Le rôle de l’hydrogel et des points quantiques pour le projet transhumaniste

[Source : Oz Réinfo]

Le journaliste d’investigation Américain Greg Reese nous livre un rapport sur les travaux du Dr Ana Maria Mihalcea concernant l’hydrogel et les points quantiques retrouvés dans le sang des vaccinés et de non-vaccinés à cause des injections covid, des test PCR et autres procédés illégaux. Ils avancent que ce sont des composés qui permettront la fusion des hommes avec les machines en permettant une interface cerveau-ordinateur grâce à des fréquences électromagnétiques. Cela pourra mener à du contrôle mental dans un cadre transhumaniste.

[NDLR Pour l’instant, il n’existe pas de preuve scientifiquement valide du transfert de la nanotechnologie vaccinale d’un vacciné vers un non-vacciné. Par contre, la présence de graphène a été trouvée sur des masques et sur des écouvillons de tests PCR.
Dr Sam Bailey sur l’histoire du Shedding vaxinal
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Les écouvillons des tests PCR conçus pour implanter de l’hydrogel DARPA au lithium dans le cerveau et attaquer la glande pinéale ?
Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité
Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène
« Le Vaccin Covid est une arme biologique 100% SYNTHÉTIQUE ».
Sur les techniques et les technologies de contrôle mental, voir notamment :
Un neurologue de la DARPA avertit sur le contrôle mental
Robert Kennedy Jr. explique comment la CIA a utilisé des expériences de contrôle mental pour apprendre à contrôler les masses
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction]






Astrid Stuckelberger aux rencontres citoyennes internationales de Vierzon

[Source : Dépêches_Citoyennes]

Par Dépêches Citoyennes

Nous avons échangé quelques mots avec le Dr Astrid Stuckelberger qui était présente à Vierzon aux rencontres citoyennes internationales des effets indésirables des covid long et vaccins.
Elle est la marraine de l’association Aresaj.org et considère comme uniques ces rencontres.
Elle considère que nous sommes dans une scène de crime avec ces injections alors que l’on sait qu’il y a une hausse de la mortalité. Depuis début 2021, des alertes sont données concernant le contenu des flacons de vaccins.
Elle déplore le mensonge et débat de la biologie synthétique avec des scientifiques du monde entier. BioNTech : bio nano techno !
Pour elle la cause de la mortalité est nanotechnologique.
Le tribunal d’Almeria a ordonné les analyses des flacons concernant l’oxyde de graphène.
Pourquoi l’OMS s’intéresse à l’édition du génome ?
Elle revient sur l’incident au congrès de Stockholm.
Enfin, elle nous parle de l’ONU et de l’OMS, institutions infiltrées, occupées et totalement sectaires aujourd’hui.






Le double discours de la propagande US : L’opposition CTRL-X — Partie 2/3

[Source : AKINA | Le Front Médiatique]

[Voir :
Le double discours de la propagande US : L’opposition CTRL-X (Partie 1/3)]






Sauver la planète ?

Par Joseph Stroberg

La conjugaison de la peur de mourir et d’une certaine connaissance des limitations de notre environnement terrestre a conduit un nombre croissant d’êtres humains à se lancer dans une cause idéologique, celle de la sauvegarde de notre planète. Cette cause qui sert parfaitement les mondialistes, comme excellent prétexte pour instaurer leur totalitarisme planétaire avec l’agenda 21 et ses différents corollaires, est largement stimulée par des activistes écologiques et par des scientistes du climat. Abusant de sophismes et d’incohérences manifestes, ces derniers ont fini de facto par créer un nouveau dogme de la religion technoscientiste et humaniste moderne, celui de l’effet de serre climatique1. Si leurs motifs peuvent sembler nobles, ils engendrent trop souvent des actions fanatiques et pourraient conduire au suicide de l’Humanité elle-même.

Depuis un peu plus de deux siècles, avec des prémisses légèrement antérieures à la Révolution française, l’Humanité a connu deux tendances évolutives, ou plus probablement « involutives » parallèles et liées dans une certaine mesure. La première est la destruction progressive et croissante des grandes religions (plus particulièrement du christianisme), à partir de leur état déjà relativement éloigné de leurs conditions et caractéristiques originelles. La seconde est la naissance de la science matérialiste moderne, progressivement remplacée à grande échelle par le scientisme. Celui-ci se fait passer pour de la « science », alors que le véritable esprit scientifique (caractérisé par le doute sain, l’observation, l’investigation et l’expérimentation) se trouve de plus en plus rarement, mais se voit au contraire remplacé par une collection grandissante de rituels procéduraux (appelés par exemple « protocoles » en médecine), de dogmes incontestables, de textes bibliques (« études » publiées dans les revues à comité de lecture, et manuels de référence) et de grands prêtres, d’idoles, de saints, de dieux…

Comme il semble qu’une des caractéristiques de l’Homme soit le besoin d’un système de croyances ou au moins de se faire une représentation interne, une image du monde, à défaut de pouvoir l’appréhender en totalité et de manière objective (ceci du fait même de ses capacités mentales et sens limités), la destruction des grandes religions ne pouvait alors que favoriser l’expansion du matérialisme scientiste technologique que l’on observe de nos jours à l’échelle planétaire. Cette nouvelle religion est mondiale, toute puissante, suivie par les grands de ce monde aussi bien que par la masse des peuples. Ses gourous, ses cardinaux et ses inquisiteurs sévissent autant dans les médias que dans les diverses chapelles scientistes (climatologie, virologie, épidémiologie, écologie, etc.). Les peuples la suivent par leurs multiples écrans ou interfaces avec le nouveau paradis divin : le monde virtuel informatique, l’univers artificiel des robots et du transhumanisme.

Une des croyances de cette nouvelle religion est que l’Homme est mauvais, qu’il pollue la Terre, qu’il se multiplie comme des lapins, et qu’il vaut mieux l’enfermer dans des cages (les villes 15 minutes qui se profilent à l’horizon), le stériliser et diminuer sa population grâce aux vaxins. Il faut lui retirer son libre arbitre en le soumettant à l’Intelligence artificielle programmée par les nouveaux dieux. Il faut pour cela le transformer en machine, réduire au maximum la taille de sa cage, la qualité et la quantité de sa nourriture et de ses ressources, son intelligence propre… Pendant ce temps, les dieux milliardaires pourront continuer à utiliser leurs yachts et leurs jets hyperpollueurs, habiter dans leurs nombreux châteaux, chasser animaux (et êtres humains) dans leurs immenses parcs naturels et forêts réservés, manger des aliments sains, biologiques, sans OGM et sans insectes…

Les activistes écologiques qui sont prêts à sacrifier leur train de vie et à vivre le martyre2 réalisent-ils que pendant ce temps et grâce à eux, les nouveaux dieux pourront créer leur paradis terrestre, alors que les masses soumises subiront un pseudoparadis artificiel à coup de graphène vaxinal et de drogues diverses généreusement dispensées par la sorcellerie pharmaceutique ? Réalisent-ils que par peur de la mort, ils vont droit au suicide ? Sont-ils conscients de l’incohérence de leur approche ?

Au lieu d’élever la conscience de l’Humanité pour notamment stimuler le sens de la responsabilité individuelle dans la vie collective, les nouveaux dieux et leurs idiots utiles ont stimulé les pires tendances humaines (l’égoïsme, la luxure, l’avarice, la gourmandise, la vanité, l’orgueil…) pour subordonner la vie individuelle à un prétendu intérêt collectif qui n’est en définitive que celui des milliardaires. Ils l’ont réalisé par la destruction progressive de la famille, des valeurs traditionnelles, de l’instruction scolaire, puis des nations.

Si la planète est un être vivant que l’on voudrait « sauver », est-il pour autant besoin de le faire en sacrifiant l’Humanité ? Est-ce même cohérent ? Cette idée que l’Homme serait un virus pour la Terre, un méchant microbe tout juste bon à la détruire provient directement de l’hypothèse pourtant scientifiquement réfutée de l’existence de méchants germes (bactéries et virus) tout juste bons à rendre malades et à tuer les êtres humains, les animaux et même les plantes. Pourtant, dans le même temps, la nature démontre tout autre chose : notre corps lui-même vit en symbiose avec des milliards de bactéries (dans son microbiome) et lesdits « virus » sont des composants cellulaires endogènes3 habituellement conséquences des agressions diverses subies par les cellules, selon les découvertes scientifiques d’avant-garde en biologie, rejoignant en cela celles d’Antoine Béchamp ; et d’autre part, les plantes elles-mêmes vivent en symbiose avec des champignons et des bactéries4. Sans ces symbioses, ni les plantes ni les êtres humains ne pourraient survivre. Ce sont elles qui permettent notamment l’assimilation de certains nutriments indispensables à l’organisme. L’Homme apporte des aliments aux bactéries et en retour ces dernières lui permettent d’assimiler des nutriments dans les intestins et de se purifier de toxines. Il existe également une telle collaboration dans les règnes végétal et animal. Dans cette même optique, l’Homme peut parfaitement vivre en symbiose avec la Terre.

Les élites milliardaires ont préféré donner vie aux fraudes pasteuriennes et à sa perception négative de la vie, plutôt qu’au paradigme de Béchamp qui lui avait eu une démarche réellement scientifique et honnête. De nos jours, toutes les erreurs et les errements qui en découlent sur le plan de la santé humaine, animale, végétale et planétaire sont propagés du fait de la mainmise des nouveaux dieux sur les systèmes « éducatifs » et médiatiques mondiaux, facultés de médecine et universités incluses. Et comme il ne faut surtout pas les remettre en question, les grands-prêtres et les inquisiteurs écartent les gêneurs par le discrédit (« complotistes », « antivax », « extrémistes de droite », « antisémites », « négationistes »…) et par l’interdiction des thèses et des pratiques alternatives (spécialement en médecine et dans le domaine du climat).

Un « Nouveau Monde » qui ne soit pas en fait le « Nouvel Ordre Mondial » sera possible, non pas par le sacrifice inutile de l’Humanité, mais par sa participation pleine et active à sa création, ce qui impliquera probablement de faire tomber les pseudodieux de l’Olympe, ceci en leur enlevant tout pouvoir de nuisance et en n’écoutant plus leur chant de sirènes. S’il est souhaitable de modérer grandement l’esprit consommateur, hédoniste, gaspilleur et infantile moderne, ceci gagne à se faire non pas par la coercition, le mensonge, la manipulation et des prétextes, mais par l’enseignement, en particulier par l’exemple. Ainsi, ce sont les dirigeants (théoriquement au service des peuples) et les divers guides de l’Humanité qui doivent commencer par réduire leur propre train de vie, cesser d’habiter dans des palaces, de voyager dans des jets privés, de chercher la jouissance de multiples biens matériels… Et les peuples gagneraient de leur côté à ne se doter de chefs ou de guides que parmi les plus humbles, les réellement humbles, pas ceux qui disent à longueur de temps « en toute humilité, je… ». L’humilité se mesure dans les gestes et les actes, pas dans les paroles, surtout lorsque celles-ci sont prononcées par des « langues fourchues ».

Vivante, la Terre peut survivre à la disparition de l’Humanité (de nombreuses espèces animales et végétales sont plus résistantes que l’Homme). Sur une Terre inerte, l’Humanité n’aurait qu’à se préoccuper de sa propre survie. Ce n’est donc pas tant de la survie de la planète dont l’être humain gagne à se préoccuper, mais de celle de l’Humanité, attendu que sa disparition découlerait de celle de sa conscience par sa transformation en machine. Un transhumain robotique perdrait sa conscience propre, deviendrait coupé du plan des âmes, perdrait la vie éternelle spirituelle et trouverait un enfer matériel multimillénaire, survivant dans la matière aussi longtemps que son corps mécanisé le permettrait. Quasi immortalité infernale et contrainte ici-bas, ou liberté éternelle dans l’au-delà ? Que souhaitons-nous pour nous-mêmes et pour nos descendants ?






Les vrais tueurs du climat

[Source : Kla.tv]

La petite Greta reçoit une petite leçon particulière de la part du fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek… En effet, les mêmes personnes qui nous imposent des filtres à particules de plus en plus chers pour « sauver notre santé et le climat » et qui privent les agriculteurs de leurs vaches parce qu’elles pètent trop envoient chaque année des dizaines de milliers de millions de tonnes de poussières fines de charbon dans notre air. Sans oublier des milliers de millions de tonnes de particules d’aluminium et toutes sortes d’autres nanococktails hautement toxiques. Parallèlement, les mêmes personnes ont déjà abusé de notre ionosphère en 2010 avec 180 installations militaires HAARP pour déclencher divers tremblements de terre, sécheresses, tempêtes, inondations, etc. Alors que Wikipédia & compagnie s’obstinent à nier ces faits, les brevets de géo-ingénierie admettent ouvertement que les installations HAARP, associées à des millions de tonnes de cocktails de nanoparticules, peuvent même déclencher des tsunamis et endommager n’importe quel climat.

Par Ivo Sasek

J’ai aujourd’hui un avertissement important à adresser à tous les lanceurs d’alerte indépendants en ce qui concerne le changement climatique d’origine humaine.

Il y a peu de temps encore, je ne comprenais pas comment la moitié du monde pouvait s’intéresser aux divagations sur le climat d’une Greta Thunberg, alors qu’il était évident que pour cette enfant cette nouvelle religion du climat ne pouvait pas venir de sa propre tête ou de son esprit. N’importe qui sous ce ciel devrait immédiatement comprendre qu’il s’agit simplement d’une pauvre fille malade qui est abusée et instrumentalisée à ses fins par une élite puissante. Mais ce que j’ai eu encore plus de mal à comprendre jusqu’à présent, c’est que tant d’enfants, d’adolescents et d’adultes, manifestement en bonne santé, se soient laissés instrumentaliser avec cette petite Gretchen abusée. Je pensais qu’au moins ces personnes normales et capables de réfléchir devraient pouvoir comprendre qu’elles sont simplement instrumentalisées par les grands escrocs. En outre, il ne devrait échapper à personne de sensé que ce sont toujours les mêmes abuseurs de pouvoir qui recouvrent constamment notre beau monde de leurs crises financières stratégiquement fomentées, de leurs guerres et de toutes sortes de plandémies et de crises qu’ils ont eux-mêmes créées, nous tyrannisant tous, nous pillant et nous réduisant progressivement à l’esclavage.

Mais ce n’est qu’après avoir tourné avec Kla.TV de nombreux documentaires contre cette nouvelle religion sectaire du climat que la lumière s’est faite. Des documents percutants qui nous ont été transmis m’ont convaincu que nous, de Kla.TV nous nous sommes également laissés instrumentaliser, et ce par les mêmes faiseurs de crises dont nous parlons ici. J’ai soudain compris que ce n’est ni la bêtise ni l’ignorance qui font que les masses se laissent emporter par cette folie climatique. C’est plutôt la ruse diabolique de ceux qui chuchotent des mensonges au sujet du climat et savent exactement comment nous garder tous dans l’ignorance ou nous manœuvrer habilement sur des sujets secondaires où nous pouvons nous frapper mutuellement la tête avec les arguments et contre-arguments les plus vrais.

Je vais maintenant vous expliquer de quelle manière nous aussi, à Kla.TV, nous nous sommes laissés instrumentaliser par ces escrocs du climat — et ce que nous en avons appris. En fait, nous sommes nous aussi tombés dans leur piège. Et comment cela ? Tout simplement en contredisant l’affirmation constante selon laquelle le changement climatique est dû à l’homme, avec des climatologues et des scientifiques de haut niveau. Ceux-ci ont démontré, à l’aide des exemples les plus convaincants, qu’il existe depuis des millénaires un changement climatique naturel, des variations constantes des températures, des vents et des conditions météorologiques, etc. Et cela est et reste correct. Mais plus nous avons pu prouver de manière convaincante que le changement climatique ne peut pas être d’origine humaine, plus nous avons fait le jeu de ces faiseurs de crises climatiques ! Maintenant, tu vas bien sûr demander : Pourquoi donc ? Qu’est-ce qui pourrait être plus utile que de comprendre que nous, les humains, ne pouvons avoir, au mieux, qu’une influence de 0,000 — quelque chose sur le climat ? Cela prouverait clairement que « Gretchen » ne fait que répandre des absurdités… Et vous voyez, c’est précisément ce va-et-vient permanent, cette lutte de pouvoir à ce niveau bien trop bas (pour savoir si le changement climatique est d’origine humaine ou non) qui est le point de vue secondaire absolument voulu sur lequel ces renards malins du climat nous ont manœuvrés. Mais ce qui m’est apparu clairement ces derniers jours, après avoir consulté des brevets de manipulation météorologique de haut niveau, c’est le fait que de nombreux changements actuels de notre temps et de notre « climat » sont tout de même d’origine humaine ! Mais pas par des personnes inconscientes comme toi et moi, c’est-à-dire au niveau le plus bas, mais par des ennemis de l’humanité sans scrupules au niveau le plus haut ! Ni par nos systèmes de chauffage, ni par les gaz d’échappement de nos voitures, ni par nos industries ! Et bien sûr pas par des pets de vache quelconques, auxquels on attribue en plus les trous dans la couche d’ozone. Non, dans d’innombrables brevets qui existent déjà depuis de nombreuses décennies, on peut lire noir sur blanc que par la géo-ingénierie, c’est-à-dire par les techniques de manipulation météorologique les plus diverses, on provoque entre autres des trous dans la couche d’ozone. Mais les brevets de ces armes météorologiques montrent qu’elles provoquent également des tremblements de terre, des inondations, des sécheresses, des tempêtes de neige, des éclairs avec ou sans tonnerre, des vagues de chaleur, du froid, des vents violents et même des tornades. On y trouve même des tsunamis, que personne ne connaissait à l’époque, et tout ce que nous avons dû vivre d’horrible au cours des dernières décennies ! Dans le brevet officiel américain 4686605 qui s’affiche à l’arrière, il est décrit avec précision comment les armes électromagnétiques HAARP extrêmement dangereuses peuvent également générer de la chaleur ou des incendies de forêt ! Vous trouverez en annexe de nombreux autres brevets américains numérotés — je ne peux même pas les lire ici à cause de leur nombre, et encore moins en faire un résumé. En examinant les différents brevets de ce type, j’ai appris que ces brevets coûtent très, très cher et ne sont accordés que si les techniques proposées fonctionnent vraiment. J’ai également constaté que la grande majorité des brevets sur la manipulation du temps sont d’origine militaire. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, dès les années soixante, de nombreux projets de loi ont été élaborés pour que ces armes météorologiques ne puissent pas être utilisées à des fins guerrières. Rien qu’entre 1947 et 1978, 110 programmes de manipulation météorologique ont déjà été approuvés par le Congrès américain. En 1962, LYNDON B. JOHNSON a estimé « Cela permettra aux hommes de déterminer l’histoire mondiale de la Terre et, en fin de compte, de contrôler le temps. Et celui qui contrôlera le temps contrôlera le monde. »

Mais puis j’ai vu tous ces chiffres, combien de millions de tonnes de particules de suie par exemple sont régulièrement injectées dans notre ciel. Dans les années 1970, l’armée de l’air américaine a créé le terme de chemtrails. Lorsque les premiers lanceurs d’alerte indépendants ont eu vent de ce crime secret, la CIA a immédiatement commencé à discréditer ces personnes en les qualifiant de conspirationnistes. C’est ainsi que tous ceux qui avaient dénoncé ces bandes hautement toxiques, et destructrices de la nature, ainsi que l’obscurcissement du ciel ont été rabaissés pendant des décennies de tous côtés comme des fous, avec une préférence pour les nazis et les théoriciens du complot.

En 2008 encore, alors que Werner Altnickel avait présenté des centaines de preuves de l’utilisation de chemtrails en relation avec HAARP et la technologie des micro-ondes lors de la 1re AZK, l’assaut contre lui et tous les témoins de l’époque ne s’est pas seulement poursuivi, il a même pris de l’ampleur. Ce n’est qu’après que des milliers de preuves irréfutables ont été rendues publiques, que non seulement Wikipédia, mais aussi toutes sortes de sites web gouvernementaux et scientifiques ont officiellement admis que la technologie des chemtrails existait depuis des dizaines d’années, mais qu’elle était désormais appelée géo-ingénierie.

Cette soudaine concession générale à l’utilisation du nouveau terme technique n’a donc en aucun cas disculpé, justifié ou même réhabilité la réputation bafouée de ceux qui ont dévoilé les chemtrails. Au contraire, ils ont été d’autant plus acculés dans le coin des conspirationnistes et se sont entêtés à affirmer que la géo-ingénierie ne consistait pas à pulvériser des substances nocives, mais à effectuer des modifications météorologiques utiles pour le bien de l’humanité… Et c’est ainsi qu’a été forgé le narratif selon lequel on ne vise que le bien de l’humanité. Mais ce qui ressort clairement d’un grand nombre de ces brevets démantelés, c’est le contraire : vous trouverez ci-dessous, en annexe du texte de l’émission, de nombreuses sources sur les dommages absolument dévastateurs causés à la santé par la géo-ingénierie. Mais le pire, c’est que ce sont précisément ces interventions colossales et empoisonnantes qui modifient effectivement le temps et le climat. Et bien qu’il n’existe pas de climat mondial, ces épandages de cocktails toxiques, combinés aux hautes fréquences de HAARP, de la 5G, de la 4G, des technologies intelligentes, etc. influencent de manière irréfutable les différents climats régionaux de la Terre.

Ce qui était jusqu’à présent dénoncé comme une amère théorie du complot s’est révélé être une forêt d’environ 1 000 techniques de manipulation météorologique brevetées, utilisées sans pitié depuis des décennies, à l’insu des peuples et sans qu’ils aient leur mot à dire. Certains brevets relatifs à l’influence du temps ont été déposés il y a plus de 100 ans déjà, ont été autorisés et utilisés immédiatement après la Seconde Guerre mondiale. Vous trouverez dans l’annexe du texte de l’émission une liste complète de ces brevets avec les sources et d’autres liens vers des documentations approfondies.

Selon l’expert en géo-ingénierie Dane Wigington, même les cyclones et les ouragans sont manipulés. Les manipulations des cyclones sont effectuées de manière ABSOLUMENT SÛRE. L’armée américaine est engagée dans des programmes de manipulation des ouragans depuis au moins 1947, et ce jusqu’à aujourd’hui. Selon Dane Wigington, l’ingénierie climatique est le facteur causal le plus important en ce qui concerne les incendies de forêt de plus en plus nombreux. Et tandis que dans le monde entier on nous impose des filtres à particules de plus en plus chers, afin d’empêcher que les véhicules diesel, etc. rejettent des particules de suie nocives pour le climat, des géo-ingénieurs comme le Dr David Keith et le Dr Ken Caldeira, insistent sur le fait que chaque année jusqu’à 20 MILLIONS de tonnes de poussière de charbon et de nanoparticules sont pulvérisées dans le ciel mondial.

Vous avez bien compris ? Depuis longtemps, des millions de tonnes de particules de suie et de nombreux produits chimiques mortels sous forme de nanoparticules sont projetés chaque année dans l’atmosphère. D’où les soi-disant pluies acides qui détruisent impitoyablement toute notre végétation depuis des décennies.

Malheureusement, toute explication de ce type manque totalement de crédibilité. Et ce pour la simple raison que les médias complices affirment comme un mantra que toutes ces armes météorologiques et climatiques ne seront jamais utilisées. Au lieu de cela, ils préfèrent accompagner la nuit des terroristes cagoulés qui dégonflent les pneus de milliers de véhicules au nom de la protection du climat. Ils s’entretiennent gentiment avec eux devant les caméras et masquent même leur voix lorsqu’ils répondent et laissent éclater leur colère contre les pollueurs automobiles. Bien que la police soit à la recherche de ces terroristes, les médias mainstream les couvrent délibérément au lieu de les dénoncer. Ne sommes-nous pas complices si nous continuons à verser nos taxes obligatoires à ces criminels du mainstream ? Avec notre argent, ils couvrent manifestement les véritables tueurs du climat et des peuples. Ils le font aussi délibérément en affirmant comme un mantra qu’aucun gouvernement au monde ne porterait atteinte à ses citoyens de manière intentionnelle et, de surcroît, sans s’en rendre compte. C’est le récit qu’on nous martèle. Mais de nombreux documents et faits prouvent malheureusement le contraire. D’une part, il y a toute une série de catastrophes sismiques et environnementales qui ont été découvertes et qui sont dues à l’activation d’armes météorologiques. Dès les années cinquante et soixante, les premiers attentats terroristes de ce type ont dû être ouvertement reconnus. Mais sans aucune retombée positive pour la population mondiale abusée. Ce n’est ici que le début ou une petite pointe de cet iceberg abominable :

Depuis 1945, plus de 2 100 essais de bombes nucléaires ont été détectés et ont certainement contribué à un changement climatique d’origine humaine !

Au total, rien que 520 de ces explosions nucléaires répertoriées dans Wikipédia ont eu une puissance 45 000 fois supérieure à celle de la première bombe atomique sur Hiroshima. En d’autres termes, Hiroshima a été répétée 45 000 fois depuis 1945 par des scientifiques et des bellicistes insensés, rien que dans l’atmosphère et sous l’eau ! — Malheureusement, il manque à ce calcul au moins 1 680 autres explosions nucléaires mises à la lumière, sans compter ce qui est encore caché, de sorte qu’Hiroshima a probablement été répétée plus de 100 000 fois. Vous comprenez de quoi nous parlons ici ? Et pourtant, nos agriculteurs se voient actuellement retirer leurs vaches parce qu’apparemment elles pètent trop, ce qui nuit aux terres, aux prairies et au climat…

En 1952, le projet « Cumulus » a provoqué une méga-inondation catastrophique en Grande-Bretagne, faisant des dizaines de morts.

De 1962-71, le projet « Stormfury » a provoqué des ouragans et les a dirigés de manière ciblée.

De 1967-72, le projet « Popeye » a provoqué de gigantesques précipitations au Vietnam, qui ont délibérément bouché et coupé les voies d’approvisionnement des Vietcongs [Front national pour la libération du Sud-Vietnam ; organisation de guérilla pendant la guerre du Vietnam].

Comme vous pouvez le voir, tout cela remonte à bien plus de 50 ans. Notre génération a déjà été frappée par d’innombrables autres inondations, tsunamis, tremblements de terre et autres. Et pour ce qui est de l’affirmation mensongère de la presse mainstream, selon laquelle aucun gouvernement ne porterait sciemment atteinte à son peuple sans le savoir, je vous renvoie encore une fois à notre documentaire en allemand, USA — Essais toxiques sur sa propre population, du 24 janvier 2024 (www.kla.tv/27988.)

Car en 1994, d’autres expériences à grande échelle sur les peuples ont été dévoilées aux États-Unis. Là, les sujets de test involontaires étaient des citoyens américains, de grandes villes entières. Des avions militaires les ont aspergés de poison de manière ciblée pendant de longues périodes (l’armée voulait voir ce qui allait se passer), car les produits destinés au combat doivent être testés avant d’être utilisés chez « l’ennemi ». Même une école primaire avec des enfants a été aspergée quotidiennement et de manière ciblée de sulfure de zinc et de cadmium pendant trois mois. Les conséquences ont été cruelles. La moitié d’une classe entière en est morte, l’autre moitié a souffert de maladies très graves, de stérilité ou de handicap. Les victimes ont ensuite donné naissance à des enfants gravement handicapés, etc. Le gouvernement a prétendu que les avions n’avaient pulvérisé que des produits chimiques inoffensifs. Mais les mesures ont révélé que du sulfure de zinc et de cadmium, entre autres, était présent. C’est-à-dire précisément ces substances toxiques qui, comme nous l’avons déjà mentionné, sont secrètement pulvérisées depuis des décennies par millions de tonnes au-dessus de presque tous les pays du monde, et ce, chaque année !

Et vous voyez, ces tueurs de climat et ces gigantesques malfaiteurs ont depuis le début rejeté sur nous, les peuples inconscients, la responsabilité de la pollution mondiale des sols et des eaux. Mais comment ? En nous accusant d’utiliser des shampoings et des produits d’entretien nocifs. Mais en même temps, ils pulvérisent continuellement des dizaines de millions de tonnes supplémentaires de cocktails toxiques indicibles sur le monde entier, de sorte qu’aucune région du globe n’est désormais épargnée par ces pollutions. Et à cause de ces pulvérisations, les arbres, les abeilles, les insectes et donc les oiseaux meurent partout. Et toutes nos eaux et tous nos sols sont également fortement empoisonnés par la géo-ingénierie. Dans le brevet américain 9924640, des avions Boeing sont transformés pour transporter des charges de 25 tonnes de nanoparticules sableuses à 18 000 mètres d’altitude. Ces particules restent jusqu’à deux ans dans la haute atmosphère, puis elles se déposent silencieusement sur nos champs, nos jardins, nos forêts, nos lacs, nos rivières et nos prairies !

De plus, l’OTAN, fondée par des francs-maçons de haut grade, vend depuis longtemps environ 90 % de son carburant JP8 à l’aviation civile, c’est-à-dire à presque tous les grands aéroports du monde. Par ce biais, il se produit à nouveau une seule et même chose. Nous ne devons jamais oublier que les responsables cachés de cette campagne mondiale d’épandage veulent sérieusement réduire la population mondiale à 500 millions. C’est ce qu’ils ont fait graver en dix langues sur leurs monuments de 120 tonnes, les fameuses Guide Stones. Ou est-ce un simple hasard si les carburants de l’OTAN qui nous sont vendus contiennent eux aussi comme additifs exactement les mêmes substances hautement dangereuses ? En effet, on a trouvé dans ce carburant militaire des quantités élevées d’aluminium, de baryum, de béryl, de plomb, de cadmium, de chrome, de cobalt, de fer, de cuivre, de molybdène, de sodium, de nickel, de strontium, de titane, de vanadium, de zinc et d’étain, ainsi que les oxydes de ces métaux et d’autres substances toxiques.

Vous voyez, c’est reparti. Portez donc des banderoles dans les rues et les manifestations pour le climat, sur lesquelles on peut lire : Les carburants de l’OTAN dans nos avions sont des tueurs de climat ! Le plomb, le strontium et l’oxyde de fer nous tuent ! L’épandage dans l’atmosphère de 20 millions de tonnes de poussières de charbon par an est un génocide !

Tout ce qui a été dit jusqu’à présent est donc d’origine humaine ! C’est pourquoi nous n’affirmerons plus jamais avec Kla.TV que le changement climatique dénoncé actuellement n’est pas dû à l’homme ! Mais nous allons désormais donner des leçons particulières à tous et toutes les Greta Thunberg du monde en brandissant nos propres banderoles au milieu des manifestations sur le climat ! Et sur ces banderoles, on pourra lire quels sont les hommes qui provoquent toutes ces catastrophes climatiques et avec quels moyens. Nous expliquerons à Greta et à ses jeunes successeurs, QUI sont les véritables pollueurs du climat, et ce devant les caméras de la presse mainstream. Nous brandirons nos banderoles sur lesquelles il sera écrit QUI, par exemple, déverse chaque année dans notre atmosphère 10 millions de tonnes de poussières fines d’aluminium, etc. Et quels sont les effets exacts sur notre santé humaine ! Regardez les listes de maladies en bas de l’émission, ça vous donnera des frissons.

J’invite ici également tous les lanceurs d’alerte indépendants et les experts à faire de même. Nous nous sommes toujours demandé quelle était la meilleure façon d’informer les personnes qui ne l’étaient pas encore. Nous nous sommes alors laissé entraîner dans de petites actions de boîtes aux lettres, où nous avons déposé nos tracts ou autre chose. La plupart du temps, ces actions sont accueillies par des protestations de la population passive, qui ne veut pas entendre ce genre de choses et n’a pas posé de questions à ce sujet. Mais si nous nous rendons tous à ces manifestations, « Fridays for Future », etc., et que nous y brandissons nos banderoles pour dénoncer nommément les coupables de cette crise climatique et réclamer une juste punition pour eux, nous pourrions peut-être détourner la colère de ces masses très intéressées vers les vrais responsables ! Il est urgent d’accuser publiquement les vrais responsables !

Et vous voyez, cela toucherait à nouveau exactement les mêmes malfaiteurs que ceux qui étaient derrière la plandémie de Covid, mais qui étaient également responsables de la plupart des guerres des décennies passées, de même que de celles d’aujourd’hui, mais également de toutes les crises financières délibérément fabriquées, etc. Car ce sont toujours les mêmes élites de la franc-maçonnerie de haut niveau, c’est-à-dire du satanisme, qui attisent toutes ces paniques actuelles et autres. Ce sont toujours les mêmes qui provoquent toutes ces crises mondiales afin d’en tirer d’innommables profits et d’étendre leur pouvoir personnel.

Aidez-nous s’il vous plaît à dévoiler le nom de toutes ces puissances destructrices de la météo et du climat en diffusant assidûment des émissions comme celle-ci parmi les « combattants éveillés du climat » du monde entier. Venez avec nous aux manifestations pour le climat et tendez les banderoles que vous aurez conçues vous-même aux caméras du mainstream.

Non seulement Greta Thunberg et la jeunesse fanatisée avec elle, mais aussi tous les gens inquiets de ce monde doivent savoir qui injecte exactement combien de millions de tonnes de quel poison mortel dans l’atmosphère, pour ensuite nous faire porter la responsabilité de toutes ces destructions environnementales, à nous, les citoyens du monde bernés.

Ce qui est encore plus grave, c’est que ces mêmes conspirateurs mondiaux nous arnaquent également avec toutes sortes de taxes et d’amendes pour le climat. Les objectifs climatiques proclamés au niveau international, associés à l’Agenda 2030, nous révèlent que leur folie climatique, en particulier, conduira au prélèvement des plus grands tributs de tous les temps, si nous n’arrêtons pas ces fous ! Car grâce à cette attitude de base qui nous accuse tous, ces génocidaires se cachent habilement derrière nous. Tout ce qu’ils font eux-mêmes, ils nous le mettent sur le dos — c’est leur stratégie ancestrale — une stratégie du diable en l’espèce, soit dit en passant. N’oubliez jamais que tous ces crimes sont imprescriptibles. Et parce qu’ils couvrent et embellissent tout par le biais de leurs médias mainstream et qu’ils censurent de plus en plus toute divulgation par le biais de leurs plateformes Internet, tous leurs vassaux doivent également être désarmés et mis sous les verrous en tant que complices.

Sur nos banderoles, que nous brandirons à l’avenir aux manifs de Greta et Cie, il doit être possible de voir d’un seul coup d’œil combien d’installations HAARP existent dans le monde et QUI utilise précisément ces armes météorologiques pour faire bouillir notre ionosphère afin de déclencher ici-bas des cataclysmes de tout genre. La population mondiale doit dénoncer ces tueurs de masse et les mettre derrière les barreaux, sans aucune alternative. Mais si, malgré toutes ces révélations, aucune justice ne s’engage pour la population mondiale lésée, pas même une quelconque justice restante, ils contraindront les peuples devenus sans défense à se choisir de nouveaux gardiens et juges, qui seront là pour défendre la vie des peuples. Oui, alors la Justice se sera disqualifiée elle-même par son refus de servir et elle sera obligée obligé le monde à créer et à habiliter également de nouveaux tribunaux gratuits, car : Le Nouveau Monde est sans argent !

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.

Sources/Liens :




Le double discours de la propagande US : L’opposition CTRL-X

Où il est notamment question de programmation prédictive, de Trump, de Musk, de Tesla et de Carlson.

[Source : AKINA | Le Front Médiatique]

Cette conférence de trois parties est clairement une bombe à fragmentation qui va faire beaucoup de dégâts. Elle est proposée par Joe Massot dans la série Conférence Citoyenne en exclusivité sur le Front Médiatique. Il vient nous révéler des informations trop peu connues dans la francophonie et qui permettent de prendre de la hauteur et ainsi mieux comprendre la domination sur les peuples par une « petite clique » qui mène le monde quasiment à la baguette.

Dans cette première partie, Joe Massot abordera un paquet d’informations au sujet de l’outil de propagande et du divertissement (cinéma, télévision, dessin animé, jeux vidéo, littérature…). La programmation prédictive devient limpide avec ses illustrations très concrètes. Il parlera aussi de l’énigmatique Donald Trump et d’autres acteurs comme Elon Musk ou Tucker Carlson qui suscitent beaucoup d’espoir en ce temps de KO planétaire.

Joe affirme preuves à l’appui que Trump a initié non pas une campagne de vaccination foireuse, mais bel et bien le putsch mondial du transhumanisme. Elon Musk n’est pas loin et joue aussi un rôle central pour permettre la 4e révolution industrielle rêvée par le techno-fascisme.

Joe Massot abordera enfin les stratégies de polarisation et d’ingénierie sociale pour permettre la division des peuples, et ainsi mieux comprendre comment les dominants font pour abaisser le niveau de vigilance des populations et les manipuler à leur guise.






Poutine : une autre perspective

[Source : edwardslavsquat.substack.com]

Par Edward Slavsquat [le 5 février 2024, donc avant l’interview de Carlson avec Poutine.]

Dans une série d’articles publiés le mois dernier, le journaliste moldave Iurie Roșca a proposé quelque chose de vraiment radical : il est peut-être temps de se libérer de la fausse dichotomie qui limite la façon dont le président russe Vladimir Poutine est discuté dans les médias « alternatifs » occidentaux.

Il était évident que je devais en savoir plus sur cette suggestion provocante.

En juillet, Roșca a eu la gentillesse de partager ses réflexions sur la montée de la technocratie. J’ai le plaisir de vous annoncer qu’il est revenu pour répondre à d’autres questions.


Iurie, vous avez récemment publié trois articles (Paul Craig Roberts: Le manque de vision et de volonté politique de Poutine pourrait conduire à une troisième guerre mondiale ; Le politiquement correct et le crime d’opinion dans la Russie d’aujourd’hui ; La fausse dichotomie et les « idiots utiles ») qui remettent en question les récits dominants dont nous sommes abreuvés au sujet de la Russie et de Poutine, tant dans les médias occidentaux dominants que dans les médias alternatifs. Ce n’est pas vraiment une question, mais.. : Il est choquant de constater à quel point la fenêtre d’Overton est étroite chaque fois que les médias occidentaux « indépendants » discutent de quoi que ce soit en rapport avec la Russie, et je pense que vos récents commentaires constituent un premier pas nécessaire vers l’ouverture d’un dialogue substantiel sur ces questions.

Je vous remercie de m’avoir invité à répondre à vos questions. Pour quelqu’un comme moi, qui n’est affilié ni au discours libéral-mondialiste de l’Occident collectif, ni au récit propagandiste du Kremlin, une telle opportunité est assez rare. En effet, la plupart des médias alternatifs occidentaux, tout en rejetant l’hégémonie américaine et l’agenda mondialiste de l’Occident dans son ensemble, promeuvent avec zèle l’idée que Poutine représente un modèle civilisationnel alternatif. Cela crée une fausse dichotomie et laisse peu de place à la discussion dans les médias alternatifs.

Il est juste de dire que votre évaluation de Poutine diffère grandement des récits dominants dans les médias traditionnels et alternatifs. Vous décrivez le président russe comme « hésitant, timide et surtout obsédé par le besoin de regagner la reconnaissance des “partenaires occidentaux” ». Avez-vous toujours été de cet avis ou votre opinion sur Poutine a-t-elle évolué au fil des ans ? Pouvez-vous citer des événements spécifiques, des décisions ou de « nouvelles informations » qui vous ont incité à le réévaluer en tant que dirigeant ?

Pour comprendre ce que représente une figure ou un phénomène politique, il faut remonter à ses origines. Poutine et son régime sont la continuation directe de la période Eltsine. C’est-à-dire que les successeurs des dirigeants de la première décennie post-soviétique sont, comme dans la période de la Perestroïka, les représentants de l’ancienne nomenclature communiste et les officiers du KGB, qui se sont associés à des hommes d’affaires juifs, lesquels sont ensuite devenus des oligarques en complicité avec les premiers.

Les carriéristes comme Poutine envisagent la politique sous l’angle des intérêts pécuniaires et ont la mentalité de marchands qui savent vendre les ressources naturelles et les intérêts nationaux à des prix optimaux. La logique éminemment politique des intérêts de l’État leur est étrangère. La Russie post-communiste a connu la même situation que l’Occident après la chute des monarchies et la montée des marchands. Le facteur économique a subordonné le facteur politique. Ou, pour le dire autrement, les grandes entreprises ont installé et maintenu leurs serviteurs aux fonctions clés de l’État. Et Poutine s’inscrit exactement dans cette logique.

En tant que nationaliste en Moldavie, je ne pouvais que m’opposer au président russe Poutine, qui reste obsédé par la même idée impériale d’imposer un contrôle total sur les anciennes périphéries de l’empire soviétique. Mais comprenant que l’Occident collectif représente le mal absolu à travers ses élites démoniaques, j’ai espéré à un moment donné que Poutine avait rompu avec les filets occultes de l’Occident.

J’étais totalement solidaire de la rhétorique de Poutine contre les putschistes de Kiev lors du coup d’État en Ukraine en 2014, qui a été instigué et coordonné par les néocons (sionistes) à Washington. Cependant, après la prise de contrôle de la Crimée, il y a eu l’abandon du Donbass et les négociations honteuses de Minsk — plus huit autres années de trahison pendant lesquelles les Russes ont été terrorisés et tués par les régimes sionistes de Kiev sous les mandats de Porochenko et de Zelensky.

Mais le moment clé où il est apparu clairement que Poutine était totalement sous le contrôle des mondialistes s’est produit en 2020, lorsque la fausse pandémie de Covid-19 a été déclenchée. Le Kremlin a fait preuve d’une obéissance totale au gouvernement mondial non déclaré qui opérait sous le couvert de l’OMS, imposant les mêmes politiques tyranniques, y compris les injections obligatoires. Et l’intervention militaire en Ukraine en 2022, qui semblait initialement représenter une rupture avec l’Occident, a rapidement montré que la Russie est dirigée par des personnes faibles, qui n’ont ni vision stratégique ni capacité à mener une guerre réussie.

Si Poutine n’est pas le leader tout-puissant que la propagande occidentale et russe dépeint comme tel, qui prend réellement les décisions à Moscou ?

Aucune personne n’exerce un pouvoir illimité en Russie. Ce sont plutôt des groupes d’intérêt qui façonnent la politique dans ce pays. Parmi eux, on trouve les cercles d’oligarques juifs ainsi que des milliardaires occupant des fonctions clés dans la verticale du pouvoir (en gros, tous les hauts dignitaires de Russie sont fabuleusement riches !) Le bloc de pouvoir le plus influent pourrait être décrit comme étant de nature kabbalistico-sioniste.

Dans ce contexte, Poutine doit être considéré comme un homme de paille, un porte-parole des cercles qui détiennent le pouvoir, plutôt que comme un dictateur tout-puissant. L’image de Poutine comme une personne qui contrôle presque tout en Russie n’est rien d’autre qu’une stratégie de manipulation. Et à partir de là, la propagande noire des mondialistes est complétée par leurs prétendus opposants, qui font de la « propagande blanche » pour le Kremlin.

Tant qu’on y est : comment expliquer l’idolâtrie des médias « alternatifs » occidentaux pour Poutine ?

Personnellement, je pense que la confiance fanatique dans les vertus et les mérites de Poutine, que la presse alternative occidentale exalte, a plusieurs explications.

Premièrement, comme Poutine est diabolisé par les médias mondialistes, les médias alternatifs le perçoivent comme un opposant au système. Cette illusion est alimentée par le fait que les rédacteurs de discours de Poutine ont le don de courtiser les « dissidents » occidentaux en critiquant la classe politique occidentale et l’agenda LGBT.

Ces artifices rhétoriques suscitent la fascination et l’admiration des Occidentaux, empêchant toute évaluation réaliste de la situation réelle de la Russie. Et lorsque vous essayez de montrer à ces personnes ensorcelées la dure réalité de ce pays, elles vous accueillent en vous accusant de faire le jeu des mondialistes.

Vous pouvez leur parler avec des chiffres et des faits irréfutables, par exemple, que la Banque centrale de Russie est affiliée aux politiques mondialistes, qu’elle est contrôlée par le FMI et la BRI, qu’elle impose le rouble numérique ; vous pouvez montrer que l’assassinat par vaccin est pratiqué sous Poutine, vous pouvez montrer que même dans la Russie d’aujourd’hui, la production d’insectes à des fins alimentaires est en cours, etc., etc., mais rien ne peut les sortir de leur état d’enchantement. Ce phénomène, courant dans les médias alternatifs, n’est pas dû à la stupidité ou à l’incompétence. Il s’agit plutôt de la tentation de présenter le souhaitable comme la réalité, ce qui est extrêmement confortable psychologiquement.

L’idolâtrie de Poutine est un signe de la nature néo-païenne de l’intelligentsia occidentale, qui se laisse manipuler parce qu’elle a perdu sa boussole céleste et sa raison mystique. Même si certains de nos amis se déclarent protestants ou (anciens) catholiques, rares sont les cas où l’on peut observer une lucidité spirituelle qui soutient une analyse géopolitique adéquate.

Une autre raison de cet état d’adoration, qui se présente comme une continuation directe de l’appareil de propagande du Kremlin, est l’efficacité des services secrets russes, qui propulsent des personnalités académiques russes affiliées au pouvoir dans les cercles dissidents occidentaux. Il convient également de mentionner l’efficacité de Sputnik et de RT, qui courtisent et flattent nos « dissidents » en les invitant régulièrement à critiquer la classe politique des pays occidentaux. Que l’un d’entre eux tente de critiquer le pouvoir en place à Moscou et il verra qu’il sera à jamais écarté par ceux qui, hier encore, le flattaient de toutes les manières.

Enfin, l’explication la plus banale du fait qu’une grande majorité des médias alternatifs occidentaux se sont alignés sur le discours officiel du Kremlin est d’ordre financier. Les services secrets russes n’ont pas perdu la capacité de séduire les militants antisystèmes avec de l’argent. Cette technique a été largement appliquée par les Soviétiques.

Permettez-moi de vous donner quelques exemples très récents de ce que David Icke appelle les MAM, c’est-à-dire les médias alternatifs grand public. En d’autres termes, une fausse dissidence affiliée à des cercles de pouvoir occultes. Les Américains Alex Jones et Tucker Carlson. Tous deux sont des fans de Trump, tous deux sont devenus amis avec le monstrueux technocrate mondialiste Elon Musk, et tous deux aiment Poutine comme leur père. Mais ce qui unit les deux, ainsi que d’autres « leaders d’opinion », c’est leur affiliation aux intérêts du lobby sioniste aux États-Unis, y compris l’évitement des revendications univoques de génocide dans la bande de Gaza.

Pour simplifier, nous pourrions dire que des organisations comme Chabad Lubavitch influencent fortement des politiciens comme Trump (Jared Kushner) et Poutine (Berel Lazar) et, implicitement, leurs serviteurs dans les médias alternatifs. En ce sens, il convient de noter que les quelques intellectuels russes qui sont invités à parler avec des personnalités médiatiques comme Alex Jones louent à la fois Trump et Poutine, diabolisant les mondialistes dans l’abstrait — comme si Trump et Poutine n’étaient pas coupables d’imposer le terrorisme d’État avec le nom de code Covid-19, et n’avaient pas fait des appels publics répétés en faveur de faux vaccins ; comme s’ils n’étaient pas des outils aveugles des mondialistes opérant par l’intermédiaire de l’ONU et de l’Agenda 2030.

D’ailleurs, des sources dans les faux médias alternatifs affirment que Tucker Carlson est à Moscou et qu’il va réaliser une interview avec Poutine lui-même. Quelle performance colossale ! Combien de millions coûte un tel tour de propagande banal ? Et si ce n’est pas une farce, voyons à quel point les questions posées par cette célèbre star de la télévision à l’éternel chef du Kremlin et sauveur de l’humanité, M. Poutine, seront inconfortables.

Selon vous, qu’est-ce qui a motivé Poutine à lancer l’« opération militaire spéciale » en Ukraine ? Alors que l’opération entre dans sa troisième année, Moscou est-elle sur le point d’atteindre ses objectifs déclarés (tels que vous les concevez) en Ukraine ?

Nous devrions nous demander pourquoi la Russie de Poutine a commencé son intervention militaire le 24 février 2022, et non en 2014, lorsque l’armée ukrainienne était extrêmement faible. Je vois deux raisons : la médiocrité et la lâcheté des dirigeants russes et l’influence majeure de la « cinquième colonne » sur leur processus de décision.

Par ailleurs, comment interpréter les deux slogans clés qui ont accompagné l’intervention militaire russe en Ukraine, à savoir la « dénazification » et la « démilitarisation » ?

Tout le monde a supposé que Poutine ne pouvait plus tolérer la stratégie de l’« anaconda » des Anglo-Saxons et qu’il avait décidé de mener une guerre éclair pour mettre fin à la transformation de l’Ukraine en un pays anti-Russie.

Mais ce que Moscou poursuit depuis deux ans, c’est une action militaire étrange qui a causé des centaines de milliers de morts des deux côtés et plusieurs millions de réfugiés ukrainiens, sans compter la destruction de l’économie européenne causée par ces sanctions, qui peuvent en fait profiter aux États-Unis et au Royaume-Uni, tout en dévastant l’économie des pays de l’Europe continentale. Une guerre de longue durée est également dangereuse pour la Russie, car elle peut entraîner de graves problèmes économiques et des crises politiques. C’est ce qu’espèrent les ennemis de la Russie.

Après la lenteur et la maladresse qui ont accompagné l’intervention militaire de la Russie en Ukraine, ainsi que la volonté de Moscou d’entamer des négociations de paix, la question se pose : quels sont les véritables objectifs de cette campagne militaire ? Ou peut-être essayons-nous de trouver des explications logiques et rationnelles pour expliquer les actions de dirigeants dépassés par la complexité de la situation ?

Il est tout à fait possible que les stratèges occidentaux aient leurré la Russie en Ukraine dans l’espoir de créer un deuxième Afghanistan, c’est-à-dire un accélérateur de la destruction de la Russie, à l’instar de ce qui s’est passé avec l’URSS.

À mon avis, il ne faut pas sous-estimer le risque de complots au sein des blocs de pouvoir à Moscou, comme ce fut le cas en 1917 ou en 1991. Entre la présentation de Poutine comme un monstre (version atlantiste) et celle d’un Poutine patriote et sauveur (version loyaliste), je préfère l’image plus réaliste d’une personne médiocre, sans dons ni talents particuliers. Comme je l’ai déjà dit, on ne peut pas être à la fois un marchand et un héros ou un profiteur et un patriote.

