedi 14 – 14H – Théâtre de Calais
  • Châlons-En-Champagne – Samedi 14 – 14H – kiosque du grand jard
  • Chalon-sur-Saône – Samedi 14 – 15H – Place de Beaune
  • Chambéry – Samedi 14 – 14h – palais de justice
  • Cherbourg – chaque samedi – 14h – place du Général de Gaulle
  • Cannes – samedi 14 – 10h30 – Rond-Point de la Victoire https://fb.me/e/dyd5e58Ab
  • Carcassonne – Samedi 14 – 14H30 – Square Gambetta
  • Cavaillon – Samedi 14 – 11H – Place du Clos
  • Châteauroux – Samedi 14 – 14h – palais de justice
  • Chaumont – Samedi 14 – 14H – Mairie ?
  • Chauny – Samedi 14 – 14H – place bouzier
  • Clermont-Ferrand – Samedi 14 – 14H – place de Jaude
  • Colmar – Samedi 14 – 14H – Place Rapp
  • Compiègne – Samedi 14 – 14h30 – place de l’hôtel de ville
  • Coulommiers – Samedi 14 – 14H – RV est sur le parking de feu vert dans la ZI
  • Dax – Samedi 14 – 10H – parc de la mairie
  • Denain (59) – Samedi 14 – 10H – place du marché
  • Digne-les-Bains – Samedi 14 – 14H – Place du General de Gaulle
  • Dijon – Samedi 14 – 14H – Place de la république
  • Dole (39) – Samedi 14 – 14H – Avenue De Lahr
  • Draguignan – Samedi 14 – 14H – Sous-Préfecture
  • Dunkerque – Samedi 14 -14 h – Place Jean Bart
  • Epinal – Samedi 14 – 14h – préfecture
  • Evreux – Samedi 14 – 14h30 – Devant la mairie
  • Ferney voltaire – samedi 14 – 16h – rdv sur le parking du bijou
  • Figeac – Samedi 14 – 10H – Lycée Champollion
  • Flers – samedi 14 – 14h – parking de la mairie
  • Foix – samedi 14 – 10h – hall aux grains
  • Fréjus – Samedi 14 – 14H – Base Nature > Mairie
  • Gap – Samedi 14 – 14H – parc de la pépinière
  • Grenoble – samedi 14 – 14h30 – Hôtel de préfecture de l’Isère place Verdun https://fb.me/e/YlARPksG
  • Guéret – Samedi 14 – 14H – Place Bonnyaud
  • Hendaye – Samedi 14 – 15H>18H Rond point du palmier Hendaye plage
  • La Ciotat – Samedi 14 – 11H>14H – Port-vieux (Apéro suivi de manif à 14H)
  • La Rochelle – Samedi 14 – 13H – Parvis de l’aquarium
  • La roche-Sur-Yon – Samedi 14 – 13H30 – Place Napoléon
  • Le Havre – Samedi 14 – 14H – Hotel de Ville
  • Le Mans – Samedi 14 – 14h30 – place du marché de Pontlieue
  • Le Palais (Belle-Île-en-Mer) – Tous les samedis – 11H – Place de la république ?
  • Le-Puy-En-Velay – Samedi 14 – 14H – Place de Breuil
  • Le Touquet – samedi 14 – 14h – place du centenaire (front de mer)
  • Lamballe – Samedi 14 – 10h – devant la gare
  • Lannion – Samedi 14 – 10h – Quai de l Aiguillon
  • Lens – Samedi 14 – 10H – Rendez-vous devant la gare de Lens
  • Lille – Samedi 14 – 14H – Place de la République
  • Limoges – Samedi 14 – 14H Place Jourdan
  • Lons-le-Saunier – Samedi 14 – 14H – Place de la liberté
  • Lunel – Samedi 14 – 9H – Mairie
  • Lyon – Samedi 14 – 11H-14H – La confluence/esplanade François Mitterrand
  • Lyon – Samedi 14 – 14h – Gare des Brotteaux: Manifestation à destination de Jean Macé, [autorisée par la préfecture]
  • Marseille – Samedi 14 – 14H – Vieux-Port
  • Melun – Samedi 14 – 14h – devant la préfecture
  • Metz – Samedi 14 – 14H – Place de la république
  • Montauban – samedi 14 – 14h – devant la préfecture
  • Mont-de-Marsan – Samedi 14 – 10h – Place st rock
  • Montélimar – samedi 14 – 14h-16H – départ place de la mairie
  • Montluçon – Samedi 14 – 10H – Rue Porte-Saint-Pierre
  • Montmorillon (86) – Samedi 14 – 14H – Mairie
  • Montpellier – Samedi 14 – 14h – Place de la comédie
  • Montréal (Quebec) Samedi 14 14h et/ou 20H 100 Boulevard René-Lévesque O
  • Morlaix – Samedi 14 – 10H – Mairie
  • Mougins – Samedi 14 – 10h30 – Rond Point de la Victoire https://fb.me/e/dyd5e58Ab
  • Mulhouse – Samedi 14 – 14H – Square de la Bourse
  • Nancy – Samedi 14 – 14h – place Maginot
  • Nantes – tout les samedis – 14h – à la croisée des trams
  • Nevers – samedi 14 – 15h30 – place de la résistance (devant préfecture) (déclaré)
  • Nice – samedi 14 – 14h – garibaldi
  • Nîmes – Samedi 14 – 16H – Jardins de La Fontaine
  • Niort – Samedi 14 – 10H – Place Pierre Semard
  • Orléans – Samedi 14 – 14h30 – place de la République
  • Paris – samedi 14 – Rassemblement dès 11h30 au métro porte Dorée ligne 8 et départ en manif à 13h00 en direction de place Clichy en passant par la place de la nation et place de la république https://fb.me/e/13fHHHn8V
  • Paris – samedi 14 – 14H – Gare de Noisy-le-Grand – Mont d’Est (Conférence)
  • Paris – Samedi 14 – 14H30 – Quartier Montparnasse place de Catalogne
  • Paris – samedi 14 – 13H30 14H30 – Place de la bourse > Place du palais royal
  • Pau – Samedi 14 – 10H – Place Verdun
  • Périgueux – samedi 14 – 10h – palais de justice
  • Perpignan – samedi 14 – 14h – place catalogne
  • Pertuis – samedi 14 – 10H – Place Jean Jaurès
  • Poitiers – samedi 14 – 14h – place d’armes (devant la mairie)
  • Quimper – samedi 14 – 14h – place de la Tourbie
  • Redon – samedi 14 – 14h – sous pref
  • Reims – samedi 14 – 14h – Parking René Tys
  • Rennes – samedi 14 – 14 H – place république
  • Roanne – (42) samedi 14 – 14h – place hôtel de ville
  • Rodez – Samedi 14 -14h – Esplanade des Rutènes
  • Rouen – Samedi 14 – 14H – Place de l’hôtel de ville
  • Royan – Samedi 14 – 15H – Rond-point de l’aérodrome de Médis
  • Saint-Brieuc – Samedi 14 – 10h>14H place de la liberté>place du Guesclin
  • Saint-Brieuc – samedi 14 – 14h – Place du Guesclin ( Philippot )
  • Saint-Gaudens – Samedi 14 – 18H – Place Jean Jaurès (collégiale)
  • Saint-Dié-des-Vosges – Samedi 14 – 14h30 – Place du Gl de Gaulle (Cathédrale)
  • Saint-Etienne – Samedi 14 – 14H – Centre commercial géant Espace Monthieu ( convergence avec manif place du bicentenaire )
  • Saint-Etienne – Samedi 14 – 14H – place du bicentenaire ( convergence avec manif espace monthieu )
  • Saint-lo ( 50 )- samedi 14 – 14 h – plage verte
  • Saint-Maximin-la-Sainte-Baume (83) – Samedi 14 – 14h – place Jean de Lattre
  • Saint-Nazaire (44) – Samedi 14 – 14H – Place de la Mairie
  • Saint-Pierre ( Réunion ) – samedi 14 – 10h – Marché Forain
  • Saint-Pierre-d’Oléron – Samedi 14 – 15H30 – Kiosque/place gambetta
  • Saintes – samedi 14 – 14H – devant le tribunal (Picnic à 13H)
  • Saumur – Samedi 14 – 15H30 – Place du Chardonnet
  • Sélestat – Samedi 14 – 14H – Place de Lattre de Tassigny
  • Strasbourg – Samedi 14 – 14H – place Kléber
  • Tarbes – Samedi 14 – 14h – Place de la mairie
  • Terrasson – Samedi 14 – 13H45 – Place de la libération
  • Thonon-les-Bains – Samedi 14 – 14H30 – Place des Arts
  • Toulon – Samedi 14 – 13H/14H – Place de la Liberté
  • Toulouse – Samedi 14 – 14H – Métro Jean-Jaurès https://fb.me/e/335F30Je8
  • Tours – Samedi 14 – 14H – Place Jean Jaurès
  • Troyes – Samedi 14 – 15H Préfecture (13H Picnic géant vers le restaurant la péniche)
  • Valence – Samedi 14 – 12h – Devant la préfecture
  • Vannes – Samedi 14 – 14 h – Esplanade du Port
  • Versailles – samedi 14 – midi – Place d’Armes https://fb.me/e/2jcgmQW7C
  • Vésoul (70) – Samedi 14 – 14h – Hotel de ville
  • Vichy – Samedi 14 – 14H – Place de la Mairie
  • Vienne – Samedi 14 – 16h – Jardin des Cybeles
  • Villefranche sur Saône – samedi 14 – 10H – devant la mairie
  • Villeneuve sur lot ( 47 ) – samedi 14 – h ?? – devant la prefecture
  • Viriat – samedi 14 – 10h – La neuve
  • Voiron (38) – Samedi 14 – 14H – Cathédrale

DIMANCHE 15 AOUT

  • Belfort – Dimanche 15 – 12H – Place-d’armes (Picnic)
  • Brive-La-Gaillarde – Dimanche 15 – 15H30 – Théâtre
  • Châlons-en-Champagne – Dimanche 15 – 12H – Jard Anglais (Picnic)
  • Nice – Dimanche 15 – 14h30 – Place Masséna/coulée verte
  • Paris – dimanche 15 – 13h30 – Les Champs Elysées https://fb.me/e/Ql2Z9gzf
  • Saint Malo – Dimanche 15 – 15 H – porte de Dinan
  • Sallanches – Dimanche 15 – 14H – Pré de Foire

Auteur(s): FranceSoir




«Vous tuez la France»

[Source : RT en français]

[Photo : © Frédéric Scheiber Source: Reuters.
Le Premier ministre Jean Castex dans le centre de Carcassonne le 11 août 2021 avec le maire Gérard Larrat lors d’une visite axée sur l’application du pass sanitaire.]

En visite dans l’Aude, le Premier ministre a été interpellé de vive voix par une passante bien décidée à lui signifier son opposition aux restrictions et au pass sanitaire, qui, selon elle, tuent la France, les restaurateurs et les artisans.

Lors de sa visite à Carcassonne (Aude) ce 11 août, le Premier ministre s’est fait interpeller par une passante visiblement très remontée contre la gestion de la crise par le gouvernement, et notamment la mise en place du pass sanitaire. La scène a été captée par les caméras de BFM TV. 

« Et en plus, vous paradez alors que tout le monde là,
on est traités comme des chiens »

« Vous tuez la France monsieur, vous tuez la France et les commerçants. Et vous tuez aussi tous les artisans qui sont en train de mourir, voilà ce que vous faites», a lancé la femme en croisant le cortège du Premier ministre qui déambulait dans les rues de la ville. Et en plus, vous paradez alors que tout le monde là, on est traités comme des chiens », poursuit la passante, véhémente. 

« Je ne parade pas, et je n’ai tué personne, au contraire, j’en ai sauvé. On essaye d’en sauver », se défend alors le chef du gouvernement.

Pas de quoi convaincre son interlocutrice, qui insiste : 

« Je ne pense pas, demandez aux restaurateurs, ils sont en train d’essayer de survivre ici. On peut quand même manger sur une terrasse sans pour autant infecter qui que ce soit je crois, qu’on soit vaccinés ou pas. »

« De toute façon, votre vaccin c’est pas un vaccin », conclut-elle, dans ce qui s’apparente à une référence aux vaccins à base d’ARN messager.

La scène s’est déroulée après le Conseil de défense sanitaire auquel le Premier ministre a assisté depuis la préfecture de l’Aude. Le but de sa visite dans la ville de Carcassonne était notamment de défendre le pass sanitaire le cas échéant, et d’en constater l’application sur le terrain.




Ricardo : « Nous allons gagner la guerre »

[Source : La Minute de Ricardo]

Urgent: programme et vision !



Nous les résistants du peuple de France allons gagner la guerre !

Première bataille à gagner: stopper le pass sanitaire car il est contraire :
Aux droits de l’homme, article 2
À la constitution française, article 55
Au code civil, article 16
Au code pénal, article 225
Au code du travail, article 11.32
Au code de santé publique, article R27.31
Au code de déontologie médicale, article 36
Au serment d’Hippocrate
À la loi du 13 Juillet 1983
À la loi nᵒ 2002-3032 appelée loi Kouchner
Au Conseil de l’Europe, résolution 97 article 5
À la déclaration d’Helsinki de 1996
À la déclaration de Genève de 1948
À la déclaration de Nuremberg de 1945
Si quelqu’un vous empêche d’allez où que ce soit, relevez l’identité des personnes qui entravent votre liberté de circulation, elles seront punies le jour venu, condamnées pour non respect de toutes ces lois et surtout pour discrimination!

Deuxième bataille à gagner: stopper l’injection des wax !

On ne lâchera rien ! Même si Macron ne le veut pas, nous on sera là ! Vive la France !




