Port du masque chez les femmes enceintes — Effets négatifs sur le fœtus. Mise à jour

[Source : www.initiative-corona.info/fileadmin/dokumente/masque_foetus.pdf.
Document placé en bas d’article.]

[Mise à jour : correction de la figure 3]

26/09/2022

Par Dr Christian Fiala, Vienne,
Spécialiste en gynécologie et en obstétrique

Initiative pour une information corona basée sur des preuves, www.initiative-corona.info

Résumé : Il est indéniable qu’un masque entrave la respiration. Les données disponibles montrent clairement que cela entraîne une augmentation du dioxyde de carbone (CO2) dans le sang. Chez les femmes enceintes, le fœtus est donc également en danger, tout comme celui des femmes qui pendant la grossesse font des apnées du sommeil sans s’en rendre compte, c’est-à-dire qui souffrent de ce que l’on appelle le syndrome d’apnée obstructive du sommeil. Sur la base des données disponibles, il est à craindre que les femmes enceintes, en portant le masque fréquemment, exposent leur enfant à un risque accru de retard de développement, d’accouchement par césarienne et de troubles d’adaptation après la naissance.

Apports au fœtus pendant une grossesse normale

Pendant toute la grossesse et jusqu’à l’accouchement, le fœtus dépend fondamentalement de la respiration de la femme enceinte.1

Figure 1 : Représentation schématique de l’approvisionnement du fœtus en O2
et expiration du CO2 pendant une grossesse normale

Comme le fœtus ne respire pas lui-même, il doit s’approvisionner en oxygène via le sang de la femme enceinte et rejeter dans son sang le CO2 qu’il a produit. Cela ne peut se réaliser que par le biais d’une différence de pression.

Figure 2 : Représentation schématique, pendant une grossesse normale,
de l’approvisionnement du fœtus en O2 et expiration du CO2 au niveau du placenta

Par conséquent, la pression d’oxygène (pression O2 ) du fœtus est toujours inférieure à celle de la femme enceinte (pour que l’oxygène passe de la femme enceinte au fœtus), tandis que la pression de CO2 est toujours supérieure chez le fœtus (pour la même raison, afin que le dioxyde de carbone passe du fœtus à la femme enceinte). En raison de la dépendance du fœtus de la respiration maternelle – via la pression de CO2 – cette dernière a une influence dominante sur tous les paramètres fœtaux.1 (Le niveau de CO2 fœtal dans la veine ombilicale (pCO2) est en corrélation très significative avec le niveau de CO2 artériel de la femme enceinte).

Le fœtus réagit de manière très sensible à une entrave à la respiration avec une augmentation du CO2

C’est ainsi que toute détérioration de la respiration de la femme enceinte a un effet négatif direct et accru sur le fœtus, car celui-ci reçoit moins d’oxygène et il y a en même temps une accumulation de CO2 potentiellement nocif.1

Figure 3 : Représentation schématique au niveau du placenta
de l’entrave à la respiration de la femme conduisant à une augmentation du CO2 chez le fœtus

Au cours de la grossesse, il est particulièrement important d’éviter une augmentation du taux de CO2, car même une faible augmentation peut avoir des effets négatifs, voire toxiques, y compris des troubles du développement et des malformations.2 C’est entre autres pour cette raison qu’il est fortement déconseillé aux femmes enceintes de fumer des cigarettes et que, par mesure de prévention, la teneur en CO2 des sous-marins est maintenue à un niveau très bas.3 4

Pour cette raison la mesure du CO2 est également un paramètre important, car elle permet de détecter les problèmes respiratoires de manière plus sensible que la saturation en oxygène ou d’autres paramètres respiratoires.5

Mécanisme de protection naturel du fœtus contre des taux de CO2 trop élevés

En cas de grossesse, le taux de CO2 du fœtus serait forcément plus élevé, comme décrit, et atteindrait ainsi des valeurs nocives. Pour que le fœtus reçoive suffisamment d’oxygène malgré un approvisionnement plus difficile, car seulement indirect, et pour que le CO2 soit évacué efficacement sans qu’il y ait une accumulation nocive, l’hormone de grossesse, la progestérone, provoque une respiration accrue (hyperventilation) et une dilatation des voies respiratoires chez la femme enceinte. La pression de CO2 dans le sang de la femme enceinte passe ainsi de 35 à 46 mm Hg à moins de 30 mm Hg.6 (la pression a, entre autres, pour unité, comme pour les baromètres au mercure – de symbole chimique Hg – le mm de mercure – NdT). Ce n’est que cette pression de CO2 plus basse dans le sang de la femme enceinte qui permet au fœtus d’y évacuer facilement le CO2 qu’il produit et de se développer à des valeurs normales, sans qu’il se produise une accumulation.

L’entrave à la respiration met le fœtus en danger

Cette protection naturelle contre un retard de croissance dû au CO2 ne suffit toutefois pas si la respiration de la femme enceinte est entravée. Cela se produit parfois lorsque les femmes enceintes font des apnées du sommeil pendant la nuit, syndrome appelé « apnée obstructive du sommeil ». Ce phénomène s’observe notamment vers la fin de la grossesse et chez les femmes en surpoids, lorsque la taille de l’utérus entrave la respiration. Les pauses respiratoires entraînent une moins bonne prise en charge du fœtus, notamment une augmentation du CO2, ce qui a été démontré comme étant à l’origine de nombreux problèmes tels que retard de croissance, accouchement prématuré, augmentation du nombre de naissances par césarienne, une moins bonne adaptation à la respiration propre après l’accouchement ainsi qu’un risque de traitement médical intensif.6 7 8 9 10

Le masque met le fœtus en danger

De la même manière, le port d’un masque (appelé protection bucco-nasale) entrave la respiration. De ce fait la concentration de CO2 augmente fortement lors de l’inspiration, 11 12 ce qui entraîne une diminution significative du CO2 expiré.13 Cela vaut pour tous les types de masques, mais l’effet est plus prononcé pour les masques FFP2 que pour les masques chirurgicaux.

Après la mise en place d’un masque chirurgical, on peut constater que la pression de CO2 dans le sang peut augmenter de manière significative jusqu’à 5,5 mm Hg chez les adultes (valeur normale : 35 à 46 mm Hg).14 Chez une femme enceinte, cette augmentation du CO2 s’oppose à la baisse naturelle décrite du CO2 pendant la grossesse à environ 30 mm Hg et peut éventuellement l’annuler. L’approvisionnement du fœtus est ainsi mis en danger, car celui-ci est beaucoup plus touché par une perturbation de la respiration que la femme enceinte.

Les effets négatifs du port du masque sont encore plus importants lorsque se rajoutent des problèmes respiratoires, comme les apnées du sommeil, décrites ci-dessus, qui se produisent fréquemment en fin de grossesse et/ou une maladie pulmonaire.15 16

Le port d’un masque et l’entrave à la respiration qui en résulte annulent donc partiellement ou totalement la protection naturelle du fœtus par la respiration accrue décrite pendant la grossesse et exposent le fœtus à des risques aussi importants que ceux auxquels sont exposées les femmes souffrant du syndrome d’apnée obstructive du sommeil.

Le masque pendant l’accouchement – un risque supplémentaire dans une situation extrêmement critique

La dépendance du fœtus à l’égard d’une respiration suffisante de la femme enceinte est particulièrement élevée pendant l’accouchement.17 18 En raison des contractions et de la pression élevée qui en résulte dans l’utérus, l’approvisionnement en sang du fœtus est interrompu pendant la durée du travail et ne peut avoir lieu que pendant les pauses entre les contractions. Ce mécanisme de compensation essentiel pour le fœtus pendant les pauses entre les contractions est toutefois réduit par le port d’un masque et l’augmentation du CO2 dans le sang de la femme enceinte qui en résulte. Cela augmente inutilement le risque pour le fœtus pendant cette phase déjà suffisamment critique.

Premiers indices de la mise en danger d’enfants de deux classes d’âge

Une étude récente semble confirmer les craintes exprimées.19 Des retards de développement effrayants ont été constatés chez les enfants nés pendant les mesures Corona par rapport aux enfants nés au cours des dix années précédentes. Les retards de développement se sont manifestés dans tous les domaines, aussi bien dans les capacités verbales, motrices que mentales en général. L’ampleur du retard de développement représentait 27 à 37% de la moyenne des valeurs normales. Il est également inquiétant de constater que les auteurs affirment qu’il n’est pas encore possible de dire si ces retards de développement sont permanents ou s’ils seront rattrapés par les enfants. L’analyse des causes possibles n’est pas encore terminée, mais de nombreux éléments laissent penser que le port du masque par les femmes enceintes est à l’origine de ce constat dramatique.

Sur la base des connaissances disponibles, de telles craintes avaient déjà été exprimées lors d’une conférence de presse en octobre 2020.20 À l’époque, quatre médecins avaient présenté des données scientifiques qui faisaient craindre des effets négatifs massifs des nombreuses mesures Corona, notamment chez les femmes enceintes. La suspension immédiate de toutes les mesures, demandée à l’époque, a toutefois été ignorée par les politiques. Aujourd’hui, il semble que de plus en plus de choses se vérifient. Au grand désespoir des innombrables personnes concernées.

Des principes généralement admis ont été ignorés

Il existe un principe généralement accepté selon lequel toute mesure concernant les femmes enceintes ne peut être appliquée qu’avec une grande prudence et après un examen suffisant. Le scandale dit de la thalidomide vers 1960 a constitué un événement marquant et durable.21 22 23 24 A cette époque, le sédatif thalidomide a été autorisé et présenté sans examen suffisant comme un médicament inoffensif contre les nausées de la grossesse. Le résultat fut dramatique. Environ 10.000 enfants sont nés avec des bras ou des jambes en moins.

En raison de la visibilité retardée des conséquences pour le fœtus et de l’opposition massive à la reconnaissance de la cause, quatre ans se sont écoulés entre l’autorisation de mise sur le marché et le retrait de la préparation du marché. Autre fait inquiétant : les premières informations sur le lien avec le médicament, fournies par le pédiatre Dr. Lenz, n’ont pas été prises en compte et n’ont pas conduit à l’arrêt immédiat de la préparation, ce qui aurait permis d’éviter d’autres dommages. Au contraire, le fabricant a couvert le médecin de plaintes juridiques pour le faire taire, exposant ainsi inutilement de nombreux autres enfants à ce médicament nocif et les mettant au monde avec des malformations.

Une situation similaire se répète aujourd’hui : les critiques scientifiques fondées à l’encontre des mesures Corona ne sont pas prises en compte pour améliorer la situation ou la réfuter objectivement, mais les détracteurs sont diffamés, mis au pilori publiquement et poursuivis juridiquement, parfois avec des méthodes dignes d’un État policier. Malheureusement, cette tentative de dissimuler les dommages imminents ne fait que conduire à ce que de nombreuses personnes paient inutilement de leur santé l’action des politiques.

Quelles leçons pouvons-nous tirer du passé ?

C’est pourquoi la leçon la plus importante que nous devons tirer de ce scandale et d’autres scandales dans le domaine médical est la suivante : Tout soupçon de dommage potentiel pour le fœtus doit être pris très au sérieux et toutes les mesures prises à cet égard chez les femmes enceintes doivent être immédiatement suspendues jusqu’à ce que des résultats clairs prouvent leur innocuité.

Dans la situation actuelle, cela signifie que les femmes enceintes doivent non seulement être exemptées de toute obligation de porter un masque, mais qu’elles doivent également être activement averties du risque de porter un masque pendant la grossesse. Indépendamment de cela, les nouveau-nés des deux dernières années devraient être analysés en détail afin de confirmer ou d’exclure un éventuel préjudice dû au port du masque.

Qui porte la responsabilité ?

Au moyen d’une peur injustifiée du virus Corona, la population a pu être maintenue en état de choc pendant un certain temps.25 Mais les preuves des effets négatifs des mesures Corona, y compris le port du masque, l’isolement social et la vaccination, se multiplient de sorte qu’elles ne peuvent plus être dissimulées. La question de la responsabilité se pose donc de plus en plus :

  • Pourquoi et par qui ces mesures ont-elles été introduites en dépit du bon sens ?
  • Et qui doit assumer les dommages qui en résultent ?

Notre société a encore de nombreuses discussions difficiles à affronter à ce sujet.

Références bibliographiques




Dépistage du cancer du sein : les mensonges d’Octobre Rose

[Source : Jérémie Mercier]




Octobre Rose, l’arnaque continue

[Source : jeremie-mercier.com]

Par Jérémie Mercier

Comme chaque année, « Octobre Rose » revient.

Des femmes (surtout mais aussi des hommes) mettent un T-shirt rose, font une course et donnent quelques euros « pour lutter contre le cancer du sein ». D’autres, pleines de bonnes intentions achètent des petits rubans roses pour « soutenir la recherche contre cette satanée maladie ».

J’ai déjà expliqué pourquoi ce « dépistage du cancer du sein » était une arnaque dans deux autres articles : https://www.jeremie-mercier.com/octobre-rose-la-totale-arnaque/ (interview du cancérologue Gérard Delépine) et https://www.jeremie-mercier.com/depistage-organise-du-cancer-du-sein-inutile-et-dangereux/ (interview de la radiologue et présidente de l’association « Cancer Rose » Cécile Bour)

Cette année, j’en remets une couche, avec 2 vidéos.

• Dans la première, je rappelle qui est derrière Octobre Rose (pas des gens qui vous veulent du bien !) et pourquoi le dépistage du cancer du sein est inutile et dangereux (…) :



L’industrie de la maladie (et en particulier celle du cancer) prend les gens pour des imbéciles de façon assez incroyable…

• Dans la 2e vidéo, je rediscute avec Gérard Delépine (cancérologue avec lequel nous dénoncions l’arnaque Octobre Rose déjà en 2018) de sa position en 2022 et nous apportons quelques éclairages sur les autres dépistages de cancer (prostate, thyroïde, col de l’utérus). La vidéo est visible uniquement sur CrowdBunker pour le moment (à cause de ma punition par YouTube 🤬)

(Vidéo en début d’article)

Après ça, je pense que tu vas arrêter de courir en rose 😅

Sinon, je t’invite si ce n’est déjà fait à rejoindre mon Club Privé Santé, afin de réellement redevenir acteur et responsable de ta santé. Pour rejoindre le Club Privé Santé, c’est par ici : https://bit.ly/ClubPriveSante

Attention aux faux messages santé de l’industrie de la maladie et j’espère pouvoir t’aider à reprendre le contrôle sur ta santé par des approches intelligentes et efficaces !

Dis-moi en commentaire après avoir jeté un coup d’œil à la liste des prochains experts en santé naturelle que je vais inviter quelle(s) thématique(s) tu souhaiterais que j’aborde plus tard 🙂




« De la punition et de l’obstination » : Sylviane Noël cingle le refus du gouvernement de réintégrer les soignants suspendus

[Source : FranceSoir]

Mardi 4 octobre, le Sénat a débattu sur les urgences hospitalières et les soins non programmés à la demande du groupe Les Républicains. À cette occasion, la sénatrice LR Sylviane Noël a interpellé Agnès Firmin Le Bodo, ministre déléguée auprès du ministre de la Santé et de la Prévention, chargée de l’Organisation territoriale et des Professions de santé, sur la nécessité de réintégrer les professionnels de santé suspendus depuis le 15 septembre 2021 suite à leur refus de recevoir la vaccination contre le Covid-19. Évoquant « un système de santé à l’agonie », elle a fait valoir que « nous ne pouvons plus nous passer du moindre soignant » en vue de pallier la pénurie d’effectifs dans les hôpitaux.

https://www.youtube.com/embed/Y2AS4tnd4BQ

La femme politique de droite a tout d’abord souligné dans la première partie de son intervention qu’en France :

« avec plus de 20 millions de passages par an, les hôpitaux sont engorgés au plus haut point et confrontés à un double effet ciseau : d’une part, la pénurie de soignants, plus grave que jamais, et un fort recours aux urgences pour nos compatriotes. »

Dans la seconde partie de son intervention, martelant que « cette situation n’est plus tenable », Mme Noël a ensuite rappelé que la « quasi-totalité des pays ont abandonné cette mesure » et que le gouvernement laisse désormais le « libre-choix » aux soignants de se faire vacciner contre le Covid-19. « Dans ces circonstances, le maintien de cette mesure est incompréhensible et relève davantage de la punition et de l’obstination que de la justification sanitaire », a-t-elle ensuite asséné, attirant l’attention sur le fait que « notre système de santé est à l’agonie » et que « nous ne pouvons plus nous passer du moindre soignant ». Et de demander à la ministre : 

« Ma question est simple : quand envisagez-vous de lever cette mesure, qui engendre un peu plus de dysfonctionnements et d’engorgements ? »

« Je veux dire à celles et ceux qui pensent que c’est une réponse miracle pour répondre aux problèmes d’effectifs de l’hôpital, qu’ils se trompent », a rétorqué Mme Firmin-Le Bodo, qui estime qu’il ne s’agit pas de milliers de soignants suspendus mais de « quelques centaines de personnes sur plus de 300 000 soignants ».

Bien qu’il soit établi que la vaccination n’empêche ni la transmission du Covid-19 ni de développer des formes graves de la maladie, et bien que l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPESCT) a reconnu dans son rapport d’étape rendu le 9 juin 2022 le risque d’effets indésirables liés à l’injection, la ministre a réitéré que le personnel médical non-vacciné avait « refusé de se protéger pour protéger les autres ». Elle ajoute : « Les avis du Conseil scientifique et de la Haute Autorité de santé ont été rendus et ils sont favorables au maintien de l’obligation de vaccination contre la Covid-19 des personnels exerçant dans les établissements de santé et médico-sociaux ». Se basant sur les avis très controversés de quelques scientifiques choisis, elle a assuré que le gouvernement a « toujours géré cette crise en nous basant sur les recommandations des scientifiques et ce n’est pas aujourd’hui que cela va changer. »




Québec — Une inquiétante fissure dans la démocratie

[Source : libremedia.ca]

[Illustration : un électeur québécois exerce son droit de vote le 3 octobre dernier à Montréal.
Photo: Alexis Aubin pour l’AFP.]

Pour le chroniqueur Félix Racine, il est grand temps de revoir le système électoral actuel qui conduit à des « anomalies représentatives majeures ». Il en va de la santé de notre démocratie.

Par Félix Racine

Le 3 octobre dernier, ce qui devait arriver arriva. Avec une députation écrasante et une croissance continue, la Coalition Avenir Québec accapare une gigantesque part du gâteau parlementaire. 

En effet, avec plus de 40 % des voix, elle réussit à établir un total de 90 députés sur les 125 sièges de l’Assemblée nationale. Très peu de place est donc laissée aux oppositions. 

Le Parti libéral du Québec, hanté par une forme de déclin, réussit malgré tout à se maintenir comme opposition officielle. En effet, avec seulement 13% du vote, ce sont 21 députés libéraux qui siégeront en tant qu’adversaires officiels de la CAQ. Dans les faits, accompliront-ils leur rôle d’opposition ? La question se pose. 

Grands gagnants, grands perdants 

Globalement, les caquistes et les libéraux sont les grands gagnants de cette élection. En effet, ce sont les deux seuls partis qui ont réussi à tirer leur épingle du jeu en optimisant leur nombre de députés. 

Notre mode de scrutin électoral étant ce qu’il est, le bipartisme est normalement la forme privilégiée. Seulement, cette fois-ci, plus de cinq partis politiques se sont affrontés afin de conquérir le pouvoir. 

À lire aussi : Une erreur informatique a-t-elle privé des gens de leur droit de vote ?

Cette fragmentation du vote conduit à des anomalies représentatives majeures. 

Québec solidaire, relativement stagnant, a obtenu plus de voix que l’opposition officielle (15,5%), mais obtient seulement 11 députés. 

Au Parti québécois, la situation est pire encore. Résistant à son extinction annoncée, un total de 14,5% des voix ne lui a procuré que 3 députés au total. 

Les distorsions sont donc significatives, surtout sachant que QS et le PQ ont obtenu au suffrage universel un résultat comparable aux libéraux. 

Le PCQ fortement pénalisé

Ceci dit, cette distorsion n’est rien à côté de celle affectant le Parti conservateur. En effet, le PCQ fracasse un record en termes d’anomalies. 

En allant cueillir plus de 13% des votes au suffrage universel, aucun député conservateur ne siégera à l’Assemblée nationale, à moins qu’Éric Duhaime ne réussisse à convaincre un député d’une autre formation de se joindre au PCQ.

Cette distorsion est encore plus grave compte tenu du fait que les conservateurs avaient comme mission de représenter un pan de la population qui était complètement ostracisé lors de la crise sanitaire. 

En effet, les opposants aux mesures sanitaires n’étaient pas du tout représentés parmi les classes politique et médiatique. Les manifestations étaient le principal moyen de faire valoir publiquement le point de vue de cette frange contestataire. 

Conséquemment, en n’élisant aucun député conservateur, le parlement amplifie le décalage social à la base de l’importante crise de la représentation à l’œuvre. 

À lire aussi : Un système brisé à réparer

Cette conjoncture peut contribuer à augmenter encore plus le sentiment d’aliénation chez les électeurs qui se sentent trahis par le système politique.

La démocratie québécoise est probablement la plus grande perdante de l’élection. Il est tout à fait possible qu’une telle distorsion cause une détérioration du tissu social, celui-ci étant déjà abîmé par les dommages du sanitarisme autoritaire. 

Au départ, il était tout à fait légitime de penser que le sanitarisme autoritaire de la CAQ allait lui coûter des sièges. On aurait pu penser que le scandale entourant l’obscure firme McKinsey allait lui coûter cher, une firme non élue par le peuple qui a été présente tout au long de la crise dans les coulisses décisionnelles. 

Et pourtant, aucune sanction n’a été infligée à la CAQ, bien au contraire.

La majorité sanitariste

Cela veut dire que la gestion sanitaire est encensée encore aujourd’hui par une part considérable de la population, voyant François Legault comme une sorte de sauveur bienveillant « qui fait son possible ». 

Cela nous amène donc à nous poser de sérieuses questions sociologiques quant à l’électorat caquiste et sa perception des choses. Cet électorat est en bien grande partie âgé et peu actif au sein de la population. François Legault ne s’en cache jamais, s’adressant explicitement et directement à lui.

Sachant que le vieillissement de la population est une lourde tendance à l’œuvre, alors il est à penser que le règne caquiste ne fait tristement que commencer. 

À lire aussi : Bilan des élections québécoises

La jeunesse est défavorisée par le système électoral actuel, d’autant plus que le taux de participation électoral est plus élevé chez les plus vieux. 

L’iniquité intergénérationnelle est donc bien au cœur de la réélection caquiste, cette dernière s’étant manifestée de façon très forte lors de la crise sanitaire. Après tout, le fait de masquer nos enfants tout en les privant d’activité physique visait surtout à rassurer un pan anxieux et vieillissant de la population. 

Nous sommes donc face à une impasse existentielle pour la démocratie québécoise. Le vieillissement de la population et le mode de scrutin inéquitable font en sorte que la CAQ neutralise la possibilité d’une opposition substantielle. 

Sachant le fait qu’il s’agit d’un parti qui a pris plaisir à gouverner de façon autocratique par décrets, alors il s’agit d’un horizon encore plus inquiétant. 

Des alliances possibles ?

Il faut donc commencer à trouver des pistes de solutions. L’une d’entre elles pourrait être une alliance circonstancielle, dans certains dossiers, entre le PQ, QS et le PCQ afin de mettre la pression sur le pouvoir.

En effet, jamais la CAQ ne pliera le genou devant une réforme du mode de scrutin, car ce dernier l’avantage royalement. 

En revanche, une alliance circonstancielle entre les autres partis dans des dossiers clés représenterait plus de 43% de l’électorat, ce qui lui conférerait une grande légitimité. Mais les autres partis pourront-ils s’entendre?

Chose certaine, il est vital d’entamer une réflexion sur le mode de scrutin et les moyens d’y parvenir. Il s’agit d’une cause qui lie tous les démocrates, horizons confondus. 




Russie : obligation vaccinale et effets secondaires graves

[Source : conscience-du-peuple]

Ce qui se produit ici [au Québec] avec l’obligation et la coercition vaccinales, ainsi que les innombrables effets secondaires graves, c’est la même chose en Russie avec Spoutnik V.  

D’ailleurs, le fabricant de Spoutnik V est Gamalaya et il est un proche collaborateur de Astrazeneca…

Fin septembre, plusieurs régions russes, citant un décret de juin 2021 pris par le ministère de la Défense, ont annoncé qu’elles commenceraient à vacciner les habitants mobilisés.

En réponse à cette ordonnance, l’Association indépendante des médecins a publié deux lettres ouvertes, l’une adressée à Vladimir Poutine, l’autre faisant appel au ministre de la Défense Sergueï Choïgou, pour que l’obligation vaccinale soit arrêtée immédiatement.

Voici quelques extraits :

« Nous sommes des médecins, membres de l’Organisation publique internationale “Association indépendante des médecins”, qui font appel à vous pour exiger l’interdiction de la vaccination contre le SRAS-CoV-2 pour les personnes mobilisées et appelées au service militaire. »

« Notre organisme public a collecté plus de 1 000 cas de décès après l’introduction du vaccin Spoutnik V.

Aucun de ces cas n’a été examiné par une commission médicale, et le médicament continue d’être produit et utilisé pour vacciner des personnes, y compris des enfants d’un certain âge. Les décès et les atteintes graves à la santé à l’aide d’une préparation immunobiologique ont tout simplement été ignorés.

Ni le bureau du procureur, ni Rospotrebnadzor, ni le ministère de la Santé n’ont répondu à une seule demande d’arrêt de l’utilisation d’une drogue dangereuse et mortelle chez l’homme. »

« En outre, des vaccins développés à la hâte ont provoqué diverses réactions allergiques aiguës chez l’homme, qui ont parfois entraîné la mort. Et les vaccins russes contre le coronavirus ne font pas exception. En Russie, les données officielles sur les complications ne sont pas publiées, elles ne figurent pas dans les rapports sur les essais de vaccins. Peut-être parce que des militaires étaient impliqués dans des essais de vaccins. »

« Actuellement, Rospotrebnadzor déclare qu’il est impératif de vacciner tous les citoyens mobilisés de notre pays. Le vaccin qui, à notre avis, s’est avéré dans la pratique dangereux et même nocif sera désormais utilisé sur des citoyens mobilisés ? On sait qu’après la vaccination, des réactions locales et une augmentation de la température peuvent se développer. Nos combattants iront-ils au front avec de la fièvre et des symptômes du SRAS après la vaccination ?

Ceci est contraire aux normes de la médecine militaire. Toute vaccination est une intervention médicale majeure qui comporte des risques pour la santé, car la réponse du système immunitaire peut varier d’une personne à l’autre. Lors des vaccinations, la balance bénéfice/risque doit toujours être évaluée. »

https://edwardslavsquat.substack.com/p/russian-doctors-demand-end-to-compulsory




Nouvelles de l’association AMETIST pour la défense des enfants cancéreux

Association AMETIST      Retrouver la liberté de soigner et d’être soigné

Le 9 septembre 2022

Madame, Mademoiselle, Monsieur, chers amis, chers parents, chers adhérents

Pendant ces deux années et demie de vie hors du réel, les membres de l’association Ametist disponibles ont tenté de poursuivre les buts de nos combats communs en informant le plus souvent directement par email et/ou téléphone les parents et patients en déshérence, ne sachant plus à qui s’adresser. Nous avons dû adresser quelques patients à l’étranger pour avoir d’autres avis thérapeutiques et en particulier éviter une amputation.

Mme Line Patras, notre présidente depuis 2019 a, en particulier, beaucoup parlé et discuté avec les parents ainsi que nos secrétaires, trésorière, et médecins conseillers fort sollicités par la pub médiatique sur le covid et le traitement de leurs enfants et adolescents.

Nous écrivions en 2019 que le combat que mène AMETIST depuis sa création en 1990 pour la liberté de soigner en oncologie pédiatrique est de plus en plus d’actualité, car le monopole de traitement instauré par les plans cancer successifs (depuis 2003) rend encore plus difficile pour les médecins de choisir pour leur patient un traitement individualisé en fonction des données actuelles de la science et pour les malades d’obtenir un véritable choix entre les schémas éprouvés, et les traitements basés sur la recherche et les nouvelles molécules..

Les établissements et les médecins sont soumis aux autorisations des agences régionales de santé dont le pouvoir s’est raffermi depuis 2009 et certains praticiens compétents et expérimentés se voient interdits d’opérer les enfants ou de les traiter par radiothérapie, alors que c’était leur pratique depuis de nombreuses années. S’en suivent des pertes de chances en chirurgie conservatrice dans les cancers osseux entre autres, comme en chimiothérapie. Ces autorisations s’imposent à tous les établissements qu’ils soient publics ou privés, conventionnés ou non. Cette autorisation ne s’obtient que s’ils appliquent chez la majorité des malades les « protocoles » imposés par l’institut du cancer.

« Quel drame de savoir que des possibilités existent et de ne pas y avoir accès alors que les résultats sont là des décennies plus tard sous forme de témoignages d’anciens patients ayant à l’époque pu échapper au chemin tracé imposé. Ils ont pu sauver leur membre et leur vie grâce à des traitements haute couture adaptés de très près à chacun ».

Tout cela reste plus que jamais vrai, car comme nous l’avons tous vécu depuis février 2020 les médecins ont de moins en moins le droit de choisir le traitement le plus efficace pour leurs patients, le conseil de l’ordre poursuivant de plus en plus ceux qui ne suivent pas rigoureusement la doxa gouvernementale.

Notre combat se poursuit plus que jamais afin que chaque médecin dans toute structure puisse avoir la liberté d’utiliser des traitements éprouvés publiés si c’est le choix éclairé des parents.

Malheureusement d’autres obligations existent et/ou menacent nos enfants.  La volonté ouverte de nos gouvernants d’imposer l’injection génique expérimentale anticovid aux enfants y compris les plus jeunes  est combattue par de nombreux collectifs de parents auxquels nous apportons notre aide. Nous avons participé à des campagnes d’information sur le mésusage du masque et ses dangers et sur les dramatiques effets secondaires des pseudovax chez les jeunes, pourtant à risque zéro du covid et ne transmettant pas le virus, donc chez lesquels l’injection est à bénéfice zéro et à risques importants (myocardites, troubles menstruels, maladie auto-immune, lymphomes, etc. ).

Grâce à un gros don ciblé d’une de nos bénévoles nous avons pu distribuer le livre « les enfants sacrifiés du covid », Éditions Fauves de G et N Delépine, à de nombreux députés et sénateurs, élus, par courrier en juillet 2022 et par rencontre directe avec d’autres membres de l’association dans diverses régions de France, le livre permettant d’amorcer le dialogue.

Le projet de loi visant à imposer la vaccination par Gardasil aux filles et garçons, alors que les résultats sont inquiétants, est un exemple du poids des autorités sur notre santé et notre libre arbitre.    Sur les plans administratif et judiciaire, l’association se bat en France et en Europe pour faire valoir les droits des patients et des médecins.

Ainsi, AMETIST continue à combattre pour que les enfants soient soignés en fonction des progrès réels, prouvés de la science. Nous continuons inlassablement à informer à travers les différentes conférences et réponses individuelles nombreuses par mail ou téléphone ou posées à travers les réseaux (https://association.ametist.org/ et Facebook AMETIST).

Nous avons besoin de vous, de votre mobilisation auprès de vos amis, et connaissances, et de votre soutien financier, aussi petit soit-il en ces temps difficiles. Soutenez-nous en adhérant à l’association, en la faisant connaître, en nous donnant les moyens de faire les recours juridiques qui feront bouger les choses, et d’aider les familles dont les enfants sont touchés à trouver des solutions pour avoir droit aux traitements éprouvés.

La présidente Line Turco-Patras et le bureau


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Pendant la Covid et le confinement, le gouvernement tuait les aînés

[Source : profession-gendarme.com]

Le midazolam est la molécule du Rivotril (nom commercial)

[NDLR Légère confusion entre deux benzodiazépines (voir les commentaires après l’article)]

Aujourd’hui, des documents officiels qui devaient rester secrets ont été rendus publics dans le cadre de la loi sur la liberté d’information, et ils révèlent que l’euthanasie forcée des personnes âgées et vulnérables en réponse à une pandémie était prévue depuis des années…

Pendant que vous restiez à la maison pour protéger le NHS [Service de santé britannique], votre gouvernement a tué des personnes âgées et vulnérables, puis a menti en vous disant qu’il s’agissait de décès dus au COVID. Des documents prouvent que cela avait été planifié depuis des années.

[NDLR situation similaire en France et au Québec.]

Pendant que vous restiez à la maison et croyiez protéger le NHS, votre gouvernement prenait délibérément des décisions qui allaient assurer la mort prématurée de milliers de personnes âgées et vulnérables dans des maisons de soins.

Sans ces décès, vous auriez remis en question la logique de rester à la maison pour décimer l’économie et détruire des vies. Ce que votre gouvernement a fait équivaut à un meurtre. Mais ils l’ont couvert en mentant, disant qu’ils étaient tous morts de Covid-19.

Aujourd’hui, des documents officiels qui devaient rester secrets ont été rendus publics dans le cadre de la loi sur la liberté d’information, et ils révèlent que l’euthanasie forcée des personnes âgées et vulnérables en réponse à une pandémie était prévue depuis des années.

Dès que le verrouillage a été déclaré au Royaume-Uni le 23 mars 2020, les décès survenus dans les maisons de soins dans les semaines qui ont suivi ont explosé par rapport à ce qui s’était passé au cours des cinq années précédentes. On vous a fait croire que c’était à cause de Covid-19, mais les preuves montrent le contraire.

Les chiffres officiels fournis par l’Office for National Statistics (ONS) montrent que les maisons de soins ont enregistré une hausse de 21 % des décès, toutes causes confondues, en 2020, avec près de 25 000 décès de plus que prévu.

Près de 19 000 de ces décès ont été étiquetés comme étant dus au Covid-19. Mais si l’on exclut le coronavirus présumé, les autres décès dans les maisons de soins ont augmenté de 5 % par rapport à la moyenne des cinq dernières années.

Les chiffres de l’ONS ci-dessous montrent qu’au cours de la semaine se terminant le 17 avril 2020, 7 028 décès ont été enregistrés dans les établissements de soins, dont 2 438 étaient dus au Covid-19.

Mais un an plus tard, comme le montrent les chiffres de l’ONS ci-dessous, la semaine se terminant le 16 avril 2021, 1 640 décès ont été enregistrés dans les maisons de soins, dont 51 seraient dus au Covid-19.

Lorsque nous retirons les décès présumés dus au Covid-19 des chiffres de la semaine se terminant le 17 avril 2020, nous constatons que 4 590 décès dus à toutes les autres causes sont survenus dans des établissements de soins.

Cela représente une augmentation de 3 001 décès par rapport au nombre de décès enregistrés dans les établissements de soins, toutes causes confondues, au cours de la même semaine de l’année suivante (semaine se terminant le 16 avril 2021). Cette tendance est constante au cours des trois mois suivants de 2020 par rapport à la même période en 2021.

Mais pourquoi y a-t-il eu autant de décès dans les foyers de soins dus à d’autres causes au plus fort de la première vague présumée ?

La réponse est simple : le gouvernement, ses conseillers médicaux et scientifiques et les responsables du NHS avaient un plan, et ce plan consistait à retirer les soins, à refuser les traitements et à placer les personnes âgées et vulnérables dans un parcours de fin de vie.

Un parcours qui impliquait le retrait de tous les médicaments, de la nourriture et de l’eau, et l’administration d’un cocktail de midazolam et de morphine. Un parcours qui les a vus mourir d’une overdose de médicaments, de faim et de déshydratation.

Plusieurs choses se sont produites au début de la prétendue pandémie, et elles étaient toutes prévues des années à l’avance.

Le gouvernement a modifié la loi sur la certification des décès sous couvert de la loi sur le coronavirus.
La loi sur les crémations a également changé
La loi sur l’indemnisation de l’activité des services de santé a également été modifiée.
La loi sur les visites aux proches dans les maisons de soins a également changé.
Pendant ce temps, Matt Hancock (le ministre de la Santé de l’époque) et Chris Whitty (le médecin en chef) ont donné l’ordre aux hôpitaux de transférer le plus grand nombre possible de patients dans des maisons de soins, l’endroit même où les proches des patients n’avaient plus le droit de se rendre, l’endroit même où un médecin n’était pas tenu de se rendre pour certifier un décès, l’endroit même où les soignants ne pouvaient pas être tenus responsables d’un décès tant qu’il était simplement soupçonné d’être dû au Covid-19.

Ils ont également acheté un stock de deux ans d’un médicament appelé midazolam. Un stock qui a été épuisé en octobre 2020.

Le midazolam est un médicament dont l’utilisation est discutable dans les soins de fin de vie, et il a également été utilisé dans les soins de fin de vie pour le Covid-19, malgré le fait qu’il provoque une dépression respiratoire et un arrêt respiratoire.

Le graphique ci-dessus montre le nombre total de prescriptions de midazolam en dehors de l’hôpital ainsi que la surmortalité toutes causes confondues au Royaume-Uni de janvier 2020 à mars 2021.

Nous vous avons dit que pendant que vous restiez à la maison pour protéger le NHS, ils donnaient du midazolam aux personnes âgées et vulnérables, et vous disaient qu’il s’agissait de Covid-19 décès, le graphique ci-dessus montre certainement une forte corrélation, mais maintenant des documents sensibles et confidentiels que le NHS ne voulait pas que quiconque voit prouvent la causalité.

En 2016, le NHS a élaboré des plans pour retirer les soins hospitaliers aux résidents des maisons de retraite en cas de pandémie.

Les documents montrent qu’en cas de pandémie, les soins seraient hiérarchisés en fonction du nombre d’années de vie perdues. Cela signifie qu’un adolescent souffrant d’une appendicite se verrait offrir un lit à l’hôpital et serait traité comme il se doit. En revanche, les documents indiquent clairement que les personnes âgées se verraient refuser tout traitement et seraient placées sur le parcours de fin de vie.

Les documents soulignent également que l’estimation par le NHS du nombre de décès dans les maisons de soins en raison des actions prévues en réponse à une pandémie était une sous-estimation massive de ce qui a été observé une fois les mesures mises en pratique en réponse à la prétendue pandémie de Covid-19.

Dans un résumé du document, le NHS déclare que pendant la durée d’une vague, il estime que 5 500 à 5 800 décès surviendraient dans les maisons de soins.

En réalité, on a enregistré 2 000 décès de plus en une seule semaine lors de la première vague présumée de Covid-19, que ce que le NHS prévoyait pour l’ensemble d’une vague.

Les documents confidentiels montrent également que le NHS avait prévu de réduire les services en réponse à une pandémie et de ne maintenir que les services vitaux. Cela signifiait qu’ils passeraient aux soins palliatifs et de fin de vie. En 2017, le NHS a reconnu qu’il ne disposait pas d’un nombre suffisant de personnels formés pour dispenser des soins de fin de vie, il a donc élaboré des modules de formation qui pourraient être rapidement déployés pendant une pandémie, et a formé le personnel qui était « intéressé » dans l’intervalle.

Les documents confidentiels du NHS montrent clairement que les personnes âgées et vulnérables devaient être privées de traitement et placées en fin de vie en réponse à une pandémie, et les preuves montrent clairement que cela a été mis en pratique.

En avril 2020, le nombre de lits d’hôpitaux avait diminué de 30 % par rapport à l’année précédente.
La fréquentation des urgences a diminué de 57 % en avril 2020 par rapport à l’année précédente.
Les décès dans les foyers de soins ont augmenté de 205 % en avril 2020 par rapport à avril 2019.
Trois décès présumés de Covid-19 sur cinq sont survenus chez des personnes souffrant de difficultés et de handicaps d’apprentissage (voir ici).

En ce qui concerne les décès de personnes ayant des difficultés d’apprentissage, l’ONS a déclaré que « l’effet le plus important était associé au fait de vivre dans une maison de soins ou un autre établissement collectif ».

Avoir des difficultés d’apprentissage et vivre dans un établissement de soins ne signifie pas que vous êtes plus susceptible de mourir de Covid-19. Ce que cela signifie, c’est que vous êtes beaucoup plus susceptible d’être soumis à une ordonnance de non-réanimation sans en informer vous-même ou votre famille, que les soignants et le personnel du NHS utilisent ensuite comme une autorisation de vous faire bénéficier de soins de fin de vie.

Nous savons que cela s’est produit parce qu’un rapport d’Amnesty et un rapport de la CQC (Care Quality Comission) l’ont dit.

Le rapport d’Amnesty indique que

Les responsables et le personnel des foyers de soins, ainsi que les proches des résidents de ces foyers, dans différentes régions du pays, ont expliqué à Amnesty International que, selon leur expérience, les hôpitaux, les ambulanciers et les médecins généralistes découragent ou refusent carrément d’envoyer les résidents à l’hôpital. Un responsable du Yorkshire a déclaré :  » On nous décourageait fortement d’envoyer les résidents à l’hôpital. Nous en parlions en réunion ; nous en étions tous conscients. » »

Un autre responsable dans le Hampshire se souvient :
Il n’y avait pas beaucoup d’options pour envoyer les gens à l’hôpital. Nous avons réussi à envoyer un patient à l’hôpital parce que l’infirmière a été très ferme et a insisté sur le fait que la dame était trop mal à l’aise et que nous ne pouvions pas faire plus pour la rendre plus confortable, mais que l’hôpital le pouvait. À l’hôpital, la dame a été testée positive au COVID, elle a été traitée, a survécu et est revenue. Elle a 92 ans et est en pleine forme.
Elle a expliqué que :
Il y avait une présomption que les personnes dans les maisons de soins allaient toutes mourir si elles avaient le COVID, ce qui est faux. Cela montre à quel point le gouvernement connaît mal la réalité des maisons de soins ».

Le fils d’un résident d’une maison de soins décédé à Cumbria a déclaré que l’envoi de son père à l’hôpital n’avait même pas été envisagé :
Dès le premier jour, la maison de soins était catégorique : il s’agissait probablement du COVID, il en mourrait et il ne serait pas emmené à l’hôpital. À ce stade, il ne souffrait que de toux. Il n’avait que 76 ans et était en pleine forme physique. Il aimait sortir et cela n’aurait pas été un problème pour lui d’aller à l’hôpital. La maison de soins m’a appelé et m’a dit qu’il avait des symptômes, un peu de toux, que le médecin l’avait évalué par téléphone portable et qu’il ne serait pas emmené à l’hôpital. J’ai ensuite parlé au médecin généraliste plus tard dans la journée et il m’a dit qu’il ne serait pas hospitalisé, mais qu’il recevrait de la morphine s’il souffrait. Plus tard, il s’est effondré sur le sol dans.
Il a dit aux soignants de ne pas les rappeler pour tout symptôme lié au Covid, car ils ne reviendraient pas. Il est mort une semaine plus tard.
Il n’a jamais été testé. Aucun médecin n’est jamais venu à la maison de soins. Le médecin généraliste l’a évalué par téléphone. Dans une situation identique pour une personne vivant à domicile plutôt que dans une maison de soins, le conseil était « allez à l’hôpital ». Le certificat de décès mentionne la pneumonie et le COVID, mais la pneumonie ne nous a jamais été mentionnée. »

Le directeur d’une maison de soins du Yorkshire a déclaré à Amnesty International
En mars, j’ai essayé d’envoyer [un résident] à l’hôpital — l’ambulance avait employé un médecin pour faire le triage, mais ils ont dit : « De toute façon, il est en fin de vie, alors nous n’allons pas envoyer d’ambulance »… Dans des circonstances normales, il serait allé à l’hôpital… Je pense qu’il avait le droit d’être admis à l’hôpital. Il s’agit d’individus qui ont contribué à la société toute leur vie et à qui l’on a refusé le respect et la dignité que l’on accorderait à une personne de 42 ans ; ils étaient [considérés comme] remplaçables ».

Le CQC a estimé qu’il était nécessaire de publier une déclaration en août 2020 sur la question des DNR inappropriés placés sur des résidents de maisons de soins sans que le résident ou sa famille en soit informé.

Il est d’une importance vitale que les personnes âgées et handicapées vivant dans des maisons de soins et dans la communauté puissent accéder à des soins hospitaliers et à des traitements pour le COVID-19 et d’autres conditions lorsqu’elles en ont besoin pendant la pandémie… Les fournisseurs devraient toujours s’efforcer de prévenir les dommages évitables ou la mort pour tous ceux dont ils s’occupent. Les protocoles, les directives et les systèmes de triage doivent être fondés sur l’égalité d’accès aux soins et aux traitements. S’ils sont fondés sur des hypothèses selon lesquelles certains groupes ont moins droit aux soins et aux traitements que d’autres, il s’agirait d’une discrimination. Il s’agirait également d’une violation potentielle des droits de l’homme, y compris le droit à la vie.
Droit à la vie, même si l’on craint que la capacité de l’hôpital ou des soins intensifs ne soit atteinte ».

Cette déclaration a été publiée parce que le CQC a constaté que 34 % des personnes travaillant dans le secteur de la santé et des services sociaux ont subi des pressions pour placer des ordonnances de non-réanimation cardio-pulmonaire (DNACPR) sur des patients Covid-19 souffrant de handicaps et de difficultés d’apprentissage, sans impliquer le patient ou sa famille dans la décision.

Les preuves suggèrent qu’en réalité, on vous a ordonné de rester à la maison, pour protéger le NHS, afin qu’il puisse mettre fin prématurément à la vie des personnes âgées et vulnérables et vous dire qu’il s’agissait de morts Covid-19.

Les documents confidentiels finalement publiés par le NHS viennent de le prouver.

https://expose-news.com/2022/10/02/your-government-killed-the-elderly-blamed-covid/embed/#?secret=ZFaWOqXpr4#?secret=xkNb0Fkx8r

Source : Anna-Bellas.com

Profession-Gendarme a publié de nombreux articles concernant ce que l’on peut appeler un assassinat.

Lire ces différents articles en suivant ce lien : https://www.profession-gendarme.com//?s=Rivotril




Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux

[Source : lesmoutonsenrages.fr]

[Traduction automatique révisée.]

Par Mark Steele pour GlobalResearch (Première publication le 20 juillet 2022)

Introduction

J’écris ce rapport d’expert en tant qu’ingénieur britannique, inventeur, rédacteur de brevets et chercheur en armement ; un ingénieur avec une formation en science des matériaux et inventeur des premiers guides d’ondes optiques binoculaires au monde, des systèmes de visée d’armes, des affichages tête haute à imagerie thermique infrarouge, des réacteurs moléculaires, du traitement du signal et de la conception de transducteurs, pour n’en nommer que quelques-uns.

En tant que directeur de la technologie (CTO) de l’entreprise qui a conçu et mis sur le marché le premier produit d’affichage tête haute (HUD) au monde approuvé à l’échelle internationale, accrédité par un certain nombre de prix d’innovation, mais surtout réglementé par un certain nombre de normes internationalement reconnues, y compris Department of Transport (DOT) ECE 22.05, ainsi que ANSI et d’autres, on m’a fait confiance dans l’établissement de normes internationales pour les systèmes HUD de réalité augmentée (AR) et de réalité virtuelle (VR).

Reportez-vous à la pièce 2a, du conseil en brevets, Ex. 2b de Recorder Nolan, ex. 2c Cyber ​​Command, Ex. Normes 2d pour les systèmes HUD, Ex. annexe 2di.

Cyber ​​Command USA avait été mis au courant de mon expertise et avait spécifiquement demandé mon avis concernant une conception d’antenne 5G inhabituelle déployée à travers les États-Unis. J’ai été extrêmement chanceux que la plupart (mais pas la totalité) de mes travaux de recherche et de développement de produits aient été effectués en dehors de la législation sur les secrets officiels (OSA).

J’ai agi en tant que témoin et fourni des déclarations dans plusieurs affaires judiciaires, exposant l’absence de toute preuve crédible que le réseau de diodes électroluminescentes (DEL) 5G et la connexion neuronale prévue au réseau 5G sont sûrs.

Cela inclut les technologies de nano-métamatériaux qui contaminent les vaccinations, qui ne sont pas légales ni licites, et qui enfreignent un certain nombre de lois internationales et nationales.

Le juge Nolan du Newcastle Crown Court a déclaré que « le risque 5G doit être débattu » et que  « c’est une démocratie et le public a le droit de savoir ».

Les preuves que j’ai présentées au tribunal ont mis en échec la tentative des autorités locales et des acteurs de l’establishment britannique de m’empêcher de fournir les preuves scientifiques publiées sur les risques posés au public et à l’environnement par le réseau de radars urbains 5G et son objectif final.

L’échec de l’action en justice intentée par l’autorité locale a créé une tempête publicitaire qui a contribué à mettre en évidence les risques réels du déploiement de la 5G à travers le monde, ainsi que le manque total de précautions prises par les régulateurs autorisant ce déploiement de la 5G.

Ma participation à plusieurs projets de recherche et développement s’étend sur toute ma carrière professionnelle et comprend certains projets de nature sensible en raison des restrictions imposées par l’Official Secrets Act 1911. Je ne suis donc pas libre de les divulguer dans un domaine public ; il suffit [cependant] de dire que ce travail a conduit à une compréhension des contrats du Département de la défense (DOD), de la compartimentation des projets de conception de produits d’armement et des armes à énergie dirigée (DEW), dont l’existence a jusqu’à récemment été occultée et parfois niée.(([1] https://info.publicintelligence.net/USAF-DEW.pdf))

L’utilisation d’armes à rayonnement micro-ondes directionnel par des acteurs inconnus dans les ambassades américaines à Cuba, en Chine et en Russie, connue sous le nom de syndrome de La Havane, n’est toujours pas pleinement reconnue par les autorités. Le syndrome de La Havane porte toutes les caractéristiques des émissions de rayonnement micro-ondes, qui ont causé aux victimes des dommages neurologiques importants et irréparables, entre autres blessures. Le gouvernement américain a été incapable de garder ces armes secrètes et a récemment adopté un projet de loi pour indemniser les victimes du personnel de l’ambassade.(([2] https://thehill.com/homenews/house/573302-house-passes-bill-to-compensate-havana-syndrome-victims))

Les agences de renseignement américaines, dans leurs communications avec le gouvernement russe, confirment qu’elles connaissaient déjà l’existence et la capacité des armes à rayonnement micro-ondes et leur appel à leurs supposés adversaires russes était pour la cessation de l’utilisation de ces armes contre leurs ambassades.(([3] https://usareally.com/11737-cia-director-tells-russia-not-to-use-microwave-radiation-against-american-spies))

Mon domaine de recherche couvre également d’autres systèmes d’interrogation et d’armes sur le champ de bataille, y compris les systèmes d’armes létales autonomes (LAWS)(([4] https://css.ethz.ch/content/dam/ethz/special-interest/gess/cis/center-for-securities-studies/pdfs/CSSAnalyse164-EN.pdf)), les véhicules sous-marins autonomes (AUV), la détection et la télémétrie légères (LIDAR), les technologies de radar à balayage électronique, y compris la 5G pour le suivi des plates-formes d’armement, ainsi que les moyens biologiques sur et hors du champ de bataille qui sont de plus en plus utilisés dans un cadre civil pour inclure les technologies de reconnaissance faciale, les véhicules électriques autonomes, les drones, dont aucun n’a fait l’objet d’une évaluation environnementale complète quant aux dommages causés par leurs émissions de rayonnements au grand public ou à la faune.(([5] https://idstch.com/technology/photonics/critical-technologies-lidar-developed/))

Radar urbain 5G, rayonnements ionisants et risques des infrastructures critiques

La 5G, contrairement à toutes les autres générations [1G, 2G, 3G, 4G et 4G+] de télécommunications, est techniquement identifiée comme une émission d’énergie dirigée dans l’air par un radar urbain, ce qui nécessite que l’antenne soit conçue pour amener l’énergie focalisée dans l’air pour la compression à grande vitesse des données à et d’antennes conçues pour envoyer et recevoir de l’énergie dirigée à travers un signal théoriquement collimaté et cohérent.(([6] https://www.sbir.gov/node/2005877))

L’onde de formation du faisceau dans l’émission du lobe principal enfreint la directive de la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP) de 61 V pour une exposition maximale de 6 minutes.(([7] https://www.icnirp.org/cms/upload/publications/ICNIRPrfgdl2020.pdf))

Cette directive de l’ICNIRP est contraire à la résolution 1815 du Conseil de l’Europe (COE) et à la directive européenne de 2016, qui confirment la science publiée et évaluée par des pairs selon laquelle tout ce qui dépasse 600 mV/m doit être limité à une exposition à court terme. Et à long terme l’exposition ne doit pas dépasser 200 mV/m. Ce sont des ordres de grandeur inférieurs à la directive ICNIRP de 6 minutes et 61 000 mV, qui est une valeur de cuisson biologique. L’ICNIRP est largement reconnue comme une « agence capturée », comme l’ont confirmé les tribunaux italiens.(([8] https://www.radiationresearch.org/wp-content/uploads/2020/01/Turin-Verdict-ICNIRP_Judgment-SUMMARY-of-the-Turin-Court-of-Appeal-9042019_EN-min.pdf))

Le mouvement de balayage de l’onde rayonnée à plus de 13,6 V provoque la charge positive de l’air, qui est nocive pour toute vie biologique à des distances importantes entre l’émission de l’antenne et la zone d’acquisition de la cible. Telle est la capacité de la 5G (matériel et logiciel) et c’est la raison même pour laquelle cet équipement est, et a été, largement utilisé sur le champ de bataille comme radar environnemental à balayage et armes à énergie dirigée (DEW) dans le but de perturber et de désactiver le matériel ennemi, ainsi que les actifs biologiques, c’est-à-dire les humains.(([9] https://crsreports.congress.gov/product/pdf/IF/IF11882))

En général, la conception de l’antenne 5G utilise une entrée de puissance plus importante et une sortie dirigée pour délivrer des signaux de compression de données focalisés et de grande puissance, mesurés en watts ou en électrons-volts.

L’industrie aéronautique, notamment Boeing et Airbus, a récemment exprimé ses inquiétudes concernant la 5G en raison de sa capacité à mettre en danger les avions de transport de passagers qui, dans un cadre civil, ne disposent pas des technologies d’atténuation militaires pour protéger leurs pilotes ou les systèmes de contrôle de vol des avions contre les émissions d’énergie dirigée.(([10] https://www.theguardian.com/science/2021/dec/21/airbus-and-boeing-express-concerns-over-5g-interference-in-us))

L’industrie des télécommunications et d’autres organismes de réglementation ont continuellement nié le véritable objectif et l’existence des dangers de rayonnement posés par le déploiement des technologies 5G. Ils ont activement induit le public en erreur en publiant des communiqués de presse manifestement faux dans les médias locaux et nationaux, ainsi qu’en faisant de fausses déclarations devant les tribunaux dans des tentatives infructueuses de discréditer des experts, y compris moi-même, même s’ils avaient été informés par leurs propres agences de renseignement que le la technologie expérimentale et non assurable était et est extrêmement dangereuse pour la sécurité de l’État.(([11] https://o5g.cz/2021/11/30/mi6-chief-warns-that-a-tech-revolution-over-next-ten-years-could-pose-major-threat-to-world-order/?nowprocket=1))

« Backhaul » dans le contexte de la 5G est le terme utilisé pour désigner l’avancée technologique qui permet d’interroger et de remonter simultanément les données à partir de plusieurs appareils et environnements (en d’autres termes, espionner dans toute la zone, ne laissant aucune chance d’intimité).

La capacité d’interrogation et de numérisation des renseignements recueillis enfreint un certain nombre de lois sur les droits de l’homme. Ce brevet(([12] https://patents.google.com/patent/US20050220310A1/e)), l’un des nombreux qui confirment la capacité d’interroger les émissions sonores et vocales à travers les bâtiments pour recueillir des données sur une population sans méfiance à l’aide de systèmes matériels et logiciels électromagnétiques, fait partie de la vaste boîte à outils 5G.

La dominance spectrale du réseau 5G de moins de 3 GHz à 300 GHz [comprenant les ondes millimétriques en plus d’une grande partie des ondes de la gamme des micro-ondes] pose un risque réel de lésions corporelles à partir de fréquences de valeur d’énergie photonique plus élevée qui sont des émissions de rayonnement cohérentes, dont l’impact est actuellement inconnu (car elles ne sont pas testées et ne se sont pas avérées sûres), ainsi que non assurable, avec des niveaux d’émissions de rayonnement dépassant tout ce qu’imaginaient les technologues antérieurs. Les valeurs de rayonnement des lignes directrices de l’ICNIRP ne s’appliquent qu’aux émetteurs de dispositifs à antenne unique et ne tiennent pas compte de l’augmentation et de la multiplication massives des dispositifs d’émission de rayonnement proposés dans toutes les villes et villages pour le réseau 5G qui est destiné à tout interconnecter simultanément en utilisant des rayonnements micro-ondes hautement complexes, biologiquement toxiques, et en particulier modulés.(([13] https://www.ceragon.com/what-you-need-to-know-about-5g-wireless-backhaul))

Le déploiement de la 5G est en cours par les gouvernements du monde entier dans toutes les villes et villages sans aucune analyse préalable [pourtant] obligatoire de l’impact environnemental et sans assurance publique contre ces instruments de préjudice(([14] https://principia-scientific.com/lloyds-insurers-refuse-to-cover-5g-wi-fi-illnesses/)), faisant de l’ensemble du déploiement du réseau un acte illégal et illicite par les autorités agissant « ultra vires » [au-delà, en dehors des lois] en permettant aux émissions connues de rayonnements ionisants et non ionisants biologiquement toxiques un accès sans entrave à l’environnement. Les entreprises de télécommunications certifient généralement elles-mêmes avoir respecté les directives (obsolètes) de l’ICNIRP, ce qui leur permet d’enfreindre ces directives sans sanction, car aucun organisme de réglementation ne procède à des évaluations indépendantes du respect des directives de l’ICNIRP.(([15] https://www.caav.org.uk/news/beware-dangers-of-telecoms-masts))

Ce sont les mêmes directives de l’ICNIRP qui se sont avérées être à l’origine de problèmes de santé et de cancers dans la population générale à proximité des réseaux 4G existants.(([16] https://ecfsapi.fcc.gov/file/107222548308131/Cell%20Tower%20Transmitter%20Studies-28%20Summary%20Findings.pdf))

Un autre facteur troublant est que l’industrie des télécommunications responsable du déploiement a confirmé qu’elle, l’industrie, n’a effectué aucune recherche scientifique et n’a donc aucune donnée de recherche scientifique publiée sur l’impact réel des réseaux 5G sur l’environnement.

Des études de recherche indépendantes sur le sujet réfutent la propagande de l’industrie et du gouvernement sur la sécurité du réseau 5G.(([17] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0013935118300161?via%3Dihub))

Les organismes gouvernementaux chargés de protéger la population contre les propriétés cancérigènes confirmées des rayonnements non ionisants et ionisants n’ont pas réussi à fournir un cadre réglementaire de normes de sécurité ou de lignes directrices pour protéger l’environnement, exposant ainsi un public sans méfiance à des niveaux de rayonnement qui sont nocifs et mettent la vie en danger.(([18] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1469943/))

De graves risques pour les infrastructures critiques ont été ignorés dans la ruée non réglementée vers le déploiement du réseau 5G. Les régulateurs industriels et gouvernementaux du monde entier ont ignoré un certain nombre de risques sérieux scientifiquement établis découlant de la densification massive de la 5G, de l’Internet des objets (IOT) et des avions SMART, des communications Internet par réseaux électriques, des systèmes d’antennes urbaines, qui nécessitent des milliards d’émetteurs de rayonnement micro-ondes modulés en amplitude en quadrature (QAM) à large spectre.

Le réseau cellulaire du Canada en 2018 était soutenu par environ 33 000 grandes tours d’une hauteur maximale de 200 pieds. Le nouveau protocole 5G nécessitera beaucoup plus d’émissions d’ondes de faisceau de rayonnement plus élevées en utilisant des tours situées avec précision dans les villes du Canada – environ 273 000 – à une hauteur beaucoup plus courte avec des demandes d’énergie beaucoup plus importantes sur le réseau électrique et le réseau [sans fil].(([19] https://canada.constructconnect.com/dcn/news/associations/2018/07/constructing-5g-wireless-network-will-require-plenty-skilled-tradespeople))

La propagande de l’industrie et des agences qui prétendent que ces réseaux 5G utilisent moins d’énergie est manifestement fausse. L’augmentation massive des antennes MIMO (multiple-in multiple-out) pour la 5G, plus les mini et micro réseaux relais, ainsi que l’augmentation de l’utilisation des données par les appareils nécessitent tous une consommation d’énergie supplémentaire en watts. Le radar à balayage continu, non à la demande, conçu pour repérer la zone cible, fonctionne en permanence, avec en plus la superposition de multiples faisceaux d’ondes focalisés à haute énergie, créés par les antennes d’émission déphasées. Ces faisceaux d’ondes focalisés à haute énergie, fonctionnant sur une plus grande partie du spectre, utilisent des photons à plus haute énergie dans le spectre comprimé des ondes millimétriques pour fournir des faisceaux de compression de données à haute puissance dans les zones urbaines. C’est la raison pour laquelle l’industrie aéronautique est très préoccupée par les risques posés à ses systèmes de communication essentiels à la sécurité des avions en vol.