Le piège géopolitique dans lequel se trouve aujourd’hui Moscou peut s’expliquer de la manière suivante : même si la Russie était parvenue à mener une campagne militaire rapide et très réussie, à prendre le contrôle de l’ensemble du territoire ukrainien et à installer ses alliés aux postes de direction, Moscou aurait avalé une pomme empoisonnée. En effet, la déstabilisation et la guerre de partisans en Ukraine, soutenues par l’Occident, auraient probablement conduit à une catastrophe.

D’autres résultats hypothétiques ne semblent pas beaucoup plus satisfaisants. L’annexion d’une partie seulement de l’Ukraine à la Russie et la signature d’un accord de paix et de démarcation des frontières déclencheraient des révoltes parmi les nationalistes russes et ukrainiens. La perspective d’un retrait complet des territoires contrôlés militairement par la Russie ne semble pas non plus garantir une paix et une stabilité durables.

En passant, je voudrais commenter le mantra obsessionnel de Poutine sur la nature perfide de l’Occident, qui a lavé le cerveau des Ukrainiens pendant plus de 30 ans et a greffé leur haine envers leurs frères russes. Je suis d’accord, c’est à l’origine de cette crise. Mais qu’a fait le gouvernement russe pour contrer cette stratégie ? Qu’a fait Poutine pendant près de 24 ans ? Il n’a promu que des amis du Kremlin compromis et corrompus, comme Yanukovych et Medvedchuk, qui ont détourné l’argent public et se sont accrochés aux symboles communistes, poussant les Ukrainiens encore plus loin dans les bras de l’Occident. Les dirigeants responsables n’imputent pas leurs propres échecs à l’hypocrisie de leurs rivaux, mais reconnaissent leurs propres échecs et s’empressent de les corriger.

Medvedchuk a bien entendu été échangé contre des combattants d’Azov dans le cadre d’un échange de prisonniers controversé avec Kiev. Par coïncidence, Igor Strelkov, l’un des critiques les plus virulents de cette décision, a récemment été condamné à quatre ans de prison pour « extrémisme ». Pourquoi les « turbo-patriotes » pro-guerre comme Strelkov sont-ils la cible des autorités russes ?

Comme vous le savez, l’emprisonnement de Strelkov et d’autres patriotes tels que le père Sergei du monastère de Sredne-Uralsk, ainsi que la loi draconienne récemment adoptée autorisant la privation de liberté et la confiscation des biens pour avoir « discrédité l’armée », sont perçus par de nombreux patriotes russes comme un prélude à une paix capitularde et honteuse avec l’Occident et ses marionnettes de Kiev. Si tel est le cas, ceux qui manipulent la politique du Kremlin poussent le régime de Poutine vers un très possible suicide collectif. En effet, les centaines de milliers de soldats sur le front, qui se battent depuis deux ans, pourraient se rebeller et arriver à Moscou pour demander au président russe pourquoi ils ont été trahis. Dans une telle situation, nous pourrions assister à une répétition plus réussie de la marche de Prigozhin sur la capitale russe.

Vous êtes un fervent chrétien orthodoxe et je sais que votre foi chrétienne joue un rôle clé dans la manière dont vous interprétez les événements mondiaux. Que répondez-vous à ceux qui pensent qu’il est immoral ou malavisé de remettre en question ou de critiquer la Russie orthodoxe alors qu’elle est en conflit avec l’Occident collectif ?

Je ne critique pas la Russie, ni son peuple orthodoxe, son histoire glorieuse et sa splendide culture, mais plutôt ceux qui détruisent, pillent et avilissent la Russie en se plaçant dans la position de patrons avides et pervers. Les vrais patriotes et les militants antisystèmes du monde entier doivent comprendre que la Russie peut et doit représenter une alternative à l’Occident collectif dominé par les satanistes qui imposent un régime tyrannique de technocratie dystopique.

Mais les dirigeants actuels de ce pays ne sont qu’un simulacre, une imitation, un village Potemkine, qui revêtent le masque des patriotes pour pouvoir continuer à piller les ressources naturelles de la Russie.

Pendant ce temps, les Russes sont remplacés par des musulmans d’Asie centrale. Peu de gens en Occident savent que non seulement les États-Unis, le Canada et l’Europe font l’objet d’une invasion préméditée de populations extra-européennes et non-chrétiennes, mais aussi la Russie.

Ma critique s’adresse à une administration d’occupation, subordonnée à l’ONU, à l’OMS, à l’OMC, au FMI et à la BRI. Il en va de même pour l’administration de mon propre pays, des États-Unis, de l’UE, de la Chine et de tous les membres des BRICS. Le célèbre sociologue roumain Dimitrie Gusti a décrit cette situation mondiale comme le conflit entre l’État et la nation.

Il est vrai qu’en Russie, il y a un grand réveil spirituel. Je me suis rendu dans ce pays à plusieurs reprises, dans différentes villes, et j’ai vu les églises pleines de monde pendant les saintes liturgies. Il s’agit d’une force mystique qui représente une chance historique pour un peuple rempli de saints, de martyrs et de héros.

Malheureusement, la hiérarchie de l’église est de connivence avec le pouvoir politique, rend hommage au Sergianisme et est tombée dans l’hérésie de l’œcuménisme. Mais l’orthodoxie russe pourrait un jour devenir une expression politique majeure. Un régime vicieux ne peut pas générer de victoires significatives, et un politicien mineur ne peut pas générer de grandes réalisations. Poutine tente de réconcilier les oligarques juifs avec les intérêts nationaux, la secte Chabad Lubavich avec l’orthodoxie, mais c’est impossible.




L’argent, Lucifer, le Vatican, et tutti quanti

[Source : margueriterothe.substack.com via guyboulianne.info]

[Illustration : DAVOS/SUISSE, JAN 1992 — Le Premier ministre Li Peng de la République populaire de Chine rencontre le cardinal Carlo Maria Martini, archevêque de Milan, sous le regard de Klaus Schwab, lors de la réunion annuelle du Forum économique mondial à Davos en 1992. Source]

Par Marguerite Rothe

Partie 1

Au fait, saviez-vous que le « pape » François n’est plus vicaire du Christ ?

Et donc, s’il n’est plus « vicaire du Christ », de qui le pape François est-il vicaire ?

Le diable est dans les détails, dit-on. Cette formule peut venir à l’esprit quand on apprend, dans La Croix, sous le titre « Le pape est-il toujours “vicaire de Jésus-Christ ?”, que l’édition 2020 de l’Annuaire pontifical […] Dans l’article réservé au pape, apparemment avec son accord, la mention de “vicaire de Jésus-Christ”, qui ouvre habituellement la liste des titres pontificaux, a été reléguée dans une note de bas de page regroupant ses autres titres traditionnels.

Certains y voient un geste d’humilité, dont le pape semble friand. Non content de vouloir se faire appeler “François”, ses premiers mots, après son élection, marquèrent par leur simplicité : “Bonne nuit et bon repos !” dit-il à l’assistance, oubliant qu’un excès de simplicité peut devenir affectation. »

Source

C’est que le Vatican est désormais le repaire de Lucifer

Il faut cesser de s’aveugler : l’Église de Jésus-Christ a été « piratée », elle est désormais le repaire de Satan. Ne croyez pas que j’exagère, car toutes les actions de cet affreux bonhomme le prouvent ; la bénédiction des homosexuels étant la dernière en date. Et pour justifier sa décision, sûrement adepte lui aussi du « en même temps », il précise qu’il « écarte toute parenté de cette cérémonie avec le mariage. » Sans déconner ?

Après la mise à la poubelle de la morale et l’observance des bonnes mœurs, François est passé aux choses sérieuses. Transgenres et autres pauvres hères sans repères n’étant que de la gnognotte mondialiste pour gogos désœuvrés ; de ceux qui n’aiment rien tant que se gaver de télé-poubelle à longueur de temps. Non, l’important, la véritable mission du jésuite, consistait à finaliser l’appropriation du Vatican par Mammon. Voilà, c’est dit. Parce que dans un monde qui n’est plus régi que par l’argent et le mensonge, il faut pouvoir nommer les choses par leur nom pour savoir où l’on met les pieds. De plus, il ne faut pas tarder pour le dire. Pendant qu’on y voit encore à peu près clair, parce qu’avec le déploiement massif de l’I.A., ça va devenir de plus en plus compliqué d’exposer les attaques sataniques.

Remarquez comment Reuter a catégorisé cette information :
« Sustainable business » (Entreprise durable), il faut avouer que ça ne manque pas de sel.

« Le pape François a annoncé que le Vatican conclurait une “alliance mondiale” avec les grandes banques mondiales, les entreprises internationales et les fondations mondialistes pour créer un conseil économique visant à redistribuer la richesse à travers le monde.

L’initiative mondialiste, appelée “Le Conseil pour le capitalisme inclusif avec le Vatican(The Council for Inclusive Capitalism with the Vatican), se présente comme une organisation pro-capitaliste qui vise à créer “des économies et des sociétés plus fortes, plus justes et plus collaboratives”. Le groupe d’élite, qui s’appelle pompeusement “Les Gardiens” (The Guardians), se qualifie lui-même de “collaboration historique de PDG et de dirigeants mondiaux travaillant avec la direction morale du pape François pour exploiter le pouvoir des affaires pour de bon”, indique le site Internet. »

Guy Boulianne (l’article intégral)

Outre l’aspect pécuniaire, pour faire bon poids, le Vatican se pique d’humanité, d’intelligence, en faisant usage du vocabulaire approprié (vous savez, celui qui met en confiance et qui éblouit les plus naïfs) ; avec beaucoup d’ironie, il faut se remémorer les paroles de Jean Yanne dans le film, « Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ».

Le Vatican, un repère d’escrocs

« ROME (AP) — Le pape François a officiellement dépouillé le secrétariat d’État du Vatican de ses actifs financiers et de ses biens immobiliers suite à la gestion bâclée de centaines de millions d’euros de dons et d’investissements qui font maintenant l’objet d’une enquête de corruption.

François a signé une nouvelle loi ce week-end ordonnant au secrétariat d’État d’achever le transfert de tous ses avoirs vers un autre bureau du Vatican d’ici le 4 février. La loi prévoit également que toutes les donations au pape — les collections de Pence Pierre, des fidèles ainsi que d’autres donations qui avaient été gérées par le secrétariat d’État — soient détenues et gérées par le bureau de la trésorerie du Vatican en tant que fonds séparés qui sont comptabilisés dans le budget consolidé du Saint-Siège.
Ces changements sont une réponse à une enquête criminelle du Vatican en plein essor, qui fait suite à des allégations de mauvaise gestion des dons et des investissements par le secrétariat d’État du Vatican depuis des années et qui a entraîné des pertes de plusieurs dizaines de millions d’euros en période de crise financière pour le Saint-Siège. »

L’article intégral sur ce lien.

Ça se passe de commentaires.

Le Vatican et la « modernité »

Ces deux extraits, tirés de l’article (dont je vous recommande la lecture) de la journaliste Liliane Held-Khawam, illustre parfaitement mes propos :

Humanité 2.0 : le Vatican accueille des experts pour discuter de la tendresse — 25 avril 2018

CITÉ DU VATICAN — Près de 100 financiers, philanthropes, artistes, experts en technologie, médecins, politiciens et chefs religieux ont passé plus d’une heure dans une salle de réunion du Vatican à parler de tendresse. Un projet appelé « Humanité 2.0 », soutenu par le Dicastère du Vatican pour la promotion du développement humain intégral […] Au cours de la réunion, les discussions sont passées du concept de tendresse à la manière dont la tendresse devient action et à une discussion en plusieurs sessions sur l’état préoccupant des soins médicaux maternels et prénatals et les moyens d’y remédier.

« Des mères en meilleure santé sont un investissement dans la santé et le bien-être de nos communautés et de notre monde », a déclaré Marie-Louise Coleiro, présidente de Malte, au rassemblement. Elle a particulièrement mis au défi les participants à Humanity 2.0 de réfléchir à des moyens concrets d’améliorer les soins holistiques — médicaux, psychologiques et spirituels — pour les femmes enceintes et les nouvelles mères migrantes ou réfugiées. « Le défi est de traduire notre amour pour l’humanité en un véritable service à nos frères et sœurs », a déclaré le père jésuite Michael Czerny, sous-secrétaire du bureau du Vatican pour les migrants et les réfugiés. « Nous ne pouvons pas prétendre avoir ou promouvoir le “développement humain intégral” si nous laissons certaines personnes de côté. »

Et donc, c’est en incitant les femmes à se faire injecter des mixtures expérimentales qu’elles seront protégées ? Ah, mais attendez ! Ici, il n’est question que de mères « migrantes » ou « réfugiées », nous explique le jésuite. Serait-il question de stérilisation ? Probablement, mais tout cela est empaqueté d’« amour », d’« humanité », de « frères », de « sœurs »… Bla-bla-bla. Quand les loups parlent « mouton ».

Puis, après nous avoir entretenus d’ » humanité », l’accent est mis sur l’intelligence :

Une réunion au Vatican explore le défi de l’intelligence artificielle — 2021

Le thème de la rencontre est « Le défi de l’intelligence artificielle pour la société humaine et l’idée de la personne humaine ». L’objectif de la réunion est de promouvoir une meilleure prise de conscience de l’impact culturel profond que l’IA est susceptible d’avoir sur la société humaine. Le symposium réunira six experts des domaines des neurosciences, de la philosophie, de la théologie catholique, du droit des droits de l’homme, de l’éthique et de l’électrotechnique.

« Des experts de l’Allen Institute for Brain Science, de l’Université Goethe, du Boston College et de Google discuteront des questions concernant l’IA et si elle peut reproduire la conscience, l’IA et les défis philosophiques, et l’IA et la religion, et ce que cela signifierait par rapport à la doctrine catholique. » (c’est moi qui souligne)

Source

Ils ont besoin d’« experts », pour comprendre que ce qu’ils appellent « Intelligence artificielle » est tout, sauf de l’intelligence ? Est-il nécessaire de rappeler que l’intelligence est une spécificité du vivant ? On frôle l’hérésie, là.

Le Vatican et l’« art » (dégénéré) contemporain

« L’antique petite ville italienne de Gallarate, 51 000 habitants, située dans la région lombarde, sans histoire, sort pour quelques heures de son anonymat. Grâce, ou à cause serait plus juste, du nouvel autel de sa basilique de Sainte Marie de l’Assomption, édifice remontant au IXe siècle, agrandi au XIV et XVe siècles, remanié au XIXe.

Mgr Mario Delpini, archevêque de Milan, est venu en personne consacrer ce monument, étalant une morbidité de mauvais goût en ce lieu sacré : il est composé de sculptures de têtes décapitées, de la Madonne de la Piéta de Michel-Ange à celle de l’empereur Adrien, de têtes de la sculpture classique, du Bernin, du Borromini, jusqu’à des caboches contemporaines… Cet autel réalisé par un artiste italien en vogue Claudio Parmiggiani, — qui aime parsemer ses créations des têtes coupées —, rappelle un des reliefs de la Colonne de Trajan sur lequel sont représentés des légionnaires romains jouant au ballon avec les têtes des barbares. »

Source

La plus grande apostasie

La vidéo qui suit est un extrait tiré du film The Greatest Reset.

À l’initiative de François, a été inaugurée le 16 février 2023 « La Maison de la famille abrahamique ». Le projet global défend une filiation commune du judaïsme, du christianisme et de l’islam avec Abraham. Le Christ y reste l’Innommé. C’est une hérésie. Jésus « est » le christianisme ; ne pas le nommer, c’est faire la preuve que ce projet est l’œuvre du démon.



Notre-Dame de Paris, le cœur de la cathédrale après l’incendie qui s’est déclaré le 15 avril 2019 — Le Maître-autel a été préservé, alors que celui qui était consacré au nouveau rite de l’Église conciliaire a été proprement écrabouillé. Alléluia !

Partie 2

Le « Tutti quanti » étant la franc-maçonnerie, vous savez, la société secrète qui vous explique, le plus sérieusement du monde, qu’elle n’a rien de secret…

La Formation permanente de l’Alta Vendita (Haute Vente) est un document attribué aux Carbonari par leurs adversaires. Ce texte expose un vaste plan d’infiltration et de corruption de l’Église catholique. Ces papiers, tombés entre les mains de Grégoire XVI, ont été publiés à la demande du pape Pie IX par Jacques Crétineau-Joly dans son livre L’Église romaine en face de la Révolution en 1859. Par son approbation, en date du 25 février 1861 adressé à l’auteur, Pie IX garantit l’authenticité de ces prétendus documents, mais il n’a autorisé personne à divulguer les vrais noms des membres de l’Alta Vendita impliqués dans ce texte, dont le pseudonyme est Nubius.

Le plan maçonnique d’infiltration de la hiérarchie de l’Église exposé dans l’« Alta Vendita »
PDF (Français)PDF (Anglais) •
NB – Je n’ai pas rédigé ni corrigé ces documents, que j’ai trouvés tels quels sur Internet.
[Voir la version française ci-dessous :]

Vidéo traduite en 21 langues • Video translated into 21 languages (kla.tv/27840)

L’infiltration maçonnique est-elle responsable de l’apostasie généralisée dans le clergé catholique ?

« 20 octobre 2022 — Quelque chose va très mal au sein de la hiérarchie de l’Église. L’hérésie, le scandale, la corruption et l’apostasie généralisés des bergers — que le Christ a judicieusement condamnés en tant que “loups déguisés en brebis” — sont trop systématiques, et maintenant manifestes, pour être le fruit du simple hasard ou de la faiblesse humaine.

Une planification ingénieuse et une exécution impitoyable et calculée ont conduit la hiérarchie de l’Église à un état tel que les évêques malveillants ne cachent plus leur rejet du dépôt de la foi, leur haine de la morale chrétienne ou leur mépris envers les catholiques croyants et fidèles.

L’agenda pro-LGBT, pro-contraception, pro-avortement, pro-prêtresse de la “Voie synodale” des évêques allemands, le “rite de bénédiction” des évêques flamands pour les couples homosexuels, l’étiquetage dérisoire des catholiques traditionnels par le cardinal Arthur Roche comme étant plus protestants que catholiques, l’élévation par le Pape de nombreux évêques promoteurs des LGBT au Collège cardinalice, la dissimulation de la tristement célèbre affaire McCarrick, le réseau étendu des groupes de pression gay parmi les évêques et dans l’enceinte de Rome, la remise par le Vatican de l’Église clandestine en Chine au Parti communiste chinois (PCC), le soutien et l’adhésion du Saint-Siège à l’accord de Paris sur le climat, fortement pro-avortement, le culte de la Pachamama et la participation aux invocations indigènes des esprits des défunts… la liste est longue.

L’apostasie massive à laquelle nous assistons aujourd’hui dans les rangs des membres les plus élevés de l’Église n’a cependant pas été l’œuvre d’un seul jour ou d’une seule année. »

Source • (L’archive)

L’Église n’est (presque) plus un refuge

« Le 26 mai 2018, le journaliste Marco Tosatti, de La Stampa (Turin, Italie), fit paraître sur son site Internet Stilum Curiae un article signalant que, lorsque le pseudo-Pape François était “archevêque” conciliaire (c.-à-d. ni pape, ni archevêque, ni prêtre) de Buenos Aires (Argentine), il avait dissimulé les actes pédophiles d’un pseudo-prêtre de cette ville. L’article rapportait des informations anciennes et peu connues communiquées à l’époque par le blogue espagnol Público. Peu après, cependant, l’article de Tossati fut retiré du site Stilum Curiae, sans doute sous la pression du Vatican. »

L’article, traduit en français (PDF) • La version originale.
[Voir la version française ci-dessous]

L’attaque du monde de la Banque

Réunis à Londres, le 2 avril 2009, autour de la reine Elizabeth II, les chefs d’État et de gouvernement
des 20 plus grandes puissances du monde ont envisagé de créer un directoire économique mondial.
Liste des participants.

Avant de « fracturer » les coffres du Vatican, le pouvoir de l’argent (de la Banque) s’est d’abord attaqué aux institutions et à leurs dirigeants, plus faciles à corrompre. Dans l’article suivant (extrêmement éclairant), Pierre Hillard fait un bref historique d’un courant idéologique millénaire. Tout détruire, jusqu’aux religions, afin d’établir un « Nouvel ordre mondial », ou, si vous préférez : une « Gouvernance Mondiale. » Un cauchemar totalitaire qui ne dit pas son nom. Cauchemar qui, le temps passant, se profile de plus en plus nettement.

« Avec la ratification du Traité de Lisbonne par les 27 États européens, l’élection d’Herman van Rompuy à la présidence du Conseil européen et de Catherine Ashton comme Haut-représentant de l’Union pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité, le 19 novembre 2009, marque un tournant décisif dans les ambitions mondialistes. L’Union européenne (l’UE) se voit dotée progressivement d’un visage politique et d’un “numéro de téléphone” pour reprendre l’expression d’Henry Kissinger. Certes, de nouveaux réglages — une forme de rodage — s’avèrent nécessaires afin de véritablement asseoir cette union régionale. En effet, des rivalités continuent à perdurer entre le président du Conseil européen, le président de la Commission européenne et la présidence tournante de six mois. Cette situation agace profondément l’administration Obama. Cependant, dotée de la personnalité juridique et d’une complète primauté du droit européen sur le droit national, l’Union européenne peut prétendre (réussir ?) devenir un acteur de la scène internationale. Il serait faux d’affirmer que cette nouvelle vocation se fera dans une complète indépendance par rapport au reste du monde. En fait, les élites européistes soutenues par l’oligarchie financière avancent en liaison et en communion d’esprit avec toutes les autres formes d’unions régionales en cours d’élaboration sur la planète.

En effet, l’Union européenne n’est qu’une composante d’un vaste programme conduisant à l’émergence de blocs continentaux dotés chacun d’une monnaie, d’une citoyenneté, d’un parlement unique, etc. ; l’ensemble de ces blocs étant appelé à constituer une gouvernance mondiale. »

Poursuivre et terminer la lecture ici.

Pierre Hillard

Est docteur en science politique et professeur de relations internationales. Ses recherches portent principalement sur l’instrumentation de l’Union européenne en vue de la constitution d’un bloc euro-atlantique.


Nolite te bastardes carborundorum/Ne laissez pas les salauds vous tyranniser.
Brillante explication de texte de la célèbre phrase
piochée dans La Servante écarlate (The Handmaid’s Tale), l’œuvre de Margaret Atwood.




Critiquer la connaissance médicale du moment bientôt passible de prison !

[Source : insolentiae.com via lesmoutonsenrages.fr]

Par Charles Sannat

« Et pourtant elle tourne » ! Dans ce monde d’incultes, il est plus facile de traiter ceux qui pensent de complotistes ou de fascistes que d’entamer le débat avec eux. Ne nous laissons pas intimider par ces fous, mes amis. Résistons, à la pointe du stylo. Résistons avec les mots, les concepts et la pensée. Résistons en convoquant l’histoire à la barre.

Souvenez-vous de Galilée.

« Le procès de Galilée, ou l’affaire Galilée, est l’enquête et la condamnation du savant astronome Galilée par l’Inquisition pour avoir critiqué le géocentrisme et soutenu l’héliocentrisme.

L’affaire commence vers 1610, quand Galilée publie Sidereus nuncius. Il y décrit ses observations astronomiques à l’aide d’une lunette astronomique. Ses observations l’amènent à réfuter le géocentrisme et à confirmer la théorie héliocentrique exposée par le chanoine Nicolas Copernic dans son œuvre Des révolutions des sphères célestes (1543). L’Église catholique s’oppose à cette vision des choses. Elle déclare officiellement hérétique l’héliocentrisme en 1616, met à l’Index les œuvres qui abordent le sujet et interdit à Galilée d’enseigner cette théorie.

Galilée se conforme plus ou moins à l’interdiction de l’Église. L’affaire connaît plusieurs étapes, car le pape Urbain VIII avait été le mécène de Galilée et lui avait permis de publier ses travaux sur le système copernicien tant qu’il le présentait comme une simple hypothèse : le véritable conflit date de 1632, lorsque Galilée publie son Dialogue sur les deux grands systèmes du monde, ce qui entraîne son procès. Le savant est condamné en 1633 à l’incarcération, qui est en fait une résidence surveillée jusqu’à sa mort en 1642. »

Il n’appartient pas à l’État de déterminer la vérité scientifique, or c’est exactement ce qu’il veut faire et c’est d’une gravité absolue, car c’est la négation de notre histoire et de la science.

Tout ce que nous pensons vrai aujourd’hui sera faux dans 2 siècles

Si vous connaissez l’histoire et la science, vous savez que la science évolue.

Tout ce que nous pensions juste hier, tout ce qui était des certitudes, de la terre qui était au centre de l’Univers, aux saignées des médecins de Molière, est désormais faux.

Tout ce qui est vrai aujourd’hui sera pour l’essentiel réfuté.

Notre physique sera radicalement différente dans 2 siècles et nos connaissances médicales d’aujourd’hui sembleront à nos descendants de dans 500 ans aussi barbares et ignares que les saignées d’autrefois le sont pour nous aujourd’hui.

Ainsi vont l’histoire et la science.

Mais nos abrutis de dirigeants pensent qu’ils peuvent s’arroger le droit de savoir ce qui est vrai et ce qui est faux, et c’est exactement le sens de cette législation sur les dérives sectaires, qui part d’un bon sentiment comme à chaque fois, mais l’enfer est toujours pavé de bonnes intentions !

L’article 4 du projet de loi « contre les dérives sectaires » a été remis hier à l’Assemblée nationale malgré un avis défavorable du Conseil d’État et sa suppression au Sénat

L’article 4 punit de 15 000 euros d’amende et d’un an de prison « la provocation à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique alors “qu’en l’état des connaissances médicales” cette abstention serait manifestement dangereuse pour leur santé » selon les autorités médicales en place et l’état des connaissances actuelles.

Cela implique qu’il est interdit de remettre en cause les connaissances médicales ou scientifiques du moment.

Cela veut dire que c’est la fin de la science et de l’évolution.

Car toute tentative d’aller au-delà de ce qui est réputé « vrai » sera alors passible de prison et d’amende.

C’est bien évidemment une nouvelle Inquisition.

Cela ne souffre aucune hésitation.

On comprend bien pourquoi ces dirigeants veulent faire cela, ils veulent pouvoir contrôler parfaitement et totalement la thèse officielle du moment.

On pourrait presque dire d’ailleurs que c’est une loi anti Raoult tant elle aurait permis d’embastiller tous ceux qui ont émis des doutes plus que légitimes sur le vaccin anti-Covid, car c’est bien de cela dont nous parlons.

C’est bien d’empêcher un immense scandale sanitaire dont il est question.

La vérité scientifique est toujours très temporaire.

Vouloir la graver dans le marbre est une folie démocratique, législative, et scientifique d’une classe politique de nains minables aux capacités intellectuelles affligeantes.

La France, ce n’est pas la Corée du Nord, mais on commence à vouloir faire comme sous Staline.

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »





Les mondialistes contre l’information et la pensée indépendantes

[Source : Vivre sainement]






Interview de Poutine : Tucker Carlson pourrait-il être sanctionné en Europe ?

[Source : RT]

[Illustration : Tucker Carlson, le 15 juillet 2023. © GIORGIO VIERA Source: AFP]

Le journaliste vedette américain Tucker Carlson est sous le feu des critiques pour s’être rendu à Moscou afin d’interviewer Vladimir Poutine. Des parlementaires européens, interrogés par Newsweek, estiment que le journaliste américain pourrait tomber sous le coup des sanctions de l’UE.

L’interview de Vladimir Poutine par Tucker Carlson ne sera publiée qu’à minuit heure française le 9 février, mais elle a déjà causé une hystérie politico-médiatique en Occident. Aux États-Unis, dans une interview publiée ce 8 février sur MSNBC, l’ancienne candidate à la Maison-Blanche, Hillary Clinton, a qualifié le journaliste américain d’« idiot utile » du président russe. Tucker Carlson « exécute déjà les ordres du Kremlin », a notamment fustigé CNN, le qualifiant d’« extrémiste de droite ».

En France, l’ancien présentateur phare de Fox News est présenté sur le service public comme un « proche de Trump », « accusé ces dernières années de populariser des thèses complotistes et racistes ». D’autres médias tricolores préfèrent le terme de « propagandiste ».

Du côté de Bruxelles, l’hostilité est également de mise, l’ancien Premier ministre belge Guy Verhofstadt voyant en Tucker Carlson un « porte-parole » de Trump et Poutine. « Comme Poutine est un criminel de guerre et que l’UE sanctionne tous ceux qui l’aident dans ses efforts, il semble logique que le Service pour l’action extérieure examine également son cas », a déclaré l’actuel eurodéputé au journal Newsweek. « Carlson est le porte-parole de Poutine et un ennemi de tout ce que les États-Unis représentent — ​​ni plus ni moins », a-t-il encore twitté.

Guy Verhofstadt n’est pas un cas isolé. « Carlson veut donner une tribune à quelqu’un accusé de crimes de génocide, c’est mal », s’est ainsi indigné auprès de Newsweek Urmas Paet, ancien chef de la diplomatie estonienne devenu député européen, estimant que Carlson « n’est pas un vrai journaliste puisqu’il a clairement exprimé sa sympathie pour le régime russe et Poutine et a constamment dénigré l’Ukraine, victime de l’agression russe ».

« Pour une telle propagande en faveur d’un régime criminel, vous pouvez vous retrouver sur la liste des sanctions », a ajouté Urmas Paet. « Cela concerne principalement l’interdiction de voyager vers les pays de l’UE. »

« Des voix qui ne sont pas tout à fait saines d’esprit », selon Peskov

Quant à l’eurodéputé polonais Witold Waszczykowski, également ancien ministre des Affaires étrangères, celui-ci estime que Verhofstadt ferait mieux de « s’occuper de ces hommes politiques européens qui continuent de chercher comment apaiser la Russie au lieu d’aider l’Ukraine à gagner la guerre », désignant le président français Emmanuel Macron et le chancelier allemand Olaf Scholz.

Toutefois, comme le souligne Newsweek, le Parlement européen n’est pas seul à décider de la mise en place de sanctions, rappelant que le dernier mot revient au Conseil européen. Selon une source de l’agence TASS au sein de la délégation d’un État membre siégeant au Conseil, les Vingt-sept ne discuteraient pas actuellement de l’imposition de sanctions à l’encontre Tucker Carlson.

« Carlson a-t-il besoin de notre protection ? Je ne crois pas. Je pense qu’il peut se défendre », a déclaré ce 8 février à la presse le porte-parole du Kremlin. Interrogé sur les vives réactions en Occident à cette initiative du journaliste américain d’interviewer le président russe, Dmitri Peskov a déclaré qu’il demeurait encore des « voix saines » d’esprit aux États-Unis, « en plus des voix qui ne sont pas tout à fait saines d’esprit ».

« Il est clair que la réaction sera très, très diverse », a-t-il par ailleurs confié, concernant les réactions de la communauté internationale à cette interview qui sera également publiée en russe et en anglais sur le site du Kremlin. Pour Peskov, « il est évident que c’est une interview qui sera lue et analysée pendant plus d’une journée ».





Endoctrinement vaccinal à l’école?

[Source : bam.news]

Le programme Eduscol incite les enseignants français à animer des activités de « sensibilisation » à la vaccination. Le Syndicat Liberté Santé a examiné le kit pédagogique et alerte : l’école est‑elle instrumentalisée pour inculquer aux élèves la propagande de l’OMS et des lobbys pharmaceutiques ?

Tandis que la campagne de vaccination contre les HPV dans les collèges bat son plein, l’Éducation Nationale se voit depuis octobre 2021 chargée par son ministère de sensibiliser les élèves à la vaccination au moyen de « guides enseignants ». Si ce sujet fait déjà partie du programme des Sciences de la Vie et de la Terre (SVT), il est à noter que ce sont désormais tous les professeurs, du CP au lycée, quelle que soit la matière qu’ils enseignent, qui « sont invités à animer un débat au sein de leur classe en présentant les enjeux de la vaccination en général, et contre la COVID‑19 ou l’infection aux papillomavirus en particulier. »

Dans un contexte où le concept d’« école promotrice de santé », instigué par l’OMS, l’UNESCO et plébiscité par le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP), veut remplacer notre traditionnelle éducation à la santé, le Syndicat Liberté Santé, qui défend les professions et les professionnels du soin, s’inquiète de l’empiétement de l’Éducation Nationale sur le secteur médical et pharmaceutique et des mutations qui se profilent derrière le vocable de « santé ».

Dérive de la notion de santé ?

En effet, entre « éduquer à la santé », santé définie par l’OMS comme « un état de complet bien-être physique, mental et social », et promouvoir en classe la vaccination, qui est un acte médical, et des produits pharmaceutiques, comme les vaccins, il y a pour le Syndicat Liberté Santé, une nuance et une limite à respecter. De fait, nous dirigeons‑nous vers une pratique ritualisée et banalisée de la vaccination ?

Bien plus techniques que de simples affiches ou qu’une explication succincte du principe de base de la vaccination, les fiches‑ressources mises à disposition des professeurs ressemblent à s’y méprendre à un argumentaire issu de l’industrie pharmaceutique. À charge pour les professeurs de mettre ensuite cette documentation en œuvre autour d’un débat et d’activités présentées dans un kit, sur plusieurs séances avec leurs élèves, afin « d’éveiller leur sens critique » sur la thématique de la vaccination nous dit‑on. Les sources figurent dans la bibliographie.

Mais au vu de la complexité des notions abordées, il s’avère que soit ces guides en disent trop, soit ils n’en disent pas assez pour amener professeurs et élèves à véritablement pouvoir se forger un avis exhaustif et éclairé sur la question. Et pour cause, chacun son métier !

Aussi, que pensent les professeurs de cette nouvelle tâche qui leur est confiée, sur base de volontariat pour le moment ? Nous comprendrions qu’ils en soient fort embarrassés… Autant que le seraient les médecins s’il venait au Ministère de la Santé l’idée saugrenue de les inciter à dispenser cours de mathématiques ou d’arts plastiques à leurs jeunes patients…

Un kit éducatif axé sur la peur, l’hygiénisme, le conformisme
En toile de fond des activités proposées aux élèves, un même message de peur asséné en boucle sous toutes ses formes (vidéos, histoire, images à sérier, ateliers…) : peur des microbes, peur des épidémies, peur de l’autre susceptible d’être porteur de microbes contaminants, peur de soi et de se rendre coupable de contaminer les autres. Pourtant, ne vivons‑nous pas AVEC des milliards de micro‑organismes de toutes sortes depuis la nuit des temps ? Les « cartes débat » présentent des personnages « avec » ou « sans » ÉTATS D’ÂME vis-à-vis de la vaccination. Voilà qui est très questionnant. Une vaccination est indiquée ou ne l’est pas. Aussi, en quoi une vaccination est‑elle censée susciter des « états d’âme » ? On relève une absence de contradiction sensée et un parti pris évident en faveur d’une pratique inconditionnelle de la vaccination. Le personnage qui exprime être jeune et en bonne santé et ne pas avoir besoin de se faire vacciner contre le Covid, a été nommé Yves ANTY. Il est présenté comme antivax et le mot « complotiste » est lâché sur sa fiche. Où est le débat ? Trois votes à main levée sont préconisés (au début, au milieu et à la fin des débats) pour évaluer l’avis des élèves à propos de la vaccination. Or nous savons (notamment grâce à l’expérience de Asch) que par conformisme, l’individu a tendance à adopter des normes sociales et des façons d’agir et de penser pour maintenir son intégration dans le groupe, et ce même s’il est conscient que ces normes sont insensées ou contraires à son propre avis. Faut‑il voir dans ses votes non anonymes une tentative d’encourager tous les élèves à se conformer à l’idée prépondérante, ouvertement poussée vers une adhésion « sans état d’âme » à la vaccination ?

Un personnel non qualifié…

Les professions de médecins, infirmiers, pharmaciens ou de l’information médicale, sont des métiers de la SANTÉ, dont l’exercice est soumis à l’obtention d’un diplôme validant des aptitudes acquises au cours d’un enseignement théorique et pratique de plusieurs années. L’exercice de ces professions est en outre régi par le Code de la Santé publique, voire conditionné à l’inscription à un Ordre. Réaliser des tâches dévolues à ces professions sans réunir les conditions nécessaires relève d’un exercice illégal.

Les professeurs des écoles, collèges et lycées, aussi compétents et professionnels soient‑ils dans leur discipline, ne sont donc ni habilités, ni aptes à délivrer aux élèves une information juste et complète dans les règles de l’art concernant la médecine et la vaccination, pas plus qu’ils ne disposent des qualifications requises pour promouvoir des produits pharmaceutiques en classe.

Il va sans dire que le fait d’associer une campagne vaccinale à cette « sensibilisation » à la vaccination ne doit en aucun cas servir d’alibi pour légitimer ce transfert de compétences en dehors de tout cadre déontologique, ni pour écarter insidieusement les professionnels de santé de cette question qui relève pourtant de leurs strictes compétences.

Acte citoyen ou acte médical ?

L’agence Européenne du Médicament (EMA) rappelle que « toutes les informations relatives à la sécurité doivent être soigneusement prises en compte avant d’administrer ou de recommander une vaccination ». L’indication de vaccination ne peut donc s’envisager qu’après un avis médical.

Aussi, contrairement au message véhiculé par Eduscol, la vaccination ne peut être considérée que comme un acte citoyen. Il s’agit avant tout d’un acte médical nécessitant la prise en compte de la balance bénéfice‑risque individuelle de chacun.

Seul un médecin, connaissant son patient, à savoir son dossier médical, son environnement socio‑familial et ses habitudes de vie, est habilité à juger du bien‑fondé de lui proposer telle ou telle vaccination. Il incombe également au médecin de se tenir informé des dernières données acquises de la médecine et de la science afin de fournir une information claire, loyale et appropriée à son patient, en vue de recueillir son consentement libre et éclairé. Les professionnels de santé ont également le devoir d’être à jour de leurs connaissances avant de prendre la parole publiquement.

La campagne de « vaccination » Covid-19 comme référence !

Outre le fait que les guides Eduscol affirment que les injections Covid-19 sont des vaccins, de surcroît utiles, sûrs et efficaces, qui permettent de se protéger soi et les autres, et même de parvenir à une immunité collective à condition que 85 % de la population MONDIALE soit immunisée, ils proposent aux enseignants d’utiliser la campagne de « vaccination contre le Covid-19 » comme référence pour les débats.

Sur quelles sources officielles Eduscol fonde‑t-il ses allégations ?

Lire la suite de cette tribune sur https://docs.syndicat‑liberte‑sante.com/TlGr/TribuneSLSeduscol240124.pdf




PLAN DE MARQUAGE DE L’HUMANITÉ

[Source : michelledastier.com]

Voici un article de Serge Monast dévoilant le projet des dirigeants de ce monde d’offrir tous les hommes et femmes de la planète à Lucifer au travers d’un système de contrôle que la Bible appelle « La marque de la bête ». Ce texte écrit au début des années 90 quand la puce électronique était quasi-inconnue, est d’actualité aujourd’hui. En moins de 30 années seulement, ce qui semblait être de la science-fiction est devenue réalité.

Dévoilement du complot relatif au plan de marquage de l’humanité

Par Serge Monast

Serge Monast, Journaliste d’investigation avait révélé dès 1993, le projet secret des Illuminati-Reptiliens de pucer le monde. Comme tous les gens qui disent la vérité, il a été assassiné !

Révélations de M. Monast (Un des derniers documents présentés par l’auteur avant son assassinat)

« Le 15 décembre 1993, à Montréal, Serge Monast, de l’Agence Internationale de la Presse Libre, dont les activités étaient uniquement axées sur le journalisme d’enquête internationale aux niveaux économique, politique, militaire et médical, dévoilait des informations si stupéfiantes qu’elles lui coûtèrent la vie. Neuf ans après, ses informations se confirment les unes après les autres. Il est vrai qu’il était informé par des politiciens repentis, des agents des services secrets écœurés ; il recevait également des documents classifiés, ultra confidentiels, souvent anonymement ou transmis par des confrères situés aux quatre coins du monde »

(Jacques Delacroix,Naufrage d’un système,Tome 1, Collection L.I.E.S.I., Éditions Delacroix, B.P. 18, 35430 Châteauneuf, 2003, page 70.)

Introduction

Depuis plusieurs années il existe des projets sérieux visant le marquage des individus par laser, sur le front ou sur le poignet. Mais aujourd’hui les tireurs de ficelles du Nouvel Ordre Mondial sont allés plus loin : Ils sont à même de réaliser leur rêve de contrôle complet du cheptel humain. Comment ? Par l’injection d’une puce électronique à chaque être vivant. Tout est quasiment au point ! Ce sera l’objet de la première partie de ce document. Ensuite, nous verrons pourquoi nos écoles ont produit une jeunesse qui, dans sa grande majorité, est — malgré elle — : pourrie, viciée, sans Foi, sans valeurs morales, sans esprit de discernement, sans vie intérieure, ayant pour unique perspective celle de servir le Système selon une morale Antichrétienne et Humaniste.

Nous nous pencherons ainsi sur les formes policières et militaires constituées par les cadres du Gouvernement Mondial. Cadres choisis parmi les brillants promus des écoles sans Dieu. Des jeunes formés selon une idéologie particulière. Ce Gouvernement Mondial au service de l’Enfer doit asseoir le fils de perdition — l’Antéchrist. Il a besoin d’une force d’action multinationale omniprésente. Elle ne peut se constituer qu’à partir d’éléments nationaux !

Concept de monnaie électronique avant le marquage de l’humanité. Une condition préliminaire :

L’instauration de la monnaie unique.

Depuis une trentaine d’années, les dirigeants des banques américaines et mondiales commencent à envisager un autre échange monétaire que celui du chèque. Le premier vice-président de la FED déclarait en 1975 : « Il faut absolument développer un nouveau système électronique d’échange sous peine de voir le système bancaire des États-Unis s’étouffer sous une avalanche de chèques ».

On mit alors en route un transfert électronique de fonds au niveau international, la SWIFT — Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunications, — établit à Bruxelles et comptant, enjanvier 1975 déjà 246 banques pourvues d’un système privé de communications pour la transmission de paiements et d’autres messages associés aux transactions bancaires internationales.

Une femme d’affaires américaine a fait paraître en 1981 et en 1983 deux livres fort bien documentés sur le système monétaire 666 en cours d’élaboration. Elle écrivait :

« Quand le système monétaire tombera… ce sera le 666 System…Bruxelles, le quartier général de l’économie européenne, est le lieu où se trouve le centre principal de branchement du réseau international SWIFT. Ce centre a l’ambition d’étendre ce transfert de fonds au niveau international, c’est-à-dire pour tous et dans tous les pays. Ce centre de contrôle monétaire occupe trois étages de l’immeuble de treize étages du quartier général de la CEE. C’est dans cet immeuble que Mr. Elderman est en train de diriger rapidement les efforts en vue d’attribuer à chaque personne sur la terre un numéro de 18 chiffres composé de trois séries de six chiffres. »

Cet article indique que les informaticiens travaillaient sur un plan qui visait à attribuer des numéros à chaque individu sur la terre. Ces derniers ont suggéré qu’un nombre chiffré pourrait être inscrit par tatouage au laser sur le front ou sur le dos de la main.

Selon eux, cette « marque internationale » pourrait en finir avec toutes les monnaies. Aucun individu ne pourrait acheter ou vendre sans avoir l’attribution d’une marque chiffrée…

Les capacités des ordinateurs du réseau SWIFT centralisés à Bruxelles sont telles que les initiés l’ont appelé « The Beast » (la Bête)… Ce gigantesque ordinateur à Bruxelles appelé la Bête existe depuis la fin des années 80.

Grâce aux cartes de crédit, il a été facile de mettre presque toutes les populations des nations industrielles et commerciales dans les mémoires des banques. Nous sommes liés à cette machine électronique par une ou plusieurs clés qui peuvent être notre numéro de sécurité sociale, notre permis de conduire, notre extrait de naissance, notre numéro de passeport. Chaque mouvement d’argent que nous avons fait et chaque penny que nous avons payé au service des impôts annuellement est enregistré.

La capacité de cette gigantesque machine de Bruxelles était préalablement établie pour 2 milliards de personnes en 1989. Chaque individu, membre d’une des nations industrielles est déjà dans cet ordinateur. Sont connus : chaque déplacement d’argent effectué, tous les changements d’adresses réalisés, les emplois suivis, les revenus et le taux d’imposition.

Dans ce programme, tout achat et toute vente doit se faire par ordinateur. Pas de devises, ni de monnaie ni de chèques. Les entreprises bancaires et commerciales se sont d’ailleurs toutes converties au niveau système de transfert électronique de fonds, entraînant dans leur sillage la grande masse des salariés et employés divers. L’idée initiale était d’établir cette gigantesque unification et planification monétaire par le moyen des cartes de crédit.

Dans les années 80, on pensait que chaque personne recevrait un numéro tatoué sur son poignet ou sur le front. Ce numéro fourni par Bruxelles serait imprimé par un rayon laser sans qu’on le sente. Le numéro sur le corps serait invisible à l’œil nu et serait aussi durable que les empreintes digitales. Tous les articles commerciaux sont pourvus d’une marque à l’ordinateur. L’apparition il y a quelques années du code-barres informatique s’est étendue rapidement sur la quasi-totalité des biens de consommation. Ce fut la première conséquence concrète, perceptible, du plan d’asservissement monétaire en cours. Tout ceci s’est fait sans publicité, dans le grand silence. Nous y reviendrons.

La caisse ordinatrice du magasin qui enregistre le numéro des articles, enregistrerait également le nombre sur le corps de la personne, ferait automatiquement le total de ses achats et déduirait le montant de son compte spécial de droit de retrait. À l’époque, la marque sur la main ou sur le front devait s’effectuer selon la technique du laser. On devait imprimer par brûlure microscopique, indolore, inaltérable et très précise, le code informatique des données bancaires. On trouve des explications aux États-Unis :

  • Dans les grands centres de loisirs où l’on pratique perfidement cette parole de Jésus : « Laissez venir à moi les petits-enfants »… À l’entrée du parc Disneyland, les parents règlent afin que leurs enfants puissent aller à telle ou telle aire de jeux. Rendu sur le lieu désiré, l’enfant met sa main dans une machine. Elle lit que l’enfant a payé. Elle le laisse entrer dans l’aire de jeux.

  • Dans les grands centres de distribution… Les clients n’ont plus à faire de longues queues devant les caisses. Plus besoin de passer leurs achats sur le tapis roulant. Pour emprunter un chariot, le client insère sa carte de crédit dans un logement spécial, qui s’y trouve incorporé. À l’intérieur se trouve un lecteur laser de code-barres robuste, à l’épreuve des chocs. Ainsi, chaque fois que le client introduit un article dans le chariot, son prix est enregistré. Le paiement s’opère automatiquement par connexion du chariot à la caisse-sas de sortie, qui lit la carte bancaire et vérifie la validité de son code. Le client n’a plus qu’à signer la facture établie par le lecteur code-barres de son propre chariot.

Le premier supermarché sans caissières a été ouvert à Caen en 1994…

Voici ce qui est peaufiné : pour emprunter le chariot, le consommateur devra apposer sa main dans un logement spécial incorporé — comme les enfants le font déjà à Disneyland. Le lecteur optique lira le code-barres de la main, gravé au laser.

Si le client potentiel est dûment marqué, si son compte en banque est suffisamment provisionné ou s’il n’est pas classé parmi les exclus économiques pour raison religieuse ou politique, le chariot se libère et le client peut rentrer dans le magasin. Même système et passage à la caisse-sas enregistreuse afin que celle-ci puisse établir l’identité de la facture, ainsi que le numéro du compte. Il signe cette facture et c’est fini. Seuls les esclaves de la Bête pourront manger et boire…

Mais les mondialistes ont été peu à peu obligés de se rendre à l’évidence : la carte de crédit par exemple n’était pas à la hauteur du plan monétaire d’asservissement universel ! Il fallait chercher autre chose. Dans ce contexte déjà bien avancé, il suffisait d’un pas de plus pour réaliser parfaitement la domination économique et monétaire du Gouvernement Mondial antichristique.

Plusieurs individus travaillant en solitaire pour la divulgation de la vérité sur des sujets variés, inconnus du public, dangereux, ont décidé de se réunir et d’organiser à l’échelle nationale et internationale un réseau parallèle d’informations et d’échanges de tout ordre. Ce, afin de freiner l’anéantissement des valeurs occidentales et de témoigner du complot qui s’abat contre notre monde chrétien.

Dangereux, parce que les informations vérifiables à l’Agence Internationale de la Presse libre, démontrent la perspective pas très lointaine de notre condamnation et d’une volonté des ennemis de Jésus-Christ Fils de Dieu, de nous pourchasser pour notre foi, notre refus de la société antéchristique actuelle, et finalement du désir de marquer du signe de la Bête tous les individus de la planète comme vous le verrez par la suite.

Les activités de l’Agence Internationale de la Presse libre au Canada sont accès uniquement sur le journalisme d’enquête internationale au niveau économique, politique, militaire, médical, et vérifiables. Leurs dirigeants ne peuvent pour l’instant pas être contactés pour des raisons que chacun devine. D’où la décision prise de diffuser ce que vous allez connaître. Même les informations qui seront portées à votre connaissance ont été obtenues avec beaucoup de difficultés de la part de certains journalistes [néanmoins la cohérence de ces informations rend celles-ci fort vraisemblables, pour ne pas dire certaines, compte tenu de ce qui s’est déjà réalisé]. Plusieurs ont risqué leur emploi, leur sécurité et pour quelques-uns, leur vie.

Partie I
MARQUAGE DE L’HUMANITÉ
Le microchip biologique d’identification internationale

Depuis l’apparition des Codabars en 1977 — approuvé par l’ONU dès 1972 — il y a une accélération foudroyante du Plan de la « Synagogue de Satan » [Apocalypse, II, 9] prophétisé par l’Apocalypse aux chapitres XIII, versets 8 et 15 à 18 :

« La Bête réussit à leur faire mettre à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, une empreinte sur la main ou sur le front ; et elle fit en sorte que nul ne pût acheter ou vendre, qu’il n’eût l’empreinte, le nom de la Bête ou le nombre de son Nom. Ici réside la Sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la Bête. C’est un nombre d’homme. Ce nombre est Six cent Soixante-Six »
[www = 666].

Ces Codabars de type « Ean » intégraient le nombre « 666 » au moyen de trois groupes de deux barres plus longues que les autres (au début, au milieu et à la fin). Chacun des groupes est lu au laser comme un « 6 ». Ainsi obtient-on le chiffre « 666 » qui se surimpose sur chaque code-barres. Ces trois chiffres identiques s’ajoutent aux treize chiffres fonctionnels (le choix de ce nombre fut volontaire afin de dévoiler la réalisation de l’Apocalypse, précisément son chapitre XIII !).

