Toi aussi, affame un non-vacciné pour retrouver ta vie d’avant

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Que faire du non-vacciné moyen qui résiste opiniâtrement à la propagande gouvernementale sur la énième dose de vaccin qui nous ramènera à la vie normale ? L’affamer bien entendu, faute de pouvoir le génocider directement. C’est l’idée proposée par le Président de la Fédération Nationale des Médecins Radiologues (FNMR), Jean-Philippe Masson, dans le cadre d’une boucle WhatsApp de l’Institut Santé créé par le vétérinaire Frédéric Bizard qui se proclame désormais économiste. Voilà une idée qui nous semble excellente : pour tuer le virus, empêchons les non-vaccinés de se nourrir. Olivier Véran et son passe vaccinal sont sur la bonne voie.

C’est vrai qu’ils sont usants tous ces non-vaccinés qui résistent encore et toujours aux progrès de la science. Et leur manie d’inventer des complots en imaginant que l’industrie pharmaceutique pourrait privilégier ses profits en sacrifiant la santé (par exemple en livrant des vaccins mal testés) est à la limite du supportable. 

Le non-vacciné, coupable du pire

Car comment expliquer, sinon du fait des non-vaccinés qui menacent toute la population, que nous ayons passé Noël 2020 sans vaccin et en dansant, alors que, un an plus tard, et avec 85% de vaccinés dans la population, il faut interdire les discothèques et les réveillons ?

Le non-vacciné porte en lui une sorte de résistance à toute épreuve : on a beau l’écarter de toute vie publique depuis six mois, en lui imposant un passe sanitaire, en l’obligeant à se tester toutes les 24 heures, il est encore capable de contaminer toute la société. C’est son côté blatte, ou cafard : il survit à tout et sa toxicité est en expansion permanente. 

Comme le déclarait Gilbert Deray, chef de service à l’hôpital Pitié-Salpêtrière à Clea Calcutt de Politico (selon la newsletter de cet organe), 

« il serait irresponsable, avec l’émergence du variant Omicron, de maintenir “un réservoir de millions de personnes [non-vaccinées] qui vont faire prospérer le virus” ».

Le “réservoir” de non-vaccinés est dangereux, et c’est en l’éliminant, ou en tout cas en le réduisant, que les hôpitaux vont se désengorger, puisque, c’est bien connu, seuls les non-vaccinés font circuler le virus, et eux seuls tombent malades. 

Certes, ceci ne doit en rien empêcher les autres de prendre une troisième dose, au cas où le vaccin serait moins sûr et moins efficace qu’on ne le dit… et au cas où les vaccinés pourraient être la cause de l’épidémie. Mais ceci ne doit pas être ébruité : on vous le répète, il faut avoir confiance dans le vaccin, dans les médecins, dans le gouvernement. 

Faire taire les complotistes coûte-que-coûte

C’est évidemment une faiblesse coupable d’Emmanuel Macron de ne pas faire taire une bonne fois pour toutes les ragots des complotistes qui sèment le trouble sur l’efficacité et l’innocuité du vaccin. 

Le bon sens est que tout le monde obéisse aux prescriptions des médecins sans contester leur expertise. Il faut écouter les nouvelles officielles sans douter, et arrêter de laisser le non-vacciné ordinaire croire qu’il est capable de comprendre quelque chose à sa santé. 

Il faudrait donc débrancher les accès aux réseaux sociaux et à Internet des non-vaccinés. Leur interdire de prendre la parole et de répandre le venin du doute dans les esprits. Leur interdire de s’exprimer. 

Car leurs progrès sont assez inquiétants, et même très inquiétants. Cette semaine, le gouvernement a désamorcé 400.000 passes sanitaires détenus par des personnes de plus de 65 ans qui ont refusé le 3è dose. Soit 12% de personnes éligibles de 80 ans et plus et 10% des 65/79 ans.

À ce rythme-là, les non-vaccinés pourraient être 10 millions, en février. Soit le double du nombre actuel. 

Bien entendu, Olivier Véran ne peut pas s’en vanter : les Français résistent à la troisième dose parce que les non-vaccinés leur bourrent le mou avec des délires complotistes.  

Il faut donc durcir le ton. 

Du passe vaccinal à l’élimination complète

Les discussions vont donc bon train entre pontes de la médecine pour éviter la progression du doute dans l’esprit de M. Dupont, et un recul conséquent de l’indispensable vaccination qui nous ramènera la vie d’avant. Sur ce point, les positions du bon docteur Jean-Philippe Masson, président de la FNMR (évoqué plus haut), fournissent sans doute les clés de la solution finale à adopter. 

Comme on le voit, dans cette conversation, Jean-Philippe Masson donnait la réplique au médecin Jean-Yves Le Goff. Leur proposition est simple : pour convaincre le non-vaccinés de recevoir la potion magique, il faut “demander le pass vaccinal partout”, affirme Jean-Yves Le Goff. 

Et à la question “Y compris dans les magasins d’alimentation ?”, le président Jean-Philippe Masson répond “bien sûr”. 

Bref, pour réduire le nombre de non-vaccinés, il suffit de les affamer ! Leur interdire enfin l’accès aux biens de première nécessité !

Comme le regrette Jean-Yves Le Goff, “le gouvernement ne le fera pas, habitué à la mollesse”. 

Alors, c’est qui les gros musclés qui ne se dégonflent pas devant le petit peuple des analphabètes complotistes et qui leur qui c’est le plus fort ?

Véran et Macron prisonniers des affameurs

Entourés de ces grands humanistes à côté de qui Himmler ressemble à un gentil organisateur du club Med (mais ne le dites surtout pas, Jean-Philippe Masson est médecin et président de sa fédération, donc supérieurement intelligent et éclairé), Olivier Véran n’a pas tortillé : il a proposé au Grand Timonier de transformer le passe sanitaire en passe vaccinal, c’est-à-dire de le réserver aux vaccinés. 

Interrogé sur le sens de son geste, Véran n’a pas tortillé :

Ah voilà ! le passe vaccinal, c’est une obligation vaccinale en mieux ! 

Au passage, Véran soulage le Conseil d’État de devoir expliquer régulièrement aux requérants que le passe sanitaire n’est pas une forme de vaccination obligatoire. Désormais les choses sont claires, dites, et de façon expéditive. 

Du passe vaccinal au génocide…

L’avantage, avec Jean-Philippe Masson comme avec Olivier Véran, c’est qu’on les reconnaît facilement car ils osent tout. Et sur ce point, il n’y a plus aucune ambiguïté sur la stratégie utilisée par le gouvernement : on n’est pas bien sûr que le vaccin, même injecté tous les trois mois, réduise d’une quelconque façon les contaminations et les hospitalisations. 

Mais on est sûr que le non-vacciné, complotiste et appartenant forcément à la fachosphère, est la cause de tous les maux. Pour le réduire à néant, on l’exclut de tout, pour l’instant, sauf des magasins de première nécessité. 

Prochainement, il est même question qu’il doive présenter un test avant d’aller travailler. 

L’étape suivante est déjà connue : on l’affamera. 

Alors, si toi aussi tu veux retrouver ta vie d’avant, aide le gouvernement. Affame un non-vacciné. 




Mehdi Belhaj Kacem : « Un nouveau totalitarisme est en train de se mettre en place »

[Source : FranceSoir]

Philosophe autodidacte et reconnu, comme en témoignent ses publications dans les plus grandes maisons d’édition (Gallimard, Grasset, Fayard…), Mehdi Belhaj Kacem est venu nous accorder un « Entretien essentiel ».

[Voir aussi : Réponse du philosophe Mehdi Belhaj Kacem à la Lettre du maire de Turenne]



L’écrivain avait fait du bruit le mois dernier, en publiant un long texte de réponse à un édito pro-vaccin rédigé par le maire de sa commune. 

Au-delà de cette controverse, dont FranceSoir s’est fait le relais, ce libre penseur nous fait part de ses réflexions sur « le nouveau totalitarisme » en place, visant « sciemment à rendre les gens fous » et qui promeut le transhumanisme.

Pour autant, même s’il considère que nous vivons « la période la plus sombre de notre histoire », Mehdi Belhaj Kacem se dit optimiste, « car à long terme, ils ne peuvent pas gagner ».

Auteur(s): FranceSoir




Une lanceuse d’alerte de l’OMS : « Nous vivons une pandémie de mensonges – Bill Gates est aux commandes »

[Source : anguillesousroche.com]

La Dre Astrid Stuckelberger, lanceuse d’alerte de l’Organisation mondiale de la santé, a déclaré publiquement que l’OMS avait été prise en charge par des entités hostiles telles que Bill Gates, qui perpétuent une « pandémie de mensonges » afin d’asservir l’humanité.

Dans une interview accordée à un journal norvégien, elle a déclaré que la pandémie avait été orchestrée par les élites mondiales afin d’instaurer un « nouvel ordre mondial » et de contrôler la population.

Freewestmedia.com rapporte : 

« C’était spécial : Des organisations telles que GAVI – l’Alliance mondiale pour la vaccination dirigée par Bill Gates – sont arrivées à l’OMS en 2006 avec des fonds. Depuis lors, l’OMS est devenue un nouveau type d’organisation internationale. GAVI a gagné de plus en plus d’influence, et une immunité totale, plus que les diplomates de l’ONU. GAVI peut faire exactement ce qu’elle veut, la police ne peut rien faire. »

L’OMS a fait l’objet d’un audit en 2014 et après cela, elle est devenue davantage une entreprise dont les pays sont les filiales.

« Quand je travaillais avec les relations internationales à l’OMS en 2013, j’ai vu que GAVI arrivait de plus en plus. GAVI a présenté un plan d’action mondial pour la vaccination 2012-2020. C’est-à-dire huit années où GAVI avait tout entre les mains. Bill Gates s’est occupé de la vaccination, il a pris le relais. »

[Voir aussi :
Partenariats Public-Privé : de la Fondation Bill et Melinda Gates à Big Pharma
Le monstre de la vaccination GAVI : immunité juridique totale !
GAVI et Bill Gates plus puissants que l’ONU !]

L’OMS exerce un pouvoir énorme sur les pays, a-t-elle ajouté. 

« Avant, tous les pays étaient libres. Mais maintenant, quand je fais des interviews dans le monde entier, je vois que chaque pays fait partie d’une ‘société OMS’. L’OMS n’est plus une organisation membre démocratique, comme l’ONU. Les différents gouvernements constituent la base de ‘l’entreprise’. Cela correspond logiquement à ce qui se passe actuellement, puisque les ‘entreprises’ veulent de l’argent, des affaires, et contrôler les gens. C’est comme l’esclavage. Les impôts que nous payons vont aux gouvernements qui sont soumis à « l’entreprise ». Sous les organisations multinationales, comme GAVI. »

Contrat entre GAVI, la Banque mondiale et l’OMS

« GAVI, la Banque mondiale et l’OMS ont conclu un contrat appelé IFFM : International Facility Finance for Immunization. Nos pays, nos populations, paient à l’OMS, à la Banque mondiale et à GAVI pour réaliser leurs programmes de vaccination. Ce qui signifie vacciner l’ensemble de la population. Quand vous voyez le plan de GAVI, vous voyez que de 2012 à 2020, ils ont eu cet objectif. Mais comme cela n’a pas fonctionné, ils ont dû créer une pandémie. »

Selon elle, la pandémie a très certainement été planifiée. 

« Vous pouvez le voir dans tous les documents. Tout le monde peut les analyser, ils sont au grand jour, sous nos yeux. »

[Voir aussi :
Preuves que la pandémie a été planifiée ?
Une journaliste vedette de Fox News dévoile ce que des sites « complotistes » avaient révélé depuis des mois : le document Rockefeller sur un scénario pandémie publié en 2010]

Elle a souligné les recherches du professeur John Ioannidis de l’université de Stanford, qui montrent que la mortalité en 2020 n’était pas plus élevée que les autres années. 

« C’est un mensonge, et il n’y a pas de pandémie. L’OMS accepte que la mortalité ne soit pas plus élevée, pourtant elle n’a pas déclaré que la ‘pandémie’ était terminée », a-t-elle ajouté.

[Voir aussi :
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
(ou sur Mondialisation.ca)
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents du Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Mme Stuckelberger a déclaré qu’elle ne se considérait pas comme une lanceuse d’alerte, mais comme une experte en santé publique, en médecine et en science. Mais les larbins de Gates lui ont déclaré la guerre. 

« Les universités de Genève et de Lausanne ont arrêté tous mes cours. Je suis en procès, ils m’attaquent. Ils veulent révoquer ma licence médicale, ils essaient de dire que je ne suis pas compétente, que je mens. Cela s’applique à tous les chercheurs qui disent cela, nous sommes maintenant plusieurs médecins à mettre en garde contre la mort après la vaccination. C’est dangereux pour les professionnels d’en parler. »

L’ancienne employée de l’OMS s’est moquée avec ironie du rôle des médias dans la diffusion des mensonges. 

« Les médias sont payés par les « entreprises » multinationales. Je les appelle les pirates internationaux. Et les médias contrôlent les gouvernements. Les médias doivent devenir indépendants, ils doivent aider la population à obtenir des informations libres. »

[Voir aussi :
Le projet maléfique de Gates s’appuie sur la corruption. 319 millions déversés dans les médias
Concentration des médias (2) : convergences et dépendances – Acrimed | Action Critique Médias
Démocratiser les grands médias – Acrimed | Action Critique Médias
Médias, information et mondialisation libérale
La Presse-Système
Les relations troubles entre les journalistes et la CIA
Médias sous influence | Le monde politique]

Un certain nombre d’études et de médecins ont souligné qu’il existe un traitement pour le Covid-19.

Stuckelberger, qui vit à Genève, pense que la solution est de revenir à l’ancienne vie communautaire : 

« Nous devons organiser un système social parallèle. Nous devons revenir à l’âge des Vikings. C’est arrivé en Suisse, beaucoup de choses ici maintenant ont des racines dans l’époque des Vikings. J’y pense beaucoup – en Norvège, on peut revenir à l’agriculture. »




Le Général Flynn crée son site Internet et expose son plan pour sauver l’Amérique et le monde

[Source : generalflynn.com]



[Ndlr : les précédentes tentatives pour sauver un pays de la situation actuelle, que ce soit en France, aux États-Unis ou ailleurs dans le monde, ont pour l’instant toutes échoué. Sans pour autant nous nourrir de faux espoirs, nous pouvons néanmoins donner sa chance à ce nouveau coureur et le soutenir d’une manière ou d’une autre, selon nos moyens.]

Avec plus de 33 ans de service dans l’armée américaine et actuel président de America’s Future [Le futur de l’Amérique], la carrière militaire du général Flynn a culminé en tant que directeur de la Defense Intelligence Agency (DIA) [Les services secrets de l’Armée des USA] et en tant qu’officier de renseignement militaire le plus haut placé de la nation.

Après avoir pris sa retraite de l’armée en 2014 et en tant que citoyen privé, le général Flynn a occupé divers postes dans les domaines des affaires, de l’éducation et des organisations à but non lucratif, notamment en soutenant des organisations d’anciens combattants dans tout le pays, ce qu’il continue de faire aujourd’hui.

Dans le cadre de sa fonction publique, il a été sélectionné et a servi en tant que conseiller en politique étrangère de plusieurs candidats républicains à la présidence des États-Unis (2016), puis a été nommé et a servi en tant que conseiller à la sécurité nationale du 45e président des États-Unis d’Amérique [Donald Trump].

Le général Flynn est un auteur de best-sellers nationaux, il est titulaire de trois maîtrises et a reçu de nombreux prix militaires, de renseignement et d’application de la loi.

Il est marié, a deux fils et a plusieurs petits-enfants.

En novembre, le général Michael Flynn rejoint Alex Jones et Infowars pour présenter un plan d’urgence pour identifier et traduire en justice les mondialistes retranchés dans le gouvernement américain.

Au cours de cette interview exclusive, il explique comment l’Amérique est attaquée par de mauvais acteurs à travers le monde, aidés par des traîtres à l’intérieur du pays.

Flynn souligne également l’importance pour les Américains informés d’inspirer collectivement une prise de conscience massive de l’opération mondialiste [nommée notamment Grand Reset ou encore Nouvel Ordre Mondial] via le Grand Réveil.

Vidéo en anglais






Covid : un cardinal accuse Soros et Gates de vouloir instaurer un « contrôle total » de la population

[Source : RT France via anguillesousroche.com]

Le cardinal allemand Gerhard Ludwig Mueller a accusé « l’élite financière » – citant Soros, Gates et Schwab – d’instrumentaliser la crise du Covid-19 pour instaurer un « contrôle total » des populations. La presse allemande dénonce son « complotisme ».


L’ancien évêque de Ratisbonne – aujourd’hui prince de l’Eglise catholique – Gerhard Ludwig Mueller a tiré à boulets rouges sur une certaine « élite financière », qui profite selon lui de la crise du Covid-19 pour « faire avancer son agenda ».

« Les gens qui sont assis sur le trône de leur richesse », voient une « opportunité de faire avancer leur programme », a accusé l’homme d’église dans un extrait d’entretien (non encore diffusé en intégralité) publié sur les réseaux sociaux le 6 décembre par l’Institut Saint-Boniface, un site traditionnaliste autrichien.

Le septuagénaire a estimé que le Covid-19 a semé le « chaos » et des « troubles » non seulement en raison du « manque de connaissances » sur la transmissibilité et la dangerosité du virus lui-même, mais aussi de la volonté des super-riches de « saisir une opportunité de mettre les gens au pas ». Les élites financières mondiales instrumentaliseraient selon lui désormais la pandémie et les mesures restrictives adoptées par les gouvernements afin de lutter contre la propagation du virus pour soumettre les gens à un « contrôle total » et mettre en place un « Etat de surveillance » mondial, a-t-il ajouté.

Parmi les personnes prétendument à l’origine de ce projet, les milliardaires Bill Gates et George Soros ainsi que le président du Forum économique de Davos, Klaus Schwab, ont été cités par le cardinal. « Cela n’a rien à voir avec la démocratie », s’est encore insurgé le prélat, pour qui les élites financières voudraient créer un « homme nouveau », qui serait à leur « image et à leur ressemblance ».

La presse allemande dénonce des propos « complotistes »

D’abord passés relativement inaperçus dans le monde germanophone, les propos du cardinal ont été depuis relayés par la presse, et taxés de « complotisme ». Interrogé par l’agence DPA, le politologue allemand Jan Rathje a estimé que ces propos relevaient non seulement de la théorie du complot, mais aussi possiblement de l’antisémitisme, George Soros étant de confession juive.

L’agence de presse précise que contacté par ses soins, le Vatican n’a pour l’instant pas fait de commentaire. Pas plus que la Conférence épiscopale allemande, qui a simplement réitéré son appel à la vaccination.

Contacté par DPA, le cardinal a pour sa part confirmé ses propos et affirmé qu’il rejetait la logique consistant à classer « automatiquement du mauvais côté » ceux qui critiquent l’« élite financière ». Il en a profité pour tancer une nouvelle fois « l’influence illégitime des élites super-riches dans divers pays ».

Gerhard Ludwig Mueller a été entre 2012 et 2017 préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, un organe essentiel de la curie romaine qui a pour mission de « faire connaître et garder la foi », avant d’être démis de ses fonctions par le pape François.

Lire aussi : Un archevêque de haut rang : Ceux qui combattent le « Nouvel Ordre Mondial » sont « protégés par Dieu »




La pandémie d’euthanasie médico-économique (2/2)

Par Khider Mesloub et Robert Bibeau

La première partie de ce texte est disponible ici :
La pandémie d’euthanasie médico-économique (1/2) – les 7 du quebec

L’euthanasie sociale sous le socialisme et sous le fascisme

Curieusement, cette « euthanasie sociale » (socialiste et/ou social fasciste)  des personnes âgées et vulnérables, opérée à la faveur de la pandémie du Covid-19, a une résonnance historique avec une pratique de l’État nazi appelée l’Aktion T4, programme d’extermination de plus de 300 000 Allemands handicapés physiques et mentaux. L’Aktion T4, appelé aussi « programme d’euthanasie » est un véritable protocole d’élimination des handicapés physiques et mentaux mis en œuvre dès 1939 à la demande expresse d’Adolphe Hitler. À cet égard, ironie de l’histoire linguistique, il n’est pas inutile de relever que le terme euthanasie contient le mot nazi (euthanazi), comme l’a écrit Lionel Chrzanowski : « De l’euthanasie à l’État nazi, il n’y a que quelques lettres d’indifférence ».

L’État nazi voyait ces personnes comme une charge pour la société, n’ayant aucune utilité pour la nation (sic). Les personnes à exterminer étaient sélectionnées par les médecins et réparties en trois groupes : celles souffrant de maladie psychologique, de sénilité ou de paralysie incurable ; celles hospitalisées depuis au moins cinq ans ; et enfin celles internées comme aliénés criminels, les étrangers et celles qui étaient visées par la législation raciste nationale-socialiste. Dans l’optique des nazis, les faibles d’esprit et tuberculeux, les enfants atteints de malformations et les vieillards malades, étaient des individus improductifs, antisociaux, mais surtout un fardeau social pour le système sanitaire et financier de l’État. Ils étaient considérés comme de véritables « choses inutiles ». Aussi, l’assistance de ces personnes était un gaspillage, en particulier dans un contexte où le pays devait concentrer toutes ses énergies sur l’effort de guerre (aujourd’hui, en 2021, pour le moment la guerre est économique, et conséquemment diplomatique, juridique, politique et idéologique, mais elle ne va pas tarder à se transformer en conflagration armée généralisée, permettant de concrétiser à l’échelle mondiale le programme d’euthanasie planifié). Les arguments eugéniques et d’hygiène sociale visant la création d’une pure race germanique (aujourd’hui le système capitaliste, avec sa tentative de reconfiguration économique sur fond de destruction des secteurs obsolètes de l’économie et d’euthanasie sociale des personnes vulnérables en raison du coût de leur entretien et de leurs soins), vise à créer une nouvelle « race » (catégorie-classe sociale)  de producteurs salariés numérisés et atomisés et de consommateurs isolés -désocialisés- d’e-Commerce, autrement dit une société avec moins de grandes unités-usines concentrationnaires- de production (sources de dangers de fraternisation de la classe ouvrière) et sans commerces physiques de proximité, devenus coûteux, désuets, non rentables) se mêlaient aux exigences utilitariste, chères aux libéraux.

Il faut comprendre ici que cette stratégie de démantèlement-réorganisation (Great Reset) de la nouvelle économie politique capitaliste vise particulièrement la petite et la moyenne bourgeoisie dont l’avenir de paupérisation et de prolétarisation est tracé par les complotistes du Grand capital mondialisé. On comprend mieux que ces segments marginaux et sacrifiés de la bourgeoisie dominante montent aux crénaux  de la Résistance à l’hystérie pandémique du Covid-19.(([1] Marie-Estelle Dupont: «Les individus sont fragilisés par cette répression, ce chantage, cette manipulation médiatique» – les 7 du quebec)) Ces segments bourgeois adoptent deux tactiques différenciés. Un segment de la petite bourgeoisie se soumet au diktat des grands patrons et ordonne à la populace (plèbe) de se soumettre aux autorités « démocratiques » totalitaires, espérant ainsi sauvegarder leurs privilèges de classe en perdition. Un second segment de cette basse bourgeoisie se révolte et mène la charge contre l’évolution incontournable – inévitable – du monde de production capitaliste monopoliste, espérant ainsi entraver la marche en avant inéluctable du Grand capital moribond.(([2] Résultats de recherche pour « crise économique » – les 7 du quebec)) Peine perdue, l’histoire ne revient jamais sur ses pas… ces petits bourgeois l’apprendront de triste façon. Nous espérons qu’a la fin de leur périple ils se rallieront au prolétariat plutôt qu’au fascisme de leurs patrons.

Les gouvernements des États capitalistes de gauche et de droite

Quoi qu’il en soit, les gouvernants ne peuvent pas s’exonérer de leur responsabilité dans cette tragédie en arguant qu’ils ignoraient la menace de l’épidémie du coronavirus. Depuis plusieurs années, les scientifiques n’ont pas cessé de tirer la sonnette d’alarme. Les autorités médicales internationales (OMS) comme les États de tous les pays capitalistes étaient informés de la menace d’une épidémie liée aux coronavirus. D’autant mieux informés que le Grand capital mondialisé subventionnait des dizaines de laboratoires militaires de recherche de nouvelles armes bactériologiques de tuerie massive (virus à gain de fonctions meurtrières virales).(([3] Résultats de recherche pour « gain de fonction » – les 7 du quebec)) Or, comme on le constate dramatiquement aujourd’hui, aucune politique de santé prophylactique n’a été instituée, ni aucune thérapeutique curative n’a été expérimentée. Le scandale Ivermectine – les 7 du quebec   Les États ont délibérément ignoré les recommandations des autorités médicales en refusant de développer une véritable politique de santé prophylactique et curative.(([4] Pr Didier Raoult – Bilan scientifique suite à la terreur pandémique du COVID-19 – les 7 du quebec)) Pour des raisons de restrictions budgétaires, ils ont détruit le système de santé, notamment le secteur de prévention sanitaire tout comme les secteurs des soins de longue durée (CHSLD et EHPAD).(([5] Mourir parmi les personnes âgées emprisonnées en CHSLD ou en EHPAD! – les 7 du quebec)) Car, pour le capitalisme, les dépenses de prévention sont « improductives » – c’est-à-dire ne produisent pas de profit. Aussi, l’État, organe de planification et de rationalisation de la domination de classe, alloue-t-il un financement dérisoire à ce poste budgétaire jugé stérile en termes  de rentabilité économique et sociale.

Comment expliquer cette barbarie à visage démocratique ?

En premier lieu, comme on l’a souligné plus haut, du fait des restrictions budgétaires, responsables ces dernières années du démantèlement des hôpitaux et de la réduction des effectifs des personnels soignants (qui se poursuit encore aujourd’hui en pleine pandémie). Mais, plus globalement, cette politique sanitaire dépourvue d’humanité s’inscrit dans une « philosophie » de l’existence libérale où l’intérêt individuel prime sur les besoins primordiaux collectifs, conception particulièrement répandue parmi les classes dirigeantes cyniques, au sein des instances gouvernementales et entrepreneuriales. La mondialisation a converti l’ensemble des oligarques et larbins politiques à la logique comptable en matière de rapports sociaux. Pour cette pensée marchande vénale, l’homme n’est pas la fin de l’organisation sociale  et politique mais seulement le moyen de l’accumulation du capital, ce que nombre de Résistants appellent communément « le règne de l’argent roi » oubliant que l’argent n’est que la représentation du capital variable (salaire) et du capital constant (immobilisation et machinerie) . Enserré dans l’idéologie du culte de la performance (productivité) et de la compétition (concurrence pour les marchés) pour l’accumulation de profits et la valorisation du capital, « l’homme capitaliste » (le ploutocrate) est assujetti à des impératifs économiques supérieurs : la conquête des parts de marché, l’accroissement de la productivité, l’expansion (valorisation) de la rentabilité des capitaux, l’extension illimitée de l’économie libidinale de la jouissance personnelle et du divertissement individuel (strictement pour le profit). De là s’explique que, pour le système capitaliste, les individus ne sont dignes d’intérêt que dans la mesure où ils constituent une marchandise active, un objet dynamique capable lui-même de consommer d’autres objets qu’ils auront payés par leur travail salarié. Dès lors qu’ils perdent leur force productive génératrice de valeur et leur dynamique consommatrice, autrement dit ils vieillissent ou deviennent inaptes au travail, ils sont considérés par le capital comme des objets à charge, un coût dont il doit se décharger. Aussi, la reconnaissance de leur qualité humaine et de leur dignité sociale disparaît-elle au sein de la société capitaliste.

Corrélativement, doivent-ils se résoudre à accepter ou à commander leur disparition, leur dépérissement. Pour les gouvernants de l’État capitaliste sans coeur, les personnes âgées ne constituent qu’un amas d’objets rouillés, d’ex-moyens de production, destinés à être jetés à la casse… comme n’importe quelle autre marchandise obsolète.

En vertu de la conception de l’obsolescence programmée chère aux libéraux, à l’instar de Schumpeter, fondateur de la théorie de la «destruction créatrice», les personnes fragiles, invalides, âgées, inutiles, devenues surnuméraires, doivent ainsi abréger leur durée de vie, autrement dit se laisser mourir, du coronavirus ou de quelque maladie chronique inoculée par le système capitaliste pathogène via ses laboratoires virologiques de recherche de nouvelles armes létales. Plus exactement, c’est l’État qui se charge d’abréger leur durée de vie par leur mise à mort précipitée, au moyen de l’application de la politique d’«euthanasie sociale», dans le cadre de la conception malthusienne, cette mort volontaire, organisée par les gouvernements des riches par leur incurie volontaire, pour résoudre à leur manière scélérate la question des fonds de retraites (déficitaires et insolvables)  et du déficit de la sécurité sociale, de la démographie surnuméraire.(([6] Résultats de recherche pour « retraite » – les 7 du quebec))

Pour les puissants 20% de la population active suffiraient pour faire fonctionner l’économie mondiale

En réalité,  cette politique euthanasique s’intègre dans l’idéologie néo-malthusienne, c’est-à-dire la gestion de la démographie par l’accroissement de la mortalité, autrement dit la programmation de la dépopulation de la planète opérée actuellement par la pathologisation des populations (contamination virale, infection bactérienne, dégradation psychologique, aliénation sociale), la planification de la destruction de millions d’emplois occasionnée par la robotisation de l’industrie et la dématérialisation de l’économie (désignés sous le nom de Grand Reset), avec, comme corollaire, la paupérisation généralisée de centaines de millions de personnes privées de revenus, et, à court terme, la propagation de la famine, donc l’explosion de la mortalité. À cet égard, il est utile de rappeler que, bien avant le début de notre millénaire apocalyptique (marqué par deux profondes crises économiques en l’espace d’une décennie – 2008 et 2020 -), à la fin du siècle dernier, lors de la réunion des principaux dirigeants du monde capitaliste, tenue à Hôtel Fairmont de San Fransisco en 1995, cinq cents convives (parmi lesquels figuraient George Bush père, Margaret Thatcher, Václav Havel, Bill Gates, Ted Turner, Zbigniew Brzezinsky) avaient envisagé  que, dans la future société hautement technologique, 20% de la population active suffiraient pour faire fonctionner l’économie mondiale. En d’autres termes, 80% de la population mondiale deviendraient inemployables, donc inutiles, surnuméraires. Avec la volonté du grand capital d’accélérer actuellement la robotisation et la dématérialisation de l’économie, donc l’expulsion de millions de salariés de la production, les prévisions des puissants du monde se concrétisent. Et, par extension, le programme d’élimination des surnuméraires en voie d’exécution par les autorités étatiques, ces succursales du grand capital financier.

Cependant, une embuche imprévue se présente sur la route des convives malthusiens de l’Hôtel Fairmont. Quelle faction du Grand capital international commandera à son profit l’armée des salariés aliénés, ce 20% de population active enchaîné? En 1995 l’émergence de la super puissance chinoise (1,4 milliard d’individus solidement encadré par un gouvernement totalitaire) n’était pas encore évidente. En 2021, la superpuissance chinoise mène son expansion dans toutes les directions sous le programme des Nouvelles routes de la soie, entraînant la déroute de l’Alliance Américaine moribonde.(([7] Résultats de recherche pour « nouvelles route de la soie » – les 7 du quebec
Et débâcle américaine en Afghanistan et en Asie centrale :
Résultats de recherche pour « afghanistan » – les 7 du quebec))

Faute d’hôpitaux en cours d’élagages, larbins politiciens et technocrates bureaucratiques ont opté pour l’érection du dogme du « Vaccinisme »

Pour preuve. Pour ceux qui douteraient de l’agenda machiavélique planifié par les puissances du Grand capital, illustrée par l’euthanasie sociale (élimination d’une partie de la population surnuméraire non profitable) et économique (destruction des infrastructures devenues obsolètes du point de vue du grand capital financier, ce génocidaire des petits industriels et de l’économie productive, car les industriels, singulièrement les petits indépendants, pâtissent également des politiques euthanasiques économiques infligées par le grand capital financier), il suffit de citer la dernière étude consacrée à la baisse record de l’espérance de vie enregistrée depuis l’apparition de la pandémie, baisse occasionnée par la gestion criminelle de la crise sanitaire avec ces confinements déments.(([8] Résultats de recherche pour « confinements » – les 7 du quebec)) En effet, selon une étude publiée par l’université d’Oxford dans l’International Journal of Epidemiology, la diminution de l’espérance de vie dans 29 pays, dont les États-Unis, le Chili et 27 pays d’Europe (autrement dit les principaux pays de l’Alliance Américaine), est la plus importante de l’histoire moderne. Pour l’Europe occidentale, la diminution de l’espérance de vie est la pire depuis les années de la Seconde Guerre mondiale. Ces indices démographiques sont bien différents en Asie et en Afrique…Pourquoi ?

Pour les États-Unis, la diminution de l’espérance de vie est la pire depuis l’instauration des registres officiels démographiques en 1933, au plus fort de la Grande Dépression. L’étude d’Oxford conclut par cet avertissement sur les implications potentiellement mortelles à long terme de la pandémie (traduction, des mesures politiques et économiques meurtrières décrétées par les gouvernants, la pandémie est innocente  dans ces manigances) :

«Bien que la Covid-19 puisse être considérée comme un choc passager sur l’espérance de vie, les preuves de la morbidité potentielle à long terme due à une Covid longue et les impacts des soins retardés pour d’autres maladies, ainsi que les effets sur la santé et l’élargissement des inégalités découlant de la perturbation sociale et économique de la pandémie suggèrent que les cicatrices de la pandémie de Covid-19 sur la santé de la population pourraient être plus durables.» En d’autres termes, le taux de mortalité va considérablement augmenter, et l’espérance de vie continuer à dramatiquement baisser. Notamment du fait de la déprogrammation de nombreuses consultations et interventions chirurgicales au cours de la pandémie politiquement instrumentalisée.

Il en est ainsi du cancer. Pour prendre la situation de la France (à généraliser à l’ensemble des pays atlantistes), selon la Ligue contre le cancer, la « crise sanitaire » a freiné considérablement le dépistage. Cette négligence médicale entraînera inévitablement une explosion du nombre de décès dans les années à venir. Car, par le dépistage précoce du cancer, la chance de guérison est de 90%. Or, du fait de la défaillance de dépistage organisée depuis le début de la pandémie, on va assister à une inversion de la tendance : la mortalité liée au cancer va augmenter de manière exponentielle. En France, selon la Ligue, quasiment 100 000 cas de cancer n’ont pas été diagnostiqués en 2020, en raison des mesures restrictives de déplacement, de confinement, et, surtout, de déprogrammations ordonnées par les hôpitaux (pour cause, soi-disant de saturation de malades de Covid. Or, les hospitalisations liées au Covid n’ont représenté (comme on le souligne ci-dessous) que 2% au cours de l’année 2020. À cette défaillance de dépistage du cancer, il faut ajouter les autres pathologies chroniques létales qui n’auront pas été détectées, traitées et soignées à temps. Aussi, à court terme, faut-il s’attendre à une augmentation très importante des décès parmi ces populations atteintes désormais de maladies chroniques létales.

Une chose est sûre : la majorité des morts du Covid est décédée par manque de soins (défaillance d’unités de réanimation, de respirateurs, d’oxygénation, de traitement médicamenteux). Et les États sont responsables de cette hécatombe covidale. Car, après avoir sacrifié le système de santé sur l’autel du capital, à défaut de pouvoir mobiliser les hôpitaux moribonds, ils ont opté pour l’érection du dogme du « Vaccinisme » (croyance en le pouvoir thaumaturgique de la vaccination désormais déifiée, édifiée en exclusive méthode de soin aux dépens de la thérapeutique médicale curative conventionnelle, diabolisée et excommuniée par les médecins et scientifiques stipendiés par les Big Pharma, ces Seigneurs du grand capital, Démiurges du nouvel ordre mondial despotique) en religion médicale mercantile. Les États inféodés au grand capital en sont réduits à soigner (administrer) leurs populations à coups d’injonctions dictatoriales et d’injections vaccinales.(([9] Résultats de recherche pour « vaccin » – les 7 du quebec))

Qu’importe le moyen, l’essentiel est la disparition des « vieux », des fragiles, des surnuméraires, pour être remplacés par une nouvelle génération réifiée de producteurs et de consommateurs génétiquement modifiés, façonnés selon les normes capitalistiques du nouvel ordre économique financiarisé, numérisé, dématérialisé et, surtout, déshumanisé (au double sens du terme : un monde composé d’une humanité démographiquement réduite, et dépourvu sentimentalement et spirituellement de toute humanité).

La propagation mondiale de cette doctrine capitaliste utilitariste a infecté toutes les classes dirigeantes, pour qui l’avoir ($$$) a remplacé l’être, la quantité a effacé la qualité, l’esprit marchand a englouti les valeurs morales. Aussi, dressés comme des machines à commander, accoutumés à observer la vie uniquement par le prisme de la quantité, des statistiques, des courbes et des nombres, les technocrates modernistes (fascistes) sont-ils dépourvus de toute empathie, incapables d’évaluer l’impact inhumain de leurs décisions. Avec leur logique comptable, leur cerveau en forme de calculette, la vie devient une abstraction, la société une irréalité, les rapports humains sont réifiés, la gouvernance chosifiée. Nous avons affaire à de véritables pervers narcissiques et psychopathes, des êtres dépourvus d’affects, de sensibilité, d’humanité… N’est-ce pas l’exact définition du fascisme et du social-fascisme ?(([10] Marie-Estelle Dupont: «Les individus sont fragilisés par cette répression, ce chantage, cette manipulation médiatique» – les 7 du quebec 
et fascisme : Résultats de recherche pour « fascisme » – les 7 du quebec))

Les gouvernants contaminés par le virus de la doctrine capitaliste utilitariste

  Pour escamoter leur incompétence, ils se dissimulent derrière les courbes statistiques, les chiffres comptables. Leur reproche-t-on la réduction des lits d’hôpitaux, les technocrates sous-fifres des politiciens vassaux des ploutocrates milliardaires s’abriteront derrière les restrictions budgétaires. Leur reproche-t-on la défaillance des équipements médicaux (masques, tests, respirateurs, lits de réanimation), ils brandiront, dans un langage technique abscons, l’argument spécieux de « la conformité aux règles comptables exigées par les instances économiques supranationales garantes d’une gestion optimale en matière de sécurité établie selon les normes de fonctionnement en flux tendu en cours dans toutes instances gouvernementales » (sic). Leur présentera-t-on un tableau dramatique du nombre de femmes et d’hommes morts du fait du Covid-19 ou d’autres maladies, ils ne verraient qu’abstraction chiffrée et non une réalité humaine décimée.

Ironie de l’histoire, en plein XXIème siècle, à l’ère de la domination triomphale de la science et de la technologie, les classes dirigeantes décadentes, pour lutter contre un banal virus grippal, auront employé trois moyens mortellement incongrus : le confinement-isolement  dément ayant entraîné la mort de million de pauvres en pays émergents; l’euthanasie déguisée en compassion pour les vieux et les vulnérables;  et la vaccination expérimentale avec des médicaments non validés-alambiqués et testés sur des milliards de cobayes anthropoïdes contraints.

En effet, au lieu de soigner la maladie, sous forme thérapeutique médicale curative conventionnelle (totalement proscrite par les autorités gouvernementales), les médecins (tels des marabouts prescrivant des potions magiques pour guérir les maux de leurs clients en détresse, moyennant paiement de sommes souvent colossales), sous la pression des États soumis aux firmes pharmaceutiques, auront été assignés au rôle de prometteur de la vaccination. Autrement dit, usant de formules incantatoires vaccinales en guise d’argumentation scientifique, il se seront bornés d’orienter les patients vers les vaccinodromes, à déléguer leur pouvoir soignant aux vaccins, cet élixir pharmacologique, dernière potion médica-menteuse génique aux vertus magiques, inventée par les laboratoires des Big Pharma. Ainsi, les médecins auront démissionné de leur fonction soignante, décidant de ne plus soigner. Autant par lâcheté que par esprit de vénalité, ils auront trahi leur serment d’Hippocrate. (Pourtant, dans les études de médecine les étudiants apprennent que la vaccination ne doit jamais être employée pendant une période épidémique.)

Or, une maladie, ça se soigne. La maladie ne se vaccine pas. Sinon, autant supprimer la médecine pour octroyer le pouvoir thérapeutique médicale à la seule vaccination, autrement dit aux laboratoires pharmaceutiques, ces nouveaux thaumaturges de la médecine. Une vaccination, c’est un simple additif aux soins. C’est d’autant plus un additif dès lors qu’il s’agit d’un véritable vaccin. Or, ce n’est pas le cas avec les nouveaux produits géniques ARN-m commercialisés pourtant encore en phase d’essai clinique, c’est-à-dire expérimentale.

Par ailleurs, selon les gouvernants la surmortalité enregistrée au cours de l’année 2020 serait imputable à la saturation des hôpitaux, autrement dit aux admissions massives de malades dans les établissements de soin débordés. De même, selon le gouvernement Macron (c’est le même argument excipé par tous les États atlantistes), les mesures restrictives, tout comme les confinements, avaient été décrétées car les hôpitaux étaient saturés par les admissions ininterrompues de patients atteints de Covid. Donc, selon les gouvernants, c’est pour éviter une surmortalité incontrôlable dans les hôpitaux saturés de patients de Covid que les États avaient décidé d’instaurer les confinements, restreindre les déplacements, fermer les établissements accueillant le public, pour éviter également la propagation accélérée du virus.

Or, aujourd’hui, à lire le dernier rapport publié par l’ATIH (Agence technique de l’information sur l’hospitalisation), consacré aux hospitalisations en France, notamment aux causes des admissions hospitalières des patients, on apprend que les hôpitaux français n’ont accueilli au cours de l’année 2020 à peine 2% de malades liés au Covid. Dès l’introduction, le rapport écrit : « au cours de l’année 2020, les patients Covid représentaient 2% de l’ensemble des patients hospitalisés, tous champs hospitaliers confondus ». Ainsi, par ce rapport officiel, on découvre que, durant l’année 2020, au plus fort de la pandémie ayant prétendument saturé les hôpitaux, seulement 2% des malades hospitalisés étaient des patients Covid. Autant dire, Rien. Alors que les gouvernants et leurs médias stipendiés par les Big Pharma n’avaient cessé de déclarer que les hôpitaux étaient saturés, débordés par les admissions incontrôlables de malades de Covid, au point de ne plus pouvoir soigner les autres maladies (pour accréditer cette narration gouvernementale mystificatrice, de nombreuses consultations et interventions chirurgicales avaient été annulées par les hôpitaux, mettant ainsi en péril la vie de ces vrais malades sacrifiés sur l’autel de l’imposture sanitaire covidale). Au point d’organiser également, dans une mise en scène médiatiquement orchestrée, des transferts de malades vers d’autres régions aux hôpitaux prétendument moins saturés, voire vers l’étranger, notamment l’Allemagne, pour accréditer le scénario de la saturation des hôpitaux nationaux. Il ne faut pas oublier que cette imposture sanitaire gouvernementale a occasionné des mois de confinement avec les dommages collatéraux financiers, sociaux et psychologiques dramatiques. À analyser uniquement la situation de la France, le coût financier est estimé à 200 milliards d’euros juste pour l’année 2020 (d’ici la fin 2021, l’imposture sanitaire aura coûté 424 milliards d’euros), des millions de salariés mis en chômage partiel ou définitif (donc avec perte de revenus), des milliers de petits entrepreneurs acculés à la faillite, des millions de personnes précipitées dans la paupérisation, plongées dans la dépression (35% des jeunes avaient déclaré avoir des idées suicidaires du fait des confinements et des restrictions, des millions d’élèves avaient subi des retards scolaires, développé des phobies scolaires du fait notamment du port du masque en cours et des multiples mesures restrictives).


Nota bene : Pour ceux qui souhaiteraient être éclairés sur les réelles intentions des gouvernants, animés depuis des années par le projet de la mise en œuvre de l’Euthanasie sociale et économique, voici ce qu’écrivait déjà en 1981 un de leurs serviteurs et fidèles conseillers, Jacques Attali. En effet, dans le livre « l’Avenir de la Vie » (Segher éd.), publié par Michel Salomon, Jacques Attali déclarait : (…) « dès qu’il dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte alors cher à la société.

D’où je crois que dans la logique même de la société industrielle, l’objectif ne va plus être d’allonger l’espérance de vie, mais de faire en sorte qu’à l’intérieur même d’une durée de vie déterminée, l’homme vive le mieux possible mais de telle sorte que les dépenses de santé seront les plus réduites possible en termes de coûts pour la collectivité ». Quelques lignes plus loin, il déclarait : « en effet, du point de vue de la société, il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle ne se détériore progressivement ». (…). « On pourrait accepter l’idée d’allongement de l’espérance de vie à condition de rendre les vieux solvables et de créer ainsi un marché. Je crois que dans la logique même du système industriel dans lequel nous nous trouvons, l’allongement de la durée de la vie n’est plus un objectif souhaité par la logique du pouvoir ». (…) « L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figures ». (…) « Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. Je pense donc que l’euthanasie, qu’elle soit une valeur de liberté ou une marchandise, sera une des règles de la société future », préconisait-il. (…)

« La production de consommateurs et leurs entretiens coûtent cher, plus cher encore que la production de marchandises elles-mêmes. Les hommes sont produits par des services qu’ils se rendent les uns aux autres, en particulier dans le domaine de la santé, dont la productivité économique n’augmente pas très vite. ». « La productivité de la production de machines, augmente plus rapidement que la productivité relative de la production de consommateurs. Cette contradiction sera levée par une transformation du système de santé et d’éducation vers leur marchandisation et leur industrialisation. ». Ainsi, pour les puissants, l’euthanasie sociale et économique constitue une variable d’ajustement économique censée réduire les coûts d’entretien de personnes « improductives », « inutiles » à la société.

Khider Mesloub 





La conquête communiste du Canada — La réponse à la COVID-19 révèle que le Canada a succombé à une attaque vieille de décennies

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

UN ARTICLE DE ABRAHAM BLONDEAU — Le 1er juillet est la Fête du Canada, lorsque tout le Canada peut célébrer collectivement notre fondation en tant que nation libre. Mais tout le monde ne fait pas la fête. À Toronto, Ontario ; Victoria, Colombie Britannique ; et d’autres endroits, la Fête du Canada a été annulée. Il s’agit en partie d’une réaction à la découverte de plusieurs centaines de corps sur les propriétés des pensionnats, ce qui, selon certains, justifient l’annulation de la célébration positive de l’histoire du Canada. Mais la Fête du Canada est également annulée pour une autre raison : la COVID-19. La réaction du gouvernement au virus a révélé quelques vérités choquantes sur le Canada.

Premièrement, elle a montré à quel point nos dirigeants fédéraux et provinciaux sont prêts à confiner les gens dans leurs maisons, à empiéter sur nos droits et libertés garantis par la Charte canadienne des droits et libertés, et à exercer un régime autocratique.

Deuxièmement, elle a démontré à quel point les Canadiens sont devenus dociles pour suivre les directives du gouvernement, même lorsque ces directives violent leurs droits. Il semble y avoir une majorité silencieuse croissante qui n’est pas d’accord avec une partie ou la totalité des politiques gouvernementales. Mais le mal est déjà fait. Le coronavirus était la tempête parfaite pour que ces dirigeants profitent de la société polie et docile du Canada.

Mais comment le Canada en est-il arrivé là ? Devrions-nous annuler la Fête du Canada, ou devrions-nous célébrer notre patrimoine ? Les dirigeants s’emparent-ils délibérément du pouvoir, ou s’agit-il de mesures bien intentionnées pour assurer la sécurité des Canadiens ? Les gens ont-ils été conditionnés à être dociles, ou s’agit-il simplement d’une théorie du complot ?

La vérité est que le Canada est un exemple de ce qui arrive quand une nation succombe à l’infiltration communiste de son gouvernement et de son système éducatif. La propension de nos dirigeants à être des autocrates et la société politiquement correcte et docile du Canada ont été délibérément manipulées pour transformer le Canada en une dictature communiste. Cette attaque est en cours depuis des décennies.

Cependant, un homme avertissait contre cette attaque et prophétisa ce qui arriverait au Canada il y a plus de 70 ans.

Infiltration communiste

Au début de la Guerre froide, l’accent était mis en grande partie sur le potentiel d’affrontements militaires entre les forces soviétiques et américaines et la perspective d’une guerre nucléaire. L’Occident fut lent à reconnaître que le danger évident et présent résidait dans la guerre idéologique et la subversion par les communistes au sein de nos propres nations. Pourtant, en 1956, Herbert W. Armstrong avertissait de cette guerre exacte dans laquelle l’Amérique et l’Occident se trouvaient engagés :

« C’est une sorte de guerre que nous ne comprenons pas, ou que nous ne savons pas comment gérer. Elle utilise tous les moyens diaboliques pour nous affaiblir de l’intérieur, saper nos forces, pervertir nos mœurs, saboter notre système éducatif, détruire notre structure sociale, détruire notre vie spirituelle et religieuse, affaiblir notre puissance industrielle et économique, démoraliser nos forces armées, et finalement, après une telle infiltration, renverser notre gouvernement par la force et la violence ! Tout ceci, habilement déguisé en un parti politique inoffensif ! Le communisme est une guerre psychologique mondiale ! »

La Trompette a rapporté et documenté cette infiltration aux États-Unis durant les années 1960 et 1970. (Pour en apprendre davantage à ce sujet, lisez la brochure gratuite “Il avait raison”, et l’article de Gerald Flurry, le rédacteur en chef de la Trompette, « Les racines du dangereux virage vers la gauche de l’Amérique »). M. Armstrong et M. Flurry ont tous deux souligné de façon précise que l’attaque la plus efficace avait été la conquête du système éducatif. M. Flurry a écrit : 

« C’est dans le système éducatif que la gauche a pris pied dans la nation : d’abord dans les collèges, puis les lycées et même les écoles primaires. C’est à partir du système d’éducation qu’une nation tire son leadership. D’où viennent les idées des dirigeants américains aujourd’hui ? De nos établissements d’enseignement. »

Si vous contrôlez la classe, alors vous façonnez les esprits des générations futures. De ces générations viennent les dirigeants et les éducateurs, et le cycle ne cesse de se répéter. Cette infiltration qui se produisait aux États-Unis a également eu lieu dans tous les pays occidentaux durant cette période, spécialement en Grande-Bretagne, en Australie, en Nouvelle-Zélande et au Canada.

Dans son livre historique “Les Anglo-Saxons selon la prophétie”, M. Armstrong prouva que les États-Unis et le Royaume-Uni sont les descendants de l’Israël biblique. Les nations du Commonwealth britannique, qui comprend le Canada, sont des descendants de la tribu d’Éphraïm, en particulier. L’idéologie communiste athée attaque spécialement les nations qui ont une histoire avec Dieu. Cette attaque communiste s’est manifestée différemment dans chaque nation, et particulièrement au Canada, qui a toujours chevauché les mondes de l’anglais et le français.

Français contre Anglais

S’il y a un mot pour résumer l’histoire et le caractère canadien, c’est bien le compromis.

Les Français arrivèrent pour la première fois dans ce qui allait devenir le Canada au milieu des années 1500. Durant les nombreux conflits entre la Grande-Bretagne et la France, les Britanniques ont mené une politique de lutte contre la France dans ses colonies au lieu de l’Europe continentale. La Bataille de Québec en 1759 sur les Plaines d’Abraham à l’extérieur de la ville de Québec durant la Guerre de sept ans a finalement donné à la Grande-Bretagne le contrôle de pratiquement toute l’Amérique du Nord.

Les Britanniques ont permis aux Français de rester au Québec et se sont engagés dans une politique de compromis après des tentatives infructueuses d’assimilation des habitants français. Ce fut le début de l’instabilité inhérente du Canada. Les Britanniques considéraient 1759 comme le début de l’histoire canadienne ; les Français le voyaient comme la fin tragique de l’histoire canadienne. Les Britanniques sont majoritairement protestants ; les Français sont catholiques. Les uns parlent anglais, les autres parlent français. Qui plus est, M. Armstrong montra que les Britanniques sont de la tribu d’Éphraïm et les Français de la tribu de Ruben, ce qui ajoute une rivalité fraternelle aux couches de la concurrence entre les deux peuples. (Ces faits peuvent être prouvés en lisant “Les Anglo-Saxons selon la prophétie”.)

Il n’existe pas d’histoire unificatrice d’une naissance nationale qui transcende l’ascendance et la race au Canada comme elle existe aux États-Unis, mais seulement une construction juridique engageant le gouvernement à faire des compromis entre les deux parties. La division s’amplifia après la Seconde Guerre mondiale lorsque le mouvement séparatiste germa au Québec et prit une grande partie de son élan avec Charles de Gaulle, qui le visita en 1967 et déclara « Vive le Québec libre ! ».

Cet esprit de compromis a saturé chaque aspect de la loi canadienne, du gouvernement et de la société. Il fut enseigné comme une voie de vie aux Canadiens. Cette façon de gouverner et de penser ouvrit la voie à l’attaque communiste sur le système éducatif.

Transformer l’éducation

En 1997, l’auteur et historien canadien J.L. Granatstein a fourni les preuves de l’infiltration des marxistes dans les écoles du Canada dans son livre “Qui a tué l’histoire canadienne ?”. Ces faits correspondent directement à l’avertissement de M. Armstrong. La première bataille entre les marxistes et les éducateurs traditionnels commença dans l’histoire du travail. Au lieu d’enquêter sur la raison pour lesquelles des syndicats furent créés et sur les griefs des travailleurs, les marxistes ont demandé aux étudiants ; Pourquoi se sont-ils levés contre leurs oppresseurs ? et Comment une grève générale peut-elle être utilisée comme une arme ? M. Granatstein explique :

« Les deux camps se sont combattus avec vigueur, mais personne ne peut rivaliser avec les marxistes dans la vitupération. Les historiens du travail institutionnel à l’ancienne étaient soit chassés soit livré à eux-mêmes pour chercher de nouveaux domaines dans lesquels travailler. Les marxistes avaient le contrôle complet du domaine de l’histoire du travail, y compris les journaux et les étudiants, et ils le maintiennent encore malgré le discrédit du marxisme partout dans le monde. Les universités, à l’abri du monde réel, continuent de protéger leurs marxistes. »

Cette attaque se propagea rapidement à tous les autres champs de l’histoire, chaque groupe d’intérêt spécial faisant valoir sa revendication. M. Granatstein poursuit :

« Il était beaucoup plus important d’étudier comment les travailleurs résistaient à l’industrialisation, déclaraient les historiens marxistes ; pour enquêter sur la manière dont le contrôle des naissances était pratiqué avant la pilule, ont maintenu les historiennes féministes ; ou pour documenter les expériences des hommes gais dans les bains publics de Toronto, que pour étudier les vies ennuyeuses des Premiers ministres, les efforts du Corps expéditionnaire canadien dans la Grande Guerre, ou la Révolution tranquille au Québec. Le blâme devait être attribué. Le Canada s’était rendu coupable de génocide contre les Indiens, du bombardement de l’Allemagne, du viol écologique du paysage, et d’autres choses encore. Leur objectif était d’utiliser l’histoire, ou leur version de l’histoire, pour guérir les mâles blancs de leur sentiment de supériorité. »

Les éducateurs marxistes protégés ont changé les programmes d’histoire dans les écoles primaires, secondaires et universitaires pour rendre nos jeunes gens honteux de leur histoire et remplis de haine de soi. Ils visent également à effacer toute l’histoire des hommes blancs et britanniques. Ils voulaient les « guérir » de leur supériorité sur les autres groupes et races. M. Granatstein explique, à l’aide d’un aperçu d’un manuel d’histoire populaire pour les universités intitulé “L’Histoire des peuples canadiens” :

« Il s’agit d’une histoire des peuples canadiens—il faut notez l’utilisation politiquement correct du pluriel—qui vise délibérément à parler des gens ordinaires, non pas des rois, des Premiers ministres et des élites. Comme sa préface l’affirme fièrement, il s’agit d’une histoire écrite pour contrer celle produite dans le passé par « une petite élite d’hommes blancs instruits, pour être lue par d’autres personnes comme eux ». Ce n’est pas une histoire de guerre et de développements politiques « dans laquelle eux et leurs pairs ont participé », ni d’une histoire écrite « du point de vue de gens qui dominaient de tels événements ». De plus, il ne s’agit pas d’une histoire écrite d’un point de vue canadien central. Au lieu de cela, c’est plutôt de l’histoire du point de vue des femmes, de la classe ouvrière, des minorités et des régions. »

Cette vue historique a été enseignée pour diviser les Canadiens en de petites factions et proclamer le faux récit de comment le Canada a opprimé les femmes et les minorités. Mais pourquoi cette attaque contre l’histoire des blancs anglais ? La raison est exposée par ce que M. Armstrong a écrit dans “Les Anglo-Saxons selon la prophétie”. Le Canada faisait partie de l’héritage d’Éphraïm, ou il faisait partie du domaine de la Grande-Bretagne, non pas de celui de Ruben (la France).

Une fois que vous changez l’histoire de comment une nation est apparue et qui est cette nation, vous pouvez changer le peuple. Quand vous combinez cette attaque contre l’identité et l’histoire du Canada avec l’esprit de compromis saturé dans la pensée canadienne, vous avez une combinaison mortelle.

Les fruits des efforts communistes pour endoctriner les Canadiens ont atteint leur plein épanouissement grâce à la dynastie politique d’une famille : les Trudeau.

Le Trudeauisme

Il n’y pas eu de premier ministre du Canada plus charismatique que Pierre Trudeau. On parlait de la « Trudeau manie ». Mais les fruits de son leadership sont profondément troublants. Particulièrement, la famille Trudeau a toujours eu une histoire constante d’avoir un « penchant » pour les tyrans, comme l’écrivain Mark Milke le soulignait dans l’article « La famille Trudeau aime les tyrans » publié dans la revue Maclean’s en 2018. M. Milke a écrit :

« Avoir un penchant pour les tyrans provoque plusieurs angles morts, que ce soit sur la démocratie, l’économie ou, plus récemment, sur l’environnement. Tous ont été exposés dans l’engouement continu de la famille Trudeau pour les tyrannies et les autocraties dans les commentaires d’Alexandre, Margaret et Justin Trudeau. Nous voyons des preuves de la longue histoire d’amour de la famille Trudeau avec les autocrates et les tyrans du monde. Mais le problème commença avec Pierre. »

Cet engouement est plus qu’un « penchant » mais c’est une claire amitié avec des gens d’un même esprit. Dans le numéro de la Trompette de janvier 2016, le contributeur Robert Morley exposa l’éducation, l’histoire et les politiques communistes de Pierre Trudeau et de son fils, l’actuel Premier ministre canadien Justin Trudeau. Dans son article « Tel père, tel fils », M. Morley a révélé que les deux ont fait l’éloge des dictatures communistes brutales et ont fait étalage des droits légitimes des Canadiens. Cet amour pour les Communistes était également évident dans les politiques sur l’éducation et la réforme constitutionnelle de Pierre Trudeau.

En 1965, l’enseignant d’histoire canadienne, A. B. Hodgetts convainquit le gouvernement de produire un rapport sur la façon dont l’enseignement de l’histoire au Canada affectait l’attitude des Canadiens à l’égard de leur gouvernement et de leur nation. Granatstein écrit, « Le rapport de Hodgetts suscita un intérêt croissant pour le Canada », ce qui incita le gouvernement Trudeau à fournir un financement supplémentaire aux provinces pour des « études canadiennes ». Mais ce n’était pas ce qu’il semblait être, pourtant. Granatstein poursuit :

« L’essor des études canadiennes s’est avéré très différent d’un intérêt pour le passé canadien. Les études canadiennes étaient… peu importe ce que ceux qui enseignaient quelque chose, n’importe quoi sur le Canada voulaient qu’il soit—un amalgame de littérature, d’art, d’actualité, de politique et d’enjeux publics, et d’environnement. »

Ce mouvement n’a fait que d’accélérer le remplacement de l’histoire canadienne par la propagande communiste. Ce qui créa plus de confusion et de division, c’est le fait que l’éducation était contrôlée au niveau provincial et territorial, ce qui a fait en sorte qu’il y ait 13 versions différentes de l’éducation canadienne. Cela commença à avoir une incidence sur la façon dont les Canadiens considéraient leur patrimoine et leurs traditions, ce qui permit à Pierre Trudeau de complètement remanier la Constitution canadienne en 1982 et d’inscrire cette façon de penser dans la loi. Granatstein écrit :

« Le boom des études canadiennes s’inscrivait dans le cadre d’un changement plus large des attitudes à l’égard de l’apprentissage… Dans la société en général (et surtout après l’entrée en vigueur de la Charte canadienne des droits et libertés), l’accent est passé des droits et libertés communautaires aux droits et libertés individuels, et hors du Québec, les droits collectifs ont commencé à être perçus comme anti-démocratiques. Les écoles reflétaient le changement… Pour les théoriciens de l’éducation, l’histoire était ennuyeuse, hors de propos, et ne convenait qu’au tas de scories, à l’exception de petites pépites qui pouvaient être extraites du passé et rendues utiles pour les préoccupations actuelles concernant le racisme, l’équité entre les sexes, et le sort des peuples autochtones. Que tout ce saccage de l’histoire et du patrimoine soit destructeur et une source de division, plutôt qu’une force unificatrice, ne semblait pas avoir d’importance. »

Trudeau tenta pendant des années de réformer la Constitution canadienne (créée le 1er juillet, 1867), mais il n’a pu réussir qu’en 1982, quand il ajouta la Charte des droits et libertés aux lois constitutionnelles. Bien que la charte consacre de nombreux droits importants pour les Canadiens, elle consacre aussi les valeurs insérées par les éducateurs marxistes, en mettant l’accent sur le multiculturalisme, les droits des minorités et les droits de l’individu, et elle plaça le Québec en position de pouvoir sur le reste du Canada anglais. Bien que les droits ne soient pas mauvais en eux-mêmes, c’est le contexte qui leur a été donné par les éducateurs qui cause le problème. La charte et le programme d’études communiste vont de pair pour imposer leur manière de penser aux Canadiens et donner aux « victimes opprimées » le pouvoir d’agir contre les traditions du Canada. Les juges et avocats radicaux ont utilisé la charte pour forcer continuellement la majorité des Canadiens à faire des compromis, même s’ils ne sont pas d’accord avec elle. Comme Granatstein écrit :

« Le résultat de ce point de vue, comme Michael Bliss l’exprima en 1991, a été la « scission » de l’histoire canadienne, une scission qui reflétait la fragmentation de la nation. Le résultat avec lequel nous vivons chaque jour est un Québec à l’esprit séparatiste, un Occident malheureux, et une Charte des droits qui met l’accent sur les droits individuels ou collectifs. »

Rien n’illustre ceci plus clairement que la réponse à la COVID-19. La nation se fracture en plusieurs groupes, et dans chaque province, chaque région sanitaire agit indépendamment l’une de l’autre, sans uniformité. Cela illustre à quel point les Canadiens sont prêts à faire des compromis avec leurs propres droits parce qu’on leur a enseigné à faire des compromis avec leurs propres valeurs dans des salles de classes partout dans le pays.

Pierre Trudeau était peut-être le produit le plus visible du système éducatif communiste, mais nous avons toute une génération de dirigeants qui pensent de la même manière. Certains peuvent se dire conservateurs, libéraux ou néo-démocrates, mais un léopard ne peut pas changer ses taches : tous les dirigeants de tous les partis ont accumulé du pouvoir et violé les droits des Canadiens. Le Trudeauisme est l’intégration d’un régime de style communiste dans le gouvernement.

La normalisation du communisme

Le transfuge du KGB Yuri Bezmenov a mis en garde l’Amérique dans les années 1970 que la guerre idéologique communiste se faisait en quatre étapes : 1) la démoralisation, 2) la déstabilisation, 3) la crise, 4) la normalisation. Les États-Unis et le Canada ont vu leur système d’éducation infiltré par les communistes, comme M. Armstrong l’avait prévenu il y a 70 ans, mais les deux nations sont à des stades différents de cette guerre idéologique. En Amérique, il y a une guerre sur l’âme de la nation. Au Canada, la normalisation du communisme bat son plein.

Au Canada, il n’y a pas de leadership pour s’opposer aux politiques radicales de gauche des gouvernements provinciaux et fédéraux. Il y a peut-être une majorité croissante qui n’est pas d’accord avec le fait que leurs droits soient bafoués et que les gouvernements accumulent du pouvoir, mais ils n’ont aucune voix ou moyen organisé pour s’opposer aux autocrates au pouvoir. Le remplacement de l’histoire dans les écoles par le féminisme, la victimisation et l’idéologie marxiste a enseigné aux Canadiens à penser comme leurs éducateurs : Socialistes, Marxistes, Communistes. L’introduction des soins de santé nationalisés, de règlements détaillés et d’un système d’aide sociale généreux a appris aux Canadiens à se fier au gouvernement. Ceci n’existe pas en Amérique. L’esprit de compromis, ancré dans la vie des Canadiens, a été utilisé contre les Canadiens pour transiger avec leurs croyances fondamentales. Une nouvelle identité nationale a été fabriquée par les éducateurs et les médias qui se concentrent sur les excuses, le féminisme, le politiquement correct, et le multiculturalisme. L’identité du Canada a été pratiquement effacée !

Les États-Unis sont un exemple de cas où une infiltration communiste mène à une guerre pour sa survie ; le Canada est un exemple de cas où une infiltration communiste a pratiquement terminé le coup d’État.

Abraham Blondeau
Abraham Blondeau
Rédacteur, laTrompette.fr



Table ronde russe sur le crime Covid-19 planifié

[Source : https://www.bitchute.com/alcyonpleiades-fr/]






« Le délire scientiste » croqué par Patrice Gibertie

[Source : francesoir.fr]

Statistiques biaisées, études frauduleuses, grande panique… Patrice Gibertie, professeur agrégé d’histoire, aujourd’hui à la retraite, n’a pas sa langue dans sa poche. Il chronique régulièrement toute la gestion sanitaire sur son blog ; le voici sur notre plateau, pour revenir sur 18 mois de crise et partager son analyse.



Le délire scientiste

[Note de Joseph :
on découvrira peut-être à plus grande échelle dans un avenir plus ou moins proche que la science a, pour une grande part, muté sous l’emprise des élites paranoïaque ou psychopathes à l’origine du Nouvel Ordre Mondial. Elle s’est ainsi corrompue en « scientisme » qui présente toutes les caractéristiques d’une religion, et qui plus est d’extension mondiale. Elle a de plus adopté les caractéristiques de ses promoteurs corrupteurs et est donc devenue elle-même de nature paranoïaque, encourageant notamment les théories les plus délirantes qui n’ont jamais réellement passé l’épreuve des faits et d’une démarche scientifique rigoureuse, comme la théorie virale pourtant quasi universellement considérée comme vraie.
Ainsi, celle-ci a fortement tendance à incarner les traits de cette maladie psychologique qu’est la paranoïa :
 – l’orgueil s’y retrouve dans sa propension à prétendre expliquer (puis guérir) un grand nombre de maladies sans pourtant s’être donné la peine d’examiner d’autres explications, mais en rejetant avec condescendance manifeste toute théorie alternative ;
 – la méfiance y est particulièrement présente et extrême envers l’ennemi qu’elle s’est inventé, le « virus » ;
 – et enfin, la fausseté de jugement qui provient d’un manque d’ancrage à la réalité en y substituant un récit fabriqué, perceptible dans l’incohérence de la théorie, sa non-application de la démarche scientifique, son usage de syllogismes et de sophismes au lieu de la logique. Voir à ce propos Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial.

On retrouve la même tendance paranoïaque avec la théorie du réchauffement climatique d’origine anthropique :
 – l’orgueil s’y retrouve dans l’idée que l’Homme disposerait déjà du pouvoir de dépasser le Soleil dans son impact sur le climat et dans le dénigrement de toute théorie alternative comme relevant de « négationnisme » ;
 – la méfiance est dirigée cette fois contre le CO2 qui serait produit par l’Homme lui-même et contre le méthane provenant des vaches ;
 – et le délire, dans la non-prise en compte de plusieurs facteurs, dont :
     – le Soleil comme cause première du climat, en raison du fait qu’il est la source principale de chaleur de la Terre,
     – les observations historiques et préhistoriques du climat,
     – la vapeur d’eau et les nuages dans les modèles,
     – et surtout le fait qu’un modèle climatique ne représente lui-même qu’un ensemble d’hypothèses qui ne peuvent se substituer à l’expérience et à l’observation directe du climat ni même à sa simulation expérimentale en laboratoire.

À noter que ces théories délirantes, comme la paranoïa, trouvent une cause fondamentale dans la peur de la mort, par les virus dans le premier exemple, et par l’Homme lui-même ou les vaches qu’il élève dans le cas du climat.

Voir aussi : Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie]

Au commencement de la crise, Patrice Gibertie observe et cherche à comprendre cette situation nouvelle. Il écoute les professeurs Raoult et Perrone, qui à cette époque n’étaient pas encore censurés par les médias. Soucieux de soigner et de guérir leurs patients avec des traitements précoces, leur calme leur avait valu d’être classés parmi les médecins rassuristes avant d’être censurés et traités de complotistes.

C’est à la lecture d’articles scientifiques que le doute s’installe sur la narration officielle. Notant les différences qui existent entre le récit des médias qui alimentent la peur, et la littérature scientifique ou le vécu des malades, l’historien repense à des situations analogues et à ce que disait son professeur Jean Delumeau lorsqu’il parlait de « théologie de la peur » pour évoquer la démonologie du 15ème et 16ème siècle, une époque où, au nom de cette théologie, on pourchassait les sorcières et les croyances.

« Je vois très bien Gilbert Deray et quelques autres en grand inquisiteur de la démonologie », déclare Patrice Gibertie pour qui le délire scientiste, loin d’avoir disparu, ressurgit régulièrement. Prenant en exemple l’époque de la fin du 19ème siècle, il rappelle la dérive hygiéniste qui a suivi la révolution pasteurienne et l’apparition des premiers vaccins.

C’est l’époque où le médecin allemand Robert Koch, découvreur du bacille de la tuberculose, se lance quelques années plus tard dans une expérience plus aventureuse et échoue avec la tuberculine, traitement extrait du bacille, qui s’est révélé fatal pour les personnes qui avaient reçu l’injection.

Quelles statistiques pour quelle analyse ?

S’en tenant à son domaine de compétence, Patrice Gibertie ne va pas chercher les statistiques de l’Académie de médecine, mais décide d’analyser les chiffres de la surmortalité. Des chiffres qui révèlent que si l’année 2020 n’a pas été particulièrement létale, l’année 2021 en revanche montre une surmortalité pour des catégories d’âges qui ne sont pas frappées par le Covid et qui correspondent aux périodes de vaccination.

Il effectue également des analyses à partir des cartes de géographie pour comparer des pays ou des régions proches. Prenant l’exemple du continent africain, il observe des différence de dynamique épidémique et de mortalité entre les pays qui soignent leur population avec de l’ivermectine pour traiter la cécité des rivières ou onchocercose et des pays voisins qui ne prescrivent pas cette molécule.

Voir aussi : Pr Femi Babalola (Nigeria) : « ils jouent avec la politique, pas vraiment concernés par les patients »

De l’analyse ces études observationnelles, Patrice Gibertie dit ne pas trouver de corrélation entre le taux de vaccination et le taux de contamination, tandis que les contaminés peuvent être vaccinés ou non-vaccinés. En revanche, il existe une corrélation entre un taux de mortalité faible, des crises de durée courte et l’usage des traitements précoces.

Les études frauduleuses

« Nous sommes confrontés à une maladie nouvelle et peu létale. Comment serait-il possible de faire des études sérieuses randomisées en double aveugle ? Ce n’est pas possible, car il faudrait des dizaines de milliers de personnes » déclare l’historien qui observe des biais dans de très nombreuses études.

