France — Lettre ouverte aux sénateurs contre le projet de loi de « vaxx oblig »

Par Syndicat « Enseignement Recherche Liberté ! »

La « Lettre ouverte aux sénateurs contre le projet de loi de vaccination obligatoire » rédigée par le syndicat « Enseignement Recherche Libertés! » ayant le mérite d’exister, chacun peut l’envoyer avec un petit mot d’accompagnement…

Cet envoi paraît d’autant plus utile que la vaccination obligatoire est censée compléter la surveillance numérique totale à la chinoise recommandée par le rapport n°673 du sénat.

Jean Happel


Syndicat « Enseignement, Recherche, Libertés ! »

Lettre ouverte à Mesdames et Messieurs les Sénateurs

Mesdames et Messieurs les Sénateurs,

Le syndicat d’enseignants, de chercheurs et de personnels d’éducation « Enseignement, Recherche et Libertés ! » a examiné votre proposition de loi relative à la vaccination obligatoire, prévue à la discussion courant octobre 2021.

Outre l’idée, irrationnelle, d’imposer à l’ensemble de la population une injection sous AMM provisoire et conditionnelle et qui est toujours en phase III des essais cliniques, notre syndicat dénonce les contre-vérités nombreuses que comporte l’« Exposé des motifs » censé justifier cette proposition de loi.

Nous rappelons en préambule qu’un vaccin, comme tout traitement médical, doit présenter plus de bénéfices que de risques, protéger le sujet d’une maladie potentiellement grave pour laquelle n’existe aucun traitement et réduire la propagation de l’épidémie. Un vaccin n’est cependant jamais une panacée : 
https://reinfocovid.fr/science/la-vaccination-est-une-excellente-solution-contre-certaines-maladies/

Si notre syndicat fait, comme vous, confiance aux scientifiques, cette confiance ne se confond en aucun cas avec une « croyance » (cf. « Exposé des motifs ») : cela relèverait d’une démarche irrationnelle et conduirait à exposer la population à des dangers plus grands que la maladie dont on prétend la protéger.

  1. Sur la gravité de la COVID-19

Il est connu depuis mars 2020 que les principales victimes de la COVID-19 sont des sujets âgés, obèses et diabétiques présentant généralement des facteurs de risques sanitaires importants. Selon le site
https://geodes.santepubliquefrance.fr/, il est attesté que la population jeune et en bonne santé générale ne risque pas de mourir de la COVID 19. Les chiffres donnés par Géodes indiquent que les décès pour la population en dessous de 20 ans sont plus qu’exceptionnels. On sait aussi que sur l’année 2020, la surmortalité fut identique à celle de 2015, et a surtout concerné des personnes de plus de 80 ans :
https://colab.research.google.com/drive/1TGhYXE7F9LnXavVcvgSa7_PyXGa-lElF

  1. Sur le taux d’incidence de la COVID-19 en septembre 2021

En se penchant par ailleurs sur le taux d’incidence de la COVID-19 sur le territoire français métropolitain, on s’aperçoit qu’il est actuellement très bas (6 cas pour 100 000 habitants). En d’autres termes, nous ne sommes pas, en septembre-octobre 2021, en épidémie :
http://www.sentiweb.fr/france/fr/?page=maladies&mal=25.

  1. Sur la vaccination « altruiste », la protection collective et les variants

Les pays qui mènent des campagnes vaccinales massives contre la Covid sont victimes de vagues d’infections massives (voir Israël). Le vaccin contre la Covid n’empêche ni de développer la maladie ni de la transmettre. D’après des données du CDC (Center for Disease Control and Prevention) rendues publiques en juillet 2021, plus de 70 % des personnes malades de la Covid aux États-Unis étaient doublement vaccinées :
https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/pdfs/mm7031e2-H.pdf

Croire à une protection générale (cf. « Exposé des motifs ») par la vaccination universelle est donc une chimère, les personnes vaccinées continuant d’être porteuses, malades et vectrices du virus.

Ainsi, votre affirmation « Nous avons la chance de bénéficier de vaccins qui, collectivement, nous protègent et nous permettent de renouer avec un quotidien apaisé, de limiter les restrictions et les privations de liberté, de mettre fin à la situation que nous connaissons depuis trop longtemps, faite de craintes pour nos familles, pour nos emplois, pour la scolarité de nos jeunes » relève du vœu pieux.

  1. Sur la vaccination obligatoire et le danger des vaccins anti-COVID-19

Ces produits, en phase III d’expérimentation et sous AMM provisoire et conditionnelle, ne peuvent de surcroît pas être légalement imposés. Contraindre la population à participer à une telle expérimentation médicale enfreint l’article 223-8 du Code Pénal.

Vous ne pouvez non plus ignorer le très récent règlement européen, adopté le 14 juin 2021 (Règlement 2021/953 du 14/6/2021)1 qui prévoit notamment qu’il y a lieu « d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, quelle qu’en soit la raison, y compris lorsque ces personnes ne souhaitent pas se soumettre à ces injections ».

Vous osez pourtant le parallèle avec des obligations vaccinales décrétées précédemment pour enrayer des maladies gravement incapacitantes comme la tuberculose, la variole ou la poliomyélite (cf. « Exposé des motifs »). Mais la Covid 19, affection virale grippale pulmonaire classée par le Réseau Sentinelles INSERM dans les infections respiratoires aiguës (IRA), ne correspond pas à ce type de maladie. Au surplus, les vaccins antituberculeux, antivariolique ou antipoliomyélitique ont été rendus obligatoires après une très longue période probatoire, ce qui n’est pas le cas des vaccins contre la Covid, expérimentaux, dont on ne sait rien des effets secondaires à moyen et à long terme, mais dont on connaît bien, en revanche, les effets secondaires immédiats, qui sont nombreux, dont la mort :
https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-06/03-COVID-Shimabukuro-508.pdf

Pourtant, vous affirmez encore dans votre « Exposé des motifs » que « la vaccination obligatoire (…) est la manifestation de la primauté de l’intérêt général (…) ». Rien ne saurait être plus faux ! La vaccination expérimentale contre la Covid n’offre qu’un espoir, entièrement hypothétique, de « protection générale ». Cela relève en effet, comme vous l’admettez à juste titre, de la « croyance » (cf. « Exposé des motifs »).

En réalité, cette « obligation vaccinale » que vous entendez promouvoir, déraisonnable, contraire à l’intérêt général, illégale, serait pour vous un moyen de vous dispenser de la fastidieuse chasse à ceux des Français qui s’obstineraient, malgré toute la « pédagogie » (si on peut se risquer à l’emploi d’un tel terme…) du gouvernement, à refuser ces injections.

Pour l’ensemble de ces raisons, le syndicat « Enseignement Recherche Libertés ! » combattra cette proposition de loi, et a d’ores et déjà saisi tous les parlementaires pour les persuader de la rejeter.

Avec nos salutations.

Enseignement, Recherche, Libertés !


Emails/courriels des sénateurs

(Réf. www.voxpublic.org)




Plainte personnalisée CSAPE

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Plainte à associer avec la plainte n° OTP-CR-271/21

Cour pénale internationale

Oude Waalsdorperweg 10,

2597 AK Den Haag, – Pays-Bas –

Unité des informations et des éléments de preuve

Bureau du Procureur Karim Asad Ahmad KHAN

Par LRAR internationale N° :

Et par e. mail à : otp.informationdesk@icc-cpi.int

Date :

Vu les articles 13.c et 15 du Statut de Rome

Monsieur le procureur Karim Asad Ahmad KHAN,

Intervenant pour moi-même, j’agis également dans l’intérêt de la population, qui à mon sens, a été bernée pour une partie et dont l’autre partie veut exercer son droit le plus sacré de refuser les mesures liberticides dégradantes et l’inoculation de ce produit d’ingénierie pharmaceutique expérimentale improprement qualifié de « vaccin » aux sens médical et légal, dont personne aujourd’hui ne peut dire quelle en sera l’issue, alors qu’elle s’impose insidieusement et en toute illégalité par l’instauration d’un passeport sanitaire.

A défaut d’avoir favorisé tout débat en regard de la réalité et d’une abondante littérature scientifique internationale pour n’autoriser sur la scène publique que l’intervention et les avis de professionnels de santé en conflit d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique, l’Etat français, par des lois liberticides qui se sont substituées à une véritable politique de santé publique mesurée et adaptée à un virus, a basculé dans un régime totalitaire, voire dictatorial au nom du Covid-19, par une généralisation de l’extorsion au consentement sur le test RT-PCR, sur le « VACCIN », par l’imposition du masque, la contrainte à résidence surveillée, en violation de tous les traités et codes internationaux.

Je rappelle avec force que l’Etat français ne peut se soustraire au droit international applicable en raison de la situation sanitaire; en effet, selon la Cour Européenne des Droits de l’Homme, il convient « de regarder au-delà des apparences et d’analyser les réalités de la situation litigieuse. » CESDHLF, 23 septembre 1982, n°7151/75 et 7152/75, Sporrong et Lönnroth c/Suède, § 63.

La mise en quarantaine de la Convention de Sauvegarde des Droits de l’Homme et des Libertés Fondamentales (CESDHLF) n’est pas, comme certains feignent de le faire croire, de vanter les mérites de la clause dérogatoire de l’article 15 de la Convention, mais d’examiner la réalité de la situation induite par le non-recours à l’article 15, du côté de Strasbourg et, surtout, du droit interne.

D’une part, la France avait la faculté, et non l’obligation, ainsi relevée, de recourir à l’article 15.

D’autre part, les conditions d’ouverture de l’article 15 « l’existence d’un danger public menaçant la vie de la nation » devaient être réunies.

La France a fait le choix politique de ne pas recourir à l’article 15 de la Convention (CESDHLF).

Est-elle pour autant fidèle à l’esprit de la Convention ?

Non, car la logique même de l’article 15 est que l’État déclenche le mécanisme d’exception de l’article 15 dès lors que les ressources ordinaires de la Convention (clause d’ordre public) sont insuffisantes pour faire face au danger public.

C’est ce que préconise le directeur de la direction du conseil juridique et du droit international public du Conseil de l’Europe, dans un mémorandum adressé, le 16 mars, aux représentants permanents des États et intitulé :

« Covid-19. Derogations under article 15 of the European Convention on Human Rights »:

« Under article 15 of the Convention, the High contracting Parties may derogate from obligations under the Convention ‘in time of war or other public emergency threatening the life of the nation’. On 11 March 2020, the World Health Organization (WHO) characterized Covid-19 as pandemic. Due to the alarming levels of spread and severity of the disease, it would appear justified to speak of a public emergency threatening the life of the nation.

According to the European Court of Human Rights, the situation must be such that normal measures permitted under the Convention will not be adequate to address that situation ».

L’article 15 fait notamment office, de « disposition barrière » qui, visant à empêcher la propagation des mesures exceptionnelles restrictives des droits et libertés dans le droit commun, fait obligation à l’État de faire connaître au Secrétaire général du Conseil de l’Europe que la période dérogatoire a pris fin et qu’il a fait disparaître de son droit ces mesures d’exception et, ce, sous le contrôle ultérieur éventuel de la Cour.

La France a choisi de recourir à l’état d’urgence, mais en se plaçant en dehors du contrôle des instances du Conseil de l’Europe. La garantie du dispositif de l’article 15, fragile mais néanmoins existante, disparaît.

On peut certes objecter qu’en 2015, la France a déclenché l’article 15 et que cela n’a pas empêché que des dispositions d’exception soient basculées ensuite dans le droit commun.

Cela sera d’autant plus aisé pour la France à l’abri du regard extérieur d’un tiers impartial…

En droit interne, la question qui importe, est de savoir si le choix de ne pas recourir à l’article 15 et de

rester dans le droit commun permet une protection efficace des droits garantis par la Convention.

Or, il y a l’apparence et la réalité.

L’apparence : le non-recours à l’article 15 induit que la CESDHLF et le droit international, notamment coutumier, continuent à s’appliquer en droit interne.

Mais la réalité est autre : le contrôle de conventionalité est évanescent bien que les ordonnances de référé « covid-19 » soient, pour la plupart, rendues à son visa. Le juge du Conseil d’État fait « comme si » l’article 15 était applicable et considère en conséquence que l’État dispose d’une marge d’appréciation d’une amplitude telle que le contrôle de conventionalité devient purement formel et n’hésite pas à violer le droit international.

Ceci est d’autant plus choquant, que l’état d’urgence n’est pas un obstacle insurmontable ; le juge du référé-liberté du Conseil d’État l’avait démontré lors de l’état d’urgence de 2015 pour lutter contre les menaces terroristes, n’hésitant pas, alors que la France avait recouru à l’article 15 de la Convention, à «sortir» de cette disposition pour appliquer le droit commun de l’article 8 de la Convention et exercer un contrôle strict de proportionnalité sur des mesures d’assignation à résidence ou de la liberté d’entreprendre.

Voir : CE, ord, 6 janv. 2016, n°395622 et 395620/21 ; 11 janv. 2016, 1507833 ; 20 janv. 2016, 1600136 ; 22 janv. 2016, 396116.

La conclusion : le non-recours à l’article 15 de la convention induit nécessairement que la CESDHLF et le droit international, notamment coutumier, continuent à s’appliquer en droit interne.

Le droit international prévoit l’absence d’immunité pour les chefs d’État et leurs administrations en matière de crimes contre l’humanité et plus généralement toute violation grave au droit international.

Ceux qui sont responsables de torture, de génocides et d’autres crimes contre l’humanité ne peuvent invoquer l’immunité, ni des privilèges spéciaux dans le but d’échapper à une responsabilité civile ou pénale.

La règle fondamentale, en droit international, selon laquelle il n’y a pas d’immunité au regard du droit international pour les chefs d’État et les responsables des affaires publiques en cas de crimes contre l’humanité, a été établie de longue date.

Le principe général de droit international reconnu par le Traité de Versailles du 28 juin 1919, selon lequel l’immunité des chefs d’État au regard du droit international a des limites, s’impose notamment lorsqu’il s’agit de crimes violant le droit international.

Dans l’article 227 de ce Traité, les puissances alliées et leurs associés ont publiquement mis en accusation «Guillaume II d’Hohenzollern, ancien empereur d’Allemagne, pour crime gravissime contre la morale internationale et le caractère sacré des Traités» et ont institué un tribunal spécial pour faire juger l’ancien chef d’État par des juges désignés par la Grande-Bretagne et d’autres pays.

L’article 7 du Statut du tribunal de Nuremberg a été élaboré en 1945 dans un but clairement exprimé: «La situation officielle des accusés, soit comme chefs d’État, soit comme hauts fonctionnaires, ne sera considérée ni comme une excuse absolutoire, ni comme un motif de diminution de la peine».

Ainsi que le rappelle la 73e ASSEMBLEE GENERALE DES NATIONS UNIES :

« L’interdiction des crimes contre l’humanité constitue une norme impérative du droit international général (jus cogens) »

Le caractère coutumier de l’obligation de répression du crime contre l’humanité : il résulte de la pratique, de plusieurs résolutions de l’Assemblée générale des Nations Unies et du projet de code des crimes contre la paix et la sécurité de l’humanité, adopté par la CDI en 1996 que la répression des crimes contre l’humanité s’impose coutumièrement aux Etats et que le fait de ne pas avoir signé la convention ne les rend pas exempts de poursuite dès lors qu’il s’agit de crime contre l’humanité ou de génocide.

Sur ces fondements rappelés, j’ai décidé de déposer une plainte nominative contre :

* Pour avoir organisé une situation de dommages considérables et de crimes sur la population française :

Le président de la république française, monsieur Emmanuel MACRON,

Le premier ministre, monsieur Jean CASTEX, chef du gouvernement,

L’ensemble du gouvernement actuel représentant l’exécutif,

L’ensemble du comité scientifique dirigé par monsieur Jean-François DELFRAISSY,

L’Institut Pasteur en son Président : Christian VIGOUROUX, président de section au Conseil d’État et les Membres de droit représentants du ministre de la Recherche, du Budget, de la Santé, du président du Centre national de la recherche scientifique, le directeur général de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, ainsi que Sanofi Pasteur.

* Pour avoir participé activement en France :

la ministre de la santé, madame Agnès BUZYN,

le directeur général de la Santé, Jérôme SALOMON,

le président de l’assemblée nationale, monsieur Richard FERRAND,

l’académie nationale de médecine, Dr CHARPENTIER Bernard, 1ère division, Président

le conseil de l’ordre des médecins, Dr Patrick BOUET,

le conseil de l’ordre des infirmiers, monsieur Patrick CHAMBOREDON,

le conseil de l’ordre des masseurs-kinésithérapeutes, monsieur Pascale MATHIEU,

l’ensemble des ARS (agences régionales de santé) dont la liste des noms est communiquée,

l’ensemble des académies scolaires dont la liste des noms est communiquée,

* Pour avoir organisé et participé activement depuis l’international :

le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus (Genève, Suisse), le docteur Christian Drosten (Berlin, Allemagne),Bill Gates (Seattle, Washington, États-Unis), la commission européenne en sa présidente Ursula von der Leyen (Bruxelles, Belgique) et l’Agence européenne du médicament (EMA) en sa directrice Emer Cooke (Amsterdam, Netherlands).

En France, toutes les personnes ayant organisé ou participé à la répression disproportionnée et à ces crimes ont été mises en demeure de fournir des réponses à des questions précises (Pièce 1). Leur silence démontre la volonté, la détermination absolue de ne rien faire, témoignant l’intention de persister dans cette folie de violer les droits humains. Seul le comité scientifique a répondu, par la personne de monsieur DELFRAISSY, que son avis étant consultatif, sa responsabilité ne peut être engagée (Pièce 2). Comme je vais le démontrer ci-après, cette position ne pourra être retenue.

Je demande à la Cour d’ouvrir une enquête contre ces personnes pour crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, servitude et génocide.

Aux motifs d’avoir délibérément violé : le code de Nuremberg, droit coutumier opposable aux Etats, le PACTE INTERNATIONAL RELATIF AUX DROITS CIVILS ET POLITIQUES, droits égaux et inaliénables, dont la France est signataire, la Déclaration Universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme, dont la France est signataire (UNESCO), la Convention sur les droits de l’homme et la biomédecine, signée à Oviedo le 4 avril 1997 dont la France est signataire, la Convention Internationale des Droits de l’Enfant de l’UNICEF dont la France est signataire, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme dont la France est signataire, et enfin, le Pacte international relatif aux droits civils et politiques dont la France est signataire.

I. RAPPEL LIMINAIRE de la déclaration du Président de la CPI :

Le Président de la Cour pénale internationale, M. le juge Chile EBOE-OSUJI, à l’occasion de la Journée des droits de l’Homme a déclaré :

« Aujourd’hui, la Cour pénale internationale (« CPI » ou « la Cour ») s’associe aux peuples du monde entier pour marquer la Journée des droits de l’Homme, commémorant l’adoption de la Déclaration universelle des droits de l’homme le 10 décembre 1948 et son 70ème anniversaire cette année.

La Déclaration universelle des droits de l’Homme proclame des droits incontestables, auxquels toute personne a fondamentalement droit en tant qu’être humain.

Alors que nous commémorons la Journée des droits de l’Homme, rappelons le rôle important que joue la CPI dans ce système universel mis en place pour protéger efficacement les droits de l’Homme.

Fondée par le Statut de Rome, la CPI est la première Cour permanente qui poursuive les personnes accusées de crimes graves qui heurtent profondément la conscience humaine. Les atteintes à la dignité des personnes, la violence sexuelle, l’esclavage et d’autres crimes ne doivent pas rester impunis. Lorsque les tribunaux nationaux refusent ou sont incapables d’enquêter véritablement sur des crimes d’atrocité, la CPI peut et doit intervenir. »

II. Fondements juridiques de la demande :

LE DROIT INTERNATIONAL EN VIGUEUR Vu le Traité de Versailles du 28 juin 1919, Vu l’article 6c et 7 du Statut du tribunal de Nuremberg, Vu la 73ème ASSEMBLEE GENERALE DES NATIONS UNIES, Vu la CDI de 1996, Vu la Déclaration Universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme ART. 5, 6 § 1. 2. 3, 7, 9, Vu la Convention sur les droits de l’homme et la biomédecine, signée à Oviedo le 4 avril 1997 ART. 2, Vu le Code de Nuremberg notamment en son article 1 et 2, Vu la Convention Internationale des Droits de l’Enfant de l’UNICEF en ses articles 28, 29, 32, 37, Vu la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme dans ses articles : 3, 5, 9, 12, 13, 17, 18, 20, 26, 27, 28, 30, Vu le HCDH | Pacte international relatif aux droits civils et politiques dans ses articles: 7, 8 ; Vu la CESDHLF ; Vu le règlement n° 698/2019 UE, du 5.9,

PREAMBULE

AU NOM DU DROIT DES PEUPLES ET DE RAPPELER

Selon les textes constitutionnels en vigueur :

la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 : «… considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements. » « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression. »

Le Préambule de la Constitution française du 27 octobre 1946 : « au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine, le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés. Il réaffirme solennellement les droits et libertés de l’Homme et du citoyen consacrés par la Déclaration des droits de 1789 et les principes fondamentaux reconnus par les lois de la République. »

VISANT

LA VIOLATION DES LIBERTES – LA VIOLATION DES DROITS FONDAMENTAUX – LA VIOLATION DE

L’INVIOLABILITÉ DU DOMICILE – LA VIOLATION DU DROIT A L’AUTONOMIE PERSONNEL – LE CRIME

CONTRE L’HUMANITE – L’ATTEINTE A LA DIGNITE HUMAINE – LA SERVITUDE – LE GENOCIDE

Droits inaliénables et imprescriptibles.

Concernant la France

Objet : Plainte à associer avec la plainte n° OTP-CR-271/21, faisant corps avec la mise en demeure (Pièce 1) pour crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, mise en servitude, génocide et tout autre fait, contre les personnes nommées ci-dessus pages 3 et 4, et tout autre auteur, impliqués dans les infractions, demande que soient ordonnées les mesures coercitives nécessaires à l’établissement des faits, les saisies de documents, dossiers, courriels, notes internes, procès-verbaux de conversations, etc. , demande que soit interrogée également toute autre personne ayant contribué, directement ou par complicité passive, à ces crimes, et que soit entendue toute autre personne portant des faits profitables à l’établissement de la vérité.

Recevabilité de la plainte :

La France fait partie des pays signataires de toutes les conventions internationales et reconnait la CPI. La CPI (Cour pénale internationale) est compétente en la matière au vu des chefs d’accusations. Le requérant n’a posé aucun recours dans son pays; le droit privilège de l’Etat ne s’applique pas. L’Etat français a été interrogé préalablement (Pièce 1) sur les faits énoncés dans cette plainte et a délibérément ignoré le contenu motivé de l’interpellation, démontrant ainsi sa volonté de n’engager aucune action à la recherche de la vérité. Les plus hautes juridictions françaises refusent de statuer en bon droit et sont dans l’arbitraire. La plainte s’appuie sur des éléments factuels sérieux; tout commentaire journalistique ou conjecturel a été écarté. Les faits de crime étant de portée générale sur la population civile, le requérant est directement concerné au titre de la défense de l’intérêt général et de lui-même. L’infraction est constituée, par l’injection obligatoire d’un produit expérimental sans le consentement éclairé de la personne, par voie forcée, menaces et détention. Le droit international prévoit l’absence d’immunité pour les chefs d’États et leurs administrations en matière de crimes contre l’humanité, génocide et toutes violations graves du droit international.La plainte est introduite contre des individus et non contre les Etats.Dès lors, la plainte est recevable pour l’ouverture d’une enquête.

Je souhaite exposer les questions et faits suivants :

A- Questions :

1 – y a-t-il réellement une pandémie ? À quel point le virus est-il dangereux ? Si oui, pourquoi la définition d’une pandémie a-t-elle été modifiée et revue à la baisse par l’OMS, – en supprimant les deux derniers critères que sont le nombre de maladies sérieuses et le nombre important de décès causés -, pour la déclencher, alors que l’OMS a déclaré que le taux de mortalité n’était pas plus que celui d’une grippe normale, soit 0,14% dans le monde ? Et ce, sans rentrer dans la polémique du conflit d’intérêts en ce qui la concerne.

2 – Le test RT PCR est-il fiable? Pourquoi le test RT-PCR a-t-il été utilisé et continue à être utilisé, alors qu’il a été réfuté par ses pairs (vingt-deux scientifiques) et qu’une demande de rétractation a été déposée pour dix failles majeures scientifiques, étant d’une telle grossièreté scientifique que le but délibéré était et est toujours de créer des faux positifs ?

3 – Les cas d’infections existent-ils réellement ou sont-ils le résultat du test RT-PCR, la nature de l’infection n’ayant jamais été recherchée ?

4 – Dans quel but avoir créé le concept des infections asymptomatiques, alors que le CDC dans deux rapports différents et que plusieurs scientifiques admettent que le test RT-PCR est incapable de relever le 2019-nCoV, que cette idée que les personnes seraient malades sans le savoir relève de la supercherie immunologique et que les personnes sont en bonne santé ?

5 – Les masques chirurgicaux ou tissus sont-ils efficaces ? Si oui, où sont les études ? Dans quel but obliger les personnes à porter un masque, sachant que toutes les études depuis 1962 à 2021 démontrent l’inefficacité et la dangerosité des masques pour la santé ?

6 – Quel est le but de ces mesures anti-Covid qui imposent des confinements et des couvre-feux en privation de libertés physiques (le virus n’est-il dangereux que selon certaines plages horaires et que dans certains environnements de travail !?!), alors que toutes les études scientifiques démontrent l’inefficacité et la dangerosité de telles mesures provoquant des dommages incalculables par accroissement des décès, des suicides, des atteintes psychologiques, de la destruction des liens sociaux, des faillites d’entreprises par milliers, outre l’atteinte à la dignité humaine, l’humiliation, etc.., tout ceci reposant uniquement sur la base du test RT-PCR ?

7 – Le virus est-il d’origine humaine ? Si oui, pourquoi n’y a-t-il aucune poursuite, alors qu’il est établi avec certitude par des scientifiques et des études, que le virus n’est pas une zoonose ?

8 – Comment les dirigeants des Etats, – relayés par une propagande médiatique exacerbée, dont les médias français payés par l’Etat (Pièce 3) et pour certains, subventionnés par Bill GATES -, peuvent-ils affirmer disposer de « vaccins » contre le Covid-19, qu’ils sont efficaces, qu’ils sont sûrs, alors que les laboratoires eux-mêmes refusent de les garantir en s’exonérant de toute responsabilité dans les contrats signés avec leurs commanditaires ? Une telle affirmation ne constitue-t-elle pas une tromperie criminelle soumettant la population à une expérimentation médicale généralisée par de fausses informations et donc non éclairée, voire organisée afin d’amplifier les expériences sur le génome humain ?

Le Secrétaire général des Nations Unies, monsieur Antonio GUTERRES a déclaré publiquement :

« Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et adopté des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des organisations non gouvernementales, des défenseurs du droit humain, des journalistes, des avocats, des militants, des professionnels de la santé, ont fait l’objet d’arrestations, de poursuites, et des mesures d’intimidations et de surveillances pour avoir critiqué les mesures ou le manque de mesures…, les restrictions servent d’excuse pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques, l’accès à l’information vitale a été entravé, tandis que la désinformation mortelle a été amplifiée, y compris par certains dirigeants.»

B- Les faits :

• Principes applicables en droit :

1- Le périmètre du crime contre l’humanité en droit international :

si le droit coutumier détermine le type de conflit requis pour désigner un crime contre l’humanité, sa prohibition fait nécessairement partie du droit international coutumier. (1)

Le crime contre l’humanité n’existe pas seulement à travers sa codification; il s’inscrit dans l’ordre international comme une règle coutumière lui permettant d’interagir de manière plus étroite avec la morale internationale qui s’est développée depuis le XIXe siècle. Le crime contre l’humanité n’est donc pas une infraction figée et emprisonnée des textes. Son caractère coutumier lui permet d’évoluer et de s’adapter à l’évolution des mœurs de notre Société. Ses définitions conventionnelles paraissent alors être une application concrète et limitée de ce que recouvre l’infraction coutumière de crime contre l’humanité.

Le crime contre l’humanité n’est pas constitué d’une infraction qui lui est propre mais d’une série d’infractions.

La notion même d’infraction de crime contre l’humanité relève donc de l’assouvissement moral d’une indignation collective, un assouvissement moral qui doit s’en remettre entièrement au droit international pénal.

Le crime contre l’humanité s’inscrit essentiellement dans l’ordre international comme une infraction de droit international pénal. Le droit international pénal c’est-à-dire le droit qui protège les intérêts de la communauté internationale pour lequel les grandes valeurs de l’humanité sont un droit d’origine coutumière. (2)

Ainsi en son article 7 de la CPI, constitue un crime contre l’humanité, l’emprisonnement ou toute autre forme de privation grave de liberté physique en violation des dispositions fondamentales du droit international.

(1) Jugement Dusko Tadic du 7 Mai 1997, § 623

(2) Jean-François ROULOT, Le crime contre l’humanité, l’Harmattan, p 178.

2- Concernant la législation française actuelle :

Le crime contre l’humanité est incriminé aux articles 211-1 et 212-1 du code pénal avec la loi n° 92-684 du 22 Juillet 1992 portant réforme des dispositions du code pénal relatives à la répression des crimes et des délits contre les personnes et modifiée par la Loi n°2004-800 du 6 août 2004. Les articles 211-1 et 212-1 du code pénal concernent respectivement le génocide d’une part et les autres crimes contre l’humanité d’autre part. Ces deux articles définissent les crimes contre l’humanité au sens large.

Selon l’article 211-1 :

« Constitue un génocide, le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce

groupe, l’un des actes suivants :

– atteinte volontaire à la vie; – atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique; – soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe; (…) – mesures visant à entraver les naissances ; – transfert forcé d’enfants. »

Puis selon l’article 212-1 constituent les autres crimes contre l’humanité:

« Constitue également un crime contre l’humanité et est puni de la réclusion criminelle à perpétuité l’un des actes ci-après, commis en exécution d’un plan concerté à l’encontre d’un groupe de population civile dans le cadre d’une attaque généralisée ou systématique:

1° l’atteinte volontaire à la vie; (…) 4° la déportation ou le transfert forcé de population, 5° l’emprisonnement ou toute autre forme de privation grave de liberté physique en violation des dispositions fondamentales du droit international, 6° la torture (…) 11° les autres actes inhumains de caractère analogue, causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou psychique.»

3- Le périmètre de l’esclavage et de servitude en droit international :

selon le DIH coutumier (droit international humanitaire) :

– Règle 94. Volume II, chapitre 32, section H :

l’esclavage et la traite des esclaves sous toutes leurs formes sont interdits. Selon la pratique des États, cette règle constitue une norme de droit international coutumier applicable. L’interdiction de «l’esclavage et de la traite des esclaves sous toutes leurs formes» est reconnue dans le Protocole additionnel II en tant que garantie fondamentale pour les civils et les personnes hors de combat (*3). La «réduction en esclavage» était considérée comme un crime contre l’humanité dans les Statuts des Tribunaux militaires internationaux de Nuremberg et de Tokyo (*4). La «réduction en esclavage» figure aussi parmi les crimes contre l’humanité définis dans les Statuts de la Cour pénale internationale et des Tribunaux pénaux internationaux pour l’ex-Yougoslavie et le Rwanda (*5). L’interdiction de l’esclavage, de la servitude et de la traite des esclaves est une obligation à laquelle il est impossible de déroger selon le Pacte international relatif aux droits civils et politiques et selon les conventions régionales des droits de l’homme. (*6)

(*3) Protocole additionnel II (1977), art. 4, par. 2, al. f) (adopté par consensus) (cité dans vol. II, ch. 32, par. 1772).

(*4) Statut du TMI (Nuremberg) (1945), art. 6 (ibid., par. 1759); Statut du TMI (Tokyo) (1946), art. 5(c) (ibid., par. 1787).

(*5) Statut du TPIY (1993), art. 5, al. 1 c) (ibid., par. 1793); Statut du TPIR (1994), art. 3, al. 1 c) (ibid., par. 1794); Statut de la CPI (1998), art. 7, par. 1, al. c) (ibid., par. 1777).

(*6) Pacte international relatif aux droits civils et politiques (1966), art. 8 (esclavage, traite des esclaves et servitude) (ibid., par. 1770), Convention européenne des droits de l’homme (1950), art. 4, par. 1 (esclavage et servitude) (ibid., par. 1766), Convention américaine relative aux droits de l’homme (1969), art. 6, par. 1 (esclavage, servitude et traite des esclaves) (ibid., par. 1771), Charte africaine des droits de l’homme et des peuples (1981), art. 5 (esclavage et traite des personnes) (ibid., par. 1774).

– Définition de l’esclavage :

La Convention relative à l’esclavage définit l’esclavage comme «l’état ou condition d’un individu sur lequel s’exercent les attributs du droit de propriété ou certains d’entre eux».

La «réduction en esclavage» dans le Statut de la Cour pénale internationale, à savoir «le fait d’exercer sur une personne l’un quelconque ou l’ensemble des pouvoirs liés au droit de propriété, y compris dans le cadre de la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants» (*7).

La Convention supplémentaire relative à l’abolition de l’esclavage définit le servage comme «la condition de quiconque est tenu par la loi, la coutume ou un accord, de vivre et de travailler sur une terre appartenant à une autre personne et de fournir à cette autre personne, contre rémunération ou gratuitement, certains services déterminés, sans pouvoir changer sa condition» (*8).

Dans l’affaire Pohl en 1947, le Tribunal militaire des États-Unis à Nuremberg a jugé que «la servitude involontaire, même si elle est atténuée par un traitement humain, demeure un esclavage» (*9).

(*7) Statut de la CPI (1998), art. 7, par. 2, al. c) (ibid., par. 1777).

(*8) Convention supplémentaire relative à l’abolition de l’esclavage, art. premier, al. 1 b). Voir Commission européenne des droits de l’homme, affaire Van Droogenbroeck c. Belgique (ibid., par. 1898), pour une application de cette définition.

(*9) États-Unis, Tribunal militaire à Nuremberg, affaire Pohl (ibid., par. 1867) [notre traduction].

4- Concernant la législation française actuelle :

En France, il est du secret de polichinelle que de hauts responsables d’Etats français et étrangers emploient des personnes en conditions d’esclavage, comme on a pu le voir pour l’ex-ministre du Burundi et son épouse sur le territoire français, ou l’ambassadeur de France en Côte-d’Ivoire accusé d’agression sexuelle sur cinq personnes et rappelé à Paris pour éviter les poursuites; exemples parmi tant d’autres affaires qui sont étouffés.

Ainsi malgré les demandes de la COMMISSION NATIONALE CONSULTATIVE DES DROITS DE L’HOMME de combler le vide juridique d’urgence (Avis sur la traite et l’exploitation des êtres humains en France du 18 décembre 2009) auprès du législateur, rien n’a été fait.

Seule la Loi n° 2001-434 du 21 mai 2001, tendant à la reconnaissance de la traite et de l’esclavage en tant que crime contre l’humanité, précise: Article 1: « reconnaît que la traite négrière transatlantique

ainsi que la traite dans l’océan Indien d’une part, et l’esclavage d’autre part, perpétrés à partir du XVème siècle, aux Amériques et aux Caraïbes, dans l’océan Indien et en Europe contre les populations africaines, amérindiennes, malgaches et indiennes constituent un crime contre l’humanité »

Citons une légère tentative corrective par de la loi n° 2003-239 du 18 mars 2003 pour la sécurité intérieure qui n’a rien changé et la proposition de loi n° 4560, déposée le 22 février 2017 (mis en ligne le 24 février 2017 à 16 heures) qui n’a jamais vu le jour.

De fait, la France a été condamnée par la CSDHLF deux fois sur le sujet, pour ceux qui ont trouvé le courage d’aller jusqu’au bout de leur revendication:

Arrêt SILIADIN c. FRANCE du 26 juillet 2005, Requête no 73316/01

La CEDH constate que l’application de l’article 4 contre l’esclavage impose aux autorités:

1/ d’incriminer les actes d’esclavage commis par les particuliers sur son territoire;

2/ que l’état d’esclavage doit être considéré par l’état ou non de servitude suivant les circonstances

particulières de la cause ;

3/ qu’un individu soumis à l’état de servitude, a droit de voir l’auteur des faits condamné pénalement pour esclavage ;

4/ dans le cas contraire, il y a violation de l’article 4 de la convention.

Arrêt C.N. ET V. c. FRANCE du 11 octobre 2012, Requête no 67724/09.

Maintien en servitude d’une mineure par son oncle et sa tante: les autorités n’ont pas lutté efficacement contre le travail forcé domestique.

5- Le périmètre de l’atteinte à la dignité humaine ou de la personne en droit international :

Selon le DIH coutumier (droit international humanitaire) :

– Règle 90. Volume II, chapitre 32, section D.

La torture, les traitements cruels ou inhumains et les atteintes à la dignité de la personne, notamment les traitements humiliants et dégradants, sont interdits. Selon la pratique des États, cette règle constitue une norme de droit international coutumier applicable.

La définition du traitement inhumain : les éléments des crimes du Statut de la Cour pénale internationale définissent l’expression «traitement inhumain» comme le fait d’infliger «une douleur ou des souffrances aiguës, physiques ou mentales» (*10). L’élément qui distingue le traitement inhumain de la torture est l’absence du critère stipulant que le traitement doit être infligé avec une finalité précise. Le Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie a utilisé une définition plus large, considérant que le traitement inhumain est un traitement qui « cause de grandes souffrances ou douleurs physiques ou mentales ou qui constitue une atteinte grave à la dignité humaine» (*11).

(*10) Éléments des crimes de la CPI (2000), définition du traitement inhumain comme crime de guerre (Statut de la CPI, art. 8, par. 2, al. a) ii)).

(*11) TPIY, affaires Le Procureur c. Zejnil Delalić et consorts, jugement (cité dans vol. II, ch. 32, par. 1328) et Le Procureur c. Dario Kordić et Mario Čerkez, jugement (ibid., par. 1330).

– Définition des atteintes à la dignité de la personne, notamment les traitements humiliants et dégradants :

La notion d’« atteintes à la dignité de la personne » est définie dans les éléments des crimes du Statut de la Cour pénale internationale, comme le fait de soumettre une personne à un traitement humiliant ou dégradant ou de porter autrement atteinte à sa dignité, dans une mesure suffisamment grave «pour être reconnue généralement comme une atteinte à la dignité de la personne».

Les éléments des crimes précisent en outre que le traitement dégradant peut concerner aussi des personnes décédées, et que la victime ne doit pas nécessairement être personnellement consciente du caractère humiliant ou dégradant du traitement subi (*12).

La notion de « traitement dégradant » a été définie par la Commission européenne des droits de l’homme comme un traitement ou un châtiment qui «humilie grossièrement l’individu devant autrui ou le pousse à agir contre sa volonté ou sa conscience» (*13).

(*12) Éléments des crimes de la CPI (2000), définition des atteintes à la dignité de la personne, en particulier les traitements humiliants et dégradants, comme crime de guerre (Statut de la CPI, art. 8, par. 2, al. b) xxi) et art. 8, par. 2, al. c) ii)).

(*13) Commission européenne des droits de l’homme, affaire grecque (citée dans vol. II, ch. 32, par. 1339).

6- Concernant la législation française actuelle :

Le Conseil constitutionnel fonde la « sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation » sur le premier alinéa du préambule de la Constitution de 1946 (*14) :

« Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine, le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés. »

Le principe de dignité exige, selon la formule du Conseil constitutionnel, de sauvegarder la personne humaine « contre toute forme d’asservissement ou de dégradation ».

La dignité implique que la personne reste maîtresse de son corps et d’elle-même, ce qui suppose qu’elle ne se trouve pas aliénée ou asservie à des fins étrangères à elle-même.

En outre, « La doctrine politique originelle qui fonde le Code pénal a été formulée sous la Constituante. Elle repose sur le caractère indissociable des dimensions de liberté et de sûreté qui garantissent le bien commun et sont garanties par un ensemble de droits et de devoirs s’adressant aux gouvernants et aux gouvernés. Dans ce sens, la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen et la Constitution

d’un côté, le Code pénal de l’autre, sont à considérer comme les deux volets complémentaires de l’institutionnalisation de l’ordre public. Le premier l’accomplit « en plein » par l’énoncé des intérêts et valeurs fondamentaux que l’Etat se doit de garantir, le second le fait « en creux » par la définition des atteintes qui appellent une sanction sociale et des formes de celle-ci. » (*15)

De ce constat s’illustre la nécessité, pour le droit pénal, de réprimer les comportements visant à troubler, par quelconque moyen, le bon ordre, la sécurité, la salubrité, la tranquillité, la moralité, publiques ainsi que la dignité de la personne humaine.

L’ordre public en droit administratif français, est l’état social idéal caractérisé par : «Le bon ordre, la sécurité, la salubrité et la tranquillité publiques », la moralité publique et la dignité de la personne humaine. (*16)

(*14) (CC 94-343/344 DC) https://www.conseil-constitutionnel.fr/decision/1994/94343_344DC.htm

(*15) Lascoumes Pierre, Depaigne Anne. Catégoriser l’ordre public : la réforme du code pénal français de 1992. In: Genèses, 27, 1997. pp. 5-29. doi : 10.3406/genes.1997.1445

(*16) Arrêt CE, 1995, Commune de Morsang-sur-Orge

• Application aux faits :

A. Liminaire aux faits :

S’il est incontestable qu’il existe un virus (sars-cov 2), toutefois, il a été volontairement surévalué dans sa dangerosité « pour établir la peur » et les restrictions sur les droits fondamentaux pour la population, tel que le révèle le courrier du comité scientifique dirigé par monsieur Jean-François DELFRAISSY publié dans « The Lancet » :

Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract § 3. « Hence, it is time to abandon fear based approaches based on seemingly haphazard stop-start generalized confinement as the main response to the pandemic» Lancet Public Health 2021 Published Online February 18, 2021

https://doi.org/10.1016/S24682667(21)00036-0 (Pièce 4)

Cette même personne, monsieur Jean-François DELFRAISSY, qui depuis le H1N1 travaille sur les questions de la modification du génome – voir en ce sens le rapport de 2016 (Pièce 5) – et siège comme président du CCNE qui conseille le président de l’Etat français et remet le rapport n°133 du 19 septembre 2019 sur la modification du génome, en indiquant « d’insister sur l’encouragement qu’il est nécessaire de fournir aux laboratoires de recherche fondamentale utilisant les nouvelles techniques de modification ciblée du génome, quelle que soit la relative facilité de leur mise en œuvre, de développer des approches expérimentales » (Pièce 6) et ce, peu de temps avant le déclenchement d’une déclaration d’Etat d’urgence sanitaire (création d’un nouveau droit inexistant auparavant) et de la privation des droits fondamentaux, de l’emprisonnement de la population civile.

L’ancienne ministre de la santé Agnès BUZYN, en place pendant la crise Covid, et son mari Yves LEVY, sont liés aux laboratoires pharmaceutiques pour promouvoir les vaccins. Elle a été rémunérée par le laboratoire Genzyme, (filiale de Sanofi) puis par les laboratoires Bristol Meyers- Squibb (BMS) et Novartis. Elle a siégé comme Advisory Board chez BMS et chez Novartis ! Elle était dans le même

temps, membre du conseil d’administration et vice-présidente de l’Institut national du cancer. BMS,Novartis, Pierre Fabre et Schering-Plough (filiale de Merck) ont également financé entre 2005 et 2011 l’association Robert Debré, que dirigeait Agnès BUSYN.

Le mari de la ministre, Yves LEVY a fait toute sa carrière dans les vaccins. Il cumule le poste de directeur de l’INSERM avec celui de président d’Avesian, de directeur scientifique du programme vaccinal de l’Agence nationale de la recherche sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), de directeur du Vaccine Research Institute (VRI) et est le promoteur principal de plusieurs essais de vaccins en cours, et remet le fameux laboratoire P4 à Wuhan avec les déclarations suivantes (Pièce 7):

« Le rayonnement européen et international de l’Inserm, fondé sur des partenariats à haute valeur stratégique reste l’un de nos objectifs majeurs (….) 2018 pour commencer la signature d’un accord-cadre entre le plan France Médecine Génomique 2025 et le programme Genomics England (….) alors que vient d’être inauguré le laboratoire de haute sécurité biologique P4 de Wuhan, la coopération en matière de prévention et de contrôle des maladies infectieuses émergentes va se poursuivre. De nouveaux projets scientifiques autour des thèmes de l’intelligence artificielle et de la silver économie, la collaboration franco- chinoise devrait s’appuyer sur la recherche menée par l’Inserm (….) annoncé la création et le déploiement d’un réseau mondial Inserm (….) l’État français mettra à disposition un budget d’un million d’euros par an sur 5 ans pour soutenir la coopération scientifique dans ce domaine autour du P4 de Wuhan»

Cela correspond au programme génomique 2025 du gouvernement Français pour devenir d’après leurs dires «a affirmé Yves Lévy lors de la remise du Plan France Médecine Génomique 2025, il a été remis le 22 juin 2016 au Premier ministre Manuel Valls, par Yves Lévy, Pdg de l’Inserm et Président de l’Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé (Aviesan). Ce plan ambitieux, piloté et soutenu par l’Etat, vise à positionner d’ici dix ans, la France dans le peloton de tête des grands pays engagés dans la médecine génomique. (…) En avril 2015, le Premier Ministre a adressé une lettre de mission au Président d’Aviesan, afin d’examiner les conditions nécessaires pour permettre l’utilisation du séquençage du génome entier dans la pratique clinique (…) S’il répond à un enjeu de santé publique en termes diagnostiques, pronostiques et thérapeutiques, le Plan France Médecine Génomique 2025 ambitionne également de faire émerger une filière médicale et industrielle nationale en médecine génomique et d’exporter ce savoir-faire.»

Ce qui a donné lieu à la mise en place de « REACTing (REsearch and ACTion targeting emerging infectious diseases) » par l’Inserm et ses partenaires d’Aviesan ((partenaires en Afrique, en Asie et en Polynésie), dont l’institut Pasteur), travaillant sur : Grippe H5N1 et H1N1, SRAS, Mers-Co, Chikungunya, Ebola et Zika, agence de recherche dirigée par le Pr Yazdan YAZDANAPANAH, membre du comité scientifique Covid-19 avec Jean-François DELFRAISSY et financé par les laboratoires pharmaceutiques Gilead Sciences, Pfizer, Johnson & Johnson, MSD (Pièce 8).

Autres constats : on peut s’étonner de l’étouffement judiciaire par l’Etat Français concernant l’Institut Pasteur, sur les trafics de virus en 2015 de mers-cov, la perte de 2 349 TUBES DE SRAS (sars-cov) et 10 tubes du virus EBOLA manquants, sauf à considérer que son président du conseil d’administration est Christian VIGOUROUX, président de section au Conseil d’État et les Membres de droit représentants du ministre de la Recherche, du Budget, de la Santé. (Pièce 9)

Qu’en 2015 des chercheurs chinois de Wuhan PARTENAIRES et travaillant sous la conduite des recherches de Pasteur ont avoué « travailler sur une chimère d’introduction de protéine de chauve-souris dans sars-cov appelé molécule SHCO-14 capable de frapper l’espèce humaine et de s’attaquer

au système respiratoire » (Pièce 10).

Que l’ancienne ministre de la santé Agnès BUZYN, pendant son mandat, juste avant la crise Covid, a par l’article 17 du projet de loi 2187 relatif à la bioéthique de juillet 2019, tenté de supprimer l’interdiction dans le code de santé publique et le code civile, de créer des embryons transgéniques (Pièce 11).

Suite aux travaux parlementaires du mercredi 28 janvier 2020, l’article 17 (priorité) est supprimé, les parlementaires ont soulevé : « Pourquoi vouloir assouplir cette interdiction absolue ? Il me semble que la réponse à cette question est à chercher du côté de la technique des « ciseaux génétiques », scientifiquement dénommée CRISPR-Cas9. (…) Elle permet de mettre en œuvre, au niveau de la cellule, des ciseaux génétiques à base de protéines qui font automatiquement muter des séquences d’ADN, sans injection d’ADN extérieur. Autrement dit, cette technique permet d’introduire un gène à la place d’un autre, ou d’en supprimer. (….) Les ciseaux génétiques créent des mutations facilement et à un coût dérisoire (….)

Cette technique désormais bien connue révolutionne la fabrication d’OGM. Monsanto en possède une licence d’utilisation pour créer des semences génétiquement modifiées. Fin 2018, en Chine, elle a permis la naissance des premiers « bébés OGM ». Le chercheur vient d’être condamné à trois ans de prison. (….) La levée, même partielle, de l’interdit chimérique et transgénique permettrait à CRISPR-Cas9 de passer officiellement de la semence agricole à l’humain. La nouvelle loi pourrait donc ouvrir la voie à l’industrialisation de la modification génétique des embryons humains à une vitesse encore jamais atteinte (….) Considérant que cette technique n’a pas de portée médicale potentielle pour soigner des êtres humains déjà nés, on voit mal quelle finalité pourrait découler de cette autorisation de libéraliser la recherche, si ce n’est la possibilité d’engendrer des êtres humains génétiquement modifiés » (Pièce 12).

Les vaccins expérimentaux qui sont utilisés, sont à ARNm (ceci restera à démontrer), avec possibilité de modifier l’ADN Humain, confirmé par Tal ZAKS médecin directeur en chef de Moderna, qui admet que l’ARNm modifie l’ADN ou le code génétique, ainsi que plusieurs médecins éminents, Kate SHEMIRANI, experte en santé et bien-être de « Sons of Liberty Media », son collègue le Dr Kevin CORBETT Professeur agrégé, médecine cellulaire et moléculaire (Pièces 13 et 13a).

Bill Gates l’a déclaré lui-même, dans « Human Genome 8 and mRNA Vaccine » (Pièce 14) et confirmé par une étude de 2006 de 76 chercheurs ayant finalisé la séquence du génome 8 « Cette région comprend des gènes influençant la taille du cerveau et le système immunitaire » (Pièce 15).

Après ces nouvelles découvertes, il est plus compréhensible de savoir pourquoi l’Institut Pasteur a déclaré à l’OMS la séquence génétique CTCCCTTTGTTGTGTTGT pour la détection du SRAS-CoV-2 (Pièce 16), qui, en fait, correspond au Chromosome (Génome) 8 de l’Homo Sapiens (donnée du Centre national américain d’information sur la biotechnologie, Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis).

Pourtant l’académie nationale de médecine ayant un statut particulier de personne morale de droit public placée sous la protection directe du président de la République française (sic), dont les décisions impactent directement la vie des citoyens, rentrant en vigueur sans autorisation préalable (article 110 de la Loi N° 2013-660 du 22 juillet 2013) n’hésite pas, en violation du droit international et national, à exiger par recommandations :

« La vaccination généralisée de tous les français » « La vaccination généralisée des professions en contact avec le public exigible » « Le passe vaccinal » « D’utiliser de préférence les tests RT-PCR » « Un programme de dépistage de masse dans les collectivités, TRODs antigéniques et sérologiques, RTLAMP, en confirmant les résultats positifs par RT-PCR » « Autotest sur les 15 ans et plus » (Pièce 17)

B. Constat:

Ce type de formulation n’a jamais été utilisé auparavant, étant expérimental et les études préliminaires ne sont pas publiées, voire inexistantes. Les tests de sécurité pour la mise sur le marché ont été abandonnés. Il n’existe à ce jour aucune information disponible, ni pour les scientifiques ni pour la population, relative à la composition précise et exacte de ces produits d’ingénierie pharmaceutique expérimental, pas plus qu’aux probables effets secondaires à court et long termes, bénins ou handicapants, voire létaux. Toutefois, dans le rapport « Vaccines and Related Biological Products Advisory Committee October 22, 2020 Meeting Presentation, CBER Plans for Monitoring COVID-19 Vaccine Safety and Effectiveness» de la FDA administration, Steve Anderson, PhD, MPP Director, Office of Biostatistics & Epidemiology, CBER déclare:

« FDA Vaccine Surveillance: Pre-licensure Pharmacovigilance Planning DRAFT Working list of possible adverse event outcomes***Subject to change***

– Guillain-Barré syndrome ; Acute disseminated encephalomyelitis ; Transverse myelitis ; – Encephalitis/myelitis/encephalomyelitis/ meningoencephalitis/meningitis/ encepholapathy ; – Convulsions/seizures ; Stroke ; Narcolepsy and cataplexy; Anaphylaxis; – Acute myocardial infarction; Myocarditis/pericarditis; – Autoimmune disease; Deaths; Pregnancy and birth outcomes; – Other acute demyelinating diseases; Non-anaphylactic allergic reactions; Thrombocytopenia; – Disseminated intravascular coagulation; Venous thromboembolism; Arthritis and arthralgia/joint pain; Kawasaki disease; – Multisystem Inflammatory Syndrome in Children; Vaccine enhanced disease».

Ainsi voici la liste provisoire impressionnante d’effets graves secondaires et de risque de mort liés aux produits de l’ingénierie pharmaceutique expérimentale, qui a complétement disparu pour laisser place à un discours et une documentation officielle mensongers et criminels (Pièce 18).

Les seules informations connues à ce jour en France sont ceux données par ces mêmes laboratoires en cause, dont on ne compte plus les condamnations en milliards d’euros, voire des peines de prisons dispensées, pour extorsions, pots de vin, fausses déclarations, fausses études, tromperies, menaces, etc., (Pièce 19).

La campagne de « tests » et « vaccinale » est ainsi constitutive, de façon irréfragable, d’une expérimentation médicale, puisque son caractère novateur conduit à ce que strictement personne ne puisse en connaître les conséquences pour les populations qui seraient sujettes de cette expérimentation et qu’il est largement documenté scientifiquement que nombre de « vaccins » produisent de multiples effets secondaires et des accidents vaccinaux handicapants ou mortels, voire inconnus comme présentement.

Les expérimentations médicales sont encadrées en droit pénal international par le Code de Nuremberg et les conventions d’interprétation les plus strictes : un certain nombre de médecins ont ainsi été condamnés à mort en 1947, pour violation des principes de ce Code, reconnu internationalement depuis cette époque comme relevant du droit coutumier. (*17)

(*17) Trials of War Criminals Before the Nuremberg Military Tribunals Under Control Council Law No.10, Washington, U.S. Government Printing Office, 1949-1953.

Il n’est pas inutile de rappeler que depuis longtemps, les dirigeants qui ont abusé de leur pouvoir, ont toujours procédé au test de la soumission et de l’humiliation de la population en commençant par l’imposition de signe distinctif : pendant la traite négrière, l’esclave des colonies françaises au XVIIIème siècle était obligé de porter un masque.

HAL Id: dumas-00408168 https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-00408168 Submitted on 29 Jul 2009

En 1941 (note G 78 du 15 décembre), les Allemands nazis imposèrent l’étoile jaune ; les forces de l’ordre françaises, les commissariats de police en région parisienne, ont procédés à la distribution matérielle des étoiles, ont mis en œuvre les mesures répressives en cas de non-respect du port de l’étoile. Le 11 décembre 1942, le gouvernement français imposa aux Juifs de faire porter à l’encre rouge la mention «Juif» sur leur carte d’identité et leur carte d’alimentation.

La marque jaune ou rouge, instaurées à partir du XIIIème siècle en France, en Allemagne, en Angleterre…

Aussi bien des souverains en France (Philippe Auguste, Louis IX, Philippe III, Philippe le Bel, Louis X, Jean le Bon) que des papes (Innocent III, Alexandre IV, Innocent IV), imposèrent aux Juifs le port de signes vestimentaires distinctifs : rouelle jaune ou rouge, chapeau, cape rouge. Le jaune (couleur du soufre) et le rouge (couleur du feu) étaient en effet au Moyen Âge des couleurs liées au diable, au Malin, donc à la trahison (robe jaune de Judas).

https://www.reseaucanope.fr/cnrd/ephemeride/1184#:~:text=Il%20est%20%C3%A0%20noter%20que,et%20leur%20carte%20d'alimentation

L’histoire se répète sans cesse parce qu’on laisse faire, parce qu’on tourne la tête…

Le masque, imposé aujourd’hui sous astreinte d’une amende ou de peine de prison en cas de refus de le porter, est le symbole de l’obéissance afin de perpétuer la peur et la soumission dans la population pour la contrôler et imposer un Etat totalitaire et dictatorial. Ce contexte, décidément réitéré, autorise la manipulation de l’individu, notamment que le corps qui relève du sacré, soit réifié pour, sur fond d’eugénisme, servir des enjeux génomiques prêts à sacrifier le Sacré au profit d’intérêts politiques, financiers, militaires, voire jusqu’à recréer l’Humain à l’image de l’idéologie corrélative de l’imposture transhumaniste des apprentis sorciers qui prévoient depuis déjà bien longtemps la modification de l’ADN humain avec l’ARN « transformant », comme il sera démontré ci-après.

C. L’application :

1. Les exactions du président et de l’exécutif :

Depuis la publication de la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence pour faire face à l’épidémie de covid-19, des ordonnances, décrets, lois de prorogation ont été appliqués sans qu’aucun pouvoir n’ait été en mesure de remettre en cause le caractère inconstitutionnel de ces mesures, en violation du droit international et des conventions. Voir mise en demeure (Pièce 1).

Je constate à la lecture de la décision du Conseil constitutionnel n°2020-808 DC du 13 novembre 2020 (17), relative à la loi autorisant la prolongation de l’état d’urgence sanitaire, que le Conseil constitutionnel refuse de censurer ladite loi, alors que :

– Le gouvernement a utilisé la procédure des votes bloqués (art. 44, al.3 de la Constitution), empêchant ainsi d’adopter un amendement réduisant la période de confinement (amendement qui avait été adopté lors du premier vote). – Décisions entérinées par le Parlement grâce à la majorité présidentielle obéissante, par le biais de procédures accélérées et via le système des votes bloqués bâillonnant ainsi la voix du peuple normalement portée par le Parlement. Certains députés de l’opposition ont qualifié ce type d’agissement de « coup d’état larvé ». – Décision de rendre le port du masque obligatoire en toutes circonstances pour les enfants (octobre 2020) et les adultes (dès l’été 2020), que les individus soient malades ou non malades. Or, aucune étude scientifique ne démontre l’utilité du masque en cas d’épidémie. Le Comité scientifique n’a pas cru bon de devoir analyser des masques usagers afin de vérifier si la mesure n’était pas au contraire nocive pour les citoyens. Les membres de l’exécutif n’ont présenté aucune étude scientifique permettant de démontrer que l’utilisation du masque était utile et sans danger. Certaines femmes ont dû accoucher en France en portant un masque contre leur gré, ce qui est qualifiable d’acte de torture. – Ainsi l’exécutif, sur impulsion du président, bafoue continuellement le bloc constitutionnel depuis le début de la crise, en neutralisant le parlement et les institutions judiciaires qui se retranchent constamment derrière l’excuse de l’état d’urgence et pour plaire à son ministre; ainsi le Conseil d’Etat qui est présidé par le premier ministre, déclare dans une ordonnance regroupant de multiples affaires – selon la même position de réponse à la mise en demeure formulée par le Comité scientifique antérieurement à cette décision (Pièce 2) – « le Comité scientifique ne peut pas être poursuivi, son avis n’est que consultatif, il n’impacte en rien la vie des personnes ». Or, par cette décision, le Conseil d’Etat frappe son ordonnance d’illégalité puisqu’étant contraire à la loi : « Le juge ne peut sans violer les dispositions de la Constitution, empiéter sur un domaine réservé du législateur ou du pouvoir exécutif et s’immiscer dans le règlement ou la législation ». Rappelons que les anciens membres de l’exécutifs sont recyclés au Conseil d’Etat (*19). Il faut rappeler également que le Conseil constitutionnel a été pris dans un gros scandale de rémunération par l’Etat, d’enrichissement personnel (*18), d’où sa complaisance avec le pouvoir.

(*18) https://www.conseil-constitutionnel.fr/decision/2020/2020808DC.htm

(*19) Voir mise en demeure page 17 § 2 scandales juridiques (Pièce 1)

Mise en place d’un Comité scientifique et du Comité Analyse, Recherche et Expertise (CARE), dont la quasi-totalité des membres ont des liens d’intérêts professionnels et financiers avec l’industrie pharmaceutique et dont le fonctionnement est contraire à la loi.

Violation des articles 16 et 24 de la constitution : En créant un conseil de défense réservé en temps de guerre alors que nous sommes en temps de paix, ceci afin de ne pas rendre compte des décisions et imposer des mesures dictatoriales. – Violation de la liberté individuelle et du principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation : exemple en ce sens : obliger des personnes non malades à porter un masque dont l’inefficacité et la dangerosité pour la santé a été admise de longue date par la communauté scientifique. – Violation de la liberté de circuler, d’aller et venir : en ce sens l’Etat est coupable de détention arbitraire à l’égard des citoyens en temps de paix. Les citoyens qui contreviennent à une mesure de confinement sont verbalisés. – Volonté de mettre à l’isolement des citoyens « positifs » au test alors qu’ils ne sont pas malades: ce qui s’apparente à des mesures de séquestration. L’Etat entend verbaliser les personnes qui enfreignent la «quarantaine» à hauteur de 10 000 euros et procéder à un isolement forcé. – Violation du principe général du droit de mener une vie familiale normale: par l’interdiction d’aller rendre visite à un proche en EHPAD, de restreindre la possibilité d’assister aux funérailles et d’interdire toute possibilité de se réunir en famille. – Violation de la liberté d’entreprendre et inégalité de traitement : les petites et moyennes entreprises (P.M.E.), à savoir les commerçants, les travailleurs indépendants, les secteurs entiers de la culture, la restauration, le secteur de l’habillement, le secteur de l’esthétique, le secteur du tourisme, le secteur de l’évènementiel, etc… En somme, tous les non-fonctionnaires (hors commerces de l’alimentaire, de la pharmacie, des journaux et tabacs) pâtissent de ces mesures liberticides et mortifères. De nombreuses procédures de liquidation judiciaire sont attendues avec toutes les conséquences gravissimes d’ordre social. Les mesures imposées ne sont pas levées malgré l’appel du peuple. – Violation du droit de manifester et de se rassembler : violences à l’encontre des manifestants ou interdiction pure et simple de manifester, voire séquestration. – Violation du droit à l’éducation : l’extorsion par chantage au consentement du test RT-PCR, sous peine d’être exclu. – Violation du droit à l’autonomie personnelle par l’extorsion par chantage au consentement du test RT-PCR et du vaccin sous peine d’être exclu, imposition d’un masque:exemple en ce sens : le fondement du droit au respect de la vie privée, un principe d’autonomiepersonnelle selon lequel chacun peut mener sa vie comme il l’entend, y compris en se mettantphysiquement ou moralement en danger ce qui donne lieu à l’identité subjective par la libre disposition ducorps, relevant du droit conventionnel international CESDHLF.- Violation de la liberté de culte: en refusant la tenue de messes dans les Eglises de France alors queles croyants ont besoin d’apaisement.- Violation de la liberté d’expression : mise à l’index de tout avis scientifique non conforme à lavolonté du « conseil de défense » : pouvant entraîner des radiations professionnelles, des gardes à vue,des peines de prison, des amendes.- Violation de l’Habeas Corpus international et national.

2. Le Comité scientifique :

Ce Comité scientifique a produit pas moins de 38 avis et 10 notes (Pièce 20). Il a demandé que certaines notes soient « imposées » ; seules, 3 n’ont pas été suivies d’effet. Ses avis et notifications révèlent aussi que le Comité savait que le test RT PCR n’était pas fiable, puisqu’il recommandait de réduire le nombre de cycles d’amplification de 45 à 40 « ce qui ne change rien », le comité relevant par ailleurs « il est impossible de mettre en culture le test d’une personne », de même que pour le test basé sur la sérologie (tests d’anticorps) alors qu’il est dès le début, déconseillé par une publication de l’OMS, comme relevant un taux d’erreur de 50%. Le Comité révèle également que « le taux de circulation du virus en France est faible » et pourtant, ce Comité, dirigé par monsieur Jean-François DELFRAISSY, non élu, et agissant en infraction à la loi (Pièce 21), dispose d’un pouvoir exorbitant de droit commun qui ne peut en aucun cas lui permettre d’être dans un régime d’irresponsabilité, étant donné qu’il décide indirectement de l’avenir de la Nation, de la population alors que, paradoxalement, il n’a aucune légitimité à émettre des avis (objectifs) quant aux décisions à prendre concernant la santé des citoyens, au vu de ses nombreux liens d’intérêts financiers et professionnels avec les laboratoires pharmaceutiques en cause (Pièce 22).

Afin de tenter de dissimuler leurs liens d’intérêts, certains membres n’hésitent pas à modifier leur prénom comme c’est le cas pour monsieur Yazdan YAZDANAPANAH, membre dudit Comité et directeur de REACTing créé par le Plan France Médecine Génomique 2025, chargé des recherches sur le génome humain (voir P. 13 et 14), qui se fait aussi appeler Yazda, Zazda ; cela permet de relativiser les sommes perçues de 3000 euros à titre personnel sous un vrai nom et prénom, alors qu’il apparaît que les montants versés par les industries pharmaceutiques sont en réalité de 133 698 euros, sans compter les contrats non déclarés. Dès lors, il est impossible de savoir l’importance des liens et les montants versés par les industries pharmaceutiques.

Ainsi, malgré les propres constatations du Comité qui auraient dû inciter un changement de politique sanitaire, le confinement, le couvre-feu, le port du masque, les tests RT PCR, les tests d’anticorps, le « vaccin » dont le terme est impropre, les protocoles sanitaires, dont les décisions de justice ont été influées, voire imposées sur ses recommandations, en toute illégalité, puisqu’il n’existe aucun enregistrement ou compte rendu des séances d’un Comité scientifique Covid-19 proposant au gouvernement des mesures adaptées à une supposée crise sanitaire. De même, aucune liste des experts sollicités n’est accessible, contrairement à ce que prévoient la loi et le règlement.

Impensable pour un organe censé apporter un conseil éclairé, le Comité scientifique ne s’appuie sur aucune étude autre que celles fournies par les laboratoires pharmaceutiques et la base des travaux de modélisation inexacts réalisés par le Professeur Neil Ferguson (Pièce 23).

Monsieur DELFRAISSY est présent dans tous les scandales de conflits d’intérêts, en passant du H1N1 à l’Hépatite C, au « Remdisivir », le point commun de ces scandales étant le laboratoire Gilead, auquel depuis vingt ans, monsieur DELFRAISSY accorde tout ce que ledit laboratoire demande et en participant même aux réunions en tant que « Board ».

Enfin, monsieur DELFRAISSY confirme, dans une lettre envoyée à l’ex-commission d’enquête qui a été dissoute par l’exécutif, qu’il y a bien des liens entre lui-même et les laboratoires, mais qu’il n’y voit aucun problème (Pièce 24).

3. La dangerosité du SRAS-COV-2, son existence et son origine :

A. Dangerosité :

Il est rappelé que les causes de mortalité suivantes n’ont jamais déclenchées un tel plan disproportionné (aucun confinement, aucun masque) :

– En France, la grippe saisonnière touche 2 à 8 millions de personnes et cause 10 000 à 15 000 décès. – Dans le monde, la grippe saisonnière provoque de 290 000 à 650 000 décès par année. – En France, l’épidémie de gastro-entérite à « rotavirus » touche 300 000 personnes dont 160 000 cas sévères. – Dans le monde, l’épidémie de gastro-entérite touche 700 millions de personnes et provoque environ 800 000 décès par année, dont 500 000 enfants de moins de 5 ans. – En France 25 600 décès sont attribués à une pathologie infectieuse. Ils représentent 5 % de la mortalité toutes causes. – En France, chaque année, 30 000 décès sont liés aux accidents domestiques. – En France, chaque année, 80 000 décès sont liés à la pollution de l’air. – En France, le bilan est de 600 000 décès en moyenne par an, toutes causes confondues.

A ce jour le nombre des décès « supposés » directement liés au covid-19 est d’environ 103 000; dans le même temps 650 000 morts d’autres pathologies étaient déclarés. Les facteurs à prendre en compte afin de cibler les « malades » potentiels sont bien connus de tous les médecins. Il s’agit notamment d’individus présentant des facteurs de comorbidité et en âge très avancé (moyenne d’âge des décès en France supposés covid-19 : 82 ans). Or, aucune distinction n’a été faite entre les citoyens à risque et les autres citoyens afin d’adapter les mesures. L’âge médian des décès par Covid-19 dans la plupart des pays occidentaux est supérieur à 80 ans – soit 84 ans en Suède et 82 ans en France (ce qui correspond à l’âge médian des décès d’ordre général). Seulement 4 % environ des personnes décédées ne présentaient pas de conditions préalables graves (Pièce 25). Par ailleurs, il est à noter que le taux de létalité globale du SARS-COV2 est d’environ 0,07% tous âges confondus.

Ainsi une publication de l’OMS sur l’étude de John P.A. LOANNIDIS, médecin épidémiologiste spécialiste mondial de l’analyse, conclut : Infection fatality rate of COVID-19 inferred from seroprevalence data « Le taux de mortalité par infection se situe dans la plage d’une vague de grippe normale » / Publication: Bulletin of the World Health Organization; Type: Research Article ID: BLT.20.265892 Published online: 14 October 2020 (Pièces 1 et 26).

Le professeur de Stanford, John P.A. LOANNIDIS, a publié une nouvelle étude le 26 mars 2021. Dans ce document, il a corrigé à la baisse le taux de mortalité par infection (IFR) trouvé dans une étude précédente : Infection fatality rate of COVID-19 inferred from seroprevalence data Reconciling estimates of global spread and infection fatality rates of COVID-19, la valeur corrigée de 0,23 %, soit une survie de 99,77 %; An overview of systematic evaluations « Le taux mondial de mortalité par infection est d’environ 0,15% avec 1,5 à 2,0 milliards d’infections en février 2021». Cela signifie que sur toutes les personnes infectées dans le monde – y compris tous les groupes d’âges différents et toutes les maladies antérieures – en moyenne 99,85% survivent / Bull World Health Organ. 2021 Jan 1; 99(1): 19–33F. Published online 2020 Oct 14. doi: 10.2471/BLT.20.265892 PMCID: PMC7947934 ; First published: 26 March 2021 – https://doi.org/10.1111/eci.13554 (Pièce 27).