Vaccins Covid-19, effets secondaires

[Source : Vivre sainement via reseauinternational.net]






« Des milliers de citoyens font battre le coeur de la France tous les samedis » Alexandre Juving-Brunet

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Ancien capitaine de gendarmerie, saint-cyrien, Alexandre Juving-Brunet en a gardé un parler franc et direct. Aujourd’hui entrepreneur, il porte un regard engagé sur la vie publique de son pays, nourri de son passé et des antennes qu’il y conserve. Pour lui, la clé de cette crise que nous traversons réside « dans la force publique » : il explique que les consciences des militaires et policiers sont « secouées » par ce qui se trame, mais que c’est la masse critique des mobilisations citoyennes qui permettra d’en sortir.

[Ndlr : l’entretien date de la veille de la décision du Conseil constitutionnel]

Alors que le Conseil constitutionnel a finalement décidé du sort du passe sanitaire, Emmanuel Macron a renouvelé des attaques dont il a le secret contre la frange « réfractaire » du peuple français, les qualifiant de « menace pour la démocratie » – des extraits de confidences qui doivent paraître demain dans Paris Match. Outré par ces propos qu’il juge irresponsables, analyste de la faillite démocratique dans laquelle nous nous débattons, sévère sur les « choix difficiles » dont se gargarise par avance le président alors qu’il n’en fait aucun pour des sujets brûlants comme la sécurité, Alexandre Juving-Brunet a relevé le défi, en mots pesés mais pas timorés :






Appel à tous les Français

Par Jean-Michel Grau

Aujourd’hui, 5 août 2021, la République est morte.

Ainsi en a décidé le Conseil Constitutionnel qui a validé toutes les mesures liberticides de l’extension du pass sanitaire, instituant par là même une dictature de facto.

La République est morte par la décision inique de ceux qui se présentent comme des sages alors qu’ils ne sont plus que les valets d’un pouvoir criminel qui applique à la lettre le Grand Reset de Klaus Schwab, le fou illuminé du Forum de Davos à la solde de l’oligarchie mondialiste qui a décidé purement et simplement de réduire en esclavage les peuples en instituant un apartheid pour les uns et en exterminant les autres à coup de piqûres géniques pour leur voler toutes leurs richesses.

La République est morte ce 5 août 2021, comme elle était morte le 10 juillet 1940 lorsque 569 députés se sont couchés pour voter les pleins pouvoirs au maréchal Pétain.

Ce sont les mêmes traîtres qui 80 ans plus tard se vautrent à nouveau dans la lâcheté et l’ignominie.

Les mêmes criminels qui acceptent de créer un apartheid entre vaccinés et non vaccinés, comme leurs prédécesseurs en ont créé une avec la sinistre étoile jaune, se rendant ainsi complices de crimes contre l’humanité.

La République est morte par ceux-là mêmes qui étaient les gardiens de la Constitution française et qu’ils viennent de bafouer et violer allègrement sans aucun état d’âme alors que cet abject pass sanitaire viole de A à Z non seulement la Constitution française, mais encore la Constitution européenne.

Pour rappel, le pass sanitaire qui est de facto une obligation vaccinale qui ne dit pas son nom viole non seulement la Déclaration des droits de l’homme, mais encore la Constitution française de 1946 ainsi que la déclaration de 1789. Ainsi :

« Cette obligation indirecte, puisque non prescrite par la loi, viole l’article 5 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui énonce que “nul ne peut être contraint à faire ce que la loi n’ordonne pas”. »

L’obligation vaccinale pour exercer certaines professions viole le droit à l’emploi et le droit de ne pas être lésé en raison de ses opinions ou de ses croyances, protégés par l’alinéa 5 du Préambule de la Constitution de 1946 comme par l’article 8 de la Déclaration de 1789.

Elle viole également le principe d’égalité, les libertés individuelles, le principe de protection de la santé, le droit à l’intégrité physique et à la dignité, le principe d’égal accès aux emplois publics, le principe de précaution, inscrits dans notre bloc de constitutionnalité.

En effet :

Soumettre l’exercice de certaines activités à la présentation d’un « pass sanitaire » aboutit en pratique à une obligation vaccinale pour le personnel travaillant dans les domaines listés ainsi qu’aux citoyens souhaitant y accéder : en effet, la contrainte représentée par le fait de devoir se rendre toutes les 48 heures dans un centre habilité pour y subir un prélèvement nasal non remboursé à compter de l’automne (environ 27 euros à ce jour pour un test PCR, soit 405 euros par mois) constitue une mesure d’effet équivalant à une obligation vaccinale.

Par ailleurs :

  • Le pass sanitaire viole le secret médical (L1110-4 du code de santé publique)
  • Le pass sanitaire viole la liberté de disposer de son corps (L16 -1 Code civil).
  • Le pass sanitaire viole la liberté de refuser tout traitement (L1111-4 du code de santé publique)

    Il viole aussi au moins un accord européen :

la résolution 2361 adoptée le 28/01 par le Conseil de l’Europe (et dont la France est signataire) qui stipule :

– article 7.3.1 que la vaccination ne devra pas être obligatoire et que personne ne devra subir de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement.

– article 7.3.2 que personne ne devra être victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné en raison des risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner.

Pour toutes ces raisons, le Conseil Constitutionnel en validant le pass sanitaire, la plus grave atteinte aux libertés jamais portée contre le peuple français depuis l’État collaborationniste de Vichy, valide de facto la dictature instituée par Macron pour réduire les non-vaccinés à l’état d’esclave et les vaccinés à l’état de cobayes de l’industrie pharmaceutique dont Macron est le VRP le plus zélé et le plus fanatique.

Ces vaccins qui, rappelons-le, n’en sont pas, puisque tous n’ont obtenu qu’une autorisation temporaire de mise sur le marché qui court jusqu’en 2023, ne sont que des piqûres expérimentales qui n’ont rien à envier à celles que pratiquaient en leur temps les médecins nazis.

Il faut donc croire que les 9 membres du Conseil Constitutionnel sont assez fous pour s’imaginer que les Français vont accepter cet apartheid et cette dictature nauséabonde en marche sans broncher !

Eh bien, ils se trompent lourdement !

John Fitzgerald Kennedy rappelait déjà en son temps que ceux qui rendent une révolution pacifique impossible rendront une révolution violente inévitable. Il parlait d’or !

Macron, n’avait-il d’ailleurs pas intitulé en 2017 son livre-programme : « Révolution » ?

Eh bien, oui, la révolution préconisée dans le livre de Macron, ce sont les Français qui vont s’en charger dorénavant. Ce n’est pas exactement celle qu’il imaginait. Car cette révolution est celle qui va permettre aux Français de retrouver leurs libertés perdues et qui va le conduire, lui, Macron, ainsi que ses acolytes criminels, devant la justice pour répondre de tous les crimes qu’ils ont commis et continuent de commettre pour sauver l’oligarchie financière de l’effondrement.

Ils vont devoir payer la facture et elle risque d’être particulièrement lourde.

Macron devra payer, ainsi que son ministre de la santé Véran pour l’interdiction des traitements qui soignent qui a entraîné la mort de nombre de français ainsi que pour les injections de Rivotril pour avoir euthanasié sans la permission de leurs proches, les petits vieux des EHPAD laissés à l’abandon.

Il devra payer pour avoir obligé des millions de Français à se faire piquer avec des vaccins expérimentaux dont on ne commence à voir les effets délétères que maintenant, en leur agitant la menace de devenir des citoyens de deuxième zone.

Il devra payer pour avoir créé et entretenu un climat de peur permanente depuis plus d’un an et demi, entraînant un nombre incroyable de dépressions et de suicides en particulier chez les jeunes.

Il devra payer pour avoir traité les Français comme des chiens en leur imposant une muselière y compris aux enfants dès l’âge de 6 ans les obligeant de respirer leur gaz carbonique du matin au soir.

Il devra payer pour avoir fait de la France une prison à ciel ouvert en confinant et reconfinant les Français au gré de sa volonté et de leur avoir fait subir des couvre-feux inutiles qu’on n’avait plus connu depuis la Seconde Guerre mondiale.

Même les nazis les plus fanatiques n’ont jamais osé imaginer un traitement aussi cruel contre leur propre peuple. C’est dire…

Emmanuel Macron est le premier chef d’État malveillant que la France ait jamais connu.

Pour tous ses crimes, il paiera, et le peuple français va s’en charger dès maintenant. Il va voir ce que c’est que d’avoir osé s’attaquer à un peuple qui a déjà quatre révolutions à son actif.(([1] 1789, 1830, 1848, 1871.))

En ce jeudi 5 août 2021, le Conseil Constitutionnel vient d’ouvrir une boîte de Pandore qui ne se refermera plus. La colère est là. Elle grondait déjà. Elle va exploser dès demain.

« Notre patrie est en péril de mort. Luttons tous pour la sauver ! »(([2] Général de Gaulle, appel du 18 juin.))




Le Conseil Constitutionnel osera-t-il enterrer la République Française ?

Par Jean-Michel Grau

Le jeudi 12 juillet 2021 sera-t-il à marquer d’une pierre noire pour la démocratie française ?

En ce jour, le Conseil Constitutionnel devra prendre position pour savoir s’il valide ou non l’extension du pass sanitaire décrétée par Emmanuel Macron le 12 Juillet.

Pour rappel, ce pass sanitaire est anti-constitutionnel en ce sens qu’il bafoue et viole la constitution française car il heurte de manière disproportionnée nombre de libertés fondamentales.(([1] Pass_sanitaire_50000_citoyens_deposent_un_recours_devant_le_Conseil_constitutionnel.pdf (dejavu.legal) )) Ainsi :

« Cette obligation indirecte, puisque non prescrite par la loi, viole l’article 5 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui énonce que “nul ne peut être contraint à faire ce que la loi n’ordonne pas”. »(([2] Qu’on soit pour ou contre, le passe sanitaire bafoue la Constitution et les droits de l’homme ! – Boulevard Voltaire (bvoltaire.fr) ))

L’obligation vaccinale pour exercer certaines professions viole le droit à l’emploi et le droit de ne pas être lésé en raison de ses opinions ou de ses croyances, protégés par l’alinéa 5 du Préambule de la Constitution de 1946 comme par l’article 8 de la Déclaration de 1789.

Elle viole également le principe d’égalité, les libertés individuelles, le principe de protection de la santé, le droit à l’intégrité physique et à la dignité, le principe d’égal accès aux emplois publics, le principe de précaution, inscrits dans notre bloc de constitutionnalité.

En effet :

Soumettre l’exercice de certaines activités à la présentation d’un “pass sanitaire” aboutit en pratique à une obligation vaccinale pour le personnel travaillant dans les domaines listés ainsi qu’aux citoyens souhaitant y accéder : en effet, la contrainte représentée par le fait de devoir se rendre toutes les 48 heures dans un centre habilité pour y subir un prélèvement nasal non remboursé à compter de l’automne (environ 27 euros à ce jour pour un test PCR, soit 405 euros par mois) dans des centres qui seront probablement raréfiés et engorgés (du fait du non-remboursement) constitue une mesure d’effet équivalant à une obligation vaccinale.

Par ailleurs :

Le pass sanitaire viole le secret médical (L1110-4 du code de santé publique)

Le pass sanitaire viole la liberté de disposer de son corps (L16 -1 Code civil).

Le pass sanitaire viole la liberté de refuser tout traitement (L1111-4 du code de santé publique)

Il viole aussi au moins un accord européen :

la résolution 2361 adoptée le 28/01 par le Conseil de l’Europe (et dont la France est signataire) qui stipule :

– article 7.3.1 que la vaccination ne devra pas être obligatoire et que personne ne devra subir de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, si il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement.

– article 7.3.2 que personne ne devra être victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné en raison des risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner.

Pour toutes ces raisons, le Conseil Constitutionnel s’expose à une responsabilité écrasante face à l’Histoire s’il valide l’extension du pass sanitaire décrétée par Emmanuel Macron.

Cela équivaudra à enterrer de fait la République française. Exactement comme l’a fait le parlement français un certain 10 Juillet 1940 en votant les pleins pouvoirs à Pétain, ouvrant la voie aux trois premiers actes constitutionnels pris par ce même Pétain le lendemain qui, outrepassant le texte du 10, constituent une forme de coup d’État en supprimant la République pour instituer un régime dictatorial au profit d’un chef d’État autoproclamé.

Pour éviter d’arriver à un tel scénario catastrophe, il reste deux options au Conseil Constitutionnel :

Option n°1

Vider l’extension du pass sanitaire de sa substance en invalidant toutes ses dispositions liberticides :

  • Accès aux hôpitaux hors cas d’urgence,
  • Accès aux écoles, collèges, lycées et universités,
  • Accès aux transports en commun (Trains, bus, métro, tramway…)
  • Accès aux Centres Commerciaux,
  • Accès aux lieux culturels (Musées, concerts, salles de spectacle, cinémas…)
  • Accès aux restaurants, bars, cafés, discothèques…)

Option n°2

Démissionner en bloc pour cause de conflit d’intérêt du président du Conseil Constitutionnel Laurent Fabius avec son fils Victor, vice-président du Cabinet de conseil Mc Kinsey qui élabore la stratégie vaccinale de la France.

Ceux que l’on appelle « les sages » sauront-ils se montrer dignes de leur fonction en rejetant ce pass liberticide qui institue de facto la dictature ?

Réponse jeudi, mais quelle que soit leur décision, elle restera gravée dans l’Histoire de France.

Ou comme une victoire de la liberté, ou bien comme une tache indélébile.





Pass sanitaire ou pass suicidaire ? « Nous venons de déposer des plaintes pour des faits criminels dans plusieurs coins de France. »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

ENTRETIEN – Me Jean-Pierre Joseph, avocat, doyen du Barreau de Grenoble.