Voir aussi : Matthieu Million, au plus près du patient à l’IHU : recherche, éthique du soin, école du réel

Des biais saisonniers ou démographiques, comme c’est le cas pour les études israéliennes qui portent sur l’efficacité des vaccin, aux niveaux d’exigence différents selon que les études portent sur des molécules anciennes et peu coûteuses ou des nouveaux médicaments, l’historien analyse toutes les dérives. Des dérives qui le conduisent à considérer la démarche des sciences humaines et les analyses sur la surmortalité comme plus sûre et plus pertinente que certaines études scientifiques.

Enfin, se projetant dans l’avenir, il pense que les historiens de demain regarderont notre époque comme l’histoire d’une grande peur comme l’humanité en a connue, une grande peur liée à la méconnaissance et aux tentations totalitaires.




Le projet maléfique de Gates s’appuie sur la corruption. 319 millions déversés dans les médias

[Source et auteur : LHK]

Bill Gates est un corrupteur de tout ce qui compte dans le domaine public, académique, médiatique, politique, et scientifique. Même le storytelling de la fondation de Microsoft cache mal un immense plagiat connu des initiés et bien protégé par les médias mainstream.

Aujourd’hui Gates symbolise la face odieuse et hideuse de la gestion de la crise Covid, qui a fait confiner, contre tout bon sens, l’humanité, fait masquer les enfants, et fait expérimenter une thérapie génique sur l’humanité.

Comment atteint-il tous ses objectifs si facilement? Pas besoin de grande intelligence. Il suffit d’acheter les compétences, les individus et les moyens utiles. La force de Bill Gates est qu’il peut créer de la monnaie à loisir. Il est actionnaire de plusieurs banques qui sont des primary dealers. Je répète encore une fois: primary dealers sont les créateurs privés de monnaie contre dettes publiques. Ils ont l’exclusivité de la chose. Les banques centrales ne créent que le « cash » que Gates milite à faire supprimer au travers d’une de ses multiples associations militantes: Better Than cash alliance. Ses moyens financiers dépassent tout entendement.

https://lilianeheldkhawam.com/2021/12/01/comment-la-monnaie-a-permis-la-globalisation-du-monde-mon-intervention-a-la-conference-internationale-de-lamerican-monetary-institute-nov-2021/

En 2017, Visa annonce une nouvelle initiative aux États-Unis dans le cadre d’un effort plus large visant à dissuader les consommateurs d’utiliser des espèces. La société de cartes de crédit prévoit de donner 500 000 $ à 50 restaurants et vendeurs d’aliments pour payer leurs coûts de technologie et de marketing, à condition que les entreprises s’engagent à refuser de l’argent.

https://cashessentials.org/is-visa-so-desperate-for-business-they-need-to-pay-merchants-to-go-cashless/

Ceci est un exemple pour illustrer la guerre qui fait rage, depuis de nombreuses années, contre la monnaie physique.L’organisation qui fut mise en place est redoutable. Ainsi Better than cash alliance fut fondée par l’incontournable Bill& Melinda Gates Foundation (parmi les principaux promoteurs et sponsors avec la Citi et Omidyar net.), Citibank, Mastercard, Omidyar Network de Pierre Omidyar du fondateur de eBay, USAID et Visa Inc. Une série d’organisations internationales en sont membres. Depuis, on y compte la Catholic Relief Services, Care, la World Food Program, World Savings Banks Institute (Institut de l’épargne bancaire mondiale), ou la Clinton Development Initiative…

https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/08/la-suppression-du-cash-une-etape-vers-le-transhumanisme-big-reset/

Au moment où il milite avec ardeur pour faire suèpprimer le cash, et faire injecter des produits géniques, son principal pilier qu’est Microsoft met au point un système où les activités du corps humain permettent le mining des cryptomonnaies. Diabolique donc, et je mesure mes mots.

Et avec un immense pied de nez d’un homme qui se prend pour un dieu intouchable, le brevet est enregistré avec le nombre 060606.

[Voir aussi : Cryptomonnaie ou monnaie digitale, la marque de la bête est déjà brevetée]

Parallèlement à tout ceci, voilà sa fondation mêlée à la mise au point d’un patch à injecter sous la peau.

Ces petits points sont invisibles à l’oeil nu mais détectables lorsqu’ils sont exposés à une partie du spectre lumineux, invisible pour nous, proche de l’infrarouge. Un smartphone modifié, pointé sur la peau, permet de faire apparaître, fluorescent sur l’écran, le cercle ou la croix. https://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/dans-le-futur-le-carnet-de-vaccination-pourrait-etre-injecte-sous-la-peau-1158342

Vous aurez beau accepter toutes les injections que vous voudrez, un jour vous serez obligés de vous faire injecter ces petits points de l’ingéniere quantique. Ceux qui croient que la puce RFID de la taille d’un grain de riz retarde d’une guerre. Aujopurd’hui ces gens travaillent au niveau des nanos, soit de l’infiniment petit.

Mettez bout à bout l’ensemble des projets pour lesquels Bill Gates milite et vous aurez le projet infernal global dont il est l’ambassadeur.

Ce monsieur paie, ordonne, et atteint des résultats inimaginables. Simultanément, les Etats sont ruinés. Donc il n’y a que Bill Gates et sa galaxie qui peuvent financer l’ONU, l’OMS, etc. Mais rassurez-vous ce n’est que temporaire car les Etats devront s’endetter pour rembourser. N’oubliez pas, ils tiennent de près les primary dealers. Très facile donc.

Grâce à ce qui précède, ce monsieur a pris en otage l’OMS, les Etats de la planète, et tout ce qui touche à la santé publique planétaire. Voici un petit exemple du prix du vaccin qui quintuple. Et l’Etat suisse préfère dire qu’il s’est trompé dans ses calculs. Incroyable!

Ainsi quand des journalistes d’investigation admis par le mainstream dénoncent les centaines de millions de dollars déversés par le chouchou des médias grand public, il faut applaudir même si l’analyse s’arrête à des questionnements. Pourquoi se réjouir alors que nous dénonçons la chose depuis des années? Parce que cela donne l’impression que quelque chose se passe dans le monde de Gates. Le sentiment qu’il pourrait être lâché un de ces jours…

Il est aussi important que ces médias sachent que eux aussi pourraient être lâchées. Sans eux, il aurait été impossible à Gates d’envoyer des gens en bonne santé se faire injecter un produit sorti de la panoplie de la thérapie génique, dont il est interdit de connaître les effets secondaires à court, moyen et long terme. Les promoteurs des projets de Gates feraient bien de s’en souvenir. Certains l’ont payé cher à Nuremberg.

Il a fallu la ténacité de scientifiques indépendants qui prennent des risques considérables puisque les amis du monsieur ne sont pas tous fréquentables….

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Voilà que cet homme qui défie l’humanité entière les yeux dans les yeux et qui a des projets inconnus pour l’humanité finit par porter de telles casseroles qu’il n’est plus possible de les cacher. (Source photo inconnue, circule sur Facebook. J’ai toutefois contrôlé les identités signalées)

Cependant, ne jamais oublier que Bill Gates n’est que l’image et le potentiel fusible d’un système tentaculaire qui s’est juré de fusionner l’humain avec la machine, créant de ce fait une race de sous-hommes faciles à asservir. Et ce plan peut parfaitement se poursuivre avec un Gates donné en pâture.

Les jours de Gates sont très probablement comptés en tant que cheville ouvrière visible du système global public-privé. Il n’est toutefois que la partie émergée d’un immense iceberg qui se sert de la rhétorique de la théorie du complot pour empêcher le public, abruti par des médias et des experts corrompus, d’accéder à la véritable information.

La vérité vaincra, et les destructeurs de la planète seront confondus sur la place publique.

Vandana Shiva dénonce les faux discours et les dégâts qu’occasionnent les projets de cet homme.

Des documents montrent que Bill Gates a donné 319 millions de dollars à des médias pour promouvoir son programme mondial

Alan MacLeod · 21 novembre 2021

Un regard sur la base de données de la Fondation Bill et Melinda Gates révèle comment l’oligarque qui influence la réponse mondiale à la pandémie a financé des centaines de médias à hauteur d’au moins 319 millions de dollars.

Cet article a été initialement publié par Mint Press News.

Lisez l’enquête de Grayzone sur l’empire mondial de la santé publique et la machine de propagande de Bill Gates ici .

Jusqu’à son récent divorce désordonné, Bill Gates bénéficiait d’une sorte de laissez-passer gratuit dans les médias d’entreprise. Généralement présenté comme un gentil nerd qui veut sauver le monde, le cofondateur de Microsoft a même été sans ironie baptisé « Saint Bill » par The Guardian .

Alors que les empires médiatiques d’autres milliardaires sont relativement bien connus, la mesure dans laquelle l’argent de Gates garantit le paysage médiatique moderne ne l’est pas. Après avoir trié plus de 30 000 subventions individuelles,  MintPress  peut révéler que la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF) a fait plus de 300 millions de dollars de dons pour financer des projets médiatiques.

Les destinataires de cet argent sont parmi les plus importants organes d’information américains, notamment  CNN ,  NBC, NPR ,  PBS  et  The Atlantic . Gates parraine également une myriade d’organisations étrangères influentes, dont la  BBC ,  The Guardian ,  The Financial Times  et  The Daily Telegraph  au Royaume-Uni ; des journaux européens de premier plan tels que  Le Monde  (France),  Der Spiegel  (Allemagne) et  El País  (Espagne) ; ainsi que de grands diffuseurs mondiaux comme  Al-Jazeera .

L’argent de la Fondation Gates destiné aux programmes médiatiques a été divisé en plusieurs sections, présentées par ordre numérique décroissant, et comprend un lien vers la subvention correspondante sur le site Web de l’organisation.

Récompenses directement aux médias :

Ensemble, ces dons totalisent 166 216 526 $. L’argent est généralement dirigé vers des problèmes proches du cœur de Gatese. Par exemple, la subvention de 3,6 millions de dollars de  CNN a  été consacrée à « un reportage sur l’égalité des sexes avec un accent particulier sur les pays les moins avancés, en produisant du journalisme sur les inégalités quotidiennes subies par les femmes et les filles à travers le monde », tandis que le  Texas Tribune a  reçu des millions pour « accroître la sensibilisation et l’engagement du public sur les questions de réforme de l’éducation au Texas. » Étant donné que Bill est l’un des plus fervents partisans des écoles à charte  , un cynique pourrait interpréter cela comme une propagande pro-entreprise des écoles à charte dans les médias, déguisée en reportage objectif.

La Fondation Gates a également versé près de 63 millions de dollars à des organisations caritatives étroitement liées aux grands médias, dont près  de 53 millions  de dollars à BBC Media Action, plus  de 9 millions  de dollars à la Staying Alive Foundation de  MTV et  1 million  de dollars au New York Times Neediest Causes Fund. Bien qu’ils ne financent pas spécifiquement le journalisme, les dons à la branche philanthropique d’un acteur multimédia doivent tout de même être notés.

Gates continue également de souscrire à un vaste réseau de centres de journalisme d’investigation, totalisant un peu plus de 38 millions de dollars, dont plus de la moitié sont allés au Centre international des journalistes basé à DC pour étendre et développer les médias africains.

Ces centres comprennent :

En plus de cela, la Fondation Gates offre également de l’argent aux associations de presse et de journalisme, à hauteur d’au moins 12 millions de dollars. Par exemple, la National Newspaper Publishers Association — un groupe représentant plus de 200 points de vente — a reçu 3,2 millions de dollars.

La liste de ces organisations comprend :

Cela porte notre total cumulé à 216,4 millions de dollars.

La fondation finance également la formation directe de journalistes du monde entier, sous forme de bourses, de cours et d’ateliers. Aujourd’hui, il est possible pour un individu de suivre une formation de journaliste grâce à une subvention de la Fondation Gates, de trouver du travail dans un point de vente financé par Gates et d’appartenir à une association de presse financée par Gates. Cela est particulièrement vrai des journalistes travaillant dans les domaines de la santé, de l’éducation et du développement mondial, ceux dans lesquels Gates lui-même est le plus actif et où l’examen minutieux des actions et des motivations du milliardaire est le plus nécessaire.

Les subventions de la Fondation Gates relatives à l’instruction des journalistes comprennent :

La BMGF finance également un large éventail de campagnes médiatiques spécifiques à travers le monde. Par exemple, depuis 2014, elle a fait un don de 5,7 millions de dollars à la Population Foundation of India afin de créer des pièces de théâtre qui promeuvent la santé sexuelle et reproductive, dans le but d’augmenter les méthodes de planification familiale en Asie du Sud. Pendant ce temps, il a alloué plus  de 3,5 millions  de dollars à une organisation sénégalaise pour développer des émissions de radio et du contenu en ligne contenant des informations sur la santé. Les partisans considèrent que cela aide des médias gravement sous-financés, tandis que les opposants pourraient considérer qu’il s’agit d’un milliardaire utilisant son argent pour diffuser ses idées et ses opinions dans la presse.

Projets médias soutenus par la Fondation Gates :

Total: $97,315,408

319,4 millions de dollars et (beaucoup) plus

Ensemble, ces projets médiatiques parrainés par Gates s’élèvent à un total de 319,4 millions de dollars. Cependant, cette liste non exhaustive présente des lacunes évidentes, ce qui signifie que le chiffre réel est sans aucun doute bien plus élevé. Premièrement, il ne compte pas les sous-subventions, c’est-à-dire l’argent donné par les bénéficiaires aux médias du monde entier. Et tandis que la Fondation Gates favorise un air d’ouverture sur elle-même, il existe en réalité peu d’informations publiques précieuses sur ce qu’il advient de l’argent de chaque subvention, à l’exception d’une courte description d’une ou deux phrases écrite par la fondation elle-même sur son site Web. . Seuls les dons aux organisations de presse elles-mêmes ou aux projets pouvant être identifiés à partir des informations sur le site Web de la Fondation Gates en tant que campagnes médiatiques ont été comptabilisés, ce qui signifie que des milliers de subventions comportant un élément médiatique n’apparaissent pas dans cette liste.

Un exemple en est le partenariat de la BMGF avec ViacomCBS, la société qui contrôle  CBS  News ,  MTV, VH1, Nickelodeon et  BET . Les médias de l’époque  indiquaient  que la Fondation Gates payait le géant du divertissement pour insérer des informations et des messages d’intérêt public dans sa programmation et que Gates était intervenu pour modifier les scénarios d’émissions populaires comme  ER  et  Law & Order: SVU.

Cependant, lors de la vérification de la base de données des subventions de BMGF, « Viacom » et « CBS » sont introuvables, la subvention probable   en question (totalisant plus de 6 millions de dollars) décrivant simplement le projet comme une « campagne d’engagement public visant à améliorer les taux d’obtention du diplôme d’études secondaires et taux d’achèvement des études postsecondaires visant spécifiquement les parents et les étudiants », ce qui signifie qu’il n’a pas été compté dans le total officiel. Il y a sûrement beaucoup d’autres exemples comme celui-ci. « Pour un organisme de bienfaisance bénéficiant d’un privilège fiscal qui clame si souvent l’importance de la transparence, il est remarquable à quel point la Fondation Gates est extrêmement secrète à propos de ses flux financiers »  , a déclaré à MintPress Tim Schwab , l’un des rares journalistes d’investigation à avoir scruté le milliardaire de la technologie  . .

Ne sont pas non plus incluses les subventions visant à produire des articles pour des revues universitaires. Bien que ces articles ne soient pas destinés à la consommation de masse, ils constituent régulièrement la base d’articles dans la presse grand public et aident à façonner les récits autour de questions clés. La Fondation Gates a largement contribué aux sources universitaires, avec au moins  13,6 millions de dollars  consacrés à la création de contenu pour la prestigieuse revue médicale  The Lancet .

Et, bien sûr, même l’argent donné aux universités pour des projets purement de recherche finit par se retrouver dans des revues universitaires, et finalement, en aval dans les médias de masse. Les universitaires subissent de fortes pressions pour imprimer leurs résultats dans des revues prestigieuses ; « publier ou périr » est le mantra des départements universitaires. Par conséquent, même ces types de subventions ont un effet sur nos médias. Ni ceux-ci ni les subventions finançant l’impression de livres ou la création de sites Web ne comptent dans le total, bien qu’ils soient aussi des formes de médias.

Profil bas, longs tentacules

Par rapport à d’autres milliardaires de la technologie, Gates a gardé son profil de contrôleur des médias relativement bas. L’  achat du  Washington Post  par le fondateur d’Amazon  Jeff Bezos pour 250 millions de dollars en 2013 était une forme d’influence médiatique très claire et évidente, tout comme la création par le fondateur d’eBay Pierre Omidyar de First Look Media, la société propriétaire de  The Intercept .

Bien qu’ils passent plus inaperçus, Gates et ses entreprises ont accumulé une influence considérable dans les médias. Nous comptons déjà sur des produits appartenant à Microsoft pour la communication (par exemple Skype, Hotmail), les médias sociaux (LinkedIn) et le divertissement (Microsoft XBox). De plus, le matériel et les logiciels que nous utilisons pour communiquer sont souvent fournis par le Seattleite de 66 ans. Combien de personnes lisant ceci le font sur un téléphone Microsoft Surface ou Windows et le font via le système d’exploitation Windows ? De plus, Microsoft détient des participations dans des géants des médias tels que  Comcast  et  AT&T . Et le « MS » dans  MSNBC  signifie Microsoft.

Les gardiens des portes des médias

Le fait que la Fondation Gates finance une partie importante de notre écosystème médiatique entraîne de graves problèmes d’objectivité. « Les subventions de la fondation aux organisations médiatiques… soulèvent des questions de conflit d’intérêts évidentes : comment les reportages peuvent-ils être impartiaux lorsqu’un acteur majeur tient les cordons de la bourse ? »  a écrit  le Seattle Times local de Gates   en 2011. C’était avant que le journal  n’accepte l’  argent de la BMGF pour financer sa section « laboratoire d’éducation ».

Les recherches de Schwab   ont révélé que ce conflit d’intérêts va jusqu’au sommet : deux   chroniqueurs du New York Times avaient écrit avec enthousiasme sur la Fondation Gates pendant des années sans révéler qu’ils travaillaient également pour un groupe – le Solutions Journalism Network – qui, comme le montre ci-dessus, a reçu plus de 7 millions de dollars de l’association caritative du milliardaire technologique.

Plus tôt cette année, Schwab a également refusé de co-reporter une histoire sur COVAX pour  le Bureau of Investigative Journalism , soupçonnant que l’argent que Gates avait injecté dans le magasin rendrait impossible un reportage précis sur un sujet si proche du cœur de Gates. Effectivement, lorsque l’article a été  publié le  mois dernier, il a répété l’affirmation selon laquelle Gates avait peu à voir avec l’échec de COVAX, reflétant la position de la BMGF et les citant tout au long. Ce n’est qu’à la toute fin de l’histoire de plus de 5 000 mots qu’il a révélé que l’organisation qu’elle défendait payait les salaires de son personnel.

« Je ne crois pas que Gates ait dit au  Bureau of Investigative Journalism  quoi écrire. Je pense que le bureau savait implicitement, voire inconsciemment, qu’il devait trouver un moyen de raconter cette histoire qui ne visait pas son bailleur de fonds. Les effets biaisés des conflits financiers sont complexes mais très réels et fiables », a déclaré Schwab, le décrivant comme « une étude de cas sur les périls du journalisme financé par Gates ».

MintPress a également contacté la Fondation Bill et Melinda Gates pour commentaires, mais celle-ci n’a pas répondu.

Gates, qui a amassé sa fortune en construisant un monopole et en protégeant avec zèle sa propriété intellectuelle, porte une responsabilité importante dans l’échec du déploiement du vaccin contre le coronavirus à travers le monde. Indépendamment du fiasco du COVAX, il a fait  pression sur  l’Université d’Oxford pour qu’elle ne rende pas son vaccin financé par l’État open source et accessible à tous gratuitement, mais plutôt pour s’associer à la société privée AstraZeneca, une décision qui signifiait que ceux qui ne pouvaient pas payer étaient bloqués. de l’utiliser. Le fait que Gates ait fait plus de 100  dons  à l’université, totalisant des centaines de millions de dollars, a probablement joué un rôle dans la décision. A ce jour, moins de  5% des personnes dans les pays à faible revenu ont reçu ne serait-ce qu’une seule dose de vaccin COVID. Le nombre de morts qui en découle est immense.

Malheureusement, bon nombre de ces vraies critiques de Gates et de son réseau sont obscurcies par des théories du complot sauvages et fausses sur des choses telles que l’insertion de puces électroniques dans les vaccins pour contrôler la population. Cela signifie que les véritables critiques du cofondateur de Microsoft sont souvent démonétisées et supprimées de manière algorithmique, ce qui signifie que les médias sont fortement dissuadés de couvrir le sujet, sachant qu’ils perdront probablement de l’argent s’ils le font. Le manque d’examen minutieux du deuxième individu le plus riche du monde alimente à son tour des soupçons farfelus.

Gates le mérite certainement. Indépendamment de ses liens profonds et potentiellement de plusieurs décennies avec le tristement célèbre Jeffrey Epstein, ses  tentatives  pour   changer radicalement la société africaine et son  investissement  dans le géant chimique controversé Monsanto, il est peut-être le principal moteur du mouvement américain des écoles à charte – une tentative de privatiser essentiellement le système éducatif américain. Les écoles à charte sont profondément impopulaires auprès des syndicats d’enseignants, qui voient le mouvement comme une tentative de réduire leur autonomie et de réduire le contrôle public sur la manière et la nature de l’enseignement aux enfants.

Jusqu’à la banque

Dans la plupart des reportages, les dons de Gates sont largement présentés comme des gestes altruistes. Pourtant, beaucoup ont souligné les défauts inhérents à ce modèle, notant que permettre aux milliardaires de décider ce qu’ils font avec leur argent leur permet de définir l’agenda public, leur donnant un pouvoir énorme sur la société.

« La philanthropie peut et est utilisée délibérément pour détourner l’attention des différentes formes d’exploitation économique qui sous-tendent les inégalités mondiales aujourd’hui », a  déclaré  Linsey McGoey , professeur de sociologie à l’Université d’Essex, au Royaume-Uni, et  auteur  de  No Such Thing as a Free Gift. : La Fondation Gates et le Prix de la Philanthropie. 

Elle ajoute : « Le nouveau « philanthrocapitalisme » menace la démocratie en augmentant le pouvoir du secteur des entreprises au détriment des organisations du secteur public, qui sont de plus en plus confrontées à des compressions budgétaires, en partie en rémunérant excessivement les organisations à but lucratif pour fournir des services publics qui pourraient être livrés à moindre coût sans la participation du secteur privé.

La charité, comme l’a noté l’ancien Premier ministre britannique Clement Attlee, « est une chose sans amour et gris froid. Si un homme riche veut aider les pauvres, il doit payer ses impôts avec plaisir, et non pas distribuer de l’argent sur un coup de tête.

Rien de tout cela ne signifie que les organisations qui reçoivent l’argent de Gates – médias ou autres – sont irrémédiablement corrompues, ni que la Fondation Gates ne fait aucun bien dans le monde. Mais cela introduit un conflit d’intérêts flagrant par lequel les institutions mêmes sur lesquelles nous comptons pour tenir responsable l’un des hommes les plus riches et les plus puissants de l’histoire de la planète sont discrètement financées par lui.

Ce conflit d’intérêts est un conflit que les médias d’entreprise ont largement essayé d’ignorer, tandis que le philanthrope prétendument altruiste Gates ne cesse de s’enrichir, riant jusqu’à la banque.

[Voir aussi :
Si, Bill Gates a bien dit que nous aurions besoin de passeports numériques pour les vaccins
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Bill Gates a-t-il demandé à Bergoglio de fermer l’Église catholique ?
Bill Gates : Les gouvernements doivent punir les utilisateurs en ligne qui s’opposent aux masques et aux vaccins
Les données : l’« or noir » du XXIe siècle
Bill Gates explique que le vaccin covid utilisera une technologie expérimentale et modifiera de façon permanente votre ADN…
3 mois avant le COVID, l’Union mangeait la soupe du vaccin servie par Bill Gates et Big Pharma
Bill Gates et le hold-up vaccinal
Bill Gates détient des actions importantes à la fois dans Pfizer et BioNTech, et il est le principal bailleur de fonds de l’Agence britannique de réglementation des produits de santé et de médecine
GAVI et Bill Gates plus puissants que l’ONU !
Pierre Jovanovic : Mes nouvelles accusations contre Bill Gates
Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »… sans être inquiétés par la justice
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore
Etc. (Bill Gates)
Qui est l’Antéchrist ?]




Sanitaire : réponse à un ami surdiplômé qui me traite de complotiste

[Source : ripostelaique.com]

Par Alain Rubin

Mon pauvre Maurice,

Bien sûr que tu es supérieur ! Supérieur à moi, c’est certain, mais aussi supérieur au professeur Zelenko, supérieur au docteur Ruby, supérieur au professeur Mc Cullough, supérieur au prix Nobel Montagnier, supérieur au professeur Perronne, supérieur aux docteurs Ochx et Théron (qui ont soigné et guéri leur patients Covid et ont été sanctionnés pour ça), supérieur au docteur Martine Wonner…

Laisse-moi aussi te dire, même si cela ne te fera peut-être pas plaisir :

Maurice, tu aurais fait un parfait Diafoirus, à l’époque de Molière, et un excellent Lyssenko, sous celle de Staline.

Les Diafoirus et les Lyssenko avaient les diplômes, ils avaient la « science ». Ils disposaient du pouvoir discrétionnaire et du droit régalien de décréter la vérité scientifique. Toute autre opinion était fausse, contre-révolutionnaire ; le mot « complotiste » n’était pas utilisé par Lyssenko et ses annexes (les référents du NKVD préparant procès et exécutions).

Je te le concède, je ne suis qu’un misérable membre de la plèbe. Je n’ai pour tout diplôme qu’un certificat d’études primaires. Misérable diplôme obtenu en 1958… comment, alors, puis-je me permettre de contredire un diplômé comme toi ?

Comment puis-je m’autoriser à écouter, noter, confronter les affirmations des uns et des autres, et les faits, comment puis-je me permettre d’avoir des principes et de les défendre ?

Tu as raison, face à ta science diplômée, je ne suis qu’un misérable vermisseau, qui n’a pas son mot à dire, qui n’a que le devoir de porter le tchador sanitaire quand on le lui ordonne, qui ne doit sortir et rencontrer des personnes que quand et comment on le lui permet, qui doit se laisser injecter le produit expérimental de Pfizer, sans protester ; qui doit subordonner toute son existence, et celle de ses enfants, à un nouvel ordre sanitaire perpétuel ; qui doit accepter de devenir un cobaye contraint, sans se soucier d’effets secondaires (décès, handicaps, maladies auto-immunes…) et, quand il y en a, accepter qu’ils ne soient plus prises en considération.

Je devrais, au nom de ton « savoir », au nom de tes diplômes, accepter que l’on tire sur des protestataires australiens, hollandais (ce sont des faits, pas des ragots « complotistes »), accepter que, comme dans un État de la fédération australienne, l’autorité (celle d’un gouverneur) se propose d’interdire l’accès, aux magasins alimentaires, des non vaccinés ; en d’autres termes, qu’au nom d’une exigence sanitaire qui refuse de voir se qui se passe en Union indienne (sauf deux États, tous les autres recourent à la médecine ambulatoire, à l’Ivermectine, à l’HCQ, à l’Azithromycine, et ont fait disparaître la prétendue pandémie), on recoure aux méthodes dont Staline usa contre les Ukrainiens « complotistes », les Ukrainiens contre-révolutionnaires, les méchants Ukrainiens, à savoir : l’organisation d’une famine artificielle qui tua entre trois et quatre millions de paysans et villageois d’Ukraine.

Maurice, en souhaitant que tu réfléchiras.

Actuellement, ta soumission aux mensonges de Pfizer – condamné pénalement pour 2,5 milliards de dollars, pour mensonges et trucages sur ses produits et tests de contrôle, corruption d’élus et de journalistes – ferait de toi un parfait dhimmi. Comme tu es diplômé, si le nouveau calife et ses sultans sont d’une tendance néo-omeyyade, tu pourras espérer une petite niche.

Alain Rubin




Députés et Sénateurs, vous ne servez plus à rien : « ils » décident pour vous — les preuves en trois exemples

Par les Gilets Jaunes de la Victoire

Modification du génome humain

Rapports de l’OMS : Des recommandations mondiales sur la modification du génome humain – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Implantation d’une puce dans le corps pour contrôle de la population

Mark of the Beast is here: Subcutaneous quantum dot “vaccine passports” from Bill Gates are ready to be injected into human subjects – NaturalNews.com [anglais]

Cryptomonnaie ou monnaie digitale, la marque de la bête est déjà brevetée – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Il y a des preuves que Bill Gates est impliqué dans les micropuces implantables même s’il nie lui-même avoir jamais été impliqué avec elles – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Implantation mondiale de la 5G

PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial

La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 1)
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 2)
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 3)


Voilà le résultat de votre complicité ou de votre incompréhension totale de ce qui se passe de nos jours : les instances supranationales profitent de la crise sanitaire pour imposer leur volonté à l’ensemble de la planète pour faire émerger le Nouvel Ordre Mondial.

Bientôt pour vous, le chômage, mais plus grave encore, le Peuple saura reconnaître en chacun de vous un des principaux responsables de la mort de la Démocratie et de la République ; nous ne pouvons pas vous garantir un avenir serein.

[Voir aussi :
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)]


N’hésitez pas à transmettre à vos représentants :

sénateurs :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=senateurs
députés :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=deputes
membres des cabinets Ministériels :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=cabmin
4 Agences de presse :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=medias&type_media=Agence%20de%20presse




En janvier 2013, Antony Patch décrivait le mobile possible derrière une situation telle que la crise Covid

[Source : @Reveil]



Site : Anthony Patch




Un Plan Pour Le Monde

[Source : Planète Homéopathie (planete-homeopathie.org)]

Par le Dr. Édouard Broussalian

À tous ceux qui sont tombés pour la manifestation de la Vérité, préférant suivre leur conscience plutôt que leur intérêt. Magna est veritas et praevalebit !

À toi, portier du consulat, qui fait attendre debout, dehors, au soleil, durant une heure une femme enceinte de 9 mois au prétexte qu’elle refuse de masquer son enfant de 5 ans pour entrer. Tu ne vois pas de rapport avec le nazisme et tu t’offusques qu’on ose te le dire.

À toi ma boulangère, qui du haut de ton Bac me donne des leçons sur la manière de porter un masque.

À toi mégère anonyme qui te saisis de ton téléphone pour dénoncer le vilain client qui foule le même sol que toi dans un magasin, mais qui refuse de porter un masque. Tu n’hésites pas à appeler les flics, demain ce sera pour « emmener » ces asociaux dans des camps de « regroupement ». Leur destination finale t’importera peu, tu auras la satisfaction du devoir accompli comme tous ceux qui avant toi ont réalisé les mêmes gestes.

À tous les médiocres qui de tout temps ont formé le lit du despotisme grâce à leur servilité aveugle, et qui réalisent à leur insu les paroles du Messie :

« Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive »

Mt 10 :34

[Voir : L’épée, le bon grain et l’ivraie]

Un plan pour le monde

Par le Dr. Édouard Broussalian, 18 Novembre 2021

« Sous la roue qui sans fin poursuit sa ronde deux sortes de gens vivent sans tourments : ceux qui savent les secrets du monde, et ceux qui les ignorent totalement ».

Omar Kayyam.

« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time Magazine et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion pendant près de 40 ans. … Il nous aurait été impossible de développer notre plan pour le monde si nous avions été soumis aux lumières de la publicité pendant ces années. Mais, le monde est maintenant plus sophistiqué et prêt à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est sûrement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. »

David Rockefeller.[1]

« Lorsque le consentement et l’intérêt individuel ne sont plus des priorités inaliénables, on se rapproche des théories eugénistes florissantes dès la fin du XIXe siècle et portées à la dimension industrielle par le nazisme »

Dr. Nicole Delépine.

Rien ne me prédisposait à jouer les Cassandre quand voici déjà plus d’un an je prédisais la situation dans laquelle nous sommes aujourd’hui plongés. Peut-être un lien immatériel peut-il réunir mes racines du Bosphore avec la fille de Priam, roi de Troie ? Défenseur de l’homéopathie depuis 40 ans face à la rhétorique pourrie du système et de ses séides, porteur épigénétique des effets du premier génocide[2] du XXème siècle et de 800 ans de dhimmitude[3], on se trouve mieux outillé intellectuellement pour envisager la notion terrifiante d’un gouvernement apparemment élu par le Peuple mais qui travaille désormais contre le Peuple.[4] Quand j’ai déclaré publiquement en Septembre 2020[5] que cette pandémie factice n’était qu’un hold-up mondial destiné à mettre en place une dictature, et que seule l’insurrection populaire sera notre salut, je n’ai pas été mieux cru que Cassandre lorsqu’elle annonçait que le cheval de Troie était une ruse qui allait aboutir à la ruine de la cité. Peu de gens ont compris dès le début :

  1. Que cette « pandémie » était grandement exagérée[6] puisqu’on s’est rapidement trouvés au point où il fallait se faire tester pour voir si l’on était malade —quant à lui, le rapport[7] de l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation révèle que le Covid n’a représenté que 2% des hospitalisation en 2020 :
    1. Seul le tripotage dès 2009 de la notion même de pandémie a permis d’en arriver où nous sommes. [8]
    2. Pour les cliniciens sur le terrain nous avons tous identifié une forme de coryza pouvant évoluer relativement rapidement vers une toux avec une dyspnée importante puis une détresse respiratoire.
    3. Confiants en l’expérience de succès magistraux ininterrompus enregistrés en deux siècles, nous savions que l’homéopathie se montrerait comme de coutume extrêmement efficace pour traiter n’importe quelle épidémie.[9] Ce n’est sans doute pas pour rien si la guerre totale a été déclarée contre l’homéopathie peu avant la survenue de toute cette affaire sous forme d’une attaque orchestrée mondialement peu avant la survenue des premiers cas COVID-19. Après l’attaque délirante des 124 parfaits inconnus[10] relayés dans tous les médias, sans que jamais on ne nous ait accordé le moindre droit de réponse, ce fut la fameuse étude australienne du NHMRC qui fit le tour du monde pour servir d’alibi gouvernemental en France et ailleurs pour justifier des mesures contre l’homéopathie, alors qu’une enquête sénatoriale[11] australienne a révélé la falsification[12] de l’étude. Aucun démenti n’a jamais été publié dans la presse mais la coordination de l’attaque témoignait bien de l’organisation pyramidale des médias compliants. La démarche est en tout point semblable à ce qui s’est passé avec l’étude bidonnée[13] publiée dans le Lancet et qui démolissait l’hydroxychloroquine.[14] L’étude a servi de prétexte à nos gouvernants pour retirer un produit devenu dangereux alors qu’il était prescrit à plus de 1 milliards de personnes durant 70 ans. Et comme de coutume, la rétractation de l’étude n’a jamais engendré celle des mesures prises en l’utilisant comme prétexte. Encore plus lamentable : l’institut Pasteur rétracte l’étude bidonnée qui a servi à justifier le passe sanitaire… mais le passe demeure.[15]
    4. Le totalitarisme s’empare de la science pour confirmer ce qui lui convient, l’idée est de créer une surréalité à laquelle les « croyants » vont adhérer — c’est le cas de la création de l’Islam par les Califes[16] et de la narration autour d’un prophète imaginaire, ou le bolchévisme avec la promotion de ses demi-dieux et du narratif autour du projet grandiose. Finalement tout cela correspond exactement à ce qu’a fait Auguste quand il a pris le pouvoir en s’assurant du contrôle religieux et des augures —d’où son nom. Au sujet des prédictions, quelqu’un a-t-il des nouvelles des 500.000 morts de 2020 et des 400.000 du premier trimestre 2021 que nous avait annoncé l’infâme Macron ? Pourtant tout ce que nous subissons, c’est au nom de ces morts imaginaires, de cette fausse pandémie et de ce pseudo-Covid-19.
  2. Que sans tests PCR il n’y avait point de pandémie[17] et que le test était parfaitement vérolé de manière à détecter un maximum de « cas ». Mais c’était tout ce qu’il fallait pour aller dans le sens de la nouvelle définition de « pandémie », juste des « cas », pas forcément des vrais malades et encore moins de mortalité. Un document[18] qui vient d’être publié par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis admet ouvertement que le fameux test PCR pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) a été mis au point non pas à partir d’échantillons réels du virus chinois, mais plutôt à partir de ce qui semble être du matériel génétique d’un virus du rhume. Dans le document de la FDA, il est clairement indiqué que le matériel génétique ordinaire de la grippe saisonnière a été utilisé comme marqueur de test dans les kits de test PCR.[19]
    1. De manière parfaitement incroyable, l’article de Corman-Drosten[20] a été soumis à Eurosurveillance le 21 janvier 2020 et accepté pour publication le 22 janvier 2020. Le 23 janvier 2020, l’article était en ligne.
    2. Plus incroyable encore, le protocole de test Drosten, alors qu’il avait déjà envoyé son texte à l’OMS à Genève le 17 janvier 2020, a été officiellement recommandé par l’OMS comme test mondial pour déterminer la présence du coronavirus de Wuhan, avant même que l’article ne soit publié.
    3. Que dire du scandale des cycles d’amplification ? L’OMS et Drosten ont recommandé un Ct de 45 cycles. Il n’est pas étonnant que, alors que le nombre de tests augmente au début de la saison grippale hivernale, les « positifs » PCR en Allemagne et ailleurs explosent. Comme le soulignent les auteurs critiques, si les autorités sanitaires devaient spécifier 35 cycles maximum, selon l’article de Jaafar à l’IHU à 35 cycles, il ne resterait plus que 3% de vrais positifs ! Ils notent, « un résultat analytique avec une valeur Ct de 45 est scientifiquement absolument dénué de sens (une valeur Ct raisonnable ne doit pas dépasser 30).
    4. Le 27 novembre 2020, un groupe[21] très respecté de plus de 20 virologues, microbiologistes et scientifiques du monde entier a publié un appel à Eurosurveillance pour retirer l’article du 23 janvier 2020 du « Dr » Christian Drosten, l’inventeur du dit « test » PCR. Leur analyse minutieuse de la pièce originale est accablante. Le leur est un véritable « examen par les pairs ». Ils accusent Drosten d’incompétence scientifique « fatale » et de failles dans la promotion de leur test.
    5. Il est même possible que ce test fourré au fond du nez serve rapidement à ficher toute la population avec l’ADN des frottis. Une firme britannique entend gagner ainsi beaucoup d’argent.[22]
  3. Que seule la complicité servile des mé(r)dias —hormis en France l’exception notable de France Soir[23] et quelques rares autres— soutenue par une censure féroce dans tous les réseaux sociaux[24] a permis d’installer la doxa officielle[25] dans les cerveaux d’une population hypnotisée[26], abasourdie. Toute forme de pensée critique, quelle qu’elle soit, est immédiatement suspectée d’être complotiste,[27] la plupart des professionnels compétents sont muselés par la peur du dénigrement ![28] Le grand test que fut la grippe H1N1 a appris aux mondialistes que le contrôle absolu des médias conditionnait la réussite du projet. C’est aujourd’hui chose faite. Devant des médias complices de la conspiration, débitant ad nauseam la doxa du système, la censure systématique —notamment sur les réseaux sociaux— et la ridiculisation de toute voix discordante à l’aide d’étiquettes telles que « complotisme » ou « anti-vax ». La censure organisée sur tous les réseaux sociaux et dans la pressetituée[29],[30] nous a prouvé très tôt l’existence d’un projet, d’une volonté, d’une coordination du crime, avec les fameux « fact-checkers » —simples informaticiens ou joueurs de jeux vidéo autoproclamés défenseurs de la « science »[31]— formant les bataillons de la répression afin de maintenir à tout prix la vision et les ordres de l’OMS. Voyons ce narratif :
    1. Une épidémie terrifiante (par exemple les images d’horreur, à la sauce Timisoara[32] des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui sont en fait celles de chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale)
      1. L’épidémie de COVID-19 n’est pas un drame sanitaire mais un crime de masse.
      2. Pour les moins de 60 ans, l’année 2020 est la moins mortelle de toute l’histoire de France.[33]
    2. Pas de traitement (précoce) efficace existant, interdiction faite aux médecins de prescrire, prescription de médicaments qui tuent (Valium, Rivotril) :
      1. « Démontrer que le virus n’a pas de thérapie a été une lutte de tous les instants au risque d’étaler au grand jour les incompétences crasses des uns et des autres. » Ecrit le Dr. Michel de Lorgeril, qui ajoute « et tout scientifique qui osera dire le contraire sera lynché et traité de complotiste. »
      2. Les médecins généralistes qui doivent naturellement encaisser frontalement le choc de toute épidémie se sont vus dessaisis des cas et interdire de prescrire l’hydroxychloroquine / azithro qui fonctionne remarquablement bien[34], de sorte que de nombreux cas ont pu évoluer vers des formes graves et encombrer les hôpitaux. Partout dans le monde, des gouvernements criminels comme celui de la France ont interdit la prescription qui aurait sauvé de nombreuses vies, interdiction basée sur un article bidonné à souhait paru dans une revue « prestigieuse », et qui illustre bien jusqu’où est tombée la médecine classique. De nombreux protocoles avec l’Ivermectine[35] ont aussi largement prouvé leur efficacité.
      3. Le réseau sentinelle a été pareillement limogé car ses vrais chiffres contredisaient la propagande étatique.[36]
      4. Selon toutes les apparences, les autorités sanitaires et politiques françaises ont tout fait pour que les malades de la COVID-19 meurent en masse en suivant cinq stratégies simultanées :
  • Refuser l’accès aux hôpitaux à la majorité des malades, c’est-à-dire les personnes âgées ;
  • Refuser l’accès aux services de réanimation aux personnes âgées hospitalisées ;
  • Conseiller des traitements inutiles ;
  • Interdire les traitements efficaces ;
  • Tuer au lieu de soigner.

L’intention criminelle préméditée est prouvée par les documents officiels autorisant l’administration de poisons mortels aux patients tout en interdisant la prescription des thérapies les plus prometteuses. En France, les plus de 70 ans ont été refoulés des services de réanimation alors que plus de la moitié des lits étaient vides.[37] « Le confinement des mois de novembre-décembre n’a pas modifié la consommation des médicaments conseillés dans les cas de COVID-19. Si les confinements ne modifient pas les prescriptions hospitalières dans le cas général, on en vient à penser qu’il y a eu un défaut de prescriptions précisément envers les patients souffrant de la COVID-19 pendant la « première vague ». Considérant le nombre très important de cas répertoriés, une telle diminution est incongrue. Comment expliquer qu’en pleine épidémie on puisse atteindre un record historique de sous-prescriptions des médicaments indiqués pour soigner ladite épidémie ? »
Un décret du gouvernement en date du 28 mars 2020[38] a autorisé exceptionnellement l’usage du Rivotril dans les cas de COVID-19, sachant que seulement une à deux injections sont suffisantes pour tuer un malade. Il n’est donc pas étonnant de constater, à l’inverse des médicaments qui soignent, une sur-prescription massive des médicaments qui tuent. Les prescriptions de Valium injectable ont augmenté de 53 % à 63 % en avril-mai par rapport à la moyenne de 2017-2019. Quant au Rivotril injectable, sa consommation a explosé, multipliée par 3,9 en avril pendant le pic épidémique, et depuis reste 2,3 fois supérieure à la moyenne de 2017-2019.

  1. Les mesures de contrainte fondamentales tant qu’on n’a pas d’immunité collective vaccinale (la notion d’immunité naturelle étant désormais bannie de l’OMS[39],[40]
    1. Les mesures appliquées en guise de « prévention » chez les personnes âgées les ont sans doute fait mourir de chagrin, isolées dans une chambre.
    2. Lors des audiences du Congrès, le représentant James Jordan (R-OH) a demandé au Dr Fauci d’expliquer pourquoi la prévalence de la maladie dans le Michigan fermé est pire que dans le Wisconsin voisin qui est depuis longtemps entièrement ouvert. Fauci a prétendu qu’il n’avait pas entendu la question, qu’il n’avait pas vu le tableau et qu’il n’avait pas compris. Finalement, il est resté assis, silencieux, après avoir prononcé quelques banalités sur les différences de mise en application. Les « confineurs » sont maintenant confrontés à l’énorme problème du Texas. Cet état est totalement ouvert, sans aucune restriction. Les cas et les décès ont chuté de façon spectaculaire au cours de la même période. Fauci n’a pas de réponse. Ou alors, comparez la Californie fermée avec la Floride ouverte : taux de mortalité similaires. Nous disposons d’une gamme complète d’expériences aux États-Unis qui permettent de comparer l’ouverture et la fermeture et les résultats des maladies. Il n’y a pas de relation.
  2. Seule la vaccination nous sauverait, débloquerait la situation[41] et ferait cesser la maltraitance des Peuples.

« Et si vous croyez que l’engrenage s’arrêtera à un laissez-passer pour les plages, jetez un coup d’œil en arrière : quelle est la ligne rouge impensable qui n’a pas été finalement franchie par les gouvernements ces treize derniers mois ? Quel est le droit inaliénable de la personne qui n’a pas été violé ? Dès le moment où l’État s’arroge l’accès à votre corps, quel que soit le motif, il en devient propriétaire. Il en dispose. » Slobodan Despot.

    1. Pour un homéopathe habitué à critiquer la médecine officielle, il est évident dès le début que tout serait fait pour trafiquer la fameuse notion de bénéfices [pour les labos] / risques [pour les victimes] —surtout que les « études » n’incorporaient pratiquement pas de gens âgés alors que ce sont justement eux qu’on se proposait de protéger en priorité.
    2. La démarche habituelle consiste à maximiser la gravité de la maladie (par exemple, instructions données aux pompes funèbres[42] de déclarer en morts Covid toute personne ayant eu de la toux et de la fièvre et n’importe quel symptôme vague) tandis qu’on dissimule les effets secondaires.[43],[44],[45] Or ici c’est une explosion d’effets secondaires qu’on ne parvient plus à dissimuler. Dans chacun de ces pays qui ont vacciné massivement à partir de décembre ou début janvier, on a observé un pic de mortalité jamais atteint auparavant.[46] Omerta, silence des médias ne suffisant plus c’est maintenant le caviardage des bases de données qui est entrepris à grande échelle.[47] La député Mathilde Panot signe un discours remarquable qui dénonce la situation,[48] cela détonne dans le marais collaborationniste ambiant. Pour ceux qui n’ont pas encore compris, la seule immunité est celle des laboratoires qui ont réussi à imposer des contrats aux clauses léonines[49] à tous les états, contrats signés pour ce qui concerne l’Europe par une seule personne, Stella Kyriakides qui a touché plusieurs millions en pots de vins.[50]
    3. L’injection —que l’on ne peut pas appeler vaccin, même si Merriam-Webster a eu le culot de modifier la définition du terme pour devenir corona-compliant je suppose— se confirme mois après mois être un produit hautement toxique. Le viol génétique conduit nos cellules (la plupart du temps celles de l’endothélium vasculaire) à produire de la protéine Spike S1. Or la Spike est elle-même responsable de la maladie qui est essentiellement endo-vasculaire, sa présence à la surface des cellules conduit à des processus de coagulation.[51],[52],[53],[54] Au microscope se produit en peu de temps une coagulation quand le sang entre en contact avec le produit, il est raisonnable de supposer que le graphène arrache des molécules de fer aux globules rouges, ce qui entraîne une activation de l’injection et explique peut-être les effets magnétiques observés. [55]
      En outre ces produits contiennent probablement des substances qui ne sont pas supposées être présentes, comme l’oxyde de graphène.[56] De nombreuses personnes ont constaté que la région injectée puis d’autres zones du corps deviennent magnétiques.[57] Certaines sources mentionnent même la présence de parasites ou d’œufs de parasites.[58] L’empoisonnement volontaire —et forcé— représente certainement l’un des objectifs de la crise actuelle et rendra difficile à nos gouvernants de plaider non-coupable quand ils passeront en cour martiale. Le principe éthique classique des « essais cliniques » consiste à stopper les recherches expérimentales thérapeutiques dès lors que l’essai atteint la vie d’autrui et sa santé. Certaines études ont arrêté l’essai thérapeutique autorisé par la FDA déjà après un seul décès comme c’est le cas pour un laboratoire pharmaceutique français[59], alors que d’autres experts estiment à un maximum 20 à 50 décès sont amplement nécessaires pour établir une « dangerosité » du produit utilisé et stopper l’expérience.Avec plus de 13 000 rapports aux CDC concernant des décès dus aux vaccins COVID-19, les vaccins COVID-19 ont maintenant le taux de mortalité le plus élevé de tous les vaccins de l’histoire. En effet, la moyenne des décès dus aux vaccins signalés chaque année aux CDC, avant le COVID-19, était d’un peu plus de 100 par an. En d’autres termes, les vaccins COVID-19 ont environ 100 fois plus de rapports de décès par an que la moyenne des rapports pour tous les autres vaccins combinés. Dans le passé, des vaccins individuels ont été retirés du marché pour seulement 12 à 50 décès signalés. Les décès liés au vaccin COVID-19 sont catastrophiques et, pire encore, les décès signalés ne reflètent qu’une petite fraction des décès réels liés au vaccin dans la communauté.[60]
    4. Il suffit pourtant d’examiner l’histoire récente des maladies transmissibles – avec de nouveaux agents infectieux (HIV-sida, Ebola, Zika, Chikungunya, Dengue, Borrélioses…) – pour ajouter plusieurs bémols à la douce mélodie voulant faire croire que la technologie des vaccins va apporter des solutions miraculeuses à la crise du COVID-19.
    5. L’histoire nous rappelle que :
    6. 1- Toutes les épidémies finissent par s’éteindre spontanément
    7. 2- Jamais un vaccin n’a permis d’éteindre une épidémie.
    8. 3- La vaccination durant une épidémie entraîne toujours une surenchère de mortalité par effet Buchwald.[61]
    9. Et quand on nous sert l’exemple de l’éradication de la variole ce n’est que la référence à un mythe. Le rapport final[62] admet que la « vaccination de masse a échoué » et que c’est la surveillance et endiguement qui a porté ses fruits » Encore ici, « les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. » Nous lisons aussi « A Java, malgré des taux de vaccination dépassant 90%, la transmission se poursuivait dans des zones densément peuplées… jusqu’à ce que des structures efficaces de dépistage des cas et de surveillance soient entièrement mis en place. »
    10. Nous subissons le totalitarisme des concepts mentaux : Il est décidé dans les sphères dirigeantes que les obstacles à la vaccination doivent être éliminés, car le vaccin est « notre porte de sortie de la crise ». Nous développerons dans le second chapitre comment la médecine industrielle porte en elle le despotisme, en ne traitant plus que des masses amorphes non individualisées. Cela a commencé avec la préparation de la vaccine sur les orphelins pour maintenir la souche, Pasteur a continué sur la même lancée, en fraudant massivement ses résultats —les héritiers du Dr. Roux, illustre collaborateur de Pasteur, ont publié la correspondance entre Brouardel et Pasteur, nous faisant ainsi découvrir comment on a masqué la mort d’un enfant inoculé par de l’extrait de moelle desséchée d’animal rabique en la faisant passer pour une crise d’urémie, permettant ainsi de sauver la science française.[63] En ce qui concerne l’éthique, en 1884, Louis Pasteur lui-même écrit à l’empereur du Brésil pour lui demander l’autorisation de contaminer des condamnés à mort avec le choléra afin d’essayer sur eux des traitements.[64]
    11. Au nom maintenant d’une théorie délirante comme la heird immunity l’immunité du troupeau —enfin de groupe— le massacre va maintenant porter aussi sur les enfants[65], surtout que nous sommes sur le chemin de l’élimination du consentement parental.[66] et les femmes enceintes —une méta-analyse a recensé 192 études et trouvé un taux de létalité chez les femmes enceintes atteintes de Covid-19 de 0,02%, décès toutes causes.[67]
    12. Et nous devrions croire sur parole des laboratoires véreux[68] qu’une injection génique expérimentale, produirait —sans le moindre recul connu— le résultat que jamais la vaccination n’a atteinte depuis que la pratique existe ?
    13. Pour ma part j’ai vraiment éclaté de rire quand on nous a annoncé une efficacité de 95% avec des études qui ne sont même pas en double aveugle. En cette fin de 2021, les preuves ne cessent de s’accumuler concernant la supercherie de ces « zétudes ».[69],[70],[71],[72] Dès le début il était facile aussi de penser que la mutation incessante du Coronavirus servirait d’excuse facile aux inoculateurs pour justifier leurs lamentables échecs. Quant à la blague que constitue les autorisations de mise sur le marché, l’ANSM, gendarme Français du médicament, se désintéresse totalement du fait qu’à ce jour (29/10/21) la dispensation des quatre vaccins anti-Covid puisse être réalisée de manière parfaitement illégale sur son sol : En effet, celle-ci se trouvait incapable de documenter que les Autorisations de Mise sur le Marché Conditionnelles (AMMc) régissant l’écoulement de ces produits n’existent encore…[73]
    14. Un groupe de 57 scientifiques, médecins et experts politiques de premier plan a publié un rapport appelant à remettre en question la sécurité et l’efficacité des « vaccins » COVID-19 actuels, et réclame maintenant la fin immédiate de tous les programmes de vaccination. Parmi eux se trouve la généticienne Alexandra Henrion-Caude —qui mérite d’être élue femme de l’année.[74]
    15. Nous étudierons en détails dans le chapitre suivant « Et vous Peuples infortunés » les ravages de la vaccination forcée. 
    16. Le tout étant servi aux Peuples grâce à un appareil de propagande relayé par les innombrables collabos et autres idiots utiles[75],[76],[77] qui relègue au niveau de la maternelle les Goebbels et maîtres à penser de la manipulation des masses, mettant en jeu des mécanismes comme la réduction de dissonance cognitive ou le syndrome de Stockholm :
      1. Souvenons-nous comment Orson Wells[78] —l’ancêtre de nos manipulateurs actuels— avait réussi à faire croire à un débarquement des martiens seulement en se servant d’une chaîne de radio. Imaginez la puissance de feu de tous les médias confondus…

« L’affirmation pure et simple, dégagée de tout raisonnement et de toute preuve, est un des plus sûrs moyens de faire pénétrer une idée dans l’esprit des foules. Plus l’affirmation est concise, plus elle est dépourvue de toute apparence de preuves et de démonstration, plus elle a d’autorité. » Gustave Le Bon.

    1. La première des erreurs les plus communes[79] sur la façon dont fonctionne la propagande officielle consiste à penser que son but est de tromper le public en lui faisant croire des choses fausses (le masque nous protège, le vaccin nous protège, les mesures sanitaires nous protègent, etc)… Toutefois, même si les propagandistes sont bien contents quand quelqu’un croit à leurs mensonges, la tromperie n’est pas leur but premier.
    2. Le premier des buts de la propagande officielle est de générer une « narrative » qui peut être mécaniquement répétée par les classes supérieures et ceux qui les soutiennent et s’y identifient. Cette narrative officielle n’a pas à être cohérente ou crédible, ni à résister à l’examen critique. Sa plausibilité n’est pas l’important. L’important est de dessiner une ligne Maginot, une frontière idéologique défensive, entre le « Bien » tel que défini par les classes supérieures et les vérités qui contredisent la narrative officielle.
    3. Dans des sociétés ouvertement despotiques, les enjeux de ce type de choix (se conformer ou désobéir) sont souvent la vie ou la mort. Dans nos sociétés occidentales (pour ceux d’entre nous qui ne sommes pas des guérilleros militants), les conséquences du non-conformisme sont généralement plus subtiles, mais les pressions restent intenses. Se conformer à la « réalité » consensuelle produite par ces narratives est le prix de l’admission dans le saint des saints où les emplois, l’argent, le prestige professionnel et les autres récompenses du capitalisme se trouvent. Se conformer aux narratives n’implique pas d’y croire. Cela demande juste une allégeance et une obéissance inconditionnelle. Ce que l’on croit en réalité n’a aucune importance, du moment que l’on répète, comme un perroquet, la narrative officielle du moment.
    4. Pour résumer, la propagande officielle n’est pas destinée à duper le public (pas plus que les phrases d’un rôle d’acteur ne sont destinées à tromper l’acteur). Elle est destinée à être absorbée et répétée, quelle que soit son invraisemblance. De fait, elle est souvent plus efficace quand ceux qui sont forcés de la répéter comme des robots savent qu’elle est complètement stupide, parce que l’humiliation d’avoir à le faire cimente leur allégeance à la classe supérieure.[80]
  1. Que les mesures imposées liberticides, incohérentes, illogiques et arbitraires (port du masque, distanciation, assignation à domicile, fermeture de tous les magasins) étaient non seulement hors de proportion avec le fléau supposé mais contraires au bon sens, sans la moindre justification scientifique, ou ayant déjà fait preuve de leur inefficacité.[81], [82], [83], [84], [85], [86], [87]
    1. Combien de vies ont été sauvées grâce à la fermeture des rayons slips, chaussettes et tee-shirts ? Combien de transmissions n’ont pas eu lieu grâce à l’arrosage frénétique des mains avec des produits chimiques déversés par milliards de tonnes dans la nature, et remplis de perturbateurs endocriniens ?[88] Plus de 150 milliards de masques sont produits chaque mois, sans le moindre recyclage.[89] Il est à craindre qu’un nouveau continent de plastique ne flotte à la surface de ce qui reste de nos océans.
    2. Concernant les masques, personne ne s’est soucié de citer la grande étude chinoise[90] publiée dans Nature, aux chiffres astronomiques de 10 millions de patients (la dictature a parfois du bon) qui a clairement montré que les sujets asymptomatiques ne sont pas contagieux.
    3. Le port du masque est un marqueur de la soumission populaire aux mesures débiles gouvernementales —on imagine la jouissance perverse des Macron et consorts à l’idée d’avoir réussi à faire respirer tout le monde dans ses propres crachats… Au même titre que le voile islamique dans les pays soumis à l’oppression de la charia, le despotisme d’état se charge par la violence de vous rappeler à l’ordre établi.[91]
    4. L’assignation à résidence— justifiée par des modélisations douteuses, notamment celle du très influent Pr. Ferguson. Sans doute dans le besoin malgré les généreux financements de la Fondation Gates, ce dernier a utilisé un programme digne de Sim City, lui permettant de prévoir 500.000 morts en Grande Bretagne, puis finalement 20.000.[92] La plus grande panique de l’histoire et la paralysie inédite de l’économie reposent sur des spéculations délirantes. Le code concernait un modèle de grippe conçu en 2005 pour Taïwan.[93] Plutôt que de mettre le code à la disposition des autres acteurs du domaine pour qu’ils puissent l’examiner à ce moment-là et contribuer à influencer les mesures prises par les gouvernements, Ferguson a choisi de s’adresser à Microsoft. Pourquoi ? Pour réécrire le code et l’améliorer. Ainsi, personne n’a pu voir le vilain code original utilisé pour créer un mauvais modèle que les gouvernements ont utilisé pour enfermer tout le monde. Depuis quand Microsoft est-il devenu l’expert en modélisation des épidémies ? De toutes les mesures qu’il aurait pu prendre, il s’est adressé à Microsoft, et non à d’autres experts en la matière pour modéliser correctement la pandémie. C’est troublant. Pourquoi ? Serait-ce dû à une certaine loyauté ou influence liée à Microsoft ? Peut-être au fondateur de Microsoft, Bill Gates ? La Fondation Gates a financé l’Imperial College à différents moments. Observez l’écart des dates entre lesquelles le financement a été multiplié par … 29 ! (29x).
      En 2010, 2 millions de dollars ont été versés à l’Imperial College :
      https://media.evolveconsciousness.org/2020/05/imperial-collage-gates1.jpg
      En mars 2020, ce sont 79 millions de dollars qui ont été versés à l’Imperial College: ! https://media.evolveconsciousness.org/2020/05/imperial-collage-gates2.jpg

Partout où l’on se tourne, on retrouve l’empreinte de la main de Gates au travers de sa Fondation Bill et Melinda Gates.[94]

  1. Que tout serait fait pour pousser à la vaccination obligatoire —et même sous contrainte— de la population mondiale, si tant est qu’on appelle « vaccins » des injections géniques expérimentales effectuées en violation du droit international.[95]
  2. Que les voyages mais aussi tous nos gestes quotidiens seraient soumis à l’obligation vaccinale qui sera appelée à devenir perpétuelle,
  3. Que la restriction des libertés annonçait la mise en place d’une dictature à la chinoise[96], basée sur un techno-contrôle permanent d’abord au moyen de passeports sanitaires, puis à terme à base de puces RFID, reconnaissance faciale et autres 5G, le sujet du système devenant « connecté » au même titre que sa voiture ou son frigo.[97]

Le loup mondialiste est sorti du bois.

Cette guerre contre les Peuples ne nous laisse d’alternative que de vaincre ou mourir. Non, il n’y aura plus jamais ni repos ni retour en arrière tant que n’auront pas été châtiés les instigateurs et les complices de ce « coup » mondial avec son narratif délirant et burlesque d’une pandémie qui n’existe pas, imposé à l’unisson[98] par les gouvernants et relayé en boucle par les médias. John Ioannidis, probablement le plus grand épidémiologiste actuel, affirme dans une étude publiée par l’OMS[99], mais passée complètement à la trappe depuis octobre 2020 que

« The inferred infection fatality rates tended to be much lower than estimates made earlier in the pandemic. »

Notre savant aime les euphémismes : il y a en effet un facteur 14 entre les premiers chiffres — qui ont servis de référence pour déclarer la pandémie et imposer toutes les mesures folles— donnés par les autorités sanitaires chinoises et la valeur constatée par le Dr Ioannidis. Grâce au Covid, la corruption généralisée apparaît au grand jour et beaucoup de nos confrères qui vivaient dans le confort douillet du consensus découvrent en exerçant leur sens critique l’horreur de la guerre permanente de désinformation, le mensonge dans lequel notre profession baigne, la répression en cas de transgression de la doxa officielle, et la manipulation dont ils sont l’objet pour les inciter à croire qu’en étant au « top » des nouveautés, ils font de la bonne médecine.[100] Cette même guerre qui nous était livrée depuis des générations d’homéopathes est désormais devenue mondiale.

La science représente un puissant outil dans la recherche de la vérité, mais quand elle est dévoyée par l’argent, surgit la fallacieuse notion de « preuve scientifique », un oxymore destiné à vendre aussi bien une traversée en Titanic ou un vaccin.

Il est probable que jamais l’humanité n’a encore dans son histoire encouru une telle menace, non pas à cause d’un virus mortel, mais d’un simple rhume qui sert de prétexte à l’instauration d’une tyrannie oligarchique. Si l’on m’explique que vous avez bouté le feu à votre maison parce qu’il y avait un moustique dans le salon, c’est la preuve que soit vous êtes complètement fou, soit que le moustique ne fait que servir d’excuse au pyromane. De même les mesures apparemment démentes prises comme un seul homme par (presque) tous les gouvernements face à une menace nulle ne deviennent logiques que si l’on change de paradigme et qu’on réalise que les gouvernements n’œuvrent plus dans l’intérêt des peuples et des nations, mais selon l’agenda d’une structure supérieure qui les contrôle tous :

:.

Les tendances et les déclarations financières mondiales indiquent une refonte sismique de la gouvernance et des systèmes financiers qui se joue sous la surface de la pandémie de Covid-19 et qui va bien au-delà du domaine de la santé.

Le renforcement du contrôle centralisé peut créer un gouffre infranchissable entre une petite poignée de gagnants et une majorité de perdants. ….

Les preuves suggèrent que les vaccins coronavirus, véritables chevaux de Troie, pourraient remettre en cause l’intégrité corporelle et le consentement éclairé de manière totalement nouvelle, en transportant des technologies invasives dans le cerveau et le corps des gens.

Des technologies telles que les interfaces cerveau-machine, les dispositifs de suivi de l’identité numérique et les puces compatibles avec les crypto-monnaies contribueraient à l’objectif de la banque centrale de remplacer les monnaies par des systèmes de transaction et d’identification numériques et de créer une grille de contrôle mondiale qui relie la population mondiale au nuage de renseignements militaires-pharmaceutiques des technocrates mondiaux. En outre, l’utilisation des vaccins comme vecteur des technologies de surveillance annule toute responsabilité juridique.[101]

Tant pis — ou tant mieux ?— si je heurte ceux encore douillettement endormis dans le confort de la Doxa du système et qui se font une joie de partir à l’abattoir en chantant. Je n’ai jamais eu l’habitude de mâcher mes mots —pas plus que le Dr. Zelenko[102] ou Dr. Sucharit Bhakdi[103] ou encore le Dr. Michael Yeadon[104] dont je partage ici complètement les analyses : au-delà d’un simple crime crapuleux destiné à l’enrichissement sans limite de l’industrie, c’est probablement un génocide planétaire qui se prépare dans la joie et l’insouciance, avec le consentement —je devrais dire la soumission— d’une grande partie de la population.

Qu’on ne se méprenne pas : le sens du mot « génocide » est chevillé dans mes cellules, le néologisme a été forgé par Lemkin en prenant pour modèle le génocide arménien. Son professeur de droit lui ayant expliqué que les gouvernements pouvaient faire ce qu’ils voulaient des peuples administrés, comme on le fait d’un élevage de poulets, Lemkin s’est écrié « mais les gens ne sont pas des poulets ! » J’envie la France quand elle pleure un Oradour. Nous en avons connu des milliers dans le cours d’une extermination systématique, sans distinction d’âge ou de sexe.

C’est donc bien en pleine acceptation du terme que je déclare qu’à mesure que nous découvrons les effets et le contenu des « vaccins » imposés de vive force contre toute science ou raison par les gouvernements, nous avons la preuve d’une tentative de génocide. J’ignore quelle proportion de l’humanité survivra à ces poisons. Des plaintes devant la Cour Pénale Internationale[105],[106] ont été déposées, en Inde L’avocate Dipali Ojha,[107] principale avocate de l’Association du barreau indien, a intenté des poursuites pénales contre le Dr Swaminathan « pour chaque décès » causé par ses actes, mais on se doute vu la corruption et le crime organisé que les chances d’aboutir sont minimes.

Au vu de la perversité —ce terme reviendra souvent dans mes commentaires— que nous constatons partout où l’on se retourne, seul Tocqueville me semble avoir clairement décrit pareille situation :

« Les Espagnols, à l’aide de monstruosités sans exemples, en se couvrant d’une honte ineffaçable, n’ont pu parvenir à exterminer la race indienne, ni même à l’empêcher de partager leurs droits ; les Américains des États-Unis ont atteint ce double résultat avec une merveilleuse facilité, tranquillement, légalement, philanthropiquement, sans répandre de sang, sans violer un seul des grands principes de la morale aux yeux du monde. On ne saurait détruire les hommes en respectant mieux les lois de l’humanité.[108] »

J’accuse !

J’accuse les mondialistes — cette ultra-minorité constituée de quelques grandes familles (Rothschild, Rockefeller, Carnegie, DuPont, Bush, Morgan, etc. et leurs coryphées comme Bezos, Soros, et Gates)[109] :

  • D’être majoritairement de dangereux psychopathes[110] avides uniquement de jouissance perverse ou des pires transgressions pour se sentir exister.[111]
  • D’avoir peu à peu accaparé la création de la monnaie dans le monde entier[112] depuis au moins la chute du Premier Empire.[113]
  • De contrôler ainsi les destinées des nations depuis au moins la fin du XIXème siècle, organisant pour leur profit les guerres ou révolutions qu’ils jugent utiles[114] : Guerre des Boers, Première Guerre Mondiale, Révolution Russe et instauration du Communisme,[115] etc.
  • De fomenter un complot mondial depuis des générations, en vue d’instaurer une gouvernance mondiale[116] sous forme d’un collectivisme oligarchique[117] dont la Chine représente le modèle —dès le 30 Mars 2020 Gordon Brown appelait à un gouvernement mondial « intérimaire », Attali au gouvernement mondial installé à Jérusalem[118],
  • De poursuivre depuis des générations une guerre mondiale secrète contre les Peuples[119] et de vampiriser les nations en forçant les états à une dette fictive en échange de la création de monnaie ex-nihilo.
  • D’avoir fabriqué de toutes pièces la pandémie Covid.[120],[121],[122],[123],[124],[125]
  • D’avoir breveté —à travers une multitude de sociétés dont le CDC, Pfizer, Moderna, Merck, Johnson & Johnson— le génome sous tous ses aspects du SARS-Cov-2 depuis au moins 20 ans pour réaliser leurs objectifs,[126],[127]
  • D’annoncer la pandémie depuis des années avec beaucoup de perversion[128] via quelques porte-paroles dont Bill Gates[129] qui semble être le grand prêtre du système.[130],[131] Soudainement autoproclamé spécialiste de tous les problèmes planétaires et virologue, celui que l’histoire regardera sans doute comme l’un des plus grands criminels de tous les temps nous annonçait, dès le mois de Février 2020, qu’il n’y aurait pas de retour à la normale sans que la planète entière ne soit vaccinée.[132],[133]
  • De recourir sans scrupule à l’ingénierie sociale[134],[135] —notion purement communiste— au crime contre l’humanité et probablement au génocide mondial pour façonner « l’homme nouveau » — dont la tentation a toujours été la marque des régimes totalitaires —, issu de leur ancien délire eugéniste et transhumaniste.[136],[137],[138]
  • De ruiner l’économie mondiale afin d’imposer une future monnaie numérique[139] et un contrôle total technocratique[140] de la population [restante…] réduite en esclavage.[141] Tout sera fait pour nous présenter comme seule solution le gouvernement mondial pour « sauver les banques. »
  • D’organiser une destruction —une sape— des fondements de la société[142], notamment de par l’Open Society de Soros,[143] et une corruption systémique dont on ne peut se faire de représentation tant elle est omniprésente et disséminée.[144],[145] Il a suffi ainsi de faire déclarer la pandémie par le bon Tedros[146],[147] —l’homme de paille de Gates— pour que tout se mettre en branle comme une cascade de dominos, toutes les nations signataires du Règlement sanitaire international de l’OMS étant légalement tenues de suivre ce que le directeur général décide de faire en cas d’urgence.[148] L’affaire a été préparée d’avance selon un agenda qui force l’admiration : en faisant passer un rhume pour la peste noire, les corrompus savaient qu’ils pouvaient ensuite compter sur la lâcheté généralisée, la fuite de toute responsabilité pour entraîner le reste du monde avec eux.
  • D’avoir noyauté et infiltré à peu près tous les gouvernements, et toutes les instances internationales et nationales, officielles (comme l’OMS, la Banque Mondiale, le GAVI, etc.) ou officieuses (franc-maçonnerie dévoyée en parti politique comme le Grand Orient en France) [149],[150] et de posséder à peu près toutes les firmes industrielles, bancaires et technologiques.[151]
  • De ne même plus prendre la peine de dissimuler leurs objectifs mais de diffuser leur doctrine à travers des organisations comme le World Economic Forum[152] —son patron et maître à penser, Klaus Schwab étant aussi un Rothschild[153], la Fabian Society ou autres revues comme The Economist. La stratégie habituelle consistant à utiliser la fenêtre d’Overton pour habituer peu à peu la pensée du public à ce qui aurait été inimaginable auparavant.

