La détermination sans faille de Me Virginie Araujo-Recchia

[Source : lemediaen442.fr]

Par Frantz

Big Pharma et ses injections expérimentales, c’est un peu comme si un carrossier automobile installé pas loin d’un carrefour y versait de l’huile tous les matins, histoire de s’assurer d’une certaine clientèle… Dans le camp opposé, puisque c’est bien là que nous en sommes, remettons en avant une fois de plus le courage et la détermination de Me Araujo-Recchia.

De par ses interventions depuis fin 2020, elle a été, comme d’autres personnes légitimes, dans leurs professions respectives, moteur pour les citoyens qui se sont engagés dans ce combat disproportionné. Initialement, ce combat pour le respect de sa propre personne physique et morale était alors de s’opposer à Big Pharma et sa prise de pouvoir sur les populations. Dans les faits, ce n’était que la pointe du navire mondialiste…

De bien viles personnes contre le courage d’une seule femme, Virginie de Araujo-Recchia

Ariane Bilheran, avec la participation de l’hebdo Antipresse sur les numéros 398 et 399, reçoit Maître Virginie de Araujo-Recchia pour revenir sur les faits de son arrestation en mars 2022. Ariane Bilheran est philosophe spécialisée en philosophie morale et politique, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie spécialisée dans l’étude de la manipulation, de la déviance du pouvoir, de la perversion, de la paranoïa, du harcèlement et du totalitarisme. Virginie de Araujo-Recchia est donc une avocate française et notamment auteure du rapport « Dictature 2020, terrorisme d’État, atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation et crime contre l’humanité ». Elle a aussi participé au Grand Jury, tribunal d’opinion public international organisé comme modèle de procédure, afin d’informer au plus grand nombre les populations de la dérive totalitaire s’infiltrant dans tous les gouvernements des pays dits « démocratiques ».

Son arrestation en 2022 est faite par la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure), qui a entre autres pour mission la lutte contre le terrorisme, la répression.

Source Antipresse n° 398, quelques extraits :

Tout a été passé au peigne fin : dossiers de comptabilité, documents personnels, banque, photographies de famille, archives, carnets, articles de la presse alternative, qu’un des juges d’instruction a estimé être à charge et qu’il a conservés. En principe, et étant donné la faiblesse du dossier, je pouvais tout simplement être convoquée afin de répondre aux questions des enquêteurs de la DGSI. Il n’était pas utile de dépêcher une douzaine de personnes à mon domicile, de perquisitionner l’avocat que je suis, et de me mettre en garde à vue pendant soixante heures afin de m’interroger.

Ainsi, une fois dans les sous-sols de la DGSI, j’ai souffert différentes techniques d’humiliation destinées à me faire perdre mes repères et mon amour-propre ; je ne rentrerai pas dans tous les détails, mais j’ai notamment subi le sac sur la tête lors des déplacements constants entre lesdits locaux et le Tribunal judiciaire de Paris. J’ai également passé une partie de ma garde à vue dans une cellule froide équipée de néons et de caméra, sans aucune hygiène, malgré mes demandes. J’alternais entre la cellule, les menottes et les interrogatoires ubuesques, qui ont duré une dizaine d’heures.

Étant donné que l’on ne me reproche pas autre chose que d’avoir produit des analyses juridiques et uniquement des analyses juridiques, par quel miracle aurais-je pu commettre ou être complice d’un acte de terrorisme au sens de l’article 421-1 du Code pénal ? Où est donc la logique, n’y a-t-il pas là une contradiction fondamentale ?

Source Antipresse n° 399, quelques extraits :

Nous vivons aujourd’hui dans le cadre d’un régime manifestement totalitaire. Il est donc parfaitement logique que des spécialistes élèvent leurs voix afin de rappeler quels sont les valeurs, les principes, les règles applicables, et que de nombreux Français relèvent les irrégularités, les infractions commises et tentent d’alerter le reste de la population, sachant que les médias grand public font office de modèle de propagande au sein de ce monde occidental putréfié.

Ainsi, étant donné que la qualification de terrorisme est désormais de plus en plus couramment mise en avant, et que les opposants au totalitarisme mondialiste sont considérés de toute façon comme étant des criminels tant au niveau national que d’après les organisations internationales telles que l’OMS, le glissement n’est pas uniquement hypothétique.

Quelle en sera la résultante ? Les avocats ne souhaiteront vraisemblablement pas prendre le risque de défendre un opposant au régime (ou du moins aux mesures prises), de peur de subir le même sort que le mien. Il s’agissait d’ailleurs probablement d’un signal adressé à mes confrères, afin que chacun rentre dans le rang, même si les constats sont évidents, et que l’avocat par son métier a toujours participé aux débats d’intérêt public, tout simplement parce qu’il est l’un des mieux placés pour faire l’exégèse des textes.

Me Virginie de Araujo-Recchia
Le 30 mars 2022

Maitre Virginie de Araujo Recchia, septembre 2022, au colloque Lisbonne, ou « l’inversion de la norme juridique »

Maître Virginie de Araujo-Recchia rappelle et énumère ce qui s’est juridiquement passé dès 2020 :

  • Atteintes aux intérêts fondamentaux de la nation
  • Violation du droit à la vie et atteinte à l’intégrité des personnes
  • Violation de la liberté individuelle
  • Violation du principe de sauvegarde de la dignité humaine contre toutes formes d’asservissement et de dégradations
  • Violation de la liberté de circuler et de liberté d’aller et venir
  • Violation du principe général de mener une vie familiale normale par l’interdiction de rendre visite à un proche en EHPAD, de restreindre la possibilité d’assister aux funérailles et d’interdire toutes possibilités de se réunir en famille.
  • Violation de la liberté d’entreprendre et inégalité de traitements
  • Violation du droit de manifester et de se rassembler
  • Violation de la liberté de culte
  • Violation du droit à l’éducation
  • Manipulation de l’opinion afin de faire régner la terreur et troubler l’ordre public
  • Gestion de crise totalement disproportionnée et non conforme aux pratiques habituelles en matière
  • Épidémie de tests PCR qui ne permettent pas de déterminer si le patient est malade
  • Interdiction de traitement contre la covid19 en violation des droits du patient et de la liberté de prescrire
  • Homicide par administration du Rivotril dans les EHPAD
  • Crime contre l’humanité et rappel du Code de Nuremberg
  • Acte de maltraitance et torture à l’égard des enfants

Tout juriste doit être stupéfait de ce qui s’est passé dans nos pays.

Maître Virginie de Araujo-Recchia décrit la situation géopolitique actuelle et son organisation autour d’un axe fait de corruption systémique

Nous constatons que les sociétés transnationales forment une structure géante de nœud papillon et qu’une grande partie du contrôle se dirige vers un petit noyau d’institutions financières très unies. Lorsque les institutions d’un État dont la vocation première est d’assurer la protection de l’ordre public, la sauvegarde des principes fondamentaux, de la liberté et des Droits des Peuples ne font plus obstacle à la dérive des régimes totalitaires, il est du devoir de chaque individu de résister à l’oppression. Des lois, décrets et arrêtés préfectoraux, ce qui il y a de plus bas sur la pyramide des normes juridiques, ont prévalu sur les normes du bloc constitutionnel, c’est-à-dire ce qu’il y a de plus élevé sans que ces textes ne soient remis en cause ou invalidés, alors que lesdites mesures étaient disproportionnées et contraires à bons nombres de textes conventionnels et européens ainsi qu’aux normes suprêmes du Corpus Constitutionnel. L’Etat de Droit a donc cédé à l’arbitraire.

À ce titre, les chefs d’accusation suivants sont énumérés :

  • Abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse des Français en état de suggestion psychologique résultant de techniques propres à altérer leur jugement
  • Complicité d’extorsion et de tentatives d’extorsion de consentement
  • Tromperie aggravée et tentatives de tromperies aggravées commises en bandes organisées
  • Escroqueries et tentatives d’escroqueries
  • Complicité d’empoisonnement et tentatives d’empoisonnement
  • Participation à une association de malfaiteurs
  • Crime contre l’humanité
  • Génocide et complicité de génocide

Les 10 plus grands investisseurs institutionnels contrôlent à eux seuls environ 22 000 milliards de dollars comme avec BlackRock ou Vanguard, il y a alors une situation d’oligopole. Les liens capitalistiques entre les médias grand public, les géants du numérique, les géants américains et l’OMS démontrent une réelle situation de collusion. Le forum de Davos (le WEF) et son pouvoir illégitime est aussi développé avec Le Great Reset, ses Young Global Leaders et sa 4e révolution industrielle promue par Klaus Schwab, son fondateur. Macron met en œuvre Le Great Reset depuis 2021, les corrélations sont frappantes. Les cabinets de conseil sont cités comme Mac Kinsey dont son « narratif sanitaire » s’est factuellement répandu dans le monde.

Il semble donc que Mac Kinsey a un impact démesuré sur le secteur mondial de la santé, toujours parmi les 5 principaux prestataires de services professionnels de la fondation Gates… La fondation Gates a dépensé au total plus de 300 millions de dollars en cabinet de conseil Mac Kinsey et BCG entre 2006 et 2017. Un rapport Rockefeller datant de 1968 décrit parfaitement la peur des oligarques concernant l’accroissement de la population et les solutions envisagées. Le média grand public reçoit les informations de Reuters ou de l’AFP, l’Agence France-Presse. Cette dernière aurait reçu des fonds à hauteur de 45 millions de dollars de la fondation Bill & Melinda Gates, laquelle est au capital de sociétés pharmaceutiques Pfizer, BioNTech, Moderna, etc.. Les investissements des diverses sociétés autour de Gates le positionnent en cumulé 1er financeur de l’OMS, laquelle force les populations à participer aux essais cliniques des laboratoires pharmaceutiques Pfizer, BioNTech et Moderna…

Conclusion de Maître Virginie de Araujo-Recchia :

Cet oligopole tentaculaire détient un pouvoir extraordinairement démesuré et abusif sur les nations et donc une emprise ô combien dangereuse et nocive pour les peuples. En suivant cette idéologie mortifère, le pouvoir exécutif de chacun des États impliqués porte actuellement atteinte aux intérêts fondamentaux de leur Nation et mène leurs peuples au suicide collectif, ce qui nous a d’ailleurs amenés à déposer une plainte contre ces dérives sectaires en France.

Retrouvez Maitre Araujo-Recchia sur son site juridique.




Virginie de Araujo-Recchia : une avocate qui se bat pour la protection des enfants

[Source : Nexus]

Interview par Marc Daoud

Avocate au Barreau de Paris, Virginie de Araujo-Recchia avait déposé de nombreuses plaintes pour « dérives sectaires » suite à l’application des mesures Covid. Aujourd’hui, elle s’implique également contre l’idéologie des droits sexuels des enfants en France. Nexus a pu l’interviewer au CSI de Saintes des 18 et 19 mai 2023.

◆ Du Covid aux droits sexuels

En partenariat avec d’autres avocats à l’international, Me Virginie de Araujo-Recchia a étudié l’impact des mesures Covid sur la santé publique et vérifié leur légalité. Par ce biais, elle a rencontré le Dr Ariane Bilheran qui, en plus du « totalitarisme », étudiait « les droits sexuels ». Elles ont pu collaborer dans un premier temps dans le cadre de la crise sur ces mesures liberticides, puis elles en sont venues à échanger sur l’influence de l’OMS et l’idéologie des droits sexuels en France.

👉 Voir l’entretien avec Virginie de Araujo-Recchia :

◆ des dérives en milieu scolaire

Maître de Araujo-Recchia explique :

« Bien que je ne sois pas spécialiste de but en blanc du sujet, j’ai décidé de m’y intéresser, notamment parce que des associations m’avaient fait part de cas graves de dérives au sein d’écoles. »

Il y a eu des interventions de thérapeutes dans différents établissements scolaires qui ont parlé aux élèves de sexualité en évoquant « des actes de copulation » de façon explicite et choquante devant des enfants parfois prépubères qui, selon des experts de l’enfance, n’ont pas la maturation psychologique pour entendre ce genre d’informations. Certains enfants ont dit vouloir se boucher les oreilles, avoir crié parce qu’ils ne voulaient « pas entendre ».

« On les a forcés et ça, ça n’est pas possible. Et tout cela vient de la propagation durapport Kinseyfinancé par la fondation Rockefeller. »

◆ qu’en dit le droit ?

Pour Virginie de Araujo-Recchia, il s’agit là de « maltraitance », « d’atteinte à leur dignité » et d’« outrage ».

« En matière pénale, on a quand même une atteinte à la moralité du mineur qui est vraiment claire et nette. »

« On ne peut pas porter atteinte aux enfants, les maltraiter, sous couvert de santé. »

« La Convention européenne des droits de l’homme — notamment sonprotocole numéro 1 additionnel— dit que l’État, dans son devoir d’éducation, ne doit pas contrevenir aux convictions religieuses et philosophiques des parents. »

« Les parents, la famille, c’est la première cellule de la société. […] Les parents sont protégés tant par le Code civil que par laConvention internationale des droits de l’enfant»

À propos du tableau « pédopornographique » visible au Palais de Tokyo à Paris depuis le 17 février 2023, exposé selon la ministre de la Culture pour dénoncer les crimes de guerre, Me de Araujo explique :

« […] C’est contraire à la loi, notamment à la liberté de la presse,articles 23 et 24, qui nous disent qu’on ne peut pas diffuser des images, des propos pédopornographiques ou qui font l’apologie d’agression sexuelle. »

« L’idée, c’est de rappeler quelles sont les règles parce qu’on a tendance à les oublier depuis plusieurs années maintenant, afin que les familles soient informées. »

◆ D’autres domaines tout aussi effarants pendant la crise Covid

En pleine crise Covid, « on a fait ça quand même en France, injecter des doses d’adultes à des enfants ». Des dizaines de milliers d’enfants ont été concernés, tout comme par le port du masque. Me de Araujo-Recchia rappelle aussi le droit aux jetons qu’avaient certains élèves pour pouvoir aller respirer un peu sans masque, sachant que le Covid « n’était pas une maladie pédiatrique ».




La liberté d’expression des médecins, enseignants et chercheurs est-elle protégée en temps de crise sanitaire ? Me de Araujo-Recchia répond

Par Xavier Azalbert, en collaboration avec un groupe de Juristes, et en partenariat avec les associations Bonsens.org, AIMSIB et le collectif Santé Justice France

L'avocate Virginie de Araujo-Recchia a été placée en garde à vue mardi 22 mars 2022
 DR

ENTRETIEN – Dans cet entretien, Me Virginie de Araujo-Recchia revient sur la genèse juridique de la liberté d’expression depuis sa proclamation dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen en 1789, puis analyse les ressorts de sa protection chez les médecins, chercheurs et enseignants-chercheurs dans un contexte de crise sanitaire. Dès lors que les médecins respectent le code de la déontologie médicale non seulement bénéficient-ils de cette liberté fondamentale, mais ils ont même un devoir d’expression, souligne l’avocate. Un droit et un devoir qui s’appliquent également aux enseignants et enseignants-chercheurs : « Il est de leur devoir de dire la vérité que la réalité des faits leur donne à voir ». Restreindre de manière illégale leur liberté d’expression porte ainsi atteinte à un droit fondamental, mais viole également celui de leurs concitoyens, puisqu’ils se retrouvent de facto privés d’une information ou d’un savoir crucial.

[Note de Joseph : dans la pratique, voit-on le gouvernement français tenir compte des textes évoqués ?]


FranceSoir : Qu’en est-il de la liberté d’expression en temps de « crise » sanitaire ? Médecins, enseignants, chercheurs peuvent-ils encore s’exprimer en toute liberté ?

VDAR : Anodine il y a encore deux ans et demi, la question posée en titre de cet article est devenue aiguë aujourd’hui. Ceci, du fait des attaques, et le mot n’est certainement pas trop fort eu égard à l’importance de la liberté d’expression dans une société démocratique, que subissent les médecins de ville comme les praticiens hospitaliers, les chercheurs ou les enseignants-chercheurs qui osent afficher une opinion dissidente de celle des « autorités sanitaires » au sujet de la gestion de la « crise » sanitaire.

Malheureusement, comme vous en avez déjà donné l’alerte dans vos pages, ces médecins, chercheurs ou enseignants-chercheurs font l’objet de poursuites de la part de leurs ordres professionnels ou de leurs établissements de rattachement, de censures diverses pour avoir exprimé leur avis informé. Pouvaient-ils le faire ? Devaient-ils le faire ? Voici quelques éléments de réponse.

Il est indispensable, au préalable, de poser le décor : la liberté d’expression, puisque c’est elle qui est en jeu, n’est pas une liberté publique parmi d’autres. Tout au contraire, elle est le socle même de la démocratie et du pluralisme qui la caractérise.

Expliquons-nous : la liberté d’expression prend ses racines juridiques dans un texte fondamental, s’il en est, de notre droit, la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789, dont l’article 10 pose en principe que « nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi ». Un principe qui revêt une valeur constitutionnelle, c’est-à-dire supérieure aux lois et aux règlements (décrets, arrêtés). Ce n’est pas un hasard !

Proclamée dans l’ensemble des États démocratiques, elle est également protégée à l’échelle internationale par différentes conventions internationales qui, ayant été ratifiées par la France, sont partie intégrante de notre droit, certaines ayant toutefois une force juridique plus grande pour nous. Tel est le cas de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’Homme et des libertés fondamentales, du 4 novembre 1950. Cette dernière prévoit ainsi, dans son article 10 : « Toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontière. Le présent article n’empêche pas les États de soumettre les entreprises de radiodiffusion, de cinéma ou de télévision à un régime d’autorisations ».

La Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne réserve, elle aussi, une place particulière à la liberté d’expression, dans son article 10. On pourrait aussi citer la Déclaration universelle des droits de l’Homme, adoptée par l’Assemblée générale des Nations unies, le 10 décembre 1948 et son article 19. Sans surprise, le Conseil d’État français voit dans « le caractère pluraliste des courants de pensée » une liberté fondamentale qui justifie le recours à une procédure d’urgence (référé-liberté) pour la mettre à l’abri des atteintes qui y seraient portées (CE, ordonnance du 4 avril 2019, n°429370). De façon plus vigoureuse, le Code pénal réprime, quant à lui, « le fait d’entraver, d’une manière concertée et à l’aide de menaces, l’exercice de la liberté d’expression » (article 431-1 du Code pénal).

À y regarder de plus près, après des évènements politiques majeurs et souvent dramatiques, la Révolution française ou la Seconde Guerre mondiale, les rescapés ont jugé nécessaire de rappeler à leurs concitoyens le caractère essentiel, au sens premier du terme, de la liberté d’expression. Pourquoi ? Parce que la liberté d’expression précède et permet l’exercice des autres libertés publiques et droits politiques. Elle est la « condition de la liberté de la pensée, elle exprime l’identité et l’autonomie intellectuelle des individus ».

Cette idée est exprimée de façon limpide par le préambule de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789 avec des mots tellement justes : « Considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements ». Transposé à la question qui nous intéresse, « l’oubli ou le mépris » de la liberté d’expression ouvre la voie au piétinement de tous nos autres droits. La même idée est reprise par la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH), dont la mission est d’appliquer, à l’égard des États signataires, la Convention européenne des droits de l’Homme. Dans ce sens, « toute restriction, même anodine, apportée aux libertés d’opinion et d’expression peut (…) traduire un glissement vers l’autoritarisme, voire le totalitarisme ».

FS : Doit-on comprendre que la liberté d’expression est inconditionnée ?

VDAR : Il va de soi que, comme toute liberté, fût-elle fondamentale, la liberté d’expression doit être conciliée avec d’autres libertés et d’autres principes juridiques. Chacun connaît l’adage selon lequel, « la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres ». En d’autres termes, le droit est une affaire de conciliation, de nuances et de mesures, mais toujours, et c’est certainement ce que l’on a oublié ces derniers temps, dans le respect de l’humain.

Il faut cependant tenir compte, dans cette perspective, de ce que l’on nomme la hiérarchie des normes, à savoir que certaines règles de droit priment sur d’autres et ont une valeur juridique supérieure à d’autres. Tel est le cas de la liberté d’expression qui, du fait de sa valeur constitutionnelle, prime sur la loi et sur les textes réglementaires. Il en résulte que les limitations de la liberté d’expression doivent résulter de la loi (article 34 de la Constitution du 4 octobre 1958) ou d’un principe général que le juge aurait élevé au même rang que la loi. En outre, des limitations à cette liberté ne sont admissibles que si, pour reprendre les termes l’article 10 de la DDHC, elles « constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique », ce que la CEDH a qualifié, dans un arrêt du 7 septembre 1976, de « besoin social impérieux ».

Il ne peut donc s’agir que d’aménagements limités de la liberté d’expression, résultant de la loi et répondant à une exigence sociale supérieure. S’agissant de la liberté d’expression, il faut distinguer les limitations générales, des limitations propres à certaines situations. Tout d’abord, tout citoyen bénéficie, certes, de la liberté d’expression, celle-ci ne l’autorise toutefois pas à inciter son prochain à la haine, à l’injurier ou à le diffamer.

Ensuite, certaines professions posent des règles de bienséance entre confrères (avocats, médecins, notamment), de même que d’autres soumettent leurs membres à un devoir de réserve (magistrats, fonctionnaires de police, notamment). Ces dernières limitations ne doivent cependant pas être surinterprétées, la liberté d’expression ayant une valeur constitutionnelle, donc supérieure aux dispositions réglementaires ou d’ordre déontologique. Si le juge national et la CEDH admettent que sa portée soit restreinte, c’est avec force circonspection.

FS : Qu’en est-il des médecins ?

VDAR : Comme tous citoyens, les médecins bénéficient de la liberté d’expression. Si besoin était, cela a été récemment rappelé par la CEDH, dans un arrêt du 16 février 2021. Non seulement les règles encadrant l’exercice de leur profession ne sauraient en rien diminuer ou entamer cette liberté, même si le code de déontologie médicale précise qu’une honnêteté scientifique et une certaine bienséance entre confrères sont de mise, mais, à certains égards, les médecins ont, pourrait-on dire, un devoir d’expression.

Ce qu’il importe de comprendre est que les juridictions ordinales ne sont pas les juges de la liberté d’expression des médecins, seules le sont les juridictions judiciaires, administratives, pénales et certaines juridictions internationales (CEDH, en particulier). Leur intervention doit se limiter à s’assurer que les modalités d’exercice de cette liberté par leurs membres ne dépassent les limites déontologiques. Le Conseil d’État rappelait au sujet de l’ordre des experts-comptables, dès 1950, soit 10 ans à peine après la création des ordres professionnels par le régime de Vichy, de façon solennelle « qu’il n’a pas été dans les intentions du législateur (…) de priver les membres de l’ordre de la faculté d’émettre, verbalement ou de toute autre façon, et même par la voie de la presse, leur appréciation (…), sous réserve que leurs critiques ne présentent pas des faits allégués une version matériellement inexacte et qu’elles ne contreviennent pas à la bonne foi ou à la correction qu’il est dans la fonction même de l’ordre d’instituer et de maintenir dans les rapports entre ses ressortissants » (CE, arrêt du 29 juillet 1950).

Le code de déontologie médicale prévoit ainsi que le médecin doit s’abstenir de déconsidérer la profession (article R. 4127-31 du Code de la santé publique), qu’il doit entretenir des rapports de bonne confraternité avec ses confrères (article R. 4127-56 du Code de la santé publique) et qu’il doit s’appuyer sur des « données confirmées, faire preuve de prudence et avoir le souci des répercussions de ses propos auprès du public » (article R. 4127-13 du Code de la santé publique). Bien entendu, toute forme de publicité commerciale pour lui-même ou pour des produits de santé est prohibée (article R. 4127-13 du Code de la santé publique).

Les poursuites disciplinaires qui visent, en substance, la liberté d’expression d’un médecin se placent le plus souvent sur le terrain du manquement à la confraternité. Le Conseil d’État, qui est juge en dernière instance des poursuites disciplinaires médicales, pose toutefois des bornes assez étroites aux juridictions ordinales. Ainsi, un médecin peut critiquer, fût-ce en termes vifs, l’organisation du service hospitalier auquel il appartient (CE, 5 mai 2003, n°240010), préférer la pédiatrie à la médecine générale (CE, 4 mai 2016, n°373232) ou être hostile à tel traitement médical (CE, 4 janvier 1952, n°9329). Deux critères d’analyse peuvent en être dégagés : le Conseil d’État prend en considération le caractère personnel ou, au contraire, général de la critique, ainsi que son destinataire : le médecin s’adresse-t-il à son cercle professionnel ou au public en général ? On note cependant un récent durcissement du Conseil d’État qui a pu considérer, dans un arrêt du 24 juillet 2019, que la virulence d’une critique publique des vaccins contre les papillomavirus pouvait relever d’un manquement à l’obligation de prudence. Mais, on peut penser que cet arrêt, peu en phase avec la position plus libérale de la CEDH, ne fera pas jurisprudence.

FS : Qu’en est-il des enseignants-chercheurs et des chercheurs ?

VDAR : Les chercheurs et les enseignants-chercheurs peuvent, comme tout autre citoyen, se prévaloir de la liberté d’expression, cela va de soi. Cependant, cette dernière prend un relief particulier dans l’exercice de leur mission professionnelle. En effet, la liberté d’expression, qui est l’une des manifestations de la liberté de penser, est de l’essence même des métiers d’enseignant et de chercheur. Il faut en effet toujours garder à l’esprit que la liberté de la recherche, qui est l’une des déclinaisons de la liberté de penser, est précisément ce qui permet la formation de la pensée.

L’enseignement et la recherche sont, par conséquent, indissociables dans une société démocratique de la liberté d’expression et des autres libertés dont elle est porteuse. Il n’est, dès lors, pas surprenant que les libertés académiques bénéficient de la protection constitutionnelle, comme la liberté d’expression elle-même, ce qu’a posé le Conseil constitutionnel de façon spécialement solennelle : « Le service public de l’enseignement supérieur est laïc et indépendant de toute emprise politique, économique, religieuse ou idéologique ; il tend à l’objectivité du savoir ; il respecte la diversité des opinions » (Cons. const., 20 janv. 1984, n°83-165 DC).

Ainsi, l’Université doit garantir aux enseignants-chercheurs les « conditions d’indépendance et de sérénité indispensables à la réflexion et à la création intellectuelle » (article L. 123-9 du Code de l’éducation), ces derniers bénéficiant « d’une pleine indépendance et d’une entière liberté d’expression dans l’exercice de leurs fonctions d’enseignement et de leurs activités de recherche, sous les réserves que leur imposent, conformément aux traditions universitaires et aux dispositifs » (article L. 952-2 du Code de l’éducation).

La CEDH souligne, dans le même ordre d’idées, « l’importance de la liberté académique, qui autorise notamment les universitaires à exprimer librement leurs opinions sur l’institution ou le système au sein duquel ils travaillent ainsi qu’à diffuser sans restriction le savoir et la vérité » (CEDH, 3 avril 2012, n°41723/06). Par ces mots, la CEDH évoque ce qu’il est d’usage d’appeler le principe de tolérance et d’objectivité, qui relève de la coutume universitaire.

On pourrait relever que, les chercheurs et les enseignants-chercheurs étant des fonctionnaires ou, de plus en plus souvent, des contractuels de la fonction publique, ils sont tenus à un devoir de réserve. Cependant, à la différence des fonctionnaires de police ou des magistrats, celui-ci relève plus, dans leur cas, de la bienséance à l’égard de l’institution que d’une réelle obligation. Comme tout fonctionnaire, ils sont aussi soumis à une obligation de neutralité. Celle-ci s’efface toutefois largement devant le très large droit de critique qui leur est reconnu. En réalité, la menace vient certainement beaucoup plus d’un État toujours plus intrusif dans l’organisation, parfois même dans le contenu de l’enseignement et de la recherche, sans parler de la question brûlante des conflits d’intérêts avec le secteur privé.

En somme, et le contentieux est d’ailleurs assez rare en la matière, la liberté d’expression des chercheurs et des enseignants-chercheurs s’arrête lorsque leurs propos constituent une infraction pénale, telle que le négationnisme (CE, 28 septembre 1998, n°159236) ou qu’ils portent atteinte à la dignité des étudiants (pour des propos à caractère sexuel, CE, 21 juin 2019, n°424582)

FS : Les médecins, les enseignants-chercheurs et les chercheurs pouvaient-ils dès lors dire leur réserve, voire leur opposition aux mesures liées à la « crise » sanitaire ?

VDAR : Comme nous l’avons évoqué, non seulement les enseignants-chercheurs et les chercheurs le peuvent, mais il est de leur devoir de dire la vérité que la réalité des faits leur donne à voir. Inévitablement, cette quête emporte débats, voire polémiques. Mais n’est-ce pas ainsi que progresse le savoir ? La CEDH, l’ayant compris, affirme que la liberté académique emporte « la possibilité pour les universitaires d’exprimer librement leurs opinions, fussent-elles polémiques ou impopulaires, dans les domaines relevant de leurs recherches, de leur expertise professionnelle et de leur compétence » (CEDH 27 mai 2014, n°364/04 et 39779/04). 

Prenons la question autrement : si l’on restreint de manière illégale la liberté d’expression d’une personne, spécialement lorsque cette dernière détient un savoir ou une information qui pourrait être crucial pour ses concitoyens, on ne porte pas uniquement atteinte à ses droits : on viole par la même occasion le droit de ses concitoyens d’avoir accès à ce savoir ou à cette information.

Cette impérieuse nécessité de « faire savoir » se traduit par ce que les juristes qualifient de fait justificatif du débat d’intérêt général ou d’intérêt public qui étend encore la liberté d’expression à laquelle, dans ce cas, on ne peut plus opposer la diffamation ou la protection de la vie privée, par exemple. Ainsi, « des propos portant sur un sujet d’intérêt général, même diffamatoires au sens (de la loi sur la presse), ne peuvent être soumis à des restrictions ou des sanctions que si ces mesures sont strictement nécessaires au regard des objectifs (de l’article 10 de la DDHC) » (Cour de cassation, 29 mars 2011, n°10-85.887).

Au contraire, de par son importance même, une information de cette nature doit être portée à la connaissance du public, quitte à s’écarter du droit en vigueur. La CEDH l’a, de longue date, explicité de façon claire à propos de la liberté d’expression des médias, mais son raisonnement peut être généralisé à toute forme de liberté d’expression : il leur incombe « de communiquer des informations et des idées sur les questions (…) qui concernent (les) secteurs d’intérêt public » et qu’à « leur fonction consistant à (…) communiquer (de l’information) s’ajoute le droit, pour le public, d’en recevoir » (CEDH, 26 avril 1979, n° 6538/74).

Ceci doit être rappelé à l’heure où l’on prétend museler médecins, chercheurs et enseignants-chercheurs que l’on classe publiquement parmi les « complotistes », et sur qui les autorités font pleuvoir sanctions disciplinaires et poursuites diverses.

En termes plus contemporains, on pourrait dire que les courageux qui s’obstinent à rechercher et à faire connaître la vérité sont des lanceurs d’alerte. On peut penser à Brook Jackson, qui a dénoncé les manquements de la société Ventavia, un sous-traitant de Pfizer dans les essais cliniques, où elle travaillait alors. Mais, on ne peut que déplorer le fait que, contrairement au système juridique nord-américain, le droit français ne fait pas grand cas des lanceurs d’alerte, à qui il n’accorde qu’une très faible protection. La récente réforme du statut de lanceur d’alerte par une loi du 21 mars 2022 n’a rien d’une révolution, même si on peut interpréter un arrêt du 30 juin 2016 de la Cour de cassation qui annule le licenciement d’un lanceur d’alerte de bonne foi comme le signe d’une évolution.

Néanmoins, il n’est pas totalement inutile de demander auprès du Défenseur des droits d’être « certifié » comme lanceur d’alerte, même si le droit français est assez restrictif et circonscrit à la relation de travail. Le lanceur d’alerte est, selon les textes, « une personne physique qui signale ou divulgue sans contrepartie financière directe et de bonne foi, des informations portant sur un crime, un délit, une menace ou un préjudice pour l’intérêt général ». Lorsque ces informations révèlent un « danger grave et imminent », elles peuvent être rendues publiques. Le point important est que, révélées dans ces conditions, celui qui divulgue ces informations bénéficie de l’irresponsabilité pénale (article 122-9 du Code pénal), de même que sont interdites les mesures de représailles (licenciement, suspension, intimidation, harcèlement, etc.). Une provision pour frais de justice pourra lui être accordée pour sa défense.

En conclusion, il faut tout de même remarquer le « deux poids, deux mesures ». Ainsi, pour prendre l’exemple des médecins, l’Ordre des médecins se refuse à engager des poursuites contre les médecins qui se répandent dans les médias au sujet d’une thérapie expérimentale toujours en phase d’essai, alors même que le Code de la santé publique leur impose de ne pas communiquer sur un « procédé nouveau (de) traitement insuffisamment éprouvé sans accompagner leur communication des réserves qui s’imposent » (article R. 4127-14 du Code de la santé publique), violant ainsi allègrement le Code de la santé publique, mais n’hésite pas un instant à le faire contre ceux qui nous alertent des risques pour notre santé et celle de nos enfants…




Me Virginie de Araujo-Recchia communique suite à sa mise en garde à vue par la DGSI

[Source : francesoir.fr]

Me Virginie de Araujo-Recchia, avocate au Barreau de Paris.

Auteur(s): FranceSoir

Le 22 mars dernier, Me Virginie de Araujo-Recchia ainsi que six autres personnes ont été arrêtées par la DGSI dans le cadre d’une enquête liée à Rémy Daillet, mis en examen le 22 octobre dernier pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle ». Elle était l’avocate de cet homme, connu pour ses appels insurrectionnels visant à renverser le gouvernement. Elle ressort de garde à vue le 24 mars et nous confie aujourd’hui son ressenti à travers un communiqué officiel, dans lequel elle souligne que « rien ne lui est reproché »« Je n’ai fait l’objet d’aucune poursuite, je n’ai pas été mise en examen, ni même placée sous le statut de témoin assisté », explique-t-elle.

[Voir :
L’avocate Virginie de Araujo-Recchia placée en garde à vue,
France : l’avocate qui a porté plainte contre plusieurs ministres placée en garde à vue avant d’être relâchée
et
Une avocate antivax kidnappée et séquestrée par les barbouzes de Macron]

Elle y raconte comment s’est déroulée l’interpellation ainsi que l’interrogatoire, en insistant sur les « conditions déplorables » dont nous faisait aussi part Sylvain Baron, Gilet jaune et auteur également arrêté ce jour-là. Puis, elle pose la question : 

« N’était-il pas plus simple de me convoquer plutôt que de m’emmener devant mes enfants et de me garder à vue dans des conditions déplorables sachant qu’il s’agissait, au final, uniquement d’obtenir des renseignements puisque rien ne m’est reproché ? »

L’avocate s’adresse aussi brièvement aux médias qui ont relaté son interpellation en parlant de terrorisme, d’extrémisme ou encore de complotisme, et assure : 

« Je n’en resterai pas là, car il s’agit de pure diffamation et d’intention de nuire, mais je vais solliciter un droit de réponse. »

Voir aussi : « Je suis connu pour mes actions pacifiques et légales, pourquoi la DGSI n’était-elle pas au courant ? » Sylvain Baron

Ci-dessous, le communiqué complet de Me Virginie DE ARAUJO-RECCHIA, avocate au Barreau de Paris :

Plusieurs médias ont relaté ma mise en garde à vue du 22 mars 2022 dans les locaux de la DGSI qui s’est terminée le 24 mars 2022.

En effet, le 22 mars 2022 à 6h40 du matin, douze personnes, dont des policiers cagoulés des forces spéciales, sont entrées à six voitures dans notre propriété, puis ils ont violemment tambouriné à notre porte.

Nous avons bien entendu ouvert, cependant nous avons remarqué que tout le matériel était déjà prêt au sol, pour forcer notre porte.

Cette équipe composée de forces de l’ordre notamment de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure (D.G.S.I.), de la représentante de Monsieur le Bâtonnier du Barreau de Paris, de Madame la Greffière et de deux juges d’instruction, a ensuite investi, sans coup férir, notre domicile et entamé une perquisition, dans chaque pièce, jusque dans la chambre de nos enfants, la voiture et le jardin.

Ils sont allés jusqu’à éplucher nos photographies de famille, nos relevés bancaires, la comptabilité de plusieurs années, tous les dossiers un par un, regardé dans nos livres etc. Ils ont saisi tout le matériel informatique et téléphonique que nous utilisons pour notre activité professionnelle.

Tout ceci s’est déroulé devant nos enfants en bas âge, ce qui n’est pas sans conséquence.

J’ai ensuite été transportée dans les locaux de la D.G.S.I. à Levallois Perret (92), après avoir découvert que l’on me suspectait de complicité de terrorisme.

Là, j’ai été détenue pendant 60h00 dans des conditions inhumaines. Je préfère ne pas en donner les détails afin de préserver ma dignité.

Je souhaite aujourd’hui vous faire part de mes observations.

A la sortie de ma garde à vue, je n’ai fait l’objet d’aucune poursuite, je n’ai pas été mise en examen, ni même placée sous le statut de « témoin assisté ».

Je ne suis donc pas partie au dossier.

Tout ce qui me lie au dossier est le fait que je sois l’un des avocats d’une des personnes mises en cause.

N’était-il pas plus simple de me convoquer plutôt que de m’emmener devant mes enfants et de me garder à vue dans des conditions déplorables sachant qu’il s’agissait au final uniquement d’obtenir des renseignements puisque rien ne m’est reproché ?

Qu’en est-il de la présomption d’innocence ?

Il est à noter qu’il y a environ 800 000 gardes à vue par an en France, qui malgré leur caractère infamant, sont malheureusement devenues banales.

Une des raisons avancées pour expliquer l’augmentation des gardes à vue ces dernières années est notamment que le nombre de gardes à vue est un des indices de performance d’un commissariat, poussant ainsi ses fonctionnaires au zèle en la matière.

On observe aussi une augmentation sensible de leur nombre dans la période récente contre les avocats ou les journalistes. Faute de preuve sérieuse ou suffisante, la tendance étatique est donc à l’intimidation de ces deux professions, qui constituent pourtant l’un des fondements de toute Démocratie.

Il en est de même concernant certains médecins, qui subissent les mêmes méthodes d’intimidation, lorsqu’ils tentent d’alerter quant aux conséquences dommageables des mesures de gestion de la « crise » sanitaire ou des injections de thérapies géniques expérimentales.

Ils sont poursuivis devant l’Ordre des médecins et devant les tribunaux, lesquels sont contraints de prononcer la relaxe, faute de grief sérieux.

Puis, je ne peux m’empêcher d’avoir une pensée pour les gilets jaunes qui ont été les premiers à subir la violence du pouvoir en place.

En ce qui me concerne, je suis très active, depuis des années, dans plusieurs dossiers relatifs aux droits fondamentaux, à la liberté d’expression et à la « crise » sanitaire.

J’ai ainsi rédigé un rapport intitulé « Dictature 2020, terrorisme d’État, atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation et crime contre l’humanité », qui a notamment été publié en novembre 2020 par l’Observatoire du génocide.

Je représente actuellement plusieurs associations et personnes physiques qui ont déposé des plaintes s’appuyant sur des arguments consignés dans ce rapport.

Je suis aussi membre d’un collectif d’avocats et de juristes internationaux qui œuvre à lutter avec les instruments du droit contre les mesures liberticides qui ont été prises dans le cadre de la gestion de la crise dite « sanitaire », de façon concomitante dans différents pays du monde.

Je n’en dirai pas plus sur le dossier qui manifestement a servi de prétexte à ma garde à vue. D’abord, parce qu’une instruction est en cours. Ensuite, parce que je n’ai pas accès au dossier, dans la mesure où je ne suis ni « mise en examen » dans cette affaire, ni placée sous le statut de « témoin assisté », comme je l’ai indiqué. Enfin, en raison de la confidentialité de la relation avocat-client car je suis soumise au secret professionnel.

Concernant l’interrogatoire, que j’ai subi pendant une dizaine d’heures, je me bornerai à citer quelques-unes des questions qui m’ont été posées :

a.    Êtes-vous patriote ?
b.    Qu’est-ce que le terme complotiste ?
c.    Que pensez-vous de la religion musulmane ?
d.    Que pensez-vous de la religion juive ?
e.    Que pensez-vous des antennes 5G ?
f.    Que pensez-vous de la pédophilie?
g.    Que pensez-vous de la franc-maçonnerie ?
h.    Pensez-vous que des ministres soient reliés aux réseaux pédophiles ?
i.    Que pensez-vous d’Emmanuel Macron ?
j.    Quelles sont les mesures qui vous amènent à dire qu’il s’agit de crimes contre l’humanité ?
k.    Qu’est-ce que le nouvel ordre mondial ?

Chacun restera libre de se faire sa propre opinion.

L’enquêteur m’a demandé de lui exposer les grands axes de mon « idéologie ». Ce à quoi je lui ai répondu qu’il ne s’agissait pas d’idéologie mais de faits avérés et justifiés que je répertorie méticuleusement depuis deux ans.

Toutes les audiences de la Cour internationale d’opinion publique/Grand Jury notamment, ont permis d’entendre les témoignages de certains des plus grands experts mondiaux en matière scientifique et médicale, en psychopathologie et psychologie, en histoire, économie, géostratégie ainsi que des témoignages de victimes du présent et du passé.

J’ai d’ailleurs personnellement recueilli les témoignages de parents de victimes, soignants, pompiers français afin de les présenter au Grand Jury.

Il s’agit d’expertise, de professionnels, de témoins, de victimes. Il ne s’agit pas d’idéologie.

Le seul but étant ici la recherche de la vérité.

J’en conclus que cet interrogatoire m’aura, au moins, permis de porter à la connaissance des enquêteurs les arguments principaux des plaintes déposées durant cette « crise sanitaire » pour le compte de mes clients.

En voici la liste :
https://dar-avocats.com/actualites/

Certains médias ont fait état d’un « dossier terroriste » et, mon nom étant cité comme « avocate représentant diverses figures des milieux complotistes » ou encore de « groupuscules extrémistes », le caractère diffamatoire de cet amalgame n’aura échappé à personne.

Je n’en resterai pas là car il s’agit de pure diffamation et d’intention de nuire mais je vais solliciter un droit de réponse.

La tentative d’amalgame entre un avocat et l’un de ses clients n’a rien de nouveau. Certains semblent y échapper plus que d’autres. Le Garde des Sceaux actuel ne l’ignore pas, lui qui a défendu nombre de criminels, avérés cette fois, pendant sa carrière.

D’autres, qui prennent le risque d’affronter l’Etat et de s’opposer aux intérêts financiers de grands groupes internationaux (pharmaceutiques, financiers et de médias…), sont susceptibles d’être placés en garde à vue sans justification.

Cela ne m’empêchera pas de poursuivre mon combat pour la défense des Droits de l’Homme et des Libertés Fondamentales.

Lors de cet événement, j’ai eu la chance d’être assistée par mes Confrères Me Maud MARIAN, Me Serge LEWISCH et Me Philippe AUTRIVE, Avocats au Barreau de Paris, tout au long de ma garde à vue et je les remercie de leur amitié confraternelle.

Depuis le début, le Barreau de Paris exerce sa vigilance pour garantir le secret professionnel, qui couvre mes activités.
A ce titre, Me Vincent NIORÉ, Vice-Bâtonnier du Barreau de Paris veille à protéger les principes de la profession. Nous lui faisons confiance étant donné que notre Confrère a dédié sa carrière à la défense des avocats.

Je remercie certains des enquêteurs de la D.G.S.I., qui ont eu, malgré tout, des gestes d’humanité à mon égard.

Je remercie également les Confrères et juristes qui m’ont soutenu dans l’ombre, notamment ceux de nos groupes national, européen et international, qui étaient en alerte maximale !

https://healthfreedomdefense.org/illegal-arrest-and-detaining-of-virginie-araujo-recchia/

Enfin, je remercie les milliers de personnes qui m’ont envoyé des messages d’affection et de soutien ainsi que toutes celles qui ont réalisé des vidéos afin de dénoncer cette injustice.

Cette solidarité, cette cohésion et ce cœur sont une grande force, c’est tout ce qu’ils n’ont pas et c’est ce que l’on ne pourra jamais nous retirer.

Me Virginie de Araujo-Recchia
Le 30 mars 2022




L’avocate Virginie de Araujo-Recchia placée en garde à vue

[Source : mediazone.zonefr.com]

Par Eric Montana

Dans nos démocraties de théâtre, on arrête même les avocats… Virginie est actuellement en garde à vue.
Son crime ? Sans doute qu’appartenir au collectif d’avocats internationaux avec Maître Reiner Fuellmich peut être une « raison »… Sa participation au Grand Jury pour dénoncer les tests bidons et les injections peut aussi être un facteur aggravant. Pour l’instant nous n’en voyons pas d’autres…

Mais par contre ce que nous constatons, c’est encore une preuve que nous ne vivons pas dans un Etat de droit…

Virginie de Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris, a été arrêtée tôt ce matin [le 22 mars] à son domicile et a été placée en garde à vue ce matin.

À l’heure actuelle, les faits qui lui sont reprochés ne sont pas encore connus. Un communiqué a cependant été publié et largement diffusé sur les réseaux sociaux:

Image

Puis en milieu d’après-midi, un second communiqué précisait que Maître Araujo-Recchia avait enfin été localisée et qu’un avocat l’assistait.

Rappelons que Maître Virginie Araujo-Recchia avait déposé plusieurs plaintes contre X visant les directeurs de publication des médias, ou contre les membres de la commission mixte paritaire ayant validé le passe vaccinal, et qu’elle faisait partie du collectif d’avocats du « Grand Jury » mis en place par Reiner Fuellmich.

D’après des sources proches du dossier, elle travaillait sur une plainte visant des partis politiques et les agissements de certains de leurs membres, et aurait été emmenée à la DGSI, à Levallois.

Cette nouvelle a suscité beaucoup d’interrogations, une immense émotion dans de nombreux pays, et de l’indignation chez tous ceux qui suivent son action avec bienveillance et attention. Cette avocate au courage exemplaire que nous suivons et que nous soutenons, représente un espoir que justice puisse enfin être rendue à toutes les victimes de cette campagne d’injections dont il est désormais prouvé que les conséquences et les effets secondaires tragiques ont généré plus de décès que le virus qu’elle est censée combattre.

Pour ce qui concerne MediaZOne, nous affirmons depuis le début que nous sommes dans le cadre d’une conspiration criminelle car le simple fait que les gouvernements occidentaux aient garanti l’impunité judiciaire aux labos pharmaceutiques qui produisent ces supposés vaccins, constitue la plus grave anomalie et la raison suprême qui nous permet de le déduire.

Et puis, ayant eu connaissance de la feuille de route que les gouvernements sont tenus d’appliquer, nous constatons que le plan se déroule comme il a été fixé et qu’à cette campagne d’injections va succéder une pénurie alimentaire dont même Macron s’est fait l’annonciateur.

Au fur et à mesure que les pièces du puzzle se mettent en place, nous avons de moins en moins de raisons de douter que cette conspiration a pour but la réduction de la population mondiale, la destruction de l’économie occidentale et la mise en place du Grand Reset transhumaniste.

Tôt ou tard les peuples vont prendre conscience de cet état de fait et il reste à espérer qu’ils réagiront et y mettront un terme. Notre passivité et notre indifférence sont les vrais dangers qui nous mèneraient vers le plus grand crime contre l’humanité de l’Histoire.

L’arrestation de cette jeune et brillante avocate constitue la preuve absolue que nous ne vivons ni dans une démocratie ni dans un Etat de droit. Une affaire que nous suivons avec beaucoup d’attention, qui appelle de plus amples informations, que nous ne manquerons pas de publier dès que nous en aurons.

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Lettre d’informations sur les actions juridiques menées contre les mesures sanitaires par Me Virginie De Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris

par Florence Wurtz

Dans l’urgence des événements, nous avons édité cette lettre d’informations
très courte, mais dans laquelle nous donnons des actions juridiques, par notre
avocate Me Virginie De Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris.

Nous ne pouvons répondre individuellement à la masse de demandes que nous
recevons, nous en sommes désolés, mais nous œuvrons jour après jour pour
défendre nos libertés.

Bien solidairement

Florence Wurtz
service Média LNPLV




Pass sanitaire et injection obligatoire : les conseils de « guerre » de Me de Araujo-Recchia et Me di Vizio

[Source : Anthropo-logiques]

Par Jean-Dominique Michel

Les fidèles lectrices et lecteurs de ce blog attesteront que, tel un Juvénal du temps présent, je souligne et regrette bruyamment ici depuis des mois l’effondrement éthique, sociétal et juridique auquel nous assistons sous la houlette toxique d’une médico-cratie en transe, entraînant dans son sillage des politiques qui ne le sont pas moins.

Ceci au détriment de toute logique et de toute souvenance qu’il existe quelque part un vague bidule appelé le « réel ».

Les mêmes professeurs azimutés (mais aussi instrumentalisés et à vrai dire assujettis – directement ou indirectement – à des intérêts privés) qui hurlaient au loup quant à la stratégie suédoise – consistant à n’imposer à la population que des mesures « evidence-based » en prenant soin d’en ré-évaluer régulièrement la pertinence-  nous abreuvent maintenant de beuglements semi-articulés selon lesquels la seule voie possible désormais est celle conduisant au « passsanitaire » et à la remise au pas des récalcitrants.

Soit ceux qui viennent d’être appelés « les paresseux, les égoïstes et les hésitants » par le président de la « Commission d’éthique et de la recherche » (!) du canton de Genève, M. Bernard Hirschel…

Avec un tel éthicien, pas besoin de scientistes un peu déjantés et mal dégrossis à qui rappeler les normes de l’éthique et la réalité du droit !

(Sur ce sujet de l’effondrement de l’éthique, passée d’un arbitrage paragidmatique et circonstancié de valeurs à une « cosméthique » faisant office de protection juridique pour les pouvoirs en place, un lecteur a fort aimablement attiré mon attention sur les travaux du Pr Jean-François Malherbe. On peut aussi bien sûr se référer à l’oeuvre magistrale de l’anthropologue Raymond Massé, que j’avais invité à donner une conférence à Genève sur ce sujet fondamental.)

Alors donc que la Suède continue de DÉMONTRER qu’on peut se passer absolument sans danger des mesures ravageuses imposées depuis 18 mois par ces technocrates enragés, voilà-t’il pas qu’une pléthore de politiciens se piquent de se faire les porte-drapeaux de nouveaux diktats de plus en plus délirants.

On aura donc vu des « incentives » comme on dit en marketing pour les pseudo-vaccins (qui sont en fait des injections géniques expérimentales) à faire se retourner dans leurs tombes les générations de médecins qui nous ont précédé et frémir d’horreur tous ceux à qui il reste un semblant de conscience : fast-food gratuitcrème glacéegâteau OFSP sur la place fédérale, mais aussi désormais loterie et, pourquoi pas bientôt, selon un autre trait de génie éthique du président de commission déjà cité, « payer les gens pour les encourager à se faire vacciner » (il ne s’agit pas d’un vaccin). Ceci dans une grand débondage de mépris social, puisqu’on comprend qu’un professeur de médecine avec un salaire de 300’000.- ou 400’000.- francs suisses par an (nous ne parlons pas des mieux lotis) ne saurait guère pour sa part être sensible aux 20.- ou 50.-promis…

Et comment ne pas penser à Babylone, la Grande Prostituée, devant tout ce cirque, cette danse macabre et fête des fous tout à la fois qui voit nos élites se vautrer dans la fange des cabinets de consultants vendant du vaccin (ce n’en sont pas) comme du savon à barbe ou le dernier gadget numérique à la mode. Menaces et brutalités en plus, certes.