Selon le réseau Sentinelles du 20 juin 2021 concernant le covid-19, la grippe et autre virus respiratoire tout confondu, il y a 30 cas pour 100 000 habitants en médecine générale et 1 cas pour 100 000 habitants en médecine générale pour le covid-19 seul, soit un nombre très inférieur à la diarrhée aigüe. (Pièce 27a)

Selon le président de l’Institut allemand Robert Koch (RKI), Lothar Wieler, les chiffres pour la grippe se situent également dans cette fourchette. La probabilité de mourir de la grippe est de 0,1 à 0,2%, a déclaré le 27 février le président de RKI, Lothar Wieler. Malheureusement, Lothar Wieler n’a pas expliqué s’il parlait de l’IFR – Infection Fatality Rate – ou du CFR – Case Fatality Rate. Le CFR est la proportion de personnes atteintes d’une maladie particulière (cas) qui meurent de cette maladie, tandis que l’IFR est la proportion de décès parmi toutes les personnes infectées, y compris toutes les personnes asymptomatiques et non diagnostiquées (Pièce 28).

De même, une étude récente publiée, le 8 février 2021, de : Fenton Lynda, Gribben Ciara, Caldwell David, Colville Sam, Bishop Jen, Reid Martin, White Jane, Marion Campbell, S Hutchinson, C Robertson, M Colhoun Helen, Wood Rachael, M McKeigue Paul, A McAllister David, RISK OF « HOSPITALISATION WITH COVID-19 AMONG TEACHERS COMPARED TO HEALTHCARE WORKERS AND OTHER WORKING-AGE ADULTS. A NATIONWIDE CASE-CONTROL STUDY » », démontre que « sur toute la période d’étude, l’incidence cumulée (c’est-à-dire le risque) d’hospitalisation avec COVID-19 est restée inférieure à 1% pour les enseignants, les travailleurs de la santé et les adultes en âge de travailler, de la population générale» : https://doi.org/10.1101/2021.02.05.21251189 (Pièce 29).

Ainsi, selon le Professeur LOANNIDIS, la mortalité et la dangerosité concernant le Covid-19 n’excède pas 0,05%, voire 0,03% et aucune de ses études n’a été démentie par ses pairs ou même par l’OMS.

Enfin, il est remarqué que, partout dans le monde, le taux de mortalité lié au covid-19 a été purement fabriqué artificiellement, en y incluant toutes les pathologies à son compte ; ainsi en France, à de multiples reprises, le président de la commission des affaires sociales, commissions permanentes de l’assemblée nationale, a demandé au ministre de la santé : « je ne reviens pas sur la question polémique du masque et la question de leprus, que pouvez-vous me dire sur la surmortalité invisible qui est occulté par le covid-19, je pense au cancer, aux maladies cardio- vasculaires et autres, et on a des certificats de décès, et j’ai pu constater dans la mairie à laquelle j’appartiens, que des personnes très âgées décédées sont marquées covid-19, alors qu’elles n’ont jamais eu le covid-19. C’est le médecin qui a marqué covid-19, on ne sait pas pourquoi, mais il y a une surmortalité qui existe dans les certificats médicaux. J’ai posé la question à monsieur Jérôme Salomon, le « Monsieur coronavirus » du gouvernement, mais il m’a dit qu’il regarderait ça ? » (Pièce 30).

Il est clairement établi, la fabrication de faux certificats de décès, avec la complicité de certaines personnes, au nom du covid-19; par ailleurs, la grippe n’existe plus en France, le taux de mortalité étant de 0; ainsi toutes les personnes décédées de cancer, de problèmes pulmonaires, de vieillesse ou d’autres pathologies, sont déclarées covid-19.

Je ne m’étendrai pas sur l’interprétation des « sur-hospitalisations » invisibles, liées au covid-19, la France employant le même schéma de mensonges, en modifiant la norme régissant la réanimation: «lits pour accueillir des patients avec des défaillances multi-organiques, nécessitant une assistance respiratoire » ré-exprimée depuis le covid-19 : « lits pour accueillir des patients avec des défaillances multi- organiques, nécessitant une assistance respiratoire, les patients placés en soins intensifs ou en surveillance continue » ; ainsi, a été gonflé artificiellement le nombre de personnes hospitalisées en réanimation pour covid-19. Prenons cet exemple : une personne atteinte de septicémie se retrouve en surveillance continue, est-elle pour autant en réanimation atteinte du covid-19 justifiant une surcharge hospitalière covid-19 ? En France : oui !

B. Son existence :

Comme il a été spécifié dans la mise en demeure, pages 9 et 10, aucun document scientifique dans le monde ne prouve que «SRAS-COV-2» a été purifié, « aucune photo EM », aucun article évalué par des pairs avec le génome du «SARS-COV-2» purifié, aucune preuve que «le virus» cause le «Covid-19» ; aucun enregistrement concernant l’isolement du «SRAS-COV-2» à partir d’un échantillon non altéré ; aucun dossier à l’appui de l’affirmation selon laquelle le prétendu «virus SARS-COV-2» provoque des symptômes de «Covid-19».

Le directeur du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, Andrea AMMON, a admis ne pas avoir de documentation, même pour la méthodologie de l’ECDC, pour prouver qu’un virus existe, et encore moins une preuve de SRAS-COV-2 (Pièces 1 et 31).

Ainsi le protocole du postulat de KOCH a échoué, confirmé par le comité scientifique français « impossible de mettre en culture », alors comment identifier ce que l’on n’a pas pu étudier ? (Pièce 32).

C. Son origine :

Comme expliqué dans la mise en demeure (Pièce 1 page 16), il a été établi avec certitude après la publication au complet du travail de Li Meng Yan qui était sous la supervision du Dr Leo Poon et le professeur Malik Peiris, Superviseur, à l’Université de Hong Kong (laboratoire de référence de l’OMS), co- directeur du pôle de recherche HKU PASTEUR conjoint entre l’Université de Hong Kong et l’Institut Pasteur, s’appuyant sur la recherche menée par l’INSERM France, partenaire important du Consulat général de France à Hong Kong et Macao, travaillant sur zc45 et cxc21 à l’institut militaire chinois : dont le changement de co-directeur du pôle de recherche HKU-Pasteur a eu lieu le 3 juillet 2020, le professeur Malik Peiris démissionnaire de ses fonctions, laissant place à son successeur et collaborateur le professeur Leo Poon responsable des recherches à Wuhan. (Pièce 10a)

Un chercheur au sein de l’Inserm et de Pasteur a déclaré anonymement, qu’il a découvert lors d’une étude, des amino-acides au nombre de 4 : « Les 3 premiers sont des anciennes souches corona, mais le 4 ème est une insertion de protéolyse furine, absente de tous les virus sars-cov jamais étudiés.

Après relevage de la chronologie des publications du sars-cov2 sur zc45 et cxc21 d’origine militaire, le premier isolement est le RATG13 arrêté à la séquence 675 dont il n’y a aucune information autre qu’une déclaration de foi sur son origine.

Le travail de Li Meng Yan est confirmé par la REVUE SCIENCE Enhancing host cell infection by sars-cov2 by margaret Kielan revue 370(6518):765-766 13 NOVEMBRE 2020, dans laquelle on apprend que sars-cov2 a un deuxième récepteur qui peut se connecter à la neuropiline 1 qui est une neuropiline humaine contrairement au sars-cov de 2003;

C’est ce deuxième récepteur qui a multiplié la contagiosité (c’est ce qu’on appelle un gain de fonction); dès lors, il est improbable que la séquence descende du RATG13 arrêté à la séquence 675 vue l’insertion des 4 amino-acides à la séquence 680 notamment le 4 ème qui s’apparente à du génie génétique humain et non à une zoonose. »

Il est constaté que tous les brevets en correspondances depuis 2003 sont au nom de l’Institut Pasteur et du CDC pour sars-cov. Dans ces Brevets on y trouve la modification de sars-cov1 en sars-cov2 ainsi que la protéine d’insertion.

Autre constatation : L’Etat Français a étouffé une multitude d’affaires judiciaires concernant l’Institut Pasteur et caché toute situation pouvant avoir une répercussion endémique sur la population française ou étrangère.

Il s’avère que l’Institut Pasteur a fait l’objet d’une enquête préliminaire non aboutie en 2016, suite à un signalement en vertu de l’article 40 de l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). Quel résultat ?

En 2015, un scientifique de Corée de l’Institut Pasteur a transporté clandestinement trois tubes de mers coronavirus, virus mortel ; les virus auraient, soi-disant, été détruits discrètement sans déclaration auprès des autorités (?!)

En 2014 l’institut Pasteur a perdu, soi-disant, 2 349 TUBES DE SRAS (sars-cov) en le cachant à l’ANSM pendant deux mois (?!)

Un écart d’inventaire à l’institut Pasteur de 10 tubes du virus EBOLA manquants a été constaté (?!)

Or, de 2014 à 2016 une crise Ebola a eu lieu en Afrique de l’Ouest et notamment en Sierra Leone (?!)

Ainsi sur simples déclarations de foi, l’Institut Pasteur nous dit, que le trafic de virus mortels mers – coronavirus, a cessé et le virus a été détruit; que concernant les 2 349 tubes de SRAS (sars-cov) qui auraient été perdus et les 10 tubes du virus EBOLA manquants dans l’inventaire, il ne sait pas ce qui s’est passé; cela en violation de toutes les règles de biosécurité nationale et internationale !?

Le fait de cacher toutes ces situations qui peuvent avoir une répercussion grave et d’user du mensonge permanent en manipulant les populations pour entretenir un doute persistant, comme c’est le cas en l’occurrence depuis le début de cette « crise sanitaire », est de nature à inquiéter légitimement. Quand l’Institut Pasteur prétend être blanc comme neige, plusieurs preuves conduisent à considérer que l’institut Pasteur est bien à l’origine de Sars-Cov2, alias Covid-19, impliquant la nécessité d’une enquête rigoureuse : le 17 novembre 2020, Rossana Segreto et Yuri Deigin spécialistes de la Microbiologie et de la Biotechnologie, concluent dans une étude (Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis National Institutes of Health): « La structure génétique du SRAS-CoV-2 n’exclut pas une origine de laboratoire; la structure chimérique du SRAS-COV-2 et le site de clivage de la furine pourraient être le résultat d’une manipulation génétique » « The genetic structure of SARS-CoV-2 does not rule out a laboratory origin SARS-COV-2 chimeric structure and furin cleavage site might be the result of geneticmanipulation» / Bioessays. 2020 Nov 17: 2000240. doi: 10.1002/bies.202000240 PMCID: PMC7744920 PMID: 33200842 (Pièce 9a)

Le 29 mars 2021 le grand professeur et chercheur Steven C. Quay, spécialiste dans les domaines de l’ immunologie, la biologie moléculaire, la génétique, la microbiologie, la biotechnologie, la biochimie, qui a pratiqué au MIT, a collaboré avec plusieurs prix Nobel, a travaillé sur l’ARN au sein de Nastech, a été l’inventeur de la propriété intellectuelle RNAi, qui est reconnu par ses pairs parmi les meilleurs 1% des scientifiques médicaux dans le monde pour la productivité et l’impact des citations, avec plus de 300 publications, plus de 10000 citations d’ouvrages publiés, un h-index de 53 et un h10-index de 164, M. Quay conclut dans une étude dont il est reconnu pour ses résultats exceptionnels avec les plus hauts degrés d’expertise :

« Une analyse bayésienne conclut au-delà de tout doute raisonnable que le SRAS-CoV-2 n’est pas une zoonose naturelle mais plutôt un dérivé de laboratoire » / https://doi.org/10.5281/zenodo.4642956 (Pièce 9a)

La conclusion est que tous les grands scientifiques de la planète arrivent au même résultat sur l’origine du sars-cov2, à savoir qu’il est d’origine humaine. En France, plusieurs scientifiques ont sous-entendu accuser l’institut Pasteur. Il ne peut y avoir autant de coïncidences, au vu des brevets, des liens entre Wuhan, l’institut et l’Etat français, des évènements cachés concernant le trafic de virus mortels, la perte de milliers de flacons et les vices d’inventaires, constituant autant d’éléments à charge de l’Institut Pasteur, bénéficiaire d’un étouffement judiciaire des enquêtes avec la complicité du gouvernement français très impliqué dans le programme génomique 2025, démarré en 2015 (voir P.13 et 14) (Pièce 9).

4. Le test RT-PCR et ses conséquences :

Le test RT-PCR n’avait que pour but de donner l’illusion, – par un procédé d’escroquerie de manipulation des statistiques utilisée comme donnée d’entrée à la stratégie anti-Covid -, de multiplier le nombre de cas de personnes contaminées, en réalité en bonne santé, établir la peur, la méfiance, l’abandon de ses droits, la dénonciation afin de procéder à une expérimentation généralisée sur les populations concernant le génome humain, cette expérimentation étant interdite dans la plupart des pays par la loi.

Ceci est un fait et il ne peut être contredit au vu des éléments scientifiques et « ad probationem », les tentatives en France de modifier la loi à ce sujet.

Comme indiqué dans la mise en demeure pages 11 et 12 :

un test PCR ne permet pas de différencier une simple contamination d’une infection; un test PCR ne peut en aucun cas être utilisé comme test relevant le covid-19; un test PCR positif n’est pas toujours un test PCR positif ;

Le test PCR du Prof. Dr. Christian DROSTEN recommandé par l’OMS 2019 (2019-nCoV) a été évalué par ses pairs et fait l’objet d’une demande de retrait de publication sur Eurosurveillance, relevant 10 failles scientifiques majeures au niveau moléculaire et méthodologique : conséquences des résultats faussement positifs tellement grossiers que cela relève d’une intention de nuire.

Un test PCR positif, à un seuil de 35 cycles d’amplification ou plus (comme dans la plupart des laboratoires aux États-Unis et en Europe, dont la France), les risques qu’une personne soit infectée sont inférieurs à 3%.

La probabilité qu’une personne reçoive un faux positif est de 97% ou plus.

La fiabilité éventuelle des tests PCR réalisés, dépend d’emblée, du seuil de cycles d’amplification qu’ils contiennent, de telle sorte que, jusqu’à la limite de 25 cycles, la fiabilité du test sera d’environ 70%, or la plupart des pays l’ont volontairement amplifié entre 34 et 45 pour créer de faux malades.

Il n’existe aucune mise en culture non frelatée à notre connaissance, qui permettrait d’évaluer la réalité de l’infection d’une personne après ce test.

Il n’existe aucune donnée scientifique suggérant de faibles niveaux d’ARN viral par RT-PCR équivalent à une infection, à moins que la présence de particules virales infectieuses n’ait été confirmée par des méthodes de culture en laboratoire.

Les tests Covid-19 qui montrent des faux positifs sont de plus en plus probables, dans le scénario épidémiologique actuel du climat, avec des conséquences substantielles pour les systèmes personnel, sanitaire et d’entreprise.

Avec autant de doutes scientifiques, exprimés par des experts du domaine, qui sont ceux qui comptent ici, quant à la fiabilité de tels tests, en ignorant les paramètres de leur performance et en l’absence de diagnostic posé par un médecin, dans le sens de l’existence d’une infection et d’un risque, il ne serait jamais possible de déterminer qu’une personne était porteuse du virus SRAS-CoV-2, ni que cette personne était exposée à un risque élevé.

Une affirmation contraire au vu des éléments scientifiques actuels suffisamment nombreux est une tromperie en vue de dissimuler un crime de masse envers la population, afin de se servir d’elle comme cobaye humain sans son consentement éclairé (Pièces 1 et 33).

5. Les masques et ses conséquences :

Le masque est obligatoire, que les individus soient malades ou non malades, adultes et enfants. Or, aucune étude scientifique ne démontre l’utilité du masque en cas d’épidémie.

Il est relevé que, des études scientifiques rappellent l’absence de bénéfices ou bien la nocivité du port du masque, même pour les professionnels, voire son interdiction d’utilisation comme moyen de protection respiratoire, comme expliqué dans la mise en demeure page 13, au surplus de nouvelles études en exemple ci-dessous. Les études ont été initiées depuis 1962 à aujourd’hui, concernant tous les types de masques : – « Le respirateur « N95 (ffp2) » est capable de filtrer les particules supérieures ou égales à 0,3 microns, dans 50% ou 95% des cas. Les coronavirus humains mesurent entre 0,1 et 0,2 microns, c’est-à-dire une à deux fois moins que la taille limite interceptée par le masque » / Sheng Wu Hua Xue Yu Sheng Wu – Wu Li Xue Bao (Shanghai) 2003 juin; 35 (6): 587-91. Morphologie et morphogenèse du virus associé au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) PMID: 12796822 and Analytical size exclusion chromatography Pandemic H1N1 Hemagglutination assay Fragmentation Aggregation Process analytical techniques Received 6 June 2016, Revised 23 August 2016, Accepted 25 August 2016, Available online 26 August 2016. https://doi.org/10.1016/j.chroma.2016.08.056

– « Deux types de demi-masques respiratoires N95 et 2 types des masques chirurgicaux ont été soumis à des aérosols Virus MS2 (…) Les résultats indiquent que les respirateurs certifiés N95 ne fournissent pas nécessairement une protection adéquate contre les virus, qui est considérablement plus petit que le plus pénétrant accepté en granulométrie de 300 nm utilisée dans les tests de certification (…) L’efficacité des masques chirurgicaux est bien inférieure à celui des respirateurs N95 pour que les virions MS2 pénètrent facilement à travers les masques chirurgicaux. Les tests de performance menés avec des masques chirurgicaux remis en cause avec des sphères de latex de 300 nm ou des particules bactériennes peut sous-estimer la pénétration de nanosize virions.» / Do N95 respirators provide 95% protection level against airborne viruses, and how adequate are surgical masks? – doi:10.1016/j.ajic.2005.08.018

– « Les masques chirurgicaux induisent une désoxygénation durant les opérations majeures et révèlent une baisse de la saturation en oxygène des pulsations artérielles (Sp02) » / Preliminary report on surgical mask induced deoxygenation during major surgery (Journal Neurocirurgia, 19 avril 2008 – PMID 18500410) ;

– « L’utilisation du masque facial chez les professionnels de la santé n’a pas été démontrée comme fournissant des bénéfices en matière de rhume ou de transmission de rhumes » / Use of surgical face masks to reduce the incidence of the common cold among health care workers in Japan: a randomized controlled trial (American Journal of Infection Control, 12 février 2009 – PMID 19216002);

– « Le masque chirurgical a été exclu des appareils de protection respiratoire face aux virus et bactéries n’ayant aucune efficacité que ce soit en inhalation ou expiration (…) Le fait de laver n’importe quel masque, enlève toute son efficacité face aux virus et bactéries (…) Le port prolongé du masque en condition humide par la respiration ou l’air, forme des spores fongiques d’Aspergillus et de Penicillium, production de toxines, et est donc dangereux pour la santé » / (INRS Institut national de recherche et de sécurité) HST PR 46 221, 4e trimestre 2010, France;

– « Aucune des études n’a établi de relation concluante entre l’utilisation du masque et la protection contre les infections de grippe » / The use of masks and respirators to prevent transmission of influenza: a systematic review of the scientific evidence (Journal of Influenza & other respiratory viruses, 21 décembre 2011, PMID:22188875);

– « Les virus confirmés par laboratoire étaient significativement supérieurs dans le groupe porteur de masques (….) La pénétration des masques par des particules était proche de 97% (….) La rétention d’humidité, la réutilisation des masques et la piètre filtration peut conduire à des risques d’infection » / A cluster randomised trial of cloth masks compared with medical masks in healthcare workers (British Medical Journal, 22 avril 2015 PMID: 25903751);

– « L’acidose respiratoire se développe lorsque l’air inspiré et expiré des poumons n’est pas correctement échangé entre le dioxyde de carbone du corps et l’oxygène de l’air » / What to know about respiratory acidosis (Medical News Today, 3 décembre 2018, Article 313110) ;

– « Les masques faciaux ne devraient pas être portés par des individus sains pour se protéger d’une infection respiratoire, car il n’existe aucune preuve suggérant que les masques faciaux portés par des individus sains sont efficaces pour empêcher les gens de tomber malade » / Medical Masks (Journal of the American Medical Association, 4 mars 2020) ;

– « Porter un masque en dehors des établissements de santé offre peu ou pas de protection contre les infections » / Universal Masking in Hospitals in the Covid-19 Era (The New England Journal of Medicine, 1er avril 2020, PMID:32237672) ;

– « Les masques chirurgicaux et les masques de coton semblent être inefficaces dans la prévention de la dissémination du SARS-CoV2 des toux de patients atteints de COVID-19 dans l’environnement et la surface externe des masques » / Effectiveness of Surgical and Cotton Masks in Blocking SARS–CoV-2: A Controlled Comparison in 4 Patients (Annales de Médecine Interne, 6 avril 2020) ;

– « La plupart des professionnels de santé développent des maux de tête associés aux masques de type N95, ou une exacerbation de maux de tête préexistants » / Headaches Associated With Personal Protective Equipment – A Cross-Sectional Study Among Frontline Healthcare Workers During COVID-19 (Journal Headache, 12 avril 2020, PMID:32232837) ;

– « Inefficacité générale du masque pour lutter contre la maladie covid-19 » / Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers, A Randomized Controlled Trial 18 November 2020 ;

– « Les masques n’empêchent pas les contaminations » / The Lancet, february 2, 2021 ;

– « SARS-CoV2, Les masques chirurgicaux, faits-main et les écrans faciaux génèrent des jets de fuites significatives qui ont le potentiel de disperser des fluides et particules chargés de virus sur plusieurs mètres (…) qui peuvent présenter des dangers majeurs (…) Ils montrent tous des jets rétroactifs intenses lors de respirations fortes ou de toux (….) Il est important de prendre conscience de ces jets, pour éviter une fausse impression de sécurité en se trouvant à côté ou derrière une personne portant ce type de masque » / Face Coverings, Aerosol Dispersion and Mitigation of Virus Transmission Risk (Université d’Edimbourg Received 10 November 2020; revised 2 December 2020 and 12 January 2021; accepted 12 January 2021. Date of publication 20 January 2021; date of current version 22 February 2021 Digital Object Identifier 10.1109/OJEMB.2021.3053215);

Il est encore utile de rappeler que :

– Les fabricants de masques apposent sur les boîtes de masques de protection respiratoire individuelle, la mention suivante ou équivalente : « Ceci n’est pas un dispositif médical. Ce produit ne protège pas des contaminations virales ou infectieuses ».

Ce qui signifie que le masque ne protège ni du SARS-COV2 (maladie supposée de la Covid-19) ni d’aucune grippe en général.

Ces faits sur les masques sont connus des gouvernements et notamment français depuis 2010, la seule utilité de ces masques quand on connait les résultats des études scientifiques, en l’imposant de force par la contrainte financière et la menace d’une peine de prison à tous ceux qui refusent de le porter, est de tester la soumission de sa population pour l’annihiler par la peur, l’humilier afin de tester jusqu’où la population pourra être asservie, au surplus de mettre la santé de la population en danger (Pièces 1 et 34), jusqu’à l’acceptation du passeport sanitaire par le chantage de pouvoir accéder à un lieu ou à un service, pour ultérieurement préparer l’acceptation de l’obligation de la « vaccination » de masse.

Il ne peut être remis en cause le fait suivant, qui relève de la mathématique quantique : « un caillou de 1 voire 2 cm passera toujours dans un trou de 3 cm, donc un masque qui ne peut retenir que 0,3 microns laissera passer une particule de 0,1 voire 0,2 microns »

Qu’en plein pic d’épidémie supposé (i.e. en avril 2020), les masques étaient interdits à la vente en pharmacie.

Aujourd’hui, un citoyen qui ne porte pas le masque est redevable de 135 € d’amende, 1 500 euros d’amende en cas de récidive et risque une peine de six mois de prison et 3 750 € d’amende en cas de quatrième verbalisation.

Une étude récente du 20 avril 2021 concernant sar-cov2 démontre incontestablement : masque facial N95, masque chirurgical : hypercapnie, hypoxie, mal de tête, dyspnée, effort physique, syndrome MIES.

«Le port prolongé du masque par la population générale pourrait entraîner des effets et des conséquences dans de nombreux domaines médicaux. » par Kai Kisielinski , Paul Giboni , Andreas Prescher, Bernd Klosterhalfen , David Graessel, Stefan Funken, Olivier Kempski et Olivier Hirsch, s’appuyant sur des études randomisées Cabinet privé, 40212 Düsseldorf, Allemagne ; Cabinet privé, 22763 Hambourg, Allemagne ; Institut d’anatomie moléculaire et cellulaire (MOCA), Wendlingweg 2, 52074 Aix-la-Chapelle, Allemagne ; Institut de pathologie, Hôpital de Dueren, Roonstrasse 30, 52351 Dueren, Allemagne ; Institut des neurosciences et de la médecine, Forschungszentrum Jülich, 52425 Jülich, Allemagne ; Cabinet privé, 47803 Krefeld, Allemagne ; Institut de physiopathologie neurochirurgicale, Centre médical universitaire de l’Université Johannes Gutenberg de Mayence Langenbeckstr. 1, 55131 Mayence, Allemagne ; Département de psychologie, FOM Université des sciences appliquées, 57078 Siegen, Allemagne. « Syndrome d’épuisement induit par le masque (MIES) : chute et fatigue (0,05%), une cooccurrence groupée d’insuffisance respiratoire et de chute d’O 2 (67 %), masque N95 et augmentation de CO 2 (82 %), masque N95 et chute d’O 2 (72 %), N95 masque et maux de tête (60%), troubles respiratoires et échauffement (88%), mais aussi échauffement et humidité (100%) sous les masques » / Rédacteur académique : Paul B. Tchounwou Int. J. Environ. Rés. Santé publique 2021, 18 (8), 4344; https://doi.org/10.3390/ijerph18084344 Reçu : 20 mars 2021 / Révisé : 15 avril 2021 / Accepté : 16 avril 2021 / Publié : 20 avril 2021

6. Le passeport vaccin et ses conséquences :

A- Le passeport vaccin :

Depuis 2016, Bill GATES travaille sur l’identité numérique par incorporation d’une nano particule en collaboration avec l’OMS. Ainsi ID2020 Microsoft corporation a créé avec ses partenaires GAVI et the Vaccine Alliance un programme pour fournir une identification numérique avec des vaccins.

Le Vice-président exécutif Peggy Johnson, développement des affaires, Microsoft Corporation et le Dr Seth Berkley PDG, GAVI, the Vaccine Alliance ont déclaré, suite aux essais en Afrique : « Ce programme est pour vérifier que les personnes ont bien reçu le vaccin et non pour les tracer »

Cette précision de négation « non pour les tracer » induit nécessairement la possibilité de le faire.

La proposition initiale de «passeports de vaccins» a été publiée pour la première fois le 26 avril 2018 par la Commission européenne.

La feuille de route initiale est publiée au début de 2019 pour mettre en œuvre la proposition de la Commission européenne. Il était prévu de faire émettre une proposition législative d’ici 2022, en Europe.

Les termes employés dans cette feuille de route sont tels que : «Contrer l’hésitation à la vaccination», «flambées inattendues», le soutien à l’autorisation de «vaccins innovants, y compris pour les menaces sanitaires émergentes». Déclarant que «l’industrie de la fabrication des vaccins» a un «rôle clé», il énumère «l’amélioration de la capacité de fabrication de l’UE», le renforcement des «partenariats existants» et de la «collaboration avec les acteurs et initiatives internationaux» et fait référence au Sommet mondial sur la vaccination qui s’est tenu en 2019.

Les participants et l’agenda de ce sommet sont également révélateurs :

Le sommet s’est tenu le 12 septembre 2019, à Bruxelles, en Belgique, soit à peine 3 mois avant l’épidémie de COVID-19. Il a été organisé par la Commission européenne en coopération avec l’OMS.

Le sommet s’est structuré autour de trois tables rondes intitulées: – Dans les vaccins auxquels nous faisons confiance – La magie de la science – Les vaccins protègent tout le monde, partout

Les participants à ce sommet étaient des dirigeants politiques, des représentants de haut niveau des ministères de la santé, des Nations Unies, des universitaires de premier plan, des professionnels de la santé et des scientifiques, des secteurs non gouvernementaux et privés.

A ces tables rondes figuraient le Dr Seth Berkley, PDG de GAVI, Nanette Cocero, présidente mondiale de Pfizer Vaccines, la Global Vaccine Alliance, une organisation qui a reçu d’énormes montants de financement de la Fondation Bill & Melinda Gates, et Joe Cerrell, directeur général de la Fondation Bill & Melinda Gates pour la politique mondiale et le plaidoyer et partenaires d’ID2020 Microsoft corporation.

Or, Le Dr Astrid Stuckelberger de réputation mondiale, scientifique, chercheuse et enseignante à la Faculté de médecine de l’Université de Genève et de Lausanne, experte internationale dans différents domaines liés à la santé et à la santé publique, reconnue comme une pionnière de l’analyse synthétique de la science impliquée dans de nouveaux modèles de médecine préventive épi génétique et de réversibilité de la maladie – elle a publié 10 livres actuellement traduits et plus de 170 articles scientifiques, rapports politiques, rapports gouvernementaux, de la Commission européenne ou de l’ONU – a dénoncé les activités suspectes de Bill Gates et de GAVI en déclarant :

« Les règles en vertu desquelles les pays collaborent avec l’OMS placent pratiquement l’OMS en charge de toutes les règles, édits et annonces formels – Gates étant juste là en tant que membre du conseil exécutif comme un État membre non officiel, pour prendre des décisions qui affectent le monde entier. »

Les principaux documents distribués comprenaient des rapports sur : – planification de la préparation à la grippe pandémique – un exercice de grippe pandémique pour l’Union européenne – planification de la préparation à la grippe aviaire et à la pandémie de grippe – préparation et planification de la riposte à la grippe pandémique – vers une suffisance des vaccins contre la grippe pandémique dans l’UE – un «partenariat public-privé» sur les vaccins européens contre la grippe pandémique

Dans tous ces documents, l’objectif de renforcement de la collaboration avec l’industrie pharmaceutique est souligné à maintes reprises, ainsi que le message selon lequel une pandémie mondiale était désormais inévitable.

La planification de la pandémie était clairement mise en évidence lors de cette réunion au sommet.

Le 02 décembre 2020, l’OMS lance un appel d’offre sur : « la certification de la vaccination intelligente au nom du vaccin covid-19 avec l’applicabilité prévue à d’autres vaccins. Avec l’OMS, un certain nombre d’agences, dont l’UNICEF, GAVI, l’UIT et la DG SANTE de la CE, contribuent à cette initiative visant à créer un consortium multisectoriel axé sur l’apprentissage conjoint et à soutenir l’utilisation des spécifications et des normes finalisées pour les certificats de vaccination numériques, architecturés pour la liaison avec les systèmes numériques nationaux et transfrontaliers (…) Le consortium Smart Vaccination Certificate réunira des experts pour se concentrer sur la définition des spécifications et des normes pour un certificat de vaccination numérique »

Ainsi, il est bien fait état d’une surveillance de masse en points 4 et 5, peu importe que soi-disant « les données seraient limitées et partagées de manière appropriée » ; « il n’y a pas de «taille unique» ou de «solution unique pour les diriger tous» » ; ceci est un prétexte au nom de la santé, l’OMS et les laboratoires pharmaceutiques, de même que Bill GATES décidant ce qui est bien pour les populations (Pièce 35).

Ce qu’ils envisagent est un écosystème COVID complet, un avenir où chaque aspect de la vie est surveillé et réglementé selon les caprices et la fantaisie de ces « Pharma Overlords », comme certains projets en exemples :

Microchip COVID Pentagone : « les scientifiques du Pentagone ont créé une micro puce qu’ils veulent injecter dans le corps pour détecter le coronavirus dans le corps avant même de présenter des symptômes. Ils ont également créé un filtre pour extraire le virus du sang. »

Sceau de santé pour les entreprises : « Des célébrités comme Lady Gaga et Robert De Niro utilisent Covid-19 pour promouvoir un système coûteux de «sceau de santé WELL Health-Safety» qui certifiera l’emplacement de votre entreprise comme étant exempt de COVID-19. »

Pas de vaccin – Pas de salaire :

« Une ordonnance Pas de vaccination – Pas de salaire controversée, a été émise par les autorités sanitaires de l’État indien de Jharkhand, qui a été forcée d’être retirée après la réaction des employés. »

Ou encore :

Bill Gates Funds Invisible Quantum Tattoo Hidden In Coronavirus Vaccine For Storing Vaccination History: « Tatouage quantique: des chercheurs ont montré que leur nouveau colorant, qui se compose de nano cristaux appelés points quantiques, peut rester au moins cinq ans sous la peau, où il émet une lumière proche infrarouge qui peut être détectée par un smartphone spécialement équipé. » Flying Syringes – Bill Gates Wants To Release Genetically Modified Mosquitoes To Inject You With Vaccines: «Projet proposé et financé par Bill Gates pour créer des moustiques génétiquement modifiés qui injectent des vaccins aux personnes lorsqu’elles les piquent ; il a octroyé 100 000 dollars à Hiroyuki Matsuoka de l’Université médicale de Jichi au Japon.»

Il existe également un projet pour COVI PASS :

« Les passeports de santé numériques du coronavirus compatibles avec la RFID biométrique pour surveiller presque tous les aspects de la vie des citoyens au nom du renforcement de la gestion de la santé publique grâce à une technologie de qualité militaire. »

Un projet similaire appelé Trust Stamp : « programme d’identité numérique basé sur la vaccination financé par Bill Gates et mis en œuvre par Mastercard et GAVI, reliera bientôt votre identité numérique biométrique à vos dossiers de vaccination. »

Le gouvernement indien envisage de lancer une carte de santé numérique obligatoire inspirée du concept de Bill Gates. Dans le cadre du programme «One Nation One Health Card»

Passeports code QR :

« La Grande-Bretagne pourrait bientôt déployer le Coronavirus Freedom Passport basé sur QR pour déterminer si vous êtes innocent COVID-19. Si la COVID-19 est positive, vous pouvez être interdit d’entrer dans les pubs, les écoles et les lieux de travail. »

Projet Commons :

« La Fondation Rockefeller et la Fondation Clinton ont développé une série d’applications COVID qui contrôleront étroitement la vie post-Covid : CommonHealth, COVIDcheck et CommonPass. Ils collecteront, stockeront et surveilleront vos données de santé en fonction desquelles les applications décideront si vous êtes éligible pour voyager, étudier, aller au bureau, etc. »

Passe Sanitaire :

« La France, par vote forcé, a instauré le « passe sanitaire » le 11 mai 2021 à 18h28, rejeté par le parlement, puis modifié le 12 mai 2021 à 01h11, le gouvernement réorganisant un vote pour le faire accepter qui subordonne l’accès des grands rassemblements ou de certains lieux à la présentation d’un résultat négatif d’un dépistage virologique, ou un justificatif de vaccination ou une attestation de son rétablissement à la suite d’une contamination par toute combinaison.

« Le Premier ministre peut, par décret :

1° – Réglementer ou, dans certaines parties du territoire dans lesquelles est constatée une circulation active du virus, interdire la circulation des personnes et des véhicules, ainsi que l’accès aux moyens de transport collectif et les conditions de leur usage et, pour les seuls transports aériens et maritimes, interdire ou restreindre les déplacements de personnes et la circulation des moyens de transporté.

– le Premier ministre peut imposer aux personnes, souhaitant se déplacer à destination ou en provenance du territoire hexagonal, de la Corse ou de l’une des collectivités mentionnées à l’article 72‑3 de la Constitution, de présenter le résultat d’un examen de dépistage virologique ne concluant pas à une contamination par la covid‑19, un justificatif de l’administration d’un vaccin contre la covid‑19 ou un document attestant de leur rétablissement à la suite d’une contamination par la covid‑19.

2° – Réglementer l’ouverture au public, y compris les conditions d’accès et de présence, d’une ou de plusieurs catégories d’établissements recevant du public ainsi que des lieux de réunion.

– La fermeture provisoire d’une ou de plusieurs catégories d’établissements recevant du public ainsi que des lieux de réunions.

3° – Sans préjudice des articles L. 211‑2 et L. 211‑4 du code de la sécurité intérieure, réglementer les rassemblements de personnes, les réunions et les activités sur la voie publique et dans les lieux ouverts au public. »

Ainsi la France instaure par la force et l’extorsion au consentement non éclairé, la « vaccination » obligatoire et le test RT PCR ou sérologique pour sa population, quel que soit le risque pour la santé, sur la descendance et contre la volonté de la personne, en réglementant des zones de non-droits pour les personnes qui refusent le « vaccin » ou le test RT-PCR.

Tout ceci vise un point commun, le projet de pucer la race humaine par le programme d’identification numérique ID2020 de Microsoft corporation, créé en partenariat avec GAVI et the Vaccine Alliance, dont Tal ZAKS médecin directeur en chef de Moderna a déclaré :

« Le corps humain est un logiciel dont pour modifier le génome humain, il suffit de changer une ligne de code » (Pièce 36).

– C’est ainsi qu’on découvre sur la base d’un rapport de renseignement humain intercepté et révélé, que Bill Gates avait offert un pot de vin de 10 millions de dollars, pour un programme de vaccination contre le coronavirus, à la Chambre des représentants nigériane.

– De même, que Pfizer est accusé par le Brésil et l’Argentine d’avoir tenté de les spolier. Pfizer a demandé par « précontrat » une indemnité supplémentaire pour les affaires civiles, précisant que la société pharmaceutique ne serait pas tenue responsable des effets indésirables rares ou de ses propres actes de négligence, de fraude ou de malveillance. Cela inclut ceux liés aux pratiques de l’entreprise, si Pfizer a envoyé le mauvais vaccin ou a commis des erreurs lors de la fabrication. Pfizer a demandé que les gouvernements mettent en garantie des actifs souverains – qui pourraient inclure des réserves de banque fédérale, des bâtiments d’ambassade ou des bases militaires, de renoncer à la souveraineté des actifs à l’étranger au profit de Pfizer, à titre de garantie de paiement, ainsi que de constituer un fonds de garantie avec des montants déposés sur un compte à l’étranger, aux fins de pourvoir aux procès à venir. Selon ces conditions unilatérales, seuls les Etats seraient responsables.

Le Brésil et l’Argentine révèlent également que l’OMS a tenté les mêmes pratiques (Pièce 37).

– Lors d’un procès, il a été découvert que Pfizer a versé des pots de vin sur des comptes offshores à des ministres Français et sur les compagnes présidentielles, pour influer sur les décisions de santé publique. Le Président actuel Emmanuel MACRON a été interrogé sur le sujet concernant ses liens avec les laboratoires pharmaceutiques, notamment Pfizer, et il a refusé de répondre (Pièce 38).

– Le Dr Philippe DOUSTE-BLAZY, ex-ministre de la santé, est au conseil d’administration de Quercis Pharma « qui détient des licences pour d’importants brevets concernant la plateforme de thromboembolie (thrombose), sur le cancer et les symptômes de la Covid-19 sur des traitements expérimentaux » et détient la société HAMLET « spécialisée dans le secteur d’activité des autres activités auxiliaires de services financiers, hors assurance et caisses de retraite » dont le chiffre d’affaire a fait un bon de 800% en un an et dont l’un des membres du conseil d’administration n’est autre que Bill GATES, ami intime (Pièce 39).

– Les PDG de Pfizer, et de GlaxoSmithKline (GSK) ont eu des entrevues privées avec tous les ex- ministres de la santé et le ministre de la sécurité sociale française depuis des années (Pièce 40).

Ainsi, le directeur de GILEAD a participé à un conseil de défense avec le comité scientifique en présence du président de la République française Emmanuel MACRON, pour influer sur les décisions à prendre sur la crise sanitaire et a fait purement et simplement interdire la chloroquine au profit du « Remdesivir » (fourni par GILEAD), dont l’Etat français s’est porté acquéreur de millions de doses. Il a été révélé aujourd’hui qu’il s’agissait de la plus grosse arnaque financière et criminelle du moment, vue la dangerosité du « Remdésivir », sous le regard stupéfait du professeur Didier Raoult qui a décidé de quitter le comité scientifique (Pièce 41).

B- Ses conséquences :

Il est clair que le principal but de la « vaccination » forcée est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen. Il sera en effet permis que le contrôle de ses droits d’accès à différents lieux (restaurants, boutiques, gares etc.) se fasse de manière automatique, ce qui ouvrira un immense marché, celui des objets connectés, tellement savoureux qu’il est capable de transformer des informaticiens en virologues !

Cela permettra également l’introduction d’une monnaie numérique déjà préparée par la suppression progressive de l’argent liquide telle que révélée par le comité Action publique 2022 – rapport CAP22, idée lancée par l’ancien président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, en décembre 2018, ainsi que l’a sous-entendue la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, dont les brevets CRYPTOCURRENCY SYSTEM USING BODY ACTIVITY DATA WO/2020/060606 et 20200097951 sont détenus dans tous les pays du monde par Bill GATES, Microsoft Technology Licensing, LLC (Pièce 42).

Dès lors : En criminalisant les individus qui seraient porteurs éventuels d’une maladie ou d’un virus ; En criminalisant les individus qui refusent le test ou le « vaccin » expérimental ; En interdisant de circuler librement ; En créant des zones de non-droit ; En créant des zones d’isolement forcé contre le gré des personnes qui refusent le test et/ou le vaccin En soumettant le droit de travailler et tous autres à un test ou « vaccin » expérimental (produit de l’ingénierie pharmaceutique expérimental) :

l’individu est réduit à la volonté d’autrui (caste autoritaire) contre son gré et perd de facto son autonomie personnelle et sa faculté de penser et de choisir par lui-même.

Même si dans le passé, il a été défini que l’esclavage était lié à l’argent, ce n’est pas pour autant l’argument principal pour sa qualification, en effet :

Selon sa définition sémantique l’esclave est le fait de : * Pour un groupe social, d’être soumis à un régime économique et politique qui le prive de toute liberté, le contraint à exercer les fonctions économiques les plus pénibles sans autre contrepartie que le logement et la nourriture, « ainsi il peut être considéré que le fait de travailler contre rémunération alors que le groupe politique vous reprend tout au point de n’être plus en capacité de subvenir à vos besoins les plus élémentaires qui sont de se nourrir et d’avoir un logement, est de l’esclavage ».

* Mais aussi, condition de ceux qui sont sous une domination tyrannique : asservissement, servitude, tenir un peuple en esclavage.

* Dépendance étroite de quelqu’un à l’égard de quelque chose ou de quelqu’un qui impose une sujétion, une contrainte.

Ainsi l’individu, n’étant plus maître de ses choix, étant sujet de la volonté d’autrui pour obtenir des droits à la condition de se soumettre, peu importe que cela représente un danger pour sa santé, sa vie, sa descendance, est bien victime d’un retour à la servitude totale. « C’est de l’esclavage »

Comment qualifier ce statut si ce n’est de l’esclavage.

7. Le « vaccin » supposé et ses conséquences :

A- Liminaire concernant la mise sur le marché du « vaccin » supposé :

Selon l’éclairage de Madame Catherine FRADE, docteur en pharmacie, et ancienne directrice des affaires réglementaires internationales dans l’industrie pharmaceutique, dans le domaine du médicament (dont les vaccins), l’acte pharmaceutique de « libération » du produit fini (produit autorisé destiné à la vente) constitue l’ultime étape de contrôle qui précède la mise à disposition de ces produits auprès de la population.

Les 4 vaccins contre la Covid-19 concernés sont les suivants : celui du laboratoire BioNTech/Pfizer ; celui du laboratoire Moderna ; celui du laboratoire Astra Zeneca et celui du laboratoire Janssen.

Une Autorisation de Mise sur le Marché (= AMM) est octroyée quand un produit a prouvé sa qualité, son efficacité et sa sécurité avec un rapport bénéfice/risque positif (c’est-à-dire qu’il présente plus de bénéfices que de risques). L’obtention de l’AMM est la condition indispensable pour vendre un médicament, dont les vaccins.

Les 4 AMM délivrées sont des AMM dites conditionnelles, valides un an, car obtenues sur la base de données allégées incomplètes. Les études, concernant ces 4 vaccins, sont donc toujours en cours.

L’ensemble des études déposées lors de la demande d’AMM est résumé dans l’EPAR (European Public Assessment Report : Rapport Public d’Évaluation Européen).

Ce planning, qui « s’étale de 2021 à au moins 2024 » selon les vaccins contre la Covid-19, est défini dans les « annexes » de l’AMM conditionnelle et dans les EPAR publiés.

Le vaccin BioNTech/Pfizer a obtenu cette AMM conditionnelle européenne le 21 décembre 2020. Et, le délai pour déposer «la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance de ce vaccin est fixé au mois de « décembre 2023».

Le vaccin Moderna a obtenu cette AMM le 6 janvier 2021. Le délai pour déposer «la confirmation» d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin est fixé au mois de «décembre 2022», au moins.

Le vaccin Astra Zeneca a obtenu cette AMM le 29 janvier 2021. Le délai pour déposer «la confirmation» d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin est fixé au mois de «mars 2024».

Le vaccin Janssen a obtenu cette AMM européenne conditionnelle le 11 mars 2021. Le délai pour déposer «la confirmation» d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin est fixé au mois de «décembre 2023».

Mais, à ce jour, un autre délai a été fixé pour ces 4 « vaccins » ; il ne concerne plus seulement les essais cliniques en cours, mais également les «preuves de qualité pour la substance active et le produit fini», lui- même : c’est-à-dire la qualité intrinsèque (le cœur) du produit vendu et administré à des millions d’individus.

Au surplus, les documents officiels publiés soulignent également le caractère incomplet des preuves relatives à la « qualité » de la « substance active » et des « excipients », du « procédé de fabrication », de la « reproductibilité des lots » commercialisés, etc…

C’est ainsi que le délai pour déposer les compléments de preuves concernant la « qualité » de la « substance active » et du « produit fini » (c’est-à-dire le vaccin autorisé et vendu) est fixé aux mois de : «juillet 2021 » pour BioNTech/Pfizer, « juin 2021 » pour Moderna, « juin 2022 » pour Astra Zeneca et « août 2021 » pour Janssen.

En conséquence, vu ces motifs, non exhaustifs : * notamment le contenu du paragraphe E « Obligation spécifique relative aux mesures post-autorisation concernant l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle », extrait de l’annexe II de l’AMM, correspondant à chacun de ces 4 vaccins contre la Covid-19.

* L’insuffisance d’évaluation des essais cliniques (études menées chez l’Homme (femme et homme)), mais également la qualité même de la substance active, des excipients dont certains sont nouveaux, du procédé de fabrication, des lots libérés et administrés à des personnes humaines dans plusieurs pays du monde. Ces excipients nouveaux qui doivent être considérés comme des principes actifs nouveaux, et ainsi faire l’objet d’un dossier d’évaluation complet et similaire à celui qui est exigé pour un principe actif nouveau.

* S’ajoute à cela le changement du nom commercial de l’un de ces « vaccins » (produit d’ingénierie pharmaceutique expérimentale), notamment le « vaccin » du laboratoire Astra Zeneca, qui ne pourrait être considéré que comme un arrangement cosmétique de l’image du produit dans un but marketing (conquête d’une nouvelle confiance du public, relance des ventes). Il ne répondrait pas aux questions soulevées concernant la qualité, l’efficacité et la sécurité du produit. Ces techniques habituelles sont utilisées pour maquiller (dissimuler) certaines caractéristiques indésirables du produit concerné; une technique qui a déjà été employée pour présenter d’autres médicaments sous leur meilleur jour.

Ainsi les fondements de ces AMM (autorisation de mise sur le marché) qui ont été octroyées à ces vaccins contre la Covid-19 par l’Agence européenne du médicament (EMA) sont illégaux.

En ce sens qu’ils ne répondent pas aux critères minimums qui sont de prouver leur qualité, leur efficacité et leur sécurité avec un rapport bénéfice/risque positif (c’est-à-dire qu’il présente plus de bénéfices que de risques), et ce sans rentrer dans la polémique du conflit d’intérêts en ce qui les concerne, notamment le scandale du Médiator qui a tué plusieurs milliers de personnes et dont l’ex-juge français Eva Joly et Mme Rivasi, députée européenne, avaient obtenu l’ouverture d’une enquête de l’Organisme européen de lutte anti-fraude (OLAF) contre l’Agence européenne du médicament (EMA) sur la gestion du dossier Médiator.

S’ajoute la tromperie et le mensonge par la voie du discours officiel, ce dernier ne cherchant qu’à présenter ces produits comme étant efficaces et sûrs, et sans réserves ; alors même que les formules et les procédés de fabrication de ces « vaccins » ne semblent même pas encore totalement stabilisés et connus puisqu’étant en phase expérimentale jusqu’en 2024 (Pièce 43).

Pourquoi l’EMA ne réagit pas au sujet du nombre de cas très graves d’effets secondaires ?

Selon EudraVigilance, le bilan de la « vaccination » au 19 juin 2021 dénombre 600 000 cas d’effets indésirables graves. En outre il est observé une augmentation de 10 000 cas graves sur 7 jours, soit représentant 1,67% en une seule semaine. Au 21 juin 2021, le nombre de décès enregistré est de 23 276. Sur 18 jours, il est constaté un nombre de 2 200 décès supplémentaires, ce qui représente une augmentation des décès équivalente à 9,46% sur moins de trois semaines.

Ces constats auraient dû amener des autorités responsables dont l’EMA, directrice Emer Cooke, à suspendre d’urgence toutes les expérimentations sur la population d’un produit expérimental.

Le nombre de décès après vaccination est multiplié par 50 /chiffres de l’EMA.

Y a-t-il une interaction entre Emer Cooke directrice exécutif de l’EMA, nommée le 20 novembre 2020 et peu après, responsable de l’approbation de ces vaccins supposés, alors qu’elle était membre du conseil d’administration de la Fédération européenne des industries et associations pharmaceutiques (EFPIA) pendant 7 ans, organisation de lobbying des plus grandes sociétés pharmaceutiques européennes dont parmi les membres se trouvent être : Pfizer, AstraZeneca , Novartis, Johnson & Johnson, Merck, Bayer, Gilead, GSK, lilly, Msd, Norvatis, Roche, Sanofi tous ayant des intérêts liés au vaccin covid-19 ?

Sur le budget total de l’EMA pour 2021 qui s’élève à 385 millions d’euros, 330 millions d’euros proviennent des laboratoires pharmaceutiques en cause, soit 86%. Emer Cooke a déclaré : « l’EMA reste « fermement convaincue » que les avantages du vaccin l’emportent sur les risques d’effets secondaires potentiels ». (Pièce 43a)

Or, une étude récente publiée dans The Lancet démontre, sur la base de quatre études publiées dans des journaux scientifiques – (1 sur le Pfizer–BioNTech BNT162b2 mRNA vaccination, 2 le Moderna–US National Institutes of Health [NIH] mRNA-1273 vaccination, 3 the AstraZeneca– Oxford ChAdOx1 nCov-19 vaccination, et 4 et le Gamaleya GamCovidVac [Sputnik V] vaccination) – et sur la base de trois études rendues par la FDA (l’institut américain de l’alimentation et de la medication, the US Food and Drug Administration) sur le Pfizer–BioNTech, le Moderna–NIH, et le Johnson & Johnson (Ad26. COV2.S vaccines) que: «la vaccination très « aléatoire », voire « misleading » (trompeuse), sur les résultats d’efficacité des vaccins qui est de : 1,3% pour l’AstraZeneca-Oxford, 1,2% pour le Moderna-NIH, 1,2% pour le J&J, 0,93% pour le Gamaleya, et 0,84% four le Pfizer-BioNTech» pour la population générale (…), études disparates, y compris des critères d’évaluation principaux (…) non coordonnés qui ne satisfont pas aux exigences de santé publique »

« COVID-19 vaccine efficacy and effectiveness – the elephant (not) in the room » / The Lancet Published:April 20, 2021 DOI: https://doi.org/10.1016/S2666-5247(21)00069-0 (Pièce 44)

Il ne s’agit pas d’effets secondaires ou de décès potentiels favorables au bénéfice/risque, comme le prétend madame Emer Cooke, mais bien d’un nombre impressionnant de cas réels, graves et exponentiels; nous sommes face à un déni, un mensonge de sa part, voire un conflit d’intérêts. Etablir une efficacité de 95% sur la base des seuls communiqués de presse des laboratoires n’apparaît pas sérieux, de même que n’apparaissent pas plus sérieuses, les décisions politiques prises sur ces bases incertaines.

B- Le « vaccin » supposé :

Le discours officiel des laboratoires pharmaceutiques, des politiques, des médias, des agences du médicament, est: « l’ARNm ne modifie pas l’ADN, le génome humain. L’ARN ne s’intègre pas dans l’ADN; il ne reste pas dans la cellule de façon permanente, car la cellule détruit l’ARN rapidement et elle est fondamentalement différente de l’ADN, mais surtout il ne peut pas aller dans l’autre sens.

Aucun risque de modifier le génome d’une personne. Le vaccin est sûr; il est efficace; il n’y a aucun risque. »

Cette affirmation est mensongère et criminelle: l’ARNm du vaccin covid-19 uniformisé dans son appellation est mensonger, car il n’est pas « messager », c’est un ARN TRANSFORMANT.

Cette ambiguïté de désignation volontaire profite au concepteur de vaccin, faisant penser que le seul ARN qui existe du cytoplasme est l’ARNm.

Or, le Dr. Didier Raoult, spécialiste des maladies infectieuses professeur de microbiologie, a affirmé publiquement : « nous savons que c’est faux depuis 1989, que cela peut aller dans les deux sens ». Affirmation confirmé par l’éminent Dr. Tadeusz Nawrocki, chercheur et professeur dans les domaines de l’embryologie, la génétique moléculaire et la cytogénétique. Il compte 30 publications scientifiques dans les domaines de la cytogénétique, la génétique moléculaire, l’anthropologie médicale, l’odontologie, la stomatologie et la biophysique, spécialiste du HLA et pionner dans l’ARN avec Mirko Beljanski, Biologiste moléculaire : « Nous le savons depuis 1975 suite aux travaux du prix Nobel Temin Howard Martin, sur la transcriptase inverse sur les virus, à savoir convertir l’ARN en ADN. » « En 1970, Beljanski Mirko apporte la preuve qu’un ARN peut provoquer une transformation génétique stable et héréditaire; en 1971 il découvre la transcriptase inverse de l’ARN d’escherichia COLI en ADN; en 1977 et 1980, le professeur S.K. DUTTA démontre la transcriptase inverse de l’ARN en ADN du champignon neurospora, qui ensuite peut être incorporé au génome d’une bactérie. »

« L’ARN : les premiers travaux furent initiés par le prix Nobel Severo Ochoa en 1959, pour la synthèse d’ARN » ARN TRANSFORMANT FABRIQUE PAR LES LABORATOIRES « Ils peuvent soit venir s’accrocher à l’ADN soit être retranscrits en ADN. Cet ADN peut à son tour se détacher de l’ARN transformant qui a servi de matrice et l’incorpore au génome de la cellule hôte devenant libre et actif, il peut aussi demeurer lié à l’ARN le protéger et demeurant à l’état inactif. » ARN M ARN/ADN « ARN M est le reflet de l’ADN chromosomique, l’ARN M peut se retrouver dans l’ADN de l’hôte. »

La TDT (terminal désoxynucléotidyl transférase) : « Enzyme qui forme des segments d’ADN qui vont perturber l’ADN cellulaire, au grand potentiel mutagène, décelée dans la plupart des vaccins du génie-génétique avec pour conséquence, une recombinaison génétique causée par un tel vaccin. Si celui-ci n’a pas été correctement dépourvu de sa transcriptase inverse et du gène la codant, la transcriptase inverse virale, peut alors convertir l’ARN délivré en ADN lequel ira s’intégrer dans le génome cible des cellules humaines, le principe de précaution a été purement et simplement écarté. » (Pièce 45).

Comme expliqué page 14, confirmé par Tal ZAKS, médecin directeur en chef de Moderna, qui admet que « l’ARNm modifie l’ADN ou le code génétique », ainsi que plusieurs médecins éminents, Kate SHEMIRANI, experte en santé et bien-être de « Sons of Liberty Media », son collègue le Dr Kevin CORBETT Professeur agrégé, médecine cellulaire et moléculaire (Pièces 13 et 13a), Bill Gates l’ayant déclaré lui-même, dans « Human Genome 8 and mRNA Vaccine » (Pièce 14) et confirmé par une étude de 2006 de 76 chercheurs ayant finalisé la séquence du génome 8 : « Cette région comprend des gènes influençant la taille du cerveau et le système immunitaire » (Pièce 15).

Confirmé par une étude dans National Academy of Sciences of the United States of America (PNAS) du 25 mai 2021 par Liguo Zhang , Alexsia Richards, Inmaculada Barrasa, Stephen H. Hughes, RichardA. Young et Rudolf Jaenisch – Institut Whitehead pour la recherche biomédicale, Cambridge, MA02142; Programme de dynamique et de réplication du VIH, Centre de recherche sur le cancer, Institut national du cancer, Frederick, MD 21702; Département de biologie, Massachusetts Institute of Technology , Cambridge, MA 02142 : « l’ARN du SRAS-CoV-2 transcrit à l’inverse peut s’intégrer dans le génome des cellules humaines cultivées et peut être exprimé dans les tissus dérivés du patient. » « Reverse-transcribed SARS-CoV-2 RNA can integrate into the genome of cultured human cells and can be expressed in patient-derived tissues » / PNAS 25 mai 2021 118 (21) e2105968118; https://doi.org/10.1073/pnas.2105968118 (Pièce 46)

C- Ses conséquences :

De fait, au sens légal du terme, il ne peut être retenu la terminologie de « vaccin ». Il s’agit d’un produit de l’ingénierie pharmaceutique expérimental. En effet, comme écrit en page 15, ce type de formulation vaccinale n’a jamais été utilisé auparavant et les études préliminaires ne sont pas publiées, voire inexistantes. Il n’existe à ce jour aucune information disponible, ni pour les scientifiques ni pour la population, relative à la composition précise et exacte de ces produits de l’ingénierie pharmaceutique expérimentale, pas plus concernant les probables effets secondaires à court et long termes, bénins ou handicapants, voire létaux.

Cette campagne « vaccinale » est ainsi constitutive de façon irréfragable d’une expérimentation médicale directement sur l’être humain.

– Son caractère novateur conduit à ce que strictement personne ne puisse en connaître les conséquences pour les populations qui seraient sujettes de cette expérimentation. Il est largement documenté scientifiquement que nombre de « vaccins » produisent de multiples effets secondaires et des accidents vaccinaux handicapants ou mortels. – plusieurs études montrent que depuis la stratégie de vaccination contre le covid-19, un taux exponentiel de décès est lié à ladite vaccination expérimentale. – ce taux de décès en quelques mois dépasse le taux de mortalité lié à la vaccination. – le taux de décès lié à la stratégie de vaccination aura fait plus de morts que le Covid-19 lui-même (Pièce 47). – que la tromperie relative aux « variants », (principe mutagène de tout type de corona), est amplifié par le produit d’ingénierie pharmaceutique expérimental a un grand potentiel mutagène (TDT) ; variant en l’occurrence démenti par le ministère Indien. No. 16(1) /2020–CLES – 3 sur le B.1.617 « Indian Variant » le 12 mai 2021 (Pièce 48) – que plusieurs études récentes montrent les dangerosités de la protéine Spike employée dans certains « vaccins » supposés (produit d’ingénierie pharmaceutique expérimental), et que les laboratoires pharmaceutiques sont parfaitement au courant, à savoir : «caillots sanguins, inflammation du cerveau, crises cardiaques et risques potentiels pour les bébés allaités et la fertilité». « La protéine Spike s’accumule dans les organes et les tissus, y compris la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et en concentrations assez élevées dans les ovaires. » «Could Spike Protein in Moderna, Pfizer Vaccines Cause Blood Clots, Brain Inflammation and HeartAttacks». / SARS-COV-2 mRNA Vaccine (BNT162, PF-07302048) 2.6.4 Overview of Pharmacokinetic Test PFIZER CONFIDENTIAL; Circulating SARS-CoV-2 Vaccine Antigen Detected in the Plasma of mRNA-1273 Vaccine Recipients https://doi.org/10.1093/cid/ciab465 Published: 20 May 2021; (Pièce 49)

Et comme le démontre le cas du bébé décédé le 20/3/2021 de purpura thrombocytopénique thrombotique suite à l’allaitement de sa mère qui avait reçu le « vaccin » supposé, le rapport établi «aucun antécédent à part le vaccin»/ From the 5/21/2021 release of VAERS data: This is VAERS ID 1166062. (Pièce 50)

Cet exemple cité n’est pas un cas isolé: le directeur d’Evidence-based Medicine Consultancy Ltd et d’EbMC Squared CiC, mandaté par le public a alerté le MHRA (Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency), agence exécutive du ministère de la Santé et des Affaires sociales qui agit au nom des ministres pour protéger et promouvoir la santé publique et la sécurité des patients, dans un rapport établi suite aux données scientifiques « Urgent preliminary report of Yellow Card data up to 26th May 2021 » des effets graves et mortels liés à la vaccination covid-19, précise : « Nous disposons de suffisamment de données maintenant accumulées pour avoir une bonne vue d’ensemble des effets indésirables (…) je voudrais donc attirer votre attention sur le nombre élevé de décès et effets indésirables attribués au vaccin covid-19, qui ont été signalés via le système de la carte jaune entre le 4 janvier 2021 et le 26 mai 2021. Au total, 1 253 décès et 888 196 EIM (256 224 déclarations individuelles) ont été signalées au cours de cette période (…) cinq grandes catégories pertinentes :

A. EIM hémorragiques, coagulantes et ischémiques B. Effets indésirables du système immunitaire C. EIM « douleur » D. Effets indésirables neurologiques E. EIM impliquant une perte de la vue, de l’ouïe, de la parole ou de l’odorat F. Effets indésirables liés à la grossesse»

Effets indésirables ischémiques : Décès (438) : « mort subite » susceptible de s’être produit à la suite d’événements hémorragiques, thrombo-emboliques ou ischémiques. Etant donnée la gravité de cet ADR, nous avons estimé qu’il était justifiable de le faire apparaître dans l’attente d’une demande d’information (FOI) pour clarifier la cause du décès de ces 438 personnes. 13 766 EIM hémorragiques, coagulants et ischémiques ont été identifiés – 856 ont été fatales. Des rapports gouvernementaux ont mis en évidence la survenue d’une thrombose d’un sinus veineux cérébral, représentant apparemment 24 décès et 226 EIM jusqu’au 26 mai 2021. Cependant, notre analyse indique que des effets indésirables thromboemboliques ont été signalés dans presque tous les cas : veine et artère, y compris les gros vaisseaux comme l’aorte, et dans chaque organe, y compris d’autres parties : le cerveau, les poumons, le cœur, la rate, les reins, les ovaires et le foie, avec des conséquences. Les catégories les plus fréquemment affectées par ce type d’ADR étaient : le système nerveux (152 décès, principalement dus à des hémorragies cérébrales et des caillots), le système respiratoire (avec 103 décès, principalement par thromboembolie pulmonaire) et, les catégories cardiaques (81 décès).

Effets indésirables sur le système immunitaire : au 26 mai, un total de 54 870 ADR et 171 décès tombaient dans cette catégorie, qui comprenait la deuxième cause la plus fréquente de décès post-vaccination après « saignement, coagulation et ADR ischémiques ».

Les effets indésirables liés à la douleur représentaient au moins 157 579 effets indésirables (18 %) au total. Un grand nombre d’entre eux étaient arthralgies (douleurs articulaires – 24 902 effets indésirables) et myalgies (douleurs musculaires – 31 168 effets indésirables), y compris la fibromyalgie (270 effets indésirables), une maladie à long terme qui provoque des douleurs dans tout le corps.

Des troubles congénitaux (généralement des affections présentes dès la naissance), 11 cas de paroxysme ont été signalés. Le trouble douloureux extrême (PEPD), qui est une maladie héréditaire extrêmement rare causée par une mutation conduisant à un dysfonctionnement des canaux sodiques voltage-dépendants. Des maux de tête ont été signalés plus de 90 000 fois et ont été associés à la mort chez quatre personnes.

Effets indésirables neurologiques : ADRS neurologique impliquant spécifiquement la paralysie, dégénérescence neurologique et effets indésirables convulsifs comme suit : paralysie, parésie, neuropathie, incontinence, Guillain- Barre, Miller Fisher, sclérose en plaques ; (neurodégénérescence) encéphalopathie, démence, ataxie, amyotrophie spinale, délire, Parkinson ; crise d’épilepsie, convulsions. Vingt et un pour cent (185 474) des effets indésirables ont été classés comme des troubles du système nerveux. 1 992 effets indésirables impliquant des convulsions et 2 357 EIM impliquant une forme de paralysie, y compris la paralysie de Bell (626 ADR), l’encéphalopathie (18), la démence (33), l’ataxie (34), la musculature spinale, l’atrophie (1), la maladie de Parkinson (18) et le délire (504) peuvent refléter une maladie neurodégénérative post-vaccination pathologie. Hémorragies du système nerveux – 127 décès sur les 186 décès signalés comme étant nerveux.

Effets indésirables du médicament impliquant une perte de la vue, de l’ouïe, de la parole ou de l’olfaction: Il y a eu 4 771 rapports de déficience visuelle, y compris la cécité, 130 rapports de parole atteinte, 4 108 rapports de troubles du goût, 354 rapports de troubles olfactifs et 704 rapports de déficience auditive.

Effets indésirables pendant la grossesse : étant donné que les femmes enceintes vaccinées représentent une faible proportion de la population vaccinée, il semble y avoir un nombre élevé d’effets indésirables liés à la grossesse (307 effets indésirables), dont un décès maternel, 12 bébés morts à la naissance et 150 avortements spontanés.

Nous avons soumis une demande de FOI. Ce rapport n’est pas exhaustif et l’analyse des données se poursuit (…), les effets indésirables n’étaient pas limités à une marque de vaccin en particulier (AstraZenenca, Pfizer et Moderna) ou le type (ARNm et ADN)». (Pièce 51)

Selon une étude interne des Health Human Services et de Harvard, moins de 1 % des effets secondaires des vaccins sont signalés.

En France les faits sont identiques, au 29/04/2021, l’ANSM recense, pour 21 478 000 vaccinés, 31 893 effets indésirables dont de très nombreux effets indésirables graves, dont 632 décès, dont un décès après vaccination chez un interne de médecine de 24 ans.

La proportion de cas graves parmi les effets indésirables sur une semaine est de 34% ! Et 43% de cas graves parmi les effets indésirables chez Pfizer; Pfizer qui représente 73% des vaccinés !

Les effets indésirables graves comprennent de façon non limitative :

– Infarctus du myocarde, insuffisance cardiaque, troubles du rythme cardiaque, – Hépatites aigues – AVC thrombotique et hémorragique, embolie pulmonaire, hémorragie, ischémie artérielle des membres, phlébite (thrombose veineuse profonde) – CIVD coagulation intra vasculaire disséminée = trouble de la coagulation grave entrainant des thromboses et ou des hémorragies – convulsions, paralysie faciale, – syndrome de détresse respiratoire aigue SDRA – choc allergique grave anaphylactique

. Pfizer au 29/04 (rapport non disponible le 22/04) 513 décès, 4 380 (26%) cas graves. . Astrazeneca au 22/04 (rapport non disponible le 29/04) 98 décès (ayant doublés en deux semaines) 6 759 cas graves. . Moderna au 29/04 (rapport non disponible le 22/04) 21 décès, 815 cas graves. Soient 632 décès après vaccination ! Il n’y a aucune répartition par classe d’âge des décès, ni de tableaux avec le délai de survenue des décès après vaccination !

En conclusion, ratio : Effets indésirables graves : 4 380 + 6759 + 815 = 11 954 / 21 478 000. Le ratio est de 5,7 effets indésirables graves pour 10 000 vaccinés, soit 1 effet indésirable grave pour 1767 vaccinés ! 1 effet indésirable grave pour 1 767 vaccinés, c’est colossal. Décès : 632 / 21 478 000 * soient 2,9 décès pour 100 000 vaccinés soit 1 décès pour 34 000 vaccinés. (Pièce 52).

D’après l’étude reçue : 2 juin 2021 / Révisée : 19 juin 2021 / Acceptée : 21 juin 2021 / Publiée : 24 juin 2021, la sécurité des vaccins COVID-19 : s’appuyant sur 29 références dont les données ont été acceptées par l’EMA « pour trois décès évités par la vaccination, nous devons en accepter deux (…) » Ce manque de bénéfice clair devrait amener les gouvernements à repenser leur politique de vaccination.» / Vaccines 2021, 9(7), 693; https://doi.org/10.3390/vaccines9070693

« Ce qui revient à dire que le bénéfice risque est de deux fois plus élevé de décès dus aux vaccinations par rapport au Covid-19 » (pièce 52a)

Nous sommes très loin de l’innocuité, toutes les études vont à l’encontre des déclarations de la directrice de l’EMA Emer COOKE, et depuis on ne compte plus le nombre de cas d’effets secondaires graves et de décès liés directement à la stratégie de « vaccination » de masse mondiale qui désormais se monte à plusieurs dizaines de milliers de morts et de centaines de milliers d’effets secondaires graves.

Ainsi dans les rapports confidentiels des laboratoires pharmaceutiques concernant les tests, il est explicitement notifié de ne pas avoir des rapports sexuels, d’être enceinte, ou de vouloir faire un enfant afin d’éviter tout transfert du produit (d’ingénierie pharmaceutique expérimentale) pouvant avoir des conséquences graves secondaires pouvant aller jusqu’au décès.

Dès lors que les Etats, les Agences de santé publique ont été avertis du nombre exponentiel d’effets secondaires très graves, de décès, de mort-nés, de décès par transfert d’allaitement et que les laboratoires en cause sont parfaitement au courant de la situation délétère qui se confirme au niveau mondial, le nombre de décès se comptant par milliers, les chiffres étant largement sous-évalués, voire manipulés, outre les effets latents inconnus, la stratégie d’imposer une expérimentation sur l’être humain par inoculation de produits expérimentaux se poursuit dans des conditions qualifiables de génocide au nom de la science politico-financière.