J’accuse les trois secteurs criminels de plus en plus imbriqués —Big Finance, Big Tech et Big Pharma— de récolter les fruits de la « pandémie » Covid-19, tout en bénéficiant de relations étroites avec l’appareil de renseignement militaire[154],[155] . Ceci a permis de créer le plus grand transfert de richesses de l’histoire de l’humanité et une montée en puissance énorme de la technocratie mondiale, une forme de contrôle centralisé, dirigé par des experts, sur la production et la consommation des ressources, que le Wall Street Journal a qualifié de « règle antidémocratique par des élites qui pensent mieux savoir. »[156]

J’accuse les laboratoires pharmaceutiques —notamment Pfizer, Moderna, Merck, Johnson & Johnson, Astra Zeneca— de constituer depuis le début du XXème siècle les pires organisations criminelles que le monde ait connues :

  • D’avoir déposé des milliers de brevets concernant le Coronavirus depuis 2000, d’avoir préparé et planifié la crise actuelle de concert avec la troïka Gates, Fauci, Tedros. Le génome du SARS-Cov2 a été ainsi breveté depuis de longues années, avec toutes les variantes connues de la protéine Spike (malgré leurs moyens illimités, ces messieurs ont quand même réussi à faire la bourde de déposer le brevet du futur vaccin quelques heures avant le dépôt du brevet du Coronavirus).[157]
  • D’avoir provoqué la fermeture de tous les hôpitaux homéopathiques[158] aux USA dès les années 1910 et imposé la médecine chimique sous la forme que nous connaissons, détruisant la santé de l’humanité depuis des générations.
  • D’être obsédés par la destruction de l’homéopathie, le seul édifice médical logique et scientifique capable de leur faire de l’ombre et de guérir les gens
  • De mener depuis cent ans une guerre incessante contre l’homéopathie afin de la discréditer[159] et détenir le monopole d’une médecine non-scientifique basée sur l’administration arbitraire de drogues pétrochimiques au gré de statistiques toujours falsifiées.

J’accuse la troïka Gates — à travers de sa fondation « philanthropique » Bill et Melinda et autres affidés comme l’Open society de Soros et la Clinton fundationFauci[160] — avec sa mainmise sur les CDC, ce dernier se retrouve aujourd’hui accusé d’avoir pris des mesures contraires à l’éthique et aux connaissances,[161] Tedros —avec sa haute main sur l’OMS, d’être les exécutants d’une affaire patiemment préparée —un hold-up mondial— depuis au moins deux décennies, aboutissant à une ahurissante toile d’araignées impliquant à peu près tous les secteurs[162] — avec l’aide inestimable du Parti Communiste Chinois[163] dont notamment :

  • Tripotage de la définition de la pandémie dès 2009[164]
  • Assujettissement des gouvernements aux décisions de l’OMS en cas de pandémie
  • Infiltration de toutes les instances internationales comme l’ONU, la Banque Mondiale, etc.
  • Recyclage de l’argent sale grâce à une galaxie d’ONG et autres fondations —gravitant autour de l’ONU par exemple— n’ayant de comptes à rendre à personne.[165]
  • Contrôle total des médias (ANP, AFP, REUTERS, eux même affiliés à European journalism center et Project syndicate, lesquels appartiennent comme le reste du monde à des compagnies comme Black RockVanguardStreet State ou Berkshire Hataway) et des réseaux sociaux via leur complices. Citons en France par exemple les dix milliardaires qui contrôlent toute la presse.[166]

J’accuse nos gouvernants de complicité totale avec les mondialistes et de conspirer contre la paix en créant une fracture irréconciliable de la population au moyen de mesures discriminatoires qui violent toutes les constitutions démocratiques[167] —le citoyen qui cotise pourtant à ses assurances sociales se voit refuser l’entrée à l’hôpital (chose jamais vue de mémoire d’homme), les délations pleuvent contre les mauvais porteurs de masque qui ont l’outrecuidance d’entrer dans un magasin, on refuse d’évacuer des non-vaccinés[168], les brutalités policières innommables s’abattent sur les gens au prétexte de non-port de masque[169], etc.

J’accuse l’ensemble de la classe politique —à de rares exceptions près— de connivence avec les gouvernements en place. Leur silence assourdissant alors que tous les principes démocratiques sont violés quotidiennement démontre leur culpabilité, et signe le pourrissement déjà ancien de nos sociétés où la démocratie est réduite à un simple théâtre avec de l’opposition contrôlée.

J’accuse de collaboration et de trahison tous les minables appartenant à des rouages divers de la société et qui ont tout fait pour imposer le nouvel ordre établi : Ordre des Médecins, Juges autres magistrats, Policiers, Syndicats, etc.

  • Une mention particulière ici au sujet de la lâcheté de l’immense majorité des médecins qui ont servilement accepté les consignes gouvernementales tout en sachant pertinemment leur absurdité. Ils ont ainsi trahi la confiance de leurs patients, tout en se couvrant d’une honte qui sera difficile à effacer.

Tous ces gens, du haut en bas de l’échelle, devront répondre avec leurs maîtres mondialistes des accusations de :

  • Complot mondial et escroquerie en bande organisée
  • Crime contre l’humanité (refus de soins à la population, meurtre des personnes âgées, injection forcée de substances expérimentales en violation du droit international,[170] de la liberté du refus de soin, et de toute éthique[171])
  • Crime contre l’économie (destruction volontaire de pans entiers de l’économie, assujettissement des victimes aux « aides » fournies et chantage au vote —c’est la même relation entre un mari alcoolique violent et son épouse—, pénuries organisées, inflation massive notamment des denrées céréalières[172])
  • Crime contre la société :
    • Ingénierie sociale,
    • Discrimination,[173] qui constitue le premier pas vers l’exclusion puis l’extermination, car il est facile de prévoir que tout sera fait pour faire porter le chapeau aux non-vaccinés —la situation sera bientôt catastrophique selon soit les effets délétères des vaccins soit carrément de par l’émergence de nouveaux variants naturels ou pas. L’Autriche, partie natale d’un artiste peintre tristement célèbre, vient de décider de confiner les non-vaccinés ![174]« La figure du non-vacciné est devenue au fil des mois, à mesure que la politique vaccinale devenait de plus en plus autoritaire, une sorte de citoyen à part, réduit à son statut sérologique et diabolisés en permanence par un pouvoir qui en a fait le bouc émissaire de la crise. » Mathieu Slama
    • Agnotologie (production méthodique de la bêtise, de l’ign
    • orance, du doute et de la désinformation), l’affiche ci-contre illustre bien le propos[175]
    • Destruction systématique de tous les repères —ainsi que l’avait annoncé Soljenitsyne dans son fameux discours de Harvard[176],
    • « Cancel culture » et autres aberrations comme la théorie du genre.

L’issue de la crise passera par une révolution sociétale de fond en comble avec la révision du rôle de l’industrie, notamment dans la médecine, et la remise en cause de la notion d’enrichissement personnel illimité introduit par Voltaire.[177] Rousseau quant à lui avait bien réalisé que :

Jamais dans une monarchie l’opulence d’un particulier ne peut le mettre au-dessus de la volonté du prince. En revanche dans une république elle peut le mettre aisément au-dessus des lois.

Seule l’insurrection populaire permettra de mettre les mondialistes et leurs complices hors d’état de nuire. Ces hyènes agissant dans l’ombre depuis toujours ne sont que des tigres en papier, futurs gibiers de potence et les peuples forcés à l’inoculation de poisons se trouvent désormais en situation de légitime défense. Que la sainte colère des peuples abusés se lève !

« Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. » Ep 6.12

A titre de réflexion songeons que les Français ont décapité un roi innocent et qui ne voulait que le bonheur de son peuple. Que ferons-nous d’un Macron, séide des mondialistes, qui empoisonne délibérément les Français ?

Les derniers mots de Louis XVI sur l’échafaud « Et vous peuple infortuné » résonnent à nos oreilles comme une douloureuse prophétie. Ce sera le titre de notre prochain chapitre.

Il faut détruire le mondialisme ![178]


Notes

  1. David Rockefeller lors de la réunion des Bilderberger, à Baden en Allemagne, en juin 1991. Rockefeller a consacré sa vie au gouvernement mondial unique, c’est-à-dire au Nouvel Ordre Mondial (NWO). Il a fondé la Commission trilatérale et fait partie intégrante du Council on Foreign Relations. 
  2. Pour ceux qui désirent en savoir plus sur le génocide arménien, le site « Imprescriptible » est une référence. 
  3. Pour savoir ce qu’est le sort et la condition du dimmi en terre d’Islam. 
  4. Voir la Déclaration des Droits de l’homme de 1793-ch 35 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ». 
  5. Voir le documentaire Hold-Up de Pierre Barnerias et Philippe Cossé. Mon intervention complète en HD, ici
  6. Voir l’article de notre excellente Nicole Delepine : La peur basée sur une épidémie de rhume. Les colossales erreurs des simulations de N. Ferguson et de l’Institut Pasteur nous l’ont démontré, et il n’y a donc aucune raison objective de craindre l’avenir.Même si le Covid se comportait comme la grippe avec des récidives et un nouveau variant chaque année, il n’y aurait aucune raison d’en avoir peur. Les vaccins font chaque jour preuve de leur insuffisante efficacité, mais les traitements précoces sont efficaces en préventif et en curatif ainsi que l’a prouvé l’Inde.N’ayez plus peur. 
  7. Voir l’article sur le Courrier des Stratèges, et le pdf du rapport ici
  8. De 2003 à 2009, une pandémie a été définie par l’apparition de « plusieurs épidémies simultanées à travers le monde avec un grand nombre de décès et de maladies » ; un changement a été opéré entre le 1er et le 9 mai 2009, faisant disparaître le critère de gravité. Le contenu des pages Internet de l’OMS a été modifié, sans changer la date affichée.Pour sa part, l’OMS affirme que la définition de base de la pandémie n’a jamais changé. Citée par M. Tom Jefferson lors de son audition par la commission des questions sociales, de la santé et de la famille de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe le 29 mars 2010, Mme Nathalie Boudou, porte-parole de l’OMS, a justifié le changement de définition sur le site de l’OMS par la correction d’une « erreur », en affirmant que la définition correcte d’une pandémie devait faire référence à l’apparition de foyers dans au moins deux régions du monde, mais n’avait rien à voir avec la gravité de la maladie ou le nombre de décès. Voir le pdf
  9. La plupart des cas ont réagi favorablement pour amener à une guérison en quelques jours après la prise d’Ammonium Carbonicum, médicament dominant de l’épidémie, déterminé dès avril 2020. Nous comptabilisons avec nos étudiants plus de cent cas traités avec succès, dans n’importe quel stade de l’affection. 
  10. Voir le Figaro
  11. Voir le résultat de la commission sénatoriale. 
  12. Voir la falsification de l’étude, jamais publiée dans les médias standards et bien entendu aucune mesures prises à l’encontre de l’homéopathie n’ont été remises en cause… 
  13. À l’origine de cette étude bidon financée indirectement pas les sociétés-écrans de Bill Gates et un hôpital londonien, il y avait la société Quartz Clinical et sa directrice du marketing et des ventes, une certaine Ariane Anderson. Directrice marketing et des ventes d’une société qui produit une étude mondiale sur les dangers d’un médicament qui a été consommé par des milliards d’individus (il a en été vendu jusqu’à 1 milliard de cachets par an dans le monde), c’est quand même un sacré poste à responsabilité ! La société à l’origine de « l’article » du Lancet, la société de Big Data qui a fourni les « données » d’observation de l’étude… n’existe pas !C’est une société totalement bidon. Elle aurait été créée en 2007 par Sapan Desai, un des auteurs de l’article, et n’a jamais connu la moindre activité, n’a jamais payé d’impôts, aurait été dissoute ou suspendue à plusieurs reprises. Voir l’article de RR.On se dit que cette dame doit être bardée de diplômes et qu’elle doit avoir une expérience professionnelle à faire pâlir le docteur Raoult et les plus grands experts chinois qui ont osé vanter les effets thérapeutiques de ce médicament. On trouvera plein de photos de la dame à divers degrés d’habillement sur Internet. Cependant les « meilleures » ont déjà été retirées du Web… Voir ici
  14. Une étude italienne récemment publiée portant sur 3451 patients hospitalisés a révélé 30% de mortalité en moins, meilleure que celle rapportée pour le remdesivir très coûteux dans les hôpitaux, vanté par Fauci. Une étude italienne antérieure et plus petite a révélé une réduction de 66% des décès chez les patients hospitalisés. Une étude belge portant sur 8 075 patients hospitalisés a révélé une réduction de 65%. De même, une étude récente d’Arabie saoudite a révélé 43% d’hospitalisations en moins et 45% d’admissions en USI en moins. Pour les patients à haut risque des maisons de retraite en Espagne, le HCQ a réduit de moitié le risque d’un mauvais résultat.Une grande étude du système hospitalier Henry Ford a révélé un taux de mortalité pour 2 541 patients de 13,5% pour HCQ seul, 20,1% pour HCQ plus azithromycine et 26,4% pour aucun des deux. 
  15. Une honte de plus pour l’institut Pasteur, qui reste fidèle cependant au modèle de fausse science de son fondateur. L’étude truquée, prépubliée en juin, a été supprimée, d’un coup de baguette magique ! Tout simplement ! Plus besoin de revue par les pairs ! (L’investisseur sans costume l’a cependant soigneusement conservée  pour ceux que ne rebute pas un texte scientifique en anglais.) 
  16. Voir à cet égard le remarquable travail de vulgarisation et de synthèse accompli par Odon Lafontaine au travers du Grand Secret de l’Islam
  17. Voici le résumé par Fuellmich lui-même « Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent ».« En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes ».« Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé —n’en déplaise au bon Docteur Knock. Cela signifie qu’aucun de nous ne doit avoir peur des personnes qui ne présentent aucun symptôme et les forcer à porter des masques, ni avoir peur qu’un résultat positif signifie forcément qu’il est infecté. Les images d’horreur des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui réapparaissent maintenant, existent en fait chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale. Elles ne sont utilisées maintenant qu’à dessein, afin d’alimenter davantage la panique. Il n’y a toujours pas de surmortalité en Allemagne. Plus de gens meurent en hiver : c’est tragique, mais c’est malheureusement ‘normal’ ».« Alors, de quoi s’agit-il vraiment s’il n’y a pas de problème de santé qui diffère de la vague de la grippe habituelle ? À cet égard, nous avons pu nous forger une opinion sur la base des auditions qui ont eu lieu, ainsi que des informations complémentaires ». 
  18. Voir ici le pdf officiel de la FDA. On peut lire que « Étant donné qu’aucun isolat quantifié du virus 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et où cette étude a été réalisée, les tests conçus pour la détection de l’ARN du 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro (gène N ; accession GenBank : MN908947.2) de titre connu (copies d’ARN/µL) introduit dans un diluant composé d’une suspension de cellules humaines A549 et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique. »Une autre révélation du document est l’admission par la FDA que les résultats des tests sont « regroupés » pour produire des chiffres inexacts. La FDA fabrique littéralement des données dans le cadre du récit de la pandémie, et tout cela est révélé dans le document.Voir aussi l’excellent article de FDA.News : “FDA document admits “covid” PCR test was developed without isolated covid samples for test calibration, effectively admitting it’s testing something else” 
  19. Nicole Delépine signe un nouvel excellent article sur la PCR ici. Elle déclare : « En conclusion, la confirmation que les tests PCR ne sont pas fiables et ne devraient en aucun cas être utilisés par les gouvernements comme preuve de la « pandémie » vient de la FDA elle-même. Il est grand temps que nos dirigeants reviennent aux moyens classiques d’évaluer les épidémies : le comptage des malades et celui des morts de la maladie. » 
  20. Voir l’article ici
  21. Voir l’article de France Soir (l’un des seuls journaux ayant gardé l’éthique du journalisme). Voir sur KLA.TV le dossier Drosten, proprement accablant, puisque ce malfaiteur a même usurpé son titre de médecin, ainsi que l’a révélé Fuellmich. 
  22. Voir dans Times: « Testing firm can profit from sale of Covid swabs”. Il est ainsi possible que l’un des objectifs du test antigéniques soit le fichage généralisé de la population. Les mondialistes ont des dizaines de coups d’avance sur nous. 
  23. France Soir, RT, et Sud Radio, méritent toute notre admiration. Ce sont probablement les seuls médias qui respectent la vocation du journalisme et la charte de Munich qui demande entre autres de recueillir, analyser, vérifier, les informations de toutes origines afin de fournir une information loyale au lecteur. 
  24. En Belgique par exemple, La Libre offrait à ses lecteurs son petit manuel de diagnostic et conduite à tenir devant les vilains complotistes. Tandis que sur Facebook il était impossible de mentionner ne serait-ce que l’adresse www.adrreports.eu, site officiel européen de statistique des décès/var/folders/mr/_9dvc9_x6xgfbhgg6j3hcwk80000gn/T/com.apple.Notes/HardLinkURLTemp/AF2BDCA7-B473-4738-B82D-00C9604CD739/La Libre.png ../../../Desktop/Capture%20d’écran%202021-05-31%20à%2008.23.17.png 
  25. Voir la « Stratégie du choc » de Naomi Klein. Ne pas manquer cette vidéo
  26. « Voix ou pas voix, le peuple peut toujours être amené à se plier aux exigences des dirigeants. C’est facile. Il suffit de leur dire qu’ils sont attaqués et de dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme et pour le risque qu’ils font courir au pays. Cela fonctionne de la même manière dans n’importe quel pays. » Hermann Goering. 
  27. Le 14 octobre dernier, une rencontre avec Barbara Stiegler a été organisée par la librairie Mollat de Bordeaux à l’occasion de la sortie de son livre « Nietzsche et la vie : une nouvelle histoire de la philosophie » paru aux éditions Gallimard. La philosophe a pu présenter son ouvrage, et a livré une analyse très intéressante sur la manière dont le mot « complotisme » est instrumentalisé pour museler les oppositions. 
  28. Les exemples surabondent. Je me contente de citer ici l’article de l’express qui dénigre Mme Wonner, photographiée sous l’angle le moins avantageux possible. C’est un modèle du genre. 
  29. Nous devons ce bon mot à Christian Greiling, le remarquable auteur entre autres du blog les Chroniques du grand jeu
  30. Le Monde se vante d’avoir publié en son temps le manifeste des 343 mais refuse de publier toute tribune de discussion sur la vaccination. Les exemples peuvent se multiplier à l’infini. 
  31. Citons rapidement ici les cuistres comme La tronche en biais, les cercles zététiques. M. Buisseret, mieux que quiconque incarne ce phénomène : aucune formation scientifique, ayant à son actif la réalisation d’un film pitoyable, il est persuadé de devenir l’arbitre des élégances en science. Quelle déchéance ! 
  32. Voir par exemple cet article, pour ceux qui n’ont pas eu la chance de connaître en « live » ces événements en Roumanie. 
  33. « COVID-19 – du mythe aux statistiques », auteur anonyme, 9 février 2021, lien direct, lien archivé. Observons combien de morts en plus nous aurions eu à déplorer de 2015 à 2019 si pendant ces années nous avions souffert de la mortalité de 2020 hors-COVID-19. Le tableau suivant tient compte des décès déclarés « COVID-19 » à l’hôpital et en EHPAD, mais pas à domicile [47–50, 54, 56] :
    annéesurmortalité2015-490362016-331592017-339472018-256932019-1762Les grippes saisonnières ? Disparues ! Des dizaines de milliers de personnes ne seraient pas mortes si de 2015 à 2019 nous avions refusé l’accès des hôpitaux aux personnes âgées, dissuadé les malades de consulter, diminuer significativement la consommation de médicaments et paralysé l’économie pendant des mois. C’est à se demander si les autorités sanitaires n’étaient pas complètement folles de ne pas mettre à la poubelle plus tôt toute l’organisation publique de la santé. Grâce à la COVID-19, la France a connu en 2020 un âge d’or médical parfaitement inconnu avant le 17 mars 2020. Faut-il considérer que la COVID-19, les confinements, les couvre-feu, les abandons de soins, les lits d’hôpitaux supprimés, les médecins maltraités, les populations martyrisées, les enfants traumatisés, les commerçants ruinés et les libertés individuelles annulées on réussi à vaincre le cancer, la grippe, le diabète, l’hypertension, la sclérose en plaques, bref, toutes les maladies à l’exception de la COVID-19 ? Voir l’article complet ici. 
  34. Une étude italienne récemment publiée portant sur 3451 patients hospitalisés a révélé 30% de mortalité en moins, meilleure que celle rapportée pour le remdesivir très coûteux dans les hôpitaux, vanté par Fauci. Une étude italienne antérieure et plus petite a révélé une réduction de 66% des décès chez les patients hospitalisés. Une étude belge portant sur 8 075 patients hospitalisés a révélé une réduction de 65%. De même, une étude récente d’Arabie saoudite a révélé 43% d’hospitalisations en moins et 45% d’admissions en USI en moins. Pour les patients à haut risque des maisons de retraite en Espagne, le HCQ a réduit de moitié le risque d’un mauvais résultat.Une grande étude du système hospitalier Henry Ford a révélé un taux de mortalité pour 2 541 patients de 13,5% pour HCQ seul, 20,1% pour HCQ plus azithromycine et 26,4% pour aucun des deux. 
  35. Voir l’article complet sur le site de l’AIMSIB. En Inde 97% de guérison rapide avec le variant Delta. Chez nous, la permanence Riviera-Chablais, qui traitait les patients Covid avec de l’ivermectine depuis janvier 2021 et jusqu’à la semaine dernière, les bons résultats du traitement vantés sur Facebook ont valu aux responsables de la Providence une convocation face au Comité Médical de l’HRC, composé de tous les médecins chef(fe)s de service, du directeur médical, et du doyen. Résultat : malgré un bilan de 350 à 400 patients guéris jusqu’ici, l’ivermectine est désormais interdite. 
  36. Par exemple les données Sentinelles (711 généralistes et 70 pédiatres libéraux) montrent un taux d’incidence de 24/100.000 en semaine 10 !Le taux d’incidence du SARS-CoV-2 de la 10ème semaine de 2021 est de 24 cas/100.000, et non de 700 (Alpes maritimes) ou 900 (Dunkerque) comme l’affirme le gouvernement pour terroriser tout le monde !La tendance est plutôt stable depuis mi-novembre dans toutes les tranches d’âge, selon ce rapport, ce que l’on appelle des données consolidées depuis 4 mois maintenant.Ce chiffre correspond à 16.177 nouveaux cas pour toute la semaine 10, ce qui représente 2311 par jour dans toute la France et non les 40.000 cas annoncés ! 
  37. Voir l’article remarquable sur le site Anthropologiques. 
  38. Philippe Édouard (Premier ministre), « Décret n° 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire », Journal Officiel de la République Française, lois et décrets, no. 77, texte 11, 33-34 (29 mars 2020), lien sur le site de Légifrance
  39. Jusqu’en novembre 2020, l’OMS admettait que l’immunité peut être procurée par l’infection ou par la vaccination, le 13 novembre 2020, l’OMS affirme que l’immunité collective d’une population ne peut être atteinte que par la vaccination et non par l’infection naturelle ! Ceci est réaffirmé le 31 décembre 2020 pour la Covid-19, tout en reconnaissant qu’on ne connaît pas le seuil de couverture vaccinale à obtenir pour atteindre cette immunité collective !A noter que seule la définition du 31 décembre 2020 est encore accessible, les précédentes sont visibles sur la capture d’écran ci-dessous)../../../Downloads/capture-decran-2021-10-02-a-103329.pngDans une récente publication, l’institut John Hopkins n’évoque que l’immunité vaccinale dans une discussion au sujet de l’hypothétique immunité de groupe à attendre contre la Covid (2).Même le Wall Street Journal, incroyablement pro-vaccins, a récemment publié un article sur ce sujet. Habituellement, le WSJ laisse ses articles sur la page des opinions pendant environ une semaine. Mais en moins de 24 heures, le WSJ a enterré cet article sur l’immunité naturelle. L’article du WSJ traite de l’immunité des muqueuses par rapport à l’immunité interne. L’auteur (un neurologue) affirme que si les vaccins stimulent l’immunité interne, ils ne font rien pour l’immunité des muqueuses. 
  40. L’immunité naturelle est au bas mot 13 fois supérieure à celle supposée du vaccin. « Une nouvelle étude israélienne suggère que l’infection naturelle offre une bien meilleure protection contre la variante delta que les vaccins, et ce après qu’on ait dit aux Américains que les vaccins offraient une meilleure protection que les infections naturelles. Le Dr Anthony Fauci et le reste des conseillers COVID du président Biden ont une fois de plus prouvé qu’ils avaient tort concernant la « science » des vaccins COVID. L’étude a été décrite par Bloomberg comme « la plus grande analyse réelle comparant l’immunité naturelle – acquise lors d’une infection antérieure – à la protection fournie par l’un des vaccins les plus puissants actuellement utilisés. » 
  41. Voir la propagande vomitive qui a été servie sans cesse à tous les peuples par les médias aux ordres. Par exemple en France : « Vers un retour à la normale à l’hiver 2021 ? C’est ce qu’affirme le fabricant de vaccins BioNTech » ; « Covid-19 : à quand, grâce au vaccin, un retour à la vie normale ? » ; « Pour une majorité de la population, le retour à la vie normale passe par la vaccination, dit une étude » ; « Covid-19 – Vers un retour à la normale à l’automne 2021 ‘si on arrive à vacciner 80-90% des Français’, selon le Pr Fontanet » ; « Covid-19 : un an après le confinement, quand espérer un retour à la ‘normale’ ? » ; « « Sans vaccin, pas de retour à la normale dans le sport », prévient Roxana Maracineanu » 
  42. Voir le terrible témoignage de ce directeur de pompes funèbres. 
  43. Ne manquez pas l’étude bidon commanditée par Veran pour confirmer son propre discours. L’étude porte sur 7,2 millions de Français de plus de 75 ans alors que le pays n’en compte que 6,200000. Les vrais journalistes d’investigation de France soir y sont allés de leur côté, ils trouvent une explications au million mystérieux; 1,1M de vaccines auraient été comptés et appariés deux fois. Toutes les hospitalisations Covid n’ont pas été prises en compte. Un total de 26000 hospitalisés depuis le 11 février jusqu’au 20 juillet pour cause de Covid selon l’étude, or au cours de cette même période selon Geodes nous en obtenons huit fois plus pour les catégories concernées : 80% des hospitalisations Covid ont disparu… 
  44. Ainsi Moderna a dissimulé 300.000 effets secondaires graves. Cette fuite provient d’un employé de la société de sous-traitance qui gère les déclarations. 
  45. Lorsqu’une personne décède dans les 60 ou 28 jours suivant un test positif au covid-19 – même si le résultat du test était faux – elle est automatiquement traitée comme un décès dû au covid-19 pour faire grimper les chiffres. Mais lorsque des jeunes gens en bonne santé meurent quelques heures après avoir été vaccinés, ces décès sont considérés comme de simples coïncidences. 
  46. Je renvoie le lecteur au site Sens et Symboles de l’excellent Dr. Olivier Soulier. Je le cite : « Dans chacun de ces pays qui ont vacciné massivement à partir de décembre ou début janvier, on a observé un pic de mortalité jamais atteint auparavant. Au départ, j’avais cru à une simple coïncidence. Mais depuis, cette observation s’est confirmée à peu près partout dans le monde ! On a même vu plusieurs États, comme le Cambodge, qui n’avaient quasiment pas un seul mort de la Covid… jusqu’à ce qu’ils commencent le programme de vaccination de leur population :Le déploiement de la vaccination au Cambodge en février-mars a été suivi d’un pic de mortalité, alors que le pays avait été épargné par la Covid. Le même phénomène a eu lieu à Gibraltar, petit territoire britannique qui a vacciné encore plus massivement qu’Israël : alors qu’il n’y avait eu que 10 décès Covid au total en 2020, Gibraltar a déploré 44 morts Covid en deux semaines, en pleine campagne vaccinale.(À propos de Gibraltar, cela fait plus d’un mois et demi que 100 % de la population est vaccinée avec deux doses, ce dont rêve Emmanuel Macron… et pourtant, il y a là-bas 23 cas en ce moment, soit l’équivalent de 45 000 cas par jour en France !).Au total, il ne fait aucun doute que le vaccin commence par aggraver la situation avant d’avoir [éventuellement—NDLR] un effet positif sur les formes graves. Dans une analyse bénéfice-risque du vaccin, il faut absolument prendre cela en compte !Les calculs d’efficacité du vaccin qu’on vous donne dans les médias sont totalement faussés, parce qu’on ne regarde le risque de contamination qu’après 2 doses ! Or, cela écarte du calcul tous ceux qui ont été contaminés entre la 1ère et la 2ème dose à cause du vaccin ! C’est une raison de plus pour laquelle les « 95 % de protection » qu’on vous rabâche sont purement fictifs, l’efficacité du vaccin est certainement beaucoup plus faible ! 
  47. Les données VAERS publiées aujourd’hui par les CDC font état d’un total de 545 338 signalements d’effets indésirables, tous groupes d’âge confondus, après la vaccination par COVID, dont 12 366 décès et 70 105 lésions graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021. Voir ici
  48. Voir la vidéo de la députée. Mathilde Panot massacre la macronie avec élégance, et sans qu’on puisse vraiment lui opposer d’arguments tant la situation est folle. 
  49. Pfizer et BioNTech auraient donc obtenu un contrat commercial faramineusement avantageux pour eux. Le prétexte de la pandémie COVID 19 leur auraient permis d’être dégagé de toute responsabilité et de ne pas indemniser les victimes d’effets indésirables lors de cette phase 3 d’essai clinique en population générale. Les Etats supporteront le coût des indemnisations à moins de réussir à prouver que le laboratoire a commis une faute intentionnelle ou que les produits étaient défectueux. Sur ce dernier point cela sera proche de l’impossible tant les éléments de défense que pourraient évoquer le laboratoire pharmaceutique seront nombreux : rupture de la chaine du froid, erreur lors de la dilution, utilisation de 3 doses alors que le protocole n’en prévoit que 2, mélange entre les vaccins anti covid sur le marché, délai entre les deux doses non respecté… 
  50. La commissaire européenne a touché des millions en pots de vin pour signer les contrats Pfizer. Cela a été étouffé le plus vite possible et seul RT garde un page sur le sujet. Tout ceci est vraiment épouvantable. 
  51. Voir ici la remarquable étude du Stalk Institue. Scientists have known for a while that SARS-CoV-2’s distinctive “spike” proteins help the virus infect its host by latching on to healthy cells. Now, a major new study shows that the virus spike proteins (which behave very differently than those safely encoded by vaccines) also play a key role in the disease itself. The paper, published on April 30, 2021, in Circulation Research, also shows conclusively that COVID-19 is a vascular disease, demonstrating exactly how the SARS-CoV-2 virus damages and attacks the vascular system on a cellular level. The findings help explain COVID-19’s wide variety of seemingly unconnected complications, and could open the door for new research into more effective therapies. “A lot of people think of it as a respiratory disease, but it’s really a vascular disease,” says Assistant Research Professor Uri Manor, who is co-senior author of the study. 
  52. La Spike se retrouve à la surface des cellules endothéliales, ce qui explique sans doute que les effets massifs juste après les injections sont sans doute liés à une effraction vasculaire. De sorte que de très nombreux patients ont des d-dimères positifs : des milliards de capillaires sont affectés et cela génère des caillots. Les tissus cérébraux, spinaux, ou le muscle cardiaque sont directement attaqués. Au niveau pulmonaire on aura bientôt de nombreux cas d’hypertension pulmonaire avec au final défaillance du cœur droit. Voir ici le témoignage d’un médecin français. 
  53. On regardera avec profit le Dr. Hoffe détailler les effets du vaccin que les laboratoires et les gouvernants vont s’échiner à dissimuler. 
  54. Dans cette vidéo, le professeur Sucharit Bhakdi, M.D., et plusieurs de ses collègues ont averti l’Agence européenne dès le début 2021 du danger potentiel de caillots sanguins et de thrombose veineuse cérébrale chez des millions de personnes recevant des injections expérimentales géniques.Dans cet épisode de Perspectives, le professeur Bhakdi explique la science derrière le problème, pourquoi il ne se limite pas aux produits déjà suspendus et pourquoi, à long terme, nous pourrions créer des systèmes immunitaires dangereusement hyperactifs chez des milliards de sujets involontaires). 
  55. Voir le Dr. Fleming sur Rumble. «  » Ajoutez le vaccin Pfizer et les globules rouges perdent leur capacité de transport d’oxygène et les globules rouges commencent à coaguler…. C’est exactement ce que nous constatons dans les rapports du VAERS. C’est exactement ce que nous constatons avec les dommages neurologiques, cardiaques et les caillots sanguins qui se forment dans le corps. C’est la preuve que ces vaccins causent ce type de dommages au microscope, simplement en étant ajoutés au sang d’un être humain… Je pense qu’il est temps que la FDA et le CDC fassent leur travail au lieu de faire semblant. » 
  56. Voir les articles désormais nombreux à la suite de la Quinta Columna qui a découvert le pot aux roses. Voir Graphene-based “neuromodulation” technology is REAL: Press release from INBRAIN Neuroelectronics describes brain controlling biocircuits using AI-powered graphene. Ceux que le sujet du graphene intéresse découvriront que la question n’est pas nouvelle :https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/03602559.2018.1542714?journalCode=lpte21https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0379677914001441https://aip.scitation.org/doi/abs/10.1063/5.0009186https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0008622312000644https://pubs.rsc.org/en/content/articlelanding/2015/ra/c4ra12591f/unauth#!divAbstracthttps://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0272884216301584https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0169433215008193https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0167577X11007531https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0167577X13007933 
  57. Voir cette vidéo de la Quinta Columna par exemple. 
  58. Voir ici le papier du Dr. Zalewski qui ne semble pas être un fumiste. Certains flacons de vaccins ne contiendraient qu’une solution saline, d’autres seraient « chargés ». 
  59. Voir le sort de l’action Cellectis par exemple. 
  60. Voir ici l’intervention du Dr. Peter McCullough. 
  61. Voir sur AIMSIB, la vaccination des sujets contacts, et l’effet Buchwald. Voir aussi l’article suivant : « en matière sanitaire les solutions à l’emporte-pièce brutales, généralisées et intuitives sont rarement génératrices des succès espérés. Nos formidables élites vont-elles se souvenir des erreurs passées ou replongeront-elles dans les mêmes ornières ? » 
  62. Pour rappel ici : ce n’est pas la vaccination qui a permis d’éradiquer la variole mais bien le confinement. Voir le rapport de l’OMS dont je cite maintenant des extraits. La létalité de la terrible maladie ne se compare en rien avec celle du Covid-19 :../../../Desktop/Létalité%20de%20la%20variole,%20rapport%20final%20OMS%20p19.pngLe rapport admet que la « vaccination de masse a échoué » et que c’est la surveillance et endiguement qui a porté ses fruits :../../../Desktop/p32%20nécessité%20de%20l'endiguement.pngComme ici :../../../Desktop/p%2042%20soudan.pngEncore ici, « les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. » ../../../Desktop/p32%20changement%20de%20stratégie.pngNous lisons aussi « A Java, malgré des taux de vaccination dépassant 90%, la transmission se poursuivait dans des zones densément peuplées… jusqu’à ce que des structures efficaces de dépistage des cas et de surveillance soient entièrement mis en place. » 
  63. Voir l’excellent ouvrage du Dr. Eric Ancelet, « Pour en finir avec Pasteur : Un siècle de mystification scientifique. » 
  64. L. Pasteur, Lettre adressée à Pedro II, empereur du Brésil, 22 sept. 1884, Archives Nationales, AB/XIX/3332. 
  65. Le risque de mourir du Covid pour un enfant est proche de zéro. La corruption généralisée vient de donner le feu vert à Pfizer pour injecter les enfants de 5 à 11 ans. On frémit quant à la suite. Nous nageons en plein cauchemar. 
  66. Le parallèle devient de plus en plus frappant avec le recrutement des Jeunesses hitlériennes, ce qui à soi seul nous montre la progression de la dictature. Voici deux gamins montrant fièrement leur point d’injection, heureux de pouvoir protéger les autres !  
  67. Voir l’étude du BMJ ici. Voir aussi l’excellent article de l’AIMSIB sur la vaccination des femmes enceintes. La plupart des essais ont également exclu les volontaires enceintes et allaitantes, ainsi que celles souffrant d’affections chroniques et graves telles que la tuberculose, l’hépatite C, l’auto-immunité, les coagulopathies, le cancer et l’immunosuppression Il n’y a évidemment aucun intérêt à vacciner, mon avis personnel est que cette vaccination doit aussi générer de nombreuses fausses-couches. Notez que les autorités fédérales ont décrété que les femmes enceintes font partie des personnes vulnérable, comme toujours avec du cherry-picking des études. Nous ne sommes plus à une honte près. 
  68. Voir ici la liste des amendes infligées depuis l’an 2000 à ces organisations criminelles. 
  69. La firme pharmaceutique Pfizer a probablement lancé la production de son vaccin anti Covid-19 à ARNm bien avant d’avoir obtenu de la communauté européenne l’aménagement CE2020/1043 s’agissant de la levée de la protection de ses habitants vis à vis des OGM et avant même d’avoir lancé sa phase III d’essais cliniques, persuadée de pouvoir obtenir son autorisation de mise sur le marché partout dans le monde en faisant intervenir l’ancien Directeur Général de la FDA américaine, Scott Gottlieb, qu’elle a recruté depuis peu.La technologie vaccinale employée est embryonnaire sur le plan des connaissances scientifiques et contient de nombreuses incertitudes en termes d’effets secondaires au-delà de 6 mois, tous non étudiés. La mutation naturelle des coronavirus est importante et de nombreux co-variants du SARS-CoV-2 initial circulent déjà sur l’ensemble du globe rendant chimérique l’idée d’un vaccin unique, efficace sur toutes ses formes actuelles ou futures.La responsabilité financière des effets post-vaccinaux graves de ces vaccins a été transférée sans difficulté aux Etats acheteurs, ce qui doit faire craindre une absence totale de prudence comme de transparence de la part de l’ensemble des fabricants qui essayeront de placer leurs produits au plus vite dans cette course au rendement financier, le respect des règles déontologiques de ces firmes étant rappelé comme nul depuis de longue date.De nombreuses voix émanant de la société civile s’élèvent déjà pour inciter à une vaccination ou obligatoire, ou ségrégationniste, reléguant les non-vaccinés Covid au rang de citoyens de seconde zone, sans aucune conscience de la manipulation financière qu’ils installent, aux dépens évidents de la santé humaine et de la paix civile.Les études cliniques parues dans le New England devraient attirer l’attention du lecteur sur un détail très inhabituel : Pfizer aussi bien que Moderna parlent de « observer blind ». Habituellement, on mentionne « double blind », et une recherche sur Google vous convaincra que ce terme est pour ainsi dire absent de la littérature. Voilà qui est étrange.PfizerModernaIci je dois évoquer la réponse embrouillée du Dr. Siegrist à ma question, en tentant de me convaincre qu’il s’agit d’un double —mais dans ce cas pourquoi ne pas l’écrire comme telle ?— tout en me disant qu’on avait levé le secret pour les testeurs. Nous sommes donc priés de croire au double aveugle alors qu’il y a eu « unblinding » ? Pour le Dr. Michel de Lorgeril que je respecte comme l’un de nos plus grands spécialistes en matière de statistiques et d’études cliniques, la réponse est claire : ce n’est pas une étude en double aveugle et dès lors les effets placebo sont majeurs, les deux études, Pfizer et Moderna, profondément biaisées.Peter Doshi, dans un article remarquable et incontournable, évoque ce qui ressemble bien à un joli bidonnage de l’étude de Pfizer, grâce aux données supplémentaires fournies par la firme à la FDA. Bricolage de groupes, exclusions arbitraires, tout fleure bon la fraude.Doshi écrit par exemple :« Toute l’attention s’est concentrée sur les résultats d’efficacité spectaculaires: Pfizer a signalé 170 cas de covid-19 confirmés par PCR, répartis de 8 à 162 entre les groupes vaccin et placebo. Mais ces chiffres étaient éclipsés par une catégorie de maladie appelée «covid-19 suspectée» – ceux avec un covid-19 symptomatique qui n’ont pas été confirmés par PCR. Selon le rapport de la FDA sur le vaccin de Pfizer , il y a eu «3410 cas au total de covid-19 suspectés, mais non confirmés, dans la population globale de l’étude, 1594 dans le groupe vacciné contre 1816 dans le groupe placebo. »« Avec 20 fois plus de cas suspects que de cas confirmés, cette catégorie de maladie ne peut être ignorée simplement parce qu’il n’y avait pas de résultat positif au test PCR. »« Même après élimination des cas survenus dans les 7 jours suivant la vaccination (409 sous vaccin Pfizer vs 287 sous placebo), qui devraient inclure la majorité des symptômes dus à la réactogénicité du vaccin à court terme, l’efficacité du vaccin reste faible: 29% »Que dire de la déclaration de partage de données de Moderna qui indique que les données « peuvent être disponibles sur demande une fois l’essai terminé ». Cela se traduit entre le milieu et la fin de 2022, car un suivi est prévu sur 2 ans ! Les choses ne seront pas différentes pour le vaccin Oxford / AstraZeneca, qui a promis des données au niveau des patients « lorsque l’essai sera terminé ». Et l’entrée ClinicalTrials.gov pour le vaccin russe Spoutnik V indique qu’il n’est pas prévu de partager les données individuelles des participants.Bien d’autres points pourront être soulevés, parmi lesquels le traitement à part des patients HIV. Pour quelle raison ? S’il s’agit de l’immunodépression, je gage que bien d’autres cas existent parmi 40.000 personnes. En outre quelle surprise de ne constater aucun décès parmi tous ces gens exposés au virus… 
  70. Voir l’article de l’AIMSIB qui démonte cette pantalonnade. Cette étude ne montre donc absolument Aucun bénéfice pour empêcher la mort par Covid-19 et encore moins un effet sur la mortalité globale de la part du vaccin Pfizer-BioNTech. Au contraire, le risque d’hospitalisation pour effets secondaires grave est plus que doublé.Dans ces conditions et avec cette étude publiée voici à peine plus d’1 mois, comment peuvent-ils encore affirmer que ces vaccins empêchent de mourir de la maladie, qu’ils sont sûrs et efficaces et surtout qu’il n’y a pas d’effets secondaires graves ou de morts provoqués par ces vaccins ? L’étude de Pfizer dit exactement le contraire.Un produit pareil en temps normal n’aurait JAMAIS été approuvé et/ou aurait été retiré immédiatement avec de telles données à 6 mois. Le bénéfice de ces injections est tout simplement négatif !En langage comptable cela se nomme un DÉFICIT ou une PERTE dont l’ampleur ou l’accumulation peut conduire à un redressement ou à une liquidation…De surcroît, n’oublions pas que ces données sont basées sur la souche initiale de Wuhan plus mortelle que le variant Delta. La balance bénéfice risque est donc encore plus négative aujourd’hui
  71. Une fraude de grande ampleur déjà surnommée le PfizerGate, impliquant la société pharmaceutique Pfizer, son sous-traitant, la société Ventavia Research Group chargée des essais cliniques, et la Food and Drug Aministration (FDA), a été révélée hier par le British Medical Journal
  72. Le Dr. Peter Doshi, l’un des rares scientifiques à se battre pour la vérité déclare au Sénat américain : « Les essais cliniques n’ont pas prouvé que les vaccins géniques sauvent des vies. »Les études, réalisées par la société pharmaceutique elle-même, ont montré des incohérences et des dissimulations de données. Celles-ci laissent apparaître d’une part qu’elles ont été intentionnellement falsifiées pour pouvoir affirmer des résultats probants, d’autre part qu’en réalité, l’efficacité des injections géniques n’a jamais dépassé le seuil des 20 à 30%.Elles n’auraient donc jamais dû être approuvées pour leur mise sur le marché.Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses (article de Jean-Dominique Michel) : cliquer ici.Does the FDA think these data justify the first full approval of a Covid-19 vaccine? (article en anglais de P. Doshi dans le BMJ) : cliquer ici.Pfizer contre Pfizer : la dernière étude est frauduleuse, article sur Covidhub : cliquer ici
  73. Article AIMSIB
  74. Voir ici
  75. Comique, mais pas drôle, citons la mort d’un arrêt cardiaque juste après son injection, du grand acteur indien Vivekh engagé pour faire la promotion de l’inoculation. Il faut admettre aussi que le port du masque en solitaire dans sa voiture nous a révélé un nouvel étalon or de la connerie comme dirait Audiard
  76. La propagande totalitaire devrait tout de même essayer de se renouveler de temps en temps. Comparaison n’est par raison, mais les similitudes sont frappantes. Bon, évidemment notre médecin cantonal on ne l’imagine pas attaquer l’armée de César à lui tout seul et je ne suis pas certain de lire dans ses yeux l’éclat d’une intelligence surhumaine. Mais la même pose que les autres pour nous déclarer —aux antipodes de la science supposée— sa croyance dans la haute efficacité d’un vaccin aux statistiques bidonnées, c’est cocasse et navrant.
  77. Il est intéressant de noter l’évolution des concepts de la propagande sanitaire :je me vaccine pour être sauvé (marketing sanitaire), puisje me vaccine pour pouvoir voyager (marketing pour la liberté), puisje me vaccine pour ne pas tuer mes grand parents ouje me vaccine par solidarité (marketing de la culpabilisation)et maintenant la menace et l’intimidation. Si vous ne vous faites pas vacciner on va vous pourrir la vie.On va aussi faire croire aux vaccinés que tout est de la faute des non vaccinés (voir Veran). Tout est fait pour diviser le peuple en deux alors que toute la situation est due exclusivement à nos gouvernants. 
  78. Voir sur RTL le canular radiophonique qui faisait paniquer l’Amérique. 
  79. Lire absolument l’article complet en anglais sur Counterpunch qui pose dès 2017 la question : pourquoi la propagande officielle ridicule marche quand même ? 
  80. Voir le livre de Bruno Bettleheim, Le Coeur conscient, dans lequel une psychologue allemande décrit comment elle s’était rangée aux côtés des nazis pendant la Deuxième Guerre mondiale. L’obligation de saluer le drapeau nazi chaque matin sans y croire était rapidement devenu trop humiliante pour elle, de sorte qu’elle avait fini par lâcher prise et par le saluer avec le plus grand enthousiasme. Ainsi, pour échapper à la honte de s’abaisser à saluer des idées qu’elle méprisait, elle était devenue une nazie loyale. 
  81. Depuis la peste de Marseille en 1720, on sait parfaitement que le confinement des gens sains est parfaitement contre-indiqué. Par ailleurs, seul le confinement des personnes malades a permis d’éradiquer la variole, non pas la vaccination comme aiment encore à le dire de nombreux « spécialistes ». 
  82. Jingyi Xiao et autres (2020) « Mesures non pharmaceutiques en cas de pandémie de grippe dans des contextes autres que ceux des soins de santé – Mesures de protection personnelle et environnementale » : « Bien que des études mécanistes confirment l’effet potentiel de l’hygiène des mains ou des masques faciaux, les résultats de 14 essais contrôlés randomisés de ces mesures n’ont pas permis de conclure à un effet substantiel sur la transmission de la grippe confirmée en laboratoire. De même, nous avons trouvé des preuves limitées de l’efficacité d’une meilleure hygiène et d’un meilleur nettoyage de l’environnement ». 
  83. Denis G. Rancourt (2020) : « Les masques ne marchent pas : un examen de la science en rapport avec la politique sociale autour de la COVID-19 ». 
  84. Wittoria Offeddu et autres (2017) « Efficacité des masques et des respirateurs contre les infections respiratoires chez les travailleurs de la santé : Un examen systématique et méta-analyse « : « La preuve d’un effet protecteur des masques ou des respirateurs contre une infection respiratoire vérifiée (IRM) n’était pas statistiquement significative ». 
  85. Faisal Bin-Reza et autres (2011) « L’utilisation de masques et de respirateurs pour prévenir la transmission de la grippe : une revue systématique des preuves scientifiques – Grippe et autres virus respiratoires » : « Une revue systématique a été entreprise pour aider à éclairer les directives sur la grippe pandémique au Royaume-Uni. La revue initiale a été réalisée en novembre 2009 et mise à jour en juin 2010 et janvier 2011. Les critères d’inclusion comprenaient des essais contrôlés randomisés et des études quasi expérimentales et observationnelles sur des humains et publiées en anglais avec un résultat de grippe confirmée en laboratoire ou cliniquement diagnostiquée et d’autres études sur les infections respiratoires virales. Il y avait 17 études éligibles. Six des huit essais contrôlés randomisés n’ont trouvé aucune différence significative entre les groupes témoin et d’intervention (masques avec ou sans hygiène des mains ; respirateurs N95 / P2) (…) Aucune des études n’a établi de relation concluante entre l’utilisation d’un masque / respirateur et la protection contre l’infection grippale (…) ». 
  86. B. J. Cowling et autres (2010) « Masques faciaux pour prévenir la transmission du virus de la grippe : une étude systématique » : « Aucune des études examinées n’a démontré un bénéfice du port d’un masque, que ce soit dans le cadre du travail de santé ou dans la communauté membres des ménages (H). Voir les tableaux récapitulatifs 1 et 2 ». 
  87. Joshua L. Jacobs et autres (2009) « Utilisation de masques chirurgicaux pour réduire l’incidence du rhume chez les professionnels de la santé (HCW) au Japon : Un essai contrôlé randomisé » : « Les travailleurs de la santé masqués N95 étaient significativement plus susceptibles d’avoir des maux de tête. Il n’a pas été démontré que l’utilisation de masques faciaux chez les HCW présentait des avantages en termes de symptômes du rhume ou de prise de froid » 
  88. Les gels hydroalcooliques contiennent des perturbateurs endocriniens. Voir ici
  89. Voir le MIT mais aussi de nombreux articles dans Children Health Defense
  90. Voir Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China. 
  91. Voir Le messie et son prophète, vol II, p70 par E. M. Gallez. « Pour les femmes, les conséquences sont en tout cas funestes ; en bien des lieux où la Charia {saritah) ou loi islamique est imposée, il devient dangereux d’avoir été violée, ou d’être enceinte sans être mariée, ou même simplement d’être non mariée. 
  92. Voir notamment – Aurélie Haroche. Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie. JIM (Journal International de Médecine). 25 Avril 2020.- Jean-François Toussaint, Andy Marc. Sortir d’un confinement aveugle. La Recherche. 22 Avril 2020.- Tom Jefferson and Carl Heneghan. Modelling the models. CEBM (Centre for Evidence-Based Medicine). 3 Avril 2020. 
  93. Voir l’article complet en anglais
  94. Gates a patiemment infiltré la presse mondiale depuis des années. « Mais elle introduit un conflit d’intérêts flagrant, dans la mesure où les institutions mêmes sur lesquelles nous comptons pour demander des comptes à l’un des hommes les plus riches et les plus puissants de l’histoire de la planète sont discrètement financées par lui. Ce conflit d’intérêts est celui que les médias institutionnels ont largement tenté d’ignorer, tandis que le philanthrope prétendument altruiste qu’est Gates continue de s’enrichir, en riant aux éclats. »Voir la liste non exhaustive des médias arrosés par Gates ici, ainsi qu’un très intéressant développement sur le philathro-capitalisme. 
  95. Le vacciné participe sans son consentement à une gigantesque expérimentation médicale. Nous sommes donc pleinement en contradiction avec la loi. N’est-il pas fascinant que dans un bel unisson toute la classe politique confondue et toutes les rédactions de presse foulent au pied la Convention d’Oviedo que la Suisse a ratifié en 2008 et la France en 2012, dans le but d’encenser un produit qui n’a même pas encore reçu d’autorisation de mise sur le marché ? Pourquoi avoir pendu des nazis à Nuremberg pour en arriver là ? La situation s’est encore aggravée depuis que j’écris ces lignes car nous n’en sommes plus au consentement non éclairé mais à la coercition vaccinale, ce qui permettra d’ôter toute circonstance atténuante quand ces bureaucrates comparaîtront devant la cour martiale internationale. 
  96. Seul Bruno Riondel a dressé une analyse saisissante et percutante de la situation dans son intervention « D’octobre 17 au grand reset ». 
  97. Pour vous donner une idée du flicage déjà en place, regardez ce que votre IPhone enregistre à votre insu comme données sur vous. : 
  98. Sauf si l’on exclut la Suède, et quelques autres pays comme la Tanzanie —dont le président John Magufuli, n’a pas voulu reconnaître la pandémie, a demandé aux médias de ne pas parler de l’infection, mais qui est décédé dans des conditions étranges non sans avoir montré en Mai 2020 la fraude des tests PCR positifs de manière aussi drôle que concluante avec des échantillons de Durian et autres fruits ou animaux (chèvres et caille) ! 
  99. https://www.who.int/bulletin/online_first/BLT.20.265892.pdf. Lire aussi dans IL FOGLIO du 4 Mai 2020 au sujet de Ioannidis : « Ioannidis est bien connu pour avoir écrit peut-être l’article scientifique le plus lu de l’histoire de la biomédecine, qui s’intitule Pourquoi la plupart des résultats produits par la recherche sont faux. La thèse était que la plupart des études menées dans le domaine biomédical ne sont pas reproductibles. Non seulement ou pas tant en raison du fait que de nombreuses expériences sont mal conçues – Ionannidis le reconnaît et stigmatise la négligence et l’angoisse de publier des données – mais parce que la variabilité causale inhérente aux phénomènes étudiés rend certains résultats faux. Il s’agit d’un concept quelque peu sophistiqué pour une communauté scientifique cherchant à appliquer des modèles mécanistes aux phénomènes darwiniens » Ah ! qu’en termes galants ces choses-là sont mises (Le Misanthrope, I, 2, 314). 
  100. Le Dr. Richard Horton, éditeur en chef de la prestigieuse revue « The Lancet » déclare: « Les accusations contre la science sont simples : une grande partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, est tout simplement fausse … la science a pris un virage vers l’obscurité. »Le Dr. Marcia Angell enfonce le clou : « Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique publiée … Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, que j’ai atteinte lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédactrice en chef du New England Journal of Medicine ».Qu’en est-il d’une « vérité scientifique » réduite à la statistique dans un champ aussi complexe que la « Médecine » ? 
  101. Ce remarquable article de l’équipe Kennedy nous donne une idée précise du panier de crabes en action. Plus de 50 millions d’Américains ont perdu leur emploi à l’automne 20 tandis que la fortune des milliardaires a augmenté de mille milliards de dollars soit 40 milliards par semaine en moyenne. 
  102. Voir son intervention devant la haute autorité Rabbinique d’Israël, ainsi que sa récente interview de cet homme admirable qui n’a de compte à rendre qu’à Dieu. Il a probablement soigné à lui seul plus de cas de Covid que n’importe quel autre et dénonce le mise en route d’un génocide planétaire. 
  103. Voir l’interview du Dr . Bhakdi. 
  104. Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer dont il fut scientifique en chef pour les allergies et les voies respiratoires, a passé 32 ans dans l’industrie à diriger la recherche sur les nouveaux médicaments et a pris sa retraite du géant pharmaceutique avec «le poste de recherche le plus élevé» en son domaine. Il dénonce la propagande des gouvernements au sujet du COVID-19, y compris le «mensonge» de variants dangereux, l’aspect totalitaire des «passeports vaccinaux» et la forte possibilité que nous ayons affaire à une «conspiration» qui pourrait conduire à quelque chose de bien pire que les guerres et les massacres du 20e siècle. 
  105. Le CSAPE (Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens) a déposé en date du 28 juin dernier devant la CPI une plainte pénale avec demande d’ouverture d’enquête pour crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, servitude et génocide, sous le numéro OTP-CR-271/21visant le président Emmanuel Macron, le gouvernement et les haut-fonctionnaires impliqués dans la gestion criminelle de l’épidémie de Covid. 
  106. La plainte déposée début Mars 2021 devant le TPI a été reçue. L’organisation People of Truth a déposé une plainte contre le gouvernement israélien, qui mène des expériences illégales sur des citoyens israéliens au travers de la vaccination Pfizer. L’avocate Ruth Makhachovsky a déclaré à Israel News : « L’expérience que Pfizer mène dans l’Etat d’Israël a été menée en violation du Code de Nuremberg, qui appartient au droit pénal international et est sous la juridiction du tribunal de La Haye. Nous attendons maintenant une décision. » Lien vers les observations du Conseil européen. 
  107. Voir ici l’article de Nicole Delépine, « Un jour viendra où les négationnistes des traitements précoces devront rendre des comptes. En Inde, une représentante de l’OMS est mise en accusation. » 
  108. Alexis de Tocqueville (1835), De la démocratie en Amérique I (deuxième partie), chapitre X. 
  109. Les intrications sont probablement plus complexes encore que les liens féodaux du Moyen-Age, j’ai voulu simplifier ici en ne citant que les plus grands noms.La famille Wallenberg par exemple détient des parts de Astra-Zeneca par intermédiaire de sa très puissante société d’investissements Investor AB. Mais il y a aussi des miracles … il faut suivre le parcours exceptionnel d’un des membres de la famille, Raoul Wallemberg qui sauva la vie de plusieurs milliers de juifs pendant la guerre.Pour le lien entre l’agriculture et big-pharma, on peut simplement remonter à Elf-Aquitaine (qui sera absorbé par le groupe Total) et à la création de Sanofi … le lien est direct. Il est tout aussi direct avec le monde du luxe : famille Bettencourt (avec André Bettencourt en leader cagoulard et collaborateur) et la famille Arnault (avec là aussi le père et le beau-fils, Xavier Niel, qui s’occupe d’agriculture depuis peu de temps).Nous sommes ici très près des fabricants d’armes Lagardère et Dassault.On se souviendra alors de l’affaire Elf et de ce personnage extrêmement trouble qui a rôdé dans les souterrains du pouvoir à partir des années 30 : Etienne Léandri … collaborateur, agent de la mafia sicilienne en France, donc lié à la CIA, « parrain protecteur » de Charles Pasqua et grand stratège de la « France Afrique » …Quand on est sur les traces de Léandri, on remonte assez vite à Georges Alberini, collaborateur lui aussi et parrain du patronat français. Conseiller de l’ombre de Georges Pompidou … duquel sera proche Jacques Chirac.Pompidou, agent Rothschild (dont Vincent Bolloré, qui rachètera la banque Worms, protectrice d’Albertini après-guerre, est l’un des membres par sa grand-mère), qui organisera la réforme financière qui donnera naissance à la dette d’état.Dans cette réforme financière, seront sans doute associés Michel Cicurel (frère de Ilana Cicurel, cousine de Tristan Mendès-France qui ont tant critiqué le film Hold Up à sa sortie) et un certain Jean-René Bernard, banquier condamné, dont la fille est Présidente, nommée par Emmanuel Macron, de la CNIL et le beau-fils, le président très controversé de la 7ème banque française (qui détient la cagnotte Leetchi), sommé très récemment de démissionner sous la pression, mais remplacé par un certain Julien Carmona, copain de promotion d’Edouard Philippe. Julien Carmona dont le père n’était autre que l’un des derniers confidents de …. Etienne Léandri …Dont l’un des proches était Achille Peretti, beau-père de … Nicolas Sarkozy, bien entendu, dont le nom est apparu, rapidement, dans l’affaire de drogue « Air Cocaïne » … mais ceci est une autre histoire, même si le trafic de drogue est complètement lié à big-pharma et aux découvertes des chercheurs allemands de chez Bayer. La morphine sera diffusée en masse pendant la première guerre mondiale, au moment où on constatera l’efficacité des nitrates chimiques sur la pousse de l’herbe rendue plus haute et plus verte dans les champs de bataille de Verdun… 
  110. Macron ou Trudeau constituent à cet égard des exemples typiques de psychopathie avec leurs belles gueules. Ils sont si pervers que même les employer à jardiner ne serait pas sans danger… Voyez l’analyse remarquable de Macron par un grand professeur de psychiatrie italien. 
  111. Le divorce du couple Melinda et Bill repose non seulement sur son infidélité débridée mais probablement aussi dans la relation de Bill avec le sinistre Epstein « suicidé » dans sa cellule.Dans la biographie de 1997 Overdrive : Bill Gates et la course pour contrôler le cyberespace, le biographe James Wallace a déclaré que le style de vie extravagant de Bill Gates était connu de la plupart des gens, mais que la presse grand public avait décidé de ne pas y faire allusion. Le “mythe” Gates ne pouvait pas être touché. Le fondateur de Microsoft, en effet, aurait payé à l’époque des danseurs pour nager nus avec ses invités dans sa piscine couverte. Rien de nouveau, pour ceux qui le connaissaient vraiment : à Harvard, le magnat était « habitué à fréquenter la Combat Zone à Boston, avec ses shows pornos, ses prostituées et ses clubs avec des strip-teaseuses ». Un style de vie de rock star qu’il a ensuite maintenu, précise Wallace, même dans les premières années avec Melinda.En 2013 Epstein et Gates visitent Strasbourg pour avoir une vue complète de l’organisation de la santé en Europe. A cette époque ce dernier n’est que le PDG de Microsoft. Il en profite pour aller en Norvège afin de tenter de corrompre le jury prix Nobel pour se faire décerner le prix Nobel de la paix. Epstein était son pass car il a piégé de nombreuses têtes couronnées — il fournissait par exemple le Prince Andrew en filles. 
  112. Voir La Guerre des Monnaies classique devenu le livre de chevet des membres du Comité Central du Parti Communiste et des banquiers chinois. Le best-seller chinois de Hongbing Song, déroule l’histoire de la grande cabale monétaire qui a façonné le monde depuis plus de deux cents ans, de la constitution de la dynastie des Rothschild la fin du 18ème siècle jusqu’à la crise de 2008. 
  113. Le premier à se faire berner par les financiers Rothschild fut le roi d’Angleterre. Nathan est aussi à cet égard le pionnier de l’utilisation de la panique et de la fausse nouvelle : ayant appris la nouvelle de la défaite française de Waterloo 24 heures avant tout le monde, il s’installe à la Bourse, appuyé sur « son pilier » favori et commence à vendre. Tout le monde se dit que Rothschild « sait quelque chose », chacun se met à liquider ses positions. A la fin de la journée, Nathan rachète l’ensemble de la Bourse pour 5% de sa valeur. Bonaparte à peine élu Premier Consul crée la Banque dite de France, une institution privée, au même titre par exemple que la Fed américaine. Ce sont ces banquiers suisses dépendant aussi des Rothschild qui feront et déferont le Premier Empire dès que l’Empereur ne servira plus assez leurs intérêts. 
  114. L’ouvrage indispensable est Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine, de Quigley. L’auteur développe et explique à partir d’abondantes pièces d’archives que les élites anglo-saxonnes ont élaborées, dans la deuxième moitié du XIXe siècle, un véritable plan de bataille afin de permettre à l’Empire britannique associé aux États-Unis d’asseoir une hégémonie complète sur le monde. Cette volonté de puissance et de domination a été l’œuvre d’une poignée d’hommes liés intimement à la haute finance de la City et de Wall Street. Tout un groupe, issu de la haute aristocratie et bourgeoisie britannique en liaison avec une élite américaine, émerge. Fort d’un travail de bénédictin, Carroll Quigley recense les noms et expose les ambitions de cette « super classe « ou « famille technocratique » avant l’heure définie par des liens sociaux et familiaux étroits.Si vous n’avez jamais entendu parler du Groupe Milner (que se muera plus tard en d’autres associations comme Bilderberg), et si les noms de Sazonov, ou Izvolsky, vous sont étrangers alors vous devez lire aussi Docherty et McGregor, qui ont montré —à la suite de Quigley— les ressorts secrets de la Première Guerre mondiale dans Les origines secrètes de la première guerre mondiale. Leurs travaux sont largement confortés par McMeekin dans son fameux Russian Origins of the First World War
  115. Je renvoie le lecteur aux principaux ouvrages de Bruno Riondel touchant au communisme. Son classique L’effroyable vérité montre les horreurs de la mise en place du système et de l’ingénierie sociale, et démontre que le communisme n’est pas mort et qu’il présente des liens profonds avec le capitalisme. Une excellente conférence, censurée par YouTube se trouve ici
  116. Conclusions du Conseil européen sur la COVID-19, l’énergie, le commerce et les relations extérieures, 21 octobre 2021 :“accroître encore les taux de vaccination”“vaincre la méfiance en luttant contre la désinformation sur les réseaux sociaux”“coordination pour faciliter la libre circulation” (ce qui signifie passe sanitaire en langage diplomatique)“mesures législatives relatives à l’union de la sant锓accès aux médicaments dans tous les Etats membres”“accès aux vaccins pour tous”“rôle fort et central de l’OMS dans la future gouvernance mondiale de la sant锓traité international sur les pandémies”Dans son excellent article du Courrier des stratèges, Éric Verhaeghe de conclure : « Cette énumération permet de vérifier à quel point les gouvernements européens sont ligués autour d’un “mainstream” commun en matière de pandémie, avec des éléments de langage qui reviennent sans cesse à tous les étages de la fusée multilatérale.On retiendra du conseil européen qu’il vise aussi à préparer la réunion du G20 où la question de la pandémie sera évoquée. Nous baignons ici dans les eaux du multilatéralisme le plus pur. On découvre que les dirigeants européens parlent de préparer la “future gouvernance mondiale de la santé” avec l’OMS. On n’avait pas clairement entendu parler de ce projet entre nous, et on le découvre un peu sans qu’il n’ait été discuté par personne. Au fond, c’est en lisant les conclusions des Conseils européens qu’on comprend ce qui se trame en sous-main dans les arcanes du monde multilatéral. L’idée dominante est de transformer l’Organisation Mondiale de la Santé en structure de gouvernance mondiale pour les pandémies. C’est donc l’OMS qui déciderait de tout : des vaccins, des traitements, des mesures d’urgence.Pareil transfert de souveraineté n’est évidemment ni expliqué aux peuples de l’Union, ni discuté avec eux. La décision est prise et il n’y a plus qu’à l’appliquer. La pandémie aura donc aussi servi à déposséder les peuples de leurs droits et à favoriser l’avènement d’une caste multilatérale toute-puissante. » 
  117. Voir Théorie et pratique du collectivisme oligarchique de J.B.E. Goldstein. Quels que soient l’origine sulfureuse de l’ouvrage, supposément daté de 1948, ou ses liens avec le fameux 1984 d’Orwell (Eric Arthur Blair de son vrai nom), le texte nous éclaire sur la pensée mondialiste et ses ressorts : le rôle du secret, des alcôves de la République et des sociétés secrètes, sur cette aristocratie cachée qui a coupé la tête du roi pour recréer sa propre aristocratie obscure et avilie, et qui lutte contre le catholicisme pour recréer sa propre religion syncrétique et anti-catholique. On trouvera dans un site qui met Karl Polanyi à l’honneur —l’auteur de la Grande Transformation— un article intéressant sur le supposé Goldstein. 
  118. Nous reviendrons plus loin sur le sinistre personnage de Jacques Attali, grand-prêtre des mondialistes depuis toujours, et qui est aussi celui qui a fait la fabrication et la promotion de Macron. Citons ici son article de 2009 « Avancer par peur » : Une pandémie majeure ferait surgir la prise de conscience de la nécessité d’un altruisme, au moins intéressé. Admirons au passage le sublime oxymore de l’altruisme intéressé, et Jérusalem comme future capitale du nouvel ordre mondial. 
  119. Je fais allusion ici à l’ouvrage de Claire Séverac: La guerre secrète contre les peuples, un essai parfaitement documenté sur des faits sciemment négligés voire rejetés par nos médias tous dans la main de cette caste omnipotente. Le lecteur ne trouvera que des faits avérés, difficilement contestables et patiemment compilés par Claire Séverac qui, sans doute, paya de sa vie son honnêteté et son intégrité. Ce livre est une somme et même un ouvrage de référence sur ce sujet sensible. Et les derniers développements de cette course folle et mortifère vers ce « nouvel ordre mondial «, comme ils l’appellent pour ne pas dire « dictature globale «, ne font que confirmer ses dires. C’est un réquisitoire en règle. Tout y passe depuis le programme « HAARP « qui consiste à bombarder l’ionosphère d’ondes à très hautes fréquences pour déclencher artificiellement tempêtes, tremblements de terre, voire tsunamis, jusqu’aux OGM en passant par les nanotechnologies, la bio-ingénierie, le transhumanisme, sans oublier toutes les arnaques comme le prétexte climatique ou sanitaire avec les campagnes de vaccination de Bill Gates dans le Tiers-Monde cause de stérilité des femmes ou de maladies bien plus graves. 
  120. Voir l’article du Courrier des stratègesPremière certitude : l’épidémie de covid-19 a commencé à Wuhan bien avant décembre 2019. Des photos américaines prises par satellite ont repéré deux fois plus de voitures que d’ordinaire sur les parkings des principaux hôpitaux de Wuhan dès le mois d’août 2019.Deuxième certitude : le gouvernement chinois, avec les réflexes typiques d’un régime communiste, a dissimulé le plus longtemps possible l’existence de l’épidémie et n’en a parlé au monde que contraint et forcé, en janvier 2020 quand elle n’était plus possible à dissimuler.Troisième certitude : Le Dr. Anthony Fauci a tout fait pour empêcher Donald Trump de remonter la piste d’un accident de laboratoire au P4 de Wuhan car il avait, directement ou indirectement, autorisé des financements à destination du laboratoire de Wuhan.  Les révélations se sont multipliées à cet égard ces dernières semaines. En bref, les recherches dites de “gain de fonction”, consistant à transformer le génome de virus pour le rendre plus dangereux pour l’homme a été interdite aux Etats-Unis entre 2013 et 2017. Des chercheurs américains ont pu néanmoins continuer à faire de telles recherches au laboratoire de Wuhan avec, entre autres ressources, de l’argent du Pentagone transféré par une ONG appelée EcoHealth Alliance.  Le 20 juillet 2021, Anthony Fauci avait encore nié  l’existence de ce type de recherches mais un réseau de chercheurs appelé DRASTIC (Decentralized Radical Autonomous Search Team Investigating COVID-19) ne cesse d’amener des preuves du contraire.Quatrième certitude: la thèse de la transmission naturelle du virus à l’homme a de moins en moins de partisans. La thèse d’un accident de laboratoire devient majoritaire, d’autant plus que tout le monde s’accorde à dire que les Chinois ont mené avec un niveau de sécurité 2, à Wuhan, des recherches qui demandaient un niveau de sécurité 4.Cinquième certitude: l’Armée chinoise se serait bien passée de la publicité faite au laboratoire de Wuhan puisqu’elle y menait, en lien avec la recherche civile, une recherche sur les armes biologiques du futur. 
  121. L’article très raisonné et persuasif, du journaliste Nicholas Wade a marqué la prise de conscience de la manipulation virale. Bien que l’auteur ait passé plus de quatre décennies comme grand reporter scientifique au New York Times et dans d’autres grands médias, son travail a été discrètement publié le 2 mai sur le site de blogs Medium, sans aucun soutien ni imprimatur prestigieux, puis republié le 5 mai par le site à faible trafic du Bulletin of Atomic Scientists. On pourra aussi lire L’origine du Covid: retournement orwellien et pétard mouillé
  122. Des virologues affirment que des “empreintes” génétiques prouvent que le COVID-19 est d’origine humaine et qu’il n’a pas d’ancêtre naturel crédible. Bref résumé : l’étude suggère que des scientifiques chinois ont créé le virus alors qu’ils travaillaient sur un projet de gain de fonction dans un laboratoire de Wuhan.La recherche sur le gain de fonction, qui a été temporairement interdite aux États-Unis, consiste à modifier des virus naturels pour les rendre plus infectieux afin d’étudier leurs effets potentiels sur l’homme.Selon l’article, les scientifiques chinois ont pris la « colonne vertébrale » d’un coronavirus naturel trouvé chez les chauves-souris des grottes chinoises et y ont ajouté une nouvelle « pointe », le transformant en COVID-19, un virus mortel et hautement transmissible.Les chercheurs, qui ont conclu que le COVID-19 « n’a pas d’ancêtre naturel crédible », pensent également que les scientifiques ont procédé à une rétro-ingénierie des versions du virus pour brouiller les pistes.« Nous pensons que des virus de rétro-ingénierie ont été créés », a déclaré Dalgleish au DailyMail.com. Ils ont modifié le virus, puis ont essayé de faire croire qu’il était dans une séquence il y a des années ».L’étude fait également état de « destruction, dissimulation ou contamination délibérée de données » dans les laboratoires chinois et note que « les scientifiques qui souhaitaient partager leurs découvertes n’ont pas pu le faire ou ont disparu ».Jusqu’à récemment, la plupart des experts ont fermement nié que les origines du virus étaient autre chose qu’une infection naturelle passant des animaux aux humains.En début de semaine, le Dr Anthony Fauci a défendu le financement américain de l’Institut de virologie de Wuhan, affirmant que la subvention de 600 000 dollars n’avait pas été approuvée pour la recherche sur le Gain de Fonction. 
  123. Voir Covid-19 : l’origine du virus – L’analyse du Pr Tritto confirme celle du Pr Montagnier. Un livre polémique vient de sortir en Italie sur les origines de ce virus qui a bouleversé le monde au cours des six derniers mois. Le professeur Luc Montagnier, décrié dans les médias en avril dernier, voit son affirmation selon laquelle le virus était le résultat d’une manipulation humaine s’étant échappé (accidentellement) du laboratoire de Wuhan, aujourd’hui reprise dans ce livre.  Nous retraçons les évènements et les extraits d’une interview de l’auteur du livre, le Pr Tritto, dans le média italien Libero.Le 17 avril 2020, sur Cnews, le professeur Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine en 2008 pour sa participation à la découverte du virus responsable du sida, confirmait sa déclaration que le SARS-CoV-2 est une fabrication humaine. « Nous en sommes arrivés à la conclusion qu’il y a eu une manipulation sur ce virus. Une partie, je ne dis pas le total. Il y a un modèle qui est le virus classique, mais auquel on a ajouté par-dessus des séquences du VIH » « Ce n’est pas naturel, c’est un travail de professionnel, de biologiste moléculaire, d’horloger des séquences. Dans quel but ? Une de mes hypothèses est qu’ils ont voulu faire un vaccin contre le sida »Le Pr. Montagnier fait sa démonstration le 30 Juillet 2020 dans un article paru sous contrôle de pairs, et qui ne sera jamais cité dans les autres revues —autocensure et omerta— ni les merdias. En résumé : « L’analogie suivante permet d’illustrer cette conclusion : imaginons un puzzle principal « coronavirus » de 30 000 pièces et après plusieurs autres puzzles de 9000 pièces chacun que nous appellerons VIH 1, VIH 2 et SIV (rétrovirus proche du VIH-2 dont la cible est le singe). La preuve mathématique démontrée, peut être illustrée de la manière suivante : dans le puzzle de 30 000 pièces, à un endroit précis se trouvent trois pièces contiguës (côte à côte) issues chacune de l’un des trois autres puzzles. La probabilité que ce résultat soit naturel est nulle. » 
  124. Un ancien communiste chinois, Wei Jingsheng affirme que le SARS-Cov2 a été inoculé volontairement lors des Jeux Militaires Internationaux qui ont eu lieu à Wuhan en octobre 2019. Dans le documentaire de Sky News intitulé « What Really Happened in Wuhan », l’ancien communiste chinois a déclaré que le gouvernement de Pékin aurait profité des Jeux mondiaux militaires pour répandre le virus.Cet événement a réuni 9.000 athlètes en provenance de différents pays du monde en octobre 2019, soit deux mois avant la déclaration officielle de l’existence du virus. Par ailleurs, cette rencontre sportive s’est tenue dans la ville de Wuhan, le premier foyer de l’épidémie.A l’époque, toujours selon M Jingsheng, les participants à l’évènement, notamment les athlètes allemands, français et américains, ont été atteints d’une maladie mystérieuse. Ils présentaient les symptômes du Covid-19 mais n’ont jamais fait l’objet d’un test. Voir aussi l’article de Mail Online
  125. Voir l’incontournable article de Eric Verhaeghe. « Dans ce troisième volet de l’enquête, nous allons voir comment l’Occident, Etats-Unis et France en tête, portent une lourde responsabilité dans l’émergence du COVID-19. Cela ne dédouane en rien la Chine communiste de sa responsabilité première et principale dans les origines et la diffusion de la pandémie. Cependant, c’est bien la recherche occidentale qui a permis à la chercheuse Shi Zhengli, de Wuhan, de devenir le Frankenstein de cette histoire, à qui sa créature monstrueuse a échappé. » 
  126. Ces machinations furent dénoncées en France par le Pr. Fourtillan qui s’est retrouvé emprisonné arbitrairement, hospitalisé de force en hôpital psychiatrique —les vieilles recettes soviétiques fonctionnent toujours. Voir sur Qactus. Le Pr. Montagnier a aussi été l’un des premiers à monter l’origine artificielle du virus avant d’être enseveli sous des torrents de calomnies de la part des merdias officiels, ses vidéos effacées de tous les supports comme Facebook. 
  127. Voir https://denisbider.blogspot.com/2021/07/dr-david-martin-with-reiner-fuellmich.htmlLes découvertes fondamentales réalisées par le Dr. David Martin au sein de son entreprise M-CAM. L’interview par Robert Füllmich montre que plus de 4000 brevets ont été déposés sur le Coronavirus et le SARS. Martin a comparé les enregistrements de brevets disponibles au printemps 2020 avec la séquence de gènes isolée en tant que nouveau virus défini comme tel par le Comité international sur la taxonomie des virus de l’OMS. Son équipe a ainsi trouvé plus de 120 éléments de preuve brevetées qui suggèrent qu’il ne s’agit en rien d’un nouveau coronavirus mais au contraire d’innombrables modifications très subtiles des séquences de coronavirus. Il n’y a donc pas en tant que tel de nouveau coronavirus identifié.../../../Downloads/david%20martin.png Le premier vaccin jamais breveté contre le coronavirus a été déposé par Pfizer et comprenait spécifiquement la protéine Spike « S » – cette même protéine qui aurait été inventée à la hâte. La première demande a été soumise le 28 janvier 2000.L’idée que l’on soit mystérieusement tombés sur le moyen de trouver si rapidement des vaccins n’est pas seulement ridicule, elle est carrément inconcevable. Le 28 janvier 2000, Timothy Miller, Sharon Klepfer, Albert Paul Reed et Elaine Jones ont déposé ce qui a finalement été publié sous le nom de brevet américain 6372224, à savoir le vaccin à protéine Spike contre le coronavirus canin.Le SARS n’est en rien l’évolution naturelle d’une modification zoogène du coronavirus. En 1999, Anthony Fauci a financé des recherches à l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill. À partir d’une demande de brevet déposée le 19 avril 2002, le NIAID a construit un coronavirus infectieux à réplication défectueuse ciblant l’épithélium pulmonaire humain. En d’autres termes, nous avons créé le SARS et nous l’avons breveté avant même qu’il n’y ait une prétendue épidémie en Asie, qui a suivi plusieurs mois après. Ce brevet américain 7279327 expose clairement dans un séquençage génétique très spécifique que nous connaissions le récepteur ACE, le domaine de liaison ACE-2, la protéine Spike S1 et d’autres éléments du Covid-19. Il a été conçu et transformé de manière synthétique en laboratoire à l’aide des technologies de séquençage des gènes, en prenant un code informatique pour le transformer en un agent pathogène ou en un intermédiaire d’agent pathogène. Au début, cette technologie a été financée exclusivement comme un moyen d’exploiter le coronavirus comme vecteur pour distribuer le vaccin contre le VIH.À l’automne 2001, M-CAM a commencé à surveiller un nombre énorme d’agents pathogènes bactériens et viraux qui étaient brevetés par le NIH, le NIAID, l’USAMRIID et d’autres agences internationales. Ils étaient préoccupés par le fait que le coronavirus était considéré non seulement comme un agent manipulable potentiel pouvant être utilisé comme vecteur de vaccin, mais aussi comme un candidat à l’arme biologique.La prétendue épidémie de SARS qui a eu lieu en Chine en 2002-2003 a donné lieu à un dépôt de brevet problématique en avril 2003 par le CDC américain. Celui-ci a déposé une demande de brevet sur la séquence génétique complète de ce qui est devenu le coronavirus du SARS, ce qui constitue une violation de la section 101 de l’article 35 USC — on ne peut pas breveter une substance naturelle. Il s’agissait du brevet 7220852, avec des brevets dérivés, notamment les brevets 46592703p et 7776521. Ces brevets couvraient également les moyens de détection du coronavirus par RT-PCR.Cela pose problème car celui qui possède à la fois le brevet sur le gène lui-même et sur sa détection possède du même coup l’avantage de pouvoir contrôler à 100% la provenance non seulement du virus lui-même mais aussi sa détection. Vous avez un contrôle total de l’aspect scientifique et de la communication.Ce brevet demandé par le CDC a été prétendument justifié par son équipe de relations publiques dans le but de permettre à tout le monde de faire des recherches sur le coronavirus. C’est un mensonge car l’office des brevets a rejeté à deux reprises le brevet sur la séquence du gène comme étant non brevetable – l’office des brevets a trouvé une identité de 99,9% avec le coronavirus déjà existant dans le domaine public. Malgré le rejet de l’examinateur de brevets, et après avoir dû payer une amende en appel en 2006 et 2007, le CDC a passé outre le rejet de l’office des brevets et a finalement obtenu en 2007 le brevet sur le coronavirus du SARS.Toutes les déclarations du CDC selon lesquelles il s’agissait de l’intérêt public sont démenties par le pot-de-vin qu’il a lui-même versé à l’office des brevets. Le CDC a payé une taxe supplémentaire pour que leur demande reste privée. Les fact checkers ont déclaré à plusieurs reprises que le nouveau coronavirus SARS-CoV-2 est distinct du brevet des CDC. La séquence génétique déposée par les CDC en 2003, 2005 et 2006 présente une identité dans 89 à 99 % de la séquence qui recouvre le SARS-CoV-2. La désignation principale du coronavirus du SARS et le sous-clade SARS-CoV-2 doivent se chevaucher d’un point de vue taxonomique.Le 28 avril 2003, Sequoia Pharmaceuticals, situé dans le Maryland, a déposé le brevet américain 7151163 sur les agents antiviraux pour le traitement et le contrôle des infections par coronavirus. C’était 3 jours après que le CDC ait déposé le brevet sur le coronavirus du SARS. Sequoia Pharmaceuticals et, en fin de compte, Ablynx Pharmaceuticals, ont été intégrés dans les fonds propres de Pfizer, Crucell et Johnson & Johnson. Comment peut-on avoir un brevet sur un traitement pour une chose qui a été inventée 3 jours plus tôt ?Le brevet de Sequoia sur le traitement du coronavirus a été délivré et publié avant que le brevet du CDC sur le coronavirus ne soit autorisé. La seule façon pour Sequoia de connaître les informations contenues dans le brevet du CDC était par un moyen interne, car le CDC avait payé pour garder le secret. C’est la définition même de la conspiration criminelle, du racket et de la collusion. Ce n’est pas une théorie, c’est une preuve. C’est une affaire RICO.Le schéma RICO établi en avril 2003 pour le premier coronavirus s’est déroulé selon le même calendrier pour le SARS-CoV-2. Moderna a obtenu la séquence de la protéine spike par téléphone auprès du centre de recherche sur les vaccins du NIAID avant la définition de la nouvelle sous-classe. Comment traite-t-on une chose avant de la connaître ?Le 5 juin 2008, soit à peu près au moment où la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency (« Agence pour les projets de recherche avancée de défense) s’est intéressée activement au coronavirus en tant qu’arme biologique, Ablynx, qui fait maintenant partie de Sanofi, a déposé une série de brevets visant ce que l’on nous a dit être de nouvelles caractéristiques du SARS-CoV-2. Ils visaient le site de clivage polybasique du SARS-CoV, la nouvelle protéine de pointe et le domaine de liaison du récepteur ACE-2. Ces éléments sont prétendument nouveaux pour le SARS-CoV-2, et tous ont été brevetés le 5 juin 2008. Les brevets ont été délivrés entre le 24 novembre 2015 (brevet américain 9193780 ; celui-ci a été délivré après le moratoire sur la recherche sur le gain de fonction, après l’épidémie de MERS au Moyen-Orient), suivi en 2016, 2017, 2019 par une série de brevets couvrant non seulement les brins d’ARN mais aussi les sous-composants des brins de gènes, tous délivrés à Ablynx et Sanofi.Crucell, Rubius Therapeutics, Children’s Medical Corporation, et de nombreux autres, dont la Ludwig Maximilian’s Universität de Munich, Protein Science Corporation, le Dana Farber Cancer Institute, l’Université de l’Iowa, l’Université de Hong Kong, le Chinese National Human Genome Center de Shanghai, tous identifiés dans des dépôts de brevets allant de 2008 à 2017, chaque attribut étant prétendument publié de manière unique par la seule publication de référence «The Novel Bat Coronavirus», l’article qui a été systématiquement utilisé pour identifier le nouveau virus.Si vous regardez réellement ce qu’ils déclarent être nouveau, vous trouvez 73 brevets délivrés entre 2008 et 2019 qui ont les éléments qui étaient prétendument nouveaux dans le SARS-CoV-2. Plus précisément, le site de clivage polybasique, le domaine de liaison du récepteur ACE-2 et la protéine spike.Il n’y a pas eu d’épidémie de SARS parce que nous avions modifié tous les éléments de ce virus. En 2016, un article de Ralph Baric a été financé pendant le moratoire sur le gain de fonction, disant que le coronavirus du SARS était prêt pour l’émergence humaine. À ce moment-là, non seulement il était prêt pour l’émergence humaine, mais il avait été breveté 73 fois pour une exploitation commerciale !Les gens de Moderna savaient qu’ils allaient être placés en première ligne du développement d’un vaccin en mars 2019. À ce moment-là, pour des raisons qui ne sont pas transparentes, ils ont modifié une série de dépôts de brevets rejetés pour faire spécifiquement référence à une libération délibérée ou accidentelle de coronavirus. Ils ont modifié 4 demandes de brevet rejetées pour commencer le processus de développement d’un vaccin contre le coronavirus. Ensuite, ils ont commencé à s’attaquer à un problème de taille, à savoir qu’ils s’appuyaient sur une technologie qu’ils ne possédaient pas. Deux entreprises canadiennes, Arbutus et Acuitas, détiennent en fait le brevet sur l’enveloppe de nanoparticules lipidiques nécessaire à l’injection du fragment d’ARNm. Ces brevets ont été délivrés au Canada, aux États-Unis et dans le monde entier. Moderna ne possédait pas les droits et a commencé à négocier avec Arbutus et Acuitas pour obtenir une résolution de la technologie LNP disponible pour l’intégrer dans un vaccin. En novembre, la société a conclu un accord de coopération en matière de recherche et développement avec l’UNC Chapel Hill en vue d’obtenir la protéine Spike à placer à l’intérieur du LNP, de sorte qu’elle disposait d’un candidat-vaccin avant même qu’un agent pathogène ne soit prétendument en circulation.Leur procédure régulière est similaire à celle d’autres sociétés pharmaceutiques, où les demandes sont renouvelées et modifiées en permanence pour bénéficier des premières dates de priorité disponibles. De 2016 à 2019, à chacune des réunions du conseil consultatif du NIAID, Anthony Fauci se lamentait de ne pas avoir réussi à trouver un moyen de faire accepter le vaccin universel contre la grippe, qui était sa cible favorite pour amener la population à s’engager dans ce processus…En mars 2019, dans les dépôts de brevets modifiés de Moderna, nous voyons apparaître une pensée illluminante : «Et s’il y avait une libération accidentelle ou intentionnelle d’un pathogène respiratoire ?» La phrase est exactement récitée dans le livre A World at Risk, qui est le scénario mis en place par l’OMS en septembre 2019 – des mois avant qu’il y ait un pathogène présumé – qui dit : «Nous avons besoin d’une expérience mondiale coordonnée de la libération d’un pathogène respiratoire, qui, d’ici septembre 2020, doit mettre en place une capacité universelle de gestion des relations publiques, de contrôle des foules et d’acceptation d’un mandat universel de vaccination.» Le langage d’une libération intentionnelle d’un pathogène respiratoire a été écrit dans le scénario qui «doit être achevé d’ici septembre 2020» dans la déclaration unifiée du Global Preparedness Monitoring Board. Un certain nombre de personnes s’en sont attribuées le mérite, puis ont fait marche arrière.Toute affirmation selon laquelle cet agent pathogène est en quoi que ce soit unique ou nouveau s’effondre sur les séquences génétiques réelles qui sont publiées dans le dossier de brevet. Plus grave encore, Peter Daszak lui-même déclare que nous devons créer un battage médiatique pour que le public accepte la contre-mesure médicale que constitue un vaccin contre le pan-coronavirus. Ce qui est le plus ridicule, c’est que l’OMS a déclaré que le coronavirus n’avait plus d’intérêt – que nous avions éradiqué le coronavirus en tant que préoccupation. Alors pourquoi, après l’avoir éradiqué en 2007 et 2008, avons-nous commencé à dépenser des milliards de dollars dans le monde pour un vaccin contre une maladie qui avait été éradiquée par déclaration en 2008 ?Cette arme biologique était considérée comme très malléable. En 2005, c’était incontestablement une arme de choix. L’illusion dans laquelle nous continuons à voir des personnes bien intentionnées se faire piéger consiste à discuter de la question de savoir si nous disposons d’un vaccin contre un virus. Ce n’est pas le cas. Nous injectons une séquence ARNm de protéine de pointe qui est le résultat d’une simulation informatique, non dérivée de la nature, d’une séquence qui est connue et brevetée depuis des années.La nature ridicule de l’histoire selon laquelle il s’agirait d’un traitement prophylactique ou préventif va à l’encontre de toutes les preuves. Les preuves montrent clairement qu’aucune société pharmaceutique n’a fait d’efforts pour combattre le virus. Il s’agit d’injecter aux gens la protéine Spike S1, connue pour être nocive
  128. Un mot ici sur le concept de predictive programming qui consiste à faire passer les idées du développement mondialiste dans le monde courant. Il s’agit d’utiliser les émissions de télévision, les films, les bandes dessinées, les magazines, l’Internet bien sûr, les chansons, les animateurs, le ténors du genre Attali, etc. pour mettre dans la tête des masses l’idée d’un sujet spécifique. Puis, des années plus tard, le sujet devient réalité. C’est une méthode de lavage de cerveau, de sorte que lorsque les temps sont mûrs, il n’y a plus aucune difficulté à accepter l’idée comme normale. Bertrand Russell, HG Wells, et la famille Huxley sont de parfaits exemples —je passe ici tout ce qui concerne les Black Lives Matter ou même les Antifas — voir The Quad, S02.Les simulations diverses issues des grandes fondations jouent le même rôle. La « Rockefeller Foundation » nous prévient ainsi du maintien sous ferme contrôle de la population même après que l’épidémie soit terminée : “Even after the pandemic faded, this more authoritarian control and oversight of citizens and their activities stuck and even intensified. In order to protect themselves from the spread of increasingly global problems — from pandemics and transnational terrorism to environmental crises and rising poverty — leaders around the world took a firmer grip on power (p.19)”Les Protocoles des sages de Sion : quel qu’en soit l’auteur, les Protocoles ne font jamais qu’envisager la prise de pouvoir souterraine par une caste déterminée, tout en reprenant des idées qui étaient dans l’air du temps à la fin du 19ème siècle. Après tout, la démocratie ne serait-elle pas un masque et un moyen transitoire permettant d’instaurer une forme de despotisme d’origine orientale. C’était là, en tout cas, chose que pressentait le marquis de Custine, dans ses Lettres de Russie, dès la première moitié du 19ème siècle. La pertinence du texte écrit voici au moins cent ans laisse pantois : tout ce qui nous arrive aujourd’hui semble y être décrit. Je laisse au lecteur le soin de creuser cette piste qui sort de ma compétence.Dans La machine à explorer le temps (1895) HG Wells décrit le monde du futur où les habitants de la planète sont séparés en deux groupes, les Morlocks vivant sous terre et les Eloïs profitant du paradis qu’est devenu la Terre.Dans Le Meilleur des mondes (1932) Aldous Huxley a gratifié le monde d’une fiction visionnaire qui se rapproche de la réalité. L’esprit du livre a inspiré des générations entières de romanciers et de philosophes. Sexe, drogue, sécurité, loisirs, manipulation : Aldous Huxley avait tout compris. Serge Carfantan écrit un résumé de la pensée d’Aldous en 2007 —intitulé « Leçon 163 : Sagesse et révolte » :« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. […]Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste.Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée.Surtout pas de philosophie. Là encore il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des informations et des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif.On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique.Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser.On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains.Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté : de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. »Les films : Songbird qui évoque à peu près tout depuis la pandémie, au port obligatoire des masques et la passe sanitaire ; L’armée des 12 singes avec la dissémination volontaire d’un virus mortel ; The Crossing, on y parle d’un virus pandémique qui a été libéré dans le monde deux ans dans le futur et qui s’est répandu dans le présent. Bien sûr, on cite les vaccins toxiques et la mise en quarantaine également. Cette série est sortie en 2018, bien avant cette pandémie. 
  129. Voir ici, l’article de l’Obs glorifie Gates qui a prévu la pandémie alors qu’elle était planifiée depuis le début des années 2000. 
  130. Dès le mois d’Octobre 2019, la simulation Event 201 tenue à l’Université Johns Hopkins en présence du gratin mondialiste, étudiait l’impact d’une pandémie au coronavirus. Quand on possède tout, il n’est même plus besoin de se cacher pour comploter. Gates a par la suite osé prétendre qu’il n’était pas présent à la réunion. La lecture des recommandations ne manque pas de sel quand on connaît le niveau de corruption et d’interpénétration des toutes les instances citées. « Industry, national governments, and international organizations should work together » et « Governments and the private sector should assign a greater priority to developing methods to combat mis- and disinformation” pour ne citer que ces deux-là. 
  131. Voir le reportage ahurissant sur ce triste sire, qui a triplé sa fortune depuis qu’il est devenu « philanthrope. » Le bon Gates annonçait il y a 6 ans la survenue d’une épidémie mondiale avec un virus proche de la grippe. 
  132. Vous pouvez l’écouter ici dans une version plus « soft » que la vidéo d’origine où il s’exprime de manière très excitée avec de grands gestes simiesques. 
  133. Discours de Bill Gates, « Innover vers zéro » à la conférence annuelle TED2010 à Long Beach en Californie, le 18 février 2010. Ce dernier déclare vers la minute 4, Gates déclare : « Voyons d’abord la population. Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards de gens. Il se dirige vers environ 9 milliards. Or, si nous faisons un excellent travail sur de nouveaux vaccins, soins de santé, services de santé génitrice (reproductive), nous abaissons cela de 10 ou 15 pour cent. »../../../Desktop/Capture%20d’écran%202021-10-26%20à%2011.34.53.png 
  134. Aujourd’hui, nous remarquons que la crise sanitaire mobilise dans un accord presque parfait pouvoir politique, médias, administration, partis politiques, syndicats, institutions scolaires, institutions culturelles, religions… tous suivant comme un seul homme le pouvoir, sans esprit critique. Mais le plus important c’est la formidable manipulation des esprits dont nous sommes victimes. Les ingénieurs sociaux du communisme instrumentalisaient les crises et les fléaux, dramatisaient sciemment pour maintenir les individus dans l’anxiété permanente et obtenir une soumission accrue. L’instrumentalisation des pénuries, le soupçon permanent de complot qui était dénoncé, la dramatisation de l’épidémie… étaient des pratiques courantes pour tenir les masses par la peur, les rendant totalement dépendantes de l’Etat nourricier. 
  135. Voir l’interview de Marion Maréchal Le Pen : «Chaque Européen se verra attribuer une identité numérique qui contiendra toutes nos informations sociales, fiscales, bancaires et sanitaires pour mieux nous contrôler » 
  136. Citons ici l’essai de Sir Julian Huxley qui a inventé le terme de transhumanisme et fondé l’UNESCO : « La qualité des personnes et non la seule quantité est ce que nous devons viser : par conséquent, une politique concertée est nécessaire pour empêcher le flot croissant de population de submerger tous nos espoirs d’un monde meilleur ». 
  137. Le terme « transhumanisme » remonte aux années 1950, mais sa popularisation date des années 1990, lorsque les chercheurs commencent à cerner les promesses de la convergence NBIC : les nanotechnologies (N), la biologie (B), l’informatique (I) et les sciences cognitives (intelligence artificielle et sciences du cerveau -C) progressent et convergent de façon explosive. Le désir d’immortalité est au cœur de cette nouvelle religion qui prend la suite du scientisme et du positivisme. Seule la vision allopathique industrielle d’un homme composé d’organes permet d’asseoir ce nouveau délire, permettant déjà tous les trafics de fœtus via des constellations d’ONG.L’inventeur et propagandiste du transhumanisme est Sir Julian Huxley (1887-1975), biologiste de haut niveau, premier directeur de l’Unesco et cofondateur du WWF. Le mot « eugénisme » étant devenu sulfureux après les horreurs nazies, Julian Huxley inventa donc, en 1957, un néologisme synonyme d’eugénisme de gauche, le « transhumanisme ». Son frère Aldous Huxley (1894-1963) écrira « Le meilleur des mondes » décrivant la société eugéniste idéale en 1931. C’est l’un des nombreux exemples de predictive programming qui permet d’annoncer la direction que doit prendre le monde sous l’égide mondialiste. 
  138. Songeons que le Prince Philip demandait à se réincarner en virus particulièrement meurtrier. La surpopulation est l’un des thèmes récurrents des mondialistes. 
  139. Nous insérons ci-contre l’illustration de la page de couverture de « The Economist » de Mai 21 annonçant la future monnaie numérique qui nous sera servie après l’effondrement économique —il est probable que dès la rentrée les fonds de pension en faillite amèneront les gouvernants à annoncer la suite du programme. Ce qui est lassant avec les mondialistes, c’est leur côté « tradi » comme le dit si bien Pierre Hillard (voir une excellente conférence ici). Ils utilisent toujours les mêmes symboles : à gauche le temple, à droite l’œil qui sort des nuées au sommet de la pyramide (tout comme sur le billet de 1 dollar), la lettre G qui est celle des compagnons au second grade maçonnique. Comme rien n’est dû au hasard chez ces gens, il faut aussi remarquer la puce rectangulaire placée au milieu de la lettre G. Cela pourrait être une référence à peine voilée au contrôle des populations grâce à des implants, en coupe sagittale en effet le mésencéphale ressemble à la lettre G. Pour terminer, ce n’est même plus en Dieu que nous avons confiance mais dans la technologie.Nous nous souviendrons que les millionnaires veulent faire de l’argent, les milliardaires veulent faire l’histoire. Mais les multi-milliardaires vont plus loin dans leur délire de démiurges : ils veulent que l’humanité s’adapte à leurs besoins et à leurs souhaits. Quant aux personnes qui contrôlent des milliards et des milliards, eh bien, elles se soucient de nos souhaits autant que nous nous soucions des fourmis en balayant le jardin. 
  140. En tant qu’idéologie, la technocratie exalte la connaissance et l’expertise en tant que principales sources de pouvoir et d’autorité légitimes et pour affirmer qu’il existe « une meilleure façon de faire » que seuls les « experts » (par exemple, les ingénieurs, les scientifiques et les médecins) peuvent déterminer. 
  141. Voir la fameux brevet 060606 —troublante référence à l’Apocalypse de Jean— de Microsoft en vue de créer une monnaie numérique intégrée corporellement, sans doute testée au Rwanda. Un article intéressant ici
  142. Voir à cet égard le discours prophétique de Soljenitsyne à Harvard sur la perte du courage en Occident et la folie de détruire les murs porteurs de nos sociétés. Historiquement le meurtre de Louis XVI marque la première atteinte à l’image du père, qui incarne symboliquement la loi. Le mouvement s’est poursuivi jusqu’à nos jours où toutes les qualités viriles sont systématiquement niées au profit par exemple de notions délirantes comme la théorie du genre. 
  143. Comme le rappelle Eric Verhaeghe, immigration et libertés ne font qu’un seul et même sujet : « sont les deux faces d’un seul et même projet de dilution de l’Occident dans un grand tout mondialisé, servile et formaté pour les besoins d’un nouveau capitalisme de connivence ». « Le spéculateur américano-hongrois Soros, élève de Karl Popper, a créé une fondation qui prétend renverser, ou aider au renversement, des sociétés “traditionnelles”, c’est-à-dire des bons vieux Etats-nations occidentaux. Pour diluer leur identité, Soros n’a pas hésité à financer abondamment les ONG qui organisent la crise migratoire. Son projet est clair et assumé : il s’agit de diluer les vieilles résistances nationales en Europe, et de promouvoir un “activisme inclusif” grâce auquel nos sociétés ne feraient plus aucune distinction entre les individus, soit sur des critères culturels, ou ethniques, ou de genre. Dans cette vision de la société ouverte, l’obligation vaccinale, le passe sanitaire, le crédit social, la peur de la maladie, jouent des rôles essentiels. »Jeune Juif « adopté » par un SS, échappant ainsi au massacre généralisé, il est indéniable avec un tel bagage que Soros ne s’en est pas sorti indemne psychologiquement… 
  144. Notre amie, le Dr. Astrid Stuckelberger a réalisé un tour d’horizon de la corruption concernant l’OMS dans l’article ici. Elle souligne à juste titre le statut exceptionnel du GAVI, comparable à la BRI (Banque des Ressources Internationales, qui a servi à la City de New York à faire passer de nombreux brevets à l’Allemagne nazie jusque fin 1944). Ces deux institutions fonctionnent comme un état dans l’état : intouchables et inattaquables. 
  145. Gates a même envahi l’un des derniers bastions de résistance scientifique dans la médecine officielle en prenant le contrôle de Cochrane
  146. Le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus. L’OMS —qui s’est illustrée pour sa gestion lamentable de l’épidémie si son but était l’intérêt des malades— n’est pas une organisation internationale œuvrant pour le bien de l’humanité, mais plutôt un organe accaparé par quelques groupes d’intérêt, où domine Bill Gates. Personne n’en parle mais la corruption systémique de l’OMS est telle que 200 millions de dollars sont dépensés chaque année en frais de voyage, ce qui représente plus que les crédits alloués à la lutte contre le sida. Tedros, constitue l’exemple type de ces hommes « moyens » comme on a décrit la plupart des nazis jugés à Nuremberg. Élu en 2017 à la tête de cette organisation désormais mafieuse, il a été membre du CA du Global Fund de 2009 à 2011, et président du conseil de la GAVI vaccine Alliance en 2008-2009 avant d’être élu à la direction de l’OMS. Signe que ces crapules n’ont plus la moindre limite : il avait nommé à son arrivée à l’OMS… Robert Mugabe comme ambassadeur de bonne volonté ! Le Guardian nous explique en 2015 que : A partir de janvier 1983, une campagne de terreur a été menée contre le peuple Ndebele au Matabeleland, dans l’ouest du Zimbabwe. Les soi-disant massacres de Gukurahundi appartiennent à la période la plus sombre de l’histoire post-indépendance du pays, lorsque plus de 20 000 civils ont été tués par la redoutable cinquième brigade de Robert Mugabe.Le bon Tedros, accusé de crime contre l’humanité, est le premier non-médecin à diriger l’OMS. Tedros est membre du « Front de libération du peuple tigré » (TPLF), une organisation terroriste, fondée en tant que parti révolutionnaire communiste, ceci explique sans doute l’extase qu’il manifeste pour le Parti communiste chinois au pouvoir. Au programme : traque des dissidents, camouflage d’épidémie de choléra, famine organisée, torture sur prisonniers politiques, vente de terrains éthiopiens à des firmes internationales prix bradés, répression brutale de manifestations (500 morts), j’en passe et des meilleures. Encensé par les médias complices, ce gibier de potence doit son élection à la Fondation Bill et Melinda Gates qui a su utiliser le processus labyrinthique de nomination dans l’Organisation. 
  147. Pour compléter le tour d’horizon au sujet de cette pourriture de Tedros, je recommande au lecteur la visite du blog de l’inestimable Liliane Held-Khawam
  148. Seule la Russie a inscrit l’an passé dans sa constitution que les lois nationales passent avant les lois internationales. Un véritable pied de nez aux institutions supra-nationales mondiales. Il semble que la liberté se trouve désormais de l’autre côté de l’ancien « Mur ». 
  149. Il est difficile de se représenter l’interpénétration de toutes ces instances. Il existe des liens étroits entre des organisations et des entreprises comme la Fondation Rockefeller, Microsoft, le lobby pharmaceutique et le groupe de la Banque mondiale, sans parler des prestataires de services secondaires. 
  150. La quasi-totalité de Big Pharma apparient à deux sociétés : Vanguard et BlackRock. Vanguard et BlackRock sont les deux principaux propriétaires de Time Warner, Comcast, Disney et News Corp, quatre des six sociétés de médias qui contrôlent plus de 90 % du paysage médiatique américain.BlackRock et Vanguard forment un monopole secret qui possède à peu près tout ce que vous pouvez penser. Au total, ils détiennent des participations dans 1 600 entreprises américaines, dont les revenus combinés s’élevaient à 9,1 milliards de milliards de dollars en 2015. Si l’on ajoute le troisième plus grand propriétaire mondial, State Street, leur propriété combinée englobe près de 90 % de toutes les entreprises du S&P 500.Vanguard est le principal actionnaire de BlackRock. Vanguard lui-même, d’autre part, possède une structure unique qui rend sa propriété plus difficile à discerner, mais beaucoup des familles les plus anciennes et les plus riches du monde peuvent être sourcées aux fonds Vanguard. 
  151. L’un des premiers objectifs des mondialistes fut d’abattre l’Ancien Régime. La ‘Révolution française’ a fait plus de morts en un mois au nom de l’athéisme que l’Inquisition au nom de Dieu pendant tout le Moyen-Âge et dans toute l’Europe. Ce fait a été démontré par un historien sérieux (et protestant), Pierre Chaunu. On en retrouve l’analyse dans le quatrième numéro hors-série de L’Homme Nouveau consacré à quelques mythes de l’histoire antichrétienne, dont l’Inquisition. Un ensemble d’extraits de cette analyse est ici.C’est Voltaire et le cher Jean-Jacques qui ont pour la première fois introduit la notion d’enrichissement illimité alors que le roi, tenu par la religion, n’aurait jamais osé rêver un tel scénario qui rendit possible l’émergence de la bourgeoisie puis des industriels. Voir absolument La Laïcité, mère porteuse de l’islam, par Odon Lafontaine, l’ouvrage de référence sur ces sujets. 
  152. Je suggère au lecteur d’entreprendre la lecture barbante mais éclairante du torchon fameux de Klaus Schwab intitulé Le Grand Reset. Pour gagner du temps, cet article pourra vous intéresser. Beaucoup des mondialistes sont d’obédience gnostique, en tant que tels ils adorent semer la confusion, notamment en tentant d’inverser les causes et les conséquences. On voit ici Schwab admettre en p222 que la pandémie est la moins mortelle que l’humanité n’ait jamais connue, ce qui ne l’empêche pas d’utiliser cette opportunité pour vouloir façonner le monde selon ses vues. 
  153. Voici l’arbre généalogique de Schwab, juste histoire de nous donner une vague idée de l’interpénétration de tous les acteurs de la crise actuelle. 
  154. Voir Glaser, A. (2020, July 8). Thousands of contracts highlight quiet ties between Big Tech and U.S. military. NBC News. https://www.nbcnews.com/tech/tech-news/thousands-contracts-highlight-quiet-ties-between-big-tech-u-s-n1233171Voir Usdin, S. (2020, March 19). DARPA’s gambles might have created the best hopes for stopping COVID-19. BioCentury. https://www.biocentury.com/article/304691/darpa-jump-started-technologies-behind-some-of-the-leading-covid-19-vaccine-and-antibody-hopes
  155. Ces organisations criminelles ont déjà été condamnées à de nombreuses reprises à payer des sommes énormes, qui ne sont qu’une goutte d’eau dans leur budget : 3,75 milliards pour GlaxoSmithKline ; 3,3 milliards pour Pfizer, etc. Voir la liste officielle de la FDAViolation Tracker Agency Summary Page, qui totalise 19, 5 milliards d’amendes au total. 
  156. Wood, P. M. (2018). Technocracy: The Hard Road to World Order. Mesa, AZ: Coherent Publishing, LLC.Fitts, C. A. (2019). Will ESG Turn the Red Button Green? The Solari Report.Fitts, C. A. (2020a). The State of Our Currencies: The End of Currencies. The Solari Report.Fitts, C. A. (2020b, May 27). The injection fraud – It’s not a vaccine. The Solari Report.Schinder, R. J. (2020, January 26). The Davos crowd embraces big global government. The Wall Street Journal.Schumacher, K. (2020, March 14). Technocracy and sustainable development. Redoubt News.White, J. (2020, April 27). Technocracy after COVID-19. Boston Review
  157. Voir les révélations de Martin Füllmich et du Dr. David Martin dans cette vidéo historique. David E. Martin est le fondateur et le président de M-CAM Inc, le leader international du financement de l’innovation, du commerce et des actifs incorporels. Il est le créateur du premier indice quantitatif d’actions publiques basé sur l’innovation et est l’associé directeur des Purple Bridge Funds. Il est le créateur du premier indice quantitatif d’actions publiques au monde – le CNBC IQ100 alimenté par M-CAM. Activement engagé dans le développement économique éthique mondial, le travail du Dr Martin comprend l’ingénierie financière et l’investissement, les conférences publiques, l’écriture et la fourniture de services de conseil financier à la majorité des pays du monde. Le Dr Martin est l’architecte et le fondateur du Global Innovation Commons et l’auteur du cadre juridique international des programmes Heritable Knowledge Trust et Heritable Innovation Trust. Il est à l’origine de programmes mondiaux visant à apporter la transparence des entreprises et des marchés boursiers aux industries extractives multinationales et a joué un rôle déterminant dans le rapatriement de la valeur dans les pays qui ont été victimes d’abus financiers et d’entreprises. 
  158. Voir dans « Grippes et Pneumonies » le chapitre consacré à la destruction de l’homéopathie sous l’égide de Rockefeller —injectant pour la manœuvre plus de 225 milliards de dollars actuels. Le second statut de l’AMA était « l’éradication de l’homéopathie du sol américain ». Voir enfin le travail documenté de Thierry Lestrade « Comment l’AMA a éradiqué ». 
  159. Selon M. Kory, l’OMS ne fait que participer aux tactiques d’un « manuel de désinformation » usé par le temps. Ce terme a été inventé par l’Union of Concerned Scientists il y a 50 ans afin de décrire les stratégies que les entreprises ont développées au fil des décennies pour « attaquer la science lorsqu’elle va à l’encontre de leurs intérêts financiers ».Il se compose de cinq parties :L’imposture – Mener des recherches contrefaites et tenter de les faire passer pour des recherches légitimes.
    Le blitz – Harceler les scientifiques qui s’expriment sur des résultats qui dérangent l’industrie.
    La diversion – Fabriquer de l’incertitude sur la science là où il n’y en a pas ou peu.
    L’écran – Acheter de la crédibilité par le biais d’alliances avec le monde universitaire ou des sociétés professionnelles.
    La solution – Manipuler les fonctionnaires ou les processus gouvernementaux pour influencer les politiques de manière inappropriée.Dans l’intégralité de l’appel Zoom, censuré depuis par YouTube mais disponible sur Bitchute, Pierre Kory décrit comment les cinq phases ont été déployées contre les résultats scientifiques de l’ivermectine. Un exemple concret serait celui de la corruption des principales revues médicales, dont les rédacteurs en chef refusent que les études sur l’ivermectine soient soumises à un examen par les pairs. 
  160. Les emails de Fauci sur une certaine période ont pu être rendus publics, révélant un véritable scandale, à savoir que l’intéressé y admet que :Le coronavirus a été crééL’HQ traite la maladie avec succèsLes sujets asymptomatiques ne transmettent pas la maladieLes masques ne servent à rienLes confinements sont inutilesFacebook a participé à la promotion d’une propagande autoritaire du Covid.Le comptage des décès était largement trafiquéEt qu’il a délibérément menti au Congrès sous sermentCes informations éclaboussent aussi le Pr. Delfraissy (encore un collabo comme tant d’autres) exprimant ses affres pour résister à la pression d’autoriser l’hydroxychloroquine. « J’ai une énorme pression politique pour libérer l’accès à l’hydroxychloroquine pour tout le monde, mais je résiste », écrit-il au bon docteur Fauci. Une semaine plus tard, le Conseil scientifique rendra un avis critique sur le protocole Raoult, ayant donc visiblement résisté à ces « pressions ». Voir article du Parisien.Que s’est-il passé avec quelque chose d’aussi énorme ? Rien.Télécharger les emails. Voir le New York Post, voir Fauci is a liar
  161. J’ai de la peine à prononcer le nom de Fauci sans avoir la nausée. Dans « Les erreurs du Monsieur Covid américain impactent le monde occidental, Suisse comprise » Jamais encore des idées comme le confinement d’une population en bonne santé, l’imposition généralisée du port du masque contre un virus ou la « vaccination » de catégories de la population courant plus de risques avec la vaccination qu’avec la maladie n’avaient été envisagées, tant elles sont contraires à l’éthique et aux connaissances scientifiques. Un défilé continu de médecins de plateaux télévisés pétris de conflits d’intérêts est venu brouiller cette évidence, sans que les défenseurs des bonnes pratiques aient voix au chapitre. Ne manquez pas cette tribune écrite par les deux plus grands experts au monde, les Pr Kulldorff et Bhattacharya. 
  162. Voir le premier document magistral des analystes allemands (leur interview ici) qui ont scanné avec l’aide de l’intelligence artificielle plusieurs millions de documents. Cela a permis de mettre à jour le modus operandi des pilotes de la manœuvre dite « anticovid », de démontrer qu’il s’agit d’un réseau tissé très étroit et chargé d’une mission précise : obliger par tous les moyens la population mondiale à se soumettre au dictat d’intérêts privés sous prétexte de “santé publique.L’analyse se divise ainsi :- Les 20 à 30 figures-clefs qui poursuivent tranquillement leur œuvre à l’ombre des figures notoires telles Gates ou Schwab ;- Les flux financiers internationaux et leur montant (colossal) ;- Les ONG (dont le rôle notamment dans le financement est fondamental), les universités et entreprises-clef par lesquelles transitent les fonds.Ces flux ont été chiffrés par Schneeten et Röper. L’attention des analystes a été attirée – pour ne donner qu’un exemple – par un petit pavillon insignifiant de banlieue aux États-Unis, utilisé comme “boîte postale” par plusieurs ONG disposant de dizaines de millions de dollars.- Le mode opératoire de prise de contrôle des gouvernements et institutions occidentaux.Voici par exemple les ramification de le fondation Bill et Melinda Gates, dont le véritable gestionnaire est probablement le sioniste et démocrate Warren Buffet, a plusieurs intérêts :1- c’est un outil d’optimisation fiscale qui permet à ses responsables d’échapper aux impôts et de décupler leur fortune ;2- la mécanique de ses « donations » reposent sur l’investissement dans les marchés financiers et les grosses sociétés (Total, Exxon, Shell, Monsanto, McDonald’s, The Coca-Cola Company) ;3- les « dons » sont alloués à un faisceau d’organisations allant toutes dans le sens du mondialisme et de la grande industrie pharmaceutique…Probablement recruté dans les années 70 à Harvard (Gates est le premier Zuckerberg), Bill Gates est à la fois un agent de croissance et un agent d’influence du Nouvel ordre mondial oligarchique, un épouvantail mis en avant pour prendre les coups, un rouage d’un réseau allant de Wall Street à Israël en passant par Bill Clinton et Jeffrey Epstein. Voir l’article da E&R ici.../../../Downloads/Corona%20links%20analyse/Netzwerkanalyse-Corona-Komplex_Page_049.jpg 
  163. ../../../Downloads/Xi-Jinping.jpgPour parler d’autre chose que du virus, il me semble opportun de dire un mot de la crise financière qui se profile, avec le brûlot Evergrande qui risque d’ébranler le marché immobilier chinois et le reste du monde par contagion —mot qui me paraît ici très approprié. Le Parti Communiste Chinois (PCC) ne semble guère décidé à agir dans la crise financière qui se profile, avec un éclatement de la bulle immobilière. Loin de vouloir éviter la crise, les autorités chinoises semblent plutôt décidées à la laisser éclater pour justifier une reprise en main de l’économie du pays. De là à penser que cette stratégie vise aussi à affaiblir l’Occident en le contaminant avec une crise financière, il n’y a qu’un pas. Une fois de plus, le Great Reset et sa théorie du Big Government modifient les analyses habituelles et pourraient mettre les épargnants du monde entier en situation difficile.Et l’excellent Verhaeghe de conclure : « Progressivement, on comprend que Xi Jinping, qui n’est pas un tendre, ni un libéral façon Deng Xiaoping, s’apprête à laisser éclater une crise financière qui devrait ruiner les exubérances “capitalistes” de l’économie chinoise, mais pourrait aussi contaminer le monde. Cette option déjà déployée dans l’affaire du COVID 19, où les communications internes à la Chine étaient suspendues quand les habitants de Wuhan pouvaient facilement circuler dans le reste du monde, ressemble beaucoup à une tentative de déstabilisation de l’économie mondiale. On ne peut ici s’empêcher de penser que la crise immobilière qui se fait jour n’est, pour le PCC, qu’une pièce dans le puzzle d’un Great Reset géostratégique permettant à la fois de liquider la libéralisation de l’économie intérieure et de saper la prospérité de l’Occident. Nous maintenons donc notre pronostic d’une instrumentalisation de la crise qui pourrait déboucher sur un désordre mondial. » 
  164. C’est en manipulant la définition de « pandémie » que toute l’affaire a été préparée de longue date par l’appareil mondialiste dont Gates est l’un des coryphées. Dès 2013 on pouvait comprendre que ce petit jeu était destiné à servir les intérêts de laboratoires afin de créer autant de pandémies que nécessaires à la promulgation de vaccins en nombre illimité. En 2009, l’OMS avait en fait supprimé la notion de mortalité (nécessité d’un grand nombre de morts) pour pouvoir enclencher l’alerte pandémique maximale, qui conditionne en fait le début de la production de vaccins. Cette modification des critères avait donc permis aux fabricants de vaccins de s’enrichir de façon scandaleuse avec la vente de vaccins expérimentaux contre une grippe H1N1 qui faisait pourtant très peu de morts et qui était même plus bénigne que la traditionnelle grippe saisonnière.Le Dr. Lydia Archilède écrivait dès 2013 : « le système va devenir moins précis, donc PLUS FLOU avec passage de 7 critères à 4, ce flou allant évidemment profiter aux fabricants de vaccins et d’antiviraux, bien davantage qu’à la sécurité réelle des citoyens. Au prétexte d’être basé sur « le risque », il sera en réalité plutôt basé sur « la possibilité d’un risque hypothétique » avec maintien quasi permanent des citoyens les plus crédules dans « la peur de la pandémie à venir » ! Finalement, la phase de transition se confondra tôt ou tard avec la phase d’« interpandémie » et nous serons donc maintenus dans une sorte d’état d’alerte permanent pour le plus grand bonheur de Big Pharma et de ses investissements ! »Et notre consœur de conclure que « le modus operandi opaque inchangé au niveau du fonctionnement de l’OMS. Celle-ci garde son influence dictatoriale puisque les Etats qui pourront soi-disant évaluer eux-mêmes le risque au niveau national, « devront tenir compte des estimations faites par l’OMS ». Et par ailleurs, la décision finale quant aux pandémies reste aux mains d’une seule personne, le directeur de l’OMS, qui continuera de se faire conseiller par le même genre de petit « comité d’experts», qui fut pourtant à la base de tout le fiasco et de tout le gaspillage inimaginables du H1N1 ! » 
  165. Le lecteur pourra au sujet de ce cloaque regarder avec intérêt quelques épisodes du « Fall of the cabal » de Janet Ossebaard et Cyntha Koeter. Même si les premiers épisodes nous semblent largement discutables —je n’adhère en rien à la narration— ceux de l’ère moderne sont assez bien documentés. Je recommande de commencer par le Numéro 6
  166. Bouygues, Xavier Niel, Dassault, Bernard Arnault, Bolloré, Pierre Bergé, Patrick Drahi, François Pinault, Matthieu Pigasse et Lagardère, voilà les dix milliardaires qui possèdent les médias français. Tous les quotidiens nationaux (Le Monde, Libération et Le Figaro), toutes les chaînes d’info (LCI, I-Télé, BFM-TV), l’essentiel des hebdomadaires de référence (Le NouvelObs, L’Express, Le Point) et des chaînes de TV privées (Canal+, TF1) appartiennent à de grands milliardaires. Une telle concentration a rendue aisée la tache de Gates pour faire marcher tout le monde à l’unisson. Voir ici
  167. Voir la remarquable contribution sur Rumble : « Coronavirus. Violation des droits fondamentaux des peuples du monde par des mesures anti-humaines : enfermement, mode masque, enseignement à distance. » 
  168. Nous en sommes déjà à refuser d’évacuer une île des caraïbes la partie de la population non-vaccinée ! 
  169. Mon disque dur se remplit d’images horrifiantes montrant avec quelle cruauté les flics se jettent sur les gens, les martyrisent, pour des prétextes délirants comme le non port du masque en plein air par exemple. La France, l’Allemagne, l’Australie sont les pays où ces exactions sont devenues monnaie courante. Voyez déjà l’article suivant
  170. Le propre du fascisme : faire passer un prétendu intérêt collectif avant l’intérêt individuel : lorsque le consentement et l’intérêt individuel ne sont plus des priorités inaliénables, on se rapproche des théories eugénistes florissantes dès la fin du XIXe siècle et portées à la dimension industrielle par le nazisme.Otto Dietrich explique en 1934 : « « La pensée individualiste repose sur le postulat que l’homme est un individu. Ce postulat est faux. L’homme n’apparaît dans le monde que comme membre d’une communauté. Dans tous ses actes, l’homme est un être collectif et ne peut être pensé que comme tel. Les seules données réelles du monde sont les races, les peuples, les nations et non les individus. Le national-socialisme considère le Volk comme la seule réalité organique. »Et Capitant, ministre de De Gaulle de commenter ce délire : « La doctrine nazie inverse toutes les valeurs. Non seulement l’individu est désormais privé d’existence et donc de droits, comme le note Capitant, mais encore, il perd toute autonomie dans la mesure où cette exaltation de la communauté débouche sur l’obéissance prétendument volontaire à un Chef. Le règne du nazisme, c’est celui de l’hétéronomie et de la servitude volontaire ».Lire l’article du Dr. Delépine 
  171. Voir l’article remarquable de Philippe Ségur, Professeur de droit public à l’Université de Perpignan Via Domitia. 
  172. En un an, les prix agricoles à la production ont littéralement explosé, avec une hausse de 13,6% qui annonce le retour à l’hyper-inflation. Cette hausse concerne tout particulièrement les céréales qui dépassent les 35% d’augmentation sur l’année. Durablement, le monde industrialisé est donc exposé à une crise agricole qui pourrait enrichir les spéculateurs, et fortement précariser les consommateurs. Il est donc temps de stocker gentiment les produits agricoles à base de céréales, voire de cultiver celles-ci soi-même.L’explosion des prix agricoles à la production en un an est parfaitement illustrée par le graphique ci-dessus. Pour les céréales, pour un indice 120 début 2021 (indice 100 début 2019), les prix ont désormais grimpé en octobre à un indice proche de 150. En deux ans, les prix ont donc augmenté de 50%. Rappelons que l’indice 120 n’a été atteint qu’une seule fois à l’automne 2018.Autrement dit, le prix des céréales à la production bat actuellement des records historiques, très au-delà des scénarios connus ces dernières années. On y verra le signe d’une crise profonde. Source : Le Courrier des stratèges. 
  173. Pas d’évacuation d’une île où sévit une éruption volcanique dans les Caraïbes si vous n’êtes pas vacciné. Le gauchiste Chomsky déclare déjà qu’il faut enfermer les dangereux non-vaccinés. Et le misérable Berset, n’hésite pas à déclarer que tout sera de la faute des non-vaccinés : 
  174. Voir le remarquable article de Mathieu Slama: « Le non-vacciné est le bouc émissaire de la crise sanitaire ». 
  175. Étant taxé d’anti-vax, anti-masque et anti-PCR dans un courrier officiel de l’assistante du médecin cantonal à mon attention, je mesure chaque jour le naufrage de notre société. L’un des exemples ultimes étant —selon moi— l’adoption de noms comme « Avenue du Mondial » un peu partout dans les villes de France. Un beau recoupement d’agnotologie et du vieux principe panem circenses
  176. Voir par exemple ici quelques commentaires pertinents sur le discours à Harvard. 
  177. Voir Laïcié mère porteuse de l’Islam, par Odon Lafontaine. Article ici
  178. A son époque Caton l’Ancien concluait tous ses brillants discours par Delenda est Carthago ! Il faut détruire Carthage. « Il faut détruire le mondialisme » doit devenir notre devise, notre seul but si nous voulons que nos enfants vivent dans un monde libre. 