Ceci pour des vaccins (qui n’en sont pas) pour lesquels on nous avait promis monts et merveille et qui s’avèrent de jour en jours beaucoup beaucoup moins sûrs, efficaces et même utiles qu’on nous l’avait vanté dans une opération publicitaire très réussie… et scientifiquement calamiteuse.

Bref, accrochons-nous car s’il nous est déjà arrivé d’observer que nous étions bel et bien en pleine bouffée délirante collective, nous n’avons probablement encore rien vu !

Comme l’avaient magnifiquement annoncé de vrais beaux et grands esprits -tout le contraire des sbires du scientisme obscène qui mènent la danse- les élites en perdition sont désormais dans une sorte de furie destructrice et autodestructrice. Par son mépris et son autocratique morgue, Emmanuel Macron attise les braises des flambées de violence qui inévitablement apparaîtront. L’homme on le sait n’hésite pas à faire nasser, tabasser, mutiler et  comparaître en procédure judiciaire accélérée (= sans les garanties élémentaires de l’état de droit) même et peut-être surtout des manifestants pacifiques. C’est une petite jouissance de la perversité parmi de bien plus grandes.

Alors ? Alors, comme l’autocrate nous l’avait annoncé, nous sommes bel et bien en guerre. Non pas contre un virus, bien sûr : il est aussi stupide de faire la guerre à virus que de manifester contre lui… Une guerre se mène toujours contre une population et c’est bien contre le peuple qui l’a élu que Macron lâche ses bombes à fragmentation et piétine l’état de droit.

Alors ? Alors « à la guerre comme à la guerre » lance en retour Me Fabrice di Vizio dans une interpellation appelant à l’union des gens de biens refusant d’entrer dans la mascarade de la panique chronique, de l’attaque et de la persécution des dissidents (« nous allons leur pourrir la vie » a ainsi lancé un ministre plein d’un sens de l’état et d’une élégance d’âme qui forcent le respect…)

Je le dis depuis longtemps : nos dirigeants politiques et sanitaires se comportent désormais comme des petites frappes sans scrupules ni foi ni loi.

A nous de leur lancer au visage le seau d’eau qui les sortira de leur délire paranoïaque !Comme l’énonce l’avocat parisien : LA CONFIANCE DANS LES AUTORITÉS C’EST FINI !–

La peur du débat (maximale en Suisse) est un signe de profonde déliquescence sociétale, démocratique et scientifique qui montre la fourberie et la lâcheté de ces autoritaires dévoyées. Aucun d’entre eux ne tiendrait deux minutes face à un contradicteur maîtrisant son sujet. D’où les campagnes de médisance et de calomnies contre les « dissidents », fussent-ils les plus compétents dans leur domaine (Ioannidis, Battacharya, Kulldorf, Giesecke, Gupta et Toubiana, c’est tout autre chose dans le domaine de l’épidémiologie que Flahault, Blachier ou Pittet !)

D’où le monopole aussi sur les plateaux et dans les colonnes en Suisse romande de la bande des huit (Flahault-Kaiser-Trono-Diana-Siegrist-Hurst-Kiefer-Pittet) qui ânonnent en chœur ou en solo le même dogme éculé (dans lequel la Suède, la réalité observable, l’éthique comme les bonnes pratiques médicales n’existent plus…) au service des intérêts privés qui les ont financés tout au long de leurs carrières.

Me di Vizio adresse quant à lui un bel hommage aux dissidents et aux résistants dont j’ai l’honneur de faire modestement partie avec tant d’autres, qu’ils soient en vue ou non.

https://youtu.be/n22nw1jNLD8

Et le temps bien sûr finira par nous donner raison d’avoir tenu sur les principes de la rigueur et de la probité intellectuelles, éthiques et citoyennes. Sur notre humanité. Et oui, puisqu’ils ne nous en laissent pas le choix, ce sera la guerre.

Pour notre part, ce sera une guerre pacifique et sans violence. Nous y mobiliserons toutes les ressources de l’intelligence, de la sensibilité, de la tendresse et du courage, avec pour armes le droit, la pensée, la science intègre, l’action communautaire et citoyenne ainsi que les quelques moyens d’action démocratiques qu’il nous reste. Et nous y serons intraitables et souverains face à tant de compromissions, de brutalité et d’iniquité !

Recours introduit par Me di Vizio le 3 juin 2021 auprès de la Cour de Justice de l’Union européenne pour non-respect du droit communautaire au sujet des Autorisations conditionnelles de mise sur le marché pour les injections géniques (improprement appelées « vaccins ») : pour accéder au fichier pdf, cliquer ici.

Je reproduis ici le message adressé par Me Virginie de Araujo-Recchia suite aux décisions liberticides de ce qui fut un temps l’Assemblée nationale et semble ne plus être qu’un déserté lupanar entérinant au petit matin les décisions glauques et putrides refusées dans un ultime sursaut de lucidité le soir.

Mesdames, Messieurs,

Je suis désolée de ne pas pouvoir répondre à l’ensemble des demandes, que je reçois actuellement.

Je vous prie de bien vouloir trouver ci-dessous, un ensemble d’éléments juridiques non exhaustifs susceptibles de vous aider à résoudre les problématiques rencontrées personnellement ou professionnellement concernant le pass sanitaire ou l’injection qui ne pourra être rendue obligatoire que lorsque le projet de loi en cours de discussion sera définitivement voté par le Parlement, qu’il aura éventuellement été soumis au Conseil constitutionnel et qu’il aura été publié au J.O.R.F.

Ces éléments peuvent être transmis aux avocats qui défendront vos droits, si nécessaire et en toute humilité bien entendu.

DROIT DU TRAVAIL:

– Les salariés ou agents publics du domaine de la santé:

Leur conseiller de garder toutes les preuves du harcèlement exercé par leur hiérarchie dans le but de les forcer à se faire injecter.

Leur conseiller de ne pas démissionner.

Leur conseiller éventuellement de transmettre le mémo ci-joint à leur hiérarchie.

Points 34 et 35 de l’avis du Conseil d’Etat en date du 19 juillet 2021 (à mettre en rapport avec le texte de loi une fois adopté):

Ma compréhension en attendant le texte définitif:

En l’absence de saisine préalable des instances consultatives des agents publics par le gouvernement, le régime spécifique d’interdiction d’exercer et de suspension de la rémunération, du fait de la violation de l’obligation vaccinale, ne peut être retenu pour les agents publics.

Ce régime ne peut être retenu uniquement pour les salariés, cela serait contraire au principe constitutionnel d’égalité.

Par conséquent, ni les agents publics ni les salariés ne peuvent, en l’état du texte, être soumis à ce régime d’interdiction d’exercer et de suspension de la rémunération.

La violation de l’obligation vaccinale peut être sanctionnée dans le cadre des procédures disciplinaires de droit commun.

Le gouvernement doit compléter le texte afin de tenir compte de ces observations.

DROIT CIVIL ET DROIT PÉNAL:

Les motifs juridiques qui pourraient être avancés sont d’ordres civil et pénal:

– Harcèlement d’une personne en vue de l’inciter à commettre un acte de nature à mettre sa vie en danger,

– Extorsion de consentement de nature à mettre en danger la vie d’autrui,

– Abus de pouvoir et abus de faiblesse étant donné que la campagne de manipulation et d’atteinte à l’intégrité psychologique/psychique/mentale a été massive et qu’il suffit désormais de menacer de licenciement ou autre pour que la personne en position de faiblesse s’exécute et subisse l’injection.

– Complicité de tentative d’empoisonnement

– Les personnes qui mettent en oeuvre les inoculations forcées verront leur responsabilité civile ou pénale recherchée également.

DROIT DES PATIENTS:

– Les patients refoulés par les hôpitaux:Obtenir les preuves du refus par écrit ou par huissier, témoins etc et envoyer un courrier au directeur général de l’A.R.S afin de contester l’acte médical forcé (test ou injection, pass sanitaire), qui est indiqué comme étant un préalable à toute intervention, sur la base des textes rappelés dans le mémo.– Procédure spécifique prévue par la loi:L’article R. 1112-11 du Code de la santé publique édicte les conditions d’admission d’un patient à l’hôpital. L’article R. 1112-12 du Code de la santé publique dispose qu’ « En cas de refus d’admettre un malade qui remplit les conditions requises pour être admis, alors que les disponibilités en lits de l’établissement permettent de le recevoir, l’admission peut être prononcée par le directeur de l’agence régionale de santé ».Il existe ainsi une procédure permettant de pallier un refus de soins constitué par un refus d’admission.– Sur le plan pénal en cas de discrimination:Article L1110-3 du Code de la santé publique:Aucune personne ne peut faire l’objet de discriminations dans l’accès à la prévention ou aux soins.Un professionnel de santé ne peut refuser de soigner une personne pour l’un des motifs visés au premier alinéa de l’article 225-1 ou à l’article 225-1-1 du code pénal.Article 225-1 du code pénal:« Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques sur le fondement de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de la particulière vulnérabilité résultant de leur situation économique, apparente ou connue de son auteur, de leur patronyme, de leur lieu de résidence, de leur état de santé, de leur perte d’autonomie, de leur handicap, de leurs caractéristiques génétiques, de leurs mœurs, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre, de leur âge, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur capacité à s’exprimer dans une langue autre que le français, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une Nation, une prétendue race ou une religion déterminée. (…)

DROIT ADMINISTRATIF:

Le référé liberté de notre confrère Me KRIKORIAN met le Conseil d’Etat fasse à ses contradictions (ordonnance du Conseil d’Etat du 6 juillet 2021, affaire Quadrature du Net comparé à l’avis du 19 juillet 2021).

Nous attendons désormais la décision du Conseil d’Etat.

Nous rappelons l’arrêt du Conseil d’Etat du 6 mai 2019, affaire LNPLV, suivant lequel un « vaccin » ne peut être rendu obligatoire que dans les conditions suivantes:

– maladie connue et particulièrement grave,

– vaccins connus et recul suffisant,

– balance bénéfices/risques concluante.

Avec les 4 injections litigieuses, nous ne remplissons tout simplement aucun de ces critères.

DROIT EUROPÉEN:

Une action est en cours devant la Cour de Justice de l’Union européenne depuis le 17 juin 2021 et concerne 232 professionnels de santé français, 35 professionnels de santé italiens et une centaine de professionnels de santé autrichiens notamment. 

Des avocats d’autres Etats membres se sont probablement joints à l’action entre temps.

Cette action est destinée à demander la suppression de l’obligation d’injection pour les professionnels de santé et le retrait des autorisations conditionnelles de mise sur le marché pour les injections C-19.

Cette action est en cours d’instruction devant la CJUE.

Par ailleurs, tous les dossiers portés devant les juridictions pourront faire référence au règlement européen du 14 juin 2021 car les considérants sont très clairs:

RÈGLEMENT (UE) 2021/953 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 14 juin 2021, relatif à un cadre pour la délivrance, la vérification et l’acceptation de certificats COVID-19 interopérables de vaccination, de test et de rétablissement (certificat COVID numérique de l’UE) afin de faciliter la libre circulation pendant la pandémie de COVID-19

Lien direct ici

« Considérant ce qui suit: (…)

(36) Il y a lieu d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, par exemple pour des raisons médicales, parce qu’elles ne font pas partie du groupe cible auquel le vaccin contre la COVID-19 est actuellement administré ou pour lequel il est actuellement autorisé, comme les enfants, ou parce qu’elles n’ont pas encore eu la possibilité de se faire vacciner ou ne souhaitent pas le faire. Par conséquent, la possession d’un certificat de vaccina- tion, ou la possession d’un certificat de vaccination mentionnant un vaccin contre la COVID-19, ne devrait pas constituer une condition préalable à l’exercice du droit à la libre circulation ou à l’utilisa- tion de services de transport de voyageurs transfrontaliers tels que les avions, les trains, les autocars ou les transbordeurs ou tout autre moyen de transport. En outre, le présent règlement ne peut être interprété comme établissant un droit ou une obligation d’être vacciné. (…)

(62) Le présent règlement respecte les droits fondamentaux et observe les principes reconnus no- tamment par la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne (ci-après dénommée « Charte »), en particulier le droit au respect de la vie privée et familiale, le droit à la protection des données à caractère personnel, le droit à l’égalité devant la loi et le droit à la non-discrimination, la liberté de circulation et le droit à un recours effectif. Les États membres sont tenus de respecter la Charte lorsqu’ils mettent en œuvre le présent règlement. »

Article 1 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Dignité humaine

La dignité humaine est inviolable. Elle doit être respectée et protégée. »

Article 3 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Article 3

Droit à l’intégrité de la personne

  1. Toute personne a droit à son intégrité physique et mentale.
  2. Dans le cadre de la médecine et de la biologie, doivent notamment être respectés:
    • a) le consentement libre et éclairé de la personne concernée, selon les modalités définies par la loi;
    • b) l’interdiction des pratiques eugéniques, notamment celles qui ont pour but la sélection des personnes;
    • c) l’interdiction de faire du corps humain et de ses parties, en tant que tels, une source de profit;
    • d) l’interdiction du clonage reproductif des êtres humains. »

Article 21 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Non-discrimination

1. Est interdite toute discrimination fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, les ori- gines ethniques ou sociales, les caractéristiques génétiques, la langue, la religion ou les convic- tions, les opinions politiques ou toute autre opinion, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance, un handicap, l’âge ou l’orientation sexuelle. (…) »

II. Valeur normative des considérants d’un règlement européen:

Il est généralement admis quel les considérants n’édictent pas, en principe, des règles, mais ont néanmoins pour vocation d’expliciter le sens et la portée des règles édictées.

Dans un instrument juridique de l’UE, les considérants de l’exposé des motifs revêtent une grande importance parce qu’ils expliquent la raison d’être de chaque disposition. Bien qu’ils n’aient pas de valeur juridique en tant que tels, les considérants peuvent être utilisés lors de l’interprétation du champ d’application des dispositions de fond du texte. La Cour de justice de l’Union européenne a déclaré à plusieurs reprises que des considérants valables sont nécessaires pour que la Cour puisse exercer sa fonction d’interprétation du droit. Étant donné qu’ils expliquent la raison d’être de l’acte juridique, ils méritent un examen approfondi.


Article très instructif: 
https://www.eurojuris.fr/accueil/articles/pass-sanitaire-non-conformite-droit-union-europeenne-40559.htm

Mémo concernant le consentement: 
Lien direct ici




L’Éducation Sexuelle préconisée par l’Éducation Nationale française à l’encontre des lois existantes pour la protection de l’enfance

[Source : parentsencolere.fr]

Campagne Nationale : courrier  » RAPPEL A LA LOI  » reçu par tous les établissements scolaires de France et d’Outre-mer

24 juin 2024

Nous vous présentons le courrier de rappel à la loi envoyé à TOUS les établissements scolaires de France et leur hiérarchie, cosigné par plus de 70 collectifs, associations, professionnels de la Santé et du Droit de France, de Belgique et d’Allemagne.

Cette union sans précédent a pour objectif de stopper la mise en œuvre des séances d’Éducation à la Vie Affective Relationnelle et Sexuelle (EVARS) pour tous, en faisant appel au pouvoir décisionnaire et individuel des chefs d’établissement et autres acteurs concernés.

C’est par une prise de conscience et un engagement de la responsabilité individuelle des auteurs, tout en rappelant la hiérarchie des normes juridiques et en démontrant l’illégalité de ces séances face aux lois de protection de l’enfance, supérieures à celle du Code de l’Éducation Nationale concernant l’éducation à la sexualité, que le personnel enseignant ne pourra plus se cacher derrière « l’obligation » de l’article L312-16 du Code de l’Éducation Nationale, celui-ci se soumettant obligatoirement aux blocs législatifs, conventionnels et constitutionnels. 

NOTRE COURRIER :

Résultats attendus :
– Que le personnel enseignant se conforme au respect des lois établies par crainte de poursuites, ainsi que toute personne dont les intentions ne sont pas de s’opposer au principe du respect du Code Pénal et Civil ainsi qu’à la CIDE (Convention Internationale des Droits de l’Enfant), la CEDH (Convention Européenne des Droits de l’Enfant) et/ou de le cautionner et/ou de le consentir.
Et ce, pour les écoliers de l’élémentaire jusqu’au lycée !
– Fin des séances en milieu scolaire, s’immisçant dans la sphère privée et l’intimité des mineurs, induisant des conséquences traumatiques.
– Connaître nos droits, ceux des enfants et s’en servir !
– Œuvrer à l’union, l’unité, la coordination, l’inter-protection avec une fermeté sans concession face à cette situation perverse, autant illégale, qu’immorale, de corruption et d’atteinte aux mineurs (entre autres) !

Conservez ce courrier comportant arguments et éléments vous permettant de défendre vos enfants et/ou ceux des autres, et qui, de surcroît, pourra servir, tout, ou en partie, à vos avocats si vous décidiez d’amplifier vos démarches.

En somme, un véritable « outil juridique de protection » et de prise de conscience pour :
– les parents ;
– les enseignants et leur direction et/ou hiérarchie ;
– les intervenants ;
– les professionnels du Droit représentant des parents qui engageraient des poursuites.
Mais surtout les enfants ! ! !

Ce courrier est à diffuser largement, sur vos différents réseaux, à partager lors de vos prises de paroles (conférences, émissions ou événements), salles d’attentes, etc., ou à déposer de manière anonyme dans les boîtes aux lettres des établissements d’ici la fin d’année solaire 2023 – 2024, en attendant le lancement des actions à la prochaine rentrée 2024.

Nous précisons également que la sollicitation des parents, grands-parents et professionnels, en vue de l’arrêt des séances d’EVARS dispensées, est chaque jour plus importante et grandissante, ce qui conforte nos actions et le besoin urgent de les concrétiser.

De plus, des témoignages de faits graves nous parviennent de façon exponentielle, de parents parfois démunis et impuissants face aux institutions, mais aussi des comptes rendus de séances qui témoignent de malaises, de dérangements ou de chocs, des séances vécues par les enfants lors d’un cours, d’un atelier, d’une lecture inclusive ou d’un spectacle.

Notre rôle s’articule systématiquement par l’envoi d’un courrier rappelant à l’établissement qu’il ne peut une nouvelle fois occulter les lois, ayant été préalablement avisé par notre courrier de rappel légal, et qu’il prenne connaissance de la saisine des autorités compétentes en cas de signalement, notamment auprès du Procureur de la République.

Ce signalement conduira aussi à une large médiatisation pour ne pas s’arrêter à la hiérarchie de l’établissement, et ainsi le transmettre au Maire de la commune concernée, au Conseil Départemental, à la Fédération de parents d’élèves, aux députés et sénateurs de la circonscription, également au défenseur des Droits de la région et aux médias locaux, voire internationaux, si besoin.

Nous conseillons également de vous munir du livre de Maître Virginie De Araujo Recchia : PROTÉGER LES MINEURS DE L’IDÉOLOGIE TOTALITAIRE « Éducation sexuelle » et changement de mœurs, ainsi que celui du Dr Ariane Bilheran : L’imposture des droits sexuels.

Deux livres pour tous les parents, avocats, enseignants, et les intervenants.

Disponibles ici :




France — Libertés en danger

[Source : Tocsin]

Le cauchemar d’Orwell en passe de devenir réalité ! Si nous ne faisons rien, toutes les opinions libres seront définitivement bannies en France.

00:00 : Introduction et édito

00:03:00 : La dictature passe à l’ouest !

🔷 Adina de Souzy
Artiste peintre, restauratrice de tableaux, a vécu son enfance dans la Roumanie communiste du dictateur Ceaucescu.
Auteur de « Une dictature nommée démocratie : Chronique de la Covidofolie » (Talma studios)

🔷 Slobodan Despot
Créateur du site Antipress, écrivain :
« Le Miel » aux éditions Gallimard
« Le Rayon bleu » aux éditions Gallimard

00:50:00 : La chronique d’Alexandre Cuignache d’Apreval

01:00:00 : La pensée totalitaire en lien avec les déclarations médiatiques sur la guerre.

🔷 Avec Ariane Bilheran
Ancienne Élève de l’École Normale Supérieure (Ulm), Philosophe
Psychologue clinicienne, Docteur en Psychopathologie,
Auteur dernièrement de « Psychopathologie du totalitarisme » (éditions Guy Trédaniel)

🔷Et Maître Virginie de Araujo-Recchia
Avocate au Barreau de Paris




Un projet de loi du gouvernement veut criminaliser les donneurs d’alerte en médecine

Par Gérard Delépine

Sous prétexte de réprimer les dérives sectaires Gérald DARMANIN, ministre de l’Intérieur et Mme Sabrina AGRESTI-ROUBACHE, secrétaire d’État veulent en réalité interdire le doit d’expression des médecins donneurs d’alerte. Nous devons tout faire pour défendre la liberté d’expression et la science menacées par ce texte scandaleux1 !

Illustration présentée dans La Croix du 08/09/20172

Quelques extraits du texte déposé au Sénat le 15 novembre 2023

Sous prétexte de Protéger la santé l’Article 4 veut insérer dans le Code pénal, un article ainsi rédigé :

« Art. 223-1-2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique. »

« Est punie des mêmes peines la provocation à adopter des pratiques présentées comme ayant une finalité thérapeutique ou prophylactique pour les personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifeste que ces pratiques les exposent à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente. »

« Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. »

Bien plus qu’une simple censure ce texte menace les donneurs d’alerte d’amendes astronomiques et même de prison. Il attente ainsi gravement à la liberté d’expression et au développement du progrès scientifique qui repose sur la critique constructive des vérités admises.

Les progrès de la science naissent du doute et de la résolution des paradoxes3 par la controverse

L’histoire de la médecine de Pasteur à Flemming démontre qu’elle progresse le plus souvent par l’intuition de personnes « hérétiques » qui s’opposent à la doxa. La particularité de la science est d’être discutée, et de passer par des expériences qui peuvent être reproduites.

Rappelons les propos de Bertrand Russell 4 considéré par beaucoup comme le Voltaire du XXe siècle :

« La tournure d’esprit scientifique est circonspecte et tâtonnante ; elle ne s’imagine pas qu’elle connaît toute la vérité, ni même que son savoir le plus sûr est entièrement vrai. Elle sait que toute théorie doit être corrigée tôt ou tard, et que cette correction exige la libre recherche et la libre discussion. […] L’argument contre la persécution des opinions reste inchangé, quel que soit le prétexte de la persécution. Cet argument est que nul d’entre nous possède la vérité infuse, que la découverte de vérités nouvelles est favorisée par la libre discussion et rendue très difficile par la censure, et qu’à la longue, le bien être humain est accru par la découverte de la vérité et desservi par les actes basés sur l’erreur. Les vérités nouvelles sont souvent gênantes pour les intérêts privés […] mais l’intérêt général exige que les vérités nouvelles soient librement diffusées. »

Une vérité scientifique n’est admise comme telle que tant qu’elle est confirmée par les faits. Toute discordance entre la réalité constatée et une « vérité » du moment justifie l’abandon de cette dernière et l’élaboration d’une nouvelle hypothèse qui deviendra, après discussion, la nouvelle vérité. L’esprit scientifique se caractérise par cette remise en question permanente des connaissances admises.

À l’opposé l’approche religieuse repose sur la foi, consacrant une vérité immuable et des dogmes que rien ne peut remettre en question. La foi justifie l’inquisition et la condamnation des hérétiques.

L’article223-1-2 de la proposition de loi, interdisant la remise en cause « des connaissances médicales » du moment constitue donc un outil profondément anti-scientifique instaurant une « science officielle » décidée par l’état et ses agences suivant le triste exemple des communistes sous Staline et Lyssenko.

Cette proposition de loi vise à empêcher la dénonciation future des mensonges d’état en santé

Lors du Covid le très mal nommé « comité scientifique » a longtemps prétendu que les masques, les pass et les vaccins seraient efficaces. Le ministère, les agences officielles et l’académie de médecine ont répété que « les vaccins sont efficaces à 90 %5… ils empêchent la diffusion de l’épidémie6 7… ils protègent des formes graves8… ils sont efficaces et sans danger 9 10».

L’académie de médecine a même réclamé l’obligation vaccinale pour tous y compris pour les enfants en prétendant « qu’un taux de vaccination de 80 % assurerait une immunité collective suffisante pour contrôler l’épidémie »11. Cette affirmation été depuis cruellement démentie par les données de l’OMS montrant l’explosion d’Omicron alors que le taux de vaccinés en France atteignait ce 80 %.

Les données de l’OMS démontrent également que les injections covid ont été inefficaces contre les transmissions et les ont peut-être même favorisées :

Mais aussi que les injections anti-covid n’ont pas évité les formes graves entraînant la mort :

Cette propagande pro vax officielle a été très tôt mise en doute par une petite poignée de médecins qui ont été diffamés, traités de complotistes et condamnés par l’ordre des médecins alors qu’ils ne faisaient qu’énoncer des faits maintenant démontrés.

Le caractère mensonger de ces affirmations gouvernementales (ils reconnaissent des « erreurs » !) est maintenant admis par la quasi-totalité des scientifiques y compris Delfraissy 12 et l’Agence Européenne des Médicaments (EMA)13 qui aurait recensé 1,7 million d’effets indésirables14 post injections Covid.

Si l’état avait laissé se développer un débat démocratique honnête sur ces sujets au lieu de réprimer les donneurs d’alerte, de nombreux soignants, pompiers, gendarmes n’auraient pas été ignominieusement exclus de leur sacerdoce et les citoyens vaccino prudents n’auraient pas été discriminés de manière scandaleuse comme en témoignent les quelques déclarations incroyables mais vraies qui suivent :

Les mensonges d’état, la censure et le refus de tout débat démocratique ont abouti à une gestion catastrophique de la crise qui a placé la France dans le top dix des plus fortes mortalités covid par million des pays riches, tandis que la propagande sur les prétendus vaccins ont mis en danger de très nombreux français et en particulier les enfants qui ne craignaient pourtant rien du covid.

Si on avait écouté les donneurs d’alerte vaccino prudents, la majorité de la population n’aurait pas été exposée aux complications de ces injections expérimentales qui rendent difficile la vie de plus en plus de vaccinés souffrant de complications neurologiques, de myocardites ou thromboses et qui, trop souvent, en meurent comme le montrent l’inquiétante surmortalité toutes causes confondues de l’année 2022 et 2023 alors que le covid a quasiment disparu.

Cet article 4 ouvre la chasse aux donneurs d’alerte

Les trop nombreux scandales sanitaires des dernières années ont montré que les agences sanitaires ne font pas correctement le travail pour lequel elles ont été créées et que sans les alertes émises par les soignants de nombreux médicaments ou vaccins dangereux seraient encore prescrits (Distilbène, Thalidomide, Vioxx, Hormone de croissance, sang contaminé, Dépakine, vaccination contre la grippe A H1N1, traitements au 5-FU de patients déficients en DPD, Médiator, vaccin Dengvaxia administré sans précautions aux jeunes enfants…)

Mais au lieu de tirer les leçons de sa gestion insuffisante de notre sécurité sanitaire, le gouvernement préfère la fuite en avant et veut renforcer la censure et sa mainmise sur notre santé en criminalisant les donneurs d’alerte !

Si ce projet de loi avait été voté les médecins et les scientifiques, qui ont dénoncé le Médiator ou le VIOXX responsables de dizaines de milliers de morts dans le monde, auraient pu être condamnés à un an d’emprisonnement !

Des directeurs de recherche comme les professeurs Didier Raoult ou Christian Perronne, qui vanteraient les effets de l’hydroxychloroquine contre le virus du Covid-19, risqueraient deux ans de prison et 30 000 euros d’amende avec une telle loi !

L’association E3M, les docteurs Delépine1516, De-Chazournes 17 et de nombreux autres médecins 18 qui alertent sur les graves effets indésirables du Gardasil (allant jusqu’au décès des patients alors qu’il n’y a aucune preuve solide qu’il évite le cancer) et réclament un moratoire sur la campagne de vaccination Gardasil19, tomberaient sous le coup de l’article 4 !

Une maison d’édition indépendante comme la revue Prescrire, qui publierait la liste des 107 médicaments plus dangereux qu’utiles, serait menacée elle aussi par cet article 4 !

Cette loi veut interdire la liberté de parole, droit fondamental de la démocratie

L’article 10 de la Déclaration des Droits de l’Homme20 précise « la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme »

Le Conseil d’État s’est d’ailleurs inquiété dans son avis21 de cette proposition de loi qui « pourrait remettre en cause, par une incrimination de contestations de l’état actuel des pratiques thérapeutiques, la liberté des débats scientifiques et le rôle des lanceurs d’alerte » et « constituer une atteinte portée à l’exercice de la liberté d’expression, protégée par l’article 11 de la Déclaration de 1789 ».

La liberté de parole fait pourtant partie des libertés protégées par la Cour européenne des Droits de l’homme.

La Convention communautaire de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales octroie aux citoyens européens la liberté « d’accepter ou de refuser un traitement médical spécifique, ou de choisir un autre type de traitement, qui est essentielle à la maîtrise de son propre destin et à l’autonomie personnelle, en l’absence de pressions inappropriée. »

Profondément contraire aux libertés fondamentales, ce projet de loi est d’autant plus scandaleux que la « science » officielle repose habituellement sur l’avis d’experts qui souffrent trop souvent de la corruption systémique qui règne dans le milieu médical et dans la science en général qui explique en autre que 75 % des études publiées dans les grandes revues soient gravement faussées par les liens d’intérêts22 23. L’exemple de l’article du Lancet Gate24, prétendant que la chloroquine serait inefficace et très toxique, qui a constitué le prétexte pour interdire ce médicament en France est à cet égard tristement démonstratif.

Contraire aux Droits de l’homme, cet article menace aussi gravement la santé de nos citoyens !

La présentation du gouvernement sur le projet de loi et sa prétention à « protéger la santé », suscite bien des interrogations et des inquiétudes chez les médecins sur l’exercice de leur métier25 et des avocats soucieux des libertés publiques26

Nous devons tout faire pour que cette proposition de loi soit rejetée

Dénoncez cette proposition de loi scandaleuse autour de vous par la parole, des tracts ou de réunions publiques.

Signez des pétitions : https://www.abolition-article-4.com/signature

Alerter vos élus locaux

Demandez à vos députés d’affirmer leur opposition ce projet profondément antidémocratique.


Pétition — NON au projet de loi « Protéger la santé » du 19 décembre !

Par Thibaut Masco

Chère lectrice, cher lecteur,

C’est dans l’urgence que je vous écris, car c’est avec urgence qu’il faut que nous RÉAGISSIONS !

Un projet de loi vient d’être déposé ce 15 novembre au Sénat par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin et la secrétaire d’État Sabrina Agresti-Roubache1.

Ce projet piloté par la Miviludes2, je le cite, « visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires » a l’audace de porter le nom « PROTÉGER LA SANTÉ ».

Son but ?

A priori, très éloigné de la santé.

Il s’agit d’un article de loi, par ailleurs tout à fait raisonnable, voire souhaitable, sur les dérives sectaires au sein de groupes

Et en particulier quand celles-ci mènent à de la torture, voire la mort

Il s’agit également de mieux en accompagner les victimes.

La France a en effet été marquée de scandales gravissimes liés à des sectes ces dernières décennies. 

Je ne citerai que l’exemple de l’Ordre du Temple Solaire, qui mena en 1995 à la mort de 16 personnes, dont 3 enfants, brûlées sur un bûcher.

Ainsi :

« Art. 223-15-3. — I. — Est puni de trois ans d’emprisonnement et 375 000 euros d’amende le fait de placer ou maintenir une personne dans un état de sujétion psychologique ou physique résultant de l’exercice direct de pressions graves ou réitérées ou de techniques propres à altérer son jugement et ayant pour effet de causer une altération grave de sa santé physique ou mentale ou de conduire cette personne à un acte ou à une abstention qui lui sont gravement préjudiciables. »

Jusque-là, je ne peux que féliciter l’initiative.

Mais à mesure que je lis le projet de loi, je tombe sur l’inquiétant chapitre 3 : « Protéger la santé ».

Et c’est en particulier l’article 4 qui a soudain provoqué en moi une terrible indignation. Et qui mérite aussi VOTRE indignation.

« 2) Art. 223-1-2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique (c’est-à-dire préventif),lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique. »

Et ça continue !

« 4) Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. »

Autrement dit, les médecines alternatives sont comparées directement à des dérives sectaires.

Mais dans quel monde vit-on !

Je vais vous le dire…

Dans un monde qui veut INTERDIRE et EMPRISONNER les médecins qui proposent des TRAITEMENTS NATURELS qui ne seraient pas approuvés par la soi-disant MÉDECINE D’ÉTAT.

Mais le pire vient à la toute fin. 

Car cette loi ne s’applique pas seulement aux médecins.

Elle s’applique à TOUTE PERSONNE et TOUT MÉDIA parlant de santé !

J’en veux pour preuve l’alinéa 5.

« 5) Lorsque ces délits sont commis par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables. »

Votre blog personnel sur la médecine chinoise pourrait vous mener en PRISON !!! 

Alors, de quelle santé parle-t-on ? Comme le disait un journaliste, si c’est la santé financière des fabricants de vaccin, alors ce titre est approprié.

Mais la santé des citoyens qui sont libres de choisir leur traitement ? J’EN DOUTE

SOUVENEZ-VOUS DE L’AFFAIRE RAOULT

L’idée de la loi est de faire taire les charlatans, qui eux, existent bel et bien, et causent des torts immenses à la médecine.

Mais le sous-texte, ce que vous devez lire entre les lignes, c’est que le Gouvernement se réserve le droit d’éteindre les voix de scientifiques ayant une parole différente.

Souvenez-vous, au début de la crise sanitaire en 2020, la véritable CHASSE AUX SORCIÈRES dont a été victime le professeur Didier Raoult.

Éminent virologiste, professeur des universités et lauréat du Grand prix de l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) en 2010 pour ses recherches sur les virus, Raoult avait un avis « hors-piste » au sujet du COVID-19.

Il préconise alors un traitement à base d’hydroxychloroquine, un médicament bien connu de la médecine pour ses propriétés bénéfiques pour l’immunité. Il est même classé « médicament essentiel » par l’OMS3.

Raoult ne prétend pas que c’est un médicament miracle, mais qu’il peut être une arme thérapeutique supplémentaire pour lutter contre l’épidémie.

Très vite, il comprend que le vaccin ne freine pas l’épidémie et que cela ne sert donc à rien de vacciner de force les populations qui ne sont pas en risque de formes graves.

Par ailleurs, il pointe du doigt le manque de transparence des labos, dont il dénonce les pratiques. 

Pour le Gouvernement et les médias, c’en est trop. Avec une rare unanimité, ils lui tombent dessus.

Ses prises de position dérangent parce que grâce à lui les Français entendent un autre son de cloche que celui du Gouvernement.

Il est traité de tous les noms par lesquels on essaie de museler la pensée critique : complotiste4, charlatan5, fou à lier6, criminel7…

Vous l’aurez compris : les autorités sanitaires ont l’air de choisir qui a le droit à la parole dans les débats publics !

Cet article de loi censé « protéger la santé » semble donc plutôt protéger les intérêts de l’État.

Comme le dit très justement le sénateur Alain Houpert8 :

alain houpert

Car ne vous méprenez pas. Son véritable objet : ce sont les prochains vaccins qui seront mis sur le marché.

Imaginez la situation quand la prochaine crise sanitaire surviendra.

(Car elle va venir, aucun doute là-dessus.)

Quand le gouvernement prendra des mesures coercitives du jour au lendemain.

Quand il rouvrira les vaccinodromes pour un vaccin développé à la va-vite sans essai clinique.

Qu’arrivera-t-il aux médecins, aux médias et aux citoyens qui oseront, pas même émettre des doutes ou s’opposer, mais simplement OUVRIR UN DÉBAT NEUTRE, CRITIQUE et LIBRE ?

  • Votre médecin pourra être condamné à 3 ans de prison !
  • Les journaux pourront être fermés et les rédacteurs amendés (45 000 €) !
  • Vos opinions seront muselées et vous deviendrez « sectaire » !

Bref, un retour à la situation de 2020… mais cette fois, le gouvernement veut avoir le CONTRÔLE TOTAL sur l’information et éviter TOUTE FORME DE DISCUSSION ÉCLAIRÉE.

C’est pour cela que j’ai besoin de vous au plus vite. 

Si vous voulez conserver votre liberté d’expression dans ce « pays des droits de l’homme », signez aujourd’hui la pétition.

JE SIGNE LA PÉTITION

Avoir une pensée critique dans la France d’aujourd’hui, c’est être « sectaire »

Cette loi prétend limiter l’expression des opinions qui ne seraient raccord avec « l’état des connaissances médicales ».

Mais qui décide de ce qui fait « état des connaissances médicales » ?

Est-ce au juge pénal de décider de cela désormais ?

Il ne me semble pas qu’il revient au législatif de trancher entre ce qui est une « bonne » et une « mauvaise » étude !

La science doit rester l’affaire des scientifiques !

Par contre, cela me semble évident qu’il y a une médecine « approuvée par les intérêts politiques et économiques du gouvernement » et une médecine libre.

Comment peut-on tolérer une société où un honnête pharmacien sera traité de paria, de complotiste, d’escroc et désormais aussi de CRIMINEL, de MEURTRIER ?

Si la loi passe au Sénat le 19 décembre prochain, ce sera la réalité dans laquelle vous vivrez.

JE SIGNE LA PÉTITION

Qui décide de la vérité ?

Pendant la crise du Covid les médias officiels n’ont cessé d’exposer des personnalités qui se sont trompées.

Les médecins de plateau TV bien sûr comme Karine Lacombe9, Michel Cymes10, Gilbert Deray11, ou le Pr Delfraissy12.

Les ministres de la Santé censés être bien informés se sont eux aussi fourvoyés à de multiples occasions comme Véran, Rousseau ou Buzin. 

Tous se sont trompés avec plus ou moins de bonne foi…

Que ce soit sur l’efficacité des masques, l’utilité des confinements, l’efficacité des vaccins sur la transmission ou la réalité des effets secondaires, la validité de telle ou telle étude, etc.

On voit donc bien que l’erreur n’est pas l’apanage des complotistes !!

CHERCHEZ L’ERREUR

La médecine est facilement manipulable par les intérêts économiques et politiques. 

Les Gouvernements et les lobbys ont la furieuse tendance de choisir la médecine qui les arrange le mieux en fonction de leurs intérêts du moment,

Quand donc la loi « PROTÉGER LA SANTÉ » nous parle de « l’état des connaissances médicales », comment pouvons-nous leur faire confiance ???

Faisons bloc le 19 décembre pour que cette loi ne passe pas !

Quand vous aurez lu et signé cette pétition, ne vous arrêtez pas là.

Parlez-en aux membres de votre famille, à vos amis, à vos voisins, à votre médecin même.

Il faut faire comprendre à notre gouvernement que nous sommes libres de notre corps et de nos choix.

Le patient a le droit de s’informer comme il le souhaite, et d’avoir accès à une information complète et loyale. Et surtout, de choisir pour lui-même.

Sinon, le régime de Liberté est anéanti.

Pour conserver ma liberté d’expression, et mon droit de choisir la médecine qui me soigne vraiment. 

JE SIGNE LA PÉTITION AVANT LE 19 DÉCEMBRE

Prenez soin de vous,

Thibaut Masco de Santé Non Censurée





Les intérêts derrière les torpilleurs de vérité

[Source : profession-gendarme.com]

Par Virginie DE ARAUJO-RECCHIA

En Belgique, le programme Evras a déclenché une vague d’indignation, tout comme les cours d’« éducation à la sexualité » en France.
Dans le cadre d’un article en ligne Radio France du 6 octobre 2023, M. Rudy Reichstadt de Conspiracy Watch, non-expert, s’exprime :

« Ce décret est visé par des rumeurs sur fond de théories de complot », estime Rudy Reichstadt. Que dit la rumeur ? Que l’on va « enseigner la masturbation à des enfants, leur diffuser des contenus pornographiques, les inciter à se toucher mutuellement et même légitimer la pédophilie, poursuit-il. Le fond de théorie du complot à proprement parler, c’est que tout cela serait décidé par les fameuses élites mondialistes qui veulent nous asservir. »

Plus loin : Le « grand paradoxe, note Rudy Reichstadt, c’est que ces modules de sensibilisation à la vie relationnelle et sexuelle ont notamment pour but de prévenir les abus sexuels et qu’ils sont accusés du contraire. » (…)

« On voit très bien ce que ce type de discours peut entraîner : il peut entraîner une mise en danger réelle du personnel enseignant, relève Tristan Mendès France. On en était là en 2013, on a la même chose aujourd’hui en 2023. »

« De la loi Evras aux ABCD de l’égalité : quand les complotistes s’attaquent à l’école », c’est le 53e épisode de Complorama avec Rudy Reichstadt, directeur de Conspiracy Watch, et Tristan Mendès France, maître de conférence et membre de l’observatoire du conspirationnisme, spécialiste des cultures numériques.

https://www.radiofrance.fr/franceinfo/podcasts/complorama/de-la-loi-evras-aux-abcd-de-l-egalite-quand-les-complotistes-s-attaquent-a-l-ecole-9403151


I. La voix des experts censurée par les non-experts

Qu’en disent les experts, que vous ne conviez jamais dans vos émissions ? Voici la teneur de leur analyse :

https://www.arianebilheran.com/post/protection-de-l-enfance-action

COURRIER À DESTINATION DES CHEFS D’ÉTABLISSEMENT,
DES PROFESSIONNELS DE L’ENFANCE ET DES PARENTS
. Courrier-ONEST-14.10.2023-1.pdf


II. Les intérêts et les puissants derrière les spécialistes autoproclamés de la vérification

Étant donné l’écart considérable entre le discours d’un collège d’experts en la matière et les propos de M. Reichstadt, il est tout naturel de s’interroger concernant les intérêts qu’il défend.
En effet, M. Reichstadt a jeté l’opprobre sur de nombreux opposants aux mesures de la crise sanitaire et il entame désormais son travail de sape vis-à-vis des experts en alerte suite aux constats de dérives sur l’enfant.
Voici donc un extrait issu d’un mémoire transmis à la justice, qui se propose de cartographier précisément les intérêts en jeu.
La publication de cet extrait, dans l’intérêt du débat public, permet de démontrer en quoi cette officine n’est absolument pas indépendante du pouvoir.

Je cite :

« Il est nécessaire de citer également les spécialistes autoproclamés de vérification (“FactCheking” en anglais), ministres de la Vérité censés lutter contre la “désinformation” et qui sous ce prétexte censurent en réalité toute opinion divergente en vue de faire taire toute contestation, dont les plus célèbres et les plus radicaux en France sont :

  • Conspiracy Watch édité par l’association Observatoire du conspirationnisme (numéro RNA : W751225511 et n° Siret : 805 407 194 00028 — les statuts permettraient d’identifier son président), dont le fondateur et directeur est Rudy Reichstadt, membre de la Fondation Jean-Jaurès subventionnée par le parti présidentiel La République en marche/Renaissance depuis 2017 et conseil privilégié des grands médias.

Conspiracy Watch est financé d’une part, par des subventions publiques et sollicité depuis 2015 par le Service d’information du gouvernement (i.e. nous rappelons que Conspiracy Watch est impliqué dans un scandale pour avoir reçu des sommes importantes du Fonds Marianne mis en place par le ministère de l’Intérieur et plus précisément par le comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation (CIPDR) suite à la mort de l’enseignant Samuel Paty). Conspiracy Watch est financé d’autre part par David de Rothschild (ancien banquier et employeur d’Emmanuel Macron) depuis 2017.

En 2018 Conspiracy Watch est devenu un service de presse en ligne immatriculé à la Commission paritaire des publications et agences de presse (CPPAP) sous le n° 0920 W 93758.

Nous rappelons que le Fonds Marianne, mis en place en avril 2021, était notamment destiné à promouvoir la “Liberté de conscience et d’expression (…)” https://www.cipdr.gouv.fr/appel-a-projets-national-2021-fonds-marianne/. Autant dire que l’utilisation de ce fonds en vue de financer Conspiracy Watch, lequel censure, diffame, calomnie et disqualifie les associations scientifiques, médicales alternatives sans en avoir la compétence est proprement scandaleux.

Fin septembre 2021, Rudy Reichstadt est nommé par Emmanuel Macron comme un des quatorze membres de la commission “Les Lumières à l’heure du numérique” pour lutter contre le complotisme et les fake news d’après le site de l’Observatoire du journalisme https://www.ojim.fr/portraits/rudy-reichstadt/ et le rapport comportant la lettre de mission du président de la République
https://www.elysee.fr/admin/upload/default/0001/12/0f50f46f0941569e780ffc456e62faac59a9e3b7.pdf »

C’est donc cet organisme très proche du pouvoir, qui n’a rien d’un observatoire mais tout du site politique présentant des biais idéologiques, qui déclare « complotiste » toute personne qui conteste la pensée dominante (ce qui est une injure puisqu’il s’agit d’une expression de mépris) et les accuse sans argument concret, d’être de parfaits criminels.

L’observatoire du conspirationnisme participe à l’observatoire de la haine en ligne, rattaché à l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom), ce qui pourrait expliquer pourquoi les plaintes déposées devant l’Arcom à l’encontre des intervenants dans les médias tenant des propos haineux et discriminatoires à l’encontre des opposants aux mesures sanitaires forcées et injustifiées n’ont jamais abouti.

Conspiracy Watch tient des propos haineux, diffamatoires, discriminatoires, calomnieux et injurieux notamment à l’égard des associations plaignantes.

En voici un exemple, puisque Conspiracy Watch « fiche » publiquement et en toute impunité tous les contestataires :

« Apparue en octobre 2020, l’association Bon Sens (bonsens.info) regroupe des personnalités évoluant dans la complosphère covidosceptique francophone. »

https://www.conspiracywatch.info/notice/bon-sens

Conspiracy Watch réalise également sur YouTube l’émission Les Déconspirateurs, qui bénéficie d’un cofinancement de la délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (Dilcrah), sujets qui n’ont pourtant rien à voir avec les questions de santé publique posées durant la crise Covid à propos desquels Les Déconspirateurs se sont exprimés sans aucune compétence et donc sans aucune légitimité.

https://www.senat.fr/compte-rendu-commissions/20230529/fin.html#toc2

Les autres intervenants de cette émission sont :

  • Tristan Mendès France, qui anime une émission entre autres avec Rudy Reichstadt sur Radio France et qui écrit également des articles pour l’Observatoire du conspirationnisme. « Michel Cicurel, oncle de Tristan Mendès France, fut l’ancien président du directoire de la compagnie financière Edmond de Rotschild et siège au conseil de surveillance de Publicis. » d’après le site de l’Observatoire du journalisme https://www.ojim.fr/portraits/tristan-mendes-france/.

Il est le petit-fils de Pierre Mendès France, ancien membre de la Fondation Jean-Jaurès laquelle est subventionnée par le parti présidentiel La République en marche/Renaissance depuis 2017.

  • David Medioni, également membre de la Fondation Jean-Jaurès subventionnée par le parti présidentiel La République en marche/Renaissance depuis 2017.
  • Thomas Huchon, qui a également collaboré avec Rudy Reichstadt et qui a fondé le site Spicee. Il anime de mars 2021 à 2022 l’émission hebdomadaire Anti-complot sur LCI. Il est le fils de Jean-Paul Huchon, membre de la Fondation Jean-Jaurès subventionnée par le parti présidentiel La République en marche/Renaissance depuis 2017 https://www.jean-jaures.org/expert/jean-paul-huchon/
  • Julien Pain, le journaliste France Info et France TV ancien journaliste de Reporters sans frontières, qui a insulté les contestataires à longueur d’émissions « Vrai ou Fake » destinées à « lutter contre la désinformation et les contenus manipulatoires » avec le Journalism Trust Initiative (JTI), a dénoncé son propre rôle de vérificateur dans le cadre des rencontres de l’Esprit Critique (REC) qui se sont tenues les 22 et 23 avril 2022, Toulouse – Labège, lien : 024725476172/UATWQVHAnB ?=

Son épouse est membre de l’Institut Montaigne, lequel soutient Emmanuel Macron.

Julien Pain avait déclaré en 2005 :

« Malgré cela, reconnaissons que les blogs sont un formidable outil pour la liberté d’expression. Ils ont délié les langues des citoyens ordinaires. Ceux qui jusqu’à présent n’étaient que des consommateurs d’information sont devenus les acteurs d’une nouvelle forme de journalisme, un journalisme “à la racine” selon les termes de Dan Gillmor (Grassroots journalism — voir le chapitre Quelle éthique pour les bloggers ?), c’est-à-dire fait “par le peuple et pour le peuple”. Dans les pays où la censure est reine, lorsque les médias traditionnels vivent à l’ombre du pouvoir, les bloggers sont souvent les seuls véritables journalistes. Ils sont les seuls à publier une information indépendante, quitte à déplaire à leur gouvernement et parfois au risque de leur liberté. (…)

La plupart des régimes autoritaires de la planète cherchent aujourd’hui à contrôler les informations auxquelles accèdent leurs internautes. Ils parviennent de mieux en mieux à purger le Web de celles qui les dérangent, le plus souvent grâce à des technologies achetées à des entreprises américaines. » Guide pratique du blogger et du cyberdissident, RSF, septembre 2005. »

https://www.ojim.fr/portraits/julien-pain/

Julien Pain semblait pourtant avoir tout compris en 2005. Pourquoi un tel retournement ?

Pour aller plus loin concernant l’implication des médias et réseaux sociaux :

MÉMOIRE DEVANT LA CHAMBRE D’INSTRUCTION DE LA COUR
D’APPEL DE PARIS
(Article 198 du Code de procédure pénale)
. PCPC-Medias-09.2023_compressed-1.pdf

III. Conclusion

M. Reichstadt & Co, nous avons désormais connaissance des intérêts que vous protégez et ceux-ci ne vont absolument pas dans le sens du bien commun et notamment dans l’intérêt supérieur des enfants, qui doit être protégé des attaques, sans concession.
Vous ne donnez jamais la parole à aucun de vos contradicteurs et pour cause, vous n’avez tout simplement pas les arguments nécessaires à opposer.
Votre entreprise de basse besogne, de fichage, de collaboration, de diffamation et de calomnie rappelle des pages obscures de notre histoire.
L’Opium des imbéciles est le titre de votre ouvrage… d’où vient réellement l’opium et êtes-vous certain d’être bien placé pour parler d’imbécillité à l’égard d’autres personnes ?
Le collège de spécialistes attend votre invitation à débattre.