France Soir : le 23 septembre 2020, vous avez publié dans « Profession Gendarme », un article intitulé « Quand cesserons nous d’être des moutons ? » dans lequel vous écriviez que ni le masque, ni le confinement n’empêcheraient la deuxième vague. L’Histoire ne vous a-t-elle pas donné raison ?

Jean-Pierre Joseph : Non seulement l’Histoire m’a donné raison, mais cela a continué, car j’avais annoncé à mon entourage que si nous ne réagissions pas, il y aurait une deuxième, puis une troisième, puis une quatrième vague, etc. Et des mesures de plus en plus liberticides, qui n’auraient aucun effet sur le freinage de l’épidémie. En fait à l’époque, les gens croyaient qu’en obéissant cela s’arrêterait, et je leur disais 

« C’est justement parce que vous obéissez que cela ne s’arrêtera jamais… »

En réalité, les contradictions dans les mesures étaient tellement évidentes, qu’il m’est difficile d’accepter qu’une grande partie de la population, glacée de terreur face à un virus que personne n’a jamais vu, soit aussi obéissante, et que les grands médias n’aient pas d’avantage dénoncé ces contradictions :

  • Le masque était inutile, puis un mois plus tard devenait indispensable,
  • Le confinement « allait faire accélérer l’épidémie« , puis un mois plus tard, « allait la freiner« 
  • Au premier confinement, seules les activités essentielles étaient autorisées. Mais parallèlement, des milliers d’antennes 5G étaient installées. Pourquoi était-ce si essentiel ?
  • Plus récemment « les enfants n’attrapent pas la maladie et ne sont pas contagieux » puis « Ils doivent se vacciner« .
  • Dans les restaurants, dès que l’on se levait, il fallait mettre le masque, comme si le virus ne frappait qu’en hauteur. Fallait-il marcher à quatre pattes pour aller aux toilettes ?
  • Lors des couvre-feux, les gens faisaient leurs courses en catastrophe, entassés dans les magasins, mais dès 18h. le virus allait frapper, comme s’il travaillait de nuit comme les infirmières… »

Vous avez dénoncé ce que vous appelez la « Scientocratie ». Comment définissez vous cela ?

Ce que j’appelle la Scientocratie, c’est un phénomène qui est arrivé progressivement : un groupe de « scientifiques » dont la plupart ne voient plus de malades depuis longtemps, dont la plupart ont des liens d’intérêts importants avec l’industrie pharmaceutique, et qui sont une minorité, affirment depuis le début qu’il fallait se confiner, porter le masque pratiquement jour et nuit, ne pas se soigner si l’on tombait malade, car « il n’y avait pas de traitement« , et que seul le « vaccin » nous sauvera.

Comme des moutons, nous avons accepté cela, alors que des milliers de médecins en France signaient des pétitions indiquant « laissez-nous prescrire« , car quiconque prescrivait l’une des quatre thérapeutiques mondialement connues, mais qui étaient interdites, s’il était dénoncé (comme autrefois, la France compte beaucoup de collabos), il faisait l’objet de poursuites disciplinaires. Cette minorité a imposé son soi-disant savoir au gouvernement. Pourtant l’on continue d’écouter ces gens là qui ont démontré par les faits l’inefficacité de leur « Savoir ». Malheureusement tous les autres, qui pourraient nous démontrer le scandale sanitaire découlant de ces positions, ne sont jamais invités sur les plateaux. Demandons-nous pourquoi.

La blouse blanche a remplacé la soutane.

Vous évoquez des « thérapeutiques mondialement connues ». Pouvez vous préciser ?

Comme je l’ai déjà expliqué, l’on connaissait depuis des décennies, en matière de traitement d’un virus grippal, au moins quatre thérapeutiques :

1- l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine,
2- la vitamine C en perfusion et à haute dose,
3- l’artemisia annua
4- l’ivermectine.

De nombreuses publications nous ont démontré que ces thérapeutiques étaient extrêmement efficaces, avec peu d’effets secondaires, à condition qu’elles soient utilisées dès les premiers symptômes. Nos scientocrates connaissaient cette information, et (comme s’ils le faisaient exprès), se sont dressés contre, se basant sur les seules études de cas dans lesquels l’on avait attendu que l’état du patient ne se soit fort dégradé, pour dire que ces thérapeutiques « ne marchaient pas… »

Bref, tout était fait pour nous faire croire que seul le « vaccin » pourrait nous sauver.

Cette position, en toute logique, est inexplicable, d’autant plus que de nombreux médecins avaient informé le ministère de la Santé qui ne voulait rien entendre.

Mais les vaccins anticovid ne permettent-ils pas d’arrêter l’épidémie ?

Je ne suis pas médecin, mais je suis obligé de dire ce que je vois : dans un article récent, intitulé « Covid 19 : injection chimérique transgénique – l’hécatombe vaccinale s’étend dans le monde » le Dr Gérard Delépine, chirurgien, oncologue et statisticien, montre que les courbes des décès montent en flèche, dans tous les pays dès le début de la vaccination de masse. Le cas des Anglais qui ont été les premiers en Europe à vacciner est caractéristique : dès le début de ces injections de masse, est apparu… le variant anglais… Puis la courbe des décès a remonté de manière spectaculaire. Naturellement aucun des grands médias n’en a parlé. Pourtant, ils avaient les courbes officielles devant les yeux. On dirait qu’ils sont chloroformés. Actuellement des médecins israéliens, résidant dans l’un des pays les plus vaccinés au monde, nous indiquent que chez eux, plus de 51% des hospitalisés avec le diagnostic de covid-19, sont vaccinés, et que la courbe de mortalité chez les jeunes a augmenté de 20% entre 2020 et aujourd’hui.

J’ai l’impression que non seulement ce « vaccin » ne protège pas beaucoup, mais en plus rend beaucoup de gens malades. Plus on « vaccine », plus il y a de malades !

On parle d’effets indésirables, avez vous des informations à ce sujet ?

Sur le site européen de pharmacovigilance « EUDRAVigilance », il est mentionné 19.791 décès au 24 juillet 2021 et plus de 2.000.000 d’effets indésirables dont 800.000 graves voire irréversibles (hors notamment Suisse et UK), ce qui est extrêmement alarmant par rapport à toutes les campagnes de vaccinations que nous avons connues par le passé.

Même le site de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) nous indique qu’au 1er juillet 2021, sur 62.000 déclarations, 31.000 cas ont reçu la qualification officiels d’effets indésirables, dont 8.689 graves, et 900 décès, pour le seul produit Pfizer ! Et 11.200 cas graves en fin juillet.

Il est à noter que d’après de nombreux scientifiques, les données de pharmacovigilance ne représentent en général que 5% en moyenne des cas réels et que des essais cliniques sont normalement arrêtés immédiatement si des décès sont constatés (exemple parmi de nombreux : en juillet 2020, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a stoppé les essais cliniques de la société Cellectis pour le produit UCARTCS1 pour seulement un décès).

Le professeur Peter A. McCullough, cardiologue, vice-chef de médecine interne à la Baylor University Medical Center à Dallas au Texas ainsi que professeur principal en médecine interne à l’Université A&M du Texas Health Sciences Center, a précisé dans une interview que : « La limite pour arrêter un programme de vaccin est 25 à 50 morts. Grippe porcine, 1976, 26 décès, ils ont arrêté ». – COVID : «Le vaccin est l’agent biologique le plus mortel, le plus toxique jamais injecté dans un corps humain». Nous en sommes à 900 décès en France, plus de 19.000 en Europe, et les médias et les quelques scientocrates continuent de nous dire qu’il « y a très peu d’effets indésirables ! ». Pourquoi nous mentent ils de cette manière ?

À ce stade, je suis contraint de constater que nous sommes face à un empoisonnement collectif. Ce n’est pas parce que ce scandale sanitaire n’est pas mentionné par les médias « grand public » qu’il n’existe pas. En réalité, dans plusieurs coins d’Europe, des scientifiques ont analysé les produits mis sur le marché, et sont très inquiets de ce qu’ils ont trouvé !

Et ce qui encore plus incroyable, est que l’on est sur le point d’assister à la publication d’un texte de loi, contraire à plusieurs conventions internationales, car nous sommes toujours en période d’essai clinique jusqu’en 2022, voire 2023.

La Convention d’Oviedo interdit de forcer un citoyen à participer à une expérimentation. Or, beaucoup d’entre nous risquent d’être contraints de recevoir une injection d’un produit expérimental, qui n’est même pas un vaccin, mais un produit génique expérimental.

Parlons de ces plaintes : quel but poursuivez-vous ?

Il faut que cette hécatombe s’arrête ! Les 19.000 morts et 800.000 cas graves, représentent malheureusement une partie de la réalité, ce qui est d’autant plus honteux que nos autorités nient leur existence, et font comme si cela n’existait pas.

Depuis quelques jours, moi et d’autres confrères, avons quotidiennement des appels téléphoniques d’infirmières ou de pompiers stupéfaits d’amener tous les jours des « vaccinés » aux urgences. Depuis quelques jours, de nombreux professionnels de santé, constatant les dégâts de ces injections, nous demandent comment faire pour y échapper : « Dois-je risquer de mourir ou d’être handicapée à vie pour conserver mon emploi ?« 

Plusieurs experts américains ou européens nous alertent sur le fait que ces injections risquent de bloquer toutes nos défenses immunitaires, ce qui nous mettra en danger permanent, notamment M. Van den Boosch, qui eut d’importantes responsabilités au sein des laboratoires Pfizer et Novartis, et qui nous alerte en conseillant d’arrêter toute cette campagne de « vaccinations ».

Comment en est-on arrivé là sans que personne ne réagisse ?

« On peut faire accepter n’importe quoi à une population qui a peur« 

1- On a gonflé énormément les chiffres des décès dus au Covid : des accidentés de la route, des cancéreux mourraient officiellement « du Covid » ! La consigne dans les hôpitaux était d’en déclarer le plus possible (plusieurs soignants hospitaliers m’ont indiqué que certains hôpitaux percevraient une subvention pour chaque déclaration, ce qui permet de mieux comprendre les raisons de cette situation incroyable). Parallèlement, depuis plusieurs années, des milliers de lits d’hôpitaux avaient été supprimés, ce qui allait conduire forcément à une saturation. Et, contrairement aux promesses, ce processus a continué même pendant l’épidémie.

2- Toutes les thérapeutiques efficaces étaient interdites.

3- Le masque que l’on devait porter même en plein air, jusque sur certaines plages n’avait pas pour but la Santé Publique, mais de maintenir la peur, en muselant tout le monde. N’importe quel médecin de terrain vous dira que porter un masque en bord de mer, à des dizaines de mètres d’autre promeneurs, c’est grotesque ! Même les enfants, pourtant épargnés par cette maladie, et donc non contagieux, devaient faire comme s’ils étaient dangereux pour les autres !

4- Les divers confinements visaient spécialement les lieux où on échange des idées : bars, restaurants, salles de spectacles. Mais pas le métro, les grandes surfaces, etc. Comme des moutons chloroformés, nous avons accepté ces aberrations !

Tout était fait pour laisser les gens dans la terreur, à l’aide des slogans publicitaires, des affiches etc…

5- Puis sont arrivés ces produits grâce auxquels on allait pouvoir vivre « comme avant »… Sauf que ces produits sont en train de décimer beaucoup de monde, et ne semblent pas si efficaces qu’on le dit.

Certains ne pourront-ils pas échapper à cela avec un certificat de contre-indication ?

Le texte prévoit effectivement la possibilité pour le médecin traitant de délivrer un certificat de contre-indication.

Toutefois, le texte a déjà limité les cas dans lesquels ce certificat pourra être accepté : certaines pathologies antérieures, et des allergies « aux composants du vaccin... »

On baigne dans l’absurde, ou dans la mauvaise foi ! Comment peut-on déjà savoir quelles sont les pathologies antérieures susceptibles de contre-indiquer des produits encore en phase d’essai clinique ?

Quant aux composants du vaccin, c’est encore pire ! Il semblerait que personne (médecins, pharmaciens…) ne soit en mesure de nous donner la liste de tous les composants des produits.

Ainsi :
1- On tente de nous obliger de nous injecter un produit qu’on ne connait pas.
2- Pour savoir si l’on est allergique à un des composants, il n’y a qu’une seule solution : se le faire injecter, puis dire de son lit de mort, « Maintenant je sais que je suis allergique… »

Pour arrêter ce processus, des médecins et des particuliers vous ont demandé de saisir la Justice. Qu’avez-vous fait ?

Nous avons déposé deux plaintes collectives :

I- Une première plainte collective a été déposée à Grenoble pour :
– Tentative d’empoisonnement, (art 221-5 C. Pénal)
– Mise en danger de la personne, (art. 223-1 C. Pénal)
– Mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité. (art. 227-15 C. Pénal)

a) La tentative d’empoisonnement :

La semaine dernière, les responsables de plusieurs collectifs de l’Isère, par mon intermédiaire, ont déposé une plainte contre X pour tentative d’empoisonnement, entre les mains du Doyen des Juges d’instruction du Tribunal Judiciaire de Grenoble. Ils estiment en effet que certains responsables de Santé Publique, continuent d’encourager les français à recevoir un produit dangereux, qui n’est pas un vaccin, mais un médicament expérimental, qu’ils qualifient faussement de « vaccin », dont l’efficacité n’est pas du tout démontrée, et est même contredite par les chiffres officiels de nombreux pays étrangers, et dont la dangerosité apparait de plus en plus. Ils estiment que le fait de continuer d’encourager les français à recevoir ces injections, tout en cachant les innombrables accidents post-vaccinaux, et en déclarant mensongèrement que les effets indésirables graves « sont très rares », procède d’une volonté criminelle délibérée.

