Deux nouvelles explosives passées sous le radar médiatique

Un drone chargé d’explosifs — non explosé — trouvé près du site de l’explosion du gazoduc Nord Stream — 22/10/2022

[Source : halturnerradioshow.com]

Les autorités suédoises ont interdit aux médias de couvrir la récupération de ce drone. La police suédoise qui enquête sur la récente explosion qui a fait sauter trois des quatre gazoducs entre la Russie et l’Allemagne a trouvé un drone sous-marin chargé d’explosifs près du quatrième gazoduc, mais qui n’a pas explosé. Un fil qui aurait contrôlé l’explosion de ce drone s’est avéré avoir été sectionné. La police a fait appel à l’unité de neutralisation des munitions de l’armée suédoise pour récupérer le drone non explosé et le mettre en sécurité. Le drone est maintenant saisi, et avec lui, la première preuve concluante de l’identité de l’auteur de l’attentat à la bombe contre Nord Stream. La Suède a immédiatement classé le drone et l’enquête, comme devant être dissimulés pour des raisons de « sécurité nationale ». Le modèle de drone indique clairement qui est l’auteur de l’attentat. La Suède ne révèle pas le modèle de drone ni aucune autre information le concernant.


La Russie détruit une station de liaison satellite à l’extérieur d’Odessa, en Ukraine — tous les engins de l’OTAN à l’intérieur — 18/10/2022

[Source : halturnerradioshow.com]

La Russie a détruit la station terrestre de liaison satellite du centre de communication de l’Ukraine. Pour la détruire, une opération spéciale a été organisée par l’armée russe. Après avoir repéré son emplacement, elle a été frappée à l’aide d’armes de haute précision. La destruction de cette station terrestre – du moins pour l’instant – a totalement mis hors service le réseau de communication gouvernemental sécurisé de l’Ukraine, et a stoppé le flux de renseignements de l’OTAN vers le réseau de distribution gouvernemental de l’Ukraine. Les planificateurs militaires ne sont plus en mesure d’obtenir des renseignements en temps réel par le biais des communications spatiales par satellite avec l’OTAN… « Dans la zone de la colonie de Palievka, dans la région d’Odessa, la station spatiale de communication du Centre de communication gouvernemental de l’Ukraine a été détruite », a déclaré le ministère de la Défense de la Fédération de Russie lors d’un briefing de routine.  




Les médias mainstream mentent et manipulent sciemment — Nouvel épisode : Victoire du professeur Perronne

Par Alain Tortosa

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Julien Pain, l’ayatollah de la vérité officielle nous a rappelé hier sur France-Info que France-Soir n’était plus un journal, mais un ramassis d’informations complotistes et mensongères.

D’autant plus amusant que mes amis « complotistes » ont retrouvé une de ses émissions (en 2020) dans laquelle il expliquait avec détail que Big Pharma n’hésitait pas à sortir un médicament quasi identique, mais hors de prix quand un autre presque gratuit répondait à la demande. Il a même souligné que Big Pharma était plus puissant que les États pour imposer sa loi2.

Il est dommage que cette vérité ne lui soit plus accessible depuis la crise du Covid et qu’il ait aussi oublié que Pfizer a été condamnée à des milliards de dollars d’amendes, encore récemment, pour corruption de médecins et mensonges.

Mise en examen (supposée) du directeur de l’AFP

J’en arrive donc à France-Soir.

Le journal a publié un article le 21 octobre, il y a donc deux jours, dans lequel il indique que Fabrice Fries, président de l’AFP aurait été mis en examen pour diffamation pour le documentaire Hold-up.

Si je me rends sur Google.com et que je tape « fabrice fries mise en examen3 », je tombe uniquement sur l’article de France-Soir et sur quelques sites « complotistes » qui reprennent l’information du journal.

Strictement rien sur les médias mainstream ! L’information remontant à plus de 48 heures, il est difficile de penser que les journaux n’aient pas encore eu l’information ou le temps de la publier.

Vous pourriez me rétorquer à juste titre que cette information est peut-être fausse, ce qui serait « logique pour un journal comme France-Soir ».

Il est vrai que c’est une possibilité à ne pas négliger, mais le silence des médias serait encore plus étrange.

Car le fait que les « vérificateurs de l’information » ne se soient pas emparés de l’éventuel mensonge de France-Soir est pour le moins inhabituel.

Je pourrais vous citer la publication de BFM, pardon de l’AFP, du 7 septembre qui titrait ;

« Désinformation : le site complotiste France-soir débouté face à Google. »

Nous voyons en quels termes l’AFP cite France-Soir, lui déniant même le titre de média d’information.

Il est donc étrange que cette même AFP ne profite pas de ce « nouveau mensonge » de France-Soir pour rappeler au public de la presse mainstream à quel point il faut se détourner de ce média complotiste.

Ne disposant pas de la possibilité d’avoir une certitude, je ne peux que rester dans l’interrogation en soulignant que les faits plaideraient plutôt pour France-soir.

Réhabilitation du professeur Perronne

Pour celles et ceux qui l’ignoreraient, le professeur Perronne avait été convoqué par le Conseil de l’Ordre il y a quelques semaines pour ses prises de position médiatiques et ses écrits sur la crise du Covid. Selon l’association Bonsens4, il n’aurait pas été sanctionné par l’ordre et même réhabilité. Bref une victoire totale !

Ici encore je vais rechercher cette information sur Google5 en tapant les mots « réhabilitation du professeur perronne ».

Seul un site (complotiste) reprend l’information.

Un point encore plus intéressant c’est que l’article de bonsens6 n’apparaît pas en premier dans les résultats de recherche alors que de nombreux articles contre le professeur sont listés. Si en revanche je fais la même recherche sur le moteur DuckDuckgo7, la page de Bonsens apparaît immédiatement.

Nous avons déjà la preuve que Google censure (défavorise) Bonsens, mais là n’est pas l’objet principal de mon propos.

Cette absence de visibilité de la victoire du professeur Perronne dans les médias mainstream ne saurait être imputée à Google qui publie les actualités en temps réel. Le fait que l’information remonte à plus de 24 heures prouve la volonté de non-diffusion de cette information dans la presse mainstream.

Il est bien entendu que sur la pression des réseaux sociaux, ils seront contraints tôt ou tard d’en parler ou de « vérifier l’information ».

Pour autant vous pourriez me rétorquer que le sujet « Perronne » n’intéresse peut-être pas les médias.

Qu’à cela ne tienne…

Si je retourne sur Google8 et que je tape « perronne conseil de l’ordre » alors je ne manque pas de résultats dans la presse mainstream qui a largement relayé l’information de sa convocation devant le Conseil.

Citons par exemple l’Express9 qui publiait un article le 13 septembre en titrant :

« Antivax, idole de l’extrême droite : Christian Perronne, la chute d’un professeur jadis respecté. »

Vous touchez du doigt l’absence de neutralité bienveillante du journal à son encontre.

L’Express étant visiblement fortement impliqué dans le désir d’assister à la chute de Perronne, je me dis qu’il est évident qu’ils doivent en parler sur leur site et que c’est peut-être finalement Google qui aurait un retard à l’allumage dans l’indexation de l’information.

Le journal ayant décidé « d’informer » le lecteur sur la convocation de Perronne devant le Conseil de l’Ordre, il est déontologiquement logique qu’il l’informe des conclusions de la plainte.

Me voici rendu sur leur site dans la rubrique « santé » étant donné que l’article sur sa convocation était publié dans cette même rubrique. Rien sur cette décision du Conseil, en revanche la ligne éditoriale est toujours constante. Les « complotistes », les « Antivax », des « bons vaccins », les « fakenews », etc.

Étant en échec, j’utilise donc la loupe sur le site et je tape « perronne ». Quelle ne fut pas ma surprise (je simule) de constater que le dernier article se rapportait à sa « chute » ! Bien entendu tous les articles publiés depuis 2020 citant son nom étant exclusivement à charge. Enfin, si d’aventure Bonsens avait menti, la presse s’en ferait aussi l’écho…

Que conclure ?

Ces deux exemples, et il y en a des dizaines pour ne pas dire des centaines, prouvent que l’objet des médias mainstream n’est pas d’informer, mais de cacher des vérités qui dérangent et modeler l’esprit du public, bref de les manipuler.

Soit ils taisent quand ils le peuvent (pour Perronne ils vont être contraints d’en parler en essayant de continuer à le descendre) et quand ils ne peuvent pas ils font des articles mensongers ou à charge.

Le plus dingue est que j’apporte ici une preuve (de plus) d’un dysfonctionnement majeur des médias mainstream. La preuve qu’ils ne rapportent pas les vérités factuelles (rappelez-vous de la couverture médiatique pour les manifestations anti-passe) devrait être de nature à ouvrir les yeux.

S’ils mentent sciemment sur tel sujet c’est qu’ils mentent aussi ou peut-être (je suis gentil aujourd’hui) pour tous les autres.

Il n’est donc pas nécessaire de développer des centaines d’exemples pour introduire le doute.

Continuer à les suivre sans chercher à trouver des sources d’information alternatives, constitue une preuve d’une volonté de demeurer dans une matrice.

Matrice qui est une illusion éphémère, car les vérités finissent par sortir.

Merci

Alain Tortosa10

23 octobre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221023-flagrant-delit-mensonge-medias.pdf





Petite leçon de « démocratie 2.0 » à l’usage de la Corée du Nord ou de la Chine

Par Alain Tortosa

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Dictateurs, dictateuses voyez plus loin, évoluez dans votre gouvernance !

Nous apprenons qu’une délégation gouvernementale s’est rendue dans ces beaux pays afin de leur enseigner « l’art de vivre à la française2 ».

La « démocratie french touch ».
(Comme ils disent là bas3.)

Nous sommes trop nombreux à avoir une vision étriquée et idéaliste de la dictature remontant à des centaines d’années.

Interrogez un quidam et il vous répondra que :

« Dans une dictature les opposants politiques sont emprisonnés, torturés
et exécutés au petit matin dans la brume. »

L’on reconnaît une dictature lorsque les peuples vivent dans la terreur de voir débarquer la police politique à 5 heures du matin pour les embarquer et ne plus jamais les revoir.

L’objet de cette visite amicale de la délégation française est de leur montrer ô combien la France est une démocratie innovante, un exemple à suivre.

Nous avons une vision romantique de la dictature :

« La vie en dictature est tellement infernale que même les couleurs disparaissent ! »

Des nuages noirs, de la brume, de la grisaille, de la pluie, des vêtements sombres… tout est noir en dictature.

La conscience du fait

Si vous regardez la Chine, vous verrez que les gens s’aiment, rient, se marient, font des enfants, ont des projets d’avenir, vont au restaurant, en discothèque, prennent des vacances, voyagent, ont accès aux biens de consommation… Bref tout ce que peut faire un Occidental ou un Français. Il est probable que la quasi-intégralité des Chinois ne pensent pas vivre en dictature4 !

Avouez que cela semble totalement délirant pour nous les « démocrates viscéralement chevillés à la liberté ». Sans doute ne savent-ils pas ce qu’est la vraie démocratie et c’est une raison pour laquelle nous ne nous retrouverons jamais en dictature sans le savoir. Une justification de plus à la visite de la délégation française.

La réalité visible

Pour la Corée du Nord, c’est un peu plus complexe, on ne voit pas la même évolution que pour la dictature chinoise. Elle demeure totalement conservatrice et attachée aux traditions.

Revenons donc à la Chine5 qui, selon certaines organisations, exécuterait plus de 8000 prisonniers par an ! Il y aurait aussi des milliers de prisonniers politiques, chiffre difficile à contrôler par essence et certains seraient internés en hôpital psychiatrique, comme au bon vieux temps.

Nostalgie quand tu nous tiens !

Nous voyons bien là une difficulté pour la Chine de tourner le dos à des pratiques millénaires qui demeurent séduisantes.

Mais c’est quoi cette vision passéiste ? Un peu de modernisme que diable !

Une erreur marketing

Nous avons la critique facile en France et pourtant on voit bien que ces dictatures auraient bien besoin de cabinets de conseil. Ce n’est pas de l’argent jeté par la fenêtre si cela permet d’améliorer l’emprise, pardon, « l’épanouissement » du peuple par le gouvernement.

Si voulez un succès commercial, il faut à la fois que votre produit soit bien ficelé, mais aussi une bonne campagne publicitaire.

De nombreuses dictatures gagneraient à s’inspirer du travail de la France en faveur des droits de l’homme. Rome ne s’est pas faite en un jour, mais le fait est que :

« Nous disposons aujourd’hui d’un outil démocratique
qui pourrait faire des jaloux parmi les tyrans. »

Marquer les esprits !

C’est sans doute la grande erreur marketing des Chinois. Ils ont remplacé la dictature impériale par la dictature de Mao !

Je critique, mais en France on s’est aussi un petit peu emporté au moment de la Révolution.

Nous avons décapité le roi, ce qui était formidable pour symboliser la fin de la dictature monarchique.

Après il y a eu quelques flottements, un petit excès de zèle pour couper des têtes, un petit dictateur nommé Napoléon qui a un peu oublié que nous avions supprimé le roi pour permettre la démocratie.

Ensuite il nous a fallu plusieurs « républiques » pour s’approcher de la quasi-perfection grâce à la 5e République.

Le bicamérisme

Oh qu’il est beau le mot !

Ce principe consiste à avoir deux chambres dans les démocraties. En France nous avons la chambre basse (députés élus au suffrage universel direct) qui permet aux représentants du peuple de voter les lois et une chambre haute (sénateurs élus par leurs copains) qui est là pour contrôler que la chambre basse ne s’excite pas trop et respecte la Constitution.

On voit tout de suite que les élus du peuple ne peuvent pas faire n’importe quoi !

Le côté sympa est qu’en gros le Sénat ne décide de rien, il peut raconter ce qu’il veut, mais au final c’est la chambre basse, les députés, qui décident.

Reconnaissez que d’un point de vue « démocratique », ça en jette !

« Nous on est là pour le peuple souverain ! »

La Cinquième République

Il nous a fallu presque deux siècles et demi pour parvenir à cette quasi « perfection démocratique ».

C’est au libérateur de la France, au gardien de la démocratie et des libertés, au patriote, le général de Gaulle, que nous devons cette Constitution.

C’est grâce à lui que les Français peuvent élire leur Président au suffrage universel direct, garant de la démocratie.

5e qui donne en gros les pleins pouvoirs au Président de la République durant toute la durée de son mandat. Mais comme il est « démocratiquement élu » au suffrage universel, il ne pourrait être dictateur que pendant 5 ans !

J’explique ceci pour nos amis étrangers et chinois qui feraient bien de s’inspirer de notre modèle de lumières.
(J’ai peut-être quelques lacunes ou imprécisions, mais dans le fond mon discours est plutôt conforme à la réalité.)

Prenez des notes, c’est important !

Pas plus de deux mandats consécutifs

Depuis 2008 le Président est limité en termes de mandats consécutifs, une manière de renforcer encore plus notre démocratie et éviter qu’un Président le reste ad vitam aeternam.

Sans changer la constitution, il a donc la possibilité de faire une pause de 5 ans après 10 ans de règne puis de revenir au pouvoir.

C’est cette hypothèse qui est soulignée par le journal mainstream La Tribune6 il y a quelques jours.

« Et si Emmanuel Macron préparait en secret une “Poutine-Medvedev”, un scénario de retour au pouvoir après une pause de cinq ans. Évoquer un troisième mandat de l’actuel président de la République, réélu cette année, est sans doute audacieux. Mais dans un monde aussi imprévisible, plusieurs indices y compris sur le site internet de l’Élysée montrent que l’hypothèse n’est pas si farfelue, tout comme le vrai-faux bluff de la menace de dissolution. La faire circuler permet à l’intéressé de tenter de conserver le contrôle face aux ambitions naissantes. Reste à savoir quel loyal serviteur acceptera de faire l’intérim de 2027 à 2032. »

Vous remarquerez que le journaliste n’a pas écrit « accepterait », mais « acceptera ».

Le dernier Président à avoir fait cela était l’odieux dictateur Poutine7 qui avait placé Medvedev le temps qu’il puisse à nouveau briguer le poste. Remercions Dieu une fois de plus de nous faire vivre en démocratie !

Président de la République

N’importe quel Français de plus de 18 ans peut briguer le poste de Président de la République et ce sans examen psychiatrique !

Pour se présenter, il doit obtenir la signature de 500 grands électeurs8 (maires, députés, sénateurs, etc., soit environ 42 000 élus.)

  • Cela permet d’éliminer officiellement les « rigolos », mais aussi empêcher qu’il y ait 200 000 candidats à la présidence.
  • Un candidat qui voudrait changer le système ne pourra donc pas se présenter. (Aux dernières élections, le seul candidat un peu sérieux qui voulait quitter l’Europe et qui pouvait faire tache dans cette belle communion n’a pas pu obtenir ses 500 signatures.)
  • Depuis quelques années le parrainage est public. Il est donc possible de savoir qui a parrainé qui, et donc exercer des pressions pour contrôler son vote.
  • Dans les faits si vous n’avez pas le soutien d’un parti politique implanté vous ne pourrez pas avoir vos signatures.

Une fois candidat, il vous faut :

  • De l’argent. Pour les deux tours, le candidat n’a pas le droit de dépenser plus de 22 millions d’euros.
    • Un soutien des partis politiques et des milieux d’affaires et d’influence.

    Un candidat populaire, sans ressources, sans soutien d’un parti politique ou des milieux d’affaires ne pourra JAMAIS avoir ses 500 signatures et s’il les avait ne pourrait JAMAIS faire campagne et être élu Président.

    Vous commencez à toucher du doigt ce que l’on appelle la « démocratie à la française ».

    Mais ce n’est pas tout !

    Les élections à deux tours :

    C’est une des mesures géniales de notre constitution. Comment donner les pleins pouvoirs à un candidat élu qui aurait moins de la majorité des votants ?

    Par un tour de passe-passe, il a été décidé que les deux candidats qui ont obtenu le plus de voix au premier tour des présidentielles ont le droit de se présenter au 2e. Et celui qui obtient la majorité des voix au 2e devient Président.

    Pour faire passer l’arnaque, il est d’usage de dire que « les Français choisissent au premier tour » puis « éliminent au 2e ».

    On aurait pu faire un 3e tour avec un candidat unique et ainsi le Président aurait été élu avec 100 % des voix, mais peut-être que quelques journalistes fins limiers auraient pu flairer l’arnaque.

    Notons au passage qu’il y a une escroquerie dès le premier tour. Comme il est connu que ce n’est pas forcément le candidat qui a le plus de voix au premier tour qui sera nommé Président, le plus important est de passer l’obstacle du premier tour pour être qualifié pour le second. De fait des partis s’entendent dès le premier tour pour s’unir et présenter une force suffisante pour aller au second. (C’est ce qu’a tenté la Nupes pour la dernière élection, regroupant des forces hétéroclites ne dépassant pas les 10 %.) Cela devrait être interdit et d’autant plus qu’une fois élus (députés), ils se sont re-séparés pour créer chacun leur groupe10.

    Deuxième escroquerie :
    Les perdants du premier tour se désistent et appellent à voter pour un candidat du 2e tour, souvent moyennant la promesse d’un poste de Ministre ou autre. Certains se présentant au premier tour dans l’unique but de mettre ses voix aux enchères.

    Troisième escroquerie :
    Les bulletins blancs ou nuls ne sont pas comptabilisés et seuls les « exprimés » le sont.

    Sans cela et malgré l’élection à deux tours, le Président élu risquerait d’avoir moins de 50 % des votants.

    Dernière escroquerie :
    Les médias subventionnés n’ont strictement aucune neutralité et prennent parti.

    Tout ceci fait que le Président de la République est obligatoirement issu du monde politique de l’entre-soi. Au final moins de 20 % des Français en âge de voter auront réellement voté pour lui11 (moins de 15 % des Français).

    Nous voyons qu’il n’est pas vraiment nécessaire de mettre en place une fraude électorale pour sélectionner le « bon » Président.

    Les députés représentants de la chambre basse

    Vous pourriez me dire que les députés votent les lois et comme ils sont élus au suffrage universel nous sommes donc bien en démocratie et le Président ne serait que le gardien de la constitution.

    Le seul problème est que le cirque est le même. Pour être député, il faut avoir une puissance financière, le soutien d’un parti et quand bien même vous auriez la majorité des voix au premier tour, vous seriez balayé au 2e par le jeu des alliances et des reports de voix. Et comme c’est une élection à deux tours à la majorité, celui qui gagne le 2e tour rafle la mise. C’est ainsi que le Front National, premier parti de France (et autorisé) n’avait quasi aucun député à l’assemblée.

    La chambre des députés est un entre-soi et certainement pas un reflet de l’opinion politique des Français.

    Mais ce n’est pas tout. Bien que le système soit verrouillé, il était possible que le Président élu (exemple « de droite ») se retrouve avec une majorité de députés opposés (ex « de gauche ») et que son pouvoir soit entamé. Qu’à cela ne tienne…
    Il a donc été décidé que l’élection du Président et celle des députés se fassent quasi conjointement.

    Le peuple a beau être manipulable et versatile, il est peu probable qu’il vote à l’opposé 15 jours après avoir « choisi » son Président.

    Nous avons donc mis en œuvre un maximum de sécurités afin de réduire au silence la chambre des députés en permettant au Président élu d’avoir une majorité de députés de son bord.

    Bien entendu les lois ne sont pas votées à la majorité des deux tiers pour asseoir leur légitimité, mais à la majorité des suffrages exprimés. Une loi peut donc passer avec moins de 50 % de députés qui l’ont approuvée.

    Attendez, ne riez pas les niakoués, il y a encore mieux !

    Je vous sens à la fois crédules, admiratifs et jaloux.

    Si d’aventure le Président pressent qu’il n’aura pas la majorité pour une loi, il peut brandir l’article 49.3. Celui-ci est désormais un peu encadré, mais c’est pas loin de l’open-bar. Ce 49.3 est une façon de court-circuiter tout simplement le parlement.

    Le Chef de l’État décide seul de faire passer des lois sans le moindre contre pouvoir ou opposition.
    (L’opposition quant à elle n’a strictement aucune chance de faire passer une loi qui ne serait pas approuvée par le Président.)

    Ça c’est du parlement, du contre-pouvoir, la voix du peuple !

    Je précise que lors d’un 49.3 les députés peuvent déposer une « motion de censure » qui si elle obtient la majorité peut faire sauter le gouvernement et entraîner de nouvelles élections législatives.

    Mais je vous rappelle que « la soupe est bonne. Qui me dit que je serai réélu si on provoque des élections ? je vais m’abstenir, on ne sait jamais ».

    Notre démocratie permet donc de donner légalement les pleins pouvoirs à un Président de la République (élu avec une minorité des voix et forcément issu de l’entre-soi) avec un parlement purement décoratif. Il faudrait vraiment être un imbécile pour regretter la monarchie.

    Les médias et les sondages

    Que serait une démocratie sans une presse « libre » ?

    En France 100 % des médias mainstream sont détenus par quelques milliardaires qui ont financé l’élection du Président. Ces médias ne survivent que par les milliards de subventions, mais aussi de publicité financée par l’État. Il a donné 2 milliards d’euros à la presse12 en 2020 ! L’État est donc à la fois mécène, mais aussi un client important pour le chiffre d’affaires des journaux. Et ce sans parler du pouvoir de corruption, de copinage et de « service rendu ».

    Ajoutons à cela que l’information provient exclusivement de l’Agence France Presse, officiellement « indépendante ».

    « Le chiffre d’affaires de l’AFP est de 270 millions d’euros par an ; l’État apporte par voie d’abonnements 110 millions d’euros. C’est à la fois beaucoup, mais pas non plus autant que ce que l’État apporte aux télévisions et radios publiques, qui ne manquent pourtant pas d’affirmer leur indépendance rédactionnelle. Aucune agence de presse dans le monde n’en reçoit toutefois autant13 ! »

    Quant à l’actuel président de l’AFP :

    « Le 12 avril 2018 Fabrice Fries a été élu PDG de l’AFP par son conseil d’administration au terme du troisième tour de scrutin et bien qu’étant le seul candidat en lice suite au retrait, dès avant le premier tour, de l’autre candidat, à savoir le PDG sortant Emmanuel Hoog. Selon une lettre ouverte adressée à la ministre de la Culture, ce dernier a reçu, “le jour même de la réunion du Conseil d’Administration ayant pour objet l’élection du Président de l’Agence, […] un appel de [la] directrice de cabinet [de la ministre de la Culture] pour lui signifier que l’État lui retirait son soutien14.” »

    C’est on ne peut plus clair. Le PDG de l’AFP est choisi par la Présidence.

    Cerise sur le gâteau, j’apprends que celui-ci aurait été mis en examen pour diffamation suite à ses publications à charge contre le documentaire Hold-up15. Cette information datant de 24 heures, je n’ai pu la recouper. Si cela s’avérait exact c’est d’autant plus intéressant qu’elle n’a été reprise par AUCUN média mainstream !

    Notons que la présidente de Radio-France, Sibyle Veil, est camarade de promo de Macron à l’ENA16.

    Les instituts de sondage appartiennent aussi aux milliardaires copains. Instituts dont un des clients est l’État. Ce qui a fait dire au magazine Capital :

    « Le deal juteux entre Matignon et les principaux instituts de sondages17 »

    Entre la crise du Covid, le « réchauffement climatique », la guerre en Ukraine, il ne faut pas être un devin pour déduire que les médias font l’histoire.

    Pour la dernière élection présidentielle, ils n’ont fait que détruire Éric Zemmour et valorisé Marine Le Pen qui était alors présidentiable et sympathique pour mieux la détruire au 2e tour et permettre à Emmanuel Macron d’être élu. Celle-ci devenant un danger pour la France et même pour l’humanité, car détenant le bouton de l’arme nucléaire18.

    Les médias ne sont que doxa et censure19 à la botte du gouvernement et des maîtres du monde comme je l’ai développé dans un de mes derniers textes. C’est dans ce paysage que s’exprime la démocratie à la française.

    Ce que permet la démocratie française

    Messieurs les Chinois et Coréens, vous n’avez rien compris à la dictature (surtout les Coréens).

    Voici une liste non exhaustive de ce que permet la démocratie en France en toute légalité et sans entamer les Droits de l’Homme, bien au contraire…

    • Elle permet de choisir un candidat compatible avec l’ultralibéralisme et le Nouvel Ordre Mondial.
    • Elle permet de créer un Conseil de défense opaque pour court-circuiter le parlement (qui est déjà fantoche).
    • Elle permet de créer des lois d’urgence, des lois d’exception en temps de paix.
    • Elle permet d’assigner à résidence l’ensemble des Français sans procès ni condamnation.
    • Elle permet de masquer son peuple en bonne santé y compris des enfants.
    • Elle permet que le peuple réclame des chaînes au nom de la liberté et de la sécurité.
    • Elle permet de faire taire les oppositions sans avoir besoin de les interner (à part le professeur Fourtillan20).
    • Elle permet de mettre en place un Crédit social avec le passe vaccinal et de créer un apartheid de fait.
    • Elle permet de priver de salaire, de travail et de dignité tous les soignants « libres » qui ont désobéi.
    • Elle permet d’interdire aux médecins de prescrire en conscience et en responsabilité.
    • Elle permet d’interdire la prise de parole de médecins, d’enseignants, de chercheurs ou d’avocats en les condamnant devant leur Conseil de l’ordre.
    • Elle permet que des entreprises privées comme Facebook, Twitter ou YouTube censurent la parole y compris d’élus.
    • Elle permet de faire des campagnes de dénigrement, de mettre au ban de la société, de ridiculiser tous les opposants, les « complotistes » qui vont à l’encontre du discours national.
    • Elle permet de réduire les oppositions au silence médiatique et ose ensuite parler de « consensus ».
    • Elle permet de dénigrer et couper les comptes bancaires de journalistes qui reviennent du Donbass.
    • Elle permet de geler et confisquer les avoirs de personnes liées au régime russe sans procès ni condamnation21.
    • Elle permet de priver de financement les médias de liberté d’expression ou d’opposition comme France-soir.
    • Elle permet de fermer des médias d’opposition (opposition réelle) comme RT (Russia Today).
    • Elle permet de marginaliser et détruire la carrière politique d’élus non corrompus (cf. Martine Wonner).
    • Elle permet d’empêcher des opposants à se présenter aux élections présidentielles. (M. Asselineau a été privé de la dernière élection alors qu’il avait obtenu plus de 300 000 voix en 2017 malgré l’opposition active des médias officiels.)
    • Elle permet la corruption de scientifiques, d’élus, de médecins, d’enseignants, de médias.
    • Elle permet à ces derniers d’avoir une parole publique sans avoir à exposer leurs conflits d’intérêts.
    • Elle permet de condamner lourdement France-soir qui réclamait l’équité de référencement sur Google.
    • Elle permet d’héberger les données privées des Français sur des serveurs étrangers.
    • Elle permet à des ministres soupçonnés de viol ou d’escroquerie de garder leur poste.
    • Elle permet les chaises musicales, des responsables politiques placés à la tête d’entreprises privées comme l’industrie pharmaceutique ou des banques d’affaires et inversement.
    • Elle permet et va permettre une surveillance de masse accrue avec la suppression des paiements en espèce, etc.
    • Elle permet l’usage de la force contre des manifestants pacifiques :
      • Elle permet de faire des guerres (sans les nommer) ou donner des milliards à un belligérant sans consulter ses habitants, ni même le parlement.
      • Elle permet de faire exploser les bénéfices d’entreprises tentaculaires en provoquant une spéculation grâce aux « sanctions » prises contre les Russes.
      • Elle permet de confirmer la légalité constitutionnelle de toutes les mesures citées.
      • Elle va permettre de mettre en place le passe-carbone.
      • Et j’en passe…

      Et tout cela au nom de la « démocratie et des Droits de l’Homme » pour « le camp du bien ».

      Pourriez-vous me dire en toute sincérité ce que permet une dictature qui ne serait permis en France par la démocratie, hormis interner et tuer les opposants politiques ?

      Appel aux vieilles dictatures de notre planète !

      Pourquoi mettre en œuvre une dictature qui internerait des opposants ou les tuerait ?

      Pourquoi montrer une violence policière alors que l’on peut détruire médiatiquement ?

      En les tuant, vous en faites des héros et des martyrs et vous nourrissez leurs idées !

      En les dénigrant, en les ridiculisant, en les mettant au ban de la société, vous en faites des merdes !

      Du pain, du vin et des jeux

      Formatez la jeunesse dès le plus jeune âge. Abrutissez les masses avec des émissions débiles et de la bonne télé-réalité. Prônez des divertissements avec des artistes de talent qui jouent du piano avec leur bite23 ! Tuez leur Dieu. Détruisez la famille. Donnez-leur suffisamment de moyens financiers pour s’endetter à vie. Donnez leur soif de consommation à l’infinie. Rendez leur emploi précaire. Et surtout, faites-leur peur avec des virus imaginaires, des guerres ou la destruction de la planète due à l’homme.

      Non seulement vous n’aurez pas besoin de camps de rééducation, mais…

      Vous obtiendrez une armée d’esclaves zombis prêts à mourir pour défendre leur statut !

      Rejoignez-nous, mes frères oppresseurs !

      Tyrans du monde entier, sortez de l’âge de pierre, sortez de l’obscurantisme, rejoignez le camp du « bien » !

      Devenez des démocraties exactement comme la France !
      Vous pourrez réduire à l’état d’esclave l’ensemble de votre peuple sans tirer un seul coup de feu et surtout sans risquer de retrouver votre tête au bout d’un pic !

      Vous aussi pouvez être une patrie des « Droits de l’Homme ».

      Pour cela, c’est très simple, il suffit de l’affirmer toute la journée et de désigner ses ennemis, toutes ces pourritures comme Poutine qui les bafoue jour après jour.

      Reconnaissez le rôle de la France et son apport à la civilisation !

      Une « démocratie » comme la France peut faire exactement
      comme les dictatures, mais sans heurs et sans violence.

      Voici le message d’espoir que je voulais vous transmettre.

      Rejoignez la dictature démocratie 2,0 !

      Amen.

      Alain Tortosa24

      22 octobre 2022
      https://7milliards.fr/tortosa20221022-democratie-france-vs-dictature.pdf




      Le pot aux roses de la Covid est-il découvert ?

      [Source : profession-gendarme.com]

      [Note de Joseph : il y avait déjà de fortes présomptions que la Covid avait un lien avec la 5G, en raison notamment de la similarité des symptômes avec certains de ceux produits par les ondes électromagnétiques pulsées, mais la vidéo présentée ici va plus loin dans le « complotisme » et dans l’horreur. Heureusement, elle présente aussi deux solutions qui peuvent offrir de bons résultats (lorsqu’adéquatement mises en œuvre).
      Voir aussi les dossiers 5G et ondes pulsées et Vaccins et virus]

      (Par Profession Gendarme)

      Bonjour à tous,

      Il y avait longtemps que je n’avais pas troublé votre « quiétude », mais le visionnage de cette vidéo me pousse à vous donner cette information d’une importance capitale pour comprendre ce qu’est le Covid 19 et surtout ce qui se cache derrière.

      Après avoir visionné cette vidéo, je comprends mieux certaines réactions passées et surtout actuelles, de plus en plus nombreuses et étranges, comme ces individus qui regardent en l’air tournent sur eux-mêmes avant de s’écrouler et décéder.

      Oubliez tout ce qui a été avancé sur le « virus » Covid !!! Il s’agit en fin de compte d’une arme biotechnologique qui est composée de biologie et de nanotechnologie. Il est clairement expliqué que les traitements interdits et sanctionnés en cas de prescription tels que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine sont efficaces pour détruire la réplication de la partie biologique, car ce sont des traitements antiparasitaires. Quant à la partie nanotechnologique, les outils permettant son activation sont les antennes 5G et le système Starlink de notre « ami » Elon Musk. Même Robert Malone en prend pour son grade dans cette vidéo.

      La bonne nouvelle est que, si la partie biologique peut être détruite par un traitement antiparasitaire (voir ci-dessus), la partie IA (Intelligence artificielle) peut être annihilée par des fréquences. Il s’agit de technologie quantique.

      Nous sommes, comme le déclare cette scientifique, face à la transformation de l’humanité en humanoïde sous intelligence artificielle, donc à une volonté d’extinction de l’humanité. Transformation de l’humain, mais aussi, sur commande, décès programmé de la personne infectée via les ondes électromagnétiques.

      Il va être urgent que leur projet s’écroule et de détruire tout ce qui a trait à la 5 G et à Starlink dans un premier temps, et de rechercher toute autre cause d’interférence fréquentielle sur l’organisme humain et notamment le cerveau.

      https://odysee.com/@WeAreTheDisclosure/le_covid19_n%27est_pas_un_virus_c%27est_un_parasite_IA:1






      Quand Kamel Daoud, ami de Macron, battait son ex-femme

      [Source : algerie54.dz]

      Le 25 novembre 2017, « Journée des violences faites aux femmes », Emmanuel Macron emboîte le pas à la cause et affirme que « le premier pilier » de son quinquennat « est la lutte contre la violence faite aux femmes ». Le 27 août 2022, en visite officielle en Algérie, le même défenseur des causes au féminin — toujours président — répond à l’invitation privée d’un écrivain franco-algérien, Kamel Daoud. Ce dernier l’a convié à visiter Oran la ville où il a longtemps vécu. C’est une rencontre entre deux amis. Un document publié par « Le Point » démontre que, « Tout au long du quinquennat, l’écrivain a noué un dialogue privilégié avec le chef de l’État »(([1] https://www.lepoint.fr/politique/emmanuel-macron-une-enigme-francaise-25-04-2022-2473360_20.php)). Amitié si forte qu’en répondant à l’invitation de Daoud, Emmanuel Macron trahit un engagement, celui formulé en faveur des femmes, un « pilier » de sa politique. Kamel Daoud, son ami et son hôte, n’a-t-il pas été condamné par avoir frappé son ex-femme Nadjet ? Jugement rendu ici, à Oran. Le 21 octobre 2019, le site français « Oumma » a publié le fac-similé du texte de la honte.

      Par Jacques-Marie Bourget

      Dans ses mots secs loin de la littérature, la Cour d’Oran rappelle que le 5 février 2016, « S’est présentée la plaignante E. E. H. Nadjet devant les services de la Sûreté urbaine d’Oran pour déposer plainte contre DAOUD Kamel, et déclare qu’elle a subi des coups et blessures de sa part, étant donné qu’elle est divorcée de lui depuis 2016 et qu’elle a reçu un certificat d’incapacité de travail à cause des coups qu’elle a subis par un bâton en bois ». Le 18 juin 2018 en première instance, le mari violent a été condamné à une année de prison avec sursis et 20 000 dinars d’amende. Après deux appels Daoud voit disparaître sa peine de prison, mais « l’amende pécuniaire » est maintenue, « Les dépens étant à la charge de l’inculpé d’un montant de 1800 DA au profit de l’état et fixe au maximum la durée de la contrainte par corps ». Voici Macron confronté à un nouvel épisode de son célèbre « en même temps » : pleurer sur le sort d’une femme battue ne doit pas ternir l’amitié que l’on éprouve pour son mari.

      Afin de recueillir le témoignage de Daoud sur sa propre violence, je l’ai contacté via le « Point » sans succès. Je pioche donc des éléments de réponse dans un blog de Youssef Benzatat, un supporter de l’écrivain qui s’exprime dans « Médiapart » :

      « En fait, je n’étais pas surpris d’apprendre par un journal en ligne que Kamel Daoud a été condamné le 13 octobre par le tribunal d’Oran pour violences conjugales avec usage d’une arme prohibée sur son ex-épouse Nadjet. D’abord pour avoir été approché par Nadjet elle-même, où j’avais découvert son immense haine et sa cruelle volonté de vouloir se venger de son ex-mari. »(([2] https://blogs.mediapart.fr/y-benzatat/blog/221019/les-dessous-de-laffaire-de-la-condamnation-de-k-daoud-1))

      Ce blog contient tous les clichés, les excuses des frappeurs, des violeurs qui font qu’ils sont toujours innocents : cabale, femme vengeresse souffrant de trouble mental… Benzatat cite aussi le « complot » en oubliant de signaler une certaine mansuétude des juges pour Daoud. Puisqu’en Algérie les maris violents vont presque systématiquement en prison.

      Pour Emmanuel Macron, le crochet par Oran n’a aucun intérêt stratégique, économique, diplomatique, et vexe même le pouvoir algérien pour lequel Daoud n’est qu’un français du genre renégat. La balade à Oran c’est un thé à la menthe avalé dans un lieu historico-déglingué, « Le Disco Maghreb ». Mais la promenade est écourtée par la faute d’un public pas éduqué chez les jésuites et criant « Va te faire foutre », « La France mange notre pays », « On est chez nous ». Après, c’est le dîner de Kamel et de ses potes, au restaurant d’un ami millionnaire en son « Hôtel Liberté ».

      L’irrésistible ascension de Kamel Daoud naît sur ce que l’on appelle aujourd’hui une « fake news ». Au Nouvel An à Cologne, lors du passage de 2015 à 2016, des centaines de migrants — forcément musulmans — sont accusés par la presse allemande d’avoir « commis des dizaines de viols ». Une barbarie. La presse mondiale, c’est normal, monte le sujet à la « une ». En France les lambeaux de ce qui reste de la gauche sont accablés, hébétés, mais la droite et l’extrême foncent à viols ouverts. Et Kamel Daoud apparaît. Journaliste algérien et depuis peu écrivain, dans une tribune accueillie avec envie par Le Monde, il déverse son tombereau de fantasmes sur la culture « arabo-musulmane » :

      « … Le rapport à la femme est le nœud gordien, le second dans le monde d’Allah. La femme est niée, refusée, tuée, voilée, enfermée ou possédée…

      Une femme est femme pour tous, sauf pour elle-même. Son corps est un bien vacant pour tous et sa “malvie” à elle seule. Elle erre comme dans un bien d’autrui, un mal à elle seule… »(([3] https://www.lemonde.fr/idees/article/2016/01/31/cologne-lieu-de-fantasmes_4856694_3232.html))

      L’affaire est entendue. Pour Daoud des dizaines de migrants musulmans, donc frustrés par leur religion et leurs conditions de survie, ont violé des femmes à la gare de Cologne. En matière de perversité islamique, Daoud est expert puisqu’il a milité dans sa jeunesse dans les rangs barbus. Daoud nous parle de musulmans ignorant les valeurs de la vie, le bien et le mal… Voilà un discours parfait à entendre pour les oreilles de l’Occident. Trouver un bon Arabe pour cracher sur son propre monde n’est pas si facile. Daoud est immédiatement adulé, doté d’une page permanente au « Point », BHL est son modèle et guide idéologique, bientôt Macron sera son ami. Puiser de l’esprit néocolonial dans l’encre d’un colonisé, il n’y a pas mieux. Quoi de plus idéal pour tirer sur des « musulmans » que de laisser le flingue entre les mains d’un Arabe.

      – Couverture de la contre-enquête d’Ahmed Bensaada sur les prétendues « femmes violées par des migrants à Cologne » démenties par la justice allemande elle-même. Les néoconservateurs et néo-colons ont besoin de multiples Daoud pour réussir leurs « révolutions de couleur » et autres « printemps » mijotés à la Maison-Blanche.
      [Voir :
      https://www.legrandsoir.info/kamel-daoud-cologne-contre-enquete-les-bonnes-feuilles.html]

      Mais… mais… mais, sale temps pour Kamel : les « viols de Cologne » n’ont jamais existé. Daoud a glosé sur de la diffamation, du fake, du faux, du bidon. Et l’histoire des « femmes violées par des migrants à Cologne » doit rester dans l’histoire comme un des plus honteux bobards du siècle. Cette monstruosité médiatique — jamais démentie par ses colporteurs — est un coup monté par l’extrême droite allemande. En fait, cette nuit-là, seul un marocain s’est rendu coupable d’un vol de portable, et le journal « Bild Zeitung », qui n’est pas un exemple de vertu, va retirer de ses archives les articles sur ces fameux faux « viols ».

      C’est Ahmed Bensaada, un docteur en physique algérien qui, avec la pugnacité et la rigueur du scientifique, va le mieux démonter la mécanique Daoud. Une machine à plaire aux anciens colons, et arme de destruction massive chargée des obus d’une pensée unique ciselée à Washington. Dès 2016, le scientifique doté d’une plume exemplaire publie un fracassant « Kamel Daoud : Cologne contre–enquête » (Éditions Franz Fanon, Alger, 2016). Il démontre que le néo-penseur profère injures et anathèmes sur le vent d’une fake news. Étaie que le phénomène Daoud est un avatar du temps, celui de la propagande à vocation internationale construite sur le mensonge. Les néoconservateurs et néo-colons ont besoin de multiples Daoud pour réussir leurs « révolutions de couleur » et autres « printemps » mijotés à la Maison-Blanche. Donc, pour imprégner le monde civilisé de l’idée que, décidément, tous ces musulmans, tous ces Arabes, sont des arriérés mentalement malades. Si névrosés qu’il faille les aider en les prenant en main. Avec, s’il le faut, pour traiter les plus récalcitrants, des coups d’État, des bombes et des missiles afin qu’ils adoptent le modèle d’une démocratie où le Coca-Cola est coulé dans les veines et livrent, à vil prix, leurs richesses aux civilisateurs. Ahmed Bensaada, en mettant le système Daoud à nu, ne peut être taxé de prendre la défense d’on ne sait quels fous d’Allah ou du djihad puisque son propre frère a été assassiné par ces barbares.

      Copie du jugement condamnant Kamel Daoud pour délit de violence conjugale prononcé par la justice algérienne le 18 juin 2018 à Oran.

      Après le fiasco de Cologne, Daoud aurait dû être condamné au silence, se condamner au silence. Et, honteux, s’en aller rechercher un travail de pigiste à Tamanrasset. Pas du tout, ayant fait preuve de son adresse à dresser l’opinion contre le « musulman » -et sa culture- Kamel reste un étalon de qualité dans l’écurie de la bien-pensance. Sa carrière est si rapide qu’en 2019 -peu importe sa condamnation- il obtient la citoyenneté française, celle des anciens colons et il la mérite bien. Maintenant, chez lui à l’Élysée comme au MLF, Kamel est un modèle qui peut écrire avec autorité des articles dénonçant le sort des femmes maltraitées, par le voile ou le bâton.

      Jacques-Marie Bourget

      Note. Notre question adressée au Service de presse de la République est restée sans réponse (même de courtoisie). Il en va de même pour Kamel Daoud lui aussi enfermé dans le monde du silence.

      Notes




      Trump contre l’État profond : le raid contre le domicile de Trump sera-t-il le Watergate de Biden ?

      [Source : strategika.fr]

      Alors que les élections de mi-mandat aux États-Unis se rapprochent, ce dossier exclusif fait le point sur l’actualité brulante du conflit qui oppose Trump aux forces déchaînées de l’establishment globaliste aux USA. À lire pour connaître et comprendre les enjeux et les coulisses de cet affrontement crucial, non seulement pour les États-Unis, mais pour l’ensemble de l’ordre mondial contemporain.

      Par Michèle Marie

      Pour spectaculaire qu’ait été le raid du 8 août dernier contre la propriété de Mar-a-Lago de Donald Trump, il ne s’agissait pas d’un fait isolé, mais d’un nouveau maillon dans la longue chaîne des scandales fabriqués par les Démocrates depuis plus de six ans pour effacer de la vie politique jusqu’au souvenir du 45e Président des États-Unis.

      Au cours d’une descente sans précédent sur sa propriété, fouillée dans ses moindres recoins, une trentaine d’agents du FBI avaient retourné jusqu’aux tiroirs de lingerie de l’ancienne Première Dame, avant de repartir neuf heures plus tard en emportant deux douzaines de cartons de matériel.

      Une fois la première émotion dissipée, se pose la question de savoir si ce raid conduira véritablement à une inculpation de l’ancien président, ou s’il marquera plutôt le début de la fin pour l’actuel résident de la Maison-Blanche.

      C’est ce que nous allons essayer d’explorer dans les pages qui suivent.

      Un raid d’une brutalité inouïe

      Un jour après la descente de plus de 30 agents du FBI sur la propriété de Mar-a-Lago de Donald Trump, alors que la nation était encore en état de choc, l’ancien commissaire de police de la ville de New York, Bernard Kerik, s’était ouvert au média « Newsmax » de sa peur que le régime de Biden aille jusqu’à l’assassinat politique pour empêcher une candidature éventuelle de Trump à la présidentielle de 2024 :

      « J’entends les gens parler, on dit que les Démocrates veulent tellement sa peau qu’ils pourraient en arriver à l’assassinat. Écoutez, ils ont essayé de le destituer, pas une fois, mais deux fois. Ils ont ouvert contre lui une enquête, et puis une autre. Tout ça tourne autour d’une seule chose : l’empêcher de se présenter en 2024. Je ne suis pas un adepte des théories du complot ni de la rhétorique antigouvernementale. Mais pour la première fois de ma vie, je peux dire que je tremble pour quelqu’un, et je tremble pour Donald Trump. Je n’exclurais pas que ces gens-là l’assassinent. »

      Kerik avait également exprimé son inquiétude sur les médias sociaux, rejoignant de nombreux autres Américains qui déploraient que les États-Unis se soient transformés en dictature tiers-mondiste.

      L’ancien directeur national du renseignement par intérim, Richard Grenell, dénonça lui aussi le raid dans un tweet :

      “Les dictateurs du tiers monde poursuivent leurs ennemis politiques, et Joe Biden se sert [lui aussi] du gouvernement américain comme d’une arme pour atteindre ses objectifs politiques. C’est scandaleux. Et cela crée un terrible précédent”.

      Le porte-parole de Trump, Taylor Budowich, déclara que le “raid contre le domicile du Président Trump était un acte sans précédent et que rien ne justifiait”, même si l’on avait “fait circuler des insinuations mensongères pour faire avaler cette mobilisation du gouvernement contre le principal opposant politique.”

      Selon certaines rumeurs, par exemple, « des documents classifiés relatifs à des armes nucléaires » auraient été gardés à Mar-a-Lago. « Ce sont des rumeurs bidon », s’était moqué l’ancien président dans une entrevue accordée au Washington Post, « tout comme Russia, Russia, Russia ! avait été du pipeau, et l’enquête de Mueller et tout le reste. Et ce sont les mêmes personnages de bas étage que l’on retrouve ici », avait-il ajouté.

      Trump annonça aussi sur sa plateforme de “Truth Social” que les documents emportés “avaient tous été déclassifiés”, qu’il n’y avait “aucun besoin de les saisir”, et qu’en tout cas le FBI “aurait pu les obtenir à tout moment sans politiser l’affaire et sans cette descente sur Mar-a-Lago”.

      Obama avait adopté en 2009 un décret exécutif donnant aux présidents américains le droit de déclassifier tout document confidentiel ou secret comme bon leur semblait, sans en référer à qui que ce soit. Le média mainstream « ABC News » avait lui-même reconnu ce droit au président Trump dans un article de 2017 intitulé : « Trump has legal authority to declassify intelligence ».

      Le reproche fait à l’ancien président d’avoir eu en sa possession certains documents classifiés était donc dénué de toute pertinence juridique puisqu’il avait le droit de déclassifier sans formalité particulière tous les documents classés secrets qu’il voulait, puis de les emporter chez lui pour y travailler hors du bureau. Trump s’interrogea dans le même message sur le sort que le FBI comptait réserver au 33 millions de pages de documents majoritairement classés secrets, qu’Obama avait emportés à son domicile de Chicago.

      Politisation de la Justice et des instances gouvernementales

      Certains leaders républicains avaient critiqué la « politisation » du ministère de la Justice et du FBI, et leur « instrumentalisation pour nuire à un opposant ». D’autres déploraient que les États-Unis soient devenus une « république bananière ».

      Comme l’expliqua Jonathan Turley, éminent juriste et professeur à la “George Washington University Law School”:

      « L’ancien président avait déjà reçu une première injonction et s’y était conformé, puis il a de son plein gré donné au FBI l’accès à un espace de stockage en acceptant d’ajouter un verrou spécial pour le protéger. On ne voit pas bien pourquoi une seconde injonction n’aurait pas suffi pour obtenir d’autres documents tombant sous le coup du Presidential Records Act » [NDT: relatif à l’archivage].

      Il y aura très certainement des questionnements sur la pertinence du recours à des méthodes aussi sensationnalistes que ce raid pour obtenir du matériel classifié, surtout à l’approche des élections de mi-mandat. L’administration Biden a organisé maintes fois et sans aucune nécessité apparente des raids musclés du FBI, ainsi que des perquisitions ou arrestations contre Rudy Giuliani, Roger Stone, Peter Navarro et autres associés de Trump.

      «  Toutes ces opérations ont été télévisées, alors que le matériel recherché aurait pu être simplement remis sur demande. On ne sait toujours pas si certains de ces raids ont même permis de découvrir des preuves d’infractions pénales et s’ils donneront lieu à des inculpations pour délits au pénal.

      Il existe des antécédents documentés de parti pris contre Trump de la part de hauts fonctionnaires du FBI, avec notamment l’utilisation de falsifications ou fausses déclarations pour faciliter une enquête sur un pseudo complot avec la Russie. Ainsi, le procureur général Merrick Garland savait sûrement que ce raid raviverait les soupçons selon lesquels il pourrait s’agir d’un nouvel exemple de ce que Peter Strzok, fonctionnaire congédié du FBI, avait autrefois appelé une « police d’assurance » contre l’accession de Trump à la présidence en 2016 — mais cette fois-ci pour 2024. Pour ce motif, la charge de la preuve est encore plus lourde pour le ministère de la Justice, qui doit démontrer que ce raid constituait une étape vers de véritables poursuites pénales et non pas juste une manoeuvre politicienne ».

      Le gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis, fustigea sur Twitter cette perquisition qui représentait « une nouvelle escalade dans le militarisme des agences fédérales contre les opposants politiques du régime, alors que des personnes comme Hunter Biden étaient traitées avec des gants de velours ».

      Par ailleurs, comme le fit remarquer le président Trump dans un message publié peu après l’effraction de son domicile :

      « Hillary Clinton a pu supprimer et nettoyer à l’acide 33 000 courriels APRÈS avoir été citée à comparaître par le Congrès. Personne, absolument personne ne lui a demandé de rendre compte de ses actes ».

      Un article paru dans le média “The Federalist” au lendemain du raid lui faisait écho, bien qu’écrit de la plume d’un journaliste qui n’était pas un de ses fans. Il relevait qu’en juillet 2016, au plus fort de la campagne présidentielle, le directeur du FBI de l’époque, James Comey, avait annoncé les résultats de l’enquête de son agence sur le serveur détruit de Hillary Clinton et ses emails disparus. Malgré sa conclusion qu’utiliser un serveur privé pour l’envoi d’emails professionnels classés secrets était inacceptable pour une secrétaire d’État, et que Hillary avait sciemment mis en danger la sécurité nationale, cette dernière n’avait jamais été inquiétée. Il y avait un contraste flagrant, concluait l’éditorialiste du “Federalist”, entre l’extrême rigorisme du FBI à l’égard de Trump qui, en tant que président, avait le pouvoir de déclassifier tout document selon son bon vouloir, et son extrême laxisme vis-à-vis des agissements manifestement criminels de Hillary Clinton qui, en tant que simple secrétaire d’État, n’avait pas les mêmes prérogatives.

      Sans surprise, Twitter s’était mis à suspendre les comptes des utilisateurs qui relevaient l’inégalité de traitement entre Trump et Hillary Clinton par le FBI. Le journaliste Paul Sperry du “New York Post” en fit l’expérience lorsque son compte fut clôturé sans autre forme de procès.

      Autre incohérence : le juge Reinhart, qui avait signé le mandat le 5 août, avait autorisé le FBI à effectuer sa perquisition d’ici au 19 août 2022”, délai étonnamment étendu compte tenu des bruits que le DoJ avait fait courir sur des secrets ou codes nucléaires prétendument cachés par Trump à son domicile.

      Trump se moqua sur sa plateforme de Truth Social de cette nouvelle insinuation, suggérant que les feds [=fédéraux] qui avaient écarté du site ses avocats et son personnel pour rester seuls à fourrager dans sa maison y avaient peut-être planté les secrets nucléaires qu’ils voulaient y “découvrir”.

      Monica Crowley, ancienne fonctionnaire du département du Trésor de Trump, ridiculisa les inspecteurs sur Twitter : « Alors maintenant, ils nous disent que Trump pourrait avoir détenu les secrets nucléaires les plus sensibles de notre nation — mais qu’ils ont attendu un an et demi pour aller les chercher ? Et puis quoi encore ? Qu’il cache des missiles nucléaires sous son lit ? »

      À la demande du DoJ [ministère de la Justice], mais également sur insistance de Trump lui-même, le juge d’instance Bruce Reinhart avait décidé de desceller le mandat de perquisition utilisé par le FBI. Trump voulait priver de munitions ceux qui le soupçonnaient de détenir une copie du mandat et d’en dissimuler le contenu. Trump affirma avec emphase qu’il ne faisait pas qu’accepter, mais qu’il réclamait la divulgation du mandat, alors même qu’il devait être rédigé en termes probablement désobligeants pour lui par ses adversaires politiques.

      Ce dernier, descellé le 12 août, révéla que l’ancien président “faisait l’objet d’une enquête pour violations présumées de la loi sur l’espionnage, et pour obstruction à la justice”.

      Pour corser davantage la sauce, une information émergea selon laquelle le juge Bruce Reinhart, qui avait signé le mandat de perquisition du FBI avait, avant de devenir juge fédéral, défendu des associés de Jeffrey Epstein, le pédophile et prédateur sexuel arrêté sous la présidence de Trump.

      Donald Jr. ne laissa pas ce détail croustillant passer inaperçu:

      « Si vous croyez vraiment que c’est par coïncidence que l’avocat de Jeffrey Epstein est devenu juge fédéral et, de surcroît celui à qui, entre des milliers d’autres, il reviendrait de signer le mandat de perquisition de Mar-a-Lago, c’est que vous n’êtes pas très attentif à ce qui se passe ! »

      Autre détail intéressant : un document portant la date du 18 septembre 2008 et émanant du FBI fit son apparition sur certains réseaux. Il attestait que Jeffrey Epstein, poursuivi par l’État de Floride pour proxénétisme auprès d’enfants, avait conclu une entente sur le plaidoyer en vertu de laquelle il ne serait pas inquiété par la Justice fédérale, s’il acceptait de collaborer avec le FBI en qualité d’informateur. Il bénéficierait de cette immunité pour aussi longtemps qu’il continuerait à respecter son accord avec l’État de Floride.

      Certains se souviendront qu’Epstein, lors de sa première condamnation de 2008, s’en était tiré avec seulement 18 mois d’incarcération dans une aile spéciale d’une prison de nuit locale, avec la liberté de rentrer chez lui durant la journée. Peine d’une légèreté sans précédent pour les crimes dont il était accusé. Le juge Reinhart, qui exerçait alors la profession d’avocat, faisait partie de son équipe juridique et avait participé à la négociation de cet arrangement généreux. Celui-ci non seulement épargnait à leur client les peines normalement applicables, mais il protégeait également son entourage ou ses « invités », notamment Bill Clinton et la famille Bush, de poursuites ou même de la moindre enquête.

      Onze ans plus tard, Epstein s’était fait prendre pour de bon sous la présidence de Trump. Une de ses victimes, Virginia Roberts Giuffre, avait intenté un procès au gouvernement fédéral en 2015 pour violation de ses droits civils, faisant valoir que l’acceptation d’un accord trop clément pour Epstein en 2008 lui avait permis de récidiver.

      La Maison Blanche a ordonné le raid de Mar-a-Lago:

      Tandis que le débat faisait rage pour savoir si le FBI n’avait fait que son strict devoir, comme il le prétendait, ou s’il avait largement outrepassé ses prérogatives comme les partisans de Trump et bon nombre d’Américains le soutenaient, un nouveau coup de théâtre éclata, avec l’émergence de documents officiels attestant que la Maison Blanche avait elle-même organisé le raid du 8 août, en collusion avec le DoJ [Ministère de la Justice] et NARA [les Archives nationales].

      Ces documents, examinés pour la première fois le 22 août par John Solomon, journaliste du média en ligne “Just the News”, puis aussitôt après par la chaîne grand public “Fox News”, révélaient que Biden avait travaillé directement avec le DoJ et NARA pour ouvrir la voie à une enquête pénale contre le président Trump. Jusque-là, la Maison Blanche avait nié toute connaissance préalable du raid du FBI.

      Un dossier remis au tribunal démontrait que, contrairement à ses dénégations, Joe Biden était personnellement impliqué dans le raid et l’avait même “réclamé” depuis le mois de mai. Il avait ensuite apparemment passé deux mois à chercher le juge qui accepterait de signer un mandat de perquisition contre un ancien président des Etats-Unis, et l’avait trouvé dans la personne du juge Reinhart, dont l’antipathie pour Trump était notoire mais que la déontologie aurait dû inciter à se récuser.

      Toujours selon ces documents, la Maison Blanche avait en outre discuté de la manière de circonvenir au secret professionnel qui protégeait certains des documents échangés entre Trump et ses avocats, pour pouvoir les saisir.

      Les documents remis au tribunal révélaient enfin que la Maison Blanche avait indiqué à NARA qu’il n’y avait pas lieu de respecter le privilège normalement reconnu à un ancien président, en l’occurrence “l’immunité de l’exécutif” du 45e président, et qu’elle-même ne l’honorerait pas.

      Le juriste et démocrate grand teint Alan Dershowitz, célèbre avocat et professeur émérite de droit de Harvard, commenta à ce sujet qu’un président en exercice n’avait a priori pas le droit de révoquer ex post facto l’immunité de l’exécutif de son prédécesseur sans son consentement. Cela revenait à vider la notion d’immunité de tout contenu.

      Dans la correspondance obtenue par “Just the News”, l’administration Biden soutenait qu’une décision de l’époque du Watergate donnait ce pouvoir au président en place. Mais l’argument était spécieux, car dans l’affaire “Nixon v. Administrator of General Services”, si l’invocation par l’ancien président Nixon de son immunité présidentielle avait été jugée sans objet, c’était surtout parce que Nixon avait été gracié après sa destitution par son successeur, le président Ford. Sa seule motivation en faisant valoir son immunité semblait donc être de préserver ce qui lui restait de réputation auprès du public, avait conclu la Cour, et non le désir d’échapper à des poursuites judiciaires.

      Les adversaires politiques du Président Trump ont frappé fort

      Il en allait autrement pour Donald Trump, puisque les pénalités pour les violations dont il était accusé pouvaient lui coûter jusqu’à 20 ans de prison, ou même la peine de mort, si l’on parvenait à leur trouver des circonstances aggravantes, notamment en y greffant des éléments empruntés à d’autres affaires pendantes, comme celle du 6 janvier, le rôti que l’on resservait à toutes les sauces depuis bientôt deux ans.

      Par ailleurs, dans l’affaire de “Nixon v. Administrator of General Services”, le président de la Cour suprême Warren Burger avait émis un avis contraire à la décision de la Cour. Selon lui, le privilège de l’exécutif de l’ancien président Nixon et la Constitution des États-Unis avaient bel et bien été violés par la loi que le président Ford avait fait voter pour saisir les documents présidentiels de son prédécesseur.

      Enfin, dans le cas du président Nixon il y avait eu flagrant délit, donc délit consommé, ce qui n’était pas du tout le cas pour le président Trump, puisque l’administration Biden ordonnait que soient saisis des documents non seulement en l’absence de délit avéré, mais même de “cause probable”, et ce, dans l’espoir hypothétique d’y découvrir quelque chose pour l’incriminer ou, pire, pour nuire à sa candidature politique.

      La cause du raid invoquée par le FBI était la récupération de quelque 15 caisses de documents qui devaient revenir à NARA [les Archives Nationales] et qui contenaient, prétendument, des informations de sécurité nationale. Dans le même but, le FBI s’était aussi acharné contre le coffre-fort de Trump sans mandat spécifique, et l’avait brisé, pour le trouver vide.

      Aucune injonction de produire n’avait au préalable été envoyée à Trump, que ce dernier aurait refusé d’honorer. Au contraire, lors de la dernière visite du FBI du 3 juin à Mar-a-Lago (qui suivait celle de NARA en février) les feds avaient emporté un certain nombre de dossiers puis demandé que ceux qu’ils n’emportaient pas soient protégés par un verrou spécifique. Ce qui avait été fait.

      Au niveau de l’ampleur de la perquisition, on n’y était pas non plus allé de main morte : le mandat, annoncé par le ministre de la Justice Merrick Garland comme étant « de portée limitée », s’était avéré au contraire incroyablement étendu, en violation du 4e amendement. Il stipulait une fouille du complexe entier, c’est à dire « des 58 chambres à coucher et 33 salles de bains de la résidence de Mar-a-Lago », sise dans un domaine de 17 acres (68 800 mètres carrés), ainsi que du « bureau du 45e président, de toutes les aires de stockage et autres pièces ou espaces de la propriété, utilisés ou susceptibles de l’être par l’ancien président et son personnel, de toutes les structures et de tous les bâtiments dans lesquels des boîtes ou des documents pouvaient être stockés. »

      Bien que le mandat de perquisition n’ait officiellement été descellé que le 12 août par le Juge Reinhart, le DoJ l’avait auparavant laissé filtrer auprès du trio habituel (“New York Times”“Washington Post” et “Wall Street Journal”). Aussi, des informations diverses et variées circulaient, comme dans un tweet du 12 août de Rebecca Balhaus du “Wall Street Journal”, contre lequel s’insurgea Sean Davis, PDG et cofondateur du média patriote “The Federalist”:

      “Moins de 24 heures après que le ministre de la Justice Merrick Garland ait promis de ne divulguer des informations que par le biais de documents officiels déposés devant le tribunal, le ministère dont il a la charge a divulgué de manière anonyme des informations au New York Times, au Washington Post et au Wall Street Journal”.

      Le professeur Jonathan Turley s’était également élevé contre cette manière de “plaider par fuites interposées ”.

      Enfin, comble de l’indignité, les passeports de l’ancien président avaient été eux aussi confisqués. Le FBI avait tenté de balayer les accusations de Trump, criées sur tous les toits. Il alla jusqu’à les nier sur la chaîne de « CBS News ». Mais un courriel rendu public par le porte-parole de Trump infligea un démenti cinglant à ces dénégations. Le courriel en question émanait de la division de la Sécurité nationale au sein du ministère de la Justice et il confirmait que les agents avaient « saisi trois passeports appartenant au président Trump, dont deux étaient périmés, mais le troisième était le passeport diplomatique dont il se servait ».