Les installations massives d’antennes 5G prévues et actuellement déployées s’ajoutent toutes à un besoin toujours croissant d’énergie pour produire le transfert accru de données par le biais d’émissions de rayonnement dans les villes et villages. Les émissions de rayonnement micro-ondes sont connues pour augmenter les températures thermiques, contribuant aux défis du changement climatique et aux effets potentiellement mortels de l’augmentation des températures dans les villes. Les impacts des îlots de chaleur sont définis comme de grandes zones urbaines qui sont affectées par des augmentations des températures urbaines qui ont été reconnues par l’Environmental Protection Agency (EPA) comme causant des effets néfastes sur la santé et des augmentations de la consommation d’énergie.(([20] https://www.epa.gov/heatislands/heat-island-impacts))

La consommation d’énergie dans les îlots de chaleur augmente la demande de climatisation pour refroidir les bâtiments. Dans une évaluation d’études de cas couvrant des emplacements dans plusieurs pays, la demande d’électricité pour la climatisation a augmenté d’environ 1 à 9 % pour chaque augmentation de température de 2 °F [moins de deux degrés Celsius]. Les pays où la plupart des bâtiments sont climatisés, comme les États-Unis, ont enregistré la plus forte augmentation de la demande d’électricité. Les îlots de chaleur contribuent à des températures diurnes plus élevées, à un refroidissement nocturne réduit et à des niveaux de pollution atmosphérique plus élevés. Ceux-ci, à leur tour, contribuent aux décès et aux maladies liés à la chaleur tels que l’inconfort général, les difficultés respiratoires, les crampes de chaleur, l’épuisement par la chaleur et les coups de chaleur non mortels.

Le rayonnement micro-ondes affectera également un grand nombre de structures moléculaires dans les matériaux, ce qui augmente le risque d’incendie des bâtiments. Cela est dû aux éléments hydrocarbures dans les bâtiments qui se décomposent en raison du rayonnement micro-ondes modulé, ce qui provoque un échauffement localisé et la dégradation des matériaux. Le rayonnement micro-ondes à certaines fréquences excitera les molécules d’eau et s’il n’y a pas d’humidité disponible, d’autres molécules moins volatiles absorberont le rayonnement et commenceront à chauffer. Par conséquent, tout matériau qui a séché peut surchauffer et s’enflammer plus facilement dans un champ de micro-ondes, [ce qui représente] un type d’amorçage [de feu]. Les risques particuliers aux émissions de rayonnement 5G sont dus à la densification de masse proposée et à la dominance spectrale des émissions de rayonnement. En outre, tout objet métallique à l’intérieur d’un champ de micro-ondes peut présenter des propriétés diélectriques susceptibles de provoquer des étincelles, qui pourrait provoquer un incendie ; ceci est causé par une accumulation de particules chargées, une énergie qui produit un champ électrique concentré au bord du métal.(([21] https://engineering.mit.edu/engage/ask-an-engineer/why-cant-we-put-metal-objects-in-a-microwave/))

Ce sont tous des phénomènes scientifiques qui ont été ignorés par les régulateurs et l’industrie, mais le problème le plus alarmant, non reconnu et non réglementé est la fatigue des matériaux causée par le bombardement continu de la compression des données 5G et des champs d’énergie micro-ondes modulés (QAM) focalisés. La 5G nécessite une compression d’énergie beaucoup plus complexe et focalisée des paquets de données.

On ne saurait trop insister sur le fait qu’une fréquence spécifique pourrait provoquer la dissociation des structures moléculaires de matériaux de construction solides, d’œuvres d’art inestimables et de collections de vins, entre autres, en raison des impacts d’ondes croisées, actuellement non étudiés, de ces niveaux élevés d’émissions de rayonnement modulé en énergie dans l’air. Cette cacophonie de pollution par les rayonnements micro-ondes pourrait entraîner de graves pannes d’équipements plus importants, y compris le réseau électrique.  Les infrastructures critiques actuelles n’ont jamais été évaluées ou conçues avec cette valeur énergétique de vibrations pulsées dans l’air ajoutée au calcul de la fatigue des matériaux et à l’espérance de vie finale de l’infrastructure établie, y compris le réseau électrique.(([22] https://user.eng.umd.edu/~vlg/MSIC%20lectures.pdf))

Voir aussi : Dangers 5G, technologie sans fil de 5e génération. Impacts sur la santé et l’environnement.

Ce qui a également été découvert, c’est une capacité d’énergie latente inutile intégrée dans le réseau matériel 5G SMART IOT. Cette grande capacité pourrait facilement être utilisée pour une éventuelle attaque par impulsion électromagnétique (IEM) sur les villes et les populations.(([23] https://www.dhs.gov/news/2020/09/03/dhs-combats-potential-electromagnetic-pulse-emp-attack))

Cela dépendrait de l’interconnectivité connue et de l’accès à distance d’un réseau facilement piratable à tous les dispositifs d’émission dans le réseau 5G sans fil construit.(([24] https://www.itpro.co.uk/mobile-security/34807/5g-networks-are-vulnerable-to-hacking))

Les systèmes d’exploitation 5G ont déjà été compromis et pourraient poser un risque de sécurité important, car les IEM peuvent provoquer une perturbation majeure des systèmes de communication électromagnétique, du réseau électrique et du matériel électronique. Elles proviennent généralement de sources telles que le Soleil et un certain nombre d’armes développées.(([25] https://energsustainsoc.biomedcentral.com/articles/10.1186/s13705-019-0199-y))

Il a été démontré que l’onde d’impulsion électromagnétique des essais de bombes nucléaires provoquait d’importantes perturbations du réseau électrique à de grandes distances. Quelque chose de similaire s’est produit lorsque la 5G a été activée en Corée du Sud en avril 2019 : elle a provoqué un certain nombre d’incendies dans la ville en raison de la défaillance documentée des transformateurs du réseau électrique. Le gouvernement et les médias sud-coréens ont fait passer cela comme ayant été causé par des incendies de forêt dans cinq villes distinctes simultanément dans tout le pays lorsque la 5G a été activée, mais cette cause présumée n’explique pas la perturbation du réseau électrique et la destruction du matériel critique du réseau électrique. Les risques IEM identifiés aux États-Unis démontrent que ce type de technologie 5G mal réglementée présente un risque potentiel dans le monde entier.(([26] https://www.doh.wa.gov/Portals/1/Documents/Pubs/320-090_elecpuls_fs.pdf))

Le récit des télécommunications pour la 5G n’est qu’une couverture de sa capacité et de son objectif futurs réels, comme le confirme l’absence totale de recherche sur les risques environnementaux et l’absence de couverture de responsabilité par les assurances pour les dommages. Le futur domaine de champ de bataille et le déploiement en cours de l’avancée technologique 5G incluent les armes 5G pour la guerre dans les villes et les campagnes. Le domaine comprend les technologies de guerre psychologique, y compris le contrôle et la diffusion d’informations via les médias sociaux pour masquer le véritable objectif de la 5G en tant que système de guerre.

« L’espace de mission de cinquième génération représente un nouvel environnement dans lequel les opérations futures auront lieu. La complexité du domaine est exacerbée par des acteurs incontrôlés et indéfinis qui dirigent ou influencent le récit. Le plus grand défi du nouvel espace de mission est l’érosion totale des concepts d’ennemi et de guerre elle-même. L’adversaire sera beaucoup plus ambigu et la guerre deviendra un processus insidieux conçu pour dégrader de l’intérieur plutôt que d’attaquer de l’extérieur ». (soulignement ajouté)(([27] https://irp-cdn.multiscreensite.com/26db15ee/files/uploaded/5GW%20Section1.pdf))

Les forces d’opérations spéciales débattent déjà des opportunités et des risques des réseaux IOT 5G, avec des assassinats par le biais des LOIS qui peuvent être utilisés pour éliminer des individus ciblés.

« L’adoption des métamatériaux a été la plus importante dans les communications, les antennes et les systèmes radar, avec les applications d’identification par radiofréquence (RFID) associées pour le marquage, le suivi et la localisation. Le passage aux communications 5G et aux capacités radar extraordinaires accélérera encore les développements, avec des ventes commerciales qui devraient dépasser 10 milliards de dollars par an d’ici 2030. Les métamatériaux font partie intégrante des futures antennes hautes performances, haute impédance, profil bas, conformes et fractales pour systèmes de communication et de radar. Il existe un potentiel immense pour des changements révolutionnaires dans les communications militaires et les systèmes radar grâce aux métamatériaux. En effet, à mesure que les métamatériaux s’intègrent de plus en plus dans les technologies d’antenne, ils réduiront les coûts du système, permettront des appareils plus petits avec des besoins en énergie réduits, faciliteront de nouvelles formes et facteurs de forme, et offrir des capacités de formation et de mise en forme de faisceaux plus agiles. »(([28] https://cgsr.llnl.gov/content/assets/docs/StratLatUnONLINE.pdf))

Le complexe militaro-industriel à travers le monde ne connaît que trop bien les avantages de l’utilisation de systèmes d’armes électromagnétiques pour l’interrogation du champ de bataille, à savoir la 5G, et ce depuis l’émergence de la technologie pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce qui est également bien compris, c’est le vaste corpus de données scientifiques publiées montrant les effets néfastes sur la santé et l’environnement des réseaux de télécommunications actuels. La 5G ajoute toute une série de risques supplémentaires pour l’environnement et la santé de la population.(([29] https://apps.dtic.mil/dtic/tr/fulltext/u2/a282886.pdf))

Ce n’est pas un argument qui peut être contesté aujourd’hui. La dérive des missions et la planification d’une guerre asymétrique et non conventionnelle dans les villes devraient être très préoccupantes, en particulier pour la population civile au cas où elle deviendrait la cible d’un régime technocratique et fasciste orwellien. Qui contrôlerait les radars d’interrogation urbaine et les systèmes d’armes aériennes à énergie dirigée ?(([30] https://media.defense.gov/2019/Apr/03/2002109302/-1/-1/0/DIB_5G_STUDY_04.03.19.PDF))

De nombreuses opportunités sont actuellement en cours de discussion dans l’industrie de la défense, en se concentrant sur la capacité des réseaux urbains 5G à étiqueter la population avec des antennes métamatérielles, tandis que les préoccupations et les risques sérieux sont apparemment ignorés.(([31] https://www.airuniversity.af.edu/Portals/10/AUPress/Papers/LP_0004_ELECTROMAGNETIC_DEFENSE_TASK_FORCE_2_2019.PDF))

Ces programmes et plans futurs présentent un risque important pour les libertés civiles, les infrastructures essentielles et l’État de droit.

Métamatériaux de vaccination — Champs magnétiques provenant de contamination par nanoparticules

Il a été démontré dans un certain nombre d’études que les vaccins contiennent des contaminants métalliques toxiques, y compris des niveaux «inexplicables» de contamination par les nanométaux.(([32] https://medcraveonline.com/IJVV/IJVV-04-00072.pdf))

Ce phénomène est loin d’être inexplicable si les chercheurs qui ont mené cette étude avaient eu connaissance des objectifs de l’industrie de la défense et des ingrédients métamatériaux pouvant être utilisés pour améliorer les technologies d’interrogation urbaine 5G, ainsi que divers autres projets de développement de nanomatériaux.(([33] https://link.springer.com/article/10.1007/s42452-019-0592-3))

Les métaux sont presque universellement réfléchissants par radar et sont donc visibles pour être utilisés comme moyen de détection d’objets. « Wetware » est le nom donné aux structures biologiques opérant dans l’espace du champ de bataille qui sont beaucoup plus difficiles à suivre et à tracer ou à attaquer à l’aide de LIDAR, de RADAR ou de DEW. Les métaux sont de puissants réflecteurs d’ondes électromagnétiques et permettent une détection et une résolution accrues des technologies d’interrogation sur le champ de bataille. Des formes métalliques spécifiques dans les polymères peuvent être utilisées pour leurs propriétés diélectriques afin de dévier et d’absorber la capacité de réflexion et d’interrogation des systèmes radar actuels.(([34] https://www.sciencedirect.com/topics/materials-science/radar-absorbing-material))

Cependant, sans utiliser cette forme précise et cette encapsulation polymère, la contamination métallique sous forme de métamatériaux permet une résolution plus élevée de la cible. Une fois la technologie du vaccin Covid-19 injectée dans le corps, l’acquisition cible de wetware est beaucoup plus précise et le domaine technologique peut être utilisé pour collecter des données biométriques. Il est envisagé que les appareils électroniques portables et qui peuvent être portés sur soi [comme une montre intelligente] qui sont actuellement utilisés pour connecter la personne au Cloud deviendront redondants en raison de ces avancées technologiques et d’autres. Le réseau de contrôle Neuralink utilise des antennes de nanotechnologie implantées qui peuvent collecter ces données et les télécharger sur le Cloud. Ces innovations vont bien au-delà de la phase de planification et font toutes partie du futur espace du champ de bataille.(([35] https://www.sciencealert.com/scientists-say-a-human-brain-cloud-interface-is-coming-this-is-what-it-could-be-like))

Les recherches du Dr Robert O. Young confirment que les injections de Covid-19 ont été entièrement chargées de métamatériaux, à savoir du graphène, des nanoparticules d’oxyde ferreux.(([36] https://www.drrobertyoung.com/post/transmission-electron-microscopy-reveals-graphene-oxide-in-cov-19-vaccines))

Cette découverte choquante est confirmée par nos propres recherches menées sur les victimes, ainsi que par des milliers de vidéos anecdotiques montrant des émissions de rayonnement électromagnétique, ainsi que des aimants et des objets métalliques réagissant aux sites d’injection des personnes vaccinées avec le sérum Covid-19. Parmi les autres biomarqueurs utilisés, citons le SM-102, qui est un phospholipide toxique présent dans les vaccins Moderna Covid-19, une luciférine synthétique qui améliore la luciférase d’imagerie par bioluminescence.(([37] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4026177/))

Les luciférines peuvent être activées à l’aide d’un rayonnement électromagnétique pour créer une bioluminescence du sujet. Les technologies de reconnaissance faciale, qui font partie de la boîte à outils de la technologie 5G, peuvent ensuite être utilisées pour suivre et tracer le sujet contaminé dans l’espace environnemental.

Les décès et les dommages biologiques importants dans la population causés par l’intervention médicale du vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ont maintenant été documentés dans près d’un millier d’articles scientifiques publiés.(([38] https://www.saveusnow.org.uk/covid-vaccine-scientific-proof-lethal/))

Les injections de Covid-19 sont désormais liées à la coagulation sanguine, à la myocardite, à la péricardite, à la thrombose, à la thrombocytopénie, à l’anaphylaxie, à la paralysie de Bell, au syndrome de Guillain-Barré et au cancer, entre autres. Ceci est confirmé par des données scientifiques irréfutables et recueillies par le gouvernement auprès de la UK Health and Security Agency, qui montrent que les vaccins Covid-19 sont dangereux et inefficaces.

Symptômes du coronavirus COVID-19 radio-induit

La grande majorité des populations à travers l’Occident, en particulier celles de la communauté Five Eyes, l’alliance du renseignement Anglosphere regroupant l’Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande, le Royaume-Uni et les États-Unis, ont été injectées à leur insu avec des antennes en nano métamatériaux et vont malheureusement subir des taux de mortalité accrus en raison des émissions de rayonnement réfléchissantes localisées du radar urbain 5G. Tous les symptômes connus du coronavirus peuvent être attribués à la pollution par les rayonnements ionisants et non ionisants.(([39] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30998908/))(([40] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3426842/))

La 5G a été identifiée dans un certain nombre d’articles publiés comme la cause réelle de la pandémie, dont le début a coïncidé avec la mise en marche du réseau 5G dans la province de Wuhan, dont la population venait d’être vaccinée contre la grippe obligatoire. La 5G a le potentiel de fournir des niveaux d’énergie ionisants qui entraîneraient une suppression du système immunitaire, laissant le corps à risque de maladie.(([41] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/#))

L’agent pathogène Covid-19 n’a pas été isolé ou purifié et actuellement aucune agence gouvernementale ne peut fournir l’isolat ou la preuve de son existence réelle, à l’exception de la modélisation in silico [Par informatique] créée par l’Institut de Wuhan, qui est officiellement reconnu comme le complexe de laboratoires de recherche sur les virus le plus avancé de Chine. La Chine est signataire de la Convention sur les armes biologiques (BWC) depuis 1985 et, en 1993, a déclaré l’Institut des produits biologiques de Wuhan comme l’une des huit installations de recherche sur la guerre biologique couvertes par la BWC. Toute personne travaillant sur ou sur ce site serait légalement tenue de ne divulguer aucun secret survenant dans le cadre de son emploi dans cette installation et n’est donc pas libre de s’exprimer. Le laboratoire national de niveau 4 de sécurité biologique de Wuhan (BSL-4) est dédié à la recherche sur les maladies infectieuses graves. Il a le plus haut niveau de sécurité biologique et couvre de nombreuses biotoxines et des développements illégaux d’armes biologiques SARS-Cov-2 à gain de fonction, et a été la source des données initiales sur les agents pathogènes pour l’existence de Covid-19 et la réponse du programme de vaccination des entreprises pharmaceutiques internationales qui en a résulté. Par coïncidence, le test PCR n’a jamais été en mesure d’identifier un virus ou un agent pathogène vivant et constitue la base fondamentale des blocages à travers le monde, qui ont été utilisés avec un grand effet pour terroriser la population mondiale en lui faisant croire que Covid-19 existe en tant que virus vivant et que la seule stratégie de survie consiste à utiliser une technologie d’arme biologique déguisée en vaccin.(([42] https://telegra.ph/The-scam-has-been-confirmed-PCR-does-not-detect-SARS-CoV-2-02-08))

[Voir aussi :
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
The Big Reset – Le documentaire non censuré sur la vérité de la pandémie
La Fin de la Théorie des Germes — Documentaire
Démantèlement de l’hypothèse virale
Les coupables de la crise corona sont clairement identifiés
Démontage de la théorie virale
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
et plus généralement les articles du dossier Vaccins et virus]

Les Centers for Disease Control (CDC) ont maintenant retiré le test PCR en tant qu’outil de diagnostic, après qu’il ait été mal utilisé, ce qui prouve son utilisation délibérée pour créer la peur et la détresse parmi une population mal informée.(([43] https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html))

Des chercheurs et des médecins du monde entier ont été bâillonnés, menacés et vilipendés dans les médias et discrédités en tant que théoriciens du complot par les gouvernements et leurs agents lorsqu’ils se sont prononcés pour s’opposer à ce programme transmondialiste. La déclaration de Great Barrington, avec plus de 800 000 signataires, a été ignorée et vilipendée par ceux qui poussent leur récit terrorisant. Il a été ignoré de manière déraisonnable afin que les populations occidentales puissent être terrorisées pour participer à la plus grande expérience médicale illégale et illicite de l’histoire du monde.(([44] https://gbdeclaration.org/))

Les humains augmentés augmentent la mortalité dans les champs de rayonnement 5G

Les humains augmentés et leur soi-disant amélioration biologique font déjà partie de l’agenda mondial connecté des gouvernements et des industries de la défense.(([45] https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/986301/Human_Augmentation_SIP_access2.pdf))

Il est étonnant de constater que, dans les démocraties représentatives du monde entier, cela se passe sans aucune consultation publique, sans aucun débat public de la part des participants à qui on a proposé cet agenda idéologique, technologique et politique.(([46] https://augmented-humans.org/))

On peut postuler que la seule raison que l’élite technocratique — y compris les forces motrices du Forum Économique Mondial (FEM) et des Nations unies (ONU) avec son Agenda 2030 — pourrait avoir pour cacher cet agenda numérique mondial connecté au public est qu’il la condamnerait et refuseraient d’y participer. Bien qu’il y ait des implications juridiques et légales évidentes et sérieuses autour de ce programme, l’accent devrait être mis sur les implications juridiques de l’utilisation de technologies biologiquement nocives qui auront un impact néfaste sur la santé, l’environnement et la mortalité. Il n’existe actuellement aucune donnée ou recherche crédible sur la sécurité montrant que le déploiement de cette technologie est sûr. Un autre exemple choquant de produit mis sur le marché sans normes de sécurité optique ni protocoles de test est celui des casques de réalité virtuelle (VR). Malgré le fait que le rayonnement optique artificiel est un danger environnemental et humain connu, ces casques nécessitent un grossissement du rayonnement optique comme affichage rétinien et confirment le mépris total de la sécurité et de la loi. Un autre exemple : la technologie montante de liaison neuronale nécessite l’insertion ou l’injection de nano-métamatériaux dotés d’une capacité d’antenne dans le cerveau et le corps des humains à travers la planète.(([47] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33431878/))

Il a déjà été démontré dans la littérature publiée que les nanomatériaux produisent des effets biologiques néfastes provoquant la mort cellulaire et des problèmes potentiels de fertilité.(([48] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30587973/))(([49] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19652459/))

Il est suggéré d’utiliser des nano-antennes pour recevoir et répondre à l’aide d’une compression cohérente de données QAM dans le corps, sans aucune donnée de sécurité correspondante, créant ainsi une population d’entités émettrices de rayonnements qui, selon certaines définitions légales, deviendraient des appareils électriques et ne seraient donc pas considérés comme humains. Les niveaux d’énergie de ces signaux cohérents proposés en provenance et à destination d’antennes placées dans le corps et le cerveau augmenteront les dommages cellulaires causés par les impacts des rayonnements provenant de l’extérieur du corps, dont la génotoxicité a déjà été démontrée.(([50] https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/em.22343))

Il a été démontré que les niveaux de modulation des appareils de communication mobiles de faible puissance fonctionnant dans le spectre des énergies non ionisantes provoquent des espèces réactives de l’oxygène (ERO) et sont génotoxiques pour les animaux dans la plus grande étude indépendante réalisée, l’étude du National Toxicology Program (NTP), dont les résultats sont soutenus par le plus grand nombre de publications scientifiques indépendantes. Ces études confirment l’effet génotoxique sur les animaux des expositions subchroniques au niveau des lignes directrices de l’ICNIRP. Les émissions urbaines de la 5G sont conçues pour fournir une exposition chronique aux rayonnements qui augmentera sans aucun doute les effets génotoxiques sur toute la vie biologique avec laquelle les rayonnements entrent en contact. Ces émissions de rayonnements dépassent largement le seuil de contamination de 6 minutes recommandé par l’ICNIRP pour certains spectres. Des preuves provenant de zones couvertes par les émissions de rayonnement moins puissantes et moins densifiées des réseaux 4G ont déjà montré des effets néfastes importants sur la faune et la flore.(([51] https://ehtrust.org/wp-content/uploads/Mt-Nardi-Wildlife-Report-to-UNESCO-FINAL.pdf))

Les organismes biologiques plus petits qui composent l’ensemble de l’écosystème sont moins protégés contre les émissions de rayonnement d’origine humaine et peuvent donc montrer des effets d’une manière plus visible et incontestable. Il a été démontré que le manque aigu de petits insectes est principalement causé par de nouvelles émissions de rayonnement artificielles expérimentales, y compris des diodes électroluminescentes (DEL) qui ont été peu étudiées pour leurs effets néfastes sur l’environnement.(([52] https://esajournals.onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1890/14-0468.1))

L’ajout de nano-métamatériaux par le biais d’implants, d’injections et de contamination environnementale créera un environnement cytotoxique préjudiciable à toute vie biologique. La réflexion localisée des antennes de métamatériaux ou des entités vaccinées contaminées par des nanomatériaux s’ajoutera à une augmentation substantielle des expositions aux rayonnements, notamment dans les villes. La technologie de raccordement 5G peut désormais capturer et interroger de multiples points de données, des conversations, ainsi que des données biométriques corporelles et des mouvements 24 heures sur 24, tous les jours, au détriment des personnes vaccinées par le Covid-19 pour le reste de ce qui sera probablement une espérance de vie limitée, ainsi que des personnes incapables de se retirer de ces réseaux de rayonnement 5G et des environnements pollués par les nanoparticules.

Des champs magnétiques artificiels accompagnent l’onde du faisceau numérisé (QAM), ce qui augmente les émissions et crée une perturbation par vibration énergétique des particules de nano-métamatériaux dans le corps vacciné contaminé. Cela augmentera considérablement la cytotoxicité des technologies sur une population massive de personnes vaccinées qui ne se doute de rien.

Le mandat de cette expérience technologique sous la forme d’un vaccin qui augmente la stérilité et provoque la mort prématurée est une entreprise criminelle d’organisations et d’individus qui n’ont pas reconnu le développement compartimenté des systèmes d’armes nécessaires au programme de contrôle et de dépopulation planifiée. Les renseignements sur le dépeuplement massif ont été confirmés dans les cercles de la défense dès 2017 par le groupe de renseignement sur le matériel d’armement Deagel, qui a prédit plusieurs millions de victimes dans les pays occidentaux d’ici 2025.

L’ignorance ne devrait pas servir de défense à ces criminels, qui participent à une guerre asymétrique contre une population ignorante et terrorisée.

Les criminels peuvent être identifiés par leur mépris total des évaluations obligatoires des risques environnementaux et des normes de sécurité standard en ce qui concerne les technologies expérimentales et les principes de précaution qui devraient leur être appliqués.

Les données du gouvernement britannique montrent clairement que les vaccins expérimentaux ne fonctionnent pas comme un vaccin et présentent un risque important pour la population par des millions de réactions indésirables graves, y compris la mort. Bien qu’il n’y ait aucun avantage pour les enfants à leur injecter ce poison, les acteurs derrière cet événement meurtrier planifié ignorent la science et les données irréfutables alors qu’ils poursuivent leur programme de guerre secrète contre les plus vulnérables de nos sociétés.(([53] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-06/04-COVID-Lee-508.pdf))

Le CDC admet les dangers mortels actuels posés aux jeunes par cette technologie expérimentale, sans données à long terme sur les dangers posés par ce déploiement d’armes biochimiques. À l’origine du mépris flagrant de toutes les obligations éthiques et juridiques se trouve l’ordre du jour primordial du champ de bataille militaire, qui dicte que la guerre doit maintenant être menée contre les populations civiles.

Conclusion

Pour citer Martin L Pall, PhD, professeur émérite de biochimie et de sciences médicales à l’Université de l’État de Washington, « Mettre des dizaines de millions d’antennes 5G, sans un seul test biologique de sécurité, doit être l’idée la plus stupide que quiconque ait eue dans l’histoire. du monde ». Le professeur Pall a cependant tort : ce n’est pas une idée stupide mais un crime odieux si l’on comprend le mobile de ce déploiement. La 5G est un déploiement d’armes compartimenté se faisant passer pour une avancée technologique bénigne pour des communications améliorées et des téléchargements plus rapides. La fausse propagande mondialiste s’effondre avec un simple fait incontesté : leur brevet de test PCR pour Covid-19, qui a été déposé en 2015, n’a jamais été en mesure d’identifier un virus vivant, de sorte qu’il puisse être utilisé pour terroriser des populations ignorantes et sans méfiance à travers le monde pour qu’elles prennent un vaccin Covid-19 pollué par une technologie de nano-antenne pour connecter les victimes au réseau 5G.

Les technologies émergentes 5G, autonomes et de réalité augmentée, souvent qualifiées par les fabricants de « technologie tueuse », se révéleront être exactement cela. L’approche de laisser-faire adoptée par les organismes de réglementation et l’industrie des télécommunications a encouragé le mépris total des dommages biologiques connus causés par les niveaux croissants de rayonnements ionisants et non ionisants résultant du déploiement massif de ces technologies, qui ont été développées pour une utilisation sur le champ de bataille. Les organisations non gouvernementales, les individus et les groupes ont dû intenter une action en justice contre les organismes gouvernementaux de réglementation de la sécurité car ceux-ci ont ignoré le principe de précaution et ignoré l’exigence de normes qui sont indispensables en droit pour le développement de produits nouveaux et expérimentaux.

Toute la base de l’existence des organismes de réglementation a été corrompue par des criminels au sein de ces organisations qui ont détruit la confiance du public éduqué en eux.

Les exigences de sécurité de base ont été délibérément ignorées par l’industrie des télécommunications et les directives de l’ICNIRP ont été délibérément conçues pour semer la confusion chez ceux qui manquent de connaissances techniques.

Les données sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 ressemblent à la destruction de l’Humanité alors que des millions de citoyens nord-américains meurent et sont blessés dans cette expérience médicale qui enfreint le Code de Nuremberg et le Statut de Rome de la Cour pénale internationale.

Les niveaux d’émissions de rayonnement du réseau 5G dépassent empiriquement la résolution COE 1815 et confirment l’agression, causant des lésions corporelles réelles aux populations du monde entier. Le fait que les données vectorielles des vaccins Covid-19 aient été développées dans des laboratoires d’armes chimiques biologiques prouve qu’elles ne font que se faire passer pour des vaccins, les données émergentes sur la stérilisation, la mauvaise santé et la mort à travers l’Occident révélant leur véritable objectif. Le dépeuplement de ceux qui n’ont aucune connaissance de l’agenda meurtrier se poursuivra jusqu’à ce que les criminels impliqués dans ce meurtre de masse soient traduits en justice. Le réseau 5G a la capacité de cibler, d’acquérir et d’attaquer les vaccinés grâce à leur vaccin Covid-19 à antenne nano métamatériau.

Les systèmes d’armes létales autonomes (LAWS) exigent que les réseaux 5G maintiennent leur géopositionnement et naviguent dans leur environnement jusqu’à la cible ; ces armes ne peuvent pas compter sur les communications par satellite en raison du potentiel d’événements météorologiques défavorables et de la latence du signal pour perturber leurs signaux. Elles doivent donc disposer de réseaux 5G localisés pour l’environnement de champ de bataille urbain à venir, pour la capacité d’assassinat et pour la domination du champ de bataille dans les guerres futures prévues. Des acteurs voyous mettent en œuvre la Solution finale, un concept du Troisième Reich désormais actualisé par le FEM « Build Back Better », quatrième révolution industrielle contre les populations civiles, tel que proposé par l’industrie de la défense en violation des Conventions de Genève, ainsi que des lois et traités nationaux et internationaux .

Pour éviter tout doute, la définition d’une arme est un dispositif, un outil ou une action qui a été conçu pour causer des dommages physiques ou psychologiques en violation de la législation primaire.

La compartimentation du développement des systèmes d’armes a joué un rôle crucial en n’alertant pas les membres des autorités de réglementation et de l’industrie des télécommunications sur le véritable objectif et les intentions de ceux qui conduisent et financent en fin de compte le déploiement de la 5G et des armes chimiques biologiques se faisant passer pour des vaccins Covid-19 pour un grille de contrôle et de commande planifiée.

Le monde suit aveuglément les plans de l’élite technocratique et du complexe militaro-industriel-pharmaceutique pour éliminer un grand nombre de populations à travers le monde sans tenir compte de la législation primaire.

Les droits donnés par Dieu et les lois consacrées pour la protection des hommes et des femmes ont été ignorés par ces forces sectaires dans leur programme de dépeuplement, de stérilisation et de meurtres de masse.

La 5G est un système d’armes, un crime contre l’humanité si monstrueux que même une personne instruite trouverait cela incroyable au premier examen des faits.

La preuve prima facie [à première vue] de ce programme de dépopulation mondialiste est sans équivoque et devrait être testée devant les tribunaux afin que les conspirateurs impliqués dans ce plan meurtrier puissent être traduits en justice. C’est le plus grand crime jamais perpétré contre l’humanité et toute la création de Dieu.

Déclaration de vérité

Je crois que les faits énoncés dans cette déclaration de témoin sont vrais. Je comprends qu’une poursuite pour outrage au tribunal peut être intentée contre quiconque fait ou fait faire une fausse déclaration dans un document vérifié par une déclaration véridique sans une croyance sincère en sa véracité.

[Rapport original en anglais]


Mark Steele est directeur de la technologie chez www.saveusnow.org.uk, un parti de résistance à cette attaque criminelle contre l’humanité.

Il est l’inventeur et le rédacteur de brevets de l’affichage tête haute et des systèmes de visée d’armes. Il est ingénieur en développement de produits et expert en systèmes d’armes à énergie directe.

Cet article a été initialement publié sur For Life on Earth.

La source originale de cet article est Global Research
Copyright © Mark Steele , Recherche mondiale, 2022





France — Le piège de l’« espace santé » de l’Assurance-maladie

[Publié initialement sur profession-gendarme.com]

Par le Dr Gérard Delépine, chirurgien cancérologue et assuré social

Dans sa volonté de ficher l’ensemble des Français le gouvernement vient de lancer l’opération « votre espace santé » en prétendant qu’il permettrait d’être « soigné plus efficacement » et que « La confidentialité des informations du dossier médical serait totalement garantie ». Deux affirmations fausses.

Les précédentes tentatives de « dossier médical partagé » (DMP) ont déjà coûté très cher aux Français

Depuis 18 ans, les tentatives d’imposer le « dossier médical partagé » numérique ont été des échecs retentissants. Lancé en 2004 par les ministres, Philippe Douste-Blazy, relancé 2008 par Roselyne Bachelot, il avait déjà coûté 500 millions d’euros en 20141 pour seulement 418 011 dossiers médicaux ouverts au lieu des 5 millions de DMP prévus — le contrat signé avec la société Santeos.

En 2018, l’arrivée d’E. Macron au pouvoir a été marquée par la relance maximale du tout numérique et singulièrement du projet DMP 2, avec l’inclusion automatique des données de la sécurité sociale dans « mon espace santé » créé sans accord préalable des intéressés. Les pharmaciens et les infirmiers sont censés inciter les assurés à l’accepter. Les médecins généralistes sont, quant à eux, financièrement intéressés à alimenter les dossiers3. On ne connaît pas encore le coût de ce nouveau fichage, mais il s’annonce très élevé. Ne serait-il pas plus judicieux de consacrer cet argent à la remise en état de nos hôpitaux tant en personnel qu’en matériel et réhabilitation ?

« L’espace santé » ne peut pas améliorer la qualité des soins
Premier mensonge

La qualité des soins repose sur le contact direct (en chair et en os et non pas seulement virtuel, visuel), médecin-malade, le dialogue confidentiel et librement consenti, le nombre et la disponibilité des soignants et surtout leur liberté des choix thérapeutiques, enfin l’état des établissements d’hospitalisation.

Depuis de nombreuses années et tout particulièrement ces deux dernières années, les médecins traitants ont été marginalisés par le pouvoir 4 et se sont malheureusement soumis pour trop d’entre eux aux ukases du pouvoir exécutif. De nombreux lits ont été fermés 5 6 y compris durant la crise covid. Les soignants ont été harcelés et démotivés d’où de très nombreuses démissions ; arrêts de travail prolongés en particulier en raison des burn-out. L’obligation vaccinale anti-covid inutile et dangereuse que le ministère leur a imposée a été pour beaucoup la goutte d’eau qui les a contraints à abandonner leur vocation, ne pouvant de plus assumer de se taire sur la réalité de la crise covid et en particulier des injections expérimentales.

Sans lits ouverts ni soignants ni liberté de soigner par les médicaments efficaces connus, on ne peut espérer améliorer la qualité des soins.

PUBLICITÉ REDONDANTE SUR LES MÉDIAS À RÉPÉTITION 7

La prétention de l’« espace santé » d’améliorer la santé n’est donc qu’un slogan publicitaire inatteignable sans remise à niveau de nos établissements de soins ni remotivation des soignants. La numérisation qui n’est qu’un outil ne peut en rien améliorer la « qualité » des soins, les informations plus précises pouvant d’ailleurs venir par d’autres canaux, y compris le patient lui-même qui a parfois stocké ses examens sur son téléphone, réaliser de beaux graphiques. Tout cela est gentil, mais n’a jamais aidé la vraie médecine clinique à avancer.

La communication électronique de données médicales souvent aseptisées, codifiées, simplifiées, résumées, ne peut pas remplacer le contact direct, au minimum téléphonique entre le médecin de famille et les autres soignants, si besoin est.

Croire que « mon espace santé » permettrait mieux qu’en favorisant le contact humain direct entre soignants de coordonner les soins, de renforcer la sécurité sanitaire, ou de limiter les risques de surmédicalisation, pour réaliser des économies pour l’assurance maladie relève du fantasme manipulateur, mensonger. Ce sont les malades qui décident de consulter les médecins et non l’inverse.

Pour éviter la surmédicalisation, il serait bien plus efficace de limiter drastiquement les reportages médicaux qui sont en réalité trop souvent des publicités pour les nouvelles techniques ou de nouveaux médicaments et des incitations à les consommer, par exemple les appels à dépistage du cancer du sein, de la prostate ou du colon en dépit des mises en garde sur les dangers respectifs de ces techniques. Les dépistages, comme le reste des décisions médicales, doivent se baser sur un interrogatoire et sur un examen clinique précis du patient putatif et n’être prescrits qu’à bon escient et non pour alimenter des machines à cash.8 9 10 Le harcèlement déjà en place pour nous inciter à ces dépistages, comme aux injections que nous recevons de l’assurance maladie est déjà insupportable. Le rôle de la sécurité sociale fondé en 1946 n’était pas de choisir et de décider de nos soins, mais bien de les rembourser. L’assurance maladie n’est pas notre médecin !

Cette création d’un fichier national regroupant les données médicales des Français témoigne de la volonté d’accélération du virage numérique du gouvernement permettant au pouvoir de financer ses affidés du numérique et d’accéder à toutes les données médicales personnelles des Français.

Des données médicales centralisées ne peuvent pas être sécurisées
Deuxième mensonge

Croire que « la confidentialité des informations du dossier médical serait totalement garantie » est en totale contradiction avec la réalité. Personne ne peut assurer la sécurité totale d’un fichier informatique.

Le Pentagone a été piraté à de nombreuses reprises 11 12 et a même créé un concours du « meilleur pirate du Pentagone » 13 pour « sélectionner et rassembler les talents, la technologie et les procédés du secteur privé pour nous aider à élaborer des solutions plus sûres et complètes pour le département de Défense ».

1410 Américains ont participé à ce concours et en un mois, ont fourni 1189 rapports, permettant de détecter 138 failles « valides et uniques ». Le meilleur d’entre eux, qui a décelé plusieurs failles, a empoché 15 000 dollars à la grande satisfaction de l’institution14 d’avoir ainsi réussi à renforcer la sécurité à moindre coût. « Si nous avions utilisé la procédure classique, cela nous aurait coûté plus d’un million de dollars. »

De même, le FBI, la CIA et les autres agences de sécurité américaine ont été piratés15 16 17.

LE PIRATAGE DES DONNÉES DE SANTÉ : UN MARCHÉ JUTEUX

Les données médicales de l’assurance maladie américaine n’ont pas échappé aux pirates et 9,3 millions de dossiers d’assurance maladie de patients américains ont été mis en vente pour 750 bitcoins, soit environ près de 500 000 euros18. Les informations comprennent les noms, adresses courriel, numéros de téléphone, dates de naissance et numéros de sécurité sociale.

Croire que la France est capable d’assurer la sécurité de ses fichiers informatiques est un mirage. Le service des impôts a vu 2000 dossiers personnels sensibles dérobés19. Le service France Connect interface avec la sécurité sociale a dû être interrompu après un piratage récent 20.

Fin août 2021, c’est un listing de 700 000 noms, adresses et numéro de Sécurité sociale qui a été volé sur le site Francetest permettant aux pharmacies de transmettre les résultats des tests antigéniques.

Les hôpitaux français sont incapables d’assurer leur cybersécurité

En 2020, Cédric O, le secrétaire d’État à la transition numérique avait recensé 27 cyberattaques « majeures » contre les hôpitaux, et entre autres celle contre l’AP-HP (maître d’œuvre du fichier SI-Dep pour le compte du ministère des Solidarités et de la Santé), qui a abouti à la publication sur le Darkweb d’environ 1,4 million de données personnelles de patients ayant été testés pour la COVID-19 21, listing qui aurait pu être monnayé près d’un million d’euros au marché noir 22.

Tout récemment, en août 2022 la vulnérabilité des données médicales a été à nouveau illustrée par la cyberattaque contre le Centre hospitalier Sud Francilien23 de Corbeil-Essonnes qui s’est soldé par de graves perturbations de fonctionnement et la vente sur internet des données personnelles des malades.

« Les hackers responsables de la cyberattaque contre le Centre hospitalier sud-francilien de Corbeil-Essonnes, le 21 août dernier, ont mis leurs menaces à exécution. Si l’hôpital ne payait pas la rançon exigée en temps et en heure — d’abord 10 millions de dollars, aujourd’hui cinq à dix fois moins — ils allaient publier une série de données détournées. “Une première diffusion a été orchestrée sous la forme d’un fichier compacté de 11,7 gigaoctets (…) vendredi 23 septembre à 9 h 42 heure UTC exactement”, confirme Damien Bancal, responsable du site ¬Zataz.com qui recense les cyberattaques dans le monde. Le spécialiste a vu les ¬informations diffusées par les pirates sur le darknet, mais a laissé la direction générale du CHSF, qui assure la couverture sanitaire de près de 700 000 habitants de la grande couronne au sud de Paris, confirmer leur réalité. »

Les médecins et soignants de l’Hôpital de Corbeil déjà en manque énorme de personnel sont très gênés par cette attaque, d’autant que depuis le mythe du « tout numérique » à l’hôpital, nous manquons cruellement de dossiers papier.

L’assurance maladie n’est malheureusement pas une forteresse numérique

Le 17 mars 2022, près de 510 000 personnes affiliées à l’assurance maladie ont été victimes du vol de données stockées par l’organisme24.

La promesse que « La confidentialité des informations du dossier médical serait totalement garantie » n’engage donc que ceux qui y croient et s’exposent ainsi à des risques considérables comme des chantages sur leur vie personnelle et familiale et des usurpations d’identité.

La perte du secret médical peut gravement vous nuire

Le secret médical constitue un des piliers de l’acte médical. Lui seul permet la confiance du malade qui peut ainsi exposer sans crainte au médecin ses problèmes les plus intimes « qui ne sortiront pas du cabinet ».

« Mon espace santé » crée une brèche de sécurité béante dans ce secret. D’autant que vos données médicales intéressent beaucoup de nombreux organismes (assurances, banque, professionnel du viager) et des individus moins recommandables prêts à payer pour obtenir ses informations. Ils pourraient alors vous faire chanter ou nuire à votre réputation en révélant que vous souffrez du sida, que votre fille prend la pilule depuis ses onze ans, que votre femme souffre de tuberculose ou de problèmes psychiatriques, que votre fils est autiste, mongolien, homosexuel ou transgenre…

Le secret médical mérite d’être bien gardé et c’est absolument impossible s’il est conservé dans un fichier informatisé centralisé.

« Mon espace santé » vous expose aussi à l’usurpation d’identité.

En plus de vos données médicales, « Mon espace santé » comporte aussi votre date de naissance, votre adresse, votre numéro de sécurité sociale octroyé à vie, votre numéro de téléphone, votre adresse internet et vos coordonnées bancaires, toutes données utiles pour une usurpation d’identité. Les victimes du piratage de leur espace santé sont ainsi exposées à un risque d’usurpation d’identité.

Chaque année, 210 000 Français subissent une usurpation d’identité qui les expose à des détournements d’argent, la contraction d’un prêt frauduleux à leur nom, au détournement de leurs prestations sociales… La victime lésée de ses droits financiers ou en charge de rembourser des montants qu’elle n’a ni perçus, ni utilisés, se retrouve parfois poursuivie par la justice pour des infractions ou des délits qu’elle n’a pas commis.

Outre les problèmes financiers, les victimes subissent des conséquences psychologiques et doivent faire des démarches souvent très longues pour prouver leur identité. Récupérer cette identité est un parcours souvent qualifié « d’enfer » par les victimes qui mettent parfois plusieurs années pour retrouver la pleine jouissance de leur identité. 25

Le marché des données personnelles est un marché en pleine explosion sur le Dark Web. 26 Des zones très spécifiques sont même créées pour permettre aux cybercriminels de faire leurs échanges (de l’ordre de 500 euros pour une carte d’identité ou un permis de conduire27). Il y a là de quoi motiver sérieusement les pirates du net, surtout s’ils parviennent à collecter plusieurs millions de données. Le risque est désormais que des escrocs utilisent les données accessibles pour monter de nouvelles attaques ciblées, en utilisant les informations personnelles à leur disposition pour capter la confiance de la victime.

Mesures de sécurité conseillées par les responsables de l’hôpital de Corbeil Évry récemment piraté

Les attaquants vont par exemple rechercher « des patrons, des personnalités importantes », et monter des arnaques comme « les fraudes au président », où l’escroc arrive à obtenir un virement bancaire d’une institution en se faisant passer pour son dirigeant ou son directeur financier, a expliqué Damien Bancal.

Les attaquants peuvent aussi utiliser les numéros de téléphone pour monter les arnaques aux comptes personnels de formation (CPF) ou aux cryptomonnaies, les adresses mail pour faire du « hameçonnage » (en anglais « phishing », inciter l’internaute à télécharger des fichiers malveillants ou à cliquer sur des liens pour lui extorquer des identifiants et codes d’accès.

Nous recevons très fréquemment des appels téléphoniques et de multiples SMS pour nous inviter à profiter de nos comptes formation. Or retraités depuis de nombreuses années, ces appels ne peuvent correspondre qu’à des vols de données. Idem en ce qui concerne les arnaques à la carte vitale. Régulièrement nous recevons des SMS nous disant que notre carte vitale n’est plus valable et nous invitant à donner toutes sortes d’informations pour la récupérer. Méfiance. Ne jamais répondre directement. En cas de doute, joignez directement votre caisse d’assurance maladie et directement par un contact humain.

La preuve en un clic : taper Ameli.Fr

Attention aux SMS, appels ou courriels frauduleux 31 août 202228

EN RÉSUMÉ, IL FAUT REFUSER « MON ESPACE SANTÉ » qui menace votre secret médical et votre sécurité financière

La création de « mon espace santé » est réalisé automatiquement sans que l’accord de l’intéressé n’ait été demandé. En l’espèce, pour ficher un maximum de Français, le gouvernement applique le principe de la vente forcée « qui ne dit mot consent. »

Si vous voulez que votre secret médical soit réellement protégé et que vos données personnelles ne soient pas vendues un jour prochain sur le darknet, vous devez faire la démarche de le refuser manuellement.

Pour ce faire, munissez-vous de votre carte vitale. Rendez-vous tout d’abord sur le site officiel à cette adresse : https://www.monespacesante.fr/enrolement-accueil.

Si vous n’avez pas reçu par lettre un code provisoire, il faut l’obtenir en cliquant sur « générer un code provisoire ». Vous allez recevoir ce code valable pour une durée de six semaines, par mail ou par SMS.

Entrez ce code sur le site, et cliquez sur « refuser l’activation de mon espace santé » et n’oubliez pas de télécharger le document d’attestation de refus.

En guise d’alternative, vous pouvez aussi refuser Mon Espace Santé par téléphone au 3422. Là encore, munissez-vous de patience et de votre carte vitale.

PROTÉGEZ-VOUS.





Merci à Reiner Fuellmich et ensemble continuons le combat de l’information vraie

Par Nicole Delépine

Au cours des deux dernières années, les analyses de l’avocat Reiner Fuellmich nous ont éclairés et soutenus. Comprenant grâce à lui et de rares auteurs comme Pascal Sacré ou Denis Rancourt (articles sur les tests PCR sur mondialisation.ca dès juillet 2020) ce qu’il se passait en particulier sur les faux tests PCR dès juillet 2020, nous avons pu résister, car la connaissance aide à rester debout et à travailler dans le sens de la vérité.

Comme énormément de personnes perdues dans le monde, Reiner F. nous a permis de comprendre et donc de résister sans tomber dans la panique, le désespoir, la dépression voire le suicide pour certains. Nous avons pu grâce à lui donner de l’espoir à nos correspondants par mail et téléphones, et en publiant en France les résultats de son combat.1

Nous écrivions en octobre 2020 grâce à ses éclairages :

Vers la mise en place d’un Nuremberg du 2

Un grand motif d’espoir : des juristes préparent les fondements d’un procès Covid-Nuremberg international

Le scandale du coronavirus

Nous avons découvert avec joie la vidéo de Reiner Fullmich, juriste au barreau en Allemagne et en Californie, mise en ligne le 3 octobre 2020, traduite en français par le « fils du Pangolin ». Profitez-en avant qu’elle ne disparaisse de YouTube… Il est un des quatre membres de la commission allemande d’enquête sur le coronavirus.

https://www.youtube.com/watch?v=UQFZHtnW8DY (évidemment indisponible aujourd’hui !)

Enfin de bonnes nouvelles !

Un réseau international se forme contre « les crimes contre l’humanité » en cours, liés aux mesures totalitaires et complètement irresponsables eu égard à la santé de la population mondiale. Les mesures liberticides telles que le confinement aveugle, puis le port obligatoire du masque, dedans, dehors, partout, bientôt en famille, et dans les moments tendres, et les tests délirants car non fiables et multipliés à l’envi, imposés par les écoles, les entreprises et les hôpitaux qui les répètent de façon anarchique laissant le patient « urgent » dans un lit pendant plusieurs semaines attendant que le test d’entrée positif (évidemment trop souvent, pour être fiable) se négative. Mais s’il se négative, il faut vérifier trois jours plus tard et ainsi de suite.

Des sketchs ubuesques si la vie de patients et le moral des troupes n’étaient pas en jeu, avec leurs conséquences délétères sur l’immunité et l’apparition de maladies auto-immunes, cancers, sans parler de toutes les affections psychosomatiques.

Présentation de l’avocat allemand parlant au nom des 4 membres de la commission d’enquête allemande sur le coronavirus :

« Bonjour, je m’appelle Reiner Fuellmich et je suis admis au barreau en Allemagne et en Californie depuis 26 ans. J’ai pratiqué le droit principalement en tant qu’avocat plaidant contre des sociétés frauduleuses telles que la Deutsche Bank, autrefois l’une des plus grandes banques du monde et des plus respectées, aujourd’hui l’une des organisations criminelles les plus toxiques au monde. VW, l’un des constructeurs automobiles les plus importants et les plus respectés au monde, aujourd’hui connu pour sa fraude géante sur le diesel et Kuehne and Nagel, la plus grande compagnie maritime du monde, que nous poursuivons dans une affaire de corruption de plusieurs millions de dollars.

Je suis également l’un des quatre membres de la commission d’enquête allemande sur le Corona. Depuis le 10 juillet 2020, ce comité écoute un grand nombre de témoignages de scientifiques et d’experts internationaux pour trouver des réponses aux questions sur la crise du Corona, que de plus en plus de personnes dans le monde entier se posent. Tous les cas de corruption et de fraude commis par les entreprises allemandes mentionnés ci-dessus sont dérisoires en comparaison de l’ampleur des dommages que la crise du Corona a causés et continue de causer.

Cette crise du Corona, selon ce que nous savons aujourd’hui, doit être rebaptisée “scandale du Corona”. Et les responsables de cette crise doivent être poursuivis pénalement et pour dommage civil. Sur le plan politique, tout doit être fait pour que plus jamais personne ne soit en position de pouvoir tromper l’humanité ou tenter de nous manipuler avec ses programmes corrompus.

C’est pourquoi je vais maintenant vous expliquer comment et où un réseau international d’avocats plaidera la plus grande affaire de délit civil de tous les temps : le scandale de la fraude Corona, qui s’est entre-temps transformée en probablement le plus grand crime contre l’humanité jamais commis.

Les crimes contre l’humanité ont été définis pour la première fois dans le cadre des procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale, c’est-à-dire lorsqu’ils ont concerné les principaux criminels de guerre du Troisième Reich.

Aujourd’hui, les crimes contre l’humanité sont régis par l’article 7 du Code pénal international.(…) »

Nuremberg-Covid : un crime contre l’humanité qui doit être jugé !

18 octobre 2020 Nicole Delépine

Suite du premier volet.

Le combat se développe. Il faut en parler autour de vous, faire connaître cette enquête internationale, car curieusement les mails concernant ce scandale sont bloqués, comme si un algorithme très performant refusait qu’on le fasse connaître.
On peut aussi revenir au bon vieux temps et imprimer un maximum de « tracts » reprenant les idées majeures de ce texte à lire en totalité.

Quelques extraits de « scandale de fraude du coronavirus – Le plus important combat commence juste ». 18 Octobre 2020

« PROBABLEMENT LE PLUS GRAND CRIME CONTRE L’HUMANITÉ JAMAIS COMMIS »

  • – La commission d’enquête extraparlementaire allemande Corona (Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss), lancée le 10 juillet 2020, a été fondée par quatre avocats pour enquêter et poursuivre les responsables de la mise en œuvre de confinements dévastateurs sur le plan économique dans le monde, ainsi que de l’utilisation de tests frauduleux pour faire croire à une pandémie dangereuse.
  • – les avocats soutiennent que les mesures pandémiques étaient destinées à semer la panique afin que les industries pharmaceutiques et technologiques puissent générer d’énormes profits grâce à la vente de tests PCR, de tests d’antigènes et d’anticorps et de vaccins, et de la récolte de nos empreintes génétiques.
  • – Les confinements n’étaient pas nécessaires et tout argument contraire est erroné,
    « Le virus était déjà en retrait et les taux d’infection commençaient à baisser lorsque des confinements furent imposés ; des preuves scientifiques montrent qu’une majorité de personnes sont déjà immunisées contre le virus en raison de l’immunité des cellules T à réactivité croisée, et le test PCR ne peut pas être utilisé pour identifier une infection active par le SRAS-CoV-2 ou tout autre virus. »

La pandémie n’a pas entraîné un nombre supplémentaire de décès ou un nombre de morts plus élevé que la normale, les dommages collatéraux des mesures de riposte à la pandémie sont presque incalculables.

Toutes les réunions sont diffusées en direct et disponibles sur la chaîne YouTube du Comité11 (du moins pour le moment).

Selon Fuellmich, un recours collectif international sera intenté contre les personnes responsables de la mise en œuvre des confinements économiquement dévastateurs dans le monde, ainsi que de l’utilisation de tests frauduleux pour créer l’apparence d’une pandémie dangereuse.

Cela inclut tout le monde, des décideurs politiques locaux à l’Organisation Mondiale de la Santé et aux laboratoires pharmaceutiques. Il affirme que plus de 50 autres pays suivront.

Fuellmich souligne qu’au plan politique, des efforts tous azimuts doivent être faits pour garantir que « personne ne sera plus jamais en mesure de frauder l’humanité ou de tenter de nous manipuler avec des projets corrompus. »

Un second Nuremberg

Les crimes contre l’humanité, définis pour la première fois lors des procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale, sont aujourd’hui réglementés à l’article 7 du Code pénal international.

Les trois questions auxquelles le comité cherche à répondre par voie judiciaire sont :

  1. Y a-t-il une pandémie de COVID-19 ou y a-t-il seulement une pandémie de test de réaction en chaîne par polymérase (PCR) ?
    Plus précisément, un résultat de test PCR positif signifie-t-il que l’individu est infecté par le SRAS-CoV-2 et a le COVID-19, ou cela ne signifie-t-il absolument rien en relation avec l’infection COVID-19 ?
  2. Les mesures de riposte à la pandémie telles que les confinements, les masques obligatoires, la distanciation sociale et les réglementations de quarantaine servent-elles à protéger la population mondiale du COVID-19, ou ces mesures ne servent-elles qu’à semer la panique ?
  3. Est-il vrai que le gouvernement allemand a fait l’objet de pressions massives — plus que tout autre pays — par les principaux protagonistes de cette pandémie de COVID-19 ?

Selon Fuellmich, l’Allemagne « est connue comme un pays particulièrement discipliné et devait donc devenir un modèle pour le reste du monde pour son adhésion stricte et, bien sûr, réussie » aux mesures contre la pandémie.

Le COVID CONTINUE A SEMER LA PANIQUE — IL FAUT DÉNONCER LES MENSONGES

Des réponses à ces questions sont nécessaires de toute urgence, car le SRAS-CoV-2, présenté comme l’une des menaces à la vie les plus graves de l’histoire moderne, « n’a causé aucune surmortalité nulle part dans le monde ».

Les mesures de pandémie, en revanche, ont « causé la perte d’innombrables vies humaines et détruit l’existence économique d’innombrables entreprises et individus dans le monde », dit Fuellmich.

Deux responsables de la panique, Ferguson et Drosten

(…) Le virologue allemand Christian Drosten est responsable des ordonnances de confinement en Allemagne.

Le virologue allemand Christian Drosten avait déjà semé la panique en 2009 avec des prophéties apocalyptiques pour la grippe porcine. Dans ces prévisions terrifiantes récurrentes, il semble bien le pendant de l’épidémiologiste Neil Ferguson dont les prévisions de décès ont servi d’excuses aux gouvernements de trop de pays pour imposer leurs mesures liberticides, en particulier en France.
Le moment venu de décider d’une réponse pour COVID-19, le gouvernement allemand s’est appuyé sur l’avis de Drosten uniquement.

« Dans une violation scandaleuse du principe universellement accepté d’auditor at ultra parse, ce qui signifie qu’il faut également entendre l’autre côté, la seule personne qu’ils ont écoutée était M. Drosten, c’est-à-dire la personne même dont l’horrible pronostic panique s’était avéré catastrophiquement faux 12 ans plus tôt », dit Fuellmich.

« De nombreux “scientifiques hautement renommés” ont brossé un tableau complètement différent de la pandémie du COVID-19. Parmi eux, le professeur John Ioannidis de l’Université de Stanford en Californie, le professeur Michael Levitt, biophysicien à l’Université de Stanford et lauréat du prix Nobel de chimie ; les professeurs allemands Karin Mulling, Sucharit Bhakdi, Klud Wittkowski et Stefan Homburg. »

AUCUNE SECONDE VAGUE EN VUE, SEULEMENT DE L’INTOXICATION VIA LES TESTS TROMPEURS

Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, figure également sur cette liste. Yeadon a récemment déclaré publiquement qu’il n’y a aucune science suggérant qu’une deuxième vague devrait se produire » et que les résultats faussement positifs de tests PCR non fiables sont utilisés pour « fabriquer une » deuxième vague » à partir de « nouveaux cas ». 

« Ils ont estimé, et estiment toujours, qu’il n’y avait pas de maladie allant au-delà de la gravité de la grippe saisonnière ; que la population avait déjà acquis une immunité croisée ou des cellules T contre ce prétendument nouveau virus ; et qu’il n’y avait donc aucune raison pour des mesures spéciales et certainement pas pour les vaccinations », dit Fuellmich.

Il cite également un article scientifique publié en septembre 2020 par Yeadon et ses collègues, dans lequel ils déclarent :

« Nous fondons notre politique gouvernementale, notre politique économique et la politique de restriction des droits fondamentaux vraisemblablement sur des données et des hypothèses complètement fausses concernant le coronavirus.

Sans les résultats des tests qui sont constamment rapportés dans les médias, la pandémie serait finie, parce que rien ne s’est vraiment passé. »

Analyse de la situation

Commentant « la situation actuelle et réelle concernant le danger du virus, l’inutilité totale des tests PCR pour la détection des infections et les verrouillages basés sur des infections inexistantes », Fuellmich déclare :

« Nous savons que les systèmes de santé n’ont jamais risqué d’être submergés par le COVID-19. Au contraire, de nombreux hôpitaux restent vides à ce jour et certains sont aujourd’hui menacés de faillite. »

Le navire-hôpital Comfort qui ancré à New York à l’époque aurait pu accueillir un millier de patients n’a jamais hébergé plus d’une vingtaine de patients.

Nulle part il n’y a eu de surmortalité.

Des études menées par le professeur Ioannidis et d’autres ont montré que la mortalité du corona est équivalente à celle de la grippe saisonnière ; même les images de Bergame et de New York qui ont été utilisées pour démontrer au monde que la panique était de rigueur se sont avérées délibérément trompeuses.

Ensuite, le soi-disant « article de panique » a été divulgué, rédigé par le ministère allemand de l’Intérieur. Son contenu classifié montre sans l’ombre d’un doute qu’en fait la population a délibérément été amenée à paniquer par les politiciens et les médias traditionnels. »

À Bergame, en Italie, 94 % des décès n’étaient pas le résultat d’une infection au COVID-19 se propageant sans limites, mais plutôt la conséquence de la décision du gouvernement de transférer les patients malades des hôpitaux vers les maisons de retraite, où ils propageaient l’infection — rhume, grippe et SRAS-CoV-2 — parmi les personnes âgées et fragiles.

Cela a également été fait par le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, en violation directe des directives fédérales ainsi que dans le Minnesota, l’Ohio, en Pennsylvanie, dans le New Jersey, au Michigan et en Californie.

Fuellmich souligne également la faute professionnelle courante qui s’est produite dans certains des hôpitaux de New York, où tous les patients suspectés de COVID-19 ont été placés sous ventilateur mécanique, ce qui s’est avéré être une condamnation à mort.

Cependant, comme l’ont montré les autopsies, qui ont été effectuées en Allemagne, en particulier par le médecin légiste le professeur Klaus Püschel à Hambourg, les décès qu’il a examinés avaient presque tous été causés par des maladies préexistantes graves et presque toutes les personnes qui étaient décédées, décédées très vieilles, tout comme en Italie, c’est-à-dire qu’elles avaient vécu au-delà de leur espérance de vie moyenne.

