Ils veulent endoctriner nos enfants à l’école pour les vacciner contre le covid !

Le conditionnement des jeunes est un marqueur fort de régimes totalitaires

Par Gérard Delépine

En cette période marquée par les conséquences désastreuses de la fermeture des écoles1 dénoncées en leur temps par l’Unicef2, du port du masque3 et du télé-enseignement (déscolarisation, retards d’apprentissage, troubles psychologiques) et par les inquiétudes que suscite la possible diminution des périodes scolaires pour « économiser le chauffage »4, le ministre vient de demander aux professeurs de tenir quatre « séances d’information » sur la vaccination aux élèves des Cycle 2 (CP CE1 CE2) et 3 (CM1 CM2)5 6, supprimant ainsi 6 à 8 heures supplémentaires d’enseignement utile pour distiller sa propagande en l’absence des parents.

L’analyse du contenu de ces prétendues « séances d’information » montre qu’il ne s’agit en réalité que d’une propagande mensongère visant à les convaincre de se faire vacciner contre le covid alors qu’ils n’en ont aucunement besoin et que leur vaccination n’a aucun intérêt sociétal.

Examinons le programme des « activités de découverte de la vaccination »

La première séance viole le secret médical

Elle prévoit de poser publiquement des questions personnelles aux élèves sur leurs données de santé :

Interroger de façon collective les élèves sur leur connaissance et leur vécu concernant la vaccination :

« Avez-vous déjà été vaccinés ? »
« Par qui avez-vous été vaccinés ? »
« Avez-vous eu peur de la piqûre ?
« Qu’avez-vous ressenti lors de l’injection ? Comment cela s’est-il passé ? »
« Contre quelle maladie avez-vous été vaccinés ? »
« Et pourquoi à votre avis avez-vous été vaccinés ? »
« Qu’est-ce que la vaccination ? À quoi est-ce que cela sert ? »
« Est-ce que vous vous posez des questions sur la vaccination ? »

Écouter et noter, sur une affiche ou au tableau, les réponses et les questions des élèves.

Un peu plus loin le texte prétend curieusement :

Il ne s’agit en aucun cas ici de savoir qui est vacciné contre quoi. (Alors pourquoi est-il demandé expressément « Avez-vous déjà été vaccinés ? », « Contre quelle maladie avez-vous été vaccinés ? »). Les instructions reconnaissent tout de même :

« Le statut vaccinal correspond à une donnée de santé individuelle qui ne doit donc pas être évoquée dans un cadre collectif. »

Le serpent qui tente d’hypnotiser nos enfants se mord lui-même la queue !

3ème séance : l’endoctrinement par un film

La troisième séance :

« repose principalement sur l’analyse d’une vidéo de Santé publique France. La vidéo proposée est centrée sur la rougeole, mais le principe de la vaccination reste le même pour d’autres maladies (grippe, oreillons, tétanos ou covid-19… »

Il est extrêmement douteux que ce film rappelle aux enfants les faits avérés qui les concernent et en particulier : qu’ils risquent moins du covid que de la grippe, qu’ils ne transmettent pratiquement jamais la maladie ni aux autres enfants ni à leurs parents ou à leurs grands-parents que ces pseudo vaccins peuvent entraîner des complications parfois très graves et même mortelles.

En séance 4 l’intention de pousser les enfants à se faire vacciner est clairement avouée

Les buts officiels :

« Se protéger contre la Covid-19 A — Objectifs de la séance Maintenant que le mécanisme de la vaccination a été étudié, ainsi que d’autres concepts liés aux microbes et maladies, il est possible de relier ces notions à l’épidémie de Covid-19. Cela permettra :

d’une part de remobiliser les notions travaillées dans les séances précédentes afin d’en améliorer la maitrise
• d’autre part de rendre ces notions opérationnelles en les faisant appliquer sur le cas très concret du SARS-CoV-2.

Faire décrire aux élèves, à l’oral ou à l’écrit, le contexte épidémique actuel. Lorsque les élèves mobilisent des notions étudiées lors des séances précédentes, leur faire remarquer et éventuellement reformuler. Afin d’aider les élèves à verbaliser la situation, des questions plus ou moins ouvertes peuvent leur être proposées :

Quelle est la maladie dont on parle beaucoup depuis deux ans ?
• Comment se transmet-elle ?
Comment s’en protéger ?
• Quels sont les gestes barrières ?
• Existe-t-il un vaccin contre cette maladie ?
Pourquoi on se vaccine ?

Cette dernière séance peut en outre donner lieu à la réalisation d’une tâche finale qui permettra de conclure la séquence, avec éventuellement une évaluation sommative des élèves. »

Et pour être sûr que les élèves ont bien appris le crédo covid du gouvernement on demande à l’enseignant de vérifier qu’ils le récitent correctement :

« Proposition de quizz permettant d’évaluer les acquis de cette séquence Un quizz peut être réalisé pour faire le point sur les acquis des élèves »

On peut imaginer que les possibles conseils du cabinet McKinsey soient bientôt de noter ce quizz et de prendre en compte ses résultats pour le passage à l’année supérieure !

La désinformation des enseignants par la « Cartes de débat Vaccinations 2021 Guide enseignant »

Les enseignants ne sont pas des médecins ; il est donc facile de les désinformer sur la crise covid et le ministère a conçu ce ‘guide enseignant’ dans ce but.

Ce guide qui se prétend factuel ment directement et aussi par omission sur de très nombreux points. Dans « Notions essentielles », il qualifie les injections anti-covid de « vaccins à ARN » ce qui est mensonger : les injections covid qui ne contiennent ni antigène ni anatoxines ne sont pas des vaccins7 pastoriens, mais des médicaments géniques préventifs comme l’a d’ailleurs reconnu Delfraissy.8

Il prétend aider les enfants à argumenter leurs opinions sur des bases factuelles, mais s’attaque mensongèrement aux vaccino prudents en les qualifiant d’antivaccins et prétendant que ‘les mouvements antivaccins nés de la controverse entourant le vaccin ROR se sont donc emparés de la question du vaccin contre la COVID-19’ alors que la contestation actuelle est née de la mise sur le marché précipitée (et du caractère expérimental de ces injections) pas même évoquée par ce guide, et contestation renforcée par leur inefficacité et leurs complications constatées en population réelle.

Il ne rappelle même pas la bénignité extrême de la maladie chez l’enfant (trois fois moins mortel que la grippe ordinaire contre laquelle on ne les vaccine pas) et donc l’absence de bénéfice personnel des injections chez eux. Il ne rappelle pas que les enfants ne sont pas des facteurs de contamination9 10 et donc que les injections des enfants ne peuvent pas protéger les autres d’autant plus que les pseudo vaccins n’empêchent pas les transmissions.

Ce nouveau « petit livre rouge » n’est qu’un missel des représentants de l’industrie des vaccins, un outil de propagande mensongère, qui désinforme les enseignants pour qu’ils endoctrinent nos enfants en leur récitant le crédo des fabricants de pseudo vaccins.

Dénonçons publiquement ce tissu de mensonges qui désinforme les enseignants sur la vaccination et n’a pas la place dans nos écoles. Seuls les régimes totalitaires refusent les débats publics et endoctrinent les enfants à l’école.





La face cachée de la campagne de vaccination — cas des « vaccins » à ARNm et ADN

Par Maître NONOBSTANT, avocat au barreau de la Science à l’occasion de la pandémie de Covid-19

(ebook gratuit au format PDF à télécharger et partager)

Découvrez pourquoi la pandémie de Covid-19 est sans doute la plus grosse arnaque de tous les temps et comment les artisans de cette escroquerie se sont organisés pour berner la population mondiale avec la complicité de l’OMS, des gouvernants et des médias mainstream. Découvrez en quoi consiste la démarche scientifique pour ne plus vous faire pigeonner par la propagande covidiste et l’argument d’autorité. Découvrez aussi les objectifs cachés du pass sanitaire/vaccinal et de la campagne de vaccination de masse. Découvrez enfin pourquoi la Résistance contre le covidisme est une nécessité, que vous soyez vacciné ou non.

[Voir aussi les articles complémentaires dans les dossiers :
Vaccins et virus
et
5G et ondes pulsées]

TABLE DES MATIÈRES

Remerciements

Informations juridiques sur les vaccins anti-Covid-19

RÉSUMÉ

Avant-propos

Abréviations, acronymes, conventions

Lexique

INTRODUCTION

Chapitre I. — Le consensus scientifique, la majorité ou l’unanimité font-ils la science ?

Chapitre II. — L’argument d’autorité, l’un des stratagèmes utilisés par l’establishment pour manipuler l’opinion publique

§1. Cas concrets de manipulation de l’opinion publique par les experts médiatiques

§2. Conditions de validité du consensus scientifique, d’une étude scientifique et de l’argument d’autorité

Chapitre III. — Les preuves de mensonges du discours de propagande des autorités, des médias et des experts officiels

§1. Mensonges sur la contagiosité

§2. Mensonges sur la réduction des formes graves

A. Les études princeps n’ont pas apporté la preuve scientifique de l’évitement des formes graves

B. Les études observationnelles ne montrent pas non plus une réduction des formes graves

§3. Contenu caché des vaccins

§4. Toxicité de la protéine Spike

§5. Toxicité des vaccins

§6. Effets indésirables : décès et pathologies multiples

 Décès
 Pathologies multiples
 Effets indésirables en images

§7. Imperfection de la pharmacovigilance

§8. Immunité collective

§9. Surestimation du rapport bénéfices/risques des vaccins

A. Cas des études interventionnelles

B. Cas des études observationnelles

§10. Saturation fictive des hôpitaux par la Covid-19

§11. Laxisme des agences de sécurité des médicaments

§12. Études truquées ou biaisées

A. Du LancetGate à Recovery et consorts

B. Les essais cliniques de Pfizer

C. Les essais cliniques sur les 12-15 ans et les moins de 5 ans

D. L’étude bidonnée de l’institut Pasteur

E. Les études justifiant le confinement

F. L’étude bidonnée de la DREES

 Les études bidonnées d’EPI-PHARE
 L’étude bidonnée du Conseil d’analyse économique
 Les études peu solides invoquées par la HAS et la FDA
 L’article de l’INSEE sur l’impact de l’épidémie de Covid-19

§13. Irresponsabilité pénale et civile de Big Pharma

§14. Vaccination des enfants et des adolescents en bonne santé

§15. Vaccination de masse en période épidémique

Chapitre IV. – Les artisans de la réponse globale à la pandémie et leurs stratagèmes pour cacher diverses arnaques

§1. Les artisans de la réponse globale à la pandémie

A. Dr Anthony Fauci, le patron de la santé publique américaine

B. Klaus Schwab, le fondateur et directeur du Forum économique mondial (Davos)

C. Bill Gates, le cofondateur de Microsoft et de la fondation éponyme

§2. Les diverses arnaques et les stratagèmes utilisés pour les cacher

A. Genèse de la Covid-19

     Origine controversée du SARS-Cov-2
     Succession de faits troublants avant et pendant la pandémie
 Gestion absurde de la crise sanitaire
 Instrumentalisation de la peur
 Contrôle total de la population
     La régulation du stock de la population mondiale
     L’identification biométrique et numérique des Terriens
         Identification biométrique, identité numérique, portefeuille numérique
         Traçage numérique, objets connectés, 5G
         Propagande du rapport sénatorial n° 673
     Un nouvel ordre mondial qui masque une dystopie transhumaniste
         Les prétendus complotistes ont tort d’avoir raison trop tôt
         Le transhumanisme comme horizon
         La nécessité d’une union sacrée pour un autre monde
 Plaintes pour crimes contre l’Humanité
 Bouc émissaire
 Théorie du complot
 Censure et désinformation

Chapitre V. — Bilan de la controverse autour de la balance bénéfices-risques des vaccins

CONCLUSION

BIBLIOGRAPHIE

  • Articles & rapports
  • Collectifs citoyens
  • Conférences
  • Entretiens et confessions
  • Désintoxication contre la protéine Spike et autres toxines vaccinales
  • Documentaires
  • Lanceurs d’alerte
  • Livres
  • Médias indépendants
  • Pfizer Gate
  • Procès Covid-19 pour crime et génocide contre l’Humanité
  • Scientifiques indépendants
  • Observatoires des effets indésirables
  • Observatoires de la pandémie
  • Observatoires des traitements
  • Observatoires de la prophylaxie

ANNEXE

 Le Great Reset et les agendas du Forum énonomique mondial
 Comment retrouver un lien mort ou une vidéo supprimée ?
 Où consulter les liens d’intérêts des professionnels de santé ?
 À l’attention de Monsieur X
 À l’attention des jeunes
 À l’attention des adultes
 Crise alimentaire planifiée pour poursuivre les agendas des globalistes

Article n°1. — Revue de presse internationale n°165 de Pierre Jovanovic
Article n°2. — 20 preuves qu’une pénurie alimentaire va bientôt toucher le monde entier

 Article de Michaël Lord : « Exposed: Klaus Schwab's School For Covid Dictators, Plan for 'Great Reset' (Videos) »
 Qu’en est-il des vaccins anti-Covid classiques, qui n’injectent pas l’ARNm ou l’ADN mais un virus inactivé ?
 Déclaration IV du Global Covid Summit
 Covid-19 : la face cachée de la croisade contre le Pr Raoult et l’hydroxychloroquine




The Big Reset – Le documentaire non censuré sur la vérité de la pandémie

[Source : Infos et Culture via PG]

Liste des participants : Rashid Buttar, Christian Perronne, Heiko Schöning, Chinda Brandolino, Nadiya Popel, Wolfgang Wodard, Alexandre Juving-Brunet, Alexandra Henrion-Caude, Alfonso Longo, Carlos Vara De Rey, Cristina Martin Jiménez, Luis Miguel Benito, Carlos Astiz, Fernando Lopez Mirones, Gerard Guillaume, German Sarlangue, Grégory Catteau, Javier Villamor, Jean-Dominique Michel, Jon Ander Etxebarria, Louis Aubouin, Luc Montagnier, Michel Maffesoli, Oscar Aguilera, Pablo Campra, Pierre Jovanovic, Pierre Barnérias, Vincent Pavan, Steve Ohana, Valérie Bugault, Xavier Azalbert, Reiner Fullmich. Thebigresetmovie, le 11/09/22 – Version française.






Documentaire : Consentement non éclairé

[Sources : Quantumleap]

Un regard approfondi sur le récit du Covid 19, qui le contrôle et comment il est utilisé pour injecter une nouvelle technologie non testée dans presque chaque personne sur la planète.
Ce film explore notre récente perte des droits de l’homme tout en évoquant l’impact dévastateur des mandats et l’histoire très émouvante de la perte d’un être cher.
Écoutez la vérité de médecins et de scientifiques qui n’ont pas peur de s’opposer à Big Pharma et à l’élite qui profite de ces mandats.


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[ou sur Odysee : ]






France — Comment tombera le Pouvoir ?

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]




Rappel : comment un tyran se fait-il obéir ?

[Extrait (par Fenice PANOZZO) du film I comme Icare]




Et encore un gros média-mensonge sur le conflit en Ukraine

Le paroxysme d’une outrance mensongère !

[Source : alawata-rebellion]

Par Erwan Castel

Le 11 septembre dernier, dans un article titré « Population russe en danger », j’avais évoqué la forte probabilité de voir apparaître des cadavres dans le sillage médiatique de l’offensive ukrainienne de Balajlaïa, et dans l’intention réchauffée depuis des mois de diaboliser encore et toujours Poutine cet ennemi public n° 1 intergalactique de la pensée unique occidentale dont je rappelle que les pays qu’elle prétend représenter ne constituent que 17,8 % de la population mondiale. 

Et bien, cela n’a pas loupé ! Et les caniveaux médiatiques occidentaux de déverser dans les rues un nouveau « média-mensonge », pour reprendre l’expression de Michel Collon, exhibant un « charnier » de l’armée russe découvert près d’Izioum (front de Kharkov, au nord de Slaviansk).

Donc rien de surprenant concernant cette nouvelle théâtralisation russophobe du conflit, sauf peut-être le paroxysme toujours plus haut de cette grossièreté du narratif mensonger dont l’outrance et l’aplomb propagandistes révèlent surtout à mes yeux l’extrême naufrage du sens critique des populations occidentalisées dont la liberté de conscience est ravalée dans les culs de basse fosse de l’esclavage de la pensée unique.

Car il suffit, même pour un quidam arrivant dans cette tragédie européenne, d’ouvrir les yeux quelques secondes pour comprendre de qui sont les corps exhumés par les autorités ukrainiennes près d’Izioum !

De quoi s’agit-il ?

Car il s’agit ni plus ni moins que d’un cimetière où ont été enterrés des soldats ukrainiens (environ 500 au total) tués lors des combats d’Izioum de mars 2022. Les forces russes, devant le refus du commandement ukrainien de récupérer immédiatement leurs corps ont donc enterré ces soldats plutôt que de les laisser pourrir et en leur donnant de surcroît une sépulture chrétienne !

Et la bien-pensance occidentale veut aujourd’hui nous faire croire que ces cadavres déterrés « présentant des traces de morts violentes » (comme généralement tout soldat mort au combat !) seraient les victimes d’un crime de guerre de masse, mais dont les auteurs, plutôt que de faire disparaître les corps, se seraient donné la peine de les enterrer individuellement et de marquer leur sépulture ? 

Sérieusement de qui se moque-t-on dans les officines médiatiques occidentales ?

Ici encore, les thuriféraires occidentaux de ce manichéisme dominant toutes les propagandes, coiffant leur arrogance du mortier des procureurs, n’attendent même pas comme d’habitude ni la conclusion ni même le début d’une quelconque enquête pour nous jeter à la figure des conclusions fantasmées par leur haine russophobe incontrôlée. Et dans les forêts d’Izioum, ces Torquemada et ces tartuffes de la bien-pensance ukro-atlantiste tentent de nous rejouer cette fois le théâtre de Timisoara avec une dramaturgie mode Katyn !

Mais le plus pathétique reste certainement ce troupeau de drogués cathodiques qui — dans leurs salles de shoot que sont France 24, BFM TV, France 2, etc. — avalent des anacondas en s’agenouillant en chœur devant l’autel d’une bien-pensance occidentale qui pourtant, de plus en plus ouvertement, les prend pour des cons.

Jamais la « servitude volontaire » occidentale qu’Étienne de la Boétie décrivait déjà en 1574 n’a atteint un tel paroxysme de stupidité suicidaire que celui de cette russophobie hystérique !

Erwan Castel


Boutcha 2.0 à Izioum : L’Ukraine utilise des civils tués par des bombardements et les tombes de ses soldats pour jouer la carte du massacre

[Source : donbass-insider.com]

Par Christelle Néant

Sans surprise après la reprise d’Izioum, près de Kharkiv, par les forces armées ukrainiennes (FAU), l’Ukraine nous fait une réédition de Boutcha, en essayant d’utiliser les tombes de civils tués par des bombardements et celles de ses soldats tués pendant la bataille pour la prise de contrôle de la ville, pour faire croire à un massacre de civils par les Russes.

Si le « massacre d’Izioum » est une réédition de celui de Boutcha, ce dernier était lui-même une réédition de celui de Timisoara. Après autopsie des corps de Boutcha, la presse britannique a annoncé que des dizaines de civils trouvés dans les fosses communes à Boutcha avaient été tués par des tirs d’artillerie et non exécutés.

Plus précisément, ils ont été tués par des fléchettes en métal qui se trouvaient dans des obus. Sans surprise les médias britanniques disent qu’il s’agit d’obus russes, sauf que personnellement j’ai pu constater que les fameuses fléchettes métalliques sont utilisées par l’armée ukrainienne dans le Donbass depuis 2014 (j’en ai trouvé plusieurs à Zaïtsevo, qui est quotidiennement bombardé par l’armée ukrainienne depuis le début du conflit) !

D’ailleurs, les officiers du bataillon Vostok (que nous avions interviewés il y a quatre ans sur la mort d’Andrea Rocchelli, un reporter italien) à Slaviansk en 2014) en parlaient déjà :

https://www.youtube.com/embed/UxOB1iAazT0

La Russie qui a de bien meilleures armes que l’Ukraine n’a pas besoin d’utiliser ces fléchettes métalliques pour infliger un maximum de dégâts aux troupes adverses. L’armée ukrainienne oui (information pour mes « confrères » britanniques, l’Ukraine aussi dispose d’obus d’artillerie de 122 mm, et pas seulement la Russie). En clair, une bonne partie des civils morts à Boutcha l’ont été lors de bombardements ukrainiens !

Et pour ceux qui montrent des traces d’exécutions, je rappelle ce que j’ai déjà démontré dans mon deuxième article sur Boutcha, à savoir que les forces ukrainiennes qui ont « nettoyé » la ville ont exécuté ceux considérés comme des collaborateurs des Russes.



Méthode qu’elles utilisent de nouveau en région de Kharkiv, sans s’en cacher.





Le conseiller de Zelensky, Alexeï Arestovitch a d’ailleurs clairement menacé de mort ou de prison les gens qui collaborent avec la Russie, y compris de simples maîtresses d’école !



Des groupes ukrainiens sur Telegram publient même les données personnelles des « collaborateurs » façon Mirotvorets pour qu’ils soient traqués. Et si ces gens se font assassiner par les Ukrainiens, nul doute que leur exécution sera mise sur le dos des Russes.

L’Ukraine peut aussi compter sur un autre facteur pour jouer la carte du massacre : ses nombreux soldats tués lors des combats pour la prise de contrôle d’Izioum, dont l’armée ukrainienne avait abandonné les corps dans sa retraite. Au lieu de laisser les corps pourrir dehors, les soldats russes les ont enterrés dignement, dans des tombes collectives ou individuelles, surmontées d’une croix portant la mention « ВСУ» (Forces Armées Ukrainiennes), comme on peut le voir sur les photos de Radio Svoboda. Sur l’une d’elles, il y a même une photo avec le nom du soldat concerné.

Dans l’article, l’auteur parle de tombes de soldats et de civils ukrainiens, en disant que ces derniers sont enterrés dans des tombes sans nom. Sauf que sur les photos, on voit bien que plusieurs tombes comportent des plaques nominatives, et certaines sont même fleuries, ce qui indique qu’il s’agit de tombes d’habitants de la ville qui y ont encore de la famille !

De plus, si les Russes avaient réellement massivement exécuté des civils à Izioum, pourquoi se seraient-ils embêtés à les enterrer individuellement avec une croix et tout le rituel funéraire adéquat ?

Le fait d’avoir enterré civils et soldats ukrainiens autant que faire se peut dans des tombes individuelles avec une croix, et le nom de la personne, ou une indication du fait qu’il s’agisse de soldats, montre que les Russes ont fait preuve d’humanité envers les morts qu’ils ont trouvés après les combats pour la prise d’Izioum.

D’ailleurs dans un autre article de Radio Svoboda, un responsable ukrainien, Oleg Kotenko, dit que sur certaines tombes la date de la mort est indiquée et qu’elle correspond à des moments d’intenses bombardements de la ville.

« Certains ont la date du décès écrite dessus, nous comprenons que pendant ces jours, il y a eu de lourds bombardements d’Izioum. Les personnes décédées dans des maisons, des appartements, dans la rue ont été enterrées ici », a déclaré Kotenko.

En clair, comme à Boutcha, une bonne partie des civils enterrés ont été tués lors des combats par des bombardements. Rien à voir avec des exécutions de masse.

Pour se faire une idée de la façon dont les civils vivaient sous contrôle russe dans cette zone, allez voir le reportage de Patrick Lancaster (en anglais) :

https://www.youtube.com/embed/3iFv5jxInOc

Le premier homme interviewé dit clairement que 70 % des bâtiments endommagés l’ont été par des bombardements ukrainiens, et seulement 30 % par les bombardements russes. Le deuxième raconte comment des soldats russes ont sauvé un homme touché par des shrapnels. Plusieurs hommes se trouvant à l’hôpital racontent comment l’armée ukrainienne a détruit leur maison, ou les a blessés en bombardant une zone civile.

Pour en revenir au « massacre » d’Izioum, je passerai rapidement sur les tentatives pitoyables de nous inventer des histoires de chambre de torture en filmant une cave où rien n’indique que quoi que ce soit s’y soit passé. À part qu’il y a du linoléum au sol et que c’est bien pratique pour nettoyer le sang au cas où (oui on est tombé aussi bas niveau propagande éco+)… Mais il n’y a aucun moyen de savoir où se trouve cette cave, et il n’y a aucune trace de quoi que ce soit.https://t.me/warfakes/6681?embed=1

Quant au chiffre annoncé du nombre de corps de soldats ukrainiens enterrés dans cette forêt (à peine 20 à 25 sur plus de 400 tombes) il ne tient pas la route au vu de l’intensité des combats qui ont eu lieu pour la prise de contrôle de la ville il y a quelques mois. Surtout que l’abandon des cadavres de ses soldats par l’armée ukrainienne est une constante depuis le début du conflit dans le Donbass. Régulièrement la RPD et la RPL (Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk) devaient publiquement rappeler à l’Ukraine qu’elles avaient des corps de leurs soldats pour que ces derniers soient enfin récupérés.

De plus, un post de la chaîne Telegram russe « Zapiski Veterana » datant de juillet indique qu’environ 500 corps de soldats avaient été abandonnés par l’armée ukrainienne près d’Izioum, et enterrés là par les soldats russes. D’après cette même chaîne, le commandement russe avait contacté à plusieurs reprises les commandants ukrainiens pour leur demander d’envoyer des équipes funéraires afin qu’ils récupèrent leurs morts.

Un couloir humanitaire était même prévu pour ça afin de garantir la sécurité de ces équipes. Mais le commandement ukrainien n’a jamais répondu et les soldats ukrainiens ont été enterrés par les soldats russes.

Un fait confirmé par Andreï Medvedev, un journaliste russe, qui a filmé la récupération et l’inhumation de soldats ukrainiens abandonnés en plein champ par les FAU près d’Izioum. Or on voit à la fin de la deuxième vidéo, filmée en mai 2022, un endroit ressemblant à celui des photos de Radio Svoboda !

Au vu de tous ces éléments, il devient évident que le nombre de soldats ukrainiens enterrés dans cette forêt à Izioum est très certainement supérieur au chiffre donné par les autorités ukrainiennes, qui « convertissent » ces soldats ainsi que les civils tués lors des bombardements, en « civils exécutés par les Russes ». Une technique bien pratique pour hurler au massacre…




Opposition contrôlée et infiltration : comment les reconnaître ?

[Source : LMDR]






REVUE DE PRESSE DU 15 SEPTEMBRE 2022

Par MF

ÉDITO
Le début du bon sens commence au Danemark ?

Un frémissement se fait jour, du Danemark à la marine américaine, reconnaissant que la maladie Covid ne présente pas de risque pour les enfants et adultes de moins de 50 ans, ou renonçant à l’obligation vaccinale pour certains personnels, tandis qu’en France les « suspendus » sont toujours sans ressource depuis un an, que l’inefficacité des vaccins n’a d’égale que la corruption et la fraude qui les entourent, et que la chasse aux lanceurs d’alerte se poursuit.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Le Pr Perronne, marqueur de la répression gouvernementale

« Dans le monde tordu du COVID, Perronne est forcément un dissident. Il croit que l’on peut soigner sans vacciner. Il croit que la bureaucratie passe après l’intelligence. Il croit que l’intérêt général précède les turpitudes politiques ».

La répétition générale a eu lieu en 2009

https://www.aimsib.org/2022/09/11/la-pseudo-pandemie-grippale-de-2009-en-france-etait-une-repetition-generale/

«  la « gestion » de la grippe A(H1N1)v s’est appuyée sur une menace sanitaire exagérée pour organiser de grandes manœuvres sanitaires, financières, politiques et militaires dont l’ampleur et le coût collectif restent encore à préciser ».

ÉTRANGER

Danemark, avant 50 ans les vaccins anti-covid ne sont plus recommandés

https://www.francesoir.fr/societe-sante/danemark-le-vaccination-anti-covid-n-est-plus-recommandee-aux-moins-de-50-ans#.YyIUkxlsUgk.twitter

« Les personnes âgées de moins de 50 ans n’encourent généralement pas de risque particulièrement élevé de faire une forme grave de la maladie/les enfants et les adolescents contractent rarement des formes graves de la maladie grâce au variant Omicron du Covid-19 ».

USA – la marine renonce à l’obligation vaccinale pour son personnel

https://www.aubedigitale.com/la-marine-americaine-renonce-discretement-a-la-vaccination-obligatoire-des-seals/

« Le gouvernement américain persiste à refuser de reconnaître l’immunité naturelle comme un statut acceptable pour l’armée ou les employés fédéraux, bien que leurs tentatives d’imposer la preuve de la vaccination (passeports vaccinaux) aient de toute façon échoué. »

USA – les fausses informations du CDC sur la sécurité des vaccins

https://www.anguillesousroche.com/coronavirus/la-directrice-des-cdc-admet-que-lagence-a-donne-de-fausses-informations-sur-le-suivi-de-la-securite-du-vaccin-covid-19/

Le « manque global de transparence des CDC est inacceptable, en particulier à la lumière des déclarations incohérentes des CDC sur cette question ».

JUSTICE

Soignants suspendus, un an sans salaire

https://www.francesoir.fr/societe-sante/suspendus-les-professionnels-de-sante-sans-salaire-depuis-le-15-septembre-2021

« Un an après la suspension des soignants non vaccinés contre le Covid-19, de nombreux Français n’ont pas conscience de leurs conditions de vie, certains pensant qu’ils ont été réintégrés suite l’abolition du passe sanitaire. Une ignorance qui s’explique par le silence des grands médias à ce sujet. »

La justice examine la plainte de Didier Raoult contre Karine Lacombe

https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-la-justice-examine-la-plainte-de-didier-raoult-contre-l-infectiologue-karine-lacombe-ae4f1308-3040-11ed-9e46-e8e99a9e99a0

INJECTIONS

Pas de protection contre les formes graves

https://reinfocovid.fr/science/efficacite-du-vaccin-contre-une-forme-grave-le-deces/

« Au niveau mondial… l’évolution du nombre de décès n’est pas impactée significativement par l’introduction des vaccins. Le discours qui consiste à répéter que les vaccins protègent des formes graves, ici le décès, n’est pas fondé. Au bout de 18 mois, et des milliards de doses administrées, le doute n’est plus permis. »

EFFETS INDÉSIRABLES

La preuve des lésions provoquées par les vaccins à ARNm

https://www.epochtimes.fr/preuve-irrefutable-que-les-vaccins-a-arnm-provoquent-des-lesions-vasculaires-et-organiques-etude-2108059.html

« Cette étude, de par le type de colorants qu’ils utilisent, apporte la preuve irréfutable que la protéine spike va partout – le cœur, les ovaires, le foie, la rate – et dans une moindre mesure, les testicules »

MAIS :

« Ceux qui ont attiré l’attention sur les dangers que représentent ces injections Covid ont été largement censurés et tournés en dérision. »

RÉSISTANCES

CSI n°71 du 15 septembre 2022



« Invité : Jean Dominique MICHEL membre du CSI, pratique l’anthropologie depuis 25 ans. Il intervient en santé publique auprès d’universités et de hautes écoles Sujet : Les mesures de confinement : est-elle la plus grande erreur de santé publique de l’histoire ? »

Colloque de Lisbonne, corruption et fraude dans la crise Covid

https://coroinfo.wordpress.com/2022/09/11/corruption-et-fraude-dans-la-crise-covid-depuis-2020-colloque-des-10-et-11-septembre-2022/

« Le tableau complet reflétera le rôle de la corruption dans la dérive totalitaire, la fraude qui permet la manipulation des masses et l’obtention de leur consentement.
Il est donc essentiel d’y voir clair, et l’enjeu de cette conférence est de
fournir des outils pour un discernement plus aiguisé. »




Non je ne veux pas savoir !

Le goût acide de la liberté et de la « pilule rouge1 »

Par Alain Tortosa

La quête de vérité est un débat sans fin qui anime les hommes depuis la nuit des temps.
Tandis que certains vouent leur existence à cet idéal impossible, d’autres, au contraire passent leur temps à la fuir de peur de n’être rattrapés.

Le choix plus ou moins conscient de l’illusion

Une des scènes les plus intéressantes du film Matrix2 premier volet se déroule dans un restaurant.
Le traître nous explique ses motivations en « mangeant » un steak alors qu’il se trouve dans la Matrice et non dans le monde réel.
Il explique avoir connaissance du fait que ni sa viande, ni son goût, ni sa texture n’existent, mais fait le choix de rester dans ce monde d’illusions en toute conscience.

De très nombreuses personnes qui ont adhéré (durant un temps) au narratif Covid, ressentent qu’il y a « quelque chose qui cloche », que le monde qui est décrit par les médias serait une illusion.

Ils ont de très nombreux indices, ils touchent du doigt des contradictions flagrantes et pourtant refusent catégoriquement d’en savoir plus.

L’absence de discours cohérent comme interrogation

Vous souvenez-vous du masque inutile mais indispensable ?
Vous souvenez-vous des plages dynamiques ou statistiques ?
Vous souvenez-vous du confinement qui devait réduire à néant l’épidémie ?
Etc.

Le dernier exemple de manipulation m’est venu d’une vidéo de Maître Di Vizio qui se faisait l’écho des médias sur la « déroute de l’armée russe face à l’offensive ukrainienne ».
Si vous regardez LCI, vous avez droit toute la journée à Poutine qui vit ses derniers instants et d’une armée russe à l’agonie face à Zelensky3 le Churchill des temps modernes.

Cela m’a fait penser à l’armée Irakienne qui était décrite comme la 2ème armée du monde avec ses armes chimiques prêtes à être déversées sur l’occident par Saddam Hussein.

Si cette armée russe est nullissime au point de se faire balayer par l’armée ukrainienne (ne riez pas c’est pathétique), comment Poutine et son armée pourraient constituer une menace vis à vis des européens ?
Je connais des personnes qui ont peur « pour de vrai » de l’arrivée des chars russes sur les Champs Élysées.

  • Alors soit cette armée russe est la deuxième armée du monde et les ukrainiens n’ont strictement aucune chance. Il faudrait de fait arrêter toute aide militaire pour que le conflit cesse immédiatement pour épargner des morts inutiles…
  • Soit l’armée russe est à ce point nullissime au point qu’elle achèterait des munitions à la Corée du Nord (re fou rire dans la salle) et il n’y a strictement aucune raison d’en avoir peur. BHL est convaincu de cette hypothèse et affirme qu’elle est « foutue ».

Ceci pour dire que les incohérences ne manquent pas dans la petite histoire du monde.

Pour autant le leitmotiv des hypnotisés est principalement « laissez-moi dans l’ignorance ».

Tout comme ce personnage du film, ils font le choix de demeurer (ainsi que leur famille) dans une illusion, dans un monde de « faisons comme si ».

Globalement ils vivent dans une forme de présent qu’ils espèrent immuable et ce alors même que les médias passent leur temps à répéter que le pire est à venir.

« Laissez-moi tranquille, ne me dites rien, je ne veux pas savoir, je ne veux pas être bouleversé, je veux continuer à faire semblant, la vérité serait trop angoissante, etc. »

Un faux sentiment de sécurité

Il est évident que la réalité dans Matrix n’est pas glamour, en l’occurrence un monde apocalyptique dirigé par des machines qui utilisent les êtres humains comme source d’électricité.
Si l’objectif du traître est de ne pas être angoissé ou disons « raisonnablement angoissé » et d’avoir un confort bourgeois alors il est évident que la « vie » dans la Matrice est plus agréable.

Une « vraie » matrice, n’est-il pas ce qui est proposé par Facebook et son Metavers4 ou dans le film « Ready player one5 » de Spielberg ?

Qu’en est-il de notre monde actuel ?

Si l’on fait le choix d’ouvrir les yeux sur sa réalité, sur les fausses épidémies, le Grand Reset, un objectif qui voudrait l’asservissement des peuples, la dictature chinoise, la diminution de la population mondiale, la fausse crise climatique, la fausse crise énergétique, etc., il devient bien difficile de faire semblant que tout va bien et d’imaginer que les médias relatent la réalité.

Continuer à ignorer les menaces réelles qui nous entourent revient à faire la politique de l’autruche.
Une conduite les yeux fermés sur l’autoroute se termine inexorablement par un accident mortel.
N’en est-il pas de même en ignorant la réalité du monde ?!

La réalité tangible de la menace face à l’imaginaire

Les fumeurs se pensent « immortels » au même titre que les non-fumeurs.
Si le risque de cancer des poumons puis du décès prématuré ne relevait pas de la statistique, alors seuls les suicidaires fumeraient encore.
Typiquement le genre d’information qui est à la fois connue et à la fois de l’ordre de la « légende urbaine ».

Il en est de même des vaccins classiques et des injections expérimentales Covid.
L’aveuglé accepte l’idée qu’il puisse y avoir des effets secondaires, il peut même accepter l’idée que des enfants meurent des injections ou que des femmes deviennent stériles.

Mais ici encore, cette donnée relève de la statistique, « c’est les autres qui meurent, les autres qui deviennent stériles »… comme pour la cigarette.
Le danger n’est donc pas vécu comme réel mais théorique.