Il s’agit donc bien d’une tentative d’empoisonnement collectif, car au départ, les six plaignants avaient fermement l’intention de recevoir l’un des produits actuellement proposés, mais viennent d’y renoncer, devant la multitude d’informations alarmantes et incontestables dont ils ont eu connaissance.

b) La mise en danger de la personne :

De nombreux scientifiques nous ont dit être complètement sidérés par ce qu’ils appellent un « muselage de la population ». Par dizaines, ils nous expliquent l’inutilité et la dangerosité du port du masque. Celui qui résume bien tous les autres est peut-être le Pr Laurent Toubiana, épidémiologiste et directeur général de l’Irsan qui écrit :

« De la même manière que le confinement généralisé d’une population, le port du masque généralisé en espace ouvert n’a aucun fondement scientifique et me paraît complètement délirant et ahurissant... » 

Ainsi, les mêmes responsables des collectif isérois, ont déposé plainte également pour mise en danger de la personne.

c) La mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité :

Monsieur le Recteur de l’Académie de Grenoble a donné des consignes concernant le port du masque, portant atteinte à la santé des enfants, contre tout bon sens, puisque les autorités de Santé disaient elles-mêmes que :
a-) Les enfants ne contractaient pas la maladie,
b-) Les enfants étaient peu, voire pas du tout contagieux.

Sachant dès le début, que ces mesures seraient inutiles et hautement nocives pour ces enfants, mais en donnant des consignes de port obligatoire du masque pour les enfants des écoles, des collèges et des lycées, aux chefs d’établissements de l’académie, il s’est rendu coupable, ainsi que d’autres fonctionnaires, de mise en péril de mineurs par personne ayant autorité, dans la mesure où le fait d’obliger des enfants à ne pas respirer normalement, compromettant ainsi à long terme, leur santé physique et mentale, et de les obliger, en portant tous un masque, à vivre sans voir l’expression des visages de leurs camarades et des adultes, a conduit à des centaines de pathologies psychiatriques, et de nombreuses tentatives de suicides d’enfants.

Les responsables des collectifs ayant des enfants d’âge scolaire, ont ajouté aux précédents griefs visés dans leur plainte, la mise en péril de mineurs par personne ayant autorité.
 

II- Une deuxième plainte collective a été adressée jeudi 29 juillet 2021 à M. le Doyen des Juges d’instruction du Tribunal Judiciaire de Paris, contre le Président du Conseil National de l’Ordre des médecins pour délaissement ayant entraîné la mort de personnes qui n’étaient pas en mesure de se protéger en raison de leur âge ou de leur état physique ou psychique (art. 223-3 et 223-4 C.P.)

Cette plainte regroupe des médecins, qui n’ont pas pu soigner les patients et des particuliers dont un des proches est décédé, ou a été gravement malade, car il n’a pas pu être soigné à temps.

Ces personnes estiment en effet que dans la plupart des cas, les médecins qui voulaient prescrire une thérapeutique venant d’être interdite, étaient rappelés à l’ordre par le Conseil National de l’Ordre qui leur indiquait que leur prescription ne correspondait pas aux « données acquises de la Science » et qui les menaçait de poursuites disciplinaires en cas de récidive, se contentant de leur conseiller de dire à leurs patients :

a) soit, si leur état ne semblait pas trop grave, de rester chez eux et « prendre du Doliprane »,
b) Soit de se rendre aux urgences à l’hôpital.

De ce fait les médecins libéraux ne pouvaient rien prescrire, et ne pouvaient qu’attendre que l’état du patient ne se dégrade, et le faire hospitaliser.

Ceci explique pourquoi les malades du Covid 19 qui sont décédés, l’ont été très souvent quelques jours seulement après leur hospitalisation, car ils correspondaient à des malades qui n’avaient pas pu être soignés, et qui arrivaient donc trop tard à l’hôpital.

M. le Président du Conseil National de l’Ordre était parfaitement au courant de la situation, et savait qu’en menaçant les médecins, et en leur interdisant de prescrire l’une des thérapeutiques précitées, faisant même poursuivre disciplinairement ceux qui n’obéissaient pas, il allait contribuer à de nombreuses hospitalisations et de souffrances, et de décès.

C’est donc en connaissance de cause qu’il a contribué à laisser s’aggraver l’état de santé de milliers de personnes.

Comment voyez-vous l’avenir de cette crise sanitaire ?

Depuis l’annonce du 12 juillet, j’ai reçu des dizaines d’appels d’infirmières, médecins, pompiers qui ont deux inquiétudes :

  • Inquiétude pour les personnes : Ils m’indiquent avoir connaissance tous les jours de personnes hospitalisées en urgence après une « vaccination ». Ils me parlent d’hécatombe. Ils sont scandalisés par le silence total des grands médias.
  • Inquiétude pour eux-mêmes, car ils me demandent comment échapper à cet empoisonnement qui pour eux, sera obligatoire. Nous pensons avoir des solutions.

L’avenir va dépendre de nous tous. Tout le monde (ou presque) a compris que plus on confine, plus on masque, plus on « vaccine », et plus les courbes remontent. Pourquoi ?

Lorsque l’on apprend que tant en Israël qu’en Grande-Bretagne, une grande proportion de personnes hospitalisées avec le diagnostic « Covid » avaient été « vaccinées », l’on est en droit de se demander si le « vaccin » n’a pas transmis la maladie.

Bien sûr, les autorités nous répondront que le produit « n’avait pas eu le temps de faire son effet », comme si l’on allait tenir pour postulat que la personne l’aurait « attrapée » même sans le produit.

Ce qui pollue toute discussion, c’est que dans l’esprit collectif, depuis un siècle, le vaccin est considéré comme un Sacrement. Ainsi, l’aluminium retiré des produits cosmétiques, même des vaccins pour animaux, est resté dans les vaccins pour les humains, comme si un souffle divin lui enlevait sa nocivité.

[Rappel : Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Pour la gauche, c’est un acquis social, un progrès de l’humanité. Il est vrai que j’y ai cru longtemps. Ceci est tellement ancré dans nos têtes, que l’évidence et le bon sens ont totalement disparu : Pour un enfant victime de convulsions juste après une vaccination, même des experts vont affirmer en Justice qu’il s’agit d’une coïncidence !

Ceci explique pourquoi les chiffres donnés par la pharmacovigilance, sont à multiplier au moins par 10, car il s’agit de décès ou d’effets indésirables déclarés officiellement par cet organisme, qui ne recueille que ce qu’on lui a envoyé.

Dans le cas présent, ceci explique pourquoi les élus, les chefs de service, les directeurs d’école, font comme s’ils ne comprenaient pas pourquoi le bonbon qu’ils nous obligent à manger, nous perturbe autant… Car quand on leur parle, ils nous répondent comme si le « vaccin » était comme un simple bonbon totalement inoffensif.

Ainsi, nos grands scientifiques, et même nos journalistes, deviennent des idéologues, et non plus des personnes objectives qui se contentent de décrire ce qu’ils voient. C’est pourquoi, après la manifestation du samedi 24 juillet, dans une ville dans laquelle on pouvait voir sur de nombreuses photos, plus d’un kilomètre de cortège le long d’une avenue à quatre voies, le journal local écrivait « Quelques centaines de manifestants... »

Tout ce qui va contre la pensée unique est nié, minimisé, caricaturé.

Les grands médias portent une lourde responsabilité, car dans le cas présent, cette négation entraîne des morts.

Personne ne parle jamais du typage H.L.A. découvert en 1980 par Jean Dausset, prix Nobel de médecine, et qui montre que nous appartenons tous à un groupe immunitaire, et qu’en fonction du groupe auquel nous appartenons, nous ne réagirons pas de la même manière à un vaccin, ou même à un virus. Cette information dérange tellement que personne n’en a parlé pendant 30 ans, alors que Jean Dausset avait déclaré en 1980 : « La vaccination de masse sera bientôt une pratique du passé... »

Je suis persuadé que si nous continuons de nous laisser faire, il y aura une quatrième, une cinquième, une sixième vague, et cela ne s’arrêtera jamais. Il faudra une troisième dose, puis une quatrième, il y aura de nouveaux confinements, puisque, comme l’ont expliqué de nombreux virologues ou médecins, plus on confine, plus on masque, plus on « vaccine », et plus il y a de malades.

Cela ne s’était jamais produit.

Comme tout va être fait pour nous faire croire que cette nouvelle vague « C’est de la faute des non-vaccinés », il est fort possible que dans beaucoup d’hôpitaux, personne ne demandera à tous les nouveaux malades du covid ou du variant « Êtes-vous vacciné ? » Et même si les soignants sur le terrain qui le demandent et le signalent, l’information ne remontera pas, car le but est de nous injecter ces produits.

Il faut rappeler que les contrats signés entre les laboratoires et la Commission européenne, précisent que les parties reconnaissent ignorer l’efficacité et les effets indésirables. Et une autre clause précise que même si une thérapeutique efficace venait à être connue, cela n’annulerait pas les contrats…

Je suggère, quand une personne, qui a reçu une ou plusieurs injections, est hospitalisée, que les familles signalent systématiquement ce que la personne a reçu. Je suggère qu’elles le signalent également et directement à la pharmacovigilance. Sinon, cela va continuer : chaque décès sera officiellement « mort du Covid » (et non de l’injection).

Je suggère également que mes Confrères déposent des plaintes dans leurs départements respectifs, et surtout, que tout le monde se demande quelles sont les raisons de cette hystérie covidique. Lorsque tout le monde aura connaissance de toutes les informations détenues par un certain nombre de juristes français, allemands, italiens, belges, espagnols, américains, etc. l’on aura une idée claire. Mais il faudra calmer la colère de beaucoup.

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Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
Une journaliste vedette de Fox News dévoile ce que des sites « complotistes » avaient révélé depuis des mois : le document Rockefeller sur un scénario pandémie publié en 2010
Selon le Dr. McCullough, les vaccins COVID représenteraient la seconde étape d’une attaque bio-terroriste
Et si cette « pandémie » n’était qu’une préparation mentale pour la suite ?]

Jean-Pierre Joseph est auteur de « Vaccins : on nous aurait menti ? » (5° édition 2020)

L’association BonSens.org fait savoir qu’elle s’associera à ces plaintes en y apportant son soutien.

Auteur(s): FranceSoir




Dérive liberticide : des avocats montent au front en France

[Source : reseauinternational.net]

par Jean-Dominique Michel.

La situation en France a quelque chose de terrifiant : nous voyons basculer dans l’abjection et l’ignominie une nation qui a été une référence mondiale en termes de droits de l’homme et de défense des libertés.

Je sais combien la comparaison agace, mais combien cela fleure-t-il bel et bien l’Allemagne des années 30. Les quelques lucides à cette époque virent basculer une nation de culture, de pensée, de littérature, de grande musique dans cet état barbare, emportés par les diableries d’un vrai psychopathe. En ce qui concerne Emmanuel Macron, la question se pose désormais…

Comment peut-on en effet pareillement maltraiter, violenter, truander, asservir et même (selon les définitions prévalant en la matière) torturer son peuple sans la moindre vergogne ni le sens de la parole donnée ?

Faut-il rappeler les assurances que l’autocrate donnait encore il y a peu, la bouche en cœur, sur le fait qu’il ne saurait y avoir de pass sanitaire ou de vaccination obligatoire dans le pays des Lumières, ajoutait-il, qu’était la France ?

Au même moment où il proférait ces fieffés mensonges, ses équipes travaillaient sur les projets qui nous sont maintenant imposés au mépris de la parole présidentielle et de tout état de droit comme de toute éthique. Comme cette inique obligation du pass sanitaire pour se faire soigner à l’hôpital public…

Faudra-t-il rappeler un fois de plus la parole de Racamier, le psychiatre qui a conceptualisé le profil de « manipulateur pervers » décrivant celui-ci comme quelqu’un « pour qui un mensonge réussi vaut une vérité » ?!

Les quelques penseurs et scientifiques intègres qui s’épuisent à nommer cette ignominie sont enfin rejoints par de plus en plus de citoyennes et citoyens de plus en plus choqués par cette violence et ce mépris.

Un front se lève, un front citoyen, patriotique, mais aussi des corps et des métiers. Comment oser en effet faire une telle brutalité aux soignants héroïques au printemps et à l’automne, dont on ne cesse de détruire l’outil de travail tout en ne cessant de les mépriser ?

Pourquoi ce vent de folie face à un virus comme il y en a eu des centaines de plus graves et dangereux dans l’histoire de l’humanité, qui n’a pas changé la mortalité en 2020, qu’on saurait soigner précocement et qui ne représente un danger que pour les gens n’ayant plus en moyenne que quelques mois d’espérance de vie ?!

C’est toute l’étendue d’une manipulation qui n’en finit pas. On continue d’empêcher tout ce qui aurait pu et pourrait aider à traiter une épidémie qui aurait été parfaitement gérable, à provoquer des catastrophes inutiles (et heureusement malgré tout limitées) pour pouvoir continuer de faire avancer à la baguette vers l’abime un peuple traumatisé à force de propagande et de mensonges médiatiques.

Des voix continuent de se faire entendre comme celle, bouleversante de courage, de sensibilité au sens le plus sacré du terme et d’intelligence de Me Virginie de Araujo-Recchia. Les lectrices et lecteurs de ce blog sont familiers de cette grande dame, qui me donna à publier sa remarquable analyse sur les qualifications des agissements du gouvernement français au regard du droit pénal international et humanitaire. Et qui accepta à ma grande reconnaissance d’être mon avocate face aux attaques débiles et hideuses que j’ai subies de la part de groupes ou d’individus spécialisée dans le harcèlement en ligne et la diffamation

Elle vient de lancer un appel solennel aux forces armées qui force le respect et l’admiration, en nommant la réalité du Mal auquel nous sommes confrontés… de la part de nos gouvernants, ce qui en fait la singularité face à l’Histoire. Et c’est bien tout l’enjeu aujourd’hui : jusqu’à quand les élus, les médecins, les scientifiques, les journalistes, les fonctionnaires accepteront-ils de rester au service de la « banalité du mal » qui maltraite, abuse, traumatise et torture en particulier les catégories les plus fragiles de la population ?