8. Le traitement, un préalable au « vaccin » supposé et ses conséquences :

L’OMS a exclu de nombreuses études épidémiologiques publiées, bien qu’elle ait demandé et reçu une présentation des résultats d’une équipe de recherche épidémiologique de premier plan, présentant une alternative aux vaccins expérimentaux (produit d’ingénierie pharmaceutique expérimental) comme traitement. L’exécutif français par l’intermédiaire de la HAS (haute autorité de santé) à purement interdit tout traitement quel qu’il soit, dont notamment la chloroquine, l’hydroxy-chloroquine, allant jusqu’à reclasser le médicament en produit dangereux, sous peine de poursuites disciplinaires, voire judiciaires, contre quiconque proposerait un tel traitement, dans l’objectif évident très clair d’imposer en définitive la stratégie vaccinale expérimentale de masse. De ces intentions se dégagent deux principales forces socio-politiques et économiques qui constituent le principal obstacle à l’incorporation d’un traitement dans les politiques de santé publique dans les principales régions du monde. Elles sont:

1) la structure et la fonction modernes de ce que nous qualifierons de «grande science»; 2) la présence d’une «campagne de désinformation politico-économique» active.

«Grande science» : aussi connue sous le nom de « Big RCT Fundamentalism », la Big Science reflète un changement radical dans la pratique de la médecine moderne factuelle (EBM). Commençant avant le COVID, il a depuis rapidement évolué pour devenir le système actuel qui relie plus étroitement les entités de «Big Pharma», «Big PHA / Academic Health Centers» (AMC), «Big Journals», «Big Media» et «Big Médias sociaux » dans les efforts du système de santé publique pour guider les soins aux patients, la recherche et les politiques. La structure et la fonction de «Big Science» dans COVID-19 sont plus simplement représentées comme suit:

– seuls des ECR (essai randomisé contrôlé) de grande envergure et bien conçus, définis de manière arbitraire (Big RCT), généralement menés sur les côtes nord-américaines ou européennes, peuvent «prouver» l’efficacité d’un médicament. – Seuls les Big Pharma / Big PHA / AMC disposent des ressources / infrastructures nécessaires pour mener des Big-RCT. (Beaucoup assimilent Big PHA / AMC à Big Pharma, étant donné la source de financement de la première.) – Seuls les Big RCT de Big Pharma ou Big PHA / AMC peuvent publier les résultats des études dans des revues médicales de pays à fort impact et à revenu élevé (Big Journal). – Seuls les médicaments soutenus par les publications du Big Journal sont réputés avoir «des preuves suffisantes» et une «efficacité prouvée» pour être ensuite recommandés par les Big PHA. – Seuls les médicaments recommandés par les grands PVVIH sont couverts par les «grands médias» ou échappent à la censure sur les «grands médias sociaux».

À l’inverse, les médicaments recyclés hors patient, tels que l’ivermectine, la chloroquine ou de l’hydroxychloroquine n’incitent pas les sponsors Big PHA ou Big Pharma à mener le Big RCT obligatoire. Compte tenu de ce handicap structurel, de nombreux médicaments efficaces, y compris l’ivermectine, la chloroquine ou de l’hydroxychloroquine sont par conséquent incapables de répondre aux normes Big PHA pour approbation dans un tel système. Dans les cas de l’ivermectine, la chloroquine ou de l’hydroxychloroquine, elles sont alors considérées, d’abord par les grandes PVVIH, puis dans les grands médias et les grands médias sociaux, comme «non prouvées», car elles manquent de «preuves suffisantes» et sont donc fortement censurées du débat public et de la sensibilisation. Les mentions d’ivermectine sur les grands médias sociaux ont conduit à la suppression d’un groupe Facebook populaire («Ivermectin MD Team» avec plus de 10 000 abonnés). De plus, toutes les vidéos YouTube mentionnant l’ivermectine dans le traitement de Covid-19 ont été supprimées ou démonétisées, ainsi que les pages Twitter verrouillées. De plus, dans les grands médias, fournisseurs de «désinformationmédicale », la chloroquine ou l’hydroxychloroquine ont été purement diabolisées.

Un système de santé structuré pour fonctionner de cette manière est clairement vulnérable et trop influencé par les entités ayant des conflits d’intérêts financiers. De plus, depuis le Covid, de tels systèmes ont évolué pour fonctionner de manière rigide, via des décrets contraignants et une censure généralisée. Cet obstacle s’est présenté comme une horreur durable tout au long de la pandémie supposée, étant donné le nombre de décès généralisés, causés par le refus systématique d’utiliser de nombreux médicaments rapidement identifiés, sûrs et efficaces.

Par ailleurs, et pour la première fois dans la carrière de nombreux médecins, ceux qui cherchent à traiter leurs patients avec de telles thérapies, sur la base de leur interprétation professionnelle des preuves existantes, sont limités par leurs employeurs ou des décrets «d’en haut» sous la menace de sanctions administrative ou judiciaire, pour les contraindre de suivre des protocoles reposant principalement sur des produits de l’ingénierie pharmaceutique expérimentale qualifiés du nom impropre de « vaccin ».

Dans le cas de l’ivermectine, la chloroquine ou l’hydroxychloroquine, la caste de censeurs ignorent volontairement les multiples méta-analyses d’experts publiées sur les ECR (essai randomisé contrôlé) portant sur des milliers de patients, apportant la preuve des réductions constantes de la mortalité, du délai de récupération clinique et du délai de clairance virale.

Ces améliorations sont constatées de manière cohérente et répétée, quelle que soit la conception, la taille ou la qualité des ECR, et dans divers centres et pays du monde entier. Toutes les études ont été réalisées sans aucun conflit d’intérêts identifié, pour la grande majorité des comparaisons de normes de soins en double aveugle, en simple aveugle, quasi-randomisées, en ouvert, des traitements d’association, etc…

A défaut d’explication crédible de l’absence de recommandation, même faible, pour l’ivermectine, la chloroquine ou l’hydroxychloroquine dans le cadre d’une augmentation généralisée des taux de mortalité dus au COVID-19, il est émis l’hypothèse que cela ne peut s’expliquer que par la présence d’une campagne de désinformation active par des entités avec des objectifs non scientifiques et largement financiers dépendant de la non-reconnaissance de l’efficacité de l’ivermectine, la chloroquine ou l’hydroxychloroquine.

Campagne active de «désinformation» politico-économique. Les campagnes de «désinformation», sont lancées lorsque la science indépendante interfère ou s’oppose aux intérêts des entreprises ou des décideurs. Bien qu’heureusement rares, dans certains cas, ces entités chercheront activement à manipuler la science et à déformer la vérité sur les découvertes scientifiques qui mettent en péril leurs objectifs de profit ou de politique.

Développées pour la première fois par l’industrie du tabac il y a des décennies, ces tactiques trompeuses sont les suivantes :

– The Fake : mener une science contrefaite et essayez de la faire passer pour une recherche légitime. – The Blitz : harceler les scientifiques s’exprimant avec des résultats peu pratiques pour l’industrie. – The Diversion : fabriquer l’incertitude sur la science là où il en existe peu ou pas. – L’écran : acheter de la crédibilité grâce à des alliances avec des universités / sociétés professionnelles. – La solution : manipuler les processus gouvernementaux pour influencer les politiques de manière inappropriée.

De nombreux exemples des tactiques de désinformation par les entreprises et les décideurs, en particulier dans l’industrie pharmaceutique, ont été documentés : – Georgia Pacific publie une «fausse science» sur les dangers de l’amiante (The Fake) – Merck manipule la science autour du médicament Vioxx (The Fake) – La NFL intimide et discrédite des scientifiques rapportant un lien entre le football et les traumatismes crâniens (The Blitz) – GlaxoSmithKline a tenté de faire taire le scientifique qui a exposé les dangers de son médicament Avandia (Blitz) – L’American Chemistry Council sème l’incertitude sur les risques liés au formaldéhyde (The Diversion) – Purdue Pharma s’associe à des centres universitaires pour cacher les dangers des opioïdes (The Screen) – Pfizer fait pression sur la FDA pour qu’elle minimise le risque de son médicament animal causant un taux élevé d’arsenic (The Fix) – L’AFSSA (Agence française de sécurité sanitaire des aliments) par un rapport en faveur des industriels avait conclu que « le risque pour la santé des consommateurs (…) est considéré comme négligeable. » en ignorant et cachant tous les études scientifiques sur le plus gros scandale sanitaire au monde, le PFOA appelé C8 substance mortel et cancérigène, le Téflon. (The Fake) (Pièce 53) – – Le plus inquiétant est que l’ivermectine, la chloroquine ou l’hydroxychloroquine semblent être confrontées à l’une des plus grandes oppositions financières et politiques mondiales de l’histoire moderne : de nombreuses grandes sociétés pharmaceutiques et nations souveraines vendent des milliards de doses de vaccins. L’échelle du marché des vaccins augmente maintenant de façon exponentielle en raison du marché en développement des «injections de rappels» contre des « variants » apparaissant rapidement. Big Pharma promet maintenant aux investisseurs de recourir à des hausses de prix sur les vaccins alors que le COVID-19 passe d’une «pandémie» à une «endémie». – Désinformation : le panel de l’OMS rejette / ignore la plupart des bases factuelles disponibles. – Désinformation : le groupe d’experts de l’OMS évite de soumettre les preuves de l’ivermectine au vote. – Désinformation : la FDA a publié des avis exagérant les dangers de l’ivermectine et, contre l’utilisation de l’ivermectine, malgré le fait de ne pas avoir examiné les données des essais. -Désinformation : le sponsor d’Unitaid influence la rédaction des conclusions du manuscrit. -Désinformation : l’EMA (Agence européenne des médicaments) prétend à tort que des traitements efficaces sont inaccessibles. De nombreux Big Pharma / Big PHA craignent que le potentiel de l’ivermectine, la chloroquine ou l’hydroxychloroquine en tant qu’alternative aux vaccins augmente l’hésitation à la vaccination et perturbe les déploiements de masse de vaccination. Les opposants comprennent de grands sponsors « philanthropiques » ayant des objectifs mondiaux de vaccination.

-Désinformation : le groupe OMS ne passe pas en revue les essais de prévention de l’ivermectine, la chloroquine ou l’hydroxychloroquine. De nombreux investissements de grandes sociétés pharmaceutiques dans des thérapies novatrices (c.-à-d. les antiviraux oraux de Merck, Pfizer et Gilead) sont directement en concurrence avec l’ivermectine, la chloroquine ou l’hydroxychloroquine. – Désinformation : Merck publie un article sur son site Web, sans preuves scientifiques à l’appui, ni auteurs scientifiques nommés, indiquant que: «il n’existe aucune preuve d’un mécanisme d’action, d’efficacité clinique ou de sécurité dans le COVID-19» -Désinformation : un directeur général de Merck plaide contre l’utilisation aux Philippines en déclarant: «Les niveaux de preuve ne sont pas conformes aux normes.» Investissement de la société Big Pharma (Astra-Zeneca) dans un produit d’anticorps à action prolongée pour la prévention et le traitement du COVID-19, qui est en concurrence avec l’ivermectine. De nombreux produits d’anticorps monoclonaux de Big Pharma qui concurrencent l’ivermectine, la chloroquine ou l’hydroxychloroquine. La demande de Remdésivir de Big Pharma diminuerait rapidement les hospitalisations. En l’absence d’explication rationnelle des actions ci-dessus de la part de l’OMS, Merck, FDA et Unitaid, on conclut qu’elles résultent d’une campagne active de désinformation, exécutée à la fois par les PVVIH, les médias et les recommandations du groupe de directives de l’OMS et les politiques. Les allégations d’inconduite scientifique dans la rédaction du manuscrit de méta-analyse de l’équipe de recherche OMS / United sont profondément troublantes. Elles représentent clairement une tactique de désinformation dans le but de déformer et de diminuer la déclaration d’un bénéfice de grande ampleur sur la mortalité parmi plusieurs centaines de patients concernant des traitements potentiels.

La conclusion est que : les préoccupations de nombreux Big Pharma et Big PHA sont que si l’ivermectine ou la chloroquine ou l’hydroxy-chloroquine sont approuvées comme traitement efficace contre le COVID-19, les EUA pour tous les vaccins seraient révoquées comme l’exige la règle.

Refus de traitement : à défaut d’explication rationnelle, l’OMS, Merck, FDA, Unitaid, l’ensemble de la classe politico-économique de chaque Etat, Big Pharma / Big PHA, excluent tout traitement possible au profit d’un produit d’ingénierie pharmaceutique expérimental (« vaccin » supposé avec EUA) et tentent d’imposer un traitement sous le nom de Remdésivir dont la dose était vendue entre 350 dollars et 3400 dollars pour un traitement qui s’avère aujourd’hui être catalogué de « scandale du Remdésivir », obligeant finalement l’OMS à déconseiller son utilisation, soulignant « la possibilité d’importants effets secondaires, notamment pour les reins ».

Ainsi la Commission européenne a acheté en précommande pour 70 millions d’euros de doses, soit 345 euros la dose, pour 200 000 doses de Remdésivir, sur la base d’une simple étude commandée par les mêmes protagonistes déclarant ledit médicament efficace contre la mortalité du covid-19. Rappelons que les premières études effectuées dans les hôpitaux de Wuhan n’étaient pas satisfaisantes : « ne montrent aucune efficacité sur la mortalité ». Gilead a donc redemandé une étude, en changeant la règle « qui ne recherchait plus l’efficacité sur la mortalité », mais la « durée de récupération », aussitôt démentie par une multitude d’études indiquant : « absence d’efficacité du médicament sur la mortalité et temps de récupération 2 jours de moins au lieu des 5 jours annoncés ».

Conformément au Traité européen, la Commission européenne n’avait ni le droit, ni le pouvoir, de prendre une telle décision au nom et pour le compte des Etats, le domaine de la santé étant du seul ressort des Etats. Cet empressement irresponsable à investir dans ce médicament avec les deniers du contribuable, soumis dans le même temps à des mesures répressives, témoigne d’un abus arbitraire. Alors que, le coût de fabrication du Remdésivir est de moins de 0,94 dollar par dose, soit 420 fois moins cher que le prix effectivement payé par Bruxelles !?! Gilead, qui fabrique le médicament, a très bien négocié la commande, surtout lorsqu’on sait qu’un pays comme l’Ukraine a pu bénéficier d’un générique en septembre 2020 à 20,45 dollars la dose, lui permettant d’améliorer un chiffre d’affaires en hausse de 17 % au 3ème trimestre et un bénéfice net de 360 millions de dollars.

Malgré cette supercherie technicocommerciale afin d’écouler les doses que le laboratoire n’a pas utilisées lors des essais cliniques menés en Afrique contre Ebola avec une efficacité médiocre, et non thérapeutique, la Commission européenne affirme qu’il n’y pas de scandale et que pour l’ instant l’Agence européenne du médicament (EMA) maintient son autorisation d’utilisation de mise sur le marché «conditionnelle», bien qu’ayant reçu le projet de publication d’une étude scientifique menée à grande échelle, l’essai Solidarity financé par l’OMS qui conclut : «…apparaissent avoir peu ou pas d’effet sur les patients hospitalisés, que ce soit en termes de mortalité, de mise sous respirateur ou de durée d’hospitalisation ».

Le laboratoire Gilead avait reçu, selon une obligation contractuelle, le manuscrit avant la signature de l’accord de commande. Il savait donc que l’étude Solidarity concluait à l’absence d’efficacité du médicament; lorsqu’il a signé, il n’en n’a rien dit, ce qui aurait pu, selon le droit des contrats, être retenu comme relevant du dol, mais la commission européenne a quand même versé l’argent prélevé sur le fonds d’aide d’urgence (ESI). Le 15 juillet 2020, la France accorde une autorisation temporaire d’utilisation (ATU) à Gilead pour le Remdésivir ! En août et en septembre, la Commission assure deux livraisons aux Etats qui en font la demande, dont la France ! Quelle est l’explication qui privilégie le Remdésivir alors qu’il est reconnu inefficace, plutôt que l’ivermectine, la chloroquine ou l’hydroxy-chloroquine qui ont été purement interdits par les pouvoirs politiques, au risque d’engendrer une multitude de décès à travers le monde par refus de traitement au profit d’un arrangement politico-économique avec Big Pharma / Big PHA ?

Le comité scientifique français est dirigé par DELFRAISSY et YAZDANAPANAH, membres en conflits d’intérêts, travaillant pour les laboratoires pharmaceutiques en cause. Dans un courrier électronique entre DELFRAISSY et FAUCY du (NIAID) aux Etats Unis, DELFRAISSY exprimant son désaccord concernant la chloroquine prétextant qu’il n’existe aucune étude. Ce désaccord réitéré est retransmis dans une notification à Emmanuel Macron, président de la République française, le directeur de Gilead ayant demandé unilatéralement au président la suppression de la chloroquine au profit de son Remdésivir (Pièce 54).

Alors que : selon l’étude Publiée le 22 août 2005, « Chloroquine is a potent inhibitor of SARS coronavirus infection and spread » par Martin J Vincent, Éric Bergeron, Suzanne Benjannet, Bobbie R Erickson, Pierre E Rollin, Thomas G Ksiazek, Nabil G Seidah &Stuart T Nichol – Revue de virologie, le volume 2, Numéro d'article : 69 (2005) 849 citations 33251 Altmétrique, tous membres du CDC ou de l’IRCM, Special Pathogens Brach, Division of Viral and Rickettsial Diseases, Centers for Disease Control and Prevention, 1600 Clifton Road, Atlanta, Georgia, 30333, USA and 2Laboratory of

Biochemical Neuroendocrinology, Clinical Research Institute of Montreal, 110 Pine Ave West, Montreal, QCH2W1R7, Canada, et s’appuyant sur 26 références : la chloroquine est un puissant inhibiteur de l’infection et de la propagation du coronavirus du SRAS (sars-cov) : « la chloroquine, un médicament relativement sûr, efficace et bon marché, utilisé pour traiter de nombreuses maladies humaines, notamment le paludisme, l’amibiose et le virus de l’immunodéficience humaine, est efficace pour inhiber l’infection et la propagation du SRAS CoV en culture cellulaire. Le fait que le médicament ait un effet antiviral inhibiteur significatif lorsque les cellules sensibles ont été traitées avant ou après l’infection, suggère une utilisation prophylactique et thérapeutique possible. » / Virology Journal 2005, 2:69 doi:10.1186/1743-422X-2-69 Received: 12 July 2005 Accepted: 22 August 2005 This article is available from: http://www.virologyj.com/content/2/1/69 (Pièce 55)

Cependant, la campagne de désinformation : a consisté à commander plusieurs études manipulées, en culture tissulaire, dans les cellules pulmonaires en prétextant que cela pouvait fonctionner dans les cellules rénales, mais pas dans les cellules pulmonaires, faisant croire à l’inefficacité de la chloroquine en prétendant que « la chloroquine n’inhibe pas le sars-cov2 », afin de réfuter les preuves, au point que cela est grotesque et intentionnel; ainsi les protagonistes de la désinformation ont fait croire que le virus s’attaquait aux poumons, en oubliant de préciser qu’il s’agissait d’un adénocarcinome pulmonaire, en un mot des cellules cancéreuses Calu3 « on se croirait revenu dans un remake du film le fugitif, ou les laboratoires pharmaceutiques trafiquent les données scientifiques pour l’autorisation de la mise sur le marché d’un médicament, à partir d’un foie normal et cancéreux », dès lors il pourrait être pris l’interprétation inverse qui est « vous venez de prouver que lorsque des virus sont présents et que la chloroquine est présente, la chloroquine permettrait au virus d’attaquer une cellule cancéreuse atteinte de sars-cov2 et donc que cela protège une cellule normale atteinte de sar-cov2, car les récepteurs sont différents » ceci est une interprétation volontairement erronée des laboratoires pharmaceutiques. (Pièce 56)

Donc la campagne de désinformation: a consisté dans l’étude Solidarity à s’appuyer sur des données manipulées de l’étude française Discovery, s’appuyant elle-même sur l’étude britannique Recovery, en omettant de déclarer les surdoses appliquées concernant la chloroquine, pour la déclarer « inefficace », à savoir qu’il a été administré une surdose de chloroquine de 4 fois la normalité aux patients atteints du covid-19, entrainant les décès de ce fait. Les données sont incomplètes, parcellaires et incohérentes avec la complicité des Chefs investigateurs qui ont caché des informations.

Une étude – du 18 février 2021, acceptée le 02 mars 2021, publiée le 04 mars 2021 – par Valère Lounnas, Alexis Lacout, Xavier Azalbert, Christian Perronne, EMBL Heidelberg alumni, Heidelberg, Germany; Centre de diagnostic ELSAN, Centre Médico–Chirurgical, 83 avenue Charles de Gaulle, 15000, Aurillac, France ; Ecole d’Economie de Toulouse – TSE, Econometrics, France, Infectious Diseases Unit, University Hospital Raymond Poincaré, APHP, Versailles Saint Quentin University Garches, France – cette étude démontre sans doute possible, le surdosage entraînant le décès des patients par overdoses et conclut : « Ainsi, dans l’essai randomisé Recovery, les patients fragiles atteints d’une forme modérée de Covid-19 avec des chances de guérison peuvent avoir vu leur état de santé s’aggraver de manière irréversible en raison d’un surdosage très toxique en HCQ entraînant un shunt pulmonaire, le transfert en soins intensifs masquant le bénéfice potentiel de HCQ (…), un certain nombre de décès toxiques reste encore à élucider (…), car un surdosage en HCQ entraîne une insuffisance respiratoire aiguë, tout comme Covid-19.» / Archives of Microbiology & Immunology 5 (2021): 176-181 (Pièce 57)

Une terrible conclusion apparaît à l’issue de l’examen des faits. Les protagonistes de la manipulation et de la désinformation, avec leur cohorte de complices achetés, ont œuvré à l’insu des patients n’hésitant pas à user délibérément de procédés criminels jusqu’à entrainer le décès de ces patients équipollents au meurtre, pour faire aboutir leur seul objectif : fausser et dénigrer toutes les études dans le but de privilégier, puis d’imposer : * le Remdésivir, onéreux et inefficace, en substitution de médications reconnues efficaces à moindre coût, puis, * un produit d’ingénierie pharmaceutique expérimental, dénommé improprement « vaccin », n’ayant pas satisfait aux règles minimales de sécurité pour obtenir une autorisation de mise sur le marché conditionnelle.

Ainsi en France, – sous l’intense lobbying de Reacting créé par l’Inserm et ses partenaires d’Aviesan – ((partenaires en Afrique, en Asie et en Polynésie), dont l’institut Pasteur et l’Etat, partie prenante)-, travaillant sur : Grippe H5N1 et H1N1, SRAS, Mers-Co, Chikungunya, Ebola et Zika, agence de recherche dirigée par le Pr Yazdan YAZDANAPANAH, membre du comité scientifique Covid-19 avec Jean-François DELFRAISSY et financés par les laboratoires pharmaceutiques Gilead Sciences, Pfizer, Johnson & Johnson, MSD et la participation active de Jérôme SALOMON, le directeur général de la santé (DGS) -, la chloroquine a été interdite ainsi que la liberté d’envisager tout autre traitement, sous peine de sanction et de poursuite par le Conseil de l’ordre des médecins, ou judiciaire.

Selon l’étude Publiée, le May/June 2021 Review of the Emerging Evidence Demonstrating the Efficacy of Ivermectin in the Prophylaxis and Treatment of COVID-19 par Kory, Pierre MD ; Meduri, Gianfranco Umberto MD ; Varon, Joseph MD ; Iglesias, José DO ; Marik, Paul E. MD, s’appuyant sur les données provenant d’études publiées et évaluées par des pairs, provenant également de manuscrits publiés sur des serveurs de pré-impression, de méta-analyses d’experts et de nombreuses analyses épidémiologiques de régions avec des campagnes de distribution d’ivermectine, à savoir, examen des données probantes émergentes démontrant l’efficacité de l’ivermectine dans la prophylaxie et le traitement de la COVID-19, il en ressort que : « Des méta-analyses, basées sur 18 essais de traitement contrôlés randomisés de l’ivermectine dans COVID-19, ont trouvé des réductions importantes et statistiquement significatives de la mortalité, du temps de récupération clinique et du temps de clairance virale. De plus, les résultats de nombreux essais contrôlés de prophylaxie font état de risques considérablement réduits de contracter le COVID-19 avec l’utilisation régulière d’ivermectine. Enfin, les nombreux exemples de campagnes de distribution d’ivermectine conduisant à des diminutions rapides de la morbidité et de la mortalité à l’échelle de la population indiquent qu’un agent oral efficace dans toutes les phases de COVID-19 a été identifié. » / American Journal of Therapeutics: May/June 2021 – Volume 28 – Issue 3 – p e299-e318 doi: 10.1097/MJT.000000000000137

Selon l’étude publiée, le 21 janvier 2021, Last revised: 19 May 2021 Sharp Reductions in COVID-19 Case Fatalities and Excess Deaths in Peru in Close Time Conjunction, State-By-State, with Ivermectin Treatments par Juan J Chamie-Quintero Universidad EAFIT; Jennifer Hibberd University of Toronto; David Scheim US Public Health Service; Date Written: January 12, 2021, s’appuyant sur 119 références : il ressort de fortes réductions du nombre de cas mortels de COVID-19 et de décès excessifs au Pérou à temps rapproché, État par État, avec des traitements à l’ivermectine « Le 8 mai 2020, le ministère péruvien de la Santé a approuvé l’ivermectine (IVM) pour le traitement du COVID-19. Médicament récompensé par le prix Nobel, l’IVM a été distribuée en toute sécurité en 3,7 milliards de doses dans

le monde depuis 1987. Elle a montré des réductions importantes et statistiquement significatives de la mortalité et de la gravité des cas dans 11 essais cliniques pour COVID-19, trois avec des contrôles randomisés. Le mécanisme biologique indiqué de l’IVM est le même que celui des anticorps antiviraux générés par les vaccins – se liant à la protéine de pointe virale du SRAS-CoV-2, bloquant l’attachement viral aux cellules hôtes. (…) L’analyse a été réalisée à l’aide de données de santé publique péruviennes pour les décès, toutes causes confondues, et, pour les décès par cas de COVID-19, tels qu’ils ont été suivis indépendamment pour les 60 ans et plus (…) Les causes étrangères de réduction de la mortalité ont été exclues. Ces réductions importantes et nettes de la mortalité par COVID-19 après le traitement par IVM se sont ainsi produites dans chacun des États du Pérou, avec des réductions particulièrement importantes en conjonction étroite avec les traitements par IVM dans chacun des neuf états d’opération MOT» (Pièce 58)

En février 2021, le British Ivermectin Recommendation Development (BIRD), a tenu une réunion internationale de médecins, de chercheurs, de spécialistes et de patients, suivant un processus d’élaboration de lignes directrices conforme à la norme de l’OMS. Il est parvenu à une recommandation consensuelle selon laquelle l’ivermectine, un médicament oral dont la sécurité est vérifiable et largement disponible, soit immédiatement déployée rapidement et à l’échelle mondiale. La recommandation du groupe BIRD reposait en partie sur de nombreuses études bien documentées rapportant que l’utilisation de l’ivermectine réduit le risque de contracter le COVID-19 de plus de 90% et la mortalité de 68 % à 91%.

Une conclusion similaire a également été émise par un nombre croissant de groupes d’experts du RoyaumeUni (uk), Italie, Espagne, États-Unis (US), et un groupe du Japon dirigé par le découvreur lauréat du prix Nobel de l’ivermectine, le professeur Satoshi OMURA. Des réfutations ciblées qui s’appuient sur des recherches et des données volumineuses ont été partagées avec des PVVIH / sida au cours des derniers mois. Il s’agit notamment de l’OMS et de nombreux membres individuels de son groupe d’élaboration de lignes directrices (GDG), de la FDA et du NIH.

Cependant, ces PVVIH / sida continuent d’ignorer et de manipuler les données de manière malhonnête pour parvenir à des recommandations non supportables contre le traitement à l’ivermectine. (Pièce 59)

Le Conseil de l’Europe avait déjà pointé du doigt l’OMS en 2010 : écartez vos experts et vos conseillers qui ont des liens ou des conflits d’intérêts avec les entreprises pharmaceutiques : le rapport de 2010 de l’assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe sur la gestion désastreuse de la grippe H1N1 disait aussi : « L’Assemblée en appelle aux autorités sanitaires aux niveaux international, européen et national et notamment à l’OMS – … que quiconque exposé au risque de conflits d’intérêts soit exclu des prises de décisions sensibles…». Les experts des pays qui ont poussé à prendre ces mesures totalement hérétiques sont soit des suiveurs, soit des ignorants soit des gens corrompus par l’industrie pharmaceutique. (Pièce 60)

Ces constats démontrent encore l’intention criminelle : toutes les personnes qui souhaiteraient bénéficier d’un traitement thérapeutique contre le covid-19 se le voient refuser pour raison d’intérêts politico-financiers, sous la pression de certaines entités influentes, menaçant la médecine d’Hippocrate de sanction administrative, voire de peine de prison, peu importe les conséquences gravissimes pour la santé des patients et de leur descendance, pouvant aller jusqu’à entrainer la mort ou des séquelles irréversibles.

Aux seules fins, d’une part, expérimentale sur le génome humain à l’échelle planétaire afin que perdurent les EUA pour tous les vaccins qui seraient révoquées, comme l’exige la règle en cas de traitement et, d’autre part, que les politiques assoient leur pouvoir en réduisant les droits et libertés de leur population pour mieux la contrôler et l’asservir, les points communs étant l’argent et la folie.

Ainsi que le révèle le rapport sénatorial français N° 673 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2020-2021, par Mmes Véronique GUILLOTIN, Christine LAVARDE et M. René-Paul SAVARY, sur la nécessité de répondre avec efficacité, en prenant exemple sur l’Asie : «Crise sanitaire, catastrophe, naturelle ou industrielle : autoriser les applications de contact tracing, de tracking ou de géolocalisation, pass et passeport sanitaires, utilisation de drones ou de caméras thermiques, vidéosurveillance avec reconnaissance faciale, permettre un ciblage précis, individuel et en temps réel des mesures ou des contrôles. désactivation des titres de transport ou des comptes bancaires des personnes violant une éventuelle quarantaine, ou encore l’utilisation d’outils de rappel à l’ordre comme l’envoi de SMS, Identification précise des personnes, leur géolocalisation et le croisement de données personnelles voire sensibles (dont les données médicales), le recours à des bracelets électroniques pour assurer le respect de la quarantaine, en complément d’autres mesures telles que les visites inopinées, les appels vidéo surprise, et bien sûr les sanctions dissuasives (amende et prison).» (Pièce 61)

Ce rapport est clair : l’illusion du retour à nos libertés procède de la mise en place d’une dictature à l’instar du PCC chinois (crédit social), dont l’inventeur Lin Junyue a déclaré en avril 2020 après la visite de Xi Jinping en France le 24 mars 2019 : «cette notation généralisée est le meilleur moyen de gérer une société (…) Il faut la paix et la stabilité, après on réfléchira aux droits de l’Homme, (…) mon espoir est d’exporter le système vers d’autres pays, comme la France (…) Avec le crédit social, il n’y aurait jamais eu les gilets jaunes ». (Pièce 61a)

Confirmé par Olivier VERAN, ministre de la santé, dès le mois de juillet 2021 : autotest obligatoire devant être confirmé par test RT-PCR, contact tracing, brigades habilitées à exécuter des tests; choix entre isolement ou vaccination, enquête sanitaire dans tous les lieux privés y compris le domicile, chiens renifleurs pour dépistage collectif d’une infection, le préfet étant autorisé à procéder à l’isolement forcé des personnes en cas de refus des mesures.

Outre ces nouvelles décisions liberticides, de violation de la vie privée, de violation à l’autonomie, de l’habeas corpus, du code de NUREMBERG etc., une question se pose : « si les politiques prétendent qu’un chien renifleur est capable de repérer qu’une personne est supposée être contaminée par le Covid-19, cela induit qu’il existerait un produit de synthèse détectable identiquement sur toutes les personnes, introduit dans le virus par l’homme pour obtenir la même odeur ». En effet s’il existe quelques rares études expérimentales, non randomisées et validées par des pairs « le chien est capable de dépister le cancer », en revanche il n’existe aucune étude qui démontre que le chien est capable d’en déterminer l’origine et encore moins le type de maladie. En effet selon les scientifiques : « La molécule reniflée par les canidés serait la même pour tous les cancers.» (Pièce 61b)

Cette méthode n’est ni plus ni moins qu’une escroquerie au même titre que le test RT-PCR « désavoué par les pairs avec demande de retrait » qui consisterait à dire qu’une personne atteinte d’une maladie aurait potentiellement le Covid-19 pour l’obliger à passer un test à confirmer par RT-PCR, le vaccin ou être arbitrairement mis en détention.

Ceci est clairement la prémisse d’une dictature.

En vertu de l’article 9 de l’UNESCO concernant la vie privée et la confidentialité (médicales ou autres), la vie privée des personnes concernées et la confidentialité des informations les touchant personnellement devraient être respectées. Dans toute la mesure du possible, ces informations ne devraient pas être utilisées ou diffusées à des fins autres que celles pour lesquelles elles ont été collectées ou pour lesquelles un consentement a été donné, en conformité avec le droit international, et notamment avec le droit international des droits de l’homme.

Le droit international s’oppose à la transmission de données sans l’information de l’intéressé, qui a un droit d’opposition, et interdit la surveillance de masse. (*20)

(*20) Les articles 10, 11 et 13 de la directive 95/46 CJUE 1° octobre 2015, aff. C-201/14, CJUE 1° octobre 2015, aff. C- 230/14; CJUE, Gr.Ch., 6 octobre 2015, Maximilian Schrems c. Data Protection Commissioner, Aff. C‑362/14 ; Cour. EDH, Gr. Ch., 4 décembre 2015, Zakharov c. Russie, Req. n°47143/06 ; Cour EDH, 5e sect., 12 janvier 2016, Szabo c. Hongrie, Req.n°37138/14

En conséquence de ce qui est exposé ci-avant et qui pourra être complété au besoin, les éléments dans cette plainte n’étant pas exhaustifs : le prétexte d’une pandémie dénommée « Covid 19 » préméditée et activée à partir d’une fraude au test RT-PCR dans les conditions de son utilisation et sur fond de manipulation de statistiques, politique et médiatique, a donné lieu à des mesures liberticides et délétères, disproportionnées, imposées à la population par un comité restreint d’individus n’ayant aucune légitimité légale en regard, du droit international, de la communauté scientifique, des conflits d’intérêts, de tout principe de précaution : – l’emprisonnement de la population civile par assignation à résidence : confinement forcé, couvre-feu… sous menace de sanction. – L’obligation d’auto-attestation dérogatoire de sortie : sous menace de sanction. – L’imposition du port du masque malgré toutes les études démontrant l’inutilité de cette mesure et les effets néfastes pour la santé physique et psychologique pouvant s’assimiler à de la soumission et de la torture : sous menace de sanction et de prison. – Les contraintes démesurées et insensées concernant les enfants, impactant leur santé et leur développement psychologique, malgré les études et autres observations au terme d’une année de constat sur les effets du virus, démontrant l’inutilité de ces contraintes : sous la contrainte d’exclusion de l’école, de la responsabilité du décès de leur proche s’assimilant à de la torture psychologique, etc… – L’empêchement de la médecine d’Hippocrate pour les soins précoces : sous menace de sanctions administratives ou de poursuites judiciaires pouvant entraîner des peines de prison, la garde à vue. – L’empêchement de l’utilisation de certains médicaments reconnus efficaces et à bas coût au profit de produits plus nuisibles ou inefficaces à coût exorbitant : sous menace de sanctions administratives ou de poursuites judiciaires pouvant entraîner des peines de prison, la garde à vue. – La stratégie machiavélique de rejet de toute forme de soins au profit d’une propagande sur la nécessité, non fondée, d’une « campagne de vaccination » de masse, par l’instauration notamment d’un passeport sanitaire visant un contrôle total des populations par une dictature du numérique et physique. – L’inoculation d’un produit d’ingénierie pharmaceutique expérimental en contradiction avec toutes les règles de principe de précaution et enfreignant tous les textes conventionnels ou de droit interdisant l’expérimentation sans le consentement absolu essentiel et éclairé de la personne adulte ou de l’enfant, ayant entraîné, ou entraînant toujours la mort ou des séquelles à vie. – L’extorsion d’une manière générale du consentement par chantage pratiquée à tous les niveaux :

par la sanction d’exclusion, de droits différents, d’interdiction de circuler, de zones de non-droit, etc… – Le leurre d’un retour à la liberté après « vaccination » : le « vaccin » supposé (produit d’ingénierie pharmaceutique expérimental) ne garantit rien, n’est pas sûr, n’empêche pas les contaminations, n’autorise pas l’abandon du port du masque ; les sujets vaccinés sont plus à risque pour eux et les autres; – Le harcèlement par propagande d’Etat dans les médias et par des publicités, afin de culpabiliser la population civile sur les personnes atteintes ou décédées supposées du covid-19 : torture psychologique et ayant entraîné des suicides; – Violation de l’Habeas Corpus international et national.

Toutes les mesures imposées sur le prétexte de cette pandémie ne peuvent échapper à un examen du chaos global, social, économique et sanitaire, organisé pour tester la limite de la docilité des populations dans le but d’un projet politique, financier et idéologique qui n’a rien de commun avec une politique de santé publique mais qui vise, tel que le confirme le rapport sénatorial cité (page 52) entre autres faits, à aboutir à un contrôle de masse et en définitive à un asservissement de la population, les mesures employées dégradantes s’appuyant sur l’atteinte à l’intégrité physique et morale des personnes et n’hésitant pas à user du crime de masse, en imposant l’inoculation d’un produit d’ingénierie pharmaceutique à titre expérimental, pour des raisons inavouables qui devront être mises en lumière lors d’une enquête judiciaire de grande ampleur qui s’avère incontournable.

Nous sommes étonnés de constater qu’aucune instance internationale ne soit intervenue et en l’occurrence la Cour (CPI), au vu des plaintes déposées par plusieurs ressortissants de plusieurs pays afin de mettre un terme à ces crimes, notamment la plainte du juge italien, de l’association et des avocats israéliens, du ressortissant chinois vivant au Etats Unis pour génocide, de l’avocat canadien et bien d’autres, alors même que Tedros Ghebreyesus, directeur de l’OMS, fait déjà l’objet d’une plainte enregistrée par la CPI le 1er décembre 2020, pour crime contre l’humanité en Éthiopie dont les chefs d’accusations sont le meurtre, la détention arbitraire et la torture, faisant l’objet d’autres accusations concernant la livraison d’armes au Tigré en profitant de sa position.

On peut comprendre les préoccupations de la Cour sur les questions de recevabilité des pays non signataires, des éléments de preuves… Toutefois, la question essentielle sur la nécessité ou non de déclencher une procédure d’enquête ne se pose même plus au vu de la nature des faits et des crimes identiques rapportés dans tous les pays, en regard, des scandales qui se dévoilent, de l’abondante littérature scientifique accessible, de l’intervention de plus en plus consensuelle d’une communauté scientifique et médicale qui s’exprime hors des conflits d’intérêts et menacée de sanctions…

Il est reconnu que la Cour (CPI) est compétente y compris en matière de pays non signataires pour se saisir d’un crime contre l’humanité ou d’un génocide.

Nous n’ignorons pas que des instances internationales, comme la CESDHLF a des conflits d’intérêts et d’intégrité avec des ONG comme George SOROS et autres fondations ou trusts Bill GATES, mettant à mal l’ordre judiciaire; conflits d’intérêts et d’intégrité reconnus et admis par le Conseil de l’Europe – Doc. 15258 du 08 avril 2021 – s’engageant à prendre des mesures pour y mettre un terme.

George SOROS et Microsoft de Bill GATES ont chacun versé 1.400.000 € entre 2004, et, 2013 et près de 690.000 € entre 2006 et 2014.

Le Conseil de l’Europe a institué un fonds spécial pour recevoir de telles contributions extrabudgétaires (caisse noire).

La CPI (Cour pénale internationale) a reçu 115.000 $ de l’Open Society de SOROS en 2017.

L’OMS et l’ONU ont touché respectivement 530 millions de dollars en 2019.

L’OMS (organisme privé qui devrait être contrôlé en raison de l’influence qui lui est accordé) a touché pas moins de 3,6 milliard de dollars, 100 millions de dollars pour le covid-19, 279 millions de dollars pour l’Institut de mesure d’évaluation sanitaire (statistiques) de la Fondation GATES, Bill GATES, par le biais de ses différents outils étant devenu le plus grand pourvoyeur de fonds de l’OMS (70%), ce qui lui permet d’influer unilatéralement sur l’avenir sanitaire et numérique du monde entier, dans les industries financières, y compris les laboratoires pharmaceutiques, les médias de propagandes pour ses intérêts…

Le directeur général de l’OMS avait déclaré : « il n’y a pas de pandémie ». Après l’injection de 50 millions de dollars de la Fondation GATES au bénéfice de l’OMS, dès le lendemain de sa précédente annonce, le directeur général est revenu sur ses déclarations, en annonçant que: «le covid-19 est une pandémie». 13,5 millions de dollars pour le CDC versés par la Fondation Gates. (Pièce 62)

Mary Holland, Professeur de Droit à l’Université de New-York, avait déjà rappelé, lors de son allocution le 26 avril 2016 aux Nations-Unies, la nécessité de respecter le droit sur les politiques vaccinales qui violent le Code de Nuremberg.

Il est d’une extrême nécessité que la Cour pénale internationale (CPI), les Nations Unies, la CESDHLF ainsi que la communauté internationale respectent les droits humains et ceux notamment liés à la vaccination.

Depuis la seconde guerre mondiale, la communauté internationale a reconnu les graves dangers d’une expérimentation scientifique et médicale, involontaire sur des sujets humains.

Le monde a adopté le Code de Nuremberg qui stipule que : « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel ». Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques a encore repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire dans son texte de 1966 qui stipule : « Nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. »

Cette interdiction est maintenant si universellement reconnue que certains tribunaux et chercheurs ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier.

L’un des objectifs fondamentaux de l’Organisation des Nations Unies, énoncés à l’article 1 de la Charte, est de parvenir à une coopération internationale : « Pour promouvoir et encourager le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales pour tous ».

En d’autres termes, ce droit s’applique partout, que le pays en question ait ou non des lois spécifiques, exactement comme les normes coutumières interdisent maintenant l’esclavage, le génocide, la torture et la piraterie.

En 2005, l’UNESCO (Education Science et Culture) qui a abordé cette question, a adopté la Déclaration Universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme avec un consensus de 193 pays.

Les pays participants ont espéré que cette Déclaration, comme la Déclaration universelle des Droits de l’Homme, devienne un ensemble de principes directeurs. Sur la question du consentement, la Déclaration stipule que toute intervention médicale préventive ne doit être effectuée qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, et fondée sur des informations suffisantes. Cette déclaration est une extension du serment médical attribué à Hippocrate il y a 2500 ans, et qui stipule que les médecins doivent œuvrer pour le bien de leurs patients et « d’abord, ne jamais faire de mal », « Primum non nocere ». Elle note également (en son article 2) que « le seul intérêt de la Science ou de la Société » ne doit pas prévaloir. Ce principe de précaution en médecine mène directement à l’idée que les politiques de vaccination ne doivent qu’être recommandées et non rendues obligatoires.

Le Dr Leo Alexander, chef médical consultant américain au procès de Nuremberg, a averti en 1949 que : « C’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une Société entière peuvent être renversées ». Il a souligné que bien avant l’arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne, un changement dans la culture médicale s’était déjà produit « ouvrant la voie à l’adoption d’un point de vue hégélien utilitariste » avec une littérature traitant de l’euthanasie et de l’extermination des personnes handicapées dès 1931.

Les individus, pour eux-mêmes et leurs enfants mineurs, devraient avoir le droit d’accepter ou de refuser des interventions médicales préventives basées sur une information adéquate et sans contrainte telles que des menaces de perte d’avantages économiques ou éducatifs. Le consentement éclairé doit être la position par défaut parce que la contrainte sape non seulement la confiance, mais limite les droits fondamentaux à la vie, à la liberté, à l’intégrité physique, au consentement éclairé, à la confidentialité et à la prise de décision parentale. Si nous ne respectons pas les premiers principes du droit à la vie, à la liberté et à l’intégrité corporelle des personnes, du droit au consentement préalable libre et éclairé en médecine, nous pourrions nous retrouver dans des situations désastreuses prévisibles ou même inconnues.

Le discours d’adieu du Président Eisenhower : « Le potentiel d’une montée désastreuse du pouvoir existe et persistera. Nous ne devons jamais permettre que ce complexe mette en danger nos libertés ou notre processus démocratique. Nous ne devons rien prendre pour acquis. Seuls des citoyens éveillés et bien informés peuvent contraindre l’énorme machinerie industrielle et médicale à respecter nos méthodes et nos objectifs pour que la sécurité et la liberté puissent prospérer ensemble… En gardant l’œil sur la recherche et les découvertes scientifiques, comme il nous appartient de le faire, nous devons aussi rester attentifs au danger égal et opposé qui conduirait la politique à devenir elle-même captive d’une élite scientifique et technologique ».

Rappelons qu’aujourd’hui : « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel et il est un droit acquis, aussi bien pour les adultes, que les enfants en âge de s’exprimer, dont l’accord est un préalable, même si les parents ont donné leur consentement ».

Désinformation : depuis quelque temps, la désinformation par certains médias français et étrangers, consiste à faire croire que la France, à travers l’Institut Pasteur, n’a pas fabriqué le Sars-Cov2, que par ailleurs l’Institut Pasteur ne travaillait plus avec la chine depuis 2017 et que l’idée d’un travail sur une chimère de Sars-Cov2 relève du fantasme, au surplus qu’a été menée une campagne de dénigrement, de perquisition, de poursuite judiciaire à l’encontre du professeur Raoult spécialiste des maladies infectieuses, professeur de microbiologie de réputation mondiale, ainsi qu’à l’encontre de bien d’autres spécialistes.

Au vu des éléments qui précèdent (ci-dessus) dans la plainte et dans la mise en demeure, une telle propagande de désinformation pour écarter la responsabilité de certaines personnes au pouvoir en France, afin d’attribuer cette responsabilité uniquement à la Chine, ne saurait être retenue, car ici il ne s’agit plus de coïncidence, mais de faits. Si les instances internationales, comme la CPI (Cour pénale internationale) décide de tourner la tête, de refuser de voir et comprendre, de ne pas intervenir, alors elle aura échoué dans sa mission de protéger les peuples et dans l’idée d’une démocratie. Elle sera tenue pour responsable d’avoir laissé s’accomplir le projet d’une idéologie fanatique d’expérimentation et de contrôle total par une minorité d’acteurs industriels et politiques qui manipule la science selon la stratégie devenue récurrente de la « fabrication de l’ignorance » (amiante, tabac, pesticides, plastiques, œstrogènes, etc…) appliquée cette fois directement et unilatéralement à l’humanité… Que dès lors, les peuples seront légitimes pour engager toute action visant à mettre fin à ce despotisme tyrannique par tous les moyens nécessaires tels que prévus par les textes constitutionnels et par références au Droit international qui ne peut être bafoué par quel qu’intérêt que ce soit.

Extorsion du consentement : ainsi depuis le 12 juillet 2021 suite à l’intervention télévisée d’Emmanuel Macron président de la République, les professionnels de santé et les non-soignants au contact des personnes, ont l’obligation de se vacciner; tous les lieux de loisir, de culture rassemblant plus de 50 personnes, cafés, restaurants, centres commerciaux, hôpitaux, maisons de retraite, établissements médico-sociaux, voyages en avions, trains, autocars pour les trajets de longue distance sont soumis au « pass sanitaire ».

Ainsi, peu importe le consentement de la personne concernant un produit d’ingénierie pharmaceutique expérimentale improprement qualifiée de « vaccin » aux sens médical et légal de phase 3; elle sera vaccinée de force, ou mise en détention, ou radiée de sa profession. Par le pass sanitaire, il est interdit à toute personne, les droits sacrés de s’alimenter, de se faire soigner, de se déplacer, de communier, si elle refuse le produit d’ingénierie pharmaceutique expérimentale de phase 3, improprement qualifiée de « vaccin » aux sens médical et légal. (Pièce 63)

J’espère en l’impartialité de la Cour pénale internationale. Faisant corps avec la mise en demeure (pièce 1) pour tous les éléments factuels exposés ci-dessus, tous autres à produire, déduire ou suppléer, l’exposant persiste avec confiance dans les fins de sa requête et dépose plainte à associer avec la plainte n° OTP-CR-271/21, pour crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, mise en servitude, génocide et tout autre fait, contre les personnes nommées ci-dessus pages 3 et 4, et tout autre auteur, impliqués dans les infractions; demande que soient ordonnées les mesures coercitives nécessaires à l’établissement des faits, les saisies de documents, dossiers, courriels, notes internes, procès-verbaux de conversations, etc. ; demande que soit interrogée également toute autre personne ayant contribué, directement ou par complicité passive, à ces crimes, et que soit entendue toute autre personne portant des faits profitables à l’établissement de la vérité.

Vu le Traité de Versailles du 28 juin 1919 ; Vu l’article 6c et 7 du Statut du tribunal de Nuremberg ; Vu la 73ème ASSEMBLEE GENERALE DES NATIONS UNIES; Vu la CDI de 1996 ; Vu la Déclaration Universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme ART. 5, 6 § 1. 2. 3, 7, 9 ; Vu la Convention sur les droits de l’homme et la biomédecine, signée à Oviedo le 4 avril 1997 ART. 2 ; Vu le Code de Nuremberg notamment en son article 1 et 2; Vu la Convention Internationale des Droits de l’Enfant de l’UNICEF en ses articles 28, 29, 32, 37; Vu la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme dans ses articles : 3, 5, 9, 12, 13, 17, 18, 20, 26, 27, 28, 30 ; Vu le HCDH | Pacte international relatif aux droits civils et politiques dans ses articles: 7, 8 ; Vu la CESDHLF ; Vu le règlement n° 698/2019 UE, du 5.9

Aux motifs d’avoir délibérément violé : le code de Nuremberg, droit coutumier opposable aux Etats, le PACTE INTERNATIONAL RELATIF AUX DROITS CIVILS ET POLITIQUES droits égaux et inaliénables, dont la France est signataire, la Déclaration Universelle sur la bioéthique et les droits de l’Homme, dont la France est signataire (UNESCO) ; la Convention sur les droits de l’Homme et la biomédecine, signée à Oviedo le 4 avril 1997 dont la France est signataire, la Convention Internationale des Droits de l’Enfant de l’UNICEF dont la France est signataire, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme dont la France est signataire, le Pacte international relatif aux droits civils et politiques dont la France est signataire.

Etant donné la gravité des éléments contenus dans cette plainte, afin d’éviter toute coercition de voir enterrer ces éléments, cette plainte sera rendue publique au niveau international, y compris à l’attention des chefs d’Etats étrangers et tout autre service intéressés.

Les faits exposés sont vérifiables y compris sur la base de preuves archivées; de même tous les textes cités en référence peuvent être vérifiés par tous.

Je vous prie de croire, Monsieur le procureur Karim Asad Ahmad KHAN, en l’assurance de ma respectueuse considération.

Nom et prénom :

Signature :

BORDEREAU DE PIECES COMMUNIQUÉES ULTERIEUREMENT HORS PIECE 1

Conformément aux informations données par le standard de la CPI les pièces justificatives seront déposées ultérieurement directement par porteur sur USB ou DISQUE DUR à la CPI.

Date :

Par e. mail à : otp.informationdesk@icc-cpi.int

ET, par LRAR internationale N° :

CPI: Procureur Karim Asad Ahmad KHAN

Pour : nom et prénom :

Contre :

le président de la République française, monsieur Emmanuel MACRON,

le premier ministre, monsieur Jean CASTEX, chef du gouvernement,

l’ensemble du gouvernement actuel représentant l’exécutif,

l’ensemble du comité scientifique dirigé par monsieur Jean-François DELFRAISSY,

l’Institut Pasteur en son Président : Christian VIGOUROUX, président de section au Conseil d’État et les Membres de droit représentants du ministre de la Recherche, du Budget, de la Santé, du président du Centre national de la recherche scientifique,

le directeur général de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, ainsi que Sanofi Pasteur,

la ministre de la santé, madame Agnès BUZYN,

le directeur général de la Santé, Jérôme SALOMON,

le président de l’assemblée nationale, monsieur Richard FERRAND,

l’académie nationale de médecine, Dr CHARPENTIER Bernard, 1ère division, Président

le conseil de l’ordre des médecins, Dr Patrick BOUET,

le conseil de l’ordre des infirmiers monsieur Patrick CHAMBOREDON,

le conseil de l’ordre des masseurs-kinésithérapeutes, monsieur Pascale MATHIEU,

l’ensemble des ARS (agences régionales de santé) dont la liste des noms est communiquée,

l’ensemble des académies scolaires dont la liste des noms est communiquée,

le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus (Genève, Suisse),

le docteur Christian Drosten (Berlin, Allemagne),

Bill Gates (Seattle, Washington, États-Unis),

la commission européenne en sa présidente Ursula von der Leyen (Bruxelles, Belgique),

l’Agence européenne du médicament (EMA), en sa directrice Emer Cooke (Amsterdam, Netherlands).

Pièce n° 1, constituée de :

1.1. Mise en demeure adressée au premier ministre CASTEX, au chef de l’Etat et à son gouvernement. Justificatif d’accusé de réception.

1.2. Mise en demeure adressée nominativement au président FERRAND de l’Assemblée Nationale. Justificatif d’accusé de réception.

1.3. Mises en demeure adressées nominativement à chaque responsable d’Agence Régionale de Santé (A.R.S.)

Justificatifs d’accusé de réception.

1.4. Mises en demeure adressées nominativement à chaque responsable de Rectorat d’académie scolaire. Justificatifs d’accusé de réception.

1.5. Mise en demeure adressée nominativement au président de l’ordre des médecins. Justificatif d’accusé de réception.

1.6. Mise en demeure adressée nominativement au président de l’ordre des infirmiers. Justificatif d’accusé de réception.

1.7. Mise en demeure adressée nominativement au président de l’ordre des masseurs-kinésithérapeutes. Justificatif d’accusé de réception.

Pièce n° 2 :

Mise en demeure adressée au président du conseil scientifique Monsieur DELFRAISSY. Lettre en réponse de Monsieur DELFRAISSY.

Pièce n° 3 :

La propagande des médias français, payés par l’Etat et autres subventions.

Pièce n° 4 :

Courrier du comité scientifique, dirigé par monsieur Jean-François DELFRAISSY, publié dans «The Lancet.»

Pièce n° 5 :

DELFRAISSY – H1N1 – modification du génome – rapport 2016.

Pièce n° 6 :

DELFRAISSY – rapport n°133 du 19 septembre 2019 – développement des approches expérimentales sur la modification du génome.

Pièce n° 7 :

LEVY – remet le laboratoire P4 à Wuhan avec les déclarations sur le partenariat – Médecine Génomique 2025.

Pièce n° 8 :

YAZDANAPANAH – laboratoires pharmaceutiques Gilead Sciences, Pfizer, Johnson & Johnson, MSD.

Pièce n° 9 :

VIGOUROUX – Conseil d’Etat – conflit d’intérêts – déni de justice flagrant.

Pièce n° 9a :

Etudes indiscutable sur l’origine du virus n’étant pas zoonose.

Pièce n° 10 :

Wuhan PARTENAIRES et Institut Pasteur – travaux sur une chimère.

Pièce n° 10a :

Changement de co-directeur du pôle de recherche HKU-Pasteur, professeur Leo Poon responsable des recherches à Wuhan.

Pièce n° 11 :

BUZYN – ministre de la santé – bioéthique – tentative de suppression de l’interdiction de créer des embryons transgéniques.

Pièce n° 12 :

Les parlementaires s’opposent à la tentative d’Agnès BUZYN – embryons transgéniques.

Pièce n° 13 constituée de :

Vaccins expérimentaux ARNm – Tal ZAKS – Moderna.

Pièce n° 13a

ARNm – SHEMIRANI, CORBETT.

Pièce n° 14 :

Bill GATES – Human Genome 8 and mRNA Vaccine.

Pièce n° 15 :

Etude de 2006 de 76 chercheurs ayant finalisé la séquence du génome 8.

Pièce n° 16 :

Institut Pasteur – séquence génétique – Sras-CoV-2.

Pièce n° 17 :

Académie de médecine – CHARPENTIER – recommandations en violation du droit international et national.

Pièce n° 18 :

Effets graves secondaires – discours et une documentation officielle, mensongers et criminels.

Pièce n° 19 :

Laboratoires pharmaceutiques – condamnations.

Pièce n° 20 :

Comité scientifique – notifications.

Pièce n° 21 :

Comité scientifique – DELFRAISSY – agissant en infraction à la loi.

Pièce n° 22 :

Comité scientifique – laboratoires pharmaceutiques – liens d’intérêts.

Pièce n° 23 :

Conseil scientifique – laboratoires – Neil FERGUSSON – décisions de justice.

Pièce n° 24 :

DELFRAISSY – courrier à ex-commission d’enquête – liens d’intérêts avec laboratoires.

Pièce n° 25 :

Décès Covid-19.

Pièce n° 26 :

Publication de l’OMS sur l’étude de John P.A. LOANNIDIS.

Pièce n° 27 :

LOANNIDIS – étude 26 mars 2021 – https://doi.org/10.1111/eci.13554.

Pièce n° 27a :

Réseau SENTINELLES.

Pièce n° 28 :

Lothar WIELER – Institut allemand Robert KOCH.

Pièce n° 29 :

February 08, 2021 – RISK OF HOSPITALISATION WITH COVID-19 – https://doi.org/10.1101/2021.02.05.21251189

Pièce n° 30 :

Président commission des affaires sociales – Assemblée Nationale – surmortalité invisible – Salomon.

Pièce n° 31 :

AMMON – Centre européen de prévention et de contrôle des maladies – absence de preuve du virus.

Pièce n° 32 :

Comité scientifique français – protocole du postulat de KOCH a échoué.

Pièce n° 33 :

Test RT- PCR – infection – cycles – tromperie.

Pièce n° 34 :

Masques – études confirmant l’absence de protection, connue de l’Etat français.

Pièce n° 35 :

OMS – Laboratoires – Bill GATES – décisions pour les populations (dans le conflit d’intérêts).

Pièce n° 36 :

Tal ZAKS – Moderna – Le corps humain est un logiciel pour modifier le génome humain.

Pièce n° 37 :

Pfizer – OMS – Brésil – Argentine – pratiques de dépouillement des Etats.

Pièce n° 38 :

Pfizer – Laboratoires – MACRON – liens d’intérêts.

Pièce n° 39 :

DOUSTE-BLAZY – licences, brevets – thrombose – sociétés – Bill GATES.

Pièce n° 40 :

Pfizer – GSK – sécurité sociale française – entrevues privées.

Pièce n° 41 :

Gilead – Conseil de défense – MACRON – Remdésivir – démission Prof. RAOULT.

Pièce n° 42 :

Bill GATES, Microsoft Technology Licensing, LLC – brevets – monnaie numérique.

Pièce n° 43 :

Conflits d’intérêts – polémiques et scandales – phase expérimentale des “vaccins”.

Pièce n°43a :

Chiffre officiel de l’EMA et lien avec les laboratoires pharmaceutiques.

Pièce n° 44 :

THE LANCET – vaccination aléatoire et trompeuse.

Pièce n° 45 :

Principe de précaution écarté – ARN et ADN – Transcriptase inverse possible.

Pièce n° 46 :

L’ARN du SRAS-CoV-2 transcrit à l’inverse peut s’intégrer dans le génome des cellules humaines.

https://doi.org/10.1073/pnas.2105968118

Pièce n° 47 :

Taux de décès lié à la stratégie de vaccination qui aura fait plus de morts que le Covid-19 lui-même.

Pièce n° 48 :

Variant indien démenti par ministère indien.

Pièce n° 49:

Spike Protein – Recipients https://doi.org/10.1093/cid/ciab465 Published: 20 May 2021.

Pièce n° 50 :

Cas du bébé décédé – VAERS ID 1166062.

Pièce n° 51 :

Effets indésirables – vaccins.

Pièce n° 52 :

Nombre de cas secondaires graves et décès en France.

Pièce n°52a :

Sécurité du vaccin Covid-19 /bénéfice/risque négatif.

Pièce n° 53 :

Tactiques de désinformation par les industriels et décideurs

Pièce n° 54 :

Remdesivir – DELFRAISSY – FAUCY – Gilead – Présid. MACRON.

Pièce n° 55 :

Chloroquine – étude – effet antiviral inhibiteur – This article is available from :

http://www.virologyj.com/content/2/1/69

Pièce n° 56 :

Campagne désinformation – chloroquine – interprétation erronée volontaire des laboratoires.

Pièce n° 57 :

Etude – essais avec overdose – décès – Archives of Microbiology & Immunology 5 (2021): 176-181.

Pièce n° 58 :

Etude Pérou – Ivermectine – réduction efficace des décès.

Pièce n° 59 :

Ivermectine – PVVIH / sida continuent d’ignorer et de manipuler les données.

Pièce n° 60 :

Le Conseil de l’Europe avait déjà pointé du doigt l’OMS en 2010.

Pièce n° 61 :

Rapport sénatorial français N° 673 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2020-2021 – confirmation mesures liberticides durables.

Pièce n° 61a :

(Crédit social), déclaration publique de l’inventeur Lin Junyue concernant la France.

Pièce 61b :

Etude expérimentale canine.

Pièce n° 62 :

Conflits d’intérêts et/ou corruption des instances internationales.

Pièce n°63 :

Conseil de l’Ordre et Syndicat ordonnant la vaccination.

Sous toute réserve de complément,

Nom et prénom :

Signature :




La Lettre de la Médecine du Sens n°341

[Source : lessymboles.com]

« Je m’entête affreusement à adorer la liberté libre. »

Arthur Rimbaud

 « Ce n’est pas une crise, c’est un changement de monde. »

Michel Serres

« Pour un pervers narcissique, un mensonge réussi vaut une vérité. »

Paul-Claude Racamier

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Le 15 septembre restera le jour de la honte nationale. Le jour où des soignants qui se sont sacrifiés pour chaque français ont été mis au pilori, forcés, violés.

Et pourtant rien ne justifie tout cela.

Les 20 et 25 août le Conseil Scientifique de Macron a bien confirmé que le vaccin ne protégeait pas (à 50%) de la contamination et que les vaccinés transmettent autant le virus que les non vaccinés ce qui enlève tout intérêt au vaccin obligatoire et au pass sanitaire. Le CDC, la plus haute autorité sanitaire américaine, et faisant autorité dans le monde, confirme ces données. 

Le vaccin se retrouve à rester utile pour certaines franges de la population : les personnes âgées et/ou avec comorbidités.

[Ndlr : et encore, ceci reste à réellement démontrer.]

C’est donc uniquement une mesure politique et plus du tout sanitaire. Une épreuve de soumission, mais surtout une entreprise de numérisation des populations.

Ceux qui ont eu le Covid et qui ont donc une immunité bien supérieure aux doubles vaccinés sont donc priés de se vacciner !

Les chiffre d’Israël sont encore plus parlants.

Mais si le vaccin ne fonctionne pas et ne protège personne, la mortalité elle est en explosion. L’Australie pays super vaccinateur avoue dans ses chiffres officiels (lien France Soir : https://www.francesoir.fr/societe-sante/australie-trois-fois-plus-de-deces-rapportes-vaccins-vs-covid) que le vaccin tue 3 fois plus que le Covid (2,91). En Europe les chiffres de Eudra vigilance montrent plus de 25 000 morts et 2,5 millions d’effets secondaires dont plus de la moitié sont graves (handicap à vie).

En France, l’ANSM dans ses chiffres montre que pour 100 000 habitants il y a 5 morts du Covid et 7 morts du vaccin. Avec des jeunes qui ne devraient jamais mourir.

Un thanatopracteur raconte qu’il rencontre une super mortalité des jeunes qui n’auraient jamais du mourir depuis le vaccin (Voir plus bas la vidéo du CSI n° 22).

« Nous savons qu’ils mentent, ils savent aussi qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’il mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons, et pourtant ils continuent à mentir. » 

Alexandre Soljenitsyne

Cependant la résistance est bien là, bien que toute la propagande tente de démontrer le contraire.

Plus de 15 millions de Français refusent encore de se faire vacciner.

300 000 soignants dont 10 000 médecins, qui n’hésitent pas à prendre le risque de perdre leur travail. Ce sont de véridivs héros.

Un certain nombre de soignants se sont organisés en syndicat devant l’inaction des syndicats classiques et la gravité et l’urgence de la situation.

Le Syndicat Liberté Santé a été crée le 1er septembre

www.syndicat-liberte-sante.com

A ce jour il compte déjà plus de 4500 adhérents. Une formidable réponse à la situation actuelle.

Rejoignez-le massivement. Vous tous, qui en raison de votre travail dans le domaine de la santé et du soin, êtes soumis à l’obligation vaccinale par la loi du 5 août 2021. Médecins, paramédicaux, agents administratifs et pompiers.

Tout l’été l’équipe a travaillé sur les points juridiques pour fournir les meilleurs stratégies de défense. Le syndicat a regroupé sur toute la France un nombre important d’avocats pour que vous puissiez vous défendre, baisser le prix de procédures graves et grâce à la volonté des avocats d’aider à la justice.

Transmettez l’information à tous les soignants que vous connaissez.

Le gouvernement pensait en finir rapidement, mais un peu partout en France les soignants, les nouveaux héros résistent.

De très nombreux services hospitaliers et EPADH doivent fermer faute de personnel.

C’est tout un système de santé qui s’effondre contrairement à ce qu’avait pensé le gouvernement en orchestrant sa propagande.

Regardez le nombre impressionnant de services qui résistent en France et en Outremer.

Services et personnel qui résistent en France et en Outremer

Services et personnel qui résistent en France et en Outremer

De très nombreux services hospitaliers et EPADH doivent fermer faute de personnel.

Lire la suite.

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Regardez sur le site officiel Géodes

Le nombre de vaccinations par jour est en effondrement après un pic à la suite des déclarations du 12 juillet. En clair, ceux qui restent ne vont plus se faire vacciner d’où la pression et la désinformation du gouvernement.

https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&f=0&i=vacsi_s.n_dose1&s=2021-09-15&t=a01&view=map2

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Macron et la vaccination ? C’est bidon !

 « Macron disait s’être fait vacciné le 31 mai (tweet).
Mais son certificat indique le 13 juillet.
« Erreur de transmission » pour l’Elysée.
Bref, on ne sait même pas s’il s’est fait vraiment fait vacciner. Faites ce que je dis, pas ce que je fais ?! « 
Source: Tweet de Florian Philippot-26/08/2021

Lien de l’article Mediapart : Imbroglio autour de la vaccination de Macron

https://www.mediapart.fr/journal/france/260821/imbroglio-autour-de-la-vaccination-de-macron

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Guadeloupe

Un juge du tribunal de Basse Terre ordonne la commande d’hydroxychloroquine et d’Ivermectine pour soigner les populations de la Guadeloupe.

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Des experts de la FDA révèlent que les vaccins Covid-19 tuent au moins 2 personnes pour 1 vie qu’ils sauvent

Ils votent contre l’approbation des injections de rappel

Lien (article en anglais): https://theexpose.uk/2021/09/18/fda-experts-reveal-the-covid-19-vaccines-are-killing-2-people-for-every-1-life-saved/

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Allemagne : 23 000 médecins abandonnent la campagne de vaccination.

C’est confirmé.

En Allemagne : 23 000 médecins abandonnent la campagne de vaccination

En Allemagne : 23 000 médecins abandonnent la campagne de vaccination

Parallèlement au retrait des médecins, les Länder envisagent déjà de mettre fin à leurs centres de vaccination.

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Vaccins : des effets secondaires terribles par milliers

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Des thanatopracteurs observent une surmortalité chez les jeunes

CSI n° 22 du 9 septembre 2021

VACCINATION : Des thanatopracteurs dans le monde observent une surmortalité chez des jeunes qui n’auraient jamais dû mourir.

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Ontario plus de 100 myocardites chez les jeunes avec vaccin ARN

Santé publique Ontario (SPO) a publié un rapport jusqu’à présent passé largement inaperçu regroupant les événements indésirables de la vaccination COVID-19  signalés dans la solution de gestion des cas et des contrats de santé publique. Pour la période du 13 décembre 2020 au 7 août 2021, SPO signale un groupe important d’activités d’innocuité des vaccins associées au programme COVID-19 en cours. Sur la base des vaccins associés à la fois à Pfizer-BioNTech et à Moderna, le rapport révèle qu’au 7 août, 106 cas de myocardite/péricardite ont été signalés chez des résidents de l’Ontario de moins de 25 ans, ce qui représente plus de cinquante pour cent du nombre total d’incidents. Segmentés par âge, 31 du total des cas ont été signalés chez des jeunes de 12 à 17 ans, tandis que 75 du total appartenaient au groupe des 18 à 24 ans. En d’autres termes, 80 % du total des MAPI étaient des jeunes de 24 ans et moins.

Lien (article en anglais) : https://trialsitenews.com/public-health-ontario-reports-100-youth-hospitalizations-involving-heart-problems-post-covid-19-mrna-vaccination/?utm_source=Contextly&utm_medium=ChannelEmail&utm_campaign=COVID-19&utm_content=Notification

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Les vaccins présentent plus de risques que le virus

Nous reprenons et vous partageons cet article dans son entièreté car il a été censuré par Mediapart.

Les vaccins plus risqués que le virus selon les chiffres de l’ANSM

Les vaccins plus risqués que le virus selon les chiffres de l’ANSM

7 cas graves pour 100 000 vaccinés / mois, contre 5 décès de la COVID-19 pour 100 000 habitants / mois

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Décès d’un membre de leur famille à la suite de la vaccination : les Chinois réduits au silence

Décès d’un membre de leur famille à la suite de la vaccination : les Chinois réduits au silence

Les autorités ont depuis surveillé leurs proches et accusé une famille au franc-parler de divulguer des « secrets d’État ».

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Le professeur Montagnier explique l’inutilité de la “vaccination”

Ces vaccins portent une partie de l’ARN du virus codant pour sa protéine de surface permettant sa fixation sur des cellules-cibles. Les fabricants de ces vaccins ont naïvement cru et fait croire que les organismes injectés allaient monter une forte réponse en anticorps neutralisant cette protéine de surface et ainsi empêcher la transmission du virus. Or les faits contredisent cet espoir : les vaccins Pfizer , Moderna, Astra Zeneca n’empêchent pas la transmission du virus de personne à personne et les vaccinés sont aussi transmetteurs que les non-vaccinés. Par conséquent l’espoir d’une « immunité collective » par une augmentation du nombre de vaccinés est totalement vain. L’explication de cet échec est simple : la haute capacité de mutation du virus liée à sa haute transmissibilité permettent la sélection de variants résistant aux vaccins.