Témoignages de militaires : l’heure de la révolte a sonné

Par Diane Vincero

Voici quelques extraits de différents témoignages de militaires parmi de très nombreux militaires qui ont refusé la « vaccination » Covid, témoignages obtenus par le Gallia Daily.

Merci à ce journal pour ce magnifique travail et merci aux militaires qui ont eu le cran de témoigner !!!

Ces témoignages montrent la détermination et le nombre important de militaires qui s’opposent à ces mesures coercitives,cruelles et brutales, et le fait que la gendarmerie, les pompiers et la police ont eux aussi pris conscience du dysfonctionnement grave des dirigeants.

Cela va permettre une neutralisation de ces dirigeants (politiques et de grands lobbies, notamment pharmaceutiques), en évitant un bain de sang au niveau de la population, comme cela aurait été irrémédiablement le cas si ces 3 corps de protection de l’état ne s’étaient pas ralliés au peuple…

Un « Nüremberg 3 ou 4.0 » va pouvoir se tenir avec l’aide de la CPI (Cour Pénale Internationale), qui est souveraine sur les instances nationales et européennes et semble relativement épargnée par la corruption généralisée de tous ces dirigeants et qui a été saisie en juin dernier par le CSAPE pour crimes contre l’humanité, plainte à laquelle un maximum de personnes devra se rallier pour obtenir la force de frappe indispensable… (https://www.csape.international/).

Étant donné le droit de réserve imposé aux militaires, ces témoignages sont précieux et rares. Les dirigeants ont eu le tort d’appliquer aux militaires la même politique qu’à la populace, c’est une très grossière faute de stratégie, l’armée étant l’un des 3 corps d’état servant de bouclier aux gouvernants contre le peuple ou toute autre menace potentielle…

C’est aussi le propre des manipulateurs destructeurs de toujours dépasser un point de non-retour, lié à leur fantasme de toute-puissance qui leur fait croire qu’ils peuvent tout se permettre… Grâce à cela, ils se heurtent au stop…

Voici ces quelques extraits :

« Si vous êtes civils, je ne sais pas quoi vous dire, si ce n’est qu’on a besoin de vous pour gueuler. Nous, on ne peut rien faire. Pour l’instant. Alors c’est à vous de bouger. Mais faites-le en sachant que vous n’êtes pas seuls, il y a beaucoup de policiers, de gendarmes, de pompiers et de militaires, qui sont d’accord avec vous, sur l’essentiel. Finalement c’est le message que je veux que tout le monde retienne : vous n’êtes pas seuls. Nous sommes majoritaires. De très loin. Des gens qui ont pris le vaccin par conviction, c’est une très petite minorité ».

« Mes collègues en régiment défendent la vie en risquant la leur. Je ne peux pas me résoudre à bafouer ces sacrifices qu’ils font en mettant leur vie en danger simplement parce que j’obéis aux ordres du gouvernement. La seule chose que je fais donc, c’est de rendre à chacun le choix que le gouvernement leur a enlevé. Je les rends maîtres de leur destin et je les laisse choisir. Je me refuse à être un agent de cette coercition**».

« J’accuse donc les institutions politiques de mener une politique sanitaire totalement inique. Une politique sanitaire qui est en train de fracturer profondément notre armée, de détruire la confiance des hommes dans leurs chefs, de détruire notre culture du commandement, de détruire des régiments, de détruire des vocations. Et surtout, de détruire des hommes ».

**C’est exactement comme cela qu’auraient dû réagir tous ces directeurs d’hôpitaux, etc. au lieu de se réfugier derrière un prétendu « devoir d’obéissance »… Il est pourtant bien stipulé dans les textes de loi que si un ordre donné semble anormal, il ne faut pas le suivre sous couvert d’obéissance…


Voici in extenso les 2 pages de témoignages recueillis :

https://telegra.ph/Interview-avec-les-militaires-anti-vax-Je-suis-un-soldat-et-mon-pays-ne-veut-plus-de-moi-car-je-refuse-le-vaccin–PARTIE-1-11-28

Interview avec les militaires « anti-vax » : « Je suis un soldat et mon pays ne veut plus de moi, car je refuse le vaccin »

T.me/GalliaDailyNovember 28, 2021

INTRODUCTION

Ces histoires vont peut-être vous choquer, vous énerver ou vous attrister, en tout cas elles ne vous laisseront sans doute pas indifférent. Ces histoires, ce sont celles de huit Français, des militaires honorables et patriotes, qui se sont trouvés face à un choix cornélien qui remet en cause leur engagement : la vaccination Covid 19. Ces hommes et femmes, forgés dans le moule du devoir et de l’obéissance, mais à qui leur carrière a aussi appris l’honneur et le discernement, se trouvent aujourd’hui dans une situation extrêmement compliquée. Certains subissent des pressions, d’autres ont été renvoyés, d’autres se voient menacés par leurs chefs, d’autres doivent se livrer à des activités illégales pour pouvoir continuer à servir leur pays.

En effet, depuis l’été 2021, une série de mesures du gouvernement français a imposé la vaccination obligatoire contre le Covid 19 à un certain nombre de professions, dont les militaires. Si la vaccination contre le Covid a soulevé de profonds débats dans la société civile, très peu de gens sont allés interroger les militaires pour savoir comment est perçu ce sujet dans l’armée.

Pourquoi ce silence ? Que l’Armée ne communique pas sur ce sujet est tout à fait normal. Mais que font les journalistes ? La presse française a-t-elle peur de l’effet que pourraient avoir ces témoignages sur le public ? Effectivement, la population française pourrait commencer à se poser des questions si il apparaissait que beaucoup de militaires, du soldat au général, sont très méfiants sur le sujet de la vaccination Covid.

Gallia Daily a la chance d’avoir des liens privilégiés avec l’institution militaire, avec les militaires eux-mêmes. Nous sommes heureux aujourd’hui de pouvoir donner la parole à certains d’entre eux, afin qu’ils témoignent de ce qu’ils voient, de ce qu’ils vivent, de ce qu’ils observent et de ce qu’ils pensent de tout cela.

« Vous mettez en danger la stabilité de l’armée et du pays avec cet article ! »

Voila ce que certains vont nous reprocher. Nous leur répondrons que, si notre armée tremble parce qu’un petit caporal-chef donne son avis sur un sujet de société, c’est probablement qu’il y a un mal beaucoup plus profond qui menace notre pays, et qu’il y a donc un certain nombre de problèmes plus urgents que d’attaquer un petit média indépendant comme le nôtre.

L’Armée française a toujours été grande, le mensonge ne préservera pas cette grandeur, il va la ternir. La tragédie c’est qu’aujourd’hui notre armée soit forcée de s’enfoncer dans une spirale de dissimulation pour conforter la politique et les éléments de langage du gouvernement, un gouvernement qui affirme à tue-tête que la vaccination remporte l’adhésion de la masse, et en premier lieu des citoyens respectables que sont les militaires.

La situation est beaucoup plus complexe et nuancée. La situation est bien moins apaisée que ne le laisse penser ce silence ordonné et coordonné. Notre article a pour vocation de donner la parole à certaines de ces personnes. Quand nous avons commencé à tirer sur le fil, nous avons reçu des centaines de retours de militaires désireux de parler de ce sujet et d’en témoigner. Plus surprenant encore, nous avons reçu des centaines et des centaines de messages de femmes de militaires qui témoignent pour leur mari. Et même des messages d’enfants (le plus jeune a 13 ans !) qui souhaitent parler de ce qui se passe pour leur papa… Nous avons décidé de sélectionner huit témoignages, du simple soldat au général, du commando au marin, en passant par le médecin et la femme de militaire.

Nous nous excusons d’avance d’avoir dû faire cette sélection difficile, mais nous espérons que notre choix permettra de rendre justice, dans l’ensemble, à tous les éléments que pouvaient évoquer ces témoignages. Par ailleurs, la plupart des témoignages reçus ou des interviews que nous avons menées étaient très denses. Nous nous excusons donc d’avoir dû modifier certains passages du texte final, pour en simplifier la lecture, ajouter du contexte ou protéger les sources. Les huit témoins ont évidemment relu et validé leur témoignage avant publication définitive.

Adjudant-chef Fred, régiment d’infanterie

Mon Adjudant-Chef, pouvez-vous vous présenter ?

Je suis Adjudant-Chef dans un régiment d’infanterie, ADU en compagnie de combat. Je me suis engagé dans l’Armée de Terre à 17 ans et demi et j’ai participé à 11 opérations extérieures. J’ai été blessé deux fois dont une assez gravement. Je suis marié et père de trois enfants.

Êtes-vous engagé politiquement ? Est-ce que vous vous reconnaissez dans le terme « Anti-vax » ?

Je n’ai jamais fait de politique, je vote blanc ou je ne vote pas. Je ne fais toujours pas de politique, je n’ai jamais compris cet empressement à vouloir absolument jouer à un jeu truqué…

Par ailleurs non, je ne suis pas anti-vaccins : tout au long de ma carrière, j’ai dû recevoir une bonne trentaine de vaccins pour pouvoir partir dans les pires coins du globe. Cela avait un sens, et je ne regrette pas : j’ai déjà vu un jeune en Afrique mourir du paludisme en quelques heures ou des bébés avoir des séquelles à vie à cause de la dengue. Il y a des maladies qui méritent qu’on les combatte. Et d’autres beaucoup moins, comme le Covid.

Comment a commencé cette position de doute, que certains qualifieront de « complotiste » ?

Au début du Covid, comme la plupart des gens normalement constitués, j’ai activé mon cerveau reptilien et j’étais sur la défensive face à une menace qu’on avait encore assez peu cernée. Je crois qu’à ce moment-là j’aurais pris le vaccin sans trop hésiter. Mais ce moment-là est vite passé, le sang-froid est vite revenu. Dès le premier confinement, j’ai commencé à comprendre qu’il y avait « autre chose » derrière tout cela. Que ce n’était pas seulement médical, mais qu’il y avait un agenda politique, qui était enclenché avec pour prétexte le combat sanitaire. De même que depuis plusieurs années on voit un agenda politique très clair être appliqué avec le prétexte fallacieux de sauver les arbres ou les pandas… La réponse du gouvernement français à la crise a donc éveillé ma suspicion. Cela s’est confirmé quand on a commencé à voir les premiers chiffres sortir sur la mortalité du Covid, ridiculement basse, en tout cas pas suffisamment haute pour justifier l’immense cirque dans lequel s’est enfoncé le monde.

Vous n’êtes donc pas vacciné ?

Je ne suis pas vacciné contre le Covid 19. Et il n’y a absolument aucune chance que je prenne ce vaccin. Le gouvernement est allé bien trop loin dans la folie pour que je leur accorde le moindre crédit ou le moindre sérieux quand ceux-ci prétendent vouloir veiller à ma santé. Vous remarquerez que c’est cocasse, le Président, celui qui m’a envoyé onze fois risquer ma vie à l’étranger prétend aujourd’hui tenir à ma santé. Quelle bouffonnerie. Je rajouterai aussi que je n’ai jamais eu besoin des politiciens pour prendre soin de moi, je suis capable de veiller seul à ma santé et celle de ma famille. On appelait ça être un homme, avant.

Concrètement, quelles conséquences cela a par rapport à votre engagement militaire ?

Concrètement je ne suis plus militaire. Ils m’ont poussé vers la porte. J’ai eu le droit à des rendez-vous interminables devant mon chef de corps, devant des généraux et des torche-culs du ministère, venus de Paris m’expliquer que je suis un « mauvais sous-officier et un mauvais exemple pour mes hommes », je cite… J’ai même eu le droit à un rendez-vous avec un psychologue et un psychiatre, qui devaient évaluer ma « capacité à servir » ou « détecter des signes de paranoïa ou de radicalisation ». J’ai répondu que si j’étais P4 [inapte psychologique], ils auraient dû s’en rendre compte pendant mes 30 ans de service…

J’ai eu le droit au discours faussement compatissant du psychiatre, qui m’a expliqué que j’avais « le droit d’être méfiant envers les médecins » comme j’avais été blessé, que je souffrais peut être de PTSD. Je lui ai simplement répondu que le problème ce n’est pas les médecins, mais le fait de m’injecter une thérapie génique dans le sang, de force. Cet imbécile à oser me répondre « Avec votre âge, votre forme physique, vous faites partie des populations à risque »… En réponse, je l’ai défié à un concours de tractions et un test cardio Cooper, en lui rappelant que si 11 OPEX ne m’avaient pas foutu au sol, ce n’est pas une grippe qui allait le faire.

Bon en d’autres termes j’ai été peu conciliant avec les demandes de mes chefs. Mais il faut dire que leurs demandes, même si elles étaient formulées avec la politesse des faux-culs, revenaient en fait à me dire « ferme ta gueule, vaccine-toi, sinon on te dégage ». Un adjudant-chef ne ferme pas sa gueule, donc je me suis fait dégager, soi-disant parce que mon « profil psychologique montre des incohérences ».

Le dernier coup de poignard est venu de mon chef de corps, qui a pris soin de faire circuler une rumeur selon laquelle, en gros, j’avais déraillé. Pour faire croire qu’ils m’avaient viré pour ce motif psychologique, alors qu’ils m’ont évidemment viré à cause du vaccin, sans l’avouer, pour éviter que cela fasse tache, je suppose. En tout cas ils ont réussi le tour de force de me virer à cause du vaccin, avant même que la vaccination ne soit obligatoire officiellement.

Au sein de votre régiment et de vos connaissances, vous étiez le seul dans cette position ?

Non seulement je n’étais pas seul, mais en plus nous sommes sacrément nombreux. Avant que la vaccination ne soit obligatoire, je crois que nous étions bien une grosse moitié de sceptiques au régiment, l’autre moitié étant purement indifférente.

Au sein de ma compagnie, mon CDU [le capitaine] avait la même position que moi. Il m’a dit un jour :

« Fred, si jamais je meurs et que ces enflures vaccinent mes gosses à l’école, tu me promets que tu prends un HK à l’armurerie et tu vas te faire la maîtresse, le toubib, la directrice de l’école, le préfet, le ministre de la Santé et le président ».

J’ai promis. Il m’a fait la même promesse. Elle tient toujours, et je dis ça sérieusement. L’autorité parentale c’est sacré, si ces imbéciles veulent jouer avec nos enfants, ils vont vite se rendre compte que tout le monde n’est pas très prompt à livrer ses progénitures à Chronos ou à se la jouer Simon de Trente. Je crois que c’est la position de la plupart des sous-off avec qui je peux parler, en tout cas tous ceux qui ont des enfants. Le fait d’avoir des enfants doit aider à se projeter, ça créait un enjeu de long terme.

Le fait que je me fasse virer a servi d’exemple malgré tout, je crois. Certains collègues ont accepté de prendre le vaccin. Beaucoup ont posé des permissions et sont revenus « vaccinés » au régiment, avec de faux certificats. Mais au moins quatre camarades de ma compagnie, deux EVAT, un sergent et un jeune lieutenant sont malgré tout sur la sellette pour avoir refusé de se compromettre tout court. Je ne sais pas encore où en est leur parcours du combattant. Mais je n’ai qu’un conseil à leur donner s’ils me lisent : ne vous soumettez pas, de toute façon vous êtes déjà morts pour eux, même si vous cédez, vous n’aurez pas de carrière, vous êtes fichés comme étant de vilains petits canards, pour de bon.

Je ne suis pas très bon avec les chiffres et je ne peux pas sonder les corps et les sangs, mais des contacts que j’ai encore au sein de ma compagnie, je pense qu’il y a grosso modo au moins 50 % de vaccinés, la plupart par contrainte, pas par conviction. Ensuite, environ 35 % de faux vaccinés, qui ont trouvé un médecin complaisant ou qui ont fait falsifier leur dossier mili grâce à des proches. Et 15 % de dissidents, soit qui résistent vraiment comme les quatre larrons dont je viens de parler, soit qui étaient sur la fin de leur contrat et qui ont préféré se barrer plutôt que de se vacciner. D’après ce que j’entends de mes amis, c’est globalement à peu près pareil partout, dans tous les régiments.

Et maintenant, pour vous quel est le plan ?

Je pars en 2022 m’installer en Croatie avec ma famille et la famille d’un autre collègue, lui aussi poussé à la porte. Pour nous, la France c’est terminé. C’est un crève-cœur. Mais si ce pays ne veut pas de nous, même comme gilet pare-balle, on ne va pas imposer notre présence. Surtout, mes deux plus jeunes enfants sont au collège et à l’école primaire, il est hors de question que je leur impose de vivre dans un pays entouré de cinglés. La Croatie c’est bien et si ça ne va plus, on ira ailleurs. Et je vous le dis : j’espère qu’un maximum de mes collègues feront pareil. Votre valeur en tant qu’hommes et en tant que Français, ce n’est pas de vous soumettre pour faire carrière. Votre valeur c’est vos qualités humaines et professionnelles, votre capacité à protéger votre sang, votre famille. Il reste des pays en Europe où vous serez respectés et accueillis pour ça.

Thierry : major CPA

Major, pouvez-vous vous présenter ?

Je suis le Major Thierry, je sers dans l’Armée de l’Air depuis mes 19 ans. J’ai effectué la majorité de ma carrière en tant que fusiller de l’air, puis au sein du CPA 10 et du CPA 20 (forces spéciales de l’armée de l’air). Je suis parti une quinzaine de fois en mission. Je suis marié, père de famille, j’ai deux enfants et trois petits-enfants. Accessoirement, j’ai aussi 3 chevaux et 3 chiens, qui comptent sur moi.

Major, pouvez-vous nous dire si vous êtes vacciné, pourquoi, et ce que cela a comme effet sur votre carrière militaire ?

Je suis vacciné, j’ai décidé de le faire après une longue réflexion. Ma mère est hospitalisée, la structure privée où elle est me refusait la possibilité de la visiter… Au début, je m’en accommodais comme je pouvais grâce à mon frère, vacciné, qui me permettait de voir ma mère en appel vidéo. Mais j’ai vu la santé de ma mère décliner, l’isolement ne devant pas aider. Je me suis vacciné pour pouvoir lui rendre visite, car je ne pouvais pas supporter de la voir mourir petit à petit sans pouvoir aller lui dire que je l’aimais. J’ai bien fait, elle est morte le lendemain de ma première visite, je crois sincèrement qu’elle attendait de me voir.

Je me suis donc vacciné par pure contrainte d’une certaine façon, sinon je ne l’aurais jamais fait. Ni ma femme, ni mes enfants ou petits enfants ne sont vaccinés.

En tant que sous-officier, mes cadres m’ont demandé de prendre en compte le statut de vaccination de mes gars. Ça devait être une formalité, en faisant circuler une fiche en interne. Mais pour avoir discuté avec mes gars à la popote ou au sport, je savais très bien que ça coincerait pour certains. J’ai donc pris le pari de voir tous mes gars en tête à tête, et j’ai discuté avec eux de la situation. Certains étaient déjà vaccinés, la plupart par contrainte, pour garder leur job. Pour eux je ne pouvais rien faire.

Mais il y avait aussi quelques Gaulois réfractaires. Grosso modo environ 20 sur 80, qui n’étaient pas vaccinés et qui n’avaient pas du tout envie de le faire. J’ai proposé à tous de récupérer de faux certificats. Ce qu’ils ont tous fait. Deux d’entre eux ne pouvaient pas payer le faux, j’ai payé de ma poche. Il y a un seul gars, un sergent, qui refusait absolument de se faire vacciner ou même d’utiliser un faux. Je l’ai prévenu des risques qu’il prenait, il a accepté de quand même monter au carton.