Source : Dar-Avocats.com


Note de la rédaction de Profession Gendarme :

Non seulement Maître Virginie Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris doit subir les critiques de Rudy Reichstadt, non-expert ou « expert en rien du tout », rédacteur du Torchon Conspiracy Watch, site au service de la Doxa et de ses complices, mais elle doit aussi subir la Censure de Facebook lorsqu’elle s’exprime publiquement. La preuve la voici ci-dessous :

Voici ce que disait Andji Amor en publiant cette vidéo le 04 août 2021 et que nous publions ci-dessous à notre tour :

Andji Amor « Free Report-Terre »

Maître Virginie de Araujo Recchia au sujet de toutes les violations du droit commises depuis l’état d’urgence sanitaire.
La liste (mais on le sait TOUS) et ahurissante
C’est bien la preuve que Micron :
Il s’en fout de la prochaine présidentielle
Il s’en fout des sondages
Il s’en fout de ce que l’on pense de lui
Il s’en fout des députés (tous sans exception)
Il s’en fout de toute la population
Il s’en fout des enfants (il n’en a pas)
Il s’en fout des personnes âgées
Il s’en fout de la presse internationale
Il s’en fout de la justice
Il s’en fout du droit (national et international)
Il s’en fout de toute la presse (même celle qui le sert corps et âme)
Il n’y a que de la police, gendarmerie et l’armée dont il s’en fout aussi, mais à qu’il ne le montrera jamais (trop dangereux)
Ses laquais de l’exécutif, il s’en fout aussi, il a le pouvoir de leur donner des postes et du fric
Le reste des politiques, il les exècre, comme toute la nation.

Je vous conseille d’écouter jusqu’au bout, car ce que dit cette avocate courageuse et en colère (énumération de la totalité des droits violés) c’est EXACTEMENT toutes les violations du droit qu’il commet avec l’exécutif, sans que le pays ne bouge !!!
ÉCOUTEZ ça, ça donne la nausée et des frissons !!!
RESPECT et MERCI Maître Virginie de Araujo Recchia
Votre intervention magistrale doit être entendue par TOUTES ET TOUS

Il est à noter également qu’a la suite de la publication de cette vidéo, l’AFP « Factuel » a publié un article sous forme de « contre feux » et intitulé « Vaccins, masques et “génocide” : les contre-vérités très virales d’une avocate parisienne » que je vous invite à lire avec attention.

Vous y constaterez en particulier qu’ils déclarent « En 2020, l’Insee note que la mortalité a été “exceptionnelle” en raison de l’épidémie de Covid, avec un nombre des décès qui a augmenté de 9 % par rapport à 2019, une hausse “inédite” en 70 ans. » en publiant un tableau des courbes de mortalités.

Or ils se gardent bien de dire que les courbes de ce tableau se superposent parfaitement au tableau des ventes d’ampoules de RIVOTRIL injectées à nos anciens dans les EHPAD à cette époque… Voir nos différentes publications sur l’Assassinat ou sur les Meurtres au Rivotril en suivant les liens ci-dessous (10 publications sur chaque lien) :

Aujourd’hui la Vérité sur ces « Vaxxins » commence à se révéler.

Souvenez-vous de nos Anciens !

21 nov. 2022 par Sébastien Recchia : RIVOTRIL – L’enfer de Grand-mère – En mémoire de nos anciens maltraités.



La dérive totalitaire contre les enfants

[Source : infovaccin.fr]

La LNPLV ouvre au public l’accès du séminaire de référence sur les enfants dans la dérive totalitaire actuelle, expliqué de manière accessible par des experts : confinements, trahison des adultes, masques, vaccins, sexualisation..

L’association, bien qu’était loin d’avoir pu couvrir les frais occasionnés par l’événement, ouvre à tous le contenu de cet événement, qui pour nous est d’utilité publique.

Vous y trouverez en effet, explicité de manière sourcée et accessible aux profanes, l’ensemble des éléments pour comprendre et expliquer les problèmes dont les enfant sont victimes, et donner des pistes pour y remédier.

Tout parent ou professionnel devrait être conscient du contenu de ce colloque, et son contenu est une synthèse utile et de l’avis général, d’une qualité exceptionnelle.

Présentation de l’événement et des intervenants

Accès au replay

Partie 1, Intoduction, Karine Baillieu et Ariane Bilheran

Partie 2, Régis Brunod et Amandine Lafargue

Partie 3, Senta Depuydt et Nicole Delépine

Partie 4, Cécile Maïchak, Karina Terki et Virginie de Araujo-Recchia

Conférences de Presse

Interviews autour de l’Evénement

Merci à tous ceux qui ont soutenu et permis cet événement, et à tous ceux qui ont agi ou vont agir.




Le Mystère de la mort du Dr Olivier Soulier

[Source : profession-gendarme.com]

Par Dr Anne-Marie Yim, PhD

Cela pourrait sonner comme un titre d’un roman d’Agatha Christie ou de Gaston Leroux, sauf que c’est de la mort très mystérieuse de feu Dr Olivier Soulier dont il s’agit. Après le choc de l’annonce brutale de sa mort, j’essaye de comprendre ce qui s’est passé dans le contexte de cette post-crise covid-19. C’est le cœur lourd de chagrin et de tristesse que je me décide, après mûre réflexion, à prendre la plume pour écrire, une fois de plus, sur le décès soudain d’Olivier Soulier.

[Voir aussi :
Hommage au Dr Olivier Soulier
Un Soulier mal chaussé]

Comme tout le monde le sait, Olivier est parti dans la nuit du mercredi 28 juin au jeudi 29 juin 2023. Nous devions faire une émission avec Dr Hervé Seligmann sur les excès de mortalité suite aux injections, mais elle a été reportée, car Éric Montana, journaliste sur TV-ADP et JSF, ami proche d’Olivier Soulier, était sous le choc de l’annonce de sa mort, triste nouvelle dont il a appris l’annonce le vendredi 30.

Dimanche 1er juillet, une soirée hommage sur TV-ADP a eu lieu, elle a rassemblé quelques noms connus de la Résistance, dont Me Carlo Brusa, Dr Éric Loridan, Dr Stéphane Gayet, Dr Laurent Montesino, Dr Laurence Kaiser, Chloé Frammery, Pierre Barnérias, Stéphanie Reynaud, porte-parole d’Ariane Bilheran et de Me Virginie de Araujo-Recchia, Dr Astrid Struckelberger, Dr Tal Schaler… et bien d’autres. Tous ses véritables amis et ceux qui l’appréciaient sincèrement se sont réunis pour honorer sa mémoire de combattant et de résistant durant cette crise sanitaire. Ils ont fait l’éloge de ses qualités de médecin homéopathe et ont également souligné son rôle majeur en tant que membre fondateur du CSI (Conseil Scientifique Indépendant), ainsi que celui du SLS (Syndicat Liberté Santé). Ce fut un exercice à la fois émouvant et difficile, car nous étions tous submergés par l’émotion. Entre deux sanglots et sous un torrent de larmes que je n’arrivais pas à contrôler, je me suis souvenue des 3 fois où mon chemin a croisé celui d’Olivier.

La première fois c’était à Massy lors du deuxième ICS (International Covid Summit) le samedi 2 avril 2022. J’étais montée sur la scène en présence des Dr Robert Malone, Dr Alexandra Henrion-Caude (AHC), Dr David Bouillon, Dr Benoît Ochs, Dr Louis Fouché et Pr Perronne. Malgré le froid glacial, la foule était au rendez-vous et avait réservé un accueil chaleureux aux intervenants, le tout filmé par une rangée de médias indépendants dont Kairos en la personne d’Alexandre Pennasse au premier rang. La foule très impressionnante scandait comme un cri de guerre : Perronne Ministre de la Santé ! Le Pr Perronne était venu débattre au Luxembourg, à la chambre des Députés, le 12 janvier 2022, suite à une pétition dont l’intitulé portait sur : « Stop aux vaccins de type thérapie génétique (COVID-19) à nos enfants ». Suite à ce débat, que j’avais organisé avec le pétitionnaire David Georgiu, le projet de loi sur la vaccination obligatoire au Luxembourg a été retiré et remplacé par la loi du 11 mars 2022 qui a vu la levée de restriction des mesures sanitaires. Un moment historique et une grande victoire qui a marqué un tournant pour la Résistance. L’espoir que nous avions suscité nous portait comme sur des ailes ! Au cours de la manifestation de Massy, je me souviens vaguement qu’AHC parlait de créer des brèches dans le narratif de la doxa sanitaire.

La deuxième fois, c’était à Nancy le 4 novembre 2022, par une belle journée ensoleillée lors de la convocation du Dr Martine Wonner par le Conseil de l’Ordre suite aux propos tenus lors d’une manifestation le 3 juillet 2021 à Nancy, organisée par Bon Sens Nancy, alors qu’elle était encore Députée ainsi que pour les propos tenus dans le documentaire « Hold-up » de Pierre Barnérias, diffusé en mai 2021. Olivier s’était mis à côté de moi dans la haie d’honneur que les résistants avaient formée, et nous chantions la Marseillaise le poing levé. Il portait un anorak bleu et une casquette qu’il avait soulevée pour dévoiler son visage en me faisant un clin d’œil amical pour me saluer, avant que nous entrions dans la salle d’audience.

La troisième fois, c’était le 17 février 2023, lors de la soirée hommage organisée par la Fondation Luc Montagnier qui s’est tenue au siège de la société Bouygues, au 32 avenue Hoche, tout près de l’Arc de Triomphe. Il y avait un parterre très prestigieux de médecins et scientifiques (Dr Guillaume, Dr Ménard, Dr Escarguel, Pr Perronne, Pr Tritto, Jacques Bauer, Dr Carrière,…), des collaborateurs proches du Prix Nobel ayant travaillé sur le Creutzfeld Jacob, le VIH (Virus Immunodéficience Humaine) et la mémoire de l’eau (Jacques Beneviste).

[Voir aussi :
La mémoire de l’eau – documentaire complet
Commentaires sur le VIH de Montagnier]

Mercredi 12 juillet, c’étaient les funérailles du Dr Olivier Soulier, je n’ai pas pu m’y rendre pour des raisons de santé. En effet, j’ai déclenché une forme grave de Covid aiguë, fortement thrombotique, suite à ma visite en Suisse chez Jacques Bauer, pharmacien suisse travaillant sur les ondes scalaires dans le traitement de la Covid-19. Je tiens à préciser que je dois la vie à un médecin exceptionnel, d’une rare intelligence : le Dr Yves Couvreur, anatomo-pathologiste belge qui a parcouru 3 h de route depuis les environs de Bruxelles pour m’accompagner à la pharmacie de garde, ce dimanche-là, et me prescrire les médicaments dont j’avais besoin. Son traitement efficace m’a sauvé la vie et je lui en suis extrêmement reconnaissante, car sans son intervention je ne serais sans doute plus là aujourd’hui.

[Voir aussi :
Voyage au cœur des injections Covid — Jacques Bauer, pharmacien-clinicien
Observation des injections anticovid]

J’ai cependant décidé d’écrire une oraison funèbre à Olivier sous forme de poème, à la fois amicale et respectueuse dont je reproduis le texte ci-dessous.

Le bleu était ta couleur préférée, celle de tes yeux azur. Tu t’en es allé rejoindre le ciel laissant orphelins des milliers de résistants, en état de choc, inconsolables face à ton décès soudain : une mort à la fois brutale et violente. Tu es parti bien trop tôt, bien trop vite, alors que le combat féroce que tu as mené pendant 3 ans face à la dictature sanitaire et contre le totalitarisme d’état t’a mené partout dans le monde.

Globe-trotter infatigable et citoyen dans l’âme, tu as su consoler les soignants dont la vie était suspendue à un fil, prodiguant des soins alternatifs àbase d’homéopathie dont toi seul connaissais les secrets et les vertus, ainsi que des traitements précoces qui ont sauvé tant de vies.

Amoureux de l’humanité, tu as traversé ta vie comme une étoile filante pour rejoindre le firmament, toujours avec humour et bienveillance. Admiratif de la science et de la vie, on retiendra ton courage sans faille, ainsi que ton engagement absolu auprès de ta communauté de cœur. Repose en paix cher Olivier, cher frère et cher ami.

Nous tous dissidents de la France éternelle et résistants dans l’âme, guerriers de lumière, nous saluons ton combat en reprenant le flambeau de la liberté pour laquelle tu as donné ta vie.

Dr Anne-Marie Yim, Ph. D. Luxembourg, 12 juillet 2023.

Je m’étais entretenue au téléphone récemment avec Olivier, avant sa mort, à propos de son éviction du CSI. Cette dernière était due au fait, non seulement de son désaccord sur la ligne éditoriale scientifique à propos de l’oxyde de graphène et de la spike, mais aussi à propos de la plainte abjecte d’Emmanuelle Darles à son encontre pour harcèlement sexuel présumé. Une plainte pour un motif questionnable qui s’éteint juridiquement avec son décès. En effet, suite à l’UER (Université d’Été Résistante) de Villeneuve-lès-Avignon dans le Gard, en septembre 2022, organisée et financée par l’association uflf88 (Union Fait la Force 88) et aidée de Cécile Maichak (Dosumani), un incident a eu lieu. Lors d’une conférence, il y avait 5 intervenants et seulement 4 sièges. Olivier a proposé à Emmanuelle Darles de venir s’asseoir sur ses genoux, proposition qu’elle a naturellement déclinée devant le public, se sentant « humiliée » selon ses propres mots. Olivier m’avait alors confié que Vincent Pavan et Emmanuelle Darles s’étaient servis de cette affaire ridicule pour le pousser hors du CSI. Ils l’avaient menacé d’ébruiter et de relâcher cette affaire « scandaleuse » à la presse, donc au grand public, s’il refusait de quitter le CSI. Il n’avait d’ailleurs pas été invité à la 100e du CSI qui a eu lieu à Saintes pendant l’été 2023. Son absence, fortement remarquée, a marqué les esprits et ce d’autant plus que ce sont produits deux incidents particuliers.

[Voir aussi :
Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
et plus généralement les dossiers :
Vaccins et virus
5G et ondes pulsées
Implants numériques]

Le premier incident, Chloé Frammery publie une vidéo sur les réseaux sociaux dans laquelle, elle se plaint du fait que l’annonce de la manifestation du 27 mai à Genève dénonçant l’adoption du Traité Pandémie de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) ainsi que du RSI (Règlement Sanitaire International) révisé n’ait pas été autorisé par les organisateurs lors de la 100e du CSI. Ces deux textes sont d’une dangerosité majeure, car ils permettraient de donner les pleins pouvoirs à l’OMS et de mettre en place le certificat numérique. Rappelons que le certificat numérique est une version beaucoup plus étendue du passeport vaccinal qui permettait un contrôle de la population en temps de Covid (état d’urgence) et autorisait l’accès sur les lieux de travail, de loisir, de restauration, aux musées et aux aéroports. C’est donc une sorte de passeport permettant de voyager avec un QR code, une version plus généralisée du « Green Certificate » dont le terme expirait le 30 juin 2023, qui permet un contrôle des populations.

Le deuxième incident est une autre vidéo de Richard Boutry et de Natacha Werup, marchant sur la route et visiblement déçus par cette fameuse conférence de Saintes. À la fois ironique et désabusée, Natacha a commenté en substance : le ciel d’en bas n’est pas le ciel d’en haut ; ils veulent en coulisses que nous suivions le transhumanisme de Yuval Harari. Cette vidéo a par ailleurs été supprimée dès le lendemain sans laisser de traces par les auteurs pour calmer les esprits et ne pas rentrer dans une polémique.

Quel ne fut pas mon étonnement, lorsque je reçois une vidéo hommage funèbre d’Éric Verhaeghe (EV), fondateur du Courrier des Stratèges, ancien de l’ENA (École Nationale Supérieure) envoyée par un ami résistant Alain Schollaert, ancien co-référent de la cellule RéinfoCovid Corse, lanceur d’alerte indépendant et bénévole.

Dans cette vidéo de 12 min, ce qui commence comme une oraison funèbre à un défunt disparu tourne rapidement, à ma grande surprise, à un règlement de compte. J’ai dû réécouter la vidéo plusieurs fois, car je n’en croyais pas mes oreilles.

Éric Verhaeghe commence à parler de l’article injurieux du journal l’Express daté du 10 juillet, titrant qu’Olivier Soulier serait mort d’un arrêt cardiaque, suite à une séance chamanique où il aurait consommé des champignons hallucinogènes dans un appartement parisien. Cette information aurait été obtenue selon une dépêche AFP communiquée par « La Voix du Nord » auprès du Parquet de Paris ; notamment la brigade des stupéfiants chargée de mener une enquête suite à la plainte déposée par la famille Soulier qui a par ailleurs demandé une autopsie. Jean-Dominique Michel, anthropologue résistant et ami d’Olivier Soulier, avec qui il faisait de nombreuses conférences ayant quitté lui aussi le CSI par solidarité, vis-à-vis d’Olivier Soulier, s’émeut de la situation et demande à Éric Verhaeghe de publier un droit de réponse.

S’ensuit une anecdote d’un dîner parisien chez Éric Verhaeghe, dont Olivier était un invité. Ce dernier arrive avec sa compagne et sort un téléphone lui permettant de détecter l’émission d’adresses MAC (Media Access Control). L’application a immédiatement indiqué la présence de 3 vaccinés sur les 8 invités présents. Indice : un des invités vaccinés signe tous ses tweets avec « nous sommes le camp du bien ». Le ton est donné, les « diseux » n’ont qu’à bien se tenir ! Les diseux font des promesses vides qui n’aboutissent qu’à des rêves utopiques sans lendemain, sans avenir : un futur désirable dans lequel vous ne posséderez rien et vous serez heureux. Leur véritable but est de contrôler le narratif scientifique de la dissidence en mettant l’accent sur les effets biologiques de la spike, et en évacuant le problème très gênant de la présence d’oxyde de graphène, non divulguée, dans la composition des ingrédients des injections géniques.

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables]

Éric Verhaeghe va plus loin en insistant que ce prétendu grand résistant vacciné, un infiltré de la macronie, plutôt diseux que faiseux aurait demandé des compromis à Olivier Soulier, alors qu’il était prêt à l’emmener « dans les cordes ». Il conclut son oraison funèbre en demandant aux résistants d’être déterminés et de s’engager en politique pour changer de leadership et apporter un réel changement dans la société.

Cette vidéo pose évidemment des questions sur l’opposition contrôlée au sein de la résistance. La mort d’Olivier cristallise cette question autour de l’opposition contrôlée qui s’est mise en place en même temps que se déroulait la plandémie Covid. Il ne faut pas craindre les méchants visibles désignés et identifiés : le CS (Conseil Scientifique) d’Alain Fischer et Delfraissy, Véran, Buzyn, Lacombe et autres experts de plateaux, ceux qui interdisent l’hydroxychloroquine, l’ivermectine, l’azythromycine ou la vitamine D3. Il faut plutôt se méfier de l’avant-garde du « Cheval de Troie », de cette caste intelligente, puissante et méchante : les loups déguisés en agneaux qui ont fait allégeance au mal et qui veulent vous pucer en vous promettant que : tout ira bien et que cela va bien se passer, alors qu’ils volent votre santé et votre âme à la fois.

Oui, cette guerre psychologique de 5génération sert un génocide biblique sans précédent sous couvert d’une pseudo crise sanitaire. Il ne faut pas avoir peur de la première mort, celle du corps, mais bien de la seconde mort, celle de l’âme. Car nier l’existence de l’oxyde de graphène (GO) dans les vaccins, c’est un viol de l’âme. En effet, la fréquence émise par le GO, sous stimulation des ondes 5G, à une fréquence déterminée, précise pourra non seulement activer les virus dormants, mais aussi calcifier la glande pinéale : siège de la conscience de l’âme et de l’intuition, celle qui nous relie au divin. Le nouvel ordre mondial et les globalistes veulent éteindre le souffle du divin en nous, afin de nous plonger dans les abysses de l’enfer. Ils veulent nous donner une fausse immortalité, celle du corps, tout en supprimant l’âme et en niant sa transcendance. Tel est l’objectif inavoué des infiltrés de la macronie, alors que se resserre l’étau irréversible de la prison numérique sur l’humanité ! Leur opération d’infiltration a un but insidieux : celui de nous faire rendre les armes sans combattre ; c’est l’art de la guerre qui annonce l’Armageddon avant le retour en gloire de notre Messie. À l’aube de cette civilisation d’amour tant prophétisée, une ère nouvelle pour l’humanité. Soyons prêts à nous revêtir de notre armure de lumière, avec pour bannière l’Amour pour combattre avec détermination. Il en va de nos vies, de nos libertés ! Nous, peuples de la terre, voulons laisser en héritage, un futur de paix et de justice à nos enfants.

[Voir aussi :
Exorcisme et « vaccins » anti-Covid
Rudolph Steiner avait prévu en 1917 un vaccin qui priverait l’Homme de son âme
Les écouvillons des tests PCR conçus pour implanter de l’hydrogel DARPA au lithium dans le cerveau et attaquer la glande pinéale ?]

Dr Anne-Marie Yim, PhD

Luxembourg le 22 juillet 2023




Hommage au Dr Olivier Soulier

[Source : arianebilheran.com]

Par Virginie de Araujo-Recchia et Ariane Bilheran

C’est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès du Docteur Olivier Soulier, qui était homéopathe de profession et de ce fait, habitué depuis plus de trente-cinq ans à combattre les détracteurs des médecines alternatives.

Il s’est révélé force d’idées et de projets dans le cadre de cette crise, fut à l’origine du lancement du CSI, de Reinfoliberté, du groupe soignants de Reinfocovid et du SLS auprès d’autres de ses confrères.

C’était un être plein de vitalité, d’énergie, de paix intérieure, mais aussi un hypersensible qui souffrait en silence des discordes et des médisances.

Il s’impliquait avec humanité, générosité et loyauté dans les actions entreprises pour la défense de la médecine dans ses bases hippocratiques.

Il venait juste de recevoir le prix Humanity Award 2023 décerné par la World Academy of Biomedical Sciences and Technologies, des mains de son président le Professeur Joseph Tritto, un prix amplement mérité.

Son amitié, son sourire et son entrain nous manqueront beaucoup. Il était encore là à nos côtés pour nous soutenir lors du colloque intitulé « La dérive totalitaire sur les enfants » à Paris le 13 mai 2023.

Nous apportons notre profond soutien à sa famille, ses proches et à tous les membres de son équipe.

Que son âme repose en paix.

Virginie de Araujo-Recchia et Ariane Bilheran


[Source : pgibertie.com]

La mort d’un homme de bien, le Dr Olivier Soulier

Par Patrice Gibertie

Je connaissais Olivier et je l’appréciais, c’était un homme de bien, j’ignore ce qui lui est arrivé, je ne le savais pas malade. Dans ses derniers messages, je le sentais peiné par sa mise à l’écart du CSI qu’il avait contribué à lancer, mais il avait plein de projets…(([1] Concernant le CSI, voir
https://odysee.com/@laminutedericardo.com:f/CSI_de_Saintes_analyse_au_vitrio_Natacha:f))

Il était encore en ligne au téléphone hier soir à 23 h avec un membre de @Laissonslespre1 qui précise « Et il m a encore dit en rigolant… si on me retrouve mort cela ne sera pas un suicide »

Le Dr Olivier Soulier reçoit l’Humanity Award 2023 des mains du Pr Tritto à sienne pour avoir cofondé le @ConseilCsi et le @SyndicatSLS. Merci, Olivier, tu as fondé une vraie communauté soignante, éthique et solidaire.







REVUE DE PRESSE DU 2 AVRIL 2023

Par MF

ÉDITORIAL
Réintégration en vue ?

Ce sera sans doute pour bientôt, les recommandations ayant pris la place de l’obligation, mais la lenteur à prendre cette décision laisse craindre des modalités préjudiciables pour les intéressés, tandis que la vérité sur l’origine du Covid19, le faible taux de létalité de la maladie, les manipulations du gouvernement britannique et les tests biaisés au Royaume-Uni, l’inefficacité connue de longue date des vaccins anti-coronavirus, et le désastre de ceux contre le Covid19, la présence reconnue par la FDA de graphène dans les vaccins, ou encore l’ignoble approbation de cette même instance pour une 4e dose chez les enfants de moins de 5 ans, montrent l’inanité de cette obligation vaccinale qui a entraîné des milliers de soignants dans la misère et pour certains les a précipités dans le gouffre du suicide.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

La HAS prône la fin de l’obligation vaccinale pour les professionnels soignants

https://www.francesoir.fr/societe-sante/la-has-recommande-la-fin-de-l-obligation-vaccinale-une-decision-plus-politique-que

« En février 2023, le gouvernement a saisi l’avis de la HAS et celui du Comité consultatif national d’éthique (CCNE) afin de l’éclairer sur la question de l’obligation vaccinale du personnel soignant. Si la HAS a rendu sa recommandation, ce n’est pas encore le cas pour le CCNE, chargé de mesurer “l’acceptabilité” de la réintégration du personnel suspendu. Mais le ministre de la Santé ne l’aura finalement pas attendu et annonce d’ores et déjà travailler à la réintégration de ces agents.
Preuve que le sort réservé aux soignants suspendus a toujours été entre les mains du politique. »  

MAIS

La levée de l’obligation vaccinale pourrait ouvrir une boîte de Pandore

https://www.francesoir.fr/societe-sante/la-levee-de-l-obligation-vaccinale-est-un-exercice-delicat-qui-pourrait-ouvrir-la

« Un dédommagement… ça devrait être une condition incontournable pour tenter de réparer ne serait-ce qu’une partie du préjudice subi (qui va bien au-delà des salaires non perçus). C’est aussi une obligation morale si l’on veut espérer pouvoir réparer la fracture sociale qui déchire aujourd’hui notre société. »

La dérive totalitaire sur les enfants

https://www.arianebilheran.com/post/samedi-13-mai-2023-colloque-sur-la-dérive-totalitaire-sur-les-enfants

« La dérive totalitaire sur les enfants : diagnostic, causes et conséquences, solutions. Comment retrouver des principes vertueux ?… Colloque organisé par Ariane Bilheran, normalienne, psychologue clinicienne, philosophe, docteur en psychopathologie, et Amandine Lafargue, psychologue clinicienne, psychologue sociale et des organisations de travail, psychothérapeute et psychanalyste, avec le point de vue de l’expert juridique, l’avocate Maître Virginie de Araujo-Recchia qui sera consultée pour la recherche des qualifications juridiques des délits et des peines commis à l’encontre des enfants. »

ÉTRANGER

Royaume-Uni — Comment Londres a censuré l’origine du Covid au nom de la diplomatie avec la Chine

https://www.francesoir.fr/societe-sante/lockdown-files-partie-3-comment-londres-censure-au-nom-de-la-diplomatie-avec-la-chine

« La théorie d’une fuite de laboratoire à Wuhan, pourtant considérée en privé comme “assez crédible” par le secrétaire d’État à la Santé britannique Matt Hancock, a été mise sous le boisseau dans le souci de maintenir une bonne entente commerciale avec la Chine, ce que révèle un nouvel épisode des Lockdown files, récemment publié par The Daily Telegraph. »

Et

Fin des Lockdownfiles

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/lockdown-files-la-fin-de-l-histoire-du-covid-au-royaume-uni-4

« Matt Hancock n’a pas voulu mettre en place de test systématique dans les maisons de retraite anglaises en mars 2020 pour ne pas semer la confusion et a choisi de limiter les tests aux personnes âgées transférées dans les hôpitaux, ce ne sont donc que les personnes “très malades”, quelle qu’en soit la cause, et les “mourants” qui ont été testés. Cela a biaisé la perception des tests positifs : si on ne teste que des mourants, on a un taux de mortalité très élevé des personnes testées positives. »

USA — la FDA a approuvé la 4e dose pour les enfants de moins de 5 ans, levée de boucliers des professionnels

https://childrenshealthdefense.org/defender/fda-approves-fourth-covid-shot-infants-kids/

Dr Michelle Perro, pédiatre, plus de 40 ans d’expérience :

« La logique et la raison médicales ont cédé la place à une politique insondable fondée sur la fiction ; avec le flux constant d’informations désormais disponibles sur le VAERS et d’autres systèmes mondiaux de notification des vaccins, les dommages causés aux enfants par ce “vaccin” inutile ne sont rien d’autre que de l’infanticide. Les enfants de moins de 18 ans ont 51 fois plus de chances de mourir des vaccins à ARNm que du COVID-19 s’ils ne sont pas vaccinés. »

COVID

Faible taux de létalité, encore plus que ce qu’on imaginait

https://www.doctissimo.fr/sante/maladies/virus-emergents/covid-19/covid-19-le-taux-de-letalite-encore-plus-faible-que-ce-qui-etait-attendu/b1ca81_ar.html

« Cinq décès pour un millier de sexagénaires infectés. Taux de létalité beaucoup plus faible dans les populations plus jeunes, que ce qui était précédemment suggéré. »

La base incontournable pour tout savoir sur le Covid et les stratégies anti-Covid

https://www.aimsib.org/2023/04/02/la-covid-de-2019-a-fevrier-2023-voici-la-base-documentaire-la-plus-incontournable/

De la peur orchestrée au mirage vaccinal, jusqu’au désastre des milliers de morts et millions de blessés

INJECTIONS

La FDA confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins à ARNm

https://expose-news.com/2023/04/02/fda-confirms-graphene-is-in-the-covid-vaccines/

« L’un des documents les plus récents publiés par la FDA, enregistré sous le numéro 125742_S1_M4_4.2.1 vr vtr 10741.pdf, confirme l’utilisation d’oxyde de graphène dans le processus de fabrication du vaccin Pfizer Covid-19. »

USA — vaccins Covid, un cadeau de 32 milliards de dollars

https://www.covidhub.ch/vaccins-covid-un-cadeau-de-32-milliards/

« Le public paie pour la mise au point, et le privé encaisse les profits. Révélations du British Medical Journal sur l’arrosage de Pfizer et Moderna/Les sociétés pharmaceutiques Moderna et Pfizer ont jusqu’à présent gagné plus de 100 milliards de dollars avec leurs vaccins Covid. C’est 20 fois plus que le budget de l’Organisation mondiale de la santé pour les deux années 2020 et 2021. Bien qu’il ne coûte qu’un à trois dollars pour produire une dose de vaccin ARNm, les deux sociétés ont annoncé qu’elles voulaient réclamer 110 $ par prise en 2023. »

Aucun vaccin contre les coronavirus n’a montré d’efficacité, on le savait avant le Covid19 !

https://www.covid-factuel.fr/2023/03/25/covid-vaccins-inefficaces-ils-le-savaient-bien-avant/

« Les approches conventionnelles identifiant les thérapeutiques adaptatives comme les vaccins et les anticorps monoclonaux contre les coronavirus ciblent des antigènes qui ne sont pas conservés, et sont peu susceptibles de conserver leur efficacité thérapeutique contre divers agents pathogènes du coronavirus. »

EFFETS INDÉSIRABLES

Surmortalité mondiale de 23,6 millions de personnes sur 3 ans

« au lieu de 175,9 millions de morts “normaux” attendus en 3 ans de 2020 à 2022, il y en a eu 199,5 millions. »

Une chance sur 800 qu’un rappel de vaccin (Pfizer ou Moderna) provoque un effet indésirable grave (décès, invalidité)

https://odysee.com/@Q…uestions:6/Injection-ARNm—une-chance-sur-800-qu’un-evenement-indesirable-grave-se-produise-:5

Statistiques établies à partir de celles de la National Library of Medicine du Royaume-Uni et du gouvernement américain. Durée 1’44, sous-titré en français.

Mortalité vaccinale inédite

https://healthimpactnews.com/2023/50663-dead-and-5315063-injured-following-covid-19-vaccines-in-european-database-of-adverse-reactions/

« 50 663 MORTS (+653) et 5 315 063 blessés (+ de 100 000) à la suite des vaccins COVID-19 dans la base de données européenne des effets indésirables. Mise à jour EudraVigilance au 25 février 2023 ! »

Raoult passe à l’attaque

« Il n’y a pas d’arrêt cardiaque aux doses ordinaires d’hydroxychloroquine mais il y a des myocardites et des troubles du rythme mortels après vaccin covid en particulier chez les adolescents et les hommes jeunes qui ne meurent pas, en revanche, de covid. »

Pfizer savait que les nanoparticules pouvaient entraver la reproduction

https://weltwoche.ch/daily/unfruchtbar-durch-die-impfung-was-als-verschwoerungstheorie-galt-wird-durch-die-pfizer-files-wahrscheinlich/

« Le fabricant savait que les nanoparticules du vaccin franchissaient la barrière hémato-testiculaire, s’y accumulaient et pouvaient nuire à la capacité de reproduction. Chez les personnes testées, on a noté des “anticorps anti-sperme positif’ qui peuvent rendre le chemin des spermatozoïdes vers l’ovule plus difficile, voire impossible. Après le déploiement de la vaccination, la Suisse a enregistré une baisse massive du taux de natalité… Les ‘Pfizer Files’ suggèrent un lien direct. »

APRÈS COVID

GARDASIL, 7e et dernier épisode

https://www.aimsib.org/2023/03/19/gardasil-episode-7-entre-mensonges-et-corruptions/

« Merck s’est engagé dans des tactiques de marketing sans scrupule conçues pour surestimer à la fois les risques associés au PVH et la prétendue efficacité de Gardasil afin d’effrayer le public et de l’amener à accepter des vaccinations de masse des adolescents. Ce produit qui est considéré comme le vaccin le plus dangereux avant les injections COVID-19 et le plus cher jamais approuvé. »

Dix milliards quatre cent soixante-sept millions cent soixante mille cinq cent quatre-vingt-un dollars : amendes infligées à Merck depuis 2000 !!

RÉSISTANCES

Questionner les vaccins n’est pas un péché mortel

« Les graves maladies ont régressé AVANT l’arrivée des vaccins. En Guinée-Bissau, l’équipe du médecin danois réputé Peter Aaby, pro-vax convaincu, découvre que les enfants vaccinés meurent deux à cinq fois plus que les enfants non vaccinés. Mais la publication de ces “résultats effarants” n’a débouché sur aucune mesure, aucune réaction. Ni à l’OMS, ni dans le monde scientifique. »

CSI n° 95 du 16 mars 2023

https://crowdbunker.com/v/SwxXv4Mg

Invité : Annelise Bocquet, Docteur en Biologie-Santé. Sujet : L’immunodéficience induite par la Spike. Discutant : Dr Pascal Mensah, collaborateur en recherche sur immunothérapie low-dose.



CSI n° 96 du 23 mars 2023

https://crowdbunker.com/v/QMFcGwLg

Invité : Damien Jeanne, historien Sujet : Les semeurs de maladie en temps d’épidémie. Discutant : Dr Vincent Reliquet



CSI n° 97 du 30 mars 2023

https://crowdbunker.com/v/wnR8ie9f

Invité : Vincent PAVAN, Mathématicien. Sujet : 12 fois plus contagieux : histoire d’un indicateur truqué. Discutant : Dr Jérome Sainton.



En librairie

La science outragée, Pr Jean-Paul BOURDINAUD

« L’étrange complaisance des médias durant cette crise coronavirale vis-à-vis des thèses gouvernementales et des intérêts industriels s’est illustrée entre autres par la manière dont l’ivermectine fut déconsidérée à l’aide de fallacieux arguments scientifiques, et notamment sur la base de méta-analyses publiées par l’institution scientiste Cochrane dont il sera démontré que la valeur scientifique est bien faible, contrairement aux clameurs des zélotes industriels et de leurs relais médiatiques, et que ces méta-analyses Cochrane sont en réalité au service de l’industrie pharmaceutique plutôt qu’à celui de la science, comme l’illustre le scandale du vaccin contre le papillomavirus. »






Colloque interdisciplinaire « Corruption et fraude dans la crise COVID depuis 2020 »

[Source : kairospresse.be]



Corruption systémique et endémique des systèmes de santé

Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé, auteur du livre Covid : anatomie d’une crise sanitaire (éd. Humensciences), expose depuis mars 2020 tous les aspects de corruption systémique et les mensonges dans les systèmes de santé. Il est membre du CSI (Conseil Scientifique Indépendant).

Alors que l’instrumentalisation des politiques sanitaires au service d’intérêts prioritaires autres que ceux de la population est connu de longue date comme un problème systémique, la crise du Covid a été l’occasion d’une étonnante amnésie collective (à moins qu’il se soit agi d’un interdit) à ce sujet. Ceci pendant que les processus de corruption directs et indirects se diffusaient largement à d’autres milieux, posant désormais la question de leur possible endémicité au cœur de notre société.

Site : https://anthropo-logiques.org/



Corruption statistique

Pierre Chaillot, chercheur, auteur de la chaîne Décoder l’éco, analyse régulièrement les manipulations dans les interprétations statistiques, notamment dans ses interventions au CSI (Conseil Scientifique Indépendant)La crise Covid : épidémie de la peur et du mensonge propagée par le virus statistique. Depuis 2 ans, un déferlement continu de chiffres bien choisis a accompagné chaque phase de l’histoire : prédictions catastrophistes sur la base de modèles imaginaires, changements de définitions, oubli ou sélection orientée des éléments de comparaison, utilisation sans filtre de données non contrôlées… Toute publication a dû se conformer au postulat initial : un virus mortel circule mondialement, toutes les mesures mises en place sauvent des vies, tout particulièrement les vaccins sûrs et efficaces. Pour certains ce prisme de lecture sacrifiant tout principe déontologique a permis un enrichissement jamais égalé, pour d’autres, l’asservissement d’une population reconnaissante envers ses sauveurs, et pour les derniers le sentiment du devoir accompli en protégeant la plèbe d’une vérité trop rassurante face au danger. 

Chaîne Décoder l’éco



Corruption mathématique et épidémiologique

Vincent Pavan, docteur en mathématiques, enseignant à l’Université d’Aix-Marseille, est co-auteur du livre Le débat interdit (Trédaniel). Il est intervenu dès mars 2020 pour dénoncer les fraudes mathématiques ayant préexisté aux décisions politiques sur les confinements et a déposé plusieurs plaintes en justice. Il est membre fondateur du CSI(Conseil Scientifique Indépendant).

Dans un grand nombre de secteurs différents, la crise liée au COVID a révélé des fonctionnements totalement corrompus. Peu de secteurs institutionnels auront pu échapper à une déliquescence complètement de leur éthique, leur déontologie ou leurs principes.

Ainsi en France la médecine a‑t-elle abandonné son serment d’Hippocrate, sous pression d’un Conseil de l’Ordre retrouvant là son fonctionnement collaborationniste originel.

De la même manière, la justice administrative, prise entre son devoir de service de l’exécutif et son rôle de protection des libertés publiques, a résolument choisi de cautionner les décisions administratives plutôt que la protection des droits de l’Homme, quand bien même son devoir sacré consistait précisément en la protection contre le fonctionnement du totalitarisme.

Au premier plan de la corruption, l’Université est également devenue l’alliée objective du régime totalitaire, non seulement en cautionnant le scientisme déliquescent des experts officiels de l’État, mais également en s’attaquant aux chercheurs capables de délivrer une pensée critique maîtrisée s’opposant à la narration idéologique du pouvoir.

Dans notre intervention, nous montrons que les idéologues du régime ont tenté de corrompre la science attachée à la modélisation mathématique du réel pour tenter de faire croire à l’existence de raisons épidémiologiques fiables et objective aux privations absurdes de liberté qui ont été décidées dans de nombreux états occidentaux.

À l’aide de présentations truquées, d’algorithmes détournés et d’utilisation frauduleuse du langage mathématique, ils ont sciemment fraudé les principes de la science pour contrefaire des résultats qu’ils savaient parfaitement invalides. Servis aux médias et à la représentation politique qui les a acceptés sans discuter, ces résultats ont permis que s’installent dans l’imaginaire collectif des croyances infondées qui polluent encore aujourd’hui, et peut-être pour longtemps, la représentation de la syndémie de Sars-Cov‑2. En montrant de façon détaillée où se situent les pires impostures scientifiques des membres du conseil scientifique français, nous établissons que la corruption de la science a constitué l’une des pires falsifications de l’histoire, que l’Université et les chercheurs, dans leur grande majorité ont accepté sans sourciller.



Corruption informatique

Emmanuelle Darles, docteur en informatique, enseignante à l’Université de Poitiers, auteur du livre Ne touchez pas à nos enfants. Emmanuelle a présenté ses travaux au Sénat en France, qui refuse de les rendre publics. Elle participe régulièrement au CSI (Conseil Scientifique Indépendant).

Au cours de ces dernières décennies, nous avons assisté à une volonté de modéliser le monde en vue de le réduire à quelques algorithmes. Durant cette crise, plusieurs mesures sanitaires (confinement, masques, …) ont été prises sur la base de ces calculs qui s’inscrivent allègrement dans la réduction du vivant et de sa complexité. Cette présentation adresse un état des lieux de la corruption informatique dans ce contexte ainsi que les failles conceptuelles des méthodes qui ont été utilisées qui ont conduit à une atteinte des libertés fondamentales individuelles.

Site : https://www.emmanuelle.darles.fr/



Comment en sommes-nous arrivés là. Histoire d’une lente corruption

Olivier Soulier, médecin homéopathe, chercheur, fondateur de la médecine du sens, fondateur du Syndicat Liberté Santé, intervient régulièrement au CSI(Conseil Scientifique Indépendant) dont il est aussi membre fondateur.

Ce qui se produit actuellement n’a pas commencé en 2020 ou 2019, ni même dans les vingt dernières années.

C’est un long processus d’envahissement de la médecine humaniste par la médecine chimique, business et corruptive depuis un siècle, alliée et gouvernées par des forces essentiellement financières. Cette présentation retrace les lignes principales, ce qui permet de mieux comprendre le comment, le pourquoi et les forces en présence.

Site : https://www.lessymboles.com



Corruption philosophique et psychologique

Ariane Bilheran, normalienne, docteur en psychopathologie, co-auteur du livre Le débat interdit (Trédaniel) et Les chroniques du totalitarisme (2021). Elle est intervenue dès le début de la crise pour expliquer les mécanismes de manipulation de masse, et la dérive totalitaire en cours. Elle a notamment participé en tant qu’experte au Jour 4 du Grand Jury du Dr Reiner Füllmich, au CSI (Conseil Scientifique Indépendant) et a interviewé Vera Sharav pour diffusion en France.

La dérive totalitaire actuelle suppose un endoctrinement des masses à l’idéologie ainsi qu’une corruption radicale de notre rapport métaphysique au monde et au savoir. Fonctionnant au mensonge, le phénomène totalitaire ne se légitime que par la fraude sur les premiers principes dans les domaines dont il s’empare : fraude langagière, fraude épistémologique, fraude politique, fraude juridique, fraude morale et fraude psychique. Cette fraude repose sur une conception erronée et réduite de l’être humain et de sa relation au monde, afin de lui supprimer ses droits fondamentaux.

Site : https://www.arianebilheran.com



Corruption médiatique

Slobodan Despot est éditeur, traducteur, romancier, directeur de la lettre magazine L’Antipresse, journaliste et écrivain. Il a proposé dès le début de la crise en 2020 un autre regard médiatique qui analyse en particulier le traitement de l’information par les médias de masse.

Comment se protéger du Covid ? En coupant la télévision ! » Sous cette boutade se cache une effrayante réalité : pour la première fois dans l’histoire, une pandémie a fait davantage de dégâts dans les têtes que dans les corps, intimidé davantage par les récits et les projections qu’on en faisait que par ses effets physiques. La compréhension de cette séquence dystopique impose donc un réexamen fondamental de nos systèmes d’information transformés en outils d’intimidation et de contrôle des masses.

Site : l’Antipresse



Corruption juridique

Virginie de Araujo-Recchia, avocate au Grand Jury du Dr Reiner Füllmich a déposé de nombreuses plaintes dont une plainte pour « dérives sectaires », impliquant des faits « d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse », ainsi que de « complicité d’empoisonnement et de génocide ».

Autant nous assistons à l’inversement des valeurs au sein de nos sociétés occidentales, autant nous assistons à l’inversement de la hiérarchie des normes juridiques.

En effet, force est de constater que les grands principes juridiques applicables, en toutes circonstances, au sein/au cœur de toute société civilisée, sont désormais foulés au pied au détriment de l’intérêt des peuples et corrélativement au seul profit de la finance internationale mondialiste détenant notamment les groupes pharmaceutiques impliqués.

La fraude est commise sous l’égide de fondations, d’agences et de groupes de réflexion internationaux et au travers de la corruption des médias grand public et des plateformes numériques complices du cloisonnement de l’information et par conséquent d’un obscurantisme décomplexé.

Ainsi, une réglementation technocratique pullulante, incohérente et déracinée se substitue aux normes supérieures avec les conséquences désastreuses que nous connaissons.

Règne désormais un mépris total du droit à la vie, du principe de la dignité humaine, de la sacralité de l’esprit et du corps jusqu’à atteindre l’environnement du fœtus et le génome de l’être humain.

Ces questions nous mènent à la croisée du droit et de la philosophie.

Liste de ses actions : https://dar-avocats.com/actualites/



La corruption des philosophes et des intellectuels

Mehdi Belhaj Kacem, philosophe, auteur de Colaricocovirus — D’un génocide non conventionnel (éditions Exuvie)

Ce livre a été écrit avec la volonté de dresser un constat sur la crise du Covid-19 en adoptant un regard à la fois philosophique et politique. En effet, cette crise a bouleversé le monde entier dans ses fondements et comme jamais auparavant.



La corruption des esprits : comment les nouvelles grandes puissances financières contrôlent la narration du Covid et menacent la démocratie

Laurent Mucchielli est sociologue, directeur de recherche au CNRS, auteur de La doxa du Covid (Bastia, éditions Éoliennes, 2022, 2 tomes, 128 et 566 pages).






Selon Me Virginie Araujo, les injections anticovid ont violé la dignité humaine

[Source : RL]

Par Jacques CHASSAING

Rappelons que cette avocate, qui s’est opposée d’emblée à la tragédie de la gestion du coronavirus-Covid en France, a payé un lourd tribut à l’oligopole : arrestation matinale devant ses enfants suivie d’une garde à vue humiliante et puante de 60 heures. 

Heureusement, Virginie a pour mari Sébastien1, un homme qui force l’admiration, à l’instar d’un certain Christophe Dettinger qui a pris la défense et la protection d’une femme jetée à terre et frappée par des forces de l’ordre.

Là s’arrête la comparaison, car Maître Virginie de Araujo-Recchia et son époux connaissent les rouages du droit. 

À Lisbonne, récemment, lors d’une rencontre internationale, organisée par Ariane Bilheran et Vincent Pavan2 (Réinfo Liberté), elle a apporté une importante contribution sur le plus grand scandale en cours de la gestion manipulée du coronavirus-Covid.

En tant qu’avocate en France, elle a fait le point juridique des actions engagées pour le compte de particuliers et d’associations.

Actions aussi en tant qu’avocate internationale auprès de la Cour Pénale de l’opinion publique Le Grand Jury.

Extraits des points d’argumentation développés par l’avocate :

  • c’est un coup d’État mondial de l’oligopole d’organisations supranationales pour installer le contrôle social dans chaque nation ;
  • manipulation mentale de la population par diverses mesures non démocratiques ;
  • atteintes aux libertés publiques et droits fondamentaux inaliénables ;
  • actions contraires aux principes de la médecine ;
  • port des masques inutiles ;
  • confinements forcés ayant entraîné des suicides et des états dépressifs ;
  • des tests non fiables ;
  • obligation et incitation à des produits expérimentaux (substances géniques appelées vaccins) portant atteinte à la vie des citoyens ;
  • décès, souffrances dues aux nombreux effets indésirables menant à des handicaps ;
  • autres traitements à preuve scientifique d’efficacité ont été écartés et décrédibilisés par une collusion entre gouvernements, groupes pharmaceutiques et médias ;
  • les premiers décès suite aux injections de substances géniques Covid-19 auraient dû entraîner la cessation immédiate de l’expérimentation à grande échelle.

Me Virginie Araujo-Recchia se livre alors à la démonstration de la négation des lois non écrites de la nature humaine et de l’inversion de la hiérarchie des normes juridiques. 

Elle développe le principe du respect de la dignité humaine qui exige de sauvegarder la personne humaine contre toute forme d’asservissement ou de dégradation. La personne doit rester maître de son corps et d’elle-même.

« par conséquent, toute violence, toute discrimination à l’encontre de personnes qui refusent de se faire injecter une substance expérimentale, surtout lorsque le produit pharmaceutique en question est inefficace et nocif, voire mortel, viole tous les principes rattachés au respect de la dignité humaine. 

Le principe de la résistance à l’oppression appartient aux lois non écrites de la nature humaine et préexiste logiquement à l’État et à sa norme fondamentale et suprême… il est du devoir de chaque individu de résister à l’oppression »

Et de rappeler Cicéron et Antigone, de Sophocle.

L’avocate énumère ensuite les très concrètes actions et leurs fondements juridiques à l’encontre de tous ceux qui ont organisé et orchestré la peur et la répression autour du Covid. Les juridictions judiciaires et administratives sont visées, jusqu’au Conseil constitutionnel. Un feu d’artifice de responsabilités attribuées !

Virginie de A-R poursuit :

« la sénatrice Éliane Assassi évoque un manque de transparence évident ».

Le logo du ministère des Solidarités et de la Santé était le même que celui de McKinsey pour les besoins de la gestion orientée du Covid. 

En fait, ce sont des copiés-collés qui ont été adaptés à chaque pays.

« D’après nos informations, des dizaines de consultants de McKinsey étaient à l’Agence de Santé publique. McKinsey y est couramment appelé La Firme. »

McKinsey est tentaculaire et relié aux laboratoires pharmaceutiques et certaines  fondations lucratives :  

« ce qui expliquerait  pourquoi certains États occidentaux ont adopté les mêmes mesures liberticides et criminelles. Un article, paru dans Vox, explique comment McKinsey s’est introduit dans le monde de la Santé publique mondiale ».

Il est aussi question de United, de la Fondation Gates.

« Le défi est d’essayer de suivre l’argent et de comprendre les relations entre les bailleurs de fonds comme Gates, les sociétés de conseil et l’OMS. »

Au total, 43 minutes d’arguments indispensables à connaître pour le combat contre le totalitarisme qui se verrouille en France :


(1)

(2)

« Il faut manipuler 2 émotions pour obtenir une soumission psychique » 



Dis Papy, ça sert à quoi les vaccins depuis 1885 ?

[Source : aimsib.org via RI]

Nous accueillons aujourd’hui avec une grande joie Gérard Mannig, informaticien en retraite, citoyen éveillé et suspicieux de la qualité du niveau des prises en charge sanitaires dans nos pays démocratiques. La vaccination par exemple, ses gardiens du temple, ses grands argentiers et ses coupables accointances, il les observe et les critique depuis longtemps, peut-être pas depuis 1885(([1] Le vaccin contre la rage date de 1885)) mais certains auteurs, les Papys de ses Papys, s’y étaient déjà attelés avant lui. Où l’on apprendra au passage pour quelles raisons les médecins sont si régulièrement complètement nuls en vaccinologie et pourquoi ils préfèrent « faire confiance dans leurs institutions » ainsi que dans « la grande sagesse de leur Conseil de l’Ordre ». Bonne lecture… 

 La rédaction de l’AIMSIB

[Voir aussi le dossier Vaccins et virus, dont :
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Citations médicales sur les vaccinations
Sous le signe de Baal : Eustace Mullins et le culte noir des vaccins
L’inquiétante histoire des vaccins
Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ?
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Alfred Russel Wallace : Quarante-cinq ans de statistiques d’enregistrement, prouvant que la vaccination est à la fois inutile et dangereuse
Alerte Vaccins]

Par Gérard Mannig

 Introduction

Le Dr Vincent RELIQUET vient récemment de nous montrer(([2] https://www.aimsib.org/2022/10/30/la-covidomuraille-se-lezarde/)) que l’éveil les masses commence à poindre à l’horizon. Si les éléments qu’il donne à notre lecture sont des réalités objectives, il en est d’autres, tout aussi objectives, qui ne vont pas dans le même sens, hélas. Ainsi, certains sites véhiculent — pardon : ont véhiculé — des commentaires négationnistes. Par exemple : le jour d’après. L’image ci-dessous, si elle date un peu, en est une preuve.