À la suite de cette remarquable prise de parole, je relaye ici la tribune signée par déjà une centaine d’avocats à travers la France intitulée « Nous ne sommes ni pro ni anti-vaccin mais pour le respect des libertés ».

C’est le temps de la bascule totalitaire. C’est donc aussi le temps de la résistance, de l’héroïsme banal et quotidien auquel nous sommes toutes et tous appelés pour mettre en échec, avec toute notre détermination imperturbable, dans la sérénité et la non-violence, ce cauchemar collectif qu’on nous impose au mépris de l’honnêteté et du droit.

https://youtu.be/TgT9xaU7KXc

Des avocats pour le respect du droit et des libertés

Plus d’une centaine d’avocats à travers le territoire se sont réunis pour écrire et signer une tribune : « Nous ne sommes ni pro ni anti-vaccin mais pour le respect des libertés ».

Nous ne sommes ni PRO ni ANTI VACCIN, mais pour le respect des libertés

À l’heure où l’urgence sanitaire est plus que jamais d’actualité et qu’il apparait plus que nécessaire d’y apporter des solutions concrètes et efficaces, le gouvernement souhaite tendre à une généralisation de la vaccination auprès de tous les Français1 et pour y parvenir a annoncé de :

  • rendre obligatoire le vaccin pour les professionnels en contact avec des personnes vulnérables ;
  • obtenir la vaccination généralisée de la population par l’extension du PASS SANITAIRE à plusieurs lieux accueillant du public.

Toutefois, cela ne peut se faire au détriment du respect de nos droits les plus fondamentaux que sont, notamment, le droit au respect de la vie privée et familiale2, le droit à l’intégrité physique et au principe d’inviolabilité du corps humain3, la liberté de conscience, la liberté d’aller-et-venir, le principe de non-discrimination entre les personnes, le droit au secret médical.

En amont, il convient de connaître le réel statut juridique des vaccins « COVID-19 ». Compte tenu de l’urgence sanitaire, ces vaccins bénéficient d’une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) Conditionnelle renouvelable chaque année avec obligation pour les laboratoires de produire des données complémentaires.

En effet, le vaccin n’étant pas un produit de santé comme les autres et puisqu’il reste un médicament soumis à un encadrement juridique strict4, il doit répondre à une exigence de sécurité qui passe par une surveillance à court mais aussi à long terme5, ainsi que par une évaluation régulière des effets indésirables au regard des bénéfices attendus.6

Ce n’est qu’une fois que le niveau de sécurité du vaccin, au regard de la balance bénéfice/risque sur le court et sur long terme est obtenu, que l’AMM dite standard est délivrée.

Or, concernant les vaccins COVID-19 « les données à long terme sur l’efficacité et la sécurité n’étant pas disponibles »7, la Commission européenne n’a délivré que des AMM conditionnelles.

C’est pourquoi et dans la mesure où la pharmacovigilance de ces vaccins ne permet pas, aujourd’hui, de s’assurer de la sécurité des vaccins sur le long terme, plus que jamais chacun devrait rester LIBRE de consentir ou non à se faire vacciner. Rendre la vaccination obligatoire est par conséquent inconcevable.

À ce titre, concernant l’obligation de recueillir le consentement de tout usager du système de santé, notre corpus juridique bénéficie d’un socle solide passant du Code de Nuremberg à la Résolution 2361 (2021) adoptée le 27 janvier 2021 par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.8

À titre d’exemple, la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, prévoit que le consentement à tout acte médical doit être libre et éclairé.

Libre, cela signifie que la personne doit manifester sa volonté à l’acte médical et donc son accord non équivoque à l’atteinte à l’intégrité de son corps et cela sans contrainte ni pression.

Éclairé, cela signifie d’avoir au préalable reçu une information loyale, claire, appropriée, complète9 et cela quel que soit le contexte d’urgence10, notamment sur le fait que les données sur le long terme ne sont pas disponibles, sur les risques fréquents ou graves normalement prévisibles en l’état des connaissances scientifiques et des conséquences que ceux-ci pourraient entraîner.

Rappelons que si seul le législateur peut rendre une vaccination obligatoire11, c’est à la double condition que la maladie soit particulièrement bien connue par la médecine12 et, comme le rappelle le Conseil d’État, que l’ingérence de la vaccination obligatoire dans les libertés individuelles se fasse moyennant un contrôle de proportionnalité prenant acte de l’efficacité certaine des vaccins en cause, au regard du caractère limité de leurs effets indésirables13, ce qui n’est pas le cas en l’espèce.

Par ailleurs, obliger la présentation du PASS SANITAIRE pour l’accès à de nombreuses activités de la vie quotidienne (notamment se rendre à l’hôpital, dans un centre commercial pour faire ses courses, à un spectacle ou au restaurant) c’est :

  • nous obliger à divulguer notre statut vaccinal et donc violer notre droit au secret médical ;
  • introduire de violentes discriminations entre vacciné.e.s et non vacciné.e.s, volontaires ou non. Puisque ne l’oublions pas, certaines personnes ne peuvent pas ou n’ont pas le droit, et cela pour de nombreuses raisons, de se faire vacciner ;
  • porter atteinte à la liberté de circulation ;
  • augmenter la fracture économique et sociale à l’égard des plus démunis.

C’est d’ailleurs pour toutes ces raisons que, le 21 janvier 2021, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a demandé instamment aux États membres et à l’Union européenne « de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement » et « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ».

Ainsi, pour tous ces motifs, nous ne pouvons pas accepter le chantage déguisé du président de la République justifié, à tort, par sa volonté de faire primer la protection de la santé collective au détriment, en l’état des connaissances scientifiques, de la protection certaine de l’individu et de bon nombre de nos libertés individuelles et collectives.

____________

Cette tribune est ouverte à la signature de ceux de nos confrères qui souhaitent nous rejoindre. Adressez vos souhaits de signature en commentaire ou à l’adresse : avocats.libertes@gmail.com

AVOCATS SIGNATAIRES

  • Besma MAGHREBI, barreaux de PARIS et MARSEILLE
  • Stéphane MAUGENDRE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Marine ROGÉ, barreau de PARIS
  • Samir KAHOUL, barreau du VAL DE MARNE
  • Flavie De MEERLEER, barreau de TOULOUSE
  • Hadjar KHRIS-FERTIKH, barreau de PARIS
  • Mélody OLIBÉ, barreau de PARIS
  • Christine CLAUDE-MAYSONNADE, barreau de TARBES
  • Shirley DEROO, barreau de PARIS
  • Agnès ASCENSIO, barreau de PARIS
  • Helena BONDO, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Karine SHEBABO, barreau de PARIS
  • Sophie MAZAS, barreau de MONTPELLIER
  • Loreleï VITSE, barreau de DUNKERQUE
  • Agnès TEISSEDRE, barreau de PARIS
  • Julie MAIRE, barreau de PARIS
  • Anaïs GALLANTI, barreau de PARIS
  • Anne MILEO, barreau de PARIS
  • Sarah SCALBERT, barreau de PARIS
  • Anne LASSALLE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Alima BOUMEDIENE THIÉRY, barreau du VAL D’OISE
  • Hicham ABDELMOUMEN, barreau de PARIS
  • Marianne PIEROT, barreau de PARIS
  • Marie Noëlle SPINELLA, barreau de PARIS
  • Michael NEUMAN, barreau de PARIS
  • Nadine REY, barreau de PARIS
  • Sabrina BOUAOU, barreau de l’ESSONNE
  • David LIBESKIND, barreau de PARIS
  • Anna CHERIF HAUTECOEUR, barreau de PARIS
  • Laura ROUSSEAU, barreau de PARIS
  • Armide REY-QUESNEL, barreau de DUNKERQUE
  • Corinna KERFANT, barreau de VERSAILLES
  • Arnaud LIBAUDE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Maria Del Pilar MOROTE ARCE, barreau de PARIS
  • Audrey AVRAMO-LECHAT, barreau de PARIS
  • Cynthia BYRAM, barreau de PARIS
  • Sabrina ABDENNOUR, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Laure LAYDEVANT, barreau d’AIX EN PROVENCE
  • Lauriane BUNOMANO, barreau d’AIX EN PROVENCE
  • Aline BRIOT, barreau de CHAMBERY
  • Jean-Marc ANDRE, ancien bâtonnier, barreau de VERSAILLES
  • Stéphanie TOURE-JENNI, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Valérie LEPAGE-ROUSSEL, barreau de PARIS
  • Nathalie WOROCH, barreau de BETHUNE
  • Séverine MANNA, barreau de PARIS
  • Fabien GRECH, barreau de NICE
  • Sandra MACKAYA, barreau de MARSEILLE
  • Stéphane SCHONER, barreau de BETHUNE
  • Hugo BOUILLET, barreau de TOULOUSE
  • Camille DIRE, barreau de NICE
  • Pierre ROUANET, barreau de PARIS
  • Mehdi BOUZAIDA, barreau de PARIS
  • Dominique GANTELME, barreau de PARIS
  • Norbert GRADSZTEJN, barreau de PARIS
  • Hakima SLIMANE, barreau de PARIS
  • Marine GRINSZTAJN, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Sophia ALBERT-SALMERON, barreau d’AVIGNON
  • Jason BENIZRI, barreau de PARIS
  • Éric TAVENARD, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Caroline MECARY, barreaux de PARIS et du QUEBEC
  • Aurélie NGUYEN, barreau de PARIS
  • Laura WESLING, barreau de MARSEILLE
  • Nacima DJAFOUR,  barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Mihidoiri ALI, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Laetitia RIGAULT, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Sendegul DARRAS, barreau de STRASBOURG
  • Berenger TOURNEK, barreau de PARIS
  • Stephan DENOYE, barreau de PARIS
  • Marie-Hortense MORTON HAMILL, barreau de NICE
  • Carine ZIMMER, barreau de LILLE
  • Gaëtan BACHELIER, barreau d’ANGOULÊME
  • Grégory THUAN DIT DIEUDONNE, barreau de STRASBOURG
  • Thibault GEFFROY, barreau de PARIS
  • Hans-Christian KAST, barreau de PARIS
  • Hélène TEYSSEYRÉ, barreau de MARSEILLE
  • Nicole FOULQUIER, barreau de BEZIERS
  • Chloé SERGENT, barreau de PERPIGNAN
  • Lou GODARD, barreau d’AIX EN PROVENCE
  • Anne-Sophie BASTIN, barreau de LILLE
  • Delphine SAVIGNY, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Fabian GORCE, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Madeleine BIZOT, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Laurent ROBERVAL, barreau de LILLE
  • Delphine ZOUGHEBI, barreau de PARIS
  • Jamel MALLEM, barreau de ROANNE
  • Hélène SEGURA, barreau de l’EURE
  • Laurence ALZIARI, barreau de NICE
  • Julie HABARES, barreau de PARIS
  • Samantha GRUOSSO, barreau de PARIS
  • Julien DRAY, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Philippe de la GATINAIS, barreau de PARIS
  • Ouadie ELHAMAMOUCHI, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Rochane NEMATOLLAHI-GILLET, barreau de PARIS
  • Claire LEGRAND, barreau de PARIS
  • Judith BAZIN, barreau de MONTPELLIER
  • Marguerite SCHAETZ, barreau de PARIS
  • Manon BEAUCARNE, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Elie LIONS, barreau de NICE
  • Clotilde PAUVERT, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Nina PETER, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Pascale FEUILLEE-KENDALL, barreau de VERSAILLES
  • Jérôme CAMPESTRINI, barreau de NICE
  • Nabila ASMANE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Sabrina HACHOUF, barreau de MARSEILLE
  • Julie FÉVRIER, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Constance MACHICOTE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Mohamed FELLOUAH, barreau de MARSEILLE
  • Claire MELIANDE, barreau de BORDEAUX
  • Olivia MONTEIL, barreau de PARIS
  • Florence JOURNIAC, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Louis LAÏ-KANE-CHEONG, barreau de PARIS
  • Alex VARDIN, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Alexandre BRAUD, barreau de BETHUNE
  • Adil SAHBAN, barreau de PARIS
  • Emilie VERGNE, barreau de PARIS
  • Natacha BRITSCH, barreau de PARIS
  • Viviane SOUET, barreau de PARIS
  • Morgan POULY, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Fanny OLIVIER, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • David SILVA, barreau de PARIS
  • Perle GOBERT, barreau de BORDEAUX
  • Hélia DA SILVA, barreau de LYON
  • Ludivine BOISSEAU, barreau de LYON
  • Mélissa MASSERON, barreau de LYON
  • Myriam KERNEIS, barreau de DAX
  • Estelle CAMPANAUD, barreau de NANTES
  • Christophe GUILLAND, barreau de CHAMBERY
  • Nathalie NOEL, barreau de BORDEAUX
  • Nathalie BEURGAUD BONADA, barreau de NICE, Vice Bâtonnier
  • Christophe ROSA, barreau de GRASSE
  • Ingrid JOLET, barreau de DIJON
  • Stéphane ROUSSET-ROUVIERE, barreau de TOULON
  • Romain GUERINOT, barreau de NICE
  • Jennifer GUINARD, barreau de BERGERAC
  • Béatrice TRARIEUX, barreau de BERGERAC
  • Najet MALLEM, barreau de BOURGOIN-JALLIEU
  • Delphine GUENIER, barreau de MARSEILLE
  • Ingrid BLAMEBLE, barreau de Saint-Denis de la Réunion
  • Pascal JACQUOT, barreau de PARIS
  • Alexandra MANCHES, barreau de PARIS
  • Sarah CAMINITI-ROLLAND, barreau de NICE
  • Anne-Marie DUVIVIER, barreau de LA ROCHELLE-ROCHEFORT
  • Hélène ROBEIN, barreau des HAUTES-ALPES
  • Bilgehan ERCOK, barreau de LYON
  • Emilie OLIVIER, barreau des HAUTES-ALPES
  • Zoé GUILBAUD, barreau de NANTES
  • Eva-Belin AMADOR, barreau de TOULOUSE

  1. Site du gouvernement : gouvernement.fr/info-coronavirus
  2. Article 8 CEDH
  3. Article 16-1 code civi
  4. L.5111-1 du Code de la santé publique et suivants
  5. Notamment sous la tutelle de l’ANSM au niveau national
  6. Dite : balance bénéfice/risque
  7. Site ANSM : ansm.sante.fr/covid-19-vaccins-autorises
  8. Code de Nuremberg, loi bioéthique du 30 juillet 1994, article L521-1 du Code de justice administrative, article 35 du Code de déontologie médicale, article 16-1 du Code civil et article L1111-4 du Code de la santé publique et pace.coe.int/29004
  9. L.1111-2 du Code de la santé publique
  10. CCNE avis du 21 décembre 2020
  11. QPC n°458 du 20 mars 2015
  12. CEDH 2 mars 2021
  13. CE 6 mai 2019 n°419242



France : l’Assemblée nationale vote l’extension du pass sanitaire et l’obligation vaccinale des soignants

[Source : RT en français]

L’Assemblée nationale a adopté ce 23 juillet en première lecture le nouveau projet de loi anti-Covid qui prévoit l’extension controversée du pass sanitaire et l’obligation vaccinale pour les soignants au bout d’une nuit marquée par d’âpres débats.