Le RKI allemand, qui est encore l’équivalent du CDC, avait initialement, assez étrangement, recommandé qu’aucune autopsie ne soit pratiquée

Et il existe de nombreux rapports crédibles selon lesquels des médecins et des hôpitaux du monde entier ont été payés pour déclarer une personne décédée était victime du COVID-19 plutôt que d’écrire la véritable cause du décès sur le certificat de décès, par exemple une crise cardiaque ou une blessure par balle.

À Paris, des employés des pompes funèbres racontent maintenant comment ils furent choqués que les corps leur soient livrés, « non préparés, même pas lavés » et donc jamais revus par leurs familles, sans la possibilité de les préparer avant enterrement ou incinération. Ils précisent : tous les morts étaient « covid ». Aucune autre cause de décès déclaré. Ce fut un phénomène mondial et heureusement quelques légistes désobéirent aux USA, en Italie, en Allemagne (France ?) et effectuèrent des autopsies découvrant des morts par balle classés covid…

Nicole Delépine

Rendez-vous compte : nous savions tout ce qui s’est avéré vrai, en 2020 avant la campagne cruelle de vaccination que nous aurions pu éviter si la population n’avait été sous l’emprise mortifère du gouvernement et des médias

Il n’est pas étonnant que l’état profond tente de le décrédibiliser, car son travail est tellement important qu’il ne servirait à rien de l’éliminer et tenter de faire croire qu’il a menti ou triché est plus astucieux. Néanmoins ils n’y arriveront pas et comme conclut Reiner dans son mémoire à notre usage :

« Et enfin, bien sûr, nous gagnerons cette guerre qui est menée contre toute l’humanité. Il n’y a aucun doute dans mon esprit que ceux qui essaient de détruire l’humanité et qui essaient de jouer à Dieu sont condamnés ».

Restons forts ensemble.

Certaines personnes craquent sous la pression. Je ne le fais pas et je ne le ferai pas.

Et j’aimerais ajouter, la même chose est vraie pour les travailleurs de la santé grecs, et la même chose est vraie pour chacun d’entre vous.

Voici l’intégrale de sa mise au point :

Reiner Fuellmich : Mise à jour encourageante après de fausses allégations

Reiner Fuellmich: Encouraging update after false allegations (stopworldcontrol.com)

Au cours des derniers mois, une attaque vicieuse et perfide a été lancée contre l’une des personnes les plus influentes de tout le mouvement mondial pour la justice et un monde meilleur: le Dr Reiner Fuellmich.

Le Dr Fuellmich a travaillé sans relâche avec le Comité d’enquête Corona pour découvrir toutes les preuves qui révèlent comment la pandémie était une opération criminelle à grande échelle.

L’objectif de cette opération était double :

1) réduire considérablement la population mondiale par la guerre biologique, à la fois avec une maladie artificielle, et par des injections armées

2) soumettre ceux qui survivent à une tyrannie mondiale sans précédent, par le biais de passeports vaccinaux, d’identifications numériques, de surveillance 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, etc. 

Le Dr Fuellmich a réalisé plus de 400 entrevues, avec des experts de tous les domaines de la science, pour révéler ce programme néfaste.

Son travail pour l’humanité a été inestimable et est totalement inégalé dans l’histoire de notre monde. À ma connaissance, personne sur la surface de la Terre, depuis toujours, n’a jamais recueilli autant de données qui dévoilent comment des entités financières criminelles — qui opèrent derrière l’OMS, l’ONU, etc. — collaborent pour s’emparer de tous les droits et libertés de toute l’humanité, sous couvert de crises orchestrées.

Le Dr Fuellmich a également organisé un grand jury où les meilleurs experts de ces mêmes entités qui planifient la domination du monde ont témoigné devant 11 avocats et un juge. Ils ont présenté un aperçu clair de ce qui se passe, dans le but d’informer l’humanité et de donner aux gens les moyens de se défendre.

[Voir Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

Le travail accompli par cet homme, par l’intermédiaire du Comité d’enquête Corona, est indescriptible. 

Tout au long de l’horrible découverte de ces événements terrifiants et dévastateurs dans notre monde, il a également continué à encourager et à donner aux gens l’espoir d’un avenir meilleur.

Le Dr Fuellmich n’a pas seulement exposé à quel point ce réseau maléfique est énorme dans le monde entier, il a également continuellement renforcé des millions de personnes dans le monde entier avec l’assurance que les bonnes personnes, avec l’aide de Dieu, seront victorieuses.

À travers cette tempête, notre monde entrera dans une nouvelle ère.

En raison de l’énorme influence de ce courageux enquêteur dans le monde entier, il n’est pas surprenant qu’il ait été sévèrement attaqué.

Sachant à quel point il est un avocat compétent, les élites savent qu’elles ne peuvent pas simplement l’arrêter. Par conséquent, l’attaque contre Reiner Fuellmich devait venir de l’intérieur, par l’intermédiaire de quelqu’un de proche.

Malheureusement, cela s’est effectivement produit, et au cours des derniers mois, la cofondatrice du CIC a commencé à accuser faussement le Dr Fuellmich.

Cela a causé de la confusion et du découragement chez de nombreuses personnes éveillées dans le monde entier, qui considèrent Fuellmich comme l’un de leurs dirigeants.

Quand j’ai appris ces allégations, j’ai appelé Reiner, et nous avons eu une bonne conversation. Il m’a assuré que les allégations étaient entièrement fausses. Cela a été confirmé par le procureur du district de Berlin qui a publiquement déclaré qu’il n’y avait aucune raison d’enquêter. Plusieurs psychologues se sont penchés sur la situation, exprimant des préoccupations quant au bien-être mental de l’accusateur.

Le Dr Reiner Fuellmich a accepté une entrevue avec Stop World Control pour en savoir plus sur cette situation.

Au cours de cette conversation — comme toujours, inspirante et encourageante — Reiner révèle également sa nouvelle organisation, qui sera plus professionnelle, avec une portée plus large: COMITÉ D’ENQUÊTE SUR LES CRIMES INTERNATIONAUX.

REGARDEZ CETTE MISE À JOUR
ENCOURAGEANTE DU DR REINER FUELLMICH

Déclaration officielle du Dr Reiner Fuellmich

[Pour voir la vidéo :
https://nouveau-monde.ca/mise-au-point-de-reiner-fuellmich-28-septembre-2022/]

Chers amis,

Maintenant que j’ai repris le contrôle de mes chaînes de télégrammes, il est temps d’envoyer un court message à ceux qui sont confus à cause des récentes rumeurs entourant le Comité d’enquête corona de Berlin.

Dans une longue interview avec la chaîne suisse de médias alternatifs Bitle.tv, qui a été interrompue par une déclaration troublante de la cofondatrice du Comité d’enquête Corona, j’ai déjà dit ce que j’avais à dire.

Les allégations de cette cofondatrice du Corona Investigative Committee sont complètement fabriquées et fausses.

En conséquence, les grands médias allemands viennent de rapporter que le bureau de la DA de Berlin a explicitement déclaré qu’il n’y avait aucune raison pour une enquête criminelle. Alors, faites confiance à votre instinct et regardez les faits qui sont disponibles.

En outre, je poursuivrai les travaux du Comité avec ma propre version, beaucoup plus professionnelle. Cette poursuite des travaux du Comité élargira la portée de l’enquête et montrera les concepts permettant de surmonter le système corrompu et en train de s’effondrer. Son nouveau nom sera International Crimes Investigative Committee, ICIC (I See, I See!)

Cependant, il y a trois choses qui, à mon avis, méritent une attention particulière dans cette lutte continue pour l’humanité. Premièrement, malgré le fait que travailler au sein du Comité d’enquête sur Corona a toujours été très difficile, nous avons, je crois, fait un assez bon travail pour obtenir la vérité sur Corona. Il ne s’agit pas d’une pandémie, mais plutôt d’une plandémie. Il est motivé par la panique intentionnelle et l’utilisation abusive du test PCR pour créer des cas qui n’ont jamais existé.

Cette pandémie n’est qu’un outil parmi les outils de ceux qui sont derrière cela. Et derrière cela, il y a quelques super-riches, des psychopathes mégalomanes, comme nous l’ont expliqué les experts en psychologie et en psychiatrie que nous avons interviewés.

Ils ont utilisé et utilisent des entreprises mondiales et des ONG mondiales qui se réunissent une fois par an à Davos sur la plate-forme du Forum économique mondial comme un moyen de mener à bien une prise de contrôle hostile de nos politiciens et de nos organismes publics sous le couvert du terme agréable de partenariats public-privé.

L’autre côté, comme je les appelle, ou M. Global, comme les appelle Catherine Austin Fitz, savent que beaucoup de gens ne croient plus à l’histoire dangereuse du virus. La variole du singe s’est avérée être un échec complet, un non-démarreur. Ils sont sur la défensive. Mais ils ont plus dans leur boîte à outils pour nous garder en mode panique, c’est-à-dire dans un état mental qui fera que beaucoup d’entre nous suivront n’importe quel ordre qui leur est donné. La crise ukrainienne, le réchauffement climatique, les pénuries alimentaires et les pénuries d’énergie ne sont que les outils les plus connus de leur panique.

Le but ultime de ces mégalomanes psychopathes est de prendre le contrôle total de nous tous en réduisant la population et en asservissant les survivants grâce à l’introduction d’un gouvernement mondial unique et d’une monnaie numérique mondiale unique, tous deux sous leur contrôle, bien sûr.

Les sujets mentionnés ci-dessus sont les sujets dont nous devrions nous inquiéter et qui doivent être exposés afin que même ceux qui ont d’abord été victimes de leur terrorisme psychologique, mais qui commencent maintenant à poser des questions. Nous obtiendrons des réponses et de l’aide, si cela devient nécessaire.

Ne nous laissons pas distraire par des spectacles secondaires non pertinents, surtout quand il ne s’agit que d’une autre illusion, bien que soigneusement créée, sans aucune substance.

Et enfin, bien sûr, nous gagnerons cette guerre qui est menée contre toute l’humanité. Il n’y a aucun doute dans mon esprit que ceux qui essaient de détruire l’humanité et qui essaient de jouer à Dieu sont condamnés.

Mais il n’y a pas une seule personne ou une seule institution qui sera en mesure de mettre fin à elle seule à cela. Cette fois, nous tous les humains ensemble, allons devoir être la cavalerie. Et il n’y a que deux choses qui comptent vraiment. La première est que nous devons comprendre que ce ne sont pas les Russes contre les Américains, les Français contre les Allemands, les Noirs contre les Blancs, les femmes contre les hommes ou les vaccinés contre les non-vaccinés.

Au lieu de cela, c’est nous tous les humains contre les criminels monstrueux qui faisons tout ce qu’ils peuvent pour nous pousser les uns contre les autres afin que notre attention soit distraite de leurs mauvaises actions.

La deuxième chose qui compte, c’est, je crois, que nous sommes vraiment proches d’un point de basculement et que nous avons peut-être même déjà gagné la guerre. C’est pourquoi l’autre côté, M. Global, est maintenant hors de contrôle, se déchaînant littéralement.

Mais nous devons être clairs à ce sujet : l’autre partie ne peut pas et ne veut pas abandonner, car il y a deux créanciers qui exigent le paiement de leurs crimes contre l’humanité. L’un des deux créanciers, c’est nous et notre système judiciaire, qui, si cela s’avère nécessaire, sera le nôtre, c’est-à-dire la propre création du peuple en dehors de son système corrompu.

L’autre créancier est ce que j’appelle les puissances spirituelles supérieures. D’autres l’appellent Dieu. C’est probablement la même chose. Et ceux qui jouent à Dieu ne sont jamais restés impunis, si je me souviens bien.

Oh, et encore une chose, comme Colombo avait l’habitude de dire. Le week-end dernier, le professeur Sushiri Bakti et moi-même avons eu le privilège et l’honneur d’être invités à Athènes, berceau de la démocratie, par les travailleurs de la santé grecs qui ont refusé de participer à ces crimes contre l’humanité et ont perdu leur emploi en conséquence. Le professeur Bakhti a expliqué en détail à quel point la situation est grave qu’il s’agit d’une question de vie ou de mort et de changements graves dans notre personnalité, en particulier en ce qui concerne les effets des injections d’ARNm. J’ai résumé les conclusions du Corona Investigative Committee et comment les efforts juridiques d’un nombre croissant d’avocats combatifs sont maintenant, dans certaines parties du monde, de plus en plus fructueux.

J’ai terminé ma présentation avec les mêmes mots que j’utilise ici :

certaines personnes craquent sous la pression. Je ne le fais pas et je ne le ferai pas.

Et j’aimerais ajouter, la même chose est vraie pour les travailleurs de la santé grecs, et la même chose est vraie pour chacun d’entre vous.

Faites confiance à votre instinct. Regardez les faits et vous verrez à travers tout cela, à travers chaque masque.

Dr Reiner Fuellmich
Comité d’enquête sur les crimes internationaux

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1 Nuremberg-Covid : un crime contre l’humanité qui doit être jugé ! — Riposte Laique

2 Vers la mise en place d’un Nuremberg du Covid — Riposte Laique




La Mémoire des Peuples : pourquoi le Nouvel Ordre Mondial EFFACE les Nations

[Source : Guilhem Cayzac]

Quand une partie de toi-même c’est d’être Alsacien, Chti, Breton, Corse, et qu’on te l’enlève, c’est très facile de le remplacer par Autre Chose.

Cet Autre Chose ne se voit plus parce qu’on baigne dedans : culture mondiale, modes de vies, attitudes, pensée unique, standards obligatoires sur le commerce ou la santé (OMC, OMS). La diversité fait partie de la vie, pourtant chaque particularité est nivelée, standardisée, puis automatisée.

Si on a les bons yeux pour le voir, on se rend compte que sous le NOM Nouvel Ordre Mondial, cet Autre Chose… c’est la dictature mondiale.

[Voir aussi :
Manifeste pour un nouveau monde
Les villes sont le cancer de la Terre
Réenchanter le monde
Retour à la nature
L’âme d’une nation]




Pour relever la médecine, supprimer radicalement la bureaucratie qui l’étouffe

L’exemplaire sacrifice du Pr Humbert de Besançon

Par le Docteur Gérard Delépine

Une collègue m’envoie un résumé d’une conférence récente donnée par le pr Perronne :

Les facteurs de l’affaiblissement de la médecine française Ou Qu’est-ce qui fait que la médecine française a vu son niveau et la qualité des soins autant baisser ?

Extraits : 

Le Pr Christian Perronne aborda tout de suite le problème par cette phrase :

« On a coupé les crédits », on a imposé le numerus clausus. Depuis le Président Sarkozy, « l’hôpital est vu comme une entreprise qui doit rapporter ». Il y a eu la « fermeture massive de lits, la suppression d’emplois », le « non-remplacement des arrêts maladie et des congés maternité ». Et récemment, la « suspension des soignants non vaccinés ».

Pendant ce temps « on réalise des audits très onéreux par des cabinets privés ». Bill Gates, ce pauvre « philanthrope dans le besoin » aurait reçu un chèque important… On assiste à des « tentatives d’interdire les prescriptions hors AMM ». La médecine, (nous le savons, mais il nous est interdit de le dire) est sous l’influence de l’industrie pharmaceutique. « La prévention n’est plus enseignée », si ce n’est les vaccins auxquels très peu d’heures sont consacrées.

« Depuis 1920, Big Pharma, (et d’abord Rockefeller), a fait en sorte que toutes les facultés de médecine qui ne mettraient pas en avant la chimie soient fermées. Les dénigrements virent le jour, suivis de l’interdiction pour les autres approches ». Il y eut les « ordonnances Juppé en 1996, la loi Bachelot en 2009 ». Voilà ce qui fut débattu en ce 26 septembre 2022. (…)

[Voir aussi :
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910
Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio]

Le Pr Perronne parla de la « raréfaction des médecins de ville », de la difficulté à trouver un médecin référent. Il faut aussi penser aux déserts médicaux et se poser la question du pourquoi (…) Fini pour beaucoup, le temps où la médecine était une vocation et où le médecin ne comptait pas ses heures, se levait la nuit et continuait à aller en visite le week-end. On recherche la qualité de vie, et on s’engage dans d’autres activités tout en étant installés. Ceci pourrait expliquer la pénurie de médecins. »

Tout ceci est vrai, mais il faut affronter les énarques qui nous musellent pour effacer trente ans et plus de destruction systématique.

Et ma collègue de rajouter entre autres :

« L’informatique tend à remplacer le contact humain, ce qui plaît aux jeunes qui feront l’avenir ».

LA PÉNURIE DE MÉDECINS EST LIÉE À LA PERTE DE LA LIBERTÉ DE SOIGNER12

Sept à dix ans d’études pour être les robots obéissants, esclaves de bureaucrates, souvent énarques jaloux de notre rapport privilégié avec les patients, un monde encore d’humanité et de confiance malgré toutes les faillites. Un autre monde dont certains doivent cauchemarder la nuit pour vouloir à ce point le détruire.

Je ne crois pas que les « jeunes » soient si accrochés à l’informatique, car ils en ont vite assez de passer leur temps sur l’ordinateur pour tous les traçages qu’on leur impose. Interrogez nos jeunes infirmières ou médecins, la réponse sera claire. Beaucoup avaient et ont encore la « vocation » comme en témoignentces étudiants qui passent deux voire trois fois le concours d’entrée en médecine. Ils en rêvaient depuis leur enfance et ils vont parfois jusqu’en Roumanie ou en Belgique pour concrétiser leur rêve. En France, parfois pour une place juste après le dernier des reçus, on leur dit, « c’est sage-femme ou kinési ou rien ». La vocation…

Mais l’essentiel n’est pas là et pour compléter ce que dit C. Perronne, lorsqu’il qui cite les lois destructrices depuis 1996, le problème majeur du médecin est qu’il n’est plus libre d’exercer la médecine.

DES RÉFÉRENCES MÉDICALES OPPOSABLES AUX RÉFÉRENTIELS IMPOSENT ET AUX CONTRÔLES DES CAISSES D’ASSURANCE MALADIE, DE LA HAS ET DES ARS VOIRE DE L’IGAS3

Chaque jour le conseil de l’ordre convoque un nouveau médecin accusé d’avoir guéri des malades de covid19, en utilisant le traitement interdit par le gouvernement, et le menace de radiation ou de suspension4.Et récemment, des médecins prescrivant la vitamine C se retrouvent aussi à risque de procès ordinaux !

Le millefeuille des agences alourdit le carcan mis en place depuis les années 90 avec les « références médicales opposables » au début des années 1990. Le terme d’evidence-based medicine (EBM) « médecine fondée sur les preuves » apparait alors au Canada, concept repris de la médecine nazie. Ce concept a officiellement pour objectif de soigner « conformément aux données acquises de la science », grande mystification doublée de savantes manipulations des médecins et des citoyens.

Des agences5 se multiplieront comme des petits pains ayant pour mission d’établir et de diffuser des recommandations de pratiques cliniques (référentiels qui deviendront vite les « protocoles ») mises à jour théoriquement selon les avancées de la recherche scientifique, et de fait selon l’influence de plus en plus majeure des lobbies au service de Big Pharma qui dictent de plus en plus ouvertement les articles que les (jadis) grandes revues scientifiques peuvent publier67. Elles permettent aussi de caser d’anciens conseillers ministériels avec des salaires invraisemblablement supérieurs ceux de la fonction publique.8

Tout est résumé ici :

Dr Guillaume BARUCQ généraliste à Biarritz
@GuillaumeBarucq‬

Mon grand-père a fait sa médecine générale en 7 ans et ils faisaient tout à l’époque, même les accouchements. Aujourd’hui on voudrait nous imposer 10 ans d’études pour suivre des arbres décisionnels et déléguer toujours plus de tâches. 27 09 2022

UN EXEMPLE CARICATURAL DU RÔLE NOCIF DES ARS 9
LES MALHEURS DU PR HUMBERT ET DE SES PATIENTS

Laissez-moi vous conter l’histoire d’un professeur de dermatologie très renommé à l’étranger et en France, le Pr Humbert10 dont la carrière et la réputation ont été détruites par l’ARS locale qui a imposé les fameuses réunions de concertation multidisciplinaires dictant les traitements choisis par l’INCa et non par l’intérêt premier des patients.

Dès les années 2014 et 2015, le professeur s’inquiète des dérives thérapeutiques que subissent ses patients à la suite des fameuses réunions multidisciplinaires imposées par les plans cancer, et pense en parler à l’ARS locale pour améliorer les choses. Inconscience bienveillante du médecin qui se jette dans la gueule du loup en toute innocence.

En effet des patients qui jusque-là auraient bénéficié d’une chirurgie première de leur lésion tumorale à la suite de leur consultation avec le professeur, sont intégrés dans des essais thérapeutiques de chimiothérapie première, laissant à leur tumeur le loisir de grossir si la molécule prescrite s’avère inefficace. Et quand un cancer grossit…

Il s’en inquiète, car ces décisions sont prises en RCP 11 hors de son avis et de celui des patients de son service. Que peut-il faire ? Ces RCP sont imposées et toutes puissantes via l’INCa et ses prérogatives. 12

L’Institut National du Cancer (INCa)13 joue un rôle capital dans le traitement du cancer en France. Depuis sa création, on est passé en France d’une médecine individuelle, fruit de la relation médecin/patient fondé sur le colloque singulier à une médecine collective revendiquée par les instances ministérielles qui en ont décidé sans les patients ni les médecins. L’Inca, via les plans cancer successifs, impose de fait le monopole de la prise en charge des cancéreux, au détriment de la liberté « thérapeutique » et du meilleur choix de traitement par le médecin pour son patient.

Il viole ainsi l’indépendance du médecin inscrit dans le code de déontologie, tout en lui laissant sa responsabilité individuelle en cas de procès. Il dépossède de plus le malade de son propre choix parmi l’éventail des solutions, car que ce soit en ville ou en public, tous les acteurs du traitement du cancer, médecins cancérologues, chirurgiens, radiothérapeutes sont soumis aux diktats de cette agence nommée par le gouvernement, et obligés d’appliquer les ordres (appelés « recommandations ») de gestionnaires qui ne voient jamais de malades.

Nos diplômes ne valent plus rien depuis cette dictature de l’INCa dont l’application des référentiels et inclusions dans les essais, études pivots ou « protocoles » est validée par la HAS et contrôlés par les ARS. Ils veulent transformer les vrais médecins par des officiers de santé obéissants aux ordres en attendant de les remplacer par des robots à l’intelligence artificielle qui recrachera ce qu’on aura mis dans la machine. Les chatbots psychiatres sont déjà à l’œuvre.14

La dictature de l’INCa impose de fait l’application des référentiels et inclusions des patients dans les essais, études pivots ou « protocoles ». Cette obéissance est validée par la HAS et contrôlée par les ARS. En cas de « désobéissance » d’un médecin, s’il est installé en libéral, il perdra son autorisation de pratiquer la cancérologie, lui ôtant de fait son droit d’exercer et s’il est hospitalier, il sera exclu, via le chef de pôle, l’ARS locale et le centre national de gestion qui entérinera les desiderata de l’agence de santé.

Le médecin reconnu coupable « d’incapacité à travailler en collectivité » ne pourra plus, de fait, exercer son métier de cancérologue et seulement se réfugier dans l’accompagnement que d’autres que lui font aussi bien.

Que de soignants, de compétences et de savoir-faire perdus !15

Si l’ensemble de l’établissement où se tient la réunion de concertation multidisciplinaire ne respecte pas les « quotas » imposés par les décrets de 2007 sur l’application des lois sur l’exercice de la cancéro-hématologie des plans cancer, l’interdiction pour l’établissement de poursuivre la spécialité cancérologie tombera avec le refus d’accréditation.

Les quotas portent par exemple sur le nombre de prostatectomies pratiqué par un service de chirurgie urologique par an. Si le service a réalisé moins que le nombre annuel d’interventions exigées, il perdra son autorisation l’année suivante s’il n’a pas corrigé la situation. Cachez votre prostate en novembre ou décembre, car le directeur fait trop souvent pression sur les chirurgiens pour inciter à la chirurgie (plutôt que la radiothérapie ou l’expectative discutées autrefois) afin de conserver son autorisation d’ouverture de la structure ! Il y a des quotas pour le nombre de malades soignés par radiothérapie, ou le nombre de séances de chimiothérapie ambulatoire, etc.

La politique fusion-acquisition est largement favorisée par ces quotas aboutissant à la fermeture des petits établissements les plus humains et bien souvent les plus sûrs. L’argument du « plus on en fait, mieux on le fait » avancé pour justifier ces quotas n’est guère crédible, car ils sont calculés par établissement et non pas par praticien ; un gros centre où travaillent dix spécialistes pourra facilement dépasser le seuil minimal qu’un petit établissement ne pourra atteindre même si son unique spécialiste opère personnellement trois fois plus de patients que ses confrères du grand centre.

Et si vous l’expliquez et vous plaidez pour perte de chance de survie de vos malades, ce sera vous le vilain petit canard qui sera sermonné par l’ARS et si vous insistez, suspendu, ou interdit, par le conseil de l’Ordre au service du nouvel Ordre médical. Le cas du PR Humbert est explicite. Lisez et signez la pétition16 de ses patients scandalisés comme celle du Dr Djikeussi. C’est l’ARS et/ou l’Inca qui choisit ses alliés, affidés qui vont casser services et praticiens au gré de leurs choix.

Le professeur estime que tout a commencé en 2014-2015. « À ce moment-là, tout allait bien, j’étais chef de service depuis vingt-cinq ans, j’avais réussi à faire de Besançon le plus grand service de dermatologie de France. On avait créé un laboratoire universitaire et un centre de recherche reconnu internationalement. »

C’est à cette époque, dit-il, qu’il a eu connaissance de “plaintes” de malades. “Je me suis impliqué et j’ai effectivement constaté de graves dysfonctionnements dans certaines unités” du service. C’est là, dit-il, qu’aurait débuté “la conjuration” menée par “certains collègues”. Un “harcèlement” qui aurait pris plusieurs formes : “On m’a supprimé ma secrétaire, on a retiré les chaises installées en face de ma salle de consultation pour les patients. Je n’ai plus d’internes…”17

Une “cabale” qui l’a conduit à démissionner de son poste de chef de service… “C’était le plus grand service de dermatologie de France. C’est devenu le plus petit.”18

LE PROFESSEUR HUMBERT VICTIME DES QUOTAS ET DES CHOIX DES RCP AU SERVICE DU POUVOIR

Le professeur Humbert est compétent en médecine, mais pas assez en bureaucratie, et n’a pas initialement imaginé le rôle donné aux ARS de destruction de la bonne médecine humaine et individualisée comme il l’applique depuis toujours au grand bonheur de ses patients19. Il ne pouvait pas y croire !

Cette destruction programmée et en cours depuis les années 90 prend maintenant de grandes proportions et aboutira bientôt au niveau zéro de notre système de santé comme de trop nombreux malades en font l’expérience quotidienne20. De plus en plus de patients opérables avec de petites tumeurs du sein, de l’os, des muscles, de la peau, etc.. sont inclus d’emblée sans choix éclairé dans “le protocole” qui est de fait l’essai en cours dans lequel le robot-oncologue se doit d’inclure le plus possible de patients pour être considéré comme un “bon” médecin », avec nominations, etc. à la clef.

Combien de malades se voient-ils en ce moment proposer une « immunothérapie » toxique hors de prix et souvent inefficace, alors qu’une chirurgie bien faite aurait guéri le patient. Ceci se voit particulièrement dans les tumeurs bénignes qui ne nécessitent aucune chimiothérapie.

Pr Humbert : « J’étais un chef de service qui dérange » au CHRU de Besançon21

Publié le 27/03/2017 — Mis à jour le 17/04/2019

À la suite de la plainte pour diffamation du CHRU de Besançon annoncée vendredi 24 mars 2017 contre le Professeur Humbert qui avait relevé « des dysfonctionnements », ce dernier s’estime « victime de harcèlements » à son tour de la part du CHRU.

Parole contre parole

« Cela ne me dérange pas, car c’est déjà dans l’esprit de la direction de me stigmatiser, de me cibler et cela va permettre de donner les éléments de vérité ». Il ajoute que « Je n’ai tenu aucun propos diffamatoire, tout ce que j’ai indiqué se trouve confirmé. En revanche, les propos de madame la directrice et de monsieur le président, eux, sont contredits par les éléments dont j’ai pu avoir connaissance du rapport » en précisant « sur le bien-fondé de mes signalements et de mes alertes ».

Maître Kabbouri, avocate du Professeur Humbert mentionne qu’« une plainte a été déposée auprès des services de police de Besançon pour fait de harcèlements moraux contre le CHU et certains professionnels de santé en février 2016. » Elle ajoute que « mon client n’a jamais été entendu dans le cadre d’une procédure pour harcèlement par les services de police, ni d’internes, ni de médecins, ni de la direction, il n’y a jamais rien eu ».

LE PR HUMBERT ET LA CHAMBRE DISCIPLINAIRE DE L’ORDRE RÉGIONAL DES MÉDECINS

L’Agence Régionale de Santé avait saisi l’Ordre pour « infractions au code de déontologie médicale ». Le professeur explique que :

« cette procédure fait suite à des pressions que je subis depuis de nombreux mois. En tant que chef de service, à l’époque, un certain nombre de lettres de plaintes ont été reçues. J’avais constaté des dysfonctionnements et des anomalies. »

Une « focalisation sur moi »

Le Professeur raconte : 

« au lieu de me soutenir, de suivre avec moi les corrections nécessaires et de déclarer les effets indésirables graves à l’Agence de santé comme c’est le devoir de la direction », précise-t-il, « on s’est focalisé sur moi pour obtenir ma démission de chef de service. »

Il justifie que :

« J’étais un chef de service qui dérange. J’ai été président de la commission médicale d’établissement du CHU, je dois dire que c’est grâce à mes efforts que le CHU a aujourd’hui un budget en équilibre. Nous avons fait créer 600 postes pendant cette période-là. Et donc cela engendre des inimitiés auprès d’administrations. »

Philippe Humbert ajoute :

« il y a eu un retard dans les alertes, dans le signalement, dans la prise en compte de celles-ci, puisqu’on était focalisé sur une médiation, puis une enquête IGAS ». « Rien que de prononcer le nom de RCP invalide, c’était quelque chose qui aurait dû immédiatement alerter le réseau OncoIie (Oncolie réseau de cancérologie de Franche-Comté) qui est le fer de lance de réseau 3 C22. »

Harcèlement des internes « infondé »

Le Professeur estime que les accusations portées à son encontre sont « complètement infondées et opportunistes ». Il précise que ce sont « des textes dont je n’ai jamais eu connaissance jusqu’à présent »(…)

Il se défend :

« J’ai toujours été apprécié par les médecins qui viennent à mes côtés d’ailleurs, de Chine, du Maroc, d’Algérie, du Brésil. C’est moi qu’ils choisissent dans le service. Je n’ai jamais été maltraitant, cela fait partie de la cabale comme monsieur le recteur me l’avait indiqué, cela fait partie d’une conjuration de faire ce genre de propos ». (…)

Des témoignages de patients…

Pour donner suite à la plainte pour diffamation annoncée par Chantal Carroger, directrice du CHRU de Besançon, à l’encontre du Professeur Humbert, trois patients et une collègue ont envoyé à maCommune.info des mails de « soutien » à l’ancien chef du service dermatologie et témoignent.

Madame Alev, une patiente, se plaint de « dysfonctionnements » de l’hôpital et a souhaité dans un courrier du 7 juillet 2016 adressé à la directrice de l’hôpital que « le professeur puisse exercer son métier dans les meilleures conditions ».

Nadine, une autre patiente, qualifie le professeur d’« une gentillesse incroyable, à l’écoute de mon parcours difficile ».

Bernadette, quant à elle, reproche à la directrice du CHRU de « se contenter de transmettre mon témoignage de satisfaction au Professeur Humbert sans aborder les erreurs commises par les autres médecins concernés ».

Évelyne, une ancienne collègue du professeur, affirme qu’il « est proche de ses patients, constamment soucieux de leur bien-être ».

Le professeur Philippe Humbert, poursuivi pour diffamation par son employeur, l’hôpital bisontin, a été condamné à verser 8000 € d’amende, dont 4000 €, avec sursis23 pour avoir « porté atteinte à l’honneur et à la considération » du CHU Minjoz. Le professeur Humbert doit également vers 2 000 € de dommage et intérêt à l’hôpital.

Le praticien dénonçait des dysfonctionnements au sein du CHU Minjoz dans le livre Hôpitaux en détresse, patients en danger24. L’hôpital avait donc pris la décision de porter plainte contre lui pour diffamation.

L’audience du 27 septembre dernier avait été le théâtre de longs débats et avait été mise en délibéré jusqu’à ce jour. La condamnation du professeur Humbert est sévère puisqu’elle est allée au-delà des réquisitions du parquet qui requérait 10 000 € d’amende avec sursis.

Pour le professeur Humbert, cette condamnation est « le prix de la vérité et de la défense des malades ».

Condamnation dont il a fait appel et qui met en suspens son application. Le professeur est donc pour l’instant toujours autorisé à travailler.

Une autre procédure disciplinaire est également en cours à son égard. Le ministère de la Santé et celui chargé de la Recherche et des Technologies ont lancé une action pour donner suite au harcèlement prétendu de collaborateurs du professeur quand il était chef de service à l’hôpital de Besançon.

LE HARCÈLEMENT, TECHNIQUE DEVENUE CLASSIQUE À L’ HÔPITAL PUBLIC

Les enquêtes montrent que, dans tous les pays, le harcèlement moral et le risque suicidaire prédominent dans le secteur de la santé

Par Marie-France Hirigoyen, Christiane Kreitlow et Christelle Mazza25

Le suicide par défenestration du cardiologue Jean-Louis Mégnien le 17 décembre 2015 à l’Hôpital européen Georges-Pompidou a suscité une vague d’émotion dans le monde hospitalier et est venu rappeler la triste réalité du harcèlement moral.

Car, si la France a été un des premiers pays à bénéficier d’une loi très complète contre le harcèlement moral, cette problématique reste malheureusement peu prise en compte dans les entreprises privées et encore moins dans le secteur public. (…)

Pour rappel, le harcèlement moral consiste en une violence subtile, insidieuse, d’autant plus dangereuse qu’elle est quasi invisible. Il s’agit, de façon plus ou moins consciente, de disqualifier, d’isoler, de dégrader une personne et d’attaquer son travail. Il ne s’agit pas d’un conflit, mais d’une guerre d’usure pour soumettre ou détruire un individu.

Un comportement systématisé

En France, le harcèlement moral est défini par les textes comme :

« un ensemble d’agissements répétés qui ont pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail susceptible de porter atteinte aux droits du salarié et à sa dignité, d’altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel ». (…)

« Dans le harcèlement moral, il ne s’agit nullement d’une maladresse ou d’un accident, mais d’un comportement délibéré ou tout du moins systématisé. En ce qui concerne les harceleurs, ils sont rarement tout à fait conscients de la gravité de leurs agissements.

Dans cette forme de violence grave, les troubles ne résultent pas uniquement de l’agression elle-même, mais surtout de la situation d’impuissance dans laquelle les personnes ciblées sont placées et qui est aggravée par le silence de la hiérarchie. La négligence à ne pas traiter le harcèlement moral conduit les victimes à un sentiment de profonde injustice. L’ostracisme — ou mise en quarantaine — vient menacer les besoins sociaux fondamentaux de tout individu, le maintien de l’estime de soi, le sentiment de contrôle et le besoin de reconnaissance. »

Culture de la rentabilité

Les enquêtes montrent que, dans tous les pays, le harcèlement moral et le risque suicidaire prédominent dans le secteur de la santé. Le monde hospitalier public est passé d’une culture de service public à une culture de la rentabilité avec des indices de performance et un management par objectif, générant souvent des conflits éthiques entre le corps médical et la direction.

Tout est comptabilisé, y compris les productions scientifiques. La loi Hôpital, patients, santé et territoire du 21 juillet 2009 a considérablement modifié le système de gouvernance des hôpitaux, laissant le directeur tout-puissant dans la gestion du personnel et de l’établissement. Mais ce fonctionnement laisse de côté la part humaine de chacun qui ne peut pas toujours être objectivé.

« Un management trop axé sur des procédures standardisées ne régule pas les luttes d’influence et les abus de pouvoir. Or, quand tout le monde est sous pression, le risque est grand de vouloir s’affirmer aux dépens des autres et d’utiliser des procédés déloyaux comme le harcèlement moral. »

Le suicide du PR Mégnien26 n’a pas changé la donne, ni les articles qui ont suivi. Le drame du PR Humbert en est une nouvelle démonstration. Le système de santé français ne pourra pas remonter la pente sans supprimer aux agences de santé leurs pouvoirs dictatoriaux sur les médecins, ni supprimer les nombreux observatoires, agences multiples qui détournent les moyens tant humains que matériels des besoins des hôpitaux

IL faut soutenir le PR HUMBERT emblématique des médecins cliniciens privés de leurs possibilités de soigner chaque malade individuellement dans le respect du serment d’Hippocrate.





Le Tétralogue — Roman — Chapitre 5

[Voir :
Le Tétralogue — Roman — Prologue & Chapitre 1
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 2
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 3
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 4]

Par Joseph Stroberg

5 — Préparatifs

Attablés depuis quelques instants pour manger un premier repas, Tulvarn et Jiliern discutaient du programme de la journée. Ils allaient préparer soigneusement des sacs afin d’emporter ce qui serait le plus utile pour leur aventure vers l’inconnu. Jiliern prendrait ses principaux cristaux pour faire face à divers problèmes de santé et de blessures plus ou moins graves. Elle en prendrait également quelques autres, aux propriétés utiles, dont un capable de produire un faible rayonnement lumineux sous certaines conditions. Elle allait aussi confectionner deux répliques de l’abri portable de Tulvarn, avec son aide. Celui-ci rechercherait ensuite des plantes médicinales aux alentours. Il n’avait certes pas la connaissance des apothicaires, mais sa formation de moine lui avait permis d’acquérir de bonnes bases, assez pour survivre seul dans la nature. Pour finir, et peut-être seulement à partir du lendemain, Tulvarn enseignerait à Jiliern les rudiments de certaines techniques défensives et de survie, en cas de mauvaises rencontres.

Les préparatifs se déroulaient en silence. Le Vélien guidait maintenant sa collègue aventurière dans la confection du premier abri portable. Ils disposaient d’une pièce de tissu suffisamment solide et grande pour trois abris, mais n’en avaient pas besoin d’autant. La femme se montrait particulièrement adroite à tailler puis coudre le tissu de sorte à reproduire la forme voulue. Le fil utilisé provenait d’une plante fibreuse du voisinage et s’avérait assez résistant pour rendre l’assemblage capable de durer pendant plusieurs cycles. Les deux comparses espéraient qu’ils parviendraient à trouver la relique bien avant de voir l’abri tomber en lambeaux. Mais ils n’étaient pas devins et savaient que l’avenir pouvait réserver bien des surprises.

— Puis-je entrer ? demanda une voix masculine qui les fit sursauter.

— Hein ? Fut la seule chose que Tulvarn et Jiliern trouvèrent à dire avant de se retourner pour voir qui les avait ainsi sollicités et leur avait apporté une rapide première surprise.

— Puis-je entrer ? répéta l’inconnu, un Vélien d’apparence frustre, vêtu d’une toge verdâtre salie par de la poussière terreuse. Il paraissait assez âgé pour être leur père, ou même leur grand-père.

— Qui êtes-vous ? Et que voulez-vous ? demanda Jiliern, encore sous le coup de la surprise.

— Je me nomme Déviorn. Je suis l’érudit d’un village que vous ne connaissez probablement pas, répondit l’étranger en restant sur le seuil de la porte. Puis-je entrer ?

— Euh, oui, entrez ! répondit quelque peu timidement Jiliern en pensant qu’ils ne risquaient pas grand-chose de la part d’un tel érudit. Vous n’avez pas répondu à ma question. Que voulez-vous ? Pourquoi venir ici ?

— Chère enfant. Ça fait deux questions maintenant. Ou plutôt trois, si l’on compte celle à laquelle j’ai déjà répondu.

— Oui, bien sûr. Mais ne détournez pas le propos. Veuillez répondre, s’il vous plaît, pour que je sache si j’ai bien fait de vous laisser entrer.

— Merci. Je pense que vous ne le regretterez pas.

— Je l’espère. Nous vous écoutons.

— Bien. Dans notre village existe ce que certains nommeraient probablement un esprit simplet, un Vélien d’âge moyen ne disposant pas de toutes ses facultés intellectuelles, pourrait-on dire. Cependant, nous lui accordons beaucoup de crédit et d’attention, car il semble être un porte-parole du Grand Satchan lui-même.

— Oh ! Mais encore ? En quoi cela se traduirait-il ?

— Patience, mon enfant. J’y arrive. Nierl a le don de divination. Il parle peu, mais chaque fois qu’il ouvre la bouche, c’est pour proférer un avertissement ou un conseil à destination d’une personne en particulier, ou parfois d’un groupe. Et par expérience, les habitants du village ont pris l’habitude d’en tenir compte.

— Devrions-nous faire confiance à un devin dont nous n’avions jamais entendu parler ?

— Rien ne vous y oblige. Je suis juste là pour vous délivrer le message. Ce que vous en ferez ensuite ne dépend que de vous. Voici donc : Tulvarn de la retraite d’Ynil, sur ton chemin, n’oublie pas le chasseur et l’assassin.

— C’est tout ? interrogea Tulvarn. Ne pas oublier le chasseur et l’assassin ? Qu’est-ce que ça peut bien signifier ? Quel chasseur ? Quel assassin ? Sont-ils là pour me combattre ?

— Je n’en sais rien. Tout ce que je peux vous dire est que vous m’avez donné du fil à retordre pour vous trouver. J’ignorais au départ de quel temple pouvait être cette retraite. Et je vous connaissais encore moins.

— Mais je ne suis même plus au temple ! Comment m’avez-vous trouvé ici ?

— Ça, c’est le plus mystérieux. J’étais en route vers le temple, à moins d’une heure de marche, lorsque j’ai eu une vision. Je m’y voyais faire demi-tour, et me diriger droit vers cette demeure. C’est donc ce que j’ai fait. Et me voici !

— Plutôt étrange ! remarqua Jiliern.

— Ça pourrait me paraître de même si je n’avais pas connu le temple et certains miracles qui y eurent lieu. Eh bien, merci, érudit Déviorn, même si j’ignore quoi faire de votre message.

— Gardez-le seulement en mémoire pour l’instant. Il contient d’ailleurs le conseil de ne pas oublier.

— Ne pas oublier quelqu’un que je ne connais pas encore. Ça risque d’être difficile. Mais bon… Je verrai bien. Merci encore. Rien ne vous obligeait de parcourir tout ce chemin pour me trouver.

— Effectivement. Mais les érudits ont un principe auquel ils se tiennent : ne jamais rompre la chaîne de la connaissance. Et vous faites manifestement partie d’une telle chaîne, moine.

— Si vous le dites.

— Ce n’est pas moi qui le dis. Vous êtes au moins un maillon final de la chaîne représentée par la divination récente de Nierl. Pour le reste, vous aurez certainement le temps de vous en rendre compte. Voilà ! Ma partie est achevée. La vôtre commence.

— Merci et adieu, érudit, répondirent Jiliern et Tulvarn alors que Déviorn rebroussait déjà chemin pour se fondre rapidement dans le paysage.

— Que pensez-vous de ça ? demanda alors la Vélienne.

— Je ne sais pas. Franchement, je ne sais pas quoi en penser. C’est pour le moins assez troublant. Mais qu’est-ce que ça peut donc signifier ? C’est un message pourtant a priori limpide. On en comprend facilement tous les mots. Mais à quelle situation, à quelles personnes fait-il exactement référence ? Je n’en sais rien ! Est-ce une mise en garde contre des ennemis redoutables ? Tout ce que je peux faire est de redoubler de prudence et d’éviter si possible mes maladresses habituelles. Elles nous mettraient alors plus facilement en danger.

— Je ne vois pas non plus ce que nous pourrions faire d’autre. Revenons plutôt à nos préparatifs !

— Oui, c’est une bonne idée.

Tulvarn et Jiliern poursuivirent donc la préparation de leur voyage jusque tard dans la journée. La Vélienne avait sélectionné tous les cristaux les plus utiles. Et à eux deux, ils avaient enterré les autres aux alentours de la maison, dans l’éventualité où un voleur s’approcherait des lieux après leur départ. Ils n’attendaient pas Gnomil avant un jour ou deux. Mais s’il tardait trop, ils finiraient par partir sans lui, espérant alors qu’il n’en profiterait pas pour achever ce qu’il n’avait pu réaliser lors de sa première visite. L’objet qu’il avait laissé n’avait peut-être aucune valeur. Ce pouvait être une babiole tout juste bonne à tromper des naïfs tels qu’un moine et une cristallière trop confiants.

(Suite : Le Tétralogue — Roman — Chapitre 6)




Dans l’ombre, la firme McKinsey était au cœur de la gestion de la pandémie au Québec

[Source : ici.radio-canada.ca]

Le gouvernement Legault n’a pas tout dit du rôle joué par les consultants, payés 35 000 $ par jour.

MM. Legault, Dubé et Arruda marchant dans un corridor de l'Assemblée nationale.
Le premier ministre, François Legault,
le ministre de la Santé et des Services sociaux, Christian Dubé,
et le directeur national de santé publique, Horacio Arruda,
juste avant une conférence de presse sur la COVID-19 durant la pandémie.
PHOTO : RADIO-CANADA / SYLVAIN ROY ROUSSEL
Thomas Gerbet

Par Thomas Gerbet

Le 14 décembre 2020, alors que les tout premiers vaccins viennent d’être injectés aux Québécois, le directeur de la campagne de vaccination Daniel Paré reçoit un courriel d’une associée du cabinet-conseil McKinsey : « Bravo pour cette première journée qui se déroule bien. Voici mes notes sur les suivis (action, responsable, délais). N’hésitez pas à faire des changements. »

En coulisses, McKinsey a joué un rôle central dans le plan de match de la campagne de vaccination au Québec, en s’appuyant sur son expérience avec d’autres États, révèle une enquête de Radio-Canada. Mais le cabinet-conseil américain a fait plus que ça.

En mai 2020, le gouvernement Legault avait rejeté une demande des partis d’opposition pour rendre publique la transmission de tous les avis et documents produits par la firme.

Radio-Canada a pu reconstituer plus précisément le rôle joué par McKinsey par l’intermédiaire de plus de 200 courriels, des contrats et des documents de travail. Certains de ces éléments ont été obtenus de sources, d’autres par des demandes d’accès à l’information.

La firme américaine est un cabinet-conseil ayant 130 bureaux
dans 65 pays et regroupant 30 000 consultants.
PHOTO : MCKINSEY

Les documents confidentiels que nous avons obtenus démontrent que les consultants privés ont contribué à des décisions cruciales durant la pandémie en donnant des conseils au gouvernement Legault, notamment pour la stratégie de communication. Ils ont élaboré des scénarios d’achats d’équipements de protection et travaillé à la stratégie de tests PCR. Ils ont aussi proposé des solutions pour remédier à la pénurie de personnel en CHSLD.

La firme privée a coordonné les équipes décisionnelles et convoqué les hauts fonctionnaires qu’elle voulait, en rencontre de groupe comme en rencontre individuelle. On voit même un associé de McKinsey tutoyer le secrétaire général du gouvernement, Yves Ouellet, le plus haut fonctionnaire de l’État québécois.

35 000 $ par jour

Les conseils de McKinsey ont été facturés au Québec 215 000 $ par semaine, plus taxes, soit 35 000 $ par jour, pour la période d’avril à juin 2020. En décembre, une autre facture pour une semaine de travail donne un total de 247 196 $, soit toujours 35 000 $ quotidiens.

Au total, le gouvernement a déboursé 1,7 million de dollars, officiellement pour que McKinsey l’aide à préparer son plan de déconfinement, et 4,9 millions pour l’appuyer dans le plan de relance de l’économie.

Le cabinet-conseil a piloté des comités, organisé des rencontres stratégiques, distribué des rôles sur des groupes de travail… Il a aussi eu accès à des informations confidentielles, montrent les courriels et documents obtenus.

À ces documents s’ajoutent des entretiens avec trois personnes en santé publique qui ont eu à travailler avec la firme durant la pandémie. Nous avons aussi pu compter sur la collaboration de deux personnes qui ont activement préparé la vaccination au Québec. Toutes sont soumises à des ententes de confidentialité avec leur employeur. C’est pourquoi nous avons accepté de protéger leur identité.

Le recours à McKinsey suscite le malaise d’un syndicat de fonctionnaires qui accuse le gouvernement d’avoir tourné le dos à l’expertise interne. La présence des conseillers a aussi irrité des membres de la santé publique qui ont collaboré avec la firme. Le gouvernement, de même que certains experts en gestion consultés, pense toutefois que le caractère exceptionnel de la crise le justifiait.

Les 10 000 préposés aux bénéficiaires, une idée inspirée par McKinsey?

La firme de consultants a travaillé étroitement avec le gouvernement au dossier des ressources humaines en santé. Le 26 mai 2020, McKinsey envoie un document pour discussion intitulé Leviers pour faire face aux enjeux RH en CHSLD. L’objectif est de trouver des solutions pour remédier à la pénurie de personnel.

Parmi les idées évoquées, on trouve celle de créer [des] programmes de formation accélérés et sans frais […] pour réduire le temps de formation avant le déploiement en CHSLD. Le lendemain, le 27 mai, Legault annonce qu’il veut recruter 10 000 préposés aux bénéficiaires en trois mois.

Nous avons recensé la présence de 10 consultants différents de McKinsey ayant collaboré étroitement avec les hauts fonctionnaires québécois, en 2020.

Qui est McKinsey?

La firme américaine est un cabinet-conseil ayant 130 bureaux dans 65 pays et regroupant 30 000 consultants.

Durant la pandémie, elle avait pour clients des gouvernements (États-Unis, France, Allemagne, Royaume-Uni, Mexique, Ontario…), des entreprises de tous les secteurs économiques, notamment pharmaceutiques, et des organisations internationales (Organisation mondiale de la santé, Fondation Bill et Melinda Gates…).

Selon un rapport du Sénat français, McKinsey avait Pfizer comme client durant la pandémie. Au début de la campagne de vaccination, Pfizer est le seul fournisseur de vaccin autorisé au Canada.

Liste de clients de McKinsey obtenue par une commission d’enquête du Sénat, en France.
PHOTO : SÉNAT DE LA FRANCE

[Voir aussi :
articles et vidéos sur McKinsey]

Le 25 novembre, McKinsey écrit à Jérôme Gagnon, un sous-ministre adjoint qui vient de se faire confier, en interne, la responsabilité de la campagne de vaccination. La consultante écrit : Les travaux de planification sont entamés sur plusieurs chantiers de travail […] Nous n’avons pas d’avance, même un peu de retard si nous souhaitons être prêts à une vaccination massive et si nous ne passons pas par notre processus de distribution habituel.

McKinsey lui propose de renforcer la structure de gouvernance et détaille toute la marche à suivre pour lancer la campagne de vaccination, en s’appuyant sur un plan de match autour de sept dimensions clés, un concept que l’on trouve dans plusieurs écrits de McKinsey.

Le lendemain, le 26 novembre, François Legault présente au public Jérôme Gagnon, son général responsable de la vaccination.

Dans un mémorandum de fin de mandat, McKinsey explique avoir aidé le gouvernement à bonifier sa stratégie et son plan de vaccination à la lumière des meilleures pratiques dans le domaine.

La firme ajoute avoir fait l’évaluation du niveau d’avancement de la préparation à la vaccination et avoir fait l’identification des décisions en suspens concernant la planification. Elle a aussi procédé à la révision de la structure/cadence de gouvernance proposée.

Dans ce contexte, notre mandat consistait à baliser le plan créé par le gouvernement, sans toutefois le rédiger, précise la firme. Cette responsabilité était celle des autorités compétentes.

Des recommandations concernant Pfizer

Des courriels montrent des conseils formulés par la firme au sujet de Pfizer. En novembre, McKinsey recommande de passer une entente avec le manufacturier Pfizer au sujet des lieux de distribution.

Dans un courriel de décembre, une consultante encourage le nouveau responsable de la vaccination, Daniel Paré, à discuter avec Pfizer des enjeux de transport. La firme explique au directeur de la campagne de vaccination le fonctionnement de l’acheminement des fioles réfrigérées afin de les administrer en CHSLD.

La campagne de vaccination a débuté le 14 décembre 2020, au Québec,
avec uniquement des vaccins Pfizer.
PHOTO : RADIO-CANADA / HADI HASSIN

À la mi-décembre, la consultante propose à Horacio Arruda et à Richard Massé, le bras droit du directeur national de santé publique, de faire une recommandation au ministre sur l’importance d’avoir une discussion de fond avec Pfizer quant au besoin de garder la 2e dose.

Québec accepte de ne pas connaître les autres clients de McKinsey

Comme d’autres cabinets-conseils, McKinsey travaille simultanément pour plusieurs clients publics et privés dont les intérêts peuvent être divergents. La firme le reconnaît elle-même dans son entente avec Québec.

Il est arrivé que McKinsey représente au même moment un fournisseur de médicament et l’autorité publique qui autorise ce médicament, comme l’a révélé le New York Times.

Le contrat du 2 avril avec Québec indique que le prestataire de services [la firme] s’engage à éviter toute situation qui mettrait en conflit son intérêt personnel et l’intérêt du ministre [ici, le premier ministre].

Parallèlement, la firme a obtenu un avenant (modification) au contrat, le 6 avril, qui indique, notamment, qu’elle ne divulgue pas au gouvernement du Québec qui sont ses autres clients.

« McKinsey ne peut ni informer le Client ni le consulter sur le fait que McKinsey effectue des missions pour des concurrents du Client ou d’autres parties. »

Une citation de  Avenant au contrat entre McKinsey et le gouvernement, le 6 avril 2020

Selon le Conseil exécutif, l’entente balisait bien le risque de conflit d’intérêts. En cas de défaut, les contrats prévoient les mesures requises pour remédier à la situation ou leur résiliation, dit la porte-parole du MCE, Marie-Ève Fillion.

La sous-traitance de la gestion de crise à McKinsey fait polémique en France

Le rôle de McKinsey a été l’objet d’une vive polémique lors des dernières élections présidentielles françaises, à la suite d’une Commission d’enquête relative à l’influence des cabinets de conseil sur les politiques publiques, tenue par le Sénat.

La campagne électorale d’Emmanuel Macron a été ternie par la controverse
sur le rôle du cabinet-conseil durant la pandémie.
PHOTO : REUTERS / SIPHIWE SIBEKO

Après quatre mois d’enquête, les sénateurs ont conclu que des pans entiers de la gestion de crise [avaient été] sous-traités à des cabinets de conseil et qu’en France, McKinsey a été la clef de voûte de la campagne vaccinale.

Le rapport mentionne que McKinsey organise la journée des agents de santé publique. Selon les sénateurs français, la pratique est en réalité courante dans le secteur du conseil : les consultants peuvent travailler en équipe intégrée chez leurs clients et sont alors quasiment assimilés à des agents publics.

« L’intervention des consultants doit rester discrète : lors de la crise sanitaire, McKinsey indique qu’il restera behind the scene, en accord avec le ministère. Le cabinet n’utilise pas son propre logo pour rédiger ses livrables, mais celui de l’administration. »

Une citation de  Extrait du rapport de la commission d’enquête du Sénat français

Il s’est produit la même chose au Québec. Nous avons mis la main sur plusieurs documents de travail produits par McKinsey qui portaient le logo du gouvernement du Québec et l’indication « Votre gouvernement ».

Dans leur rapport, les sénateurs français proposent d’interdire aux consultants d’utiliser les logos de l’administration publique et de leur imposer une déclaration d’intérêt.

Le ministère de la Santé ne divulgue pas sa collaboration avec McKinsey

Le 11 juillet 2022, la demande d’accès à l’information suivante a été adressée au ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec (MSSS) : J’aimerais savoir quelles recommandations provenant de la firme McKinsey vous avez reçues.

Réponse du MSSS : Nos recherches dans le cadre du traitement de votre requête n’ont permis de repérer aucun document détenu par le ministère sur ce sujet.

Pourtant, nous avons comptabilisé au moins quatre documents de travail reçus par le ministère en provenance de McKinsey, sans compter les nombreux courriels.

Dans un message du 29 avril 2020, l’administratrice d’État au ministère de la Santé [aujourd’hui sous-ministre] Dominique Savoie demande au ministère du Conseil exécutif (MCE), le ministère du premier ministre, de pouvoir bénéficier du soutien de McKinsey.

« Dans le cadre de nos travaux de planification des besoins en ÉPI à long terme, j’aimerais que la firme McKinsey nous soutienne pour établir des scénarios qui nous permettraient de viser un bon niveau de réserves et une modulation pour les deux prochaines années dans nos achats et stocks pour nos équipements prioritaires (masques et blouses). »

Une citation de  Dominique Savoie, alors administratrice d’État à la gestion des ressources gouvernementales en santé, le 29 avril 2020

L’affaire est rapidement entendue, puisque le 4 mai, on voit apparaître un comité formé de McKinsey et Dominique Savoie afin d’élaborer des scénarios pour définir le bon niveau d’achats et d’inventaires pour les deux prochaines années.

Le MSSS confirme avoir participé à des rencontres en présence de la firme McKinsey, mais n’a pas voulu en dire plus. Il nous a renvoyés vers le MCE.

L’INSPQ ignorait que ses cadres avaient collaboré avec McKinsey

L’Institut national de santé publique du Québec nous a affirmé à deux reprises ne pas avoir eu de collaboration avec McKinsey. Lorsque nous avons montré des preuves dans des courriels, l’INSPQ a finalement confirmé que sa vice-présidente aux Affaires scientifiques, Jocelyne Sauvé, a bien participé à des rencontres avec la firme, mais l’Institut affirme que rien n’en est ressorti.

Officiellement, le mandat de McKinsey était de mettre en place une méthodologie pour opérationnaliser les décisions entourant la levée des mesures de ralentissement de la pandémie COVID-19, dit le MCE. Elle s’impliquait également dans l’élaboration et la validation de scénarios de déconfinement des différents secteurs d’activités économiques et sociales.

La firme privée a eu accès à des informations confidentielles du gouvernement

Quand les consultants commencent un de leurs mandats, ils demandent accès à une quantité d’informations. On le voit dans un courriel du 23 novembre 2020, adressé à des sous-ministres adjoints. Pour entreprendre son travail afin de bonifier le plan de préparation à la vaccination, McKinsey demande accès au processus de commandes, à la logistique, au transport et à l’entreposage.

C’est bien indiqué dans l’avenant (modification) au contrat qui lie Québec et la firme. On y lit que le gouvernement s’engage à mettre à la disposition de McKinsey des données, informations et personnel nécessaires à l’exécution des tâches ou responsabilités qui lui seraient, le cas échéant, dévolues.

Il est aussi écrit que Québec partagera des informations confidentielles avec la firme. Par exemple, les ressources humaines du ministère de la Santé ont dévoilé aux consultants « les enjeux et les défis spécifiques ayant mené au manque de main-d’œuvre », partageant ainsi des informations sur la vulnérabilité du gouvernement.

Plusieurs courriels indiquent la présence de spécialistes des données et de l’intelligence artificielle de McKinsey dans les échanges avec le gouvernement. À quelles données la firme a-t-elle eu accès? Elle ne peut pas répondre, car c’est confidentiel.

Le contrat indique toutefois que la firme s’est engagée à restreindre l’accès à l’information gouvernementale aux seules personnes qui doivent y avoir accès aux fins de l’exécution du présent contrat.

Pourquoi faire appel à McKinsey?

Le jour où le ministère du Conseil exécutif, celui du premier ministre, signe un contrat d’urgence, de gré à gré (donc sans appel d’offres), avec McKinsey, la situation est très difficile au Québec sur le front de la COVID-19. En ce 2 avril 2020, la province ne dispose que de deux millions de masques d’intervention, ce qui est insuffisant pour tenir quatre jours.

Pour s’approvisionner, ça joue dur. Des pays plus fortunés rachètent les cargaisons de masques sur le tarmac des aéroports chinois et le Canada en est victime. Le premier ministre Legault avoue même que des représentants de son gouvernement se promènent avec des valises de billets pour acheter de l’équipement.Début du widget YouTube. Passer le widget?

Tout le monde était débordé, dans un état de stress, raconte une source en santé publique pour expliquer le recours à McKinsey. Il y avait tellement de choses à organiser, ajoute une autre source à la santé publique. Il fallait tout faire très vite.

Invité à réagir à notre enquête, le ministère du Conseil exécutif justifie le recours à McKinsey par la situation exceptionnelle de la COVID-19.

« Dans l’objectif d’assurer la meilleure gestion possible de cette crise et d’en limiter au maximum les impacts sur la population et les entreprises, le gouvernement du Québec avait besoin d’un regard externe et de l’expertise précise et chevronnée de toute une équipe de chez McKinsey. »

Une citation de  Marie-Ève Fillion, porte-parole du ministère du Conseil exécutif

Le ministère du premier ministre ajoute que McKinsey disposait de ces compétences dans son équipe.