Le code de treize chiffres s’explique ainsi : 3 pour le pays et la région d’origine, 5 pour les producteurs (usine, atelier, etc.), et 5 pour le produit (prix, date, etc.). Chaque chiffre est lui-même réalisé par une juxtaposition de 7 modules blancs ou noirs. Comme le nombre d’arrangements de 7 modules est très supérieur à 10, ce procédé permet d’utiliser simultanément 3 codes dits A, B et C.

B est identique à A, mais à l’envers. C s’obtient en inversant les couleurs de A. Le code A n’est utilisé que pour les 6 premiers chiffres de chaque étiquetage, ce qui permet de déchiffrer le code, quel que soit le sens dans lequel les caissières des supermarchés présentent les paquets devant l’appareil de lecture optique. Afin d’éviter les « doubles », tous ces codes sont attribués, dans chaque pays par un diffuseur unique qui a fait du secret sa règle d’or : « Gen Code », filiale du diffuseur américain.

En 1988, la ville de Singapour — en Malaisie — a testé ce système de marquage sur une population de dix mille personnes. Pendant trois mois on a testé dans cette mégapole le remplacement des cartes de paiement par un Code-Barres individuel lisible au laser. Le code était gravé pour moitié sur le poignet et pour moitié sur le front !

Ron Steele démontrera que la technologie pour marquer, enregistrer et surveiller des gens existe par exemple aux États-Unis avec des prisonniers et même certaines prostituées séropositives.

Le sujet que je développe à ce jour est basé sur des informations fournies essentiellement par Ladite Agence ; il est très important. Même les journalistes initiés ne pouvaient pas penser que l’information qui fait l’objet de cet article puisse exister. Il s’agit de quelque chose d’excessivement sérieux, qui, du jour au lendemain, non seulement permettrait l’instauration d’un Gouvernement mondial, d’un ORDRE MONDIAL, mais rend possible le contrôle individuel, direct, de chaque individu sur la planète.

Cette information concerne le microchip biologique d’identification internationale. Dans la nouvelle technologie de pointe qui va être utilisée et l’est déjà pour arriver à un contrôle absolu de toutes les populations de la planète, les architectes du Nouvel Ordre Mondial ont admis dans des réunions privées que sans l’avènement de l’ordinateur et de la haute technologie, la réalisation d’un Gouvernement Mondial n’aurait jamais pu être si proche. Parmi ces nouvelles technologies les plus effrayantes qui soient, il y a le microchip biologique d’identification internationale.

Qu’est-ce que c’est ? Des confrères américains [et non français] ont réussi à obtenir des informations vérifiables grâce à des documents audio, des photographies, un dossier de presse complet provenant de publications produites par des journaux officiels et religieux depuis 1990. Ces informations démontrent l’existence d’un contrôle électronique direct de tous les individus sur toute la planète.

On pourrait croire avoir affaire à de la science-fiction, mais la présence de documents écrits, de références à ces documents et des documents vidéo provenant des compagnies qui ont mission de fabriquer ce produit-là, ne laissent aucune alternative quant aux conclusions.

Selon Terry L. Cook — journaliste chrétien d’investigation sur la côte ouest américaine, — celui-ci se référant à Tem Wellord, la technologie cachée derrière le nouveau MICRO CHIP n’est pas très compliquée. Avec un peu de raffinement, il pourrait faire l’objet d’une grande variété d’applications humaines.

D’une manière plus que concevable, un numéro pourra être assigné à chacun dès la naissance et faire partie de la vie intégrante de celui-ci jusqu’à sa mort.

Vraisemblablement cette puce électronique pourra être implantée sur le revers de la main, et celle-ci pourrait servir de carte d’identification universelle, ce qui remplacerait les cartes de crédit, les passeports, les permis de conduire, etc.

À la fin de l’année 1993, une compagnie américaine : la Destron Idi Colorado, fabrique et annonce ces puces électroniques d’identification IDI CHIP globalement via « Infopet » et d’autres distributeurs américains et internationaux.

Pour l’instant, ces puces sont utilisées pour retracer, contrôler et identifier les animaux de ferme, les animaux domestiques, les oiseaux, les poissons et tous produits manufacturés. Actuellement ce nouveau système se répand à la vitesse de l’éclair sur toute la planète. Un exemple : celui de l’implantation du MICRO CHIP sur les grands oiseaux coureurs d’Australie.

Autruches, émeus et nandous sont l’objet d’un élevage commercial aux États-Unis. Zoan Parker, un spécialiste des ratistes ou oiseaux coureurs du Penn State Cooperative Extension à Lancaster, déclare que l’élevage de ces oiseaux reflète aujourd’hui les mêmes tendances que l’élevage du bétail dans les années 1800, qui commença également comme un marché limité à quelques éleveurs. Ces premiers fermiers savaient que les voleurs de bétail étaient un véritable problème. Plutôt que de marquer le bétail au fer chaud, ce stock d’oiseaux vivants est muni d’un MICRO CHIP individuel d’identification qui émet un signal. Zoan Parker dit que « c’est comme un numéro de sécurité sociale ».

Cet article est la 2e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

Ce MICRO CHIP est si petit qu’il peut être facilement introduit dans une aiguille hypodermique ! Il s’agit d’un minuscule tube de verre, microprocesseur passif, de 2 mm de diamètre, et dont la taille mesure entre 10 et 12 mm.

Peu après la naissance de l’oiseau, le MICRO CHIP est injecté dans les tissus adipeux ou musclés de l’animal, « ne causant aucun mal ou inconvénient à l’animal », selon Parker. L’oiseau peut alors être identifié par un lecteur de MICRO CHIP portable.

Parker ajoute : « Chaque oiseau doit être muni d’un MICRO CHIP pour être transporté à travers les frontières des États, ou être assurés. Il vous faudrait littéralement déchirer l’oiseau en morceaux pour arriver à ôter le MICRO CHIP ».

En 1995, comme la plupart des gens le savent, le numéro d’assurance sociale se compose d’une série de neuf chiffres. Selon d’autres informations reçues tout récemment à l’Agence, ce système sera tout prochainement remplacé avec l’aide de nouveaux ordinateurs, par une série internationale de dix-huit chiffres numériques, à cristaux liquides, connus sous le nom de MESH-BLOCK. Une configuration internationale qui permettra d’identifier n’importe qui sur la planète. Cette nouvelle série de dix-huit chiffres sera divisée en trois parties, c’est-à-dire trois séries de six chiffres chacun.

Tout début 1994, ces implants de puces électroniques aussi appelés TRANSPONDER ont été partout répandus sur la planète pour le contrôle de l’industrie animale. Afin d’identifier l’animal (numéro précis attribué à chacun, comportant le nom et l’adresse des propriétaires) un lecteur manuel envoie une impulsion radio de 125 kHz (signal). Le transponder implanté renvoie le numéro attribué par retour (réponse en écho), au lecteur (scanner). Le scanner affiche aussitôt le nombre digital sur son écran à cristaux liquides.

Un TRANSPONDER, c’est un récepteur-émetteur radio ou radar, activé pour la transmission, par la réception d’un signal prédéterminé qui peut provenir d’un lecteur au laser ou d’un équipement sophistiqué : émetteur ordinateur ou même par satellite. Selon le journaliste L. Cook (« Implantable Biochip Tenchnology 666 ») le nom complet de ce « grain de riz » est : Destron Idi Transponder TX 1400 LX. Dans son livre il nous apprend que le coût d’un de ces « grains de riz » est d’environ $4,5(US). Il cite dans cet ouvrage un article de « San Diego Union » du 9 novembre 1991 dans lequel un journaliste révèle que la ville de Los Angeles aurait voté un crédit de $ 123 000 par an, pour fabriquer des « implants » sur les animaux familiers et inciter les propriétaires à en faire autant. L’objectif consisterait à réduire par ce système le nombre des animaux perdus, qui coûtent cher aux villes…

Dans un autre article, tiré du « Arizona Republic » du 20 juillet 1989, on apprend qu’un certain Jack Dunlap proposerait d’implanter des puces électroniques aux… jeunes enfants afin que leurs parents puissent les retrouver en toute occasion, par l’intermédiaire des ordinateurs de la police ! … [Et le pas est franchi, car l’escalade coulait logiquement et inéluctablement de source.]

Ce journaliste américain précise : « La technologie cachée derrière ce nouveau “microchip” n’est pas très compliquée et, avec un peu de raffinement, pourrait être utilisée dans une grande variété d’applications pour les humains » [bien sûr, c’était cousu de fil blanc]. À cet effet, en 1995, une nouvelle version est en phase d’expérimentation sur l’être humain. Vraisemblablement cette puce d’identification a de grandes chances de devenir le marquage électronique attendu puisqu’elle pourrait être implantée sur le front ou le revers de la main et de venir la « carte d’identité universelle ». Par exemple, dans les magasins, il suffirait de passer le poignet au-dessus ou dans un « scanner » pour effectuer ainsi un débit direct sur un compte bancaire… [et le tour est joué !].

Selon la C.E. Ouranos « des expériences ont été faites aux États-Unis pour graver sous forme de tatouage invisible à l’œil, le code-barres sur la main de certaines personnes. Une nouvelle carte identité infalsifiable comportant une puce électronique permettra, une fois passée dans un lecteur, de connaître tous les renseignements sur la personne. Elle fera office de carte universelle d’ici l’an 2000. Déjà la nouvelle forme de pointage électronique remplaçant le ticket de métro et de bus dans certaines villes préfigure le nouveau système de contrôle magnétique infalsifiable qui sera utilisé d’une manière universelle ».

On sait que de tels projets sont testés en ce moment même dans les « bureaux d’études » constitués et financés par la « Synagogue de Satan » [Apocalypse, 2:9] (Haute Finance internationale). Cela paraît peut-être invraisemblable, mais il est aujourd’hui possible « techniquement » de contrôler directement et individuellement chaque individu sur la planète. Chacun d’entre nous, avec ce système, serait enregistré. Et d’après les documents reçus, il est évident que ceux qui comptent l’implanter d’une manière obligatoire au niveau des populations sont en train de structurer les nouveaux paramètres internationaux, la nouvelle télémétrie économique, de manière à ce que tout individu qui n’aurait pas cet implant électronique ne puisse ni acheter ni vendre quoi que ce soit sur toute l’étendue de la planète.

Pour mieux comprendre ce que peut être le microchip biologique d’identification internationale on peut chercher une définition d’après les compagnies qui ont reçu mission de la créer [terme impropre : Dieu seul crée].

Après avoir évoqué la Destron Idi Colorado on pourrait aussi citer la multinationale Texas Instrument, la Tarovan, qui est la compagnie du système d’identification électronique aux États-Unis, mais aussi la compagnie Avidqui fabrique un « tag », c’est-à-dire une espèce de médaille d’identité qui est remplacée par la puce électronique et fait partie des sociétés construisant des appareils d’identification pour le monde vétérinaire aux États-Unis.

La définition transmise par ces sociétés est la suivante : l’implant microchip d’identification est un appareil d’indiscrétion, d’abus de la vie privée, inséré avec une unité — un module — dans une petite région de la peau au moyen d’air comprimé.

En d’autres termes, cette puce électronique — pas plus grosse qu’un grain de riz — doit être injectée à l’aide d’une seringue à air comprimé. L’inclinaison de cet appareil d’implantation est comme une aiguille hypodermique, n’ayant qu’une pénétration limitée, et elle ne pourrait aucunement opérer si l’angle ou la quantité de peau n’était pas approprié. Cette unité émet un signal qui est digital et qui consiste en des jaillissements de 85 datas Bits.

Cette puce produit donc un signal digital à des intervalles spécifiques. C’est un signal de localisation. La technologie de cet appareil est hautement sophistiquée, classifiée (donc c’est une information technologique non publiée), et elle n’est pas soumise aux transmissions digitales normales et analogues. Cet appareil fournit des informations vitales, de même qu’il sert de moyen de localisation ; c’est-à-dire que l’appareil peut être codé, programmé, pour fournir des informations complètes avec un numéro d’identification. De plus il permet aux individus qui le manipulent de vous repérer où que vous soyez par un service de détection. Il y a ainsi, par l’implantation du MICRO CHIP sous la peau, possibilité de localiser tout individu grâce à l’émission du signal émis par la puce, et capté par des satellites. Ces derniers retransmettraient l’information à un écran d’ordinateur aux quartiers généraux des corps de police au service de ce Gouvernement Mondial [peut-on imaginer la puissance d’un tel Gouvernement ?] (Nous verrons plus loin que ces corps de police existent déjà).

Une carte géographique intégrée dans le programme de l’ordinateur permettrait alors de localiser immédiatement l’individu recherché et de programmer une opération pour le trouver.

C’est essentiellement dans cette perspective que sont lancés à foison les satellites aujourd’hui.

Penchons-nous précisément sur la question des satellites au regard d’autres informations reçues par la Commission d’Études Ouranos. L’objectif s’intitule : « Une autoroute de données par satellites ».

Il y a chez les mondialistes de l’ONU et les financiers de l’Ordre Mondial [car, dans cet ordre-là, rien ne peut être réalisé sans argent], une volonté délibérée de faire de la planète un grand « village ». Il est pour eux un impératif que les endroits les plus reculés du monde soient reliés à une infrastructure mondiale, grâce à un gigantesque réseau de 840 satellites. Ce projet est proposé par Bill Gates [Monsieur Gates, attention au boomerang !], le fondateur de Microsoft, et par Craig Mc Caw, le roi du téléphone cellulaire (tous ces téléphones ont déjà une puce intégrée qui permet de suivre à la trace leur possesseur, d’où une publicité effrénée pour leur diffusion).

On sait que l’américain Loral Corp et neuf partenaires étrangers, dont le puissant groupe français Alcatel Alstom, viennent de donner le coup d’envoi d’un système mondial de téléphonie et de radiolocalisation par satellite Globalstar, qui s’associera avec Bill Gates. Pour découvrir 98 % de la population mondiale, la « constellation Globalstar » comprendra 48 satellites sur six plans orbitaux à l’altitude de 2390 km.

Bill Gates prévoit ainsi un réseau gigantesque de 840 satellites gravitant sur 21 orbites différentes, à une altitude de 700 km, de manière à couvrir 95 % de la planète.

On relèvera outre le projet « Globalstar », plusieurs « concourrents » dont le projet « Irridium », fondé sur 66 satellites, pour 1988. Projet qui présente la particularité d’être en avance sur les autres dans la réalisation technologique.

D’après les documents en possession de certains journalistes canadiens et américains [les journalistes français s’étant éclipsés] et fournis à l’Agence Internationale de la Presse libre, le MICRO CHIP a déjà été expérimenté et implanté dans des organismes de bébés, de militaires, de messagers du gouvernement et sur du personnel travaillant à la Maison-Blanche dans des sections de haute sécurité. On rapporte aussi qu’il fut autorisé pendant la guerre du Golfe et fut montré publiquement à l’émission très connue de « Twani and Twani » aux États-Unis, en août 1991 [en France, on se couche, comme le disait déjà l’extraordinaire Mélanie de la Salette, Sœur Marie de la Croix, la sainte Bergère].

Relevons parmi les projets diaboliques celui d’implanter dans le corps de nouveau-nés une « puce électronique » devant faire de cet individu un robot soumis au pouvoir de l’ordinateur avec lequel il sera branché. « Bonum Certanem » de l’abbé Mouraux dévoile que « le malheureux contrôlé jour et nuit deviendra un esclave électronique. Commandé électroniquement cet esclave pourra sur l’ordre de ses maîtres, commettre tous les crimes qu’on lui imposera ».

Il apparaît donc qu’à l’heure actuelle, avec une technologie de cette trempe, on arrive à une possibilité du contrôle complet des individus sur la planète, qui permet l’instauration d’un Gouvernement Mondial sous l’égide des Nations-Unis.

Mais il y a pire… On sait aujourd’hui que des personnes travaillent au remplacement, dans la prochaine décade, du MICRO CHIP par un BIO CHIP : une puce fabriquée à partir de protéines vivantes. À l’heure actuelle, le projet est déjà en stade d’expérimentation. Cette puce sera infiniment plus petite que le MICRO CHIP : elle aura la capacité de renfermer une foule d’informations. Elle aurait le potentiel de pouvoir agir sur la mémoire ou la pensée d’un individu. D’où le spectre du contrôle mental.

Est-il possible aujourd’hui d’agir sur l’être humain à son insu par la manipulation des états de conscience ? On peut facilement à cette question en se référant aux états de haute suggestibilité sur le conscient qui permet l’action de l’hypnose sur l’inconscient. À titre d’exemple, la télévision devient un outil efficace pour ce genre de manipulation au moyen du sublimal. D’ailleurs la CIA qui travaille actuellement à l’installation de son propre « canal de télé » aura la capacité de transmettre — à partir de transmetteurs aériens puissants — pour interrompre toute programmation dans n’importe quel pays. Nous avons là la réalisation matérielle de ce verset biblique : la Bête aura le pouvoir de « faire parler les images » (Apocalypse, 13:15).

Pour les initiés qui financent des chercheurs sur des projets aussi macabres, une telle puce présente d’autres avantages : tout pourrait y être inclus. Cette puce d’identification électronique humaine pourrait rendre réalisable une centralisation globale par un ordinateur central. D’où possibilité de ne jamais perdre la trace d’un individu et de remplacer le système monétaire actuel. L’argent ne serait alors plus nécessaire : plus besoin de chèque, de cartes de crédit, etc. Tout fonctionnerait à partir de cet implant électronique sur l’individu. Ce serait un moyen fantastique de réduire les dépenses de l’État, des banques et de neutraliser une fois pour toutes l’ensemble des marchés de la mafia, du marché noir, le marché de la drogue, et toutes formes de transferts illégaux d’argent.

Or à la conférence annuelle du Groupe Bilderberg de 1992, à Évian, en France (peu de temps après les émeutes de Los Angeles) Henry Kissinger a déclaré :

« Aujourd’hui les Américains seraient scandalisés de voir des troupes de l’ONU rentrer dans les rues de Los Angeles afin de restaurer l’ordre. Demain, ces mêmes populations vont nous remercier à genoux pour un tel acte. Il est spécialement vrai que si l’on dit aux populations : “écoutez, il y a un danger extérieur énorme qui existe”, et que l’on vote des lois en fonction de ce danger : que ce danger soit réel ou non, on sera capable de faire passer n’importe quoi, et les gens l’accepteront pour le bien-être de leur sécurité. »

De la même façon, d’autres politiciens américains ont imaginé qu’à partir du moment où il y aurait un scandale sans précédent d’argent, ou une terrible crise économique fabriquée de pures pièces qui jetterait toutes les valeurs monétaires à terre, le meilleur système de remplacement du système actuel et la meilleure parade pour empêcher un autre chaos, serait l’utilisation d’une puce électronique d’identification. Selon eux, par cette puce passeraient toutes les formes de transactions, d’échanges nationaux et internationaux, entre les individus.

Des informations récentes confidentielles, vérifiées par un ex-officier de la CIA, dévoilent différentes données que le TRANSPONDER pourrait fournir si cette puce électronique était implantée dans la peau : le nom et la photo de la personne, le numéro d’assurance sociale internationale composé de trois séries de 6 chiffres — chacun pour un numéro international de dix-huit chiffres, — des données au niveau des empreintes digitales, la description physique de la personne, l’adresse, l’histoire familiale (arbre généalogique) [cf. les Mormons], des informations relatives au travail et aux revenus de la personne, des informations concernant l’impôt et un éventuel casier judiciaire. Cette technologie déjà utilisée sur la planète dévoile une volonté d’exercer une dictature sur tous les individus.

Il y a là une perspective de totalitarisme dont entend faire montre le futur Gouvernement Mondial à travers l’Ordre Mondial actuellement en cours.

Il existe d’autres informations dans un rapport spécial sur la nouvelle technologie pour la surveillance par satellites. La sophistication, le raffinement des satellites est tel qu’il permet de repérer des imperfections souterraines, même de voir des verres sous le gazon. En utilisant des tours cellulaires et des satellites, l’animal domestique doté d’un MICRO CHIP ou l’individu qui en a reçu un peut être repéré par satellite au moins à dix pieds de l’endroit où il se trouve.

Par ordinateur et un système de scanner, la police de l’Ordre Mondial — qui est déjà la police actuelle — sera, grâce à un tel équipement, capable de retracer un individu sur toute la planète.

On devine qu’un individu catholique, par sa seule Foi au Christ, constitue un obstacle aux idées antéchristiques de l’Ordre Mondial : il sera « classé » comme un dangereux terroriste par l’ONU. Cet individu-là n’aura aucun moyen de se cacher sur toute l’étendue de la planète. Voilà pourquoi les Saintes Écritures nous préviennent de refuser le marquage. Par des renseignements complémentaires, on sait que les hommes au service de l’Ordre Mondial peuvent suivre par satellite un milliard d’animaux domestiques à qui on a injecté la puce. Qui, d’après vous, seront les suivants sinon nous, les hommes ?

Fin 1993, il y avait vingt-quatre « navstar » satellites pouvant repérer n’importe quoi de l’ordre d’un centimètre dans un rayon d’un kilomètre. Vous pourrez trouver ces informations dans le magazine Forbes du mois d’octobre 1991. Mais le document ne développe qu’une parcelle de tout ce qu’ilssont capables de faire à ce jour avec une technologie secrète, financée par des investissements de multinationales ou de banques centrales. (Vous comprenez ici l’objectif de Jean Conrad du « Complot contre l’homme ».)

Parmi les dossiers constitués à partir de fuites ou de révélations privées, on sait qu’un contrôle accru de l’humanité s’effectue au moyen de : la surveillance au laser, les nouveaux permis de conduire, la nouvelle carte d’assurance maladie aux États-Unis et au Québec, le nouvel espionnage électronique par le téléphone, le téléphone sans fil, les dossiers d’appel téléphonique, le micro clandestin, les répondeurs téléphoniques et les boîtes vocales, le système électronique pour porte de garage, les enquêtes sondages téléphoniques, les disquettes d’ordinateur, les services des postes, les caméras vidéo, les dossiers d’impôts, dossiers scolaires, dossiers médicaux et de service social.

Par une crise économique, ils sont en train d’engendrer une crise sociale qui oblige déjà les gens à se diriger malgré eux, vers une aide sociale. C’est un moyen légal qui ne paraît pas [un prétexte] pour aller chercher une information complète sur tous les individus.

Ce n’est pas tout. Citons le contrôle technologique du cerveau à distance, champ électromagnétique, terminaux de vidéo et jeux vidéo, micro-onde, désinformation militaire et civile, le contrôle par micro-onde basse intensité et complication biologique, les nouvelles armes électromagnétiques.

Des informations ont été obtenues sur la Banque Mondiale de la Conservation de l’Énergie. David Rockfeller et d’autres ont établi, au cours d’une réunion du 13 septembre 1987, le découpage géographique du Canada au profit du Nouvel Ordre Mondial avec carte géographique du plan mondial. Il y a aussi le plan technologique pour la chute de l’économie mondiale et l’anéantissement des fortunes individuelles ; le nouveau papier-monnaie avec barres magnétiques invisibles, la disparition des classes moyennes et la nouvelle télématique internationale au niveau du contrôle de l’économie mondiale. On vient d’ailleurs de finaliser en décembre 1993 les accords qui permettront d’arriver à un contrôle semblable.

Cet article est la 3e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

On pourrait aussi parler de la nouvelle surveillance électronique automobile qui s’installe sur les autoroutes et qui fait que les nouvelles voitures renferment des systèmes de repérage électronique de détection, sans que les acheteurs en soient conscients. Si bien qu’un système militaire se met lentement en place et rend possible tout repérage de véhicules et d’individus par rapprochement avec le fichier central détenu par la police au quartier général où repose l’ordinateur.

Les systèmes de détection sont si précis que l’on peut même savoir qui conduisait telle voiture à une heure précise, en tel lieu. Il y avait, fin 1993, des mises en pratique sur certaines autoroutes en Californie.

On met donc, à l’heure actuelle, sur l’ensemble de la planète, un des réseaux les plus sophistiqués de détection qui permettra un système de surveillance sans précédent de tous ceux qui auront reçu ce nouvel implant technologique, mais également de distinguer parmi les populations ceux qui l’ont refusé.

Avec ce nouveau micro chip biologique d’identification internationale il sera possible d’imposer un Nouvel Ordre Mondial à l’intérieur duquel tous ceux qui n’auront pas reçu, ou auront refusé cette marque d’identité, n’auront aucun droit ni d’acheter ni de vendre [cf. Apocalypse, 13:16-17], c’est-à-dire aucune possibilité de travailler, de recevoir un salaire, d’acheter un appartement ou de vivre comme locataire, de vendre des biens, etc.

Qui va accepter d’échanger des biens dans un régime de peur où tous les moyens d’échange seront bannis ? Voilà pourquoi il a été décidé de rendre public ce genre d’information. Parce que le plan est si avancé que se taire c’est être coupable comme les hommes politiques qui eux-mêmes sont au courant. N’oubliez pas que ces hommes politiques dépendent des prébendes des multinationales, lesquelles financent les programmes d’investissement de recherche qui ont abouti à la création de cette technologie de mort !

Pourquoi ne disent-ils rien ? Parce qu’ils n’ont plus de formation chrétienne et « croient » (je suis gentil !) que ce système est pour le bien des populations.

A été mis au point un MICRO CHIP de traduction. Il s’agit d’une puce électronique qui permettra la traduction instantanée et simultanée d’une langue dans toute autre langue. Soit, au moins dans soixante et une autres langues et dialectes qui, par satellite, pourront être diffusés partout sur la planète en même temps. Ainsi un dictateur mondial pourra s’adresser à toute l’humanité en même temps par le biais de ce nouveau produit de la technologie au service du Nouvel Ordre Mondial.

Pour ceux qui se souviennent de certains textes remontant il y a fort longtemps, vous trouverez des correspondances avec l’anti-Babel ! La Babel antéchristique du Nouvel Ordre Mondial entend suppléer aux conséquences de la première Babel [et parodier la Pentecôte ou le Saint-Esprit – cf. Genèse, 11:1-9; Actes des Apôtres, 2:1-12].

Il existe aussi un autre système de contrôle de la population : la surveillance au laser. Un nouveau laser d’écoute électronique a été vérifié et mis au point comme outil très spécial par les départements enclins à la surveillance : la CIA, le FBI et le Revenu de l’Impôt aux États-Unis. Ces nouveaux dispositifs peuvent, en utilisant une fenêtre comme diaphragme (comme un écran de télévision), suivre et enregistrer toute conversation à plus de vingt mille de distance.

Au niveau biologique, le D.N.A. est utilisé comme mémoire pour les ordinateurs et les implants de mémorisation. Ceci devient de la biotechnologie. Or la source de cette nouvelle biotechnologie — nous sommes rendus là dans les développements actuels, — provient du tissu de bébés avortés.

Ces tissus et les protéines de mémoire sont des systèmes majeurs pour l’intelligence artificielle dans le marché actuel des ordinateurs.

Voici ce qui est rapporté par le Winache World du 26 juillet 1991 :

« Le gouvernement finance à l’heure actuelle des expérimentations sur des bébés morts ou vivants. Les bébés avortés dans le troisième trimestre, âgés entre six et neuf mois, survivent habituellement au processus d’avortement. Ceci est d’autant plus important que les tissus utilisés pour les expérimentations doivent provenir de bébés vivants. » Voici quelques moyens utilisés lors de ces expériences. On peut trouver cela dans un article du Docteur Bernard Nathasen, publié dans l’édition du New York Garden de novembre 1991 : « En Suède, une procédure a été suivie par laquelle une femme enceinte est placée dans un état de sommeil. Le bébé localisé est amené jusqu’à l’utérus afin de permettre au docteur de percer le crâne du bébé vivant [c’est atroce !] et y aspirer du cerveau des tissus devant servir au système de maladie de Parkinson. Cette même procédure est pratiquée sur des bébés vivants pour leur pancréas, leur peau devant servir aux victimes qu’on appelle les grands brûlés. Ces bébés sont écorchés vivants. L’industrie de la recherche sur les tissus de bébés est une industrie mondiale générant des revenus de l’ordre de huit milliards de dollars. »
[Et nos hommes politiques osent parler d’humanisme !]

On sait aussi que depuis mi-1993, la clinique Sansun de Santa Barbara, en Californie, est sur le point d’importer de larges quantités de tissus fœtaux. La peau des bébés avortés [assassinés] provenant de Russie où les femmes avortent en grand nombre quand le fœtus est arrivé au stade de sept à neuf mois !

Ces fœtus sont ceux qui aujourd’hui fournissent le plus de tissus humains…

Les experts nous assurent que ces tissus sont utilisés pour traiter les diabétiques.

De quelle façon les architectes de l’Ordre Mondial comptent-ils s’y prendre pour instaurer le Gouvernement Mondial et assurer le contrôle et la surveillance directe de toutes les populations au moyen de l’implantation du microchip biologique d’identification internationale ?

Ces architectes sont les personnes à la tête de la Finance Internationale. Aussi vont-elles utiliser l’économie pour aboutir au chaos nécessaire afin de recréer un autre ordre, humaniste, amenant lesnations à accepter de gré ou de force un Gouvernement Mondial par les Nations Unies.

Des journalistes américains de la revue Monetary and Economic de mars 1993 ont révélé un document intitulé : « Un Gouvernement Mondial par assentiment ou asservissement ».

L’auteur est un dénommé Norman and Frence, ancien spécialiste d’affaires au Colorado Office of Economic Development, auteur aussi d’un manuel de planification financière. C’est également unancien responsable des prêts, officier chef des opérations dans une compagnie d’investissement, et un expert notable dans le domaine de la finance et des investissements.

Monsieur Frence rapporte :

« Les pressions pour un Gouvernement Mondial se poursuivent depuis des siècles, mais jamais encore avons-nous atteint le degré dans lequel nous nous trouvons aujourd’hui. Des termes de l’ONU tels qu’autorité de loi, lois mondiales, sécurité collective, ordre mondial et nouvel ordre mondial, sont des noms de code qu’emploie l’Establishment International en référence à leur plan pour un Gouvernement Mondial unique.

Dès 1945, devant le sous-comité des relations étrangères du Sénat américain, le partisan d’un gouvernement mondial initié, J. P. Warburg établissait : “Nous aurons un Gouvernement Mondial que vous le vouliez ou non. La question est de savoir si le Gouvernement Mondial sera atteint par la raison ou par la force. »

Il y a ceux qui proposaient une approche étape par étape. Henry Morgan, ancien secrétaire-trésorier du CFR parlait au nom de la plupart des initiés en disant : ‘Nous pouvons difficilement nous attendre à ce que l’État-nation devienne superflu de lui-même. Le but que nous devons plutôt viser est l’acceptation dans l’esprit de tous les élus responsables, qu’ils ne sont que les concierges d’une machine internationale en banqueroute qui devrait lentement être transformée en une nouvelle machine. »

Ceci a été rapporté en mars 1993. En mars 1994, ces gens de la Haute Finance Internationale viennent d’achever de mettre en marche la machine économique qui va permettre au niveau de tous les pays, l’instauration d’un nouvel ordre économique. Ils ont donné un avertissement à un an d’intervalle, jour pour jour, heure pour heure, aux deux puissances FINANCIÈRES qui pourraient les gêner : les États-Unis et le Japon. Par quel moyen ? Par un tremblement de terre.

Monsieur Frence continue : ‘L’ingrédient qui est dans cette formule est de mettre en banqueroute financière la machine internationale’. En d’autres termes, après avoir endetté les États-Unis au-delà du raisonnable, ils veulent créer de pure pièce une crise économique extraordinaire qui contraigne les États, pour se sortir du paiement des intérêts de leurs dettes intérieures souscrites aux banquiers qui dirigent la Finance Internationale, à exécuter des coupes sombres dans leurs programmes sociaux afin de toucher directement les populations. Ceci contraindra (c’est fait en 1994) les États-Unis à se tourner vers le Fonds Monétaire International de l’ONU et de la Banque Mondiale, qui imposeront CETTE condition : que les pays emprunteurs abandonnent leur souveraineté étape par étape afin de cacher ce scénario aux peuples et électeurs ! (Voici les uniques raisons de Masstricht, du Gatt, du libre-échange, des accords de Schengen…). On oblige (ra) alors ces pays à dépendre de l’ONU pour leur survie et donc des directives que l’ONU leur dictera.

Ce qui est surprenant est que cette stratégie a été mise de l’avant par la première société secrète penchant vers la conquête du monde : les Illuminati.

En effet, ce programme extrait d’une revue financière rejoint l’article 4 du code des Illuminati :

«… afin que les masses n’aient pas le temps de penser et de se rendre compte, leur esprit doit être orienté vers l’industrie et le commerce. Ainsi toutes les nations seront avalées par l’appât du gain, et dans cette course ils ne verront pas leur ennemi commun ».

Nous avons là une explication de la flambée boursière des années 80 à février 1994.

C’est une stratégie politique tout à fait connue : absorber l’attention de quelqu’un sur un point précis tandis que l’on est en train de préparer autre chose. Comme nous sommes témoins de cette quête effrénée du profit dans l’industrie et du commerce, on ne se rend pas compte que les États sont dans un système financier en Banqueroute qui est sur le point de s’écrouler. L’ennemi commun est le système bancaire global central, donc le FMI qui détient tous les prêts, réalisant ainsi ce qui est prévu par les Illuminati il y a quelques centaines d’années. L’article 6 du code des Illuminati disait en effet :

« Nous, l’élite financière, allons bientôt entreprendre d’immenses monopoles, réservoirs de richesses colossales — actions, valeurs, fonds mutuels, rentes — sur lesquels des fortunes encore plus grandes — celles des masses — vont dépendre, à un tel point qu’ils tomberont jusqu’au fond avec les crédits des États le jour suivant l’écroulement politique ».

Donc, en arrivant à une crise économique majeure, qui ne touchera pas les institutions comme ce fut le cas dans les années trente, toutes les fortunes faites par les masses dans la spéculation se retrouveront du jour au lendemain évaporées.

Dans ce mécanisme recherché par les architectes de l’ONU — les plus grands banquiers de la planète, l’objectif à réaliser est que les nations et les populations à l’intérieur de ces nations se retrouvent ruinées du jour au lendemain, en n’ayant plus aucune valeur financière. C’est de cette manière qu’il sera possible d’imposer un nouveau système. Pour accéder à ce nouveau système international, les gens devront accepter l’implantation d’un microchip biologique d’identification internationale, sinon ils ne pourront ni acheter, ni vendre au niveau national comme au niveau international [c’est simple comme bonjour !].

Il faut bien comprendre que l’objectif n’est pas de ruiner les entreprises, mais de ruiner les États et les populations ! L’écroulement économique planifié a été utilisé maintes fois à une petite échelle pour prendre le contrôle d’un pays. Mais maintenant la grande finale [c’est la lutte finale de l’internationale !…] est en préparation. Ils connaissent, grâce à certains pays qui ont subi cette thérapie de chaos, quelles seront les réactions futures des populations occidentales et américaines. Aujourd’hui, aidés par la technologie actuelle et les ordinateurs, ils sont capables de fabriquer de toutes pièces le complot d’une grande crise économique, sans que les institutions financières, les grandes corporations comme les multinationales, s’effondrent.

On tentera de faire croire à leur effondrement afin de précipiter la débâcle boursière, mais ce sera faux.

Comme les économies des pays sont en train de s’effondrer lentement à cause des dettes fabriquées et des intérêts remboursés [cf. Charles Gave, ‘Des lions menés par des ânes’, chez Robert Laffont], les élus de ces pays se verront incapables de résoudre le problème. Le complot est mené de telle manière que les élus politiques déduiront — avant l’implosion — qu’ils seront perçus eux-mêmes comme étant les responsables de la faillite des États. Les élus perdant leur pouvoir par l’incapacité humaine de résoudre ce problème insoluble sans rejeter l’ensemble du système seront condamnés à se tourner vers l’ONU [et le tour est joué !], à défaut d’être déposés par le peuple. L’ONU exigera leur assimilation aux directives élaborées par les Initiés du Gouvernement Mondial. Tout ceci sera FINI en mars 1995… Ces élus multiplieront et augmenteront la fréquence de la crise par l’augmentation des coupures au niveau social. S’ensuivront des crises mondiales, des violences à l’échelle internationale.

Les élus nationaux devront admettre l’ouverture de leurs frontières à l’immigration, la mobilité de la main-d’œuvre. Ce sera l’aboutissement des conséquences du libre-échange à tous les niveaux : la disparition des frontières nationales !

L’objectif étant, bien sûr ! D’augmenter les tensions intérieures entre les différentes ethnies et religions, de sorte que les pays en viennent à perdre le contrôle de leur sécurité intérieure. L’exemple chirurgical récemment dévoilé par l’ONU en Yougoslavie accrédite la réalisation de ce scénario dans quelques pays qui soient.

Finalement les populations se retourneront vers l’ONU. Elles supplieront de faire quelque chose au niveau international. D’ailleurs, tout a été fait au cours des dernières années pour inciter les gens à reconnaître que l’intervention de l’ONU évitait aux nations d’entrer elles-mêmes dans des guerres terribles. La fabrication de toutes pièces de conflits en augmentant les tensions sociales, a rendu les gens serviles à ce genre de démarches et d’aveuglement sur les intentions réelles des tireurs de ficelles de la secte onusienne. Cela fait partie d’une stratégie dialectique développée par des philosophes au XVIIIsiècle.

Il y a là aussi une autre démarche visant à affranchir les États encore christianisés sur le plan de leur sécurité intérieure.

En effet, pendant que les États sont affaiblis économiquement, socialement et sur le plan ethnique, les conflits créés géostratégiquement [sic] en différents points du globe — mais toujours loin des pays occidentaux, — ont permis à l’ONU d’envoyer des forces multinationales composées des soldats appartenant aux pays visés selon le plan exposé plus haut.

L’avancée du plan est d’ailleurs effectuée en parallèle avec la multiplication des conflits exigeant l’envoi de troupes multinationales. Vous remarquerez ainsi que la situation sociale se désagrège en France alors que nos troupes d’élite sont envoyées en Somalie, au Rwanda, en Yougoslavie…

Évoquant la Somalie, on relèvera que la situation a été rendue explosive maintenant grâce à la complicité des organisations supranationales, telle l’OMS. Depuis la guerre du Golfe, les conflits éclatent les uns après les autres, requérant la présence de troupes sans cesse renouvelées, tandis que le plan suit son cours et que les pays occidentaux sont vidés de leurs forces militaires… C’est pourquoi j’avais employé l’expression d’” Étincelle » dans mon premier ouvrage.

Il est aussi à remarquer que les forces américaines sont dispersées un peu partout dans le monde, faisant partie de la nouvelle force de police planétaire sous le contrôle de l’ONU.

Les grandes lignes de ce transfert des forces militaires américaines et européennes se trouvent dans le programme « Freedom from War » qui démontre ce qui se passe.

Le programme des États-Unis pour un désarmement complet et général dans un monde pacifique établi par le président Kennedy — publication 72/77 du Département d’État qui devait s’effectuer en trois phases — propose en phase deux : « La force de paix de l’ONU sera établie et renforcée progressivement à partir du matériel militaire américain ».

Cette phase deux est précisément le stade où nous nous trouvions en 1994. C’est-à-dire sans que personne s’en rende compte, la majeure partie des forces militaires et des installations militaires américaines sont en train de passer lentement sous le contrôle des Nations Unies au niveau international — comme des bases militaires, — et non plus comme c’était le cas auparavant au profit d’une seule nation qui était les États-Unis. Soyez assurés que le désarmement militaire progressif contrôlé continuera jusqu’au point où aucun État — incluant les États-Unis — ne possédera la force militaire nécessaire pour s’opposer et défier l’autorité progressivement renforcée de l’ONU. Au train actuel, c’est un fait que les forces militaires placées sous le contrôle de l’ONU — même les États-Unis en tant que nation — n’auront plus de force militaire propre pour s’opposer à l’ONU. Le résultat est que chaque pays subira et exécutera les ukases de l’ONU par crainte des forces multinationales. La dispersion planifiée des forces américaines aux quatre coins du monde et les coupures dans le budget de la défense rendant ce plan quasiment achevé.

En même temps qu’est organisée internationalement la chute de l’économie, on constitue une nouvelle force de police nationale à travers l’Amérique et une nouvelle force de police militaire internationale.

Cet article est la 4e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

Partie II
LA POLICE DU NEW AGE

Dans un tel scénario, il est programmé que les forces policières seront impuissantes à résoudre les violences provoquées par une immigration massive et une crise sociale. Elles feront appel à une force militaire… décimée pour les raisons qui viennent d’être évoquées. On devra bien faire appel à des formes multinationales sous l’égide de l’ONU, afin d’établir la paix et la sécurité dans les nations en guerre civile. Toutes les nations se dirigent à ce jour vers un éclatement intérieur.

C’est précisément dans une perspective de troubles sociaux mondiaux qu’a été mis au point par le président Clinton, sur ordre de supérieurs « inconnus », une force de police de cent mille hommes pour s’attaquer à la criminalité : la nouvelle force de police nationale de l’Amérique du Nord. Cette force est en train de se mettre sur pied à la vitesse de l’éclair. L’intervention de cette police dans le drame de la secte de Wacco a été une expérience menée pour constituer un exercice. Le choix de cette secte religieuse fut fait par hasard, dans l’objectif de contraindre des groupes religieux plus importants à accepter un nouvel ordre et… un nouveau chef spirituel !

Le vrai but de ce raid raté était de permettre à l’Establishment de présenter cette force de police comme quelque chose de bien. L’objectif était de faire accepter un tel élément aux yeux du public comme efficace pour la sécurité.

En réalité cette nouvelle force de police nationale aux États-Unis est une consolidation d’agents de la CIA, du FBI, du DEA et autres agences policières et gouvernementales.

D’après un officier des services secrets de l’armée américaine que nous appellerons Mark, ces forces sont maintenant appelées « la police MJTF ». C’est le détachement spécial multijuridictionnel de l’ONU. D’après Mark et un rapport complet fourni à l’Agence Internationale de la Presse Libre, leur mission est : d’effectuer des fouilles et des saisies maison par maison ; la séparation et le tri des hommes, femmes et enfants en grand nombre ; le tri et le transfert dans des centres de détention ; et le bon fonctionnement de tels établissements.

Il existe dans cette même veine d’informations un rapport qui touche au programme pour l’établissement des camps de concentration aux États-Unis. Ces camps n’ont rien à voir avec ceux de la Seconde Guerre mondiale. Un rapport de cinquante pages existe à l’Agence avec les emplacements géographiques des camps en question, destinés à recevoir les ennemis du futur ordre mondial.

Sous le président Reagan on avait déjà commencé à mettre en place onze centres de détentions fédéraux en Floride, en Virginie, en Georgie, dans l’État de New York, dans l’Arkansas, dans l’Arizona, en Californie. Mark expliqua aussi comment le MJTF travaille en conjonction avec le FENC (Federal Emergency National Center) qui est le nouveau stade de force de police de l’ONU. L’une des particularités des membres du FENC est que tous leurs uniformes sont noirs avec aucun signe extérieur d’identification. Les jeeps, les hélicoptères, les camions militaires sont noirs.

Le FENC est composé de polices militaires et secrètes dont le nombre se chiffre à trois cent mille aux États-Unis. Leur uniforme est l’habit de combat classique noir. Ils portent une armure anti-balles noire et un casque spécial en noir. Un suivi des événements du drame de Wacco aura permis de remarquer que les forces du MJTF ont été épaulées pour finalement être remplacées par les forces du FENC.

En novembre 1990, le président Bush a signé un ordre exécutif qui transférait un tiers des véhicules de la réserve aérienne stratégique des États-Unis au FENC, à un coût de 12,8 milliards de dollars pour le contribuable américain. Ils ont été peints en noir et ne portent aucune identification.

D’après cet officier appelé Mark, le niveau final des forces militaires qui a été structuré en 1993, sont les groupes de combat de l’ONU à l’intérieur des États-Unis.

Ces troupes sont situées à la frontière de la Californie et de la Virginie. Ils ont des groupes de combat équivalent à trente-quatre mille hommes. Dans la région de Sacramento se trouve une autre force de quarante mille hommes. Au sud de Los Angeles, un contingent de vingt-deux mille soldats de l’ONU. Mark ajoute que du Montana jusque dans le territoire canadien, existe un groupe de combat de trente-sept mille hommes qui est divisé en deux brigades d’infanterie mécanique EEC, deux brigades d’infanterie mécanisée standard, la première division d’armée canadienne et une brigade de sécurité légère japonaise.

La présence des troupes de l’ONU russes, yougoslaves, roumaines et coréennes sur le sol américain et canadien a été rapportée par plusieurs sources. Où garde-t-on ces troupes ? Dans les bases militaires qui sont supposément [sic] en train de fermer !

Par exemple, avant de quitter la présidence, alors qu’il était à l’ONU, le président Bush transféra la gare de Fort Dix aux autorités de l’ONU pour servir de camp d’entraînement.

Voyons maintenant quelle est l’idéologie qui forme ces nouveaux corps d’élite internationale, mais aussi les membres des services secrets.

Autrement dit : qu’y a-t-il derrière l’émergence d’un Nouvel Ordre Mondial, d’un nouveau corps de policiers ?

Un policier travaillant depuis vingt ans dans la police américaine a — sous un pseudonyme — fait parvenir le texte complet d’une conférence de très haut niveau, prononcée dans les années 90 pour la formation des cadres du Gouvernement Mondial de l’Amérique du Nord.

Le policier fait également part de son expérience personnelle afin de sensibiliser l’opinion — par l’intermédiaire des journalistes d’investigation — sur l’Ordre Mondial ; de ce qui est imperceptible à l’œil nu à moins de faire partie de ces différents corps-là.

La question que pose ce policier qui a volontairement changé son nom pour des raisons de sécurité personnelle est tout d’abord celle-ci : Y a-t-il des juges, des procureurs et des policiers qui aujourd’hui commettent des actes malhonnêtes pour incarcérer des individus ? À cette question, il dit : « Je réponds sans équivoque que oui ». Puis il explique pourquoi. Toutefois il écrit : « … mais il est permis d’espérer que ce n’est pas fait sans une juste cause. La véritable immoralité existe quand la cause n’est pas juste » [faux ! Cf. Romains, 3 : 8]. Afin de mieux comprendre les réponses qu’ilapportera, rappelons que jusqu’ici le droit, l’organisation des États en Occident étaient basés sur une idéologie chrétienne.

Au nom de cette idéologie [disons plutôt doctrine] chrétienne, on faisait passer le bien et la protection de l’État en priorité. Cette idéologie qui s’est transformée à l’heure actuelle sans que les populations s’en aperçoivent. La nouvelle idéologie qui justifie le Nouvel Ordre Mondial [bien retenir ce grand principe de SPARTACUS WEISHAUPT, le fondateur de l’Illuminisme : « Tout ce qui est utile est un acte de vertu. »] doit passer avant n’importe quoi. Au nom de cette idéologie, n’importe qui faisant partie du pouvoir judiciaire et militaire peut perpétuer quelque acte criminel que ce soit parce que le but visé est juste [et à plus forte raison s’il est injuste !].

« Après plus de vingt ans de service auprès de mes compatriotes américains, j’ai réalisé ce qui était la réalité. La vérité est qu’aujourd’hui plusieurs juges, avocats et officiers de police sont des dévots de la religion de l’humanisme séculier. »

Or la base idéologique de tout ce qui va composer le Nouvel Ordre Mondial est justement assise sur un humanisme centré sur le culte de l’homme [cf. S. Matthieu, 4:10]. C’est la déification de l’homme en tant que centre de l’univers, placé au-dessus de toute loi. C’est la philosophie de base de l’humanisme séculier.

Le texte de la conférence faite en privé en 1990 et adressée par le policier précise :

« … certains de nos membres, la plupart à cause de la peur, n’admettront pas que ce nouvel humanisme est une religion. Ils ont peur d’être traités comme ces soi-disant chrétiens le furent sous la doctrine de la séparation de l’Église et de l’État. Une telle peur eût été fondée si nous étions en 1970. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. La raison étant que les membres des corps policiers et militaires sont pour la plupart sous le contrôle des agences et organisations principales. »

Il y a quinze ou vingt ans, l’idéologie chrétienne aux États-Unis était dominante. Ceux qui contrôlaient les différents postes du gouvernement, du militaire, du judiciaire, de la police, des différents ministères gouvernementaux, avaient une formation chrétienne. Aujourd’hui les choses ont changé : l’humanisme triomphe et les postes cités précédemment sont occupés par des membres du New Âge et du Nouvel Ordre.

Le conférencier continue et dévoile la suffisance des ténors officieux de cette secte humaniste :

« Mon sentiment est qu’en ce moment, nous les bergers, nous devons ouvrir les yeux de nos troupeaux et choisir plus en profondeur ceux que nous pouvons amener au XXIsiècle. »

« Tous ceux qui nieraient que notre religion n’est pas une religion valide devraient retourner voir leurs devoirs. La Cour suprême des États-Unis a décidé que c’était une religion. Il y a quelques années, dans des causes célèbres, la Cour a statué que la croyance en l’humanisme, le rejet de l’idéologie chrétienne était aussi une religion acceptable. La croyance fait référence à une certaine vision universelle de la vie, du monde et de l’humanité. Dans son ensemble la Cour suprême des États-Unis a décidé qu’une religion peut être n’importe quelle vision du monde avec ou sans référence à Dieu… J’espère que ceci aidera les autres à comprendre notre foi. »

« Néanmoins, ceci n’est, bien sûr, pas le point principal de ma conférence. Je souhaite traiter des abus auxquels font face les policiers qui souscrivent consciemment ou non aux tenants moraux de notre religion ; de ce qui a trait à l’éthique ou à la morale. Partout dans notre société, nos dévots endurent d’horribles discriminations de la part de chrétiens constituant aujourd’hui une faction très petite de la société. Cette discrimination contre nous, humanistes, survient quand nous exerçons notre pratique religieuse et appliquons notre morale dans notre activité professionnelle. Pourtant des autres le font sans aucune discrimination, parce qu’ils sont chrétiens. »

« Heureusement, notre religion humaniste affiche le plus haut taux de croissance dans toute l’histoire, et la nouvelle génération à l’intérieur du système judiciaire, incluant les policiers qui souscrivent à de saints principes, sont maintenant à des postes administratifs, ce qui profite à tous. Ceci nous donne du pouvoir, même s’il existe beaucoup trop de discrimination contre un principe les plus importants de notre religion : l’éthique de situation. »

L’éthique est en principe un code de morale, de valeurs chrétiennes délimitant des frontières à ne pas dépasser. Avec la formation de cette nouvelle idéologie qui pénètre toutes les couches sociales des États-Unis, mais surtout aux postes décisionnels de chaque corps de métier, qu’entendent-ils par ce principe d’éthique de situation ? La suite de la conférence nous éclaire :

« … Le principe de l’éthique de situation ou de morale permet à l’individu de se concentrer correctement sur le but qu’il veut atteindre. Moralement parlant, peu ou pas d’importance ne doit être accordée à la méthode et aux moyens puisque rien ne surpasse le but en importance. »

C’est en d’autres mots l’application du principe connu : la fin justifie les moyens !