Je l’ai défendu autant que je pouvais face à nos cadres. Il a eu le droit à la totale, C2, C1, Généraux, visites médicales à rallonge, tests anti-cannabis tous les deux jours, visite de la DRSD (le service de contre-espionnage de l’armée, qui donne les accréditations Secret-Défense ou vérifie la radicalisation des militaires). Il s’est pris un torrent sur la gueule. Ils ont aussi mis une pression hallucinante sur sa petite amie, qui occupe un poste administratif de civil de la défense, en lui expliquant qu’elle perdrait son poste si son copain ne cédait pas. Cela a évidemment fait éclater leur couple. Point assez surprenant, sur la route, il s’est fait contrôler par les gendarmes 7 fois en deux mois, alors qu’il ne s’était jamais fait contrôler de sa vie. Je soupçonne qu’ils cherchaient à lui coller une procédure dans le civil pour justifier son renvoi. Enfin, pour finir, ils ont intégré son groupe de combat à une autre section, partie en terrain à l’autre bout de la France, sans lui bien sûr. De façon à le laisser totalement isolé, sans ses camarades…

Il n’a pas cédé, je salue infiniment son courage. Aujourd’hui, il a été muté dans un service logistique, de « plieur de chaussettes » comme on dit, une tâche dégradante pour un militaire qui a été formé pour être commando. Cela est temporaire, je pense qu’il sera expulsé discrètement d’ici quelques semaines ou quelques mois maintenant que la vaccination est officiellement obligatoire…

J’ai dit clairement à mes cadres ce que je pensais du sort qu’ils réservaient à ce jeune chef. Cette façon de faire me dégoutte. J’aurais préféré qu’il soit viré directement, plutôt que d’assister à ces tractations visant à le briser. Cela m’a donné honte d’avoir servi ces colonels et ces généraux. En tant que chef, j’ai appris à être le bouclier de mes hommes, pas le marteau utilisé pour les abattre. Apparemment, en France et dans l’Armée, tout le monde ne partage pas cette vision du service…

La quasi-totalité des militaires ne veulent pas se faire vacciner, c’est un fait. Certains l’ont fait par dépit, beaucoup ont fait des faux et quelques-uns tiennent la ligne de front symboliquement. Je ne pouvais pas accepter de devenir le mirador de la politique sanitaire du gouvernement alors même que la totalité des hommes qui me font confiance s’opposent à cette politique, pour diverses raisons. Mon rôle de chef, c’est d’être le représentant de mes hommes auprès des officiers, pas d’être le représentant des officiers auprès de mes hommes. Je défie n’importe quel chef d’aller au feu et de m’expliquer le contraire. Pour toutes ces raisons, j’ai décidé de partir de l’armée et de prendre ma retraite, j’ai précisé très clairement à mes cadres que je le faisais en opposition à leur gestion de la politique sanitaire, ce qui m’a valu un bon nombre de soucis également.

C’est « facile » pour moi en tant que vieux sous-off d’avoir cette liberté. Mais je peux vous assurer que c’est quand même une sorte de déchirement de quitter la tête basse une institution que l’on a servi pleinement pendant 30 ans. En tant qu’homme je ne peux m’empêcher de penser que l’Institution est en train de trahir ce qu’elle est ; mais en tant que militaire je ne peux m’empêcher de penser que c’est moi qui suis en train de trahir… Je crois que cela va me hanter pendant longtemps, car en réalité il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse. Je suis heureux d’avoir fait ce choix, même s’il était difficile. Et j’invite les jeunes sous-off des trois armées à écouter ce que j’ai à leur dire : vous êtes le bouclier de vos gars, leur berger, gardez ça à l’esprit, toujours. Vous avez la charge de leur vie au feu, mais aussi à l’arrière en temps de paix. Soutenez toujours leurs choix, même si parfois cela est difficile, usant ou destructeur pour vous.

Et maintenant, pour vous quel est le plan ?

Je vais déménager pour me rapprocher de mes deux enfants, qui habitent à la frontière suisse. Je me suis proposé pour faire l’école à la maison à mes deux petites filles. Cela risque de bien m’occuper, mais j’ai hâte. Ma femme va quitter son emploi actuelle et m’aider dans cette tâche aussi. Une page se tourne, c’est ainsi.

Sous-Lieutenant Clément : ESM de Saint-Cyr

Mon Lieutenant, pouvez-vous vous présenter ?

Je suis le sous-lieutenant Clément, élève officier au Premier Bataillon de France de Cyr. Je suis entré à Coet après une prépa au Vieux Bahut [Prytanée de La Flèche]. J’aspire à devenir officier depuis mon enfance, mon père étant sous-officier et mon grand-père ayant été lui-même officier, monté par l’interne.

Pouvez-vous nous dire si vous êtes vacciné, pourquoi, et ce que cela a comme effet sur votre jeune carrière militaire ?

Je ne suis pas vacciné, comme un certain nombre de mes camarades. Nous avons fait des faux pour passer entre les mailles du filet avant septembre. Tout le monde n’a pas cette chance cependant. Certains camarades de l’ESM2 et l’ESM3 ont été pris au dépourvu : les cadres ont prévu une séance de vaccination collective au retour de terrains exigeants ou de stages d’aguerrissement, à des moments ou les bazars étaient peu aptes à résister.

Mais j’ai quand même quelques exemples de ptits co courageux qui résistent courageusement. Ils se prennent une pression pas possible de la part des cadres de l’école. Les cadres nous ont aussi demandé de leur mettre la pression de notre côté… On remarquera l’ironie du sort : ça fait vingt ans que l’État nous emmerde à cause des traditions et du bahutage qui seraient soi-disant du harcèlement… Mais aujourd’hui ils nous demandent directement à nous, les Anciens, de harceler légalement les bazars non-vaccinés ou de mettre la pression à nos camarades de promo.

Je pense que ces camarades vont de toute évidence se faire exclure ou pousser vers la sortie, leur carrière est de toute façon foutue. L’encadrement lui-même s’assure de mettre les récalcitrants face au mur. En entretien, un de nos ptit-co a eu le droit à un long sermon, sur le fait que, refusant le vaccin, il était « pire qu’un terroriste » ou qu’un « combattant de Daech au Sahel ». Notre bazar, a eu la bonne idée de répondre, malicieusement, mais avec justesse, que Daech ne pouvait pas être au Sahel, puisque Daech signifie « État Islamique en Iraq et au Sham ». La remarque n’a probablement pas arrangé son cas. Mais on remarquera la perfidie d’une telle affirmation : il faut avoir beaucoup de culot pour oser dire à un jeune qui vient de passer trois ans en prépa et trois ans en école, dans l’espoir de servir son pays, qu’il ne vaut pas mieux que le dernier rat de l’État Islamique. Visiblement, notre État ne fait absolument aucune différence entre ses officiers qui défilent le 14— juillet sur les Champs Élysées, et les djihadistes qui roulent sur des enfants le 14— juillet. C’est bon à savoir…

Je sais par ailleurs que la vaccination a posé problème avec plusieurs crocos, les élèves étrangers (souvent africains), qui refusaient aussi de se faire vacciner au départ… Certains ont été menacés d’être renvoyés chez eux en Afrique. Ici encore, on notera l’ironie de la situation, politiquement… Un gouvernement qui refuse d’expulser les criminels et terroristes étrangers menace d’expulser des officiers africains hautement diplômés qui refusent de se vacciner…

Dernier point : je ne peux pas en témoigner directement, car on n’appartient pas à la même promotion, mais apparemment les officiers sous contrat de l’EMAC ont été les plus menacés. Ils ne font que 1 an à Cyr au lieu de trois ans. Donc la plupart n’étaient pas vaccinés, et ont pu un peu passer entre les mailles du filet. La politique du gouvernement s’accentuant, ils ont finalement été obligés de se vacciner, ce que certains ont refusé bien sûr, ils sont donc sur la sellette, et tout le tralala. Beaucoup ont fait des faux, mais d’autres ont été vaccinés en masse directement par le SSA à l’école. Sauf qu’ils ont eu un mauvais timing : il y avait l’inauguration de l’EMAC par la ministre Parly juste quelques jours après. Et certains officiers avaient de fortes fièvres après le vaccin, plusieurs ont fait des malaises. Les cadres de l’EMAC ont dit aux officiers qui si un seul d’entre eux tombait pendant la cérémonie avec la ministre, sa carrière serait détruite. À mon avis ils craignaient la mauvaise pub : avoir des officiers vaccinés qui tombent devant un membre du gouvernement c’est moyen. Si il est fréquent que des militaires tombent pendant des cérémonies, je crois que l’idée d’avoir d’un coup 10 personnes par terre leur faisait un peu peur. Fun fact: ça a été pareil pour le défilé du 14— juillet, non seulement ils ont menacé les non-vaccinés de ne pas pouvoir y participer, mais en plus ils ont viré du défilé les officiers vaccinés qui avaient des effets secondaires graves…

Il y a probablement dans mon témoignage des imprécisions, des détails exagérés ou d’autres que j’ai oubliés, cela mériterait que vous interrogiez directement d’autres camarades des autres promos. Je n’ai pas la prétention de parler pour les autres. Mais cela vous donne clairement un bon aperçu de la situation à Saint-Cyr. Ce n’est pas la joie. Entre les parias, ceux que l’on prend par surprise, ceux que l’on menace, ceux qui sont harcelés ou poussés vers la sortie, ceux qui se vaccinent à contrecœur et ceux qui font des faux, ça fait un sacré paquet de mécontents. J’espère que nos dirigeants s’en rendent compte et qu’ils prennent cette variable au sérieux.

Et maintenant donc, que prévoyez-vous ?

Après mon passage en DA, je vais servir quelques années, histoire de rembourser ce que je dois à ce pays. Je suis passé entre les mailles du filet, donc je vais en profiter. Mais ensuite je me barre, définitivement. L’épisode Covid a totalement détruit mes derniers accents « patriotiques ». Pour être patriote, il faut une patrie. Je refuse de servir un appareil d’État dont le principal objectif est de vendre des doses d’un vaccin israélo-américain à des Français en bonne santé. Qu’ils aillent se faire foutre. Je le dis en tant que fils et petit-fils de militaire. Je le dis en tant qu’ancien de Autun, en tant que Brution et en tant que Cyrard. Je le dis en tant qu’officier et en tant que militaire. Et je le dis en tant que citoyen. Qu’ils aillent se faire foutre.

On en parle beaucoup entre nous, je crois que le sentiment qui prédomine c’est exactement celui-là. Le ras-le-bol. Les 12 derniers mois ont fait l’effet d’un électrochoc chez beaucoup d’entre nous. Ceux qui se moquaient de ces sujets s’en moquent toujours. Mais ceux qui étaient sur le fil, qui avaient des doutes, sont aujourd’hui totalement passés de l’autre côté du miroir. Le turnover des officiers est déjà important, je crois qu’on va le voir exploser.

Je me projette peut-être un peu, mais je ne sais pas comment l’État peut résoudre ce problème. Dans le secteur hospitalier, je sais qu’ils vont faire appel à des travailleurs étrangers pour compenser les effectifs de non-vaccinés. Pour l’armée ça va être plus compliqué, mais à mon avis on va aller de plus en plus vers des contractuels, y compris étrangers, sans statut militaire, qui vont servir de de garde prétorienne à la République… Sympathique, je suis sûr que Napoléon, paix à son âme, serait fier de voir le sort qui est réservé à ses protégés par ses descendants…

En tout cas je n’ai qu’un truc à dire à ceux qui peuvent nous lire : si vous êtes militaires, EVAT par exemple, sachez qu’il y a une génération d’officier qui arrive et qui en a autant plein le cul que vous. Voilà. Si vous êtes civils, je ne sais pas quoi vous dire, si ce n’est qu’on a besoin de vous pour gueuler. Nous on ne peut rien faire. Pour l’instant. Alors c’est à vous de bouger. Mais faites-le en sachant que vous n’êtes pas seuls, il y a beaucoup de policiers, de gendarmes, de pompiers et de militaires, qui sont d’accord avec vous, sur l’essentiel. Finalement c’est le message que je veux que tout le monde retienne : vous n’êtes pas seuls. Nous sommes majoritaires. De très loin. Des gens qui ont pris le vaccin par conviction, c’est une très petite minorité. Que nous soyons non-vaccinés, fraudeurs ou vaccinés par contrainte, c’est nous la masse, c’est nous la majorité. Même si on nous fait croire le contraire. Alors j’ai un truc à dire aux dirigeants : le mot de Cambronne [Merde !].

Lieutenant de Vaisseau Marc, FUSCO

→ Capitaine, pouvez-vous vous présenter pour nos lecteurs ?

Je suis le lieutenant de vaisseau Marc, j’ai passé l’intégralité de ma carrière chez les FUSCO. Depuis cinq ans je sers au sein des commando-marine. Je suis fiancé et je suis père d’un petit garçon. Je suis par ailleurs sportif de haut niveau dans le civil.

Pouvez-vous nous dire si vous êtes vacciné, pourquoi, et ce que cela a comme effet sur votre carrière militaire ?

Je ne suis pas vacciné, comme beaucoup de mes collègues. Pour passer sous les radars, j’ai pu bénéficier de l’aide de la femme d’un camarade de l’École Navale, qui travaille au SSA dans un hôpital militaire. En d’autres termes, j’ai un faux pass et un faux certificat de vaccination.

En tant qu’officier, j’ai encouragé tous mes hommes à faire de même. J’ai même eu l’assentiment officieux de deux de mes cadres pour agir de la sorte. Cela est bien sûr totalement illégal. Mais sur le papier, l’intégralité de mon commando est vacciné. Dans la réalité, je pense qu’on a au grand maximum 30 % de « vrais vaccinés », en tout cas chez les commando-marine. Je parle un peu avec mes camarades des autres commandos ou de divers bâtiments, le schéma est à peu près le même. Il y a un certain nombre de gens qui se font vraiment vacciner, mais une grande partie qui a refusé ou qui fait des faux.

Je crois que globalement le fait que nous appartenions au COS [forces spéciales], nous permet d’avoir un peu moins la pression que les autres militaires ou que les autres professions. La priorité du commandement n’est pas de nous faire fuir. Pour former un jeune sur la filière CTLO, c’est 3 ans de formation et au moins 2 ans de déploiement pour arriver à un niveau de professionnalisation suffisant. Cela en plus de sa formation initiale. D’une certaine façon le rapport de force est en notre faveur donc, ils ne peuvent pas se permettre de nous virer, ils nous laissent globalement assez tranquilles. J’ai même l’exemple d’un officier marinier qui a pu partir il y a quelques semaines en zone Sahel, sans être vacciné, ce qui est bien sûr totalement interdit. Les chefs ont fermé les yeux, du fait qu’il avait un rôle crucial et qu’il aurait été compliqué de le remplacer en dernière minute.

Je crois malheureusement que nous sommes privilégiés, en quelque sorte. Nos amis de l’Armée de Terre font face à une forme de répression beaucoup plus agressive, c’est les remontées qu’on a de nos échanges avec eux. J’ai un camarade de prépa qui sert en régiment de transmission et qui préparait l’École de Guerre. Il se retrouve aujourd’hui sur un siège éjectable, car il a clairement refusé la vaccination. En l’occurrence, ils lui ont envoyé la DRSD, pour des motifs fallacieux bien sûr. J’ai aussi le neveu d’un voisin, qui est rentré dans l’armée il y a quelques mois et qui se retrouve bloqué à la fin de sa formation technique, la DRHAT ayant refusé de valider son affectation dans une compagnie, parce qu’il refuse le vaccin.

Je crois que dans la Marine, la plupart des gens, s’ils avaient le choix, n’auraient pas fait le vaccin. C’est paradoxal en quelque sorte, la vie d’un marin c’est de passer son temps dans les espaces exigus de bâtiments coupés de tout. On pourrait se dire que les marins auraient très envie de se vacciner pour se protéger. Mais c’est le contraire.

Il faut dire que dès le départ, nous les marins avions une preuve assez frappante du fait que le Covid ne présentait pas de danger. Nos camarades du porte-avions Charles de Gaulle se sont retrouvés tous contaminés, dès le début de l’épidémie. 1500 marins dans un espace restreint avec le Covid. Je crois qu’ils ont tous attrapé le Covid. Donc ça nous donne un bon indicateur de la dangerosité du virus : minime. Sur 1500 marins, il y a eu 10 cas de personnes nécessitant une prise en charge médicale, ça veut dire une visite médicale, même pas de la réanimation. Et je crois qu’il y a eu seulement deux cas graves, qui ont tous les deux touché de vieux camarades avec des comorbidités. L’empirisme est donc formel : chez des jeunes en bonne santé, sportifs, sans comorbidité, le risque est presque inexistant. Voire inexistant. Ce n’est pas les marges statistiques qui viendront invalider cet état de fait.

C’est la raison pour laquelle j’ai refusé de me faire vacciner : ça ne me gêne pas de prendre un vieux vaccin contre le tétanos ou ce genre de choses. Mais j’ai un gros problème avec l’idée de m’injecter, en y étant contraint, une dose de virus dans le corps, alors même que je n’ai littéralement aucune chance de souffrir de formes graves. C’est totalement incohérent. C’est ce que je pense et ce que pensent la plupart de mes collègues, chefs et subordonnés. Notre position est assez unanime sur ce plan.

Et maintenant donc, que prévoyez-vous ?

Ma position est très confortable. Je fais ce que j’aime, je passe sous les radars, mes hommes aussi. Je vais essayer de continuer à agir ainsi. Je suis plus utile à ce poste plutôt qu’au chômage. Je vais essayer autant que possible de permettre à mes gars d’éviter la piqouze. Ça me paraît être mon devoir. On a déjà suffisamment de choses à gérer pour en plus devoir se soucier de ces conneries pseudo-sanitaires.

Ce n’est pas une question de peur du vaccin, ou de quoi que ce soit. Je ne suis pas médecin, au mieux je sais poser un pansement trois côtés pour tenir un gars en vie le temps que l’evasan arrive. Mais je n’y connais pas grand-chose en épidémiologie. Le problème ce n’est pas les risques du vaccin. C’est purement une question d’honneur. J’ai juré obéissance à la France, pour des missions très précises. Par principe, je prends le droit de refuser tout ce qui sort de ce cadre. Cette pandémie est un phénomène avant tout médiatique. C’est une question d’honneur pour moi de refuser. Je suis breton, marin et commando. On nous apprend à être des requins, ils vont attendre longtemps avant de me transformer en poisson rouge nageant avec le banc. J’ai fait un choix d’homme, je l’assume totalement.

Peut-être que je me trompe et que je regretterai de ne pas avoir pris ce vaccin. Je l’assume totalement. J’use de mon droit à vivre libre et donc de me rendre compte que j’ai fait le mauvais choix. Je n’ai pas besoin de l’État pour me protéger de moi-même et de mes mauvaises décisions. Donc oui, j’ai refusé, pour une question d’honneur. Il est hors de question que je me soumette à cette contrainte ridicule. Cette mascarade est un test de foi. C’est un test pour voir qui se soumet et qui à la force de résister. Il n’y a que les chiens qui se soumettent. Mais il n’y a que les idiots qui sortent du rang et lèvent le bras quand on demande des volontaires pour le peloton d’exécution. Il faut être assez malin pour refuser le collier sans s’aliéner le maître, pas tout de suite en tout cas. Donc je refuse tout en ménageant mes possibilités, en faisant des faux, en passant sous les radars.

Si la situation n’empire pas, je pense qu’on pourra continuer sur cette lancée. Mais si la Marine serre la vis ou si le gouvernement serre la vis, on devra aviser. Je ne sais pas trop jusqu’où ils sont prêts à aller, donc je ne sais pas jusqu’où nous sommes prêts à aller aussi. Nous verrons. Mais il y a certaines lignes rouges à ne pas franchir, je pense qu’ils savent exactement lesquelles, je l’espère. Sinon l’issue de tout cela risque d’être tristement compliquée pour tout le monde. Croyez-moi, ils n’ont aucune envie d’avoir ne serait-ce que 40 anciens commandos foutus au chômage forcé. En fait, même un seul ça serait déjà beaucoup, ce serait déjà dangereux. Ils le savent.

Le gouvernement doit prendre conscience que même si les militaires sont muets, ils ne sont pas aveugles. Nous avons des yeux pour voir les infos, y compris celles des médias indépendants, pas toujours très sérieuses, mais souvent très utiles. Nous avons des familles, des frères et sœurs qui travaillent dans le civil. Parmi les infirmières que vous mettez au chômage ou que vous noyez dans les gaz lacrymogènes le samedi, il y a des femmes de militaires, des femmes de gendarmes, des femmes de policiers… Nous avons des enfants voire des petits-enfants, alors quand vous vous permettez d’utiliser nos petits comme des cobayes, rappelez vous qu’il y a dans le lot des enfants de militaires. C’est-à-dire les enfants d’hommes dont le métier consiste essentiellement à mettre symboliquement et physiquement leur vie en jeu pour protéger l’avenir des enfants de France.

Nous nous taisons, car c’est notre métier. Mais nous nous forgeons un avis en silence, rappelez-vous-en. Avec votre politique, vous êtes en train de vous aliéner une partie de l’armée, une partie des militaires, de tous grades. Mais surtout, et c’est le plus important, vous vous aliénez la population française, vaccinée ou pas. Rappelez-vous que les non-vaccinés le sont par conviction, mais que très peu des vaccinés l’ont fait par conviction. Ils ne descendront pas dans la rue pour défendre la République Vaccinale. L’immense majorité des vaccinés, y compris dans l’armée, l’ont fait pour avoir la paix. Si vous ne leur donnez pas la paix qu’ils méritent enfin, vous allez bientôt vous retrouver avec un énorme bloc de 20 % de citoyens, transversal à toutes les classes et tous les métiers, qui n’a aucune envie de reculer. Un bloc acculé qui ne va pas cesser de grossir. J’appréhende beaucoup ce qui peut sortir d’une telle fracture. Je crois que nos dirigeants aussi, je l’espère en tout cas. Car s’ils choisissent la voie du jusqu’au-boutisme, l’issue sera explosive, je peux vous l’assurer.

Colonel Antoine : chef de corps d’un régiment de cavalerie

→ Mon, Colonel, pouvez-vous vous présenter ?

Je suis le Colonel Antoine, je suis chef de corps d’un régiment de cavalerie. Je dirige au quotidien près de 800 hommes et femmes qui ont choisi la voie des armes. Dans ma vie privée, je suis marié et père de cinq enfants.

→ Mon, Colonel, êtes-vous vacciné ? Pourquoi ? Quels effets cela a-t-il sur votre carrière ?

La décision a été très difficile à prendre pour moi. J’ai une méfiance naturelle envers les vaccins, depuis longtemps. Mon frère cadet est atteint de sclérose en plaques. Selon les médecins, cela est très probablement dû au fait que notre mère se soit vaccinée contre l’hépatite pendant sa grossesse. La maladie s’est déclarée tard chez mon frère, mais j’ai vu sa santé se dégrader à un rythme terrifiant. À mesure que l’armée faisait de moi un homme plus fort et plus solide, je voyais mon frère être détruit par la maladie. Tout cela à cause d’un vaccin. Autant vous dire que je n’ai jamais apprécié les vaccins, et tout au long de ma carrière militaire j’ai essayé de crassusser (éviter) les séances de vaccination, comme on dit. Mon médecin généraliste m’a beaucoup aidé à chaque fois.

En théorie je n’aurais donc pas dû faire le vaccin Covid. Pas plus celui-là qu’un autre donc. Mais je me suis trouvé face à un cas de conscience affreux. J’ai compris assez vite que le vaccin allait être obligatoire pour les militaires, les informations circulaient avant l’annonce officielle. Nous avons longuement discuté de ce sujet avec plusieurs cadres du BOI de mon régiment [l’état-major du régiment]. Il m’est alors apparu avec assez d’évidence que nous allions nous trouver face à plusieurs types de profils : des soldats vaccinés volontairement, des soldats vaccinés par dépit, des soldats faussement vaccinés et des soldats non vaccinés prêts à résister. Quatre catégories de soldats, ce qui est déjà une aberration alors que toute notre mission consiste à créer de l’efficacité en créant de la symbiose, c’est-à-dire de la cohésion.

En tant que chef, j’ai beaucoup hésité à démissionner, à écrire à la presse, à écrire à mes chefs. À entrer dans le rapport de force. Je ne l’ai pas fait. J’ai décidé de rester à mon poste et d’utiliser tout le pouvoir que j’avais pour laisser le plus grand choix possible à mes hommes, en laissant une grande marge de manœuvre aux CDU [capitaines de compagnie], en faisant traîner au maximum les demandes du SSA et de la DRHAT [Service de Santé des Armées et Direction des Ressources Humaines], en laissant circuler les bonnes astuces pour récupérer de faux pass ou de faux certificats de vaccination.

Mais j’ai rapidement pris conscience d’une chose. Malgré cela, il y aurait des soldats qui ne pourraient pas passer sous les radars, ou simplement qui refuseraient de se plier à l’impératif et qui refusaient même l’idée d’avoir un faux. Il y a eu quelques cas. Je pense notamment à un caporal-chef, qui refusait désespérément de se faire vacciner, mais qui refusait aussi de faire un faux certificat, par principe, car il refusait d’avoir un passe-droit, car il voulait se montrer solidaire avec ceux qui ne pouvaient pas avoir de faux ou qui ne voulaient pas. Je l’ai reçu cinq fois dans mon bureau, pour essayer de le convaincre. Il m’a expliqué qu’il avait peur de perdre son travail et d’être renvoyé de l’armée, car il a une fille de quatre ans, un prêt, des parents vieillissants. Je lui ai expliqué que c’était une raison de plus pour lui de jouer profil bas et d’accepter l’idée d’avoir un faux certificat, pour rester militaire.

Ce caporal-chef m’a répondu qu’il ne pouvait pas s’y résoudre. Vous savez ce qu’il m’a répondu ? Il m’a dit « Je ne peux pas supporter l’idée que je doive me soumettre et perdre mon âme pour avoir le droit d’élever ma fille normalement. Je préférerais que ma fille grandisse sans père, plutôt qu’elle grandisse en étant fière d’un père qu’elle ne peut admirer que parce qu’il s’est couché et a rampé ».

J’ai compris ce jour-là qu’il serait plus facile pour moi d’envoyer ce caporal-chef dix fois à Verdun ou à Uzbin, plutôt que de réussir à lui faire renier ses principes. J’ai compris que j’allais devoir le virer. Ou plutôt que, à travers moi, l’armée allait le virer.

Cette situation m’a fait beaucoup réfléchir à mon rôle de chef et à mes valeurs d’homme. J’ai passé des nuits blanches entières, préoccupé par ces questions : quel genre d’homme je suis si, confortablement caché derrière les concessions que je fais, je m’autorise à juger de l’avenir de ceux qui refusent ces mêmes concessions ?

J’ai donc décidé de me faire vacciner. Je n’avais pas à le faire, car j’avais déjà un certificat valide, un faux, mais j’ai décidé de me faire quand même vacciner. Par respect pour ces hommes dont j’ai la responsabilité. Ceux qui se sentent obligés de se faire vacciner pour conserver l’emploi qui nourrit leur famille. Ceux qui utilisent des faux tout en ayant conscience de s’être déjà à moitié soumis. Et pour tous ceux qui, comme le caporal-chef, vont perdre leur travail, car ils refusent la compromission.

C’est peut-être la plus grande erreur que j’ai faite de ma vie. Mais paradoxalement je me sens en paix avec ma conscience. J’avais le pouvoir de refuser la compromission et de « passer entre les gouttes ». Mais tous n’ont pas ce pouvoir. Moralement en tant que chef, je ne pouvais supporter l’idée de diriger des hommes sans être au même régime qu’eux. Maintenant, je suis dans leur situation. Nous partageons la même chose. Ils ne le sauront pas et ils s’en moquent. Et je m’en moque. Mais j’ai fait ce que je pensais être juste et ce que me commandait mon éthique et mon honneur. Mon C2 [commandant en second] a fait exactement le même choix et m’a accompagné sur cette voie, il a décidé après coup de se faire vraiment vacciner, pour être dans le même bateau que nos hommes qui ne peuvent pas refuser et pour pouvoir nous regarder dans le miroir quand on devra pousser vers la porte des Anciens qui eux ont refusé de se compromettre.

Ce sont des choix déchirants. Je ne dis pas qu’il y a un bon et un mauvais choix. Nous avons tous des situations différentes. Certains peuvent entrer dans le rapport de force, d’autres ont moins de marge de manœuvre et préfère passer sous les radars. Certains pourraient passer sous les radars, mais leur sens moral est tel qu’ils préfèrent tout perdre que de céder un millimètre à leur ennemi… Dans cette histoire, il n’y a pas plusieurs camps en réalité, il y en a un seul : la population contre le gouvernement et ses donneurs d’ordre. J’ai un profond mépris pour l’appareil politique qui a créé toute cette situation, pour tous les déchirements que cela entraîne.

Lieutenant-Colonel Gabrielle : médecin militaire au SSA

→ Colonel, pouvez-vous vous présenter ?

Je suis le Lieutenant-Colonel Gabrielle, je suis médecin militaire au SSA. J’ai servi en antenne et en hôpital militaire. Je suis mariée et mère de trois enfants.

→ Colonel, êtes-vous vaccinée ? Pourquoi ? Quels effets cela a-t-il sur votre carrière ?

Je ne suis pas vaccinée, je ne me ferai jamais vacciner contre le Covid 19. J’ai fait en sorte d’obtenir un faux certificat, comme certaines de mes collègues. Je crois profondément dans mon rôle de médecin, qui consiste à soigner et sauver des vies. La politique de vaccination autour du Covid n’entre certainement pas dans ce cadre-là. Je me refuse à injecter des soldats avec une substance supposée les protéger d’une maladie… qui ne peut de toute façon pas les tuer. Je me refuse à leur injecter un vaccin qui ne les empêchera de toute façon pas d’être porteurs ou de transmettre la maladie.

Je suis par ailleurs assez sceptique quant à ce vaccin, si efficace et si consensuel qu’il est nécessaire de passer par la coercition pour que les gens acceptent de le recevoir. Un vaccin contre un virus qui, rappelons-le, est si agressif que les gens sont obligés de faire plusieurs tests pour savoir s’ils sont malades… La politique sanitaire du gouvernement n’a véritablement aucun sens, en tout cas pas sous l’angle sanitaire.

Je fais partie des médecins qui considèrent que, de façon empirique, contre une maladie il faut trouver un remède, pas un vaccin. Il est inutile de traiter des gens qui ne peuvent de toute façon pas développer de formes graves. Par contre, il est très utile de développer des médicaments capables d’atténuer ces formes graves SI elles se présentent. C’est la question que je pose aujourd’hui : cela fait près de deux ans que nous faisons face à cette crise sanitaire, donc où en sont les remèdes éventuels contre le virus et ses symptômes ? Est-ce qu’on a au moins essayé d’en trouver ? Ou même pas ?

Je fais aussi partie de ces médecins qui considèrent que vacciner massivement et de façon indiscriminée PENDANT la phase de croissance épidémique est une très mauvaise idée, car c’est le meilleur moyen de laisser apparaître ce que l’on nomme des variants d’échappements. Cela est bien documenté dans la presse spécialisée, mais pour faire très simple : le vaccin permet d’uniformiser le « marché », ce qui simplifie grandement la tâche du virus, qui n’a plus à s’adapter à chaque individu, mais qui trouve au contraire un point d’accroche commun chez tout le monde, via le vaccin. Après quoi le virus n’a plus qu’à opérer une seule mutation, lui permettant de surpasser le vaccin. Et d’un virus finalement inoffensif, on se retrouve alors avec un virus extrêmement agressif.

Bref, même sans être médecin, il y a un grand nombre de points qui posent sérieusement question dans la gestion de cette crise sanitaire. Et je pense qu’ils mériteraient d’être discutés de façon démocratique. Le fait que le gouvernement passe par la coercition prouve selon moi que le Covid n’est plus une question médicale, c’est devenu une question politique, et seulement politique. Et l’armée (pas plus que la population civile) ne devrait pas payer le prix de cette folle politique. Ça ne viendrait à l’esprit à personne de rendre le vaccin contre la grippe obligatoire. C’est exactement ce que l’on fait avec le Covid.

Voilà les raisons qui font que j’ai refusé la vaccination. Et voilà les raisons qui font que j’ai décidé, depuis juin dernier, avec l’aide d’un capitaine et de plusieurs auxsan, de ne pas vacciner au sein de l’armée. Ou plutôt, de vacciner ceux qui le souhaitent vraiment, mais de permettre à ceux qui ne le veulent pas d’obtenir un faux.

Ce que je fais est totalement illégal, je sais qu’il y a un risque et je sais que nous finirons probablement pas être découverts ou dénoncés. Cela arrivera. Mais je quitterai l’armée en ayant au moins la conscience tranquille. J’ai la conviction que je protège plus la santé de la troupe en ne les piquant pas plutôt qu’en les piquant.

Je suis certes un médecin et un militaire. Mais je suis et je reste avant tout une femme et une mère. Je connais le prix de la vie, ce qu’elle coûte, ce qu’elle vaut, ce qu’elle implique. Je connais la beauté de la vie, celle qu’on peut voir dans les yeux d’un enfant qui rigole. Mais je connais aussi la fragilité de la vie, celle qu’on peut voir en regardant les yeux d’un patient qui est en train de partir pour sa dernière chevauchée. Mon rôle est de défendre la vie.

Mes collègues en régiment défendent la vie en risquant la leur. Je ne peux pas me résoudre à bafouer ces sacrifices qu’ils font en mettant leur vie en danger simplement parce que j’obéis aux ordres du gouvernement. La seule chose que je fais donc, c’est de rendre à chacun le choix que le gouvernement leur a enlevé. Je les rends maîtres de leur destin et je les laisse choisir. Je laisse mes auxsan faire de même et je les couvre autant que possible.

Et vous savez quoi ? Quand les gens ont le choix, en général ils décident tous de ne pas se faire vacciner. Et croyez-moi, c’est exactement la raison pour laquelle le vaccin est obligatoire pour les militaires et en passe de l’être pour les civils : parce que sinon, personne ne voudrait se faire vacciner. Parce qu’au fond, sauf quelques exceptions, tout le monde sait très bien que cette situation autour du Covid n’est pas médicale, mais politique. Les gens ont du bon sens, c’est pour ça que le gouvernement a besoin de la coercition. Et c’est pour rendre honneur au bon sens des gens et à la valeur de leur vie que je me refuse à être un agent de cette coercition. Et je ferai cela jusqu’à ce que les gendarmes viennent me chercher par la force.

Général Guillaume : Général de Division

→ Mon Général, pouvez-vous vous présenter ?

Je suis le Général Guillaume. J’ai intégré Saint-Cyr dans les années 1980 puis j’ai fait l’intégralité de ma carrière dans l’infanterie (Troupes de Montagne, Troupes de Marine) puis en état-major. Je suis aujourd’hui Général de Division.

→ Mon Général, êtes-vous vacciné ? Pourquoi ? Quels effets cela a-t-il sur votre carrière ?

Je suis vacciné, j’ai pris la décision personnelle de me faire vacciner en conscience, car je fais partie de la population considérée comme « à risque ». Je souffre d’une maladie que je traîne de façon chronique depuis Daguet [la Première Guerre du Golf], une maladie qui m’a abîmé les poumons. Rien de grave dans la vie quotidienne, mais en cas de complication due au Covid, mais chances de survie ne sont pas garanties. Pour moi, cela faisait donc sens de me vacciner, je l’aurais fait de toute façon.

Pour autant, j’ai encouragé mon épouse et mes enfants et petits enfants à ne pas le faire. Le vaccin s’adresse surtout à des gens comme moi. En fait, il s’adresse même exclusivement à des gens comme moi. Mon petit fils de 13 ans n’a absolument aucune raison de se faire injecter. C’est un non-sens. Je suis partisan d’une approche responsable de la vaccination, basée sur la responsabilité individuelle : les gens qui veulent se vacciner, car ils sont à risque (réellement à risque), doivent pouvoir le faire. Mais c’est tout.

Je trouve qu’il est absolument scandaleux que l’on force de façon directe ou indirecte des citoyens français à se faire vacciner contre une maladie somme toute bénigne, en tout cas qui ne les menace pas. Mon petit fils, dont je viens de parler, fait du rugby et du VTT en club. Il a un très bon niveau en rugby, mais aujourd’hui il ne peut plus aller aux entraînements, car il n’est pas vacciné. C’est absolument stupide. Et c’est même criminel.

On observe la même chose dans l’armée ainsi que dans la gendarmerie : des militaires d’une grande valeur sont poussés vers la sortie en raison de leur statut vaccinal. L’armée manque de moyens, mais pourtant on refuse à certains jeunes la possibilité de s’engager, uniquement car ils ne sont pas vaccinés… De même, l’armée manque de cadres de contact, de sous-officiers, et pourtant l’institution se met à faire la chasse à ces sous-officiers qui refusent de se faire vacciner. Ou pire, à ces sous-officiers qui refusent de jouer la police sanitaire dans leur groupe ou leur section.

Lors d’une visite dans un régiment, j’ai un lieutenant qui m’a interpellé de façon assez directe et assez inhabituelle quand nous étions entre nous. Nous parlions de plusieurs sujets et nous en étions arrivés à parler du sujet de la vaccination et j’ai laissé entendre de façon subtile que je pensais beaucoup de mal de la politique du gouvernement et du CEMA, totalement déconnectée de la réalité du terrain. Le jeune lieutenant n’a pas manqué de me demander, plein de candeur : « Mais Mon Général, vous êtes général, pourquoi vous ne faites pas quelque chose, pourquoi vous ne vous opposez pas à ces décisions ? »

C’est une question légitime. Mais tellement naïve. En tant que général de division, j’ai une meilleure paye que ce lieutenant. J’ai aussi plus d’avantages. Plus d’ancienneté. Plus de responsabilités et plus d’autorité aussi. Mais ça ne veut pas dire que j’ai plus de pouvoir que lui. La structure de l’armée est faite de telle façon que, plus vous montez dans les échelons, plus vous avez de l’autorité. Mais vous n’avez jamais vraiment plus de pouvoir. Vous remarquez vite, à chaque nouvel échelon, qu’en fait le pouvoir décisionnaire véritable vous échappe toujours. En tant que militaires on sait bien que le pouvoir est pyramidal, hiérarchique, vertical. On sait bien qu’on aura toujours moins de pouvoir que la personne du dessus. Mais on croit quand même très naïvement que l’on aura, à chaque échelon, un peu plus de pouvoir qu’à l’échelon précédent. On croit que le « pouvoir » est une sorte d’entreprise, où certains sont actionnaires majoritaires avec 51 % des parts, où d’autres ont seulement 30 % et d’autres 5 %, 2 %, 1 %. On espère qu’à chaque nouvel échelon que l’on grimpe, on gagnera quelques parts de pouvoir supplémentaires.

C’est totalement faux en réalité. Cette vision est totalement fausse. J’ai aussi peu de pouvoir aujourd’hui après quatre décennies de carrière qu’hier, quand j’étais un khornichon de 16 ans. Le pouvoir n’est pas pyramidal. Le pouvoir est un point de concentration unique. Et il n’est pas dans la main des militaires. Nos dirigeants ont le pouvoir sans la responsabilité. Nous, militaires, avons la responsabilité sans le pouvoir. La vie est bien faite…

Je ne sais pas si vous comprenez exactement ce que j’essaye d’expliquer. En réalité je suis en train de vous expliquer que je suis tout aussi impuissant qu’un boulanger ou qu’un caporal face à la situation actuelle. Je vous témoigne de ma propre impuissance. C’est mon cas, et c’est le cas de la totalité de mes collègues, quel que soit le nombre d’étoiles. Je crois que même le CEMA et le CEMAT savent très bien que leur marge de manœuvre est totalement limitée.

Face au traitement qui est réservé à nos subordonnés, nous n’avons aucun pouvoir. J’ai personnellement essayé de faire entendre une voix discordante, comme certains collègues, cela a été inutile. J’ai essayé de faire remonter les plaintes que je recevais de certains chefs de corps, cela a été inutile. J’ai écrit plusieurs lettres, transmettant des témoignages déconcertants que je recevais de plusieurs officiers. Je n’ai jamais reçu rien d’autre que du silence.

Et pourtant, les éléments que je portais à la connaissance de mes supérieurs étaient très préoccupants. Des centaines et des centaines de cas de militaires qui se retrouvent totalement inaptes après avoir été vaccinés. Je citais notamment le cas dans une lettre d’un jeune EVAT dans un régiment des troupes de montagne : il s’est engagé à 19 ans, il a fait sa formation initiale et sa formation de spécialité, il sort dans les trois premiers de sa cohorte. Il avait un profil très sportif, bien câblé, le genre qui une tête bien remplie et des bras bien faits, typiquement le genre de jeune que son CDU aurait pu orienter vers les GCM ou l’EMIA [Commando-Montagne ou École d’Officiers]. Sa section a été vaccinée par le SSA : après sa seconde dose, il s’est retrouvé immobilisé pendant plusieurs semaines. Il a développé des symptômes d’embolie pulmonaire, avec des difficultés respiratoires assez graves, qui l’empêchent même de parler sans être essoufflé. Vous savez ce qui lui est arrivé ? Le jeune s’est fait virer, l’armée a artificiellement prolongé sa période probatoire pour pouvoir briser son contrat, au motif qu’il « présentait des contre-indications médicales au métier militaire ». Et c’est tout. Voilà. Ce pauvre jeune qui aurait fait un très bon soldat se retrouve dans le civil, avec des poumons détruits irrémédiablement.

J’ai écrit à un ami à la DRHAT pour ce cas précis, sur lequel j’étais bien informé. Vous savez ce qui s’est passé ? Ce n’est pas mon ami qui m’a répondu. J’ai reçu une lettre d’un supérieur, qui m’a expliqué que « je sortais totalement de mon rôle » en m’intéressant à ce « sujet secondaire ». Je lui ai répondu que mon rôle d’officier c’est aussi d’être capable de sortir des sentiers battus et d’alerter mes chefs quand je vois que des décisions politiques sont en train de détruire l’armée que je sers.

Car c’est ce qui est en train de se produire. Des cas comme celui que je viens d’évoquer, il y en a des milliers. Je n’exagère pas. Des milliers de jeunes et de moins jeunes avec des symptômes plus ou moins graves. Cette campagne de vaccination précipitée cause plus d’attrition et de pertes à l’armée que nos 20 dernières années d’OPEX… Vous vous rendez compte de l’imbécillité de la chose ?

Mais le pire ce n’est pas ça. Le pire c’est que les hommes s’en rendent compte. Tout le monde dans l’armée connaît au moins un collègue, un proche, un chef ou un subordonné, qui se retrouve mal en point après le vaccin. Les rumeurs circulent, les gens parlent et débattent de tout ça. Le climat est d’autant plus grave qu’on atteint une forme de paranoïa, légitime, où n’importe quel arrêt maladie ou n’importe quel décès dans l’armée est lié au vaccin. Je ne dis pas que c’est le cas, l’armée compte près de 200 000 personnels, statistiquement il y a forcément des malades et des morts. Mais nos hommes sont tellement habitués à voir leurs camarades souffrir d’effets secondaires, qu’ils se mettent à cibler le vaccin pour chaque petit problème.

Le problème de tout cela, c’est que les conséquences sont extrêmement délétères. La méfiance et la défiance montent dans certaines unités. L’armée ne communique pas. Le SSA ne communique pas. La seule chose que les hommes voient c’est qu’ils doivent se faire vacciner, sinon ils seront traînés dans la boue et virés. Et s’ils se vaccinent, ils voient que certains de leurs amis souffrent de complication. Je suis désolé de dire ça, mais même le dernier des mercenaires n’accepterait jamais d’être traité avec si peu de déférence.

Il ne faut pas s’étonner, après, que des dizaines de milliers de militaires décident de sortir de cette boucle infernale en se faisant faire des faux, ou en ne renouvelant pas leurs contrats. Vous pouvez demander énormément de choses à un soldat tant que vous le faites avec autorité, gravité et respect. Mais il y a certaines limites. Cette façon de traiter nos militaires, en variable d’ajustement et en cobaye, est absolument outrageante.

Je crois que les hommes accepteraient bien tout cela, si c’était effectivement la seule façon de se prémunir d’un péril immense. Et si on le leur demandait droit dans les yeux. Le risque fait partie du métier de militaire.

Mais les risques qu’ils prennent aujourd’hui, ils les prennent pour des raisons purement politiques. J’ose affirmer que, au bout du compte, un caporal-chef de 25 ans ne va pas mourir ou tuer qui que ce soit s’il refuse de se vacciner. J’ose l’affirmer, et je défie M. Véran d’aller défendre l’argument contraire et d’aller expliquer à une section de capo-chefs que, s’ils ne sont pas vaccinés, ce sont des irresponsables qui risquent la mort et qui risquent de tuer leurs proches.

Je sais que certains de mes collègues ne seront pas d’accord avec ce que je vais dire, mais je vais le dire : cette épidémie de Covid est avant tout une épidémie médiatique. Dans le sens, où elle est purement fabriquée par une sorte d’hystérie médiatique. Habituellement, des réseaux politico-médiatiques s’agitent pour influencer sur le bulletin que l’on choisit de mettre dans l’urne : les gens ne voteront pas pour le candidat qui les a convaincus, ils votent pour le candidat que les médias ont promu. C’est le fondement de notre démocratie. Aujourd’hui, ces mêmes réseaux politico-médiatiques sont recyclés pour encourager les gens à la vaccination. Les gens ne se vaccinent pas parce que le vaccin les a convaincus, mais parce que les réseaux politico-médiatiques les convainquent de se faire vacciner. C’est tout. Le cœur nucléaire de la pandémie de Covid ce n’est pas le virus, ou le vaccin. Le cœur nucléaire de la pandémie de Covid ce sont les médias et ceux qui dirigent les médias, qui dirigent les médias dans un certain sens.

Vous doutez de ce que je dis ? Posez-vous une question toute simple : si vous n’aviez pas accès aux médias et s’il n’y avait aucune mesure sanitaire, est-ce que vous seriez capable de dire que le pays fait face à une épidémie ? Je veux dire, est-ce qu’en vous promenant, en parlant avec vos proches, vous seriez capables de dire qu’il y a une épidémie ? Moi non. Absolument pas. Car l’épidémie n’existe pas, ou alors de façon extrêmement marginale. Pendant la Peste noire, mon village en Franche-Comté est passé d’environ 1700 habitants à moins de 25 habitants. Il restait 6 familles. Je peux vous assurer que ces 6 familles n’avaient pas besoin de France Inter pour se rendre compte qu’elles faisaient face à une épidémie. Vous si. Sans médias et sans mesures gouvernementales, notre vie serait exactement la même qu’il y a 2 ans. Tout au plus, certains se plaindraient du fait que la grippe, cette année, a été particulièrement agressive. Et c’est tout.

C’est pour moi la preuve que cette pandémie est, avant toute chose, une création ou une exagération médiatico-politique. Dans les TTA de l’armée française ou dans la documentation de l’OTAN, tout cela est regroupé dans un champ d’études très précis, celui des CIMIC, les actions civilo-militaires. En langage plus compréhensibles, on appelle cela les PSYOPS, la guerre psychologique. L’idée est simple : comment, par des moyens non militaires, une armée va gagner les cœurs et les esprits de la population et entraîner son adhésion à une cause ou une idée.

Dans la BSS [Sahel], nous avons plusieurs programmes de ce type : distributions de matériel et de cadeaux à la population civile, campagnes sur les réseaux sociaux visant à changer la perception des civils locaux envers l’Armée française, etc. Non seulement ces techniques sont utilisées, mais elles marchent très bien, très très bien même. C’est la raison pour laquelle nous avons des TTA [manuels] complets sur le sujet en France depuis les années 1970, et que les Américains et les Britanniques ont des unités spécialisées dans ce domaine. Avec assez de moyens, sur le long terme, les PSYOPS permettent d’obtenir des résultats exceptionnels sans avoir à déployer un seul GTIA sur le terrain.

Pour moi, la pandémie de Covid entre exactement dans le champ des CIMIC ou PSYOPS. Pour moi, nous sommes de fait dans une forme de guerre psychologique qui est menée contre la population civile française de façon à lui faire croire :

  • qu’elle fait face à une menace grave et existentielle (le virus)
  • que le seul moyen d’y faire face et de sacrifier certaines libertés au gouvernement.

Je ne dis pas qu’il y a un grand plan coordonné visant à mener une guerre psychologique à la population civile française. J’ai beaucoup de mal à imaginer cela. Mais je dis que c’est de facto ce qui se produit, les Français sont attaqués par des moyens de guerre psychologique, les premiers étant les médias et leur pornographie de la peur. Est-ce un traitement médiatique conscient ? Ou bien totalement inconscient et seulement guidé par l’appât du clic et du gain ? Je n’en sais rien, je ne suis pas journaliste.

Mais ce qui est certain c’est que la population française est attaquée. Très clairement. Dans les faits, peu importe qui est le responsable et qui vise quoi, à quelles fins, j’observe simplement que notre population est attaquée, ses représentations mentales sont parasitées et attaquées. Et les effets de ces attaques, on les voit depuis deux ans : une démission totale de tout sens moral et critique, un abandon et une acceptation des politiques du gouvernement.

C’est ce qui me pousse à dire que notre gouvernement est complice et coupable. Un gouvernement doit avoir assez de hauteur de vue pour voir quand sa population est menacée et attaquée, y compris quand cette attaque est purement informationnelle. Et ayant remarqué cette menace, le gouvernement doit agir pour protéger sa population. S’il ne réagit pas, il est soit incompétent, soit complice. Notre gouvernement ne réagit pas, mais en plus il prend part lui-même à l’attaque en contribuant à répandre la peur. Il va même plus loin, non seulement il contribue à bombarder sa propre population, mais il sabote même sa propre armée, en bombardant mentalement sa propre armée. Dans le langage de la marine, on appelle cela un sabordage. Dans le langage courant, on appelle cela un coup de poignard dans le dos. Dans le langage universel, on appelle cela une trahison.

J’accuse donc les institutions politiques de mener une politique sanitaire totalement inique. Une politique sanitaire qui est en train de fracturer profondément notre armée, de détruire la confiance des hommes dans leurs chefs, de détruire notre culture du commandement, de détruire des régiments, de détruire des vocations. Et surtout, de détruire des hommes.

Et ce constat est autant valable dans l’armée que dans la population civile. Cette façon de faire, ces attaques psychologiques et cet empire du mensonge ne détruisent pas seulement la cohésion des régiments. Ils détruisent la cohésion des familles, la cohésion des couples, la cohésion des entreprises, la cohésion des groupes d’amis… Le gouvernement, par sa politique totalement irresponsable, est en train de semer les germes de la défiance, de la sédition et de la guerre… dans son propre pays.

Le militaire, c’est l’homme qui s’engage à se battre pour retrouver ensuite son pays plus grand et plus paisible. Je peux vous assurer qu’un militaire qui rentre aujourd’hui, en 2021, d’une mission au Sahel, ne peut absolument pas dire que le pays qu’il retrouve est plus paisible qu’il y a un an. Les militaires sont des hommes de paix, ils veulent la guerre aujourd’hui pour avoir la paix demain. Vous êtes en train de leur arracher cet espoir et de cliver durablement le pays. Vous êtes en train de détruire la paix pour laquelle les militaires se battent…

Cette façon de faire est de toute façon très grave. Si elle est involontaire, elle est la preuve d’une grande irresponsabilité. Si elle est volontaire, elle est la preuve d’une grande noirceur d’âme. Les gens qui agissent de la sorte sont hideux et vils, j’ose le dire en sachant très bien que je parle de mes supérieurs : vous êtes hideux, vils et s’il existe quelque part quelque chose qui s’apparente à l’Enfer, croyez bien que votre place là-bas est déjà réservée.

Je n’ai qu’un mot à dire pour finir, un mot que j’adresse indifféremment aux militaires comme aux civils : la situation est compliquée. Je suis aussi perdu que vous, tout autant que beaucoup de mes amis, collègues, supérieurs et subordonnés. Je pense que nous sentons tous le « vent du changement », comme dit la célèbre chanson de ma jeunesse. Mais je suis incapable de vous dire vers quoi nous allons. Si nous allons vers une issue heureuse, ou bien vers des heures encore plus difficiles.

La seule chose que je peux vous garantir, c’est qu’il y a de toute façon des données invariables : la famille, les valeurs du travail, de l’amitié, l’amour pour votre conjoint et vos enfants, toutes ces petites choses-là vous aideront à franchir les grandes vagues et à éviter la submersion (et la subversion). Ne succombez pas aux divisions et aux diversions. Ne vous laissez pas submerger par l’impuissance ou l’indécision. Vous êtes encore capables de faire des choix et en plus de faire les bons choix. Il vous suffit de vous poser les bonnes questions. Les bonnes décisions sont souvent difficiles à prendre. Mais elles en valent la peine. Alors, prenez soin de vous. Et comme on dit chez les paras : être et durer. Soyez ce que vous êtes et ayez pour seul et unique objectif de traverser tout cela, de laisser quelque chose, d’être plus fort que les nuages sombres qui nous menacent. Vive la France !

Alice, femme de militaire

→ Madame, pouvez-vous vous présenter ?

Je m’appelle Alice, je suis mariée et mère de quatre enfants. Mon mari est sous-officier dans l’armée de terre dans un RPIMa. Aujourd’hui, je veux témoigner en mon nom, mais aussi au nom des autres femmes de militaires. Je pense que certaines se reconnaîtront dans mes paroles et j’espère que je porterai leurs états d’âme comme il se doit.

→ Madame, êtes-vous vaccinée ? Pourquoi ? Qu’en est-il de votre mari ? Quels effets la politique de vaccination a sur votre famille et votre couple ?

Je suis enceinte de notre quatrième enfant. Au cours de ma grossesse, mon mari et moins nous sommes beaucoup documentés, pour avoir les témoignages d’autres femmes enceintes, savoir comment elles géraient cela. Ce que j’ai vu est horrifiant. J’ai vu des centaines de femmes témoignant de fausses couches. Au début, je n’étais pas particulièrement opposée à la vaccination, j’étais plutôt indifférente même. Mais ces témoignages m’ont beaucoup fait douter et mon mari également. Si un vaccin détruit la vie d’un petit bébé dans le ventre de sa mère, c’est probablement que ce vaccin n’est pas là pour notre bien.

Mais en même temps j’ai aussi été sensible aux campagnes gouvernementales et à ce que j’entendais dans les médias :

« Si vous êtes enceinte, vous DEVEZ vous faire vacciner sinon vous êtes une mère irresponsable qui met la santé de son enfant en danger ! ».

Lors des échographies à l’Hôpital, j’avais le droit au discours culpabilisant du genre :

« Comment, mais vous n’êtes pas vaccinée ? Vous êtes au courant qu’il y a une épidémie et que vos choix risquent de tuer votre bébé ?! »…

J’exagère à peine. Cette période a été difficile pour mon mari et pour moi. Toutes ces injonctions contradictoires étaient difficiles à gérer.

À la fin j’étais tellement sous pression que j’ai décidé de céder. J’ai pris rendez-vous pour me faire vacciner. À ce moment-là, la campagne de vaccination était surchargée et mon rendez-vous était dans quinze jours. Sauf que pendant ce délai, il s’est passé deux événements qui m’ont fait changer d’avis.

Un midi, mon mari m’appelle depuis le régiment et il me dit tout affolé : « Décommande ce rendez-vous pour la vaccination ! La femme de l’adjudant X s’est fait vacciner et elle vient de faire une fausse couche ». Il s’agit de la femme d’un collègue de mon mari, qui était à presque 6 mois de grossesse. Je vous laisse imaginer ce qu’elle a vécu et ce qu’a vécu son mari à elle aussi…

Évidemment, ça m’a fait beaucoup douter, mais j’ai refusé de décommander mon rendez-vous, je me suis dit que j’allais attendre et voir, que je pouvais toujours décommander au dernier moment… J’ai attendu et j’ai vu. Quatre jours après, ma cousine, qui est sage-femme, m’appelle. Ça faisait plusieurs mois que je n’avais pas de ses nouvelles, elle était juste au courant que j’étais enceinte. Elle m’appelle et me laisse juste ce message sur mon portable :

« Alice, je sais que tu es enceinte, j’espère que la grossesse se passe bien. Je ne sais pas si tu es déjà vaccinée, mais si ce n’est pas le cas, je pense que c’est mieux de ne pas te vacciner du tout. Je viens de voir une autre fausse couche chez une femme que j’accompagne, qui vient de se faire vacciner… Peut être que ça n’a rien à voir, mais c’est la 3e en dix jours… Fais comme tu veux, mais réfléchis-y. »

Peut-être que c’était seulement un biais de confirmation, mais j’ai pris cela comme une confirmation : j’ai décommandé mon rendez-vous et mon mari me soutenait dans cette décision. J’ai décidé que je n’allais pas me faire vacciner, ni pendant ma grossesse ni après. Mes enfants non plus. Et mon mari ne souhaitait pas non plus se faire vacciner. Un vaccin qui cause tant de dégâts pour détruire un virus finalement presque anodin… le jeu n’en vaut pas la chandelle.

Ma mari a fait savoir à son chef de section avec qui il a de bonnes relations qu’il ne souhaitait pas se faire vacciner. Son chef de section l’a soutenu en lui disant que ce n’était pas le seul dans cette situation, mais que la vaccination allait certainement devenir obligatoire et qu’il allait devoir faire un choix. Rester et se vacciner ou partir.

Le lieutenant avait raison, puisque quelques semaines plus tard la nouvelle sur la vaccination obligatoire des militaires est tombée. Mon mari et ses collègues qui n’étaient pas vaccinés ont été sous pression de leurs cadres. Le lieutenant a essayé de protéger mon mari, il a essayé de contacter ses amis au SSA pour voir s’il pouvait trouver une dérogation pour mon mari, une exemption médicale, voire un faux. Mais sans succès. À la fin l’étau s’est resserré, mon mari a été convoqué chez le C2 [commandant en second] du régiment, qui lui a fait comprendre que s’il ne cédait pas, il serait renvoyé, sans avantages (c’est-à-dire sans l’aide à la reconversion qui est notamment mise en place pour les militaires qui ont fait un service long). Le but était clairement de lui mettre la corde au cou et de le faire céder. Quand mon mari a dit à ses cadres qu’il avait une femme et quatre enfants à charge, son CDU a osé lui répondre « raison de plus pour ne pas perdre votre travail maintenant ». J’ai trouvé cela horriblement cynique, vraiment.

Mais mon mari a suivi une réflexion similaire. Il ne veut pas que je me vaccine, il ne veut pas que nos enfants soient vaccinés. Mais en même temps, nous avons conscience tous les deux qu’une famille de quatre enfants, ce n’est pas anodin… J’ai proposé à mon mari de trouver un travail à mi-temps et de faire des tests PCR réguliers pour pouvoir l’occuper. Je lui ai proposé de faire la même chose. Mais il a refusé. Il a dit qu’il préférait que nos enfants grandissent avec leurs parents, plutôt qu’ils grandissent entre deux nounous, en allant dans une école publique, entourés d’adultes masqués et élevés par des parents stressés de ne pas réussir à joindre les deux bouts. Nous étions dans l’impasse.

Un matin, pendant que je m’occupais des enfants, je reçois un message de mon mari. « Je l’ai fait. Il le fallait. Maintenant c’est réglé. On en parle ce soir. Je t’aime ». À ce moment-là je n’ai pas su quoi penser. Je n’ai pas su si je devais pleurer ou le remercier, ou l’admirer, ou le maudire, ou le bénir. Je ne sais pas alors j’ai fait tout ça à la fois. D’une certaine façon, je lui en veux beaucoup. Mais en même temps, je l’aime tellement, je suis tellement reconnaissante et tellement admirative de ce qu’il a fait. Vraiment. Je suis plus admirative de ce geste infime qu’il a fait pour notre famille, plutôt que du fait qu’il saute plusieurs fois par mois par la porte d’un avion… Je savais que j’avais un mari extraordinaire, mais là c’est un autre niveau.

Mon mari s’est sacrifié d’une certaine façon. Il a mis sa santé en jeu et sa morale entre parenthèses pour nous protéger les enfants et moi, pour s’assurer qu’on ne manque de rien, pour s’assurer qu’on puisse traverser tout ça ensemble. Je pense que ça lui coûtait infiniment moins de partir au Sahel que de tendre son bras pour se faire piquer. Ça peut paraître idiot vu de l’extérieur. Mais ce n’est pas seulement la question médicale, le risque du vaccin. C’est aussi le fait qu’il a l’impression, en se faisant vacciner, de vendre sa liberté, de se laisser enchaîner, de participer à quelque chose d’infamant. Il a l’impression de capituler et d’être un collabo en quelque sorte. Il a l’impression de violer sa parole et ses valeurs. Les risques qu’il prend lors d’un saut ou d’une OPEX, il le fait par choix, par pure volonté. Là, c’est tout l’inverse, il avait l’impression d’abdiquer sa liberté.

C’est un caractère fort, un Basque. Il ne renonce pas facilement à ses valeurs, il ne se soumet pas facilement. Mais là, il l’a fait pour nous. Je vois plus d’héroïsme et plus d’amour dans ce petit geste anodin que dans l’ensemble de nos onze ans de vie commune.

Il s’est donc sacrifié. Notre vie est donc revenue à la normale, plus ou moins. « La vie d’avant » comme ils disent à la TV quand ils nous narguent en promettant de nous rendre ce qu’ils ont eux-mêmes arraché… Mais je ne suis pas idiote, je sais très bien que ce n’est pas exactement comme avant. Mon mari n’oubliera jamais cela. Pour lui, c’est une trahison de l’armée et de l’état. Il me l’a dit une fois :

« Tu sais, je l’ai fait, mais un jour je laverai mon honneur et je prendrai ma revanche. Je trouverai un moyen de leur faire payer ce qu’ils m’ont forcé à faire et ce qu’ils forcent les gens à faire ».

Je ne sais pas ce que ça veut dire. Je n’ai pas envie de savoir. Je lui fais confiance, c’est un père de famille fort et un bon mari. Il m’a prouvé qu’il était responsable et qu’il prendrait soin de nous, je sais qu’il ne fera pas de bêtise.

Mais je sais que pour lui, ça va rester comme une marque, comme une blessure. Comme le tatouage d’un esclave. Je le connais assez pour savoir qu’il est capable de vivre avec, mais qu’il tiendra parole et qu’un jour il aura sa revanche, quelle que soit la forme. J’ai déjà vu des vidéos de mon mari avec son stick [unité] au stand de tir, et je me suis dit « Purée, je n’aimerais pas être la femme du terroriste malien qui va se retrouver face à mon mari ». Aujourd’hui, je me dis « Purée, je n’aimerais pas être la femme de ces hommes qui ont pris ces décisions et qui ont mis mon mari en colère ».

Ce qui est certain, c’est que notre gouvernement a pris une très mauvaise décision en décidant d’acculer les gens face à la vaccination. Je ne suis pas une grande philosophe, mais il me semble évident que la question finalement n’a plus rien à voir avec le vaccin en tant que produit médical. Je crois que c’est plus une question d’honneur, de valeurs, de libertés. Bien sûr, il y a aussi le problème du vaccin en lui-même. Mais enfin de compte, le vrai dilemme, c’est que des gens refusent de se soumettre à un impératif qu’ils jugent illégitime et donc illégal. C’est vieux comme le monde, c’est Antigone et c’est Blandine.

En agissant comme ça, le gouvernement a marché sur la queue d’un lion endormi. La France a beaucoup de défauts, les Français ont beaucoup de défauts. Mais je crois que les Français, et particulièrement les hommes français, ont aussi beaucoup de qualités. Et d’abord la première d’entre elles : un Français aime sa femme et ses enfants. Acculer un père de famille et un mari, en menaçant le centre de son monde, ce n’est jamais une bonne solution. Ce n’est pas une idée très adroite. Or des familles comme la mienne, poussées à bout, il y en a des centaines de milliers. Dans l’armée bien sûr. Mais dans toute la France aussi, dans la fonction publique, chez les petits travailleurs. Partout.

Je ne sais pas où cela va nous conduire. Je pense qu’on est encore loin d’avoir tout vu. La vaccination obligatoire des militaires et des soignants risque de toucher toute la population à mon avis. Ou peut être pas. Je ne sais pas. Mais je pense que le gouvernement est allé trop loin pour reculer. Nous sommes dans une sorte de lutte à mort maintenant. Eux contre nous. Et comme je le disais, quand je vois la force de caractère de mon mari, je n’aimerais pas être dans le camp d’en face…

Je ne sais pas quoi rajouter de plus, si ce n’est que vous devez tenir bon. Aux hommes, n’ayez pas peur d’être ce que vous êtes et de défendre ce que vous aimez et ceux que vous aimez. Aux femmes, rappelez-vous que votre premier devoir c’est de défendre la vie. Si vous vous posez des questions existentielles et des dilemmes moraux, ça vous aidera peut-être.

CONCLUSION

Nous avons choisi de laisser la parole à ces hommes et ces femmes sans en retrancher un mot. Nous ne prétendons pas que ces paroles représentent un sentiment majoritaire dans la population ou dans nos armées. Mais ces paroles représentent un sentiment et un état d’esprit qui existe et qui est très loin d’être anecdotique. C’est un fait.

En donnant la parole à ces personnes, nous souhaitions donner une tribune « hors cadre » à des gens que l’on entend pas souvent s’exprimer et dont, pourtant, la parole est particulièrement importante pour les Français. Les Français aiment leur armée. Ou au moins, ils la respectent et lui donnent du crédit. Le fait que notre gouvernement et nos médias fassent un blackout complet sur le mouvement de défiance qui agite l’armée est problématique. Les Français ont le droit et ont le besoin de savoir quel est le sentiment au sein de leur armée. Aujourd’hui, nous leur permettons d’y avoir accès.

Quoi que l’on pense des points de vue exprimés dans ces petites interviews, ce qui ressort de tout ça est assez facile à résumer : la politique de vaccination voulue par le gouvernement français cause des divisions profondes et des dilemmes moraux importants chez les personnes, poussant certains à accomplir des actes illégaux, d’autres à remettre leur patriotisme en cause, et d’autres à se « soumettre » à l’impératif vaccinal tout en nourrissant depuis une amertume revancharde.

Il apparaît aussi de façon évidente que la question du vaccin est aujourd’hui tout sauf une question médicale. De facto, elle est devenue pour une grande partie de la population une question purement politique. Les opposants à la vaccination obligatoire ont des raisons multiples de tenir cette position. Mais pour beaucoup, le principal socle de leur position repose sur le constat que le Covid n’est pas un danger sanitaire, mais que c’est à l’inverse un prétexte politique pour accomplir des changements sociaux. Un prétexte politique qui s’appuie sur le vaccin comme moyen symbolique de diviser la société entre ceux qui se soumettent volontairement, ceux qui se soumettent par dépit et ceux qui refusent de se soumettre.

Cette vision peut certainement être contestée pour son simplisme excessif. Mais cette vision existe et est destinée à se répandre de plus en plus à mesure que le gouvernement français (et les autres gouvernements du monde) apportent une réponse purement politique à un problème sanitaire. Agissant de la sorte, ils nourrissent la vision exposée dans le paragraphe précédent.

Ce qui est certain, c’est que la France, à l’image de ses voisins, n’a jamais été aussi divisée, avec des clivages transversaux qui agitent les familles, les professions, les cercles d’amis. Le gouvernement a-t-il conscience que cette politique de polarisation aura des séquelles, peut-être irréversibles ? Rien n’est moins sûr. Les dirigeants français semblent assumer la logique du rapport de force, et nous le voyons, des civils et des militaires semblent prêts à entrer dans cette logique aussi, à faire face.

Le temps de la cohésion nationale nous paraît aussi loin derrière que le temps de l’apaisement nous paraît loin devant.


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Gunther Anders et le virus de la télévision

Par Nicolas Bonnal

La fin du monde a donc pu venir avec une simple boîte de Pandore : la télévision. C’est elle qui impose tout, avec le Pentagone et Madison avenue, disait Patrick McGoohan en répondant à Warner Troyer à une question sur notre feuilleton préféré [Le prisonnier]. Là, elle impose le nazisme médical (les camps en Australie sont réels), le génocide malthusien sans frontières, la peur omniprésente, le transhumain et la misère universelle. Rien que ça ? Oui, oui, rien que ça. Déjà Ovide et Virgile décrivent (je les ai commentés aussi sur ce point) le rôle sinistre de Fama qui ne désigne pas, comme le disent nos imbéciles cours de latin, la renommée, mais les news et leur rôle apocalyptique sur les consciences (voyez aussi mon texte De Platon à Cnn).

Comment disait Lucien sans la télévision on n’aurait même pas su qu’il y avait épidémie. La peste noire évoquée par les bouffons fascistes aux commandes a tué 40 % des Européens, le coronavirus 0,4 % de la population globale, et encore ; on a transformé une petite grippe bien moins mortelle que l’espagnole et tout aussi suspecte en Fin du monde pour les besoins de la cause : la Fin du monde précisément — renommée Reset. Plein d’imbéciles refusent encore de voir la réalité du complot, n’y voyant sans rire que l’incompétence. La théorie du complot devient l’insulte supérieure — et donc l’ultime stratagème — dont parle Schopenhauer à la fin de son Art d’avoir toujours raison :

« Ultime stratagème Soyez personnel, insultant, malpoli Lorsque l’on se rend compte que l’adversaire nous est supérieur et nous ôte toute raison, il faut alors devenir personnel, insultant, malpoli. Cela consiste à passer du sujet de la dispute (que l’on a perdue), au débateur lui-même en attaquant sa personne… »

La télévision (coup de génie de ces chaînes news avec l’actu en bandeau – répétition, seule figure de rhétorique importante, disait Napoléon qui s’y connaissait mieux qu’un pape jésuite en propagande) est donc la grande triomphatrice de cette fausse pandémie. Elle a maté le monde pour les oligarques fous et es gouvernements dictatoriaux et elle imposera le Reset et la dictature informatique comme à la parade. Nous aurons le grand camp de concentration électronique promis dans l’indifférence ou l’assentiment général du troupeau. Debord sur la question dans les années soixante et Gunther Anders dans les années cinquante nous avaient prévenus. La messe des téléphages imposera sa laisse électronique aux non-vaccinés qui seront de toute manière transformés en parias, les Vladimir et Estragon de la terrifiante pièce de Beckett citée et commentée par Anders.

Philosophe de formation allemande, juif libre et non libéral de noble fibre (même Adorno se moque des « juifs libéraux » dans son essai sur les médias), Anders brosse un tableau d’épouvante de cette humanité abrutie dans sa peu connue Obsolescence de l’homme écrit en 1956, quand la télé fait des ravages aux USA (c’est elle qui fera élire le catastrophique — n’en déplaise à certains — Kennedy). Le cinéma s’en rendait compte. Voyez le film « Il fait toujours beau temps » de Stanley Donen (et par là même notre ouvrage sur la comédie musicale, très bons pour les « fêtes ») et « l’Homme au complet gris » de Mervyn Le Roy qui montre la destruction de la famille américaine de l’époque (trois enfants, le chien, la caravane, le pavillon, etc.) par cette même télévision. La télévision c’est la disparition du foyer, de la vie intérieure et du noyau solidaire. Anders écrit à ce propos des lignes extraordinaires :

« Ce mode de consommation permet en réalité de dissoudre complètement la famille tout en sauvegardant l’apparence d’une vie de famille intime, voire en s’adaptant à son rythme. Le fait est qu’elle est bel et bien dissoute : car ce qui désormais règne à la maison grâce à la télévision, c’est le monde extérieur — réel ou fictif — qu’elle y retransmet. Il y règne sans partage, au point d’ôter toute valeur à la réalité du foyer et de la rendre fantomatique — non seulement la réalité des quatre murs et du mobilier, mais aussi celle de la vie commune. Quand le lointain se rapproche trop, c’est le proche qui s’éloigne ou devient confus. Quand le fantôme devient réel, c’est le réel qui devient fantomatique. Le vrai foyer s’est maintenant dégradé et a été ravalé au rang de “container” : sa fonction n’est plus que de contenir l’écran du monde extérieur. »

Or le monde extérieur c’est le virus et il va tout conditionner : je suis l’alpha et l’omicron, le principe et la Fin de votre monde.