J’ai ici commis l’imprudence de rappeler une (autre) réalité objective sur ce site — et objet de ce billet — mais… c’était sans compter sur la grande faucheuse qui a fait disparaître ladite contribution(([3] https://lejourdapres.parlement-ouvert.fr/processes/lejourdapres/f/16/proposals/7946)) dans les 10 jours qui auront suivi. En grattant un peu, toutes mes contributions ont d’ailleurs été supprimées, ce qui m’avait fait me tourner vers d’autres cieux. Le fauteur de trouble n’aura lui-même sévi que quelque 30 jours, d’avril à mai 2020.

Ce site, pourtant, indique à qui veut le savoir qu’il est créé par des : « parlementaires de différentes sensibilités politiques, [et] appelons les forces vives de notre pays et les citoyennes et citoyens à préparer, tous ensemble, le jour d’après. ». Le « tous ensemble » implique, de facto, la collaboration de toutes les bonnes volontés. Si tous les hommes sont égaux, certains sont tout de même plus égaux que d’autres…

À y regarder de plus près, « Atelier 17 : Quel système de santé pour le Jour d’après ? Pour une organisation tournée vers la qualité et la pertinence des soins »(([4] https://lejourdapres.parlement-ouvert.fr/processes/ateliers/f/14/meetings/38)) est co-piloté par un certain André GRIMALDI, du Conseil « Scientifique » DELFRAISSY. Nous comprenons mieux le parti pris pro-vaccinal.

Une mouche dans le lait, aussi, avec Patrick BRUEL qui, non content de s’être illustré à l’automne dernier(([5] https://www.bfmtv.com/people/en-plein-concert-patrick-bruel-s-agace-contre-les-personnes-non-vaccinees_AN-202111280126.html)), a récidivé récemment. La vieillesse est un naufrage. Passons.

Rapport de juin 2007 du Sénat : « Les vaccins en France : quels enjeux pour l’industrie pharmaceutique et la recherche ? »

Depuis la pseudo-pandémie, l’habituel clivage plus que séculaire entre les pro et les anti-vaccins est reparti de plus belle. Bizarrement, les pro avaient perdu d’entrée de jeu. Non pas que leur argumentation était fausse — la littérature anti-vaccinale en est une preuve visible, rien que par son abondance — mais parce que le débat avait trouvé son épilogue en juin 2007 de la façon la plus officielle qui soit. Oui : vous avez bien lu, le débat est clos.

Ne recherchez pas, hélas, dans les « merdias » une quelconque trace du fameux rapport du Sénat : AUCUN n’en a parlé. Pas surprenant le moins du monde. Seuls quelques médias alternatifs (et encore, peu nombreux) en ont fait état. Ce texte fait évidemment autorité, de par la nature seule de son dépositaire : le Sénat. Et aucun démenti ou même correctif n’y a été apporté depuis 14 années.

Que serait donc ce rapport, compte rendu d’une table ronde organisée(([6] Cette réunion était organisée par L’Observatoire Parlementaire d’Évaluation des Politiques de Santé (OPEPS) )) il y dix-sept années (on excusera le retard à l’allumage des merdias) autour d’une préoccupation très humaniste : « Les vaccins en France : quels enjeux pour l’industrie pharmaceutique et la recherche ? ». Fallait-il s‘attendre à un panégyrique des vaccins établi par une docte assemblée ?

Tout le porte à croire, rien qu’à lire la distribution :
– Dr Fabian WILD, Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) Unité 404 Immunité et Vaccination,
– M. Fabrice MEILLIER, chargé de mission des affaires réglementaires du LEEM (Les entreprises du médicament),
– M. Hervé RAOUL, directeur,
– MM. François-Loïc COSSER, directeur d’unité, et Vincent LOTTEAU, chargé des aspects immunitaires et vaccinaux, à l’INSERM, Laboratoire P4
– M. Jean MÉRIEUX,
– M. François GUILLEMIN, directeur général de Lyonbiopôle,
– M. Bertrand ALEXANDRE, directeur de la BU Vaccins de Glaxo Smith Kline (GSK) France, président du Comité vaccins du LEEM,
– M. Alain SABOURAUD, pharmacien responsable de Sanofi Pasteur,
– M. Éric LECOCQ, directeur général France de Sanofi Pasteur MSD,

et M. Vianney MOREAU, directeur des opérations Novartis Vaccines.

Quant aux opposants, ils ont naturellement brillé par leur interdiction de séjour. Le parti pris — encore —était donc franc. À la décharge des organisateurs, le titre écartait définitivement toute volonté de débattre sur le fond. Clairement. Ils s’intéressent aux histoires de gros sous. Fin de l’histoire.

À sa lecture, on peut lire, cependant, deux informations qui confirment ce que tous les anti-vaccinalistes disent depuis 137 années(([7] Le vaccin contre la rage date de 1885)) :

Cette image étant un rien floue et comme nous voulons être parfaitement clairs, détaillons :

ou, plus probant encore, en allant bien sûr sur la page du Sénat concernée(([8] https://www.senat.fr/rap/r06-476/r06-476_mono.html)) :

Nous observons également que le rapporteur de séance(([9] Cette réunion était organisée par L’Observatoire Parlementaire d’Évaluation des Politiques de Santé (OPEPS) )) avoue benoîtement : « Le président [Jean-Michel DUBERNARD, député], a conclu en estimant que les autorités publiques devraient avoir une vision complète du paysage industriel ainsi que des rapprochements possibles entre recherche publique et recherche privée. ». Ce qui revient à dire, ipso facto, que les pouvoirs publics NE disposent PAS de cette visibilité. Ici, aucun vagissement de complotiste(([10] Le comploteur alimente le complot. Le complotiste DÉNONCE le complot ! Où est le problème en étant complotiste ?)) dans notre analyse : c’est écrit noir sur blanc et nullement sorti du contexte !

Vous avez désormais la preuve manifeste que toutes ces têtes pensantes savent pertinemment à quoi s’en tenir.

Vous rendez-vous compte de l’ignominie des politiques qui, de génération en génération, siècle après siècle, ont continué à faire distiller ces poisons ? Vous rendez-vous compte de la responsabilité des merdias qui ont non seulement tu ce rapport mais complaisamment continué à distiller leur propagande ?

Vous rendez-vous compte, pour employer un langage juridique :
— de l’extrême culpabilité des premiers, que Virginie de ARAUJO-RECCHIA nous rappelle dans son Rapport Dictature 2020(([11] https://www.breizh-info.com/wp-content/uploads/2020/rapport-dictature-2020.pdf)) ? Le lecteur intéressé est vivement engagé à lire l’intégralité du rapport dictature 2020 précité. Le langage employé est clairement juridique.
— de la complicité « par fourniture de moyens » des seconds ?
— de la complicité de l’ensemble du Corps Médical ? Sauf, et nous tenons à le rappeler, les valeureux dissidents dont la carrière a bien évidemment été coupée net et de ceux, toujours en exercice, qui refusent le vaccin avec l’énergie du désespoir
— de celle — et nous y tenons tout autant — de la magistrature qui, pourtant statutairement contrainte de dénoncer des infractions, délits et crimes n’a même pas remué une oreille ?

PIRE : elle a toujours condamné les voix dissidentes et rejeté d’un revers de main (les exceptions sont ici rarissimes) toutes les actions en justice où les plaignants ont été victimes des vaccins. Ces exclusions vont même souvent jusqu’à y opposer une fin de non recevabilité au simple dépôt de plainte.

Vous rendez-vous compte de la non moins extrême culpabilité des décérébrés qui, ne connaissant strictement rien au dossier vaccin, s’emploient néanmoins à en louer les avantages imaginaires et à vilipender les non-vaccinés ? Nous avons ici une pensée (pas émue du tout) pour les Patrick BRUEL — précité —, Christophe BARBIER, Emmanuel LECHYPRE. Que ceux qui n’ont pas été cités veuillent bien nous pardonner.

Vous rendez-vous compte de ce que VOUS faites quand vous faites vacciner vos enfants ?

On comprend mieux l’ampleur de l’éventail d’accusés visés par la démarche initiée par l’avocat germano-américain Reiner FÜELLMICH(([12] https://odysee.com/@La_v%C3%A9rit%C3%A9_excite_la_col%C3%A8re:2/z_Reiner-Fuellmich-fait-une-mise-au-point:4)). Également : « Plainte pour crime contre l’humanité contre les dirigeants français : le compte y est-il bien ? [MAJ du 2 août 2021] » pour complétion de ce musée des horreurs.

De là à reconsidérer les circonstances des décès de certains membres de votre famille, il n’y a qu’un pas. Personnellement, nous l’avons franchi.

On nous l’avait pourtant dit… depuis 1885 !

Du coup, le primum non nocere cher aux mandarins en prend un sacré coup. L’aphorisme est pourtant régulièrement utilisé pour fustiger un médecin qui aura prescrit des traitements non approuvés par la faculté.

  • « Par la loi du 16 août 1940 qui institua l’Ordre des médecins pour une période limitée, le gouvernement de Vichy mit en place une médecine d’État qui asservit la médecine à la « dictature » de cet Ordre. Mais en France, tout le monde sait que le provisoire mène au définitif. Et, depuis l’ordonnance du 24 septembre 1945 qui leur conféra un droit exorbitant, ce sont les conseils de Ordre qui, selon leur bon plaisir, jugent sans appel et décident d’interdire à tel médecin l’exercice de sa fonction. Seules les dictatures connaissent ces tribunaux d’exception où les plaignants s’érigent en juges et où l’accusé est condamné d’avance. Autrefois, avant l’Ordre, donc au temps du désordre, le serment d’Hippocrate donnait au médecin le droit et le devoir d’exercer la médecine selon sa conscience.(…) Quand, par ailleurs, les tribunaux acquittent les médecins qui soignent avec des remèdes qui guérissent mais n’entrent pas dans le cadre des remèdes officiels, l’Ordre conserve le pouvoir régalien de les condamner. »(([13] La dictature médico-scientifique par Sylvie Simon, ISBN 978-2850187209))
    (les enrichissements de caractères sont nôtres)

  • « Rien n’a donc vraiment changé depuis 1940 et les réquisitoires des procureurs de notre époque ressemblent étrangement à ceux de leurs aînés, chaque fois qu’un médecin comparaît devant un tribunal pour avoir soigné ses patients avec des molécules « non agréées » par la Faculté et, par conséquent, considérées comme nocives, même si les preuves de leur efficacité sont patentes. Ces réquisitoires ressassent la même litanie :

Cette mise en œuvre permanente du célèbre : « Faites ce que je dis. Ne faites pas ce que je fais ! » finira immanquablement par générer un retour de flamme pour ces Torquemada médicaux. Tous, bien entendu.

Et la spiritualité dans tout ça ?

La médecine de demain

Nombreuses sont les personnes qui s’interrogent sur ce que va devenir la médecine de demain. Les spéculations vont bon train et les théories avancées sont toutes aussi séduisantes les unes que les autres. Nous renvoyons le lecteur vers elles.

[Voir aussi :
Les Racines de nos Maladies
L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910
Prendre sa santé en main
Vos pensées contrôlent votre ADN !
Communication entre organismes vivants par biophotons
Sensibilité de l’eau morphogénique aux ondes électromagnétiques
RÉALITÉ PARALLÈLE-REPROGRAMMER VOTRE VIE
Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus
Modifier notre ADN via notre conscience !]

Un volet, cependant, n’est pris en compte par aucun (ou presque) de ces acteurs. Celui de la spiritualité. On observera qu’il est bien dit : SPIRITUALITÉ et non RELIGION. Ceux d’entre vous — vous-même ? — chez qui ce thème présente quelque importance ont dû, depuis le début de la pseudo-pandémie, suivre certains sites ici ou là. De la même manière, si vous avez une préférence pour la science pure et dure, vous avez dû avoir vent de certaines théories professées par des scientifiques patentés comme Philippe GUILLEMANT(([15] http://www.guillemant.net/)), physicien. L’homme a écrit quelques ouvrages comme :
– Le grand virage de l’humanité(([16] Le grand virage de l’humanité https://www.lalibrairie.com/livres/le-grand-virage-de-l-humanite_0-7278003_9782813224866.html?ctx=92ff319d5c7432f6235af31b18cfc323))
– Se souvenir du futur (illustré) : guider son avenir par les synchronicités(([17] https://www.lalibrairie.com/livres/se-souvenir-du-futur–illustre—guider-son-avenir-par-les-synchronicites_0-8305398_9782813226525.html?ctx=92ff319d5c7432f6235af31b18cfc323))

et participé à quelques reportages vidéo comme (mais non exclusivement) :
[vidéo 42:50] Le physicien Philippe GUILLEMANT nous explique tout sur la spiritualité(([18] https://www.youtube.com/watch?v=Fm3rTtBs8B4))
[Vidéo 1:21:31] « Cette crise peut changer l’histoire de l’humanité », selon Philippe GUILLEMANT(([19] https://www.youmaker.com/video/84b8dc15-bb1e-4b1d-8253-45c5d20214f0))
[Vidéo 23:32] Créer son futur grâce au pouvoir de la pensée, avec Philippe GUILLEMANT(([20] https://www.youtube.com/watch?v=_k3l7fa8Zlc))
[Vidéo 15:18] Comment Philippe GUILLEMANT voit le futur de l’humanité(([21] https://www.youtube.com/watch?v=Nz2tuGzxRi0))

sans parler des interviews :
2020.12.01 – « La principale finalité de la vaccination n’est pas sanitaire », par Philippe GUILLEMANT(([22] https://www.nexus.fr/actualite/billet-dhumeur/finalite-vaccination-guillemant/))
2020.08.04 – Le « Port du masque » par le physicien Philippe GUILLEMANT(([23] https://www.nexus.fr/actualite/billet-dhumeur/masque-philippe-guillemant/))

Ces quelques points de chute donnent, à leur seule évocation, matière à réflexion. Ainsi, la physique mène à la spiritualité ! Eh oui, car la synchronicité(([24] https://fr.wikipedia.org/wiki/Synchronicit%C3%A9)), chère à JUNG, est ici clairement abordée par un non-psychanalyste. De la même manière, créer son futur grâce au pouvoir de la pensée (sic) est un concept commun à toutes les religions, du moins monothéistes. Voici la chose désormais professée par un scientifique et, quelque part, gravée dans le marbre. Il se passe vraiment quelque chose à l’aube de la cinquième dimension(([25] https://ducielalaterre.org/ce-qui-doit-etre-sera/fr/)) comme nous l’allons voir.

Le billet du Dr RELIQUET avait introduit cette notion de virage dans les attitudes : nous pensons que Philippe GUILLEMANT en est un magnifique exemple dans le monde scientifique.

De retour aux sites axés spiritualité, je n’en citerai qu’un : Du Ciel à la Terre(([26] https://ducielalaterre.org/tout-est-en-marche-car-tout-va-changer/fr/)). Les messages qui nous sont délivrés (depuis 1983) par un médium se sont précipités depuis mars 2020 pour des raisons plus qu’évidentes. Je ne retiendrai donc que le volet médical qui nous intéresse. Depuis donc quasiment 3 années, des considérations sur la médecine nous sont faites. Nous vous en livrons quelques unes, brut de fonderie, en guise de matière à réflexion. Les enrichissements de caractère sont nôtres :

  • « Il arrivera un moment, Enfants de la Terre, où il n’y aura pas ou très peu de médecins ; nous ne vous donnons pas les raisons. Le corps médical a failli, par peur, par conviction, il a failli également par l’attrait de l’argent. Tous les médecins, tout le personnel hospitalier, qui ont subi volontairement ou involontairement une immense nuisance dans leurs corps, ne seront plus capables d’accomplir ce qu’ils ont choisi sur ce monde : l’aide aux autres. Parallèlement à cela (parce qu’il n’y a pas de vide, le vide n’existe pas), beaucoup d’êtres se révèleront avec d’autres capacités, des capacités de soin, des capacités d’aide à tous les niveaux. Il en sera de même pour l’éducation, il en sera malheureusement de même pour plusieurs corps de métiers ! ».(([27] https://ducielalaterre.org/vous-vivez-des-moments-extraordinaires-dans-le-difficile-comme-dans-le-merveilleux/fr/))

  • « Au lieu de vous appesantir sur tout ce qui ne va pas, essayez de voir tout ce qui est beau dans votre société ! Il y a énormément de choses très positives, et la plus belle des choses est l’éveil des consciences. Vous pouvez voir cet éveil des consciences au travers des scientifiques, au travers du personnel soignant, des médecins, etc., vous pouvez le voir à tous les niveaux. »(([28] https://ducielalaterre.org/une-immense-preparation/fr/))

  • « Sont endormis les médecins ou ceux qui font partie des professions médicales, ceux qui sont dans l’éducation, les politiques, les philosophes, tous ceux qui ont un tant soit peu la responsabilité de la gestion du monde (nous ne parlons pas que de votre petite France, nous parlons de la généralité du monde). » (…) De grands professeurs, de grands médecins, etc. donnent l’alerte, mais une partie de l’humanité ne veut pas les entendre parce que cela ne correspond pas à son niveau de conscience. Elle préfère entendre ce qui correspond à ce qu’elle est ! »(([29] https://ducielalaterre.org/des-surprises-agreables/fr/))

  • « Bien évidemment, pour l’instant, vous avez peut-être encore besoin d’aller dans les hôpitaux pour des opérations ou autres, mais il arrivera un moment où il devra y avoir une restructuration, et la médecine de demain ne sera plus du tout celle d’aujourd’hui. Il pourra y avoir des réparations du corps physique, certes ! Cependant elles seront holistiques, et beaucoup plus dans la relation d’Amour entre ceux qui soignent et ceux qui sont soignés ; ce sera une connexion entre le soignant et le soigné, avec beaucoup plus d’Amour et de fraternité. »(([30] https://ducielalaterre.org/une-autre-facon-de-concevoir-la-vie/fr/))

Gérard MANNIG
Décembre 2022

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1415697b/f3.item.zoom
1948

Notes et sources :




Inversion des valeurs et corruption juridique au cours de la crise Covid

[Source : anthropo-logiques.org]

Depuis le début de cette crise « sanitaire » qui aura vu les méthodes totalitaires chinoises être substituées aux bonnes réponses en santé publique (comme le Dr Fauci vient de l’admettre dans une déposition sous serment aux États-Unis !), l’avocate de Araujo-Recchia se bat pour faire connaître l’absolue gravité des transgressions en cours, lesquelles menacent littéralement la sécurité de l’état de droit.

Dans cette présentation, elle passe implacablement en revue les principales facettes de cette réalité que la plupart des gens (et des juristes !) préfèrent ne pas voir. Quelle absence en effet des professeurs de droit constitutionnel par exemple, mais aussi des juristes au service des gouvernements et même des cours de justice face à la redoutable gravité de cette inversion de la norme des hiérarchies juridiques !


Corruption juridique au cours de la crise Covid

Par Me Virginie de Araujo-Recchia, avocate

Partie prenante à la procédure du Grand Jury du Dr Reiner Füllmich., Virginie de Araujo-Recchia a déposé de nombreuses plaintes dont une plainte pour « dérives sectaires », impliquant des faits « d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse », ainsi que de « complicité d’empoisonnement et de génocide ».

Liste de ses actions : https://dar-avocats.com/actualites/

[Voir aussi :
La liberté d’expression des médecins, enseignants et chercheurs est-elle protégée en temps de crise sanitaire ? Me de Araujo-Recchia répond
Me Virginie de Araujo-Recchia communique suite à sa mise en garde à vue par la DGSI
Lettre d’informations sur les actions juridiques menées contre les mesures sanitaires par Me Virginie De Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris
Pass sanitaire et injection obligatoire : les conseils de « guerre » de Me de Araujo-Recchia et Me di Vizio
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

Résumé de la conférence par Mme Tatiana Tislenkoff.

https://www.youtube.com/embed/JoPdWCMTpW4

Autant nous assistons à l’inversement des valeurs au sein de nos sociétés occidentales, autant nous assistons à l’inversement de la hiérarchie des normes juridiques.

En effet, force est de constater que les grands principes juridiques applicables, en toutes circonstances, au sein/au cœur de toute société civilisée, sont désormais foulés au pied au détriment de l’intérêt des peuples et corrélativement au seul profit de la finance internationale mondialiste détenant notamment les groupes pharmaceutiques impliqués.

La fraude est commise sous l’égide de fondations, d’agences et de groupes de réflexion internationaux et au travers de la corruption des médias grand public et des plateformes numériques complices du cloisonnement de l’information et par conséquent d’un obscurantisme décomplexé.

Ainsi, une réglementation technocratique pullulante, incohérente et déracinée se substitue aux normes supérieures avec les conséquences désastreuses que nous connaissons.

Règne désormais un mépris total du droit à la vie, du principe de la dignité humaine, de la sacralité de l’esprit et du corps jusqu’à atteindre l’environnement du fœtus et le génome de l’être humain.

Ces questions nous mènent à la croisée du droit et de la philosophie.

I. Négation des lois non-écrites de la nature humaine et inversion de la hiérarchie des normes juridiques

I.1  Négation des lois non écrites

LE PRINCIPE DU RESPECT DE LA DIGNITÉ HUMAINE

Le principe de dignité exige de sauvegarder la personne humaine « contre toute forme d’asservissement ou de dégradation ».

La dignité implique que la personne reste maître de son corps et d’elle-même, ce qui suppose qu’elle ne se trouve pas aliénée ou asservie à des fins étrangères à elle-même.

Les textes de lois ont essayé de définir cette vie digne : une vie indépendante qui permet l’autonomie de choix et la participation à la vie sociale et culturelle.

D’ailleurs, la définition de la santé en tient compte : « La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité.»(([1] Extrait de la Constitution de l’Organisation mondiale de la santé, adoptée en 1946 à New-York et entrée en vigueur en 1948.))

Kant distingue ce qui a un prix et ce qui a une dignité : « Dans les règne des fins tout à un prix ou une dignité. Ce qui a un prix peut-être aussi bien remplacé par quelque chose d’autre, d’équivalent ; au contraire, ce qui est supérieur à tout prix, ce qui par suite n’admet pas d’équivalent, c’est ce qui a une dignité.»(([2] Dans les Fondements de la Métaphysique des Mœurs de Kant.))

Par conséquent, toute violence, toute discrimination à l’encontre des personnes qui refusent de se faire injecter une substance expérimentale, surtout lorsque le produit pharmaceutique en question est inefficace et nocif, voire mortel, viole tous les principes rattachés au respect de la dignité humaine.

LE PRINCIPE DU RESPECT DE LA DIGNITE HUMAINE A SON COROLLAIRE : LA RESISTANCE A L’OPPRESSION EN CAS D’ATTEINTE À CE MÊME PRINCIPE

Le principe de résistance à l’oppression appartient aux lois non-écrites de la nature humaine et préexiste logiquement à l’État et à sa norme fondamentale suprême.

En effet, lorsque les institutions d’un État, dont la vocation première est d’assurer la protection de l’ordre public, la sauvegarde des principes fondamentaux, de la liberté et des droits du peuple, ne font plus obstacle à la dérive des régimes totalitaires, il est du devoir de chaque individu de résister à l’oppression.

« Le moteur de la résistance ce n’est ni la foule, ni la tribune, c’est l’individu qui a le goût politique et qui juge ; c’est le citoyen qui ne se laisse pas fasciner par « l’hypnose exercée par le pouvoir » ; celui qui refuse d’être dupe ». Parce qu’il faut qu’il y ait « au début du mouvement populaire, une réaction des consciences individuelles », sinon « ce sera une émeute ou une révolte, ce ne sera pas, dans le plein sens du mot, ce refus d’accepter plus longtemps l’arbitraire des gouvernants qui caractérise la résistance à l’oppression. »

« La résistance à l’oppression n’est pas révolutionnaire. Au contraire, elle est de nature conservatrice, sa mission étant de défendre l’ordre constitutionnel établi et de contribuer au retour du statu quo ante ».

I.2. Inversion de la hiérarchie des normes juridiques

Les mesures prises par le pouvoir exécutif français ont été à l’origine d’atteintes aux droits fondamentaux et libertés publiques sans précédent.

Des lois, décrets et arrêtés préfectoraux ont prévalu sur les normes du bloc constitutionnel sans que ces textes ne soient jamais remis en cause ou invalidés tant par le Conseil constitutionnel, que par les juridictions judiciaires et administratives, alors que lesdites mesures étaient clairement disproportionnées et contraires à bon nombre de textes conventionnels et européens ainsi qu’aux normes suprême du corpus constitutionnel.

L’ÉTAT DE DROIT A CÉDÉ LA PLACE A L’ARBITRAIRE

J’ai pu relever les atteintes majeures suivantes :

  • Atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation.
  • Violation du droit à la vie et atteinte à l’intégrité des personnes.
  • Violation de la liberté individuelle au mépris de l’Habeas Corpus qui prévoie le contrôle du juge judiciaire à bref délai lorsque les mesures privatives de liberté sont appliquées.(([3] Confinements forcés de l’ensemble de la population.))
  • Violation du principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation.
  • Violation de la liberté de circuler/liberté d’aller et venir.
  • Violation du principe général du droit de mener une vie familiale normale par l’interdiction de visiter des proches à l’hôpital, d’assister à des funérailles, de se réunir en famille.
  • Violation du droit de manifester et de se rassembler.
  • Violation du droit à l’éducation.
  • Violation de la liberté de culte.

Nous assistons à :

  • Une manipulation de l’opinion afin de faire régner la terreur et troubler l’ordre public.
  • Une gestion de crise disproportionnée et non conforme aux pratiques habituelles en la matière.
  • Une « épidémie » de tests RT-PCR qui ne permettent pas de déterminer si le patient est malade.
  • Une interdiction de traitements disponibles contre la Covid-19 en violation des droits du patient et de la liberté de prescrire.
  • Un homicide par administration de Rivotril dans les EHPAD.
  • Des crimes contre l’humanité.
  • Des actes de maltraitance et torture à l’égard des enfants.

Or, les magistrats de l’ordre administratif et les membres du Conseil constitutionnel ont utilisé le principe constitutionnel de protection de la santé pour entériner les mesures les plus iniques et les plus nocives pour la santé des français.

Pour le moment, il est devenu quasiment impossible d’échanger de manière objective devant les Cours et tribunaux français concernant les dommages causés par les mesures telles que les confinements forcés, les masques, les tests et la dangerosité des injections expérimentales.

Le principe constitutionnel de protection de la santé a été érigé en principe suprême, afin d’avaliser toutes les mesures prises par le pouvoir exécutif depuis mars 2020.

AFFAIRES DEVANT LES INSTANCES ADMINISTRATIVES, JUDICIAIRES, EUROPÉENNES ET INTERNATIONALES

À compter du mois de décembre 2020, des associations m’ont accompagné dans le cadre d’une action civile collective. Malgré la production de nombreuses études scientifiques dont la crédibilité ne peut être remise en cause, le tribunal judiciaire a refusé la discussion.

Il s’avère aujourd’hui que d’autres études scientifiques sont venues depuis confirmer la nocivité de la mesure de confinement forcé et le président du Conseil scientifique l’a reconnu publiquement.

Nous avons engagé d’autres actions devant les juridictions pénales, la Cour de Justice de la République, la Cour Européenne des Droite de l’Homme, à l’encontre des membres du gouvernement, de certains parlementaires, des médias grand public, des plateformes de réseaux sociaux ainsi que des intervenants propagandistes de plateau radio et télévision, notamment sur la base des chefs d’accusation suivants :

  • Abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse des français en état de sujétion psychologique résultant de techniques propres à altérer leur jugement.
  • Complicité d’extorsion et de tentative d’extorsion de consentement.
  • Tromperie aggravée et tentative de tromperie aggravée commise en bande organisée.
  • Escroquerie et tentative d’escroquerie.
  • Complicité d’empoisonnement et de tentative d’empoisonnement.
  • Participation à une association de malfaiteurs.
  • Crime contre l’humanité – génocide et complicité de génocide.

J’ai également réclamé l’expertise des solutions injectables expérimentales contre la Covid-19, étant donné de fortes suspicions relatives à la présence de nanotechnologies, d’oxyde de graphène et autres substances toxiques, ce qui n’a pas encore été traité par les magistrats en charge de ces dossiers.

En parallèle, j’ai rejoint un groupe d’avocats et juges internationaux travaillant avec mon confrère Reiner Fuellmich. Nous avons créé la Cour internationale de l’opinion publique, afin de présenter publiquement les témoignages d’experts essentiels ainsi que l’ensemble des éléments que nous présentons régulièrement devant les tribunaux nationaux et qui ne sont pas pris en compte actuellement.

II. Le cartel « Finance/Pharma/Médias »

II.1 L’Oligopole

Le rapport intitulé Génocide économique des Nations de Juliette Marin détaille la mainmise des fonds d’investissement américains sur les sociétés françaises du CAC40. Ces mêmes fonds détiennent ainsi directement et indirectement les médias dominants ainsi que les laboratoires pharmaceutiques.

Je cite :

« Selon nos informations, les dix plus grands investisseurs institutionnels contrôlent à eux seuls environ 22’000 milliards de dollars et sont également présents en Europe.

Parmi ces investisseurs, beaucoup sont à la fois grands et diversifiés, comme BlackRock ou Vanguard.(…)

Même s’ils se retrouvent rarement actionnaires majoritaires d’une seule et même société, les effets de cette situation sur la concurrence sont semblables à ceux d’une situation d’oligopole.

(…)

L’étude de l’architecture du réseau de propriétés internationales et nationales, ainsi que le calcul du contrôle exercé par chaque acteur mondial dans son ensemble nous révèle un monopole de fait sur l’économie des nations du monde entier avec un accent sur l’analyse des sociétés françaises cotées en Bourse (CAC40). Nous constatons que les sociétés transnationales formant une structure géante de nœuds papillons et qu’une grande partie du contrôle se dirige vers un petit noyau d’institutions financières très unies.

Ce noyau peut être considéré comme une « super-entité » économique qui soulève de nouveaux problèmes importants pour les chercheurs et les décideurs. »

Le rapport relève les dirigeants impliqués dans le secteur des médias et également dans le secteur des biotechnologies.

II.2. L’Organisation Mondiale de la Santé

Le rapport n°12283 intitulé « La gestion de la pandémie H1N1 : nécessité de plus de transparence » de M. Paul Flynn en date du 7 juin 2010 est édifiant :

Je cite :

« De graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence du processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer eu égard aux principales décisions relatives à la pandémie. Il est à craindre que ce manque de transparence et de responsabilité ne fasse chuter la confiance accordée aux conseils émis par les grands organismes de santé publique. (…)

L’Assemblée a noté que les activités de lobbying non réglementées ou occultes peuvent constituer un danger et miner les principes démocratiques et la bonne gouvernance. (…) »

Les liens capitalistiques entre les médias grand public, les géants du numérique, les géants américains de la finance et l’OMS démontrent une réelle situation de collusion.

II.3 Le World Economic Forum (WEF)/Young Global Leaders a infiltré les pouvoirs publics

Depuis plus de cinquante ans, les principaux responsables économiques et politiques de la planète se retrouvent fin janvier à Davos pour la réunion annuelle du WEF.

Pour Kees van der Pijl, le WEF succéderait à d’autres organisations qui l’ont précédé, comme la franc-maçonnerie, le réseau gravitant autour de la Round Table à l’apogée de l’Empire britannique ou les conférences Bilderberg tout au long de la guerre froide et au-delà. Mais selon lui, à la fin des années 90, le WEF constituait bel et bien « le groupe de planification transnational le plus accompli, […] une véritable Internationale du capital ».(([4] Kees van der Pijl, Transnational Classes op. cit., p. 133.))

Son fondateur Klaus Schwab est un partisan de l’eugénisme et du transhumanisme. Il défend et promeut l’avènement de l’intelligence artificielle pour nos vies dans son ouvrage « La quatrième révolution industrielle » paru en 2017 et publie l’ouvrage intitulé « Le Great Reset » en 2019.

Je cite :

« Le Great Reset, c’est l’appel officiel à utiliser la pandémie et les confinements pour changer les comportements sociaux et sociétaux, une occasion historique d’accélérer la quatrième révolution industrielle, celle de la digitalisation. C’est aussi un éloge de l’intervention de l’État pour imposer la transition écologique et l’économie circulaire. C’est encore une justification à la surveillance de tous les individus grâce à Internet et à la reconnaissance faciale ».(([5] Eric Verhaeghe, ancien élève de l’ENA, haut fonctionnaire, auteur du livre « Le Great Reset : Mythes et réalités », 2021.))

Or dans le cadre d’un article en date du 28 octobre 2021, Éric Verhaeghe fait le constat suivant :

« Entre Emmanuel Macron et Mario Draghi, nul ne sait quel est le meilleur agent du Great Reset, et il n’est pas impossible que l’un et l’autre se tirent la bourre aujourd’hui pour en être les héros. Pour tous ceux qui se demandent encore si Emmanuel Macron est de gauche ou de droite, il n’est en tout cas pas inutile de comparer son œuvre politique déployée depuis un an avec le projet du Great Reset de Klaus Schwab. Les ressemblances sont si frappantes qu’on se demande même si la France n’est pas le champ d’expérimentation d’une doctrine que nous avons commentée en son temps dans notre ouvrage consacré au sujet.

Macron met en œuvre le Great Reset depuis un an. »(([6] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/10/28/comment-macron-a-mis-en-place-le-great-reset-en-france/))

En effet, Klaus Schwab décrit comment son mouvement subversif a infiltré avec succès les cabinets de plusieurs gouvernements mondiaux.

« Quand je mentionne des noms comme Angela Merkel et même Vladimir Poutine, et ainsi de suite, ils ont tous été des Young Global leaders du Forum économique mondial. Mais ce dont nous sommes très fiers aujourd’hui, c’est la jeune génération comme le premier ministre Justin Trudeau, le président de l’Argentine, etc. Nous pénétrons les cabinets gouvernementaux. ».

Il ajoute que « ceci est aussi vrai en France, le président était un Young Global Leader ».(([7] https://humansbefree.com/2022/01/Klaus-schwab-brags-about-controlling-western-governments.htmlhttps://banned.video/watch?id=61f0562d17dfec17f412cd00))

II.4. Infiltration des pouvoirs publics par les consultants privés reliés au cartel

La commission d’enquête sénatoriale a publié en 2022 un rapport sur l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques.(([8] Rapport n°578 de la Commission d’enquête sénatoriale présidée par M. Arnaud Bazin, publié le 17 mars 2022 intitulé Un phénomène tentaculaire : l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques.))

Dans ce rapport, on peut lire les propos de M. Frédéric Pierru, sociologue chargé de recherche au CNRS et spécialiste du secteur de la santé dont voici un extrait(([9] Op. cit. p. 32.)):

« Ce qui m’a étonné, c’est de voir un cabinet comme McKinsey, qui ne connaît rien à la vaccination, assister un ministre, alors que des spécialistes de la question sont disponibles à l’intérieur de l’État. L’administration de santé publique est capable d’élaborer logistiquement une campagne de vaccination, et on va chercher un consultant de McKinsey. »

McKinsey couramment appelé « La Firme » est non seulement tentaculaire mais elle est également reliée aux laboratoires pharmaceutiques ainsi qu’à certaines Fondations « lucratives », ce qui expliquerait pourquoi différents États occidentaux ont adopté les mêmes mesures liberticides et criminelles lors de la crise Covid-19.

McKinsey et Boston Consulting Group semblent avoir un impact démesuré sur le secteur mondial de la santé(([11] Comment McKinsey s’est infiltré dans le monde de la santé publique mondiale, article paru dans Vox le 13 décembre 2019. https://www-vox-com.translate.goog/science-and-health/2019/12/13/21004456/bill-gates-mckinsey-global-public-health-bcg?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp)). En effet, les deux entreprises ont toujours figuré parmi les cinq principaux prestataires de services professionnels de la Fondation Gates, selon les déclarations de revenus de la fondation, même après que l’organisation se soit engagée à réduire les dépenses de consultants à partir de 2015.

Comme l’a déclaré Devi Sridhar, titulaire de la chaire de santé publique mondiale à l’Université d’Edimbourg :

« Le défi est d’essayer de suivre l’argent et de comprendre les relations entre les bailleurs de fonds comme Gates, les sociétés de conseil et l’OMS. 

Comme Gates a commencé à payer régulièrement des consultants pour le compte d’institutions comme l’OMS, cela a créé une « dépendance » vis-à-vis des entreprises. Ensuite, il est devenu plus courant de faire appel à ces mêmes consultants pour la stratégie » (…)

Au total, la Fondation Gates a dépensé plus de 300 millions de dollars pour McKinsey et BCG entre 2006 et 2017 (…). C’est plus que le budget national de la santé pour tout un pays à faible revenu, comme Haïti.(…)

L’agence UNITAID a également été financée par la Fondation Gates, qui, dès le premier jour, a payé le travail de conseil de McKinsey, selon les procès-verbaux du conseil d’administration d’UNITAID de 2006 accessibles au public. (…)

Considérez le rôle de McKinsey dans l’épidémie d’opioïdes, qui a coûté la vie à près d’un million d’Américains depuis 1999. Les documents judiciaires qui ont fait surface dans le cadre d’un litige comprenait des allégations selon lesquelles McKinsey aurait conseillé deux sociétés sur la manière d’augmenter les ventes d’opioïdes sur ordonnance, du début des années 2000 jusqu’en 2014 au moins – lorsque l’épidémie de surdose était déjà bien connue. Une plainte alléguait que McKinsey avait conseillé à Johnson & Johnson de « faire prendre aux patients des doses plus élevées d’opioïdes » et d’étudier des techniques « pour garder les patients sous opioïdes plus longtemps », a rapporté le New York Times (…) »

Comme nous pouvons le constater, McKinsey et BCG travaillent étroitement avec Bill Gates, lequel affiche publiquement ses objectifs eugénistes et transhumanistes, qu’il partage avec Klaus Schwab, Henri Kissinger, Warren Buffet, tout comme les fondations Rockefeller, Rotschild, Open Society de Soros etc.

Toute cette oligarchie mondialiste considère que l’«hyper-class » doit inventer des technologies destinées à asservir les classes subalternes, réduire la population et faire scission avec cette majorité de sous-humains.(([12] Jacques Attali, Les clefs du XXIème siècle, édition avril 2000, p. 497s.))

À ce titre, un rapport(([13] https://twoplustwoequalsfournews-wordpress-com.translate.goog/2022/02/19/update-rockefeller-foundation-1968-annual-report-we-need-vaccines-to-reduce-fertility-and-address-the-population-problem/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp)) de la Fondation Rockefeller datant de 1968 décrit parfaitement la peur des oligarques concernant l’accroissement de la population et les solutions envisagées, notamment par la vaccination.

Un autre rapport(([14] https://archive.org/details/scenarios-for-the-future-of-technology-and-international-development-rockefeller-foundation)) de la Fondation Rockefeller datant de mai 2010, proposait entre autres, l’utilisation des confinements forcés.

Un article(([15] https://www-rockefellerfoundation-org.translate.goog/news/mercury-project-to-boost-covid-19-vaccination-rates-and-counter-public-health-mis-and-disinformation-in-17-countries-worldwide/?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc)) du 23 août 2022, publié sur le site de la Fondation Rockefeller nous apprend que :

 « Le Social Science Research Council fournit 7,2 millions de dollars à 12 équipes qui font progresser des sciences sociales et comportementales ambitieuses et appliquées pour lutter contre la menace mondiale croissante posée par les faibles taux de vaccination contre le Covid-19 ainsi que la mésinformation et la désinformation en matière de santé publique. »

Pour aller plus loin, un article résume bien l’action de la Fondation Rockefeller contre la médecine naturelle, à partir de 1910, avec le rapport Flechner(([16] https://fr.sott.net/article/40467-Toxicologie-contre-Virologie-L-Institut-Rockefeller-et-la-fraude-criminelle-de-la-polio)) et le financement des écoles de médecine occidentales. On notera que l’École de médecine de Lyon fut créée à la demande du Dr Alexis Carrel, prix Nobel de son Institut new-yorkais, eugéniste.

III. Censure des véritables experts et des lanceurs d’alerte

III.1. La dépendance des médias grand public vis-à-vis des géants financiers américains entraine une disqualification des informations qui pourraient aller à l’encontre du plan mondialiste

Voici les propos très éclairants tenus par le journaliste enquêteur Laurent Mauduit, dans un article(([17] https://www.mediapart.fr/journal/economie/130218/les-milliardaires-de-la-presse-gaves-d-aides-publiques-et-privees?onglet=full)) datant du 13 février 2018, concernant les partenariats entre les médias grand public et les plateformes numériques dans le but de censurer l’information indépendante.

À propos du fact-checking :

« Ce type de nouvelle servitude acceptée par la presse française pose deux problèmes majeurs. Le premier est le lien de dépendance renforcé au plan financier vis-à-vis des géants américains de l’Internet dans lequel la presse française se place. Car accepter que Google et Facebook jouent ainsi un rôle majeur dans les circuits de l’information ne sera naturellement pas sans conséquence dans l’avenir :

Terrible situation de la presse française, sur laquelle une dizaine de milliardaires ont fait main basse et qui, comme cela ne suffisait pas, se jette dans les bras des oligopoles américains. (…)

En parallèle, une autre plateforme dont Google est partie prenante, et soutenue par Facebook, a également annoncé son lancement prochain : CrossCheck, au sein du projet First Draft. CrossCheck permettra au public de soumettre des questions et rassemblera les informations fournies par les seize médias français partenaires, dont à nouveau l’AFP, Le Monde, Libération, France Télévisions et France Médias Monde. (…)

Dans le cas du partenariat avec Facebook noué par ces journaux, un autre danger majeur plane : la transformation de la presse en auxiliaire ou en force supplétive des géants américains de l’Internet ; voire la constitution d’une sorte de police éditoriale, ayant un étrange pouvoir d’agrément ou de disqualification de certaines informations sensibles. ».

III.2. Le soutien des médias grand public au pouvoir politique

Les principaux détenteurs des médias grand public soutiennent le pouvoir politique pour des raisons économiques et financières.

Les médias grand public reçoivent les informations de Reuters ou de l’AFP. Cette dernière semble avoir reçu des fonds à hauteur de 45 millions de dollars de la part de la Fondation Bill & Melinda Gates, laquelle est au capital des sociétés pharmaceutiques Pfizer, BioNTech et Moderna.

Les géants du numérique tels que par exemple Google, Youtube, Facebook et Twitter, vérifient les faits et censurent les propos qui ne vont pas dans le sens des intérêts de leurs actionnaires, des géants financiers tels que Black Rock, Vanguard, la Fondation Bill & Melinda Gates, lesquels sont également au capital des laboratoires pharmaceutiques Pfizer et BioNTech.

La Fondation Bill & Melinda Gates, qui est au capital des laboratoires Pfizer et BioNTech est désormais le plus grand contributeur de l’OMS, laquelle force les populations à participer aux essais cliniques des laboratoires pharmaceutiques cités plus haut.(([18] https://youtu.be/BrHVeHGgg2Y))

Le professeur Mark qui a enseigné les médias, culture et communication à l’Université de New York pendant des années. Au cours de son témoignage devant le Grand Jury (session n°7, ce professeur a pu confirmer ces mécanismes de censure et a détaillé les modalités de financementles mécanismes de la propagande des médias et leur responsabilité dans le cadre de cette crise.(([19] https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/Mark-Crispin-Miller:d))

L’intervention de Mark Sharman, ancien directeur information Sky News, le 1er avril 2022, dans le cadre de l’émission « The Lockdown Inquiry » de la chaîne britannique GBN, corrobore les affirmations du Professeur Mark Crispin Miller.(([20] https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1/trim.0DE51587-9F25-44BB-9432-2C78AB0EA2C4:b))

Nous pouvons en déduire que les médias dominants et les plateformes de réseaux sociaux sont responsables :

  • de l’absence délibérée de pluralité des sources d’information et de la non application du principe du contradictoire afin de traiter de l’opportunité des mesures prises par le pouvoir exécutif et les instances internationales ;
  • de la censure, la stigmatisation, la discrimination et la disqualification soigneusement organisée à l’encontre des voix discordantes, dont les réels experts, les lanceurs d’alerte et les victimes.

Conclusion

Cet oligopole tentaculaire détient un pouvoir extraordinairement démesuré et abusif sur les nations et donc une emprise ô combien dangereuse et nocive pour les peuples.

En suivant cette idéologie mortifère, le pouvoir exécutif de chacun des États impliqués porte actuellement atteinte aux intérêts fondamentaux de leur Nation et mène le peuple au suicide collectif, ce qui nous a d’ailleurs amené à déposer une plainte contre ces dérives sectaires en France.





Les dits « démocrates » progressistes veulent limiter encore plus drastiquement la liberté d’expression

Par Gérard Delépine

L’Antidote à la Tyrannie est la Liberté1. Sauvons-la

Depuis deux ans, nous avons été abreuvés de mensonges d’état permanents tandis que s’instaurait une censure de plus en plus sévère empêchant tout débat « démocratique » et une persécution des opposants, digne des régimes totalitaires.

Mais cela ne suffit pas à ces prétendus « démocrates ( ??) » qui veulent imposer une censure mondiale plus stricte que jamais et osent même la proposer devant l’ONU !

Quelques exemples des mensonges que l’état nous a assénés

Souvenez-vous de l’épisode tragi-comique du masque d’abord inutile2 3 et impossible à utiliser correctement4 avant de devenir obligatoire pour tous. Pourtant il n’existe aucune étude scientifique qui démontre que le port généralisé du masque par les personnes asymptomatiques diminue les contaminations. La seule étude prospective randomisée publiée sur le sujet (Danmasq19) n’a d’ailleurs pas montré d’avantage significatif au port du masque 5 6.

Nous souffrons encore des séquelles des confinements présentés comme « notre seule option face à l’épidémie de coronavirus Covid-19 ». Depuis tous les experts mondiaux indépendants ont démontré qu’ils n’ont pas ralenti l’épidémie7 8 9 10 et qu’ils ont été la source d’une surmortalité collatérale importante11 et de dégâts sociétaux et économiques considérables. Même Delfraissy l’a reconnu dans un article du Lancet12 censuré par les médias en France.

Un des pires mensonges a été « Les fermetures d’école ont été efficaces ». Cette affirmation était fondée sur de simulations biaisées selon lesquelles les fermetures protégeraient les enfants, les enseignants et la collectivité en général. On savait dès le début de l’été 2020 que c’était faux.

La Suède qui a été le seul grand pays occidental à garder les écoles ouvertes tout au long du printemps 2020 sans masque, sans distanciation sociale, ni test de dépistage a démontré la totale inutilité de cette mesure13. Parmi les 1,8 million d’enfants suédois de 1 à 15 ans, il n’y a eu aucun décès lié à la COVID-19, seulement quelques hospitalisations, et les enseignants ne couraient pas un risque plus élevé de contracter la COVID-19 que la moyenne des autres professions.

Cependant les dégâts psychologiques et sur l’enseignement entraînés par les fermetures d’école ont été considérables14 15avec des retards d’apprentissage importants, de très nombreux décrochages scolaires et des problèmes psychologiques majeurs.

L’affirmation permanente que le dépistage de masse des personnes asymptomatiques et la recherche des contacts des cas positifs seraient efficaces pour réduire la propagation de la maladie n’est corroborée par aucune étude scientifique. Au contraire plusieurs études montrent que les tests effectués chez les asymptomatiques se révèlent être des faux positifs dans 97% des cas16 et que les dépistages massifs comme ceux de Wuhan17 sont inutiles, car aucun des asymptomatiques dépistés n’est tombé malade ni n’a contaminé quiconque. Effectuer des tests sur toute la population pour identifier des personnes asymptomatiques par un test biologique qui n’a pas été conçu pour cela est sans précédent dans l’histoire de l’humanité et coûte des sommes considérables18 qui auraient mieux utilisées pour renforcer les hôpitaux. Cette stratégie et a été source d’un absentéisme important à une période ou l’économie essayait de redémarrer.

Rappelez-vous les affirmations officielles que les vaccins seraient«  efficaces à 95%19 20 » et du slogan « tous vaccinés, tous protégés » démenties dès avril 2021 par le ministère lui-même lors de sa défense contre la plainte d’un vacciné qui se plaignait des restrictions21, puis par Jean-François Delfraissy22 « les vaccins protègent assez peu ou mal contre l’infection et la transmission » et surtout par les données officielles de l’OMS sur l’évolution de l’épidémie qui montrent que depuis la généralisation des injections le nombre moyen de contaminations mensuelles a été multiplié par 3.

Autre mensonge d’état auquel les pro-injections se cramponnent encore, la prétendue efficacité contre les formes graves pourtant totalement démentie par l’analyse de la mortalité covid, telle qu’elle est rapportée par les statistiques de l’OMS qui montrent que les pays les plus injectés (80%) d’Europe et d’Amérique souffrent d’une mortalité 25 fois plus élevée (5 millions vs 250000) que celle des Africains très peu vaccinés(<15%).

Et que penser du passe sanitaire présenté comme l’outil de la liberté sans risques, « une nouvelle chance pour la liberté », « une éthique de la liberté » que les membres du Conseil constitutionnel avaient validé « dans l’intérêt de la santé publique et aux seules fins de lutter contre la propagation de l’épidémie de covid-19 » avant que son pitoyable échec sanitaire ne fasse abandonner ce moyen de chantage et de discrimination par tous les états qui l’avaient imposé.

Comme le professait Goebbels un mensonge énoncé une fois est un mensonge ; répété mille fois, il devient la vérité. Grâce à l’expérience nazie, les gouvernants se sont rendu compte que les populations étaient capables de croire en n’importe quel message si celui-ci est suffisamment répété sans aucune contradiction sur les médias et toutes les institutions qui transmettent une idéologie, telles que l’école et l’université. Notre gouvernement sur les conseils de McKinsey a appliqué la recette de la propagande nazie et pour la rendre crédible a instauré une censure d’une intensité sans précédent récent.

Censure, diffamation et persécution des opposants dignes d’un état totalitaire

Dans les médias officiels, aucun débat contradictoire n’a été tenu sur le bien-fondé des mesures prétendument sanitaires même les plus idiotes comme l’interdiction de se promener seul en montagne en forêt ou sur les plages, ou l’interdiction de consommer debout…

Le gouvernement qui se sert des médias subventionnés et des agences prétendument indépendantes comme organes de propagande a créé un ministère de la vérité cher à Orwell appelé commission

Les opposants ont été systématiquement traités de complotistes, d’extrême droite et persécutés dans leur profession et parfois leur vie personnelle. Le professeur Perronne a été déchu de sa chefferie de service, l’avocate Virginie de Araujo-Recchia, a été arrêtée et mise en garde à vue23, un professeur interné en hôpital psychiatrique et de nombreux médecins exclus de leur profession pour avoir seulement parlé.