Quand la réalité devient la fiction et inversement

C’est d’autant plus cocasse que ces mêmes covidistes qui ne croient pas à la dangerosité réelle du masque, des confinements, des qr-codes ou à la dangerosité des injections Covid ne doutaient pas de la gravité « d’un virus inconnu et mortel ».

  • Un virus qu’ils n’ont vu que dans les médias ou dans le discours d’autrui.
  • Un virus qui ne devenait « réel » que par des masques obligatoires.
  • Un virus qui ne devenait « réel » que par des tests PCR sur des personnes en bonne santé.
  • Un virus qu’ils auraient pris pour une grippe totalement banale sans le concours des médias et du gouvernement.

Le plus incroyable s’est produit lorsqu’un voisin ou parent a développé des symptômes, cette fois-ci bien réels, suite à l’injection expérimentale.
C’est alors que ces effets réels ont été vécus comme imaginaires.

« Ce n’est pas le vaccin mais la douche, le sport, le sédentarisme, le chaud, le froid, les vitamines, etc. (rayez la mention inutile) qui a provoqué l’avc ».

Il en est de même avec Poutine où la menace est considérée comme « réelle » alors qu’il s’agit d’un conflit armé débuté en 2014 dont personne n’avait entendu parler et qui ne touche pas la France.
Menace dont nous pouvons nous « protéger » en mettant un embargo sur l’énergie russe selon nos hommes politiques.

Et dans le même temps, voir le litre de carburant passer factuellement à 2,20€ ce qui est une menace bien réelle.
Pesant sur les finances actuelles du ménage, mais aussi futures du fait de l’inflation et du chômage de masse qui va se produire.

Cette réalité factuelle étant presque vécue comme un non-événement alors même que les Gilets jaunes étaient descendus dans la rue pour un litre à 1€50 !

L’apothéose de la fantasmagorie est sans doute l’élection présidentielle .

Nous disposons pour M. Macron du bilan d’un Président qui a factuellement :

  • Détruit le système de santé.
  • Suspendu (encore aujourd’hui) sans salaire des soignants et des pompiers alors que la France brûlait.
  • Détruit l’hôpital public.
  • Supprimé le parlement.
  • Supprimé les droits de l’homme (masque, confinement, pass sanitaire,…)
  • Mis en place un apartheid avec d’un coté les « bons » citoyens et de l’autre les « moins que rien » qui refusaient l’injection expérimentale et que l’on emmerde selon les mots du Président.
  • Pris des mesures économiques contre son peuple comme l’embargo contre la Russie.
  • Divisé les Français.
  • Et j’en passe.

En face nous avions Mme Marine Le Pen :

  • Jamais élue Présidente de la république.
  • Contre le passe sanitaire et vaccinal.
  • Pour la réintégration des personnels exclus.
  • Contre les sanctions stupides contre la Russie qui « croule aujourd’hui sous le cash »6
  • Contre l’Europe technocratique anti démocratique.
  • Pour les référendums.

Et que c’est-il passé ?
Emmanuel Macron a battu Marine Le Pen !
Un Président pour lequel on pourrait résumer ses allocutions par « une phrase, un mensonge ».

Batiste Foisy7 le disant plus élégamment :

« Quand un politicien se touche le visage il dit la vérité, quand il se gratte l’oreille il dit la vérité, quand il lève le pouce il dit la vérité ; c’est quand il remue les lèvres qu’il ment. »

Pourquoi Marine a-t-elle été battue ?

  • Parce qu’elle « faisait peur ».
  • Qu’elle « menaçait les libertés et les droits de l’homme ».
  • Qu’elle était « d’extrême droite ».
  • Qu’elle était « pro-russe et une ennemie de la France ».
  • Qu’elle allait « fracturer l’unité nationale ».
  • Qu’elle allait « avoir dans ses mains le bouton de l’arme nucléaire ».
  • Etc.

Le récit imaginaire, la peur irrationnelle, la propagande médiatique a été plus forte que la réalité d’un bilan catastrophique et inédit pour l’économie et les droits de l’homme.

Nous voyons donc que pour les humains, ou tout du moins les covidistes, la menace n’est absolument pas corrélée au réel mais à une fable.

Le seul moteur est l’adhésion à un récit servi tout cuit, quand bien même il est totalement déconnecté du fait.

Le bonheur est dans la Matrice ? Paradoxe des univers angoissants

Les hypnotisés sont-ils pour autant heureux et épanouis ?
J’entends qu’il faudrait définir le bonheur ce qui est impossible.

Mais sans entrer dans des pensées philosophiques qui pourraient s’apparenter à de la masturbation intellectuelle, je ne le pense pas.

Sont-ils rassurés pour l’avenir et leurs enfants ? Certainement pas !
Nous pouvons même affirmer sans crainte que la vie dans la Matrice n’est pas un long fleuve tranquille.
Et pourtant, ils ne veulent surtout pas en sortir, pourquoi ?

Perfusion permanente d’angoisse

C’est là le paradoxe de notre époque.
L’humain fuit les situations angoissantes alors même que le monde qui lui est conté l’est de plus en plus.

Si l’Europe des années 60 a tué les conflits militaires (sur nos terres), elle a en revanche fabriqué une succession de dangers et d’angoisses.

Nous avons eu :

  • La crise énergétique sur le Pétrole.
  • Le chômage et l’absence d’avenir pour nos enfants. Même les bacs +10 n’ont plus la garantie de trouver un travail décent.
  • La pollution.
  • Le réchauffement climatique.
  • Les virus mortels.
  • Etc.

Et l’on vient de nous ressortir du placard le remake de « les chars russes sur les Champs-Élysées ! »

Alors même que notre enc…, que notre cher Président nous répète que nous sommes en guerre, que c’est la fin de l’abondance (Parle-t-il du fromage de Haute-Savoie ?), cela n’empêche pas une majorité (hum) d’électeurs de le reconduire à la tête du pays.

Celui qui nous rassure et nous inquiète devient de fait celui qui sème factuellement le chaos.

Avions-nous connu de pareilles angoisses sous la 5e république avant Macron ? Non !
Avions-nous connu un tel recul des libertés et de la démocratie avant Macron ? Non !
Avions-nous connu une telle destruction de l’économie avant Macron ? Non !

Et alors même qu’il ne promet que le pire, les Français ne sont pas dans la rue et le considèrent comme un « bon » Président qui « fait ce qu’il peut » pour nous protéger dans un monde terrible.

Alors qu’il n’offre QUE de l’angoisse, celle-ci devient paradoxalement rassurante pour les hypnotisés.

Notre Président serait ainsi un « destructeur protecteur » !

Il est le pompier pyromane qui interdit aux pompiers non vaccinés d’intervenir tandis qu’il fait venir de l’étranger des pompiers au statut vaccinal inconnu.
Il est celui qui amène le chaos et nous dit qu’il n’y est pour rien et que demain sera un enfer, enfer qui de bien entendu, serait tellement pire sans lui.

Nous sommes à ce point manipulés et perfusés de dangers qui nous menacent que nous piétinerions l’homme providentiel qui nous montrerait qu’un autre (notre) monde serait possible.

La démocratie, le mur infranchissable

J’ai pensé de tout temps que nous vivions une mascarade démocratique et je souffrais de vivre dans une dictature au point d’avoir publié en 2018 le livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? ».

Croyez bien qu’à cette époque il était beaucoup plus difficile de tenir un discours de « dictature » alors que notre société avait la couleur et le goût de la démocratie.

J’ai parcouru depuis un chemin semé de douleurs et mon monde de 2018 était un monde de bisounours à coté de celui que je perçois aujourd’hui.

Nous sommes formatés dans l’idée que nous sommes les « gentils », nous vivons dans une France et une Europe « démocratiques ».
Il nous est quasiment impossible de ressentir le fait que la France soit devenue une vraie dictature tant elle est décrite comme le pays des Droits de l’homme.

Autant nos concitoyens peuvent entendre qu’un pays africain ou d’Amérique latine est une dictature, no problem, autant l’affirmer pour un État européen relève de la folie !
Dans l’imaginaire collectif, une dictature est un pays dans lequel les opposants politiques sont torturés et éliminés, de fait « nous sommes donc bien en démocratie ».

Pour autant nous disposons d’éléments objectifs prouvant que nous ne le sommes plus :

  • Le coup d’État du referendum de 2005 pour la constitution européenne.
  • L’impossibilité pour les candidats du frexit8 d’avoir leurs 500 signatures pour se présenter.
  • Le coup d’État de 2020 assignant les français à résidence sans procès ni condamnation.
  • La censure des réseaux sociaux et des médias pour les vaccins, la crise sanitaire, la crise ukrainienne ou la crise climatique (il n’y a QUE du consensus dans les médias subventionnés).
  • Une 5e république qui a supprimé les pouvoirs du parlement et donné la majorité décisionnelle à une minorité qui obtient une « majorité » grâce à la pirouette des élections à 2 tours.
  • Des votes au parlement à 15h00 qui dérangent et que l’on refait à 3h00 du matin pour obtenir une autre décision.
  • La suppression du parlement lors de la crise sanitaire et la création d’un « conseil de défense » totalement opaque au seul bénéfice du Président.
  • Des corrompus non élus qui décident de notre sort en Europe.
  • Etc.

Ici encore les hypnotisés de la démocratie ne vont pas prendre chacun de ces faits réels pour les placer dans un dossier à charge, mais trouver les éléments de langage pour le dédouaner et les rendre anecdotiques.

Hier les Droits de l’homme faisaient passer l’individu avant l’intérêt de la nation,
Aujourd’hui, la « nouvelle démocratie » glorifie son sacrifice au profit (propagande) du groupe.
L’interdit devient de fait le garant des libertés individuelles et la preuve que nous sommes en démocratie.

Il n’est pas possible de remettre en question le récit national « nous sommes une démocratie avec des élections libres ».
Seul un « non-citoyen », un « ennemi du peuple » pourrait tenir de tels propos.

Surtout n’apprenons pas de l’Histoire !

Imaginez le pauvre juif un peu lucide dans les années 1930 qui disait :

« Nous sommes en dictature, cela va mal se terminer »

A-t-il été entendu ?
La communauté juive a reçue combien de dizaines d’alertes durant cette période ?
Et à chaque fois le même refrain « ça va s’arranger, tu exagères ! »
Même devant l’entrée des chambres à gaz à coté des cheminées fumantes et de la puanteur certains n’y croyaient toujours pas9 !

La réalité factuelle du monde n’est pas de nature à modifier les croyances.

C’est probablement notre erreur à nous les « complotistes » de penser que si nous amenons la preuve de la vérité de nos propos alors l’aveugle retrouvera la vue.

« L’autre » n’est pas comme nous

Ah ils peuvent bénir les médias :

« Vous n’avez pas à penser par vous-même, vous n’avez pas à vous forger votre propre opinion critique, vous n’avez qu’à convertir notre propagande en Vérité. »

Le principe est le même depuis que le monde est monde.
Comment voulez-vous obtenir d’un soldat qu’il tue son voisin s’il se rappelle qu’il est un humain comme lui avec une famille et des enfants ?

Il est indispensable de le déshumaniser et vous convaincre qu’il n’est pas comme vous, qu’on peut l’emmerder10, qu’on peut le priver du droit d’aller au restaurant, qu’on peut et même que l’on doit le priver de son travail surtout si son travail est au service de la communauté !

« L’autre est dangereux pour autrui. »
« L’autre est manipulateur. »
« L’autre voit des complots partout. »
« L’autre est stupide, il vit dans un monde simple,… »
« L’autre est égoïste, il ne pense qu’à lui. »
« L’autre vit dans un monde imaginaire. »
« L’autre est de mauvaise foi. »
« L’autre est paranoïaque. »
« L’autre n’ouvrira jamais les yeux, vous ne pourrez pas lui faire entendre raison. »
« L’autre est un malade mental. »

Et quand cela ne suffit plus, servons-nous du génie de la lampe et affirmons comme François Cluzet que « l’autre », moi-même , mes amis, « est antisémite ».

Qui irait discuter avec un manipulateur pervers qui plus est antisémite ?

L’impossible débat

J’ai essayé de débattre, essayé d’ouvrir les yeux, mais c’est peine perdu face à celui qui ne veut pas sortir de la Matrice.
Je n’ai jamais pu établir un dialogue avec eux.

Cela termine pas des « pff », des « allez on parle d’autre chose », des « que vous êtes con », des « on ne peut pas parler avec vous », des « vous n’êtes pas un spécialiste », des « vous allez aussi me dire que la Terre est plate » ou « de toutes les façons vous resterez dans votre délire », etc.

Ce qui me différencie d’eux, entre autres, c’est que je suis prêt à changer d’avis.
J’ai passé des centaines d’heures, des mois à essayer de prouver que je me trompais et que le Covid existait (plus aujourd’hui pour être honnête) en tant que nouvelle maladie plus mortelle que la grippe.

J’ai même essayé de savoir si la Terre était plate11.
Je suis disposé à réviser toutes mes croyances si l’on me fournit des éléments scientifiques de nature à me le faire croire.
Mais eux vivent dans la foi.

Avant de débuter toute discussion il faudrait pouvoir leur poser la question :

« Es-tu prêt à prendre le risque de voir tes croyances (par exemple sur le Covid) s’effondrer et découvrir que ton monde est construit sur une montagne de mensonges ? »

L’ignorance et le mensonge !

La société, l’éducation, les médias, les loisirs, les émissions TV…
TOUT est fait pour vous maintenir dans l’ignorance ou plutôt dans une réalité alternative.

Depuis la crèche on apprend au bébé à obéir, ne pas de poser de questions et s’abreuver de « Vérité ».

Celle-ci nous est déroulée et nous devons y adhérer si nous voulons être membres à part entière de cette belle société.

Il ne saurait y avoir d’opinions, de réflexions, de divergences et encore moins de preuves selon lesquelles il pourrait exister une vérité alternative.

Prenons l’exemple des Ovnis (sujet que je n’ai pas encore étudié).
Si vous l’abordez lors d’un dîner en France, ce sera probablement l’occasion d’une bonne rigolade.
Et ce alors même qu’il existe des commissions sénatoriales aux USA qui discutent sérieusement du sujet !

Ici, dès lors que les médias mainstream disent la même chose, c’est qu’il y a « consensus » sur le sujet.
Douter, poser des questions, ne relève QUE de la débilité et du complotisme !

Ceci devrait être de nature à vous éveiller car :

La représentation médiatique d’un événement comme faisant consensus est de nature à introduire le doute.

En sciences dures, en économie, en médecine, en biologie, en écologie, en climatologie, en histoire, il n’y a JAMAIS de consensus !
Et comme disait le professeur Raoult que je ne porte pas particulièrement dans mon cœur.

« Le consensus c’est Pétain12 ! »

Interdire le débat (comme nous avons pu le vivre dans le cadre du Covid) constitue une preuve de la manipulation de la vérité.

Un fait qui ne peut être débattu13 ne relève plus du fait, de la réalité, de la science, de l’histoire, mais de la foi, de la mythologie, de la doxa, de la manipulation, de la propagande, etc.

Le mensonge répété qui devient vérité

Imaginons que je pose la question suivante à un covidiste convaincu et que celui-ci me réponde sincèrement :

« Est-ce que le Covid était une nouvelle maladie dangereuse pour laquelle il n’y avait aucun traitement, etc. ? »

Nous connaissons tous sa réponse : « Oui bien sûr ! »

Si j’ajoute alors ; « Comment le sais-tu ? »
La réponse sera « Parce que tout le monde l’a dit, les médias, les médecins, les politiques, l’OMS,… »

Moi : « Les politiques qui passent à la télé ? Les médecins qui passent à la télé ? »
Lui : « Oui mais pas qu’eux.., mon médecin, mon infirmière, ma pharmacienne, tout le monde ! »

Moi : « Mais ton médecin, ton infirmière, ta pharmacienne, comment ont-ils construit cette « vérité ?» ».
Lui : « Ils ont dû étudier le sujet ! »

Moi : « Tu penses qu’ils ont lu des études scientifiques, qu’ils ont étudié les statistiques internationales, qu’ils ont écouté les arguments de leurs collègues qui pensaient différemment, qu’ils ont passé des heures ou qu’ils se sont contentés d’écouter les médias, les autres collègues, etc ? »
Lui (si il est honnête) : « Je ne sais pas, je ne suis pas certain qu’ils aient le temps. »

Il pourrait ensuite vous rétorquer que vous n’êtes pas épidémiologiste (eux non plus), que vous n’avez pas la compétence (eux non plus), que l’on n’écrit n’importe quoi sur Internet (eux aussi), etc.

[Note de Joseph : la plupart des gens qui utilisent un ordinateur ne sont pas du tout des informaticiens, sont incapables d’écrire une ligne de code dans quelque langage informatique que ce soit, mais savent pourtant utiliser un logiciel et même constater certains de ses bugs. N’importe qui sans handicap majeur et ayant passé son permis de conduire peut utiliser une automobile et constater ses problèmes éventuels de conduite, voire même être capable en étudiant le manuel de découvrir lui-même leur cause. Il n’est pas indispensable de l’avoir fabriquée ni d’être garagiste. De même, avec simplement un esprit suffisamment observateur, un minimum de connaissances, de logique et de bon sens, n’importe qui peut se rendre compte lorsqu’une théorie, comme la virale, connaît des bugs plus ou moins problématiques. L’argument de la spécialité ou de l’expertise est purement rhétorique, mais pas scientifique. Il s’apparente à l’argument d’autorité.]

Nous voyons bien que la répétition à l’infini d’un mensonge en fait une vérité indiscutable.

Plus une croyance est ancrée, plus elle devient une vérité.
Plus elle est une vérité et plus elle est ancrée.

Ne croyez pas que le matraquage médiatique et sociétal que nous subissons soit de l’ordre du hasard.
Le mensonge répété des milliers de fois devient cette vérité, raison pour laquelle il est si difficile de réviser ses croyances.

Si je vous dis que l’efficacité des vaccins (y compris classiques) n’a jamais été prouvée ou que l’éradication de la Polio relève au mieux du mythe et au pire de la manipulation, vous aurez d’autant plus de mal à le croire que vous avez entendu le contraire depuis votre naissance.

Tolstoï disait à juste titre :

« Les sujets les plus difficiles peuvent être expliqués à l’esprit le plus lent s’il n’en a pas déjà formé une idée ; mais la chose la plus simple ne peut être expliquée à l’homme le plus intelligent s’il est fermement persuadé qu’il sait déjà, sans l’ombre d’un doute, ce qui se trouve devant lui14. »

Trop grosse ?

Alors me voici devant un croyant et je lui dis :

« Si vous prenez la pilule rouge voici ce qui peut vous tomber dessus »

Vous allez pouvoir vous pencher et étudier les sujets suivants :

  • L’assassinat de JFK.
  • La marche de l’homme sur la Lune.
  • Le 11 septembre.
  • Le Covid (existence, dangerosité, traitements, confinement, masque, vaccin,…)
  • Les virus.
  • La victoire de Biden sur Trump.
  • Brigitte Macron.
  • La guerre en Ukraine.
  • L’industrie du sucre et le cholestérol.
  • La crise de l’énergie.
  • Paperclip ou le recrutement de scientifiques Nazis par les USA.
  • Le réchauffement climatique.
  • Les éoliennes.
  • Mk Ultra.
  • Les chemtrails.
  • Le nucléaire.
  • Les petits gris (extra-terrestres supposés méchants).
  • Les voitures électriques.
  • Les ovnis.
  • La Terre plate.
  • Les réseaux pédophiles et les élites.
  • Les vaccins.
  • Etc. Etc. Etc.

(Lorsque j’écris cette liste je ne peux m’empêcher de penser au gentil Julien Pain de France Info qui fait du fact-checking en nous démontrant par affirmations successives que tout ce qui précède n’est que délire et qu’il ne saurait être question d’y prêter foi.
Si ce monsieur faisait son métier au lieu d’être au service du Ministère de la Vérité, il organiserait des débats contradictoires en invitant des spécialistes opposants à la doxa et en leur donnant un temps de parole équivalent.
Dans les faits celui qui rompt le consensus est banni d’antenne.)

Si vous désobéissez, si vous allez étudier par vous même alors vous allez pouvoir dire (définitivement) adieu à ce monde où la vérité était exclusivement répandue par les médias et ainsi basculer dans un autre monde plus proche de celui cité par Coluche.

« La seule chose exacte dans le journal, c’est la date. »

Prendre la pilule rouge c’est se retrouver contraint d’ouvrir les yeux sur d’autres vérités entremêlées de théories plus que bizarres.
J’ai volontairement persillé ma liste de quelques théories à priori loufoques afin que chacun puisse se faire son opinion.
Mais n’espérez quand même pas utiliser tous vos doigts pour additionner le nombre de sujets délirants indiqués ci dessus.

Point de label « garanti sans fake news ! »

Nous sommes d’accord qu’il existe des théories d’illuminés, soit.
Mais aussi des vérités issues d’un travail colossal de recherche, de statistiques, d’études médicales ignorées, d’expériences scientifiques, de faits avérés qui sont volontairement dissimulés au public.

Nous en sommes à un stade d’omerta et de mensonges que même les données officielles issues des agences de suivi des effets secondaires des injections relèvent officiellement du complotisme !

Lorsque vous aurez avancé dans votre cheminement, vous aurez acquis l’intime conviction qu’il n’existe aucun média officiel de confiance pour vous dire lesquelles sont réelles et lesquelles sont du délire.

Rejeter ou gober tout serait folie

Plus vous allez avancer dans vos recherches…
Plus vous allez lire d’informations sérieuses et recoupées…
Plus vous avancerez dans votre cheminement…

Et plus vous allez découvrir que certaines théories qui peuvent sembler folles à priori, reposent sur des éléments d’une extrême robustesse.
Tandis que d’autres appartiendront (définitivement ?) à des délires non prouvés.

Ces révélations vous seront d’autant plus « folles » que les médias mainstream vous auront déjà martelé qu’elles relèvent du complotisme et de la folie et qu’il ne faut surtout pas y prêter foi.

Par exemple :

« Le 11 septembre. »
« L’homme sur la Lune. »
« L’éradication de la Polio par les vaccins. »

Quel être humain raisonnable pourrait douter de ces trois « vérités15 ».

Il vous suffit simplement d’étudier les faits pour parvenir à votre intime conviction.

Nous vivons dans un monde où il serait à la fois irresponsable de croire la vérité issue des médias et tout aussi irresponsable de ne pas se poser la question concernant une thèse à priori folle « et si cette théorie à priori délirante était vraie ? »

Du travail, du travail, du travail

Il est possible de s’appuyer sur les recherches de personnes de confiance mais pour autant il sera vital de s’assurer qu’elles apportent des sources fiables à leurs affirmations.
Quant on observe le travail colossal qui a été produit ces derniers mois ou années, il serait idiot de ne pas en profiter.
Il existe notamment d’excellentes vidéos qui résument parfaitement chaque dossier particulier.

Quand bien même, la vérité n’arrivera jamais sur un plateau, il sera nécessaire d’avoir un certain investissement intellectuel et en temps pour vous forger votre propre opinion.

Le scientifique sera toujours perdant dans une conversation de comptoir (comme chez Hanouna).
Il suffit de quelques secondes pour affirmer une connerie, une énorme contrevérité.
En revanche, il faut des minutes, des heures ou des jours pour démontrer qu’elle en est une.
C’est là la différence entre l’affirmation et la démonstration.

Raisons pour lesquelles les « journalistes » font mouche à la télé.
Ils ne font qu’affirmer sans jamais démontrer.
Et lorsqu’ils « vérifient » l’information, ils ne font que reprendre les affirmations d’un tiers, toujours sans la moindre démonstration.

Point de non-retour

Que vous soyez un apprenti complotiste ou 4e dan, il y aura systématiquement un avant et un après.
Il est impossible de retourner dans l’innocence dans laquelle vous baigniez depuis votre enfance.
La pilule rouge est définitive et il faut être en capacité d’en assumer les conséquences.

Raison pour laquelle de nombreuses personnes qui pressentent l’arnaque freinent des 4 pieds pour rester dans l’illusion.

Violence de la pilule rouge

Elle sera d’autant plus violente que vous aurez des années d’aveuglement ou de naïveté.

Je m’adresse ici aux résistants de la première heure (nommés complotistes).
Placez-vous dans l’esprit de celui ou celle qui a cru que ce virus était une peste noire, que les confinements ou le masque sauvent des vies, qu’il n’existe aucun traitement et que le « vaccin » expérimental sauve des vies.
Essayez de vivre la violence de la révélation.

Quid des aveuglés ou de moi-même sont dans la meilleure situation ?

Vous qui me lisez et qui avez avalé cette pilule êtes bien conscients de la facture à payer lorsque l’on s’éloigne de plus en plus de la Matrice.

  • Une désillusion.
  • Une perte de confiance dans l’espèce humaine constituée principalement de spectateurs hypnotisés et d’une poignée de monstres (dont certains vouent un culte à Satan).
  • Une angoisse du lendemain avec l’attente d’un messie (ou pas) qui ne viendra peut-être jamais.
  • Une innocence perdue.
  • Une perte de repères. « Mais qu’est-ce qui est vrai dans ce qui m’a été transmis ? »
  • Des interrogations perpétuelles qui ne doivent pas tourner à la paranoïa.
  • Le risque de ne plus croire en rien.
  • Etc.

Bien entendu, si mon répertoire téléphonique s’est vidé de personnes que je pensais être des amis (que je retrouverai peut-être un jour, qui sait), cette dictature au grand jour m’a apporté la chance de découvrir des amis sincères avec qui nous partageons tellement.

Sans la dictature mondiale il est peu probable que j’aurais eu la chance de les rencontrer.
Mais ici encore à quel prix ?
Vais-je aller jusqu’à dire « merci Macron » ?

Nous sommes vraiment dans le film Matrix avec d’un coté le monde qui nous est raconté tous les jours dans les médias et de l’autre des complots (dont certains peuvent faire sourire) et des horreurs qui semblaient relever uniquement de fictions hollywoodiennes.

Ici encore je comprends celles et ceux qui veulent pouvoir échapper à la vérité et qui sont contraints de minimiser jours après jours l’horreur de la réalité.

Coupable ou victime ?

Une question inévitable se présentera pour l’amateur de pilule rouge :

« Comment ai-je pu être assez aveugle pour gober ce flot de mensonges (il ne s’agit pas de dissimulations mais de mensonges) médiatiques ou étatiques ? »

Qu’allez-vous dire au père ou à la mère qui a fait pression sur son enfant pour qu’il s’injecte une substance expérimentale pour « retrouver la vie d’avant » ?

Ce n’est pas faute d’avoir essayé de les alerter, mais ils ont préféré écouter les médias mainstream plutôt que nos « délires complotistes ».

Nous avions pourtant tout annoncé depuis le début.

Lorsque la vérité commencera à être publique, aussi bien les coupables que les victimes chercheront à se dédouaner.
Le « on ne savait pas » sera une porte de sortie classique.
Si vous reprenez mes textes vous verrez que c’est une contre vérité, le « on ne savait pas » est une distorsion de la réalité pour échapper à sa propre responsabilité ou culpabilité.

Devons-nous écrire sur la notice des lave-linges ou des micro-ondes « ne pas y mettre de chats » ?

Pourtant il n’est pas possible de mettre sur un même plan de culpabilité la victime d’une escroquerie ou d’un viol avec la culpabilité de l’escroc ou du violeur.
Il existe un gouffre entre ces « culpabilités ».

Toutes celles et ceux qui ont cru ou croient encore tous ces mensonges en payent le prix et parfois un prix exorbitant.

Que dire de ceux qui se sont fait injecter uniquement pour continuer à faire du sport et qui se battent aujourd’hui contre des effets secondaires qu’ils garderont peut-être à vie ?
Et je ne parle pas de ceux qui ne sont plus là pour en parler et qui méritent à minima une justice posthume.

Il n’en demeure pas moins vrai que plus les mois défilent et plus la responsabilité de celles et ceux qui refusent toujours d’ouvrir les yeux ira grandissante.

Il existe un moment où le semblant confort de la matrice sera balayé par la réalité.
Réalité à ce jour inconnue du grand public mais qui pour autant commence à se faire entendre dans des médias mainstream étrangers et même à la commission européenne.

Pour résumer :

Nous avons pu voir que le choix de prendre la pilule rouge n’avait rien d’anodin mais surtout, comme pour un vaccin, le retour en arrière n’est pas possible.

Mais avons-nous le choix ?

Pouvons-nous faire autrement pour nous sauver ou sauver nos enfants ?

Il est impossible d’influer sur sa vie si la base est fantasmagorique.
Le seul et unique moyen d’agir est de combattre la réalité quand bien même elle est horrible.
La pilule rouge devient de fait indispensable si l’on ne veut pas être une marionnette, un jouet et un esclave dans les mains des puissances occultes de ce monde.

Merci.

Alain Tortosa
15/09/2022
https://7milliards.fr/tortosa20220915-je-ne-veux-pas-savoir.pdf





La Fondation Rockefeller investit des millions dans le projet Mercury afin de soumettre les peuples à la vaccination

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jacqueline

Un groupe de milliardaires « philanthropes » américains consacrent des millions de dollars à la recherche en psychologie comportementale pour inciter à se faire vacciner contre le covid-19. Il s’agit d’une énorme opération de communication appelée Projet Mercury. Son slogan est « Ensemble, nous pouvons construire un environnement d’information plus sain ».


Certains mauvais esprits ont décrit ce projet comme de la propagande, du nudging (une méthode d’influence discrète), de la publicité. Il faut dire que Mercure est le dieu romain du commerce et des voleurs. L’objectif du projet Mercury est que chacun ait l’illusion de vouloir librement se faire vacciner, alors que ce sont des procédés marketing qui l’ont convaincu. Notons que le jeu de mots « con vaincu » indique une sacrée défaite de la pensée. L’intérêt du projet Mercury serait, lors de la prochaine pandémie programmée, d’éviter des méthodes musclées (confinement, pass sanitaire), jugées incompatibles avec la paix sociale.

La Fondation Rockefeller — du nom du philanthrope bien connu — a financé le projet Mercury à hauteur de 7,2 millions de dollars en novembre 2021. La National Science Foundation (une agence « indépendante » du gouvernement américain) a apporté 20 millions de dollars supplémentaires. Les autres partenaires sont le Conseil de recherche en sciences sociales (SSRC), la Fondation Robert Wood Johnson, Craig Newmark Philanthropies et la Fondation Alfred P. Sloan. La Fondation Rockefeller est partenaire, membre du conseil d’administration et donateur de GAVI, aux côtés du WEF, de la Fondation Bill & Melinda Gates et de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, qui a accueilli l’événement 201 (simulation de la propagation d’un coronavirus juste avant la véritable pandémie de covid-19).

Convaincre la clientèle de la prochaine pandémie

Les fonds soutiendront des universitaires américains. Selon Décoder l’éco, les pauvres seraient les premiers à se méfier des vaccins, donc les premiers à convaincre (voir à 22’53 de cette vidéo). La plupart des chercheurs sont donc dans des pays au faible niveau de vie : en Afrique du Sud, Bolivie, Brésil, Côte-d’Ivoire, Ghana, Haïti, Inde, Kenya, Malawi, Mexique, Nigeria, Rwanda, Sénégal, Sierra Leone, Tanzanie et Zimbabwe. On suppose que, grâce à la Fondation Rockefeller, ces chercheurs auront accès à de meilleurs revenus que leurs compatriotes. Les recherches, sur trois ans, ont pour objectif d’adapter les récits sur les bienfaits de la vaccination covid aux différents milieux ethniques et politiques pour les convaincre de se faire vacciner.

De surcroît, convaincre les pays pauvres d’accepter les vaccins dont les pays développés ne veulent pas pourrait éviter le dépassement des dates de péremption. En France, McKinsey a oublié ce malencontreux problème de date de péremption. Mérite-t-il le milliard versé par les Français ? Conséquence de cette imprévoyance : Covax (Bill Gates) a distribué au Nigeria 2,6 millions de doses d’AstraZeneca, dont 500 000 venant de France avec une durée de vie de cinq à sept semaines. Plus d’un million de doses polluantes ont dû être enfouies dans la décharge de Gosa, près d’Abuja, capitale du Nigeria.

La manipulation des masses par les cabinets-conseils en France

Les ministères ont entièrement délégué les appels d’offres à l’Union des Groupements d’Achats Publics. Le 13 août 2022, un accord a été signé avec divers cabinets-conseils pour 375 millions d’euros sur 4 ans. Ce sont les cabinets-conseils qui, depuis 1990, ont trouvé la meilleure politique de santé pour la France : réduire le nombre de lits d’hôpitaux. Pourquoi ne pas continuer ? Certes, mais à condition d’employer leurs techniques de manipulation, afin de convaincre que réduire le nombre de lits est la solution aux problèmes créés par ces irresponsables qui tombent malades. À ce sujet, voir et revoir l’inoubliable déclaration de Jean Castex.

B. A.-BA de manipulation des masses

Chomsky nous explique les bases de la manipulation de masse. Nul doute que McKinsey et sa marionnette présidentielle s’en sont inspirés.

1. La stratégie de la distraction. Détourner l’attention du vrai problème. Le dernier exemple de détournement de la pensée, nous le devons à Emmanuel Macron. Il a trouvé la solution au manque de lits : une grande consultation sur l’euthanasie, et tellement moins coûteuse que des soins palliatifs qui encombrent les lits d’hôpitaux.
2. Créer des problèmes puis offrir une solution. François Braun, ministre de la Santé, a avoué devant le Sénat que la variole du singe est une arme chimique (le bon terme serait plutôt « biologique ») et que son vaccin est secret défense ! De là à penser que le coronavirus serait d’une origine similaire, il a fallu un prix Nobel pour oser évoquer cette hypothèse. Les médias, bien plus compétents que lui, l’ont d’ailleurs traité de complotiste, de savant fou controversé, etc.
3. Faire accepter l’inacceptable progressivement. Emmanuel Macron le 27 décembre 2020 : « Je l’ai dit, je le répète : le vaccin ne sera pas obligatoire. Ayons confiance en nos chercheurs et médecins. Nous sommes le pays des Lumières et de Pasteur, la raison et la science doivent nous guider. » Après ces belles paroles, le 18 août 2021, la vaccination est devenue obligatoire pour les soignants.
4. La stratégie du différé. Pour faire accepter une décision impopulaire, la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans l’avenir. Macron annonce « la fin de l’abondance », « des évidences » et « de l’insouciance ». De la même façon que les vaccins étaient présentés comme « sûrs et efficaces », la prochaine politique de restrictions et d’inflation est justifiée ainsi : « Il faut d’abord raisonner en se demandant si c’est efficace et utile ».
5. S’adresser au public comme à des enfants en bas âge. (Regarder les médias pour les exemples.)
6. Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion. (Regarder les médias pour les exemples.)
7. Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise. (Regarder les médias pour les exemples.)
8. Encourager le public à se complaire dans la médiocrité. Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte… (Hanouna sur TPMP, McFly et Carlito à l’Élysée, etc.).
9. Remplacer la révolte par la culpabilité. Voir l’intervention de Sarah Saldmann à propos des Français en arrêt de maladie (c’est quoi ces feignasses ?)
10. Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes. Là on touche à l’arrogance de classe. On est loin du proverbe paysan, Nul ne me connaît mieux que moi-même, mais en pleine théorie marketing. Voir là.

Sur la théorie de la manipulation, les amateurs de BD peuvent se plonger dans Manipulator, par Makyo, éditions les arènes BD.

Le but de la manipulation de masse est : comment mieux entourlouper. Rendre les foules plus libres et plus heureuses sans arnaque (métaverse, illusions) n’a donné lieu à aucune théorie. Un projet de ce genre ne semble pas intéresser les fondations philanthropiques. À contempler leurs merveilleux sites et leurs équipes souriantes, on se demande pourquoi, avec tant de moyens, de bienveillance et d’intelligence déployés, le monde n’est pas devenu meilleur.

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.




Les injections sont-elles sûres et efficaces ?

[Source : Décoder l’éco ou @decoderleco]

[Vidéos réalisées avec Kairos]

Aucune hécatombe Covid-19 nulle part en Europe, ni en 2020, ni en 2021



Absence de saturation hospitalière par la Covid-19



Absence d’un « déferlement » de malades par rapport aux épisodes « grippaux », mais épidémie de tests



Le moteur même de la fraude : l’utilisation de codes spécifiques par les hôpitaux de façon à produire les « bonnes » statistiques



Le socle de l’idéologie sanitaire actuelle qui ne repose sur aucune expérience et est contredite par les statistiques : la contamination



Tour des causes de décès depuis le début de la crise sanitaire

À l’aide des rapports du Sénat, de Santé Publique France, de l’ATIH et des statistiques de décès de l’INSEE pour découvrir le lien entre les mesures et les hausses de mortalité.



Analyse des injections pour voir ce qu’il se cache derrière le mot « efficace »



Analyse des injections pour voir ce qu’il se cache derrière le mot « sûr »



[Voir aussi :
dossier Vaccins et virus]




Pourquoi le pouvoir politique est-il malade ?