Le livre de Gunther Anders et riche et long, on ne va se concentrer que sur cette seule question de la destruction de la famille, à l’heure où les parents (comme les profs) détruisent, vaccinent et masquent leurs enfants, sauf une poignée de louves. Il ajoute :

« La télévision a liquidé le peu de vie communautaire et d’atmosphère familiale qui subsistait dans les pays les plus standardisés. »

Rappelons que ce sont les pays les plus riches — les plus standardisés — qui se sont jetés sur les vaccins. Certains aiment citer l’occident et sa civilisation (qui a disparu depuis deux siècles — voir mes textes sur Guénon et Chateaubriand), ils sont servis ! Être un occidental signifie être un riche et vieux consommateur et téléphage abruti, strictement rien d’autre. L’homme libre n’est jamais occidental. Le moyen âge se référait à l’orient comme le psalmiste.

« Les fantômes (les envahisseurs du célèbre feuilleton) ont gagné : Sans même que cela déclenche un conflit entre le royaume du foyer et celui des fantômes, sans même que ce conflit ait besoin d’éclater, puisque le royaume des fantômes a gagné dès l’instant où l’appareil a fait son entrée dans la maison : il est venu, il a fait voir et il a vaincu. Dès que la pluie des images commence à tomber sur les murailles de cette forteresse qu’est la famille, ses murs deviennent transparents et le ciment qui unit les membres de la famille s’effrite : la vie de famille est détruite. »

La télé aussi a marqué la Fin du christianisme (Cène) :

« Ce qui ne veut pas dire que la télévision est maintenant devenue le centre de la famille. Au contraire. Ce que l’appareil représente et incarne, c’est précisément le décentrement de la famille, son excentration.

Il est la négation de la table familiale. »

Être ensemble c’est regarder la télé ensemble. On est certes réunis, dit Guy Debord, mais dans le séparé.

Simple auditeur, le téléspectateur devient un serf. Et dans une brillante note le traducteur Christophe David écrit :

« Die Horige, qui désigne le serf, est un dérivé du verbe horen, écouter. Le serf est celui qui écoute silencieusement les ordres de son maître et ne les conteste jamais. Son statut juridique est proche de celui de l’enfant. C’est donc par un calembour étymologique qu’Anders assimile au cours de ce paragraphe l’attitude infantile de l’auditeur (der Horer) à celle du serf. »

Internet qui n’est qu’une énorme télé pour 90 ou 99 % de la masse a renforcé cette aliénation. Il y a vingt ans j’avais forgé la notion de techno-serf dans mon livre sur Internet (notion qui m’a été volée). Nous y sommes.

On se consolera avec Guénon en rappelant qu’il y a longtemps que l’occident est une civilisation hallucinatoire : le mythe de Faust, l’imprimerie…

Sources :

Gunther Anders – L’obsolescence de l’homme (Ivréa)

Nicolas Bonnal – Internet nouvelle voie initiatique

Debord – La Société du Spectacle

Schopenhauer — L’art d’avoir toujours raison (Wikisource !)

http://www.dedefensa.org/article/de-platon-a-cnn-lenchainement-par-les-infos

https://www.dedefensa.org/article/divagations-et-citations-sur-les-simulacres

https://www.dedefensa.org/article/rene-guenon-et-notre-civilisation-hallucinatoire

https://www.dedefensa.org/article/chateaubriand-et-la-conclusion-de-notre-histoire




Louis Fouché : « Il faut rester ouvert et en lien avec le monde »

[Source : francesoir.fr]

Marseille, épisode 5 – Il est toujours difficile de débriefer un entretien avec Louis Fouché. Cultivé et passionné, l’anesthésiste-réanimateur passe d’une idée à l’autre, dresse des ponts là où on ne les attend pas, enchaîne propositions et contre-propositions. Faire une synthèse de son propos s’avère délicat, tant il semble que chaque phrase revêt une importance cruciale.

Il faut dire que cette révolte qu’il ne cesse d’exprimer depuis un an et demi bouillonnait en lui depuis longtemps. Coincé dans le confort de sa vie de « médecin nanti », il a fallu que la crise sanitaire, qu’il perçoit comme une chance, « vienne secouer le cocotier » pour le faire descendre dans l’arène de la vie publique.

La technique et ses conséquences sur la société est l’un des grands champs de la réflexion du leader – il préfère « diplomate », l’organisation ne se voulant pas pyramidale – du collectif Reinfo Covid. À ses yeux, le problème réside dans le fait qu’elle progresse aujourd’hui à un rythme trop élevé « pour pouvoir être régulée par le corps social ». Conséquence : « Celui qui est le tenant de la technique va toujours prendre le pouvoir sur le groupe social. Pour le dire plus simplement : aujourd’hui, ce n’est pas vous qui décidez si votre fille de 12 ans a un IPhone dans la poche. C’est Google, c’est Amazon, c’est Microsoft, c’est Facebook, mais ce n’est pas vous. »

Alors, anti-progrès le Dr Fouché ? Non, bien entendu. Mais à condition d’être en mesure à chaque fois de bien peser le pour et le contre des implications d’une avancée technologique. « Si vous faites le compte des bénéfices-risques des systèmes numériques tels qu’ils sont conçus aujourd’hui, je crois qu’il faudrait les brider, les calmer et dire non à certains moments. »

Paradoxalement, c’est pourtant grâce à ces mêmes outils numériques qu’une partie de la population est en train de se réapproprier certains pans de sa vie. On le voit par exemple dans le domaine de la santé, où la diffusion des savoirs conduit désormais certains à reprendre en main leur alimentation ou la façon de prévenir les maladies. Autre exemple prosaïque donné par le médecin : les tutoriels disponibles sur YouTube permettent à des gens de refaire une partie de leur maison « à leur sauce, et non à celle de Leroy Merlin ».

« Entre être heureux et avoir raison, je préfère être heureux »

Rompre avec la société, rejoindre un groupe alternatif, comporte un risque de dérive sectaire. Une critique qui a souvent été formulée à l’égard de ceux qu’on catalogue comme « dissident », « résistant » ou encore « complotiste ». C’est un écueil dont a conscience Louis Fouché. « A Reinfo Covid, il y a cette idée qu’il faut rester ouvert et en lien avec le monde. » Apôtre de la non-violence, il déplore que les débats passionnés autour de la gestion de la crise sanitaire, et plus largement du rapport au monde tel qu’il est, conduisent familles et amis à se déchirer. « À mon avis, cela n’a pas de sens. […] Entre être heureux et avoir raison, je préfère être heureux. En revanche, il faut bien sûr ne pas oublier ce qui est important et conserver ses valeurs. »

À propos du système de santé, celui qui a été poussé à se mettre en disponibilité de son poste à l’AP-HM (anesthésiste-réanimateur à l’hôpital de la Conception, à Marseille) dit avoir été très marqué par une conférence à laquelle il a assisté en 2014 au Collège de France. Il était question de l’évaluation en santé. « L’ambition actuelle, c’est de parvenir à un système où tout serait standardisé, et où les médecins, les infirmiers, les aides-soignants, ceux qui font le ménage se contenteraient d’appliquer des protocoles préconçus par « ceux qui savent penser ».

« Je ne crois pas que la manifestation soit quelque chose d’utile »

Symbole de cette doxa :  la Convention on Health Analysis and Management (CHAM), qui réunit chaque année à Chamonix les ministres de la Santé, des Finances, les patrons de grands fonds d’investissement, des Gafam, « et quelques chefs de services ronflants d’hôpitaux parisiens ». Le rêve de ces gens-là : « une santé qui ne serait que le fruit d’algorithmes ». « C’est déjà l’idée qu’on essaye de faire passer aux étudiants en médecine actuels. […] Mais c’est un leurre complet. Parce que ce qui soigne au fond, c’est l’humain et c’est la relation [entre le médecin et son patient]. »

Comment faire face à ce système ? Et d’une manière générale, comment s’opposer au néolibéralisme, désigné par Louis Fouché comme « l’ennemi » ? Cela en décevra certains, mais l’anesthésiste est sceptique quant au pouvoir de la rue. « Je ne crois pas que la manifestation soit quelque chose d’utile. […] Quand ils veulent, [les gouvernants] peuvent envoyer les blacks blocs afin de vous faire passer pour des gens violents. Quand ils veulent, ils peuvent faire dire aux médias que vous étiez 300 alors que vous étiez 3 000. »

Il appelle plutôt les opposants au système à recréer du lien, à monter des systèmes parallèles. « Il n’y a pas besoin de tout lâcher. Par exemple : pour organiser une bibliothèque collective destinée à ceux qui n’ont plus le droit d’entre dans une bibliothèque municipale, et ainsi leur permettre d’accéder à nouveau à des livres et du savoir, vous n’avez rien besoin d’abandonner. » Cela suffira-t-il ? On ne demande qu’à y croire.

Un « Entretien essentiel » dans lequel Louis Fouché nous parle de son livre « Tous résistants dans l’âme – Éclairons le monde de demain ! », (éditions Guy Trédaniel)… et de bien d’autres choses encore.

Auteur(s): FranceSoir




Le Watergate était un complot contre Richard Nixon

[Source : voltairenet.org]

Selon Maître Geoff Shepard (photo), des documents trouvés aux Archives nationales attestent que le Watergate n’est pas un complot de Nixon pour espionner le Parti démocrate, mais un complot des Démocrates contre lui.

Dans un livre, La conspiration Nixon : le Watergate et le complot pour destituer le président (The Nixon Conspiracy : Watergate and the Plot to Remove the President), paru mercredi dernier, il affirme que des parlementaires ont tenu des réunions secrètes avec les procureurs tout au long de l’affaire pour se coordonner. Il met également en cause plusieurs témoignages à charge. Certes, affirme-t-il, ces témoins ont été condamnés, mais aucun n’a jamais fait un seul jour de prison.

Maître Geoff Shepard n’est pas n’importe quel avocat. Il fut le numéro 2 de l’équipe de défense du président Nixon. Il avait, en 2015, déjà évoqué ces faits mais ne disposait pas alors de ces documents.

En 2005, Vanity Fair avait révélé l’identité de « Gorge profonde », la source des journalistes Bob Woodward et Carl Bernstein du Washington Post. Il s’agissait de l’adjoint de J. Edgar Hoover, le directeur du FBI, un certain Mark Felt.

Si la version de Geoff Shepard est vérifiée (nous n’avons pas vu les documents qu’il cite), elle éclaire d’un nouveau jour le rôle de l’État profond US contre les présidents Richard Nixon et Donald Trump. Ce dernier a également été soumis à une mise en cause de son honnêteté par un ancien directeur du FBI, le procureur spécial Robert Mueller.




Derrière le dos des peuples européens

Par Valérie Bugault

Pour ceux qui sont intéressés à en savoir plus sur ce que nous ont concocté nos dirigeants — dans le silence médiatique le plus assourdissant — qui ne sont pas des élites, mais de zélés adorateurs de la City of London et de l’empire maritime qui nous asservi. Je vous invite à chercher du sens derrière les belles paroles sans cessent mises en avant pour cacher la noirceur des desseins qui se profilent. Nous allons voir ici que les mercenaires de l’OTAN (issues notamment des armées secrètes de l’OTAN) vont être recyclés dans ce qui deviendra les futures armées européennes. Mettre sans cesse en avant le mot « démocratie » dans un Traité, comme oralement ne signifie qu’une seule et unique chose : ladite démocratie a disparu de longue date (si tant est qu’elle ait existé un jour !). On ne parle que de ce qui n’existe pas : la liberté, la démocratie…

N’oubliez pas au passage que Macron avait aussi signé le Traité d’Aix-la-Chapelle => il est très important de garder, en la matière, une vue d’ensemble des processus afin de bien comprendre où ces gens veulent nous mener : car il s’agit d’une planification minutieuse, de long terme et qui se fait évidemment dans le dos des populations (considérées, à peu de chose près, comme du bétail, tout juste bonnes à être utilisées en tant que « rat de laboratoire » pour des guerres bactériologiques ayant pour but une dépopulation radicale ; comme eux-mêmes ne se privent pas de nous le rappeler à chaque bonne occasion, notamment climatique…).

Comprenez aussi que cette trahison prépare la suite : l’avènement du IVe Reich européen et de la IIIe et dernière Guerre Mondiale. Bien sûr, il s’agit de renforcer nos capacités industrielles pour mieux préparer la guerre contre la Chine-Russie, qui ont, pour l’instant une suprématie militaire et industrielle (en raison de la volonté de ceux-là mêmes qui nous projettent vers le renouveau industriel !). On ne change pas une méthode qui marche… Ne vous y trompez pas : nous nous acheminons maintenant à marche forcée vers d’intenses préparatifs de guerre.

N’hésitez surtout pas à diffuser cette félonie…

Bon dimanche quand même,

Valérie B.




Les effets « directs et collatéraux » des écrits de A. Bensaada et de A. Merdaci

Par DJERRAD Amar

Finalement, c’est la vérité ! Les publications de Ahmed Bensaada (livres et articles) sur les « printemps arabes » — et leurs dessous idéologiques et financiers que programmes des officines occidentales en particulier américaines par la NED et françaises — ont vraiment fait beaucoup de « victimes » algériennes (et étrangères) ayant échoué dans la déstabilisation de l’Algérie par pseudos-hirak interposés. Des « victimes » de tous les bords idéologiques y compris « gauchistes ». Sa publication sur le hirak et ses manipulateurs cachés, intitulée « Qui sont ces ténors autoproclamés du hirak en Algérie », est celle qui a mis « le feu aux poudres » par les révélations et preuves irréfutables qu’elle contient. C’est dès l’annonce de la sortie du livre et son titre que des voix trépidantes sonnent la charge contre la personne de Bensaada ! Ce livre foudroyant (que la plupart des médisants non pas lu) a agi, en effet, comme un « lance-pierre ayant brisé la vitrine fumée » faisant apparaître la tromperie cachée ou comme le projecteur d’un chalutier faisant sortir différentes sortes de poissons (les gros surtout) à la surface de la mer. Une « mer » agitée et trouble ou nageaient les corrompus, les envieux, les cupides, les vaniteux, les prédateurs, les opportunistes, les cauteleux, les « applaventristes » et les félons !

Une réplique au livre, par des preuves, aurait été salutaire, acceptable et rassurante, mais à ce jour personne n’a fourni la moindre contre-preuve à ses révélations. On y avance des « certitudes » fondées sur des affirmations crasses, des carabistouilles, des suppositions et surtout sur des attaques ad personam, basses, épidermiques, jusqu’à attenter à son honneur et à sa probité, visant à le discréditer, le dévaloriser au lieu de réfuter, par des preuves, son argumentation documentée. De « complotiste » à « agent » des « service » algériens et/ou de la France, de traître aussi ! Il ne manquait que la qualification de « funeste coléoptère ». Enfin si, on l’a traité de « doubab » (mouche électronique) « bossant pour régime ». Non seulement lui, mais aussi, les auteurs de la préface/postface et son éditeur algérien ! C’est bébête, méchant et frustrant surtout quand cela vient de gens qui se prétendent « intellectuels » ! Des publications de cette qualité informationnelle, ça « s’analyse » et non « parcouru des passages » ou « non encore lu ». La logique intellectuelle impose des réponses avec une approche intellectuelle et non pas par des réactions hargneuses et injurieuses, qui égarent ! En vérité, des enrôlés dans la catégorie opportuniste des « gaucho-islamo-bobo » algérois ! Bensaada traître ? Raisonnons par l’absurde : à la limite, qui est patriote : celui qui « bosse » pour un « régime » de son pays, quel qu’il soit, ou celui qui « bosse » pour des états étrangers contre son pays dans le but de semer le désordre ? « La première des vertus est le dévouement à la patrie. » disait N. Bonaparte ; ainsi que ce proverbe arabe qui leur sied parfaitement :

« les armes du sage sont sa science et sa langue, celles de l’hypocrite la calomnie et la médisance ».

Toutes ces attaques démontrent, a contrario, la pertinence et la profondeur de l’ouvrage, mais aussi l’engagement douteux des mis en cause et leurs porte-voix. Totalement déroutés, frustrés par l’échec et surtout démasqués, ils se sont livrés, alors, à un travail de sape ignoble, à un degré d’aliénation tel qu’ils osent traiter de « renégat » leurs concitoyens qui défendent leur pays oubliant qu’eux le trahissent ouvertement en servant de relais à la politique de pays étrangers hostiles ; de la France en particulier !

Oui un livre-enquête foudroyant, ayant anéanti tout espoir de « coup de force » qui a semé la panique dans ces milieux, embusqués, en faisant mal à beaucoup de ces manipulateurs internes et externes ! Il a surgi tel un couperet, avec des preuves irrécusables (tirées des documents officiels de la NED/CIA et des câbles wikileaks), impliquant des personnalités et ONG algériennes dans la tentative de manipulation du hirak pour le détourner de ses revendications originelles en collusion avec des officines occidentales, la nébuleuse islamiste internationale que représente Rachad et le mouvement séparatiste MAK, suivant des agendas étrangers dans un but hégémonique ! Plus précisément, ses publications, qui consacrent une large partie aux extraits de rapports d’organismes étrangers, dévoilent les liaisons de ces « ténors autoproclamés… » (qu’il cite) avec notamment la NED américaine qui les finance. Dans son « Huit ans après : la » printanisation » de l’Algérie », il cite la Ligue algérienne des Droits de l’homme (LADDH) ; le Collectif des Familles de Disparus en Algérie (CFDA) en liaison avec « SOS Disparus » qui mènent souvent leurs actions ensemble avec « Soumoud » et « Djazaïrouna » ; le RAJ (rassemblement-actions-jeunesse). Dans un autre article, il dévoile le financement de Radio M (de El Kadi Ihsane), où active K. Drareni, par Canal France International sous la coupe du Quai d’Orsay… Pour en faire quoi ? De l’aumône ? Pour leurs beaux yeux ? L’anthropologue américaine Adrienne Pine dit à ce sujet :

« une fois que les gens acceptent de l’argent, ils acceptent les conditions qui vont avec… »

Il est vrai que les travaux de recherche de Bensaada sont assez offusquant et tranchant pour susciter pareilles réactions agressives !

Bien plus ! Au-delà des informations vérifiables qu’il renferme, le livre met aussi à nu un système médiatique corrompu, une espèce de journalistes, surtout du privé. Leur insolence est poussée jusqu’à considérer que tout « ennui » judiciaire d’un journaliste, d’un activiste politique félon, comme une volonté « politique » d’empêcher la vérité et la liberté d’expression (y compris dans les cas de diffamation, d’injure et d’atteinte à la sécurité de l’état !). Tous savent qu’ils sont face à des preuves avérées qui ne sortent pas d’une imagination débridée.

Omar Zelig (de son vrai nom Luc Chaulet) connu dans certains milieux algérois influents et sa clique font partie du microcosme algérois agissant. Certains (dont Rachid Malaoui le chef SNAPAP, un syndicat « autonome » algérien) ont même osé se réunir dans l’enceinte du Parlement français autour de la députée Marie-George Buffet (surnommée la « ‘Tartarine » par Bensaada) pour le projet de « faire tomber le pouvoir en Algérie » dans l’espoir de faire le bonheur d’un peuple dont elle ne connaît rien. Omar Zelig lui intervient, en s’annonçant en fin de parcours, lorsque la messe est dite ! Par son « post » – seulement « de 4 lignes » (dit-il) sur les réseaux sociaux – souhaitant que l’on se débarrasse de Ahmed Bensaada ainsi que du site d’information « Lapatrienews » – il annonce bien sa couleur, jusque-là dissimulée, mais d’importance, car il dévoile qu’il fait bien partie de cet amas politico-idéologique décrit par Bensaada. Comme tous les autres de son bord, nous n’avons pas vu à ce jour un écrit de son cru critiquer dans les règles de la science, les travaux de Bensaada Ahmed, ce « consultant canadien » (comme il le qualifie) qui doit être moins « patriote » que Chaulet Luc ! Quand on se prétend « homme public », on mesure ses mots destinés au public en les assumant ainsi que les répliques, au lieu de croire avoir dit une banalité ! M. Bensaada, lui aussi homme digne, ne laisse pas passer, à notre connaissance, sans réplique ce genre de « post » : « Si la fin de Belhimer pouvait nous débarrasser de ses dommages collatéraux type Bensaada, Lapatrie, la paranoïa et autres consternations du Boulevard des martyrs, ça serait bien, mais on n’ose plus rêver ». Ce qu’il a fait avec les moyens et l’intelligence qu’il a par un article qui semble l’avoir fortement incommodé ! Mais c’est l’article de Abdellali Merdaci intitulé « Ahmed Bensaada et les “dommages collatéraux” : Les songes d’une nuit d’automne d’Omar Zelig-Chaulet » (publié par des sites en Algérie relayé par le site canadien « nouveau-monde.ca ») qui l’a le plus ébranlé au point d’y voir des atteintes à sa personne et sa celle de compagne Mouffok / journaliste (un crime de « lèse-majesté » de l’avis de Bensaada ; « témoigne de l’arrogance des Chaulet-Zelig-Mouffok qui considèrent qu’écrire sur eux est un délit » selon Merdaci), nécessitant une plainte ; sans percevoir que leur « réponse est nettement injurieuse » selon Merdaci. La réponse de Merdaci et celle de Bensaada ne se sont pas fait attendre « la réponse du berger à la bergère » !

Ayant lu et relu son écrit doctement rédigé, on ne trouve aucune diffamation, injure ou insulte. Le professeur Abdellali Merdaci est bien connu pour sa haute culture, rarement égalé, en sa qualité de linguiste, écrivain, critique et historien de la littérature, auteurs de nombreux ouvrages, études et articles de presse. Ni dans ceux du Dr Bensaada qui n’est pas du tout le genre « bobo gauche caviar » comme beaucoup de ses détracteurs, mais un intellectuel, respectable et modeste, de haut niveau ayant reçu plusieurs distinctions honorables pour ses travaux de recherches des mains de hautes personnalités respectables notamment canadiennes ! M. Bensaada est chercheur et enseignant en retraite, mais encore en activités universitaires. Il est titulaire d’un doctorat en physique de l’Université de Montréal (Canada) et auteur de plusieurs ouvrages en plus d’une quantité d’articles sur la physique, la pédagogie et la communication dont certains sont traduits en plusieurs langues. On peut citer « Arabesque$ — enquête sur le rôle des États-Unis dans les révoltes arabes » (2015), « La face cachée des révolutions arabes » (2012, Éditeur : Ellipses (Paris) ; « Le développement économique de l’Algérie » (2011, Éditeur : Casbah Éditions (Alger). Un peu de respect pour eux comme ils ne cessent de l’être pour les autres !

On voit apparaître subitement une mobilisation de toute une faune de « supporters » agressifs, la plupart des inconnus, sans qualités intellectuelles, qui expriment leur solidarité par des commentaires futiles apparemment sans connaître les tenants et les aboutissants de la chose. Par parti-pris, par affinité ou en partisan, que l’on peut considérer compréhensible !

Ces choses se règlent par la sagesse, des débats fructueux et non par des invectives, voire des injures ou bien la censure des commentaires suivie du blocage des contradicteurs ou des menaces de procès (comme le fait Zelig). Quand on ne supporte pas la contradiction, mieux vaut éviter de s’engager dans ce genre de choses. Bensaada aurait alors engagé des dizaines de plaintes et aurait arrêté d’écrire !

Voyons ce que pense celui qui a eu déjà maille à partir avec Bensaada (pour cause de son livre et ses articles) en l’occurrence Ali Bensaad enseignant universitaire en France. Il écrit ce commentaire en soutien à Zelig « quand on écrit dans un journal des services renseignements cela renseigne d’où on écrit ». C’est stupide de la part d’un « professeur » d’une université française ! Pourquoi « d’où on écrit ? » pourquoi « d’où ». Logiquement, il aurait dû écrire cela renseigne « pour qui on travaille » ! Passons ! Il ne cite pas ce « journal ». Quel est donc ce journal « des services de renseignements ? » « El Moudjahid », c’est celui du gouvernement et Bensaada n’y a jamais écrit un seul article. « l’Agence presse service » (APS), c’est une agence d’information d’État et Bensaada n’y a jamais écrit non plus ! Tous les autres journaux et sites d’infos sont privés et Bensaada n’y a jamais adressé un écrit. Le Dr Ahmed Bensaada publie ses articles, défendant l’Algérie, exclusivement sur son Blog et n’importe qui est libre de les relayer, de les proposer, d’en faire la synthèse ou les signaler sans même demander son autorisation ! C’est le propre des intellectuels ! Ils sont d’ailleurs relayés par beaucoup de sites d’informations étrangers dont africains, libanais, canadiens, français et traduits dans plusieurs langues. Cela renseigne en quoi ? Ali Bensaad a-t-il la capacité de faire de même ? Par contre, il ne cesse d’être sollicité par des médias français hostiles pour dénigrer et taper sur l’Algérie tout en soutenant les prises de positions françaises et marocaines (il doit être plus patriote que Ahmed Bensaada peut-être) ! Dans son cas cela renseigne « pour qui il bosse » contre son pays ! Cela s’appelle comment ? Ali Bensaad, par ses écrits, soutient bec et ongles tous ceux qui s’emploient à la déstabilisation de l’Algérie dès les débuts du hirak ! Voici comment il « analyse », l’Algérie, le « régime » et sa politique dans cette vidéo. Des « printanistes » aux islamistes de Rachad en passant par les « 3issabistes » (la bande mafieuse en prison ou en sursis), les MAKistes ainsi que leurs soutiens ; les journalistes bobos d’Alger souvent des pseudo-gauchistes souillés ! D’où sa « solidarité » quand l’un d’eux se trouve dans l’embarras parmi eux Omar Zelig ou El Kadi Ihsane avec sa Radio M et d’autres : « Ma solidarité avec Ghania Mouffok et Omar Zelig et mon dégoût de la déjection écrite par le Merdaci…Ihsane El Kadi n’a pas été moins malmené je lui exprime également ma solidarité » Dans sa dernière intervention sur une chaîne, on peut le dire, du gouvernement et des « services » français RFI, il dit, avec cynisme ceci, au moment où Macron agresse l’Algérie, « les propos d’Emmanuel Macron ont été une bouée de sauvetage pour le régime algérien » tout en n’omettant pas de soutenir le Maroc. Enfin, mieux vaut ignorer avec dédain cet infâme pour sa vilenie et sa félonie !

Pour terminer, il est bon de rappeler que « la colère est mauvaise conseillère », car les réactions irréfléchies qu’elle entraîne peuvent susciter d’autres réactions plus embarrassantes et préjudiciables. Nous avons observé que Ahmed Bensaada ne réplique que rarement, mais quand il le fait, c’est pour mieux compromettre les détracteurs insolents avec d’autres faits ! C’est ce qui est arrivé à El Kadi avec sa radio M lorsqu’il l’a traité, comme ça, de « barbouze », alors qu’il n’a jamais été cité dans ses écrits ! Sa réponse a été immédiate, lui révélant l’origine de ses financements entre autres ! Même pour ceux cités, il n’a fait que révéler l’essentiel sur eux sans aller jusqu’à les briser ! On dit qu’« agir dans la colère, c’est s’embarquer dans la tempête. ».

La « recherche académique » est le métier du Dr Bensaada. Il s’est engagé dans la défense de l’Algérie des prétentions néfastes des forces étrangères hostiles. Il le fait (avec d’autres) de façon raisonnable et remarquable, ne cherchant ni la provocation ni l’humiliation des vis-à-vis, mais, comme il le dit, à dévoiler des complots funestes, à réveiller certaines consciences égarées, à susciter le débat dans le but de protéger le pays. Il affirme n’avoir révélé que quelques faits et gestes d’Algériens dans ce large complot ! Ce qui suppose qu’il est en possession encore, sans aucun doute, de preuves pouvant rendre des implications plus visibles et plus compromettantes ! Dans ce sillage Omar Zelig a fait un geste aussi vain qu’inutile en provoquant méchamment et gratuitement quelqu’un qui ne lui a rien fait et qu’il n’a jamais cité dans ses écrits !

Il nous semble, amicalement, que certaines personnes feraient mieux de s’apaiser en se faisant carrément oublier ! C’est plus sage et plus raisonnable ! Que leur reste-t-il comme autres « arguments » après avoir épuisé le lexique des qualificatifs méprisants ? Absolument rien ! Sauf à nous raconter des contes à dormir debout, après avoir compté le nombre de vendredi passés depuis le début du Hirak (les marcheurs sortaient le vendredi), comme le fait leur « ami » l’islamiste Dhina dans chacune de ses vidéos : « Salam, nous sommes le 24 septembre 2021, correspondant au 126e vendredi… ». Ridicule !

Le complot contre l’Algérie a bien échoué définitivement et il serait vraiment stupide de s’entêter à vouloir persister à atteindre un objectif qui a échoué lamentable. C’est comme cogner pieds nus contre un mur pour le détruire ! Marcel Pagnol illustre cela ainsi :

« Ne pas atteindre son but, c’est grave, c’est une grande déception, mais atteindre un but tout à fait opposé, réussir pour ainsi dire à l’envers, c’est la preuve la plus éclatante que l’on est un véritable idiot ».

D.A




Du passe sanitaire prolongé au vote électronique pour les présidentielles, le tour est joué et acté ! MàJ : montage ?

[Source : medias-presse.info]

[Mise à jour : Non, Gabriel Attal n’a pas annoncé la mise en place du vote électronique pour l’élection présidentielle | Imaz Press Réunion : l’actualité de la Réunion en photos (ipreunion.com)]

Par Francesca de Villasmundo

Ca y est, les complotistes l’avaient prédit sous les quolibets de la bien-pensance, c’est arrivé plus vite que prévu : Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, vient d’ annoncer que le vote électronique va être mis en place pour la présidentielle. Raison invoquée par le freluquet de Macron: la crise sanitaire. La décision macronienne de maintenir le passe sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022, à cheval sur l’élection présidentielle trouve là une explication.

►Nous attendons les paroles fortes de tous les grands esprits de gauche :
►Sur le vote électronique, la triche assurée et la fin de la démocratie.
La tyrannie sanitaire où ils sont toujours inaudibles. https://t.co/iGDuTEVTbu

Philippe Murer (@PhilippeMurer) November 22, 2021

Pire que le vote par correspondance, le vote électronique  permettra des fraudes massives, invérifiables.

Rappelons qu’en 1975, le gouvernement de l’époque supprima le vote par correspondance pour réduire la fraude électorale. Macron le restaure peut-être bien pour favoriser cette fraude électorale… à son profit…

Francesca de Villasmundo




Mr Véran, un « cas » n’est pas un malade ! Sans test PCR, il n’existe pas de vague. Stop mesures antiCovid ! MàJ

Par Nicole Delépine

Une nouvelle fois les mesures annoncées par le ministre reposent sur des « cas » dépistés par tests et non sur des malades.

VAGUE DE « CAS » FONDÉS SUR TESTS PCR DÉNONCÉS PAR LA FDA, MAIS PAS DE MALADES

Les nouvelles annonces d’O. Véran reposent comme depuis plus d’un an sur les « cas » et la mystification, qui consistent à confondre cas dépistés par des tests fallacieux et de vrais malades.

Et comme les médias diffusent en continu la propagande gouvernementale sans dénoncer la différence entre un test positif et un vrai malade (que le réseau sentinelle dépiste), la panique et ses conséquences funestes continuent sur tous les plans, médical, mais aussi psychologique, économique et politique. Pendant que des pays aussi différents que le Texas ou la Côte d’Ivoire ont repris des vies normales depuis des mois, la France continue de s’enfoncer dans la désespérance et la régression générale.(([1] Faites vos jeux, rien ne va plus ! Comment le gouvernement peut-il parler de cinquième vague ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Qu’a dit Véran ?

« Le pass sanitaire ne sera plus valide sans la 3e dose à partir du 15 janvier.

La 3e dose de vaccin anti-Covid est ouverte à tous les Français de plus de 18 ans dès 5 mois après la 2e injection. Le pass sanitaire sera désactivé 7 mois après la 2e dose.

– Le gouvernement a exclu toute mesure de restriction stricte de type confinement et couvre-feu, compte tenu de la pression hospitalière qui reste modérée.
– La durée de validité des tests PCR et antigéniques, qui permettent d’obtenir le pass sanitaire sans vaccination, sera réduite à 24 h.
– Le port du masque est à nouveau obligatoire dans tous les établissements recevant du public, et dans les lieux de brassage de population à l’extérieur sur décisions des préfets.
– Les classes d’école ne seront plus fermées dès détection d’un cas de Covid-19. En cas de nouveau cas détecté, les élèves seront tous testés, ceux présentant un résultat négatif resteront admis en classe.

Les tests seront gratuits et pourront être faits par les parents à l’extérieur de l’école »

Cerise sur le gâteau : passe obligatoire pour les marchés de Noel !! .

LES ÉVEILLÉS : OUVREZ LES YEUX CONTRE LES TESTS PCR ET INFORMEZ !

Quand les « éveillés » vont-ils ouvrir leurs propres yeux et ceux de la population sur la vague de tests et l’absence d’augmentation du nombre de malades ? Ce test est l’arme de terreur du pouvoir qui permet de tenir le peuple dans l’angoisse de cette fameuse nouvelle vague qu’ils attendent tant elle est annoncée. Et tant que la population ne fera pas la différence entre cas et malades, ils recommenceront encore et encore.

Il faut dénoncer la supercherie qui nous trompe depuis janvier 2020. Elle a été clairement démontrée par maître Reiner Fuellmich dès octobre 2020(([2] Nuremberg-Covid : un crime contre l’humanité qui doit être jugé ! — Riposte LaïqueRiposte Laïque (ripostelaique.com) )) et par le tribunal de Lisbonne qui a fort longuement expliqué qu’un diagnostic est un acte médical qui repose sur une consultation, des signes cliniques et éventuellement confirmé par les examens paracliniques.(([3] Vers le faire-part de décès des tests PCR (francesoir.fr)
Un tribunal portugais juge que les tests PCR sont « peu fiables » et les quarantaines « illégales » (profession-gendarme.com) )) Nous avions espéré que ces petites victoires juridiques aideraient à faire cesser cette tromperie mondiale, mais rien n’y a fait : le cirque continue, entretenant la peur même chez les soi-disant éveillés qui vont se faire tester pour se rassurer, et même chez certains médecins lanceurs d’alerte qui incluent le test PCR dans leurs algorithmes.

LE LEURRE DES CONTAMINATIONS DOIT CESSER

LES CAS NE SONT NI DES MALADES NI DES MORTS

Et le ministre l’avoue puisqu’il n’envisage pas de confinement ni couvre-feu en l’absence de pression hospitalière. Pas de malades, pas de morts.

Il vient de se faire prendre la main dans le sac, obligé de reconnaître que la soi-disant surcharge insupportable de nos hôpitaux de 2020 n’a rempli que 2 % des lits en moyenne et donc même si c’est 19 % au moment des pics, on reste très loin du tsunami décrit chaque soir par notre croque-mort de service toujours en place à ce jour. Donc il attend un peu que l’effet négatif médiatique soit oublié. Quelques journalistes n’ont pas apprécié le mensonge éhonté.

Le test PCR

ne dépiste que des virus, proches ou équivalents au SARS-CoV-2, des résidus de virus plus ou moins récents, mais ne démontre en aucun cas une nouvelle vague de Covid19.

Kary Mullis, l’inventeur du test PCR.
Voir aussi : Dr Kary Mullis : Pourquoi j’ai commencé à remettre en question le VIH

Tous ceux qui tentent d’informer sur les vérités et mensonges dans ce scénario catastrophe de plandémie depuis bientôt deux ans doivent le hurler, le répéter, l’expliquer, etc. et ne jamais le laisser oublier ! Et n’oubliez jamais que les bien portants appelés asymptomatiques ne transmettent pas le virus : ceci fut définitivement démontré par l’étude chinoise sur dix millions de personnes et aussi vite oublié. C’est la deuxième arme du trucage du scénario Covid.(([4] Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! (francesoir.fr) ))

LE TEST PCR EST L’ARME DU POUVOIR POUR NOUS MUSELER, PIQUER, ENFERMER, TRACER

Laissons raconter cette supercherie des tests PCR par le Dr Édouard Broussalian

Extrait de son magnifique récit de cette pandémie(([5] Un Plan Pour Le Monde — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) et
Planète Homéopathie • Un Plan Pour Le Monde (planete-homeopathie.org) avec toutes les références)):

« Sans tests PCR il n’y avait point de pandémie(([6] résumé par Fuellmich lui-même : « Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent ». « En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes ». « Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé — n’en déplaise au bon Docteur Knock. Cela signifie qu’aucun de nous ne doit avoir peur des personnes qui ne présentent aucun symptôme et les forcer à porter des masques, ni avoir peur qu’un résultat positif signifie forcément qu’il est infecté. Les images d’horreur des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui réapparaissent maintenant, existent en fait chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale. Elles ne sont utilisées maintenant qu’à dessein, afin d’alimenter davantage la panique. Il n’y a toujours pas de surmortalité en Allemagne. Plus de gens meurent en hiver : c’est tragique, mais c’est malheureusement “normal” ». « Alors, de quoi s’agit-il vraiment s’il n’y a pas de problème de santé qui diffère de la vague de la grippe habituelle ? À cet égard, nous avons pu nous forger une opinion sur la base des auditions qui ont eu lieu, ainsi que des informations complémentaires.)) et le test était parfaitement vérolé de manière à détecter un maximum de “cas”. Mais c’était tout ce qu’il fallait pour aller dans le sens de la nouvelle définition de “pandémie”, juste des “cas”, pas forcément des vrais malades et encore moins de mortalité. Un document qui vient d’être publié par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis admet ouvertement que le fameux test PCR pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) a été mis au point non pas à partir d’échantillons réels du virus chinois, mais plutôt à partir de ce qui semble être du matériel génétique d’un virus du rhume. Dans le document de la FDA, il est clairement indiqué que le matériel génétique ordinaire de la grippe saisonnière a été utilisé comme marqueur de test dans les kits de test PCR.(([7] CDC 2019 Novel Coronavirus (nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel—Instructions for Use (fda.gov) ))

De manière parfaitement incroyable, l’article de Corman-Drosten a été soumis à Eurosurveillance le 21 janvier 2020 et accepté pour publication le 22 janvier 2020. Le 23 janvier 2020, l’article était en ligne. »

« Plus incroyable encore, le protocole de test Drosten, qu’il avait envoyé à l’OMS à Genève le 17 janvier 2020, avant même que l’article ne soit publié(([8] Et donc sans possibilité de relecture par ses pairs.)) a été officiellement recommandé par l’OMS comme test mondial pour déterminer la présence du coronavirus de Wuhan. »

Que dire du scandale des cycles d’amplification ? L’OMS et Drosten ont recommandé un CT de 45 cycles. Il n’est pas étonnant que, alors que le nombre de tests augmente au début de la saison grippale hivernale, les “positifs” PCR en Allemagne et ailleurs explosent. Comme le soulignent les auteurs critiques, si les autorités sanitaires devaient spécifier 35 cycles maximum, selon l’article de Jaafar à l’IHU à 35 cycles, il ne resterait plus que 3 % de vrais positifs ! Ils notent, « un résultat analytique avec une valeur CT de 45 est scientifiquement absolument dénué de sens (une valeur CT raisonnable ne doit pas dépasser 30). »

Le 27 novembre 2020, un groupe très respecté de plus de 20 virologues, microbiologistes et scientifiques du monde entier a publié un appel à Eurosurveillance pour retirer l’article du 23 janvier 2020 du « Dr » Christian Drosten, l’inventeur du dit « test » PCR. Leur analyse minutieuse de la pièce originale est accablante. Le leur est un véritable « examen par les pairs ». Ils accusent Drosten d’incompétence scientifique « fatale » et de failles dans la promotion de leur test.

Il est même possible que ce test fourré au fond du nez serve rapidement à ficher toute la population avec l’ADN des frottis. Une firme britannique entend gagner ainsi beaucoup d’argent.

Que seule la complicité servile des mé(r)dias — hormis en France l’exception notable de France Soir et quelques rares autres — soutenue par une censure féroce dans tous les réseaux sociaux a permis d’installer la doxa officielle dans les cerveaux d’une population hypnotisée, abasourdie. Toute forme de pensée critique, quelle qu’elle soit, est immédiatement accusée d’être complotiste, la plupart des professionnels compétents sont muselés par la peur du dénigrement.

« Le grand test que fut la grippe H1N1 a appris aux mondialistes que le contrôle absolu des médias conditionnait la réussite du projet. C’est aujourd’hui chose faite. Devant des médias complices de la conspiration, débitant ad nauseam la doxa du système, la censure systématique — notamment sur les réseaux sociaux — et la ridiculisation de toute voix discordante à l’aide d’étiquettes telles que « complotisme » ou « anti-vax ». La censure organisée sur tous les réseaux sociaux et dans la pressetituée nous a prouvé très tôt l’existence d’un projet, d’une volonté, d’une coordination du crime, avec les fameux « fact-checkers » — simples informaticiens ou joueurs de jeux vidéo autoproclamés défenseurs de la « science » — formant les bataillons de la répression afin de maintenir à tout prix la vision et les ordres de l’OMS. »

Notons que cette nouvelle version de l’historique confirme une fois de plus les récits de Denis Rancourt et Pascal Sacré dans mondialisation.ca entre autres, et ceux de Reiner Fuellmich dans nombre de vidéos et de bien d’autres ; tous travaux que nous avons tenté de répercuter pour rassurer et faire stopper cette double tromperie, imposture, duperie, falsification, fraude, dans un silence et une indifférence intersidérale.

D’où vient la valeur magique de ce bout de coton enfoncé au fin fond de votre nez, alors qu’on vous raconte que ce virus malin est fort contagieux et qu’il faut porter un masque pour éviter de contaminer les autres, même en forêt ou à la plage voire seul sur le mont Blanc ?

Appelez le test PCR du nom de votre choix, fraude médicale étant peut-être encore le plus approprié, mais informez, que cette plandémie puisse cesser avec son cortège de drames, de malades cancéreux et autres non traités, de suicides, de faillites, de ruptures, etc.

En résumé

Les tests PCR doivent être abandonnés et les malades diagnostiqués par les médecins comme pour n’importe quelle grippe.

Les cas ne sont pas des malades.

Les asymptomatiques ne sont pas malades et ne sont pas contagieux.

Les pseudovaccins géniques ne protègent pas des contaminations ni des formes graves, comme le nombre élevé d’hospitalisés double-vaccinés en Israël ou en Angleterre le démontre. Leurs effets secondaires sont importants, bien supérieurs aux autres « vaccins ».

En France, le syndrome Tchernobyl et la peur du conseil de l’ordre et des supérieurs hiérarchiques bloquent l’information qui ne doit néanmoins être guère différente des autres pays.

Pour désarmer le ministre sans violence, il faut le priver de la croyance en son test PCR et de ce narratif mensonger.

Et pour tous ceux qui se sont fait injecter pour retrouver la liberté, si vous ne vous réveillez pas, vous avez pris un abonnement pour perpet…(([9] élargissement de la dose de rappel à tous.
– Réduction du délai de 6 à 5 mois pour faire prendre sa dose de rappel ;
– À partir du 15 décembre, le pass sanitaire pour les +65 ans ne sera plus actif si l’injection de rappel n’aura pas été prise dans un délai de 7 mois après la dernière dose ;
– À partir du 15 janvier 2022, le pass sanitaire ne sera plus valide pour toutes les autres classes d’âges n’ayant pas pris leur dose de rappel.
Pour toutes et tous ceux qui croyaient que se faire injecter, c’était le retour à la liberté, vous voilà rassurés.
Vous venez de prendre pour perpet ». Via libreetinsoumis sur telegram))





Bienvenue à Gattaca — L’OMS nous projette vers un contrôle en temps réel de l’efficacité de nos vaccinations…

Par Alain Tortosa

Bienvenue à Gattaca(([1] Film de Andrew Niccol à voir absolument))
L’OMS nous projette vers un contrôle en temps réel de l’efficacité de nos vaccinations…

J’imagine que l’information qui suit sera qualifiée de hautement complotiste étant donné qu’elle est directement issue de l’OMS.(([2] https://www.who.int/news/item/23-11-2021-who-and-mpp-announce-the-first-transparent-global-non-exclusive-licence-for-a-Covid-19-technology)) L’annonce a été faite le 23 novembre 2021.

Mise au point d’un test Covid en licence libre pouvant donc aussi être mis en œuvre dans les pays pauvres.

Vous voyez, complotistes pervers, que l’OMS est « bonne » et que ce n’est pas une histoire d’argent !

« Le test vérifie avec efficacité la présence d’anticorps anti-SARS-CoV-2 développés soit en réponse à une infection au Covid-19, soit à un vaccin.(([3] « The test effectively checks for the presence of anti-SARS-CoV-2 antibodies developed either in response to a Covid-19 infection or to a vaccine. »))»

Si vous étiez naïfs comme Alain 1.0, vous pourriez dire qu’il peut s’intégrer à la panoplie des « gestes barrières » et faciliter l’usage d’un passe-sanitaire.

Remarquez au passage que les faux passe-sanitaires (qui doivent être la norme chez les dirigeants, les journalistes médiatiques et les médecins de plateaux) seraient invalidés…

Le côté absolument « merveilleux » de l’outil est qu’il va permettre de faire sauter instantanément le passe-vaccinal de toute personne ayant une réponse immunitaire « insuffisante » ou nulle.

Adieu l’ennuyeux rappel tous les 6 mois adoubé par le gouvernement et bienvenue dans un rappel, pourquoi pas toutes les 24 heures !

Tu as suffisamment d’anticorps tu peux entrer au restaurant (pour l’instant), tu n’en as pas assez, tu restes dehors et tu vas te prendre une nouvelle dose, qu’importe le fait que la précédente date de la veille.

Pour autant l’outil présenterait le désavantage de laisser les personnes guéries circuler librement…

Mais que nenni, et c’est là qu’intervient Alain 2.0, qui a lu l’article jusqu’au bout !

« À ce jour, la technologie a abouti à quatre tests différents, dont l’un a le potentiel de distinguer la réponse immunitaire des individus infectés par Covid-19 des individus vaccinés. Cela devrait aider à poursuivre les recherches sur le niveau et la durée de l’immunité et l’efficacité des outils(([4] « The technology to date has resulted in four different tests, one of which has the potential to distinguish the immune response of Covid-19 infected individuals from vaccinated individuals. This should aid further research into the level and length of immunity and the efficacy of the tools at our disposal ».))».

C’est merveilleux ! Il va être possible de distinguer les guéris des vaccinés et ainsi n’autoriser QUE les vaccinés ! Ainsi le passe-sanitaire sera VRAIMENT devenu un passe-vaccinal dont l’objet n’est pas de savoir si vous êtes immunisés contre un virus, mais si votre vaccin n’est pas périmé !

Aujourd’hui les anticorps de l’injection Anti-Covid, demain les anticorps de n’importe quel vaccin contre la grippe ou la varicelle, y compris tous les vaccins ARNm expérimentaux en préparation…
Aujourd’hui l’interdiction d’entrer dans un restaurant, non vacciné, demain l’interdiction d’aller au supermarché, de travailler, de démarrer son véhicule ou de sortir de son domicile sans vaccination !

Bienvenue à Gattaca !

Alain Tortosa

25 novembre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211125-oms-pass-vaccinal-en-live.pdf





PCB : Le pseudo-pape en appelle à Big Tech pour imposer une censure totalitaire

Par Élie, Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

François Bergoglio s’est expulsé de l’Église en raison des crimes et des hérésies les plus graves commis contre les vérités fondamentales de la foi et de la morale. Il n’est donc pas un pape valable. Il occupe illégitimement la papauté. Il cherche à diaboliser l’Église avec l’esprit qui le domine.

Depuis le 17 octobre, à travers le soi-disant Synode sur la synodalité, il a promu de façon manipulatoire un esprit d’autodestruction de l’Église dans chaque diocèse, dans chaque paroisse et en chaque catholique. Il commet les crimes les plus graves de l’histoire de l’Église. Ce trompeur religieux répète constamment des phrases sur la tolérance et l’écoute du Peuple de Dieu… D’un autre côté, il a utilisé le terrorisme de la vaccination au Vatican même en tant que précédent pour tous les États ! Il promeut désormais également la censure totalitaire sur Internet. Il s’est avéré être un dictateur despotique qui ne tolère pas la moindre manifestation de vérité, de justice ou de liberté. Trois gardes suisses ont quitté le Vatican de Bergoglio en signe de protestation.

Citation de la presse : 

« Dans son message vidéo du 16 octobre, le (pseudo) pape a appelé les géants de la technologie – Big Tech – à accélérer la censure des fake news, des discours de haine, des théories du complot et de la manipulation politique, et au nom de Dieu il leur a demandé de mettre un terme à leur propagation. »

Commentaire : Qu’est-ce que Bergoglio considère comme des fake news (fausses nouvelles), des discours de haine, des théories du complot et des manipulations politiques ? Tout ce qui est encore vrai sur Internet est étiqueté par lui avec ces termes péjoratifs. Pourtant, lui-même diffuse effrontément de vraies fake news, qui ont un impact catastrophique ! Pourquoi Bergoglio veut-il supprimer complètement la voix de la vérité ? Parce que de plus en plus de scientifiques et de médecins rapportent les vraies statistiques et l’impact tragique de la vaccination expérimentale forcée. Ces experts sont devenus la voix de la conscience de l’humanité et perturbent les plans des satanistes contemporains, qui, avec Bergoglio, sont à l’origine de la pseudo-pandémie. Bergoglio est le faux prophète de l’Apocalypse !

[Note de Joseph : le rôle du faux prophète de l’Apocalypse colle mieux à Bill Gates si la religion mondiale dont il est question n’est ni le New Age (Nouvel-Âge) qui n’est pratiqué ou suivi que par une minorité d’êtres humains, ni le catholicisme (romain ou orthodoxe), ni aucune des autres religions traditionnelles. La seule réalité d’extension mondiale à notre époque qui puisse s’apparenter de très près à une religion par le comportement des fidèles, des dévots ou des adorateurs de ses miracles est le scientisme technologique (voir : La religion de l’Antéchrist).
Voir aussi : Bill Gates a-t-il demandé à Bergoglio de fermer l’Église catholique ?
et Qui est l’Antéchrist ?]

Comment une personne qui promeut un programme génocidaire peut-elle être considérée comme un pape ? Bergoglio est un hérétique public qui nie l’essence du christianisme ! Il proclame un anti-évangile pro-vaccin et pro-climat (Gal 1:8-9). Il a trahi le Christ et l’Église, et conduit l’humanité à l’autodestruction en abusant de l’autorité ecclésiastique suprême. La tragédie est que les évêques et les prêtres tolèrent cela, et ne se sont pas levés pour défendre les fondements de la foi et de la moralité sur lesquels repose l’Église. Ses activités sont des crimes scandaleux, mais la plupart des catholiques ne veulent ni le voir, ni l’entendre. Ils tolèrent et soutiennent ses hérésies, la rébellion contre Dieu et les manifestations visibles de diabolisation. Comment appeler ce menteur professionnel, cet imposteur religieux et ce criminel par le titre de « Saint-Père », et le reconnaître étant comme le Vicaire de Jésus-Christ sur Terre ?! C’est une moquerie brutale et une insulte envers notre Sauveur ! Se soumettre à Bergoglio signifie renoncer publiquement à Jésus-Christ !

L’un des trois gardes suisses qui ont quitté le Vatican a déclaré ouvertement : « Le Vatican … trahit les catholiques fidèles ainsi que la doctrine officielle de l’Église ».

Citation de la presse : 

« Dans son message vidéo, Bergoglio a également demandé à tous les grands laboratoires pharmaceutiques ‘de faire un geste d’humanité et de permettre à chaque être humain d’avoir accès aux vaccins’. »

Commentaire : Comment un crime contre l’humanité peut-il être considéré comme étant un geste d’humanité ? Le garde qui a refusé la vaccination obligatoire au Vatican a déclaré : « Un catholique fidèle a l’obligation morale d’éviter les interventions médicales liées à l’avortement ». Les vaccins expérimentaux à ARN messager contre le Covid contiennent des tissus arrachés à un bébé vivant à naître avant qu’il ne soit tué. Le pseudo-pape promeut avec véhémence la vaccination expérimentale, et donc le meurtre des enfants à naître. De plus, en faisant la promotion des vaccins à ARNm, il favorise un changement dans le génome humain, ainsi qu’un puçage progressif couplé à un génocide planifié. Bergoglio pèche publiquement contre le 5e commandement « Tu ne tueras point ! », commettant ainsi des crimes contre Dieu et l’humanité !

Citation de Bergoglio : 

« Nous devons ajuster nos modèles socio-économiques pour qu’ils aient un visage humain ».

Commentaire : Bergoglio parle de modèles à visage humain et promeut en fait la diabolisation de l’humanité.

Le membre de la Garde suisse témoigne : « Ce que nous vivons (au Vatican, en lien avec la vaccination obligatoire) n’a rien d’humain, et encore moins de chrétien ! ».

Chaque évêque, prêtre et croyant doit comprendre qui est Bergoglio. Celui qui le considère comme un Pape légitime et refuse de voir ou d’entendre parler de ses crimes, a déjà publiquement renoncé à notre Sauveur, Jésus-Christ, par cette attitude. Bergoglio ouvre la voie de Judas, qui conduit ceux qui se soumettent à lui à la destruction éternelle. Bergoglio ne sert pas Dieu, mais sert publiquement le diable, qui est le père du mensonge et un meurtrier (Jn 8). Chaque évêque, prêtre et croyant aujourd’hui doit appeler la vérité la vérité, un crime un crime, une hérésie une hérésie, et un pseudo-pape un pseudo-pape ! Sinon, c’est qu’il a renoncé à la voie de la vérité, et est sur le chemin de la perdition !

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr                 + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires

Le 26 octobre 2021

Le pseudo-pape en appelle à Big Tech pour imposer une censure totalitaire




Pourquoi la peur n’a pas (encore) changé de camp ?

Par Alain Tortosa

« Open your eyes(([1] Ouvrez vos yeux))»

Pourquoi la peur n’a pas (encore) changé de camp ?
Médecins, soignants, journalistes ou politiques, il est encore temps…

Ce message ne s’adresse pas à celles et ceux qui sont corrompus et mentent sciemment sur les plateaux. Ils devront répondre de leurs actes tôt ou tard… Le problème est qu’ils sont allés beaucoup trop loin et trop fort dans leurs mensonges et leur fabrique de la peur pour revenir en arrière. Leur succès se mesure chaque jour face à un peuple tétanisé qui continue à gober leurs mensonges.

On aurait pu croire que les différentes séquences de « grands de ce monde » faisant la fête, se serrant la main ou s’embrassant et vivant sans masque ni distanciation (en l’absence de caméras) auraient pu permettre à tout un chacun de réaliser l’ampleur de l’escroquerie… Pensez-vous une seconde qu’ils auraient agi ainsi (dès le début de la crise) s’ils avaient pensé, ne serait-ce qu’une seconde, que nous étions face à un fléau mortel ?

Quel benêt témoin d’une énième preuve de l’escroquerie pourrait croire que leurs comportements seraient le fruit d’un certain relâchement ou comme a osé affirmer M Attal « nous sommes tous humains ! ».

Qui peut encore ignorer que toutes ces personnes « importantes » continuaient de pouvoir aller au restaurant ou de bénéficier de concerts privés dès le premier confinement… Certaines de ces libertés n’étant même pas dissimulées, les députés ont toujours pu déjeuner ou dîner au restaurant de l’Assemblée nationale sans masque ni gestes barrières et en toute impunité !

Les corrompus seront, je le répète, rattrapés tôt ou tard par la justice des hommes.

Rendez-vous compte qu’il n’y a plus rien de choquant à réclamer l’internement de non-vaccinés ou des peines de prison. Toute phrase passe telle une feuille au gré du vent… « les prendre par la peau du cul pour les amener au centre de vaccination » ou « comment peut-on s’en débarrasser » ou même suggérer l’idée du napalm… Il n’y a (quasi) plus aucune limite, aucune voix pour s’insurger contre l’utilisation de balles réelles face à des manifestants voulant défendre des libertés ! Ils ont à ce point « pété les plombs » que le Ministre de la Santé allemand a déclaré que d’ici la fin de l’hiver tous les Allemands seront « vaccinés, guéris ou morts » !!!

Et c’est nous les complotistes qui, à force d’avoir raison sur quasi tous les sujets, commençons sérieusement à manquer de théories du complot…

Alors que leur bateau du mensonge prend l’eau de toutes parts, ceux-ci persistent et accélèrent encore plus leurs mensonges :

  • « Les Israéliens ont été sauvés de la nouvelle vague par la 3e dose. »
  • « Le “booster” permet d’obtenir des résultats extraordinaires »

… À se demander si la dose ne guérit pas tous les cancers et ne permettrait pas de rendre la vue aux aveugles et l’usage de leurs membres aux handicapés moteurs ?!

Le pauvre Français qui ne lit que le Figaro ou ne regarde que BFM pour ne citer qu’eux (car ils sont TOUS alimentés par l’AFP qui est le canal unique de la Pravda) ne peut qu’être terrorisé par la nouvelle vague qui s’abat sur l’Europe et pour laquelle « notre salut ne viendra que d’une nouvelle dose »…

Nouvelle vague qui est toujours invisible pour le réseau Sentinelles qui constate que le Covid représente moins de 10 % des infections respiratoires aiguës à 10 cas pour 100 000 habitants ! Réseau pour qui la France vit non pas une épidémie de Covid, mais la fin d’une épidémie de gastro. Si demain les thérapies géniques ne sont plus « gratuites », mais réservées à certains, nul doute que les trafiquants de drogue abandonneront le crack pour se reconvertir dans les « vaccins ».

En même temps, comme dirait l’autre, le marché des trafiquants de drogue fait face aujourd’hui au monopole de Pfizer, trafiquant mondial de drogues, adoubé par l’OMS, les politiques, etc. Ils fourguent leur came à des milliards d’habitants en ayant largement connaissance des conséquences mortelles liées à sa consommation. Alors même que le pire trafiquant, le pire fils de pute (pardon pour cette profession honorable, elle…) s’empêcherait de transformer les enfants en toxicomanes à la santé vacillante.

Désormais, l’industrie du sucre, pionnière de l’addiction chez les enfants, est supplantée par Pfizer qui finira par fournir son poison dès la naissance et sans la moindre once de conscience.

Chez Pfizer et tous les fabricants de « vaccin » Covid, tuer on s’en tape, y compris tuer des enfants. Pourvu que ça rapporte « un max de blé »… Je n’ai pas vérifié la source, mais Pfizer engrangerait actuellement environ 1000 dollars de bénéfices à la seconde !

Situation délirante, paradoxale et extraordinaire alors même que tout le monde sait ou peut savoir, hormis un « camé du Covid », que :

  • Le virus est probablement non naturel.
  • Les traitements efficaces existent depuis décembre 2019 et qu’ils n’ont fait que progresser.
  • Les médecins ont été interdits de soigner les malades.
  • Ordre a été donné de tuer des personnes que l’on aurait pu traiter.
  • Le Covid, pardon, « les faux Covid » devrais-je dire, car 90 % des positifs n’étaient pas des malades, a représenté 2 % des hospitalisations de l’année 2020.
  • Le Covid a tout au plus tué quelques milliers de personnes en France, les autres étant décédées de leurs pathologies et « avec » le Covid.
  • Les thérapies géniques sont expérimentales et bénéficient d’une autorisation de mise sur le marché qui est conditionnée à l’absence de traitements existants.
  • Les « vaccins » n’empêchent pas la contagion.
  • Les « vaccins » n’empêchent pas les formes graves ni les décès.
  • Il n’y a pas de corrélation entre le taux de vaccination et la baisse de l’épidémie.
  • Les « vaccins » favoriseraient les variants.
  • Les effets secondaires, quasi interdits de déclaration, dépassent tout ce qui a été connu pour toutes les autres vaccinations « classiques ».
  • La 3e dose se fait sur un « vaccin » non mis à jour pour les variants. Je vous rappelle que les « complotistes » avaient affirmé qu’il y aurait une troisième dose, un abonnement à vie à la vaccination et que le passe-sanitaire serait annulé en l’absence de nouvelles doses… et ce sous les sarcasmes des « grands » journalistes vérificateurs de l’information.

Le monde est à ce point fou, nous sommes dans « 1984 », la réécriture de l’histoire est telle qu’on en arrive à voir désormais des études qui affirment que l’activité physique et le sport peuvent être dangereux pour la santé et provoquer des crises cardiaques. Surtout, ne faisons jamais le lien entre la vaccination et l’explosion des problèmes cardiaques dans une population jeune.

J’en finis donc avec ma « brève introduction de deux pages » pour dire qu’entre les mougeons, mi-moutons, mi-pigeons, et les pourritures corrompues il y a une masse de médecins et de journalistes pas totalement idiots qui ont été à la fois naïfs dans un premier temps puis ont eu peur pour leur carrière et leur image dans un deuxième temps.

Je m’adresse donc aux conscients non corrompus pour leur dire une fois de plus qu’il est temps… Comme je l’ai écrit, le bateau fuit de toutes parts, les informations sortent de plus en plus massivement.
Vous qui savez désormais (ou pouvez savoir en quelques clics) que c’est un mensonge organisé.
Vous qui savez que le gouvernement a mis sciemment en place une politique qui vise à nuire à son peuple
Vous qui savez que cette fausse vaccination est inefficace et qu’elle entraîne des effets secondaires graves, voir qu’elle tue des enfants…

Vous ne pouvez demeurer silencieux !

Profitez des quelques langues qui commencent à se délier,

  • De l’aveu que les injections ne protègent pas de la contagion.
  • De l’aveu qu’elles ne permettront pas une immunité vaccinale de masse.
  • De l’aveu qu’elles n’empêchent pas d’être hospitalisés.

Profitez de ces avancées pour oser dire le reste, profitez des rares journalistes qui commencent à parler.
Profitez de l’invitation du professeur Perronne…
À ce titre je remercie Cnews qui semble commencer à avoir le courage de mettre quelques minutes de vérité dans un océan de propagande.

Vous médecins qui disposez encore de valeurs, rachetez-vous une conscience et allez sur les plateaux télé !
Vous politiques qui avez été bernés, muselés par cette dictature sanitaire, rachetez-vous une conscience et prouvez-nous que nous n’êtes pas uniquement là pour faire carrière et récolter des millions.
Vous journalistes qui vous êtes tus par peur, rachetez-vous une conscience et cessez d’inviter toujours les mêmes incompétents, menteurs, ou corrompus.

Tous ceux qui hier ou aujourd’hui ont peur de perdre leur réputation ou leur emploi en disant la vérité devraient sacrément avoir peur des poursuites judiciaires à la libération.

Ne sentez-vous pas le vent qui tourne ?
Ne sentez-vous pas la brise de la liberté se lever ?

La dictature semble paniquer. Car seul un paniqué ou un débile peut envisager d’enfermer son peuple dans des camps ou de lui tirer dessus ! Cette amplification de la folie est révélatrice d’une urgence… museler au plus vite !

Faites des plateaux télé avec le professeur Perronne, le professeur Toubiana ou Alexandra Henrion-Caude (sans oublier les autres), résistants de la première heure qui ont fait, et font les frais de la police politique.

Je suis conscient de l’inutilité de mon texte, je suis conscient d’avoir écrit le même texte des dizaines de fois, mais je veux croire encore que celles et ceux qui savent et qui ont une conscience ou qui veulent échapper aux futurs procès et condamnations feront le bon choix…

Rejoignez les défenseurs de la liberté, les défenseurs des droits de l’homme et de l’enfant, les défenseurs d’une science honnête et non corrompue…

Sauvez-vous, sauvez-nous de cette barbarie !

Merci

Alain Tortosa.

22 novembre 2021

https://7milliards.fr/tortosa20211122-ayez-le-courage-de-l-honnetete.pdf




Ces orcs néonazis sont bien sûr sans scrupules (Guadeloupe, mamans louves, Livre noir, légitime défense…)

Par Lucien SA Oulahbib


La morgue, crasse, des orcs néonazis est de mieux en mieux connue, tel ce dénommé « Yassine Bellatar » qui séquestre un journaliste de Livre Noir parce que ce média aura osé faire son métier, sans Ausweis, dans des contrées que l’orc néonazi Bellatar juge « siennes », au même titre que le « 18e » dans lequel il tente (tel Hitler dans les bars de Munich en 23) d’ameuter ses meutes d’orcs néonazis avides de prendre (tout) le pouvoir parce qu’ils auraient la bonne couleur de peau, la bonne religion, surfent sur le bon discours (« en marche », bien qu’enlisé) et aiguisent en permanence leurs dents (blanches) si longues qu’elles rongent d’impatience le parquet… d’en dessous, le leur étant insuffisant tant ils suintent de cette furie envieuse qui façonne les pavés de la guerre d’extermination comme le promet littéralement l’orc néonazi Bellatar si l’on prend au sérieux les dires du journaliste de Livre Noir ainsi assailli.

Toute cette « pensée » ultra-narcissique de psychopathe hyper violent suinte donc de plus en plus. Il s’agit de toute une morgue crasseuse également repérable dans tous leurs misérables petits propos méprisants à souhait, ici face à la juste lutte des Guadeloupéens, là contre ces mamans louves qui défendent nos petits, là-bas à propos de l’acquittement de ce gamin américain qui a osé (se) défendre alors qu’il voulait protéger sa ville injustement incendiée à la suite d’une arrestation musclée d’un violeur pédocriminel récidiviste (voir la réaction d’Amala à 15,55). Il était attaqué par trois orcs dits « antifa » (la blague), frappé à la tête avec un skateboard et, surtout, était sous la menace d’un revolver (voir la réaction de Ted Williams à 0’55).

C’est que ces orcs n’ont aucun scrupule, bien sûr, et lorsqu’ils ont un revers, une résistance, ces néonazis, désireux de voir dominer leur race supérieure anti-blanche, anti-française, anti-occidentale, et piétinant pour ce faire toute notion de liberté (en particulier le droit à la critique), nient violemment évidemment la réalité autre que la leur parce qu’ils veulent imposer uniquement celle-ci, ce simulacre pour les bœufs : ou comment construire du faux en carton-pâte pour les autres (eux vivant normalement la vraie vie) tout en osant dire non seulement qu’il s’agit du réel, mais du seul possible, du seul pensable (tuant les récalcitrants de mots balles comme « complotiste », « conspirationniste », « extrême droite »).

Ces orcs néonazis s’affublent même de divers visages « humains » (Hitler aimait les chats et était végétarien), alors que leur but reste identique aux spécificités fascistes, nazies, léninistes : v(i)oler la piétaille, olé olé, en son nom, ce qui est plus jouissif (pour ton « bien », ma petite). Plus ce mensonge, criminel, est gros, plus il passe, jusqu’à heurter toute raison que leurs descendants d’aujourd’hui prétendent défendre en « franc-tireurs », alors qu’ils lui font honte tant tout n’est pour eux que « simulacre et simulation », telle cette fausse injection hygiéniste (aucun virus, même peu létal, ne doit subsister) et dont le « rappel » est pourtant ordonné (employant ainsi le vocable des vrais vaccins : « rappel »).

Le troupeau des moutruches et des mascocéros s’y attelle, au sens littéral, heureux même de servir avec la muselière ses nouveaux maîtres qui à l’instar d’autrefois et depuis la nuit du 5 août 2021 (annulant celle du 4 août 1789) plastronnent, festoient à l’air « libre » (congrès des maires, soirées à l’Élysée, restaurants clandestins lors des confinements) alors que les nouveaux serfs les servent après avoir été entassés comme des bestiaux dans les transports dédiés, et tatoués non plus seulement par eux-mêmes, mais par cet État de plus en plus néonazi au sens de ségréguer non seulement les purs (injectés) des impurs, mais aussi ayant la bonne couleur de peau et le bon sexe « iel » porte de plus en plus ouverte aux actuelles manips génitales et hormonales faisant suite aux nouveaux sacrifices humains que sont les avortements dits de « détresse », sans parler des enfants sans « père » ni « mère », ces notions dépassées (le Président Macron sortant de sa fonction pour en faire la promotion — vendeur multicasquettes — à une représentante d’une association familiale) comme si le βίος ne charriait que de la chimie et de la physique organique (Joseph Nuttin, Théorie de la motivation humaine, 1980, pp.166, 215).

Mais les moutruches et les masquocéros acceptent cet état de soumission/dhimmitude (le masque comme voile et muselière postmoderne vantée dans les romans à l’eau SM), acceptent que des églises soient fermées dans les pays musulmans et ferment les yeux sur le fait que des deniers publics servent à la construction de mosquées sans même exiger donc de réciprocité, du moment qu’ils peuvent aller s’abreuver, se restaurer, s’abrutir dans les mangeoires attitrées en montrant l’Ausweis comme s’il s’agissait d’une médaille, d’un diplôme, d’un bon point et tableau de déshonneur (à la mode churchillienne pourtant).

Et puis il y a pis.

En Guadeloupe par exemple, mais aussi au sein de cette Commission européenne qui veut fourguer en Afrique les doses d’injections que personne ne veut plus tant les effets secondaires sont désastreux. Il apparaît alors le vrai racisme de ces orcs néonazis, celui de se dire : « après tout, ces Africains et ces guadeloupéens, ne savent rien ce sont des sous-développés, forçons-les à écarter leur médecine ancestrale, voire enfermons, traquons les médecins qui prônent les traitements précoces (qui font pourtant leurs preuves) puisque nous, orcs néonazis à la solde de la Secte globale hygiéniste scientiste affairiste, nous savons tout… » Tout en disant le contraire bien sûr…

Ainsi « l’Impérialisme » chassé soi-disant par la porte revient par la fenêtre en montrant sa patte sanitaire mâtinée d’écologie. Il incite à la sobriété et à la frugalité à longueur d’émissions « opium des peuples », alors que cette Secte, dans sa vraie vie, se délecte d’orgies à faire pâlir un Caligula sans parler de Néron jouant de la lyre, tel Macron qui sournoisement conseillait d’aller au théâtre en janvier/février 2020 alors qu’il savait pertinemment qu’il allait sonner la charge un mois plus tard (sa ministre de la santé clouant l’antiviral bon marché au pilori deux mois plus tôt suivant les directives globales mises en place dès l’automne 2019). Celui-ci joue ainsi en même temps les rôles de flic gentil ET de flic méchant et, continuant toujours dans l’horreur à l’heure présente, il massacre toute une enfance de plus en plus détruite (à entendre les praticiens), les « mamans louves » (« maman », terme honni par ces néonazis ). La « viande » enfantine est réduite elle aussi à son devenir de bétail au sexe simulacre « iel » que ces orcs voulaient même (se)farcir avant 15 ans (ne le fait-on pas dès neuf ans dans certaines contrées ?) s’il n’y avait pas eu le réflexe électoraliste de survie d’usage.

Et dans ce déluge incessant d’images apparemment sans scénario, ceux qui tiennent la caméra et le projecteur savent eux où ils vont : vers l’inédit d’une extermination globale de ce qui fut autrefois cette fameuse « émancipation du genre humain », cette berceuse contée naguère par les Mélenchon de l’époque en racontant la Sagesse de l’Antiquité, le Moyen-Âge des cathédrales, la liberté de la Renaissance, l’émergence de l’Universel apportant la Lumière du Savoir au Monde, toutes ces billevesées calant aujourd’hui les bureaux devenus inutiles de la Technocratie feuilletonesque de plus en plus au service de la junte des orcs néonazis au pouvoir et aspirant à garder in(dé)finement ce dernier.

L’Ordre des Orcs néonazis veille. Oyez, oyez ! Circulez, il n’y a rien à voir, juste à obéir pour avaler le grain de leurs injonctions sous forme d’injections diverses et (a)variées.




Qui sont les responsables de la crise mondiale Covid-19 ?