Le professeur Montagnier explique l’inutilité de la “vaccination”

Le professeur Montagnier explique l’inutilité de la “vaccination”

Sur la base de données encore expérimentales, ils ont permis et encouragé des campagnes d’inoculation massive de nouveaux types de vaccins.

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Le cri d’une députée italienne du Mouvement 5 étoiles, Sara Cunial

Vous ne pouvez plus dire…

Vous ne pouvez plus dire…

Vous ne pouvez plus dire que se faire vacciner est un acte d’amour car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol.

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Explications à la Chinoise

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Le ministre australien Victor Dominello paralysé du visage après une vaccination

Lien : https://lemediaen442.fr/le-ministre-australien-victor-dominello-paralyse-du-visage-apres-une-vaccination/

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Des anticorps renforçant l’infection ont été détectés dans les Covid-19 symptomatiques ;

or, l’augmentation des anticorps dépendant de l’infection (ADE) est une préoccupation potentielle pour les vaccins. Les anticorps renforçant l’infection reconnaissent à la fois la souche Wuhan et les variants delta, faisant de l’ADE un risque potentiel pour les vaccinés infectés par les variants delta (Journal of Infection, article en impression).

Lien (article en anglais) : https://www.journalofinfection.com/article/S0163-4453(21)00392-3/fulltext#relatedArticles

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Ariane Bilherian : Chronique du totalitarisme – Hommage aux héros français du 15 septembre 2021 

Chroniques du totalitarisme

Chroniques du totalitarisme

Ce qui s’est passé en France ce 15 septembre 2021 est un scandale moral, éthique et déontologique qui place au rang de parias des catégories de citoyens.

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RADIO COURTOISIE : « La Tyrannie en marche »
avec Vincent Reliquet, Louis Fouché, Olivier Soulier…

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Inscrivez-vous plus que jamais aux collectifs ! Seuls remparts aujourd’hui contre la dictature.

BonSens, RéinfoCovid, Laissons les médecins prescrire, Réaction19, AIMSIB, Les tribunes de Laurent Mucchelli, Manifeste des Médecins pour une 4ème voix, Bas les masques

Vous retrouverez les liens de ces divers collectifs dans l’article : Le monde s’organise https://www.lessymboles.com/le-monde-sorganise/

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HUMOUR

Une conséquence inattendue de la vaccination !

Augmentation du prix du sperme des non-vaccinés !

Augmentation du prix du sperme des non-vaccinés !

Ces clients sont-ils instruits sur la science ?

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Bonne semaine à toutes et à tous !




Australie : du mirage du « zéro Covid » au cauchemar totalitaire

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Depuis maintenant plus d’un an et demi que dure la pandémie, les différents pays du globe ont adopté plusieurs stratégies, qu’elles soient d’éradication, de jugulation, de blocage ou de régulation, afin de lutter contre le SARS-CoV-2. Certains ont changé de méthode en cours de route, cherchant à s’ajuster dans l’espoir de revenir à un certain équilibre entre les mesures et leurs impacts sur le bien-être de leur population ; d’autres au contraire, ont gardé le cap depuis mars 2020 et « quoiqu’il en coûte », restent fidèles à leur objectif et peu importe les conséquences.

Parmi les stratégies utilisées par les dirigeants de la planète, la plus « ambitieuse » est à n’en point douter, celle que l’on nomme « Zéro Covid ».

Les partisans de cette stratégie « 0 » sont principalement la Chine, le Japon, la Corée du Sud, le Viet Nam, Singapour, l’Islande, la Nouvelle-Zélande et l’Australie. On peut remarquer dès lors que ce sont ; soit des pays asiatiques dont les populations sont culturellement plus enclines à accepter les restrictions sanitaires (ainsi que des restrictions de liberté pratiquées bien avant la pandémie) ; soit des îles qui permettent de faciliter contrôle des flux aériens et des entrées.

Même si l’Australie est une île, contrôler la circulation d’un virus d’un territoire grand comme neuf fois la France n’est pas chose aisée. Elle devient pourtant le symbole de cette stratégie aux yeux du monde. Si l’on se penche sur l’histoire récente de ce pays appartenant au Commonwealth, on s’aperçoit qu’il a une relation particulière avec la liberté individuelle, les restrictions, le sanitaire voire l’hygiénisme ; le sport est roi et où le corps fait l’objet d’un culte.

Par exemple, les taxes sur les cigarettes sont très élevées. Le prix moyen est aujourd’hui aux alentours de 20 AUD, soit le double qu’en France. Il y est très compliqué de fumer y compris dans un lieu public extérieur, avec en prime une interdiction formelle de jeter son mégot par terre sous peine d’amende onéreuse. Et le moins que l’on puisse dire est que cette politique installée depuis plus de dix ans fait effet, avec un taux de fumeurs d’à peine 15%, essentiellement concentré sur les classes sociales les plus précaires. (1)

Le prix de l’alcool est lui aussi fort élevé. Celui des « Spirits » a grimpé en flèche ces 15 dernières années. Il est même requis dans les bars ou dans les discothèques que les boissons soient servies à l’aide d’un doseur afin de limiter la quantité d’alcool versé. Ce changement dans la liberté individuelle de pouvoir consommer arrive après 2005 et les émeutes de Cronulla. Des conflits avaient éclaté entre deux communautés (libanaise et maori) et cela avait dégénéré en raison d’un groupe très alcoolisé. Des jours de protestation avaient suivi. (2)

Une autre conséquence est l’intolérance des policiers australiens. Depuis ces émeutes, ils ne discutent et parlementent que très rarement, ne font guère de compromis et appliquent la loi à la lettre. Le symbole marquant étant les « cages à poule » derrière les véhicules servant à transporter des individus.
 

Forts de cette histoire récente empreinte de décisions protectrices envers son peuple, afin de se donner les moyens de réussir, les dirigeants de l’ile décident en premier lieu (fin mars 2020) d’une fermeture totale des frontières – au contraire de la France, notre président pariant sur le fait que « le virus n’a pas de passeport » (sic). Fermeture toujours d’actualité et envisagée jusqu’à fin 2022. Il est quasiment impossible de rentrer dans le pays, excepté pour quelques catégories de citoyens comme les diplomates, les détenteurs de Visa business, les personnes de nationalité australienne ou résidents permanents.

Concernant les deux dernières catégories, cela dépend du pays de provenance : il était par exemple interdit de venir d’Inde pendant l’émergence du variant Delta sous peine de poursuites judiciaires (50 000 AUD + 5 ans d’emprisonnement) (3). Une quarantaine de deux semaines est aussi imposée pour chaque entrant.

En effectuant cette manœuvre dès le début de la pandémie, associé à un confinement national rigoureux (même si décidé au niveau fédéral), la premièe vague est très bien contenue. Le pic des cas est inférieur à 400 et un maximum de quatre décès journaliers est enregistré. Pour un pays de 26 millions d’habitants, la réussite est totale et renforce la conviction du gouvernement dans les bienfaits de cette approche.

Le premier confinement de mars 2020 consiste comme tous les autres à rester à la maison : en empêchant les rencontres sociales, on empêchera la circulation du virus. Interdiction de se trouver dehors de 23 heures à 5 heures. Il est cependant toléré de se rendre à son travail si le télétravail impossible : idem pour les étudiants. Les rassemblements sont limités à deux personnes, cinq pour les mariages et dix pour les funérailles. Seuls les lieux essentiels tels que les commerces de première nécessité restent ouverts, avec jauge limitée. Les récalcitrants écopant d’une amende salée de AUD 1500 : il va sans dire que les mesures sont globalement bien respectées (4).

« Fermeture des frontières + confinement strict » serait donc l’antidote au niveau de la gestion sanitaire car l’épidémie de Wuhan aura été brève et peu importante en s’éteignant début mai.

Par prudence, disent les autorités, est décidé un déconfinement progressif en trois étapes avec réouverture des bars et des restaurants, puis les cinémas et salles de sport pour enfin autoriser les rassemblements de plus de cent personnes, sous réserve que l’épidémie ne reparte pas entre-temps. (5)

Malheureusement, à l’arrivée de l’hiver austral, elle repart du coté de la ville de Melbourne dans un hôtel réquisitionné pour quarantaine et se propage dans le Victoria. La vague réside essentiellement dans cet État, elle est néanmoins plus longue et plus mortelle, s’étendant jusque mi-septembre et atteignant un pic de décès cinq fois plus élevé que le premier épisode.

Un confinement similaire est alors décidé pour cet État avec fermetures des frontières fédérales. À la différence que celui-ci va durer près de quatre mois pour s’arrêter fin octobre (6). Confinement qui use à petit feu ses habitants. Ils sont néanmoins évités pour les autres contrées, au prix d’un traçage et d’une isolation des positifs poussés à l’extrême, alliant parfois le « snaplockdown » dès le ou les premiers cas.

Si cette vague fait plus de dégâts sur tous les plans, c’est encore une fois un succès sur le plan strictement sanitaire et beaucoup d’experts internationaux, particulièrement en France (Karine Lacombe, Gilbert Deray, Rémi Salomon, Antoine Flahault), saluent la performance en demandant de copier ce modèle. Ces félicitations prennent-elles en compte l’usure du peuple ?

Galvanisée par cette réussite, ainsi que les retours positifs à l’international, l’Australie continue sa gestion à base de restrictions, snaplockdowns (7) et couvres-feux , et ce de manière continue. On se rappelle celui décidé par le maire de Melbourne en plein Open d’Australie de tennis en janvier dernier (8). Convaincus, les résultats parlent en effet pour eux. Aucun départ épidémique n’est à constater du mois de septembre 2020 à juillet 2021, ce qui constitue une performance remarquable sur le plan mondial. Mais à quel prix ?

Dans la lignée de sa récente histoire et légitimées par l’efficacité, les actions entreprises sont de plus en plus radicales : drones détecteurs de virus, fouilles complètes à l’aéroport, obstruction bétonnée de SkateParks, asymptomatique en fuite déclaré ennemi public n°1, ou bien violences policières pour un masque. Ajoutons à cela l’interdiction de quitter l’île voire l’État, et donc de pouvoir visiter ses proches. Quand on voit la faible létalité, une telle rigidité est-elle nécessaire ?

Le « zéro Covid » devient une croyance et tous les moyens sont bons pour y parvenir. Et peu importe si elles sont insensées scientifiquement, le but affiché est assumé. Avec des mesures si contraignantes le virus n’aura aucune chance de se propager.

Mais il finit à nouveau par se propager. Encore une fois durant l’hiver austral suivant : il ressurgit en juillet de cette année et explose de manière exponentielle durant le mois d’août. Ce variant venu d’Inde : le Delta, apparait être plus fort que le système de défense sanitaire et devient rapidement incontrôlable. Il atteint un pic de 1770 cas mi-septembre, soit plus de trois fois le pic de l’hiver 2020.

Certains spécialistes attribuent cette recrudescence à la contagiosité du Delta, d’autres à de l’échappement vaccinal comme on a pu le voir dans d’autres régions du globe ; probablement une conjugaison des deux. Il en résulte une forte circulation jamais vue jusqu’alors malgré le reconfinement dès le 30 juin de la région de Sydney, puis début août de celle de Melbourne.

En total contraste, les décès sont deux fois moindres que la vague précédente, ce qui lui donne une létalité négligeable. Le « zéro Covid » et ses confinements court puis longue durée sont malgré tout toujours appliqués, quoiqu’il en coute.

Des promesses d’allègement des mesures sont alors émises en septembre si la population est vaccinée à 70% (9), s’empêtrant toujours un peu plus dans les dérives autoritaires, mais devant bien reconnaitre qu’il faudra vivre avec le virus et que le « zéro Covid » était trop ambitieux. Car, paraît-il, si le virus a pu repartir si vite, c’est parce que le pays a raté sa campagne vaccinale. La stratégie évolue donc et se transforme peu à peu en « vaccins pour tous = déconfinement ». La liberté ne serait plus désormais soumise à la circulation virale mais plutôt à la couverture vaccinale… laquelle n’agit que peu sur la circulation.

De deux choses l’une, pour avoir un taux de létalité si faible ; ou bien il est très contagieux mais peu virulent et dans ce cas, la réussite vaccinale mondiale vantée par tous est une belle entourloupe, ou bien le fait d’avoir vacciné en premier lieu les plus de 65 ans (ce sont les plus vaccinés) et de se concentrer sur les populations à risque est suffisant pour contenir la mortalité, et couvrir toute la population devient de fait absurde.

La vaccination par la contrainte est peut-être ce qui a enfin réveillé le peuple australien. Il était temps. Faire miroiter de retrouver certaines libertés selon le taux d’injection pour un virus tuant 1100 personnes au total, pourrait être la goutte d’eau qui a fini par lui faire perdre patience. Il est acquis que le virus circule et circulera, mais s’il ne tue pas pourquoi imposer cela ?

Qu’est-ce qui pousse alors le gouvernement à ce nouveau coup de force ? Si le « zéro Covid » ne marche pas mais qu’il n’y a pas (ou très peu) de morts, où est le problème ? Pourquoi ne réajustent-ils pas leur approche ? Alors que même en France Antoine Flahaut et Gilbert Deray ont fait machine arrière ?

Se révoltant d’abord contre les confinements répétitifs, les mouvements de protestation démarrent dès juillet à Sydney, allant crescendo en nombre et virulence, que ce soient les manifestants ou les forces de l’ordre. Mais ce qu’il se passe à Melbourne en plein sixième confinement depuis quelques jours est le signe que le peuple dit enfin stop. Le conflit démarre avec les ouvriers du bâtiment qui protestent contre la vaccination obligatoire pour leur corps de métier ; ils décident alors de bloquer les grands axes puis le lendemain l’autoroute principale de la ville dans les deux sens. (10)

Les manifestations sont journalières, et violentes. La réponse policière l’est tout autant. Ils sont nombreux et désespérés ; ils seront bientôt au chômage car ils refusent de se faire vacciner contre une maladie au taux de mortalité de 0.000044%. Il est possible que la protestation gagne toutes les classes sociales.

Il est tout de même surprenant qu’il ait fallu en arriver là avant d’avoir une vraie contestation ; comme s’il fallait être au pied du mur pour sa survie ou une injection pour enfin réagir aux abus subis. La dystopie n’est plus une fiction. Elle a engendré du chômage, de la précarité, des dépressions, de l’anxiété, de la tristesse, sans parler de l’économie en chute libre.

Pour l’heure, ils n’ont pas l’intention de desserrer l’étreinte. Obligation vaccinale pour certains corps de métier, contraintes extrêmes pour les non-vaccinés dans la fréquentation des lieux de vie, utilisation de balles en caoutchouc et jets d’eau pour repousser les manifestants. L’Australie bascule peu à peu dans le totalitarisme aux yeux de tous.



Ce gouvernement, par ses dérives, se met beaucoup de compatriotes à dos. Car après avoir reconnu que le zéro Covid était inatteignable, il continue ses restrictions liberticides malgré l’absence de surmortalité. Ce véritable acharnement doit faire réfléchir à ce que sont les véritables desseins de ces dirigeants. On se rappelle alors ce ministre faisant une paralysie de Bell en direct mais qui quelques jours après affiche fièrement son certificat de vaccination avec un œil de pirate (11).  

On ne peut qu’être confondu devant cette surenchère techno-sanitariste, qui a des relents sectaires. 

Le mouvement de ce beau pays sera à suivre, maintenant qu’il semble se rebeller. Composé d’habitants aux origines irlandaises, serbes, croates, libanaises, maoris ou encore aborigènes, ils savent ce que représente la liberté et ce qu’il en coûte pour la préserver. Peut-être le « no » australien naissant deviendra-t-il le berceau de la révolte des peuples à travers le monde ? La vague humaine de contestation qui est partie de Melbourne entraînera-t-elle un tsunami sur tous les océans ? Car si les restrictions atteignent des sommets dans le Pacifique, bon nombre de libertés ont été retirées partout. Les consciences vont-elles cesser d’être « down under » ?


Sources :

[1] https://kowala.fr/fumer-en-australie/
[2] https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/2005/12/12/quand-la-haine-raciale-inonde-la-plage
[3] https://www.politico.com/amp/news/2021/05/03/australia-covid-lockdown-485255?fbclid=IwAR1251lyGUqv_y5sY1x9Yia6-6Vq-PS4BO7XAHzWexNw3BIoC0q7U0m1oaI
[4] 
https://www.millsoakley.com.au/thinking/nsw-under-official-lockdown-full-details-of-new-government-directions-now-published/
[5] https://www.google.com/amp/s/www.challenges.fr/monde/coronavirus-l-australie-opte-pour-un-deconfinement-en-trois-etapes_709324.amp
[6] https://www.bbc.com/news/world-australia-54654646
[7] https://www.keypointlaw.com.au/keynotes/snap-lockdowns-and-what-it-means-for-employers-and-employees/
[8] https://www.france24.com/en/live-news/20210212-melbourne-orders-snap-covid-lockdown-during-australian-open-tennis
[9] https://www.theguardian.com/australia-news/2021/sep/22/victoria-covid-restrictions-melbourne-lockdown-curfew-and-regional-vic-coronavirus-rules-explained
[10] https://www.businessbourse.com/2021/09/21/australie-enorme-les-ouvriers-du-batiment-bloquent-lautoroute-de-melbourne-dans-les-deux-sens-de-circulation-pour-protester-contre-lobligation-vaccinale-et-plusieurs-chantiers-de-la-ville-sont/australie-blocage-autoroute/
[11] https://www.sudinfo.be/id412122/article/2021-08-20/des-telespectateurs-sinquietent-de-loeil-tremblant-dun-ministre-australien-il

Auteur(s): FranceSoir




L’arnaque des « fact-checkers » : Pierre de « Décoder l’éco » répond aux attaques

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Pierre, animateur de la chaîne Décoder l’éco
©FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

TRIBUNE – Ce 17 septembre, pour la deuxième fois concernant mes travaux statistiques, un article s’est vanté d’avoir réussi à contredire mes arguments sur la situation de la Covid-19 en Israël. Il y a quelques mois, les décodeurs du journal le Monde s’étaient prêtés à l’exercice. Ils avaient sobrement repris la vignette de ma vidéo en écrivant « FAUX » par-dessus, sans apporter d’argument contredisant ma démonstration. J’y avais répondu sous forme d’une vidéo et d’un article. Aujourd’hui c’est un petit média internet qui se lance dans cette entreprise. On y voit cette fois-ci plutôt mon visage et ma bibliothèque avec la mention « DEBUNKED », et une petite phrase qui commence par le mot « non », histoire bien évidemment de montrer que mes propos sont un mensonge, mais « avec de vrais chiffres ». 

Le comportement parasitaire des « fact-checkers » 

Dans un pays qui se dit démocratique, défendant une « liberté de la presse », il paraît tout à fait normal d’encourager les débats contradictoires. Je « m’étonne » du traitement réservé depuis 18 mois à tous ceux qui refusent de soutenir la version officielle de la terreur légitimant la « nécessité » de la mise en retrait des « Libertés » pour le « bien commun ». Je pense par exemple à Laurent Mucchielli, autrefois porté aux nues par la presse dite « de gauche » et se trouvant aujourd’hui complètement ostracisé, catalogué complotiste d’extrême-droite, voire antisémite, aucun qualificatif n’étant oublié pour discréditer une personne auprès du lectorat visé. 

Il me semble qu’un comportement « humain » raisonnable, qui devrait servir de base au métier de journaliste, est de discuter des arguments avancés par les personnes qui publient. Je m’étonne qu’à aucun moment, aucun de leurs journalistes ne soit venu discuter de mes chiffres de façon à avancer dans la compréhension du sujet. Je lis tous les messages qui me sont adressés et répond à la quasi-totalité d’entre eux. Les personnes publiant des articles ou des vidéos sur Iinternet de façon publique sont nécessairement dans une posture d’échange. Jamais aucun « fact-checker » n’a souhaité dialoguer pour lancer un débat contradictoire. Leur but n’est pas de faire avancer la connaissance et de questionner, mais de défendre leur point de vue, leur groupe. 

Ces « fact-checkers » n’ont pas d’autre horizon que d’empêcher le débat en discréditant ceux qu’ils considèrent comme leurs « adversaires ». Leurs articles posent les barrières infranchissables de l’information. La publication de petits articles avec les mots « FAUX », « DEBUNKED » ou autre « FAKE NEWS », permettent d’éviter que leur lectorat ne « s’égare » en lisant une information contraire aux croyances du groupe. Le journalisme en est réduit au niveau de harceleurs de collège où certains groupes prennent le leadership de la classe en choisissant des cibles à exclure du groupe. 

Enfin, il me semble déplorable d’encourager un journalisme dont le rôle assumé est de ne rien produire, mais de passer son temps sur le derrière de personnes qui pensent différemment d’eux, pour essayer de les dénigrer. Leur rôle n’est pas de comprendre et synthétiser les informations à leur disposition, mais de suivre paresseusement leurs cibles en vivant au crochet de leurs travaux. Il est finalement peu étonnant que ce type de journalisme du niveau cours de récré sans aucune plus-value soit financé par les réseaux sociaux. L’ère de la médiocrité intellectuelle est à l’œuvre. 

Toujours la même méthode : l’attaque ad hominem 

La première attaque des « fact-checkers » est toujours la même : discréditer l’auteur. Cette première partie est toujours composée d’attaques ad hominem. Elle permet de conforter d’emblée le lectorat sur la lecture qui suit : le monsieur est un menteur, il ne faut pas l’écouter. Il y a quelques mois il ne fallait pas m’écouter parce que j’étais un inconnu, aujourd’hui c’est parce que je suis devenu une « égérie ». La fenêtre d’écoute raisonnable semble étroite. Au passage, j’apprends que l’égérie des complotistes et des désinformateurs, c’est moi. Désolé pour tous ceux qui étaient dans la course pour ce titre en 2021, la place est prise. 

En journalisme, on apprend que seul le début de l’article est lu. Il s’agit donc de mettre l’information la plus importante en premier car l’écrasante majorité des lecteurs s’arrêtera là. Nous savons donc que l’information majeure que ce journaliste souhaite apporter : c’est que je suis un « complotiste ». Cela suffit à ce que l’article soit partagé et retweeté sans avoir besoin d’aller plus loin. Vous trouverez quelques perles de ce genre en commentaire de ma vidéo ayant subi le « fact-checking » des « Décodeurs » : des personnes se vantant de n’avoir pas regardé la vidéo, mais venant quand même mettre un post pour dire qu’elle n’est qu’un amas de « mensonges complotistes ». Je découvre la nature humaine et le besoin pour certains d’une vérité absolue sans qu’aucune nuance ne soit tolérable. 

Les fameuses questions rhétoriques 

L’auteur de l’article fait semblant de se demander pourquoi j’affirme qu’il n’y a pas de surmortalité globale, alors qu’il y a une surmortalité vaccinale. Il s’agit bien évidemment de faire croire à une contradiction. J’explique précisément dans l’article que la surmortalité liée à la vaccination est faible (quelques personnes pour 100 000). Dès lors, elle est indétectable dans la population générale en période hivernale. La mortalité hivernale est bien plus élevée que ce phénomène pour les personnes âgées. Pour cette raison, la seule population sur laquelle cette surmortalité est mesurable est la population jeune, car elle n’est pas soumise à la hausse de mortalité hivernale. En faisant le calcul, je montre une surmortalité des jeunes de 60 personnes sur la totalité de la période vaccinale. Cela ne peut pas être visible dans la mortalité générale du pays. Rappelons qu’il meurt en Israël entre 3500 et 5000 personnes tous les mois

Les soi-disant données cachées (ou ce « cherry-picking » qui serait la marque des complotistes) 

L’auteur m’accuse de masquer une partie des données. C’est assez intéressant me concernant puisque je fais l’effort de mettre tous les liens de toutes mes sources avec mes vidéos, mais qu’en plus, je prépare des fichiers prêts à l’emploi, car je sais que beaucoup se découragent au moment de télécharger les fichiers. L’auteur m’accuse donc de masquer les données de la « pandémie », autrement dit les décès estampillés Covid-19. Cela fait maintenant 18 mois que le principal apport de tous mes travaux est de montrer que les comptages Covid n’ont absolument aucun sens et qu’il faut raisonner en mortalité toutes causes confondues. La « rigueur statistique », c’est de travailler sur des données sans biais. C’est bien l’objet de mon article sur Israël. Je signale à l’auteur que toute la deuxième partie de mon article est consacré à l’absurdité du comptage de « cas » de Covid-19 en Israël à l’aide de celui des résultats de tests. Alors, oubli volontaire ? 

Les morts post-vaccination seraient des morts Covid 

L’argument suivant de l’auteur concerne les graphiques permettant d’observer une corrélation parfaite entre vaccination et mortalité. Il se base sur deux points. Le premier est de dire que les hausses de mortalité observées ne sont pas dues à la vaccination, mais à la Covid-19. L’auteur répète d’ailleurs cet argument dans un paragraphe suivant. Il serait intéressant que l’auteur nous dise où il a bien pu lire que la Covid-19 entraîne une hausse de mortalité chez les jeunes. Je signale qu’aucun pays sur lequel nous disposons de données, ni en Israël, ni dans toute l’Europe (consultez l’étude que j’ai pu réaliser sur 33 pays européens) ne montre la moindre hausse de mortalité en période Covid chez les moins de 40 ans, à l’exception des pays ayant massivement vacciné ces tranches d’âges (notamment Hongrie et Israël). La mortalité toutes causes ne montre pas de quoi décèdent ces jeunes, mais, même en considérant que c’est la Covid, faut-il quand même vacciner les jeunes si on observe que le nombre de morts Covid des jeunes augmente à cette occasion ?  

Le deuxième point concerne une deuxième hausse de mortalité visible entre deux et trois mois après les injections de masses. L’auteur en déduit que cette deuxième hausse est une preuve que la première n’a pas de rapport avec la vaccination. Je le remercie de mordre à cet hameçon, même si j’espérais plutôt que cela vienne d’un chercheur curieux de l’étude des effets secondaires. On constate en effet une deuxième hausse dans quasiment toutes les tranches d’âges, sauf les plus âgées. Il est intéressant d’observer le biais cognitif de l’auteur qui, abreuvé de l’information que la vaccination est « nécessairement » sans risque, est incapable d’envisager que des effets secondaires puissent arriver. En effet, un décès causé par une injection ou une intervention dans les jours qui suivent est un effet primaire de l’évènement. Il s’agit d’une suite directe ce qui est subi. La corrélation parfaite que nous montrons à J+5 ne présage pas qu’il n’existe pas d’autres effets plus tardifs. Il s’agit d’ailleurs du principe des études de long terme de le déterminer. Ici nous observons une deuxième remontée après les injections. En trouver une avant aurait été un indice fort de non-causalité. En trouver une après va plutôt dans le sens de ce que nous montrons. Merci donc de la souligner. 

Par ailleurs, l’auteur soulève que cette bosse est surtout observable pour les plus jeunes, et de moins en moins pour les plus âgés. C’est un indice supplémentaire. Imaginez que vous distribuez un poison à toute une population. Les plus fragiles et les plus sensibles à ce poison vont décéder en nombre très vite. Les plus jeunes résisteront bien mieux et certains résisteront longtemps avant de succomber. Si on considère que la vaccination entraîne chez certains personnes la création de caillots sanguins, il est probable que les moins de 40 ans puissent en supporter bien plus et pendant plus longtemps que les plus de 80 ans. 

Les mauvaises fréquentations 

Afin d’enfoncer le clou sur mon compte et surtout « protéger » son lectorat des « méchants », l’auteur en profite pour rappeler que mon étude se base sur les mêmes observations que celle d’Alexandra Henrion-Caude et Steve Ohana. Nous arrivons ainsi aux mêmes conclusions. Ce procédé fonctionne comme un avertissement contre tous ceux qui souhaiteraient suivre le même chemin. Il avertit les journalistes, chercheurs, lecteurs, politiques, que toute personne surprise à oser lire, commenter ou pire, approuver le document d’une personne considérée « complotiste » rentrera immédiatement dans la même case. Un certain nombre de personnes (en accord ou désaccord avec mon point de vue) me font la remarque du « consensus » scientifique sur la gravité de la situation. 

Il n’y a pas et n’a jamais eu de consensus. Il y a une pression et un acharnement délétère envers tous ceux qui osent contredire ce qui est considéré médiatiquement comme « la vérité ». De nombreux chercheurs et auteurs français (Laurent Toubiana, Jean-François Toussaint, Vincent Pavan…) autrefois considérés comme parmi les meilleurs dans leurs domaines ont subit une destruction systématique de tous leurs travaux par les médias. Qui peut croire qu’autant de personnes reconnues auraient simultanément grillé un fusible ? J’ai pu observer en direct le rejet subi par certain d’entre eux par leurs propres collègues, instituts, laboratoires. Non pas à cause d’arguments contradictoires à leurs travaux, mais bien par souci des nombreux pervers narcissiques aspirant à de hautes destinées de préserver leur précieuse image. Ces exemples destructeurs ont évidemment servi à décourager tous ceux qui souhaiteraient encore se lancer dans ce type de travaux. Je témoigne d’ailleurs (en ayant des traces mails à l’appui) avoir vu deux études se faire censurer par les hébergeurs MedRxiv et SSRN, sans aucun motif. Cette censure a bien évidemment empêché toute relecture possible par des pairs et donc toute publication. Je gage que ces deux articles ne sont pas les seuls à avoir subi ce tri. La pseudo-uniformité des résultats est donc artificiellement créée. 

La stratégie de l’inversion : me faire dire ce que je ne dis pas 

Je précise dans toutes mes vidéos que corrélation n’est pas causalité. Il n’existe pas de preuve par la statistique. D’ailleurs c’est un résultat intéressant à garder en mémoire lorsque vous lisez une étude d’un laboratoire pharmaceutique vous vantant les résultats miraculeux de son produit miracle à l’aide d’une étude statistique, souvent en double aveugle. L’étude ne vous amène qu’une corrélation et il existe autant de façon de maîtriser cette corrélation que d’auteurs rémunérés directement par ces mêmes laboratoires. On note d’ailleurs qu’une fois de plus l’auteur ne remet jamais en question le principe de causalité pour les morts de la Covid-19. On note par exemple que parmi les personnes qui décèdent, certains sont positifs aux tests Covid-19. On en déduit simplement que ces personnes sont mortes de la Covid-19. La corrélation devient causalité sans faire lever le moindre sourcil à notre « fact-checker » anglo-latiniste. On lui fera remarquer que l’écrasante majorité des personnes avec un test positif n’a absolument rien. L’auteur les classera certainement dans la case « asymptomatique », puisqu’à notre époque, « Tout bien-portant est un malade qui s’ignore. »  De la même manière, à aucun moment je ne suppose que les jeunes meurent tous de la vaccination. Je note une surmortalité (donc pas tous les décès, mais seulement ceux au-dessus de la mortalité habituelle) après les campagnes d’injections de masse. Je dénombre cette surmortalité et je constate qu’elle est cohérente avec les travaux déjà réalisés sur la pharmacovigilance. L’objet de cette étude est donc d’alerter les pouvoirs publics sur des corrélations parfaites dans tous les pays ayant mis en place cette stratégie. 

Auteur(s): FranceSoir




Vaccinators : voici venu le temps des tueurs en série !

[Source : ripostelaique.com]

Par Christian Navis

On sait que les tueurs en série se repaissent des tortures qu’ils infligent. Observer la souffrance d’autrui, mijoter son trépas et ricaner de l’indignation que cela provoque leur procurent un plaisir indicible.

Une compensation à une libido souvent capricieuse : impuissants ou complexés par un micropénis ou des testicules atrophiés, homosexuels honteux ou gérontophiles portés sur les vieilles dames, les possibilités sont multiples. Et cumulables.

S’ils occupent une position sociale élevée, certains psychopathes deviennent plus retors. Ils évitent de s’exposer et découvrent que le voyeurisme de la souffrance peut être aussi gratifiant que l’exaction elle-même.

Ils embauchent alors des « apprentis » pour commettre à leur place les crimes dont ils se délectent.

Un aspect de leur personnalité souvent oubliée par le cinéma, sauf dans la série « Bones » inspirée de faits réels compilés par la criminologue Kathy Reichs.

Les ministres empoisonneurs, les miliciens sadiques, les fonctionnaires tortionnaires et les médicastres cupides complètent cette typologie de la complicité par incitation, émulation ou imitation. Une comparaison justifiée, puisqu’il y a là aussi d’innocentes victimes assassinées, ou meurtries et traumatisées à vie.

Ayant coché dans la monographie des serial killers rédigée par les profilers du FBI de nombreuses cases « collant » au vécu et aux actions du despote, je me suis inspiré de cette méthodologie pour l’étendre aux VRP de Big Pharma :

  • Comment devient-on vaccinator compulsif ?
  • Quels sont les traits communs de ces psychopathes ?
  • Comment passent-ils du fantasme au fanatisme ?
  • Quelles justifications invoquent-ils ?
  • Jusqu’à quel point sont-ils contagieux au point de générer des répliques ?

Qui sont-ils ?

Les meneurs occultent leur passé ou affabulent. Une éducation stricte chez les jésuites et la soutane jetée aux orties pour se faire chevaucher par une théâtreuse mature, quand on est davantage attiré par des cupidons d’ébène, c’est aussi glorieux qu’être réformé au service militaire pour les raisons qu’on peut imaginer.

Dans ces égouts du diable, où les leaders sont des imbéciles instruits sinon des « savants » sans scrupules, la masse des suiveurs est un ramassis d’anciens cancres qui ont raté leur vie et trouvent valorisant de répéter sans toujours les comprendre les formules assassines de leurs maîtres.

Quoi de plus jubilatoire pour un minus habens qui a atteint son apogée à la session de rattrapage du brevet que de pouvoir traiter d’ignorants et d’imbéciles des universitaires et des chercheurs de renommée internationale, reconnus par leurs pairs, voire des prix Nobel ?

L’humiliation avant le coup de grâce, fût-il virtuel, comme chez les tueurs en série. On se défoule comme on peut !

Terroriser leur victime, l’annihiler moralement en alternant faux espoirs et sévices, l’affaiblir par la faim, la soif et les traitements dégradants avant de l’achever, ces ignominies font partie de la panoplie usuelle des psychopathes serial killers.

La « politique sanitaire » du dictateur et de ses séides aussi psychotiques pervers que lui a suivi depuis le début le même cheminement tordu : diffuser la panique d’une pandémie imaginaire pour conditionner les victimes, puis les avoir à leur merci en alternant les faux espoirs de vaccins miracle et l’interdiction de remèdes efficaces. Culpabiliser les gens simples. Les asservir par des séquestrations à domicile. Infliger des humiliations et des punitions aux réfractaires. Conditionner l’exercice des libertés élémentaires à une injection de poison et un passeport intérieur.

Avec l’orgasme ultime qui leur secoue les tripes d’un 220 volts d’extase quand un grand nombre de leurs victimes finissent sur des lits de souffrance, avant de partir au cimetière à brève échéance.

Tout cela ressemble furieusement aux délires criminels des serial killers répertoriés par le FBI. Seule l’échelle change.

On est passé de quelques dizaines de cadavres chez les plus monstrueux, à plusieurs millions. Comme chez les nazis, le crime artisanal est devenu une industrie de la mort qui rapporte gros. En plus du plaisir sadique de détruire des vies.

Le plaisir de la transgression chez les serial vaccinators

Doués pour leurrer leur entourage, les tueurs en série restent longtemps impunis et finissent par se croire invincibles. Cela ne peut qu’encourager les récidives.

Le comportement de Macronescu, de ses courtisans et de leurs sbires, illustre jusqu’à la caricature cette constatation.

Le « procureur » que je suis rappelle, en prévision des procès à venir, ces extraits du Code de Nuremberg.

« Art premier : Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel.

La personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir (ndlr pas les mineurs !) et doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition.

Elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.

Ce dernier point demande que, avant d’accepter une décision positive par le sujet d’expérience, il lui soit fait connaître : la nature, la durée, et le but de l’expérience ; les méthodes et moyens par lesquels elle sera conduite ; tous les désagréments et risques qui peuvent être raisonnablement envisagés ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui pourraient possiblement advenir du fait de sa participation à l’expérience.

(…..)

Aucune expérience ne doit être conduite lorsqu’il y a une raison a priori de croire que la mort ou des séquelles invalidantes surviendront. »

Mais les macronards s’assoient sur ces dispositions, comptant sur les lenteurs et la servilité de la justice pour éviter d’être condamnés. On peut même avancer que ces  détraqués éprouvent une jubilation intense à compisser les lois, comme la plupart des tueurs en série se délectent à narguer les flics et embrouiller les criminologues.

La France est devenue en 2 ans un labo démoniaque où des millions de cobayes se prêtent passivement à des expérimentations hasardeuses menées par des fous criminels.

Un espoir toutefois pour celles et ceux qui ont le courage de résister :

Si l’on en croit le milliardaire chinois en exil Guo Wen Gui (alias Miles Kwok) celui-ci expliquait le 23 août 2021 que les grands gagnants du fiasco politique covid seront ceux qui auront refusé la vaccination.

Ils seront alors en mesure de survivre à un inévitable effondrement économique à cause de la surmortalité des vaccinés à partir de 2022. Une projection plausible si l’on additionne les morts et les handicapés dont les vaccins sont déjà responsables, et qui commencent à être décomptés, malgré le black out imposé par les gouvernements.

Vidéo traduite en français :

Guo Wen Gui ne nomme pas ses compatriotes assassins (son pays a mis un contrat sur sa tête, suspendu s’il met en veilleuse) mais nous connaissons ceux qui tuent en France. Même si l’on sait qu’il sera plus difficile de leur demander des comptes qu’aux nazis dont ils s’inspirent.

Au pire pour eux, l’abolition de la peine de mort leur évitera le gibet comme leurs prédécesseurs des années 40.

Quant au despote, un jet privé a été mis à sa disposition 24 h/24 par Soros pour l’exfiltrer si nécessaire. Les autres, les complices, les demi-sel, les rabatteurs, les gros bras, les porte-flingues, les dealers de mort et les sicaires, s’ils n’ont pas réussi à fuir à temps en Amérique du Sud, ils attendront l’amnistie dans des prisons 4 étoiles.

Ruses basiques et grosses ficelles

Pendant WW2 puis la guerre froide, s’intéressant au modus operandi de Hitler et de Staline, les comportementalistes Hovland, Lumsdaine & Sheffield ont étudié de façon expérimentale les facteurs permettant d’influencer le maximum de personnes en même temps. Car les exécutions sommaires ne sauraient suffire pour contrôler le peuple. Les tyrans ont besoin de bras pour faire tourner les usines et cultiver les champs. Il leur faut aussi des miliciens et des délateurs endoctrinés.

Pour mener à bien ce genre d’étude, on constitue des groupes témoins comparables (âge, éducation, niveau social) et on les soumet à des jeux de rôles après avoir défini une situation crédible, en rapport avec l’actualité. Interprétations et extrapolations sont  les lignes directrices.

Des meneurs de jeu, les uns ostensibles, les autres dissimulés dans la masse, se font les hérauts de boniments tantôt « logiques » (syllogismes, sophismes) tantôt insolites voire dérangeants. Les réactions du public sont  notées et des statistiques établies. Quels que soient le sujet, la désinformation et les objections, des constantes apparaissent.

L’influenceur efficace sera crédible, ou du moins en donnera l’apparence (discours saupoudré de termes techniques, compétences surestimées) en différant le plus tard possible l’argument d’autorité brutal façon Stanley Milgram.

La pression sera insidieuse mais permanente, adaptée au public ciblé. En lui inspirant de l’inquiétude afin de neutraliser ses composantes affective (méfiance) relationnelle (morale sociale) et cognitive (aptitude à raisonner) pour le rendre réceptif à un message apaisant sous conditions.

On voit le rôle joué par les médias d’État qui rabâchent inlassablement les mêmes mensonges, en faisant défiler des cohortes de pseudo-experts qui se confortent les uns les autres en usant de mots différents.

« Dire toujours la même chose mais avec un vocabulaire adapté selon qu’on parle à un ouvrier, un paysan, un professeur ou un ingénieur » recommandait Goebbels.

Le message répétitif doit paraître évident, réconfortant et indiscutable, usant des grosses ficelles de la dynamique de groupe et des pulsions primaires de l’instinct grégaire. Soutenues par une claque qui applaudit bruyamment afin de donner l’illusion de l’approbation générale.

Tandis que sous l’aspect attrayant de celui qui se dévoue au nom de l’intérêt général, le polémiste sournois discréditera, ostracisera et diabolisera ceux qui « pensent mal ». Avec l’appui des cenSSeurs tapis dans l’ombre pour couper les micros puis interdire d’antenne les débateurs de talent.

Quand on est convaincu d’avoir toujours raison, pourquoi s’embarrasser de  contradicteurs ?

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/




Pas de suspension des personnels non vaccinés en Guadeloupe

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur Riposte Laïque (ripostelaique.com)]

Exemption d’application de la loi en Guadeloupe. Pourquoi pas ailleurs ?  

« En Santé Publique, le vaccin est un moyen de prévention, de protection et de traitement contre une maladie infectieuse potentielle, le vaccin ne peut être une arme de guerre, de soumission, de contrôle et d’asservissement des peuples. »

Nous avons appris avec joie que le directeur du CHU de Guadeloupe, Gérard Cotellon, était enfin pragmatique et privilégiait peut-être le sort des patients à l’application irréfléchie et inhumaine de la loi aberrante votée début août par quelques députés et dont le décret d’application (valable ou non ?) fait beaucoup jaser.

Pourtant ce directeur, ancien infirmier général et longtemps bras droit de Martin Hirsch patron de l’APHP, avait l’habitude des guerres hospitalières sans état d’âme contre le personnel et les patients à l’APHP de Paris.(([1] En particulier lors de la fermeture de l’unité d’oncologie pédiatrique de Garches en 2014))

Que s’est-il passé ? Aura-t-il su faire preuve d’humanité cette fois-ci ? Les miracles existeraient-ils au soleil de Guadeloupe ?

De fait, depuis le début de la “plandémie”, les autorités en Guadeloupe se heurtent à une très forte opposition à la gestion de la crise sanitaire. Le syndicat Union générale des travailleurs de Guadeloupe et le collectif LKP (Lyannaj Konrt Pwofitasyion), qui militent contre l’obligation vaccinale, ont déposé mardi une nouvelle plainte contre X, mettant en avant, entre autres, « l’afflux de visiteurs » pendant les vacances d’été et l’état du système hospitalier en Guadeloupe.

Et le 5 février  précédent, on pouvait  déjà lire de la part des « sentinelles Guadeloupe » :

Message à Gérard Cotellon, Directeur du CHU de Guadeloupe, ainsi qu’aux chargés de la “vaccination” au sein de l’établissement.

Arété fè sa zôt ka fè-la…

Parents qui avez des proches âgés hospitalisés, ne les laissez pas à la merci des “distributeurs” de “vaccins”.

Assurez-vous des conditions d’obtentions de leurs accords pour être “vaccinés”.

Sentinelles Guadeloupe(([2] (20+) Sentinelles Guadeloupe – Publications | Facebook))


Selon l’AFP :

« Le directeur du CHU de Guadeloupe a décidé de ne pas appliquer la loi sur l’obligation vaccinale et fait travailler des soignants non vaccinés. Tous les directeurs peuvent décider de le faire en le motivant par la continuité du service public.(([3] Par J.Cl. avec AFP Le 17 septembre 2021 à 10h19))

« Si la vague épidémiologique reflue, les services hospitaliers sont toujours remplis de malades. Suspendre les personnes non vaccinées les empêcherait de fonctionner. »

Trop c’est trop.

Faire fonctionner un hôpital sans soignants dont il est issu, c’est impossible et c’est sa responsabilité médico-légale personnelle de surcroît. Il a bien des raisons, ce directeur, d’être humain (?), et/ou prudent…

Nous dirons finalement qu’il est prudent quand on lit les lettres des syndicats locaux démontrant la souffrance des personnels, le manque de moyens etc.

« Monsieur Le Directeur Général,(([4] L’UTS-UGTG a écrit à Gérard Cotellon

andre-jean VIDAL Guadeloupe , Santé , Social 14 septembre 2021))

 Permettez, qu’une fois de plus, nous vous interpellions sur ce que ne nous pouvons désormais qualifier que de “scandale de la Gestion des Ressources Humaines au CHU.”

 Vous interpeller également sur ses manifestations des plus visibles, la maltraitance et le harcèlement, que vous soutenez, encouragez et pratiquez depuis tantôt et avec violence depuis la crise du Covid-19.

En effet, par différentes notes de service à caractère propagandiste en faveur de la vaccination, vous distillez la peur, la soumission, la culpabilisation des personnels et la stigmatisation des 80 % d’agents non vaccinés. Ainsi, d’abord, après des mois de service sous tension, ceux qui ont voulu prendre des vacances, vous les avez sommés, sous menace de sanctions, de reprendre leur travail et les avez traités de déserteurs, au motif du déclenchement du Plan Blanc/CHU.

Ensuite, à ceux qui ont voulu se mobiliser, tous ces derniers mois, pour obtenir le paiement de leurs heures supplémentaires, et les primes spécifiques liées à leur fonction, leur intégration sur les postes vacants qu’ils occupent depuis des années, ou qui ont dénoncé le manque de médicament, de draps, de scopes, de respirateurs, de climatisation et de traitement d’air, vous avez opposé le déficit annuel de 40 millions d’euros du CHU, établi selon vous par les 14 millions de recettes de fonctionnement mensuel et par les 17 millions de charges de fonctionnement mensuel, notamment des charges en personnel.

Ainsi, selon vous, l’équilibre financier du CHU devrait passer par la suppression de centaines de postes, la dénonciation d’accords locaux sur la gestion, l’organisation et la durée du temps de travail, le passage généralisé en 12 heures, et bien évidemment la corvéabilité permanente des agents.

 Et par conséquent, le droit à la qualité de la vie au travail, le droit à des conditions d’hygiène, de sécurité au poste de travail, le droit à évoluer dans un environnement sain, le droit à la formation, à la promotion promotionnelle, à une carrière dynamique, le droit au respect des prérogatives des instances de représentation du personnel, et singulièrement des alertes du CHSCT et de ces experts comme INDIGO, tout ceci devrait être possible, puisque réglementaire, mais ne peut être envisagé dans le contexte économique, financier et sanitaire actuel et futur.

 Et maintenant, depuis le 12 juillet 2021, jour de l’oukase du Président Macron instituant l’obligation du passe sanitaire et de la vaccination, comme sésame pour la sortie de la crise sanitaire en France, et ensuite les lois et décrets respectivement des 5 août et 07 août 2021, vous semblez être heureux d’avoir désormais l’équipement qui vous manquait pour montrer moun ki moun ki dirèktè à CHU.

Vraiment, jusqu’à votre lettre du 30 août 2021 où vous nous avez déclaré de manière péremptoire que désormais vous alliez appliquer des mesures RH de manière stricte, et ce en réponse à la suspension de notre participation aux négociations de l’Agenda social, nous étions persuadés que comme nous, syndicats et représentants du personnel, pour vous, les femmes et les hommes, les soignants, techniciens, ouvriers, et administratifs, corps hospitalier s’il en est, étaient la principale richesse du CHU ; que cette richesse devait être soutenue, valorisée pour obtenir sa pleine disposition à assurer le service public de santé au CHU Jodilà, et au CHU de Perrin Dèmen ; et que jamais vous n’auriez participé à cet hallali contre nous, soignants, soldats de la première heure pour crime de désobéissance, de refus de piki fosé…

 Non, nous n’en sommes pas surpris de votre allégeance à votre fonction, nous sommes déroutés par la revendication de cette allégeance. …/… Parce qu’en plus, vous le savez, Monsieur le Directeur Général du CHU, le Centre Hospitalier Universitaire de Guadeloupe, le système hospitalier de santé en Guadeloupe, l’organisation et l’effectivité de l’accès du bénéfice et de la qualité des soins, en Guadeloupe, est énigmatique.

 Avec une Agence Régionale de Santé qui coupe, qui hache et qui finance les projets de santé qu’elle seule a choisi, un privé qui accapare la quasi-totalité des Activités MCO et SSR, un Projet Régional de Santé et un Projet Médical de Territoire catalogues de bonnes intentions, et quelques portes ouvertes sur le cancer de la prostate, les addictions et les robots, ni la maladie, ni les malades, ni les soignants et ni la santé ne sont entendus, ni les précarités, ni les comorbidités, ni la maladie mentale qui constituent le terreau de l’actuel Covid 19, ne sont évoquées, encore moins invoquées.

En conséquence, la surmortalité due au Covid et les dégâts familiaux, psychiques, les kô krazé é tèt pété post Covid, sans le deuil de parents et d’amis, et sans le deuil de la vie d’avant-guerre, relèvent pour nous d’une programmation, voire d’une modélisation.

 Vous comprendrez pourquoi, pour nous, le Directeur Général du CHU de Guadeloupe et ses autorités médicales internes devraient s’inquiéter autrement de la place et du rôle du CHU, établissement de premier recours et de référence, en bout de la chaîne de soins, mais hélas aujourd’hui confronté en aval à un torrent d’incompétences et de conflits d’intérêts, et toutouni parce sans soutien politique, sans soutien administratif, incertain budgétairement, financièrement et sans dynamisme institutionnel.

 Et quand en plus, malgré près de 10 mois de propagande, de matraquage sur les bienfaits des vaccins, sur la surmortalité des non-vaccinés, personnes âgées et des comorbides, plus de 80 % de vos agents médicaux et non médicaux se tâtent, s’interrogent, s’inquiètent, persistent et refusent toutes obligations non fondées, tout mépris à leur intelligence, tout chantage à leur emploi, vous soutenez être déterminé à suspendre leur emploi et leur rémunération pour mieux les contraindre, nonobstant les déclarations politiques de suspension des obligations de votre patron Véran. C’en est trop !

 Vraiment nous attendions de vous une prise de distance, un peu plus discrétion et plus circonspection, plus de solidarité, plus de respect pour notre équilibre physique et mental, parce que vous le savez comme nous, la gestion de la pandémie du Covid-19 pue la finance et la politique mais pas l’aspirine, ni la Bétadine, ni l’Ivermectine, ni le zèb a pik.

 Enfin, quand le CHU de Guadeloupe sort plus de 300 morts de ses lits en 1 mois, la responsabilité et la faute ne peuvent venir que de ses organisations et désorganisations, que de ses manques d’équipements, de ses choix de traitement et de non traitements, de ses manques de matériels, de médicaments, d’effectifs soignants et de son environnement propice aux infections nosocomiales, etc…

 Désigner les soignants et les non vaccinés comme les propagateurs du virus et de ses petits, est vil et indigne d’un Cadre de Direction de votre rang. En Santé Publique, le vaccin est un moyen de prévention, de protection et de traitement contre une maladie infectieuse potentielle, le vaccin ne peut être une arme de guerre, de soumission, de contrôle et d’asservissement des peuples.

 NON, nous Agents du CHU paka maché ni avè gòj, ni avè gojèt… Nou péké pwan piki ni pa fòs, ni pa la pè !! Recevez, Monsieur le Directeur Général, nos salutations distinguées. Pointe-à-Pitre, le 14 Septembre 2021 Le Secrétaire de Section G.CLAVIE »

 Finalement, et bien lui en a pris, le directeur du chu a décidé de ne pas suspendre les personnels non vaccinés  (près de 80 % ). Il est clair que reste mystérieuse la façon dont il aurait pu faire fonctionner son hôpital.

 À SUIVRE !

 Selon le directeur de l’hôpital, 74,19 % du personnel n’a pas encore entamé de parcours vaccinal. (Illustration) AFP/Carla Bernhardt

Le directeur général du CHU de Guadeloupe a reconnu jeudi être « dans l’impossibilité » d’appliquer la loi sur l’obligation vaccinale, entrée en vigueur mercredi.

Selon Gérard Cotellon, 74,19 % du personnel n’a pas encore entamé de parcours vaccinal. Les 26 % vaccinés sont en majorité des médecins et des internes. Ce qui signifie que les personnels du CHU sont moins vaccinés que la population où la proportion de personnes ayant reçu au moins une injection atteint 38,5 %. « Faire tourner l’hôpital, malgré la loi ».

 « Je prends donc sur moi cette responsabilité de faire tourner l’hôpital, malgré la loi », a-t-il déploré. 


https://twitter.com/Fr_Conservateur/status/1426243439012847623



Retour sur la manipulation via des simulations au cours de la plandémie Covid. MàJ

[Source : docteur.nicoledelepine.fr]

Par Gérard Delépine

[Mise à jour : ajout des diagrammes.]

VOLET 1

Les erreurs du rapport 9 de Mars 2020 de Neil Ferguson, justification fallacieuse des confinements

Depuis plus de 20 mois, la politique sanitaire française est décidée dans le plus grand secret(([1] Aucun compte rendu détaillé des discussions tenues lors des réunions du conseil scientifique n’a été publié mais seulement des résumés d’avis ; pour le conseil de défense sanitaire c’est pire : manque de transparence  dans sa composition, contournement du Parlement, délibérations classifiées secret-défense obstruant le travail des enquêteurs de la Cour de justice de la République sur la gestion de la pandémie.)) par le « conseil de défense » appuyé par un « conseil scientifique. Ce dernier est dominé par Simon Cauchemez, mathématicien modélisateur au sein de l’Institut Pasteur et élève de Ferguson de l’Imperial College.

La politique de santé s’appuie presque uniquement sur des simulations mathématiques très majoritairement frauduleuses, car basées volontairement sur des hypothèses du pire, pour justifier les décisions autoritaires de l’exécutif et nous faire accepter la perte de nos libertés et la pseudo vaccination génique inefficace.

La folle prophétie de Neil Ferguson qui a justifié le confinement de Mars 2020 était fausse

Détaillée dans le rapport 9 de l’impérial College,(([2] COVID-19 Response Team Neil M Ferguson Report 9: Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID-19 mortality and healthcare demand 16 March 2020 Imperial College https://doi.org/10.25561/77482 Page 1 of 20)) cette simulation catastrophe prétendait que sans confinement les hôpitaux seraient partout débordés et qu’on compterait 500000 morts en France, comme en Grande Bretagne, 600000 en Allemagne, 70000 en Suède et 2 millions aux USA. Elle affirmait aussi que les mesures médicales traditionnelles (fermeture des frontières et isolement des seuls malades le temps qu’ils ne soient plus contagieux) ne serviraient à rien, qu’il fallait confiner à l’aveugle la population jusqu’à fin décembre 2021 pour imposer les futurs vaccins et/ou nouveaux traitements.

La plupart des gouvernements occidentaux ont pris ou voulu prendre cette prophétie pour une vérité et imposé à leurs populations des mesures liberticides contre- productives, telles que le confinement aveugle sans même en avoir vérifié la pertinence de la méthode de calcul, ni publié ce rapport préalablement à son application, empêchant ainsi toute discussion scientifique et tout débat démocratique.

La confrontation aux faits constatés révèle la supercherie de cette simulation

Le rapport 9 avait prédit qu’en l’absence de confinement la Suède verrait ses hôpitaux submergés et compterait 70000 morts en quelques mois. La Suède n’a pas confiné, ses hôpitaux ont pris en charge tous les malades qui en avaient besoin et après 19 mois d’épidémie (au 10/9/2021), comptait, d’après l’OMS, 14602 morts. La prophétie de Ferguson surestimait par plus de 500% le risque réel !

Même chose pour l’Allemagne.

La prophétie de N Ferguson prétendait qu’en l’absence de confinement de la population, « les mesures médicales classiques de quarantaine des malades seraient inefficaces, que les hôpitaux seraient débordés et qu’on compterait plus de 600000 morts ». L’Allemagne n’a jamais été confinée, au sens que ce mot a en France a rappelé Thomas Wieder, correspondant du  Monde dans ce pays. Au 10/9/2021 après 19 mois d’épidémie l’Allemagne comptait 92 553 morts attribuées au Covid. Là encore la prophétie de Ferguson a surestimé le risque réel par plus de 500% !

Une de ses élèves, Jasmine M GARDNER,(([3] Jasmine M GARDNER Intervention strategies against COVID-19 and their estimated impact on
Swedish healthcare capacity 
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.11.20062133v1.full.pdf)) a même prédit que sans confinement total et strict, la Suède compterait 100000 morts au 1/7/2020. En réalité au 1/7/2020, selon les données de l’OMS, la Suède sans confinement ne comptait que 5496 décès attribués au Covid (19 fois moins).

À ce niveau d’erreur on ne peut plus croire à une simple bévue, mais vraiment qualifier ce texte de « propagande Covid terroriste » d’autant que sa large diffusion dans les médias suédoises a largement participé à une tentative de pression sur l’agence sanitaire pour l’obliger à confiner.

Ces simulations ne traduisaient donc ni la réalité ni la science, mais constituaient seulement de mauvais scénarios de film catastrophe destinés à nous terroriser. En témoignent les hypothèses retenues pour son modèle : des index de mortalité par infection, multipliant par 2 à 3 les chiffres réels dans les différents groupes d’âge (pour les 10-19 : 0,006% au lieu de 0,002% et pour les 20-29 : 0,03% au lieu de 0,01%) et une forte surestimation du taux de reproduction R. En surestimant ces paramètres clefs de la simulation, Ferguson et ses élèves ont obtenu les prévisions apocalyptiques désirés par Bill Gates qui les finance, et les gouvernements qui obéissent.

La surestimation des risques est une constante des prédictions de Ferguson et une technique bien rodée des imposteurs

Lors d’un de mon premier stage d’interne en neurochirurgie, mon maître m’expliqua comment se créer une aura de sauveur. « Devant cette petite tumeur du cerveau facilement opérable, ne dis surtout pas aux parents qu’elle est facile à opérer, car en cas d’accident opératoire imprévu, ils pourraient porter plainte. Au contraire explique-leur qu’il s’agit d’une mauvaise tumeur, mal placée et que seule une chirurgie très difficile peut sauver le malade. Si un accident survient, ils ne se plaindront pas. Et si tout se passe bien, ils te considéreront comme le sauveur capable de chirurgie extraordinaire ».

Apparemment cette technique est utilisée par l’équipe de l’Imperial College. Ils prophétisent un futur apocalyptique et proposent « la solution ». Si leurs prédictions ont suffisamment surestimé le danger, ils pourront, après la crise, prétendre, que c’est grâce à l’application des mesures qu’ils ont proposées que la situation a évolué plus favorablement que ce qu’ils avaient prévu.

Les religions reposent sur la foi et le caractère immuable des crédos que personne ne peut discuter sans être qualifier d’hérétique.

La démarche scientifique, basée sur le doute fertile, consiste au contraire à confronter en permanence les faits observés aux hypothèses dominantes. Lorsque les faits avérés ne sont pas compatibles avec les hypothèses, celles-ci doivent être abandonnées. Mais l’équipe de l’Imperial College, dirigée par N. Ferguson ne tire pas de leçons de ses erreurs et se comporte en gardienne d’une nouvelle religion dont les dogmes sont indiscutables, plutôt qu’en scientifique désireuse de reconnaître et d’élucider les paradoxes.

Les erreurs passées de Ferguson très nombreuses ont été dommageables

En 1997, lors de la maladie de la vache folle, N. Ferguson avait prédit jusqu’à 150 000 morts en deux décennies. Vingt ans plus tard, en janvier 2017, on ne comptait que 223 victimes humaines dans le monde (dont 177 au Royaume-Uni et 27 en France).

En 2001, ses prédictions sur la fièvre aphteuse ont entraîné l’abattage de 6 millions de bovins, décision aujourd’hui considérée comme aberrante.

En 2005, N. Ferguson prophétisait qu’une pandémie de grippe aviaire pourrait tuer de 5 à 150 millions de personnes dont 65 000 Britanniques. Il y en eu au total 45.

En 2009, lors de la grippe H1N1, Ferguson avait prédit 8000 morts au Canada : il y en eut 428. En France, il avait prédit 20000 morts, il y en eut 323 (soit environ trente fois moins qu’une grippe habituelle).  Les mesures sanitaires prises en France sur la foi de cette prédiction fausse nous ont couté deux milliards d’euros et le vaccin Pandemix hâtivement mis sur le marché a été responsable de nombreux accidents neurologiques graves dont 450 narcolepsies sur l’ensemble de l’Europe, dont plus de 60 cas en France et d’une perte de confiance de la population dans les vaccins et en la parole publique.

Ces surestimations considérables des risques des maladies constituent une donc une caractéristique constante des prédictions de l’Imperial College. Mais Ferguson comme beaucoup de prophètes sait, que pour imposer ses mesures, il faut faire peur et donc prédire des cataclysmes. Si l’évolution est moins catastrophique qu’annoncée, il pourra alors s’en attribuer le mérite.

De nouvelles simulations bidons pour glorifier le confinement

De nombreuses études(([4] Gilles Pech de Laclause, Arnaud Delenda, Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 »)) rétrospectives d’auteurs indépendants des modélisateurs et des responsables des confinements ont évalué l’effet des mesures de confinements sur les évolutions constatées de l’épidémie. Aucune n’a démontré qu’elles auraient pu avoir un impact positif sur l’épidémie, qu’il s’agisse de l’étude danoise sur le Nord Jutland(([5] Kasper Planeta Kepp Christian Bjørnskov b Lockdown Effects on Sars-CoV-2 Transmission – The evidence from Northern Jutland medRxiv preprint doi : https://doi.org/10.1101/2020.12.28.20248936)) de l’étude néo- zélandaise,(([6] John Gibson, 2020. « Government Mandated Lockdowns Do Not Reduce Covid-19 Deaths : Implications for Evaluating the Stringent New Zealand Response », Working Papers in Economics 20/06, University of Waikato.)) de l’étude anglaise,(([7] Simon N. Wood Did COVID-19 infections decline before UK lockdown ? September 21, 2020
https://arxiv.org/abs/2005.02090)) des analyses indiennes(([8] Rabail Chaudhry A country level analysis measuring the impact of government actions, country preparedness and socioeconomic factors on COVID-19 mortality and related health outcomes EClinicalMedicine 25 (2020) 100464))(([9] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins JEL Classification Numbers : E310, C830, D840, J260)), des études allemandes,(([10] Thomas Wieland Une approche phénoménologique pour évaluer l’efficacité des interventions non pharmaceutiques liées au COVID-19 en Allemagne 2020 novembre; 131: 104924.
doi: 10.1016 / j.ssci.2020.104924. En ligne du 21 juil.2020.))(([11] T Wieland  Flatten the Curve! Modeling SARS-CoV-2/COVID-19Growth in Germany at the County Level Volume 7, Number 2, 2020, 43–83 journal homepage: region.ersa.org
DOI: 10.18335/region.v7i2.324l)) croate,(([12] Gilles Pech de Laclause, Arnaud Delenda, Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 » 
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02861011)) des études des pays d’Europe occidentale[(([13] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19  https://doi.org/10.1101/2020.04.24.20078717;)) et de toutes les autres études internationales basées sur les faits avérés(([14] Philip Thomas Written evidence submitted by Professor of Risk Management, South-West Nuclear Hub, University of Bristol EIC0563))(([15] Joseph Stroberg
Les verrouillages détruisent ce qui nous rend humains 2020-11-28
https://nouveau-monde.ca/en/lockdowns-destroy-what-makes-us-human/
[Les pages anglaises ont été supprimées du site il y plusieurs mois. Voici un lien fonctionnel pour la version française :
Les verrouillages détruisent ce qui nous rend humains | (libreinfo.world)])) dont celle particulièrement exhaustive de John PA Ioannidis.(([16] Eran Bendavid, Christophe Oh, Jay Bhattacharya, John PA Ioannidis Évaluation des effets du maintien à domicile obligatoire et de la fermeture des entreprises sur la propagation de COVID-19.   Eur J Clin Invest 2021 avril ; 51(4) : e13484. doi: 10.1111/eci.13484.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33400268/))

Les seuls articles prétendant qu’il existerait un avantage au confinement sont ceux d’auteurs proches de Ferguson ou des responsables du confinement aveugle qui n’analysent pas les faits constatés, et espèrent ainsi s’exonérer de leurs responsabilités. Ils comparent leurs prévisions colossalement exagérées aux mortalités réellement observées à une date donnée. Ainsi, plus ils se trompent par excès dans leurs estimations initiales et plus ils se gargarisent ultérieurement du grand nombre de « morts évitées ».

Le mécanisme frauduleux de leurs études bidon a été  dévoilé dans un article de Nature,(([17] S.Flaxman et al. Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe. Nature https://doi.org/10.1038/s41586-020-2405-7Nature | www.nature.comAccelerated Article Preview)) dans lequel les auteurs de l’Imperial College prétendaient ainsi avoir sauvé 3,1 millions d’européens et en particulier 26000 suédois, grâce au confinement.

Ils ne savaient apparemment pas que les Suédois n’ont jamais confiné et que leur chiffre de 2800 morts recensés au 5 mai 2020 prouvait seulement que les prévisions de l’Imperial College surestimaient par dix le risque réel.

De même pour l’Allemagne ; le rapport 9 de l’Impérial College affirmait que si l’Allemagne ne confinait pas totalement, elle pleurerait 570000 morts au 5 mai 2020.

L’Allemagne, qui n’a pas confiné à l’aveugle mais simplement pratiqué la technique classique d’endiguement, ne comptait, au 5 mai 2020, que 6800 décès attribués au Covid19. Mais l’équipe de Ferguson prétend que 560000 allemands auraient été sauvés grâce au confinement qui n’a pas été pratiqué !

Dans le scandale du Lancet Gate, les auteurs avaient inventé des données pour prétendre que la chloroquine était dangereuse. Dans cette publication fallacieuse, ce « Nature Gate », il n’y a pas eu fabrication de données mais le refus de regarder la réalité des mesures sanitaires réellement utilisées pour se glorifier des erreurs de la prophétie initiale ; il est très étonnant qu’aucun membre du comité de lecture de cette revue Nature, de bonne réputation, ne se soit rendu compte des erreurs de raisonnement et des mensonges sur les politiques suédoises, néerlandaises et allemandes aboutissant à une aussi grosse supercherie.

La même technique de glorification frauduleuse du confinement par des simulations a été utilisée en France par 3 élèves de l’école supérieure de santé publique(([18] site internet de l’Ecole des Hautes Etudes de la Santé Publique, sur une page depuis supprimée (https://www.ehesp.fr/2020/04/23/une-etude-inedite-de-chercheurs-de-lehesp-montre-que-le-confinement-aurait-sauve-au-moins-60-000-vies/).)) prétendant que le confinement aurait sauvé 60000 français. Leurs conclusions, non validées par des pairs, ont été immédiatement présentées aux députés par le premier ministre comme justification du confinement.

Les erreurs de conception, le choix d’hypothèses péjoratives et les conclusions fausses de cette étude vraisemblablement commandée par le pouvoir ont été depuis largement démontrées dans des revues scientifiques, mais les médias mainstream en ont très peu parlé alors que la simulation biaisée de propagande avait été très largement diffusée.

Aucune de ces publications glorifiant les confinements n’a chiffré les dégâts considérables que les confinements ont causés sur le plan sanitaire (victimes collatérales des retards et absences de traitements, problèmes psychiatriques), scolaire et universitaire, économique (perte de PIB, aggravation des dettes publiques et du chômage), sur l’aggravation de la pauvreté dans les pays riches et de la faim dans les pays pauvres.(([19] Confinement et faim dans le monde Du Trends-Tendances du 15/10/2020 « Le confinement a sans doute causé bien davantage de victimes que la pandémie elle-même. »))

Certains auteurs estiment que les pertes d’années de vie causées par ces mesures tyranniques sont dix fois plus importantes que celles causées par le Covid19 seul.(([20] Ari R Joffe COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink Front Public Health 2021 Feb 26;9:625778.
doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. eCollection 2021.))

Toutes ces complications du confinement, étaient parfaitement prévisibles d’emblée, par tout médecin habitué à évaluer la balance Avantages/Risques des traitements qu’il propose. Le traitement des épidémies, comme les autres maladies, ne doivent pas être décidés par des astrologues mathématiciens ou des épidémiologistes qui ne quittent pas leurs bureaux(([21] Aurélie Haroche, Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie Journal International de Médecine, 25 avril 2020)) mais par des médecins qui traitent des malades !

Les simulations mensongères constituent le socle de la désinformation gouvernementale et la seule justification des mesures autoritaires nocives qu’on nous impose.

Il ne faut pas se laisser abuser par l’aspect pseudo scientifique de ces simulations de circonstances que la propagande terrorisante du gouvernement nous impose. Elles ne sont pas plus fiables et beaucoup plus dangereuses que celles des astrologues traditionnels. Il est grand temps d’abandonner cette politique sanitaire délétère basée sur la peur et de la réorienter selon les règles de la médecine classique, d’après les faits avérés du monde réel.





Bill Gates et le hold-up vaccinal

[Source : mercola.com]

Dans la vidéo ci-dessus, Russell Brand discute du livre de Judy K. Brown, « Perversion of Justice : The Jeffrey Epstein Story » [Perversion de la justice : L’histoire de Jeffrey Epstein], qui détaille la conspiration du silence entourant le plus grand pédophile présumé et magnat du trafic sexuel de notre époque, Jeffrey Epstein.

Le refus des médias de creuser l’histoire d’Epstein, dit Brand, suggère que les médias font partie d’un establishment corrompu qui protège les riches et les puissants, quoi qu’il arrive. Une personne riche et puissante qui bénéficie de la protection des médias traditionnels est Bill Gates.

Gates et Epstein

Brand cite un article du Daily Beast1, selon lequel Gates a eu des dizaines de réunions avec Epstein rien qu’entre 2011 et 2014, généralement au domicile d’Epstein à Manhattan. Lorsque la nouvelle de la relation de Gates avec Epstein a émergé en 2019, Melinda Gates aurait contacté un avocat spécialisé dans le divorce.

Selon The Daily Beast, Gates « a encouragé Epstein à réhabiliter son image dans les médias. » Si cela est vrai, cela suggère que Gates pourrait en effet avoir été plus proche d’Epstein qu’il ne l’a laissé entendre. Une source anonyme qui prétend avoir été présente à plusieurs des réunions a déclaré que les deux étaient « très proches ».

Le Daily Beast affirme également que « des personnes au courant de l’affaire ont déclaré que Gates trouvait la liberté dans le repaire d’Epstein, où il rencontrait un groupe tournant de noms importants et discutait de problèmes mondiaux entre des séries de blagues et de ragots — une atmosphère de ‘club d’hommes’ qui irritait Melinda ».