[Source : Ariane Bilheran Officiel]

[Voir aussi :
« Il faut manipuler 2 émotions pour obtenir une soumission psychique » – Ariane Bilheran, Vincent. Pavan
Ariane Bilheran : « Seuls 3 types de profils résistent au déferlement totalitaire »
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Harcèlement des lanceurs d’alerte : un appel collectif pour défendre le droit d’informer
Totalitarisme occulte
Résister à la dérive totalitaire
Chroniques du totalitarisme – Psychopathologie du totalitarisme
Le clivage médiatique de l’Humanité]




Sans voix un 11 septembre…

Par Lucien SA Oulahbib

Rappelez-vous de « matin brun » cette nouvelle opportune, mais par trop « unilatérale » imaginant que le totalitarisme n’aurait qu’une seule couleur… Aujourd’hui le vert, l’arc-en-ciel, l’ont remplacée comme seules nuances (de gris), sinon obligatoires du moins « recommandées », comme il est dit pour la muselière et l’injection Covid-19 qu’« iels » tentent de faire passer pour « nécessaire » en voulant même l’imposer aux femmes enceintes et aux enfants comme s’il s’agissait d’un « vaccin » comme les autres

Ainsi, le 11 septembre comme date symbolique s’estompe dans cette offensive colorée qui cherche à en effacer une seule : la blanche, celle de la peau (dans un néoracisme non dit), mais aussi de la lumière au profit de sa diffraction en « points de vue » officiellement, d’une seule optique en réalité, celle qui se perçoit comme fait accompli par les médias dits aujourd’hui de « grand chemin » et faisant désormais office d’yeux artificiels greffés in vivo montrant le seul réel correct (ainsi la manifestation parisienne des Patriotes du 3 septembre 2022 n’aurait jamais existé…).

De même, le fait que le 11 septembre 2001… Ainsi les uns parleront d’un coup fomenté par le Mossad, bras armé de la CIA et de Soros. Les autres disculperont les instances islamiques officielles de toute engeance avec cet acte de naissance flagrant d’alliance stratégique entre le djihadisme international et le néo-léninisme incarné dans « l’altermondialisme » (anniversaire du 11 septembre 1973) un alter-islamisme progressif (le seul « progrès » permis en sus de l’eugénisme et la manipulation génitale du « trans ») qui secréta le canevas idéologique actuel avec d’un côté la normalisation de l’islam comme une religion des meurtris, alors qu’il s’agit d’une stratégie scissionniste et séparatiste implantée au cœur desdites démocraties grâce à l’argent de milliardaires wahhabites qui agissent au cœur même de la couronne anglaise, de la chambre des Lords, et des instances mondiales ainsi qu’européennes (ou Eurabia de Bat Ye’or). Et, de l’autre côté, la régimentation progressive de ces deux dernières dans un canevas de plus en plus contraignant, celui de la « grande bascule » (avouée récemment par leur marionnette installée on ne sait trop comment à l’Élysée) force les populations d’y adhérer à coups de virus augmenté et de guerre provoquée.

Banal désormais. Ce qui l’est peut-être moins serait ce retour de la pensée magique jetant des sorts en guise d’arguments (“complotiste », « extrême droite », « antisémite”), le tout au nom de l’Hygiène de la Science du Progrès ou 1984 in vivo doublé du Meilleur des mondes, du Procès, et d’Ubu. Ou le symbole même d’un pouvoir absolutiste qui ne se donne même plus la peine d’argumenter sinon en manipulant les chiffres et en créant des cabales (par exemple contre Raoult).

Le tout est accompagné des grosses caisses de la fanfare idéologique tressée de tous ces fatras résiduels issus de la feue scène intellectuelle et culturelle occidentale, marée noire salace rejetant sur la grève “fragile” (thème de la Biennale de Lyon 2022) quelques-uns de ses fragments fracassés s’auto-étiquetant ici philosophe, là acteur, là-bas artiste économiste ou politique, baladins baladant leur panse à la façon de Pan en guise de pensées.

Aussi devant tant d’inconséquences frôlant l’incontinence il est désormais tentant de rester sans voix.

Le 11 septembre 2022




La maîtrise de la météo – une guerre secrète

[Source : Kla.tv]

Bien qu’il n’existe aucune preuve solide que la Terre se réchauffe réellement, on veut nous faire croire que l’utilisation extrême de produits chimiques est urgente pour refroidir notre planète. Les traînées croisées dans le ciel, appelées chemtrails, sont de fausses « traînées de condensation ». Elles empêchent la formation naturelle de nuages. Des escadrilles entières d’avions civils et militaires bloquent ou affaiblissent le développement naturel des nuages et le perturbent en répandant des composés chimiques toxiques et dangereux.

[Voir aussi :
Chemtrails (documentaire)
Documentaires pour les jours de pluie sur la géo-ingénierie et les chemtrails
Documentaire sur les chemtrails
Chemtrails : une collection de photos probantes ?
Géoingénierie : Un expert révèle que les Chemtrails sont bien réels
Est-ce qu’on joue à rendre la météo folle ?]

Transcription

Les événements météorologiques tels que ceux que nous vivons actuellement en Europe depuis des semaines et des mois en raison de la sécheresse prolongée ne sont pas, comme beaucoup peuvent encore le penser, des événements séculaires. Bien que ce soit difficile à croire, ce sont des pièces de puzzle planifiées de longue date dans le cadre des plans de bouleversement visant à dominer et à contrôler le monde entier et le cosmos. Le phénomène des traînées de condensation des avions, qui apparaissent souvent de manière croisée dans le ciel, sont des interventions dans le système climatique. Ce qu’on appelle des chemtrails font partie des mesures de géo-ingénierie destinées à lutter contre le réchauffement climatique. Depuis plus de vingt ans, des catastrophistes ont entrepris de contrôler les événements météorologiques. Ces manipulations de la météo font le jeu de l’économie pour la domination et le contrôle des ressources mondiales. De plus, c’est une affaire rentable pour les spéculateurs, qui peuvent réaliser en un rien de temps des bénéfices faramineux sur les marchés financiers internationaux. Kla.TV résume pour vous, chers téléspectateurs, les aspects du documentaire « Géo-ingénierie solaire – la guerre secrète » que chacun devrait connaître.

Le mot chemtrails [traînées de condensation chimiques] est d’origine militaire et se trouve dans le « Space Preservation Act » une loi sur la protection de l’espace. En 2002, un membre du Congrès américain a présenté un projet de loi visant à abandonner toutes les armes non-conventionnelles, y compris les chemtrails. Par armes non-conventionnelles, on entend des armes développées dans le but, d’une part, de nuire à l’espace ou aux écosystèmes naturels ou au climat, et d’autre part, de détruire une population ou une région cible sur Terre ou dans l’espace. Le projet de loi a certes été approuvé, mais avec des coupes draconiennes. La référence à une quelconque arme non-conventionnelle a été supprimée.

Aujourd’hui, ces chemtrails en particulier peuvent être considérés comme des pratiques illégales de géo-ingénierie. Un document déposé en 1996 et intitulé « Programme national », recommandé pour la modification moderne de la météo, est considéré à ce jour comme une preuve accablante de l’existence de changements climatiques et météorologiques massifs. Il devrait être un signal d’alarme fort pour ceux qui continuent à nier l’existence des chemtrails. Le document révèle en détail de nombreux programmes de modification de la météo aux Etats-Unis. Il est également question d’une commission spéciale chargée de coordonner les mesures destructrices de géo-ingénierie du gouvernement avec les autorités, les indépendants et les universités.

Le documentaire poursuit : « En 1995, l’US Navy a entrepris une vaste étude comprenant des dizaines de documents sur des techniques spécifiques de conception d’un contrôle global. Ce document est connu sous le nom de « Owning the Weather in 2025 », c’est-à-dire la maîtrise de la météo d’ici 2025. L’étude prétend n’être que théorique, mais après avoir consulté les diagrammes et les images, nous en avons déduit que dès 1995, les opérations de contrôle climatique et météorologique étaient déjà intégrées dans une phase d’implémentation avancée [implémenter : introduire, mettre en œuvre quelque chose]. En fait, notre ciel est strié, opaque et brumeux depuis au moins 1995. »

Que se passe-t-il exactement lorsque des avions répandent des chemtrails ?

Les chemtrails se composent du carburant d’aviation ordinaire [kérosène] et d’un additif. Edward Teller, l’inventeur de la bombe à hydrogène, a proposé lors d’un congrès sur le changement climatique qui s’est tenu en Sicile en 1997 d’utiliser des additifs dans le carburant de l’aviation civile. Depuis lors, ces produits chimiques ne sont plus seulement épandus par les avions militaires, mais aussi par les avions de passagers. Les avions de ligne qui présentent des traînées de condensation remarquablement longues et plus ou moins stables volent à des altitudes basses et très basses, où il est en fait totalement impossible de former de la condensation. C’est un fait prouvé et irréfutable que des additifs ont été ajoutés au carburant des avions. Le physicien Penna Corrado décrit qu’il n’y a pas grand-chose à calculer pour étudier la différence entre les chemtrails et les traînées de condensation. Il existe des livres et des textes de météorologie qui expliquent bien que les traînées de condensation sont des phénomènes qui se produisent à des altitudes de 8 000 m, avec des températures d’au moins – 40°C et une humidité d’au moins 60%. Alors pourquoi les traînées apparaissent-elles malgré tout ?

Elles apparaissent parce qu’elles sont produites artificiellement ! Il ne s’agit pas de condensation, mais de la combustion de ces additifs dans le kérosène. Cela entraîne la formation de fausses traînées de condensation et la chute de polymères [substance chimique composée de macromolécules] sous la forme de fins filaments – comme une toile d’araignée.

Les analyses de ces substances ont révélé la présence de baryum, d’aluminium, de manganèse et d’une série d’autres éléments. Les biologistes précisent qu’il ne s’agit pas d’éléments normaux de l’atmosphère. Ils confirment : « Les « chemtrails » sont un phénomène artificiel ! Le baryum provoque de gros problèmes de capacité de régénération musculaire et endommage le cœur ainsi que les organes internes. L’aluminium est un métal neurotoxique qui a un impact négatif sur le système nerveux. Il contribue à la démence et déclenche des maladies comme l’Alzheimer et le Parkinson. On a également trouvé du dibromure d’éthylène, un insecticide classé dangereux pour la santé par l’Agence de protection de l’environnement. Ces produits, répandus par les avions civils et militaires, chutent assez rapidement vers le sol. Ils ont été clairement identifiés comme des polymères qui s’enchaînent en filaments. En 2012 déjà, ces fibres ont été analysées par un laboratoire français agréé et les résultats ont été consignés dans un rapport d’analyse. Ce sont des organismes polymères complexes à base de produits chimiques de synthèse. Il faut retenir qu’elles constituent une menace pour la santé publique et une pollution de l’environnement. »

Quatre échantillons analysés contenaient différents composés : des produits de synthèse toxiques. Trois d’entre eux contenaient du DEHP, un plastifiant redoutable qui affecte le système hormonal et peut être dangereux pour la reproduction.

Les conséquences de la géo-ingénierie illégale se font sentir sur les populations : Les maladies neurodégénératives, les accidents vasculaires cérébraux et les tumeurs se sont aggravés au cours des dix dernières années.

Mais à qui profite l’« arme climatique » de la géo-ingénierie ?

Le va-et-vient incessant des avions dans le ciel peut être expliqué comme une activité dans laquelle les responsables tels que les compagnies aériennes, les multinationales pharmaceutiques, les laboratoires de recherche, l’industrie de l’armement, les centres universitaires, etc. ont des intérêts différents. L’objectif principal est de créer, par le biais des éjections, une atmosphère adaptée aux exigences militaires et civiles dans le domaine de la communication sans fil. L’oxygène et la vapeur d’eau dans l’atmosphère affaiblissent les conditions de communication radio, la qualité de réception des satellites, des radars, du GPS, du WiFi des antennes relais. La géo-ingénierie doit permettre d’améliorer les communications radio.

Contrôler les phénomènes météorologiques signifie maîtriser l’économie et contrôler les ressources. Par exemple, les récoltes peuvent être endommagées ou détruites en raison d’une sécheresse prolongée ou de fortes pluies. Mais par ailleurs, les multinationales de l’agroalimentaire développent des semences génétiquement modifiées qui peuvent survivre dans les zones de sécheresse !!!

D’énormes profits sont également réalisés en spéculant sur les marchés financiers. Alors que les entreprises doivent faire face à des crises inattendues, il y a tout un tas de gens qui s’enrichissent en bourse à un rythme incroyable. La planification et le conditionnement des prix et de l’offre sont le moyen de réaliser des bénéfices exorbitants. La géo-ingénierie illégale est un gâteau géant. Sa valeur est astronomique. Après que l’ouragan Katrina a dévasté la Louisiane, des millionnaires appartenant au « cercle junior » de Bush ont remporté des marchés aux enchères pour reconstruire les usines.

Quels sont donc les défis auxquels nous sommes confrontés et comment pouvons-nous agir ?
Nous devons tout d’abord comprendre que s’opposer uniquement à cela revient à se préoccuper uniquement des générations futures. Nous devrions plutôt essayer d’impliquer des biologistes, des médecins, des pharmaciens, des écologistes, des politiciens sérieux et sincères, et leur demander de contribuer à la résolution des problèmes avec toutes leurs connaissances et compétences. Il faut mettre un terme à cette évolution illégale et ne plus permettre la dissimulation. La géo-ingénierie est une pollution aussi importante que celle de l’amiante, mais elle est 10 000 fois plus forte et s’étend à presque toute la planète. De plus, toute une série de comités jouent un rôle important dans la mise en œuvre de ces programmes de géo-ingénierie, pour laquelle les membres et les scientifiques de renom diffusent constamment de la propagande. Il est urgent de les démasquer, ainsi que les négationnistes professionnels payés par l’État et par ceux qui créent les crises et tirent ensuite de la misère de gigantesques profits. Nous devons donc atteindre le plus grand nombre de personnes possible, à commencer par nos voisins, nos parents et nos amis. Car il ne s’agit pas seulement de notre santé, mais surtout de la santé et de la vie des générations futures et de notre belle Terre, qui est manipulée de façon systématique et artificielle par l’homme.

de wou/avr/jtb

Sources / Liens

Geoengineering- Der geheime Krieg
https://odysee.com/@BehindTheMatrix:7/Solares-Geoengineering—Der-geheime-Krieg-(2015):e

Erklärung „exotische Waffen“ Text – H.R.2977 – 107th Congress (2001-2002): Space Preservation Act of 2001 | Congress.gov | Library of Congress Was ist Geoengineering? Geoengineering-Governance | Umweltbundesamt
https://www.umweltbundesamt.de/themen/nachhaltigkeit-strategien-internationales/umweltrecht/umweltvoelkerrecht/geoengineering-governance#was-ist-geoengineering

Zusätzliche Sendungen: Wetterpatente: Wo die Katastrophenmacher hocken
www.kla.tv/19915

Wird das Wetter verrückt gespielt?
www.kla.tv/23225

Dokumentarfilm: The Dimming – Kriegswaffe Wettermanipulation
www.kla.tv/19334

Wer die Nahrungsmittelversorgung kontrolliert, kontrolliert die Menschen
www.kla.tv/23292




Le vrai prix des biens de consommation

Nucléaire, énergie, sécurité, ce que les médias ne vous diront pas
Pénuries d’électricité ? La grande arnaque !

Par Alain Tortosa

Au commencement de l’argent, celui-ci se voulait une facilitation du troc.

Il n’était pas toujours facile de pouvoir échanger son blé contre une brouette si une des parties n’en avait pas besoin.
Ainsi fut inventée la monnaie dans le but de faciliter les échanges.

La valeur d’un bien étant conditionnée au labeur nécessaire pour l’obtenir, mais aussi de la rareté du produit.
Viennent ensuite des paramètres de plus en plus complexes comme l’économie d’échelle où la spécialisation, etc.

Comment se fabrique un prix ?

De nos jours le prix d’un produit est déconnecté de la réalité productive même si l’apparence peut parfois être trompeuse.

Si vous êtes un chef d’entreprise, vous pourriez me dire que le prix de votre produit est la somme :

  • Du prix d’achat des matières ou produits le composant,
  • Du coût des frais fixes (loyers, énergie, salaires).
  • De la marge bénéficiaire.
  • Des taxes et autres impôts.
  • Etc.

Mais même ceci est totalement faux, car votre prix final va être impacté à la fois par le marché (la concurrence), mais aussi par le prix que le client est prêt à considérer comme « acceptable ».

C’est ainsi que le prix public de certains produits peut être multiplié par 2, 5, 10, 100 ou même plus.

Tandis que pour d’autres ce sera l’inverse et vous devrez vendre votre lait à perte.

Même produit, différents prix

Comment expliquer que le prix d’un litre d’essence en Hongrie soit à 1,30 € tandis qu’il est de 1,80 € en France ?
Vous pourriez me dire que c’est les taxes. Oui… mais non.

Par exemple le site, l’Internaute1 a comparé le prix d’une cannette de coca au restaurant dans divers pays.
Le prix oscille entre 30 centimes en Inde et 3€ en France.

Ici encore, vous pourriez me rétorquer que c’est logique, car les salaires, loyers, etc. sont différents selon les pays, soit, mais…

Si la cannette n’est pas à 3 euros en Inde, ce n’est pas parce que les gentils commerçants indiens ne veulent pas escroquer leurs gentils clients, mais parce que le consommateur indien bouderait le produit qui serait inaccessible.

D’un point de vue comptable ou des charges fixes, une chambre d’hôtel coûte la même chose en basse saison sur la côte atlantique que le 15 août.
C’est même plutôt l’inverse, car un fort taux d’occupation permet des économies d’échelle.

Pourtant la nuit est facturée 3 fois plus cher en plein été uniquement parce qu’il y a plus de demande que d’offre et qu’il est admis par les vacanciers que ce soit plus cher.

Il y a ce facteur d’acceptation.
En octobre 100 % des chambres ne sont pas encore louées pour le mois d’août suivant. Et pourtant le propriétaire a déjà fixé son tarif habituel, soit 3 fois la somme hivernale.

Mais qui vérifie que l’établissement est plein pendant le mois d’août ?
Si tous les hôteliers affichent un prix identique alors rien ne leur interdit de garder un prix fort quand bien même la moitié des hôtels seraient vides.

De l’importance des trusts et des accords de non-concurrence.
Vous ne verrez jamais deux sociétés d’ascenseur se faire la guerre sur les contrats de maintenance afin de ne pas détruire la poule aux œufs d’or.

« Ce qui est cher est de qualité » et « ce qui est rare est cher »

Plus le prix est élevé et plus le produit est considéré comme ayant de la valeur.
Une Ferrari produite par millions et au prix d’une Twingo perdrait toute valeur ajoutée.

Pour une chaussure2 Air Jordan vendue 140€, le prix de production chez nos esclaves du tiers monde serait de 12€.
Vous pourriez me rétorquer qu’il faut bien payer le transport, les intermédiaires, etc.

Pourtant il est possible de trouver en France des chaussures neuves à 10€ en incluant le transport et les marges de tout le monde.
Imaginons que le coût soit de 0€ (je ne suis, hélas, pas loin de la vérité au regard du prix d’achat de quelques centimes et de la piètre qualité) nous pouvons dès lors affirmer qu’à marge identique, une Jordan pourrait se vendre 10 + 12 = 22 € en France !

Ce qui rendrait le produit sans le moindre intérêt aussi bien pour le fabricant que pour le client !

Le prix du carburant

Revenons un peu à notre essence3, nous voyons qu’au Venezuela, en Iran ou en Libye, le prix du litre est inférieur à 5 centimes (si ! Si ! C’est sérieux).

Ces pays producteurs ont fait le choix de faire profiter la population au lieu de la taxer.
D’autres comme la Norvège la vendent une fortune à leur peuple… il n’y a pas de petits profits.

En 2018 (avant la super escroquerie Poutine), un litre4 de sp95 coûtait environ 1,53€ le litre à la pompe et le prix du carburant arrivé en France ET raffiné était de 31% soit 47 centimes.

Comme vous pouvez le penser, ce tarif de 47 centimes est déjà un tarif d’escrocs qui inclut les marges colossales de Total aussi bien à la production qu’au raffinage ! (cf. quelques centimes à la pompe au Venezuela)

Notons que le coût du transport5 est marginal, estimé entre 5 et 10% de la marge brute du pétrole, soit peanuts.

Et pourquoi n’y a-t-il pas de concurrence sur le marché du pétrole ?
Tout simplement parce que les pays ont créé ou rejoint l’Opep6 qui, pays par pays, organise la production et donc la pénurie afin que le prix ne s’effondre jamais.
Tout ceci avec l’accord des États alors même qu’ils pourraient légiférer pour l’interdire.

Je n’ai jamais entendu l’Organisation Mondiale du Commerce annoncer qu’elle allait dissoudre l’OPEP.

Je précise que l’on nous bassine avec le pic de production depuis les années 1970.
Ce pic se veut le jour à partir duquel la production d’hydrocarbure ira à la baisse du fait de l’épuisement des ressources.
Cela fait plus de 50 ans qu’on nous le promet dans 2 ou 5 ans et cela fait 50 ans que la production ne fait que croître.
Il y a de fortes raisons de penser que ce pic de production n’existera jamais (des siècles) et que c’est un mythe.
Mythe entretenu à la fois par les écologistes pour nous faire croire que nous n’avons de choix que de passer à l’éolienne ou à la bougie, mais aussi par les industriels, car ce qui est rare est cher.

Escroquerie écologique qui nous vend du photovoltaïque ou de l’éolienne pour alimenter les voitures électriques7
Petite anecdote, la Californie a voté une loi annonçant la fin des voitures thermiques en 2035 tandis que le gouvernement local a appelé les propriétaires des voitures électriques à ne pas les recharger pour ne pas saturer le réseau électrique8

À propos des éoliennes je ne résiste pas au plaisir de vous dire que lorsque vous en voyez quelques tourner en l’absence totale de vent, cela ne relève pas d’un trouble visuel.
Afin de ne pas trop énerver le voisinage, il semble d’usage de les faire fonctionner à l’envers :

de l’électricité est injectée dans leur turbine pour les faire tourner.
Bien entendu ce gaspillage énergétique et cette manipulation sont justifiés autrement9.

Je suis incurable, dès que j’entends le mot « énergies renouvelables », je monte au créneau.

Je rappellerai donc que si les Allemands sont si dépendants du gaz russe c’est du fait de la fermeture de leurs centrales nucléaires sous la pression de la secte verte pro-dictature.
Gazprom10 a soutenu financièrement des ONG « écologistes » pour la construction de parcs éoliens et la fermeture de centrales nucléaires.
Je le rappelle pour la nième fois, non seulement les éoliennes ne sont pas renouvelables (utilisation de matières fossiles et terres rares), non seulement elles ne sont pas recyclables, mais surtout :

Elles fonctionnent peu la nuit, elles ne fonctionnent pas par grand froid (dans des pays comme l’Allemagne, quelle bonne idée !) et obligent donc à avoir des centrales thermiques au gaz qui tournent au ralenti, 24 heures sur 24 pour pouvoir être mises en route instantanément pour palier le manque de vent.

La mondialisation des prix

Pourquoi sommes-nous impactés en France par l’embargo russe (fou rire dans la salle pour le mot « embargo ») ou par le prix des tomates à Bogota ?

Nous devons cela principalement à Reagan qui a mis fin au peu de régulation qui existait encore11.
Le prix des matières premières, fer, aluminium et aussi de l’énergie (pétrole, charbon…), mais aussi les denrées alimentaires sont fixés au niveau mondial.

Cela veut dire que les prix sont désormais totalement déconnectés du coût réel de production mais uniquement le fruit d’une offre et d’une demande.

Si la demande mondiale sur le lait augmente alors l’éleveur français verra le prix d’achat de son lait augmenter et vice-versa.
L’exemple n’est pas parfait, car le lait liquide n’est pas un produit très transportable et donc le cours sera plutôt national, mais en revanche le lait en poudre ou le beurre le sont.

Le prix d’un produit agricole n’est même plus dépendant des aléas climatiques sur la planète, mais de la spéculation.
Spéculation qui peut même jouer sur le prix actuel du blé en pariant sur la prochaine récolte que l’on présumera bonne ou pas.

Notre monde est à ce point « merveilleux » qu’il est possible de spéculer sur des sécheresses et des famines.

Donc si aujourd’hui la moutarde est (était?) hors de prix ou introuvable en France, cela n’est pas directement lié aux stocks disponibles mais au bon vouloir des spéculateurs.
Certains ayant un pouvoir financier colossal.
Sans compter la contagion des marchés.
Si les prix augmentent alors tout le monde va acheter et cela va faire exploser les prix et inversement.
Les intermédiaires et les détaillants en profiteront aussi pour augmenter leurs marges toujours au détriment du client.

Prix de l’électricité et conflit ukrainien

En France nous avons décidé que le prix de l’électricité serait indexé sur le prix européen.

Ce même prix de l’électricité est lui-même indexé sur le prix de l’électricité fabriquée par des centrales thermiques et donc gaz et pétrole.

Ce qui est extraordinaire dans un pays ou plus de 75% de l’électricité était d’origine nucléaire (68% environ de nos jours depuis la dictature « verte »).

Pour « lutter contre la Russie » (version officielle) les fossoyeurs de la France et de l’Europe ont décidé de mettre en place un embargo sur le gaz et le pétrole russe.

Aubaine pour les marchés !

  • Qui dit embargo fait croire « pénurie ».
  • Qui dit « pénurie » entraîne une augmentation de la demande et des prix.

En réalité, seul le téléspectateur de BFM ou LCI peut croire qu’il y a un embargo.

Il n’y a évidemment ni embargo ni pénurie sur le marché mondial.
La Chine12, l’Inde, ou les Émirats arabes (pour ne citer qu’eux) ont augmenté leurs achats d’hydrocarbures ou gaz russe.
Russie qui croule désormais sous le cash grâce aux sanctions13.

Ces pays nous le revendent à prix d’or14, capitalisme oblige.

Et l’électricité dans tout ça ?
Le MWh15 est passé de 85€ à 1000€ en 1 an !

Pourquoi ?

  • Parce que le prix du gaz a augmenté uniquement par spéculation.
  • Parce que le prix du pétrole a augmenté en suivant le prix du gaz uniquement pas spéculation.
  • Parce que le prix de l’électricité a augmenté en suivant le prix des hydrocarbures.

Notre électricité nucléaire est-elle plus chère à produire depuis le début de la guerre entre l’Ukraine (les USA) et la Russie en 2014 ?

Bien sûr que non !

Le pétrole et le gaz sont-ils plus difficiles à produire, plus rares qu’avant la guerre alors même qu’il n’y a aucun embargo mondial ?
Absolument pas !

C’est exactement le même processus qui se produit avec la moutarde et nos importations de moutarde ukrainienne qui sont marginales.

Production d’électricité et de gaz en France

Le gaz16 représente 6 % de notre électricité, probablement à cause du parc éolien et des centrales nucléaires à l’arrêt.
Il permet de répondre rapidement à un accroissement temporaire de la demande.
Le gaz russe17 dans tout ceci ne représente que 17 % de nos achats !
De fait, il ne représente que 1 % de notre production électrique.
Et ce serait de nature à entraîner des coupures ou nous contraindre à ne plus nous chauffer ?

Hélas ! de nombreux Français ignorent cette réalité et gobent cette escroquerie.

Bilan production, importations, exportations

En 2020 la France a exporté18 77,8 TWh et importé 34,6 TWh.
Ce qui veut dire que nous avons 43,2 TWh de surproduction, de « marge »
La consommation totale était de 460Twh en 2020 (473 TWh19 en 2019), soit un excédent de 9 %.

Et ces 9% ne compenseraient pas la perte de 1% de gaz russe ?

Je ne peux résister et me dois de rajouter une couche « écologique ».

  • Si d’aventure il y avait un changement du climat mondial.
  • Si d’aventure ce changement était anthropique (dû à l’homme).
  • Si d’aventure la cause en était le CO2 (je vous rappelle que la quantité de CO2 dans l’air20 est de 0,04%).

Il se trouve que les centrales nucléaires rejettent 0% de CO2 et qu’elles sont donc « écolos » !

À noter que la température sur Terre serait de -18°C sans l’effet de serre21.

« Maintenance » des installations nucléaires françaises

28 des 56 réacteurs nucléaires français étaient à l’arrêt22 à la mi-août.
Les dernières nouvelles parlent plutôt de 32 réacteurs en sommeil.

Reporterre23 nous alertait déjà en septembre 2020 :

«  Sur 56 réacteurs, 24 sont actuellement à l’arrêt, soit près de la moitié. Les causes dépassent largement la fermeture récente de Fessenheim. La sécheresse, les avaries techniques d’EDF et le décalage d’opérations de maintenance à cause du Covid-19 ont profondément bousculé la gestion des centrales nucléaires. »

Ces 24 réacteurs arrêtés en 2020 n’ont pas empêché la France d’exporter 43 TWh cette même année.

Nous en avons actuellement 32 à l’arrêt deux ans plus tard, soit seulement 8 de plus.

D’autre part Reporterre24 précise que pour cette année :

« Sur les 56 réacteurs nucléaires en service que compte la France, 31 étaient arrêtés lundi 5 septembre (2022) : 16 pour maintenance ou maintenance courante, 14 pour des contrôles relatifs au problème de corrosion sous contrainte et deux pour économie de combustible, “afin d’optimiser leur disponibilité cet hiver” »

Cela veut dire qu’il n’y a déjà strictement aucun problème pour en relancer 18 sur 32 !

Il est précisé :

« D’après le calendrier envoyé par EDF à Reporterre, 26 des 31 réacteurs arrêtés au lundi 5 septembre devraient redémarrer d’ici le 25 décembre 2022. »

Quand bien même il y aurait un petit optimisme sur le calendrier, il semble évident que le nombre de réacteurs remis en route sera important !

Et oui, les réacteurs sont à l’arrêt pendant l’été, rien d’anormal25 !

« Les arrêts des réacteurs pour maintenance sont habituellement effectués pendant le printemps et l’été »

Les centrales nucléaires c’est comme les chauffe-eau au gaz ou les conduits de cheminée, on fait le ramonage ou la maintenance avant la saison froide.

Jouer sur la peur en affichant leur fermeture naturelle en été n’est que manipulation des masses.

Les réacteurs nucléaires ont produit26 379,5 TWh en 2019 (en tenant compte des arrêts pour maintenance). Ce qui correspond à une moyenne de 6,8 TWh par réacteur.

La surproduction en 2020 de 43,2 TWh correspond donc à l’équivalent de plus de 6 réacteurs.
Nous avions en 2020 une marge de production de 6 réacteurs !

Fukushima, sécurité nucléaire et danger du nucléaire, il faut raison garder

Revenons un instant sur l’accident de la centrale de Fukushima27.
À la différence des centrales françaises, celle-ci n’avait qu’un seul circuit d’eau dédié à la fois au refroidissement et à la production de vapeur pour les turbines.

En France il y a 2 circuits isolés avec un échangeur.
L’eau qui est chauffée par le réacteur est radioactive dans un circuit fermé (dans l’enceinte de confinement) tandis que le circuit qui fait tourner les turbines (à l’extérieur du bâtiment) n’est pas radioactif.

Les ingénieurs japonais avaient calculé une hauteur de vague de 9 mètres alors qu’il aurait fallu 14 mètres pour se protéger des tsunamis.
C’est la vague qui a noyé le système de refroidissement28 et détruit toutes les alimentations électriques qui n’étaient pas étanches.

À la différence de Tchernobyl, le système d’arrêt du réacteur a immédiatement fonctionné et il ne demeurait plus qu’un problème d’évacuation de la chaleur.

Le danger qui demeurait était le risque de fusion causé par la température extrême dans le réacteur.

À Fukushima, ils ont dû envoyer de l’eau de mer dans le réacteur pour le refroidir.
Cette eau combinée aux éléments radioactifs a entraîné la fabrication d’hydrogène qui a, par la suite, provoqué une explosion.
La grande différence entre Fukushima et Tchernobyl étant l’existence d’une enceinte de confinement.

Il est à noter qu’une petite partie du combustible s’est retrouvée sans eau, ce qui a provoqué un début de fusion et d’évaporation de matière radioactive.

Le nucléaire est-il dangereux ?

Un travailleur29 est reconnu décédé des suites de l’accident au Japon tandis que 4 autres sont reconnus malades.
En 2017, une dizaine de travailleurs30 parmi les milliers d’ouvriers du site étaient décédés, mais pour des causes diverses indépendantes de la radioactivité, comme des crises cardiaques ou des accidents.

En revanche, le Tsunami31 a officiellement provoqué 18 000 morts et disparus.

Une étude publiée en 2021 sur l’incidence de Cancer32 à Fukushima entre 2008 et 2015 (l’accident datant de 2011) n’a fait apparaître aucun changement significatif. Il faudra suivre l’affaire mais je vous invite à lire le chapitre de mon ouvrage consacré à Hiroshima.

Une autre étude s’est penchée sur les cancers de la thyroïde33 chez les enfants de Fukushima entre 2011 et 2017 soit jusqu’à 6 ans après la catastrophe.

Leurs conclusions étaient :

« Les différences régionales de dose de rayonnement n’étaient pas associées à un risque accru de cancer de la thyroïde chez les enfants de Fukushima dans les 4 à 6 ans suivant l’accident de la centrale nucléaire.

L’obésité peut être un facteur important pour un suivi ultérieur à Fukushima. »

En 2016 le charbon34 aurait provoqué la mort prématurée de 23 000 personnes uniquement en Europe !
Bien évidemment, tout le monde s’en fout !

Ce sang est sur les mains des « écologistes » allemands et des politiques corrompus qui ont fait fermer les centrales nucléaires entraînant mathématiquement la réouverture de centrales à charbon et au gaz.

Imaginez 23 000 morts dus à la centrale de Tricastin dans la vallée du Rhône ! Cela se traduirait par une révolution !

23 000 ce n’est rien à côté des 366 000 personnes qui seraient mortes en Chine35 en 2013 du fait des particules fines.

En 2018 on estimait que les énergies fossiles36 provoquaient 8 millions de morts par an, soit largement plus que le faux Covid.

Corrosion des centrales nucléaires françaises, il faut raison garder

J’ignore la raison principale ou la vraie raison qui a conduit à l’arrêt des 14 centrales pour corrosion.

Lors de visites de maintenance, on s’est aperçu qu’il y avait des microfissures dans un des circuits dit RIS37.
Ces RIS ou « circuits d’injection de sécurité » ont pour vocation de ne jamais être utilisés sauf en cas de grave accident.

Pour pallier le problème de perte de liquide dans le circuit primaire les centrales françaises ont non seulement un circuit primaire séparé, mais aussi le fameux RIS (utilisé dans toutes les centrales du monde).
Les RIS (il y en a plusieurs pour des redondances de sécurité) sont des réservoirs d’eau borée38 reliés au circuit primaire qui permettent de le réalimenter pour refroidir le réacteur dans le cas de perte d’eau.

Pourquoi de l’eau borée ?
Parce que le bore absorbe les neutrons et contrôle (ralentit) la réaction nucléaire.
Pour autant, le problème est et demeure la température.
Elle est de l’ordre de 400 à 500° et c’est la raison pour laquelle il faut absolument un système de refroidissement.
Le circuit primaire, l’échangeur et le circuit secondaires doivent pouvoir fonctionner pendant des mois après l’arrêt du réacteur jusqu’à l’obtention d’une température « acceptable ».

Pour qu’il y ait une catastrophe nucléaire due à une perte d’eau du circuit primaire, il faudrait que le réacteur soit au sec, que les deux RIS ne soient pas en mesure d’injecter de l’eau, que le circuit d’aspersion soit défaillant, que le circuit secondaire ne refroidisse plus (avec de l’eau ou de l’air), que les barres de combustible fondent et enfin que l’enceinte de confinement (le seul endroit qui contient de la matière radioactive) soit compromise.

Actuellement, il s’agirait de microfissures détectées par radiographie ou par ultrason dans des tuyaux en acier inoxydable de 30 cm de diamètre et d’une épaisseur de 3 cm !

Il y aurait aussi ce phénomène de corrosion dans certains circuits secondaires (non radioactifs).
J’entends qu’il est plus que raisonnable de les inspecter régulièrement, de remplacer des sections ou des coudes qui pourraient présenter un risque, mais de là à projeter des millions de morts…

Je précise que ce problème de corrosion n’est pas un problème de vieillissement car il semble apparaître QUE sur les nouvelles centrales. Ce serait donc un problème à la construction, problème qu’il est assez facile de résoudre.

Alors :

  • Sont-elles fermées parce qu’il y a un vrai problème ?
  • Sont-elles fermées pour vérifier s’il pourrait y avoir un problème ?
  • Sont-elles fermées pour une maintenance somme toute « normale » ?
  • Sont-elles fermées pour des raisons politiques (lobbies écolos, etc.) ?

Et surtout, vont-elles être redémarrées en temps et en heure, comme promis par le président d’EDF ?

N’oublions pas que notre « cher » Président avait promis la fermeture de 14 réacteurs39 d’ici 2035.

Cet effet d’annonce a eu des conséquences sur la filière et sur les investissements mais aussi sur la formation de personnels spécialisés bien que le nucléaire militaire (sous-marins, etc) ait continué à se développer en parallèle.