      Par ailleurs, Trump et certains internautes n’excluaient pas que le FBI ait “planté” du matériel compromettant durant la perquisition. Des antécédents existaient, comme avec l’affaire du Russiagate. D’autant plus que la fouille s’était déroulée en l’absence du propriétaire des lieux et de sa famille et loin des regards de son personnel et de ses avocats, tenus à l’écart.

      Trump s’en était plaint sur sa plateforme de “Truth social”“On a demandé à tout le monde de quitter les lieux. Ils voulaient être laissés seuls, sans aucun témoin de ce qu’ils faisaient, prenaient, plantaient même…”

      « Pourquoi insister si LOURDEMENT* pour que personne ne les surveille… pour mettre tout le monde dehors ? » avait demandé l’ancien président, soulignant qu’Obama et Clinton n’avaient jamais été perquisitionnés en dépit de leurs énormes casseroles. * [En majuscules dans le texte original].

      Un article du 3 septembre paru dans le “Gateway Pundit” lui donna raison en publiant une photo retouchée par le FBI, qui montrait des documents non conformes à l’inventaire, et vraisemblablement rajoutés.

      Divulgation de l’affidavit utilisé pour justifier le raid du FBI

      Le 26 août, le ministre de la Justice Merrick Garland publia un affidavit fortement expurgé, pour étayer le mandat de perquisition qu’il avait autorisé pour le raid du FBI à Mar-a-Lago. L’affidavit était tellement noirci que les motifs des expurgations présentés en annexe étaient eux aussi caviardés.

      C’était le juge Bruce Reinhart qui avait signé le mandat autorisant le raid, tout en déclarant pour la forme que ce mandat était sans précédent. Puis, citant “un intérêt public et historique considérable” qui l’incitait à jouer la transparence, il avait, toujours pour la forme, fait mine de rejeter l’argumentaire de l’administration Biden qui désirait garder l’affidavit scellé.

      Mais en fait de transparence, sur les 32 pages que contenait l’affidavit, 11 étaient presque entièrement caviardées et le reste était émaillé de nombreuses ratures.

      Un internaute, @ChristoherDiaz1, fit remarquer, goguenard :

      « On n’en peut plus de tant de transparence de la part du gouvernement. C’est dur à digérer, toute cette franchise ! »

      Un autre blogueur parodia l’affidavit dans un tweet caricatural où tout était noirci sauf la mention que le FBI se préparait à faire une descente sur Mar-a-Lago, la cachette du “vilain bonhomme orange” (sobriquet parfois utilisé pour désigner Trump, en référence à son teint de peau ou à la couleur de son toupet).

      “Mandat du FBI — Mar-a-Lago (cachette du vilain bonhomme)”. Signé: “Merrick Garland”.

      Trump Jr s’était aussi mis à déblatérer dans une vidéo publiée sur Rumble. Il qualifia la divulgation de l’affidavit de parodie de justice et se moqua bruyamment “des motifs du caviardage”, eux aussi caviardés.

      « Ils jouent la transparence juste pour la galerie », s’exclama-t-il, « pour que leurs petits caniches des médias se mettent à s’extasier, mais ils démontrent par leurs actions qu’ils n’en veulent surtout pas ! Pourquoi sinon auraient-ils interdit à nos avocats d’être présents durant la perquisition ?

      Et ces mêmes agents du FBI qui ont menti devant le Congrès ont ensuite l’aplomb de venir sur CNN nous faire la morale si on ose les dénoncer? ” s’indigna-t-il.

      Dès la publication de l’ersatz d’affidavit, Trump s’était mis à conspuer le Juge Reinhart:

      « Le juge Bruce Reinhart n’aurait JAMAIS dû autoriser l’entrée dans ma maison par effraction. Il s’est récusé il y a deux mois dans une des enquêtes me concernant, en raison de son hostilité et de sa profonde antipathie envers votre président préféré : moi », écrivit Trump sur sa plateforme de « Truth Social ». « Qu’est-ce qui a changé ? Pourquoi ne s’est-il pas récusé ici aussi ? Obama doit être très fier de lui en ce moment ! »

      En fait de justificatif, l’affidavit n’était que l’énoncé de soupçons fait sur un mode incantatoire, comme s’il suffisait de répéter qu’il y avait cause probable pour que ce soit vrai :

      « Nous avons des raisons probables de croire que des documents supplémentaires contenant des informations classifiées NDI [National Defense Information] ou des documents présidentiels soumis à certaines exigences de conservation se trouvent actuellement sur les lieux. Il existe également des présomptions que des preuves d’obstruction y seront trouvées. »

      Si le FBI présumait l’existence d’autres documents, pourquoi ne les avoir pas cherchés lors de sa visite précédente ? Il s’était contenté de recommander de mettre sous verrou tout ce qu’il n’avait pas choisi d’emporter, et cela avait été fait. Où était l’obstruction?

      L’avocat Alan Dershowitz vola au secours de Reinhart: la colère du public, estimait-il, ne devait pas être dirigée contre le juge pour avoir signé l’ordre de perquisition mais plutôt contre le ministre de la Justice Merrick Garland pour avoir ordonné la descente du FBI.

      « Selon le règlement même du DoJ, on n’ordonne pas de perquisition à moins que ce ne soit le seul moyen d’obtenir le matériel recherché », déclara Dershowitz, peut-être en réponse à ceux qui questionnaient les mobiles de Reinhart après qu’il eut été révélé que le juge avait défendu Jeffrey Epstein en tant qu’avocat de la défense en 2008.

      Alan Dershowitz, un invité du pédophile Jeffrey Epstein sur son île, avait lui aussi joué un rôle important dans son procès de 2008 en tant que membre de son équipe juridiqueaux côtés de Reinhart. Il avait aidé à choisir Ken Starr, l’avocat vedette qui avait organisé un traitement clément pour Epstein. Ce dernier avait reçu une immunité fédérale contre l’accusation de traite de mineures, comme expliqué plus haut.

      Certains craignent un piège tendu à Trump

      Trump s’était mis à tonitruer contre le FBI sur sa plateforme de “Truth Social”, l’accusant d’“abus de pouvoir”, de corruption, d’effraction de son domicile où il avait peut-être “planté” des preuves bidonnées pour l’incriminer, ou installé des écoutes, ou encore procédé à la reclassification de documents déjà déclassifiés pour pouvoir ensuite l’accuser de recel de documents non autorisés.

      Il affubla même le FBI du nom de “Fascist Bureau of Investigation”, parla de ses “atrocités commises pendant des années”, de “violations inimaginables des lois et des libertés”, de la descente du pays vers un état de non-droit, de fraude électorale, de frontières passoires, de non-exécution des lois, de destruction scandaleuse des institutions…

      Joshua Philipp, un journaliste à “Epoch Times”, craignait que ce raid ne soit un piège visant à attiser la colère de Trump pour la retourner ensuite contre lui, et que ses opposants l’utilisent pour l’incriminer ou pour justifier une surveillance accrue des Américains ordinaires, voire des persécutions contre eux, dans le cadre d’une redéfinition élargie de la notion de “terrorisme intérieur”.

      Comment, se demandait Joshua Philipp, ne pas s’interroger aussi sur certaines des phrases les plus provocantes de Trump, comme: “Je ne crois pas que le peuple le supportera”, ou: “Combien de temps encore sommes-nous tous censés le supporter ?” Ses partisans les plus radicaux n’y verraient-ils pas une incitation à certaines actions susceptibles d’être qualifiées de “terroristes” par l’adversaire?

      On avait vu ce dont la cabale était capable lors de l’incident sous faux drapeau du 6 janvier 2021, que l’on n’avait pas fini d’agiter comme un épouvantail, en faisant allègrement l’impasse sur les saccages considérables causés par les protégés des Démocrates, BLM ou Antifas, dans le sillage de la mort du présumé George Floyd.

      Le sénateur Lindsay Graham avait déclaré à Fox News: “Si Trump est inculpé, il y aura des émeutes dans les rues”. Ce commentaire, en apparence sympathique à Trump, contenait probablement plus de fiel que de miel. En effet, Lindsay Graham est un Rino [Republican in name only, un vendu] à la langue fourchue, qui n’en est pas à sa première fourberie. Prédire des émeutes, n’était-ce pas faire le lit d’une future répression de prétendus actes de “terrorisme intérieur”?

      La prudence s’imposait donc. D’autant plus, commenta Philipp, que si le FBI avait certainement eu son lot de critiques, jamais de mémoire récente, une personnalité du niveau d’un ancien président américain n’avait accusé des agents fédéraux de commettre des « atrocités », de « s’immiscer avec brutalité et violence » dans la vie politique de la nation et de « détruire » les États-Unis.

      « Quand vous attaquez les agents du FBI parce que vous faites l’objet d’une enquête pénale, c’est que vous êtes en train de perdre… »

      C’était le tweet mémorable de Sarah Huckabee Sanders, conseillère de la campagne Trump et future secrétaire de presse de la Maison Blanche. Il avait été, en 2016, adressé à Hillary Clinton dont l’antipathie pour le FBI était palpable lors de sa campagne malheureuse contre Trump.

      Trump serait-il donc en train de perdre la manche, pour s’en être pris au FBI comme l’avait fait Hillary Clinton, au moment où elle perdait pied?

      Pas forcément.

      Si Trump fait en ce moment l’objet d’une enquête, comme Hillary autrefois pour le scandale de ses e-mails, il n’en est pas à sa première et il s’en est toujours sorti indemne. Deux tentatives de le destituer ou de le rayer de la vie politique n’ont pas eu raison de sa popularité. Elles ont même eu l’effet inverse. Obama et Hillary Clinton, qui avaient monté de toutes pièces le Russiagate en bidonnant le dossier Steele, ont été discrédités ; l’enquête du conseiller spécial Robert Mueller s’est soldée par un flop et la preuve de ses mensonges pour le compte de ses commanditaires démocrates vient d’émerger le 26 août dernier ; quant au directeur du FBI, James Comey, il avait terminé sa carrière en disgrâce.

      Des enquêtes qui blanchissent systématiquement l’accusé et se retournent contre les accusateurs ne sont pas monnaie courante. Est-il possible de croire à un tel cadeau du ciel, en un Père Noël descendant spécialement sur son traîneau pour décharger sa hotte dans la cheminée de Donald Trump ?

      Ou alors assistons-nous plutôt à une série d’événements pilotés en coulisses par une armada de loyalistes patriotes, à pied d’œuvre pour déjouer les pièges de la cabale mondialiste, voire pour les devancer et pour la prendre dans ses propres filets?

      Et si c’était Trump qui était en train de piéger le FBI?

      C’est l’idée ancrée dans l’esprit de plus d’un. Car il avait suffi d’un raid sur la résidence privée du président Trump pour déclencher une vague de colère contre le FBI, le DoJ [Ministère de la Justice] et le régime de Biden. Les appels à « enquêter sur le FBI et même à le démanteler », qui relevaient jusque-là d’un discours « marginal et périphérique », s’étaient multipliés dans les milieux conservateurs.

      Le parlementaire Mike Johnson déplora dans une interview accordée à “Epoch Times” les abus de pouvoir du FBI, facilités par le militarisme du ministère de la Justice sous le régime de Biden, qui avaient ébranlé la confiance des Américains dans leurs institutions politiques.

      Le sentiment général était que les agences fédérales avaient fait tomber le masque, ne craignaient plus de se montrer à visage découvert et d’apparaître comme les officines tyranniques et sans scrupules qu’elles avaient toujours été.

      Kash Patel, avocat et chef de cabinet du secrétaire américain par intérim à la Défense sous la présidence de Donald Trump, accorda le 23 août une interview de 25 min à l’animateur Nino Rodriguez, sur le thème de la corruption des institutions étatiques et de la crise de confiance des Américains dans leur gouvernement, entrée désormais en phase terminale. Les années où Patel avait occupé les fonctions de procureur à la Sécurité nationale dans l’affaire du Russiagate lui avaient enseigné que lorsqu’on attrapait des agences gouvernementales comme le FBI, le DoJ ou NARA [Archives nationales]) en flagrant délit de mensonge, et qu’elles se mettaient à se rejeter la faute les unes sur les autres, on avait gagné la partie, si on parvenait à éviter d’être pris dans leurs tirs croisés.

      « Ça prend un petit peu de temps », commenta-t-il, « car au début les agences font toutes bloc, y compris avec les médias maffieux qui chantent en chœur avec elles. Mais à moment donné, vous arrivez à mettre la main sur la preuve qu’elles ont menti et agi dans l’illégalité et là, ça commence à changer. Au départ, la Maison-Blanche jurait ses grands dieux qu’elle était en dehors du coup, or non seulement on découvre qu’elle est impliquée jusqu’aux yeux, mais encore qu’il était exclu qu’elle ne le soit pas et qu’elle n’ait pas autorisé ce raid. Ces agences ne sont pas encore tout à fait en mode panique, mais on y vient. Quand leurs mensonges seront exposés à la vue de tous, le vent tournera pour elles. »

      Patel croyait que les mid-terms [=élections de mi-mandat] joueraient un rôle clé et qu’une fois que les Républicains auraient regagné la majorité, il leur fallait faire marcher la planche à injonctions : ordres de production de documents, citations à comparaître, assignations, etc.. Et si les agences renâclaient ou traînaient la patte, alors le Congrès qui contrôle le budget devait leur couper les vivres:

      « Je vous garantis qu’en 24 heures, les documents seront remis. Il n’y a que comme ça que les Américains verront par eux-mêmes la malfaisance de ces agences. Car pour le moment, les mêmes pourris qui ont concocté le Russiagate sont de retour au pouvoir au DoJ, les mêmes qui ont trempé dans les affaires de Hillary Clinton, du laptop de Hunter Biden, etc. sont à pied d’œuvre dans la descente sur Mar-a-Lago. Des gens dont l’objectif final est de barrer la route à Donald Trump ».

      Patel était d’avis qu’il fallait les mettre au pas, souligner en rouge leurs abus de pouvoir, ne pas relâcher la pression. Il prédisait qu’on verrait de plus en plus d’agents du FBI devenir lanceurs d’alerte, et qu’il faudrait les soutenir. De vrais lanceurs d’alerte, précisa-t-il, comme il y en avait déjà une douzaine qui avaient surgi récemment. Pas comme ceux du Russiagate, ajouta-t-il dans une allusion au dossier Steele, fabriqué de toutes pièces par un lanceur d’alerte bidon. Le changement ne se ferait pas du jour au lendemain, mais d’après lui la vérité finirait par sortir, comme pour l’histoire de Hunter Biden, où le “New York Post” s’était au début fait censurer par Twitter pour avoir couvert en première page l’affaire de son ordinateur portable, qui était à présent un secret de polichinelle.

      « Ces gens-là sautent d’un scandale bidonné à un autre », ajouta-t-il. « Quand l’un ne donne plus de jus, ils passent à un autre, mais ils finiront bien par caler. Nous devons les débusquer sans leur laisser de répit. Je suis persuadé que le raid de Mar-a-Lago est une manœuvre de diversion pour faire oublier les casseroles des Biden, je ne pense pas que cela ira jusqu’à une inculpation de Trump. Ce n’est pas qu’ils ne le veuillent pas, ils aimeraient bien l’arrêter, mais je ne crois pas qu’ils le feront. Je crois qu’il y en a un ou deux parmi eux qui sont un peu plus futés que les autres et qui ont réalisé que… ils font ça et Trump n’a même pas besoin de se représenter en 2024, il est le Président », ajouta-t-il avec un grand sourire entendu. [NDT: allusion à la thèse de la dévolution selon laquelle Trump serait toujours secrètement président et prêt à être ramené par l’armée en cas d’atteinte à la sécurité nationale].

      “Ils ont cru que le raid allait le mettre par terre, mais ils se sont bien fait avoir : en fait il n’a jamais été aussi populaire. Les fonds des donateurs affluent et battent tous les records. Sa base électorale est plus dynamique que jamais”, affirma Kash Patel en conclusion.

      Le général Flynn, interviewé le 19 août par David Zhang de “Epoch Times”, croyait aussi que la persécution politique incessante à laquelle Trump était en butte l’avait rendu plus résolu à se battre. Lui-même, un général 3 étoiles et directeur de la plus grande agence de renseignements des Etats-Unis, voire du monde [NDT: la DIA ou Défense Intelligence Agency] avait été victime d’une chasse aux sorcières à l’instigation du FBI.

      Le peuple américain, qui en avait soupé de tous ces abus du FBI, appelait ouvertement à son démantèlement, car sa confiance était sérieusement ébranlée. Ironiquement, les attaques contre Trump avaient renforcé la popularité de ce dernier et le général fit remarquer que les levées de fonds de la dernière semaine avaient été phénoménales.

      Les attaques ne venaient pas, selon Mike Flynn, de Joe Biden ou de Kamala Harris, car “ces deux-là n’avaient pas l’air capables de mettre un pied devant l’autre”, mais d’“éléments qui se tenaient derrière eux”. Ouvrons ici une parenthèse dans le récit pour faire remarquer que Flynn eut deux mois plus tard l’occasion d’expliciter sa pensée, dans un éditorial rédigé le 15 octobre pour le “Western Journal”. Il écrivit que le procès d’Igor Danchenko (Russiagate) avait révélé ce que beaucoup savaient déjà: “le FBI n’était pas seul dans ce complot contre la nation”, ses véritables commanditaires étant le “gang” formé par Obama et Hillary Clinton, qui œuvraient à travers leurs “larbins imbéciles” du département de Justice.

      Pour revenir à l’interview de « Epoch Times », Flynn affirma aussi à son intervieweur qu’un président était souverain en matière de classification et de déclassification, et donc que toutes les absurdités qui avaient été débitées à ce sujet n’étaient là que pour faire du bruit. Le président avait aussi droit à un SCF [NT : prononcer skif. Secure Compartment Facility] à son domicile, c’est-à-dire à un endroit protégé où garder ses documents confidentiels pour les consulter. Tellement de choses fausses avaient été dites à ce sujet, s’exclama le général Flynn, c’était vraiment du grand n’importe quoi :

      « Si les rumeurs sur un péril nucléaire que ces documents faisaient courir à la nation étaient vraies, vous imaginez-vous qu’ils auraient attendu un week-end entier, entre la date de la signature du mandat un vendredi et celle de son exécution le lundi suivant ? »

      La solution à cette succession ininterrompue de drames était entre les mains du peuple américain, pas du gouvernement, estimait le général. La Constitution demandait à “We, the People” d’avoir le courage de ses convictions et de se battre pour elles en s’impliquant dans l’action civique. Elle l’engageait aussi à réclamer des comptes à ses dirigeants.

      Les sondages qui avaient succédé au raid sur Mar-a-Lago montraient que les Américains en étaient conscients : la progression de l’ordre de 20 % de la cote de popularité de Trump se lisait en creux comme une motion de censure contre l’action du FBI. L’arrogance des agences de renseignement les mènerait à leur perte, croyait le général qui en avait une connaissance intime :

      « Elles se croient invulnérables et c’est leur talon d’Achille. Le peuple doit retourner cette faiblesse à son avantage ».

      Mais risquer une inculpation pour piéger l’adversaire, n’est-ce pas jouer avec le feu?

      Un internaute n’était guère inquiet :

      « C’est vrai, ils veulent que Trump soit arrêté, mais je ne pense pas qu’ils y arriveront. Je ne dis pas qu’ils n’essayeront pas, car ce sont des idiots. Ils veulent vraiment des troubles civils, mais le peuple est trop malin pour se laisser prendre. »

      Un autre était encore plus enthousiaste :

      « Ha ha ! Je me sens super bien…Trump a toujours deux longueurs d’avance sur la cabale…préparez-vous tous…Trump a toujours dit qu’il allait faire tomber le FBI pourri…ils sont tombés dans le piège…ça va être biblique…Dieu est en train de gagner, nous sommes en train de gagner, le monde est en train de gagner. Trump tient tête à la tyrannie…il est en train de démasquer les tyrans… »

      L’avocat et commentateur politique Ben Shapiro se voulait également rassurant. Il n’était pas d’accord avec certains experts qui estimaient, à l’instar de l’ancien procureur fédéral Neama Rahmani, qu’une inculpation empêcherait Trump de se présenter en 2024 et même d’exercer des fonctions politiques:

      « Pour votre gouverne, vous qui prétendez que contrevenir à la réglementation sur les documents classifiés empêcherait Trump de se présenter, désolé de vous contredire, mais les sanctions prévues pour ce type d’infraction ne sauraient le disqualifier ni se substituer aux critères d’éligibilité tels que définis par la Constitution ».

      L’avocat et professeur de droit Jonathan Turley était plus mitigé. Le raid lui semblait être le prolongement d’une ancienne querelle entre Trump et les Archives nationales au sujet du sort des documents régis par le Presidential Records Act (PRA). Turley avait lui-même témoigné devant le Congrès sur les saisies de Mar-a-Lago et sur le droit qu’avaient les Archives nationales de demander l’intervention du ministre de la Justice pour faire respecter le texte de loi du PRA.

      Cela étant dit, le PRA, qui stipulait que les documents devaient [être] conservés par NARA, ne prévoyait pas de mécanismes d’exécution. Par ailleurs, les présidents des administrations précédentes s’étaient toujours cabrés contre les contraintes de cette loi relative aux documents présidentiels et contre l’obligation de divulguer ceux qui se trouvaient en leur possession. Les infractions au régime du PRA ne faisaient que rarement l’objet de poursuites pénales, et les poursuites passées avaient abouti à des peines remarquablement légères: amendes ou emprisonnement inférieur à trois ans.

      Nonobstant ce manque de sévérité, des allégations de suppression de matériel classifié pouvaient en principe déclencher l’invocation d’autres violations plus graves ou de circonstances aggravantes. On pouvait citer l’exemple de l’ancien directeur du FBI, James Comey, qui avait emporté des documents du FBI classés sous le sceau du secret mais avait ensuite divulgué des informations les concernant à la presse. Et pourtant, malgré ces circonstances aggravantes, il n’avait pas été poursuivi. Autre exemple, l’ancien directeur de la CIA et général quatre étoiles à la retraite David Petraeus, qui avait été accusé d’avoir partagé des informations classifiées avec sa maîtresse, Paula Broadwell. Malgré la gravité des faits qui lui étaient reprochés, Petraeus avait également bénéficié d’un généreux arrangement sans peine de prison.

      Cibler Trump pour une affaire de PRA susciterait à coup sûr des interrogations sur la nécessité d’un tel raid, estimait le Pr Turley, à plus forte raison s’il était possible d’exiger la production des documents saisis par d’autres moyens, et surtout si près des élections de mi-mandat. Ceci dit, des accusations au pénal demeuraient théoriquement possibles, selon lui, malgré l’optimisme excessif affiché dans certains milieux.

      Le professeur Alan Dershowitz déclara quant à lui au « New York Post » qu’il y avait suffisamment de preuves mentionnées dans l’affidavit caviardé du FBI pour inculper l’ancien président Donald Trump : « N’importe quel grand jury de Washington D.C. inculperait Trump s’il est prouvé qu’il était en possession de matériel en violation de la loi ». Mais Dershowitz mettait néanmoins le ministère de la Justice en garde contre la poursuite de cette affaire : « Obtenir un mandat de perquisition n’est pas difficile : un grand jury est même capable d’inculper un sandwich au jambon. C’est justement pour ça que nous devons toujours exercer notre pouvoir discrétionnaire dans la poursuite des affaires ». Il citait à l’appui de son analyse l’impuissance de l’enquête sur Trump à passer ce qu’il appelait les « tests Nixon et Clinton ». C’est-à-dire l’impuissance à établir un large appui bipartite comme dans le cas de Nixon, et l’incapacité à démontrer que la conduite de Trump était pire que celle de l’ancienne secrétaire d’État Hillary Clinton dans le scandale des e-mails classifiés.

      Le risque existe donc, en principe du moins. L’inculpation de Trump a été réclamée par le New York Times dans un réquisitoire qui constitue un véritable monument d’hypocrisie : pour le “Times”, Trump avait commis une “attaque sans précédent contre l’intégrité de la démocratie américaine”, ce qui appelait une “enquête criminelle sur ses malversations post-électorales” et sur ses tentatives de subvertir la Constitution et la volonté du peuple américain.

      Puisqu’un risque semble exister, la question qui se pose est: vaut-il la peine d’être pris? Le raid aura-t-il été utile pour faire avancer le plan d’“assèchement du marécage”, selon la promesse électorale faite par le candidat Trump en 2016?

      Le jeu en valait-il la chandelle?

      Il semble que l’on puisse répondre par l’affirmative. Et ce, pour trois raisons principales :

      1- Un test utile de loyauté

      Trump, bien avant le début de son engagement politique, alors qu’il n’était qu’un entrepreneur new-yorkais d’une quarantaine d’années, avait confié à Charlie Rose, journaliste de la chaîne PBS :

      « Un jour, j’aimerais peut-être tout perdre pendant un certain temps, pour découvrir qui est loyal et qui ne l’est pas. En fait, j’ai compris que ce n’était pas quelque chose qu’on peut deviner à l’avance, ni prédire. Vous croyez parfois que certaines personnes vous seront loyales quoi qu’il arrive, et puis il s’avère que non. J’ai traversé une période de deux ans qui n’a vraiment pas été facile. Tout à coup, le monde semblait toucher à sa fin. C’était une expérience surréaliste. J’aurais parié ma vie sur certaines personnes, mais elles n’ont pas été là pour moi… Ce n’est pas quelque chose que l’on peut prévoir, c’est très difficile. Ça m’a beaucoup appris sur moi-même et sur les autres. »

      La leçon de vie que Donald Trump avait apprise est qu’il fallait être sur le point de tout perdre, ou presque, pour pouvoir juger de la loyauté de son entourage. C’est quand on est au plus bas que les gens se dévoilent. Subir une descente des services secrets sur son domicile quand on a été président des États-Unis est à n’en pas douter un coup dur pour la dignité. Et pourtant… à condition de garder le contrôle de la situation, n’est-ce pas le prix à payer pour voir les “créatures du marais” sortir une à une pour s’acharner sur vous? Quand on s’appelle Donald Trump et qu’on est l’auteur de deux best-sellers: “The Art of the Deal”, et “the Art of the Comeback”, la question ne se pose même pas.

      Pour ne citer que lui, son vice-président Mike Pence l’avait trahi, selon toutes les apparences, en ne s’opposant pas à ce que le Congrès certifie les résultats de l’élection présidentielle le 6 janvier 2021. Il était pourtant au courant de la fraude. Et voici qu’après le raid du 8 août, Pence récidivait en donnant, au Collège “Saint Anselm”, une conférence aux membres du parti républicain [GOP] au cours de laquelle il défendait le FBI en disant qu’il fallait arrêter de lui tomber dessus au sujet de ce raid contre la propriété de Trump.

      Il s’attira les foudres de Steve Bannon, analyste politique proche de Trump, qui le qualifia de “traître dégoûtant”.

      2- Appâter l’adversaire pour l’inciter à agir dans le sens voulu

      Comment attrape-t-on un poisson ? Avec un appât. Trump a appâté les traîtres pour les faire sortir de l’ombre et s’avancer vers lui. Avec l’affaire des documents secrets de Mar-a-Lago, il a attiré les “créatures du marais” hors de leur bourbier. Dans une guerre irrégulière, on ne s’attaque pas directement à ses ennemis, on les appâte. Trump les a attendus, bien calé dans son fauteuil : il avait tous les documents qu’il lui fallait contre eux, puisqu’il avait procédé avant son départ de la Maison Blanche à des déclassifications massives, mais il voulait que tout se déploie étape par étape pour les laisser s’incriminer par eux-mèmes, et que chacun de leurs mouvements les fasse s’enfoncer davantage.

      Or, sentant qu’ils n’avaient plus beaucoup de temps — car c’était un plan de 16 ans (8 ans d’Obama, et 8 de Hillary) qui tirait à sa fin — les malfrats allaient trop vite en besogne, ils avaient lancé tous leurs agendas simultanément: Russiagate, le Covid, la fraude électorale, le 6 janvier, le climat, l’Ukraine, l’économie, les pénuries, le raid du FBI… Ce qui devait faciliter leur regroupement, pour le coup de filet final.

      Dans leur précipitation, ils ont accumulé les erreurs. Dans le raid du 8 août, ils ont violé des règles de procédure, remué de fond en comble les tiroirs de lingerie de Melania, brisé un coffre sans mandat…

      Trump les attendait au tournant. Voici ce qu’il avait laissé dans le coffre-fort vide : “Merci d’avoir joué. La partie est finie.”

      Ce raid anticonstitutionnel ne peut que se retourner comme un boomerang contre ses instigateurs, en les exposant. Comme le dit ce tweet publié par un supporter, citant un mot que l’on a prêté à Trump :

      « Mon retour ne sera pas ma vengeance, il sera leur punition. »

      Les caméras de vidéo surveillance de Mar-a-Lago avaient en outre filmé le raid, ainsi que le moment où le coffre-fort avait été cassé par la force. Trump et famille avaient pu tout visionner depuis New York en temps réel, avec les irrégularités qui avaient été commises. Eric Trump avait déclaré sur Fox News que sa famille était “absolument” décidée à diffuser la vidéo.

      Trump avait sans tarder engagé des poursuites contre le FBI et le DoJ, en invoquant le 4ème amendement, qui prévoit que :

      « Ne sera pas violé le droit à être protégé dans sa personne, sa maison, ses papiers et ses effets, contre les perquisitions et les saisies abusives, et aucun mandat ne sera délivré, sans cause probable, et sans être étayé par un affidavit décrivant avec précision le lieu à perquisitionner et les personnes à appréhender ou objets à saisir. »

      L’affidavit caviardé ne satisfaisait ni à l’une ni à l’autre condition.

      Par ailleurs, Trump réclama aussi la nomination d’un “Special Master” ou expert indépendant pour examiner de manière objective les documents saisis lors de la perquisition exceptionnellement étendue de sa propriété.

      La nomination de “Special Masters” se fait de manière routinière pour rassurer l’opinion publique sur l’existence d’un examen impartial et répondre aux questions difficiles et non résolues liées aux documents collectés. Leur rôle est complémentaire de celui du tribunal, en cela qu’ils aident à établir un dossier sur lequel le juge pourra se prononcer.

      Or le ministre de la Justice Merrick Garland, qui avait pourtant admis que le FBI avait peut-être saisi des documents protégés par le secret professionnel, commença par s’opposer farouchement à la requête de Trump, comme s’il redoutait que quelqu’un d’autre que ses petits copains du DoJ et du FBI ne puisse mettre le nez dans ce dossier.

      Trump, qui savait probablement que le raid allait avoir lieu, avait malicieusement laissé traîner dans un des cartons un numéro du “Time Magazine”, au titre évocateur : “Toc, toc !” Il avait aussi placé 48 chemises vides étiquetées “Classé secret”. Trump jouait au chat et à la souris avec les fédéraux en leur mettant sous le nez des chemises ayant vraisemblablement contenu des informations accablantes sur des affaires dans lesquelles ils avaient trempé. Il se doutait que, pris de panique, ils accumuleraient les erreurs pour en retrouver le contenu.

      Ces dossiers vides avaient fait leur effet. Le Washington Post, citadelle de l’Etat profond, publia la photo ci-après, tout en posant la question en gros titre: “Ce que nous savons de Trump et des chemises vides”.

      Le 5 septembre, un tribunal fédéral infligeait un camouflet à Garland, en déférant à la requête de Trump de nommer un “Special Master” pour trier et départager les documents saisis par le FBI, et en ordonnant aux procureurs d’arrêter de les utiliser comme pièces a conviction jusqu’à ce que leur statut juridique soit tranché. Autre camouflet, la juge Aileen Cannon dénonçait le refus préalable du département de Justice de reconnaître à l’ex-président Trump l’immunité de l’exécutif. Enfin, en pages 2 et 3 de sa décision, la juge révélait que le régime de Biden n’avait pas fait qu’organiser, mais qu’il avait bel et bien ordonné le raid du FBI aux fins de saisir les documents conservés à Mar-a-Lago.

      La frénésie invariablement suscitée par tout ce qui a trait à Trump explosa avec une virulence particulière à l’annonce de la nomination d’un “Special Master”. La juge Cannon fut même accusée de faire entrave à la bonne marche de la Justice.

      Et le DoJ contesta immédiatement son ordre au motif qu’empêcher l’exécutif d’examiner ces documents par lui-même causerait “un préjudice immédiat et sérieux au gouvernement et au public”. Il demandait à la juge un moratoire sur une partie de sa décision afin que le gouvernement puisse examiner les dossiers en interne, avec la participation du FBI, avant que le “Special Master” ne se prononce sur leur statut.

      Laurence Tribe, un professeur à Harvard (celui-là même qui avait récemment demandé que Trump soit accusé de tentative de meurtre contre son ancien vice-président Mike Pence), alla jusqu’à dire que l’ordre de nommer un maître spécial pour examiner de manière indépendante les documents saisis constituait un abus du pouvoir judiciaire.

      Le Pr Jonathan Turley commenta dans un éditorial que c’était au contraire le ministère de la Justice qui avait sérieusement abusé de sa position en prétendant qu’un examen indépendant ne pouvait en aucune manière être une menace pour la sécurité nationale, tout comme le DoJ s’était moqué du monde en publiant un affidavit caviardé.

      Les avocats de Trump, en réponse aux objections du DoJ, déclarèrent que le moratoire réclamé revenait à « préjuger du résultat » de l’examen par le master spécial et que le PRA [Presidential Record Act relatif à l’archivage] donnait en tout cas à Trump un droit d’accès plein et entier à ses dossiers présidentiels, même s’il était entendu qu’il « n’en était pas propriétaire ». Les avocats en profitèrent pour marteler qu’une transparence totale, et non point seulement de façade comme pour l’affidavit caviardé, devait être observée dans la gestion de cette affaire.

      Le ministre de la Justice Garland menaça la juge Cannon de faire appel de sa décision si elle persistait à ne pas lui accorder le moratoire demandé, et il mit sa menace à exécution le 8 septembre, montrant à quel point le gouvernement était hostile à l’idée qu’une tierce partie puisse mettre le nez dans sa tambouille.

      Mais considérant l’importance d’une enquête lancée contre un ancien président des États-Unis, la Cour tomba d’accord avec le principal intéressé, pour décider qu’elle devait être conduite de manière publique, au vu et au su de tous.

      3- La publicité sert la stratégie de Trump

      Le raid et ses nombreuses péripéties ont d’abord eu le mérite d’attirer l’attention du public sur des documents relatant des faits que la presse mainstream refusait de couvrir, et dont le public ignorait jusqu’à l’existence. Et à présent, le pays entier regardait.

      CNN releva le fait que Trump avait lui-même annoncé la perquisition, torpillant par lui-même son droit au secret de sa vie privée, afin d’orchestrer une tempête politique et discréditer le FBI. S’il est difficile de parler de secret et de vie privée quand un commando de 30 feds débarquent chez vous avec des voitures de police tous feux allumés, sur le reste, CNN n’avait pas tort.

      Trump n’avait en tout cas pas une mine de chien battu, c’était le moins qu’on puisse dire. Plutôt le panache d’un acteur dramatique déclamant sa partition en amplifiant les moments forts pour l’édification du public.

      “Ce n’est pas là un simple pion qui se meut sur l’échiquier. Plutôt quelque chose d’intermédiaire entre une tour et une reine”, commenta avec justesse le journaliste de CNN, Stephen Collinson.

      Trump est connu pour ses talents de joueur d’échecs. On dit même de lui qu’il joue sa partie en 4D. Ce terme n’est pas agréé dans le monde des échecs (comme l’est celui de 3D), mais il est utilisé métaphoriquement en politique pour désigner quelqu’un dont les réactions imprévisibles déroutent mais dont on devine qu’il sait néanmoins où il va.

      En fait, tout se passe comme si Trump (et les militaires patriotes qui l’ont poussé dès 2014 à se présenter) voulaient entraîner l’Etat profond là où le monde pouvait le voir pour ce qu’il était vraiment.

      Acculé, celui-ci recourt de plus en plus aux méthodes autoritaires pour essayer de reprendre le contrôle de la situation, et fait tomber les masques dans sa précipitation. Alors que son modus operandi était l’infiltration et la “soft power”, il s’appuie de plus en plus sur la répression et la force policière. Lorsqu’on perd le contrôle du peuple, il ne reste plus qu’à aboyer pour le faire obéir et c’est ce qui se passe actuellement.

      Des personnages clés de l’entourage de Trump ont fait l’objet de ce qui a été qualifié de “purge”: 50 perquisitions ou arrestations ont été ordonnées, dans le sillage du raid du FBI, contre les avocats Rudy Giuliani, Sidney Powell et Jenna Ellis, et contre les loyalistes Peter Navarro, Mike Lindell et bien d’autres …

      Cet acharnement montre que l’Etat profond est en perte de vitesse. Il ne peut plus, comme avant, s’appuyer sur les “Fake News”, sur les médias mainstream qui étaient son moulin à propagande, car la mayonnaise ne prend plus; CNN est en train d’être “droitisé”par l’installation d’un nouveau PDG ; Big Tech ne fonctionne plus comme avant: Facebook rase les murs suite à des révélations publiques qu’il s’est fait avoir par le CDC au sujet des vaccins, et il envisage même de reprendre Trump pour faire patte blanche… Quand faire le gentil avec Trump devient synonyme de bonne conduite, c’est que les choses sont en train de changer.

      Bref, toute l’infrastructure que l’Etat profond avait mise en place depuis des décennies est en train de s’écrouler. Certes pas à la vitesse de la foudre, mais à un bon rythme, qui va en s’accélérant.

      L’État profond et les traîtres de Washington D.C. sont en panique et vont trop vite en besogne, car ils savent ce qui les attend. Si le peuple se réveille avant qu’ils n’aient pu se débarrasser de Trump, c’en est fait d’eux et de leur échafaudage de mensonges, qui s’effondrera comme un château de cartes, y compris pour ce qui a trait à la fraude électorale et à la fausse pandémie. Car tout était lié. Ils avaient besoin du vote à distance pour pouvoir frauder avec les machines à voter et installer leur pantin Biden. Or pour imposer le vote à distance, ils avaient besoin du Covid, qui n’était pas prévu pour si tôt. Il est arrivé en avance de deux ans sur le calendrier. Ils avaient également besoin du Covid pour confiner et tirer l’économie vers le bas, ce qui réduirait les chances de réélection de Trump. Puis, comme il s’avérait un adversaire plus coriace qu’ils n’avaient anticipé, les affaires bidonnées se sont multipliées pour le destituer. Comme le dit cette légende humoristique sous la photo de Trump vu de dos:

      « Trump a été déclaré coupable lorsqu’il a été élu, et tout au long des six années qui ont suivi, ils étaient à la recherche de son crime. »

      Mais il les a pris de vitesse : il a contourné le DoJ et le FBI, bien trop corrompus pour en attendre quoique ce soit de valable, en déclassifiant tout avant de quitter le Bureau ovale. Tous les documents protégés par le sceau du secret, tous les secrets inavouables que l’État profond essayait de camoufler, seraient ainsi portés à la connaissance du public, sans avoir à passer par le crible des bureaucrates du gouvernement. Tout ce qui avait trait à la création de la Fed, à l’assassinat de John F Kennedy, à l’attentat du 11 septembre, aux extra-terrestres, au Sida, à Ebola, au MERS, au SARS-Cov1, à Benghazi, aux emails de Hillary Clinton, à Pizzagate, à l’État islamique, à Burisma et à l’Ukraine, au Covid-19, à Russiagate, à la fraude électorale, au 6 janvier, à l’ordinateur de Hunter Biden et aux malversations de la famille Biden, aux réseaux pédocriminels, etc., etc..

      Timothy Charles Holmseth, journaliste d’investigation et membre de l’équipe du Pentagone pour la lutte contre la pédophilie, publia le 30 août sur “Truth Social” et sur son site web, un billet intitulé “le président Trump tient le FBI et le DoJ par les bonbons.

      Trump aurait en effet en sa possession des documents soumis à la justice américaine, établissant que le FBI et le DoJ sont co-conspirateurs dans une affaire autrement plus sinistre que celle du Russiagate, puisqu’ils exploiteraient ensemble une entreprise de racket et de trafic international d’enfants.

      Pour citer Honoré de Balzac :

      « Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse, puis l’histoire secrète, où sont les véritables causes des événements. »

      Avec ces documents déclassifiés, témoins de cette histoire secrète et honteuse, Trump détient de puissants leviers de pression sur les “créatures du marais” et elles le savent. D’où leurs tentatives désespérées de mettre la main dessus et de les examiner en interne, entre amis, pour les faire passer à la trappe.

      Le « Special Master » réclamé par Trump s’inscrit dans la même optique de publicité. Il y a un mois, le juge Raymond Dearie a été nommé pour servir de « Special Master » pour l’examen du matériel saisi par le FBI. C’était a priori une bonne nouvelle, car ce juge avait eu à connaître de près les irrégularités du FBI dans une affaire antérieure. Dearie ne figurait pas sur la liste des maîtres spéciaux recommandés par le ministère de la Justice, mais ce dernier avait néanmoins accepté la recommandation de l’équipe de Trump en raison de son « expérience des juridictions fédérales » et de sa réputation de « juriste exemplaire et intègre ». La juge Cannon n’avait pas subi de pressions pour rejeter Dearie comme si un loyaliste de Trump avait été recommandé. À l’annonce de sa nomination, Dearie avait même été félicité par les ennemis de Trump.

      Il y avait également un bénéfice lié au calendrier. En mettant fin à l’enquête du FBI sur Trump et en remettant le dossier à un maître spécial qui examinerait l’affaire (il n’y a pas de limite de temps légale pour la publication des conclusions de ce dernier), la Cour avait effectivement porté un coup d’arrêt au plan de l’État profond, qui était de mettre Trump en accusation avant les élections de mi-mandat. La juge Cannon a demandé à Dearie de terminer son examen des documents d’ici le 12 décembre et de présenter, entretemps, des rapports et des recommandations intérimaires.

      L’équipe de Trump a cependant essuyé un revers car le DoJ, qui avait fait appel au niveau fédéral du moratoire de la juge de district Cannon, a eu gain de cause : le FBI pouvait désormais reprendre son examen des documents marqués secrets, parmi les 11.000 emportées de Mar-a-Lago. Il n’y a pas eu moyen de les laisser entre les mains de Dearie, car si Trump ne s’était pas privé de clamer qu’il avait tout déclassifié, l’information n’avait pas été versée par ses avocats à son dossier. Dearie n’avait pas réussi à les persuader de déclarer officiellement que ces documents avaient bel et bien été déclassifiés par l’ancien président avant de quitter la Maison Blanche. Leur objection était que cela reviendrait à divulguer prématurément l’un des moyens juridiques que leur client pourrait être amené à utiliser au cas où “une” inculpation avait lieu. Les avocats n’avaient pas spécifié de quelle(s) inculpation(s) il pouvait s’agir.

      « La position du gouvernement part du principe que si un document est marqué confidentiel, il le reste indépendamment de toute action du président Trump pendant son mandat », avaient déclaré les avocats à la Cour, arguant que le président jouissait d’une « autorité absolue en matière de déclassification, » et que « ce n’était pas à un rond de cuir assis à son bureau à brasser de la paperasse, et qui tenait son autorité du président, de lui délivrer des autorisations chaque fois qu’il voulait déclassifier un document pour l’emporter chez lui et y travailler. »

      Ce à quoi Dearie avait rétorqué qu’ils“ne pouvaient pas avoir le beurre et l’argent du beurre”. Il leur fallait décider dans quel lit juridique ils voulaient se coucher. S’ils refusaient d’indiquer clairement le statut de ces 103 pages, Dearie les traiterait comme étant des documents classés secrets.

      En dépit de la jubilation du camp adverse, qui vit dans cette apparente déconvenue une défaite propre à rabattre le caquet à “ce Trump qui se croyait tout permis”, Trump avait le droit pour lui. Même Bloomberg avait reconnu, à contrecœur, dans un article de 2017 que ce privilège du président des États-Unis était choquant, mais conforme à la loi:

      « Le président a l’autorité que lui confère la Constitution de déclassifier toute information à sa guise. En d’autres termes, les lois fédérales qui criminalisent la divulgation de secrets classés ne s’appliquent pas à lui. L’autorité de qualifier des faits ou des documents de “secrets” revient au président en sa qualité de commandant en chef. »

      Pour Mark Levin, juriste constitutionnaliste, le FBI n’avait aucun moyen de justifier sa descente chez Trump. C’était un un abus de pouvoir manifeste puisque tout président des Etats-Unis avait indiscutablement le droit, prévu dans la Constitution, de déclassifier n’importe quel document et de l’emporter chez lui comme bon lui semblait. Selon lui, ce raid était un prétexte cousu de fil blanc pour faire une razzia chez Trump, farfouiller en son absence afin d’emporter de quoi l’incriminer dans l’affaire du 6 janvier, qui était passible de sanctions bien plus lourdes qu’une simple histoire de documents à archiver. Une affaire de documents emportés, qu’ils soient déclassifiés ou pas, ne pouvait jamais, au grand jamais, donner lieu à l’ouverture d’une enquête pénale contre un président, et du reste elle n’aurait jamais pu être diligentée aussi promptement. Les litiges relatifs à la conservation de documents officiels par d’anciens présidents donnaient généralement lieu à de longues négociations avec NARA, s’étalant sur plusieurs années, mais jamais à des raids du FBI pour les récupérer dans un laps de temps de seulement 18 mois.

      Du reste, s’il y avait eu de véritables soupçons de détention de matériel posant un quelconque risque sécuritaire, le mandat aurait été bien plus spécifique, commenta Levin. On ne rédige pas un mandat de perquisition en termes aussi généraux quand on cherche quelque chose de précis. Enfin, estimait-il, un même procureur était en charge des deux dossiers, celui du 6 janvier et celui du raid de Mar-a-Lago, et ce fait seul devait interpeller.

      Non, Trump n’a pas été piégé. Il n’est pas stupide. Il a peut-être lui-même provoqué le raid en faisant courir la rumeur qu’il conservait à Mar-a-Lago des documents très importants.

      Pour mieux saisir son modus operandi, il convient de se poser une simple question : pourquoi son ministre de la Justice William Barr n’avait-il pas fait leur affaire aux feds quand il était en poste et que Trump avait déjà toutes les preuves contre eux ? Pour laisser à Merrick Garland, au ministre de la Justice de Biden, le soin de le faire. Non seulement parce que cela serait mieux perçu, mais aussi pour tromper l’état profond, pour les laisser s’enfoncer toujours plus, et faire voir au public ce qu’ils étaient vraiment. Une ruse de guerre classique consiste à se mettre en avant, s’arranger pour se faire accuser afin de pouvoir contre-attaquer pour se défendre, en retournant l’accusation contre l’adversaire.

      Cela permettait aussi de faire coup double et de mettre en cause simultanément le FBI et le DoJ pour abus de pouvoir, au cas où Garland ne faisait pas son devoir en disciplinant le FBI.

      Vu sous cet angle, le revers infligé par la victoire en appel de Garland est probablement une opportunité de plus pour Trump de démontrer la mauvaise foi du DoJ. Trump prend donc son temps et donne l’impression de quelqu’un qui connaît déjà l’issue de la partie, ce qui lui permet d’avancer ses pions sans affolement. S’il peut se permettre de rester serein, s’il semble avoir le temps pour lui, c’est qu’en définitive, il doit avoir sa base couverte:

      D’abord, les documents que le DoJ lui a repris comme étant toujours marqués secrets, ne lui feront pas défaut puisque le 7 septembre, un second jeu lui a été remis par le journaliste Timothy Holmseth, de l’équipe de lutte anti-pédophilie du Pentagone. Ce dossier intitulé “Crimes contre l’humanité” contient les déclarations faites sous serment devant un tribunal du Minnesota par la lanceuse d’alerte et ancienne victime Jessie Marie Czebotar.

      Holmseth publia la nouvelle simultanément sur son site et sur la plate-forme “Truth Social” :

      « Le président Trump reçoit des preuves de crimes contre l’humanité :

      #OPERATIONALERTDONALDJTRUMP a REMIS les déclarations sous serment de Jessie Marie Czebotar, intitulées “Crimes contre l’humanité” au président Donald J. Trump par l’intermédiaire de son avocat Lindsey Halligan.

      De ce fait, même si le FBI a saisi ces documents lors de son cambriolage de la maison de Trump, un JEU complet de copies est désormais entre les mains de ce dernier.

      Mme Czebotar me les a remises et m’a autorisé à les publier.

      #OPERATIONALERTDONALDJTRUMP entre maintenant dans sa 2ème étape.”

      Ces documents ayant été personnellement remis à Trump, ils échappent aux contraintes susceptibles de peser sur les documents présidentiels, et rien ne s’oppose donc à leur divulgation.

      Dans une interview accordée à Nino Rodriguez, Jessie Czebotar s’est exprimée sur le litige qui continue d’opposer l’équipe juridique de Trump et le gouvernement, autour de la question de savoir qui a juridiction sur cette centaine de documents, classés secrets selon le gouvernement, déclassifiés selon Trump. Mais au-delà de cette querelle de classification, certains documents ne pouvaient jamais, selon elle, être classés secrets, de par leur nature même. C’était le cas des crimes contre les enfants, qui devaient toujours faire l’objet de divulgations. Les documents qui avaient été remis au président Donald J. Trump tombaient dans cette catégorie.

      En second lieu, que Trump parvienne ou pas à faire examiner par Dearie ces documents emportés par le FBI (au nombre de 103 pages), il faut avoir à l’esprit que le “Special Master” n’était pas pour Trump une fin en soi, mais une mesure qui lui avait permis de gagner du temps et de passer le cap des mid-terms, tout en donnant aux documents contestés un début de publicité. Mais Trump vise en fait leur divulgation devant la plus haute juridiction. Jessie Czebotar estime elle aussi qu’il faudra une juridiction plus importante qu’une Cour fédérale pour connaître des crimes décrits dans ces documents scellés, et que le FBI cherchait à récupérer (selon une version non expurgée de l’affidavit déposée auprès du tribunal). Car ce sont des crimes transnationaux, a-t-elle dit, de nombreux leaders politiques et membres de maisons royales y sont impliqués. Elle spéculait que la levée judiciaire des scellés sur ces documents risquait fort de donner le coup d’envoi à des déclassifications massives et à grand retentissement.

      Le 5 octobre dernier, Trump a justement réclamé l’intervention de la Cour suprême dans le conflit qui l’oppose au ministère de la Justice.

      « Dans ce qui était à la base un conflit de stockage de documents, mais qui a par la suite dégénéré, le gouvernement a cherché à tort à criminaliser la possession par le 45e président de ses propres documents présidentiels et personnels », ont écrit ses avocats.

      Trump continue d’affirmer que certains de ces fichiers sont protégés par le secret professionnel avocat-client, ou par l’immunité présidentielle. D’autres sont des documents personnels qui n’auraient jamais dû être saisis, comme son testament et son accord prénuptial.

      Comme pour apporter de l’eau à son moulin, des registres décrivant le contenu des centaines de documents confisqués par le FBI ont brièvement été mis en ligne sur le site de la Cour il y a deux jours, apparemment par erreur, avant d’être effacés. Trump s’est plaint que des dossiers protégés par le secret professionnel ou le privilège de l’exécutif n’auraient jamais dû être exposés sur la place publique.

      Samedi dernier, 15 octobre, la Cour suprême que Trump avait saisie a déclaré refuser d’intervenir dans cette affaire. Ce revers s’ajoute à une décision antérieure de la Cour d’appel du 11e circuit de retirer les cent pages litigieuses d’entre les mains de Dearie et de rétablir l’accès du DoJ au reste des documentsLe DoJ s’est empressé de faire un second appel dans la foulée, cette fois contre la désignation même d’un “Special Master”, montrant qu’il ne voulait à aucun prix d’un examen public des documents saisis à Mar-a-LagoIl sera intéressant de voir comment Trump compte s’y prendre pour forcer la Cour suprême à y mettre le nez. Son équipe juridique a jusqu’au 10 novembre pour présenter sa réponse. Il y a fort à parier que le remue-ménage actuel dans l’enquête sur l’ordinateur de Hunter Biden fera effet de levier…ou de détonateur. Les médias grand public ont commencé à évoquer ouvertement la destitution probable de Joe Biden, en lien avec les affaires véreuses de son fils en Chine et en Ukraine.

      Un autre avantage de la publicité donnée au raid est qu’elle a accéléré les ralliements de lanceurs d’alerte, et non des moindres. Deux semaines après le raid, quatorze agents du FBI qui déclaraient ne pas être d’accord avec leur hiérarchie avaient fait défection. Le mouvement se poursuit et s’amplifie.

      Thibault, l’agent spécial du FBI qui avait lancé l’enquête contre Trump, a été renvoyé et escorté hors du quartier général du Bureau, après avoir été soupçonné par le Congrès de parti pris dans son enquête sur l’ordinateur portable de Hunter Biden et sur le président Trump. Des dénonciateurs l’accusaient d’avoir caché au directeur du FBI Christopher Wray et au ministre de la Justice Merrick Garland le caractère partisan des preuves contre Trump, pour les persuader d’ouvrir une enquête contre l’ancien président. Cette enquête avait culminé avec le raid du FBI contre la propriété de Trump à Mar-a-Lago.

      D’autres démissions ont suivi, d’agents accusant la direction locale du FBI de leur avoir donné comme consignes de ne pas mettre le nez dans l’ordinateur de Hunter Biden ni dans les résultats de l’élection présidentielle de 2020.

      Un membre de la famille Biden y était aussi allé de ses dénonciations: Hallie, la veuve du fils aîné de Joe Biden, Beau, qui avait eu une liaison avec le fils cadet, Hunter. Le 29 août dernier, elle publiait le message suivant sur un compte Twitter ouvert le même jour:

      « Au milieu de tous les derniers drames et scandales entourant mon ex Hunter, je voulais juste dire que je fais officiellement mon coming out en tant que républicaine et supporter de Donald Trump + je suis prête à dire ma vérité, quoi qu’il en coûte. Je sais des choses sur cet ordinateur portable et sur cette famille, qui choqueront le public. »

      Suivait une série d’autres tweets tout aussi stupéfiants, tous datés du 29 août.

      « J’ai personnellement entendu mon ex beau-père à la Maison-Blanche parler de lancer un raid contre le président Trump. Joe savait tout. Tout. »

      « Et Obama en personne a dit que le FBI a planté ces documents à Mar-A-Lago. Ils veulent arrêter Trump pour espionnage, car ça peut chercher jusqu’à la peine de mort. La Maison-Blanche a explosé de joie quand le raid a eu lieu. Ils veulent le faire disparaître. »

      « Il y a déjà un acte d’accusation prêt, ils prévoient de déployer la Garde nationale pour réprimer toute agitation. Mais mon beau-père a demandé une retransmission télévisée, à l’échelle nationale, de Trump traîné hors de Mar-A-Lago menotté, et il est en train de préparer sa conférence de presse. »

      « Le mot de code qu’ils ont utilisé était “Snowden”. Ils veulent faire subir à Trump le traitement de Snowden et c’est ce qui est dans les actes d’accusation descellés. Il ferait mieux de quitter le pays et vite. La Russie n’extrade pas…Trump est mon héros. »

      « Le président Trump a gagné cette élection et toute ma famille le sait. »

      « La presse dissimule également les graves problèmes de santé de mon beau-père. Le plan est de permettre à Kamala d’être nominée en 2024. Trump me manque et je ne parle plus à aucun des membres de ma famille à cause de ce que Jill fait subir à Joe. »

      D’autres tweets avaient trait au rôle joué par Jill Biden et Obama dans la fraude électorale, le plan de désarmement des Américains, ou donnaient des détails salaces sur la vie privée de Hunter Biden, des Obama, des Clinton, et sur la pédophilie de Joe Biden. Elle affirmait ne plus être en relation avec sa belle-famille dont elle était dégoûtée. Le compte fut suspendu deux jours plus tard par Twitter, mais le fil complet archivé peut être consulté sur cette page de “Citizen News”.

      Les fact-checkers sont accourus pour affirmer qu’il s’agissait d’un faux, car le compte exprimait un “sentiment pro-Trump” explicite, et que Hallie Biden n’avait pas de compte Twitter, selon une porte-parole de la Fondation Beau Biden, interrogée pour la circonstance.

      Si elle n’en avait pas un avant le 29 août 2022, il n’était pas exclu qu’elle ait pu en ouvrir un ce jour-là pour faire son déballage, jusqu’à sa suspension par Twitter deux jours plus tard. Par ailleurs, la Fondation Beau Biden a une réputation plus que douteuse qui la décrédibilise d’emblée. Établie après la mort de Beau, le seul élément sain de la famille Biden, pour lutter contre la pédophilie, ce qui déjà fait sourire venant d’une famille qui a la la pédophilie inscrite dans son ADN, elle n’avait affecté en 2020 que 550.000 $ des 4 millions recueillis à sa mission proclamée.

      En revanche, les détails donnés dans les tweets et repris sur un compte Telegram ouvert le 30 août cadrent bien avec des faits qui sont de notoriété publique. On peut aussi assez facilement imaginer que Hallie, veuve de Beau Biden — qui avait entamé une liaison avec son beau-frère Hunter avec la bénédiction de Papa Joe, avant de découvrir en 2018 que son « fiancé » la trompait avec sa propre sœur Elizabeth, et qu’il avait de plus débauché sa fille de 14 ans — ait eu envie d’en découdre publiquement avec la « saga sordide » de cette famille. Et il est plausible, même si ce n’est pas prouvé, que le raid du FBI ait pu jouer le rôle de catalyseur dans sa défection. Après tout, Ashley, la propre fille de Joe Biden, avait ouvert la voie avec la publication de ses Mémoires dans lesquels elle levait le voile sur certains aspects de son enfance troublée, notamment l’insistance de son papa à vouloir prendre des douches avec elle…

      Plus de nouvelles de Hallie sur la toile depuis la clôture de son compte Twitter, si c’est bien d’elle qu’il s’agissait. En revanche, depuis deux jours, cela chauffe sérieusement pour Hunter Biden. Une enquête ouverte contre lui en 2018 a été réactivée. Les médias à grande circulation comme le “NY Post”“Fox News”, et même ceux de gauche comme “Yahoo News” et le “Washington Post” affichent en gros titres que “des e-mails, textes et photos choquants pourraient envoyer Hunter Biden dans une prison fédérale,” et que : “l’issue de cette affaire vieille de plusieurs années pourrait être imminente”. Joe Biden ne manquera pas d’en être éclaboussé, lui dont le nom a été mêlé aux malversations de son fils.

      Un dernier détail permet de penser que le raid ne se terminera pas bien pour Biden : sa date. Le 8 août est une date hautement symbolique, fatidique même : c’est un 8 août que le président Nixon démissionnait, suite au scandale du Watergate.

      Coïncidence ou petit clin d’oeil de l’histoire? Petit clin d’oeil de Trump, plutôt, qui a lâché le mot de Watergate dès le 8 août, ce qui est en soi remarquable, dans un message en trois parties, envoyé sur les réseaux sociaux, qui annonçait la couleur comme suit :

      « À Watergate, des agents s’étaient introduits par effraction dans les locaux du Comité national démocrate. Ici, ce sont des démocrates qui se sont introduits dans la maison du 45e président des États-Unis ».

      Il a ensuite parlé des enjeux…

      « Je me suis battu contre la corruption bureaucratique de l’Amérique, j’ai redonné le pouvoir au peuple, et je me suis engagé à fond pour notre pays, comme personne avant moi. Le système a détesté. À présent qu’on voit les candidats que j’ai soutenus remporter de belles victoires, et qu’on me voit en tête des sondages, on essaie une fois de plus de me barrer la route, ainsi qu’au Parti républicain ».

      L’épilogue était un appel à la fin de la persécution dirigée contre sa personne et une allusion à son retour à une position de leadership sur la scène politique américaine :

      « L’anarchie, la persécution politique et la chasse aux sorcières doivent être dénoncées et stoppées.

      Je continuerai à me battre pour le grand peuple américain !”

      Le raid du FBI n’a pas fini de faire des petits. Il est vraisemblable qu’il précipitera la chute du régime de Biden et enclenchera le processus de démantèlement de la cabale mondialiste au pouvoir aux États-Unis et ailleurs dans le monde.




      Le fait et l’interprétation du fait

      Par Alain Tortosa

      De l’art de raconter des histoires diamétralement opposées.
      L’impossible vérité ou l’impossible volonté ?

      1

      Nous l’avons vécu pour le Covid avec les morts causés « par la maladie » ou les morts causés « par le vaccin ». Depuis quelques mois avec « l’agression de la Russie contre l’Ukraine » selon les Occidentaux ou « la lutte contre les nazis » selon Poutine.

      Des « vérités » diamétralement opposées se télescopent sur une base factuelle identique.

      Ici les exemples ne manquent pas :

      • Les accords de Minsk.
      • La maternité de Marioupol.
      • Le bombardement de la centrale nucléaire de Zaporijjia.
      • Le sabotage du gazoduc Nordstream.
      • L’explosion du pont qui relie la Russie à la Crimée.
      • Etc.

      Je pourrais vous en citer des dizaines d’autres n’ignorant pas que la propagande est réelle de part et d’autre. Les uns affirmant que l’autre fait de la propagande tandis que l’autre camp affirme exactement le contraire. Est-ce à dire que la vérité avec un grand V n’existerait pas ?

      La propagande, la corruption et le mensonge

      Les historiens (pour le long terme) et les journalistes (à court terme) devraient être indifférents à la propagande et au mensonge.

      Adrien Goetz aurait dit :

      « L’histoire est un mensonge raconté par les vainqueurs ».

      Est-ce à dire que la Vérité avec un grand V ne peut exister ou serait-elle interdite ?

      Dans les faits l’historien ou le journaliste qui s’approcherait ou toucherait la vérité serait condamné à la solitude, à la vindicte médiatique, voire condamné.

      Un monde manichéen

      Quel que soit le conflit, hormis quelques pourritures conscientes de l’être et d’agir en conscience, l’écrasante majorité des individus a « la chance d’être du côté du bien ».

      Rendez-vous compte du bol que l’on a, nous français !

      Dans le conflit opposant actuellement les USA à la Russie (ces simples mots faisant de moi un traître complotiste), nous, Français, avons la « chance » d’être du côté du « bien ».

      Si vous allez interroger les Russes, ceux-ci vous diront la même chose, ils aussi ont la « chance » d’être aussi du côté du « bien ».

      Cette simple réflexion devrait être de nature suffisante à douter et nous permettre d’affirmer que le bien et le mal, « c’est plus compliqué que ça ».

      Il n’y a aucune place pour la nuance dans notre société.

      Le « journalisme » d’aujourd’hui n’est plus qu’un outil de propagande
      au service d’une idéologie, d’un mensonge d’État.

      Ce manichéisme est logiquement exacerbé en temps de guerre.

      Et ce n’est donc pas un hasard si notre « Président » affirme que « nous sommes en guerre » contre le Covid, en « guerre » contre le réchauffement climatique…

      Ni un concours de circonstances si nous avons eu un « conseil de défense » pour lutter contre quoi me direz-vous… contre un virus !

      Sur ces deux sujets, le terme de « guerre » relève sans aucun doute de la manipulation, du mensonge, obligeant la bipolarisation du fait. Les « pour » la politique du gouvernement, les « gentils » et les « contre », qui sont donc des « méchants ».

      C’est finalement aussi simple à comprendre qu’un film de Disney.

      M. Macron n’a pas affirmé en revanche que nous étions en « guerre contre la Russie », car pour le coup c’eut été factuellement la 3e guerre mondiale. C’est d’autant plus cocasse que la France a déclaré la guerre à la Russie en armant l’Ukraine, en la finançant et en mettant en œuvre des « sanctions » (mieux vaut en rire) contre la Russie. Nous agissons comme si nous étions en guerre, mais ne pouvons pas le verbaliser sans déclencher un conflit mondial.

      Dans une « guerre », il y a uniquement des « patriotes » et des « traîtres »,
      point de neutralité possible, point de débat, point de compromis.