En avril dernier, le ministre Christian Dubé a vanté l’aide inestimable apportée par McKinsey, sans donner de détails.

Lorsque Radio-Canada avait interrogé McKinsey en juin 2022, la firme avait répondu : Nous sommes fiers d’avoir travaillé avec les fonctionnaires du Québec en leur fournissant des informations essentielles, basées sur les faits, dont ils avaient besoin (à ce moment) pour prendre les meilleures décisions sur des questions cruciales de santé publique, dans l’intérêt de l’ensemble des Québécois.

Dans le cadre de la présente enquête, le cabinet-conseil a refusé de faire plus de commentaires. Nous devons respecter nos ententes de confidentialité, explique l’associé senior de McKinsey à Montréal, Éric Gaudet.

Malaise dans la fonction publique

Une source en santé publique reconnaît qu’il manquait de ressources humaines pour agir sur le front de la vaccination et que McKinsey a comblé ce manque. Mais il y a du monde qui était irrité par sa présenceil y avait de la grogne, ajoute-t-elle.

C’est la déresponsabilisation de l’État, croit une deuxième source. Je ne comprends pas pourquoi ils étaient là.

« Ce n’étaient pas des consultants en santé publique, mais des gens en organisation. »

Une citation de  Une troisième source à la santé publique, qui a collaboré avec McKinsey.

Ils arrivaient avec des propositions et nous consultaient, raconte cette source. Les experts étaient consultés, mais ce sont eux qui organisaient. Ils nous testaient. Elle ajoute : C’est comme si on était convoqués, on avait des documents à discuter.

La présidente par intérim du Syndicat des professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) Lydia Martel est estomaquée par nos révélations. On en a des personnes qui ont une grande expertise en gestion, y compris la gestion de crise, dit-elle.

Je m’explique mal pourquoi les compétences internes n’ont pas été appelées à jouer ce rôle de coordination, de gestion de haut niveau, ajoute-t-elle.

« [Au gouvernement], on est persuadé que nous, on est des pas bons qui ne peuvent pas trouver de bonnes formules et de bonnes façons de faire à appliquer. »

Une citation de  Lydia Martel, présidente par intérim du SPGQ

La présidente du syndicat ne voit pas de mal à ce qu’une firme externe apporte des modèles qui ont fait leurs preuves ailleurs, mais elle pense que ce recours aux cabinets-conseils doit se limiter à des compétences spécifiques que nous n’avons pas en interne.

En juin 2020, le gouvernement avait déjà expliqué à Radio-Canada que les services de McKinsey étaient complémentaires à l’expertise des employés de l’État et s’inspiraient des expériences d’autres pays.

Le cabinet-conseil avait quant à lui affirmé que son travail sur la COVID-19 visait à soutenir, et non à remplacer, la prise de décision des autorités gouvernementales et que McKinsey possède une expertise et une expérience pertinentes dans la gestion de questions de santé publique.

Des experts partagés

Selon l’avocat Patric Besner, vice-président de l’Institut sur la gouvernance d’organisations privées et publiques (IGOPP), une aide externe était peut-être nécessaire pour coordonner le travail de plusieurs ministères sur une même gestion de crise. Je ne vois pas de problématique dans le principe, devant l’ampleur de la situation et voyant que les ressources étaient très limitées à l’interne.

Le professeur titulaire à l’École des sciences de la gestion de l’UQAM Benoit Duguay est quant à lui renversé par les réalisations de McKinsey durant son mandat. Ce n’est pas le genre de rôle que j’ai l’habitude de voir dans un cabinet-conseil.

« Il faut faire une distinction entre l’interne et l’externe dans un gouvernement. Comment se fait-il qu’un cabinet-conseil soit dans une relation aussi proche? »

Une citation de  Benoit Duguay, professeur titulaire à l’École des sciences de la gestion de l’UQAM

L’expert admet que l’appareil gouvernemental est très lourd : Peut-être que c’était pour aller plus vite, parce qu’on était dépassés par les événements, parce que la pandémie était horrible et c’était peut-être la bonne chose à faire.

En revanche, Benoit Duguay reproche au gouvernement d’avoir manqué de transparence quant au rôle joué par McKinsey : S’ils sont venus nous aider et si on leur doit une fière chandelle, alors dites-nous ce qu’ils ont fait, qu’on aille les remercier.

« Si on a besoin de conseillers pour coordonner l’action de différents ministères, au secours. Je ne sais pas si nous avons cette expertise-là, mais nous devrions l’avoir. Nous devrions être capables de gérer une crise [sans l’aide de consultants]. »

Une citation de  Benoit Duguay, professeur titulaire à l’École des sciences de la gestion de l’UQAM

Une médecin parmi les associés de McKinsey

Dans un courriel du 23 novembre 2020, on voit apparaître une nouvelle associée de McKinsey, dont le profil la distingue de ses collègues. Il s’agit d’une médecin urgentologue québécoise associée à un bureau de McKinsey aux États-Unis.

Le 10 décembre, un des courriels de McKinsey indique qu’au même moment, cette consultante de la firme travaille avec plusieurs États dans leur stratégie de vaccination.

Des conseils en communication

Le Conseil exécutif a affirmé à Radio-Canada que McKinsey n’a eu aucune responsabilité pour les communications gouvernementales. Pourtant, dans les courriels, on voit que la firme est présente dans le groupe de travail qui prépare la « stratégie de communication ».

Dans un message du 22 avril 2020, une consultante présente un plan travaillé avec la santé publique et le MCE dont l’objectif est de maintenir la confiance envers le gouvernement et la santé publique et de maintenir le suivi des règles par la population.

Il est question de l’importance des points de presse et de la complicité [entre] le Dr Arruda, M. Legault et Mme McCann.

Le plan fait aussi référence au besoin d’une communication spécifique au sujet des enfants et de la reprise scolaire et des garderies. Le courriel suggère d’impliquer d’autres acteurs influents de la santé, donnant l’exemple de pédiatres, pour dire que la reprise scolaire est envisageable.

Plus tard le même jour, François Legault annonce aux Québécois qu’un plan sera bientôt présenté pour un retour graduel en classe.

Dans un document de travail fourni par la firme au gouvernement, on lit aussi que McKinsey a soutenu [le] narratif des premières communications entourant la réouverture des différents secteurs (exemple : critère de santé publique comme étant primordial).

Le 14 mai 2020, McKinsey planifie une rencontre stratégique avec différents cadres de la santé publique, dont Horacio Arruda. En prévision, elle leur remet un document sur l’utilisation du couvre-visage dans le monde (pays qui l’obligent ou pas), toujours flanqué du logo du gouvernement du Québec.

La consultante de la firme annonce dans le courriel les trois questions à discuter lors de la rencontre. Parmi celles-ci, elle leur demande : Est-ce que le gouvernement devrait fournir un soutien aux citoyens pour faciliter l’accès à des couvre-visages? (par exemple : distribution à l’entrée des transports en commun…)

Le lendemain, le 15 mai, François Legault annonce le don d’un million de masques à Montréal et de l’argent pour les sociétés de transport afin qu’elles distribuent des masques.

McKinsey a contribué à la stratégie de déploiement des tests PCR

Le gouvernement avait besoin d’aide pour déterminer la capacité du système de santé à tester la population. McKinsey a estimé le nombre de tests requis et recommandé d’acheter des machines supplémentaires. La firme affirme aussi avoir accompli le développement des premiers jalons de la stratégie de testing, dans un document remis au gouvernement.

McKinsey a participé à l’élaboration de la stratégie de tests PCR et estimé les quantités requises.
PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS

Dans un courriel du 4 mai signé par McKinsey, on peut lire : Testing – Élaborer la stratégie de testing  (priorisation des tests entre différents groupes de population) Richard Massé en collaboration avec McKinsey – EN COURS.

Et un autre : Estimer la quantité de tests requise pour la stratégie de testing entérinée (McKinsey en collaboration avec Jocelyne Sauvé [INSPQ] et équipe de modélisation).

La firme produit aussi un rapport de tout ce qui se fait ailleurs dans le monde en matière de tests. Elle remet ce document le 11 mai.

Le 13 mai, François Legault utilise ces informations en conférence de presse pour montrer que le Québec fait mieux que des pays comme l’Allemagne ou les États-Unis en termes de test par million d’habitants.

Notre enquête démontre qu’entre avril et juin 2020, McKinsey a aussi collaboré avec d’autres ministères et organismes, comme le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, le ministère de la Sécurité publique, la CNESST et le Secrétariat du Québec aux relations canadiennes.

Les courriels consultés ne montrent pas de liens directs avec le ministère de l’Éducation. Toutefois, McKinsey écrit dans un document de travail avoir mis en lumière des enjeux relatifs à la réouverture des CPE et des écoles primaires (par exemple : mesures de protection et ratios étudiants-professeurs).

Un associé de McKinsey dans une réunion de la ministre de la Culture avec les musées

Le 29 avril 2020, la ministre de la Culture Nathalie Roy organise une rencontre téléphonique avec 14 représentants de musées et galeries d’art du Québec à propos de la relance de ce secteur. Son agenda indique que Julien Truchon-Poliardengagement manager chez McKinsey, est aussi présent sur la ligne, en compagnie d’une représentante de la santé publique.

La firme McKinsey a été mandatée par le gouvernement du Québec pour apporter des conseils de gestion pendant la crise sanitaire, explique la direction des communications du ministère. M. Truchon-Poliard est la ressource de la firme qui a été affectée au ministère de la Culture et des Communications. C’est pourquoi il a été invité à la rencontre.

McKinsey a contribué au plan de relance économique du Québec

En juillet 2021, le ministère de l’Économie et de l’Innovation a conclu un contrat de gré à gré de 4,9 M$ avec McKinsey pour l’aider à planifier la relance économique du Québec et à choisir les chantiers à prioriser.

Dans le décret spécial, on peut lire que des services-conseils spécialisés, dans le contexte de la pandémie mondiale de la COVID-19, sont nécessaires pour réussir la relance économique.

Ces travaux visaient à permettre au gouvernement de mettre en place les conditions pour accélérer la croissance de l’économie du Québec afin de réduire l’écart de richesse avec les États-Unis et l’Ontario, explique la porte-parole du MCE, Marie-Ève Fillion.

Elle ajoute que, pour ce faire, il souhaitait obtenir un regard externe, complémentaire à ses propres données, pour mieux évaluer la portée de l’ensemble de ses mesures économiques et des programmes qu’il avait mis en place.

L’Ontario a fait pareil et ça a déplu à la vérificatrice générale

Alors que le Québec signait un contrat de 1,7 M$ avec McKinsey le 2 avril 2020, l’Ontario signait le lendemain un contrat avec la même firme pour 1,6 M$.

L’objectif était d’élaborer une structure organisationnelle d’intervention pour répondre à la crise. Quelques mois plus tard, le gouvernement de Doug Ford a ajouté une somme de 3,2 millions de dollars destinée à la même firme pour l’aider à la planification de la reprise par rapport à la COVID-19 et à la préparation de la stratégie de réouverture pour l’éducation.

Dans un rapport publié en novembre 2020, la vérificatrice générale (VG) de l’Ontario critique la province qui a réagi à la crise en embauchant un consultant externe pour créer une structure de gouvernance.

La VG affirme que le coût du consultant était supérieur aux taux standards de l’industrie.

Selon le National Post, le recours aux consultants en tout genre devrait représenter des dépenses de plus de 17 milliards de dollars en 2022 comparativement à 8,3 milliards en 2016 pour le gouvernement canadien.

En France, le rapport des sénateurs conclut à un phénomène tentaculaire et à un recours massif à ces consultants, ce qui soulève des questions quant à la bonne utilisation des deniers publics et à notre vision de l’État et de sa souveraineté face aux cabinets privés.

Le recours aux consultants constitue aujourd’hui un réflexe : ils sont sollicités pour leur expertise (même lorsque l’État dispose déjà de compétences en interne) et leur capacité à apporter un regard extérieur à l’administration.

« Une relation de dépendance peut s’installer entre l’administration et ses consultants. […] Les cabinets de conseil organisent la dépendance à leur égard. »

Une citation de  Extrait du rapport de la commission d’enquête du Sénat français

Quand McKinsey frappe de nouveau à la porte du gouvernement

Le 20 juillet 2020, alors que le mandat de la firme est terminé depuis près de deux mois, McKinsey tente une approche auprès d’un cadre du ministère de François Legault.

Est-ce que la structure de gestion de la COVID-19 évolue à ton goût? demande le représentant du cabinet-conseil dans le courrielN’hésite pas si on peut aider avec quoi que ce soit.

Et il l’informe que plusieurs juridictions en Amérique du Nord réfléchissent présentement à la modernisation de l’État et à la préparation à de futures pandémies.

Québec fera de nouveau appel aux services de la firme quatre mois plus tard, puis encore une fois un an après.




Les responsables de la santé admettent que Bill Gates dirige le monde

[Source : takecontrol.substack.com]

Dans un rapport publié dans Politico, des responsables américains et européens et des spécialistes de la santé mondiale ont admis que Bill Gates dirigeait la réponse mondiale au COVID

Par Dr Joseph Mercola



L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL

  • Le 14 septembre 2022, Politico a publié un rapport spécial basé sur quatre douzaines d’entretiens avec des responsables américains et européens et des spécialistes de la santé mondiale, qui admettent que Bill Gates dirige la réponse mondiale au COVID.
  • Quatre organisations de santé — la Fondation Bill & Melinda Gates, GAVI, la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) et le Wellcome Trust — ont rapidement pris les devants dans la riposte mondiale à la pandémie, et bien que toutes les quatre prétendent être des organisations indépendantes, elles sont toutes effectivement fondées et/ou financées par Gates.
  • Au cours des premiers jours de l’épidémie, la Fondation Gates, la GAVI, le CEPI et le Wellcome Trust ont lancé un effort coordonné pour identifier les fabricants de vaccins, financer des tests, des traitements médicamenteux et des injections d’ARNm, et élaborer un plan de distribution mondial en collaboration avec l’Organisation Mondiale de la Santé. En fin de compte, ils n’ont pas réussi à atteindre leurs propres objectifs sur tous les fronts.
  • Gates n’est pas qualifié pour faire des recommandations en matière de santé et il n’a jamais été élu pour représenter le public.
  • Gates a utilisé sa richesse, son influence et sa perspicacité pour se mettre dans une position où il peut dicter la politique de santé mondiale pour son propre avantage financier.

L’idée que Bill Gates exerce une influence indue sur la santé mondiale a toujours été niée et rejetée comme une théorie du complot loufoque. Mais comme pour tant d’autres choses, cette théorie du complot s’avère maintenant être une conspiration de facto.

Le 14 septembre 2022, Politico a publié un rapport spécial détaillé basé sur « quatre douzaines d’entretiens avec des responsables américains et européens et des spécialistes de la santé mondiale », intitulé « Comment Bill Gates et ses partenaires ont pris le contrôle de la réponse mondiale au COVID ».1

Comme l’a noté Igor Chudov sur Substack,2 en quelques heures, le titre a été modifié pour se lire : « Comment quatre groupes privés ont utilisé leur influence pour contrôler la réponse mondiale au COVID — avec peu de surveillance »,3 comme illustré dans les captures d’écran de Chudov ci-dessous :

Article politique

Curieusement, cinq heures après cette modification, Politico a changé le titre, donc au moment d’écrire ces lignes, il se lit comme suit :4 « Comment Bill Gates et associés ont utilisé leur influence pour contrôler la réponse mondiale de Covid — avec peu de surveillance. » Le seul mot qui manque maintenant dans le titre original est « ses ». Vous pouvez voir comment le titre s’est déplacé d’avant en arrière au cours de 15 heures sur archive.today.5

Les organisations Four Gates monopolisent la réponse mondiale au COVID

Selon Politico,6 quatre organisations de santé – la Fondation Bill & Melinda Gates, GAVI, la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) et le Wellcome Trust – ont rapidement pris les devants dans la riposte mondiale à la pandémie, et bien que toutes les quatre prétendent être des organisations indépendantes, elles sont toutes fondées et/ou financées par Gates.

« Lorsque la Covid-19 a frappé, les gouvernements du monde n’étaient pas préparés », écrit Politico. « Alors que les nations les plus puissantes regardaient vers l’intérieur, quatre organisations non gouvernementales mondiales de santé ont commencé à élaborer des plans pour une lutte à mort contre un virus qui ne connaîtrait pas de frontières.

Ce qui a suivi a été un changement de pouvoir constant, presque inexorable, des gouvernements débordés vers un groupe d’organisations non gouvernementales, selon une enquête de sept mois menée par des journalistes de POLITICO basés aux États-Unis et en Europe et le journal allemand WELT.

Armées d’expertise, renforcées par des contacts aux plus hauts niveaux des nations occidentales et renforcées par des relations bien ancrées avec les fabricants de médicaments, les quatre organisations ont assumé des rôles souvent joués par les gouvernements – mais sans la responsabilité des gouvernements. »

Six points à retenir de l’enquête de Politico

Au cours des premiers jours de l’épidémie, alors que les gouvernements débattaient encore de la gravité de celle-ci, la Fondation Bill & Melinda Gates, la GAVI, le CEPI et le Wellcome Trust ont lancé un effort coordonné pour identifier les fabricants de vaccins, financer des tests, des traitements médicamenteux et des injections d’ARNm, et élaborer un plan de distribution mondial en collaboration avec l’Organisation mondiale de la santé. Dans une barre latérale, Politico met en évidence six points clés de son enquête :7

« Les quatre organisations ont dépensé près de 10 milliards de dollars pour la COVID depuis 2020 – le même montant que la principale agence américaine chargée de lutter contre la COVID à l’étranger.

Les organisations ont collectivement donné 1,4 milliard de dollars à l’Organisation Mondiale de la Santé, où elles ont aidé à créer une initiative essentielle pour distribuer des outils COVID-19. Ce programme n’a pas atteint ses objectifs initiaux.

Les dirigeants des organisations ont eu un accès sans précédent aux plus hauts niveaux de gouvernement, dépensant au moins 8,3 millions de dollars pour faire pression sur les législateurs et les fonctionnaires aux États-Unis et en Europe.

Des fonctionnaires des États-Unis et de l’Union européenne, ainsi que des représentants de l’OMS, sont passés par ces quatre organisations en tant qu’employés, ce qui leur a permis de consolider leurs relations politiques et financières à Washington et à Bruxelles.

Les dirigeants des quatre organisations se sont engagés à combler le déficit d’équité. Cependant, pendant les pires vagues de la pandémie, les pays à faible revenu se sont retrouvés sans vaccins vitaux.

Les dirigeants de trois des quatre organisations ont soutenu qu’il n’était pas nécessaire de lever les protections de la propriété intellectuelle pour augmenter l’approvisionnement en vaccins – ce qui, selon les militants, aurait permis de sauver des vies. »

Non qualifié et non élu

Comme l’a détaillé Politico, grâce au lobbying et à la puissance financière de Gates, la réponse internationale à la COVID est rapidement passée des gouvernements individuels à « un groupe mondial d’experts non gouvernementaux sous surveillance privée ».

« Qu’est-ce qui rend Bill Gates qualifié pour donner des conseils et conseiller le gouvernement américain sur où il devrait mettre… d’énormes ressources ? » ~ Kate Elder, conseillère politique principale pour la campagne d’accès de Médecins sans frontières

Aux États-Unis, le président Biden a affecté 500 millions de dollars au seul CEPI dans son budget COVID de 5 milliards de dollars, qui n’a pas encore été approuvé par le Congrès. Mais, comme l’a noté Kate Elder, conseillère principale en politique vaccinale pour la campagne d’accès de Médecins sans frontières :8

« Qu’est-ce qui rend Bill Gates qualifié pour donner des conseils et conseiller le gouvernement américain sur où il devrait mettre … d’énormes ressources? »

Lawrence Gostin, professeur à l’Université de Georgetown spécialisé dans le droit de la santé publique, a déclaré à Politico :

« Je pense que nous devrions être profondément inquiets. Pour le dire de manière très grossière, l’argent achète de l’influence. Et c’est la pire des influences. Pas seulement parce que c’est de l’argent — même si c’est important, parce que l’argent ne devrait pas dicter la politique — mais aussi parce que c’est un accès préférentiel, à huis clos.

[C’est] antidémocratique, parce que c’est extraordinairement non transparent et opaque [et] laisse derrière les gens ordinaires, les communautés et la société civile. »

Gates « possède » l’OMS

Beaucoup ont souligné que Gates, grâce à ses milliards de dons à l’OMS, a une influence significative sur les décisions de l’OMS. En septembre 2021, Astrid Stuckelberger, Ph.D., une initiée de l’OMS, a dénoncé Gates, expliquant comment l’OMS est, en fait, contrôlée par Gates, qui à son tour dicte la politique pour son avantage financier personnel.

Des quatre organisations sur lesquelles Politico se concentre, la GAVI, l’Alliance du vaccin, est peut-être la plus importante. La GAVI, fondée par Gates, a son siège en Suisse. En 2009, la GAVI a été reconnue comme une institution internationale et a accordé une immunité générale totale, y compris une immunité diplomatique qualifiée, ce qui est extrêmement étrange étant donné que l’organisation n’a aucun pouvoir politique qui justifierait l’immunité diplomatique.9

Plus étrange encore est que les clauses d’immunité de la GAVI vont au-delà même de celles des diplomates. L’immunité de la GAVI couvre tous les aspects de l’engagement, y compris les transactions commerciales criminelles. Tout aussi étrange est le fait qu’ils sont complètement exonérés d’impôt.

La GAVI peut faire ce qu’elle veut sans aucune répercussion. La police ne peut même pas enquêter ou recueillir des preuves auprès de la GAVI si celle-ci devait être impliquée dans une enquête criminelle. C’est comme ça qu’ils sont bien protégés. Et, selon Stuckelberger, La GAVI est l’entité qui dirige vraiment l’OMS.

[Voir aussi :
Une lanceuse d’alerte de l’OMS : « Nous vivons une pandémie de mensonges — Bill Gates est aux commandes »
Coup d’État furtif de l’OMS pour dicter le programme de santé mondial de Gates et Big Pharma
Partenariats Public-Privé : de la Fondation Bill et Melinda Gates à Big Pharma
Le monstre de la vaccination GAVI : immunité juridique totale !
GAVI et Bill Gates plus puissants que l’ONU !]

Selon Stuckelberger, Gates a demandé, en 2017, d’être nommé au conseil d’administration de l’OMS – comme un État membre – apparemment parce qu’il leur donne tellement d’argent. Il n’y a aucune preuve que Gates ait jamais officiellement obtenu le statut d’État membre, mais il semble qu’il ait trouvé un jeu de pouvoir alternatif.

Stuckelberger a souligné que Gates et l’OMS avaient conclu un accord contractuel tripartite avec Swissmedic, la Food and Drug Administration of Switzerland, ce qui est très inhabituel. Donc, essentiellement, alors que Gates n’a pas été élu en tant qu’État-nation à un seul homme, il a créé des contrats tripartites avec les États membres et l’OMS, le plaçant essentiellement à égalité avec l’OMS !

[Voir aussi, à titre spéculatif :
Qui est l’Antéchrist ?]

Une curiosité qui soutient l’idée que Gates est soit le véritable pouvoir derrière l’OMS, soit a le même pouvoir que l’OMS, est le fait que Gates a été à plusieurs reprises le premier à annoncer ce que le monde doit faire pour faire face à la pandémie, puis l’OMS sortait un message identique que les États membres devaient ensuite suivre.

Mais qui diable est Gates pour diriger la santé mondiale et les réponses à la pandémie ? Ce n’est personne. Il n’a aucune formation médicale. Il n’est absolument pas qualifié pour parler de quelque problème de santé que ce soit. Il n’a même pas obtenu son diplôme universitaire. Et il n’a jamais été élu pour représenter le peuple à quelque titre que ce soit.

Fondamentalement, ce que nous avons ici est un individu riche qui a trouvé un moyen de monopoliser officieusement la capacité de prise de décision d’une autorité sanitaire mondiale afin de s’enrichir, ce qui est au-delà de la folie.

L’OMS a joué un rôle déterminant dans la montée au pouvoir de Gates

L’influence de Gates sur l’OMS est sans aucun doute la raison pour laquelle l’OMS a permis à ces quatre groupes financés par Gates de diriger la réponse mondiale au COVID en premier lieu. Tel que rapporté par Politico :10

« L’OMS a joué un rôle crucial dans la montée en puissance des groupes. Tous avaient des liens de longue date avec l’Organisme Mondial de la Santé. Les conseils d’administration du CEPI et de la GAVI ont un représentant spécialement désigné de l’OMS.

Il y a aussi une porte tournante entre l’emploi dans les groupes et le travail pour l’OMS : d’anciens employés de l’OMS travaillent maintenant à la Fondation Gates et au CEPI ; certains, comme Chris Wolff, directeur adjoint des partenariats avec les pays à la Fondation Gates, occupent des postes importants.

Une grande partie de l’influence des groupes auprès de l’OMS découle simplement de l’argent. Depuis le début de la pandémie en 2020, la Fondation Gates, La GAVI et le Wellcome Trust ont fait don collectivement de plus de 1,4 milliard de dollars à l’OMS — un montant nettement supérieur à la plupart des autres États membres officiels, y compris les États-Unis et la Commission européenne, selon les données fournies par l’OMS. »

Ce serait une chose si ces organisations faisaient vraiment un excellent travail. Mais ils ne l’ont pas fait. Un examen indépendant11 par Dalberg Global Development Advisors, une société de conseil en politique de New York, a révélé que l’initiative créée par les groupes de Gates, l’Access to COVID-19 Tools Accelerator (ACT-A), a échoué sur tous les fronts.

Malgré un budget de 23 milliards de dollars,12  ACT-A n’a acheté que 16 % de son nombre cible de tests pour les pays à revenu faible et intermédiaire, et sur les 245 millions de traitements qu’il était censé fournir aux pays à revenu faible et intermédiaire, ils n’en ont attribué que 1,8 million. De même, sur les 2 milliards de piqûres de COVID qui devaient être livrées d’ici à la fin 2021, seules 319 millions de doses ont été livrées.

Bien sûr, on pourrait affirmer que le fait de ne pas fournir de tests de RCR frauduleux, de traitements dangereux et d’injections d’ARNm était une bénédiction déguisée. Mais le fait demeure que ces organisations sont loin d’être excellentes et échouent lamentablement à atteindre bon nombre de leurs objectifs déclarés.

Ils sur-promettent et sous-livrent. Ils sont prêts à sacrifier des vies pour garder le contrôle sur des brevets lucratifs. Et, alors qu’ils façonnent plus ou moins à eux seuls la réponse mondiale aux pandémies, il n’y a personne pour les tenir responsables de leurs performances.

Ce que Politico a laissé de côté

Bien que le rapport de Politico ait une portée considérable, il n’inclut toujours pas un certain nombre de pièces de puzzle importantes répertoriées dans l’article Substack de Chudov. Par exemple :13

Comme l’a noté Chudov dans ses remarques finales :18

« Néanmoins, la simple publication de cet article a une importance énorme. Les choses que la plupart d’entre nous connaissent et dont nous parlons apparaissent dans la soi-disant “presse grand public” — après que tout le mal a été fait, bien sûr.

Le virus a été libéré; des millions sont morts [Note de Joseph : sans les médias, il est très probable que rien de nouveau par rapport aux maladies déjà connues n’aurait été relevé. On a systématiquement déclaré atteintes de covid toutes les personnes ayant eu un résultat positif au Test PCR qui ne permet aucunement de diagnostiquer une maladie donnée. Voir notamment :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Mise au point de Reiner Fuellmich — 28 septembre 2022
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de ‘virus covid-19’… le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments]
; plus d’un milliard de jeunes ont été vaccinés de force sous de faux prétextes. Quand il est trop tard pour changer quoi que ce soit, Politico énonce enfin l’évidence. Pourtant, c’est mieux que rien.

Presque tout dans l’article de Politico était connu il y a un an. Où était Politico alors ? Occupé à prendre l’argent de la publicité du vaccin COVID du gouvernement. La pandémie était un crime, pas un accident. »

Le programme Gates-Fauci pour vacciner le monde

Gates est cependant loin d’être le seul ennemi de ce drame orchestré. Le Dr Anthony Fauci est un autre acteur clé. Ironiquement, Gates affirme qu’il a « pris le poids de l’abus du complotisme COVID » parce que les Européens ne connaissent pas Fauci. Il a récemment déclaré au magazine Fortune :19

« C’était tout un phénomène; ici aux États-Unis, cela s’est concentré sur moi et Tony Fauci, et à l’international, c’était plus juste moi parce qu’ils ne savaient pas qui était Tony – celui-ci a vraiment raté ça ! »

Mais alors que Gates essaie de faire passer les inquiétudes des gens concernant son influence indue sur leur santé comme une blague, on ne manque pas de preuves qu’il tire vraiment les ficelles qu’il est loin d’être qualifié pour tirer.

Dans « Bill Gates Lays Out Plan for Global Takeover » [Bill Gates expose son plan pour une prise de contrôle mondiale], je passe en revue le rôle de Gates dans l’OMS et le plan de l’OMS pour, en fin de compte, prendre le contrôle de toutes les décisions en matière de soins de santé, dans le monde entier. J’ai également passé en revue la manière dont Gates et Fauci ont collaboré, formant un formidable partenariat public-privé qui exerce un pouvoir incroyable sur le public américain.

Dès 2000, Fauci et Gates ont conclu un accord pour contrôler et étendre l’entreprise mondiale de vaccins , qui a abouti en 2021 à un plan visant à injecter à chaque homme, femme et enfant de la planète un vaccin expérimental COVID. La collaboration de Gates et Fauci est détaillée dans le livre à succès de Robert F. Kennedy Jr., « The Real Anthony Fauci ». La vidéo en haut de cet article résume leur schéma commun.

[Voir aussi :
L’histoire sombre de Fauci — Entretien avec Robert F. Kennedy Jr]





Les essais cliniques « criminels » de Pfizer en Argentine : l’avocat Augusto German Roux témoigne

[Source : francesoir.fr]

Avocat argentin et participant aux essais cliniques de Pfizer en Argentine, Augusto German Roux nous raconte l’expérience « criminelle » qu’il a vécue suite à ses vaccinations, au troisième trimestre 2020. Un parcours du combattant pour déclarer les effets secondaires et accéder à son propre dossier médical.



Son premier contact avec l’équipe clinique a été conduit par téléphone. Après un rendez-vous avec quatre médecins à l’hôpital allemand, il signait un document d’une vingtaine de pages. Déjà, celui-ci paraissait incomplet, nous dit-il. Il se lance tout de même…

Dès la première injection, il rapportait une douleur au bras à la pharmacovigilance, bien que celle-ci ait cherché à l’en dissuader, lui expliquant qu’il y avait des possibilités que ce ne soit pas lié avec le vaccin. Mais c’est après la seconde dose, soit 19 jours après la première, qu’il y eut des effets importants : beaucoup de fièvre — jusqu’à 41, des urines sombres « comme du Coca », et une perte de connaissance. Finalement, il a été diagnostiqué avec une péricardite aiguë ; un médecin a validé le lien de cause à effet avec le vaccin. Par ailleurs, une prise de sang démontrait qu’il n’avait développé aucun anticorps…

Là, il s’engage dans une lutte avec les autorités sanitaires et politiques : « C’est criminel », nous assure-t-il après avoir enchaîné les mauvaises surprises.

Tout d’abord, son dossier médical fait état d’une positivité au Covid, alors qu’il affirme n’avoir procédé à aucun test positif. En second lieu, il est diagnostiqué comme ayant un problème mental, par un médecin qui ne l’a jamais vu et qui n’a pas la qualification requise pour faire une telle évaluation ; les autorités régulatrices argentines ont malgré tout confirmé ce diagnostic.

Ces découvertes l’ont poussé à saisir les pouvoirs politiques et à faire des demandes CADA (FOIA – Freedom of Information Act) sur les essais cliniques. Là, il se rend compte que l’essai clinique Pfizer avait causé au moins un décès, qui ne se retrouvait pas dans les données remontées dans la publication dans le New England Journal of Medecine.

Lire aussi : « PfizerGate » ? Révélations sur des essais cliniques falsifiés par le triptyque Pfizer — Ventavia — FDA

Depuis, il n’a eu de cesse d’interroger les pouvoirs publics, dans l’optique de conduire un procès afin d’obtenir réparation. Ce faisant, il découvre plus tard que la responsabilité de la bonne conduite des essais cliniques argentins incombe au ministère de la Défense, et non pas au ministre de la Santé ; certaines informations étaient couvertes par le secret défense.


[Voir aussi, concernant France Soir :
Une sanction financière inédite menace l’existence de France Soir et de la presse libre]




Un médecin demande une enquête sur la mort subite de 32 collègues médecins vaccinés

[Source : uncutnews.ch]

[Traduction : soleilverseau.com]

[Voir aussi, en anglais : https://www.westernstandard.news/news/alberta-physicians-claim-covid-vaccines-to-blame-for-deaths-of-five-toronto-area-doctors/article_ea0e8afa-1cbc-11ed-bf56-7f57343a66f3.html]

Dans une lettre du 3 septembre 2022 adressée à l’Association Médicale Canadienne (AMC), le Docteur William Makis a demandé une enquête sur la mort de 32 jeunes médecins canadiens depuis le début de la campagne de vaccination corona.

Depuis l’introduction des vaccins Covid au Canada en décembre 2020, l’AMC a promu de manière agressive et contraire à l’éthique les vaccins expérimentaux Covid, selon Makis. L’AMC a également préconisé la vaccination illégale et non scientifique des 92 000 médecins du Canada, ajoute-t-il.

Ils ont trahi non seulement les médecins mais aussi le peuple, affirme le médecin. « C’est sans précédent. »

Makis a joint des photos et des informations sur les 32 jeunes médecins décédés subitement et de manière inattendue au cours des 16 derniers mois. Tous ces médecins étaient double, triple ou quadruple vaccinés contre le Covid.

Ces morts sont hautement suspectes, écrit-il. Un moment, les médecins étaient en bonne santé, le lendemain, ils souffraient d’une crise cardiaque, d’un accident vasculaire cérébral, d’un accident ou contractaient soudainement une forme agressive de cancer.

Pfizer et Moderna ne sont peut-être pas légalement responsables, mais l’AMC le peut, prévient Makis. 

Il demande à l’AMC d’enquêter sur les raisons pour lesquelles de jeunes médecins canadiens entièrement vaccinés meurent soudainement.

« Vous ne pouvez pas rester silencieux alors que les vaccins Covid tuent potentiellement des dizaines de jeunes médecins canadiens et exposent des milliers de médecins à un risque élevé d’effets secondaires graves ou de décès.

je vous exhorte urgemment à vous souvenir de votre éthique et de votre serment, et à utiliser votre plateforme en tant que présidents de l’AMC pour appeler publiquement à l’arrêt immédiat de tous les mandats de vaccination contre la covid-19 dans le système de santé au Canada et j’appelle à des enquêtes urgentes et des enquêtes publiques sur ce qui tue les jeunes médecins canadiens entièrement vaccinés contre le covid-19.» Dit le Docteur en terminant sa lettre.

Lettre du Dr Williams Mankis :




Signal ! « Pour une presse libre, indépendante et objective. »

(édition1 du 26 septembre 2022)

[Humour. Texte à prendre au second degré.]

Par Alain Tortosa

Délinquance sans fin

Des criminels non vaccinés continuent de contaminer les bons citoyens vaccinés, c’est purement inadmissible ! Alors que la 8e vague arrive (elle est au large d’Hawaï), les services d’urgence sont saturés de vaccinés activement protégés par le vaccin et qui attendent leur nouveau rappel bivalent.

« 8e vague de Covid-19 : la circulation du virus accélère, Santé publique France appelle au respect des gestes barrières2. »

C’est d’autant plus immonde que les vaccinés sont de bons citoyens, eux3 !

Les indicateurs sont formels, nous assistons à une baisse perceptible de la diminution du nombre de personnes en soin critique4, preuve que la baisse va baisser et que le nombre de personnes en soin critique à l’automne va inexorablement augmenter vers la hausse !

Il faut donc amplifier la vaccination, car plus il y aura de vaccinés et moins les non-vaccinés pourront les contaminer. L’objectif est clair, passer de 100 % de transmissions par des non-vaccinés (avant l’arrivée des vaccins) à 100 % de transmissions par des vaccinés. Nous pouvons y parvenir, c’est à notre portée5. !

Sauvons la planète !

Nous devons poursuivre dans la dé-carbonisation comme l’a confirmé le chef de l’État. L’avenir est aux énergies renouvelables. Nous devons diminuer notre consommation d’électricité et augmenter le parc de voitures électriques.

Saluons l’initiative de RTE6 (le gestionnaire de la distribution électrique) qui propose de débrancher les bornes de recharge rapide des véhicules électriques durant les heures de pointe afin d’éviter la saturation du réseau.

D’autre part, afin de participer à l’effort national, les propriétaires de véhicules électriques se verront offrir (de force ?) la possibilité de vider7 leurs batteries pour fournir de l’électricité au réseau. Celles et ceux qui auront besoin de faire de nombreux kilomètres le lendemain matin passeront avec entrain au covoiturage diesel.

Au rythme d’une charge/décharge par jour les batteries pourraient durer extrêmement longtemps soit entre 3 et 5 ans8, la durée moyenne de vie d’une voiture moderne 100 % recyclable.

Sauver la planète n’a pas de prix, mais a un coût. Le remplacement des batteries d’une Tesla9 serait autour de 25 000 euros ce qui n’est rien au regard de l’objectif.

Covid 8e vague, on approche de la vague gratuite (la 10e).

Ne croyez pas que le Covid soit derrière nous. La 8e vague arrive enfin après des mois d’absence. Celle-ci comme les courants transocéaniques, ayant profité des vacances pour faire un tour du monde bien mérité. L’heure est grave, il pourrait y avoir des personnes grippées à l’automne !

Nous devons anticiper. Je vous rappelle que nous n’avions pas anticipé la 1re vague et ce fut une catastrophe à la différence des 6 suivantes. Heureusement nous avons appris de l’expérience.

Il va falloir à nouveau porter le masque. Mais il existe encore des esprits faibles qui ne comprennent toujours pas alors qu’il y a consensus scientifique sur le sujet :

« Le masque ne protège pas celui qui le porte, mais UNIQUEMENT celui qui ne le porte pas !

C’est pour cela que tout le monde doit le porter pour protéger les plus faibles.

Les virus ont un sens de circulation possible dans le masque uniquement de l’extérieur vers l’intérieur du masque, ceci expliquant pourquoi le porteur n’est pas protégé.

Des études pourraient être menées afin de déterminer si le fait de le porter à l’envers (dessus — dessous) ne permettrait pas à celui qui le porte d’être protégé des contaminations.

Notons que cette option ne présente strictement aucun intérêt dès lors que 100 % de la population le porte, raison pour laquelle il est inutile de s’intéresser au sujet. ».

Acclamation de la secrétaire générale du parti européen

Les membres du Politburo ont acclamé la secrétaire générale du parti de l’union des républiques socialistes libérales européennes. Mme Wonder Le Yen (future monnaie européenne) jubilait en annonçant les sommes récoltées auprès des gueux pour le « télecon » au bénéfice des oligarques ukrainiens.

Ces aides seront automatiquement financées par l’inflation et le chômage de masse.

Nous remercions les pauvres qui ne pourront pas se chauffer cet hiver ou se nourrir correctement pour sauver la démocratie et les droits de l’homme.

Pilule du lendemain une nouvelle opportunité pour les violeurs pédophiles

Seules les personnes se déclarant mineures (à partir de 11 ans) pouvaient obtenir gratuitement, sans ordonnance, sans pièce d’identité et sans en informer leurs parents, la pilule du lendemain. À partir d’aujourd’hui elle sera aussi gratuite pour les adultes10.

Le SNPP++ (Syndicat National des Pédophiles Pervers++) aurait accueilli la nouvelle avec bienveillance. Il aurait déclaré :

« Notre mouvement se veut ouvert à la différence. Il sera désormais possible de nous diversifier et violer des adultes sans devoir dépenser les frais de la pilule du lendemain.

Les pizzas11 et les hot-dogs c’est sympa, mais ça peut aussi lasser. »

Merci le gouvernement !

Le prince Andrew (aucun lien avec le sujet précédent) aux obsèques de la vieille

« Andrew12 remercie “sa maman” Elizabeth II pour sa “confiance et sa compassion” malgré les scandales. Le prince Andrew, fils cadet de la reine Elizabeth II tombé en disgrâce après des accusations d’agression sexuelle, a rendu dimanche hommage à la “compassion” de sa mère et “sa confiance”, à la veille de ses funérailles nationales… Souvent réputé comme étant le fils préféré de la souveraine, décédée le 8 septembre à 96 ans, le prince Andrew a été banni de toute apparition publique officielle en raison de son amitié avec le pédophile Jeffrey Epstein et privé de ses titres militaires en début d’année après des accusations d’agression sexuelle sur une jeune fille de 17 ans, Virginia Giuffre… »

Réhabilité lors des obsèques, il faut bien se serrer les coudes en famille. Selon un témoin désirant garder l’anonymat, celui-ci aurait déclaré « C’est nul, y’a que des vieilles » (information non vérifiée).

Ce à quoi Biden aurait rétorqué :

« Mais non, regarde y’a les arrières petits enfants de la reine qui ont l’air bien tristes et que l’on pourrait consoler »

(nous ne pouvons citer nos sources ni vérifier l’information).

Le drame de notre époque est qu’elle regorge de personnes malintentionnées et perverses. Tenez, prenez les déclarations de Joe Biden le 24 septembre devant une assemblée de professeurs :

« You gotta say hi to me, » Mr. Biden said mid-speech. « We go back a long way. She was 12, I was 30. But anyway, this woman helped me get an awful lot done, » the US President added13. »

« Tu devrais me dire bonjour », a déclaré M. Biden à voix basse. « Nous revenons de loin. Elle avait 12 ans, j’en avais 30. Mais quoi qu’il en soit, cette femme m’a aidé à faire énormément de choses », a ajouté le président américain ».

Il voulait dire « j’avais 12 ans et elle en avait 30 », vous aurez rectifié par vous-mêmes.

Et bien pour Andrew c’est la même chose, des rapaces malintentionnés qui inventent ce qui n’existe pas. Le pauvre qui a vu tant de personnes de valeur disparaître comme son ami Jeffrey Epstein qui se serait suicidé par auto-strangulation, mais aussi le décès d’un grand ami de Charles 3, Jimmy Savile.

Les militaires russes les plus cons de la planète ?

Dans la série « Régis est un con14 ». Kiev vient à nouveau d’accuser les Russes d’avoir bombardé la centrale nucléaire qu’ils contrôlent. Cette information ne peut être mise en doute étant donné qu’elle a été reprise par tous les médias occidentaux.

Ouest-France15 a précisé :

« La centrale de Zaporijjia est au cœur des inquiétudes ces derniers jours. Aux mains des Russes, elle fonctionne désormais avec des risques de fuites radioactives et d’incendie,

« Les troupes russes ont bombardé le site “à plusieurs reprises au cours de la dernière journée”. »

Selon nos sources, Poutine aurait déclaré :

« La première fois c’était drôle, mais les meilleures blagues ont une fin. Je vous rappelle que nous devons tirer sur les Ukrainiens, mais pas sur nous-mêmes ».

Équilibrer le régime des retraites

Réforme des retraites. Notre bien aimé chef spirituel est déterminé à poursuivre son action qui permettra d’apporter encore plus de justice sociale.

Capital16 déclarait :

« En 2021, le système de retraite a été excédentaire de près de 900 millions d’euros, alors qu’il enregistrait un déficit de 18 milliards d’euros en 2020. Mieux, en 2022, il connaîtrait un excédent de 3,2 milliards d’euros. Cette amélioration s’explique, d’après le Cor, “par la croissance importante des ressources due au rebond de l’activité, alors que l’effet de la surmortalité des retraités liée à la Covid sur les dépenses de retraite est resté limité”. »

Je vous rappelle son calendrier en trois temps :

  1. Utilisation du Rivotril17 et interdiction de soin pour les personnes âgées en établissement pour personnes dépendantes.
  2. Légalisation de l’euthanasie active pour des raisons humanitaires.
  3. Augmentation de l’âge légal de la retraite à taux plein, ce qui permettra de réduire drastiquement la retraite des gueux qui n’obtiendront jamais le nombre de trimestres suffisant.

Nous voyons d’ores et déjà que l’agenda porte ses fruits. Mais posons-nous la question, ne devrions-nous pas aller encore plus loin ?

Le film18 « Plan 75 » nous ouvre les portes d’une solution enviable et durable :

« “Plan 75” : un incroyable film d’anticipation japonais sur l’euthanasie.

Cette fiction, en salles ce mercredi, imagine la mise en place par le gouvernement japonais d’un système où les plus de 75 ans pourraient choisir de mourir de façon anticipée. Un long-métrage magnifique et terrible. »

Racisme en France

Le Ministre de l’Éducation a déclaré à New York :

« Le concept de race reste très sensible en France. »

« Je suis parfois considéré comme trop américain en France, un peu trop “woke”, un peu trop influencé par les États-Unis, ce qui est suspect parfois dans le discours politique français qui a des traces d’anti-américanisme souvent bien évidentes. »

Saluons notre Ministre qui a ajouté :

« Nous devons parler d’éducation à la sexualité à l’école19 »

… Y compris à partir de l’école maternelle.

Quel parent n’a pas été confronté aux questionnements de son enfant de 3 ans face à ses interrogations sur son orientation sexuelle ? Vous et moi avons passé de nombreuses heures à expliquer l’acte sexuel à nos enfants, ce qui est bien naturel, vous en conviendrez. Mais pensez aux pauvres bébés qui ont des parents arriérés, qui doivent découvrir le sexe et la masturbation sans l’aide de leur famille ?! Nous devons les aider à découvrir leur corps avec le soutien actif des enseignants adultes.

C’est ainsi que nous aurons plus tard des citoyens adultes et équilibrés.

J’invite celles et ceux qui veulent en savoir plus à lire l’excellent livre « Sex education for 8 – 12 years old20 » qui explique notamment que les parents devraient inviter leurs enfants à être présents lorsqu’ils font l’amour.

Ajoutons que le Ministre veut mettre fin aux « stéréotypes de genre ». Bien évidemment, il a eu le soutien de syndicalistes déclarant :

« Les stéréotypes de genre sont très installés à l’école. Rien que dans la dénomination, par exemple, de l’école maternelle, qui laisse entendre que les mamans sont dédiées à la gestion des petits »,

Ici encore qui pourrait critiquer cette initiative qui relève du bon sens ? Quel arriéré pourrait penser que le rôle des mères est de s’occuper des bébés ou les nourrir au sein ?

Nous sommes tous choqués par ces petites « filles » (sexe biologique de la naissance) habillées en rose et qui se déguisent en princesse pour le carnaval. Et que dire des « garçons » condamnés à ne pas s’habiller en rose et contraints de se déguiser en cow-boy et en Superman ?

Nous devons dire STOP aux stéréotypes de genre et organiser une journée robe rose obligatoire pour les « garçons » ainsi que tenue de foot obligatoire pour les « filles » au moins une fois par semaine. La Reine des neiges sera réservée aux mâles et Spiderman aux femelles. C’est par ces mesures fortes et volontaires que nous mettrons fin à ces coutumes barbares qui relèvent d’un autre temps.

Imaginez un monde idéal dans lequel les « femmes » seraient au front et pourraient éventrer l’ennemi dans la parité tandis que les hommes resteraient à la maison pour nourrir le bébé !

Soldes d’automne, deux pour le prix d’un !

Le vaccin bivalent à ARN messager contre le « Covid » va être disponible à partir de cet automne. Il comprendra à la fois la souche de Wuhan disparue depuis plus de 2 ans et la souche Omicron qui aurait elle-même eu des mutations.

  • Qui pourrait douter que cette mise à jour sera, à minima, quatre fois plus efficace ?
  • Qui pourrait douter que le fait de mélanger un vaccin contre une maladie qui n’existe plus avec une maladie qui existe peut-être encore n’aurait pas ces avantages ?

Bruno Lina, est un virologue indépendant de l’industrie. Il dirige notamment le conseil scientifique du GIEG21, Groupe d’Expertise et d’Information sur la Grippe.

Le Parisien22 écrivait à ce propos dans ses colonnes en 2009 :

« Contrairement à ce qu’il revendique sur son site Internet, le Geig n’est toutefois pas ce qu’on peut appeler une association indépendante. Selon nos informations, ce groupe est en effet financé à 100 % par cinq laboratoires pharmaceutiques qui produisent des vaccins contre la grippe. Son directeur général n’est autre que Bertrand Verwee, le directeur marketing de Sanofi-Pasteur-MSD ».

Pas de quoi fouetter un chat ! Il a précisé le 20 septembre 2022 :

« Une reprise rapide de la circulation du virus à l’automne reste inévitable. Donc plus on vaccine tôt, plus nous serons protégés avant ce rebond. Le problème est que ce vaccin sera disponible au moment où l’épidémie va connaître une accélération, comme déjà observé les deux hivers précédents ».

« Rien n’est pour le moment certain, mais ces vaccins bivalents pourraient réduire de 40 à 50 % le risque de transmission, ce qui n’était pas le cas jusqu’à présent23 »

Celui-ci affirmant24 sans se tromper en décembre 2020 :

« Quant à l’efficacité (des vaccins), les laboratoires ont communiqué le chiffre de 95 %. C’est très impressionnant par rapport à l’efficacité de nos vaccins classiques. Cela veut dire que sur 100 personnes ayant participé à l’étude, et qui ont par la suite contracté le Sars-Cov-2, 95 n’avaient reçu que le placebo et 5 le vaccin… »

Comment ne pas être convaincu ? Souhaitons que les Français se vaccinent massivement y compris leurs enfants.

Dans le cul pour les non-vaccinés !

Mauvaise nouvelle pour les non-vaccinés (de la souche qui n’existe plus). Pour des raisons triviales et logiques, le vaccin bivalent ne sera disponible que pour celles et ceux qui sont déjà vaccinés contre le Covid.

C’est « exactement » comme pour la grippe, vous vous rappelez ? Seules les personnes qui ont bénéficié de l’injection 2021 peuvent obtenir la 2022 et ainsi de suite, non ? Attention tout n’est pas perdu pour la grippe, il suffit de rattraper son retard et se faire injecter les précédentes versions de 1951 à 2021 pour bénéficier de la version 2022.

C’est donc avec la même « logique scientifique » que les non-vaccinés de la souche Wuhan devront se faire injecter les 4 doses de la v1 avant de pouvoir bénéficier de la mise à jour v2.

Mise à jour contenant, comme de bien entendu, la souche d’origine ce qui explique pourquoi il faudra d’abord s’injecter la souche d’origine toute seule avant de s’injecter la souche d’origine contenue dans la mise à jour. J’espère que c’est clair pour vous, même un enfant de 3 ans pourrait comprendre cette logique qui relève du bon sens.

Vaccin bivalent, les animaux vous remercient !

La ligue de défense des animaux ainsi que la ligue des droits de l’homme ont une fois de plus salué les fabricants de vaccins.

L’expérimentation animale, mais aussi humaine remonte aux temps barbares, elle est indigne de notre époque. Sans compter le manque d’efficacité et toutes les vies perdues en mettant 10 ou 15 ans à étudier les effets secondaires d’un nouveau vaccin.

Au 21e siècle il serait fou de tester des vaccins pendant plus de trois semaines avant leur diffusion dans la population !

C’est ainsi que pour des raisons de dignité humaine, mais aussi d’efficacité, le vaccin bivalent ne fera l’objet d’aucun essai avant sa mise sur le marché.

Mais dites-moi :

« Pourquoi faudrait-il faire des essais pour une première mondiale, l’introduction de deux ARN messagers dans le corps ?! ».

Totalement ridicule, car si cela fonctionne parfaitement avec UN ARNm (et sans le moindre effet secondaire), pourquoi ce qui fonctionne pour UN ne fonctionnerait pas pour DEUX ?

Je vous rappelle que les enfants sont vaccinés en France pour 11 maladies différentes alors deux petits vaccins c’est vraiment anodin !

Décidément, cette crise du Covid n’est pas compatible avec les crétins qui ne comprennent rien.

Poutine, la débandade

Le dictateur a déclaré il y a quelques jours qu’il allait mobiliser les réservistes, sans doute 300 000 hommes, pour tuer et dépecer femmes et enfants en Ukraine.

De très nombreux spécialistes occidentaux ont déclaré « c’est bien la preuve qu’il ne s’en sort pas ».

L’Ukraine, la 2e armée du monde selon des experts, va en faire une bouchée avec ses 200 000 soldats.

Le Figaro25 déclarait en 2014 que le pays avait 130 000 soldats et la Russie 800 000. Tandis qu’elle avait 1 million dans la réserve contre 2 chez les Russes. 211 avions vs 1600, 3000 tanks vs 18 000 !

Nous voyons bien que les Russes qui avaient engagé 10 % des soldats professionnels sont aux abois en faisant appel à la réserve ! Espérons que le psychopathe Poutine ne cherche pas à utiliser l’arme nucléaire pour camoufler sa défaite cuisante.

La propagande26 russe bat son plein en annonçant le chiffre ridicule de 5937 morts. Heureusement le nouveau Churchill, Zelensky nous apporte un éclairage honnête et objectif comme à son accoutumée :

« Selon le ministère de la Défense ukrainien ce mercredi, 55 110 soldats de l’armée russe ont péri depuis le 24 février 2022. »

La Russie est à ce point verrouillée (médias, réseaux sociaux…) que nous n’avons aucune image des manifestations monstres organisées par les mères russes désespérées.

Installation d’un nouveau terminal pétrolier dans les eaux internationales

Les pétroliers russes27 bientôt sous embargo transvasent en pleine mer et dans des conditions de sécurité optimales leur cargaison vers d’autres pétroliers sous pavillon étranger. Ainsi le pétrole change de nationalité, ce qui nous permet de ne plus acheter de pétrole russe à l’enculé de Poutine. Bon, le prix au final est multiplié par dix, mais lorsqu’il s’agit de démocratie, de sauver le monde libre et de faire tomber un dictateur, on ne va pas pinailler.

Et oui « en France on n’a pas de pétrole, mais on a des idées28 ».

À noter qu’aussi bien l’Inde que l’Arabie Saoudite achètent aussi du pétrole russe puis nous le revendent une fois blanchi comme nous l’indique le magazine Les Échos :

« Les raffineurs indiens achètent massivement le brut de Russie à prix cassé dont les importateurs occidentaux se détournent depuis l’invasion de l’Ukraine. Une fois transformé en carburant, le pétrole russe pourra être réexporté vers l’Europe, déjouant indirectement les sanctions qui frappent Moscou. »

La morale est sauve, point de pétrole russe dans nos voitures ou dans nos centrales thermiques ! Imaginez le moral de Poutine voyant que plus une goutte de pétrole « Made in Russia » ne pénètre sur le sol français.

Économies d’énergie, dans le cul Poutine !

Pour lutter contre l’enculé de Poutine, démarrons la cuisson après 19 h !

Transition écologique oblige, nous devons fermer les centrales nucléaires qui n’émettent aucun CO2 pour la production. Ajouté au fait que ces centrales sont à l’arrêt en été pour les révisions annuelles, il est possible que nous manquions d’électricité. Et ce d’autant plus que nous bradons notre électricité pour soutenir nos amis allemands qui sont dépendants du gaz russe grâce à la fermeture de leurs centrales nucléaires et l’accroissement du « renouvelable ».

Pour éviter des coupures d’électricité29 causées par Poutine, nous avons des solutions :

« Il ne faut pas faire cuire le repas à 19 h où de nombreuses entreprises sont encore ouvertes, mais décaler la cuisson vers 20 h. »

Vous voyez bien, on n’a pas de pétrole, mais on a des idées, même s’il est probable que cette idée géniale nous vienne de McKinsey… ça valait bien quelques millions en cabinet de conseil, non ?

Lutte contre le gaspillage : le génie français

Avec l’arrivée du nouveau vaccin bivalent, que vont devenir les anciens vaccins ?

Le ministre de la Santé François Braun l’a d’ailleurs rappelé sur l’antenne de France Inter30 lundi : les vaccins d’origine « sont toujours efficaces, ils avaient une efficacité de l’ordre de 80 % au départ, ce qui est beaucoup pour un vaccin » (Ils l’étaient à 95 % selon Bruno Lina). En attendant de nouvelles données, laboratoires et autorités sanitaires travaillent à rallonger les dates de péremption des premiers vaccins.

« La Direction générale de la santé (DGS) a informé le 13 mai les syndicats pharmaceutiques que la date de péremption du vaccin Comirnaty (Pfizer/BioNTech) était à nouveau allongée d’un délai de 3 mois supplémentaires, soit dorénavant une conservation prolongée à 12 mois (au lieu de 9 mois)31 »

Comment n’y ai-je pas pensé moi-même plus tôt ?

Il suffit d’allonger la date de péremption !

Nous proposons donc d’allonger d’une semaine ou deux la date de péremption de la viande ou du poisson. Ah, quand le génie français se met en branle, tout est possible !

Et ce à la différence des Suisses qui sont complètement idiots et ont pris la décision de jeter des doses32 :

« Covid-19 : la Suisse doit jeter 10 millions de doses de vaccin Moderna.

En juin, le site de Swissinfo news avait estimé que le pays helvète disposait d’un excédent de 38 millions de doses des différents vaccins contre le Covid-19, qui expireraient avant la fin de l’année. »

Encore un réflexe de pays riche qui ne pense pas à l’écologie. Ils auraient pu au moins les envoyer aux Africains !

Unanimité pour notre Président et sa quête de justice

Celui-ci a déclaré à l’ONU33 que :

« La justice internationale devra établir les crimes et juger les coupables. ».

Contrairement aux habitudes, cette annonce a fait l’unanimité, saluée à la fois par la majorité présidentielle, mais aussi l’opposition. Nous sommes allés dans la rue interroger des passants et un complotiste nommé Robert, d’habitude hostile à notre monarque, nous a répondu à notre grand étonnement :

« Je suis entièrement d’accord avec Macron, les coupables seront jugés et condamnés ! »

Comme quoi tout n’est pas perdu, même les plus débiles peuvent avoir des instants de lucidité et d’honnêteté.

Ne pas se tromper de coupables, le seul et l’unique, c’est Poutine !

La présidente du Groupe de la Gauche au Parlement européen34 a demandé à Mme Wonder, comment les personnes à petit revenu pouvaient payer leur facture.

Après un instant de sidération au regard de la stupidité de la question (qui selon notre hebdomadaire relève de la trahison), celle-ci a mouché la fille en lui répondant :

« Vous devriez envoyer ces factures à Moscou, car c’est Poutine qui est responsable ».

Personnellement je n’aurais pas eu cette gentillesse vis-à-vis de cette présidente de groupe qui aurait mérité une baffe. Cela prouve une fois de plus que si Mme Le Yen est au pouvoir c’est grâce à ses qualités intrinsèques et certainement pas une histoire de copinage ou de corruption.

Il est bon de rappeler des évidences. Tout le monde sait que Poutine est l’unique responsable de l’augmentation du prix de l’énergie. Cela n’a strictement rien à voir avec les mesures prises contre la Russie, la spéculation, les fermetures des centrales nucléaires, la politique industrielle, etc.

Poutine condamné à acheter des munitions en Corée du Nord

Les services de renseignement américains35 ont laissé fuiter un document officiel « prouvant » que la Russie en est réduite à importer des millions d’obus et de roquettes depuis la Corée du Nord.

Une aubaine pour cette dictature qui n’était pas connue pour ces exportations36 d’armes.

Et oui la Russie est à ce point au ban de la société que ni les Indiens, ni les Chinois ou même les Pakistanais n’acceptent de lui vendre des armes. Certains pensent à tort que le commerce des armes est sans foi ni loi. Mais que nenni, même les trafiquants d’armes refusent de vendre des armes à cette pourriture bolchevique ex-membre du KGB.

Arrêtons de prêter foi à la désinformation. Rendez-vous compte que The Telegraph affirmait en avril dernier que la France et l’Allemagne auraient fourni des armes à la Russie37 pour 273 millions d’euros y compris des bombes, des roquettes ou des missiles. Qui pourrait croire à pareilles balivernes.

Pour ce qui est de la capacité de production, d’environ 2 millions d’obus guidés par an ou de dizaines de milliers de missiles anciens, cela relève du complotisme et je vous invite à ne surtout pas lire le document suivant publié par le centre français de recherche sur le renseignement38.

Les Russes sont foutus comme cela est répété toute la journée par nos confrères et puis c’est tout !

Discours de l’Union

La secrétaire générale du parti communiste libéral européen a prononcé un discours brillant le 14 septembre et il était déraisonnable de ne pas vous fournir d’extraits (tout est vrai).