« Je pense que le principe de la morale de situation est le mieux décrit en examinant la définition légale de la morale et de l’éthique telle que donnée par nos compatriotes communistes. »

On entrevoit le lien ténu entre les idéologies communistes, maçonniques du XVIIIsiècle, et celle de l’Allemagne hitlérienne. Il s’agit d’une même idéologie présentée de trois manières différentes.

Le même personnage qui occupa un poste très important dans l’administration gouvernementale américaine poursuit :

« Nous pouvons apprendre beaucoup de la dévotion des communistes. Les marxistes ont par nécessité pragmatique épuré plus de 90 millions de gens dans la poursuite de la mission la plus noble de l’homme : la paix mondiale. »

Quand on entend cela enseigné à l’élite des corps de la police et de l’armée multinationale, on imagine jusqu’où ces gens sont capables d’aller pour imposer le Nouvel Ordre Mondial !

« Quelle personne intelligente pourrait appeler “immoral” quelque moyen utilisé pour parvenir au plus important des buts. Il n’y a rien d’immoral d’éliminer des gens si on le fait au nom d’une paix mondiale. »

« Dans nos grands manifestes humanistes signés en 1963 et 1973, nous appliquons nos principes moraux qui sont les mêmes que les principes marxistes, mais mis de l’avant de manière beaucoup plus concrète. Voici un bref sommaire de nos croyances sur l’éthique et la vérité. L’éthique, les valeurs morales, tirent leur source de l’expérience humaine. L’éthique est autonome et situationnelle [sic], ne nécessitant aucune sanction idéologique ou théologique. Nier ceci équivaut à nier la base même de la vie. »

Ce sont exactement les mêmes définitions que l’on trouve dans les textes de Weishaupt de 1740 — fondateur des Illuminés de Bavière — ainsi que dans les revues du Grand Orient de France.

« Nous vivons une bonne vie et maintenant.

Autorité et vérité : Nous rejetons les caractéristiques de la morale religieuse traditionnelle qui nie aux êtres humains la totale appréciation de leur potentiel et responsabilité.

Les religions traditionnelles offrent souvent du réconfort aux humains, mais souvent elles les empêchent de s’aider eux-mêmes ou de vivre leur plein potentiel.

Nous ne pouvons découvrir aucun but divin ni aucune Providence pour l’existence humaine. Les humains sont responsables de ce que nous sommes et de ce que nous allons devenir. Aucun Dieu ne va nous sauver, nous devons nous sauver nous-mêmes. »

On comprend pourquoi les Initiés ont choisi les États-Unis. C’était la nation la mieux structurée, la plus apte à imposer l’Ordre Mondial à l’humanité.

« Ceux d’entre vous qui pratiquent le christianisme sélectif sont plus près de notre foi que des superstitions des secoueurs de Bible d’Antan. Le christianisme sélectif sont ceux qui étant catholique choisissent les bonnes paroles avec lesquelles nous sommes d’accord et rejettent celles qui condamnent le plaisir terrestre et les enseignements [traditionnels] de l’Église catholique. Ne croyez-vous pas que sous cet aspect nous sommes identiques ? Votre foi est basée sur ce qui est bien selon le désir de l’homme.

La foi est valable, la religion chrétienne est valable, si vous croyez à votre système que nous vous imposons depuis vingt ans. Si vous ne nous combattez pas, c’est que vous croyez à nos valeurs parce qu’il n’existe aucun milieu !

Nous humanistes, admettons qu’il n’y apas de Dieu, que seuls lesdésirsde l’homme sont importants. Vous, dirigeants de ces chrétiens sélectifs, prêchez que votre foi est basée sur certaines parties de la Foi de Dieu, mais en réalité la majorité de votre foi est basée sur ce qui estagréableou faitvotre affaire. Finalement, en intégrant ce que nous, humanistes, voulions réaliser depuis dix-huit siècles, vous êtes arrivés à vous fabriquer une nouvelle religion centrée sur les désirs de l’homme. Vos chefs religieux prêchent les droits de l’homme et par là même cautionnent notre Ordre Mondial !

Il est évident que le gouvernement américain fonctionne selon les principes dirigeants de l’humanisme. Quels sont ces principes ? La ruse, le mensonge, la tricherie, le vol, le meurtre, l’hypocrisie, les tournures de pensée. Tous ces moyens sont moraux s’ils nous permettent d’atteindre nos buts essentiels. Voilà la vraie vertu. »

Quel est le but essentiel ? L’établissement du Gouvernement Mondial !

« Un récent exemple a été donné dans la guerre de l’Irak contre le Koweït. Plus de 250.000 individus ont déjà perdu leur vie et plus encore meurent chaque jour afin d’atteindre un but supérieur. Le but de tous les grands leaders humanistes est la paix mondiale à travers le Gouvernement Mondial.

On peut éliminer des nations, des peuples entiers si c’est le bien de tous selon nos vues. Cet enseignement du Nouvel Âge est la raison pour laquelle par exemple, il est possible qu’un officier de police d’allégeance humaniste risque sa vie pour sauver un membre de la société un jour, et que le jour suivant, le même policier mente lors d’un procès afin de remporter une affaire importante. Ceci ne doit pas être considéré comme immoral étant donné les standards éthiques sur lesquels le policier base sa moralité en ce que la fin justifie les moyens. Bien des gens ne comprennent pas que c’est la raison pour laquelle les présidents et leur état-major, les membres du Congrès et autres tenants des postes leadership mentent et trichent pour le plus grand bien de la société et donc du système. »

D’après cet initié ceux qui sont à la tête des gouvernements mentent d’une façon ouverte et concertée aux populations en vue de faire passer le bien suprême du système à venir du Gouvernement Mondial, mais aussi en vue d’excuser la disparition de dissidents ou de groupes radicaux ! Il existe en effet une différence entre les nouvelles données par les médias et ce qui se passe réellement dans les coulisses. Les versions rapportées officiellement ont été pensées, structurées, afin de nous donner une apparence de la réalité qui n’est jamais la réalité. Par une manipulation aussi ouverte de l’information nationale et internationale, on réussit à justifier la disparition d’un individu ou d’un groupe d’individus en les faisant passer pour des radicaux, des terroristes, alors que très souvent le seul danger que représentent ces personnes est uniquement en fonction de leur impact sur les populations par rapport à ce que ces gens veulent imposer comme Nouvel Ordre Mondial.

Cet article est la 5e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

« Vous êtes conscients que la grande majorité des Américains ne cherche que la paix et la sécurité. Ils ne se rendent même pas compte qu’ils ont virtuellement fait de leur gouvernement un nouveau Dieu vers qui ils se tournent pour subvenir à leurs besoins. Nos leaders du Nouvel Âge et nous leurs soldats, leurs bras et jambes — c’est-à-dire les policiers et les militaires, — se tiennent prêts à donner aux masses ce pour quoi ils prient.

Notre rôle à l’intérieur du système judiciaire d’aujourd’hui est de protéger le plan du système de la mise sur pied du Gouvernement Mondial, et de punir ceux que nos leaders identifient comme les ennemis du système. »

Ainsi a-t-on transformé le droit et la culpabilité. L’homme qui combattra pour la vérité sera considéré comme un ennemi à détruire. La conspiration de l’Âge du Verseau et du Gouvernement Mondial apparaît comme l’établissement d’une dictature à l’échelle mondiale dont l’idéologie est basée sur l’humanisme.

Dans une dictature semblable, l’individu qui, au nom de ses principes religieux, de sa conscience ou de sa foi, s’opposerait au complot contre l’homme et Dieu sera considéré et identifié comme étant un criminel. On retrouve là ce qui se passait il y a deux mille ans sous l’Empire romain. C’est le même schéma : est criminel celui qui s’élève contre l’idéologie gouvernementale établie pour la majorité des gens. Qui étaient ces criminels il y a deux mille ans ? C’étaient les chrétiens. Qui étaient les ennemis sous le régime communiste ? Les chrétiens. Cette fois-ci, le cadre change et devient international.

« Tout comme nos collègues soviétiques, sous l’éthique de situation de notre Nouvel Ordre humaniste, nous ne sommes pas limités dans les méthodes que nous pouvons appliquer pour gagner.

Nous pouvons procéder à pacifier et sécuriser les masses, donc se débarrasser de tous ceux qui vont représenter un danger pour l’instauration de ce Nouvel Ordre.

Si certains d’entre vous sont encore surpris par ceci, c’est que vous n’avez pas encore compris ce que j’essaie d’expliquer. Vous n’avez pas non plus compris ce que vos enfants ont si bien appris à travers vingt ans de système d’éducation de notre gouvernement. “Nous vivons l’ère où les hommes ont placé leur conscience dans le gouvernement au lieu de quelques superstitions appelées divin ou Dieu. Ce sont les anciennes morales religieuses qui ont causé tous nos problèmes [c’est ce que pense actuellement la quasi-totalité du monde moderne déjà prêt à accepter le Gouvernement Mondial]. Un Nouvel Âge appelle un nouveau système de croyances, un nouveau code moral, une nouvelle religion. Il est agréable de voir presque toutes les religions du monde se regrouper gentiment et unies en se préparant à servir le Nouvel Ordre Mondial.”

Je voudrai vous présenter le Docteur Sidney Saymon. Un homme très efficace, qui mérite une grande reconnaissance pour son travail de rééducation de l’humanité. Il parle simplement et ce qu’il dit est sans équivoque. Il explique aux éducateurs d’enfants à qui il s’adresse que la clarification des valeurs est une méthode pour les professeurs dechanger les valeurs de leurs élèves sans se faire prendre. Cela veut dire que sous des nouveaux déguisements, sous un nouveaudialogue, on enseigne de nouvelles valeurs sans que les enfants et les parents s’en rendent compte, et sans que les éducateurs puissent être accusés de quoi que ce soit [on parle des valeurs en général sans en préciser la nature]. Le résultat est garanti : un affrontement entre les enfants et les parents. Donc la clarification des valeurs est un autre terme pour éthique de situation. L’enseignement doit faire comprendre que l’important n’est pas les valeurs que l’on choisit, mais de les choisir librement par vous-même [leur nature est sans importance], sans pression des parents, prêtres, amis, ou société religieuse.

Les architectes du programme d’enseignement du nouvel humanisme dans les écoles du gouvernement doivent être remerciés pour avoir remodelé les valeurs de ces futures générations. Quand la loi nationale des garderies sera adoptée, ce sera un grand jour pour les humanistes et les proposants [sic] de la paix mondiale. Nous pourrons accomplir notre objectif une fois pour toutes lorsque nous aurons l’attention des enfants en âge préscolaire de six à neuf heures par jour. Regardez ce que nous avons entrepris avec les groupes plus âgés de la jeunesse américaine.

Ces garderies auront pour mission de préparer la jeunesse intérieurement à l’acceptation du Gouvernement Mondial.

C’est ainsi que les émissions dites populaires et niaiseries, de jeux basés sur l’argent, sont appréciées d’un public conditionné qui apprécie l’émission en fonction des nouvelles valeurs antichrétiennes et humanistes auxquelles il adhère inconsciemment [la télévision française, quant à elle, avec sa publicité impudique, primaire et stupide, offre des émissions qui constituent une incitation permanente aux mauvaises mœurs et à la violence sous toutes ses formes].

Les gens ainsi conditionnés fuiront la réalité et la vérité ; ils auront peur. Nous aboutirons à une armée de schizophrènes !

Il va de soi qu’une telle société exigera une nouvelle forme de police.

Un de nos éducateurs de l’humanité m’a dit il y a quelques semaines, que les religieux américains d’antan n’en croiraient pas de leurs yeux de voir les changements que nous nous sommes permis. Cette personne avait raison parce que nous avons mis le futur non pas sur le gouvernement, mais sur la capacité de tous et chacun de nous gouverner nous-mêmes, de nous soutenir nous-mêmes et ainsi de suite. C’est pourquoi le Gouvernement Mondial est bon pour tous.

Les Américains ne désirent plus assumer les responsabilités de ce gouvernement actuel. Heureusement pour eux, il y a une toute nouvelle génération de leaders et de gens au gouvernement, soucieux de s’occuper d’eux malgré leur consentement.

S’agissant de la main-d’œuvre policière : comme les citoyens abandonnent par peur de plus en plus de leurs droits, de plus en plus de policiers sont nécessaires afin de superviser les activités de cette population afin qu’elle demeure en sécurité [en cage !].

La construction de l’État Providence engendre des troubles dans la société, d’où un renforcement des membres de la police.

Qui aurait pensé il y a cent ans que l’intégration de la peur de tout serait la réponse à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial.

Le mérite de ces innovations revient aux libres penseurs de la dernière génération d’avoir réussi le coup de maître de faire en sorte que la peur serve de mécanisme de base pour permettre n’importe quoi au plan des populations.

La vieille génération n’aurait pas accepté ce nouvel ordre des choses, ces nouvelles valeurs. Heureusement cela n’a pas posé trop de problèmes parce qu’ils sont rapidement remplacés par la mort ou la retraite. Il n’en restera plus aucun d’ici sept à huit ans, soit 1997/98. Nous avons l’assurance que tous ceux qui avaient des valeurs morales chrétiennes n’auront plus aucun poste clé dans le gouvernement dans les domaines exécutif, judiciaire et militaire.

Donc à ce moment-là, l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial ne trouvera plus aucun obstacle. Au même moment, les agences de police essaient par nécessité de filtrer les individus qui croient aux anciennes valeurs traditionnelles et de ne pas les engager.

C’est pourquoi on a changé les valeurs du système d’éducation. Afin que les jeunes qui entrent dans la vie active soient imbus de principes humanistes et aient rejeté toutes les valeurs et superstitions chrétiennes. Ceci doit être fait parce que nous savons que les religieux ne feront pas les choses qui leur seront demandées sous le nouveau système. Pour ceux qui restent attachés au fondamentalisme religieux de l’ancien monde, ils sont tranquillement mis de côté sous toute forme de prétexte de la part des nouveaux dirigeants.

Certains des officiers de l’ancien temps se plaignent et font valoir que ce type de discrimination est anticonstitutionnel et immoral. Mais nous savons qu’ils ont tort. Sous l’éthique de situation, toutes les choses sont morales du moment qu’elles avancent vers Le but. Ainsi ces officiers ne sont pas retirés pour une cause diabolique mais parce qu’ils sont jugés non fonctionnels pour accomplir les tâches qui seront exigées d’eux.

L’ancien monde avait compris que c’était le plus grand des péchés que de mentir à leur Dieu. Les générations de dévots qui vont rentrer dans le Nouvel Ordre Mondial doivent comprendre que le plus grave des péchés est de mentir à leur nouveau Dieu, le Gouvernement. L’individu n’existe pas ! Seul compte l’intérêt du Gouvernement Mondial.

Toute déloyauté de la sorte viendrait à l’encontre de la marche vers le progrès engagé par ceux qui mènent la gloire du Nouvel Ordre Mondial. Nous ne sommes pas préoccupés avec quelques résistances au Nouvel Ordre, car par nécessité pratique leur destin a déjà été simplement établi dans le Plan.

Nous avons parlé de ce Plan en développant le Micro Chip et le programme des camps de concentration mis sur pied en Amérique du Nord avec une technologie extrêmement avancée.

Ce qui nous préoccupe le plus en ce moment est que les masses obéissantes comprennent qu’il est néfaste pour le progrès de suggérer que leurs superviseurs — les membres des gouvernements, des Nations Unis — se complaisent sous la pression et la futilité de ces superstitions d’ordre et morale désuète.

Il y aura des changements difficiles pour ceux qui auront à faire face et entrent dans cette nouvelle société. Sur ce sujet nous pouvons assurer aux peuples qu’il n’y aura aucun compromis.

Merci de m’avoir écouté. Que la bénédiction du Nouvel Ordre vienne rapidement sur vous. »

Cette entité que l’on appelle l’Ordre Mondial, la Force, le Grand Architecte, etc. s’appelle l’Antéchrist !

Conclusion : Il est évident que les architectes de l’Ordre Mondial entendent nous imposer un Gouvernement Mondial par la force pour l’été 1999.

L’article 1 des Illuminati dit ceci : « Notre mot d’ordre est : forcez et faire semblant. Seule la force triomphe en matière politique, spécialement si elle est cachée dans les talents des hommes d’État. La violence doit être le principe ; la ruse et le faire semblant, la règle pour les gouvernements ».

En d’autres termes, on revient aux mêmes lignes de conduite utilisées en 1917 pour instaurer le communisme.

À propos de l’avenir de la Russie et de Jirinovski dont l’ascension politique est fulgurante, on a pu remarquer qu’au cours de ses déplacements en Europe fin 1993, il portait des roses et des fleurs rouges à la main gauche. C’est un symbole de reconnaissance internationale connu que de certains initiés. Fidel Castro en portait, le président Mitterrand également. Les grands hommes politiques identifiés aux groupes internationalistes se sont servis de ce symbole de reconnaissance une fois qu’ils ont été portés au pouvoir.

Ici on peut donc entrevoir l’avenir qui attend la Russie.

Cette force nationale soumis à l’ONU se constitue au même moment où apparaissent les conséquences d’une crise économique sans précédent. Les problèmes sociaux vont augmenter. Les coupes budgétaires vont étrangler les peuples. Les gouvernements vont se voir dans l’incapacité d’apporter la moindre solution parce que celles-ci sont rejetées par le FMI.

Les sociétés vont se retrouver dans un état de crise politique, sociale, et les avoirs des peuples vont disparaître dans une crise financière terrible qui commencera au Japon — peut-être par un tremblement de terre aux conséquences incalculables.

Dans un tel contexte, il est prévu que les peuples se tournent vers les Nations-Unis. Cet appel serait le prétexte pour établir le Gouvernement Mondial ! C’est précisément à ce moment propice où les peuples seront mis à genoux malgré eux que tout le mécanisme de la haute technologie et du microchip biologique d’identification internationale serait imposé.

Avant, tout doit être prêt de manière à ce que les gens l’acceptent pour la sécurité, la stabilité et pour la paix : d’où le chaos qui prend forme…

Mais l’homme exerce sa liberté dans la liberté de Dieu ! Aussi, cher lecteur, ayez l’assurance que ce système APPAREMMENT parfait ne se réalisera pas aux dates prévues. L’étude relative aux prophéties y répondra…

Nous vivons déjà visiblement les manipulations du Pouvoir Occulte. Elles aboutiront aux guerres civiles, à la Troisième Guerre mondiale selon le plan que je vous ai exposé. Mais Dieu interviendra souverainement et les hérauts de l’Ordre Mondial seront châtiés, même s’ils se sont réfugiés en Australie, persuadés d’être à l’abri du conflit qu’ils ont allumé depuis 1991 au Golfe Persique.

La Micro-Puce et la « Marque de la Bête »

Par le Dr Carl W. Sanders

Voici la traduction d’extraits d’un article publié dans le numéro de juin-juillet 1994 de la revue NEXUS (P.O. Box, Mapleton, Queensland, 4560, Australie). C’est le témoignage du Dr Carl W. Sanders, qui était chargé de concevoir la micropuce électronique. Le Dr Sanders est un ingénieur électronicien, inventeur et expert, conseiller auprès de nombreuses organisations gouvernementales et de compagnie telles que IBM, General Electric, Honeywell et Teledyn.

J’ai consacré trente-deux années de ma vie dans la conception électronique, concevant des micropuces dans le domaine biomédical. En 1968, je devins impliqué, presque par accident, dans un projet de recherche et de développement concernant un pontage spinal pour une dame ayant l’épine dorsale rompue. Nous recherchions comment pouvoir relier les nerfs moteurs, etc.

C’était un projet qui nous emballait tous. Il y avait cent personnes d’impliquées, et j’étais le principal ingénieur en charge du projet. Le projet aboutit à la micropuce dont nous parlons maintenant — une micropuce que je crois être la « Marque de la Bête ».

Cette micropuce est rechargée par les changements de température du corps humain. Évidemment, vous ne pouvez pas aller à l’intérieur de votre corps et changer vos piles de temps en temps ; alors la micropuce a un circuit de rechargement qui fonctionne selon les changements de température du corps. Plus d’un million et demi de dollars furent dépensés pour trouver les deux endroits sur le corps humain où la température change le plus rapidement : le front (premier choix), tout juste en bas de la naissance des cheveux, et le revers de la main (position de rechange) (1).

Travaillant sur cette micropuce, nous n’avions aucune idée qu’elle deviendrait un moyen d’identifier les gens. Nous considérions ce projet comme étant une chose très humanitaire. Notre équipe était composée de gens provenant de l’Université de San Jose, des compagnies Motorola, General Electric, du Centre Médical de Boston ; en fait, c’était tout un groupe de compétences…

Comme le projet de micropuce commençait à évoluer vint un temps où on nous dit que les pontages à la colonne vertébrale étaient une chose qui ne rapportait pas assez financièrement pour qu’on s’en occupe, et qu’on devait donc considérer d’autres utilisations pour cette puce. Nous avions remarqué que la fréquence de la micropuce avait un grand effet sur le comportement humain, et on orienta alors nos recherches sur la possibilité de modifier le comportement humain avec la micropuce. Le projet se transforma presque en acupuncture électronique, parce qu’il résulta à installer une micropuce qui émettait un signal qui affectait certaines parties du cerveau. On démontra qu’on pouvait provoquer des changements de comportement avec cette micropuce.

Un de ces projets sur le comportement fut appelé le « Projet Phoenix », concernant les vétérans de la guerre du Vietnam. Nous avions une micropuce que nous appelions la « micropuce Rambo ». Cette micropuce pouvait causer un flux supplémentaire d’adrénaline…

Il y a 250.000 pièces dans la micropuce, y compris une petite pile au lithium. Je me suis battu contre l’usage du lithium en tant que source d’énergie pour ces piles dans le corps humain, mais la NASA se servait beaucoup de lithium en ce temps-là ; c’était la chose en vogue. J’ai demandé à un docteur du Centre Médical quel effet cette concentration de lithium dans le corps humain pouvait avoir si la micropuce se brisait. Il me répondit que cela produirait une grave plaie, douloureuse et remplie de pus.

J’étais présent à une réunion où la question suivante fut posée : « Comment pouvez-vous contrôler un peuple si vous ne pouvez pas les identifier ? » Des gens comme Henry Kissinger et des personnes dela CIA assistaient à ces réunions.

Comme nous développions la micropuce, et que la question principale était de se servir de cette micropuce comme « carte d’identité », ou moyen d’établir l’identité des gens, plusieurs choses nous furent demandées. On voulait que soit compris sur la micropuce le nom et le visage de la personne, son numéro de sécurité sociale (incluant les codes internationaux), ses empreintes digitales, sa description physique, la généalogie de sa famille, son adresse, son occupation, des informations concernant ses rapports d’impôt, et son dossier criminel (2)

Cet article est la 6e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

J’ai assisté à dix-sept réunions à travers le monde, à Bruxelles, au Luxembourg, etc., où ces sujets furent discutés, dans l’esprit d’un gouvernement mondial, et d’une monnaie mondiale. Il existe présentement des projets de loi devant le Congrès américain qui permettront d’injecter la micropuce à votre enfant dès sa naissance, pour des fins d’identification.

Le Président des États-Unis, selon l’article 100 de la loi sur le contrôle de l’émigration de 1986, a le pouvoir de décider toute forme d’identification qu’il juge nécessaire — que ce soit une marque invisible tatouée, ou une micropuce insérée sous la peau. Alors je pense que vous devez regarder les faits en face, les amis : cette micropuce ou la « Marque de la Bête » n’est pas quelque chose qui vient d’apparaître tout d’un coup. Ça fait des années que c’est en préparation !

1) Apocalypse, XIII, 15-17 :

« La Bête qu’à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, on mit une marque sur la main droite ou sur le front, et que nul ne put acheter ou vendre, s’il n’avait pas la marque du nom de la Bête ou le nombre de son nom [666]. »

2) Nous ne sommes donc pas très loin du carnet de santé à puce.

L’HEURE APPROCHE…
Des gesticulations qui annoncent l’imminence d’un conflit mondial !

par Jacques Delacroix (Éditions Delacroix)

« Si le veilleur voit venir l’épée contre le pays, il sonne de la trompette avertit le peuple. »

Ézéchiel 33:3, 6

L’exécution d’un plan

L’étude des menées souterraines des sociétés secrètes à travers l’Histoire montre que notre société est dirigée par une petite clique d’individus au service de Satan.

Ces derniers travaillent à la damnation des âmes (1) et arrivent au terme de leur complot puisqu’ils sont parvenus, suite à l’infiltration des structures ecclésiales, « jusqu’au plus haut sommet » de l’Église — La Salette — (cf. « L’Église Éclipsée ! »)

Leur mainmise sur le monde peut être prouvée. Citons le commentaire que fit l’officier W. Carr, après qu’il eut copié un document de la British Museum Library à Londres : la lettre écrite en 1871 par l’Illuminati (2) Albert Pike, fondateur du rite palladique luciférien, Mazzini (chef révolutionnaire de la Haute-Vente, branche armée de la Maçonnerie).

«… La Première Guerre mondiale devait être livrée afin de permettre aux Illuminés de renverser le pouvoir des Tsars en Russie et de faire de ce pays une forteresse du Communisme athée. Les divergences suscitées par “l’agentur” (médias des Illuminés) entre les Empires britannique et allemand devaient servir à fomenter cette guerre. À la fin, le Communisme devait être édifié et utilisé pour détruire les autres gouvernements et pour affaiblir les religions.

La Seconde Guerre mondiale devait être fomentée en profitant des divergences entre les Fascistes et les Sionistes politiques. Cette guerre devait être livrée de telle sorte que le Nazisme soit détruit et que le Sionisme politique soit assez fort pour instaurer l’État souverain d’Israël en Palestine. Pendant la Seconde Guerre mondiale, l’Internationale Communiste devait devenir assez forte pour équilibrer la Chrétienté. Elle serait alors contenue et tenue en échec jusqu’au moment où l’on aurait recours à elle pour le cataclysme social final (3).

La Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en profitant des divergences suscitées par “L’agentur” des “Illuminés” entre les Sionistes politiques et les dirigeants du Monde Islamique. Elle doit être menée de telle manière que l’islam (le Monde arabe musulman) et le Sionisme politique se détruisent mutuellement (4). Tandis que les autres nations, une fois de plus divisées sur cette affaire seront contraintes à se combattre jusqu’à complet épuisement physique, moral, spirituel et économique. »

Le 15 août 1871, Albert Pike dit à Mazzini qu’à la fin de la Troisième Guerre mondiale ceux qui aspirent à dominer le monde sans conteste provoqueront le plus grand cataclysme social que le monde ait jamais connu. Nous citons ses propres termes (empruntés à sa lettre de la British Museum Library à Londres) :

« Nous allons lâcher les Nihilistes et les Athées et provoquer un formidable cataclysme social qui, dans toute son horreur montrera clairement aux nations les effets d’un athéisme absolu, origine de la sauvagerie et du plus sanglant chambardement. Alors, tous les citoyens, obligés de se défendre contre la minorité révolutionnaire mondiale, extermineront les démolisseurs de la civilisation et les masses déçues par le Christianisme, dont l’esprit déiste, laissé à partir de ce moment sans boussole à la recherche d’une idéologie, sans savoir vers qui tourner son adoration, recevra la vraie lumière grâce à la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer (au Sinaï n. d. r.) (5), enfin révélée aux yeux de tous, manifestation qui suivra la destruction du christianisme et de l’athéisme, simultanément soumis et détruits. »

À la lecture de ces lignes, un constat s’impose : reste l’exécution de la phase finale du plan ; à savoir une guerre mondiale et une révolution universelle dont les prémices sont visibles ! En effet l’examen du comportement des « maîtres du monde », architectes des conflits majeurs de ce siècle, confirme l’imminence d’un conflit universel.

Partie III
Troisième conflagration mondiale en vue !
Les élites financières quittent le territoire américain

Voici sous forme de communiqué l’avertissement adressé par Marcel Renoulet, directeur de l’Homme Libre :

« La rédaction de L’Homme Libre a reçu dernièrement d’un ami correspondant possédant une grande connaissance des puissances d’argent et des oligarchies financières maîtresses de la planète, l’avertissement suivant : “J’ignore si la guerre va éclater. Un fait m’inquiète beaucoup. C’est que Rockefeller et une dizaine des plus grands milliardaires américains ont acheté un territoire aussi grand que la Belgique en plein centre du désert d’Australie et s’y font construire des palaces de survie en majeure partie enterrés. Le territoire est cerné de barbelés et surveillé par une armée privée. Très mauvais ; très mauvais signe… ces Messieurs connaissent l’avenir… vu que ce sont eux qui le décident” »

(10.11.1994).

« Ces Messieurs connaissent l’avenir… vu que ce sont eux qui le décident »

Qui sont ces gens ? Les mêmes qui ont mis en œuvre la guerre de 1914/18 après avoir créé la Réserve Fédérale (banque centrale américaine de droit PRIVE) ; les mêmes qui ont permis la guerre de 1939/45 en finançant Hitler et son parti, le NSDAP.

Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, cette petite clique d’individus (6) a dessiné les contours de la future géopolitique européenne dans la perspective du « plan Pike » programmant les trois guerres mondiales.

C’est ainsi que la guerre de Yougoslavie sera la conséquence directe du découpage chirurgical d’après-guerre. Pourquoi avoir en effet donné la totalité de l’armée fédérale aux communistes serbes ?

Qu’y a-t-il entre la Russie et la France ? La Roumanie et… précisément la Yougoslavie !

Ces manipulations touchent également la géopolitique russe. Gorbatchev n’a-t-il pas permis la création d’un gouvernement secret russe en Occident à la tête d’une fortune de plus de huit cents milliards de dollars! Demandez des explications à monsieur Elstine (7) ; sa chute est sans appel à cause du terrain volontairement miné par son prédécesseur dont les rentes sont payées par les mêmes milliardaires — via différentes fondations — évoqués plus haut.

Jusqu’ici les « maîtres du monde » avaient choisi le territoire américain pour s’y protéger et y accumuler des fortunes. En effet, en 1914, en 1939, ces milliardaires se sont repliés aux États-Unis. Ils se savaient y être en sécurité ! Architectes des deux Guerres mondiales ils connaissaient les espaces géographiques qui seraient concernés par celles-ci.

Aujourd’hui, ils quittent les États-Unis… et l’opération qui les voit « déménager » a été appelée « Operation Arche de Noe » (8). Ce départ ne signifie-t-il pas que le monde entier va être touché, y compris les États-Unis ?

Le fait de se protéger dans le désert australien confirme donc, non seulement l’existence d’un Plan, mais encore l’achèvement de ce plan pour nos temps !

L’Opération Arche de Noé (9)

Suite à l’information diffusée par « L’Homme Libre », M. Jacques Monnot a adressé les lignes suivantes :

« II n’est pas étonnant que des milliardaires américains se fassent bâtir des abris au centre de l’Australie. » En 1978, Stan Deyo écrivait : « The Cosmic Conspiracy », publié en français en 1988 sous le titre « La conspiration cosmique », par Louise Courteau, Montréal, Québec. L’auteur explique que les États-Unis financent des bases ultra-secrètes, dont l’une des trois plus importantes serait en Australie, « Pine Gap », près du mont Liebig, à 23° 48’S et 133°43’E. Les principaux entrepreneurs auraient été Collins radio et Ling Pemco-Vought (Texas), Mac Mahon Constructeur et IBM. Stan Deyo s’interroge :

« Se pourrait-il que Pine Gap soit aussi ce qu’il est convenu d’appeler un abri destiné à recevoir le personnel clé des États-Unis en cas de catastrophe météorologique naturelle ou d’attaque nucléaire à l’échelle mondiale, dont le nom de code serait “Noah’s Ark” (Arche de Noé) ? » (p. 44).

U.S. Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), 1400 Wilson Boulevard, Arlington, Virginie 22209, Architect Building, serait le responsable de Pine Gap, créée en 1966. La base est installée sur un puits d’eau foré jusqu’à au moins 8535 m. et, au fond du puits, reposeraient des super systèmes informatiques IBM, sur une plateforme. Ce puits pourrait servir d’antenne souterraine pour la diffusion d’électricité à très basse fréquence (TBF).

« Il est probable que l’antenne du puits serve à synthoniser un énorme champ d’ondes stationnaires autour de la planète ! Un système de ce genre pourrait être synthonisé sur des fréquences allant de 9.000 à 14.336 cycles par seconde, soit suffisamment pour produire un champ de résonance électrique à une altitude de 400 km ». (P. 43).

Ces ondes à Très Basse Fréquence (Extremely ou Extra Low Frequence, 1 à 100 Hertz, ou Very Low Frequency, 10 à 30 kilohertz) ont un autre émetteur-récepteur près de la baie d’Exmouth, au nord du Cap Nord-Ouest (West Cape, 22°23’S,114°07E).

Le ministère des Transports enregistre Pine Gap comme R 233 sur les cartes de navigation. R233 est un espace aérien limité, réservé à la recherche spatiale. Il constitue un cercle de 5 milles marins, dont le centre est Pine Gap. Les États-Unis y mènent des recherches sur la propulsion électromagnétique, qui est celle des « soucoupes volantes » (10). La base possède des accélérateurs à plasma à haute tension et à haute énergie, utilisés probablement pour de nouvelles méthodes de production d’énergie, et un canon à plasma.

Dans un livre intitulé « Les gens les plus heureux de la terre », Demos Shakarian raconte comment, au début du siècle, quelques familles arméniennes pentecôtistes du village de Kara Kala, au pied du mont Ararat, quittèrent leur pays pour la côte ouest des États-Unis, à la suite d’une révélation privée faite à un « enfant prophète » de onze ans, d’origine russe, en 1853. Ces Arméniens échappèrent ainsi au génocide perpétré par les Turcs de 1915 à 1922 ! Le nom de l’enfant était Efim Gerasimovitch Klubniken. Dans le même ouvrage, Demos Shakarian raconte comment, au cours d’une réunion des « Hommes d’affaires du plein Évangile », quelqu’un avait annoncé qu’une grande persécution contre les chrétiens allait avoir bientôt lieu dans de nombreuses parties du monde, y compris les États-Unis d’Amérique (p. 17, diffusion Librairie chrétienne, 48, rue de Lille, Paris 7).

Ceci correspond aux prophéties de La Fraudais, de Marie-Julie Jahenny (11).

Se pourrait-il que ces milliardaires américains préparent à la fois une guerre civile antichrétienne et leurs refuges en Australie (12) ? (L’Homme Libre 10.11.1994)

Monsieur Monnot écrit :

« Ces milliardaires américains préparent à la fois une guerre civile antichrétienne et leurs refuges en Australie ».

Mais quel était donc le plan dévoilé par le grand prêtreluciférien Albert Pike en 1871, sinon une guerre civile antichrétienne ?

Partie IV
La collusion entre la Haute Finance et les cercles satanistes

Australie… que s’y passait-il au dernier trimestre 1993 ?

Un projet d’offensive satanique, préparé depuis longtemps, fut dévoilé à des religieuses australiennes qui s’occupent d’anciens satanistes.

Ces personnes qui ont décidé de fuir l’église de Satan ont révélé que « l’élite de Satan se réunit en ce moment en Australie ».

Il y eut en effet un « Grand rassemblement des Esprits » du 21 octobre au 9 novembre 1993 à Wollongong sur la côte orientale d’Australie, près de Sidney. Les témoignages d’ex-satanistes ont révélé que l’élite des chefs de culte satanique du monde entier était déjà sur place. Leur nombre se comptait par centaines et ils ont tout fait pour mobiliser leurs adeptes à aider aux préparatifs et à prendre part eux-mêmes à cette rencontre.

Cette rencontre projetée depuis plusieurs années s’est tenue dans les montagnes au-dessus de la ville, dans la brousse épaisse. Là, de nombreux rituels ont été pratiqués. La préparation de leur rencontre comprenait aussi bien la « programmation » de leurs adeptes que des sévices sadiques, sexuels et corporels. Ils invoquent des esprits démoniaques et les esprits de morts pour recevoir d’eux la puissance ; ils n’hésitent même pas à faire des sacrifices humains pour amplifier par là leur pouvoir. Le but de ce rassemblement à Wollongong était de faire participer tous les adeptes à « l’anéantissement de l’ange de la mort ». Qui est ce personnage ? À leurs yeux il s’agit d’’une personnalité chrétienne que Dieu a appelé pour les combattre ».

Cette réunion d’une importance mondiale et décisive pour ses architectes a pu se réaliser grâce à un noyautage d’adeptes installés dans la ville de Wollongong depuis une centaine d’années.

Des groupes de religieux offrent une assistance constante à toute personne désirant sortir de ces cercles sataniques. Grâce aux transfuges on a pu connaître ces informations. Parmi les personnes protégées une femme révéla dans une interview que « dès la naissance elle avait été préparée à devenir reine des sorcières et qu’elle aurait dû maintenant être intronisée par un rituel de sang ». Elle a demandé la protection de la police pour son mari et ses enfants, car les satanistes voulaient récupérer toute la famille et ils ne lui laissaient qu’un choix : « Reviens ou meurs ! »

Pourquoi les architectes de la Secte sataniste ont-ils choisi la ville de Wollongong ? La réponse fut donnée par un « transfuge » à la Directrice de la Communauté Évangélique des Sœurs de Marie :

« parce qu’ici siègent de fortes armées des ténèbres ! »

Où se trouve la ville de Wollongong ? Pas bien loin d’une grande zone désertique… Dans la perspective de la guerre antichrétienne enclenchée, la collusion entre la Haute Finance maçonnique luciférienne et les cercles sataniques est établie. (Informations données par un lecteur australien)

Pourquoi ce choix de l’Australie par les maîtres du monde ?

Outre des considérations géopolitiques naturelles, motivées par un conflit nucléaire, l’une des raisons qui justifieraient ce « refuge » des « maîtres du monde » en Australie pourrait avoir un rapport avec l’approche d’une comète gigantesque (13).

Comme par hasard, la Nasa s’intéresse de plus en plus au moyen de détourner la trajectoire d’éventuelles comètes. Le sous-sol du désert australien constitue-t-il un lieu de refuge privilégié ?

Et pourtant ?

Voici un communiqué de presse diffusé au début du mois de juillet 1994 dans le journal Ouest France :

« La chute d’une météorite a provoqué un tremblement de terre près de Broken Hill, dans l’ouest des Nouvelles Galles du Sud, en Australie. Il était 20h45, heure locale, quand plusieurs centaines d’habitants ont aperçu une énorme traînée de lumière laiteuse glissant vers la terre et senti leur maison trembler. »

Le bouclage de la région

Pour résider sur son territoire, le gouvernement de Nouvelle-Zélande exige une caution de deux millions et demi de francs ainsi que l’obligation de trouver un emploi dans les six mois.

La Nouvelle-Zélande est formée de deux grandes îles montagneuses, à deux mille kilomètres au sud-est de l’Australie !




La Loi de Programmation Militaire permet maintenant de réquisitionner les biens des Français… et leur personne !

NOUS N’AVONS RIEN À GAGNER À GUERROYER CONTRE LA RUSSIE

[Source : serenite-patrimoniale.com]

Bref rappel destiné à ceux qui ont quitté les bancs de l’école depuis longtemps : pour les Romains, Jupiter est le dieu qui gouverne le ciel, la terre et tous les êtres vivants. Il est l’équivalent du dieu Zeus, de la mythologie grecque.

Pour nous français, « Jupiter » est le mari de Brigitte et accessoirement, le locataire (provisoire) du palais de l’Élysée. Il ne rêve que des pouvoirs de son lointain homologue : « gouverner le ciel, la terre et les hommes ». Mais ce n’est pas tout. Il se voit aussi en Mars, c’est-à-dire, le dieu de la guerre.

Il est difficile d’affirmer qu’une franche camaraderie règne entre Vladimir POUTINE et « Manu premier ». Cette photo de la rencontre des deux dirigeants, le 7 février 2022 à Moscou, est pour le moins, parlante.

Côté contentieux, « l’ami Vlad » reproche à « l’ami Manu », que ce dernier ait fait filmer et rendu public, une conversation particulièrement confidentielle entre les deux chefs d’État. Elle traitait de l’Ukraine et a eu lieu, quatre jours avant le déclenchement de l’opération militaire spéciale (OMS) dans ce pays.

Depuis, la France, en zélée serviteur de l’hégémon américain, livre : officiellement des armes et secrètement des renseignements et des hommes au pouvoir Otano-kiévien, comme je vous en informe régulièrement. Nous sommes donc, factuellement, belligérants, dans la guerre qui a lieu en Ukraine.

Cette hypocrisie macronienne permet de contourner (pour combien de temps ?) l’article 35 de notre constitution, relatif à la déclaration de guerre.

Il est difficile de croire que Monsieur MACRON ne soit pas conscient de ses actes et de leurs conséquences. En effet, en application des dispositions de l’article 15 de notre constitution :

« Le Président de la République est le chef des armées. Il préside les conseils et comités supérieurs de la Défense nationale. ».

Notre commandant en chef a pris des dispositions, particulièrement intéressantes à ses yeux. Comme je vous en ai informé le 13 juillet 2023, il a procédé à un coup de force législatif. En effet, il a profité du vote de la loi de programmation militaire (LPM) pour les années 2024-2030… pour ajouter quelques dispositions liberticides autant que guerrières.

Comme je l’ai développé en son temps, la loi n° 2023-7803 du 1er août 2023 relative à la programmation militaire pour les années 2024 à 2030 et portant diverses dispositions intéressant la défense modifie le code de la défense.

En lecteur attentif, vous avez remarqué que l’objet de ce texte mentionne : « et portant diverses dispositions intéressant la défense ». Ce n’est pas le rôle d’une loi de programmation, comme en dispose l’article 34 de notre constitution : « Des lois de programme déterminent les objectifs de l’action économique et sociale de l’État. » !!!

Pour ce qui est des objectifs, « l’ami Manu » n’y va pas avec le dos de la cuiller, en matière de mesures liberticides. L’article 47 de la LPM modifie pas moins de dix-huit articles du code de la défense. Re !!! Pour résumer, ces modifications permettent au gouvernement :

  • « En cas de menace, actuelle ou prévisible, pesant sur les activités essentielles à la vie de la Nation, à la protection de la population, à l’intégrité du territoire ou à la permanence des institutions de la République ou de nature à justifier la mise en œuvre des engagements internationaux de l’État en matière de défense, la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens et les services nécessaires pour y parer peut être décidée par décret en Conseil des ministres.
  • En cas d’urgence, si la sauvegarde des intérêts de la défense nationale le justifie, le Premier ministre peut ordonner, par décret, la réquisition de toute personne, physique ou morale, de tout bien ou de tout service. Il peut également habiliter l’autorité administrative ou militaire qu’il désigne à procéder aux réquisitions ».

Vous avez bien lu, une simple décision du gouvernement « en cas de menace, actuelle ou prévisible », peut lui permettre de réquisitionner tout ou partie de nos biens… ainsi que notre personne !!!

Poire sur le gâteau (je vous rappelle que je préfère la poire à la cerise ☺), dans le cas de réquisition, les dispositions de l’article L 160-6 du code des assurances s’appliquent :

  • « La réquisition de la propriété de tout ou partie d’un bien mobilier entraîne de plein droit, dans la limite de la réquisition, la résiliation ou la réduction des contrats d’assurance relatifs à ce bien, à compter de la date de dépossession de celui-ci.
  • La réquisition de l’usage de tout ou partie d’un bien mobilier ou immobilier entraîne, de plein droit, la suspension des effets des contrats d’assurance relatifs à ce bien, dans la limite de la réquisition ».

Voilà une autre menace sur vos contrats d’assurance vie, dans le cas où vous n’auriez pas déjà suivi mes conseils de « sortir » de ce type de produit. Les plus optimistes, ainsi que les moins complotistes, me diront que cela n’arrivera pas. C’est vous qui voyez !

Dans mon billet du 24 janvier dernier, je vous relatais que notre ministre des affaires étrangères avait déclaré que :

« La France n’a pas de mercenaires, ni en Ukraine ni ailleurs, contrairement à d’autres ».

Se pourrait-il qu’il mente, où qu’il soit mal informé ? La presse russe vient de publier des photos d’un mercenaire français victime du bombardement à Kharkov le 17 janvier dernier… ainsi que les noms de douze autres de ses camarades !!! Nous sommes en guerre, nous sommes en guerre !!!

La Douma russe va prochainement s’adresse au Parlement français, à propos de la présence de mercenaires français en Ukraine. Il sera intéressant de noter les réactions de nos représentants, toutes tendances confondues. Affaire à suivre.

« Les guerres commencent lorsque les politiciens mentent aux journalistes
et croient ce qu’ils lisent dans les journaux 
»

(Karl Kraus)




Lorsque Winston Churchill citait le fondateur de l’Ordre des Illuminati et nous mettait en garde contre les dangers du communisme en 1920

[Source : guyboulianne.info]

Par Guy Boulianne

Très loin de la sphère complotiste, Winston S. Churchill parlait implicitement de l’Ordre des Illuminati dans un article très peu ordinaire, publié le 8 février 1920 par l’hebdomadaire britannique Illustrated Sunday Herald, intitulé « Zionism versus Bolshevism: A Struggle for the Soul of the Jewish People » (Le sionisme contre le bolchevisme : Une lutte pour l’âme du peuple juif). Alors qu’il était secrétaire d’État à la Guerre et à l’Air, Churchill commençait son article de cette façon :

« Certaines personnes aiment les Juifs et d’autres non ; mais aucun homme réfléchi ne peut douter du fait qu’ils sont sans aucun doute la race la plus redoutable et la plus remarquable qui ait jamais paru au monde. »

Il poursuit plus loin en citant Johann Adam (Spartacus) Weishaupt, c’est-à-dire le fondateur de l’Ordre des Illuminati au XVIIIe siècle, ainsi que les conspirateurs les plus connus Marx, Trotsky, Bela Kun, Rosa Luxemburg et Emma Goldman comme faisant partie de la conspiration visant à abattre la civilisation : 

« Depuis l’époque de Spartacus-Weishaupt jusqu’à celle de Karl Marx, en passant par Trotsky (Russie), Bela Kun (Hongrie), Rosa Luxembourg (Allemagne) et Emma Goldman (États-Unis), cette conspiration mondiale pour le renversement de la civilisation et pour la reconstitution de la société sur la base d’un développement arrêté, d’une malveillance envieuse et d’une égalité impossible, n’a cessé de croître. Elle a joué, comme l’a si bien montré une écrivaine moderne, Mme Webster, un rôle nettement reconnaissable dans la tragédie de la Révolution française. Elle a été le moteur de tous les mouvements subversifs au cours du XIXe siècle ; Et maintenant, cette bande de personnalités extraordinaires venues de la pègre des grandes villes d’Europe et d’Amérique a enfin saisi le peuple russe par les cheveux et est devenue pratiquement le maître incontesté de cet immense empire. »

Une illustration du légendaire Will Eisner,
tirée de son roman historique graphique
« The Plot: The Secret Story of the Protocols of the Elders of Zion » (2005),
incluant l’article « Le sionisme contre le bolchevisme ».

Dans son article, Churchill décrit trois types de Juifs. Les « Juifs nationaux » sont dévoués à leur pays et les « Sionistes » soutiennent un foyer national, voire un pays, pour les Juifs en Palestine. Selon Churchill, ces deux catégories constituent la grande majorité des Juifs. Le troisième type — une petite minorité — est décrit de manière interchangeable par Churchill comme étant des Juifs « internationaux », « terroristes » et « bolcheviques » : 

« Il n’est pas nécessaire d’exagérer le rôle joué dans la création du bolchevisme et dans la réalisation réelle de la révolution russe par ces Juifs internationaux et pour la plupart athées. C’est certainement un très grand projet ; il l’emporte probablement sur tous les autres. »

Qu’est-ce qui a poussé Churchill à écrire « Sionisme contre bolchevisme » en février 1920 ? Il était à l’époque ministre de la Guerre et de l’Air. Son prédécesseur avait envoyé des troupes britanniques en Russie pour empêcher les Allemands d’approvisionner les Alliés après que la Russie eut demandé la paix. La profonde aversion de Churchill pour le bolchevisme russe était bien connue. S’exprimant à Sunderland en janvier 1920, il expliqua pourquoi la Grande-Bretagne aidait les armées russes blanches de Deniken et de Koltchak. Le ton de son discours, « The Agony of Russia » (L’agonie de la Russie), peut être illustré par cet extrait :

« Il existe une autre classe avec laquelle, à mon avis, il ne sert à rien d’essayer de se concilier. Je veux dire ces bolchevistes, fanatiques qui sont les ennemis avoués de la civilisation actuelle du monde et qui, s’ils obtenaient ce qu’ils voulaient, détruiraient les parlements démocratiques dont dépendent les libertés des peuples libres… »

Plus tard dans son discours, Churchill a développé ce point et a inclus une phrase qui mènerait à l’article « Le sionisme contre le bolchevisme ». « Les bolcheviks », a-t-il déclaré, « cherchent à détruire le capital. Nous cherchons à contrôler les monopoles… Nous défendons la liberté de conscience et l’égalité religieuse. Ils cherchent à exterminer toute forme de croyance religieuse… Ils croient au soviet international des Juifs russes et polonais. Nous continuons de faire confiance à l’Empire britannique. »

Dans une lettre adressée au Secrétaire d’État à l’Éducation, Herbert Fisher, il écrit le 21 janvier 1920 : 

« Je n’ai pas parlé sans réfléchir et étudier très attentivement le mouvement bolchevique… Je ne trouve pas d’échappatoire à la conclusion claire et évidente selon laquelle les Juifs jouent sans aucun doute un rôle prédominant dans le mouvement bolchevique et que la majorité des dirigeants sont juifs. »

À mon humble avis, Winston S. Churchill — sans les nommer — nous parle ici de ceux qui descendent des Khazars, c’est-à-dire les gens formant la secte turque des Sabbatéens (ou Dönme) ainsi que de celle des Frankistes, dont Eve Franck fut la première et la seule femme à avoir été déclarée messie juive au XVIIIe siècle. Les Sabbatéens étaient adeptes de la Kabbale et du Zohar, lesquels affirment l’existence d’une loi, ou d’une interprétation de la loi, cachée et secrète. Les communautés d’Europe centrale et orientale deviendront les Frankistes, mouvement fondé par Jacob Frank. Ceux-ci ont feint d’intégrer le catholicisme par une fausse conversion afin de poursuivre leurs visées messianiques. Les Frankistes finirent par s’intégrer de cette manière dans la noblesse polonaise catholique, dont ils forment la branche « d’ascendance juive ». On peut trouver des traces de descendants de Frankistes jusqu’à nos jours. Les pratiques et croyances frankistes sont les plus extrêmes de toutes, et l’historien et philosophe juif Gershom Scholem a montré qu’ils enseignaient en secret l’inversion totale de toutes les valeurs morales (mensonge, vol, meurtre, inceste…). C’est le concept de la Rédemption par le péché.