      • Être contre les mesures dictatoriales inédites dans l’histoire de France mises en œuvre pour la plandémie Covid fait de tout un chacun, un complotiste et un traître, un ennemi de la France et de son peuple ainsi qu’un assassin potentiel de grands-parents comme cela a été affirmé maintes fois avec le concours de la « science ».
      • Être contre les mesures dictatoriales présentes et futures pour lutter contre « le réchauffement climatique » fait de tout un chacun un complotiste et un traître, un ennemi de la France, de l’ensemble des humains de la planète et même de toute vie terrestre avec le concours de la « science ». Tout est dans la « finesse » comme vous pouvez le voir.
      • Être contre les mesures prises pour lutter contre « l’odieux Poutine » fait de tout un chacun un traître, un ennemi de la France, de son peuple, mais aussi un ennemi des libertés et de la démocratie avec le concours des « experts ».

      Nous vivons dans les années 50 en plein Maccarthysme !

      Dès lors que l’on parle de guerre, dès lors que l’on introduit la notion de « vérité gouvernementale », toute nuance et toute Vérité objective devient de fait interdite et condamnable.

      La simple désignation de l’ennemi («virus », climat, Russie, etc.) est de nature suffisante
      à avoir la CERTITUDE que vous ne pourrez plus disposer
      d’une information honnête ni d’une liberté d’expression.

      Donc quand Macron nous dit « Nous sommes en guerre », vous SAVEZ que vous pouvez arrêter votre télé et que 100 % (je dis bien 100 % et non 99 %) de « l’information » que vous recevrez sur ces sujets sera un mensonge ou à minima une interprétation de la vérité !

      L’information multiple

      Certains (naïfs ou voulant faire l’autruche…) peuvent croire que nous vivons dans un monde où nous croulons sous l’information.

      Dans les faits c’est exactement le contraire.

      L’information mondiale (occidentale) mainstream dispose de 3 sources :

      • United Press (USA).
      • Reuters (Allemagne ou Royaume-Uni).
      • AFP (France).

      Une écrasante majorité de journaux se contente de faire un simple copier-coller de « l’information » sans la moindre contre-enquête, critique, commentaire, questionnement ou interprétation négative.

      Que vous achetiez l’Humanité, Libération, le Monde, le Figaro, Valeurs actuelles (pour ne citer qu’eux) vous ne constaterez aucune divergence de fond concernant ces 3 thèmes où « nous sommes en guerre »,

      Ce fait devrait aussi être de nature suffisante pour vous convaincre que vous ne recevez pas de « l’information », mais de la « propagande » dès lors que la source est unique et totalement orientée sur un seul modèle.

      C’est d’autant plus vrai que vous ne verrez pas dans la presse occidentale une information venant des agences de presse russes (Itar Tass ou Ria Novosti) ou chinoises (Xinhua) hormis dans les cas où cette information pourrait servir à les disqualifier.

      L’interdiction de la chaîne RT (Russia Today) est à mettre au crédit de la thèse du « Ministère de la Vérité » et de la propagande.

      Le « pluralisme » doit s’arrêter aux frontières
      de ce qui est admis comme vrai par la France et les Occidentaux.

      Il est du devoir de l’État de « protéger » le peuple fragile et manipulable afin d’éviter qu’il ne soit « contaminé ».

      La censure est présentée comme un outil de défense de la démocratie ET de la liberté d’expression.
      « Si nous laissons les extrémistes (les contradicteurs) s’exprimer,
      cela conduira à la dictature et donc à la suppression de la liberté d’expression.
      Il faut donc la limiter pour la préserver ». CQFD !

      Je n’ai pas entendu l’ensemble de la presse française s’indigner lors de la fermeture de RT. C’est plutôt le contraire auquel nous avons assisté hormis quelques déclarations timides, histoire de faire croire qu’il existait encore un semblant de liberté d’expression en France.

      J’entends déjà les aveuglés du système dire que la liberté existe en France, une preuve étant que je peux écrire et diffuser ce texte. Autorisé « oui », mais uniquement dans un cercle le plus restreint possible. Il ne sera JAMAIS repris et diffusé dans les médias mainstream ou uniquement pour le fact-checker et disqualifier l’auteur sans démontrer quoique ce soit.

      Pourquoi ne tuent-ils pas Facebook, Twitter et compagnie ?

      Ces réseaux sociaux font peur de toute évidence. Et c’est bien pour cela que de nouvelles lois permettant plus de censure voient le jour.

      Les organes de « vérification de l’information » qui ont fleuri sont des outils afin de « protéger » les crétins que nous sommes qui pourraient croire une vérité autre que celle qui nous vient d’en haut comme une bouillie prémâchée.

      Sans compter les hordes de trolls grassement payés par des officines gouvernementales pour répandre la « vérité » sur les réseaux sociaux, dénoncer et censurer les déviants. Plus vous risquez de toucher un plus grand nombre et plus vos comptes seront définitivement fermés. Dans « ce monde merveilleux de la censure pour le bien commun », les médias se sont réjouis de voir le compte d’un Président des USA élu démocratiquement censuré puis définitivement fermé !

      Alors, pourquoi ne pas interdire simplement les réseaux sociaux ?

      En premier lieu parce que cela se verrait un peu trop. On veut bien adopter les pratiques d’une dictature à la chinoise avec contrôle total de la population, mais il faut que cela reste quand même discret. Je vous rappelle que nous sommes les « démocrates » et les « gentils » et ce que nous produisons comme répression de la liberté d’expression est uniquement pour le bien de tous.

      Dans les dictatures, ils peuvent faire exactement la même chose, mais « contre le peuple », les pourritures, alors que nous c’est « pour le peuple » !

      Ce n’est quand même pas si difficile de comprendre, non ?

      Si les réseaux sociaux ne sont pas fermés (on sait le faire avec l’exemple de RT), c’est qu’ils permettent de répertorier facilement les leaders d’opinion (les « antifrançais, les déviants »).

      Mais aussi qu’ils permettent de toucher et « d’informer » (ou manipuler selon le point de vue) tous celles et ceux qui ont délaissé les médias classiques.

      Selon le site presse-citron.net2, 33 % des jeunes utiliseraient TikTok3 pour s’informer.

      Et de préciser :

      « … près de 20 % de vidéos contenaient de fausses informations. Concrètement, lorsque les utilisateurs effectuent des recherches sur des thèmes du moment tels que la guerre en Ukraine, les fusillades dans les écoles américaines, ou les vaccins contre le covid, ils tombent sur des informations erronées et/ou trompeuses »

      Une information « erronée » ou « trompeuse » étant bien sûr une information non disponible sur les médias mainstream, car contraire à la doxa.

      « Les experts ont parlé, la science a parlé, il y a consensus », donc taisez-vous !

      Il est donc indispensable que nos gouvernements œuvrent pour « ré-informer » tous ces jeunes manipulés et manipulables.

      Pas uniquement des corrompus

      Nous pouvons constater que ceux qui délivrent une information conforme à la doxa ne sont pas forcément conscients ou corrompus.

      Il y a ceux qui savent ou qui soupçonnent délivrer une information assez éloignée de la vérité, mais qui n’ont pas le courage d’ouvrir leur gueule de peur d’être « démissionnés ». Souhaitons qu’ils soient rattrapés un jour par leur conscience ou la justice des hommes.

      Restent les journalistes de « bonne foi », mais qui ont totalement oublié leur métier.

      À force d’entendre et répéter la même histoire, histoire qu’ils peuvent croire issue de sources différentes alors même que l’AFP est leur unique source « d’informations », ils peuvent finir par croire que l’opinion est partagée, le fameux « consensus » qui nous a été répété durant la crise Covid. Pour le climat, les journalistes disent toujours « tous les scientifiques sont d’accord pour dire » ce qui est un mensonge et une manipulation des masses.

      De plus, dès lors qu’il n’y a aucune place pour la contradiction, que cette opposition s’apparente à une forme de traîtrise allant à l’encontre de l’intérêt du pays, il est difficile de se remettre en question. Tout naturellement on invite sur les plateaux les « bonnes » personnes. Si l’on ajoute enfin le fait que cela fait 30 ans que son métier de journalisme se borne à être un passeur de messages, la remise en question n’en serait que plus violente.

      La vérité n’existerait pas, quid du fait ?

      Même s’il peut y avoir une forte propension à vouloir nier le fait qui irait à l’encontre du récit national, il n’en demeure pas moins vrai qu’il finit tôt ou tard par apparaître ou vous péter à la gueule.

      Dans le cadre du Covid on pourrait par exemple tenter de nier une surmortalité depuis l’avènement des injections, mais cela ne peut durer éternellement. Le fait sera ainsi confirmé, mais il y aura alors différentes interprétations quant aux causes.

      Pour les uns, il ne fera aucun doute que la cause en est le Covid ou le réchauffement climatique avec les chaleurs de l’été (y compris en Islande). Quant aux autres, ils attribueront l’augmentation au fait que cette surmortalité n’était pas présente avant les injections ou qu’elle ne se voit pas dans les franges de la population non vaccinée ou dans les pays qui ont pas ou peu injecté.

      On pourrait voir les mêmes causes ou effets concernant l’Ukraine et Nordstream :

      D’aucuns pourront nier dans un premier temps que le gazoduc a fait l’objet d’un sabotage, mettant en avant la thèse de l’accident pour être finalement obligés de reconnaître qu’il y avait bien sabotage. Le fait étant admis, on se concentrera alors sur son interprétation.

      Quand un Président ukrainien mis en place par l’administration américaine, qui plus est mauvais acteur jouant du piano avec sa bite dans un talk-show, corrompu, probablement accroc à la cocaïne, qui donne des médailles à d’anciens nazis, demande aux Américains de faire des frappes nucléaires (il suffit de l’écouter mot pour mot) préventives sur la Russie (tout ceci est factuel et donc « complotiste ») puis annonce que les Russes ont « encore » provoqué un crime contre l’humanité en Ukraine que se passe-t-il ?

      Les « journalistes » occidentaux :

      • Vont-ils chercher à confirmer, à croiser l’information ?
      • Vont-ils enquêter personnellement sur place ?
      • Vont-ils contre-enquêter pour identifier les vrais auteurs si les faits sont avérés ?
      • Vont-ils s’assurer qu’il ne s’agit pas d’une attaque sous faux drapeau ?
      • Vont-ils prendre en compte la crédibilité du déclarant et son passif ?
      • Vont-ils rectifier l’information et souligner alors le mensonge de Zelensky ?

      Absolument pas ! Ils vont présenter cette déclaration comme une information fiable, un fait avéré indiscutable !

      Attendez, j’en ai une bonne pour celles et ceux qui douteraient de l’horreur de Poutine. Voici ce qui est repris de nos jours par l’AFP comme « vérité ».

      Je cite :

      « Un responsable de l’ONU a affirmé que la Russie utilisait le viol comme « stratégie militaire » en Ukraine — fournissant aux soldats de la drogue pour agresser sexuellement des civils.

      « Quand vous entendez des femmes témoigner sur des soldats russes équipés de Viagra, c’est clairement une stratégie militaire », a déclaré à l’AFP Pramila Patten, représentante spéciale de l’ONU sur les violences sexuelles dans les conflits4 »

      (Pour le coup je vous mets le lien, vous risqueriez de ne pas me croire.

      Vous noterez que le soldat russe, incompétent et non motivé comme il se doit, enrôlé de force dans une guerre qui n’est pas la sienne, sans chaussettes5, a aussi la malchance de « bander mou ». Autant la logistique ne suit pas pour la nourriture ou l’essence, mais pour le viagra aucun problème !

      En revanche le soldat ukrainien ne viole pas lui, quand bien même il aurait une croix gammée tatouée sur le torse et qu’il aurait dit que les russophones étaient des sous-hommes à exterminer.)

      Je ne sais pas si l’information sur le Viagra a été reprise sur LCI, mais cela ne m’étonnerait guère.
      (Je suis encore naïf l’information a bien été reprise6.)
      Ils seraient capables d’en faire des heures sur la monstruosité du régime sans avoir procédé à la moindre enquête.

      « Moi j’ai entendu dire que Giorgia Meloni, élue « post-fascite » mangeait des enfants ! » Devrais-je passer cette « information crédible » à l’AFP afin qu’elle la relaye ?

      Il faut dire qu’il y a encore quelques semaines, voulant dénoncer la propagande pro-russe qui annonçait qu’il y avait des manifestations contre la dictature et la vie chère en France, LCI avait « rectifié » la « propagande russe » affirmant en direct à l’antenne qu’il n’y avait AUCUNE manifestation ce samedi à Paris ! Les gars incapables de vérifier s’il y a des manifestants à 500 mètres de chez eux ! Et lorsque leur mensonge a explosé à leur gueule, nous avons eu droit à une petite excuse de 30 secondes puis ils ont expliqué, nouveau mensonge à l’appui, que c’était une manifestation contre le passe-sanitaire et non l’inflation.

      Toujours rajouter du mensonge par-dessus du mensonge
      même ou surtout lorsque l’on est pris en plein flagrant délit.

      Qui peut encore croire au journalisme ?

      Un travail « sélectif »

      L’objet du journalisme n’est plus la recherche de la Vérité, mais une sélection d’informations qui visent à nourrir la thèse autorisée. Ils auront une « légère tendance » à ignorer les informations qui défendraient la thèse inverse.

      Prenons quelques exemples :

      Au mois d’août 2021, j’étais présent pendant les manifestations contre le passe-sanitaire à Toulon.

      De mémoire de Toulonnais, il n’y avait jamais eu autant de personnes dans la rue. Pas un mot dans les médias locaux comme France 3 ou BFM Toulon, pas même la présence de journalistes.

      En revanche, pour une manifestation de chauffeurs de taxi avec une dizaine de participants, ils sont là. Il y a donc une volonté affichée de ne PAS rapporter les faits et de manipuler les téléspectateurs.

      Quid du scandale du Lancet ?

      Le Lancet qui est censé être une publication scientifique médicale honorable, une des plus grandes de la planète, publie une étude sur l’inefficacité et la dangerosité de l’hydroxychloroquine. Les médias s’emparent de l’affaire et en font les gros titres, le gouvernement utilise alors cette « étude » pour faire interdire cette molécule qui était en vente libre depuis des dizaines d’années.

      Des scientifiques (pardon des « complotistes ») s’emparent du sujet et amènent la preuve que cette étude n’en est pas une, mais un FAUX. Pesez mes mots, le Lancet laisse publier un FAUX grossier. Au point qu’ils n’ont de choix que de faire amende honorable et la retirer (à ma connaissance les auteurs n’ont pas été poursuivis ou condamnés).

      Les médias se sont-ils emparés du sujet pour crier au scandale pendant des semaines ? Non !
      Ont-ils entamé une réflexion, invité d’autres intervenants que ceux qui crachaient sur la molécule ? Non !
      Ils ont continué à inviter les mêmes comme des Karine Lacombe, ayant des conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique et faisant la promotion d’une molécule concurrente inefficace dont la toxicité était avérée.

      Hier j’ai pu voir en live sur BFM le soin qui était mis pour ne pas écorcher la propagande :

      Interrogée sur l’évacuation de civils par les Russes en Ukraine (Kherson), la journaliste explique que les Russes reculent, ce qui est conforme au récit, les Russes ne pouvant gagner cette guerre ! J’imagine que la suite aurait été de dire « pourritures de Russes qui évacuent les civils pour raser la ville ! » Et voilà que cette journaliste, inconsciente de son erreur, annonce que les « ukrainiens tirent sur les infrastructures (là c’est OK) et sur les hôpitaux » ! Écran noir instantané, elle n’a même pas eu le temps de prononcer une syllabe de plus.

      Nous avons ici encore les faits et l’interprétation des faits.

      Les faits :

      • La journaliste n’avait pas terminé ses propos, avait de toute évidence d’autres informations à fournir et n’a pas pu poursuivre.
      • Il n’y a pas que « l’immonde poutine » qui ciblerait les civils, mais aussi les « gentils ukrainiens » qui bombardent sciemment d’autres Ukrainiens, qui plus est malades ou blessés.

      L’interprétation du fait :

      • Les aveuglés pourraient parler « d’accident », que la coupure ne prouve pas l’intention.
      • À ceux-ci je répondrais que tous ceux qui racontent une histoire différente (comme Anne-Laure Bonnel) sont interdits d’antenne. Mais aussi que cette synchronisation est étrange. Enfin que le journaliste sur le plateau soit immédiatement passé au sujet suivant sans dire : « Oh mince on a perdu notre correspondante, on va essayer de la contacter ». ni : « Vous avez entendu ce qu’elle vient de dire, un truc énorme, les Ukrainiens bombardent sciemment leurs propres civiles ».
        (Information inédite pour les journalistes, mais pas pour ceux qui ont accès à l’information sur l’Ukraine.)
      • Strictement RIEN de la sorte, on passe vite fait à un autre sujet qui n’a rien à voir. Et quand bien même ils reviendront ou reviendraient sur le sujet, ils s’arrangeraient pour que cette réalité de bombardements ukrainiens contre des Ukrainiens soit la faute aux Russes. Russes qui, s’ils avaient fait cela, seraient menacés une fois de plus de sanctions pour crime contre l’humanité.

      Tout ceci prouve que l’objet du journalisme n’est pas de rechercher la vérité, mais de faire le passeur d’assiettes, de raconter un récit qui lui a été dicté. Il doit tout faire pour rendre le discours crédible quitte à faire du révisionnisme historique et accuser l’adversaire de faire ce qu’il pratique tous les jours.

      Si la vérité n’existe pas, quid de l’interprétation ?

      Nous assistons de plus en plus à un effacement du fait au profit de l’interprétation comme cité dans les exemples précédents.

      C’est ainsi que Poutine :

      • « Après avoir bombardé la centrale nucléaire qu’il contrôle7 »
      • « Après avoir détruit son propre gazoduc. »
      • « Après avoir fait exploser le seul pont qui existe entre la Russie et la Crimée. »

      Les journalistes, à bout d’arguments un peu logiques pouvant justifier le geste, déduiront que l’individu est un malade mental ou qu’il a fait cela pour faire accuser les gentils (nous) qui ne sont pas tombés dans le panneau !

      On en est là, sur l’interprétation des faits !

      Nous sommes entrés dans une ère où la vérité ne se démontre plus, mais s’interprète,
      une ère dans laquelle l’affirmation s’autosuffit.

      Les exemples sont légion pour le Covid où les « vérificateurs de l’information » nous ont dit la vérité en allant interroger des experts en accord avec eux-mêmes ?

      « Est-il vrai que le vaccin ne protège pas de la contamination comme l’affirment les complotistes ? »
      « Nous sommes allés interroger le docteur machin, expert reconnu (mais aussi payé par l’industrie) qui a affirmé que c’est faux. »
      « Le vaccin divise par 12 le risque de contamination8. »
      « Nous avons donc la preuve que le vaccin protège des contaminations »

      À aucun moment le journaliste ne va poser la question des sources ou des hypothèses qui permettent à l’expert d’arriver à ces conclusions.

      Nous, ceux qui désiraient savoir, savions que c’était un mensonge. Nous savions que Pfizer n’avait pas étudié la protection. Cela a été confirmé il y a quelques jours par le laboratoire lui-même devant la Commission européenne. [Voir Maintenant qu’il est enfin reconnu officiellement que les vaxins anticovid n’empêchent pas la transmission, quelles sont les suites possibles ?]
      La réalité du mensonge est devenue médiatique, mais pour autant on s’en fout !

      « Tous vaccinés tous protégés ? ».

      Le passe-sanitaire a été mis en place sur une escroquerie connue de tous y compris de Véran. Le Conseil d’État9 a publié le 2 avril 2021 une décision (avec les données fournies par M. Véran) précisant :

      « Les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contribuer à sa diffusion. »

      Aujourd’hui, proportionnellement, il y a officiellement plus de cas, plus d’hospitalisés et plus de morts du Covid parmi les vaccinés que les non-vaccinés, n’en déplaise aux covidistes.

      Et n’en déplaise au covidistes, un vaccin « efficace » n’est pas censé provoquer de nombreux morts de la maladie parmi les vaccinés (je ne parle pas des effets secondaires).

      Et sauf bug de ma mémoire, je rappelle aussi à celles et ceux qui veulent l’ignorer que dans l’étude Pfizer qui a permis la commercialisation des injections, il y avait moins de malades du Covid dans le groupe des vaccinés, mais qu’il y avait plus de morts (toutes causes) dans ce même groupe que dans le groupe témoin10.

      Pour le sabotage du gazoduc, ça va être pareil :

      « Les USA ont-ils saboté le gazoduc ? »

      « Nous sommes allés interroger le gouvernement US qui a dit que ce n’était pas lui ».
      (Même s’ils avaient dit qu’il n’y aurait jamais de Nordstream 2, qu’ils en ont la capacité technique, qu’ils ont déjà saboté des pipelines russes par le passé.)
      « Donc ce n’est certainement pas les USA, mais probablement Poutine qui a oublié qu’il pouvait fermer le robinet. »

      Ici encore le journaliste ne demandera pas à l’expert les éléments ou les sources lui permettant de parvenir à sa conclusion.

      Faire une enquête !

      Cela peut sembler fou, mais il existerait une solution bien étrange pour parvenir à la vérité, enquêter !

      Il y a plusieurs façons de résoudre une énigme :

      • Le faisceau d’indices concordants.
      • Les preuves matérielles.
      • Les témoins.
      • Les menteurs.
      • À qui profite le crime ?

      Toutes ces méthodes sont balayées par la foi « nous pensons que » et « si tout le monde pense la même chose c’est que c’est vrai ».

      Celui qui pense autrement est « sénile », « fou », « déviant », « illuminé », « complotiste », « traître »
      et quand cela ne suffit pas il est « d’extrême droite et antisémite ».
      C’est l’argument journalistique choc et généralement unique,
      utilisé pour « démontrer » que l’autre a tort
      et qu’il ne faut surtout pas l’entendre et débattre.
      L’enquête s’arrêtera là où l’on demandera à un « expert » de confirmer cette « réalité ».

      Alors que c’est le b-a-ba du journalisme.

      Écouter, ne pas rejeter, aucun a priori, enquêter à charge et à décharge,
      puis informer objectivement sans prendre parti.

      Le « déviant » sera bien entendu accusé d’être contre les droits de l’homme ou la démocratie.

      Droits de l’homme et démocratie qui ont promu le confinement et un apartheid contre les non-vaccinés avec la bénédiction du Conseil Constitutionnel ou de la Cour européenne des droits de l’homme. Imaginez un pays ennemi qui aurait fait de même, c’eût été le tollé médiatique et le concert des vierges effarouchées pendant des mois.

      Enquêter ne semble plus exister

      Pourtant l’on sait aujourd’hui (mais pas sur l’instant du fait de l’absence de journalistes) que les USA avaient sciemment menti sur les armes de destructions massives ou les prétendus bébés koweïtiens arrachés des couveuses par les barbares de Saddam Hussein. Nous savons aussi que les USA auraient dû être condamnés moult fois pour crime contre l’humanité comme, par exemple, l’autoroute de la mort11 en Irak avec 80 km de voitures calcinées avec femmes et enfants cherchant à fuir la guerre.

      Nous savions en 2015 que l’État ukrainien était gangrené par des nazis12, nous savions qu’il tuait sciemment les civils ukrainiens russophones dans le Donbass13, que les Russes étaient considérés comme des sous-hommes. Ne comptez pas sur moi pour vous mettre de multiples références, il suffit de 5 minutes de recherche sur Internet pour trouver les articles de journaux mainstream qui sont devenus amnésiques. Vous pouvez aussi lire mes innombrables textes consacrés à ces sujets.

      Nous savons aussi que Pfizer est multirécidiviste dans la falsification de données, la corruption de scientifiques et de médecins et qu’il a été condamné à des milliards de dollars d’amende ou de transaction pour éviter les procès.

      Et cela n’empêche pas de faire du révisionnisme et d’affirmer que « Poutine est le méchant », les « USA les gentils » comme « Pfizer est un gentil qui a sauvé des millions de personnes grâce à son injection expérimentale ».

      Je ne prétends pas que Poutine est le gentil, mais il est peu probable qu’il soit plus pourri que les USA.

      Et si vous ne me ferez pas dire que la Russie est une démocratie, soyez bien convaincus que je dirais que la France n’en est pas une non plus.

      La vérité n’est plus issue d’un travail d’enquête,
      mais uniquement d’une conviction basée sur la doxa du moment.

      Vérité impossible, faits impossibles ?

      Tout dépend si l’on se pose la question d’un point de vue pratique ou théorique.

      Pratiquement la vérité est quasi impossible à obtenir pour les raisons citées précédemment. D’une part parce qu’elle pourrait être en contradiction ou en opposition avec le discours officiel (basé sur la « science » ou les « experts »), une forme de « traîtrise » et de l’autre parce que les vainqueurs écrivent l’histoire et les mythes.

      Aucun travail objectif ne saurait remettre en doute le récit historique de notre pays ou de la planète !

      • Les USA ont-ils provoqué la première ou la Deuxième Guerre mondiale ?
      • Le 11 septembre était-il une attaque terroriste ?
      • Pétain a-t-il sauvé des juifs ? De Gaule était-il un saint ? (c’est théorique, là j’aurais peur du procès.)
      • Gandhi était-il un héros de la paix ou est-ce un mythe ?
      • Pasteur était-il un escroc ? Les vaccins sont-ils efficaces ?
      • Etc.

      Poser sereinement ces questions frise le ridicule, vous en conviendrez…

      Je ne dis pas que les interrogations précédentes sont fondées (pas folle la guêpe), mais une enquête dont les conclusions seraient diamétralement opposées à la « vérité » ne saurait aboutir et se répandre.

      Si d’aventure [elle le faisait], une campagne de dénonciation, de dénigrement, voire même de procès, se mettrait en branle quand bien même les conclusions seraient historiquement et factuellement exactes.

      Le fait est que la Vérité est INTERDITE,
      car elle ne saurait déroger aux mythes ou à des intérêts politiques ou financiers.

      Vérité sur un plan théorique

      Prenons l’exemple du gazoduc russe.

      Pourrait-on arriver à une (quasi) certitude concernant l’origine du sabotage ?

      • Sur un plan théorique : Pourquoi Poutine aurait-il saboté son propre gazoduc alors que :
        • Il a coûté des milliards de dollars.
        • Il en a construit un deuxième malgré les oppositions des USA.
        • Il se priverait d’un moyen de chantage.
        • Il se priverait d’une manne financière importante.
        • Il pourrait mettre en concurrence des pays demandeurs (exemples : Allemagne et Chine) et donc faire monter les enchères. En multipliant les clients, on augmente sa sécurité.
        • Il avait la possibilité et il avait déjà fait usage de ce moyen de chantage en ouvrant ou fermant tout simplement le robinet.
        • Il a depuis proposé aux Européens d’avoir du gaz via la Turquie.
        • Il vend du gaz liquéfié aux Européens.

      La seule hypothèse serait sa « folie » d’un point de vue psychiatrique où la volonté de rendre coupable les USA, mais en sciant la branche sur laquelle il est assis, ce qui relèverait aussi de la psychiatrie.

      • Sur un même plan théorique : Pourquoi Biden aurait-il saboté les pipelines ?
        • Parce que son administration et lui-même l’avaient promis.
        • Parce que les USA n’en sont pas à leur coup d’essai en matière de sabotage de pipeline russe.
        • Parce que des explosifs avaient déjà été trouvés par les Suédois en 2015.
        • Parce que cela contraint les Allemands d’acheter du gaz américain 4 fois plus cher (et tellement plus polluant).
        • Parce que cela « libère » les Allemands de leur dépendance à la Russie.
        • Parce que cela augmente leur dépendance à l’OTAN et aux USA.
        • Parce que la guerre froide n’est pas terminée et que les États-Unis veulent détruire la Russie.La seule hypothèse contre serait que cela pourrait conduire à la 3e guerre mondiale.
      • Sur un plan technologique :
        Il est facile d’enquêter sur les capacités techniques de la Russie à mener à bien l’opération. Les Américains ont la technologie, c’est certain. Quant aux Russes, c’est moins sûr et d’autant plus que l’Occident les décrit aux abois depuis des mois.
      • Sur la faisabilité :
        C’est une des zones les plus surveillées de la planète. Capteurs sous-marins, capteurs thermiques, sous-marins, bateaux de reconnaissance, radars, avions, hélicoptères, drones, etc.
        Il est virtuellement impossible que les Russes puissent entreprendre une telle opération (longue à mettre en œuvre) sans que les alliés s’en rendent compte ni éveiller les soupçons.
      • Sur l’analyse factuelle :
        Les Américains se sont livrés à ce type d’exercice de sabotage de gazoducs.
        Des hélicoptères américains ont survolé le pipeline ces derniers mois.
        Il y a eu des exercices militaires des Américains dans la zone.
        Ils se sont arrêtés aux points des explosions.
      • Sur les preuves :
        Une telle opération nécessite de puissants moyens matériels et une coordination de nombreux participants.
        Il n’est pas possible de mener à bien ce sabotage sans des ordres venus de haut, et donc impossible que ce soit une initiative personnelle.
        Dans l’hypothèse d’une action américaine, l’ordre n’aurait pu venir que de la CIA ou de la maison blanche.
        Dès lors il y a de très nombreux témoins, de très nombreux échanges de mails entre les intervenants.
        Cela veut dire que des enquêteurs ou des journalistes qui s’en donnent les moyens peuvent parvenir à assembler suffisamment de preuves, de faits, pour identifier le ou les coupables.
        Si les Occidentaux avaient des preuves solides sur la culpabilité russe, ils ne se priveraient pas de les communiquer au public.

      Ceci pour dire que l’on peut savoir avec certitude (et non de simples affirmations gratuites ou hypothèses) qui a mandaté le sabotage. Ce n’est qu’une question de volonté.

      Le fait que les pays qui ont mené leur enquête n’arrivent qu’à la conclusion que c’est un sabotage sans citer le nom des coupables. Qu’il l’ont mené séparément et non conjointement et que les Russes étaient interdits d’enquête, constitue un faisceau de présomption de plus en défaveur des américains.

      Même quand la vérité explose, elle est niée

      C’est encore comme pour le Covid, si on n’enquête pas à charge et à décharge, si l’on fabrique des vérités uniquement à coup d’affirmations, c’est une façon d’avouer que l’on ne cherche pas la Vérité, mais à manipuler l’opinion.

      Comme le triple mensonge de l’asymptomatique positif potentiellement tueur de grand-mère, de la prétendue absence de traitements, mais surtout de la protection des non-vaccinés par les vaccinés qui est une manipulation programmée. Sans ce mensonge hier dénigré, mais aujourd’hui reconnu par les vérificateurs de l’information, il n’y aurait JAMAIS eu de vaccination obligatoire pour les soignants et assimilés ni le passe vaccinal.

      Les journalistes présentent-ils massivement des excuses ?
      Les médecins présentent-ils des excuses ?
      Les politiques présentent-ils des excuses ?
      Les soignants suspendus qui n’ont pas fait de faux passe, comme leurs collègues, sont-ils réintégrés ?
      Non.
      Il est désormais officiel que la vaccination ne protège pas ni les vaccinés ni les non-vaccinés et pourtant l’obligation vaccinale demeure.

      Pourquoi ?
      Pour les punir, pour bien montrer à tous les autres lâches ce qui arrive quand on désobéit et quand on ouvre sa gueule !

      Il n’y a RIEN de sanitaire dans ces décisions uniquement politiques. Nous voyons donc que lorsqu’une vérité connue et cachée au peuple depuis le début vous éclate à la gueule alors on la cache sous un tapis.

      Le plus extraordinaire est que l’on pourrait aussi s’excuser auprès de ceux que l’on nomme complotistes. Ces mêmes médias sont encore en train de les accuser de travestir la vérité, allant même jusqu’à dire « non non on a jamais dit que ça empêchait les transmissions ».

      Même pris la main dans le sac d’une petite vieille, ils continuent à mentir !

      Les journalistes ne sont plus des diseurs de vérité,
      ils ne sont même plus des camoufleurs,
      ils sont devenus sciemment des fabricants de mensonges.

      Pour résumer

      Nous vivons dans :

      • Un monde dans lequel l’affirmation d’un animateur vaut plus que celle d’un scientifique qui base ses conclusions sur des études.
      • Un monde dans lequel on ne demande pas à un « spécialiste » (alors que c’est obligatoire) les conflits d’intérêt qu’il pourrait avoir avec le gouvernement ou l’industrie pharmaceutique.
      • Un monde dans lequel on ne demande pas à un témoin d’où vient sa source et si elle est crédible.
      • Un monde dans lequel on se contente de lire les conclusions d’une étude quand bien même l’étude dirait le contraire.
      • Un monde dans lequel on accuse l’ennemi de réécrire l’histoire alors même que l’on écrivait le contraire quelques années auparavant.
      • Un monde dans lequel les détracteurs sont qualifiés d’illuminés, de complotistes et j’en passe.
      • Un monde dans lequel on cherche à faire croire à l’opinion publique que les opposants sont marginaux, ultra-minoritaires alors qu’ils sont juste privés de parole.
      • Un monde dans lequel les « erreurs de casting » entraînent le bannissement. Régulièrement un invité dit le contraire du discours officiel et n’est plus jamais réinvité.
      • Un monde dans lequel les journalistes ne vérifient jamais l’information qui les arrange.
      • Un monde dans lequel les journalistes affirment que tel ou tel n’a pas le droit d’affirmer une opinion contraire à la doxa, sortant de leur rôle de journaliste, de témoin.
      • Un monde dans lequel un journaliste de terrain qui a passé des années au Donbass est qualifié de pro-russe ou pro-poutine dès lors que son discours est en opposition au discours officiel,
      • Un monde dans lequel la parole d’un journaliste de plateau a plus de valeur que celui de terrain.
      • Un monde dans lequel les journalistes cachent sciemment des faits dont ils ont connaissance.
      • Un monde qui ne recherche absolument pas la vérité.
      • Un monde qui cache la vérité.
      • Un monde qui fabrique une vérité alternative conforme au discours officiel.

      Merci.

      Alain Tortosa14
      20 octobre 2022
      https://7milliards.fr/tortosa20221020-verite-faits-journalistes.pdf





      Quels sont les « médias » les plus propagandistes ?

      Par Lucien SA Oulahbib

      À vrai dire tous, ou pratiquement (hormis une poignée pas plus et surtout sur les réseaux dits alternatifs). Les « médias » des sociétés autrefois « démocratiques » rivalisent désormais avec ceux des sociétés dites « illibérales » ou totalitaires. Ainsi, dans le domaine de la Santé par exemple, un des leurs s’en est pris à Riposte Laïque parce qu’un article (non cité, sans lien) aurait conseillé de « boire un mélange de chlorure de magnésium et d’eau » contre la Covid-19, d’après cette prose lanceuse aussi de sortilèges lorsqu’elle présente R. L. comme étant « anti-islam, extrême droite, complotiste ». Alors qu’il est possible de lire sur le site « journal des femmes » que ce traitement est déjà au moins conseillé pour combattre « une mauvaise réaction de défense immunitaire ». Or, n’est-ce pas précisément l’enjeu même dans cette maladie, y compris pour les injections qui se vantent de la combattre en mettant en avant la remontée des anticorps ?…

      Mais en oubliant d’analyser qu’exciter sans cesse cette remontée ne suffit pas (d’où l’échec actuel des « rappels” incessants), y compris pour les formes graves et certainement pas pour les personnes ayant une immunité suffisante comme une solide littérature le souligne désormais, qu’il s’agisse des travaux du Conseil Scientifique Indépendant, du site Covid-factuel, des spécialistes en immunologie interviewés par FranceSoir.

      Bien sûr ces médias propagandistes vont, d’emblée, « tuer » la source (en l’ensorcelant de bave faite des mots maudits) en s’employant parfois à agrémenter leurs jets de quelques « études » souvent mal ficelées ou médiocres ou encore faites dans un coin de laboratoire (telle celle prétendant prouver l’efficacité de la muselière ou des gestes dits barrières) soulignant au fond seulement que lorsque l’on est effectivement grippé ou enrhumé on prévient autrui et l’on fait plus attention…

      Mais loin de ces précautions d’usage, et plutôt proche de cette fausse opposition entre médecine préventive naturelle homéopathique et médecine allopathique, nos propagandistes de “grand chemin” (au sens où ce sont des braqueurs de vérité qui éliminent même les porteurs sains par les sorts jetés contre eux) martèlent à qui mieux mieux leurs mensonges pour bien enfoncer leurs clous cruellement crus sur le cercueil de ce qui fut autrefois le journalisme, la science, la morale et la politique….

      Car leurs méfaits s’étendent, se répandent partout, une vraie, une gigantesque, marée noire de contrevérités construites avec de faux chiffres et courbes (la nouvelle numérologie mystique et ses gris-gris) en matière de climat, de guerre, d’islam ; comme si, respectivement, le premier avait toujours été « réglé », une fois pour toutes, la seconde était toujours la faute d’un seul des belligérants, le dernier un bloc monolithique qui ne connaît déjà pas en interne de multiples divisions, frictions, voire guerres, sans que l’on ne puisse dire que chacune de ses factions soit d’emblée « islamophobe »…

      Ces « médias », au fond, en tuant ainsi le débat, la tolérance, la science sont devenus des machines mortes manipulées par des zombies obscurantistes qui cherchent précisément à « obscurcir » les faits, à faire peur, au nom d’une fausse morale (dont ils n’ont cure : fais ce que je te dis…), ce qui sert cependant à décerveler les masses apeurées, à coloniser en effet « leur part de cerveau disponible » afin de la rendre plus malléable à une propagande jamais vue en réalité depuis des décennies (d’où la difficulté désormais de différencier ces « médias » de ceux fabriqués dans les pays ouvertement totalitaires).

      Nous voilà donc revenus au temps de la presse clandestine qui peut parfois se faire attraper, clouer au pilori, puis tuer, non seulement verbalement, mais réellement, allant ensuite pleurer des larmes de crocodile sur le corps mutilé de Samuel Paty, alors qu’il a toujours été seul, isolé, lâché par sa hiérarchie et par tous ces gens qui aujourd’hui se précipitent sans honte sur sa tombe alors qu’ils ont armé ceux qui l’ont tué et menacent de tuer encore en empêchant tout débat, en diabolisant, en se comportant en bras armés de l’Ignorance volontaire.




      Les nazis ont-ils gagné la guerre ?

      « Le Maître du haut château1 »
      Les nazis ont-ils gagné la guerre ?

      À Shanti…

      Typiquement le genre de titre qui pourrait réjouir certains complotistes et conforter les hypnotisés sur ma « folie » déviante.

      Pour celles et ceux qui l’ignorent, « Le maître du haut château », « The man in the high castle » est un roman écrit en 1962 par Philip K. Dick. Je vais ici vous parler de la série télévisée inspirée du livre actuellement disponible sur le bouquet Amazon Prime, merci Jeff2, toujours là pour aider !

      Les lignes qui suivent vont donc vous révéler certaines intrigues de la série et j’invite tous ceux qui seraient désireux de la voir (en gardant tout le suspens) de ne pas lire les paragraphes consacrés.

      « Le maître du château. »

      L’intrique se déroule dans les années 1960 principalement sur le territoire des États-Unis. La différence de taille, par rapport à notre époque, est que les nazis et les Japonais sont sortis vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale.

      Le territoire Nord-Américain est ainsi divisé en 3 parties :

      • L’est pour le Reich.
      • L’ouest pour l’empire du Soleil levant.
      • Et une zone neutre sans droit, en son centre.

      Un des points intéressants de la série est qu’elle ne fait pas dans le manichéisme de base cher à Disney ou à Hollywood. Les pourritures ne le sont pas tant que ça, et ils sont parfois plus humains que les résistants américains.

      Je ne doute pas que vous appréciez me voir vous narrer une série, mais vous aurez bien compris que l’objectif de mon texte n’est pas là.

      Les « valeurs » du Reich après guerre

      Il est de bien entendu que les nazis ont exporté leurs « idéaux ». Être juif sur ce territoire relève de la folie, les noirs étant quant à eux considérés comme des sous-hommes à la limite de l’animal.

      Dans ce monde « idyllique et harmonieux » (pour les Aryens), point de souffrances, point d’inutiles, points de handicapés, point de violence (autre que celle du régime).

      Comme « au bon vieux temps », les inutiles sont éliminés pour leur « bien » et le bien du Reich. L’objet de ce nettoyage ne se veut pas uniquement eugéniste, mais a pour but d’éviter la déchéance et la souffrance à tous ces malheureux de la vie.

      Le « Service de Santé du Reich » est donc là pour « abréger les souffrances » des malades mentaux, des handicapés moteurs et de tout individu qui serait condamné par une maladie incurable.

      Cette composante « humaniste » et « généreuse » est affirmée par la propagande nazie et développée dans de nombreux ouvrages « scientifiques et philosophiques ».

      « Thomas Smith. », citoyen du Reich.

      Dans la série, il est le fils aîné de l’Obergruppenführer John Smith, un nazi haut placé fidèle à sa patrie qui n’hésite pas à faire tuer et torturer quand cela est nécessaire pour le bien de la patrie.

      Thomas est un bon petit, d’une quinzaine d’années, dévoué et intègre, membre actif comme il se doit des jeunesses hitlériennes, fier de sa famille, de son pays et de son papa.

      Tout irait pour le mieux quand, lors d’une visite de routine, le médecin de famille (aussi haut gradé) découvre que Thomas souffre d’une maladie génétique neurodégénérative pour laquelle il n’existe aucun traitement. Il est condamné à relativement court terme.

      John et sa femme évoluent alors dans leur mentalité. Les lois « généreuses et humanistes » du Reich voudraient que Thomas soit immédiatement euthanasié avant que les symptômes handicapants et la souffrance ne fassent leur apparition.

      Pour eux, leur fils doit vivre, ils sont et demeurent avant tout des parents, nazis ou pas. Ils prévoient ainsi de le faire partir pour un voyage d’études en Amérique du Sud où il « disparaîtrait » suite à un « enlèvement ».

      Mais le médecin de famille, conscient de son devoir, explique au père que s’il ne dénonce pas lui-même son fils aux autorités, il s’en chargera. N’ayant plus d’échappatoires, l’Obergruppenführer tue le médecin et camoufle sa mort en crise cardiaque.

      Thomas serait ainsi sauvé !

      Jusqu’au moment où le drame se produit… En voyant son père en direct à la télé à Berlin, récompensé d’avoir sauvé le Reich et ses valeurs, Thomas comprend son devoir et commet l’irréparable.

      Il se dénonce volontairement auprès du Service de Santé du Reich qui vient le chercher à son domicile pour le tuer « humainement ».

      Cet enfant est à ce point fier de sa patrie, fier de sa famille, à ce point imbibé des « valeurs » du Reich, qu’il va « volontairement » se faire éliminer pour ne pas devenir un parasite inutile à la patrie.

      Ainsi ni lui ni sa famille ne seront les témoins de sa déchéance. Il vit donc son suicide assisté comme un acte de bravoure dont toute la famille pourra être fière.

      ** fin de l’évocation de la série **

      « Remercions le ciel de ne pas vivre dans un tel monde de nazis. »

      Les alliés ont gagné la Deuxième Guerre mondiale, les nazis ont perdu et la dictature immonde d’Hitler s’en est allée.

      Nous avons la chance de vivre dans une « démocratie » si loin des « valeurs immondes véhiculées par l’idéologie nazie » (quand bien même elle est partagée par de nombreux Ukrainiens nostalgiques du Reich).

      Point d’eugénisme dans notre pays et notre belle Europe !

      Euh, vous en êtes bien sûr ?

      95 % des grossesses conduiraient à un avortement en cas de détection de trisomie3.

      Je vous rappelle que le diagnostic de trisomie n’est pas une science totalement exacte, mais un faisceau d’indices plus ou moins forts. Ce qui veut dire que chaque année des enfants désirés et en pleine santé sont privés du droit à la vie.

      C’est d’autant plus paradoxal que le nombre de lois pour respecter la dignité et les conditions de vie des handicapés ne faire que croître. Que de campagnes de lutte contre la discrimination alors que dans le même temps il y a une politique eugéniste organisée et valorisée.

      Il y aurait 450 naissances d’enfants trisomiques par an en France. La prévalence de la maladie serait 1 sur 700 à 800 grossesses.

      Notons qu’il y a eu en France en 2020, 222 000 interruptions de grossesse4 pour 697 000 naissances5, soit un total de 919 000 grossesses.

      Selon l’OMS :

      « Environ 73 millions d’avortements provoqués ont lieu chaque année dans le monde6. »

      Il devrait y avoir environ 1100 naissances trisomiques par an (sans tenir compte des fausses couches).

      « Une étude publiée par la revue European Journal of Human Genetics estime qu’entre 2011 et 2015, il y a eu chaque année 8 000 naissances d’enfants porteurs de trisomie 21 en Europe. Sans interruption médicale de grossesse, ce chiffre aurait atteint 17 331 naissances7. »

      Sur 4 ans notre société a donc empêché la naissance d’environ 8 000 enfants « pas comme les autres ».

      L’Islande un exemple à suivre ? Le magazine « génétique8 », qui se targue d’être le premier site de « Bioéthique » (je ne sais pas si il faut en rire ou en pleurer).Celui-ci note les « progrès » citant par exemple le Danemark où « 95 % des bébés porteurs de trisomie 21 sont avortés ». Quant à l’Islande, pays de grands espaces et d’harmonie, « aucune naissance de bébé trisomique n’a été recensée depuis 2017 ».

      Rappelons que l’avortement, en l’occurrence le meurtre, si il est pratiqué sur un fœtus viable, est autorisé jusqu’à la naissance pour les bébés qui seraient trisomiques.

      Comment appelez-vous le fait de sélectionner volontairement les enfants à naître
      selon leurs caractéristiques génétiques sinon de l’eugénisme ?

      Ah bien sûr, c’est pour éviter des souffrances… mais n’est-ce pas le même principe évoqué dans la série « le maître du haut château » ?

      « Nous ne sommes pas comme des nazis, nous ne tuons pas des personnes dans la fleur de l’âge, en bonne santé physique. Et encore moins des malades mentaux ! »

      Comment puis-je oser une telle question alors que nous vivons en France et en Europe dans les patries des droits de l’homme !

      Pour autant, le 7 mai 2022 les services de santé belges ont « assassiné » à sa « demande », une jeune femme de 23 ans9

      • Cette femme était-elle en fin de vie ? NON !
      • Cette femme avait-elle une perte d’espérance de vie ? Non !
      • Cette femme avait-elle une maladie physique incurable ? NON !
      • Cette femme avait-elle des souffrances physiques ? NON !

      Cette femme témoin de l’attentat en 2016 dans l’aéroport de Zaventem n’y avait pas été blessée.

      Le média précise :

      « Au printemps dernier, sa demande d’euthanasie a été acceptée par la Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie, au motif d’une “souffrance psychique irrévocable et permanente. Elle est morte entourée de sa famille »

      Cela veut dire que cette jeune femme souffrait d’un trouble de stress post-traumatique !

      Elle avait ce que l’on nomme une maladie psychiatrique ou mentale selon le vocabulaire, maladie exacerbée par le traumatisme de l’attentat.

      Notre société a accepté la mise à mort d’un humain
      « à sa demande » pour maladie psychiatrique.

      Libre arbitre ?

      Je vous rappelle que pour tout traitement, et je précise bien « traitement » et non « mise à mort », le consentement libre et éclairé du patient doit être obtenu.

      (Vous n’imaginez pas ma souffrance en écrivant ces lignes.)

      Le Conseil national de l’Ordre des Médecins10 précise :

      « … Le majeur sous tutelle.
      S’il est apte à exprimer sa volonté, son consentement doit être recherché. S’il est hors d’état de consentir aux soins en raison d’une altération de ses facultés mentales, le tuteur prend alors le relais, mais de façon encadrée. »

      Nous avions à faire, sans l’ombre d’un doute, à une personne suicidaire, souffrant de trouble mental et sa demande a été acceptée par notre société.

      Ce que certains nomment « suicide assisté » me laisse aussi perplexe d’un point de vue psychiatrique.

      Pourquoi cette personne qui aurait fait la demande à plusieurs reprises selon les médias ne s’est-elle pas suicidée ? Il ne s’agit ici nullement d’une personne âgée grabataire, en soin palliatif ou inconsciente, mais d’un être humain physiquement « fonctionnel ».

      Celle-ci avait d’ailleurs remplacé sa photo de profil Facebook11 le 11 mars par une photo gaie et pleine de vie.

      Pourquoi a-t-elle fait appel aux autorités pour mettre fin à ses jours ?

      Les méthodes ne manquent pas, des plus brutales en sautant du 8e étage ou sur les rails d’un train, aux plus douces comme l’ingestion de médicaments causant la mort. Je suis certain qu’il existe une multitude de sites expliquant avec moult détail comment se donner la mort efficacement et sans souffrance.

      L’interrogation est d’autant plus forte qu’elle aurait fait une tentative de suicide12 en 2020. De plus elle aurait refusé13 de rejoindre un groupe de soutien pour les victimes de l’attentat afin de se faire aider.

      D’un point de vue psy, il est intéressant de se demander si sa demande était profondément ancrée en elle ou si elle constituait en un appel à l’aide ? Une fois sa demande d’euthanasie active lancée, difficile de revenir en arrière !

      Elle est certainement passée du stade de « femme sans espoir et sans but hormis une souffrance éternelle » à « femme avec un nouveau sens à sa vie, celui de la reconnaissance de sa souffrance et se faire tuer par la société ».

      J’ai l’intime conviction que la bataille d’expert qu’elle a dû mener a rendu cette jeune femme « vivante ». Elle a donc été tuée par la société alors qu’elle n’avait pas été aussi vivante depuis des années ! Il est délirant de voir que les psychiatres chargés d’analyser sa demande n’aient pas perçu (ou qu’ils aient ignoré) ces faits.

      Il est merveilleux de constater comment ces prétendus médecins ont trouvé la solution finale pour transformer leur incompétence en succès.

      Alors que ces « soignants » devraient présenter des excuses en disant
      « nous sommes impuissants, notre savoir est de paille,
      nous ne savons pas soulager la souffrance
      et nous allons nous battre pour progresser ! ».
      Ceux-ci présentent comme une « victoire » le fait de dire
      « Nous allons tuer un être humain pour abréger ses souffrances
      comme on abat un cheval ! ».

      Un cas isolé ?

      Depuis les années 2000, date de la légalisation de l’euthanasie en Belgique, le nombre ne fait qu’augmenter avec un total de 2 699 euthanasies déclarées ! Soit un doublement depuis 2012.

      La commission précise qu’un tiers des tués avait moins de 60 ans, soit 869 personnes !

      Les données indiquent aussi que 50 souffraient uniquement d’affections psychiatriques. Si l’on rajoute les personnes souffrantes de troubles physiques ET psychiques, 20 % soit 540 personnes de plus, alors on peut affirmer le nombre d’euthanasies pour des personnes impactées par des troubles psy à 600, soit 22 % du total !

      600 personnes ne bénéficiant pas d’un jugement objectif, car altéré par des troubles psy,
      ont été autorisées à se faire tuer depuis la légalisation de l’euthanasie.

      Et si on tuait aussi les enfants ?

      « Il y a un an était promulguée la loi du 28 février 2014 « modifiant la loi du 28 mai 2002 relative à l’euthanasie, en vue de l’étendre aux mineurs ». La Belgique devenait ainsi le premier et seul pays au monde à autoriser l’euthanasie de mineurs sans qu’aucune condition relative à l’âge de ceux-ci ne doive être rencontrée.

      Réalisez-vous, pesez-vous les mots que vous venez de lire ?

      « Aucune condition relative à l’âge »

      Et de rajouter :

      « Certains s’en sont félicités, rappelant le rôle « pionnier » joué par la Belgique dans la mise en place d’un cadre légal pour l’euthanasie, présentée comme ultime “acte d’humanité” dont tout patient, majeur ou mineur, devrait pouvoir bénéficier14. »

      « Rôle pionnier ! »
      « Ultime acte d’humanité ! »

      Ceci voudrait donc dire (comme dans cette série avec les nazis) qu’il serait non pas uniquement légal, mais « humain » de tuer un enfant de 10 ans en dépression prolongée suite à une rupture amoureuse !

      Vous pourriez me dire que j’exagère et je vous dirais de revenir lire ce texte dans 5 ans. Si nous n’avons pas vaincu le satanisme, il est probable que cela sera devenu monnaie courante.

      Je suis bon prince, je vais faire évoluer mon scénario :

      Imaginons que non loin de cette femme de 23 ans légalement tuée, il y eut le jour de l’attentat (elle avait alors 16 ans), un enfant de 10 ans avec ses parents. Ses parents, qui plus est sa seule famille, sont déchiquetés par l’explosion sous ses yeux. Lui a le bras arraché et en plus du stress post-traumatique il a d’énormes douleurs « physiques » fantômes dans le bras que les antidouleurs ne soulagent pas. Deux ans après l’accident, il demande alors à être euthanasié, il aurait alors 12 ans.

      Au nom de quoi les « gentils enculés » lui refuseraient-ils ce geste « d’ultime humanité » à l’âge de 16 ans ?

      Ils « sauraient », comme pour la jeune fille de 23 ans, que sa souffrance serait « irrévocable » alors même qu’il aurait encore 70 ans d’espérance de vie !

      Mais pourquoi n’accéderaient-ils pas à sa demande « légitime » et « légale » de mise à mort ?

      Pente savonneuse, une euthanasie « humaine » ?

      Le doigt a été mis dans l’engrenage et il est à prévoir que des enfants de cinq ans à l’espérance de vie longue comme le bras seront euthanasiés tôt ou tard. J’écris « seront » en priant que ce ne fut pas déjà le cas…

      Celles et ceux qui font les malins aujourd’hui en pérorant :

      « Je ne veux pas de déchéance, je veux être euthanasié sur le champ si je deviens grabataire. »

      … n’ont pas été confrontés à la réalité de la mort.

      Croyez bien qu’au moment où celle-ci s’approchera à grands pas, ils seront nombreux à regretter leur joli papier de décision purement intellectuelle.

      Combien de petits cancéreux demandent leur mise à mort ou renoncent à vivre parce que le personnel soignant leur a bien fait comprendre qu’ils sont foutus, qu’ils dérangent, qu’ils coûtent une fortune à la société ou qu’ils font souffrir inutilement leurs parents désespérés ?

      Hormis des cas exceptionnels, il est possible de soulager la douleur physique. Donnez de l’espoir ou ne serait-ce que de l’amour dans le présent et aucun de ces enfants ne demandera à en finir !

      Une euthanasie « humaine » ? (bis)

      Je vais sortir un instant du cas de cette pauvre victime d’une barbarie digne des plus grands nazis pour me focaliser sur les cas où elle pourrait avoir un sens.

      Il est bien entendu qu’elle ne saurait être une assistance au suicide comme dans le cas de cette jeune femme qui avait toute la vie devant elle.

      Alors existe-t-il des cas où le principe de l’euthanasie serait valide tout en ne tombant pas dans l’idéologie nazie ?

      La douleur physique ?

      Je vous rappelle que la douleur est aussi ce qui nous rend vivants, c’est aussi elle qui nous rappelle que l’on n’a pas basculé dans l’au-delà. Il existe de nombreux malades qui ne veulent par hurler à la mort, mais veulent continuer à ressentir, à être dans le présent et non dans un coma dont ils ne sortiront jamais vivants.

      Donc une douleur physique ne saurait conduire à une euthanasie « humaine » que s’il n’est pas possible de la rendre supportable ET que « l’espérance de vie est résiduelle », comme le dirait ce « cher » Dr Alexandre15 probablement pro-euthanasie.

      Si la personne en question peut être efficacement soulagée ou que son espérance de vie est importante alors il serait criminel de la tuer. Qui sait si le lendemain du meurtre ne verrait pas poindre un remède contre sa maladie ou contre sa souffrance physique ? Je parle bien sûr d’euthanasie et non pas d’une assistance à la mort pour les dernières minutes de vie. On ne laisse pas une personne mourir asphyxiée, on va abréger ses souffrances (exemple).

      La douleur psychologique ?

      Ce n’est pas moi, thérapeute, qui nierait la souffrance psychologique qui peut être terrible.

      Je constate qu’il est relativement rare d’entendre parler de personnes qui se suicident, car elles ont physiquement trop mal. Nous ne sommes pas inondés de ce type de faits divers dans les médias.

      C’est donc bien une preuve empirique que l’euthanasie telle qu’elle est proposée en Belgique ne saurait être légitime. Et ce, quand bien même, comme je viens de l’écrire, la souffrance psychique peut être infernale comme en témoigne le nombre de suicides.

      Ici encore il ne saurait être moral d’aider une personne à se suicider dès lors qu’il existerait des molécules ou des thérapies à même de la soulager. Pour les autres cas, nous ne pouvons échapper au critère de l’âge et de l’espérance de vie.

      La réalité d’aujourd’hui n’est pas celle de demain et c’est bien pour cela que l’euthanasie sur cette jeune femme était simplement criminelle.

      Peut-être que maintenir en vie une personne souffrant de démence sénile peut questionner sur l’humanité de l’acte dès lors que le processus est irréversible et que la personne est en fin de vie (biologique). Mais c’est une autre paire de manches pour une personne jeune souffrant de troubles psys.

      Vous pourriez me rétorquer la souffrance de ceux que l’on appelle « fous », ceux qui ont quitté probablement définitivement la réalité. Notez que ce « probablement » n’a rien d’anecdotique et si aujourd’hui la médecine est à l’âge de pierre notamment sur les traitements contre la schizophrénie, rien ne garantit qu’un miracle ne se produise dans 5 ans. Il est donc moralement inacceptable de tuer un être humain dont l’avenir n’est pas écrit.

      Si d’aventure vous me parlez de souffrances insupportables et impossibles à soulager pour des « fous » réellement incurables, qui ont perdu le contact avec la réalité… … Pouvez-vous me dire en quoi votre euthanasie différerait des lois hitlériennes ?

      Nous voyons que si l’usage de l’euthanasie est plus que délicat
      pour des personnes souffrant de maladies physiques incurables,
      l’application devient tout simplement impossible
      dès lors que l’on aborde la souffrance psychique.

      Ces lois belges n’ont, de fait, pas à rougir de la comparaison avec les lois du 3e Reich, elles sont simplement inhumaines et criminelles.

      Quelle différence entre cette jeune fille (et tous les autres) et Thomas Smith de la série ?

      Tous deux ont « décidé » « volontairement » de mettre fin à leurs jours. Une parce qu’elle ne voyait pas de sortie et l’autre parce qu’il avait été manipulé par la Société.

      Comment un collège de médecins belges a-t-il pu affirmer qu’elle avait une « souffrance psychique irrévocable et permanente » ?

      Quel médecin peut prétendre savoir qu’un trouble post-traumatique serait irréversible ?

      Autant pour la schizophrénie, cela peut se discuter, mais là c’est une folie !

      Combien de millions de personnes qui font une tentative de suicide et qui se « ratent » ne recommencent jamais ?

      Faudrait-il les aider à mourir au nom de cette morale déviante avant qu’elles ne retrouvent un sens à leur vie et une sérénité ? Arrêtez, vous allez finir par rendre jaloux ce brave Adolf !

      Cette jeune femme en souffrance pouvait signifier une forme de « consentement », mais que faire des fous qui hurlent 24 heures sur 24 dans leur tête ? Je dis « hurle dans leur tête », car la psychiatrie propose la camisole chimique.

      Ne devrions-nous pas aussi les euthanasier par « humanité » ?

      Nous vivons désormais dans une société qui admet
      que l’on puisse tuer une personne qui souffre de pathologie mentale !

      Au même titre que les nazis, allons-nous appeler cela de « l’humanisme », de la « compassion », voire même de « l’amour » ?

      Vous appelez cela comment, vous ?

      Je n’ai d’autre vocabulaire que celui de meurtre « prémédité » !

      Soulager les souffrances, oui, tuer, non !

      Que reste-t-il de notre humanité ?

      Psychologie du « tueur »

      « Je te tue pour ton bien, par bonté d’âme ! »

      • Comment un soignant ou un médecin a-t-il pu factuellement injecter la substance mortelle dans le corps de cette femme en bonne santé dont le corps ne demandait qu’à vivre ?
      • Qu’a-t-il ressenti au moment de pousser sur le piston ?
      • Qu’a-t-il ressenti en voyant la substance mortelle se répandre dans son sang ?
      • Quel a été son sentiment quant le cœur s’est arrêté, une plénitude suite au « devoir accompli » ?

      Autant la mise à mort d’un psychopathe violeur et tueur d’enfants peut s’entendre et ne pas trop révulser, autant je suis plus perplexe sur l’effet psychologique lors de la mise à mort d’une jeune adulte en bonne santé et qui plus est innocente de tout crime et victime d’un attentat.

      Comment ne pas vomir ses tripes après un tel acte ?

      J’imagine aisément ce « médecin » (un médecin ne donne pas la mort) « humaniste » qualifier de barbares les États américains qui pratiquent la peine de mort par injection létale !

      Après de tels faits, il ne faut pas s’étonner des expériences menées par les médecins nazis en Allemagne ou après guerre aux USA.

      L’inversion des valeurs

      Comme les nazis, le vocabulaire est toujours bien choisi alors que dans les faits c’est uniquement pour cacher le monstrueux de la chose.

      La manipulation des foules et l’inversion des valeurs sont le leitmotiv.

      Covid :

      Les médecins qui ont continué à voir leurs patients, qui les ont soignés (et surtout guéris), qui ont bravé les interdictions de leur donner des molécules utilisées sans danger depuis des dizaines d’années, qui ont préféré les soigner que les finir au Rivotril, qui ont été réticents à l’idée de leur injecter des substances expérimentales… sont aujourd’hui poursuivis par leur hiérarchie pour « mise en danger » de leurs patients alors qu’eux, ont respecté leur serment d’Hippocrate.

      Avortement :

      C’est évidemment la même rhétorique qui est utilisée pour discréditer les mouvements antiavortement. Le discours est bien huilé, « Vous voulez que des femmes violées gardent leur bébé » ou « Vous voulez que des milliers de femmes soient mutilées dans des caves ou meurent dans des avortements clandestins ».

      Ah oui ?

      Pourriez-vous me dire combien d’entre elles parmi les 200 000 avortements pratiqués en France chaque année ont été violées ? Quant aux femmes mutilées ou mortes dans des avortements clandestins, c’est aussi con et malhonnête que l’argumentaire pour l’adoption par des couples homosexuels « Ah ou vous préférez que l’enfant soit battu dans un couple avec un homme et une femme plutôt qu’il reçoive l’amour de 2 papas ? »

      D’abord j’aimerais disposer de chiffres fiables (et non de propagande) sur le nombre de morts ou de mutilations réelles avant l’avortement légal, mais surtout le nombre de morts et de mutilations réelles (exemple : retirer l’utérus) pour des avortements légaux et là on pourra commencer à causer !

      Évidemment, il existe des cas où l’avortement est inévitable, mais les avortements économiques sont légions (la famille n’a pas les moyens ou les conditions) et criminels, car ils le sont contre la volonté de la femme ou du couple !

      À noter aussi que l’avortement pour choix du sexe16 semble faire son chemin. Ce phénomène touchait essentiellement la Chine et l’Inde et semble se répandre en Europe. Le prolongement légal du délai légal d’avortement est de nature à encourager cette pratique, l’échographie à partir de la 14e semaine étant très fiable. Mais c’est oublier le test d’ADN fœtal17 qui peut être fiable dès la 8e semaine.

      On ne peut pas balayer d’un revers de main 200 000 vies (n’appelons pas ça un humain pour ne pas compliquer le débat) qui sont démembrées vivantes et sans anesthésie, car ne « ressentant pas la douleur » (officiellement) et dont les pièces détachées sont revendues18 une fortune pour faire des vaccins, des médicaments ou même des cosmétiques19.

      « Des États américains, avec le soutien des Églises chrétiennes, ont passé des lois permettant l’inhumation des fœtus avortés. Des partisans de l’avortement ont cependant engagé une lutte juridique pour contrer cette démarche20

      Les milieux favorables à l’IVG affirment que les restes des enfants avortés ne devraient pas être traités comme des restes humains, mais comme le résidu d’une amputation. »

      C’est qui les tueurs, les monstres et c’est qui les défenseurs de la vie et de la dignité humaine ?

      Éducation :

      À écouter ces psychopathes, le « bon » parent serait celui qui explique la « foufoune sexuelle21 » à ses enfants de 5 ans en leur montrant à quel endroit se trouve le clitoris et à quoi il sert. À quand les travaux pratiques ?