Même les représentants élus de la nation devraient se taire et ne pas dénoncer les mensonges d’état ! Le sénateur Houpert a été sanctionné d’une interdiction d’exercice de 9 mois24 par l’ordre des médecins pour avoir critiqué des aspects de la stratégie gouvernementale25. Martine Wonner ancienne député LREM peut craindre une condamnation ordinale, pour avoir affirmé des faits tels que le masque « ne sert strictement à rien », que les vaccins contre le Covid peuvent déclencher des « fausses couches », « de multiples cancers » et avoir participé au documentaire Hold Up.26

Tous faits pourtant avérés, mais on ne peut pas faire boire un âne qui n’a pas soif, ni demander d’analyser les données scientifiques à des conseillers de l’Ordre auto promus inquisiteurs du dogme officiel. Après la pensée unique, on veut nous imposer la parole unique !

Un état qui réprime autant la liberté de parole est-il encore démocratique ?

La liberté d’expression fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et est inscrite dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789 :

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ».

« L’article 11 de la Déclaration de 1789 va même encore plus loin en formulant  un  mode  d’emploi  concret de cette liberté, rappelant que :

« La libre  communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette  liberté  dans  les  cas  déterminés par la Loi ». 

La  formulation  n’est  pas  seulement  belle  et  solennelle. Elle est  puissante, car elle pose le  principe que la liberté d’expression est l’expression même de la liberté humaine ».27

Reprise depuis par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 :

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier :

« C’est la liberté la plus fondamentale, car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques ».

Même l’ONU s’est inquiétée des menaces contre la démocratie : Les États ne doivent pas abuser des mesures d’urgence pour supprimer les droits humains

Le 16 mars 2020, un communiqué commun des experts indépendants des droits de l’homme et d’autres rapporteurs spéciaux de l’ONU ont exhorté les États à éviter d’outrepasser les mesures sécuritaires dans leur réponse à l’épidémie de coronavirus et leur ont rappelé que le recours aux pouvoirs d’exception ne doit pas être utilisé pour étouffer la dissidence.

« Tout en reconnaissant la gravité de la crise sanitaire actuelle et en admettant que l’utilisation des pouvoirs d’urgence est autorisée par le droit international en réponse à des menaces importantes, nous rappelons aux États que toute réponse d’urgence au coronavirus doit être proportionnée, nécessaire et non discriminatoire », « certains États et institutions de sécurité peuvent trouver attrayante l’utilisation de pouvoirs d’urgence, car elle offre des raccourcis . Pour éviter que de tels pouvoirs excessifs ne soient intégrés dans les systèmes juridiques et politiques, les restrictions devraient être étroitement adaptées et constituer le moyen le moins intrusif possible pour protéger la santé publique ». 

Mais aux yeux des covidistes, la censure actuelle est insuffisante !

Nous avions déjà évoqué la censure croissante en juillet 202228 et depuis elle tend à s’aggraver. Lors de son discours du 23 septembre 2022 devant l’Assemblée générale des Nations unies, la Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern a appelé à une alliance internationale pour censurer les discours.

Après avoir reconnu la liberté d’expression (qui fait partie intégrante de la charte de l’ONU), elle a présenté un plan pour sa suppression par le biais d’une réglementation gouvernementale29 . Elle a défendu la nécessité d’une telle censure mondiale pour lutter contre ceux qui remettent en question le changement climatique et la nécessité d’arrêter « les rhétoriques et idéologies haineuses et dangereuses ». Pour elle, comme pour de trop nombreux dirigeants de pays qui se prétendent démocratiques toute contestation de leurs religions covidiste ou climatique serait haineuse et dangereuse !

Battons-nous contre les nouveaux tyrans qui avancent masqués

Ne soyons pas dupes des étiquettes ou des discours vantant la démocratie tenus par des dirigeants qui imposent des mesures restrictives des libertés. Ils se comportent en apprentis tyrans comme Hitler en 1936, Mussolini en 1922 ou Staline en 1922. À leur début tous ces dictateurs se présentaient aussi comme socialistes et prétendaient libérer le peuple.

Toute mesure restrictive de liberté est un acte de tyrannie. Aucune censure n’est légitime. Si nos gouvernants croient détenir la vérité, ils doivent pouvoir nous en convaincre et donc favoriser les débats démocratiques qui leur donneraient raison.

Nous gagnerons, car s’ils sont extrêmement puissants, ils ne sont que des milliers et nous sommes des milliards.

Il est encore temps d’empêcher la bête immonde de renaître. Battons-nous pour les libertés que nous ont léguées nos pères et que nous devons transmettre à nos enfants.





Harcèlement des lanceurs d’alerte : un appel collectif pour défendre le droit d’informer

[Source : coroinfo]

Cet article collectif est destiné à alerter la population et les responsables politiques sur un processus larvé de répression, mené par l’État français contre de nombreux lanceurs d’alerte critiques du narratif officiel sur le covid.

Au-delà de la répression de masse devenue banale dans ce pays (traque des citoyens pendant les rétentions de masse, censure, « suspensions » abusives, violences contre les manifestants…), nous assistons de plus en plus à une répression ciblée qui repose sur les moyens de l’État, ceux des contribuables, pour harceler des citoyens qui dérangent.

Les citoyens visés peuvent être des universitaires lanceurs d’alerte, ou des citoyens militants : des parents membres d’associations de défense des enfants contre les maltraitances institutionnelles établies au prétexte du covid sont convoqués par les services sociaux à la demande de plusieurs départements, à la suite d’obscurs « signalements », des chercheurs qui ont osé interroger les annonces officielles se retrouvent menacés sur le plan professionnel, on observe également des contrôles fiscaux aussi intempestifs que sévères, des sanctions financières, des pressions sur l’entourage, des calomnies publiques trop organisées en réseau pour ne pas être organisées… Cela, en France, pays décrit comme un “état de droit” par certains observateurs.

La méthode utilisée combine la censure par tous les moyens afin que l’opinion publique ne puisse pas les entendre, la calomnie, les menaces et le harcèlement administratif. Parce que les lois, le droit sont du côté des lanceurs d’alerte, l’État répressif utilise des moyens détournés, déjà utilisés par le passé contre d’autres lanceurs d’alerte, mais employés cette fois de manière beaucoup plus systématique.

Car dans ce qu’on appelle une « démocratie », les citoyens ont le droit de critiquer, ils ont même le droit à la satire, à la caricature, à l’ironie. En clair, ils ont le droit à la  « liberté d’expression ». Ils ont le droit de penser et de dire des choses qui sortent du cadre de la propagande et les citoyens ont le droit d’être informés.

Des représailles touchent pourtant plusieurs personnes qui émettent un autre discours sur la crise qui nous occupe en en ? dénonçant notamment la corruption, dont Vincent Pavan, Ariane Bilheran, Virginie de Araujo-Recchia, Emmanuelle Darles, Olivier soulier, etc. Certains par pudeur ne souhaitent pas exprimer publiquement leur situation personnelle mais nous constatons entre autres :

Calomnies, harcèlement privé par insultes et menaces, contrôles fiscaux sévères et harcèlement fiscal, pertes de salaire, clôture arbitraire et inopinée des comptes bancaires, perte d’accès à la sécurité sociale pour soi et ses proches, suspensions, etc.

Prenons plusieurs exemples :

  • Vincent Pavan : l’universitaire subit des sanctions professionnelles y compris sur le plan des rémunérations, avec interdiction d’enseigner.
  • Ariane Bilheran comme son entourage subissent régulièrement des pressions (ex. : menaces de mort au moment de sa dénonciation des textes de l’OMS), qui se sont fortement accentuées depuis le covid avec par exemple l’intervention des services fiscaux ou le fichage mensonger sur des sites calomnieux.
  • Emmanuelle Darles fait face à deux procédures disciplinaires en cours à l’Université, doublées d’atteintes à la vie privée, le tout dans un contexte délétère.
  • Maître Virginie De Araujo-Recchia est aussi victime de harcèlement administratif, ce qui a été jusqu’à une garde-à-vue avec saisie de matériel, ainsi que d’intimidations dans sa vie privée.
  • Olivier Soulier qui s’est vu qualifier de « gourou antivax » et ses coordonnées privées ont été diffusées dans un média de masse.

Pourquoi est-il aujourd’hui nécessaire de dénoncer ? Il ne s’agit pas de cas personnels, mais d’attaques contre la société dans son ensemble : si seule la parole du pouvoir compte et que plus personne n’ose poser de questions sur la place publique ni critiquer ou débattre, qu’adviendra-t-il de ceux qui n’osent pas parler ? Qui posera des limites quand les foudres d’un pouvoir à la dérive s’abattront sur eux ? Ce qui finira par arriver au rythme où vont les choses.

Cette répression mesquine n’en est pas moins extrêmement violente et elle se pare de la légitimité de l’État, celui qui est censé nous protéger tous. Elle est un problème majeur pour nous tous car elle montre que nous sommes en train de nous enfoncer dans l’obscurantisme comme dans des sables mouvants.

Ce glissement progressif vers le totalitarisme n’est pas terminé mais il avance : aujourd’hui l’exécutif se soucie-t-il des lois ? De la constitution ? Des principes généraux du droit ? De la réalité ?

Les attaques personnelles contre les lanceurs d’alerte, de manière à les éliminer du paysage social, préfigurent toujours une répression généralisée contre toute dissidence puis contre le peuple tout entier de façon arbitraire, et même bien souvent une guerre classique, de ces guerres sales qui pourrissent un pays pendant des générations. On l’a vu avec les dictatures en Amérique latine, les Nazis, l’URSS, les Khmers Rouges, le Rwanda, la Syrie…




Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales

[Source : Jeanne traduction]

📍1:55 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge – Portugal
Résumé de la session précédente

📍5:28 ▪︎ Reiner Fuellmich, avocat – Allemagne & Etats-Unis

📍39:53 ▪︎ Dipali Ojha, avocate – Inde

📍45:35 ▪︎ Dexter Ryneveldt, avocat – Afrique du Sud

📍1:20:07 ▪︎ Virginie de Araujo-Recchia, avocate – France

📍2:08:15 ▪︎ Michael Swinwood, avocat – Canada

📍2:35:04 ▪︎ Ana Garner, avocate – Etats-Unis

📍3:03:32 ▪︎ Leslie Manookian, ex banquière d’investissement, présidente et fondatrice du Health Freedom Defense Fund – Etats-Unis




Vidéos précédentes en ordre chronologique décroissant

Jour 7

📍00:13 ▪︎ Viviane Fischer, avocate – Allemagne
Introduction

📍00:47 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
Résumé de la session précédente

📍06:49 ▪︎ Matthias Desmet, jusqu’à récemment maître de conférences en psychothérapie psychanalytique au département de psychanalyse et de consultation clinique de l’université de Gand, auteur de « La Psychologie du Totalitarisme » – Belgique
Les mécanismes de la « formation de masse », processus typique des régimes totalitaires. Pourquoi les gens adhèrent et pourquoi leur est-il presque impossible d’en sortir ?

📍1:22:15 ▪︎ Mark Crispin Miller, professeur de médias, de culture et de communication à l’université de New York, spécialiste de la propagande – Etats-Unis
Le rôle de la propagande dans les systèmes totalitaires, comment elle est utilisée et comment elle fonctionne.




Jour 6

📍01:28 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 5e session

📍07:13 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de mise en esclavage de l’humanité à travers les modifications génétiques et le « développement durable »

📍42:40 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:11:33 ▪︎ Matthew Ehret, journaliste, conférencier et fondateur de la Canadian Patriot Review.
Poursuite de l’exposé de Patrick Wood

📍1:43:40 ▪︎ Questions à Matthew Ehret

📍1:55:39 ▪︎ Ilana Rachel David, citoyenne israélienne
Israël, la population juive encore une fois victime d’expérimentations médicales et de répression.

📍2:18:06 ▪︎ Questions à Ilana Rachel David

📍2:28:18 ▪︎ Avital Livny, citoyenne israélienne, réalisatrice du documentaire The Testimonies Project
Face à l’inaction des israéliens, Avital décide de réaliser elle-même un documentaire afin d’informer son peuple et les peuples du monde de la réalité de ce qu’il se passe en Israël, la même chose que chez nous.

📍2:54:49 ▪︎ Questions à Avital Livny

📍3:12:55 ▪︎ Vera Sharav, juive allemande survivante des camps nazis, fondatrice de l’organisation sans but lucratif « Alliance for Human Research Protection », opposée fermement à l’industrie pharmaceutique responsable en grande partie de ce qu’ils s’est passé dans les années 30-40 et de ce qu’il se passe aujourd’hui.
Le parallèle établi entre la seconde guerre mondiale et ce qu’il se passe dans le monde occidental et la grippe espagnole.

📍3:43:04 ▪︎ Questions à Vera Sharav

📍4:07:08 ▪︎ Conclusion




Jour 5

📍00:13 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 4e session

📍03:23 ▪︎ Reiner Füllmich,docteur en droit, avocat, Allemagne
Introduction

📍05:52 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de réorganisation scientifique du système socio-économique

📍40:50 ▪︎ Interview en caméra cachée de Chris Cole, haut responsable de la FDA, sur le projet du gouvernement étasunien (Biden) d’instaurer les injections anti-covid de façon permanente.

📍45:30 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:16:45 ▪︎ Vidéo : florilège de déclarations sur l’Internet des corps (IoB) tenues par des acteurs de la « 4e révolution industrielle »

📍1:25:20 ▪︎ Leslie Manookian, ancien cadre dirigeant d’institutions financières, auteure et productrice de documentaires, directrice du Health Freedom Defense Fund (association qui lutte contre l’injustice en matière de santé), formée à l’homéopathie, USA
La « pandémie de Covid », paravent pour la démolition contrôlée de notre système politique et économique

📍1:54:20 ▪︎ Questions à Leslie Manookian

📍2:35:56 ▪︎ 3 Videos de victimes des 💉
🎞 Video #1: à Nashville, Tennessee (USA), une infirmière a contracté une paralysie de Bell
🎞 Video #2: une femme est atteinte de convulsions
🎞 Video #3: à Johannesburg (South Africa), une femme a développé de l’amphisème ainsi que des problèmes articulaires.
(
 Explications du phénomène ici : https://bit.ly/3INJTyU)

📍2:42:13 ▪︎ Björn Pirrwitz, juriste & expert financier, Allemagne, Roumanie
Démolition du système financier : nature du système, origine et principales étapes du processus, conséquences de la crise de 2008 et aperçu du nouveau système

📍3:12:34 ▪︎ Questions à Björn Pirrwitz

📍3:31:50 ▪︎ Christian Kreiss, professeur d’économie et ancien banquier d’affaires, Allemagne, Costa Rica
Seule une démarche spirituelle nous permettra de sortir de la nouvelle crise du capitalisme qui se cache derrière le Covid.
… (interruption de l’exposé du prof. Kreiss à cause d’un problème de connexion internet)

📍3:54:00 ▪︎ Leslie Manookian

📍3:59:39 ▪︎ Patrick Wood

📍4:03:49 ▪︎ Ana Garner, avocate, USA

📍4:07:41 ▪︎ Reprise de l’exposé du prof. Kreiss

📍4:16:49 🎞 Video #4: Yuval Harari parle du « piratage du comportement des êtres humains »

📍4:19:10 ▪︎ Commentaires de Leslie Manookian, An Garner et Dexter L-J. Ryneveldt

📍4:21:42 ▪︎ Conclusion




Jour 4

📍00:13 ▪️ Introduction

📍01:00 : Video #1 : Bill Gate$

📍03:29 : Video #2 : Terrance Munsamy, 40 ans, Durban, Afrique du Sud, victime de l’ 💉 modRNA,

📍06:55 ▪️ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal : Résumé de la 3e session

📍11:47 ▪️ 1. Les injections anti-covid ▪️

📍11:53 ▪️ Alexandra Henrion-Caude, docteure en génétique, ancienne directrice de recherches, France
Aperçu général des problèmes

📍28:24 ▪️ Questions au dr Henrion-Caude

📍47:10 ▪️ Vanessa Schmidt-Krüger, docteure en biologie, spécialisée en biologie moléculaire et cellulaire ainsi que dans les maladies cardio-vasculaires, Allemagne
Intérêt des vaccins contre les coronavirus ?

📍47:50 : 1e partie : un taux de léthalité nettement inférieur au taux officiel

📍50:12 : 2e partie : nous possédons déjà une forte immunité croisée contre tous les coronavirus !

📍1:00:47 : 3e Partie : les 💉 sont inefficaces et inutiles !

📍1:08:38 ▪️ Deanna McLeod, directrice de Kaleidoscope Strategic Inc., formation en immunologie et psychologie, Canada
Conception, mise en oeuvre et résultat des essais cliniques Pfizer

📍1:39:17 ▪️ Prof. em. Sucharit Bhakdi, docteur en médecine, microbiologiste, immunologiste et épidemiologiste, Allemagne

📍2:00:51 ▪️ Dr. Mike Yeadon, biologiste, immunologiste, toxicologue, biochimiste, ancien directeur scientifique du département maladies respiratoires chez Pfizer et ancien vice président de Pfizer, UK / USA
Quelle pouvait être l’intention pour vouloir fabriquer un « vaccin » 1) à partir de la pire des parties possibles du virus SARS-COV-2 et 2) dans un délai totalement insuffisant pour en garantir la standardisation et la sécurité ?

📍2:32:15 ▪️ Prof. Dr. Antionietta Gatti, physicienne et bio-ingenieure, nano-pathologiste, Italie
Composition chimique inattendue des injections expérimentales anti-covid

📍2:56:07 ▪️ Prof. em. Arne Burkhardt, docteur en médecine, anatomopathologiste, Allemagne
Autopsie des personnes décédées et étude histologique des complications en lien avec les injections anti-covid

📍3:33:11 ▪️ Prof. em. Dr. Ing. Werner Bergholz, professeur en ingénierie électrique et en gestion de la qualité et du risque, Allemagne
Injections covid-19 et conformité aux règles de contrôle qualité

📍3:51:40 ▪️ Questions

📍4:06:45 ▪️ Virginie de Araujo Recchia, avocate, France: Conclusion

📍4:13:39 ▪️ 2. La guerre psychologique ▪️

📍4:14:20 ▪️ Meredith Miller, coach & auteure spécialisée dans les traumatismes, USA
Principes du syndrôme de Stockholm et de la dissonance cognitive

📍4:37:44 ▪️ Ariane Bilheran, philosophe, psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie, France
Une dérive totalitaire qui repose sur le délire paranoïaque

📍5:13:48 ▪️ Questions

📍5:49:00 ▪️ Conclusion




Jour 3

📍 Introduction – début à 7:37

📍 Astrid Stuckelberger – 7:37 à 44:05
Les conflits d’intérêt autour du test PCR entre Drosten, la Charité de Berlin, GAVI, l’OMS.

📍 Ulrike Kämerrer – 44:05 à 1:31:44
Le fonctionnement et le rôle exacts du test PCR.

📍 Sonia Pekova – 1:31:44 à 2:13:29
Les différents génomes du virus, l’interdiction d’utiliser ses propres tests covid en République Tchèque et le trafic des résultats.

📍 Bryan Ardis – 2:13:29 à 3:19:45
Le Remdesivir, ou comment les hôpitaux ont littéralement tué des gens avec un « traitement » supposé les sauver.

📍 John O’Looney – 3:19:47 à 3:44:13
Directeur de pompe funèbre, il observe qu’il n’y a pas eu de surmortalité avant le début des campagnes d’injection ; alors qu’après la campagne elle a augmenté de 300% au Royaume-Uni. Il témoigne également de son séjour à l’hôpital où ils ont essayé de le tuer.

📍 Shankara Chetty – 3:44:47 à la fin
L’expérience d’un médecin généraliste Sud Africain, l’omerta sur les réels traitements.




Jour 2

📍Alex Thomson : 00:12 à 46:47
👉 L’emprise de l’Empire britannique et de l’influence de la City de Londres sur le monde à partir du 19e siècle. Les élites britanniques souhaitaient façonner le monde à leur image à travers la colonisation et le contrôle de l’espace mental.

📍Matthew Ehret : 46:48 à 1:57:54
👉 L’empreinte omniprésente de l’Empire britannique et de la City de Londres dans les affaires géopolitiques mondiales du 19eme siècle à l’époque contemporaine – l’exemple du Canada.

📍Brian Gerrish & Debbie Evans : 1:57:54 à 3:03:08
👉 Après une carrière dans la Royal Navy britannique, Brian gerrish se penche sur la corruption qui gangrène les villes britanniques. Ses recherches l’amènent à constater que la corruption est à tous les niveaux et dans toutes les institutions de la société. La crise du Covis 19 n’est qu’une continuité, nous dit il, d’un plan mafieux établit déjà en 1940 pour sournoisement changer le comportement des populations, afin de faciliter le consentement dans la perte des libertés, par des méthodes de manipulations psychologiques sophistiquées. Avec à l’appui plusieurs documents, il vient nous exposer l’étendu de cette manipulation de masse et ses conséquences catastrophiques pour le futur si elles ne sont pas exposées, combattues et stoppées
👉 Dans son intervention Debbie Evans, chercheur médical et ancienne conseillère au ministère de la santé britannique, développe plus en détail les conflits d’intérêt entre les laboratoires criminels et les différentes universités les plus prestigieuses britanniques. Elle démontre comment toutes les plus hautes institutions médicales sont totalement corrompues et préoccupées avant tout à faire des profits immenses au détriment de la santé des populations, avec pour finalité une volonté de dépopulation mondiale significative.

📍Whitney Webb & James Bush : 3:03:09 à 4:29:01
👉 Whitney Webb, journaliste d’investigation, évoque le rôle de la Chine dans le nouvel ordre mondial. Elle évoque également les simulations de pandémie comme Dark Winter.
👉 James Bush, retraité de la Navy et ayant participé à l’opération Dark Winter vient décrire les différentes simulations de pandémie qui ont lieu depuis plusieurs décennies : Dark Winter, Crimson Contagion, Operation Lockstep et l’Event 201. Nous retrouvons encore les mêmes acteurs, avec les mêmes idées.

📍Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger : 4:29:01 à 5:46:22
👉 Ayant toutes deux travaillé à l’OMS, elles nous expliquent son rôle dans la crise du covid-19, ainsi que sa tentative de coup d’Etat mondial, via une constitution unique imposée grâce à un état d’urgence sanitaire.

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Jour 1

Procédure du Grand Jury par le Tribunal D’opinion Publique des Peuples
Renforcer la conscience publique par le droit naturel
L’injustice faite à un seul est une injustice faite à tous

Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons par la présente une enquête criminelle sur le modèle de la procédure du Grand Jury des États-Unis.
Cette enquête du Grand Jury sert de modèle de procédure légale pour présenter à un jury (composé des citoyens du monde) toutes les preuves disponibles des Crimes contre l’Humanité du COVID-19 à ce jour contre les « leaders, organisateurs, instigateurs et complices » qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.
Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans le cadre d’un plan commun visant à commettre des crimes contre l’humanité, et tous les actes criminels de ce type condamnés par les différentes communautés de jurés dans le monde.

Cette enquête est menée par le peuple, par le peuple et pour le peuple et sera désignée sous le nom de « Tribunal d’opinion publique des peuples ».
N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel.
Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal, et le bien du mal.

L’allégation est que les gouvernements du monde sont passés sous l’influence de structures de pouvoir corrompues et criminelles.
Ils se sont concertés pour mettre en scène une pandémie qu’ils planifiaient depuis des années. À cette fin, ils ont délibérément créé une panique de masse par le biais de fausses déclarations de faits et d’une opération psychologique socialement élaborée dont les messages ont été transmis par les médias d’entreprise.

Le but de cette panique de masse était de persuader la population d’accepter les soi-disant « vaccinations » qui, entre-temps, se sont avérées ni efficaces, ni sûres, mais extrêmement dangereuses, voire mortelles.

Les dommages économiques, sociaux et sanitaires que ces crimes contre l’humanité ont causés à la population mondiale se mesurent en quadrillions de dollars.

Les avocats énumérés ci-dessous, avec l’aide d’un certain nombre de scientifiques et d’experts très respectés du monde entier et sous les auspices d’un juge du Portugal,
mèneront cette enquête de grand jury et fourniront ainsi au jury (les citoyens du monde) une image complète de ces crimes contre l’humanité.

L’objectif de l’enquête du « Tribunal populaire de l’opinion publique » est double : D’une part, il s’agit de servir de modèle de procédure et d’obtenir des inculpations contre certaines des figures de proue pénalement et civilement responsables de ces Crimes contre l’Humanité.
Et d’autre part, il s’agit – en montrant une image complète de ce à quoi nous sommes confrontés, y compris le contexte géopolitique et historique – de créer une prise de conscience sur l’effondrement réel du système actuel, détourné, et de ses institutions, et, par conséquent la nécessité pour les peuples eux-mêmes de reprendre leur souveraineté, et la nécessité d’arrêter d’abord les mesures de cette pandémie en refusant de s’y conformer, et la nécessité de lancer leur propre nouveau système de soins de santé, d’éducation, d’économie et de justice, afin de rétablir la démocratie et l’État de droit sur la base de nos constitutions.



Transcription complète

Grand Jury – Session 1

  • Viviane Fischer — Avocate d’Allemagne
  • Ana Garner — Avocate des États-Unis
  • Rui Fonseca e Castro — Juge du Portugal
  • Deana Sacks — Avocate des États-Unis
  • Reiner Fuellmich — Avocat des États-Unis et d’Allemagne
  • Dipali Ojha — Avocate d’Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt — Avocat d’Afrique du Sud

00:17 Viviane Fischer :

Bonjour et bienvenue au premier jour de la procédure du grand jury. Nous sommes ici dans une salle qui a été spécialement construite à cet effet, pour entendre des témoins et des experts sur ce qui s’est passé dans la crise de Corona. Et nous sommes reliés à un groupe international d’avocats. Et pour commencer, je donne la parole à l’avocate Ena Garner des États-Unis d’Amérique.

00:46 Ana Garner :

Merci Viviane. C’est un honneur et un plaisir pour moi de participer à cette enquête du grand jury international. Un grand jury criminel contre certains des auteurs qui, dans une collaboration criminelle mondiale, ont commis des crimes contre l’humanité sur la population mondiale entière sous la forme d’une pandémie planifiée appelée Covid-19. Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête du grand jury sert de modèle de procédure légale, pour présenter à un jury composé de citoyens du monde, toutes les preuves disponibles du crime contre l’humanité qu’est le Covid-19, à ce jour contre les dirigeants, organisateurs, instigateurs et complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.

Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans la poursuite d’un dessein commun, de commettre des crimes contre l’humanité, et tous ces actes criminels condamnés dans les différentes communautés de jurés à travers le monde. Cette enquête est du peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle sera désignée sous le nom de « Tribunal de l’opinion publique ». N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel. Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal et ce qui est bon ou mauvais. Cette procédure pourrait être l’un des événements extrajudiciaires les plus importants de l’année.

Nous, en tant que groupe d’avocats internationaux, présenterons des preuves réelles provenant de vrais experts, tels que des scientifiques, des historiens, des médecins, ainsi que des victimes. Il n’y a pas d’acteurs dans cette présentation, seulement des personnes réelles qui désirent apporter la justice au monde. Et nous avons besoin de votre aide. La raison de la mise en place d’un processus de grand jury est que notre monde est à un stade critique de l’humanité, qui dépendra du réveil de tous les peuples, afin inverser un cours qui pourrait modifier à jamais la façon dont nous vivons en tant qu’humains libres, nous devons inverser la trajectoire de ce cours maintenant. Et la représentation d’une enquête du grand jury est le moyen le plus rapide que nous connaissons pour apporter les preuves devant le tribunal public du monde. Vous, le peuple. Aux États-Unis, seuls les procureurs de district ou les procureurs généraux des différents États sont autorisés à engager de telles procédures pénales. Mais comme personne ne l’a fait aux États-Unis, nous venons vous présenter les preuves sous une forme calquée sur ce type de procédure judiciaire qui est courante aux États-Unis.

Nous basons ce modèle sur le grand jury pénal américain. En général, le grand jury détermine si les preuves sont suffisantes pour prononcer une mise en accusation criminelle contre un ou plusieurs accusés. Il se déroule à huis clos, et ni l’accusé ni son avocat ne sont présents dans ce type de procédure. Cependant, nous effectuons ce processus sous les yeux du tribunal de l’opinion publique. Vous, le peuple. Le but de cette enquête est de révéler les preuves qui pourraient être utilisées dans ce type de procédure dans votre juridiction. Nous vous invitons à nous rejoindre dans une transparence ouverte en utilisant de vraies preuves, de vrais avocats, un vrai juge et de vrais témoins experts, qui pourraient être présentés dans une véritable procédure de grand jury criminel devant les tribunaux des États-Unis. L’histoire de la réussite de ce pays a été écrite par des personnes qui ont fait confiance à la gouvernance constitutionnelle pour le peuple. Nos ancêtres ont relevé les défis épiques de notre histoire sur la base de notre Constitution. C’est cette Constitution et sa reconnaissance des droits et libertés naturels qui ont libéré des êtres humains libres du joug de la Couronne britannique. Par conséquent, reconnaissant l’urgence, nous vous demanderons, en tant que tribunal de l’opinion publique, d’examiner les preuves présentées, afin de réclamer nos droits et libertés accordés à chaque personne dans ce pays et dans le monde à la fin de cette procédure.

5:34 Viviane Fischer :

Merci, Mme Garner, je voudrais me tourner vers le juge Rui Fonseca e Castro, qui préside cette procédure. Monsieur Fonsesca, bonjour.

5:47 Rui Fonseca e Castro :

La légitimité du tribunal de l’opinion publique s’appuie sur le Droit Naturel. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à l’effondrement fulgurant de l’État de droit démocratique. Au nom d’une idée de biens communs qui n’a jamais été entérinée, les droits et libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés, et nous pouvons déjà sentir l’approche d’une gigantesque vague de victimes. Les systèmes judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions. C’est-à-dire qu’il n’y a plus de juges à Berlin.

Devons-nous attendre sans rien faire que nous soyons complètement anéantis ? Ou plutôt, assumer nos responsabilités en tant que membres de nos communautés ? C’est notre droit et surtout notre devoir, envers le peuple et les générations futures de résister à l’oppression et à la tyrannie. La loi naturelle, immanente pour les êtres humains, indépendamment de sa positivité, nous donne des droits sacrés de résistance à l’oppression. Si les Constitutions sont la source des droits et libertés fondamentaux, le droit naturel est sa source originelle.

Le droit naturel confère au peuple la légitimité de défendre les droits et libertés fondamentaux, face à des États devenus tyranniques. Nous voyons bien maintenant l’incapacité des systèmes de justice nationaux et internationaux à protéger les peuples contre la tyrannie qui s’est installée. C’est donc dans le droit naturel, et le droit non écrit inhérent à la condition humaine que ce tribunal de l’opinion publique trouve sa légitimité pour engager la procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui. Merci.

8:10 Viviane Fischer :

Merci pour cette introduction, M. le juge Fonseca e Castro. Je voudrais maintenant donner la parole à l’avocate Diana Paula Sachs des États-Unis d’Amérique.

8:34 Deana Pollard Sacs :

Bonjour. Je m’appelle Deana Pollard Sacs, et depuis 22 ans, je suis professeur de droit, spécialiste de la constitution, militante des droits civils et avocate. Je suis ici aujourd’hui pour discuter de l’origine de notre clause de liberté, qui remonte à la loi naturelle, et pour expliquer pourquoi les vaccins Covid-19 sont tous inconstitutionnels selon notre jurisprudence historique. Le 4 juillet 1776, nos Pères Fondateurs ont signé la Déclaration d’Indépendance. Et voici ce qu’ils ont dit :

« Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

En 1891, notre Cour suprême, dans une affaire appelée Botsford, a expliqué que la liberté médicale est inaliénable et constitue l’un des droits les plus précieux que nous puissions avoir.

Ils ont dit :

« Aucun droit n’est considéré comme plus sacré ou n’est plus soigneusement gardé par la “Common Law” que le droit de chaque individu à la possession et au contrôle de sa propre personne, libre de toute contrainte ou interférence d’autrui, à moins que par une autorité claire et incontestable de la loi, le droit d’une personne puisse être considéré comme un droit d’immunité totale, à laisser en paix ».

En 1914, le juge Cordozo, qui devint plus tard juge à la Cour suprême des États-Unis, s’exprimait ainsi :

« Tout être humain adulte et sain d’esprit a le droit de déterminer ce qu’il doit faire de son propre corps, et un chirurgien qui pratique une opération sans le consentement de son patient commet une agression pour laquelle il est responsable des dommages. »

Ces mêmes concepts et déclarations textuelles de nos tribunaux ont été réitérés au fil des décennies. En 1990, par exemple, dans une affaire appelée Cruzan contre le directeur du département de la santé du Missouri, la Cour suprême a essentiellement affirmé que chaque individu a le droit de refuser un traitement médical. Cela remonte à la common law anglaise. Et voici ce que le juge Brennan a dit dans l’affaire Cruzan :

« Le droit anglo-américain part du principe d’une autonomie complète. Il s’ensuit que chaque homme est considéré comme le maître de son propre corps, et qu’il peut, s’il est sain d’esprit, interdire expressément l’exécution d’une intervention chirurgicale destinée à sauver sa vie ou tout autre traitement médical. »

Comment se fait-il alors que nos gouvernements nous imposent un traitement médical sans consentement, pas un vrai consentement. Ils contraignent nos concitoyens à prendre un vaccin de nature expérimentale sous la menace de perdre leurs moyens de subsistance, leurs maisons et leur éducation. Eh bien, notre gouvernement s’appuie sur une affaire appelée Jacobson contre Massachusetts. Je vais donc vous expliquer ce cas et vous dire pourquoi il va dans notre sens, à savoir que nous avons le droit de choisir la médecine et les traitements médicaux pour notre corps. L’affaire ne soutient pas les fabricants de vaccins et ne soutient pas les mandats de vaccination. En 1902, lors d’une petite pandémie pop qui a tué des centaines de millions de personnes dans le monde, l’État du Massachusetts a adopté une loi stipulant que chaque personne devait être vaccinée contre la variole ou payer une amende de cinq dollars. C’est exactement ce que disait la loi. C’était une loi du type « soit ou » donnant aux gens l’option de payer une amende de 5 dollars s’ils ne veulent pas se faire vacciner.

M. Jacobson pensait que sa liberté d’action le protégeait à la fois de la vaccination et du paiement de l’amende de 5 dollars. Il est donc allé jusqu’à la Cour suprême des États-Unis après avoir payé l’amende de 5 $ et a voulu récupérer son argent. Et la Cour suprême a examiné les preuves médicales. Le vaccin contre la variole était utilisé depuis 100 ans. Il était utilisé dans le monde entier avec une grande efficacité et permettait d’enrayer l’une des pires pandémies de l’histoire du monde. Après avoir examiné attentivement les preuves médicales, après avoir formulé des conclusions concernant l’efficacité et l’innocuité du vaccin et la nécessité du vaccin antivariolique, le tribunal a décidé que M. Jacobson ne pouvait pas récupérer ses 5 $. Maintenant, gardez à l’esprit que M. Jacobson pensait qu’il était dans l’intérêt de la liberté de circuler en ville et d’être vu dans toute la ville sans être vacciné. Il a donc fait étalage du fait qu’il n’était pas vacciné parce qu’il croyait avoir le droit de sortir et de se promener sans le traitement médical qu’il ne voulait pas. Et donc l’opinion de la cour était basée sur tous ces faits. Ces faits ne soutiennent pas les mandats Covid aujourd’hui. En fait, l’une des dernières choses que la cour a dites dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts, et je cite, nous décidons maintenant seulement que la loi couvre le cas présent et que rien n’apparaît clairement qui justifierait que cette cour la considère comme inconstitutionnelle et inopérante dans son application au plaignant M. Jacobson. Il y a plusieurs raisons expliquant pourquoi M. Jacobson ne cautionne pas les mandats de vaccination proposés aujourd’hui concernant le coronavirus.

Tout d’abord, il y a une énorme différence concernant les risques publics encourus. La pandémie de variole tuait jusqu’à 60 % des personnes dans les villages où elle sévissait. Entre 20 et 60 % des gens mouraient, soit un taux de mortalité global d’environ 30 %. À certaines périodes, plus de 90 % des bébés exposés à la variole mouraient. Maintenant, comparez ça au Covid-19, il tue une minuscule fraction de 1 % des gens. Le risque public n’est même pas comparable.

La deuxième chose est que les vaccins Covid-19 ne sont pas vraiment des vaccins. Contrairement à l’histoire des vaccins, qui arrêtaient l’infection et la transmission, ces vaccins ne font ni l’un ni l’autre. Ces vaccins expérimentaux n’existent pas depuis 100 ans. Ils n’ont pas été essayés et testés, et nos concitoyens sont soumis à des vaccins expérimentaux alors qu’aucun d’entre nous ne sait vraiment quels en seront les effets à long terme. Et enfin, la loi dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts donnait la possibilité aux gens de payer 5 $. Aujourd’hui, cela reviendrait à un peu moins de 150 $. Comparez cela à des gens qui perdent leur gagne-pain, tout ce pour quoi ils ont travaillé, leur maison et leur étude universitaire parce qu’ils refusent de se soumettre à un vaccin expérimental. Il n’y a tout simplement aucune comparaison possible. Jacobson contre Massachusetts ne soutient pas les fabricants de vaccins ni les obligations en matière de vaccins. Alors certains d’entre vous se demandent peut-être pourquoi les mandats de vaccination du Covid n’ont pas été déclarés totalement inconstitutionnels ?

Eh bien, certains l’ont été. Mais il y en a un qui a résisté à l’examen de la Cour suprême le 13 janvier 2022. Je veux donc expliquer que, tout d’abord, le mandat de vaccination des travailleurs de la santé découle de la clause sur les impôts et les dépenses de la Constitution américaine, qui se trouve à l’article 1, section 8. Le Congrès a toujours eu une grande latitude pour imposer des conditions aux fonds fédéraux. Donc vous prenez l’aigre avec le doux. Et si vous voulez de l’argent fédéral, vous devez vous soumettre aux conditions du Congrès. Tout au long de l’histoire, le Congrès a été autorisé à mettre des conditions à la réception des fonds de Medicare et de l’assurance-maladie et a spécifiquement autorisé des conditions pour limiter la transmission des maladies transmissibles. Malgré tout, l’opinion était de cinq contre quatre, avec seulement cinq juges convenant que le mandat de vaccination pour les travailleurs de la santé a passé le test initial pour voir si oui ou non la cour arrêterait l’application du mandat de vaccination. Mais la vraie question est, comme l’a indiqué le juge Thomas, pourquoi l’efficacité du vaccin n’a-t-elle pas été prise en compte ? Elle n’a pas été prise en compte. Et le juge Thomas l’a dit très clairement dans sa position dissidente, rejointe par trois autres juges. La raison pour laquelle l’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été prises en compte est que la question n’était pas devant la Cour. Sur les 22 États qui ont contesté le mandat de vaccination, aucun n’a affirmé que le mandat violait la clause de liberté. La clause de liberté est l’endroit où nous trouvons nos libertés médicales. Tout au long de l’histoire, la clause de liberté a été utilisée pour nous protéger contre des procédures médicales non désirées et même pour nous permettre d’exiger les actes médicaux que nous souhaitons.

Vous verrez donc derrière moi une photo de la Cour suprême des États-Unis. J’ai été confronté au fait que, lorsque nos juges se verront présenter les faits médicaux concernant l’efficacité du vaccin, la nécessité du vaccin et la manière dont nos gouvernements intimident et contraignent les gens à se faire vacciner contre leur gré, la Cour soutiendra nos droits à la liberté et déclarera tous les vaccins inconstitutionnels. Plus tard dans la journée et dans les jours qui suivent, vous entendrez un certain nombre de professionnels de la santé expliquer pourquoi ce vaccin n’a rien à voir avec les vaccins du passé. Je vous encourage donc à rester à l’écoute et je vous remercie de nous avoir suivis.

18:12 Viviane Fischer :

Merci, Mme Deana Pollard Sacs, pour votre déclaration introductive. Je voudrais maintenant donner la parole au Dr Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne, pour une présentation générale.

18:25 Reiner Fuellmich :

Merci. Bonjour. Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importante. Cette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultime, qui est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement in-efficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui. Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en main par l’autre partie par le biais de leur principale plate — forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.

Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Or-ganisation mondiale de la santé, Bill Gates, BlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.

Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Courts, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, — la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. Après nos déclarations préliminaires, nous commencerons dans une semaine par appeler d’anciens membres de l’armée américaine, James Bush, qui a participé à l’opération Dark Winter en 2001, d’anciens membres des services de renseignement britanniques Brian Gerrish et Alex Thompson, et les journalistes d’investigation Whitney Web et Matthew Erett, et d’anciens employés et conseillers de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Sylvia Barront et le Dr Astrid Stuckelberger. Ils nous expliqueront le contexte historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes confrontés, et ils nous montreront comment cet agenda a été planifié depuis au moins 20 ans, en commençant par l’opération Dark Winter en 2001, et une dizaine d’années plus tard, le scénario lockstep de la Fondation Rockefeller, pour finir par la répétition générale, l’Event 201 en octobre 2019. Et ils expliqueront comment, alors qu’il n’y avait pas de cas — ce dont ils avaient besoin pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, ils les ont créés. En demandant à l’accusé Drosten d’inventer l’histoire des infections asymptomatiques qui n’existent pas, et comment ce test PCR peut détecter par un dépistage de masse de personnes parfaitement saines, celles qui sont infectées, c’est un mensonge, comme nous le montrerons.

Nous poursuivrons avec le prochain groupe de témoins, le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue expérimenté et ancien membre du Bundestag allemand et du Conseil de l’Europe, qui a réussi à démasquer la première tentative de pandémie de la partie adverse, la grippe porcine d’il y a douze ans, comme une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kammërer, biologiste de l’université de Vertzbroke, le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, le docteur Sylvia Barront, le docteur Astrid Stuckelberger, le professeur Dolores Chill de l’université de Dublin, le professeur Antonia Tagati d’Italie, le professeur Berkholtz d’Allemagne. Ces experts vont nous expliquer ce qui se cache derrière la légende de l’épidémie du marché humide de Wuhan. Ils montreront que le virus n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire. Le test PCR ne peut rien nous dire sur les infections, mais il est la seule base de toutes les mesures anti-Corona, y compris la mesure ultime, les soi-disant vaccins. Et les soi-disant vaccins sont non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereux. Indépendamment de l’origine naturelle ou humaine du virus, notre système immunitaire est parfaitement capable de faire face au virus, comme le prouve un taux de létalité des infections compris entre 0,4 ou 0,5 % ou même moins. Il n’y a eu aucune surmortalité nulle part, avant le début des injections expérimentales. Il n’y a même pas eu de cas au début de 2020. Cependant, ils avaient besoin de cas pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, car c’était la seule base sur laquelle il serait possible, selon leurs propres règles inventées et acceptées par tous les gouvernements des États membres de l’Organisation mondiale de la santé, d’utiliser de nouveaux médicaments non testés — les injections expérimentales — sur des personnes.

Après une première tentative ratée d’annoncer cette urgence de santé publique de portée internationale parce qu’il n’y avait pas de cas, ils ont réessayé fin janvier 2020 après avoir créé des cas à l’aide de ce désormais tristement célèbre test PCR de Drosten, et ont annoncé cette urgence de santé publique de portée internationale deux semaines plus tard. Ces experts nous diront que ces cas étaient presque tous des résultats de tests faussement positifs, rien d’autre.

Le prochain groupe d’experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Artist du Texas, du Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wodarg d’Allemagne et de John O’Looney, Undertaker d’Angleterre. Ces experts nous expliqueront comment, dès le départ, nous avons été les témoins d’une interdiction délibérée et totalement insensée des méthodes normales, efficaces et sûres de traitement des maladies respiratoires et, à la place, à une obligation de traitements qui doivent aujourd’hui être considérés comme des fautes médicales graves. Intubation, Remdesivir, Midazolam.

John O’Looney expliquera comment il a d’abord cru les allégations de l’autre partie concernant une pandémie, et a même aidé la BBC à diffuser sa propagande de panique, jusqu’à ce qu’il réalise que sous le couvert de la pandémie, des gens étaient tués intentionnellement.

Nous appellerons ensuite le groupe suivant d’experts, dont le professeur Alexandra Henrion Caude de France, le Dr Mike Yeadon, le professeur Sucharit Bhakdi d’Allemagne, le professeur Luc Montagnier de France, le Dr Vanessa Schmidt Kruga d’Allemagne, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin ARNm des États-Unis, et la professeur Anna Blochat, pathologiste d’Allemagne. Ils nous montreront que si le virus n’a pas provoqué de surmortalité, son taux de survie est de 99,97 %. Les injections tuent maintenant des gens et ont causé une surmortalité allant jusqu’à 40 % depuis septembre, en raison d’un empoisonnement par la protéine spike et de l’arrêt de notre système immunitaire.

Le Dr Mike Yeadon nous expliquera comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des dosages mortels, pour voir comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés de manière à ce que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui se passe.

Le groupe d’experts suivant nous expliquera comment on a pu en arriver là. Ce groupe comprend le professeur Matthias Desmond de Belgique, le docteur Ariane Bilheran de France, le docteur Meredith Miller des États — Unis, le professeur Harald Walach d’Allemagne et Stefan Kuhn, employé du ministère allemand de l’Intérieur. Ces experts nous expliqueront comment l’autre partie, après avoir établi rapidement l’urgence de santé publique de portée internationale, nous a présenté le confinement, les obligations absurdes et dangereuses du port du masque et la distanciation sociale très nuisible, à la fois physiquement et psychologiquement, jusqu’à ce qu’ils arrivent à leur objectif ultime, les injections inefficaces et dangereuses, voire mortelles. Et ils nous expliqueront en détail comment notre consentement à tout cela a été rendu possible par une gigantesque opération psychologique dont le message de panique nous a été transmis par la propagande implacable des médias grand public et de nos politiciens, tous deux détenus par l’autre camp.

Le groupe d’experts suivant comprend Leslie Manukin, ancienne banquière d’affaires américaine, Naomi Wolf, journaliste et auteur américaine, Anzwef, économiste allemand, le professeur Christian Christ, économiste allemand, le professeur Hogareko, économiste allemand, et Marcus Karl, économiste allemand. Ces experts nous expliqueront en détail la destruction intentionnelle de nos économies et la manière dont l’autre camp travaille à un crash contrôlé du système financier afin d’échapper aux crimes qu’il a déjà commis au cours des dix dernières années, des décennies de pillage de nos caisses publiques jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, et d’introduire une Banque Mondiale Unique, une monnaie numérique et un passeport numérique.

Le dernier groupe d’experts comprend Matthew Erett, un journaliste d’investigation du Canada, Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, Ilana Rachel Daniel d’Israël, le rabbin Smith de New York, Patrick Wood, un expert en technocratie des États-Unis, Avital Livni d’Israël. Dans la dernière partie de l’enquête, ces experts nous expliqueront comment une partie importante du programme de l’autre camp est liée au contrôle de la population, ou plutôt à l’eugénisme. Après la Seconde Guerre mondiale, l’eugénisme avait mauvaise réputation, comme l’a dit Julian Huxley, qui a fondé l’ensemble de l’UNESCO. Mais lui et le très grand groupe de personnes qui soutenaient l’idée de l’eugénisme allaient bientôt pouvoir poursuivre leurs efforts dans ce sens, il l’a expliqué ouvertement.

Les parallèles entre ce qui s’est passé il y a 80 ans et ce qui se passe maintenant ne doivent pas être ignorés. Vera Sharav nous le rappellera.

Après avoir entendu toutes les preuves, nous ne doutons pas que vous recommanderez des actes d’accusation contre tous nos défendeurs putatifs pour crimes contre l’humanité. Merci.

36:30 Viviane Fischer :

Merci pour cette vue d’ensemble et aussi pour nous avoir donné un aperçu de l’ensemble des experts que nous allons entendre. Je voudrais maintenant revenir à l’avocate Ena Garner des États-Unis, pour nous donner plus d’informations sur le test PCR.

36:52 Ana Garner :

Merci. Pour comprendre l’énormité de la planification de cette collaboration criminelle à l’échelle mondiale, nous devons commencer par la base de la pandémie. C’était un gros mensonge. C’était un mensonge pour les gouvernements du monde de déclarer, presque à l’unisson, une pandémie mondiale. Un mot comme tant d’autres impliqués dans ce récit officiel, dont la définition a été modifiée pour répondre aux objectifs du programme.

Plus précisément, ce dont je voulais parler, c’est du grand mensonge basé sur le test PCR, sur les tests. Ce n’est pas une pandémie, mais une « casedémie ». Les informations qui nous ont été données par le CDC et la FDA sur le test PCR sont manifestement fausses, et nous aurons des éléments pour le prouver. En fait, cette méthode n’est pas du tout un test, pas un test de diagnostic, mais une technologie de fabrication génétique, qui recherche des bribes de code spécifiques et les amplifie en les doublant à chaque cycle. Son inventeur, Karry Mullis, qui a obtenu un prix Nobel pour le procédé qu’il a inventé, a déclaré qu’il n’a jamais été question d’en faire un outil de diagnostic valable, et il est connu de tous ceux qui l’utilisent qu’il ne peut pas détecter d’infection active. Drosten, l’un des accusés, le savait. Il savait que le test n’avait aucun sens et qu’il était faux. Cependant, ce test a été utilisé pour créer une panique mondiale et l’obtempération. Le CDC a même admis que son propre test, récemment retiré, était basé sur des échantillons truqués. Les seuils de cycle grossièrement excessifs recommandés par l’OMS, c’est-à-dire le nombre d’amplifications que subit une petite quantité de matériel génétique, pour déterminer s’il y a quelque chose de présent, sont bien au-delà des normes de l’industrie, et ils rendent tout test inutile, avec des résultats faussement positifs à des taux approchant les 100 %. Des études ont montré que le taux de faux positifs de ce test PCR est en fait plus proche de 97 %. Cela signifie que 3 % de la population dont le test est positif sont peut — être malades de quelque chose, mais nous ne savons pas de quoi ils sont   malades, parce que le test ne le détermine pas. Ce test a été utilisé de manière abusive dans le monde entier pour justifier frauduleusement l’existence d’une pandémie et pour déterminer des chiffres de cas et de décès faussement gonflés.

Nous démontrerons par des preuves claires et convaincantes que les défendeurs ont participé à ce mensonge mondial et ont qualifié une maladie largement dispersée géographiquement, avec des taux de survie équivalents à ceux d’une grippe saisonnière, de pandémie permettant de fausses déclarations mondiales d’urgence de santé publique. À partir de cette situation d’urgence qui dure maintenant depuis près de deux ans, les gouvernements ont imposé des restrictions draconiennes, la séparation et l’isolement des populations vulnérables, comme les personnes âgées et les enfants, ainsi que la mise en place de vaccins obligatoires dans le monde entier.