[Source : BibiCabaya]

Par Joachim Hagopian

Les Drs. Zelenko et Martin nomment les criminels génocidaires derrière l’arme biologique covid-19

[Ndlr : si le SRAS-CoV-2 est une arme biologique, alors il n’a pas fait le nombre de morts attendu par la simulation Event 201 (qui était de 65 millions).]

Au lieu d’utiliser des vaccins tueurs Covid-19, Vladimir Zelenko, docteur en médecine et praticien acclamé de chefs d’État, a guéri avec succès plus de 6000 patients Covid-19 par une combinaison d’hydroxychloroquine, de zinc, de quercétine, de vitamine C et de vitamine D en traitement alternatif qui a résulté en un taux de survie de 99%. Alors que ses réalisations notables lui ont valu des nominations pour le prix Nobel de la paix et la Médaille Présidentielle de la Liberté, le fait de s’exprimer publiquement contre les dangers des soi-disant vaccins l’a amené à endurer des menaces de mort quotidiennes, des tentatives de mort sociale et professionnelle ainsi qu’une censure généralisée. Exprimant courageusement la vérité et fournissant un remède de santé efficace et peu coûteux qui s’oppose ouvertement à l’agenda de dépopulation génocidaire de la Cabale, il est considéré comme une menace pour la tyrannie médicale et politique du Nouvel Ordre Mondial. Le Dr Zelenko nomme un chat un chat : donner ces «vaccins» aux enfants est un sacrifice de sang d’enfant, d’une part, et l’ordre du jour mondial d’obligation vaccinale est le sacrifice satanique de sang de l’ensemble de l’espèce humaine, d’autre part.

Après avoir été déréférencé de tous les réseaux sociaux prostitués au système et complices du génocide, le 25 octobre 2021 le Dr Zev Zelenko a audacieusement exposé les démons derrière ce complot diabolique visant à dépeupler la planète avec l’injection létale de Big Pharma :

« Je suis un réaliste du complot. Vanguard et BlackRock [sic] sont partie prenante de toutes les industries, médias, universités et politiques. Vanguard et BlackRock investissent l’un dans l’autre par le biais de ce qu’on appelle la propriété circulaire. Ainsi, il faut considérer Vanguard et BlackRock comme un monopole qui possède tout. Après avoir fait les vérifications nécessaires, vous découvrirez que les principaux actionnaires de ce monopole sont les :

• famille Rothschild
• famille Du Pont
• famille Rockefeller
• famille Carnegie
• famille Orsini
• famille royale britannique

qui utilisent les fondations suivantes pour fomenter le chaos dans le monde

• Fondation Bill et Melinda Gates
• Fondation Soros Open Society
• Fondation Clinton

Ces fondations contribuent à la déstabilisation géopolitique. Le chaos est profitable en affaires et sert à l’acquisition du pouvoir. Seule une force divinement inspirée peut vaincre ce Goliath. Le monde ne sera racheté que par des actes de bonté et de gentillesse. Nous avons besoin d’une conscience divine collective afin de mériter une intervention divine. Les propriétaires du monopole Vanguard/BlackRock sont une manifestation du serpent primordial. Je suis TRÈS optimiste quant à la survenue d’un événement rédempteur qui rééquilibrera notre monde obscur. Attachez vos ceintures et profitez du voyage. »

Vladimir Zev Zelenko,
docteur en médecine

Même un examen superficiel — étonnamment effectué par Tim Gielen et qui expose les deux plus importants actionnaires aux manettes aujourd’hui : Vanguard et BlackRock — montre que c’est ce même petit groupe de monopolistes, succinctement soulignés par le Dr Zelenko, qui possède et contrôle essentiellement le monde entier. Son pouvoir absolu sur l’humanité lui a permis jusqu’ici de s’en tirer pour meurtre tout en détruisant notre planète au moyen de produits toxiques. Par exemple, si on prend les principaux fabricants mondiaux de l’industrie alimentaire telles que les plus grandes marque populaires : Coca Cola, PepsiCo, Unilever, Nestlé et Mondelez International, on s’aperçoit que tous ces fabricants géants de nos aliments chimiquement transformés sont contrôlés par les deux mêmes investisseurs actionnaires monopolistes, Vanguard et BlackRock. Les troisième et quatrième plus grandes sociétés d’investissement au monde sont Berkshire Hathaway de Warren Buffet et State Street Corporation.

Les plus grandes entreprises de l’industrie des technologies sont un autre exemple de ce jeu de monopoly. Facebook possède WhatsApp et Instagram, tandis qu’Alphabet, en tant que maison-mère de toutes les entreprises Google, possède YouTube, Gmail et le plus grand sponsor d’Android — la plus grande plate-forme d’applications mobiles au monde, le système d’exploitation quasi exclusif de tous les smartphones — ainsi qu’Apple IOS, l’autre système d’exploitation majeur. Ainsi la société de Bill Gates, Microsoft Corporation, Facebook, Apple et Alphabet constituent les quatre plus grandes entreprises technologiques sur lesquelles fonctionnent pratiquement tous les ordinateurs, télex et smartphones du monde. Ces même deux principaux investisseurs — Vanguard et BlackRock — détiennent également des parts majoritaires d’actions dans toutes les sociétés de l’industrie BigTech. En fait, toutes les entreprises qui fabriquent des ordinateurs, des téléviseurs, des smartphones et des appareils électroménagers — IBM, Hewlett Packard, Intel, Sony et Dell, y compris les plus grands marchés en ligne Amazon et eBay —,  les plus grandes chaînes de grands magasins et d’épiceries, toutes les méthodes de paiement appartiennent toutes aux mêmes sociétés d’investissement géantes Vanguard et BlackRock.

Chaque industrie sur terre est détenue et contrôlée par ces deux mêmes grands investisseurs. Tous les produits agricoles, les semences appartenant à Monsanto, le tabac, l’alcool et les sociétés de BigPharma — qui sont en train de nous tuer en ce moment même avec des armes biologiques génocidaires déguisées en pseudo vaccins — appartiennent tous aux mêmes lignées. Le jeu économique est totalement truqué : à commencer par tous les meilleurs sites de voyage sur Internet, en passant par les meilleures compagnies aériennes ; les meilleurs avionneurs ; les meilleures chaînes d’hôtels et de restaurants ; les meilleures raffineries de pétrole qui alimentent tous les avions, trains, bateaux, camions et voitures ; les sociétés sidérurgiques et les sociétés minières qui fournissent toutes les matières premières utilisées dans tous les modes de transport ; le BTP ; la fabrication de textiles et la confection de vêtements : ils sont tous contrôlés par les mêmes propriétaires, y compris la prétendue industrie verte qui fabrique des panneaux solaires et des éoliennes. D’ici 2028, les actifs Bloomberg que possèdent ces deux propriétaires mondiaux — Vanguard et BlackRock — atteindront 20000 billiards de dollars. BlackRock est considérée comme le quatrième bras du gouvernement compte tenu de ses liens intimes avec les banques centrales Rothschild. Même le plus grand actionnaire de BlackRock est Vanguard et vice versa, bien que Vanguard assure l’anonymat complet de ses propriétaires particuliers. Mais récemment, des preuves accablantes ont montré que c’est ce même petit groupe de familles de la noblesse noire que le bon Dr Zelenko a dénoncé.

Récapitulation: tout sur terre est pratiquement détenu et contrôlé par ces mêmes sociétés d’investissement de premier plan ainsi que par les plus grandes banques, fonds communs de placement, compagnies d’assurance et même les nations politiques, propriétés contrôlées par la corruption et le chantage ; tous ces domaines sont complètement dominés par le mêmes lignées de contrôle — les dynasties des familles Rothschild, Rockefeller, Du Pont, Carnegie, Orsini, Bush et Windsor, ainsi que quelques clans moins connus mais tout aussi puissants couverts dans l’ouvrage de Fritz Springmeier Bloodlines of Illuminati [Les lignées des Illuminati]. Afin de parfaire leur emprise sur l’humanité, même les petites sociétés d’investissement de Fortune 500 appartiennent aux mêmes grandes sociétés connues au sein d’une structure de pouvoir de forme pyramidale à hiérarchie verticale. Comme l’a astucieusement observé le regretté grand comédien, George Carlin, il y a plus d’une douzaine d’années : tout cela n’est qu’un «grand club [de psychopathes] dont nous ne faisons pas partie» et qui contrôle pratiquement tous les aspects de nos vies et chaque entreprise de la planète, tant légales qu’illégales, sans exception.

Davantage d’identités de criminels du covid sont en train d’émerger. À part le Dr Mengele du génocide du coronavirus, nous avons dit le Dr Anthony Fauci, responsable des subventions de la recherche virale du NIH, et trois principaux complices — le Dr Ralph Baric de l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill, chargé d’exécuter l’ordre de Fauci de mener une étude sur une arme biologique létale à gain de fonction de coronavirus, jusqu’à ce que celle-ci soit interdite aux États-Unis, puis en envoyant 7,4 millions de dollars des contribuables américains au plus grand ennemi des États-Unis, la Chine communiste, et à la bat woman de son Institut de virologie de Wuhan, le Dr Shi Zhengli qui a averti que d’autres virus seront relâchés, et le racketteur en chef de la commercialisation des armes biologiques de Fauci et collègue terroriste intérieur, l’ancien vétérinaire de l’OMS, le Dr Peter Daszak — il y a plein d’autres coupables pointés du doigt, responsables criminels, derrière l’attaque d’aujourd’hui à l’arme biologique contre l’Humanité.

Selon le révélateur de vérité sur l’arme biologique Covid, le Dr David Martin, professeur, auteur, inventeur, chercheur et expert en brevets, vient de rendre public la liste de trois douzaines de noms d’autres criminels identifiés du programme de dépopulation de l’élite. Par ordre alphabétique des prénoms, ils sont :

1. Al Gore, vice-président des États-Unis (1993-2001), président et cofondateur de Generation Investment Management LLP  ·

2. André Hoffmann, vice-président de Roche  ·

3. Angel Gurria, Organisation de coopération et de développement économiques  ·

4. Bill Gates, Fondation Bill & Melinda Gates  ·

5. Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne  ·

6. Chrystia Freeland, vice-premier ministre et ministre des Finances, cabinet du vice-premier ministre du Canada  ·

(Source : THE CANADIAN PRESS/Adrian Wyld)

7. David M. Rubenstein, co-fondateur et co-président exécutif du Groupe Carlyle  ·

8. Dustin Moskovitz, Open Philanthropy, co-fondateur de Facebook  ·

9. Fabiola Gianotti, directrice générale, Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN)  ·

10. Feike Sybesma, président du Conseil de Surveillance de Royal Philip  ·

11. S.M. la Reine Rania Al Abdullah du royaume hachémite de Jordanie, reine du royaume hachémite de Jordanie, bureau de S.M la Reine Rania Al Abdullah  ·

12. Heizo Takenaka, professeur émérite à l’Université Keio  ·

13. Herman Gref, PDG et président du conseil d’administration de Sberbank  ·

14. Jim Hagemann Snabe, président de Siemens  ·

15. Julie Sweet, directrice générale d’Accenture  ·

16. Klaus Schwab, fondateur et président exécutif, Forum économique mondial  ·

17. Kristalina Georgeva, directrice générale, Fonds monétaire international (FMI)  ·

18. L. Rafael Reif, président, Massachusetts Institute of Technology  ·

19. Larry Page, Google  ·

20. Laurence D Fink, présidente et chef de la direction de BlackRock  ·

21. Luis Alberto Moreno, membre du conseil d’administration du Forum économique mondial  ·

22. Marc Benioff, président et chef de la direction de, Salesforce  ·

Source : REUTERS/Ruben Sprich – LR1ED1H1DWS0L

23. Mark Carney, envoyé spécial des Nations Unies pour l’action et le financement climatiques, Nations Unies  ·

Photographe : Patrick Doyle/Bloomberg via Getty Images

24. Mark Schneider, PDG de Nestlé  ·

25. Mark Zuckerberg, Facebook  ·

26. Mukesh D Ambani, président et directeur général de Reliance Industries  ·

27. Orit Gadiesh, président de Bain & Company  ·

28. Patrice Motsepe, fondateur et président exécutif d’African Rainbow Minerals  ·

29. Paula Ingabire, ministre des technologies de l’information et de l’innovation, ministère des technologies de l’information et de la communication et de l’innovation du Rwanda  ·

30. Peter Brabeck-Latmathe, vice-président du conseil d’administration du Forum économique mondial  ·

31. Peter Maurer, président du Comité international de la Croix-Rouge (CICR)  ·

32. Robert Mercer, Fonds Renaissance  ·

33. Tharman Shanmugaratnam, ministre principal du gouvernement de Singapour  ·

34. Thomas Buberi, directeur général d’AXA  ·

35. Yo-Yo Ma, violoncelliste  ·

Todd Rosenberg Photography 2010

36. Zhu Min, président de l’Institut national chinois de recherche financière  ·

LIEN :

Grâce aux Drs Zelenko et Martin, les criminels sont maintenant en ligne de mire. Bientôt, les procès Nuremberg 2.0 poursuivront les criminels de la Cabale énumérés ci-dessus. Un point clé très important à saisir est que les mêmes malfaiteurs derrière le génocide par injection létale sont les mêmes contrôleurs planétaires qui ont, à l’envi, violé, volé et pillé la terre pendant de nombreux siècles : ces mêmes lignées Illuminati commencent et terminent toutes les guerres, les dépressions économiques, les catastrophes non naturelles (ex. tremblements de terre, éruptions volcaniques, ouragans, inondations, sécheresse), les famines, les assassinats (comme celui de JFK) et le terrorisme tel que le 11 septembre et la guerre de dépeuplement covid-19 d’aujourd’hui contre l’espèce humaine, ainsi que le fléau de la pédocriminalité en tant que crime organisé dont la croissance est la plus rapide au monde — et plus généralement, le trafic sexuel d’êtres humains et d’enfants. Plus que jamais dans l’histoire, nous savons maintenant qui sont ces meurtriers lucifériens, et justice doit être rendue afin de mettre fin à leurs crimes brutaux contre l’Humanité.

Un cas d’espèce de criminels VIP faisant l’objet de poursuites judiciaires est le cas très médiatisé de Ghislaine Maxwell, l’ancienne petite amie britannique et présumée trafiquante sexuelle d’enfants de Jeffrey Epstein, dont le procès devrait commencé plus tard ce mois-ci. Nous verrons survenir d’autres inculpations. Par exemple, les derniers gros titres de ce scandale sans fin de l’État Profond viennent d’annoncer le renversement du PDG de Barclays Bank. Depuis 2019, le PDG de BarclaysJes Staley, fait l’objet d’une enquête sur 1200 courriels échangés entre 2008 et 2012 avec le pédocriminel international du trafic sexuel d’enfants, Jeffrey Epstein. Les deux hommes se sont rencontrés en 2000 lorsque Staley dirigeait la banque privée JP Morgan réservée uniquement à la clientèle la plus riche, comme Jeffrey Epstein, qui à son tour était financée par le fondateur du mega groupe sioniste et de L Brands, Les Wexner. La JP Morgan Chase Bank d’aujourd’hui a une longue histoire qui remonte à 1835 en tant que substitut de Rothschild opérant aux États-Unis. Le rapport d’enquête final mené ces dernières années par la Financial Conduct Authority (FCA) du Royaume-Uni et la Prudential Regulation Authority (PRA) de la Banque d’Angleterre étant sur le point d’être publié sur les affaires louches de Staley avec le pédocriminel le plus infâme d’Amérique, un avocat de Staley a catégoriquement nié la criminalité de son client et a entamé une procédure visant à contester le rapport préliminaire de ces autorités.

Ce qui est clair, c’est que Jes Staley a noué une amitié étroite et continue avec Epstein pendant au moins quinze ans — avant, pendant et après la condamnation pénale d’Epstein en 2009. Non seulement un nombre impressionnant de courriels ont été échangés au cours de cette seule période de quatre ans, mais Epstein y fait plusieurs références à «Blanche-Neige» dont on suppose qu’il s’agit d’un code. On a également appris que Staley rendait souvent visite au délinquant sexuel condamné — tandis qu’Epstein «endurait» son «traitement de faveur» d’une durée d’un an — en se présentant tous les soirs à la prison de Palm Beach pour des soirées pyjama. De plus, Staley fut également un invité du tristement célèbre complexe «Orgy Island» [Île d’Orgie] d’Epstein dans les Caraïbes, admettant qu’il avait vu Epstein en personne pour la dernière fois en 2015. Le résultat de l’enquête étant sur le point d’être rendu public, il y a quelques semaines, le puissant banquier de Barclays des six dernières années a été contraint de démissionner de sa fonction exaltée.

Barclays est officiellement devenu le successeur de Rothschild pour la fixation du cours de l’or en 2004, suivi deux ans plus tard par l’un des siens, Marcus Agius, marié à une Rothschild et nommé comme nouveau président de Barclays — et qui sera exposé six ans plus tard par le scandale de la fixation des taux chez Barclays en 2012. Et maintenant, moins d’une décennie plus tard, Barclays fait face à un nouveau scandale salace. La dynastie sioniste bancaire Rothschild semble se débarrasser de son dernier et plus bas fruit pourri, «Staley», afin de se distancer un tant soit peu de son légendaire marécage infesté de pédocriminels. Aussi gros que soient les efforts des Rothschild, leurs empreintes digitales très visibles et louches de marionnettistes sont indélébiles partout dans le commerce international du trafic sexuel d’enfants et ne peuvent jamais être effacées. Leur contrôle satanique de la planète est très certainement en déclin.

Et maintenant, avec le procès de Ghislaine Maxwell, la partenaire criminelle VIP d’Epstein dans le trafic sexuel, qui doit commencer plus tard ce mois-ci, il faut s’attendre à ce que davantage de personnages très en vue qui ont été pris en flagrant délit tombent de l’opération sioniste de chantage sexuel. Après tout, il y a toute une bande de princes, de présidents et de premiers ministres qui sont les partenaires sexuels connus et compromis d’Epstein et de Maxwell : c’est ce que l’élite criminelle fait régulièrement pour se divertir. Si vous avez encore du mal à y croire, jetez un œil à ma série très documentée de cinq livres : Pedophilia & Empire: Satan, Sodomy and the Deep State [Empire et pédocriminalité : Satan, la sodomie et l’État Profond]. La dépravation des dirigeants planétaires est entièrement accessible, ne pouvant plus être cachée de la vue de tous.

Joachim Hagopian est diplômé de West Point, ancien officier de l’Armée et auteur de Don’t Let the Bastards Getcha Down [Ne laissez pas les salauds vous détruire] qui expose une direction militaire américaine défectueuse basée sur l‘ancienneté et qui élimine invariablement les meilleurs et les plus brillants, laissant la médiocrité et les partisans de l’ordre s’élever au sommet en tant que généraux politiciens-bureaucrates désignés pour perdre chaque guerre américaine moderne selon les desseins de l’élite. Après son séjour militaire, Joachim a obtenu une maîtrise en psychologie clinique et a travaillé comme thérapeute agréé dans le domaine de la santé mentale auprès de jeunes et d’adolescents maltraités, pendant plus d’un quart de siècle. À Los Angeles, il s’est retrouvé aux prises avec les plus grands services de protection de l’enfance du pays au sein du système américain complètement délabré et corrompu de la protection de l’enfance. L’expérience à la fois dans l’Armée et dans le système de protection de l’enfance l’a bien préparé en tant que chercheur et journaliste indépendant à exposer les maux de Big Pharma et la manière dont le système médical et psychiatrique contrôlé par Rockefeller inflige plus de mal que de bien ; par exemple, l’actuel canular pandémique diaboliquement mortel et génocidaire. Journaliste indépendant depuis 8 ans, Joachim a écrit des centaines d’articles pour de nombreux sites d’information, notamment Global Research et lewrockwell.com. En tant qu’auteur publié d’une série de 5 volumes intitulée Pedophilia & Empire: Satan, Sodomy & the Deep State, les livres et chapitres de Joachim sont des best-sellers d’Amazon dans les catégories défense des enfants et des droits de l’homme. Sa série de sources A-Z documente et expose entièrement le fléau mondial de la pédocriminalité et reste disponible gratuitement sur le blog de Joachim à l’adresse http://empireexposed.blogspot.com/ et https://pedoempire.org.

Traduit de l’anglais par BibiCabaya (15 novembre 2021).

Source originale : American Empire Exposed https://empireexposed.blogspot.com/ publié le 14 novembre 2021.

Partagé par Before It’s News https://beforeitsnews.com/global-unrest/2021/11/dr-zelenko-and-dr-martin-are-now-naming-names-of-the-genocidal-killers-behind-covid-19-bioweapon-2532878.html , publié le 15 novembre 2021.




Zemmour et sa vision du monde périmée

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Penser Zemmour à l’heure de la dictature sanitaire

Penser Zemmour et le zemmourisme, surtout s’il est teinté de knafisme, n’est pas chose simple en temps ordinaire. Mais en situation de dictature sanitaire, l’affaire se présente comme un accouchement par le siège, tant le personnage est clivant, suscitant chez certains un enthousiasme quasi-christique, chez d’autres un rejet viscéral. Régulièrement interrogés par des lecteurs sur cette question, nous avons décidé de sortir de l’ambiguïté pour confronter les vues éditoriales du Courrier aux prises de position du polémiste.

Eric Zemmour réussit l’exploit d’être un non-candidat à une élection dont il est cité comme un possible vainqueur. En soi, cette (non)posture est déjà une superbe réussite qui interroge sur le poids de la société du spectacle. À la différence des hommes politiques traditionnels, Éric Zemmour ne s’est en effet pas distingué par une prise de responsabilité dans un poste électif ou public. Il s’est seulement illustré par son potentiel télévisuel. Mais ce point de contexte, qui pourrait être considéré comme une limite, ne semble pas gêner ceux qui déclarent aujourd’hui le soutenir. 

Puisqu’il est d’usage désormais de prendre position même si l’intéressé est pour l’instant en phase de “réflexion”, il nous paraissait important d’apporter quelques éléments d’analyse libertarienne sur sa doctrine. 

Zemmour face à la dictature sanitaire

Nous éviterons ici de cataloguer sommairement la pensée zemmourienne sur le passe sanitaire et sur les mesures liberticides que le gouvernement multiplie depuis plusieurs mois. Nous retiendrons seulement (et nous pensons ne fâcher aucun lecteur en l’affirmant) que cette question de la dictature sanitaire n’occupe pas une place centrale dans la doctrine du polémiste. 

Tantôt contre le passe sanitaire, tantôt pour ou peu dérangé par son principe, Zemmour ne fait pas partie de ceux qui tempêtent contre une violation des libertés publiques par l’État. Redisons-le, peut-être cette violation l’embarrasse-t-elle, mais il n’en fait pas le centre de sa doctrine. 

Les lecteurs fidèles du Courrier savent que nous ne pouvons guère partager cette forme de tiédeur ou d’indifférence vis-à-vis de ce qui nous semble être crucial dans notre époque, ou plutôt dans le changement d’époque auquel nous assistons. 

Si nous en croyons les informations que nous recevons régulièrement, Zemmour appartient plutôt à ce groupe de pensée “identitaire” qui considère que la question de la vaccination ou celle du passe sanitaire sont des divertissements, des façons d’occulter ce qui leur semble le sujet de fond : l’immigration et l’identité française. Au fond, le seul sujet politique de l’époque serait celui de la démographie, et le reste ne compterait pas vraiment. 

Nous voulons expliquer ici deux choses : d’abord pour quelle raison nous n’opposons pas question migratoire et question de libertés. Ensuite pour quelle raison nous pensons qu’Éric Zemmour se trompe dans son appréciation de la réalité. 

Pourquoi immigration et libertés ne font qu’un seul et même sujet

Ainsi, il y aurait deux sujets différents. D’un côté celui que certains appellent la submersion migratoire. D’un autre côté celui de la vaccination obligatoire, du passe sanitaire et de la surveillance de masse. 

Nous pensons pour notre part que ces deux sujets ne font qu’un, ou plutôt qu’ils sont les deux faces d’un seul et même projet de dilution de l’Occident dans un grand tout mondialisé, servile et formaté pour les besoins d’un nouveau capitalisme de connivence sur lequel nous nous exprimons régulièrement. 

Nos lecteurs, habitués à la thématique prétendument complotiste du Great Reset, savent combien ces deux sujets sont en tout cas étroitement liés dans la conception multilatérale déployée par la caste mondialisée qui domine les démocraties occidentales. Ce lien étroit apparaît peu clairement si l’on reprend la chronologie des faits, mais il se comprend très vite si l’on se réfère aux conceptions politiques dominantes outre-Atlantique, notamment sous la férule de l’Open Society Foundation de George Soros. 

[Voir aussi : Comment les Britanniques ont inventé George Soros]

Pour mémoire, le spéculateur américano-hongrois Soros, élève de Karl Popper, a créé une fondation qui prétend renverser, ou aider au renversement, des sociétés “traditionnelles”, c’est-à-dire des bons vieux États-nations occidentaux. Pour diluer leur identité, Soros n’a pas hésité à financer abondamment les ONG qui organisent la crise migratoire. Son projet est clair et assumé : il s’agit de diluer les vieilles résistances nationales en Europe, et de promouvoir un “activisme inclusif” grâce auquel nos sociétés ne feraient plus aucune distinction entre les individus, soit sur des critères culturels, ou ethniques, ou de genre. 

Dans cette vision de la société ouverte, l’obligation vaccinale, le passe sanitaire, le crédit social, la peur de la maladie, jouent des rôles essentiels. 

Pourquoi la dictature sanitaire est indissociable de l’immigration

Il ne faut surtout pas oublier que la caste mondialisée qui a favorisé les submersions migratoires de ces dernières années (notamment la vague de 2015 accueillie à bras ouverts par la coupable Angela Merkel, qui a directement débouché sur des vagues d’attentats meurtriers) a pris peur lorsque deux événements sont intervenus coup sur coup. D’abord, l’élection de Donald Trump aux Etats-Unis a remis en cause le sacro-saint principe du libre-échange et de la gouvernance multilatérale du monde, dont la caste mondialisée dépend économiquement. Ensuite, l’adoption du Brexit en Grande-Bretagne a fini de démontrer que le suffrage universel était devenu l’allié du vote souverainiste, moqué sous les termes de “populiste” d’abord, puis de “complotiste” aujourd’hui. 

Face au risque de voir le suffrage universel servir les ennemis du multilatéralisme, du libre-échange, de la bien-pensance activiste, la caste mondialisée a compris le parti qu’elle pouvait tirer de la menace épidémique. En agitant les peurs, en répétant quotidiennement dans les médias qui lui sont dévoués que chacun risque sa vie en parlant à son voisin, une reprise en main des vieux peuples d’Occident a commencé. Cette reprise en main se matérialise par un véritable projet de zombification, de neutralisation de tout esprit critique, où n’importe quel citoyen est sommé d’obéir à la propagande s’il ne veut pas être puni pour fait de complotisme. 

D’où ce projet insensé de crédit social à la chinoise avancé par Emmanuel Macron, qui permet de domestiquer les peuples et de bannir tous ceux qui refusent de donner un blanc-seing à une politique organisée de dilution de l’Occident. 

Ce qu’il faut comprendre, c’est qu’entre la vague migratoire organisée et l’anesthésie des libertés sous prétexte de COVID, il n’y a qu’un seul et même projet : celui d’une solution finale pour une conscience occidentale décidément bien gênante pour le libre-échange et ses petits travers. 

Le retard conceptuel d’Eric Zemmour sur le Great Reset

Les Français qui ont fait l’effort de remettre en cause leurs certitudes acquises et qui se sont informés sur ce projet de Great Reset, au demeurant parfaitement théorisé et transparent, savent tout ce qui vient d’être dit. Mais le journaliste du Figaro Éric Zemmour, figure de proue d’une rédaction subventionnée par l’État, n’a pas fait l’effort de cette mise à niveau de ses connaissances. Il est resté dans les certitudes de l’Ancien Monde, sans prendre connaissance du dévoilement et des tournants doctrinaux de ces derniers mois, dont le Forum de Davos est devenu le porte-voix avec tant d’efficacité. Et, effectivement, il faut avoir mis les mains dans le Great Reset pour comprendre que la crise du COVID est montée en épingle pour pouvoir en finir une bonne fois pour toutes avec les vieilles résistances souverainistes qui transforment l’Occident en village gaulois, hostile à l’envahisseur globalisé. 

Au fond, la vague migratoire de 2015 portait en elle le trumpisme et le Brexit. Le trumpisme portait en lui l’épidémie de COVID comme prétexte rêvé pour imposer une gestion mondialisée de la crise et affaiblir l’économie américaine. Et l’épidémie de COVID portaient aussi en elle la dictature sanitaire et la guerre déclarée aux vieilles identités. 

Mais sur toutes ces questions, Éric Zemmour est encore un homme du vingtième siècle. Il s’est arrêté au regroupement familial autorisé par Giscard, et à quelques autres niaiseries si on les compare au noyau dur de la dictature sanitaire. Faute de disposer d’un cadre d’analyse capable d’expliquer, de décrypter, l’évolution internationale de ces derniers mois, il est resté figé sur une compréhension obsolète du monde contemporain. 

Un silence gênant sur le fait multilatéral

Et c’est bien ce qui nous gêne chez Éric Zemmour : ce sentiment qu’une vie trop confortable à l’abri des contrats par lesquels il loue sa force de travail aux Dassault et Bolloré ne l’a guère poussé à renouveler ses analyses, et ce constat qu’au fond sa vision du monde est périmée. 

C’est aussi pour cette raison que nous sommes embarrassés par ses silences sur le poids du multilatéralisme aujourd’hui, et par son manque de clarté ou de vision sur l’Union Européenne, outil névralgique de la caste. Pour être honnêtes, nous pensons qu’Éric Zemmour n’est pas équipé pour comprendre le monde dans lequel il vit et ce point faible compliquerait singulièrement son accession au pouvoir. 

Il y a en effet une illusion bien naïve dans le fait de croire que renoncer à l’immigration règlerait tous les problèmes de notre temps. La caste mondialisée mobilise bien d’autres outils que les flux migratoires pour torpiller les résistances à l’ordre qu’elle appelle de ses vœux. Et sur ces autres outils, on attend de connaître les positions du candidat Zemmour. Mais nous constatons qu’elles sont bien tardives, quoi qu’il arrive, et bien peu visionnaires. 

Mais… c’est notre point de vue. C’est un point de vue parmi d’autres. Et chacun reste bien entendu libre d’émettre une approche ou une évaluation différentes. 




Algérie : les tribulations tartarinesques de Marie-George Buffet

[Source ahmedbensaada.com]

Par Ahmed Bensaada

[Ndlr : le titre fait allusion à Tartarin de Tarascon d’Alphonse Daudet]

Le rôle des syndicats dans les « regime change »

Voici donc la « Tartarine » du palais Bourbon, alias Marie-George Buffet, qui organise, le 15 octobre 2021, un colloque sur l’Algérie, au sein même de l’Assemblée nationale française (sic!).

Était-ce pour commémorer le 17 octobre 1961, date du massacre et de la noyade de centaines de manifestants algériens pacifiques?

Était-ce à l’occasion du 67e anniversaire de la révolution algérienne qui a été déclenchée un certain 1er novembre 1954?

Mais non, pas du tout.

Pourtant ces dates étaient si proches et la grande majorité des invités au colloque étaient Algériens.

Que nenni! Bien au contraire!

La « Tartarine » a réuni un aréopage de droitdelhommistes douteux, de sécessionnistes véreux, de syndicalistes fantoches et autres adeptes d’un Hirak frelaté pour… « renverser un pouvoir autoritaire » en Algérie!

Post de Marie-George Buffet

Rien que ça! Même pas peur, la « Tartarine » va-t-en-guerre, en mal de conquêtes coloniales et encadrée par ses sbires!

Par souci d’honnêteté intellectuelle, il a fallu – hélas – me soumettre au supplice de l’écoute de ces deux heures et quelques de parlotte insipide ponctuée de lieux communs, de poncifs et d’accusations puériles. Et tout ça dans une langue française si torturée qu’elle aurait fait pâlir d’envie Chalghoumi en personne.

Et si on se demandait pourquoi le Parti communiste n’en finit pas de péricliter, on a maintenant la réponse. Au lieu de s’occuper des vrais problèmes des Français, madame la députée discutaille avec des estafiers – dont elle ne connait certainement pas les accointances et qu’elle présente comme le « peuple algérien » – pour s’ingérer dans les affaires d’autres pays que le sien. D’ailleurs, n’est-ce pas elle qui a battu le record du plus mauvais score du parti communiste dans une élection présidentielle?

Évolution des résultats du PCF aux élections présidentielles de 1969 à 2007

S’est-elle au moins rendu compte que l’évènement a été filmé en direct par la chaine de télévision islamawiste « Al Magharibia » qui appartient au fils du fondateur du Front islamique du Salut (FIS), ce parti qui a été à l’origine de la décennie noire et qui a causé la mort de plus de 200 000 personnes? Sait-elle au moins que ce média collabore directement avec les trois composantes majeures du Hirak frelaté qui militent pour le « regime change » en Algérie, à savoir les « ONGistes droitdelhommistes », les « makistes séparatistes » et les « islamawistes offshore »? Ou veut-elle les utiliser pour mener à bien son projet de renversement de pouvoir?

Le colloque de Marie-George Buffet a été filmé et retransmis en direct par la chaine islamawiste Al Maghribia

Dans ce qui suit, nous allons tenter d’aider la « Tartarine » à faire connaissance avec quelques-uns de ses convives.

A- Les ONGistes droitdelhommistes

Commençons par le maitre de cérémonie, M. Ali Ait Djoudi, président de l’ONG « Riposte Internationale » qui distribuait la parole à tout le monde, même à la députée communiste qui les avait invités (!).

Comme on peut le constater dans l’image qui suit, le logo de cette « ONG » présente des similitudes de couleur qui ne font aucun doute sur son affiliation identitaire.

Comparaison entre le drapeau de Bessaoud-Bénet et le logo de « Riposte internationale »

On remarque donc que les quatre couleurs (en comptant celle des lettres du milieu) présentes dans le drapeau identitaire (kabyle et/ou amazigh) de Bessaoud-Bénet ont été reprises dans le logo de l’ONG, pour affirmer le supposé séparatisme ethnique et politique avec le reste de la population algérienne.

Une question évidente se pose : est-ce que cette « ONG » accepte en son sein des militants autres que des Kabyles/Amazighs « pure laine »?

Si oui, pourquoi ces couleurs. Si non pourquoi ce racisme.

Mais cela n’est pas étonnant si on tient compte du fait que Ali Ait Djoudi est un militant vétéran du Mouvement culturel berbère (MCB) tout comme son ami Ferhat Mehenni, le chef des sécessionnistes kabyles, président du Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie (MAK).

Ferhat Mehenni et Ait Ali Djoudi

D’autre part, lorsque « Riposte Internationale » a déposé un « rapport sur les violations des libertés en Algérie » auprès du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme à Genève, le 15 septembre 2020, les militants n’arboraient ni le drapeau algérien, ni la banderole de l’ONG, mais bel et bien le drapeau de Bessaoud-Bénet.

Seul le drapeau de Bessaoud-Bénet est brandi par « Riposte Internationale »

Les noms de « Riposte internationale » et de « Ait Ali Djoudi » se retrouvent dans une multitude de pétitions droitdelhommistes internationales ou contre l’État algérien. Ils ont appuyé (et probablement initié) la résolution du Parlement européen contre l’Algérie du 25 novembre 2020 (lire mon article sur le sujet).  On les retrouve aussi dans cette déclaration hostile à l’Algérie parrainée par « Project on Middle East Democracy » (POMED) qui date du 28 juin 2021.

Il est intéressant de savoir que POMED fait partie de l’arsenal d’organisations américaines dédiées à l’« exportation » de la démocratie comme la National Endowment for Democracy (NED), l’International Republican Institute (IRI), le National Democratic Institute for International Affairs (NDI), Freedom House (FH), la United States for International Development (USAID) ou l’Open Society Foundations (OSF) du milliardaire américain, George Soros. Il a été montré que ces organisations ont été impliquées dans les révolutions colorées et le mal nommé « printemps » arabe (pour plus de détails, lire mon livre « Arabesque$ »).

Il est aisé de vérifier que le POMED travaille de concert avec Freedom House et est financièrement soutenu par l’OSF. En 2016, par exemple, POMED a reçu une subvention de 550 000$ de la Fondation Open Society. POMED est également financé par la NED. (Pour plus d’informations sur POMED, le lecteur est invité à lire mon article sur le sujet).

Rappelons toutefois que POMED s’intéresse fortement à la « démocratisation » de l’Algérie. Elle a déjà organisé deux évènements spécialement dédiés au Hirak algérien les 15 avril et 19 juin 2019.

Sur les deux documents cités précédemment (Parlement européen et POMED), on retrouve « Riposte internationale » parmi les signataires, de concert avec divers organismes algériens dont la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH), le Collectif des familles de disparus en Algérie (CFDA), le Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (SNAPAP) et la Confédération générale autonome des travailleurs en Algérie (CGATA). Les deux premiers sont financés par la NED et il sera plus longuement question du SNAPAP et de la CGATA dans la prochaine section de cet article.

On retrouve aussi parmi les signataires des ONG internationales comme « Article 19 », CIVICUS, Human Right Watch (HRW), Reporters sans Frontières (RSF), la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) ou Amnesty International.

Ces ONG sont toutes financés par l’OSF de Soros. En plus, RSF et Article 19 sont aussi financés par la NED; Article 19 reçoit également des subventions de Freedom House, de l’USAID et du Département d’État américain.

Lorsque le directeur d’une ONG égyptienne (financée par la NED) fut condamné par contumace en août 2020 par un tribunal égyptien dédié aux « affaires terroristes », un appel à la solidarité a été émis par la FIDH. Il a été signé par toutes les ONG citées précédemment. Les noms de Ali Ait Djoudi (Riposte Internationale), Nacera Dutour (CFDA) et Rachid Malaoui (SNAPAP et CGATA) figuraient dans la même liste que d’« illustres » personnalités du monde de la « démocratisation made in USA » : Issandr Amrani, directeur régional du programme MENA de l’OSF, Carl Gershman, président de la NED, Jeffrey Feltman, ancien sous-secrétaire d’État américain pour les affaires du Proche-Orient ou Tamara Cofman Wittes, ancienne sous-secrétaire d’État adjointe au Département d’État, récemment nommée par le Président Joe Biden au poste d’administrateur adjoint pour le Moyen-Orient de l’USAID.

On pouvait aussi lire les noms de quelques sinistres rescapés du Conseil National Syrien (CNS) comme Bassma Kodmani, Burhan Ghalioun ou Radwan Ziadeh, bien connus de la NED et du Département d’État.

À propos de ces ONG, notons la présence, parmi les invités au palais Bourbon, de M. Madjid Bencheikh, professeur de droit et, accessoirement, ancien président d’Amnesty International Algérie.

Ali Ait Djoudi n’a pas raté l’occasion d’inviter son ami Hacène Hirèche, un de ses anciens collègues du MCB, militant berbériste de la première heure et formateur des makistes.

Un autre convive « de marque », l’avocat Salah Debouz, était présent à ce consistoire de boutefeux. Ce trublion en robe noire, qui s’est illustré par la défense des militants sécessionistes de la région du M’zab, a été président la LADDH (une de ses trois ailes).

Salah Debouz (à gauche) et Ferhat Mehenni (au centre) : le bras du second serrant l’épaule du premier!

La solidarité sécessionniste kabylo-mozabite n’est pas qu’une vue de l’esprit : Debouz-Mehenni, khawa-khawa (frères, frères)!

Nacera Dutour a aussi été invitée par la Tartarine. Comme expliqué dans un précédent article, la présidente du CFDA est probablement la personne qui a reçu le plus de financement de la NED.

Janvier 2015 : Nacera Dutour reçoit le prix Matoub Lounes (avec, en prime, le drapeau Bessaoud-Bénet!)

N’oublions pas de préciser que la plupart des personnes citées auparavant est abonnée aux plateaux de la chaine islamawiste Al Magharibia, celle qui a filmé ce colloque.

B- Les syndicalistes fantoches

En plus de ces ONGistes droitdelhommistes, enrubannés dans des étendards tricolores mêlant les couleurs de Marianne et de Bessaoud-Bénet, on remarque la curieuse présence de syndicalistes français appartenant à l’union syndicale « Solidaires ».

Stéphane Enjalran (« Solidaires ») et Rachid Malaoui

Mais que diable viennent-ils faire dans cette réunion qui n’a de colloque que le nom? Certes, ils accompagnaient le « syndicaliste en chef » Rachid Malaoui question de lui donner un peu plus d’assurance, mais quand même. Délaisser les graves problèmes des « Gilets jaunes » et de toute la classe ouvrière française pour venir palabrer sur le « renversement du pouvoir autoritaire » en Algérie a quelque chose d’insolite. Mais comme le hasard n’existe pas en politique, c’est en grattant un peu qu’on arrive à démêler l’écheveau de la conspiration.

Le financement du SNAPAP

Commençons par le commencement.

Rachid Malaoui, président du SNAPAP et de la CGATA, a d’étroites relations avec l’« American Federation of Labor and Congress of Industrial Organizations » (AFL–CIO) , la plus grande fédération de syndicats des États-Unis et tout particulièrement avec sa branche internationale, le « Solidarity Center ». Pour illustrer cette connexion, citons une anecdote qui est loin d’être anodine.

En 2011, le SNAPAP a été membre la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) qui a orchestré l’embryon de « printemps » algérien. Certainement briefée par le SNAPAP, la directrice du Département international du l’AFL-CIO, Cathy Feingold, écrivit deux lettres au Président Abdelaziz Bouteflika dans le but d’épauler Malaoui. Dans celle du 4 mars 2011, elle lui a fait part de son inquiétude concernant la violence policière contre les « manifestants pacifiques » en Algérie en précisant que « nous notons avec une vive préoccupation que, parmi les personnes blessées récemment, figurait le dirigeant syndical M. Rachid Malaoui président du secteur public de l’union syndicale nationale autonome du personnel d’administration publique (SNAPAP) ». Dans la seconde, datée du 14 octobre 2011, le nom de M. Malaoui « militant CNCD de premier plan », y est cité trois fois. Et madame Feingold semblait connaitre moult détails sur l’activisme politique algérien (Cliquez sur ce lien pour lire ces deux lettres).

Cathy Feingold, directrice du Département international du l’AFL-CIO

De nombreuses publications ont dévoilé la collaboration active de l’AFL-CIO avec la CIA et le Département d’État américain. Selon Kim Scipes, professeur d’histoire à Purdue University Northwest :

« Tout au long de son histoire, l’AFL-CIO a mené un programme de travail réactionnaire dans le monde entier. Il a été établi sans équivoque que l’AFL-CIO a travaillé pour renverser des gouvernements démocratiquement élus, collaboré avec des dictateurs contre les mouvements ouvriers progressistes et soutenu les mouvements ouvriers réactionnaires contre les gouvernements progressistes ».

Viscéralement anticommuniste, l’AFL-CIO s’est tellement acoquinée avec la CIA que cela lui a valu le surnom on ne peut explicite de « AFL-CIA ».

Comme expliqué dans de nombreux articles, le Solidarity Center est un des quatre satellites de la NED avec le NDI, l’IRI et le « Center for International Private Enterprise (CIPE) ».

Les quatre satellites de la NED

Malaoui a toujours nié recevoir (ou avoir reçu) une quelconque aide financière du Solidarity Center.  Dans sa remarquable thèse de doctorat intitulée « Les syndicats autonomes en Algérie », Karim Maïche rapporte les propos de Malaoui: « Nous sommes autofinancés, nos membres contribuent chacun à hauteur de 80 DA par an ».

Maïche mena son enquête sur le financement du SNAPAP en interviewant Selim Mecheri, un de ses activistes de longue date. Sa réponse était explicite :

« Ah, les pays étrangers. Pour nous, il était nécessaire d’obtenir de l’aide du Solidarity Center parce que sinon nous n’aurions pas eu la chance de sortir [d’Algérie]. Par exemple, je n’ai pas les moyens de sortir sans invitation de ces organisations internationales. Je ne veux pas cacher le fait que mon salaire ne suffit pas, ni non plus les ressources financières de mon organisation […] ».

La collaboration du SNAPAP avec le Solidarity Center n’est pas uniquement financière, comme on peut le constater, par exemple, dans le rapport annuel 2013 de l’organisme américain :

« L’année dernière en Algérie, le Solidarity Center et le Syndicat national autonome des travailleurs du secteur public (SNAPAP) ont entrainé un réseau de 32 militantes et formé le Réseau régional algérien d’autonomisation juridique des femmes (RAWLEN). Les femmes ont mené des cercles d’étude sur la peur, l’exploitation et les droits juridiques et humains des femmes dans 12 provinces, touchant plus de 600 femmes marginalisées et vulnérables ».

Par ailleurs, le nom de Rachid Malaoui est cité dans plusieurs câbles Wikileaks. Dans celui intitulé « Algeria and MEPI – Moving forward » daté du 26 avril 2009 et portant la référence 09Algiers415_a, on peut lire :

« En outre, nous avons demandé un financement au MEPI [The U.S. –Middle East Partnership Initiative] pour un projet du Solidarity Center travaillant avec les syndicats algériens, ainsi qu’une petite subvention pour le SNAPAP, le plus grand syndicat algérien autonome (c’est-à-dire non affilié au gouvernement). Le Solidarity Center est actuellement le meilleur véhicule pour un engagement soutenu avec les syndicats autonomes, mais l’exercice de petites subventions SNAPAP est un effort pour renforcer la capacité organisationnelle et de collecte de fonds d’un syndicat avec peu ou pas d’expérience dans l’un ou l’autre domaine. En cas de succès, la subvention SNAPAP pourrait conduire à un engagement direct plus important, bien que dans un avenir lointain, sans un responsable de la mise en œuvre de MEPI comme intermédiaire ».

Le câble 08ALGIERS661_a du 5 juin 2008, montre que Malaoui avait (a toujours?) ses entrées à l’ambassade des États-Unis à Alger. En effet, le document mentionne des discussions directes avec les diplomates américains sur la situation sociale et politique en Algérie :

« Le leader syndicaliste Rachid Malaoui du syndicat autonome SNAPAP nous a dit le 28 mai que le mécontentement vis-à-vis des performances des équipes de football n’était qu’une excuse pour déclencher une émeute. Les bases sous-jacentes des émeutes, a-t-il dit, étaient les frustrations refoulées de la société algérienne […]. Alors que les émeutes semblent avoir été déclenchées spontanément, il pense que les individus attendaient une occasion d’exprimer leur frustration élevée face à la vie en Algérie ».

Un troisième câble daté du 20 mars 2008 et portant la référence 08ALGIERS332_a est exclusivement consacré aux « syndicats libres ». Le nom de Malaoui y est cité sept fois et SNAPAP 6 fois. On peut y lire :

« Lors d’une réunion le 19 février, Rachid Malaoui, président de l’une des deux versions du Syndicat national autonome des employés de l’administration publique (SNAPAP), nous a dit que le gouvernement algérien prônait un « faux nationalisme » afin de détourner l’attention de ses échecs ».

Le reste est très instructif mais serait top long à discuter dans le cadre de cet article. Il montre cependant, de manière non équivoque, que Malaoui et son syndicat – tout comme les ONGistes algériens – discutaient allégrement, entre autres, des affaires politiques et sociales de l’Algérie avec les diplomates étasuniens au sein même de l’ambassade des États-Unis à Alger.

Outre le Solidarity Center, l’ouvrage de Karim Maïche mentionne les relations du SNAPAP avec différentes organisations internationales dont l’union syndicale « Solidaires », ce qui explique donc leur présence à un colloque organisé en France par une élue française. D’ailleurs, est-ce par pur hasard si les deux représentants de « Solidaires », Boualem Hamadache et Stephane Enjalran, étaient assis à côté de Rachid Malaoui lors de cet évènement?

Les syndicalistes invités par M.G. Buffet : Boualem Hamadache, Stéphane Enjalran et Rachid Malaoui

« Solidaires » et « quituquistes »

Il faut reconnaitre que « Solidaires » a été très actif contre l’Algérie non seulement pendant le Hirak, mais aussi bien avant comme nous allons le démontrer.

Ainsi, on peut lire dans une de leurs déclarations « pro-Hirak » publiée le 22 février 2021 (2e anniversaire du soulèvement populaire) :

« Il y a deux ans, la population manifestait contre la cinquième candidature à la présidence du très vieillissant Bouteflika, homme de paille des généraux qui ont pris le pouvoir dans les années 90. Les clans qui se partagent le pouvoir avaient été contraints de renoncer à cette candidature, mais les précédentes élections ont été une mascarade en termes de participation et de candidats (des clans militaires) ».

Le style et la terminologie utilisés dans ce communiqué officiel n’est pas sans nous rappeler l’empreinte des « islamawistes offshore » et des « ONGistes droitdelhommistes », adeptes de la « phase de transition » et du « Yetnahaw gaâ » (ils doivent tous partir). Cela est à des années-lumière du langage syndical coutumier, celui qui défend les intérêts des ouvriers et qui se bat pour ses acquis sociaux.

Mais ce qui attire le plus l’attention c’est cette allusion aux années 90, c’est-à-dire la décennie noire, le « quituquisme » et son corollaire l’absolution des djihadistes de leurs crimes terroristes.

Mais cela n’est pas nouveau pour « Solidaires », bien au contraire. Cette union syndicale a des relations très étroites avec les théoriciens du « quituquisme » et ses adeptes les plus teigneux.

En effet, dans le supplément à sa revue « Expression Solidaire » d’octobre 2015 de 128 pages exclusivement consacrées à l’Algérie (sic!), la parole est donnée à une dizaine de personnes dont François Gèze, Omar Benderra, Salima Mellah et Stéphane Enjalran.

Les trois premiers, François Gèze, Omar Benderra, et Salima Mellah sont membres de l’association « Algeria-Watch » fondée dans les années 90 par des journalistes algériens exilés en Allemagne.

Sur le site de l’association, on obtient un peu plus d’information :

« Algeria-Watch est une association de défense des droits humains en Algérie. Créée en 1997 en Allemagne, elle a rapidement dépassé le cadre germanophone et développé des activités en langue française. Depuis janvier 2002, elle existe également en France, où elle a constitué une association (loi de 1901) du même nom ».

Le recensement d’Algeria-Watch par le « Courrier international » précise qu’il s’agit d’un « webzine » qui « rassemble d’une manière générale des tendances hostiles au pouvoir en place à Alger, des islamistes modérés aux démocrates convaincus ».

Courrier International : description d’Algeria-Watch

Ainsi, pour figurer sur le site de cette association, il suffit juste d’être hostile au pouvoir algérien. Et cela dure depuis les années 90!

Aucune place à tous ceux qui défendent l’État-Nation, même pendant les moments difficiles que vit l’Algérie. Non, il faut juste être hostile, comme ceux qui vocifèrent « madaniya, machi aaskaria » (civil et non militaire) et surtout pas ceux qui scandent « djeich chaab, khawa khawa » (armée peuple, frères frères)!

C’est pour cette raison que mes écrits et mes livres ne sont jamais repris par ce site, malgré mes dizaines d’articles sur le sujet, lus et traduits en plusieurs langues. Par contre, tous ceux qui me tombent dessus à bras raccourcis sont les bienvenus et y ont bien entendu une place de choix.

Algeria-Watch, qui se targue d’être « une association de défense des droits humains », oublie que la liberté d’expression et d’opinion fait partie intégrante des droits humains.

« Algeria Watch », « Al Karama », « Rachad » et le djihadisme international

La description du « Courrier international » parle d’ouverture vers « des islamistes modérés ». La réalité est toute autre.

Regardons cela de près. Sur le site du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme, on peut encore trouver un document qui a pour titre « Observations d’Al Karama for Human Rights et Algeria-Watch sur le troisième Rapport périodique de l’Algérie au Comité des droits de l’homme de l’ONU – Audience du 23 juillet 2007 ».

Ce document montre un travail synergique entre la Fondation « Al Karama » et « Algeria-Watch» qui a pour but le dénigrement systématique de l’Algérie auprès des instances internationales ou des pays étrangers. Une recherche rapide sur le site d’Al Karama révèle des dizaines d’occurrences sur cette collaboration dont plusieurs d’entre elles traitent de la défense d’anciens dirigeants du FIS (Front Islamique du Salut).

Selon les documents publiés sur son site (en 2016), les membres fondateurs de la Fondation « Al Karama » sont Abderrahman Al Nuaimi, Rachid Mesli et Abbas Aroua. Mourad Dhina, son directeur exécutif, à rejoint la fondation en 2007.

Discuter de la fondation « Al Karama » nécessiterait certainement plusieurs articles. Ce qu’il faut retenir c’est que cet organisme fraye avec la nébuleuse djihadiste internationale. Son fondateur, Abderrahman Al Nuaimi, a été accusé en 2013 « de financer Al Qaida » et tous ses avoirs ont été gelés par les États-Unis.

Le communiqué de presse du Département du Trésor américain mentionne que :

« Nuaimi est un financier et facilitateur terroriste basé au Qatar qui a fourni de l’argent et un soutien matériel et a transmis des communications à al-Qaida et à ses affiliés en Syrie, en Irak, en Somalie et au Yémen pendant plus d’une décennie. Il était considéré comme l’un des partisans qatariens les plus en vue des extrémistes sunnites irakiens ».

Dans un article de 2018 du journal suisse « Le Temps » consacré aux islamistes pro-Qatar dont fait partie Al Nuaimi, on peut aussi lire :

« On ne parle pas ici de djihadistes de bas étage ou de jeunes fanatisés devant leur ordinateur. Mais d’intellectuels de l’islamisme radical, bien connectés à l’international, y compris en direction de groupes armés ».

C’est d’ailleurs cette même année que la fondation « Al Karama » et son président-fondateur Al Nuaimi ont été placé sur la liste qatarie du terrorisme.

Pour revenir au Hirak frelaté et une de ses composantes majeures, les « islamawistes offshore », il est facile d’établir la relation entre la fondation « Al Karama » et le mouvement « Rachad ». En effet, les membres fondateurs d’Al Karama (excepté Abderrahman Al Nuaimi) sont aussi membres fondateurs de « Rachad ».

Pour compléter la liste, on peut se fier au document publié sur le site officiel de « Rachad » :

Liste des membres fondateurs de « Rachad »

On remarque donc que ces deux entités possèdent des portes tournantes entre elles et, donc, travaillent de concert.

Il existe aussi des relations directes entre « Algeria Watch » et « Rachad » comme on peut le constater lors des rencontres conjointes, comme, par exemple, dans ces vidéos de Omar Benderra avec Mourad Dhina (sur Rachad TV) ou avec un autre membre de « Rachad », Yahia Mekhiouba (vidéo publiée sur « Algeria Watch »).

Accusé par l’Algérie « d’enrôlement dans un groupe terroriste armé actif à l’étranger », Mourad Dhina fut arrêté à Paris en 2012 en vue d’une éventuelle extradition vers l’Algérie. Un « comité de soutien pour la libération de Dr. Mourad Dhina » composé de 20 membres fut constitué. Parmi les noms de ces personnes, on retrouve ceux de Abderrahman Al Nuaimi, François Gèze, Habid Souaidia (dont il sera question ultérieurement) et Hakim Mutairi (aussi orthographié Hakem Al Mutairi) qui est un activiste salafiste, membre fondateur et chef du parti koweitien « hizb al-umma » (Parti de la communauté des croyants).

Selon l’opposant turc Abdallah Bozkurt, Al Mutairi « est un prédicateur salafiste et radical dont les opinions sont similaires à celles d’Al Qaïda et de l’État islamique en Irak et en Syrie (ISIS). Il a été accusé d’avoir canalisé des ressources financières vers des djihadistes en Syrie, d’abord vers Ahrar Al Cham et plus tard vers le Jabhat Al Nosra ».

C’est d’ailleurs pour ses activités délictueuses qu’Al Mutairi a été surnommé le « parrain de l’extrémisme dans le Golfe arabe »

Pour la gouverne de la « Tartarine », c’est ce même prédicateur qui a applaudi et justifié l’horrible décapitation de feu Samuel Paty. Intéressant, non?

En avril dernier, le tribunal pénal du Koweït a condamné Al Mutairi à une peine de prison à vie pour un complot visant à déstabiliser la sécurité dans la région du Golfe.

À la parution de mon livre « Qui sont ces ténors autoproclamés du Hirak? », les premiers à avoir réagi de manière violente et sordide ce sont les « adeptes » de Rachad. Non satisfaits de leurs sempiternelles logorrhées fétides, ils ont décidé de répondre à mon ouvrage en réunissant un groupe de piètres « experts » avec, à leur tête, Moncef Marzouki, le « tartour (pantin) de Carthage » en personne. Cette réponse, qui s’est plus attaquée à ma personne qu’au contenu de mon livre, s’est avérée d’une navrante médiocrité. Néanmoins, à force d’écrire pour ne rien dire et de griffonner des inepties, on finit toujours par faire des révélations intéressantes pour autrui. Ainsi, on apprend dans ce livre collectif (p. 308) que « Rachad » avait eu des contacts directs avec Rachid Maloui – tout comme avec « Algeria Watch » – et ce, bien avant le Hirak.

Mensonges, manipulations et diffamations

Né à Casablanca (Maroc) et militant d’extrême gauche, le nom de François Gèze est surtout relié aux Éditions La Découverte dont il a été directeur et qu’il a utilisé comme « machine à laver » pour « blanchir » les crimes des djihadistes algériens et les mettre sur le dos de l’institution militaire algérienne.

Cela a commencé en 2000 avec la publication de « Qui a tué à Bentalha » par Nesroulah Yous, avec la collaboration de Salima Mellah (tiens, tiens…).

(Petite remarque : Nesroulah Yous était invité à la grand-messe de la Tartarine au palais Bourbon).

Nesroulah Yous invité au colloque de M.G. Buffet organisé à l’Assemblée nationale française

En 2001, c’est au tour de « La sale guerre » de Habib Souaïdia, un ex-miliaire algérien, de se prêter à l’entreprise de blanchissage – salissage orchestrée par François Gèze. Un vrai succès de librairie : 72 000 exemplaires vendus et plusieurs éditions en d’autres langues.

Sauf que ce brûlot a révélé les dessous d’une entreprise professionnelle de désinformation nommée le « quituquisme ».

Vu les compétences d’écriture limitées de l’ex-militaire, un coauteur a été recruté. Il s’agit du journaliste Mohamed Sifaoui qui, malheureusement pour eux, n’a pas voulu marcher dans les combines de la « machine à laver ».

Après avoir remis sa copie, Sifaoui s’est rendu compte que Gèze avait par la suite manipulé son texte. Il déclara alors :

« On a tordu mon texte en occultant certains passages, en en rajoutant d’autres. En mettant toujours au conditionnel certains faits exacts – toujours des exactions commises par les islamistes – et en faisant passer pour des affirmations ce qui ne constitue que des hypothèses (la responsabilité de l’armée dans des massacres de civils) ».

Il a aussi accusé l’éditeur « d’avoir systématiquement supprimé les passages du manuscrit qui allaient « dédouaner les islamistes et occulter leurs crimes » au nom d’un « parti-pris idéologique » », tout en qualifiant Habib Saouaïdia, de « mythomane venu en France pour régler des comptes avec sa hiérarchie ».

Ébranlé par toutes ces accusations qui remettaient en cause sa stratégie, Gèze portant plainte contre Sifaoui pour « diffamation ».

Il fut platement débouté par le tribunal qui jugea que :

« les éléments produits aux débats permettent de démontrer que Habib Souaïdia, au printemps 2000, a livré à ses interlocuteurs des versions différentes, que de nombreuses modifications ont affecté le manuscrit livré par Mohamed Sifaoui à l’éditeur, et surtout que ces modifications ont eu pour résultat d’atténuer la responsabilité des groupes islamistes pour aggraver celle des militaires »

Et en ce qui concerne les responsabilités, le tribunal a été très clair :

« François Gèze et les Éditions La Découverte sont accusés d’avoir manipulé Habib Souaïdia et Mohammed Sifaoui, en intervenant sur le témoignage du premier et le manuscrit du second, pour réaliser un ouvrage partisan, volontairement défavorable pour l’armée et exonérant les islamistes ».

Malgré la mise en évidence de ces manipulations et de ces mensonges, le livre de Souaïdia est encore régulièrement cité par les adeptes de « Rachad » qui ne se lassent pas de le brandir comme la preuve par 9 du « quituquisme ».

Dans le volet « mensonges, manipulations et diffamations », François Gèze n’est pas le seul à y exceller. Stéphane Enjalran, le quatrième contributeur de la revue « Expression Solidaire » de 2015, n’a rien à lui envier.

Stéphane Enjalran, syndicaliste « Solidaires »

Tout d’abord, ce syndicaliste est lui aussi un « quituquiste » comme on peut s’en rendre compte en parcourant un de ses deux articles figurants dans la revue.

« On se rappelle aussi de l’assassinat des moines de Tibhirine en 1996 et du fait que les médias français commencent seulement à prendre au sérieux l’hypothèse de la responsabilité de l’armée algérienne dans ce drame, responsabilité pourtant hautement probable mais jusque-là étouffée ou évoquée à demi-mot, l’événement étant au mieux présenté comme un « accident » ».

Et à propos de l’Algérie, notre syndicaliste n’y va pas de main morte :

« Ce qu’il faut appeler par son nom, une dictature. « Dictature » : le mot peut sembler exagéré, voire dévoyé, tant l’ignorance est grande dans nos pays de la situation réelle en Algérie, encore présentée comme le modèle de « résistance au terrorisme » et donc comme un rempart contre ce fléau, qu’il soit réel ou fantasmé ».

Un vrai clone de François Gèze!

Mais ce n’est pas tout. Ce syndicaliste fantoche, qui prétend défendre la veuve et l’orphelin, montre son vrai visage digne de la Stasi.

En citant mon livre « Arabesque américaine », édité à Montréal en 2011, il se permet de dire :

Supplément à Expression Solidaires, journal édité par l’Union syndicale Solidaires, octobre 2015, page 48 (Extrait)

Soit Enjalran fait preuve d’une ignorance crasse, soit il est malhonnête. En ce qui me concerne, je pense que les deux qualificatifs s’appliquent admirablement bien à cet individu. Voilà pourquoi :

  • 1-     La NED et le Solidarity Center n’appartiennent pas « à l’oligarque israélo-américain d’origine hongroise, George Soros », mais au gouvernement américain.
  • 2-    La relation entre le SNAPAP et le Solidarity Center a été clairement établie au début de cette section.
  • 3-    Les mots « juif », « hébreu », « sémite » et « antisémite » n’ont jamais été écrit dans mon livre « Arabesque américaine ».
  • 4-   Le mot « Israël » a été écrit 2 fois dans le cadre de ses relations avec l’Égypte.
  • 5-    George Soros y est présenté comme « milliardaire américain » et non comme « israélo-américain ».

Cela prouve juste que, comme la majorité de ceux qui me critiquent, Enjalran n’a jamais lu mon livre. Pour défendre Rachid Malaoui, il aurait dû critiquer le contenu de mon ouvrage et faire un effort intellectuel. Mais non! Il est plus facile de me coller une étiquette « antisémite ». La « Reductio ad Hitlerum » dans sa plus simple expression : c’est plus facile et ça peut rapporter gros.

En fait, on se rend compte que cet article est, à une phrase près, le copié-collé d’un autre publié en 2013 :

« Algérie 2013 : la poursuite des violations des libertés syndicales par le pouvoir » (Extrait du Rapport CISA 2013)

En comparant les deux versions, on remarque en effet un petit ajout dans celle de 2015 : l’allusion à l’antisémitisme. La Stasi dans ses œuvres!

En ce qui concerne l’ingérence étrangère, il ne faut pas aller très loin pour la prouver. Enjalran lui-même étant un étranger, que vient-il faire dans les affaires de l’Algérie? N’a-t-il pas assez d’ouvrage avec les problèmes abyssaux de la classe ouvrière française? Ou rêve-t-il encore du « temps béni des colonies »? D’autre part, s’est-il posé la question pourquoi avoir organiser un colloque sur l’Algérie en France, au sein même de l’Assemblée nationale française? Ça s’appelle comment ce truc, M. Enjalran?

Un syndicaliste qui ne connait pas le rôle néfaste du Solidarity Center et de l’AFL-CIO dans plusieurs régions du monde, en particulier en Amérique du Sud, en Pologne, à Hong Kong et même en France ne mérite pas d’appartenir à un quelconque syndicat.

Une petite suggestion, monsieur le syndicaliste fantoche : pourquoi ne pas vous informer auprès de votre ami Dan Gallin (voir plus bas dans ce texte), lui qui a eu maille à partir avec l’AFL-CIO et qui connait si bien George Soros?

SNAPAP, CGATA et les confédérations syndicales internationales

Selon Karim Maïche,

« le SNAPAP travaille en étroite collaboration avec d’autres syndicats autonomes et organisations de la société civile telles que la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH), le Collectif des familles de disparus en Algérie (CFDA) et SOS Disparus (SOS Disparus) ».

Comme expliqué auparavant, ces organismes « autochtones » algériens sont tous financés par la NED. Cela explique aussi la présence de certaines personnes comme Nacera Dutour ou Salah Debouz à ce colloque

Concernant les organisations syndicales étrangères, Malaoui a déclaré qu’il n’avait aucune difficulté à s’en rapprocher :

« […] Les étrangers ne sont pas dupes. […] Ils savent reconnaître les vrais syndicats de faux. Quand tu es crédible, tu adhères facilement »

En fait, Malaoui fait semblant de ne pas comprendre que certains organismes internationaux ont des agendas précis pour l’Algérie et qu’en politique, la philanthropie n’existe pas. Chaque dollar investi doit rapporter gros et, comme le dit le dicton, c’est celui qui paie l’orchestre qui choisit la musique.

En ce qui concerne leurs relations avec les confédérations internationales, le SNAPAP est affilié à l’UITA (Union Internationale des travailleurs de l’alimentation, de l’agriculture, de l’hôtellerie, de la restauration, du tabac et des branches connexes) et le CGATA avec la CSI (Confédération syndicale internationale) .

Il faut savoir qu’il s’agit de mastodontes : l’UITA revendique 10 millions de membres provenant de 130 pays, alors que la CSI en compte quelques 168 millions répartis dans 155 pays. Il faut aussi préciser que l’UITA ainsi que l’AFL-CIO sont membres de la CSI.

Le « Courrier fédéral » de la Fédération nationale des industries chimiques (FNIC) de la CGT (n°580 du 30 novembre 2018) donne des informations très intéressantes au sujet du CSI.

Le CSI est né en 2006 de la fusion de la CISL (Confédération Internationale des Syndicats Libres) et de la CMT (Confédération Mondiale du Travail). Dès son origine la CISL était par principe anticommuniste et antisoviétique.

« Les grandes sociétés multinationales, les gouvernements des pays occidentaux américains et européens, les services d’intelligence comme la CIA ou le MI5 britannique, contribuèrent matériellement et financièrement au développement de la CISL ».

On y apprend aussi que la CSI/CISL a soutenu l’écrasement et la destruction de la Libye ainsi que l’intervention étrangère en Syrie et qu’elle reste dirigée par les syndicats des pays riches tout en entretenant des relations étroites avec les entreprises et les institutions financières.

« Outre la continuité qu’elle incarne avec la CISL, la CSI défend des positions identiques sur le plan syndical et les piliers de son organisation sont rigoureusement les mêmes ».

Pour abonder dans le même sens que cette revue syndicale, sachez que Cathy Feingold, la directrice du Département international du l’AFL-CIO, (celle qui avait pris la défense de Rachid Malaoui en écrivant deux lettres au Président Bouteflika en 2011) a été nommée Présidente adjointe du CSI (ITUC en anglais), en décembre 2018.

Cathy Feingold, présidente adjointe du CSI

Rachid Malaoui est décidément entre de bonnes mains, que ce soit à l’AFL-CIO ou au CSI.

« Solidaires », Dan Gallin et George Soros

Dan Gallin est un militant trotskyste dont la vie est un vrai roman d’aventure. Fils d’un diplomate roumain en poste à Berlin durant la 2e guerre mondiale, il obtint une bourse en 1949 pour étudier aux États-Unis. Contraint de quitter le pays à cause de ses activités politiques, il s’installa en Suisse où il y termina ses études universitaires. Après de nombreuses expériences politiques, il décida de s’impliquer dans le syndicalisme qu’il décrit comme « la première et peut-être la dernière ligne de résistance ouvrière ».

Gallin a été secrétaire général de l’UITA de 1968 à 1997, soit près de trois décennies, battant tous les records de longévité à ce poste.

Après cette longue carrière, il créa le « Global Labour Institute (GLI) », une fondation qui a pour objectif « de promouvoir la solidarité internationale entre les organisations syndicales et entre celles-ci et d’autres organisations et mouvements de la société civile dans le but de parvenir à une société mondiale démocratique et durable, fondée sur les principes de justice sociale, de liberté et d’État de droit ».

D’après le « Courrier fédéral » cité précédemment, cette fondation « est liée, entre autres, à l’Open Society du milliardaire George Soros ».

Peut-être doit-on conseiller à Stéphane Enjalran, ce syndicaliste qui se fait passer pour un bisounours, de consulter ses « collègues » de la CGT pour lui expliquer ce que veut dire être financé par Soros?

On peut se rendre compte de la proximité entre Gallin et Soros en lisant l’article que le premier a écrit pour défendre le second.  Intitulé « La sale guerre contre George Soros », il a été publié en 2018 sur le site du GLI.

Le texte est une vraie déclaration d’amour pour George Soros, son concept de « société ouverte » (Open Society), sa générosité démesurée et son combat contre « les ennemis de la démocratie ».

Il en profita pour écorcher tous ceux qui osent tenir tête au milliardaire américain, tout en évoquant le sempiternel argument d’antisémitisme. (Tiens, ça nous rappelle Stéphane Enjalran).

Gallin a tenté de faire passer Soros pour mère Thérèsa, tout en excellant dans le Russia-bashing et le China-bashing. Il a justifié le coup d’état de l’Euromaïdan (Ukraine 2013-2014) et a reproché au président Vladimir Poutine d’avoir sauvé « une autocratie meurtrière en Syrie en prolongeant une guerre civile qui jette des millions de réfugiés sur la route de l’exil […] ».

Mais aucun mot sur les néo-nazis qui ont fait la sale besogne en Ukraine, ni sur ces pays occidentaux qui ont financé le djihadisme et la destruction systématique de la Syrie.

On aurait cru entendre un des pires faucons « neocons » américains!

Et dire que ce type prétend avoir défendu, pendant 29 ans, les intérêts de millions d’ouvriers à travers le monde contre des patrons capitalistes de la trempe de Soros! On aura tout vu.

Cette histoire me fait penser à certains de nos trotskystes algériens tels que Hocine (Patrick) Belalloufi ou Ihsane El Kadi. On jurerait qu’ils ont été formés par le trotskyste en chef, Dan Gallin en personne.

Mais, vous allez me dire, que vient faire Dan Gallin dans notre sujet?

D’après certains observateurs avertis de la scène syndicale française, l’union syndicale « Solidaires » collabore fortement avec le GLI de Dan Gallin. On peut s’en rendre compte lors d’évènement organisés conjointement comme, par exemple, cette « Université d’automne francophone » (2017) ou cette « International Labour University » (2019).

Comme on peut le constater, Dan Gallin et Stéphane Enjalran ont participé à ces deux rencontres.

Si le GLI s’occupe de la formation des syndicalistes de « Solidaires », on doit s’attendre à ce que ces derniers partagent les idées développées par Dan Gallin dans sa lettre « d’amour » à Soros. On comprend alors l’acharnement maladif de Stéphane Enjalran et de ses « collègues » contre l’Algérie, tantôt en soutenant Rachid Malaoui, tantôt en recyclant la clique des « quituquistes ».

La photo ci-dessous montre Dan Gallin et Annick Coupé lors de l’Université d’automne francophone de 2017.