[Voir la suite, dont vidéo, sur https://www.guyboulianne.info]




Comment l’Europe est devenue une colonie américaine

[Source : MrThodinor via fr.sott.net]

Dans son ouvrage « Les origines du plan Marshall » Annie Lacroix-Riz démonte les rouages du plan qui fera de l’Europe une colonie américaine. La Charte de l’Atlantique, les accords Blum-Byrnes, le système de Bretton Woods forment le prologue du Plan Marshall.

Ils ont été extorqués par les États-Unis à une Europe en guerre. Ces accords léonins enchaîneront l’Europe à l’atlantisme jusqu’à aujourd’hui. Ils sont l’aboutissement d’un plan américain de conquête du monde élaboré à la fin du dix-neuvième siècle.

Bonus :




Le jambon de Matignon : message aux agriculteurs

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]

Pour nous coordonner et soutenir les points de blocage SI ET SEULEMENT SI les agriculteurs le souhaitent après avoir pris contact, veuillez écrire sur : logistique@comitedesalutdupeuple.fr




L’opposition contrôlée ??

[Source : Ciel Voilé]






« Les raisins de la colère »

Paysans levez-vous, vous êtes nos racines et notre dignité !

Trop c’est trop, les agriculteurs de toute l’Europe disent « stop » !

Je sais bien qu’ils vont nous « emmerder1 » pour aller au travail. Je sais bien, disons que j’espère, qu’ils vont bientôt nous priver d’essence et vider les rayons des supermarchés. Mais ce n’est pas de notre colère dont ils ont besoin, mais de notre soutien.

Oui nos fins de mois, et pour certains nos débuts, sont difficiles, mais que dire de ces forçats qui travaillent plus de 90 heures par semaine pour aucun salaire !

Je ne sais pas s’ils sont notre dernier espoir ou notre seul espoir, mais nous devons être à leur côté et les aider en fonction de nos maigres possibilités.

La genèse du crime

Le capitalisme, les théories comme celles de Riccardo2 et les avantages comparatifs prônent la spécialisation et l’économie d’échelle.

Il est évident que le boulanger qui va planter du blé, fabriquer son four, avoir sa propre forêt pour le bois, le récolter, faire de la farine, faire son propre levain, pétrir son pain, le faire cuire et puis le vendre va être moins productif que celui qui se contente d’acheter un mix industriel, ajouter de l’eau, pétrir, faire cuire le pain dans un four électrique et le vendre.

Dans un monde capitaliste, il est dit que l’on doit croître ou crever et dans notre monde ultralibéral c’est encore pire.

Alors quel est le mode opératoire le plus simple pour détruire un petit agriculteur ?

Développons d’abord le comment :

La méthode est assez simple.

  • Augmenter les coûts de production : Matières premières, carburant, eau, électricité, taxes, charges sociales, impôts, réglementations, etc.
  • Diminuer les prix de vente.
  • Diminuer les rendements par exemple en interdisant certains pesticides. Ce qui est une bonne chose sur le papier, mais une concurrence totalement déloyale dès lors que les produits importés n’ont pas ces contraintes.
  • Diminuer ou supprimer les droits de douane sur les produits importés.

Dans ces conditions l’agriculteur n’a d’autre choix que d’agrandir son exploitation pour parvenir à une économie d’échelle et accroître son chiffre d’affaires.

Le pourquoi :

Ici aussi c’est assez simple.

  • Diminuer le nombre d’exploitations et donc le nombre de travailleurs indépendants.
  • Augmenter les profits, attention pas pour les petits exploitants, mais uniquement les grandes fermes.
  • Détruire la biodiversité. « L’idéal » serait une seule espèce de pommes de terre transgéniques sur la Planète.
  • Détruire l’indépendance et l’autosuffisance du pays.
  • Détruire l’indépendance de l’agriculteur pour en faire un esclave.
  • Détruire la ruralité, les petits villages, bref ce qui fait un pays.

Esclaves d’un système

Si le salarié est un esclave qui ne peut ni démissionner ni revendiquer, la faute au chômage et aux crédits pour payer sa maison ou sa voiture, il doit en être de même de l’agriculteur.

Dans l’ancienne France, l’enfant qui venait au monde dans le monde rural avait un capital à sa naissance. C’était un propriétaire terrien « raciné » et l’employé avait souvent un petit jardin pour cultiver ses fruits et légumes. Les agriculteurs possédaient de la terre et donc un capital. C’est une des raisons pour lesquelles les maîtres du monde ont tout fait pour en diminuer le nombre.

L’ouvrier ne possède RIEN, ni terre, ni racines.

Ces terriens avec des parcelles à taille humaine vivaient de leur travail, jamais riches, mais jamais pauvres, et pouvaient transmettre. La production était locale et les clients l’étaient aussi, vente à la ferme, vente à la coopérative gérée uniquement par les producteurs, vente sur les marchés alentour.

C’est alors que s’est refermé le piège de l’économie d’échelle imposée par l’économie de marché.

Pour s’agrandir, augmenter sa production et baisser ses coûts, il faut :

  • Acheter des terrains.
  • Acheter du matériel (tracteurs, etc.).
  • Embaucher de la main-d’œuvre.
  • Écouler sa production.

Et oui, non seulement il va vous falloir vous endetter à coup de crédits, mais aussi trouver des acheteurs. Il n’est plus possible de vendre la totalité de sa récolte par les moyens traditionnels.

Vous allez donc devenir esclave, mais largement plus qu’un salarié.

Le salarié a durant la durée de son contrat la garantie que sa perte de liberté sera compensée par une somme d’argent.

Pour l’agriculteur il n’en est rien, son maître sera le géant industriel, le groupement d’achat d’un supermarché qui lui « achète » sa production.

Soit il accepte les conditions de son « propriétaire », soit il crève. De toutes les façons il n’a pas le choix, ne pouvant écouler lui-même sa production et devant couvrir ses dettes, il est totalement coincé.

S’il crève, s’il est ruiné, s’il se suicide « qu’est-ce qu’on en a à foutre », une exploitation achètera ses terres pour une poignée de pain pour s’agrandir encore et encore.

Le plus « drôle » est que l’ultra-capitalisme a fait des denrées alimentaires un marché boursier avec une offre et une demande. Vos tomates seront en concurrence directe avec le producteur de Bogota. C’est dire que vous ne pouvez même pas espérer écouler votre production en cherchant un nouvel acheteur qui vous prendra vos produits soit au cours du jour, soit à un prix moyen renégocié tous les ans afin de limiter la fluctuation de vos entrées d’argent. Vous êtes totalement COIN-CÉ.

Diversification ?

Cela me fait penser au buraliste qui ne pouvant plus vivre de la vente de cigarettes s’est mis à faire bureau de poste, jeux d’argents, journaux, point relais, vente de pain et sans doute bientôt mécanicien automobile ou couturier.

Voilà donc que ces fermiers se font avoir en mettant des éoliennes sur leur terrain ou en couvrant leurs hangars de panneaux photovoltaïques à coup de crédits. Sans compter ceux qui utilisent désormais leurs terres pour faire pousser du panneau solaire.

Nous avons aussi le gîte à la ferme. J’entends que certains agriculteurs peuvent avoir du plaisir à faire connaître leur mode de vie, mais ce n’est plus l’objet lorsque cela devient un moyen de survie.

Un fermier devrait pouvoir vivre décemment de sa production, point final !

Mourir ou mourir ?

Le choix est donc limité pour le propriétaire d’une petite parcelle, disons d’une parcelle à taille humaine :

  • il crève du fait de l’augmentation des coûts de production qu’il ne peut pas répercuter, car il est en concurrence avec les produits importés de pays avec peu de normes et à la main-d’œuvre bon marché ou de l’entente entre les différents acteurs de la filière ;

ou

  • il crève parce qu’il fait le pari de l’endettement et de la vente de sa production à un esclavagiste. Esclavagiste qui le pressera jusqu’à la dernière goutte.

Les données sont impitoyables :

IA :

« En 1960, la France comptait 7,1 millions d’agriculteurs, soit 20 % de la population active. En 2020, ce nombre est tombé à 400 000, soit moins de 2 % de la population active. En 1960, la surface moyenne d’une exploitation agricole était de 15 hectares. En 2022, elle est de 100 hectares. »

Je ne connais pas d’exemples dans lequel celui qui produit s’enrichit. C’est comme le chercheur d’or à qui l’on achète ses pépites 100 fois moins cher et à qui l’on vend l’eau, la nourriture et les pelles une fortune.

Si la situation est telle qu’elle est, cela ne relève pas du hasard, mais d’une volonté de destruction.

IA :

« En 1960, la France était un exportateur net de produits alimentaires. Les exportations de produits alimentaires représentaient 10 % du PIB, tandis que les importations représentaient 5 % du PIB. Le solde de la balance commerciale des produits alimentaires était donc positif, à hauteur de 5 milliards de francs.

En 2022, la France est devenue un importateur net de produits alimentaires. Les exportations de produits alimentaires représentent désormais 7 % du PIB, tandis que les importations représentent 12 % du PIB. »

C’est simple, 5 % de PIB d’exportation nette en 1960 et l’inverse en 2022, 5 % de PIB d’importation nette. Et ils voudraient intégrer l’Ukraine à l’UE avec son blé 2 fois moins cher issu d’une agriculture intensive bourrée de pesticides ? Sans compter que 30 % des terres agricoles en Ukraine seraient dans les mains d’investisseurs étrangers versus 1 % en France.

L’argument dit « écologique »

Ne croyez pas que les vendus à Bruxelles aux ordres des maîtres du monde amateurs de Grand Reset vont nous dire que leurs lois ont pour but de détruire l’économie, nous appauvrir, supprimer toute indépendance, détruire nos racines et nous réduire en esclavage.

C’est ici que l’invention du prétendu réchauffement climatique causé par l’homme prend toute sa dimension.

Mais là n’est pas l’objet de ce texte donc :

  • Supposons qu’il y ait un réchauffement climatique sur l’ensemble du globe.
  • Supposons qu’il soit amené à durer.
  • Supposons qu’il soit mauvais pour la planète et ses habitants.
  • Supposons qu’il soit dû à l’activité humaine.
  • Supposons qu’il soit dû à l’augmentation du CO2, 0,04 % de l’atmosphère3, sachant que moins de 5 % des émissions de CO2 sont d’origine humaine.
  • Supposons que l’Europe et la France puissent apporter leur pierre à l’édifice (les émissions de CO2 en Europe baissent de quelques pour cent tandis qu’elles augmentent dans le reste du monde et explosent en Asie).

Vous voyez je suis bon prince.

Enfin imaginez l’hypothèse que vous êtes décideur au niveau de l’UE et que vous n’êtes ni totalement stupide, ni totalement corrompu. Je m’excuse auprès de mes fidèles lecteurs qui ne peuvent que rire en lisant ceci, mais « même pas peur ! ».

Que pensez-vous qu’il advienne si vous imposez des règles « environnementales » visant à réduire les émissions de CO2 de la production agricole de l’UE ?

À moins que vous n’imaginiez que nous allons diminuer notre consommation de nourriture, à moins de vouloir nous éliminer, autre hypothèse complotiste, cela ne va en rien réduire la consommation de produits agricoles.

Il ne faut donc pas être un génie pour savoir que cela va augmenter les coûts de production et donc favoriser les produits importés non soumis à ces contraintes et de plus, sans droits de douane.

D’un point de vue « climatique », qui pourrait imaginer qu’un kilogramme de tomates provenant de Chine, cultivées en n’ayant rien à foutre de l’écologie et devant voyager des milliers de kilomètres en bateau, ou mieux en avion, pourraient avoir une emprunte carbone moindre qu’une production française ?

Seul un écolo bobo parisien nourri au lait de Sandrine Rousseau pourrait gober un truc aussi illogique.

De fait les mesures dites « écologiques » (et les autres) imposées aux agriculteurs pour « réduire les émissions de CO2 » n’ont qu’un seul objectif, les tuer, ce qui fonctionne parfaitement.

L’escroquerie des aides :

Les gouvernements mettent en place des « aides » pour compenser les pertes des agriculteurs.

Il est pour le moins « merveilleux » de constater que des fermiers sont payés pour ne pas produire, laisser en jachère, alors même que notre balance agricole est déficitaire.

L’excuse du soutien du prix a peu de sens lorsque l’on sait que les cours des produits agricoles sont mondiaux.

Dans la réalité les États n’offrent pas la moindre aide. C’est uniquement des vases communicants (via les impôts et les taxes) qui passent d’une main à une autre. Au final cette « aide » se traduit par une perte de pouvoir d’achat des ménages qui sont encore plus ponctionnés.

Nous avons vécu un exemple frappant de la pourriture de ce système avec « l’aide à la pompe » dont ont « bénéficié » les Français pendant quelques mois.

En premier lieu, je voudrais rappeler que le prix à la pompe devrait être autour de 50 centimes le litre sans les taxes et les marges délirantes des producteurs et importateurs.

Le principe de l’escroquerie de « l’aide » était simple :

  • Le cours du pétrole augmente artificiellement du fait d’annonces d’embargos contre la Russie.
  • Le coût de production ainsi que les réserves disponibles demeurent les mêmes. L’Europe achète du pétrole russe via l’Inde et l’Arabie Saoudite.
  • Total le producteur, pour ne citer que lui, augmente donc le prix de vente de son pétrole brut et augmente donc quoi ? Ses marges !
  • Total le raffineur achète le pétrole plus cher à Total le producteur, le carburant raffiné est donc plus « cher » à produire.
  • Total le distributeur répercute l’augmentation sur le prix hors taxes (à ce stade ce n’est que de la marge supplémentaire pour Total).
  • Le gouvernement encaisse plus de taxes étant donné qu’une partie des taxes est fixe et l’autre est un pourcentage du prix HT, qui lui même a augmenté.

Dans un monde juste nous dirions à Total et à tous les profiteurs :

« Allez vous faire foutre, vous ne profiterez pas de la guerre en Ukraine pour augmenter encore plus vos marges sur le dos des ménages français ».

Mais là « que nenni » (en fait ce n’est pas tout à fait vrai Total s’est engagé à ne pas vendre le carburant à plus de 2 euros, ce qui a fait dire « bravo Total » alors même qu’il se contentait de limiter l’augmentation honteuse de sa marge).

Dans sa grande « générosité », le gouvernement décide de mettre en place ce qu’il appelle une « remise », c’est-à-dire une diminution de quelques centimes sur les taxes dont une grande partie est compensée par l’augmentation du prix HT et donc par l’augmentation du montant des taxes perçues par le gouvernement.

Résultat des courses, l’industriel a pu s’en mettre plein les poches et la « ristourne » a été financée par les impôts, les taxes et la dette, bref par l’ensemble des Français.

Mais comme Total n’en est pas à une escroquerie légale prêt, il va vous dire qu’il ne fait que quelques centimes de bénéfices par litre. Prix de vente du pétrole brut + prix du raffinage + prix transport + quelques centimes = prix de vente HT pour le client. Oubliant d’inclure la marge délirante engrangée pour la production de pétrole brut, la marge du raffinage et la marge du transport.

Ce pas une aide, mais du blanchiment d’augmentation de la marge de l’industriel.

Il en est de même pour les agriculteurs, toutes les aides sont financées par la solidarité nationale et permettent de ne pas toucher à la marge des différents acteurs de la filière !

Accepter de payer sa nourriture plus cher ?!

C’est la phrase que nous entendons régulièrement et les débats sans fin sur les médias mainstream.

Cette tromperie a un triple objet :

  • Vous désolidariser des paysans parce que vous avez déjà du mal à payer votre nourriture du fait de l’inflation artificielle (en réalité l’augmentation des marges).
  • Vous culpabiliser, « c’est de votre faute s’ils crèvent », car vous refusez de payer la nourriture à son « juste prix » imaginaire.
  • Vous détourner des vrais coupables que sont les industriels et les intermédiaires avec la complicité des politiques.

Il faut savoir que de nos jours les prix de vente sont totalement déconnectés du coût de production.

Regardez le prix de l’électricité qui a augmenté en France de plus de 40 % en un an, il me semble, alors même que les coûts de production n’ont pas ou peu bougé.

On nous fait croire que les agriculteurs pourraient enfin vivre dignement si leurs produits étaient achetés en fonction de leur prix de revient. C’est totalement ridicule pour 2 raisons :

  • Si vous augmentez les prix d’achat alors cela va augmenter les prix de vente et les produits ne se vendront plus du tout ou moins bien avec un report sur les produits d’importation.
  • Si les produits se vendent encore alors cela aura un effet inflationniste4 sur les matières et les salaires qui fait que le prix des matières premières et les charges de l’agriculteur vont augmenter. Il devra donc encore augmenter ses prix de vente, bref un cercle infernal sans fin.

Est-ce que les agriculteurs ont bénéficié de l’inflation depuis le début de la guerre de l’OTAN contre la Russie, bien sûr que non !

Dans les faits l’augmentation des prix ne bénéficie pas ou peu aux producteurs, mais aux vendeurs et intermédiaires. Les industriels, les distributeurs, les supermarchés ont augmenté le montant de leurs bénéfices quand bien même le pourcentage de leur marge restait identique.

Exemple : J’achète des poires au producteur à 1 euro le kilo, je fais une marge de 40 %, soit 40 centimes par kilo, je les vends 1,40 euro le kilo.

J’augmente de 10 % mon producteur qui vendra ses poires à 1,10 euro le kilo, je garde une marge de 40 %, soit 44 centimes et je vends le kilo à 1,54 €. L’agriculteur a gagné 10 centimes de plus par kilo et j’ai dépensé 14 centimes de plus pour mon kilo de poires en faisant mes courses. Et encore je suis dans la version bisounours de l’histoire, car des intermédiaires, grossistes et vendeurs en ont profité pour augmenter leur marge et faire passer cela sur le dos de l’augmentation des prix et de la guerre. Vive l’ultralibéralisme !

La solution ne passe pas par une augmentation des prix pour le consommateur

La méthode n’est pas uniquement d’augmenter le prix de vente des agriculteurs, mais de diminuer les marges honteuses des intermédiaires.

Si vous augmentez le prix des poires payées au producteur de 12 % et que vous diminuez la marge de l’ensemble des intermédiaires de 15 % alors le prix de vente au consommateur sera exactement le même !

Vous pourriez me dire, mais c’est dégueulasse, les intermédiaires et le vendeur n’auraient plus que 25 % de marge au lieu de 40 %.

(Petite précision vous entendrez ici et là que la marge de la grande distribution est de 1 à 2 %. Entendez par là que c’est ce qu’il leur reste en ayant couvert toutes les dépenses, achats, salaires, loyers, amortissements, etc. IA : « Le groupe Carrefour a dégagé un bénéfice net de 1,35 milliard d’euros en 2022, en hausse. Le chiffre d’affaires du groupe a lui augmenté de 8,5 %, à 90 milliards d’euros. En pourcentage du chiffre d’affaires, le bénéfice net du groupe Carrefour s’est donc établi à 1,5 % en 2022, contre 1,2 % en 2021 ». Ceci pour dire qu’il ne faut pas confondre la marge brute faite sur un kilogramme de poires avec le bénéfice.)

Imaginons que le prix de un euro le kg du départ couvre les coûts du paysan (version optimiste) comme si c’était un prix d’achat, bref qu’il margeait à zéro et ne gagnait RIEN. Dans ce cas de figure, les 12 % d’augmentation seraient de la marge permettant de dégager un revenu pour l’agriculteur.

Et vous trouveriez « juste » que les intermédiaires qui n’ajoutent strictement aucune valeur au produit, aucune transformation, touchent plus de 25 % de marge tandis que le producteur n’en aurait que 12 % ?

Si nous basculions dans un monde plus juste, 18 % de marge pour le producteur, 18 % de marge pour les intermédiaires, nous nous retrouverions à un kilogramme de poires au détail de 1,39 € pour le consommateur, soit 1 centime de moins pour celui-ci et 18 centimes de plus pour le producteur !

Ce n’est donc pas en donnant des « aides » aux agriculteurs ou à qui que ce soit que l’on va augmenter leur pouvoir d’achat, mais en limitant la marge des escrocs intermédiaires !

Les mêmes règles pour tout le monde

Ce n’est évidemment pas l’avis du premier cercle, mais si nous voulons participer à un Monopoly mondial les règles doivent être les mêmes pour tout le monde.

  • Si le pesticide X est interdit en France alors il est interdit d’importer un produit d’un pays qui a le droit de l’utiliser.
  • Si la main-d’œuvre dans le pays d’importation est le fruit du travail d’enfants ou d’esclaves alors les droits de douane doivent compenser cette partie-là. Il suffirait de définir un salaire minima de seuil de dignité selon le coût de la vie dans le pays d’origine et de taxer la différence. Exemple, salaire pratiqué dans le pays 3 euros de l’heure, seuil de dignité 5 euros de l’heure, droits de douane 15 % (c’est pour l’exemple, il faudrait faire des calculs).

Au lieu de niveler par le bas qui est la règle d’or de l’ultralibéralisme qui convertit nos économies occidentales en économies du tiers monde, cela inciterait les pays en question à augmenter le niveau de vie de leurs ressortissants étant donné qu’ils ne gagneraient rien à les exploiter du fait des droits de douane.

(Je vous rappelle que le coût de la main-d’œuvre sur un iPhone est indécent.

IA :

«  le coût de la main-d’œuvre représente environ 13,60 dollars sur le prix de vente d’un iPhone 14 Pro Max, qui est de 1 099 dollars aux États-Unis. Il n’est pas dit que la fabrication aux États-Unis coûterait plus cher à Apple. En effet, si la fabrication aux États-Unis permet à Apple de booster ses ventes, cela pourrait compenser l’augmentation des coûts de production. En outre, la fabrication aux États-Unis créerait de l’emploi aux États-Unis. Cela pourrait être bénéfique pour l’économie américaine, car cela créerait des revenus et des taxes. Enfin, la fabrication aux États-Unis pourrait être bonne pour le commerce extérieur américain. En effet, cela permettrait à Apple de réduire sa dépendance à la Chine, qui est un pays important pour le commerce extérieur américain. »)

Ici encore je pourrais entendre que les consommateurs seraient les grands perdants et devraient payer plus cher ! Mais non, c’est un mythe répandu par les industriels et les politiques corrompus, c’est toujours une question de marge, d’offre et de demande. Si des producteurs brésiliens veulent vendre leurs tomates en Europe, ils n’auront qu’à diminuer leurs marges. Notons qu’ils ne pourront pas baisser encore plus le prix d’achat auprès du producteur local, car cela entraînerait automatiquement une augmentation des droits de douane.

Mythe : On a besoin des agriculteurs !

Oui on en a besoin pour sauvegarder notre civilisation, notre terroir, notre diversité, le bien vivre, le bien manger, bref pour sauvegarder la France, mais pour les mondialistes ils ne servent plus à rien.

L’industrialisation et la robotisation de la production font que les agriculteurs [mais aussi bientôt tous les autres humains] ne servent plus à rien.

Il est désormais possible de produire de la merde industrielle pour des milliards d’individus sans agriculteur et même sans terre [avec le hors sol]. Quand vous dites que l’on en a besoin, vous ne raisonnez pas en pourriture ultralibérale sans conscience.

Si demain il n’y avait plus un seul agriculteur en France, cela n’empêcherait pas d’avoir les rayons des supermarchés garnis.

La faute à qui ?

À mince, j’ai encore écrit « qui », mille excuses !

C’est toujours la même histoire, en premier lieu les coupables sont tous les politiques français qui ont vendu, pardon, bradé la France. Tous ces destructeurs coupables de haute trahison ont abandonné la France et ses valeurs, pensez au scandale de la vente d’Alstom et de sa perte de souveraineté énergétique.

Ensuite il y a bien entendu l’Europe. Mais l’Europe ce n’est pas une personne morale ou juste une Hyène qui la dirige. Si ce monstre sans conscience a ce pouvoir, c’est bien qu’on le lui a donné. S’il y a bien haute trahison par les politiques de chacun des États membres il y a bien sûr haute trahison des instances européennes et de ses représentants comme les députés européens. Ces personnes ne sont pas élues pour tuer le peuple et ses intérêts, mais pour le représenter.

Un dictateur ne prend pas le pouvoir, on le lui donne.

Ceci tout en n’oubliant pas que ces traîtres européens ne sont que les pions des traîtres mondialistes dont l’objet n’est pas l’établissement d’une démocratie, mais d’une dictature mondiale qui enlève toute souveraineté aux différents pays. L’Europe en est une illustration parfaite, les élus et gouvernements français n’étant plus que des pantins, des administrateurs chargés d’appliquer les politiques européennes.

Si vous continuez à voter pour tel ou tel en France dont le programme ne serait pas le Frexit, vous vous bercez d’illusions. Rien de ce qu’il promettra ne pourra être fait sans l’accord de Bruxelles aussi bien d’un point de vue économique que sociétal.

Dindons de la farce ?

La question est de savoir si les agriculteurs qui manifestent dans toute l’Europe vont être naïfs et stupides au point de croire les gouvernants et les responsables syndicaux [vendus au pouvoir].

Vont-ils une fois de plus être stupides pour penser que les miettes d’aides que l’on va leur promettre leur permettront de vivre dans la dignité et dans la durée alors même qu’ils n’auront qu’un statut de mendiant ?

Vont-ils être naïfs au point de croire que les dirigeants européens vont mettre en place un protectionnisme de bon sens alors qu’ils font l’inverse depuis des dizaines d’années ?

Vont-ils croire que soudainement l’objectif ne sera plus leur mort, mais leur renaissance ?

Les chiffres font mal, 20 % de la population active en 1960, 1,8 % en 2020.

L’agriculteur sera bientôt un souvenir, on ira en voir quelques-uns en vacances comme on va au zoo pour voir une espèce en voie de disparition.

Avenir ?

Que l’on arrête de me répéter que ces agriculteurs ne sont que des pions manipulés, que l’on arrête de me dire qu’ils vont se faire massacrer par des polices fascistes sur ordre du dictateur. Que les oiseaux de mauvais augure me fassent une proposition concrète autre que « c’est foutu ».

Je ne suis pas pour autant né de la dernière pluie.

Il est étrange de constater que le gouvernement les laisse faire ce qu’ils veulent, les forces de l’ordre semblent plus à leur côté que l’inverse. Ils peuvent bloquer des axes routiers, déverser du fumier, brûler des biens publics, détruire totalement le macadam d’un supermarché, piller et détruire de la nourriture importée, et ce sans le moindre problème. D’autant plus étrange si l’on pense à la violence subie par les gilets jaunes pour autant pacifiques. Je ne saurais trouver d’explications convaincantes à cet instant. La répression sera-t-elle proportionnelle au laxisme apparent des autorités ? Est-ce une mise en scène dans laquelle les agriculteurs sont manipulés ?

Quoiqu’il en soit, la souffrance de la base est une réalité et je prie pour qu’ils se trouvent à ce point au bout du rouleau, au bord de la faillite ou du suicide pour qu’ils ne tombent pas dans le piège que va leur tendre le gouvernement avec la complicité active de la FNSEA.

Qu’ils exigent le droit à leur dignité, non pas le droit d’être riche comme les pourritures qui nous gouvernent, mais juste vivre honnêtement et modestement de leur travail.

Je prie pour qu’ils ne se prostituent pas pour des miettes, je prie pour que tous les Européens trompés relèvent la tête pour dire « moi aussi j’ai droit à la dignité, moi aussi j’ai droit de vivre de mon travail » et je serais avec eux pour les soutenir.

Agriculteurs unissez-vous :

  • Relevez la tête !
  • Bloquez tout jusqu’à obtenir votre dû et votre dignité !
  • Donnez vos invendus ou les marchandises confisquées sans les détruire !
  • Arrêtez de payer les intérêts de vos crédits qui s’apparentent à de l’abus de confiance et de l’abus de faiblesse !
  • Unissez-vous et appelez les autres professions comme les pécheurs, les transporteurs, etc. à vous rejoindre !
  • N’oubliez jamais où se trouvent les responsables et que vous devez faire tomber les lois européennes qui vous, qui nous, détruisent.

Je veux croire en ce mouvement paysan, je veux croire à cet appel de la terre, à cette révolte de nos racines, à ce cri de notre mère nourricière5.

Ces pourritures ne sont rien. Nous sommes le peuple, nous sommes la force si nous nous levons pour dire « STOP nous avons droit à la dignité ».

Merci

Alain Tortosa6
26 janvier 2024
https://7milliards.fr/tortosa20240126-agriculteurs-sauvez-nous.pdf


1 Vocabulaire emprunté au Président Macron.

2 « 7 milliards d’esclaves et demain ? » https://7milliards.fr

3 https://7milliards.fr/tortosa20230713-rechauffement-climatique-nuls.pdf

4 Tous ceux qui utilisent les produits agricoles devront augmenter leurs prix de vente. Certains salariés arriveront à avoir une augmentation de salaire pour compenser l’inflation. Le coût du travail va augmenter du fait de l’augmentation des salaires. Il peut même y avoir une incidence sur le chômage du fait de l’augmentation du coût du travail, mais aussi de la baisse de consommation liée à la perte de pouvoir d’achat et donc une augmentation des charges qui pèsent sur le travail. Sans compter une augmentation des produits importés du fait de l’augmentation des prix des produits locaux, etc., etc.

5 Comme j’étais en paix en regardant le convoi de la liberté au Canada

6 « Stop état urgence » https://t.me/+cNljt4jKWeVW0I1o
« Docus qui dérangent » https://t.me/+Vb2slUv5Lk9hZmZk
« On a marché sur le Nevada » https://t.me/+DeE9Htev6K8yMzM0
7 milliards d’esclaves et demain ? Https://7milliards.fr




Le contrôle humain grâce à la technologie vaccinale

[Source : laquintacolumna.info]

David Icke avait raison par rapport au « Covid », à l’injection, au « cloud » et la manipulation exercée par une force non humaine, d’après l’équipe qui a identifié le graphène dans le faux vaccin.

[Voir aussi :
Qu’est-ce que l’oxyde de graphène et les nanotechnologies ont à voir avec la 5G ?
et
Next Dose 3 — Faut-il encore des preuves ?]

[NDRL Vidéo fortement « complotiste », au même titre que les deux mentionnées en lien ci-dessus.
À certains moments, notamment sur la motivation des entités évoquées, elle mélange des spéculations avec les faits observés.
Si vous ne voyez pas la vidéo Rumble suivante, vous pouvez la voir ici.]


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Dossier : « On a marché sur le Nevada… mais sur la Lune ? »

Par Alain Tortosa

Préambule

L’être humain a-t-il déjà mis les pieds sur cet astre ou l’Humanité tout entière est victime d’une vaste escroquerie depuis des décennies ?

Pourquoi écrire sur ce sujet qui ne peut qu’entraîner ricanements de la part d’honnêtes gens qui vivent sur une planète décrite par le journal Le Monde, BFM et autres médias mainstream.

Et bien c’est exactement la raison pour laquelle j’ai choisi ce sujet et non le 11 septembre ou la crise Covid parce que cela évoque une loufoquerie plus ou moins sympathique et non un grave désordre mental qui serait répandu par des extrémistes d’extrême-droite.

L’évocation de la plupart des sujets « complotistes » va immédiatement braquer le citoyen lambda qui va refuser écouter et encore plus toute discussion qui pourrait le placer dans une situation délicate vis-à-vis d’autrui, mais surtout vis-à-vis de lui-même.

Bref, écouter un gars qui vous dirait que nous ne sommes jamais allés sur la Lune c’est un peu comme avoir en face de soi un individu vous expliquant que la Terre est plate (je précise pour les « vérificateurs de l’information » qui voudraient s’engouffrer dans cette brèche pour me ridiculiser, « Non la Terre n’est PAS plate, j’ai étudié le sujet »).

« Nous sommes allés sur la Lune ! »

Les personnes qui sont nées avant 1960 l’ont « vu » de leurs propres yeux1 et les autres en entendent parler depuis leur naissance comme un fait aussi réel que l’eau mouille et le feu brûle.

Toutes les « preuves » sont là ! Photos, vidéos, témoignages, échantillons de sol, mais aussi débunkage quand cela devient nécessaire pour calmer toute velléité « complotiste » potentiellement contagieuse, mais néanmoins « délirante ».

Un autre point en faveur de la croyance repose sur l’énormité du mensonge s’il était avéré et le pourquoi.

« Comment auraient-ils pu nous cacher ces faits si longtemps et pourquoi personne n’a-t-il révélé la vérité ? »

Pourquoi un tel mensonge ?

Le fait de ne pas connaître son auteur sur une scène du crime n’est pas de nature à balayer la réalité de l’acte.

Ici encore tout n’est qu’hypothèses. Parmi celles-ci je pourrais vous citer :

  • Ils ont peut-être cru de bonne foi que c’était possible. Nous étions dans les années soixante, on faisait des fusées, des avions supersoniques, des bombes nucléaires, tout devenait possible. Il fallait battre les Soviétiques, leur prouver la supériorité de l’Amérique. Puis, pour ne pas perdre la face, voyant qu’ils n’y arriveraient jamais, ils se seraient rabattus sur le mensonge et le tournage dans le Nevada par Stanley Kubrick.
  • Les astronautes eux-mêmes ont peut-être été convaincus que c’était un mensonge de courte durée, le temps de résoudre les problèmes techniques et d’y aller vraiment. Quand ils auraient compris qu’ils n’iraient jamais sur la Lune, cela aurait été un enfer pour eux.
  • Ils ont voulu ruiner l’URSS, l’obligeant à se lancer aussi dans la conquête de la Lune.
  • Etc.

La technologie de l’époque

Celles et ceux qui sont nés avec Internet ne peuvent imaginer la réalité de l’âge de Pierre technologique qu’étaient les années 60.

La télévision était encore en noir et blanc et l’ordinateur était plus un projet qu’une réalité. Ceux-ci prenaient la place d’un bâtiment entier pour une puissance de calcul totalement ridicule.

Une époque où même la calculatrice n’existait pas (vraiment). Attention je ne parle pas de la calculatrice programmable graphique des lycéens dont la puissance est infiniment supérieure aux ordinateurs de l’époque, mais de la simple calculatrice pouvant faire des additions, des soustractions, des multiplications et des divisions.

Mon premier ordinateur dans les années 80 aurait fait rêver les ingénieurs de la NASA.

À l’époque on utilisait principalement le stylo, le papier et des règles à calcul !

Ici on parle de construire une fusée qui permettrait d’envoyer des humains sur la Lune et de les faire revenir sains et saufs !

Un peu de bon sens

Pour parvenir à cet exploit, il était impératif de respecter toutes les étapes du lancement de la fusée pour pouvoir faire les calculs. Rappelez-vous que nous sommes à la préhistoire, pas même au début de l’histoire de l’informatique.

Une fusée titanesque décolle sans exploser (pas évident à l’époque), arrive en orbite, tourne autour de la Terre puis quitte l’orbite terrestre au bon moment, se dirige vers la Lune sans la rater, tourne autour, envoie le module lunaire vers le sol, se pose, les gars font leur job, puis redécolle sans encombre avec son unique moteur, tourne autour de la Lune pour rejoindre une orbite circulaire, rejoint la fusée restée en orbite sans la rater, quitte l’orbite lunaire, retourne vers la Terre et amerrit comme il se doit juste à côté du porte-avions qui l’attend gentiment à l’endroit prévu.

Rien qu’en écrivant ces lignes, je ne peux que sourire.

Illustrons l’épopée du LEM qui quitte la Lune pour rejoindre la capsule Apollo en orbite autour de la Lune.

  • Imaginez que vous habitiez Lille et moi Marseille.
  • Imaginez que l’on se donne rendez-vous à l’échangeur d’Artigues-près-Bordeaux. Respectivement à 644 km de Marseille et 801 km de Lille.

Quelle est la probabilité que nous sortions tous deux de l’autoroute à la même seconde et que nous échangions une bouteille d’eau par la fenêtre à la vitesse de 130 km/h ?

Si nous voulons que ce miracle se produise il va non seulement falloir que nous calculions nos heures de départ, mais aussi actualiser en permanence nos calculs, vitesses et temps d’arrêt en fonction de la météo, des embouteillages, de la consommation des véhicules pour le plein de carburant, des pauses pipi, café, manger et ce, en espérant une absence de panne ou d’accident.

Là je vous parle d’un truc qui est environ à 400 000 km de la Terre, qui orbite autour de la Lune à 5920 km/h2 soit 1,67 km en une seconde et que vous ne pouvez pas rater, car vous n’avez qu’un essai.

Pour que la capsule Apollo vous récupère, il vous faudra donc calculer et recalculer :

  • Le moment où vous allez rattraper la capsule en orbite. Un seul essai possible (une première mondiale) pour l’amarrage, car si le Lem et Apollo se ratent ou rebondissent au moment de l’arrimage, alors adieu les astronautes du Lem.
  • La vitesse exacte de l’ascension et de la direction depuis le sol lunaire pour ne pas rater Apollo qui orbite à 6 000 km/h.
  • La fenêtre de décollage de la surface de la Lune pour ne pas rater Apollo au retour. Selon l’IA de Google, le LEM devait se placer sur une trajectoire qui l’amène à moins de 10 km de la capsule Apollo (tout cela avec des commandes manuelles et un ordinateur primitif). Notons qu’Apollo a une orbite circulaire et le Lem une orbite elliptique qu’il doit corriger petit à petit pour rejoindre Apollo au point exact de rendez-vous.
  • La position où vous êtes sur la Lune et la position d’Apollo au moment du décollage qui détermineront quand décoller. Selon l’IA de Google, l’erreur au moment de l’alunissage n’était que de 400 m.
  • La durée de la promenade sur la Lune.
  • La durée du temps de descente sur la Lune.
  • Le moment où le Lem devra quitter la capsule Apollo pour arriver sur le lieu choisi.
  • La durée et le nombre d’orbites autour de la Lune.
  • Le kilométrage et la durée du voyage Terre-Lune sachant notamment que la distance Terre-Lune change.
  • Le nombre et la durée de tours de la Terre (1,5) avant de partir vers la Lune.
  • Le moment de l’arrivée en orbite terrestre de la fusée.
  • Et enfin le moment du décollage de la Terre.

Car n’oublions pas, les réserves d’air et de carburant sont limitées, faire une orbite de plus peut conduire à la mort.

Et pour revenir sur Terre, vous devez calculer :

  • La vitesse et le moment exact pour quitter l’orbite lunaire et le retour vers la Terre.
  • Le moment, l’angle et la vitesse pour entrer en orbite terrestre et ne pas rebondir vers l’espace. La capsule a fait 14 orbites terrestres avant de plonger pour amerrir.
  • La durée de la descente sur Terre et la position du point d’impact dans l’eau sinon la capsule va couler avant que l’on ait pu vous récupérer. Selon l’IA de Google, il restait 4 heures d’air aux astronautes et 15 minutes de combustion. Sachant aussi que le point d’amerrissage ne pouvait être calculé à l’avance notamment du fait de l’incertitude météo. Précisons que les astronautes pilotaient manuellement la position, l’angle et la vitesse de la capsule avec des capteurs internes. (Point de logiciels de calculs ou de feuille de tableur dans laquelle il vous suffit de changer une valeur pour que tous les calculs soient mis à jour instantanément.)

Vous commencez à me suivre ?

Cela veut dire que vous ne pouvez PAS faire l’ensemble de ces calculs avant le départ. Comme pour le voyage Lille-Bordeaux et Marseille-Bordeaux vous allez devoir reprendre les calculs régulièrement, calculs qui doivent avoir un nombre de paramètres délirants pour une mission lunaire.

Je me répète, mais quant au décollage de la Lune, imaginez-le. Apollo est en orbite circulaire et vous vous allez avoir une orbite elliptique au moment de votre mise en orbite autour de la lune. Ne croyez pas que la capsule va vous attendre sur l’échangeur de l’orbite lunaire ! Sans compter que vous avez droit à un seul essai, si vous vous présentez trop tôt trop tard, trop vite, trop lentement, avec un angle trop ou pas assez important.

La réussite de l’opération tiendrait du miracle et de l’absence totale de grains de sable dans le timing. Une simple fermeture éclair coincée ou un éternuement au moment de la rencontre aurait été de nature suffisante à entraîner une catastrophe.

Quelques points problématiques

Nous avons vu que l’opération est loin d’être gagnée d’autant plus en 1969 sans les ordinateurs actuels. Ne vous inquiétez pas, il n’est pas nécessaire d’être un ingénieur pour comprendre et se forger une opinion.

Le lieu de l’amerrissage :

IA :

« Les parachutes d’Apollo ont été déployés à deux altitudes différentes :

* Les parachutes extracteurs ont été déployés à une altitude de 7 010,40 mètres. Ils ont pour fonction de stabiliser le module de commande et de service (CSM) et de le ralentir de 480 à 280 km/h.

* Les parachutes principaux ont été déployés à une altitude de 3 000 mètres. Ils ont pour fonction de ralentir le CSM encore plus, jusqu’à une vitesse de 35 km/h.

Les astronautes n’avaient plus la possibilité de diriger leur capsule dès lors que les parachutes étaient déployés. Un vent fort aurait eu un impact significatif sur le point d’atterrissage d’Apollo. Le vent aurait pu faire dériver la capsule de sa trajectoire prévue, ce qui aurait pu entraîner un atterrissage dans une zone inattendue.

Si le lieu d’amerrissage d’Apollo avait subi un ouragan, les options des astronautes étaient limitées.

* La première option était de reporter l’atterrissage. Cela aurait permis aux conditions météorologiques de s’améliorer. Cependant, cela aurait également signifié que les astronautes devaient rester dans l’espace plus longtemps, ce qui aurait pu entraîner des problèmes d’approvisionnement en oxygène et en nourriture.

* La deuxième option était de tenter un atterrissage dans des conditions météorologiques défavorables. Cela aurait été une décision risquée, car il y avait une forte probabilité que l’atterrissage se passe mal. »

    Les ceintures de van Allen :

    La Terre est protégée des radiations solaires mortelles par un champ magnétique. À de nombreuses reprises, des spécialistes de la NASA ont affirmé que ces radiations posaient un problème que nous devrions résoudre si nous voulions « retourner » ou aller sur la Lune.

    Notez que cela explique l’orbite ultra basse, environ 400 km, de la station internationale. Pour rappel les satellites géostationnaires sont à 36 000 km et la lune à 400 000 km. Des astronautes3 affirment qu’un jour nous pourrons quitter l’orbite basse. Les débunkers disent que ce n’était pas un problème dans les années 60 alors que cela en est un aujourd’hui. Leur argument principal se base sur « ils l’ont fait donc c’est possible ».

    Google IA  :

    « Les ceintures de Van Allen constituent un danger pour les astronautes et les satellites. Les particules chargées peuvent endommager les équipements électroniques et provoquer des lésions aux tissus biologiques.  

    Au-delà de la ceinture de Van Allen, les dangers pour les astronautes et les satellites sont principalement causés par les rayonnements cosmiques.

    Les rayonnements cosmiques sont des particules chargées qui proviennent de l’espace lointain.

    Ils comprennent des protons, des électrons, des neutrons et des noyaux atomiques. 

    Les rayonnements cosmiques peuvent endommager les équipements électroniques et provoquer des lésions aux tissus biologiques. Ils peuvent également provoquer des mutations génétiques, qui peuvent conduire à des cancers et à d’autres problèmes de santé. »

    Notons qu’aucun astronaute parti sur la Lune n’aurait eu de graves maladies suite à son expédition.

    L’ingénieur de la NASA Kelly Smith4 à propos de la mission Orion expliquait en 2014 :

    « En nous éloignant de la Terre, nous traverserons les ceintures de Van Allen, une zone de radiation dangereuse. De telles radiations pourraient endommager les systèmes de guidage, les ordinateurs de bord ou d’autres composants électroniques d’Orion. Naturellement, nous devons traverser cette zone dangereuse deux fois : une fois à l’aller et une fois au retour.

    Mais Orion dispose d’une protection, le blindage sera mis à l’épreuve lorsque le véhicule traversera les vagues de radiations. Des capteurs à bord enregistreront les niveaux de radiation pour que les scientifiques puissent les étudier. Nous devons résoudre ces problèmes avant d’envoyer des personnes dans cette région de l’espace. ».

    Le site Futura-science5 affirme :

    « Un cosmonaute exposé, sans protection, aux radiations des ceintures de Van Allen subirait plusieurs millions de rads par heure (or 500 rads sont généralement mortels). »

    Le débunkage du Parisien précise :

    « La NASA affirme que les combinaisons spatiales portées par les astronautes « les protégeaient parfaitement des radiations qu’ils auraient pu subir en traversant les ceintures de Van Allen. D’autant que la traversée en question a été relativement rapide ».

    IA :

    « Les astronautes d’Apollo 11 ont passé environ 90 minutes dans les ceintures de Van Allen à l’aller et au retour, soit un total de 180 minutes. »

    « La combinaison spatiale et la coque du module de commande permettaient de réduire la dose de radiations reçue par les astronautes d’Apollo 11 de 90 à 95 %. Cela signifie que les astronautes ont reçu environ 5 à 10 % de la dose de radiations qu’ils auraient reçue s’ils n’avaient pas été protégés. »

    Deux millions de rads, 5 %, 3 heures, cela nous fait 300000 rads (dose mortelle à 500). Supposons que Futura Science dise n’importe quoi et se trompe d’un facteur 500 !!!! La dose reçue serait encore de 600 rads. Bien entendu il est possible de dire tout et son contraire. On peut tout autant affirmer que la dose dans les ceintures de Van Allen est de 10 rads par heure, ou même de 1 rad par heure. Cela peut être aussi vrai ou faux que de dire que le bouclier filtre 95 % des radiations.

    Les liquidateurs de la centrale de Tchernobyl auraient reçu entre 1000 et 10 000 rads.

    Si nous sommes allés maintes fois sur la Lune alors il est possible que ces radiations ne soient pas si mortelles que ça. Si en revanche c’est un fake alors il est évident que toutes les données fournies sur les niveaux réels de radiations sont fausses.

    De plus, la NASA n’a peut-être pas choisi la meilleure période pour les missions Apollo.

    « Les pics d’activité solaire dans les années 1960 et 1970 ont été importants. Le maximum d’activité du cycle solaire 19 a eu lieu en 1968, avec une amplitude de 165. Ces pics d’activité solaire ont eu un impact sur la Terre.

    Ils ont provoqué des perturbations dans les communications radio, des pannes d’électricité et des aurores boréales plus intenses. Voici quelques exemples de ces perturbations :

    * En 1968, une tempête solaire a provoqué des perturbations dans les communications radio dans le monde entier.

    * En 1972, une panne d’électricité a touché une grande partie de l’Amérique du Nord. »

    En 1962 les USA ont fait exploser une bombe nucléaire dans l’espace de 1,4 mégatonne, 500 fois plus puissante que celle lâchée sur Hiroshima6, à une altitude de 400 km.

    IA :

    « Les radiations de Starfish Prime ont été coincées dans les ceintures de Van Allen. L’explosion a créé une onde de choc qui a ionisé les atomes et les molécules de l’atmosphère terrestre. Ces ions ont été attirés par le champ magnétique terrestre et ont formé de nouvelles ceintures de radiation autour de la Terre. Les études scientifiques ont montré que la ceinture artificielle s’est dissipée au fil des ans. En 2023, le niveau de radiations dans la ceinture artificielle est comparable à celui des ceintures naturelles. Les radiations dans la ceinture artificielle sont encore dangereuses pour les astronautes et les satellites en orbite. Cependant, elles ne sont plus aussi intenses qu’elles l’étaient au moment de l’explosion de la bombe Starfish Prime. »

    Imaginez donc en 1969, sept ans après l’explosion !

    Certains avancent la thèse que cette bombe aurait été lancée pour faire un « trou » dans la ceinture de radiations et permettre aux astronautes de la franchir sans danger. Au final cela a juste créé une nouvelle ceinture encore plus dangereuse. C’est dire le niveau de folie de ces apprentis sorciers.

    Il est donc intéressant de constater qu’il existe encore des problèmes avec les ceintures de Van Allen naturelles ET artificielles7 qui étaient pourtant « totalement résolus » dans les années 1960-70 avec les multiples missions lunaires.

    Et tout aussi intéressant de rappeler que la station spatiale est en orbite basse.

    ChatGPT rappelle :

    « Safety considerations: The ISS is still within the Earth’s protective magnetosphere in its current orbit, which helps shield it from harmful radiation. Placing it in a higher orbit would expose the station and its crew to increased radiation levels, which could pose health risks and require additional shielding measures. »…
    [« Considérations de sécurité : Sur son orbite actuelle, l’ISS se trouve toujours dans la magnétosphère protectrice de la Terre, ce qui la protège des rayonnements nocifs. En la plaçant sur une orbite plus élevée, la station et son équipage seraient exposés à des niveaux de radiation plus élevés, ce qui pourrait présenter des risques pour la santé et nécessiter des mesures de protection supplémentaires. »]

    Plus de 500 km exposerait l’équipage à des radiations.

    Les photos et films truqués :

    L’intelligence artificielle de Google aurait confirmé à Poutine que les photos sont des faux (problèmes de lumières, d’ombres, etc.), renforçant la thèse d’un tournage en studio dans le Nevada. Stanley Kubrick8 aurait lui-même confessé avoir fait ce fake dans une interview dont j’ai fourni le lien.

    Notons que les débunkers disent que ce n’est pas une preuve, il était tout à fait possible de faire les deux, un vrai alunissage ET une vraie fiction.

    Nous pouvons aussi nous demander comment ils ont pu faire de si belles photos alors même que leur appareil était à réglage manuel de la luminosité, mais aussi qu’ils ne pouvaient pas voir ce qu’ils photographiaient, l’appareil étant fixé sur le torse. De plus ils étaient obligés de retourner dans le module pour changer d’objectif ou de pellicule.

    Par exemple sur la photo ci-dessous nous voyons clairement que les ombres ne sont pas parallèles, ce qui est impossible lorsque la source de lumière est unique, en l’occurrence le soleil.