Nous savons que la prochaine étape sera la mise en place de passeports vaccinaux, qui verrouilleront encore plus notre planète, ainsi que des camps de quarantaine partout. Notre confiance a été trahie par la corruption du système, et nous vous fournirons des faits vérifiables prouvant que nous avons tous été gravement trompés pour croire à un gros mensonge. Et les objectifs finaux étant, selon les termes de l’un des accusés, Bill Gates, de vacciner chaque homme, femme et enfant de la planète, avec des injections expérimentales modifiant les gènes.

Ces tests PCR ont été utilisés pour augmenter le nombre de cas et de décès. Examinons la définition d’un cas. Historiquement, un cas était une personne malade, et pas seulement un test positif en l’absence de tout symptôme. Avec des tests effectués dans le monde entier sur des personnes en bonne santé, ils ont grossièrement gonflé le nombre de cas. Et cela nous est diffusé en permanence par les médias grand public, par le Department of Highway Signs aux États-Unis et peut — être dans d’autres pays, et a été utilisé pour inciter la panique et l’obtempération dans le monde entier.

Les inconvénients importants sont la raison pour laquelle le test PCR ne devrait être effectué que sur des patients symptomatiques et pourquoi un test positif ne devrait être considéré que comme un seul facteur de tout diagnostic. Vous ne pouvez pas diagnostiquer quelqu’un en l’absence de symptômes cliniques et en l’absence de diagnostic médical.

Nous nous retrouvons donc à tester des personnes en bonne santé en grand nombre, ce qui donne lieu à des chiffres faussement gonflés et à la panique. Le CDC et la FDA ont reconnu ce potentiel, tout comme les auteurs de ces crimes, que nous allons présenter.

Les preuves montreront que Drosten, qui prétend avoir inventé le test du Covid-19, était conscient de ses limites et de sa fausseté. Le test n’était spécifique d’aucun virus ni d’aucune bactérie. Par conséquent, il est inutile pour déterminer ce qui pourrait même causer des symptômes. Ce à quoi le test est bon, c’est à provoquer une panique mondiale. Même les morts, autre chiffre faussement gonflé, qui doit être examiné à la lumière de ces faux tests PCR. Un décès avec un test PCR positif est considéré comme un décès dû à Covid. Que vous ayez été admis à l’hôpital à la suite d’un accident de voiture, d’une crise cardiaque ou même d’un accouchement. Si vous avez été testé positif et que vous êtes décédé dans les 28 jours environ suivant votre test, votre décès a été attribué à Covid-19. Même notre CDC a admis, plus tard au cours de la pandémie, que 95 % des décès attribués au Covid étaient dus à d’autres causes. C’était simplement basé sur un faux test. Les fabricants savaient aussi tout cela, y compris je cite : « l’inventeur du test Covid-19, Drosten ».

Nous assistons maintenant à un message de peur qui a provoqué une discrimination institutionnalisée contre les personnes qui ne choisissent pas d’être vaccinées et qui ne choisissent pas d’être testées. Ceci est moralement répréhensible selon toute norme humaine. Le résultat de ces faux tests est un énorme préjudice catastrophique pour les populations du monde entier. Il y a des scientifiques et des médecins qui témoigneront de l’énorme préjudice catastrophique qui a été causé par ces tests. La preuve juridique de l’intention et de la connaissance se trouve dans les divers documents de la FDA et les documents connexes, et ils sont conçus pour obscurcir et égarer même les avocats qui lisent et parcourent ces documents. Comme vous pouvez commencer à le voir ici, les piliers de la narration officielle du Covid et celle des médias, qui sont une seule et même chose, tombent comme des dominos lorsque l’on montre les preuves.

Il existe des preuves irréfutables de fraude et de malfaisance multiforme dans tout le régime Covid. Si vous avez le courage et l’honnêteté intellectuelle de les regarder, de les étudier et de les considérer équitablement, faites-le. Cela peut être choquant pour certains, incroyable pour d’autres, mais je vous assure que ces preuves sont réelles et inquiétantes. L’une des choses qui en découlent est que le système doit prétendre que la seule réponse à ces nombres exagérés de cas et de décès est les vaccins, et ils ont fait cela pour que leur utilisation d’urgence soit autorisée et qu’ils figurent sur les calendriers des enfants. Et c’est ce qui va suivre. Merci de votre attention.

44:54 Viviane Fischer :

Merci beaucoup Mme. Garner pour cette voix additionnelle. J’aimerais maintenant me tourner vers Dipali Ojha, de l’Inde. Est-ce que vous nous entendez ?

45:09 Dipali Ojha :

Oui. Merci beaucoup. Bonjour à tous. Je suis l’avocate Dipali Ojha, d’Inde. C’est un grand honneur pour moi de présenter ma déclaration d’ouverture au Grand Jury du Tribunal populaire de l’opinion publique. Je remercie le Juge Rui Da Fonsesca et tous mes collègues juristes pour cette présentation pleine d’espoir et de perspicacité.

En mars 2020, la plupart d’entre nous ont été pris au dépourvu lorsque les gouvernements du monde entier ont annoncé le début d’une pandémie supposée être créée par un nouveau virus SARS — CoV2 qui pourrait provenir de Wuhan, en Chine. Dès la déclaration de la pandémie, une série d’annonces sans précédent a été faite, comme la fermeture des frontières internationales, l’arrêt complet des vols internationaux, l’obligation de porter un masque, le respect d’une distance sociale et des mesures des plus mortelles comme le confinement. En Inde, les services ferroviaires se sont arrêtés net pour la première fois en 167 ans d’histoire. Chaque pays a rapidement adopté des mesures similaires, censées prévenir et contrôler la propagation de l’infection.

Dans cet état de chaos, de panique, de choc, d’incertitude et de peur, la plupart d’entre nous se fient aux médias grand public comme source d’informations authentiques sur ce virus et les ravages qu’il a provoqués chez nous. L’un des aspects les plus marquants de la communication que nous recevons constamment des gouvernements et des autorités sanitaires du monde entier est qu’il n’existe aucun remède connu contre le virus Sars-Cov-2. Dans plusieurs pays, les patients malades se voyaient refuser l’admission dans les hôpitaux et étaient renvoyés chez eux en prétextant qu’il n’y avait pas de remède à cette maladie. Pendant cette phase, il y avait des médecins honnêtes et des médecins de première ligne qui traitaient les patients avec d’anciens médicaments, ce qui n’est certainement pas un phénomène nouveau dans le courant de la médecine allopathique. Et certains médecins ont proposé leurs propres protocoles de traitement sur la base de leur vaste et riche expérience clinique.

Tandis que les médecins font leur devoir solennel de sauver la vie de leurs patients de la meilleure manière possible, en utilisant de vieux médicaments dont la sécurité a été prouvée, en association avec des suppléments comme le zinc, la vitamine C, la vitamine D, etc., nous avons assisté à une opposition véhémente de la part des mêmes autorités sanitaires qui étaient à la tête de la conception de la réponse à la pandémie. L’agitation de ces autorités sanitaires s’est manifestée par le rejet de toute information révélant l’efficacité des traitements précoces et l’existence de thérapies alternatives pour traiter les patients atteints du Covid-19.

Toute personne d’intelligence ordinaire aurait trouvé cela déraisonnable dans la mesure où sauver des vies serait évidemment le premier et le plus important des objectifs, surtout lorsque les médecins, sur la base de leur expertise clinique, affirmaient pouvoir guérir les patients grâce aux traitements précoces.

Je vais dévier ici un moment pour partager avec vous quelque chose du point de vue de mon pays, l’Inde. En Inde, nous avons une riche tradition de systèmes de médecine alternative comme l’Ayurveda, le Siddha, le Unani et d’autres systèmes de guérison comme la naturopathie et l’homéopathie. En fait, il existe un ministère spécifique au sein du gouvernement indien appelé AYUSH, qui est un acronyme pour Ayurveda, Yoga et Naturopathie, Unani, Siddha et Homéopathie.

Les médecins reconnus qui sont formés pour pratiquer ces systèmes de médecine alternative ont traité avec succès des patients Covid-19. Cependant, après le lancement de ces vaccins expérimentaux, nous ne devrions pas les appeler des vaccins. En fait, il s’agit d’injections, ce qui serait une description plus appropriée. Après le déploiement de ces injections expérimentales, le blocage de toute discussion autour des traitements alternatifs semble être devenu plus prononcé, y compris le licenciement des médecins qui ont préconisé des traitements précoces pour le Covid, ceux qui ont proclamé que les traitements précoces étaient effectivement sûrs et efficaces. Certains médecins ont même fait l’objet de mesures disciplinaires de la part de leur conseil médical. Certains ont été ridiculisés publiquement et ont risqué l’annulation ou la suspension de leur licence médicale.

Une telle réaction académique de la part des autorités sanitaires, des gouvernements et des conseils médicaux était en soi un signal d’alarme indiquant que quelque chose, quelque part, n’allait pas et n’était pas correct. Il est intéressant de noter que la plupart des personnes qui dictaient les réponses pour le Covid-19 des pays du monde entier ne traitaient même pas les patients Covid, mais ne prêtaient aucune attention aux médecins honnêtes et diligents qui traitaient réellement les patients sur le terrain avec un traitement précoce.

Comme mon savant collègue l’a déjà souligné, la raison possible du blocage de toute information concernant l’efficacité des traitements précoces pour l’autorisation d’utilisation d’urgence qui n’est accordée que lorsqu’il n’y a pas de médicament adéquat, premièrement approuvé et disponible pour le traitement.

L’affirmation selon laquelle il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 a permis aux fabricants de vaccins de demander l’autorisation d’utilisation d’urgence. En outre, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité lorsque cette autorisation leur est accordée. Je souhaite informer ici qu’en Inde, il n’existe pas de dispositions spécifiques comme celles établies par la FDA américaine concernant l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence et que, par conséquent, jusqu’à récemment, les traitements alternatifs ou les médicaments de traitement précoce faisaient partie du protocole national indien de gestion du Covid.

L’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine étaient inclus dans un protocole national jusqu’à fin septembre 2021. En fait, des États comme l’Uttar Pradesh et Goa en Inde se sont fait connaître au niveau mondial pour avoir démontré avec succès l’utilisation de l’Ivermectine dans le contrôle de la propagation du Covid-19 et la guérison rapide des patients. Cependant, ces réussites ont été délibérément sapées et supprimées par toutes ces personnes et plateformes médiatiques compromises qui ont lourdement investi dans des entreprises de vaccins ou qui ont un intérêt direct, sous une forme ou une autre, à ce que le succès de ces médicaments de traitement précoce ne soit pas connu de tous. L’absence manifeste de tout débat scientifique sur l’efficacité des traitements précoces, associée au musellement des voix qui tentent de faire connaître l’efficacité des médicaments de traitement précoce, est un signe clair que les gouvernements et les autorités sanitaires du monde entier poussent le vaccin comme la seule solution pour guérir le Covid-19.

Un autre aspect spécifique à l’Inde est qu’il n’y a pas d’immunité pour les fabricants de vaccins en Inde, ce qui a été confirmé par une déclaration sous serment déposée par le gouvernement indien auprès de la Cour suprême de l’Inde. Récemment, nous avons aidé à fournir une pétition à la Haute Cour de Bombay par un père qui a perdu sa fille suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Il a demandé une indemnisation d’environ 1,3 milliard de dollars pour la perte de la vie de sa fille.

C’est le deuxième cas que nous avons aidé à déposer. Le premier cas a été déposé en novembre 2021 par une mère qui a perdu son jeune fils suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Dans ce cas, le fils a été contraint de prendre le vaccin expérimental afin d’accéder au système de transport public qui ne permet qu’aux personnes vaccinées de voyager, conformément à l’ordre administratif du gouvernement. En plus de la compensation monétaire pour la perte de la vie de son fils à cause de ces injections expérimentales, cette mère a également demandé une enquête approuvée par la Première Agence d’Investigation d’Inde sur le rôle de toutes les personnes impliquées dans l’enchaînement des événements, depuis les fabricants de ces vaccins, les personnes en charge de la réponse au Covid-19 ici en Inde et tous ceux qui ont prétendu que ces vaccins Covid sont 100 % sûrs et efficaces.

Nous nous attendons à ce que plusieurs plaintes soient déposées dans tout le pays dans un avenir proche par des victimes de ces expériences médicales.

Il serait inapproprié d’appeler ces produits des vaccins, car les vaccins sont censés fournir une immunité contre une maladie. Alors que l’on nous avait promis que les vaccins Covid nous protégeraient d’un virus prétendument mortel, nous constatons aujourd’hui que ces vaccins Covid n’empêchent pas d’entrer en contact avec la maladie et n’en arrêtent pas la transmission. En outre, ces vaccins ont montré qu’ils avaient des effets secondaires graves, y compris des décès, de sorte qu’il est impossible de justifier des produits médicaux expérimentaux qui n’arrêtent ni l’infection ni la transmission.

En outre, les personnes vaccinées sont tenues de suivre le comportement approprié en cas de confinement, de rester à l’intérieur, de porter des masques et de respecter les distances sociales.

Il y a un autre aspect alarmant de la manière dont ces injections expérimentales sont administrées à la population mondiale que je souhaite porter à votre attention. Il s’agit du consentement éclairé et de la manière dont les lois établies autour du consentement éclairé ont été ouvertement violées.

Dans le procès que nous avons intenté ici en Inde, outre les précédents judiciaires spécifiques à l’Inde établis par nos tribunaux, nos hautes cours et la Cour suprême, nous avons également cité les dispositions de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de 2005, qui imposent de fournir des informations détaillées au public afin d’obtenir son consentement éclairé à de telles expérimentations médicales.

Toutes ces dispositions ont été violées. Par exemple, l’article 3 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme stipule que la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés et que l’intérêt et le bien — être de l’individu doivent avoir la priorité sur le seul intérêt de la science et de la société.

De même, l’article 6 de la même déclaration stipule que toute intervention médicale préventive, diagnostique et thérapeutique ne peut être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations adéquates. Ce consentement doit, le cas échéant, être exprimé et peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour toute raison sans inconvénient ni préjudice.

Il existe également un autre jugement de référence que nous avons cité dans les procédures que nous avons déposées, à savoir le jugement rendu par la Cour suprême du Royaume-Uni dans l’affaire Montgomery contre Lanarshire Health Board, qui date de 2015. Alors que nous discutons des points cruciaux concernant l’absence de consentement éclairé et la violation de plusieurs conseils et accords internationaux dans ce processus de déploiement de ces vaccins expérimentaux, la partie adverse, M. Global, s’appuie généralement sur un examen très peu convaincant pour justifier ces produits médicaux expérimentaux, à savoir que les avantages l’emportent sur les risques.

Nos témoins experts présenteront les preuves qui montrent l’étendue de la façon dont ces produits expérimentaux ont infligé à la population les effets sérieux et graves de ces injections, y compris des décès, le manque de transparence autour des données des essais cliniques, la sous-déclaration des décès causés par ces vaccins, toutes ces preuves que nos experts présenteront au grand jury lors des prochaines audiences démoliront complètement ce raisonnement, couramment utilisé pour pousser ces vaccins expérimentaux que les avantages de ces injections expérimentales l’emportent sur les risques.

Pour conclure, je souhaite attirer l’attention du jury sur ce qui suit. La raison pour laquelle les autorités déclarent qu’il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 n’est pas claire jusqu’à aujourd’hui puisqu’il n’y a pas eu de débat scientifique ou de discussion entre les personnes en charge de la réponse Covid dans les pays et les médecins, les scientifiques et les docteurs qui prétendent avoir une histoire de succès prouvée et documentée autour du traitement précoce efficace. Deuxièmement, il n’y a eu aucune initiative, aucun effort pour mener des essais cliniques sur l’efficacité des médicaments de traitement précoce de la part des personnes responsables de la conception de la réponse officielle des pays au Covid. Il y a eu un déni général concernant l’immunité naturelle ou l’immunité développée après une infection naturelle, malgré la publication de plusieurs études à cet effet.

Les grandes entreprises technologiques censurent délibérément quiconque choisit de parler de l’existence de traitements alternatifs et du fait qu’ils sont plus sûrs que les injections expérimentales.

Enfin, le fait que de vieux médicaments, pour lesquels il existe de nombreuses données sur la sécurité, soient ignorés et qu’une injection médicale expérimentale lancée à la hâte soit présentée comme sûre et efficace. Nous savons qu’il n’y a aucune transparence autour des données sur les essais cliniques réalisés. Compte tenu du nombre d’effets indésirables signalés chaque jour dans le monde, ces produits expérimentaux sont tout sauf sûrs.

Nos témoins experts couvriront chacun de ces aspects en détail lors des prochaines audiences. Et je suis persuadé qu’après avoir examiné les éléments de preuve amenés au dossier, le grand jury sera parfaitement équipé pour évaluer le rôle et la complicité de chaque personne, chaque entité, chaque organisation impliquée dans la commission de ces horribles crimes contre l’humanité.

Merci de votre attention.

59:12 Viviane Fischer :

Merci beaucoup. Maintenant, l’avocat Dexter Ryneveldt d’Afrique du Sud est avec nous. Pouvez-vous nous entendre ?

59:25 Dexter Ryneveldt :

Je vous entends très bien.

59:28 Viviane Fischer :

Fantastique. La parole est donc à vous.

59:31 Dexter L-J. Ryneveldt :

Merci beaucoup. Mes sincères excuses. Je suis Dexter Ryneveldt, un avocat pour la défense des droits en Afrique du Sud. C’est avec un grand honneur et une grande reconnaissance que je vous présente, membres de ce jury, une déclaration du tribunal de l’opinion publique, une déclaration d’ouverture.

Tout d’abord, je tiens à remercier Lemuel Malloy, Yvonne Katsanda, Kabura Monieki et Walter Mashillo, ainsi que tous les courageux témoins blessés par le vaccin Covid-19 dans le monde entier, pour leur aimable assistance et leur participation.

Je vais commencer par ce que Thomas Payne a dit il y a 200 ans, et qu’il a d’ailleurs énoncé de manière très éloquente :

« Les plus grandes tyrannies sont toujours perpétrées au nom des causes les plus nobles ».

Cette déclaration est encore plus pertinente aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a 200 ans, et elle le sera encore pendant des années et des siècles.

La question posée à vos honorables membres du jury, quelle est la cause la plus noble ? Elle a été et est toujours exploitée depuis le début de cette pandémie de SARS-CoV-2 Covid-19, qui n’est autre que la cause qui englobe : santé du corps, santé de l’esprit, se résumant à la santé de l’humain. Nous pouvons tous convenir que la cause la plus noble est ce qui est dans le meilleur intérêt de la santé humaine et comment cela affecte notre famille et nos amis, ainsi que notre capacité à générer un revenu. Les preuves présentées montreront exactement comment les défendeurs ont orchestré et manipulé cette cause la plus noble qu’est la santé humaine pour faire avancer l’agenda du contrôle total et de la domination sur une population qui ne s’en rend pas compte, et comment ils ont fait de sérieuses incursions dans les droits populaires, constitutionnels et inaliénables et la liberté. Depuis le début de la pandémie, mesdames et messieurs les jurés, les défendeurs ont déployé et investi des efforts et des sommes considérables dans les relations publiques. En fait, leurs campagnes de relations publiques, avec l’aide des grands médias d’entreprise, capitalisent ces préoccupations de la santé humaine pour leurs bénéfices financiers et leurs aspirations à la domination et au contrôle total.

À leur avantage, ils utilisent le slogan « suivez la science ». C’est une phrase d’accroche que nous connaissons tous si bien. Car chaque fois qu’ils parlent, ils justifient toujours l’expression « suivons la science », « c’est ce que la science » dit pour justifier et légitimer leurs politiques publiques de santé pour le soi-disant bien commun dans le monde entier avec les mesures de confinements.

En abordant les préoccupations de santé humaine en ce qui concerne le Covid-19, les questions pertinentes suivantes doivent être posées, mesdames et Messieurs.

La première question, quelle est la vraie nature du virus SARS-CoV — 2 ? Est-il vraiment nouveau ? Et si oui, dans quelle mesure pouvons-nous dire qu’il est nouveau ? La réponse courte à cette question est non, il n’est pas nouveau. Ici, les preuves apportées par les experts médicaux et scientifiques montreront sans l’ombre d’un doute que nous n’avons pas affaire à un nouveau virus. En fait, mesdames et messieurs, membres de ce jury, le virus SARS — CoV — 2 peut à bien des égards être considéré comme une grippe saisonnière, sa composition est très comparable au virus SARS-CoV-1.

La deuxième question que nous devons poser est la suivante : existe-t-il des traitements médicaux appropriés et viables pour combattre la maladie de Covid-19 ? Sans entrer dans trop de détails, ma collègue Dipali Ojha a clairement indiqué que, oui, en effet, ils facilitent les traitements alternatifs. Et pas seulement les traitements alternatifs faciles, mais ils facilitent les traitements alternatifs qui marchent.

Et c’est la preuve qui vous sera très certainement présentée à chacun. La troisième et dernière question que nous devons poser par rapport à cette préoccupation est : quel est le taux de survie au Covid-19 ?

Une fois de plus, les preuves montreront que la prévision du taux de survie au début de la pandémie n’était rien d’autre qu’une prévision statistique informatisée utilisée pour susciter la peur. Et je crois que nous connaissons tous très bien cette peur qui a été instillée en chacun d’entre nous. Mais en réalité, le taux de survie est de 99,5 %. Certains experts prouveront même que le taux de survie peut atteindre 99,97 %. Le taux de mortalité réelle actuel est loin de correspondre aux prévisions statistiques informatisées. En fait, le taux de mortalité de la grippe saisonnière est plus élevé que celui du Covid-19. Rien que cette déclaration, Mesdames et Messieurs, doit nous amener à réfléchir et à nous demander si cela en valait la peine. Toutes les mesures de confinement, d’aseptisation, de distanciation sociale ? Cela en valait-il vraiment la peine ?

Les trois questions que je viens de vous poser, membres du jury, nous amènent aux États-Unis, à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis. Il s’agit d’un atelier qui a été mené et je vais en tirer une citation, que vous pouvez rechercher Internet. Il s’agit d’une réponse rapide aux maladies infectieuses par des contre-mesures médicales, mettant en œuvre des capacités durables grâce à un partenariat permanent entre les secteurs public et privé. Et dans lequel le Dr Peter Daszak a écrit au Dr Anthony Fauci : je cite :

« De facto, une crise de maladie infectieuse bien réelle, présente et à un seuil d’urgence, est souvent largement ignorée. Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité de contre – mesures médicales, telles que le simple vaccin contre le coronavirus. Les médias sont un facteur clé et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront lorsqu’ils verront des bénéfices à la fin du processus.»

Fin de citation.

Cette citation en elle-même, Mesdames et Messieurs, est incriminante. Elle est sans ambiguïté. Elle expose le plan derrière la pandémie. Et par un simple clic sur un bouton, membres du jury, vous pouvez rechercher vous-même sur Internet qui sont les bénéficiaires financiers de cette pandémie. Sans nul doute, ce sont les investisseurs. Ce sont les actionnaires des compagnies de vaccins, au grand désespoir de la population, des hommes et femmes ordinaires. Quelle est l’intention ultime pour anéantir les petites et moyennes entreprises ? Les seules entreprises florissantes actuellement sont les sociétés pharmaceutiques et les grands conglomérats technologiques. Nous voyons aussi l’impact direct que cela a eu sur les petits magasins et sur les entreprises de taille moyenne aussi. Les déclarations qui vous seront présentées indiqueront clairement pourquoi les citoyens ont participé aux expériences médicales mondiales sur les vaccins, et le noyau du système de croyances des participants aux vaccins, — et vous l’entendrez de la bouche des victimes blessées par ces vaccins, le noyau du système de croyances qui explique pourquoi ils ont participé à cette expérience médicale, est qu’ils pensaient que ce serait dans leur meilleur intérêt sanitaire et, en fin de compte, financier.

Donc, avec cet ensemble, nous voyons qu’il y a un lien direct : je dois le faire pour ma santé et si je ne le fais pas, je vais y perdre financièrement, je ne serai pas en mesure de gagner un revenu. Et c’est pour cela que je vous expose l’intérêt financier. S’ils ne participent pas aux vaccins expérimentaux, ils risquent de perdre leur revenu. Ce n’est rien d’autre que de la coercition et du chantage, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est ce que nous appelons, Mesdames et Messieurs, l’approche de la carotte et du bâton. Les preuves présentées permettront d’élucider les processus et protocoles d’expérimentation médicaux, éthiques qui doivent toujours être respectés lors de la réalisation d’expériences médicales de masse. Les expériences médicales doivent respecter les normes les plus élevées de l’éthique médicale définies dans la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg, ainsi que la prescription législative codifiée de chaque pays respectif. Les preuves montreront que, sans nul doute, la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg et le code de conduite pour les expériences médicales de chaque pays ont été violés. En fait, ils sont toujours violés avec cette vaccination obligatoire. C’est poussé dans le monde entier.

Et tout cela a été accompli avec le slogan « suivez la science ». Les preuves montreront que le SARS-CoV-2, le Covid-19, peut se comparer à une grippe ordinaire. Honorables membres du jury, l’inventeur de l’ARNm, le Dr Robert Malone, a mentionné sur de multiples plateformes médiatiques alternatives les raisons pour lesquelles les vaccins expérimentaux à ARNm Covid-19 sont dangereux et constituent une fraude avec possibilité de graves séquelles à long terme. Entre autres, il peut s’agir de myocardites, de péricardites, et les preuves l’indiqueront clairement. Nous vous présenterons aussi un large aperçu des tests médicaux et scientifiques de laboratoire menés dans le passé sur la technologie médicale à ARNm jusqu’à ce jour, et pourquoi il n’est pas prudent de déployer les vaccins à ARNm à l’échelle mondiale, sur une population sans méfiance. Les preuves seront corroborées par des pharmacologues, des toxicologues, des immunologistes, des virologistes, des physiologistes et des biochimistes, entre autres. Mais ce n’est qu’un prélude aux preuves qui seront présentées par le professeur Bhakdi, le professeur Palmer ou le Dr Wodarg. Et je cite :

« Dans l’ensemble, il est évident qu’une nouvelle méthode d’introduction de matériel génétique dans les cellules humaines, par le biais d’adénovirus ou de virus adéno-associés est frauduleuse en entraîne des effets secondaires dangereux, dont les causes ne sont pas encore entièrement claires. Si de tels risques peuvent être acceptables dans le cas d’affections sinon incurables comme l’amyotrophie spinale, il est absolument irresponsable de les imposer à des personnes en bonne santé qui présentent peu ou aucun risque de connaître un jour un Covid-19 sévère.»

Fin de citation.

Membres du jury, pour comprendre pleinement l’étendue du plan derrière cette pandémie, nous devons mettre l’attention sur la mesure dans laquelle les défendeurs ont supprimé la procédure standard ou suivi la science. Nous n’avons pas besoin d’aller trop loin pour comprendre le plan de jeu. Nous pouvons simplement examiner comment ils ont changé les définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques, pour les adapter et justifier leur mantra « suivre la science ». En dernière analyse, nous devons étudier comment ils ont changé, adapté les définitions médicales et scientifiques. Et les définitions dont nous parlons sont les suivantes : pandémie, endémie, vaccins, immunité collective et immunité naturelle. Les preuves médicales et scientifiques montreront comment ces définitions ont été modifiées, adaptées pour correspondre aux crimes prémédités et intentionnels des accusés, de crime contre l’humanité.

Les adaptations des principales définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques sont criminelles, en ce sens qu’elles suivent le récit scientifique. Elles ne sont pas en phase avec les normes et pratiques épidémiologiques bien établies. Les preuves illustreront clairement les divergences entre le récit « suivez la science » et les informations et données médicales et scientifiques objectives et bien établies. Honorables membres du jury, j’attire votre attention sur une citation de Booker T. Washington. Je cite :

« Un mensonge ne devient pas vrai, ce qui est faux ne devient pas juste, et le mal ne devient pas le bien simplement parce que c’est accepté par la majorité. »

Même si la majorité, pour les besoins du raisonnement, — et je veux juste revenir rapidement en arrière, car la citation s’arrête à majorité — même si la majorité, pour les besoins du raisonnement accepte les définitions médicales et scientifiques déformées, on ne peut pas les considérer comme correctes ou véridiques. Un simple changement de définitions médicales et scientifiques, effectué sur un coup de tête sans justifications médicales et scientifiques claires et exemptes d’ambiguïté, ne peut justifier aucun changement chez les patients, et ne peut donc pas être considéré comme une vérité. Peu importe le nombre de fois que les défendeurs et/ou leurs collaborateurs répètent un mensonge, dans le cas qui nous occupe, les médias, il ne peut devenir vrai. Les questions les plus importantes dans l’esprit de la population, d’honorables membres du jury, sont les suivantes : comment se fait — il que les défendeurs aient pu faire autant de progrès dans le déploiement de la pandémie planifiée et des vaccins ? Pourquoi un nombre considérable de personnes se sont — elles laissées prendre au récit de la pandémie des défendeurs au point de se présenter pour être vaccinées avec un vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ?

Pour répondre à cette question, nous devons nous pencher sur le concept suivant : l’astroturfing. Je vais vous lire la définition d’astroturfing tirée de Merriam Webster :

« Activité organisée destinée à créer la fausse impression d’un mouvement populaire généralisé et spontané, en faveur ou en opposition à quelque chose, comme une politique, mais qui est en réalité initiée et contrôlée par un groupe ou des organisations dissimulées, comme des entreprises. »

Des preuves seront fournies pour montrer comment les accusés et les co-conspirateurs ont mobilisé le soutien de la population et déployé les grands médias pour faire progresser le programme de meurtre de masse mondial prémédité, en convainquant une partie de la population d’accepter volontairement les vaccins expérimentaux de thérapie génique Covid-19. Nous démontrerons qu’à travers la formation d’un état psychologique de masse à grande échelle, l’équité mentale du peuple a été intoxiquée. En conséquence directe, le peuple a fait confiance au récit du courant dominant, même s’il était totalement absurde et manifestement faux. Je vous laisse avec la citation suivante d’Aristote. Elle résume l’essence même de notre situation actuelle au niveau local. Mais avant de le citer, ce tribunal de l’opinion publique vous demande de considérer dûment toutes les preuves qui seront présentées dans leur totalité et de trouver en vous la force de voir la vérité telle qu’elle est.

C’est une plandémie et non une pandémie. Et quand vous regardez les deux mots plandémie, pandémie, il y a une lettre qui est différente et c’est le « l ». Donc ce que nous disons, nous allons présenter toutes les preuves. Vous apprendrez exactement pourquoi nous sommes là où nous sommes, et à la suite de cela, vous pourrez dire en toute confiance, j’ai appris, donc je vais prendre ce L majuscule et je vais l’insérer dans le mot pandémie, ce n’est pas une pandémie, c’est une pLandémie.

Les preuves sont claires et directes. En conséquence, les preuves présentées aujourd’hui sont suffisantes pour constituer une preuve prima facie contre tous les accusés et leurs actes d’accusation peuvent être, en fait doivent être émis contre les accusés et leurs capacités personnelles ou professionnelles, ainsi que contre les co-conspirateurs dans chaque pays du monde qui ont joué un rôle instrumental en colportant la grande illusion de suivre la science jusqu’à causer littéralement la mort. Et voici la citation d’Aristote :

« Les gouvernements qui ont le souci de l’intérêt commun, sont constitués selon des principes de justice stricts et sont donc des régimes véritables. Mais ceux qui n’ont en vue que l’intérêt des gouvernants sont tous des régimes défectueux et pervertis, car ils sont despotiques, alors qu’un État est une communauté d’hommes libres ».

Je vous remercie, honorables membres du jury.

1:20:06 Viviane Fischer :

Merci, M. Ryneveldt. Et merci à tous pour les déclarations préliminaires. Nous sommes arrivés à la fin des déclarations préliminaires et je voudrais faire savoir au jury, aux téléspectateurs que vous pouvez faire partie du jury. Nous avons mis en place une adresse électronique, contact@grand-jury.net, où vous pouvez nous contacter, si vous êtes, par exemple, un avocat et que vous souhaitez soutenir cet effort pour fournir les preuves afin que les mises en accusation puissent commencer. N’hésitez pas à nous contacter. Également si vous êtes une victime, si vous avez eu des problèmes, par exemple avec votre entreprise, si vous avez subi des dommages liés à la vaccination, si vous avez subi toutes sortes de pertes ou de restrictions, vous pouvez prendre contact avec nous et nous pouvons présenter votre cas, peut-être même ici, pendant que la procédure est en cours ou sous une autre forme, par exemple sur un site Web afin que le monde entier sache ce qui vous est arrivé.

1:21:22 Reiner Fuellmich :

Quelques mots de conclusion pour aujourd’hui, peut-être. Nous apprécions beaucoup la participation des téléspectateurs à cette procédure. C’est une procédure modèle. Et je dirai au nom de l’ensemble du groupe d’avocats, que vous avez rencontré pour certains, et d’autres que vous verrez pendant la suite de la procédure lorsque nous interrogerons les témoins, par exemple, que je tiens à vous remercier et à vous implorer de nous soutenir, de regarder cela, de dire au monde ce qui se passe réellement, parce qu’il n’y a pas beaucoup de sources auxquelles vous pouvez faire confiance. Il y a quelques sources. Celle-ci est l’une d’entre elles. Et nous pensons que c’est l’une des plus importantes d’entre elles. Car ce que nous faisons ici, ce que nous entreprenons, c’est de vous donner une image complète, une image complète de ce qui s’est passé et de ce qui se passe. Parce que ce n’est qu’en voyant le tableau complet que vous arriverez à la conclusion que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux en qui beaucoup d’entre nous ont l’habitude de faire confiance. Nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements. Nos institutions ont été infiltrées par ceux qui commettent ces crimes contre l’humanité. Plus important encore, une fois que vous aurez réalisé cela, vous arriverez également à la conclusion que c’est seulement nous, le peuple, qui ferons la différence. Nous mettrons fin à tout cela et nous nous assurerons qu’il y aura un nettoyage après coup, y compris les procédures nécessaires pour que justice soit faite. Et afin de traduire en justice ceux qui ont commis ces crimes contre l’humanité. Merci beaucoup.




Le Grand Appel de la Résistance

[Source : mediazone.zonefr.com]

Par Eric Montana

Vingt-deux personnalités du monde médical, scientifique, juridique, intellectuel et journalistique(([1]
– Christine Deviers Joncour
– Dr Benoit Ochs
– Pierre Barnerias
– Jacob Cohen
– Dr Laurent Montesino
– Emmanuelle Darles
– Cécile du Docthothon
– Christian Cotten
– Mélodie de « Ou est mon cycle »
– TNT TV Journalistes sans frontières
– Thierry Beccourt
– Merlin Longuet
– Dr Anne-Marie Yim
– Chloé Frammery
– Dr Eric Loridan
– Maitre Ellen Bessis
– Lise Philippe – Mamans Louves
– Marion Sigaut
– Etienne Chouard
– Frederic Vidal
– Amélie Paul
– Dr Louis Fouché)) se sont réunies pour lancer un « Grand Appel » aux peuples de France, d’Europe et du Canada pour éveiller les consciences, et mettre un terme à la tyrannie sanitaire utilisée pour nous entraîner vers le Grand Reset et le Nouvel Ordre Mondial totalitaire. L’heure est venue de s’unir pour dire NON.

Nous sommes très nombreux, bien plus nombreux qu’on ne l’imagine à avoir fait le constat que nous ne vivons plus dans un État de droit depuis l’élection du gangster Sarkozy en 2007… Et depuis, les choses n’ont fait que s’aggraver. Aujourd’hui, chacun d’entre nous mesure la gravité de la situation. La Constitution, cette imposture rédigée pour faire de nous de simples « électeurs » conditionnables et manipulables à souhait, alors que nous croyions être des « citoyens », est bafouée et piétinée, les lois sont méprisées par ceux qui les ont rédigées, les droits des « citoyens » ne sont plus qu’une illusion et nos gouvernements ne sont plus que de vulgaires domestiques des cartels bancaires, des réseaux occultes et autres FEM, Bilderberg, Trilatérale sans oublier BlackRock et Vangard…

Et ces braves gens qui s’autoproclament « élites » ont décidé d’accélérer la mise en place du Nouvel Ordre Mondial en utilisant une arme biologique et la vaccination qui va avec… Oubliés les dizaines de milliers de médecins, de scientifiques, d’avocats, de journalistes, d’alerteurs qui s’opposent et dénoncent cette folie vaccinale. La censure massive s’est abattue sur leurs têtes avec une violence jamais vue. Exit la liberté d’expression, aujourd’hui remettre en cause le narratif officiel c’est s’exposer à recevoir la visite de la police à 6 h du matin comme Maître Virginie Araujo-Recchia…

Je ne vais pas détailler tout ce qui déraille dans notre pays, car il faudrait des pages et des pages pour en parler. 

Il vaut mieux se concentrer sur le monde nouveau que nous voulons bâtir ensemble. Si la politique servait à rendre les gens heureux, cela se saurait. Donc exit les parasites, les carriéristes, les corrompus, les traîtres et les démagogues. Les politiciens ont démontré qu’ils ne sont pas au service des peuples, mais au service de leurs propres intérêts et de ceux qui financent leurs campagnes électorales. En France, le vrai président n’est pas celui qu’on voit…

La société civile a donc décidé de reprendre en main sa destinée, car aucun d’entre nous ne veut vivre dans la société transhumaniste de Klaus Schwab et de Yael Noah Harari. Et ce Grand Appel n’est qu’un début…

Dimanche 19 juin, sera retransmise en direct sur TV-ADP, AgoraTV, Kairos, GushTV, TNT-TV, Nexus, et beaucoup d’autres médias indépendants européens, le MEGATON, une émission où près d’une centaine de personnalités viendront expliquer pourquoi il est légitime de défendre notre intégrité physique et celle des plus vulnérables, de nos enfants, de nos anciens et des orphelins qu’on utilise comme des cobayes de l’industrie pharmaceutique.

La « vaccination » provoque bien plus de victimes que le virus qu’elle est censée combattre. Et la meilleure preuve c’est que les vaccinés ne sont pas protégés du Covid, bien au contraire. La destruction de leurs défenses immunitaires naturelles les expose à tous les dangers au point que les centres de transfusion sanguine refusent leur sang…

Nous disposons aujourd’hui de tous les éléments pour refuser ces injections mortelles. Et à part ceux qui se nourrissent de la parole des gouvernements, des médias corrompus, des docteurs Mengelé, aucun être doué de raison ne croit plus à cette mascarade criminelle.

Dans ces conditions, n’est-il pas légitime de nous unir et dire NON à ces gens qui nous mentent et nous manipulent pour réduire la population mondiale et soumettre les survivants ?

Voici le texte du Grand Appel. Si vous vous sentez concerné, faites-le circuler, car si un homme averti en vaut deux, un homme informé en vaut 1000 !

Le Grand Appel

Se soumettre en accord avec les politiques mises en œuvre. Se soumettre à regret sous la pression. Ne pas se soumettre et se relever. Ainsi se résume désormais notre choix de vie. 

Les événements mondiaux vécus depuis 2020 amènent chacun à sa propre croisée des chemins. Ces deux dernières années ont eu le mérite d’éclairer notre vision de la France et de ses institutions. Ce chemin de conscience nous mène à présent aux choix les plus importants de toute une vie. 

L’exécution de cette politique mondiale, voulue par une poignée, la rend de plus en plus visible pour ce qu’elle est vraiment. Sa base : d’énormes mensonges qui orchestrent la peur. Alimentée par un véritable terrorisme médiatique, elle veut imposer un mode de vie totalitaire, par le biais d’organismes corrompus financés par les plus riches de la planète.

Le faux prétexte sanitaire est utilisé à répétition, tout comme peut l’être le prétexte écologique, dans un contexte de pénuries organisées qui vont très vite aggraver la situation, pour mieux soumettre les populations. 

Les niveaux de corruption, mais aussi d’incompétence des institutions, des milieux politiques, des milieux médicaux et de la presse subventionnée ont permis jusque-là cette mascarade, face à un peuple médusé, hypnotisé par la propagande et diverses techniques d’ingénierie sociale conduites sur des décennies. 

La révélation est brutale pour beaucoup d’entre nous. Oui, nous sommes tous à la croisée des chemins. 

Faire le grand écart entre la peur de dire non et la liberté de ses choix n’est plus possible. Trop d’enjeux en sont tributaires et il en va de l’avenir des générations qui nous suivent. Ce sont désormais deux modèles de société très différents qui se présentent sans compromis à chacun de nous. 

D’un côté, nous est annoncée à travers un Nouvel Ordre Mondial une société uniformisée de contrôle total des individus avec des visées transhumanistes. Celle que tentent d’imposer avec autorité les gouvernements des nations occidentales et leurs mentors, celle où les gardiens de la paix sont devenus les forces de l’ordre. Un modèle où toutes les libertés fondamentales, jusqu’à la dépossession de l’éducation des enfants, seront perdues, en échange d’une prise en charge du citoyen, réduit à une dépendance croissante aux autorités, par le biais de règles liberticides et de technologies intrusives. Cela peut séduire ceux qui céderont à la peur. 

D’un autre côté, est possible une société humaine bienveillante, où les peuples se rapprochent et ne sont plus les jouets souffrants de pratiques et de guerres fomentées par de médiocres intérêts privés, où leurs différences s’associent dans le bien commun qu’est la Terre dont ils assurent la pérennité, où la fraternité, l’éthique, l’intégrité, la dignité et le respect sont les fondements d’une société consciente. 

Les Temps sont venus et nombre d’entre nous l’ont compris. Si le choix n’est pas fait maintenant, avec détermination, les peuples d’Occident pour commencer, puis tous les autres connaîtront une dépopulation massive et une dictature planétaire comme on n’en a jamais vues. Ce n’est pas une théorie dite complotiste, c’est ce qu’ils nous annoncent très clairement, tout cela est vérifiable par chacun qui en fera l’effort. 

La France en tant que nation — et par nation il faut entendre un esprit, une langue, une culture, un patrimoine né de cet esprit et non une couleur politicienne — la France donc, a été littéralement démantelée par les pouvoirs successifs au fil des ans. L’excès du pouvoir présidentiel y est unique en Europe et sa constitution est gravement violée depuis 2008. 

Une confusion croissante est entretenue sur ce que sont les valeurs de son peuple, à commencer par le devoir inné de protection des plus vulnérables, dont nos anciens et nos enfants, le respect entre hommes et femmes, entre adultes et mineurs, entre l’humain et les autres règnes vivants, entre l’homme et la Terre qui l’accueille… 

Il faut porter le regard haut, car c’est à ce niveau et pas en dessous que se situe aujourd’hui notre décision la plus importante. Ne nous arrêtons pas aux détails dont les politiques, les médias et l’opposition contrôlée nous saturent. Il n’y a aucun salut à ne regarder que le bout du doigt et non ce qu’il désigne. 

Allons-nous continuer à laisser grandir l’infamie au-delà du point de non-retour, ou allons dire NON une fois pour toutes ? Chacun va-t-il continuer à regarder ailleurs jusqu’au moment ou l’ailleurs sera son présent et qu’il sera trop tard ? Ou chacun va-t-il enfin prendre la pleine mesure de ses responsabilités ? 

Il existe un peuple de France, dont l’héritage inné ou acquis coule dans ses veines. Il est prêt désormais à se lever pour restaurer sa souveraineté et arrêter dans leur course folle les sociopathes qui veulent pour lui écrasement, dégénérescence, contrôle et soumission. Nous leur avons laissé trop longtemps trop de pouvoir de nuire dans l’impunité de leurs actes. C’est à ce peuple-là que le Grand Appel est lancé. 

Il ne s’agit pas de se demander comment faire, nous le savons. La solution n’est pas de manifester dans les rues pour réclamer alors que nous n’avons rien à réclamer parce que nous ne leur sommes pas inféodés. C’est un terrain qu’ils contrôlent, comme ils l’ont fait avec la plus grande violence durant le long épisode des Gilets Jaunes. Mais il existe un terrain qui n’est pas le leur. Celui de l’intelligence collective du cœur. 

De nombreux réseaux existent aujourd’hui en France, constitués d’hommes et de femmes qui ont déjà fait leur choix de société, à travers la solidarité, le partage des expériences, l’apprentissage, la transmission des savoirs, l’organisation locale d’une manière de vivre respectueuse du Vivant. L’ensemble couvre tout le territoire, ce qui signifie qu’il y a quelque part près de chez vous au moins une cellule de ce grand corps organique que forment ces réseaux, que beaucoup ont déjà rejoints ces derniers temps. 

Nous appelons donc solennellement chacun à rallier le ou les réseaux de son choix. Nous appelons tous les réseaux et associations qui ne l’ont pas encore fait à se relier les uns aux autres, à se rencontrer au sein de leurs cellules locales et à organiser une communication de l’information entre eux.

L’objectif n’est pas de se fédérer en une seule structure, cela nous rendrait
vulnérables. Chacun doit conserver ses spécificités et poursuivre son œuvre, mais il est capital que les réseaux entre eux tissent un maillage physique étroit, afin de pouvoir créer une réelle solidarité sur le terrain et des réponses rapides et efficaces à tout besoin exprimé. 

Il faut être clair, ceux des Français qui ne se soumettront pas à la tyrannie, verront leur choix souverain et légitime impacter fortement leur mode de vie. Ils subiront probablement des pressions et des mesures de rétorsion, plus qu’il n’y en a déjà. Cela demande du courage et un renoncement provisoire à quelques conforts. C’est le prix de la liberté et de la souveraineté. Mais il est évident que ce choix individuel ne sera possible qu’à travers la solidarité de tous. C’est à travers ces réseaux que nous la trouverons, car elle existe déjà sur le terrain et nous nous employons tous à la développer davantage. 

Plus personne ainsi ne sera seul pour faire face aux difficultés à venir à court terme et nous pourrons organiser correctement la protection des enfants et des plus vulnérables. Nous manifesterons ainsi la volonté d’un peuple qui se rassemble de plein droit dans une intention pacifique, dans le devoir et la détermination d’arrêter par son nombre et sa volonté la folie de quelques-uns. Car il est important que tous les Corps de l’État, en qui demeurent des valeurs saines, voient émerger ce peuple souverain au sein de la confusion. Eux aussi sont désormais à l’heure des choix et devront choisir leur camp. 

Ne vous laissez pas démoraliser ni démobiliser par les apparences, même si les choses deviennent plus difficiles durant un temps. Un ferment des plus fertiles est déjà à l’œuvre dans ce pays, à travers des hommes et des femmes lucides et déterminés. Rejoignez-les. Il ne reste qu’à rassembler, nous savons le faire. L’heure est venue. 


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La République en Marche visée par une plainte pour « dérives sectaires »

[Source : FranceSoir]

[Illustration : Me Virginie de Araujo-Recchia, avocate au Barreau de Paris.]

Auteur(s): FranceSoir

Le samedi 2 avril dernier, Me Virginie de Araujo-Recchia a porté plainte contre l’association La République en Marche pour le compte des associations citoyennes BonSens.org (dont Xavier Azalbert, directeur de la publication de FranceSoir, est administrateur) et AIMSIB (L’Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante). Les plaignants accusent le parti politique d’Emmanuel Macron de « dérives sectaires », impliquant des faits « d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse », ainsi que de « complicité d’empoisonnement et de génocide ». Pour avancer cela, les associations et l’avocate s’appuient essentiellement sur les deux dernières années de gestion de crise, notamment sur les mesures liberticides, le contrôle de l’information et « l’hypnose collective ».

Voir aussi : « On se décale du réel en préservant notre système de croyances à tout prix » Jean-Dominique Michel

Presque ironiquement, cette plainte intervient seulement quelques jours après que Me de Araujo-Recchia soit sortie de garde à vue, le 24 mars dernier. Elle avait été interpellée par la DGSI dans le cadre d’une enquête liée à Rémy Daillet, et a finalement été libérée sans que « rien ne lui soit reproché ». Pendant son interrogatoire — dont elle nous a confié le contenu quelques jours plus tard — des questions telles que « Qu’est-ce que le terme complotiste ? », « Qu’est-ce que le nouvel ordre mondial ? » ou encore « Que pensez-vous de la franc-maçonnerie ? » laissaient comprendre que c’était à elle que l’on reprochait une forme de dérive.

Notons qu’en janvier 2022, elle portait déjà plainte, avec son confrère Jean-Pierre Joseph, contre les parlementaires ayant voté la loi du 5 août (reconduction du passe sanitaire et obligation vaccinale).

Deux mois et une interpellation plus tard, elle revient à la charge avec cette plainte contre La République en Marche. BonSens, l’AIMSIB et Me Virginie de Araujo-Recchia partagent dans un communiqué la réflexion qui les a conduites à ce résultat :

Les associations BonSens.org et Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMSIB) s’associent une nouvelle fois dans le cadre d’une plainte visant l’association LaREM pour dérives sectaires impliquant des faits d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse, de complicité d’empoisonnement et de tentative d’empoisonnement, de complicité de génocide.

En effet, le mandat de cinq ans accordé à LaREM a été ponctué de contestations et de manifestations massives. Des manifestations de gilets jaunes aux manifestations hebdomadaires ces derniers mois, réclamant la fin de la propagande « Covid-19 », le rétablissement de l’ordre public et la suppression des mesures attentatoires aux libertés publiques et aux droits fondamentaux proposées par les leaders LaREM et adoptées par la majorité LaREM à l’Assemblée nationale.

Durant ces deux dernières années, aucun des appels à la raison provenant d’experts mondiaux, de juristes, de victimes n’a pu infléchir l’idéologie mortifère des membres de LaREM. Bien au contraire, des consignes ont été données afin que les plateformes et médias grand public censurent et étouffent le plus grand scandale sanitaire de tous les temps.

Les Français qui se sont interrogés et qui ont osé remettre en cause les dogmes et l’idéologie des membres de LaREM se sont vu incriminés, discriminés, ont fait l’objet de propos haineux, ont été censurés, ont perdu leur emploi, leur salaire, leurs liens familiaux, leurs liens sociaux, au mépris total du principe supérieur du respect de la dignité humaine.

Ainsi, ceux qui n’adhèrent pas au narratif sont « impurs »  et mis au ban de la société.

Les signes de reconnaissance des adeptes : le passe sanitaire, le QR code, le passe vaccinal, l’application téléphonique dédiée au traçage du Covid-19 (Certificate of vaccination Identification), le test RT-PCR en remplacement du diagnostic médical, la triple ou quadruple dose d’injection de substance génique expérimentale assurément sans danger nous assure-t-on malgré l’absence d’études le démontrant, le masque talisman en toutes circonstances, en somme toute une panoplie mise à disposition par l’hyper-classe transhumaniste, eugéniste, favorable au contrôle social.

Or tous ces outils censés purifier ou protéger sont de l’ordre de la croyance et n’ont absolument aucune assise scientifique.

Puis, nous avons assisté à une campagne publicitaire sans précédent de la part des membres LaREM de produits pharmaceutiques, pour lesquels nous n’avons aucun recul et qui s’avèrent présenter des risques extrêmement graves en matière de santé publique, il s’agit littéralement d’un appel au suicide collectif.