      Les autres étant de bien entendu, des maltraitants, des intégristes religieux qui ne savent pas ce qui est bon pour eux.

      Genre :

      Et que dire de ces bouchers apprentis sorciers barbares qui se prétendent médecins et font croire à des personnes fragiles qu’elles peuvent factuellement changer de sexe ?! Elles mentent et manipulent en leur laissant croire qu’un homme biologique peut devenir femme biologique et inversement. Ils infligent des souffrances physiques terribles et torturent ces personnes en apportant des modifications physiques de leurs corps sans la moindre possibilité de retour en arrière. Non seulement ils infligent dans le temps des douleurs physiques, mais ils les privent définitivement de tout plaisir sexuel naturel. Les ersatz de vagin ne sont que des plaies béantes sans muqueuses et les pénis artificiels ne pourront avoir une érection naturelle et donner du plaisir.

      La folie est telle qu’il sera désormais interdit de proposer à ces personnes en souffrance des psychothérapies pour les aider à se trouver. Il y a combien de personnes parmi elles, mal dans la peau, et de personnes qui seraient réellement d’un autre sexe dans leur tête ? Dans ce monde délirant, celles et ceux qui luttent contre cette folie, contre la propagande dans les écoles, contre des mutilations d’enfants dès l’âge de 3 ans, sont considérés comme des transphobes, des intolérants, et autres fascistes.

      Euthanasie :

      Et là on nous refait le même coup pour l’euthanasie. Les « monstres », les « inhumains », les « arriérés », c’est ceux qui refusent que l’on tue des humains ! Nous le voyons dans ce fait divers monstrueux dont nous avons connaissance, tuer à sa « demande » une jeune femme de 23 ans qui souffre de maladie mentale devient un geste d’une merveilleuse humanité.

      On arrête quand de se foutre de notre gueule ? C’est quoi ce monde de merde où toutes les valeurs sont inversées ?

      L’être humain a-t-il un avenir ?

      Tout est mis en œuvre pour détruire ce qui faisait de l’humain un animal à part.

      Que reste-t-il d’une société qui ne protège pas les plus faibles, que penser de l’eugénisme des trisomiques, d’IVG après 6 mois alors que le bébé est viable, que dire de personnes âgées terminées au Rivotril pour leur « bien », qui mutile des humains pour changer leur nature biologique ou désormais tuer des humains en grande souffrance psychologique au lieu de leur apporter amour et soutien ?

      Pour le Covid les valeurs prônées étaient le sacrifice des enfants au bénéfice annoncé des vieux qui étaient éliminés dans les maisons de retraites, privés de soins.

      Il faut dire que désormais rien n’interdira la vente de compost à base d’humains. On pourrait alors affirmer que cette jeune femme ne serait pas morte pour rien.

      Je croyais naïvement que notre devoir d’humains
      en pleine possession de nos capacités intellectuelles
      était de protéger les plus faibles et les plus vulnérables,
      pas de les éliminer !

      Pour en sortir, il faudrait que les peuples ne se contentent pas d’écouter la propagande, mais se forgent leur propre opinion. L’information foisonne, il suffit d’aller la chercher et de dénouer le vrai du faux.

      Regardez les interdits lors du Covid à l’égard des non-vaccinés, c’était l’exact copier-coller, mot pour mot, des mesures contre les juifs durant vichy22. Cette simple affirmation factuelle étant de nature à me faire qualifier, comme il se doit, d’extrême droite ou d’antisémite par le tribunal de la décadence.

      Que reste-t-il des libertés ? Il ne reste de notre démocratie que le nom !

      Alors :

      Les nazis ont-ils gagné la guerre23 ?

      • Censure à outrance, fermeture des médias russes.
      • Médias nationaux financés par l’État ou la fondation Gates.
      • Création de fait d’un Ministère de la Vérité, toute opinion contraire à la doxa relevant du complotisme et de la désinformation.
      • Suppression du parlement et de l’indépendance des juges.
      • Gouvernement supra national européen non élu.
      • Réécriture permanente de l’histoire.
      • Destruction du sacré, démantèlement de la cellule familiale et de toutes les valeurs passées.
      • Gestation pour autrui avec marchandisation du vivant.
      • Promotion de la théorie du genre.
      • Scandales pédophiles à n’en plus finir.
      • Création d’une nouvelle « science » qui ne peut avoir tort.
      • Éradication de la fraternité, l’autre, le différent étant un ennemi à combattre qui mérite sa déchéance.
      • Suppression de libertés individuelles au profit de la nation.
      • Cobayes humains avec les vaccins expérimentaux. (Nous ne sommes pas des barbares l’Australie rembourse les frais d’obsèques24 en cas de décès dû au vaccin).
      • Apartheid pour les non-vaccinés, boucs émissaires « emmerdés » par leur « Président ».
      • Valorisation du transhumanisme25 avec ses demi-dieux et ses « inutiles ».
      • Interdiction d’exercer pour les soignants et pompiers non injectés.
      • Soutien indéfectible aux Ukrainiens y compris leurs milices nazies et leur volonté affichée publiquement de génocide des habitants du Donbass26, considérés comme une « sous-race ».
      • Euthanasie légalisée ou sous le manteau.
      • Eugénisme.
      • IVG jusqu’à la naissance.
      • Etc.

      Je vous laisse répondre à la question sur la victoire supposée des nazis.

      Alors ce soir je hurle de colère, je pleure de tristesse et de rage.

      L’eugénisme et l’élimination des faibles sont présentés comme « l’ultime acte d’humanité ».

      J’ai honte, oui j’ai honte de faire partie de la même espèce génétique que tous ces apprentis Mengele qui massacrent les valeurs humaines jour après jour.

      Un être humain s’en est allé, il a été arraché à notre Terre nourricière
      comme on arrache un fœtus trisomique
      du ventre de sa mère pour le priver de force vitale.
      Ce renoncement à le soulager de son vivant,

      ce terrible aveu d’impuissance, est présenté comme « l’ultime acte d’humanité »,
      tel un frère cherchant à camoufler son sororicide.

      Merci

      Alain Tortosa.
      9 octobre 2022
      https://7milliards.fr/tortosa20221009-maitre-haut-chateau-nazis-guerre.pdf





      Verte est l’arnaque

      [Source : ZE journal]

      Par La Plume du Citoyen

      Pour mieux comprendre le jeu sournois dans lequel ils tentent de nous entraîner.

      « Réchauffement climatique – Enquête sur une manipulation mondiale ». Ce livre démontre implacablement et froidement ce qui apparaît de plus en plus comme une manipulation mondiale protéiforme…

      Invité du grand entretien de la matinale Ligne Droite au micro de Clémence Houdiakova et de Nicolas Vidal

      Dans une interview explosive, Alban d’Arguin dénonce le traitement fait du réchauffement climatique et la « manipulation » qui l’accompagne. Il est question notamment des origines du GIEC et de son rôle dans la panique autour du réchauffement climatique. Une analyse à contre-courant de ce que l’on entend partout. L’auteur bat en brèche également les accusations de complotisme et de climato-scepticisme entendu partout et tout le temps.

      https://www.youtube.com/embed/VlGRnxi4fdg

      La température moyenne mondiale n’a pas de sens

      Comment flinguer l’énorme narratif de la propagande climatique en une simple phrase.


      – Source : La Plume du Citoyen




      Lancement de la BFL — Banque de France Libre

      [Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]

      https://banquedefrancelibre.fr/

      [Voir aussi :
      Le Franc Libre : présentation de la série fiduciaire
      Le FRANC LIBRE : deux mois plus tard. Point de situation et perspectives
      Devenez la Force qui se dressera quand le vent de l’Histoire va souffler
      Franc Libre et tournée CSP : point de situation
      Résilience et Résistance pour la France]




      « Chaos » au sein de LA pensée occidentale : implosion, magma, résurrection ?…

      Par Lucien SA Oulahbib

      Un commentateur restituant archéologiquement telle ou telle « pensée » ou s’en servant comme ressassé mondain n’est pas un « penseur » en ce sens « ancien » quoique très strict de créateur d’un système d’explication objective du monde qu’il est possible de valider ou d’infirmer. C’est un « passeur » tout au plus. Certes, tel ou telle peut mettre en avant une approche, un angle, une analyse, mais, même argumenté, (dépassant la seule opinion) cela ne suffirait pas (« Que nul n’entre s’il n’est géomètre »). 

      Même les sciences de la matière et de la vie sont désormais touchées par cette absence de vision globale (hormis le catastrophisme ambiant). L’échec, patent, de l’injection à ARN et la difficulté de la physique théorique à mettre de l’ordre dans sa vision cosmologique le montrent bien. Elles y arrivaient encore peu ou prou jusqu’à peu, surtout à la suite du tournant galiléen newtonien, darwinien, mendélien se séparant (en apparence) des physiques aristotéliciennes et cartésiennes — en apparence, car les questions de l’impulsion première et la consistance tourbillonnaire, par exemple au sein des interactions cellulaires sont, semble-t-il, encore bel et bien là, mais sans réponses convaincantes, malgré toute leur acuité, ne serait-ce qu’en astrophysique avec l’expansion permanente de l’univers et son lien au sein des cellules comme l’indique le paradoxe EPR.

      Elles sont certes encore perçues de manière dynamique (avec le concept de Soi) et au moins restent toujours ouvertes permettant tout de même (malgré cependant de plus en plus d’« interdits »…) la résurrection de la spéculation heuristique à commencer par le principe anthropique (voir une interprétation possible dans Être et vérité du réel humain).

      Néanmoins, ces sciences de la matière et de la vie, du fait de la censure ambiante d’aujourd’hui, par exemple sur les plans climatique et immunologique, et du fait de leur hyperspécialisation scientiste et industrialisation affairiste (y compris en recherche « fondamentale ») excluant frénétiquement homéopathie et médecines préventives ancestrales (naturothérapie), ces sciences dites autrefois « dures » ont bel et bien perdu en vigueur heuristique. Elles avaient pourtant su, à la fin du XIXe siècle, poser des questions critiques non quelconques envers la physique newtonienne au niveau micro, en questionnant par exemple le lien entre espace et temps en un instant T (la question de David Hume un siècle auparavant à vrai dire) ou la notion de quanta pour mesurer la force d’une onde lorsqu’elle est ainsi saisie par « partie » (parti/cule), sans oublier son côté dynamique vital permanent (ADN, ARN…) au sein même des relations entre le soma et le germen plus du tout aussi étanches l’un par rapport à l’autre ; d’où d’ailleurs les inquiétudes d’aujourd’hui avec l’injection massive d’ARN messager, dont les rétroactions répétées peuvent agir de façon épigénétique au sens de créer des mutations inédites négatives comme la fragilisation pérenne de notre système immunitaire naturel. Mais au lieu d’ouvrir le débat, cette inquiétude sera immédiatement cataloguée de « complotiste » dans une sorte de gestuelle obscurantiste de la pire eau comme si le terme même de « complot » venait d’être inventé par des « convalescents masqués »…

      Sans oublier aussi que ce qui est transmis génétiquement n’est pas « que » de la biologie au sens seulement physico-chimique comme le prétendent les adeptes de la théorie du genre et de la double-parentalité, mais transmet aussi des traits psychiques. Ceux-ci se traduisant d’ailleurs par des dispositions conatives et cognitives singulières (voir les travaux de Maurice Reuchlin et Joseph Nuttin, la psychologie cognitive actuelle d’un Stanislas Dehaène s’orientant aussi dans cette direction) un peu trop évacués sous le prétexte d’un réductionnisme biologiste et sociologiste (la matière a fortiori vivante réduite à un champ de forces), ce qui ne se peut tant il existe des constantes certes évolutives, mais restant pérennes ou l’identité ET la différence… Vieux débat sur l’Un/l’Être depuis le Parménide de Platon que les économètres d’aujourd’hui modélisant passions et sentiments veulent réduire à des quanta de flux modifiables par injections d’injonctions paradoxales : la « maladie » devient un « dysfonctionnement » et un « désir » une fenêtre d’opportunité pour le prêt-à-consommer bas de gamme.

      Ce qui fait qu’au niveau « mental », pour aller un peu plus vite, les attaques répétées deviennent exponentielles, vagues incessantes de non-sens obscurantistes contre le concept même de « Soi » par la destruction, voire l’autodestruction « volontaire » du lien entre le Moi (caractères et préférences conatives, voir ci-dessus) et le Je (tempérament qui en module les expressions) en le réduisant soit à son origine sociale (tout ne serait « que » construction sociale, donc le fossé entre privilégiés et gilets jaunes s’accroît) soit bio-ethnique (tout serait donné par la « race » qu’il faudrait purifier ou alors en créer une nouvelle par le « transhumanisme » et le transgenre), alors que ce lien entre Moi et Je se structure dans un Soi non seulement biologique, mais également politique (comme l’explique bien Norbert Élias : un humain sans société perd ce caractère même), en ce sens où le fait d’être reconnu à sa juste valeur renforce l’estime de soi et partant bonifie la dialectique de son triptyque (Sujet-moi-je/Acteur politique/Agent social) et ce bien plus au sein de la Nation que du clan seul (infra).

      Aujourd’hui, comparés aux puissants débats entre un Einstein, un Bohr, un de Broglie, un Durac, voire même les intrusions d’un Lénine (critiquant Mach sur la perception multiforme du « réel », Habermas réitérant la même méprise sur les niveaux de réalité : « la preuve du pudding ? C’est qu’on le mange ! », une affirmation hors sujet en physique, la chose étant seulement à ce stade un combiné de particules) ou d’un Engels (sur la « dialectique de la nature » réitérant l’idée de Marx sur le surcroît de quantité qui créé la qualité alors qu’il l’a détruit en la remplaçant par une autre, comme le montre Hegel sur la question de « l’essence », cette substance posée…).

      N’oublions pas aussi les confrontations de naguère si ouvertes en sciences de la société (ontologie, logique, éthique, économie…) par exemple entre Keynes/Hayek, Popper/Wittgenstein, Cohen/Cassirer/Heidegger/Schmitt/Strauss (Léo) ; l’analyse sans faille d’un Pareto sur la montée et l’effondrement des élites reprise en partie par Claude Lefort (dans La Complication) lorsqu’il explique pourquoi la petite bourgeoisie des villes choisit l’adhésion à la IIIe internationale après 1917 — d’où le schisme de 1920 en France : afin tout benoîtement de prendre des places, comme aujourd’hui au sein de l’idéologie catastrophiste du « trans » posé comme vecteur ou clé de la « grande bascule » civilisationnelle vers le cyborg ou la fusion homme-machine, avec en haut de la pyramide les Immortels s’amoncelant autour des nouvelles Babel.

      Tous ces auteurs seraient aujourd’hui, sinon interdits, du moins marginalisés (trop « blanc », pas assez « sorcier ») : non pas au sens du débat posthume entre Boudon et Lévy-Bruhl sur la pensée magique ou la place effective de l’imaginaire, mais d’une démesure obscurantiste visant à opposer raison et imaginaire, ce qui faisait dire par exemple à Derrida que Husserl aurait trouvé incongru l’expression « un cercle carré » (lire une critique de cette acception p.98) alors que celle-ci peut s’entendre dans le domaine de la fiction, mais non dans celui de la logique…

      Cet obscurantisme, ce prémarxisme, ce rabougrissement, ses chamailleries picrocholines, voile à nouveau le réel, par exemple en matière climatique ou immunologique. Le débat est à l’évidence de plus en plus fermé (Allègre, Courtillot, Leroux, Raoult sont écartés ou marginalisés), sous le prétexte d’un “consensus” en réalité seulement institutionnel et non pas épistémologiquement effectif : aucune preuve tangible sur la responsabilité unique du CO2 ou sur la supériorité des injections Spike (excitant seulement quelques anticorps sur trois à quatre mois qui deviennent des “agents doubles”, d’où l’extension de l’épidémie/syndémie en fait), alors que la médecine préventive antiparasitaire et stimulant les défenses immunitaires a décidément de plus en plus toute sa place…

      Mais c’est l’effet Lyssenko en URSS ou Bourdieu-Foucault actuellement en France, c’est-à-dire bien loin des débats du XIXe et XXe siècle indiqués ci-dessus (rappelons aussi ceux entre Taine/Tarde/Durkheim, plus en amont Cuvier et St Hilaire). Lesdites sciences « sociales » proprement dites ne font d’ailleurs plus que du prémarxisme obscurantiste, répétons-le, avec par exemple cette idée, unique, de « domination » qui n’explique rien et ne décrit même pas ce qui « est », puisqu’elle ne le perçoit que négativement au sens mécaniste et non pas aristotélicien (qu’avait repris au moins Hegel) : la statue de marbre est certes « négative », du moins pour celui-ci, mais devient positive pour l’humain ; amendée aujourd’hui par la question de plus en plus cruciale, y compris en économie, du qualitatif (du « haut de gamme pour tous » disait Sagan…) qui s’oppose au productivisme quantitatif bas de gamme (Netflix, Disney compris avec leur faux progressisme, rétrograde en réalité : bienvenue dans le monde de Caligula…).

      Ce qui nous manque au fond pour sortir de ce chaos non pas créatif, mais obscurantiste, c’est bien l’émergence d’une néo-modernité dépassant enfin l’enfance de la modernité issue de la fausse Renaissance (car il ne suffit pas d’imiter les Anciens pas plus que de rompre totalement avec eux, mais il faut inventer de nouvelles Traditions qui vaillent réellement le coup pour l’affinement humain ET citoyen).

      Ainsi refondée, « la » Modernité quitterait son adolescence négativiste postmoderne d’aujourd’hui issue de l’impasse marxiste et scientiste (Marx se réclamant de « la » Science) qui veut tout détruire tel un adulescent rageur faute d’aller au-delà de Marx (qui n’était pas « marxiste » et a eu l’honnêteté de ne pas publier les tomes II et III du Capital, invalidés par le fait que la mécanisation n’aura pas détruit le capitalisme, bien au contraire…).

      Mais ses Suivants, au lieu de métamorphose et d’innovation propre à une maturité sereine qu’il serait possible d’atteindre encore, ont préféré construire les impasses actuelles qui certes déploient le parfum dense de la décadence façon « Cabaret »… Pourtant la période n’a pas encore tout à fait basculé du côté du déclin (au sens non spenglerien) de l’irréversibilité décadente, ni même du côté de Huntington, puisque « le choc des civilisations » s’institue (de manière surprenante ?) au sein même de l’Occident (via également la guerre de l’OTAN postchrétienne et pseudo-islamisée contre la Russie orthodoxe, mais également poststalinienne, n’ayant pas établi son Nuremberg), entre d’une part sa frange sectaire déviationniste qui a perverti l’universalisme positif au profit de sa seule imposition arbitraire et d’autre part sa frange préservatrice, mais qui s’arc-boute uniquement sur une ligne défensive alors que l’offensive innovante (« de l’audace, toujours de l’audace ») reste la clé lorsque l’on entre en Polémos….

      En « science de la Psyché » aussi par exemple : ainsi non seulement celle-ci ne sait plus où placer l’éthique (réduite à des « valeurs » au détriment des vertus, ces mesures ontologiques fondamentales), depuis que les termes « âme » et « esprit » ont été évincés au seul profit de la « conscience », alors que celle-ci est un écran sur lequel s’affiche ce qui (se) travaille dans l’interaction. C’est ce qui a été nommé la pneumatologie en reprenant un terme utilisé autrefois exprimant justement ce lien dans la « psyché » entre passions et raison, logique des passions de ce qui nous affecte d’une part, et vérité de la raison d’autre part ; au sens de donner une direction en raison à l’action allant vers la préservation ou la dispersion, l’affinement ou la dissolution, ce qui renforce ou affaiblit « positivement » ou « négativement » et ce qui a été nommé le travail oligomorphique de la Néo-modernité au sein même de cette pneumatologie : est-ce que cette action me renforce ou m’affaiblit, et où me mène cette oscillation qu’il ne vaudrait mieux peut-être ne pas réaliser du point de vue des conséquences ? Vers plus de préservation d’un Même, l’affinement d’un Semblable (développé aussi dans des livres et articles) ou se contenter d’une (auto)destruction jouissive (remplaçant « l’auto-mouvement » de Lénine) dont se sert la Secte SHA (scientiste, hygiéniste, affairiste) ou le néonazisme ayant absorbé le néo-léninisme dont il se sert comme milice (en col roulé) à tout faire ; mais qu’attendre de la canaille chic, celle de la lumpen-intelligentsia qui pullule façon racaille nihiliste sur les ondes les universités, les académies, les ministères, jusque chez les juges (ainsi ce « cas positif » condamné seulement avec sursis en appel alors qu’il voulait prostituer sa fille) ?…

      Pour faire bref, et en conclusion concernant cette impasse théorique et pratique fondamentale qui fragmente de plus en plus ce qui reste encore de solide dans la pensée dite rationnelle (la pensée religieuse se porte bien mieux…) : il serait possible d’intégrer dans une nouvelle « Science du Vivant, de l’Humain et de la Société » à la fois les sciences de la matière et de la vie enrichies par une pneumatologie repensée et une science de la Société qui serait le Politique au sens de la Politeia (République chez Platon) puisque l’expérience historique nous montre que l’on ne rencontre pas seulement l’Humain en l’Homme, mais aussi l’Appartenant-à (membre d’un Clan — au sens large —, mais mieux encore Soi actif singulier d’une Nation comme le disait Bainville et que reprend Liah Greenfeld…) inséré conflictuellement dans une stratification qui distribue certes les êtres selon leur compétence, mais ce tempéré par un vécu donné ouvrant à des opportunités ou les fermant selon la « chance » (la « fortune et la vertu » de Machiavel et de Bonaparte) : ainsi, a-t-on été à même de les saisir au « bon » moment et qu’est-ce qui aura permis ou non de le faire ?… Le tout accompagné d’une Solidarité commune façon Durkheim à repenser (une Fraternité réelle…)…

      Programme démesuré sans doute, impossible certainement, mais comme “impossible n’est pas français”… Le monde, aujourd’hui, au bord du chaos, nous regarde tout au fond de ce qui n’est pas encore une tombe.




      Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux

      [Source : lesmoutonsenrages.fr]

      [Traduction automatique révisée.]

      Par Mark Steele pour GlobalResearch (Première publication le 20 juillet 2022)

      Introduction

      J’écris ce rapport d’expert en tant qu’ingénieur britannique, inventeur, rédacteur de brevets et chercheur en armement ; un ingénieur avec une formation en science des matériaux et inventeur des premiers guides d’ondes optiques binoculaires au monde, des systèmes de visée d’armes, des affichages tête haute à imagerie thermique infrarouge, des réacteurs moléculaires, du traitement du signal et de la conception de transducteurs, pour n’en nommer que quelques-uns.

      En tant que directeur de la technologie (CTO) de l’entreprise qui a conçu et mis sur le marché le premier produit d’affichage tête haute (HUD) au monde approuvé à l’échelle internationale, accrédité par un certain nombre de prix d’innovation, mais surtout réglementé par un certain nombre de normes internationalement reconnues, y compris Department of Transport (DOT) ECE 22.05, ainsi que ANSI et d’autres, on m’a fait confiance dans l’établissement de normes internationales pour les systèmes HUD de réalité augmentée (AR) et de réalité virtuelle (VR).

      Reportez-vous à la pièce 2a, du conseil en brevets, Ex. 2b de Recorder Nolan, ex. 2c Cyber ​​Command, Ex. Normes 2d pour les systèmes HUD, Ex. annexe 2di.

      Cyber ​​Command USA avait été mis au courant de mon expertise et avait spécifiquement demandé mon avis concernant une conception d’antenne 5G inhabituelle déployée à travers les États-Unis. J’ai été extrêmement chanceux que la plupart (mais pas la totalité) de mes travaux de recherche et de développement de produits aient été effectués en dehors de la législation sur les secrets officiels (OSA).

      J’ai agi en tant que témoin et fourni des déclarations dans plusieurs affaires judiciaires, exposant l’absence de toute preuve crédible que le réseau de diodes électroluminescentes (DEL) 5G et la connexion neuronale prévue au réseau 5G sont sûrs.

      Cela inclut les technologies de nano-métamatériaux qui contaminent les vaccinations, qui ne sont pas légales ni licites, et qui enfreignent un certain nombre de lois internationales et nationales.

      Le juge Nolan du Newcastle Crown Court a déclaré que « le risque 5G doit être débattu » et que  « c’est une démocratie et le public a le droit de savoir ».

      Les preuves que j’ai présentées au tribunal ont mis en échec la tentative des autorités locales et des acteurs de l’establishment britannique de m’empêcher de fournir les preuves scientifiques publiées sur les risques posés au public et à l’environnement par le réseau de radars urbains 5G et son objectif final.

      L’échec de l’action en justice intentée par l’autorité locale a créé une tempête publicitaire qui a contribué à mettre en évidence les risques réels du déploiement de la 5G à travers le monde, ainsi que le manque total de précautions prises par les régulateurs autorisant ce déploiement de la 5G.

      Ma participation à plusieurs projets de recherche et développement s’étend sur toute ma carrière professionnelle et comprend certains projets de nature sensible en raison des restrictions imposées par l’Official Secrets Act 1911. Je ne suis donc pas libre de les divulguer dans un domaine public ; il suffit [cependant] de dire que ce travail a conduit à une compréhension des contrats du Département de la défense (DOD), de la compartimentation des projets de conception de produits d’armement et des armes à énergie dirigée (DEW), dont l’existence a jusqu’à récemment été occultée et parfois niée.(([1] https://info.publicintelligence.net/USAF-DEW.pdf))

      L’utilisation d’armes à rayonnement micro-ondes directionnel par des acteurs inconnus dans les ambassades américaines à Cuba, en Chine et en Russie, connue sous le nom de syndrome de La Havane, n’est toujours pas pleinement reconnue par les autorités. Le syndrome de La Havane porte toutes les caractéristiques des émissions de rayonnement micro-ondes, qui ont causé aux victimes des dommages neurologiques importants et irréparables, entre autres blessures. Le gouvernement américain a été incapable de garder ces armes secrètes et a récemment adopté un projet de loi pour indemniser les victimes du personnel de l’ambassade.(([2] https://thehill.com/homenews/house/573302-house-passes-bill-to-compensate-havana-syndrome-victims))

      Les agences de renseignement américaines, dans leurs communications avec le gouvernement russe, confirment qu’elles connaissaient déjà l’existence et la capacité des armes à rayonnement micro-ondes et leur appel à leurs supposés adversaires russes était pour la cessation de l’utilisation de ces armes contre leurs ambassades.(([3] https://usareally.com/11737-cia-director-tells-russia-not-to-use-microwave-radiation-against-american-spies))

      Mon domaine de recherche couvre également d’autres systèmes d’interrogation et d’armes sur le champ de bataille, y compris les systèmes d’armes létales autonomes (LAWS)(([4] https://css.ethz.ch/content/dam/ethz/special-interest/gess/cis/center-for-securities-studies/pdfs/CSSAnalyse164-EN.pdf)), les véhicules sous-marins autonomes (AUV), la détection et la télémétrie légères (LIDAR), les technologies de radar à balayage électronique, y compris la 5G pour le suivi des plates-formes d’armement, ainsi que les moyens biologiques sur et hors du champ de bataille qui sont de plus en plus utilisés dans un cadre civil pour inclure les technologies de reconnaissance faciale, les véhicules électriques autonomes, les drones, dont aucun n’a fait l’objet d’une évaluation environnementale complète quant aux dommages causés par leurs émissions de rayonnements au grand public ou à la faune.(([5] https://idstch.com/technology/photonics/critical-technologies-lidar-developed/))

      Radar urbain 5G, rayonnements ionisants et risques des infrastructures critiques

      La 5G, contrairement à toutes les autres générations [1G, 2G, 3G, 4G et 4G+] de télécommunications, est techniquement identifiée comme une émission d’énergie dirigée dans l’air par un radar urbain, ce qui nécessite que l’antenne soit conçue pour amener l’énergie focalisée dans l’air pour la compression à grande vitesse des données à et d’antennes conçues pour envoyer et recevoir de l’énergie dirigée à travers un signal théoriquement collimaté et cohérent.(([6] https://www.sbir.gov/node/2005877))

      L’onde de formation du faisceau dans l’émission du lobe principal enfreint la directive de la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP) de 61 V pour une exposition maximale de 6 minutes.(([7] https://www.icnirp.org/cms/upload/publications/ICNIRPrfgdl2020.pdf))

      Cette directive de l’ICNIRP est contraire à la résolution 1815 du Conseil de l’Europe (COE) et à la directive européenne de 2016, qui confirment la science publiée et évaluée par des pairs selon laquelle tout ce qui dépasse 600 mV/m doit être limité à une exposition à court terme. Et à long terme l’exposition ne doit pas dépasser 200 mV/m. Ce sont des ordres de grandeur inférieurs à la directive ICNIRP de 6 minutes et 61 000 mV, qui est une valeur de cuisson biologique. L’ICNIRP est largement reconnue comme une « agence capturée », comme l’ont confirmé les tribunaux italiens.(([8] https://www.radiationresearch.org/wp-content/uploads/2020/01/Turin-Verdict-ICNIRP_Judgment-SUMMARY-of-the-Turin-Court-of-Appeal-9042019_EN-min.pdf))

      Le mouvement de balayage de l’onde rayonnée à plus de 13,6 V provoque la charge positive de l’air, qui est nocive pour toute vie biologique à des distances importantes entre l’émission de l’antenne et la zone d’acquisition de la cible. Telle est la capacité de la 5G (matériel et logiciel) et c’est la raison même pour laquelle cet équipement est, et a été, largement utilisé sur le champ de bataille comme radar environnemental à balayage et armes à énergie dirigée (DEW) dans le but de perturber et de désactiver le matériel ennemi, ainsi que les actifs biologiques, c’est-à-dire les humains.(([9] https://crsreports.congress.gov/product/pdf/IF/IF11882))

      En général, la conception de l’antenne 5G utilise une entrée de puissance plus importante et une sortie dirigée pour délivrer des signaux de compression de données focalisés et de grande puissance, mesurés en watts ou en électrons-volts.

      L’industrie aéronautique, notamment Boeing et Airbus, a récemment exprimé ses inquiétudes concernant la 5G en raison de sa capacité à mettre en danger les avions de transport de passagers qui, dans un cadre civil, ne disposent pas des technologies d’atténuation militaires pour protéger leurs pilotes ou les systèmes de contrôle de vol des avions contre les émissions d’énergie dirigée.(([10] https://www.theguardian.com/science/2021/dec/21/airbus-and-boeing-express-concerns-over-5g-interference-in-us))

      L’industrie des télécommunications et d’autres organismes de réglementation ont continuellement nié le véritable objectif et l’existence des dangers de rayonnement posés par le déploiement des technologies 5G. Ils ont activement induit le public en erreur en publiant des communiqués de presse manifestement faux dans les médias locaux et nationaux, ainsi qu’en faisant de fausses déclarations devant les tribunaux dans des tentatives infructueuses de discréditer des experts, y compris moi-même, même s’ils avaient été informés par leurs propres agences de renseignement que le la technologie expérimentale et non assurable était et est extrêmement dangereuse pour la sécurité de l’État.(([11] https://o5g.cz/2021/11/30/mi6-chief-warns-that-a-tech-revolution-over-next-ten-years-could-pose-major-threat-to-world-order/?nowprocket=1))

      « Backhaul » dans le contexte de la 5G est le terme utilisé pour désigner l’avancée technologique qui permet d’interroger et de remonter simultanément les données à partir de plusieurs appareils et environnements (en d’autres termes, espionner dans toute la zone, ne laissant aucune chance d’intimité).

      La capacité d’interrogation et de numérisation des renseignements recueillis enfreint un certain nombre de lois sur les droits de l’homme. Ce brevet(([12] https://patents.google.com/patent/US20050220310A1/e)), l’un des nombreux qui confirment la capacité d’interroger les émissions sonores et vocales à travers les bâtiments pour recueillir des données sur une population sans méfiance à l’aide de systèmes matériels et logiciels électromagnétiques, fait partie de la vaste boîte à outils 5G.

      La dominance spectrale du réseau 5G de moins de 3 GHz à 300 GHz [comprenant les ondes millimétriques en plus d’une grande partie des ondes de la gamme des micro-ondes] pose un risque réel de lésions corporelles à partir de fréquences de valeur d’énergie photonique plus élevée qui sont des émissions de rayonnement cohérentes, dont l’impact est actuellement inconnu (car elles ne sont pas testées et ne se sont pas avérées sûres), ainsi que non assurable, avec des niveaux d’émissions de rayonnement dépassant tout ce qu’imaginaient les technologues antérieurs. Les valeurs de rayonnement des lignes directrices de l’ICNIRP ne s’appliquent qu’aux émetteurs de dispositifs à antenne unique et ne tiennent pas compte de l’augmentation et de la multiplication massives des dispositifs d’émission de rayonnement proposés dans toutes les villes et villages pour le réseau 5G qui est destiné à tout interconnecter simultanément en utilisant des rayonnements micro-ondes hautement complexes, biologiquement toxiques, et en particulier modulés.(([13] https://www.ceragon.com/what-you-need-to-know-about-5g-wireless-backhaul))

      Le déploiement de la 5G est en cours par les gouvernements du monde entier dans toutes les villes et villages sans aucune analyse préalable [pourtant] obligatoire de l’impact environnemental et sans assurance publique contre ces instruments de préjudice(([14] https://principia-scientific.com/lloyds-insurers-refuse-to-cover-5g-wi-fi-illnesses/)), faisant de l’ensemble du déploiement du réseau un acte illégal et illicite par les autorités agissant « ultra vires » [au-delà, en dehors des lois] en permettant aux émissions connues de rayonnements ionisants et non ionisants biologiquement toxiques un accès sans entrave à l’environnement. Les entreprises de télécommunications certifient généralement elles-mêmes avoir respecté les directives (obsolètes) de l’ICNIRP, ce qui leur permet d’enfreindre ces directives sans sanction, car aucun organisme de réglementation ne procède à des évaluations indépendantes du respect des directives de l’ICNIRP.(([15] https://www.caav.org.uk/news/beware-dangers-of-telecoms-masts))

      Ce sont les mêmes directives de l’ICNIRP qui se sont avérées être à l’origine de problèmes de santé et de cancers dans la population générale à proximité des réseaux 4G existants.(([16] https://ecfsapi.fcc.gov/file/107222548308131/Cell%20Tower%20Transmitter%20Studies-28%20Summary%20Findings.pdf))

      Un autre facteur troublant est que l’industrie des télécommunications responsable du déploiement a confirmé qu’elle, l’industrie, n’a effectué aucune recherche scientifique et n’a donc aucune donnée de recherche scientifique publiée sur l’impact réel des réseaux 5G sur l’environnement.

      Des études de recherche indépendantes sur le sujet réfutent la propagande de l’industrie et du gouvernement sur la sécurité du réseau 5G.(([17] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0013935118300161?via%3Dihub))

      Les organismes gouvernementaux chargés de protéger la population contre les propriétés cancérigènes confirmées des rayonnements non ionisants et ionisants n’ont pas réussi à fournir un cadre réglementaire de normes de sécurité ou de lignes directrices pour protéger l’environnement, exposant ainsi un public sans méfiance à des niveaux de rayonnement qui sont nocifs et mettent la vie en danger.(([18] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1469943/))

      De graves risques pour les infrastructures critiques ont été ignorés dans la ruée non réglementée vers le déploiement du réseau 5G. Les régulateurs industriels et gouvernementaux du monde entier ont ignoré un certain nombre de risques sérieux scientifiquement établis découlant de la densification massive de la 5G, de l’Internet des objets (IOT) et des avions SMART, des communications Internet par réseaux électriques, des systèmes d’antennes urbaines, qui nécessitent des milliards d’émetteurs de rayonnement micro-ondes modulés en amplitude en quadrature (QAM) à large spectre.

      Le réseau cellulaire du Canada en 2018 était soutenu par environ 33 000 grandes tours d’une hauteur maximale de 200 pieds. Le nouveau protocole 5G nécessitera beaucoup plus d’émissions d’ondes de faisceau de rayonnement plus élevées en utilisant des tours situées avec précision dans les villes du Canada – environ 273 000 – à une hauteur beaucoup plus courte avec des demandes d’énergie beaucoup plus importantes sur le réseau électrique et le réseau [sans fil].(([19] https://canada.constructconnect.com/dcn/news/associations/2018/07/constructing-5g-wireless-network-will-require-plenty-skilled-tradespeople))

      La propagande de l’industrie et des agences qui prétendent que ces réseaux 5G utilisent moins d’énergie est manifestement fausse. L’augmentation massive des antennes MIMO (multiple-in multiple-out) pour la 5G, plus les mini et micro réseaux relais, ainsi que l’augmentation de l’utilisation des données par les appareils nécessitent tous une consommation d’énergie supplémentaire en watts. Le radar à balayage continu, non à la demande, conçu pour repérer la zone cible, fonctionne en permanence, avec en plus la superposition de multiples faisceaux d’ondes focalisés à haute énergie, créés par les antennes d’émission déphasées. Ces faisceaux d’ondes focalisés à haute énergie, fonctionnant sur une plus grande partie du spectre, utilisent des photons à plus haute énergie dans le spectre comprimé des ondes millimétriques pour fournir des faisceaux de compression de données à haute puissance dans les zones urbaines. C’est la raison pour laquelle l’industrie aéronautique est très préoccupée par les risques posés à ses systèmes de communication essentiels à la sécurité des avions en vol.

      Les installations massives d’antennes 5G prévues et actuellement déployées s’ajoutent toutes à un besoin toujours croissant d’énergie pour produire le transfert accru de données par le biais d’émissions de rayonnement dans les villes et villages. Les émissions de rayonnement micro-ondes sont connues pour augmenter les températures thermiques, contribuant aux défis du changement climatique et aux effets potentiellement mortels de l’augmentation des températures dans les villes. Les impacts des îlots de chaleur sont définis comme de grandes zones urbaines qui sont affectées par des augmentations des températures urbaines qui ont été reconnues par l’Environmental Protection Agency (EPA) comme causant des effets néfastes sur la santé et des augmentations de la consommation d’énergie.(([20] https://www.epa.gov/heatislands/heat-island-impacts))

      La consommation d’énergie dans les îlots de chaleur augmente la demande de climatisation pour refroidir les bâtiments. Dans une évaluation d’études de cas couvrant des emplacements dans plusieurs pays, la demande d’électricité pour la climatisation a augmenté d’environ 1 à 9 % pour chaque augmentation de température de 2 °F [moins de deux degrés Celsius]. Les pays où la plupart des bâtiments sont climatisés, comme les États-Unis, ont enregistré la plus forte augmentation de la demande d’électricité. Les îlots de chaleur contribuent à des températures diurnes plus élevées, à un refroidissement nocturne réduit et à des niveaux de pollution atmosphérique plus élevés. Ceux-ci, à leur tour, contribuent aux décès et aux maladies liés à la chaleur tels que l’inconfort général, les difficultés respiratoires, les crampes de chaleur, l’épuisement par la chaleur et les coups de chaleur non mortels.

      Le rayonnement micro-ondes affectera également un grand nombre de structures moléculaires dans les matériaux, ce qui augmente le risque d’incendie des bâtiments. Cela est dû aux éléments hydrocarbures dans les bâtiments qui se décomposent en raison du rayonnement micro-ondes modulé, ce qui provoque un échauffement localisé et la dégradation des matériaux. Le rayonnement micro-ondes à certaines fréquences excitera les molécules d’eau et s’il n’y a pas d’humidité disponible, d’autres molécules moins volatiles absorberont le rayonnement et commenceront à chauffer. Par conséquent, tout matériau qui a séché peut surchauffer et s’enflammer plus facilement dans un champ de micro-ondes, [ce qui représente] un type d’amorçage [de feu]. Les risques particuliers aux émissions de rayonnement 5G sont dus à la densification de masse proposée et à la dominance spectrale des émissions de rayonnement. En outre, tout objet métallique à l’intérieur d’un champ de micro-ondes peut présenter des propriétés diélectriques susceptibles de provoquer des étincelles, qui pourrait provoquer un incendie ; ceci est causé par une accumulation de particules chargées, une énergie qui produit un champ électrique concentré au bord du métal.(([21] https://engineering.mit.edu/engage/ask-an-engineer/why-cant-we-put-metal-objects-in-a-microwave/))

      Ce sont tous des phénomènes scientifiques qui ont été ignorés par les régulateurs et l’industrie, mais le problème le plus alarmant, non reconnu et non réglementé est la fatigue des matériaux causée par le bombardement continu de la compression des données 5G et des champs d’énergie micro-ondes modulés (QAM) focalisés. La 5G nécessite une compression d’énergie beaucoup plus complexe et focalisée des paquets de données.

      On ne saurait trop insister sur le fait qu’une fréquence spécifique pourrait provoquer la dissociation des structures moléculaires de matériaux de construction solides, d’œuvres d’art inestimables et de collections de vins, entre autres, en raison des impacts d’ondes croisées, actuellement non étudiés, de ces niveaux élevés d’émissions de rayonnement modulé en énergie dans l’air. Cette cacophonie de pollution par les rayonnements micro-ondes pourrait entraîner de graves pannes d’équipements plus importants, y compris le réseau électrique.  Les infrastructures critiques actuelles n’ont jamais été évaluées ou conçues avec cette valeur énergétique de vibrations pulsées dans l’air ajoutée au calcul de la fatigue des matériaux et à l’espérance de vie finale de l’infrastructure établie, y compris le réseau électrique.(([22] https://user.eng.umd.edu/~vlg/MSIC%20lectures.pdf))

      Voir aussi : Dangers 5G, technologie sans fil de 5e génération. Impacts sur la santé et l’environnement.

      Ce qui a également été découvert, c’est une capacité d’énergie latente inutile intégrée dans le réseau matériel 5G SMART IOT. Cette grande capacité pourrait facilement être utilisée pour une éventuelle attaque par impulsion électromagnétique (IEM) sur les villes et les populations.(([23] https://www.dhs.gov/news/2020/09/03/dhs-combats-potential-electromagnetic-pulse-emp-attack))

      Cela dépendrait de l’interconnectivité connue et de l’accès à distance d’un réseau facilement piratable à tous les dispositifs d’émission dans le réseau 5G sans fil construit.(([24] https://www.itpro.co.uk/mobile-security/34807/5g-networks-are-vulnerable-to-hacking))

      Les systèmes d’exploitation 5G ont déjà été compromis et pourraient poser un risque de sécurité important, car les IEM peuvent provoquer une perturbation majeure des systèmes de communication électromagnétique, du réseau électrique et du matériel électronique. Elles proviennent généralement de sources telles que le Soleil et un certain nombre d’armes développées.(([25] https://energsustainsoc.biomedcentral.com/articles/10.1186/s13705-019-0199-y))

      Il a été démontré que l’onde d’impulsion électromagnétique des essais de bombes nucléaires provoquait d’importantes perturbations du réseau électrique à de grandes distances. Quelque chose de similaire s’est produit lorsque la 5G a été activée en Corée du Sud en avril 2019 : elle a provoqué un certain nombre d’incendies dans la ville en raison de la défaillance documentée des transformateurs du réseau électrique. Le gouvernement et les médias sud-coréens ont fait passer cela comme ayant été causé par des incendies de forêt dans cinq villes distinctes simultanément dans tout le pays lorsque la 5G a été activée, mais cette cause présumée n’explique pas la perturbation du réseau électrique et la destruction du matériel critique du réseau électrique. Les risques IEM identifiés aux États-Unis démontrent que ce type de technologie 5G mal réglementée présente un risque potentiel dans le monde entier.(([26] https://www.doh.wa.gov/Portals/1/Documents/Pubs/320-090_elecpuls_fs.pdf))

      Le récit des télécommunications pour la 5G n’est qu’une couverture de sa capacité et de son objectif futurs réels, comme le confirme l’absence totale de recherche sur les risques environnementaux et l’absence de couverture de responsabilité par les assurances pour les dommages. Le futur domaine de champ de bataille et le déploiement en cours de l’avancée technologique 5G incluent les armes 5G pour la guerre dans les villes et les campagnes. Le domaine comprend les technologies de guerre psychologique, y compris le contrôle et la diffusion d’informations via les médias sociaux pour masquer le véritable objectif de la 5G en tant que système de guerre.

      « L’espace de mission de cinquième génération représente un nouvel environnement dans lequel les opérations futures auront lieu. La complexité du domaine est exacerbée par des acteurs incontrôlés et indéfinis qui dirigent ou influencent le récit. Le plus grand défi du nouvel espace de mission est l’érosion totale des concepts d’ennemi et de guerre elle-même. L’adversaire sera beaucoup plus ambigu et la guerre deviendra un processus insidieux conçu pour dégrader de l’intérieur plutôt que d’attaquer de l’extérieur ». (soulignement ajouté)(([27] https://irp-cdn.multiscreensite.com/26db15ee/files/uploaded/5GW%20Section1.pdf))

      Les forces d’opérations spéciales débattent déjà des opportunités et des risques des réseaux IOT 5G, avec des assassinats par le biais des LOIS qui peuvent être utilisés pour éliminer des individus ciblés.

      « L’adoption des métamatériaux a été la plus importante dans les communications, les antennes et les systèmes radar, avec les applications d’identification par radiofréquence (RFID) associées pour le marquage, le suivi et la localisation. Le passage aux communications 5G et aux capacités radar extraordinaires accélérera encore les développements, avec des ventes commerciales qui devraient dépasser 10 milliards de dollars par an d’ici 2030. Les métamatériaux font partie intégrante des futures antennes hautes performances, haute impédance, profil bas, conformes et fractales pour systèmes de communication et de radar. Il existe un potentiel immense pour des changements révolutionnaires dans les communications militaires et les systèmes radar grâce aux métamatériaux. En effet, à mesure que les métamatériaux s’intègrent de plus en plus dans les technologies d’antenne, ils réduiront les coûts du système, permettront des appareils plus petits avec des besoins en énergie réduits, faciliteront de nouvelles formes et facteurs de forme, et offrir des capacités de formation et de mise en forme de faisceaux plus agiles. »(([28] https://cgsr.llnl.gov/content/assets/docs/StratLatUnONLINE.pdf))

      Le complexe militaro-industriel à travers le monde ne connaît que trop bien les avantages de l’utilisation de systèmes d’armes électromagnétiques pour l’interrogation du champ de bataille, à savoir la 5G, et ce depuis l’émergence de la technologie pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce qui est également bien compris, c’est le vaste corpus de données scientifiques publiées montrant les effets néfastes sur la santé et l’environnement des réseaux de télécommunications actuels. La 5G ajoute toute une série de risques supplémentaires pour l’environnement et la santé de la population.(([29] https://apps.dtic.mil/dtic/tr/fulltext/u2/a282886.pdf))

      Ce n’est pas un argument qui peut être contesté aujourd’hui. La dérive des missions et la planification d’une guerre asymétrique et non conventionnelle dans les villes devraient être très préoccupantes, en particulier pour la population civile au cas où elle deviendrait la cible d’un régime technocratique et fasciste orwellien. Qui contrôlerait les radars d’interrogation urbaine et les systèmes d’armes aériennes à énergie dirigée ?(([30] https://media.defense.gov/2019/Apr/03/2002109302/-1/-1/0/DIB_5G_STUDY_04.03.19.PDF))

      De nombreuses opportunités sont actuellement en cours de discussion dans l’industrie de la défense, en se concentrant sur la capacité des réseaux urbains 5G à étiqueter la population avec des antennes métamatérielles, tandis que les préoccupations et les risques sérieux sont apparemment ignorés.(([31] https://www.airuniversity.af.edu/Portals/10/AUPress/Papers/LP_0004_ELECTROMAGNETIC_DEFENSE_TASK_FORCE_2_2019.PDF))

      Ces programmes et plans futurs présentent un risque important pour les libertés civiles, les infrastructures essentielles et l’État de droit.

      Métamatériaux de vaccination — Champs magnétiques provenant de contamination par nanoparticules

      Il a été démontré dans un certain nombre d’études que les vaccins contiennent des contaminants métalliques toxiques, y compris des niveaux «inexplicables» de contamination par les nanométaux.(([32] https://medcraveonline.com/IJVV/IJVV-04-00072.pdf))

      Ce phénomène est loin d’être inexplicable si les chercheurs qui ont mené cette étude avaient eu connaissance des objectifs de l’industrie de la défense et des ingrédients métamatériaux pouvant être utilisés pour améliorer les technologies d’interrogation urbaine 5G, ainsi que divers autres projets de développement de nanomatériaux.(([33] https://link.springer.com/article/10.1007/s42452-019-0592-3))

      Les métaux sont presque universellement réfléchissants par radar et sont donc visibles pour être utilisés comme moyen de détection d’objets. « Wetware » est le nom donné aux structures biologiques opérant dans l’espace du champ de bataille qui sont beaucoup plus difficiles à suivre et à tracer ou à attaquer à l’aide de LIDAR, de RADAR ou de DEW. Les métaux sont de puissants réflecteurs d’ondes électromagnétiques et permettent une détection et une résolution accrues des technologies d’interrogation sur le champ de bataille. Des formes métalliques spécifiques dans les polymères peuvent être utilisées pour leurs propriétés diélectriques afin de dévier et d’absorber la capacité de réflexion et d’interrogation des systèmes radar actuels.(([34] https://www.sciencedirect.com/topics/materials-science/radar-absorbing-material))

      Cependant, sans utiliser cette forme précise et cette encapsulation polymère, la contamination métallique sous forme de métamatériaux permet une résolution plus élevée de la cible. Une fois la technologie du vaccin Covid-19 injectée dans le corps, l’acquisition cible de wetware est beaucoup plus précise et le domaine technologique peut être utilisé pour collecter des données biométriques. Il est envisagé que les appareils électroniques portables et qui peuvent être portés sur soi [comme une montre intelligente] qui sont actuellement utilisés pour connecter la personne au Cloud deviendront redondants en raison de ces avancées technologiques et d’autres. Le réseau de contrôle Neuralink utilise des antennes de nanotechnologie implantées qui peuvent collecter ces données et les télécharger sur le Cloud. Ces innovations vont bien au-delà de la phase de planification et font toutes partie du futur espace du champ de bataille.(([35] https://www.sciencealert.com/scientists-say-a-human-brain-cloud-interface-is-coming-this-is-what-it-could-be-like))

      Les recherches du Dr Robert O. Young confirment que les injections de Covid-19 ont été entièrement chargées de métamatériaux, à savoir du graphène, des nanoparticules d’oxyde ferreux.(([36] https://www.drrobertyoung.com/post/transmission-electron-microscopy-reveals-graphene-oxide-in-cov-19-vaccines))

      Cette découverte choquante est confirmée par nos propres recherches menées sur les victimes, ainsi que par des milliers de vidéos anecdotiques montrant des émissions de rayonnement électromagnétique, ainsi que des aimants et des objets métalliques réagissant aux sites d’injection des personnes vaccinées avec le sérum Covid-19. Parmi les autres biomarqueurs utilisés, citons le SM-102, qui est un phospholipide toxique présent dans les vaccins Moderna Covid-19, une luciférine synthétique qui améliore la luciférase d’imagerie par bioluminescence.(([37] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4026177/))

      Les luciférines peuvent être activées à l’aide d’un rayonnement électromagnétique pour créer une bioluminescence du sujet. Les technologies de reconnaissance faciale, qui font partie de la boîte à outils de la technologie 5G, peuvent ensuite être utilisées pour suivre et tracer le sujet contaminé dans l’espace environnemental.

      Les décès et les dommages biologiques importants dans la population causés par l’intervention médicale du vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ont maintenant été documentés dans près d’un millier d’articles scientifiques publiés.(([38] https://www.saveusnow.org.uk/covid-vaccine-scientific-proof-lethal/))

      Les injections de Covid-19 sont désormais liées à la coagulation sanguine, à la myocardite, à la péricardite, à la thrombose, à la thrombocytopénie, à l’anaphylaxie, à la paralysie de Bell, au syndrome de Guillain-Barré et au cancer, entre autres. Ceci est confirmé par des données scientifiques irréfutables et recueillies par le gouvernement auprès de la UK Health and Security Agency, qui montrent que les vaccins Covid-19 sont dangereux et inefficaces.

      Symptômes du coronavirus COVID-19 radio-induit

      La grande majorité des populations à travers l’Occident, en particulier celles de la communauté Five Eyes, l’alliance du renseignement Anglosphere regroupant l’Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande, le Royaume-Uni et les États-Unis, ont été injectées à leur insu avec des antennes en nano métamatériaux et vont malheureusement subir des taux de mortalité accrus en raison des émissions de rayonnement réfléchissantes localisées du radar urbain 5G. Tous les symptômes connus du coronavirus peuvent être attribués à la pollution par les rayonnements ionisants et non ionisants.(([39] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30998908/))(([40] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3426842/))

      La 5G a été identifiée dans un certain nombre d’articles publiés comme la cause réelle de la pandémie, dont le début a coïncidé avec la mise en marche du réseau 5G dans la province de Wuhan, dont la population venait d’être vaccinée contre la grippe obligatoire. La 5G a le potentiel de fournir des niveaux d’énergie ionisants qui entraîneraient une suppression du système immunitaire, laissant le corps à risque de maladie.(([41] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/#))

      L’agent pathogène Covid-19 n’a pas été isolé ou purifié et actuellement aucune agence gouvernementale ne peut fournir l’isolat ou la preuve de son existence réelle, à l’exception de la modélisation in silico [Par informatique] créée par l’Institut de Wuhan, qui est officiellement reconnu comme le complexe de laboratoires de recherche sur les virus le plus avancé de Chine. La Chine est signataire de la Convention sur les armes biologiques (BWC) depuis 1985 et, en 1993, a déclaré l’Institut des produits biologiques de Wuhan comme l’une des huit installations de recherche sur la guerre biologique couvertes par la BWC. Toute personne travaillant sur ou sur ce site serait légalement tenue de ne divulguer aucun secret survenant dans le cadre de son emploi dans cette installation et n’est donc pas libre de s’exprimer. Le laboratoire national de niveau 4 de sécurité biologique de Wuhan (BSL-4) est dédié à la recherche sur les maladies infectieuses graves. Il a le plus haut niveau de sécurité biologique et couvre de nombreuses biotoxines et des développements illégaux d’armes biologiques SARS-Cov-2 à gain de fonction, et a été la source des données initiales sur les agents pathogènes pour l’existence de Covid-19 et la réponse du programme de vaccination des entreprises pharmaceutiques internationales qui en a résulté. Par coïncidence, le test PCR n’a jamais été en mesure d’identifier un virus ou un agent pathogène vivant et constitue la base fondamentale des blocages à travers le monde, qui ont été utilisés avec un grand effet pour terroriser la population mondiale en lui faisant croire que Covid-19 existe en tant que virus vivant et que la seule stratégie de survie consiste à utiliser une technologie d’arme biologique déguisée en vaccin.(([42] https://telegra.ph/The-scam-has-been-confirmed-PCR-does-not-detect-SARS-CoV-2-02-08))

      [Voir aussi :
      Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
      The Big Reset – Le documentaire non censuré sur la vérité de la pandémie
      La Fin de la Théorie des Germes — Documentaire
      Démantèlement de l’hypothèse virale
      Les coupables de la crise corona sont clairement identifiés
      Démontage de la théorie virale
      Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
      et plus généralement les articles du dossier Vaccins et virus]

      Les Centers for Disease Control (CDC) ont maintenant retiré le test PCR en tant qu’outil de diagnostic, après qu’il ait été mal utilisé, ce qui prouve son utilisation délibérée pour créer la peur et la détresse parmi une population mal informée.(([43] https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html))

      Des chercheurs et des médecins du monde entier ont été bâillonnés, menacés et vilipendés dans les médias et discrédités en tant que théoriciens du complot par les gouvernements et leurs agents lorsqu’ils se sont prononcés pour s’opposer à ce programme transmondialiste. La déclaration de Great Barrington, avec plus de 800 000 signataires, a été ignorée et vilipendée par ceux qui poussent leur récit terrorisant. Il a été ignoré de manière déraisonnable afin que les populations occidentales puissent être terrorisées pour participer à la plus grande expérience médicale illégale et illicite de l’histoire du monde.(([44] https://gbdeclaration.org/))

      Les humains augmentés augmentent la mortalité dans les champs de rayonnement 5G

      Les humains augmentés et leur soi-disant amélioration biologique font déjà partie de l’agenda mondial connecté des gouvernements et des industries de la défense.(([45] https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/986301/Human_Augmentation_SIP_access2.pdf))

      Il est étonnant de constater que, dans les démocraties représentatives du monde entier, cela se passe sans aucune consultation publique, sans aucun débat public de la part des participants à qui on a proposé cet agenda idéologique, technologique et politique.(([46] https://augmented-humans.org/))

      On peut postuler que la seule raison que l’élite technocratique — y compris les forces motrices du Forum Économique Mondial (FEM) et des Nations unies (ONU) avec son Agenda 2030 — pourrait avoir pour cacher cet agenda numérique mondial connecté au public est qu’il la condamnerait et refuseraient d’y participer. Bien qu’il y ait des implications juridiques et légales évidentes et sérieuses autour de ce programme, l’accent devrait être mis sur les implications juridiques de l’utilisation de technologies biologiquement nocives qui auront un impact néfaste sur la santé, l’environnement et la mortalité. Il n’existe actuellement aucune donnée ou recherche crédible sur la sécurité montrant que le déploiement de cette technologie est sûr. Un autre exemple choquant de produit mis sur le marché sans normes de sécurité optique ni protocoles de test est celui des casques de réalité virtuelle (VR). Malgré le fait que le rayonnement optique artificiel est un danger environnemental et humain connu, ces casques nécessitent un grossissement du rayonnement optique comme affichage rétinien et confirment le mépris total de la sécurité et de la loi. Un autre exemple : la technologie montante de liaison neuronale nécessite l’insertion ou l’injection de nano-métamatériaux dotés d’une capacité d’antenne dans le cerveau et le corps des humains à travers la planète.(([47] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33431878/))

      Il a déjà été démontré dans la littérature publiée que les nanomatériaux produisent des effets biologiques néfastes provoquant la mort cellulaire et des problèmes potentiels de fertilité.(([48] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30587973/))(([49] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19652459/))

      Il est suggéré d’utiliser des nano-antennes pour recevoir et répondre à l’aide d’une compression cohérente de données QAM dans le corps, sans aucune donnée de sécurité correspondante, créant ainsi une population d’entités émettrices de rayonnements qui, selon certaines définitions légales, deviendraient des appareils électriques et ne seraient donc pas considérés comme humains. Les niveaux d’énergie de ces signaux cohérents proposés en provenance et à destination d’antennes placées dans le corps et le cerveau augmenteront les dommages cellulaires causés par les impacts des rayonnements provenant de l’extérieur du corps, dont la génotoxicité a déjà été démontrée.(([50] https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/em.22343))

      Il a été démontré que les niveaux de modulation des appareils de communication mobiles de faible puissance fonctionnant dans le spectre des énergies non ionisantes provoquent des espèces réactives de l’oxygène (ERO) et sont génotoxiques pour les animaux dans la plus grande étude indépendante réalisée, l’étude du National Toxicology Program (NTP), dont les résultats sont soutenus par le plus grand nombre de publications scientifiques indépendantes. Ces études confirment l’effet génotoxique sur les animaux des expositions subchroniques au niveau des lignes directrices de l’ICNIRP. Les émissions urbaines de la 5G sont conçues pour fournir une exposition chronique aux rayonnements qui augmentera sans aucun doute les effets génotoxiques sur toute la vie biologique avec laquelle les rayonnements entrent en contact. Ces émissions de rayonnements dépassent largement le seuil de contamination de 6 minutes recommandé par l’ICNIRP pour certains spectres. Des preuves provenant de zones couvertes par les émissions de rayonnement moins puissantes et moins densifiées des réseaux 4G ont déjà montré des effets néfastes importants sur la faune et la flore.(([51] https://ehtrust.org/wp-content/uploads/Mt-Nardi-Wildlife-Report-to-UNESCO-FINAL.pdf))

      Les organismes biologiques plus petits qui composent l’ensemble de l’écosystème sont moins protégés contre les émissions de rayonnement d’origine humaine et peuvent donc montrer des effets d’une manière plus visible et incontestable. Il a été démontré que le manque aigu de petits insectes est principalement causé par de nouvelles émissions de rayonnement artificielles expérimentales, y compris des diodes électroluminescentes (DEL) qui ont été peu étudiées pour leurs effets néfastes sur l’environnement.(([52] https://esajournals.onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1890/14-0468.1))

      L’ajout de nano-métamatériaux par le biais d’implants, d’injections et de contamination environnementale créera un environnement cytotoxique préjudiciable à toute vie biologique. La réflexion localisée des antennes de métamatériaux ou des entités vaccinées contaminées par des nanomatériaux s’ajoutera à une augmentation substantielle des expositions aux rayonnements, notamment dans les villes. La technologie de raccordement 5G peut désormais capturer et interroger de multiples points de données, des conversations, ainsi que des données biométriques corporelles et des mouvements 24 heures sur 24, tous les jours, au détriment des personnes vaccinées par le Covid-19 pour le reste de ce qui sera probablement une espérance de vie limitée, ainsi que des personnes incapables de se retirer de ces réseaux de rayonnement 5G et des environnements pollués par les nanoparticules.

      Des champs magnétiques artificiels accompagnent l’onde du faisceau numérisé (QAM), ce qui augmente les émissions et crée une perturbation par vibration énergétique des particules de nano-métamatériaux dans le corps vacciné contaminé. Cela augmentera considérablement la cytotoxicité des technologies sur une population massive de personnes vaccinées qui ne se doute de rien.

      Le mandat de cette expérience technologique sous la forme d’un vaccin qui augmente la stérilité et provoque la mort prématurée est une entreprise criminelle d’organisations et d’individus qui n’ont pas reconnu le développement compartimenté des systèmes d’armes nécessaires au programme de contrôle et de dépopulation planifiée. Les renseignements sur le dépeuplement massif ont été confirmés dans les cercles de la défense dès 2017 par le groupe de renseignement sur le matériel d’armement Deagel, qui a prédit plusieurs millions de victimes dans les pays occidentaux d’ici 2025.

      L’ignorance ne devrait pas servir de défense à ces criminels, qui participent à une guerre asymétrique contre une population ignorante et terrorisée.

      Les criminels peuvent être identifiés par leur mépris total des évaluations obligatoires des risques environnementaux et des normes de sécurité standard en ce qui concerne les technologies expérimentales et les principes de précaution qui devraient leur être appliqués.

      Les données du gouvernement britannique montrent clairement que les vaccins expérimentaux ne fonctionnent pas comme un vaccin et présentent un risque important pour la population par des millions de réactions indésirables graves, y compris la mort. Bien qu’il n’y ait aucun avantage pour les enfants à leur injecter ce poison, les acteurs derrière cet événement meurtrier planifié ignorent la science et les données irréfutables alors qu’ils poursuivent leur programme de guerre secrète contre les plus vulnérables de nos sociétés.(([53] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-06/04-COVID-Lee-508.pdf))

      Le CDC admet les dangers mortels actuels posés aux jeunes par cette technologie expérimentale, sans données à long terme sur les dangers posés par ce déploiement d’armes biochimiques. À l’origine du mépris flagrant de toutes les obligations éthiques et juridiques se trouve l’ordre du jour primordial du champ de bataille militaire, qui dicte que la guerre doit maintenant être menée contre les populations civiles.

      Conclusion

      Pour citer Martin L Pall, PhD, professeur émérite de biochimie et de sciences médicales à l’Université de l’État de Washington, « Mettre des dizaines de millions d’antennes 5G, sans un seul test biologique de sécurité, doit être l’idée la plus stupide que quiconque ait eue dans l’histoire. du monde ». Le professeur Pall a cependant tort : ce n’est pas une idée stupide mais un crime odieux si l’on comprend le mobile de ce déploiement. La 5G est un déploiement d’armes compartimenté se faisant passer pour une avancée technologique bénigne pour des communications améliorées et des téléchargements plus rapides. La fausse propagande mondialiste s’effondre avec un simple fait incontesté : leur brevet de test PCR pour Covid-19, qui a été déposé en 2015, n’a jamais été en mesure d’identifier un virus vivant, de sorte qu’il puisse être utilisé pour terroriser des populations ignorantes et sans méfiance à travers le monde pour qu’elles prennent un vaccin Covid-19 pollué par une technologie de nano-antenne pour connecter les victimes au réseau 5G.