La filière pourrait ainsi souffrir de tensions dans les personnels comme il y a des tensions dans les hôpitaux suite à des décisions purement politiques.

Gaz, nucléaire, production, le principe de réalité permet donc de couper court à ce délire économique et énergétique qui nous est promis.

Risque de pénurie ?

Celle-ci relève bien d’une grande mystification et c’est un marronnier comme la rentrée des classes ou la saturation des réas à l’automne.

20 Minutes40 titrait en 2016 (il y a 6 ans!).

« Avec 21 réacteurs nucléaires à l’arrêt, la France va-t-elle manquer d’électricité cet hiver ? »

On vend de la peur tous les ans avec ce faux problème.

Alors la France pourrait-elle vraiment manquer d’électricité ?

Nous avons vu que si nous perdions l’intégralité du gaz russe sans compensation, nous aurions une perte de production de 1% alors même que nous sommes excédentaires de 9%.
Nous avons vu qu’il n’y aucun problème de production nucléaire et aucun problème pour les remettre en route.

La seule cause de pénurie ne pourrait être QUE politique

  • Si d’aventure l’Allemagne n’achète plus de gaz russe et ne compense pas par du pétrole, du charbon ou du gaz en provenance d’autres pays.
  • Si d’aventure la France fournit à l’Allemagne des quantités colossales et abusives d’électricité.
  • Si d’aventure la décision politique est prise de ne pas rouvrir les centrales à l’arrêt pour maintenance ou à l’arrêt parce que l’on est censé les fermer pour « sauver la planète » du réchauffement climatique.

Il serait effectivement envisageable de manquer d’électricité.
Et il suffirait alors de changer de Président pour retrouver la surproduction !

À qui profite le crime ?

Je ne suis pas dans le secret des Dieux et comme d’habitude il peut exister des intérêts convergents, concomitants ou divergents sur cette crise de l’énergie.

  • Elle est un moteur puissant de la peur et de la sidération.
  • Elle fait partie du plan du Grand Reset pour nous réduire en esclavage.
  • Elle est un des maillons de la lutte contre le « réchauffement climatique » et la mise en place du futur passe-carbone.
  • Elle permet donc d’accélérer la fin des droits de l’homme et d’installer la dictature mondiale pour des dizaines d’années.
  • Elle permet aux producteurs d’énergie d’accroître leurs fortunes colossales grâce à la peur et la spéculation.
  • Elle rend les riches plus riches et les pauvres plus pauvres (vive le libéralisme !).
  • Elle permet de renforcer Poutine et la Chine (ce qui n’est pas du goût de tout le monde).
  • Elle permet de relancer la filière nucléaire (tuée arbitrairement par Fukushima) garante d’une énergie dé-carbonée, d’une indépendance énergétique et d’une énergie peu onéreuse (quoi qu’en disent les manipulateurs de chiffres).

Retour à l’augmentation des prix

Le « ça augmente » constaté par le consommateur n’a donc pas de sens.
On lui en confère un parce que le blé ou l’électricité augmentent et qu’il « faut » le répercuter sur le prix de vente.
Alors même que cette augmentation n’en a pas d’un point de vue productif mondial.

Il n’y aucune raison pour que le gazole du tracteur soit plus cher.
Il n’y a aucune raison pour que le blé français coûte plus cher à produire et soit donc plus cher à la vente.

La « noblesse » du sacrifice de l’individu au profit d’un grand tout

D’un point de vue politique, tout ceci est présenté comme un acte altruiste, le sacrifice au service des autres (comme les injections expérimentales).

Il devient « noble » qu’une mère au foyer ne soit plus en mesure de nourrir ses enfants dès lors que la cause l’est aussi, « lutter contre le dictateur Poutine ».

Vous et moi savons que tout ceci n’est qu’une vaste escroquerie.

Mais imaginons un instant que ce soit vrai, où est la noblesse dans l’autodestruction de son pays, de son capital productif, de son autonomie alimentaire, de son autonomie énergique (centrales nucléaires) et de la capacité de sa population à vivre dignement ?

Pouvez-vous me citer une guerre, un conflit dans lequel les riches ne sont pas devenus plus riches et les pauvres plus pauvres ?

Les famines se déclenchent principalement dans les pays pauvres (et peut être bientôt chez nous) non pas par la diminution « naturelle » (climatique) des productions agricoles mais :

  • Soit par la suppression des cultures vivrières (exemple : manioc) au profit de cultures d’exportation (haricot vert). Le comble étant l’utilisation de terres nourricières pour produire du « bio » carburant.
  • Soit par la spéculation sur les matières premières (exemple : cacao) qui privera les autochtones de la capacité financière à se les procurer.

Je rappelle à celles et ceux qui l’ignorent (cf mon ouvrage) qu’il suffirait de 10 milliards par an pendant 10 ans pour éradiquer (probablement définitivement) la faim dans le monde.

Le marché amasse actuellement des fortunes colossales sur notre dos de moutons dociles ou ignorants.

Dans un monde « normal », il n’y avait aucune raison pour que les nectarines coûtent une fortune cet été.

Mais ultralibéralisme oblige, chacun cherche à augmenter ses marges, ses profits, du producteur au détaillant.

Nous sommes les dindons de la farce, les imbéciles qui regardent les prix augmenter et qui se disent « qu’est-ce qu’on y peut ? ».

Noirceur

Où sont donc les politiques qui nous promettaient un monde meilleur, plus égalitaire et avec moins de souffrances ?

Les Français ont (officiellement) choisi de replacer à la tête du pays un homme qui nous explique année après année que l’avenir est horrible, et ce avec le concours zélé des journalopes.

  • Le pire est à venir.
  • Les prix de l’énergie vont exploser.
  • On va avoir des coupures de gaz et d’électricité (mais pourquoi donc?).
  • Les ménages devront se laver à l’eau froide, prendre une douche par semaine.
  • Ils devront se chauffer à 17°c, abandonner leur voiture puis perdre leur emploi.
  • Pour mourir dans quelques années du fait du réchauffement climatique.

Mais pour quoi (en 2 mots) ?

La réponse d’un point de vue économique et social est :

« Pour rien ! »

Il suffit aux maîtres du monde de claquer des doigts pour que la crise disparaisse en quelques heures.
Il suffit que des hommes politiques au service de leur pays (il y en a?) sifflent la fin de la partie et disent à tous les protagonistes : « vous reprenez les marges que vous aviez avant la crise !»
Et c’est tout…

Il n’y a aucun élément objectif pour créer une crise économique.

  • Ni virus.
  • Ni conflit armé.
  • Ni réchauffement climatique qui mettrait en danger l’avenir de l’homme.

La révolte, c’est pour quand ?

Mais pour cela, ce n’est pas en écrivant ce texte que les murs vont bouger !
Ce n’est pas en se fabriquant sa petite vie à l’abri du système dans un îlot de bonheur que les murs vont bouger !

Ce que d’aucuns appellent « solidarité » (d’un petit groupe) peut s’envisager comme « égoïsme ».

Devons-nous crever pour aider une Europe ou une Allemagne qui est trop conne pour avoir fermé les centrales nucléaires et trop conne en refusant d’acheter du gaz russe ?
Devons-nous par « solidarité » crever avec elle ?

Nous avons fait bouger les murs un tout petit peu aux dernières élections législatives.
Et pourtant nous n’avions pas les candidats du renouveau et de la liberté que nous désirions.

Malgré cela, en votant pour des professionnels de la politique, en votant pour ces candidats qui vivent du système, les murs ont un peu tremblé.

Naïfs sont ceux qui croient que si Macron avait eu la majorité absolue à la chambre nous en serions au même point.
Les masques seraient là, le passe sanitaire aussi et le passe climatique aurait déjà été voté.

Il nous faut profiter de cette petite accalmie, de cet œil du cyclone, pour partir ou repartir au combat dans l’union !
La classe moyenne de certains pays n’arrive plus à vivre dignement et se nourrir !
Les peuples en Europe (anglais, allemand, italiens, etc.) n’en peuvent plus !
Ils n’en peuvent plus de cette caste politique qui nous conduit à la dictature mondiale, à notre appauvrissement, et à la fin de nos libertés.

En France la dictature utilise encore la planche à billets pour nous museler.
Miraculeusement le litre d’essence et passé de 2,2 euros à 1,50 euro alors même que l’embargo russe est toujours présent.
Le gouvernement a acheté la paix sociale à l’école en augmentant les enseignants qui n’hésiteront pas à obliger à nouveau la muselière si elle était obligatoire.

Nous voyons bien une forte augmentation du prix des denrées alimentaires mais la baguette n’est pas à 100 euros.
Pourtant si l’hyperinflation arrive elle passera à 100 ou même à 1000 euros.
Mais là il sera probablement trop tard.

Alors la dictature a prévu le coup, elle s’est bien débrouillée pour dire que si nous bougeons, la loi martiale sera promulguée et que cela terminera dans un bain de sang.

Mais n’avez-vous pas compris que si nous nous levons, ils n’auront de choix que de s’exiler dans un pays lointain pour éviter d’avoir leur tête au bout d’un pic ?

Allons-nous être aussi paralysés et stupides que les peuples opprimés à travers l’histoire ?
Allons-nous attendre, ne rien faire, dire que ça va passer ou qu’il n’y a rien à faire ?
Allons-nous dire « il est hors de question que je manifeste avec machin car il est d’extrême droite ou trotskiste » ?
Allons-nous faire passer les ego avant l’objectif présent qui est de détruire cette dictature mondiale qui n’est qu’une dictature de chiffons ?

Vous n’entendez pas le bruit des bottes ?

Qu’attendons-nous donc pour harceler pacifiquement les médias du monde entier et leur montrer que nous sommes du côté de la justice, que nous allons gagner et qu’ils doivent choisir leur camp ?

L’AFP est à nous, pas à une minorité de pourritures !

Allons-nous laisser Radio-France41 être officiellement la voix de la dictature climatique stalino-libérale ?

Le gouvernement est à notre service, il n’est pas là pour diriger mais entériner les décisions du peuple, de la majorité du peuple et non d’une minorité au pouvoir.

Il est à notre service et non l’inverse.

NON !

Merci

Alain Tortosa

6 septembre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220906-prix-produits-energie-penurie-arnaque.pdf

Notes et références



Pio Moa (Les mythes de la guerre d’Espagne) : « Il y a une grande différence entre traiter un historien de menteur et prouver qu’il ment »

[Source : breizh-info.com]

Les gauchistes font et refont l’Histoire à leur guise depuis des décennies (et l’enseignent dans nos écoles et nos universités du fait de leurs positions majoritaires et influentes au sein de l’Éducation nationale notamment). La guerre civile qui embrasa l’Espagne de 1936 à 1939 n’échappe pas à la règle de la grille de lecture idéologique de la gauche, une grille qui, par définition, ne tolère pas la moindre remise en cause, pas le moindre débat (sous peine de mise à l’index, et parfois même, de poursuites judiciaires).

Alors quand l’ancien militant communiste Pío Moa sort, en 2003, un livre intitulé « Les mythes de la guerre d’Espagne » et qui a été traduit et édité cette année en Français (L’Artilleur), forcément, on s’étrangle à gauche. La thèse principale de Pio Moa ? L’ancien militant communiste, engagé dans les GRAPO (Groupes de résistance antifasciste du premier octobre), d’inspiration maoïste, remettait en cause la présentation établie de la guerre d’Espagne comme une réaction républicaine à un coup d’État « fasciste ». Il défend l’idée que la guerre civile et l’instabilité qui en a découlé (avant reprise en main par Franco) furent volontairement recherchées dès 1931 par la frange radicale de la gauche espagnole pour promouvoir la révolution.

Selon les documents exceptionnels rassemblés par Pio Moa, l’origine du conflit n’est pas, en effet, le coup d’État raté de juillet 1936 contre la Seconde République espagnole, mais bien la «  menace rouge  » que représentaient pour la démocratie les factions d’extrême gauche qui préparaient un soulèvement de type communiste sur le modèle de la révolution asturienne de 1934.

La radicalisation de la gauche au pouvoir sous le Frente Popular (assassinats de militants et hommes politiques des différentes composantes de la droite démocratique, destruction d’édifices religieux, assassinats de religieux, etc.) va entraîner un raidissement des conservateurs. Et ce sera l’escalade  : le soulèvement militaire du 18 juillet 1936 survient alors que Largo Caballero et ses partisans avaient lancé depuis 1934 un processus révolutionnaire similaire à celui qui en octobre 1917 a eu raison du régime Kerensky en Russie.

Il n’en fallait pas plus pour qu’un mot soit lâché par les pourfendeurs de la liberté d’expression et de recherche historique : « Révisionnisme ». Il y a des sujets historiques qui confinent manifestement à la vérité religieuse. De nôtre côté, n’ayant que faire des hurlements hystériques de gauchistes qui sentent aussi sans doute le vente de l’Histoire tourner (et qui ont déjà suffisamment fait table rase de notre passé, ou tenté de le faire), nous avons lu le livre de Pio Moa, et incitons les esprits critiques à le faire, puis avons interviewé celui que la presse de gauche diabolise sans même lui tendre un micro. Le minimum pourtant lorsque l’on se prétend journaliste non ?

Breizh-info.com : Tout d’abord, quels sont les faits qui expliquent que, en tant que partisan de la gauche, vous ayez changé nombre de vos opinions depuis des décennies ?

Pio Moa : Des événements tels que le triomphe des « révisionnistes » (Deng Xiaoping) sur les maoïstes en Chine ou l’invasion du Viêt Nam par la Chine m’ont obligé à reconsidérer mes convictions antérieures, en particulier la solidité de la doctrine marxiste (par rapport à la théorie de Marx sur la tendance à la baisse du taux de profit capitaliste). Le marxisme est une théorie très solide si certaines de ses bases doctrinales ne sont pas remises en question. Mais si celles-ci échouent, comme cela a toujours été le cas, alors le marxisme ne peut que conduire à des erreurs et à des crimes.

Breizh-info.com : Pouvez-vous expliquer dans quel contexte vous avez écrit sur les mythes de la guerre d’Espagne en 2003, un livre qui vient d’être publié en français ?

Pio Moa :  J’ai fait des recherches sur les origines de la guerre civile dans les archives du PSOE (de la Fondation Pablo Iglesias), dans les archives du parlement national et du parlement catalan, dans les Archives historiques nationales et les Archives de Salamanque. Je suis parti du point de vue habituel de la gauche, de l’antifranquisme. Et j’ai été scandalisé de voir à quel point le peuple espagnol était trompé sur son passé encore récent. Pas étonnant qu’ils aient besoin d’une loi de « mémoire » qui attaque la liberté intellectuelle et les libertés politiques.

Breizh-info.com : En France, depuis l’interview que vous avez donnée au « Figaro Histoire », de nombreux historiens (avec des opinions idéologiques aussi) ont commencé à expliquer que vous êtes un menteur, que votre travail n’est pas scientifique, que vous avez une idéologie. Comment leur répondez-vous ?

Pio Moa : Il y a une grande différence entre traiter un historien de menteur et prouver qu’il ment. Dès le début, ils m’ont insulté, puis ils m’ont fait taire dans les médias et à l’université, ils m’ont accusé de mentir, mais ils n’ont pas prouvé un seul mensonge de ma part, ils n’ont même pas essayé. Pour ma part, je me suis occupé de démontrer leurs manipulations, qui, dans l’ensemble, découlent de l’affirmation selon laquelle le Front populaire a défendu la démocratie.

[Note de Joseph : à notre époque caractérisée notamment par l’inversion, dont celle des valeurs, dans tous les domaines, il n’est pas étonnant de voir une tendance presque généralisée à l’inversion accusatoire. Ainsi, ceux qui accusent les autres de mentir sans apporter la moindre preuve de leurs affirmations cachent le plus souvent leurs propres mensonges. Voir aussi Une emprise sur l’Humanité.]

C’est une thèse de base des communistes, mais le noyau de ce front était composé de communistes et de socialistes bolchevisés, qui se sont soumis à Staline, ainsi que de séparatistes imprégnés d’un racisme aussi féroce que ridicule, et enfin de républicains de gauche (Azaña), des putschistes et des anarchistes. Il est certainement très « scientifique » de présenter comme démocratique un tel essaim, au sein même duquel il y a eu de nombreux meurtres et deux petites guerres civiles.

Breizh-info.com : Votre livre est-il un manifeste pour la réhabilitation du franquisme ?

Pio Moa : Non, il ne l’est pas, mais c’est l’une de ses conséquences. En 1930, Franco était favorable à une démocratisation ordonnée, puis la république s’est révélée chaotique et la gauche l’a détruite en deux coups : l’insurrection du PSOE et des séparatistes catalans en octobre 1934, qui a échoué mais a laissé le régime gravement blessé, puis les élections manifestement frauduleuses de février 1936, après lesquelles un véritable régime de terreur a été imposé. Franco ne s’est pas soulevé contre la république mais contre ceux qui l’avaient détruite. Une démocratie est impossible si plusieurs de ses principaux partis rejettent ses règles et imposent leur violence.

En bref, le camp de Franco a sauvé l’Espagne de la soviétisation et de la désintégration nationale. Mais ce n’est pas son seul mérite : il a sauvé l’Espagne de la Seconde Guerre mondiale, faisant de l’Espagne l’un des très rares pays d’Europe occidentale qui ne doit pas sa démocratie, puis sa prospérité, à l’armée américaine et, indirectement et non des moindres, à l’armée soviétique. Lorsque les gens veulent assimiler Franco à Hitler, ils oublient que Franco est resté en dehors de la guerre européenne et que Hitler a laissé son pays en ruines, alors que Franco l’a laissé prospère, pacifique et réconcilié, enfin apte à une démocratie non convulsive. Une démocratie mise en danger par les antifranquistes, qui s’identifient précisément à ce Front populaire.

Breizh-info.com : Comment expliquez-vous que, presque un siècle plus tard, il soit de plus en plus difficile de parler de la guerre d’Espagne, de ses faits, de ses conséquences ? Existe-t-il une forme de terreur intellectuelle en Espagne, comme c’est le cas en France depuis de nombreuses années ?

Pio Moa : Oui, il y a une forme de terreur, qui se manifeste aujourd’hui par les lois mémorielles « historiques » et dites « démocratiques », qui s’attaquent précisément aux bases les plus élémentaires de la démocratie, les libertés d’opinion, d’expression, d’association, de recherche et d’enseignement. Ils ont dû recourir à ces lois précisément parce qu’il leur a été impossible de réfuter des livres comme le mien sur les mythes de la guerre civile.

Breizh-info.com : L’Espagne semble aussi divisée aujourd’hui qu’elle l’était il y a un siècle, avant la guerre d’Espagne. Êtes-vous d’accord avec ce constat ? Comment voyez-vous le paysage politique actuel en Espagne, avec la montée de Vox, par exemple ?

Pio Moa : La chose la plus importante qui s’est produite politiquement en Espagne depuis la transition a été l’émergence de VOX. Ce parti me donne beaucoup d’espoir, même si je pense qu’il doit encore progresser dans sa politique internationale et dans sa perception de l’histoire. S’il défend l’unité nationale et s’oppose à la destruction de la démocratie par les partis qui s’identifient au Front populaire, il doit enfin reconnaître que c’est le franquisme qui a sauvé le pays de la désintégration ou de la soviétisation, et qui a facilité son évolution vers une démocratie aujourd’hui menacée.

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2022, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Lettre ouverte à Mr Michel Onfray, philosophe et polémiste

Par DR Gerard Delépine

Monsieur,

Ce fut un immense plaisir de vous entendre sur Cnews sur l’émission de Yvan Rioufol, le dimanche 4 septembre 2022, plaider avec détermination et éloquence pour la sortie de l’Europe de Maastricht. Ce fut un ravissement de vous entendre défendre une ligne politique souverainiste cohérente en cette période où tant de politiques se comportent en girouettes, mais toujours pro Maastricht, pour plaire aux électeurs d’après les sondages biaisés dont nous abreuvent les médias dominants.

Créer un mouvement d’union large pour le Frexit qui se présenterait aux élections européennes donnerait enfin de l’espoir à la majorité des classes populaires et devrait les motiver pour sortir de l’abstention où les a enfermés jusqu’à présent l’absence d’alternance politique crédible.

Mais pour être totalement crédible, il est nécessaire que vous constatiez et admettiez votre erreur lorsque vous avez réclamé une « obligation vaccinale » anti-covid comme Ursula von der Leyen le demandait. On peut comprendre que vous ayez « cru » en un médicament abusivement qualifié « vaccin » présenté comme « la solution » à la crise covid. Je ne conteste pas non plus votre droit à vous le faire injecter, mais votre célébrité utilisée dans cette manipulation mondiale nous a attristé, effondré.

Ce traitement est expérimental, car ses essais phase 3 ne sont pas terminés (ils le seront peut-être en 2023). Imposer une obligation pour un médicament expérimental est contraire au code de Nuremberg(([1] https://famous-trials.com/nuremberg/1903)), base de l’éthique médicale depuis 1946(([2] https://nouveau-monde.ca/les-decisions-du-proces-de-nuremberg-sont-dune-brulante-actualite/)), mais aussi à la déclaration d’Helsinki de l’Association Médicale Mondiale(([3] https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/)), et à la convention d’Oviedo(([4] https://www.coe.int/en/web/bioethics/oviedo-convention)), texte juridique contraignant que la France a signé et transposé en droit national.

L’avis du conseil de l’Europe du 27 janvier 2021(([5] https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2021-004802_FR.html)) l’a rappelé en demandant instamment aux États membres et à l’Union européenne de :

« s’assurer que les citoyens sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ne souhaite pas le faire personnellement » et « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ».

L’absence de consentement libre et éclairé pour un traitement expérimental a, en effet, été le principal motif de la condamnation des médecins nazis lors du procès de Nuremberg.

Je suis médecin, j’ai exercé en France près de 50 ans. De principe je ne suis ni pro ni anti-vaccin. J’ai toujours défendu les vaccins efficaces sans danger qui permettent d’éviter les maladies graves. Je suis contre les vaccins inutiles et contre les vaccins insuffisamment étudiés comme celui contre la dengue (qui a causé des centaines de morts aux Philippines), comme le vaccin Gardasil (qui augmente paradoxalement le risque de cancer invasif du col) et, pour l’instant, contre les pseudos vaccins Covid dont l’efficacité prétendue est contredite par les données officielles de l’OMS.

Les données officielles de l’OMS confirment en effet que loin d’éradiquer la maladie les campagnes de vaccination ont été suivies d’une accélération des contaminations (rythme mensuel de nouveaux cas par million multiplié par 3).

Cet échec des pseudo vaccins n’est pas dû aux non-vaccinés comme tente de le faire croire la propagande dominante, car les données officielles de l’OMS montrent que ce sont les pays très vaccinés qui souffrent de cette explosion de contaminations.

L’inefficacité totale des pseudo vaccins à prévenir les transmissions, maintenant prouvée, enlève toute justification à une éventuelle obligation vaccinale. De même les vaccins ne sont pas efficaces contre les formes graves, car les mortalités n’ont pas diminué depuis les vaccins.

Toutes les données présentées, officielles et publiées par l’OMS, démentent formellement la propagande officielle de la prétendue utilité des injections anti-covid. L’acceptation apparente des injections par la population a été extorquée par des mensonges permanents sur la nature et l’efficacité des pseudovaccins et des chantages répétés d’une violence extrême excluant des catégories de professionnels de leur sacerdoce et les discriminations exercées contre les vaccino prudents :

car la sécurité alléguée des vaccins n’a pas été confirmée, bien au contraire. De nombreux médecins le craignaient d’emblée, car leur élaboration a utilisé des techniques nouvelles jamais employées en infectiologie, a souvent sauté les étapes de sécurité :

pas d’études animales sérieuses, essai mélangeant phase 2 et 3, trop peu de sujets dans les essais, études sur des sujets en bonne santé de 18 à 55 ans qui ne constitue pas la population pour laquelle le vaccin pouvait être utile), recul de suivi ridicule (quelques semaines) et leur mise sur le marché trop rapide.

De même leurs indications, qui pouvaient se discuter pour les personnes à risques (pour lesquels existaient d’emblée des traitements précoces efficaces) n’auraient jamais dû concerner la majorité de la population (les moins de 65 ans) qui ne risquait presque rien et les enfants qui ne risquaient rien du tout. De ce point de vue, les chiffres actuels des organes officiels de surveillance des accidents vaccinaux (VAERS aux USA et Eudravigilance en Europe) sont angoissants et confirment qu’on aurait dû appliquer le principe de précaution tant que les essais n’étaient pas terminés.

Compte tenu de ces données, il paraîtrait utile que vous reveniez sur votre position passée sur l’obligation pseudo vaccinale (que d’ailleurs aucun pays démocratique n’a imposée). Étant donné la propagande actuelle pour un xième booster, et surtout pour l’injection des jeunes selon les préconisations de la Commission européenne que le gouvernement français suit rigoureusement, et par ailleurs votre célébrité, vous pourriez aider à protéger singulièrement les enfants et les jeunes.

Il est toujours difficile de reconnaître ses erreurs passées, mais une telle attitude grandit ceux qui en sont capables. La Première ministre norvégienne, Erna Solberg, a reconnu à la télévision que le confinement était inutile et qu’elle l’avait décrété par peur ; elle a été félicitée pour cela par ses compatriotes. Merci de l’imiter !

Je regrette d’avoir été aussi long, mais l’énoncé des faits avérés est nécessaire tant les mensonges officiels sont permanents. Je reste à votre disposition pour vous fournir tout renseignement que vous pourriez désirer sur ce problème. En vous souhaitant beaucoup de succès dans vos projets.

Bien à vous.

DR Gerard Delépine, chirurgien orthopédiste cancérologue et statisticien





Scandale en Israël : comment le gouvernement a découvert de graves problèmes de sécurité avec les injections COVID et les a dissimulés

[Source : anthropo-logiques.org]

Par Jean-Dominique Michel

J’ai déjà traduit et repartagé des textes de Steve Kirsch. Ingénieur diplômé du prestigieux Massachussets Institute of Technology, entrepreneur à succès, celui-ci s’est mobilisé depuis le début de la crise Covid pour dénoncer les innombrables corruptions de la science servant à imposer des politiques publiques absurdes et destructrices.

Travailleur infatigable, il n ‘a cessé de produire des interpellations et des articles fort bien documentés, mais restant évidemment lettre morte : cela fait longtemps que les autorités systémiquement corrompues ont fermé les écoutilles face aux critiques, et même d’autant plus que celles-ci sont pertinentes ! Nous avons exactement le même problème ici : le Conseil fédéral par exemple a bien évité de répondre à la plupart des courriers de l’avocat valaisan Jacques Schroeter.

  • Pour lire « Probablement le plus gros mensonge de tous les temps » : l’interpellation d’un avocat au gouvernement suisse sur Covidhub.ch : cliquer ici.

Tout comme la Revue médicale suisse (la feuille de chou quasi-officielle de Big Corruption et Big Pharma) s’est bien gardée de répondre à la Lettre ouverte d’un éminent médecin-chercheur que j’ai relayée (pour préserver l’anonymat de cet expert) en réponse à article de propagande pour la « vaccination » des femmes enceintes truffé de manipulations et d’erreurs.

  • Pour lire « Vaccination génique des femmes enceintes : lettre ouverte d’un chercheur à la Revue médicale suisse » : cliquer ici.

Silence radio, évidemment.

Les autorités et les agences de santé ne veulent actuellement rien savoir des faits, les hôpitaux universitaires et les sociétés médicales non plus. Drôle de monde dirait-on s’il n’y avait actuellement des millions de morts à travers le monde à la clé et des centaines de millions de vies affligées par des effets dommageables bien plus fréquents et souvent hélas beaucoup plus graves que ce les complices de ce crime mondiale en disent.

C’est donc une drôle d’aubaine pour ceux qui défendent le camp de l’honnêteté intellectuelle et des données véridiques quand la preuve peut être donnée que des autorités de santé ont délibérément dissimulé la réalité des dommages qui avaient pourtant été établie. C’est ce qui se passe actuellement en Israël, avec, je vous le donne en prime : une omerta monstrueuse des autorités et de la presse.

Laquelle on le sait, là-bas comme ici, n’est plus qu’une truanderie en bande organisée au service des cercles criminels qui organisent cette dérive. Hélas.

Voici donc le dossier complet publié par Steve Kirsch sur son blog de Substack, traduit par mes soins. Comme y invite Steve, c’est à diffuser et re-partager massivement. N’hésitez surtout pas à faire connaître cet article ou à le re-publier sur vos pages !

[PDF correspondant à l’article :]


Exclusif : Preuve qu’Israël a découvert de graves problèmes de sécurité avec les vaccins COVID et les a délibérément dissimulés.

Israël n’a commencé à recueillir des données de sécurité qu’un an après le début du programme de vaccination. Ils ont rassemblé des données sur 6 mois et ont découvert que les vaccins n’étaient pas sûrs, alors ils ont menti au monde entier à ce sujet.

Steve Kirsch, 2 septembre 2022

Le Dr Sharon Alroy-Preis, directrice des services publics du ministère de la Santé et conseillère principale de COVID auprès du gouvernement israélien, n’a aucun problème à dissimuler des informations vitales sur la sécurité des vaccins COVID pour les faire passer pour sûrs. Pourquoi n’ont-ils pas publié la présentation originale faite par l’équipe de sécurité ? Une enquête doit être menée au plus vite sur ce qui s’est passé, mais le chef du ministère de la Santé, Nitzan Horowitz, ne la réclame pas. Est-il lui aussi corrompu ?

C’est l’article le plus IMPORTANT que j’ai écrit à ce jour.

Il s’agit de l’article le plus important de mon blog Substack (qui compte plus de 700 articles). Ce seul article devrait faire s’écrouler le château de cartes s’il n’y a qu’une seule personne honnête en position d’autorité dans le monde.

Le point le plus important est le suivant :

Sur la base de la corruption du gouvernement, des données de sécurité et de la corrélation entre le vaccin et les décès, le principe de précaution de la médecine exige l’arrêt immédiat du programme de vaccination COVID.

Les faits essentiels en quelques mots :

  1. Les autorités sanitaires israéliennes savaient que les vaccins étaient nocifs pour la population : les effets secondaires du vaccin ne sont ni légers ni de courte durée. En fait, dans 65% des cas neurologiques qui ont mentionné la durée, les symptômes sont tous continus.
  2. Ils ont également établi la causalité : les effets secondaires ont été causés par le vaccin. C’est quelque chose que personne d’autre n’avait été capable d’établir auparavant.
  3. Ils ne savent pas quelle est la gravité du préjudice parce qu’ils n’ont examiné que les données des cinq premières catégories. La catégorie « troubles cardiovasculaires » était la sixième. Ils n’ont donc examiné qu’une fraction des données.
  4. Les chercheurs ne connaissent pas la prévalence de ces effets secondaires graves, car on leur a simplement fourni le numérateur, et non le dénominateur (comme pour le VAERS).
  5. Les autorités israéliennes ont délibérément dissimulé les problèmes de sécurité et les ont cachés au monde entier, en publiant un faux rapport disant essentiellement « il n’y a rien de nouveau à voir ici, circulez ».
  6. La seule bonne nouvelle dans tout cela, c’est qu’Israël a empêché les Palestiniens de recevoir ce vaccin très dangereux. C’était très humain de la part des Israéliens.
  7. Au 4 septembre 2022, personne n’est tenu pour responsable et tout le monde ignore cette histoire qui fait l’effet d’une bombe :
  • Il y a un black-out de la presse sur la couverture de cette affaire en Israël. Les médias israéliens refusent même de regarder les preuves.
  • Personne en Israël n’est tenu responsable de cette corruption. Il n’y a même pas d’enquête.
  • Personne dans la communauté médicale mondiale ne s’exprime non plus sur cette corruption, alors qu’elle touche des personnes partout dans le monde.
  • Les grands médias du monde entier n’en parlent pas.
  • Aucun fonctionnaire, aucun responsable de la santé publique ni aucun média grand public dans le monde ne réclame une enquête, personne ne veut voir le rapport d’expertise original ni les données de sécurité qu’ils ont recueillies.
  • Nous avons en notre possession la vidéo complète et les diapositives qui ont été présentées ; utilisez le lien « Contactez-moi » si vous êtes une autorité sanitaire et que vous souhaitez la voir avant qu’elle ne soit diffusée au public.
  • Pour m’assurer que le CDC est au courant, je viens d’envoyer un courriel à des centaines de personnes du CDC qui sont impliquées dans les vaccins COVID (y compris Rochelle Walensky) pour leur faire savoir que le rapport et la vidéo sont disponibles. Tout ce qu’ils ont à faire est de cliquer sur répondre. Je parie que pas une seule personne au CDC ne veut le voir. Nous sommes sur le point de découvrir à quel point la corruption est profonde au CDC.
  • Il n’est pas surprenant qu’ils l’ignorent. Toutes les données négatives sur le vaccin sont ignorées. Par exemple, lorsque j’ai découvert que les jeunes médecins canadiens mouraient à un taux plus de 12 fois supérieur à la normale après le deuxième rappel, l’Association médicale canadienne, dont le rôle est de défendre la santé des médecins, a refusé de commenter. J’ai envoyé cinq demandes et ils ont ignoré toutes les demandes. Elle devrait modifier son site Web pour indiquer qu’elle défend les intérêts des sociétés pharmaceutiques, et non la santé des médecins.

Plus précisément :

  1. Le ministère israélien de la santé a mis 18 mois à compter de la date de lancement du vaccin avant d’examiner les données de sécurité du vaccin COVID pour voir ce qu’elles disent.
  2. Ils n’ont commencé à collecter des données de sécurité qu’en décembre 2021, un an après le lancement des vaccins auprès du public. Peu de gens le savaient.
  3. En décembre 2021, ils ont chargé un groupe d’experts extérieurs dirigé par le professeur Mati Berkowitz, un éminent expert israélien en pharmacologie et toxicologie de l’hôpital Asaf Harofe, d’examiner les données de sécurité qu’ils ont recueillies au cours des six mois suivants (de début décembre à fin mai 2022).
  4. Le groupe a présenté ses conclusions au personnel du ministère de la santé le 6 juin 2022 ou aux alentours de cette date, lors d’un appel Zoom enregistré secrètement. Ils ont découvert que les vaccins COVID étaient beaucoup plus dangereux pour les personnes que ne l’admettaient les autorités mondiales. Ils ont découvert des effets indésirables graves qui n’ont jamais été divulgués par Pfizer ni par aucun gouvernement mondial. Ces effets indésirables n’étaient pas non plus de courte durée comme on l’avait dit au public.
  5. Ils ont également déterminé la causalité, ce qu’aucune autre autorité sanitaire mondiale n’a jamais été disposée à faire (parce que les autres gouvernements n’ont jamais examiné les données non plus). Le lien de causalité était à la fois évident et facile à prouver à l’aide des données de remise en question qui ont été recueillies (vous ne pouvez pas le faire en utilisant les données du VAERS américain, par exemple).
  6. En bref, le panel a déterminé que le gouvernement trompait le peuple d’Israël.
  7. Nous ne savons toujours pas à quel point les vaccins sont dangereux, car l’équipe externe n’a examiné que les cinq événements les plus fréquemment cités.
  8. Tant les autorités israéliennes que les scientifiques qui analysent les données du ministère de la santé ont agi pour dissimuler les dommages en publiant un rapport fabriqué de toutes pièces pour faire passer le vaccin pour parfaitement sûr et prétendre qu’il n’y avait rien d’anormal….
  9. Ce n’est que grâce aux efforts d’une personne courageuse qui a publié l’enregistrement de la réunion Zoom complète entre le ministère de la santé et son groupe d’experts que nous savons maintenant ce qui a été dit lors de cette réunion et ce que les données ont révélés. Sinon, le monde serait toujours dans l’ignorance.
  10. Les dirigeants de nos « institutions de confiance » du monde entier n’ont absolument rien dit après que la nouvelle ait éclaté le 20 août 2022. Cela suggère qu’il y a une corruption généralisée dans la communauté médicale, les agences gouvernementales, parmi les responsables de la santé publique, les médias grand public et les entreprises de médias sociaux du monde entier : ils ne reconnaîtront aucun événement qui va à l’encontre du récit dominant.
  11. C’est un niveau de corruption sans précédent. Les atrocités commises ici sont claires et nettes. Tout le monde devrait s’exprimer et demander une enquête complète et une évaluation exhaustive des données de sécurité recueillies par le gouvernement israélien.

Ce que vous devez faire

Les trois choses les plus importantes que vous pouvez faire pour mettre un terme à ces vaccins dangereux sont les suivantes :

  1. Lisez cet article, y compris les liens recommandés dans la section Références.
  2. Partagez cet article avec le plus grand nombre de personnes possible (par exemple, partagez-le sur tous vos comptes de médias sociaux dès maintenant).Partager l’article original en anglais.
  3. Veuillez vous abonner à mon blog (en anglais) pour que je puisse vous tenir au courant des développements. Plus la portée collective des personnes qui contestent le faux récit sera grande, plus vite la vérité éclatera. L’inscription est totalement gratuite.