Nous assistons chaque jour depuis janvier 2020, à l’instauration de la peur, de la terreur et de la culpabilisation au sein de la population désormais traumatisée et sous hypnose collective.

Certains extraits de l’ouvrage intitulé « Le débat interdit – Langage, COVID et totalitarisme », d’Ariane BILHERAN et Vincent PAVAN, publié le 24 mars 2022, repris dans le cadre de cette plainte, en font la pleine démonstration :

« Les méthodes utilisées sont des méthodes sectaires : terreur, séquestration, exclusion, maltraitance, conflit de loyauté (obligeant les individus à faire des choix impossibles), suggestion hypnotique, censure, persécutions. (…)

La logique sacrificielle est en permanence invoquée, que ce soit pour l’exiger ou la dénier : « sacrifier les vacances du printemps pour un été radieux », « sacrifions-nous les jeunes sur l’autel du Covid-19 », « l’OMS appelle à ne pas sacrifier la santé sur l’autel du redressement économique », « le Préfet appelle à sacrifier le mois de mars », « avril sacrifié, mai libéré ? », « sauver Noël mais sacrifier le réveillon du Nouvel an ? », « le monde de la culture craint d’être sacrifié », « respecter les gestes barrières sans sacrifier ses mains ». N’est-ce pas l’esprit de sacrifice qui est également évoqué par le pouvoir au sujet de la Légion étrangère : « Rien n’est obtenu, si rien n’est sacrifié » ? Pourquoi exige-t-on en permanence du peuple un consentement à des sacrifices ?

Le guide du bon citoyen est précisé : c’est celui qui doit se sacrifier. En clair, l’individu n’existe dans ce discours que pour être sacrifié : il doit faire preuve de « bons comportements face au virus », on exige de lui l’obéissance – « se faire tester aux premiers symptômes ». L’acceptation de toutes ces contraintes est considérée comme du civisme, alors qu’est exigée une foi aveugle dans la parole du président. Il faut partir du principe que ce que dit le pouvoir est VRAI. Il faut partir du principe que nous devons lui faire confiance, « s’isoler au premier symptôme ». Ensuite, le message est clair : la punition pour être positif (sans nécessairement être malade), c’est l’exclusion sociale – sortir du groupe. Donc insécurité, déséquilibre et irresponsabilité priment dans ce discours, où l’axe du bien est présenté comme la doxa du pouvoir. On comprend que la protection, c’est la répression ! La protection passe par la répression émanant des décrets. L’individu est de nouveau absorbé dans la fusion avec le chef : « nous avons tous consenti » ; l’opposition et l’opinion plurielle n’existent plus, tout le monde est censé avoir « consenti ».

On peut comprendre effectivement la stigmatisation des événements religieux par une sorte d’effet concurrentiel à la nouvelle religion mondiale de la pandémie, le « covidisme », avec ses rituels.

Une secte exige l’adhésion à une foi de type religieux. On ne demande pas à l’individu d’analyser, mais de croire aveuglément. La persécution et la censure, ainsi que l’intimidation, se sont abattues sur ceux qui voulaient analyser, et non croire.

Une secte ou un culte promet toujours le retour d’un paradis perdu. C’est la même chose avec le système totalitaire. Une secte propose des objets fétiches, ici le Saint Graal était l’injection, censée nous libérer du mal.

La dérive totalitaire est de nature sectaire et prophétique. « La scientificité de la propagande totalitaire se caractérise par l’accent qu’elle met presque exclusivement sur la prophétie scientifique, par opposition à la référence plus traditionnelle au passé », a déclaré Hannah Arendt.

La certitude délirante collective, de type paranoïaque, s’est fondée sur des premiers principes erronés, puis une construction du discours orchestré sur la foi, sans acceptation du moindre doute. Cette foi s’est organisée, dès l’origine, sur trois sophismes, non dévoilés mais présents dans le fond idéologique des discours et des décisions politiques, et que nous exposerons ainsi :

1° L’épidémie justifie une dictature.
2° Seul un vaccin peut faire barrage à l’épidémie.
3° Un vaccin est le seul moyen qui sauvera l’humanité du grand danger qui la menace. (…)

Les citoyens acquièrent peu à peu l’habitude de devoir être autorisés pour leurs moindres faits et gestes, conditionnement néfaste s’il en est, couplé à leur infantilisation : ils sont jugés irresponsables, mésestimés ou insultés par le pouvoir, ce qui montre une classe politique cynique et particulièrement coupée des réalités.

Il s’agit désormais non de science, et encore moins de médecine, mais d’un discours aux accents religieux, avec ses litanies, et son comptage mortifère quotidien, réduisant la complexité du réel à un seul prisme de lecture. La construction d’une nouvelle langue, avec ses mots et ses expressions nouveaux, totalement déconnectée de la réalité de l’expérience, relève davantage de la croyance sectaire et religieuse – donc de la foi dans la messe dite par les médias et le politique – que de la science. »

Par conséquent, en propageant le chaos, LaREM trouble l’ordre public et seule la justice est désormais en mesure de mettre un terme à ses dérives sectaires.

En France, en effet, ce n’est pas la secte en elle-même qui entraîne des poursuites judiciaires, mais plutôt les dérives sectaires relevant de la notion d’ordre public.

En droit administratif français, l’ordre public est l’état social idéal caractérisé par « le bon ordre, la sécurité, la salubrité et la tranquillité publiques », la moralité publique et la dignité de la personne humaine.

Le droit criminel français concède à chacun le droit de nourrir les convictions religieuses, philosophiques ou morales de son choix, toutefois, il n’admet pas que, dans leur extériorisation, elles viennent heurter les exigences de l’ordre public.

Les impératifs de moralité et de santé publiques notamment ne sont pas des concepts abstraits qu’on pourrait croire uniquement tournés vers la satisfaction des besoins de la société.

Leur fonction primordiale est d’ordre humain : ils ont pour finalité d’assurer le respect des droits de l’individu à la vie, à la protection de son intégrité physique et de sa santé, à l’équilibre psychique, au plein développement de ses capacités corporelles et intellectuelles. Bref, à la dignité de la personne. Des atteintes graves peuvent être portées à ces valeurs par l’effet d’agissements ou d’attitudes dictés par des croyances ou convictions exacerbées.

Si l’impérieuse neutralité invite dans un État laïc et démocratique à ne pas stigmatiser l’extravagance de certaines pratiques religieuses, philosophiques ou morales, elle ne peut conduire à en tolérer les dérives. Aussi, lorsque l’ordre public paraît menacé, le droit criminel traduit aussitôt son hostilité par la mise en œuvre de multiples incriminations, relevant généralement du droit pénal « commun » (Loi n° 2001-504 du 12 juin 2001 tendant à renforcer la prévention et la répression des mouvements sectaires portant atteinte aux droits de l’homme et aux libertés fondamentales, dite loi About-Picard).

Un faisceau d’indices permet de caractériser l’existence d’un risque de dérive sectaire :
– la déstabilisation mentale,
– le caractère exorbitant des exigences financières,
– la rupture avec l’environnement d’origine,
– l’existence d’atteintes à l’intégrité physique,
– l’embrigadement des enfants,
– le discours antisocial,
– les troubles à l’ordre public
– l’importance des démêlés judiciaires,
– l’éventuel détournement des circuits économiques traditionnels,
– les tentatives d’infiltration des pouvoirs publics.

Il s’agit d’un dévoiement de la liberté de pensée, d’opinion ou de religion qui porte atteinte aux droits fondamentaux, à la sécurité ou à l’intégrité des personnes, à l’ordre public, aux lois ou aux règlements.

Elle se caractérise par la mise en œuvre, par un groupe organisé ou par un individu isolé, quelle que soit sa nature ou son activité, de pressions ou de techniques ayant pour but de créer, de maintenir ou d’exploiter chez une personne un état de sujétion psychologique ou physique, la privant d’une partie de son libre arbitre, avec des conséquences dommageables pour cette personne, son entourage ou pour la société.

Il importe peu que telle dérive soit commise par un mouvement sectaire, un nouveau mouvement religieux, une religion du Livre ou par un charlatan de la santé. Dès lors qu’un certain nombre de critères sont réunis, dont le premier est la mise sous sujétion, l’action répressive de l’État a vocation à être mise en œuvre (site Miviludes).

L’action du juge, gardien des libertés, va dans le sens de la protection contre toute sujétion physique ou psychologique.

Les associations plaignantes estiment donc qu’il revient désormais au juge de se pencher sur les actions de l’association LaREM et d’évaluer leurs conséquences sur l’ordre public.




Humour — Sébastien Recchia appelle Vladimir Poutine et demande l’asile politique

[Source : lemediaen442.fr]

Dans sa série « Restez couchés », Sébastien Recchia avait téléphoné au président Macron, pour lui faire part de ses remarques faussement naïves et très personnelles, quoique partagées par la plupart des Français. Après l’arrestation arbitraire de sa femme avocate, Virginie Araujo-Recchia, il (ou plutôt son personnage) décide maintenant de chercher la démocratie et l’asile politique du côté d’un autre président, Poutine. Et il lui téléphone !

Pour suivre Sébastien Recchia sur sa chaîne Telegram.
Pour les vidéos archivées, c’est sur Odysee.




France : l’avocate qui a porté plainte contre plusieurs ministres placée en garde à vue avant d’être relâchée. Mise à jour

Mise à jour


[Source : covidhub.ch]

Me Virginie de Araujo-Recchia a été interpellée mardi à l’aube à son domicile puis gardée 48h dans les locaux de la Direction générale de la sécurité intérieure. Un procédé qui interroge, visant une des avocates les plus actives contre la politique liberticide de l’état français.

25 mars 2022·
Dernière mise à jour : 26 mars 2022

Par Jean-Dominique Michel, référent en santé publique de Covidhub.

Déclaration de lien d’intérêt : Me de Araujo m’a représenté lors d’une campagne de calomnie qui m’a visé dans le cadre du Congrès « scientifique » TimeWorld au mois de mai 2021.

Me de Araujo-Recchia a déployé au cours des deux années écoulées une activité  professionnelle intense pour dénoncer les violations des droits et libertés présentées comme nécessaires par les autorités françaises dans le cadre de la gestion de l’épidémie de Covid.  Outre la publication d’avis de droit, elle a saisi différentes juridictions pour des associations comme Bon Sens ou l’AIMSIB (association internationale pour une médecine scientifique, indépendante et bienveillante).

Elle fait également partie du regroupement d’avocats internationaux instruisant actuellement une mise en accusation des gouvernements et organisations internationales dans le cadre du Grand Jury de l’Opinion Publique mis sur pied par l’avocat allemand Reiner Fuellmich.

C’est dire si son interpellation puis sa garde à vue ont suscité une onde de choc, provoquant un vaste mouvement de soutien tant en France qu’à travers le monde. Le procédé a choqué tant sur la forme (Me de Araujo a été « embarquée » à son domicile, au petit matin, devant ses enfants) que sur le fond. Active en tant que représentante de plaignants dans le cadre de procédures en  justice, de quoi Me de Araujo pouvait-elle bien être soupçonnée pour mériter un tel traitement ?

Dans un premier temps, personne ne pouvait même localiser l’avocate, pas même ses proches, ni les confrères avec lesquels elle travaillait

On apprit mardi en début d’après-midi que Virginie de Araujo était placée en garde à vue dans les locaux de la DGSI (direction générale de la sécurité intérieure), service dont la réputation n’est pas franchement immaculée… Les lecteurs étrangers à la France et à ses mœurs ne sauront peut-être pas que des officines policières se sont rendues coupables au cours du temps de nombreuses actions franchement en marge de la légalité comme des cambriolages, des chantages, intimidations ou même menaces de mort. Ainsi qu’un célèbre humoriste devenu exaspérant pour le pouvoir de l’époque en avait fait la rude expérience…

  • Pour voir « Coluche, un clown ennemi d’état – enquête » : cliquer ici

Presse et propagande

Ce fut dans la presse que sortirent les premières informations, franchement rocambolesques : Me de Araujo serait soupçonnée d’avoir été en contact avec un réseau projetant un coup d’État pour renverser Emmanuel Macron ! On a beau être à proximité du 1er avril, l’accusation peine à être trouvée drôle, pas plus qu’elle paraît crédible. Une pareille absurdité rappelle plutôt comment, en Suisse, la presse d’état avait essayé de faire croire que des « antivaxx » projetaient rien moins… qu’une prise d’assaut du Palais fédéral à la manière de l’invasion du Capitole à Washington !

Des médias subventionnés à hauteur de centaines de millions d’euros par l’état macronien n’en ont pas moins embouché les trompettes de la (mauvaise) renommée : parlant tour à tour de Me de Araujo-Recchia comme « l’avocate des covido-sceptiques » ou encore « l’avocate proche des milieux complotistes » selon les termes de l’hebdomadaire Marianne, comme si ces qualificatifs -au demeurant stupides- avaient une quelconque valeur juridique.

Si on ignore encore exactement ce que la justice reproche à Virginie de Araujo-Recchia et si elle est liée, ou non, aux projets d’actions terroristes que Rémy Daillet et son groupe sont soupçonnés d’avoir préparés, l’avocate est déjà connue comme une figure des milieux covido-sceptiques. Proche du collectif Réinfo Covid, fondé par le médecin anesthésiste marseillais Louis Fouché, un groupe de désinformation qui milite activement contre la vaccination et les mesures sanitaires.

[Voir aussi :
L’avocate Virginie de Araujo-Recchia placée en garde à vue
et
Gilets jaunes, avocate, naturopathe, ex-militaire : les profils hétéroclites des partisans du projet secret de coup d’État sur l’affaire avec Remy Daillet]

On décèle dans cet extrait les bonnes grosses ficelles de la manipulation : on « ignore exactement ce que la justice reproche » à l’avocate, mais ses liens et relations avec des personnes et groupes vilipendés (de manière calomnieuse en ce qui concerne Réinfo Covid) suffit à jeter l’opprobre sur elle en suggérant une hypothétique culpabilité.

On amalgame de surcroît des personnalités plus ou mois sulfureuses au sein d’un même « groupuscule » avec l’intention de compromettre simultanément différents groupes honnis, comme le montre le titre transparent du quotidien Le Parisien, propriété du milliardaire Bernard Arnaud :

Gilets jaunes, avocate, naturopathe, ex-militaire : les profils hétéroclites des partisans du projet secret de coup d’État

Ce qui a fait réagir sur twitter l’avocat et militant Juan Branco, conseil d’un des incriminés.

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Ces procédés de suspicion floue sont devenus monnaie courante. Ils reposent principalement sur l’exploitation de l’étiquette de « complotiste », trouvaille inspirée de la CIA… pour masquer les crimes d’état. A tel point que selon l’analyse savante de Lance de HavenSmith, professeur en sciences politiques, cette étiquette, lorsqu’elle fait florès, est l’indice sûr que des crimes d’état sont en cours que les gouvernants et la presse cherchent à dissimuler.

  • Pour lire « Vous avez dit « complotiste » ?! » sur Anthropo-logiques : cliquer ici.
  • Pour lire la notice du livre « Aux origines de la théorie du complot – un outil de contrôle de la pensée » de Lance deHavenSmith aux éditions Yves Michel : cliquer ici.

L’essayiste et rédacteur en chef du Courrier des Stratèges Eric Verhaege (un des meilleurs analystes du Great Reset, projet délirant qu’il a lu avec ses lunettes d’énarque et d’ancien haut fonctionnaire) est pour sa part convaincu que le procédé utilisé contre Me de Araujo traduit une volonté d’intimidation et de « character assassination » (destruction de réputation) comme l’on dit en anglais. Et inaugure selon toute vraisemblance un cycle de montée en puissance de la répression des opposants à sa politique liberticide par le gouvernement français.

  • Pour voir : « Soutien à l’avocate Virginie de Araujo-Vecchia, résistante en garde à vue » sur le Courrier des stratèges : cliquer ici.

Voyage au pays des oligarques

La mitraille de la titraille des médias subventionnés ne laisse guère de doute, à une époque où la presse n’est plus qu’une entreprise de propagande au service d’intérêts douteux, comme Idriss Aberkanne l’a récemment analysé au sujet du groupe Altice (propriétaire grâce à sa montagne de dettes accumulées de titres comme BFM TV, RMC, Libération, L’Express).

La militante Vera Sharav, survivante de l’Holocauste, insiste quant à elle que les gouvernements de l’Occident sont aujourd’hui inféodés à des oligarques répétant les manières de faire du nazisme. Cette analyse a évidemment provoqué des réactions outrées, mais la vénérable activiste n’en démord pas,  affirmant que les procédés sont exactement les mêmes, et que le fameux slogan « plus jamais ça », pour ne pas rester creux, doit nous conduire à agir contre la menace existant actuellement.

  • Pour lire « Un groupe d’oligarques a capturé les gouvernements de la même manière que les nazis » sur France Soir : cliquer ici.

Me Virginie de Araujo-Recchia a finalement été libérée jeudi soir. Elle a fait savoir qu’elle s’exprimerait prochainement.

Rappelons à toutes fins utiles qu’elle a saisi différentes juridictions dans le cadre de procédures visant des membres des pouvoirs exécutif et législatif français (milieu que les observateurs appellent la « Macronie »).

Une avocate sachant défendre… et attaquer

Me de Araujo-Recchia a rédigé une première analyse (intitulée « Rapport terrorisme 2020 ») dans laquelle elle estimait que les agissements du gouvernement français relevaient juridiquement d’actes de terrorisme et crime contre l’humanité (atteinte volontaire à la vie et à l’intégrité des personnes, diffuser des substances de nature à créer un danger pour autrui, violations du Code de Nuremberg), d’apologie du terrorisme par médias et scientifiques en conflit d’intérêts, d’actes de maltraitance et de torture/traitements inhumains à l’égard des enfants.

  • Pour lire « Rapport terrorisme 2020 » : cliquer ici.

Entre autres faits d’armes (juridiques) elle a ensuite publié un « Rappel à la loi » à l’occasion de l’imposition d’un pass sanitaire puis vaccinal dont même Olivier Véran reconnaît aujourd’hui l’inutilité et que sa nature discriminatoire rendait parfaitement illégal.

  • Pour lire « Rappel à la loi – passe sanitaire » : cliquer ici.

Me de Araujo-Recchia a également déposé différents plaintes contre les acteurs de la dérive anti-démocratique en cours pour divers mandants.

  • Pour lire « Interview | Me Virginie de Araujo-Recchia : avocate au barreau de Paris », 11 février 2021 sur France-Soir : cliquer ici.
  • Pour lire « Maître de Araujo-Recchia dépose plainte contre les parlementaires ayant voté la loi du 5 août » sur France-Soir : cliquer ici.
  • Pour lire « L’heure des comptes Covid sonnera un jour, la justice pénale est saisie » sur le site de l’AIMSIB : cliquer ici.
  • Pour lire la plainte des associations Bon Sens et AIMSIB contre les ministres Castex, Véran et Blanquer, rédigée par Me de Araujo-Recchia : cliquer ici.

Le Grand Jury de l’Opinion Publique

Surtout, elle participe activement aux travaux du Grand Jury, lequel, jour après jour, révèle et démonte implacablement l’envergure de ce qui apparaît de plus en plus comme une opération criminelle de grande envergure, préméditée depuis longtemps – c’est en tout cas l’hypothèse forte qui se dessine selon le communiqué inaugural de cette instance ad hoc:

COMMUNIQUÉ

Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, annonçons par la présente que nous mènerons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du grand jury des États-Unis. Cette procédure du Grand Jury sert de modèle de procédure juridique pour présenter à un jury (composé des citoyens du monde) toutes les preuves disponibles à ce jour des crimes Covid-19 contre l’humanité à l’encontre « les dirigeants, des organisateurs, des instigateurs et des complices » qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie. Les crimes, objet de l’enquête, englobent tous les actes commis par une personne en vertu d’un dessein partagé de commettre des crimes contre l’humanité et tous ces actes criminels seront condamnés dans les diverses communautés de jurés à travers le monde.

Cette procédure porte sur le peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle est appelée le « Tribunal populaire » de l’opinion publique ». N’ayant pas été en mesure de trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles observées devant les tribunaux du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel, en nous fondant sur le droit naturel. Ceci, à son tour, est fondé sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement faire la distinction entre le bien et le mal, et entre le vrai et le faux.

L’allégation principale repose sur le fait que : « les gouvernements du monde entier sont sous l’influence de structures corrompues et de puissances criminelles. Une entente a été établie afin de mettre en scène une pandémie planifiée depuis des années. Dans ce but, une panique de masse a été délibérément créée, soutenue par de fausses déclarations de faits. Une opération sociale psychologique « psy-ops » a été aussi conçue dont les messages ont été transmis et relayés par le biais des médias corporatifs.

Le but de cette panique de masse était de persuader la population d’accepter les soi-disant « vaccins » qui se sont entre temps révélés n’être ni efficaces, ni sûrs, mais extrêmement dangereux, voire mortels.

Les dommages économiques, sociaux et sanitaires que ces crimes contre l’humanité ont causé à la population mondiale peuvent être mesurés en quadrillions de dollars.

Cette procédure du Grand Jury sera menée par les avocats susnommés, avec l’aide d’un grand nombre de scientifiques et d’experts hautement respectés du monde entier et sous les auspices d’un juge du Portugal.

Ils fourniront ainsi au jury (les citoyens du monde) une image complète de ces crimes contre l’humanité.

L’objectif de l’enquête de la Cour populaire de l’opinion publique est double : d’une part, il s’agit de servir de modèle de procédure et d’obtenir des inculpations, contre certaines des figures de proue, criminellement et civilement responsables de ces crimes contre l’Humanité. D’autre part, en montrant une image complète de ce à quoi nous sommes confrontés, y compris le contexte géopolitique et historique, il s’agit de sensibiliser le public à

  • l’effondrement factuel du système actuel, détourné et de ses institutions, et, par conséquent,
  • la nécessité pour le peuple lui-même de reprendre sa souveraineté, et
  • la nécessité d’arrêter d’abord les mesures de cette « plandémie » en refusant de s’y conformer, et
  • la nécessité de relancer leur propre nouveau système de soins de santé, d’éducation, d’économie et de justice, afin que la démocratie et l’État de droit sur la base de nos constitutions soient rétablis.

La Cour populaire de l’opinion publique fonctionne indépendamment de tout gouvernement et de toute organisation non gouvernementale. Le soutien logistique est assuré par le Comité d’enquête sur le Corona de Berlin www.corona-ausschuss.de

Retrouvez les vidéos sur www.grand-jury.net contact@grand-jury.net

Les experts du Grand-jury :-

  • Virginie de Araujo Recchia, avocate, France
  • Juge Rui Fonseca E Castro, avocat au Portugal
  • Claire Deeks, avocat en Nouvelle-Zélande
  • Viviane Fischer, avocat en Allemagne
  • Dr. Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne
  • N. Ana Garner, avocate, États-Unis
  • Dr. Renate Holzeisen, avocate, Italie
  • Tony Nikolic, avocat, Australie
  • Dipali Ojha, avocate, Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt (Adv.), avocat, Afrique du Sud
  • Deana Sacks, avocat États-Unis
  • Michael Swinwood, avocat, Canada

  • Pour lire « La procédure de Reiner Fuellmich lancée : un « Grand Jury » par la Cour populaire de l’Opinion Publique » sur France Soir : cliquer ici.

[Voir aussi :
Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !

Grand Jury – Session 2

Jour 3 – Grand Jury]

Too much is too much [Trop, c’est trop]

Nous ne pouvons bien sûr préjuger de ce qui est reproché à Me de Araujo. Mais l’hypothèse que l’avocate aurait trempé dans une conspiration ayant pour finalité un coup d’Etat est tellement peu crédible qu’il faut à ce stade en privilégier d’autres. Les progrès du Grand Jury et ce que ses travaux dévoilent semblent constituer un motif bien plus plausible à ce stade pour expliquer la nervosité extrême du pouvoir en France.

Un pouvoir en pleine dérive autoritaire et dont l’on doit se demander avec le plus grand sérieux s’il n’a pas purement et simplement basculé dans une psychopathologie paranoïaque- laquelle est historiquement la grande signature psychique de ceux qui perpétuent les dérives totalitaires. Au cours desquelles -c’est leur nature intrinsèque révélée par l’étymologie- ne sont plus supportées aucune contestation, aucune divergence d’opinion, aucune opposition d’aucune sorte.

Lorsque d’aucunes se manifestent (rappelons au passage qu’elles sont les garantes nécessaires de la démocratie comme de l’intelligence), reste à les écraser en faisant usage de tous moyens utiles.

C’est dans cette boursouflure qu’il est plus que probable hélas que soit tombée la macronie. Après avoir commencé par régler leur compte aux scientifiques, médecins, universitaires et parlementaires qui ont au l’audace de contester ce que le gouverneur de Floride appelle « la pièce de théâtre du Covid » ayant servi à la destruction des libertés et des fondements de l’état de droit, elle semble maintenant prête à s’en prendre aux quelques journalistes et aux avocats qui osent défier sa toute-puissance.

Jeu à double-tranchant et même à vrai dire dangereux pour elle tant elle risque par là de révéler ouvertement son vrai visage.

  • Pour lire « Il est plus que temps d’arrêter le théâtre du Covid » selon le Gouverneur de Floride sur Covidhub : cliquer ici.



Gilets jaunes, avocate, naturopathe, ex-militaire : les profils hétéroclites des partisans du projet secret de coup d’État

[Source : leparisien.fr]

Par Jérémie Pham-Lê et Vincent Gautronneau 
Le 23 mars 2022 à 15h13, modifié le 24 mars 2022 à 06h48

Une avocate en exercice, un ancien policier, un ancien militaire, d’anciens Gilets jaunes… Ce nouveau coup de filet antiterroriste dans la mouvance conspirationniste, le QAnon français, réserve des surprises quant aux profils des cibles visées. Selon des sources proches de l’enquête, sept suspects — cinq hommes et deux femmes âgés de 36 à 62 ans — ont été placés en garde à vue ce mardi 23 mars dans la matinée par les enquêteurs de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) sur commission rogatoire des juges antiterroristes chargés du dossier sur Rémy Daillet. Leurs gardes à vue peuvent durer jusqu’à 96 heures.

[Note de Joseph : l’avocate évoquée ici est très vraisemblablement Virginie de Araujo-Recchia.
Voir :
Une avocate antivax kidnappée et séquestrée par les barbouzes de Macron
et
L’avocate Virginie de Araujo-Recchia placée en garde à vue.

Remy Daillet-Wiedemann évoquait publiquement un renversement pacifique et aurait alors tenu un autre discours en privé.

Tout ceci tend à confirmer que la violence est la pire des solutions, d’autant plus lorsque le rapport de force est disproportionné. (Voir aussi : Pourquoi la non-violence ?)

De nos jours, le Nouvel Ordre Mondial dispose concrètement de considérablement plus de moyens que les peuples qui y sont de plus en plus soumis. Les armées, les forces policières, les systèmes judiciaires, les entreprises internationales, les banques centrales, les institutions mondiales telles que l’ONU et l’OMS, les ressources minérales, la majorité des terres agricoles, etc. sont sous son contrôle. Ce n’est pas Goliath contre David, mais Méga Goliath contre micro David. Et trop d’êtres humains s’en accommodent, consciemment ou non, pour que le rapport de force puisse changer au cours des prochaines années.

La seule solution humainement envisageable passe par l’élévation de la Conscience humaine, individuelle et collective, sachant qu’il s’agit habituellement d’un processus long et qui marche difficilement sur des individus hypnotisés. Il ne fonctionne réellement bien que par la valeur de l’exemple. Autrement dit, nous devons individuellement incarner le changement que nous souhaitons voir collectivement un jour se réaliser dans le monde. Si nous voulons vivre dans un monde en paix, nous devons individuellement vivre et exprimer la non-violence, y compris dans nos propos oraux comme écrits. Si nous voulons vivre dans un monde libre, nous devons d’abord nous libérer individuellement des chaînes actuelles de la société matérialiste en refusant notamment ses symboles d’asservissement tels que le masque, la distanciation sociale et les confinements. Nous devons nous libérer de la peur de la maladie et de la mort. (Voir aussi : La clef de la libération.)

En dehors de cela, il faudrait compter sur une intervention aliénigène, surnaturelle ou divine.]

Ces sept personnes ont été interpellées à Paris et en province. Tous sont entendus pour des chefs « d’association de malfaiteurs terroriste criminelle » et « provocation à la commission d’acte de terrorisme ». Tous sont ciblés pour leurs liens avec Rémy Daillet, un ancien cadre du MoDem devenu idole des milieux complotistes, et leur connaissance de son projet secret de coup d’État baptisé « Opération Azur ». Depuis la Malaisie où il était réfugié avant son extradition en France, le gourou de 56 ans est en effet soupçonné d’avoir monté une organisation paramilitaire clandestine sur l’ensemble de la France, avec des cellules régionales cloisonnées, afin de préparer un renversement populaire visant à faire tomber les institutions et préparer la prise du pouvoir par le peuple.

Les suspects placés en garde à vue participaient activement aux échanges sur les messageries chiffrées du groupuscule. Les enquêteurs cherchent à savoir s’ils ont simplement émis une sympathie intellectuelle pour les idées de Rémy Daillet ou s’ils ont pleinement adhéré au projet d’action violente. Le recours à la force aurait été clairement envisagé dans les échanges et certains participants cherchaient à se procurer des armes. « Il est évident qu’il faudra forcer, écrivait ainsi France Royale, pseudonyme de Rémy Daillet, à ses lieutenants. Jusqu’au moment où l’adversaire peut ouvrir le feu. À ce moment-là, nos troupes d’assaut ont toute licence pour répliquer, l’ordre d’ouvrir le feu peut être donné. »

Parmi les activistes, figure une avocate du barreau de Paris. Les magistrats ont dû demander l’aval du bâtonnier de Paris afin de procéder à une perquisition dans ses bureaux professionnels. Surnommé « Vidular » au sein du groupe, cette avocate fiscaliste représentait, selon la DGSI, « le deuxième volet » du plan de Rémy Daillet. Chargée du « côté juridique » du groupe, elle s’était notamment fendue d’une vidéo où elle accusait le gouvernement de « terrorisme d’État, génocide et escroquerie en bande organisée ». Des arguments qui, associés à un dépôt de plainte, permettaient selon elle de légitimer l’opération Azur. Dans cette vidéo, elle incitait aussi les policiers, les gendarmes ou les militaires à sortir de leur devoir de réserve afin « d’entrer dans le devoir de protection ». Une habitude au sein des réseaux de Rémy Daillet. D’anciens membres des forces de l’ordre et de sécurité sont d’ailleurs entendus depuis ce matin en garde à vue.

D’autres profils moins aguerris illustrent le caractère protéiforme du réseau mis en place partout en France par le complotiste. Ainsi de Valérie d’A. « Psychologue et naturopathe » âgée de 62 ans, elle propose en janvier 2021 sa candidature à Christophe M. – ancien lieutenant-colonel de l’armée de terre décoré de la Légion d’honneur et « officier recruteur » de l’organisation – pour devenir cheffe de région. « Je tire et je suis prête à toute action », promet-elle dans un mail capté par la DGSI. Elle organisera même un entraînement pour « ses troupes » et promet à son supérieur d’entreprendre des actions dans « la plus grande discrétion et la plus grande sécurité afin de ne pas compromettre l’action finale. »

Autre profil étonnant : Sylvain B. Décrit comme un Gilet jaune de la première heure, il a participé à au moins une réunion conspirative début 2021 et envisageait, selon un de ses complices, « un truc un peu musclé où on aurait eu un peu plus de temps d’antenne, à BFMTV ou ailleurs ». Une dizaine de personnes sont déjà mises en examen dans ce dossier tentaculaire.




Une avocate antivax kidnappée et séquestrée par les barbouzes de Macron

[Source : RL]

Par Christian Navis

Le 22 mars 2022 la macronestapo procédait à la rafle matinale de Maître Virginie de Araujo Recchia, et à sa séquestration en un lieu tenu secret, en violation de ses droits. Une info étouffée dans le silence complice des médias main stream.

[Voir aussi :
L’avocate Virginie de Araujo-Recchia placée en garde à vue]

Cette juriste opposée à la dictature sanitaire travaillait avec Reiner Fuellmich, son confrère qui a initié contre Macronescu une procédure internationale en crimes contre l’humanité.

Cette procédure s’articule, entre autres griefs, sur les contraintes vaccinales sous menaces et chantages, en violation du code de la santé français et du code de Nuremberg.  Aggravées par les nombreux accidents, certains mortels, résultant de ces thérapies expérimentales rendues obligatoires sur des cobayes  humains.

Mais je vous parie que les nervis du pouvoir vont « découvrir » quelques grammes de coke chez elle, ou une arme ayant servi à un hold up, ou alléguer tout autre prétexte permettant de la séquestrer. Et après ça, la macronaillerie traite Poutine de dictateur !

Elle a commis des fautes impardonnables !

À l’été 2021, après que Macronescu a imposé l’obligation vaccinale pour tous les soignants et la généralisation du passe nazitaire pour l’ensemble des Français ne voulant plus rester enfermés chez eux, elle clamait dans une vidéo virale qui n’allait pas tarder à être cenSSurée, que les mesures gouvernementales covidesques, notamment la vaccination forcée et le port du masque obligatoire, participaient à un génocide dans un pays où la séparation des pouvoirs n’existait plus.

Puis en février 2022, elle rassemble des preuves pour le Tribunal international (non reconnu par la France, comme les nazis récusaient Nuremberg) mis en place par l’avocat allemand Reiner Fuellmich afin de juger les politiciens cupides qui ont contribué, avec leurs pseudo-vaccins, à tuer plus de gens que le virus de la grippe pangoline.

Il tombe sous le sens que les voyous qui ont pris la France en otage ne pouvaient tolérer pareilles dénonciations.

Peu de temps auparavant, elle avait rendu public son rapport intitulé « Dictature 2020 » accusant le pouvoir macronien et ses sbires de « terrorisme d’État, atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation et crimes contre l’humanité ».

Ce document devait constituer la base des poursuites pénales contre les membres de ce gouvernement de république bananière.

Elle ne fait qu’énoncer des évidences lorsqu’elle écrit : « On empêche les gens de travailler, on empêche les gens d’avoir une vie sociale, on isole les personnes depuis plusieurs mois, après leur avoir fait croire que tout irait mieux en portant le masque. »

Mais le dictateur et ses séides n’aiment pas entendre de genre de vérités. Malgré l’armada des journaleux vendus et des médias pourris qui chantent leurs louanges 24/24, ils craignent que les yeux des électeurs s’ouvrent avant l’élection.



Dénoncer les crapules au pouvoir est le crime le plus horrible !

Elle aurait été arrêtée sans mandat par des agents se prétendant de la DGSI, agence gouvernementale chargée de l’espionnage et du contre-terrorisme. Aucun chef d’inculpation n’a été notifié et il semblerait qu’on lui ait refusé le coup de téléphone et la présence d’un confrère, dont bénéficient les braqueurs, les narcos et les égorgeurs.

On a une chance de la revoir vivante car mieux vaut prendre des coups de Bottin sur la tête que d’avoir affaire à ces officines parallèles qui, de Ben Barka à Doucet, de Boulin à Bérégovoy, de François de Grossouvre à Jean-Edern Hallier et Claire Séverac ont su neutraliser les gêneurs.

Quand ils ne font pas disparaître discrètement les corps, les nettoyeurs s’y entendent pour qu’il leur arrive des accidents de bicyclette, des noyades dans une flaque d’eau, ou qu’ils se suicident de deux balles dans la nuque.

Virginie de Araujo-Recchia avait déjà déposé plusieurs plaintes au pénal contre le répugnant Emmanuel Lechypre et contre le fantoche Blachier, ainsi que contre les directeurs de publication de plusieurs médias menteurs complices des covideurs. De même que contre les membres de la commission mixte paritaire ayant validé le scélérat passe vaccinal. Et elle envisageait d’assigner des ministres corrompus.

Bien évidemment, Dupond le Yéti avait donné ordre à ses parquetiers de classer ces affaires, ce qui fut fait promptement.

Mais par effet Streisand, entre cenSSure, dénégations insensées et mensonges incohérents, un nombre croissant de personnes, ré informées par le web, ont commencé à se poser des questions. Auxquelles le paltoquet ne répondra pas puisqu’il refuse tout débat. Mais auxquelles des électeurs moins stupides qu’il l’imagine, trouveront tout seuls les bonnes réponses.

Le tyran craint pour son trône

On imagine le paltoquet hystérique, trépignant, éructant, hurlant et se bavant dessus devant Jean-Britt désemparé, incapable de consoler le gamin.

Si Macronescu se fait jeter, fini la belle vie aux frais des contribuables ! Fini la protection des banksters puisqu’il ne leur servira plus à rien ! Fini surtout l’immunité de la fonction et donc le risque de devoir répondre de ses méfaits. De tous ses crimes. À commencer par ceux contre les Gilets jaunes. En continuant par les expérimentations de masse sur des êtres humains contre leur volonté.

Il n’y a pas que la dictature sanitaire !

Des juristes que j’ai consultés m’ont confirmé que des éléments constitutifs de crimes contre l’humanité étaient incriminants depuis les Gilets jaunes.

Et si le manque de réaction des partis et des institutions, et la lâcheté des politiques, ont été pour Macronescu un encouragement à aller plus loin, en terrorisant les gens pour leur imposer ses décisions arbitraires d’autocrate capricieux et immature, ce n’est pas une excuse.

Si l’on s’en tient à la lettre du Code pénal, Macron et ses complices devraient être accusés de crimes contre l’humanité selon les dispositions de l’art 212-1 – 2°, 5° et 11° du code pénal ainsi libellés :

« Constitue un crime contre l’humanité et est puni de la réclusion criminelle à perpétuité l’un des actes ci-après commis en exécution d’un plan concerté à l’encontre d’un groupe de population civile dans le cadre d’une attaque généralisée ou systématique :(…..)

2° L’extermination,

5° L’emprisonnement ou toute autre forme de privation grave de liberté physique en violation des dispositions fondamentales du droit international ;

(…..)

11° Les actes inhumains causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou psychique. »

Pourraient trouver également application les dispositions de l’art 211-1 punissant de la réclusion criminelle à perpétuité « tout plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe déterminé à partir de tout critère arbitraire et de commettre ou faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants : atteinte volontaire à la vie (…..) »

Les faits vus au travers du Droit :

1 / Sur le chef d’accusation du 212 – 1 11° : 11°alors que la menace d’épidémie était connue dès le mois de décembre 2019, un arrêté du 13 janvier 2020 a déclaré « substance vénéneuse » l’hydroxychloroquine, une molécule utilisée depuis 80 ans, tombée dans le domaine public donc bon marché, et dont les effets anti-viraux étaient connus.

Puis est venue une nouvelle mesure cynique : par décret du 25 mars 2020, le gouvernement a limité l’usage de ce remède aux cas désespérés afin de pouvoir en dénoncer l’inefficacité. Surtout quand on sait que prescrire de l’hydroxychloroquine à un moribond sans le combiner à l’azithromycine revient à traiter un cancéreux avec de la tisane de queues de cerise…

Le tout assorti d’une campagne médiatique hystérique de dénigrement des médecins qui proposaient cette thérapie. Brocardés, contredits et insultés par des journaleux agressifs dont la plupart n’ont pas le niveau scientifique d’un BEPC d’antan.

Menacés par ailleurs des foudres de l’administration s’ils revendiquaient le droit de choisir librement leurs prescriptions, conformément au code de déontologie. Même Pétain et Laval lorsqu’ils ont créé l’Ordre n’avaient pas osé aller aussi loin !

Aujourd’hui il est permis de s’étonner de la célérité avec laquelle l’ANSM a donné des « avis » conformes aux décisions du dictateur. L’ANSM impliquée dans les scandales du Médiator, de la Dépakine et du Levothyrox, et traduite en justice pour ses nombreuses erreurs.

On doit ajouter au désastre initial l’impossibilité matérielle pour des millions de personnes de soigner leurs maladies chroniques, perdant ainsi des chances de vie. De même que des affections autres que celles résultant du covid, du fait de la fermeture arbitraire des cabinets médicaux et de l’interdiction faite aux patients de se déplacer normalement.

S’y est ajoutée par la suite l’interdiction d’accès aux hôpitaux pour les gens non vaxinés, quel que soit le mal dont ils souffrent, soumis à un véritable chantage : Faites-vous piquer sinon on vous laissera crever la gueule ouverte pleine de mouches !

Bien que rackettés toute leur vie par une Sécu qui ne profite réellement qu’aux étrangers de préférence en situation irrégulière couverts à 100 % sans avoir jamais cotisé, on refuse de soigner les Français qui ne veulent pas servir de cobayes.

Les médicastres qui se déshonorent ainsi devront eux aussi rendre des comptes, le moment venu.

Une inconséquence criminelle peut être lue à travers la chronologie des faits et leur réitération malgré les nombreuses réserves et mises en garde provenant d’une partie du corps médical honnête et des virologues et épidémiologistes scrupuleux.

Lesquels ont été bâillonnés afin de ne pas nuire aux intérêts d’entreprises pharmaceutiques dont les dirigeants, proches du tyran et des membres de son gouvernement, devront répondre du chef de corruption active et de conflits d’intérêts, en plus de complicité d’homicides.

2/ En ce qui concerne la définition du 2e des crimes contre l’humanité, le décret du 28 mars 2020 prescrivant, facilitant et incitant à l’usage de Rivotril afin d’achever les personnes les plus âgées répond au qualificatif juridique d’ « extermination », tuerie de masse délibérément organisée selon des critères discriminatifs précis : l’âge et le niveau socio-économique.

3/ Pour ce qui relève du 5e des crimes contre l’humanitépeuvent être considérées comme constitutives d’atteintes graves et répétées aux droits civils des citoyens : l’assignation à domicile arbitraire de toute une population, sans condamnation préalable des personnes pour quelque délit que ce soit, instaurant une présomption de culpabilité généralisée s’appliquant de façon aveugle à chacun dans un climat de méfiance, de mal-être et de terreur entretenus par des harcèlements systématiques opérés par des milices qui n’ont plus rien à voir avec une police républicaine.

Le tout encadré par des sanctions pénales abusives décidées pour appuyer ces mesures autoritaires sans que les représentants élus du peuple en aient débattu et les aient votées.

Même si ces diktats furent validés ultérieurement par le Conseil anticonstitutionnel, ce rattrapage a piétiné le principe général de non-rétroactivité des lois pénales. Outre le fait qu’ils intervenaient dans le domaine dévolu à la loi, même si on les a qualifiés de « contraventions » dont les peines étaient supérieures à certains délits !

4/ En ce qui concerne le 212 – 1 – 11°,  Les piquouses forcées avec des produits dangereux sont bien des actes inhumains intentionnels causant des atteintes graves à l’intégrité physique ou psychique des personnes, passibles de la réclusion criminelle à perpétuité.

On peut y ajouter l’état de sidération dans lequel on a maintenu les enfants pendant 2 ans, en les terrorisant et en les contraignant à porter en permanence une muselière nocive, provoquant des troubles cutanés et respiratoires, et altérant gravement leur développement psychique et intellectuel en les privant des indispensables interactions visuelles avec leurs interlocuteurs.

 Tout cela s’ajoute aux crime constitués avant par les ordres donnés pour terroriser, éborgner et mutiler des manifestants pacifiques en utilisant, pendant toute une année, chaque semaine de façon délibérée, une panoplie d’armes létales telles que des grenades de combat rapproché et des balles renforcées à projection ultra rapide dites de dispersion, spécialement calibrées pour faire le plus de dégâts possible, et dont on savait qu’elles provoquaient des énucléations et des amputations à répétition.

Sans oublier les jet de gaz corrosifs et asphyxiants en plein visage, provoquant des cécités et des défigurations, pour le plus grand amusement des nervis.

Ces crimes ont occasionné des dommages physiques et psychiques à plusieurs milliers de personnes, et parmi elles des centaines de blessés très graves qui devront obtenir réparation. En attestent l’abondante documentation vidéo, les nombreuses déclarations des soignants ainsi que les témoignages de quelques policiers qui ont préféré se porter malades ou prendre des congés plutôt que de se rendre complices du dictateur.

Je connais personnellement un haut gradé, « en maladie diplomatique » prêt à témoigner à charge, une fois que Macronescu et sa clique auront été inculpés.

Les autres gradés et subalternes de la force publique auteurs d’agressions physiques devront être poursuivis du chef de coups et blessures volontaires, tentatives d’homicides, tortures et traitements dégradants. Y compris ceux qui ont impunément harcelé, tabassé et racketté d’innocents promeneurs pour une muselière de travers.

Leur culpabilité sera établie en fonction du degré de zèle avec lequel chacun a suivi des ordres manifestement illégaux.

En vertu de la jurisprudence de Nuremberg selon laquelle :

« L’obéissance aveugle à des ordres injustes ou illégaux n’exonère pas les exécutants de leur responsabilité pénale personnelle. »

SVP n’oubliez pas  Virginie de Araujo Recchia et racontez partout où vous pouvez le traitement odieux que lui infligent les tontons macoutes du despote. Seule une vague d’indignation soutenue pourra la sauver de ses tortionnaires !

Christian Navis




Nous n’avons pas mis nos enfants au monde pour qu’ils servent de cobayes aux laboratoires pharmaceutiques !

Bonjour,

Comme vous le savez, en un an de campagne de « vaccination » anti-Covid-19, parmi les plus de 50 millions de citoyens français « vaccinés », plus de 1300 personnes ont été signalées aux services de pharmacovigilance comme ayant perdu la vie suite à ces injections.

À la veille du lancement d’une campagne équivalente ciblant des millions d’enfants (dans un premier temps, ceux âgés de 5 à 11 ans), de nombreux experts et personnalités, impliqués dans la résistance aux mesures dites sanitaires imposées par le gouvernement français, ont alerté sur le caractère scandaleux de ce projet « vaccinal » pédiatrique.

Ayant découvert que plus de 22 000 enfants de moins de 12 ans avaient déjà été piqués avec des doses non adaptées à ces enfants et non validées par les instances responsables des processus de validation d’autorisation de mise sur le marché, nous désirons relayer le plus massivement possible l’appel de plusieurs personnalités exigeant l’arrêt immédiat de ces expérimentations sur les enfants.

Dans ce contexte, ci-joint, nous vous transmettons la copie d’un courrier destiné aux autorités sanitaires nationales ; courrier que plusieurs de ces personnalités ont co-signé.

Nous vous serions extrêmement reconnaissants de bien vouloir diffuser cette lettre appelant les autorités sanitaires à faire connaître les rapports de suivi de la « vaccination » illégale de ces 22 490 enfants, avant qu’elle ne soit étendue à des millions d’autres enfants de moins de douze ans.

Un très grand merci, par avance, pour votre intérêt et pour ce que vous pourrez faire pour les enfants de notre pays !

Le collectif INSEME de Porto-Vecchio

COURRIER NATIONAL DES LEADERS RÉSISTANTS UNIS POUR LA VÉRITÉ

Mesdames et Messieurs de la Société Française de Pédiatrie, du Comité Consultatif National d’Éthique, de la Haute Autorité de Santé, de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé et du Ministère des Solidarités et de la Santé :

NOUS N’AVONS PAS MIS NOS ENFANTS AU MONDE
POUR QU’ILS SERVENT DE COBAYES AUX LABORATOIRES PHARMACEUTIQUES !!!

En France, selon Santé Publique France, en mai 2021, alors qu’aucune autorisation de mise sur le marché n’avait encore été octroyée pour les adolescents français, des médecins ont commencé à inoculer des doses de pseudo-vaccins à ARNm viral pour prévenir le Covid-19, à des enfants de moins de 12 ans !

Au cours de ce même mois de mai, Alain Fischer, le monsieur Vaccin du Gouvernement Macron, déclarait que ce n’était pas envisageable en 2021 !(([1] “…la vaccination des enfants de moins de 12 ans, celle-ci n’est “pas à l’ordre du jour” et ne devrait pas être envisageable “avant le début de 2022”, selon M. Fischer, qui a souligné que les essais cliniques relatifs à cette population commençaient à peine. »
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/05/21/covid-19-la-vaccination-des-adolescents-pourrait-commencer-courant-juin-selon-alain-fischer_6081022_3244.html))

Plus tard, alors que des médecins avaient déjà piqué plusieurs milliers d’enfants de moins de douze ans, le 21 juin, le Comité Consultatif National d’Éthique, présidé par le Président du Conseil Scientifique du gouvernement Macron, déclarait qu’il était inacceptable, éthiquement et scientifiquement, de « vacciner » des enfants de moins de douze ans avec ces mêmes produits !(([2] À ce jour, pour le CCNE, la vaccination des enfants de moins de 12 ans ne semble pas éthiquement et scientifiquement acceptable, en grande partie parce qu’il n’existe aucune étude évaluant la sécurité des vaccins contre la Covid-19 dans cette population. D’ailleurs, aucun pays n’a actuellement pris la décision de vacciner ses jeunes enfants.
https://www.ccne-ethique.fr/sites/default/files/enjeux_ethiques_relatifs_a_la_vaccination_covid_08.06.21_0.pdf))

Selon le quotidien Le Monde du 23 novembre dernier(([3] https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/11/23/covid-19-qui-sont-les-17-000-enfants-de-moins-de-12-ans-deja-vaccines_6103239_4355770.html?fbclid=IwAR14JGyvYxszOnLzKCZVzMlWio2u4woiWH5vlixs68pcnfdiT5tvfCkqsOE)), à la date du 18 novembre, selon les données statistiques officielles de Santé Publique France, 22 490 enfants français de moins de douze ans, dont plus de 4500 enfants de moins de 5 ans, ont été piqués avec de l’ARNm de protéine virale depuis le mois d’avril dernier (Le Monde avance même la date du 27 décembre 2020 pour les deux premières injections sur des touts-petits).

Ces injections ont été réalisées sans que personne, aucun parent, ni aucune autorité de tutelle, n’ait pu donner un consentement éclairé, vu qu’aucune étude clinique n’avait été réalisée, ni évaluée, et qu’aucune autorisation de mise sur le marché n’avait été approuvée par aucune agence publique, qu’elle soit française ou de l’Union Européenne.

Par ailleurs, informée par Santé Publique France de la réalisation de ces injections sur des bébés et sur d’autres enfants de moins de douze ans, qu’a fait l’ANSM concernant la pharmacovigilance correspondant à ces injections tellement délicates, vu leur caractère doublement expérimental, sur des enfants de cet âge-là ?

Le Ministre de la Santé considère-t-il tolérable que ces 22 490 bébés et enfants de moins de douze ans se soient vu injecter ces substances expérimentales appelées vaccins, alors que les premières doses adaptées aux enfants de 5 à 11 ans ne sont pas encore arrivées en France au moment où cette lettre est rédigée (11 décembre 2021) ?

Monsieur le Ministre est-il au courant que la cohorte d’enfants servant l’étude clinique de Pfizer est 10 fois plus petite que ce nombre de 22 490 enfants français ?

Nous exigeons que la lumière soit faite sur cette scandaleuse affaire et que les rapports de pharmacovigilance soient publiés AVANT que ne débute la campagne d’injections prévue pour le 15 décembre prochain.