      Les technologies émergentes 5G, autonomes et de réalité augmentée, souvent qualifiées par les fabricants de « technologie tueuse », se révéleront être exactement cela. L’approche de laisser-faire adoptée par les organismes de réglementation et l’industrie des télécommunications a encouragé le mépris total des dommages biologiques connus causés par les niveaux croissants de rayonnements ionisants et non ionisants résultant du déploiement massif de ces technologies, qui ont été développées pour une utilisation sur le champ de bataille. Les organisations non gouvernementales, les individus et les groupes ont dû intenter une action en justice contre les organismes gouvernementaux de réglementation de la sécurité car ceux-ci ont ignoré le principe de précaution et ignoré l’exigence de normes qui sont indispensables en droit pour le développement de produits nouveaux et expérimentaux.

      Toute la base de l’existence des organismes de réglementation a été corrompue par des criminels au sein de ces organisations qui ont détruit la confiance du public éduqué en eux.

      Les exigences de sécurité de base ont été délibérément ignorées par l’industrie des télécommunications et les directives de l’ICNIRP ont été délibérément conçues pour semer la confusion chez ceux qui manquent de connaissances techniques.

      Les données sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 ressemblent à la destruction de l’Humanité alors que des millions de citoyens nord-américains meurent et sont blessés dans cette expérience médicale qui enfreint le Code de Nuremberg et le Statut de Rome de la Cour pénale internationale.

      Les niveaux d’émissions de rayonnement du réseau 5G dépassent empiriquement la résolution COE 1815 et confirment l’agression, causant des lésions corporelles réelles aux populations du monde entier. Le fait que les données vectorielles des vaccins Covid-19 aient été développées dans des laboratoires d’armes chimiques biologiques prouve qu’elles ne font que se faire passer pour des vaccins, les données émergentes sur la stérilisation, la mauvaise santé et la mort à travers l’Occident révélant leur véritable objectif. Le dépeuplement de ceux qui n’ont aucune connaissance de l’agenda meurtrier se poursuivra jusqu’à ce que les criminels impliqués dans ce meurtre de masse soient traduits en justice. Le réseau 5G a la capacité de cibler, d’acquérir et d’attaquer les vaccinés grâce à leur vaccin Covid-19 à antenne nano métamatériau.

      Les systèmes d’armes létales autonomes (LAWS) exigent que les réseaux 5G maintiennent leur géopositionnement et naviguent dans leur environnement jusqu’à la cible ; ces armes ne peuvent pas compter sur les communications par satellite en raison du potentiel d’événements météorologiques défavorables et de la latence du signal pour perturber leurs signaux. Elles doivent donc disposer de réseaux 5G localisés pour l’environnement de champ de bataille urbain à venir, pour la capacité d’assassinat et pour la domination du champ de bataille dans les guerres futures prévues. Des acteurs voyous mettent en œuvre la Solution finale, un concept du Troisième Reich désormais actualisé par le FEM « Build Back Better », quatrième révolution industrielle contre les populations civiles, tel que proposé par l’industrie de la défense en violation des Conventions de Genève, ainsi que des lois et traités nationaux et internationaux .

      Pour éviter tout doute, la définition d’une arme est un dispositif, un outil ou une action qui a été conçu pour causer des dommages physiques ou psychologiques en violation de la législation primaire.

      La compartimentation du développement des systèmes d’armes a joué un rôle crucial en n’alertant pas les membres des autorités de réglementation et de l’industrie des télécommunications sur le véritable objectif et les intentions de ceux qui conduisent et financent en fin de compte le déploiement de la 5G et des armes chimiques biologiques se faisant passer pour des vaccins Covid-19 pour un grille de contrôle et de commande planifiée.

      Le monde suit aveuglément les plans de l’élite technocratique et du complexe militaro-industriel-pharmaceutique pour éliminer un grand nombre de populations à travers le monde sans tenir compte de la législation primaire.

      Les droits donnés par Dieu et les lois consacrées pour la protection des hommes et des femmes ont été ignorés par ces forces sectaires dans leur programme de dépeuplement, de stérilisation et de meurtres de masse.

      La 5G est un système d’armes, un crime contre l’humanité si monstrueux que même une personne instruite trouverait cela incroyable au premier examen des faits.

      La preuve prima facie [à première vue] de ce programme de dépopulation mondialiste est sans équivoque et devrait être testée devant les tribunaux afin que les conspirateurs impliqués dans ce plan meurtrier puissent être traduits en justice. C’est le plus grand crime jamais perpétré contre l’humanité et toute la création de Dieu.

      Déclaration de vérité

      Je crois que les faits énoncés dans cette déclaration de témoin sont vrais. Je comprends qu’une poursuite pour outrage au tribunal peut être intentée contre quiconque fait ou fait faire une fausse déclaration dans un document vérifié par une déclaration véridique sans une croyance sincère en sa véracité.

      [Rapport original en anglais]


      Mark Steele est directeur de la technologie chez www.saveusnow.org.uk, un parti de résistance à cette attaque criminelle contre l’humanité.

      Il est l’inventeur et le rédacteur de brevets de l’affichage tête haute et des systèmes de visée d’armes. Il est ingénieur en développement de produits et expert en systèmes d’armes à énergie directe.

      Cet article a été initialement publié sur For Life on Earth.

      La source originale de cet article est Global Research
      Copyright © Mark Steele , Recherche mondiale, 2022





      Nord Stream, Covid, « journalisme » : même délire !

      Par Alain Tortosa

      Enquête sur le sabotage des gazoducs et fonctionnement des journalistes

      1

      .

      Michel :

      « Maman, maman, y’a Mathieu qui a cassé son camion rouge2 ! »

      Maman :

      « Qu’est ce que tu racontes, c’est le camion qu’il adore et toi aussi tu l’adores »

      Michel :

      « Oui c’est vrai, il l’a cassé exprès parce qu’il voulait pas que je joue avec ! »

      Maman :

      « Tu me dis que Mathieu a cassé SON camion parce qu’il ne voulait pas que TU joues avec ? »

      Michel :

      « Oui maman, c’est vrai, juré, craché ! »

      Maman :

      « Mais mon chéri, s’il voulait pas que tu joues, il n’avait pas besoin de casser SON jouet qui coûte si cher3, il lui suffisait de ne pas te le prêter. ! »

      Michel :

      « Il doit être un peu bête ou alors ses parents sont très riches. »

      Maman :

      « Mais ce jouet il te le prêtait des fois pourtant ! »

      Michel :

      « Oui mais il m’obligeait à faire d’autres jeux pour me le prêter. »

      Maman :

      « Tu me dis que ce jouet lui permettait d’obtenir de toi des services 4? »

      Michel :

      « Oui c’est vrai, et ça j’aimais pas ! »

      Maman :

      « Et maintenant comment il va faire pour les obtenir s’il a plus le jouet ? »

      Michel :

      « Ben il peut plus ! »

      Maman :

      « Alors il n’avait aucun intérêt à le casser, il perd ce pouvoir. »

      Michel :

      « C’est vrai. »

      Maman :

      « Tu te rappelles en février5, tu avais dit que « de toutes les façons, Mathieu il aura plus ce jouet » ! »

      « Et même Sylvie à qui tu avais dû en parler avait ajouté « de toutes les façons Mathieu perdra ce jouet6 ». Et là comme par hasard, il est cassé. »

      Michel :

      « Ça voulait rien dire, c’était une façon de parler. »

      Maman :

      « Et quand en novembre papa avait trouvé un gros paquet de pétards7 à côté du camion, c’était aussi Mathieu qui voulait faire exploser son beau jouet tout neuf ? »

      Michel :

      « Je sais pas moi, c’était peut-être le hasard. »

      Maman :

      « Tu te rappelles que tu avais cassé le jouet d’un autre copain8 il y a quelques années parce que tu voulais pas qu’il le garde pour lui ? »

      Michel :

      « Oui mais ça compte pas, j’étais petit ! »

      Maman :

      « Ok ça c’était il y a quelques années, mais en juin dernier tu as bien joué avec des pétards9 non loin du camion de Mathieu pour voir comment on pouvait exploser un jouet ? »

      Michel :

      « Oui mais c’était pour apprendre comment les éteindre ! »

      Maman :

      « Je viens d’apprendre que ton autre copain Martin vient d’avoir un super camion10. C’est pas un peu bizarre que ça arrive le même jour que « l’accident » sur le camion de Mathieu ? »

      Michel :

      « J’imagine que c’est encore un hasard…. »

      « Et puis je vous avais prévenu11 il y a plusieurs mois, papa et toi, que le jouet de Mathieu risquait d’être cassé, c’est bien la preuve que je suis innocent. »

      Maman :

      « Et comment l’as tu appris ?

      Michel :

      « Je ne peux pas le dire, c’est un secret. »

      Maman :

      « Ben tiens !

      Tu es innocent parce que c’est quelqu’un d’autre qui l’a cassé ou coupable parce que tu savais qu’il serait abîmé par toi-même ? »

      « Et puis si tu savais, pourquoi tu ne l’as pas empêché ? »

      Michel :

      « Je pouvais pas savoir si c’était vrai et quand ça aurait lieu. »

      Maman :

      « Et là Mathieu il fait quoi en ce moment ? »

      Michel :

      « Ben il est en train d’essayer de le réparer. »

      Maman :

      « Donc tu me dis que Mathieu a cassé SON jouet qu’il adore et qui est hors de prix, juste pour t’empêcher d’y jouer alors qu’il suffisait qu’il ne te le prête plus, que ce jouet lui permettait d’obtenir de toi des services qu’il ne pourra plus obtenir ainsi, et que maintenant il essaye de le réparer alors qu’il vient juste de le casser, jouet dont tu avais dit en février qu’il ne l’aurait plus, que tu as déjà cassé d’autres jouets de copains par le passé, que tu avais annoncé qu’il allait être cassé et par « hasard » c’est arrivé le jour où ton autre copain Martin a reçu un nouveau camion, c’est bien ça ? »

      Michel :

      « Oui maman c’est ça ! »

      Maman :

      « Toi en revanche tu en veux à Mathieu, tu es jaloux qu’il ait un aussi beau camion, tu n’aimes pas qu’il obtienne des faveurs grâce à lui, tu voudrais qu’il utilise tes jouets pour pouvoir lui demander des services et tu me fais croire qu’il a cassé SON camion qu’il essaye désormais de réparer ? »

      Michel :

      « Oui maman, c’est la vérité vraie ! »

      Maman :

      « Tu te rappelles de l’histoire du bac à sable ? Mathieu était dedans et il est arrivé en pleurant en disant que tu avais jeté plein d’eau et que maintenant c’était tout mouillé et injouable12. »

      Michel :

      « Oui je me rappelle, c’est Mathieu qui avait ajouté de l’eau, pas moi. »

      Maman :

      « Donc c’est la deuxième fois que Mathieu casse ses affaires à lui pour te faire accuser, c’est bien ça ? »

      Michel :

      « Oui maman, il est vraiment méchant Mathieu. »

      Maman :

      « Alors qu’il avait la possibilité de te faire souffrir en gardant le contrôle du bac à sable et qu’il avait la possibilité de te faire chanter avec son camion, il a préféré les détruire juste pour te faire du mal quitte à perdre ses affaires et tout pouvoir sur toi ? »

      « Et là en plus il est en train d’essayer de réparer son camion qu’il viendrait de casser13 ? »

      « Alors que toi, en revanche, tu avais des raisons d’en vouloir à Mathieu, tu étais jaloux mais c’est pas toi, c’est bien ça ? »

      Michel :

      « Oui maman, c’est bien ça ! »

      Maman :

      « Tu imagines si Mathieu cassait tes jouets14 et en plus t’accusait, réfléchis s’il se mettait à faire comme toi ? »

      Michel :

      « il serait vraiment pas gentil, mais moi je suis gentil ! »

      Maman :

      « Attends, je vais parler de cette histoire à Papa, comme tu sais il est journaliste chez LCI et il aura donc de bonnes idées. »

      « Maurice tu peux venir un instant ? »

      Maman lui raconte les événements et Maurice de conclure.

      Papa :

      « Moi je l’ai jamais aimé ce Mathieu, il a une très mauvaise réputation, on dit de lui des horreurs,

      Ça m’étonne pas de lui qu’il ait cassé son camion pour te faire accuser, c’est donc lui le coupable. »

      Maman :

      « Les bras m’en tombent ! »

      Comment font les journalistes pour nous raconter toute la journée que le sabotage est probablement un coup des russes ?

      Pour eux cela relève :

      • De l’évidence (toutes les preuves sont là) !
      • Du désespoir (Poutine est foutu).

      Et

      • Du machiavélisme du dictateur.

      Vous me direz « comment peut-on dire autant de conneries » si on analyse les faits (comme l’histoire du camion de Mathieu).

      Si la question est posée ainsi alors la réponse deviendrait évidente pour tout vrai journaliste :

      « Quiconque analyse les faits est contraint d’affirmer que le faisceau d’indices et de présomption accusent les USA et surtout innocente les russes. »

      Et pourtant, je le répète, toutes les rédactions semblent trouver « évident » que le coupable est Poutine.

      Même Cnews à qui il arrive parfois de dire quelques vérités nous raconte la même histoire.

      Premier lieu l’absence d’enquête :

      Cela a été dit et redit mais quiconque analyse les faits arrive à la conclusion que le crime profite aux USA et innocente la Russie.

      Les « journaliste » n’ont donc mené strictement aucune enquête !

      Une enquête est inutile si on connaît déjà les coupables.

      Deuxième lieu, l’intime conviction :

      S’ils ne mènent pas d’enquête c’est que cela est totalement inutile.

      Allez-vous mener une investigation pour savoir si la Terre est plate ?

      Seul un type comme moi (et oui je l’ai fait) va vraiment enquêter (à charge et à décharge) pour savoir si la Terre est plate.

      Poutine est un enculé donc c’est lui le coupable, inutile d’aller chercher plus loin.

      Troisième lieu, un monde binaire :

      Le cerveau du journaliste de base est de toute évidence beaucoup trop petit pour complexifier le monde.

      Dès lors que Poutine est le méchant, les américains sont les gentils !

      Et le fait qu’il aient le sang de millions de morts sur les mains, qu’ils ont toujours menti comme fait croire aux armes de destruction massives et la fiole d’anthrax15 en Irak ou des bébés assassinés dans leur couveuse16 n’a strictement aucune importance !

      « Gentil capitaliste, méchant communiste ! »

      Intégrer dans leur cerveau qu’il puisse y avoir des enculés des deux cotés et, concernant l’Ukraine, beaucoup plus d’enculés du coté américain, est au delà de leur capacité intellectuelle.

      « Les américains sont les gentils » donc inutile d’aller chercher plus loin.

      Quatrième lieu, l’auto-confirmation comme preuve :

      C’est un peu comme si je me demandais si j’étais d’accord avec moi-même.

      Bon l’exemple n’est pas parfait car il m’arrive de ne pas être d’accord avec moi-même mais fonctionne parfaitement avec les « journalistes ».

      Je vais demander à Paul qui va demander à Pierre, qui va demande à Jacques17 qui va demander à Marcel qui finalement va me demander à moi.

      À aucun moment quiconque va amener la preuve de quoi que ce soit.

      Le partage d’une opinion, « je pense que », en fera un vérité.

      Cinquième lieu, trouver une théorie compatible :

      Il a beau être inutile d’enquêter sur l’événement, le coupable étant connu à l’avance, il n’en demeure pas moins vrai qu’il faut trouver un sens qui est compatible avec la doxa.

      La fausse science, basée sur des croyances, ne peut avoir tort.

      Si par malheur les faits la contredisent, il suffit d’élaborer de nouvelles théories, qu’importe qu’elles soient ridicules.

      À noter que pour les rendre ridicules il faudrait enquêter, ce qui serait pour le coup « ridicule ».

      • « Ils ont saboté les gazoducs pour priver les européens de gaz » (il suffisait de couper le robinet, non ?)
      • « Ils ont saboté les gazoducs pour être certain que le robinet ne puisse plus s’ouvrir » (au cas où un malade russe changerait d’avis, pas de retour en arrière).
      • « Ils ont saboté les gazoducs pour faire accuser les américains (théorie géniale car elle prouve le machiavélisme pervers des russes, faire accuser des « innocents »)

      Sixième lieu, discréditer le messager :

      Pour le Covid, il suffit de traiter de fou ou de complotiste celui qui questionne et ainsi rendre son discours inaudible.

      Si on ne trouve pas d’explications rationnelles suffisamment convaincantes sur le gazoduc alors on s’attaque à Poutine.

      Poutine est un dictateur !

      Pourquoi ?

      Parce qu’aucun peuple, même russe, ne saurait le suivre.

      Poutine est fou :

      Pourquoi ?

      Parce que tous les dictateurs sont fous.

      Pourquoi ?

      Parce qu’il ne saurait exister de dictateurs sains sans quoi vous et moi pourrions l’être.

      Peut-on comprendre un fou ?

      Non, il est donc de fait impossible d’expliquer rationnellement les comportements délirants de Poutine et il est donc aussi impossible de trouver une raison rationnelle à l’auto sabotage des gazoducs.

      Il est donc vain d’enquêter sur les raisons qui pousseraient les russes à faire un truc aussi illogique qu’un auto sabotage parce que :

      Poutine est un fou irrationnel qui agit comme un fou irrationnel.

      Je résume :

      Vous, oui vous au fond de la classe, essayez de vous concentrer s’il vous plaît !

      « Journaliste c’est un métier et ça ne s’improvise pas comme ça ! »

      Étape 1 :

      Je reçois une dépêche AFP sur laquelle il est écrit : « Explosion sur le gazoduc russe ».

      Étape 2 :

      Je note qu’il y a le mot « russe ».

      Étape 3 :

      Aucune enquête n’est nécessaire.

      Les coupables sont donc les russes.

      Étape 4 :

      Si les russes sont coupables, il ne saurait y avoir d’autres coupables.

      Étape 5 :

      Toutes les personnes qui sont d’accord avec moi disent la même chose, cela confirme que c’est vrai.

      Étape 6 :

      Ils ont auto-saboté les gazoducs pour faire accuser les américains.

      Étape 7 :

      C’est logique, Poutine est un fou.

      C’est ainsi que l’on construit une information « honnête, fiable et vérifiée ».

      Nous savons vous et moi que les « journalistes » médiatiques n’ont plus rien du journalisme et il est peu probable qu’ils le redeviennent.

      Je ne vois d’alternative que de reprendre l’AFP et y placer des personnes qui respectent la charte de Munich18

      Il est vrai que si la charte de Munich avait valeur de loi, les rédactions seraient vides.

      Merci

      Alain Tortosa

      29 septembre 2022
      https://7milliards.fr/tortosa20220929-nordstream-journalisme.pdf





      Les responsables de la santé admettent que Bill Gates dirige le monde

      [Source : takecontrol.substack.com]

      Dans un rapport publié dans Politico, des responsables américains et européens et des spécialistes de la santé mondiale ont admis que Bill Gates dirigeait la réponse mondiale au COVID

      Par Dr Joseph Mercola



      L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL

      • Le 14 septembre 2022, Politico a publié un rapport spécial basé sur quatre douzaines d’entretiens avec des responsables américains et européens et des spécialistes de la santé mondiale, qui admettent que Bill Gates dirige la réponse mondiale au COVID.
      • Quatre organisations de santé — la Fondation Bill & Melinda Gates, GAVI, la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) et le Wellcome Trust — ont rapidement pris les devants dans la riposte mondiale à la pandémie, et bien que toutes les quatre prétendent être des organisations indépendantes, elles sont toutes effectivement fondées et/ou financées par Gates.
      • Au cours des premiers jours de l’épidémie, la Fondation Gates, la GAVI, le CEPI et le Wellcome Trust ont lancé un effort coordonné pour identifier les fabricants de vaccins, financer des tests, des traitements médicamenteux et des injections d’ARNm, et élaborer un plan de distribution mondial en collaboration avec l’Organisation Mondiale de la Santé. En fin de compte, ils n’ont pas réussi à atteindre leurs propres objectifs sur tous les fronts.
      • Gates n’est pas qualifié pour faire des recommandations en matière de santé et il n’a jamais été élu pour représenter le public.
      • Gates a utilisé sa richesse, son influence et sa perspicacité pour se mettre dans une position où il peut dicter la politique de santé mondiale pour son propre avantage financier.

      L’idée que Bill Gates exerce une influence indue sur la santé mondiale a toujours été niée et rejetée comme une théorie du complot loufoque. Mais comme pour tant d’autres choses, cette théorie du complot s’avère maintenant être une conspiration de facto.

      Le 14 septembre 2022, Politico a publié un rapport spécial détaillé basé sur « quatre douzaines d’entretiens avec des responsables américains et européens et des spécialistes de la santé mondiale », intitulé « Comment Bill Gates et ses partenaires ont pris le contrôle de la réponse mondiale au COVID ».1

      Comme l’a noté Igor Chudov sur Substack,2 en quelques heures, le titre a été modifié pour se lire : « Comment quatre groupes privés ont utilisé leur influence pour contrôler la réponse mondiale au COVID — avec peu de surveillance »,3 comme illustré dans les captures d’écran de Chudov ci-dessous :

      Article politique

      Curieusement, cinq heures après cette modification, Politico a changé le titre, donc au moment d’écrire ces lignes, il se lit comme suit :4 « Comment Bill Gates et associés ont utilisé leur influence pour contrôler la réponse mondiale de Covid — avec peu de surveillance. » Le seul mot qui manque maintenant dans le titre original est « ses ». Vous pouvez voir comment le titre s’est déplacé d’avant en arrière au cours de 15 heures sur archive.today.5

      Les organisations Four Gates monopolisent la réponse mondiale au COVID

      Selon Politico,6 quatre organisations de santé – la Fondation Bill & Melinda Gates, GAVI, la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) et le Wellcome Trust – ont rapidement pris les devants dans la riposte mondiale à la pandémie, et bien que toutes les quatre prétendent être des organisations indépendantes, elles sont toutes fondées et/ou financées par Gates.

      « Lorsque la Covid-19 a frappé, les gouvernements du monde n’étaient pas préparés », écrit Politico. « Alors que les nations les plus puissantes regardaient vers l’intérieur, quatre organisations non gouvernementales mondiales de santé ont commencé à élaborer des plans pour une lutte à mort contre un virus qui ne connaîtrait pas de frontières.

      Ce qui a suivi a été un changement de pouvoir constant, presque inexorable, des gouvernements débordés vers un groupe d’organisations non gouvernementales, selon une enquête de sept mois menée par des journalistes de POLITICO basés aux États-Unis et en Europe et le journal allemand WELT.

      Armées d’expertise, renforcées par des contacts aux plus hauts niveaux des nations occidentales et renforcées par des relations bien ancrées avec les fabricants de médicaments, les quatre organisations ont assumé des rôles souvent joués par les gouvernements – mais sans la responsabilité des gouvernements. »

      Six points à retenir de l’enquête de Politico

      Au cours des premiers jours de l’épidémie, alors que les gouvernements débattaient encore de la gravité de celle-ci, la Fondation Bill & Melinda Gates, la GAVI, le CEPI et le Wellcome Trust ont lancé un effort coordonné pour identifier les fabricants de vaccins, financer des tests, des traitements médicamenteux et des injections d’ARNm, et élaborer un plan de distribution mondial en collaboration avec l’Organisation mondiale de la santé. Dans une barre latérale, Politico met en évidence six points clés de son enquête :7

      « Les quatre organisations ont dépensé près de 10 milliards de dollars pour la COVID depuis 2020 – le même montant que la principale agence américaine chargée de lutter contre la COVID à l’étranger.

      Les organisations ont collectivement donné 1,4 milliard de dollars à l’Organisation Mondiale de la Santé, où elles ont aidé à créer une initiative essentielle pour distribuer des outils COVID-19. Ce programme n’a pas atteint ses objectifs initiaux.

      Les dirigeants des organisations ont eu un accès sans précédent aux plus hauts niveaux de gouvernement, dépensant au moins 8,3 millions de dollars pour faire pression sur les législateurs et les fonctionnaires aux États-Unis et en Europe.

      Des fonctionnaires des États-Unis et de l’Union européenne, ainsi que des représentants de l’OMS, sont passés par ces quatre organisations en tant qu’employés, ce qui leur a permis de consolider leurs relations politiques et financières à Washington et à Bruxelles.

      Les dirigeants des quatre organisations se sont engagés à combler le déficit d’équité. Cependant, pendant les pires vagues de la pandémie, les pays à faible revenu se sont retrouvés sans vaccins vitaux.

      Les dirigeants de trois des quatre organisations ont soutenu qu’il n’était pas nécessaire de lever les protections de la propriété intellectuelle pour augmenter l’approvisionnement en vaccins – ce qui, selon les militants, aurait permis de sauver des vies. »

      Non qualifié et non élu

      Comme l’a détaillé Politico, grâce au lobbying et à la puissance financière de Gates, la réponse internationale à la COVID est rapidement passée des gouvernements individuels à « un groupe mondial d’experts non gouvernementaux sous surveillance privée ».

      « Qu’est-ce qui rend Bill Gates qualifié pour donner des conseils et conseiller le gouvernement américain sur où il devrait mettre… d’énormes ressources ? » ~ Kate Elder, conseillère politique principale pour la campagne d’accès de Médecins sans frontières

      Aux États-Unis, le président Biden a affecté 500 millions de dollars au seul CEPI dans son budget COVID de 5 milliards de dollars, qui n’a pas encore été approuvé par le Congrès. Mais, comme l’a noté Kate Elder, conseillère principale en politique vaccinale pour la campagne d’accès de Médecins sans frontières :8

      « Qu’est-ce qui rend Bill Gates qualifié pour donner des conseils et conseiller le gouvernement américain sur où il devrait mettre … d’énormes ressources? »

      Lawrence Gostin, professeur à l’Université de Georgetown spécialisé dans le droit de la santé publique, a déclaré à Politico :

      « Je pense que nous devrions être profondément inquiets. Pour le dire de manière très grossière, l’argent achète de l’influence. Et c’est la pire des influences. Pas seulement parce que c’est de l’argent — même si c’est important, parce que l’argent ne devrait pas dicter la politique — mais aussi parce que c’est un accès préférentiel, à huis clos.

      [C’est] antidémocratique, parce que c’est extraordinairement non transparent et opaque [et] laisse derrière les gens ordinaires, les communautés et la société civile. »

      Gates « possède » l’OMS

      Beaucoup ont souligné que Gates, grâce à ses milliards de dons à l’OMS, a une influence significative sur les décisions de l’OMS. En septembre 2021, Astrid Stuckelberger, Ph.D., une initiée de l’OMS, a dénoncé Gates, expliquant comment l’OMS est, en fait, contrôlée par Gates, qui à son tour dicte la politique pour son avantage financier personnel.

      Des quatre organisations sur lesquelles Politico se concentre, la GAVI, l’Alliance du vaccin, est peut-être la plus importante. La GAVI, fondée par Gates, a son siège en Suisse. En 2009, la GAVI a été reconnue comme une institution internationale et a accordé une immunité générale totale, y compris une immunité diplomatique qualifiée, ce qui est extrêmement étrange étant donné que l’organisation n’a aucun pouvoir politique qui justifierait l’immunité diplomatique.9

      Plus étrange encore est que les clauses d’immunité de la GAVI vont au-delà même de celles des diplomates. L’immunité de la GAVI couvre tous les aspects de l’engagement, y compris les transactions commerciales criminelles. Tout aussi étrange est le fait qu’ils sont complètement exonérés d’impôt.

      La GAVI peut faire ce qu’elle veut sans aucune répercussion. La police ne peut même pas enquêter ou recueillir des preuves auprès de la GAVI si celle-ci devait être impliquée dans une enquête criminelle. C’est comme ça qu’ils sont bien protégés. Et, selon Stuckelberger, La GAVI est l’entité qui dirige vraiment l’OMS.

      [Voir aussi :
      Une lanceuse d’alerte de l’OMS : « Nous vivons une pandémie de mensonges — Bill Gates est aux commandes »
      Coup d’État furtif de l’OMS pour dicter le programme de santé mondial de Gates et Big Pharma
      Partenariats Public-Privé : de la Fondation Bill et Melinda Gates à Big Pharma
      Le monstre de la vaccination GAVI : immunité juridique totale !
      GAVI et Bill Gates plus puissants que l’ONU !]

      Selon Stuckelberger, Gates a demandé, en 2017, d’être nommé au conseil d’administration de l’OMS – comme un État membre – apparemment parce qu’il leur donne tellement d’argent. Il n’y a aucune preuve que Gates ait jamais officiellement obtenu le statut d’État membre, mais il semble qu’il ait trouvé un jeu de pouvoir alternatif.

      Stuckelberger a souligné que Gates et l’OMS avaient conclu un accord contractuel tripartite avec Swissmedic, la Food and Drug Administration of Switzerland, ce qui est très inhabituel. Donc, essentiellement, alors que Gates n’a pas été élu en tant qu’État-nation à un seul homme, il a créé des contrats tripartites avec les États membres et l’OMS, le plaçant essentiellement à égalité avec l’OMS !

      [Voir aussi, à titre spéculatif :
      Qui est l’Antéchrist ?]

      Une curiosité qui soutient l’idée que Gates est soit le véritable pouvoir derrière l’OMS, soit a le même pouvoir que l’OMS, est le fait que Gates a été à plusieurs reprises le premier à annoncer ce que le monde doit faire pour faire face à la pandémie, puis l’OMS sortait un message identique que les États membres devaient ensuite suivre.

      Mais qui diable est Gates pour diriger la santé mondiale et les réponses à la pandémie ? Ce n’est personne. Il n’a aucune formation médicale. Il n’est absolument pas qualifié pour parler de quelque problème de santé que ce soit. Il n’a même pas obtenu son diplôme universitaire. Et il n’a jamais été élu pour représenter le peuple à quelque titre que ce soit.

      Fondamentalement, ce que nous avons ici est un individu riche qui a trouvé un moyen de monopoliser officieusement la capacité de prise de décision d’une autorité sanitaire mondiale afin de s’enrichir, ce qui est au-delà de la folie.

      L’OMS a joué un rôle déterminant dans la montée au pouvoir de Gates

      L’influence de Gates sur l’OMS est sans aucun doute la raison pour laquelle l’OMS a permis à ces quatre groupes financés par Gates de diriger la réponse mondiale au COVID en premier lieu. Tel que rapporté par Politico :10

      « L’OMS a joué un rôle crucial dans la montée en puissance des groupes. Tous avaient des liens de longue date avec l’Organisme Mondial de la Santé. Les conseils d’administration du CEPI et de la GAVI ont un représentant spécialement désigné de l’OMS.

      Il y a aussi une porte tournante entre l’emploi dans les groupes et le travail pour l’OMS : d’anciens employés de l’OMS travaillent maintenant à la Fondation Gates et au CEPI ; certains, comme Chris Wolff, directeur adjoint des partenariats avec les pays à la Fondation Gates, occupent des postes importants.

      Une grande partie de l’influence des groupes auprès de l’OMS découle simplement de l’argent. Depuis le début de la pandémie en 2020, la Fondation Gates, La GAVI et le Wellcome Trust ont fait don collectivement de plus de 1,4 milliard de dollars à l’OMS — un montant nettement supérieur à la plupart des autres États membres officiels, y compris les États-Unis et la Commission européenne, selon les données fournies par l’OMS. »

      Ce serait une chose si ces organisations faisaient vraiment un excellent travail. Mais ils ne l’ont pas fait. Un examen indépendant11 par Dalberg Global Development Advisors, une société de conseil en politique de New York, a révélé que l’initiative créée par les groupes de Gates, l’Access to COVID-19 Tools Accelerator (ACT-A), a échoué sur tous les fronts.

      Malgré un budget de 23 milliards de dollars,12  ACT-A n’a acheté que 16 % de son nombre cible de tests pour les pays à revenu faible et intermédiaire, et sur les 245 millions de traitements qu’il était censé fournir aux pays à revenu faible et intermédiaire, ils n’en ont attribué que 1,8 million. De même, sur les 2 milliards de piqûres de COVID qui devaient être livrées d’ici à la fin 2021, seules 319 millions de doses ont été livrées.

      Bien sûr, on pourrait affirmer que le fait de ne pas fournir de tests de RCR frauduleux, de traitements dangereux et d’injections d’ARNm était une bénédiction déguisée. Mais le fait demeure que ces organisations sont loin d’être excellentes et échouent lamentablement à atteindre bon nombre de leurs objectifs déclarés.

      Ils sur-promettent et sous-livrent. Ils sont prêts à sacrifier des vies pour garder le contrôle sur des brevets lucratifs. Et, alors qu’ils façonnent plus ou moins à eux seuls la réponse mondiale aux pandémies, il n’y a personne pour les tenir responsables de leurs performances.

      Ce que Politico a laissé de côté

      Bien que le rapport de Politico ait une portée considérable, il n’inclut toujours pas un certain nombre de pièces de puzzle importantes répertoriées dans l’article Substack de Chudov. Par exemple :13

      Comme l’a noté Chudov dans ses remarques finales :18

      « Néanmoins, la simple publication de cet article a une importance énorme. Les choses que la plupart d’entre nous connaissent et dont nous parlons apparaissent dans la soi-disant “presse grand public” — après que tout le mal a été fait, bien sûr.

      Le virus a été libéré; des millions sont morts [Note de Joseph : sans les médias, il est très probable que rien de nouveau par rapport aux maladies déjà connues n’aurait été relevé. On a systématiquement déclaré atteintes de covid toutes les personnes ayant eu un résultat positif au Test PCR qui ne permet aucunement de diagnostiquer une maladie donnée. Voir notamment :
      Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
      Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
      Mise au point de Reiner Fuellmich — 28 septembre 2022
      Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de ‘virus covid-19’… le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments]
      ; plus d’un milliard de jeunes ont été vaccinés de force sous de faux prétextes. Quand il est trop tard pour changer quoi que ce soit, Politico énonce enfin l’évidence. Pourtant, c’est mieux que rien.

      Presque tout dans l’article de Politico était connu il y a un an. Où était Politico alors ? Occupé à prendre l’argent de la publicité du vaccin COVID du gouvernement. La pandémie était un crime, pas un accident. »

      Le programme Gates-Fauci pour vacciner le monde

      Gates est cependant loin d’être le seul ennemi de ce drame orchestré. Le Dr Anthony Fauci est un autre acteur clé. Ironiquement, Gates affirme qu’il a « pris le poids de l’abus du complotisme COVID » parce que les Européens ne connaissent pas Fauci. Il a récemment déclaré au magazine Fortune :19

      « C’était tout un phénomène; ici aux États-Unis, cela s’est concentré sur moi et Tony Fauci, et à l’international, c’était plus juste moi parce qu’ils ne savaient pas qui était Tony – celui-ci a vraiment raté ça ! »

      Mais alors que Gates essaie de faire passer les inquiétudes des gens concernant son influence indue sur leur santé comme une blague, on ne manque pas de preuves qu’il tire vraiment les ficelles qu’il est loin d’être qualifié pour tirer.

      Dans « Bill Gates Lays Out Plan for Global Takeover » [Bill Gates expose son plan pour une prise de contrôle mondiale], je passe en revue le rôle de Gates dans l’OMS et le plan de l’OMS pour, en fin de compte, prendre le contrôle de toutes les décisions en matière de soins de santé, dans le monde entier. J’ai également passé en revue la manière dont Gates et Fauci ont collaboré, formant un formidable partenariat public-privé qui exerce un pouvoir incroyable sur le public américain.

      Dès 2000, Fauci et Gates ont conclu un accord pour contrôler et étendre l’entreprise mondiale de vaccins , qui a abouti en 2021 à un plan visant à injecter à chaque homme, femme et enfant de la planète un vaccin expérimental COVID. La collaboration de Gates et Fauci est détaillée dans le livre à succès de Robert F. Kennedy Jr., « The Real Anthony Fauci ». La vidéo en haut de cet article résume leur schéma commun.

      [Voir aussi :
      L’histoire sombre de Fauci — Entretien avec Robert F. Kennedy Jr]





      Les essais cliniques « criminels » de Pfizer en Argentine : l’avocat Augusto German Roux témoigne

      [Source : francesoir.fr]

      Avocat argentin et participant aux essais cliniques de Pfizer en Argentine, Augusto German Roux nous raconte l’expérience « criminelle » qu’il a vécue suite à ses vaccinations, au troisième trimestre 2020. Un parcours du combattant pour déclarer les effets secondaires et accéder à son propre dossier médical.



      Son premier contact avec l’équipe clinique a été conduit par téléphone. Après un rendez-vous avec quatre médecins à l’hôpital allemand, il signait un document d’une vingtaine de pages. Déjà, celui-ci paraissait incomplet, nous dit-il. Il se lance tout de même…

      Dès la première injection, il rapportait une douleur au bras à la pharmacovigilance, bien que celle-ci ait cherché à l’en dissuader, lui expliquant qu’il y avait des possibilités que ce ne soit pas lié avec le vaccin. Mais c’est après la seconde dose, soit 19 jours après la première, qu’il y eut des effets importants : beaucoup de fièvre — jusqu’à 41, des urines sombres « comme du Coca », et une perte de connaissance. Finalement, il a été diagnostiqué avec une péricardite aiguë ; un médecin a validé le lien de cause à effet avec le vaccin. Par ailleurs, une prise de sang démontrait qu’il n’avait développé aucun anticorps…

      Là, il s’engage dans une lutte avec les autorités sanitaires et politiques : « C’est criminel », nous assure-t-il après avoir enchaîné les mauvaises surprises.

      Tout d’abord, son dossier médical fait état d’une positivité au Covid, alors qu’il affirme n’avoir procédé à aucun test positif. En second lieu, il est diagnostiqué comme ayant un problème mental, par un médecin qui ne l’a jamais vu et qui n’a pas la qualification requise pour faire une telle évaluation ; les autorités régulatrices argentines ont malgré tout confirmé ce diagnostic.

      Ces découvertes l’ont poussé à saisir les pouvoirs politiques et à faire des demandes CADA (FOIA – Freedom of Information Act) sur les essais cliniques. Là, il se rend compte que l’essai clinique Pfizer avait causé au moins un décès, qui ne se retrouvait pas dans les données remontées dans la publication dans le New England Journal of Medecine.

      Lire aussi : « PfizerGate » ? Révélations sur des essais cliniques falsifiés par le triptyque Pfizer — Ventavia — FDA

      Depuis, il n’a eu de cesse d’interroger les pouvoirs publics, dans l’optique de conduire un procès afin d’obtenir réparation. Ce faisant, il découvre plus tard que la responsabilité de la bonne conduite des essais cliniques argentins incombe au ministère de la Défense, et non pas au ministre de la Santé ; certaines informations étaient couvertes par le secret défense.


      [Voir aussi, concernant France Soir :
      Une sanction financière inédite menace l’existence de France Soir et de la presse libre]




      Mise au point de Reiner Fuellmich — 28 septembre 2022

      [Source : Jocelyne Pauliac Traduction ]


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      [Voir :
      Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]




      Le renouvellement des noms de rue doit-il intégrer des célébrités musulmanes ?

      Par Lucien SA Oulahbib

      C’est un peu du même acabit que le fait de se dire, comme l’illustre (sorcier) Martin Hirsch naguère, qu’il serait possible pour une famille non musulmane de prénommer son enfant d’un prénom islamique même occidentalisé, et que ce serait, là, la preuve d’une intégration réussie. Or ce sieur (qui s’avéra par la suite le cheval de Troie de la destruction de l’hôpital et de la lutte anti-Raoult — en compagnie de Plenel) ne voyait pas ou faisait semblant de ne pas observer que la dotation de prénom en islam reste indissoluble de son appartenance à ce dernier ; pour preuve, la nécessité d’en adopter un en cas de sa soumission, ou l’islam même étymologiquement parlant.

      Dans ces conditions, nommer une rue du nom de la femme du fondateur de l’islam revient à rendre islamique toute la rue, de fait. Autrement, il existerait le risque de voir souiller le nom s’il y a par exemple des magasins « impurs » vendant des biens « haram », voire même, à terme, des habitants non soumis. « À terme », parce que le grignotage, le fait de placer d’abord le pied dans l’entrebâillement, puis la suite, le « reste » se fait de façon de moins en moins « douce », tout comme ce totalitarisme de moins en moins « doux » qui fait de plus en plus office de « démocratie » dans nos contrées dites « avancées » : on installe peu à peu l’idée que les contre-pouvoirs non estampillés politiquement corrects sont de fait des structures complotistes ou « haram », par exemple si elles ne démultiplient pas le « consensus » et « l’obéissance absolue » (soumission) au nom du « plus grand nombre » (nouveau nom donné à « Dieu » ou l’Infini : littéralement le-plus-grand-nombre précisément), d’où les futures lois à venir pour enrégimenter l’Internet.

      Il y a bel et bien là un chiasme de plus en plus parfait entre ce “despotisme oriental” installé de plus en plus sans vergogne dans certains quartiers et un hygiénisme scientiste puriste imposé par la Secte S.H.A avide de dissolution des corps en machines délirantes sans marque (sans genre), même si les djihadistes de tous les pays l’exècrent à l’unisson comme on le voit en Iran ces derniers temps. D’où l’affrontement à terme entre ces deux alliés du moment. La Secte choisit cependant l’allié islamique, pour l’instant en sourdine, avec cette fuite en avant dans les destructions des frontières et de la distinction citoyen/non-citoyen par une sur-immigration d’implantation de peuplement et non de travail (Callac) se servant de la faune antifa pour ce faire. Celle-ci se fera cependant éliminer ou soumettre par la suite comme il a été vu de plus en plus ailleurs (en Iran et en Grande-Bretagne…).

      Par contre, est-ce que le fait de débatte en plénière municipale d’un renouvellement de noms de rue afin d’y intégrer de nouveaux héros et héroïnes du cru national, au-delà de leurs origines sanguines, et d’éliminer ceux qui ont sombré dans l’oubli ou se sont rendus coupables de faits avérés, apparaît être du même acabit ?…

      Au premier abord, non, car cela semble plutôt être une entreprise dynamisante non quelconque… Cela permettrait en effet d’admettre qu’il manque par exemple des rues Brigitte Bardot, Romy Schneider, Jean-Paul Belmondo, mais aussi Alain MimounJean Amrouche, et qu’il faudrait enlever des rues Lénine ou de noms rendus « inconnus » par la patine du temps, hormis sans doute le fait qu’à leur époque ils aient sans doute œuvrer quelque part, surtout localement, mais, maintenant, cela ne « nous » dit plus rien.

      Sauf qu’à y réfléchir à nouveau et de plus près, il faudrait y aller avec une très très grande prudence, car par exemple vouloir débaptiser des rues du nom de « Colbert” au nom du “Code noir” oublierait que ce dernier empêchait précisément d’identifier l’esclave à un animal et que ce refus était une exception à l’époque, alors qu’en islam, en Afrique, en Amérique du Sud, en Asie et ailleurs cette distinction n’existait pratiquement pas…

      D’où le fait de bien observer que s’il s’agit aussi d’œuvrer dans “le changement pour la continuité”, pourquoi pas, en intégrant ainsi de nouveaux noms qui auraient œuvré pour la Nation. Mais s’il s’agit comme le font ces faux “libre-penseurs” d’effacer les racines chrétiennes de cette dernière en déboulonnant des statues de saints, ce n’est guère envisageable ni même sérieux, tant la notion elle-même de liberté se nourrit constamment d’elles puisque pour celles-ci cette dernière n’est pas seulement “acquise”, mais déjà là, consubstantielle à notre être, d’où l’impossibilité d’amputer une partie de notre corps symbolique…

      Il n’est donc pas “chauvin” d’interdire l’installation de noms qui n’auraient pas servi l’ »être ensemble » français lui-même, puisque celui-ci est vivant et persévère non pas dans le temps, mais COMME temporalité singulière ou l’art de vivre à la française, tout en considérant cependant qu’il se renouvelle constamment aussi comme bloc symbolique qui s’affine à chaque instant : ainsi l’accumulation des acquis et leur renforcement n’empêchent pas leur affinement en apports nouveaux ; or, c’est, précisément, là, le travail pneumatologique dans l’interaction.




      « Tuer l’Europe avec l’Ukraine » : Les Suédois ont publié le plan secret du Pentagone

      [Source : svpressa.ru via uncut-news.ch]

      [Traduction automatique depuis le russe par DeepL, révisée à partir de celle depuis le texte allemand du site uncut-news.ch.]

      Au cours des deux dernières années, les experts militaires du SP, tout en discutant de l’aggravation des relations entre les États-Unis, l’UE et la Russie, ne se sont jamais lassés de dire que les États-Unis, par le biais de l’OTAN, poursuivent deux objectifs principaux : expulser d’Europe l’URSS/Russie en tant que civilisation étrangère et garder l’Europe continentale sous contrôle afin d’éviter qu’un nouveau Führer ne s’y produise un jour.

      Ainsi, l’expert militaire indépendant Igor Mykolaychuk a déclaré que les Yankees avaient infligé à l’Allemagne la troisième plus grande défaite de son histoire en omettant, dans une guerre hybride, de lui « donner » l’Ukraine, que les Allemands convoitaient depuis le début du XXe siècle, la qualifiant de colonie (sous Guillaume II) ou de zone de peuplement (sous les nazis) et, plus récemment, rêvant de placer le pays ukrainien entièrement sous leur contrôle économique.

      [Dans le même sens, voir les deux articles suivants de Michael Hudson (USA) :
      https://www.nakedcapitalism.com/2022/02/michael-hudson-americas-real-adversaries-are-its-european-and-other-allies.html (datant du 7 février, soit avant le début de l’intervention russe en Ukraine.)
      et
      https://www.nakedcapitalism.com/2022/02/america-defeats-germany-for-the-third-time-in-a-century-the-mic-bare-and-ogam-conquer-nato.html
      (datant du 28 février, soit quatre jours après le début de l’intervention russe)

      ou leur traduction automatique :
      Les vrais adversaires de l’Amérique sont ses alliés européens et autres
      et
      L’Amérique bat l’Allemagne pour la troisième fois en un siècle]

      « Les historiens internationaux ont dit à plusieurs reprises que l’Allemagne n’a pas d’histoire normale », a-t-il par exemple souligné en mars de cette année. « Ils n’ont, disent-ils, que 12 ans de nazisme et le principal site commémoratif — Auschwitz — et ils doivent constamment se repentir de ce qu’ils ont fait. Depuis soixante-quinze ans, trois générations d’Allemands ont grandi dans ce paradigme. Les Allemands en ont assez et recommencent à caresser des rêves impériaux. Mais Biden les a écrasés avec le “soft power”, en s’emparant de l’Europe sans un seul coup de feu. Il est évident que l’Amérique ne permettra pas à l’Allemagne de dominer le Vieux Continent de quelque façon que ce soit. »

      Pendant tout ce temps, l’Europe en général et l’élite politique allemande en particulier ont répété comme un mantra que les États-Unis étaient leurs amis et la Russie leur ennemi et que toutes les inventions concernant la destruction de l’Europe par l’Amérique étaient des « machinations des ennemis russes ».

      La raison de l' »affaiblissement » de Berlin, selon le plan, est de couper les approvisionnements russes en gaz et en pétrole et d’aggraver le désastre pétrochimique et métallurgique de l’Allemagne avec une perte de 300 milliards d’euros. En conséquence, le chômage et la migration augmentent en Europe, les meilleurs cerveaux européens migrent vers les États-Unis, et Washington finit par en tirer un bénéfice de neuf mille milliards de dollars.

      [NDLR De ce point de vue, saboter les Nord Stream 1 et 2 sous la mer baltique peut aider.]

      Pouvons-nous vraiment espérer qu’après cette publication, qui n’est pas la plus insignifiante des publications occidentales en termes d’importance des médias, l’Europe comprendra enfin ce qui se passe dans le grand jeu géopolitique actuel et qui est le principal intéressé dans la crise énergétique, et qu’elle commencera à changer sa rhétorique extrêmement haineuse envers la Russie en quelque chose de plus ou moins raisonnable ?

      « En 1991, c’était la Russie qui pensait que la guerre froide était terminée, tandis que de nombreux hommes politiques en Europe souriaient poliment, mais continuaient à se préparer à une nouvelle confrontation avec la Russie », a rappelé Sergei Nazievsky, membre du CPRF et homme politique. « Ce n’est pas un hasard si, dans le contexte des récents événements politiques, l’Europe a adopté une attitude russophobe, comme sur un coup de tête. Après tout, un très grand nombre de ceux qui font de la politique dans l’Union européenne d’aujourd’hui ont été élevés directement dans des programmes éducatifs et politiques des États-Unis, ou sont sous une puissante influence de Washington. »

      Les Suédois ont raison : le conflit actuel en Ukraine, avec toutes ses conséquences, a été orchestré par les États-Unis. Donc, dès que l’Amérique le voudra, ça s’arrêtera. Mais je ne vois pas de conditions préalables à cela, la Maison-Blanche profite de ce qui se passe. Après tout, l’Allemagne n’a pu construire l’Union européenne actuelle que grâce aux ressources énergétiques bon marché de la Russie.

      On peut également se demander pourquoi une telle publication est apparue, alors que tous les médias européens sont contrôlés par l’Amérique. Peut-être s’agit-il d’un regard sur les derniers restes de bon sens qui subsistent quelque part. Nous devrions les soutenir d’une bonne manière et rappeler aux électeurs européens : les gars, regardez ce qu’ils vous font, pour qui vous vous engagez vraiment.

      « Le seul espoir est peut-être qu’au moins des voix sobres s’élèvent en Europe, mais je ne pense pas que celle-ci revienne à la raison sur fond de telles publications », a déclaré Sergueï Oboukhov (docteur en sciences politiques, expert des processus sociopolitiques et des situations de crise en Europe centrale et en Russie, secrétaire du comité central de la CPRF) journal du SP. « La puissance économique européenne, qui n’a rien à envier à celle de la Chine et des États-Unis, est totalement inadaptée à la subjectivité politique des élites européennes. C’est la base du conflit actuel sur la reconfiguration des chaînes économiques mondiales en prévision du nouveau partage du monde sous les auspices du conflit ukrainien, et plus précisément du marché des matières premières, qui implique la virtualisation des marchés du pétrole et du gaz en les ramenant à toutes sortes de “futurs” et de “produits dérivés” qui permettent notamment aux groupes financiers américains de contrôler avec profit tous ces flux énergétiques.

      Personne n’a invalidé le concept de marge bénéficiaire capitaliste, le « crapaud mondial » financier ne peut pas vivre autrement, donc l’Europe est pour ainsi dire sous pression.

      L’Europe n’aura donc de « sens » que par une catastrophe comme celle de 1945, lorsque nos troupes ont envahi Berlin. »

      SP : Peut-être qu’après cet article du Nya Dagbladet, la Suède réfléchira au rôle qui lui est dévolu dans le projet américain de suppléance de l’OTAN ?

      « Cet article a probablement été publié parce qu’il y a eu un regroupement des forces au sein du gouvernement suédois, où les radicaux de droite qui s’opposent aux multinationales passent au premier plan. Ainsi, une partie au moins de l’élite politique suédoise tire la sonnette d’alarme. Mais je ne parierais pas sérieusement là-dessus non plus.

      Nous avons parfaitement vu comment les positions internationales de la Russie ont basculé après les déclarations du régime de Kiev sur le « succès de la contre-offensive » à Kharkiv. Si l’Europe (et les Suédois) ne voit pas de percée fondamentale de la situation sur le terrain des opérations spéciales dans un avenir proche, les élites occidentales continueront à suivre la queue de l’Oncle Sam.

      Tout dépendra de l’équilibre des forces dans un avenir proche. Je vois ici un parallèle avec la bataille de Moscou pendant la Grande Guerre Patriotique. Dès que nous avons pu renverser la situation à notre avantage, un mouvement antifasciste est apparu en Europe, et Roosevelt et Churchill sont devenus plus conciliants. C’est la même chose ici aussi — nous avons besoin du résultat d’une opération spéciale pour faire changer d’avis l’élite occidentale.

      D’ici là, il semble que l’Europe, et en particulier la Suède et la Finlande, ne se débarrassera pas du joug américain. Après tout, de l’avis du politologue militaire Andrei Koshkin, chef du département de sciences politiques et de sociologie de l’Université économique russe Plekhanov, [ces deux pays] constituent un excellent tremplin pour l’OTAN et ses manipulateurs pour exercer une pression militaire et politique sur la Russie dans la prochaine bataille pour les ressources de l’Arctique. Car le prix du vainqueur du XXIe siècle n’est pas le rétablissement du statu quo en Ukraine ou l’expansion de l’OTAN vers l’est, mais l’Arctique, avec ses ressources inimaginables. »

      « Ce qui se passe dans le monde en ce moment est sans aucun doute très triste et inquiétant. Mais ce n’est rien de plus qu’une certaine phase de latence », dit l’expert. « Je suis profondément convaincu que d’ici la fin ou même le milieu de ce siècle, ce sera très probablement l’Arctique qui fera l’objet d’un véritable combat. Cela pourrait très bien être beaucoup plus violent que ce qui se passe actuellement. Et en élargissant l’OTAN, les responsables américains de l’alliance ne font que créer un tremplin plus large pour la confrontation à venir. »

      SP : On peut donc supposer que les USA n’auront rien épargné pour obtenir le plus de territoire possible au nord ?

      « Il n’y a pas de barrières pour eux ici. Ni les obstacles militaires, ni les obstacles politiques, ni les contraintes morales ou éthiques ne seront pris en compte pour accepter absolument n’importe quelle provocation, juste pour avoir une occasion d’augmenter la pression sur la Russie. Dans une guerre hybride de longue haleine déclenchée contre nous, les Américains et les Britanniques ne reculent devant rien lorsque des enjeux aussi importants sont en jeu. »




      Signal ! « Pour une presse libre, indépendante et objective. »

      (édition1 du 26 septembre 2022)

      [Humour. Texte à prendre au second degré.]

      Par Alain Tortosa

      Délinquance sans fin

      Des criminels non vaccinés continuent de contaminer les bons citoyens vaccinés, c’est purement inadmissible ! Alors que la 8e vague arrive (elle est au large d’Hawaï), les services d’urgence sont saturés de vaccinés activement protégés par le vaccin et qui attendent leur nouveau rappel bivalent.

      « 8e vague de Covid-19 : la circulation du virus accélère, Santé publique France appelle au respect des gestes barrières2. »

      C’est d’autant plus immonde que les vaccinés sont de bons citoyens, eux3 !

      Les indicateurs sont formels, nous assistons à une baisse perceptible de la diminution du nombre de personnes en soin critique4, preuve que la baisse va baisser et que le nombre de personnes en soin critique à l’automne va inexorablement augmenter vers la hausse !

      Il faut donc amplifier la vaccination, car plus il y aura de vaccinés et moins les non-vaccinés pourront les contaminer. L’objectif est clair, passer de 100 % de transmissions par des non-vaccinés (avant l’arrivée des vaccins) à 100 % de transmissions par des vaccinés. Nous pouvons y parvenir, c’est à notre portée5. !

      Sauvons la planète !

      Nous devons poursuivre dans la dé-carbonisation comme l’a confirmé le chef de l’État. L’avenir est aux énergies renouvelables. Nous devons diminuer notre consommation d’électricité et augmenter le parc de voitures électriques.

      Saluons l’initiative de RTE6 (le gestionnaire de la distribution électrique) qui propose de débrancher les bornes de recharge rapide des véhicules électriques durant les heures de pointe afin d’éviter la saturation du réseau.

      D’autre part, afin de participer à l’effort national, les propriétaires de véhicules électriques se verront offrir (de force ?) la possibilité de vider7 leurs batteries pour fournir de l’électricité au réseau. Celles et ceux qui auront besoin de faire de nombreux kilomètres le lendemain matin passeront avec entrain au covoiturage diesel.

      Au rythme d’une charge/décharge par jour les batteries pourraient durer extrêmement longtemps soit entre 3 et 5 ans8, la durée moyenne de vie d’une voiture moderne 100 % recyclable.

      Sauver la planète n’a pas de prix, mais a un coût. Le remplacement des batteries d’une Tesla9 serait autour de 25 000 euros ce qui n’est rien au regard de l’objectif.

      Covid 8e vague, on approche de la vague gratuite (la 10e).

      Ne croyez pas que le Covid soit derrière nous. La 8e vague arrive enfin après des mois d’absence. Celle-ci comme les courants transocéaniques, ayant profité des vacances pour faire un tour du monde bien mérité. L’heure est grave, il pourrait y avoir des personnes grippées à l’automne !

      Nous devons anticiper. Je vous rappelle que nous n’avions pas anticipé la 1re vague et ce fut une catastrophe à la différence des 6 suivantes. Heureusement nous avons appris de l’expérience.

      Il va falloir à nouveau porter le masque. Mais il existe encore des esprits faibles qui ne comprennent toujours pas alors qu’il y a consensus scientifique sur le sujet :

      « Le masque ne protège pas celui qui le porte, mais UNIQUEMENT celui qui ne le porte pas !

      C’est pour cela que tout le monde doit le porter pour protéger les plus faibles.

      Les virus ont un sens de circulation possible dans le masque uniquement de l’extérieur vers l’intérieur du masque, ceci expliquant pourquoi le porteur n’est pas protégé.

      Des études pourraient être menées afin de déterminer si le fait de le porter à l’envers (dessus — dessous) ne permettrait pas à celui qui le porte d’être protégé des contaminations.

      Notons que cette option ne présente strictement aucun intérêt dès lors que 100 % de la population le porte, raison pour laquelle il est inutile de s’intéresser au sujet. ».

      Acclamation de la secrétaire générale du parti européen

      Les membres du Politburo ont acclamé la secrétaire générale du parti de l’union des républiques socialistes libérales européennes. Mme Wonder Le Yen (future monnaie européenne) jubilait en annonçant les sommes récoltées auprès des gueux pour le « télecon » au bénéfice des oligarques ukrainiens.

      Ces aides seront automatiquement financées par l’inflation et le chômage de masse.

      Nous remercions les pauvres qui ne pourront pas se chauffer cet hiver ou se nourrir correctement pour sauver la démocratie et les droits de l’homme.

      Pilule du lendemain une nouvelle opportunité pour les violeurs pédophiles

      Seules les personnes se déclarant mineures (à partir de 11 ans) pouvaient obtenir gratuitement, sans ordonnance, sans pièce d’identité et sans en informer leurs parents, la pilule du lendemain. À partir d’aujourd’hui elle sera aussi gratuite pour les adultes10.

      Le SNPP++ (Syndicat National des Pédophiles Pervers++) aurait accueilli la nouvelle avec bienveillance. Il aurait déclaré :

      « Notre mouvement se veut ouvert à la différence. Il sera désormais possible de nous diversifier et violer des adultes sans devoir dépenser les frais de la pilule du lendemain.

      Les pizzas11 et les hot-dogs c’est sympa, mais ça peut aussi lasser. »

      Merci le gouvernement !

      Le prince Andrew (aucun lien avec le sujet précédent) aux obsèques de la vieille

      « Andrew12 remercie “sa maman” Elizabeth II pour sa “confiance et sa compassion” malgré les scandales. Le prince Andrew, fils cadet de la reine Elizabeth II tombé en disgrâce après des accusations d’agression sexuelle, a rendu dimanche hommage à la “compassion” de sa mère et “sa confiance”, à la veille de ses funérailles nationales… Souvent réputé comme étant le fils préféré de la souveraine, décédée le 8 septembre à 96 ans, le prince Andrew a été banni de toute apparition publique officielle en raison de son amitié avec le pédophile Jeffrey Epstein et privé de ses titres militaires en début d’année après des accusations d’agression sexuelle sur une jeune fille de 17 ans, Virginia Giuffre… »

      Réhabilité lors des obsèques, il faut bien se serrer les coudes en famille. Selon un témoin désirant garder l’anonymat, celui-ci aurait déclaré « C’est nul, y’a que des vieilles » (information non vérifiée).

      Ce à quoi Biden aurait rétorqué :

      « Mais non, regarde y’a les arrières petits enfants de la reine qui ont l’air bien tristes et que l’on pourrait consoler »

      (nous ne pouvons citer nos sources ni vérifier l’information).

      Le drame de notre époque est qu’elle regorge de personnes malintentionnées et perverses. Tenez, prenez les déclarations de Joe Biden le 24 septembre devant une assemblée de professeurs :

      « You gotta say hi to me, » Mr. Biden said mid-speech. « We go back a long way. She was 12, I was 30. But anyway, this woman helped me get an awful lot done, » the US President added13. »

      « Tu devrais me dire bonjour », a déclaré M. Biden à voix basse. « Nous revenons de loin. Elle avait 12 ans, j’en avais 30. Mais quoi qu’il en soit, cette femme m’a aidé à faire énormément de choses », a ajouté le président américain ».

      Il voulait dire « j’avais 12 ans et elle en avait 30 », vous aurez rectifié par vous-mêmes.

      Et bien pour Andrew c’est la même chose, des rapaces malintentionnés qui inventent ce qui n’existe pas. Le pauvre qui a vu tant de personnes de valeur disparaître comme son ami Jeffrey Epstein qui se serait suicidé par auto-strangulation, mais aussi le décès d’un grand ami de Charles 3, Jimmy Savile.

      Les militaires russes les plus cons de la planète ?

      Dans la série « Régis est un con14 ». Kiev vient à nouveau d’accuser les Russes d’avoir bombardé la centrale nucléaire qu’ils contrôlent. Cette information ne peut être mise en doute étant donné qu’elle a été reprise par tous les médias occidentaux.

      Ouest-France15 a précisé :

      « La centrale de Zaporijjia est au cœur des inquiétudes ces derniers jours. Aux mains des Russes, elle fonctionne désormais avec des risques de fuites radioactives et d’incendie,

      « Les troupes russes ont bombardé le site “à plusieurs reprises au cours de la dernière journée”. »

      Selon nos sources, Poutine aurait déclaré :

      « La première fois c’était drôle, mais les meilleures blagues ont une fin. Je vous rappelle que nous devons tirer sur les Ukrainiens, mais pas sur nous-mêmes ».

      Équilibrer le régime des retraites

      Réforme des retraites. Notre bien aimé chef spirituel est déterminé à poursuivre son action qui permettra d’apporter encore plus de justice sociale.

      Capital16 déclarait :

      « En 2021, le système de retraite a été excédentaire de près de 900 millions d’euros, alors qu’il enregistrait un déficit de 18 milliards d’euros en 2020. Mieux, en 2022, il connaîtrait un excédent de 3,2 milliards d’euros. Cette amélioration s’explique, d’après le Cor, “par la croissance importante des ressources due au rebond de l’activité, alors que l’effet de la surmortalité des retraités liée à la Covid sur les dépenses de retraite est resté limité”. »

      Je vous rappelle son calendrier en trois temps :

      1. Utilisation du Rivotril17 et interdiction de soin pour les personnes âgées en établissement pour personnes dépendantes.
      2. Légalisation de l’euthanasie active pour des raisons humanitaires.
      3. Augmentation de l’âge légal de la retraite à taux plein, ce qui permettra de réduire drastiquement la retraite des gueux qui n’obtiendront jamais le nombre de trimestres suffisant.

      Nous voyons d’ores et déjà que l’agenda porte ses fruits. Mais posons-nous la question, ne devrions-nous pas aller encore plus loin ?

      Le film18 « Plan 75 » nous ouvre les portes d’une solution enviable et durable :

      « “Plan 75” : un incroyable film d’anticipation japonais sur l’euthanasie.

      Cette fiction, en salles ce mercredi, imagine la mise en place par le gouvernement japonais d’un système où les plus de 75 ans pourraient choisir de mourir de façon anticipée. Un long-métrage magnifique et terrible. »

      Racisme en France

      Le Ministre de l’Éducation a déclaré à New York :

      « Le concept de race reste très sensible en France. »

      « Je suis parfois considéré comme trop américain en France, un peu trop “woke”, un peu trop influencé par les États-Unis, ce qui est suspect parfois dans le discours politique français qui a des traces d’anti-américanisme souvent bien évidentes. »

      Saluons notre Ministre qui a ajouté :

      « Nous devons parler d’éducation à la sexualité à l’école19 »

      … Y compris à partir de l’école maternelle.

      Quel parent n’a pas été confronté aux questionnements de son enfant de 3 ans face à ses interrogations sur son orientation sexuelle ? Vous et moi avons passé de nombreuses heures à expliquer l’acte sexuel à nos enfants, ce qui est bien naturel, vous en conviendrez. Mais pensez aux pauvres bébés qui ont des parents arriérés, qui doivent découvrir le sexe et la masturbation sans l’aide de leur famille ?! Nous devons les aider à découvrir leur corps avec le soutien actif des enseignants adultes.