« Aux quatre coins de notre Union, les Européens se sont réveillés, accablés par le poids des nouvelles qui arrivaient d’Ukraine. Ébranlés par le retour d’un Mal implacable. Hantés par le bruit des sirènes et la brutalité de la guerre. Mais dès cet instant, le continent tout entier s’est dressé dans un élan de solidarité… Il y a quinze ans, lors de la crise financière, il nous a fallu des années pour trouver des solutions durables. Quelque dix ans plus tard, lorsque la pandémie nous a frappés, il ne nous a fallu que quelques semaines… Nous avons ravivé la force intérieure de l’Europe. Il ne s’agit pas seulement d’une guerre menée par la Russie contre l’Ukraine. Il s’agit d’une guerre contre notre sécurité énergétique, contre notre économie, contre nos valeurs et contre notre avenir. Une guerre de l’autocratie contre la démocratie. Et je me tiens ici, devant vous, animée de la conviction que, grâce à notre courage et à notre solidarité, Poutine échouera et l’Europe vaincra. LE COURAGE DE SE TENIR AUX CÔTÉS DE NOS HÉROS… L’Ukraine fait front, car des personnes comme votre mari, le président Zelensky, sont restées à Kiev pour mener la résistance, à vos côtés et aux côtés de vos enfants, chère Olena.

Depuis le premier jour, l’Europe se tient aux côtés de l’Ukraine. En fournissant des armes. En mobilisant des fonds. En ouvrant ses portes aux réfugiés. Et en imposant les sanctions les plus lourdes que le monde ait connues. Le secteur financier de la Russie est à bout de souffle. Nous avons coupé les trois quarts du secteur bancaire russe des marchés internationaux. Près d’un millier d’entreprises d’envergure internationale ont quitté le pays. La production de voitures a chuté de trois quarts par rapport à l’année dernière. Aeroflot immobilise les avions au sol, car les pièces de rechange viennent à manquer. L’armée russe récupère des puces sur des lave-vaisselle et des réfrigérateurs pour réparer son matériel militaire, car elle est à court de semi-conducteurs. L’industrie russe est en lambeaux.

À ce jour, l’Équipe Europe a fourni plus de 19 milliards d’euros d’aide financière.

L’an dernier, le gaz russe représentait 40 % de nos importations de gaz. Aujourd’hui, ce gaz acheminé par gazoduc ne représente plus que 9 %.

Mais les Européens font face à cette situation avec courage.

C’est pourquoi nous présentons des mesures pour que les États membres réduisent leur consommation globale d’électricité.

L’hydrogène peut changer la donne pour l’Europe. (NB : produite avec de l’électricité ou du gaz bien entendu.)

Nous traversions la plus forte récession depuis la Deuxième Guerre mondiale. Nous sommes parvenus à la reprise la plus rapide depuis le boom de l’après-guerre. »

Que de paroles merveilleuses emplies d’espoir. Vous n’imaginez pas notre souffrance à ne pas pouvoir publier en intégralité ce chef-d’œuvre de vérité, d’humanité, de générosité, de compassion et de fermeté.

Nous pensons que la lecture du texte complet39 devrait être obligatoire sous peine de poursuites judiciaires et suppression du passe carbone, celui qui devrait autoriser les déplacements pour se rendre au supermarché une fois par semaine.

Les Russes utilisent des puces de lave-vaisselle pour leurs missiles !

Mme Le Yen a été lumineuse une fois de plus s’il en faut :

« L’armée russe récupère des puces sur des lave-vaisselle et des réfrigérateurs pour réparer son matériel militaire »

Vous rendez-vous compte ? La Russie est à ce point aux aboies qu’aucun pays, y compris les Chinois, n’accepte encore de lui vendre des puces électroniques !

Pire encore, elle n’a plus ni ordinateur ni smartphone pour les récupérer… Elle en est à les prendre sur des lave-vaisselle ou sur des frigos.

C’est dire à quel point c’est un peuple de débiles qui ne sait même pas qu’il n’y a AUCUNE puce dans un réfrigérateur !

Dans leur malheur les Ukrainiens ont de la chance d’être face à l’armée russe qui a connu de si nombreuses défaites dans l’histoire et dont le pays a été si souvent envahi et colonisé par des agresseurs externes.

Mais les Russes sont aussi chanceux d’avoir affaire aux Ukrainiens, un peuple et des institutions si bonnes, qui respectent les droits de l’homme, le droit à la différence, les accords de Minsk et qui ne demandent que la paix.

Nous savons vous et moi qu’ils pourraient atteindre Moscou en quelques jours s’ils étaient vindicatifs et revanchards.

C’est donc bien l’affaire de quelques semaines avant que la Russie n’abdique. Des membres de la résistance russe ont indiqué à nos correspondants AFP que des émeutes de la faim se produiraient tous les jours dans le pays et que les cimetières déborderaient.

Scandale en Iran où une femme dévoilée a été tuée

Une femme qui a enlevé son voile en Iran aurait été tuée par la police des mœurs. De nombreuses femmes iraniennes se révoltent et enlèvent leur voile.

Si le gouvernement français s’est indigné, notre quotidien n’a pas été en mesure de trouver la moindre déclaration d’un personnage politique français se réjouissant de ce mouvement d’émancipation des femmes iraniennes.

Il faut dire qu’en France le voile islamique est plutôt perçu comme une preuve de liberté des femmes.

« Polémique sur le voile : “Blanquer doit se taire”, selon Jean-Luc Mélenchon40 »

Disons que cela doit être un problème de latitude ou de longitude.

Un voile en Iran est signe de soumission tandis qu’un voile en France est signe de démocratie et de liberté.

Concours pour la coupe du monde (information non vérifiée)

Des informateurs anonymes nous rapportent que pour la future coupe du monde organisée au Qatar, Pfizer et Zelensky se seraient associés pour offrir un voyage de rêve inoubliable aux femmes enceintes qui on fait leur 5e dose bivalente.

Nous vous rappelons que le rapport bénéfice vs risque de la vaccination pour les femmes enceintes est toujours favorable quand bien même celle-ci n’a pas été évaluée et encore moins pour le vaccin bivalent.

Rien n’a encore été publié, mais notre magazine est en mesure de vous fournir des informations sur le déroulé de ce sympathique concours (qui n’a pas été confirmé).

Il suffirait d’envoyer une photo de son bébé mort-né en n’omettant pas de joindre les vignettes des 5 doses de vaccin. Les candidates et les candidats (je vous rappelle que les hommes peuvent aussi avoir des bébés) qui auraient/auront fourni les 10 meilleures photos de leur bébé mort gagneraient/gagneront un voyage VIP au Qatar et auraient/auront les photos de leur bébé affichées sur écran géant dans les stades.

Quant au vainqueur ou à la vainqueuse du concours, celle-ci se verrait offrir un bébé de moins d’un mois volé à une Ukrainienne du Donbass. Rassurez-vous, ce bébé serait lavé de toute trace russe et donné avec une garantie décennale et bien évidemment vacciné.

À vos doses pour mettre le maximum de chances de votre côté !

Ravages de l’alcool

Voici le déroulé du fait divers qui nous a été rapporté et dont nous ne pouvons vous confirmer l’exactitude :

Mercredi soir 23 h, Marcel et Maurice de la rédaction de LCI se seraient rendus dans un bar plus de deux heures auparavant. Ils auraient enchaîné vodka sur vodka en trinquant « Fuck Poutine ! ».

Maurice aurait alors navigué sur le site d’Amazon41 et tapé « mini bombe nucléaire ». Il serait tombé sur une boîte de rangement au look rétro d’une bombe nucléaire (tiré du jeu vidéo fallout 4).

C’est à ce moment-là, à moitié effondré qu’il aurait déclaré à Marcel qui montrait alors son cul à une photo du dictateur :

« Je te parie que je peux faire passer à l’antenne la bombe et faire croire que Poutine possède 2000 mini bombes nucléaires de ce type. »

Marcel complètement bourré, le pantalon sur les chevilles, lui aurait répondu :

« Arrête tes conneries, on raconte n’importe quoi au public sur la guerre depuis des mois, mais là ça passera pas, c’est trop gros. Si tu y arrives, c’est moi qui paye demain ! »

Le lendemain, Maurice dicte le sujet à une présentateuse et lui dit :

« t’inquiète pas, je m’occupe du visuel : »

Je vous fais grâce de la suite des événements. Le fait est que Maurice a gagné le pari et la « bombe » est passée à l’antenne42 (information vérifiée).

L’alcool semble être un problème systémique à la rédaction de LCI qui quelques jours auparavant déclarait qu’il n’y avait eu aucune manifestation à Paris samedi et que c’était de la désinformation russe (information vérifiée).

Nous qui pensions que seuls les russes étaient saouls toute la journée, visiblement il n’en est rien.

À noter que LCI a réagi suite à la réaction des internautes en précisant :

« Contactée par CheckNews, la chaîne indique que ces “mini-nuke, comme la journaliste le mentionne, suscitent l’interrogation quant à leur existence réelle et à leur représentation”. Si effectivement les journalistes en plateau questionnent le fait que les bombes nucléaires tactiques russes aient pu être déjà testées ou qu’elles soient même opérationnelles, ils n’abordent toutefois pas la question de leur représentation. Reste que pour la chaîne, “le visuel utilisé à l’antenne est une évocation”. Et LCI de s’interroger : “Aurait-on dû sourcer cette évocation par une mention écrite ou orale ? Il s’agit d’un manque de précision43.” »

Comme quoi on peut dire et montrer n’importe quoi et ça passe. Il est probable que Marcel et Maurice recommencent à faire une autre blague. Sujet à suivre…

Plus léger :

Blague de potaches à l’ONU !

Nous vivons une période extrêmement anxiogène entre le Covid, la variole du singe, la grippe de la tomate, le dérèglement climatique, l’agression de Poutine, la crise énergétique et j’en passe… Il est donc indispensable de décompresser régulièrement.

Le magazine 20 Minutes44 a publié une Photo du président à l’ONU devant une salle quasiment vide qui pourrait laisser croire que les paroles de notre grand monarque n’intéressent personne. Un peu comme la blague du Président et Poutine45 assis à une table de 10 mètres qui a tant faire rire…

Immédiatement les complotistes se sont emparés de cette photo faisant croire que notre Chef d’État était un pantin ridicule dont personne ne prenait les discours au sérieux.

Nous avons donc enquêté et appris que les 193 pays et délégations avaient décidé de faire une blague au Président, lui laissant croire que personne ne voulait l’écouter. Instant de franche rigolade à l’ONU…

Bien entendu la salle était comble 10 minutes plus tard sans compter une foule de 10 000 personnes devant l’écran géant au pied de l’immeuble de l’ONU.

Notez que Biden ne bénéficie absolument pas de la même popularité. Lors de son intervention, nous avons constaté que la salle était totalement pleine pour son discours46, Preuve que les chefs d’État et leur délégation n’ont pas la même complicité qu’avec notre Président si humain et sympathique.

Le peuple russe vent debout contre Poutine le barbare

Une quarantaine de manifestations ont eu lieu dans le pays suite à l’annonce par le tyran d’une mobilisation partielle des réservistes. Sur l’antenne de notre excellent confrère BFM un reportage diffusé ce jeudi 22 septembre à 9 h 10 nous annonçait :

« Des dizaines de manifestants jeunes qui ne veulent pas être enrôlés dans l’armée ».

L’Ong Ovd Info qui compte une centaine de bénévoles47 a déclaré que 1 300 manifestants48 auraient été interpellés. Nous pensons, de source sûre, qu’ils ont aussi été torturés.

Si nous prenons les données de l’AFP qui aurait vu 50 interpellations, le fait qu’il y ait eu des manifestants dans une quarantaine de villes, qu’au lieu de dizaines de manifestants, il y en avait une centaine, nous voyons bien que cela tient la route… Nous pouvons même penser que 100 % des manifestants auraient été arrêtés, ce qui prouve bien le côté répressif du monstre.

Tout ceci est bien la preuve de l’impopularité grandissante du dictateur qui vit ses derniers jours.

La propagande russe a beau essayer de nous faire croire qu’il est populaire et que des milliers d’appelés se rendent avec joie à la guerre, nous ne sommes pas dupes. Poutine voit bien combien il est impopulaire dans son propre pays. Il ne peut l’ignorer.

Simulacre de démocratie dans les territoires de l’est de l’Ukraine — Demander l’avis au peuple ? Une pratique de barbares anti-démocrates !

L’enculé de Poutine organise des référendums49 dans les régions russophones de l’Ukraine. Notre lumineux Président a vivement réagi à l’ONU en disant que :

« Les référendums n’ont aucune existence légale ».

Et d’ajouter :

« C’est un retour à l’âge de l’impérialisme et des colonies »

Impérialisme, colonies, deux mots qui n’ont strictement rien à voir avec l’Histoire de France.

Selon certaines sources non vérifiées, il en aurait profité pour rappeler que le référendum d’adhésion de l’Ukraine à l’Europe pourrait être organisé dans les 3 prochains mois. Afin de garantir la démocratie, seuls les électeurs pro-européens pourraient y participer. Nous attendons avec impatience les résultats des votes qui sont déjà comptabilisés, mais non encore publiés (pour préserver la démocratie).

À partir du vendredi 23 septembre, les habitants de ces régions ont été amenés à répondre à la question suivante :

« Voulez-vous entrer dans la Fédération de Russie ? »

Aucun chef d’État occidental n’a été dupe et ils ont déclaré que « quelque soit la décision du peuple à s’autodéterminer celle-ci n’aura aucune valeur. »

En toute logique l’ONU a décidé de ne pas envoyer d’observateurs afin de vérifier si les élections auront été organisées de matière démocratique.

De toutes les façons on s’en tape ! Même si les russophones veulent retourner dans le giron russe, on n’en a rien à foutre. Ils resteront dans le territoire ukrainien, ce qui permettra à l’armée ukrainienne de continuer de les bombarder comme ils le font depuis 2014.

Inauguration d’un parc éolien par notre lumineux guide

C’est par une belle journée que notre sérénissime a inauguré un parc éolien au large de Saint-Nazaire. Le soleil était au rendez-vous pour notre roi du même nom et afin de prouver au Président que les éoliennes étaient l’avenir, le vent a eu la gentillesse de souffler sur 2 éoliennes parmi les 80 !

Il faut dire qu’une inauguration d’un parc avec 0 éolienne tournant aurait manqué de panache.

Ce parc, les jours où il y a du vent… mais pas trop non plus, pourrait fournir 480 Mégawatts.

Heureusement la centrale thermique au charbon de Cordemais50, d’une puissance de 1200 Mégawatts et située à une trentaine de kilomètres de Saint-Nazaire était là pour palier les jours où il n’y a pas de vent. Tout le monde sait, et en premier lieu les Allemands, que les centrales à charbon ou au gaz polluent beaucoup moins que les centrales nucléaires. C’est donc spontanément que la centrale à charbon a fourni son électricité au parc pour faire tourner deux éoliennes du parc comme le montrent les images51.

Le vent52 soufflait entre 5 et 10 km/h selon la météo, ne permettant pas aux éoliennes de se lancer. Celles-ci fonctionnant entre minimum 15 km/h (avec une faible production) et 90 km/h où elles passent en sécurité53.

À moins que, hypothèse très logique, le vent ne se soit focalisé sur 2 éoliennes, prenant soin d’éviter toutes les autres qui étaient autour.

Euthanasie active : enfin de la place !

Un projet de loi pourrait être déposé sur l’euthanasie et le suicide assisté54.

Enfin une loi pour l’égalité des chances !

Étant donné que de nombreux Français ne peuvent pas vivre dans la dignité, le projet est de permettre à tout un chacun de mourir dans la dignité.

Le gouvernement n’en est pas à son coup d’essai. Nous savons tous que le Covid nous est tombé dessus sans que nous soyons préparés.

  • Il n’y avait aucun traitement.
  • Il était irresponsable de fournir un traitement habituel pour une maladie mortelle.
  • Il fallait donc empêcher les médecins de mal soigner et donc leur interdire de voir leurs patients.
  • Il fallait protéger les médecins impuissants qu’ils auraient pu contaminer.

Et comme les réas étaient débordées et les services fermés :

  • Il fallait absolument empêcher les personnes trop âgées d’occuper des lits de réanimation.

Ici encore l’équité et la morale ont primé !

Au lieu de faire une sélection totalement arbitraire entre les patients qui avaient des chances de s’en sortir et des patients considérés comme foutus, le gouvernement a décidé d’une limité d’âge (uniquement pour les gueux).

TOUT LE MONDE SUR UN PIED D’ÉGALITÉ !

  • « Tu sembles avoir les symptômes du Covid, quand bien même ils ressemblent à ceux d’une grippe. »
  • « Tu as plus de 80 ans. »

Alors :

  • Interdiction d’aller à l’hôpital pour protéger les jeunes.
  • Interdiction de tout traitement parce qu’il n’existe pas, soyons logiques.
  • Un petit paracétamol pour soulager à fièvre.

Et…

C’est là que l’humanité et le respect de la dignité humaine s’inscrivent totalement dans le projet.

On finit le vieux ou la vieille au Rivotril ! Si on ne laisse pas souffrir un chien pourquoi laisserions-nous souffrir un vieillard ?

Et bien pour le nouveau projet d’euthanasie c’est la même chose ! Au nom de quelle barbarie laisserions-nous vivre, le mot est impropre, survivre, un déchet de l’Humanité à qui il ne reste que quelques mois de fonctions biologiques ?

Soyons humains, finissons les vieux !

Économie tout va mieux !

L’Insee annonce qu’il y a une baisse de la hausse de la dette… Si, si !

« La dette publique française ralentit sa progression avec une hausse de 6,2 milliards d’euros au deuxième trimestre55 »

Attention, ne nous méprenons pas, il s’agit bien d’une baisse de la hausse et non d’une hausse de la diminution de la dette ! Comprenez que si nous avions assisté à une hausse de la hausse, c’eut été une mauvaise nouvelle.

La dette n’a donc augmenté que de 6,2 milliards ce trimestre. Ce qui est la preuve d’une excellente gestion. Pourquoi, me direz-vous ?

Tout simplement parce que celle-ci avait augmenté de 89 milliards, soit 3 % le trimestre précédent. Ce qui prouve que le gouvernement avait extrêmement bien anticipé le besoin supérieur de dette et qui a donc permis de réaliser une économie substantielle de diminution de l’augmentation pour ce trimestre.

Quant au chômage « il est presque stable56 » c’est-à-dire qu’il augmente peu en passant de 7,3 à 7,4 %.

On dit merci qui ?

Les Russes bientôt affamés

Le magazine Slate57 dont le principal actionnaire est Rothschild et un des fondateurs Jacques Attali, ne se trompe pas, les Russes sont au bord de l’abîme.

« Les baisses des exportations du pétrole, de métaux, de produits chimiques pour le bois, pourraient être si durables que “ces secteurs cesseront d’être les moteurs de l’économie”. Quant à la coupure du gaz destiné à l’Europe, si elle est une nouvelle difficile pour cette dernière, elle pourrait coûter chaque année à l’État russe 6,6 milliards de dollars, soit à peu près la même chose en euros, en taxes diverses. Comme l’embargo sur le pétrole du pays, cette perte nette risque de peser lourd sur les investissements du pays dans son si précieux secteur énergétique, et mettre ainsi en grand péril ses revenus futurs. »

Et de rajouter :

« Même le secteur agricole et agroalimentaire souffre, au point de peut-être rapidement pousser les Russes à changer et à réduire leur consommation de nourriture. »

Mais attention ! Des agents russes ou pro- Russes sont à la manœuvre.

La propagande est partout comme cette Russe payée par Poutine qui diffuse des prétendues images d’un supermarché russe Globus58 débordant de victuailles et montrant des Russes faire leurs courses tranquillement. Cette vidéo publiée le 19 septembre est un faux, bien entendu.

Elle a été tournée bien avant la crise avec des figurants, comme du temps de la guerre froide !

Les faussaires vont jusqu’à présenter du porc avec une fausse date d’emballage du 15 septembre 2022 et une date d’expiration du 20 septembre 2022. Le prix affiché de 619 roubles le kilo, soit 11 euros étant aussi un faux grossier, le prix d’un kilo de viande étant désormais l’équivalent d’un mois de salaire59.

Il faut être d’une extrême vigilance et c’est bien pour cela que YouTube devrait être définitivement fermé. Nous ne le dirons jamais assez :

« Si ce n’est pas dans les médias, c’est que c’est faux ! »

Le traître Régis le Sommier, quant à lui, osait déclarer récemment sur Cnews60

« J’étais en Russie j’ai pu constater comment un axe commercial anti-sanction entre Istanbul et Dubaï61 était mis en place. »

Et de rajouter :

« Les sanctions marcheront lorsqu’il y aura des queues dans les magasins et ce n’est absolument pas le cas en ce moment en Russie. »

Bien heureusement, il existe encore des hommes forts, courageux, intègres, honnêtes, dévoués qui n’hésitent pas à prendre le risque de tacher leur costume pour sauver la veuve et l’orphelin. Vous aurez compris que je parle de l’immense philosophe que le monde nous envie, le philosophe humaniste désintéressé Bernard Henry Lévy.

Et quand l’immonde Le Sommier cherche à le salir en lui demandant pourquoi il ne porte ni casque ni gilet pare-balles62 sur la ligne de front et pourquoi les héroïques Ukrainiens ne lui en prêtent pas, le grand homme renvoie dans ses cordes l’immonde personnage :

« Moi je ne me balade pas dans mes bagages avec un casque ou un gilet pare-balles. »

« J’ai pour règle, quand j’en ai le choix, de laisser le casque à ceux qui en ont le plus besoin ! »

Comment ne pas avoir une larme à l’œil, ne pas être submergé d’émotion en entendant les propos de ce héros !

Plus de visas pour les Russes

Selon La Tribune63, dans un article du 29 août 2022 :

« L’Union européenne a acté, ce mercredi, la suspension complète de l’accord en vigueur entre Bruxelles et Moscou facilitant l’attribution de visas aux ressortissants russes voulant voyager dans les pays de l’espace Schengen. Une mesure demandée par la République tchèque et les pays voisins de la Russie. Reste encore à trancher la question d’une interdiction totale des visas pour les Russes. »

Mais ici encore la propagande russe64 a encore frappé. Des comédiens russes ont prétendu pouvoir obtenir un visa vers l’Espagne en quelques minutes et pour 50 euros… Tout ceci n’est que mensonge.

Les Russes sont prisonniers, aucun pays européen ne veut d’eux !

Boom éconologique

Le marché du quota de CO2 en explosion65. Saluons le génie de l’homme qui a réussi à convertir la lutte contre le réchauffement climatique en marché florissant. Le « rien » se négocie désormais à prix d’or atteignant presque les 100 milliards de dollars.

Pendant que les Chinois ou les Américains se maintiennent en dehors du marché du carbone, les Européens ont mis en place en 2005 des quotas d’émissions de CO2, gaz au combien polluant et mortel comme nous le savons tous… Imaginez ces pauvres plantes contraintes de grandir plus vite du fait de l’augmentation du gaz mortel pour la planète.

Bref, il faut désormais payer pour « polluer » (émettre du CO2). Cela pousse les entreprises à être écolos ou délocaliser leur production ! Mais comme les Européens sont intelligents, toutes les entreprises « polluantes » qui pourraient délocaliser disposent d’un crédit carbone gratuit, d’un droit à « polluer » !

C’est ainsi qu’il existe une bourse d’échange de la tonne de CO2. Le prix est totalement libre et fonction de l’offre et la demande. Celui qui en a moins besoin peut en vendre et celui qui en a plus besoin en acheter. Bien heureusement des spéculateurs se sont emparés du marché en essayant d’acheter à bas prix et revendre à prix fort. De l’art de s’en mettre plein les poches pour « sauver la planète ».

Oui, car la mesure est 100 % efficace. Il est important de la maintenir et même de l’augmenter ;

Les émissions de CO2 en Europe66 sont passées de 11 % des émissions mondiales à 7 % en 2019. Grâce à nous le monde va mieux, car dans le même temps, les émissions sur la planète sont passées d’environ 38 000 mégatonnes de CO2 par an à 47 000 mégatonnes. De l’art de délocaliser la pollution vers les pays pauvres qui « polluent » de plus en plus, mais pour nous !

Grâce à ces belles lois européennes, nous sommes donc moins « pollués », mais aussi moins riches.

Drame en Italie

« La candidate néo-fasciste Giorgia Meloni revendique la victoire aux élections législatives italiennes » BFM67

« Législatives italiennes : le parti post-fasciste Fratelli d’Italia de Giorgia Meloni sort en tête » La Tribune68

« Législatives en Italie : victoire historique de l’extrême droite69 »

Alors que la secrétaire générale du parti socialiste libéral européen, Mme Leyen avait menacé les Italiens s’ils votaient « mal », rien n’y a fait.

« Si les choses vont dans une direction difficile, j’ai parlé de la Hongrie et de la Pologne, nous avons des instruments », a mis en garde la présidente de la Commission européenne en réponse à une question sur les élections de dimanche en Italie pour lesquelles une coalition droite/extrême droite est annoncée favorite dans les sondages70 »

Nous avons les outils pour… (vous pourrir la vie si vous votez mal).

La presse est unanime pour souligner les heures sombres :

« Si Giorgia Meloni l’emporte, avec ses alliés berlusconiens de Forza Italia et d’extrême droite de la Ligue, l’Italie est promise à des heures sombres. Sa formation est truffée de nostalgiques de Benito Mussolini71 »

« Si l’Italie est bien le laboratoire politique de l’Europe que l’on dit, alors ce sont des heures sombres qui se dessinent… En Italie comme en France, mais aussi en Grande-Bretagne, dans les pays de l’Est ou aux États-Unis bien sûr, la gauche s’est effondrée. La droite “classique”, elle, a été phagocytée et puis détruite par une extrême droite xénophobe et nationaliste qui se pose désormais en seule alternative crédible à une social-démocratie essoufflée72. »

« Italie : cinq raisons qui montrent que Giorgia Meloni ne fera pas avancer les droits des femmes. Mais pour les médias et les observateurs politiques, elle est vue comme l’héritière des heures sombres fascistes de l’Italie73. »

« L’étude montre également que les populistes sont plus susceptibles de porter atteinte de manière durable à l’État de droit et aux institutions démocratiques par des réformes remettant en cause le principe de séparation des pouvoirs, l’indépendance de la justice ou encore la liberté de la presse74. »

« Le risque que s’instaure un gouvernement autoritaire et rétrograde sur les libertés civiles75. »

« Les partis démocratiques traditionnels. Ces derniers feraient mieux de faire leur autocritique en se demandant comment et pourquoi une telle situation où les partisans de l’autoritarisme, de la restriction des libertés ou encore de la division entre les populations sont en train de gagner du terrain. Sans cette introspection, la peste brune poursuivra sa progression au point de contaminer d’autres pays de l’Union européenne76. »

L’heure est grave ! Après la Suède, la France (législatives), la Hongrie, voici que l’Italie plonge dans les heures sombres du fascisme.

Comment les électeurs peuvent-ils être aussi bêtes pour ne pas voir que la social-démocratie européenne et Mme von der Leyen sont les garantes des droits de l’homme et des libertés ?

Ni l’Europe ni la France n’ont produit la moindre censure de médias ou leur interdiction. Seuls les désinformations et les médias ennemis comme RT sont supprimés.

Jamais il n’y a eu la moindre restriction des libertés ! Obligation du masque, confinements, pass sanitaires, QR-codes, obligations vaccinales n’ont été mis en œuvre QUE pour protéger les citoyens et les libertés.

Jamais il n’y a eu destruction de nos valeurs, de la famille ou de ce qui nous unit ! L’Europe nous ouvre à la différence, à la GPA, au droit à l’avortement jusqu’au terme, au suicide assisté, au Wokisme, à l’identité de genre, aux privilèges blancs et j’en passe.

Les futurs confinements énergétiques et passe-carbone seront aussi garants des libertés pour sauver la planète et la démocratie.

Les institutions ont été remplacées par des conseils de défense, Von der Leyen s’est retrouvée à la tête de l’Europe, mais uniquement pour protéger les institutions et les droits de l’homme.

C’est bien pour cela que :

  • Il faut lutter contre le fascisme.
  • Il faut lutter contre l’antisémitisme.
  • Il faut lutter contre ces arriérés qui croient que la famille ou l’hétérosexualité ne sont pas des maladies.
  • Il faut lutter contre tous ces populistes qui veulent rétablir le pouvoir du parlement désigné par un peuple irresponsable.
  • Il faut lutter contre Giorgia Meloni et tous ses amis.

Ils sont criminels en voulant supprimer les pass vaccinaux ou carbones et laisser des non-vaccinés assassiner hommes, femmes et enfants vaccinés protégés par leur injection efficace ! Ils sont irresponsables en voulant mettre en place des référendums d’initiative populaire ! Ils sont fous en voulant séparer les pouvoirs exécutifs, législatifs et judiciaires ! Ils sont malades en voulant limiter le pouvoir des banques et autres Goldman Sachs, des lobbies et lutter contre la corruption systémique !

La France et l’Europe se souviennent encore du référendum de 2005 et la décision folle et irresponsable du peuple français que nous avons dû contrarier pour rétablir la démocratie et sauver l’Europe.

Ces fascistes veulent le chaos, la suppression de la démocratie et la suppression des libertés.

Nous devons descendre dans la rue et dire non au fascisme, non à l’autodétermination des peuples, non à Giorgia Meloni et oui au contrôle de la population par l’État, oui à l’autocratie pour sauver les droits de l’homme et aller vers le Grand Reset !

Je finirai par cette merveilleuse phrase de notre grand oracle Klaus Schwab :

« Vous ne posséderez rien et vous serez heureux »

Signal
C’était l’hebdo du 26 septembre 2022.

Merci

Alain Tortosa
https://7milliards.fr/tortosa20220626-signal-pour-une-presse-libre-et-objective.pdf


1 Première publication 15 avril 1940

2 https://www.ladepeche.fr/2022/09/23/8e-vague-de-covid-19-la-circulation-du-virus-accelere-sante-publique-france-appelle-au-respect-des-gestes-barrieres-10588210.php

3 https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/video-envie-d-emmerder-les-non-vaccines-j-assume-totalement-declare-emmanuel-macron-apres-sa-declaration-controversee_4907985.html

4 https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&f=0&i=sp_jour.t&s=2022-09-20&t=a01&view=map2

5 Ceci était un communiqué du Ministère de la Vérité

6 https://www.francetvinfo.fr/economie/energie/crise-energetique-pourra-t-on-recharger-les-voitures-electriques-cet-hiver_5377450.html

7 https://www.usinenouvelle.com/editorial/l-instant-tech-comment-rte-va-recuperer-l-energie-des-batteries-des-voitures-pour-equilibrer-le-reseau.N1789067

8 https://www.caroom.fr/guide/voiture-propre/electrique/recharge/batterie/duree-de-vie

9 https://www.tomsguide.fr/tesla-combien-coute-le-remplacement-dune-batterie/

10 https://www.cidj.com/vie-quotidienne/psycho-sante/pilule-du-lendemain-une-contraception-d-urgence

11 https://odysee.com/@PhilippeLeBel:4/’’’-Pizzagate-’’’—R%C3%A9sum%C3%A9-complet:e

12 https://fr.sports.yahoo.com/news/andrew-remercie-maman-elizabeth-ii-141200321.html

13 https://www.ndtv.com/world-news/joe-bidens-she-was-12-and-i-was-30-remark-shocks-internet-3373556
https://www.youtube.com/watch?v=fuQflEmf1Ug

14 Cf Les Nuls Canal+

15 https://www.ouest-france.fr/monde/guerre-en-ukraine/guerre-en-ukraine-tirs-d-obus-et-risques-d-incendie-a-zaporijjia-le-point-au-185e-jour-218ceccc-2633-11ed-9d6f-e4e04df431ef

16 https://www.capital.fr/votre-retraite/retraite-le-regime-dans-le-vert-en-2021-et-2022-avant-une-rechute-1445903

17 Un décret exceptionnel permettant de les finir proprement avait été mis en œuvre pour l’odieux Covid

18 https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/cinema/plan-75-un-incroyable-film-danticipation-japonais-sur-leuthanasie-07-09-2022-J7MZO2YLH5HRTLP5KYV6NHSA3U.php

19 https://www.anguillesousroche.com/education/des-ecoles-woke-enseignent-aux-enfants-de-4-ans-comment-se-masturber/

20 https://www.amazon.com/EDUCATION-8-12-year-olds-PARENTS/dp/1549718371

21 http://www.grippe-geig.com/LeGEIG.html

22 https://www.leparisien.fr/archives/les-multiples-casquettes-du-professeur-lina-29-10-2009-691695.php

23 https://www.huffingtonpost.fr/france/article/ces-vaccins-anti-covid-etaient-tres-attendus-ils-arrivent-enfin_207695.html

24 https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/rhone/lyon/vaccin-anti-covid-professeur-bruno-lina-repond-aux-questions-que-vous-vous-posez-1903214.html

25 https://www.lefigaro.fr/international/2014/03/04/01003-20140304ARTFIG00312-l-armee-ukrainienne-un-david-face-au-goliath-russe.php

26 https://www.tf1info.fr/international/video-guerre-ukraine-russie-5937-soldats-russes-sont-morts-depuis-le-24-fevrier-un-chiffre-bien-en-deca-des-estimations-occidentales-2232962.html

27 https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/manifestations-en-ukraine/vrai-ou-fake-la-grece-transporte-t-elle-le-petrole-russe_5364403.html

28 https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/histoires-d-info/on-n-a-pas-de-petrole-mais-on-a-des-idees-en-1976-on-passe-a-l-heure-d-ete_1774731.html

29 https://twitter.com/rtlfrance/status/1570307628256923654

30 https://www.radiofrance.fr/franceinter/covid-que-vont-devenir-les-50-millions-de-doses-de-vaccin-de-premiere-generation-4808707

31 https://www.lemoniteurdespharmacies.fr/actu/actualites/actus-medicaments/vaccins-anti-covid-19-date-de-peremption-a-nouveau-prolongee.html

32 https://www.tf1info.fr/sante/covid-19-la-suisse-doit-jeter-10-millions-de-doses-de-vaccin-moderna-2233332.html

33 https://news.un.org/fr/story/2022/09/1127481

34 https://linsoumission.fr/2022/09/15/envoyez-vos-factures-a-poutine/

35 https://www.japantimes.co.jp/news/2022/09/06/world/russia-north-korean-artillery-us-intelligence/

36 https://duckduckgo.com/?t=ffab&q=pertes+russes+durant+les+pr%C3%A9cedents+conflits&ia=web

37 https://www.telegraph.co.uk/world-news/2022/04/22/exclusive-france-germany-evaded-arms-embargo-sell-weapons-russia/

38 https://cf2r.org/rta/russie-munitions-guidees-stop-ou-encore/

39 https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/fr/SPEECH_22_5493

40 https://www.lejdd.fr/Politique/polemique-sur-le-voile-blanquer-doit-se-taire-selon-jean-luc-melenchon-3927239

41 https://www.amazon.fr/rangement-stockage-r%C3%A9sine-cr%C3%A9ative-mini-rangement/dp/B09Z2F56WZ/ref=sr_1_2?crid=P2HU33LN7II9&keywords=mini+nuke+bomb&qid=1663774152&sprefix=mini+nuke%2Caps%2C75&sr=8-2

42 https://t.me/trottasilvano/26436

43 https://www.liberation.fr/checknews/lci-a-t-elle-illustre-un-sujet-sur-les-armes-nucleaires-avec-des-images-du-jeu-video-fallout-20220921_QHMEARC2HNGLPA4GLFTD25SHAY/

44 https://www.20minutes.fr/monde/4001816-20220921-onu-emmanuel-macron-accuse-moscou-faire-revenir-monde-age-imperialismes-colonies

45 https://www.letemps.ch/monde/cette-longue-table-separait-emmanuel-macron-vladimir-poutine

46 https://www.bfmtv.com/international/amerique-nord/etats-unis/ukraine-le-discours-de-joe-biden-a-l-onu-en-integralite_VN-202209210538.html 6 min 46 s

47 https://www.lepoint.fr/monde/russie-ovd-info-la-petite-ong-qui-tente-de-venir-en-aide-aux-opposants-04-08-2019-2328260_24.php

48 https://www.tf1info.fr/international/video-manifestations-en-russie-contre-la-mobilisation-militaire-de-vladimir-poutine-plus-de-250-personnes-arretees-2233009.html

49 https://news.un.org/fr/story/2022/09/1127481

50 https://www.edf.fr/centrale-thermique-cordemais

51 https://www.confort-energie-renouvelable.com/pourquoi-les-eoliennes-tournent-quand-il-n-y-a-pas-de-vent/

52 https://www.ouest-france.fr/meteo/pays-de-la-loire/saint-nazaire-44600/la-meteo-du-jour-a-saint-nazaire-ef3f6dae-73ce-540d-bfb7-d069404be584

53 https://www.edf.fr/groupe-edf/espaces-dedies/l-energie-de-a-a-z/tout-sur-l-energie/produire-de-l-electricite/le-fonctionnement-d-une-eolienne

54 https://www.letelegramme.fr/france/fin-de-vie-euthanasie-suicide-assiste-le-comite-d-ethique-rend-un-avis-attendu-ce-mardi-13-09-2022-13177872.php

55 https://www.lopinion.fr/economie/la-dette-publique-francaise-ralentit-sa-progression-avec-une-hausse-de-6-2-milliards-deuros-au-deuxieme-trimestre

56 https://www.journaldunet.com/management/conjoncture/1038148-chomage-en-france-le-taux-de-chomage-reste-presque-stable-160822/

57 https://korii.slate.fr/biz/economie-rapport-russe-confidentiel-confirme-sanctions-occidentales-font-tres-mal-energie-production-recession-rouble

58 https://www.youtube.com/watch?v=TuI_ESaQpJQ

59 Salaire moyen Moscou 1562 €.
https://www.combien-coute.net/salaire-moyen/russie/moscou/
Salaire moyen Marseille 1527 €
https://www.salairemoyen.com/revenus.php?Commune=13055

60 https://twitter.com/i/status/1573963682362675206

61 https://vk.com/wall706212792_3304

62 https://twitter.com/Europe1/status/1573958609150656513?s=20&t=LqvMyfbYM2arWVC83asFdw

63 https://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/ue-discussions-autour-de-la-suspension-des-visas-pour-tous-les-russes-928752.html

64 https://www.youtube.com/watch?v=eJ70wVZPPKE

65 https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/les-revenus-du-carbone-frolent-les-100-mds-usd-dans-le-monde-en-2021-1672e218d2d932952187381ae568847c

66 https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/services/indicateurs-environnementaux/emissions-gaz-effet-serre-echelle-mondiale.html

67 https://www.bfmtv.com/international/europe/italie/la-candidate-neo-fasciste-giorgia-meloni-revendique-la-victoire-aux-elections-legislatives-italiennes_VN-202209260015.html

68 https://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/italie-le-risque-d-une-coalition-d-extreme-droite-au-pouvoir-inquiete-bruxelles-et-les-marches-934050.html

69 https://www.lepoint.fr/monde/italie-la-coalition-de-droite-largement-en-tete-25-09-2022-2491281_24.php

70 https://www.lefigaro.fr/international/italie-salvini-exige-des-excuses-ou-la-demission-de-von-der-leyen-20220923

71 https://www.humanite.fr/monde/italie/legislatives-l-extreme-droite-italienne-en-position-de-force-760921

72 https://www.dna.fr/politique/2022/08/13/l-avertissement-italien

73 https://www.elle.fr/Societe/News/Italie-cinq-raisons-qui-montrent-que-Giorgia-Meloni-ne-fera-pas-avancer-les-droits-des-femmes-4060611

74 https://basta.media/Elections-suede-italie-la-resistible-ascension-de-l-extreme-droite-europeenne-fratelli-d-italia

75 https://www.24heures.ch/meloni-doit-choisir-entre-devenir-une-ducetta-ou-une-draghetta-392626775458

76 https://lpost.be/2022/09/26/un-automne-gris-en-italie-qui-sonne-comme-un-avertissement-pour-leurope/




Stratégie du choc et ingénierie de la soumission : vers un « blackout » programmé au service du Reset ?

[Source : LHK]

Par Vincent Held

C’est comme on le sait à l’auteur canadien Naomi Klein que l’on doit la notion de « stratégie du choc », à laquelle elle a consacré un livre éponyme paru en 2007. Pour expliciter cette notion de « stratégie du choc », Naomi Klein commence par décrire la méthodologie des célèbres expériences de « contrôle mental » que la CIA avait élaborées à partir des années 1950 :

« La torture, ou « l’interrogatoire coercitif » comme on l’appelle à la CIA, est un ensemble de techniques conçues pour plonger les prisonniers dans un état de choc et de désorientation grave et les forcer à faire des concessions contre leur gré. La logique de la méthode est exposée dans deux manuels de l’agence qui ont été déclassifiés à la fin des années 1990. On y explique que la façon de vaincre les résistances des « récalcitrants » consiste à provoquer une fracture violente entre le prisonnier et sa capacité à comprendre le monde qui l’entoure.« 

L’essentiel étant de faire en sorte que le prisonnier prenne « peur au point de perdre toute capacité à penser de façon rationnelle et à protéger [se]s intérêts ». Plongé dans un état « d’apathie » et de « paralysie psychologique », la personne concernée devient alors « une page blanche ouverte à toutes les suggestions ». C’est « le point de frappe idéal pour le bourreau, [le moment] où le sujet est le plus susceptible de coopérer ».

Pour Naomi Klein, des techniques de « fabrication du consentement » basées sur cette approche n’ont depuis lors cessé d’être appliquées à grande échelle à des populations entières, aux quatre coins du monde. Les séances d’électrochocs infligées aux cobayes involontaires de la CIA deviennent ainsi une allégorie de la manière dont les maîtres du jeu politique imposent leurs choix à des populations entières, en exploitant délibérément des situations traumatisantes. Comme lors des attentats du 11 septembre :

« Les attentats terroristes […] provoquèrent un choc différent de ceux qu’on imaginait dans les pages du manuel [d’interrogatoire de la CIA], mais leurs effets furent remarquablement similaires : profonde confusion, peur et angoisse extrêmes, régression collective. À l’image d’un interrogateur qui s’érige en « figure paternelle », l’administration Bush ne tarda pas à exploiter cette peur pour camper le rôle du parent protecteur, prêt à défendre par tous les moyens « la patrie » et ses « enfants » vulnérables. »

Dans idéal, il faudra que le « choc psychologique » et « la peur » qui paralysent la volonté des populations et les renvoie à l’état « d’enfants dépendants » s’accompagnent de mesures « d’isolement » physique et social :

« La privation de stimuli provoque une régression en empêchant le sujet d’avoir des contacts avec le monde extérieur, ce qui l’oblige à se replier sur lui-même. En même temps, la présence de stimuli bien dosés pendant l’interrogatoire fait en sorte que le sujet en régression tend à voir en l’interrogateur une figure paternelle. »

Il nous faut ici remarquer que cette « privation de stimuli » qui mène à la « régression » psychologique du sujet n’est pas sans évoquer l’effet des « mesures de confinement » (ou « lockdowns ») qui ont été imposées à des millions d’individus de par le monde ces deux dernières années.

« A l’origine, au XIXème siècle, le terme « lock-down » désignait […] une cheville utilisée pour tenir ensemble les poutres d’un radeau […] Ce n’est que dans les années 1970 que le terme « lockdown » a commencé à être utilisé pour signifier un état de confinement prolongé dans les prisons et les hôpitaux psychiatriques. » (The Guardian, « Les significations changeantes du terme lockdown », avril 2020)

De fait, ces véritables mesures d’incarcération à domicile auront eu pour principal effet observable d’empêcher les personnes concernées « d’avoir des contacts avec le monde extérieur » – et ce parfois de nombreuses semaines durant (comme en France en 2020)… Couplées à la désorientation causée par la peur d’une épidémie aussi redoutable (en apparence) que mystérieuse (modes de transmission inconnus), cet isolement et cette claustration arbitrairement imposés ont ainsi causé des dégâts psychologiques fort bien documentés…

En novembre 2020, le ministre de la Santé français constatait une explosion des « syndromes dépressifs » et autres « états anxieux » parmi ses administrés. Une évolution causée en particulier, d’après ses propres dires, par « le confinement ». Or c’est bien lui qui avait présidé audit confinement (long de 7 semaines !) quelques mois auparavant…

En résumé : c’est en apeurant et brutalisant les populations – puis en adoptant une attitude protectrice, qu’on les convainc de « coopérer » à des politiques qui vont directement à l’encontre de leurs propres intérêts – et même de leur simple bien-être physique et mental. En leur offrant ponctuellement des marques de compréhension – voire même de compassion – ainsi qu’une porte de sortie de crise (p.ex. un miraculeux vaccin « qui va permettre d’éviter un nouveau confinement »), la figure tutélaire qui préside aux sévices se transforme comme par enchantement en une « figure paternelle ». Si tout le monde « joue le jeu » tout se passera bien, nous prendrons bien soin de vous. Dans le cas contraire, on peut tout aussi bien retourner à la case torture. A vous de voir…

Les manuels d’interrogatoire de la CIA nous fournissent ainsi une clé de compréhension décoiffante pour expliquer le but véritable des « confinements sanitaires » qui auront été mis en œuvre avec tant de zèle sur tous les continents. Il est ainsi parfaitement envisageable que ces quarantaines généralisées, souvent imposées avec une brutalité impitoyable, aient en réalité participé d’une véritable ingénierie de la soumission. Les personnes traumatisées (à des degrés divers) par les rigueurs du « lockdown » se trouvant dès lors plus vulnérables aux « suggestions » du pouvoir politique, en particulier en matière vaccinale.

Mais comment revenir à la case « confinement », alors même que les tout nouveaux vaccins « omicron » seront prêts pour l’automne et qu’ils seront bien évidemment présentés comme efficaces (quoique sans avoir jamais été testés sur des humains) ? Quel « choc » suffisamment brutal pourrait-on alors bien administrer à un public qui manifestement se montre de plus en plus récalcitrant, afin de le convaincre de tendre à nouveau le bras pour une énième piqûre salvatrice ? D’autant plus que l’objectif affiché est aujourd’hui de passer à deux injections au cours de la saison froide !

L’enthousiasme de la population pour les piqûres semble connaître un petit coup de mou. Il est vrai que « le virus » s’avère moins létal qu’escompté. Et que la fréquence – et la sévérité – des « effets secondaires » liés aux injections précédentes commencent à être relativement bien connues…
En Allemagne, seules les personnes vaccinées au cours des trois derniers mois pourront désormais être considérées comme étant parfaitement « à jour » (frisch geimpft) en termes de statut vaccinal. Il s’agira donc de se faire vacciner deux fois au cours de la saison automne-hiver. Les critiques parlent de « vaccination-en-continu » (Dauerimpfen).
« Les ‘boosters’ [doses de rappel] sont recommandés au plus tard six mois après la vaccination complète – et le certificat covid demeurera valide pour un délai supplémentaire de trois mois après cela. »
(Ursula von der Leyen, 16 décembre 2021)

Face à ces ambitions vaccinales sans cesse croissantes, la solution qui permettra de « vaincre les résistances des récalcitrants » (elles aussi croissantes) pourrait bien venir d’un événement dont on tend à fortement sous-estimer la violence pour les populations appelées à le subir…

L’hypothèse du blackout se précise

Dans un article intitulé « Un blackout coûterait de nombreuses vies », la Frankfurter Allgemeine Zeitung se penchait récemment sur le « scénario de crise » d’une petite région rurale du Sud de l’Allemagne, le district de Rheingau-Taunus. Prenant au sérieux un récent audit commandé par les autorités locales à des spécialistes de la sécurité énergétique, le quotidien de référence allemand nous détaillait les désagréments que causerait dans cette région « une panne de courant complète » :

« Que faire si les stations-service ne fournissent plus de carburant faute d’électricité, si les réseaux de téléphonie et de téléphonie mobile tombent en panne, si les groupes électrogènes de secours se vident faute de diesel et si les chauffages tombent en panne sur tout le territoire ? […] À peine deux heures après le début de la coupure, de nombreux systèmes d’incendie et d’alarme ne fonctionneront plus et le réseau mobile sera en panne. Après huit heures, la radio numérique des services d’urgence sera également hors service. Au plus tard lorsqu’après 24 heures, les premières stations d’épuration du district cesseront également de fonctionner. […]

Des coupures de courant de courte durée, par exemple dans le cadre d’un rationnement, sont supportables. Mais un véritable blackout aurait des conséquences auxquelles le district ne pourrait que difficilement se préparer. Ce sera alors une autre vie, difficilement imaginable aujourd’hui. »

L’analyse prédisant en outre « plus de 400 morts dans les 96 premières heures » de la panne, dont 300 patients d’hôpitaux et 140 « autres décès ». Or, on parle bien ici d’un territoire minuscule (de la superficie d’un petit canton suisse), et peuplé de moins de 200’000 habitants !

Parmi les facteurs qui contribuent à l’engorgement des hôpitaux au cours d’un blackout prolongé, l’on compte : les incendies (p.ex. liés à l’usage de réchauds de secours, bougies et autres matériels inflammables), les accidents (notamment de circulation – il n’y a plus de signalisation) et autres hypothermies (liée à l’arrêt du chauffage – et pas seulement des chauffages électriques !). Des phénomènes qui, conjugués à la baisse (éventuellement drastique) de la capacité de prise en charge hospitalière, ne peuvent que contribuer à accentuer le coût humain de ce qui, a priori, pourrait passer pour une bête panne d’éclairage et de réfrigérateur.

On peut également se demander ce qu’il pourrait advenir dès la première nuit de coupure dans des villes déjà modérément sûres en temps normal telles que Paris, Londres, Berlin… Dans son célèbre « discours de Harvard » de 1976, Soljénitsyne relevait déjà la situation quelque peu bancale des États-Unis à cet égard :

« Le centre de votre démocratie et de votre culture est-il privé de courant pendant quelques heures, voilà que soudainement des foules de citoyens américains s’y livrent au pillage et au grabuge. »

Or il apparaît qu’aujourd’hui, même en Suisse :

« Il faut se préparer à des scénarios extrêmes, prévient le directeur général de la police Fredy Fässler. En cas de coupure du réseau, il est ’envisageable que la population se rebelle ou qu’il y ait des pillages’. » (Interview du président de la Conférence des directeurs cantonaux de justice au quotidien au quotidien Blick, 20.08.22)

Gageons alors qu’en cas de panne d’électricité de plusieurs jours, les habitants de bien des grandes villes européennes n’oseraient plus même mettre le nez dehors, indépendamment des éventuelles coupures d’eau courante et des problématiques de chauffage (et de cuisson) auxquelles ils pourraient dès lors se retrouver très rapidement confrontés…

Quoiqu’il en soit, le « choc psychologique » lié à un blackout prolongé serait assurément considérable. L’engorgement des hôpitaux, en particulier, permettrait de justifier aisément (et sans doute avec l’assentiment de vastes pans de la population « en état de choc ») de nouveaux « durcissements des mesures » en matière de « lutte contre le covid ». Dans ce contexte, le « traçage numérique complet » de la population déjà acté en Suisse par exemple (et qui permettrait de détecter sans l’accord des intéressés les « contacts avec des personnes infectées »), ainsi que la surveillance automatisée du « respect des gestes barrières » dans les lieux publics (gares, trains, supermarchés…), pourraient subitement devenir acceptables pour nombre de citoyens désorientés.

Outre d’éventuelles restrictions dans l’accès à l’argent liquide (réputé vecteur de microbes), de nouvelles contraintes pourraient être appliquées en particulier aux non-vaccinés, p.ex. en termes d’accès aux stations-service (comme ce fut le cas en Slovénie à l’automne 2021), voire même de prélèvements fiscaux.

On notera par ailleurs que le récent appel à la « responsabilité citoyenne » d’Emmanuel Macron en matière de consommation d’énergie (assorti de la menace d’user de « contrainte » si les efforts consentis devaient être jugés insuffisants) pourrait subitement s’imposer comme une évidence. Et ce, indépendamment du caractère quelque peu infantilisant de cette approche supposément basée sur « la solidarité ».

Les appels d’Olivier Véran (encore lui !) à consentir un « effort citoyen » basé sur « de petits gestes » à réaliser « au quotidien » s’apparente fortement à une technique de manipulation bien connue des psychologues sociaux (et en outre très utilisée en marketing) : celle dite du « pied dans la porte ». On notera également qu’il n’est pas question ici d’encourager le public à réduire ses factures d’électricité (ce qui pourrait bien être la motivation réelle de nombre d’auditeurs), mais bien de soutenir la collectivité en faisant quelque chose de « bon pour nos réserves [énergétiques] » et de « bon pour la planète » (ce qui renvoie aux notions de « requête socialement valorisante » et « d’attribution d’une étiquette d’altruisme », cf. ci-dessous).
Dans son ouvrage de référence sur les techniques de manipulation, le Prof. Guéguen présente la technique du « pied-dans-la-porte », les « requêtes socialement valorisantes » et « l’attribution d’une étiquette d’altruisme » comme autant de méthodes visant à obtenir « la soumission librement consentie » d’une partie de la population-cible qui, en l’espèce, sera dès lors « engagée » en faveur de la logique de rationnement esquissée par le gouvernement. Le fait d’insister sur le caractère volontaire de la démarche et de montrer que l’on se satisfera de toute contribution (« Il n’y a pas de petit geste. Chaque énergie [sic] économisée aujourd’hui, c’est une énergie dont nous serons sûrs de pouvoir disposer à l’automne et l’hiver prochains […] ces gestes du quotidien ont un très fort impact ») participant quant à eux de ce que l’auteur appelle « la soumission par induction sémantique » (cf. en particulier la technique du « Même un sou nous suffira »). Il apparaît donc qu’Olivier Véran applique ici des techniques standard de manipulation prévues pour « impliquer » le public et l’engager dans un « engrenage ». Une approche qui, en l’occurrence, pourrait bien préparer le terrain pour la phase plus « coercitive » de l’exercice déjà évoquée par le président français…
Face « à la pénurie de gaz » qu’il anticipe pour l’hiver, le gouvernement suisse aura pour sa part d’ores et déjà officiellement annoncé une limite de chauffage à 19 degrés le cas échéant. Un chiffre a priori peu inquiétant, mais qui pourra toutefois très certainement être revu à la baisse en fonction des conditions météorologiques.
En Suisse, des coupures de courant forcées et ciblant spécifiquement « certains utilisateurs » ont déjà été pratiquées des mois durant par la société Romande Énergie « en vue d’atténuer les pics de consommation ». Sans que cela pose de problème juridique, manifestement. Et si l’on coupait purement et simplement le jus (pour quelques heures, par exemple) aux clients qui consomment trop ?

Même des mesures aussi invasives que les « délestages » – soit des coupures de courant planifiées de plusieurs heures d’affilée – d’ores et déjà annoncées en Suisse ainsi qu’en France (cf. ci-dessous), ne manqueraient dès lors pas d’être accueillies de bonne grâce par bien des gens. Du moment qu’il s’agit d’éviter le blackout et son cortège de misères…

Se pourrait-il alors que les « confinements énergétiques » prennent le relais des « confinements sanitaires » ? On notera que cette hypothèse, qui n’était qu’une « rumeur de web » jusqu’à il y a peu, semble aujourd’hui en voie d’être adoptée par les médias officiels !

Enfin, un tel événement pourrait également représenter l’opportunité rêvée (les banques étant fermées et les bancomats hors-service) de procéder à des confiscations de l’épargne similaires à celles déjà réalisées à Chypre en 2013 (et qui auront été débattues dans le cas de la Grèce en 2015). Une mesure d’expropriation parfaitement légale donc, et dont France Stratégie nous expliquait il y a quelques années de cela qu’elle représenterait « la solution la plus évidente » au problème de la dette européenne…(([1] « Comment assurer la résorption des dettes publiques en zone euro ? », France Stratégie, Note d’analyse d’octobre 2017))

Une « pandémie de cyberattaques » comme catalyseur de la nouvelle normalité énergétique ?

« Il se peut que la Russie soit en train de planifier une cyberattaque contre nous. Et comme je l’ai dit, les capacités de la Russie en matière de cyberguerre sont tout-à-fait conséquentes – et ça va arriver. » (Joe Biden, 22/05/2022)

Il est impressionnant de constater à quel point les préoccupations du président américain rejoignent aujourd’hui celles du président du World Economic Forum, qui s’intéresse tant depuis plusieurs années au danger « effrayant » que représenterait pour nos sociétés « une pandémie de cyberattaques » :

« Nous avons prêté une attention insuffisante au scénario effrayant d’une cyberattaque d’envergure, qui provoquerait l’arrêt complet des approvisionnements énergétiques, des transports, des services hospitaliers – de notre société tout entière ! L’épidémie de covid passerait pour une perturbation mineure en comparaison d’une cyberattaque d’envergure. » (Extrait de l’allocution de Klaus Schwab à l’occasion de l’événement « Cyberpolygon 2020 », le 8 juillet 2020)

Une sombre prophétie qui, aujourd’hui, semble justement à deux doigts de se concrétiser par le truchement de la confrontation avec la Russie dans l’affaire ukrainienne…

Les menaces transparentes du président du Conseil de sécurité russe de recourir à des cyberattaques pour mettre hors ligne les centrales nucléaires européennes s’insèrent parfaitement dans le « scénario effrayant » dépeint par Klaus Schwab en juillet 2020.

Il n’est à cet égard pas anodin de constater que les exercices Cyberpolygon sont organisés par Sber Bank (le n°1 bancaire russe) et que les autorités du pays y sont également activement impliquées (le premier ministre Mikhail Mishushtin ayant notoirement participé à l’événement « Cyberpolygon 2021 », en compagnie de nombreux autres officiels russes – et de Klaus Schwab, bien évidemment). Or, si le « Cyberpolygon » vise à « renforcer la cybersécurité », il n’en inclut pas moins l’organisation de « cyberattaques à grande échelle » :

« Le 9 juillet 2021, le Forum économique mondial et ses partenaires ont simulé une cyberattaque mondiale. L’exercice de formation, organisé pour la troisième fois cette année, impliquait une simulation de cyberattaque à grande échelle sur la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise et la réponse en temps réel à celle-ci, le scénario étant qualifié de cyberpandémie. » (Extrait d’une question posé par le député de l’AfD Christine Anderson à la Commission européenne le 20.10.2021)

Un état de fait confirmé non seulement par le commissaire européen Thierry Breton dans sa réponse à l’interpellation de Christine Anderson que nous venons de citer – ainsi que par le quotidien autrichien Die Presse, mais encore par le World Economic Forum lui-même sur une page (désormais supprimée de son site, mais toujours visible dans les archives du web) consacrée à l’exercice « Cyberpolygon 2020 » :

« Même les entreprises dont la cybersécurité repose sur des technologies de pointe ne sont pas à l’abri des cyberattaques. Dans de tels cas, les équipes d’intervention doivent être prêtes à réagir rapidement et efficacement. […] Cette année à Cyber Polygon, notre objectif est de simuler des situations très réalistes permettant à nos participants de traverser une crise sans dommage et de discuter avec des leaders mondiaux de la manière de prévenir et de gérer de telles situations dans la réalité. »

En tout état de cause, force est de constater que le « scénario effrayant » auquel le Prof. Schwab consacre tant de soins – avec les coupures d’électricité prolongées et autres interruptions de services critiques qu’il comporte – se prêterait particulièrement bien au déploiement d’une « stratégie du choc » au sens où l’entend Naomi Klein. Le « traumatisme » général causé par la violence de l’événement permettant, le cas échéant, de projeter des populations entières dans un univers de surveillance, de pénuries, de rationnements et de taxation « éco-citoyenne » à la tête du client, auxquels il s’agirait dès lors de se soumettre sans faire de vagues. Entre deux piqûres, cela va de soi.

Vincent Held

https://reorganisationdumonde.com/produit/asservissement/

BONUS VIDÉO – BANQUES CENTRALES, CYBERATTAQUES & MONNAIES NUMÉRIQUES

Comme l’aura relevé le très fin Éric Verhaeghe, les banques centrales pourraient également mettre à profit un scénario de « cyberattaques » pour introduire leurs fameuses « monnaies numériques » (on notera à toutes fins utiles que la Banque de Russie participe activement aux exercices Cyberpolygon, avec comme objectif assumé d’introduire un rouble numérique intégralement traçable). Il est également de fait que la BCE présente son « euro numérique » comme « une solution de secours pour les paiements électroniques qui peut continuer de fonctionner même quand les services [bancaires] ne sont plus disponibles », en particulier du fait de « risques de cybersécurité »… (([2] «  Report on a digital euro », European Central Bank, October 2020))





La disparition des médecins compétents organisée par l’ordre des médecins aux ordres : une nouvelle victime, le Dr S. Gayet

Par le Dr Gérard Delépine

Combien de temps les citoyens français vont-ils rester silencieux, passifs, soumis face à cette destruction massive des hôpitaux français et du tissu libéral de ville ? En dehors des quelques milliers de résistants qui viennent soutenir les médecins persécutés le jour de leur convocation1, le silence des Français n’a d’égal que leur désespoir et désolation, lorsqu’ils sonnent à des urgences hospitalières fermées pour la nuit, y compris dans des grandes villes comme Bordeaux. Quant aux médecins de ville, ils se raréfient… Combien d’affiches comme celles de Juvisy sur la nationale 7, autrefois synonyme de vacances au bout du chemin, et maintenant de pénuries rappelées par ces affiches tous les trois kilomètres…

Alors quand une nouvelle fois, nous voyons un médecin compétent, infectiologue, enseignant, RADIE de l’ordre des médecins, donc interdit de consulter, de soigner, d’aider, d’utiliser ses compétences à rassurer les patients, on se dit une nouvelle fois que notre pays sombre dans la folie. Et le même jour le ministre pleure de la multiplication des téléconsultations et arrêts de travail trop nombreux à son goût… Les robots ne seraient-ils pas parfaits ou pas encore automatiques…

Scandale : Le Dr Stéphane Gayet2 radié de l’Ordre des Médecins pour avoir prescrit des traitements précoces contre le Covid-19 ! En note son CV extrait de MEDISITE Pr Stéphane Gayet — Les experts Medisite. À quoi bon toutes ces formations, toutes ces conférences, pour être radié comme un malpropre pour divergences de vues avec le pouvoir et pour avoir commis deux « fautes » dont les citoyens le remercient chaque jour :

Avoir soigné ceux qui le nécessitaient précocement et les avoir guéris

Avoir informé dès décembre 2021 des effets secondaires, parfois graves, voire mortels des pseudovaccins, injections géniques à ARN.