Résumé détaillé

Le ministère israélien de la santé (MDS) a été informé par son propre groupe d’experts extérieurs sélectionnés par ses soins et dirigés par le professeur Mati Berkowitz que les vaccins COVID n’étaient pas aussi sûrs que le MDS l’avait affirmé à la population israélienne. C’est tout le contraire : au lieu d’effets bénins et de courte durée, les effets étaient graves et de longue durée. En ce qui concerne les effets secondaires neurologiques, dans 65 % des cas, ils n’ont pas disparu du tout (commencez à regarder cette vidéo à 2:30 ; les 65 % sont à 3:09) et les chercheurs ont admis qu’ils ne savaient pas s’ils allaient disparaître un jour.

Au lieu d’admettre son erreur, le ministère de la santé l’a couverte en publiant un rapport qui déforme le rapport d’expertise.

En outre, les experts ont également couvert efficacement le problème en ne disant rien lorsque cela s’est produit. Ils sont restés les bras croisés pendant que le ministère de la Santé déformait les données. Il semble que toutes les personnes impliquées aient été tellement intimidées qu’elles se sont senties obligées de taire la vérité, même si cela pouvait coûter des vies.

Le 20 août, le public a enfin appris que le gouvernement n’avait pas surveillé les effets indésirables pendant un an, puis, après avoir rassemblé les données sur l’innocuité du vaccin, qu’il les avait délibérément manipulées pour faire croire que le vaccin était sûr alors qu’il ne l’était pas. On pourrait penser qu’il y aurait une indignation majeure face à la violation de la confiance du public. Mais il n’y a rien eu. Aucune réaction. Le Dr Sharon Alroy-Preis, directrice des services publics du ministère de la Santé et conseillère principale du COVID auprès du gouvernement israélien, n’a fait aucune déclaration publique. C’est stupéfiant.

Cela suggère qu’elle et les autres membres de son organisation qui étaient au courant étaient impliqués dans la dissimulation. Le peuple israélien devrait exiger qu’ils soient licenciés et poursuivis pénalement.

En outre, l’actuel ministre de la Santé, Nitzan Horowitz, ne fait rien. Pourquoi ne demande-t-il pas une enquête ? Il devrait lui aussi être licencié. Ou bien la corruption de la science est-elle acceptable pour le gouvernement israélien ?

Enfin, jusqu’où va la corruption ? Les grands médias israéliens couvriront-ils cette histoire ? Pourquoi pas ? Un membre du parlement israélien demandera-t-il une enquête ? Un membre de l’exécutif demandera-t-il une enquête ?

Il me semble qu’ils sont tous achetés par les compagnies pharmaceutiques. Est-ce que je me trompe ?

C’est une histoire de corruption, pure et simple.

Il n’y a aucun moyen de donner une tournure positive à cette affaire. Toute personne au pouvoir qui ne demande pas une enquête et que des têtes tombent est tout aussi corrompue que les personnes qui ont participé à la dissimulation initiale du rapport de sécurité.

Cette histoire est le « pistolet fumant » que nous attendions : une agence gouvernementale officielle a été filmée en train de recevoir un rapport alarmant de scientifiques et a ensuite délibérément menti au public à ce sujet.

La réponse à cette histoire a été « silence radio » jusqu’à présent.

La presse israélienne (qui est fortement contrôlée par l’État) a refusé de s’approcher de l’histoire ; elle n’a même pas répondu lorsqu’elle a été contactée à ce sujet. Les médias ne veulent voir aucune des preuves.

Au moment où j’écris ces lignes (2 et 3 septembre), un seul média, GB News au Royaume-Uni, en a parlé.

C’est à nous de forcer nos dirigeants médicaux, sanitaires et politiques du monde entier à prendre position sur ce qui s’est passé. Le condamneront-ils ou l’ignoreront-ils ?

Tous les leaders de la médecine traditionnelle devraient dire que ce que le ministère de la Santé a fait est une erreur et demander une enquête immédiate sur la sécurité des vaccins. Nous devrions être en mesure de voir la présentation complète du groupe d’experts et son rapport. Et les données relatives à la sécurité devraient être rendues publiques, comme le sont les données du VAERS.

Mais regardez ce qui s’est passé : ils ne condamnent pas ce qui s’est passé et ils ne demandent pas le rapport ou les données. Ils restent silencieux… comme si cela n’était pas arrivé.

Ils disent tous en substance : « Il est acceptable qu’un gouvernement ne contrôle pas la sécurité des vaccins pendant 12 mois, puis, après 6 mois de contrôle de la sécurité et la preuve évidente des dégâts causés, déforme délibérément les données de sécurité au public. »

Introduction

Il s’avère que le gouvernement israélien n’a jamais mis en place un système de contrôle de la sécurité des vaccins lorsqu’il a lancé les vaccins COVID en décembre 2020.

Finalement, en décembre 2021, soit plus d’un an après le début du programme de vaccination, ils ont décidé de corriger ce défaut. Ils ont commencé à recueillir des données de sécurité à partir de ce moment-là jusqu’à la fin du mois de mai 2022. Ils ont ensuite chargé un groupe de recherche extérieur, dirigé par un scientifique israélien de haut niveau, d’analyser ces données.

Le rapport a révélé que les effets secondaires n’étaient pas légers ni de courte durée, contrairement à ce qui était présenté au peuple israélien. Les données étaient claires : les effets secondaires étaient graves et de longue durée (parfois sans fin en vue).

En bref, les données ont montré que le gouvernement, qui ne contrôlait pas la sécurité comme il le prétendait, a menti au peuple d’Israël. De plus, il est maintenant clair que le Dr Sharon Alroy-Preis a menti au comité externe de la FDA (Food and Drug Administration états-unienne, NdT) au sujet de la surveillance de la sécurité israélienne.

Le ministère de la Santé a dissimulé le rapport de sécurité pendant deux mois, puis a publié un rapport public trompeur pour faire croire que le vaccin était sûr. Ce dimanche 4 septembre, ils vont  » demander  » au comité de sécurité des vaccins de recommander la 5e dose (le vaccin combiné) pour les plus de 60 ans. C’est de la corruption. Ils cachent les données de sécurité au public et ils le savent.

Il a fallu deux mois au ministère de la santé pour déformer les résultats et les présenter au public afin de faire croire que les vaccins COVID étaient sûrs.

Personne ne savait que quelqu’un enregistrait secrètement la réunion entre les chercheurs extérieurs et le ministère de la Santé.

Personne ne savait que la réunion de juin entre les chercheurs et le ministère de la Santé était enregistrée.

Apparemment, il y avait une personne honnête à la réunion et lorsque le ministère de la santé n’a pas agi de manière à protéger le public, l’enregistrement a été divulgué à la presse.

Dans l’enregistrement de 80 minutes, l’un des chercheurs déclare : « Nous devrons penser médico-légal – comment présenter nos résultats pour éviter les poursuites judiciaires. »

Après que des extraits de l’enregistrement ont été divulgués à la presse, aucun des médias israéliens n’a voulu couvrir l’histoire. En fait, un seul média dans le monde, GB News au Royaume-Uni, a accepté de la couvrir. Regardez cette vidéo de l’interview de Neil Oliver par GB News, qui a eu lieu le 20 août 2022.

Fox News a été informé mais a refusé de couvrir l’événement (apparemment parce que leurs contrats publicitaires avec Pfizer leur interdisent de couvrir toute nouvelle négative concernant les vaccins).

Toute l’escroquerie a été révélée au public le 1er septembre 2022 dans ce tweet (de 10 messages) de Yaffa Shir-Raz, une journaliste honnête vivant en Israël.

Je l’ai découvert lorsque Retsef Levi m’a transmis le tweet de Yaffa sur mon compte WhatsApp (étant donné que je suis définitivement banni de Twitter pour avoir dénoncé le manque de sécurité des vaccins). Ma réaction a été rapide… J’ai commencé à rédiger cet article quelques minutes après avoir lu ce tweet.

Le tweet de Yaffa évoque les techniques qui ont été utilisées pour déformer les conclusions des chercheurs :

Si Twitter retire son tweet, j’ai une copie de la vidéo et du tweet complet que je publierai si nécessaire.

La causalité des nouveaux événements indésirables a été prouvée par l’équipe externe.

En outre, de nouveaux événements indésirables significatifs ont été identifiés et le lien de causalité a été établi en interrogeant à nouveau la même personne ; si le symptôme réapparaît ou s’aggrave, c’est un signe certain de causalité.

La causalité a même été établie dans des domaines où les chercheurs n’avaient pas connaissance de problèmes auparavant. Par exemple, pour les problèmes neurologiques, pour lesquels il n’y avait même pas de question d’enquête spécifique (parce que ce n’était pas un effet secondaire officiellement établi), le signal a été détecté en lisant les champs libres.

Points supplémentaires

L’équipe extérieure a été engagée par le ministère de la santé.

La réunion avec le ministère de la santé s’est déroulée début juin devant un haut responsable du ministère chargé de la surveillance des événements indésirables.

Les responsables du ministère de la santé n’ont pas partagé les résultats avec le comité consultatif du ministère de la santé lorsque celui-ci s’est réuni plusieurs semaines plus tard pour discuter de l’approbation du vaccin pour les bébés et du 5e rappel pour les adultes.

Le Dr Alroy-Preis est le numéro 2 du ministère de la Santé. Elle dirige la collaboration officielle entre Israël et Pfizer. Elle rencontre régulièrement les responsables de Pfizer et rédige des articles avec eux. Elle est également responsable de toutes les politiques relatives à COVID 19 en Israël.

Les choses qu’ils ont cachées incluent :

  1. Le fait que, dans la plupart des cas, ces effets ne se sont pas résorbés rapidement (dans certains cas, ils ont duré plus d’un an).
  2. La preuve que le vaccin a causé les événements
  3. Les taux réels ; ils ont manipulé les taux en divisant le nombre de rapports par toutes les doses, en cachant le fait qu’ils avaient le système depuis 6 mois et qu’un seul secteur de santé (HMO) correspondant à 15 % de la population a fait un rapport. Cela rend le dénominateur énorme et le numérateur petit, ce qui masque la signification.

Comment cette corruption a-t-elle pu se produire ?

Mon hypothèse de personne est assez simple :

  1. Elle a été initialement causée par une confiance aveugle dans des figures d’autorité comme Fauci, le CDC, la FDA et Pfizer. Fauci a fait croire à tout le monde, à tort, que le vaccin était la seule solution.
  2. Comme tout le monde voulait mettre fin à la pandémie, ils ont détourné le regard lorsque des problèmes de sécurité sont apparus.
  3. Lorsque les autorités sont prises en flagrant délit, comme c’est le cas dans cette vidéo, elles étouffent l’affaire afin que personne ne soit mal vu (elles-mêmes, le gouvernement, les médias et la communauté médicale traditionnelle).
  4. Toutes ces stratégies d’atténuation étaient totalement inutiles. Nous disposons de protocoles de traitement précoce éprouvés permettant une hospitalisation et une mortalité proches de zéro. Mais parce que Fauci contrôle les NIH, ils ont ignoré tout cela.
  5. Fauci a créé le virus (en finançant le gain de la recherche sur les fonctions à l’Institut de virologie de Wuhan) et est également responsable à lui seul de la réaction qui a tué encore plus de personnes que le virus.

Il existe d’autres perspectives :

  1. Voir « Comment le ministère de la santé est-il devenu l’agent de Pfizer ? » pour savoir comment la corruption s’opère, mais en bref, c’est parce que les responsables gouvernementaux sont amenés à penser que le vaccin est la seule solution et qu’ils signent un accord qui fait de la promotion des vaccins une priorité élevée et des questions de sécurité une priorité faible.
  2. Article sur le contrat entre Israël et Pfizer.

Références / lectures complémentaires

Voici les principales sources :

Le segment GB News du 20 août 2022 où Neil Oliver intervieweYaffa et Retsef. Le post du Rumble a été publié le 28 août, mais comme vous pouvez le voir sur ce tweet, la nouvelle est sortie le 20 août. Ce qui est également étonnant, c’est le peu de réactions (seulement 427 retweets et 912 likes après 2 semaines).6.

  • Cette vidéo de 4 minutes expose le rapport du ministère de la santé qui montre ce que les scientifiques ont réellement dit lors de la réunion secrète. Les scientifiques ont établi que Pfizer a menti à la FDA au sujet des effets secondaires. Cette vidéo ne dure que 4 minutes et tout le monde devrait la regarder. Elle contient les déclarations montrant que dans 65 % des cas neurologiques, les problèmes ne se sont pas résolus.
  • Ce clip d’une minute de l’appel Zoom montre les chercheurs demandant que Sharon soit informé. Les participants du ministère de la santé assurent qu’ils feront en sorte que cela se produise.
  • Ce clip de deux minutes montre le Dr Sharon Alroy-Preis assurant le public que les vaccins sont sans danger pour les femmes, juxtaposé à la vidéo des chercheurs affirmant que les vaccins causent des dommages aux organes reproducteurs des femmes qui, dans certains cas, ne se résorbent pas. Ils soulignent également que la ré-injection entraîne la réapparition du même problème, ce qui constitue une preuve de causalité, surtout lorsque cela se produit chez de nombreux patients. N’oubliez pas que les chercheurs ne savaient pas qu’ils étaient enregistrés. Ils n’auraient jamais dit cela s’ils avaient su qu’ils étaient filmés.
  • Le rapport public du ministère de la Santé (en hébreu) qui dit essentiellement « rien à voir ici les gars, circulez ». Voici la version traduite automatique du rapport public en anglais.
  • La vidéo complète de la réunion entre les scientifiques et les fonctionnaires du ministère de la santé n’a pas été rendue publique… pour l’instant. Cela donne l’occasion aux responsables du ministère de la Santé de se présenter d’eux-mêmes et d’admettre ce qui s’est passé. Le tweet de Yaffa (ci-dessus) contient les informations qui ont été envoyées aux médias. Nous avons également une copie des diapositives qui ont été présentées lors de la réunion. Utilisez le lien « Contactez-moi » si vous êtes une autorité sanitaire (médecin, universitaire, presse, responsable de la santé publique) et que vous souhaitez les voir avant que nous les rendions publiques.

Ces références ne concernent bien sûr que cette histoire particulière. Il y a maintenant plus d’un millier d’articles dans les revues scientifiques publiées et évaluées par des pairs qui montrent que les vaccins ne sont pas aussi sûrs qu’on le prétend. Voir cet article pour un résumé des preuves.

Nous ne voyons que le sommet de l’iceberg pour le moment.

N’oubliez pas que les chercheurs n’ont analysé QUE les cinq effets indésirables graves les plus fréquemment signalés et qu’ils ont découvert de nouveaux éléments dont Pfizer n’avait pas connaissance.

Ils ont exclu les cas les plus graves et les ont confiés à un autre comité pour examen.

Les événements cardiovasculaires constituaient la sixième catégorie la plus fréquente, nous n’avons donc pas de données à ce sujet puisqu’ils n’ont pas été analysés.

Et l’étude n’incluait même pas les cas d’hospitalisation – c’est le rôle d’un autre comité de les examiner.

L’analyse actuelle n’est donc que la partie émergée de l’iceberg.

Le VAERS montre des milliers de symptômes qui sont élevés par ces vaccins par rapport à la normale.

Il y a beaucoup d’autres choses qui n’ont pas encore été révélées au public. Il y a des recherches honnêtes en cours en Israël qui sont ignorées.

Par exemple, saviez-vous que, selon une analyse des données du ministère de la santé, le vaccin COVID tue 40 fois plus de personnes âgées qu’il n’en sauve ?

Le Dr Hervé Seligmann travaille à l’Unité de recherche sur les maladies infectieuses et tropicales émergentes, Faculté de médecine, Aix-Marseille Université, Marseille, France. Il est de nationalité israélo-luxembourgeoise.

En utilisant les données du ministère israélien de la santé, Haim Yative et le Dr Seligmann, chercheurs israéliens, ont découvert que le vaccin COVID-19 a tué 40 fois (40x) plus de personnes âgées que la maladie ne l’aurait fait et 260 fois plus de personnes plus jeunes que le virus ne l’aurait fait, sur une période de 3 semaines après les injections.

Voir :

  1. Données du ministère israélien de la Santé : Le vaccin Pfizer a tué « environ 40 fois plus de personnes âgées que la maladie elle-même n’en aurait tué ».
  2. Vaccination en Israël : Remettre en cause les chiffres de la mortalité ?
  3. La mise au jour des données relatives à la vaccination en Israël révèle une image effrayante.

Autres points à noter

  1. La presse israélienne est fortement contrôlée. Yaffa a été licenciée du plus grand journal d’Israël il y a un an, après y avoir travaillé pendant 20 ans. Son crime ? Elle a écrit des articles que le ministère de la Santé n’a pas appréciés. Il n’est donc pas surprenant que la presse israélienne ait évité de couvrir cette histoire. La situation ne changera que si tous ceux qui lisent cet article le partagent sur les médias sociaux.
  2. Le groupe d’experts a découvert des effets indésirables (EI) non répertoriés par Pfizer (nouveaux signaux), notamment des EI neurologiques, des douleurs dorsales et des problèmes gastro-intestinaux, en particulier chez les enfants. Étant donné que le groupe n’a examiné que les cinq effets secondaires les plus fréquents, il est vraiment troublant qu’il ait trouvé quelque chose de nouveau. Ce n’est pas vraiment une surprise car les données du VAERS, qui sont indépendantes des données israéliennes, montrent la même chose.
  3. Causalité : ils ont trouvé de nombreux cas de rechallenge – récurrence ou aggravation d’un effet secondaire après des doses répétées chez le même individu – ce qui, comme le souligne le chercheur principal, augmente les chances de causalité « de possible à certaine ». Il est donc intéressant de constater que ces chercheurs ont pu facilement déterminer la causalité alors que personne d’autre dans le « monde médical classique » n’y est parvenu. Bien sûr, les « diffuseurs de fausses informations » se sont rendu compte que les données du VAERS le disaient déjà au début de 2021 en raison de la dépendance des symptômes à la dose.
  4. La seule personne qui a finalement tweeté quelque chose est le mari de Sharon AlroyPreis. Il a essentiellement dénigré Yaffa. C’est en fait logique, car lorsque vous êtes incapable d’attaquer les mérites d’un argument, la bonne approche est de censurer l’attaquant ou de s’engager dans des attaques ad hominem.

Un commentaire d’une de mes lectrices en Israël

Considérez ce commentaire :

Je suis israélienne et je dis ce que vous avez écrit (à moi-même et sur quelques comptes facebook israéliens) depuis un bon moment maintenant. Je suis dégoûté par les responsables de notre ministère de la santé qui sont chargés de gérer la crise Corona. Je suis dégoûté par des gens comme Sharon Alroy-Preis qui a témoigné devant le comité d’experts de la FDA comme une groupie ou une pom-pom girl de Pfizer. Comme un petit chiot, désireux de faire plaisir à son maître Pfizer. Si ambitieuse et si désireuse d’aller de l’avant et de paraître importante en se présentant devant ce comité, et si dépourvue de toute responsabilité sérieuse envers les millions d’Israéliens dont elle a négligé la santé. Non seulement elle a trahi la confiance du public israélien, mais par son témoignage déformé, elle a influencé le comité de la FDA, exposant ainsi des milliards de personnes dans le monde aux dangers de ce vaccin, car une approbation de la FDA a une grande portée dans le monde. Elle ne devrait pas seulement être licenciée. Elle devrait aller en prison !

Maintenant, tous les habitants des États-Unis ont au moins un bouc émissaire à blâmer pour tout. On m’a dit que les États-Unis comptaient sur les Israéliens pour le contrôle de la sécurité en raison du triste état des contrôles de sécurité aux États-Unis. Ils n’ont peut-être pas réalisé qu’Israël était encore pire que les États-Unis en matière de contrôle de la sécurité, bien pire.

Violation de la loi américaine par le Dr. Sharon Alroy-Preis

Le fait de faire une fausse déclaration dans une procédure officielle constitue une violation criminelle de la loi américaine (18 USC 1001). Les contrevenants sont passibles de 5 ans de prison.

Considérez les déclarations suivantes faites lors de la réunion du VRBPAC de la FDA le 17 septembre 2021 :

https://www.youtube.com/embed/WFph7-6t34M

« Reckless Levy » est en fait « Retsef Levi ». Mais cette déclaration a été faite à une époque où aucun contrôle de sécurité n’était effectué par le gouvernement israélien.

Elle fait référence à l’affirmation de Retsef selon laquelle le système de notification en Israël était dysfonctionnel (ce qui était le cas) et qu’il n’y avait aucun suivi ou contrôle des EI. Retsef n’a pas menti. Elle a bien dit qu’elle était « surprise ».

Il semble donc qu’il s’agisse d’une fausse déclaration délibérée du Dr Alroy-Preis qui pourrait lui valoir des poursuites pénales de la part du Département de la Justice. Cependant, de telles choses sont peu probables, même si son témoignage a conduit le comité à approuver les vaccins qui ont tué des centaines de milliers d’Américains.

D’un autre côté, elle était peut-être surprise que quelqu’un d’autre que le ministère de la Santé sache ce qui se passait vraiment (donc elle ne mentait pas).

Comment « ils » expliquent ça ? Ils ne peuvent pas !

Les trolls de Twitter ont d’abord affirmé que les vidéos avaient été sorties de leur contexte. Mais cela n’a pas duré longtemps. Maintenant, ils sont silencieux. La stratégie semble être d’ignorer le problème pour qu’il disparaisse.

Comment les experts médicaux américains réagissent

J’ai le numéro de téléphone portable du Dr Grace Lee, responsable du comité ACIP, qui est le comité externe du CDC. Je lui ai donc envoyé cet article par SMS et lui ai demandé des commentaires.

Si elle dit quelque chose, je le signalerai ici. Ne retenez pas votre souffle.

Elle devrait être indignée. Mais elle ne le sera pas. Elle ne dira rien. Elle fera simplement ce qu’on lui dit de faire, c’est-à-dire l’ignorer. C’est comme ça que la science fonctionne. Si vous voulez une preuve de corruption, la voici.

De même, aucun membre de la communauté médicale traditionnelle ne dira un mot. Aucun d’entre eux ne dira quoi que ce soit.

Le professeur Vinay Prasad va-t-il dire quelque chose ? Il est au courant de cet article et j’ai demandé ses commentaires également.

Il s’agit d’un moment décisif pour la communauté médicale traditionnelle mondiale et les revues médicales. Parleront-ils ouvertement ou feront-ils ce qu’on leur dit et resteront-ils silencieux ? Qui sera le premier à s’exprimer ?

Je suppose qu’ils vont tous rester silencieux et ne pas faire de commentaires à ce sujet. Cela vous montre le niveau de contrôle et de corruption.

Voici une liste partielle des personnes à qui j’ai demandé des commentaires :

  1. Marc Tessier-Lavigne, président de Stanford
  2. Lloyd Minor, doyen de la faculté de médecine de Stanford
  3. David Relman, professeur à Stanford
  4. Grace Lee, professeur à Stanford (qui est également à la tête du comité de l’ACIP)
  5. Bonnie Maldonado, professeur à Stanford
  6. Bob Wachter, doyen de la faculté de médecine de l’UCSF
  7. Professeur Vinay Prasad de l’UCSF
  8. Vikas Sukhatme, doyen de la faculté de médecine d’Emory
  9. Professeur Emory Carlos del Rio
  10. Bert Vogelstein, professeur à John Hopkins (le scientifique le plus cité de l’histoire)
  11. Dr. Sanjay Gupta, expert médical de CNN

Je connais toutes ces personnes. J’espère qu’au moins l’une d’entre elles voudra être du bon côté de l’histoire en dénonçant la corruption du ministère de la Santé.

Mais non.

La seule personne qui a répondu est Bert Vogelstein, qui a dit en gros qu’il travaillait sur quelque chose de gros et qu’il ne voulait pas être désorienté. C’est juste. C’est un homme de classe. C’est périphérique pour lui et je le savais quand je l’ai contacté.

Permettez-moi de clarifier ma position :

Une telle corruption scientifique ne devrait jamais être tolérée et ceux qui refusent de s’exprimer publiquement à ce sujet devraient avoir honte d’eux-mêmes.

J’aurais bien demandé à d’autres personnes, mais de nombreux scientifiques de haut niveau dans le domaine des maladies infectieuses m’ont demandé de ne plus jamais les contacter après que j’ai révélé que les vaccins COVID étaient dangereux, en mai 2021. Ils pensaient que j’étais une menace pour la société à l’époque (et le pensent probablement encore).

Cela ne peut pas se produire aux États-Unis parce que le CDC évite de recueillir des données précises sur la sécurité des vaccins.

Les États-Unis disposent d’un système boiteux de suivi des événements indésirables après une vaccination. Ils ont envisagé de le moderniser il y a plus de 10 ans, mais le nouveau système, ESP:VAERS, était trop précis et montrait que tous les vaccins américains étaient dangereux. Le CDC a donc mis le système en boîte. Ceci est documenté au début du livre de RFK Jr, The Real Anthony Fauci.

Le CDC ne commandera jamais une étude pour étudier avec précision les événements indésirables. Le problème ne se pose donc pas aux États-Unis parce qu’ils évitent de collecter les données en premier lieu.

C’est très corrompu, mais cela ne dérange personne, y compris la communauté médicale traditionnelle. Ils ont tous subi un lavage de cerveau pour croire que la FDA est légitime et que tous les vaccins sont sûrs. Mais apparemment, ils savent que ce n’est pas vrai, car aucun d’entre eux ne veut débattre avec RFK Jr de la sécurité des vaccins (il essaie depuis 20 ans de trouver un expert avec qui débattre (Alan Dershowitz ne compte pas)).

Bien sûr, les vaccins Pfizer américains sont tout aussi dangereux que les vaccins Pfizer israéliens, mais les gouvernements et la presse grand public veillent à ce que personne ne l’apprenne, tout comme vous ne trouverez ces informations que sur Substack et dans d’autres endroits, mais jamais dans la presse grand public.

Même lorsqu’un dénonciateur de la FAA se présente avec des accusations graves et irréfutables, la presse américaine évite de couvrir l’événement :

Aujourd’hui, personne ne défie la FDA. Ils font maintenant des approbations de mise sur le marché sans aucune preuve d’un bénéfice clinique et sans approbation par leur propre comité extérieur capturé. C’est scandaleux, mais les médecins restent silencieux.

La FDA vient d’approuver le rappel combiné après que des tests effectués sur 8 souris ont montré que la protection d’Omicron était sporadique et qu’elle n’a pas empêché l’infection chez une seule souris qui a été confrontée au virus. Rien n’a été dit sur les données montrant un bénéfice en termes d’hospitalisation ou de décès.

Ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi ils n’ont pas réalisé l’étude de provocation Omicron sur 200 souris : 100 ayant reçu la série complète de vaccins contre 100 souris n’ayant reçu aucun vaccin, afin de déterminer la mortalité et la morbidité toutes causes confondues. Il s’agirait de données réelles, bien meilleures que celles obtenues sur 8 souris ayant reçu le vaccin, pour la recherche d’anticorps. Mais ils ne l’ont pas fait parce qu’ils savaient que ce serait mauvais.

Au lieu de cela, la communauté médicale et la FDA se contentent d’une étude à un seul bras sur 8 souris qui n’a montré aucun bénéfice clinique du vaccin pour approuver un vaccin qu’ils vont essayer de faire prendre à tout le monde.

C’est vraiment stupéfiant. Cela vous montre clairement à quel point la communauté médicale est brisée. Il devrait y avoir des articles d’opinion dans chaque journal médical sur l’absurdité d’approuver un rappel sans bénéfice clinique chez l’homme ou la souris. Les médecins devraient être scandalisés par cela. Mais ils ne disent rien.

Toutes les souris utilisées dans l’étude sont maintenant mortes (elles ont été tuées dans le cadre de l’étude, ce qui est pratique puisque de cette façon, on ne peut pas suivre leur mortalité).

Sharon Alroy-Preis était-elle dans le coup ?

Il est hautement improbable que le Dr Sharon Alroy-Preis, directrice des services publics du ministère de la santé et conseillère principale pour le COVID auprès du gouvernement israélien, n’ait pas été au courant de tout cela avant la fuite dans la presse.

Comment pouvait-elle ne pas savoir ? Il n’y avait aucun contrôle de sécurité en place avant décembre 2021. Si elle ne le savait pas, elle devrait être immédiatement licenciée pour incompétence. Elle devait donc savoir que des données étaient recueillies et qu’elles étaient analysées. Elle aurait dû être sur les dents en attendant le résultat de la réunion si elle se souciait vraiment de la santé publique. Et comment pouvait-elle ne pas être présente à cette réunion avec les scientifiques ? Qu’est-ce qui pourrait être plus important pour la santé et la sécurité du peuple israélien ? Où était-elle ?

Même si elle n’a manifestement pas assisté à la réunion Zoom parce qu’elle avait des choses plus importantes à faire, elle aurait été informée immédiatement après la réunion par son personnel. C’est le scénario le plus probable à 99,99%.

Mais une fois qu’elle a été annoncée dans la presse, cela a levé tous les doutes.

Si elle n’avait vraiment pas été informée avant l’article du GB News du 20 août, elle aurait immédiatement publié un communiqué de presse indiquant qu’elle n’avait jamais été informée du rapport et qu’il y aurait une enquête. Au lieu de cela, nous n’avons rien entendu. La seule façon dont cela pourrait se produire est qu’elle était dans le coup.

Mon courriel au CDC (Centers for Disease Control) proposant de partager l’information

Je voulais créer un dossier public indiquant que l’information a été offerte à des centaines de personnes qui travaillent au CDC dans le domaine de la sécurité des vaccins. Je prédis que pas une seule personne ne veut voir ces données. Je serais stupéfait si je me trompais.

Voici l’email que j’ai envoyé le 4 septembre 2022 à des centaines de personnes au CDC :

Mon courriel au NIH (National Institutes of Health) proposant de partager l’information

Le Dr Nath a cherché à savoir si les vaccins COVID causent des dommages. Jusqu’à présent, il n’a pas pu établir de lien. Il devrait accueillir ces données à bras ouverts. Ce sont les données qu’il cherche depuis plus d’un an. Mais attention… il va refuser de demander ces données. Qu’est-ce que cela vous dit ?

Et une dernière chose… nous avons maintenant la confirmation de l’effet de mort différée du vaccin ET que les décès sont CAUSÉS par le vaccin.

Il existe une relation dose-dépendante entre le nombre de vaccins COVID administrés et le nombre de décès excédentaires non COVID. Elle est statistiquement significative (p<.001). Voir mon nouvel article mis à jour sur le délai de 5 mois et faites attention à l’excellent travail de John Dee cité dans cet article. Il a utilisé les données du Royaume-Uni uniquement.

Ainsi, les données américaines (le fichier principal des décès de la sécurité sociale que le CDC ne veut pas que nous connaissions), les données européennes et les données britanniques disent toutes la même chose : les vaccins causent un nombre massif de décès.

Résumé et recommandations

Lors de la rédaction de cet article, je me suis entretenu en privé avec le professeur Retsef Levy du MIT et le Dr Yaffa Shir-Raz pour m’assurer que tout était correct.

L’essentiel est là :

  1. Il existe une corruption évidente au sein du ministère israélien de la santé et personne au sein de l’autorité ne demande une enquête.
  2. Plus important encore, l’examen préliminaire des données de sécurité montre clairement que les vaccins sont bien plus dangereux qu’on ne nous l’avait dit, mais aucun gouvernement mondial ne souhaite analyser les données de sécurité d’Israël.
  3. Personne ne dit que ce qui s’est passé en Israël est gravissime. C’est stupéfiant. Personne d’important ne s’exprime !
  4. Personne n’a demandé à voir le rapport du groupe d’experts ou les données sous-jacentes. C’est vraiment stupéfiant.
  5. Le rapport ne représente ici que la partie émergée de l’iceberg puisque seuls cinq types d’événements indésirables ont été analysés.
  6. Ces preuves, combinées aux nouvelles données sur le délai de 5 mois montrant un coefficient de corrélation très élevé (34 %) et une valeur p < 0,001, dressent le portrait d’un vaccin mortel qui devrait être immédiatement arrêté. Nous n’avons même pas besoin de faire référence aux travaux d’autres personnes, comme Yative et Seligmann. Il n’y a pas d’autre moyen d’expliquer ces données. S’il existe un moyen d’expliquer ces données, alors les autorités doivent l’expliquer et ne pas refuser de répondre aux questions des scientifiques et des statisticiens qui ont des opinions opposées.
  7. Conclusion : Sur la base de la corruption du gouvernement, des données de sécurité et de la corrélation entre le vaccin et les décès, le principe de précaution de la médecine exige un arrêt immédiat du programme de vaccination COVID.

Le peuple israélien devrait exiger l’arrêt des vaccins et la démission immédiate de Sharon Alroy-Preis ainsi que de tous les membres de son équipe qui ont participé à la dissimulation. Toutes ces personnes devraient être poursuivies comme des criminels, car c’est ce qu’elles ont fait : elles ont conspiré pour dissimuler des informations sur la sécurité qui auraient pu sauver des vies.

Il est important que l’honnêteté et l’intégrité soient rétablies au sein du ministère de la santé le plus rapidement possible, mais rien ne se passe.

La corruption se poursuivra donc dans le monde entier.

Veuillez diffuser largement cette information. Il est important que cette information soit diffusée. Maintenant.




Les propagandistes de grand chemin en action (crimes et châtiments)

Par Lucien SA Oulahbib

Il y avait bel et bien une ambiguïté pourtant sur l’origine du missile qui a frappé cette maternité dont a parlé Ségolène au dire même de l’influenceuse ukrainienne dont la parole a été immédiatement mise en cause lorsqu’elle l’a indiquée quand elle fut déplacée côté russe… Mais les médias et leurs propagandistes de grand chemin (en particulier un certain Patrick C. et son double Sofia A.) n’en ont cure, ne faisant même pas l’effort de commenter le rapport d’Amnesty International dénonçant l’utilisation d’édifices publics façon Hamas par les forces Azov auxquelles par ailleurs appartiennent les forces de représailles assassinant les supposés traîtres (et leur brassard blanc au bras — on se demande bien pourquoi s’il s’agit d’un « génocide ») par exemple à Butcha…

Mais s’il n’y avait que cela… Les travaux de cette courageuse députée européenne Virginie Joron, et de Pierre de Décoder l’éco montrent bien que tout est faux dans le discours bien plus hygiéniste que sanitaire : cela ne soigne guère, bien au contraire, et certainement pas les formes dites graves qui ne l’auraient pas été si l’on soignait en amont… Mais l’hypnose, le lavage de cerveau, la volonté aussi de se soumettre, le relativisme qui fait hausser les épaules à un directeur d’hôpital lorsque je lui parle de traitements précoces sous protocole Raoult et Perronne, et m’assénant qu’il ne vaut mieux pas prendre l’ascenseur ensemble (d’un immeuble privé), car la maladie est là (!) me lançant alors son titre pour preuve (!) tous ces éléments forgent une croyance magique en des totems inopérants, mais maquillés sous forme moderne en muselières, injections, « distanciations » diverses.

Ne parlons pas des pénuries spéculatives et liées aussi à des pratiques sadiques et cyniques allemandes ayant cherché à ruiner le parc nucléaire français en échange d’une planche à billets généreuse permettant de payer une haute administration onéreuse sans oublier les alliances entre « copains et coquins » que Poniatowski en son temps avait déjà dénoncées sous Giscard.

On ne voit pas pourquoi ce phénomène affairiste criminel se serait arrêté en 1974.

Aujourd’hui cette dérive macabre se double d’une négation nihiliste de grande ampleur qui n’en est qu’à ses débuts puisqu’il s’agit d’art contemporain ou comment se servir d’éléments réels (humains, école, justice, frontières) comme matériaux divers en vue d’édifier l’œuvre de destruction totale, celui du néonazisme se servant du néo-léninisme comme cache-sexe (lui-même en pleine diff-errance).

Pendant ce temps les “résistants”, eux, discutent d’un autre sexe, celui des anges : qui est le plus “pur” le plus ceci ou cela….




Réchauffement climatique : enquête sur une manipulation mondiale (Alban d’Arguin)

[Source : medias-presse.info]

Alban d’Arguin est titulaire d’un DEA de droit public et d’un DEA d’histoire du droit. Il avait déjà publié le livre Éoliennes : un scandale d’État et fait une importante tournée de conférences sur le sujet. Il revient avec un autre livre qui affronte vent debout la doxa dominante sur le réchauffement climatique.

Publiée chez Pardès, cette enquête sur une manipulation mondiale est de nature à provoquer quelques syncopes parmi les fameux « experts » du GIEC. Alban d’Arguin commence à juste titre par nous rappeler qu’il faut connaître le passé climatique pour éclairer le présent et prévoir sérieusement l’avenir. Or, l’étude de ce passé climatique sur 3 500 ans démontre que le climat n’a jamais été stable, que les mouvements du climat sont des alternances de périodes chaudes et froides. C’est d’ailleurs le réchauffement climatique de la fin du 1er millénaire qui a permis l’expansion territoriale des Vikings et leurs raids jusqu’à l’île de Noirmoutier. L’étude de l’histoire climatique démontre que la fonte des glaciers alpins au Haut-Moyen Âge fut plus accentuée que celle observée actuellement. Plus amusant encore, il apparaît que les différentes périodes de réchauffement climatique à travers l’Histoire ont toujours été bénéfiques pour les humains. Ainsi, lors du réchauffement climatique du Haut-Moyen Âge, la culture des céréales se pratiquait en Islande et les vignobles anglais connaissaient leur apogée.