      C’est ainsi que nous aurons plus tard des citoyens adultes et équilibrés.

      J’invite celles et ceux qui veulent en savoir plus à lire l’excellent livre « Sex education for 8 – 12 years old20 » qui explique notamment que les parents devraient inviter leurs enfants à être présents lorsqu’ils font l’amour.

      Ajoutons que le Ministre veut mettre fin aux « stéréotypes de genre ». Bien évidemment, il a eu le soutien de syndicalistes déclarant :

      « Les stéréotypes de genre sont très installés à l’école. Rien que dans la dénomination, par exemple, de l’école maternelle, qui laisse entendre que les mamans sont dédiées à la gestion des petits »,

      Ici encore qui pourrait critiquer cette initiative qui relève du bon sens ? Quel arriéré pourrait penser que le rôle des mères est de s’occuper des bébés ou les nourrir au sein ?

      Nous sommes tous choqués par ces petites « filles » (sexe biologique de la naissance) habillées en rose et qui se déguisent en princesse pour le carnaval. Et que dire des « garçons » condamnés à ne pas s’habiller en rose et contraints de se déguiser en cow-boy et en Superman ?

      Nous devons dire STOP aux stéréotypes de genre et organiser une journée robe rose obligatoire pour les « garçons » ainsi que tenue de foot obligatoire pour les « filles » au moins une fois par semaine. La Reine des neiges sera réservée aux mâles et Spiderman aux femelles. C’est par ces mesures fortes et volontaires que nous mettrons fin à ces coutumes barbares qui relèvent d’un autre temps.

      Imaginez un monde idéal dans lequel les « femmes » seraient au front et pourraient éventrer l’ennemi dans la parité tandis que les hommes resteraient à la maison pour nourrir le bébé !

      Soldes d’automne, deux pour le prix d’un !

      Le vaccin bivalent à ARN messager contre le « Covid » va être disponible à partir de cet automne. Il comprendra à la fois la souche de Wuhan disparue depuis plus de 2 ans et la souche Omicron qui aurait elle-même eu des mutations.

      • Qui pourrait douter que cette mise à jour sera, à minima, quatre fois plus efficace ?
      • Qui pourrait douter que le fait de mélanger un vaccin contre une maladie qui n’existe plus avec une maladie qui existe peut-être encore n’aurait pas ces avantages ?

      Bruno Lina, est un virologue indépendant de l’industrie. Il dirige notamment le conseil scientifique du GIEG21, Groupe d’Expertise et d’Information sur la Grippe.

      Le Parisien22 écrivait à ce propos dans ses colonnes en 2009 :

      « Contrairement à ce qu’il revendique sur son site Internet, le Geig n’est toutefois pas ce qu’on peut appeler une association indépendante. Selon nos informations, ce groupe est en effet financé à 100 % par cinq laboratoires pharmaceutiques qui produisent des vaccins contre la grippe. Son directeur général n’est autre que Bertrand Verwee, le directeur marketing de Sanofi-Pasteur-MSD ».

      Pas de quoi fouetter un chat ! Il a précisé le 20 septembre 2022 :

      « Une reprise rapide de la circulation du virus à l’automne reste inévitable. Donc plus on vaccine tôt, plus nous serons protégés avant ce rebond. Le problème est que ce vaccin sera disponible au moment où l’épidémie va connaître une accélération, comme déjà observé les deux hivers précédents ».

      « Rien n’est pour le moment certain, mais ces vaccins bivalents pourraient réduire de 40 à 50 % le risque de transmission, ce qui n’était pas le cas jusqu’à présent23 »

      Celui-ci affirmant24 sans se tromper en décembre 2020 :

      « Quant à l’efficacité (des vaccins), les laboratoires ont communiqué le chiffre de 95 %. C’est très impressionnant par rapport à l’efficacité de nos vaccins classiques. Cela veut dire que sur 100 personnes ayant participé à l’étude, et qui ont par la suite contracté le Sars-Cov-2, 95 n’avaient reçu que le placebo et 5 le vaccin… »

      Comment ne pas être convaincu ? Souhaitons que les Français se vaccinent massivement y compris leurs enfants.

      Dans le cul pour les non-vaccinés !

      Mauvaise nouvelle pour les non-vaccinés (de la souche qui n’existe plus). Pour des raisons triviales et logiques, le vaccin bivalent ne sera disponible que pour celles et ceux qui sont déjà vaccinés contre le Covid.

      C’est « exactement » comme pour la grippe, vous vous rappelez ? Seules les personnes qui ont bénéficié de l’injection 2021 peuvent obtenir la 2022 et ainsi de suite, non ? Attention tout n’est pas perdu pour la grippe, il suffit de rattraper son retard et se faire injecter les précédentes versions de 1951 à 2021 pour bénéficier de la version 2022.

      C’est donc avec la même « logique scientifique » que les non-vaccinés de la souche Wuhan devront se faire injecter les 4 doses de la v1 avant de pouvoir bénéficier de la mise à jour v2.

      Mise à jour contenant, comme de bien entendu, la souche d’origine ce qui explique pourquoi il faudra d’abord s’injecter la souche d’origine toute seule avant de s’injecter la souche d’origine contenue dans la mise à jour. J’espère que c’est clair pour vous, même un enfant de 3 ans pourrait comprendre cette logique qui relève du bon sens.

      Vaccin bivalent, les animaux vous remercient !

      La ligue de défense des animaux ainsi que la ligue des droits de l’homme ont une fois de plus salué les fabricants de vaccins.

      L’expérimentation animale, mais aussi humaine remonte aux temps barbares, elle est indigne de notre époque. Sans compter le manque d’efficacité et toutes les vies perdues en mettant 10 ou 15 ans à étudier les effets secondaires d’un nouveau vaccin.

      Au 21e siècle il serait fou de tester des vaccins pendant plus de trois semaines avant leur diffusion dans la population !

      C’est ainsi que pour des raisons de dignité humaine, mais aussi d’efficacité, le vaccin bivalent ne fera l’objet d’aucun essai avant sa mise sur le marché.

      Mais dites-moi :

      « Pourquoi faudrait-il faire des essais pour une première mondiale, l’introduction de deux ARN messagers dans le corps ?! ».

      Totalement ridicule, car si cela fonctionne parfaitement avec UN ARNm (et sans le moindre effet secondaire), pourquoi ce qui fonctionne pour UN ne fonctionnerait pas pour DEUX ?

      Je vous rappelle que les enfants sont vaccinés en France pour 11 maladies différentes alors deux petits vaccins c’est vraiment anodin !

      Décidément, cette crise du Covid n’est pas compatible avec les crétins qui ne comprennent rien.

      Poutine, la débandade

      Le dictateur a déclaré il y a quelques jours qu’il allait mobiliser les réservistes, sans doute 300 000 hommes, pour tuer et dépecer femmes et enfants en Ukraine.

      De très nombreux spécialistes occidentaux ont déclaré « c’est bien la preuve qu’il ne s’en sort pas ».

      L’Ukraine, la 2e armée du monde selon des experts, va en faire une bouchée avec ses 200 000 soldats.

      Le Figaro25 déclarait en 2014 que le pays avait 130 000 soldats et la Russie 800 000. Tandis qu’elle avait 1 million dans la réserve contre 2 chez les Russes. 211 avions vs 1600, 3000 tanks vs 18 000 !

      Nous voyons bien que les Russes qui avaient engagé 10 % des soldats professionnels sont aux abois en faisant appel à la réserve ! Espérons que le psychopathe Poutine ne cherche pas à utiliser l’arme nucléaire pour camoufler sa défaite cuisante.

      La propagande26 russe bat son plein en annonçant le chiffre ridicule de 5937 morts. Heureusement le nouveau Churchill, Zelensky nous apporte un éclairage honnête et objectif comme à son accoutumée :

      « Selon le ministère de la Défense ukrainien ce mercredi, 55 110 soldats de l’armée russe ont péri depuis le 24 février 2022. »

      La Russie est à ce point verrouillée (médias, réseaux sociaux…) que nous n’avons aucune image des manifestations monstres organisées par les mères russes désespérées.

      Installation d’un nouveau terminal pétrolier dans les eaux internationales

      Les pétroliers russes27 bientôt sous embargo transvasent en pleine mer et dans des conditions de sécurité optimales leur cargaison vers d’autres pétroliers sous pavillon étranger. Ainsi le pétrole change de nationalité, ce qui nous permet de ne plus acheter de pétrole russe à l’enculé de Poutine. Bon, le prix au final est multiplié par dix, mais lorsqu’il s’agit de démocratie, de sauver le monde libre et de faire tomber un dictateur, on ne va pas pinailler.

      Et oui « en France on n’a pas de pétrole, mais on a des idées28 ».

      À noter qu’aussi bien l’Inde que l’Arabie Saoudite achètent aussi du pétrole russe puis nous le revendent une fois blanchi comme nous l’indique le magazine Les Échos :

      « Les raffineurs indiens achètent massivement le brut de Russie à prix cassé dont les importateurs occidentaux se détournent depuis l’invasion de l’Ukraine. Une fois transformé en carburant, le pétrole russe pourra être réexporté vers l’Europe, déjouant indirectement les sanctions qui frappent Moscou. »

      La morale est sauve, point de pétrole russe dans nos voitures ou dans nos centrales thermiques ! Imaginez le moral de Poutine voyant que plus une goutte de pétrole « Made in Russia » ne pénètre sur le sol français.

      Économies d’énergie, dans le cul Poutine !

      Pour lutter contre l’enculé de Poutine, démarrons la cuisson après 19 h !

      Transition écologique oblige, nous devons fermer les centrales nucléaires qui n’émettent aucun CO2 pour la production. Ajouté au fait que ces centrales sont à l’arrêt en été pour les révisions annuelles, il est possible que nous manquions d’électricité. Et ce d’autant plus que nous bradons notre électricité pour soutenir nos amis allemands qui sont dépendants du gaz russe grâce à la fermeture de leurs centrales nucléaires et l’accroissement du « renouvelable ».

      Pour éviter des coupures d’électricité29 causées par Poutine, nous avons des solutions :

      « Il ne faut pas faire cuire le repas à 19 h où de nombreuses entreprises sont encore ouvertes, mais décaler la cuisson vers 20 h. »

      Vous voyez bien, on n’a pas de pétrole, mais on a des idées, même s’il est probable que cette idée géniale nous vienne de McKinsey… ça valait bien quelques millions en cabinet de conseil, non ?

      Lutte contre le gaspillage : le génie français

      Avec l’arrivée du nouveau vaccin bivalent, que vont devenir les anciens vaccins ?

      Le ministre de la Santé François Braun l’a d’ailleurs rappelé sur l’antenne de France Inter30 lundi : les vaccins d’origine « sont toujours efficaces, ils avaient une efficacité de l’ordre de 80 % au départ, ce qui est beaucoup pour un vaccin » (Ils l’étaient à 95 % selon Bruno Lina). En attendant de nouvelles données, laboratoires et autorités sanitaires travaillent à rallonger les dates de péremption des premiers vaccins.

      « La Direction générale de la santé (DGS) a informé le 13 mai les syndicats pharmaceutiques que la date de péremption du vaccin Comirnaty (Pfizer/BioNTech) était à nouveau allongée d’un délai de 3 mois supplémentaires, soit dorénavant une conservation prolongée à 12 mois (au lieu de 9 mois)31 »

      Comment n’y ai-je pas pensé moi-même plus tôt ?

      Il suffit d’allonger la date de péremption !

      Nous proposons donc d’allonger d’une semaine ou deux la date de péremption de la viande ou du poisson. Ah, quand le génie français se met en branle, tout est possible !

      Et ce à la différence des Suisses qui sont complètement idiots et ont pris la décision de jeter des doses32 :

      « Covid-19 : la Suisse doit jeter 10 millions de doses de vaccin Moderna.

      En juin, le site de Swissinfo news avait estimé que le pays helvète disposait d’un excédent de 38 millions de doses des différents vaccins contre le Covid-19, qui expireraient avant la fin de l’année. »

      Encore un réflexe de pays riche qui ne pense pas à l’écologie. Ils auraient pu au moins les envoyer aux Africains !

      Unanimité pour notre Président et sa quête de justice

      Celui-ci a déclaré à l’ONU33 que :

      « La justice internationale devra établir les crimes et juger les coupables. ».

      Contrairement aux habitudes, cette annonce a fait l’unanimité, saluée à la fois par la majorité présidentielle, mais aussi l’opposition. Nous sommes allés dans la rue interroger des passants et un complotiste nommé Robert, d’habitude hostile à notre monarque, nous a répondu à notre grand étonnement :

      « Je suis entièrement d’accord avec Macron, les coupables seront jugés et condamnés ! »

      Comme quoi tout n’est pas perdu, même les plus débiles peuvent avoir des instants de lucidité et d’honnêteté.

      Ne pas se tromper de coupables, le seul et l’unique, c’est Poutine !

      La présidente du Groupe de la Gauche au Parlement européen34 a demandé à Mme Wonder, comment les personnes à petit revenu pouvaient payer leur facture.

      Après un instant de sidération au regard de la stupidité de la question (qui selon notre hebdomadaire relève de la trahison), celle-ci a mouché la fille en lui répondant :

      « Vous devriez envoyer ces factures à Moscou, car c’est Poutine qui est responsable ».

      Personnellement je n’aurais pas eu cette gentillesse vis-à-vis de cette présidente de groupe qui aurait mérité une baffe. Cela prouve une fois de plus que si Mme Le Yen est au pouvoir c’est grâce à ses qualités intrinsèques et certainement pas une histoire de copinage ou de corruption.

      Il est bon de rappeler des évidences. Tout le monde sait que Poutine est l’unique responsable de l’augmentation du prix de l’énergie. Cela n’a strictement rien à voir avec les mesures prises contre la Russie, la spéculation, les fermetures des centrales nucléaires, la politique industrielle, etc.

      Poutine condamné à acheter des munitions en Corée du Nord

      Les services de renseignement américains35 ont laissé fuiter un document officiel « prouvant » que la Russie en est réduite à importer des millions d’obus et de roquettes depuis la Corée du Nord.

      Une aubaine pour cette dictature qui n’était pas connue pour ces exportations36 d’armes.

      Et oui la Russie est à ce point au ban de la société que ni les Indiens, ni les Chinois ou même les Pakistanais n’acceptent de lui vendre des armes. Certains pensent à tort que le commerce des armes est sans foi ni loi. Mais que nenni, même les trafiquants d’armes refusent de vendre des armes à cette pourriture bolchevique ex-membre du KGB.

      Arrêtons de prêter foi à la désinformation. Rendez-vous compte que The Telegraph affirmait en avril dernier que la France et l’Allemagne auraient fourni des armes à la Russie37 pour 273 millions d’euros y compris des bombes, des roquettes ou des missiles. Qui pourrait croire à pareilles balivernes.

      Pour ce qui est de la capacité de production, d’environ 2 millions d’obus guidés par an ou de dizaines de milliers de missiles anciens, cela relève du complotisme et je vous invite à ne surtout pas lire le document suivant publié par le centre français de recherche sur le renseignement38.

      Les Russes sont foutus comme cela est répété toute la journée par nos confrères et puis c’est tout !

      Discours de l’Union

      La secrétaire générale du parti communiste libéral européen a prononcé un discours brillant le 14 septembre et il était déraisonnable de ne pas vous fournir d’extraits (tout est vrai).

      « Aux quatre coins de notre Union, les Européens se sont réveillés, accablés par le poids des nouvelles qui arrivaient d’Ukraine. Ébranlés par le retour d’un Mal implacable. Hantés par le bruit des sirènes et la brutalité de la guerre. Mais dès cet instant, le continent tout entier s’est dressé dans un élan de solidarité… Il y a quinze ans, lors de la crise financière, il nous a fallu des années pour trouver des solutions durables. Quelque dix ans plus tard, lorsque la pandémie nous a frappés, il ne nous a fallu que quelques semaines… Nous avons ravivé la force intérieure de l’Europe. Il ne s’agit pas seulement d’une guerre menée par la Russie contre l’Ukraine. Il s’agit d’une guerre contre notre sécurité énergétique, contre notre économie, contre nos valeurs et contre notre avenir. Une guerre de l’autocratie contre la démocratie. Et je me tiens ici, devant vous, animée de la conviction que, grâce à notre courage et à notre solidarité, Poutine échouera et l’Europe vaincra. LE COURAGE DE SE TENIR AUX CÔTÉS DE NOS HÉROS… L’Ukraine fait front, car des personnes comme votre mari, le président Zelensky, sont restées à Kiev pour mener la résistance, à vos côtés et aux côtés de vos enfants, chère Olena.

      Depuis le premier jour, l’Europe se tient aux côtés de l’Ukraine. En fournissant des armes. En mobilisant des fonds. En ouvrant ses portes aux réfugiés. Et en imposant les sanctions les plus lourdes que le monde ait connues. Le secteur financier de la Russie est à bout de souffle. Nous avons coupé les trois quarts du secteur bancaire russe des marchés internationaux. Près d’un millier d’entreprises d’envergure internationale ont quitté le pays. La production de voitures a chuté de trois quarts par rapport à l’année dernière. Aeroflot immobilise les avions au sol, car les pièces de rechange viennent à manquer. L’armée russe récupère des puces sur des lave-vaisselle et des réfrigérateurs pour réparer son matériel militaire, car elle est à court de semi-conducteurs. L’industrie russe est en lambeaux.

      À ce jour, l’Équipe Europe a fourni plus de 19 milliards d’euros d’aide financière.

      L’an dernier, le gaz russe représentait 40 % de nos importations de gaz. Aujourd’hui, ce gaz acheminé par gazoduc ne représente plus que 9 %.

      Mais les Européens font face à cette situation avec courage.

      C’est pourquoi nous présentons des mesures pour que les États membres réduisent leur consommation globale d’électricité.

      L’hydrogène peut changer la donne pour l’Europe. (NB : produite avec de l’électricité ou du gaz bien entendu.)

      Nous traversions la plus forte récession depuis la Deuxième Guerre mondiale. Nous sommes parvenus à la reprise la plus rapide depuis le boom de l’après-guerre. »

      Que de paroles merveilleuses emplies d’espoir. Vous n’imaginez pas notre souffrance à ne pas pouvoir publier en intégralité ce chef-d’œuvre de vérité, d’humanité, de générosité, de compassion et de fermeté.

      Nous pensons que la lecture du texte complet39 devrait être obligatoire sous peine de poursuites judiciaires et suppression du passe carbone, celui qui devrait autoriser les déplacements pour se rendre au supermarché une fois par semaine.

      Les Russes utilisent des puces de lave-vaisselle pour leurs missiles !

      Mme Le Yen a été lumineuse une fois de plus s’il en faut :

      « L’armée russe récupère des puces sur des lave-vaisselle et des réfrigérateurs pour réparer son matériel militaire »

      Vous rendez-vous compte ? La Russie est à ce point aux aboies qu’aucun pays, y compris les Chinois, n’accepte encore de lui vendre des puces électroniques !

      Pire encore, elle n’a plus ni ordinateur ni smartphone pour les récupérer… Elle en est à les prendre sur des lave-vaisselle ou sur des frigos.

      C’est dire à quel point c’est un peuple de débiles qui ne sait même pas qu’il n’y a AUCUNE puce dans un réfrigérateur !

      Dans leur malheur les Ukrainiens ont de la chance d’être face à l’armée russe qui a connu de si nombreuses défaites dans l’histoire et dont le pays a été si souvent envahi et colonisé par des agresseurs externes.

      Mais les Russes sont aussi chanceux d’avoir affaire aux Ukrainiens, un peuple et des institutions si bonnes, qui respectent les droits de l’homme, le droit à la différence, les accords de Minsk et qui ne demandent que la paix.

      Nous savons vous et moi qu’ils pourraient atteindre Moscou en quelques jours s’ils étaient vindicatifs et revanchards.

      C’est donc bien l’affaire de quelques semaines avant que la Russie n’abdique. Des membres de la résistance russe ont indiqué à nos correspondants AFP que des émeutes de la faim se produiraient tous les jours dans le pays et que les cimetières déborderaient.

      Scandale en Iran où une femme dévoilée a été tuée

      Une femme qui a enlevé son voile en Iran aurait été tuée par la police des mœurs. De nombreuses femmes iraniennes se révoltent et enlèvent leur voile.

      Si le gouvernement français s’est indigné, notre quotidien n’a pas été en mesure de trouver la moindre déclaration d’un personnage politique français se réjouissant de ce mouvement d’émancipation des femmes iraniennes.

      Il faut dire qu’en France le voile islamique est plutôt perçu comme une preuve de liberté des femmes.

      « Polémique sur le voile : “Blanquer doit se taire”, selon Jean-Luc Mélenchon40 »

      Disons que cela doit être un problème de latitude ou de longitude.

      Un voile en Iran est signe de soumission tandis qu’un voile en France est signe de démocratie et de liberté.

      Concours pour la coupe du monde (information non vérifiée)

      Des informateurs anonymes nous rapportent que pour la future coupe du monde organisée au Qatar, Pfizer et Zelensky se seraient associés pour offrir un voyage de rêve inoubliable aux femmes enceintes qui on fait leur 5e dose bivalente.

      Nous vous rappelons que le rapport bénéfice vs risque de la vaccination pour les femmes enceintes est toujours favorable quand bien même celle-ci n’a pas été évaluée et encore moins pour le vaccin bivalent.

      Rien n’a encore été publié, mais notre magazine est en mesure de vous fournir des informations sur le déroulé de ce sympathique concours (qui n’a pas été confirmé).

      Il suffirait d’envoyer une photo de son bébé mort-né en n’omettant pas de joindre les vignettes des 5 doses de vaccin. Les candidates et les candidats (je vous rappelle que les hommes peuvent aussi avoir des bébés) qui auraient/auront fourni les 10 meilleures photos de leur bébé mort gagneraient/gagneront un voyage VIP au Qatar et auraient/auront les photos de leur bébé affichées sur écran géant dans les stades.

      Quant au vainqueur ou à la vainqueuse du concours, celle-ci se verrait offrir un bébé de moins d’un mois volé à une Ukrainienne du Donbass. Rassurez-vous, ce bébé serait lavé de toute trace russe et donné avec une garantie décennale et bien évidemment vacciné.

      À vos doses pour mettre le maximum de chances de votre côté !

      Ravages de l’alcool

      Voici le déroulé du fait divers qui nous a été rapporté et dont nous ne pouvons vous confirmer l’exactitude :

      Mercredi soir 23 h, Marcel et Maurice de la rédaction de LCI se seraient rendus dans un bar plus de deux heures auparavant. Ils auraient enchaîné vodka sur vodka en trinquant « Fuck Poutine ! ».

      Maurice aurait alors navigué sur le site d’Amazon41 et tapé « mini bombe nucléaire ». Il serait tombé sur une boîte de rangement au look rétro d’une bombe nucléaire (tiré du jeu vidéo fallout 4).

      C’est à ce moment-là, à moitié effondré qu’il aurait déclaré à Marcel qui montrait alors son cul à une photo du dictateur :

      « Je te parie que je peux faire passer à l’antenne la bombe et faire croire que Poutine possède 2000 mini bombes nucléaires de ce type. »

      Marcel complètement bourré, le pantalon sur les chevilles, lui aurait répondu :

      « Arrête tes conneries, on raconte n’importe quoi au public sur la guerre depuis des mois, mais là ça passera pas, c’est trop gros. Si tu y arrives, c’est moi qui paye demain ! »

      Le lendemain, Maurice dicte le sujet à une présentateuse et lui dit :

      « t’inquiète pas, je m’occupe du visuel : »

      Je vous fais grâce de la suite des événements. Le fait est que Maurice a gagné le pari et la « bombe » est passée à l’antenne42 (information vérifiée).

      L’alcool semble être un problème systémique à la rédaction de LCI qui quelques jours auparavant déclarait qu’il n’y avait eu aucune manifestation à Paris samedi et que c’était de la désinformation russe (information vérifiée).

      Nous qui pensions que seuls les russes étaient saouls toute la journée, visiblement il n’en est rien.

      À noter que LCI a réagi suite à la réaction des internautes en précisant :

      « Contactée par CheckNews, la chaîne indique que ces “mini-nuke, comme la journaliste le mentionne, suscitent l’interrogation quant à leur existence réelle et à leur représentation”. Si effectivement les journalistes en plateau questionnent le fait que les bombes nucléaires tactiques russes aient pu être déjà testées ou qu’elles soient même opérationnelles, ils n’abordent toutefois pas la question de leur représentation. Reste que pour la chaîne, “le visuel utilisé à l’antenne est une évocation”. Et LCI de s’interroger : “Aurait-on dû sourcer cette évocation par une mention écrite ou orale ? Il s’agit d’un manque de précision43.” »

      Comme quoi on peut dire et montrer n’importe quoi et ça passe. Il est probable que Marcel et Maurice recommencent à faire une autre blague. Sujet à suivre…

      Plus léger :

      Blague de potaches à l’ONU !

      Nous vivons une période extrêmement anxiogène entre le Covid, la variole du singe, la grippe de la tomate, le dérèglement climatique, l’agression de Poutine, la crise énergétique et j’en passe… Il est donc indispensable de décompresser régulièrement.

      Le magazine 20 Minutes44 a publié une Photo du président à l’ONU devant une salle quasiment vide qui pourrait laisser croire que les paroles de notre grand monarque n’intéressent personne. Un peu comme la blague du Président et Poutine45 assis à une table de 10 mètres qui a tant faire rire…

      Immédiatement les complotistes se sont emparés de cette photo faisant croire que notre Chef d’État était un pantin ridicule dont personne ne prenait les discours au sérieux.

      Nous avons donc enquêté et appris que les 193 pays et délégations avaient décidé de faire une blague au Président, lui laissant croire que personne ne voulait l’écouter. Instant de franche rigolade à l’ONU…

      Bien entendu la salle était comble 10 minutes plus tard sans compter une foule de 10 000 personnes devant l’écran géant au pied de l’immeuble de l’ONU.

      Notez que Biden ne bénéficie absolument pas de la même popularité. Lors de son intervention, nous avons constaté que la salle était totalement pleine pour son discours46, Preuve que les chefs d’État et leur délégation n’ont pas la même complicité qu’avec notre Président si humain et sympathique.

      Le peuple russe vent debout contre Poutine le barbare

      Une quarantaine de manifestations ont eu lieu dans le pays suite à l’annonce par le tyran d’une mobilisation partielle des réservistes. Sur l’antenne de notre excellent confrère BFM un reportage diffusé ce jeudi 22 septembre à 9 h 10 nous annonçait :

      « Des dizaines de manifestants jeunes qui ne veulent pas être enrôlés dans l’armée ».

      L’Ong Ovd Info qui compte une centaine de bénévoles47 a déclaré que 1 300 manifestants48 auraient été interpellés. Nous pensons, de source sûre, qu’ils ont aussi été torturés.

      Si nous prenons les données de l’AFP qui aurait vu 50 interpellations, le fait qu’il y ait eu des manifestants dans une quarantaine de villes, qu’au lieu de dizaines de manifestants, il y en avait une centaine, nous voyons bien que cela tient la route… Nous pouvons même penser que 100 % des manifestants auraient été arrêtés, ce qui prouve bien le côté répressif du monstre.

      Tout ceci est bien la preuve de l’impopularité grandissante du dictateur qui vit ses derniers jours.

      La propagande russe a beau essayer de nous faire croire qu’il est populaire et que des milliers d’appelés se rendent avec joie à la guerre, nous ne sommes pas dupes. Poutine voit bien combien il est impopulaire dans son propre pays. Il ne peut l’ignorer.

      Simulacre de démocratie dans les territoires de l’est de l’Ukraine — Demander l’avis au peuple ? Une pratique de barbares anti-démocrates !

      L’enculé de Poutine organise des référendums49 dans les régions russophones de l’Ukraine. Notre lumineux Président a vivement réagi à l’ONU en disant que :

      « Les référendums n’ont aucune existence légale ».

      Et d’ajouter :

      « C’est un retour à l’âge de l’impérialisme et des colonies »

      Impérialisme, colonies, deux mots qui n’ont strictement rien à voir avec l’Histoire de France.

      Selon certaines sources non vérifiées, il en aurait profité pour rappeler que le référendum d’adhésion de l’Ukraine à l’Europe pourrait être organisé dans les 3 prochains mois. Afin de garantir la démocratie, seuls les électeurs pro-européens pourraient y participer. Nous attendons avec impatience les résultats des votes qui sont déjà comptabilisés, mais non encore publiés (pour préserver la démocratie).

      À partir du vendredi 23 septembre, les habitants de ces régions ont été amenés à répondre à la question suivante :

      « Voulez-vous entrer dans la Fédération de Russie ? »

      Aucun chef d’État occidental n’a été dupe et ils ont déclaré que « quelque soit la décision du peuple à s’autodéterminer celle-ci n’aura aucune valeur. »

      En toute logique l’ONU a décidé de ne pas envoyer d’observateurs afin de vérifier si les élections auront été organisées de matière démocratique.

      De toutes les façons on s’en tape ! Même si les russophones veulent retourner dans le giron russe, on n’en a rien à foutre. Ils resteront dans le territoire ukrainien, ce qui permettra à l’armée ukrainienne de continuer de les bombarder comme ils le font depuis 2014.

      Inauguration d’un parc éolien par notre lumineux guide

      C’est par une belle journée que notre sérénissime a inauguré un parc éolien au large de Saint-Nazaire. Le soleil était au rendez-vous pour notre roi du même nom et afin de prouver au Président que les éoliennes étaient l’avenir, le vent a eu la gentillesse de souffler sur 2 éoliennes parmi les 80 !

      Il faut dire qu’une inauguration d’un parc avec 0 éolienne tournant aurait manqué de panache.

      Ce parc, les jours où il y a du vent… mais pas trop non plus, pourrait fournir 480 Mégawatts.

      Heureusement la centrale thermique au charbon de Cordemais50, d’une puissance de 1200 Mégawatts et située à une trentaine de kilomètres de Saint-Nazaire était là pour palier les jours où il n’y a pas de vent. Tout le monde sait, et en premier lieu les Allemands, que les centrales à charbon ou au gaz polluent beaucoup moins que les centrales nucléaires. C’est donc spontanément que la centrale à charbon a fourni son électricité au parc pour faire tourner deux éoliennes du parc comme le montrent les images51.

      Le vent52 soufflait entre 5 et 10 km/h selon la météo, ne permettant pas aux éoliennes de se lancer. Celles-ci fonctionnant entre minimum 15 km/h (avec une faible production) et 90 km/h où elles passent en sécurité53.

      À moins que, hypothèse très logique, le vent ne se soit focalisé sur 2 éoliennes, prenant soin d’éviter toutes les autres qui étaient autour.

      Euthanasie active : enfin de la place !

      Un projet de loi pourrait être déposé sur l’euthanasie et le suicide assisté54.

      Enfin une loi pour l’égalité des chances !

      Étant donné que de nombreux Français ne peuvent pas vivre dans la dignité, le projet est de permettre à tout un chacun de mourir dans la dignité.

      Le gouvernement n’en est pas à son coup d’essai. Nous savons tous que le Covid nous est tombé dessus sans que nous soyons préparés.

      • Il n’y avait aucun traitement.
      • Il était irresponsable de fournir un traitement habituel pour une maladie mortelle.
      • Il fallait donc empêcher les médecins de mal soigner et donc leur interdire de voir leurs patients.
      • Il fallait protéger les médecins impuissants qu’ils auraient pu contaminer.

      Et comme les réas étaient débordées et les services fermés :

      • Il fallait absolument empêcher les personnes trop âgées d’occuper des lits de réanimation.

      Ici encore l’équité et la morale ont primé !

      Au lieu de faire une sélection totalement arbitraire entre les patients qui avaient des chances de s’en sortir et des patients considérés comme foutus, le gouvernement a décidé d’une limité d’âge (uniquement pour les gueux).

      TOUT LE MONDE SUR UN PIED D’ÉGALITÉ !

      • « Tu sembles avoir les symptômes du Covid, quand bien même ils ressemblent à ceux d’une grippe. »
      • « Tu as plus de 80 ans. »

      Alors :

      • Interdiction d’aller à l’hôpital pour protéger les jeunes.
      • Interdiction de tout traitement parce qu’il n’existe pas, soyons logiques.
      • Un petit paracétamol pour soulager à fièvre.

      Et…

      C’est là que l’humanité et le respect de la dignité humaine s’inscrivent totalement dans le projet.

      On finit le vieux ou la vieille au Rivotril ! Si on ne laisse pas souffrir un chien pourquoi laisserions-nous souffrir un vieillard ?

      Et bien pour le nouveau projet d’euthanasie c’est la même chose ! Au nom de quelle barbarie laisserions-nous vivre, le mot est impropre, survivre, un déchet de l’Humanité à qui il ne reste que quelques mois de fonctions biologiques ?

      Soyons humains, finissons les vieux !

      Économie tout va mieux !

      L’Insee annonce qu’il y a une baisse de la hausse de la dette… Si, si !

      « La dette publique française ralentit sa progression avec une hausse de 6,2 milliards d’euros au deuxième trimestre55 »

      Attention, ne nous méprenons pas, il s’agit bien d’une baisse de la hausse et non d’une hausse de la diminution de la dette ! Comprenez que si nous avions assisté à une hausse de la hausse, c’eut été une mauvaise nouvelle.

      La dette n’a donc augmenté que de 6,2 milliards ce trimestre. Ce qui est la preuve d’une excellente gestion. Pourquoi, me direz-vous ?

      Tout simplement parce que celle-ci avait augmenté de 89 milliards, soit 3 % le trimestre précédent. Ce qui prouve que le gouvernement avait extrêmement bien anticipé le besoin supérieur de dette et qui a donc permis de réaliser une économie substantielle de diminution de l’augmentation pour ce trimestre.

      Quant au chômage « il est presque stable56 » c’est-à-dire qu’il augmente peu en passant de 7,3 à 7,4 %.

      On dit merci qui ?

      Les Russes bientôt affamés

      Le magazine Slate57 dont le principal actionnaire est Rothschild et un des fondateurs Jacques Attali, ne se trompe pas, les Russes sont au bord de l’abîme.

      « Les baisses des exportations du pétrole, de métaux, de produits chimiques pour le bois, pourraient être si durables que “ces secteurs cesseront d’être les moteurs de l’économie”. Quant à la coupure du gaz destiné à l’Europe, si elle est une nouvelle difficile pour cette dernière, elle pourrait coûter chaque année à l’État russe 6,6 milliards de dollars, soit à peu près la même chose en euros, en taxes diverses. Comme l’embargo sur le pétrole du pays, cette perte nette risque de peser lourd sur les investissements du pays dans son si précieux secteur énergétique, et mettre ainsi en grand péril ses revenus futurs. »

      Et de rajouter :

      « Même le secteur agricole et agroalimentaire souffre, au point de peut-être rapidement pousser les Russes à changer et à réduire leur consommation de nourriture. »

      Mais attention ! Des agents russes ou pro- Russes sont à la manœuvre.

      La propagande est partout comme cette Russe payée par Poutine qui diffuse des prétendues images d’un supermarché russe Globus58 débordant de victuailles et montrant des Russes faire leurs courses tranquillement. Cette vidéo publiée le 19 septembre est un faux, bien entendu.

      Elle a été tournée bien avant la crise avec des figurants, comme du temps de la guerre froide !

      Les faussaires vont jusqu’à présenter du porc avec une fausse date d’emballage du 15 septembre 2022 et une date d’expiration du 20 septembre 2022. Le prix affiché de 619 roubles le kilo, soit 11 euros étant aussi un faux grossier, le prix d’un kilo de viande étant désormais l’équivalent d’un mois de salaire59.

      Il faut être d’une extrême vigilance et c’est bien pour cela que YouTube devrait être définitivement fermé. Nous ne le dirons jamais assez :

      « Si ce n’est pas dans les médias, c’est que c’est faux ! »

      Le traître Régis le Sommier, quant à lui, osait déclarer récemment sur Cnews60

      « J’étais en Russie j’ai pu constater comment un axe commercial anti-sanction entre Istanbul et Dubaï61 était mis en place. »

      Et de rajouter :

      « Les sanctions marcheront lorsqu’il y aura des queues dans les magasins et ce n’est absolument pas le cas en ce moment en Russie. »

      Bien heureusement, il existe encore des hommes forts, courageux, intègres, honnêtes, dévoués qui n’hésitent pas à prendre le risque de tacher leur costume pour sauver la veuve et l’orphelin. Vous aurez compris que je parle de l’immense philosophe que le monde nous envie, le philosophe humaniste désintéressé Bernard Henry Lévy.

      Et quand l’immonde Le Sommier cherche à le salir en lui demandant pourquoi il ne porte ni casque ni gilet pare-balles62 sur la ligne de front et pourquoi les héroïques Ukrainiens ne lui en prêtent pas, le grand homme renvoie dans ses cordes l’immonde personnage :

      « Moi je ne me balade pas dans mes bagages avec un casque ou un gilet pare-balles. »

      « J’ai pour règle, quand j’en ai le choix, de laisser le casque à ceux qui en ont le plus besoin ! »

      Comment ne pas avoir une larme à l’œil, ne pas être submergé d’émotion en entendant les propos de ce héros !

      Plus de visas pour les Russes

      Selon La Tribune63, dans un article du 29 août 2022 :

      « L’Union européenne a acté, ce mercredi, la suspension complète de l’accord en vigueur entre Bruxelles et Moscou facilitant l’attribution de visas aux ressortissants russes voulant voyager dans les pays de l’espace Schengen. Une mesure demandée par la République tchèque et les pays voisins de la Russie. Reste encore à trancher la question d’une interdiction totale des visas pour les Russes. »

      Mais ici encore la propagande russe64 a encore frappé. Des comédiens russes ont prétendu pouvoir obtenir un visa vers l’Espagne en quelques minutes et pour 50 euros… Tout ceci n’est que mensonge.

      Les Russes sont prisonniers, aucun pays européen ne veut d’eux !

      Boom éconologique

      Le marché du quota de CO2 en explosion65. Saluons le génie de l’homme qui a réussi à convertir la lutte contre le réchauffement climatique en marché florissant. Le « rien » se négocie désormais à prix d’or atteignant presque les 100 milliards de dollars.

      Pendant que les Chinois ou les Américains se maintiennent en dehors du marché du carbone, les Européens ont mis en place en 2005 des quotas d’émissions de CO2, gaz au combien polluant et mortel comme nous le savons tous… Imaginez ces pauvres plantes contraintes de grandir plus vite du fait de l’augmentation du gaz mortel pour la planète.

      Bref, il faut désormais payer pour « polluer » (émettre du CO2). Cela pousse les entreprises à être écolos ou délocaliser leur production ! Mais comme les Européens sont intelligents, toutes les entreprises « polluantes » qui pourraient délocaliser disposent d’un crédit carbone gratuit, d’un droit à « polluer » !

      C’est ainsi qu’il existe une bourse d’échange de la tonne de CO2. Le prix est totalement libre et fonction de l’offre et la demande. Celui qui en a moins besoin peut en vendre et celui qui en a plus besoin en acheter. Bien heureusement des spéculateurs se sont emparés du marché en essayant d’acheter à bas prix et revendre à prix fort. De l’art de s’en mettre plein les poches pour « sauver la planète ».

      Oui, car la mesure est 100 % efficace. Il est important de la maintenir et même de l’augmenter ;

      Les émissions de CO2 en Europe66 sont passées de 11 % des émissions mondiales à 7 % en 2019. Grâce à nous le monde va mieux, car dans le même temps, les émissions sur la planète sont passées d’environ 38 000 mégatonnes de CO2 par an à 47 000 mégatonnes. De l’art de délocaliser la pollution vers les pays pauvres qui « polluent » de plus en plus, mais pour nous !

      Grâce à ces belles lois européennes, nous sommes donc moins « pollués », mais aussi moins riches.

      Drame en Italie

      « La candidate néo-fasciste Giorgia Meloni revendique la victoire aux élections législatives italiennes » BFM67

      « Législatives italiennes : le parti post-fasciste Fratelli d’Italia de Giorgia Meloni sort en tête » La Tribune68

      « Législatives en Italie : victoire historique de l’extrême droite69 »

      Alors que la secrétaire générale du parti socialiste libéral européen, Mme Leyen avait menacé les Italiens s’ils votaient « mal », rien n’y a fait.

      « Si les choses vont dans une direction difficile, j’ai parlé de la Hongrie et de la Pologne, nous avons des instruments », a mis en garde la présidente de la Commission européenne en réponse à une question sur les élections de dimanche en Italie pour lesquelles une coalition droite/extrême droite est annoncée favorite dans les sondages70 »

      Nous avons les outils pour… (vous pourrir la vie si vous votez mal).

      La presse est unanime pour souligner les heures sombres :

      « Si Giorgia Meloni l’emporte, avec ses alliés berlusconiens de Forza Italia et d’extrême droite de la Ligue, l’Italie est promise à des heures sombres. Sa formation est truffée de nostalgiques de Benito Mussolini71 »

      « Si l’Italie est bien le laboratoire politique de l’Europe que l’on dit, alors ce sont des heures sombres qui se dessinent… En Italie comme en France, mais aussi en Grande-Bretagne, dans les pays de l’Est ou aux États-Unis bien sûr, la gauche s’est effondrée. La droite “classique”, elle, a été phagocytée et puis détruite par une extrême droite xénophobe et nationaliste qui se pose désormais en seule alternative crédible à une social-démocratie essoufflée72. »

      « Italie : cinq raisons qui montrent que Giorgia Meloni ne fera pas avancer les droits des femmes. Mais pour les médias et les observateurs politiques, elle est vue comme l’héritière des heures sombres fascistes de l’Italie73. »

      « L’étude montre également que les populistes sont plus susceptibles de porter atteinte de manière durable à l’État de droit et aux institutions démocratiques par des réformes remettant en cause le principe de séparation des pouvoirs, l’indépendance de la justice ou encore la liberté de la presse74. »

      « Le risque que s’instaure un gouvernement autoritaire et rétrograde sur les libertés civiles75. »

      « Les partis démocratiques traditionnels. Ces derniers feraient mieux de faire leur autocritique en se demandant comment et pourquoi une telle situation où les partisans de l’autoritarisme, de la restriction des libertés ou encore de la division entre les populations sont en train de gagner du terrain. Sans cette introspection, la peste brune poursuivra sa progression au point de contaminer d’autres pays de l’Union européenne76. »

      L’heure est grave ! Après la Suède, la France (législatives), la Hongrie, voici que l’Italie plonge dans les heures sombres du fascisme.

      Comment les électeurs peuvent-ils être aussi bêtes pour ne pas voir que la social-démocratie européenne et Mme von der Leyen sont les garantes des droits de l’homme et des libertés ?

      Ni l’Europe ni la France n’ont produit la moindre censure de médias ou leur interdiction. Seuls les désinformations et les médias ennemis comme RT sont supprimés.

      Jamais il n’y a eu la moindre restriction des libertés ! Obligation du masque, confinements, pass sanitaires, QR-codes, obligations vaccinales n’ont été mis en œuvre QUE pour protéger les citoyens et les libertés.

      Jamais il n’y a eu destruction de nos valeurs, de la famille ou de ce qui nous unit ! L’Europe nous ouvre à la différence, à la GPA, au droit à l’avortement jusqu’au terme, au suicide assisté, au Wokisme, à l’identité de genre, aux privilèges blancs et j’en passe.

      Les futurs confinements énergétiques et passe-carbone seront aussi garants des libertés pour sauver la planète et la démocratie.

      Les institutions ont été remplacées par des conseils de défense, Von der Leyen s’est retrouvée à la tête de l’Europe, mais uniquement pour protéger les institutions et les droits de l’homme.

      C’est bien pour cela que :

      • Il faut lutter contre le fascisme.
      • Il faut lutter contre l’antisémitisme.
      • Il faut lutter contre ces arriérés qui croient que la famille ou l’hétérosexualité ne sont pas des maladies.
      • Il faut lutter contre tous ces populistes qui veulent rétablir le pouvoir du parlement désigné par un peuple irresponsable.
      • Il faut lutter contre Giorgia Meloni et tous ses amis.

      Ils sont criminels en voulant supprimer les pass vaccinaux ou carbones et laisser des non-vaccinés assassiner hommes, femmes et enfants vaccinés protégés par leur injection efficace ! Ils sont irresponsables en voulant mettre en place des référendums d’initiative populaire ! Ils sont fous en voulant séparer les pouvoirs exécutifs, législatifs et judiciaires ! Ils sont malades en voulant limiter le pouvoir des banques et autres Goldman Sachs, des lobbies et lutter contre la corruption systémique !

      La France et l’Europe se souviennent encore du référendum de 2005 et la décision folle et irresponsable du peuple français que nous avons dû contrarier pour rétablir la démocratie et sauver l’Europe.

      Ces fascistes veulent le chaos, la suppression de la démocratie et la suppression des libertés.

      Nous devons descendre dans la rue et dire non au fascisme, non à l’autodétermination des peuples, non à Giorgia Meloni et oui au contrôle de la population par l’État, oui à l’autocratie pour sauver les droits de l’homme et aller vers le Grand Reset !

      Je finirai par cette merveilleuse phrase de notre grand oracle Klaus Schwab :

      « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux »

      Signal
      C’était l’hebdo du 26 septembre 2022.

      Merci

      Alain Tortosa
      https://7milliards.fr/tortosa20220626-signal-pour-une-presse-libre-et-objective.pdf


      1 Première publication 15 avril 1940

      2 https://www.ladepeche.fr/2022/09/23/8e-vague-de-covid-19-la-circulation-du-virus-accelere-sante-publique-france-appelle-au-respect-des-gestes-barrieres-10588210.php

      3 https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/video-envie-d-emmerder-les-non-vaccines-j-assume-totalement-declare-emmanuel-macron-apres-sa-declaration-controversee_4907985.html

      4 https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&f=0&i=sp_jour.t&s=2022-09-20&t=a01&view=map2

      5 Ceci était un communiqué du Ministère de la Vérité

      6 https://www.francetvinfo.fr/economie/energie/crise-energetique-pourra-t-on-recharger-les-voitures-electriques-cet-hiver_5377450.html

      7 https://www.usinenouvelle.com/editorial/l-instant-tech-comment-rte-va-recuperer-l-energie-des-batteries-des-voitures-pour-equilibrer-le-reseau.N1789067

      8 https://www.caroom.fr/guide/voiture-propre/electrique/recharge/batterie/duree-de-vie

      9 https://www.tomsguide.fr/tesla-combien-coute-le-remplacement-dune-batterie/

      10 https://www.cidj.com/vie-quotidienne/psycho-sante/pilule-du-lendemain-une-contraception-d-urgence

      11 https://odysee.com/@PhilippeLeBel:4/’’’-Pizzagate-’’’—R%C3%A9sum%C3%A9-complet:e

      12 https://fr.sports.yahoo.com/news/andrew-remercie-maman-elizabeth-ii-141200321.html

      13 https://www.ndtv.com/world-news/joe-bidens-she-was-12-and-i-was-30-remark-shocks-internet-3373556
      https://www.youtube.com/watch?v=fuQflEmf1Ug

      14 Cf Les Nuls Canal+

      15 https://www.ouest-france.fr/monde/guerre-en-ukraine/guerre-en-ukraine-tirs-d-obus-et-risques-d-incendie-a-zaporijjia-le-point-au-185e-jour-218ceccc-2633-11ed-9d6f-e4e04df431ef

      16 https://www.capital.fr/votre-retraite/retraite-le-regime-dans-le-vert-en-2021-et-2022-avant-une-rechute-1445903

      17 Un décret exceptionnel permettant de les finir proprement avait été mis en œuvre pour l’odieux Covid

      18 https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/cinema/plan-75-un-incroyable-film-danticipation-japonais-sur-leuthanasie-07-09-2022-J7MZO2YLH5HRTLP5KYV6NHSA3U.php

      19 https://www.anguillesousroche.com/education/des-ecoles-woke-enseignent-aux-enfants-de-4-ans-comment-se-masturber/

      20 https://www.amazon.com/EDUCATION-8-12-year-olds-PARENTS/dp/1549718371

      21 http://www.grippe-geig.com/LeGEIG.html

      22 https://www.leparisien.fr/archives/les-multiples-casquettes-du-professeur-lina-29-10-2009-691695.php

      23 https://www.huffingtonpost.fr/france/article/ces-vaccins-anti-covid-etaient-tres-attendus-ils-arrivent-enfin_207695.html

      24 https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/rhone/lyon/vaccin-anti-covid-professeur-bruno-lina-repond-aux-questions-que-vous-vous-posez-1903214.html

      25 https://www.lefigaro.fr/international/2014/03/04/01003-20140304ARTFIG00312-l-armee-ukrainienne-un-david-face-au-goliath-russe.php

      26 https://www.tf1info.fr/international/video-guerre-ukraine-russie-5937-soldats-russes-sont-morts-depuis-le-24-fevrier-un-chiffre-bien-en-deca-des-estimations-occidentales-2232962.html

      27 https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/manifestations-en-ukraine/vrai-ou-fake-la-grece-transporte-t-elle-le-petrole-russe_5364403.html

      28 https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/histoires-d-info/on-n-a-pas-de-petrole-mais-on-a-des-idees-en-1976-on-passe-a-l-heure-d-ete_1774731.html

      29 https://twitter.com/rtlfrance/status/1570307628256923654

      30 https://www.radiofrance.fr/franceinter/covid-que-vont-devenir-les-50-millions-de-doses-de-vaccin-de-premiere-generation-4808707

      31 https://www.lemoniteurdespharmacies.fr/actu/actualites/actus-medicaments/vaccins-anti-covid-19-date-de-peremption-a-nouveau-prolongee.html

      32 https://www.tf1info.fr/sante/covid-19-la-suisse-doit-jeter-10-millions-de-doses-de-vaccin-moderna-2233332.html

      33 https://news.un.org/fr/story/2022/09/1127481

      34 https://linsoumission.fr/2022/09/15/envoyez-vos-factures-a-poutine/

      35 https://www.japantimes.co.jp/news/2022/09/06/world/russia-north-korean-artillery-us-intelligence/

      36 https://duckduckgo.com/?t=ffab&q=pertes+russes+durant+les+pr%C3%A9cedents+conflits&ia=web

      37 https://www.telegraph.co.uk/world-news/2022/04/22/exclusive-france-germany-evaded-arms-embargo-sell-weapons-russia/

      38 https://cf2r.org/rta/russie-munitions-guidees-stop-ou-encore/

      39 https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/fr/SPEECH_22_5493

      40 https://www.lejdd.fr/Politique/polemique-sur-le-voile-blanquer-doit-se-taire-selon-jean-luc-melenchon-3927239

      41 https://www.amazon.fr/rangement-stockage-r%C3%A9sine-cr%C3%A9ative-mini-rangement/dp/B09Z2F56WZ/ref=sr_1_2?crid=P2HU33LN7II9&keywords=mini+nuke+bomb&qid=1663774152&sprefix=mini+nuke%2Caps%2C75&sr=8-2

      42 https://t.me/trottasilvano/26436

      43 https://www.liberation.fr/checknews/lci-a-t-elle-illustre-un-sujet-sur-les-armes-nucleaires-avec-des-images-du-jeu-video-fallout-20220921_QHMEARC2HNGLPA4GLFTD25SHAY/

      44 https://www.20minutes.fr/monde/4001816-20220921-onu-emmanuel-macron-accuse-moscou-faire-revenir-monde-age-imperialismes-colonies

      45 https://www.letemps.ch/monde/cette-longue-table-separait-emmanuel-macron-vladimir-poutine

      46 https://www.bfmtv.com/international/amerique-nord/etats-unis/ukraine-le-discours-de-joe-biden-a-l-onu-en-integralite_VN-202209210538.html 6 min 46 s

      47 https://www.lepoint.fr/monde/russie-ovd-info-la-petite-ong-qui-tente-de-venir-en-aide-aux-opposants-04-08-2019-2328260_24.php

      48 https://www.tf1info.fr/international/video-manifestations-en-russie-contre-la-mobilisation-militaire-de-vladimir-poutine-plus-de-250-personnes-arretees-2233009.html

      49 https://news.un.org/fr/story/2022/09/1127481

      50 https://www.edf.fr/centrale-thermique-cordemais

      51 https://www.confort-energie-renouvelable.com/pourquoi-les-eoliennes-tournent-quand-il-n-y-a-pas-de-vent/

      52 https://www.ouest-france.fr/meteo/pays-de-la-loire/saint-nazaire-44600/la-meteo-du-jour-a-saint-nazaire-ef3f6dae-73ce-540d-bfb7-d069404be584

      53 https://www.edf.fr/groupe-edf/espaces-dedies/l-energie-de-a-a-z/tout-sur-l-energie/produire-de-l-electricite/le-fonctionnement-d-une-eolienne

      54 https://www.letelegramme.fr/france/fin-de-vie-euthanasie-suicide-assiste-le-comite-d-ethique-rend-un-avis-attendu-ce-mardi-13-09-2022-13177872.php

      55 https://www.lopinion.fr/economie/la-dette-publique-francaise-ralentit-sa-progression-avec-une-hausse-de-6-2-milliards-deuros-au-deuxieme-trimestre

      56 https://www.journaldunet.com/management/conjoncture/1038148-chomage-en-france-le-taux-de-chomage-reste-presque-stable-160822/

      57 https://korii.slate.fr/biz/economie-rapport-russe-confidentiel-confirme-sanctions-occidentales-font-tres-mal-energie-production-recession-rouble

      58 https://www.youtube.com/watch?v=TuI_ESaQpJQ

      59 Salaire moyen Moscou 1562 €.
      https://www.combien-coute.net/salaire-moyen/russie/moscou/
      Salaire moyen Marseille 1527 €
      https://www.salairemoyen.com/revenus.php?Commune=13055

      60 https://twitter.com/i/status/1573963682362675206

      61 https://vk.com/wall706212792_3304

      62 https://twitter.com/Europe1/status/1573958609150656513?s=20&t=LqvMyfbYM2arWVC83asFdw

      63 https://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/ue-discussions-autour-de-la-suspension-des-visas-pour-tous-les-russes-928752.html

      64 https://www.youtube.com/watch?v=eJ70wVZPPKE

      65 https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/les-revenus-du-carbone-frolent-les-100-mds-usd-dans-le-monde-en-2021-1672e218d2d932952187381ae568847c

      66 https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/services/indicateurs-environnementaux/emissions-gaz-effet-serre-echelle-mondiale.html

      67 https://www.bfmtv.com/international/europe/italie/la-candidate-neo-fasciste-giorgia-meloni-revendique-la-victoire-aux-elections-legislatives-italiennes_VN-202209260015.html

      68 https://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/italie-le-risque-d-une-coalition-d-extreme-droite-au-pouvoir-inquiete-bruxelles-et-les-marches-934050.html

      69 https://www.lepoint.fr/monde/italie-la-coalition-de-droite-largement-en-tete-25-09-2022-2491281_24.php

      70 https://www.lefigaro.fr/international/italie-salvini-exige-des-excuses-ou-la-demission-de-von-der-leyen-20220923

      71 https://www.humanite.fr/monde/italie/legislatives-l-extreme-droite-italienne-en-position-de-force-760921

      72 https://www.dna.fr/politique/2022/08/13/l-avertissement-italien

      73 https://www.elle.fr/Societe/News/Italie-cinq-raisons-qui-montrent-que-Giorgia-Meloni-ne-fera-pas-avancer-les-droits-des-femmes-4060611

      74 https://basta.media/Elections-suede-italie-la-resistible-ascension-de-l-extreme-droite-europeenne-fratelli-d-italia

      75 https://www.24heures.ch/meloni-doit-choisir-entre-devenir-une-ducetta-ou-une-draghetta-392626775458

      76 https://lpost.be/2022/09/26/un-automne-gris-en-italie-qui-sonne-comme-un-avertissement-pour-leurope/




      Dissidence au Québec — François Amalega, héros de la résistance

      [Source : tribunaldelinfaux.com]

      Par Julie Lévesque

      Voici la petite première de Dissidence avec le grand François Amalega.

      François est sans contredit le héros de la résistance au Québec. Il a défié les mesures sanitaires au point de se retrouver près de 4 mois en prison. Son intégrité, son intelligence, ses valeurs et sa détermination ont fait de lui une figure légendaire de la dissidence.

      On discute de son engagement, de ses positions et de ses expériences avec la justice et les forces de l’ordre.

      Dissidence est une émission hebdomadaire, en direct tous les lundis à 17h dans les studios de Lux Media. Vous pourrez me suivre sur ma chaîne Odysee, dès la semaine prochaine!

      Cette émission a été enregistrée le 19 septembre 2022.

      Merci à tous ceux qui appuient mon travail en partageant mon contenu ou en faisant un don :

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      Avec des œufs durs on ne fait pas d’omelette, plutôt une salade composée…

      Par Lucien SA Oulahbib

      Et c’est ce qui manque, partout, comme si l’alternative était la fusion ou chacun chez soi… Prenez par exemple les supposés « amoureux de la France » pourquoi ne viennent-ils pas aux réunions organisées par Philippot le samedi toutes les trois semaines pour exposer, jouer leur composition ? Eh bien non, les rancœurs recuites, les prétentions à croire qu’il suffit de s’énoncer « chef » pour l’être, on est bien loin de cette salade composée en passe de gagner en Italie, Suède, Danemark, le tout malgré les jeteurs de sorts (extrême droite, fasciste, antisémite, complotiste…).

      Tout avait mal commencé sans doute. Les tentations totalitaires de l’UE sont très mal perçues ou minorées (« vous allez voir ce que vous allez voir », alors que la BCE peut couper le robinet d’euros à tout instant) ; et ces « amoureux » n’ont même pas la position somme toute équilibrée d’une Ségolène Royale question conflit Moscou-Kiev, c’est dire…

      Ne parlons pas de la manipulation hygiéniste qui n’est jamais attaquée bille en tête par ces partisans d’œufs durs (et d’un p’tit noir Gaston !) se remémorant avant d’aller au taf le temps des caravelles des Trente Glorieuses des Blousons Noirs et du yé-yé (« Et Dieu créa la femme“).

      Cette nostalgie encore pérenne envers les sixties reste toute mignonne, mais ne fait pas avancer d’un pouce le schmilblick. Pendant ce temps l’arrivée au bord du précipice s’accélère et pour les partisans du “progrès” ce dernier consiste justement à s’y précipiter… Sous sédatif assisté le cas échéant, particulièrement les “sans dents” et “gens de rien”…

      C’est bien sûr pitoyable. Toutes ces luttes d’ego, doublées ces temps-ci de crêpage de chignons et autres torgnoles insoumises, les Français restent des Gaulois qui attendent toujours le “sauveur suprême”, même s’ils chantent pour certains qu’il n’y en a pas… Qu’à cela ne tienne ! Car, comble du vice, et pour s’assurer qu’il ne puisse en émerger un, tout sera fait pour lui scier la branche, même si l’on est assis dessus, la connerie étant la chose au monde la mieux partagée.

      Au lieu de sonner le tocsin, d’organiser des comités de Salut Public partout, d’organiser des manifestations devant un Parlement inutile, alors que la guerre contre la Russie a été déclarée, les “amoureux de la France” agitent leurs maigres deux œufs durs respectifs dans leurs guerres picrocholines, cassant les saladiers de peur qu’une composition niçoise basque ou lyonnaise émerge, à la recherche hypothétique d’une salade jacobine parisienne, qui a fait pourtant son temps ; d’où d’ailleurs leur frilosité à soutenir les référendums dans le Donbass… (Alors qu’en Corse et en Nouvelle-Calédonie…).

      Misère des coqs solitaires. Et des poules mouillées.




      La face cachée de la campagne de vaccination — cas des « vaccins » à ARNm et ADN

      Par Maître NONOBSTANT, avocat au barreau de la Science à l’occasion de la pandémie de Covid-19

      (ebook gratuit au format PDF à télécharger et partager)

      Découvrez pourquoi la pandémie de Covid-19 est sans doute la plus grosse arnaque de tous les temps et comment les artisans de cette escroquerie se sont organisés pour berner la population mondiale avec la complicité de l’OMS, des gouvernants et des médias mainstream. Découvrez en quoi consiste la démarche scientifique pour ne plus vous faire pigeonner par la propagande covidiste et l’argument d’autorité. Découvrez aussi les objectifs cachés du pass sanitaire/vaccinal et de la campagne de vaccination de masse. Découvrez enfin pourquoi la Résistance contre le covidisme est une nécessité, que vous soyez vacciné ou non.

      [Voir aussi les articles complémentaires dans les dossiers :
      Vaccins et virus
      et
      5G et ondes pulsées]

      TABLE DES MATIÈRES

      Remerciements

      Informations juridiques sur les vaccins anti-Covid-19

      RÉSUMÉ

      Avant-propos

      Abréviations, acronymes, conventions

      Lexique

      INTRODUCTION

      Chapitre I. — Le consensus scientifique, la majorité ou l’unanimité font-ils la science ?

      Chapitre II. — L’argument d’autorité, l’un des stratagèmes utilisés par l’establishment pour manipuler l’opinion publique

      §1. Cas concrets de manipulation de l’opinion publique par les experts médiatiques

      §2. Conditions de validité du consensus scientifique, d’une étude scientifique et de l’argument d’autorité

      Chapitre III. — Les preuves de mensonges du discours de propagande des autorités, des médias et des experts officiels

      §1. Mensonges sur la contagiosité

      §2. Mensonges sur la réduction des formes graves

      A. Les études princeps n’ont pas apporté la preuve scientifique de l’évitement des formes graves

      B. Les études observationnelles ne montrent pas non plus une réduction des formes graves

      §3. Contenu caché des vaccins

      §4. Toxicité de la protéine Spike

      §5. Toxicité des vaccins

      §6. Effets indésirables : décès et pathologies multiples

       Décès
       Pathologies multiples
       Effets indésirables en images

      §7. Imperfection de la pharmacovigilance

      §8. Immunité collective

      §9. Surestimation du rapport bénéfices/risques des vaccins

      A. Cas des études interventionnelles

      B. Cas des études observationnelles

      §10. Saturation fictive des hôpitaux par la Covid-19

      §11. Laxisme des agences de sécurité des médicaments

      §12. Études truquées ou biaisées

      A. Du LancetGate à Recovery et consorts

      B. Les essais cliniques de Pfizer

      C. Les essais cliniques sur les 12-15 ans et les moins de 5 ans

      D. L’étude bidonnée de l’institut Pasteur

      E. Les études justifiant le confinement

      F. L’étude bidonnée de la DREES

       Les études bidonnées d’EPI-PHARE
       L’étude bidonnée du Conseil d’analyse économique
       Les études peu solides invoquées par la HAS et la FDA
       L’article de l’INSEE sur l’impact de l’épidémie de Covid-19

      §13. Irresponsabilité pénale et civile de Big Pharma

      §14. Vaccination des enfants et des adolescents en bonne santé

      §15. Vaccination de masse en période épidémique

      Chapitre IV. – Les artisans de la réponse globale à la pandémie et leurs stratagèmes pour cacher diverses arnaques

      §1. Les artisans de la réponse globale à la pandémie

      A. Dr Anthony Fauci, le patron de la santé publique américaine

      B. Klaus Schwab, le fondateur et directeur du Forum économique mondial (Davos)

      C. Bill Gates, le cofondateur de Microsoft et de la fondation éponyme

      §2. Les diverses arnaques et les stratagèmes utilisés pour les cacher

      A. Genèse de la Covid-19

           Origine controversée du SARS-Cov-2
           Succession de faits troublants avant et pendant la pandémie
       Gestion absurde de la crise sanitaire
       Instrumentalisation de la peur
       Contrôle total de la population
           La régulation du stock de la population mondiale
           L’identification biométrique et numérique des Terriens
               Identification biométrique, identité numérique, portefeuille numérique
               Traçage numérique, objets connectés, 5G
               Propagande du rapport sénatorial n° 673
           Un nouvel ordre mondial qui masque une dystopie transhumaniste
               Les prétendus complotistes ont tort d’avoir raison trop tôt
               Le transhumanisme comme horizon
               La nécessité d’une union sacrée pour un autre monde
       Plaintes pour crimes contre l’Humanité
       Bouc émissaire
       Théorie du complot
       Censure et désinformation

      Chapitre V. — Bilan de la controverse autour de la balance bénéfices-risques des vaccins

      CONCLUSION

      BIBLIOGRAPHIE

      • Articles & rapports
      • Collectifs citoyens
      • Conférences
      • Entretiens et confessions
      • Désintoxication contre la protéine Spike et autres toxines vaccinales
      • Documentaires
      • Lanceurs d’alerte
      • Livres
      • Médias indépendants
      • Pfizer Gate
      • Procès Covid-19 pour crime et génocide contre l’Humanité
      • Scientifiques indépendants
      • Observatoires des effets indésirables
      • Observatoires de la pandémie
      • Observatoires des traitements
      • Observatoires de la prophylaxie

      ANNEXE

       Le Great Reset et les agendas du Forum énonomique mondial
       Comment retrouver un lien mort ou une vidéo supprimée ?
       Où consulter les liens d’intérêts des professionnels de santé ?
       À l’attention de Monsieur X
       À l’attention des jeunes
       À l’attention des adultes
       Crise alimentaire planifiée pour poursuivre les agendas des globalistes

      Article n°1. — Revue de presse internationale n°165 de Pierre Jovanovic
      Article n°2. — 20 preuves qu’une pénurie alimentaire va bientôt toucher le monde entier

       Article de Michaël Lord : « Exposed: Klaus Schwab's School For Covid Dictators, Plan for 'Great Reset' (Videos) »
       Qu’en est-il des vaccins anti-Covid classiques, qui n’injectent pas l’ARNm ou l’ADN mais un virus inactivé ?
       Déclaration IV du Global Covid Summit
       Covid-19 : la face cachée de la croisade contre le Pr Raoult et l’hydroxychloroquine




      The Big Reset – Le documentaire non censuré sur la vérité de la pandémie

      [Source : Infos et Culture via PG]

      Liste des participants : Rashid Buttar, Christian Perronne, Heiko Schöning, Chinda Brandolino, Nadiya Popel, Wolfgang Wodard, Alexandre Juving-Brunet, Alexandra Henrion-Caude, Alfonso Longo, Carlos Vara De Rey, Cristina Martin Jiménez, Luis Miguel Benito, Carlos Astiz, Fernando Lopez Mirones, Gerard Guillaume, German Sarlangue, Grégory Catteau, Javier Villamor, Jean-Dominique Michel, Jon Ander Etxebarria, Louis Aubouin, Luc Montagnier, Michel Maffesoli, Oscar Aguilera, Pablo Campra, Pierre Jovanovic, Pierre Barnérias, Vincent Pavan, Steve Ohana, Valérie Bugault, Xavier Azalbert, Reiner Fullmich. Thebigresetmovie, le 11/09/22 – Version française.