@LouisEymard 23 sept.

En décembre 2021 le Dr Stéphane Gayet alertait des effets secondaires des injections et a dévoilé la clause d’irresponsabilité imposée par les laboratoires pharmaceutiques. #JusticePourLesSuspendus

@ErikLoridan

23 sept. Le Dr Stephane Gayet, médecin infectiologue strasbourgeois, radié par l’ordre des médecins pour avoir osé soigner des covid long ! Faites du bruit !!

@LemoineSbastie2 @ErikLoridan@psy_paris‬‬‬‬

Le Dr Gayet a aussi critiqué le totalitarisme EBMcile que Bigpharma et les zéts font passer pour LA science mais qui est en réalité une démarche marketing et nazi pic.twitter.com/ehe2USDjNv

23/09/2022 19:49

25 SEPTEMBRE 2022 À LA UNE, COVID-19 3

« Le Dr Stéphane Gayet a officiellement été radié de l’Ordre des Médecins cette semaine, simplement pour avoir usé de sa liberté de prescription ! Le médecin a en effet prescrit divers médicaments comme l’hydroxychloroquine à ses patients atteints de Covid-19, mais comme l’État a choisi dès le départ de disqualifier ces médicaments, on se retrouve aujourd’hui avec des médecins radiés de l’Ordre car ils en ont prescrit !

Le Dr Gayet lançait également l’alerte en décembre 2021 sur les effets secondaires des vaccins et la clause de non-responsabilité des laboratoires, qui rend l’État coupable des complications liées aux vaccins en laissant les labos libres de tout souci.

C’est donc sans aucun doute une chasse aux sorcières qui s’est enclenchée dès ce moment-là, car un médecin qui ose prononcer une parole contredisant les “mesures préconisées par les autorités sanitaires” se met en danger de représailles… Voilà où en est malheureusement la France aujourd’hui. »

Dissident Officiel

Et pourtant elle agit !

Pardonne-nous Galilée de te paraphraser, mais nous sommes devant une nouvelle inquisition tout aussi dogmatique et anti-scientifique que celle que tu as affrontée.

Pour s’en convaincre il suffit de regarder le succès des pays qui ont utilisé le protocole Raoult comme l’Algérie et le Cameroun où les antipaludéens comme les pays africains ou Madagascar par rapport à la stratégie gouvernementale que défend le conseil de l’ordre.

LES SOIGNANTS ET POMPIERS SUSPENDUS

Toujours étranglés par les mesures sauvages contre eux les privant de travail et même de RSA, de chômage4

Les suicides des soignants ou de membres de leurs familles se multiplient dans l’indifférence ou au moins le silence du peuple. 5 6

Combien de temps accepterons-nous qu’une femme de 98 ans reste 24 h sans soin, sans repas, sur un brancard dans un célèbre hôpital parisien ? 7

« Le SAMU m’a emmenée à l’hôpital Lariboisière, à midi et demi, le dimanche 4 septembre pour examens. Je me suis retrouvée couchée au milieu de malades qui hurlaient de douleur, de rage, d’abandon, que sais-je. Et les infirmières couraient là-dedans, débordées… Elles distribuaient des “J’arrive !” et des “ça marche !” “J’arrive, j’arrive !”. Mais personne n’arrivait. Jamais.

Nul doute que leur vocation est réduite en charpie. Moi-même, j’ai mis douze heures pour obtenir la moitié d’un verre d’une eau douteuse. Tiède. Je suis restée 24 heures sur le même brancard, sans rien manger, dans un no man’s land. C’était Kafka. »

Soutenons nos médecins persécutés8, nos soignants, nos pompiers, nos malades qui ont besoin d’être pris en charge correctement. Il faut que cette dictature molle cesse et que la démocratie reprenne tous ses droits, que les médecins, les journalistes, les avocats, et tous citoyens puissent s’exprimer librement et que les lois liberticides soient supprimées par le nouveau parlement.9

Et finalement ce silence aboutit à un désespoir de citoyens tel que ce tweet en témoigne :

@chidoricha‬‬‬
Que les gens qui ferment les yeux et se taisent devant leur entourage ! En disant bah tant qu’on me touche pas, je m’en fous !
Le karma va s’occuper de vous ! Quand il restera juste des médecins sans éthique/corrompus/ à la solde du pouvoir. Faudra pas pleurer !
Merci Dr Gayet ! »





Georgia Meloni rafle la mise : un grand bravo à cette coalition des droites

[Source : RL]

Par Jacques Guillemain

Sondage sorti des urnes à 23 heures : 23-25 % pour le parti de Georgia Meloni et 43-47 % pour la coalition de droite.

La tornade Meloni a donc gagné, au grand dam de Bruxelles et de la gauche européenne.

Car le thème majeur de la présidente du parti nationaliste Fratelli d’Italia est bien le combat contre l’immigration de masse et l’islamisation de l’Europe.

Petit rappel d’un discours à Rome en 2019, dénonçant l’islam conquérant :

« Si vous vous sentez offensés par le crucifix, ce n’est pas ici en Italie que vous devez vivre. Le monde est vaste et il est plein de nations islamiques où vous ne trouverez pas un crucifix parce que les chrétiens y sont persécutés et les églises y sont rasées… Nous nous battrons contre l’islamisation de l’Europe, parce que nous n’avons aucune intention de devenir un continent musulman. »

Avec Georgia Meloni, on ne fait pas dans la langue de bois et les discours alambiqués. Stop à l’invasion et aux compromissions avec l’islam. Le discours identitaire et nationaliste est pleinement assumé. 

Et si naguère Bruxelles avait pu barrer Salvini presque aux portes du pouvoir, avec l’aide de Merkel, de Macron et de Conte, ce n’est pas le cas ce soir. Georgia Meloni a bel et bien raflé la mise aux législatives et les menaces d’Ursula von der Leyen, véritable contre-modèle de démocrate, n’y changent rien. Le peuple italien a eu le dernier mot.

Après les Hongrois, qui entendent rester les maîtres chez eux, après la victoire des patriotes suédois, excédés de voir leur pays ravagé par l’immigration, c’est donc au tour des Italiens de s’affranchir de cette dictature bien-pensante que nous impose Bruxelles contre l’avis des peuples.

Ce n’est pas en France que nous verrons cela de sitôt. Ciotti et Retailleau, la soi-disant droite dure chez LR, viennent de déclarer qu’il n’y aurait aucun rapprochement avec le RN à l’Assemblée.

Meloni, c’est plutôt Orban ou Zemmour, au cri de l’Italie d’abord !

Ses ennemis la diabolisent, la décrivant comme une fervente admiratrice de Mussolini. Tout patriote en Europe, est forcément taxé de fascisme et de racisme, arme fatale des mondialistes à court d’arguments face aux patriotes qui veulent sauver leur pays du naufrage identitaire.

« La Meloni », comme on l’appelle en Italie, 45 ans, s’est coalisée avec Forza Italia (FI, droite) du magnat octogénaire Silvio Berlusconi et la Ligue de Matteo Salvini.

Comme Salvini, elle entend fermer les ports aux navires d’ONG qui veulent débarquer les migrants de Méditerranée en Italie et veut accélérer les expulsions.

En août 2019, elle proposait de créer un blocus naval qui empêcherait l’embarquement des migrants depuis la Libye ou la Tunisie. Et elle prône la préférence nationale en matière de social, de santé, de logement. Bref, son programme, c’est du Zemmour.

Il s’agit de défendre la famille, les racines chrétiennes, l’identité italienne et les valeurs conservatrices, saccagées par une Europe mondialiste qui ignore les peuples.

Bref, l’Italie avec Georgia Meloni a décidé de reprendre son destin en main, comme l’a fait le peuple hongrois avec Viktor Orban et comme viennent de le faire les Suédois.

Puisse la future cheffe du gouvernement italien devenir un modèle de réussite et servir d’exemple à tous les peuples européens qui refusent de disparaître dans le tourbillon mondialiste.

Une présidente du Conseil italien, antisystème et eurosceptique, voilà qui devrait animer les débats. Nul doute que Georgia Meloni trouvera des soutiens en Hongrie, en Suède et en Pologne.

En revanche, les relations franco-italiennes pourraient bien se rafraîchir…






Quand la science devient pseudo-science

[Source : strategika.fr]

Urmie Ray est mathématicienne, diplômée de l’université de Cambridge. Elle a eu une carrière de 25 ans en tant que qu’universitaire, entre autres, à l’Institut des Hautes Études Scientifiques, à l’Institut Max Planck pour les mathématiques, au Centre de Recerca Matemàtica, à l’université de Californie à Santa Cruz. Elle a ensuite démissionné de son poste de professeur des universités en France pour se consacrer à l’étude de questions culturelles et historiques. Elle est l’auteur de plusieurs articles et son dernier livre s’intitule “On Science:  Concepts, Cultures, and Limits” (Routledge 2021).

[Voir aussi, avec Urmi Ray :
Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal
L’effondrement de l’hypothèse virale
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes]

Par Urmi Ray (Basé sur mon livre : « On Science :  Concepts, Cultures, and Limits » – Routledge 2021)

1.  Qu’est-ce que la science ?

Une grande confusion règne sur ce qu’est ou plutôt n’est pas la science.  Donc commençons par discuter de ce qu’est la science.

Comprendre la réalité dans laquelle on vit

Pour survivre, il est essentiel de comprendre la réalité physique dans laquelle nous vivons.  Donc dès ses débuts, partout dans le monde, notre espèce a tenté de s’en faire une idée.

Comprendre signifie pouvoir décrire, expliquer et prédire. Une description tend à répondre à la question “comment ?” et peut prendre la forme d’une formulation mathématique, mais c’est loin d’être nécessaire.   Une explication tend à répondre modestement à la question beaucoup plus difficile du “pourquoi ?”.  Ces trois aspects sont étroitement liés.  La qualité des prédictions dépend de la qualité des descriptions et des explications.  Et inversement, plus une description est de qualité, plus elle mènera à des explications et des prédictions de qualité.

La différence entre une approche scientifique et une approche religieuse réside essentiellement dans la nature des explications.  Il est probable que très rapidement nos ancêtres ou au bon vouloir d’un Dieu, ne permettait pas trop de prévoir, et donc de se prémunir contre les aléas du climat.  Parallèlement, la domestication croissante du feu va de pair avec une compréhension de plus en plus grande de ce phénomène.

Donc, il y a bien longtemps qu’une approche du monde qu’on perçoit à travers nos sens et notre esprit s’est distinguée d’autres approches.  Il fallait que la connaissance obtenue soit communicable à d’autres, pour qu’ils puissent eux aussi vérifier, notamment pour pouvoir prédire aussi systématiquement que possible. 

Je conçois que certains soient convaincus de la force de la prière, mais la connaissance spirituelle, même si elle est basée sur des expériences, celles-ci restent personnelles et non-communicables.

Donc l’approche qui s’est peu à peu développée en ce qu’on appelle depuis le 19e siècle la science est fondée sur deux outils : l’observation et le raisonnement.
Mais comme nos premières écoles de philosophie naturelle se sont rendues compte bien avant l’ère chrétienne, la question de la fiabilité est au coeur de cette approche.  À quel point notre interprétation correspond-elle à la réalité physique donnée ?

Observation reproductible

Une observation qui reste limitée peut ne pas être fiable.  Par exemple, ce n’est pas parce tous les cygnes qu’on observerait sont blancs, qu’on peut en conclure qu’ils sont tous blancs.  Il y a des cygnes noirs. Donc l’observation doit être reproductible à volonté, en particulier pour être vérifiable.

En conséquence, le domaine d’investigations scientifiques est limité aux caractéristiques descriptibles, c’est à dire qu’on puisse comparer.  Les concepts absolus tels que la chaleur ou la hauteur font certainement partie de notre expérience de la vie.  Mais ils n’ont pas leur place en science.  Car il n’existe aucun moyen de vérifier comment deux individus différents les perçoivent.   Ce qui peut être communiqué et convenu, c’est qu’un objet est plus chaud ou plus froid, plus grand ou plus petit qu’un autre. En d’autres termes, seuls les attributs qui peuvent être comparés à une référence externe peuvent faire l’objet d’un examen scientifique.   Donc les concepts absolus tels que Dieu sont hors limites car ils ne peuvent pas être décrits par la comparaison.

C’est aussi là que réside le problème avec la physique Newtonienne.  Elle est fondée sur une notion du temps et de l’espace qui est absolue.  D’ailleurs Newton en était conscient.  Mais c’est le physicien Ernst Mach qui a le premier vraiment compris la signification de cette lacune à la fin du 19ème siècle.  C’est notamment basé sur ses travaux qu’Albert Einstein en est venu à sa théorie de la relativité.

Ajoutons une remarque importante : il ne suffit pas de connaître les propriétés intrinsèques d’un phénomène.  Il faut aussi se faire une idée de ses interactions avec l’environnement.  D’où la nécessité de l’étudier à la fois isolément dans un laboratoire et dans dans son environnement naturel, dans le temps et dans l’espace. Certains effets et leur portée peuvent ne pas être immédiatement perceptibles.

Raisonnement

Par ailleurs, si nous restons liés à notre expérience immédiate limitée, il faudrait sans cesse collecter des faits et on ne pourrait prédire. Donc la science vise à obtenir des descriptions et des explications unifiées de phénomènes disparates. 

Le raisonnement est ce qui nous permet de ne pas rester liés à ce processus d’essais et d’erreurs constants.

Il doit lui aussi être communicable.  Donc il doit être basé sur des méthodes consensuelles qui ont varié au cours du temps ou même d’école à école.

Concepts

Trouver des explications unifiant divers phénomènes nous oblige à fonder nos théories sur des concepts – forces, atomes, gènes, etc.  Nous n’avons aucun moyen de déterminer s’il s’agit de caractéristiques de notre réalité ou s’il s’agit de constructions de l’esprit humain pour rendre compte d’expériences communes à nous tous. Ils sont indéfinissables scientifiquement, sauf en utilisant d’autres concepts.  Cependant, et c’est fondamental, la pertinence des concepts doit être confirmée par des effets qu’on peut percevoir et décrire.  Ils doivent être remplacés par des concepts plus appropriés si l’observation et le raisonnement l’exigent.

En résumé

La science est l’étude raisonnée basée sur l’observation reproductible et suffisamment reproduite de propriétés descriptibles par comparaison du monde perceptible et des effets perceptibles attribués aux concepts évolutifs et changeants ainsi déduits – une étude qui englobe les interactions avec l’environnement naturel.

Nous avons tous un esprit scientifique.  La différence entre une approche scientifique et une approche usuelle est une différence de degré plutôt que de nature. Elle apporte précision et systématisation là où elles faisaient défaut. Par exemple, on a tous une idée de la différence entre fruits et  légumes, basée sur de vagues raisons et de vagues comparaison, parfois culturelles. La définition scientifique d’un fruit est celle d’un organe qui contient des graines, qui les protège lors de leur développement et aide à leur dispersion. Par conséquent, les tomates et les concombres sont des fruits, contrairement à l’idée reçue selon laquelle ce sont des légumes.

En d’autres termes, la science précise les similitudes et les différences entre des objets comparables en poussant l’observation au-delà du superficiel.  Ainsi les ambiguïtés sont réduites.

Il est essentiel d’insister sur le fait que nos conclusions ne peuvent être des déductions fantaisistes et inexpliquées.  Elles ne peuvent être considérées comme scientifiques tant qu’elles ne sont pas étayées par des arguments raisonnés. L’obtention de résultats satisfaisants pourrait être une pure coïncidence. À l’inverse, un raisonnement qui ne repose pas sur des bases empiriques solides n’est pas une science.

Mathématiques

Voilà pourquoi les mathématiques ne sont pas une science.  La science a émergé de la faculté humaine de donner un sens à une réalité autrement chaotique en lui attribuant des schémas. Les mathématiques sont nées de l’étude des schémas qui sont quantifiables.
Pour maîtriser les notions interdépendantes de quantité et d’espace,  nos ancêtres ont élaboré les concepts des nombres entiers et des objets géométriques ont été élaborés en excluant la nature particulière des objets en question pour ne garder que leur quantité ou leur forme.  Ils ont dû se rendre compte que si notre seul intérêt est la quantité et non les autres qualités des objets concernés, alors il n’y a aucune différence entre deux doigts et deux longueurs égales, mais que ceux-ci diffèrent de cinq doigts. En d’autres termes, les nombres sont nés de notre reconnaissance de schémas concernant la quantité en rendant aussi efficace que possible notre outil de raisonnement le plus fondamental, à savoir la comparaison. 
Sans entrer dans des discussions plus détaillées, je dirai que les mathématiques sont l’étude logique des relations entre des concepts abstraits, basée sur la notion de nombres.

 2.  Des faiblesses intrinsèques à la science

Ces caractéristiques de la science rend notre connaissance scientifique très précaire.

Simplification et approximation

Même l’approche la plus holistique est une simplification. L’esprit humain est incapable d’englober la totalité d’une nature complexe insondable.  Toutes nos déductions, toutes nos observations, toutes nos mesures ne sont qu’une approximation de la réalité.

Ces problèmes sont exacerbés dans les théories mathématiques.  Une hypothèse doit d’abord être exprimée dans un langage banal. Le processus de traduction en symbolisme mathématique s’accompagne d’une grande perte d’informations.  Elle élimine d’emblée tout ce qui n’est pas quantifiable.   Donc plus on s’éloigne du monde inanimé,  moins une description mathématique est appropriée. Même parmi les caractéristiques quantitatives, on doit faire un choix. Les mathématiques ne peuvent traiter qu’un nombre très limité de paramètres, et seulement une version très simplifiée de leurs relations.  Donc un modèle mathématique ne reflète que très imparfaitement la réalité.
Le processus d’approximation va encore plus loin. Bien que les équations aient des solutions exactes en théorie, dans tous les cas, sauf les plus simples, nous ne pouvons les résoudre qu’approximativement.  C’est généralement le cas des équations différentielles, c’est-à-dire des équations indiquant l’évolution d’un système dans le temps et l’espace et sur lesquelles reposent donc les prédictions.  Toute une série d’approximations se produit à nouveau lors de la retraduction de notre théorie mathématique en langage courant, c’est-à-dire de son application dans la réalité concrète, notamment parce ce qu’elle est susceptible d’impliquer des nombres non exacts tels que √2 ou π. 

Par ailleurs, la partie mathématique peut, comme en physique quantique avoir plus d’une interprétation scientifique.

En conclusion, la parfaite exactitude inhérente au formalisme mathématique nous permet un plus grand contrôle sur certaines caractéristiques quantifiables, mais, précisément à cause de cette exactitude, elle est très éloignée de la réalité.

Pour citer Einstein, “Dans la mesure où les propositions des mathématiques se réfèrent à la réalité, elles sont incertaines ; et dans la mesure où elles sont certaines, elles ne se réfèrent pas à la réalité”.  

Imprévisibilité

Il n’est donc pas surprenant que l’imprévisibilité s’ensuit même dans la théorie déterministe la plus simple :

Considérons l’exemple suivant construit par le physicien Max Born. Une particule se déplace sans friction le long d’une ligne droite de longueur l entre deux murs.  Lorsqu’elle atteint l’extrémité de la ligne, elle rebondit. Supposons que sa position initiale est donnée par le point x0 sur la ligne et sa vitesse initiale est vet que l’imprécision de nos mesures initiales est de Δx0 et Δv0. Selon la première loi de Newton, à un instant t, il devrait se trouver au point x = x0 + tv0. Cependant, selon la même loi, notre prédiction de sa position à l’instant t s’écartera de cette valeur de Δx = Δx 0 + t Δv0. Ainsi notre erreur va continuer à augmenter avec le temps. Après un temps critique tc = l/ Δv0, cet écart sera supérieur à la longueur l de la ligne. En d’autres termes, pour tout instant t > tc, nous ne pourrons plus du tout prédire la position de la particule.  Elle pourrait se trouver n’importe où sur la ligne.
Nous pouvons perfectionner nos instruments de mesure et réduire l’imprécision initiale, mais nous ne pourrons jamais nous en débarrasser complètement. Tout ce que nous ferons, c’est étendre l’intervalle de temps dans lequel la prédiction est possible.

Cet exemple concerne un système fermé simple et idéal. Dans le réél, d’innombrables facteurs sont impliqués, aggravant l’imprévisibilité. En gros, à cause d’erreurs inévitables, notre capacité à savoir ce qui se passe au-delà d’un certain temps peut être limitée d’une manière qu’aucun progrès technique ne peut surmonter.
Dans nos calculs effectués par ordinateur, il peut arriver que de minuscules erreurs se propagent et s’accroient.  En effet, la manière codée dont un ordinateur aborde les calculs internes implique une erreur d’arrondi. L’erreur survient également lorsque le résultat en langage codé est retraduit sous la forme imprimée sur l’écran.

Observation à l’âge informatique

L’informatisation ajoute également de nouvelles problématiques à l’acte d’observation. On sait depuis bien avant l’ère chrétienne que l’observation, résultat d’une collaboration complexe entre nos sens et notre esprit, est loin d’être neutre et peut être trompeuse.

Depuis, les instruments d’observation ont introduit toute une série de nouvelles complications, en dépit des possibilités insoupçonnées qu’ils ont ouvertes. Outre l’introduction d’erreurs, l’étude des événements de notre espace-temps quadridimensionnel à partir de représentations symboliques unidimensionnelles ou bidimensionnelles soulève la question de la perte d’informations. Plus important encore, les ordinateurs sont constitués de processus algorithmiques représentés par des 0 et des 1, et sont donc sévèrement limités par des prémisses trop simplifiées. Ils ne peuvent pas aller au-delà de celles-ci, ils ne peuvent pas inférer.  On peut donc se demander s’ils ne peuvent détecter que ce qui correspond à nos idées préconçues.

En fait, le problème s’aggrave à mesure que le processus d’observation est de plus en plus automatisé, éliminant ainsi l’observateur humain : la machine observe et interprète. C’est encore pire lorsque l’observation est supprimée et que les conclusions sont basées sur des simulations et non sur des expériences réelles, comme c’est de plus en plus le cas. Ces problèmes soulèvent bien des question en ce qui concerne notre connaissance du monde microscopique.   Elle dépend entièrement des instruments.  Nous n’avons pour ainsi dire aucune représentation non filtrée pour comparer l’image qu’ils nous donnent.  En plus pour l’observer, le plus souvent non seulement les échantillons sont retirés de leur environnement, mais il faut le plus souvent les préparer, notamment par une technique de coloration.  Il y a donc adultération.

Généralisation                                                                                         

Tout cela remet en cause le processus de généralisation, c’est-à-dire de déduction de principes, à partir de données qui ne peuvent être que limitées. Le problème de généralisation est encore plus sérieux car l’observation peut être reproduite, mais ne sera jamais similaire.  Donc, dans quelle mesure les résultats doivent-ils être similaires pour être acceptés comme justification d’une conclusion donnée ? La question se pose d’autant plus que nous n’essayons pas simplement de déduire la couleur des cygnes à partir d’observations répétitives, mais de déduire des principes de base à partir de l’observation d’une grande variété de cas dissemblables.  Trop peu de données peuvent nous conduire à des modèles erronés, et donc à des prédictions erronées.

Plus le nombre de paramètres est élevé, plus la sensibilité des résultats aux conditions initiales est grande, moins on peut s’attendre à ce que les résultats de nos expériences restent proches. Qui plus est, les résultats peuvent dépendre de l’interprétation et du protocole appliqué. Obtenir des résultats cohérents pourrait donc s’avérer difficile. Donc combien de fois une expérience doit-elle être reproduite avant que ses résultats puissent être acceptés ?

Fondamentalement, la question de savoir quand la vérification expérimentale peut être considérée comme satisfaisante n’a pas de réponse claire. On ne peut pas nécessairement affirmer qu’elle doit dépendre du succès de ses applications, car leur inconvénient peut prendre un certain temps avant d’être remarqués. Même lorsqu’une hypothèse est élaborée dans le meilleur esprit scientifique, des failles sérieuses peuvent rester non identifiées pendant des décennies, précisémment car notre observation reste limitée, ne serait-ce que pour des raisons techniques.

Quand est-il alors raisonnable d’appliquer une hypothèse, c’est-à-dire de construire de nouvelles hypothèses reposant sur elle ou de l’utiliser technologiquement ?

Hypothèses

Il ne peut y avoir de science sans hypothèses.  On doit d’abord avoir établi une relation à l’univers avant que nous puissions même penser scientifiquement.  En d’autres termes, la métaphysique précède toujours la science.  Plus généralement,  la science reste fondée sur des hypothèses qu’on oublie car elles sont cachées et devenues trop familières.   Celles-ci peuvent fortement influencer les théories que nous élaborons.

Par exemple, les prédictions mathématiques impliquent l’intégration. Derrière ce concept se cache l’hypothèse de l’uniformité selon lequel les processus seraient restés les mêmes à travers le temps et l’espace. Cette hypothèse est à la base de toute généralisation. L’uniformité était présumée très limitée par le Bouddha. C’est Démocrite qui a introduit sa version la plus extrême comme principe scientifique de base. Galilée est resté prudent. Il a été réaffirmé d’abord par les physiciens au  XVIIe siècle, puis par les géologues, pour qui les taux des processus géologiques sont restés les mêmes au fil du temps.

Cependant, à cause de l’imprévisibilité, nous n’avons aucune idée dans quelle mesure l’uniformité tient.  Il vaut donc mieux rester prudent en ce qui concerne les phénomènes lointains.

D’ailleurs l’uniformité dans le temps a été remise en question par des découvertes géologiques depuis les années 1960 qui suggèrent que des cataclysmes uniques ont modifié de façon critique les conditions existantes dans l’histoire de notre planète.

Les Limites de la science

Pour toutes ces raisons, bien qu’étant la forme de connaissance la moins fantaisiste, nous ne pouvons pas savoir si la science peut nous conduire à des vérités. Notre compréhension scientifique est constamment approfondie.  Elle nous éloigne donc des contre-vérités.  En effet, la science ne peut pas sciemment nous dire des contre-vérités.  À tout moment, elle doit se conformer à toutes les données connues.  On améliore nos approximation certes.  Mais dans l’infinitude du monde, cela nous rapproche-t-il d’une quelconque vérité ? 

Le doute est donc caractéristique d’une approche scientifique. La science remet en question les idées reçues. L’importance du doute a été souligné par les penseurs scientifiques de toutes les époques et traditions. Les théories ne doivent pas être rejetées, mais leur acceptation ne doit pas être passive.

Procéder scientifiquement, c’est reconnaître que la science est une “philosophie de la nature”, même si elle se distingue des autres philosophies en “interrogeant la nature elle-même pour obtenir des réponses à ce qu’est la nature”. Procéder scientifiquement, c’est espérer que nos pensées scientifiques sont en harmonie avec la nature, car sinon nous serions incompatibles avec les conditions de vie données, mais c’est aussi reconnaître que la science est loin d’être objective. Elle présuppose toujours l’existence de l’homme et nous devons prendre conscience que nous ne sommes pas de simples observateurs mais aussi des acteurs sur la scène de la vie.

 3.  De la science au dogme

Rester sur la voie scientifique demande prudence. Il est facile de s’en écarter. 
Il ne faut cependant pas confondre des erreurs sincères avec une quelconque dogmatisation.  C’est par l’erreur qu’on avance d’autant plus qu’à chaque époque, dans chaque culture, la science est tributaire par les pensées et les techniques d’observation existante.  Ainsi, c’est interpréter la physique newtonienne de manière anachronique que de lui appliquer notre compréhension actuelle et de la considérer comme faussée.  Elle reste suffisamment satisfaisante pour certains phénomènes courants du moment que les vitesses impliquées sont bien inférieures à celle de la lumière.  

Cela dit, la nature de la science a été très bien estimée depuis des millénaires, par exemple par certaines écoles de pensées dans l’Inde ancienne.  Elle a aussi fait l’objet de discussions passionnées au tournant du 20e siècle lorsque les problématiques du positivisme étaient devenues claires.  Donc, la déformation de la science moderne en dogme est facilitée par ses faiblesses intrinsèques, mais pour la comprendre, il faut la placer dans le contexte économique.

Or au 19ème siècle, on a transformé le capitalisme marchand en capitalisme financier.  La  perspective de maximisation du profit qui s’est peu à peu mise en place exige une croissance matérielle incessante, et donc une production toujours plus efficace.

Par conséquent, la technologie doit s’appuyer sur des recherches avancées pour accroître l’efficacité, générant des modifications incessantes et croissantes de notre environnement.  Celui-ci devient de moins en moins adapté à la vie humaine.  Le fait qu’une chose semble temporairement réalisable ne garantit pas sa compatibilité avec le maintien des conditions nécessaires à la vie humaine à moyen et long terme, ni même à court terme : les problèmes de santé et d’environnement ont rapidement suivi et n’ont cessé d’augmenter.  Puis, un stade a été atteint où, pour maintenir le cap, la recherche a perdu de plus en plus sa nature scientifique et en est venue à trahir la science elle-même.  

En d’autres termes, la science s’est transformée en pseudo-science.  Il s’agit d’un ensemble de principes qui se réclament de la science, mais qui n’en présentent pas les caractéristiques, en particulier qui ne reposent pas sur un raisonnement fondé sur l’observation, reproduite et reproductible.  Il s’agit donc d’une croyance.  

Les recherches actuelles peuvent trop souvent être qualifiées de telles. L’ampleur des dérives est difficile à mesurer car une condition de base – la transparence – sans laquelle il ne peut y avoir de science, car les conclusions restent invérifiables, est aujourd’hui communément ignorée, sous couvert de concurrence ou de secret d’État.

Selon Richard Horton, rédacteur en chef du prestigieux Lancet, “une grande partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, pourrait être tout simplement fausse. Affligée par des études portant sur des échantillons de petite taille, des effets minuscules, des analyses exploratoires invalides et des conflits d’intérêts flagrants, ainsi que par l’obsession de suivre des tendances à la mode d’importance douteuse, la science a pris un virage vers l’obscurité “.

 Des conclusions infondées

 Prenons deux exemples.

1) Sur la base d’hypothèses et d’une théorie purement mathématique, il avait été extrapolé à partir d’expériences menées avec des rayonnements électromagnétiques (REM) “dans les bandes visibles, ultraviolettes et des rayons X”, c’est-à-dire avec des “fréquences supérieures à la limite inférieure de l’infrarouge”, que tous les REM sont quantifiés, c’est-à-dire constitués de photons.  Ce n’est qu’en 2015, qu’on a expérimentalement vérifié cette affirmation et trouvé qu’elle était erronée pour les REM inférieurs à la limite inférieure de l’infrarouge, ce qui inclut tous les REM dûs à nos antennes –  une raison pour laquelle ces rayonnements sont préjudiciables à la santé humaine.

2)  La thèse virale est aussi une hypothèse.  Contrairement au cas de la quantisation du REM venant des antennes, elle n’a pas été prouvée fausse. [NDLR En fait, les travaux de Stefan Lanka — qui a notamment eu recours à des expériences de contrôle — tendent à nettement démontrer (depuis quelques années) la fausseté de la théorie virale. Voir le dossier Vaccins et virus.]  Mais aucune particule n’a jamais été observée d’abord dans l’air, puis entrant dans le corps, et devenant la source d’une maladie.  Le virus demeure donc de l’ordre du concept.  Est-ce une hypothèse utile ? Peut-être les unicornes ou les fantômes seraient des hypothèses utiles pour expliquer  certains phénomènes.  Mais une conclusion scientifique doit être fondée sur l’observation reproductible, et ce n’est certes pas le cas.  Et donc on peut développer le concept d’un anti-virus, tel un vaccin.  Mais on ne peut en aucun cas fabriquer matériellement un vaccin contre quelque chose dont l’existence matérielle n’est pas prouvée.  Et on ne peut élaborer des politiques sur des hypothèses qui demeurent invérifiées à ce jour.  Le débat sur la pertinence de telle ou telle hypothèse doit rester interne au monde scientifique, et c’est ainsi que nous évoluons dans notre compréhension.

Les tentations financières

La recherche est désormais pleinement ancrée dans le capitalisme de marché, qu’elle a d’abord rendu possible et continue de rendre possible. Les gains financiers sont devenus un motif principal dans une culture où de plus en plus de chercheurs créent eux-mêmes des entreprises privées pour exploiter financièrement leurs résultats.

Suite à des politiques délibérées visant à transférer le financement de la recherche des organismes publics aux organismes privés, de nombreux membres de la hiérarchie de la nouvelle Église du scientisme sont des bénéficiaires personnels des largesses de divers groupes d’intérêt. La corruption est désormais endémique et les conflits d’intérêts compromettent sérieusement les activités de recherche. Seuls les conflits directement liés à un travail donné doivent être divulgués, à savoir tout financement direct qui pourrait influencer ses conclusions. Cette obligation est facilement contournée : les faveurs peuvent prendre de nombreuses formes, de la nomination en tant que consultant à la participation à des conseils d’administration d’entreprises. Lorsque les généreux donateurs des universités, des laboratoires de recherche et des sociétés scientifiques incluent certains des conglomérats multinationaux les plus puissants, tout travail effectué dans leur enceinte peut-il être vraiment désintéressé ?

De la connaissance à la production

Cette corruption va de pair avec la transformation des objectifs de la science depuis le tournant du 20e siècle afin de se plier aux exigences d’un capitalisme financiers : de comprendre, l’objectif est devenu produire.  Le début du 20e siècle a vu l’émergence du chercheur-technologue, tout d’abord en chimie, puis en physique, et depuis en biologie.

Cet asservissement de la recherche à l’idéal économique est notamment entretenu par une culture de prix.  Celle-ci a été initiée par un industriel de premier plan du complexe militaro-industriel naissant, Alfred Nobel, précisément au moment où le contrôle de la recherche devenait indispensable. Elle contribue à mettre en avant les individus et les sujets qui se consacrent à cet idéal.  La forte subjectivité qui sous-tend les décisions est occultée puisque, contrairement à la science, le nouveau credo de la pseudo-science professe une objectivité dépourvue de valeurs.

Cela ne veut pas dire que des œuvres d’exception ne sont jamais reconnues à leur juste valeur.  Mais il est préférable qu’elles contribuent au maintien des objectifs économiques. Einstein n’a reçu le prix Nobel que pour ses travaux sur les effets photoélectriques.

Mais les prix ont contribué à l’ascendant qu’a pris la pseudo-science puisque c’est elle qui peut soutenir la production.

Par exemple, l’un des premiers prix Nobel (en chimie) a été attribué à Fritz Haber pour la synthèse de l’ammoniac.  Or la méthode de production des molécules artificielles ne reproduit pas le processus naturel et donc leur géométrie diffèrent de leurs équivalents naturels.  L’approche scientifique correcte aurait donc été d’étudier leur impact sur l’environnement et la santé humaine.

Marie Curie a eu le prix deux fois et donc il serait normal de croire selon le critère du prix que ses travaux sont plus importants que ceux d’Einstein.  Ils le sont certes du point du vue du profit.   Son objectif était circulaire : étudier les propriétés de la radioactivité pour accroître incessamment la production.  Toutes les tragédies liées à ces travaux étaient pour développer la radiothérapie comme traitement du cancer.  Or ici aussi nous avons un schéma circulaire : l’application de radiations pour soulager une maladie qui était  relativement rare comparée à d’autres maladies et dont elle a contribué à augmenter la prévalence.

De plus en plus, la recherche est devenue une affaire de machines colossales exigeant un financement colossal dans une poignée de sites colossaux.  Donc elle est basée sur des expériences ponctuelles qui ne sont pas reproductibles à volonté, ne serait-ce qu’en raison de l’infrastructure nécessaire.  Cette dépendance excessive à l’égard de la technologie nous fait oublier que les processus créés artificiellement dans les laboratoires peuvent très bien ne pas correspondre à leurs équivalents réels.

Par exemple, dans les années 1950, on a découvert dans des conditions créées en laboratoire que de la matière organique pouvait émerger de ce que l’on pourrait décrire grossièrement comme une soupe de méthane.   En raison de ce succès, on a oublié que cela n’implique pas que c’est ainsi que les choses se sont passées.  Et en effet, la première étude expérimentale visant à reconstituer cette atmosphère primitive sur la base de preuves empiriques réelles, réalisée en 2011, indique qu’au contraire, elle ne pouvait pas être aussi pauvre en oxygène qu’on le pensait.

Une inversion de la relation entre les mathématiques et la science

La prise de contrôle progressive de la science par la pseudo-science se reflète dans le renversement progressif de la relation entre la science et les mathématiques.

Avec l’importance croissante de la production industrielle, les mathématiques ont acquis une plus grande primauté au sein de la science car c’est par le mesurable que la science peut-être convertie en technologie.

La première grande étape a été la naissance de l’informatique dûes aux exigences de la technologie lorsque la physique et les mathématiques et la technologie ont été amalgamés en un seul domaine.  Cette synthèse s’est certes avérée très constructive, mais comme elle a été réalisée dans une perspective de profit, elle a également contribué à maintenir sa maximisation.  Dans ce processus, les mathématiques ont discrètement pris la place du conducteur.

Les applications mathématiques dépendent de notre objectif et ne sont pas limitées par la nécessité de se conformer à la réalité, contrairement à la science.  Ainsi, le fait de céder le leadership aux mathématiques a largement contribué à l’émergence de la pseudo-science. Ce renversement est aussi la consécration de la perspective matérialiste puisque les mathématiques ne peuvent pas prendre en compte le facteur de la vie. 

La seconde étape a été la création de la bio-ingénierie, un des secteurs dont la croissance est des plus rapides.  On en est venu à considérer la vie comme un immense ordinateur dont les programmes sous-jacents peuvent être transformés à volonté. Ainsi, la vision mécaniste de la nature a été adaptée à la nouvelle phase technologique dans laquelle nous sommes entrés. 

Les mathématiques via l’informatique mène maintenant son processus au stade final, où l’intelligence y est réduite à une quantité mesurable et la connaissance à des flux d’informations, c’est-à-dire à  l’intelligence artificielle qui au final doit nous conduire au transhumanisme – la fusion totale de la vie avec la machine au poste de pilote.

Il y a cependant une erreur de base avec une virtualité fabriquée par une machine qui nie notre réalité donnée. Les “réalités” n’étant pas des “fantômes”, l’écrivain Charles Dickens a prévenu qu’il y avait “un plus grand danger de les voir s’engouffrer” tôt ou tard.

4.  Science et avenir

Donc, le problème auquel nous sommes confrontés est la déformation de la science en une pseudo-science responsable des périls causés par l’homme.  En revanche, malgré toutes ses faiblesses, une approche fondée sur l’observation et la raison est certainement la mieux adaptée à l’étude de la réalité perceptible. Rejeter la science, c’est renoncer à la formidable possibilité de percer certains des mystères de la nature, même si ce n’est que superficiellement, même si nous finissons toujours par trouver que nos conclusions précédentes n’étaient pas tout à fait correctes.   Rejeter la science, c’est rejeter notre principal outil de survie.

Éducation

Il est donc d’abord essentiel de distinguer la science de sa déformation.  Pour cela, il faut développer une certaine appréciation non seulement de la technique de la science, mais aussi de sa nature.  La science n’est pas l’affaire des experts.  L’amateur doit réclamer son droit non seulement de comprendre, mais aussi de juger selon ses propres lumières. Tout le monde est capable de comprendre les idées qui se cachent derrière la partie technique.  Pour apprendre à le faire, le meilleur moyen est de lire les œuvres des esprits scientifiques pionniers. Qui mieux qu’eux pour expliquer le pourquoi et le comment des idées qu’ils ont contribué à élaborer.

Cependant, la seule véritable façon de dissiper la confusion entre science et pseudo-science est de veiller à ce que l’éducation dispensée aux générations futures nourrisse l’intuition scientifique qui nous est innée.  Assimiler l’esprit de la science revient à apprendre à penser par soi-même en se basant non pas sur des dogmes, mais sur une évaluation correcte de la gamme d’informations disponibles.  Il faut pour cela que  l’instruction de la technique soit mise dans le contexte d’une discussion sur la nature de la science.

Il existe plusieurs façons d’y parvenir et toutes ne conviennent pas à chaque élève.  C’est pourquoi le pluralisme est indispensable dans le type d’enseignement proposé, tant à l’école qu’à l’université.

Réduire la portée des recherches nuisibles

La question d’éthique

Jusqu’à présent, le débat s’est concentré sur les questions d’éthique.  Pourtant, les problèmes n’ont pas été résolus. Au contraire, ils continuent de s’aggraver. 

L’éthique influence assurément la science. Fonder la science sur des valeurs propices à un avenir plus serein peut sembler la meilleure voie à suivre. Mais est-ce vraiment le cas ? Quelles devraient être ces valeurs ?

Les débats éthique restent inefficaces.  D’autre part, restreindre la recherche dans un quelconque cadre éthique est préjudiciable à la science.  Fixer des limites à l’esprit humain érode le dynamisme créatif essentiel aux civilisations. La forme que prend la créativité est imprévisible, et il faut donc lui donner libre cours. 

Le débat doit être déplacé sur un plan moins controversé.

Les périls créés par l’homme sont le résultat d’une recherche clairement non scientifique.  Le débat devrait donc porter sur la nature scientifique d’une recherche. Il est vrai que l’on ne peut s’attendre à ce que la science soit définie de manière précise ou à ce qu’elle fasse l’objet d’un consensus suffisant.  Cependant, il est possible d’identifier clairement ce qui n’est pas scientifique.  Ce sont des recherches contredites par des études fondées sur des bases empiriques solides, des recherches fondées sur des observations non reproductibles à volonté, ou dont les conclusions découlent d’un raisonnement non corrélé aux données fournies.   Cela permettrait notamment de réduire considérablement les expériences controversées, voire d’y mettre fin.

Par exemple, le domaine de la médecine continue à être basé sur l’expérimentation animale bien que celle-ci soit sans cesse dénoncée pour des raisons éthiques depuis plus d’un siècle.  Aujourd’hui comme hier, la réponse est que des vies humaines sont sauvées en conséquence.  Or, en raison des dissemblances biologiques entre les autres espèces et nous, l’extrapolation aux humains est rarement justifiée et peut même s’avérer préjudiciable. En d’autres termes, ces expériences sont superflues et la science n’est certainement pas une question d’effectuer des expériences pour le plaisir de le faire.

Parallèlement, la transparence de toutes les recherches devrait être légalement imposée.  C’est loin d’être le cas aujourd’hui.

Recherches et argent

Cela dit, la raison d’être de la pseudo-science est la recherche du profit.  Le lien entre l’argent et la recherche doit donc être rompu.  Pour cela, il faut bien sûr empêcher toute personne ayant des intérêts particuliers d’exercer une influence fâcheuse sur la recherche.  L’anonymat empêcherait le donateur de choisir le bénéficiaire. Car l’objectif de la science a été transformé en un moyen pour faire du profit.  Mais cela va plus loin : l’activité scientifique elle-même a été transformée en une activité génératrice de richesse, grâce à l’élaboration de la notion de propriété intellectuelle et de brevets.  Par conséquent, la valeur d’un travail scientifique dépend désormais de la quantité d’argent qu’il génère. Or, ce n’est pas que la science soit au-dessus ou au-dessous de l’argent, elle n’a simplement aucun rapport avec lui. Ainsi, le choix d’un critère inapproprié pour la science a contribué à sa déformation.  Donc il serait utile de discuter de la suppression des lois sur les brevets et de la manière d’y parvenir.

Spécialisation à outrance

Une trop grande surspécialisation empêche non seulement l’étude correcte des questions les plus fondamentales et les plus urgentes, car elles chevauchent généralement plusieurs domaines, mais aussi l’identification de ces questions.

Pour remédier à ce problème, on pourrait transformer les universités en petites communautés savantes sans aucune barrière de domaines et de rendre les études de universitaires moins spécialisées. Certes le nombre d’années d’étude augmentera. Mais la rapidité de la formation actuelle résulte de l’état d’esprit des siècles derniers. Elle a perdu de sa pertinence avec une durée de vie plus grande et des technologies qui nous libèrent de diverses corvées en les mécanisant.

Quelle science pour l’avenir ?

En ce qui concerne la science elle-même, la question est de savoir quelle forme elle doit prendre.  L’objectif devrait être de réduire ses faiblesses.

Les images de Maurits Escher montrent à quel point nous sommes peu capables d’appréhender la complexité de la réalité.  Même dans le cas de deux motifs entrelacés, le cerveau humain ne peut en observer qu’un seul à la fois. En d’autres termes, toute lumière provenant d’une seule perspective n’éclaire que certains aspects.  Ces aspects peuvent même apparaître différents selon différentes perspectives. 

Or chaque forme que prend la science est fondée sur des hypothèses.   Par conséquent, chacune d’entre elles peut passer à côté d’aspects critiques.  La science doit donc être rétablie dans toute sa diversité. 

Commencer par une synthèse des différentes formes que la science a prise au cours de l’histoire pourrait s’avérer utile et aboutir à des modes de pensée radicalement nouveaux.   Il serait stupide de rejeter d’emblée le vaste réservoir de connaissances déjà développé dans les différentes cultures à différentes époques et de tâtonner dans l’obscurité.

La pertinence des approches anciennes dans le contexte moderne est soulignée par l’exemple du mathématicien Srinivas Ramanujan : les résultats qu’il a obtenus en suivant une tradition qui remonte aux âges védiques se sont avérés essentiels dans la physique moderne la plus sophistiquée.

Bien sûr les méthodes éprouvées ne doivent pas être abandonnées, mais complétées par d’autres, en tenant compte des nombreuses évolutions de notre perception de la réalité induites par la science elle-même. 

Bref, tout comme avec l’éducation, ce n’est que par le retour d’un véritable pluralisme que nous pouvons tenter de surmonter quelques unes des lacunes de la compréhension humaine. 

Applications scientifiques

Ce n’est qu’après avoir atteint une compréhension théorique étendue et approfondie que l’on peut commencer à penser aux applications technologiques.  Comme l’ont proposé Ralph et Mildred Buchsbaum il y a un demi-siècle, “la charge de la preuve … de [l’absence] de préjudice marqué pour l’homme” devrait être légalement “placée sur l’homme qui veut introduire un changement”. Aujourd’hui, la preuve d’un préjudice réel doit être apportée par les victimes. Mais il n’est pas réaliste de compter sur la science pour identifier la cause exacte d’un dommage.  En effet, la science est dans l’ensemble incapable de démêler l’écheveau de plus en plus complexe des causes et de désigner un coupable. Ou, lorsqu’elle y parvient, c’est un processus de longue haleine ; entre-temps, des dommages sont créés, parfois irréversibles.  Trop souvent, il subsiste un doute raisonnable. Cela met les populations à la merci de jugements juridiques qui reposent sur des détails techniques et sur l’opinion de ceux qui les rendent.

Une fois que le public a donné son assentiment à un type particulier d’applications, des expériences encore plus minutieuses doivent être menées pour s’assurer que les effets collatéraux n’auront pas d’impact négatif sur nous. En d’autres termes, nous devons nous donner du temps avant d’introduire des éléments nouveaux dans la nature ; seules des expériences soigneusement menées dans des environnements naturels et sur des périodes de temps suffisamment longues peuvent nous aider à faire la différence entre les applications dont le principal problème est l’utilisation excessive, et qui peuvent donc être utilisées dans certaines limites, et les applications qui posent d’autres problèmes. 

5. Conclusion 

Revenons à la question initiale :  qu’est-ce que la science si elle est dans un flux constant ?

C’est la tentative désordonnée, mais héroïque, de l’esprit humain de comprendre le fonctionnement de l’univers en s’obstinant face à des obstacles insurmontables, face à une compréhension insaisissable, malgré d’innombrables échecs et erreurs.  Ces erreurs à leur tour donnent lieu à de nouveaux questionnements auxquels il faut répondre. La connaissance scientifique est ce qui se rapproche le plus des certitudes, mais elle est incapable d’offrir des certitudes parce que les certitudes sont incompatibles avec notre condition humaine.

Malgré l’emprise de la pseudo-science, cette vraie science a continué de faire son chemin.  Au cours des deux derniers siècles, la science que nous avons développée a ébranlé la croyance en une réalité manifeste composée de substances matérielles interagissant selon des règles mécaniquement rigides.  D’une réalité de substances isolées, elle en est venue à considérer chaque chose comme faisant partie d’un tout.  Ce tout ne peut être réduit à la somme de ses parties.  Inversement, aucune partie ne peut être expliquée indépendamment de ce tout.  Et pourtant chaque partie individuelle a sa propre importance et reflète le tout de différentes manières.  Bref, notre compréhension scientifique prend de plus en plus en compte la complexité de notre réalité.

Il ne tient qu’à nous de rétablir la science à sa juste place dans un environnement favorable où les scientifiques seront enfin libres de se concentrer sur des sujets constructifs de leur choix.  Aujourd’hui, trop doivent gaspiller leurs talents et leurs efforts à contrer les mensonges élaborés et propagés au nom de la science.

Dans ce contexte, les activités industrielles aussi ne seront pas nécessairement nuisibles, mais bénéfiques à l’humanité.




Apologie du Trans (démographie, sexe, nations) : le mauvais calcul des « républicains de gauche »

Par Lucien SA Oulahbib

La fragmentation transfigurée en obligation morale de type totalitaire (si vous n’obéissez pas, vous êtes maudits et donc cloués, mis à mort — médiatiquement et socialement) cette dissolution à marche forcée est de plus en plus au cœur de ce post-marxisme cherchant à s’accrocher encore aux branches d’un universalisme dévoyé. En appelant à détruire les nations, peuples, sexes au profit d’une combinatoire échangiste indifférenciée, la présidente de l’UE par exemple en constitue la pleine quintessence.

Peu importe si cette destruction ne résoudra pas les problèmes de corruption et de construction de réels États dits de « droit » (terme vague, la constitution soviétique était la plus démocratique du monde), l’idée fixe de cette hégémonie du « Trans » consistant à déverser, combiner, recombiner encore comme si les terres nationales étaient d’abord des terrains vagues (Derrida dans Parages par exemple l’avait théorisé) à squatter, à vider pour les remplir avec de la chair à voter au bout de quelques années…

Mais il n’est pas sûr que cela se passe ainsi, comme on l’a vu en Floride ou au Texas ou encore dans nombre de circonscriptions en France qui ont tout de même amené 89 députés RN. Sans parler de la Suède. Et l’Italie peut-être dimanche… Il est de bon ton bien sûr de les marabouter en leur jetant des sorts en guise d’arguments (extrême droite, néo-fasciste, antisémite, antivax et pro-Poutine), mais ces malédictions n’ont qu’un temps et leur effet paralysant ne fonctionne plus.

Même en un mot les secondes et troisièmes générations d’immigrés aspirent à la tranquillité et la citoyenneté responsable s’il n’y avait pas cette horde post marxiste et néoléniniste qui les chauffe à « blanc » quitte à les exciter avec la notion de « trans » tant et si bien que cela donne du grain à moudre aux « frérots » qui ont beau jeu de caresser dans le sens du poil ceux qui refusent ce matraquage instauré institutionnellement par un gouvernement qui préfère s’en prendre à SOS éducation en lui cherchant fiscalement les poux plutôt que relever le défi d’établir une relation de confiance entre l’établissement, l’élève et le professeur. Il est dommage qu’au RN et surtout à Reconquête (à la différence des Patriotes) on ne fasse pas la différence entre ceux qui bien qu’issus de l’immigration aspirent à devenir pleinement citoyens français au lieu d’être traités sans arrêt de « Bounty » ou d’immigrés de « service » alors que l’on ne voit vraiment pas au nom de quel savoir supérieur leurs insulteurs prétendraient la ramener (y compris les ethno-différentialistes…).

Ce n’est pas non plus en appelant au « respect de la laïcité » battue en brèche chaque jour, ne serait-ce qu’en mettant à mort l’esprit critique (car la laïcité ne se réduit pas à la neutralité religieuse) que l’on y arrivera ; aussi est-il risible de voir un média de grand chemin comme l’Ex-presse faire des unes sur « l’islamo-gauchisme » alors que par ailleurs toute approche réflexive objective en matière de santé et d’analyse des relations entre les sexes se trouve piétinée au plus haut point. Idem pour Marianne, Causeur, ou tous ces soi-disant « républicains de gauche » qui sont devenus bon an mal an le marche pied « utile » des Terra Nova et LFI, malgré l’impression du contraire, et à force de renoncements divers et variés, lorsque par exemple des partis des médias artistes intellectuels se trouvent traités de tous les noms et même menacés d’être jetés des trains aux dernières nouvelles…

« Lorsque l’on a cherché les communistes, je n’ai pas protesté, car je n’étais pas communiste » etc, etc…, ETC.




REVUE DE PRESSE DU 23 SEPTEMBRE 2022

Par MF

ÉDITO
La pandémie, c’est fini !

Mauvaise nouvelle pour les fabricants de vaccins, qui ne reculent toujours devant rien, proposant maintenant de nouvelles formules sans essais cliniques, qu’à cela ne tienne, l’Éducation nationale a mis au point un narratif pour enseignants sur les bienfaits de la vaccination, tandis que moult pays renoncent aux obligations de tests ou d’injections, mais que les soignants et pompiers français sont toujours suspendus, que la chasse aux sorcières continue, que l’augmentation de la mortalité toutes causes inquiète plusieurs pays et que les futurs receveurs de greffes vaccinés ont du souci à se faire. Et comme le dit le livre qui vient de sortir « c’est [de] la santé en bande organisée » !

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Pétition Sénat en soutien à Mme Sylviane NOËL demandant l’abrogation de l’obligation vaccinale pour soignants et pompiers

https://petitions.senat.fr/initiatives/i-1067

« Par cette pétition, nous appelons tous les groupes de partis politiques ainsi que tous les citoyens se défendant d’être attachés aux valeurs républicaines ainsi qu’à la souveraineté de la France, de s’unir pour défendre la proposition de Mme Sylviane Noël Sénatrice (LR) de la Haute-Savoie. Il y a urgence, notre beau pays sombre. »

La pandémie, c’est fini, c’est Joe qui l’a dit !

Une phrase qui coûte 9 milliards de dollars aux fabricants de vaccins.

Le nombre de nouveaux cas et de décès diminue dans tous les pays, dont la France

Et pourtant, l’Éducation Nationale veut endoctriner les enfants pour les vacciner

« Ce nouveau “petit livre rouge” n’est qu’un missel des représentants de l’industrie des vaccins, un outil de propagande mensongère, qui désinforme les enseignants pour qu’ils endoctrinent nos enfants en leur récitant le crédo des fabricants de pseudo vaccins. »

L’Express ment, énormément, au sujet de C. Perronne

« L’AFP, l’Express, Bruno Coutier, Victor Garcia paraissent ignorer les données officielles de l’OMS ! Ils se contentent de réciter le crédo officiel. Il serait temps qu’ils s’intéressent aux faits avérés du monde réel et qu’ils les présentent impartialement comme les journalistes qu’ils étaient certainement jadis. »

La santé en bande organisée, le pavé dans la mare

https://larevuedesmedias.ina.fr/enquete-scoop-figaro-scandale-mediator-laboratoire-servier-sante-etienne-mougeotte

et sur Cnews, interview de l’auteur, Anne Jouan

En filigrane les effets secondaires des vaccins anti-covid sous-estimés en France.

ÉTRANGER

EUROPE — La Cour des comptes met en difficulté Von der Leyen

Les achats de vaccins, une ruine pour le contribuable européen.

AUSTRALIE — Inquiétude devant l’augmentation des décès, du jamais vu depuis 40 ans

https://www.smh.com.au/politics/federal/covid-complications-push-australian-deaths-to-highest-number-in-40-years-20220921-p5bjtm.html

USA — Californie, fin du dépistage obligatoire pour les non-vaccinés

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/09/23/la-californie-annonce-la-fin-du-depistage-obligatoire-pour-les-non-vaccines/

« Le Docteur Tomas Aragon, directeur du Département de la santé publique de Californie, reconnaît que les dépistages hebdomadaires n’ont pas permis d’empêcher la propagation du virus depuis l’apparition d’Omicron, et de ces sous-variants d’Omicron BA.4 et BA.5 devenus dominants. »

USA — Interview du Dr Stephan Hatfill, par FranceSoir

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/dr-steven-hatfill-la-france-un-heros-national-et-un-gentleman-le-professeur-raoult

« Steven Hatfill qui couvre la situation sanitaire depuis le début de l’épidémie, ne cesse de dénoncer les décisions irresponsables et l’alliance médicale corrompue des sociétés pharmaceutiques, d’agence de santé publique, d’autorités politiques et médiatiques. »

JUSTICE

Plainte de Bon Sens contre Gates, procès décalé au 20 octobre

https://www.francesoir.fr/societe/plainte-de-bonsens-contre-bill-gates-le-debut-du-proces-decale-au-20-octobre

L’eurodéputé Michèle Rivasi va saisir la justice européenne

« Il apparaît que les pays sont contraints d’acheter les vaccins jusqu’à fin 2023, même s’ils n’en ont plus besoin. Car l’UE a passé auprès de Pfizer une commande estimée à 35 milliards d’euros. Mme Rivasi redoute que pour écouler ces doses on remette prochainement sur le tapis une obligation vaccinale. »

COVID

Le regard d’un médecin américain dans la gestion de l’épidémie

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/dr-steven-hatfill-la-france-un-heros-national-et-un-gentleman-le-professeur-raoult

« Steven Hatfill qui couvre la situation sanitaire depuis le début de l’épidémie, ne cesse de dénoncer les décisions irresponsables et l’alliance médicale corrompue des sociétés pharmaceutiques, d’agence de santé publique, d’autorités politiques et médiatiques. »

Alors, 8e vague ??

https://www.covid-factuel.fr/2022/09/13/covid-8e-vague/

« Il y a plus d’arguments pour ne pas craindre les vagues à venir, que de les craindre et essayer d’agir contre elles. Même sans comparer avec d’autres, omicron nous a montré de manière indiscutable, qu’avec ces nouveaux variants, sans confinement, sans distanciation, sans masques, sans vaccins, en laissant faire, nous nous sommes bien mieux portés qu’avec Wuhan, alpha ou delta. Alors, continuons sur cette voie. /… toutes ces épidémies, même les plus mortelles et sans vaccins, toutes ne durent pas plus de 3 ans, nous arrivons bientôt à cette échéance. »

INJECTIONS

Conseil mondial de la santé : existe-t-il un signal de sécurité concernant les vaccins Covid19 ?

https://worldcouncilforhealth.org/resources/covid-19-vaccine-pharmacovigilance-report/

« Le rapport a été préparé pour déterminer s’il existe suffisamment de données de pharmacovigilance dans les bases de données VigiAccess de l’OMS, VAERS des CDC, EudraVigilance et UK Yellow Card Scheme pour établir un signal de sécurité sur les vaccins Covid-19. /.. Les vaccins Covid-19 sont en phase 3 des essais, et leur sécurité et leur efficacité n’ont pas encore été établies. La majorité des personnes qui ont reçu l’intervention (plusieurs milliards de personnes) ne sont pas suivies par les essais./.. IL EXISTE suffisamment de preuves sur toutes les bases de données de pharmacovigilance examinées dans ce rapport pour établir un signal de sécurité préoccupant concernant les vaccins Covid-19. »

De nouveaux vaccins, non testés !!

https://www.francesoir.fr/societe-sante/has-autorise-trois-vaccins-omicron-et-couplage-grippe-sans-essai-clinique#.YytfjS75jNE.twitter

« L’administration de ces nouveaux vaccins va donc commencer en population générale sans qu’aucune information en matière d’efficacité sur le moyen et long terme, ou même de toxicité, ait fait l’objet d’une quelconque évaluation des résultats au regard des bonnes pratiques cliniques. »

EFFETS INDÉSIRABLES

Rejet d’allogreffes chez les vaccinés

http://echelledejacob.blogspot.com/2022/09/des-receveurs-dorganes-rejettent-les.html

« Selon une nouvelle étude publiée dans le Journal of Clinical Medicine, les allogreffes cornéennes aiguës sont rejetées par les patients immunisés qui ont subi la greffe. »

RÉSISTANCES

CSI n° 72 du 22 septembre 2022

https://crowdbunker.com/v/wm7QkvDH

Invité : Momotchi, ingénieur en électronique https://t.me/momotchiii/4068

Sujet : Vaccin et grossesse — étude canadienne sur les effets secondaires.