Ensuite, Alban d’Arguin passe à la moulinette les « experts » contemporains du réchauffement climatique, expliquant les falsifications du professeur Mann, la mise en scène du professeur James Hansen puis les manipulations de Benjamin Santer au nom du GIEC, sans oublier les interventions d’Al Gore et même de Fabius. Alban d’Arguin dévoile les preuves de la fabrication de ce qui n’est qu’une idéologie érigée en dogme, mise au service du mondialisme, avec la complicité d’une multitude d’ONG, mais aussi de l’Église moderniste qui cède à toutes les ukases du Nouvel Ordre Mondial.

Ce livre finit par mettre en lumière comment derrière la « guerre climatique » se cache une guerre mondiale de l’énergie et un véritable enjeu géostratégique devant aboutir à l’émergence visible du gouvernement mondial et l’effacement des nations.

Cet ouvrage d’Alban d’Arguin mérite amplement l’intérêt médiatique qu’il rencontre ces jours-ci parmi les médias alternatifs.

Réchauffement climatique, Enquête sur une manipulation mondiale, Alban d’Arguin, éditions Pardès, 260 pages, 20 euros

À commander en ligne ici




Affaire Cohen et Lina, l’association E3M cherche plutôt des vrais journalistes

[Source : aimsib.org]

Dans ce déferlement d’anti-démocratie qui écrase tout l’occident depuis bientôt trois ans, on comprend que rien n’aurait été possible si le journalisme libre avait tenu le cap de la liberté des opinions ainsi que du respect des Lois. Hélas, notre presse européenne s’est largement et immédiatement laissée bâillonner sans la moindre velléité de résistance, c’est ainsi. Didier Lambert, Président de l’Association E3M(([1] https://www.asso-e3m.fr/)), vous en donne un étonnant exemple ici : quand des médecins se font prendre la main dans le sac de la corruption/compromission par leurs instances ordinales et qu’ils sont condamnés pour leurs actions répréhensibles, comment réagit la presse nationale française ? Bonne lecture.  


Par Didier Lambert

Une société est-elle en danger lorsque ses experts sont sous influence de l’industrie, et la majorité de ses médias muets sur le lobbying ou la corruption en cours ? C’est tout l’enjeu de cette affaire révélée par les sanctions infligées à deux personnalités du monde de la santé.

Deux leaders d’opinion sanctionnés par la justice – Les faits

Deux éminents leaders d’opinion dans le domaine de la vaccination, Robert Cohen (en haut) et Bruno Lina (en bas) viennent de recevoir un avertissement de la Chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins.

Ils sont intervenus dans plusieurs médias pour défendre la présence d’aluminium dans les vaccins, mais sans mentionner leurs liens d’intérêts, très importants, avec l’industrie pharmaceutique liée aux vaccins (avec aluminium bien sûr). Or, la loi les oblige à cette transparence (voir le communiqué E3M(([2] Nous avions demandé que les Pr Lina et Cohen soient condamnés non seulement pour leurs liens d’intérêts non déclarés, mais aussi pour « manque de prudence dans leurs propos » (ce que prévoit la loi), dans la mesure où ils exonèrent l’adjuvant aluminium, ainsi que les vaccins contre le papillomavirus, de tout effet indésirable grave. La Chambre disciplinaire n’y fait pas référence pour le Pr Cohen, et blanchit le Pr Lina sur ce point. Le fait que la Chambre, bien que présidée par un juge du Conseil d’Etat, soit composée de médecins élus par le Conseil de l’Ordre, n’est sans doute pas étranger à cette décision.)) du 20 juillet 2022).

Les faits se sont déroulés début 2017 et cette date n’est pas anodine.

En 2016, se tenait la concertation citoyenne sur la vaccination, pilotée par le Pr Fischer. Cette concertation fut un simulacre de démocratie.

Les jurys citoyens et professionnels de santé, mis en place pour exprimer la volonté populaire, ont voté contre l’élargissement de l’obligation vaccinale (à 75%) et demandé à l’unanimité la mise à disposition de vaccins sans aluminium. De plus, ils n’ont pas voulu encourager la vaccination contre le papillomavirus (HPV), objet de nombreuses critiques. Le « comité Fischer » est passé outre l’avis des jurys, préconisant dans son rapport du 30 novembre 2016 l’élargissement de l’obligation vaccinale à 11 pathologies et l’extension de la vaccination HPV aux jeunes garçons, sans remettre en cause la présence d’adjuvants à base de sels d’aluminium.

(Lire le rapport E3M, publié en février 2017, intitulé Concertation nationale sur la vaccination : un échec dangereux pour la santé publique et la démocratie.)

Au cours de l’année 2017, certains leaders d’opinion, et particulièrement les Pr Cohen et Lina, se sont répandus dans les médias, encourageant la ministre de la Santé à appliquer le rapport du Pr Fischer. E3M n’a ciblé que 3 interviews dans sa plainte, parmi de nombreuses autres. Leurs interventions médiatiques répétées ont bien évidemment eu une influence dans l’appréhension des risques par les médias, qui ont pu ensuite « rassurer » l’opinion publique…

Le 5 juillet 2017, la ministre Agnès Buzyn annonçait qu’elle proposerait à la représentation nationale d’élargir l’obligation vaccinale à 11 pathologies. Le projet de loi fut débattu début novembre 2017. Pour emporter l’adhésion des parlementaires, la ministre, soutenue par le rapporteur de la Commission des Affaires Sociales de l’Assemblée Nationale, Olivier Véran, s’appuya sur les résultats de la « concertation citoyenne ».

En outre, elle n’hésita pas à diffuser plusieurs fausses informations, ce qu’E3M dénonça dans un communiqué, malheureusement très peu relayé dans la presse alors même qu’il s’agissait d’une manipulation de l’opinion.

L’Assemblée Nationale, puis le Sénat, votaient ensuite ces mesures, et le 1er janvier 2018 se mettait en place l’obligation vaccinale contre 11 pathologies, avec des vaccins contenant pour la plupart des sels d’aluminium. En 2020, la vaccination contre le HPV des garçons âgés de 11 à 14 ans intégrait le calendrier vaccinal, le Gardasil et le Cervarix contenant un adjuvant aluminique…

Ce rappel du déroulé des événements met en évidence le fait que la présence médiatique des leaders d’opinion Cohen et Lina répondait à un objectif clair : soutenir la politique vaccinale définie par le Pr Fischer et promue par la ministre de la Santé Agnès Buzyn. Seul problème : ces « experts » avaient caché leurs liens (très importants) avec l’industrie pharmaceutique. Nous les avons exposés à la lumière dans notre communiqué du 29 juillet 2022.

Conflits d’intérêts = danger pour la santé et pour la démocratie

« Savoir qui parle, pour permettre de distinguer les vessies de la communication des lanternes de l’information, n’est pas un point de détail en matière d’information et particulièrement d’information de santé » 

(Formindep(([3] Formindep = association de lutte contre les conflits d’intérêts dans le monde médical)) – 2009).

Rappelons en effet que tout lien d’intérêt, même minime, génère une relation de subordination ou tout au moins de connivence entre l’entreprise et le bénéficiaire des versements.

Le président de l’Ordre des médecins lui-même précise en outre que « plus le nombre de liens spécifiques établis avec un industriel dans le cadre d’actions concordantes sera important, plus la question de l’indépendance du praticien se posera avec acuité »

(Patrick Bouet – 2016).

« Les études montrent que les leaders d’opinion jouent un rôle majeur en crédibilisant les messages des laboratoires (…). Cela s’inscrit dans une « stratégie globale d’influence » de la part de l’industrie pharmaceutique, comme l’indique l’IGAS dans un rapport de 2007 »

(Prescrire – 2008).

Cela est d’autant plus important que « les leaders d’opinion des firmes pharmaceutiques irriguent et contrôlent, sous la dénomination d’experts, l’ensemble du milieu sanitaire, la formation des étudiants, la formation continue des professionnels, l’expression médiatique vers le public et les usagers de soins, les décisions et la direction des agences sanitaires, les cabinets ministériels, etc. »

(Formindep – 2011).

« Ces liens d’argent savamment entretenus par les laboratoires pharmaceutiques avec le monde de la médecine sont à l’origine de conflits d’intérêts qui entachent la plupart des scandales sanitaires », rappelle Stéphane Horel

(Le Monde, 2020).

La confession, tardive mais lucide, du PDG de Lilly

« J’ai vendu mon âme au diable », reconnaît John Virapen, ancien PDG du laboratoire Lilly en Suède, dans son livre traduit, préfacé et commenté par le Pr Philippe Even en 2014(([4] John Virapen – Médicaments effets secondaires : la mort – Editions du Cherche-Midi, 2014.)). Quelques extraits illustrent ce terrible aveu qui ne peut nous laisser indifférent :

« Les leaders d’opinion ne s’appuient pas nécessairement sur des preuves irréfutables et vont parfois jusqu’à en fabriquer ou en sélectionner de fausses. Les soi-disant leaders d’opinion (…) sont payés pour donner et diffuser un avis favorable sur les médicaments, d’abord oralement, à la tribune des congrès organisés et financés pour cela par l’industrie pharmaceutique, et surtout par écrit dans les journaux scientifiques largement commandités par l’industrie (aucun ne peut survivre sans elle).»

« Savez-vous qu’il y a sur le marché des médicaments dont l’autorisation n’a été obtenue que par la corruption financière des experts ? J’ai aussi corrompu des décideurs politiques ou de la haute administration de santé. Les autorités sont corruptibles, les experts sont corruptibles et les médecins aussi. Et comme ils sont corruptibles, quelques-uns, qui se trouvent à un moment donné dans une position décisionnelle clé, sont corrompus ».

« Ces médecins étaient de ceux qu’on appelle les leaders d’opinion, choisis et financés par nous en raison de leur complaisance pour diffuser les avis les plus favorables sur nos nouvelles molécules, donc évidemment pas en les convainquant de leurs qualités, mais tout simplement en les payant. Très cher. »

« Ne croyez pas une seconde que les compagnies pour lesquelles j’ai travaillé soient des cas isolés et je ne suis pas moi-même un cas isolé. Tout le système fonctionne de cette façon et les bénéficiaires de ces enveloppes ne sont pas non plus, et très loin de là, des cas isolés. C’est une pratique quotidienne dans l’industrie pharmaceutique. Une pratique de marketing normale. »

Des médias bien silencieux

Aucun journaliste digne de ce nom ne peut ignorer la pratique du lobbying par l’industrie pharmaceutique. Les journalistes spécialisés en santé et les journalistes d’investigation connaissent les actes de corruption dévoilés par John Virapen, mais aussi la « fabrique du mensonge »(([5] Voir le livre éponyme de Stéphane Foucart paru en avril 2014 aux éditions Gallimard Folio.)), une pratique de l’industrie visant à contrer une science qui pourrait les empêcher de poursuivre leurs activités.

Le communiqué de presse que nous avons diffusé le 29 juillet 2022 a été repris par la presse spécialisée (APMnews, Quotidien du Médecin, JIM, Hospimedia), avec relai par des médias Lyonnais du fait de la notoriété du Pr Lina dans sa région (Fr3, Lyon capitale, Tribune de Lyon). Nous nous en réjouissons, même si le contenu de certains articles nécessiterait une réponse, voire un débat.

Mais aucun média généraliste national ne s’en est fait l’écho, à notre connaissance. Aucun article de fond n’a été publié. N’est-il pourtant pas question de transparence, d’information « libre et non faussée » des citoyens, des sujets de la plus haute importance en démocratie ? N’est-il pas important d’informer le public que, pour la première fois, une sanction a été appliquée en application de l’article L 4113-13 du Code de Santé Publique, qui vise justement à protéger les citoyens de l’influence de l’industrie pharmaceutique ?

Nous pourrions imaginer que les rédactions soient toutes en vacances… Mais sans doute est-il plus juste de l’écrire au singulier :

Il y a une vacance totale du journalisme sur le sujet de la vaccination et nous le constatons depuis 2018.

Auparavant, les communiqués d’E3M étaient régulièrement repris dans la presse écrite, E3M ou les chercheurs spécialisés sur le sujet étaient invités dans des émissions radios ou sur des plateaux de télévision. Bref, le sujet « aluminium vaccinal » était un sujet de société, ce qui est logique dans la mesure où toute la population est concernée par cet acte de santé publique !

Depuis 5 ans, les portes de quasiment tous les médias se sont refermées.

https://www.sciencedirect.com/
science/article/abs/pii/S1568997219301090?via%3Dihub

Et pourtant, le dernier article scientifique de l’équipe INSERM des Pr Gherardi et Authier et de la Dr Crépeaux, publié en 2019 dans une revue à comité de lecture, présente « des preuves épidémiologiques, cliniques et expérimentales comme quoi l’EM/SFC [Encéphalomyélite Myalgique / Syndrome de Fatigue Chronique] constitue un type majeur d’effet indésirable des vaccins, en particulier ceux contenant des adjuvants aluminiques particulaires peu dégradables » (Version originale – Version française). Parmi les adhérents d’E3M malades d’EM/SFC, 96% sont en invalidité, dont les ¾ en invalidité totale. De plus, d’autres pathologies pourraient être induites par les adjuvants aluminiques, sous réserve d’études complémentaires (scléroses en plaques, scléroses latérales amyotrophiques, troubles du neurodéveloppement…). Un sujet secondaire qui ne justifie pas une information large du public ?

De l’aluminium vaccinal à la crise de la Covid

Ce silence des médias recouvre maintenant la crise du Covid.

  • Comment la plupart des journalistes ont-ils pu accepter sans sourciller, sans questionner, sans enquêter que le gouvernement interdise aux médecins généralistes de prendre en charge leurs patients avec des traitements de première intention,
  • Comment admettre qu’il impose des mesures de confinement de toute la population,
  • Comment accepter qu’il rende obligatoire (ne jouons pas sur les mots) l’injection de vaccins expérimentaux dont on ne connaissait rien notamment sur les effets indésirables à moyen et long terme, comme nous l’avons écrit à plusieurs reprises (rappel de la position d’E3M), et ceci sans débat parlementaire ?
  • Comment ont-ils pu ne pas analyser d’un œil critique les essais menés par les fabricants avant la mise sur le marché ?
  • Pourquoi n’ont-ils pas réclamé la composition précise de ces vaccins, alors que des effets indésirables graves et nombreux leur sont imputables, nécessitant que soient compris au plus vite les processus physiologiques qui pourraient les expliquer, notamment pour soigner les malades ?
  • Pourquoi n’ont-ils pas interrogé la décision du gouvernement de suspendre des personnels non-vaccinés et de les laisser sans aucun revenu ?
  • Comment ont-ils pu se taire face aux actes de censure menés tant par les pouvoirs publics (vis-à-vis de scientifiques et professionnels de santé) que par les GAFAM (fermeture de comptes, blocage de vidéos, etc.) ?

Nous-mêmes sommes aussi visés par cette censure, puisque Youtube a bloqué notre documentaire L’aluminium, les vaccins et les deux lapins…, ainsi que des interviews de chercheurs dont le Pr Christopher Exley, spécialiste international de la toxicité de l’aluminium.

Silence total de la presse, aucun média n’a relayé notre communiqué. Tout ceci est littéralement inconcevable… Il y a 50 ans, on entendait Il est interdit d’interdire. Le retour de balancier est brutal !

Le réveil des journalistes est urgent, il en va de notre démocratie

E3M serait-elle devenue complotiste et anti-vaccinale ? Non, simplement et comme toujours, elle utilise son bon sens, s’appuie sur l’analyse des faits, notamment scientifiques, et reste habitée par une volonté profonde de justice.

Il est indispensable de connaître les éventuels liens d’intérêts de ceux qui passent par les médias pour nous convaincre de la justesse de leur analyse, de leur position, de façon à ne pas prendre « des vessies pour des lanternes ». Nous demanderons à l’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique) qu’elle fasse respecter la loi et veille à ce que les journalistes interrogent leurs invités sur leurs éventuels liens d’intérêts.

Dans le domaine qui est le nôtre (adjuvant aluminique), nous resterons vigilants à ces déclarations préalables à toute intervention médiatique et nous n’hésiterons pas à engager (avec le soutien de tous ceux qui veulent être à nos côtés) de nouvelles procédures.

Mais les médias doivent réagir sans tarder. L’argent qu’ils reçoivent de l’État les oblige à une éthique irréprochable et ils se doivent de respecter la Charte de déontologie de Munich. C’est leur rôle, lorsqu’ils reçoivent un expert, d’éclairer les lecteurs, auditeurs, téléspectateurs sur son degré d’indépendance vis-à-vis des lobbies ! Sinon, ils sont complices de désinformation. Ils doivent en outre diffuser et expliquer les analyses de TOUTES les parties prenantes, y compris bien évidemment celles qui expriment une analyse critique de l’action gouvernementale ou institutionnelle.

Nous interpellons les journalistes : vous devez retrouver au plus vite votre liberté de pensée et de parole, imposer dans vos rédactions la prise en compte des opinions minoritaires, favoriser la pluralité du débat, vérifier les sources de vos interlocuteurs. Et si quelqu’un cherche à vous en empêcher, les citoyens seront à vos côtés.

Il en va de notre démocratie. Tout simplement.

Didier Lambert
Président E3M
Membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance ANSM de septembre 2019 à juin 2021
Août 2022

Pour soutenir l’action d’E3M : https://www.vaccinssansaluminium.org/faire-un-don/

Notes et sources




Selon Mgr Viganò, Le Great Reset (ou Réinitialisation) est une religion

[Source : Civitas]

[Voir aussi :
UDT Civitas 2022 : transcription de la conférence de Mgr Viganò et de ses réponses aux questions des participants]

[Voir aussi :
Une emprise sur l’Humanité
Monseigneur Viganò : « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’État mondial »
Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Fuellmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». Seconde partie
Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]




Plainte contre le ministre de l’Éducation PAP NDIAYE pour propagande vaccinale auprès des enfants

[Source : reaction19.fr]




Avec quelles techniques de marketing Macron nous vend-il la guerre contre la Russie ?

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

La guerre contre la Russie est en marche. Elle est amenée par une propagande habile, qui utilise les mêmes techniques de marketing que la promotion du vaccin contre le coronavirus. C’est le propre des systèmes oligarchiques que de remplacer la délibération politique rationnelle par des techniques de persuasion à destination du petit peuple qui reposent sur une manipulation des esprits en bonne et due forme. Le discours de Bormes-les-Mimosas, prononcé il y a quatre jours, en a donné une nouvelle démonstration. On le décrypte pour vous.

Les techniques de marketing qui ont permis de vendre massivement le vaccin (et sur lesquelles nous nous attarderons prochainement) sont à nouveau de sortie, cette fois pour nous vendre la guerre contre la Russie. Je reviendrai plus longuement dans les semaines qui viennent sur les ficelles qui sont tirées et actionnées pour transformer notre participation à ce conflit suicidaire et impérialiste en un combat du bien et de la liberté contre le mal et l’oppression. 

Je voulais simplement aujourd’hui reprendre le discours d’Emmanuel Macron prononcé à Bormes-les-Mimosas afin de montrer par quels procédés grossiers le politique travestit la réalité pour susciter des comportements d’obéissance au sein de la population.

Le cartel de la presse subventionnée se mobilise

Premier point, sans surprise, et archiconnu (mais c’est bon de pointer du doigt chaque utilisation du même système), la propagande et son marketing à la Mc Kinsey ne fonctionneraient pas si le pouvoir ne disposait pas de l’armée culturelle appelée « médias », entièrement à sa botte. 

Je me suis appesanti, cet été, sur le concept en vogue dans la caste : la militarisation de l’information (weaponization of information). Cette militarisation s’appuie sur des troupes : les légions de journalistes stipendiés pour diffuser la version officielle des faits, celle qui sert le pouvoir et sa vision. 

Cette armée de métier est entretenue avec soin par une poignée de milliardaires dont les affaires sont protégées par le pouvoir en place…

La preuve ? J’ai fait le choix de reproduire ici la totalité du discours de Macron. Il dure 20 minutes. Le cartel des médias en a unanimement diffusé un seul extrait : celui qui appelle les Français à « payer le prix de la liberté » en menant la guerre contre la Russie (soit une seule minute parmi les vingt du discours). On ne pouvait trouver meilleure preuve de l’orchestration de la propagande. 

Si les médias de la caste n’étaient pas téléguidés pour nous vendre la guerre avec des arguments tout préparés, d’autres extraits du discours auraient été repris… Mais la diversité de la presse appartient à un autre temps. 

Macron a caricaturé la militarisation de l’information

Pourtant, l’ensemble du discours de Macron a constitué un remarquable exercice de militarisation de l’information. Prononcé pour célébrer le débarquement de Provence en 1944, donc pour exalter la guerre patriotique, il a mélangé dans un même mouvement et un même souffle épique la peur du prétendu réchauffement climatique et la peur de la Russie. On ne pouvait mieux illustrer la profonde unité du feuilleton dont le premier épisode s’est appelé “COVID”, dont l’épisode suivant s’appelle “Ukraine”, et dont le prochain épisode s’appellera “sauver la planète”. 

Ces narratifs, comme il est convenu de dire désormais, tous bâtis sur les mêmes ressorts (la guerre de survie face à un ennemi imminent), ne sont au fond, on le comprend peu à peu, qu’une propagande orchestrée pour “découpler” le monde, c’est-à-dire pour faire tomber un nouveau rideau de fer (à nos risques et périls) entre l’Occident et un bloc sino-soviétique aux contours encore flous. L’enjeu est que, parmi les Occidentaux, l’opinion publique soutienne la guerre qui se profile et son nouvel ordre international subséquent, de la façon la plus fluide possible, comme ce fut le cas pour la guerre en Irak ou en Syrie. 

Mais il y a une différence de taille, cette fois : la guerre aura lieu sur le sol européen, et le tribut à payer sera bien plus lourd que le simple soutien à des mouvements terroristes comme al-Nosrah, soudain devenus amis, ou comme le simple envoi de troupes de métier à la périphérie du conflit. Cette différence n’est pas neutre, et risque de changer quelque peu la donne pour les gouvernements européens qui vont s’y essayer. 

Marketing tous azimuts pour préparer la guerre

Compte tenu de ces risques, la propagande à la Mc Kinsey donne donc la garde et l’arrière-garde pour emporter le morceau. 

La plus grosse ficelle repose sur un “narratif” binaire totalement enfantin qui s’impose grâce à des “biais cognitifs”.

Officiellement, la méchante Russie dirigée par le cruel Poutine a ignominieusement et lâchement attaqué le vaillant petit peuple ukrainien, dirigé par le courageux Zelenski, élu démocratiquement. Cette guerre en Ukraine menacerait directement notre territoire, et nous devrions donc préparer un nouveau débarquement. Pas en Provence, bien sûr (pas tout de suite en tout cas), mais en Ukraine. C’est “le prix de la liberté”, que nos anciens ont payé, et que nous devrons payer à notre tour. Nous voguons entre le conte de Perrault et l’Odyssée. 

On voit ici comment Macron franchit allègrement un point Godwin, aussi appelé “reductio ad Hitlerum” : Poutine, c’est Hitler. L’Ukraine, c’est la France occupée. 

Pour que cette trame puérile fonctionne, il faut évidemment mobiliser les techniques de manipulation dérivées du marketing. C’est d’autant plus indispensable que cette forgerie historique s’adresse en priorité aux catégories socioprofessionnelles supérieures, dont on pourrait croire qu’elles sont intellectuellement armées pour ne pas être dupes de ce type de propagande binaire. 

L’orchestration des biais cognitifs

D’un point de vue rationnel, la théorie selon laquelle Poutine serait monolithiquement le méchant et Zelenski monolithiquement le gentil ne convaincrait aucun enfant de plus de douze ans. Pour que ce scénario fonctionne, il faut donc faire entrer les cerveaux au chausse-pied dans les godillots préparés par la caste. 

Pour ce faire, le cartel de la presse subventionnée a truffé l’information de “biais cognitifs”, c’est-à-dire de freins à la connaissance, c’est-à-dire de désinformation systématique. 

Schématiquement, la presse subventionnée diffuse aujourd’hui trois types de désinformations. 

Dans la catégorie la plus subtile, on classera les mensonges par omission. “On” oublie de rappeler que, pendant plusieurs mois, le gouvernement russe a expliqué publiquement que la nucléarisation d’une Ukraine membre de l’OTAN serait un casus belli, et que, malgré ces avertissements, les Américains sont passés outre et ont autorisé Zelenski à annoncer l’installation d’armes nucléaires américaines sur son sol. 

Cet oubli n’est pas le moindre, mais il y en a bien d’autres, au jour le jour, trop longs pour être signalés ici.

Un deuxième type de désinformation consiste à servir des carabistouilles fabriquées par la CIA et ses sbires. Ainsi, Bruno Le Maire avait annoncé que la Russie s’effondrerait en quelques jours grâce aux sanctions économiques. Nous en sommes au septième paquet de sanctions, et nous ne voyons toujours rien venir. La propagande de la CIA avait aussi annoncé que Poutine avait un cancer, que l’armée russe était au bord du gouffre, que Zelenski allait lancer une contre-attaque foudroyante, que le peuple russe allait se révolter contre son dictateur et bourreau. Tout cela était en réalité du pipi de chat. 

Un troisième type de désinformation appartient à la catégorie des mensonges éhontés déjà utilisés il y a vingt ans pour nous faire croire aux armes de destruction massive en Irak. C’est l’effroyable mise en scène de Bucha, où les vrais cadavres étaient probablement ceux laissés par les régiments nazis de la garde ukrainienne, qui ont puni des habitants accusés d’avoir collaboré. Ce sont les images bidon, comme celle d’une cheminée sur un toit, présentée comme un missile russe non explosé. On en passe, et des meilleures. 

Ces techniques permettent de maintenir le citoyen moyen qui n’a pas le temps de s’informer dans l’ignorance de la réalité, de l’enfermer dans la matrice officielle où il tient le rôle du gentil face aux méchants.

Utilisation systématique de trolls et d’algorithmes

Pour maintenir le citoyen moyen sous le dôme de la bêtise et du biais cognitif, les services secrets, comme nous l’avons déjà montré cet été, utilisent un arsenal d’armes numériques secrètes qui bloquent toute forme d’information alternative. 

Parmi ces armes, les algorithmes des réseaux sociaux permettent d’éviter la propagation des informations publiées par les comptes dissidents. Certains comptes sont fermés. 

Lorsque ces armes ne suffisent pas, une armée de trolls pollue les fils d’information qui déplaisent. Je consacrerai prochainement un article à ces techniques. 

Leur objectif est simple : empêcher l’information libre de circuler, et discréditer ses auteurs, notamment en les privant de ce que les marketeurs appellent la “preuve sociale”. Pour faire simple, il s’agit de dégrader l’image de ceux qui contestent les versions officielles, pour les rendre inaudibles. 

À mon tour de franchir un point Godwin : les nazis pratiquaient déjà cette méthode en appelant les résistants des “terroristes”. 

Orchestrer l’incertitude collective avec des pénuries

Mais les maîtres de la propagande occidentale ont retenu une grande leçon vérifiée à de nombreuses reprises dans l’histoire, et qui est pour tout dire une constante de l’âme humaine : l’incertitude collective est la clé de toutes les dictatures. Pas de renoncement simple aux libertés en phase de prospérité. Pas de renoncement simple à l’autorité fascisante d’un chef en phase d’incertitude. 

Donc, plus l’univers est incertain et chaotique, plus le peuple accepte l’autorité excessive d’un seul homme. 

La brève histoire du COVID l’a montré : ceux qui ont perdu leurs repères rationnels après deux mois de confinement, et croyaient mourir à chaque éternuement de leur voisin de palier, étaient prêts à toutes les aventures autoritaires pour survivre et prendre des cafés aux terrasses des boulevards. 

C’est, de mon point de vue, de cette façon qu’il faut comprendre l’orchestration des pénuries actuelles et à venir. L’huile de tournesol a disparu des rayons. On annonce désormais un hiver sans électricité et sans gaz, tout cela à cause du méchant Vladimir Poutine. 

Bien entendu, la Russie continue à nous fournir du gaz et de l’électricité. Mais on fait croire le contraire pour obtenir deux résultats majeurs dans les comportements collectifs. 

Le premier résultat attendu est cette fameuse incertitude collective qui fait, tant que le chef n’est pas complètement déceptif, le lit de la dictature. C’est mécanique : quand les gens ne savent pas, ils se tournent sans réfléchir vers ceux qui savent. Les plonger artificiellement dans l’incertitude permet donc de les avoir avec soi. 

Le deuxième résultat est celui de “l’effort supplémentaire”. Les gouvernements occidentaux ont déjà utilisé la technique avec les vaccins : au début, il n’y en avait pas pour tout le monde. Il y avait une rupture de stock. Il fallait souffrir pour les avoir. 

La mécanique est la même : il n’y en aura pas pour tout le monde ! il faudra souffrir ! les choses qui comptent le plus sont celles qu’on obtient avec le plus d’efforts ! Donc, pour rester libre, il faudra faire la guerre à Poutine, donc se priver de gaz et d’électricité. 

Je ne donne pas trois mois pour voir fleurir, un peu partout, des groupes de volontaires pour se priver de chauffage cet hiver. Bien entendu, ces groupes seront stipendiés par le pouvoir pour donner l’exemple et transformer la privation en fierté, comme ceux que l’on bizute à l’université, et qui se taisent pour montrer « qu’ils en sont ». 

Là encore, la ficelle marketing est bien connue, et analysée de longue date par les sociologues. 

Encore une fois, la technique des petits pas

On le voit, les techniques de manipulation vont très loin, et je tiens pour acquis que les rumeurs alarmistes sur les coupures de gaz et d’électricité sont faites pour nourrir un désir de guerre et ne susciteront pas son rejet. 

Cet ensemble s’inscrit dans une logique de petits pas déjà éprouvée avec le COVID. Car l’annonce par Macron de la guerre avec la Russie date d’il y a plusieurs semaines. Macron sait, en bon marketeur, qu’il faut procéder par petits pas pour imprégner les esprits sans susciter de réticence bloquante. 

La même technique était utilisée par les communistes chinois, dans les années 50, avec les prisonniers américains de la guerre de Corée. Pour les « retourner », la propagande était quotidienne et « emmenait » peu à peu les prisonniers dans une dénonciation en bonne et due forme du capitalisme. 

La CIA a retenu la leçon. Elle nous emmène désormais dans l’obéissance à ses règles par petites touches, sans que nous ne nous en rendions compte.




Celui qui contrôle l’approvisionnement alimentaire contrôle les gens


[Source : www.kla.tv]

« Celui qui contrôle l’approvisionnement alimentaire contrôle les gens ; celui qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; celui qui contrôle l’argent peut contrôler le monde. »

[Voir aussi :
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]

Transcription

La réalisation de cette citation d’Henry Kissinger(([1] NDLR La citation exacte serait la suivante :
« Si vous contrôlez le pétrole, vous contrôlez le pays, mais si vous contrôlez les semences, vous contrôlez l’alimentation. Et celui qui contrôle l’alimentation tient la population en son pouvoir. » d’après citations.ouest-france.fr)) se déroule sous nos yeux. Pourtant, la majorité de l’humanité n’y prête guère attention. Les mondialistes s’emploient activement à mettre la main sur l’approvisionnement alimentaire et à mettre en place un nouveau système alimentaire qui permettra de contrôler l’approvisionnement alimentaire mondial. Ce système est de plus en plus rendu opérationnel par des manipulations génétiques et la numérisation, de sorte que l’humanité peut être de plus en plus contrôlée au moyen d’un numéro d’identification numérique, appelé ID, qui permet d’identifier chaque personne et chaque chose. En juillet 2021, la FDA l’autorité sanitaire américaine chargée d’autoriser les médicaments et les vaccins, a publié sa « Nouvelle ère de la sécurité alimentaire intelligente ». La traçabilité de chaque aliment, de chaque dépense financière et de chaque comportement du consommateur au moyen de systèmes alimentaires basés sur la technologie est ainsi rendue possible. Des victoires d’étape ont déjà été obtenues, comme on peut le constater avec le carnet de vaccination numérique. Il est permis de penser que pour achever le système alimentaire souhaité, il faudra finalement se faire implanter une puce. Car le passage à des données biométriques installées dans le corps rend tout plus simple, plus confortable et également plus contrôlable.

Comment le contrôle et l’approvisionnement en denrées alimentaires prévus seront-ils mis en œuvre ?

  1. Depuis des décennies, les éleveurs et les agriculteurs sont harcelés par des restrictions, des réglementations et des contrôles irréalistes. De ce fait, de nombreux agriculteurs ne peuvent plus se maintenir à flot et doivent vendre leurs terres. Aux États-Unis, plus de 35,2 millions d’hectares de terres agricoles ont déjà été vendus à des investisseurs nationaux et étrangers. L’un de ces investisseurs est une fois de plus Bill Gates, qui a acheté des centaines de milliers d’hectares de terres agricoles. Dès que Gates a acheté des terres agricoles, l’argent a afflué dans le nouvel avenir de l’alimentation : l’agriculture intérieure verticale urbaine, vers laquelle, selon Gates, tous les hommes migreront un jour.

Qu’est-ce que l’agriculture intérieure verticale?

  1. L’Indoor Vertical Farming se spécialise dans la production de plantes à l’aide de systèmes de culture multicouches disposés verticalement dans une structure de bâtiment fermée, comme par exemple des conteneurs géants, des entrepôts, etc. L’énergie lumineuse nécessaire à la croissance des plantes est fournie par des systèmes d’éclairage artificiel tels que des modules LED. De la température à l’humidité de l’air, du temps et de l’intensité d’exposition, du spectre lumineux à l’arrosage, tout peut être réglé de manière ciblée par commande. Des capteurs et des systèmes de caméras contrôlent la croissance et le développement des plantes en temps réel. Les fermes collaborent avec des universités sur les modifications génétiques des semences et des aliments. Par exemple, un vaccin à ARNm à base de plantes est en cours de développement dans l’espoir de cultiver, pour le vaccin Covid19, des têtes de salade comestibles.

D’énormes sommes d’argent sont injectées dans ce projet. Rien qu’aux États-Unis, 5,5 milliards de dollars y étaient déjà consacrés en 2020, pour atteindre 20 milliards de dollars d’ici 2026.
Deux des plus grands fournisseurs de semences au monde, Bayer et BASF, sont tous deux impliqués dans l’industrie agricole verticale. Bill Gates, les fondations Rockefeller et Ford ainsi que la Banque mondiale contrôlent 10 % des germoplasmes [plasma des cellules germinales contenant l’ensemble du matériel génétique] dans le monde. C’est là qu’on retombe sur l’affirmation de Kissinger : « Celui qui contrôle les semences contrôle aussi les aliments, et celui qui contrôle les aliments… » … est capable d’utiliser l’identifiant numérique pour contrôler l’accès des consommateurs à la nourriture.
Pour rendre plausible la monopolisation de la loi sur l’alimentation, Gates accuse maintenant le changement climatique, comme le montre clairement sa prophétie :
« Les sécheresses et le changement climatique vont détruire notre capacité à pratiquer l’agriculture ! »

En parlant de détruire et de prophétiser :

  1. Il est naturel de se pencher sur des événements récents et mystérieux. Depuis le début de l’année 2022, en Arizona, en Californie, au Texas, à Washington et dans de nombreux autres États, plus d’une douzaine de grandes usines de transformation alimentaire et d’engrais ont subi des incendies, des explosions ou d’autres sinistres. De plus, en février 2022, un incendie s’est déclaré dans une usine d’engrais à Winston-Salem, brûlant plusieurs centaines de tonnes de nitrate d’ammonium, à une époque où les agriculteurs s’inquiétaient déjà pour leurs engrais en raison de l’inflation et des ruptures de la chaîne d’approvisionnement. Ces mystérieux incidents et incendies sont extrêmement inquiétants, car ne contribuent-ils pas à la réalisation des plans préétablis des mondialistes et de la prophétie de Gates ? On doit de toute urgence se questionner sur ces incidents.

Le nouveau système alimentaire contrôlé est déjà en place et il semble que rien n’est épargné pour étendre le contrôle prévu sur l’approvisionnement alimentaire mondial.
L’USDA [ministère américain de l’agriculture] et la FDA [agence américaine pour l’alimentation et les médicaments] ont déjà approuvé le bétail et la viande génétiquement modifiés en laboratoire. De même, ils financent la recherche et le développement de l’agriculture cellulaire, les cultivateurs d’intérieur et les entreprises de génétique. Dans le même temps, ces autorités assouplissent successivement les réglementations relatives aux produits génétiquement modifiés. Le fait est que des mesures drastiques ont déjà été prises pour mettre en place une industrie alimentaire révolutionnaire. La plupart des gens ne se rendent pas compte que l’industrie alimentaire est déjà monopolisée par 10 entreprises. Les principaux actionnaires de ces entreprises sont généralement Vanguard et BlackRock. Pour Gates, l’avenir consiste à changer le comportement de la population, à l’attirer dans les grandes villes et à la rendre totalement dépendante de l’agriculture verticale intérieure. Si cela se produit, on peut se demander pourquoi il a acquis 242 000 hectares de terres agricoles au cours des dix dernières années, tout en investissant massivement dans l’agriculture verticale et l’immobilier ?