      C à vous, Commission européenne, soignants suspendus : l’action de pervers narcissiques

      Par Lucien SA Oulahbib

      Tout montre, à observer dans cette vidéo la présidente de la Commission européenne se laver frénétiquement les mains, le degré, innommé, d’idée fixe, d’obsession méticuleuse de type obséquieux, ou le trait caractéristique du pervers narcissique optant plutôt pour un rituel magique (et forçant autrui à l’imiter), puisqu’il n’existe aucune preuve tangible démontrant que cette frénésie permettrait d’éradiquer « le » virus alors que se laver les mains avant de se mettre à table, de toucher un malade, lorsque l’on rentre chez soi, ou que l’on « sent » ses mains salies, est chose apprise depuis… l’enfance… (Idem rien ne prouve que le « masque » soit utile y compris en salle de chirurgie comme il a été démontré récemment, chaque maille étant l’équivalent en espace d’un terrain de football et la taille du virus celui du ballon…).

      L’une des preuves par excellence de cet état avancé de perversion narcissique réside dans cette suspension des « soignants » car de deux choses l’une : soit il s’agit d’un impératif médical impérieux que de les injecter et dans ce cas, en cas de refus, il faut les LICENCIER sur le champ, ce qui leur permet de pouvoir s’inscrire à Pôle Emploi et de toucher quelques indemnités ; or, ce n’est pas le cas, ce qui est pervers. Car il s’agit dans ce cas bien plus d’une punition de type obsessionnel narcissique que d’une mesure hygiénique préventive.

      Il y a d’ailleurs bien là une contradiction, mais ces gens n’en ont cure, d’autant plus que toute une littérature dérivant de cette perversion narcissique comme le déconstructionnisme anti-psychanalytique (le rhizome Blanchot-Bataille-Foucault-Deleuze par exemple, voir I, A, la question de la contradiction) appuie cette dérive de plus en plus paranoïaque : ou comment voir des complotistes partout que l’on tente de pourfendre et de désigner à la vindicte publique au lynchage médiatique à la mort sociale en leur jetant des sorts avec des mots maudits, “extrême droite, raciste, antisémite”, ayant remplacé les mots “hérétique, satanique, impur”.

      Les preuves de cette perversion narcissique pullulent désormais à la façon d’une marée descendante laissant apparaître la chose dans toute son horreur : ainsi les propos proprement délirants du porte-parole du gouvernement français ou de la présidente de la commission européenne à propos, respectivement, de Raoult et de ce qui se passe entre le régime de Kiev et celui de Moscou, sans parler des propos également diffamatoires des propagandistes de grand chemin (comme un certain Patrick C sévissant sur C à vous) montrent bien, c’est désormais un cas d’école pour la tératologie criminelle à venir, que nous vivons en effet une “grande bascule” (dixit un pervers en chef français bien connu) déployant une volonté méticuleuse perverse de destruction totale, se servant pour ce faire de la santé du climat, des frontières au sens large (sexes et nations).

      Le tout au nom du Bien, bien sûr, mais qui n’a plus rien à voir avec celui de Platon ou de la Bible ou de n’importe quel autre discours soucieux de paix réelle, d’harmonie, de respect des différences civilisationnelles se nourrissant mutuellement de techniques permettant de les renforcer, de les affiner au quotidien, au-delà du conflit, permanent (polemos). Nous avons basculé dans la monstruosité.




      Non je ne veux pas savoir !

      Le goût acide de la liberté et de la « pilule rouge1 »

      Par Alain Tortosa

      La quête de vérité est un débat sans fin qui anime les hommes depuis la nuit des temps.
      Tandis que certains vouent leur existence à cet idéal impossible, d’autres, au contraire passent leur temps à la fuir de peur de n’être rattrapés.

      Le choix plus ou moins conscient de l’illusion

      Une des scènes les plus intéressantes du film Matrix2 premier volet se déroule dans un restaurant.
      Le traître nous explique ses motivations en « mangeant » un steak alors qu’il se trouve dans la Matrice et non dans le monde réel.
      Il explique avoir connaissance du fait que ni sa viande, ni son goût, ni sa texture n’existent, mais fait le choix de rester dans ce monde d’illusions en toute conscience.

      De très nombreuses personnes qui ont adhéré (durant un temps) au narratif Covid, ressentent qu’il y a « quelque chose qui cloche », que le monde qui est décrit par les médias serait une illusion.

      Ils ont de très nombreux indices, ils touchent du doigt des contradictions flagrantes et pourtant refusent catégoriquement d’en savoir plus.

      L’absence de discours cohérent comme interrogation

      Vous souvenez-vous du masque inutile mais indispensable ?
      Vous souvenez-vous des plages dynamiques ou statistiques ?
      Vous souvenez-vous du confinement qui devait réduire à néant l’épidémie ?
      Etc.

      Le dernier exemple de manipulation m’est venu d’une vidéo de Maître Di Vizio qui se faisait l’écho des médias sur la « déroute de l’armée russe face à l’offensive ukrainienne ».
      Si vous regardez LCI, vous avez droit toute la journée à Poutine qui vit ses derniers instants et d’une armée russe à l’agonie face à Zelensky3 le Churchill des temps modernes.

      Cela m’a fait penser à l’armée Irakienne qui était décrite comme la 2ème armée du monde avec ses armes chimiques prêtes à être déversées sur l’occident par Saddam Hussein.

      Si cette armée russe est nullissime au point de se faire balayer par l’armée ukrainienne (ne riez pas c’est pathétique), comment Poutine et son armée pourraient constituer une menace vis à vis des européens ?
      Je connais des personnes qui ont peur « pour de vrai » de l’arrivée des chars russes sur les Champs Élysées.

      • Alors soit cette armée russe est la deuxième armée du monde et les ukrainiens n’ont strictement aucune chance. Il faudrait de fait arrêter toute aide militaire pour que le conflit cesse immédiatement pour épargner des morts inutiles…
      • Soit l’armée russe est à ce point nullissime au point qu’elle achèterait des munitions à la Corée du Nord (re fou rire dans la salle) et il n’y a strictement aucune raison d’en avoir peur. BHL est convaincu de cette hypothèse et affirme qu’elle est « foutue ».

      Ceci pour dire que les incohérences ne manquent pas dans la petite histoire du monde.

      Pour autant le leitmotiv des hypnotisés est principalement « laissez-moi dans l’ignorance ».

      Tout comme ce personnage du film, ils font le choix de demeurer (ainsi que leur famille) dans une illusion, dans un monde de « faisons comme si ».

      Globalement ils vivent dans une forme de présent qu’ils espèrent immuable et ce alors même que les médias passent leur temps à répéter que le pire est à venir.

      « Laissez-moi tranquille, ne me dites rien, je ne veux pas savoir, je ne veux pas être bouleversé, je veux continuer à faire semblant, la vérité serait trop angoissante, etc. »

      Un faux sentiment de sécurité

      Il est évident que la réalité dans Matrix n’est pas glamour, en l’occurrence un monde apocalyptique dirigé par des machines qui utilisent les êtres humains comme source d’électricité.
      Si l’objectif du traître est de ne pas être angoissé ou disons « raisonnablement angoissé » et d’avoir un confort bourgeois alors il est évident que la « vie » dans la Matrice est plus agréable.

      Une « vraie » matrice, n’est-il pas ce qui est proposé par Facebook et son Metavers4 ou dans le film « Ready player one5 » de Spielberg ?

      Qu’en est-il de notre monde actuel ?

      Si l’on fait le choix d’ouvrir les yeux sur sa réalité, sur les fausses épidémies, le Grand Reset, un objectif qui voudrait l’asservissement des peuples, la dictature chinoise, la diminution de la population mondiale, la fausse crise climatique, la fausse crise énergétique, etc., il devient bien difficile de faire semblant que tout va bien et d’imaginer que les médias relatent la réalité.

      Continuer à ignorer les menaces réelles qui nous entourent revient à faire la politique de l’autruche.
      Une conduite les yeux fermés sur l’autoroute se termine inexorablement par un accident mortel.
      N’en est-il pas de même en ignorant la réalité du monde ?!

      La réalité tangible de la menace face à l’imaginaire

      Les fumeurs se pensent « immortels » au même titre que les non-fumeurs.
      Si le risque de cancer des poumons puis du décès prématuré ne relevait pas de la statistique, alors seuls les suicidaires fumeraient encore.
      Typiquement le genre d’information qui est à la fois connue et à la fois de l’ordre de la « légende urbaine ».

      Il en est de même des vaccins classiques et des injections expérimentales Covid.
      L’aveuglé accepte l’idée qu’il puisse y avoir des effets secondaires, il peut même accepter l’idée que des enfants meurent des injections ou que des femmes deviennent stériles.

      Mais ici encore, cette donnée relève de la statistique, « c’est les autres qui meurent, les autres qui deviennent stériles »… comme pour la cigarette.
      Le danger n’est donc pas vécu comme réel mais théorique.

      Quand la réalité devient la fiction et inversement

      C’est d’autant plus cocasse que ces mêmes covidistes qui ne croient pas à la dangerosité réelle du masque, des confinements, des qr-codes ou à la dangerosité des injections Covid ne doutaient pas de la gravité « d’un virus inconnu et mortel ».

      • Un virus qu’ils n’ont vu que dans les médias ou dans le discours d’autrui.
      • Un virus qui ne devenait « réel » que par des masques obligatoires.
      • Un virus qui ne devenait « réel » que par des tests PCR sur des personnes en bonne santé.
      • Un virus qu’ils auraient pris pour une grippe totalement banale sans le concours des médias et du gouvernement.

      Le plus incroyable s’est produit lorsqu’un voisin ou parent a développé des symptômes, cette fois-ci bien réels, suite à l’injection expérimentale.
      C’est alors que ces effets réels ont été vécus comme imaginaires.

      « Ce n’est pas le vaccin mais la douche, le sport, le sédentarisme, le chaud, le froid, les vitamines, etc. (rayez la mention inutile) qui a provoqué l’avc ».

      Il en est de même avec Poutine où la menace est considérée comme « réelle » alors qu’il s’agit d’un conflit armé débuté en 2014 dont personne n’avait entendu parler et qui ne touche pas la France.
      Menace dont nous pouvons nous « protéger » en mettant un embargo sur l’énergie russe selon nos hommes politiques.

      Et dans le même temps, voir le litre de carburant passer factuellement à 2,20€ ce qui est une menace bien réelle.
      Pesant sur les finances actuelles du ménage, mais aussi futures du fait de l’inflation et du chômage de masse qui va se produire.

      Cette réalité factuelle étant presque vécue comme un non-événement alors même que les Gilets jaunes étaient descendus dans la rue pour un litre à 1€50 !

      L’apothéose de la fantasmagorie est sans doute l’élection présidentielle .

      Nous disposons pour M. Macron du bilan d’un Président qui a factuellement :

      • Détruit le système de santé.
      • Suspendu (encore aujourd’hui) sans salaire des soignants et des pompiers alors que la France brûlait.
      • Détruit l’hôpital public.
      • Supprimé le parlement.
      • Supprimé les droits de l’homme (masque, confinement, pass sanitaire,…)
      • Mis en place un apartheid avec d’un coté les « bons » citoyens et de l’autre les « moins que rien » qui refusaient l’injection expérimentale et que l’on emmerde selon les mots du Président.
      • Pris des mesures économiques contre son peuple comme l’embargo contre la Russie.
      • Divisé les Français.
      • Et j’en passe.

      En face nous avions Mme Marine Le Pen :

      • Jamais élue Présidente de la république.
      • Contre le passe sanitaire et vaccinal.
      • Pour la réintégration des personnels exclus.
      • Contre les sanctions stupides contre la Russie qui « croule aujourd’hui sous le cash »6
      • Contre l’Europe technocratique anti démocratique.
      • Pour les référendums.

      Et que c’est-il passé ?
      Emmanuel Macron a battu Marine Le Pen !
      Un Président pour lequel on pourrait résumer ses allocutions par « une phrase, un mensonge ».

      Batiste Foisy7 le disant plus élégamment :

      « Quand un politicien se touche le visage il dit la vérité, quand il se gratte l’oreille il dit la vérité, quand il lève le pouce il dit la vérité ; c’est quand il remue les lèvres qu’il ment. »

      Pourquoi Marine a-t-elle été battue ?

      • Parce qu’elle « faisait peur ».
      • Qu’elle « menaçait les libertés et les droits de l’homme ».
      • Qu’elle était « d’extrême droite ».
      • Qu’elle était « pro-russe et une ennemie de la France ».
      • Qu’elle allait « fracturer l’unité nationale ».
      • Qu’elle allait « avoir dans ses mains le bouton de l’arme nucléaire ».
      • Etc.

      Le récit imaginaire, la peur irrationnelle, la propagande médiatique a été plus forte que la réalité d’un bilan catastrophique et inédit pour l’économie et les droits de l’homme.

      Nous voyons donc que pour les humains, ou tout du moins les covidistes, la menace n’est absolument pas corrélée au réel mais à une fable.

      Le seul moteur est l’adhésion à un récit servi tout cuit, quand bien même il est totalement déconnecté du fait.

      Le bonheur est dans la Matrice ? Paradoxe des univers angoissants

      Les hypnotisés sont-ils pour autant heureux et épanouis ?
      J’entends qu’il faudrait définir le bonheur ce qui est impossible.

      Mais sans entrer dans des pensées philosophiques qui pourraient s’apparenter à de la masturbation intellectuelle, je ne le pense pas.

      Sont-ils rassurés pour l’avenir et leurs enfants ? Certainement pas !
      Nous pouvons même affirmer sans crainte que la vie dans la Matrice n’est pas un long fleuve tranquille.
      Et pourtant, ils ne veulent surtout pas en sortir, pourquoi ?

      Perfusion permanente d’angoisse

      C’est là le paradoxe de notre époque.
      L’humain fuit les situations angoissantes alors même que le monde qui lui est conté l’est de plus en plus.

      Si l’Europe des années 60 a tué les conflits militaires (sur nos terres), elle a en revanche fabriqué une succession de dangers et d’angoisses.

      Nous avons eu :

      • La crise énergétique sur le Pétrole.
      • Le chômage et l’absence d’avenir pour nos enfants. Même les bacs +10 n’ont plus la garantie de trouver un travail décent.
      • La pollution.
      • Le réchauffement climatique.
      • Les virus mortels.
      • Etc.

      Et l’on vient de nous ressortir du placard le remake de « les chars russes sur les Champs-Élysées ! »

      Alors même que notre enc…, que notre cher Président nous répète que nous sommes en guerre, que c’est la fin de l’abondance (Parle-t-il du fromage de Haute-Savoie ?), cela n’empêche pas une majorité (hum) d’électeurs de le reconduire à la tête du pays.

      Celui qui nous rassure et nous inquiète devient de fait celui qui sème factuellement le chaos.

      Avions-nous connu de pareilles angoisses sous la 5e république avant Macron ? Non !
      Avions-nous connu un tel recul des libertés et de la démocratie avant Macron ? Non !
      Avions-nous connu une telle destruction de l’économie avant Macron ? Non !

      Et alors même qu’il ne promet que le pire, les Français ne sont pas dans la rue et le considèrent comme un « bon » Président qui « fait ce qu’il peut » pour nous protéger dans un monde terrible.

      Alors qu’il n’offre QUE de l’angoisse, celle-ci devient paradoxalement rassurante pour les hypnotisés.

      Notre Président serait ainsi un « destructeur protecteur » !

      Il est le pompier pyromane qui interdit aux pompiers non vaccinés d’intervenir tandis qu’il fait venir de l’étranger des pompiers au statut vaccinal inconnu.
      Il est celui qui amène le chaos et nous dit qu’il n’y est pour rien et que demain sera un enfer, enfer qui de bien entendu, serait tellement pire sans lui.

      Nous sommes à ce point manipulés et perfusés de dangers qui nous menacent que nous piétinerions l’homme providentiel qui nous montrerait qu’un autre (notre) monde serait possible.

      La démocratie, le mur infranchissable

      J’ai pensé de tout temps que nous vivions une mascarade démocratique et je souffrais de vivre dans une dictature au point d’avoir publié en 2018 le livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? ».

      Croyez bien qu’à cette époque il était beaucoup plus difficile de tenir un discours de « dictature » alors que notre société avait la couleur et le goût de la démocratie.

      J’ai parcouru depuis un chemin semé de douleurs et mon monde de 2018 était un monde de bisounours à coté de celui que je perçois aujourd’hui.

      Nous sommes formatés dans l’idée que nous sommes les « gentils », nous vivons dans une France et une Europe « démocratiques ».
      Il nous est quasiment impossible de ressentir le fait que la France soit devenue une vraie dictature tant elle est décrite comme le pays des Droits de l’homme.

      Autant nos concitoyens peuvent entendre qu’un pays africain ou d’Amérique latine est une dictature, no problem, autant l’affirmer pour un État européen relève de la folie !
      Dans l’imaginaire collectif, une dictature est un pays dans lequel les opposants politiques sont torturés et éliminés, de fait « nous sommes donc bien en démocratie ».

      Pour autant nous disposons d’éléments objectifs prouvant que nous ne le sommes plus :

      • Le coup d’État du referendum de 2005 pour la constitution européenne.
      • L’impossibilité pour les candidats du frexit8 d’avoir leurs 500 signatures pour se présenter.
      • Le coup d’État de 2020 assignant les français à résidence sans procès ni condamnation.
      • La censure des réseaux sociaux et des médias pour les vaccins, la crise sanitaire, la crise ukrainienne ou la crise climatique (il n’y a QUE du consensus dans les médias subventionnés).
      • Une 5e république qui a supprimé les pouvoirs du parlement et donné la majorité décisionnelle à une minorité qui obtient une « majorité » grâce à la pirouette des élections à 2 tours.
      • Des votes au parlement à 15h00 qui dérangent et que l’on refait à 3h00 du matin pour obtenir une autre décision.
      • La suppression du parlement lors de la crise sanitaire et la création d’un « conseil de défense » totalement opaque au seul bénéfice du Président.
      • Des corrompus non élus qui décident de notre sort en Europe.
      • Etc.

      Ici encore les hypnotisés de la démocratie ne vont pas prendre chacun de ces faits réels pour les placer dans un dossier à charge, mais trouver les éléments de langage pour le dédouaner et les rendre anecdotiques.

      Hier les Droits de l’homme faisaient passer l’individu avant l’intérêt de la nation,
      Aujourd’hui, la « nouvelle démocratie » glorifie son sacrifice au profit (propagande) du groupe.
      L’interdit devient de fait le garant des libertés individuelles et la preuve que nous sommes en démocratie.

      Il n’est pas possible de remettre en question le récit national « nous sommes une démocratie avec des élections libres ».
      Seul un « non-citoyen », un « ennemi du peuple » pourrait tenir de tels propos.

      Surtout n’apprenons pas de l’Histoire !

      Imaginez le pauvre juif un peu lucide dans les années 1930 qui disait :

      « Nous sommes en dictature, cela va mal se terminer »

      A-t-il été entendu ?
      La communauté juive a reçue combien de dizaines d’alertes durant cette période ?
      Et à chaque fois le même refrain « ça va s’arranger, tu exagères ! »
      Même devant l’entrée des chambres à gaz à coté des cheminées fumantes et de la puanteur certains n’y croyaient toujours pas9 !

      La réalité factuelle du monde n’est pas de nature à modifier les croyances.

      C’est probablement notre erreur à nous les « complotistes » de penser que si nous amenons la preuve de la vérité de nos propos alors l’aveugle retrouvera la vue.

      « L’autre » n’est pas comme nous

      Ah ils peuvent bénir les médias :

      « Vous n’avez pas à penser par vous-même, vous n’avez pas à vous forger votre propre opinion critique, vous n’avez qu’à convertir notre propagande en Vérité. »

      Le principe est le même depuis que le monde est monde.
      Comment voulez-vous obtenir d’un soldat qu’il tue son voisin s’il se rappelle qu’il est un humain comme lui avec une famille et des enfants ?

      Il est indispensable de le déshumaniser et vous convaincre qu’il n’est pas comme vous, qu’on peut l’emmerder10, qu’on peut le priver du droit d’aller au restaurant, qu’on peut et même que l’on doit le priver de son travail surtout si son travail est au service de la communauté !

      « L’autre est dangereux pour autrui. »
      « L’autre est manipulateur. »
      « L’autre voit des complots partout. »
      « L’autre est stupide, il vit dans un monde simple,… »
      « L’autre est égoïste, il ne pense qu’à lui. »
      « L’autre vit dans un monde imaginaire. »
      « L’autre est de mauvaise foi. »
      « L’autre est paranoïaque. »
      « L’autre n’ouvrira jamais les yeux, vous ne pourrez pas lui faire entendre raison. »
      « L’autre est un malade mental. »

      Et quand cela ne suffit plus, servons-nous du génie de la lampe et affirmons comme François Cluzet que « l’autre », moi-même , mes amis, « est antisémite ».

      Qui irait discuter avec un manipulateur pervers qui plus est antisémite ?

      L’impossible débat

      J’ai essayé de débattre, essayé d’ouvrir les yeux, mais c’est peine perdu face à celui qui ne veut pas sortir de la Matrice.
      Je n’ai jamais pu établir un dialogue avec eux.

      Cela termine pas des « pff », des « allez on parle d’autre chose », des « que vous êtes con », des « on ne peut pas parler avec vous », des « vous n’êtes pas un spécialiste », des « vous allez aussi me dire que la Terre est plate » ou « de toutes les façons vous resterez dans votre délire », etc.

      Ce qui me différencie d’eux, entre autres, c’est que je suis prêt à changer d’avis.
      J’ai passé des centaines d’heures, des mois à essayer de prouver que je me trompais et que le Covid existait (plus aujourd’hui pour être honnête) en tant que nouvelle maladie plus mortelle que la grippe.

      J’ai même essayé de savoir si la Terre était plate11.
      Je suis disposé à réviser toutes mes croyances si l’on me fournit des éléments scientifiques de nature à me le faire croire.
      Mais eux vivent dans la foi.

      Avant de débuter toute discussion il faudrait pouvoir leur poser la question :

      « Es-tu prêt à prendre le risque de voir tes croyances (par exemple sur le Covid) s’effondrer et découvrir que ton monde est construit sur une montagne de mensonges ? »

      L’ignorance et le mensonge !

      La société, l’éducation, les médias, les loisirs, les émissions TV…
      TOUT est fait pour vous maintenir dans l’ignorance ou plutôt dans une réalité alternative.

      Depuis la crèche on apprend au bébé à obéir, ne pas de poser de questions et s’abreuver de « Vérité ».

      Celle-ci nous est déroulée et nous devons y adhérer si nous voulons être membres à part entière de cette belle société.

      Il ne saurait y avoir d’opinions, de réflexions, de divergences et encore moins de preuves selon lesquelles il pourrait exister une vérité alternative.

      Prenons l’exemple des Ovnis (sujet que je n’ai pas encore étudié).
      Si vous l’abordez lors d’un dîner en France, ce sera probablement l’occasion d’une bonne rigolade.
      Et ce alors même qu’il existe des commissions sénatoriales aux USA qui discutent sérieusement du sujet !

      Ici, dès lors que les médias mainstream disent la même chose, c’est qu’il y a « consensus » sur le sujet.
      Douter, poser des questions, ne relève QUE de la débilité et du complotisme !

      Ceci devrait être de nature à vous éveiller car :

      La représentation médiatique d’un événement comme faisant consensus est de nature à introduire le doute.

      En sciences dures, en économie, en médecine, en biologie, en écologie, en climatologie, en histoire, il n’y a JAMAIS de consensus !
      Et comme disait le professeur Raoult que je ne porte pas particulièrement dans mon cœur.

      « Le consensus c’est Pétain12 ! »

      Interdire le débat (comme nous avons pu le vivre dans le cadre du Covid) constitue une preuve de la manipulation de la vérité.

      Un fait qui ne peut être débattu13 ne relève plus du fait, de la réalité, de la science, de l’histoire, mais de la foi, de la mythologie, de la doxa, de la manipulation, de la propagande, etc.

      Le mensonge répété qui devient vérité

      Imaginons que je pose la question suivante à un covidiste convaincu et que celui-ci me réponde sincèrement :

      « Est-ce que le Covid était une nouvelle maladie dangereuse pour laquelle il n’y avait aucun traitement, etc. ? »

      Nous connaissons tous sa réponse : « Oui bien sûr ! »

      Si j’ajoute alors ; « Comment le sais-tu ? »
      La réponse sera « Parce que tout le monde l’a dit, les médias, les médecins, les politiques, l’OMS,… »

      Moi : « Les politiques qui passent à la télé ? Les médecins qui passent à la télé ? »
      Lui : « Oui mais pas qu’eux.., mon médecin, mon infirmière, ma pharmacienne, tout le monde ! »

      Moi : « Mais ton médecin, ton infirmière, ta pharmacienne, comment ont-ils construit cette « vérité ?» ».
      Lui : « Ils ont dû étudier le sujet ! »

      Moi : « Tu penses qu’ils ont lu des études scientifiques, qu’ils ont étudié les statistiques internationales, qu’ils ont écouté les arguments de leurs collègues qui pensaient différemment, qu’ils ont passé des heures ou qu’ils se sont contentés d’écouter les médias, les autres collègues, etc ? »
      Lui (si il est honnête) : « Je ne sais pas, je ne suis pas certain qu’ils aient le temps. »

      Il pourrait ensuite vous rétorquer que vous n’êtes pas épidémiologiste (eux non plus), que vous n’avez pas la compétence (eux non plus), que l’on n’écrit n’importe quoi sur Internet (eux aussi), etc.

      [Note de Joseph : la plupart des gens qui utilisent un ordinateur ne sont pas du tout des informaticiens, sont incapables d’écrire une ligne de code dans quelque langage informatique que ce soit, mais savent pourtant utiliser un logiciel et même constater certains de ses bugs. N’importe qui sans handicap majeur et ayant passé son permis de conduire peut utiliser une automobile et constater ses problèmes éventuels de conduite, voire même être capable en étudiant le manuel de découvrir lui-même leur cause. Il n’est pas indispensable de l’avoir fabriquée ni d’être garagiste. De même, avec simplement un esprit suffisamment observateur, un minimum de connaissances, de logique et de bon sens, n’importe qui peut se rendre compte lorsqu’une théorie, comme la virale, connaît des bugs plus ou moins problématiques. L’argument de la spécialité ou de l’expertise est purement rhétorique, mais pas scientifique. Il s’apparente à l’argument d’autorité.]

      Nous voyons bien que la répétition à l’infini d’un mensonge en fait une vérité indiscutable.

      Plus une croyance est ancrée, plus elle devient une vérité.
      Plus elle est une vérité et plus elle est ancrée.

      Ne croyez pas que le matraquage médiatique et sociétal que nous subissons soit de l’ordre du hasard.
      Le mensonge répété des milliers de fois devient cette vérité, raison pour laquelle il est si difficile de réviser ses croyances.

      Si je vous dis que l’efficacité des vaccins (y compris classiques) n’a jamais été prouvée ou que l’éradication de la Polio relève au mieux du mythe et au pire de la manipulation, vous aurez d’autant plus de mal à le croire que vous avez entendu le contraire depuis votre naissance.

      Tolstoï disait à juste titre :

      « Les sujets les plus difficiles peuvent être expliqués à l’esprit le plus lent s’il n’en a pas déjà formé une idée ; mais la chose la plus simple ne peut être expliquée à l’homme le plus intelligent s’il est fermement persuadé qu’il sait déjà, sans l’ombre d’un doute, ce qui se trouve devant lui14. »

      Trop grosse ?

      Alors me voici devant un croyant et je lui dis :

      « Si vous prenez la pilule rouge voici ce qui peut vous tomber dessus »

      Vous allez pouvoir vous pencher et étudier les sujets suivants :

      • L’assassinat de JFK.
      • La marche de l’homme sur la Lune.
      • Le 11 septembre.
      • Le Covid (existence, dangerosité, traitements, confinement, masque, vaccin,…)
      • Les virus.
      • La victoire de Biden sur Trump.
      • Brigitte Macron.
      • La guerre en Ukraine.
      • L’industrie du sucre et le cholestérol.
      • La crise de l’énergie.
      • Paperclip ou le recrutement de scientifiques Nazis par les USA.
      • Le réchauffement climatique.
      • Les éoliennes.
      • Mk Ultra.
      • Les chemtrails.
      • Le nucléaire.
      • Les petits gris (extra-terrestres supposés méchants).
      • Les voitures électriques.
      • Les ovnis.
      • La Terre plate.
      • Les réseaux pédophiles et les élites.
      • Les vaccins.
      • Etc. Etc. Etc.

      (Lorsque j’écris cette liste je ne peux m’empêcher de penser au gentil Julien Pain de France Info qui fait du fact-checking en nous démontrant par affirmations successives que tout ce qui précède n’est que délire et qu’il ne saurait être question d’y prêter foi.
      Si ce monsieur faisait son métier au lieu d’être au service du Ministère de la Vérité, il organiserait des débats contradictoires en invitant des spécialistes opposants à la doxa et en leur donnant un temps de parole équivalent.
      Dans les faits celui qui rompt le consensus est banni d’antenne.)

      Si vous désobéissez, si vous allez étudier par vous même alors vous allez pouvoir dire (définitivement) adieu à ce monde où la vérité était exclusivement répandue par les médias et ainsi basculer dans un autre monde plus proche de celui cité par Coluche.

      « La seule chose exacte dans le journal, c’est la date. »

      Prendre la pilule rouge c’est se retrouver contraint d’ouvrir les yeux sur d’autres vérités entremêlées de théories plus que bizarres.
      J’ai volontairement persillé ma liste de quelques théories à priori loufoques afin que chacun puisse se faire son opinion.
      Mais n’espérez quand même pas utiliser tous vos doigts pour additionner le nombre de sujets délirants indiqués ci dessus.

      Point de label « garanti sans fake news ! »

      Nous sommes d’accord qu’il existe des théories d’illuminés, soit.
      Mais aussi des vérités issues d’un travail colossal de recherche, de statistiques, d’études médicales ignorées, d’expériences scientifiques, de faits avérés qui sont volontairement dissimulés au public.

      Nous en sommes à un stade d’omerta et de mensonges que même les données officielles issues des agences de suivi des effets secondaires des injections relèvent officiellement du complotisme !

      Lorsque vous aurez avancé dans votre cheminement, vous aurez acquis l’intime conviction qu’il n’existe aucun média officiel de confiance pour vous dire lesquelles sont réelles et lesquelles sont du délire.

      Rejeter ou gober tout serait folie

      Plus vous allez avancer dans vos recherches…
      Plus vous allez lire d’informations sérieuses et recoupées…
      Plus vous avancerez dans votre cheminement…

      Et plus vous allez découvrir que certaines théories qui peuvent sembler folles à priori, reposent sur des éléments d’une extrême robustesse.
      Tandis que d’autres appartiendront (définitivement ?) à des délires non prouvés.

      Ces révélations vous seront d’autant plus « folles » que les médias mainstream vous auront déjà martelé qu’elles relèvent du complotisme et de la folie et qu’il ne faut surtout pas y prêter foi.

      Par exemple :

      « Le 11 septembre. »
      « L’homme sur la Lune. »
      « L’éradication de la Polio par les vaccins. »

      Quel être humain raisonnable pourrait douter de ces trois « vérités15 ».

      Il vous suffit simplement d’étudier les faits pour parvenir à votre intime conviction.

      Nous vivons dans un monde où il serait à la fois irresponsable de croire la vérité issue des médias et tout aussi irresponsable de ne pas se poser la question concernant une thèse à priori folle « et si cette théorie à priori délirante était vraie ? »

      Du travail, du travail, du travail

      Il est possible de s’appuyer sur les recherches de personnes de confiance mais pour autant il sera vital de s’assurer qu’elles apportent des sources fiables à leurs affirmations.
      Quant on observe le travail colossal qui a été produit ces derniers mois ou années, il serait idiot de ne pas en profiter.
      Il existe notamment d’excellentes vidéos qui résument parfaitement chaque dossier particulier.

      Quand bien même, la vérité n’arrivera jamais sur un plateau, il sera nécessaire d’avoir un certain investissement intellectuel et en temps pour vous forger votre propre opinion.

      Le scientifique sera toujours perdant dans une conversation de comptoir (comme chez Hanouna).
      Il suffit de quelques secondes pour affirmer une connerie, une énorme contrevérité.
      En revanche, il faut des minutes, des heures ou des jours pour démontrer qu’elle en est une.
      C’est là la différence entre l’affirmation et la démonstration.

      Raisons pour lesquelles les « journalistes » font mouche à la télé.
      Ils ne font qu’affirmer sans jamais démontrer.
      Et lorsqu’ils « vérifient » l’information, ils ne font que reprendre les affirmations d’un tiers, toujours sans la moindre démonstration.

      Point de non-retour

      Que vous soyez un apprenti complotiste ou 4e dan, il y aura systématiquement un avant et un après.
      Il est impossible de retourner dans l’innocence dans laquelle vous baigniez depuis votre enfance.
      La pilule rouge est définitive et il faut être en capacité d’en assumer les conséquences.

      Raison pour laquelle de nombreuses personnes qui pressentent l’arnaque freinent des 4 pieds pour rester dans l’illusion.

      Violence de la pilule rouge

      Elle sera d’autant plus violente que vous aurez des années d’aveuglement ou de naïveté.

      Je m’adresse ici aux résistants de la première heure (nommés complotistes).
      Placez-vous dans l’esprit de celui ou celle qui a cru que ce virus était une peste noire, que les confinements ou le masque sauvent des vies, qu’il n’existe aucun traitement et que le « vaccin » expérimental sauve des vies.
      Essayez de vivre la violence de la révélation.

      Quid des aveuglés ou de moi-même sont dans la meilleure situation ?

      Vous qui me lisez et qui avez avalé cette pilule êtes bien conscients de la facture à payer lorsque l’on s’éloigne de plus en plus de la Matrice.

      • Une désillusion.
      • Une perte de confiance dans l’espèce humaine constituée principalement de spectateurs hypnotisés et d’une poignée de monstres (dont certains vouent un culte à Satan).
      • Une angoisse du lendemain avec l’attente d’un messie (ou pas) qui ne viendra peut-être jamais.
      • Une innocence perdue.
      • Une perte de repères. « Mais qu’est-ce qui est vrai dans ce qui m’a été transmis ? »
      • Des interrogations perpétuelles qui ne doivent pas tourner à la paranoïa.
      • Le risque de ne plus croire en rien.
      • Etc.

      Bien entendu, si mon répertoire téléphonique s’est vidé de personnes que je pensais être des amis (que je retrouverai peut-être un jour, qui sait), cette dictature au grand jour m’a apporté la chance de découvrir des amis sincères avec qui nous partageons tellement.

      Sans la dictature mondiale il est peu probable que j’aurais eu la chance de les rencontrer.
      Mais ici encore à quel prix ?
      Vais-je aller jusqu’à dire « merci Macron » ?

      Nous sommes vraiment dans le film Matrix avec d’un coté le monde qui nous est raconté tous les jours dans les médias et de l’autre des complots (dont certains peuvent faire sourire) et des horreurs qui semblaient relever uniquement de fictions hollywoodiennes.

      Ici encore je comprends celles et ceux qui veulent pouvoir échapper à la vérité et qui sont contraints de minimiser jours après jours l’horreur de la réalité.

      Coupable ou victime ?

      Une question inévitable se présentera pour l’amateur de pilule rouge :

      « Comment ai-je pu être assez aveugle pour gober ce flot de mensonges (il ne s’agit pas de dissimulations mais de mensonges) médiatiques ou étatiques ? »

      Qu’allez-vous dire au père ou à la mère qui a fait pression sur son enfant pour qu’il s’injecte une substance expérimentale pour « retrouver la vie d’avant » ?

      Ce n’est pas faute d’avoir essayé de les alerter, mais ils ont préféré écouter les médias mainstream plutôt que nos « délires complotistes ».

      Nous avions pourtant tout annoncé depuis le début.

      Lorsque la vérité commencera à être publique, aussi bien les coupables que les victimes chercheront à se dédouaner.
      Le « on ne savait pas » sera une porte de sortie classique.
      Si vous reprenez mes textes vous verrez que c’est une contre vérité, le « on ne savait pas » est une distorsion de la réalité pour échapper à sa propre responsabilité ou culpabilité.

      Devons-nous écrire sur la notice des lave-linges ou des micro-ondes « ne pas y mettre de chats » ?

      Pourtant il n’est pas possible de mettre sur un même plan de culpabilité la victime d’une escroquerie ou d’un viol avec la culpabilité de l’escroc ou du violeur.
      Il existe un gouffre entre ces « culpabilités ».

      Toutes celles et ceux qui ont cru ou croient encore tous ces mensonges en payent le prix et parfois un prix exorbitant.

      Que dire de ceux qui se sont fait injecter uniquement pour continuer à faire du sport et qui se battent aujourd’hui contre des effets secondaires qu’ils garderont peut-être à vie ?
      Et je ne parle pas de ceux qui ne sont plus là pour en parler et qui méritent à minima une justice posthume.

      Il n’en demeure pas moins vrai que plus les mois défilent et plus la responsabilité de celles et ceux qui refusent toujours d’ouvrir les yeux ira grandissante.

      Il existe un moment où le semblant confort de la matrice sera balayé par la réalité.
      Réalité à ce jour inconnue du grand public mais qui pour autant commence à se faire entendre dans des médias mainstream étrangers et même à la commission européenne.

      Pour résumer :

      Nous avons pu voir que le choix de prendre la pilule rouge n’avait rien d’anodin mais surtout, comme pour un vaccin, le retour en arrière n’est pas possible.

      Mais avons-nous le choix ?

      Pouvons-nous faire autrement pour nous sauver ou sauver nos enfants ?

      Il est impossible d’influer sur sa vie si la base est fantasmagorique.
      Le seul et unique moyen d’agir est de combattre la réalité quand bien même elle est horrible.
      La pilule rouge devient de fait indispensable si l’on ne veut pas être une marionnette, un jouet et un esclave dans les mains des puissances occultes de ce monde.

      Merci.

      Alain Tortosa
      15/09/2022
      https://7milliards.fr/tortosa20220915-je-ne-veux-pas-savoir.pdf





      La Fondation Rockefeller investit des millions dans le projet Mercury afin de soumettre les peuples à la vaccination

      [Source : lemediaen442.fr]

      Par Jacqueline

      Un groupe de milliardaires « philanthropes » américains consacrent des millions de dollars à la recherche en psychologie comportementale pour inciter à se faire vacciner contre le covid-19. Il s’agit d’une énorme opération de communication appelée Projet Mercury. Son slogan est « Ensemble, nous pouvons construire un environnement d’information plus sain ».


      Certains mauvais esprits ont décrit ce projet comme de la propagande, du nudging (une méthode d’influence discrète), de la publicité. Il faut dire que Mercure est le dieu romain du commerce et des voleurs. L’objectif du projet Mercury est que chacun ait l’illusion de vouloir librement se faire vacciner, alors que ce sont des procédés marketing qui l’ont convaincu. Notons que le jeu de mots « con vaincu » indique une sacrée défaite de la pensée. L’intérêt du projet Mercury serait, lors de la prochaine pandémie programmée, d’éviter des méthodes musclées (confinement, pass sanitaire), jugées incompatibles avec la paix sociale.

      La Fondation Rockefeller — du nom du philanthrope bien connu — a financé le projet Mercury à hauteur de 7,2 millions de dollars en novembre 2021. La National Science Foundation (une agence « indépendante » du gouvernement américain) a apporté 20 millions de dollars supplémentaires. Les autres partenaires sont le Conseil de recherche en sciences sociales (SSRC), la Fondation Robert Wood Johnson, Craig Newmark Philanthropies et la Fondation Alfred P. Sloan. La Fondation Rockefeller est partenaire, membre du conseil d’administration et donateur de GAVI, aux côtés du WEF, de la Fondation Bill & Melinda Gates et de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, qui a accueilli l’événement 201 (simulation de la propagation d’un coronavirus juste avant la véritable pandémie de covid-19).

      Convaincre la clientèle de la prochaine pandémie

      Les fonds soutiendront des universitaires américains. Selon Décoder l’éco, les pauvres seraient les premiers à se méfier des vaccins, donc les premiers à convaincre (voir à 22’53 de cette vidéo). La plupart des chercheurs sont donc dans des pays au faible niveau de vie : en Afrique du Sud, Bolivie, Brésil, Côte-d’Ivoire, Ghana, Haïti, Inde, Kenya, Malawi, Mexique, Nigeria, Rwanda, Sénégal, Sierra Leone, Tanzanie et Zimbabwe. On suppose que, grâce à la Fondation Rockefeller, ces chercheurs auront accès à de meilleurs revenus que leurs compatriotes. Les recherches, sur trois ans, ont pour objectif d’adapter les récits sur les bienfaits de la vaccination covid aux différents milieux ethniques et politiques pour les convaincre de se faire vacciner.

      De surcroît, convaincre les pays pauvres d’accepter les vaccins dont les pays développés ne veulent pas pourrait éviter le dépassement des dates de péremption. En France, McKinsey a oublié ce malencontreux problème de date de péremption. Mérite-t-il le milliard versé par les Français ? Conséquence de cette imprévoyance : Covax (Bill Gates) a distribué au Nigeria 2,6 millions de doses d’AstraZeneca, dont 500 000 venant de France avec une durée de vie de cinq à sept semaines. Plus d’un million de doses polluantes ont dû être enfouies dans la décharge de Gosa, près d’Abuja, capitale du Nigeria.

      La manipulation des masses par les cabinets-conseils en France

      Les ministères ont entièrement délégué les appels d’offres à l’Union des Groupements d’Achats Publics. Le 13 août 2022, un accord a été signé avec divers cabinets-conseils pour 375 millions d’euros sur 4 ans. Ce sont les cabinets-conseils qui, depuis 1990, ont trouvé la meilleure politique de santé pour la France : réduire le nombre de lits d’hôpitaux. Pourquoi ne pas continuer ? Certes, mais à condition d’employer leurs techniques de manipulation, afin de convaincre que réduire le nombre de lits est la solution aux problèmes créés par ces irresponsables qui tombent malades. À ce sujet, voir et revoir l’inoubliable déclaration de Jean Castex.

      B. A.-BA de manipulation des masses

      Chomsky nous explique les bases de la manipulation de masse. Nul doute que McKinsey et sa marionnette présidentielle s’en sont inspirés.

      1. La stratégie de la distraction. Détourner l’attention du vrai problème. Le dernier exemple de détournement de la pensée, nous le devons à Emmanuel Macron. Il a trouvé la solution au manque de lits : une grande consultation sur l’euthanasie, et tellement moins coûteuse que des soins palliatifs qui encombrent les lits d’hôpitaux.
      2. Créer des problèmes puis offrir une solution. François Braun, ministre de la Santé, a avoué devant le Sénat que la variole du singe est une arme chimique (le bon terme serait plutôt « biologique ») et que son vaccin est secret défense ! De là à penser que le coronavirus serait d’une origine similaire, il a fallu un prix Nobel pour oser évoquer cette hypothèse. Les médias, bien plus compétents que lui, l’ont d’ailleurs traité de complotiste, de savant fou controversé, etc.
      3. Faire accepter l’inacceptable progressivement. Emmanuel Macron le 27 décembre 2020 : « Je l’ai dit, je le répète : le vaccin ne sera pas obligatoire. Ayons confiance en nos chercheurs et médecins. Nous sommes le pays des Lumières et de Pasteur, la raison et la science doivent nous guider. » Après ces belles paroles, le 18 août 2021, la vaccination est devenue obligatoire pour les soignants.
      4. La stratégie du différé. Pour faire accepter une décision impopulaire, la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans l’avenir. Macron annonce « la fin de l’abondance », « des évidences » et « de l’insouciance ». De la même façon que les vaccins étaient présentés comme « sûrs et efficaces », la prochaine politique de restrictions et d’inflation est justifiée ainsi : « Il faut d’abord raisonner en se demandant si c’est efficace et utile ».
      5. S’adresser au public comme à des enfants en bas âge. (Regarder les médias pour les exemples.)
      6. Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion. (Regarder les médias pour les exemples.)
      7. Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise. (Regarder les médias pour les exemples.)
      8. Encourager le public à se complaire dans la médiocrité. Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte… (Hanouna sur TPMP, McFly et Carlito à l’Élysée, etc.).
      9. Remplacer la révolte par la culpabilité. Voir l’intervention de Sarah Saldmann à propos des Français en arrêt de maladie (c’est quoi ces feignasses ?)
      10. Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes. Là on touche à l’arrogance de classe. On est loin du proverbe paysan, Nul ne me connaît mieux que moi-même, mais en pleine théorie marketing. Voir là.

      Sur la théorie de la manipulation, les amateurs de BD peuvent se plonger dans Manipulator, par Makyo, éditions les arènes BD.

      Le but de la manipulation de masse est : comment mieux entourlouper. Rendre les foules plus libres et plus heureuses sans arnaque (métaverse, illusions) n’a donné lieu à aucune théorie. Un projet de ce genre ne semble pas intéresser les fondations philanthropiques. À contempler leurs merveilleux sites et leurs équipes souriantes, on se demande pourquoi, avec tant de moyens, de bienveillance et d’intelligence déployés, le monde n’est pas devenu meilleur.

      Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.




      Discours fou de Ursula Von der Leyen

      [Source : FLORIAN PHILIPPOT]

      [À partir de 3:20]

      [Voir aussi :
      Von der Leyen annonce le Great Reset,
      la guerre totale contre la Russie
      et la récession économique — Le Courrier des Stratèges
      ]






      Sans voix un 11 septembre…

      Par Lucien SA Oulahbib

      Rappelez-vous de « matin brun » cette nouvelle opportune, mais par trop « unilatérale » imaginant que le totalitarisme n’aurait qu’une seule couleur… Aujourd’hui le vert, l’arc-en-ciel, l’ont remplacée comme seules nuances (de gris), sinon obligatoires du moins « recommandées », comme il est dit pour la muselière et l’injection Covid-19 qu’« iels » tentent de faire passer pour « nécessaire » en voulant même l’imposer aux femmes enceintes et aux enfants comme s’il s’agissait d’un « vaccin » comme les autres

      Ainsi, le 11 septembre comme date symbolique s’estompe dans cette offensive colorée qui cherche à en effacer une seule : la blanche, celle de la peau (dans un néoracisme non dit), mais aussi de la lumière au profit de sa diffraction en « points de vue » officiellement, d’une seule optique en réalité, celle qui se perçoit comme fait accompli par les médias dits aujourd’hui de « grand chemin » et faisant désormais office d’yeux artificiels greffés in vivo montrant le seul réel correct (ainsi la manifestation parisienne des Patriotes du 3 septembre 2022 n’aurait jamais existé…).

      De même, le fait que le 11 septembre 2001… Ainsi les uns parleront d’un coup fomenté par le Mossad, bras armé de la CIA et de Soros. Les autres disculperont les instances islamiques officielles de toute engeance avec cet acte de naissance flagrant d’alliance stratégique entre le djihadisme international et le néo-léninisme incarné dans « l’altermondialisme » (anniversaire du 11 septembre 1973) un alter-islamisme progressif (le seul « progrès » permis en sus de l’eugénisme et la manipulation génitale du « trans ») qui secréta le canevas idéologique actuel avec d’un côté la normalisation de l’islam comme une religion des meurtris, alors qu’il s’agit d’une stratégie scissionniste et séparatiste implantée au cœur desdites démocraties grâce à l’argent de milliardaires wahhabites qui agissent au cœur même de la couronne anglaise, de la chambre des Lords, et des instances mondiales ainsi qu’européennes (ou Eurabia de Bat Ye’or). Et, de l’autre côté, la régimentation progressive de ces deux dernières dans un canevas de plus en plus contraignant, celui de la « grande bascule » (avouée récemment par leur marionnette installée on ne sait trop comment à l’Élysée) force les populations d’y adhérer à coups de virus augmenté et de guerre provoquée.

      Banal désormais. Ce qui l’est peut-être moins serait ce retour de la pensée magique jetant des sorts en guise d’arguments (“complotiste », « extrême droite », « antisémite”), le tout au nom de l’Hygiène de la Science du Progrès ou 1984 in vivo doublé du Meilleur des mondes, du Procès, et d’Ubu. Ou le symbole même d’un pouvoir absolutiste qui ne se donne même plus la peine d’argumenter sinon en manipulant les chiffres et en créant des cabales (par exemple contre Raoult).

      Le tout est accompagné des grosses caisses de la fanfare idéologique tressée de tous ces fatras résiduels issus de la feue scène intellectuelle et culturelle occidentale, marée noire salace rejetant sur la grève “fragile” (thème de la Biennale de Lyon 2022) quelques-uns de ses fragments fracassés s’auto-étiquetant ici philosophe, là acteur, là-bas artiste économiste ou politique, baladins baladant leur panse à la façon de Pan en guise de pensées.

      Aussi devant tant d’inconséquences frôlant l’incontinence il est désormais tentant de rester sans voix.

      Le 11 septembre 2022




      Le futur passeport carbone de l’État-Macron

      [Source : observatoiredumensonge.com]

      Le crédit social chinois est arrivé !

      Par Daniel Desurvire

      Pass climatique, ticket de rationnement, impôt sur la consommation ou crédit carbone ; qu’importe l’appellation puisque la sanction écologique s’ajustera au bout. Comme cela était prévisible, le QR Code TAC se mue en Code empreinte carbone (carte à puce de la start-up Doconomy). L’État-Macron ne lâche pas prise, son objectif étant de copier la répression du crédit social chinois. Le traçage des vaccins Covid par le passe sanitaire* n’ayant été que suspendu, la prétendue fin de crise sera réactivée pour abattre d’autres libertés au motif d’une écologie félonne : un greenwashing d’État (éco-blanchiment). Un crédit carbone sera alloué à chaque citoyen qui se verra sanctionné par un blocage de la carte bancaire dès lors que son crédit CO2 sera épuisé. Pour parfaire ce dispositif, la suppression de l’argent liquide s’annonce en bout de course.

      Cette perfidie fut ourdie avec les ausweis discriminatoires* par la Commission européenne, en la personne d’Ursula Van der Leyen, puisque cette traçabilité est testée depuis trois ans en Suède, donc dans le même temps que fut décrété la crise sanitaire et mis en place le passeport sanitaire européen interopérable (EU digital Covid Certificate). Si cela n’est pas à un complot, qu’est-ce donc alors ? Chaque geste de la vie sera ainsi conditionné selon les achats des consommateurs par le système Doconomy qui calcule en temps réel le carbone émis par individu à travers le produit choisi, avec ou sans l’indication du coefficient pollueur du climat. De sorte que ce système aléatoire ou incomplet ne conditionne pas seulement la responsabilité du client en bout de chaîne, mais aussi dans l’intervalle, celle du fabricant, du conditionneur, du transporteur et du commerçant. Si une défaillance intervient dans l’étiquetage, ce sera le consommateur qui en pâtira et qui sera sanctionné.

      Nathalie Green, PDG de l’entreprise Doconomy* et partenaire de la Convention-Cadre des Nations unies sur le changement climatique (CCNUCC), ambitionne que « chaque consommateur puisse faire la différence en étant conscient de l’impact de ses achats sur la planète et soit en capacité de le gérer et de le compenser ». Mais ici s’arrêtent les bonnes paroles, car le loup n’est pas loin. En effet, c’est en reliant le compte courant du consommateur à la carte DO* que les clients d’un service bancaire perdront inévitablement leur autonomie d’achat et leur liberté de choix. Nous entrons exactement dans le même processus du QR Code TAC, puisque cette carte DO sera couplée avec le téléphone portable ou la carte bancaire pour payer, et qu’un QR Code sera fatalement dédié en guise d’application. Fin 2019, la start-up avait déjà lancé une version bêta de son application, testée par environ deux cents utilisateurs volontaires, avec pour objectif 40 millions de clients potentiels, sachant que lesdits clients européens seront contraints d’adhérer par une loi ou par voie réglementaire à ce crédit CO2 (carte DO), que leur imposera leur gouvernement respectif.

      Pour mesurer les émissions toxiques, Doconomy fait appel à un calculateur des rejets carbones pour chaque euro dépensé : vêtement, librairie, restaurant, boulangerie, hôtel, cinéma, musée, stade, agence de voyages, ticket de métro, service, pharmacie, hôpital et tous les produits de consommation en général, du cornet de glace à la voiture en passant par les travaux domestiques. Même en procédant par un paiement en espèces, la caisse enregistreuse du vendeur pourra localiser et identifier le client à l’aide de sa carte fidélité ou de son pass DO (climatique) rendu obligatoire pour le boutiquier (à l’instar du QR Code TAC). Là encore, la transmission de l’achat pourra s’effectuer par l’apposition sans contact du smartphone. Même depuis la borne de retraits de liquidités depuis une station-service de carburant, quel qu’il soit, personne n’échappera à cette inquisition dès lors qu’il faut introduire un titre de paiement CB pour ce type de distributeur dédié à la pompe ou à la prise électrique.

      Ces informations, via la carte DO ou son application, seront enregistrées, calculées et débitées sur le crédit carbone de chaque consommateur qui recevra un ausweis ou un refus. De surcroît, l’UE envisage depuis déjà une décennie de supprimer l’argent liquide, d’où les DAB, sachant que les achats, même usuels et minimes, s’effectuent déjà à ± 80 % par voie électronique. Comme en Chine avec le crédit social, le consommateur vertueux pourra se voir récompensé, ici par une prime créditée sur sa carte DO pour bonne conduite, ou inversement se verra refuser un accès et/ou son achat comme dans l’Empire du Milieu. Le régime collectiviste, avec ses répressions et ses humiliations, est au bout de ce chemin vert pour les bons sujets, pavé d’un noir devenir pour les parias. Le couperet tombera sur le consommateur taxé de la mention « non-vertueux » par des marqueurs que nul de pourra, même à son corps défendant, respecter eu égard de l’Overshoot Day*.

      L’ONG Global Foutprint Network calcule l’Overshoot Day (le jour du dépassement), sur la base de 3 millions de données statistiques de 200 pays. Ce serait la date butoir où l’empreinte écologique dépasse la biocapacité de la planète. Autrement dit, ainsi que l’exprime WWF (Véronique Andrieux) : « Le jour à partir duquel nous avons pêché plus de poisson, abattu plus d’arbres, construit et cultivé plus de terre que ce que la nature peut nous procurer au cours d’une année ». Ainsi en France, il faudrait 2,9 planètes pour subvenir au besoin des Français. Globalement dans le monde industriel, la société se trouve à trois planètes d’empreinte environnementale, alors que le niveau d’infrastructure en consomme déjà une à lui tout seul.

      Comment mieux exprimer qu’il y a trop de monde tout en ne l’évoquant jamais ? Pour trouver ce modèle d’hypocrisie, il suffit de le trouver dans le staff d’Emmanuel Macron, avec notamment sa ministre du logement, Emmanuelle Wargon, laquelle déclara en octobre 2021, sans rougir, vouloir raser les habitations individuelles au profit de clapiers collectifs : « Le modèle du pavillon avec jardin n’est plus soutenable et mène à une impasse. Il s’agit d’un fonctionnement urbain dépendant de plus en plus de la voiture individuelle… d’un modèle derrière nous menant à un non-sens écologique, économique et social ».

      Le prétexte écologique, au-devant de tous les autres motifs, fut l’opportunité d’exprimer son mépris pour le bas peuple, elle qui, illuminée par son mentor de l’Élysée, sans l’évoquer, dispose d’une villa somptueuse plantée sur un parc verdoyant à Saint-Mandé. Cette femme, qui dans son extrême grandeur d’âme, prônant des HLM partout et pour tous, quoique réquisitionnés par l’immigration musulmane, aura tout de même choisi de vivre dans une commune des plus riches de la région parisienne, sans mixité ni diversité sociale. La qualité de vie ne serait que le privilège des donneurs de leçon : « Faites ce que je vous dis, mais ne faites pas ce que je fais » (Matthieu, 3 h 23).

      Mais pour le petit peuple, quelques fenêtres percées dans un cube de béton noyé dans une cité de tours verticales masquant le Soleil feront l’affaire. Il faut faire de la place pour loger tout le monde, qu’importe la qualité de vie, les agressions bruyantes et l’absence d’un jardinet de verdure, et qu’importe encore les neurasthénies et troubles du sommeil, les violences urbaines et les suicides, pourvu que l’on puisse entasser les citoyens comme des sardines en boîte. Pour la bien-pensance, il s’agit surtout de ne jamais évoquer un problème de surpopulation, la régulation des naissances et l’arrêt des migrations qui déferlent dans le pays par millions de gens qu’il faut prioritairement loger, nourrir et soigner gratuitement. Enfin, pour justifier de pareils propos, rien de mieux que de s’adosser au mobile écologique confortable et dédouanant, comme si le problème environnemental n’était qualifié que pour culpabiliser les Français qui ont besoin d’un véhicule pour travailler, alors même qu’en maison individuelle ou en appartement le problème du déplacement reste le même.

      « Gaspillez moins pour consommer mieux » ; tel se présente une autre vraie fausse bonne idée, mais qui a ceci de paradoxal que ce slogan résonne comme un échec, avec la même chute qui tend à dénoncer la responsabilité des gens que l’on condamne, sans alternative pour réussir à survivre dans une société de consommation et de promiscuité. Pourtant, à bien y regarder, n’est-ce pas plutôt les industriels qui suremballent les produits, qui imposent le plastique, qui multiplient les doublons ou qui ne sont pas capables de s’entendre pour ajuster les mêmes normes, les mêmes formats et les mêmes étalonnages, puis qui imposent leur pollution à chaque palier de fabrication, de transport et de distribution, comme de faire venir de l’autre bout du monde des articles que l’on peut trouver à proximité ? N’est pas la mondialisation avec son libre-échange qui condamne les consommateurs à ce jeu morbide de la concurrence ; une compétition des prix que les producteurs, fabricants, importateurs et transporteurs font subir aux clients pour augmenter leur cashflow au détriment des acteurs locaux, à qui les bonnes consciences, depuis les ministères de l’Écologie, font semblant d’exiger du monde industriel une attitude coresponsable ?

      Comment faire admettre aux écologistes que la consommation n’est que la conséquence de la vie moderne dont il est impossible d’échapper ? L’impact sur l’environnement, en termes d’empreinte carbone, résulte incontestablement de l’accroissement des populations ; une cause incontournable à la base de ce problème vecteur de gaspillages et des pollutions ? « X » personnes issues des pays industrialisés qui surconsomment n’est qu’une goutte d’eau en rapport aux millions d’autres individus qui s’y ajoutent en nombres continûment progressifs depuis les PMA. Même si ces nouveaux venus consomment moins que dans les pays riches, eu égard à leurs moyens plus modestes et aux boutiques moins achalandées, le fléau des pollutions penche fatalement du côté du nombre.

      En regard de l’étude de l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie), celle-ci ayant adopté une étiquette plus généraliste sous le patronyme de l’« Agence de la transition écologique », cette Agence approuve et prévoit déjà la mise en place de ce nouveau pass climatique sous l’impulsion de l’Exécutif. J’insiste sur le fait que cette Agence est un établissement de droit public (EPIC) placé sous la tutelle de la Recherche et de l’innovation (articles L 131-3 à L 131-7 et R 131-1 à R 131-26 du Code de l’environnement). Cette codification en fait un organe maître qui fusionne avec sept secteurs d’activité (l’air, l’énergie, les déchets, l’économie, la géothermie, la pollution des sols et l’électricité solaire) ; tous placés sous la tutelle de Matignon. De sorte que le citoyen est en droit d’attendre de cet organe pivot de l’écologie politique doté d’un ministère ad hoc, un minimum de sérieux ; lorsque l’on sait qu’il fait travailler un millier de salariés que finance le contribuable français.

      En l’occurrence, selon cet organisme susvisé particulièrement onéreux pour le budget du pays, un Français émet en moyenne 11,9 tonnes de CO2 par an, dont les ¾ sont liés à la consommation, alors que la neutralité carbone exigée sera de ± 2 tonnes. Par ce grand écart, les citoyens ne pourront jamais freiner le processus de pollution au jour du dépassement*, car c’est l’empreinte industrielle qui est en cause puisque cet indice de pollution nous est infligé par une existence sociétale à laquelle nul ne peut échapper, sauf en améliorer les contours, mais pas d’en réduire 6 fois un tel credo imposé. Mais il est tellement plus facile d’accuser les consommateurs lambda de polluer plus que de raison, sans même avoir le courage de montrer du doigt les véritables responsables de cette pollution : les géants de la production industrielle et leurs cartels financiers sans égard pour la Planète, que soutien cette engeance politique dispensatrice de leçons.
      La mauvaise histoire dans ce calcul, c’est que la partie animale de l’homme (rejets naturels découlant de la respiration [dioxyde de carbone], des matières fécales, de l’urine, des éructations et des flatulences) représente déjà physiquement le ¼ de ces 11,9 tonnes de CO2 d’où 3 tonnes de CO2. De sorte que le citoyen de l’Hexagone, par le fait de sa propre existence, donc avant d’avoir consommé quoi que ce soit, est déjà en infraction puisqu’il dépasse d’une tonne la norme autorisée, sans même avoir consommé un cent !

      En effet, une simple règle de trois laisse apparaître que l’animal que nous sommes exige 3 tonnes de CO2 pour vivre à l’état sauvage, alors que l’ADEME ne concède que 2 tonnes de CO2 par individu : cherchons l’anomalie ! Ici, à l’appui de l’équation de Kata (V. p. 6), avec un seul homme sur Terre, nous serions déjà trop nombreux, et que, pour rester dans la lettre et l’esprit de ce prytanée arbitraire, il ne faudrait pas même exister ! Alors, autant limiter le nombre de bébés sur Terre avant de les priver d’oxygène et de lait maternel. Ce pourquoi il apparaît que les cerveaux de cet onéreux laboratoire écologique n’ont pas encore réalisé que derrière cette triste démonstration de sottise, le spectre de la démographie est précisément le problème majeur et incontournable qui monte en puissance, et non pas le consommateur. Mais ici encore, la bien-pensance interdit d’en émettre la moindre allusion, car nous serions dans le rouge.