Le dernier numéro de Nexus dénonce : « pensée unique et journalisme de soumission »

« On y parle de censure, de corruption, du fonctionnement des médias, de l’OMS, de l’UE, de Bill Gates, du “Conseil scientifique Covid-19” et quelques autres sujets encore. »




L’utilisation de la technologie sans fil modifie le cerveau — voici comment

[Source : epochtimes.fr]

Par MINGJIA JACKY GUAN

Nous faisons tout avec nos téléphones : les provisions, le shopping, nous parlons avec nos amis, nous jouons, et des dizaines d’autres choses. Certains d’entre nous travaillent avec leur téléphone. Parfois, la table du dîner compte plus de téléphones que de personnes. Souvent, notre bien-aimé regarde son téléphone sans nous prêter plus d’attention. Nous-mêmes avons le nez collé dans le téléphone alors que nos enfants nous parlent.

Le téléphone a été inventé en 1876, l’ordinateur personnel en 1974 et Internet la même année. La première tentative commerciale de smartphone a été réalisée par IBM en 1992. Il comportait plusieurs fonctions, notamment les appels, les textos, les mails, une horloge mondiale et bien d’autres fonctions qui font partie intégrante du téléphone d’aujourd’hui. Mais, 30 ans plus tard, le téléphone fait beaucoup, beaucoup plus de choses. Et les 50 000 unités vendues par IBM Simons au début des années 1990 semblent bien ridicules face aux 6 milliards de smartphones fonctionnant de par le monde actuellement.

Il est intéressant de noter qu’à l’époque où l’IBM Simon est sorti, le gouvernement américain procédait à une réduction importante de son financement.

Le Dr Joel Moskowitz a mené des recherches sur les effets des radiations sans fil dans le courant de la dernière décennie à l’Université de Californie-Berkeley. Il déclare :

« Une grande raison pour laquelle il n’y a pas plus de recherches sur les risques sanitaires de l’exposition aux radiations radiofréquences est que le gouvernement américain a cessé de financer ces recherches dans les années 1990. »

« Une recherche de 30 millions de dollars menée sur des souris fait exception. Elle a été publiée en 2018 par le Programme national de toxicologie du National Institute of Environmental Health Sciences. »

« Ils ont trouvé des “preuves claires” de la cancérogénicité des radiations des téléphones cellulaires. »

Une recherche de Harvard (PDF) de 60 pages rédigée par Norm Alster montre que la Federal Communications Commission (FCC), chargée de réglementer la technologie sans fil« est à la merci des industries qu’elle est censée réglementer ».

Matière blanche, matière grise et problèmes de mémoire

Le cerveau est composé de deux parties, la matière blanche et la matière grise, ainsi nommées en raison de leur apparence relative. La matière grise a fini de se développer totalement vers les 20 ans. La matière grise est responsable de tous les mouvements moteurs du corps et, surtout, des capacités cognitives. La matière blanche joue un rôle clé dans le relais et l’accélération des signaux nerveux en provenance et à destination du cerveau et continue à se développer plus tard, la cinquantaine dans certains cas.

Ces deux substances sont principalement présentes dans le cerveau et dans certaines parties de la moelle épinière et sont considérées comme l’une des parties les plus mystérieuses, mais aussi les plus vitales du corps humain, jouant un rôle essentiel dans l’exécution de toute tâche, pour relayer les informations et les traduire en actions. Des études montrent que de plus petits volumes de matière blanche, par exemple, peuvent être associés à des déficiences liées à l’attention, à la mémoire, aux fonctions exécutives, à l’intelligence et aux résultats scolaires.

Dans les cas extrêmes, la détérioration de la densité et de l’intégrité de la matière blanche et grise est la principale cause des maladies neurodégénératives. La maladie d’Alzheimer, par exemple, proviendrait de la croissance de plaques de protéines à la place de la matière blanche et entraînerait ainsi des troubles moteurs et de la mémoire. La sclérose en plaques est due à une maladie inflammatoire du système nerveux central qui entraîne également une détérioration de la matière blanche. La toxicomanie et les traumatismes cérébraux peuvent également entraîner une détérioration de la matière cérébrale.

Les téléphones peuvent faire de même.

Il a été cliniquement démontré que l’utilisation régulière du téléphone entraîne une détérioration de la matière grise, la partie du cerveau qui permet les mouvements moteurs, la mémoire et les émotions.

Ce phénomène est probablement dû aux champs électromagnétiques de radiofréquence (CEM-RF) émis par les smartphones.

Une étude suisse menée en 2015 indique que l’exposition aux CEM-RF émis par les téléphones portables était liée à des problèmes de mémoire.

Une autre étude suisse a conclu de manière préliminaire que l’exposition aux CEM-RF était associée à des déclins des fonctions cognitives dans le cerveau, ce qui inclut les problèmes de mémoire.

Les IRM de patients dépendants des smartphones révèlent déjà que la composition de leur matière grise cérébrale ressemble à celle d’une personne souffrant de troubles liés à la consommation de substances : elle est détériorée.

Il a déjà été cliniquement prouvé que l’exposition aux CEM-RF est liée à des modifications de la biochimie et de l’électrophysiologie du cerveau, comme indiqué précédemment. On peut donc logiquement en déduire que l’exposition prolongée aux CEM-RF des smartphones est liée à la détérioration du cerveau.

Une étude publiée récemment détaille les effets de la 5G dans diverses situations : en cas des maladies neurodégénératives, comme la maladie d’Alzheimer et la sclérose latérale amyotrophique (SLA), ainsi que d’autres problèmes neurocomportementaux comme l’autisme, la production de mélatonine par la glande pinéale et la perturbation de la barrière hématoencéphalique. Les recherches sur la 5G et ses effets sont quelque peu limitées, mais les études préexistantes montrent déjà que les ramifications sont nombreuses.

Il existe actuellement près de 300 études sur les champs électromagnétiques/rayonnements de radiofréquence (CEM/RF) qui documentent leurs effets neurologiques, ou leurs effets sur le cerveau. Compte tenu de l’abondance des preuves, un groupe composé de plus de 250 scientifiques dans le domaine de la recherche sur les CEM a lancé un appel aux États-Unis et à l’OMS pour une plus grande protection de la santé en matière d’exposition aux CEM. Cet appel est d’autant plus pertinent que les études sur les effets néfastes de la technologie de réseau mobile 5G sur la santé en conditions réelles se multiplient.

[Voir aussi :
dossier 5G et ondes pulsées]

Comment les CEM-FR provoquent le cancer

Un projet de recherche des National Institutes of Health (NIH) portant sur les effets néfastes des rayonnements 2G et 3G sur les souris, publié en 2018, a révélé que l’exposition aux radiofréquences liées aux réseaux téléphoniques est associée de manière flagrante à des tumeurs dans divers organes de souris et à d’autres types de cancer.

En plus de cela, les preuves scientifiques actuelles démontrent clairement un risque accru de gliome et de neurinome de l’acoustique, types de cancers du cerveau et de la moelle épinière, liés à l’utilisation de téléphones mobiles et/ou sans fil.

Un examen systématique effectué fin 2020 a abouti aux mêmes conclusions :

« [il existe] des preuves très nettes associant l’utilisation des téléphones cellulaires à un risque accru de tumeur, en particulier chez les utilisateurs de téléphones cellulaires ayant cumulé au moins 1000 heures d’utilisation au cours de leur vie (ce qui correspond à environ 17 min par jour sur 10 ans). Cette association est d’autant plus nette dans les recherches ayant employé des méthodes de pointe. »

Le narratif actuel en matière de technologie sans fil est que la technologie des ondes millimétriques pour, disons, la 5G ou le WiFi, n’est pas considérée comme suffisamment forte pour pénétrer dans la peau. Elle est non ionisante, et ne fait donc aucun mal aux humains.

La Commission internationale pour la protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP) a établi diverses directives, mais ces directives :
– n’empêchent pas une augmentation inacceptable de la température ;
– ne limitent pas l’intensité des pics de rayonnement ;
– exigent qu’un téléphone mobile 5G soit tenu à 8 cm de la tête ou du corps.

Le professeur Yuri G. Grigoriev, membre de plusieurs commissions et comités russes et internationaux sur la sécurité des rayonnements et des CEM, ainsi que président adjoint du Bureau de radiobiologie de l’Académie des sciences de Russie, qui a publié son livre « Fréquences utilisées dans les télécommunications – Une évaluation radiobiologique intégrée » peu avant sa mort.

Dans ce livre, le Dr Grigoriev souligne que l’ICNIRP n’est pas forcément crédible. Il s’agit d’une ONG allemande cultivant des liens étroits avec l’industrie, régulièrement critiquée pour présumer de son autorité.

Selon le Dr Grigoriev, les directives de l’ICNIRP sont inadéquates parce qu’elles ont été conçues uniquement pour protéger les gens des effets thermiques des rayonnements.

Dans son livre, il fait référence à des études qui mettent en évidence les dommages causés aux cellules nerveuses, les altérations des membranes cellulaires, les niveaux de protéines cérébrales dans l’hippocampe, les cassures de l’ADN, la reproduction, et bien d’autres effets encore.

Selon le Dr Moskovitz, il existe pléthore d’études sur la technologie 5G, et la plupart d’entre elles vous diront que la 5G est tout à fait sûre et qu’il n’y a aucune raison de s’inquiéter. Mais en lisant les petits caractères, on voit que sur les 408 études existantes, seules sept sont des études médicales ou biologiques.

« Un examen plus approfondi, cependant, révèle que, bien que ces [sept] études aient employé des fréquences porteuses utilisées dans la 5 G, aucune de ces études n’a modulé ou pulsé le signal comme l’exige la 5 G ou utilisé d’autres caractéristiques de la technologie 5G (par exemple, la formation de faisceau, le MIMO massif et les réseaux phasés) qui sont susceptibles d’affecter la nature et l’étendue des effets biologiques ou sanitaires de l’exposition à ce rayonnement. »

Cependant, une étude qui a modulé le signal dans les conditions du monde réel a conclu que les rayonnements radiofréquences, pas nécessairement la 5G, peuvent entraîner des effets cancérigènes, tels que des tumeurs cérébrales/gliomes, des cancers du sein, des neurinomes de l’acoustique, des leucémies et des tumeurs de la glande parotide. Ces résultats sont basés sur des expériences menées avec des niveaux de radiofréquences inférieurs aux directives de la FCC. La même étude a révélé que les radiations des téléphones portables peuvent également provoquer des inflammations, des maux de tête, de l’irritabilité, de la fatigue, des difficultés de concentration, des dépressions, des acouphènes, des troubles digestifs, et bien d’autres choses encore.

À partir de là, on comprendra que les smartphones et leur impact sur le corps humain ne concernent pas une zone ou une autre, mais semble attaquer l’ensemble de l’organisme.

Comment vaincre la dépendance aux smartphones

Il est inutile de nier que les gens sont aujourd’hui dépendants des smartphones. Des études ont montré qu’un adolescent sur quatre était sujet à une addiction aux smartphones, mais les estimations prévoient que les chiffres réels sont bien plus élevés.

On peut constater partout autour de soi que les smartphones n’affectent pas seulement les adolescents. Ils affectent également les relations, les familles et les personnes de tout âge. La dépendance aux smartphones entraîne de nombreuses conséquences défavorables sur le plan clinique (troubles du sommeil, oculaires et musculo-squelettiques), psychologique (distraction, modification de l’humeur, perte d’intérêt) et social (approche superficielle de l’apprentissage, isolement).

Les smartphones sont conçus pour créer une dépendance, c’est dans leur ADN.

On a constamment envie de taper sur l’écran, de faire glisser l’écran vers le bas et de le rafraîchir parce que cela procure une satisfaction inexplicable — les accros du jeu ne peuvent pas résister à l’envie de tirer sur le levier de la machine à sous, tout comme les accros des smartphones ne peuvent pas résister à l’envie de faire défiler l’écran. Les similitudes sont palpables, et Tristan Harris, ancien « éthicien du design » chez Google, explique que les fonctionnalités, telles que la fonction « pull-to-refresh », sont inspirées des machines à sous et autres jeux de casino. Le son d’un message entrant (petit tintement) a été conçu pour déclencher en quelque sorte la dopamine dans le cerveau. Comment faire pour réduire sa dépendance au smartphone ?

Admettre sa dépendance

La première étape consiste à analyser la façon dont on utilise son téléphone. L’utilise-t-on pour des choses indispensables ou pas. Certains parmi nous ont simplement besoin d’utiliser leur téléphone pour leur travail et ils ne peuvent pas se permettre de le mettre de côté. L’accent est mis sur cette dichotomie : « nécessaire » vs « inutile ». La dépendance consiste à ressentir constamment l’envie d’utiliser son téléphone même si ce n’est pas utile. Faire défiler son fil d’actualité pendant des heures sur les médias sociaux est un exemple assez classique. Papillonner sur son téléphone pour rien en est un autre. La frontière est parfois mince.

Une fois qu’on a bien analysé la situation, on peut alors réfléchir aux étapes suivantes.

Trouver d’autres divertissements

La première étape consiste à trouver des activités non liées à la technologie, telles que le dessin, la cuisine ou autre.

On peut privilégier le rapprochement physique avec les amis aux interactions téléphoniques. Faire des promenades en laissant le téléphone derrière soi, jusqu’à un lac, un sentier ou une ville à proximité, visiter un nouveau café ou aller dans un restaurant réputé.

Le but est de réaliser qu’il y a toute une vie non numérique en dehors de notre zone de confort en ligne, et c’est tout à fait agréable simplement parce que c’est la vraie vie.

Avoir quelqu’un qui nous soutient est très important.

Être strict avec soi-même

Une chose délicate face aux addictions est de rester TRÈS ferme avec soi-même. S’en tenir à un objectif, surtout celui-ci, exige beaucoup de détermination et de résistance. Parfois, cela peut sembler presque impossible, mais avec un bon état d’esprit et une attitude positive, on peut y arriver.

Il ne faut pas considérer cela comme un fardeau ou comme un devoir, mais plutôt comme une façon de se « libérer » du harcèlement constant des messages entrants ou du dernier tweet. Il existe de nombreuses fonctions, comme les paramètres « ne pas déranger ». On peut les régler afin qu’ils s’activent automatiquement au cours de la journée. Le téléphone se fera alors un peu oublier. Ce qui nous amène à un autre point crucial.

Certaines personnes regardent leur téléphone juste pour regarder leur téléphone, tandis que d’autres y vont délibérément pour « envoyer des messages à maman ». Oui, envoyer des messages à un ami en permanence est amusant, mais les relations sociales saines impliquent des pauses, quelle que soit la proximité.

Rester constamment en contact 24/7 peut conduire à une apathie sociale, ce qui signifie qu’il n’y a pas de derniers potins à attendre avec impatience, pas de nouvelle voiture à évoquer, ou rien de ce qui s’est passé qui n’a pas été dit. Ne pas se connecter l’un à l’autre pendant une semaine ou deux et se retrouver ensuite pour passer un bon moment ensemble est mieux que d’avoir des textos qui fusent de gauche à droite et de passer un après-midi silencieux dans une chaîne de cafés. Une véritable interaction sociale est tout simplement meilleure.

Se mettre hors ligne

Si l’envie d’attraper le smartphone est trop forte, il faut l’enfouir quelque part.

Une tradition japonaise appelée « Shinrin-Yoku » consiste à se rendre dans une forêt et à profiter de l’immense beauté de la nature. Les gens passent généralement des heures dans la nature de cette façon et prennent le temps de se désintoxiquer, de se détendre et d’être en paix.

Pour aller plus loin, on peut organiser une escapade tout le week-end, seul ou avec des amis. On laissera le téléphone dans le sac, rangé et éteint. Un bon moyen de l’oublier est d’aller camper.

Un autre moyen radical pour se sevrer est de troquer son smartphone pour un téléphone à clapet. Voilà une initiative efficace pour se déconnecter tout en restant joignable et envoyer des SMS.

Tout cela montre simplement qu’on peut parfaitement vivre sans smartphone.




Go Virus Go !

[Source : https://wissenschafftplus.de/uploads/article/goVIRUSgogogo.pdf]

Le Dr Stefan Lanka (…) raconte le « Procès du virus de la rougeole ». Stefan Lanka avait promis 100 000 euros à qui prouverait de manière scientifique l’existence du virus de la rougeole. Suite à l’action du Robert Koch Institut (équivalent allemand de l’Institut Pasteur) par l’intermédiaire d’un médecin (le Dr Bardens) Lanka a été traduit en justice et sommé de payer les 100 000 euros. Après un premier jugement, en sa défaveur, car bâclé et rempli de vices de forme, il a porté l’affaire devant la Cour d’Appel de Stuttgart qui lui a donné raison, jugement confirmé par la plus haute juridiction allemande, la Cour Fédérale de Justice de Karlsruhe.

Ce jugement, qui disait textuellement qu’aucune étude scientifique n’avait prouvé l’existence du virus de la rougeole — et plus généralement l’existence des virus, aurait dû être un coup de tonnerre dans le monde médical et dans tous les médias. À cette occasion, ces derniers se sont révélés être ce qu’ils sont réellement : des merdias qui ignorent tout simplement ce qui les dérange et pourrait les empêcher de profiter des offrandes versées par les laboratoires. Il va sans dire qu’aucun laboratoire ou institution de santé publique ne s’est hasardé, et pour cause, à « remettre le couvert » lors d’un autre procès.

Jean Bitterlin

[Note du traducteur (Jean Bitterlin) :
afin de bien comprendre les différentes étapes du « Procès du pari que le virus de la rougeole n’existe pas » ou du « Procès de la récompense à qui prouvera l’existence du virus de la rougeole de manière scientifique », il faut connaître les différentes étapes du système judiciaire allemand.

  • Le Landgericht (tribunal régional) ou LG correspond au tribunal de Grande Instance en France.
  • Le Oberlandgericht ou OLG est la juridiction de 2instance en matière civile et correspond à la Cour d’Appel en France. Les OLG sont compétents pour les recours interjetés contre l’ensemble des décisions rendues par les LG. Il y en a 24 en Allemagne.
  • Le Bundesgerichthof (tribunal fédéral) ou BGH est le dernier degré de juridiction civile en Allemagne. Son siège est à Karlsruhe.

Par ailleurs le Robert Koch Institut ou RKI est l’équivalent allemand de l’Institut Pasteur en France.

Dans la traduction seront utilisés les acronymes LG, OLG et BGH pour désigner les différents tribunaux.

La Cour fédérale de justice fait sombrer la foi dans les virus

Dans le « procès du virus de la rougeole » qui a duré cinq ans, le 1er décembre 2016 la Cour Fédérale de Justice de Karlsruhe a confirmé le sensationnel jugement de la Cour d’Appel de Stuttgart du 16 février 2016.

Depuis le 1er décembre 2016, il est de jurisprudence suprême en Allemagne que toutes les affirmations concernant la contagion de la rougeole, les vaccins contre la rougeole et le virus de la rougeole n’ont aucun fondement scientifique.

Les attendus du jugement, confirmés par la plus haute juridiction, comprennent la désignation claire de faits qui non seulement réfutent toutes les affirmations concernant la contagion de la rougeole, les vaccins contre la rougeole et le virus de la rougeole, mais aussi tous les soi-disant « virus pathogènes » et les vaccins.

Le Monde attend maintenant que soit introduite dans la jurisprudence une première procédure judiciaire dans laquelle l’obligation de vaccination, l’exclusion scolaire, l’atteinte au droit des parents ou le droit au libre choix de la profession seront repoussés et dans laquelle la reconnaissance d’un dommage lié à la vaccination ou le caractère insoutenable des recommandations de l’État en matière de vaccination seront portés en justice.

Cela peut et doit conduire — d’abord en Allemagne, puis au niveau mondial — à la reconnaissance des dérives de la médecine et au début d’un enseignement de la santé publique réellement scientifique. Pour cela les bases sont posées.

]


[Voir aussi :
dossier Vaccins et virus]


La Cour fédérale de justice fait sombrer la foi dans les virus

Go Virus Go

Par le Dr Stefan Lanka

Le 24 novembre 2011, j’avais promis une récompense de 100 000 € pour toute publication scientifique dans laquelle l’existence affirmée du « virus de la rougeole » serait prouvée. Ce défi a déclenché le « procès du pari sur l’inexistence du virus de la rougeole ». La condamnation médiatique préalable a été énorme. Le LG de Ravensburg s’est retrouvé sous pression et le président du tribunal, le juge Matthias Schneider, a paniqué.

Le 12 mars 2015, dans la première partie de l’audience, par le biais d’une extension excessive du Droit et de la Loi et en ignorant tous les faits présentés par écrit, avant même le départ de l’expert et avant les autres étapes requises par la législation, le juge Schneider a rendu un « jugement sur la chaise ». Les « jugements sur la chaise » sont des jugements qui ne nécessitent pas le temps de réflexion nécessaire imposé par ailleurs au tribunal et aux parties. En Droit Civil, les « jugements sur la chaise » ne peuvent être rendus que pour des faits très simples et clairs.

Le LG de Ravensburg m’a ainsi empêché, lors de l’audience de plaidoirie, dans le cadre de l’obtention de preuves prévue par la loi et au moyen de la documentation qui était préparée et qui aurait dû être présentée par le biais de mes avocats, de réfuter toutes les déclarations de l’expert désigné par le tribunal. C’est la raison pour laquelle cette réfutation n’a été faite que plus tard et de manière coûteuse, lors de la procédure d’appel devant la OLG de Stuttgart. Si je n’avais pas pu réunir et verser en très peu de temps l’énorme somme de plus de 150 000 €, la procédure d’appel et le recours devant la Cour fédérale de justice n’auraient pas eu lieu. Sans beaucoup d’argent, il est difficile d’obtenir justice en Allemagne.

Le LG de Ravensburg a empêché, par le biais de l’insidieux « jugement sur la chaise », la possibilité suivante : « Les parties négocient de manière litigieuse sur le résultat de la preuve », comme cela figure à tort dans le procès-verbal de l’audience, sans qu’une instruction en bonne et due forme ait été menée et clôturée et également sans que la partie civile du plaignant ait été entendue. Le plaignant a prétendu qu’il y avait eu injure, raison pour laquelle je devais lui verser 492,54 € plus intérêts, sans que la prétendue injure n’ait été judiciairement constatée ni jugée. Par son « jugement sur la chaise » inacceptable et pris dans la panique — l’assesseur et rapporteur du tribunal a posé lors de l’interrogatoire de l’expert les questions décisives réfutant les affirmations de l’expert — le juge Schneider m’a empêché de déposer les conclusions préparées et de présenter mes réfutations des déclarations de l’expert. Par mesure de précaution, le juge Mathias Schneider, président du tribunal, m’a interdit dès le début de l’audience de poser des questions à l’expert, sachant que je disposais d’une expertise scientifique publiée dans le domaine de la virologie et que l’expert en question n’avait pas d’expertise scientifique publiée.

Le juge m’a condamné à payer la récompense promise de 100 000 €, avec en plus des intérêts élevés, ainsi que tous les frais et les frais d’expertise élevés. Le juge a également ordonné que le plaignant puisse réclamer ces sommes, même si je faisais appel. Le demandeur l’a fait immédiatement et avec un maximum d’efforts. Il a même demandé un mandat d’arrêt à cet effet et a affirmé publiquement, au mépris de la vérité, que celui-ci était devenu effectif. En outre, le plaignant lui-même n’a même pas fourni la garantie bancaire que la loi exige pour réclamer un jugement exécutoire par provision.

Cette « grossière erreur judiciaire » du LG de Ravensburg a été annulée le 16 février 2016 par l’OLG de Stuttgart suite au succès de mon appel. À ce jour (le 28 février 2017, mise sous presse), le plaignant n’a pas remboursé les 121 000 € que j’avais versés et n’a pas payé les frais d’avocat, de justice et d’expertise, bien que l’arrêt de l’OLG de Stuttgart du 16 février 2016 ait été rendu exécutoire par la décision de la Cour Fédérale du 1er décembre 2016.

Tâche difficile pour la Cour d’Appel de Stuttgart

L’OLG de Stuttgart, qui a accepté mon appel « dans son intégralité », avait une tâche difficile. Comment la Cour d’Appel pouvait-elle, en même temps que mon acquittement, préserver la réputation de la justice, celle de ses collègues de Ravensburg, celle de l’expert désigné par le tribunal, le professeur Andreas Podbielski, et surtout celle du professeur Annette Mankertz de l’Institut Robert Koch ? En rendant son jugement, l’OLG de Stuttgart a tenté de protéger toutes les parties concernées en dehors du plaignant, le Dr Bardens qui a subi les foudres du tribunal.

Le tribunal a tenté de faire le grand écart et a écrit une page d’histoire mondiale. Il a élégamment démasqué, désormais avec force de loi, la croyance erronée dans le « virus de la rougeole », dans la transmissibilité de la « rougeole » et dans la possibilité et l’efficacité des soi-disant « vaccins contre la rougeole ». Les faits ne sont pas à lire entre les lignes, mais dans les lignes du jugement, que toutes les affirmations concernant tous les virus responsables de maladies sont réfutées.

Lors de la formulation de son jugement, l’OLG de Stuttgart a rencontré plusieurs problèmes avec les faits avancés. Elle a tenté d’en neutraliser certains sur le plan juridique, d’autres ont été présentés tels quels, sans les commenter, sans leur donner de valeur juridique. Par exemple toutes les déclarations écrites et orales de l’expert judiciaire, le professeur Podbielski, sur lesquelles reposait toute la procédure, sont manifestement et prouvées fausses(([1] Voir : L’acte d’appel du 7 juillet 2015 a été publié dans les numéros 5 et 6/2015 du magazine WissenschafftPlus. Ma prise de position du 10 décembre 2015 adressée à la Cour d’Appel de Stuttgart, qui fait partie intégrante de l’appel, a été publiée en cinq épisodes dans les numéros n° 1/2016 à n° 5/2016 du magazine WissenschafftPlus. L’expertise du 10 décembre 2015 d’un professeur dans le domaine de la virologie a été publié dans les numéros n° 6/2016 et n° 1/2017 du magazine WissenschafftPlus.
À commander dans la boutique de www.food-or.de ou à l’aide du lien
http://www.food-or.de/shop/c/de/abonnement)). Dans mon recours, j’ai réfuté toutes les déclarations de l’expert.

En outre, le recours comprenait cinq expertises, chacune d’entre elles réfutant les déclarations du professeur Podbielski. La quatrième expertise confirme que le professeur Podbielski, en tant que simple bactériologiste, n’a aucune compétence pratique et publiée dans le domaine de la virologie. Il n’aurait jamais dû être désigné comme expert. Un autre problème des juges de l’OLG, qui étaient parfaitement préparés à la procédure et manifestement détendus, était le suivant : la réfutation scientifique à l’affirmation de l’existence du « virus de la rougeole » sous la forme du cinquième rapport d’expertise.

Cette expertise réfute clairement toutes les affirmations existantes sur l’existence d’un « virus de la rougeole ». Je renvoie pour cela à la cinquième expertise du recours, la contre-expertise et mes interventions à ce sujet dans ce numéro de WissenschafftPlus de février 2017.

Un problème majeur, que l’OLG de Stuttgart a tenté en vain de résoudre, continuera à l’avenir à peser sur le tribunal. Il s’agit du fait que l’expert provirus, le professeur Podbielski, s’est lui-même réfuté lors de l’audience au tribunal de Grande Instance de Ravensburg. Dans le feu croisé des questions de la juge rapporteuse, le Dr Anna-Maria Brutscher, il a admis que ses déclarations écrites antérieures sur le « virus de la rougeole », et qui sont cruciales, étaient fausses. Cette réfutation cruciale, faite par l’expert lui-même, et qui figurait dans le procès-verbal de la Cour a été supprimée par l’OLG de Stuttgart tout comme l’avait fait le LG de Ravensburg.

Cette importante déclaration factuelle du procès-verbal de l’audience du 12 mars 2015, et la seule vraie du professeur Podbielski, n’a pas été retirée ou modifiée. L’OLG de Stuttgart a dû supprimer ce fait afin de protéger l’expert et le tribunal de grande instance de Ravensburg d’éventuelles conséquences négatives, bien que cette réfutation de l’expert par lui-même » soit avancée à plusieurs reprises, de manière explicite et sans équivoque, dans l’appel « recevable ».

Par contre, le tribunal a fait preuve de génie dans le traitement des affirmations par le Robert Koch-Institut de l’existence du « virus de la rougeole », en réfutant de la manière la plus concrète ces affirmations. Le RKI, la plus haute autorité étatique et scientifique dans le domaine des allégations d’infection, a réfuté, par un document introduit dans la procédure, toutes les allégations d’existence du « virus de la rougeole ». Le RKI, en la personne de la Professeur Annette Mankertz, directrice de l’Institut National de Référence pour la rougeole au RKI, a réfuté, dans sa déposition sur le « virus de la rougeole », les affirmations antérieures des organismes gouvernementaux selon lesquelles les « vaccins contre la rougeole » sont bien tolérés et n’ont pas d’effets secondaires (voir ci-dessous).

L’expert, le professeur Podbielski, a réfuté dans son intervention sur ledit document du RKI non seulement les affirmations sur l’existence du « virus de la rougeole », mais en même temps la prétendue démonstration « scientifique » de tous les « virus pathogènes » (voir ci-dessous). L’OLG de Stuttgart a décidé de mentionner ces faits, mais de ne pas les évaluer et de ne pas les exploiter.

Le tribunal espérait que personne ne lirait le jugement. Pour faire diversion, le tribunal a jeté aux médias, après la fin de l’audience, des morceaux juridiquement non pertinents, de la taille d’une bouchée de pain, qui ont été avalés et reproduits sans être digérés.

Ce qui s’est passé le 16 février devant la Cour d’Appel de Stuttgart

C’est ainsi que le 16 février 2016 il s’est passé des choses intéressantes devant l’OLG de Stuttgart, choses dont les médias n’ont pas parlé. Au début de l’audience, le juge-président Karl-Heinz Oleschkewitz a critiqué le plaignant en disant qu’il agissait de manière hautement irresponsable dans le dépôt de la plainte et dans son maintien.

Le tribunal a prouvé que le plaignant, le docteur en médecine David Bardens de Hombourg, n’avait pas lu lui-même les six publications censées contenir la preuve de l’existence du « virus de la rougeole » et qu’il a citées devant le tribunal de Ravensburg comme preuve de l’existence du virus de la rougeole. Bardens a avoué. Dans les motifs écrits du jugement, que la Cour d’Appel de Stuttgart a publiés sur son site Internet(([2] Arrêt de la Cour d’Appel de Stuttgart du 16 février 2016, référence : 12 U 63/15, voir :
http://lrbw.juris.de/cgi-bin/laender_rechtsprechung/document.py?GerichtAuswahl=Oberlandesgerichte&Art=en&sid=46bf3db2df690aba6e4874acafa45b6&nr=20705&pos=0&anz=1)), le tribunal est allé encore plus loin. Il mentionne au point 30 du jugement le fait que le plaignant n’a pas présenté les six publications au tribunal régional de Ravensburg qui m’a condamné. La motivation du Dr Bardens était la suivante : la juridiction compétente ne devait pas être en mesure de vérifier le caractère extrêmement peu scientifique et le vide des six publications « justificatives » que je dénonçais et qui sautaient aux yeux de tout profane intéressé.

Le tribunal de première instance, le tribunal régional de Ravensburg, m’a effectivement condamné sans avoir en main les documents de preuve sur lesquels portait la procédure. C’est sur cette base, en refusant délibérément de prendre connaissance des six publications, que le tribunal de Ravensburg a pu me condamner. Le tribunal a ainsi pu affirmer, contrairement aux constatations de fait que j’avais présentées par écrit, que ces six publications, extrêmement peu scientifiques, ce que tout profane intéressé était en mesure de constater, étaient « scientifiques », sans pour autant faire lui-même des déclarations mensongères. Le tribunal a laissé cette tâche à l’expert qu’il avait désigné, le professeur Podbielski. Cette équipe composée du tribunal et de l’expert correspondait de manière tout à fait inhabituelle par leurs prénoms dans l’échange interne de courriels dont j’ai pris connaissance par hasard.

À la fin de mon audience d’appel à l’OLG de Stuttgart, le 16 février 2016, le juge président Oleschkewitz a rajouté une dernière couche au plaignant, le Dr Bardens : la Cour, avec trois juges, s’est prononcée contre lui 3-0. Il s’agit d’une première dans l’histoire juridique allemande. Jamais encore un tribunal n’avait expliqué publiquement s’il avait statué 3-0, 0-3, 2-1 ou 1-2. Cette émotivité du juge n’est pas surprenante si l’on s’est documenté sur le sujet. D’un point de vue biologique, il n’est pas étonnant que le juge qui présidait la séance ait perdu sa voix à la lecture du jugement. Sa voix s’est éteinte.

Le plaignant a refusé de coopérer

Malgré cette indication claire du juge président de laisser tomber cette affaire sans équivoque, malgré le caractère manifeste de la stratégie de la Cour d’Appel visant à protéger les parties concernées, le plaignant a encore une fois sorti des dizaines de milliers d’euros de sa poche et a fait examiner par un cabinet d’avocats exclusif s’il pouvait faire casser le jugement de la Cour d’Appel de Stuttgart par la Cour fédérale de justice (BGH).

En faisant cela il a pris le risque, ce dont le juge président de la Cour d’Appel a tenté de dissuader de toutes ses forces, que les « péchés » des juges du tribunal régional de Ravensburg, ceux de l’expert, le professeur Podbielski, et peut-être même ceux des juges de l’OLG de Stuttgart soient abordés par la Cour fédérale de justice. Le Dr Bardens, le seul jeune médecin au monde à avoir sa propre mention sur Wikipedia, connaissait dans ses actes toutes les réfutations scientifiques, les réfutations par les quatre contre-expertises, la réfutation par l’expert par lui-même, la réfutation des affirmations sur le « virus de la rougeole » par le RKI et la réfutation, évidente pour tout le monde, de toutes les affirmations sur le « virus de la rougeole » par la contre-épreuve génétique impérative de la cinquième expertise. Les « gènes » du « virus de la rougeole » sont en réalité les « gènes » de cellules tout à fait normales et saines (voir l’article à ce sujet dans ce numéro).

Le cabinet d’avocats a volontiers accepté son argent, a formulé, sans enthousiasme, mais par des verbiages, des contre-vérités et un contenu vide afin de relancer le « pari que le virus de la rougeole n’existe pas » perdu à la BGH. Dans son recours auprès de la BGH, le plaignant Dr Bardens a affirmé que je représentais un danger pour la santé publique, que la Cour d’Appel de Stuttgart avait violé ses droits fondamentaux lors de l’audience du 16 février 2016 et que l’affaire revêtait une importance fondamentale pour la jurisprudence.

Le 1er décembre 2016, la Cour fédérale de justice (BGH) a rejeté en termes clairs les motifs mensongers du plaignant. La BGH a motivé son rejet en ces termes :

« La première chambre civile de la Cour fédérale de justice a décidé le 1er décembre 2016 par le juge président, le professeur Dr. Büscher, les juges, le professeur Dr. Schaffert, le docteur Kirchoff, les professeurs Dr. Koch et Feddersen : Le recours du requérant contre la non-admission de la révision dans l’arrêt de l’OLG de Stuttgart — 12e chambre civile — du 16 février 2016 est rejeté au motif que l’arrêt n’a pas une importance fondamentale, que les griefs fondés sur la violation des droits fondamentaux de procédure ne tiennent pas et que la formation continue du droit ou la garantie d’une jurisprudence uniforme n’exigent pas non plus une décision du tribunal de révision (§ 543, alinéa 2, phrase 1, ZPO) (ZPO pour Zivilprozessordnung ou Code de Procédure Civile — NdT). Conformément à l’article 544 du code de procédure civile, paragraphe 4, deuxième phrase, deuxième demi-phrase, il est renoncé à une motivation plus détaillée.

Le requérant est condamné aux dépens de la procédure de recours (article 97, paragraphe 1, du code de procédure civile). »(([3] Cette décision de la BGH, numéro de dossier : I ZR 62/16, est disponible sur notre site www.wissenschafftplus.de sous « Actualités » et « Procès du virus de la rougeole ».))

Ainsi, le jugement de l’OLG de Stuttgart du 16 février 2016 et ses déclarations ont force de loi depuis le 1er décembre 2016 et font désormais partie intégrante de la jurisprudence allemande confirmée par la plus haute juridiction.

L’essentiel du contenu du jugement écrit du 16 février 2016 de l’OLG de Stuttgart

Au paragraphe 122 du jugement, l’OLG de Stuttgart conclut que mon recours a abouti parce que « la preuve de l’existence du virus de la rougeole par “une publication scientifique” n’a pas été apportée par le demandeur ». La Cour s’est référée à l’expert désigné par le tribunal, le professeur Podbielski, qui a témoigné par écrit et oralement devant le tribunal de première instance qu’aucune des six publications présentées par le Dr Bardens ne contenait de preuve de l’existence du « virus de la rougeole ».

En ce qui concerne la preuve de l’existence du « virus de la rougeole » supposé, l’expert explique à la page 27 de son rapport d’expertise du 17 novembre 2014 :

« La validité d’un seul des 6 articles n’est toutefois pas suffisante, mais les déclarations issues de combinaisons des 6 articles sont nécessaires à l’établissement de la preuve. »(([4] L’expertise du professeur Podbielski du 17 novembre 2014 est disponible sur notre site Internet www.wissenschafftPlus.de sous « Actualités » et « Procès du virus de la rougeole » dans l’entrée du 26.3.2015 ou sous le lien http://www.wissenschafftplus.de/blog/de.))

L’OLG de Stuttgart rejette résolument et à l’unanimité des trois juges, pour des raisons juridiques, logiques et scientifiques, le fait que pour prouver l’existence prétendue du virus de la rougeole, « les déclarations issues de combinaisons des 6 articles soient nécessaires à l’établissement de la preuve ».

La construction du professeur Podbielski visant à faire de six non-preuves une preuve scientifique, construction que le tribunal régional de Ravensburg avait suivie, est rejetée par la Cour d’Appel avec des justifications détaillées dans les paragraphes 82, 85 et 86 du jugement écrit.(([2] Arrêt de la Cour d’Appel de Stuttgart du 16 février 2016, référence : 12 U 63/15, voir :
http://lrbw.juris.de/cgi-bin/laender_rechtsprechung/document.py?GerichtAuswahl=Oberlandesgerichte&Art=en&sid=46bf3db2df690aba6e4874acafa45b6&nr=20705&pos=0&anz=1))

Il a donc été établi par la justice, et c’est désormais une jurisprudence allemande qui ne peut plus être remise en question, qu’aucune des six publications ne contient de preuve de l’existence du « virus de la rougeole ».

Deux choses qui font toute la différence

Depuis le 1er décembre 2016, date de la confirmation par la Cour fédérale de justice de l’arrêt de la Cour d’Appel de Stuttgart sur le procès du virus de la rougeole, il est de jurisprudence allemande que la première publication dans le procès du virus de la rougeole, celle du prix Nobel John Franklin Enders et de ses collègues datant de 1954, ne constitue pas non plus une preuve de l’existence présumée du « virus de la rougeole ».

Ce qui rend ce fait si important, c’est d’une part :

  1. que cette publication est la base unique et exclusive de toutes les autres publications « scientifiques » (environ 30 000) sur le thème du « virus de la rougeole », de la « contagion » de la rougeole et de la « vaccination préventive » contre la rougeole. Toutes les déclarations sur le « virus de la rougeole », la transmissibilité de la rougeole et la vaccination contre la rougeole se basent exclusivement et uniquement sur cette publication. Comme il est maintenant de jurisprudence que cette publication ne contient aucune preuve de l’existence supposée du virus de la rougeole, il est clair que toutes les 30 000 publications spécialisées sur ces sujets sont privées de leur fondement.

    Dans cette publication centrale, Enders constate que des cellules meurent en éprouvette avec ou sans « infection » par le « virus de la rougeole » présumé présent dans la salive ou le sang de personnes malades. Il conclut dans ce travail que la mort des cellules pourrait être la preuve soit de la présence et de la multiplication du virus présumé de la rougeole, soit de l’action de facteurs inconnus, soit de l’action de virus inconnus dans les cellules elles-mêmes. Dans ce travail, Enders admet également qu’il se pourrait que ses expériences avec des cellules en éprouvette n’aient peut-être rien à voir avec la véritable rougeole chez l’homme.(([5] Voir : Enders JF, Peebles TC. Propagation dans des cultures tissulaires d’agents cytopathogènes provenant de patients atteints de la rougeole. Proc Soc Exp Biol Med. 1954 Jun; 86(2):277-286. Cet article, comme les six publications du « Procès du virus de la rougeole », est également disponible sur Internet : https://archive.org/details/EndersPeebles1954))

    À la fin de l’année 1954, Enders a reçu le prix Nobel de médecine pour de telles spéculations. Lui et ses collègues ont oublié leurs propres réfutations et leurs doutes — la fin de toute scientificité — et ont affirmé que c’était précisément cette procédure de 1954 qui allait multiplier le virus de la rougeole et qui serait en même temps la base de tout développement futur de vaccin. Il en est ainsi jusqu’à aujourd’hui. Son protocole issu de cette publication de 1954 est encore utilisé aujourd’hui pour soi-disant multiplier le « virus de la rougeole » et utiliser les cellules mourantes comme vaccin.

    En réalité, Enders et ses collègues, sous l’influence du prix Nobel, et à la suite tous les virologues jusqu’à aujourd’hui, n’ont pas vu qu’ils affamaient et empoisonnaient involontairement les cellules avant même que l’« expérience d’infection » proprement dite ne commence. Des composants cellulaires ont été isolés du mélange de cellules mourantes, jamais un « virus ». Conformément à un modèle imaginé de ce à quoi devrait ressembler un virus, les composants cellulaires trouvés ont été attribués au modèle de virus, en pensée et non en fait, au cours d’un processus de recherche de consensus qui a duré des années. Ces « virus » n’apparaissent nulle part dans la réalité. Des composants cellulaires typiques, par exemple les pattes adhésives des cellules, appelées villosités, ont été mal interprétés en tant que « virus » sur des coupes transversales (en microscopie électronique — NdT).

    Le vaccin contre la rougeole, qui est censé être composé de « virus vivants de la rougeole » atténués, se compose exclusivement de cellules affamées et empoisonnées. Comme les vaccins sont censés produire des réactions contre les protéines vaccinées, on sait pourquoi le vaccin contre la rougeole en particulier provoque nettement plus de dommages vaccinaux sous forme de réactions allergiques légères à très graves et — dans le sens le plus scientifiquement prouvé possible — également l’autisme.(([6] Voir les explications sur l’autisme et les dommages causés par les vaccins dans le magazine WissenschafftPlus n° 3/2016 à commander dans la boutique www.food-or.de ou sous le lien http://www.food-or.de/shop/c/fr/))

    Enders n’a pas effectué d’expériences de contrôle permettant de déterminer facilement si un virus ou la famine et l’empoisonnement sont à l’origine de la mort des cellules. Elles ne sont toujours pas effectuées par la « Science » jusqu’à aujourd’hui. Nous avons mené ces expériences de contrôle dans le cadre du « procès du virus de la rougeole ». Les résultats prouvent que les conditions établies par Enders en 1954, affamer et empoisonner les cellules, entraînent la mort des cellules sans qu’il y ait eu d’« infection ». Dans le prochain numéro de WissenschafftPlus, nous documenterons ces expériences de contrôle et leurs résultats.

  1. Et d’autre part, que ce qui est significatif dans la jurisprudence OLG/BGH sur le « virus de la rougeole », c’est qu’aujourd’hui encore tous les « virus pathogènes » sont « détectés » par la méthode introduite par Enders en 1954. Cette méthode, qu’Enders qualifiait au milieu de l’année 1954 de spéculation « à considérer avec la plus grande prudence », est devenue un « fait scientifique » grâce au prix Nobel qui lui a été décerné le 10 décembre 1954 et est devenue le modèle et la référence de toutes les méthodes actuelles de détection des « virus pathogènes ».

    Le 16 février 2016, l’OLG de Stuttgart n’a pas seulement écrit l’histoire mondiale sur le « virus de la rougeole », mais a également réfuté la « scientificité » des affirmations sur l’existence de tous les « virus pathogènes » et sur la pertinence des vaccins « protecteurs ».

    Dès la publication de la validité juridique de l’arrêt de l’OLG de Stuttgart du 16 février 2016 par la Cour fédérale de justice le 1er décembre 2016, toutes les « vaccinations contre la rougeole » et les mesures coercitives à cet égard sont illégales. La vaccination contre la rougeole en tant que telle et toutes les mesures restrictives afférentes sont, à partir du 1er décembre 2016, des atteintes interdites, car injustifiables et passibles de poursuites pénales, atteintes aux droits fondamentaux à l’intégrité physique et à la vie, à l’éducation, aux droits parentaux et au libre choix de la profession. En ce qui concerne tous les autres « virus pathogènes » et leurs vaccinations, la validité juridique de ces faits doit être établie au moyen d’une autre décision ou d’un autre jugement.

Réfutation du « virus de la rougeole » et réfutation de la prétendue innocuité du vaccin contre la rougeole par la professeur Annette Mankertz de l’Institut Robert Koch (RKI)

Le « Pari-récompense que le virus de la rougeole n’existe pas »(([7] Voir : « Parions que le prétendu virus de la rougeole n’existe pas » dans le magazine WissenschafftPlus n° 3 +4/2014. Cet article est également disponible librement sur Internet sur notre site www.wissenschafftPlus.de sous « Actualités » et « Masern-Virus-Prozess » dans l’entrée du 14.9.2014 ou sous le lien
http://wissenschafftplus.de/uploads/article/Masern_Prozess.pdf.)) a atteint dès 2012 le succès escompté. Dans l’annonce de la récompense, il y a le fait crucial que nous avons mis en évidence depuis 1995 et que nous avons documenté dans nos livres et notre magazine : Le RKI, l’autorité scientifique suprême instituée par le gouvernement fédéral dans le domaine des théories sur les infections et la vaccination, et les plus hautes autorités sanitaires fédérales et régionales font toutes des affirmations sur les infections et la vaccination sans aucune base scientifique publiée.

Les requêtes formulées dans l’énoncé de la récompense et le déroulement de la plainte, qui était elle aussi présentée dans l’énoncé de la récompense, ont apporté la preuve souhaitée, prédite et fournie à plusieurs reprises par le passé. Les professionnels responsables dans le domaine de la santé agissent de manière délibérée et en pleine connaissance de cause en ce qui concerne les allégations d’infection et de la vaccination. Annette Mankertz, directrice de l’Institut national de référence du RKI, a reconnu, suite aux questions posées sur le virus de la rougeole, ce fait essentiel que nous avons dénoncé et déploré depuis 1995 : Le RKI aurait réalisé des études internes sur le « virus de la rougeole », mais celles-ci, contrairement à l’obligation claire du RKI de publier toutes les études, ne les a pas publiées.

Le service juridique du RKI, le directeur du RKI de l’époque, son supérieur au sein du ministère fédéral de la Santé, le ministre fédéral de la Santé et la commission des pétitions du Bundestag allemand ont refusé, malgré la plainte et la demande d’agir de manière responsable, de suivre la loi et le droit et de veiller à ce que le RKI effectue des recherches scientifiques et les publie.

La raison du refus d’effectuer et de publier des études sur le « virus de la rougeole » est devenue claire avec l’aveu du RKI du 24 janvier 2012. Ce document réfute l’affirmation de l’existence du « virus de la rougeole » et les affirmations selon lesquelles la vaccination contre la rougeole est sûre et efficace. Le RKI y écrit :

« Les virus de la rougeole, comme d’autres paramyxovirus, ne présentent pas une taille précise ni un diamètre précis : ils mesurent de 120 à 400 nm de diamètre (le nanomètre ou nm est le millième du millimètre — NdT) et contiennent alors souvent des ribosomes en leur sein. »(([8] Voir : Lettre du RKI du 24 janvier 2012, présentée pour ma défense dans le procès contre le virus de la rougeole et introduite dans la procédure par le tribunal régional de Ravensburg par lecture. Les deux tribunaux, le tribunal de grande instance de Ravensburg et la Cour d’Appel, ignorent dans leurs jugements le contenu de la lettre, bien qu’il soit du devoir fondamental et permanent de tout fonctionnaire de l’État de prévenir les risques pour la vie et l’intégrité corporelle de tous les citoyens en se montrant ACTIF. La lettre est disponible sur notre site Internet www.wissenschafftPlus.de sous « Actualités » et « Procès du virus de la rougeole » dans l’entrée du 26.3.2015 ou sous le lien
http://wissenschafftplus.de/uploads/article/RKI-und_Ribosomen_vom_24-1-2012.pdf))

Les « ribosomes » sont les usines dans la cellule avec lesquelles l’Homme, les animaux et les plantes fabriquent leurs protéines.

*Comme le « virus de la rougeole » est défini par le fait qu’il ne contient pas de « ribosomes », cet aveu du RKI réfute toutes les affirmations sur l’existence du virus de la rougeole ! Plus encore : le RKI a ainsi admis qu’au lieu de travailler avec des « virus de la rougeole », il travaille avec des composants tout à fait normaux de la vie et des composants cellulaires. Plus encore, le RKI a ainsi fourni la preuve de la raison pour laquelle la vaccination contre la rougeole en particulier, avant toutes les autres vaccinations standard, génère le taux le plus élevé de dommages vaccinaux sous forme d’allergies et de réactions auto-immunes.

Les substances auxiliaires contenues dans tous les vaccins (appelées adjuvants, en réalité de puissants neurotoxiques) sont censées stimuler les réactions immunitaires contre les prétendus virus. En effet, le corps développe des réactions immunitaires, mais au lieu des réactions utiles prétendues, il développe des réactions « auto-immunes » allergiques contre lui-même, parce qu’avec un vaccin contre la rougeole, des protéines typiques du corps sont implantées au lieu d’un corps « étranger ». Malgré ce fait évident, le RKI est resté inactif jusqu’à aujourd’hui et n’en a informé ni le public ni les professionnels de la santé. Le RKI a ainsi manqué à ses obligations légales de protéger la santé de la population et de la prévenir de tout dommage.

Le LG de Ravensburg et l’OLG de Stuttgart ont ignoré, lors du « procès du virus de la rougeole », les faits que j’ai présentés par écrit et oralement à ce sujet. De même, les deux tribunaux ont ignoré mes demandes écrites de convoquer le professeur Mankertz du RKI en tant que témoin, sans y répondre par écrit ou oralement. Cela est grave, car lors du procès, le RKI a révélé que la vaccination contre la rougeole mettait manifestement en danger la santé de la population et que par conséquent rien que la recommandation de la vaccination contre la rougeole constituait une atteinte scientifiquement et juridiquement inadmissible au droit fondamental des personnes à la vie et à l’intégrité physique conformément à l’article 2, phrase 2 de la Constitution.

En ce qui concerne la « découverte de ribosomes dans le virus de la rougeole par le RKI », l’OLG affirme au paragraphe 117 de l’arrêt « qu’il n’a prétendument pas été éclairci (c’est moi qui souligne) si au RKI on avait trouvé ou non des ribosomes à l’intérieur des virus de la rougeole, ce qui exclurait la qualité de virus ».

De toute évidence, le tribunal espère que les lecteurs croiront le tribunal lorsqu’il dira que « l’argument des ribosomes » a été éclairci et invalidé par le tribunal. En effet, cette désignation des faits par le RKI n’a pas été éclaircie et n’a pas été poursuivie. La preuve : même après le 16 février 2016, les vaccins contre la rougeole sont inoculés « contre » des dizaines de maladies cutanées différentes, qui ne sont toutefois diagnostiquées comme rougeole que si la personne concernée réagit positivement au « test du virus de la rougeole ». Selon le réglage de ces différentes procédures de test du « virus de la rougeole », peu, beaucoup ou toutes les personnes ayant subi ce test sont « positives », qu’elles soient en bonne santé ou malades.(([9] Nous sommes justement en train de préparer les essais qui prouveront en pratique que les « procédures de test du virus de la rougeole » actuellement utilisées par l’Institut Robert Koch (RKI) sont réglées de telle sorte que non seulement les personnes malades, mais aussi les personnes en bonne santé sont testées « positives au virus de la rougeole ». Soit tous positifs à 20 % (sans épidémie de rougeole), soit tous positifs à 80 % (en cas d’épidémie de rougeole revendiquée par le RKI).))

Nous avons atteint un petit objectif : grâce à la plainte du médecin, le Dr Bardens, et au « procès du virus de la rougeole » qui en a résulté, ces faits ont été portés à la connaissance d’un plus grand nombre de citoyens et de responsables. Le procès a bénéficié d’une couverture médiatique nationale et mondiale massive. Nous sommes convaincus d’avoir ainsi atteint un autre objectif : Nous sommes reconnaissants au Dr David Bardens d’avoir empêché, grâce à ce succès commun, l’introduction de la vaccination obligatoire pour le vaccin contre la rougeole, particulièrement risqué, comme l’exigeaient les politiques.

La réfutation de l’ensemble de la virologie et de l’expert, le professeur Andreas Podbielski, par lui-même

Au paragraphe 117 de son jugement du 16 février 2016, l’OLG de Stuttgart mentionne la réfutation de l’ensemble de la virologie par l’expert. L’expert est cité : « La compréhension conceptuelle du virus est en fait toujours en évolution ».(([2] Arrêt de la Cour d’Appel de Stuttgart du 16 février 2016, référence : 12 U 63/15, voir :
http://lrbw.juris.de/cgi-bin/laender_rechtsprechung/document.py?GerichtAuswahl=Oberlandesgerichte&Art=en&sid=46bf3db2df690aba6e4874acafa45b6&nr=20705&pos=0&anz=1))

Si quelque chose est en évolution, il n’est scientifiquement pas défini et ne doit pas être affirmé en public comme un fait. J’ai demandé par écrit et lors de l’audience publique du 16 février 2016 que si quelque chose n’est pas défini scientifiquement, il ne peut pas être défini juridiquement et que, par conséquent, la plainte du Dr Bardens doit être rejetée. La Cour d’Appel a ignoré ce point afin de protéger les parties concernées.

Ce que le professeur Podbielski a passé sous silence, c’est que des « virologues » renommés sont à nouveau en train de bouleverser et de redéfinir toute la virologie, comme en 1951 et 1952. Ils ont reconnu que des structures qui avaient été mal interprétées en tant que « virus » sont elles-mêmes vivantes et que nos noyaux cellulaires en sont issus. Ils militent pour que ces structures soient reconnues et désignées comme le quatrième règne de la vie, à côté des « règnes » de la vie découverts jusqu’à présent : les bactéries primitives, les bactéries et les vraies cellules. En tant que jeune étudiant, j’ai eu la chance d’être le premier à isoler de la mer une telle structure inoffensive, à la caractériser entièrement et bien sûr — en plus d’essais de contrôle — à la publier scientifiquement.(([10] Voir l’article « Les virus géants et les origines de la vie » dans le magazine WissenschafftPlus n° 1/2014. À commander dans la boutique www.food-or.de ou à l’aide du lien
http://www.food-or.de/shop/c/de/abonnement))

Ce que l’OLG de Stuttgart a tenté de dissimuler de la même manière avec ses explications au paragraphe 116 de son jugement du 16 février 2016 est décrit ci-dessous.

En 1997, la plus grande fraude scientifique au monde à ce jour a été rendue publique. Toutes les données relatives aux allégations du « virus de l’hépatite B » et d’un vaccin contre le cancer, auxquelles ont participé des centaines de scientifiques du SIDA, de la génétique, de l’immunologie, des maladies infectieuses et du cancer parmi les plus éminents, n’étaient pas seulement falsifiées, mais inventées de toutes pièces. Des dizaines de procureurs, de parlementaires et de politiciens ont alors exigé que la fraude scientifique soit punissable. Les actes ne sont punissables que s’ils étaient définis comme des infractions au moment où ils ont été commis.

La Société Allemande pour la Recherche (en allemand Deutsche Forschungsgesellschaft ou DFG), une association qui est chargée de distribuer les milliards de fonds de recherche pour le compte des gouvernements, a demandé aux responsables politiques de ne pas introduire le projet d’articles sur les infractions de « fraude scientifique ». La DFG a affirmé que la science ne pouvait que se contrôler elle-même. Pour convaincre les politiques qu’ils n’avaient pas besoin de contrôler la science, la DFG a nommé en 1997 un comité international. Ce comité avait pour mission de rédiger les règles du travail scientifique, qui ont toujours été valables et identiques pour toutes les disciplines scientifiques, sous la forme d’un ensemble de règles obligatoires, comme une Constitution de la science internationale, et de les rendre obligatoires au niveau international. C’est ce qui a été fait.

En Allemagne, depuis 1998, tous les scientifiques et toutes les institutions qui reçoivent des fonds de recherche de l’État sont tenus de respecter cet ensemble de règles ingénieuses, logiques et simples dans leur travail et lors de l’élaboration d’expertises.

Ce qui suit est central pour chaque nouvelle méthode introduite qui doit apporter des connaissances scientifiques :

« Les essais de contrôle avec une divulgation tout aussi complète du processus expérimental sont un élément central de la méthodologie scientifique, afin de vérifier les méthodes appliquées et d’exclure les facteurs perturbateurs ».

Les publications sans réalisation documentée d’essais de contrôle ne peuvent pas être présentées comme scientifiques.(([11] Voir : Pages 3-6 de ma prise de position du 2 février 2.2015 sur l’expertise judiciaire du Prof. Podbielski. À trouver sous « Actualités » et « Procès du virus de la rougeole » dans l’entrée du 26 mars 2015 ou sous le lien : http://www.wissenschafftplus.de/uploads/article/Stellungnahme_zum_Gutachten_von_Prof_Podbielski_2-2-2015.pdf))

La seule et unique base de toute la virologie depuis 1953 est la supposition publiée par le professeur Enders en 1954, selon laquelle la mort de cellules dans le réactif pourrait constituer une preuve de l’action de virus ou de facteurs inconnus. Ce n’est qu’en recevant le prix Nobel fin 1954 que ces spéculations qui se réfutent elles-mêmes sont devenues un fait scientifique : « Ce sont des virus quand des cellules meurent »(([12] Voir les explications à ce sujet dans le magazine WissenschafftPlus n° 2/2016 à commander.)). Comme il n’a effectué aucun essai de contrôle, Enders et tous ses successeurs n’ont pas remarqué jusqu’à aujourd’hui que c’est la famine et l’empoisonnement qui sont la cause de la mort des cellules en éprouvette et non des virus présumés.

L’expert désigné par le tribunal, le professeur Podbielski, affirme dans son « avis complémentaire » du 3 mars 2015, à la page 3, au point 6 concernant les six publications du procès sur le virus de la rougeole : « Les données et les expériences de contrôle nécessaires pour exclure les artefacts cellulaires au lieu du virus de la rougeole sont contenues dans les articles spécialisés — voir mon expertise »(([13] Voir « Prise de position complémentaire du professeur Podbielski » du 3 mars 2015. À consulter sous « Actualités » et « Procès du virus de la rougeole » dans l’entrée du 14 octobre 2015 ou sous le lien : http://wissenschafftplus.de/uploads/article/Schreiben_von_Prof_Podbielski_3-3-2015.pdf)). Cette affirmation est un faux témoignage avéré avec des conséquences de grande ampleur.

Le 12 mars 2015, sous le feu croisé des questions de l’assesseur et rapporteur de l’audience devant le LG de Ravensburg, il a admis : « Je ne peux pas dire maintenant s’il existe un article qui présente de manière exhaustive les mêmes choses que les articles originaux mentionnés, sans en mentionner les faiblesses méthodologiques, c’est-à-dire par exemple avec les contrôles négatifs qui, dans les faits, font défaut ».(([14] Voir page 7, ci-dessus, du procès-verbal de l’audience au tribunal de Ravensburg. À trouver sous « Actualités » et « Procès du virus de la rougeole » dans l’entrée du 16 septembre 2015 ou sous le lien : http://www.wissenschafftplus.de/uploads/article/Protokoll_13_4_20150001.pdf))

Il a ainsi réfuté lui-même sa déclaration écrite du 3 mars 2015. Il a ainsi réfuté toutes ses déclarations selon lesquelles les six publications présentées sont scientifiques et utilisables dans le cadre du procès sur le virus de la rougeole et qu’il est prouvé qu’il existe un virus de la rougeole, etc.

Bien que j’aie présenté et prouvé en appel le fait de l’absence d’expériences de contrôle et la réfutation de l’expert par lui-même consignée dans le procès-verbal, l’OLG a supprimé ce fait. Le LG de Ravensburg m’avait condamné en supprimant cette mention de fait consignée dans le procès-verbal de l’absence de toutes les expériences de contrôle lors du prononcé du jugement sur la chaise et dans les motifs écrits du jugement. À moins que le juge Matthias Schneider du tribunal de Ravensburg n’ait rendu le « jugement sur chaise » — en omettant les étapes légales d’une procédure — parce que l’expert, le professeur Podbielski, s’était lui-même réfuté par les questions claires de son assesseur, le docteur Anna-Maria Brutscher ?