Les députés ont voté dans la nuit du 22 au 23 juillet le controversé pass sanitaire, l’une des mesures phares du nouveau projet de loi anti-Covid dont l’examen a joué les prolongations. 

Peu avant 0h40, les députés ont adopté par 132 voix contre 106 l’article 1 du projet de loi gestion de la crise sanitaire qui étend le champ d’application de cet outil présenté par le gouvernement comme la meilleure arme face au rebond de l’épidémie du Covid-19.

Les débats qui se sont achevés vers 5h40 furent âpres et rugueux, avec des oppositions chauffées à blanc par un calendrier contraint. Près de 1 200 amendements ont été passés en revue depuis l’après-midi du 21 juillet.

Une «brutalité» et une «monstruosité» selon l’opposition

Les passes d’armes entre le gouvernement et les oppositions se sont poursuivies pendant toute la soirée du 22 juillet avec comme point d’orgue une disposition de ce neuvième texte «Covid» depuis mars 2020, ouvrant la voie à un licenciement pour des travailleurs d’établissement recevant du public qui refuseraient d’obtenir un pass sanitaire (parcours vaccinal complet ou test récent).

Un amendement du gouvernement avec l’objectif affiché d’adoucir cette disposition polémique n’a pas convaincu gauche et droite qui ont dénoncé une «brutalité» voire une «monstruosité». «L’esprit n’est pas de renvoyer les gens mais d’encourager à la vaccination», a justifié le ministre de la Santé Olivier Véran. 

Contre l’avis de l’exécutif et dans un scrutin serré, les députés s’étaient opposés dans l’après-midi au pass sanitaire pour l’ensemble des patients et visiteurs dans les hôpitaux et maisons de retraite. Le gouvernement est revenu sur ces amendements avec un nouveau vote qui a notamment remis l’obligation du passe sanitaire pour les patients non urgents ou les visiteurs dans les établissements de santé et les maisons de retraite.

Le groupe socialiste a également fait adopter peu avant minuit un amendement supprimant la peine sanctionnant l’utilisation frauduleuse du pass sanitaire de cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende. Très pressé, le gouvernement veut faire adopter le pass sanitaire encore élargi et la vaccination obligatoire pour certaines professions d’ici à la fin du week-end du 25 juillet, après quatre jours de débat parlementaire. «Il y a une urgence à légiférer», a ainsi déclaré Olivier Véran.

Une opposition y compris au sein de la majorité

Mais dans un hémicycle où malgré l’heure tardive les bancs sont restés garnis, les discussions patinent. A l’inflexibilité du gouvernement, le regard fixé sur les courbes des contaminations, répond la pugnacité des oppositions qui défendent pied à pied leurs amendements.  

La majorité fait bloc mais des voix dissonantes se font entendre comme celles des marcheurs Pacôme Rupin ou Stella Dupont. Le 20 juillet, le député de Paris en charge de la coordination du groupe parlementaire LREM à la Commission des Lois avait estimé que le pass sanitaire allait «fracturer notre pays», et qu’il s’agissait d’une «atteinte majeure à la liberté d’aller et venir, à la liberté de conscience, au droit de refus de se soumettre à un traitement, à la vie privée et aux données personnelles de santé».

«Les mesures doivent s’accompagner de souplesse, de solidarité», a quant à elle déclaré la députée LREM le 22 juillet.

Le groupe Les Républicains – qui s’est majoritairement abstenu – n’a pas souhaité donner de «blanc-seing» et a mis en garde contre la volonté de mettre le «pays sous cloche» en regrettant que les débats n’aient pas permis de «lever les ambiguïtés» sur un pass sanitaire assimilable à «un passeport du quotidien», selon le député Philippe Gosselin.  

La session d’examen «fut une vaste blague», a estimé la socialiste Lamia El Aaraje. Celle-ci a plaidé en vain pour la vaccination obligatoire, tout en taclant le «retard permanent» du gouvernement. PS, LFI et PC ont voté contre le texte.  

Le pass sanitaire au cœur des critiques

Si l’obligation vaccinale étendue aux soignants, sapeurs-pompiers ou encore professionnels auprès des personnes âgées fait à peu près consensus, ce n’est pas le cas de l’extension du pass sanitaire, prévue pour début août dans les cafés-restaurants, objet de vives critiques de part et d’autre de l’hémicycle.

«Nous avons deux choix : réussir le pass, vite, très vite […] ou nous exposer au risque de devoir reconfiner notre pays», a justifié Olivier Véran devant la Commission des Lois du Sénat. «Les chiffres d’aujourd’hui ne sont pas bons», a poursuivi le ministre de la Santé. Près de 22 000 nouveaux cas ont été recensés en 24 heures, selon les chiffres de Santé publique France publiés dans la soirée du 22 juillet, au plus haut depuis le 5 mai.

Devant les sénateurs le président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy a déclaré craindre «une situation complexe, très complexe» dans les hôpitaux fin août.

En Martinique où la population est très peu vaccinée, les autorités sanitaires redoutent une «déferlante» dans les hôpitaux. Pour la Guadeloupe, où la situation est très dégradée, l’Assemblée a voté un amendement gouvernemental visant à réinstaurer l’état d’urgence sanitaire. Celui-ci devrait être mis en œuvre par décret d’ici la promulgation de la loi. 

De nouvelles mesures comme le retour au masque obligatoire en extérieur ont été prises pour des communes du Var, de Meurthe-et-Moselle, de l’Hérault et de Vendée. Dans les Pyrénées-Orientales, le port du masque sera même obligatoire à partir du 24 juillet dans les lieux assujettis à un pass sanitaire. 

Le taux d’incidence progresse surtout chez les 12-17 ans et les 18-29 ans, deux tranches d’âge où le nombre de vaccinés reste très faible. L’exécutif prévoit des campagnes de vaccination spécifiques pour les jeunes, notamment dans les établissements scolaires à la rentrée.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/88944-assemblee-nationale-vote-extension-pass-sanitaire-obligation-vaccinale-des-soignants





À Toulon, un afficheur transforme Macron en Hitler avec le slogan : « Obéis, fais-toi vacciner »

[Source : lesmoutonsrebelles.com]

À Toulon, une affiche géante fait apparaître Emmanuel Macron en Hitler, avec le slogan : « Obéis, fais-toi vacciner ». Quelques heures après l’installation de cette affiche, elle a été tagguée du mot « honte ».

C’est l’afficheur controversé Michel-Ange Flori qui est à l’origine de cette provocation qui a été relayée par France Bleu. Il a d’ailleurs réagit au mot « Honte » sur ses affiches en écrivant : « Les fossoyeurs de la liberté d’expression ne supportent pas que je me gausse de leur idole, ils ont courageusement tagué l’affiche du mot Honte de nuit à l’entrée de Toulon et s’en sont pris au texte « fais toi vacciner ».

Alors que des milliers de personnes manifestaient ce samedi en France contre l’instauration du pass sanitaire à partir de la semaine prochaine, l’afficheur provoque une nouvelle fois en prenant part au débat et en affirmant se battre pour la liberté d’expression. Michel-Ange Flori n’en est pas à son coup d’essai. Il utilise fréquemment certains de ses 350 panneaux pour donner son opinion.




Le ventre est encore fécond d’où a surgi la bête immonde*

Par Jean-Michel Grau

On la croyait disparue à jamais, elle revient.
Pas de façon officielle, mais par une porte dérobée.
Pas par un parti néo-nazi, mais par la finance mondialiste.

Cette finance qui a placé ses pions dans tout l’occident aux postes stratégiques du pouvoir depuis tant d’années afin d’asseoir définitivement son emprise sur les peuples et les nations pour mieux voler toutes leurs richesses afin de se refaire une santé après l’effondrement des bourses qui arrive maintenant au grand galop et qui va emporter toute la sphère financière dans un tourbillon de faillites bancaires comme le capitalisme n’en a encore jamais connu.

La crise des subprimes de 2008 a montré à quel point une gestion confiée à un groupe restreint et aux favorisés du marché était porteuse de chaos.

« Ce système de création monétaire kafkaïen voulant que l’argent soit créé à partir de dettes et d’intérêts qui nous obligent mécaniquement à générer perpétuellement de nouvelles dettes plus grandes que les précédentes est à bout de souffle. Un système d’esclavage financier qui porte en lui les germes de l’autodestruction, puisqu’une dette en constante augmentation exige une croissance en constante augmentation et donc des émissions de CO2 toujours plus grandes. »(([1] les esclaves de l’anthropocène, Nicolas Teterel, éditions Yves Michel))

La finance est devenue folle et veut entraîner le monde dans sa folie. Elle a ainsi inventé au sein du Forum de Davos de Klaus Schwab(([2] Klaus Schwab, Covid19 : la grande réinitialisation, forum publishing)) le Covid19, son cheval de Troie qui doit contraindre tous les peuples à se faire piquer par des vaccins géniques expérimentaux mortifères sous peine de se faire retirer toute liberté de se déplacer, de travailler, de se divertir, en bref, toute liberté de vivre.

Pour arriver à ses fins, elle a trouvé des exécutants fanatiques et zélés, comme notre chef d’État, pour dérouler son scénario d’enfermement des peuples via des institutions dévoyées, gangrenées par la corruption, telle l’Union Européenne, dans le but de nous contraindre de gré ou de force à des piqûres géniques mortifères, en échange d’un « ausweis »**, seul sésame pour pouvoir garder la liberté de vivre ! Même les pires dystopies imaginées au siècle dernier par les meilleurs écrivains de science-fiction n’ont jamais été aussi loin dans un scénario aussi sordide. (([3] Aldous Huxley, le meilleur des mondes.
George Orwell, 1984.
Ray Bradbury, Fahrenheit 451.
Ira Levin, Un bonheur insoutenable))

Ainsi, l’invention du pass sanitaire, viol flagrant du code de Nuremberg de 1947, mais aussi de la déclaration de Genève de 1948, de la déclaration d’Helsinki de 1996 et de la Convention d’Oviedo de 1997(([4] Code de Nuremberg (1947) :

« le consentement du sujet humain est absolument essentiel. Le pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son consentement à une expérience médicale ou scientifique »

Déclaration de Genève pour les médecins (1948) :

« je respecterai l’autonomie et la dignité de mon patient. Je n’utiliserai pas mes connaissances médicales pour enfreindre les droits humains et les libertés civiques, même sous la contrainte. Je garderai le respect absolu de la vie humaine, dès la conception. Je considérerai la santé de mon patient comme mon premier souci »

Déclaration d’Helsinki (1996) signée par 45 pays, dont la France :

« la participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire. Aucune personne capable de donner son consentement éclairé ne peut être impliquée dans une recherche sans avoir donné son consentement libre et éclairé »

Article 25

Convention d’Oviedo (1997) signée par 29 pays, dont la France :

« une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement »

Article 5

)) n’est rien d’autre que la version 2.0 de la sinistre étoile jaune revisitée par les financiers pour créer un nouvel apartheid afin de diviser le monde en alpha plus et bêta moins, en d’autres termes, les vaccinés et les non-vaccinés. Ces derniers deviendront ainsi les nouveaux parias de la société, amenés à être exclus de toute vie sociale avant de l’être, tout comme les juifs en leur temps, de toute vie tout court.