      Entre l’important d’où la cause (la hausse démographique) et l’accessoire d’où les effets (le CO2), c’est encore l’absence d’anticipation et la corruption qui auront raison de l’humanité ; car dans 50 ans, avec quelques milliards d’âmes de plus, la pollution nous renverra, tel un retour de boomerang, à la case départ. Rappelons que l’excès de CO2 dans l’atmosphère qui représente un véritable problème — quoique ce gaz fut le géniteur de la vie terrestre — n’est qu’un volet des pollutions dont l’étiologie de ce mal global relève de la montée en puissance de la natalité humaine. Un pass climatique n’y pourra rien, sinon que le CO2 n’est qu’un prétexte pour enfermer l’Occident dans un collectivisme ; une ruche d’insectes sociaux pour lesquels la démocratie sera habillée d’un crédit social.

      Daniel Desurvire

      Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français”: Édilivre, 2016).

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      Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier : Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE




      Les Agents Smith (Biden, Macron, Véran…) montrent les crocs (atomiques)

      Par Lucien SA Oulahbib

      Biden (prononcez à la française) c’est M et V en plus déglingué, mais avec la même verve vache de ratés qui ne tiennent debout que par l’envie frénétique de le c(r)acher. Ces « rien » — pas du tout « petit chose » façon Daudet (Alphonse) qui servirait au moins leur pays, leurs « frères » — se gonflent de narcissisme boursouflé, alors qu’ils sont atteints d’insuffisance non plus rénale, mais cérébrale.

      Ne voilà-t-il pas en effet que le premier désigne plus ou moins les Républicains pro-Trump « d’extrémistes » tandis que Macron traite le président d’EDF d’irresponsable et Véran ironise sur Raoult en l’accusant de charlatanisme, alors qu’ils sont tous trois exactement ce qu’ils dénoncent : extrémistes, irresponsables, charlatans.

      Extrémistes en poussant à la guerre avec la Russie, en l’utilisant même pour accélérer leur “transition” au nom de pseudo-études méritant une médaille Lyssenko, ce qui fragilise mortellement l’organisation sociale dans son alimentation énergétique, son assise financière, son système économique, sa civilisation.

      Et ce sont eux les irresponsables ayant fragilisé mortellement désormais le corps et l’esprit occidental par la désorganisation financière (planche à billets, spéculations à foison, inflation…), énergétique (lois toujours en vigueur pour liquider le nucléaire en France), mutilation mentale (déconstructionnisme), harcèlement physique (attaques répétées du système immunitaire par des injections intrusives en interne, attaques au couteau du quotidien par le djihadisme l’un de leurs bras armés, le second étant celui du néo-léninisme revanchard tel le 4/4 Mélenchon même pas capable d’attendre son tour avant de postillonner à la Braderie de Lille).

      Bien sûr pour masquer leurs méfaits ces charlatans déploient, telles de pieuvres géantes, un jet d’encre médiatique multifonction, mais essentiellement fait de formules magiques comme “complotisme », « extrême droite”, autant de sorts qu’ils jettent sur les peuples afin de les marabouter, les paralyser, les rendre esclaves d’une Secte. Celle-ci est en effet de plus en plus “diabolique”, en ce sens que leur psychopathie relève plus de la tératologie.

      Ce qui fait qu’il n’y a rien à « débattre » avec de tels monstres qui maquillent désormais de plus en plus la réalité (style LCI nouveau village Potemkine) jusqu’à bombarder une centrale nucléaire pour montrer au fond que ce mode énergétique est somme toute dangereux, ou le comble de l’absurde, celui de la prédiction autoréalisatrice, symbole en même temps du crime presque parfait, presque, parce qu’il reste encore des groupes témoins que nos trois monstres cherchent précisément à réduire en s’attaquant aux fabricants de contrepoisons que sont les Raoult, Perronne, et tous ces gens courageux comme Daria Douguine qui croyaient que la démocratie cela voulait dire débattre, dialoguer, respecter l’adversaire et non pas faire des coups, préparer en douce la guerre, pousser la Russie à la déclencher à force de la piquer depuis 2014, remplacer le système immunitaire naturel pour transformer les humains en cyborgs, en Playmobils « nomades » voguant à la dérive sur l’océan du Sans (territoire, genre, culture), transformer enfin les journalistes en propagandistes sauf exception telle Anne-Laure Bonnel avec son dernier Donbass huit ans après. Ou le journal France-Soir.

      Les monstres veillent. Nous aussi. Pot de fer contre pot de terre ?… Pas sûr…




      La liberté d’expression des médecins, enseignants et chercheurs est-elle protégée en temps de crise sanitaire ? Me de Araujo-Recchia répond

      Par Xavier Azalbert, en collaboration avec un groupe de Juristes, et en partenariat avec les associations Bonsens.org, AIMSIB et le collectif Santé Justice France

      L'avocate Virginie de Araujo-Recchia a été placée en garde à vue mardi 22 mars 2022
       DR

      ENTRETIEN – Dans cet entretien, Me Virginie de Araujo-Recchia revient sur la genèse juridique de la liberté d’expression depuis sa proclamation dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen en 1789, puis analyse les ressorts de sa protection chez les médecins, chercheurs et enseignants-chercheurs dans un contexte de crise sanitaire. Dès lors que les médecins respectent le code de la déontologie médicale non seulement bénéficient-ils de cette liberté fondamentale, mais ils ont même un devoir d’expression, souligne l’avocate. Un droit et un devoir qui s’appliquent également aux enseignants et enseignants-chercheurs : « Il est de leur devoir de dire la vérité que la réalité des faits leur donne à voir ». Restreindre de manière illégale leur liberté d’expression porte ainsi atteinte à un droit fondamental, mais viole également celui de leurs concitoyens, puisqu’ils se retrouvent de facto privés d’une information ou d’un savoir crucial.

      [Note de Joseph : dans la pratique, voit-on le gouvernement français tenir compte des textes évoqués ?]


      FranceSoir : Qu’en est-il de la liberté d’expression en temps de « crise » sanitaire ? Médecins, enseignants, chercheurs peuvent-ils encore s’exprimer en toute liberté ?

      VDAR : Anodine il y a encore deux ans et demi, la question posée en titre de cet article est devenue aiguë aujourd’hui. Ceci, du fait des attaques, et le mot n’est certainement pas trop fort eu égard à l’importance de la liberté d’expression dans une société démocratique, que subissent les médecins de ville comme les praticiens hospitaliers, les chercheurs ou les enseignants-chercheurs qui osent afficher une opinion dissidente de celle des « autorités sanitaires » au sujet de la gestion de la « crise » sanitaire.

      Malheureusement, comme vous en avez déjà donné l’alerte dans vos pages, ces médecins, chercheurs ou enseignants-chercheurs font l’objet de poursuites de la part de leurs ordres professionnels ou de leurs établissements de rattachement, de censures diverses pour avoir exprimé leur avis informé. Pouvaient-ils le faire ? Devaient-ils le faire ? Voici quelques éléments de réponse.

      Il est indispensable, au préalable, de poser le décor : la liberté d’expression, puisque c’est elle qui est en jeu, n’est pas une liberté publique parmi d’autres. Tout au contraire, elle est le socle même de la démocratie et du pluralisme qui la caractérise.

      Expliquons-nous : la liberté d’expression prend ses racines juridiques dans un texte fondamental, s’il en est, de notre droit, la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789, dont l’article 10 pose en principe que « nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi ». Un principe qui revêt une valeur constitutionnelle, c’est-à-dire supérieure aux lois et aux règlements (décrets, arrêtés). Ce n’est pas un hasard !

      Proclamée dans l’ensemble des États démocratiques, elle est également protégée à l’échelle internationale par différentes conventions internationales qui, ayant été ratifiées par la France, sont partie intégrante de notre droit, certaines ayant toutefois une force juridique plus grande pour nous. Tel est le cas de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’Homme et des libertés fondamentales, du 4 novembre 1950. Cette dernière prévoit ainsi, dans son article 10 : « Toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontière. Le présent article n’empêche pas les États de soumettre les entreprises de radiodiffusion, de cinéma ou de télévision à un régime d’autorisations ».

      La Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne réserve, elle aussi, une place particulière à la liberté d’expression, dans son article 10. On pourrait aussi citer la Déclaration universelle des droits de l’Homme, adoptée par l’Assemblée générale des Nations unies, le 10 décembre 1948 et son article 19. Sans surprise, le Conseil d’État français voit dans « le caractère pluraliste des courants de pensée » une liberté fondamentale qui justifie le recours à une procédure d’urgence (référé-liberté) pour la mettre à l’abri des atteintes qui y seraient portées (CE, ordonnance du 4 avril 2019, n°429370). De façon plus vigoureuse, le Code pénal réprime, quant à lui, « le fait d’entraver, d’une manière concertée et à l’aide de menaces, l’exercice de la liberté d’expression » (article 431-1 du Code pénal).

      À y regarder de plus près, après des évènements politiques majeurs et souvent dramatiques, la Révolution française ou la Seconde Guerre mondiale, les rescapés ont jugé nécessaire de rappeler à leurs concitoyens le caractère essentiel, au sens premier du terme, de la liberté d’expression. Pourquoi ? Parce que la liberté d’expression précède et permet l’exercice des autres libertés publiques et droits politiques. Elle est la « condition de la liberté de la pensée, elle exprime l’identité et l’autonomie intellectuelle des individus ».

      Cette idée est exprimée de façon limpide par le préambule de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789 avec des mots tellement justes : « Considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements ». Transposé à la question qui nous intéresse, « l’oubli ou le mépris » de la liberté d’expression ouvre la voie au piétinement de tous nos autres droits. La même idée est reprise par la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH), dont la mission est d’appliquer, à l’égard des États signataires, la Convention européenne des droits de l’Homme. Dans ce sens, « toute restriction, même anodine, apportée aux libertés d’opinion et d’expression peut (…) traduire un glissement vers l’autoritarisme, voire le totalitarisme ».

      FS : Doit-on comprendre que la liberté d’expression est inconditionnée ?

      VDAR : Il va de soi que, comme toute liberté, fût-elle fondamentale, la liberté d’expression doit être conciliée avec d’autres libertés et d’autres principes juridiques. Chacun connaît l’adage selon lequel, « la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres ». En d’autres termes, le droit est une affaire de conciliation, de nuances et de mesures, mais toujours, et c’est certainement ce que l’on a oublié ces derniers temps, dans le respect de l’humain.

      Il faut cependant tenir compte, dans cette perspective, de ce que l’on nomme la hiérarchie des normes, à savoir que certaines règles de droit priment sur d’autres et ont une valeur juridique supérieure à d’autres. Tel est le cas de la liberté d’expression qui, du fait de sa valeur constitutionnelle, prime sur la loi et sur les textes réglementaires. Il en résulte que les limitations de la liberté d’expression doivent résulter de la loi (article 34 de la Constitution du 4 octobre 1958) ou d’un principe général que le juge aurait élevé au même rang que la loi. En outre, des limitations à cette liberté ne sont admissibles que si, pour reprendre les termes l’article 10 de la DDHC, elles « constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique », ce que la CEDH a qualifié, dans un arrêt du 7 septembre 1976, de « besoin social impérieux ».

      Il ne peut donc s’agir que d’aménagements limités de la liberté d’expression, résultant de la loi et répondant à une exigence sociale supérieure. S’agissant de la liberté d’expression, il faut distinguer les limitations générales, des limitations propres à certaines situations. Tout d’abord, tout citoyen bénéficie, certes, de la liberté d’expression, celle-ci ne l’autorise toutefois pas à inciter son prochain à la haine, à l’injurier ou à le diffamer.

      Ensuite, certaines professions posent des règles de bienséance entre confrères (avocats, médecins, notamment), de même que d’autres soumettent leurs membres à un devoir de réserve (magistrats, fonctionnaires de police, notamment). Ces dernières limitations ne doivent cependant pas être surinterprétées, la liberté d’expression ayant une valeur constitutionnelle, donc supérieure aux dispositions réglementaires ou d’ordre déontologique. Si le juge national et la CEDH admettent que sa portée soit restreinte, c’est avec force circonspection.

      FS : Qu’en est-il des médecins ?

      VDAR : Comme tous citoyens, les médecins bénéficient de la liberté d’expression. Si besoin était, cela a été récemment rappelé par la CEDH, dans un arrêt du 16 février 2021. Non seulement les règles encadrant l’exercice de leur profession ne sauraient en rien diminuer ou entamer cette liberté, même si le code de déontologie médicale précise qu’une honnêteté scientifique et une certaine bienséance entre confrères sont de mise, mais, à certains égards, les médecins ont, pourrait-on dire, un devoir d’expression.

      Ce qu’il importe de comprendre est que les juridictions ordinales ne sont pas les juges de la liberté d’expression des médecins, seules le sont les juridictions judiciaires, administratives, pénales et certaines juridictions internationales (CEDH, en particulier). Leur intervention doit se limiter à s’assurer que les modalités d’exercice de cette liberté par leurs membres ne dépassent les limites déontologiques. Le Conseil d’État rappelait au sujet de l’ordre des experts-comptables, dès 1950, soit 10 ans à peine après la création des ordres professionnels par le régime de Vichy, de façon solennelle « qu’il n’a pas été dans les intentions du législateur (…) de priver les membres de l’ordre de la faculté d’émettre, verbalement ou de toute autre façon, et même par la voie de la presse, leur appréciation (…), sous réserve que leurs critiques ne présentent pas des faits allégués une version matériellement inexacte et qu’elles ne contreviennent pas à la bonne foi ou à la correction qu’il est dans la fonction même de l’ordre d’instituer et de maintenir dans les rapports entre ses ressortissants » (CE, arrêt du 29 juillet 1950).

      Le code de déontologie médicale prévoit ainsi que le médecin doit s’abstenir de déconsidérer la profession (article R. 4127-31 du Code de la santé publique), qu’il doit entretenir des rapports de bonne confraternité avec ses confrères (article R. 4127-56 du Code de la santé publique) et qu’il doit s’appuyer sur des « données confirmées, faire preuve de prudence et avoir le souci des répercussions de ses propos auprès du public » (article R. 4127-13 du Code de la santé publique). Bien entendu, toute forme de publicité commerciale pour lui-même ou pour des produits de santé est prohibée (article R. 4127-13 du Code de la santé publique).

      Les poursuites disciplinaires qui visent, en substance, la liberté d’expression d’un médecin se placent le plus souvent sur le terrain du manquement à la confraternité. Le Conseil d’État, qui est juge en dernière instance des poursuites disciplinaires médicales, pose toutefois des bornes assez étroites aux juridictions ordinales. Ainsi, un médecin peut critiquer, fût-ce en termes vifs, l’organisation du service hospitalier auquel il appartient (CE, 5 mai 2003, n°240010), préférer la pédiatrie à la médecine générale (CE, 4 mai 2016, n°373232) ou être hostile à tel traitement médical (CE, 4 janvier 1952, n°9329). Deux critères d’analyse peuvent en être dégagés : le Conseil d’État prend en considération le caractère personnel ou, au contraire, général de la critique, ainsi que son destinataire : le médecin s’adresse-t-il à son cercle professionnel ou au public en général ? On note cependant un récent durcissement du Conseil d’État qui a pu considérer, dans un arrêt du 24 juillet 2019, que la virulence d’une critique publique des vaccins contre les papillomavirus pouvait relever d’un manquement à l’obligation de prudence. Mais, on peut penser que cet arrêt, peu en phase avec la position plus libérale de la CEDH, ne fera pas jurisprudence.

      FS : Qu’en est-il des enseignants-chercheurs et des chercheurs ?

      VDAR : Les chercheurs et les enseignants-chercheurs peuvent, comme tout autre citoyen, se prévaloir de la liberté d’expression, cela va de soi. Cependant, cette dernière prend un relief particulier dans l’exercice de leur mission professionnelle. En effet, la liberté d’expression, qui est l’une des manifestations de la liberté de penser, est de l’essence même des métiers d’enseignant et de chercheur. Il faut en effet toujours garder à l’esprit que la liberté de la recherche, qui est l’une des déclinaisons de la liberté de penser, est précisément ce qui permet la formation de la pensée.

      L’enseignement et la recherche sont, par conséquent, indissociables dans une société démocratique de la liberté d’expression et des autres libertés dont elle est porteuse. Il n’est, dès lors, pas surprenant que les libertés académiques bénéficient de la protection constitutionnelle, comme la liberté d’expression elle-même, ce qu’a posé le Conseil constitutionnel de façon spécialement solennelle : « Le service public de l’enseignement supérieur est laïc et indépendant de toute emprise politique, économique, religieuse ou idéologique ; il tend à l’objectivité du savoir ; il respecte la diversité des opinions » (Cons. const., 20 janv. 1984, n°83-165 DC).

      Ainsi, l’Université doit garantir aux enseignants-chercheurs les « conditions d’indépendance et de sérénité indispensables à la réflexion et à la création intellectuelle » (article L. 123-9 du Code de l’éducation), ces derniers bénéficiant « d’une pleine indépendance et d’une entière liberté d’expression dans l’exercice de leurs fonctions d’enseignement et de leurs activités de recherche, sous les réserves que leur imposent, conformément aux traditions universitaires et aux dispositifs » (article L. 952-2 du Code de l’éducation).

      La CEDH souligne, dans le même ordre d’idées, « l’importance de la liberté académique, qui autorise notamment les universitaires à exprimer librement leurs opinions sur l’institution ou le système au sein duquel ils travaillent ainsi qu’à diffuser sans restriction le savoir et la vérité » (CEDH, 3 avril 2012, n°41723/06). Par ces mots, la CEDH évoque ce qu’il est d’usage d’appeler le principe de tolérance et d’objectivité, qui relève de la coutume universitaire.

      On pourrait relever que, les chercheurs et les enseignants-chercheurs étant des fonctionnaires ou, de plus en plus souvent, des contractuels de la fonction publique, ils sont tenus à un devoir de réserve. Cependant, à la différence des fonctionnaires de police ou des magistrats, celui-ci relève plus, dans leur cas, de la bienséance à l’égard de l’institution que d’une réelle obligation. Comme tout fonctionnaire, ils sont aussi soumis à une obligation de neutralité. Celle-ci s’efface toutefois largement devant le très large droit de critique qui leur est reconnu. En réalité, la menace vient certainement beaucoup plus d’un État toujours plus intrusif dans l’organisation, parfois même dans le contenu de l’enseignement et de la recherche, sans parler de la question brûlante des conflits d’intérêts avec le secteur privé.

      En somme, et le contentieux est d’ailleurs assez rare en la matière, la liberté d’expression des chercheurs et des enseignants-chercheurs s’arrête lorsque leurs propos constituent une infraction pénale, telle que le négationnisme (CE, 28 septembre 1998, n°159236) ou qu’ils portent atteinte à la dignité des étudiants (pour des propos à caractère sexuel, CE, 21 juin 2019, n°424582)

      FS : Les médecins, les enseignants-chercheurs et les chercheurs pouvaient-ils dès lors dire leur réserve, voire leur opposition aux mesures liées à la « crise » sanitaire ?

      VDAR : Comme nous l’avons évoqué, non seulement les enseignants-chercheurs et les chercheurs le peuvent, mais il est de leur devoir de dire la vérité que la réalité des faits leur donne à voir. Inévitablement, cette quête emporte débats, voire polémiques. Mais n’est-ce pas ainsi que progresse le savoir ? La CEDH, l’ayant compris, affirme que la liberté académique emporte « la possibilité pour les universitaires d’exprimer librement leurs opinions, fussent-elles polémiques ou impopulaires, dans les domaines relevant de leurs recherches, de leur expertise professionnelle et de leur compétence » (CEDH 27 mai 2014, n°364/04 et 39779/04). 

      Prenons la question autrement : si l’on restreint de manière illégale la liberté d’expression d’une personne, spécialement lorsque cette dernière détient un savoir ou une information qui pourrait être crucial pour ses concitoyens, on ne porte pas uniquement atteinte à ses droits : on viole par la même occasion le droit de ses concitoyens d’avoir accès à ce savoir ou à cette information.

      Cette impérieuse nécessité de « faire savoir » se traduit par ce que les juristes qualifient de fait justificatif du débat d’intérêt général ou d’intérêt public qui étend encore la liberté d’expression à laquelle, dans ce cas, on ne peut plus opposer la diffamation ou la protection de la vie privée, par exemple. Ainsi, « des propos portant sur un sujet d’intérêt général, même diffamatoires au sens (de la loi sur la presse), ne peuvent être soumis à des restrictions ou des sanctions que si ces mesures sont strictement nécessaires au regard des objectifs (de l’article 10 de la DDHC) » (Cour de cassation, 29 mars 2011, n°10-85.887).

      Au contraire, de par son importance même, une information de cette nature doit être portée à la connaissance du public, quitte à s’écarter du droit en vigueur. La CEDH l’a, de longue date, explicité de façon claire à propos de la liberté d’expression des médias, mais son raisonnement peut être généralisé à toute forme de liberté d’expression : il leur incombe « de communiquer des informations et des idées sur les questions (…) qui concernent (les) secteurs d’intérêt public » et qu’à « leur fonction consistant à (…) communiquer (de l’information) s’ajoute le droit, pour le public, d’en recevoir » (CEDH, 26 avril 1979, n° 6538/74).

      Ceci doit être rappelé à l’heure où l’on prétend museler médecins, chercheurs et enseignants-chercheurs que l’on classe publiquement parmi les « complotistes », et sur qui les autorités font pleuvoir sanctions disciplinaires et poursuites diverses.

      En termes plus contemporains, on pourrait dire que les courageux qui s’obstinent à rechercher et à faire connaître la vérité sont des lanceurs d’alerte. On peut penser à Brook Jackson, qui a dénoncé les manquements de la société Ventavia, un sous-traitant de Pfizer dans les essais cliniques, où elle travaillait alors. Mais, on ne peut que déplorer le fait que, contrairement au système juridique nord-américain, le droit français ne fait pas grand cas des lanceurs d’alerte, à qui il n’accorde qu’une très faible protection. La récente réforme du statut de lanceur d’alerte par une loi du 21 mars 2022 n’a rien d’une révolution, même si on peut interpréter un arrêt du 30 juin 2016 de la Cour de cassation qui annule le licenciement d’un lanceur d’alerte de bonne foi comme le signe d’une évolution.

      Néanmoins, il n’est pas totalement inutile de demander auprès du Défenseur des droits d’être « certifié » comme lanceur d’alerte, même si le droit français est assez restrictif et circonscrit à la relation de travail. Le lanceur d’alerte est, selon les textes, « une personne physique qui signale ou divulgue sans contrepartie financière directe et de bonne foi, des informations portant sur un crime, un délit, une menace ou un préjudice pour l’intérêt général ». Lorsque ces informations révèlent un « danger grave et imminent », elles peuvent être rendues publiques. Le point important est que, révélées dans ces conditions, celui qui divulgue ces informations bénéficie de l’irresponsabilité pénale (article 122-9 du Code pénal), de même que sont interdites les mesures de représailles (licenciement, suspension, intimidation, harcèlement, etc.). Une provision pour frais de justice pourra lui être accordée pour sa défense.

      En conclusion, il faut tout de même remarquer le « deux poids, deux mesures ». Ainsi, pour prendre l’exemple des médecins, l’Ordre des médecins se refuse à engager des poursuites contre les médecins qui se répandent dans les médias au sujet d’une thérapie expérimentale toujours en phase d’essai, alors même que le Code de la santé publique leur impose de ne pas communiquer sur un « procédé nouveau (de) traitement insuffisamment éprouvé sans accompagner leur communication des réserves qui s’imposent » (article R. 4127-14 du Code de la santé publique), violant ainsi allègrement le Code de la santé publique, mais n’hésite pas un instant à le faire contre ceux qui nous alertent des risques pour notre santé et celle de nos enfants…




      Les prévisions du GIEC se vérifient-elles ?

      [Source : lesalonbeige.fr]

      Par Jacques Laurentie,
      Ingénieur, auteur (Un autre son de cloche, et Face aux miracles – à paraitre –, édition Téqui)

      Cet article fait suite, dans l’ordre, à :
      Le GIEC pour les nuls
      Le réchauffement climatique anthropique fait consensus à 97 %. Vraiment ?
      Y a-t-il un complot pour faire taire les opposants au GIEC ?
      Le climat mondial se réchauffe-t-il ?
      CO2, accusé levez-vous !
      Contre toute logique scientifique, pourquoi le CO2 est-il devenu l’ennemi public numéro 1 ?
      et Nous notons depuis une vingtaine d’années une augmentation des phénomènes climatiques. Info ou intox ?

      Chapitre 8 : Les prévisions du GIEC se vérifient-elles ?

      « Une étude récente nous avertit que la banquise pourrait avoir complètement disparu l’été dans 7 ans seulement. »,

      Al Gore, co-récipiendaire du Nobel de la paix avec le GIEC, discours de décembre 2007.

      « Dans la recherche et la modélisation du climat, nous devons reconnaître que nous avons affaire à un système chaotique non linéaire couplé, et donc que la prédiction à long terme des états climatiques futurs n’est pas possible. »

      rapport AR3 — climate change 2001 — du GIEC, chapitre 14.2.2.2. (page 774)(([1] https://www.ipcc.ch/site/assets/uploads/2018/03/WGI_TAR_full_report.pdf)).

      Les prévisions du GIEC se vérifient-elles dans le temps ? C’est là une question fondamentale ; nos vies sont modifiées en vue de répondre aux alertes catastrophiques du GIEC, il semble donc normal de contrôler, à minima, et a posteriori, si les prévisions en question sont justes, un peu, beaucoup, pas du tout…

      Cassons tout de suite le suspens, la réponse au titre de ce chapitre tient en un mot : non !

      Et c’est là une des principales critiques que l’on peut faire au GIEC. Ce qui est intéressant, c’est que maintenant, en 2022, nous avons 30 ans de recul entre les premières prévisions du GIEC et ce qui s’est réellement passé (création du GIEC en 1988 et rapport AR1 en 1990).
      Pour être un peu plus nuancé, le « non » qui vaut réponse à la question, peut aussi tendre vers le « parfois ». En effet, le GIEC émet tellement de prévisions et avec des plages de valeurs très larges (plage de variation de la température moyenne allant de 1,5 °C à 6 °C soit un rapport de 4 !), que dans le lot, on en trouve forcement des chiffres qui vont correspondre avec la réalité. Néanmoins, comme nous allons le voir, même quand il y a correspondance, elle se situe dans la fourchette basse des valeurs. Et qui dit « valeur basse », dit absence d’urgence…

      Faire des prévisions est un exercice difficile, qui nécessite une excellente définition des variables en jeu, une capacité mathématique à définir des équations, et des moyens (puissance) de calculs adaptés. En science, la modélisation d’un système se rencontre presque partout, le but est de définir le comportement dudit système, quel qu’il soit, lorsque l’on fait varier un des paramètres. Et, parmi les paramètres habituellement sensibles, le temps est une variable majeure. Le principe est de prévoir le comportement dans le temps, de lire l’avenir avec plus ou moins de réussite…

      Quand l’Agence Européenne Spatiale envoie la fusée Arianne mettre un satellite en orbite, l’ensemble de sa trajectoire est modélisé par des équations mathématiques, seconde après seconde. Chaque lancement a été x fois répété sur ordinateur. Les ingénieurs utilisent ici principalement les connaissances relevant de la mécanique des fluides, de la balistique et de la météorologie (vent, humidité, nébulosité, température…). Et, bien qu’ici les paramètres soient infiniment plus simples que pour la modélisation du climat, les erreurs sont très fréquentes. Lorsque Météo France vous propose de connaître le temps qu’il fera pour la fin de semaine, c’est bien entendu de la prévision mathématique. Et là aussi, le taux d’erreur augmente avec le temps. Ainsi, selon les rapports de Météo France, le taux d’erreur pour le lendemain est de 5 %, à 3 jours il est de 30 %, et à une semaine, ce taux dépasse les 60 % à 70 %. Nous en avons eu un exemple au mois d’août 2022, ou de violents orages en Corse ont fait des morts, alors même que quelques heures avant, Météo France n’avait émis aucune alerte, car les modèles mathématiques de calculs n’avaient tout simplement pas prévu cet événement. Et pourtant prévoir les composantes météorologiques, comme la température et la couverture nuageuse, à 48 heures est quelque chose de bien plus simple que de prévoir le climat (moyenne météorologique sur le long terme).

      En effet, car en ce qui concerne le climat, nous nous heurtons à trois problèmes majeurs que notre civilisation n’est pas, pour le moment, en mesure de résoudre :

      • > D’une part les variables sont trop nombreuses pour que nous puissions espérer être exhaustifs sur leur prise en compte.
      • > D’autre part, la modélisation du système climatique est ce qu’il y a de plus complexe au monde (avec le quantique), car il s’avère être chaotique. Cela implique qu’il est désordonné, et que donc, par définition, sa modélisation est en théorie impossible (comme le rappelle le GIEC lui-même, et qui dès lors n’est pas à un paradoxe près). Il faut donc utiliser des équations mathématiques approximatives pour tenter une approche, plus ou moins juste, du système. Et il y a de très nombreuses discussions et désaccords quant aux équations utilisées par les laboratoires sélectionnés par le GIEC.
      • > Enfin, la modélisation du climat est si complexe et comprend de tel volume d’informations qu’elle nécessite des capacités de calculs énormes, capacités dont l’humanité ne dispose pas aujourd’hui si nous voulions espérer une modélisation exacte. Pour simplifier, il n’existe actuellement au monde aucun ordinateur suffisamment puissant pour envisager un calcul exact d’un tel volume de données (que nous ne savons définir), avec autant d’interactions.

      Ces 3 points impliquent que pour effectuer des prévisions climatiques, nous devons nous contenter d’approximations. La modélisation du climat est quelque chose de très fragile et en théorie, aucun scientifique ne devrait accorder le moindre crédit à une modélisation projetée à plus de quelques mois, et encore, dans ce cadre, nous disposerions au mieux d’une tendance avec une marge d’erreur conséquente. Marge d’erreur dont la croissance est proportionnelle à la durée de projection. Prévoir le climat (donc une tendance) pour l’année prochaine est aléatoire, mais on peut obtenir une approximation, le prévoir à 10 ans est totalement fantaisiste. Dès lors, ce type de prévision doit rester dans le domaine de la spéculation technique, et ne devrait en aucun cas servir à fonder des politiques de quelques natures qu’elles soient…

      Pour autant cela ne suppose pas qu’il ne faille pas faire ce type de calcul prévisionnel, bien au contraire, l’Humanité a besoin de projeter des données et des informations, et c’est là une des clés de nos progrès. Mais cela implique qu’il convient d’être très prudent avec les modèles.

      M. Jancovici, partisan du réchauffement anthropique, Polytechnicien, créateur du principe de « l’équivalent tonne carbone » et membre du « Haut Conseil pour le climat », qui n’est donc aucunement un climato-sceptique, explique sur son site(([2] https://jancovici.com/changement-climatique/predire-lavenir/quest-ce-quun-modele-climatique-quels-sont-leurs-premieres-conclusions/)) au sujet de la modélisation du climat, les limites de cette dernière :

      1. Notre système atmosphérique n’est pas entièrement prévisible,
      2. Il y a d’inévitables simplifications lorsque l’on construit un modèle,
      3. Il ne représentera toujours qu’une partie du système.

      En dépit de cela, et de façon assez peu logique, M. Jancovici fait état de sa confiance dans les modèles prévisionnels climatiques actuels, et à ce titre fait partie des climato-alarmistes… Mais, car il y a un mais, M. Jancovici en qualité de président de la société Carbon 4 (www.carbone4.com), société de conseil en décarbonation auprès des entreprises, a tout intérêt à favoriser la potentielle véracité des modèles. À l’inverse, s’il émettait un doute, comme tout scientifique sérieux, quant à la réalité d’une modélisation qui selon ses propres termes « n’est pas entièrement prévisible », « est simplifié » et « est parcellaire », ses affaires ne seraient pas bonnes. Juge et partie…

      À M. Jancovici, nous opposerions un autre Polytechnicien, M. Christian Gerondeau, qui lui n’hésite pas à exprimer, à travers de nombreux livres et interviews, ses profonds doutes quant aux projections du GIEC (cf. Les douze mensonges du GIEC, éditions de l’Artilleur, mars 2022). M. Gerondeau n’ayant, lui, aucun intérêt financier dans la partie qui se joue…

      Le seul moyen de valider un modèle mathématique prévisionnel est de le confronter à la réalité ! Et aujourd’hui, ce travail de comparaison est adroitement évité par le GIEC et la presse mainstream.

      Or, lorsque l’on fait cette comparaison, on voit rapidement que les prévisions données par le GIEC sont systématiquement surestimées. Ce qui a amené nombre de scientifiques à remettre en cause les modèles mathématiques, dits de projection, retenus par le GIEC.(([3] Un exemple parmi d’autres :
      https://judithcurry.com/2020/06/20/structural-errors-in-global-climate-models/#more-26311))

      Dans ses premiers rapports, dès 1990, et c’est toujours le cas aujourd’hui, le GIEC donne un indice d’augmentation moyenne de la température de la basse atmosphère de +0,27 °C par décennie à compter des années 80(([4] https://www.drroyspencer.com/wp-content/uploads/ICCC13-DC-Spencer-25-July-2019-Global-LT-ranking-scaled.jpg)) (moyenne des 102 modèles mathématiques retenus par le GIEC allant de +0,12 °C pour le modèle fourni par la Russie à +0.37°C pour le modèle fourni par le Canada). Or, la variation réelle mesurée par satellite de 1979 à 2018 est de +0,16 °C. Soit une erreur d’estimation de 70 %, ce n’est pas rien, quand on sait que ce type de données influencent les politiques mondiales et nos vies. À titre d’information, l’erreur du Canada entre ce qu’il annonçait avoir calculé, et la réalité est, elle, de 230 % !

      Regardons par ailleurs les données de simulation produite par le GIEC, dites CMIP 5 et 6 (Coupled Model Intercomparison Project, données couplées issues de divers laboratoires d’analyse climatique), cette fois à la surface de la Terre (GSTP — Global Surface Temperature Projections —). Qui sont des simulations informatiques de la variation de température. La Global Warming Policy Foundation, association scientifique, fait une comparaison de ces projections avec les mesures de température réelles, dans le cas présent, la fondation reprend le graphique du GIEC et y superpose la courbe des températures réelles. Graphique que vous pouvez consulter ici : https://i1.wp.com/climatechangedispatch.com/wp-content/uploads/2020/06/cmip5-cmip6-chart.jpg?ssl=1

      Ce qui nous intéresse ce sont les droites en pointillés qui sont des moyennes (rouge, orange et bleue). Sans rentrer dans les détails plus que de besoin, vous voyez en haut, la droite rouge qui est le modèle CMIP 6 du GIEC (le pire), puis la droite orange qui elle représente la moyenne du modèle CMIP 5. Et, le graphique compare ces deux courbes de projections, pour la période 1980 à 2020, avec la réalité des relevés satellite (droite en bleue). Et comme vous le voyez aisément, les estimations du GIEC se sont révélées là aussi totalement fausses lorsqu’on les compare à ce qui s’est réellement passé. L’écart d’erreur étant ici, pour la valeur projetée haute, de 200 %, soit une mesure de la réalité à 0.4°C contre une projection à 0.8°C. Certes il s’agit de l’estimation haute du GIEC, mais c’est celle qui est mise en avant dans les résumés à l’attention des décideurs, et systématiquement celle reprise par les médias pour vendre du catastrophisme et de l’émotion.

      Nous allons également produire ci-dessous un second graphique qui est tiré des rapports GIEC et qui représente les différentes projections de la température (les estimations pour l’avenir). La courbe noire (Observations) a été rajoutée par-dessus, a posteriori, pour la période 1986 à 2012, puis poursuivie jusqu’en 2017.

      Sur ce graphique confus, vous pouvez visualiser des dizaines de courbes de multiples couleurs qui sont les différentes projections retenues par Le GIEC en fonction des scénarios. Chaque groupe de couleur représentant un ensemble de modèles comme relaté dans la légende (nommés RCP). Par exemple, les courbes rouges en haut, sont issues du scénario RCP 8.5 (le pire) et prennent en compte 39 modèles mathématiques fournis par divers laboratoires de divers pays. Ce qui va nous intéresser, c’est la courbe en noir (sur la partie gauche), qui représente les mesures réelles de 1986 à 2017.

      Que voyons-nous ? Que la réalité de la variation de température moyenne (courbe noire) se situe tout en bas des projections. Dit autrement, 90% des modèles de projection du climat sont faux.

      A noter que ce graphique n’a rien de complotiste, d’une part, car il est issu d’une production du GIEC (sans la courbe noire bien entendu) et d’autre part, car il est repris par des médias pro-GIEC comme Libération (https://www.liberation.fr/checknews/2019/04/19/les-predictions-climatiques-d-il-y-a-dix-ans-sont-elles-confirmees-aujourd-hui_1719635/). Journal qui interprète de façon très expéditive ce graphique en écrivant : « Les observations sont donc dans le champ des possibles anticipé par les modèles. Mais elles se situent plutôt dans le bas de prévisions. ». Dans le « champ des possibles », une façon élégante de ne pas s’attarder sur le taux d’erreur de presque tous les modèles !

      Factuellement, les prévisions du GIEC qui nous promettaient il y a quelques décennies une augmentation de température hors normes se sont révélées fausses.

      Ces diverses comparaisons entre ce que dit le GIEC puis la réalité quelques années plus tard, valident sans difficulté le fait que le GIEC surestime la réalité des faits. Comme évoqué au chapitre 5, ce phénomène d’erreur de projection, dénoncé de longue date par divers laboratoires et associations scientifiques, sera reconnu par le GIEC dans son rapport AR6 où il fait état du fait que ses modèles ont tendance à « chauffer », mais sans pour autant changer sa doxa.

      Ces écarts entre prévisions et réalités sont tels que même des scientifiques pourtant favorables aux thèses du GIEC s’en sont émus en 2021 et 2022. À telle enseigne que le 5 mai 2022, le très célèbre journal scientifique à comité de lecture Nature publie un article(([5] https://www.nature.com/articles/d41586-022-01192-2)) intitulé « Reconnaître le problème du modèle chaud », et fondé sur la comparaison de 50 modèles récents dont les valeurs apparaissent maintenant comme totalement fantaisistes. Article signé par des spécialistes référencés GIEC…

      Il y a clairement un problème dans les modèles de projection de la température tels que proposés par le GIEC depuis 30 ans, et, encore une fois, modèles sur lesquels s’appuie la majeure partie des gouvernements occidentaux pour décider des politiques à mener. Ne tournons pas autour du pot, le problème est que lesdits modèles sont faux ! Et pas de quelques pour cent, de quelque centième, non, les erreurs constatées dépassent très largement les 50%. Ce chiffre reste abscons, mais, pour le concrétiser, demandez-vous ce que vous feriez si votre salaire était diminué de 50% !

      Cependant, il ne s’agit pas de jeter la pierre aux laboratoires référencés par le GIEC, même si ces derniers s’arrangent souvent avec la réalité pour ne pas perdre les subventions étatiques, car, comme évoqué en introduction de ce chapitre, prédire le climat, avec exactitude et une marge d’erreur acceptable de quelques pour cent, à moyen et long terme, est dans les faits impossible. Nous ne disposons pas des savoirs et des technologies nécessaires. Nonobstant cela, ce que l’on peut reprocher au GIEC c’est de faire de ces projections grand cas dans les rapports aux décideurs, sans jamais mentionner le fait qu’aucune décision politique ne doit être prise sur la base de ces projections. À la décharge du GIEC, c’est surtout ses porte-parole qui mettent en avant les modèles de climat sans précaution. Et que dire des médias qui prennent un malin plaisir à ne citer que les valeurs les plus hautes, ou à extraire d’un rapport de 4 000 pages, deux ou trois lignes évoquant la fin du monde. Dans ce cadre le comportement de nos politiques et des médias n’est pas déontologique, car des mentions sont tout de même portées dans les rapports du GIEC quant au fait que les projections proposées ne sont pas fiables (cf. par exemple le chapitre 14.2.2.2 du rapport AR4 que nous citons en introduction).

      Oui, même le GIEC est depuis quelques années obligé de dire dans ses propres rapports que ses projections ne sont pas fiables, probablement en prévision d’éventuelles actions en justice dans les années à venir… Bien qu’en l’état cela soit difficile à prouver, il est très probable que ces mentions ont été reportées dans les rapports GIEC à l’initiative de services juridiques internationaux. Quoiqu’il en soit, quel politique, quel parti écologiste, quel journaliste, quel étudiant lisent lesdits rapports ?

      Maintenant, regardons un second point majeur dans les prévisions alarmistes du GIEC : la montée des eaux !

      Vous avez tous vu à la télévision ou sur internet, de magnifiques cartes du monde qui simulaient ce qui resterait de terres émergées en 2050 puis en 2100, montrant alors le fait que nombre de côtes du monde entier disparaîtraient. La mort par noyade menace une partie du monde.

      Sauf que ce n’est pas ce que l’on constate dans la réalité ! Car oui, aux atroces prévisions qui nous sont rabâchées, il est bon d’opposer le réel…

      Prenons le dernier rapport(([6] https://www.ipcc.ch/srocc/)) du GIEC sur les Océans et la cryosphère. Ce dernier rehausse les prévisions d’élévation du niveau des mers par rapport au rapport de 2013. Les nouvelles projections donnent pour la fin du siècle, une élévation moyenne comprise entre 40 cm pour le scénario optimiste, et 85 cm pour le scénario pessimiste. Avec comme vous vous en doutez des variations importantes d’un point à l’autre de la planète. Mais, le fantastique étant une marque de fabrique de certains médias, il n’est pas rare de lire des articles qui bien entendu s’appuient sur des « rapports scientifiques », du type : « Les experts n’excluent pas une élévation du niveau des mers de 2 mètres en 2100 », Le Monde, 21 mai 2019. Ou encore : « Montée des eaux : la France littoralement menacée. Selon le dernier rapport du Giec, publié mercredi, la hausse du niveau de la mer pourrait atteindre 1,10 mètre en 2100. Les côtes françaises subiraient alors de plein fouet l’érosion et la submersion. », Libération, 25 septembre 2019.

      Submersion de 2 mètres, littoral français menacé de disparition, etc. Dans l’imaginaire collectif de nombreux adolescents, dont les connaissances sont insuffisantes pour avoir du recul, la mort par noyade est une quasi-certitude. Une perspective d’avenir qui en paralyse plus d’un !

      En ce qui concerne l’Europe, les chiffres prévisionnels(([7] https://experience.arcgis.com/experience/5f6596de6c4445a58aec956532b9813d/page/home/)) publiés par l’agence européenne pour l’environnement, sur la base des prévisions du GIEC, donnent une élévation moyenne allant de 30 cm (optimiste) à 70 cm (moyenne pessimiste). Le scénario pessimiste est en fait large puisque la fourchette indiquée va de 40 cm à 1 m (donc 70 cm en moyenne). Nous sommes là sur une vitesse d’élévation du niveau allant de 3,7 mm (optimiste) par an à 8,6 mm (moyenne pessimiste) par an, voire pour les endroits où la prévision est de 1 m de hausse une élévation moyenne de 12,3 mm par an.

      Quels sont les relevés opposables à ces assertions ?

      Il s’avère que depuis plus de 100 ans, de nombreux marégraphes permettent des relevés précis de la variation du niveau des mers. Une étude a été menée portant sur la période 1840 – 2018, en prenant en compte 12 marégraphes installés sur les principaux ports européens. Cela concerne l’Atlantique, la Mer du Nord, la Mer Baltique et la Méditerranée. Les relevés sont reportés dans le tableau que vous trouverez à la page 26 de ce rapport d’étude : http://www.pecheurdetoiles.com/IMG/pdf/maregraphie_cotiere___rev_9.pdf

      Ce qui, dans un premier temps, nous intéresse c’est la troisième colonne qui donne la vitesse d’élévation réelle (mesurée), et comme vous pouvez le voir, les chiffres vont de 1,1 mm/an à un maximum de 1,8 mm/an. Nous sommes très, très, loin du maximum de 12,3 mm/an projeté par le GIEC. L’erreur est ici de 680 %. Est-il utile d’ajouter un commentaire ?

      Cependant, nous pourrions objecter, comme le fait le rapport du GIEC, que la vitesse constatée sur la période ne traduit pas l’accélération du phénomène, qui laisserait donc penser que sur les dernières années la vitesse d’élévation est plus élevée, et que c’est cette accélération qui est catastrophique à terme. C’est pour cela que la présente étude a calculé, toujours à partir des mesures réelles, l’accélération de l’élévation (dernière colonne). Et, comme vous pouvez facilement le lire, sur tous les marégraphes l’accélération est infime puisque calculée en µm (micromètre = 0,001 mm), voire négative pour Marseille et Hoek.

      Donc en l’état, la réalité du terrain nous dit que non seulement il n’y a pas d’élévation anormale des mers, mais qu’en plus on ne constate aucune aggravation de cette éventuelle montée. On notera que les Océans, durant notre ère, ont une tendance naturelle à la hausse, et que sous des délais que nous ne connaissons pas, probablement des milliers d’années, le paysage du monde est naturellement appelé à se modifier, comme c’est le cas depuis des millions d’années.

      Pour autant, il y a, comme il y a toujours eu, des érosions de côtes, et des littoraux insulaires ou non qui sont rognés par la mer. Il convient ici de distinguer ce qui relève des modifications naturelles du paysage, de ce qui pourrait être le fait d’activité humaine. D’ailleurs, comme évoqué au chapitre 6, les sociétés d’assurances, qui sont les plus grands spécialistes mondiaux des calculs des risques (ici climatique), n’envisagent pas de surprime pour les habitats côtiers, ni de refuser de les assurer. Ils savent qu’à moyen terme, deux générations, soit la fin du siècle, il n’y aura aucun problème, si ce n’est des phénomènes locaux tout à fait naturels.

      D’autre part, selon le GIEC, l’augmentation des températures et des eaux est essentiellement causée par l’augmentation en concentration de CO2 dans l’atmosphère. Or, comme expliqué au chapitre 6, le carbone ne peut avoir l’influence qu’on lui prête. Non seulement sa vibration ne couvre que 10% des émissions radiatives émises par la Terre (effet de serre), mais en plus, ce gaz a la particularité physique d’être saturé en absorption (il ne peut pas retenir plus de chaleur qu’il ne le fait déjà, même en augmentant sa concentration). Et ces faits jouent pleinement sur les surestimations diffusées par le GIEC, puisque la presque totalité des calculs est réalisée avec la variable carbone comme pivot.

      Comme vous venez de le voir, sur les deux valeurs emblématiques que sont la température moyenne, et la montée des eaux, les prévisions du GIEC sont très au-dessus de la réalité.

      Le problème c’est que ces surévaluations ne datent pas d’hier, déjà en 2008 un magazine scientifique comme Futura science, pourtant pro-GIEC, titrait(([8] https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/climatologie-rechauffement-climatique-venir-peut-etre-surestime-17410/)): « Le réchauffement climatique à venir peut-être surestimé ! », reprenant une étude publiée dans le très sérieux Nature Geosciences, et qui démontrait que le taux de CO2 émis était largement surestimé par le GIEC dans son rapport 2007.

      En 2009 plusieurs scientifiques avaient tiré la sonnette d’alarme et pour certains quitté le GIEC face aux manques de sérieux dans les études retenues. Comme le professeur Paul Reiter, entomologiste à l’Institut Pasteur et contributeur pour le Giec, ou encore Chris Landsea, spécialiste des ouragans, dénonçant des « objectifs préconçus et scientifiquement non valables » du GIEC(([9] https://www.lefigaro.fr/lefigaromagazine/2010/01/30/01006-20100130ARTFIG00029–les-bourdes-repetition-du-giec-.php)). Citons également l’étude des variations de température de Michael Mann, point phare des rapports, qui dans le rapport AR4 avaient tout simplement fait disparaître l’Optimum médiéval qui ne collait pas avec les théories que lui demandait de prouver le GIEC. Cet « arrangement » avec la réalité avait soulevé de nombreuses remarques acerbes quant au fonctionnement opaque du GIEC !

      En 2010, face aux nombreuses critiques, l’ONU diligente une enquête(([10] https://www.actu-environnement.com/ae/news/onu-enquete-GIEC_9785.php4)) visant le GIEC, pour comprendre pourquoi certaines valeurs sont surestimées, ou modifiées indépendamment de la réalité, contre toute rigueur scientifique. Bien entendu, cette enquête ne débouchera sur rien. L’ONU ne souhaite pas porter préjudice à son outil climatique, même aux prix d’arrangements avec la réalité qui sont rarement repris par les médias, dès lors le grand public ne s’en émeut pas.

      En 2013, Ross Mc Kitrick, un économiste canadien mondialement reconnu pour ses travaux sur l’environnement, et qui avait démonté une erreur manifeste dans le graphique des augmentations de température dit en « Crosse de Hockey », et qui s’avérera être à l’époque l’argument central des climato-alarmistes (le GIEC reconnaîtra l’erreur, mais ne le corrigera pas), avait résumé la comparaison entre les prévisions du GIEC et les mesures réelles de la façon suivante(([11] https://www.contrepoints.org/2013/10/30/144432-le-GIEC-et-les-previsions-de-rechauffement-requisitoire-contre-les-modeles-climatiques)): « Depuis que nous [le GIEC] avons commencé en 1990, nous avons vu juste pour l’Arctique, faux pour l’Antarctique, faux pour la troposphère tropicale, faux pour la température de surface, faux pour les ouragans, faux pour l’Himalaya, faux pour la sensibilité climatique. Nous sommes dans le brouillard au sujet des nuages et inutile au sujet des tendances régionales. Et au vu de ces constats, nous sommes confiants à 95 % d’avoir raison ! »

      On pourrait dire que Mc Kitrick résume en quelques phrases la présente tribune !

      Concernant les rapports de 2012 (dits AR5), plusieurs scientifiques, qui ont lu l’intégralité du rapport technique, on fait savoir qu’il y avait de très nombreuses remarques de relecteurs (annexées) qui faisaient état d’erreurs de calcul. C’est, entre autres, ce qui avait valu la sortie de Ross Mc Kitrick. On rappellera que le GIEC a une obligation morale d’annexer les remarques des relecteurs, mais aucunement ni d’y répondre, ni d’en tenir compte. Ce qui se voit que très rarement dans un cadre scientifique. La relecture par les pairs est un pivot de la science en ce qui concerne les publications. Sachant que les publications jouent un rôle très important dans la renommée d’un scientifique et son niveau de compétence mesurée selon divers indicateurs.

      Bref, qu’un organisme comme le GIEC se prétende scientifique et en même temps ne tienne aucunement compte des remarques des relecteurs devrait suffire à le disqualifier. En son temps (rapport AR5 de 2012), le Pr Gervais, spécialiste français de l’infrarouge (donc effet de serre), s’avéra être relecteur. Après avoir passé beaucoup de temps à analyser les rapports et avoir émis une liste conséquente de remarques, questions, et identifications d’erreurs, il se rendra à l’évidence quant au fait que son travail était finalement « classé à la verticale », et que les relecteurs ne servaient que de « cautions ».

      Enfin, en décembre 2018, une étude publiée(([12] https://www.maxisciences.com/rechauffement-climatique/la-hausse-de-la-temperature-terrestre-surestimee_art11972.html)) par Eurekalert (USA), reprenant les données du GIEC, annonce une hausse des températures de 2,4 °C pour 2020. Encore une fois, plusieurs scientifiques s’étonnent d’un tel chiffre tout à fait impossible et mettent en exergue des erreurs dans les calculs, ce à quoi M. Osvaldo Canziani, alors responsable du GIEC a répondu qu’il était trop tard pour modifier la publication. De là à penser que cette « erreur » a été faite à dessein il n’y a qu’un pas.

      À travers ces quelques exemples, mais il y en a des centaines, nous voyons qu’il existe un vrai décalage entre les projections faites par le GIEC et la réalité. Nous sommes en droit de nous demander pourquoi. La réponse à cette question tient principalement en deux points.

      Tout d’abord, comme nous l’avons évoqué dans les paragraphes précédents, le GIEC part du postulat qu’il y a un réchauffement d’origine anthropique, et qu’il y a une urgence climatique. Comme l’a démontré le Climategate, pour un certain nombre de responsables du GIEC il faut, quitte, à déformer la réalité, prouver cette urgence, c’est devenu une question dogmatique. Comme ils bénéficient d’une très grande indulgence de la part des acteurs médiatiques, il est rare que leurs prévisions soient, quelques années plus tard, comparées aux réalités mesurées, ou quand c’est le cas, les valeurs sont soigneusement choisies. Dès lors, le GIEC continue de surestimer ses scénarios. C’est un moyen de justifier son existence même, et surtout de maintenir, à la demande de certains États, la pression (pour des motifs économiques et politiques).

      Le second point est scientifique. En fait, comme vous l’avez maintenant compris, il est totalement impossible, ou, disons très aléatoire, de prévoir le climat dans 5 ans, 10 ans, ou pire 80 ans. C’est ce qui a amené le prix Nobel de chimie Kary Mullis, à dire que la climatologie est une « plaisanterie », dans le sens où prédire sur le long terme le climat avec une certitude élevée n’est pas à portée de nos connaissances et nos capacités de calculs (informatiques) actuelles. Le climat est un système chaotique extrêmement complexe. D’une part, le réglage des variables est très fin, une infime variation peut tout changer (ce que l’on appelle l’effet papillon). Et d’autre part, on ne connaît pas l’exhaustivité des variables, il y en a trop à prendre en compte. Retenez qu’un système chaotique se traduit très difficilement par des équations mathématiques, de nos jours personne n’est en mesure de s’assurer de leur validité. Et pire, les équations utilisées jusqu’à maintenant se sont révélées fausses, puisque les chiffres, comme nous venons le voir, ne correspondent pas à la réalité. Toute cela amène à ce que les résultats donnés par des équations de modélisation du climat ne sont que des approximations, avec tout ce que cela implique…

      Si on parle d’éléments, comme la température d’une zone, la nébulosité, ou encore la pression atmosphérique, actuellement, les meilleurs météorologues, avec les ordinateurs les plus puissants du monde, peinent à obtenir des valeurs tout à fait exactes au-delà de 6 heures. En aéronautique, les pilotes préparant un vol prennent en compte des données avec une projection de quelques heures, au-delà, c’est trop aléatoire. Alors, quand quelqu’un vous dit avec certitude que la température à Paris sera entre x°C et y°C en 2100, ou encore, que la côte atlantique française verra l’océan monter de 50 cm en 2050. Soit c’est un devin capable de lire l’avenir, soit il dispose d’une technologie inconnue par l’espèce humaine…

      Ce à quoi, face à cet argument implacable, certains de répondre que la météorologie n’est pas le climat, éludant la question. Mais, cette aversion est fausse, car la météorologie est une composante du climat, et pour tout dire la principale. Le climat est donné comme étant une moyenne météorologique sur 30 ans. L’ONU de spécifier sur sa page « Action climat » : « Les changements climatiques désignent les variations à long terme de la température et des modèles météorologiques. » Quand le GIEC annonce des projections de températures moyennes pour 2050 ou 2100, il fait de la météorologie prédictive, il donne des indicateurs météorologiques. Et quand les services de météorologie nous disent qu’à 5 jours le taux d’erreur est compris entre 60% et 70%, que dire quand vous essayer de projeter non pas une température fixe, mais une fourchette à 1°C ou 2°C sur 50 ans !

      De nombreux mathématiciens émettent depuis des décennies de sérieux doutes quant à la validité de tels modèles. À l’exemple de Benoit Rittaud, mathématicien français, spécialiste des systèmes dynamiques (le climat est un système dynamique), chargé de mission auprès de l’institut mathématique du CNRS, enseignant-chercheur, maître de conférences, membre de l’institut Galilée, président de l’association scientifique des Climato-réalistes, auteur d’une quinzaine d’ouvrages scientifiques traduits en plusieurs langues. Et qui dans son livre « Le mythe climatique », édité en 2015, dénonce également, preuves à l’appui, le fait que les équations actuelles ne peuvent traduire le climat à venir sur le moyen terme, soit quelques années (ne parlons même pas du long terme).

      Enfin, et peut-être surtout, comme évoqué en introduction, le GIEC lui-même reconnaît cette impossibilité de prévoir le climat !
      On trouve ainsi dans le rapport AR3 de 2001(([13] https://www.ipcc.ch/site/assets/uploads/2018/03/WGI_TAR_full_report.pdf)), au chapitre 14.2.2.2, la phrase suivante : « Dans la recherche et la modélisation du climat, nous devons reconnaître que nous avons affaire à un système chaotique non linéaire couplé, et donc que la prédiction à long terme des états climatiques futurs n’est pas possible. »

      Puis dans le rapport suivant, AR5 de 2013, page 16 du résumé la phrase suivante : « Les modèles climatiques incluent désormais davantage de processus décrivant les nuages et les aérosols, et leurs interactions, mais le degré de confiance dans la représentation et la quantification de ces processus dans les modèles reste faible. »

      Et enfin, en 2022 dans le rapport AR6, le GIEC reconnaît que ses modèles mathématiques ont tendance à chauffer (à surestimer).

      Même pour le GIEC, les prédictions sur le long terme sont douteuses, et le degré de confiance dans les prévisions reste faible. Un aveu qui devrait avertir le monde politique… Or ce n’est pas le cas… Il y a trop d’intérêts en jeu.

      Pour terminer, un autre phénomène doit être mis dans la balance : le caractère millénariste humain. Ces idées de catastrophes menant à la fin de l’humanité sont apparues à la fin d’un siècle et d’un millénaire. Inconsciemment, l’être humain réagit souvent de façon désordonnée face à un changement, quel qu’il soit. Et, à plusieurs reprises, nos ancêtres ont eu à faire face aux mêmes peurs. La seule différence, c’est qu’en cette fin de XXe début de XXIe nous habillons cela de « science ». Cet état cérébral millénariste, propre aux humains que nous sommes, favorise l’illusion d’un état catastrophique, et d’une augmentation des phénomènes menant à l’apocalypse (qui bien que pour Saint-Jean il s’agisse de révélation, dans l’imaginaire populaire ce nom renvoie à une fin catastrophique). Ce changement de millénaire amène de nombreuses personnes, y compris scientifiques, à militer pour une fin du monde probable, de façon irraisonnée, mais correspondant à un réflexe humain.

      En conclusion, de nombreuses informations données dans les rapports du GIEC ne tiennent pas face aux mesures réelles. Même si le GIEC s’inscrit dans des tendances, les données publiées s’orientent trop aisément vers des scénarios très élevés, amenant alors à des positions anxiogènes et à une notion d’urgence qui dispose de toutes les composantes pour s’avérer être dangereuse pour les nations occidentales (lois, contraintes, dépenses inutiles, tensions internationales, guerre, dictature, contrôle des populations, etc.). D’autre part, il n’est pas scientifiquement sérieux de prétendre aujourd’hui donner les orientations fiables quant à l’état du climat dans le temps. Là où jadis on faisait appel à l’astrologie pour prédire le futur, de nos jours on se pare de la cape scientifique pour faire la même chose. Peut-être qu’un jour nous disposerons de la puissance de calcul pour approcher des projections fiables à quelques années, mais cela n’est pas encore le cas.





      La gestion de la pandémie n’était pas moins « toxique »

      [Source : libremedia.ca]

      [Illustration : François Legault au Salon du livre de Québec, le 6 avril 2022. Photo : page Facebook officielle de François Legault.]

      [NDLR L’article traite plus particulièrement de la situation au Québec, mais la problématique centrale évoquée s’est retrouvée dans de nombreux autres pays du monde.]

      Par Philippe Sauro Cinq-Mars

      Pour le chroniqueur Philippe Sauro Cinq-Mars, l’actuel climat de tension s’explique davantage par les insultes proférées durant la crise envers une partie de la population que par la campagne électorale d’Éric Duhaime. 

      Le 28 août dernier, alors qu’ils installaient leurs pancartes électorales, des militants conservateurs ont été menacés au couteau et accusés d’appartenir à un parti « fasciste ». 

      C’était le premier acte de violence de la campagne électorale, et il était dirigé contre le Parti conservateur… Il est donc assez surprenant de voir d’autres partis et commentateurs accuser Duhaime de rendre le climat «toxique» depuis quelques jours, dans un déni complet du salissage et des insultes incessantes adressées à ce parti et ses supporteurs depuis des mois. 

      Une conséquence de la polarisation

      Il faut quand même avoir l’honnêteté de reconnaître que de traiter un large pan de la société de «complotistes», de «coucous», de «covidiots», de se moquer inlassablement de leurs appels à la «libârté», d’affirmer qu’ils ne croient pas en la science et qu’ils font partie de l’extrême droite, tout ça, au moment même où le gouvernement imposait les mesures les plus strictes de notre histoire, avec un couvre-feu, un passeport vaccinal et la fermeture des commerces «non essentiels» était plutôt «toxique». 

      Qui aurait cru que polariser la société de la sorte pouvait causer du ressentiment politique ? 

      Dans ce lourd contexte, les accusations actuelles à l’encontre de Duhaime sont honteuses. 

      La réalité, c’est que le climat social en entier est devenu toxique durant la pandémie. La réalité, c’est que ceux qui accusent Duhaime de «toxicité» sont les premiers à se laisser aller aux injures, aux étiquettes et à l’arrogance par le simple refus de débattre. 

      Les risques de cette forte polarisation créée par le gouvernement Legault et quelques chroniqueurs ont été exprimés à plusieurs reprises dans les derniers mois, pour être simplement ignorés par les concernés.

      Les plaies ne sont pas refermées 

      Avec la guerre en Ukraine, les problèmes économiques occasionnés, la fin des mesures sanitaires et l’été, les Québécois semblent avoir oublié les dernières années de pandémie et renoué avec une vie normale, ce qui est très bien. 

      Or, c’est la première élection depuis la pandémie. Toute forme de violence est inacceptable, mais dans une perspective sociologique, il est donc tout à fait normal que ces évènements extraordinaires occasionnent des réactions et des attitudes à fleur de peau.

      À lire aussi : Le point de non-retour

      Des gens ont fait faillite, des gens n’ont pas pu être aux côtés de leurs proches mourants, des gens ont fait des dépressions, seuls et isolés chez eux, des gens ont vécu de l’ostracisme en raison de leur statut vaccinal et ont été rejetés des lieux publics. 

      Les blessures sont profondes et on voudrait qu’on classe le récent traumatisme dans les «vieilles histoires» comme l’a affirmé François Legault le 1er septembre, lorsqu’il a été interpellé par une femme non vaccinée? 

      Condamner la violence, certainement, mais refuser d’entendre l’immense frustration populaire? Jamais.

      Une simple stratégie de campagne

      Le parti d’Éric Duhaime a fait un bon début de campagne en se concentrant sur les enjeux économiques, mettant ses adversaires sur la défensive, et particulièrement la CAQ [Coallition Avenir Québec, le parti du Premier Ministre François Legault]

      Le parti de François Legault est entré en mode panique et s’est mis à multiplier les annonces économiques pour lui faire concurrence. 

      Il fallait donc briser l’initiative du Parti conservateur, le remettre sur la défensive, et quelle meilleure manière que d’agiter encore une fois le spectre de la violence politique et de la toxicité ? 

      À lire aussi : Continuer ou s’effondrer?

      La chose est devenue un classique des élections partout dans le monde depuis quelques années : les partis associés à la «droite» sont systématiquement accusés d’extrémisme et d’alimenter la violence… De «toxicité», pour employer le terme woke à la mode. 

      La CAQ le sait très bien: c’est elle qui en faisait les frais en 2018, notamment avec son projet de loi sur la laïcité ! 

      Ce qui est surprenant, par contre, c’est de voir les adversaires d’Éric Duhaime mener cette attaque aussi tôt dans la campagne… C’est habituellement un joker qu’on sort en dernier recours.

      Est-ce à dire que les autres partis ont déjà épuisé leur jeux après une seule semaine de campagne ? L’avenir nous le dira, mais on sent déjà l’improvisation et l’agitation médiatique prendre le dessus chez les opposants du PCQ.