Dan Gallin et Annick Coupé, Université d’automne francophone (2017)

Annick Coupé est une militante syndicale qui a été porte-parole de « Solidaires » de 2001 à 2014.

Dans le supplément de la revue « Expression Solidaire » évoquée précédemment, Rachid Malaoui exprime ses remerciements à « Solidaires » et à Annick Coupé:

« Solidaires est à nos côtés depuis longtemps et j’espère bien pouvoir un jour exprimer de vive voix à Annick Coupé nos remerciements pour son soutien inconditionnel ».

Et la boucle vient d’être bouclée.

Avant de clore cette investigation, il est important de mentionner un détail révélateur concernant Dan Gallin. Dans une longue interview, il reconnait sa préférence durant la guerre d’indépendance de l’Algérie :

« En 1954, la guerre d’Algérie éclate et la plupart de mes reportages portent sur cette guerre. Maposition, qui est devenue la position de l’ISL (Ligue socialiste indépendante), était bien sûr pour le mouvementindépendantiste, mais pas pour le camp des vainqueurs. J’ai soutenu le Mouvement nationalalgérien (MNA) dirigé par Messali Hadj. J’avais rencontré Messali, et j’avais été impressionnépar la dignité modeste du fondateur du mouvement indépendantiste algérien, mais mesprincipaux contacts étaient les syndicalistes de l’Union messaliste des travailleurs algériens(USTA), fondée en février 1956, et j’ai reconnu en eux la détermination révolutionnaire,l’internationalisme et l’esprit d’indépendance qui est toujours ce qu’il y a de mieux dans lemouvement ouvrier. Ce sont les qualités qui ont assuré leur destruction ».

Dan Gallin était donc « messaliste » et ne portait pas le FLN dans son cœur si on en croit la virulence des termes utilisés pour le qualifier dans le reste de l’entrevue.

Il est quand même décevant d’être, une vie durant, immanquablement dans tous les mauvais camps!

Organigramme des groupes présents au colloque de M.G. Buffet et de leurs accointances politico-financières

C- Conclusion

Le colloque organisé par Marie-George Buffet, députée et ancienne ministre, au sein même de l’Assemblée nationale française n’est pas un évènement banal, bien au contraire.

1-     Tout d’abord, le lieu choisi marque l’implication d’une institution politique majeure du Parlement français. Et, vu les récentes sorties médiatiques belliqueuses du président Macron et de quelques-uns de ses ministres, il ne serait pas étonnant que cette réunion ait reçu l’aval du gouvernement français.

2-    Le timing choisi (2 jours avant la commémoration des évènements sanglants du 17 octobre 1961) reflète la volonté de passer sous silence un des crimes d’états français les plus abjects contre des manifestants pacifiques algériens.

3-    Les personnes invitées à ce « colloque » ne sont pas les « acteurs et les actrices du mouvement du peuple algérien pour la démocratie » tel que mentionné dans le post de la députée communiste. Ce sont les représentants de groupes spécifiques qui dirigent le Hirak frelaté, à savoir des « makistes séparatistes », des « ONGistes droitdelhommistes » et des « syndicalistes fantoches » ayant des liens solides avec les « islamawistes offshore ». Ces groupes travaillent de concert pour la division et la « printanisation » de l’Algérie.

Qu’aurait pensé Mme Buffet (et le gouvernement français) si un député algérien avait réuni à l’Assemblée populaire nationale algérienne (APN) des représentants du mouvement séparatiste corse ou des membres de l’ « Opération Azur » qui ont fomenté un coup d’État en France?

4-   Certains invités sont des militants ou sympathisants « makistes séparatistes » qui œuvre à la partition de l’Algérie, sur le modèle du projet du « Grand Moyen-Orient ».

5-    La plupart des invités et les organismes auxquels ils appartiennent ont applaudi la destruction de la Libye et de la Syrie et travaillent d’arrache-pied pour la destruction de l’Algérie.

6-   Les syndicalistes invités travaillent de concert avec des confédérations de travailleurs ouvertement et historiquement anticommunistes. Qu’en pense la militante communiste, celle qui a représenté le PCF à l’élection présidentielle?

7-    Ces syndicalistes font la promotion du « quituquisme » et collaborent avec des groupes qui en ont fait un fonds de commerce lucratif.

8-   Ces syndicalistes et les « ONGistes droitdelhommistes » sont financés et/ou ont des liens étroits avec des organismes américains spécialisés dans la déstabilisation et la destruction de pays ciblés. Cela n’a absolument rien à voir avec la démocratie.

9-   Ces « quituquistes » coopèrent activement avec des prédicateurs ou des entités directement et notoirement impliquées dans le djihadisme international.

Le colloque a eu au moins un côté positif. Il a, en effet, permis de révéler la collusion entre des personnes et des organisations qui se sont liguées contre l’Algérie lors des différents moments difficiles de sa jeune histoire. Elles ont œuvré à la destruction de l’idée de l’État-Nation lors de la guerre de libération et l’ont combattu jusqu’au Hirak, en passant par la décennie noire.

Pour éviter d’en faire partie, Marie-George Buffet réussira-t-elle à se débarrasser de son ridicule costume de la « Tartarine » du palais Bourbon pour celui de la députée française? Elle pourra ainsi s’occuper de ce pourquoi elle a été élue, c’est-à-dire des problèmes du peuple français et non de ceux des autres peuples.




Dr Vladimir Zelenko : « C’est un génocide »

[Source : Eric Montana/VK via Sott.net]

[Photo : Dr. Vladimir Zelenko]

Par Éric Montana

Lorsque je disais que l’opération Covid et la vaccination qui l’accompagne sont une conspiration criminelle, beaucoup d’ex confrères des mainstream disaient de moi que j’avais « perdu la raison », que j’avais sombré dans le « complotisme compulsif »…

Aujourd’hui, dans le monde entier des journalistes indépendants, des scientifiques, des médecins, des virologues, Michael Yeadon ex vice président de Pfizer, le Dr Zelenko qui a soigné Trump et Bolsonaro avec de l’hydroxychloroquine, affirment la même chose que moi.

Ont-ils tous « perdu la raison » ? Sont-ils tous des « complotistes compulsifs » ?

Malheureusement non. La vérité éclate partout et comme le disait l’anthropologue américain Alexis Bugnolo :

« Quand ce sera clair pour tout le monde que les gens vaccinés sont en train de mourir, ces gens deviendront extrêmement en colère, il y aura des émeutes dans toutes les grandes villes, nous verrons la chute des gouvernements et ils tueront ces politiciens, journalistes et ces médecins pour ce qu’ils leur ont fait juste avant qu’ils ne meurent eux-mêmes. Il y aura énormément de troubles civils. »

Et quand en Autriche, le Secrétaire Général du parti FPÖ incite les citoyens à l’insurrection pour chasser les criminels du gouvernement, nous comprenons tous, que c’est ce qui va se passer partout dans le monde occidental. Ce n’est qu’une question de temps.



Commentaire [Sott.net] : Et voici une autre vidéo récente du Dr Zelenko :



Sources :

Eric Montana sur VK

Vidéo par Jacob Cohem




Covid et fanatisme

Par Alain Tortosa

La science, l’honnêteté et l’humanisme ont été remplacés par le fanatisme

Définition du Larousse(([1] https://www.larousse.fr/dictionnaires/français/fanatisme/32811)):

« Dévouement absolu et exclusif à une cause qui pousse à l’intolérance religieuse ou politique et conduit à des actes de violence. »

Le fanatisme repose sur plusieurs fondamentaux :

  • La peur qui est son moteur.
  • LE coupable désigné.
  • L’objectif (unique).
  • L’obligation de non-réalisation de l’objectif par la dictature.
  • La disqualification de toute autre thèse.
  • La disqualification de l’auteur de tout autre thèse.
  • Le miroir et l’inversion de la réalité.
  • Le transfert de culpabilité.
  • La déshumanisation du coupable désigné.
  • La fin justifie les moyens.
  • L’appauvrissement de la société.

[Voir aussi :
Note sur le fanatisme]

La peur, le moteur

Le fanatique, s’il n’a pas peur de mourir, a peur à minima de perdre ce qui faisait son mode de vie, son environnement.

Cette peur est le principal moteur conduisant au fanatisme lorsqu’elle confère à l’irrationnel.

La propagande a fonctionné et fonctionne encore à plein régime pour maintenir le fanatique dans la peur.

Les Français n’ayant eu accès qu’aux médias mainstream ont été baignés pendant des mois dans cette peur de mourir du « fléau » !

Rappelez-vous qu’au début de la crise, certains n’hésitaient pas à dire qu’un tiers des malades mourraient et que nul n’était à l’abri !

Nous savons aujourd’hui que le Covid a officiellement représenté 2 % des hospitalisations de l’année 2020.

Mais cette information est sans le moindre effet sur le fanatique qui pourrait vous affirmer que le 5 avril 2020, 110 % des lits de réanimation étaient occupés alors même qu’au plus fort de la crise, seuls 37 % des lits de soin critique étaient occupés par des personnes étiquetées Covid.

Mais ça, il ne peut pas l’entendre.

Le non-vacciné « complotiste » accepte l’incertitude de la vie alors que le fanatique veut tout contrôler pour en arriver à penser que « l’interdit c’est la liberté ».

Ce qui prime pour lui c’est le sentiment de sécurité.

Ainsi il ne doute pas que le passe-sanitaire est un « outil de liberté » permettant d’aller au restaurant sans risquer la mort.

Tandis que le non-vacciné « complotiste » voit ce même passe comme un outil de la dictature et de destruction massive, voire définitive, des droits de l’homme.

Le fanatique est ainsi prêt à tout pour être rassuré, aussi bien à éliminer son dangereux voisin que d’arrêter de vivre pour ne pas mourir.

Son mécanisme de défense ne se déclenche plus face à un danger réel, mais un danger imaginaire fabriqué de toutes pièces (mais sur une base réelle) par la propagande de la dictature.

Le coupable unique

Le fanatisme repose sur une pensée simpliste, binaire, dans laquelle l’ennemi peut être facilement identifié et combattu.

Dès lors que celui-ci serait multifacette, mais surtout que l’on serait plus ou moins impuissant face à lui, la sauce du fanatisme ne saurait prendre.

L’existence même d’un virus qui frapperait quiconque au hasard sans pouvoir s’en prémunir ne peut que plonger le candidat fanatique dans la panique au point d’imaginer le suicide pour échapper à l’incertitude.

Pour autant cette phase est indispensable à la dictature (et Big pharma) dont la propagande va construire un danger mortel au point que le paniqué sera prés à s’accrocher à n’importe quelle branche fanatique pour échapper à la folie.

C’est ainsi qu’après la sujétion des cerveaux, après avoir créé une peur telle que l’individu n’a plus accès à sa matière grise et à son esprit critique, la dictature passe à la deuxième phase :

Le coupable désigné !

Il s’agit ici d’identifier l’ennemi et être convaincu qu’il est possible de s’en protéger et le vaincre.

Dans le cadre de la dictature sanitaire, l’ennemi ne sera plus le virus, entité désincarnée, invisible et supposée incontrôlable, donc source de terreur.

Non « l’ennemi » désigné sera incarné, il sera le « non-vacciné » et celui qui ne respecte pas les gestes barrières ou le port du masque.

Il se trouve que celui-ci est statistiquement à la fois anti-masque ET anti-vaccin (j’utilise le vocabulaire du fanatique) et nous avons donc bien affaire à une entité unique identifiée à combattre.

Le coupable n’est plus le virus, mais la personne en bonne santé qui continue de vivre comme si de rien n’était face à la « menace mortelle ».

« Si tous les Français respectaient les gestes barrières, si tous les Français étaient vaccinés alors nous serions débarrassés définitivement du virus… depuis longtemps. »

Je pourrais vous citer par exemple Martin Blachier qui a déclaré le 12 novembre sur LCI que « les non-vaccinés mettent en danger la nation ! ». Rien que ça  !

L’ennemi est ainsi clairement nommé et désigné, nous disposons d’armes pour le combattre, ce qui est extrêmement rassurant pour le fanatique !

Le coupable ou le bouc émissaire ?

Force est de constater que le coupable désigné depuis le début de la crise n’est donc PAS le virus, mais des « mauvais français ».

Tous les moyens de lutte et de rétention de liberté ont été ciblés en direction des personnes en bonne santé.

Les milliards n’ont pas été injectés dans la recherche, dans la santé, dans l’hôpital, dans les traitements, dans la prévention, ou pour booster le système immunitaire.

Non, ils ont été dépensés pour acheter le silence des confinés, le renforcement des contrôles, des services de sécurité ou même l’achat de drones.

Le coupable était (et est) cet humain en bonne santé égoïste et non coopérant… mais certainement pas le virus (ou les personnes qui l’auraient fabriqué ou diffusé).

L’objectif

L’objectif est bien entendu noble comme il se doit.

Se protéger de l’ennemi désigné… celui qui ne respecte pas l’autre, celui qui ne se soumet pas.

Il faut donc que le non-vacciné se vaccine et que ceux qui ne portent pas le masque le portent.

La solution EST la vaccination de TOUS avec le port du masque, y compris pour les enfants.

Lorsque « l’autre » (le non-vacciné) n’existera plus, nous serons à nouveau heureux et en paix.

Toute la chaîne de pensée, de l’identification de l’ennemi, de l’objectif à atteindre et des solutions préconisées doit être la plus simpliste possible afin d’être comprise par tous, même le plus débile d’entre nous (y compris un ministre) :

  • Problème simple.
  • Objectif simple.
  • Solution simple.

L’obligation de non-réalisation de l’objectif par la dictature

Si du point de vue du fanatique de base, l’objectif est la « sécurité », la « liberté » et la « justice », il n’en est pas de même de la dictature ou du Big Pharma qui l’organise.

L’ennemi commun est le liant de la société dictatoriale.

Il y a de plus un bénéfice secondaire non négligeable qui devrait permettre à notre « Président » d’être réélu.

Aucun échec ne peut être imputé à la dictature, l’ennemi commun rendant impossible la réalisation des grands projets.

Cela rajoute à la haine nourrie envers « les autres », les non-vaccinés…

« C’est à cause d’eux si nous sommes dans cette situation », la propagande ne se gênant pas de leur mettre sur le dos tous les maux, dès que la situation se présente.

Dans le cadre de cette fausse pandémie, le fait de miser sur un vaccin qui favorise lui-même les variants, garants de sa piètre performance, relève du génie…

Plus il faudra de doses de rappel comme ils disent, plus il y aura de réticents à la dose de trop !

Si d’un côté les mesures dictatoriales permettent aux résistants épuisés de lâcher prise et tomber dans l’injection expérimentale, un abonnement à vie à des injections dont les effets secondaires ne peuvent pas être balayés à l’échelle familiale et de l’entourage proche, est de nature même à dissuader des candidats à une dose supplémentaire.

Ainsi le nombre de non-vaccinés ne peut QUE diminuer ET croître en même temps au fil du temps.

La source est intarissable et il est ainsi possible de conserver « l’ennemi commun » ad vitam æternam.

Des médecins médiatiques et corrompus ne se privent pas d’affirmer qu’il faudra se vacciner tous les trois mois et porter un masque à vie.

Mais sinon, ne nous inquiétons pas… La dictature a réussi à transformer le peuple en fanatique pour une pandémie dont nous ignorerions encore l’existence sans les médias.

Demain (aujourd’hui) « l’ennemi » sera (sans doute le même d’ailleurs) celui qui roule avec son vieux diesel et refuse le crédit carbone.

La propagande va continuer à présenter des phénomènes naturels comme induits par l’homme.

Et du fait que les événements climatiques extrêmes existent depuis que la Terre est Terre, nous pouvons en prendre pour quelques milliards d’années de dictature climatique !

Les fanatiques applaudiront à la fois aux mesures dictatoriales indispensables pour « sauver la planète », mais aussi aux représailles contre l’ennemi commun « le climato -sceptique » (climato-réaliste).

Disqualification de toute autre thèse qui représenterait une menace

Toute hypothèse qui mettrait en péril le discours et le coupable désigné doit être disqualifiée sous peine d’effondrer l’édifice.

Les sujets suivants (par exemple) ne sont même pas discutables :

  • La possibilité d’une immunité naturelle.
  • L’existence de traitements efficaces.
  • La contamination par des personnes asymptomatiques qui relèverait d’un mythe.
  • Les autres voies que le vaccin.
  • Un vaccin contre un virus ARN qui ciblerait que la spike est voué à l’échec.
  • Le vaccin est inefficace et dangereux.
  • Le masque est inefficace et dangereux.

Le fanatisé acquiert une incapacité quasi structurelle à remettre en question « ses » croyances issues de la doxa et de la propagande.

  • Rappelez-lui que les études prouvent que la vaccination n’empêche pas la transmission…
  • Montrez-lui des exemples de lieux ayant subi une vague alors même que 100 % des personnels étaient vaccinés…
  • Demandez-lui de regarder tous les pays où États qui ont massivement vacciné, parfois même plus de 90 % de la population et qui subissent une vague meurtrière exceptionnelle…
  • Parlez-lui de l’Autriche « contrainte » de confiner alors qu’elle est un pays avec un taux de vaccination extrêmement important…
  • Montrez-lui l’absence de corrélation entre le taux d’incidence et le taux de vaccination…

Malgré tout ceci, le fanatique reviendra systématiquement sur :

  • « Oui, mais le vaccin protège. »
  • « Oui, mais le passe-sanitaire sauve des vies. »
  • « Oui, mais les non-vaccinés sont une menace. »
  • « Oui, mais il faut vacciner massivement y compris les personnes en bonne santé qui ne font pas de formes graves. »

La pensée rationnelle et la réflexion ne sont plus…

La réalité du monde n’est plus issue d’une analyse objective de la situation et des faits, mais sur l’avis d’une autorité dictatoriale et corrompue.

La fanatique dispose de son coupable… le non-vacciné, et de sa solution… son éradication.

Tous les sujets contre-fanatiques relèvent systématiquement du crime de lèse-covid.

Disqualification de l’auteur d’une parole dissidente

Dès lors qu’une personne connue ou inconnue émet une hypothèse qui va à l’encontre de la doxa, tout doit être mis en œuvre pour la disqualifier.

Celle ne portera pas sur les thèses (indéfendables s’il en est), mais sur l’auteur :

  • Les diplômes des scientifiques ou des médecins déviants n’ont plus la moindre valeur.
  • Leur parcours professionnel n’a plus la moindre valeur.
  • Il est important d’insister sur leur bannissement de la respectable communauté scientifique.

Tous les qualificatifs visant à le dénigrer seront à privilégier :

  • « Antivax. »
  • « En mal de notoriété. »
  • « Sulfureux. »
  • « Complotiste. »
  • « D’extrême droite. »
  • « Antisémite. »,…

Nous assistons de plus en plus à une psychiatrisation de l’opinion divergente.

Seul le « fou » peut remettre en cause la « Vérité ».

Ce qui permet à la fois d’éviter le prisonnier politique qui peut poser soucis en « démocratie ».

Mais aussi permettre de rassurer le fanatique de base ou sa famille qui sont donc à l’abri de la maladie déviante.

Le miroir et l’inversion de la réalité

Le fanatique va reprocher au « complotiste » d’être fermé, sectaire, fourbe, incapable de se projeter dans une autre réalité, incapable d’avoir une pensée rationnelle, incapable de réviser ses croyances, incapable d’analyser des faits, d’être intolérant, d’être dans l’obscurantisme, le rejet d’autrui et dans l’anti-science.

Manière d’être qui caractérise totalement non pas le prétendu « complotiste », mais le fanatique !

Et inversement le fanatique va se voir tel qu’il n’est pas ou plus… honnête, tolérant, ouvert d’esprit, rationnel, cartésien, factuel, logique, scientifique, critique, etc.

Le fanatique va projeter sa propre réalité sur autrui et faire sienne la réalité d’autrui.

[Note de Joseph Stroberg : cependant, le phénomène de projection et l’effet miroir ne sont pas réservés au fanatisme.
Voir notamment : L’utilité des miroirs et de l’observateur]

Nous voyons bien que le fanatique est dans une optique de contrainte, de violence, de destruction, d’interdit ou de combat.

Tandis que le coupable désigné est lui dans la liberté, la tolérance, l’altérité, le libre arbitre et la paix.

(Sauf si la situation dégénère auquel cas il n’a de choix que de basculer dans la violence pour sauver sa vie et ses valeurs.)

Le transfert de culpabilité

« Moi le vacciné, moi la personne de valeur, je ne suis pas responsable de ce que tu es ou que tu fais toi.

C’est toi qui par ton action déviante te place dans cette situation.

Tu es le seul responsable de ne pas porter un masque ou de ne pas te vacciner. »

Et « si ce n’est toi, c’est donc ton frère ! ».

Moi le bien-pensant fanatique…

« Je n’ai pas à me sentir coupable si un enfant de 12 ans doit subir une discrimination issue de la défaillance et du manque de civisme de ses parents. »

Dès lors « je n’aurai pas à me sentir coupable de tout ce que je pourrais te faire subir parce que c’est toi (ou ta famille) qui t’es mis dans cette situation. »

Déshumaniser « l’autre », celui qui n’est pas comme moi

Selon la nature et le degré des mesures contraignantes, discriminatoires ou inhumaines que je devrai mettre en œuvre ou appliquer, la déculpabilisation peut s’avérer insuffisante.

Un CRS qui matraque ou gaze une mère avec son enfant dans une manifestation pacifique est théoriquement protégé par son statut d’exécutant.

Mais comment pourrait-il ne pas se suicider à force de… sans déshumaniser la personne en face ?

Il devient indispensable pour le fanatique de faire de l’autre une personne qui n’est pas comme lui.

« Si mon voisin non vacciné est comme moi, s’il a les mêmes valeurs humaines, s’il a autant le droit d’exister que moi, comment pourrais-je lui interdire d’exercer son métier ? »

  • Celui qui était mon ami, mon voisin, mon collègue de travail hier…
  • Celui qui était reconnu pour son savoir, ses qualités humaines, son empathie, ses compétences professionnelles hier…
  • Celui qui a charge de famille, pas de fortune personnelle, des crédits sur le dos…

Comment pourrais-je le licencier demain sans une réécriture du passé ?!

Comment pourrais-je le convoquer dans mon bureau et lui signifier calmement son interdiction de pouvoir désormais travailler sans subir de problèmes de conscience ?

Impossible !

Il faut donc bien passer par un processus visant à faire de l’autre l’unique coupable et le déshumaniser.

C’est le travail de propagande du régime fanatique !

Le non-vacciné n’est pas comme nous, il est égoïste, il ne pense qu’à lui, il n’en a que faire de précipiter des humains ou des enfants vers la maladie, l’hospitalisation, la réanimation ou même la mort…

Celui qui ne respecte pas les gestes barrières ou la vaccination est celui qui tue son papi et sa mamie !

Comment un être humain pourrait tuer sciemment des personnes âgées ou des enfants ?!

Ces gens, ces non-vaccinés, sont donc bien des monstres sans humanité qui au nom de leur fanatisme (car pour les fanatiques, c’est bien entendu l’autre le fanatique) n’hésitent pas à sacrifier leur propre famille ou les autres !

C’est bien la preuve « QU’ILS » ne sont pas comme nous !

« La conclusion s’impose, moi le vacciné je suis humain, eux non ! »

Quelques mois de propagandes de plus et le fanatique sera en capacité de tuer son voisin…

La fin justifie les moyens

Nous avons vu qu’il est indispensable de faire sauter le verrou de la culpabilité et déshumaniser l’autre pour s’autoriser toutes les exactions possibles au nom de la sécurité et de nos « valeurs ».

Dans le fanatisme l’idéologie doit primer sur l’affect !

[Note de Joseph : en fait, une idéologie relève probablement elle-même du plan affectif ou émotionnel, au moins à partir du moment où l’on s’y attache, et le fanatisme découle d’un attachement excessif allant jusqu’à la dépendance vitale.]

Sans propagande et déshumanisation des « coupables », comment voulez-vous :

  • Empêcher des enfants de sortir, d’aller au cinéma ?
  • Obliger des enfants à porter un masque à partir de 6 ans ? (La dictature n’a pas osé les masquer dès la naissance. Gros risque d’une perte d’adhésion.)
  • Obliger des enfants à se vacciner par « altruisme » pour « protéger » des grabataires ?
  • Exclure de la société, des loisirs, de la vie courante, des non-vaccinés avec un passe sanitaire ?
  • Empêcher les non-vaccinés de se rendre dans un hôpital (sauf urgence vitale) ?
  • Priver des personnes honnêtes et appréciées, mais non vaccinées de leur travail ?
  • Confiner les non-vaccinés, hommes, femmes et enfants ?
  • Placer des non-vaccinés dans des camps comme cela est en préparation dans de nombreux pays et pratiqué notamment en Chine.

Êtes-vous conscients qu’une majorité de Français approuvent ces mesures sans le moindre problème de conscience ou de culpabilité ?

Ils sont nombreux (majoritaires ?) à penser qu’il faudrait interdire de réanimation les non-vaccinés !

Sont-ils sortis dans la rue quand on a affirmé qu’un non-vacciné non protégé ne devait pas entrer dans un hôpital pour ne pas contaminer les vaccinés protégés ????!!!!

Les fanatiques approuvent l’interdiction de travailler, approuvent la suppression des aides sociales, approuvent de retirer la garde des enfants de parents non vaccinés, approuvent l’interdiction de soins, approuvent les confinements, approuvent les camps !

Il ne manque plus qu’à décider de tuer les non-vaccinés et la boucle sera bouclée…

Nous ne sommes pas si loin, vous savez…

Le vacciné est un être de lumière et « l’autre » est un non-être.

L’appauvrissement de la société

Le fanatisme conduit inévitablement à se débarrasser de personnes de valeur utiles pour la société.

Nous en sommes les témoins vivants avec l’obligation vaccinale des soignants.

Je ne reviendrai pas sur la propagande, « les hôpitaux sont saturés, le personnel est épuisé, c’est la faute aux mauvais français qui sont tombés malades ou qui demain vont saturer les réanimations ».

Dans les faits :

  • Les hôpitaux et la médecin libérale souffrent de la suspension des soignants non vaccinés.
  • Les hôpitaux et la médecine libérale se privent des meilleurs éléments, ceux qui ne sont pas tombés dans le piège du fanatisme et qui ne peuvent être QUE de meilleurs praticiens soucieux de leurs patients et qui n’ont pas bafoué leur serment par peur, pour de l’argent ou des primes.

La société fanatique va donc se priver d’une partie de ses forces vives qui seront soit confinées, interdites d’exercer, soit s’expatrieront dans un pays qui ne pratique pas l’apartheid (si ils en trouvent un).

Pérennité de la dictature

Le problème est qu’une dictature va cibler une minorité pour en faire le bouc émissaire et permettre au fanatisme de s’ancrer durablement.

Tant que la société fonctionne, tant que les esclaves fanatisés ont la possibilité de « vivre », de travailler, de consommer, la dictature peut dormir sur ses deux oreilles.

Tant que l’ennemi est présent, il demeure possible de se focaliser sur lui et le rendre responsable de tous les maux.

Pour autant l’équilibre est fragile…

L’ennemi doit demeurer à la fois signifiant pour ne pas épuiser le fanatisme.

(Imaginez 100 000 non-vaccinés dans des camps en France qui n’ont aucun contact avec l’extérieur depuis 5 ans, il va être difficile de persuader le fanatique standard qu’ils sont la cause de tous leurs maux.)

Mais l’ennemi ne doit pas augmenter au risque de représenter une masse critique.

Voyons déjà comment les services hospitaliers sont perturbés avec l’obligation vaccinale… imaginez l’obligation étendue à tous les secteurs…

D’autre part, d’un point de vue arithmétique, vous ne pouvez pas empêcher et parquer dans des camps 3 millions de Français.

Ce serait ingérable et d’un coût prohibitif qui ferait que nous serions obligés de les éliminer physiquement.

Cette mesure aurait quand même du mal à passer (pour l’instant) dans l’opinion publique.

J’écris « pour l’instant » car il suffirait de passer tous les jours des images d’enfants mourant contaminés par des non-vaccinés, non-vaccinés faisant la fête, pour que l’idée de les supprimer fasse son chemin.

Il demeure donc nécessaire de rester dans une dictature plutôt « light » pour ne pas risquer de trop augmenter le nombre d’ennemis.

À moins que l’objectif soit une guerre civile, ce qui est un autre sujet.

En attendant, le fanatisme est de rigueur et devrait perdurer encore longtemps sans un réveil des consciences.

Au moment de l’écriture de ces lignes, convenons que le risque de pénurie de jouets fabriqués par des enfants pour des enfants pour Noël est autrement plus grave que la décision de l’Autriche d’assigner à résidence tous ces mauvais autrichiens en bonne santé et non vaccinés.

Merci

Alain Tortosa.(([2]Toute ressemblance avec des faits historiques ne peut qu’être fortuite.))

15 novembre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211115-fanatisme-et-covid.pdf





Pourquoi Big Pharma ne veut surtout pas reconnaître que l’ARN Messager est une thérapie génique

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Big Pharma a une angoisse : celle de voir le grand public admettre l’idée (pourtant difficile à contester) que l’ARN Messager et les vaccins qui utilisent sa technologie sont une thérapie génique. Ce débat en apparence purement technique pour le grand public revêt en réalité une importance capitale, car la thérapie génique est productrice de cancers, surtout chez les enfants. Le « monsieur Vaccin » du gouvernement, Alain Fischer, le sait très bien, puisqu’il est l’un des pionniers de la thérapie génique sur les bébé-bulles, arrêtée deux fois en urgence à cause de la mortalité par cancer qu’elle causait chez les enfants. Mais ce point crucial n’apparaît pas dans sa biographie Wikipédia…

L’ARN Messager est-il une thérapie génique ? Cette affirmation angoisse beaucoup Big Pharma (et quelques autres), alors qu’elle est pourtant confirmée par des sites scientifiques. Mais pourquoi la combattre ? Il faut ici rappeler une série d’événements qui se sont succédé depuis les années 90 pour comprendre l’angoisse des laboratoires. 

Big Pharma se bat pour distinguer ARN Messager et thérapies géniques

Il faut lire les articles de presse insistant sur le caractère complotiste de l’affirmation selon laquelle l’ARN Messager ferait partie des thérapies géniques pour combattre l’importance de cette question technique en apparence secondaire. Ainsi, alors qu’un cadre de Bayer a déclaré, le 8 novembre, lors d’un événement officiel filmé de l’entreprise, que le vaccin à ARN Messager était une thérapie génique, la presse subventionnée s’est mise en ordre pour expliquer qu’il s’agissait d’un “lapsus” et que, bien entendu, il n’y avait aucun lien entre les deux

Cet article récent fait suite à une longue série d’autres, véhiculés par les fact-checkers habituels (dont le site de la RTBF). Pour tout ce petit monde :

Ces affirmations sont fausses ou infondées et ont déjà été vérifiées par l’AFP à plusieurs reprises.

Alors si l’AFP le dit, l’ARN Messager ne doit pas être une thérapie génique… et Stefan Oehlrich, dirigeant de Bayer, a réellement commis un lapsus en affirmant le contraire à la convention de l’entreprise. 

L’ARN Messager n’est pas une thérapie génique ? Vraiment ?

La difficulté de cette opinion selon laquelle l’ARN Messager n’est pas une thérapie génique tient au fait qu’on la lit beaucoup sous la plume des fact-checkers (et l’on sait que la rubrique fact-checking est confiée aux journalistes les moins compétents), mais qu’elle est démentie par les sites scientifiques. 

Par exemple, le site de la Société Française de Thérapie Cellulaire et Génique, dont l’objectif est de “favoriser le développement d’études scientifiques, technologiques, précliniques et cliniques sur la thérapie cellulaire et génique”, dit le contraire. On y lit en effet, sur la page consacrée aux vaccins contre le COVID 19, cette phrase sans ambiguïté :

Jusqu’à présent, quatre Autorisations de Mise sur le Marché Conditionnelles ont été accordées par la Commission pour les vaccins développés par BioNTech et Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Janssen Pharmaceutica NV, en accord avec leur évaluation positive par l’EMA. Les technologies qui se cachent derrière les vaccins AstraZeneca et Janssen ne concernent pas le domaine de la thérapie génique. Ils utilisent des vecteurs adénoviraux pour transporter de l’ADN vers les cellules et générer des anticorps contre COVID-19.

Donc, dans le groupe des vaccins commercialisés, seuls les vaccins AstraZeneca et Janssen ne relèvent pas le thérapie génique. Donc, Pfizer et Moderna en relèvent. C’est en tout cas le point de vue de la société de thérapie génique, mais on veut bien croire qu’il soit moins valable, moins compétent, que l’avis du fact-checker de l’AFP.

Au passage, la page Wikipedia consacrée aux vecteurs viraux ne dit pas autre chose : elle indique que les thérapies géniques, comme les vaccins à ARN Messager, utilisent des technologies similaires. 

La mauvaise réputation de la thérapie génique

Ce qu’il faut comprendre, c’est la raison pour laquelle les journalistes qui relaient comme des chiens fidèles les éléments de langage de Big Pharma sur le prétendu complotisme de tous ceux qui doutent, se mobilisent contre un rapprochement technologique qui n’est contesté par aucun site scientifique. Pourquoi désinforment-ils avec autant d’opiniâtreté ?

Tout le problème tient à la mauvaise réputation de la thérapie génique, et tout particulièrement aux cas de cancers déclenchés par les enfants qui l’ont reçue en traitement expérimental. Malgré toutes les campagnes de nettoyage de réputation sur Internet, il est en effet impossible d’effacer complètement de malheureuses séquences où des enfants sont morts de leucémie plusieurs mois, parfois quelques années, après avoir reçu ce traitement. 

Le Monsieur Vaccin du gouvernement au coeur des polémiques

Ce risque de réputation lié à la thérapie génique est au demeurant parfaitement connu d’Alain Fischer, le “Monsieur Vaccin” du gouvernement, puisqu’il en est l’un des principaux auteurs. Avant de représenter les intérêts d’Emmanuel Macron et de faire partie de l’équipe de Martine Aubry, le professeur Alain Fischer était en effet connu pour ses expérimentations en matière de thérapie génique sur les “bébé-bulles”, c’est-à-dire les enfants souffrant d’immunodéficience. 

Si ces expériences sont présentées comme de grands succès sur sa page Wikipedia, elles ont fait pas mal de remous à l’époque où elles étaient pratiquées. Elles ont notamment été interrompues deux fois en urgence à cause de leurs effets secondaires, consistant à favoriser l’apparition de cancers chez les enfants. 

Comme l’indiquait, en 2014, la Revue Médicale Suisse :

Après dix mois de suivi, la publication de Science faisait état du succès de la technique chez deux patients. Ce résultat remarquable fut toutefois suivi de deux échecs (sur dix tentatives) dont un décès. L’essai clinique fut alors suspendu en urgence en 2002.

(…) Parmi les neuf bébés-bulle qui ont participé au nouvel essai, cinq ont été traités en France et quatre aux Etats-Unis. Ils avaient entre 4 et 10 mois et demi, la plupart souffrant d’infections sévères. Un enfant est décédé rapidement après la thérapie. Un autre a dû recevoir une greffe de sang de cordon et il a été retiré de l’essai (il est vivant). Les sept autres enfants vont bien et ont pu surmonter leurs infections. «La thérapie génique a corrigé leur déficit immunitaire, mais pas tout à fait», a clairement expliqué le Pr Fischer au Monde. Il se refuse à user du terme de guérison. «Ce traitement est efficace sur les lymphocytes T, mais peu sur les lymphocytes B, précise-t-il. Ces enfants doivent donc recevoir des injections d’immunoglobulines toutes les quatre semaines. A part cela, leur vie est normale.»

Autrement dit, les deux essais de thérapie génique menés en dix ans par le professeur Fischer ont chaque fois conduit à des décès prématurés chez une partie des petits patients. Beaucoup de scientifiques en ont conclu que la thérapie génique appliquée aux enfants était une idée très risquée, qui pouvait produire des effets désastreux à moyen ou long terme. 

On comprend que Big Pharma n’ait guère envie de laisser s’installer l’idée que le vaccin à ARN Messager ressemble à la thérapie génique : cette banalisation de la comparaison ou du rapprochement ne pourrait que nourrir la méfiance vis-à-vis du vaccin. 

Où l’on retrouve le bon docteur Fauci

Il n’est pas sans intérêt de souligner que l’impuissance de la thérapie génique utilisée par le docteur Fischer à stimuler la production de lymphocytes B chez les enfants traités a donné l’idée, à des chercheurs américains, de corriger ce problème en utilisant des lentivirus. Cette expérimentation menée en 2018 et 2019 était conduite par… Anthony Fauci, qu’on retrouve à la manœuvre aux Etats-Unis pour faire la promotion des vaccins à ARN Messager. Comme le monde est petit !

On reprendra les propos de Fauci à l’époque :

Pour Anthony S. Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (Niaid) du NIH, « ces nouveaux résultats passionnants suggèrent que la thérapie génique pourrait être une option de traitement efficace pour les nourrissons atteints de cette maladie extrêmement grave, en particulier ceux qui ne disposent pas d’un donneur optimal pour la greffe de cellules souches. Cette avancée leur offre l’espoir de développer un système immunitaire entièrement fonctionnel et la chance de mener une vie saine et bien remplie. »

Entre Fischer et Fauci, on comprend désormais quelle communauté d’intérêts scientifiques fait la promotion d’une technique vaccinale dont aucun ne méconnaît la mauvaise réputation et les risques éventuels. Et on comprend mieux pourquoi tout ce petit monde évite de nuire à la “confiance dans le vaccin” en prenant soin d’établir une cloison artificielle entre l’ARN Messager et la thérapie génique. 




Bill Gates : Les gouvernements doivent punir les utilisateurs en ligne qui s’opposent aux masques et aux vaccins

[Source : anguillesousroche.com]

Bill Gates a exhorté les gouvernements du monde entier à sanctionner les utilisateurs en ligne qui remettent en question les masques et les mandats de vaccination.

Dans une nouvelle interview de 30 minutes avec le politicien britannique Jeremy Hunt, M. Gates a évoqué la « préparation à la pandémie » et le déploiement actuel de vaccins dans le monde.

« Nous avons besoin d’une nouvelle façon de faire les vaccins », a déclaré Gates à Hunt.

M. Gates a souligné l’importance de supprimer ce qu’il a appelé les « fausses informations » concernant le coronavirus et les « vaccins » approuvés par le gouvernement qui l’accompagnent. Il a déploré la montée de ce que l’on appelle « l’hésitation du masque » et « l’hésitation du vaccin » chez ceux qui choisissent de ne pas porter le masque ou de ne pas se soumettre aux injections expérimentales.

Au lieu de s’en remettre aux médias sociaux pour réglementer « ce qui doit circuler » en ligne en ce qui concerne les discussions scientifiques sur la médecine et les vaccins COVID, M. Gates a suggéré que les gouvernements devraient « prendre les devants » pour contrôler la censure des médias en ligne, après avoir critiqué les plateformes telles que Facebook pour avoir été « un peu lentes » à enfoncer le clou.

Le magnat de la technologie a ensuite jeté l’opprobre sur les géants des médias sociaux, en se moquant de leurs motivations en matière de publication de contenu, qui sont loin d’être vertueuses, tout en préconisant que les gouvernements prennent en charge le contrôle des discussions sur Internet.

Affirmant qu’il n’est pas « réaliste » d’attendre de Big Tech qu’elle modère suffisamment ses propos, M. Gates a suggéré que « les gouvernements finiront par décider [des] supposées théories du complot sauvages : doivent-elles être vérifiées ? Doit-on ralentir leur diffusion ? Doit-on y placer des points de vue contrebalancés ? »

Après avoir exprimé une certaine insatisfaction à l’égard de la réponse mondiale à COVID-19, Gates a expliqué qu’il souhaitait désormais que les responsables politiques planifient les « futures pandémies », en s’appuyant sur les efforts concertés de 2020, en demandant aux organismes internationaux de mettre en place des programmes de surveillance médicale et de commencer à « s’entraîner » à répondre à d’éventuelles menaces biologiques à l’aide d’une série de « germ games« .

M. Gates a appelé à la création d’un « groupe de travail sur les pandémies à l’OMS [Organisation mondiale de la santé] » qui effectuerait des simulations d’attaques bioterroristes dans les aéroports, a-t-il déclaré, par exemple. « Vous dites, ok, et si un bioterroriste apportait la variole dans 10 aéroports ? Vous savez, comment le monde réagirait-il à cela ? Il existe des épidémies d’origine naturelle et des épidémies causées par le bioterrorisme qui pourraient même être bien pires que ce que nous avons connu aujourd’hui. »

Le groupe de travail nécessiterait des « dizaines de milliards » de dollars d’investissement de la part des nations du monde pour se préparer à l’éventualité d’une arme biologique fabriquée, a suggéré M. Gates.

« On pourrait donc penser qu’il s’agit d’une priorité », a-t-il déclaré, prédisant que « l’année prochaine, ces allocations [financières] devront être faites, y compris pour ce groupe de travail sur la pandémie mondiale ».

[En guise d’antidote, voir la vidéo suivante et les articles associés :
Dr Valentina Kiseleva : Le virus et autres mythes]




Le seul choix qui nous reste : l’esclavage ou la liberté

[Source : Dr Mercola]

Analyse par le Dr Joseph Mercola — 31 octobre 2021

Les toilettes intelligentes utiliseront les empreintes digitales anales.

La « plandémie » et le Grand Réveil

Bref aperçu :

  • Catherine Austin [Catherine Austin Fitts] a passé des décennies à dénoncer la corruption et la fraude dans le système bancaire et gouvernemental, et la corruption et la fraude sont les éléments moteurs de la pandémie COVID.
  • Nous assistons à un transfert de milliards de dollars de passifs envers les familles pour des soins de santé, d’invalidité, de compensations salariales, de chômage et de décès parce que les injections COVID sont obligatoires tandis que les laboratoires, les médecins et les entreprises ont été affranchis de toute responsabilité.
  • À ce jour, il n’y a aucune obligation vaccinale légalement valide. Les injections sont toujours sous autorisation d’utilisation en urgence, et il n’y a pas de document officiel du gouvernement, que ce soit sous forme législative, de loi ou de règlement, qui accorde une base légale à l’obligation. L’Administration Américaine de la Sécurité au Travail et de la Santé n’a pas non plus publié de règle concernant l’obligation vaccinale par des entreprises privées.
  • Les passeports vaccinaux créent une plate-forme pour un système de transactions numériques qui documente et retrace toutes les transactions. Une fois combinés avec une monnaie numérique contrôlée par une banque centrale, ils auront la possibilité de bloquer les transactions.
  • Pour empêcher la mise en œuvre finale de ce système de contrôle planifié, nous devons être prêts et disposés à faire des sacrifices à court terme. Nous devons être prêts à dire « Non, je ne me soumettrai pas, quelles qu’en soient les conséquences », ou nous perdrons même nos libertés les plus fondamentales.

[Voir aussi :
Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait »
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
L’heure de la justice]

Habituellement, mes conversations avec des experts sur la pandémie COVID tournent autour de l’infection et de son traitement. L’interview d’aujourd’hui avec le gourou de la finance Catherine Austin Fitts s’attaquera le sujet de la COVID sous un angle différent.

Austin Fitts a passé des décennies à dénoncer la corruption et la fraude dans le système bancaire et gouvernemental, et la corruption et la fraude sont les éléments moteurs de la pandémie COVID.

« J’ai eu une carrière très réussie à Wall Street, puis je suis allée brièvement à Washington et j’ai été atterrée par la corruption hypothécaire et je suis partie », dit-elle. « J’ai créé mon propre cabinet, qui a très bien marché, et j’ai été prise dans un litige avec le gouvernement fédéral.

Cela était dû en partie à la découverte que les principaux médias étaient une entreprise criminelle. J’ai décidé pendant cette période que j’arrêterai d’essayer de discuter de quoi que ce soit avec des gens par le biais des médias. En fait, je répondrai que directement aux questions des gens. Ce processus de ne répondre que constamment aux questions des gens… s’est transformé en deux entreprises, dont l’une était une entreprise de conseils en investissements, lancée en 2007.

J’ai découvert que bon nombre des problèmes financiers et de nombreuses difficultés financières auxquels mes clients étaient confrontés étaient vraiment générés par la santé, et que nombreux d’entre eux provenaient de blessures vaccinales et d’effets indésirables des vaccins. Je ne suis plus conseillère en investissements… je de donne pas de conseil individuel en investissement.

Mais ce que j’ai découvert c’était qu’il était absolument impératif, si vous vouliez aider les clients à réussir à construire leur bien-être financier familial, d’intégrer les investissements dans la santé et le bien-être aux investissements dans les questions financières. J’avais des gens qui me disaient qu’ils mettaient des millions de dollars dans leur compte d’actions, mais qui n’avaient pas les moyens de se payer de la nourriture bio ou biodynamique.

J’ai l’air de, es-tu folle ? Donc il y avait une intégration qui devait se produire. À cause des extraordinaires dépenses liées aux blessures vaccinales et aux événements indésirables, cela m’a amenée à beaucoup m’intéresser aux vaccins. J’ai passé de nombreuses années à lire et à étudier ce qui se passait et pour quelles raisons les mensonges étaient si gros ».

Selon Austin Fitts, votre santé et vos finances personnelles ne peuvent tout simplement pas être séparées. Les deux sont vraiment comme les deux faces d’une même pièce et les personnes qui n’apprennent pas à naviguer à travers les mensonges des industries médicales et financières peuvent se retrouver en très mauvaise situation, tant du point de vue de la santé que du point de vue financier.

La fraude de l’injection

Un des crimes les plus odieux de cette pandémie est l’obligation de ces injections COVID expérimentales tout en donnant simultanément aux sociétés pharmaceutiques une immunité complète. Elles ne sont responsables de rien, peu importe combien de personnes sont blessées ou meurent. Une personne peut être forcée à prendre cette injection et souffrir d’une invalidité permanente nécessitant des millions de dollars de soins, et le patient doit en assumer les coûts, quand bien même il a été contraint.

« Au début de la pandémie COVID-19 j’ai publié un article intitulé « La Fraude de l’Injection »(([1] The Injection Fraud – It’s Not a Vaccine – Solari Report))» dit Austin Fitts, « et j’ai passé en revue tous les différents problèmes de responsabilité.

L’objectif des formulaires COVID-19 que nous avons publiés sur notre site Internet est d’essayer de ramener la responsabilité là où elle devrait être, parce que vous observez un transfert de milliards de dollars qui incombent aux familles pour des soins de santé, d’invalidité, de compensations salariales, de chômage, de décès, etc.,etc.. Le transfert des engagements financiers sur les particuliers est extraordinaire.

Ce que nous essayons de faire avec les formulaires COVID-19 c’est de donner aux personnes des formulaires qu’ils pourraient utiliser dans les négociations avec leurs employeurs et leurs écoles pour essayer de les tenir pour responsables du consentement éclairé… Ensuite il passe en revue les questions de soins de santé, les questions de handicap, les questions de compensations salariales, les questions d’assurance-vie…

Ce processus a commencé par quelque chose appelé le formulaire de déclaration de situation financière familiale. Nous avions de nombreux abonnés dont les épouses voulaient recevoir l’injection.

Il était très important pour moi de donner aux gens un formulaire qu’ils pourraient parcourir avec leur conjoint et m’assurer qu’un événement indésirable impactant le conjoint ne se traduirait pas en faillite pour la famille parce qu’il y a des mesures que les gens peuvent prendre pour protéger la famille de la catastrophe financière s’ils sont assez stupides pour aller prendre une de ces injections.

Donc cela a commencé avec le formulaire de déclaration de situation financière familiale, puis il s’est traduit en formulaire pour employé et pour l’université, et des abonnés m’ont dit qu’ils étaient en mesure de dissuader leurs employeurs d’exiger l’injection après qu’ils aient examiné ensemble le formulaire.

C’est incroyable parce que les employeurs et les universités ne font que mentir aux gens que ce soit au sujet des événements indésirables et des risques potentiels, ou de ce qu’est la loi.

Je mets au défi tout employeur qui essaie de dire qu’ils imposent ceci alors qu’ils sont encore sous autorisation d’utilisation d’urgence, de produire un document du gouvernement, qu’il s’agisse d’une disposition légale ou réglementaire, qui dit qu’ils ont une base juridique pour le faire. Pour autant que je sache, l’OSHA (Occupational Safety and Health Administration — Sécurité au Travail et Administration de la Santé) n’a rien publié à ce jour. »

Y a-t-il un chantage conspirationniste en cours ?

Alors que je pense que de nombreux employeurs et d’administrateurs d’écoles sont tout simplement ignorants et ont été victimes de la campagne de propagande la plus réussie de l’Histoire moderne, Austin Fitts soupçonne qu’ils savent exactement ce qu’ils font.

« Je ne pense pas qu’il s’agisse de propagande », dit-elle. ‘Je pense qu’ils subissent une pression terrible à la fois du gouvernement et des banques… Je pense qu’il y a dans les coulisses un chantage conspirationniste RICO (Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act — Loi fédérale conçue pour combattre le crime organisé aux États-Unis — NdT) en cours.

Je pense qu’ils le comprennent. Et je pense qu’ils sont sérieusement menacés par le système bancaire. Si vous regardez la pression la plus forte que nous voyons, elle vient des banques centrales et du côté de la finance.

Depuis un an j’ai passé beaucoup de temps avec les Médecins pour l’éthique COVID à apprendre ce que ces médecins et scientifiques savent, ce qu’il y a dans cette injection COVID et ce qu’elle fait. Il y a toute une partie des ingrédients dont nous ne savons toujours pas ce qu’ils sont.

Et, j’ose le dire, je crois que c’est relié à la raison pour laquelle les directeurs des banques centrales insistent tant. Je pense que ces gars dépendent vraiment du réseau intelligent et d’une technologie effrayante pour les aider à passer aux dernières étapes du contrôle financier, qui est, je pense, ce pour quoi ils font pression. »

Il ne reste plus qu’un seul choix : l’esclavage ou la liberté

Pour empêcher la mise en œuvre de ce système de contrôle planifié, nous devons être prêts à faire des sacrifices à court terme. Tout le monde doit être prêt à dire « Non, je ne me soumettrai pas, quelle qu’en soit la conséquence, que vous m’enleviez ma pension de retraite, que vous me licenciez, que vous me discréditiez et que je ne puisse plus jamais travailler dans ma profession ». C’est cela qu’il faudra pour garder même nos libertés les plus fondamentales.

S’ils arrivent à imposer les passeports (les pass sanitaires — NdT), je dirais que, d’un point de vue pratique, nous perdons notre capacité à arrêter les monnaies numériques des banques centrales (MNBC – NdT). Donc, quoi que nous fassions, il nous faut arrêter les pass. Les pass leur donnent le genre de contrôle dont ils ont besoin sur les transactions numériques et financières ce qui ensuite mène aux MNBC. — Catherine Austin Fitts

Comme l’a relevé Austin Fitts :

« Il s’agit d’esclavage ou de liberté. Si vous regardez ce qu’ils préparent, ce qu’ils visent, c’est une grille complète de contrôle financier et technologique. Ceci est de l’esclavage. Je veux dire, lorsque le Forum Économique Mondial dit, nous sommes en 2030 et vous n’avez pas de biens, qu’est-ce qui n’est pas clair là-dedans ? Vous n’avez pas de biens signifie que vous êtes un esclave ».

D’après les statistiques fédérales aux États-Unis, la richesse de la moitié inférieure de la population a augmenté durant la pandémie à cause de l’inflation immobilière. « Je peux vous assurer que ceci est une ruse », dit Austin Fitts. En ce qui concerne les liquidités, environ 70 à 80 % des Américains n’ont pratiquement pas de réserve d’argent liquide.

« C’est parce que ce que nous avons vu est un effort énorme pour… mettre en faillite la population et les gouvernements afin qu’il soit plus facile pour les directeurs des banques centrales de prendre le contrôle. C’est ce que j’ai écrit depuis 1998 que ceci est un coup d’État financier.

En ce moment le coup d’État financier est en train d’être consolidé, où les directeurs des banques centrales ne servent que de juridiction sur le Trésor et les recettes fiscales. Et s’ils peuvent obtenir les passeports avec la MNBC (rappel : Monnaie Numérique des Banques Centrales — NdT) alors il sera possible que les impôts soient retirés de nos comptes et que l’on prenne nos actifs.

Donc, nous sommes en présence d’un véritable coup d’État, et c’est pourquoi, si vous jetez un coup d’œil sur l’ensemble de la population, nous sommes les gars qui construisent la prison. Nous avons le pouvoir d’arrêter cela. »

Les raisons pour lesquelles nous devons rejeter les passeports vaccinaux

Je soupçonne que les MNBC sont au cœur de ce complot, et je crois fermement que les cryptomonnaies décentralisées telles que les Bitcoins sont une alternative puissante et importante pour contrer le contrôle des banques centrales sur le système financier. Austin Fitts n’est pas d’accord, soulignant que toutes les cryptomonnaies fonctionnent sur des systèmes contrôlés par le système de gouvernance existant.

« Je crois que toute technologie blockchain (une blockchain permet de stocker et d’échanger de la valeur sur Internet sans intermédiaire centralisé — NdT) dans le système de gouvernance actuel est un danger’, dit-elle. « Ayant plaidé pour le Ministère de la Justice durant 11 ans sur les questions financières et les questions d’argent, je pense qu’ils ont la capacité d’exercer un contrôle remarquable sur n’importe lequel d’entre eux… je veux dire, ils contrôlent le matériel informatique, les satellites, les câbles… et beaucoup de gens croient que les cryptomonnaies actuelles sont bien plus privées que je pense qu’elles ne le sont ».

Bien que le gouvernement ne contrôle pas les clés privées et les éléments décentralisés, ils ont toujours encore bon nombre de moyens d’accéder aux données privées de personnes ciblées. « J’ai vu plein de gens être assignés à comparaître et voir le FBI débarquer à leur porte, et c’est incroyable ce qu’ils choisissent de transmettre et de coopérer », dit Austin Fitts. En bref, la capacité du gouvernement de mettre à exécution une menace lorsqu’ils veulent quelque chose de vous est profonde, ce qui rend presque impossible toute résistance.

« Maintenant, je crois toujours que nous avons le pouvoir de renverser cela complètement, dit-elle. « Je veux néanmoins mentionner une chose, parce que la chose importante, notre point à risque, ce ne sont pas les MNBC. Il leur faudra un certain temps pour imaginer les MNBC. Notre point à risque se sont les passeports vaccinaux.

S’ils obtiennent les passeports, alors je dirais que, d’un point de vue pratique, nous perdons notre capacité à arrêter les MNBC. Donc, quoi que nous fassions, nous devons arrêter les passeports. Les passeports leur donnent le type de contrôle dont ils ont besoin sur les transactions numériques et financières ce qui conduit alors aux MNBC ».

Le passeport vaccinal est un ticket d’entrée pour l’esclavage financier

Comme l’explique Austin Fitts, les passeports vaccinaux créent une plate-forme pour un système de transactions numériques qui documente et trace toutes les transactions. Une fois combinés avec une monnaie numérique contrôlée par une banque centrale, ils auront la possibilité de bloquer les transactions.

Si le gouvernement ne veut pas que vous achetiez quoi que ce soit à plus de 8 km de votre domicile, ils ont la capacité de vous empêcher de le faire. S’ils ne veulent pas que vous achetiez des pizzas, ils ont la capacité de vous empêcher d’acheter des pizzas.

« Donc c’est l’Étape 1 pour la construction de cette grille de contrôle. Si vous allez sur solari.com et cliquez sur Cash Friday — qui est une campagne que nous menons pour inciter tout le monde à faire ses dépenses à l’aide d’argent liquide les vendredis — vous allez voir une vidéo de 56 secondes du directeur général de la Banque des Règlements Internationaux expliquant comment avec la MNBC ils auront la capacité de mettre en application toutes les règles qu’ils veulent créer sur les MNBC et votre argent.

C’est très effrayant et cela communique le contrôle qu’ils pensent qu’ils vont avoir lorsque ceci sera terminé. Mais pour obtenir ce contrôle, vous avez d’abord besoin que l’ensemble du système de passeport voie le jour. C’est en gros la grille d’information sur laquelle les MNBC peuvent ensuite se brancher…

Si vous avez un système de passeport qui est en place qui peut littéralement arrêter vos transactions financières à moins que vous n’ayez un autre rappel, imaginez, avec les MNBC, il peut arrêter toutes vos transactions. Il peut changer le montant de l’argent. Il peut retirer de l’argent de votre compte bancaire. En d’autres mots, ce n’est plus une monnaie. C’est un crédit que la société stocke et la société contrôle tout…

Les passeports sont déjà là. Nous devons arrêter cela maintenant. J’ai vu des applications de passeport qui montrent que les gens reçoivent huit rappels ou plus. Qui va s’inquiéter au sujet des MNBC si vous avez eu deux de ces injections et huit rappels ? Je veux dire, la question est : serez-vous encore en vie à ce moment-là ? Je ne sais pas ».

Que pouvez-vous faire maintenant ?

Donc, comment le citoyen moyen peut-il résister à ce plan diabolique ? Une des stratégies serait de déménager dans un État ou un pays qui a rendu illégal les obligations de détenir un passeport vaccinal. Une autre stratégie est de simplement refuser le passeport, quelles qu’en soient les conséquences.

Cela vaut également pour ceux qui ont eu une ou deux injections COVID. Pour que le passeport reste valide, vous devrez prendre des rappels. Combien êtes-vous prêt à en prendre ? Combien de fois êtes-vous prêt à risquer votre santé et votre vie ? À un moment donné il vous faudra prendre la même décision que tous ceux qui ne sont pas vaccinés — la liberté ou l’esclavage.

Ce que cela signifie c’est qu’il nous faudra également créer des systèmes alternatifs et parallèles pour tout ce dont on nous privera d’accès si nous n’avons pas de passeport vaccinal valide. Cela inclut l’éducation, la production alimentaire, toutes sortes de services, les soins de santé et l’économie.

Ces systèmes parallèles seront de toute façon cruciaux, puisqu’il semble que les programmes sociaux — Sécurité Sociale, Medicare et Medicaid — n’auront plus d’argent en 2028. Et, à mesure que ces programmes disparaissent, ils feront couler l’industrie pharmaceutique avec eux, puisqu’ils sont la première source de revenus des sociétés pharmaceutiques.

« J’ai découvert qu’il y avait toute une communauté de gens qui vivaient en VL (véhicule de loisir, véhicule aménagé avec à l’intérieur un espace de vie — NdT) tout simplement parce qu’ils ne faisaient confiance à aucune juridiction. Ils voulaient avoir la possibilité de se lever et de partir, et ce groupe est en progression constante.

Donc, mon sentiment c’est que nous devons dire non, et nous devons faire tout ce que nous pouvons faire. J’ai pris cette décision lors du litige auquel le gouvernement était partie prenante parce que j’étais absolument convaincue que si je continuais à dire non, il y avait de fortes chances que je puisse être tuée. J’ai été empoisonnée en maintes occasions, donc j’ai eu affaire à un harcèlement assez grave.

Tout ce que je peux vous dire c’est qu’avoir dit non s’est avéré être la chose la plus intelligente que je n’aie jamais faite. Je ne dis pas que ce n’est pas difficile. C’est exceptionnellement gênant. Je suis passé de personne nantie à une personne ayant à vivre des périodes de pauvreté extrême. C’était assez horrible.

Mais en même temps, vous sortez de l’autre bout et c’est une belle vie. C’est juste une belle vie que d’être libre … Je ne pense pas qu’il y ait un autre moyen de parvenir à une vie libre et inspirée que de s’y lancer. Il vous faut dire non. Et si nous ne disons pas non, nous allons être des esclaves. Franchement, je préfère être morte que de prendre ces injections. Dieu sait ce qui s’y trouve. »

Il n’y a pas de vaccination obligatoire aux États-Unis

Récemment, le président Biden a publié une directive présidentielle inconstitutionnelle selon laquelle les entreprises de 100 employés ou plus sont tenues de rendre obligatoire l’injection de tous les membres du personnel. L’amende peut s’élever jusqu’à 700 000 dollars par infraction.

De telles grosses amendes pourraient rapidement mettre en faillite toutes les entreprises hormis les plus riches si elles ne s’y conforment pas. Néanmoins, même ici, il y a le choix, parce qu’en l’état actuel des choses, il n’y a pas de règle ou de loi LÉGALE dictant des règles en matière de vaccination pour les entreprises privées.

« Ceci est un génocide », dit Austin Fitts. ‘Il n’y a pas de règle d’urgence temporaire OSHA (Occupational Safety and Health Administration — Administration de la Sécurité au Travail et de la Santé — NdT). Il n’y a pas de document. Si je suis une entreprise et que vous n’avez pas de loi, pas de règlement, pas de règlement d’urgence — vous ne pouvez pas légiférer par conférence de presse, et vous ne pouvez pas appliquer des sanctions pécuniaires à partir de rien.

Je ne sais pas sur quelle base juridique vous pouvez appliquer une sanction pécuniaire civile à une violation d’une loi non existante et d’une règle non existante. Maintenant, je ne suis pas en train de vous dire que vous ne pouvez pas trouver un juge et le menacer et l’effrayer afin qu’il adhère à cela. Mais je dois vous dire, s’il y a quelque chose qui vaut la peine d’être plaidé, c’est bien cela.

Mais voyons si une entreprise peut exister en tant que sujet politique. Si toutes les entreprises dans le Monde sont en fait captives du chantage de l’organisation SPECTRE — parce que ça tourne vraiment en James Bond — (alors), personne ne peut représenter l’actionnaire, parce qu’ils ne peuvent pas dire non au crime organisé.

Alors nous n’avons plus d’économie. Nous n’avons plus de marché boursier. Nous n’avons plus de pays. Nous n’avons plus de civilisation. Nous n’avons plus qu’une mafia, n’est-ce pas ? Tout a disparu.

Donc, pour moi, je ne peux songer à quelque chose de mieux à plaider que de savoir si oui ou non nous allons avoir une loi. Si tout n’est que la règle de la mafia, il n’y aura pas d’entreprises. Il n’y aura pas de marché boursier. Il n’y aura pas de système financier. Et bon nombre d’entre nous vont mourir.

Donc je pense qu’il va nous falloir décider si nous voulons ou non avoir un État de Droit… Je ne crois pas que le crime organisé avec toute sa force coercitive ait le pouvoir de tout saboter pendant que les gens se dressent. »

Qui est derrière tout cela ?

Quant à savoir qui est derrière cette gigantesque manipulation, c’est difficile à dire. Je pense que le plus proche que nous puissions arriver sur l’identité de ces criminels ce sont les actionnaires privés de Vanguard [Ndlr : et de Blackrock], parce que Vanguard possède la plupart des entreprises du Monde. Austin Fitts pense que ce sont les propriétaires privés des banques centrales. Elle explique :

« Vanguard appartient essentiellement à elle-même. Donc la question est qui la contrôle dans les coulisses ? J’ai un livre en ligne intitulé « Dillon Read et l’Aristocratie des Profits Boursiers ». J’ai essayé par trois fois de le publier en version papier et à chaque fois j’ai été menacée. La dernière fois ils ont menacé quelqu’un de ma famille.

Donc je l’ai laissé en ligne. (Dans ce livre), je raconte l’histoire de comment j’ai été une associée et membre du conseil d’administration de Dillon Read. À un moment donné, j’ai été surprise par leur choix du prochain président de la compagnie. (Il y avait) là (dans cette compagnie — NdT) un merveilleux associé dont le père avait dirigé la compagnie autrefois, alors je lui ai dit ‘Je suis surprise de ce choix. Ce n’est pas du tout un « gars de Nick » (Nick étant l’ancien président — NdT)

Nick Brady, le PDG de la compagnie, était allé (avait été élu — NdT) au Sénat pendant un moment, c’est pourquoi ils amenaient un autre président. Et mon associé a dit, ‘Nick ne l’a pas choisi. Les Rothschild l’ont choisi’. J’ai dit, ‘Attends une minute. Nous sommes propriétaires de l’entreprise. Qu’est-ce que les Rothschild ont à voir avec nous ? Et il m’a simplement regardée et a roulé les yeux… et est parti comme si j’étais la personne la plus stupide d’Amérique. 

Le surnom d’Austin Fitts donné par le comité qui dirige le Monde est “Mr Global”. Elle reconnaît qu’elle ne comprend pas complètement comment ça fonctionne au sommet, mais elle sait que la prise de décision est très centralisée, qu’elle est probablement gérée par le comité, et que les membres (du comité — NdT) sont tenus au secret pour une durée de 50 ans.

Depuis la Deuxième Guerre Mondiale, il y a une quantité d’argent énorme qui disparaît de manière constante à cause du système financier’, dit-elle. ‘C’est presque comme si la planète est une REIT (real estate investment trust — société d’investissement immobilière). Je n’oublierai jamais la scène du film ‘Jupiter Ascending’ où la princesse d’une galaxie lointaine regarde cette Terrienne et lui dit ‘La Terre n’est qu’une toute petite partie d’une société bien plus grande’.

En fait, si vous regardez le système financier, c’est comme ça que ça marche — comme si tout le monde était forcé à produire ce dividende et qu’il (le système financier — NdT) devient très dysfonctionnel à cause du secret.

Maintenant on m’a dit à plusieurs reprises — et j’ai tendance à le croire — que les personnes qui dirigent littéralement ce que la plupart des gens appellent l’État Profond ont essayé de comprendre comment ils pourraient augmenter la transparence et ils se heurtent à tellement de problèmes de responsabilité que tout simplement ils abandonnent.

S’il y a une solution dont nous avons tous besoin, c’est d’apporter une énorme transparence et réduire le risque avec les personnes au sommet. Parce que je pense qu’une des raisons pour lesquelles ils poussent au contrôle complet c’est… qu’ils peuvent alors gérer les choses de manière centralisée avec l’intelligence artificielle…

Le contrôle complet c’est : vous êtes sur un réseau intelligent qui est sous surveillance 24/7 (24 h/24, 7 jours/7 — NdT) et qui vous soumet à toutes sortes de propagande et de contrôle de l’esprit, et ils ont le pouvoir d’effacer votre compte si vous ne vous comportez pas bien. Ceci peut être géré par logiciel, l’IA (Intelligence Artificielle — NdT) et un réseau intelligent (grâce au passeport vaccinal et la MNBC)…

Je le décrirais comme un système d’esclavage… Ils peuvent littéralement garantir un être humain et le connecter au système bancaire, et ils peuvent arrêter toute révolution violente une fois qu’ils ont en gros numérisé et mis tout le monde sur un système de contrôle des transactions financières…

Je pense que c’est une terrible erreur. Mais je pense qu’ils… ne savent pas quoi faire d’autre. Si nous arrivons à nous sortir de cela, premièrement, nous devons simplement dire non et refuser de rentrer dans la boîte. L’autre (deuxièmement — NdT) c’est qu’il nous faut apporter de la transparence là où nous pouvons tous changer. Parce qu’il nous faut une réinitialisation. Si nous continuons comme nous le faisons, ça ne marchera pas. »

Il nous faut une réinitialisation, mais pas de ‘la grande réinitialisation’

Ils sont nombreux à avoir souligné que c’est une inéluctabilité mathématique que le système financier des banques centrales s’effondre. Vous ne pouvez pas accumuler des dettes à perpétuité. Ce n’est tout simplement qu’une question de quand. Comme l’a fait remarquer Austin Fitts, nous avons actuellement un retour sur investissement négatif.

Mais le système financier peut certainement être remanié pour un retour sur investissement positif. Néanmoins, pour faire cela, nous ne pouvons pas permettre aux sociétés de fonctionner au-dessus de lois. Elle explique :

« À l’heure actuelle, nous avons une doctrine juridique qui dit qu’aussi longtemps qu’ils peuvent se faire de l’argent, ils sont plus ou moins libres d’agir au-dessus des lois. L’économie doit être subordonnée à la société. Vous ne pouvez pas laisser votre vie économique déterminer la primauté du droit. Et donc, nous avons pratiquement donné une immunité juridique aux grandes banques internationales, et à travers elles, aux entreprises.

Le modèle d’entreprise actuel, tel qu’il existe actuellement, ne marche pas. Ce que nous observons c’est la destruction de la société afin qu’il puisse continuer à fonctionner. Franchement, vous ne pouvez pas avoir une économie ou une société en bonne santé si le secteur financier est dominant plutôt que subordonné. Le système financier devrait servir la société et la civilisation, et non l’inverse. »

Des signes d’un changement positif

Cependant, il y a des signes d’un réel changement — un changement positif. Austin Fitts fait remarquer, pour la première fois de sa vie, elle voit des personnes extrêmement talentueuses et bien éduquées qui ont toujours été réticentes à faire des vagues disant qu’elles veulent sortir (du système — NdT) ; elles préfèrent mourir plutôt que d’être réduites en esclavage par le crime organisé.

« Je me rappelle d’un scientifique et médecin vraiment formidable me disant, ‘Je suis prêt à commencer une toute nouvelle civilisation’. Il y a une vague de talents et de solennité que je n’ai jamais vue et qui dit ‘Je préfère faire partie de la nouveauté. J’en ai marre de celle-ci.

Donc je vois une formidable cassure — et non simplement un refoulement — de la part de personnes qui veulent être partie prenante de quelque chose de civilisé. Elles réalisent que la corruption a atteint un point où il est inutile d’essayer de s’entendre ou d’être au milieu de la route ou de suivre…

Le défi pour nous tous est comment pouvons-nous basculer nos économies et notre épargne retraite pour financer la création de cette nouvelle capacité ? D’une part, vous avez des étudiants qui quittent l’école et qui doivent faire l’école à la maison. D’autre part, vous avez des enseignants qui quittent l’école parce qu’ils ne veulent pas recevoir l’injection.

Nous devons créer des entreprises et des réseaux et des sites web qui nous aident à nous rencontrer. Si ce processus se déroule dans un esprit d’entreprise, il pourrait être très positif et très excitant.

C’est ce que je vois dans les nouveaux médias. Mais cela doit également se produire dans les services de santé et dans l’éducation, et il faudra que suffisamment de personnes réalisent que le Titanic est en train de couler. Il n’est pas possible de revenir en arrière. Elles pourraient tout aussi bien récupérer quelques planches et commencer à construire des arches.

Sans intégrité il n’y a pas de civilisation. Donc, si vous voulez faire partie de quelque chose qui a de l’intégrité, vous ne pouvez pas rester (dans l’ancien système). Je le répète, il n’y a pas de juste milieu… Je dis, dites oui à la science, dites oui à l’intégrité, dites oui à la loi.

La situation de chaque personne est différente, mais trouvez un moyen de traduire ce oui en quelque chose de productif. Soyez utile. C’est ce que j’ai essayé de faire. J’ai eu une vie merveilleuse en tant que banquier d’affaires, mais je me suis réveillée et je ne pouvais plus (continuer)… j’ai fait des transactions portant sur des milliards de dollars. Je ne savais pas faire un plan financier pour quelqu’un qui avait 25 000 dollars.

Donc j’ai commencé par simplement répondre aux questions des gens et ces questions ont évolué jusqu’à devenir deux entreprises, le Solari Report et le Solari Investment Advisory Services (pour cette dernière ‘Service de Conseils en Investissement — NdT). Cela a pris de nombreuses années, mais je n’ai fait qu’essayer d’être utile. Donc chacun d’entre nous doit commencer par là.

Nous devons nous demander ‘quelle compétence ai-je’ ? Quelles compétences puis-je acquérir ? Dans quelles compétences puis-je évoluer ? Et comment puis-je servir les gens autour de moi ? Que puis-je faire pour être utile ? Et nous partons de là.

Mais vous devez choisir l’intégrité et la civilisation ou choisir d’être un esclave du crime organisé. Vous devez faire ce choix. Et voulez-vous savoir ? C’est un choix dangereux. J’ai failli ne pas y arriver. Mais comme je l’ai dit à mon ancien collègue, je préfère mourir dans le désert que d’être dans des endroits souterrains avec vous les gars. »

Traduction Jean Bitterlin, le 12 novembre 2021