Anne Frank écrivait ainsi dans son journal en 1943 :

« À partir de mai 1940, Les lois antijuives se sont succédées sans interruption et notre liberté de mouvement fut de plus en plus restreinte. Les Juifs doivent porter l’étoile jaune ; les Juifs doivent rendre leurs vélos ; les Juifs n’ont pas le droit de prendre le tram ; les Juifs n’ont pas le droit de circuler en autobus, ni même dans une voiture particulière ; les Juifs ne peuvent faire leurs courses que de trois heures à cinq heures, les Juifs ne peuvent aller que chez un coiffeur juif ; les Juifs n’ont pas le droit de sortir dans la rue de huit heures du soir à six heures du matin ; les Juifs n’ont pas le droit de fréquenter les théâtres, les cinémas et autres lieux de divertissement ; les Juifs n’ont pas le droit d’aller à la piscine, ou de jouer au tennis, au hockey ou à d’autres sports ; les Juifs n’ont pas le droit de faire de l’aviron ; les Juifs ne peuvent pratiquer aucun sport en public. Les Juifs n’ont plus le droit de se tenir dans un jardin chez eux ou chez des amis après huit heures du soir ; les Juifs n’ont pas le droit d’entrer chez des chrétiens ; les juifs doivent fréquenter des écoles juives, et ainsi de suite, voilà comment nous vivotons et il nous est interdit de faire ceci ou de faire cela. »

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[Voir aussi : Lois sur le statut des Juifs du régime de Vichy]
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Aujourd’hui en 2021, le pass sanitaire dont le texte, actuellement soumis au Conseil d’État, doit être adopté le lundi 19 juillet par le conseil des ministres, puis examiné par le parlement la semaine prochaine prévoit ceci :

Si le test Covid est positif, c’est le placement et le maintien en isolement pour 10 jours dans le lieu déclaré à l’examen. Cette disposition était jusqu’ici réservée aux personnes entrant sur le territoire. Le respect de ce placement à l’isolement pourra être contrôlé par la police et la gendarmerie, la procédure étant placée sous le contrôle du juge des libertés et de la détention.

Le projet prévoit ensuite le maintien d’une autorisation de sortie entre 10 h et 12 h, ainsi que des adaptations possibles concernant « la poursuite de la vie familiale », « la condition particulière des mineurs » ou encore le cas de personnes dont la sécurité serait menacée pendant leur isolement.
Par ailleurs, l’exploitant d’un lieu qui manquerait aux futures obligations de contrôle du pass sanitaire sera passible d’une amende allant jusqu’à 45 000 euros et un an de prison, selon l’avant-projet. Le texte crée par ailleurs un nouveau motif de licenciement.

« Le fait, pour un exploitant d’un lieu ou établissement, le responsable d’un événement ou un exploitant de service de transport, de ne pas contrôler la détention du pass sanitaire par les personnes qui souhaitent y accéder est puni d’un an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende », stipule son article 1er.

Le chef de l’État a annoncé le 12 juillet que la présentation du pass sanitaire conditionnerait l’accès aux salles de spectacle et aux cinémas à partir du 21 juillet, et aux cafés, restaurants, centres commerciaux ou encore aux trains et avions à partir du 1er août, même si certaines mesures de « souplesse » s’appliqueront pour les adolescents. Tous les clients et usagers à partir de 12 ans des lieux et transports concernés devront avoir leur pass, ainsi que leurs salariés (serveurs des restaurants, contrôleurs de trains, etc.) mais pas les policiers ou gendarmes. Un sursis jusqu’au 30 août a été décidé pour les enfants de 12 à 17 ans et les salariés. Le projet de loi dispose également que les salariés soumis à la vaccination obligatoire (personnels soignants, au contact de populations fragiles, pompiers) ne pourront plus exercer leur activité en cas de manquement au 15 septembre prochain, et pourront être licenciés si la situation perdure pendant les deux mois qui suivent.(([5] Contrôle de l’isolement, autorisation de sortie : les nouvelles restrictions à l’étude — RT en français))

Toute ressemblance avec les lois anti-juives promulguées sous le régime de Pétain pendant l’occupation nazie ne serait-elle que pure coïncidence ?

Nous laisserons au lecteur le soin d’en juger en son âme et conscience.


* Bertolt Brecht, la Résistible Ascension d’Arturo Ui
** Laissez-passer




Obligation vaccinale : policiers et gendarmes n’y seront pas soumis, les commentateurs s’interrogent

[Source : RT en français]

[Photo : © Guillaume Horcajuelo Source: Reuters]

Contrairement aux soignants et pompiers, les membres des forces de l’ordre ne seront pas inclus dans les professions soumises à l’obligation vaccinale à partir du 15 septembre. D’aucuns y voient une dérogation suspecte.

Le gouvernement a confirmé ce 13 juillet que les membres des forces de l’ordre, policiers et gendarmes, ne seraient pas soumis à l’obligation vaccinale à partir du 15 septembre. C’est ce que rapportent BFMTV et Le Parisien, citant le ministère de l’Intérieur.

Lors de son allocution télévisée le 12 juillet dans la soirée, le président Emmanuel Macron avait annoncé que « les personnels soignants et non-soignants des hôpitaux, des cliniques, des maisons de retraite, des établissements pour personnes en situation handicap, pour tous les professionnels ou bénévoles qui travaillent au contact des personnes fragiles, y compris à domicile » seraient obligés d’être vaccinés à partir du 15 septembre. Parmi les personne contraintes, sous peines de lourdes sanctions, à se faire vacciner, on trouve les pompiers et les ambulanciers comme l’a confirmé le porte-parole du gouvernement sur le plateau de la chaîne d’information en continu, mais pas les policiers et les gendarmes.

Gabriel Attal a néanmoins précisé que cette dérogation pour les forces de l’ordre concernait exclusivement leurs heures de travail. « Sur le temps de repos, les membres des forces de l’ordre sont soumis aux mêmes restrictions que le reste de la population, avec notamment le pass sanitaire », précise BFM. En effet, parmi les annonces des autorités, le pass sanitaire va devenir la norme pour se rendre dans les lieux recevant du public. Il sera étendu début août aux cafés, restaurants, centres commerciaux, hôpitaux ainsi qu’aux avions et aux trains inter-régionaux.

Cette dérogation a suscité de nombreux commentaires.

Pour Jean-Luc Mélenchon, l’exclusion des forces de l’ordre des professionnels obligés de se faire vacciner est une contradiction, une aberration. « Les décisions de Macron sentent l’abus de pouvoir et la discrimination sociale. Exemple : le pass sanitaire obligatoire sera vérifié par des policiers non vaccinés. Bienvenue en absurdie. Le pays n’est ni protégé ni organisé pour la 4ème vague », écrit le leader de La France insoumise sur son compte Twitter.

« Les policiers et les gendarmes sont exclus de l’obligation vaccinale en septembre […] C’est plus clair comme ça ? » interroge l’éditorialiste Alexis Poulin, un tantinet suspicieux. 

« Pourquoi exempter policiers et gendarmes de l’obligation vaccinale alors qu’ils sont autant en contact avec le public que les soignants ? » interroge le patron de l’UPR François Asselineau. « Cette décision prouve que Macron et son gouvernement ont peur de la colère populaire contre la dictature et veulent pouvoir avoir recours à la force », estime-t-il.

Même analyse pour l’éditorialiste de Sud Radio André Bercoff, ironisant sur le fait que les forces de l’ordre devront « protéger nos citoyens contre les innombrables variants de ces trois virus mortels : liberté, égalité, fraternité ».

L’ex-policier Sébastien Jalamion se veut plus solennel et interpelle ses anciens collègues.

« À tous les policiers, gendarmes, militaires, douaniers, tous ceux qui sont dotés d’une parcelle d’autorité publique : n’appliquez pas des instructions distinguant les citoyens en fonction leur sérologie ! Protégez nos libertés et faites barrage à cet Exécutif ! Résistance », a-t-il plaidé.

Sur Europe 1 ce 13 juillet, Gabriel Attal a eu quelques difficultés à justifier l’exclusion des policiers et gendarmes de l’obligation vaccinale.

Quand le journaliste lui rappelle qu’il y a du public dans un commissariat, le porte-parole du gouvernement botte en touche en rappelant que l’obligation vaccinale a été mise en place pour les personnes travaillant auprès de personnes vulnérables.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/88688-obligation-vaccinale-policiers-gendarmes-pas-soumis-commentateurs-interrogent




Une vaccination obligatoire déguisée ? Les annonces de Macron décriées par l’opposition

[Source : RT en français]

[Photo : © Christophe ARCHAMBAULT Source: AFP]

Après les déclarations du chef de l’État sur l’extension du pass sanitaire ou encore de l’obligation vaccinale, les critiques se sont multipliées au sein de l’opposition. Nombre de responsables politiques dénoncent notamment un recul des libertés.

Lors d’une allocution présidentielle ce 12 juillet, le président français Emmanuel Macron a annoncé une série de mesures pour faire face à un rebond des contaminations au Covid-19. A ce titre, il a notamment annoncé l’extension du pass sanitaire aux lieux recevant du public ou encore la mise en place de l’obligation vaccinale pour ceux qui sont « au contact de personnes fragiles », malgré l’opposition d’une partie de la classe politique. 

A droite de l’échiquier politique, les réactions ne se sont pas fait attendre, ses membres dénonçant de manière quasi-unanime un recul des libertés individuelles.

« L’extension du pass sanitaire revient à instaurer une vaccination obligatoire qui ne dit pas son nom, et à créer deux catégories de citoyens. Autant je suis favorable à la vaccination des soignants, autant je crois que cette mesure est brutale et inadaptée », s’est inquiété le député Les Républicains Julien Aubert.

Le chef de file des Patriotes Florian Philippot a fustigé pour sa part le piétinement des « droits fondamentaux » en évoquant l’extension du pass sanitaire et l’obligation vaccinale pour certaines professions dont les aides-soignants. « Je n’ai pas vu ce soir un président de la République mais un dictateur », a-t-il renchéri. 

Pour Nicolas Dupont-Aignan, le président de la République est « devenu fou ». Le chef de file de Debout la France a fustigé un homme « dangereux » qui met en branle des mesures contraires à toutes les libertés fondamentales. « Trains, restaurants, cafés, cinémas… Macron met au ban des millions de Français, au mépris de nos droits fondamentaux et de l’égalité républicaine », s’est indigné le président de Debout La France. 

Même réaction d’indignation du côté de Marine Le Pen. La présidente du Rassemblement national (RN) a évoqué sur Twitter un « recul grave des libertés individuelles » et une « liquidation de notre système de protection sociale », ajoutant, en faisant référence à la réforme des retraites, que les Français « paieront l’imprévoyance et l’incompétence de nos dirigeants ».

Son collègue, le député européen du RN Gilbert Collard, a de son côté accusé sur RT France le président de la République d’instaurer « une dictature vaccinale », estimant que la contrepartie serait au minimum d’exiger que « l’Union européenne rende public les contrats qui [la] lie aux laboratoires ».

A gauche de l’échiquier politique, les critiques ont également fusé. Pour la députée de La France insoumise (LFI) Danièle Obono, le chef de l’État « contraint la population à la vaccination obligatoire mais pas Big Pharma ». Elle a regretté dans la foulée qu’Emmanuel Macron fasse « la chasse aux chômeurs mais pas aux profiteurs de crise » tout en « préparant la destruction du système des retraites ».

De son côté, le député LFI Adrien Quatennens a déploré une politique sanitaire répressive ne suivant pas les recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé : « Pour la vaccination, l’OMS préconise de convaincre plutôt que de contraindre. Mais comme l’équipe qui a raconté mille foutaises sur les masques, les tests et tout le reste n’a plus grand chose de convaincant, ce sera pour le vaccin comme pour le reste : à la matraque. »

Le lendemain matin, le chef des insoumis Jean-Luc Mélenchon a également tonné contre les annonces du président de la République, qu’il a qualifiées de « contradictions » et d’« aberrations ». « Les décisions de Macron sentent l’abus de pouvoir et la discrimination sociale. Exemple : le pass sanitaire obligatoire sera vérifié par des policiers non vaccinés. Bienvenue en absurdie. Le pays n’est ni protégé ni organisé pour la 4ème vague », a-t-il écrit sur les réseaux sociaux.

En outre, le discours d’Emmanuel Macron a été jugé « inquiétant » par l’éditorialiste Alexis Poulin, qui regrette la mise en place d’une « politique de contrôle » et non la réalisation d’une « politique sanitaire ».

La vaccination obligatoire pour les soignants constitue au contraire une « bonne nouvelle » pour Eric Bouchard, médecin généraliste dans les Alpes-Maritimes. « Encore 40% des soignants dans les Ehpad ne sont pas vaccinés » a-t-il déploré.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/88682-vaccination-obligatoire-deguisee-annonces-macron-decriees-opposition




Allocution de Macron : entre autosatisfaction et obligations, l’adieu à la raison

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

20h27. Fin de l’allocution de notre actuel huitième président de la Vème République Française.

Cette allocution aura donc duré un peu moins de 30 minutes. 30 minutes que certains de nos concitoyens ont dû trouver bien longues…

Car, ne nous mentons pas ; depuis quelques jours maintenant, elle était redoutée par bon nombre de Français. L’atmosphère se faisant de plus en plus lourde ces derniers temps ; que ce soit dans la vie au quotidien (professionnelle comme sociale) ou sur les réseaux sociaux. Climat d’instabilité manifeste exacerbé qui plus est par une campagne incessante et pesante sur les plateaux des diverses chaînes d’information. Ces plateaux de télévision où sans cesse, les non-vaccinés sont pointés du doigt pour leur manque de civisme, d’altruisme et de solidarité. Les mots employés dépassant souvent l’entendement, symbole d’une atmosphère nauséabonde et d’une tension palpable. Les exemples les plus frappants étant les interventions de M. Lechypre ou de Mme de Malherbe pour qui les non-vaccinés doivent être traqués ou considérés comme des brebis galeuses.