    Autre photo d’ombres non parallèles :

    Que dire de cette photo sur laquelle nous voyons parfaitement l’astronaute alors même qu’il est dans l’ombre du LEM ET qu’aucun flash n’était utilisé9 ? Il aurait dû être aussi sombre que l’ombre au sol.

    Les appareils photo avaient des croix :

    IA :

    « Les croix sur les photos prises sur la Lune sont des réticules, c’est-à-dire des grilles utilisées pour mesurer les distances et les angles sur les photos. Ils sont généralement composés de deux lignes verticales et de deux lignes horizontales.

    Les réticules sont utilisés par les astronautes pour mesurer la taille des objets sur la Lune, ainsi que les distances entre les objets. Ils sont également utilisés pour déterminer l’orientation des objets. Les réticules sont placés devant l’objectif de l’appareil photo. Ils sont généralement imprimés sur une plaque de verre ou de plastique. Les réticules sont utilisés sur les photos prises sur la Lune depuis les années 1960. Ils sont devenus un élément incontournable des photos lunaires. »

    De fait les réticules sont obligatoirement au premier plan et les objets photographiés au second plan. Il ne saurait exister un objet masquant un réticule à moins d’avoir truqué une photo et rajouté l’objet par la suite.

    Exemple d’objet se trouvant devant le réticule :

    Le journal le Parisien10 confirme qu’il y a bien eu tournage en studio, mais pour un « entraînement ».

    « Aucune preuve ni témoignage faisant état de ce tournage n’ont jamais été révélés. En revanche, la NASA a elle-même diffusé des photographies montrant l’équipe d’astronautes en studio. Mais celles-ci ont été prises trois mois auparavant, en avril 1969 à Houston. Il s’agissait en réalité d’un entraînement visant à préparer la mission d’exploration des astronautes. »

    Il est intéressant de noter que l’IA de Google l’ignore.

    IA :

    « Non, je n’ai pas de photos d’Armstrong et d’Aldrin en avril 1969 simulant dans un studio. Il n’y a aucune preuve que les premiers pas sur la Lune aient été simulés, et il est très peu probable qu’il existe des photos de telles simulations. Les photos et les vidéos de la mission Apollo 11 ont été prises par les astronautes eux-mêmes, et elles ont été diffusées en direct à la télévision dans le monde entier. Ces images ont été largement examinées par des scientifiques et des experts, et il n’y a aucune preuve qu’elles aient été falsifiées ».

    De fait Le Parisien serait-il colporteur de fakenews ??!!

    Notons que la NASA a « perdu » tous les originaux et que les bandes magnétiques auraient été jetées ou recyclées pour faire des économies. Cela ne s’invente pas.

    IA :

    « En 2006, la NASA a reconnu avoir perdu la trace de ces films, qui contenaient des images historiques des premiers pas de l’Homme sur la Lune. En 2006, la NASA a lancé une enquête pour retrouver les films originaux. L’enquête a duré plusieurs années, mais elle n’a pas permis de les retrouver. La perte des films originaux de la mission Apollo 11 a été un incident embarrassant pour la NASA. L’agence spatiale a mis en place des mesures pour éviter que cela ne se reproduise ».

    Je vous rappelle que nous parlons du plus grand exploit de tous les temps et les gars ont perdu les films !

    Les audios truquées

    L’absence de décalage dans des conversations avec la Terre.

    Il serait impossible que la Terre puisse communiquer avec les astronautes sans délai. Le délai de transmission radio entre la lune et la Terre est de 1,3 seconde auxquels il faut rajouter les délais « électroniques » de transmission du signal soit un total d’environ 2 secondes. Dans les documentaires diffusés11, nous entendons des conversations en direct entre les astronautes et la Terre sans le moindre délai. Ici encore les débunkers affirmeront que c’était un montage pour rendre l’enregistrement plus agréable.

    L’absence de bruit de propulsion lors de la descente du Lem ni de cratère d’impact.

    Comment est-il possible que les vibrations n’entraînent pas un bruit à minima audible dans les conversations entre les astronautes et la Terre ? Les astronautes étaient factuellement assis sur le moteur du LEM qui crache des gaz à 100 bars et ils subissent une décélération d’environ 3 G.

    IA :

    « Les astronautes ont décrit ces vibrations comme étant fortes, mais pas insupportables. Ils ont déclaré qu’elles étaient similaires aux vibrations ressenties lors d’un décollage ou d’un atterrissage terrestre. »

    Il est aussi étrange que la zone d’alunissage ne montre aucune trace de cratère de souffle sous la tuyère, et ce pour l’ensemble des alunissages, toutes missions confondues.

    Ci-dessous une photo montrant l’absence de cratère.

    Ci-dessous une photo du booster de Space-X lors d’un retour sur Terre.

    IA :

    « Les températures et pressions du moteur du LEM en phase d’alunissage sont les suivantes : Température en sortie de tuyère : environ 2 600 °C. Pression en sortie de tuyère : environ 100 bars12. Ces valeurs sont similaires à celles des boosters SpaceX Falcon 9 en phase d’atterrissage. La température du sol peut atteindre 2 500 °C lors de l’atterrissage d’un booster Falcon 9. »

    « Grâce à ces facteurs, la température du sol sous la tuyère du LEM peut atteindre 2 600 °C. Cette température est suffisante pour faire fondre le régolithe et créer un cratère d’impact. Voici quelques exemples de températures du sol lunaire mesurées sous la tuyère du LEM lors des missions Apollo :

    Apollo 11 : 2 600 °C

    Apollo 12 : 2 600 °C

    Apollo 14 : 2 500 °C. »

    Une vidéo de la NASA13 simule l’effet du souffle du Lem en fonction du diamètre des poussières sur laquelle nous pouvons voir la création de cratères (je vous invite à réduire la vitesse de lecture à 0,25 pour mieux voir).

    Photo de la simulation sur laquelle nous voyons bien le cratère :

    Un autre facteur étrange est qu’au pied du Lem il y ait énormément d’empreintes de pas suggérant que le souffle du moteur n’a pas balayé la poussière de la zone en sortie de tuyère.

    L’absence de poussières et de lumière au décollage du LM.

    Google IA :

    « Le LEM a soulevé d’énormes quantités de poussière lors des alunissages. La poussière lunaire est très fine et légère, et elle est facilement soulevée par le vent ou par un choc. Lorsque le LEM a touché la surface de la Lune, il a créé une onde de choc qui a soulevé une énorme quantité de poussière. Cette poussière a formé un nuage qui a obscurci la vue des astronautes et de la caméra. Les astronautes ont dû attendre que la poussière se dissipe avant de pouvoir sortir du LEM. »

    Il serait intéressant de savoir comment ils ont pu se poser sans visibilité.

    IA :

    « La zone n’avait pas moins de poussière après l’alunissage. La poussière soulevée par le LEM a recouvert toute la zone environnante. »

    J’ai alors demandé à l’IA de me fournir des photos des Lems avec poussière, mais « étrangement » les photos ne sont pas apparues14. Insistant il m’a dit qu’il me passait des liens, or les titres n’avaient aucun lien, puis je lui ai demandé de m’afficher directement le lien sous la forme https://xxx et il m’a répondu qu’il n’était pas programmé pour pouvoir faire cela.

    Bizarrement les photos du LEM sur le net sont toutes rutilantes. 

    La photo ci-dessus montre un LEM sans la moindre poussière.

    Voici une photo d’un des pieds sans poussière.

    Mais qu’en est-il du décollage, voici les réponses de l’IA :

    « Lors du décollage, le LEM a également soulevé de la poussière. Cela est dû à la poussée des moteurs. La poussière a été soulevée de la surface de la Lune et s’est dispersée dans l’atmosphère lunaire. Cependant, la quantité de poussière soulevée lors du décollage était généralement moindre que celle soulevée lors de l’alunissage. Cela est dû au fait que le LEM s’élevait plus lentement lors du décollage. La poussière soulevée par le LEM lors de son alunissage et de son décollage a eu un impact sur les missions Apollo. Elle a obscurci la vue des astronautes et a rendu difficile la navigation du LEM. »

    Pourtant le film du décollage15 de Apollo 17 que vous pouvez visionner ne montre pas de poussière, ce que l’IA ne nie pas.

    L’IA ne se « démonte » pas et trouve des explications pour le moins « pittoresques » :

    « Le film du décollage d’Apollo 17 ne montre pas de poussière pour plusieurs raisons.

    Premièrement, le LEM s’élevait plus lentement lors du décollage que lors de l’alunissage. Cela signifie que la quantité de poussière soulevée était moindre.

    Deuxièmement, le LEM était équipé d’un système de nettoyage de la poussière. Ce système utilisait des jets d’air pour souffler la poussière de la surface du LEM.

    Troisièmement, le film du décollage a été tourné avec une caméra à haute vitesse. Cela signifie que la poussière était plus difficile à voir sur le film.

    En plus de ces raisons, il est également possible que la poussière ait été soulevée par les vents lunaires avant que le LEM ne décolle. (Un petit Mistral dans le vide spatial…) Si c’est le cas, la poussière aurait été dispersée dans l’atmosphère lunaire avant que le film ne soit tourné. »

    À propos de la combustion et du panache qu’il devrait y avoir sous le Lem lors du décollage.

    Voici les réponses de l’IA :

    « Il y avait un panache de gaz incandescent lors du décollage du LEM. Le panache était causé par la chaleur extrême des gaz de combustion qui étaient expulsés par la tuyère du moteur.

    Les gaz de combustion étaient tellement chauds qu’ils étaient incandescents, c’est-à-dire qu’ils émettent de la lumière. Le panache de gaz incandescent était visible de loin, et il était un signe clair que le LEM décollait. Il était également un danger potentiel pour les astronautes, car il pouvait les brûler. Pour cette raison, les astronautes devaient porter des combinaisons spatiales spéciales qui les protégeaient de la chaleur. Le panache de gaz incandescent était un spectacle impressionnant, et il est un rappel de la puissance des moteurs à propergol solide. »

    « La longueur du panache incandescent lors du décollage du LEM variait en fonction de la vitesse d’ascension du LEM. Plus la vitesse d’ascension était élevée, plus le panache était long. En moyenne, la longueur du panache incandescent était d’environ 100 mètres. Le panache pouvait atteindre une longueur de 200 mètres lors des décollages les plus rapides.

    Voici quelques exemples de la longueur du panache incandescent lors du décollage du LEM : lors du décollage d’Apollo 11, le panache était long d’environ 150 mètres.

    Lors du décollage d’Apollo 17, le panache était long d’environ 200 mètres. »

    « Le panache incandescent du LEM a pu brûler et endommager la partie du LEM restée au sol. Cependant, les dommages étaient généralement mineurs. Dans certains cas, le panache incandescent a pu causer des dommages plus graves au MLD. Par exemple, il a pu faire fondre des composants électroniques ou endommager des structures métalliques. Lors du décollage d’Apollo 17, le bouclier thermique du MLD a été fondu et endommagé. »

    Rappelons que sur la vidéo de décollage du LEM de Apollo 17, il n’y a strictement aucune lumière en sortie de tuyère.

    Cela ne démonte toujours pas l’IA qui devrait faire une carrière d’acteur comique :

    « La vidéo du décollage du LEM d’Apollo 17 ne montre ni panache ni même une petite lumière sous le LEM qui s’élève pour plusieurs raisons.

    Premièrement, la vidéo a été tournée avec une caméra à haute vitesse. Cela signifie que chaque image est capturée en 4,16 millisecondes. La poussière et les gaz chauds du panache incandescent se déplacent rapidement, et ils peuvent donc être difficiles à voir sur une vidéo tournée à une vitesse aussi élevée.

    Deuxièmement, le LEM était équipé d’un système de nettoyage de la poussière. Ce système utilisait des jets d’air pour souffler la poussière de la surface du LEM. Cela a contribué à réduire la quantité de poussière soulevée lors du décollage.

    Troisièmement, le LEM était orienté de manière à ce que le panache incandescent soit dirigé vers le bas. Cela a également contribué à réduire la quantité de poussière et de gaz chauds visibles sur la vidéo. »

    Je lui ai alors demandé s’il avait une photo du décollage de Saturn V prise avec une caméra haute vitesse (pour voir si effectivement cela pouvait masquer les gaz).

    « Oui, il existe des photos du décollage de Saturn V depuis la Terre pour la mission Apollo 17 prises avec des caméras haute vitesse. Ces photos ont été prises par une caméra cinématographique Panavision Panaflex, qui pouvait filmer à une vitesse de 240 images par seconde. Les photos prises avec des caméras haute vitesse ont permis de capturer des détails qui ne seraient pas visibles avec des caméras standard. Elles nous donnent une vision plus claire du décollage de Saturn V et de la puissance de ce lanceur historique. »

    Et là il est censé me montrer « [Image de la fumée et la flamme du moteur de la fusée Saturn V décollant depuis la Terre pour la mission Apollo 17, prise avec une caméra haute vitesse] »

    Et « bizarrement », la 2e fois depuis le début de mon échange avec l’IA, encore à un moment « critique », cette photo n’apparaît pas. J’insiste et voici sa réponse.

    « Je suis désolé, je n’arrive pas à trouver cette image. Je l’ai recherchée dans le catalogue de la NASA et je ne l’ai pas trouvée. »

    « Il est possible que cette image n’existe pas ou qu’elle ne soit pas accessible au public.

    La NASA conserve de nombreuses images et vidéos de ses missions spatiales, mais certaines sont classifiées ou réservées à un usage interne. »

    Bref, vraiment la faute à pas de chance !

    Voici une photo capturée sur le film du décollage16 de Apollo 17 dont j’ignore si la caméra était à haute vitesse ou pas.

    Capture film décollage Apollo 11 à 500 images par seconde17.

    No comment!

    La vidéo du décollage du Lem de la mission Apollo 17 montre clairement une espèce de petit « prout » qui permet au LEM de se détacher de la partie basse. Cela fait un peu de lumière, un peu de poussière, puis le Lem semble quitter la Lune sans propulsion comme s’il était lui-même un ascenseur sans pesanteur. À se demander s’il n’était pas tiré par un câble.

    De plus, la lumière que nous voyons pendant les 13 premières secondes est clairement sur le côté du Lem et non en dessous sous les tuyères, cette lumière serait donc l’éclairage du soleil. Il n’y a donc aucune lumière créée par un moteur dont les gaz sont à « 2600 degrés et 100 bars » (IA).

    Or Google IA dit :

    « La vitesse de satellisation (vitesse minimale pour mise en orbite) du LEM lors de la mission Apollo était de 1,67 km/s à une altitude de 110 km »

    « La durée totale d’utilisation du moteur du LEM depuis le décollage de la Lune jusqu’à la vitesse de satellisation a été de 5 minutes et 42 secondes. »

    « Le moteur de descente du LEM a été allumé en trois étapes, chacune d’une durée de 2 minutes et 21 secondes. Entre le décollage de la Lune et la première extinction du moteur, il s’est passé 2 minutes et 21 secondes de poussée. Cette poussée a permis au LEM de s’élever de la surface de la Lune et d’atteindre une altitude de 10 km ».

    « La vitesse du LEM était d’abord nulle au moment du décollage.

    La poussée du moteur a ensuite donné au LEM une accélération constante de 2,9 m/s². En 2 minutes et 21 secondes, l’accélération constante a permis au LEM d’atteindre une vitesse de 1,2 km/s (4320 km/h). »

    Il est donc bien confirmé que le moteur était allumé constamment depuis le décollage et il devrait donc provoquer un panache lumineux de plus de 100m, ce qui n’est pas le cas sur la vidéo. La conclusion s’impose donc.

    Comment a été tourné le film du décollage du Lem ?

    Certains complotistes se demandent si le cameraman est encore sur place.

    Selon Google IA :

    « La caméra a enregistré le décollage du LEM de la mission Apollo 17 le 14 décembre 1972. Les images du décollage du LEM sont les seules images du décollage de la Lune filmées depuis la surface de la Lune. »

    « La caméra était contrôlée à distance depuis le module de commande et de service (CSM) (module en orbite). »

    « La caméra était équipée d’un système de télécommande qui permettait aux astronautes du CSM de contrôler la caméra depuis leur poste de pilotage. Les astronautes pouvaient utiliser le système de télécommande pour déplacer la caméra, zoomer et ajuster la luminosité. »

    « Le module de commande et de service (CSM) était en orbite autour de la Lune pendant que le module lunaire (LM) était sur la surface de la Lune. »

    « La durée durant laquelle le LEM pouvait voir le CSM en orbite était d’environ 1 heure et 10 minutes. Cette durée était déterminée par la période orbitale du LEM, qui était d’environ 1 heure et 10 minutes. »

    « En effet, le CSM était en orbite polaire autour de la Lune, ce qui signifie qu’il passait au-dessus de tous les points de la surface de la Lune. Il est donc possible que le CSM se trouvât sur la longitude opposée à la longitude du LEM au moment du décollage. »

    Si le Lem avait une fenêtre de tir d’environ 4 heures, il demeure totalement crédible de choisir une heure de décollage compatible avec la vidéo.

    En tous les cas un bel exploit technique. Une capsule Apollo à 110 km au-dessus de la Lune qui se déplace à 5000 km/h et qui arrive à capter pendant au moins 34 min (durée du film18 disponible, donc un déplacement de plus de 2500 km) et sans brouillage du signal, la vidéo d’une caméra au sol et renvoyer en temps réel des ordres de commande de la caméra (position, zoom, etc) le tout sans subir de perturbations radio du Lem en train de décoller. Il est bien entendu que l’antenne doit être réorientée vers les sites d’alunissage pour ne pas perdre le signal.

    L’absence de radiations sur les films et les photos.

    Comment serait-il possible d’avoir des photos aussi nettes et contrastées alors que les films argentiques auraient dû être impactés par les radiations aussi bien durant la prise de vue que durant leur retrait, leur mise à l’abri, voir même leur transport ?

    Exemple de pellicule altérée par des rayons X dans un aéroport, on voit bien une bande horizontale plus claire :

    Les fact-checkers affirment que les appareils et les films étaient protégés. Il est intéressant de voir que des photos prises à Tchernobyl sont marquées par les radiations.

    L’IA nous dit qu’ils avaient des appareils photo et des films spéciaux qui réduisaient les risques de 50 %, mais cela est en contradiction avec des données diffusées sur Internet. Alors que ces pellicules résistaient aux températures extrêmes aussi bien froides que chaudes, il semblerait que Kodak n’en ait pas fait un argument publicitaire.

    Là où ça tient du miracle, est que le temps de pose19 de certaines photos était très long20.

    IA :

    « D’autres photos, telles que des paysages lunaires ou des photos de la Terre depuis la Lune, ont également nécessité des temps de pose plus longs. Dans certains cas, les temps de pose pouvaient atteindre plusieurs minutes. » Temps durant lequel les films étaient bombardés de radiations. Je vous rappelle que tous les originaux ont été égarés.

    Pourquoi la capsule qui touche l’eau au retour sur Terre ne dégage-t-elle pas de la vapeur ou ne brûle pas les mains des techniciens qui font sortir les astronautes ?

    Et ce alors qu’elle était à quelques milliers de degrés Celsius quelques minutes avant durant la rentrée dans l’atmosphère. Comment les techniciens font-ils pour la toucher avec leur main sans se brûler après l’amerrissage ?

    Selon IA Google :

    « La température de la capsule Apollo durant la descente était extrêmement élevée. La capsule pénétrait dans l’atmosphère terrestre à une vitesse de 40 000 km/h. L’air de l’atmosphère était comprimé et chauffé par la vitesse de la capsule, atteignant des températures de 3 000 à 4 000 degrés Celsius ».

    La répétition

    Nous n’avons toujours pas réussi à retourner sur la Lune, prouvant ainsi l’extrême difficulté de l’opération.

    Si l’on se place en 1969 alors le succès de la mission relèverait du miracle. Dans ces conditions il eût été délirant de prendre le risque d’autres missions. Ce simple constat de la répétition affirme que nous étions dans une technologie totalement éprouvée et maîtrisée, ce qui est un peu ridicule quand on pense que l’on a « perdu » cette technologie (selon la NASA).

    Pérégrine devait se poser sur la Lune et redécoller il y a quelques jours et la mission s’est soldée par un échec.

    De plus la technologie du Falcon9 de Space-X qui permet aux boosters de retourner atterrir sur Terre à la verticale, exactement comme les LEMS, est présentée comme une « nouvelle technologie » innovante alors que c’était quasi routinier au début des années 1970.

    Falcon 9 a d’ailleurs connu de nombreux déboires.

    Voici une photo tirée d’un petit film présentant le Falcon 9 se poser21

    Que faire des témoignages d’astronautes qui disent qu’un jour on pourra quitter l’orbite terrestre ?

    « Leur langue a fourché, ce n’était pas ce qu’ils voulaient dire ? »

    La pierre lunaire du musée d’Amsterdam22.

    Il y a quelques années une expertise a été faite pour des motifs d’assurance qui est arrivée à la conclusion que c’était non pas une roche lunaire, mais du bois pétrifié. Notons que de nombreux États ont « perdu » leur pierre lunaire23. Nous parlons ici d’objets uniques et extraordinaires témoins du plus grand succès de l’humanité. « Oui, mais c’est peut-être juste des erreurs ! »

    Il est possible de trouver des roches lunaires en Antarctique et la NASA y est allée en 1966 et 1967.

    Expédition CNRS24 : « 25/01/2018. On a trouvé une météorite lunaire ! ».

    Futura-sciences25 :

    « Dans une nouvelle étude portant sur des météorites lunaires retrouvées en Antarctique, des chercheurs de l’ETH Zurich apportent la preuve que la Lune s’est bien formée à la suite d’un impact géant entre un corps planétaire et la Terre ».

    Voici ce qu’affirme l’IA de Google26 :

    « Les météorites lunaires sont très rares, mais on en a trouvé plus de 300 à ce jour. La plupart des météorites lunaires ont été trouvées en Antarctique, car la glace et la neige de ce continent ont aidé à préserver ces météorites rares. »

    « Il y a eu plusieurs expéditions menées conjointement par la National Science Foundation (NSF) et la NASA en Antarctique dans les années 1960 »

    « Wernher von Braun a participé à une expédition en Antarctique en 1966-1967. Il était accompagné de plusieurs autres membres de la NASA, dont Ernst Stuhlinger, Robert Gilruth et Maxime Faget. L’objectif de l’expédition était d’étudier les conditions de vie et de travail en Antarctique, dans le cadre de la préparation des missions Apollo. L’expédition a duré deux mois et a permis aux participants de collecter des données précieuses sur la météo, la géologie et la biologie de l’Antarctique. »

    « Wernher von Braun était le directeur du développement des lanceurs pour la NASA. Il a été responsable de la conception et de la construction de la fusée Saturn V, qui a permis aux missions Apollo d’atteindre la Lune. »

    La NASA affirme que nous ne pouvons pas retourner sur la lune parce que nous avons perdu la technologie et le savoir de 1969 !

    En premier lieu comment serait-il possible de perdre les données de l’événement le plus extraordinaire de l’humanité et nous aurions besoin d’une technologie totalement dépassée pour y parvenir aujourd’hui ?! C’est comme si nous avions besoin de la technologie du train à vapeur pour construire un TGV.

    L’astronaute de la NASA Dan Pettit27 l’a affirmé.

    Google IA :

    « Don Pettit est un astronaute américain de la National Aeronautics and Space Administration (NASA). Pettit est un pionnier de l’exploration spatiale.

    Il est un exemple de l’excellence scientifique et technique de la NASA. »

    « Don Pettit a affirmé que nous avions perdu la technologie pour aller sur la Lune.

    Il a fait cette affirmation dans une interview accordée au magazine Wired en 2013.

    Pettit a déclaré que la technologie utilisée pour les missions Apollo n’est plus disponible aujourd’hui. Les usines qui produisaient les composants de ces missions ont été fermées, et les connaissances et les compétences nécessaires pour les fabriquer ont été perdues. »

    « Si l’on considère que la technologie est simplement les composants physiques nécessaires à un voyage sur la Lune, alors il est possible que la technologie nécessaire soit encore disponible. Cependant, si l’on considère que la technologie comprend également les connaissances et les compétences nécessaires pour fabriquer et utiliser ces composants, alors il est plus probable que nous ayons perdu cette technologie. »

    Pourquoi ne voit-on aucune étoile dans les photos prises depuis la Lune ?

    Petite remarque « complotiste » : S’il y avait des étoiles sur les photos, nous aurions la possibilité actuelle de calculer le lieu et la date de la prise de vue.

    Les fact-checkers expliquent que les astronautes étaient présents de jour sur la face éclairée de la Lune et que la lumière du soleil masquait les étoiles comme sur Terre. Aux astronautes à qui l’on avait posé cette question, ceux-ci disaient ne pas se rappeler. Rappel : Il n’y a pas d’atmosphère sur la Lune.

    Question posée à l’IA de Google28 :

    « Puis-je voir les étoiles dans l’espace si le soleil est dans ma direction ? »

    Réponse :

    « Si vous regardez dans la direction du Soleil, vous ne verrez que la lumière du Soleil. Les étoiles seront cachées par la lumière du Soleil.

    Cependant, il est possible de voir les étoiles dans l’espace si le soleil est dans une autre direction. Par exemple, si vous êtes dans l’espace et que vous regardez dans la direction opposée au Soleil, vous pourrez voir les étoiles ».

    Alors pourquoi les astronautes n’ont-ils fait aucune photo avec le Soleil dans le dos ?

    Pourquoi sur les photos, même avec un temps de pose important et avec le soleil dans le dos ne voyons-nous pas les étoiles ?

    Selon l’IA :

    « Dans une interview accordée à la télévision américaine le 24 juillet 1969, Neil Armstrong a déclaré : “Nous n’avons pas pu voir les étoiles. La luminosité du soleil était telle que nous n’avons pas pu les distinguer”. Buzz Aldrin a également déclaré dans la même interview : “Nous n’avons pas pu voir les étoiles. La lumière du soleil était trop brillante.” »

    Le journal Le Parisien29 a débunké l’absence d’étoiles visibles sur la Lune :

    « En outre, en raison de l’absence d’atmosphère, le ciel reste noir de jour comme de nuit. Sur une photographie prise en 1968 par Apollo 8, “le premier lever de terre” ne montre pas d’étoiles. À notre échelle, c’est un peu le même phénomène dans un stade de foot la nuit. Vous voyez les joueurs, la pelouse, mais pas d’étoile ? C’est normal : il y a tellement de lumière pour éclairer le terrain qu’on ne perçoit plus le ciel étoilé. »

    Voici donc, selon le Parisien, une photo sans étoile « prouvant » que l’on ne peut pas les voir dans l’espace (et que les photographes n’auraient pas pu prendre une photo en visant plus haut) :

    Pourtant cette photo30 ci-dessous prouverait que l’on peut prendre en photo les étoiles depuis l’espace qui plus est avec un temps de pose très court (sinon les étoiles seraient en forme de traits du fait de la vitesse de l’ISS.)

    L’IA résume ainsi :

    « Si vous regardiez le Soleil directement dans l’espace, vous seriez immédiatement aveuglé. »

    « Si vous êtes dans l’espace, dos au soleil et qu’il y a un objet ou même la Lune ou la Terre qui sont éclairés par le Soleil, vous ne verrez pas des étoiles, car votre champ de vision recevra trop de lumière. »

    « Si vous êtes dans l’espace dos au Soleil et qu’il n’y a dans votre champ de vision ni objet proche, ni la Terre, ni la Lune, alors vous pourrez voir les étoiles encore plus brillantes que sur Terre »

    « Si vous êtes dans l’espace face au Soleil et que vous placez entre le Soleil et vous un cache qui masque tout le diamètre du Soleil, alors vous pourrez voir les étoiles. La raison en est que le cache bloquera la lumière du Soleil31, ce qui vous permettra de voir les étoiles qui sont derrière le Soleil. Cependant, il est important de noter que le cache doit être suffisamment grand pour masquer tout le diamètre du Soleil. Avec un peu de planification, vous pourrez voir les étoiles dans leur pleine splendeur dans l’espace, même si vous êtes face au Soleil. »

    Nous voici donc avec une IA « complotiste ».

    Pour le site Quora32, la réponse est encore plus drôle, il n’auraient pas eu le temps ?!

    Rappelons que si nous faisons la somme de toutes les missions spatiales c’est plus de 305 heures sur le sol lunaire, soit plus de 12 jours, et y’a pas un gars qui s’est dit que ce serait cool d’avoir une image des étoiles depuis la lune et d’autant que cela prouverait leur présence ?!

    Il va donc falloir m’expliquer pourquoi il n’y a AUCUNE étoile sur les photos prises sur la Lune, mais aussi pourquoi nombre de débunkers affirment qu’il est techniquement IMPOSSIBLE de les voir du fait de la lumière du soleil !

    Comment ont-ils climatisé la température de leur combinaison spatiale et comment ne sont-ils pas tombés malades en respirant de l’oxygène pur ?

    120 degrés sur la face exposée au soleil et moins 150 à l’ombre ? Des batteries au plomb très lourdes, très grosses et peu performantes existaient à l’époque.

    À ce propos Aldrin aurait déclaré qu’il faisait un peu froid dans le LEM la nuit alors même que cela aurait dû être l’inverse, les astronautes étant présents durant la période de jour et donc tout le temps au soleil.

    Un autre point, les astronautes respiraient de l’oxygène quasi pur pendant toute la durée du voyage.

    IA :

    «  les astronautes d’Apollo 11 respiraient le même mélange d’oxygène et d’azote dans le LEM et dans Apollo. Le mélange était composé de 99,5 % d’oxygène et de 0,5 % d’azote. »

    Chatgpt :

    « L’exposition prolongée à des concentrations élevées d’oxygène peut causer des dommages pulmonaires, des lésions oculaires, des problèmes respiratoires, des convulsions et d’autres complications potentiellement graves. »

    « Pour un individu de corpulence moyenne en bonne santé, respirer un mélange à 99,5 % d’oxygène et 0,5 % d’azote pendant une période allant jusqu’à quelques heures ne devrait normalement pas causer de symptômes significatifs. »

    « L’inhalation prolongée d’un tel mélange peut entraîner une diminution du niveau de dioxyde de carbone (CO2) dans le corps, car l’azote, qui est normalement présent dans l’air, dilue l’oxygène et permet l’élimination du CO2. Une baisse excessive du CO2 dans le sang peut entraîner des symptômes tels que la sensation de vertige, l’essoufflement, l’engourdissement des extrémités et l’altération de la conscience. »

    « Respirer un mélange à 99,5 % d’oxygène et 0,5 % d’azote pendant une période prolongée de 3 jours peut entraîner des risques et des symptômes potentiellement graves. L’exposition prolongée à des concentrations élevées d’oxygène peut causer des dommages aux tissus pulmonaires, des lésions oculaires, des problèmes respiratoires, des convulsions, des étourdissements, des troubles de la coordination et d’autres complications potentiellement graves. De plus, une exposition prolongée à de l’oxygène à des concentrations élevées peut perturber l’équilibre normal des gaz dans le corps, ce qui peut avoir des effets néfastes sur le système nerveux central. Cela peut entraîner des symptômes tels que des convulsions, des étourdissements, des troubles de la coordination, des maux de tête, une altération de la conscience et, dans des cas graves, des lésions cérébrales. »

    Ça m’intéresse33 :

    « Au-delà d’une centaine d’heures, des lésions se forment dans les couches internes des vaisseaux sanguins et dans les alvéoles pulmonaires, provoquant la mort. Avant cette échéance, l’hyperoxie (excès d’oxygène) peut provoquer des dégradations de la rétine, du foie, des reins et des intestins. »

    IA google :

    « Apollo 11 : 192 heures sous oxygène. Apollo 14 : 240 heures sous oxygène. Apollo 15 : 301 heures sous oxygène quasi pur. »

    Précisons que les astronautes étaient sous une pression de 0,3 bar.

    ChatGpt :

    « La réduction de la pression en oxygène à 0,3 bar (ou 0,3 fois la pression atmosphérique terrestre) présente certains avantages potentiels, mais elle comporte également des risques et des considérations importantes. Cependant, une pression en oxygène réduite peut également entraîner des effets néfastes sur le corps humain. À des pressions en oxygène plus basses, il peut devenir plus difficile pour les poumons de diffuser suffisamment d’oxygène dans le sang. Cela peut entraîner une hypoxie, c’est-à-dire une diminution de l’apport en oxygène dans les tissus corporels, ce qui peut avoir des conséquences graves pour la santé et le fonctionnement du corps. Une pression en oxygène réduite peut également augmenter le risque de développer le mal de décompression, qui survient lorsque la pression ambiante diminue rapidement, entraînant la formation de bulles d’azote dans le sang et les tissus. C’est un risque important lorsqu’il s’agit d’activités spatiales ou de plongée sous-marine. »

    Sur la bible ?

    Que dire de tous les astronautes qui sont allés sur la Lune et ont tous refusé de jurer sur la Bible qu’ils y étaient allés ? Et ce d’autant plus que les journalistes ajoutaient qu’ils donneraient alors des milliers de dollars à des associations caritatives ?

    Je vous rappelle qu’aux USA, il est extrêmement grave de mentir sur la Bible. « Cela ne prouve rien, rien ne les obligeait à jurer ! »

    Une mort bien étrange

    IA :

    « Un inspecteur de sécurité a mis en lumière les problèmes techniques entourant la mission Apollo 1. Thomas Ronald Baron était un inspecteur de contrôle qualité et de sécurité pour la NAA qui a été très critique à l’égard de la NASA et de son protocole pendant le projet Apollo. Baron a publié un rapport de 55 pages détaillant les lacunes et le désarroi dans lequel se trouvait le programme.

    Le rapport de Baron a été jugé trop critique et disproportionné, peu de ses affirmations ayant une réelle crédibilité. À un moment donné, il a témoigné devant le Congrès, affirmant que, dans les circonstances actuelles de la NASA, nous n’atteindrions jamais la Lune. Cependant, beaucoup n’ont pas prêté attention à Baron et pensaient qu’il était potentiellement utilisé comme un pion dans la campagne du sénateur Walter Mondale visant à dénoncer et à démanteler la NASA pour ses dépenses inutiles.

    Baron a été licencié par la NAA pour avoir divulgué son rapport à la presse, tandis que sa société a nié la majorité de ses critiques. Il est apparu plus tard que de hauts responsables avaient vérifié la crédibilité d’au moins la moitié de ses affirmations.

    Quelques semaines plus tard, la catastrophe d’Apollo 1 s’est produite et Baron a commencé à transformer son rapport de 55 pages en un rapport de 500 pages condamnant la NASA et la NAA pour les échecs qui ont conduit à la tragédie. Curieusement, une semaine plus tard, Baron et sa famille furent tués lorsque leur voiture fut heurtée par un train. La cause du décès a été jugée accidentelle et aucune autopsie n’a été pratiquée. Le rapport de 500 pages de Baron a été détruit (a disparu) et n’a jamais été publié. »

    « À la page 280 du livre de Mike Gray Angle of Attack : Harrison Storms and the Race to the Moon34 (1992), Gene Kranz, directeur de vol de la NASA dans les missions Gemini et Apollo, aurait déclaré : “C’était comme un camp d’entraînement. Nous avons pris nos meilleurs contrôleurs et en avons fait des instructeurs. Ils ont martelé les maillons faibles jusqu’à ce qu’ils se brisent. […] Certains gars sont morts d’une crise cardiaque. D’autres se sont suicidés.” »

    Comment garder un tel secret ?

    Un argument de taille des débunkers consiste à dire qu’il eut été impossible de garder une telle supercherie secrète.

    À cela nous pouvons répondre : « Projet Manhattan ».

    IA :

    « Le nombre de personnes impliquées dans le programme qui a permis de créer la première bombe nucléaire est estimé à environ 130 000. Ce chiffre comprend les scientifiques, les ingénieurs, les ouvriers, les militaires et les autres personnes qui ont travaillé sur le projet Manhattan, le nom de code du programme.

    Le projet Manhattan a été lancé en 1941 par le gouvernement américain. Le projet Manhattan a été un effort colossal, qui a nécessité des ressources considérables. Le gouvernement américain a investi plus de 2 milliards de dollars (37 milliards de dollars d’aujourd’hui) dans le projet, et des milliers de personnes ont travaillé sur le projet dans des laboratoires et des installations dispersés aux États-Unis et au Royaume-Uni. Le grand public a été informé de l’existence du projet Manhattan le 16 juillet 1945, le jour du test de la première bombe nucléaire à Alamogordo, au Nouveau-Mexique. »

    Ceci est la preuve qu’il est possible de garder un secret pendant des années notamment grâce au cloisonnement des tâches. Chacun travaille dans son coin, dispose d’une partie du projet en ignorant la totalité.

    IA :

    « On estime que seulement environ 10 % des personnes impliquées, soit environ 13 000 personnes, connaissaient l’objectif global du projet. »

    Si votre objectif était de mettre en place un faux voyage vers la Lune, il suffirait de très peu de personnels dès lors que tous les autres croiraient que tout ceci est réel. En tous les cas largement moins que pour le projet Manhattan.

    Si vous deviez mener cette opération secrète

    • La NASA était la seule source d’informations au même titre que Pfizer était la seule source de données sur « l’efficacité vaccinale ».
    • Au niveau politique et administrateurs de la NASA, il suffirait d’une poignée de personnes.
    • La fabrication du faux studio et des effets spéciaux simulant l’absence de pesanteur se justifierait pour des entraînements, il ne serait pas nécessaire de divulguer le secret à ce personnel.
    • La fabrication d’un centre de contrôle bis se justifierait pour des raisons de sécurité et redondance.
    • Le seul personnel au courant serait donc l’équipe du centre de contrôle bis qui gérerait le vol spatial en orbite autour de la Terre pendant 3 jours pendant que les astronautes seraient censés quitter l’orbite terrestre, voyager ver la Lune, orbiter, se poser, redécoller et revenir vers la Terre. (La fusée peut aussi fonctionner à vide, sans astronautes.)
    • Une autre partie du personnel bis se chargerait de la communication avec le centre de contrôle principal. Ils fourniraient les faux échanges avec les acteurs et les fausses données censées venir de l’espace et de la Lune.
    • Le centre de contrôle principal croirait de bonne foi qu’il communiquerait avec des astronautes et une fusée à 400000 km de la Terre.
    • L’équipe de tournage se chargerait de filmer le vol vers la Lune et les phases lunaires en temps réel comme si c’était une émission en direct. Quoi de mieux que choisir un metteur en scène qui aurait tourné « 2001, l’odyssée de l’espace », sorti en avril 1968 ?
    • Les acteurs seraient connus, il n’y en a que trois.

    Les phases de préparation, de décollage de la fusée, de mise en orbite, de descente vers la Terre, de récupération des astronautes dans le pacifique demeureraient réelles et gérées par le personnel de la NASA et du centre de contrôle principal qui ignorerait tout de la supercherie.

    De fait la quasi intégralité des membres de la NASA et des militaires ne serait pas informé de l’escroquerie et le nombre de personnes dans le secret des dieux serait largement inférieur aux 13 000 du projet Manhattan, quelques centaines à tout casser.

    Bref rien de bien compliqué lorsque l’on a réussi à cacher pendant des années la mise au point de la première bombe atomique.

    Faits en vrac et non exhaustifs

    • Que dire des confessions qu’aurait faites Stanley Kubrick35 peu de temps avant son décès ? Kubrick qui, sans le moindre doute, fait de fortes allusions à Apollo 11 dans son film Shining36 alors même que Stephen King n’en parle pas dans son livre.
    • Que dire de Buzz Aldrin37 qui avoue à une petite fille que nous ne sommes jamais allés sur la Lune ?
    • Que dire de Thomas Pesquet38 qui s’emmêle les pinceaux et qui dit que c’est un endroit où nous ne sommes jamais allés ? Il a fait plusieurs interviews,39 dont une se demandant si c’est humainement possible d’aller, « aussi loin qu’un être humain s’est jamais éloigné de la terre ».
    • Que dire de toutes les pertes de la NASA,40 dont le film original des premiers pas d’Armstrong, sur la Lune ?
    • Que dire de l’IA de Google qui énonce à Poutine41 que les films de l’alunissage sont des faux ?

    Il existe bien sûr des dizaines d’autres sujets qui questionnent la « vérité » officielle et j’invite les lecteurs curieux à regarder le documentaire de 3 h 30, « American Moon42 ». ou « Que s’est-il passé sur la Lune43 » de 1 h 58.

    Des preuves pour affirmer que la Lune est un fake ?

    Non, je n’ai pas la moindre preuve hormis des faisceaux d’indices.

    • Quand bien même des scientifiques et des astronautes, même de la NASA, affirment que l’on ne peut pas traverser la ceinture de radiation de Van Allen ou supporter les rayons cosmiques, cela n’apporte pas la preuve que personne ne l’ait fait.
    • Le fait que l’ISS soit en orbite basse protégée par le magnétisme de la Terre n’est pas une preuve. Ce fait m’a questionné depuis l’enfance « pourquoi un truc aussi nul ? ».
    • Le fait que la technologie de l’époque fut plus que rudimentaire au regard des difficultés n’est pas une preuve.
    • Le fait que les astronautes aient respiré de l’oxygène pur pendant une période longue sans développer de symptômes plus ou moins graves n’est pas une preuve.
    • Le fait que des astronautes contemporains disent que l’on n’a jamais quitté l’orbite de la Terre n’est pas une preuve.
    • Le fait qu’il n’y ait aucun cratère d’impact sous le Lem et qu’en plus la zone ait de nombreuses traces de pas, la poussière étant restée ne serait pas une preuve.
    • Le fait qu’aucun astronaute qui est allé sur la Lune n’ait accepté de jurer sur la Bible y être allé n’est pas une preuve.
    • Le fait que sur des images de la Terre prises par les astronautes on voit un nuage immense qui parcourt tout le globe n’est pas une preuve. IA : « Le nuage le plus grand jamais photographié est un nuage lenticulaire, également connu sous le nom de nuage d’onde, qui a été photographié au-dessus des montagnes de l’Himalaya en 2009. Le nuage mesurait environ 1 000 kilomètres de long et 500 kilomètres de large. »

    Ici nous voyons un nuage d’environ 9000 km.

    • Le fait que Buzz Aldrin ait dit que nous n’étions jamais allés sur la Lune n’est pas une preuve.
    • Le fait que la seule mission Apollo qui n’ait pas réussi à se poser sur la Lune fut Apollo 13, treize, cela ne s’invente pas, n’est pas une preuve.
    • Le fait que (toutes ?) les photos, films, audios, vidéos soient des faux n’est pas une preuve.
    • Le fait que de nombreuses pierres lunaires aient été perdues et qu’une fut du bois pétrifié n’est pas une preuve.
    • Le fait que l’on puisse trouver des roches lunaires en Antarctique et que la NASA y ait fait une expédition en 1966 et 1967 avec von Braun n’est pas une preuve.
    • Le fait que Stanley Kubrick eut tourné un faux alunissage et qu’il eut avoué à la fin de sa vie n’est pas une preuve.
    • Le fait que de nombreuses personnes critiques soient mortes dans des circonstances pour le moins étranges n’est pas une preuve.
    • Le fait que la NASA ait perdu les originaux des films et des photos n’est pas une preuve.
    • Le fait que l’on ne soit toujours pas capable d’y retourner avec une technologie infiniment supérieure, que la NASA ait « perdue » la technologie des années 60 n’est pas une preuve. (Nous ne savons toujours pas construire les pyramides et pourtant elles existent.)
    • Le fait que les Soviétiques aient renoncé n’est pas une preuve.
    • Le fait est qu’il eut été impossible de reculer. Tout allait mal en 1968, la guerre au Vietnam, l’assassinat de Martin Luther King, l’assassinat de Robert Kennedy, etc. Et que l’astronaute Jim Lowell Apollo 8 déclarait44 « L’année 68 a été une année désastreuse, les choses allaient mal ; on avait besoin de quelque chose de positif pour donner au peuple américain un sentiment de réussite. » n’est pas une preuve.
    • Le fait que cela coûtait une fortune, 288 milliards actuels, que le succès tenait du miracle et qu’il eut été dingue et irresponsable de retenter sa chance et de prendre le risque d’un échec retentissant, et qui plus est plusieurs fois de suite, n’est pas une preuve.
    • La fusée Atlas au début des années 60 avait eu 7 échecs. À propos du câblage défectueux de Apollo 1, Gus Grissom « je ne peux rien dire sinon je me fais virer ». IA « Le 27 janvier 1967, une tragédie a frappé le programme spatial américain. Trois astronautes, Virgil Grissom, Edward White et Roger Chaffee, ont été tués dans l’incendie de la capsule Apollo 1 lors d’une répétition générale avant lancement » soit 2 ans et demi avant le lancement de Apollo11. Il aurait aussi déclaré « Comment pouvons-nous aller sur la Lune si nous ne sommes pas capables de parler entre deux bâtiments ? » Notons que la famille Grissom et notamment son fils Scott45 auraient suggéré que son père avait été assassiné pour le faire taire parce qu’il en savait trop. Le 6 mai 1968, Armstrong46 s’est éjecté du module d’essai simulant l’alunissage du LEM qui s’est écrasé au sol. « Le 6 mars 1969, lors du vol d’essai non habité du module lunaire Spider (LEM-3) pour la mission Apollo 9. Lors de ce vol d’essai, le module lunaire Spider s’est séparé du module de commande et de service (CSM) en orbite terrestre basse. Cependant, lors de la manœuvre de réallumage du moteur du module lunaire pour revenir vers l’orbite du CSM, une défaillance du moteur s’est produite. Cette défaillance a rendu le réallumage du moteur impossible, ce qui a entraîné l’incapacité du module lunaire à rejoindre le CSM et à effectuer un rendez-vous spatial. » Ces événements (il y en a d’autres) montrant que cela n’allait pas si bien ne sont pas pour autant des preuves de la supercherie.
    • Le fait que Collins ait dit dans le documentaire d’Arte « Le jour du lancement, c’était un peu bizarre… mais quand on est arrivé au pied de cette tour de montage gigantesque tout était vide, il n’y avait personne c’était le désert, d’habitude il y avait des dizaines de techniciens, ça grouillait comme une fourmilière, on était au milieu d’une foule de gens, mais tout à coup il n’y avait plus un chat, et je me suis dit bon sang ils savent peut-être quelque chose que j’ignore » n’est pas une preuve.

    Tout ceci, et bien d’autres, ne sont pas des preuves formelles !

    Et si ce qui suit était la « preuve » ?

    Les premiers astronautes qui sont allés sur la Lune sont sans doute ceux qui « prouveraient » le mieux la supercherie.

    • Imaginez-vous revenir du premier voyage sur la Lune.
    • Imaginez-vous être encore vivant, ce qui relève du miracle quand on pense à toutes les premières mondiales et au nombre d’événements dramatiques qui auraient pu conduire à la catastrophe.
    • Imaginez-vous être le premier être humain à avoir accompli le plus grand exploit de l’humanité.
    • Imaginez-vous être considéré comme le plus grand héros adulé de tous les temps !
    • Imaginez votre état d’esprit, quand bien même vous seriez épuisé, comme un vainqueur de marathon peut l’être.
    • Imaginez votre état d’esprit même si vous aviez perdu une main ou vos 2 jambes.
    • Imaginez même que 30 secondes avant de pénétrer dans la salle vous vous étiez fait engueuler comme du poisson pourri par le directeur de la NASA.

    Maintenant rappelez-vous lorsque vous gagnez un match de tennis contre votre cousin ou des photos des premiers hommes qui ont vaincu l’Everest47.

    Disons-le franchement, le superbowl à côté c’est de la merde !

    Vous pourriez même pisser dans le bureau ovale du Président des USA que l’on ne vous dirait rien !

    Et là, lors de cette interview de retour victorieux sur le plancher des vaches, vous faites quoi48 ?

    Je vous rappelle que la salle est en délire et que :

    VOUS AVEZ MARCHÉ SUR LA LUNE !!

    Vous, les trois astronautes, pas un, pas deux, mais tous les trois, vous faites une tête d’enterrement et pas qu’un peu.

    Le moins que l’on puisse dire est que vous n’êtes visiblement pas heureux et extrêmement gênés d’être présents.

    Alors voyez-vous sur la vidéo de la conférence de presse des astronautes triomphants qui reviennent de la Lune ou des complices, bien malgré eux, d’une vaste escroquerie dont ils ne sont pas fiers ?

    Ils sont à ce point mal à l’aise qu’ils n’arrivent même pas à faire semblant alors qu’ils ont dû être briefés auparavant.

    Photo en janvier 1969 lors de leur sélection

    Photo de retour de la Lune en septembre 1969

    J’ai beau triturer mon cerveau, je ne vois aucune raison autre que le faux alunissage pour expliquer leur comportement et leur attitude.

    Une fois de plus, les défenseurs de l’Église de la Vérité lunaire pourront vous montrer des dizaines de vidéos (réelles) dans lesquelles les astronautes sont extrêmement joyeux et vont balayer cette réalité.

    Je vais rappeler une dernière fois le contexte.

    • Un Président fait une annonce folle, qui plus est, avec une date butoir (avant 1970).
    • Les plus grands scientifiques se lancent avec enthousiasme et innocence.
    • Des astronautes, d’anciens militaires patriotes comme il se doit, sont recrutés.
    • Plus le temps passe et plus les catastrophes s’enchaînent, on s’approche dangereusement de 1969.
    • L’année 68 est horrible pour l’Amérique qui ne peut se permettre ni un renoncement ni un échec retentissant de plus.
    • Il ne reste que l’année 1969 pour tout mettre au point, mais ils sont confrontés au mur de la réalité qui est toujours présent en 2024 avec l’échec de l’atterrisseur Pérégrine qui devait alunir et redécoller et qui au final a terminé son existence en brûlant dans l’atmosphère terrestre.
    • La seule possibilité qui reste est donc la tromperie.
    • Une poignée de personnes est informée de l’opération « Fake Moon ».
    • Même ceux qui tournent les fausses images ignorent qu’elles seront diffusées comme des vraies. On leur fait croire que c’est un entraînement et à certains on explique qu’en cas de problèmes techniques de communications avec la Lune, nous diffuserons ces images de Terre (ce qui se pratique toujours à la NASA).
    • Même le personnel du centre de contrôle ignore échanger et recevoir des images d’un studio et croit sincèrement être en relation avec ces hommes sur la Lune. Il n’est donc pas nécessaire de prévenir grand monde. Plus il y a de personnes qui croient que c’est possible et qui croient ce qu’ils voient, plus le mensonge sera crédible et moins il y aura de risques de fuites.
    • Rappelons qu’une dizaine de personnes seraient décédées dans des circonstances mystérieuses49. Précisons que le documentaire « Conspiracy Theory » présenté par la Fox (chaîne nationale) en 2001 est bien caché sur le net.
    • Les astronautes sont d’anciens militaires et des patriotes. Une fois mis dans la confidence ils ne peuvent qu’accepter POUR LES USA !
    • Paradoxalement leur mensonge leur permet d’être réellement des héros, ils sont des sauveurs des USA même si ce n’est qu’une fiction. Rappelez-vous les militaires qui tournaient des films totalement bidon durant la 2e guerre mondiale et qui permettaient de susciter des vocations d’engagement, des récoltes de fonds, mais surtout une adhésion du peuple à la guerre. Leurs mensonges ont permis la « victoire du bien ». On peut donc voir ces astronautes comme des héros de l’Amérique qui peuvent donc se prendre au jeu d’autant plus qu’ils agissent pour le bien de leur nation.
    • Dans ces circonstances, les astronautes n’ont de choix que de se mentir à eux-mêmes, se prendre au jeu ou se suicider.
    • Leur tête d’enterrement lors de la conférence ne serait qu’un retour de conscience du type « Moi l’homme intègre, moi l’homme de foi je suis complice et acteur du plus gros mensonge de tous les temps ».