Fait à Paris, le 11 décembre 2021

Signataires : Martine Wonner, Virginie de Araujo-Recchia, Nicole Delépine, Alexandra Henrion Caude, Yoanna Micoud, Laurent Mucchielli, Benoît Ochs, Jean-Marc Sabatier, Pierre Barnérias, Louis Fouché, Pascal Sacré, We for Humanity — une association humanitaire fondée par des survivants de l’Holocauste et leurs descendants, Collectif Soignants Militants Libres et Unis, Sébastien Recchia, Jean-Pierre Eudier, LNPLV, Le Collectif des Maires Résistants, Collectifs corses INSEME et INSEME SCOLA, Antennes de RéinfoCovid (Vaucluse, Var, 84, 13, 05 et Soignants) Jacqueline D’Antuoni, Sylvain d’Antuoni, Stefan Litty, Lionel Million, Lucette Istace, Marie Anne Andreani, Isabelle Bocognani, Jackie Giraud, Jean-Marc Sabatier, Fabrice Martineu, Nathalie Biancarelli, Michel Biancarelli, Laure Vignot, Alain Schollaert





L’heure des comptes Covid sonnera un jour, la justice pénale est saisie

[Source : AIMSIB]

Trop c’est trop! le monde libre de toute influence pharmaceutique a vu ce mois-ci arriver la limite du tolérable en terme de recul de ses libertés. Prorogation de passes sanitaires absolument imbéciles, violations perpétuelles des droits du public à une information contradictoire, restriction généralisée des autorisations de déplacement, intrusion permanente des industriels du médicament dans la gestion des politiques publiques, empoisonnement des population par administration forcée de pseudo-vaccins totalement inefficaces quelques semaines après injections (1), certainement non conformes au droit européen (2), épouvantablement toxiques (3)(4)(5), refus catégorique de reconnaître l’existence de thérapeutiques tant  préventives que curatives (6), répression féroce de tous les opposants à la politique édictée par Pfizer et ses employés (7), mais où va le monde? La France Libre et quelques-uns de ses représentants ont choisi de saisir la justice en désespoir de cause. Si celle-ci décide d’instruire, les conséquences seront incalculables en terme de retour à une démocratie respectueuse de ses fondamentaux essentiels… Bonne lecture.

« On ne saurait prétendre que le droit d’informer est pleinement exercé quand la majorité des citoyens en sont exclus et que le droit d’être informé est garanti quand il est arbitrairement mutilé. Le droit d’informer est, comme la liberté d’expression et d’opinion, un droit social qui devrait être universellement partagé. Le droit d’informer ne saurait être réservé à des groupements publics et privés qui prétendent s’en réserver l’usage parce qu’ils en monopolisent les moyens. »

Henri Maller (ACRIMED)

Introduction

Si dans quelques mois cette affaire est réellement instruite, nous devrons tous une reconnaissance particulière à  Maître Virginie de Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris, pour l’exceptionnelle qualité rédactionnelle de son dépôt de plainte réalisé le 4 novembre 2021 auprès du Doyen des juges d’instruction. Les plaignants sont représentés par un particulier qui souhaite rester anonyme à ce jour, par l’association BonSens.org ainsi que par l’AIMSIB, au passage nous tenons à remercier chaudement l’ensemble de nos membres qui par le paiement régulier de leurs cotisations nous permettent d’assumer les coûts financiers parfois importants de plusieurs milliers d’euros, de certaines instances.

Les petits ruisseaux forment les grandes rivières, merci de ne jamais les tarir…

L’ensemble de la plainte est accessible ici et là (8):

Cliquez sur l’image pour consulter la plainte

 Les termes de la plainte

Le choix technique de la plainte contre X autorise au juge d’instruction toutes les directions que son enquête exigera, c’est naturellement cet instrument du Droit qui a été choisi. l’objet de la plainte est résumé ici:

Capt. écran p.2

L’objet de cet article ne recherche pas à résumer le travail de Maître Virginie de Araujo-Recchia, mais simplement à le présenter, nul doute que dans les années à venir tout chercheur intéressé par l’histoire contemporaine pourra se référer avec bonheur dans la synthèse documentaire rassemblée par ce mémoire. 

Sommaire de la plainte pénale

Accès aux annexes

rendez-vous sur
https://partage-public.avocat.fr/ajax/share/0a168cc90115a15aa16a3b8115a14b39aa2d96a48ba021a7/1/8/NDg

Conclusion

L’AIMSIB est très heureuse d’avoir pu participer financièrement et techniquement à la réalisation de cette action judiciaire sans précédent dans l’histoire de la crise de la Covid. L’avenir nous dira si la justice Française se donnera le droit et les moyens d’investiguer dans les directions que nous lui présentons ici.

Mais dès aujourd’hui ce travail de compilation des preuves permet à l’ensemble des parties attaquées par la doxa officielle d’argumenter avec force l’idée que le désastre sanitaire qu’on nous présente demeure diamétralement opposé à la réalité objective de la situation réelle.

Médecins attaqués par les Conseils ordinaux, journalistes indépendants, politiciens intègres, malades ayant à souffrir d’effets indésirables post-vaccinaux, soignants non vaccinés, salariés pourchassés par leurs DRH, médecins objectifs… Ce mémoire est pour vous. Défendez-vous, défendons-nous!

La rédaction de l’AIMSIB
Novembre 2021

« Conformément à l’art 85 alinéa 2 du Code de Procédure Pénale, les plaignants n’avaient pas l’obligation préalable de dépôt de plainte entre les mains de M. le Procureur de la République, puisqu’ils se plaignent notamment de crimes ».

Notes et sources

(1)

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/emmanuel-macron-arretez-dire-nimporte-quoi

(2) https://www.aimsib.org/2021/10/10/des-vaccins-ecoules-sans-aucune-ammc-valide-cest-possible/
(3) https://www.aimsib.org/2021/09/25/pharmacovigilance-des-vaccins-anti-covid/
(4) https://www.aimsib.org/2021/06/27/pire-que-la-maladie-les-consequences-involontaires-des-injections-anti-covid/
(5) https://rumble.com/vp0smb-2021095-et-pourtant-leur-confiance-avait-t-totale.html
(6) https://www.aimsib.org/2021/07/04/traitement-de-ville-de-la-covid-19-reactualisation-de-juillet-2021/
(7) S’agissant des dix premiers de la raffle du printemps 2021, toute controverse inhérente à l’histoire officielle de la Covid doit être sévèrement condamnée:

(8) https://aimsib.org/PDFs/PlainteCaviardeeBonSens.orgAIMSIB-MP-04112021.pdf




Parents, agissez sans attendre ! ⚠️ Action européenne pour l’interdiction du « vaccin » Pfizer

[Source : courriel]

Parents, agissez sans attendre ! ⚠️ Action européenne pour l’interdiction du « vaccin » Pfizer (17/08/21)

➡️ ⚠️ Recours en annulation pour le « vaccin » Comirnaty (Pfizer/BioNTech).

➡️ Date limite : 15 septembre 2021.

➡️ Conditions de candidature : parent d’un enfant dans l’Union européenne.

➡️ Action : participer en tant qu’intervenant à l’action en justice visant à annuler l’autorisation par l’U.E. du produit expérimental de Pfizer/BioNtech nommé « vaccin » anti-Covid-19 pour les enfants âgés de 12 ans et plus.

➡️ Avocat coordinateur pour la France : maître Virginie De Araujo-Recchia. E-mail pour lui écrire : v.dearaujo-recchia.avocat@protonmail.com

➡️ L’avocat de chaque pays remplira la plupart des documents, les parents doivent surtout dire, «OK, je veux participer. Voici mon nom, mes coordonnées, ma carte d’identité », indique l’avocate représentant l’action.

➡️ La participation à cette action en justice est gratuite et les participants ne risquent pas d’être tenus financièrement responsables en cas de perte du procès.

➡️ Pour plus d’informations :
[Source : childrenshealthdefense.eu]

Renate Holzeisen: « Les vaccins Covid violent la législation européenne »



Senta Depuydt : [00:00:02] Bonjour à tous, je suis Senta Depuydt de CHD Europe, et aujourd’hui je reçois Renate Holzeisen, que je considère comme l’avocate numéro un pour les litiges concernant les vaccins Covid au niveau des institutions européennes. Renate est avec moi pour deux actions en justice très importantes contre la Commission européenne, et nous demandons à tous les Européens d’y participer. Renate est une avocate en droit économique et fiscal hautement qualifiée. Elle est également spécialisée dans le droit international et européen. Et depuis le début de la pandémie, elle est en première ligne pour défendre nos libertés fondamentales. Elle a ainsi déposé un nombre impressionnant d’affaires liées aux vaccins Covid. Elle est originaire du Tyrol du Sud, la partie germanophone de l’Italie, donc sa langue principale est l’allemand, et elle collabore souvent avec des collègues autrichiens et allemands notamment Reiner Fuellmich. Enfin, Renate est membre du conseil consultatif de CHD Europe. Et nous sommes très, très fiers de la compter parmi nous.

Renate, merci de vous joindre à nous. Je sais que votre temps est très précieux. Avant de nous parler des nouvelles actions, pouvez-vous d’abord nous dire quelques mots sur les différentes actions juridiques que vous avez déjà entreprises au niveau européen ? Merci.

Renate Holzeisen : [00:01:32] Merci. C’est un plaisir d’être avec vous aujourd’hui. Nous avons déjà déposé quatre recours en annulation, conformément à l’article 263 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, contre les délibérations de la Commission européenne concernant l’autorisation conditionnelle des quatre vaccins Covid-19 actuellement autorisés, qui sont en fait des produits expérimentaux de thérapie géniques. Nous avons constaté que les délibérations prises par la Commission européenne sont fondamentalement contraires au droit européen sur l’autorisation conditionnelle des médicaments et des vaccins, si seulement il s’agissait de vaccins, car nous savons qu’ils sont des produits de thérapie génique. Les décisions doivent être prises conformément au règlement européen 507 de 2006. Et l’une des conditions fixées par le législateur européen est que le produit doit garantir un équilibre positif entre les bénéfices et les risques.

Donc, tout d’abord, nous pouvons dire que ces substances n’ont pas été étudiées et autorisées pour la prévention de l’infection par le virus SARS-COV-2. Elles n’ont été étudiées et autorisées que pour la prévention de la maladie Covid-19. Et déjà là, on voit, non seulement beaucoup de malentendus, mais surtout, une véritable propagande et désinformation de la part des institutions et des gouvernements européens. Et ceci est inacceptable. Nous le voyons maintenant avec les législations qui sont annoncées dans les différents pays européens comme la France et l’Italie concernant le soi-disant Pass Vaccinal…

Senta Depuydt : [00:04:48] Oui, je reviens sur ce sujet parce que vous dites tellement de choses importantes. Et je me souviens très clairement – nous avons publié un article là-dessus lorsque l’Agence Européenne du Médicament a publié cette autorisation conditionnelle. Ils ont réalisé une longue interview avec des experts, et je pense que cette vidéo est toujours disponible sur le site, dans laquelle ils déclaraient Oh, nous ne savons pas si le vaccin va prévenir la transmission. En fait, cela n’a pas été étudié… Ce n’est pas prévu dans les données. Nous n’avons aucune idée à ce sujet. Et aujourd’hui hui, au contraire, toutes les preuves montrent que dans les pays où l’on a le plus vacciné, en Israël, au Royaume-Uni, etc. nous voyons qu’il y a de nouveaux variants et que les vaccins n’ont pas fonctionné sur la transmission. Vous soulignez donc l’élément fondamental. Comment l’Union européenne ou les différents pays continuent-ils dans cette direction ? Fournissent-ils de fausses preuves, de fausses données pour être capables de soutenir l’idée que les vaccins bloquent la transmission ?

Renate Holzeisen : [00:06:22] Oui, nous devons être très clairs à ce sujet. Nous avons l’autorisation de la Commission européenne sur le rapport positif de l’AEM et de la documentation officielle de la Commission européenne, tous les documents sont disponibles sur le site web, et en cliquant sur les rapports sur les vaccins Covid-19 tout en haut de la liste, vous trouverez alors toutes les délibérations de la Commission européenne avec les documents joints. A partir de ces documents et des documents de l’AEM, que vous pouvez trouver sur le site de l’AEM, vous verrez que la Commission européenne et l’AEM, déclarent que ces substances sont autorisées pour la prévention de la maladie. Elles n’ont jamais déclaré l’autorisation pour la prévention de l’infection parce que l’AEM elle-même affirme qu’il n’est absolument pas prouvé que ces substances fonctionnent pour la prévention de l’infection. Par conséquent, la Commission européenne n’a pas pu autoriser ces 4 substances qui sont Cominarty (Pfizer/BioNtech), Moderna maintenant appelé Spikevax, AstraZeneca maintenant appelé Vaxzevria et Janssen ou Johnson & Johnson. Ils ne sont pas autorisés pour la prévention de l’infection par le virus, et cela est juridiquement contraignant.

C’est la base légale à partir de laquelle nous devons commencer et, par conséquent, tous ces « Laissez-Passer verts / Pass sanitaire » (Covid pass), qui font référence à une preuve de la vaccination avec l’une de ces quatre substances, sont illégaux. Ils ne sont pas fondés sur des faits. Donc cette législation a déjà échoué avant qu’ils ne soient introduits. Et nous, les avocats, travaillons maintenant sur ce sujet, parce qu’il est clair que nous aurions une discrimination en violation complète des principes constitutionnels entre les personnes non traitées avec ces substances expérimentales par rapport aux personnes vaccinées. Et même les personnes qui ont été traitées avec ces substances, elles n’ont pas été vaccinées afin de prévenir l’infection.

Senta Depuydt : [00:09:54] Oui et pourtant c’est ainsi qu’ils ont justifié toutes ces mesures.

Renate Holzeisen : [00:09:57] Tout à fait. Il est clair que nous avons dès le départ une discrimination complètement illégale. Et je pense que si nous apportons cette preuve avec la documentation légale de la Commission européenne et de l’AEM devant les tribunaux, la loi sur le pass sanitaire (Covid) doit tomber  immédiatement. Et aussi la vaccination obligatoire. Nous avons déjà une vaccination obligatoire en Italie pour les travailleurs de la santé. Et je vais maintenant déposer, à partir de demain, des centaines d’actions en justice afin de demander l’annulation de la suspension déjà décidée par l’Autorité sanitaire du Tyrol du Sud, qui a suspendu sans salaire des centaines de travailleurs de la santé. Ils n’ont plus aucun revenu et c’est évidemment une situation absolument inacceptable.

Senta Depuydt : [00:11:37] Et malheureusement, on voit que ce qu’il se passe en Italie arrive en France. Je suis sûre que vous en avez entendu parler. Et je suis sûre que d’autres pays vont suivre.

Renate Holzeisen : [00:11:49] Oui. Et tout cela est basé sur la manipulation des faits par les gouvernements, même en dehors des documents officiels de la Commission européenne et de l’AEM, parce que c’est la réalité. Nos gouvernements font de fausses déclarations. Ils disent que ces substances sont destinées à prévenir l’infection par le virus, alors que ces substances ne sont pas autorisées pour cela.

Senta Depuydt : [00:12:27] J’ai une question parce que vous et moi réalisons certainement que le rôle de l’Union européenne est vraiment clé dans cette affaire. C’est l’Union qui ont poussé cet Accelerator Act à changer toute la législation et à obtenir une dérogation pour l’utilisation de technologies génétiques. Elle a négocié tous ces terribles contrats pour les vaccins, sans aucune transparence, sans aucune garantie. Elle a approuvé les vaccins sans presque aucunes données. Elle a créé une énorme dette pour les citoyens, etc, et imposé le Pass sanitaire en alternant entre les rôles du sauveur et du dictateur. Et c’est encore l’Union qui, toutes les cinq minutes, tous les jours, établit les codes couleurs de chaque pays avec l’ECDC. « Oh, vous pouvez y aller Wow c’est vert. Fantastique. Arrêtez maintenant, c’est rouge ! »

On joue avec les citoyens européens et les États membres. Alors à part vous Renate, y a-t-il d’autres avocats qui attaquent directement  la Commission européenne ou les institutions européennes comme l’AEM ou le CDC européen ? Pouvez-vous m’en dire plus à ce sujet? Y a-t-il d’autres actions au niveau européen ? Et pourquoi vous adressez-vous directement au niveau européen ? Beaucoup considèrent que nous devons plutôt plaider au niveau national.

Renate Holzeisen : [00:14:00] Nous devons faire les deux, évidemment. Nous savons qu’en raison de la juridiction de la Cour de justice européenne, et en violation de la charte européenne des droits de l’homme, elle a beaucoup trop réduit à mon avis le droit légitime des citoyens à déposer des recours en annulation devant les tribunaux européens…. (allant) à l’encontre de ce que voulait le législateur européen. Nous avons donc, à mon avis, la nécessité d’un changement dans cette juridiction.

D’ailleurs, je voudrais rappeler des paroles de l’avocat général Jacobs, qui a fait une intervention très, très importante à ce sujet. Il a dit :  « S’ils vont dans cette direction, il n’y aura plus de véritables droits de défense pour les citoyens européens. Et nous sommes arrivés dans cette situation. Donc nos actions en annulation des autorisations de ces substances expérimentales seront cruciales et cela montrera si la Cour européenne base ses décisions sur la loi et sur la Charte des droits fondamentaux, ou si nous, citoyens européens, sommes finalement laissés pour compte. C’est un point crucial. Notre situation actuelle correspond exactement à l’avertissement de l’avocat général Jacobs, il y a quelques années, c’est-à-dire « Attention ! L’évolution que vous prenez en tant que tribunal prive les citoyens d’une réelle défense devant les tribunaux ».

Senta Depuydt : [00:16:54] C’est une…

Renate Holzeisen : [00:16:56] Une situation très intéressante.

Senta Depuydt : [00:16:59] Puis-je revenir sur les actions que vous intentez maintenant ? Si je peux résumer, vous avez déposé des actions en annulation pour les quatre vaccins différents qui ont obtenu une autorisation conditionnelle. Vous avez donc intenté des actions que nous (CHD Europe) avons déjà contribué à promouvoir et pour lesquelles nous avons trouvé des intervenants.

Pouvez-vous expliquer votre prochaine plainte ? Vous devez donc déposer un recours par vaccin. Vous l’avez déjà fait pour Pfizer, Moderna et AstraZeneca. Et pour ceux-ci, nous n’avons plus la possibilité d’intervenir, les délais sont dépassés. Mais pour le dernier vaccin, celui de Johnson & Johnson, nous pouvons tous participer en tant qu’intervenants d’autres pays.

Renate Holzeisen : [00:17:52] Oui, c’est cela.

Senta Depuydt : [00:17:54] Donnez-nous les détails. Que devons-nous faire pour participer ?

Renate Holzeisen : [00:17:58] Donc, c’est ouvert aux citoyens de toute l’Union européenne et, premier lieu, appartenant aux catégories qui sont maintenant confrontées à une vaccination obligatoire, les travailleurs de la santé, mais aussi d’autres. Je pense aux enseignants, aux pilotes et aux travailleurs des transports publics, ils peuvent intervenir en tant que soutiens aux plaignants italiens. J’ai introduit le recours en annulation contre l’autorisation de Janssen ou Johnson & Johnson pour les travailleurs du secteur de la santé italiens. Donc maintenant, les professionnels de la santé et d’autres professions français, belges, allemands, autrichiens et d’autres citoyens européens peuvent intervenir avec leurs avocats, afin de soutenir l’action des professionnels de la santé italiens. C’est une première chose.

Ensuite, la semaine prochaine, je déposerai également un recours spécifique en annulation concernant la délibération de la Commission européenne pour l’autorisation de Cominarty Pfizer/BioNtech pour les enfants à partir de douze ans. C’est, c’était un acte criminel à nos yeux et nous devons demander aux juges d’annuler cette autorisation. Ce que l’on fait aux enfants dans toute l’Union européenne est incroyable. Nous savons que la balance entre les bénéfices et les risques, surtout pour les enfants, ne pourra jamais être positive. C’est vraiment négatif parce que les enfants n’ont aucun problème avec le virus SARS-COV-2, comme le montrent les faits, mais ils encourent des risques incroyables à cause de cette thérapie génique expérimentale. C’est donc un véritable crime d’inoculer maintenant ces substances aux enfants. Et nous devons l’arrêter.

Senta Depuydt : [00:20:58] Merci, j’ai deux questions. La première est, que nous, en tant que Children’s Health Defense, étant donné que notre organisation principale est aux États-Unis, nous suivons vraiment tout ce qui se passe avec la FDA, le CDC, et c’est vraiment comme si les États-Unis poussaient ces politiques. Dès qu’un produit est approuvé par la FDA, il est approuvé, plus ou moins automatiquement, par l’Agence Européenne du Médicament. Je peux maintenant voir que la tendance évolue très rapidement aux États-Unis. Aux dernières nouvelles, ils veulent vacciner les bébés à partir de six mois et ils parlent même de vacciner les enfants sans consentement parental ou même sans information parentale. Donc vous ne sauriez même pas que votre enfant, si par exemple il revient de l’école et que quelque chose lui arrive, vous ne sauriez même pas qu’il est vacciné. Pensez-vous donc que cette politique est vraiment, disons, poussée par les États-Unis ? Parce que je sais que le CDC européen reprend également une grande partie de leurs informations, de leur science, si l’on peut dire. Est-elle poussée par les États-Unis ? Qu’en pensez-vous ?

Renate Holzeisen : [00:22:30] Oui, je vois que ces agences qui donnent les autorisation AEM et autres…. sont dans les mains du lobby pharmaceutique ou plus précisément  les membres de ces autorités viennent de ces lobbies. Donc nous sommes dans une situation très critique, et c’est à nous les adultes de défendre les enfants. Nous devons les bloquer. Les enfants dépendent entièrement de l’aide que nous devons leur apporter. Sur la base de l’article 24 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, les besoins et les droits des enfants sont au premier plan et passent avant tout le reste. Alors que nous, au sein de l’Union européenne, nous utilisions des enfants comme cobayes, c’est un scandale incroyable. Je demande à chaque parent, chaque grand-mère, chaque grand-père, chaque oncle et tante de réfléchir à ce que nous faisons à nos enfants. Nous ne connaissons pas les effets à long terme de ces substances. Elles n’ont pas été étudiées. Nous connaissons les effets de ces substances à très court terme. Nous avons des milliers de morts, déjà 11000 morts en Europe. Et nous avons des centaines de milliers de réactions graves causées par ces substances. Et nous savons que ce n’est qu’une petite partie de la réalité, parce que nous n’avons pas de pharmacovigilance active. Et c’est l’une des violations de la loi européenne. Il est absolument illégal d’inoculer une substance expérimentale, sans pratiquer une pharmacovigilance active. C’est insensé. Ils le savent parfaitement et ils ne veulent pas de pharmacovigilance supplémentaire, parce que s’il y avait une vraie pharmacovigilance, on aurait des chiffres au moins dix fois supérieur.

Senta Depuydt : [00:25:37] Oui, je suis absolument consciente de cela. Renate, alors comment pouvons-nous adhérer ? Laissez-moi essayer d’expliquer ce que nous pouvons faire avec nos amis de Children’s Health Defense et ensuite vous me corrigerez si je me trompe.  Donc ce que les gens peuvent faire dans chaque pays.

Vous déposez l’action en allemand. Donc tous les participants doivent déposer l’action en allemand aussi quelque soit leur pays. Nous devrons donc traduire l’action et aussi le formulaire pour les personnes qui se joigne à l’action en tant qu’intervenants. Et dans chaque pays, il faut que ce soit relayé par un avocat, ou au moins un avocat par langue pour réunir les documents et les introduire.

Renate Holzeisen : [00:26:32] Oui. Je dirais que c’est le moyen le plus facile. Nous fournissons la traduction des actions qui ont déjà été déposées en anglais, français, italien, allemand et grec et de nombreuses autres langues. Le formulaire pour les intervenants a été préparé dans la langue originale, c’est-à-dire l’allemand, parce qu’il doit être déposé en allemand, la procédure est en langue allemande. Mais nous avons tout traduit. Ainsi l’avocat qui amène les intervenants reçoit tout cela de moi.

Senta Depuydt : [00:27:45] Qui doit signer le formulaire ? Donc l’avocat remplit les détails des personnes qui doivent dire, « OK, je veux participer. Voici mon nom, mes coordonnées, ma carte d’identité ».

Renate Holzeisen : [00:27:58] Chaque avocat a besoin évidemment d’un pouvoir donné par ses clients.

Senta Depuydt : [00:28:09] Et les avocats doivent être enregistrés sur e-Curia (barreau européen en ligne) ce qui est assez simple à faire si ils ne le sont pas déjà. Une question que les gens posent : y a-t-il des frais d’adhésion ou des risques financiers pour les personnes qui veulent joindre cette action ?

Renate Holzeisen : [00:28:28] Tout d’abord, les intervenants ne font que soutenir la position des plaignants et n’apportent pas leurs propres arguments. Donc ils n’amplifient pas les besoins de défense de la contrepartie, qui est la Commission européenne, mais qui pourrait aussi être le producteur pharmaceutique. Les coûts sont donc nuls, puisqu’ils n’amplifient pas les arguments présentés au tribunal. Non, il n’y a pas de risques financiers.

Je voudrais également dire une autre chose très importante pour que les gens puissent comprendre le fondement de ce recours en annulation. Tout d’abord, comme je l’ai dit, nous n’avons pas de balance positive des risques et des bénéfices pour ces substances appelées vaccins. Et un autre argument très important est qu’il n’y a pas de réelle absence de traitement contre la Covid-19.

Et là, nous pouvons constater une fois de plus le très mauvais rôle joué par l’AEM. C’est une des conditions prévues par le législateur européen pour donner l’autorisation à des produits pharmaceutiques non étudiés dans tous leurs aspects. Il faut savoir que pour ces substances expérimentales il n’y a pas eu, même pas d’études pré-cliniques. On n’a pas fait d’études sur les animaux, qui font partie des études fondamentales.

[00:30:56] Une autorisation conditionnelle est seulement possible, selon le règlement de l’Union européenne 507 de 2006, s’il y a une réelle absence de traitement d’une maladie. Nous savons qu’en particulier dans l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, de très bonnes thérapies basées sur des produits comme l’Ivermectine par exemple ont été bloquées. Et nous savons que l’Ivermectine fonctionne très, très bien. Et nous avons vu que l’AEM, il y a deux mois, a de nouveau bloqué l’utilisation de l’Ivermectine dans l’Union européenne. C’est le mauvais jeu qu’ils jouent. Et c’est l’un des arguments fondamentaux que nous apportons avec ce recours en annulation. Nous disons « nous ne voyons pas les avantages de ces substances appelées vaccins. Les risques sont énormes, énormes. Vous ne pouvez même pas évaluer la balance, parce que vous ne connaissez pas tous les risques. Nous savons qu’il y a des risques très élevés à court terme et pour le moyen et long terme, nous ne le savons pas. Nous ne sommes donc même pas en mesure d’établir un bilan. C’est pourquoi, ces autorisations doivent être annulées immédiatement ».

Senta Depuydt : [00:32:58]Je reviens sur ce que vous avez dit, car vous avez mentionné beaucoup de choses très importantes. Nous avons une plainte similaire en Belgique exactement sur cette base,  demandant la suspension de l’autorisation des vaccins expérimentaux, parce justement il y a des traitements disponibles.

Et il y a quelques jours, nous avons également interviewé le Dr Tess Lawrie à l’occasion de la Journée de l’Ivermectine, car de nombreux médecins souhaitent avoir le droit de prescrire. Donc vous touchez vraiment un élément très, très important ici.

A ce sujet, savez-vous qui est réellement responsable de ces recommandations au niveau de l’AEM ? Savons-nous s’ils suivent les conseils des États-Unis, se basent sur des études biaisées, peut-être de l’OMS ? Pouvons-nous identifier des responsabilités individuelles pour finalement pouvoir mettre certaines personnes en cause et dire : « OK, cette personne ici est vraiment responsable de la manipulation des données ou de la dissimulation des données » ?

J’ai entendu sur l’Ivermectine que le premier rapport était très bon et qu’ensuite, à la dernière minute, en France par exemple, certaines personnes clés sont venues ajouter de petites phrases du genre « Finalement, ce n’est toujours pas concluant. Nous ne pouvons pas autoriser ce traitement car il y a un manque de données » etc. Pouvons-nous faire quelque chose de plus à ce sujet. Pouvons-nous poursuivre ces personnes qui, a un moment donné, ont eu un rôle majeur pour bloquer ces traitements?

Renate Holzeisen : [00:34:42] Absolument ! Je pense que nous devons faire la même chose que la Chambre du barreau des avocats en Inde. Après avoir déposé mon cinquième recours en annulation concernant la situation spécifique de nos pauvres enfants, nous devrons également penser à une action spécifique en dommages et intérêts. Nous devons introduire cette action, conformément à l’article 265, devant le tribunal général européen contre la Commission européenne et l’AEM pour avoir bloqué l’utilisation de ces médicaments très efficaces et utiles comme l’Ivermectine. Je pense que nous avons maintenant suffisamment de faits pour porter l’affaire devant les tribunaux européens. Car la censure sur les traitements, c’est la seule façon pour eux de continuer à appliquer ces substances expérimentales à haut risque sur l’ensemble de la population. Et nous en voyons les conséquences. Nous sommes maintenant dans des systèmes qui ne sont plus démocratiques, avec des gouvernements qui introduisent une soi-disant vaccination obligatoire avec ces produits de « thérapie génique expérimentale ». Nous devons donc également poursuivre les organisations ou agences européennes devant les tribunaux pour leur demander des dommages et intérêts. Et les dommages sont énormes, non seulement les dommages directs concernant la vie et la santé des personnes, mais aussi les dommages économiques. Nous devons donc aussi travailler sur ce point.

Senta Depuydt : [00:37:15] Je suis très heureuse que vous disiez cela. Et j’aimerais rappeler à tout le monde – et peut-être que vous voulez commenter – le fait que certaines personnes, par exemple, les Doctors For Covid Ethics ou d’autres médecins ou experts ont envoyé des avis de responsabilité aux personnes de l’AEM, à différentes agences de santé ou aux membres du Parlement européen. Nous savons que cela n’aura peut-être pas d’effet immédiat, mais ils ne pourront pas dire « nous ne savions pas ». Je me souviens très bien qu’en décembre 2019, j’étais au sommet de l’OMS, le Sommet sur la sécurité des vaccins, et nous avons entendu un responsable de la santé des philippines,  le Dr Kenneth Hartigan-Go, qui a raconté ses mésaventures pendant la crise de la dengue. C’est une situation un peu similaire d’une certaine manière. Ils avaient donné une autorisation d’urgence au vaccin Dengvaxia, parce qu’il s’agissait d’une épidémie, puis cela s’est transformé en une obligation vaccinale, mais cela a tourné à la tragédie parce que le vaccin a fait beaucoup de victimes.

[00:38:44] Au début, les médecins se sont tus parce qu’ils avaient peur de parler. Et puis ils ont commencé à voir les cas de décès. Les gens sont descendus dans la rue et ils ont arrêté la campagne. Tout cela s’est terminé par la comparution de trente-deux personnes devant un tribunal pénal, y compris Dr Kenneth Hartigan-Go, des personnes de Sanofi, des personnes des agences qui avaient approuvé le vaccin, comme l’agence des médicaments des Philippines, etc. Et bien sûr, ils disaient « nous ne savions pas quels étaient les risques encourus ».

Alors qu’ici pour le Covid les risques spécifiques liés à l’introduction d’un vaccin au cours d’une pandémie avaient déjà été soulevés avant le lancement des vaccins. Vous vous souvenez qu’il y a un an, tout le monde disait « Oh, un vaccin Covid peut être dangereux, car il peut y avoir une aggravation de la maladie, etc. ». Ces mises en garde ont permis de rapidement signer tous ces contrats exonérant l’industrie pharmaceutique de toute responsabilité, parce que le risque était tellement grand, mais par après, ils ont évidemment oublié cet argument. Donc, l’envoi des notifications légales aux responsables des agences et aux parlementaires est utile dans ce cas car ils ne pourront pas dire « Nous ne savions pas ».

Renate Holzeisen : [00:40:08] Absolument.  J’ai personnellement envoyé un courrier de signification par recommandé, le 20 décembre, au nom d’un groupe de travailleurs de la santé italiens, juste un jour avant que la Commission européenne n’autorise la première de ces quatre substances Cominarty Pfizer/BioNtech. Cet avis a été envoyé à la Commission européenne, au président, au commissaire à la santé et à beaucoup d’autres représentants des nations européennes, mais aussi à l’Organisation mondiale de la santé. Donc, ils ne peuvent pas dire qu’ils ne savaient pas ce qu’ils ont fait.

Et surtout, les avis envoyés par le groupe Doctor For Covid Ethic, sont très précis scientifiquement, et ils posent des questions très claires à l’AEM. Et l’AEM n’a donné aucune réponse. Il est donc absolument clair que les personnes responsables de l’AEM engagent leur responsabilité personnelle pour les (dommages futurs) de ces autorisations et de la poursuite de l’autorisation de ces substances. Le principe juridique est très clair.

Senta Depuydt : [00:42:02] Espérons donc que nos actions portent leurs fruits. Et dernière chose, vous avez mentionné l’aspect financier, et surtout que cela fait aussi partie de votre expertise. CHD Europe travaille également avec Mme Catherine Austin-Fitts. Elle vient de publier un rapport intitulé « The Going Direct Reset », dans lequel elle montre comment l’ensemble de la réponse à la pandémie, d’un point de vue financier, était déjà en place pour aller de l’avant avec un programme qui s’apparente à un coup d’état monétaire.

La crise et l’effondrement économiques étaient déjà là avant la pandémie, mais maintenant, nous pouvons tout mettre sur le dos de la pandémie, bien sûr. Je recommande vraiment à tout le monde de lire ce rapport. Elle commence également à identifier quelques-uns des acteurs clés. J’espère vraiment que vous, Catherine Austin-Fitts, Reiner Fuellmich, Bobby Kennedy et tous les autres passeront à l’action, car ces actions sont vraiment internationales. Je sais qu’une action a été déposée au tribunal international de La Haye par des avocats et des organisations françaises pour montrer les responsabilités individuelles, à l’OMS avec Tedros Adhanom par exemple, ou le Président Macron. La France joue également un rôle important dans ce plan. Donc, vous savez, j’ai vraiment hâte de diffuser le message, de participer. Et je tiens à vous remercier car vous êtes vraiment héroïque à mes yeux.

Renate Holzeisen : [00:43:52] Je pense que les vrais héros sont les citoyens qui font face à la situation sur le front, qui s’opposent à ce qui se passe. Pour moi, ce sont eux les vrais héros. Je dis à chaque médecin, à chaque professionnel de santé qui vient me voir, qui me demande de l’aide et qui me remercie, je leur exprime toujours mes profonds remerciements parce que sans eux, nous, les avocats, ne serions pas en mesure de porter ces questions très importantes, et fondamentales pour notre avenir  devant les tribunaux.

Senta Depuydt : [00:44:45] Merci beaucoup, Renate, et à très bientôt. Nous vous souhaitons beaucoup de succès. Merci beaucoup. Au revoir.

https://childrenshealthdefense.eu/aiovg_videos/renate-holzeisen-les-vaccins-covid-violent-la-legislation-europeenne/?lang=fr




Guide juridique pour la liberté vaccinale

[Source : Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations (infovaccin.fr)]

06.08.2021 – GUIDE JURIDIQUE LOI PASS SANITAIRE

Publication d’un Guide juridique pour la liberté vaccinale et contre le pass sanitaire

La Ligue nationale pour la liberté des vaccinations (LNPLV) vient de publier un « Guide juridique pour la liberté vaccinale » pour aider les Français à contrer par des moyens légaux une ségrégation sanitaire manifestement hors-la-loi. 

La nouvelle loi instaurant le pass sanitaire pour les activités du quotidien et l’obligation vaccinale, bien qu’adoptée par les deux assemblées le 25 juillet dernier , puis validée par le Conseil Constitutionnel le 5 août 2021, entre en totale contradiction avec tous les textes de Droit, qu’ils soient nationaux, européens ou internationaux. 

Conformément à sa mission et ses statuts, la Ligue entend contribuer à faire respecter les droits et libertés des citoyens, notamment leur intégrité physique.

Face au désarroi manifeste des Français confrontés à un Etat désormais sans foi ni loi, nous mettons à disposition un guide juridique de 40 pages qui rassemble : 

– les avis juridiques de plusieurs cabinets d’avocats
– des modèles de courrier à adresser aux employeurs ou aux institutions
– un « rappel à la loi » vis-à-vis de toute personne qui obligerait à la vaccination ou interdirait l’accès à un lieu, comme les hôpitaux
– un mémo récapitulatif à joindre à vos courriers, réalisé par Me de Araujo-Recchia

C’est un devoir citoyen urgent de se défendre par tous les moyens juridiques possibles contre cette nouvelle discrimination !
Nous appelons donc nos concitoyens à se saisir massivement de cette boîte à outils juridique en la partageant avec le plus grand nombre et en passant rapidement à l’action !

GUIDE JURIDIQUE pour la LIBERTE VACCINALE.V1.0.pdf




Ressources contre les mesures Covid

Par Joseph Stroberg

Récapitulatif des articles du site qui mentionnent les ressources juridiques et d’autres natures contre les mesures prétendument « sanitaires », mais en fait sociopolitiques. (Essentiellement pour le Québec et/ou pour la France, selon les cas)

Modèle de lettre de réponse aux autorités françaises scolaires ou universitaires pour les parents incités (parfois avec menaces) à faire « vacciner/injecter » leurs enfants avant la rentrée scolaire ou universitaire

Comment surseoir à la vaccination : les clés pour défendre ses droits

LETTRE-TYPE À ADRESSER À VOTRE DÉPUTÉ et AUX SÉNATEURS DE VOTRE DÉPARTEMENT pour lui demander d’être contre le Pass Sanitaire

Outils juridiques contre les dispositions “anti covid”

Contraventions COVID : ressources (au Québec)

Un citoyen canadien de l’Alberta demande la preuve de l’existence du SARS-CoV-2 au tribunal, une semaine plus tard toutes les restrictions sont levées dans cette province

Pass sanitaire et injection obligatoire : les conseils de « guerre » de Me de Araujo-Recchia et Me di Vizio

NO PASS : POURQUOI UN RECOURS CEDH ? – NO PASS !!! (en provenance d’un commentaire)

Pour les non-vaccinés qui espèrent le rester :

Ne paniquez pas ! Il n’est pas forcément nécessaire d’être un héros pour échapper à l’injection expérimentale forcée !

Conseil de Maître DiVizio aux parents inquiets d’une vaccination de leur enfant à l’école sans leur consentement parental

Déclaration à faire signer au médecin qui voudrait vous vacciner de force

« Je n’ai pas accepté le test PCR à l’aéroport et j’étais dans mon droit »

Une association française contre les mesures Covid-19

Voir aussi la rubrique Avocats dans le menu en haut du site.

Sur un plan intérieur :

La clef de la libération




Violations de la loi commises par nos gouvernants depuis le début de la crise Covid

[Source : Me Virginie De Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris]

À TOUS LES MEMBRES DE NOS FORCES PUBLIQUES NATIONALES,
Cette lecture a pour objet de vous exposer l’ensemble des violations de la loi commises par nos gouvernants depuis le début de cette crise.

En effet, notre État de droit s’est gravement et fortement dégradé depuis plus d’un an et demi.

Les droits fondamentaux et libertés fondamentales sont mis à mal au nom d’un État d’urgence sanitaire, qui en réalité n’a rien de sanitaire.

Depuis la publication de la loi d’urgence,(([1] Loi n° 2020-290 du 23mars 2020 dite loi d’état d’urgence sanitaire pour faire face à l’épidémie de covid-19)) des ordonnances, décrets, lois de prorogation ont été appliqués sans qu’aucun pouvoir n’ait été en mesure de remettre en cause le caractère inconstitutionnel des mesures prises.

En ce sens, la séparation des pouvoirs n’existe plus :

  • puisque toutes les décisions sont prises en Conseil de défense,
  • puisque le Parlement ne peut plus exercer son contrôle sur l’activité du gouvernement prévu à l’article 24 de la Constitution et que la majorité présidentielle suit aveuglément les consignes,
  • que le Conseil constitutionnel omet de censurer l’ensemble des textes portant gravement atteinte au blocs constitutionnel et conventionnel. Ce fut encore le cas le 5 août, sans apporter de réponses à bon nombre d’arguments juridiques pourtant soumis au Conseil constitutionnel.
  • et que la justice administrative ne fait plus office de rempart.

Or d’après l’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789, toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.

En efeft, le pouvoir exécutif, sa majorité présidentielle et les ordres et médias complices ont violé les droits du peuple :

Violation de la liberté individuelle, violation de la liberté d’aller et venir et violation du principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation en interdisant de sortie du domicile par des mesures de confinement forcé l’ensemble des citoyens sans distinction et sans justification d’ordre médical, ces citoyens ne pouvant en aucun cas être déclarés arbitrairement coupables de porter atteinte à la sécurité et à l’ordre public.

En ce sens, le pouvoir exécutif viole impunément l’Habeas Corpus figurant à l’article 66 de la Constitution ainsi que dans de nombreuses conventions internationales.

Conformément à l’article 66, nul ne peut être arbitrairement détenu et l’autorité judiciaire est la gardienne de la liberté individuelle.

L’article 9 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789 le rappelle ainsi:

« Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi ».

De même l’article 5 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789 rappelle que la loi n’a le droit de d’interdire que les actions nuisibles à la Société. Le reste ne peut être interdit.

Je me dois de dénoncer haut et fort cette injustice faite aux français lorsque l’on sait que les critères de proportionnalité et d’utilité de ces mesures ne sont pas remplis puisque plus de vingt-cinq études scientifiques viennent démontrer que les mesures d’interdiction de sortie du domicile sont nocives pour la santé, la société et pour l’économie du pays.

  • Violation du principe général du droit de mener une vie familiale normale par l’interdiction d’aller rendre visite à un proche en EPHAD, la restriction de la possibilité d’assister aux funérailles et d’interdire toute possibilité de se réunir en famille.
  • Violation de la liberté d’entreprendre et atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation mettant ainsi en grave danger les petites et moyennes entreprises. Les commerçants, les indépendants, le secteur tout entier de la culture, la restauration, le secteur de l’habillement, le secteur de l’esthétique, le secteur du tourisme, le secteur de l’évènementiel et bien d’autres encore qui seront prochainement en liquidation.
  • Violation du droit de manifester et de se rassembler : violences à l’encontre des manifestants ou interdiction pure et simple de manifester.
  • Violation du droit à l’éducation. Contraints à un enseignement à distance, les élèves et étudiants sont en décrochage massif et bon nombre sont en dépression.
  • Violation de la liberté de culte en refusant la tenue de messes dans les Églises de France et autres lieux de culte en début de crise.
  • Violation de l’intégrité physique, psychique et morale de l’ensemble des citoyens en rendant le port du masque obligatoire en toutes circonstances sans qu’aucune étude scientifique ne vienne appuyer cette mesure. Plus d’une quinzaine d’études scientifiques rappellent l’absence de bénéfices ou pire la nocivité du port du masque.
    Il s’agit de torture et de maltraitance dès le plus jeune âge, puisque l’étouffement est une violence physique réprimée par le Code pénal.
    Des actes qualifiables de crime contre l’humanité, portant atteinte à l’intégrité physique, psychique et morale des enfants et des adultes et plus globalement à leur bien être ont été commis en toute impunité.
  • Violation de l’intégrité physique, psychique et morale de l’ensemble des citoyens en les manipulant via les médias grand public et des scientifiques de plateaux présentant bien souvent des conflits d’intérêts majeurs avec l’industrie pharmaceutique.

En effet, des méthodes de nature à produire des changements de comportement et à tester le degré d’obéissance ont été employées par le pouvoir exécutif à travers les médias. Les méthodes correspondent à ce qui est décrit dans la Charte de coercition de Biderman et aux expériences de Stanley Milgram menées en vue de mesurer le niveau d’obéissance à un ordre contraire à la morale.

  • Homicides en injectant du Rivotril aux personnes les plus âgées, qui auraient pu être soignées.
  • Euthanasie organisée par certaines Agences régionales de santé (ARS) qui ont géré la crise en décidant de faire du tri des patients en fonction de critères arbitraires déterminés à l’avance (notamment en fonction de l’âge) au lieu d’augmenter la capacité de lits.
  • Homicide et non-assistance à personne en danger en organisant l’absence de soin et en interdisant aux médecins de prescrire des traitements connus et reconnus à travers le monde comme étant efficaces contre la maladie.
  • Terrorisme d’État en se procurant des produits qualifiés à tort de vaccins et qui peuvent être plus dangereux pour la santé que la maladie elle-même.

Il s’agit de produits pharmaceutiques, encore en phase d’expérimentation, injectés souvent sans consentement libre et éclairé, au mépris du Code de Nuremberg et de la Convention d’Oviedo. Le pouvoir exécutif a rendu ces injections obligatoires pour les enfants à partir de 12 ans et a imposé des tests en milieu scolaire au mépris d’une décision du Conseil constitutionnel de 2019.

Par conséquent, en se procurant ce type de produit à injecter, lequel est de nature à créer un danger pour les citoyens français et en les rendant obligatoires à tous, ne serait-ce que par la terreur et la peur, alors que des traitements médicaux existent et sont suffisants pour soigner la maladie covid-19, le pouvoir exécutif se rend coupable d’acte de terrorisme et de génocide.

Les propos du médecin militaire Dr Lee Merrit MD sont très éclairants: les vaccins ARNm et ADN sont potentiellement des armes biologiques.(([2] https://odysee.com/@NeufdeCoeur:1/lee-merrit:8
http://www.profession-gendarme.com/81506/))

  • Terrorisme d’État et escroquerie en bande organisée
    • en utilisant des tests RT-PCR non fiables qui ne font pas même la différence entre la grippe et le SARS-Cov2 d’après l’administration de santé américaine, afin de justifier les mesures liberticides mises en place,
    • en manipulant le nombre de décès et
    • en modifiant arbitrairement le taux de pression épidémique sans autre raison que celle de justifier l’ensemble des mesures liberticides.

Par ailleurs, deux récents rapports viennent démontrer qu’il n’y a pas eu de surmortalité en 2020 en réalité. Par conséquent, l’état d’urgence sanitaire n’a aucune raison d’être maintenu.

  • Tentative d’empoisonnement ou empoisonnement (Art 221-5 du Code pénal)

Les médecins alertent concernant les nombreux cas d’accidents vasculaires cérébraux, thromboses, crises cardiaques, fausses-couches, risques de stérilité, dégénérescence, myocardites chez les jeunes, suite à l’injection.

Données EudraVigilance : 2 000 000 d’accidents et effets secondaires en Europe et plus de 20 000 décès sachant que les déclarations représentent une infime partie de la réalité.

Des centaines de scientifiques éminents, à travers le monde, alertent contre les dangers de ces injections et appellent à un arrêt immédiat de la campagne, puisqu’en temps normal 25 à 50 décès auraient entraîné l’arrêt immédiat d’un essai clinique.

Toutes ces informations sont parfaitement connues des autorités de santé et des responsables des administrations impliquées.

Or, les campagnes gouvernementales, avec le soutien des grands médias, tentent de convaincre tous les français de se faire injecter ces produits qui sont un véritable poison.

C’est donc en connaissance de cause, que certains responsables de Santé Publique, continuent d’encourager les français à recevoir un produit dangereux, qu’ils qualifient faussement de « vaccin », dont l’efficacité n’est pas du tout démontrée, et dont la dangerosité est désormais manifeste.

Il s’agit donc bien d’une tentative d’empoisonnement collectif, car de nombreux français se voient désormais forcés de recevoir l’un de ces produits dangereux.

Les qualifications juridiques principales sont donc les suivantes :

Terrorisme d’Etat:

D’après l’article421-1 du Code pénal, constituent des actes de terrorisme, lorsqu’elles sont intentionnellement en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur, les infractions suivantes : Les atteintes volontaires à la vie, les atteintes volontaires à l’intégrité de la personne, psychique, physique et morale.

L’ordre public est l’état social idéal caractérisé par «le bon ordre, la sécurité, la salubrité et la tranquillité publiques», la moralité publique et la dignité de la personne humaine.

Le Conseil constitutionnel fonde la « sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation » sur le premier alinéa du préambule de la Constitution de 1946.

« Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine, le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés. »

Ceci a été totalement occulté.

Atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation :

Les intérêts fondamentaux de la Nation sont comme vous le savez : l’intégrité de son territoire et sa sécurité, la sauvegarde de sa population, des ressources naturelles, économiques et culturelles.

D’après l’article 68 de la Constitution, le Président de la République peut être destitué en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat.

Or, par définition, il est de son devoir, ainsi que de celui du gouvernement, de veiller à ce qu’il ne soit pas porté atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation et de protéger sa population.

Génocide:

D’après l’article 211-1 du Code pénal constitue un génocide le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire ,de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants : atteinte volontaire à la vie ; atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique ;soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe.

Je rappelle à ce titre qu’une plainte pour génocide a été déposée le 1er décembre 2020 par Madame BONNY, un ancien médecin militaire formé aux maladies infectieuses et à la prise en charge de catastrophes sanitaires.(([3] https://www.francesoir.fr/politique-france/plainte-penale-pour-genocide-des-francais-contre-macron-ses-ministres-et-son))


Quelles sont les conditions qui interdisent à un fonctionnaire d’exécuter un ordre ?

La loi du 13 juillet 1983(([4] Art.28 de laloi n°83-634 du13 juillet1983)) dispose que le fonctionnaire doit exécuter les ordres SAUF dans le cas où l’ordre donné est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public:

Il en est de même concernant les militaires, conformément à l’article L4122-1 du Code de la Défense.

A toutes fins utiles:

  • D’après l’article 73 du Code de procédure pénale, dans les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d’une peine d’emprisonnement, toute personne a qualité pour en appréhender l’auteur et le conduire devant l’officier de police judiciaire le plus proche.
  • D’après l’article 10 de la Déclaration des défenseurs des droits de l’homme et des libertés fondamentales de l’ONU en date du 8 mars 1999 (Résolution A/RES/53/144

– 53ème session):

« Nul ne doit participer à la violation des droits de l’homme et des libertés fondamentales en agissant ou en s’abstenant d’agir quand les circonstances l’exigent, et nul ne peut être châtié ou inquiété pour avoir refusé de porter atteinte à ces droits et libertés. »

Je remercie tous les membres de nos forces publiques nationales de leur écoute.


Aux manifestants

Il est IMPÉRATIF que la manifestation d’aujourd’hui se déroule pacifiquement. Ne tombez SURTOUT PAS dans le piège qui nous est tendu depuis des semaines, à force de propos médiatisés appelant à la discrimination, la violence et la haine.

Restons pacifiques, déterminés, et refusons toute forme de violence contre les personnes ou les bien. Si nous souhaitons que notre appel soit entendu par les forces vives de la nation, dont la mission est de nous protéger, il faut impérativement que notre action soit pacifique.