Voir aussi : Le non-vacciné, cette espèce à abattre

A cela s’ajoute, bien évidemment, car sans cet ajout il eut été difficile d’imposer de nouvelles mesures, une communication terriblement anxiogène par ces mêmes médias mainstream rappelant toutes les heures l’implantation continue sur notre territoire du terrible variant indien, renommé Delta, pour des soucis de progressisme bien évidents. La « fracture vaccinale », comme aime le dire un célèbre néphrologue devient de plus en plus visible. Fracture illustrée ces dernières heures par la conversation filmée entre notre Premier ministre et le président du parti Les Patriotes. Cette conversation laissant sous-entendre un été plus que compliqué pour la partie de la population française non vaccinée.

https://www.youtube.com/embed/yKVMKXGHFes

Sans bien sûr oublier la bombe de la semaine dernière lorsque le directeur de l’IHU Marseille, via son compte Twitter, s’est positionné en faveur de la vaccination « systématique »des soignants. C’est donc dans ce contexte particulier, une véritable poudrière sociale, que le président intervenait ce soir afin de donner ses nouvelles directives pour cet été déjà commencé.

Et si la population réticente au vaccin et au pass sanitaire redoutait donc cette allocution et les décisions qui allaient en découler, force est de constater que personne (y compris dans le camp des « pro ») ne s’attendait à des décisions aussi radicales.

Le président a commencé son allocution, qu’il tenait étonnamment au Grand Palais Ephémère, par des félicitations à tous comme il en a l’habitude, des soignants jusqu’à notre jeunesse, n’oubliant pas de rendre hommage aux victimes, tout en saluant notre civisme et également la pertinence des mesures prises par son gouvernement.

Oui car il estime, « après avoir beaucoup consulté », que si l’épidémie est maitrisée c’est avant tout grâce aux mesures prises par l’exécutif, pointant surtout le plan de vaccination massif qui est une réussite. A aucun moment Emmanuel Macron ne parle de l’arrivée du printemps puis de l’été qui entraînent une chute naturelle de l’épidémie dans notre climat tempéré… Premier écart avec la science.

Après s’être dit très fier du maintien de l’école et de l’instruction (il est à noter que l’on a fermé moins longtemps que certains pays comme les Etats-Unis ou l’Allemagne), il saluera également aussi le plan de réouverture. Ce plan de réouverture étant une réussite notamment grâce à son « quoiqu’il en coûte » qui aurait permis de préserver les emplois, les entreprises et le pouvoir d’achat. Tous ces bons résultats vont nous permettre de maintenir un 6% de croissance faisant de nous le pays le plus attractif d’Europe… Rendez-vous en fin d’année pour confirmation.

Arrive alors le début des annonces fâcheuses : Emmanuel Macron nous lâche que malheureusement la reprise épidémique due au variant delta est maintenant forte sur tout le territoire, y compris les Dom-Tom. Mais également dans le monde entier, et qu’il est impératif de reprendre des mesures pour lutter contre celui-ci ; il cite notamment les Jeux olympiques de Tokyo à huis clos pour se justifier.

Bien sûr, il appuie son propos en nous expliquant que ce Delta est trois fois plus contagieux, (ce chiffre est pour le moins farfelu : on a entendu 8, 12 et maintenant 3…), mais il ne dira mot concernant le taux d’hospitalisations et le taux de létalité de ce variant comparé aux précédents. Pour quelle raison ? Parce que ce variant est très peu létal selon les derniers résultats observés en  Grande-Bretagne, et, comme chacun sait qu’il a des compétences en épidémiologie, on ne peut imaginer qu’il ne soit pas au courant. De fait, cela rendrait la suite de la prise de ces décisions insensées. Deuxième écart avec la science.

Mais « heureusement », dit-il, nous avons l’arme vaccinale pour lutter contre ce virus et ses variants. Et d’ailleurs il est impensable qu’au pays de Pasteur et des Lumières, une telle proportion de la population y soit réticente. Cette affirmation paraît terriblement cocasse quand on sait qu’aucun de nos vaccins n’est actuellement sur le marché…

Se vacciner, affirme-t-il encore, réduit les formes graves de 95%, divise la contamination par 12 et réduit les mutations. Si la première affirmation est vrai, il ferait bien d’aller jeter un œil sur les dernières études qui parlent d’un taux d’efficacité aux alentours de 60% sur les contaminations, et même encore moins si on s’en réfère aux toutes dernières données. Quant aux mutations évitées, c’est tout simplement non prouvé pour l’instant. Troisième et quatrième écart avec la science.

Voir aussi : Le meilleur épidémiologiste du monde est français, et il s’appelle Macron !

Mais, c’est en utilisant ces arguments scientifiques teintés de doigt mouillé, qu’il va annoncer ses décisions :

– l’obligation vaccinale, « dans un premier temps » pour tous les soignants et assimilés, jusqu’aux aides à domicile. Ils auront jusqu’au 15 septembre pour le faire, ensuite viendront des contrôles, et des sanctions.

On rappellera que ces vaccins sont toujours en AMM (autorisation de mise sur le marché) conditionnelle et que prendre une telle décision est totalement contraire au principe de prudence. Que cherche-t-il à provoquer par cette décision ? Croit il vraiment que la totalité du personnel va s’exécuter ? Ne sait il pas que certains vont démissionner (c’est déjà le cas pour certains) pour le libéral ou une reconversion ? Ne se rend il pas compte qu’il risque de rendre l’Assistance Publique complètement démunie ?

On pourrait vraiment le penser… mais c’était sans compter sur la suite de son programme vaccinal. Ils ont certainement prévu cette possibilité et c’est sans doute la raison des décisions suivantes.

Pour le reste de la population, pas d’obligation. Mais déjà des couvres-feux seront remis en place en Martinique et à la Réunion et, pour les départements dont le taux d’incidence dépassera 200 (soit à nouveau des cas, et non des malades), les sanctions seront ciblées sur les non-vaccinés.

En prononçant ces mots, il rend officielle et légitime la fracture vaccinale dans notre pays. Il vient de donner blanc-seing à tous les intégristes du « zerocovid » et « no fale med ». Ils auront dorénavant l’aval du président quant à leurs actions de discrimination envers leurs compatriotes non vaccinés.

– La suite logique de son intervention (car une fois mis en condition on y trouve une certaine logique) est donc l’extension du passe sanitaire, et ce dès le 21 juillet dans les lieux de loisirs et culture à partir de 12 ans. Puis ce passe sera élargi début août à tous les cafés, restaurants, moyens de transport publics, ainsi qu’aux centres commerciaux. Il ajoute que seuls les vaccinés et les testés négatifs (sans préciser le type de test d’ailleurs) pourront y accéder. Plus de différenciation dehors/dedans, on oublie donc encore une fois la science qui nous a prouvé qu’il était rarissime de se contaminer en extérieur. Cinquième écart.

De plus, en disant que la preuve vaccinale est suffisante, il agit comme si ce vaccin cassait la contamination et la transmission, et on a bien vu que c’était loin d’être évident. Nous nageons dans l’absurde le plus total, où une personne vaccinée mais possiblement positive aura accès à un lieu public, quand une personne non vaccinée mais négative y sera interdite. Sixième écart.

On rappellera aussi que le passe était censé être utilisé pour les rassemblements de plus de 1000 personnes seulement. Certains avaient vite vu la mascarade de cette loi. Les rédacteurs de cette dernière avaient bien fait attention de ne mentionner aucun seuil pour pouvoir l’adapter.

Voir aussi : Loïc Hervé, sénateur : « le pass sanitaire, ce n’est pas possible, c’est une question de principe »

Enfin, il finit par nous annoncer qu’à partir de septembre, les tests deviendront payants. Ceci est une manière de faire qui n’a rien à envier à nos plus sombres moments d’histoire. En effet, comment une famille nombreuse au revenu minimum pourrait-elle se permettre de payer des tests PCR à chaque fois qu’elle veut aller au cinéma ou faire ses courses ? Par cette décision, il contraint de fait une grande partie des réticents à la vaccination, sans autre forme de procès.

Comme si cela ne suffisait pas : après avoir annoncé des projets de vaccination à l’échelle mondiale via le « Projet Act » pour les pays les plus pauvres qui auront un accès facilité aux doses de vaccins – pays qui pour la plupart, rappelons-le aussi, ne nous ont pas attendu pour soigner et prendre en charge leurs populations avec des traitements connus et reconnus mais dont il est interdit d’écrire le nom sous peine de censure, le président termine son allocution en annonçant la réforme des retraites qui sera mise en place dès la sortie de la pandémie. On notera avec malice que cette date imprécise lui donne une certaine latitude, puisqu’il pense qu’on en a au moins jusque 2022 avec ce virus. Avec en perspective, jusqu’à preuve du contraire, des élections présidentielles en mai 2022. Pense-t-il vraiment être en situation de mettre en place cette réforme ?

Se justifiant donc avec cette réforme et le maintien du plan de relance post covid, il nous annonce que nous serons contraints de travailler plus et plus longtemps. Car notre président est un homme de parole : ainsi, il continuera la baisse des impôts comme prévu. Il faudra donc financer ce plan de relance et la réforme des retraites par d’autres moyens : le travail ! 

Il conclut alors par son grand projet qu’il nomma « le pacte français » – mais sans jamais omettre d’y inclure l’Europe. Il aura pour but de faire de la France un pays conquérant à la pointe dans la recherche, l’innovation, l’industrialisation, l’agriculture à horizon 2030. On croirait presque à un discours souverainiste mais y inclure l’Europe et parler également de projet européen d’industrialisation montre bien que tout ceci est peu tangible et viable économiquement.

Les annonces dites sanitaires auront donc été prises en sandwich entre un numéro d’autocongratulation et un discours programmatique, pour ne pas dire de campagne. Était ce pour noyer le poisson en bombardant le citoyen d’informations importantes ?

Il n’empêche que nous basculons dans une autre ère ce 12 juillet 2021, 23 ans jour pour jour après que le pays a vécu sa plus belle soirée de communion nationale d’après-guerre. L’obligation vaccinale est appliquée dans peu de pays encore, les seuls étant l’Arabie Saoudite et le Tadjikistan. Sous couvert de protection de la population contre un variant qui à l’heure actuelle n’est pas spécialement alarmant, cette obligation vaccinale et ce passe étendu questionnent fortement.

Quel est le projet ? A-t-il conscience que si on découvre des maladies auto-immunes, le pays le rendra responsable ? Il est assez jeune pour devoir répondre de ses décisions de son vivant dans plusieurs décennies et ca n’a pas dû lui échapper.

Quel est l’intérêt de vacciner un enfant de 12 ans ? Combien de morts de 12 ans du covid ? À quel moment notre président et son conseil scientifique ont-ils oublié la définition de la balance bénéfice-risque ?

De plus, on commence à s’apercevoir de manière assez probante maintenant que de « l’échappement vaccinal » peut se produire, qu’un vacciné peut toujours être positif et que de fait le vaccin n’est pas l’arme ultime de santé publique.

Voir aussi : « Ne faisons pas un remède pire que le mal » : l’entretien essentiel, avec Christian Vélot

Que signifie cette dégringolade liberticide ? Nous sommes passés d’un confinement en mars-avril 2020 pour désengorger nos hôpitaux et nos réas, à l’obligation vaccinale en septembre 2021 pour un enfant de 12 ans pour aller manger un snack dans un centre commercial…

Les historiens et philosophes du XXIIème siècle auront là un sujet passionnant pour leurs thèses.

Auteur(s): FranceSoir




Macron prend le risque de fracturer le pays

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

Dans son allocution de 27 minutes prononcée hier à la télévision, Emmanuel Macron a annoncé des mesures très autoritaires pour l’été : obligation vaccinale pour les soignants et d’autres professions « au contact du public » (on attend de voir si les enseignants seront concernés) et utilisation du pass sanitaire dans les restaurants, les cafés, les théâtres, les cinémas. Il a également annoncé une réforme des retraites après l’épidémie. Cette stratégie d’exclusion a suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. Reste à savoir si elle conduira à une fracture ouverte du pays.

Les annonces d’Emmanuel Macron hier soir ont surpris par leur autoritarisme et leur détermination. Elles constituent un véritable test sur l’intensité de l’opposition populaire au président de la République. 

Macron annonce l’exclusion des non-vaccinés

Les annonces d’hier sont sans ambiguïté. Pour l’instant, l’obligation vaccinale est limitée aux personnels soignants et à quelques professions en contact avec le public (le sort des enseignants ne manquera pas d’intéresser…). Mais le Président a évoqué une possible généralisation à toute la population. Surtout, les non-vaccinés seront exclus de fait de la vie sociale : leur accès aux cafés, aux restaurants, aux théâtres, au cinéma, aux avions, aux trains, sera supprimé.

Cette mesure autoritaire, largement approuvée dans la caste, devrait marquer les partenaires de la France par sa rigueur et son « innovation ». Elle constitue un précédent majeur dans le concert des nations démocratiques, aux antipodes du Freedom Day décidé par Boris Johnson. 

Un effet immédiat sur les prises de rendez-vous

Dès la fin de l’allocution présidentielle, le site de prise de rendez-vous pour la vaccination Doctolib a « explosé ». Près d’un million de Français auraient pris rendez-vous dans la soirée pour recevoir une dose de vaccin. 

Il ne reste plus qu’à en convaincre 32 millions supplémentaires. Mais l’objectif de pousser le « ventre mou » des non-vaccinés à recevoir leur dose pourrait avoir avancé.

La contestation bondit

Dans le même temps, les réseaux sociaux se sont embrasés, notamment sous l’effet des non-vaccinés qui ont annoncé leur intention de résister à la mesure présidentielle. Différentes manifestations pourraient avoir lieu dès le 14 juillet. Le défilé militaire sera d’ailleurs réservé aux détenteurs d’un pass sanitaire. 

La question est de savoir si l’exclusion des vaccinés suscitera une crise politique ou pas. Les semaines qui viennent, et même les jours qui arrivent, avec le dépôt imminent d’un projet de loi, donneront une bonne représentation de l’état des forces en France.