    Analogie de l’escroquerie

    Si j’étais un explorateur et je vous demandais une énorme somme d’argent pour faire un voyage dans un coin reculé du Sahara, au-delà d’un champ de lave, pour planter un drapeau et qu’au « retour » :

    • Je vous rapporte du sable que j’aurais pu collecter chez moi grâce au sirocco.
    • Je vous dis que je n’ai aucun témoin (sur la Lune cela va être difficile).
    • Je n’ai aucune photo ni film avec des étoiles en fond pour prouver ma position.
    • Je n’ai pas eu le moindre problème pour traverser un champ de lave réputé infranchissable dont certains affirment qu’il est extrêmement dangereux.
    • Je vous rapporte des photos et des films qui sont peut-être tous des faux et en plus j’ai perdu les originaux qui pourraient éventuellement me dédouaner.
    • Je n’avais aucun GPS (cela n’existait pas) qui aurait pu prouver mes déplacements.
    • Les photos satellites (en direct) sont incapables de montrer mon bivouac et le drapeau.
    • Un échec eût été inenvisageable pour mes sponsors (gouvernement, NASA, etc.).
    • C’est un exploit tellement extraordinaire que 50 ans plus tard, les spécialistes disent que personne ne sait faire ce voyage et qu’ils y travaillent pour pouvoir y parvenir.

    Me croyez-vous ?

    Les éléments constitutifs du crime pourraient être :

    • Le mobile principal serait de cacher l’échec des USA à envoyer des hommes sur la Lune et les mobiles secondaires seraient nombreux : vénaux, politiques, humilier les Russes, grandeur de l’Amérique, survie de la NASA, survie d’un programme spatial, etc. Tout faire pour que le monde ignore l’échec du projet.
    • L’élément matériel : faux documents, faux films, faux enregistrements, fausses roches lunaires, fausses déclarations, dissimulation de preuves potentiellement compromettantes (documents originaux, données de vols « perdues »), etc.
    • L’infraction qui consiste à mentir, manipuler, tromper, escroquer l’argent des contribuables et peut-être même tuer pour cacher le crime.
    • Le caractère prémédité intentionnel et préparé. Nous ne sommes pas dans « l’accidentel ».
    • Pour les circonstances aggravantes, nous avons la réitération du crime avec les missions Apollo suivantes.

    Autant il est difficile de prouver que l’on est allé sur la Lune, même la possession de roches lunaires ne constituant pas une preuve, autant les indices de l’inverse ne manquent pas.

    Soit et alors ?

    La théorie qui affirmerait que le programme lunaire est un fake ne reposerait pas sur UNE preuve, mais sur un ensemble impressionnant de faisceaux d’indices, de mensonges avérés, de témoignages d’astronautes et de mobiles du crime.

    Quand bien même vous ne seriez pas convaincu, cela mérite à minima enquête et ne peut être rejeté par le simple argument « complotiste ».

    Nous connaissons les méthodes des débunkers :

    • Interroger des « spécialistes » qui à coup de sophismes confirment.
    • Ne surtout pas enquêter ni donner la parole aux contradicteurs ou permettre le débat.
    • Se placer non pas au centre de l’échiquier, mais uniquement en gardien de la Foi.
    • Discréditer tout « blasphème ».
    • Faire de la conclusion et de la doxa une preuve que c’est possible, « Affirmer c’est prouver ».
    • Ne jamais chercher la vérité, mais démontrer, même jusqu’à l’absurde, que le scénario s’est déroulé tel que décrit.

    Cette méthode est utilisée pour toutes les thèses « complotistes ».

    Imaginons donc, très très difficile pour le commun des mortels biberonné aux mensonges depuis l’enfance qui n’a pas pris la pilule rouge, imaginons-donc que l’Homme ne soit jamais allé sur la Lune.

    Vous pourriez vous dire qu’il y a prescription que c’était une autre époque, la guerre froide.

    Ajoutons que la NASA a réitéré le mensonge avec les missions Apollo suivantes alors qu’elle aurait pu se faire discrète.

    Pour qu’il y eût prescription, il eût fallu que le crime fût avoué et que la NASA cessât de mentir sur d’autres sujets, ce qu’elle continue de faire à une échelle que je ne maîtrise pas.

    Nous voyons par exemple certaines vidéos50 de l’ISS51 dans lesquelles des objets tombent au sol alors qu’il n’y a pas de gravité ou des bulles d’air se forment dans l’espace. Ceci pour dire que les mensonges n’ont pas (totalement) cessé depuis.

    Il faut dire que si le crime était révélé, ce serait potentiellement l’arrêt de mort de la NASA.

    Pour l’IA de Google

    « En plus de leurs carrières et de leurs vies personnelles, les trois premiers astronautes sur la Lune ont également eu un impact durable sur la culture populaire. Ils sont devenus des icônes de l’exploration spatiale et leur histoire continue d’inspirer les gens du monde entier. »

    On dirait une pub pour un film hollywoodien.

    Si comme je le pense du fait de la quantité énorme d’indices et de faits, nous ne sommes jamais allés sur la Lune52 alors, dit en termes simples, c’est quand même dégueulasse de nous l’avoir fait croire (et continuer) alors que nous ne serions même pas capables de quitter l’orbite terrestre.

    Au-delà de…

    Découvrir la vérité sur les missions spatiales ouvre la boîte de Pandore. Dès lors que vous avez la conviction qu’ils peuvent nous mentir à ce point, dès lors que vous savez qu’ils sont prêts à vous décrédibiliser, vous ridiculiser, détruire votre carrière ou pire pour vous faire taire, alors vous savez qu’ils sont capables de tout et le peuvent sur tous les sujets dits « complotistes ».

    Si le fake lunaire est une réalité alors cela devrait clore l’usage du mot « complotiste », mais en revanche crédibiliser le mot « comploteur ».

    Je ne vais pas reprendre pour la énième fois la liste de tous les complots potentiels dont nous sommes les victimes directes ou indirectes, JFK, 11 septembre, Covid, vaccins, guerre en Ukraine, etc. Toute personne lucide sur « l’homme qui a marché dans le Nevada » se devrait de ne plus balayer les théories discréditées d’un simple revers de main avec mépris ou sourire narquois.

    Les médias, les politiques, les scientifiques

    Bien entendu le mensonge sur les missions lunaires décrédibilise totalement la parole des médias mainstream qui continuent de se moquer ou dénigrer ceux qu’ils appellent « complotistes ».

    Je crois en l’effet domino, si nous faisions tomber l’escroquerie lunaire, alors les autres pourraient suivre.

    Merci

    Alain Tortosa53
    22 janvier 2024
    https://7milliards.fr/tortosa20240122-on-a-marche-sur-le-nevada-ou-sur-la-lune.pdf





    En voulant nier le Grand Remplacement, il montre son existence

    [Source : bvoltaire.fr]

    Le détracteur de Renaud Camus démontre le Grand Remplacement

    Par Jany Leroy

    Il ne pleut pas, ce sont des gouttes d’eau qui tombent. Les téléspectateurs ayant bien assimilé la démarche intellectuelle du démographe Hervé Le Bras vont pouvoir suivre ses explications. Le chantre de la négation du Grand Remplacement est l’invité de l’émission de France 5 consacrée au « réarmement démographique » évoqué par Emmanuel Macron. Les quelques farfelus de droite et autres complotistes présents devant leur écran vont devoir en convenir. Renaud Camus a tort. Son détracteur va éclairer le phénomène migratoire tel que constaté à ce jour. Un peu de réalisme, que diable : « Actuellement, il faut savoir que la croissance de la population française, l’année dernière, est assurée pour les quatre cinquièmes par l’immigration. » Il ne neige pas, ce sont des flocons qui tombent. Grand Remplacement, mon œil ! Il s’agit simplement de 80 % de l’accroissement de la population française qui sont assurés par des familles d’origine étrangère, si l’on en croit ce grand spécialiste.

    Au terme de son explication enjouée, Hervé Le Bras cite l’exemple merveilleux de l’Allemagne. « Il n’y a pas que la natalité pour assurer la survie d’un continent », assène-t-il. Culture, religion, mœurs, compatibilité de cohabitation ? Le démographe de gauche ne jure que par sa calculette. Un papa + une maman = plein de bébés. À ce troupeau d’antilopes en mal de naissances, il fournira des lionceaux. Le compte est bon. Troupeau suivant. Des Européens ? Par ici, Africains, Esquimaux ou Japonais, que sais-je. Avec la sensibilité d’un gestionnaire de stock de surgelés, le mondialiste se fait fort de relancer la démographie des nations. À un manque de trois palettes de petits pois, il saura compenser par un arrivage de haricots verts. Hervé Le Bras est à l’immigration ce que le grossiste est au marché international de Rungis. Excepté la vérification de la qualité des produits commandés, tout les rassemble.


    Le Grand Remplacement selon Renaud Camus

    L’appel à la Résistance de Renaud Camus – Horizon Québec Actuel (horizonquebecactuel.com)
    (Cliquer sur l’image pour lancer la vidéo)



    Transcription

    L’immigration est devenue invasion, l’invasion submersion migratoire.

    La France et l’Europe sont cent fois plus colonisées, et plus gravement, qu’elles n’ont jamais colonisé elles-mêmes. La colonisation irréversible, c’est la colonisation démographique, par transfert de population.

    Certains disent qu’il n’y a pas colonisation parce qu’il n’y a pas conquête militaire. Ils se trompent. L’armée de la conquête, ce sont les délinquants petits et grands, tous ceux qui rendent la vie impossible aux Français en leur nuisant de toutes les façons imaginables, des trop fameuses incivilités jusqu’au terrorisme, qui n’en est que le prolongement. Tous les auteurs d’attentats ont fait leurs premières armes dans la délinquance de droit commun. Il n’y a d’ailleurs pas de terroristes. Il y a un occupant qui, de temps en temps, exécute quelques otages, nous, comme l’ont toujours fait tous les occupants. J’appelle occupants tous ceux qui se déclarent tels, ou s’affichent tels par leur comportement.

    Le changement de peuple, la substitution ethnique, le Grand Remplacement, sont l’événement le plus important de l’histoire de notre pays depuis qu’il existe, puisqu’avec un autre peuple l’histoire, si elle continue, ne sera plus celle de la France. La France a toujours à merveille assimilé des individus qui désiraient l’être, elle ne peut pas assimiler des peuples, et encore moins des peuples hostiles, vindicatifs, voire haineux et conquérants. Il faut une vanité sans nom, et une méconnaissance totale de ce que c’est qu’un peuple, pour imaginer qu’avec une population changée la France serait encore la France. Tous les mots sont menteurs mais le plus menteur de tous est celui de français, hélas. Il n’y a pas de djihadistes français, par exemple. S’ils sont djihadistes, ils ne sont pas français.

    Croire qu’il n’y a en France que des Français est une illusion totale. Il y a des envahisseurs et des envahis, des colonisateurs et des colonisés, des occupants et des occupés.

    On ne met pas fin à une colonisation sans le départ du colon : l’Algérie en son temps nous l’a assez montré, hélas — bonne occasion pour nous de souligner, au demeurant, la différence de civilisation.

    On ne met pas fin à une occupation sans le départ de l’Occupant. Il n’est d’autre issue que la remigration. Les mêmes qui la déclarent impraticable veulent faire venir en Europe quarante millions de migrants, quand ce n’est pas deux cents millions. Ils proclament l’homme entré dans une ère de migration générale. Qu’il migre et remigre, alors. Ce qui est possible dans un sens doit bien l’être dans l’autre, avec plus de moyens et de douceur.

    L’heure n’est plus à la politique, aux élections, aux partis. 2022 est trop loin, le changement de peuple sera alors trop avancé, les remplaçants seront les arbitres de la situation, à moins qu’ils n’en soient tout à fait les maîtres. Et il n’y a, de toute façon, aucune chance de l’emporter jamais à un jeu dont l’adversaire possède toutes les cartes et dont il a fixé toutes les règles. Le pouvoir, ses banques, ses juges et ses médias veulent la substitution ethnique. Ils ne nous en protègent pas, ils l’organisent et la promeuvent. Ils ont drogué le peuple à l’accepter, par l’enseignement de l’oubli, la déculturation, la censure, la répression et les injections permanentes de haine de soi. Ils n’importent pas des travailleurs, d’autant qu’il n’y pas de travail et qu’il y en aura de moins en moins. Ils importent de futurs consommateurs, qu’ils ne se donnent même plus la peine de faire passer pour des réfugiés puisque l’immense majorité de ces migrants vient de pays où il n’y a pas la moindre guerre : orphelins, malades, jeunes gens aventureux ou conquérants, adolescents qui se sont disputés avec leurs parents ou qui ont eu maille à partir avec la police, commerçants qui ont fait de mauvaises affaires.

    Vous dites que ces futurs consommateurs n’ont pas d’argent. Détrompez-vous, demain ils auront le vôtre, car les prétendus transferts sociaux ne sont, à la vérité, pas grand-chose d’autre que des transferts ethniques. L’Europe est le premier continent qui paie pour sa propre colonisation.

    Un spectre hante l’Europe et le monde. C’est le remplacisme, la tendance à tout remplacer par son double normalisé, standardisé, interchangeable : l’original par sa copie, l’authentique par son imitation, le vrai par le faux, les mères par les mères porteuses, la culture par les loisirs et le divertissement, les connaissance par les diplômes, la campagne et la ville par la banlieue universelle, l’indigène par l’allogène, l’Europe par l’Afrique, l’homme par la femme, l’homme et la femme par des robots, les peuples par d’autres peuples, l’humanité par une posthumanité hagarde, indifférenciée, standardisée, interchangeable à merci.

    De toutes les manipulations génétiques, le Grand Remplacement, sorte de GPA appliqué à l’ensemble de la planète, est la pire. Le génocide par substitution, selon l’expression d’Aimé Césaire, est le crime contre l’humanité du XXI siècle. Il est d’ailleurs bien singulier que les écologistes arrêtent à l’homme leur louable souci de biodiversité.

    Le remplacisme s’estime désormais assez fort pour prendre en main directement la gestion du parc humain, sans intermédiaire. En France, Emmanuel Macron, qui en est dans le monde, avec Justin Trudeau, le représentant le plus achevé, a déjà neutralisé le microcosme, renvoyé dans leurs foyers les principaux acteurs de la vie politique française depuis trente ans, peuplé l’Assemblée de fantoches à sa solde, composé un gouvernement de rencontre, fait éclater tous les grands partis. Il ne gouverne pas, il gère, comme il le ferait une banque ou une société anonyme.

    Il sort de la politique par l’économie, par la finance et la gestion d’entreprise. Nous voulons en sortir par l’histoire. La question de l’indépendance ou de l’asservissement d’une grande nation, de la survie ou de la disparition d’une grande civilisation, ce n’est pas de la politique, cela : c’est de l’histoire. Charles de Gaule — que nous célébrons aujourd’hui près de sa tombe, pour l’anniversaire de sa mort —, Charles de Gaulle à Londres, ce n’était pas de la politique. Jean Moulin à Lyon ce n’était pas de la politique. Jeanne d’Arc à Chinon non plus, ni Gandhi à Calcutta, ni aucun de ceux qui se sont levés pour l’indépendance de leur pays et pour la dignité de leur peuple.

    Ce dont nous avons besoin aujourd’hui ce n’est pas un nouveau parti, pas même une union des droites : le refus du totalitarisme remplaciste n’est pas moins de gauche que de droite. Ce dont nous avons besoin c’est le rassemblement de tous ceux qui opposent un grand Non à l’islamisation et à la conquête africaine. Ce qu’il faut c’est un Conseil National de la Résistance, de la résistance européenne, car toutes les nations européennes sont invitées à mener à nos côtés le combat pour le salut de notre civilisation commune, celte, slave, gréco-latine, judéo-chrétienne et libre-penseuse.

    Mon ami Karim Ouchikh, président du Siel, et moi, Renaud Camus, avons décidé de constituer précisément cela, un CNR, ou CNRE. Nous proposerons publiquement de se joindre à nous à toutes les personnalités qui nous semblent animées du même désir de sauver notre pays et nous élargirons ainsi notre comité, par cooptation. Mais tous les Français et tous les Européens qui pensent comme nous sont invités à se mettre en relation avec nous et à nous apporter leur soutien. L’objectif est de constituer une force telle qu’il soit, dans l’idéal, inutile de s’en servir.

    Cela dit, si par malheur il se trouvait que la seule alternative qui nous fût laissée soit la soumission ou la guerre, la guerre alors, cent fois. Elle n’aurait d’ailleurs rien de civil, malgré le nombre des collaborateurs et des traîtres. Elle s’inscrirait plutôt dans la grande tradition des combats pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, pour la libération du territoire et pour la décolonisation. Il faut sortir enfin de l’ère coloniale, dont nos colonisateurs nous disent tant de mal tout en nous colonisant. Il faut arrêter une bonne fois, si possible au-dessus de la Méditerranée, le balancier fou des colonisations et contre-colonisations.

    Vive la France libre. Vive la civilisation européenne.




    Sortir de la caverne

    [Source : neosante.eu]

    Par Yves Rasir

    Que mon billet de la semaine dernière suscite des réactions outrées, je m’y attendais un peu. Les Gaulois réfractaires n’apprécient guère qu’on égratigne le druide et qu’on regarde sa potion de travers. Ce qui m’a surpris, c’est que ma lettre surprenne tellement de lecteurs. Certains m’ont violemment reproché de « retourner ma veste », de « trahir la résistance » ou de « faire le jeu des vaccinolâtres », ce qui est un comble puisque Néosanté incarne depuis 13 ans la critique radicale de la patascience appelée vaccinologie. Il y a même des amis qui sont venus aux nouvelles en croyant que mon compte avait été piraté et que la newsletter ne pouvait pas provenir de moi. Cette incrédulité m’a étonné, car je tiens exactement le même discours depuis 4 ans : autant j’aime bien Didier Raoult que je n’ai pas, contrairement à beaucoup d’autres, découvert en 2020, autant je me méfie de l’hydroxychloroquine qui n’est pas une molécule anodine.

    Un poison reste un poison

    Certes, ce médicament chimique est sans doute « le plus prescrit au monde » comme le répète sans cesse son célèbre promoteur. Et à dose correcte, il ne tue que les personnes fragiles du cœur. Mais à ceux qui m’accusent de la diaboliser, je réponds que cette molécule ne doit certainement pas être banalisée. Avant l’invention des antibiotiques, la médecine dite « moderne » soignait les maladies infectieuses avec du mercure ou de l’arsenic : viendrait-il à l’idée de toubibs contemporains de défendre ces « remèdes » redoutablement toxiques ? La liste de 70 effets secondaires de l’HCQ établie par la célèbre Mayo Clinic, ce n’est pas moi qui l’ai inventée. Et les mises en garde du NHS (service de santé britannique), ce ne sont pas non plus des manœuvres récentes échafaudées pour disqualifier une parade au covid et préparer la voie au vaccin. On remarquera que le NHS incite les consommateurs de chloroquine à téléphoner au centre antipoison s’ils manifestent une grande détresse respiratoire, effet adverse notoire et sans doute pas rare puisqu’il est repris en tête de liste. Dans l’étude dont je vous parlais la semaine dernière, les chercheurs ont également établi que le médoc tératogène augmentait de 30% le risque de malformation congénitale. Or dans le contexte de panique virale mondiale, il a très probablement été prescrit à des femmes enceintes dont certaines ont accouché de bébés difformes. Rien que ça, ça me fait gerber et ça me met en colère contre les avocats du Plaquenil. Pour rappel, il suffit de surdoser le médicament d’un facteur 2 pour lui conférer un pouvoir létal. C’est pourquoi il est très raisonnable et rationnel de suspecter qu’il a beaucoup tué ces quatre dernières années. Un médecin-réanimateur marocain abonné de Néosanté m’a raconté jeudi dernier qu’une femme s’était présentée aux urgences de son hôpital après avoir avalé toute une boîte de comprimés. Elle s’en est sortie, ce qui plaide en apparence pour l’innocuité de l’HCQ. Mais combien d’autres patients n’ont pas eu cette chance et sont décédés à domicile ? Quitte à me faire taxer de « traître », je me range résolument dans le camp des soignants et des pharmacologues alarmés par le recours massif à l’antipaludique.

    Une doxa-bis qui dupe énormément

    Mes détracteurs m’ont vivement reproché d’adhérer ainsi à la doxa covidiste. Or c’est à mon sens exactement l’inverse : ceux qui continuent à se fier aux « traitements précoces » ont été complètement contaminés par la narration officielle. Ils croient que nous avons été attaqués par un nouveau virus engendrant une nouvelle maladie et que celle-ci devait être combattue à grand renfort de substances nouvelles ou « repositionnées ». La seule différence entre le narratif dominant et le narratif alternatif, c’est que le second n’est pas tombé dans le guet-apens vaccinal. Par rapport au récit des comploteurs, le récit adopté par la plupart des complotistes est même plus anxiogène puisqu’il postule l’existence d’un agent infectieux rendu plus pathogène. Mais pourquoi diable s’accrocher à cette pure fiction ? Les chiffres ont parlé et il n’y a pas eu de pandémie. Il y a eu une pandémie de peur, une pandémie de tests, une pandémie de iatrogénie, une pandémie d’abandon de soins et de mesures sanitaires délétères, une pandémie d’assassinats au Rivotril, une pandémie de statistiques falsifiées, mais il n’y a pas eu de fléau viral justifiant le développement des injections expérimentales ou le recours à un arsenal médicamenteux spécial. Dois-je rappeler que les médecins qui ont soigné avec les moyens du bord, par exemple le Dr David Bouillon en Belgique, s’en sont très bien tirés ? Dois-je rappeler qu’après la « première vague », la grippe baptisée covid a été traitée avec succès au moyen des seuls antibiotiques, anticoagulants et cortisone, soit les outils classiques de la médecine classique face aux pneumopathies ? Dois-je rappeler que le zinc et la vitamine D, c’est-à-dire les compléments naturels habituels contre la grippe, ont démontré toute leur utilité préventive et curative ? Si la mini-épidémie de Wuhan était passée inaperçue et si l’OMS n’avait pas sauté sur l’occasion pour monter une gigantesque opération psychologique, on ne se serait rendu compte de rien, car la saison grippale 2020 n’a pas dérogé aux normes saisonnières. Les livres de Laurent Toubiana, Eusèbe Rioché et Pierre Chaillot en apportent les preuves irréfragables. Au fond, les ingénieurs sociaux à l’origine de cette méga-manipulation ont fait de l’excellent boulot : ils ont réussi à conduire des milliards de moutons blancs vers les injections géniques et des millions de moutons noirs vers des produits toxiques comme l’ivermectine et l’hydroxychloroquine. Il serait en effet naïf d’imaginer que les scénaristes de la psy-op n’ont pas anticipé la popularité de ces molécules et n’ont pas orchestré à dessein interdictions et restrictions. Rien de plus tentant qu’un remède prohibé pour les récalcitrants à la piquouze ! L’important était d’apeurer et de faire passer un banal syndrome grippal pour une calamité inédite, passage obligé vers la surveillance numérique et le « great reset » économique.

    Raoult se dépasteurise !

    La machination repose évidemment sur la théorie du germe chère à Louis Pasteur et à ses adeptes. Sans cette religion sectaire et ses superstitions, la mystification covidienne n’aurait pas pu entraîner la planète entière dans le délire totalitaire. Sans cette croyance en la pathogénicité des microbes, la minuscule minorité de milliardaires psychopathes ne pourrait plus terroriser les foules à son profit. C’est pourquoi Néosanté œuvre inlassablement à déconstruire le paradigme médical pasteurien et à pointer ses failles béantes. Comme dans le mythe platonicien de la caverne, il importe de réaliser qu’on nous abuse avec des ombres chinoises symbolisant les fausses connaissances. Dans la vie réelle, les micro-organismes ne veulent pas notre peau, ils ne sont pas la cause des maladies et il est donc absurde de leur faire la guerre. Saurons-nous profiter de la formidable opportunité offerte par le virus couronné pour tourner la page et leur déclarer la paix ? Dans ma série de lettres de janvier-février 2023 intitulée « Comment le covid a tué Pasteur », j’ai passé en revue les éléments montrant que la vision biophobique ne tenait plus la route. Et dans les analyses qu’il partage désormais en primeur avec les lecteurs de notre mensuel, le statisticien Pierre Chaillot démontre imparablement que les thèses virologiques sont amplement contredites par les faits et les chiffres. Dans le numéro de décembre, notre nouveau collaborateur avait déjà magistralement exposé « la vraie histoire de la fausse pandémie ». Dans le prochain numéro de février, il revient à la charge et révèle lumineusement qu’il a suffi de deux instruments — les tests (dont les résultats n’ont ni queue ni tête) et la codification hospitalière (dont la modification a permis de remplir la coque-vide) — pour monter la grande escroquerie plandémique. Avez-vous entendu le druide dénoncer ces deux clés de l’arnaque corona ? Non, car cela l’obligerait douloureusement à retirer ses œillères pasteuriennes. Très récemment, il a pourtant fait un pas en dehors de la caverne. Dans cette vidéo décoiffante, Didier Raoult admet ni plus ni moins que les virus et bactéries n’ont pas de responsabilité causale(([1] Note de Joseph : il n’en est pas encore vraiment là, même s’il semble aller dans la bonne direction. Il pense toujours que les virus doivent avoir un rôle à jouer, éventuellement en combinaison avec des bactéries, notamment pour expliquer la grippe, mais n’envisage pas pour l’instant que les bactéries puissent agir en tant qu’agents de nettoyage de l’organisme ni que les « virus » — en fait « exosomes » et autres déchets ou composants cellulaires — soient simplement le résultat de l’agression des cellules par divers facteurs environnementaux, dont les champs électriques et les ondes électromagnétiques. Les « virus » particuliers proviennent de conditions particulières et sont bien sûr alors spécifiques à l’individu dont ils proviennent, ce qui fait qu’il est impossible ou très improbable d’en trouver de génétiquement identiques chez d’autres personnes. Globalement le corps en émet des milliards par jour, constituant alors le « virome », à cause des agressions environnementales permanentes qu’il subit, ne serait-ce que par l’électrosmog. Si à un moment donné leur nombre devient excessif en certains organes ou tissus biologiques trop agressés, des bactéries viennent aider à leur évacuation ou à leur recyclage. À ce stade, cela peut se traduire en symptômes perceptibles, dont la fièvre ou des irritations dues à l’inflammation des tissus par cette suractivité cellulaire et microbienne. Ces virus et bactéries ne sont pas la cause d’une maladie supposée contagieuse, mais des effets d’une agression ou d’un choc subi individuellement ou collectivement.)) dans les maladies qu’on leur impute ! Les microbes sont présents, et encore pas toujours, mais « il y a autre chose » qui reste à découvrir dans le processus pathologique. À mes yeux, l’infectiologue marseillais est un authentique scientifique, autrement dit un gars qui est capable de se remettre en question, de rompre le consensus et de faire ainsi progresser la science. Je fais le pari qu’il va continuer à se dépasteuriser et qu’il regrettera un jour d’avoir préconisé un remède inutile et dangereux.


    Réaction de Pryska Ducoeurjoly (par courriel collectif)

    Chers amis,

    J’ai bien pris connaissance de la polémique sur les dernières newsletters d’Yves. J’ai aussi reçu des emails de la part de membres de l’Aimsib… En tant que collaboratrice régulière de Néo Santé, je me permets de répondre.

    Pour être claire et transparente, Yves me lit en copie.

    J’apprécie beaucoup Néo Santé car c’est LE support qui m’a permis de publier la quasi-totalité des enquêtes les plus intéressantes que j’ai pu produire. Je remercie donc Yves de m’avoir ouvert ses colonnes depuis plus de 10 ans, dans un contexte où l’expression du journalisme d’investigation était déjà un vrai défi ! Cependant, ce n’est pas pour autant que j’adhère à tous les éditos ou à l’ensemble de la ligne éditoriale. Nous avons souvent des débats, Yves et moi ! Néanmoins, Yves accepte de laisser la place dans ses colonnes à des points de vue avec lesquels il n’est pas forcément en accord. C’est tout à son honneur.

    Ceci dit, sur les deux dernières newsletters, je me permets d’exprimer en toute amitié mon désaccord avec le point de vue d’Yves.

    Sur la forme, je n’adhère pas au ton. Je trouve regrettable de qualifier Raoult de druide et de Panoramix… cela ne sert pas le sérieux du débat contradictoire. Je ne pense pas que cela soit vraiment apprécié par l’audience de Neo Santé. Cela peut aussi contribuer à desservir les dossiers de la revue, à placer les collaborateurs en situation délicate, par exemple pour décrocher plus tard d’autres ITW.

    Tout le monde n’est pas fan de Raoult (ses conclusions sur le vaccin papillomavirus me hérissent le poil, Nicole Delépine sera d’accord avec moi sur ce point). Pour autant Didier Raoult reste une personnalité scientifique de haut niveau et surtout un soignant de premier plan, qui a osé mettre en place un protocole de soin (basé aussi sur une antibiothérapie et le zinc). Il mérite un débat contradictoire respectueux. Je pense que c’est surtout cela qui a choqué et fait réagir, au-delà du débat scientifique en lui-même qui est toujours bienvenu.

    Sur le fond, après ma collaboration avec Hélène Banoun sur La Science face au pouvoir, j’ai pu lire pas mal de choses sur l’action de l’HCQ dans la pathogénicité de la maladie Covid, ainsi que celle de certaines classes d’antibiotiques. Maintenant, si on ne croit pas à l’existence d’une maladie spécifique Covid, ni à un virus associé, il est certain que le débat sera plus compliqué. Pour ma part, je me rallie aux conclusions de JM Sabatier sur l’existence d’une pathogénicité spécifique de la maladie Covid, ce qui permet de comprendre l’action de certaines classes de médicament.

    Autre remarque pour nourrir le débat de fond, je ne pense pas que les études double contrôle randomisée placebo soient le Graal de la preuve scientifique, loin de là. Raoult a parfaitement raison sur ce point. Il a bien fait de mettre en place un protocole de soin et non un protocole d’étude clinique. Philippe Even, dans Corruption et crédulité en médecine (Cherche-Midi 2015), ouvrage dédié principalement aux médocs anticholestérol, démontre que les RCT (randomized controlled trials) sont faits pour et par les labos en vue de valider leurs molécules toxiques qui seraient immédiatement recalées si on les passait au crible de simples études d’observation de terrain. Les études dites « gold standard » sont manipulables, « basées sur les malades idéaux, dans des conditions éloignées de la vie réelle » dit Even. Les essais cliniques sont « du marketing déguisé », dit aussi Peter Gotzsche.

    En espérant que la vérité puisse tracer son chemin dans l’opinion publique en 2024, via l’expression d’un débat contradictoire respectueux des différents points de vue qui contribuent à son émergence, 

    je vous souhaite à tous une belle année !

    Pryska Ducoeurjoly

    —–

    PS : À propos de l’étude évoquant le risque de malformations fœtales sous HCQ, je me permets, Yves, de te donner mon point de vue.

    À mon avis, elle mérite aussi d’être prise avec des pincettes comme les autres études que tu cites.

    — Tout d’abord, l’étude repose sur des données d’ordonnances, ce qui ne nous donne pas une image claire de l’utilisation réelle du médicament.

    — De plus, l’approche de l’étude, basée sur le codage et de la classification. Outre le fait que le risque d’erreur dans la classification est un biais en soi, les chercheurs n’ont pas accès aux dossiers médicaux personnels. Nous sommes typiquement dans le cadre d’une étude de type « Big data », rétrospective (données jusqu’à 2015), ce type d’études a largement été dénoncé par Didier Raoult à l’occasion de la fameuse étude du Lancet (100 % Big Data aussi). C’est une grosse différence avec les études présentées par Raoult, qui lui dispose du dossier médical de chacun des participants.

    — En ce qui concerne les résultats, les auteurs suggèrent un « risque légèrement accru avec l’HCQ, mais cette augmentation n’est pas suffisamment significative pour être concluante. Les auteurs admettent eux-mêmes disposer d’un faible nombre de cas pour certaines malformations spécifiques. Je m’interroge sur la manière de comparer une cohorte de 2000 femmes à un groupe de référence de 3 millions de femmes. Ça me paraît assez atypique comparé à ce que je vois habituellement avec des cohortes équilibrées en termes de nombre. Il faudrait aussi se pencher attentivement sur la manière dont les auteurs ont exclu l’impact d’autres médicaments. Apparemment ils ont essayé d’isoler le risque HCQ, mais il faudrait prendre une heure pour étudier les annexes et vérifier tout cela. Il suffit de lire le livre de Corinne Lalo, Le grand désordre hormonal, pour s’apercevoir que tous les médicaments chimiques ont un impact neuro–hormonal, qu’ils sont des perturbateurs endocriniens et que tous les médicaments chimiques devraient être interdits pendant la grossesse. Le paracétamol en premier lieu bien sûr ! D’autant plus qu’il est en vente libre en pharmacie et que son effet tératogène a largement été documenté d’après Corinne Lalo.

    — Enfin, je note les liens étroits des auteurs avec l’industrie pharmaceutique. Ils ont reçu des financements de plusieurs grandes entreprises, notamment Eli Lilly and Company, GlaxoSmithKline, Baxalta, Pacira Pharmaceutical Inc, Aetion Inc, Alosa Foundation, Merck for Mothers, Pfizer, Bristol-Myers Squibb, AbbVie Inc, Roche Holding AG, Bayer, Vertex et Novartis. Dans ma pratique journalistique, j’évite généralement de citer ce type d’étude.


    Réponse d’Yves Rasir

    Bonjour Pryska,

    Merci pour cette belle réaction argumentée.

    J’adorerais une confrontation entre Michel de Lorgeril et Didier Raoult sur la hiérarchie des méthodologies, car le premier ne jure que par les études versus placebo doublement contrôlées et randomisées. Que certaines soient manipulées, j’en conviens volontiers, mais c’est aussi sur l’absence de vrai placebo qu’a été bâtie toute l’imposture vaccinaliste et pasteurienne (et le mythe homéopathique, soit dit en passant). Du reste, dans sa vidéo « dépasteurisée » que je pointais avant-hier, Raoult déplore qu’on se fourvoie depuis 80 ans sur la grippe parce qu’il n’y avait pas de groupe contrôle dans les études. Ce n’est pas la première fois que le Professeur fait preuve d’une singulière incohérence…

    Pour ce qui est du covid, il est clair qu’une Banoun ne dit pas la même chose qu’un Chaillot. C’est toute la différence entre une pasteurienne pur jus et un gars sans a priori qui découvre que rien ne colle dans la théorie du germe. Je confirme mon ouverture au débat contradictoire puisque l’une et l’autre interviennent dans le Néosanté de février.

    Amitiés confraternelles,

    Yves RASIR





    « Il n’y a plus d’alternative, ce sera le chaos ou le retour à la souveraineté du peuple »

    Par Christian Darlot

    Dans un entretien avec des journalistes du Figaro, le sociologue Christophe Guilly explique les causes de la révolte des classes moyennes, confrontées dans tous les pays d’Europe à la perte de leur fonction économique et à la baisse de leur niveau de vie. Cette chute, les faisant retomber parmi les classes dominées, aux revenus précaires, dont elles étaient sorties depuis quelques générations, résulte des changements matériels de la société.

    En effet, la chronologie des quarante dernières années montre, sans doute possible, l’enchaînement des causes et des effets : la cause première est l’imposition du libre-échange par la finance anglo-saxonne. Au début des années 80, un intense battage publicitaire présenta le libre-échange comme le meilleur moyen de prospérité et de paix mondiales, et le duo Thatcher-Reagan fut choisi comme voyageurs de commerce de cette idéologie mercantile. Tout en découle : les faillites d’entreprises, la délocalisation de la production, le chômage ouvrier, puis la délocalisation des bureaux d’étude et le chômage des ingénieurs et des cadres, et par réaction la création de boulots tertiaires parasitaires pour les enfants des classes sup et moyennes-sup, et l’aumône d’allocations au populo pour maintenir la paix sociale. Trois générations de chômeurs ont été ainsi dissuadées de se révolter contre le sort imposé par les maîtres de l’économie, et à présent ils sont présentés comme des paresseux. Sous prétexte d’attractivité économique, les prestations sociales sont diminuées. Pendant ce temps, les institutions d’enseignement étaient dégradées en garderies afin de différer l’augmentation du nombre de sans-emploi, et à présent le niveau d’instruction s’effondre. À quoi bon dépenser un pognon de dingue pour instruire le peuple si les travailleurs qualifiés ne sont plus nécessaires ? Mieux vaut n’instruire que les héritiers. Une société de castes s’instaure.

    La mondialisation aligne tendanciellement les revenus : ceux des producteurs des pays développés sur ceux des producteurs des pays pauvres, et ceux des dirigeants sur ceux des maîtres du jeu mondial. Elle détruit donc la cohésion sociale dans chaque pays développé, sans pour autant permettre une cohésion à l’échelle mondiale. En allongeant les chaînes de production, elle enrichit les compagnies commerciales qui empochent la différence des salaires entre les pays, et elle fait la fortune des armateurs, et surtout des banquiers, fournisseurs d’avances financières. Elle renforce la volonté des dirigeants des États les plus puissants de contrôler les sources de matières premières et d’énergie, afin de maintenir les vassaux dans la soumission. Elle pénalise donc les pays qui n’ont pas de grandes disponibilités en énergie (d’où l’attaque contre l’énergie nucléaire, française en particulier), tandis que la spécialisation tend à déstructurer, puis à détruire, le réseau économique productif des puissances généralistes comme la France.

    Cet enchaînement de conséquences du libre-échange aurait suffi à causer la crise actuelle, mais d’autres facteurs l’ont aggravée :

    — Le rattrapage technique, éducationnel, et à présent scientifique, de pays comme la Chine, l’Inde, le Viet Nam, aux salaires croissants, mais encore nettement plus bas que les salaires des pays d’Europe.

    — Le prodigieux progrès des télécoms, qui permet de délocaliser les bureaux d’étude, d’assurer la logistique des échanges de marchandises, et aggrave la spéculation. Ce fut le moyen de mettre en œuvre la mondialisation, non seulement matérielle, mais aussi intellectuelle et surtout idéologique et financière.

    — La création et la circulation sans frein de capitaux fictifs. Les banques privées ont usurpé le pouvoir d’émettre de la monnaie, qu’elles émettent désormais sans contrepartie réelle. L’étendue mondiale de leurs réseaux les fait échapper au contrôle par les États, dont elles ont au contraire corrompu et soumis les dirigeants politiques. Elles peuvent ainsi tout acheter, terres, industries, services, en payant en monnaie de singe, monnaie sans valeur, mais ayant cours légal dans le monde entier et soutenue par des systèmes judiciaires, de plus en plus corrompus eux aussi, ainsi que par la force armée. La force brute est employée dans des guerres d’agression. Dans les pays soumis à l’empire financier, des entreprises peuvent encore mettre au point des innovations techniques, souvent remarquables, mais ne peuvent plus les développer et sont contraintes de les céder aux grandes sociétés. Vingt grandes compagnies financières dirigent les banques centrales et contrôlent le capital des deux cents plus importantes sociétés industrielles et commerciales mondiales. Leur budget est supérieur à celui de nombreux États, et elles ont donc des services de prospective, de corruption et d’action, aussi étoffés que les ministères des États. Leurs dirigeants rivalisent, mais se connaissent et se concertent.

    En Europe, dans l’espoir de restaurer une autonomie financière à l’échelle du continent, des dirigeants politiques incompétents et chimériques ont institué une monnaie qu’ils ont voulue unique, l’euro, trop forte pour l’économie de la plupart des pays, et dont les dirigeants allemands ont profité pour détruire l’industrie des pays voisins.

    Le système coince à présent, sur la dette (fictive), la perte de compétence (réelle), l’idéologie (importée et délirante) et la sujétion (imposée, mais acceptée). La dette est voulue pour donner prétexte à brader les moyens de production de la Nation — augmenter la dette fut une des fonctions de la fausse épidémie covidingue — et l’idéologie sert à distraire l’attention vers des problèmes imaginaires, réchauffement climatique prétendument d’origine humaine et guerre des sexes. La décadence intellectuelle et morale des classes dominantes révèle son adaptation à cette nouvelle organisation mondiale, tandis que le wokisme sert à embrouiller les esprits pour empêcher les luttes sociales.

    En outre, une volonté idéologique ne peut plus être niée : un dessein, dont les citoyens ne perçoivent encore qu’une partie, a été élaboré depuis longtemps et est mis en œuvre par une oligarchie restant volontairement discrète, mais dont les porte-parole sont chargés de révéler progressivement les projets pour y habituer peu à peu les peuples. Ce dessein est de submerger par l’immigration les peuples européens (trop contestataires ?), de détruire leur civilisation, et d’exterminer une partie de la population mondiale. Ce constat n’est pas une rêverie complotiste, il résulte de l’observation du monde. Les évènements des trois dernières années ne sont pas des conséquences de l’évolution spontanée des sociétés, mais d’un plan élaboré, dont les modalités d’application sont mises à jour et adaptées à l’évolution de la situation, au gré des circonstances.

    Cela paraissait impensable, inimaginable, mais depuis 2020 c’est devenu patent. Les porte-voix de l’oligarchie publient ouvertement sa volonté d’imposer son pouvoir. Les promoteurs de « l’Agenda 2030 » et de la « Grande réinitialisation » font publiquement leur réclame.

    L’opposition mondialistes/souverainistes est là.

    Guilly prévoit, à raison, un sursaut des classes moyennes qui pressentent l’ouverture de la trappe sous leurs pieds. Quand elle s’est ouverte sous les pieds des ouvriers, les meneurs de la bourgeoisie opulente ont conseillé aux chômeurs de « positiver », de s’adapter, de passer de la Sidérurgie à l’Informatique, et les classes moyennes ont approuvé. Mais à présent qu’on leur dit de traverser la rue, les classes moyennes comprennent que leur vie est menacée.

    Cependant un sursaut sans base productive ne serait qu’un ultime soubresaut avant l’agonie.

    Le redressement passe impérativement par :

    — La production locale, donnant du travail et motivant un renouveau d’ingéniosité technique. Des droits de douane sont nécessaires pour permettre de développer des activités nouvelles, et donc des frontières nationales sont indispensables, ainsi que des accords internationaux mettant fin au libre-échange absolu des marchandises, des services, des capitaux et des personnes. Tout le contraire des traités que signe Pustula la Hyène.

    — Le redressement de l’éducation, le retour à des raisonnements fondés sur la réalité objective, et la restauration de l’intérêt général — donc national — contre la mentalité irréaliste, individualiste et subjective ; la lutte contre la propagande wokiste et mondialiste.

    À l’échelle de la croissance démographique et économique du monde, la France est désormais un pays moyen. Une politique adaptée doit donc être complètement inventée. Il faut :

    — En politique intérieure : refonder le pouvoir à partir de la base et bâtir une démocratie véritable. Tâche difficile, puisque désormais une partie du territoire est devenu étrangère, composée d’îlots hors-la-loi et parasitaires. Des pouvoirs locaux sont nécessaires pour permettre l’expression et la mise en œuvre de la volonté des citoyens, mais pourraient être utilisés par des puissances hostiles pour infiltrer le pouvoir politique et économique. Un équilibre institutionnel nouveau, sans précédent, est à définir. Tant à l’échelle de l’Europe qu’à celle de la France, il faut empêcher l’institution d’une organisation impériale plutôt que nationale : à l’échelle de l’Europe, il faut refuser toute supranationalité ; à l’échelle de la France, il faut promouvoir l’action locale, mais refuser tout communautarisme.

    Cette tâche indispensable nécessite d’écarter du pouvoir tous les traîtres qui y ont été placés. Ce sera le plus difficile.

    — En politique extérieure : recouvrer la pleine souveraineté, abolir l’UE et refonder une coopération prudente avec les pays d’Europe. La langue française est encore une des dix les plus parlées dans le monde, c’est un atout très important. Ce n’est pas par lubie que le freluquet dit qu’il n’a jamais vu la culture française (cela n’étonne pas de lui) et parle angali ex officio. Il obéit spontanément à ses maîtres, dont il partage la volonté de soumettre la France. La simple survie de la nation impose de s’émanciper des Zanglos, des Zélus et des Teutons, de faire fond sur la tradition culturelle française, en particulier en s’alliant à l’Italie, à présent totalement soumise à l’OTAN, mais ayant conservé une tradition de beauté mise à mal en France. La France n’a pas d’ennemi militaire, mais, depuis 2005 et le retour de l’agent étasunien Sarközy, l’OTAN l’entraîne dans des guerres d’agression ne la concernant pas. L’intérêt national est de quitter l’OTAN, de renouer des liens de confiance avec la Russie et l’Iran — qui l’accepteraient très volontiers — de rétablir les liens séculaires avec l’Afrique et l’Amérique du Sud, et de renouer tous ces liens en respectant le principe d’égalité entre États souverains.

    L’intérêt et l’honneur convergent, pour le salut de la France.

    Tout est à réinventer et à refaire, et il faut toujours beaucoup de vieux pour faire du neuf.




    La Réinitialisation par l’effacement de la mémoire et la maladie mentale de masse

    [Source : Ciel Voilé]

    Mike Adams interviewe le Dr Michael Nehls






    Les mensonges des américains pour justifier leurs guerres

    [Source : Tocsin]




    Chloroquine, combien de morts ?

    [Source : neosante.eu]

    Par Yves Rasir

    Au tout début, nous y avons cru. À l’entame de l’année 2020, nous avons pensé que le Pr Didier Raoult faisait bien de « repositionner » l’hydroxychloroquine et de préconiser cette molécule en traitement de la nouvelle maladie venue de Chine. En découvrant rapidement qu’il s’agissait d’une fausse pandémie alimentée par une terreur irrationnelle, une méthode de dépistage bidon et des statistiques frauduleuses, nous avons cependant très vite remis en cause la nécessité de recourir à ce médicament non dénué de toxicité. Car oui, il faut le dire et le redire : l’HCQ n’est pas un bonbon pour la toux ni un banal remède à la malaria prescrit également contre le lupus érythémateux et la polyarthrite rhumatoïde. Dotée de dizaines d’effets indésirables potentiels, dont celui d’engendrer des détresses respiratoires (!), cette spécialité pharmaceutique chimique peut gravement léser ses consommateurs et peut même tuer ceux qui souffrent du cœur. On pense ce qu’on veut d’Agnès Buzin, mais l’ex-ministre française de la Santé n’a pas eu tort, fin 2019, de déclasser l’antipaludéen et de le ranger parmi les « substances vénéneuses » exigeant de sérieuses précautions d’usage. Depuis cette décision controversée, la recherche scientifique a encore mis en évidence que l’hydroxychloroquine avait des effets tératogènes et pouvait donc engendrer des malformations congénitales, tout comme la Thalidomide, le Distilbène ou la Dépakine de sinistre mémoire ! Les partisans inconditionnels du druide marseillais et de sa potion sont-ils bien conscients de prendre la défense d’un apprenti sorcier administrant à tour de bras un authentique poison ?

    La potion n’était pas magique

    En guise de plaidoirie pour sa molécule chérie, l’ancien patron de l’IHU phocéen invoque constamment des décennies de prescription sans conséquences sanitaires perceptibles. Mais en quoi cet argument est-il valable puisque des tas d’autres médicaments dangereux aujourd’hui interdits ont été longtemps prescrits avant qu’on ne découvre ou admette leurs ravages ? À juste titre, Didier Raoult a d’ailleurs accusé le paracétamol d’être une drogue plus dangereuse que sa protégée, or l’antalgique superstar vendu sans ordonnance est précisément un redoutable hépatotoxique qui mériterait d’être chassé des pharmacies ! Remède pire que le mal, l’HCQ est également soupçonnable d’occasionner plus de morts qu’elle ne sauve de vies, comme en atteste la nouvelle étude parue le 2 janvier dans la revue Biomedicine and Pharmacotherapy. Effectuée par des chercheurs lyonnais, cette étude arrive à la conclusion que l’hydroxychloroquine donnée en 2020 aux malades du covid a tué 17 000 d’entre eux, et ce seulement dans les six pays étudiés (Belgique, Turquie, France, Italie, Espagne et USA). Purement rétrospective et usant d’extrapolations hasardeuses, cette recherche a certes des faiblesses que n’ont pas manqué de pointer les défenseurs du Plaquenil et de son prescripteur-vedette. Le travail est notamment basé sur la méta-analyse parue en 2021 dans Nature Communications, alors que celle-ci avait inclus les deux études malhonnêtes de l’OMS (Recovery et Solidarity) recourant à des dosages trop élevés (quatre grammes sur trois jours au lieu de 2,4 grammes sur cinq jours). La récente étude française se base aussi sur des chiffres belges carrément erronés, ce qui a même suscité un « fact checking » du très covidiste et anti-Raoult journal Le Soir. Malgré ses erreurs et ses failles méthodologiques, la recherche en question ne mérite cependant pas d’être balayée d’un revers de main. Elle montre à tout le moins que le « remède miracle » n’en était pas un et qu’il a, plus que probablement, été contre-productif. Si la chloroquine avait performé au lieu de nuire, ce genre d’analyse aurait mis en lumière un impact favorable sur la mortalité au lieu d’indiquer l’inverse.