Qui sera donc assis à la table d’une nourriture saine servie par Gates, alors que le reste de la communauté mondiale est contraint de manger des produits génétiquement modifiés provenant d’installations fermées ? Que se passera-t-il si toutes les semences, les fruits et légumes et la viande sont contrôlés ? Qu’adviendra-t-il de nous, les êtres humains, si tous ces produits sont cultivés dans des installations sécurisées, génétiquement modifiés dans une boîte de Pétri, tandis que les terres agricoles sont mises en jachère en raison de réglementations excessives, d’un manque d’approvisionnement et d’une inflation fabriquée ?

La déresponsabilisation de l’humanité, la dépendance totale et le contrôle total !
Cela ne laisse pas seulement supposer un asservissement mondial, mais confirme ce dont Klaus Schwab, le défenseur de la Grande Réinitialisation (Great Reset), s’efforce de persuader l’humanité que le bonheur, c’est de ne plus rien posséder ! L’effet supplémentaire évident de ce nouveau système d’approvisionnement alimentaire, qui est introduit en secret, pourrait bien entraîner une réduction insidieuse de la population mondiale.
Il peut donc être d’autant plus urgent de prendre des contre-mesures précoces, de déjouer le plan des mondialistes et des grandes entreprises et de boycotter ces produits qui arrivent sur le marché. Il pourrait être très bénéfique pour le corps et la vie de reprendre soi-même la bêche et d’apprendre, chaque fois que c’est possible, à se débrouiller seul, même à petite échelle.

de wou/abu/avr

Sources / Liens :




Le harcèlement des opposants ne passera pas !

[Source : anthropo-logiques.org]

« À l’avenir, les dissidents seront à l’Ouest », aurait prophétisé Alexandre Solejnitsyne. Si le propos n’est pas apocryphe, le prix Nobel avait vu juste : le totalitarisme qui a colonisé les esprits dans nos contrées l’a fait avec la facilité de l’invasion allemande contournant tranquillement la ligne Maginot pour déferler sans opposition sur Paris.

La débâcle intellectuelle, politique, philosophique et éthique est poignante : l’Occident n’est déjà plus qu’un champ de ruines en plein suicide de ses valeurs, de son identité et forcément de son histoire. Comme de sa capacité de relation avec le réel.

Le propre du déferlement totalitaire, c’est justement que l’idéologie prime la réalité. Peu importent les faits, le discours délirant des élites se suffit à lui-même. Elles peuvent dire tout et son contraire, tordre le bras autant qu’elles veulent aux données et aux faits, affirmer en rafales des mensonges éhontés, who cares ? La beauté du délire est qu’il anéantit notre humaine condition et donc précisément notre soumission au réel !

Le fait est tout sauf anodin : dans ses fonctions de ministre de la Santé, Olivier Véran avait ainsi multiplié les mensonges et les expressions honteuses sans la moindre vergogne et avec les encouragements sonores de la petite frappe qui lui tient lieu de chef (« Tiens bon, on les aura ces connards ! »).

Tout le monde se souviendra pareillement de son affirmation péremptoire devant les caméras de télévision selon laquelle dire que les injections géniques étaient en phase expérimentales était faux, « la phase III est terminée depuis longtemps », avait-il même ajouté. Ceci alors que ladite phase III vient d’être prolongée en ce qui concerne les injections Pfizer jusqu’au mois de juin 2024…

Or non seulement le gredin n’a jamais fait amende honorable (pas même n’a-t-il pris la peine de corriger son propos), il a été nommé dans la foulée « porte-parole du gouvernement ».

Quand la parole publique devient à ce point « parole de putes » (je m’excuse auprès des travailleuses du sexe, très majoritairement honnêtes, pour cette comparaison) au moins sait-on à qui nous avons à faire et donc à quoi nous en tenir.

La fureur totalitaire ne se contente pas de délirer à tout va : elle se doit d’éliminer toute opposition. Le propre de la démocratie et de la science, c’est l’importance du débat d’idées  de bonne foi et donc de la contradiction. Alors que le totalitarisme abhorre les opposants et s’acharne à les détruire.

Il commence bien sûr « subtilement » par les diaboliser. Les opposants ne sont pas ici des opposants dans le sens où l’on parlait traditionnellement de l’opposition en politique : ce sont forcément des êtres douteux, fourbes, dangereux, dont il faut se méfier au point de les priver de parole de peur qu’ils ne nous ensorcellent avec leurs arguments fallacieux !

Alors même que les élites médiatico-politiques déploient une véritable hypnose toxique depuis bientôt trois ans, c’est à les entendre de la parole de ceux qui cherchent à réinjecter du principe de réalité, des données vérifiables et du bon sens, bref de l’honnêteté qu’il faut se méfier comme de la peste. Fussent-ils accessoirement les meilleurs et les plus compétents dans leurs domaines : l’idéologie paranoïaque n’en a cure puisque le réel la contrarie.

On invente donc des experts (comme les pathétiques Rudy Reichstadt, Tristant Mendès-France, Sébastien Diéguez, Karine Lacombe ou Gilbert Deray) et peu importe qu’ils soient le ban et l’arrière-ban de la médiocrité ou de la malhonnêteté intellectuelle, ce sont évidemment à l’inverse les compétents et ceux qui ont gardé leur éthique que l’on désigne comme des « trompeurs » et des « charlatans ».

Avec toujours les mêmes étiquette fétichistes imbéciles et délétères, les favoris de la dérive en cours étant « complotiste », « d’extrême droite » et « antisémite ».

Voici un exemple de logorrhée totalitaire, scandée d’une manière propre à induire une transe dissociative chez l’auditeur, éructée en l’occurrence au micro de France-Inter par Tristan Mendès-France au sujet de l’initiative du Doctothon (un exercice pour les sceptiques est de compter le nombre de fois où il utilise -scande devrait-on dire- chacune des expressions en question) :

https://www.youtube.com/embed/yy80YHLh-2Y

Le système totalitaire doit donc impérativement désigner des ennemis (et même en inventer au besoin). Il a en effet besoin de ce danger extérieur pour entretenir la panique et justifier sa violence. Il n’y a ici pas besoin d’aller chercher bien loin. Qualifier par exemple d’ « antivax » des personnes ayant des doutes sur l’innocuité, l’efficacité et/ou la sécurité des injections géniques expérimentales est un cas d’école. C’est un tour évidemment imbécile, abusif, malhonnête et manipulatoire.

Le doute, l’esprit critique et le scepticisme sont les pierres angulaires de la démarche scientifique, l’occasion n’en est que plus belle pour les larrons : on stigmatise par cette appellation tous ceux qui restent intègres par rapport à la méthode et à l’éthique scientifique ! Dès lors le champ est libre, la haine devient un ressort banalisé et donc rendu acceptable sous les encouragements des corrompus, comme l’exemple suivant l’illustre :

https://www.youtube.com/embed/6PEZgAmX0IU

Tout ceci est d’une gravité extrême. Le rouleau compresseur paranoïaque s’attaque en effet à toute voix divergente et a fortiori salutaire, puisqu’engagée à rappeler les contours du réel et les valeurs qui doivent fonder notre vivre ensemble.

Tous les zélés complices de la dérive s’en donnent à cœur joie : la presse en premier, qui colle les étiquettes infamantes à tire-larigot, exonérée de toute déontologie comme de sa responsabilité collective. Au point de se réclamer de son inconduite et de faire porter le chapeau de ses transgressions aux opposants, comme les lamentables journaleux de l’Express s’y sont employés après s’être fait démasquer dans leur malhonnêteté et leur médiocrité par un Idriss Aberkane magistral…

https://www.youtube.com/embed/0Bi_1-BzY88

La réponse des fâcheux ne s’est donc pas fait attendre…

  • Pour lire « Affaire Aberkane : la Charte de Munich, nouveau totem des complotistes contre les médias » dans l’Ex-presse : cliquer ici.

Les attaques subies par les valeureux sont ainsi d’une brutalité inouïe, avec la complicité lâche des corps constitués soumis à la dérive totalitaire, nous l’avons souligné hier.

Voici encore pour exposer publiquement la réalité de cette ignominie un communiqué collectif auquel je m’associe, qui en révèle les procédés.

Suivi de la réponse adressée par Ariane Bilheran, normalienne, philosophe, psychologue et docteur en psychopathologie, à un obscur article intitulé « Annuaire du complotisme », sur le non moins obscur site dit de « débunkage » appelé « Bibliothèque Vigilante ». Lequel présente toutes les caractéristiques d’une énième émanation des cercles mafieux qui engagent avec force moyens des trolls et des faux experts pour leur sale besogne, jusque dans les rédactions de la presse subventionnée…

Tout ceci est certes bien nauséabond, mais il importe d’exposer sans hésitation cette boue ordurière et ceux qui la mettent en œuvre…


Le harcèlement des opposants ne passera pas !

Cet article collectif est destiné à alerter la population et les responsables politiques sur un processus larvé de répression, mené par l’État français contre de nombreux lanceurs d’alerte critiques du narratif officiel sur le Covid.

Cet article collectif est destiné à alerter la population et les responsables politiques sur un processus larvé de répression, mené par l’État français contre de nombreux lanceurs d’alerte critiques du narratif officiel sur le covid.

Au-delà de la répression de masse devenue banale dans ce pays (traque des citoyens pendant les rétentions de masse, censure, « suspensions » abusives, violences contre les manifestants…), nous assistons de plus en plus à une répression ciblée qui repose sur les moyens de l’État, ceux des contribuables, pour harceler des citoyens qui dérangent.

Les citoyens visés peuvent être des universitaires lanceurs d’alerte, ou des citoyens militants : des parents membres d’associations de défense des enfants contre les maltraitances institutionnelles établies au prétexte du covid sont convoqués par les services sociaux à la demande de plusieurs départements, à la suite d’obscurs « signalements », des chercheurs qui ont osé interroger les annonces officielles se retrouvent menacés sur le plan professionnel, on observe également des contrôles fiscaux aussi intempestifs que sévères, des sanctions financières, des pressions sur l’entourage, des calomnies publiques trop organisées en réseau pour ne pas être organisées… Cela, en France, pays décrit comme un “état de droit” par certains observateurs.

La méthode utilisée combine la censure par tous les moyens afin que l’opinion publique ne puisse pas les entendre, la calomnie, les menaces et le harcèlement administratif. Parce que les lois, le droit sont du côté des lanceurs d’alerte, l’État répressif utilise des moyens détournés, déjà utilisés par le passé contre d’autres lanceurs d’alerte, mais employés cette fois de manière beaucoup plus systématique.

Car dans ce qu’on appelle une « démocratie », les citoyens ont le droit de critiquer, ils ont même le droit à la satire, à la caricature, à l’ironie. En clair, ils ont le droit à la « liberté d’expression ». Ils ont le droit de penser et de dire des choses qui sortent du cadre de la propagande et les citoyens ont le droit d’être informés.

Des représailles touchent pourtant plusieurs personnes qui émettent un autre discours sur la crise qui nous occupe en dénonçant notamment la corruption, dont Vincent Pavan, Ariane Bilheran, Virginie de Araujo Recchia, Emmanuelle d’Arles, Olivier soulier, etc. Certains par pudeur ne souhaitent pas exprimer publiquement leur situation personnelle mais nous constatons entre autres :

Calomnies, harcèlement privé par insultes et menaces, contrôles fiscaux sévères et harcèlement fiscal, pertes de salaire, clôture arbitraire et inopinée des comptes bancaires, perte d’accès à la sécurité sociale pour soi et ses proches, suspensions, etc.

Prenons le cas de Vincent Pavan : l’universitaire subit des sanctions professionnelles y compris sur le plan des rémunérations, avec interdiction d’enseigner.

Ariane Bilheran comme son entourage subissent régulièrement des pressions (ex. : menaces de mort au moment de sa dénonciation des textes de l’OMS), qui se sont fortement accentuées depuis le covid avec par exemple l’intervention des services fiscaux ou le fichage mensonger sur des sites calomnieux.

Emmanuelle Darles fait face à deux procédures disciplinaires en cours à l’Université, doublées d’atteintes à la vie privée, le tout dans un contexte délétère.

Maître Virginie De Araujo Recchia est aussi victime de harcèlement administratif, ce qui a été jusqu’à une garde à vue avec saisie de matériel.

Pourquoi est-il aujourd’hui nécessaire de dénoncer ? Il ne s’agit pas de cas personnels, mais d’attaques contre la société dans son ensemble : si seule la parole du pouvoir compte et que plus personne n’ose poser de questions sur la place publique ni critiquer ou débattre, qu’adviendra-t-il de ceux qui n’osent pas parler ? Qui posera des limites quand les foudres d’un pouvoir à la dérive s’abattront sur eux ? Ce qui finira par arriver au rythme où vont les choses.

Cette répression mesquine n’en est pas moins extrêmement violente et elle se pare de la légitimité de l’État, celui qui est censé nous protéger tous. Elle est un problème majeur pour nous tous, car elle montre que nous sommes en train de nous enfoncer dans l’obscurantisme comme dans des sables mouvants.

Ce glissement progressif vers le totalitarisme n’est pas terminé, mais il avance : aujourd’hui l’exécutif se soucie-t-il des lois ? De la constitution ? Des principes généraux du droit ? De la réalité ?

Les attaques personnelles contre les lanceurs d’alerte, de manière à les éliminer du paysage social, préfigurent toujours une répression généralisée contre toute dissidence puis contre le peuple tout entier de façon arbitraire, et même bien souvent une guerre classique, de ces guerres sales qui pourrissent un pays pendant des générations. On l’a vu avec les dictatures en Amérique latine, les nazis, l’URSS, les Khmers rouges, le Rwanda, la Syrie…


Lettre d’Ariane Bilheran à « Bibliothèque Vigilante »

À l’attention de :

Clair Roger, Responsable de publication « Bibliothèque Vigilante »

Envoyée à :

bibliovigi@protonmail.com

Objet :

Ma fiche « Ariane Bilheran » dans votre « Index du Complotisme », https://bibliotheque-vigilante.info/index/

Pièces Jointes :

Attestation d’enseignements universitaires

Doctorat de psychopathologie clinique

Lettre publiée sur mon site

http://www.arianebilheran.com et relayée avec mon autorisation sur le site
http://www.coroinfo.wordpress.com et le blog https://anthropo-logiques.org

Cali (Colombie), le 24 août 2022

Madame, Monsieur,

Je vous écris afin de rectifier vos déclarations me concernant sur votre site, qui sont, pour leur très grande majorité, erronées. Vous pourrez ainsi vérifier mes dires, et rétablir la vérité selon les faits, puisque nous partageons ce souci commun.

Je rends également cette lettre accessible à tous sur mon site, afin que cesse la propagation de mensonges qui pourraient s’apparenter à des calomnies publiques et des diffamations contre ma personne.

Tout d’abord, vous évoquez que « je me présente comme psychologue et psychothérapeute (doctoresse en psychologie) », laissant sous-entendre que je ne le serais pas. Je suis psychologue clinicienne, et par voie de conséquence psychothérapeute, car le titre de psychologue clinicien est un diplôme professionnel d’État donnant de droit accès au titre de psychothérapeute. J’ai donc un numéro Adéli, qui garantit la détention de ce titre.

Pour votre information, en psychologie clinique et psychopathologie, j’ai deux masters, un Master Recherche, soutenu à l’Université Denis Diderot en 2004 à Paris, et un Master Professionnalisant, soutenu à l’Université d’Aix-Marseille en 2007, celui qui me donne précisément droit à exercer en tant que psychologue clinicienne et psychothérapeute.

J’ai également un Doctorat de psychologie clinique et psychopathologie (et non pas un doctorat de psychanalyse, ce qui n’existe pas en France), soutenu à l’Université Lumière Lyon II en 2007, sous la direction du Professeur Albert Ciccone (Wikipédia diffuse un nom de directeur de thèse qui est erroné : je n’ai jamais rencontré le Professeur Mohamed Lahlou… Je vous envoie le document source, pour vos archives). J’ai également enseigné à l’Université durant plusieurs années (cf. attestation jointe, si vous souhaitez rajouter cette information qui me paraît importante à faire connaître).

Pour mémoire, une majeure partie du corpus de la psychopathologie, qui soutient la psychiatrie traditionnelle, émane de la psychanalyse, laquelle est très loin de se réduire à des psychanalystes fous et incompétents, ou à Freud et Lacan, ou encore, aux calomnies dont elle est l’objet depuis des années. Par exemple, des notions passées dans la langue commune proviennent de recherches en psychanalyse sur le psychisme individuel ou celui des foules, telles que psychose, perversion, traumatisme, névrose de guerre, névrose d’abandon, refoulement, acte manqué, déni, etc.

Ensuite, vous reprenez le qualificatif de « complotiste », j’ose vous demander aimablement votre définition de ce terme.

Vous me présentez comme « proche du mouvement soralien ». Je ne suis pas « proche du mouvement soralien ». Je n’ai jamais rien eu à voir avec Alain Soral. J’ai publié un petit livre L’Internationale nazie(([1] https://www.bookelis.com/politique/52258-L-Internationale-nazie.html)), où vous pourrez vous rendre compte par vous-même de mes réflexions personnelles. J’ai donné la parole en France à Vera Sharav, dont les prises de position sont, il me semble, aux antipodes d’idées d’extrême droite.(([2] https://crowdbunker.com/v/994y7qwygL))

Vous me présentez également comme « amie du professeur Henri Joyeux ». Pour votre gouverne, je n’ai eu qu’un seul échange avec le Professeur Joyeux, concernant une newsletter dans laquelle M. Joyeux me demandait la permission de citer l’un de mes livres il y a quelques années. Je n’ai jamais eu d’autres échanges privés ou publics avec le Professeur Joyeux.

Vous me présentez ensuite comme « amie du pédopsychiatre Maurice Berger ». J’ai appartenu dans le passé à une association de psychologues de l’enfance et pédopsychiatres il y a des années, au sein de laquelle intervenait également le Professeur Maurice Berger, qui est une référence universitaire et professionnelle en matière de psychologie de l’enfance et de pédopsychiatrie. Cela ne fait pas de moi son « amie », mais tout au plus une collègue, d’autant que je n’ai plus aucun contact avec M. Berger depuis des années.

Vous parlez de « réseaux extrémistes » comme RéinfoCovid, auquel je n’appartiens pas non plus (cf. l’avertissement sur mon site(([3] https://www.arianebilheran.com/avertissement)) que je vous remercie d’avoir cité, afin que les gens se fassent une idée par eux-mêmes de vos propos à mon égard).

Vous me qualifiez de « spécialiste en manipulation », et c’est juste, vous auriez pu citer mon livre Manipulation. La repérer, s’en protéger, paru aux éditions universitaires Dunod en mars 2013. Vous voyez que ma spécialisation ne date pas d’hier mais que, contrairement à vos insinuations, je décrypte la manipulation pour aider les gens à la repérer et s’en protéger, donc à s’en libérer, et non pas dans l’intention de les manipuler.

Vous indiquez que je suis « à l’origine d’un mouvement de désinformation né en août 2018 », j’aimerais connaître sur quels fondements vous vous appuyez pour dire cela, car de mon côté, j’ai publié un livre en 2017, L’Imposture des droits sexuels, qui en est à sa cinquième édition aujourd’hui(([4] https://www.bookelis.com/sciences-humaines/51301-L-imposture-des-droits-sexuels.html)), et qui porte sur les textes de l’OMS, dans lequel j’étudie lesdits textes, et m’interroge sur le bien-fondé des références scientifiques invoquées. Je ne suis pas la seule professionnelle de santé à le faire, par exemple le pédiatre et pédopsychiatre Régis Brunod s’en est également alarmé, dans un livre intitulé Préserver l’innocence de l’enfant(([5] https://www.decitre.fr/livres/preserver-l-innocence-des-enfants-9782855541563.html)). En tant que professionnels de santé, nous sommes très inquiets de la nature de ces textes. Ce n’est pas parce que beaucoup de nos collègues choisissent de ne pas s’exprimer publiquement pour le moment qu’ils ne partagent pas nos vues, et je reçois assez de remerciements aujourd’hui pour savoir que nous sommes loin d’être isolés.

Vous notez que sur mon site personnel je partage de « fausses informations et des rumeurs complotistes », que je véhicule « mensonges et désinformation », sans rien en sourcer, j’aimerais bien que vous puissiez donner des exemples et m’indiquer en quoi il s’agit de fausses informations qui ne seraient pas sérieusement sourcées, dans ce cas je me ferai un devoir de les rectifier. Car lorsqu’il s’agit de faits (par exemple, de textes et de références promues par l’OMS), c’est aisément vérifiable. Vous citez alors Mme Marion Sigaut, en prenant le titre d’une de ses conférences pour me faire dire des propos qui sont les siens, c’est assez curieux comme procédé pour vous qui semblez si sensible à l’attribution correcte des sources. Mon approche des « droits sexuels et reproductifs » vise la protection de l’enfance, depuis une perspective professionnelle de psychologue clinicienne formée en psychologie de l’enfance et dans le développement psychique infantile.

Vous m’attribuez ensuite une citation, mais je n’ai jamais accusé l’Éducation Nationale de « pervertir nos enfants pour en faire de la chair fraîche pour les pédophiles ». J’ai au contraire toujours soutenu que ces programmes n’émanaient pas de l’Éducation Nationale, mais du ministère de la Santé, sous l’égide de l’OMS, bien qu’ils puissent se déployer au sein de l’institution scolaire, à la faveur d’un partenariat avec le ministère de la Santé lui donnant les autorisations d’accès. Avec un peu de recherche sur mon site, vous devriez pouvoir trouver à de nombreuses reprises mes déclarations sourcées.

Je n’ai pas été « exclue par mes pairs », au contraire, je reçois aujourd’hui énormément de soutiens et de reconnaissance pour mes prises de position en faveur de la protection psychique des individus, de la part de professionnels de la santé mentale, qui ont désormais bien identifié les grossiers mécanismes de manipulation mentale à l’œuvre depuis le champ politique et médiatique sur la population.

Ensuite, vous vous permettez un diagnostic sauvage sur ma personne, en indiquant que j’aurais des « travers paranoïaques ». Je vous renvoie à mon livre sur Psychopathologie de la paranoïa(([6] https://www.dunod.com/sciences-humaines-et-sociales/psychopathologie-paranoia-0)), paru chez l’éditeur universitaire Dunod, et qui en est à sa deuxième édition. Cela vous permettra peut-être de mieux maîtriser ces notions. D’autre part, s’improviser psy, comme vous le faites, pour pratiquer des diagnostics sauvages de psychose renvoie aux pires heures de la psychiatrisation des opposants de certains régimes, ce qui est un élément supplémentaire de validation de mon hypothèse concernant la dérive totalitaire en cours.

Concernant le livre Le débat interdit(([7] https://www.editions-tredaniel.com/le-debat-interdit-p-10270.html)), vous devriez le lire pour vous instruire : j’aimerais savoir d’où vous tirez l’expression du « complot de la science contre le vivant », et quelle était la contextualisation de cette phrase. Nous y déployons un raisonnement d’épistémologie systématiquement argumenté et exemplifié. Vous n’ignorez pas que j’ai une formation en philosophie morale et politique, validée en 2004 par un Master en Sorbonne, sous la direction à l’époque du Professeur Éric Blondel, ainsi qu’une solide formation en philosophie reçue à l’École Normale Supérieure Ulm, que j’ai intégrée en section Lettres en 1999.

Vous indiquez enfin que je relaie « de nombreux sites peu fiables, articles antisémites et les tribunes de quelques extrémistes comme Sputnik News ou Pravda ». J’aimerais que vous puissiez me dire où vous avez trouvé ces éléments, surtout pour ce qui concerne l’antisémitisme !! Vous dites aussi que je relaie Gilad Atzmon, que je ne connais pas, donc j’aimerais savoir quelles sont vos sources fiables. Car reprendre des mensonges émis par quelqu’un d’autre ne fait pas de l’information une information sourcée, et encore moins véridique.

En revanche, il est tout à fait exact que je publie à l’occasion des articles dans la revue L’Antipresse de Slobodan Despot, que j’apprécie pour son ouverture d’esprit, sa grande culture, sa rationalité, son intelligence et sa connaissance du phénomène totalitaire.

En conclusion, je me permets de reprendre à votre compte votre conseil : « Si possible, remontez à l’origine de l’information ! ». Je constate que vous ne m’avez pas contactée pour vérifier les données et que, ce faisant, vous avez manqué de la déontologie la plus élémentaire. Vous n’avez manifestement pas non plus recoupé les informations, ni interrogé vos sources et leur fiabilité. Je vous saurais donc gré de rectifier les informations me calomniant sur votre site, et de publier ma lettre, ce que vous ne manquerez pas de faire, puisque vous avez à cœur de lutter contre la désinformation, « pour un accès universel à une information exacte, transparente et de qualité »(([8] Source : https://bibliotheque-vigilante.info/methode/)), et « analyser, comprendre, démystifier »(([9] Source : https://bibliotheque-vigilante.info/la-redaction/)), au mieux.

Respectueusement,

Ariane Bilheran.

PS : « rationalité » s’écrit avec un seul « n ».

Il faut donc corriger votre titre « Méthode & rationnalité ».

Sources :

https://bibliotheque-vigilante.info/methode/

https://dictionnaire.lerobert.com/definition/rationalite

PS2 : je recevrai votre éventuelle réponse par retour de courrier électronique ou via le formulaire contact sur mon site http://www.arianebilheran.com/





Micropucage des enfants et nanotechnologies dans les injections anti-Covid : une réalité qu’ils ne cachent plus

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Laurent Aventin

Deux annonces ont circulé dans les derniers jours de ce mois d’août qui faisaient encore réagir la presse subventionnée il y a quelques mois seulement : l’Agence Européenne du Médicament (AEM) a annoncé examiner un nouveau vaccin anti-Covid faisant intervenir des nanotechnologies. D’autre part, l’un des représentants du Forum Économique de Davos a exprimé l’idée « qu’il existe des raisons solides et rationnelles de micropucer les enfants ». À leurs yeux, la population semble être prête à accepter l’inacceptable et c’est ce qui ferait la force de la troïka du Forum Économique Mondial (FEM) et de ses ambassadeurs. Récapitulatif d’une manipulation basée sur un agenda bien huilé.

L’Agence européenne du Médicament (AEM) examine un « vaccin » antiCovid à base de nanotechnologies

Un nouveau « vaccin » anti-covid, nommé Skycovion, conçu par le laboratoire pharmaceutique britannique GSK et le sud-coréen SK Bioscience (SK Chemicals selon les sources) est actuellement soumis à l’examen de l’AEM. L’information serait banale si le fabricant n’avait pas annoncé l’utilisation — et donc l’injection — de nanotechnologies introduites dans son produit.

La presse évoque plutôt l’utilisation de nanoparticules, mais il y a souvent une confusion entre nanotechnologies et nanoparticules. Ces dernières sont déjà utilisées dans les injections actuellement commercialisées comme les liposomes (enveloppe lipidique) qui protègent le matériel injecté et c’est admis par la presse grand public. Ce qui ne l’est pas – pas davantage par les fabricants de l’industrie pharmaceutique et les autorités de régulation sanitaire – c’est la présence d’oxyde de graphène auquel nous avons consacré un dossier, mais aussi de nanotechnologies destinées à créer un nanoréseau intracorporel, ce qu’on appelle un « wireless body area network » déjà utilisé en médecine de pointe.

Pour l’instant, aucune information n’est vraiment disponible sur le contenu de ce produit et il ne faut pas s’attendre à une réelle transparence tant sur la nature des nano éléments que sur leur programmation (cf. ci-dessous nanoparticules auto-assemblées) ou sur l’adjuvant utilisé. L’EMA donne pour l’instant une information à minima : 

Skycovion est un vaccin à nanoparticules autoassemblées ciblant le domaine de liaison au récepteur de la protéine de pointe du Sars-Cov 2 […], développé conjointement avec l’Institut de Conception de Protéines de l’Ecole de médecine de l’université de Washington, en combinaison avec l’adjuvant de GSK.

On sait en revanche que le vaccin a été co-financé par la Fondation Bill et Melinda Gates et la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies — (CEPI). On peut donc déjà prévoir une issue positive, car ce produit passe par Les Fourches caudines de ces deux grandes institutions incontournables pour l’obtention d’une autorisation de mise sur le marché. GSK fait par ailleurs partie de l’opération Warp Speed, il ne devrait donc pas être débouté.

Ce n’est pas la présence de nanoparticules en soi qui pose problème, mais la nature de ces particules (l’oxyde de graphène est particulièrement toxique, on pourrait le retrouver « officiellement dans ce vaccin ; l’EMA ne donne cependant aucune indication) ainsi que l’utilisation de nanotechnologies.

 L’usage de micropuces sous-cutanées couplé à la vaccination avait en revanche été démenti par la presse à un moment où il y avait confusion auprès de l’opinion publique sur ces deux technologies.

Mais voilà le Forum Économique Mondial « sort du bois » et annonce ouvertement l’utilité de la micropuce ; en réalité il prépare depuis longtemps son introduction auprès des populations avec la collaboration des autorités publiques.

Le FEM annonce la justification du micropuçage des enfants

C’est dans un article du FEM daté du 16 août 2022 qui fait l’éloge du transhumanisme et de la réalité augmentée que l’on peut lire la promotion du micropuçage présenté comme une évolution naturelle :  

Aussi effrayants que puissent paraître les implants de puces, ils font partie d’une évolution naturelle qu’ont connue autrefois les articles à porter. Les prothèses auditives ou les lunettes qui ne sont plus stigmatisées.

Bien sûr les intentions cachées restent cachées et il ne sera pas expliqué aux populations que les nanotechnologies qui ont déjà été injectées aux populations via les « vaccins » anti-Covid couplés à une micropuce sous-cutanée permettront d’influencer et de diriger leur comportement. Les progrès de la bio-informatique permettent de pirater l’esprit d’une personne, ce que la très grande majorité des citoyens considère comme de la science-fiction. Et pourtant.

Relayé par Aube digitale, le contenu de l’article du FEM précise également que la micropuce sera relayée par les influenceurs.

Cette technologie a besoin « d’un soutien, d’une vision et d’une audace appropriés », qui seront bien sûr fournis par vos suzerains technocrates, les mêmes personnes qui tentent désespérément de censurer l’internet pour ne pas être critiquées.

« La technologie d’augmentation sera utile à toutes les étapes de la vie : les enfants dans un environnement d’apprentissage, les professionnels au travail et les personnes âgées ambitieuses. Les possibilités sont multiples », écrit Philips.

« Devriez-vous implanter une puce de suivi à votre enfant ? », demande le scientifique, qui ajoute : « Il existe des raisons solides et rationnelles à cela, comme la sécurité. »

Tout est dit. Leur objectif est de prendre le contrôle des enfants. Les personnes âgées sont formatées et elles ont peu d’intérêt selon les déclarations de la caste dans le Nouvel Ordre des Barbares, la « vaccination » permet de justifier l’accès aux enfants, aux nouvelles générations, à ceux qui vont faire le monde de demain… mais comme esclaves des nouveaux maîtres.

Un agenda bien huilé dans le but de diriger la population mondiale comme du bétail

Quelle est la méthode du FEM et de ses seigneurs ?

Ils ont observé les annonces faites par les personnes éveillées dénonçant leurs activités et leur agenda au cours de la campagne de vaccination mondiale tout en dénonçant des propos complotistes. Et cela a fonctionné, leur politique mortifère a été suivie par la grès grande majorité de la population mondiale qui a reçu ces injections qui tuent et vont continuer de tuer. L’essentiel pour la Caste consiste à ne pas perdre la guerre de la communication, de l’information et donc de la manipulation des masses.

Puisque les populations ont accepté les injections — parfois sous la contrainte, mais finalement de manière aisée (69 % de la population européenne a reçu au moins une injection contre Covid au 22 août 2022, et 81 % de la population française — source The world in data), ils peuvent se permettre d’avancer en annonçant ce qui finalement ne semble pas choquer les populations : l’injection de nanotechnologies ou l’utilisation de micropuces. Le message est assez clair, « vous êtes du bétail et nous vous traitons comme des animaux d’élevage ».

En avril 2022, Le directeur général de GAVI (L’alliance mondiale du vaccin), Seth Berkley, explique que :

« la vaccination a besoin d’un coup de pouce technologique par des systèmes d’identification numériques sécurisés pouvant stocker les antécédents médicaux d’un enfant ».

Il fallait bien que ce soit le copain de Bill Gates qui l’annonce sinon cela aurait pu susciter des soupçons. Voici comment l’élite mondialiste prévoit de conduire les populations au marquage numérique grâce à l’épidémie de Covid et la vaccination.




La France sous le véto des « princes » qui la pilotent

Georges Ibrahim Abdallah, otage des américano-sionistes.
La France sous le véto des « princes » qui la pilotent !

Par DJERRAD Amar

C’est ce qui se déroule en France ! Nous sommes à une époque où le puissant dicte sa loi dans ce qu’il croit être la jungle, où l’immoralité devient morale et vice-versa, où l’agresseur se dit victime, où les dérives de la raison font des droits des citoyens des faveurs, leurs devoirs de la soumission, le respect compris comme de la peur, la loi servant d’instrument pour subjuguer !

Plus on s’efforce de consoler nos sentiments avec l’idée que cela va changer, que les choses vont s’apaiser, plus les diables, s’imposant dirigeants du Monde, affinent leur délire ravageur ! Ils se croient tout permis, même l’absurdité.

Le monde est bâti sur les droits et les devoirs, la justice et l’humanité, selon des règles admises et convenues ; y déroger ne suscite que des antagonismes et des conflits.

Même cette France de De Gaule — avilie par des gouvernances proxy équivoques et antidémocratiques — n’est plus qu’une pâle République, décrépie, sans soubassement, sans attrait, sans aura, qui a perdu toute considération.

Quand un pays comme le Mali ose la chasser de ses terres (après l’y avoir invitée), tout en l’accusant de servir en armant les terrorismes qu’elle prétend venir combattre — en saisissant l’ONU —, c’est non seulement que le curseur de l’égard est au plus bas, mais c’est le comble de l’humiliation qui remet en cause tous ses fondements historiques ! Tout montre que les Maliens possèdent des preuves tangibles et irréfutables qui vont mettre les gouvernants français dans une éprouvante position. Dos au mur !

La France est devenue un pays franchouillard, souvent xénophobe, au même degré que les sionistes qui la dominent au sein même de ses propres Institutions. Elle n’agit, inévitablement, que dans les sens qui satisfont les USA et Israël. Ses lois sont érigées sur ce principe cardinal au risque d’être accusée « d’antisémite » ; un néologisme construit de manière délibérément ambiguë, érigé en loi imposée par les lobbys, qui permet de dompter les adversaires et de rendre silencieux le critique le plus patriote.

Comment un Israël, petit pays factice créé par l’occident de toute pièce, au sein d’un pays qui n’est pas le sien, arrive à dicter au monde des puissants ses desiderata et même à faire changer leurs lois ?! Comment depuis 1948, Israël qui spolie les terres palestiniennes, les bombarde, les assassine par milliers (vieillards, femmes et enfants), qui mène une guerre illégale de conquête, défiant les résolutions de l’ONU, et personne en Occident, en particulier la France, ne trouve rien à dire, que des sermons, sûrement « autorisés », sur le bout des lèvres ?

Que peut bien opposer cette France rendue impure face à une injustice des plus crasse, piétinant dans la crotte ses fondements moraux humanistes, face à ce prisonnier atypique qui purge la perpétuité et qui est à sa trente-huitième année (38) de détention ! Georges Ibrahim Abdallah est l’archétype du prisonnier rebelle, révolutionnaire et patriote à subir, en France, une injustice sans équivalent.

Condamné en 1984 à deux et plus tard à quatre années de prison pour détention d’armes, puis écope en 1987 de la réclusion à perpétuité pour complicité dans les assassinats à Paris d’un agent du Mossad israélien et d’un attaché militaire américain agent de la CIA, crimes qu’il a toujours niés. Libérable en 1999, il se voit refuser sa dizaine de demandes, sauf deux. Malgré ces deux avis favorables, la France laisse injustement dépérir dans ses prisons ce militant libanais, chantre de la cause palestinienne et ennemi acharné de l’impérialisme. Ces refus réitérés confirment que la justice française, loin d’être indépendante, se heurte au diktat américano-sioniste derrière cette décision illégale de priver de liberté le détenu le plus embarrassant.