Lors d’un entretien avec Anderson Cooper, présentateur de CNN, Gates a expliqué que sa relation avec le célèbre trafiquant sexuel de mineurs n’était rien d’autre qu’une tentative naïve d’obtenir des fonds pour ses efforts en matière de santé publique.

Si l’on considère que l’intérêt d’Epstein pour la santé publique semble avoir été une obsession pour l’idée de créer sa propre race de super humains en faisant accoucher ses bébés par des esclaves sexuelles2, cette excuse semble au mieux fragile. Epstein a également fait des dons à la Worldwide Transhumanist Association3.

Gates essaie maintenant de sortir de l’ombre d’Epstein, qualifiant leurs rencontres d’« erreur ». Cependant, Brand a peut-être raison lorsqu’il affirme que l’histoire de la relation entre Gates et Epstein met réellement en évidence l’importance de conserver notre autonomie et de ne pas suivre aveuglément les personnes qui prétendent être supérieures à nous.
Gates est aussi imparfait que n’importe qui d’autre, et peut-être même plus, car la richesse et le pouvoir engendrent la corruption et permettent aux gens de poursuivre des intérêts qui ne seraient pas ou ne pourraient pas être poursuivis à moins d’avoir l’argent et l’influence nécessaires pour garantir le secret.

Gates finance des organismes de santé publique britanniques et américains

Si nous avons appris quelque chose au cours de l’année et demie écoulée, c’est que la corruption est endémique dans nos agences de santé publique et nos organisations médicales. Comme le rapporte Armstrong Economics, la Fondation Bill & Melinda Gates finance — et exerce donc une influence considérable sur — les organismes de santé publique aux États-Unis et au Royaume-Uni :4

« La [Food and Drug Administration américaine] a donné son plein accord aux vaccins de Gates parce qu’elle a subi d’énormes pressions politiques pour le faire. Même CNBC a rapporté que « les responsables fédéraux de la santé avaient subi une pression croissante de la part de la communauté scientifique et des groupes de défense pour approuver pleinement le vaccin de Pfizer et BioNTech… ».

Pendant ce temps, à Londres, une enquête a révélé que la Fondation Bill et Melinda Gates est le principal bailleur de fonds de l’Agence britannique de réglementation des médicaments et des produits de santé, tout comme elle l’est de la FDA aux États-Unis.

La SEC n’a absolument RIEN fait au sujet des informations privilégiées puisque Gates est également un actionnaire MAJEUR de Pfizer / BioNTech mRNA. Des organisations médicales fiables s’opposent à ces vaccins malgré l’approbation de deux organismes de réglementation qui reçoivent de l’argent de Gates, ce qui ne fait qu’introduire des conflits d’intérêts et une corruption potentielle…

La FDA n’a JAMAIS approuvé un type de médicament complètement nouveau en moins d’un an, ce qui soulève de sérieuses questions sur la corruption. Le délai moyen pour obtenir une approbation de la FDA est de 12 ans ! »

L’enquête londonienne à laquelle ils font référence a été publiée dans The Daily Expose le 20 août 2021.5 La MHRA, la version britannique de la FDA américaine, reçoit en fait la majeure partie de son financement de la Fondation Gates, selon l’enquête.

Le 4 juin 2021, la MHRA a étendu son autorisation d’utilisation d’urgence de la piqûre de Pfizer aux enfants âgés de 12 à 15 ans, malgré les risques connus d’inflammation cardiaque. Le Daily Expose écrit :6

« À l’époque, la directrice générale de la MHRA, le Dr June Raine, a déclaré que la MHRA avait « examiné attentivement les données des essais cliniques chez les enfants âgés de 12 à 15 ans et a conclu que le vaccin Pfizer est sûr et efficace dans ce groupe d’âge et que les avantages l’emportent sur tout risque. »

Nous nous demandons si le Dr June Raine et la MHRA ont même lu les résultats de cette étude extrêmement courte et réduite.7 S’ils l’avaient fait, ils auraient vu que 86% des enfants participant à l’étude ont souffert d’un effet indésirable allant de léger à extrêmement grave.8

Seuls 1 127 enfants ont pris part à l’essai, mais seuls 1 097 enfants ont terminé l’essai, 30 d’entre eux n’ayant pas participé après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer. Les résultats ne précisent pas pourquoi ces 30 enfants n’ont pas terminé l’essai… Peut-on vraiment faire confiance à la MHRA pour rester impartiale alors que son principal bailleur de fonds est la Fondation Bill et Melinda Gates, qui détient également des parts dans Pfizer et BioNTech ? Nous ne le pensons pas. »

Gates est lourdement investi dans les entreprises pharmaceutiques

La Fondation Gates possède également des « parts importantes » dans Pfizer et BioNTech, qui ont développé conjointement une injection de COVID qui, le 23 août 2021, a été pleinement approuvée9 par la FDA pour être utilisée chez les personnes âgées de 16 ans et plus.

La Fondation Gates a commencé à orienter ses investissements vers les produits pharmaceutiques en 2002. Cette année-là, Gates a investi 205 millions de dollars dans neuf grandes entreprises pharmaceutiques, dont Pfizer et Johnson & Johnson. « La décision de prendre des participations dans des entreprises individuelles semble être un changement de stratégie et, pour la première fois, aligne les intérêts de l’organisation caritative sur ceux des entreprises pharmaceutiques », rapportait le Guardian à l’époque10.

Selon The Motley Fool11, Gates a initialement investi dans Pfizer « avec l’intention déclarée d’élargir l’accès au contraceptif injectable tout-en-un de la société pharmaceutique ». Lorsque la pandémie de COVID-19 a éclaté, Gates a prédit très tôt que Pfizer serait le premier à obtenir l’autorisation d’utilisation d’urgence.

La Fondation Gates ne s’est pas emparée des actions de BioNTech avant septembre 2019, soit trois mois seulement avant l’apparition de la pandémie de COVID, lorsqu’elle a acheté pour 55 millions de dollars d’actions.

Les prévisions financées par la Fondation Gates ont conduit à la condamnation à mort des maisons de retraite

La Fondation Gates a également versé des centaines de millions de dollars à l’Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME), qui était responsable de la modélisation imprécise qui a conduit plusieurs gouverneurs à « condamner à mort les maisons de retraite ». La Strategic Culture Foundation écrit :12

« Ça chauffe enfin pour le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, à cause de ses politiques de réponse au coronavirus bâclées et criminellement négligentes, pourtant personne ne semble se demander pourquoi Cuomo et certains gouverneurs ont pris les décisions fatidiques qui ont conduit à la surmortalité…

En mars et début avril, les politiciens ont été informés par les « experts » en modélisation de l’IHME, financé par Gates, que leurs hôpitaux étaient sur le point d’être complètement envahis par des patients atteints de coronavirus.

Les modélisateurs de l’IHME ont affirmé que cet afflux massif amènerait les hôpitaux à manquer d’équipements de survie en quelques jours, et non en quelques semaines ou mois. Le temps était compté, et il était temps de prendre des décisions rapides, ont affirmé les modélisateurs. Lors de deux conférences de presse distinctes, le 1er et le 2 avril, M. Cuomo a clairement indiqué que ses décisions politiques étaient fondées sur le modèle de l’IHME ».

Dans l’une de ces conférences de presse, Cuomo a remercié la Fondation Gates « pour le service national qu’elle a rendu ». Le département de la santé de Pennsylvanie a également utilisé les modèles de l’IHME pour orienter sa réponse. Même des bureaucrates fédéraux comme le Dr Anthony Fauci et le Dr Deborah Birx, qui ont tous deux des liens personnels avec Gates, se sont appuyés sur les prévisions de l’IHME pour justifier les fermetures d’établissements, les fermetures d’entreprises et les couvre-feux.

En fin de compte, les modèles de l’IHME n’ont pas fonctionné. Ils n’étaient même pas proches [de la réalité]. « Par exemple, l’IHME a utilisé un taux de mortalité de plus de 3 % alors que le chiffre réel provenant de COVID-19 n’est que d’environ 0,1 % », écrit la Strategic Culture Foundation, qui ajoute13 :

« La responsabilité incombe effectivement aux dirigeants élus qui ont pris les décisions fatidiques d’envoyer les patients malades du COVID dans des maisons de retraite, de verrouiller leurs États et de masquer leurs citoyens à perpétuité, mais ce n’est que la moitié de l’histoire.

Les mauvaises données qu’ils ont utilisées proviennent presque exclusivement du réseau Gates, qui s’est livré à un trafic de pseudo-science et a fait preuve d’une incompétence totale et de prévisions imprudentes depuis le début de l’année dernière. »

Il n’est pas surprenant que Gates soit resté muet sur les échecs flagrants de l’IHME. Comme le note la Strategic Culture Foundation14, il s’est « parfaitement lavé les mains de la manie COVID et est passé à l’exigence que le monde occidental se sacrifie au nom de la dernière « crise » qu’est le changement climatique. »

COVID-19 – Une rampe de lancement pour la grande réinitialisation

Bien sûr, les plans « verts » de Gates vont également accroître sa propre richesse, tout comme la pandémie de COVID l’a fait. En effet, la soi-disant « crise du changement climatique » n’est rien d’autre qu’un autre outil pour mettre en œuvre la Grande Réinitialisation, qui modifiera à jamais le visage de la société et du commerce, en transférant pratiquement toutes les richesses et la propriété à quelques technocrates au sommet, laissant les gens ordinaires sans richesse ni liberté.

Compte tenu de la position de Gates au sein de l’élite technocratique, il n’est pas surprenant que ses empreintes digitales se retrouvent sur toutes les pièces nécessaires de cette partie d’échecs mondiale. Comme vous vous en souvenez peut-être, la Fondation Gates a coparrainé la simulation de préparation à la pandémie d’un « nouveau coronavirus », connue sous le nom d’événement 201, en octobre 2019, avec le Forum économique mondial et le Johns Hopkins Center for Health Security.

L’événement a sinistrement prédit ce qui allait se passer à peine 10 semaines plus tard, lorsque le COVID-19 est apparu. La Fondation Gates et le Forum économique mondial sont également associés15 aux Nations unies qui, tout en gardant un profil relativement bas, semblent être au cœur du programme de prise de contrôle mondialiste.

« Au-delà de la préparation et de la réponse à la pandémie, la justification de la mise en œuvre de l’agenda de la Grande Réinitialisation dans sa totalité sera le changement climatique. »

Le Forum économique mondial, bien qu’il s’agisse d’une organisation privée, fonctionne comme la branche économique et sociale de l’ONU et constitue une force motrice essentielle de la technocratie moderne et du programme de la Grande Réinitialisation. Son fondateur et président, Klaus Schwab, a déclaré publiquement la nécessité d’une « réinitialisation » mondiale pour rétablir l’ordre en juin 202016.

La règle technocratique, qui est ce que la Grande Réinitialisation apportera, s’articule autour de l’utilisation de la technologie — en particulier l’intelligence artificielle, la surveillance numérique et la collecte de Big Data (ce à quoi sert la 5G) — et la numérisation de l’industrie, de la banque et du gouvernement, qui permet à son tour l’automatisation de l’ingénierie sociale et de la règle sociale (bien que cette partie ne soit jamais expressément énoncée).

Au-delà de la préparation et de la réponse à la pandémie, la justification de la mise en œuvre du programme de la Grande Réinitialisation dans sa totalité sera le changement climatique. La Grande Réinitialisation, parfois appelée le plan « reconstruire en mieux », appelle spécifiquement toutes les nations à mettre en œuvre des réglementations « vertes » et des « objectifs de développement durable  »17,18 dans le cadre de l’effort de redressement post-COVID.

Mais l’objectif final est loin de ce que la personne typique envisage lorsqu’elle entend ces plans. L’objectif final est de nous transformer en serfs sans droit à la vie privée, à la propriété privée ou à quoi que ce soit d’autre. En bref, la pandémie est utilisée pour détruire les économies locales dans le monde entier, ce qui permettra ensuite au Forum économique mondial d’intervenir et de « sauver » les pays criblés de dettes. Le prix de ce sauvetage est votre liberté.

La grande réinitialisation

La Grande Réinitialisation n’est pas une théorie de la conspiration, mais un programme rendu public qui va de l’avant, que nous le voulions ou non.

De nombreux dirigeants mondiaux en ont parlé à titre officiel, et en juin 2020, Zia Khan, vice-président senior de l’innovation à la Fondation Rockefeller, a rédigé l’article19 « Rebuilding Toward the Great Reset : Crisis, COVID-19, and the Sustainable Development Goals » [Reconstruire en vue de la Grande Réinitialisation : Crise, COVID-19, et les objectifs de développement durable], qui passe en revue la « crise sociale » nécessitant l’acceptation par le monde d’un Nouvel Ordre Mondial.

L’article a été co-écrit avec John McArthur, membre senior du Brookings Institute, qui est l’un des nombreux groupes de réflexion technocratiques. En gardant à l’esprit ce que je viens de dire sur ce qu’est réellement la Grande Réinitialisation, et les justifications utilisées pour mettre en œuvre le vol des richesses et de la liberté, lisez comment ils présentent ces changements comme étant dans votre meilleur intérêt :

« Le bouleversement peut apporter une nouvelle compréhension et de nouvelles opportunités. Les normes désuètes ou injustes peuvent succomber au besoin pressant de la société pour de meilleures approches. Par exemple, la nécessité d’une intervention gouvernementale massive et urgente a attiré une attention nouvelle sur les filets de sécurité sociale et sur la possibilité d’améliorer considérablement les politiques.

Les conséquences tragiques de la discrimination raciale ont catapulté la prise de conscience des problèmes systémiques et déclenché des perspectives de réformes sociales indispensables. Les améliorations rapides de l’environnement liées à la fermeture de l’économie ont ravivé la conscience des interconnexions profondes entre les écosystèmes, les économies et les sociétés …

Plutôt que de laisser passivement les normes évoluer par inertie ou par hasard, nous pouvons tous mener des actions pour la Réponse et, bientôt, la Récupération d’une manière qui améliore les chances d’une Réinitialisation vers de meilleurs résultats à long terme.

Heureusement, nous avons déjà un point de départ solide pour ce que devraient être les résultats économiques, sociaux et environnementaux du monde. Il y a cinq ans, en 2015, les 193 États membres de l’ONU se sont mis d’accord sur les Objectifs de développement durable (ODD) comme un ensemble commun de priorités à atteindre dans tous les pays d’ici 2030. »

Je crois que la seule façon de l’arrêter est de réagir collectivement aux différents morceaux et parties du plan qui sont déployés. Ils veulent vous faire croire qu’aucune des choses introduites n’a de rapport avec les autres, mais en fait, ce sont toutes des pièces du même puzzle.

Ce serait une erreur tragique de faire confiance à Gates ou à l’un des autres acteurs qui nous sont présentés comme les sauveurs du jour. Ce sont tous des loups déguisés en moutons. La grande réinitialisation est à notre porte, et votre liberté, ainsi que celle des générations futures, dépend de votre combat pour la conserver20.

Notre meilleure chance est de nous impliquer dans la gouvernance locale, qu’il s’agisse de la commission scolaire de votre enfant ou du gouvernement local, et de nous engager dans une désobéissance civile pacifique.

Gates peut être présenté comme un génie omniscient dont la mission est de nous garder en bonne santé et en sécurité, mais ses activités sont incompatibles et ne correspondent pas à son personnage soigneusement fabriqué. À maintes reprises, Gates a exercé son influence dans des affaires où des mensonges ont été proférés et où la santé publique et les droits de l’homme ont été décimés pour le profit.

 Sources et références




Crise sanitaire : aidons nos proches à sortir de la manipulation

[Source : ripostelaique.com]

Par Pierre-Antoine Pontoizeau

Les médias ont relayé les prévisions de Ferguson (Oxford) promettant des millions de morts du coronavirus. Les politiques affirmaient que nous allions vivre une épidémie à l’instar des grandes pestes médiévales ou des XVIIe et XVIIIe siècle. Je m’attendais à compter les morts par dizaines de millions dans le monde. J’imaginais que nous aurions une telle surmortalité que nos populations diminueraient, comme lors de ces pestes auxquelles les scientifiques faisaient référence. J’ai douté, quand début 2021, les données démographiques mondiales et françaises m’ont permis de constater deux choses. Les taux de mortalité étaient les mêmes que ceux des quarante dernières années et la population mondiale continuait de croître. Et, en France, ni surmortalité tragique, ni baisse de la population. Aucun signe d’une épidémie au sens des historiens et des démographes, alors que la chose avait été scrupuleusement ancrée dans nos esprits. Nous avons tous été manipulés par la technique de l’ancrage. Elle consiste à donner un premier avis sur un événement ou une personne pour marquer l’esprit. On nous a annoncé une épidémie, il suffisait de compter les morts pour avoir raison. Pour en sortir et aider nos compatriotes, il existe deux méthodes. La première, les aider à sortir de leur fiction en leur apportant d’autres informations. C’est le but de cet article à exploiter autour de vous. La seconde, donner envie d’agir contre les conséquences toujours plus délirantes dont les manipulateurs tirent profit pour imposer leur volonté.

1. La mise en perspective de la mortalité : épidémie ?

Commençons par apporter la preuve de cette réalité démographique par le tableau produit par l’INSEE.

Le taux de mortalité pour 1000 habitants en 2020 (en gras) est semblable à ceux des années 1982 à 1986 et inférieur même à celui de 1983 (10,1). Une épidémie au sens des historiens et des démographes aurait provoqué quelques centaines de milliers ou millions de morts sur un ou deux ans. Cela se traduirait par un taux de mortalité voisinant les 20/1000 habitants avec 1,2 millions de morts par exemple, ou même 40/1000 h. avec environ 2,5 millions de morts. La leçon est là. La démographie est une science des grands nombres et elle a cela de redoutable qu’elle nous met les choses en perspective. Redoutable pour les manipulateurs à la petite semaine.

2. La mise en perspective de la mortalité mensuelle et journalière

Les médias ne cessent de nous traumatiser par le décompte macabre des morts par jour, prenant bien soin de livrer en pâture un chiffre isolé, preuve manifeste d’une œuvre de propagande et de manipulation, puisque le commun des mortels (sans jeu de mot) ne peut rien comprendre de ce qu’il signifie. Faisons ici cet effort. Prenons le nombre de morts moyen des 10 dernières années : 595 000/an. Divisons-le simplement par 365 jours, cela nous donne 1630 décès par jour. Les démographes savent par le suivi depuis des années que ce nombre varie selon les saisons avec un nombre plus élevé l’hiver que l’été par exemple. Évaluons les morts de la Covid annoncés par les journalistes relativement à ces morts journaliers. Quand ils nous parlent de 50 morts, de 100 morts ou même de 150 morts attribués à cette maladie (sans oublier que la moitié de ces morts, ce sont des personnes de plus de 80 ans), nous parlons de 50 ou 100/1630. Il serait plus loyal de suivre ce nombre-là et son évolution en la comparant sur plusieurs années pour apprécier la surmortalité. Exemple, ce jour-ci, cette année, 1677 morts, l’année dernière 1546, l’année précédente 1708. Tout deviendrait plus clair.

Constatons que la surmortalité a été très faible. Sur ces 6 dernières années, les trois mois les plus mortifères sont mars et avril 2020, période où ce virus va tuer des personnes très âgées, mais comparable et même légèrement inférieur à janvier 2017, pic d’une épidémie de grippe sévère. Même avril 2020 (65 900) ne dépasse pas janvier 2017 (66 990).

Cette seconde mise en perspective montre que la mortalité mensuelle n’a pas été épidémique au sens des historiens et démographes. La mortalité journalière de même. Quand les chiffres des démographes démontrent l’inverse de la désinformation au jour le jour. À ce jour, les chiffres de l’INSEE pour les 6 premiers mois de 2021. À l’exception de janvier 2021 (65 500), les mois suivants sont dans la ligne des mois d’hiver (56 000 à 57 000 décès) et mai et juin marquent le reflux (51 200 et 44 300 en juin) totalement comparable aux mois de juin des 6 dernières années.

Les commentaires de l’institut sont sans appel :
« Le nombre moyen de décès enregistrés quotidiennement, qui avait un peu augmenté en janvier 2021 par rapport à fin 2020, a diminué ensuite jusqu’à la mi-mars pour se stabiliser sur un plateau jusqu’à début mai. Il baisse depuis. Au cours du mois de janvier, environ 2 150 décès ont été enregistrés en moyenne chaque jour contre 2 035 la deuxième moitié du mois de décembre. En février, le nombre moyen de décès quotidien diminue et s’établit à 2 040, avec une baisse entre la première quinzaine et la seconde quinzaine. La baisse qui s’était poursuivie la première quinzaine de mars (avec 1 880 décès en moyenne par jour), fait place ensuite à une relative stabilisation jusqu’à début mai (avec 1 900 décès en moyenne par jour entre la mi-mai et la fin avril). La première quinzaine de mai, le nombre moyen de décès s’établit à 1 750 par jour. Il continue de diminuer ensuite et s’établit en moyenne à 1 620 décès par jour la seconde quinzaine de mai, soit un niveau qui se rapproche de celui de 2019.

https://www.insee.fr/fr/statistiques/5404610?sommaire=4487854

Et plus précisément encore, les tranches d’âges les plus jeunes meurent moins,, ce qui rend encore plus absurde les quelques cas exhibés en propagande concernant quelques jeunes décédés de la covid-19, pour ceux-là de manière certaine, évidemment :
« Le nombre de décès enregistré entre le 1er janvier et le 31 mai 2021 est inférieur à celui constaté sur la même période en 2019 pour les jeunes (- 12 % pour les moins de 25 ans) mais aussi pour les personnes âgées de 25 à 49 ans (- 5 %). Il est relativement stable pour les personnes âgées de 50 à 64 ans (+ 2 %). » (Insee)

3. Le critère de létalité

Le législateur comme le Conseil constitutionnel peuvent-ils alors se prévaloir d’une crise sanitaire au seul motif que le nombre de lits ne suffit pas à traiter des nouveaux malades ? Non, il s’agit-là d’une crise capacitaire, d’un mauvais dimensionnement de l’organisation hospitalière, d’un désordre dans le parcours de soin, entre les premiers soins de la médecine de ville, puis les cas graves à hospitaliser. La saturation hospitalière a largement résulté d’un interdit de soin en médecine de ville. N’ouvrons pas cette polémique. Mais y a-t-il un critère justifiant l’épidémie et la crise sanitaire ? Cherchons pour terminer du côté de la létalité. Une crise sanitaire n’a de sens pour limiter les activités économiques et atteindre aux libertés fondamentales, que si elle est de nature à tuer dans des proportions très élevée. C’est la létalité, soit le nombre de morts parmi les personnes ayant contracté la maladie sur une période. L’OMS et l’Institut Pasteur convergent pour un taux entre 0,5 % et 1 %, sachant qu’il varie selon les classes d’âge pour la covid-19. Quelle est la létalité du choléra ou d’Ebola par comparaison : pour le choléra, l’institut Pasteur mentionne deux données : 1,8 % et plus de 6 % pour les régions les plus exposées (https://www.pasteur.fr/fr/centre-medical/fiches-maladies/cholera). Cela signifie, 2 fois plus ou 5 fois plus. Pour Ebola, l’OMS mentionne un taux de 50 %, avec des variations liées à des flambées jusqu’à 90 %. En clair, vous l’avez, vous mourrez. (https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/ebola-virus-disease). La table des létalités montre que la covid-19 est très très loin derrière ces épidémies dévastatrices. La peste bubonique, à laquelle certains comparaient à la hâte ce nouveau coronavirus à une létalité de 30 à 60 % sans traitement indique l’OMS. (https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/plague). Bref, chacun voit que les maladies fatales : peste, cholera, VIH (Sida) durant les premières années ont une létalité dramatique, ce n’est pas le cas aujourd’hui. Il en est de même de la contagiosité, vitesse à laquelle une population diffuse en son sein la maladie.
Reste un dernier facteur qui serait celui de l’impuissance médicale. Il y a aussi crise sanitaire, ce qui fut le cas pour durant les premières années du Sida, avant l’avènement des traitements au milieu des années 90. Ce n’est pas le cas non plus.

En conclusion, que pouvons-nous dire sur les critères scientifiques qui permettraient de légitimer un état de crise sanitaire ? Que dire à nos amis encore sous l’emprise de cet ancrage ? Constatons-nous un pic de mortalité qui bouleverse les moyennes ? Non. Il aurait fallu doubler, tripler pour constater que la mortalité journalière explose vraiment. Rien de tout cela ne s’est produit, pas même lors des premiers mois de l’année 2020. Ce recul, nous démontre qu’il n’y a rien d’épidémique au sens premier de cette notion. Ni surmortalité, ni baisse de la population. Enfin, les deux derniers critères de létalité ou d’impuissance temporaire de la médecine n’existent pas. En conséquence, le législateur ne peut pas se prévaloir de critères qui motiverait un état de crise sanitaire du fait d’une hypothétique épidémie. Il faut éclairer nos élus, les députés en tête et plus encore réinformer nos concitoyens. Allez sur les sites, notez les chiffres, posez-leur des questions, dialoguez tranquillement, faites-les douter. Quand on est sous l’emprise d’un ancrage, il faut plusieurs discussions pour accepter d’interroger sa croyance. Il faut « désintoxiquer » nos contemporains.

Pierre-Antoine Pontoizeau




Nouvelle étude: Les réponses gouvernementales à une pandémie de COVID-19 inexistante au Canada sont responsables de milliers de décès

[Source et auteur : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

J’ai reçu aujourd’hui même,— par courriel —, une autre étude qui démontre qu’il n’y a eu aucune pandémie au Canada en 2020. Cette nouvelle étude a été préparée par Pr Denis Rancourt, Dr Marine Baudin et Dr Jérémie Mercier. Je partage avec vous la version courte telle que je l’ai reçue. Vous pouvez aussi la télécharger ci-dessous. La version intégrale peut être consultée sur le site Web du Pr Denis Rancourt.

Lundi le 9 août 2021

Chers amis, collègues, scientifiques, lanceurs d’alerte et citoyens,

Nous venons de publier avec Jérémie Mercier et Denis Rancourt un nouvel article démontrant qu’aucune pandémie n’a eu lieu au cours de la dernière décennie au Canada, y compris en 2020.

L’article est accessible au lien suivant: https://denisrancourt.ca/entries.php?id=104.

Veuillez trouver ci-dessous (version courte) et en pièce jointe (version longue) le communiqué de presse relatif à cette étude.

N’hésitez pas à partager nos travaux autour de vous.

Contacts presse :
Marine Baudin : marine@jeremie-mercier.com
Jérémie Mercier : bonjour@jeremie-mercier.com – +33 6 52 66 67 02
Denis Rancourt : denis.rancourt@gmail.com




Les réponses gouvernementales à une pandémie de COVID-19 inexistante au Canada sont responsables de milliers de décès chez les personnes âgées et chez les jeunes hommes en 2020

Un article scientifique écrit par Pr Denis Rancourt, Dr Marine Baudin and Dr Jérémie Mercier publié sur denisrancourt.ca démontre après analyse de la mortalité toutes causes confondues au Canada depuis 2010 (chiffres de StatCan) que :

  • Il n’y a eu aucune pandémie au Canada en 2020.
  • Un « pic-covid » d’environ 12 000 morts est arrivé tardivement, à un moment jamais vu dans l’histoire de l’épidémiologie canadienne (maximum du pic à fin avril 2020). Ce « pic-covid », présent dans certaines juridictions de moyenne latitude de l’hémisphère Nord (mais pas toutes et avec des intensités très variables d’une juridiction à l’autre) ne peut pas être simplement une épidémie, et selon l’hypothèse la plus probable a été généré par les mesures politiques et médicales consécutives à la déclaration de pandémie par l’OMS le 11 mars 2020.
  • Les mesures politiques mises en place supposément pour juguler la propagation du SARS-CoV-2, le virus à l’origine du COVID-19, ont été responsables, selon l’étude, d’une accélération de la mortalité des plus de 85 ans de mars à mai 2020 et d’une mortalité inédite (environ 2 000 morts en plus) des jeunes hommes canadiens (moins de 45 ans) à l’été 2020.

La médiatisation du COVID-19 depuis près d’un an et demi est en décalage total avec la réalité épidémiologique observée. L’importance de cette maladie sur la mortalité des canadiens est exagérée, alors que l’impact sur la mortalité des mesures politiques mises en place supposément pour contrer cette maladie est catastrophique (environ 12 000 décès accélérés, principalement chez les plus de 85 ans, de mars à mai 2020 ; et mortalité inédite d’environ 2 000 jeunes hommes à l’été 2020). Au vu des résultats de leur étude, les auteurs appellent à revoir les nouvelles politiques « sanitaires » et à évaluer leurs conséquences dans la transparence et la responsabilité.

Pas de mortalité inhabituelle sur la décennie 2010-2021

Tout d’abord, le COVID-19 n’a pas généré de mortalité inhabituelle sur la dernière décennie au Canada. Au regard de la mortalité toutes causes confondues analysée depuis 2010 au Canada, aucune différence statistique n’est observée pour la saison 2020. La charge de mortalité suit la tendance normale depuis dix ans.

Les réponses gouvernementales - 01

Une anomalie de mortalité : le « pic-covid » de mars-mai 2020

Cependant, en comparant les données de mortalité par province sur la période 2010-2021, on observe une première anomalie :

  • Un « pic-covid », arrivé tardivement dans la saison hivernale et jamais vu au Canada depuis au moins une décennie, centré sur la fin du mois d’avril 2020. Ce pic est extrêmement intense dans certaines provinces comme le Québec et l’Ontario, et complètement absent dans d’autres (Alberta et Saskatchewan par exemple).
Les réponses gouvernementales - 02

Les auteurs démontrent que le « pic-covid » présent dans les données de mortalité toutes causes confondues de certaines juridictions de l’hémisphère Nord à moyenne latitude, y compris au Canada, ne peut pas être un événement épidémiologique qui serait survenu de façon naturelle, en l’absence d’une perturbation non pathogène.

Ce « pic-covid » est artificiel car :

  • Dans les juridictions où il est présent, il apparaît de manière synchrone juste après la déclaration de pandémie par l’OMS.
  • Il s’est produit brusquement (temps de base au point d’inflexion d’environ 3 semaines) à une date sans précédent dans le cycle saisonnier de mortalité toutes causes confondues (milieu du pic à la fin avril).
  • Il est extrêmement hétérogène : absent dans de nombreuses juridictions (7 des 10 provinces canadiennes n’ont pas de « pic-covid »), son amplitude varie considérablement d’une juridiction à l’autre où il est présent (faible en Colombie Britannique, large au Québec).

Les auteurs suggèrent que les mécanismes à l’origine du « pic-covid » impliquent :

  • La réponse médicale : des protocoles de traitement et de soins palliatifs, adoptés au début de la pandémie proclamée et médiatisée.
  • La réponse gouvernementale : mesures de santé publique, protocoles institutionnels (en particulier écoles, maisons de soins et hôpitaux), bouleversements économiques, confinements, couvre-feux, quarantaine, isolement social, etc.
  • Des politiques de refus de traitement médical, telles que le refus d’admettre les personnes âgées en soins hospitaliers, ou les transferts de patients hors de l’hôpital.

Selon les calculs des auteurs, ces mesures ont provoqué environ 12 000 décès au Canada entre mars et mai 2020. Cependant, même en incluant le « pic-covid », la charge hivernale de mortalité toutes causes confondues pour l’hiver 2019-2020 n’est pas statistiquement supérieure aux charges hivernales habituelles, ce qui permet d’affirmer qu’il n’y a eu aucune pandémie à cette saison.

Une autre anomalie de mortalité : la saison estivale 2020

D’autre part, en comparant les données de mortalité par âge et par sexe sur la période 2010-2021, on observe d’autres anomalies :

  • Une sous-mortalité pour la classe d’âge des 85 ans et plus à l’été 2020 comparé à la tendance estivale observée de 2013 à 2019.
  • Une surmortalité pour la classe d’âge des 44 ans et moins (et dans une moindre mesure la classe d’âge des 45-64 ans) essentiellement pour les hommes de mai à décembre 2020.
Les réponses gouvernementales - 03

Les auteurs avancent que le déclin de mortalité observé chez les 85+ à l’été 2020 est le résultat d’une accélération de la mortalité de cette classe d’âge dans le « pic-covid », classe d’âge beaucoup plus fragile, la plus sensible aux causes de mortalité hivernale et la plus susceptible de succomber à des perturbations fondamentales de la société, de ses institutions et du système de santé.

D’autre part, selon les calculs des auteurs, les mesures gouvernementales mises en place après la déclaration de la pandémie ont provoqué environ 2 000 décès excédentaires chez les jeunes canadiens (classe d’âge inférieure à 45 ans), principalement des hommes, à l’été 2020. Ces décès ne peuvent être imputables au COVID-19 sachant que cette classe d’âge est peu touchée par la maladie et que la transmission virale est faible à la saison estivale.

Les réponses gouvernementales - 04

Pour conclure, la médiatisation du COVID-19 depuis près d’un an et demi est en décalage total avec la réalité épidémiologique observée de façon objective. L’importance de cette maladie sur la mortalité des canadiens est exagérée, alors que l’impact sur la mortalité des mesures politiques supposément mises en place pour contrer cette maladie est catastrophique (environ 12 000 décès accélérés, principalement chez les plus de 85 ans, de mars à mai 2020 ; et mortalité inédite d’environ 2 000 jeunes hommes à l’été 2020). Au vu des résultats de leur étude, les auteurs appellent à revoir les politiques « sanitaires » mises en place après le 11 mars 2020 et à évaluer leurs conséquences dans la transparence et la responsabilité

Par ailleurs, la non-médiatisation de la forte augmentation de la mortalité toutes causes confondues chez les jeunes hommes (moins de 45 ans) entre mai et décembre 2020 au Canada interpelle. Ce phénomène est pourtant bien plus préoccupant pour la santé des canadiens que le COVID-19 et devrait être considéré comme une catastrophe nationale de santé publique de portée historique.

Contacts presse : 
Denis Rancourt : denis.rancourt@gmail.com ;
Marine Baudin : marine@jeremie-mercier.com ;
Jérémie Mercier : bonjour@jeremie-mercier.com.




Violations de la loi commises par nos gouvernants depuis le début de la crise Covid

[Source : Me Virginie De Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris]

À TOUS LES MEMBRES DE NOS FORCES PUBLIQUES NATIONALES,
Cette lecture a pour objet de vous exposer l’ensemble des violations de la loi commises par nos gouvernants depuis le début de cette crise.

En effet, notre État de droit s’est gravement et fortement dégradé depuis plus d’un an et demi.

Les droits fondamentaux et libertés fondamentales sont mis à mal au nom d’un État d’urgence sanitaire, qui en réalité n’a rien de sanitaire.

Depuis la publication de la loi d’urgence,(([1] Loi n° 2020-290 du 23mars 2020 dite loi d’état d’urgence sanitaire pour faire face à l’épidémie de covid-19)) des ordonnances, décrets, lois de prorogation ont été appliqués sans qu’aucun pouvoir n’ait été en mesure de remettre en cause le caractère inconstitutionnel des mesures prises.

En ce sens, la séparation des pouvoirs n’existe plus :

  • puisque toutes les décisions sont prises en Conseil de défense,
  • puisque le Parlement ne peut plus exercer son contrôle sur l’activité du gouvernement prévu à l’article 24 de la Constitution et que la majorité présidentielle suit aveuglément les consignes,
  • que le Conseil constitutionnel omet de censurer l’ensemble des textes portant gravement atteinte au blocs constitutionnel et conventionnel. Ce fut encore le cas le 5 août, sans apporter de réponses à bon nombre d’arguments juridiques pourtant soumis au Conseil constitutionnel.
  • et que la justice administrative ne fait plus office de rempart.

Or d’après l’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789, toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.

En efeft, le pouvoir exécutif, sa majorité présidentielle et les ordres et médias complices ont violé les droits du peuple :

Violation de la liberté individuelle, violation de la liberté d’aller et venir et violation du principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation en interdisant de sortie du domicile par des mesures de confinement forcé l’ensemble des citoyens sans distinction et sans justification d’ordre médical, ces citoyens ne pouvant en aucun cas être déclarés arbitrairement coupables de porter atteinte à la sécurité et à l’ordre public.

En ce sens, le pouvoir exécutif viole impunément l’Habeas Corpus figurant à l’article 66 de la Constitution ainsi que dans de nombreuses conventions internationales.

Conformément à l’article 66, nul ne peut être arbitrairement détenu et l’autorité judiciaire est la gardienne de la liberté individuelle.

L’article 9 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789 le rappelle ainsi:

« Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi ».

De même l’article 5 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789 rappelle que la loi n’a le droit de d’interdire que les actions nuisibles à la Société. Le reste ne peut être interdit.

Je me dois de dénoncer haut et fort cette injustice faite aux français lorsque l’on sait que les critères de proportionnalité et d’utilité de ces mesures ne sont pas remplis puisque plus de vingt-cinq études scientifiques viennent démontrer que les mesures d’interdiction de sortie du domicile sont nocives pour la santé, la société et pour l’économie du pays.

  • Violation du principe général du droit de mener une vie familiale normale par l’interdiction d’aller rendre visite à un proche en EPHAD, la restriction de la possibilité d’assister aux funérailles et d’interdire toute possibilité de se réunir en famille.
  • Violation de la liberté d’entreprendre et atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation mettant ainsi en grave danger les petites et moyennes entreprises. Les commerçants, les indépendants, le secteur tout entier de la culture, la restauration, le secteur de l’habillement, le secteur de l’esthétique, le secteur du tourisme, le secteur de l’évènementiel et bien d’autres encore qui seront prochainement en liquidation.
  • Violation du droit de manifester et de se rassembler : violences à l’encontre des manifestants ou interdiction pure et simple de manifester.
  • Violation du droit à l’éducation. Contraints à un enseignement à distance, les élèves et étudiants sont en décrochage massif et bon nombre sont en dépression.
  • Violation de la liberté de culte en refusant la tenue de messes dans les Églises de France et autres lieux de culte en début de crise.
  • Violation de l’intégrité physique, psychique et morale de l’ensemble des citoyens en rendant le port du masque obligatoire en toutes circonstances sans qu’aucune étude scientifique ne vienne appuyer cette mesure. Plus d’une quinzaine d’études scientifiques rappellent l’absence de bénéfices ou pire la nocivité du port du masque.
    Il s’agit de torture et de maltraitance dès le plus jeune âge, puisque l’étouffement est une violence physique réprimée par le Code pénal.
    Des actes qualifiables de crime contre l’humanité, portant atteinte à l’intégrité physique, psychique et morale des enfants et des adultes et plus globalement à leur bien être ont été commis en toute impunité.
  • Violation de l’intégrité physique, psychique et morale de l’ensemble des citoyens en les manipulant via les médias grand public et des scientifiques de plateaux présentant bien souvent des conflits d’intérêts majeurs avec l’industrie pharmaceutique.

En effet, des méthodes de nature à produire des changements de comportement et à tester le degré d’obéissance ont été employées par le pouvoir exécutif à travers les médias. Les méthodes correspondent à ce qui est décrit dans la Charte de coercition de Biderman et aux expériences de Stanley Milgram menées en vue de mesurer le niveau d’obéissance à un ordre contraire à la morale.

  • Homicides en injectant du Rivotril aux personnes les plus âgées, qui auraient pu être soignées.
  • Euthanasie organisée par certaines Agences régionales de santé (ARS) qui ont géré la crise en décidant de faire du tri des patients en fonction de critères arbitraires déterminés à l’avance (notamment en fonction de l’âge) au lieu d’augmenter la capacité de lits.
  • Homicide et non-assistance à personne en danger en organisant l’absence de soin et en interdisant aux médecins de prescrire des traitements connus et reconnus à travers le monde comme étant efficaces contre la maladie.
  • Terrorisme d’État en se procurant des produits qualifiés à tort de vaccins et qui peuvent être plus dangereux pour la santé que la maladie elle-même.

Il s’agit de produits pharmaceutiques, encore en phase d’expérimentation, injectés souvent sans consentement libre et éclairé, au mépris du Code de Nuremberg et de la Convention d’Oviedo. Le pouvoir exécutif a rendu ces injections obligatoires pour les enfants à partir de 12 ans et a imposé des tests en milieu scolaire au mépris d’une décision du Conseil constitutionnel de 2019.

Par conséquent, en se procurant ce type de produit à injecter, lequel est de nature à créer un danger pour les citoyens français et en les rendant obligatoires à tous, ne serait-ce que par la terreur et la peur, alors que des traitements médicaux existent et sont suffisants pour soigner la maladie covid-19, le pouvoir exécutif se rend coupable d’acte de terrorisme et de génocide.

Les propos du médecin militaire Dr Lee Merrit MD sont très éclairants: les vaccins ARNm et ADN sont potentiellement des armes biologiques.(([2] https://odysee.com/@NeufdeCoeur:1/lee-merrit:8
http://www.profession-gendarme.com/81506/))

  • Terrorisme d’État et escroquerie en bande organisée
    • en utilisant des tests RT-PCR non fiables qui ne font pas même la différence entre la grippe et le SARS-Cov2 d’après l’administration de santé américaine, afin de justifier les mesures liberticides mises en place,
    • en manipulant le nombre de décès et
    • en modifiant arbitrairement le taux de pression épidémique sans autre raison que celle de justifier l’ensemble des mesures liberticides.

Par ailleurs, deux récents rapports viennent démontrer qu’il n’y a pas eu de surmortalité en 2020 en réalité. Par conséquent, l’état d’urgence sanitaire n’a aucune raison d’être maintenu.

  • Tentative d’empoisonnement ou empoisonnement (Art 221-5 du Code pénal)

Les médecins alertent concernant les nombreux cas d’accidents vasculaires cérébraux, thromboses, crises cardiaques, fausses-couches, risques de stérilité, dégénérescence, myocardites chez les jeunes, suite à l’injection.

Données EudraVigilance : 2 000 000 d’accidents et effets secondaires en Europe et plus de 20 000 décès sachant que les déclarations représentent une infime partie de la réalité.

Des centaines de scientifiques éminents, à travers le monde, alertent contre les dangers de ces injections et appellent à un arrêt immédiat de la campagne, puisqu’en temps normal 25 à 50 décès auraient entraîné l’arrêt immédiat d’un essai clinique.

Toutes ces informations sont parfaitement connues des autorités de santé et des responsables des administrations impliquées.

Or, les campagnes gouvernementales, avec le soutien des grands médias, tentent de convaincre tous les français de se faire injecter ces produits qui sont un véritable poison.

C’est donc en connaissance de cause, que certains responsables de Santé Publique, continuent d’encourager les français à recevoir un produit dangereux, qu’ils qualifient faussement de « vaccin », dont l’efficacité n’est pas du tout démontrée, et dont la dangerosité est désormais manifeste.

Il s’agit donc bien d’une tentative d’empoisonnement collectif, car de nombreux français se voient désormais forcés de recevoir l’un de ces produits dangereux.

Les qualifications juridiques principales sont donc les suivantes :

Terrorisme d’Etat:

D’après l’article421-1 du Code pénal, constituent des actes de terrorisme, lorsqu’elles sont intentionnellement en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur, les infractions suivantes : Les atteintes volontaires à la vie, les atteintes volontaires à l’intégrité de la personne, psychique, physique et morale.

L’ordre public est l’état social idéal caractérisé par «le bon ordre, la sécurité, la salubrité et la tranquillité publiques», la moralité publique et la dignité de la personne humaine.

Le Conseil constitutionnel fonde la « sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation » sur le premier alinéa du préambule de la Constitution de 1946.

« Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine, le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés. »

Ceci a été totalement occulté.

Atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation :

Les intérêts fondamentaux de la Nation sont comme vous le savez : l’intégrité de son territoire et sa sécurité, la sauvegarde de sa population, des ressources naturelles, économiques et culturelles.

D’après l’article 68 de la Constitution, le Président de la République peut être destitué en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat.

Or, par définition, il est de son devoir, ainsi que de celui du gouvernement, de veiller à ce qu’il ne soit pas porté atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation et de protéger sa population.

Génocide:

D’après l’article 211-1 du Code pénal constitue un génocide le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire ,de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants : atteinte volontaire à la vie ; atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique ;soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe.

Je rappelle à ce titre qu’une plainte pour génocide a été déposée le 1er décembre 2020 par Madame BONNY, un ancien médecin militaire formé aux maladies infectieuses et à la prise en charge de catastrophes sanitaires.(([3] https://www.francesoir.fr/politique-france/plainte-penale-pour-genocide-des-francais-contre-macron-ses-ministres-et-son))


Quelles sont les conditions qui interdisent à un fonctionnaire d’exécuter un ordre ?

La loi du 13 juillet 1983(([4] Art.28 de laloi n°83-634 du13 juillet1983)) dispose que le fonctionnaire doit exécuter les ordres SAUF dans le cas où l’ordre donné est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public:

Il en est de même concernant les militaires, conformément à l’article L4122-1 du Code de la Défense.

A toutes fins utiles:

  • D’après l’article 73 du Code de procédure pénale, dans les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d’une peine d’emprisonnement, toute personne a qualité pour en appréhender l’auteur et le conduire devant l’officier de police judiciaire le plus proche.
  • D’après l’article 10 de la Déclaration des défenseurs des droits de l’homme et des libertés fondamentales de l’ONU en date du 8 mars 1999 (Résolution A/RES/53/144

– 53ème session):

« Nul ne doit participer à la violation des droits de l’homme et des libertés fondamentales en agissant ou en s’abstenant d’agir quand les circonstances l’exigent, et nul ne peut être châtié ou inquiété pour avoir refusé de porter atteinte à ces droits et libertés. »

Je remercie tous les membres de nos forces publiques nationales de leur écoute.


Aux manifestants

Il est IMPÉRATIF que la manifestation d’aujourd’hui se déroule pacifiquement. Ne tombez SURTOUT PAS dans le piège qui nous est tendu depuis des semaines, à force de propos médiatisés appelant à la discrimination, la violence et la haine.

Restons pacifiques, déterminés, et refusons toute forme de violence contre les personnes ou les bien. Si nous souhaitons que notre appel soit entendu par les forces vives de la nation, dont la mission est de nous protéger, il faut impérativement que notre action soit pacifique.




Modèle de plainte si des responsables scolaires/universitaires insistent pour vous forcer à vacciner votre enfant

[Voir aussi sur docteur.nicoledelepine.fr]

Par Nicole Delépine

Nom………….

Prénom ……………………

Date et lieu de naissance………………………

Profession……………………………..

Adresse…………………………..

                                                                       Monsieur le Procureur de la                                                                             République près le Tribunal                                                                              Judiciaire de………………..

Le………………………………..

Recommandée avec A.R.

OBJET : Plainte pour :

-Complicité de tentative d’empoisonnement (art. 121-7 et 221-5 C.P.)

-Abus d’autorité (art. 432-7 C.P.)

Monsieur le Procureur,

J’ai l’honneur de vous exposer les faits suivants.

(exposé de la situation que l’on subit. Ex. « le …aout 2021, le Proviseur du Lycée…. a indiqué à mon fils mineur…………………… qu’il ne pourrait pas revenir en septembre s’il n’était pas muni du Pass sanitaire, c’est à dire, s’il n’avait pas reçu les 2 doses au moins d’un des produits promotionnés par les autorités, et appelés faussement « vaccins »)

Je considère que cette attitude est hautement répréhensible pénalement pour les raisons suivantes :

I- LES FAITS :

Courant 2008, un rapport de l’UNESCO de 256 pages (disponible sur UNESDOC) évoque la particularité troublante de certains vaccins, contenant des nano-puces et des cristaux liquides pouvant influer sur le comportement humain, sans souci d’éthique politique.  Si l’on s’en réfère aux déclarations même des « décideurs » et de leurs « conseillers », l’objectif de l’opération pourrait bien être d’inoculer aux populations un vaccin très spécial. Ainsi la peur créée par la « pandémie »  aurait pour objectif de rabattre les populations vers un « vaccin » contre lequel l’UNESCO met en garde et dont on sait qu’il comportera en réalité des nano-puces, vecteurs d’identification biométriques, et des cristaux liquides.

Lors de la conférence TED 2010, Bill Gates indique espérer réduire la population mondiale « avec de bons résultats sur les nouveaux vaccins »

Courant 2017, après que Bill Gates ait versé des subventions importantes à l’O.M.S., (organisme créé par la famille Rockefeller) la faisant ainsi devenir progressivement, une organisation privée, Tedros Adhanom Ghebreyesus est nommé à sa tête.

Ce personnage fut membre du bureau politique du Tigray People Liberation Front (TPLF), une organisation inscrite dans la liste des organisations terroristes du U.S. Homeland Security. Il fut Ministre de la Santé en Ethiopie de 2005 à 2012, et est membre du Conseil d’administration de l’alliance pour la vaccination (GAVI) qui œuvre au profit de l’industrie pharmaceutique pour imposer la multi-vaccination avec des puces RFID à la terre entière.

On comprend aujourd’hui, pourquoi l’O.M.S. préconisait de ne pas utiliser d’anti-inflammatoire contre le Covid 19, et n’a cessé d’affirmer qu’il n’existait pas de traitement, mais « qu’un vaccin est à l’étude… »

Le 23 février 2017, Monsieur Bernard CAZENEUVE, premier ministre, prononce le discours à la cérémonie d’accréditation du laboratoire de haute sécurité biologique P4 à WUHAN, (République Populaire Chinoise), en présence,

notamment, du mari (Président de l’Inserm) de Madame Agnès BUZIN, elle même à l’époque, présidente de la Haute Autorité de Santé (H.A.S.)

Le 21 septembre 2018, la société Microsoft Technology  Licensing (fondée par Bill Gates) dépose aux USA un brevet intitulé CRYPTOCURRENCY SYSTEM USING BODY ACTIVITY DATA. Ce brevet ne sera publié que courant mars 2020 (WO2020/060606A1).

Il concerne des nanoparticules qui auraient la faculté, lorsqu’elles sont introduites  dans le corps humain par des injections, d’être  identifiées et localisées par n’importe quel ordinateur.

Courant 2018, la Banque mondiale WITS (World integrated Trade Solution) publie sur son site, des millions de commandes émanant de nombreux pays, pour lesquelles on lit « : COVID-19 Diagnostic-Test instruments and apparatus »

Dès que cette information a filtrée, la mention « Covid-19 » a été effacée, et devant l’indignation sur les réseaux sociaux, la WITS a déclaré que cette appellation était une coïncidence…

A l’automne 2019, a lieu aux U.S.A., sous la présidence du milliardaire, fondateur de la société Microsoft Technology  Licensing, et finançant une grande partie du budget de l’O.M.S., une simulation d’une pandémie qui serait due à un coronavirus, sur la base d’un roman écrit en 1981 : « The eyes of darkness ». Cette simulation portait le nom de « Event201 ».

Lors de la conférence ID2020 Sommet 2019, Bill Gates fait la promotion du vaccin contenant le « marqueur » à nano-puce électronique, destiné à « marquer » et à contrôler 7 milliards d’humains. (mais il ne fait pas vacciner ses enfants).

Les premiers cas de Covid 19 seraient apparus au marché de Wuhan, à 180m. du laboratoire inauguré par M. CAZENEUVE.

1ères anomalies et contradictions

On commence à en parler en France en fin décembre 2019, et en même temps, l’hydroxychloroquine est brusquement classée dans les substances interdites, par un arrêté ministériel signé en janvier  2020 par Mme BUZYN, dont le mari (encore lui) fut nommé en Octobre 2019, « Conseiller d’Etat en service extraordinaire », et quitta ses fonctions au moment du 1er déconfinement. (« La Dépêche.fr » 22 mai 2020).  N.B. : Pendant le confinement, presque tous les recours déposés au Conseil d’Etat par ceux qui critiquaient les textes liberticides, ou réclamaient simplement que l’on fasse connaître les thérapeutiques existantes, ont été rejetés…

Début mars, les scientifiques nous expliquaient sur les media, que le masque ne servait à rien et que l’idée d’un confinement aurait plus d’inconvénients que d’avantages.

En réalité, le recul, et les déclarations occultées de nombreux scientifiques, nous permettent d’affirmer  :

  • que ce jour là ils avaient raison,
  • mais qu’une pensée unique s’est, juste après,  brusquement introduite dans tous les milieux officiels et dans les media, ce qui fait que le discours officiel va brusquement changer.

15 jours plus tard, l’on va confiner,  et, curieusement, alors que des traitements de cette nouvelle grippe  étaient utilisés avec succès, personne n’en parle :

  1. a) l’hydroxychloroquine, préconisée par le Pr. RAOULT, et curieusement interdite dès janvier 2020, alors que ce produit était connu et largement utilisé depuis 70 ans. Courant avril 2021, l’on apprend que le Sénégal qui, dès le début, a suivi le protocole du Pr. RAOULT a recensé 61 morts par million d’habitants, soit 23 fois moins que la France.
  1. b) La Vitamine C en perfusion et à forte dose (100 % d’efficacité et sans effets indésirables sérieux dans les services des Pr. MARIK et VARON aux U.S.A.),

Par courrier du 11 mars 2020, le Dr. LABREZE, médecin dans les Bouches du Rhône, en informe M. le Ministre de la Santé, et ajoute, concernant les USA :

« Le Pr MARIK a traité deux groupes de 47 patients atteints d’une pathologie infectieuse grave (voire critique),  pris en charge dans son service de réanimation.
Il y a eu 19 décès dans le groupe pris en charge avec les méthodes aujourd’hui utilisées dans tous les centres hospitaliers, y compris dans les CHU français .
Dans le groupe  traité avec des injections de vitamine C, d’hydrocortisone et de  thiamine (Vit B1), aucun patient n’est décédé des conséquences de son infection !

Nous parlons ici de 19 décès versus zéro décès !!

Compte tenu du fait que la rigueur professionnelle et scientifique des auteurs de cette  publication ne peut être raisonnablement mise en doute, ne pas agir immédiatement, sur la base de cette information, alors que plus de quatre mille patients sont actuellement en services de réanimation,  représenterait, à mon sens, une négligence grave et, très clairement, une mise en danger de la vie de ces patients, ou de ceux dont l’état de santé actuel pourrait se dégrader très rapidement, faute d’avoir pu bénéficier des traitements que j’ai portés et porte à nouveau à votre connaissance… »

« Dans les circonstances actuelles, faisant craindre le développement d’une épidémie liée au coronavirus et la mort d’un nombre important de nos concitoyens, quel que soit d’ailleurs leur état de santé antérieur et l’existence ou non de comorbidités, il me semble important et urgent de porter à votre connaissance l’existence de ressources thérapeutiques validées mais encore insuffisamment connues de la communauté médicale, notamment dans notre pays….

Je pense qu’une large diffusion de ces informations apparaît aujourd’hui comme une action prioritaire de santé publique, puisqu’elle va donner aux équipes médicales hospitalières particulièrement démunies face aux formes sévères de COVID-19, une ressource thérapeutique particulièrement efficace qui leur permettra indiscutablement de sauver des vies… ».

Fin mars, le Pr MARIK, de la Eastern Virginia Medical School, écrit :

« …Nous avons traité 4 patients avec un syndrome de détresse respiratoire aigüe lié au COVID et tous se sont améliorés dans les 6 à 12h ayant suivi l’instauration du traitement.

L’intubation a été évitée pour l’un d’entre eux et les 3 autres sont maintenant sevrés.

Le Dr VARON, Président du conseil d’administration de l’United General Hospital et médecin chef et responsable du département des soins intensifs, a, à ce jour, traité 14 patients atteints du COVID avec notre protocole. Il a rapporté également une amélioration rapide dans les 12 heures qui ont suivi l’administration du traitement.

Six de ces patients ont été extubés dans les 4 jours, et tous les autres sont aujourd’hui sevrés….

La vitamine C a été intégrée dans l’algorithme de traitement du COVID de l’Université du Wisconsin. 

Nous croyons que l’utilisation de notre protocole va sauver des vies. Et, ce qui est important également, c’est qu’elle va permettre d’éviter l’intubation pour un grand nombre de patients, écourtera le recours à une ventilation assistée lorsqu’elle aura été mise en œuvre, libérant ainsi ces équipements essentiels qui pourront ainsi être utilisés pour d’autres patients. La vitamine C est bon marché, facilement disponible et totalement dépourvue d’effets secondaires… »

Le Pr. VARON indique, le 13 avril 2020 :

« Notre succès avec la combinaison thérapeutique est incroyable. Aujourd’hui nous avons traité plus de 25 patients à l’United Memorial Medical Center de Houston, et pas un seul n’a dû être intubé. Tous étaient atteints d’une forme sévère de pneumopathie due au Covid 19, et furent rapidement guéris par l’acide ascorbique, la Thiamine, des stéroïdes, et de l’Heparin. Nous avons aussi ajouté l’hydroxychloroquine et l’azythromicine à ces patients… »

N.B. Le Pr. J. VARON fait partie des scientifiques nationalement connus aux U.S.A.

Il enseigne au Texas, et au Mexique.

Il totalise plus de 400 publications scientifiques et a publié une dizaine d’ouvrages.

Le Ministre de la Santé a reçu toutes ces informations.

Devant l’absence de réaction du Ministre de la Santé, un groupe de médecins saisit 2 fois le Conseil d’Etat, en vain.

  1. c) Artemisia annua utilisée avec succès également en Afrique et à Madagascar);

En mars 2021, Madagascar qui totalise environ 27.000.000 d’habitants, annonçait moins de 400 décès du Covid depuis le début de l’épidémie…

  1. d) Dans le courant de l’année 2020, l’on apprenait également que l’Ivermectine, médicament utilisé depuis des décennies, était très efficace concernant cette pathologie. Curieusement, ce médicament avait été, lui aussi, interdit : tout médecin le prescrivant serait poursuivi devant le Conseil de l’Ordre.

Parallèlement,  dans Paris-Match, du  9 au 15 av. 2020, le Pr. BRECHOT, ancien Directeur de l’institut Pasteur, Président du Global Virus Network, déclarait « …Aucun vaccin fiable n’a été mis au point contre un coronavirus… »

Ainsi, il devenait de plus en plus clair que l’objectif était :

  • De faire croire que la maladie risquait de décimer tout le monde, en manipulant les chiffres,
  • De faire croire qu’il n’existait aucun traitement
  • De faire croire que seul le vaccin serait salvateur.

La Manipulation des chiffres :

Le Secrétaire général des Nations Unies monsieur Antonio GUTERRES déclarait publiquement :

«… Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et adoptés des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des organisations non gouvernementales, des défenseurs du droit humain, des journalistes, des avocats, des militants, des  professionnels de la santé, ont fait l’objet d’arrestations, de poursuites, et des mesures d’intimidations et de surveillances pour avoir critiqué les mesures ou le manque de mesures…, les restrictions servent d’excuse pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques, l’accès à   l’information vitale a été entravé, tandis que la désinformation mortelle a été amplifiée, y compris par certains dirigeants…»

S’il est incontestable qu’il existe un virus (sars-cov 2), toutefois il a été volontairement surévalué dans sa dangerosité « pour établir la peur » et les restrictions sur les droits fondamentaux pour la population, tel que le révèle le courrier du comité scientifique dirigé par monsieur Jean-François DELFRAISSY publié dans « The Lancet » :

Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract § 3.

«… Hence, it is time to abandon fear based approaches based on seemingly haphazard stop-start generalized confinement as the main response to the pandemic»  Lancet Public Health 2021 Published Online February 18, 2021

https://doi.org/10.1016/S24682667(21)00036-0

Il est remarqué que, partout dans le monde, le taux de mortalité lié au covid-19 a été purement fabriqué artificiellement en y incluant toutes les pathologies à son compte ; ainsi en France, à de multiples reprises, le président de la commission des affaires sociales, commission permanente de l’Assemblée nationale, a demandé au ministre de la santé :

« …je ne reviens pas sur la question polémique du masque et la question de Leprus, que pouvez-vous me dire sur la surmortalité invisible qui est occulté par le covid-19, je pense au cancer, aux maladies cardiovasculaires et autres, et on a des certificats de décès que j’ai pu constater dans la mairie où j’appartiens, à savoir des personnes très âgées qui sont décédées marquées covid-19, or ces patients n’ont jamais eu le covid-19, c’est le médecin qui a marqué covid-19, on ne sait pas pourquoi, mais il y a une surmortalité qui existe dans les certificats médicaux, j’ai posé la question à monsieur Salomon « Jérôme Salomon, le ‘Monsieur coronavirus’ du gouvernement», mais il m’a dit qu’il regarderait ça ? ».

Il est clairement établi la fabrication de faux certificat de décès avec la complicité de certaines personnes au nom du covid-19 ; par ailleurs, la grippe n’existe plus en France, le taux de mortalité étant de 0 ; ainsi toutes les personnes décédées de cancer, de problème pulmonaire, de vieillesse ou d’autres pathologies, sont déclarées covid-19.

Il n’y a pas lieu de s’étendre sur l’interprétation des« sur-hospitalisations » invisibles liées au covid-19, la France employant le même schéma de mensonges, en modifiant la norme régissant la réanimation : « lits pour accueillir des patients avec des défaillances multi-organiques, nécessitant une assistance respiratoire» ré-exprimée depuis le covid-19″.

Ainsi, a été gonflé artificiellement le nombre de personnes hospitalisées en réanimation pour covid-19. Prenons cet exemple : une personne atteinte de septicémie se retrouve en surveillance continue, est-elle pour autant en réanimation atteinte du covid-19 justifiant une surcharge hospitalière covid-19 ? En France : oui!

L’Institut    National    de    la    Statistique    et    des    Études    Économiques    montre    une    faible   surmortalité   en   2020   en   dehors   des   périodes   de   confinement.

Selon les données de l’Insee, statistiques de l’Etat Civil, le nombre  de décès moyen par jour en France était de :

  • 1.863 en Février 2018
  • 1.994 en février 2019
  • 1.772 en février 2020

Les autorités de Santé Publique avaient parfaitement connaissance de ces chiffres démontrant que la gravité de l’épidémie n’existait que sur les grands médias qui se contentaient de véhiculer ce que leur disaient les porte-paroles des autorités.

II- LES INFRACTIONS PENALES :

1°) Complicité de tentative d’empoisonnement : (art. 221-5  C. Pénal)

Dès le début de la vaccination, de nombreuses voix  se sont élevées, provenant de scientifiques du monde entier (Docteur Alexandra Henrion-Caude, Docteur Sheri Tenpeny, Professeur RAOULT, docteur Eric MENAT, Dr. AGRET etc…) indiquant :

  • Que les contrats signés entre la commission européenne et les laboratoires Pfeizer, Moderna, Astra Zenecha contenaient d’étranges dispositions par lesquelles :
  • Les parties reconnaissent ne rien savoir sur l’efficacité des produits,
  • Les parties reconnaissent ignorer les effets indésirables à long terme,
  • En cas d’effets indésirables, les laboratoires bénéficient d’une exonération de responsabilité.

Les scientifiques précités ainsi que de nombreux autres médecins ont voulu attirer l’attention des pouvoirs publics et des médias sur le fait que les produits qualifiés de vaccins ne correspondaient pas du tout à la définition classique du vaccin.

En effet, un vaccin est un produit contenant un virus inactivé ou atténué ayant pour but de créer des anticorps.

Les produits actuels ne répondent pas du tout à cette définition, et sont en réalité des médicaments de thérapie génique, lesquels médicaments seront injectés à des gens bien portants.

Les scientifiques précités s’élèvent contre le fait que tous les produits qualifiés de vaccins anticovid n’ont qu’une autorisation conditionnelle de mise sur le marché puisqu’ils  sont tous en phase 3 d’essai clinique. Cette phase 3 ne se terminera qu’en 2022 ou 2023.

Les scientifiques précités ont tenté d’alerter les pouvoir publics et les médias sur le fait que les essais effectués sur des animaux avaient mis en évidence le fait que les éléments OGM injectés allaient déclencher une protection éventuelle contre le covid19,  mais allaient parallèlement neutraliser tous les anticorps naturels de l’être vivant  qui n’aura ainsi plus la moindre défense immunitaire contre tous les autres virus.

Ils indiquent  que lorsqu’un sujet « vacciné » entrera en contact avec n’importe lequel autre virus grippal, ou virus de la rougeole ou de la coqueluche, etc…, même s’il a reçu des vaccins classiques antérieurement, ses défenses immunitaires étant totalement neutralisées, la guérison ne sera pas possible et le nombre de décès risque d’être impressionnant dès l’entrée de l’hiver 2021.

Déjà, le site de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM), indiquait qu’au 21 mai 2021, il y avait déjà 37.000 cas d’effets indésirables dont 9.000 graves et environ 700 décès.

La base de données Européenne d’effets indésirables indique début juin 2021 1.354.336 effets indésirables dont plus de 600.000 graves et 13.867 décès !

         NB : Les organismes de pharmacovigilance de nombreux pays, dont la France, indiquent n’avoir connaissance que de 10 % des effets  indésirables…

         Les chiffres réels sont donc certainement à multiplier par 10….

Les scientifiques précités ainsi que de nombreux autres indiquent que, outre les cas de thromboses survenus immédiatement après l’injection ou dans les 15 jours qui suivent, les produits vont entraîner la stérilité de nombreux êtres et déclencher de nombreuses fausses couches chez les femmes enceintes.

Or, les campagnes gouvernementales, avec le soutien des grands médias,  tentent de convaincre tous les français de se faire injecter ces produits qui sont un véritable poison. Les français sont tellement manipulés et induits en erreur qu’ils n’ont même pas remarqué que les premières vaccinations en Europe qui ont eu lieu en Grande Bretagne ont été suivies presque immédiatement par l’apparition du variant anglais.

Ainsi, de nombreux médecins redoutent qu’à l’automne, les effets indésirables graves soient faussement attribués  à un variant, et  que la France ne revive une 4ème vague pour laquelle tant les autorités que les médias se garderont bien de s’interroger sur la nocivité de ce produit et le lien de causalité, même si les personnes hospitalisées seront quasiment toutes des personnes ayant reçu des injections.

J’estime que cette opération visant soi-disant à nous protéger d’un virus qui n’a occasionné que 0,035 % de décès parmi les personnes contaminées, soit un des taux les plus faibles  parmi toutes les épidémies contemporaines, n’est qu’en fait une vaste tentative d’empoisonnement.

Je m’interroge sur les véritables motivations de cette opération et estime qu’en ayant interdit toutes les thérapeutiques, en ayant gonflé artificiellement les chiffres des soi-disant morts du virus, et en tentant de nous convaincre de nous faire injecter un produit qui à long terme peut être mortel, les français se trouvent face à une véritable tentative collective d’empoisonnement.

Monsieur Dupont Moretti, Ministre de la Justice, déclarait lui-même récemment « On ne va pas obliger les détenus à se  vacciner, car les détenus ne sont quand même pas des cobayes ».

Fin Mai 2021, le Dr. Geert Van Den Bossche, pourtant l’un des créateurs de vaccins les plus réputés dans le monde, a adressé une lettre ouverte à des milliers de professionnels de santé, indiquant qu’il fallait d’urgence arrêter ce programme de vaccinations.

Il y  lieu de préciser que Geert Van den Bossche a été :

  • biologiste au sein du laboratoire GSK,
  • directeur des programmes de recherche des adjuvants chez Novartis,
  • directeur de projets de vaccins contre la grippe au sein de la fondation Bill et Melinda Gates,
  • agent principal de santé mondiale et découverte de vaccins chez Gavi
  • etc…

Toutes ces informations sont connues des autorités de santé depuis plusieurs semaines, voire plusieurs mois, ainsi que des responsables des administrations qui ont été inondées de courriers.

C’est donc en connaissance de cause, que certains responsables de Santé Publique, continuent d’encourager les français à recevoir un produit dangereux, qu’ils qualifient faussement de « vaccin », dont l’efficacité n’est pas du tout démontrée, et dont la dangerosité apparait de plus en plus.

Il s’agit donc bien d’une tentative d’empoisonnement collectif, car de nombreux français avaient fermement l’intention de recevoir l’un des produits, mais viennent d’y renoncer, devant la multitude d’informations alarmantes dont ils ont eu connaissance.

Ces informations ont été transmises au          Recteur d’Académie,

                                                                       Président de l’Université

                                                                       Proviseur du Lycée

                                                                       Directeur du Collège…..

Ainsi, en connaissance de cause, cette personne tente de

-contraindre mon fils mineur à se faire injecter un produit hautement toxique, n’ayant de vaccin que le nom.

-me contraindre à me faire injecter un produit hautement toxique, n’ayant de vaccin que le nom.

J’estime qu’il y a de la part de cette personne, une volonté de « ne pas savoir » ,et de participer à une tentative d’empoisonnement collectif, d’autant plus que l’efficacité protectrice de ces produits est de plus en plus douteuse :

En Israel, l’un des pays les plus vaccinés au monde, j’ai appris que plus de 50% des personnes hospitalisées avec le diagnostic « Covid » étaient correctement vaccinées, et qu’il existe une surmortalité de 20% chez les jeunes par rapport à l’année précédente.

2°) Abus d’autorité (art. 432-7 C.P.) :

Le fonctionnaire qui

m’a empêché

a empêché mon fils

d’entrer dans l’établissement scolaire, en sachant que cette décision empêche tout élève ou étudiant de continuer un cursus d’études normal, constatant que la consigne qui lui a été donnée par sa hiérarchie, est contraire aux conventions internationales que la France a ratifiées, et notamment la Convention d’Oviedo, constatant que depuis le procès de Nuremberg, le procès de Klaus BARBIE, ou le procès de Maurice Papon, s’est dessinée une Jurisprudence indiquant que le fonctionnaire destinataire d’une consigne illégitime, a le devoir de désobéir, se devait d’ignorer cette consigne, et de permettre l’accès à l’établissement d’une personne n’ayant pas reçu le produit qualifié de « vaccin ».

Faute d’ignorer ce principe, les accusés du procès de Nuremberg ayant tous « obéi aux ordres » n’auraient jamais pu être condamnés.

Ainsi Monsieur le    Recteur d’Académie,         

                              Président de l’Université

                              Proviseur du Lycée

                              Directeur du Collège…..

s’est rendu coupable d’un abus d’autorité, dans la mesure où il a refusé l’exercice d’un droit accordé par la loi, à savoir le droit pour tout citoyen, de fréquenter un établissement d’enseignement, au motif que ce citoyen n’a pas reçu les injections prévues par le plan vaccinal, ce qui rend cette décisions hautement discriminatoire.