    Des dégâts sous-estimés

    Mais alors, comment expliquer que de nombreuses autres études, comme celle menée en Belgique par l’Institut Sciensano, ont bel et bien conclu à un effet positif de l’HCQ sur le taux de décès en hôpital ? Cela n’a rien de mystérieux à nos yeux. D’abord parce que les médecins hospitaliers savent que la dose fait le poison et qu’ils l’ont administré en respectant scrupuleusement la posologie conseillée. Ensuite parce que ces mêmes blouses blanches hospitalières sont parfaitement au courant de la cardiotoxicité du médicament et qu’ils ont prudemment évité de le distribuer aux insuffisants cardiaques. Et enfin, surtout, parce que les patients ont été soignés au lieu d’être laissés en plan ou directement mis sous respirateur artificiel ! Outre une action sur les états inflammatoires, cette prise en charge a permis d’activer l’effet placebo et de réduire drastiquement l’effet nocebo, comme je le postulais dès juin 2020 dans mon infolettre intitulée « Le vrai protocole Raoult ». Si le druide a fait cinq fois mieux dans son IHU-Méditerrannée qu’à Paris et dans l’est de la France, c’est certainement aussi parce que l’hydroxychloroquine a été employée en lieu et place des antiviraux comme le Redemsivir, médoc encore bien plus toxique et inapte, lui, à favoriser l’assimilation du zinc. Bref, la très iatrogène HCQ a fait illusion parce qu’elle a évité une iatrogénie encore plus prononcée. Mais seulement à l’hôpital ! Non sans raison, le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie au CHU de Bordeaux, a fait remarquer que l’étude lyonnaise ne tenait pas compte des malades mis sous chloroquine par leurs médecins traitants et décédés d’un arrêt cardiaque « en ville ». Leur nombre est inconnu. À ces victimes non comptabilisées, il faudrait aussi ajouter les patients qui se sont procuré le médicament sous le manteau et l’ont consommé « sauvagement » à leur détriment. Et comme l’étude menée à Lyon ne s’est pas penchée non plus sur les décès survenus en Inde et au Brésil, deux pays où la molécule antipalu s’achète à tous les coins de rue, le bilan humain global est sans doute bien plus lourd que redouté. Lorsque le Pr Molimard évalue le passif mondial de l’HCQ à « des centaines de milliers de morts excédentaires », je ne pense pas qu’il exagère et je trouve navrant que de nombreux résistants et lanceurs d’alerte crient au complot et à l’intox. Il tombe sous le sens que la potion meurtrière a contribué à autoréaliser la pseudo-pandémie et à remplir les cimetières.

    L’éthique a trop bon dos

    Dans son argumentaire, Didier Raoult fait systématiquement appel à l’éthique pour justifier sa décision de ne pas procéder à un essai clinique. Selon ce raisonnement louable, il était moralement inadmissible de ne pas traiter tous les covidés et de faire perdre aux malades des chances de guérison. Avec une rigueur toute soviétique, les patients admis ont donc été soumis au même protocole thérapeutique « compassionnel ». Personnellement, je trouve l’esquive un peu facile. Sans groupe contrôle ne recevant pas le médicament, il est impossible de discerner son effet réel et ses inconvénients. Sans randomisation (tirage au sort des participants) ni double aveugle (ni le patient ni le soignant ne savent qui reçoit quoi), il est vain d’espérer atteindre l’objectivité. À défaut de produit inactif, l’IHU aurait pu tester une autre molécule garantie inoffensive, voire une plante bienfaisante comme l’Artemisia. Contrairement à ce qu’a parfois suggéré Raoult, les essais cliniques contre placebo en double insu et randomisés offrent le plus haut niveau de preuve scientifique en « Evidence Based Medicine ». De son côté, l’épidémiologiste et chercheur émérite Michel de Lorgeril ne cesse de rappeler cette vérité élémentaire. La différence entre ces deux fortes têtes ? Le premier critique peu la vaccinologie tandis que le second l’a prise en grippe depuis qu’il en examine les fondements. Dans ses ouvrages sur les vaccinations, le Dr de Lorgeril dénonce en effet l’absence de véritable contrôle dans le développement des vaccins. Et c’est aussi ce que dénoncent les auteurs israéliens du livre « Des tortues jusqu’en bas » : selon leur remarquable enquête appuyée par des centaines de références, les vaccins ne sont JAMAIS comparés à de véritables placebos, ce qui permet de faire croire à leur efficacité et surtout de dissimuler leur insécurité. En agissant de la sorte, l’industrie vaccinale et les instituts de recherche qu’elle stipendie bafouent l’éthique médicale au lieu de la servir. D’une certaine manière, le Panoramix marseillais a commis un crime similaire en omettant de vérifier l’innocuité de sa potion prétendument miraculeuse. Lorsque l’histoire de la mascarade sera écrite, je crains malheureusement que son nom soit associé à une partie de l’hécatombe faussement imputée à un pathogène inexistant…




    Écoutons pleurer les bébés vaccinés !

    [Source : neosante.eu]

    Par Yves Rasir

    Andrew Moulden, vous connaissez ? Personnellement, je n’avais jamais entendu parler de ce neuropsychologue canadien décédé en 2013. J’ai découvert récemment qui il était et ce qu’il avait fait à travers les écrits du Dr Midwestern (pseudonyme), un médecin américain qui promeut la médecine intégrative et qui ne tarit pas d’éloges sur l’œuvre « révolutionnaire » du disparu. Spécialiste du développement neurocognitif chez les enfants, mais aussi auteur d’une thèse de doctorat sur l’imagerie cérébrale fonctionnelle et la neuroélectrophysiologie (l’activité électrique dans le corps humain), ce scientifique surdoué et multirécompensé avait en effet conjugué ses trois compétences pour étudier l’autisme et tenter d’en comprendre les causes. Au fil de ses observations, il a fini par acquérir la conviction que les vaccinations infantiles étaient à l’origine de l’épidémie affolante de troubles autistiques et de bien d’autres affections neurologiques. Comment ? Selon Moulden, chaque vaccin administré endommage les minuscules capillaires du cerveau en raison de l’afflux de globules blancs générés par la réponse immunitaire aux antigènes vaccinaux. L’obstruction qui en résulte empêche la circulation des globules rouges et provoque l’asphyxie des cellules nerveuses. C’est la définition même d’un accident vasculaire cérébral !

    Un désastre pour l’humanité

    Certes, il ne s’agit en général que de mini, voire de micro AVC. Mais ces événements passant le plus souvent inaperçus seraient suffisants pour entraîner des conséquences pour la santé et des séquelles neurocomportementales. Nombreuses photos à l’appui, Moulden a montré que l’administration d’un vaccin était suivie de symptômes subtils (léger strabisme, petite paralysie faciale, légère aphasie motrice…) typiques des lésions cérébrales et d’atteintes aux nerfs crâniens. Mais le chercheur-découvreur allait encore beaucoup plus loin : pour lui, l’interruption de l’apport en oxygène et l’instabilité électrostatique du flux sanguin résultant de l’altération microcirculatoire étaient les dénominateurs communs de TOUTES les maladies non héréditaires. En dehors des vaccins et de leurs adjuvants, ce sont les polluants environnementaux qui provoquent l’anoxie et font ainsi office de déclencheurs pathologiques. Exemple-phare : la poliomyélite dont la symptomatologie est parfaitement compatible avec un empoisonnement aux pesticides et dans laquelle l’agent viral ne joue aucun rôle causal. Ce n’est donc pas à la seule vaccinologie que s’en prenait Moulden, mais au paradigme médical allopathique tout entier, et à la théorie du germe en particulier. Comme l’écrit Catherine Courson dans l’introduction de son dossier-hommage à Andrew Moulden (Néosanté de janvier), les découvertes de ce dernier sapaient les fondements mêmes de la médecine pasteurienne ! S’agissant des vaccins, le savant canadien les accusait d’être à l’origine des « dommages les plus lourds que l’Humanité se soit infligés à elle-même au cours de son Histoire ».

    Disparition étrange

    On imagine bien que pareil discours est assez mal passé. Dès que le neuropsychologue a commencé à faire connaître ses travaux, il a été censuré, ostracisé et mis au ban de la communauté scientifique. Du jour au lendemain, le brillant expert en neurodéveloppement de l’enfant a été relégué au rang de charlatan ou de « complotiste » comme on dirait aujourd’hui. L’écroulement de sa carrière l’aurait miné et poussé au suicide ? Selon une autre version de sa disparition mystérieuse à seulement 49 ans, il serait mort d’une crise cardiaque suspecte, c’est-à-dire probablement non naturelle. D’après un de ses collègues, Andrew Moulden s’apprêtait à rompre le silence qu’il s’était imposé et à publier de nouvelles recherches contenant de nouvelles preuves fatales pour l’industrie vaccinale. Sa mort subite et prématurée fut une aubaine pour Big Pharma, trop content de voir disparaître cet équivalent nord-américain du Dr Hamer. Concernant ce dernier, je n’ai jamais trop cru aux neuf tentatives d’assassinat auxquelles il prétendait avoir échappé. Scénario trop parano à mon goût. Si c’était vrai, il y en aurait au moins une qui aurait réussi alors que le médecin allemand est mort octogénaire dans son lieu d’exil norvégien. Pour Moulden, c’est différent. Les circonstances de son décès précoce sont plus qu’étranges, ses trouvailles nuisaient déjà à de puissants intérêts et ses révélations annoncées étaient susceptibles de déclencher un véritable séisme financier. Quitte à nous mettre nous-mêmes en danger, il est temps à nos yeux d’exhumer l’œuvre de ce gêneur oublié en publiant un dossier essentiellement constitué de ses déclarations publiques et explications scientifiques. À tout hasard, je signale que je n’ai aucun penchant suicidaire et que mon cœur semble en pleine forme. Pareil pour la collaboratrice qui a rédigé ce dossier explosif potentiellement dévastateur pour le business des vaccins.

    Un bébé ne pleure pas pour rien

    Le mensuel de janvier étant arrivé dans les boîtes mail et dans la plupart des boîtes aux lettres, j’ai déjà reçu quelques réactions négatives envers la photo que nous avons choisie pour annoncer en couverture l’article principal. Elle montre un nouveau-né qui hurle et une seringue prête à lui être enfoncée dans la peau. Choquées par cette image, les personnes qui la critiquent la trouvent inutilement « agressive » ou « sensationnaliste », certaines personnes m’accusant même de « jouer sur la peur » pour impressionner les lecteurs. Mais pourquoi diable s’en offusquer et ne pas regarder en face la cruelle vérité ? Ces griefs ne mettent-ils pas en relief l’emprise de la propagande vaccinaliste sur nos inconscients ? Il y a plus de 12 ans, en septembre 2011, nous avons suscité les mêmes reproches lorsque nous avons publié un dossier sur les pleurs des bébés et leur rapport plus que probable avec les vaccinations. Et voici ce que j’écrivais en préambule de l’article :

    « Pour illustrer ce dossier, nous avons cherché des photos de bébés pleurant pendant une vaccination. Surprise : elles sont extrêmement rares, voire quasiment introuvables dans les banques d’images. Partout les mêmes clichés de jolies infirmières souriantes, de toubibs Pespsodent et de moutards rigolards. Or les parents d’enfants vaccinés le savent bien : dans la réalité, la réaction instinctive d’un nourrisson auquel on inocule le contenu d’une seringue est généralement faite de cris et de larmes. La rareté des illustrations objectives en dit long sur l’autocensure des photographes et l’ampleur de la désinformation sur ce sujet. Car les pleurs du bébé vacciné ne sont pas seulement un réflexe éphémère et anodin : ils se prolongent, augmentent en violence et se répètent souvent de manière anormale, jusqu’à devenir incessants. Ce dossier de Françoise de Joët vous révèle que la souffrance des bébés inconsolables est très probablement la conséquence fréquente de la maltraitance vaccinale. »

    À l’époque, l’auteure de ce dossier n’avait pas connaissance des découvertes d’Andrew Moulden. Mais elle avait notamment rédigé cette sentence de pur bon sens :

    « Quand un bébé pleure, c’est toujours parce qu’il y a quelque chose qu’il veut dire et qui le dérange. Un bébé ne pleure pas pour rien ».

    Une douzaine d’années plus tard, il me semble important et opportun de méditer cette phrase compassionnelle. Un bébé qui pleure manifeste une indicible douleur et il est du devoir des adultes de ne pas y être sourds et insensibles. C’est donc par empathie et non pour « vendre du papier » que nous avons choisi d’illustrer le Néosanté de janvier avec une photo qui peut légitimement choquer. À nos yeux, l’enjeu exige de ne pas les détourner.




    Qui dirige vraiment les États-Unis ? 

    [Source : Tocsin]





    Le rapetissement universel

    Par Nicolas Bonnal

    En 1848 Tocqueville assiste à la révolution de 1848. Et il écrit ses splendides Souvenirs :

    « Notre histoire, de 1789 à 1830, vue de loin et dans son ensemble, ne doit apparaître que comme le tableau d’une lutte acharnée entre l’ancien régime, ses traditions, ses souvenirs, ses espérances et ses hommes représentés par l’aristocratie, et la France nouvelle conduite par la classe moyenne. 1830 a clos cette première période de nos révolutions ou plutôt de notre révolution, car il n’y en a qu’une seule, révolution toujours la même à travers des fortunes diverses, que nos pères ont vu commencer et que, suivant toute vraisemblance, nous ne verrons pas finir. »

    Et en 1830 triomphe de la classe moyenne qui est venu avec le culte étatique :

    « En 1830, le triomphe de la classe moyenne avait été définitif et si complet que tous les pouvoirs politiques, toutes les franchises, toutes les prérogatives, le gouvernement tout entier se trouvèrent renfermés et comme entassés dans les limites étroites de cette seule classe, à l’exclusion, en droit, de tout ce qui était au-dessous d’elle et, en fait, de tout ce qui avait été au-dessus. Non seulement elle fut ainsi la directrice unique de la société, mais on peut dire qu’elle en devint la fermière. Elle se logea dans toutes les places, augmenta prodigieusement le nombre de celles-ci et s’habitua à vivre presque autant du Trésor public que de sa propre industrie. »

    Flaubert a résumé aussi ces événements dans sa correspondance. Guénon en parle aussi de cette classe moyenne qui précipite la Fin de la Tradition en occident — et qui gobe goulûment Reset et vaccin.

    Le rapetissement universel

    Tocqueville évoque même, comme le Nietzsche du Zarathoustra, un « rapetissement » universel :

    « À peine cet événement eut-il été accompli, qu’il se fit un très grand apaisement dans toutes les passions politiques, une sorte de rapetissement universel en toutes choses et un rapide développement de la richesse publique. L’esprit particulier de la classe moyenne devint l’esprit général du gouvernement ; il domina la politique extérieure aussi bien que les affaires du dedans : esprit actif, industrieux, souvent déshonnête, généralement rangé, téméraire quelquefois par vanité et par égoïsme, timide par tempérament, modéré en toute chose, excepté dans le goût du bien-être, et médiocre ; esprit, qui, mêlé à celui du peuple ou de l’aristocratie, peut faire merveille, mais qui, seul, ne produira jamais qu’un gouvernement sans vertu et sans grandeur. »

    Médiocrité, malhonnêteté, vanité, toute notre histoire républicaine dont la finalité est un rabougrissement de la destinée du pays dont de Gaulle eut le dernier la vision. Il poursuit :

    « Maîtresse de tout comme ne l’avait jamais été et ne le sera peut-être jamais aucune aristocratie, la classe moyenne, devenue le gouvernement, prit un air d’industrie privée ; elle se cantonna dans son pouvoir et, bientôt après, dans son égoïsme, chacun de ses membres songeant beaucoup plus à ses affaires privées qu’aux affaires publiques et à ses jouissances qu’à la grandeur de la nation. »

    Mais le Français ne voulait pas de retour en arrière, pour rien au monde ; il est moins nostalgique encore que l’américain qui a les indiens ; il est content de son « égalité » :

    « L’ancienne dynastie était profondément antipathique à la majorité du pays. Au milieu de cet alanguissement de toutes les passions politiques que la fatigue des révolutions et leurs vaines promesses ont produit, une seule passion reste vivace en France : c’est la haine de l’ancien régime et la défiance contre les anciennes classes privilégiées, qui le représentent aux yeux du peuple. Ce sentiment passe à travers les révolutions sans s’y dissoudre, comme l’eau de ces fontaines merveilleuses qui, suivant les anciens, passait au travers des flots de la mer sans s’y mêler et sans y disparaître. »

    Haines obsessionnelles et haines molles

    La haine des rois est permanente, voir le sort de Notre-Dame ; on n’a pas ici besoin de cancel culture made in USA.

    Personne n’aime alors vraiment la république ; mais ces haines sont molles :

    « La république était sans doute très difficile à maintenir, car ceux qui l’aimaient étaient, la plupart, incapables ou indignes de la diriger et ceux qui étaient en état de la conduire la détestaient. Mais elle était aussi assez difficile à abattre. La haine qu’on lui portait était une haine molle, comme toutes les passions que ressentait alors le pays. D’ailleurs, on réprouvait son gouvernement sans en aimer aucun autre. Trois partis, irréconciliables entre eux, plus ennemis les uns des autres qu’aucun d’eux ne l’était de la république, se disputaient l’avenir. De majorité, il n’y en avait pour rien. »

    Toujours au même point, pas vrai ?

    Tout le monde surtout veut déjà vivre de subventions et de manne publique (O Louis Blanc ! O ateliers nationaux ! O Bastiat !) :

    « La vérité est, vérité déplorable, que le goût des fonctions publiques et le désir de vivre de l’impôt ne sont point chez nous une maladie particulière à un parti, c’est la grande et permanente infirmité de la nation elle-même ; c’est le produit combiné de la constitution démocratique de notre société civile et de la centralisation excessive de notre gouvernement ; c’est ce mal secret, qui a rongé tous les anciens pouvoirs et qui rongera de même tous les nouveaux. »

    Une fois son confort assuré on peut divaguer socialo, woke ou autre.

    Le grand esprit parlera « d’industrie de la place » dans son Ancien régime ; c’est Taine qui parle de cette profusion du bourgeois, espèce qui croît avec l’étatisme (La Fontaine et ses Fables, dernière expression de l’esprit français traditionnel).

    Pas besoin de complot

    Avec un peuple comme ça pas de théorie du complot ; Tocqueville l’attaque impeccablement dans sa lettre au marquis de Circourt et dans sa correspondance avec Gobineau :

    « C’est mal employer le temps que de rechercher quelles conspirations secrètes ont amené des événements de cette espèce. Les révolutions, qui s’accomplissent par émotion populaire, sont d’ordinaire plutôt désirées que préméditées. Tel qui se vante de les avoir machinées n’a fait qu’en tirer parti. Elles naissent spontanément d’une maladie générale des esprits amenée tout à coup à l’état de crise par une circonstance fortuite que personne n’a prévue ; et, quant aux prétendus inventeurs ou conducteurs de ces révolutions, ils n’inventent et ne conduisent rien ; leur seul mérite est celui des aventuriers qui ont découvert la plupart des terres inconnues. Oser aller toujours droit devant soi tant que le vent vous pousse. »

    Et comme on citait Gobineau…

    Arthur de Gobineau résume, assez génialement doit-on dire, le présent perpétuel des Français (Lettre de Téhéran adressée à Tocqueville, 29 novembre 1856) :

    « Un peuple qui, avec la République, le gouvernement représentatif ou l’Empire, conservera toujours pieusement un amour immodéré pour l’intervention de l’État en toutes ses affaires, pour la gendarmerie, pour l’obéissance passive au collecteur, au (illisible), à l’ingénieur, qui ne comprend plus l’administration municipale, et pour qui la centralisation absolue et sans réplique est le dernier mot du bien, ce peuple-là, non seulement n’aura jamais d’institutions libres, mais ne comprendra même jamais ce que c’est. Au fond, il aura toujours le même gouvernement sous différents noms… »

    Vite, un successeur à Macron…

    Source :

    https://fr.wikisource.org/wiki/Souvenirs_(Tocqueville)/Texte_entier




    Bonne année ou bonne fin du monde ?!

    Par Alain Tortosa

    Bon-ne an-née… Ces deux mots sonnent-ils comme une prière, un mantra, un mensonge à soi-même, une manière de conjurer le mauvais sort ou ont-ils la valeur d’un « bon appétit » ?
    Le fameux « bon appétit » que nous, riches occidentaux, nous lançons pour nous motiver ? Il faut dire que nous ne savons pas ce qu’est la faim, la vraie, et qu’il faut bien s’encourager pour supporter l’excès de calories que nous nous apprêtons à ingérer.

    Mais je m’éloigne du sujet de ce fameux « bonne année ».
    À en croire ceux qui vous le souhaitent avec légèreté (ou inconscience), la « bonne année » se définirait comme une année durant laquelle nous ne rencontrions pas de mésaventures, pas de problèmes de santé, et une certaine « réussite ».
    Typiquement le genre de phrases où l’usage veut que vous mentiez à celui qui vous la souhaite. Un peu comme le « ça va ? » du quotidien où celui qui vous bombarde avec cette phrase veut tout entendre sauf la vérité !

    Avec le « bonne année », nous sommes au top du mensonge et de l’hypocrisie bienveillante.
    Il ne serait pas de bon ton de gâcher l’illusion de celui qui vous transmet le message et qui espère en retour des ondes positives dont il pourra bénéficier à son tour, afin sans doute de lui porter chance.
    Imaginez-vous lui répondre sincèrement, lui exprimer votre état d’esprit, vos craintes, vos interrogations, vos désillusions, votre noirceur et j’en passe.

    Si on sort du mantra pour pénétrer le monde réel, il va devenir très très compliqué d’avoir une « bonne année 2024 » !

    Attention je ne dis pas que c’est de l’ordre de l’impossible, mais quand même relativement peu probable. Disons que si le scénario des derniers siècles, des dernières décennies, des dernières années, des derniers mois ou des dernières semaines n’évolue pas, alors je vous garantis que la nouvelle année sera pire que la précédente !
    Disant cela je suis peut-être « optimiste », car ils nous ont tellement gâtés les dernières années que cela va être difficile de faire pire. Difficile, mais pas impossible.

    Il est d’usage de faire un bilan en fin d’année alors ne nous privons pas :

    • La fausse pandémie, pardon la vraie pandémie de tests avec son lot de lois dictatoriales, de passe sanitaire « pour notre bien et nous sauver du fléau (informatique) ».
    • Le faux vaccin « sûr et efficace » censé nous protéger du fameux « virus ». Injection qui n’a pas d’effets secondaires, bien entendu, et n’a tué strictement aucune personne jeune et en bonne santé.
    • « L’odieux psychopathe méchant Poutine » qui ne rêve que de marcher sur les Champs-Élysées et dont le pays a été ruiné grâce à nos sanctions économiques et qui est totalement isolé sur la scène internationale. Heureusement le preux, le courageux, l’honnête président Zelensky est là pour faire barrière au « camp du mal ».
    • Les « enculés du Hamas » qui, par « chance », ont pu tranquillement commettre leurs odieux méfaits permettant à Israël de parfaire un juste nettoyage ethnique dans la bande de Gaza.
    • Le « dérèglement climatique » qui devra nous empêcher de manger de la viande, de nous chauffer, de voyager, d’utiliser notre propre argent grâce à l’euro numérique afin de sauver la planète. Tandis que les gens importants utiliseront des jets privés pour faire des réunions sur comment prendre le peu d’argent qui reste aux gueux et construire des palais au niveau de la mer qui montera inexorablement dans les pays pauvres, mais pas devant leur plage privée.

    J’ai sans doute oublié de nombreux sujets, mais l’esprit est là. Terroriser le peuple, le ruiner le plus possible, détruire l’Europe, l’Occident, ses valeurs, son mode de vie, sa civilisation, son économie et bien entendu accroître les lois dictatoriales plébiscitées par ce même peuple ignorant et apeuré.

    L’ultralibéralisme a tué Dieu, a créé le protestantisme1 pour faire croire qu’il pouvait être juste de devenir immensément riche et aller au paradis grâce à la théorie du ruissellement.

    Oublions donc le fameux :

    « Il est plus facile à un chameau de passer par un trou d’aiguille
    qu’à un riche d’entrer dans le royaume des Cieux. »

    Théorie assez simple à comprendre, le riche se construit une piscine olympique d’argent gagné sur le dos des esclaves et pour réduire les coûts de production a de petites fuites dans le réservoir, Les gueux en dessous récupèrent les maigres gouttes, c’est ce que l’on appelle la théorie du ruissellement.

    Il n’est aucunement question de distributisme qui prônerait une juste réparation des richesses, mais seulement du riche qui vole les pauvres puis leur rend quelques miettes qu’il pourra récupérer grâce aux achats de « biens » de consommation.
    De nos jours l’argent ne coule plus du tout des riches vers les pauvres, mais c’est l’inverse. Comme il est vital d’amasser le plus possible et d’être plus riche que certains États, il est important de piquer aux pauvres le peu qui leur reste. De toutes les façons, ils sont tellement cons qu’on arrive à leur vendre 100 euros une paire de baskets à 3 euros.

    Le sens du courant a donc été inversé et le ruissellement est désormais
    du pauvre vers le riche jusqu’à la dernière goutte.

    La preuve en est de l’explosion du nombre de milliardaires durant le plan Covid et de l’augmentation de la pauvreté.
    La guerre en Ukraine n’est que la continuité du même plan avec le sabotage de Nordstream par les Russes eux-mêmes (dire qu’il y a des Occidentaux pour le croire, ça fait peur), l’explosion totalement artificielle du prix de l’énergie et une inflation tout aussi artificielle.
    Ce que j’ignore c’est s’ils ont prévu un plan intermédiaire entre l’Ukraine et le dérèglement climatique.
    Vous pourriez me citer le Hamas, mais je pense que ce n’est qu’une opération (de trop ?) des sionistes messianiques pour créer le grand Israël, mais aussi camoufler la défaite de l’OTAN face à la Russie. Russie dont personne ne pouvait douter sinon de sa victoire, au moins de sa non-défaite.
    Ce que je ne sais pas c’est si Blackrock ou Goldman Sachs ont déjà transféré leurs avoirs chez les BRICS.

    Pour en revenir au climat, au fameux « dérèglement », j’adore ce mot comme si dans l’histoire le climat avait été un jour « réglé », l’unique objet est la mise à mort de l’Europe.
    Tandis que les émissions de CO2 baissent en Europe, preuve de la destruction de l’économie, elles augmentent sur toute la planète et explosent en Asie.
    Il faut dire que faire croire que le CO2, gaz totalement naturel qui sort de notre bouche et qui est source de vie sur la planète, 0,04 % de l’atmosphère (si je ne m’abuse), désormais un poison mortel, relève du génie du mal et de l’ignorance et de la naïveté du peuple. Le taux de CO2 était 20 fois supérieur durant l’ère des dinosaures.

    Bref, Satan n’est pas près de prendre des vacances, il a un boulot fou en ce moment.

    Bonne année ?

    Alors l’année sera-t-elle bonne pour nous les gueux, les sans-dents, les inutiles dont la technologie fait qu’un robot et bientôt un androïde coûteront moins cher qu’un ouvrier occidental qui peut tomber en panne et avoir des putains de droits sociaux de merde ?

    Je vais essayer de ne pas être totalement pessimiste et fournir quelques éléments objectifs positifs.

    Si, si, je peux, ne soyez pas cruels…

    L’État profond, les maîtres du monde, l’Église de Satan, appelons-les comme nous voulons du moment que nous n’écrivons pas « qui »…
    « Eux », la secte des méchants, ont commis de graves erreurs en voulant trop accélérer leur agenda messianique. Ils ont aussi cru qu’ils pourraient contrôler Internet et les médias sociaux grâce à la censure massive, aux trolls et autres « vérificateurs de l’information ».
    De ce point de vue c’est un échec total, la censure, la parole unique, la décrédibilisation systématique de toute dissidence, ont réveillé des millions, que dis-je des centaines de millions d’endormis quand bien même la masse demeure aujourd’hui sur une planète diamétralement opposée à la notre.

    Il faut dire que les gouvernants ont été très cons comme par exemple nous autoriser à être assis sans masque au restaurant, mais interdit d’être debout, de même que les plages où il était interdit de marcher puis interdit de s’asseoir à moins que ce ne fût l’inverse. Cela a permis à certains de se demander si on ne se foutait pas un peu de notre gueule.
    Pour les injections, nombreux ont vu que cela n’empêchait pas d’avoir la grippe en hiver et que les effets secondaires ne manquaient pas dans leur entourage.

    Celui qui veut savoir, celui qui veut avoir accès à une information alternative et sourcée,
    peut trouver très rapidement son chemin dans les méandres d’Internet.

    Ce n’est pas ou plus une question de possibilité, mais de volonté !
    Telegram, pourtant créé par un « méchant russe », est devenu un outil de liberté d’expression qui ne pourra pas disparaître ou sera remplacé par un autre. Espace de liberté au point que des groupes totalement hostiles à Poutine peuvent s’exprimer librement.

    Nous traiter de « complotistes » est l’arme de ceux qui ont perdu la bataille, c’est le degré zéro de l’argumentaire.
    Nous pouvons disposer de nos jours d’informations dans quasi tous les domaines et nous forger notre propre opinion en la comparant à celle des médias mainstream qui ne parlent que d’une voix.

    Quiconque s’autorise à modifier ses croyances, prend le risque d’accepter qu’il puisse y avoir une autre vérité. Raison pour laquelle les mainstream font tout pour décourager l’innocent de lire des « désinformations complotistes ».

    N’importe quel individu « sain et éduqué » peut avoir son monde totalement bouleversé en quelques semaines dès lors qu’il ne se contente plus des affirmations des médias, mais investit le temps nécessaire.
    Autant il est facile de mentir, autant démontrer le mensonge prends plus de temps.

    Il en est des sujets suivants :

    • La Lune où nous irons peut-être un jour.
    • JFK, la CIA et le Mossad.
    • La plandémie Covid.
    • Le 11 septembre.
    • Les guerres mondiales, le Vietnam, l’Irak, etc.
    • La théorie virale et l’arnaque de Pasteur.
    • Les « vaccins ».
    • La guerre en Ukraine.
    • La « victoire » de Biden vs Trump.
    • Le conflit israélien.
    • Le « réchauffement climatique » et la secte du Giec.
    • La mort de Diana.
    • La famille royale d’Angleterre
    • Les réseaux pédophiles et les élites, Epstein, Pizzagate, Sound of Freedom.
    • Les « énergies renouvelables ».
    • Les attentats de Nice, etc.
    • L’économie et la destruction de l’Europe.
    • L’illusion de démocratie.
    • Jean-Michel Trogneux et Mickaël.
    • Le sabotage de Nordstream.
    • L’État profond, Blackrock.

    J’ai volontairement omis certains sujets, mais cette liste est déjà totalement délirante pour le commun des mortels.
    Le mieux que vous pourrez obtenir d’un normie qui vous est proche est un sourire où un ricanement plus ou moins amical, soulignant que l’auteur de ces lignes est un original. Bref rien qui ne justifierait un investissement personnel pour vérifier si telle ou telle partie mériterait que l’on si attarde.

    Dès lors que vous quittez le discours officiel sur les sujets précédents vous êtes au mieux qualifié de « complotiste » pour ne pas dire « d’extrême-droite » ou « antisémite » par la « bonne » société.
    N’espérez pas que la parole soit donnée à des personnes compétentes sur ces sujets qui défendraient une thèse diamétralement opposée à la doxa.

    Le fait est que celles et ceux qui ont pris la pilule rouge (c’est bien la rouge ? Je ne me rappelle plus) ne peuvent plus faire marche arrière et ont ouvert les yeux sur un monde, plutôt horrible, qu’ils ne pouvaient pas imaginer « à ce point ».

    Jamais vous ne croiserez un « complotiste » regretter de ne pas s’être injecté le produit expérimental BioNTech ou faire son Mea culpa en déclarant son erreur et que l’homme a bien marché sur la Lune.
    Ouvrir la boîte de Pandore c’est mettre un vers dans le fruit qui non seulement ne pourra plus jamais être retiré, mais ne fera que grandir pour se transformer en chrysalide.

    À ce titre je pense que les missions Apollo sont les plus intéressantes pour une « initiation au complotisme » ça facilitera l’ingestion de la pilule « 11 septembre ».
    Pour autant il est nécessaire d’avoir en face de soi un public qui se pose des questions ou qui tout du moins n’est pas à l’aise avec les vérités officielles.
    C’est loin d’être évident, une majorité de la population ne veut ABSOLUMENT PAS savoir, ne veut PAS écouter, apprendre et veut rester dans ce monde imaginaire décrit par les médias.

    Si d’aventure vous avez face à vous un « client » qui est prêt à prendre le risque alors le simple bon sens permettra de mettre à mal le discours officiel.

    • Imaginez que vous arriviez à l’intime conviction que l’homme n’est jamais allé sur la Lune, grâce à un ensemble de faits objectifs !
    • Imaginez que l’on vous mente sur ce sujet depuis 1969, soit plus de 50 ans !
    • Imaginez que le mensonge perdure encore et encore !
    • Imaginez l’énergie déployée pour vous convaincre du contraire et décrédibiliser la thèse « complotiste » !
    • Imaginez la complicité active des politiques, des scientifiques, de TOUS les médias mainstream pour vous maintenir dans l’ignorance !
    • Imaginez que la NASA soit, non pas une usine à rêve, mais, une usine de fabrique du mensonge !

    Dans cette hypothèse qui serait désormais le « fou » ?

    • Celui qui imaginerait qu’ils disent la vérité sur les autres sujets ?

    Ou

    • Celui qui se demanderait s’il faut mettre en doute 100 % des « vérités » qui nous sont enseignées pour se forger sa propre opinion ?

    J’ai lu il y a quelques jours une publication sur Telegram dont j’ignore l’auteur. Le titre en était « Comment savoir si une information est vraie ? »
    Il est bien évident que cela ne vaut pas loi, mais pour autant mérite réflexion. Les réponses étaient les suivantes :

    • « Facebook la bloque. »
    • « Twitter la supprime. »
    • « Google la cache. »
    • « YouTube l’interdit. »
    • « Les médias la qualifient de théorie du complot. »

    Je pourrais rajouter :

    • Les auteurs sont bannis, moqués, disqualifiés, discrédités, calomniés, rejetés, interdits de médias, victimes d’attaques ad hominem.

    Rappelons que la notion de « complotiste » a été médiatisée par la CIA lors de l’assassinat de JFK afin de décrédibiliser tout questionnement qui mettrait à mal la thèse officielle rocambolesque.

    « Si tout le monde le dit, c’est vrai ! »

    Dans nos sociétés, la vérité n’est qu’une question de statistique. Si la majorité dit que ou pense que… c’est que c’est vrai. On peut faire gober n’importe quoi à un normie qui a la mémoire courte.
    Le simple fait que l’on ait dit au début de la plandémie que les masques étaient inutiles, inefficaces, extrêmement difficiles à bien mettre (et aussi dangereux), bref un ensemble de vérités scientifiques prouvées depuis des décennies. Puis quelques semaines plus tard, ce même objet devenait indispensable, efficace, sans la moindre contre-indication et obligatoire, aurait dû en toute logique provoquer un scandale planétaire. Mais non, la première « Vérité » de la totale inefficacité était oubliée et le caractère Vital de son utilisation devenait la nouvelle « Vérité ». Celles et ceux qui avaient quelques démangeaisons anales ont alors pensé que la première « Vérité » était un gentil mensonge qui était justifié par le manque de masques tandis qu’ils ne se disaient pas que c’était peut-être la deuxième « Vérité » qui était le vrai mensonge.
    Et c’est ainsi pour tous les sujets.
    Pendant des années on nous a dit que la voiture à essence polluait et qu’il fallait la remplacer par un diesel (Peugeot étant le leader européen du diesel et notre capacité de production était trop importante du fait de la fermeture de centrales thermiques au pétrole). Le quidam a alors vendu sa voiture essence en parfait état de fonctionnement pour acheter un diesel. Et là le diesel est devenu un assassin de la planète et le quidam achète une voiture électrique ou hybride pour sauver encore la planète. Il n’est pas impossible que la voiture électrique soit bientôt désignée comme une aberration écologique (ce qui est vrai) pour être remplacée par je ne sais quoi, par exemple une voiture à hydrogène qui, de bien entendu, « sauvera la planète ».

    Il est tout aussi drôle, mieux vaut en rire, que des centaines de millions de normies se soient injecté une substance expérimentale, dont les précédents essais avaient été un échec retentissant, pour se prévenir d’une maladie qui n’a jamais tué les personnes en bonne santé. C’est quand même fou qu’ils aient pu gober (et c’est encore le cas pour nombreux d’entre eux) que le produit était sans danger alors que sa commercialisation a été permise sur les SEULES données du vendeur, en l’occurrence Pfizer pour ne parler que de lui.
    Ici encore le normie a TOTALEMENT oublié les différents scandales, les milliards de dollars de condamnation de Pfizer pour mensonges, escroquerie, corruption et j’en passe. Le plus fou est que nous étions en France en plein scandale du laboratoire Servier et du Médiator.
    Oublié que l’industrie pharmaceutique est un ramassis de voleurs sans conscience, d’un coup, par miracle, pour le Covid nous pouvions leur faire confiance au point d’injecter nos enfants et même des femmes enceintes alors qu’un médecin hésite à lui donner de l’aspirine tant cela peut être dangereux.
    Ne nous étonnons pas qu’un Breton soit intimement convaincu du réchauffement climatique et du manque d’eau quand bien même il pleuvait tous les jours en Bretagne cet été !
    C’est dans la nature humaine de suivre et de croire ce qui est répété jour après jour.

    Néanmoins :

    Mathématiquement, le nombre de personnes « complotistes »
    ou « éveillées » ne peut que croître inexorablement.

    Chaque jour, heure, minute, seconde, le nombre ne fait qu’augmenter, car trop c’est trop.
    À cela vous pouvez ajouter que les hommes politiques, les médecins, les juges, les scientifiques et les journalistes ne sont pas tous des moutons, des naïfs, des égoïstes, des lâches, des débiles, des criminels ou des corrompus. Certains ouvrent les yeux et commencent à faire parler leur conscience. Nous voyons de nombreuses fissures dans le mur des forces du mal.

    La question est donc de savoir si le mur va céder ou pas, et quand ?

    2024 sera-t-elle une « bonne » année ? 

    Je crains que cela ne dépende pas de gens comme vous et moi en ce qui concerne la bascule.

    • La version probable, logique, réaliste, pessimiste, voudrait que la dictature mondiale poursuive sa marche inéluctable, que nous perdions encore plus de libertés et que nous allions de plus en plus vers la pauvreté matérielle et spirituelle.

    Et

    • La version utopique, optimiste, réaliste, voudrait que l’État profond soit démasqué et que les honnêtes gens ouvrent les yeux sur la réalité de l’horreur et de la manipulation.

    L’année 2024 sera-t-elle lumineuse :

    • L’année où l’on dira « STOP » au sionisme messianique et au génocide des Palestiniens et autres minorités ?
    • L’année où l’est de l’Ukraine rejoindra naturellement la Fédération de Russie et l’Ouest deviendra neutre, sans présence de l’OTAN ?
    • L’année où Trump aura le droit d’être réélu ?
    • L’année où débuteront les premiers procès contre Pfizer ?
    • L’année où les scientifiques du climat pourront prendre la parole face aux corrompus ?
    • L’année où les agriculteurs, les entrepreneurs et le peuple européen (et occidental) diront « stop » à la destruction de notre vie ?
    • Etc.

    Je voudrais y croire, je veux y croire, mais je n’ose y croire.

    La question qui se pose est de savoir si le monde pourra basculer du bon côté sans notre intervention active. Les réseaux sociaux sont une mine d’informations salutaires et vitales, mais aussi notre prison.
    Nous, peuples européens et occidentaux, pourrons-nous nous opposer activement sans descendre massivement dans la rue ? Je crains que non.

    Je réserverai donc mon « bonne année 2024 » à la fin de l’année, sachant que le début n’a pas grand-chose de bon, et le remplacerai alors par « l’année 2024 a-t-elle était bonne ou moins mauvaise que la 2023 ? »

    Alors, s’il vous plaît, ne me souhaitez pas une « bonne année », mais fabriquez là.

    Merci

    Alain Tortosa2

    8 janvier 2024
    https://7milliards.fr/tortosa20240108-bonne-annee-ou-fin-du-monde.pdf


    1 Libre interprétation

    2 Groupe Telegram « Stop état urgence » https://t.me/+cNljt4jKWeVW0I1o
    Groupe Telegram « Docus qui dérangent » https://t.me/+Vb2slUv5Lk9hZmZk




    SMSGATE : un lanceur d’alerte gênant mis hors jeu par l’UE

    [Source : blast-info.fr]

    Frédéric Baldan, le citoyen belge qui a porté plainte contre Ursula von der Leyen dans l’affaire du SMSGate fait-il l’objet de représailles de la part de la Commission européenne ? Son accréditation en tant que lobbyiste lui a en effet été retiré sous un prétexte apparemment sans fondement et d’une façon peu scrupuleuse du droit. Ce qui arrive à M Baldan en dit long sur des institutions européennes qui n’œuvrent plus que pour elles-mêmes, dans l’intérêt de ceux qui la dirigent. Que contiennent les SMS échangés entre Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne et Albert Bourla, le PDG de Pfizer ? On ne le sait toujours pas malgré les nombreuses exhortations.






    Le FÉM veut contrôler tous les aspects de la vie publique

    [Source : aubedigitale.com]

    Par Frank Bergman

    Le Forum économique mondial (FEM) et son fondateur Klaus Schwab font pression pour mettre en place leur programme mondialiste qui vise à contrôler tous les aspects de la vie publique.

    En 1971, Klaus Schwab a reçu un capital de départ de 6 000 dollars et a transformé le FEM, qui n’était à l’origine qu’un modeste rassemblement d’économistes, en un club des plus exclusifs pour les élites mondiales.

    Le FEM, qui était à l’origine une organisation « à but non lucratif », engrange aujourd’hui la somme astronomique de 390 millions de dollars par an.

    Un nouveau livre du journaliste d’investigation Seamus Bruner a mis en lumière l’agenda du FEM et la manière dont Schwab s’est positionné en tant que marionnettiste mondial.

    Bruner a dirigé les équipes dont les conclusions ont déclenché de multiples enquêtes du FBI et du Congrès sur les Clinton et les Biden.

    Aujourd’hui, il dénonce les milliardaires qui contrôlent les leviers du pouvoir qui dominent tous les aspects de votre vie.

    Le livre, intitulé « Controligarchs : Exposing the Billionaire Class, Their Secret Deals, and the Globalist Plot to Dominate Your Life », suit l’argent au-delà des politiciens dans le marécage de Washington D.C. et va directement au sommet : Davos.

    C’est dans cette petite ville alpine de Suisse que les milliardaires de la jet-set et les bureaucrates de l’ombre préparent la prochaine décennie de nos vies.

    La capitalisation boursière des principaux membres du FEM — des mastodontes comme Apple, Microsoft, Amazon, Meta, Google, Comcast et Pfizer — dépasse les 10 000 milliards de dollars.

    Ce chiffre est doublé si l’on inclut le gestionnaire d’actifs BlackRock, qui pèse 10 000 milliards de dollars.

    Le fondateur et PDG de BlackRock, Larry Fink, est membre du conseil d’administration du FEM.

    Avec plus de 20 000 milliards de dollars, soit plus que le PIB de tous les pays du monde à l’exception des États-Unis, qui se baladent dans les coffres de ses membres, il est facile de comprendre pourquoi le FEM peut exercer une influence extraordinaire.

    Mais la domination constante du FEM sur les gouvernements du monde a permis d’obtenir bien plus que ce que l’argent aurait pu permettre.

    Le pouvoir économique de l’organisation lui permet d’exercer un contrôle politique et social.

    Les nombreuses façons dont le FEM complote pour contrôler l’avenir de la société font froid dans le dos.

    Les principaux points à l’ordre du jour comprennent la prise de contrôle par les mondialistes non seulement de la finance, mais aussi de l’énergie, de l’alimentation, de la santé, de l’information personnelle et de la technologie.

    Les contrôligarques tirent le rideau et révèlent en détail les systèmes et tactiques dystopiques que le FEM est en train de mettre en place.

    Les éléments clés de l’ordre du jour du FEM comprennent :

    La fameuse déclaration de Schwab sur la « Grande Réinitialisation » au milieu du COVID-19 a démontré que le FEM avait l’intention d’utiliser la pandémie pour influencer le présent et commander l’avenir.

    En contrôlant les industries et les infrastructures essentielles, le FEM et ses alliés mondialistes non élus, tels que l’Organisation des Nations unies (ONU), la Banque mondiale et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), exerceront un contrôle sans précédent sur tous les aspects de notre vie.

    Il ne s’agit toutefois pas de projets pour un avenir lointain, car la campagne du FEM est déjà en cours.

    La Banque des règlements internationaux, qui est le banquier central des banques centrales, travaille d’arrache-pied au déploiement des monnaies numériques des banques centrales (CBDC).

    Selon Agustin Carstens, président de la BRI, les CBDC offrent un « contrôle total » sur la masse monétaire et le public, comme le rapporte Slay News.

    Avec une CBDC, le système financier mondialiste peut annuler financièrement (ou « débanquer ») un individu, une entreprise, une ville entière, voire un pays tout entier.

    Le FEM proclame que l’exploration des CBDC a connu une « croissance exponentielle ».

    Le mois dernier, l’Atlantic Council a confirmé que la « dynamique en faveur » des CBDC « restait forte » jusqu’en 2023.

    Étant donné qu’aucune crise ne justifie l’urgence des CBDC, celles-ci sont vantées pour leur commodité.

    Le FEM et Larry Fink, de BlackRock, ont tous deux vanté le fait que les migrants peuvent réduire la durée de leurs transactions transfrontalières lorsqu’ils envoient de l’argent dans leur pays d’origine.

    Lorsque Schwab a annoncé la « grande remise à zéro », il a dit au monde qu’une fois que tout le monde serait vacciné, les blocages prendraient fin et le monde se reconstruirait de manière plus « verte ».

    Le lien entre la pandémie et le changement climatique n’était pas évident à l’époque.

    Mais le lien est aujourd’hui évident.

    L’idée d’un « confinement climatique » n’est pas farfelue.

    En Californie, le démocrate Gavin Newsom, qui est étroitement aligné sur le FEM, a sermonné ses électeurs en leur disant que leur comportement devait changer et que leur confort et leur liberté devaient être sacrifiés pour « le plus grand bien ».

    Les méthodes de Newsom consistent à limiter l’accès aux thermostats domestiques, à réduire les déplacements sur de longues distances et, bientôt, à éliminer les véhicules et les cuisinières à gaz.

    La prétendue menace du « changement climatique » a également permis aux gouvernements du monde entier de bouleverser des méthodes agricoles établies de longue date en interdisant les engrais traditionnels et en aplatissant les sources de protéines comme le bétail.

    Les restrictions soutenues par le FEM réduisent les agriculteurs à néant.

    Pour « résoudre » la pénurie alimentaire mondiale qui s’annonce, les membres du FEM et leurs alliés, tels que Bayer-Monsanto, Beyond Meats et Impossible Foods, ainsi que des entreprises innovantes de protéines à base d’insectes, sont entrés dans la danse.

    Les contrôligarques qui investissent massivement dans ce secteur sont Bill Gates, Jeff Bezos, Mark Zuckerberg et Richard Branson de Virgin Galactic.

    Le mois dernier, les partenaires du FEM, dont l’ONU et la Fondation Gates, ont organisé un événement intitulé « 50 en 1 » au cours duquel les alliés se sont engagés à déployer des systèmes d’identification numérique dans 50 pays d’ici cinq ans.

    Pourquoi ? Les cartes d’identité numériques liées aux dossiers médicaux numériques stockés sur votre téléphone portable sont un moyen incroyablement efficace de suivre votre statut vaccinal.

    De nombreux partenaires du FEM, dont Bill Gates, envisagent un système d’identification numérique obligatoire depuis plus de dix ans.

    Mais les passeports vaccinaux COVID-19 ont montré comment les cartes d’identité numériques peuvent être utilisées pour imposer sans pitié le respect des règles par les citoyens.

    En fait, l’identification numérique de l’Union européenne, liée au FEM, est une extension du système mis au point pour le passeport vaccinal européen.

    Lors d’un événement parrainé par l’ONU en 2010, Gates a déclaré que « les vaccins allaient être la clé », car « on pourrait enregistrer chaque naissance sur le téléphone portable, obtenir les empreintes digitales, obtenir une localisation, puis utiliser ces systèmes pour se déplacer et s’assurer que la vaccination a bien lieu », ce qui permettrait de gérer les soins de santé « de manière plus efficace ».

    Le FEM dissimule souvent les plans dystopiques que ses partenaires sont en train d’élaborer.

    Cependant, Controligarchs a passé au crible des centaines d’heures de vidéos oubliées et des milliers de pages — dont beaucoup ont été supprimées d’Internet — pour révéler que des visionnaires du FEM comme Yuval Noah Harari vantent hardiment des innovations telles que les micropuces cérébrales, les médicaments de complaisance de type pilule du bonheur et l’édition de gènes de type eugénique.

    Qu’on ne s’y trompe pas, les cartes d’identité numériques plus les CBDC équivalent à un score de crédit social de facto.

    Harari, quant à lui, pense que le corps humain tout entier peut être et sera « piraté ».

    Harari a fait remarquer que le COVID-19 était « critique » parce qu’il a convaincu les gens d’ » accepter » et de « légitimer la surveillance biométrique totale ».

    Mais il ne suffit pas de surveiller tout le monde.

    À l’avenir, « nous devrons surveiller ce qui se passe sous leur peau ».

    Les micropuces sous-cutanées ne sont qu’un début, car le corps humain tout entier est la toile de fond d’étranges expérimentations mondialistes et d’un pouvoir centralisé.

    Tout au long de l’histoire, « la mort a été le grand égalisateur », poursuit Harari.

    Pourtant, la soi-disant quatrième révolution industrielle proposée par Schwab donnera naissance à un nouveau système de castes dans lequel les pauvres continueront à mourir.

    Les élites riches du monde, quant à elles, « en plus de toutes les autres choses qu’elles obtiennent, bénéficient également d’une exemption de la mort », se réjouit Harari.

    Les élites seront alors en mesure d’acheter l’immortalité grâce à des améliorations biotechnologiques, afin de transcender l’humanisme lui-même.

    Ce ne sont là que quelques-uns des projets choquants et liberticides que le FEM a commencé à mettre en œuvre.

    Parmi les autres secteurs soumis à la prise de contrôle du FEM figurent le logement dans les « villes du quart d’heure », l’éducation grâce à l’IA qui fait progresser « l’apprentissage socio-émotionnel », la circulation de l’information via la répression de ce qu’on appelle la « désinformation », et bien d’autres encore.

    Traduction de Slay News par Aube Digitale




    La République et la destruction du peuple

    [Source : Marion Sigaut – Officiel]

    Émeutes, manipulations, massacres et finalement extermination d’une population désarmée, les hauts faits d’armes de la République.