Aucune des hautes personnalités politiques et judiciaires françaises (y compris le Président) ne s’est autorisée, jusque-là, à évoquer son cas et l’injustice dont il est victime, oubliant qu’« une injustice faite à un seul est une menace faite à tous » (Montesquieu). Aucun homme sensé et raisonnable ne peut assister sans réagir à une iniquité, sinon ce serait de l’aliénation mentale ! Abdallah est bien un « otage » détenu éternellement par la France, sans droit à sa liberté pourtant reconnu, afin de ne pas désobliger les tuteurs qui auraient certainement souhaité qu’il soit mort.

Il faut reconnaître toutefois que des milieux français patriotes s’évertuent depuis des années à rappeler son cas en osant interpeller leurs dirigeants sur cette grave injustice aberrante. À qui s’adressent-ils ? À une race plus préoccupée par leur « nouvel ordre mondial », leurs intérêts personnels, leur objectif de transhumaniser le monde suivant leurs règles dans un système unipolaire gouverné par eux. En fait, par les Anglo-saxons et les sionistes ; l’Europe, dont la France, n’étant qu’un faire-valoir !

Pauvre France ! Ses officiels et ses institutions supposées « indépendantes » sont incapables d’appliquer en toute souveraineté leurs propres lois sans un quitus des lobbys qui la dominent, en particulier sionistes et/ou américains, au risque de se voir mise au banc des renégats ! Leur liberté d’action est soumise au veto des « princes » qui la pilotent !

Avec toutes leurs compromissions dans des affaires douteuses, dans leurs mensonges et manipulations, dans leurs pratiques et méthodes les plus viles et dangereuses, dignes des bandits – qui viendraient d’un atavisme colonial pas si lointain – ces scélérats de dirigeants osent encore le culot, comme si de rien n’était, de donner des leçons sur les droits de l’homme et les libertés au reste de la planète en se considérant hautainement comme référence universelle en la matière, pendant que le peuple français subit la censure, le refoulement, la coercition, voire la répression !

L’affaire Georges Ibrahim Abdallah restera, malgré toutes les cachotteries et diversions, un caillou dans le soulier des dirigeants français. Même mort en prison, l’injustice dont il aura fait l’objet l’agrandira, stimulera ses partisans et soutiens en attendant que les auteurs paient leurs actes barbares tôt ou tard !




American Moon : a-t-on vraiment marché sur la lune en 1969 ?

[Sources : Sott.net
Abydoz
E&R]

American Moon est un documentaire italien réalisé par Massimo Mazzucco en 2017. La présentation du documentaire par Laurent Guyénot en 2019 :

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« Tout récemment est sorti le documentaire “American Moon”, de l’Italien Massimo Mazzucco, déjà auteur d’un documentaire sur le 11 septembre. C’est à mes yeux le meilleur documentaire sur la controverse Apollo, remarquable par sa rigueur et sa documentation. Mazzucco a le grand mérite de répondre de façon détaillée à chacun des contre-arguments des débunkeurs. Mazzucco est un cinéaste et directeur de photographie professionnel, et sa contribution majeure, mais non pas unique, est dans le domaine des analyses d’images (il corrige les erreurs de “Did We Land On The Moon ?”). Mazzucco a mis à contribution plusieurs autres photographes de renom international, dont les analyses sont dévastatrices pour la crédibilité des photos lunaires Apollo. Je le recommande chaudement. »

Cela fait 50 ans, et le débat fait rage. La question lancinante demeure : est-ce vraiment arrivé ? Les images vues par des centaines de millions de personnes à la télévision en direct provenaient-elles réellement de la lune ou d’un simulateur de la NASA ?

Le cinéaste italien Massimo Mazzucco, dans l’un des films les plus complets à ce jour sur les alunissages, explore tous les aspects de la controverse.

Son film de 2017, American Moon, examine les meilleures preuves à la fois pour et contre les alunissages. De plus, le film analyse pour la première fois en détail les images d’Apollo avec les commentaires de certains des meilleurs photographes du monde. À vous de décider.

Le projet Apollo était-il « la plus grande réussite de l’histoire de l’humanité, ou la plus grande imposture de tous les temps ?

En plus d’American Moon, Massimo Mazzucco a produit les films suivants (de Wikipédia)

  • L’Autre Dallas — 2008 : Un documentaire sur l’assassinat de RFK, également diffusé par la télévision italienne, qui prétend que l’homme condamné pour le crime — un certain Sirhan Bishara Sirhan — n’aurait pas pu tuer physiquement le sénateur américain.
  • Les Seigneurs du Monde — 2009 : L’histoire des ovnis et l’ingérence militaire persistante, à la fois américaine et russe, dans ce qui semble être un problème beaucoup plus vaste qu’on ne le croit normalement.
  • Cancer : The Forbidden Cures – 2010 : Tous les remèdes efficaces contre le cancer découverts au cours des 100 dernières années, et prétend qu’ils ont été supprimés.
  • La véritable histoire de la marijuana — 2011 : La véritable histoire de la marijuana creuse profondément pour exposer une conspiration mondiale, dirigée par l’industrie pétrochimique, qui a interdit l’une des plantes les plus utiles connues de l’humanité.
  • 11 septembre —The New Pearl Harbor – 2013 : Un documentaire de 5 heures qui prétend réfuter le récit communément accepté du 911 et montre que l’analyse résultante du National Institute of Standards and Technology (NIST) est profondément et fondamentalement erronée. .




Comment les services secrets ont traqué les résistants sur Internet

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

On a jusqu’ici cru que la traque aux résistants — notamment les censures ou les fermetures abusives de compte étaient le seul fait des réseaux sociaux eux-mêmes. On commence à comprendre qu’il s’agissait en réalité d’opérations communes entre ces réseaux et nos services secrets chargés de traquer les résistants de tous poils. Nous n’en sommes encore qu’au début de nos découvertes, mais une chose est sûre : le COVID a donné lieu à une véritable militarisation de l’information en Occident, au nom de la lutte contre la propagande russe.

Les nombreuses fermetures abusives de comptes sur les réseaux sociaux, durant la campagne de vaccination, ont irrémédiablement posé la question de l’embrigadement des GAFAM dans la folie totalitaire de la caste. Mais ce qu’on commence à comprendre aujourd’hui, c’est que cette campagne de « nettoyage » des réseaux sociaux pour empêcher les résistants de s’exprimer n’a pas été menée par les réseaux sociaux seuls. Les services secrets britanniques reconnaissent avoir été à la manœuvre pour « retirer » les résistants hors des réseaux sociaux, selon un procédé qui s’éclaire progressivement. 

Le rôle du GHCQ britannique

C’est en consultant le 2e rapport de l’Hybrid CoE Research que l’on comprend comment, en Grande-Bretagne, la traque aux résistants a été menée sur Internet. Selon cet organisme qui se consacre à l’étude des méthodes de contre-influence dans les guerres hybrides (c’est-à-dire les guerres de l’information) les services britanniques ont en effet mené une campagne d’élimination systématique des résistants au vaccin sur Internet. 

Selon ce rapport (on consultera tout spécialement les pages 20 et 21), le Département du Numérique, de la Culture, des Médias et du Sport (DNCMS) a entre autres utilisé les services du GCHQ pour collaborer étroitement avec les plates-formes numériques afin de supprimer les contenus contraires à la doctrine officielle :

The unit works closely with social media platforms to help them identify and take action to remove incorrect claims about the coronavirus, in line with their terms and conditions.

(L’unité travaille étroitement avec les réseaux sociaux pour les aider à identifier et agir pour retirer des contenus incorrects sur le coronavirus, en lien avec leurs conditions générales.)

On pensait jusqu’ici que les Facebook, Twitter et Google avaient agi de leur propre chef. On comprend désormais que les GAFAM collaborent étroitement avec les services secrets, en leur livrant au jour le jour leurs données personnelles et en prenant directement leurs ordres en matière de suppression de contenus auprès de ces services. 

Jusqu’où est allée la manipulation de l’information ?

Si les services de renseignement demeurent intentionnellement discrets sur les méthodes qu’ils utilisent pour contrer l’influence des résistants sur Internet, le rapport que nous citons donne un indice révélateur sur la face cachée de l’information :

This DCMS unit has been working closely with the Communications team of the Department of Health and Social Care on vaccine campaigns to promote information and advice and increase uptake, particularly amongst certain groups within the population. They have regular meetings and share insights on narratives that we have seen
emerging which may drive hesitancy that might affect vulnerable groups in particular.

(Cette unité du DCMS a oeuvré en étroite collaboration avec l’équipe Communications du Département de la Santé et de l’Aide Sociale sur les campagnes de vaccination, afin de promouvoir une information et des conseils et afin d’augmenter le taux de vaccination, particulièrement parmi certains groupes de la population. Ils tiennent des réunions régulières et partagent des slogans sur les narratifs émergents qui pourraient semer le doute auprès de certains groupes vulnérables dans la population.)

On retiendra la formulation qui nous intéresse ici : “share insights on narratives”. Autrement dit, les services d’espionnage numérique ne se contentent pas de supprimer des contenus gênants et de clôturer les comptes des dissidents. Ils diffusent aussi des informations “correctes” dans certains groupes de la population. 

Les techniques utilisées pour ce faire ne sont pas explicitées officiellement, mais on peut se demander légitimement si elles passent ou non par de faux comptes ou par des trolls. 

Le rôle officiel des services secrets

Dans cette opération menée en Grande-Bretagne, c’est la très officielle agence Reuters qui a dévoilé, en novembre 2020 (citant un article du Times de Londres), le rôle joué par les services de propagande antiterroriste utilisés en leur temps contre Daesh, le GHCQ :

“GCHQ has been told to take out antivaxxers online and on social media,” the Times said, citing a source.

(“Le GHCQ a reçu l’ordre de retirer les antivax d’Internet et des réseaux sociaux” dit le Times, selon une source”)

On comprend ici que les ministères officiels se sont appuyés sur les services secrets pour mener la campagne favorable au vaccin, s’autorisant à bâillonner tous les opposants sans autre forme de procès, dans une collaboration active avec les réseaux. 

Le fantasme de la propagande russe

Cette violation allègre de la liberté d’expression a évidemment trouvé sa justification officielle : la lutte contre la propagande russe, toute réticence contre le vaccin étant forcément inspirée par Moscou, voire par Vladimir Poutine lui-même. 

Comme le précise Reuters :

This latest move by GCHQ, which gathers communications from around the world to identify and disrupt threats to Britain, is an attempt to counter disinformation activities linked to Russia, the report said.

(Cette action récente du GHCQ, qui collecte des informations à travers le monde entier pour identifier et contrer les menaces qui pèsent sur la Grande-Bretagne, est une tentative pour contrer les activités de désinformation liées à la Russie, selon le rapport officiel.)

Dans la pratique, on comprend comment le “narratif” s’est construit pour militariser la propagande du COVID : toute forme de scepticisme sur la question du coronavirus et du vaccin a été automatiquement classée comme activité pro-russe, ce qui autorisait toutes les opérations de sécurité nationale. 

Une opération de propagande occidentale

On notera que Reuters souligne le caractère très international de cette opération de “nettoyage” d’Internet. 

GCHQ is Britain’s main eavesdropping agency and has a close relationship with the U.S. National Security Agency, as well as the eavesdropping agencies of Australia, Canada and New Zealand in an intelligence alliance known as the “Five Eyes”.

(Le GCHQ est la principale agence d’écoute de Grande-Bretagne et entretient des relations étroites avec l’Agence de sécurité nationale des États-Unis, ainsi qu’avec les agences d’écoute d’Australie, du Canada et de Nouvelle-Zélande au sein d’une alliance de renseignement connue sous le nom de “Five Eyes”.)

On peut penser que cette opération de nettoyage d’Internet a obéi aux mêmes procédures dans différents pays occidentaux. On découvre au passage que les écoutes et la surveillance numérique sont d’ores et déjà cartellisées dans les pays occidentaux…

Et en France ?

Pour l’instant, aucune information claire n’a percé sur les pratiques françaises durant le COVID. L’agence Viginum n’a par ailleurs été créée qu’en juillet 2021. 

Cela signifie-t-il que la France est restée inactive sur les réseaux sociaux pendant la campagne du COVID ? Certainement pas, comme le souligne le rédacteur du rapport que nous avons cité plus haut, en l’espèce Jean-Baptiste Jeangène Vilmer, français, directeur de l’Institut de Recherches Stratégiques (IRSEM). Dès 2018, un réseau d’action s’est mis en place. 

Les modalités opératoires de ces réseaux sont encore secrètes. Mais peu à peu, l’histoire s’écrit. Tout laisse à penser, en tout cas, que les services de renseignement ont été, en France aussi, directement à la manoeuvre pendant la campagne du COVID. 




La fable criminelle de la « vaccination sans danger » des femmes enceintes

Par Dr Gérard Delépine

« Dis-moi qui te paie, je te dirai qui tu es »

Depuis deux ans et huit mois, le gouvernement et les médias aux ordres nous mentent pour nous inciter à accepter des injections expérimentales abusivement qualifiées de vaccin alors qu’il s’agit de médicaments à ARN dont les essais phase 3 ne seront terminés qu’en 2023.

L’un des derniers mensonges en vogue concerne les femmes enceintes qu’on trompe en prétendant(([1] D’après Franceinfo !)):

« Une vaste étude canadienne… confirme que les vaccins à ARN messager contre le Covid-19 sont “sans danger” pendant la grossesse… L’étude a été menée sur 200 000 femmes enceintes canadiennes vaccinées ».

Ce pur mensonge estampillé AFP a été répété partout avec la complicité de France info, Médisite(([2] https://www.medisite.fr/coronavirus-covid-19-les-vaccins-a-arn-messager-sans-danger-pour-les-femmes-enceintes.5648211.806703.html)), La dépêche(([3] https://www.ladepeche.fr/2022/08/12/vaccination-covid-19-les-vaccins-sont-sans-danger-pour-la-grossesse-dapres-une-etude-canadienne-10485217.php)), Elle(([4] https://www.ladepeche.fr/2022/08/12/vaccination-covid-19-les-vaccins-sont-sans-danger-pour-la-grossesse-dapres-une-etude-canadienne-10485217.php)), 20 minutes Santé(([5] https://www.20minutes.fr/sante/3336759-20220812-covid-19-vaccins-arn-messager-danger-pendant-grossesse-selon-etude-canadienne)) le quotidien du pharmacien(([6] https://www.lequotidiendupharmacien.fr/medicament-parapharmacie/recherche/grossesse-et-vaccins-arnm-une-nouvelle-etude-confirme-labsence-de-risques)) et bien d’autres médias.

Existe-t-il dans ces rédactions des journalistes qui vérifient leurs sources et les données ? Sont-ils paresseux ou volontairement menteurs ? S’ils avaient fait leur travail de journaliste, ils auraient remarqué les faits suivants déjà dénoncés brillamment par Gibertie(([7] https://www.profession-gendarme.com/dangerosite-de-la-vaccination-pour-les-femmes-enceintes-les-journalistes-sont-de-gros-menteurs/comment-page-1/)).

L’étude(([8] Manish Sadarangani, et al for the Canadian Immunization Research Network Safety of COVID-19 vaccines in pregnancy: a Canadian National Vaccine Safety (CANVAS) network cohort study
https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(22)00426-1/fulltext)) ne porte que sur 5 625 femmes enceintes vaccinées !

Car la lecture de l’article qu’ils citent montre que l’effectif réel des vaccinées est près de 40 fois inférieur à ce qu’ils annoncent !

L’étude se limite à de simples contacts par e-mails et/ou téléphoniques !

Il ne s’agit en aucun cas d’un article médical. Aucun examen clinique ni biologique n’a été réalisé. Il est heureusement douteux que les gynécologues canadiens suivent leurs patientes et l’évolution de leur grossesse par ces seuls moyens !

L’étude ne porte que sur les 7 jours post injection !

C’est quand même très court pour affirmer que les grossesses qui durent 9 mois n’ont pas été altérées par les injections et que les futurs nouveau-nés n’en ont pas souffert.

En 7 jours de suivi, ils ont quand même réussi à avoir chez les vaccinées : 4 qui ont perdu la vue, 7 incapables de marcher, 91 infections respiratoires, 1 paralysie soudaine du visage, et de nombreuses fausses couches.

Il ne s’agit pas d’un essai prospectif randomisé.

Mais d’une analyse rétrospective de cohorte dont la fiabilité scientifique est faible et la valeur probante très faible d’autant que l’effectif du groupe témoin (non vacciné) n’est que 339, chiffre totalement insuffisant pour estimer les risques et les comparer à des groupes numériquement 10 fois plus importants.

Les auteurs sont très liés à l’industrie des vaccins.

Il suffit de consulter les liens d’intérêt détaillés à la fin de l’article :

MS a été chercheur sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Moderna, Pfizer, Sanofi-Pasteur, Seqirus, Symvivo et VBI Vaccines. 

OGV a été chercheur, co-chercheur ou panéliste expert sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Pfizer et Seqirus, en dehors du travail soumis.

JDK a été enquêteur sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Moderna et Pfizer

KAT a été enquêteur sur des projets financés par GlaxoSmithKline. 

JEI a été chercheur sur des projets financés par GlaxoSmithKline et Sanofi-Pasteur. 

AJM a été chercheuse sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Pfizer, Sanofi-Pasteur et Seqirus, , et a reçu des honoraires pour sa participation à des conseils consultatifs d’Astra-Zeneca, GlaxoSmithKline, Medicago, Merck, Moderna, Pfizer, Sanofi-Pasteur, Seqirus, et pour les présentations d’Astra-Zeneca et Moderna.

 GDS a été enquêteur sur un projet financé par Pfizer. 

L’étude a été financée par les organismes d’État qui vivent des campagnes vaccinales et en font la promotion constante.

Ce travail a été soutenu par le financement COVID-19 Vaccine Readiness des Instituts en santé du Canada et de l’Agence de la santé publique du Canada CANVAS (numéro de subvention CVV-450980) et par le financement de l’Agence de la santé publique du Canada, par le biais du Document de référence sur la surveillance des vaccins Group et le groupe de travail sur l’immunité COVID-19.

La publication par le Lancet d’un tel torchon rappelle le précédent Lancetgate(([9] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/the-lancet-gate-saga-dune-etude-corrompue-1216931))(([10] https://www.lefigaro.fr/demain/sante/hydroxychloroquine-3-des-auteurs-de-l-etude-du-lancet-se-retractent-20200604))(([11] https://tribune-diplomatique-internationale.com/la-corruption-de-la-science-le-scandale-de-letude-sur-lhydroxychloroquine-qui-etait-derriere-tout-cela-lintention-danthony-fauci-de-bloquer-lhcq-au-nom/))(([12] https://www.causeur.fr/the-lancet-revues-universitaires-177545/))

Jamais un tel article bidon n’aurait passé l’examen par un comité de lecture à l’époque où le Lancet était indépendant et que son impartialité faisait sa réputation. Le Docteur Richard Horton rédacteur en chef du Lancet a d’ailleurs prévenu ses lecteurs :

« Une grande partie de la littérature scientifique, sans doute la moitié, pourrait être tout simplement fausse. Affligée d’études avec des échantillons réduits, flagrants, avec l’obsession de suivre les tendances d’importance douteuse à la mode, la science a pris le mauvais tournant vers les ténèbres. les grandes compagnies pharmaceutiques falsifient ou truquent les tests sur la santé, la sécurité et l’efficacité de leurs divers médicaments, en prenant des échantillons trop petits pour être statistiquement significatifs, ou bien, pour les essais, embauchent des laboratoires ou des scientifiques ayant des conflits d’intérêts flagrants, ils doivent plaire à la compagnie pharmaceutique pour obtenir d’autres subventions ».

L’agence France presse, et les médias qui ont diffusé sans modération ce mensonge se sont comportés non pas comme des organes d’information, mais comme des propagandistes sans état d’âme d’un pseudovaccin expérimental dont les premiers résultats avérés en population réelle sont très inquiétants.





Impossible de « les » prendre encore au sérieux

Par Lucien SA Oulahbib

À force de mentir, de triturer les mots et les faits relatés, de ne pas agir tout en faisant semblant, de menacer, corrompre, tuer socialement, bref, à force de se comporter en criminel en actes, il est désormais vain de les entendre sérieusement lorsqu’ils perquisitionnent Trump sous prétexte de « sécurité nationale » ou relatent une « contre-offensive » kiévienne à la façon d’une série Netflix, parlent de sécurité intérieure sans désigner l’ennemi, de social multiforme sans aller à la racine du néo-sous-développement français, de santé, mais privilégiant Big Pharma et son artillerie lourde bas de gamme, oubliant l’enseignement fait à la va-vite ou inutile, etc.. Rien ne va plus donc, mais rien n’a jamais été en fait. Et cela se voit bien plus maintenant comme les nez de Cyrano et de Pinocchio ; et comme la marée des mensonges descend, le souverain (le Peuple) se découvre nu.

D’où cette défiance, qui était déjà là en réalité, mais qui se fait de plus en plus pressante quoiqu’à bas bruit, avec les taux d’abstention record, la baisse abyssale des ventes de journaux et revues, la dégringolade du film français, du livre, hormis ceux qui parlent des vraies questions (mais sont méprisés par les prothèses ignares et ignobles de la Secte), tels Bac Nord ou les écrits dénonçant la fausse écologie, le racket de l’électricité et de diverses taxes déjà indiquées par le fameux sketch des Rap-tout version Inconnus.

Comment est-il alors possible de les entendre encore sans rire dès les premières secondes lorsqu’ils parlent de sujets dits cruciaux, mais qu’ils sont incapables de traiter tant ils n’ont ni les outils ni la volonté pour le faire ? Ils gèrent seulement leur retour sur investissement communicationnel en faisant en sorte que de plus en plus leur intervention dans le réel institutionnel soit construite comme un scénario de série TV (avec teaser et saisons) alors qu’auparavant c’était l’inverse ; ou la collusion, la simultanéité quasi synchrone entre la Carte de plus en plus solide et le Territoire de plus en plus abandonné aux surmulots des enclaves arrachées au Corps national. Et il suffit de se déplacer, de consommer, de payer, sur et par « elle », via le casque virtuel et les écouteurs Bluetooth.

Où est le Réel ? La situation est devenue si virtuelle que l’on ne s’en rend même plus compte.




Est-ce qu’on joue à rendre la météo folle ?

[Source : Kla.tv]

Transcription

La chaleur accablante et la sécheresse donnent actuellement du fil à retordre à l’agriculture. Des incendies de longue durée mobilisent les pompiers en de nombreux endroits. La cause semble évidente : ce serait le changement climatique provoqué par l’homme, c’est-à-dire les émissions élevées de CO2, qui serait à blâmer.

On évoque de plus en plus souvent comme solution possible ce qu’on appelle la géo-ingénierie solaire.

Il s’agit de réfléchir les rayons du soleil en pulvérisant des substances afin de refroidir la terre.

La radio MDR reprend ainsi la question d’un auditeur qui voudrait savoir s’il existe déjà des vols au cours desquels des avions pulvérisent des substances adaptées. Ulrike Niemeier, de l’Institut Max Planck à Hambourg, confirme que c’est technologiquement faisable :

« Bien sûr, cela a des effets secondaires : Les effets négatifs sont que nous réduirions également les précipitations moyennes sur la terre. Nous n’aurions plus un ciel d’un bleu vraiment profond, mais il aurait un aspect légèrement laiteux… » et que « … cela pourrait certainement avoir des effets psychologiques ».

Elle nie toutefois l’utilisation de tels vols. Elle et d’autres personnes interviewées demandent que la géo-ingénierie fasse l’objet de recherches plus approfondies.

Si on examine de plus près les déclarations d’Ulrike Niemeier, la pulvérisation de substances aurait pour conséquence une diminution des précipitations et un ciel laiteux. Ces deux phénomènes ont été observés de plus en plus fréquemment ces dernières années.

On peut donc se demander s’il s’agit vraiment, comme on le prétend, d’une technologie entièrement nouvelle sur laquelle les recherches ne font que commencer.

Dans ce qui suit, Kla.tv reprend des indications des médias dominants selon lesquelles la recherche et l’utilisation d’armes climatiques ont manifestement déjà une longue histoire.

Regardez ci-après le contenu principal de l’émission www.kla.tv/16595 en français : « Le débat sur le CO2 comme moyen de détourner l’attention de la manipulation de la météo par les militaires ».

Commençons notre recherche d’indices :

  1. Le 14 mars 2019, la ministre suisse de l’environnement, Simonetta Sommaruga, a déclaré ce qui suit dans une interview en marge de la 4e Assemblée des Nations Unies pour l’environnement. Simonetta Sommaruga :

« Oui, la Suisse a essayé d’aborder le sujet de la géo-ingénierie, c’est-à-dire la pulvérisation de particules dans l’atmosphère, elle a essayé d’en faire un sujet de débat afin de collecter des informations, et qu’on puisse regarder les avantages et les risques. … Ce sont des essais que l’on fait sans même en connaître les conséquences. Le sujet est trop important et peut-être même trop problématique pour qu’on puisse simplement passer outre. »

Mme Sommaruga parle ici d’essais de pulvérisation de particules dans l’atmosphère. Mais ces expériences sont-elles nouvelles et en sont-elles encore à leurs débuts, à petite échelle ?

  1. Le 14 janvier 2009, le météorologue Gunther Tiersch a fait quelques remarques troublantes lors du bulletin météo sur la chaîne de télévision allemande ZDF : Gunther Tiersch explique la météo sur la carte météorologique, avec ces termes :

« Et puis nous avons ici quelque chose que nous ne pouvons pas identifier comme de la neige ou de la pluie, ici à l’ouest ces lignes sinueuses, c’est probablement ce que quelques avions, des avions militaires, ont émis dans l’après-midi au-dessus de la mer du Nord, à environ 5-6 kilomètres d’altitude. Rien à voir avec la météo… ».

Peu de temps après, ZDF interroge Karsten Brandt, un expert du service météo, en raison des nombreuses questions des téléspectateurs sur ce bulletin météo. Voici la version fortement raccourcie de la formulation originale :

« Un phénomène que Karsten Brandt, du service météorologique « Donnerwetter », connaît bien. Les météorologues ont remarqué ces étranges nuages fantômes pour la première fois en 2005. Les navires de guerre se camouflent également avec de tels nuages artificiels. Les paillettes (nuages artificiels, qui perturbent par exemple les radars) ont déjà été développées pendant la Seconde Guerre mondiale. Alors qu’à l’époque, ils étaient constitués de bandes d’étain, aujourd’hui, ce sont des fibres de verre vaporisées avec de l’aluminium, d’une longueur de 15 à 25 mm et d’un diamètre d’environ 100 microns. Si les filaments ont la moitié de la longueur d’onde du radar, des échos parasites se produisent. Quand on voit les énormes nuages fantômes provenant de la direction de la côte néerlandaise, on peut penser que des tonnes de cette substance descendent sans cesse sur la République fédérale. »

Le météorologue Karsten Brandt :

« Nous mettons en place des zones de respect de l’environnement et d’autres, et apparemment la zone de respect de l’environnement ne s’applique pas à une hauteur de quatre ou cinq mille mètres au-dessus de la mer du Nord et ne s’applique pas au-dessus de l’Allemagne. Ce qui est répandu là ne joue aucun rôle. Je trouve cela incroyable ! »…

« Même si ces nuages ne proviennent pas des forces armées allemandes, que personne ne se sent responsable des substances qui tombent régulièrement sur l’Allemagne et qui sont en fait interdites, les météorologues considèrent tout cela comme tout simplement absurde. »

« Absurde c’est un mot bien gentil, il s’agit là d’une tromperie de la population. »

  1. Le physicien et présentateur de télévision allemand Jochen Bublath a fait des déclarations très détaillées sur le sujet de la manipulation de la météo par les militaires dans un documentaire pour la chaine allemande ZDF. Jusqu’en 2008, Bublath était le concepteur de l’émission télévisée scientifique de ZDF « Abenteuer-Forschung » (« La recherche : une aventure »). Dans un épisode, il parle de la manipulation du temps par les militaires au moyen d’énormes systèmes d’antennes et de la production de nuages artificiels. Voici également un extrait dans la formulation originale :

Jochen Bublath :

« On soupçonne que les puissants émetteurs et les grands systèmes d’antennes de HAARP sont également utilisés pour ces essais militaires. Gakona en Alaska : Loin de toute civilisation, l’armée américaine exploite ici une installation pour manipuler l’ionosphère. Le nom de ce mystérieux projet est HAARP. Une immense forêt d’antennes peut émettre des ondes radio dans l’ionosphère… Avec les ondes radio, on essaie de changer l’ionosphère. Les ondes radio pompent l’énergie dans cette couche de particules chargées électriquement. L’ionosphère est chargée, se dilate en ces points et présente des perturbations. Une possibilité de causer des difficultés à l’adversaire militaire. Mais officiellement, HAARP est uniquement destiné à être utilisé pour la recherche sur l’ionosphère. »

Bublath fait également état d’une installation similaire près de Tromsø en Norvège. Suit alors un extrait de la BBC sur la production de nuages artificiels par la NASA. Pour résumer brièvement jusqu’ici : Il y a plus de 10 ans, ZDF a fait état d’approches du secteur militaire visant à influencer la météo à des fins militaires en émettant des particules et en utilisant d’énormes systèmes d’antennes. Mais écoutez une contre voix qui rend compte de façon très détaillée de la nature et des objectifs de la manipulation du temps :

  1. La chaîne de télévision espagnole « La 8 Zamora TV » a interviewé Josefina Fraile de l’association « Terra SOS-Tenible » le 19 octobre 2017 ; l’interview est intitulée « Géo-ingénierie – Pacte de silence ». Vous pouvez en écouter ici quelques extraits. Au début, il est question d’une interdiction des armes dites climatiques.

Josefina Fraile fait référence à la Convention ENMOD (« Convention sur l’interdiction d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles »).

Il s’agit d’un traité international qui a été adopté dès 1976 par les Nations unies (ONU) sous la résolution 31/72. Il mentionne explicitement les interventions qui ont les effets suivants : – Tremblements de terre ou changements dans la croûte terrestre – Tsunamis – Phénomènes météorologiques tels que cyclones, tornades, formation de nuages, précipitations/pluies – Perturbation de l’équilibre écologique d’une région – Influence sur les courants maritimes, etc.

Josefina Fraile :

Un accord a été conclu selon lequel l’arme climatique ne peut être utilisée dans les conflits armés. Mais en fait, elle est toujours utilisée. Que peut-on et que fait-on avec cette arme ? Avec cette arme, on peut créer des pluies, des tempêtes, des nuages, des éclairs, des orages partout dans le monde. Ou le contraire : on peut dissoudre les fronts de pluie, arrêter la grêle et les chutes de neige et, bien sûr aussi créer une sécheresse. Que se passe-t-il ? Cette arme de contrôle du climat, quiconque la possède a un contrôle absolu sur les ressources de la planète, en particulier sur les ressources alimentaires. Donc, en clair : si un pays dispose de cette technologie, il contrôle le robinet d’eau du monde entier. Soit tu fais ce qu’on te dit et tu reçois de l’eau, soit tu es contre et ton pays est sous-alimenté en eau. Rompre, briser, détruire les ressources en eau. Cela provoque des périodes prolongées de sécheresse et conduit à l’incapacité de nourrir la population de ce pays. Le résultat est une famine. C’est réel ! Certains pays disposent de cette technologie et aux États-Unis, cette technologie fait déjà partie de la politique étrangère. Un rapport des Forces aériennes d’Amérique du nord s’intitule – « Posséder le climat d’ici 2025 ». Ce titre, qui s’explique de lui-même, nous laisse sans mots, le souffle coupé. Le fait que l’on puisse être présomptueux au point de vouloir contrôler le robinet d’eau du monde, cela nous dépasse, tous. Ce rapport indique également que la modification climatique fera partie de la politique étrangère américaine. Que le monde le veuille ou non. Et cette politique est appliquée par le biais d’accords bilatéraux, par des organisations comme l’OTAN (elles sont responsables de nous) ou par l’intermédiaire des Nations Unies. En fait, lors de la dernière Assemblée générale des Nations Unies, dans la section D du 5e rapport sur le changement climatique, le GIEC était plus ou moins légitimé pour ce qu’on appelle la GÉO-ENGINIERIE. Il est clair que celui qui dispose de cette technique peut faire pression sur qui il veut, quand il veut. Dès que cette méthode de guerre a été interdite par les Nations Unies, nous nous sommes logiquement posé la question : Un pays qui peut contrôler le climat et qui a donc le pouvoir sur les ressources du monde entier, ce pays abandonnera-t-il cette règle simplement parce qu’il a – avec beaucoup de retard – signé un accord des Nations Unies ? Plutôt pas. La seule chose qui reste à ce pays, c’est de donner à ce chien un nouveau collier. En d’autres termes, créer un problème mondial et proposer ensuite la solution mondiale. Le problème mondial était la création d’une nouvelle religion : « Changement climatique et réchauffement de la planète ».

Y a-t-il donc des tentatives de la part du mainstream pour rendre acceptables les interventions sur les régimes climatiques naturels sous prétexte de mesures de protection du climat ? Il est clair que oui. En 2015 déjà, la radio suisse SRF 4, par exemple, a présenté une sorte de protection solaire pour la Terre dans les hauteurs de l’atmosphère. Selon Thomas Peter, chimiste de l’atmosphère à l’École polytechnique fédérale de Zurich, cela peut se faire, par exemple, avec d’innombrables petites particules qui volent dans l’atmosphère comme de minuscules miroirs. Ceux-ci renverraient immédiatement la lumière du soleil dans l’espace. … De nombreux experts et organisations environnementales sont très sceptiques à l’égard de la géoingénierie. Mais le réchauffement climatique serait de plus en plus dramatique. Et ainsi il y a de plus en plus de chercheurs, tels que le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et l’Académie nationale des sciences des États-Unis, qui se sont récemment prononcés en faveur d’une étude sérieuse de la protection solaire de la Terre. Le sujet devient ainsi socialement acceptable, déclare Ken Caldeira, de l’université de Stanford en Californie.

Résumons :

  1. A cette occasion, en 2019 la ministre suisse de l’environnement a appelé à un débat sur la pulvérisation de particules dans l’atmosphère.
  2. Il y a plus de 10 ans des experts en météorologie et des journalistes spécialisés parlaient déjà dans les médias officiels de pratiques illégales de manipulation de la météo, par exemple en pulvérisant des particules ou en intervenant dans l’ionosphère par des ondes radio extrêmement fortes.
  3. Josefina Fraile a dévoilé les intérêts militaires qui se cachent derrière l’utilisation des armes prétendues climatiques, interdites en 1977 pour la raison déjà évoquée. Elle voit la tentative de rendre acceptables les « armes climatiques » interdites en les renommant « programme de protection du climat ». Dans ce contexte de forts intérêts de puissance militaire, on peut comprendre que les médias officiels attisent désormais tous ensemble la peur du CO2 et ne disent plus un mot sur des causes complètement différentes de sécheresses, d’inondations et de catastrophes météorologiques de toutes sortes.

Se pourrait-il que, compte tenu de tous les faits mentionnés dans cette émission, la panique autour du CO2 représente plutôt une gigantesque distraction et une tromperie de la population, qui est en fait contrôlée et affaiblie par des substances nocives pour la santé pour des raisons peu convaincantes ? Une protection efficace de l’environnement commence par la recherche des causes graves de la destruction de l’environnement et la sensibilisation du public à ces questions. Kla.tv reste à votre service… nous acceptons volontiers les dépositions et des informations de témoins…

de ag./kgr.


Sources / Liens :

1.Hörer machen Programm:
https://www.mdr.de/nachrichten/deutschland/panorama/geo-engineering-klimawandel-flugzeuge-100.html
2. Schweizer Umweltministerin:
https://youtu.be/9rDmEY3tF3U
3. Schweizer Radio (SRF 4 vom 20.2.2015):
https://www.srf.ch/play/radio/popupaudioplayer?id=70c16bcd-e3a8-4ac1-9255-7c2db5a38780
https://www.youtube.com/watch?v=h6E4yHYN0I4
4. Wetterbericht ZDF:
https://www.youtube.com/watch?v=Xot1EI4s6j0
5. Karsten Brandt (ab Minute 2:30):
https://www.youtube.com/watch?v=zbwE4icBlF0
6. ARD-Tagesschau und ZDF-Sendung-Zusammenschnitt: Zu Wettermanipulationen (HAARP und Chemtrails):
https://www.youtube.com/watch?v=zbwE4icBlF0
https://www.youtube.com/watch?v=EMfTXgJH2Fc
7. Interview mit Josefina Fraile:
https://www.youtube.com/watch?v=1pMMS9crybw
(Spanisch)
http://hastaloshuevos.es/geoingenieria-pacto-de-silencio-entrevista-josefina-fraile-terra-sostenible
https://www.youtube.com/watch?v=zbwE4icBlF0
(Deutsch, ab 8:16 Min.) 8. ENMOD-Konvention (Verbot von „Klimawaffen“) :
https://www.radio-utopie.de/2011/03/11/kennen-sie-eigentlich-die-enmod-konvention-gegen-wetterwaffen-aus-dem-jahre-1976/
9. Militär beherrscht das Wetter bis 2025 (englische Quelle):
https://archive.org/details/WeatherAsAForceMultiplier
10. Informationsplattform zu Geo-Engineering (englische Quelle):
https://www.geoengineeringwatch.org/