EN CONSEQUENCE,

J’ai l’honneur, par la présente de déposer plainte entre vos mains contre :

Monsieur le Recteur d’Académie,

                    Président de l’Université

                    Proviseur du Lycée

                    Directeur du Collège…..

pour :         -Complicité de tentative d’empoisonnement, faits prévus par les                 art. 121-7 et 221-5 C.P.

                  -Abus d’autorité, faits prévis par l’art. 432-7 C.P.

Je vous prie de croire, Monsieur le Procureur, à l’assurance de ma Considération.




La déclaration gonflée des décès dus au COVID est une véritable conspiration

[Source en anglais : mercola.com]

(Extrait)

Par Dr Mercola

Au cours des premiers mois de 2020, de nombreux médias d’information grand public ont qualifié en riant les inquiétudes concernant le fait que le nombre de décès signalés à cause du COVID était supérieur au nombre de décès attribuables à la maladie de « conspiration sur le nombre de décès »[1] qu’ils disaient être menée par des républicains conservateurs et des « anti-vaxxers ».[2] Pourtant, quelques mois plus tard, les données confirment ce que beaucoup savaient déjà : le nombre de personnes décédées « à cause » du COVID-19 n’était pas le même que celui des personnes décédées « avec » le COVID-19.

À la fin de l’année 2020, j’ai fait état de plusieurs décès[3] qui avaient été initialement comptabilisés comme des décès dus au COVID-19, mais qui ont été rétractés par la suite, par exemple, deux décès dus à des blessures par balle dans le Grand County, Colorado, et un accident de moto à Orlando, Floride. À la même époque, la Freedom Foundation[4] a accusé le département de la santé de l’État de Washington d’avoir gonflé le nombre de décès dus au COVID jusqu’à 13 %.

Bien que le gouverneur ait nié cette allégation, des courriels internes ont révélé en mai 2020 que le ministère de la Santé comptait dans ses chiffres officiels du COVID des décès qui n’étaient pas directement dus au virus.[5] Le nombre élevé de décès avec le COVID-19 a été soutenu par la manière éhontée dont les experts ont manipulé le test PCR qu’ils ont utilisé pour confirmer la présence du virus.

Comme je l’ai signalé en 2020 et 2021, le taux élevé de faux positifs avec le test PCR était dû en grande partie au seuil de cycle exorbitant recommandé. Le seuil de cycle fait référence au nombre maximum de fois où le doublement est autorisé pendant le test. Plus le seuil est élevé, plus le risque est grand qu’un faux positif étiquette des personnes saines comme « cas de COVID-19 ».

En réalité, le test PCR n’est pas un outil de diagnostic approprié, même s’il a été présenté comme tel. Un nombre croissant de cas de COVID-19 dus à des tests PCR inexacts a contribué à étayer le nombre de décès enregistrés à cause du virus. Récemment, deux comtés de Californie ont révisé leurs chiffres sur la base d’une réévaluation des données.

Deux comtés californiens recomptent les décès dus au COVID

Après une analyse des données, les comtés de Santa Clara et d’Alameda en Californie ont découvert qu’il y avait une différence importante dans le nombre de personnes décédées à cause du COVID-19. Les données n’ont pas changé. Le nombre de décès réels n’a pas changé. Mais ce que les autorités ont découvert, c’est que 22 % des décès enregistrés à cause du COVID ne pouvaient pas être attribués au virus.[6]

Le comté de Santa Clara a indiqué le 2 juillet 2021 que les nouveaux chiffres ont été générés en ne comptant que des personnes dont la cause du décès était due au virus et en ne comptant pas les personnes qui avaient été testées positives au moment de leur décès. Les responsables du comté ont utilisé cette approche pour déterminer le véritable impact du COVID-19 sur leur communauté.

Le mois précédent, en juin 2021, le comté d’Alameda avait également recensé les décès attribués au COVID-19 et enregistré une baisse du nombre de décès d’environ 25 %. Le Dr Monica Gandhi, professeur de médecine à l’Université de Californie à San Francisco et spécialiste des maladies infectieuses, pense que le CDC pourrait bientôt demander à tous les comtés de recompter leurs décès dus au COVID-19 et que le pays tout entier pourrait voir le nombre de décès diminuer.[7]

Initialement, la Californie consignait comme morts du COVID-19 toutes les personnes qui étaient décédées et qui avaient été testées positives au COVID-19. Le tout nouveau décompte ne mentionne que les personnes ayant le virus comme cause de décès sur le certificat de décès, tel que déterminé par le médecin légiste.

Pourtant, malgré ce recomptage, compte tenu des incitations financières à modifier les certificats de décès et des tests PCR qui étiquetaient de manière inexacte les personnes infectées par le virus, les chiffres ne sont peut-être [Ndlr : presque certainement] toujours pas une représentation exacte du nombre de personnes décédées du virus.

[Ndlr : Suite en anglais sur Inflated Reporting of COVID Deaths Is a Real Conspiracy (mercola.com). L’article indique que cette tendance à gonfler les chiffres était générale aux États-Unis.
Il avait déjà été reporté ici et par plusieurs autres sites alternatifs (qualifiés de « complotistes » par les médias mainstream) que ceci avait lieu également dans la plupart des pays européens (au moins en Grande-Bretagne et dans les pays de l’Union Européenne). Et des études statistiques sur les données officielles de ces pays ne démontraient pas de surmortalité significative en 2020 par rapport aux années précédentes, compte tenu notamment du vieillissement de la population, des phénomènes de « rattrapage » (connus des démographes), et de la maltraitance des personnes âgées dans les maisons de retraite (trop souvent abandonnées à leur sort sans nourriture, boisson et soins, au moins au Québec et en France, le personnel ayant fui par peur d’attraper la Covid-19).]


Sources et références




Complot, conspiration, plan : dix faits troublants

[Source : ripostelaique.com]

Complot, conspiration, plan ?

[Preuves que la pandémie a été planifiée ?]

1) Bill Gates, aujourd’hui le principal acteur de l’OMS, préconisait déjà en 2010 la venue de « nouveaux vaccins » pour freiner la croissance démographique mondiale dans le cadre de la lutte contre les émissions de CO2. 
https://www.ted.com/talks/bill_gates_innovating_to_zero?language=fr#t-1374074

[►Qui finance l’OMS ? (siksik.org)
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé]

En 2015, l’organisation GAVI, subventionnée par Bill Gates, entre autres, et qui oriente la politique vaccinale mondiale, préconisait la vaccination pour atteindre 14 des 17 objectifs de développement durable (vaccins à gogo !).
https://www.gavi.org/fr/sante-mondiale-et-developpement/objectifs-de-developpement-durable

2) En octobre 2019 démarrent les jeux militaires de Wuhan pendant lesquels des athlètes connaîtront des problèmes respiratoires. En même temps, à New York, des dirigeants oligarques mondialistes simulent une pandémie dans le cadre d’un exercice baptisé « Event 201 ».

https://www.francetvinfo.fr/sports/des-sportifs-francais-contamines-par-le-covid-19-des-octobre-aux-jeux-militaires-de-wuhan_4515647.html

3) En novembre 2019 (avant la déclaration officielle de l’épidémie), PfizerBioNtech commande 2 lots de 800 millions de flacons à vaccins en verre spécial, jamais utilisés auparavant.

https://www.lessymboles.com/pfizer-et-biontech-ont-commande-leurs-flacons-il-y-a-plus-dun-an/

4) En janvier 2020, l’hydroxychloroquine est classée substance dangereuse par la ministre de la Santé, donc interdite de prescription, de même que (par la suite) tout médicament efficace pour soigner l’affection Covid (encore aujourd’hui), ce qui justifie une autorisation de mise sur le marché conditionnelle des injections géniques actuelles (seule solution envisagée depuis le début) sans recul de leurs effets à moyen et long terme.

[Covid-19 – Un virus monstrueux ou un alibi idéal pour tromper l’humanité ?]

5) Dès février/mars 2020, déclenchement et entretien de la peur dans la population : annonces morbides quotidiennes exagérées (on le sait maintenant, il n’y a pas eu de surmortalité en 2020), confinement général (d’abord en intérieur puis en extérieur), couvre-feu à horaires élastiques (deux mesures inutiles). Et tout au long de l’année 2020 et 2021, entretien volontaire de la confusion et de l’incertitude (masques d’abord inutiles puis obligatoires même pour les enfants dès 9 ans, sous peine de 135 € d’amende, annonces prédictives des vagues à venir, assimilation des personnes saines à des malades potentiels), annonce présidentielle d’une vaccination non obligatoire pour en arriver aujourd’hui à la volonté d’injecter toute la population dans une ambiance télévisuelle hystérique…

[►“Surmortalité Covid” en 2020 ? C’est la démographie, idiot !
Quatre gros mensonges sur l’épidémie et le confinement
Les mesures prises contre la propagation de l’épidémie ont-elles vraiment sauvé des vies ?
Covid : du mythe aux statistiques, les vérités cachées !
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LES CONFINEMENTS SONT CATASTROPHIQUES PARTOUT DANS LE MONDE
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COVID-19 : LE GRAND CAUCHEMAR
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Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Mortalité toutes causes confondues pendant la COVID-19 : Pas de fléau et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement
Effets nocifs des masques
Réponse à l’OMS sur le conseil d’utilisation des masques contre la Covid-19
“STOP ! Manipulations, masques, mensonges, peur…” un collectif international de professionnels de santé dénonce des “mesures folles et disproportionnées”
Comment leurs masques rendent bêtes et méchants
Coronavirus : et si les masques faisaient plus de mal que de bien ?
COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires]

6) Les médecins sont, depuis le début de la crise, empêchés de soigner par les autorités de santé (chose impensable) et sont contraints de conseiller à leurs patients de rester au domicile et de prendre du Doliprane jusqu’à l’apparition de l’insuffisance respiratoire les conduisant directement à l’intubation et au décès.

[►« Laissons les médecins prescrire » : la résistance des médecins libéraux s’organise
Vaccins et traitements : les masques tombent et vont tomber]

Des médicaments inefficaces voire dangereux comme le remdévisir (excessivement cher) seront autorisés et préconisés par nos instances de santé.

[Voir : « Le remdesivir ne soigne pas le Covid-19. Pire… » : Didier Raoult met l’OMS face à ses responsabilités]

Attaques médiatiques violentes de toute personne contestant la version officielle concernant les protocoles de soins, la réelle mortalité de la maladie (professeurs Raoult, Perronne, Toubiana…) ou l’origine du « virus » (professeur Montagnier), que ces professeurs soient de renommée mondiale ou prix Nobel !

[►La thèse d’un virus manipulé échappé d’un laboratoire chinois : le pavé dans la mare du Pr Luc Montagnier
Message du Professeur Perronne sur les vaccins contre la Covid-19 !]

7) Dans les Ehpad, le Rivotril sera légalisé et utilisé sans compter avec la bénédiction du ministre de la Santé.

[Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus vite possible]

8) De manière concomitante l’hyperclasse mondiale de Davos nous annonce un nouveau modèle économique après « le Great Reset ». Nouveau modèle ou effondrement inéluctable d’un capitalisme financier à bout de souffle entraînant une paupérisation croissante des populations ??

[►Crise financière de 2008, covid-19, “great reset” et contrôle des populations : la grande manipulation
Les valeurs familiales de Schwab
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
STRATÉGIE FINANCIÈRE ET GREAT RESET
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]

9) Alors que 72 % de la population était opposée à la mise en place du passeport vaccinal lors de la consultation du CESE, il nous est imposé via une instance supranationale non élue.

Ce passeport fait partie des projets de l’UE depuis 2018, bien avant la pseudo-pandémie !
https://participez.lecese.fr/pages/resultats-de-la-consultation-sur-le-passeport-vaccinal

10) Pour lancer la campagne « vaccinale », les dirigeants ont d’abord utilisé l’incitation puis l’injonction. Aujourd’hui, leur véritable objectif se précise puisqu’il est question d’imposer à toute la population l’obligation d’une expérimentation médicale aux effets inconnus voire dangereux. En effet, en Europe, on dénombre plus de 15 000 décès et plus de 1 500 000 effets secondaires dont la moitié sont graves ! Il est important de savoir que seuls 5 à 10 % des effets secondaires ou décès sont comptabilisés dans les centres de pharmaco-vigilance ! Rappelons aussi que les firmes pharmaceutiques sont exonérées de toute responsabilité en cas de problèmes suite à l’injection de leurs produits délétères !

[Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulés]

Il est clair que nos dirigeants actuels organisent la fin de la souveraineté de notre pays pour le soumettre à l’oligarchie mondialiste qui progressivement s’est emparée du pouvoir financier, économique, législatif et aujourd’hui… sanitaire.

Si cette marche forcée vers un nouvel ordre mondial ne relève pas d’un complot, d’une conspiration, il paraît évident qu’elle se déroule selon un plan satanique élaboré de longue date pour entraîner la destruction des nations au vu des réactions quasi similaires dans les pays occidentaux lors de cette crise organisée.

Quel futur pour nos enfants ? Une identité numérique injectable pour un contrôle permanent ? La pérennisation d’un nouveau marché « vaccinal » scandaleusement lucratif pour les placements en Bourse de quelques milliardaires ? Des êtres humains continuellement pharmaco-dépendants d’injections mortifères annuelles voire bi-annuelles et/ou de médicaments chimiques entraînant la destruction de l’immunité naturelle ? Un chantage permanent à la vaccination pour bénéficier de l’accès à une vie normale et/ou à une future éventuelle monnaie numérique ? La domination tyrannique d’une hyperclasse mondiale avide de pouvoir et détentrice insolente de plus en plus de richesses ? Une dépopulation progressive de la classe nombreuse des « inutiles » au profit des « dieux » ?

Seule une large coalition de personnalités politiques animées d’un souverainisme national puissant s’opposant à la caste oligarchique, prônant aussi et surtout l’inviolabilité de l’intégrité corporelle des êtres humains (menace qui se fait jour aujourd’hui), pourra éviter la disparition de notre nation (en cours aujourd’hui) dans l’abîme d’un mondialisme à forte tendance génocidaire.

Philippe Rossi




COVID-19 : LE GRAND CAUCHEMAR

[Source : ici via profession-gendarme.com]

Par LIUTWIN

Préambule

A priori, tout le monde a aujourd’hui conscience que l’humanité est sur un point d’inflexion. Depuis quelques années, les crises de grande ampleur s’enchaînent : crise sociale, crise politique, crise écologique, crise internationale, crise sanitaire, crise économique, crise bancaire… De plus en plus de personnes se posent des questions sur la direction que prend le monde, sans réussir à mettre de mots sur leur malaise, embrouillés par des réponses contradictoires de notre gouvernement et du Conseil scientifique. À quoi jouent-ils ?

Qui aurait pu imaginer en 2019 qu’on serait tous confinés, qu’il y aurait des couvre-feux, qu’on serait tous obligés de porter un masque, qu’il faudrait une attestation dérogatoire pour aller chercher une baguette de pain, que des policiers armés de fusils d’assauts patrouilleraient dans les parcs et sur les plages pour veiller au respect de ces règles ?

Demandez-vous si on aurait accepté aussi facilement toute cette dictature il y a 5, 10 ou 20 ans et à quoi pourrait bien ressembler le futur au rythme où vont les choses.

Si l’on plonge subitement une grenouille dans de l’eau chaude, elle s’échappe d’un bond ; alors que si on la plonge dans l’eau froide et qu’on porte très progressivement l’eau à ébullition, la grenouille s’engourdit ou s’habitue à la température pour finir ébouillantée.”

Fable de la grenouille.

Cet essai est une synthèse établie par un citoyen suivant l’actualité de près et qui se pose depuis le début de la crise sanitaire beaucoup de questions sur ce que l’avenir nous réserve. Du factuel donc, basé autant que possible sur des sites faisant autorité dans le monde médical et politique et non sur des sites “louches”. Des faits bien réels, vérifiés, analysés et argumentés. Tout est sourcé sur les médias mainstream, qui finissent souvent par dévoiler une partie de la vérité en la noyant sous une masse d’informations et de contradictions. Ce document pourra vous donner une assez bonne idée du niveau de corruption de la société, de la façon dont tourne le monde et de ce qui se met peu à peu en place.

Ouvrez grand votre esprit critique, prenez le temps de lire, d’aller voir les sources lorsque vous avez des doutes ou avez besoin d’éclaircissements. Renseignez-vous de votre côté et faites-vous votre propre opinion. Il se pourrait bien que ce soit de notre avenir et de celui de nos enfants à très court terme dont il est aujourd’hui question.

Et si vous étiez déjà conscient de tout cela, ce document, mis à jour en fonction de l’actualité, pourra toujours vous servir d’aide-mémoire…

Liutwin

Sommaire

  • Les dessous de la crise sanitaire
    • Des hôpitaux à bout de souffle
    • Des facteurs de risque
    • Vraie ou fausse pandémie ?
    • Une faible surmortalité
    • L’escroquerie des tests PCR
    • Au coeur de la manipulation
    • La situation dans les Ehpads
  • Des décisions politiques
    • Une pénurie de masques organisée
    • Le masque “ça ne sert à rien”
    • Les masques et la santé
    • Et chez les enfants ?
    • Le confinement en question
    • Une arme de destruction massive
    • Le faux déconfinement
    • Et ailleurs dans le monde ?
  • Vers un changement sociétal
    • Des commerces non essentiels
    • Un tsunami économique
    • Une société de caste
    • Une dictature sanitaire
    • Des appels à la dénonciation
    • Des gestes barrière antisocials
    • Des recommandations délirantes
  • Le poids de “Big Pharma”
    • Conflits d’intérêt et corruption
    • Obscurantisme moderne
    • La nouvelle inquisition
  • Le $aint Vaccin
    • Des recommandations politiques
    • Objectif thune en Europe de la Santé
    • Un jeu d’apprentis sorciers
    • Premiers retours des cobayes
    • D’inquiétantes corrélations
    • En marche vers un génocide
    • Vers un vaccin obligatoire
    • L’apartheid 2.0
  • Pandémie ou “plan”démie ?
    • De l’origine du virus
    • Une succession de faits troublants
    • Des prédictions étonnamment précises
    • Un incroyable faisceau de coïncidences
    • La “théorie du complot”
  • La manipulation de masse
    • Un peuple sous hypnose
    • La politique de la peur
    • La propagande
    • Les médias
    • La télévision
  • Un monde sous contrôle des oligarques
    • Les GAFAM
    • L’agonie de la démocratie
    • La surveillance numérique
    • La dictature du numérique
    • Vers une dictature mondiale
  • Projections de ce qui nous attend
    • Effondrement économique
    • Fin de nos droits et libertés individuelles
    • Vers un nouvel ordre mondial
    • Réduction de la population mondiale
    • Une lueur d’espoir
  • Annexes
    • Quelques documentaires
    • Contact et liens

Les dessous de la crise sanitaire

Olivier Véran nous rappelait fin octobre 2020 dans un tweet punchlineque le Covid-19, c’est : « 1 malade toutes les 2 sec, 1 hospitalisation toutes les 30 sec, 1 mort toutes les 4 mins ». Ce genre de déclaration, qu’on entend tous les jours depuis le premier confinement, est une méthode de manipulation qui par l’emploi d’une technique hypnotique consiste, en rabachant les chiffres avec des phrases choc, à saturer notre capacité à comprendre le réel. On joue sur l’émotionnel en ne nous donnant pas le temps de comprendre et d’analyser toutes les données. On ne fait plus le lien entre le numérateur (nombre de morts), qui est une donnée concrète, et le dénominateur (nombre de personnes infectées), qui l’est beaucoup moins.

Quelle est la charge virale ? Le taux de mortalité ? Le taux d’incidence ? Les tests sont-ils fiables ? Pourquoi les hôpitaux sont-ils saturés ?

Des hôpitaux à bout de souffle

« Le nombre de malades en réanimation va encore augmenter mécaniquement, quoi qu’on fasse.»1

Jérôme Salomon, directeur général de la Santé, le 28 octobre 2020.

Donc, le confinement, les couvre-feux et les mesures sanitaires ne servent à rien ? N’y avait-il vraiment rien à faire, comme augmenter le nombre de lits en réanimation ?

Si les cas augmentent, on dit que c’est dû au relâchement des Français qui ne respectent pas les règles sanitaires. Mais, quand les hôpitaux finiront par se vider, on dira que c’est grâce aux mesures sanitaires qui portent leurs fruits. Cherchez l’erreur. C’est comme en matière de sécurité routière où, plutôt que d’avoir une politique de prévention et d’entretien des routes, on préfère tout miser sur les radars. Y aurait-il des intérêts privés derrière ?

1https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-la-deuxieme-vague-pourrait-etre-superieure-a-la-premiere-selon-jerome-salomon_AD-202010280268.html

Les hôpitaux n’ont pas attendu le coronavirus pour être submergés. Ils le sont tous les ans de novembre à mai et cela fait depuis des années que les personnels soignants tirent la sonnette d’alarme, dans l’indifférence et le mépris de la classe dirigeante.

D’après EuroMomo, un réseau de statistiques qui fait référence en matière de surveillance de la mortalité en Europe, L’Espagne et l’Angleterre sont les seuls à avoir connu un pic épidémique comparable à la France. Pour nos voisins germaniques, c’est le calme plein. L’Allemagne et l’Autriche, avec 2 fois plus de lits par habitant qu’en France, n’ont quasiment pas eu de surmortalité cette année.2

Il y a une corrélation évidente entre le nombre de décès et le nombre de lits de soins intensifs par millier d’habitant dans chaque pays.3

2 https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps#z-scores-by-country

3 https://www.oecd.org/coronavirus/fr/les-donnees-dechiffrees/capacite-en-lits-de-soins-intensifs

Près de 100.000 lits ont été supprimés entre 1993 et 2018.4

69.000 lits ont été supprimés ces 15 dernières années, dont 3.400 en 2019.5

Sous Sarkozy : -46.500. Sous Hollande : -17.500. Seulement – 4170 pour Macron, mais il ne faut pas lui en vouloir, ses prédécesseurs ne lui ayant laissé que peu de marge de suppression.

En 1980 : 731 lits pour 100.000 habitants. En 2020 : 378 lits pour 100.000 habitants.6

En 40 ans, les capacités d’accueil ont été divisées par deux. C’est ÇA la réalité dans nos hôpitaux, Monsieur Véran.

Pour la Fédération hospitalière de France, le passage au 35 heures aurait profondément désorganisé l’hôpital. Faute de moyens et de candidats, cette réforme n’a en effet pas été suivie d’embauches, aboutissant à une pénurie de personnel dans la plupart des établissements.7

La réforme Bachelot, calant la gestion des hôpitaux sur les entreprises et en transformant les directeurs d’hôpitaux en managers, a fait disparaître la médecine hospitalière au profit d’une médecine mercantile.8

4 https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/06/12/l-hopital-en-quete-du-juste-nombre-de-lits_6042577_3224.html

5 https://www.lesechos.fr/economie-france/social/3400-lits-dhopitaux-ont-ete-supprimes-en-2019-1249859

6 https://donnees.banquemondiale.org/indicator/SH.MED.BEDS.ZS

7 https://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/03/21/20002-20150321ARTFIG00019-comment-les-35h-ont-desorganise-l-hopital.php

8 https://sante.lefigaro.fr/actualite/2009/04/16/9500-reforme-bachelot-denoncee-par-medecins-renommes

La T2A (tarification à l’activité) imposée par l’Union Européenne constitue maintenant le mode de financement unique des établissements publics et privés.9

La commission européenne a fait au moins 63 rappels aux États membres pour qu’ils réduisent leurs dépenses de santé.10 Elle a fait de l’hôpital une “entreprise de production de soins” soumis à la rentabilité au moindre coût.11

La destruction de notre système de santé est VOULUE par l’Union Européenne.

Mise en place en 2004 par Jean Castex, alors Directeur de l’Hospitalisation et de l’Offre de Soins au ministère de la Santé, cette réforme pousse à la fermeture des services de soins et des maternités n’atteignant pas le “seuil de rentabilité”.12 Désormais, selon le ministère de la Santé, le taux idéal d’occupation des lits est de 95 % en médecine et en chirurgie.13

La conséquence de ce mécanisme pervers est que chaque fois que l’activité diminue, en général à la sortie de l’hiver, on supprime des lits vacants. Nos hôpitaux n’ont de ce fait plus aucune résilience pour faire face à des épidémies.

« Il n’est pas possible de réaliser d’importantes économies à court terme sans ralentir considérablement la croissance des dépenses de sécurité sociale, qui représentent plus de la moitié des dépenses publiques. La France s’est fixé des objectifs ambitieux pour 2016 et 2017 afin de limiter la croissance des dépenses de santé. Ces objectifs pourraient être complétés par des efforts supplémentaires visant à identifier des gains d’efficacité sur le moyen à long terme. »14

Recommandation du Conseil de l’UE du 12 juillet 2016.

En 2015, un plan opérationnel sur 3 ans intitulé “Kit de déploiement régional du planOndam à destination des ARS” a été distribué de manière confidentielle aux directeurs des agences régionales de santé. Comportant des tableaux indicateurs de performance, il instaure une logique comptable avec des objectifs d’économie par des restrictions budgétaires.15

La France, mondialement réputée pour son système de santé il n’y a encore pas si longtemps, a été en seulement quelques années reléguée à la 11e place.

9https://solidarites-sante.gouv.fr/professionnels/gerer-un-etablissement-de-sante-medico-social/financement/financement-des-etablissements-de-sante-10795/article/financement-des-etablissements-de-sante

10https://www.humanite.fr/la-commission-europeenne-demande-63-fois-aux-etats-de-reduire-les-depenses-de-sante-denonce-687250

11 https://www.lemonde.fr/societe/article/2006/02/22/la-rentabilite-imposee-a-l-hopital_743923_3224.html

12 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-mysterieuse-t2a-du-docteur-castex-ou-la-chaine-de-demontage-de-lhopital

13https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/hopitaux-la-suppression-des-lits-operee-depuis-les-annees-1990-inquiete-les-professionnels-de-sante_4170777.html

14 https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32016H0818(27)

15 https://www.liberation.fr/societe/2015/03/08/la-logique-comptable-fait-son-lit-a-l-hopital_1216903

Mais où va l’argent du contribuable ?

L’application StopCovid, qui n’a servi strictement à rien, a coûté au contribuable entre

200.000 et 300.000 euros par mois en frais de fonctionnement.16 D’abord présentée comme ayant été réalisée à titre gratuit par des entreprises privées, le coût global a été estimé à 6,5 millions d’euros. Le développement de l’application n’ayant pas fait l’objet d’un appel d’offre, l’association Anticor a porté plainte contre Olivier “Véreux” pour délit de favoritisme.17

20 millions d’euros ont été dépensés en LBD40 et grenades lacrymogènes en 2019 pour se préparer à la révolte sociale.18

2 milliards d’euros de subvention pour aider les organes de propagande de l’État que sont la presse et les médias.19

2, 8 millions d’euros accordés à des spécialistes de la veille sur les réseaux, afin de surveiller le ressenti des Français sur les actions gouvernementales.20

26 millions d’euros ont été dépensés dans des sondages d’opinion rien qu’en octobre, ce qui représente 184% du budget initialement prévu pour le service d’information du gouvernement (SIG) pour l’année 2020.21 Des sondages destinés à la fois à aider le gouvernement à orienter sa politique publique, mais aussi à convaincre les Français d’accepter sa politique.

Dans la nuit du 17 avril 2020, 20 milliards d’euros ont été donnés par le gouvernement à de grandes entreprises polluantes, sans contrepartie écologique ou sociale.22 Rappelons au passage qu’il y a 48.000 morts par an en France à cause de la pollution de l’air.23

15 milliards d’euros d’aides aux entreprises sont débloqués par mois de confinement, qui vont allonger la dette pour des décennies.24

Après avoir été gavé d’argent public par les mesures de soutien dans le cadre de la crise sanitaire, le CAC40 va distribuer 51 milliards d’euros à ses actionnaires en 2021, soit une hausse de 22% de dividendes par rapport à l’an dernier.25

On met un pognon de dingue dans les entreprises, la propagande et la répression.

N’aurait-il pas mieux valu le placer dans une véritable prévention pour les personnes vulnérables et pour l’hôpital public ?

16 https://www.capital.fr/economie-politique/lamere-facture-de-stopcovid-pour-le-contribuable-1371669

17https://www.lefigaro.fr/flash-eco/application-stopcovid-anticor-porte-plainte-a-la-cjr-contre-veran-pour-favoritisme-20210322

18 https://www.agoravox.fr/actualites/article/les-millions-depenses-en-lbd40-et-222749

19https://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/coronavirus-le-gouvernement-a-debloque-2-milliards-pour-les-medias-1221356

20https://www.bfmtv.com/tech/le-gouvernement-investit-pres-de-3-millions-d-euros-pour-surveiller-sa-reputation-en-ligne_AN-202104160380.html

21https://www.capital.fr/economie-politique/lappetit-de-sondages-du-gouvernement-epingle-par-une-deputee-1384655 22https://www.franceinter.fr/environnement/20-milliards-d-euros-pour-les-entreprises-strategiques-un-cheque-en-blanc-au-profit-des-pollueurs

23https://www.santepubliquefrance.fr/presse/2016/impacts-sanitaires-de-la-pollution-de-l-air-en-france-nouvelles-donnees-et-perspectives

24https://www.ladepeche.fr/2020/10/29/aides-economiques-aux-entreprises-15-milliards-deuros-finances-par-letat-par-mois-de-confinement-9171505.php

25https://www.liberation.fr/economie/pour-les-actionnaires-du-cac-40-cest-le-jackpot-20210427_TZT64XHT3VAPXIQCR3W5RLFTYI

Les services de Santé publique ne manquent en fait pas de moyens, la France étant le pays d’Europe où les dépenses de santé sont les plus élevées, mais ils sont étouffés par une bureaucratie inefficace et très coûteuse.26 Ce ne sont ainsi pas moins de 405.600 personnes, soit 34% du personnel hospitalier, qui vaquent à des occupations autres que médicales.27

26 https://www.francetvinfo.fr/sante/sante-publique-labureaucratiepointee-du-doigt_4359685.html

27 https://theconversation.com/fact-check-y-a-t-il-trop-de-postes-administratifs-dans-les-hopitaux-137615

Malgré la promesse d’un plan massif pour l’hôpital28, le dogme de la suppression de lits a continué en 2020, en pleine crise sanitaire !29

« Rien n’a changé. Les projets se poursuivent comme avant, alors que la crise a bien montré que ce n’était plus possible. »

Christophe Prudhomme, de la CGT Santé.30

Les dirigeants de l’Assistance Publique Hôpitaux de Paris (AP-HP) ont indiqué lors d’une conférence de presse avoir décidé un « arrêt temporaire » des urgences de l’Hôtel-Dieu pour ouvrir des lits de soins critiques dans un établissement voisin, une décision qui ne fait pas l’unanimité chez le personnel soignant.31 À la manifestation contre la fermeture des urgences de l’hôpital Hôtel-Dieu, les forces de l’ordre ont relevé les identités des manifestants et annoncé des verbalisations pour leur rassemblement.32 En marge de la manifestation du 17 juin 2020, une infirmière asthmatique a été violemment interpellée par les forces de l’ordre.33

Un projet gouvernemental d’un “coût exorbitant” vise, sous l’influence de lobbys, à réorganiser le secteur de la psychiatrie avec une nouvelle approche fondée sur les neurosciences. Le concept ? La déshumanisation par l’intelligence artificielle, qui établit un bilan neurophysiologique approfondi, en ayant recours aux IRM et à des algorithmes. Le patient est ainsi de manière automatisée mis dans une case selon un diagnostic promu par la classification américaine des maladies mentales, passible de traitements médicamenteux.34

28https://www.latribune.fr/economie/france/segur-de-la-sante-le-gouvernement-promet-6-milliards-d-euros-pour-les-salaires-a-l-hopital-et-en-ehpad-851146.html

29 https://framacarte.org/fr/map/suppressions-de-lits-dans-les-hopitaux-source-wwwb_85927

30https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/12/28/fermetures-de-lits-a-l-hopital-l-inquietude-remonte-chez-les-soignants_6064623_3224.html

31 https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/paris/fermeture-urgences-hotel-dieu-non-sens-sanitaire-1891188.html

32 https://twitter.com/ClementLanot/status/1324708933076946945

33https://www.francetvinfo.fr/sante/politique-de-sante/hopital-les-images-dune-infirmiere-arretee-lors-d-une-manifestation-font-polemique_4011241.html

34 https://www.liberation.fr/idees-et-debats/tribunes/cri-dagonie-de-la-psychiatrie-20210414_KEER442HNVCALDQUVED34UAPS4

Les hôpitaux privés sont restés sous-sollicités, alors qu’ils s’étaient préparés à un afflux de patients atteints du Covid-19 et ont eux-mêmes appelé à être réquisitionnés. Ainsi, ce ne sont pas moins de 10.000 lits qui étaient disponibles au plus fort de l’épidémie.35 Mais plutôt que d’y transférer les patients, on a préféré les envoyer par hélicoptère à l’autre bout du pays voire en Allemagne. Une stratégie qui interroge.

« Dans plusieurs régions, y compris parmi les plus touchées, des lits libérés restent vides ou sous-occupées. Les médecins et anesthésistes libéraux des établissements privés sont peu sollicités »36

Personnel soignant de la Fédération des cliniques et hôpitaux privés.

❌ “MENSONGE ! Fake news ! Non, 115.000 lits ne sont pas vides dans les cliniquesprivées alors que la seconde vague déferle !”, a tenté de démentir LCI, parmi tant d’autres médias.37

✔ Le scandale ne portait pas non plus sur 115.000 lits vides, ce chiffre n’ayant été avancé

que pour informer du nombre total de lits. Il n’en demeure pas moins que la plupart d’entre eux sont effectivement restés très peu sollicités. Le contenu même de l’article de LCI contraste d’ailleurs avec le titre fallacieux, puisque le média reconnaît par la suite que des “points de blocage ont eu lieu au début de la première vague, de l’aveu des acteurs concernés.”

Les déserts médicaux progressent en France, impactant un Français sur 10. Les délais insupportables conduisent souvent ceux-ci à renoncer à se soigner, l’unique recours étant de se rendre aux urgences et donc de contribuer à la saturation de celles-ci.38 L’atteinte à la liberté de prescription des médecins par l’état d’urgence sanitaire39 a aussi sans nul doute contribué à l’engorgement des hôpitaux.

Du fait de la priorisation sur les cas “positifs” de Covid, les hôpitaux sont amenés à déprogrammer la majeure partie des interventions pour d’autres maladies. L’Agence régionale de santé a fixé aux établissements un objectif de 80% de déprogrammation en Île-de-France.40

Une fois passé le premier pic de l’épidémie, les hôpitaux publics ont essayé de remplir les lits de réanimation et d’urgence pour pouvoir les garder du fait de la T2A.

« Les hôpitaux sont tellement à bout de souffle qu’ils mettent aujourd’hui en réanimation des patients qui ont simplement besoin de 3 litres d’oxygène. C’est du jamais vu. »41

Martine Wonner, médecin psychiatre et député du groupe Libertés et Territoires.

35 https://www.huffingtonpost.fr/entry/coronavirus-pourquoi-les-hopitaux-prives-sont-sous-sollicites-le-plan-blanc-lexplique-en-partie_fr_5e7c87aac5b6cb9dc19af6aa

36 https://www.cnews.fr/france/2020-03-31/en-pleine-urgence-sanitaire-pourquoi-des-cliniques-privees-sont-elles-vides-942173

37 https://www.lci.fr/sante/non-115-000-lits-ne-sont-pas-vides-dans-les-cliniques-privees-alors-que-la-seconde-vague-deferle-2169279.html

38 https://questions.assemblee-nationale.fr/q15/15-757QOSD.htm

39 https://www.eurojuris.fr/categories/coronavirus-13013/articles/covid-19-et-prescription-hydroxychloroquine-39597.htm

40 https://www.lci.fr/sante/covid-19-cliniques-et-hopitaux-franciliens-appeles-a-deprogrammer-80-des-operations-2181529.html

41 https://www.youtube.com/watch?v=oMuRdxCSPCg

Des facteurs de risque

L’âge médian des personnes officiellement décédées du coronavirus est de 84 ans, avec un âge moyen de 81 ans. L’espérance de vie en France est de 82 ans. Les personnes de moins de 45 ans sont dans leur immense majorité (plus de 98%) épargnées.42

42 https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps

La grande majorité des patients en réanimation a plus de 60 ans. Un fait qui n’a été admis par les médias que lorsque le gouvernement a cherché des arguments pour convaincre les personnes âgées de se faire vacciner.43

Le taux de patients COVID-19 nouvellement hospitalisés par semaine et par classe d’âge selon la date d’admission, montre également un risque d’aggravation proportionnel à l’âge.

« Beaucoup de gens pensent à tort que les choses sont simples, par exemple qu’une maladie est la conséquence d’un unique facteur, ce qui est très rare. La mortalité du Covid-19, à part chez les gens qui ont une très faible espérance de vie, est très faible. La quasi-totalité des personnes sont décédées pour la plupart avec des comorbidités sévères. »

Pr Didier Raoult, épidémiologiste et spécialiste des maladies infectieuses.

43 https://www.lci.fr/sante/la-grande-majorite-des-patients-en-reanimation-ont-ils-vraiment-plus-de-60-ans-2174674.html

Une étude rapporte que les personnes obèses atteintes du Covid-19 risquent quatre fois plus d’en mourir, en particulier chez les hommes et les jeunes patients.44 Hélas, une autre étude rapporte que “le confinement, c’est aussi plus d’obésité”.45

Les statistiques de Santé Publique France arrêtées au 6 novembre 2020 et rapportés sur CNEWS.46 C’est factuel.

« 90% des patients en réanimation ont une comorbidité.
Moyenne d’âge des patients morts avec le Covid-19 en France : 81 ans. Cette moyenne d’âge correspond à celle de l’espérance de vie.
Un tiers des décès a eu lieu dans les Ehpads. 50 % des victimes avaient plus de 84 ans.
80 % des victimes avaient plus de 75 ans. 99,9 % des gens ont plus de 30 ans.
0,1 % ont moins de 20 ans, ce sont les fameux 28 morts sur 38.000 et surtout la majorité sont morts en réalité d’autres pathologies beaucoup plus graves.
Même chez les plus de 90 ans, le taux de survie est de 80 %, un nonagénaire a donc quatre chances sur cinq de s’en tirer.
83 % des gens en réanimation sont en surpoids.
Seuls 2 % des personnes décédées étaient âgées de moins de soixante ans et sans comorbidité connue »

Pascal Praud, un vrai journaliste.

Et si, au lieu d’enfermer tout le monde, on confinait les seules personnes à risque ?

Après avoir dans un premier temps demandé aux personnes les plus vulnérables et aux personnes âgées de rester confinées, le chef de l’État a rétropédalé, ne souhaitant finalement pas « de discrimination des personnes âgées ou fragiles » et appelant à la responsabilité individuelle.47 Par contre, les jeunes en bonne santé doivent accepter un vaccin qui les expose à plus de risque d’effets secondaires que la maladie elle-même. Ils diminuent leurs propres défenses immunitaires avec des gestes barrières antisociaux. Ils doivent se confiner pour ne pas saturer les hôpitaux et cotiser pour des retraites auxquelles ils n’auront probablement jamais accès.

La solidarité entre générations ne fonctionne apparemment que dans un seul sens !

44https://www.ouest-france.fr/sante/les-personnes-obeses-atteintes-du-covid-19-risquent-quatre-fois-plus-d-en-mourir-rapporte-une-etude-6937642

45 https://www.santelog.com/actualites/le-confinement-cest-aussi-plus-dobesite

46 https://twitter.com/boutaour/status/1325730485021134848

47https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-vrai-du-faux/faut-il-confiner-les-personnes-agees-les-nombreux-revirements-de-l-executif_4221507.html

Vraie ou fausse pandémie ?

Selon un rapport de commission d’enquête du sénat, les critères de définition d’une pandémie ont été modifiés par l’OMS un mois avant le passage en phase 6 de l’épidémie de grippe porcine A/H1N1 en 2009. Auparavant, une pandémie était définie par l’apparition de “plusieurs épidémies simultanées à travers le monde avec un grand nombre de décès et de maladies”. Cette dernière condition, le critère de gravité, a été supprimée et l’OMS en a modifié en catimini la définition sur son site Internet, sans changer la date affichée.48

La définition d’une pandémie est devenue : “propagation mondiale d’une nouvelle maladie”.49 Et, tout à coup, toute grippe commune et bénigne peut être transformée en pandémie par l’OMS.

Lors de son audition à la commission d’enquête de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, le Dr Wolfgang Wodarg a estimé que la déclaration de l’état de pandémie, pour une grippe dont les chiffres étaient très faibles pour un niveau d’alarme disproportionné, a été rendue possible par le changement de définition. C’est parce qu’il était à la fois membre du parlement allemand et membre du conseil de l’Europe qu’il a eu le pouvoir d’exposer le canular. Les membres de la commission ont alors reconnu à l’unanimité le rôle qu’ont joué des firmes pharmaceutiques dans la gestion de l’épidémie par l’OMS et les États.50

« Le soin de définir une pandémie alarmante ne doit pas être soumis à l’influence des marchands de médicaments. »

Dr Wolfgang Wodarg, médecin et épidémiologiste allemand, ancien président du Comité santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Cela soulève la question de la gestion par l’OMS des conflits d’intérêts entre ses experts et l’industrie pharmaceutique. Contre toute attente, l’épidémie de grippe H1N1 a été qualifiée de “fausse pandémie” dans le rapport du sénat.

« La déclaration, le 11 juin 2009, par la directrice générale de l’OMS d’une pandémie de grippe A (H1N1)v – d’emblée considérée comme « de gravité modérée », « du moins dans ses premiers jours » – a rapidement suscité des critiques à l’égard de l’OMS, soupçonnée au mieux d’avoir surestimé le risque et recommandé aux États membres des mesures disproportionnées et d’un coût démesuré, au pire d’avoir « inventé » une pandémie sous l’influence des industries pharmaceutiques, désireuses de rentabiliser leurs investissements grâce à l’application des plans nationaux. »

Extrait du rapport du sénat sur la grippe A/H1N1.

L’escroquerie H1N1, déjouée par le Dr Wolfgang, montre que ce ne serait pas la première fois qu’une fausse pandémie serait fabriquée de toutes pièces par l’OMS, reprise avec une grande complaisance par les politiques de santé publique.

48 http://www.senat.fr/rap/r09-685-1/r09-685-111.html

49 https://www.who.int/csr/disease/swineflu/frequently_asked_questions/pandemic/fr/

50 https://www.humanite.fr/node/430467

Pour télécharger ou voir la suite :

https://drive.google.com/file/d/1oSHiNBEi91plxW15HciIV48V4HDXsLU5




Ce que je sais et ne sais pas sur le virus SRAS-CoV-2

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Edward Curtin

Après quinze mois de lecture, d’étude, d’observation et de recherche assidues, j’en suis arrivé à quelques conclusions sur ce qu’on appelle le COVID-19.

Je tiens à souligner que j’ai fait ce travail obsessionnel car il semblait si important. J’ai consulté des informations et des arguments sur tous les médias, corporatifs et alternatifs, universitaires, médicaux, livres, etc.
J’ai consulté des chercheurs du monde entier. J’ai lu les sites Web des CDC, de l’Organisation mondiale de la santé et des organisations gouvernementales et non gouvernementales de la santé. En d’autres termes, je n’ai laissé aucun effort, malgré les penchants politiques manifestes ou cachés des sources. Je l’ai fait en tant que sociologue et écrivain, et non en tant que médecin, bien que beaucoup de mes sources aient été des médecins et des études médicales.

Mes conclusions succinctes suivent sans liens avec les sources, car je n’essaie de persuader personne de quoi que ce soit, mais simplement de déclarer pour le compte rendu public ce que j’ai conclu. La vie est courte. Je vais le dire maintenant.

Je sais qu’un grand nombre de personnes ont été hypnotisées par la peur, les menaces et les pots-de-vin pour accepter la version de COVID-19 des médias grand public. J’ai conclu que plusieurs millions de personnes sont en « état de transe » et ne le savent pas. Ils ont été induits en erreur dans cet état par une campagne de propagande bien organisée et très sophistiquée qui s’est inspirée de la peur humaine de la mort et de la maladie. Ceux qui sont derrière cela ont sans aucun doute étudié la forte incidence de l’hypocondriase dans la population générale et la peur d’un « virus » invisible dans les sociétés où la croyance en Dieu et en l’invisible spirituel a été remplacée par la foi en la science. Connaissant bien leur public, ils ont concocté une campagne de peur et de confusion pour induire l’obéissance.

Je ne sais pas, mais je soupçonne que ceux qui ont été si hypnotisés ont tendance à être principalement des membres de la classe moyenne à la classe supérieure, ceux qui ont tant investi dans le système. Cela inclut les personnes très scolarisées.

Je sais que pour enfermer des centaines de millions de personnes en bonne santé, insister sur le port de masques inutiles, pour leur dire d’éviter les contacts humains, pour détruire la vie économique des personnes ordinaires, ont créé de vastes souffrances qui visaient à enseigner aux gens une leçon sur qui contrôlaient et qu’ils révisaient mieux leur compréhension des relations humaines pour s’adapter à la nouvelle irréalité numérique que les producteurs de cette mascarade tentent de mettre en place de la chair et du sang, face à face à la réalité humaine.

Je sais que le test PCR inventé par Kary Mullis ne peut pas tester le virus présumé ou tout virus et que, par conséquent, tout le nombre de cas et de décès est basé sur absolument rien. Ils sont le fruit d’un tour de passe-passe, d’un immense tour de magie. Je sais que la conviction que le virus peut être testé a commencé avec le protocole non scientifique PCR Corona [le premier test de diagnostic simple de la COVID-19] créé par Christian Drosten en Allemagne en janvier 2020. Ce dernier est devenu la méthode standard de test du CoV-2 du SRAS dans le monde entier. Je suis sûr que cela a été planifié à l’avance et qu’il faisait partie d’une conspiration de haut niveau. Ce protocole a fixé le seuil de cycle (amplification) à 45, ce qui ne pouvait donner que de faux résultats positifs. On les appelait alors des cas : Un acte de fraude à grande échelle.

Je ne sais pas si le prétendu virus a déjà été isolé dans le sens où il était purifié ou isolé de tout le reste, à part être cultivé en laboratoire. Par conséquent, je ne sais pas si le virus existe.

Je sais que les « vaccins » expérimentaux à l’ARNm que l’on impose à tout le monde ne sont pas des vaccins traditionnels, mais des expériences dangereuses dont les conséquences à long terme sont inconnues. Et je sais que Moderna dit que son « vaccin » non vaccinal à ARN messager (ARNm) fonctionne « comme un système d’exploitation sur un ordinateur » et que le Dr. Robert Malone, inventeur de la technologie du vaccin à ARNm, affirme que les nanoparticules lipidiques des injections voyagent dans tout le corps et s’installent en grande quantité dans de multiples organes où la protéine de pointe, étant biologiquement active, peut causer des dommages massifs et que la FDA le sait. En outre, je sais que des dizaines de milliers de personnes ont subi des effets indésirables de ces injections et que plusieurs milliers en sont mortes et que ces chiffres sont grandement sous-estimés en raison des systèmes de déclaration de ces cas. Je sais qu’avec ce nombre [déclaré] de victimes dans le passé, ces injections expérimentales auraient été arrêtées il y a longtemps ou n’auraient jamais commencé. Le fait que la vaccination se poursuit malgré tout, me persuade qu’un programme extrêmement diabolique est en cours dont le but est de nuire à la santé parce que les responsables savent ce que je sais et bien plus encore.

Je ne sais pas d’où vient ce prétendu virus, s’il existe.

Je sais que dès le début de cette crise, il y a eu un effort concerté dans le monde entier pour refuser l’accès à des traitements efficaces éprouvés tels que l’hydroxychloroquine, les stéroïdes, l’ivermectine dans un effort planifié pour vacciner le plus grand nombre de personnes possible. Cela révèle à lui seul un programme centré non pas sur la santé, mais sur la volonté d’amener le plus grand nombre de personnes possible à se faire vacciner et à être contrôlées.

Le contrôle social est le nom de ce scénario meurtrier.

Je sais que les promoteurs de la vaccination Covid-19 – le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé, la Fondation Gates, la Fondation Rockefeller, etc. – ont une longue histoire de volonté de réduire considérablement la population mondiale et que leur promotion de l’eugénisme sous divers noms est très bien connue. Je suis convaincu que la « thérapie génique » de type ARNm non encore testée est la clé de leur plan de réduction de la population.

Je ne sais pas s’ils réussiront.

Je sais qu’il faut nous y opposer.

Je ne sais pas pourquoi il y a autant de citoyens honnêtes qui n’arrivent pas à voir le problème. Je ne peux que l’attribuer au fait qu’elles ont été victimes d’une campagne de propagande gigantesque et hypnotique se servant de leurs peurs les plus profondes et qui aboutira à la manifestation de ces peurs sous prétexte qu’ils pensaient être libres. C’est une grande tragédie.

Je sais que toutes les statistiques sur les cas et les décès « dus » à » COVID-19 ont été manipulées pour créer une fausse pandémie. L’une des preuves les plus évidentes en est la disparition présumée de la grippe et les décès dus à la grippe. Seule une personne en transe pouvait ne pas comprendre la logique absurde de l’argument selon lequel c’était le résultat du port du masque alors que le COVID-19  d’origine aérienne s’est répandu comme une traînée de poudre jusqu’à ce qu’il s’arrête brusquement en janvier 2021 alors qu’un nombre infime de personnes avaient été vaccinées.

Je sais qu’il n’y a guère eu de surmortalité.

Je ne sais pas où tout cela va s’arrêter, mais j’espère contre toute attente que l’opposition croissante à cette fraude se développera et la fera échouer malgré la censure organisée, qui est en cours, contre les opinions dissidentes.

Je sais que lorsque la censure organisée à cette échelle a lieu, ceux qui sont derrière elle ont peur de la révélation de la vérité. Une simple compréhension de l’histoire le confirme.

Je sais que le sursis temporaire accordé par les autorités à leurs sujets sera suivi de nouvelles restrictions aux libertés fondamentales, que les confinements du virus corona reviendront probablement, que les rappels de « vaccins » seront promus et que la pression du Forum économique mondial pour une grande réinitialisation avec une quatrième révolution industrielle conduira au mariage de l’intelligence artificielle, des cyborgs, de la technologie numérique et de la biologie avec les États-Unis et d’autres pays continuant à glisser dans une nouvelle forme de contrôle fasciste à moins que des gens du monde entier ne se lèvent et ne résistent en grand nombre. Je suis rassuré par les signes qui montrent que cette résistance se fait de plus en plus sentir.

Enfin, je sais que si les forces autoritaires gagnent la bataille immédiate, quelqu’un écrira un livre avec un titre comme celui du classique de Milton Mayer, They Thought They Were Free. Il sera censuré. Peut-être sera-t-il d’abord partagé via samizdat. Mais à la fin, après beaucoup de souffrances et de morts, la vérité sur ce mauvais programme prévaudra et il y aura beaucoup de pleurs et de grincements de dents.

Nous sommes dans une guerre spirituelle pour l’âme du monde [une guerre psychologique pour la conquête du monde].

Edward Curtin

Article original en anglais :

What I Know and Don’t Know about SARS-CoV-2 Virus

Traduit par Maya pour Mondialisation


Edward Curtin est un auteur, un chercheur et un sociologue éminent basé dans l’ouest du Massachusetts.

Il est associé de recherche du Centre de recherche sur la mondialisation (CRG).

Il est l’auteur de Seeking the Truth in a Country of Lies

Pour commander son livre, cliquez sur la page couverture

« Chercher la vérité dans un pays de mensonges est un voyage éblouissant au cœur de nombreuses questions – politiques, philosophiques et personnelles – qui devraient nous préoccuper tous. Ed Curtin a le toucher du poète et l’œil d’un aigle. » 

Robert F. Kennedy, Jr.

« Edward Curtin met nos têtes farcies par la propagande dans une guillotine, puis en un éclair nous emmène dans une promenade rédemptrice dans les bois – de l’enfer au paradiso. Marchez avec Ed et ses amis – Daniel Berrigan, Albert Camus, George Orwell et bien d’autres – à travers les bois les plus sombres et les plus remplis de lucioles de cette terre. » 

James W. Douglass, auteur, JFK et l’indicible

« Un exposé puissant de la CIA et de notre État secret… Curtin est un ardent défenseur de la réforme de longue date ; ses histoires vous réveilleront le cœur. » 

Oliver Stone, cinéaste, écrivain et réalisateur

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Edward Curtin, Mondialisation.ca, 2021




La France vaccine aussi les jeunes adultes. Existe-t-il un lien entre l’augmentation de la mortalité et la vaccination? TROIS fois plus de morts depuis le début de la campagne de vaccination alors que seuls 5% des 18-29 ans sont vaccinés !

Par Alain Tortosa

Le nombre de vaccinés

Contrairement à ma croyance qui pensait que seuls les vieux étaient vaccinés, 5,17 % des jeunes(([1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381474)) entre 18 et 29 ans ont reçu une dose de vaccin au 27 avril soit 388 947 personnes sur une population(([2] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381474)) de 7 526 051.

70 % sont des personnels de santé, 18% des EHPAD et le reste, soit 12 %, n’est pas précisé. 0,29 % seulement avaient des comorbidités !!!

Le nombre de décès du Covid dans cette tranche d’âge

Avant le début de la vaccination, entre le 17 mars 2020 et le 23 janvier de cette année, 41 personnes(([3] https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&f=29&i=covid_hospit_clage10.dc&s=2021-04- 28&t=a01&view=map1)) entre 20 et 29 ans, sont officiellement décédées du Covid. Je dis bien officiellement, car nous savons tous que les données sont totalement manipulées et qu’il faudrait probablement dire qu’ils sont morts AVEC le Covid. Cela correspond à un taux de mortalité de 0,00054 %, soit 5,45 morts par million d’habitants.

Si maintenant on s’intéresse à la mortalité entre le début de la crise et le 27 avril de cette année alors nous en sommes 76 décès. Un taux de mortalité de 0,00101% donc 10 morts par million.

Nous avons un doublement de la mortalité en incluant la période de la campagne de vaccination.

Une autre façon de l’illustrer est de comptabiliser le nombre de décès mensuels avant la période de vaccination qui est de 3,94 morts par mois. Puis de la comparer à la seule période de vaccination où le nombre de décès par mois passe à 11,17 par mois soit presque 3 fois plus de morts depuis la campagne de vaccination !

Le nombre de décès habituels dans cette tranche d’âge

Selon l’Ined,(([4] https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-population/chiffres/france/mortalite-cause-deces/taux-mortalite-sexe-age/)) le taux de mortalité habituel est de 0,0045% soit environ 3387 décès par an.

L’INSEE(([5] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2386052#tableau-figure2)), quant à elle, précise que pour l’année 2018, le pourcentage de décès dans cette tranche d’âge par maladie infectieuse est de 1,5 %.

Si l’on s’intéresse à la période prévaccinale, soit 10,4 mois, il aurait dû y avoir environ 2935 décès. Les morts de maladies infectieuses, soit 1,5 %, devraient être de l’ordre de 44 sur la période. Il est intéressant de constater que le nombre habituel de décès par infection, soit 44, est quasi identique au nombre de morts imputés au Covid sur la même période soit 41 décès.

Ceci indiquerait deux choses :

  • Une absence totale de surmortalité due au Covid dans la tranche d’âge.
  • Que tous les décès habituels par infections auraient été estampillés Covid en 2020.

Intéressons-nous maintenant à la période de vaccination, soit 3,1mois. Le nombre de décès habituels toutes causes devrait être de 884. 1,5% de maladies infectieuses de ces 884 devrait donner 13,26 morts.

Mais nous déplorons officiellement 35 décès sur cette période par Covid soit 2,6 fois plus.

Nous constatons une énorme surmortalité, presque trois fois plus qu’en temps normal durant la période vaccinale !

Pourquoi une telle explosion de la mortalité chez les 20 à 29 ans ?

En premier lieu, nous sommes dans l’obligation de partir du principe que les morts ne sont pas plus de faux morts qu’habituellement. Le gouvernement ayant pour habitude de tricher et mentir en permanence, il aurait pu décider de modifier la méthode de calcul…

Partons donc de l’hypothèse que la triche est demeurée la même.

Nous savons tous, vous et moi, que si nous posions la question aux autorités de santé ou à la Pravda, la réponse serait évidemment « c’est la faute aux variants ! ». Et ce alors même que la probabilité est, plus que forte, que ces variants soient la conséquence directe des campagnes vaccinales.

Dans cette hypothèse qui est vérifiée dans de nombreux pays, le coupable serait la vaccination ou les conséquences de la vaccination, ce qui revient au même.

Chili 75% de la population ayant reçu au moins une dose, augmentation du taux de mortalité de plus de 40% depuis le début de la vaccination.
Uruguay, 50% de la population vaccinée, augmentation de 310% du taux de mortalité.
Hongrie, 59% de la population vaccinée, augmentation de 124% de la mortalité.
USA, 70% de vaccinés, hausse de 61% !

Venezuela, 0,88% de vaccinés, augmentation de 55% mais 23 fois moins de morts qu’aux USA !
Japon, 2,55% de vaccinés, hausse de 16% et 22 fois moins de morts qu’aux USA !

Tout ceci ne serait que « hasard » et « malchance » bien évidemment !

Ces données ne prouvent pas la dangerosité des vaccins mais au moins leur totale inefficacité !

Je vous rappelle que le Covid n’a entraîné AUCUNE surmortalité chez les jeunes en France (avant la campagne de vaccination).

Et ces criminels veulent maintenant l’étendre aux enfants ??!!

J’espère VRAIMENT me tromper, mais si 5% de vaccinés s’est réellement traduit par un quasi triplement des décès, imaginez 70% des jeunes vaccinés !!!

Merci

Alain Tortosa 30 avril 2021
https://7milliards.fr/tortosa20210430-vaccination-jeunes-morts.pdf





Et surgit une hécatombe post vaccinale !

Par Gérard Delépine

L’hécatombe mondiale post vaccin anti Covid19 va progressivement mettre fin au mythe vaccinal

Alors qu’une propagande sans pareil (et incompréhensible si le médicament était à l’évidence efficace et sans danger) et des mesures liberticides veulent nous imposer une prétendue « vaccination » par des médicaments nouveaux mal évalués, les résultats des premiers mois des campagnes citées partout en exemple comme succès sont marqués par une augmentation paradoxale des contaminations et de la mortalité dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné.

Les faits avérés

Sont illustrés par les courbes de l’OMS publiées sur son site WHO Covid19 Dashboard additionnées de nos commentaires en rouge.

En Israël, la vaccination a commencé le 19 décembre 2020. Les mois de janvier et février 2021 ont établi les records mensuels de contaminations et de mortalité attribuées au Covid-19 depuis le début de l’épidémie

Contrastant avec l’optimisme dithyrambique du gouvernement israélien actuel, le Comité populaire israélien (IPC), un organisme civil composé d’experts israéliens de la santé, a publié son rapport d’avril sur les effets secondaires du vaccin Pfizer.(([1] http://www.nakim.org/israel-forums/viewtopic.php?p=276314))

« Les conclusions sont catastrophiques à tous les niveaux possibles. « Il n’y a jamais eu de vaccin qui ait nui à autant de personnes… Selon les données du Bureau central des statistiques, en janvier-février 2021, au plus fort de la campagne israélienne de vaccination de masse, on a constaté une augmentation de 22% de la mortalité globale en Israël par rapport à l’année précédente. En fait, janvier-février 2021 ont été les mois les plus meurtriers de la dernière décennie, avec les taux de mortalité globale les plus élevés par rapport aux mois correspondants des dix dernières années. »

En Grande-Bretagne, la campagne de vaccination a commencé le 8 décembre 2020. Le mois de janvier 2021 a lui aussi établi le record de mortalité mensuelle et totalise près du quart de la mortalité globale.

Au Chili, les contaminations et la mortalité ont augmenté depuis la vaccination

Aux Emirats Arabes Unis, champion arabe de la vaccination, des fortes hausses des contaminations (+150%) et de la mortalité (+140%) globales ont aussi été observées

Au Bahreïn

Mais aussi au Koweït : les quatre mois post vaccination comptabilisent presque autant de contaminations que les dix mois précédents et 40% des décès survenus depuis le début de l’épidémie.

Mais aussi en Mongolie

Mais aussi à Monaco qui comptait seulement 3 décès avant la vaccination et plus de 30 aujourd’hui

Et à Gibraltar

Que peut -on déduire de ces faits avérés ?

Que les essais de ces vaccins ont été insuffisants. Aucun n’est terminé et il eut été judicieux d’attendre les résultats de ces essais (prévus à partir de janvier 2023)

Aucun d’entre eux ne signalait la possibilité d’une possible augmentation des contaminations et de la mortalité qui heureusement paraissent transitoires.

Des études transparentes sont indispensables pour comprendre le mécanisme de ces aggravations transitoires de l’épidémie après vaccination et en déduire d’éventuelles mesures préventives si une nouvelle poussée survenait.

La situation s’est heureusement stabilisée en Israël et en Grande Bretagne en même temps que dans des pays peu vaccinés comme la Suède et les Pays Bas qui ont traversé cette période sans exacerbation brutale post vaccinale.

La comparaison montre une amplification nette de la mortalité en GB très vaccinée par rapport aux Pays-Bas peu vaccinés. Depuis la campagne de vaccination britannique, la mortalité moyenne par million d’habitants en GB (934/M) dépasse le double de celle des PB (411/M).

Hypothèses qui pourraient expliquer cette surmortalité

Les vaccins ne sont pas assez efficaces : ils n’empêchent pas d’être malade ni n’évitent la transmission virale à l’entourage, comme l’a précisé le ministre de la Santé français le 31 mars 2021. La trop faible concentration d’anticorps favorise l’aggravation de la maladie par le phénomène des anticorps facilitants et facilite l’apparition de variants résistants.

Certains variants seraient susceptibles de s’accompagner d’une augmentation considérable de l’incidence de la maladie et de sa mortalité pendant les 6 à 8 semaines qui suivent les premières injections.

Les vaccins actuels n’empêchent pas d’attraper le Covid19

Que l’on soit président du Pérou (M Vizcarra), ancienne ministre de la santé (R Bachelot), chirurgienne (Joëlle Huth) ou pensionnaires d ‘Ehpad en France(([2] OBS Des résidents de maisons de retraite contaminés par des variants alors qu’ils étaient vaccinés contre le Covid 23/4/2021)) (([3] S AURENCHE RTL Les infos de 18h – Coronavirus : 47 résidents d ‘Ehpad contaminés malgré la vaccination 22/2/2021)) (comme dans de nombreux autres pays comme les USA(([4] États-Unis : un variant du Covid se propage dans une maison de retraite malgré la vaccination Le Figaro avec AFP le 24/4)), l’Allemagne, l’Espagne), les vaccins actuels n’empêchent donc pas d’attraper la maladie.

Le risque serait plus élevé après la première injection, mais une vaccination complète ne protège pas non plus ainsi que vient cruellement de le rappeler la déconvenue récente de deux retraités marseillais(([5] CLAIRE DOMENECH Pourtant vacciné avec Pfizer, un couple marseillais contracte le Covid-19 Capital 23/4/2021)) vaccinés au Pfizer.

On ne doit pas croire qu’en se vaccinant on se protège du Covid19 et les propagandes pros vaccinales visant à retrouver une vie normale via un passeport sanitaire ne sont que de la manipulation politique sans fondement scientifique.

Les vaccins actuels n’évitent pas de mourir de Covid19

L’ARS de Guyane vient d’annoncer la mort de covid19 de deux retraités malgré une vaccination complète.(([6] https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/guyane-deux-personnes-vaccinees-decedent-du-covid-19-7239925))

Plusieurs pensionnaires des Ehpad précédemment cités et des nonnes du couvent de Kentucky sont morts de Covid alors qu’ils avaient été totalement vaccinés et vivaient dans un grand isolement depuis un an et même après la vaccination.

L’affirmation partout répétée que la vaccination protège des formes graves n’est donc pas vraie ainsi que l’a reconnu récemment notre ministre de la santé O. Veran :

« les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »

(([7] Les propos hallucinants d’Olivier Véran « Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin… le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers » | Europe Israël news (europe-israel.org) ))

Les vaccins actuels ne préviennent pas la transmission de la maladie

C’est ce que rappelle le Conseil d‘Etat suivant en cela les affirmations du ministère(([8] https://www.conseil-etat.fr/actualites/actualites/les-restrictions-de-deplacement-des-personnes-vaccinees-sont-justifiees)) dans un mémoire de réponse :

« les personnes vaccinées peuvent cependant demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie ».

La vaccination peut favoriser l’apparition de variants

De nombreux chercheurs ont remarqué que la plupart des variants connus sont apparus dans les pays ou avaient été testés des médicaments (Remdesevir) ou des vaccins insuffisamment efficaces.

Cette hypothèse avait été soulevée par l’Académie de Médecine en janvier.(([9] le 11 janvier 2021 Communiqué de l’Académie : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ?))

« Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Et confirmée par JF Delfraissy et d’autres membres du conseil scientifique(([10] L Atlani, D Bruno Lina, Franc, Chauvin-F Delfraissy, D Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 the Lancet public health 18 février 2021 DOI 6,4)):

« des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin ».

L’échappement immunitaire par apparition des variants rend illusoire l’espoir de résoudre cette crise par les vaccins :

« ce changement du comportement virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, à mesure que de nouveaux variants émergent et que l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. Par conséquent, il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire et stop-start ».

Cette incapacité à éradiquer l’épidémie par les vaccins rend encore plus indispensables les traitements précoces

Boris Johnson qui prétend avoir protégé son pays par les vaccins ne doit pas en être aussi certain, puisqu’il vient de promettre aux anglais qu’ils bénéficieront avant la fin de l’année de médicaments contre le Covid19 à prendre à domicile dès les premiers signes de la maladie.

Et pour confirmer sa promesse, il a alloué des sommes importantes au fond de recherche créé pour cet objectif.

Le Pr Éric Caumes, en février dernier a reconnu(([11] https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/lincorrect/covid-19-est-on-passe-a-cote-de-traitements-miracles/)): « cela a été une erreur stratégique de tout miser sur le vaccin. Je pense qu’on a complètement négligé le traitement. » Cette erreur est d’autant plus tragique que plusieurs traitements préventifs et curatifs ont démontré une très grande efficacité.

Même Olivier Véran a dû faire une “concession” au traitement précoce en admettant que les médecins généralistes pouvaient prescrire aux patients atteints de Covid-19 un antibiotique pour « éviter la pneumonie ». Il a de plus annoncé, le financement de 45 nouveaux projets de recherche appliquée(([12] https://solidarites-sante.gouv.fr/actualites/presse/communiques-de-presse/article/financement-de-45-nouveaux-projets-de-recherche-appliquee-sur-le-coronavirus)) sur le Coronavirus COVID-19 pour près de 22 millions d’euros et encourage les Français à participer aux études. Espérons seulement qu’il ne s’agit pas d’essais conçus et réalisés uniquement pour discréditer les traitements bon marché comme les fameux essais Discovery et Hycovid dont on attend toujours les résultats définitifs.

L’échec annoncé des vaccins impose de revoir complètement la stratégie sanitaire du gouvernement et devrait calmer l’arrogante campagne de publicité actuelle sur toutes les chaines TV recrutant comme agents de pub des personnalités aussi compétentes que A. Roumanoff. Misère.

Que chacun puisse juger librement et peser son propre bénéfice -risque mais sans culpabiliser ou traiter de débiles ceux qui n’ont aucune envie de jouer à la roulette russe ou au cobaye.





Quatre gros mensonges sur l’épidémie et le confinement

[Source : Santé Corps Esprit (sante-corps-esprit.com)]

Cher(e) ami(e) de la Santé,

La désinformation fait rage, depuis le premier jour de l’épidémie.
Dans mes lettres, je vous ai beaucoup parlé : 

  • Des traitements oubliés ou diabolisés, malgré leur efficacité (vitamine D, ivermectine, protocole Raoult, etc.)
  • Des vaccins, de leurs effets indésirables et de l’efficacité (peu convaincante) de l’expérimentation israélienne.

Aujourd’hui, je voudrais encore vous parler d’autres mensonges.
En commençant par l’expérience suédoise :

Mensonge 1 : l’expérience suédoise serait une “catastrophe” 

Ce qui s’est passé en Suède est un énorme caillou dans la chaussure des idéologues de la Covid-19.
Car la Suède a pris le contre-pied de la plupart des autres pays occidentaux : 

  • La Suède n’a jamais confiné sa population ;
  • La Suède n’a jamais fermé ses écoles (ni imposé de masque aux enfants) ;
  • La Suède n’a jamais fermé ses restaurants ;
  • La Suède n’a jamais imposé le masque dans les magasins, et encore moins à l’extérieur.

Résultat ? 

  • Un peu moins de morts de la Covid-19 par habitant qu’en France et beaucoup de pays européens ; 
  • Moins de morts, toutes causes confondues, que la moyenne européenne (7,7 % de surmortalité contre 16 % en Belgique)
  • Et une économie deux fois moins dévastée : – 3 % du PIB en 2020, contre -7 % dans la zone euro [1] ;

Bien sûr, les Suédois ont respecté les consignes générales de distanciation sociale. Ils se sont moins déplacés et ont beaucoup télé-travaillé.
Certes, il y avait aussi quelques restrictions obligatoires. En décembre dernier, les rassemblements de plus de 8 personnes ont été interdits et les masques introduits dans les transports en commun. Récemment, certains restaurants ont dû fermer un peu plus tôt que d’habitude, à 20h30.

Mais globalement, les Suédois ont continué à vivre une « vie normale », tout au long de l’épidémie.

Ils n’ont pas eu à subir d’absurdes consignes totalitaires, comme les masques à l’extérieur, le confinement obligatoire à domicile, ou la fermeture des écoles primaires.
Et le résultat est là. Sur l’épidémie, la Suède est dans la moyenne de la plupart des pays européens.