L’OLG de Stuttgart écrit dans son jugement au point 116 :

« Dans la mesure où le défendeur expose que l’arrêt se fonde sur des prémisses erronées au moins dans la mesure où l’expert n’a pas précisé que les publications contenaient des expériences de contrôle visant à exclure les artefacts cellulaires (p. 23 de l’arrêt sous b., paragraphe 2), il n’est pas possible de le suivre. Dans sa prise de position complémentaire du 03 mars 2015, p. 3 (feuillet 134, d. A.), au point 6, l’expert aborde précisément ce point et explique, en faisant référence à son expertise, que les données et les expériences de contrôle nécessaires pour exclure la présence d’artefacts cellulaires en lieu et place du virus de la rougeole figurent dans les articles spécialisés ».(([2] Arrêt de la Cour d’Appel de Stuttgart du 16 février 2016, référence : 12 U 63/15, voir :

http://lrbw.juris.de/cgi-bin/laender_rechtsprechung/document.py?GerichtAuswahl=Oberlandesgerichte&Art=en&sid=46bf3db2df690aba6e4874acafa45b6&nr=20705&pos=0&anz=1))

Dans son jugement du 16 février 2016, l’OLG de Stuttgart supprime également le fait, consigné par le tribunal le 12.3.2015, de la réfutation de l’expert par lui-même. Il est ainsi prouvé que la Cour d’Appel de Stuttgart supprime l’absence de toute expérience de contrôle présentée en appel, les fausses déclarations de l’expert judiciaire présentées en appel et également la réfutation de l’expert judiciaire, le professeur Podbielski, par lui-même, réfutation consignée dans le procès-verbal du 12 mars 2015, et ce afin de protéger l’expert.

Comment la Cour d’Appel de Stuttgart a tenté sans succès de se sortir de l’affaire

La Cour d’appel de Stuttgart écrit à la ligne 121 du jugement sur le virus de la rougeole, à propos des expertises que j’ai introduites dans la procédure, qu’elles n’ont pas été prises en compte dans l’arrêt « parce qu’elles n’étaient pas pertinentes pour la décision »(([2] Arrêt de la Cour d’Appel de Stuttgart du 16 février 2016, référence : 12 U 63/15, voir :
http://lrbw.juris.de/cgi-bin/laender_rechtsprechung/document.py?GerichtAuswahl=Oberlandesgerichte&Art=en&sid=46bf3db2df690aba6e4874acafa45b6&nr=20705&pos=0&anz=1)). Le tribunal a ainsi supprimé le fait, avancé dans l’expertise du 10 février 2016, que les comparaisons de séquences génétiques ont clairement réfuté toutes les allégations d’existence du virus de la rougeole (voir l’article à ce sujet dans ce numéro de WissenschafftPlus n° 2/2017).

Mais avec la vaccination il s’agit, d’un point de vue juridique, d’une « atteinte réelle et punissable au droit à la vie et à l’intégrité physique », qui n’est exempte de peine que si la personne vaccinée ou le détenteur de l’autorité parentale a donné un consentement documenté et juridiquement valable. Parce que l’OLG de Stuttgart a pris connaissance de faits qui réfutent fondamentalement la validité juridique des vaccinations, la tentative décrite ici de la Cour d’Appel de se « tirer d’affaire » ne se justifie pas.

Tous les citoyens sont appelés, et les fonctionnaires en particulier, à se mettre à agir de manière autonome et à faire appel aux autorités compétentes en matière de sécurité et de poursuites pénales lorsqu’il est porté atteinte de manière injustifiée et sans légitimation légale aux biens constitutionnels les plus précieux. Les juges ne sont pas exemptés de cette obligation. Le juge président de la Cour d’appel en est le mieux informé de tous les détails décisifs et de l’importance de la science et de la scientificité, comme il l’a amplement prouvé lors de mon interrogatoire à l’audience publique du 16 février 2016.

Imitateurs célèbres, mauvais perdants

Le célèbre acteur Robert de Niro et le neveu de l’ancien président américain Kennedy, Robert F. Kennedy Jr., ont également offert un prix de 100 000 dollars pour une preuve scientifique concernant la vaccination. Ils la donneront à celui qui leur présentera une publication scientifique prouvant l’innocuité du mercure dans les vaccins. Tous deux partent du principe que les vaccins sont particulièrement nocifs parce qu’ils contiennent des substances extrêmement toxiques. Le fils de Robert de Niro est devenu autiste au moment de la vaccination. D’un point de vue biologique, il est donc prouvé que les vaccins peuvent déclencher l’autisme.(([6] Voir les explications sur l’autisme et les dommages causés par les vaccins dans le magazine WissenschafftPlus n° 3/2016 à commander dans la boutique www.food-or.de ou sous le lien http://www.food-or.de/shop/c/fr/))

Le plaignant, le docteur Bardens, médecin à Hombourg, qui travaille désormais en Suède, s’est avéré être un mauvais perdant. Pour expliquer qu’il avait perdu le procès qu’il avait intenté à la Cour d’appel de Stuttgart et à la Cour fédérale de justice de Karlsruhe, il a présenté dans les médias une explication qu’il a inventée de toutes pièces. Il affirme qu’il a perdu en raison d’une erreur formelle. Le Dr Bardens affirme qu’il a perdu parce qu’il a présenté six publications au lieu d’une seule.

On ne trouve rien de tel dans la procédure orale de l’OLG de Stuttgart ni dans les motifs écrits du jugement. Au contraire. Le Dr Bardens a perdu le procès parce que l’expert mandaté par le tribunal a constaté qu’aucune des six publications présentées ne contenait de preuve de l’existence d’un virus. C’était également la seule déclaration véridique de l’expert, le professeur Podbielski. L’OLG de Stuttgart a expressément rejeté l’argumentation du professeur Podbielski selon laquelle « les déclarations de combinaisons des 6 publications sont nécessaires à l’établissement de la preuve (de l’existence du virus de la rougeole) », comme documenté ci-dessus.

Pour de plus amples informations, veuillez lire la lettre d’information électronique du 17 janvier 2017 publiée dans ce numéro.


Traduction Jean Bitterlin le 17.09.2022





Ils veulent endoctriner nos enfants à l’école pour les vacciner contre le covid !

Le conditionnement des jeunes est un marqueur fort de régimes totalitaires

Par Gérard Delépine

En cette période marquée par les conséquences désastreuses de la fermeture des écoles1 dénoncées en leur temps par l’Unicef2, du port du masque3 et du télé-enseignement (déscolarisation, retards d’apprentissage, troubles psychologiques) et par les inquiétudes que suscite la possible diminution des périodes scolaires pour « économiser le chauffage »4, le ministre vient de demander aux professeurs de tenir quatre « séances d’information » sur la vaccination aux élèves des Cycle 2 (CP CE1 CE2) et 3 (CM1 CM2)5 6, supprimant ainsi 6 à 8 heures supplémentaires d’enseignement utile pour distiller sa propagande en l’absence des parents.

L’analyse du contenu de ces prétendues « séances d’information » montre qu’il ne s’agit en réalité que d’une propagande mensongère visant à les convaincre de se faire vacciner contre le covid alors qu’ils n’en ont aucunement besoin et que leur vaccination n’a aucun intérêt sociétal.

Examinons le programme des « activités de découverte de la vaccination »

La première séance viole le secret médical

Elle prévoit de poser publiquement des questions personnelles aux élèves sur leurs données de santé :

Interroger de façon collective les élèves sur leur connaissance et leur vécu concernant la vaccination :

« Avez-vous déjà été vaccinés ? »
« Par qui avez-vous été vaccinés ? »
« Avez-vous eu peur de la piqûre ?
« Qu’avez-vous ressenti lors de l’injection ? Comment cela s’est-il passé ? »
« Contre quelle maladie avez-vous été vaccinés ? »
« Et pourquoi à votre avis avez-vous été vaccinés ? »
« Qu’est-ce que la vaccination ? À quoi est-ce que cela sert ? »
« Est-ce que vous vous posez des questions sur la vaccination ? »

Écouter et noter, sur une affiche ou au tableau, les réponses et les questions des élèves.

Un peu plus loin le texte prétend curieusement :

Il ne s’agit en aucun cas ici de savoir qui est vacciné contre quoi. (Alors pourquoi est-il demandé expressément « Avez-vous déjà été vaccinés ? », « Contre quelle maladie avez-vous été vaccinés ? »). Les instructions reconnaissent tout de même :

« Le statut vaccinal correspond à une donnée de santé individuelle qui ne doit donc pas être évoquée dans un cadre collectif. »

Le serpent qui tente d’hypnotiser nos enfants se mord lui-même la queue !

3ème séance : l’endoctrinement par un film

La troisième séance :

« repose principalement sur l’analyse d’une vidéo de Santé publique France. La vidéo proposée est centrée sur la rougeole, mais le principe de la vaccination reste le même pour d’autres maladies (grippe, oreillons, tétanos ou covid-19… »

Il est extrêmement douteux que ce film rappelle aux enfants les faits avérés qui les concernent et en particulier : qu’ils risquent moins du covid que de la grippe, qu’ils ne transmettent pratiquement jamais la maladie ni aux autres enfants ni à leurs parents ou à leurs grands-parents que ces pseudo vaccins peuvent entraîner des complications parfois très graves et même mortelles.

En séance 4 l’intention de pousser les enfants à se faire vacciner est clairement avouée

Les buts officiels :

« Se protéger contre la Covid-19 A — Objectifs de la séance Maintenant que le mécanisme de la vaccination a été étudié, ainsi que d’autres concepts liés aux microbes et maladies, il est possible de relier ces notions à l’épidémie de Covid-19. Cela permettra :

d’une part de remobiliser les notions travaillées dans les séances précédentes afin d’en améliorer la maitrise
• d’autre part de rendre ces notions opérationnelles en les faisant appliquer sur le cas très concret du SARS-CoV-2.

Faire décrire aux élèves, à l’oral ou à l’écrit, le contexte épidémique actuel. Lorsque les élèves mobilisent des notions étudiées lors des séances précédentes, leur faire remarquer et éventuellement reformuler. Afin d’aider les élèves à verbaliser la situation, des questions plus ou moins ouvertes peuvent leur être proposées :

Quelle est la maladie dont on parle beaucoup depuis deux ans ?
• Comment se transmet-elle ?
Comment s’en protéger ?
• Quels sont les gestes barrières ?
• Existe-t-il un vaccin contre cette maladie ?
Pourquoi on se vaccine ?

Cette dernière séance peut en outre donner lieu à la réalisation d’une tâche finale qui permettra de conclure la séquence, avec éventuellement une évaluation sommative des élèves. »

Et pour être sûr que les élèves ont bien appris le crédo covid du gouvernement on demande à l’enseignant de vérifier qu’ils le récitent correctement :

« Proposition de quizz permettant d’évaluer les acquis de cette séquence Un quizz peut être réalisé pour faire le point sur les acquis des élèves »

On peut imaginer que les possibles conseils du cabinet McKinsey soient bientôt de noter ce quizz et de prendre en compte ses résultats pour le passage à l’année supérieure !

La désinformation des enseignants par la « Cartes de débat Vaccinations 2021 Guide enseignant »

Les enseignants ne sont pas des médecins ; il est donc facile de les désinformer sur la crise covid et le ministère a conçu ce ‘guide enseignant’ dans ce but.

Ce guide qui se prétend factuel ment directement et aussi par omission sur de très nombreux points. Dans « Notions essentielles », il qualifie les injections anti-covid de « vaccins à ARN » ce qui est mensonger : les injections covid qui ne contiennent ni antigène ni anatoxines ne sont pas des vaccins7 pastoriens, mais des médicaments géniques préventifs comme l’a d’ailleurs reconnu Delfraissy.8

Il prétend aider les enfants à argumenter leurs opinions sur des bases factuelles, mais s’attaque mensongèrement aux vaccino prudents en les qualifiant d’antivaccins et prétendant que ‘les mouvements antivaccins nés de la controverse entourant le vaccin ROR se sont donc emparés de la question du vaccin contre la COVID-19’ alors que la contestation actuelle est née de la mise sur le marché précipitée (et du caractère expérimental de ces injections) pas même évoquée par ce guide, et contestation renforcée par leur inefficacité et leurs complications constatées en population réelle.

Il ne rappelle même pas la bénignité extrême de la maladie chez l’enfant (trois fois moins mortel que la grippe ordinaire contre laquelle on ne les vaccine pas) et donc l’absence de bénéfice personnel des injections chez eux. Il ne rappelle pas que les enfants ne sont pas des facteurs de contamination9 10 et donc que les injections des enfants ne peuvent pas protéger les autres d’autant plus que les pseudo vaccins n’empêchent pas les transmissions.

Ce nouveau « petit livre rouge » n’est qu’un missel des représentants de l’industrie des vaccins, un outil de propagande mensongère, qui désinforme les enseignants pour qu’ils endoctrinent nos enfants en leur récitant le crédo des fabricants de pseudo vaccins.

Dénonçons publiquement ce tissu de mensonges qui désinforme les enseignants sur la vaccination et n’a pas la place dans nos écoles. Seuls les régimes totalitaires refusent les débats publics et endoctrinent les enfants à l’école.





« 24 heures sur un brancard, sans rien manger » : une résistante de 98 ans raconte son calvaire dans un hôpital parisien

[Source : bfmtv.com]

Par Pauline Boutin

La résistante et historienne a attendu 24 heures sur un brancard de l’hôpital parisien Lariboisière avant d’être prise en charge. Aveugle, et admise pour un Covid long, elle dénonce « l’état lamentable du secteur de la santé » dans une lettre ouverte au directeur de l’AP-HP.

C’est un cauchemar qu’a vécu Madeleine Riffaud. Cette résistance de la Seconde Guerre mondiale âgée de 98 ans, poète, journaliste et historienne, a passé 24 heures aux urgences de l’hôpital de Lariboisière sur un brancard sans être prise en charge.

Chez nos confrères de la revue Commune, elle publie une lettre ouverte au directeur de l’AP-HP Nicolas Revel dans laquelle elle dénonce « l’état lamentable du secteur de la santé ».

Tout commence le 4 septembre dernier. La nonagénaire se rend aux urgences de l’hôpital parisien « pour un examen important dû à un Covid long », raconte-t-elle. À son arrivée, Madeleine Riffaud n’est pas directement prise en charge, elle est laissée dans un couloir.

« Les infirmières couraient là-dedans, débordées. Elles distribuaient des “j’arrive !” et des “ça marche !”. “J’arrive, j’arrive !”, mais personne n’arrivait. Jamais », confie-t-elle.

« Un no man’s land »

Alors que l’historienne est aveugle, elle est amenée sur un brancard ici et là, sans être informée de sa prise en charge.

« On m’a laissée là, sans aucune affaire, sans moyen de communication avec mes proches », fustige-t-elle.

Au bout de douze heures d’attente, la résistante parvient à obtenir un verre d’eau, mais ça ne sera qu’une maigre consolation.

« Je suis restée vingt-quatre heures sur le même brancard, sans rien manger, dans un no man’s land », souligne-t-elle.

À force d’attendre, désœuvrée, la nonagénaire est transférée dans une clinique privée, au lendemain de son admission à l’hôpital, « sans jamais avoir prévenu mes proches ». Pire, elle affirme être « la troisième âme errante que cette clinique réceptionnait ce jour-là ».

« Les problèmes sont toujours les mêmes »

De cet épisode fâcheux, Madeleine Riffaud veut désormais faire une occasion d’alerter les pouvoirs publics. Elle connaît d’ailleurs bien le secteur hospitalier puisqu’elle a publié en 1974 un livre dans lequel elle raconte l’intérieur d’un service de chirurgie cardiovasculaire d’un hôpital parisien, Les Linges de la nuit. À l’époque déjà, elle dénonçait le manque de moyens des personnels soignants.

« Nous étions tombés d’accord sur tous les points. Tout le monde est d’accord, sauf les gouvernements qui se suivent et qui, au mieux, ne bougent pas », se souvient-elle.

Près de 50 ans plus tard, elle constate que « les problèmes sont toujours les mêmes : manque de personnel qualifié, manque de crédit, l’écart se creuse entre la technique de la médecine de pointe et les moyens mis à sa disposition ».

Pour elle, la pandémie n’a fait qu’aggraver la prise en charge des patients. « On pensait que j’étais trop vieille pour que ça vaille la peine de me soigner (réflexe pris lors de l’épidémie de Covid?) », écrit-elle.

« Mon sort est celui de millions de Parisiens et de Français »

Mais la nonagénaire précise ne « pas s’en prendre au personnel (…) qui est épuisé. L’État les a tous abandonnés, soignants comme malades. » Par ailleurs, elle ne fait pas de son cas une exception.

« Ma mésaventure, c’est une histoire quotidienne dans l’hôpital en France. Mon sort est celui de millions de Parisiens et de Français. »

Elle assure « ne pas s’être sortie indemne » de cet événement. « Quand on entre dans le circuit infernal, quand on est aspirés dans le néant des urgences, on ne peut pas en sortir indemne. Parfois même, on n’en sort pas vivant… », souligne-t-elle. La semaine dernière, un patient de 81 ans est mort aux urgences de Strasbourg après avoir attendu plus de vingt heures.

La résistante conclut sa lettre en confiant vouloir être leur « voix comme Raymond Aubrac — résistant durant la Seconde Guerre mondiale — m’avait demandé d’être l’une de celles de la Résistance — alors je le serai. J’ai encore un peu de force, c’est pour la donner ».

SUR LE MÊME SUJET

Le directeur des hôpitaux de Paris, Nicolas Revel n’a, pour l’heure, pas donné suite à cette lettre.




La face cachée de la campagne de vaccination — cas des « vaccins » à ARNm et ADN

Par Maître NONOBSTANT, avocat au barreau de la Science à l’occasion de la pandémie de Covid-19

(ebook gratuit au format PDF à télécharger et partager)

Découvrez pourquoi la pandémie de Covid-19 est sans doute la plus grosse arnaque de tous les temps et comment les artisans de cette escroquerie se sont organisés pour berner la population mondiale avec la complicité de l’OMS, des gouvernants et des médias mainstream. Découvrez en quoi consiste la démarche scientifique pour ne plus vous faire pigeonner par la propagande covidiste et l’argument d’autorité. Découvrez aussi les objectifs cachés du pass sanitaire/vaccinal et de la campagne de vaccination de masse. Découvrez enfin pourquoi la Résistance contre le covidisme est une nécessité, que vous soyez vacciné ou non.

[Voir aussi les articles complémentaires dans les dossiers :
Vaccins et virus
et
5G et ondes pulsées]

TABLE DES MATIÈRES

Remerciements

Informations juridiques sur les vaccins anti-Covid-19

RÉSUMÉ

Avant-propos

Abréviations, acronymes, conventions

Lexique

INTRODUCTION

Chapitre I. — Le consensus scientifique, la majorité ou l’unanimité font-ils la science ?

Chapitre II. — L’argument d’autorité, l’un des stratagèmes utilisés par l’establishment pour manipuler l’opinion publique

§1. Cas concrets de manipulation de l’opinion publique par les experts médiatiques

§2. Conditions de validité du consensus scientifique, d’une étude scientifique et de l’argument d’autorité

Chapitre III. — Les preuves de mensonges du discours de propagande des autorités, des médias et des experts officiels

§1. Mensonges sur la contagiosité

§2. Mensonges sur la réduction des formes graves

A. Les études princeps n’ont pas apporté la preuve scientifique de l’évitement des formes graves

B. Les études observationnelles ne montrent pas non plus une réduction des formes graves

§3. Contenu caché des vaccins

§4. Toxicité de la protéine Spike

§5. Toxicité des vaccins

§6. Effets indésirables : décès et pathologies multiples

 Décès
 Pathologies multiples
 Effets indésirables en images

§7. Imperfection de la pharmacovigilance

§8. Immunité collective

§9. Surestimation du rapport bénéfices/risques des vaccins

A. Cas des études interventionnelles

B. Cas des études observationnelles

§10. Saturation fictive des hôpitaux par la Covid-19

§11. Laxisme des agences de sécurité des médicaments

§12. Études truquées ou biaisées

A. Du LancetGate à Recovery et consorts

B. Les essais cliniques de Pfizer

C. Les essais cliniques sur les 12-15 ans et les moins de 5 ans

D. L’étude bidonnée de l’institut Pasteur

E. Les études justifiant le confinement

F. L’étude bidonnée de la DREES

 Les études bidonnées d’EPI-PHARE
 L’étude bidonnée du Conseil d’analyse économique
 Les études peu solides invoquées par la HAS et la FDA
 L’article de l’INSEE sur l’impact de l’épidémie de Covid-19

§13. Irresponsabilité pénale et civile de Big Pharma

§14. Vaccination des enfants et des adolescents en bonne santé

§15. Vaccination de masse en période épidémique

Chapitre IV. – Les artisans de la réponse globale à la pandémie et leurs stratagèmes pour cacher diverses arnaques

§1. Les artisans de la réponse globale à la pandémie

A. Dr Anthony Fauci, le patron de la santé publique américaine

B. Klaus Schwab, le fondateur et directeur du Forum économique mondial (Davos)

C. Bill Gates, le cofondateur de Microsoft et de la fondation éponyme

§2. Les diverses arnaques et les stratagèmes utilisés pour les cacher

A. Genèse de la Covid-19

     Origine controversée du SARS-Cov-2
     Succession de faits troublants avant et pendant la pandémie
 Gestion absurde de la crise sanitaire
 Instrumentalisation de la peur
 Contrôle total de la population
     La régulation du stock de la population mondiale
     L’identification biométrique et numérique des Terriens
         Identification biométrique, identité numérique, portefeuille numérique
         Traçage numérique, objets connectés, 5G
         Propagande du rapport sénatorial n° 673
     Un nouvel ordre mondial qui masque une dystopie transhumaniste
         Les prétendus complotistes ont tort d’avoir raison trop tôt
         Le transhumanisme comme horizon
         La nécessité d’une union sacrée pour un autre monde
 Plaintes pour crimes contre l’Humanité
 Bouc émissaire
 Théorie du complot
 Censure et désinformation

Chapitre V. — Bilan de la controverse autour de la balance bénéfices-risques des vaccins

CONCLUSION

BIBLIOGRAPHIE

  • Articles & rapports
  • Collectifs citoyens
  • Conférences
  • Entretiens et confessions
  • Désintoxication contre la protéine Spike et autres toxines vaccinales
  • Documentaires
  • Lanceurs d’alerte
  • Livres
  • Médias indépendants
  • Pfizer Gate
  • Procès Covid-19 pour crime et génocide contre l’Humanité
  • Scientifiques indépendants
  • Observatoires des effets indésirables
  • Observatoires de la pandémie
  • Observatoires des traitements
  • Observatoires de la prophylaxie

ANNEXE

 Le Great Reset et les agendas du Forum énonomique mondial
 Comment retrouver un lien mort ou une vidéo supprimée ?
 Où consulter les liens d’intérêts des professionnels de santé ?
 À l’attention de Monsieur X
 À l’attention des jeunes
 À l’attention des adultes
 Crise alimentaire planifiée pour poursuivre les agendas des globalistes

Article n°1. — Revue de presse internationale n°165 de Pierre Jovanovic
Article n°2. — 20 preuves qu’une pénurie alimentaire va bientôt toucher le monde entier

 Article de Michaël Lord : « Exposed: Klaus Schwab's School For Covid Dictators, Plan for 'Great Reset' (Videos) »
 Qu’en est-il des vaccins anti-Covid classiques, qui n’injectent pas l’ARNm ou l’ADN mais un virus inactivé ?
 Déclaration IV du Global Covid Summit
 Covid-19 : la face cachée de la croisade contre le Pr Raoult et l’hydroxychloroquine




France — La distribution de bracelets connectés pour des élèves de la Sarthe est suspendue suite à un vaste mouvement de protestation

[Source : medias-presse.info]

[Voir :
Expérimentation en Sarthe : les élèves de 6e bagués comme des poulets !]

Nous recevons le communiqué suivant :

Dans un article du 28 juin 2022, le quotidien « Le Maine libre » avait annoncé la fourniture de bracelets électroniques aux 30 000 collégiens de l’Académie.

La section CIVITAS de la Sarthe, soutenue par le responsable régional CIVITAS Pays de la Loire, décide alors de réagir. Le 28 août, une lettre de protestation officielle est envoyée aux autorités locales : le Directeur Académique des Services de l’Éducation Nationale, le Directeur de l’Enseignement catholique diocésain, le président du Conseil départemental, les députés et les sénateurs et Monsieur François FILLON, Premier Ministre honoraire.

Comparant le port du bracelet connecté par les élèves pour une durée de quatre ans à celui porté pour une durée maximale de deux ans par les personnes condamnées par la justice, CIVITAS Sarthe souligne que « Les collégiens écopent d’une peine supérieure à celle d’un délinquant. C’est la prison à l’école ».

Si les objectifs du Conseil Départemental semblent d’abord louables (encourager la pratique sportive et enrayer la sédentarité), cette initiative soulève néanmoins de nombreuses questions pour les militants CIVITAS, comme : « Des concertations éthiques préparatoires ont-elles été menées auprès du rectorat, des parents d’élèves et leurs associations, des professeurs ? Quelle entreprise fabrique ces bracelets et à quelles conditions ? Comment s’explique leur gratuité auprès des parents ? Quelles données précises vont être collectées ? Quel organisme va les analyser ? etc. ».

Pourquoi « ne pas recourir plutôt aux différents intervenants traditionnels de la santé (éducateurs — infirmières et médecins scolaires) dont la pénurie a été pointée dans plusieurs documents officiels (Rapport de l’Assemblée Nationale en 2018 et de la Cour des comptes en 2020) ? « .

Sous prétexte de sécurité, « se manifeste en fait une prise en main algorithmée de la santé des individus réduite à une froide addition de données, exportées sur des plates-formes de traitement de big datas, revendues à prix d’or à l’industrie (pharmaceutique, agroalimentaire, loisir) ou aux compagnies d’assurances, générant de nouvelles sources de revenus gigantesques ».

CIVITAS Sarthe ne peut s’empêcher de voir alors dans cette opération « la marque grandissante du contrôle social à la chinoise rendu possible par la multiplication des outils numériques », et les prémices « de la fusion homme-machine soustrayant l’homme au vieillissement et à la mort, ouvrant toute grande la porte au Transhumanisme (…) ». La section appuie son analyse sur « les théories dévoilées très officiellement par Monsieur Klaus SCHWAB, fondateur du Forum Économique Mondial de DAVOS dans son livre « La quatrième révolution industrielle » où il se fait le chantre d’une humanité nouvelle composée de cyborgs dotés de matériels implantés ».

Enfin, cette initiative soulève un aspect juridique non négligeable, détaillé dans plusieurs articles du Code de la Santé publique : « L’article L 1110-04 impose que le représentant légal de l’enfant soit informé de son droit d’exercer une opposition à l’échange et au partage d’informations le concernant ». Par ailleurs, « l’article 226-19 du Code pénal érige en délit le fait de conserver en mémoire informatisée sans le consentement préalable du représentant légal des données personnelles relatives à la santé (5 ans de prison et 300 000 €) ».

La section sarthoise conclut en justifiant sa réaction « au nom des principes défendus par le mouvement politique CIVITAS œuvrant à promouvoir l’identité nationale et chrétienne de la France, inspiré de la doctrine sociale de l’Église et du droit naturel, très attaché à la défense de la famille et à la protection de l’enfance ». Elle attire aussi l’attention de ses destinataires sur « le caractère potentiellement irrégulier de l’opération au regard des dispositions légales précitées ».

Aujourd’hui, le recul des autorités donne raison aux inquiétudes de la section : aucun partenaire, dit la presse, n’a été consulté. Ni le référent de la Fédération des Conseils de Parents d’Élèves, ni le représentant de la fédération syndicale des enseignants, ni la CNIL n’ont fait l’objet d’une concertation. Le vice-président du Conseil départemental ignore le mode de stockage des données et les modalités de leurs recueils, et confirme que les bracelets remis en juin l’ont été sans demander l’autorisation écrite des parents.

CIVITAS SARTHE et CIVITAS Région PAYS DE LA LOIRE




À propos de C. Perronne l’Express ment, l’Express ment énormément !

Par Gérard Delépine

Dans un article du 13 septembre 2022, Bruno Coutier via AFP et par Victor Garcia titrent dans l’Express : « Antivax, idole de l’extrême droite : Christian Perronne. »

S’agit-il d’une énorme bourde par absence totale d’enquête sur son engagement médical ou d’un mensonge délibéré visant à décrédibiliser ce professeur qui a consacré toute sa vie à la lutte contre les maladies infectieuses ?

Non, Monsieur Garcia, le professeur Christian Perronne n’est pas un antivax !

Il a au contraire a consacré la majeure partie de sa vie au traitement des maladies infectieuses et en particulier à la promotion des vaccins1 . Qu’on partage partie ou totalité de ses positions vis-à-vis des différents vaccins, il est inadmissible de déformer et trahir sa pensée à travers des articles grand public dans lequel il n’a même pas pu s’exprimer !

Pour le vérifier, il suffit de revoir la liste de ses articles scientifiques

En 1985, sa thèse de doctorat porte sur le traitement de l’endocardite expérimentale à Staphylococcus aureus (grave infection du système circulatoire atteignant le cœur).

Il a écrit près de 150 articles 2 dans des revues à comité de lecture qui analysent le traitement des maladies infectieuses, les médicaments antirétroviraux du sida, la place des vaccins dans la prévention des infections respiratoires 3, la recherche sur un vaccin contre le virus H5N14, sur le traitement de la tuberculose5 et sur la maladie de Lyme6entre autres.

L’accuser d’être un antivax constitue donc une grossière calomnie !

Les innombrable fonctions qu’il a exercées témoignent de ses compétences et de ses positions pro-vaccinales

Il a dirigé (en tant que Directeur-adjoint) le Centre national de référence sur la tuberculose et les mycobactéries de l’Institut Pasteur de Paris, jusqu’en 1998.

En 2009, il a exercé comme vice-président du groupe « European advisory group of experts on immunisation » (E[T]AGE), qui conseille la politique vaccinale de l’Organisation mondiale de la santé dans la Région européenne de l’OMS dans le but de faciliter et d’accélérer les réalisations en matière d’éradication, d’élimination et de contrôle des maladies évitables par la vaccination.7

ll a présidé jusqu’en 2016 la Commission maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique (HCSP)

Il a participé à des groupes de travail à l’agence du médicament (ANSM).

Président du collège des enseignants de maladies infectieuses et tropicales (CMIT), cofondateur et ancien président de la Fédération française d’infectiologie.

Président de groupes de travail élaborant des recommandations basées sur les preuves du traitement antibiotique des infections respiratoires à l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM, ex-AFSSAPS)

Président de la section maladies transmissibles du Conseil supérieur d’hygiène publique de France de 2001 à 2007.

Membre du conseil scientifique de l’Institut de recherche en microbiologie et maladies infectieuses (IMMI, INSERM) jusqu’en 2013.

Président du Conseil national des universités (CNU), sous-section Maladies infectieuses et tropicales.

Dans le milieu médical il était unanimement respecté pour ses connaissances et pour ses qualités de modérateur jusqu’à ce qu’il dénonce publiquement les erreurs de la stratégie anticovid du gouvernement.

Comment Bruno Coutier, l’AFP, Victor Garcia et l’Express peuvent-ils être aussi ignorants de ses activités dédiées en permanence aux traitements des maladies infectieuses et à la vaccination ? Comment osent-ils le traiter d’antivax ?

Aucun des prétendus experts que les « Check news » citent parfois dans leurs calomnies envers C. Perronne ou D. Raoult n’a de pareilles références scientifiques.

C. Perronne est-il de droite ?

C Perronne était un médecin respecté du sérail jusqu’au jour où il a osé démentir le narratif covid officiel8 9. Du jour au lendemain il a été présenté comme d’« extrême droite, de complotiste ou d’antisémite ».

Personnellement je n’en sais rien et ne dispose d’aucun élément pour en juger, mais l’ayant connu dans son hôpital R Poincaré, à Garches je suis totalement surpris de telles accusations qui ne correspondent absolument pas à son comportement de l’époque. Ses calomniateurs ne fournissent d’ailleurs aucun fait précis qui conforterait leurs accusations.

De toute manière, les opinions politiques des personnes n’ont aucun intérêt dans un débat scientifique qui doit seulement prendre en compte les faits avérés et de manière contradictoire.

Bruno Coutier et Victor Garcia ne respectent pas l’éthique du journalisme

Les qualificatifs « extrême droite, complotiste » sont systématiquement utilisés par les médias aux ordres pour décrédibiliser les gêneurs sans que leurs calomniateurs n’apportent jamais de faits qui le démontrent.

Que C. Perronne soit défendu par des leaders de droite prouve seulement que ceux de gauche refusent de protéger les donneurs d’alerte qui osent mettre en doute la propagande gouvernementale et c’est bien triste.

Ces calomnies de caniveau discréditent l’AFP, l’Express, Bruno Coutier, Victor Garcia et tous ceux qui les diffusent. Ils ne respectent pas l’éthique du journalisme10 suivie et respectée par la grande majorité des professionnels de l’information et en particulier : le respect de la personne et de sa vie privée — la vérification des faits et des sources, le principe de la liberté de l’information et de l’expression, la condamnation de la diffamation.

Oui la chloroquine aurait pu éviter plus de 25 000 morts de covid en France !

Dans ce même article de l’Express, l’auteur prétend « qu’aucune étude n’avait démontré ne serait-ce que 1 % d’efficacité ». Manifestement, n’étant pas médecin il ignore comment rechercher les articles scientifiques (ou ne sait pas lire l’anglais médical ?).

Au 18/9/2022 sur le sujet covid-hydroxychloroquine Pubmed référençait 3549 articles dont un grand nombre démontrait l’efficacité du traitement par HCQ en soulignant l’importance de la précocité du traitement pour prévenir la mortalité11, l’efficacité du traitement précoce par HCQ chez les patients ambulatoires12, l’efficacité et la bonne tolérance de ce même traitement en prévention du covid chez les travailleurs de la santé à haut risque en Inde.13

Au-delà des articles, les faits avérés, que chacun peut vérifier facilement en tapant sur son ordinateur « OMS covid Dashboard » « OurWorldinData covid cases per million » ou « OurWorldinData covid deaths per million » confirment l’efficacité de la chloroquine en population réelle.

Après plus de deux ans et demi d’évolution de l’épidémie, la mortalité cumulée observée constitue le critère de jugement le plus pertinent pour estimer l’efficacité des stratégies adoptées.

La comparaison entre l’Algérie qui a adopté le protocole Raoult dès le début, et la Tunisie, la France, les USA, la Belgique et l’Italie qui ont appliqué la stratégie du tout vaccin est éloquente : 155 morts covid par million d’habitants en Algérie contre 2300/M en France, 15 fois moins en Algérie !

Les populations française et algérienne partagent des facteurs de risques covid (âge, obésité, diabète) comparables. La France est mieux équipée en hôpitaux que l’Algérie. Si on avait appliqué le protocole Raoult ce n’est pas 25 000, mais plus de 130 000 morts de covid que nous aurions pu éviter !

La task force Covid indienne a conseillé la chloroquine en thérapie préventive pour les soignants, les familles de malades et en traitement précoce pour les malades. À l’issue de la première vague, malgré le manque d’hôpitaux, de médecins, l’Inde recensait dix fois moins de cas covid que la France :

Et après deux ans d’épidémie, l’inde compte six fois moins de morts par millions que la France :

L’AFP, l’Express, Bruno Coutier, Victor Garcia paraissent ignorer les données officielles de l’OMS ! Ils se contentent de réciter le crédo officiel. Il serait temps qu’ils s’intéressent aux faits avérés du monde réel et qu’ils les présentent impartialement comme les journalistes qu’ils étaient certainement jadis.

Maintenant que la médecine est devenue un business administré par l’état, où l’obéissance, la docilité, et la bêtise aveugle règnent en maître, Perronne et les autres médecins qui restent fidèles au serment d’Hippocrate (qui avaient l’esprit critique et croyaient à la pensée logique) n’y ont plus leur place.

Espérons, dans l’intérêt des malades qu’ils la retrouveront bientôt.


1 https://www.francesoir.fr/culture-livres/perronne-covid-et-charge-politique

2 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=perrone+c

3 Perronne C. The role of vaccination in the prevention of lower respiratory tract infections]. Rev Mal Respir. 2009 Apr;26(4):475-7. French. doi : 10.1016/s0761-8425(09)74059-8. PMID : 19421107.

4 Bresson JL, Perronne C, Launay O, Gerdil C, Saville M, Wood J, Höschler K, Zambon MC. Safety and immunogenicity of an inactivated split-virion influenza A/Vietnam/1194/2004 (H5N1) vaccine: phase I randomised trial. Lancet. 2006 May 20;367(9523):1657-64. doi : 10.1016/S0140-6736 (06) 68656-X. PMID : 16714186

5 Avec François Denis, Mycobacterium tuberculosis et mycobactéries atypiques, Paris, Elsevier Masson, 2004 (ISBN 978-2-7381-4997-8, BNF 39144965).

6 La Vérité sur la maladie de Lyme : infections cachées, vies brisées, vers une nouvelle médecine, Paris, éditions Odile Jacob, 2019, 2e éd., 336 p. (ISBN 2738150543, BNF 45836447) 11, 19, 23, 30, 47.

7 Perronne C, Adjagba A, Duclos P, Floret D, Houweling H, Le Goaster C, Lévy-Brühl D, Meyer F, Senouci K, Wichmann O. Implementing efficient and sustainable collaboration between National Immunization Technical Advisory Groups: Report on the 3rd International Technical Meeting, Paris, France, 8-9 December 2014. Vaccine. 2016 Mar 8;34(11):1325-30. doi : 10.1016/j.vaccine.2016.01.063. Epub 2016 Feb 6. PMID : 26859237

8 Y a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise ? : Covid-19 : l’union sacrée de l’incompétence et de l’arrogance, Albin Michel, 2020 (ISBN 978-2226455185) 46, 47, 54.

9 Décidément, ILS n’ont toujours rien compris ! : Covid-19, celui qui dit la vérité doit être exécuté…, Paris, Albin Michel, 2021, 288 p. (ISBN 978-2226461339 et 2226461337).

10 https://www.isfj.fr/actualites/202103-ethique-journalistique/

11 . Accinelli RA, Ynga-Meléndez GJ, León-Abarca JA, López LM, Madrid-Cisneros JC, Mendoza-Saldaña JD. Hydroxychloroquine / azithromycin in COVID-19: The association between time to treatment and case fatality rate. Travel Med Infect Dis. 2021 Nov-Dec;44:102163. Doi

12 parution2021Le traitement ambulatoire précoce du COVID-19 avec HCQ+AZ comme norme de soins est associé à une très faible mortalité, et HCQ+AZ améliore la survie au COVID-19 par rapport à d’autres régimes. Citation DataReviews in Cardiovascular Medicine, ISSN : 2153-8174, Vol : 22, Numéro : 3, Page : 1063-107, l’efficacité du même traitement en préventif chez les travailleurs de la santé en Inde

13 Stricker RB, Fesler MC. Hydroxychloroquine Pre-Exposure Prophylaxis for COVID-19 in Healthcare Workers from India: A Meta-Analysis. J Infect Public Health. 2021 Sep;14(9):1161-1163. doi: 10.1016/j.jiph.2021.08.001. Epub 2021 Aug 5. PMID : 34391171 ; PMCID : PMC8340552.




Le grand remplacement des médecins : les « chatbots »

IL FAUT FINIR PAR APPELER UN CHAT, UN CHAT !

Vous êtes triste, déprimé, révolté, agacé, fatigué, douloureux, nauséeux, anorexique ou boulimique, hagard, impuissant devant l’aveuglement de trop de citoyens devant la violence et la puissance mortifère des quelques milliers de milliardaires qui gouvernent le monde occidental. Ils sont menés par Bill Gates, l’informaticien, Tedros le patron de l’OMS, non-médecin au passé éthiopien sulfureux1, Fauci le MR Vaccin des USA2 depuis 50 ans et bientôt retraité tout de même (l’État profond s’effondrerait-il ?), le pouvoir politique américain, et évidemment la présidente de la Commission européenne non élue qui régente les pays soumis de l’UE et quelques autres leurs effecteurs, les dirigeants des pays européens

Le refus de la réintégration des soignants non injectés est cohérent avec l’ensemble du « projet »

Les psychiatres formés sont débordés par les vagues de suicides chez les adultes, mais aussi chez les enfants. Bien sûr, vous pouvez piocher dans les milliers de « thérapeutes » en tous genres disponibles sur le net, de formations et valeurs diverses et variées et qui ont l’avantage, n’étant pas soignants, de ne pas être interdits d’exercice pour refus d’injection expérimentale et leurs actes non remboursés par la sécurité sociale, donc beaucoup moins persécutés que les psychiatres formés à l’université par l’assurance-maladie.

Évidemment vous y trouverez de bons psychothérapeutes bien formés (dont certains actes reconnus et remboursés), mais aussi beaucoup de plus ou moins farfelus aux méthodes et pratiques diverses, mais dont une caractéristique trop fréquente est leur sentiment de supériorité, leurs incompétences médicales, leur rejet extrême de la médecine traditionnelle qui a failli certes, mais guéri des millions de patients depuis un siècle… On plonge dans le délire.

Danger, donc, mais en attendant le rendez-vous donné par un vrai professionnel dans six mois pour un premier contact pour votre ado cassé par le confinement, les cours en visio, les discours dissonants des radios, et la peur, terrible peur véhiculée par leurs enseignants manipulés par leur rectorat, parfois la terreur de l’avenir, que ferez-vous ?

Le pouvoir mondialiste a tout prévu

Manifestement depuis plusieurs années, l’obsession des pouvoirs politiques occidentaux n’était pas de former de meilleurs docteurs et assez nombreux praticiens, mais bien de les REMPLACER ». Il ne faut pas croire que la réduction drastique du numerus clausus était une « erreur » politique. Non, le scénario a consisté à progressivement priver les médecins de leur pouvoir médical en les soumettant à une administration prétentieuse et incompétente dans les soins, mais obéissante, dirigée le plus souvent par des énarques apparemment frustrés de ne pas être médecins, et parallèlement à en diminuer le nombre et la qualité (remplacement des enseignants cliniciens par des « savants » biologistes ou épidémiologistes, ou « médecins » de santé publique n’ayant jamais écouté un cœur ni palpé un foie…).

La première étape, « invisible » pour le peuple, a été d’embaucher dans des conditions précaires des médecins venus d’ailleurs, de formation plus ou moins bonne. Surtout leurs principaux défauts aux urgences, leur lieu d’accueil privilégié, étaient leur manque de maîtrise du français et donc du contact humain avec le public. Notons que cette difficulté aurait pu et dû être comblée rapidement avant embauche par un apprentissage intensif de la langue, comme cela se pratique partout pour les expatriés.

Mais les bureaucrates au pouvoir ne souhaitaient manifestement pas qu’ils comprennent les maux de leurs consultants, surtout pas tout ce qui pouvait concerner la médecine de l’âme.

ÉTAPE PRÉLIMINAIRE : HABITUER ET CONDITIONNER LES MALADES AUX ROBOTS SOIGNANTS3

On nous parlait de robots au lit du malade remplaçant fièrement, dans les congrès médicaux de démonstration, les infirmiers absents, déprimés et maintenant interdits d’exercice sous prétexte de refus d’injection expérimentale dangereuse et inefficace. Nous rigolions plus ou moins, vaguement inquiets.

Le robot s’avançait dans le couloir de l’hôpital pour prendre la tension artérielle du vieux monsieur et apporter le repas à la vieille dame. On a OSÉ nous présenter ces machines comme des progrès ! Naïfs, des téléspectateurs ont regardé, ébahis, le malade dans sa triste chambre d’hôpital et mal fagoté dans sa chemise blanche inadaptée, être distrait par un petit robot sympathique, mais terriblement inhumain.

Les fous de la connexion seraient-ils dispensés (avec bonne conscience ?) de visite à la grand-mère en fin de vie ou à la vieille tante qui sent mauvais, voire au petit frère cancéreux sans cheveux et décharné ?

Ne vous inquiétez pas, le gouvernement veille à remplacer les soins palliatifs longs et coûteux par une euthanasie acceptée rapide — quand vous sentez gêner tout le monde et qu’on vous a suffisamment culpabilisé sur le coût de vos soins., vous la demandez cette finale piqûre et ils oseront parler de « consentement libre et éclairé ». Oui éclairé sur la cruauté du monde…

« LES ROBOTS-INFIRMIERS : UN RÉEL PROGRÈS MÉDICAL ?

Présenté à Tokyo en 2011, le voilà maintenant arrivé sur le marché depuis novembre 2013 : le robot-infirmier de Panasonic, Hospi. Si son écran HD affiche un large sourire, sa commercialisation ferait en revanche plutôt grincer des dents. Après le robot qui réalise les prises de sang, cette nouvelle invention incarne-t-elle l’avenir du monde médical ou sa déshumanisation programmée ?

UNE AIDE MÉDICALE

Tout d’abord mis en place et étudié dans un des hôpitaux du groupe Panasonic, Hospi a su convaincre le personnel soignant d’Osaka. Malgré son poids important (120 kg), il a su se faire apprécier de ses “collègues” en les délestant de certaines tâches fastidieuses. Il sait gérer la programmation de la distribution des médicaments à heures fixes en les déposant aux infirmières. Mieux encore, un modèle permettrait de laver les cheveux du patient de façon semi-automatique !

Un gain de temps très appréciable pour les infirmières qui avouent avoir ainsi été déchargées de diverses tâches ingrates grâce à ces assistants, elles pourraient de ce fait mieux assurer leurs rôles de soin et de surveillance auprès des malades.

Hospi et ses camarades prototypes robotisés seraient des assistants médicaux parfois même “plus patients que les infirmières” selon Roselind Picard : ils n’hésitent pas, par exemple, à répéter inlassablement et autant de fois que nécessaire les recommandations et prescriptions faites aux malades, contrairement aux personnels soignants, malheureusement trop souvent débordés. Le personnel précise toutefois qu’il ne croit pas que les robots vont un jour remplacer médecins et infirmières…

Pourtant le robot Hospi n’a-t-il pas été créé, selon son concepteur, pour répondre à un manque de personnel au Japon ?

ET SI LE ROBOT REMPLAÇAIT L’INFIRMIÈRE

Si la technologie a rendu de nombreux services médicaux, notamment dans le domaine de la chirurgie, doit-on pour autant estimer que l’on puisse répondre à une surcharge continue de responsabilités et de travail du personnel hospitalier en lui offrant un amas de circuits intégrés ? Un manque cruel de main-d’œuvre causé par un désamour de la profession d’infirmier pourrait-il trouver réponse grâce à un service robotisé ?

Et le patient dans tout cela ? Sa dignité, son besoin d’écoute et de réconfort, la magie d’un sourire, d’un regard compatissant, d’une main tendue… N’oublions pas que les soins infirmiers découlent en effet des deux faces du concept soigner : traiter la maladie, et prendre soin de la personne ».

Il y a quelques années, en 2008 précisément, on craignait les bracelets d’identification risquaient de « chosifier » le malade en lui ôtant son identité. Pourtant, depuis octobre 2012, son usage s’est généralisé. Le malade ne deviendrait-il plus à l’avenir qu’un numéro, un dossier, une pathologie ? (…)»

OUI, ON AVAIT RAISON DE LES CRAINDRE CES BRACELETS QUI NOUS TRANSFORMENT EN VEAUX D’ABATTAGE et n’ont pas évité certaines erreurs. L’étape suivante a été le pass, le QR CODE pour aller boire un café au pub du coin ou entrer au cinéma et oui, les veaux comme les appelait de Gaulle n’ont pas moufté…

« Infirmières, infirmiers, en hôpitaux, en cliniques ou en libéral, vous qui pratiquez ce métier par amour de l’autre et de son bien-être, laisserez-vous un robot rassurer ou réconforter votre patient ? »

Et d’où vient le désamour du métier si ce n’est le management financier déshumanisé à visée de rentabilité ?

On remplace les soignants par les robots, alors qu’en même temps, comme dirait E. M., il y aurait trop d’humains sur terre… Mais qu’on s’empresse de faire disparaître via des refus de soins, des injections de Rivotril et des pseudovaccins expérimentaux toxiques, mais aussi des guerres… Eugénisme, quand tu nous tiens… LES ROBOTS SERONT-ILS PLUS OBÉISSANTS que ces médecins pourtant globalement très soumis ?

ÂPRES LES SOIGNANTS ROBOTISES, LES MÉDECINS :

MON PSY EST UN CHATBOT4

ATTENTION, cette image n’est pas un rêve d’eurocrate en délire nocturne, mais bien un projet « sérieux » de nos bureaucrates jaloux de l’Humanité de (certains) médecins dignes d’Hippocrate et non remplaçables par une machine même dotée d’intelligence artificielle.

Les chatbots, vous connaissez ? Ces logiciels — appelés également agents conversationnels — qui dialoguent avec leurs utilisateurs et dont le moteur est l’intelligence artificielle (ou IA). Si l’on ne peut encore dire qu’ils sont partout, ces enfants du high-tech investissent déjà de multiples domaines. Et notamment celui de la santé mentale. Mis à l’épreuve du réel lors des confinements liés à la pandémie de Covid, les psys chatbots ont ainsi pu mesurer leur pertinence et leur efficacité. Imaginez.

Vous — disons plutôt l’un de vos patients — traversez un moment difficile. Petite déprime passagère ou prémisses d’une authentique dépression ? Vous prenez votre smartphone et cliquez sur l’appli dédiée (Woebot, Mon Sherpa ou Sayana). Un psy synthétique vous prend alors en charge : « Comment vous sentez-vous ? Vous pouvez me répondre en mots ou en émoticônes… », propose-t-il. La suite de cette conversation est alors le produit d’une analyse sémantique fine de vos propos, où chacune des réponses de la machine est prédéterminée et déclenchée par des situations « si-alors ».

LES BOTS DU QUOTIDIEN : RAS-LE-BOL

Finalement, que vous appeliez votre banque, une agence de voyage ou immobilière, les administrations des impôts ou des assurances publiques ou privées, vous avez pris l’habitude, contraints et forcés, de converser avec ces inhumains, en tapant sur la touche 1,2 3, etc., et en recommençant dix fois parce que le robot bogue et repasse l’interrogatoire en boucle…

MAIS APPELER UN CHATBOT PSYCHIATRE, il fallait y penser et oser !5

« Mais il y a mieux. Les psys chatbots du type de Therabot arrivent. Cette application sur le point d’être testée pour la première fois dans un essai contrôlé randomisé se distingue en effet des générations précédentes en cela qu’elle est alimentée par une intelligence artificielle générative.

Autrement dit, Therabot peut utiliser les données et la documentation existantes pour développer des actions et des réponses originales, et pas seulement parcourir un arbre de décision. Un fonctionnement qui fait dire à certains qu’un début de conscience anime la machine. À voir… Car aussi sophistiquées soient-elles, ces aides électroniques ne remplaceront pas de sitôt la prise en charge en chair et en os par des psychiatres aguerris. Tout au plus pourront-elles pallier la pénurie croissante de professionnels et faire entrer dans le parcours de soins certains patients encore rétifs à s’y inscrire. »

Didier Doukhan

Alors vous révolterez-vous ?

Les cabines dites de télémédecine se répandent, semble-t-il, avec l’assentiment des patients ou au moins de suffisamment de citoyens pour les rentabiliser. Votre pharmacie a-t-elle installé un de ces gadgets ? Formidable, le rendez-vous du généraliste le jour même, et du spécialiste en trois jours ! Que demande le peuple ?

« Comment ça marche ? Durant la téléconsultation, le médecin guide le patient en vidéoconférence pour effectuer les prises de constantes physiologiques (tension artérielle, saturation en oxygène, pouls, la température frontale) et examens médicaux qu’il juge nécessaires au diagnostic en utilisant un panel de dispositifs médicaux assemblés.

La cabine médicale connectée est ergonomique favorisant l’autonomie du patient lors de sa téléconsultation. Elle est également munie d’une vitre teintée garantissant la confidentialité des échanges entre le patient et le médecin.’

À l’intérieur, un écran assure la vidéotransmission des échanges avec le téléconsultant. En suivant ses instructions, le patient manipule des dispositifs connectés : tensiomètre, thermomètre, stéthoscope, otoscope, balance, dermatoscope, oxymètre et, bientôt, un spiromètre pour mesurer les capacités respiratoires si nécessaire. Autant d’outils permettant d’aboutir à un diagnostic puis une ordonnance médicale si nécessaire.

La cabine médicale est entièrement insonorisée et équipée d’un système de ventilation. »6

Combien faudra-t-il de retards diagnostiques, d’erreurs rattrapables ou non, et de constats de la déshumanisation de ces pratiques pour que les citoyens les désertent, les rendant non “rentables”… La visite chez le médecin apportait toute une dimension humaine réconfortante au-delà de l’examen clinique indispensable aux patients isolés. Qui depuis la cabine pourra passer une main chaleureuse dans le dos de son patient en le raccompagnant à la porte du cabinet ?

Combien d’accidents pour la voiture automatique ?

On comprend bien sûr que la maltraitance du malade par ces techniques à distance n’est pas dans les préoccupations du pouvoir politique eugéniste et transhumaniste actuel. Le confinement quasi mondial et prolongé a manifestement été conçu dans la volonté de nous conditionner à toutes ces techniques connectées tant dans l’enseignement que dans la médecine. Il nous a obligés à accepter ces techniques à distance qui sont, il est vrai, parfois “mieux que rien” avec les avantages en exergue de la visio : “Avantages de la Visio : La prise en charge supposée identique à celle effectuée en cabinet, nous dit-on, ce qui est de fait faux. Il manque le contact direct, le toucher par une poignée de main réconfortante ou une embrassade de fin de consultation tant appréciée des patients. Le Respect des gestes barrières qui peut encore en rassurer certains et sans masque. Ce qui est essentiel en thérapie afin d’être à l’écoute du langage non verbal et mieux comprendre les émotions.

Problèmes de santé ou de déplacement, pas d’arrêt ou de pause dans la prise en charge thérapeutique.

Mais qu’en pensent les citoyens dont les yeux s’entrouvrent enfin ?

Comme a dit le médecin suspendu qui accompagnait le député Dupont Aignan à la manifestation de défense du Pr Perronne et des soignants suspendus, la volonté réelle du gouvernement est de nous remplacer par des robots :





Triste anniversaire. N’oublions pas les soignants et pompiers suspendus

Par Gérard Delépine

Le 15 septembre 2021, est entrée en vigueur l’obligation vaccinale pour certaines professions, excluant de leur vocation des milliers de soignants, d’ambulanciers et de pompiers vaccinoprudents sans indemnité, ni droit au chômage et à toute aide sociale visant à les transformer en SDF.

Cette obligation pseudo vaccinale n’a jamais eu le moindre intérêt médical

Il n’y a aucun article démontrant que les professionnels concernés constitueraient des vecteurs de transmission significatifs. Durant l’année 2020 (sans pseudo vaccins) les analyses des cas de contaminations nosocomiales répertoriés1 2 3ont surtout mis en cause les contacts mal protégés de malades de covid avec les autres : conditions d’attente aux urgences, ventilations insuffisantes des salles d’hospitalisation, l’utilisation inappropriée de l’équipement de protection individuelle chez les patients à haut risque…

Il est démontré (et même reconnu par le ministère) que les pseudo vaccins sont incapables de limiter les transmissions et de protéger les contacts. Les données de l’OMS ont même largement confirmé que les contaminations avaient été accélérées après les campagnes de vaccinations aussi bien en France :

Que sur l’ensemble du globe :

Comment des pseudo vaccins incapables d’empêcher les transmissions auraient-il pu protéger les contacts des professionnels qui, sans vaccin, ne contaminaient pas ? Que l’Académie de Médecine et la Haute Autorité de Santé aient pu prétendre qu’il fallait prolonger cette obligation démontre simplement qu’elles ont abandonné toute indépendance et se comportent en agences de justification des décisions de E. Macron, même lorsqu’elles sont contraires aux données acquises de la science.

L’argument avancé par la HAS : « les données de sécurité et d’efficacité en vie réelle des vaccins contre la Covid-19 autorisés en France sont en faveur de la vaccination en contexte Omicron » est du plus haut ridicule lorsqu’on observe l’échec total des pseudo vaccins contre ce variant en France, tel qu’il apparaît dans les données officielles de l’OMS.

Cette obligation vaccinale n’est qu’un acte extrême de censure

Les soignants et les pompiers chassés de leur profession ne sont pas des anti-vaccins : ils avaient jusqu’alors accepté tous les vaccins qu’on leur avait proposés et imposés, et avaient vacciné largement autour d’eux. En 2020, ils ont défendu les valeurs du soin au point d’être considérés, un temps donné, comme nos héros.

Ce sont des vaccino prudents qui ont rapidement compris que les injections n’étaient pas des vaccins (ils ne contiennent aucun antigène extrait du sars-cov2 ni aucune anatoxine), qu’il s’agissait de médicaments expérimentaux (les essais phase 3 ne seront pas terminés avant 2023) issus d’une technologie jamais utilisée en pathologie infectieuse et que leur mise sur le marché beaucoup trop rapide (10 mois au lieu de 10 ans) avait négligé les règles habituelles des essais de sécurité.

De plus, les professionnels ostracisés avaient constaté la mauvaise tolérance des injections chez leurs collègues très tôt vaccinés, mauvaise tolérance qui avait conduit la HAS à recommander de ne pas vacciner en même temps tous les soignants d’un même service pour ne pas perturber le fonctionnent dudit service. Ils avaient aussi observé les nombreuses complications post vaccinales : thromboses, accidents vasculaires, péricardites chez leurs patients à leur cabinet ou dans leurs ambulances et/ou véhicules de secours.

Il ne fallait pas qu’ils puissent témoigner de leurs constatations !

Les conditions de cette exclusion créent un précédent d’une extrême brutalité, invraisemblable en démocratie

Et totalement disproportionnées. Même si le ministre estimait qu’il fallait exclure des soins ces professionnels vaccino prudents, les conditions qu’on leur a appliquées sont totalement disproportionnées : pourquoi les priver des allocations chômage et du RSA sinon pour prendre leur famille en otage ? Vaccinez-vous, ou bien vous et vos enfants serez SDF !

De telles mesures n’avaient jusqu’ici été utilisées que par les pires régimes dictatoriaux, qu’ils soient communistes (contre leurs opposants politiques) ou nazis (contre les juifs, opposants, tziganes, etc..).

En ne protestant pas et en laissant se créer un tel précédent contre notre contrat social, les syndicats français, au-delà de la honte de ne pas les avoir défendus, ont pris le risque que la mesure soit utilisée contre les travailleurs dans d’autres conflits au cours desquels E. Macron déciderait « d’emmerder » ses opposants.

Cette obligation a dramatiquement aggravé le manque de soignants et de pompiers

Le manque de soignants n’est pas nouveau. En 2018, la Drees avait en effet constaté dans un rapport que les recrutements ne compensaient pas les départs et que le recul de l’âge de départ à la retraite ne suffirait pas à compenser les cessations d’activité. 

L’obligation vaccinale a directement exclu de la profession au moins 15 000 professionnels expérimentés considérés comme héros lors de la première vague. Mais elle a de plus incité beaucoup de médecins à prendre leur retraite plus tôt que prévu et dissuadé de nombreux futurs soignants de s’engager dans une profession aussi maltraitée par le gouvernement.

Le manque de soignants n’a jamais atteint de tels sommets en France et peut provoquer l’effondrement du système de santé4. L’Organisation mondiale de la santé prévient : 

« le remplacement des médecins partis à la retraite et des autres soignants sera un défi majeur pour les gouvernements et les autorités sanitaires dans les prochaines années ».5

On constate aujourd’hui les conséquences de cette exclusion de soignants pour les malades. À l’AP-HP, 1 000 postes d’infirmiers vacants et 18 % de lits fermés dans les hôpitaux de Paris6. Plus de 100 services d’urgence ferment la nuit. Et les déserts médicaux se multiplient même dans les zones où l’on ne manque ni d’école ni de commerces ni de spectacles comme la banlieue parisienne proche.

Le président Macron vient récemment de prétendre que l’exclusion des soignants n’a pas changé grand-chose à la pénurie de soignants et qu’il n’y a donc pas de raison de les réintégrer. Mais l’enquête du sénat7 vient de prouver que : le ministère n’avait pas de données en temps réel » sur le nombre de soignants ! Comme d’habitude le président vit dans son monde virtuel et affirme ce qu’il veut être sa vérité alors que les Français souffrent dans le monde réel.

Si on veut retrouver des soignants, il faut réintégrer les vaccino prudents injustement exclus, ce qui renflouera le pool global et sera un signe de changement de comportement envers les professionnels en poste, limitant ainsi l’épidémie de démissions et de suicides.





Le FRANC LIBRE : deux mois plus tard. Point de situation et perspectives

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]

[Voir aussi :
Devenez la Force qui se dressera quand le vent de l’Histoire va souffler
Franc Libre et tournée CSP : point de situation
Résilience et Résistance pour la France]