Regardez, par exemple, l’évolution du nombre de morts par habitant en Suède (en rouge) et en Allemagne (en bleu) depuis octobre dernier – l’Allemagne ayant confiné cet hiver, contrairement à la Suède :

Vous voyez que l’évolution est très similaire, alors que les restrictions étaient très différentes, notamment en termes de masques et de fermeture des restaurants et des commerces.
Au total, le bilan sanitaire de la Suède est « moyen », comme les autres, faute d’avoir fait de la prévention et du traitement précoce.
Mais socialement, économiquement et mentalement, la Suède a fait beaucoup mieux.
Certains objecteront que la Suède a eu beaucoup plus de morts que ses voisins norvégiens et finlandais, qui ont imposé de lourdes restrictions. C’est vrai, mais la Suède est culturellement plus proche de nombreux pays européens que de ses voisins – et en termes d’urbanisation, Stockholm est comparable à Marseille. 
La Suède est aussi beaucoup plus ouverte aux vents internationaux : au moment de la première épidémie, lorsque la Norvège et la Finlande ont confiné, le nombre d’infections était déjà environ 10 fois supérieur en Suède ! [2]
Bref, à tous points de vue, la Suède s’en est globalement mieux sortie que les pays européens qui ont imposé des mesures restrictives ou qui ont confiné. 
Et pourtant, la situation suédoise a été systématiquement caricaturée.
Prenez le « soit-disant » journal de référence, Le Monde, le 1er janvier dernier : « Les choix faits par la Suède et leur bilan humain catastrophique suscitent l’incompréhension des voisins du pays et la stigmatisation des Suédois. » [3]

Autre exemple similaire, dans le très populaire journal 20 minutes : « Chiffres catastrophiques, comparaison douloureuse avec les voisins nordiques, aveu d’échec royal… Le modèle suédois résonne aujourd’hui comme une défaite pour le pays. » [4]
C’est le refrain mensonger qu’on a entendu à la télé et à la radio, 24h sur 24.
J’ai même entendu plusieurs fois Cyril Hanouna dire dans son émission de grande écoute que « la Suède a essayé l’immunité collective et cela a été une catastrophe ».
C’est de la désinformation pure et simple.
Et cela rejoint celle d’Emmanuel Macron, à l’automne dernier.

Mensonge 2 : « 400 000 morts si on ne fait rien » (Emmanuel Macron)

Souvenez-vous de son allocution du 3 novembre 2020. Pour justifier le reconfinement, Emmanuel Macron avait sorti un argument hallucinant :

« Nous pourrions – certains le préconisent – ne rien faire, assumer de laisser le virus circuler. C’est ce qu’on appelle la recherche de « l’immunité collective » c’est-à-dire lorsque 50, 60% de la population a été contaminée.

Le Conseil Scientifique a évalué les conséquences d’une telle option. Elles sont implacables : d’ici quelques mois c’est au moins 400 000 morts supplémentaires à déplorer. »

Ce chiffre farfelu venait de modélisations mathématiques totalement déconnectées de la réalité [1], et qui se sont révélées fausses systématiquement.
On l’a d’ailleurs vu en février dernier, quand le président Macron a refusé de reconfiner, à juste titre.
Contrairement aux prédictions apocalyptiques, il n’y a pas eu d’explosion du nombre de cas et de décès dans la France entière.
Certes, il y a en ce moment une circulation soutenue du virus dans quelques départements précis, mais pas d’augmentation exponentielle ou d’explosion insoutenable pour l’hôpital.
Et surtout, répétons-le : il n’y a pas en ce moment plus de morts que d’habitude en France !

Je sais que cela paraît difficile à croire, vu le discours catastrophiste ambiant.
Mais en janvier, il y a eu moins de morts qu’en janvier 2017 (mois de grosse grippe).
En février, il y a eu moins de morts qu’en février 2019 (pic de grippe cette année-là).
Bref, les premiers mois de cette année sont totalement comparables à des mois de grosse grippe. 
Il n’y a donc aucune surmortalité démesurée, en ce moment, qui justifierait le catastrophisme politique et médiatique.

Il faut dire qu’environ 30 % de la population française a déjà été infectée, ce qui empêche toute forme d’explosion exponentielle des contaminations.
C’est un fait : quand une personne sur trois ne peut plus être infectée, cela freine énormément les contaminations.
Quand beaucoup de personnes vulnérables ont déjà été hospitalisées, cela diminue fortement la charge sur l’hôpital.
C’est ce qu’on appelle « l’immunité collective » ou « l’immunité de troupeau ».

Quand beaucoup de personnes ont été infectées, l’épidémie risque peu de s’emballer.
C’est comme cela qu’a disparu la grippe espagnole, sans vaccin, ni masque : après une grande vague à l’automne-hiver 1918-1919, la saison suivante a été beaucoup plus épargnée :

[Ndlr : ceci dans le cadre de la théorie virale. Mais l’on peut opposer à celle-ci la théorie du « terrain » pour laquelle il est naturel qu’une « épidémie » disparaisse d’elle-même lorsque le corps des êtres humains affectés par des éléments toxiques (y compris éventuellement des ondes électromagnétiques, surtout pulsées, ou des déficiences nutritionnelles qui en sont les causes réelles) n’y est plus confronté ou parce qu’il parvient à s’y adapter au moins partiellement. Dans le cadre de cette autre théorie que la virale, il n’y a donc pas du tout d’immunité de groupe, mais seulement une disparition des causes de la maladie ou une relative adaptation au moins temporaire à ces causes. Et la « grippe » refaisait régulièrement son apparition chaque hiver, jusqu’à ce qu’on la rebaptise « covid-19 », parce que le froid fait partie des causes agressives contre le corps et ses cellules. Le seul fait indubitable dans les « épidémies » est l’existence d’une relative simultanéité dans le temps (mais pas nécessairement proximité dans l’espace géographique) de symptômes similaires (ou parfois même pas similaires ou très nombreux et variables d’un individu à l’autre, comme dans le cas de la « Covid-19) que l’on regroupe sous le terme d’une maladie particulière. Le reste relève essentiellement de l’interprétation de ce fait. La théorie virale l’explique par une prétendue contagion de virus, mais celle-ci n’a jamais été réellement démontrée, puisque notamment l’on n’a jamais eu le moyen d’isoler le moindre virus, sachant que lorsque les virologues disent « isoler » un virus, ils ne font que réaliser une opération de séquençage informatique à partir d’une soupe génétique de tissus prétendument infectés. Voir :
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La théorie des germes : Une erreur fatale
La théorie des exosomes contre celle des virus
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Dr Thomas S Coman (anglais)
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?
5G, virus et covid-19.]

Et en 1920, le virus de la grippe espagnole n’a plus fait de dégât particulier : il n’a pas disparu, mais il a rejoint les virus hivernaux habituels, parce que les populations avaient largement acquis une immunité.
De même, après deux grosses vagues de la Covid-19, il est évident que nous sommes largement immunisés, et que les pics exponentiels sont derrière nous.
Mais presque personne ne vous le dit. On dirait qu’il faut absolument continuer à vous angoisser.
Serait-ce parce qu’il y a des vaccins à vous vendre ?

À propos de vaccins, voici l’un de mensonges les plus extravagants qu’on ait entendu :

Mensonge 3 : les vaccins produiraient une immunité supérieure à l’infection

D’abord, on a essayé de vous faire croire que l’infection n’était pas forcément immunisante.
Il serait donc possible d’avoir des ré-infections, notamment à cause des variants.
C’est faux.
Les ré-infections sont extrêmement rares, même avec les variants britanniques ou sud-africains.
Et même en cas de réinfection, il y a toutes les raisons de penser que la deuxième infection est moins sévère que la première.
Bref, une infection crée une immunité solide et durable.

Grâce à de nombreuses publications scientifiques parues en janvier 2021, cela a fini par être reconnu largement.
Mais étrangement, on a continué à vacciner ceux qui ont déjà été infectés.
Alors que cela ne sert à rien.
Alors qu’on nous répète matin et soir qu’on manque de doses de vaccin.
Alors que cela pourrait même causer de gros risques pour la personne vaccinée (j’y reviendrai dans une prochaine lettre).

Donc, vacciner les personnes déjà infectées n’a strictement aucun sens… à part remplir les poches des laboratoires pharmaceutiques.
Mais cela permet de maintenir une illusion : celle que les vaccins seraient plus efficaces que l’infection elle-même.
Cette idée a été largement propagée, alors qu’elle est absurde. 

Je rappelle que les vaccins ne portent que sur une seule protéine du virus, alors que l’infection permet de créer une mémoire immunitaire sur tous ses éléments (épitopes, en termes virologiques).
L’infection crée aussi une immunité mucosale (dans le nez) alors que le vaccin injecté ne peut créer qu’une immunité humorale (dans le plasma et la lymphe). 
Il est donc évident que, sauf exception, l’infection produit une immunité plus importante et plus durable que la vaccination.
C’est encore plus évident face aux variants : avec les vaccins actuels, il suffit que la protéine visée par le vaccin mute, pour qu’ils deviennent inefficaces.

C’est ainsi qu’on sait désormais avec certitude que le vaccin AstraZeneca est totalement inefficace contre le variant sud-africain.
Alors que l’infection naturelle, elle, reste très efficace contre tous les variants connus.
Il est donc ahurissant qu’on vaccine les personnes déjà infectées, et qu’on ait pu mentir sur l’efficacité de l’infection naturelle.

Avec les vaccins, on est même arrivé à un mensonge encore plus énorme :

Mensonge 4 : les vaccins permettront le « zéro covid », via une « immunité collective »

C’est la cerise sur le gâteau de la désinformation.
D’abord, on a diabolisé l’idée « d’immunité collective », acquise naturellement.
Puis, avec l’arrivée des vaccins, on vous a promis une « immunité collective » vaccinale
Et on vous a promis la « sortie du cauchemar » et le « retour à la vie normale » grâce à la vaccination. 
Mais c’est totalement faux.

Même si les vaccins étaient aussi efficaces qu’on le dit (ce qui est loin d’être avéré), ils ne peuvent pas produire d’immunité collective solide.
Ce n’est pas (seulement) moi qui le dit, mais la prestigieuse revue scientifique Nature, qui vient de publier un éditorial cinglant à ce sujet. [6]

Selon Nature, l’immunité collective vaccinale est impossible pour 5 raisons : 

  • « Il n’est pas avéré que les vaccins empêchent la transmission » : je vous le dis depuis le début, et le « Monsieur vaccin » du gouvernement (Pr Fischer) l’a reconnu, il n’y a aucune preuve que les vaccins empêchent les contaminations – il y a même plutôt des preuves que les vaccins accroissent les transmissions, dans les 2-3 premières semaines après la première dose ;
  • « La distribution des vaccins est inégale dans le monde » : comme il n’y a pas assez de doses pour tout le monde, beaucoup de pays en développement ne sont pas près d’être vaccinés. Donc même si les vaccins étaient efficaces, ils ne pourraient stopper la transmission mondiale du virus ;
  • « Les nouveaux variants changent l’équation de l’immunité collective » : oui, les variants mettent à mal l’immunité collective vaccinale, mais beaucoup moins l’immunité collective naturelle, pour les raisons déjà évoquées ;
  •  « L’immunité ne durera pas éternellement » : c’est vrai pour l’immunité naturelle, qui a probablement une efficacité de plusieurs années (comme pour les autres coronavirus), mais c’est encore plus vrai pour l’immunité acquise par la vaccination, qui pourrait ne durer que quelques mois ;
  • « Les vaccins pourraient changer les comportements » : selon Nature, il sera difficile d’expliquer aux vaccinés qu’ils doivent continuer à porter le masque et à se distancier socialement – et pourtant, d’après les auteurs de l’article, ce serait nécessaire, pour atteindre le zéro Covid puisque les vaccins ne sont pas efficaces à 100 %.

Conclusion de l’épidémiologue Stefan Flasche, cité par Nature : « il est très peu probable d’atteindre l’immunité collective avec les vaccins seuls ».

Et il ajoute : « Il faut donc apprendre à vivre avec le virus », qui n’est pas près de disparaître.

C’est évident – et c’est ce que je vous dis depuis le début. 
La Covid-19 n’est pas la peste. Il faut vivre avec. 
Il faut la prévenir avec la vitamine D, et la soigner avec l’ivermectine.
Il faut rouvrir le pays, et arrêter de vivre cloîtré.

Souvenez-vous de cette intervention magistrale du Pr Raoult, à l’automne dernier : 

« Je pense que ce pays vit une erreur dramatique, qui est la dramatisation perpétuelle. 
Qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a un virus ?
Mais vous êtes tous fous, vous êtes devenus tous cinglés ». [7]

Oui, les autorités sont devenues folles. Les médias ont suivi, comme un troupeau bêlant. Et leur irrationalité a contaminé la moitié de la population, placée dans un état de psychose.
Mais cette « folie » fait les affaires des fabricants de vaccin, qui se préparent à nous vacciner et revacciner, de la naissance à la mort, tous les 6 mois. 
Sous la contrainte du fameux « passeport vert » à venir.

Bonne santé,

Xavier Bazin

PS : Il est de plus en plus clair que les mensonges de l’épidémie de grippe A H1N1 de 2009 étaient une sorte de « répétition générale » de la folie actuelle.

Je vous en avais déjà parlé au printemps dernier, au moment où le scandale du remdésivir de Gilead commençait à rappeler celui du Tamiflu : https://www.sante-corps-esprit.com/roselyne-bachelot-se-moque-de-nous/

Mais la preuve la plus manifeste porte sur les vaccins, avec cette vidéo incroyable de Roselyne Bachelot en 2009, face au Dr Marc Girard.

Regardez-là vite avant qu’elle ne soit censurée, c’est édifiant : https://www.dailymotion.com/video/xb5jdz

J’en profite, bien entendu, pour souhaiter de tout cœur à Mme Bachelot une très rapide convalescence. 
Mais on ne m’empêchera pas de dire que son cas est révélateur du drame de la vaccination à outrance et irréfléchie !

Figurez-vous que Mme Bachelot a été vaccinée le 17 mars, trois jours avant d’annoncer qu’elle était positive à la Covid-19.[8]

Cela veut dire qu’elle était en train d’incuber le virus au moment de la vaccination, ce qui est la pire des configurations possibles !
Car on sait bien qu’il ne faut surtout pas donner de vaccin pendant une infection !
Cela s’applique aux humains… et même aux chevaux, comme le montre ce communiqué récent de spécialistes, à propos d’un autre vaccin :

« Pour les chevaux exposés qui peuvent être en phase d’incubation, la vaccination est déconseillée et n’aurait que peu d’effet ; sur un cheval malade, la première injection risque de n’entrainer aucune réponse immunitaire, voire de déclencher plus rapidement la maladie. » [9]

Dans le cas des nouveaux vaccins contre le coronavirus, on a même la preuve incontestable que la vaccination en cours d’infection est dangereuse.
Car la première dose des vaccins ARN supprime temporairement une partie du système immunitaire (les lymphocytes T), celle qui nous protège contre l’aggravation de la maladie ! 
Si vous ne me croyez pas, regardez ce graphique tiré des phases 1 et 2 de test du vaccin de Pfizer – la suppression des lymphocytes T est évidente aux jours 1 à 3, par rapport au placebo en bleu [10] :

Bref, je suis vraiment désolé pour Madame Bachelot, mais son cas est malheureusement représentatif de ce qu’il ne faut surtout pas faire : se vacciner sans faire de test PCR préalable ! 

Au passage, c’est une des explications de l’explosion de décès dans les pays qui ont vacciné très rapidement [11] : ceux qui étaient en « incubation » au moment du vaccin ont eu des formes plus graves que s’ils n’avaient pas été vaccinés.
Il est fou qu’une ancienne ministre de la Santé ait été aussi mal informée.
Mais c’est aussi le signe qu’il n’y a peut-être pas de « malice » au sommet de l’Etat : les ministres comme Olivier Véran pourraient être eux aussi victimes de l’énorme désinformation orchestrée par Big Pharma !

Sources

[1] https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-europe-mortality-idUSKBN2BG1R9

[2] necpluribusimpar.net/why-did-more-people-die-of-covid-19-in-sweden-than-in-other-nordic-countries-it-probably-had-little-to-do-with-policy/

[3] https://www.lemonde.fr/international/article/2020/12/31/en-suede-les-habitants-ont-la-coronaskam-la-honte-de-la-strategie-du-pays-face-au-covid-19_6064872_3210.html?utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1609489405

[4] https://www.20minutes.fr/monde/2948915-20210109-coronavirus-fin-definitif-modele-suedois

[5] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32908300/

[6] https://www.nature.com/articles/d41586-021-00728-2

[7] https://www.lalibre.be/international/europe/echange-tendu-entre-didier-raoult-plus-que-jamais-sur-de-lui-et-david-pujadas-mais-vous-etes-devenus-tous-cingles-5f996efd7b50a6525b9bc594

[8] https://www.24heures.ch/hospitalisee-roselyne-bachelot-est-sous-oxygenotherapie-renforcee-964349822758

[9] https://respe.net/foyers-dherpesviroses-type-1-hve1-communique-de-presse-03-03-2021/

[10] https://www.nature.com/articles/s41586-020-2639-4

[11] www.sante-corps-esprit.com/loccident-est-il-en-train-de-se-tirer-une-balle-dans-le-pied-avec-les-vaccins-anti-covid/




Il est temps de se souvenir de qui nous sommes

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Frédéric Vidal, pour FranceSoir

Le clivage qui s’installe dans la société française depuis un an n’est pas qu’une question de politique et de vision de l’avenir, mais révèle deux conceptions de la vie de l’homme, dont la divergence impose désormais un choix.

Liberté, Égalité, Fraternité ?

N’y a-t-il plus d’intelligence dans ce pays, n’y a-t-il plus de bon sens ? L’épuisement spirituel de la population et le matérialisme forcené inculqué depuis l’après-guerre ont-ils conduit la population française à son point de non retour… ou son point de rupture ? Y a-t-il encore la place pour un sursaut salvateur ou bien la peur et la servilité l’ont-elles emporté ?

L’état d’esprit des Français laisse apparaître que désormais plusieurs réalités se côtoient dans notre pays, selon le niveau d’information et la conscience de chacun, divisant et brouillant la société, les familles, les amis…

Entre ceux qui ont plus ou moins calqué leur opinion sur le narratif uniforme matraqué  par les radios et les télévisions et ceux qui ne leur accordent plus la moindre confiance et ont cherché la vérité ailleurs, la société française, jusqu’au cœur des familles, parfois des couples, s’est divisée à l’ombre d’un minuscule virus.

Un clivage qui semble s’étendre chaque jour un peu plus, dressant les uns contre les autres et profitant à ceux qui concentrent toujours plus de pouvoir et d’argent, comme le montrent l’inexistence politique du Parlement, les salaires croissants des élus et les comptes en banques des GAFA et de Big Pharma durant cette année de misère grandissante du peuple, particulièrement des jeunes et des étudiants condamnés à la soupe populaire.

La détresse de la jeunesse est très préoccupante. Jusqu’à quand des parents vont-ils continuer à envoyer leurs enfants dans des écoles démentes où trois jetons leur sont donnés par des fonctionnaires zélés pour choisir entre respirer ou pisser ? D’où les enfants bâillonnés sortent parfois avec des saturations en oxygène autour de 83 %, soit un état d’hypoxie sévère, là où l’on doit s’inquiéter des conséquences sous les 95 % ?

Les artisans, les entrepreneurs vont-ils continuer à se laisser mourir parce que ce sont les ordres ? La peur du gendarme et de l’amende a-t-elle plus de force que l’instinct de survie pour eux et leurs familles ?  Est-ce que quelqu’un a encore un peu de lucidité et de courage dans ce pays ?

Tout le monde va-t-il continuer à croire qu’il y a une pandémie qui justifie cette folie, alors que les chiffres de l’INSEE démontrent qu’il n’y a pas plus de morts en France en 2020 que les années précédentes ? Et comme l’a précisé depuis le Pr Raoult, qu’il y en a moins en 2020 chez les moins de 65 ans qu’en 2019 ?

Le taux de mortalité du COVID tous âges confondus est de 0,05 % environ, c’est un fait. Alors s’il n’y a pas de vraie raison sanitaire à la dictature qui s’installe, n’est-il pas temps de s’interroger sur les véritables motivations d’une telle opération et sur les objectifs réels du contrôle et de l’asservissement des populations ?

C’est perdre son temps et rajouter à la confusion que de tenter de chercher des explications logiques à une politique volontairement incohérente. Il est tout aussi inutile de se perdre en conjectures sur l’incompétence des uns et les revirements des autres. Tout ceci est inspiré des techniques de manipulation mentale bien connues (voir le manuel Kubark déclassifié par la CIA). 

Alors combien de temps encore soumis et insoumis vont-ils se focaliser sur les ombres de la caverne de Platon ?

Toutes ces mesures à l’encontre de la vie ont raturé une France faite de défaillances d’entreprises et par effet domino de leurs sous-traitants, de files de jeunes sans espoir d’avenir devant l’aide alimentaire, de taux de suicides alarmants, d’une séparation physique des gens jusque dans les familles, de couvre-feux absurdes ne reposant sur aucun argument censé, de masques dangereux pour la santé, comme vient encore de le démontrer un rapport allemand sur la santé des enfants, ainsi que de confinements à répétition dont on sait a minima désormais l’inefficacité sanitaire.

Les Français trop crédules vont-ils chercher plus d’ivresse encore à boire les mensonges éhontés d’une presse collaborant à des intérêts partisans qu’ils dissimulent ? Les démonstrations ne manquent pourtant pas de l’arrogance et du mépris des castes influentes vis à vis du bas-peuple, des sans-dents, des gilets jaunes. Cette question de la croyance en la bienveillance ou la malveillance au pouvoir est cruciale. Elle est l’une des clés du sursaut possible en chacun, le coup d’arrêt fatal à la naïveté.

Il est convenu désormais que lorsqu’on évoque les coulisses de ces forces qui ont pris pouvoir sur la vie de chacun, on soit alors immédiatement traité de complotiste délirant, voire dangereux. Sans doute les présidents Eisenhower et Kennedy étaient-ils aussi des complotistes délirants. Car qui connaît le discours d’Eisenhower du 17 janvier 1961 lorsqu’il a quitté le pouvoir ? En voici un extrait particulièrement d’actualité :

« Dans les assemblées du gouvernement, nous devons donc nous garder de toute influence injustifiée, qu’elle ait ou non été sollicitée, exercée par le complexe militaro-industriel. Le risque d’une désastreuse ascension d’un pouvoir illégitime existe et persistera. Nous ne devons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés et nos processus démocratiques. Nous ne devrions jamais rien prendre pour argent comptant. Seule une communauté de citoyens prompts à la réaction et bien informés pourra imposer un véritable entrelacement de l’énorme machinerie industrielle et militaire de la défense avec nos méthodes et nos buts pacifiques, de telle sorte que sécurité et liberté puissent prospérer ensemble. »

Car qui connaît le discours de J.F. Kennedy à New York le 27 avril 1961, qui demandait en vain son aide à la presse et dont voici un extrait :

« […] Car nous sommes confrontés, dans le monde entier, à une conspiration monolithique et impitoyable qui compte principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence par l’infiltration plutôt que l’invasion, la subversion plutôt que les élections et l’intimidation au lieu du libre arbitre. C’est un système qui a nécessité énormément de ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machine étroitement soudée et d’une efficacité remarquable, elle combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignements, économiques, scientifiques et politiques. Leurs ramifications sont occultées et non publiées. Ses erreurs sont enterrées et ne font pas les gros titres, on fait taire ses dissidents, on ne les glorifie pas; aucune dépense n’est mise en question, aucune rumeur n’est imprimée, aucun secret n’est révélé. Elle conduit la guerre froide, en bref, avec une discipline de guerre qu’aucune démocratie n’espérerait jamais vouloir égaler… C’est pourquoi le législateur athénien décréta comme criminel tout citoyen se désintéressant du débat… Je sollicite votre aide dans l’immense tâche qui est d’informer et d’alerter le peuple américain avec la certitude qu’avec votre aide l’homme deviendra ce pour quoi il est né libre et indépendant.  »

Je ne sais pour ma part quel dysfonctionnement peut expliquer qu’il y a tant de gens éduqués, pour croire ce qu’on leur dit sans rien remettre en question. Sans doute faut-il y deviner les barrières d’une programmation de souche auxquelles se greffent le carcan de leur éducation et parfois leur simple intérêt cupide. Il se confirme que l’essentiel du bon sens et de la réaction à ce qui se joue vient des couches sociales les moins éduquées, les moins formatées peut-être, alors que le modèle de la dystopie hante nombre des plus diplômés. De quoi se faire traiter de populiste en plus de complotiste.

Car est jusque-là populiste celui qui aime le peuple, lui reconnaît sa légitimité et son bon sens culturel, issu d’une longue histoire de celles qui forge et nourrit l’esprit d’une nation. Car est désormais complotiste ou conspirationniste celui qui se pose des questions et cherche la vérité au lieu d’accepter la ligne officielle qui révèle les apprentis dictateurs.

Les seuls vrais conspirateurs sont ceux qui conspirent contre les peuples. Et ils accusent ceux qui les dévoilent d’être ce qu’ils sont eux-mêmes, c’est une technique aussi vieille que l’homme.

La responsabilité de la presse aujourd’hui dans ce mécanisme de manipulation des masses est majeure. Elle est impardonnable et lorsque cette folie sera brutalement interrompue, car je crois qu’elle le sera, la presse telle qu’on l’a connue ne s’en relèvera pas. Elle disparaîtra au profit d’une presse plus citoyenne et seront confrontés à leurs responsabilités ceux qui ont fait ce qu’elle est devenue.

Certains ont fait le pari de se ranger du côté des puissants pour assurer leur intérêt personnel mais n’ont pas compris l’éphémérité du pouvoir, ni ne saisissent l’impermanence des cycles de l’histoire. Ils n’ont pas mieux perçu l’aspect eschatologique de ce que vit la planète en ce moment, ils n’ont pas la vision globale de ce qui se joue parce qu’ils sont ignorants de l’aspect spirituel de cette guerre déclarée à l’humanité. Ils n’en mesurent pas les finalités profondes et s’arrêtent à la seule perception de leur logique et de leur expérience matérialiste. Ils demeurent insensibles aux aspects plus élevés auxquels les appelle plus que jamais leur condition humaine.

Ils ont vécu dans un monde qu’ils croient inusable dans son fonctionnement, n’ayant croyance que de ce qu’ils ont appris d’un passé si bref et d’une éducation biaisée. Leur conscience se limite pour le moment à ce contexte et ils n’entendent pas encore son appel à l’ouverture et à l’expansion.

Dans ce monde d’imposture où sont adulés et portés au pinacle les indignes et où sont diffamés et persécutés les justes, toutes les valeurs sont inversées. On peut raisonnablement voir le combat planétaire actuel comme une formidable opportunité d’étendre sa conscience et reprendre individuellement et collectivement sa souveraineté en tant qu’être vivant, égal à tout être vivant, et non assujetti par force ou par délégation à des pouvoirs iniques et profondément corrompus.

Le nouveau clivage ne se résume pas seulement à mon sens au mondialisme contre le souverainisme, mais avant tout au matérialisme contre le spiritualisme, ce qui, je le précise, ne signifie pas le religieux, mais la reconnaissance pour ce qu’elle est de la dimension spirituelle de l’être, qui est un sentiment partagé par une majorité d’hommes peuplant ce monde.

Comme le disait le philosophe théologien Pierre Theillard de Chardin : « Nous ne sommes pas des êtres humains vivant une expérience spirituelle mais des êtres spirituels vivant une expérience humaine ». C’est je crois cette dimension de l’homme qui est appelée à s’éveiller comme jamais en ces jours, qui pourraient aussi devenir les plus sombres si cette lumière ne jaillit pas en chacun.

Je suis de ceux qui mesurent la vraie richesse de l’humanité à la reconnaissance et au partage généreux et bienveillant de ses différences, certainement pas à leur castration dans une soupe mondialiste uniforme et insipide. Je crois en une humanité extraordinairement diverse et créative et pour autant unie dans un schéma plus grand que la somme de ses parties. C’est ce qu’il lui appartient désormais de cultiver sous tous ses climats et toutes ses particularités culturelles et ethniques, dans le respect et la conscience au sens large du Vivant.

Cela pointe la polarité opposée au monde ultra-matérialiste promu par les transhumanistes rêvant de fondre la machine et l’homme dans une vision démente de sa transcendance. Le danger n’a jamais été aussi grand de voir s’accomplir cette folie par la dictature mondiale qui se répand depuis un an dans le déni de trop de gens encore. Et c’est pourquoi dans cette phase la polarisation ne fait que croître.

Je suis intimement convaincu que c’est là le véritable enjeu de tout ce qui se joue en ce moment. Que cette crise sans précédent dans notre histoire est l’opportunité unique et brève de décider le monde que nous choisissons désormais, pas celui que nous subissons par peur, résignation ou sentiment d’impuissance depuis trop longtemps. Nous sommes les puissants, tous ensemble.

C’est cette conscience de la force d’un peuple uni dans sa quête de liberté, d’égalité et de fraternité qui effraie les injustes. C’est ce qu’ils s’acharnent à étouffer dans la confusion, la censure et la répression.

Que ce prétexte du COVID ne serve pas que le camp des censeurs ultra-matérialistes, mais qu’il serve avant tout celui de ceux qui souhaitent la conscience avant la science.

Sans doute est-il enfin temps de se souvenir de qui nous sommes. Et de reprendre les rênes de nos destinées et de notre condition au sein du creuset alchimique de nos vies, à la lumière d’une dimension de nous-mêmes plus vaste que ce qui nous a jusque-là limités.

Le jeu planétaire aujourd’hui peut se voir comme le temps de la moisson de nos expériences. Et il n’est pas trop tard pour en décider la richesse. Même sur le tard, toute conscience qui s’éveille et se tourne vers sa souveraineté est un diamant dans l’escarcelle de l’humanité.

Nous et nos enfants serons riches ou pauvres demain de ce que nous avons décidé aujourd’hui. C’est notre choix.

Auteur(s): Frédéric Vidal, pour FranceSoir


[Voir aussi :




Les mesures prises contre la propagation de l’épidémie ont-elles vraiment sauvé des vies ?

[Source : AgoraVox le média citoyen]

par Décoder l’éco

Nous sommes en 2021 et des mesures de restrictions continuent d’être appliquées dans une grande partie des pays occidentaux. Pour les gouvernements, il s’agit de la bonne façon de protéger les gens de l’épidémie. Dans les vidéos précédentes, nous avons vu de plein de manières différentes que la mortalité sur l’année 2020 n’est finalement pas impressionnante. On a vu que le nombre de décès en France en 2020 s’explique d’abord par le vieillissement des français.


Le nombre de décès en France augmente tous les ans depuis 2010 du fait du vieillissement de la génération des baby-boomers.

De plus, il n’y a pas eu d’épidémie sérieuse en 2019 et donc c’est une année avec très peu de décès.

C’est un peu pareil pour 2018 en atténué. L’année 2020 est donc ce que l’on appelle une année moisson pendant laquelle nous avons eu beaucoup de décès de personnes qui d’habitude seraient décédées un an ou deux ans plus tôt. Il s’agit donc d’un phénomène de rattrapage des années 2018 et 2019. Les années moissons ont lieu tous les 2 à 3 ans. Ce phénomène est détaillé dans cette vidéo.

C’est notamment pour cette raison que l’âge des personnes décédées de la Covid est très élevé.

Enfin, jusqu’ici la forte mortalité des années moissons était en partie compensée par une baisse régulière de la mortalité ce que l’on résume en disant que l’espérance de vie augmente. Depuis quelques années l’espérance de vie a commencé à stagner, comme si nous étions arrivés à une sorte de palier. Ce palier est peut-être naturel ou est peut-être le signe que la politique de santé reposant sur la rentabilité financière n’est pas la bonne. On détaille aussi ce phénomène dans cette vidéo.

Tous ces éléments sur la mortalité 2020 pour la France sont détaillés dans une dizaine de vidéos de ma chaîne. Le même type d’analyse commence à arriver dans des papiers scientifiques français ou d’autres pays comme la Belgique ou la Suisse par exemple. Puisque le phénomène des baby-boomers, la faible mortalité de l’année 2019 et la stagnation de l’espérance de vie ont touché quasiment tout le monde occidental, ces analyses vont se démultiplier avec l’arrivée des chiffres définitifs et complets pour l’année 2020.

Si vous lisez ou regardez les médias, vous avez pu voir les discours des politiques et des journalistes changer. Au fur et à mesure que tombent toutes les analyses de la mortalité dans les pays occidentaux, tout le monde se rend compte aujourd’hui que la catastrophe annoncée n’est finalement pas arrivée du tout. Pour mémoire, la catastrophe a été annoncé par des illuminés comme Neil Ferguson qui annonce la fin du monde à chaque grippe un peu sérieuse. En France, 400 000 morts de la Covid étaient annoncées sur l’année quelles que soient les mesures. Ajoutées aux 600 000 décès habituels, cela aurait dû faire 1 million de morts en France en 2020. On en a finalement eu 660 000. Pour le plaisir des yeux, on peut aussi se remémorer la prédiction du personnage à la levée du confinement.

A la fin de chaque confinement, il prévoit une reprise de l’épidémie qui entraîne un nouveau confinement. Pour lui, cette maladie est éternelle et ne respecte pas les codes des autres épidémies, elle continue donc l’été.

La réalité a été bien évidemment complètement différente. Voici les décès quotidiens qui ont finalement été enregistrés en France en 2020. On voit bien l’épidémie de printemps et l’épidémie de novembre.

On peut voir en rouge les périodes de confinement qui montrent que l’effet rebond n’a absolument pas eu lieu. On a eu en 2020 deux périodes épidémiques complètement distinctes. On verra en détail ce qu’on peut déduire de l’impact des mesures.

La plupart des politiques et journalistes ont arrêté de prétendre que 2020 a été une hécatombe, mais affirment maintenant que si le monde s’en est aussi bien sorti, c’est grâce à l’efficacité de leurs mesures. Ils se servent donc de ce raisonnement pour continuer à maintenir les restrictions en tout genre. Plutôt que de devoir prouver que les restrictions servent à quelque chose, ils les appliquent et annoncent la fin du monde si jamais on les enlève. Il faut bien se rendre compte de la stupidité et de la dangerosité de ce raisonnement. Si des gens coulent du nez et qu’un charlatan leur donne de la mort au rat en guise de médicament, vous aurez la moitié des gens qui vont mourir et le charlatan va en déduire : « ouf, heureusement que je leur ai donné mon médicament, vous avez vu comme ce virus était dangereux ! ». 

C’est ce type de raisonnement qui a justifié les saignées pendant des siècles. Heureusement depuis, on est passé à autre chose. Avec ce type de raisonnement, on peut aussi faire un sacrifice tous les jours pour que le soleil continue à se lever.

Il suffit de promettre la catastrophe si on arrête. Ce principe de faire peur, c’est la base du charlatanisme. Juste si on réfléchit 2 minutes. Lorsque l’on a une épidémie, que l’on prend des mesures et qu’au final on a plus de décès que d’habitude sur une courte période, on n’en déduit pas que les mesures sont bonnes et que le virus est dangereux. A minima, on en déduit que la combinaison virus-mesure n’est pas bonne du tout. Donc il serait peut-être temps de remettre en question les mesures prises.

Les défenseurs de ces mesures s’appuient toutefois sur des études scientifiques pour annoncer le nombre de vies sauvées grâce à leurs décisions. Dans cette vidéo, on va commencer par montrer que les études défendant les mesures et quantifiant les vies sauvées sont basées sur une arnaque intellectuelle. Les chiffres et modèles mathématiques ne sont pas utilisés pour comprendre un phénomène, mais ils sont dévoyés pour faire la promotion des mesures. On verra en détail l’arnaque dans un article publié dans la revue NATURE considérée comme l’une des plus grandes revues scientifiques de notre époque.

Dans la deuxième partie , on va regarder, ce qu’il se passe en France pendant les périodes épidémiques et ce que l’on peut déduire des mesures prises en 2020.

  1. Casser la propagande des mauvaises études « scientifiques »

Aujourd’hui, l’idée que les mesures ont forcément un impact positif est durement ancrée dans tous les esprits. A la fois, le côté intuitif de se dire que si on empêche les humains de se voir, ils vont moins se contaminer influence notre jugement objectif, mais, bien plus grave, un certain nombre d’articles parus dans de grands journaux scientifiques défendent cette thèse. Tous les articles que j’ai pu lire sur le sujet ont la même structure et les mêmes erreurs de raisonnement. Il me paraît assez étonnant de constater que soit, personne ne comprend rien à ce qu’est une modélisation, soit tout le monde ferme les yeux et fait semblant de ne pas voir que tout le raisonnement est pris à l’envers.

Pour vous le montrer, je vais partir d’un exemple qu’une personne m’a envoyé en commentaire d’une de mes vidéos.

 Je vous invite à lire cette étude qui respecte parfaitement les codes des articles scientifiques et qui a été diffusé par le très grand journal Nature. Cette étude fait le constat que les mesures appliquées depuis un an maintenant par une grande partie des pays du monde, en tout cas, ceux qui vivent au rythme de la télé, ont eu des coûts économiques et sociaux énormes. Cette étude prétend donc faire un exercice pour évaluer le nombre de vies sauvées par les mesures prises et ainsi démontrer l’intérêt des gestes barrières ou du confinement.

Les chercheurs utilisent pour cela une méthode qui estime le nombre de personnes qui n’ont pas été contaminées grâce à la mise en place des mesures.

Il faut saluer la volonté de recherche, parce que c’est une vraie question. En revanche, on va voir que la méthode utilisée met des paillettes plein les yeux, mais que c’est une arnaque intellectuelle.

Premier problème : l’utilisation de données de mauvaise qualité

Si vous suivez mes vidéos, vous savez que je n’utilise qu’un seul type de données : les décès remontés à l’état civil français. Pour cela j’ai 2 sources. Le site de l’Insee propose les statistiques des décès quotidiens, avec plein de croisements possibles. Sur data.gouv.fr, on peut récupérer directement les fichiers sources, à savoir les enregistrements des décès à l’état civil depuis 1970.

Avec ces sources, j’ai tous les décès, tout français qui décède est compté. C’est donc la même méthode qui s’applique depuis 1 demi-siècle pour tous les français. Sur ces décès, depuis 50 ans, on voit des pics qui correspondent aux épidémies ou aux canicules. A chaque fois j’ai l’âge des gens et l’endroit où ils sont morts. Cette méthode permet de faire de la statistique sérieuse sur long terme. En plus, avec les données du recensement de la population, on sait aussi de manière très précise le nombre de personnes vivantes en France depuis 50 ans. Pareil, pour faire des comparaisons ou des modèles, on est très solides.

Dans l’article de NATURE, les données utilisées ne sont absolument pas solides et ne peuvent être comparées à rien de connu. Il s’agit du nombre de personnes considérées comme infectées par la Sars-Cov2 remontés par les différents pays.

Pour savoir qui est infecté par ce virus, il n’y a pas d’autre solutions que de se fier aux résultats des tests remontés par les différents pays.

Dans la vidéo précédente, j’ai expliqué dans le détail pourquoi les résultats des tests ne permettent pas de connaître le nombre de personnes infectées dans un pays. C’est un très mauvais indicateur qui rend d’emblée fausse l’analyse.

Pour mémoire on ne peut pas du tout additionner les résultats de tests sur un même pays ni faire des comparaisons dans le temps avec ces données et encore moins comparer ce qu’il se passe d’un pays à l’autre :

  1. Les tests ne sont pas du tout réalisés tous les jours sur toute la population. A partir du moment où on commence à trouver des personnes positives, on en a fait un peu plus tous les jours. Fatalement plus on fait de test, plus on trouve de cas positifs et de faux positifs.
  2. En plus du nombre, la stratégie des tests a aussi évolué. Au début, en mars-avril on ne testait que les personnes pour qui on avait des soupçons. Donc on trouvait un taux de positivité bien plus élevé que la réalité dans la population, puisqu’on ne testait que ceux dont on pensait déjà qu’ils étaient positifs. Ensuite l’été en choisissant de tester tout le monde après l’épidémie, on a trouvé beaucoup de négatifs et les positifs étaient certainement pour beaucoup de faux positifs. En septembre, nous avons eu une pénurie de tests et la stratégie est redevenue ciblée donc ne reflétant pas la population totale. Cet hiver tout le monde a pu se faire tester, donnant l’impression d’une chute du taux de positivité, alors qu’il s’agissait juste d’un changement de stratégie.
  3. La technologie de test n’est pas non plus la même partout. Le type de test utiliser, et même dans le cas des RT-PCR, les choix d’amorces faits par les labos vont nécessairement donner des résultats différents. Ainsi, sommer les résultats de tests différents qui ont des résultats différents ça n’a pas de sens. Il ne s’agit pas des mêmes tests.
  4. En plus de la technologie, les méthodes d’interprétation des tests ne sont pas les mêmes partout et ont pu changer au cours du temps, notamment avec des préconisations du nombre de cycles. Non seulement on ne peut rien additionner proprement, mais on ne peut même pas comparer les nouveaux résultats aux anciens.
  5. Même au sein du même pays, tous ces paramètres sont différents selon les régions, avec les ARS qui interviennent et les labos de manière plus ou moins marqué selon les choix personnels de chefs et la pression politique.

Il faut insister sur ce point, les résultats de tests ne sont pas un bon indicateur statistique. Ils n‘ont juste pas été conçu pour ça. Les tests sont un élément de diagnostic individuel. Santé publique France les publie uniquement pour donner une idée des grandes tendances, pas pour quantifier les malades. 

On sait donc déjà que les données sont mauvaises, mais ça n’empêche pas de travailler, j’ai déjà vu pire, surtout dans les articles médicaux. Savoir qu’on a des données pourries, mais qui ne sont pas inventées de toutes pièces, c’est déjà pas mal. Petit clin d’œil au Lancet et sa super étude à charge contre l’hydroxychloroquine.

Maintenant on passe au vrai problème : l’arnaque du modèle.

Deuxième problème : l’utilisation dévoyée du modèle mathématique

Le bon cheminement lorsque l’on fait des statistiques un peu poussées pour étudier un phénomène, c’est d’analyser les données que l’on a pour en déduire un modèle. Dans le cas précis de l’épidémie, le cheminement logique serait de regarder nos données et de comprendre la courbe de propagation. On analyse ce que l’on voit dans chaque pays pour estimer d’abord la manière dont se propage l’épidémie, puis les différents facteurs qui peuvent avoir un lien avec la propagation. C’est compliqué parce que beaucoup de facteurs jouent et qu’on a vu que la qualité des données est très mauvaise, mais c’est une démarche de connaissance. Pour ce faire, il faudrait notamment prendre des pays qui confinent et des pays qui ne confinent pas, comme la Suède.

Ici les auteurs font exactement l’inverse. Ils supposent déjà connaître le modèle de propagation de la maladie et ensuite ils disent que si la propagation que l’on constate ne correspond pas au modèle, c’est grâce aux mesures qui sont prises. Evidemment, ils ne prennent dans leur analyse que des pays qui ont confiné.

Dans le détail, il y a carrément 2 arnaques dans le raisonnement du papier, une dans chaque partie.

Première arnaque : présupposer le modèle de propagation

Pour obtenir leur modèle, les auteurs disent savoir à l’avance le type de courbe que suit la propagation épidémique. C’est ce que l’on appelle faire de la statistique paramétrique. On connaît déjà la fonction et on cherche juste ses paramètres. C’est une technique utilisée en économie comme c’est d’ailleurs précisé dans cet article. En économie, on a en effet beaucoup de recul et de données pour avoir bien bossé des modèles. Pourtant ils ne marchent pas de façon géniale, sinon le métier de trader n’existerait plus et on n’aurait plus de crise financière. Lorsque l’on fait des statistiques médicales, on n’est pas vraiment sensé faire de la statistique paramétrique. On doit plutôt faire des statistiques non-paramétriques, c’est-à-dire ne pas supposer déjà savoir comment ça se passe. Rien qu’ici les auteurs dévoient déjà le principe de modélisation.

Ils font donc de la statistique paramétrique en affirmant qu’une épidémie suit toujours une loi exponentielle. Une exponentielle, c’est ce qui arrive si l’on considère que chaque personne va en contaminer d’autres régulièrement.

Par exemple, si chaque contaminé contamine une personne chaque jour. Le premier jour, on a 1 contaminé. 2 le deuxième jour, 4 le 3e jour, puis 8, 16, 32, 64 etc…

On voit des exponentielles lorsque l’on fait des expériences en laboratoire. Dans la nature, c’est plus rare. Dans la vidéo précédente, je vous ai montré que pour faire le test RT-PCR, on déclenche une réaction exponentielle. Pour réussir, on met plein de produit réactif dans un tube à essai, on chauffe et on mélange très fort. C’est la seule manière d’avoir une exponentielle en début de réaction, il faut beaucoup de produits au même endroit en mélangeant fort pour qu’ils réagissent entre eux.

Pour les virus, c’est pareil. Si vous voulez avoir une réaction exponentielle à l’échelle d’un pays, il va vous falloir tous les jours récupérer vos malades et les balancer par hélicoptère au milieu de gens qui n’ont jamais attrapé la maladie, qui y sont sensibles et forcer tout ce petit monde à se faire des plein de bisous. Si vous n’apportez pas tous les jours des gens sains à proximité des malades, de plus en plus vite, vous n’aurez pas d’exponentielle.

Imaginons un virus qui se propage de façon exponentielle parmi des humains qui vivent à proximité les uns des autres. On va faire une exponentielle à base 2. C’est-à-dire que notre nombre d’infectés va doubler tous les jours. C’est ce qui se passe si chaque malade infecte une personne saine chaque jour.

On a notre 1er infecté le premier jour, il va en contaminer 1 autre. On a donc 2 malades au 2e jour. Chacun en contamine un nouveau. On en aura 4 au 3e jour. Puis 8, puis 16, puis 32, puis 64. Arrivé à 128, on se rend compte d’un problème. Pour réussir à faire 128, il faut réussir à contaminer des humains qui sont plus loin. Il faut donc imaginer des déplacements des contaminés vers l’extérieur pour améliorer la cadence. Pour faire 256, c’est pire. Il faut réussir à contaminer d’un coup 3 couches supplémentaires d’humains sains.

Plus ça va pire c’est. Pour faire 512, il faudrait contaminer 3 couches d’un coup. Il faudrait carrément que nos malades fassent des sprints toute la journée pour trouver des nouvelles personnes à contaminer Pour aller à 1024, ce serait 5 couches, là il faudrait des vélos, pour aller à 2048, 7 couches, il faudrait faire la contamination en voiture. Plus on avance et pire c’est. Pour suivre l’exponentielle 15 jours, il faudrait mettre en place une sacrée logistique pour être sûr de mélanger tout le monde.

La propagation exponentielle, autant ça peut exister en laboratoire, autant dans la vraie vie c’est assez peu crédible. Dans un pays comme la France par exemple qui est au bout du bout du continent, le plus souvent les maladies arrivent par l’est ou par le sud.

La progression de l’épidémie a donc peu de chance de ressembler à une exponentielle. On va plutôt voir une vague qui avance sur le territoire et qui ne touche d’ailleurs jamais le territoire en entier de façon uniforme.

Ça dépend de la météo, de la période de l’année et d’un tas de facteurs qu’on ne maîtrise absolument pas. Quand l’épidémie arrive dans un endroit très peuplé comme l’Île-de-France, les contaminations s’accélèrent puisqu’il y a plus monde au même endroit, et quand elle traverse la campagne, cela ralentit.

Si on reprend notre exemple, une propagation par vague, cela se passe comme si le virus se déplaçait sur le territoire, non pas en accélérant, mais plutôt à une vitesse constante.

On peut avoir une propagation de type linéaire. C’est-à-dire que l’on imagine l’épidémie arriver comme une vague et se propager en ligne.

Dans l’exemple, elle arriverait de l’Est et avancerait vers l’Ouest. On aurait ainsi chaque jour à peu près le même nombre de contaminés.

 Un peu plus quand la vague arrive en ville et un peu moins en campagne.

On peut aussi avoir une propagation de type carrée. Ici on imagine que le premier va contaminer la couche autour de lui.

Le 2e jour, on a donc 9 contaminés. On peut voir que ce type propagation démarre plus fort que l’exponentielle, mais elle va croître beaucoup moins vite. Le 3e jour on aura 25 contaminés. Puis 49, 81, 121 etc. Cette propagation ne suppose pas que les gens ont besoin d’être déplacés de plus en plus vite pour en contaminer de nouveaux.

La propagation linéaire arriverait par exemple si l’épidémie arrive en ligne d’un pays voisin, alors que la propagation au carré arriverait si des contaminations avaient lieu de façon parachutée sur le territoire, par exemple avec des passagers d’avions.

On a donc 3 propositions de modèle, l’exponentielle, la loi linéaire ou la loi carrée. Pour savoir quel modèle à la plus de chance de ressembler à la réalité, on peut regarder ce qu’il s’est passé depuis 50 ans en France du point de vue de la mortalité pendant les épidémies. Observe-t-on plutôt des exponentielles, des loi linéaires ou des lois carrées ? La différence entre les 3 est énorme. Voici un graphique avec ce que donne une propagation exponentielle, une propagation au carré et une propagation linéaire. Tous les raisonnements qui défendent les mesures prises sont basés sur la propagation exponentielle. Si c’est faux, tous les modèles s’effondrent.

Si on trace la courbe des décès pour chaque cas, exponentiel, carré ou linéaire, voici ce que cela donne.

L’exponentielle est en bleue, elle démarre doucement puis fini par s’envoler. La carrée est en gris. Elle démarre plus rapidement que l’exponentielle, mais finit par se faire rattraper et dépasser. La plus rapide au début en orange est la courbe linéaire. Elle peut démarrer fort, mais se fait toujours dépasser par les 2 autres.

Voici les décès enregistrés en France depuis 50 ans. Je vous ai mis en rouge l’année 2020. La courbe orange derrière c’est l’année 1969 et sa célèbre grippe de Hong-Kong pendant laquelle on n’a pas vécu la psychose de cette année, alors qu’elle a fait bien plus de décès en proportion.

Je vous rappelle qu’en 1969, il n’y avait que 50 millions de français contre 65 millions en 2020 aujourd’hui. Mais encore pire, en 1969, il n’avait que 6,8 millions de plus de 65 ans contre 12,7 millions en 2020. Le pic en vert, c’est la canicule de 2003. C’est le record absolu du nombre décès sur une seule journée en France.

Enfin, attention de ne pas se faire avoir avec le graphique. Il donne l’impression que les français ne meurent que pendant les périodes épidémiques. Il a donc l’air impressionnant. Il ne faut pas oublier que depuis 50 ans, il y a en fait 1500 personnes qui décèdent en France tous les jours. Pendant les épidémies, on ne passe pas de 0 à 2500, mais de 1500 à 2500.

On peut d’ailleurs noter que depuis 1968, le nombre de personnes qui décèdent en période calme est très stable, autour de 1500. Ce qui a évolué c’est que plus on a de personnes âgées, et plus on voit les bosses en période épidémique. Conclusion, plus on a de personnes âgées et fragiles, plus on verra de décès concentrés en période épidémique, rien de plus normal.

On va essayer de trouver si on voit des exponentielles dans ce graphique. La méthode pour identifier une exponentielle est assez simple, il suffit de calculer l’augmentation des décès d’un jour à l’autre. On fait donc juste une soustraction entre le nombre de mort de chaque jour, avec le nombre de de morts de la veille.

Sur notre exemple, on peut voir que si les décès suivent une exponentielle, alors en faisant la différence par rapport à la veille, on va retrouver une exponentielle. Si vous avez fait des maths, ce qu’on est en train de faire, c’est ce qu’on appelle la dérivée. La dérivée d’une exponentielle, c’est une exponentielle. Si les décès suivent une loi carrée, alors en faisant la différence on tombe sur une courbe linéaire, soit une droite oblique. Si les décès suivent une loi linéaire, alors on verra quelque chose de plat.

Vu la complexité des modèles mathématiques proposés dans l’article de Nature, je pense que ces scientifiques maitrisent la soustraction pour vérifier, a minima, qu’ils ne racontent pas des bêtises.

Voilà ce que ça donne sur les décès depuis 50 ans en faisant la soustraction du nombre de décès chaque jour avec la veille.

Globalement, on ne voit pas grand-chose. Les grands évènements qui font vraiment beaucoup de morts, sont les canicules l’été, comme celle de 2003 ou des crashs d’avions.

On constate surtout que le nombre de décès en France peut augmenter ou diminuer de 200 d’un jour à l’autre sans que l’on puisse constater que ça soit anormal. Aussi, tous les épisodes de mortalité épidémiques ont l’air d’avoir une progression entre 0 et 200 de plus par jour, ce qui est finalement du même ordre que les variations habituelles. Cela suggérerait pour l’instant, non pas une exponentielle, ni même en loi carrée, mais carrément une progression linéaire de la maladie comprise entre 0 et 200.

Pour y voir un peu plus clair et chercher plus finement une exponentielle, on va faire 2 choses. On va faire un lissage, c’est-à-dire qu’on va faire une moyenne du nombre de décès de chaque jour avec le jour précédent et le jour d’après. Cela va permettre de diminuer les variations naturelles d’un jour sur l’autre dû au hasard. On va aussi zoomer en ne gardant que des années où l’on sait qu’on a eu de fortes épidémies, pour essayer d’y voir quelque chose. Je garde donc 1969, 2012, 2015, 2017 et 2020.

On voit un peu mieux, ici on sait juste que d’un jour sur l’autre le nombre de décès lissé varie de plus ou moins 50 et que c’est normal. Donc pour identifier une période épidémique, il faut que l’on ait une augmentation sur plusieurs jours d’affilée. Pour regarder cela, on va toujours regarder la différence, mais on va faire la moyenne sur 4 jours. De cette façon, si on a une alternance de + 50 et -50, on trouvera 0. Si on a plusieurs jours d’affilée d’augmentation, on le verra mieux.

Voilà le graphique total, sur lequel on observe toujours que les augmentations n’ont pas l’air de suivre des lois exponentielles. Du côté des épidémies hivernales, il n’y a qu’au moment de la grippe de Hong-Kong et l’épidémie de Covid de printemps où on peut voir une progression qui sort un peu du lot. Si on la regarde en détail, on voit une belle ligne droite qui suggère une loi carrée.

Pour la grippe de Hong-Kong cela correspond à ce que certaines analyses ont faites de l’épidémie, à savoir qu’elle s’était répandue plus vite grâce aux transports par avions qui se démocratisaient.

Les creux que l’on voit sont en partie à cause des différences entre le week-end et le lundi. Pendant la Covid, la majorité de la surmortalité est venue de décès à domicile. On a donc beaucoup de remontées de décès lorsque les médecins constatent les décès les lundis et beaucoup moins le week-end. Même en faisant le lissage, la différence est tellement forte que l’on ne s’en débarrasse pas totalement.

On reviendra quand même en détail sur les hausses de mortalité pendant cette période dans la deuxième partie de la vidéo. On verra qu’elles ont lieu à des dates étonnamment bien connues.

Si je vous mets le graphique total France métropolitaine depuis 50 ans, vous pouvez voir qu’on n’a jamais vu de maladie que se propageait de manière exponentielle.

Quasiment tout ce qu’on peut observer relève plutôt d’une propagation linéaire. Les courbes sont en effet très plates et seule la grippe de Hong-Kong de 1969 et la Covid de printemps ont pu suivre une propagation au carré. La Covid de la Toussaint respecte très bien le principe de loi linéaire.

Donc supposer un modèle exponentiel, et dire que ce modèle est valable jusqu’à ce que presque toute la population soit infectée, cela n’a pas le moindre rapport avec la réalité de ce que l’on observe pour les autres maladies depuis 50 ans. Il paraît donc tout à fait normal que la Covid-19 respecte ce schéma, sans avoir à imaginer que les mesures ont un quelconque rapport avec ça.

Donc soit les auteurs sont complotistes et suggèrent en fait que c’est un virus d’un genre nouveau créé dans un laboratoire ultramoderne et qui réussit à se déplacer à une vitesse supersonique, soit ils se sont complètement plantés de modèle. Peut-être qu’ils ne comprennent pas ce qu’ils sont en train de faire, ou peut-être qu’ils ont écrit ce papier uniquement pour défendre les mesures actuelles.

La première arnaque de ce papier c’est donc de dire que la propagation du virus est exponentielle, sans le prouver et sans préciser que c’est contraire à ce qu’on sait des propagations épidémiques.

Un fois que nos auteurs ont affirmé que le virus va se propager de manière exponentielle, ils doivent calculer les paramètres de leur exponentielle.

Pour ce faire, ils n’utilisent que les toutes premières données d’infections, celles qui ont lieu entre le moment où on démarre les tests et le confinement. En effet, puisqu’ils veulent montrer que le confinement casse l’exponentielle, ils ne peuvent utiliser que les résultats de tests qui ont lieu avant. Ils corrigent quand même ces données en prenant en compte les gestes barrières et la distanciation. Pour les auteurs, la propagation serait nécessairement plus haute sans ces mesures, leur modèle en rouge est donc supérieur à la réalité. Pour résumer, les auteurs calent un modèle hyper structurant sur uniquement quelques jours, avec des données que tout le monde sait médiocres. D’ailleurs ils précisent que ça ne marche pas génial et que quand les données étaient vraiment trop loin de leur supposé modèle, ils ont considéré que c’est parce qu’elles étaient mauvaises et les ont enlevées.

Ils remarquent aussi que d’un pays à l’autre les soi-disant exponentielles sont très différentes. Ils en déduisent que c’est dû aux spécificités des habitants et pas du tout à la qualité des statistiques, ni de leur modèle. C’est bien pratique.

On a donc une exponentielle qu’ils calent sur le début. Si on reprend notre exemple, une exponentielle c’est assez plat au début, donc c’est difficile de distinguer les paramètres là-dessus. On peut aussi facilement la confondre avec une loi carrée si les données sont médiocres comme ici.

Si on demande à la machine de caler une exponentielle sur les 20 premiers jours, elle trouvera les paramètres qui collent le mieux. Si on demande à la machine de caler une loi linéaire ou carrée sur ces mêmes jours avec les mêmes données, elle donnera également les meilleurs paramètres. On peut avoir dans les 3 cas une très bonne précision avec les mêmes données. La moindre des choses c’est d’essayer plusieurs solutions et de prouver que l’on a choisi la meilleure.

A ce stade, l’article a supposé une loi exponentielle qui n’existe jamais et a calé son modèle sur un tout petit nombre de données que l’on sait mauvaises et qui ne sont pas cohérentes entre elles. Mais ce n’est pas encore le pire.

Deuxième arnaque : attribuer les différences aux mesures de confinement

Enfin arrive la plus grosse arnaque du modèle, celle qui consiste à dire que si la courbe réelle des personnes infectées est différente de la courbe du modèle, c’est parce que les mesures fonctionnent. C’est ce qu’il y a dans la deuxième partie du papier avec les graphiques bleus et rouges. La partie rouge, c’est la poursuite de l’exponentielle que les auteurs ont calculée. Le trait noir c’est ce qui s’est passé et le trait bleu c’est le modèle des auteurs en prenant en compte les présupposés bénéfices du confinement.

Comme on l’a vu dans l’exemple les lois exponentielles et carré peuvent être confondues au début. Il est assez facile de construire une loi carrée qui est exactement pareille que la loi exponentielle pendant une vingtaine de jour et qu’ensuite elles se séparent. C’est exactement ce que font les auteurs.

Quand ensuite ils constatent que la courbe rouge se sépare de la courbe noire, cela ne prouve absolument pas les effets des confinements, mais juste que le modèle exponentiel ne colle pas.

Cette démarche des auteurs est d’une malhonnêteté intellectuelle très grave. La base de la statistique c’est que les faits n’expliquent pas les causes. Lorsque vous mesurez quelque chose, vous ne pouvez pas savoir d’emblée d’où vient ce résultat. Coller un modèle exponentiel pour ensuite dire qu’il ne correspond pas à la réalité et conclure qu’on a sauvé des vies c’est honteux.

La supposition hyper forte que fait l’article caché derrière son modèle, c’est que le confinement déclenche la fin de la propagation exponentielle sans apporter aucune preuve que l’exponentielle existe, ni que les mesures ont un impact.

Derrière, toutes les soi-disant vies sauvées prouvées par l’article, ne sont que le résultat des données pourries et des suppositions prises pour faire le modèle : propagation exponentielle de la maladie jusqu’à ce que presque toute la population soit infectée et efficacité des mesures sans jamais le prouver.

La plupart des articles avec un modèle mettent en place la même arnaque. J’en ai lu un certain nombre sur des sujets médicaux. Ils proposent un modèle sorti du chapeau, ils mettent les résultats que l’on observe en face et ils déduisent l’efficacité de leur produit miracle.

D’ailleurs tous les pays de l’étude ont mis en place un confinement, cela permet aux auteurs de ne pas se confronter à des pays comme la Suède, qui ont le même type de courbe sans jamais avoir confiné.

Pour conclure sur cette première partie, il n’existe pas d’analyse avec des données solides qui aujourd’hui montre l’efficacité des mesures.

Un modèle mathématique, ça n’est ni bien, ni mal, c’est juste le résultat de ce que l’on met dedans. On doit s’en servir pour essayer de comprendre la réalité, pas s’en servir pour cacher un raisonnement fallacieux.

Passons maintenant à la deuxième partie, j’espère avoir été clair sur le fait qu’aucune étude avec modèle ne montre quoi que ce soit sur l’intérêt du confinement. On va regarder ce qu’il s’est passé en détail en France pendant des périodes épidémiques, du point de vue de la mortalité, pour essayer de déduire ce que l’on peut sur les mesures.

  1. Que voit-on en France sur la propagation des virus et que peut-on en déduire sur les mesures ?

Aujourd’hui, l’idée que les mesures ont forcément un impact positif est durement ancrée dans tous les esprits. Dans la première partie, on a montré que les études essayant de le prouver utilisent des données pourries et un raisonnement fallacieux.

Ici on va regarder ce qu’on peut dire des épidémies en France, sans préjuger savoir comment une épidémie se propage, et en utilisant la statistique beaucoup plus fiable de la totalité des décès sur le territoire de France métropolitaine.

Pour ça on va regarder ce qu’il s’est passé en France pendant 4 périodes de mortalité dues à des épidémies. On va regarder la grippe de 2015, la grippe de 2017, La covid de printemps 2020 et la Covid de Toussaint 2020. On va se focaliser sur les plus de 65 ans, car ce sont les seuls âges pour lesquels on a observé une surmortalité pendant la Covid.

Plus précisément, on va regarder la surmortalité, c’est-à-dire les décès en plus que ceux que l’on a d’habitude. Pour référence à chaque fois, j’ai pris le mois de juin. C’est un mois toujours très bas, car il n’y jamais d’épidémies, ni de canicules qui augmentent la mortalité en juin.

On observe déjà que dans les 4 cas, la période pendant laquelle le nombre de décès augmente dure environ un mois. De manière très simple avec ce constat, on ne voit pas du tout d’effet de mesure qui ralentirait la progression épidémique. On a une montée qui dure un mois et ensuite, le nombre de décès descend. Si on est au printemps, le nombre de décès descend jusqu’à son niveau de printemps puis d’été. Si on est au début de l’hiver, le nombre de décès descend un peu, mais reste plus élevé qu’en été avec toutes les maladies hivernales qui traînent.

Voyons un peu dans le détail comment se propagent les épidémies en France à un niveau plus fin. Avec les fichiers de décès on a la commune de décès des français. On peut donc faire les regroupements que l’on veut. Le niveau département est un peu petit, c’est un peu pénible d’étudier 100 territoires à la fois. Le niveau région est un peu gros, j’ai pris un intermédiaire en choisissant les anciennes régions, avec un petit raffinement pour l’Île-De-France en la séparant en 3 zones : Paris, IDF Est et IDF Ouest.

Voici ce que cela donne pour la grippe de 2015. On observe ici la surmortalité en France entre janvier et mars 2015.

On voit que les régions ne sont pas touchées avec la même intensité, mais surtout qu’elles ne sont pas touchées en même temps. Les régions du Sud ont été les premières touchées. Voici donc la chronologie de la propagation.

Le 20 janvier, on constate une augmentation de la mortalité dans les 5 régions du Sud. Sur ces territoires, il faut entre 5 et 15 jours pour arriver au maximum de la mortalité. Cela dépend du temps que la propagation met à atteindre les territoires les plus peuplés de chaque région.

La région PACA qui est la première touchée est celle qui connaîtra la plus forte hausse de mortalité.

Il faut aussi avoir en tête que les décès sont probablement décalés de 15 jours à 3 semaines par rapport aux contaminations.

Autour du 25 janvier, on voit la mortalité augmenter aussi dans 3 régions un peu plus au nord. C’est le signe d’un probable décalage de l’épidémie et donc d’une remontée. Pendant ce temps, le nombre de décès continue à augmenter dans les premiers territoires touchés.

Autour du 27 janvier, on voit l’épidémie atteindre l’Ile-de-France. Aussi bien Paris que les départements limitrophes. Ainsi, La propagation semble faire un saut, ce qui pourrait correspondre à des contaminations dues aux nombreux échanges parisiens avec le reste de la France et du monde.

Fin janvier, la surmortalité commence à être visible dans les parties Nord et Est de la France.

Début février, la surmortalité remonte au Nord et avance vers l’Ouest, ces territoires seront finalement assez peu touchés.

Les dernières régions connaissent une hausse de la mortalité à partir de la mi-février.

En conclusion, on a donc vu que l’épidémie de grippe 2015 semble être arrivée par le Sud, qu’elle met une grosse quinzaine de jour à se propager partout au sein d’une région, et qu’elle met également une grosse quinzaine de jour à se propager sur toute la France. Finalement, la propagation totale met donc un mois. Les premières régions touchées sont celles qui ont la plus forte mortalité.

Pour l’épidémie de grippe 2017, on va raconter presque la même histoire.

La première différence avec 2015 est que l’origine de l’épidémie est plutôt à chercher à l’Est. La région Rhône-Alpes est la première à connaître une surmortalité. Comme pour ce que l’on a vu en 2015, c’est la première région touchée qui connais la plus forte mortalité.

La mortalité va ensuite augmenter progressivement vers le Sud et le Nord, puis l’Ouest. Les derniers territoires touchés sont la Bretagne et les Pays de la Loire, et cette fois-ci la Corse.

On voit que le pic met aussi environ 15 jours à être atteint dans une région à partir du moment où cela commence à augmenter. Enfin, mis à part la Corse, toutes les régions concernées par l’épidémie sont touchées en 15 jours également.

La principale différence avec l’épidémie de 2015 vient du fait que beaucoup de régions ne seront pratiquement pas touchées par l’épidémie. En particulier, plus l’épidémie arrive tard et moins l’intensité est importante, les derniers territoires touchés ont ainsi peu de décès. Ainsi tout se passe comme si les conditions n’étaient plus réunies pour que la maladie fasse beaucoup de décès. Cela peut venir de la météo, du comportement des gens, des congés ou d’autre chose. On apprend surtout qu’une épidémie ne se comporte pas de façon uniforme sur le territoire.

Passons maintenant à l’épidémie de Covid de la Toussaint 2020.

On se retrouve dans la même configuration que l’épidémie de grippe 2017. Elle démarre en Rhône-Alpes et se déplace ensuite dans toutes les directions et en particulier vers le Sud. On observe une vitesse de propagation à l’intérieur des régions pour atteindre le pic similaire à d’habitude et des passages d’une région à l’autre qui se font tranquillement. Donc, toutes les mesures barrières, les masques, la distanciation, le couvre-feu, font que la propagation a exactement la même forme que d’habitude.

On observe aussi, que comme l’épidémie de 2017, toutes les régions ne sont pas touchées. Il est utile de rappeler à ce moment que puisque l’on ne meurt qu’une seule fois, les régions qui ont eu une forte surmortalité au printemps, notamment l’Île-de-France et l’Alsace-Lorraine, n’en ont pas à la Toussaint. Cela donne une idée de l’espérance de vie des personnes décédées de cette maladie au printemps.

Pour finir d’enfoncer le clou, mettons les dates de confinement pendant cette période.

Sachant qu’il faut compter entre 15 jours et 3 semaines entre la contamination et le décès, on peut décaler de 15 jours nos courbes par rapport au confinement pour avoir une idée des contaminations.

Il est donc clairement visible que ce confinement a eu lieu complètement après la bataille. Tous ceux qui vont perdre leur entreprise, ou ont perdu un proche isolé à la suite de cette décision doivent rigoler un bon coup en voyant cette courbe.

Finissons par l’épidémie de mars-avril, qui rappelons-le est la seule pour laquelle on soupçonne une vitesse de propagation supérieure à d’habitude : une loi carrée plutôt qu’une loi linéaire.

On voit nettement dans cette propagation que l’épidémie est arrivée de l’Est. En Alsace puis en Lorraine avec quelques jours de décalage, l’épidémie suit son cours normal, avec une augmentation classique du nombre de décès. Les régions d’Île-de-France, et de Rhône-Alpes sont atteintes en même temps que la Lorraine. Rhône-Alpes voit une augmentation classique de son nombre de décès. En revanche les territoires parisiens sont anormalement hauts. Le nombre de décès augmente bien plus vite que d’habitude sur ces territoires.

Pour mémoire, je remets les dates de confinement du mois de mars.

Encore une fois, puisqu’il y a environ 15 jours entre le moment de la contamination et le décès, voilà ce que ça donne si on décale les courbes.

Donc au moment où le confinement est décidé, la propagation épidémique a déjà eu lieu sur tous les territoires concernés et commençait à ralentir. On est plus de 15 jours après le début de l’épidémie. On peut donc supposer comme pour tous les autres cas qu’elle a voyagé en France et au sein des territoires déjà touchés. Pour le dire clairement, c’est bien trop tard pour espérer sauver quelqu’un. Toutes les courbes des territoires touchées suivent le même type de cloche que d’habitude.

Concernant la fin de mortalité de l’épidémie, je constate que depuis 50 on a vu qu’une seule fois de la surmortalité pendant le mois de mai, en 1979. Il faut rappeler que cette année-là, il a neigé début mai. La météo était donc exceptionnelle et a pu favoriser le maintien de la mortalité hivernale jusque tard dans l’année.

Je vous rappelle qu’à partir du mois d’avril 2020 et pendant tout le confinement, les enfants ont pu aller jouer dehors. Le redoux signant habituellement la fin de la surmortalité hivernale, la fin de l’épidémie est on ne peut plus classique.

A ce stade, je ne vois pas comment on pourrait conclure d’un lien entre une baisse de la propagation ou la fin de la propagation et les mesures. En revanche ce n’est pas la même chose pour la mortalité. Reprenons le graphique avec les dates de confinement réalisés et en ne gardant que les territoires les plus touchés.

Est-ce qu’il n’existerait pas un lien entre les mesures prises et une mortalité plus élevée que d’habitude ? On remarque assez fortement que la période entre 17 mars et le 23 mars correspondant à la mise en application des plus fortes mesures prises est parfaitement synchronisée avec l’augmentation des décès.

Donc plutôt que d’affirmer que les mesures sont bénéfiques et que si on ne le met pas, il va y avoir une hécatombe, il faudrait plutôt le prouver.

Rappelons ici les mesures structurantes qui ont été prises :

  1. Le confinement, c’est-à-dire une limitation extrême des mouvements et l’ordre à tous les français de rester chez eux.
  2. L’interdiction aux médecins de ville d’appliquer leur art, autrement-dit de proposer des traitements pour limiter le risque de complication. Le débat s’est focalisé sur l’hydorxychloroquine, mais l’interdiction ne se limite pas à cette molécule, mais à toute substance en dehors du doliprane.

L’impact du confinement

On a vu un peu avant que les différentes périodes de confinement arrivent en décalage avec l’épidémie. C’est normal puisque le confinement total arrive à partir du moment où on commence à avoir des décès dans la population. Seulement à partir du moment où on note des décès, c’est que le virus circule déjà depuis au plus de 3 semaines. Il a donc eu tout le temps de se propager sur le territoire français. Encore une fois, on ne voit aucun signe d’une vitesse de propagation de cette épidémie qui serait différente d’avant. Rappelons à ce stade qu’il n’y avait en mars-avril, ni masques, ni gel hydroalcoolique et la mode des gestes barrières n’avait pas percé non plus. Tous les travailleurs s’en souviennent je pense.

Cherchons donc quels liens on peut trouver entre le confinement strict et la mortalité.

Beaucoup d’internaute m’ont dit que le confinement strict avait permis de sauver de nombreuses vies par l’absence des accidents de voiture. C’est un argument intéressant qui mériterait un courrier à la sécurité routière. Finalement la méthode est simple pour diminuer la mortalité sur les routes, pourquoi n’y a-t-on pas pensé avant ? Plus sérieusement, il y a environ 3 600 décès sur la route par an en France, cela fait 300 par mois, cela fait environ 600 décès sur la période de confinement. Les ¾ de ces décès concernent des moins de 65 ans.

C’est normal, car ce sont plutôt les moins de 65 ans qui prennent leur voiture tous les jours pour aller au travail. La Covid au contraire touche les plus de 65 ans. On a donc sauvé une partir des 600 décès possibles, mais en écrasante majorité des jeunes, alors qu’ils ne risquent rien avec la Covid.

Maintenant, comparons avec d’autres effets de cette politique du rester chez soi. Le 7 mai 2020, dans son bulletin épidémiologique, Santé publique France tire la sonnette d’alarme sur le renoncement au soin.

Devons-nous être surpris de constater que lorsque l’on fait peur aux gens en leur ordonnant de rester chez eux, ils obéissent ? Ils obéissent tellement bien qu’ils ne vont pas à l’hôpital lorsqu’arrivent les signes d’un AVC ou d’un infarctus. En France, on dénombre environ 120 000 infarctus par an, cela fait 20 000 pendant la période de confinement.

Du côté des AVC, 150 000 sont comptabilisés chaque année, soit 25 000 en 2 mois.

Contrairement aux accidents de la route, les AVC et les infarctus touchent majoritairement le même public que les victimes de la Covid.

Pour bien se rendre compte des échelles de comparaison entre ces 3 risques, voici le graphique correspondant :

Sachant que Santé publique France nous révèle que pendant la dernière semaine de confinement, les hôpitaux ont relevé 300 personnes de moins aux urgences AVC et 300 personnes de moins aux urgences cardiaques qu’à la même époque en 2019. Doit-on en déduire qu’en 2020, les français ont eu le bon goût de ne pas faire d’AVC et de crises cardiaques pour laisser toute la place aux malades de la Covid, ou plutôt qu’ils n’ont pas été pris en charge à cause du confinement. Ce ratio étalé sur 8 semaines représente pas loin de 5 000 personnes non soignées. Sachant que la surmortalité de la période de mars-avril est d’environ 30 000, ce n’est pas négligeable.

Ajoutons en plus que pendant 2 mois, la quasi-totalité des examens de dépistages, de cancers, mais par seulement a été annulée ou reportée.

Sachant qu’en France, il y a d’habitude 200 000 dépistages du cancer du sein tous les mois, on peut donc avoir raté jusqu’à 400 000 dépistages pendant ce confinement.

Pour le cancer colorectal, c’est exactement la même chose, jusqu’à 400 000 dépistages ratés sur une période de 2 mois.

Cela signifie que le système de santé, avec une annulation totale, pourrait avoir accumulé près de 800 000 dépistages de retard rien que sur ces deux pathologies. La somme de toutes les pathologies non dépistées pendant ces 2 mois peut donc être bien plus élevée.

Ce constat est confirmé dans un article du figaro précisant qu’en 5 mois le nombre de dépistage a chuté de 23 % en 2020, alors que du fait du vieillissement de la population, il ne cesse d’augmenter.

Il est difficile d’évaluer combien de personnes décéderont de ne pas avoir été dépistées à temps. L’article du figaro avance le chiffre de 1000 à 6000 personnes. Si on considère qu’il s’agit d’un journal qui a soutenu la thèse d’un virus extrêmement mortel, et donc la nécessité de mesures fortes, on imagine sans peine qu’a minima, ils n’ont pas pris les chiffres mettant le plus à mal leur ligne.

On peut également ajouter à ce non-dépistage, les opérations reportées qui étaient destinées à retirer des tumeurs. Il y en a u plus de 30 000 sur la période. Ces reports sont autant de pertes de chances pour ceux qui les ont subies.

Si on résume, lorsque l’on regarde uniquement les effets collatéraux des mesures, à savoir la non-prise en charge des patients du fait de l’ordre de rester chez soi, les reports d’opérations et le non-dépistage, on a plusieurs milliers, voire une dizaine de milliers de personnes qui sont décédées ou décéderont de ces décisions prises pour cette période de 2 mois. Ce chiffre est à mettre en face de la surmortalité de l’année 2020.

L’impact de l’interdiction de soin par les médecins de ville

Peut-être est-il important de commencer par rappeler à nos chers décideurs et journalistes la politique de soin menée en France depuis plus de 30 ans.

Sur le site de l’Insee et de la DREES on peut suivre les différents effectifs des établissements de santé depuis 20 ans.

On apprend notamment que depuis 20 ans le nombre de lits d’hôpitaux a baissé de 100 000. Ainsi, en 1998, il y avait 8 lits d’hôpitaux pour 1000 habitants et il n’en reste plus que 6 en 2018.

Tout cela pendant que la population française passait de 58 millions à 65 millions et plus précisément les plus de 65 ans passait de 9 millions à 13 millions.

Pendant que le nombre de lits baissait drastiquement, le nombre de médecins augmentait très légèrement, passait de 3,3 pour 1000 habitants en 1998 à 3,4 pour 1000 habitants en 2018.

C’est une politique assumée de limiter le recours à l’hôpital pour reporter le soin vers les médecins de ville. La gauche, comme la droite ont lancé de nombreuses réformes dans ce sens. Citons par exemple la tarification à l’acte, mise en place par un certain Jean Castex.

Ou encore la mise en place des 35h à l’hôpital, mais sans rajouter de personnel soignant. Au bilan, on a juste eu moins d’heures de soignants, donc moins de soins. Derrière cette avancée pour les travailleurs de l’hôpital se cache une désorganisation du parcours de santé pour entraîner un renoncement.

Cette idée de faire renoncer aux français l’accès à l’hôpital et surtout aux urgences était au cœur de la réforme de santé du candidat Fillon pour les élections de 2017.

Son programme était de supprimer la bobologie de l’hôpital. Pour lui, comme pour les précédents, la saturation chronique de l’hôpital due au vieillissement et au manque de place est une bonne chose, car on doit payer moins cher. Il faut donc empêcher les français d’aller à l’hôpital pour soigner des maladies ou blessures jugées pas assez importante. En résumé, l’hôpital est l’endroit où l’on soigne les maladies grave et les cancers, pour le reste, il faut payer. Cette politique est juste le prolongement de ce qui est réalisé par la gauche ou la droite depuis 30 ans. Son erreur a été de l’afficher clairement. C’est finalement le candidat Macron qui a gagné sans afficher son programme et qui a pu continuer tranquillement cette politique.

La raison affichée de cette stratégie est évidemment qu’il faut que la santé coûte moins chère au français, soit plus efficace et moderne. Dans les faits, les coûts des soins médicaux français n’ont jamais été aussi élevés, ils sont passés de 154 milliards d’euros en 2006 à 204 milliards d’euros en 2018. Une augmentation de 30% du budget consacré pour une saturation toujours plus forte. Ce sont 50 milliards d’euros qui vont dans les bonnes poches pour soigner uniquement les bonnes personnes.

Donc en résumé, la politique menée depuis 30 ans, c’est de supprimer au maximum les places à l’hôpital et donc le recours à l’hôpital et en particulier aux urgences. Le rôle est donné aux médecins de villes et à leurs prescriptions pour limiter l’arrivée des français à l’hôpital. Cette politique est connue et affichée depuis 30 ans. Les technocrates et politiques au pouvoir le savent très bien.

A partir du moment où l’on sait cela, à votre avis, que se passe-t-il si tout d’un coup pendant une période épidémique, on interdit aux médecins de villes de prescrire et on ordonne aux français de ne se rendre qu’à l’hôpital et uniquement lorsque leurs symptômes se sont aggravés ?

La réponse est simple, puisque les médecins de ville n’ont pas pu assurer leur rôle de premier soin pour empêcher un certain nombre d’aggravation, l’hôpital se retrouve saturé parce qu’il n’est pas du tout prévu pour ça. La saturation hospitalière des mois de mars-avril n’est pas du fait du seul virus, mais vient directement de la stratégie choisie. Tout s’est passé comme-ci le gouvernent français au mois de mars avait complètement oublié la politique mise en place depuis 30 ans et ce qu’elle implique. La raison la plus probable de ce choix stupide, vient du fait qu’ils n’avaient absolument rien compris à leur propre politique. C’est ce qui arrive lorsque l’on suit bêtement une idéologie.

Ce choix de ne pas laisser les médecins de ville proposer des traitements a aussi entraîné une dégradation plus rapide de la santé des patients. De plus certains patients auraient pu ne pas rentrer dans un état grave s’ils avaient pu bénéficier de premiers soins de la part d’un médecin à la suite d’un diagnostic. Tout cela a aussi renforcé la saturation hospitalière.

Tout cela a été quantifié par les défenseurs du confinement eux-mêmes. Arnaud Fontanet et Simon Cauchemez ont publié un article dans Science, au sein duquel ils utilisent les données hospitalières françaises et notamment le temps de passage et réanimation et de décès depuis la prise en charge du patient. Les courbes les plus intéressantes ont été supprimés depuis par les auteurs, mais le site de l’Institut Pasteur permet toujours de consulter la version préprint, c’est-à-dire déposée, mais pas encore publiée. Au pages 31 et 33, on peut consulter le nombre de jours que mettent les patients arrivant à l’hôpital avant d’aller en réanimation (graphique de gauche) et le nombre de jours qu’ils mettent avant de décéder (graphique de droite).

On apprend grâce à eux que 50% des patients arrivant à l’hôpital sont placés en ranimation dès de le premier jour et que 17% des patients décèdent dès le premier jour. Ces ratios énormes sont juste la preuve apportée par les auteurs que les gens arrivent trop tard à l’hôpital. On voit d’ailleurs que la différence entre le nombre de décès au jour 1 et le nombre de décès au jour 2 est énorme. Cela montre qu’une grosse partie des arrivées n’est juste pas sauvable. Les auteurs en déduisent d’ailleurs qu’il y a 2 courbes séparés entre ceux arrivant trop tard et les autres. Si on fait preuve de juste un peu d’honnêteté, on déduit de cet énorme ratio de décès au premier jour que les soins sont trop tardifs. Il est donc très probable que les décédés des jours suivants soient également pour beaucoup du fait de personnes dont l’état a eu le temps de s’aggraver et dont certain auraient pu en réchapper si les soins avaient été précoces. En voyant ces courbes, je n’arrive juste pas à imaginer ce qui a pu es passer dans la tête des auteurs. Comment ont-ils ou avoir l’idée de publier ces courbes ? Les ont-ils seulement regardées 2 secondes avant d’appliquer mécaniquement un modèle dessus ? Comment peut-on voir ces courbes et se dire qu’on a fait du bon boulot et qu’on va le diffuser mondialement ? Ces gens sont sur une autre planète.

Enfin, grâce à eux, j’ai pu montrer un article faisandé dans Nature, dans the Lancet et dans Science, comme ça il n’y a pas de jaloux.

Cette épidémie a laissé un marqueur de dangerosité fort dans l’esprit des soignants de l’hôpital, notamment parce qu’ils n’ont pas l’habitude de recevoir autant de monde si mal en point en même temps. Il faut dire qu’en effet, d’habitude les médecins de ville soignent une bonne partie des malades. D’habitude on ne laisse pas la situation empirer jusqu’à ce qu’il soit trop tard.

Cet abandon de soin en France a été analysé et quantifié dans un article très fourni.

Ce graphique est réalisé avec les données de décès de l’Insee, anonymisées avec l’information du lieu de décès. La courbe bleue représente les décès à l’hôpital et la courbe rouge les décès en dehors de l’hôpital. On peut suivre ici les décès mois par mois. Les échelles sont très légèrement différentes. On constate que le nombre de décès à l’hôpital comme en dehors suit les mêmes pics et les mêmes creux. On constate surtout que jusqu’en 2010 les courbes se suivent assez bien. En revanche, depuis 2010 le nombre de décès en dehors de l’hôpital augmente tandis que le nombre de décès à l’hôpital reste stable. Ce graphique révèle que le système de soin ne s’est pas adapté au besoin des gens en termes de santé. Depuis 10 ans, la population âgée augmente du fait du vieillissement des baby-boomers. Depuis 10 ans, l’abandon de soin est donc manifeste. On s’étonne de voir l’espérance de vie stagner en France, finalement c’est peut-être juste dû à la politique de soin et au manque de place pour soigner nos vieux de plus en plus nombreux.

Toujours avec ces mêmes données, j’ai regardé ce qu’il se passe quotidiennement depuis 2018. Les échelles sont cette fois-ci les mêmes entre les 2 courbes.

Avant 2020, la courbe rouge est toujours sous la courbe bleue. Depuis 2020 c’est l’inverse. On constate que l’abandon de soin ne se limite pas à la période épidémique, mais persiste même en période calme, en particulier en mai et tout l’été 2020. L’abandon de soin n’est pas un problème de saturation de l’hôpital en période épidémique, mais un problème permanent. Ne devrait-on pas en déduire que lorsque l’on ne soigne pas les gens, ils meurent plus ?

En conclusion, dans cette vidéo, on a d’abord vu l’arnaque intellectuelle qui se cache derrière les études scientifiques pro-confinement, même celles publiées pourtant par des grands journaux. On a vu qu’elles ne prouvaient rien du tout et dévoyaient les statistiques et la modélisation mathématique pour promouvoir un discours politique.

Dans la deuxième partie on a vu qu’en France, on ne voit pas d’effets bénéfiques des différentes mesures sur la propagation de l’épidémie aussi bien au printemps 2020 qu’à la Toussaint. Pour la Toussaint, on voit clairement que le confinement est arrivé après la bataille. Pour le printemps, on a vu que le confinement et l’interdiction de soin pour les médecins de ville arrive exactement au moment où le nombre de décès augmente. On a ensuite vu en détail tous les indices qui montrent que les choix pris au printemps ont beaucoup plus de raison d’avoir augmenté les décès que de les avoir diminués.

Maintenant que l’on a vu tout ça, est-ce qu’il n’est pas grand temps d’arrêter de promouvoir bêtement les décisions qui ont été prises et de continuer la même politique de santé depuis 30 ans ? N’est-il pas grand temps de se réveiller et de repenser le système dans le bon sens ? Si on pouvait tirer le bilan de toutes les bêtises accumulées depuis plus d’un an, on pourrait au moins se dire que ça aura servi à nous faire progresser. Mais à quel prix ?




Baroud du déshonneur pour les empoisonneurs ! Ils devront rendre des comptes!

[Source : LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)]

Le scandale sanitaire est enfin dévoilé, les scientifiques les plus renommés comme Ioannidis  dénoncent enfin le surdosage et l’empoisonnement lors des essais destinés à prouver qu’il ne fallait pas utiliser l’hydroxychloroquine…

De très nombreux pays se rallient à l’ivermectine  et l’Oms devrait officiellement faire de même  ainsi que son propriétaire Bill Gates qui sent le vent tourner …

L’ordre des médecins créé par Pétain et  tous les khmers blancs désinformateurs criminels des plateaux TV seront obligés de rendre des comptes dans quelques semaines semaines, quand l’OMS recommandera l’utilisation de l’ivermectine.

IHU radio IHU depuis l’avenue Jean-moulin Pr Ioannidis et Pr Perronne : Les allies débarquent cette semaine à l’ihu Je répète, les alliés débarquent cette semaine à l’ihu

LA VICTOIRE DE L’IVERMECTINE 

Les lecteurs de ce blog connaissent l’efficacité de l’ivermectine depuis au moins six mois, c’est le protocole Borody !

Savez vous que le paracétamol est au moins 50 fois plus dangereux que l’ivermectine  utile contre la Covid ?

Savez vous que l’hydroxychloroquine est associée à quatre fois moins  de décès que le doliprane ?

Plus la molécule est dangereuse et moins ils ont pris de précautions, ils ont autorisé de véritables poisons et interdit des médicaments bien connus et sans danger!

Une pensée émue pour Karine LACOMBE et son poison, le traitement à partir de plasma ; la Fda américaine  vient de l’interdire ; une autre pensée pour Yazdan et son Remdésivir, une autre pensée pour les malades traités avec la combinaison des deux potions….

Le 11 mars 2020, un certain Nathan Peiffer-Smadja (NPS) recommandait l’utilisation du #remdesivir contre la Covid19. Problème, cette molécule n’ayant eu aucune AMM, son usage était délictuel et dangereux.

https://www.wsj.com/articles/fda-limits-use-of-convalescent-plasma-as-covid-19-treatment-11612537239

Seuls les imbéciles ne reconnaissent pas l’efficacité de l’ivermectine

« Je n’ai jamais vu de données comme celles-ci! »
@DrAndrewHill présentant sa méta-analyse sur l’ivermectine lors d’une visio-conférence.
World Health Organization confirms that in 6 weeks there will be news about the use of Ivermectin in early treatment for Covid19. Media briefing, 15 Feb 2021

Le Docteur chirurgien Gérard MAUDRUX dévoile pourquoi les médecins de France se taisent
! Ils ont des ordres du Conseil de l’ordre des médecins et interdiction de l’ouvrir,interdiction de prescrire sinon tu dégages! C’est clair pour les gens derrière cette mascarade Covid19

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/livermectine-victime-dattaques-malhonnetes

Alors je suis allé dans la base de données de l’OMS, Vigibase, qui recueille les données des centres de pharmacovigilance comme l’ANSM en France, de plus de 130 pays. En 30 ans, 175 208 effets indésirables pour l’Aspirine, 159 824 pour le Paracétamol et 4 614 pour l’Ivermectine. Sur plus de 4 milliards de doses prescrites sur cette période, cela fait 0,0001%. Depuis le début de l’année si on tape Corminaty (vaccin Pfizzer) on a 65 188 déclarations, contre 46 pour l’Ivermectine.

Alors je suis allé voir les publications de notre Agence de la sécurité du médicament. Dans son rapport du 11 janvier sur les effets secondaires des médicaments utilisés pour la Covid, l’ANSM signale 0 déclaration pour Ivermectine, contre 271 pour l’Hydroxychloroquine. Dans les 15 143 spécialités remboursées en France, dans la pharmacopée mondiale, je crois que l’on peut dire qu’il n’existe aucun médicament qui ait aussi peu d’effets secondaires. Alors pourquoi s’en priver quand il n’y a aucun risque et une présomption d’efficacité, tout en autorisant l’Aspirine et le Paracétamol qui ont 30 à 50 fois plus d’effets secondaires et sans efficacité recherchée ?

Si vous prenez 10 comprimés de Doliprane, recommandé par les autorités, vous pouvez mourir d’une nécrose du foie. Par contre vous pouvez prendre 50 comprimés d’Ivermectine 3 jours de suite et continuer à vaquer à vos activités quotidiennes sans problème.

Les empoisonneurs de RECOVERY

Hélas le scandale des apprentis sorciers ne fait que commencer , ils veulent nous gaver d’anticorps monoclonaux et interdire les vielles molécules qui guérissent.

Le scandale  des patients empoisonnés pour discréditer l’hydroxychloroquine est  enfin démontré . Dans le rang des accusateurs le professeur Ioannidis de Stanford.

Le protocole Raoult fait en réalité baisser la mortalité des deux tiers : entre 50 et 60 000 français seraient donc morts pour cause de conflits d’intérêt…

Pour faire croire que l’hydroxychloroquine  n’était pas efficace trois méthodes ont été utilisées :

  • Inventer des chiffres ou bidouiller  ( la call girl du Lancet  gate, Nathan et Thomas du puceaux gate)
  • Empoisonner des malades (Recovery et Solidarity)
  • Tout arrêter et cacher les bons résultats de l’hcq  (Yazdan)

Un certain Jimmy Mohamed  a franchi le mur du çon  en s’appuyant sur  l’étude de Ioannidis sur l’hydroxychloroquine pour affirmer qu’elle aurait tué 100 000 personnes…

L’étude  prouve que la surmortalité est associé à une dose haute de la hcq. Rappel: La dose du premier jour dans recovery est 4 fois celle de l’ @IHU_Marseille

Source : https://medrxiv.org/content/10.1101/2020.09.16.20194571v2.full.pdf

Il apprendrait beaucoup à suivre la conférence Ioannidis Raoult

SEMINAIRE IHU en visioconférence depuis Stanford, USA : Jeudi 18 Février de 17h00 à 18h00 John P.A. IOANNIDIS : COVID 19 epidemiology : evidence, risks and misconceptions

Comment qualifier un médecin qui donne une dose trop élevée  d’une molécule en sachant  que cette dose est mortelle ?

Au début de l’année 2020 une étude démontrait l’importance des dosages de l’hydroxychloroquine  dans le traitement de malades sévèrement touchés par la covid. Il s’agissait d’un essai randomisé en double aveugle mené en mars .

http://cel.webofknowledge.com/InboundService.do?customersID=atyponcel&smartRedirect=yes&mode=FullRecord&IsProductCode=Yes&product=CEL&Init=Yes&Func=Frame&action=retrieve&SrcApp=literatum&SrcAuth=atyponcel&SID=E3TyZ6RGEsDXGZy5KC3&UT=WOS%3A000529959400001

Les patients ont été répartis pour recevoir des doses élevées de CQ (c.-à-d. 600 mg de CQ deux fois par jour pendant 10 jours) ou de faible dose de CQ (soit 450 mg deux fois par jour le jour 1 et une fois par jour pendant 4 jours). 

 La létalité jusqu’au jour 13 était de 39,0% dans le groupe à dose élevée (16 sur 41) et de 15,0% dans le groupe à faible dose (6 sur 40). Le groupe à dose élevée a présenté plus d’exemples d’intervalle QTc supérieur à 500 millisecondes (7 sur 37 [18,9%]) par rapport au groupe à faible dose (4 sur 36 [11,1%]). La sécrétion respiratoire au jour 4 était négative chez seulement 6 des 27 patients (22,2%). Conclusions et pertinence Les résultats préliminaires de cette étude suggèrent que le dosage CQ plus élevé ne devrait pas être recommandé pour les patients gravement malades atteints de COVID-19 en raison de ses risques potentiels pour la sécurité, en particulier lorsqu’il est pris en même temps que l’azithromycine et l’oseltamivir. Ces résultats ne peuvent pas être extrapolés aux patients atteints de COVID-19 non sévère.

Tout semble clair : 12g de chloroquine en dix jours, c’est trop et dangereux, 4g95 sut dix jours et la mortalité est divisé par deux.

Comment expliquer que dans le cadre des essais Recovery et Solidarity  mené ensuite , ce soit la dose mortelle qui a été délibérément choisi ? Pour discréditer la molécule en DOUBLANT LA MORTALITE ATTENDUE .

Certes il s’agit d’hcq et non de chloroquine  mais ces choix sont dangereux… à noter que 1,2 g de chloroquine correspondent à 1,55 g d’HCQ.

Le NJEM a publié les résultats de la fameuse étude RECOVERY , des scientifiques ont obtenu la publication  d’une remarque plus que critique sur la fameuse étude.

https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMc2035374

Rappelons que le professeur Raoult soigne dès les premiers symptômes avec de l’hcq , à la dose  modérée.

Selon le Vidal, l’overdose d’HCQ commence chez l’adulte à partir de 2,5 g.  Les doses recommandées pour que les Européens puissent bénéficier du traitement s’établissaient à une dose de charge de 800 mg (en 2 prises de 400mg) le premier jour, suivie d’une dose de maintenance de 400 mg (2x200mg) les jours suivant. 

 Recovery  a opté pour la dose  de 2 g le premier jour ( plus que dans l’étude  démontrant la dangerosité ) puis 0,9g par jour. Les malades souvent cardiaques  ont reçu 4g d’hcq sur les 3 premiers jour  contre 1g8 à Marseille et contre 4g 8 pour l’étude démontrant qu’il existait une dose mortelle.

Pour les 7 jours suivants Recovery  délivre 5g40 et l’étude brésilienne 8g 40.  On remarquera le cynisme de la défense des auteurs de              Recovery : ils n’auraient pas donné des doses mortelles.

Si !   ils l’ont délibérément fait pendant trois jours  et c’est à ce moment précis  que Recovery a enregistré une forte sur        mortalité et que plusieurs patients on du arrêter le traitement .

Les critiques ont eu accès aux chiffres et ils les donnent :

En fait, les doses de Recovery pour le premier et le deuxième jour cumulés dépassent même celles de l’essai brésilien avec 3200 mg d’HCQ contre l’équivalent de 3100 mg pour l’essai brésilien. A

La mortalité s’est d’ailleurs concentrée sur les trois premiers jours, période pendant laquelle la surdose était le plus manifeste. 77 décès cumulés  au bout de trois jours pour ceux qui ont été surdosés et 272 patients obligés d’arréter le traitement à l’hcq…

La dose utilisée dans l’essai RECOVERY, la deuxième plus élevée après celle de l’essai mené par Borba et al., Suscite des inquiétudes car elle a pu être un facteur aggravant de la maladie annulant l’effet thérapeutique. De fortes doses d’hydroxychloroquine peuvent donc non seulement être toxiques et provoquer des effets secondaires graves, engageant le processus vital, mais paradoxalement aussi nuire également à son activité antivirale. En effet, de fortes doses d’hydroxychloroquine font baisser le niveau d’interféron, molécule essentielle au combat contre le virus (des articles ont montré l’association entre de faibles taux d’interféron et les formes graves de la maladie).

L’étude Recovery n’a donc aucun intérêt et ne permet de rien déduire concernant l’effet de l’hydroxychloroquine sur la COVID-19. Cette étude a très certainement tué des malades.

Pour les critiques de Recovery  plus de 80 décès sont dus non à la Covid mais à ce surdosage monstrueux.

Espérons que des suites judiciaires seront données à cet empoisonnement.

Les conséquences sont considérables, elles ont totalement faussé l’étude en faisant disparaitre les effets de l’hcq. En tenant compte de ces décès on retrouve la réduction de mortalité permise par l’hcq pour les malades hospitalisés  dans les hôpitaux de l’APHP pourtant peuplés d’ennemi de Raoult :18% de baisse. Le même chiffre que celui de l’étude de Yazdan Yazdanpannah.

Réduction de mortalité de 18% identique à celui mesuré par l’AP-HP en analyse rétrospective univariée. Ce résultat s’est révélé plus tard (en octobre) être également en accord avec le bras HCQ de l’essai Discovery qui donnait une évaluation positive en faveur de l’HCQ avec 17% de décès en moins. Discovery avait été arrêté sans raison valable le 30 juin avant d’avoir pu atteindre le quota de patients (620) nécessaire à une puissance statistique significative. Cette différence de 18% calculée correspondait à une réduction totale de 90 décès, dont 85 dans les 7 premiers jours, par rapport au bras HCQ de Recovery !

Les résultats sont bien plus impressionnants s’il y a association avec l’azithromycine  et si tous les patients sont pris en compte et pas seulement les cas sévères.

https://www.francesoir.fr/societe-sante/covid-19-une-breche-souvre-enfin-dans-le-glacis-du-deni-politico-mediatico-medical-et

https://fortunejournals.com/abstract/revisiting-a-metaanalysis-shows-that-hydroxychloroquine-with-azithromycin-may-be-efficient-in-covid19-patients-2041.html

La révision d’une méta-analyse montre que l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine peut être efficace chez les patients atteints de Covid-19

31 études ont été examinées à la recherche d’un biais critique. Des rapports de risque et des intervalles de confiance combinés ont été calculés pour les deux traitements à l’aide d’un modèle de taille à effets fixes et d’un modèle à effets aléatoires. Une analyse quantitative concernant la toxicité de l’association HCQ plus AZI est effectuée.

Résultats: Les méta-analyses effectuées sur les 11 études que nous jugeons non biaisées montrent une réduction de la mortalité de 55% pour HCQ et de 66% pour HCQ plus AZI. Pour les deux traitements, notre méta-analyse indique une efficacité significative dans la réduction de la mortalité chez les patients hospitalisés Covid-19.

 Si nous suivons cette étude entre 50 et 60 000 français seraient donc morts pour cause de conflits d’intérêt…




Le compte à rebours de la mort est lancé ! Des données top-secret… ACCESSIBLES À TOUS ! – par Ivo Sasek

[Source : Kla.tv]

Il n’y a donc pas que l’Espagne qui a commencé à vacciner sa population contre le coronavirus avec des vaccins, exactement du type de ceux contre lesquels des associations entières de scientifiques ont mis en garde en vain pendant des mois.

Pendant ce temps, nos médias subventionnés, qui sont payés très cher, ont refusé de manière évidente leur obligation légale de rendre compte des avertisseurs et des contre voix expertes ; non seulement cela, mais ils les ont également supprimés de manière dangereuse et bien qu’ils le sachent.

Il s’agit ici de témoignages censurés de milliers de scientifiques, médecins, virologues, biologistes, etc. de renom. Toutes ces personnes et bien d’autres encore, au lieu d’être entendues, ont même été insultées, incriminées et stigmatisées publiquement par le mainstream. Au lieu de stimuler le débat public exigé par la Constitution sur tous les dangers qui ont été découverts, les grands médias ont systématiquement bloqué tous les témoins experts qui faisaient encore preuve d’un certain courage civil et les ont « roulés dans la farine ». Et comme si cela ne suffisait pas, ils ont même fait en sorte que tous ceux qui ont donné une audience à ces experts de haut niveau soient stigmatisés comme étant des « covidiots », des négateurs du coronavirus, des tueurs d’hommes, et d’autres choses de ce genre.

Et ce n’est pas seulement la population espagnole qui est maintenant vaccinée avec précisément ces vaccins non testés contre lesquels les virologues et les médecins s’élèvent, avertissant qu’ils pourraient eux-mêmes causer les véritables grands dommages. Que ce soit le cas ou non, les peuples, rabaissés au rôle de cobayes, ne peuvent pas le savoir sans ces experts qui sont complètement indépendants économiquement. Et c’est précisément la raison pour laquelle une vaccination aussi hâtive de la population mondiale ne doit en aucun cas avoir lieu sans une enquête approfondie et un débat public. Ce qu’il faut ici, c’est un moratoire, c’est-à-dire une suspension immédiate contraignante, dans le but d’une enquête publique approfondie, concernant tous les points signalés comme problématiques.

L’ensemble de la campagne de vaccination elle-même est déjà suffisamment anticonstitutionnelle. Les voix des experts en matière d’alerte devraient être examinées d’urgence, d’abord par des comités d’experts totalement indépendants, puis débattues en public. Et par indépendants, j’entends non seulement libres de tout conflit d’intérêts, mais aussi hors de portée de toutes les sociétés secrètes maçonniques, qui pourtant, à plusieurs reprises déjà, ont été mises en cause pour de telles actions.

Mais malheureusement, jusqu’à présent, toutes les déclarations et les avertissements d’experts véritablement indépendants, comme je l’ai dit, ont été censurés de la manière la plus criminelle par les médias du mainstream et donc cachés aux peuples menacés. Mais aussi de plus en plus de plateformes de médias sociaux comme YouTube, Facebook, Vimeo etc. font la même chose de manière irresponsable. Des milliers de censeurs à temps plein, on ne peut pas les appeler autrement, et des pirates informatiques à temps plein s’assurent depuis des mois que toute contre voix vraiment importante soit bannie d’Internet. Qui diable paie réellement toutes ces légions ?

Vous êtes-vous déjà posé cette question ? … Avec quel argent ? Il doit y avoir des milliards de pots-de-vin. Je dis ici ouvertement ce qu’il en est : Si ce qui fait rage ici est vraiment une guerre hybride, comme l’ont maintenant révélé de façon concluante la plupart des lanceurs d’alerte, Kla.TV compris, alors tous ces censeurs ne sont rien de moins que de dangereux criminels de guerre, qui ne font que participer à un nouveau génocide. Rien que les expériences sur les animaux, qui ont été étouffées par le mainstream, ont montré dans la clarté la plus effrayante comment justement des vaccins Covid-19 produits aussi hâtivement ont conduit à des choses encore pires que le virus lui-même. Mais maintenant, malheureusement, la situation est bien pire.
Pas plus tard qu’hier, les médias ont rapporté que le gouvernement espagnol tenait déjà une liste de tous ceux qui ne se faisaient pas vacciner volontairement. Et ce qui est arrivé ensuite dans un seul et même bulletin d’information ne fait que déclencher la question de savoir à quel point ils nous prennent pour des idiots, peut-être même des abrutis. Ou du moins, à quel point devrions-nous nous nous comporter comme tels ? Car en même temps que cette nouvelle, nos médias subventionnés nous ont assuré que la protection des données resterait bien sûr garantie pour tous ceux qui figureraient sur la liste de ces non-vaccinés – bien que le gouvernement espagnol ait promis dans une seule et même phrase de transmettre toutes ces données à tous les pays voisins qui voudraient savoir qui viendrait dans leur pays sans être vacciné…

Super, quelle protection des données ! Où en sommes-nous arrivés ? Ainsi, les données top secret des personnes qui refusent la vaccination en Espagne ne seront transmises qu’à toutes les autorités qui ont effectivement le pouvoir d’interdire l’accès à tout ce que la vie publique a à offrir, comme le droit d’entrer, de prendre l’avion, d’aller en vacances, d’acheter, de prier, et je ne sais pas quoi énumérer d’autre – simplement tout ce qui vaut la peine de vivre. En d’autres termes, les seules personnes contre qui les données sont réellement protégées sont donc les personnes qui ne pourraient rien en faire et qui n’ont ni l’intérêt ni le pouvoir de nuire à ceux qui ont refusé la vaccination en Espagne. Mais les données seront également protégées contre ceux qui pourraient peut-être soutenir les personnes qui refusent la vaccination. Comprenez-vous cela ?

Bien sûr, cette nouvelle d’horreur fait d’abord céder toutes les poules mouillées de la société. C’est clair ! Ils se réconcilieront immédiatement avec eux-mêmes en disant que ce prix est beaucoup trop élevé pour eux. Après tout, ils ne veulent pas être exclus de la société, les pauvres. Ils suivent donc immédiatement l’offre d’encouragement psychologique du ministre allemand de la santé, M. Spahn, et préfèrent se battre pour la 1ère injection plutôt que de résister. Mais tout le monde ne réagit pas de la même manière. Lorsque l’Espagne, pas plus tard qu’hier, a propagé ses listes anti-vaccination, M. Spahn a en même temps fait la une des journaux en déclarant qu’il ne devrait y avoir « aucun droit spécial pour les personnes vaccinées ».

Celui qui connaît le langage de la déformation maçonnique du sens, sait donc déjà avec certitude que bientôt ce sera tout le contraire qui sera réalité. Cela signifie que tous les Allemands et autres personnes refusant la vaccination figureront bientôt sur ces listes. Il est important de le comprendre. L’Espagne n’est ici qu’un ballon d’essai.

La seule réaction logique à de telles listes cachées et dissimulées pour les personnes non vaccinées doit donc être des listes officielles, pour toutes les personnes ayant subi des dommages suite à la vaccination ! Vetopedia offre ici à toutes les personnes lésées par la vaccination la possibilité de s’inscrire officiellement afin de rendre publics leurs dommages liés à la vaccination. L’humanité doit enfin connaître les conséquences dévastatrices des vaccinations passées. Tout comme l’État surveille tous les non-vaccinés d’une part, la population doit d’autre part garder un œil bienveillant sur tous ceux qui ont été vaccinés afin de mettre en lumière tous les dommages possibles de la vaccination.

Par conséquent, divulguez vos données sans hésitation à ce public, qui, au final, va supporter tout seul vos dommages, non ? C’est votre seule protection ! Vous savez que ni les grandes entreprises pharmaceutiques ni les médecins ne peuvent être poursuivis pour des dommages causés par la vaccination, quelle que soit l’importance de ces dommages. Alors pourquoi les données des victimes de la vaccination ne devraient-elles rester que chez ceux qui protègent ceux qui leur ont nui ?

Vetopedia rend visibles les dommages causés par la vaccination. C’est pourquoi : inscrivez-vous ! Ça fonctionne ainsi : Si ce contre quoi des milliers de médecins, professeurs et virologues indépendants ont mis en garde devait se produire, cela deviendrait alors visible à cet endroit-là.

La population doit veiller maintenant à ce que l’ensemble de l’industrie pharmaceutique et de la vaccination puisse pour la première fois, être tenue pour entièrement responsable des dommages causés par la vaccination, au lieu d’être doublement protégée par la loi contre les demandes de dommages et intérêts.

Ces vaccinations, décrites par des experts véritablement indépendants comme étant extrêmement dangereuses, sont administrées sans hésitation et les médias se taisent tout simplement sur les millions de dégâts graves causés par la vaccination, les stérilisations dissimulées et bien d’autres choses qui ont déjà été révélées en masse par Kla.TV. Ainsi, à l’avenir avec Vetopedia et les lanceurs d’alerte, ce qui arrive à toutes les personnes vaccinées contre la Covid devrait être révélé.

Comme cela a déjà été demandé de manière urgente, les comités d’experts indépendants, les virologues, les biologistes, les chimistes, etc. doivent maintenant parler publiquement et actionner les leviers encore disponibles, afin qu’ils exposent de manière publique et professionnelle, les informations sur les tests PCR et les nouveaux vaccins anti Covid et qu’ils présentent les preuves de leurs enquêtes, etc.

En ce qui concerne le test PCR, une spécialiste a déclaré ces jours-ci qu’elle avait soumis à analyse plusieurs de ces tests absolument intacts et que les résultats sont revenus positifs. Elle n’avait rien fait avec ces tests. On soupçonne que ces tests PCR propagent eux-mêmes la maladie. Si c’est effectivement le cas, cela signifierait que la véritable propagation du virus Covid-19 n’a réellement commencé qu’à travers les tests PCR… et combien plus alors par le vaccin lui-même, qui a été qualifié de folie totale ? Aujourd’hui, le 30 décembre, les mass-médias parlent d’une nouvelle forme du coronavirus, encore bien pire. Il est donc nécessaire d’enquêter publiquement, et immédiatement, pour savoir si ce n’est pas précisément la réalisation du soupçon susmentionné ! Que la propagation beaucoup plus rapide n’est pas due à un nouveau type de virus, mais aux tests et aux vaccinations qui ont maintenant été lancés. Il a été démontré à plusieurs reprises que la communauté mondiale se trouve principalement, je dis bien principalement, au milieu d’une guerre financière hybride. Il y a donc de forts soupçons que l’ensemble du scénario Covid-19 ne soit qu’un dispositif de guerre biologique conçu pour dissimuler des intentions bien plus supérieures.

Quelles sont les intentions supérieures qui pourraient être dissimulées ? Par exemple, le processus continu d’endettement total de tous les États. Si la dépossession et l’asservissement de tous les pays étaient une intention plus profonde des agresseurs hybrides, alors ils auraient besoin d’un bouc émissaire, c’est clair ! Et ce, afin de pouvoir imputer une crise financière délibérément mise en scène à un coup du sort, à une pandémie, et cela dans un but d’enrichissement personnel,… quoi de plus idéal ? Une pandémie volontairement dirigée rendrait tout possible, elle justifierait tous les moyens de surveillance et de pouvoir et en même temps elle dissimulerait parfaitement le processus de pillage mondial en cours. Il faut donc enquêter publiquement et déterminer si cette prétendue pandémie n’a pas été créée délibérément dans le but de dissimuler le plus grand scandale et crime financier de tous les temps.

Il a déjà été prouvé noir sur blanc que des brevets sur les virus Covid ont été créés ! Quelle est cette folie ! Kla.TV en a déjà parlé. Et maintenant ? Seuls des experts totalement indépendants peuvent enquêter et déterminer si les tests PCR et désormais aussi les vaccins Covid-19 conduisent à la propagation réellement mortelle de la Covid-19. Toutes les listes de décès dans le monde à ce jour prouvent que jusqu’au 30 décembre 2020, le taux de mortalité n’a pas été plus élevé que lors des années normales de grippe, plutôt plus bas que cela, pour autant que je sache.

Dans son entretien sur Kla.TV, le Dr Madej a démontré de manière évidente et instructive à la population mondiale à quel point les satanistes déclarés sont à la tête de l’industrie des vaccins. Sans scrupules, pareil à des fous, ils ont fait enregistrer leurs brevets de vaccins Covid-19, développés à la hâte et sans aucune vérification, avec le numéro 060606. Étonnant n’est-ce pas ? Et par le biais des médias du mainstream, ils ont fièrement proclamé qu’ils voulaient vacciner sept milliards de personnes avec leur cocktail de poison 666. Le fait qu’ils ne puissent être tenus pour responsables d’aucuns dommages liés à la vaccination, est garanti par la nouvelle loi spécifiquement introduite avec le numéro d’enregistrement, là encore, 6666 – ce qui n’est manifestement pas une théorie de conspiration, mais un fait réel. Maintenant, au plus tard, il devrait enfin être clair, même pour celui qui doute le plus, quelle espèce d’être humain est en train d’écrire l’histoire du monde. Même si la politique et les médias s’y opposent et font remarquer qu’on ne sait pas encore quels vaccins seront achetés par qui, il faut néanmoins faire comprendre à la communauté mondiale qu’il ne peut y avoir une seule offre sérieuse, selon des experts indépendants, car une telle chose n’est tout simplement pas possible en si peu de temps. Je ne répéterais pas toutes les émissions ! Et qui va maintenant donner à l’humanité la pleine assurance que les fournisseurs des vaccins actuels sont en fait d’autres personnes que ceux dont nous venons de parler et qui sont prédéterminés par l’élite dominante ? En bref : qui va prouver maintenant et par quels moyens, que les vaccins administrés actuellement ne sont pas issus de ce club des 666 ? À notre connaissance, les principaux dirigeants mondiaux ont accumulé beaucoup trop de pouvoir pendant notre période de somnolence pour que des homologues sérieux, libres et indépendants, puissent même s’affirmer dans ce commerce.

Si vous étudiez les sources à la fin de l’émission, vous vous demanderez comment diable des gens comme Bill Gates, complètement ignorant de la virologie, de la pharmacie et de la médecine, en sont venus à annoncer ouvertement et en toute impunité devant des caméras qu’ils veulent non seulement vacciner la population mondiale avec des substances modifiant l’ADN, mais qu’ainsi ils voudraient aussi réellement la réduire.

Je dis les choses telles qu’elles sont : Seules les personnes qui appartiennent à une élite contrôlant tout et dont la religion est de toute évidence le satanisme, peuvent le faire. Aucun simple mortel ne pourrait jamais mettre la main sur un brevet controversé de vaccin numéro 666, où que ce soit dans le monde. Vous voyez ce que je veux dire ? Et il ne pourrait certainement pas utiliser une loi pour se protéger doublement de toute responsabilité qui porte le numéro d’enregistrement 6666. Comprenez-vous ce qui se passe ici ? Il existe des groupes de personnes qui ont le courage d’imposer leurs cocktails empoisonnés, leurs technologies et leurs signes au monde entier, ce contre quoi même la Bible nous met fortement en garde depuis 2 000 ans. Il est temps de se réveiller, mes chers !

Une seule chose est claire jusqu’à présent : notre communauté mondiale est contrainte à la ruine totale par ceux qui détiennent le pouvoir, à savoir par des personnes qui court-circuitent complètement le peuple, sans être reconnues, pour ainsi dire, et qui agissent comme les quatrième et cinquième puissances de l’État. Ils forment un règne de terreur pure et je le dis devant Dieu : ce genre d’humain n’ont pas du tout de bonne intentions envers nous ! Et ils sont capables de tout ce qu’un mortel normal considérerait comme tout simplement impossible. Avec cette crise économique mondiale parallèle forcée, les « protocoles des sages de Sion » se réalisent une fois de plus à la lettre. Et non ! Il ne s’agit pas du tout des Juifs, du moins pas de vrais Juifs, comme cela y est écrit quasiment toutes les 10 lignes. Les auteurs de ces écrits sont de réels satanistes qui détestent les Juifs plus que tous les autres, et qui veulent reporter leurs crimes planifiés sur les Juifs afin qu’ils soient persécutés pour cela, et non pas eux-mêmes, quand ça explosera ! J’ai longuement abordé ce sujet dans ma conférence AZK « Contre le racisme et la conspiration ». Ce ne sont donc pas les Juifs qui ont écrit ces Protocoles de conspiration mondiale, donc ne les poursuivez pas pour cela. Je refuse de reconnaître que c’était les Juifs. Selon la Bible, ce sont ceux qui se disent juifs mais ne le sont pas, mais qui appartiennent à la synagogue de Satan. C’est ainsi que c’est écrit. Les auteurs de ces lignes sont des satanistes classiques qui utilisent les Juifs comme bouclier, afin de les soumettre une fois de plus à la persécution et de les accuser de leurs crimes sataniques. Je rappelle cependant que cet écrit est un écrit interdit. Il est donc interdit de le distribuer. On peut à peine le mentionner. Mais aucun pouvoir, je vous le dis, sous le ciel ne peut m’empêcher d’assumer ma responsabilité envers une population mondiale menacée et de témoigner que cet écrit de conspiration s’accomplit à la lettre une fois de plus à notre époque. Et cela justement à travers ces pouvoirs qui en 1ère ligne nous contraignent au confinement.

La ruine ou l’endettement extrême de tous les États et de la communauté mondiale est au cœur de leur intérêt principal, selon cet écrit de conspiration. Comprenez-vous ? Ce qui y est écrit, se réalise exactement, bien exactement maintenant, en ces jours ! La pandémie n’est utilisée que comme un bouc émissaire pour cacher la dette nationale insidieuse prévue. Presque tous les biens matériels, les ressources minérales et les richesses de la terre tombent actuellement entre les mains des conspirateurs. Ils gagnent leur vie comme jamais auparavant ! Mais leur objectif final caché n’est même pas cela, mais une domination du monde à la main de fer, où tous nos plaisirs et conforts passés prendront une fin abrupte et définitive.

Parce que trop de preuves indiquent maintenant clairement que toute l’histoire de la Covid est une pandémie provoquée délibérément par cette secte dévastatrice de domination mondiale, il est impératif que la communauté mondiale sache à qui elle a affaire. Parce qu’ils se sont mis arbitrairement aux commandes de l’humanité. Et ces gens sont vraiment nuisibles. Les satanistes ne tolèrent aucune autre religion que celle de Satan. Ils ne tolèrent pas les intérêts nationaux ou les cultures acquises. Pour eux, seuls les intérêts du diable vivant sont valables. Ils n’en ont jamais assez, par exemple d’argent ou de pouvoir. Avec leurs sociétés secrètes, ils ont, depuis des siècles déjà, accaparé injustement tout pouvoir possible au moyen de nos flux monétaires et des décisions politiques. Mais le commun des mortels se demande maintenant ce qui, au-delà de cela, pourrait les intéresser. Puisqu’ils ont déjà obtenu tout le pouvoir et la richesse, que leur manque-t-il encore ?

Et c’est là que je dis : Attachez vos ceintures. Ce que je vais dire, je souhaiterais que ce soit juste de la science-fiction. J’aimerais bien me tromper sur ce point. Ce culte se nourrit de la perte et des souffrances des humains. Ils sont fondamentalement hostiles à la communauté mondiale. Ils nous considèrent tous comme des mouches parasites, comme de la vermine à exterminer. Ils se considèrent, en revanche, comme les propriétaires légitimes de ce monde. Ils n’ont aucun scrupule. Ils ne sourcillent pas quand leurs cocktails de poison endommagent, mutilent ou tuent des millions d’enfants innocents, ou quand des dizaines de millions de femmes sont stérilisées ou ont des séquelles à cause de leurs vaccinations forcées, etc. Toutes ces choses leur donnent le plaisir désiré, vous devez tout d’abord comprendre que de telles choses les excitent véritablement, oui ! Ils sont pires que les pires prédateurs que vous pouvez imaginer. Ce n’est que lorsqu’ils peuvent torturer et tourmenter les humains, détruire les animaux et les plantes, qu’ils se sentent vraiment dans leur élément. Ils sont obligés de mentir et de tromper tout le temps. C’est leur nature ! Ils n’ont aucun rapport avec une quelconque race humaine, aucune, ni avec une quelconque nationalité ou culture. Et comme je l’ai dit, avec aucune religion non plus, sauf leur culte du diable. C’est ainsi. Ils ont mis en place des réseaux entiers de cercles de pédophiles sur toute la terre, où des enfants enlevés ou spécialement conçus pour cela sont abusés, torturés et cruellement sacrifiés pour des rites. Mais ils satisfont aussi leurs désirs pervers avec la traite des femmes, le commerce de la drogue et bien d’autres choses encore. Avec leurs énormes transactions monétaires et leurs spéculations, ils dirigent à volonté l’ensemble de l’économie mondiale.

En ce moment même, un de leurs anciens plans se réalise, où il est écrit comment ils vont conduire l’ensemble de la population mondiale à une faillite financière ciblée et l’obliger à se soumettre directement à leur plein pouvoir. Ce qui ressemble malheureusement ici à de la science-fiction bon marché, est une réalité amère. Mieux vaut le croire ! Toutes ces choses sont restées cachées au public mondial parce que ce sont exactement les mêmes cercles qui ont obtenu la suprématie sur les grands médias. Leur pouvoir monétaire, combiné au pouvoir médiatique, forment ainsi le quatrième et le cinquième pouvoir invisible dans tous les États du monde. C’est la vérité ! Presque rien n’a échappé à leurs griffes sournoises.

La plupart des politiciens de ce monde, cependant, n’ont pas la moindre idée de ces choses, car ce sont simplement des marionnettes achetées ou du moins trompées. On les a soit habilement fait chanter, soit on les a en quelque sorte achetés ou soudoyés avec des pots-de-vin de toutes sortes, comme ils le font de nouveau en ce moment avec les pasteurs, les restaurateurs, les hôteliers, les médecins et les hôpitaux, etc. En effet, les derniers sont payés pour déclarer leurs patients victimes de la Covid, et les premiers sont payés pour fermer leurs portes, abandonner leurs troupeaux, etc. Conclusion : On peut fortement soupçonner que le monde a affaire à un réseau satanique de sociétés secrètes de haut rang qui viennent de commencer à poignarder au sens propre du terme cette population mondiale.

Kla.TV a donc mis à la disposition de tous ses spectateurs un dossier de sensibilisation à télécharger. Veuillez télécharger ce dossier de témoignage sous cette émission et informer les gens, d’abord de la classe moyenne, donc tous les propriétaires d’entreprises etc., et ensuite aussi ceux de la base. Vous devez absolument avoir le témoignage de scientifiques de haut rang pour connaître le véritable fond de cette incroyable histoire. Si nous ne le faisons pas et si nous ne parvenons pas à prendre le dessus de cette manière, je pense que nous le paierons de notre propre sang et de nos propres vies ! J’en suis convaincu. Par conséquent, ne diffusez pas ces dossiers de sensibilisation aux plus hautes autorités, car elles n’ont pas levé le petit doigt jusqu’à présent et ne le feront probablement jamais. Pour la même raison, ne vous adressez pas aux recteurs d’académie ou aux directeurs d’école, mais plutôt aux enseignants qui en dépendent, individuellement. Sensibilisez-les ! Là où les chefs d’entreprise ne réagissent pas à cette déclaration d’urgence et de sensibilisation, transmettez-la à leur personnel. Descendez ! Évitez aussi les directeurs de banque, informez plutôt les employés de banque. De cette façon, les employés de banque pourront tous voir ce que fait leur patron, là-haut. De plus ne passez plus du tout par l’étape des rédacteurs en chef, de la presse, de la radio, de la télévision. Ils ont prouvé qu’ils ne faisaient rien. Mais cherchez plutôt les nombreux journalistes qui vous entourent. Chacun devrait prendre ses responsabilités dans un rayon de peut-être un kilomètre autour de chez lui et sensibiliser tous ceux qui peuvent l’être avec ce dossier de sensibilisation. De même, n’allez pas voir les directions des hôpitaux ou des cliniques, etc. mais équipez plutôt leur personnel de nos meilleures émissions. Le grand public doit ainsi savoir tout ça, car toute discussion publique jusqu’à présent est attaquée, sabotée et bloquée par les magnats des médias, les rédacteurs en chef et autres dans le cadre d’un travail de sensibilisation stratégique ciblé. Il faut forcer la discussion publique entre tous les spécialistes utiles ! C’est de cela qu’il s’agit maintenant ! Ne laissez donc personne vous empêcher de parler.
Je vais maintenant résumer une fois de plus le pic de danger : Selon de très nombreux spécialistes témoins, il y a une très forte suspicion que l’épidémie de Covid 19 vient seulement d’être déclenchée par les tests PCR et maintenant aussi par la vaccination non sécurisée contre la Covid.

En 2020, toutes les listes de décès du monde ont prouvé que, malgré les discours alarmistes constants, le nombre de morts n’était pas plus élevé, mais plutôt moins élevé que la moyenne des dernières décennies. Il n’y avait donc pas une seule raison justifiable pour ruiner, paralyser et détruire l’ensemble de l’économie mondiale de cette manière. Conclusion : en ce moment des tireurs de ficelles non identifiés trompent, manipulent l’humanité entière et lui nuisent. Et leur tromperie ne cessera probablement pas car il s’agit manifestement de psychopathes sataniques, qui veulent dominer toute la politique mondiale, toute l’économie mondiale et la population mondiale, et qui veulent aussi la réduire fortement et la conduire vers le transhumanisme. Nous ne devons pas leur permettre de continuer à avoir ce pouvoir ! Par conséquent, comme je l’ai dit, téléchargez le dossier de sensibilisation avec les sept émissions les plus importantes et les plus fondées et transmettez-les aussi à tous les pasteurs, prédicateurs, évangélistes et diacres. Commandez-leur de diffuser ces voix d’experts parmi leurs paroissiens. Mais faites-leur aussi prendre conscience de leur entière responsabilité s’ils ne transmettent pas et refusent à leurs communautés ces voix d’experts. Celui qui érige aujourd’hui des blocages qui provoquent la censure et ne contribue pas à prévenir ce dommage mondial imminent, porte aussi la responsabilité de la catastrophe à venir. Comprenez-vous ce dont témoignent ici d’innombrables experts ? L’histoire s‘écrit à travers ce que nous percevons comme notre quotidien habituel. Une guerre hybride fait rage contre toute l’humanité et tous ces experts en témoignent.

Et on peut fortement soupçonner que tout ce qui nous est présenté comme des mesures douces et salvatrices pour l’humanité produiront exactement le contraire. Cela se passe exactement comme l’information mentionnée au début, où on fait croire aux Espagnols qui refusent la vaccination que leurs noms seront inscrits sur une liste, mais que leurs données resteront totalement protégées… alors qu’on déclare dans la même phrase que leurs données seront transmises à tous les pays voisins, de sorte que ceux-ci sauront immédiatement si une personne non vaccinée s’approche d’eux. Reconnaissez par là le genre de mensonges et de distorsions qui se produisent partout dans le monde. Mais reconnaissez aussi par là même l’heure qui a sonné !

Et maintenant, une dernière chose : il faut encore une fois souligner que la réduction totale de la population mondiale n’est qu’une facette du désir qui anime les misanthropes nommés. L’autre côté de leur plaisir est d’avoir un reste d’esclaves serviteurs qu’ils aimeraient transformer en une sorte d’humain-robot. Mais entièrement à leur seul service, manipulable en tout. Leur rêve est un monde presque dépeuplé qui est tout à eux – à eux seuls – même pas à leur personnel. Celui-ci doit alors fonctionner inconditionnellement comme des machines, juste beaucoup plus capables et plus matures. Oui, et je sais que tout cela ressemble maintenant à de la science-fiction, mais je le dis devant Dieu :

C’est la réalité ; c’est comme ça que ça se passe, et pas autrement. Alors allez-y, agissez tant que vous le pouvez encore !

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 43 ans.


Sources / Liens :

SRF1, 8h Nouvelles du 29.12.2020

Concernant la VACCINATION COVID :
www.kla.tv/17640

Humanité 2.0 : Un médecin met en garde contre les nouvelles technologies utilisées dans les vaccins – Interview avec Dr. Carrie Madej
www.kla.tv/17038

Le vaccin contre le coronavirus : une menace plus grande pour la santé que la maladie elle-même ? Article de Dörte Donker: « Recherche sur les armes biologiques illégales aux États-Unis » publié dans une version plus longue le 21 juin 2020 à l’adresse :
https://offenkundiges.de/illegale-biowaffenforschung-in-den-usa/

[1] L’Inde veut commencer la vaccination contre le coronavirus en août :
www.faz.net/aktuell/wirtschaft/indien-will-im-august-mit-corona-impfung-beginnen-16846800.html

[2] Des réactions excessives dangereuses et des conséquences mortelles : An Evidence Based Perspective on mRNA-SARS-CoV-2 Vaccine Development
https://www.medscimonit.com/abstract/index/idArt/924700

The spike protein of SARS-CoV — a target for vaccine and therapeutic development

[3] Drosten : « Nous avons besoin de raccourcis dans l’approbation des vaccins »
https://www.apotheke-adhoc.de/nc/mediathek/detail/christian-drosten-wir-brauchen-abkuerzungen-bei-der-impfstoffzulassung-corona-virus-update/

[4] Citation de Gabor Steingart : Le podcast du 14 avril 2020 « Les démocraties tiennent bon ». – 00:22:45 Interview avec le Pr. Thomas Kamradt
https://www.gaborsteingart.com/podcast/https-dasmorningbriefing-podigee-io-468-neue-episode/?wp-nocache=true

[5] VAERD

[6] ADE (Antibody Dependent Enhancement)
https://www.nature.com/articles/d41587-020-00016-w

[7] Le Japon arrête les vaccins Pfizer et Sanofi :
https://www.deutsche-apotheker-zeitung.de/news/artikel/2011/03/07/japan-stoppt-impfstoffe-von-pfizer-und-sanofi

Les infections à rotavirus : Le vaccin est maintenant retiré du marché
https://www.aerzteblatt.de/archiv/20437/Rotavirusinfektionen-Impfstoff-jetzt-vom-Markt-genommen

[8] mRNA Vaccines: Possible Tools to Combat SARS-CoV-2
https://link.springer.com/article/10.1007/s12250-020-00243-0

[9] COVID-19 Vaccines: A Race Against Time in the Middle of Death and Devastation!
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7286271/

mRNA vaccines — a new era in vaccinology
https://www.nature.com/articles/nrd.2017.243

mRNA vaccines — a new era in vaccinology
https://www.nature.com/articles/nrd.2017.243

[10] Mouvement Leipzig : Corona News – qui ne sont pas si faciles à trouver – Marché de Leipzig
https://www.youtube.com/watch?v=1apZFCOBwhA

Coronavirus vaccine developers wary of errant antibodies

Appel urgent à la vigilance : la vaccination anti-coronavirus intervient dans l’ADN ! Obligations de vaccination :

Bill Gates prédit 700 000 victimes de la vaccination contre le coronavirus

Cas de dommages causés par le vaccin contre la grippe porcine :

Dr. Wolfgang Wodarg:

Pr. Hockerts
https://de.wikipedia.org/wiki/Stefan_Hockertz

(Min. 33:15) Obligation des participants aux essais cliniques
https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04283461?term=vaccine&cond=covid-19&draw=2

Loi sur le génie génétique :
https://www.gesetze-im-internet.de/gentg/BJNR110800990.html

Responsabilité pour les dommages causés par la vaccination :

La vaccination contre le Covid-19 est-elle utile et nécessaire ? Déclaration du Pr. Bhakdi Immunité et vaccination :
https://www.mwgfd.de/2020/08/covid-19-immunitaet-und-impfung-prof-dr-med-sucharit-bhakdi/

GUERRE HYBRIDE
www.kla.tv/16287

Guerre secrète et possession diabolique EXPÉRIENCES SUR LES ANIMAUX AVEC LE VACCIN COVID
www.kla.tv/17640

Humanité 2.0 : Un médecin met en garde contre les nouvelles technologies utilisées dans les vaccins – Interview avec Dr. Carrie Madej PAS DE DROITS SPÉCIAUX POUR LES PERSONNES VACCINÉES (Jens SPAHN)
https://www.dw.com/de/spahn-keine-sonderrechte-f%C3%BCr-geimpfte/a-56074315

VETOPEDIA : DOMMAGES CAUSÉS PAR LES VACCINS
www.vetopedia.org/impfschaden

DOMMAGES CAUSÉS PAR LES VACCINS ET STÉRILISATIONS
www.kla.tv/16418

Robert F. Kennedy Jr. : « Le programme de vaccination globaliste et dictatorial de Bill Gates »
https://childrenshealthdefense.org/news/government-corruption/gates-globalist-vaccine-agenda-a-win-win-for-pharma-and-mandatory-vaccination/

„© [Gates’ Globalist Vaccine Agenda: A Win-Win for Pharma and Mandatory Vaccination, 10.04.2020] Children’s Health Defense, Inc. This work is reproduced and distributed with the permission of Children’s Health Defense, Inc. Want to learn more from Children’s Health Defense? Sign up for free news and updates from Robert F. Kennedy, Jr. and the Children’s Health Defense. Your donation will help to support us in our efforts.” Mogensen et.al. 2017:

VAXXED – La vérité choquante !?
www.kla.tv/14174

L’obligation vaccinale entraîne-t-elle une augmentation des troubles autistiques ?

PROBLEME DES TESTS CORONAVIRUS NON UTILISÉS

Témoignage d’une infirmière dans une maison de retraite, Suisse LA DÉPOSSESSION ET L’ENDETTEMENT TOTAL DE TOUS LES ÉTATS AU MOYEN DE LA PANDÉMIE DE CORONAVIRUS
www.kla.tv/17767

Ernst Wolff : « Pandémie du coronavirus. Objectif final : le fascisme financier numérique »

Coronavirus : à qui profite la crise économique mondiale ? Intro

Banques sauvées au détriment des hôpitaux :

Coronavirus – la plus grande crise de l’histoire économique mondiale

Coronavirus, le parfait bouc émissaire !

Crise du coronavirus – qui paie la facture ?

Enrichissement excessif dans la crise du coronavirus

Les activités sournoises des fonds spéculatifs

Conflits d’intérêts de l’OMS

La troisième vague – Le tsunami financier est là (avec Ernst Wolff)
https://www.youtube.com/watch?v=aYZ2gVs9U7o

SURVEILLANCE AU MOYEN DE LA PANDÉMIE DU CORONAVIRUS
www.kla.tv/17579

Coronavirus : Ce que le Bundestag nous cache – un initié le révèle ! Lettre de Sebastian Friebel:
https://wie-soll-es-weitergehen.de/

Citation de Wolfgang Schäuble:
http://www.wolfgang-schaeuble.de/die-pandemie-ist-eine-grosse-chance/

Citation de David Rockefeller:

: Sûr et sécurisé dans une surveillance totale ?

Discours de Robert F. Kennedy Jr. sur la manif à Berlin le 29.8.2020 Enregistrement de Querdenken du 29.8.20 :

La crise du coronavirus : un prétexte pour la surveillance et le contrôle
https://www.youtube.com/watch?v=rma9Hg4GUbk

LES BREVETS SUR LES CORONAVIRUS
www.kla.tv/16961

Fortement censuré : Plandémie II : Endoctrinement
https://plandemicseries.com/

TAUX DE MORTALITÉ PAR LE CORONAVIRUS
www.kla.tv/17494

Avis d’experts : Dans quelle mesure la maladie COVID-19 est-elle dangereuse ? Réseau allemand pour la médecine factuelle (Association).
https://www.ebm-netzwerk.de/de/veroeffentlichungen/covid-19

Wikipédia sur la médecine factuelle
https://de.wikipedia.org/wiki/Evidenzbasierte_Medizin

Lettre ouverte des médecins et des professionnels de santé à toutes les autorités belges et à tous les médias belges
https://docs4opendebate.be/de/offener-brief/

Uncut-News
https://uncut-news.ch/2020/09/16/1400-belgische-aerzte-und-medizinisches-fachpersonal-schlagen-alarm-es-gibt-keinen-killervirus/

ALETHEIA – La médecine et la science au service de la proportionnalité

Ex-vice-président de Pfizer au coronavirus : les faits n’ont plus d’importance ! Vidéo «Dr. Michael Yeadon, Ex Vizepräsident von Pfizer / Es gibt keine 2. Welle»:
https://open.lbry.com/@TranslatedPressDE:b/Dr-Michael-Yeadon-Ex-Vizepräsident-von-Pfizer-Es-gibt-keine-2-Welle:0?r=9hLdPZ6yr1XtmPHDypTVWVWXnosP4c7A

Article: L’ex-vice-président de Pfizer considère que la 2e vague est un faux

Jamais de coronavirus mortel en Suisse ? (par Richard Koller) Mouvement de la liberté Suisse (MLS)
https://www.fbschweiz.ch/index.php/de/

STATUTS du Mouvement de liberté Suisse (MLS) https://www.fbschweiz.ch/index.php/de/wir-die-bewegung-de/statuten-de

Original : Les dés sont jetés – Alea jacta est

Panique-Coronavirus : Que disent les chiffres ? Base d’évaluation : Population de l’Allemagne 2018 : 83 020 000
https://de.statista.com/statistik/daten/studie/2861/umfrage/entwicklung-der-gesamtbevoelkerung-deutschlands/

Décès en Allemagne en 2018 : 954 874
https://de.statista.com/statistik/daten/studie/156902/umfrage/sterbefaelle-in-deutschland/

Nombre de décès en Allemagne 2018 par jour : 2 616 (954 874 décès / 365 jours) Personnes infectées par le coronavirus et qui sont décédées :
https://coronavirus.jhu.edu/map.html

Surmortalité due à la grippe :
https://de.statista.com/statistik/daten/studie/405363/umfrage/influenza-assoziierte-uebersterblichkeit-exzess-mortalitaet-in-deutschland/

Décès dus à la grippe en Allemagne en 2020 :

Comité d’enquête sur le coronavirus : Les citoyens prennent leurs responsabilités face à une politique qui a déraillé
https://www.youtube.com/watch?v=kplSgkaLoGA&feature=youtu.be

Sources d’images :
https://www.youtube.com/watch?v=kplSgkaLoGA&feature=youtu.be

NUMÉRO D’ENREGISTREMENT : 6666
www.kla.tv/17640

Humanité 2.0 : Un médecin met en garde contre les nouvelles technologies utilisées dans les vaccins – Interview avec Dr. Carrie Madej UN DÉLAI TROP COURT POUR LA PRODUCTION DE VACCINS (CORONAVIRUS)
www.kla.tv/17640

Humanité 2.0 : Un médecin met en garde contre les nouvelles technologies utilisées dans les vaccins – Interview avec Dr. Carrie Madej
www.kla.tv/17826

Attention !! Mise en garde contre la propagande insidieuse en faveur du vaccin Covid19 Les avertissements des experts en vaccination et la propagande de l’OMS, de la politique et des médias en faveur de la vaccination

: La politique du coronavirus manque de science ! Entretien avec le professeur Stefan Hockertz, immunologiste Vidéo: « Un vaccin modifie notre génome »
https://clubderklarenworte.de/impfstoff-veraendert-unser-genom/

Texte de la vidéo:
https://clubderklarenworte.de/wp-content/uploads/2020/07/Neue-Impfstrategie-Transkript-.pdf

Prof.Stefan Hockertz
https://de.wikipedia.org/wiki/Stefan_Hockertz

RÉDUIRE LA POPULATION MONDIALE (BILL GATES)
www.kla.tv/16547

Thorsten Schulte : Bill Gates philanthrope ou misanthrope ? Vidéo de Thorsten Schulte:
https://www.youtube.com/watch?v=k1a2EuQWVR0

1/4/2020 Bill Gates demande une production de masse pour le vaccin :
https://www.faz.net/aktuell/gesellschaft/gesundheit/coronavirus/bill-gates-massenproduktion-von-corona-impfstoff-16706825.html

Entretien de Tagesschau Bill Gates à partir de min. 3:07 :
https://www.youtube.com/watch?v=083VjebhzgI

Pas de retour à la normale sans un programme de vaccination :

Bill Gates et le réseau de contrôle de la population (partie 3/4)

: Robert F. Kennedy Jr. : « Le programme de vaccination globaliste et dictatorial de Bill Gates »
https://childrenshealthdefense.org/news/government-corruption/gates-globalist-vaccine-agenda-a-win-win-for-pharma-and-mandatory-vaccination/

„© [Gates’ Globalist Vaccine Agenda: A Win-Win for Pharma and Mandatory Vaccination, 10.04.2020] Children’s Health Defense, Inc. This work is reproduced and distributed with the permission of Children’s Health Defense, Inc. Want to learn more from Children’s Health Defense? Sign up for free news and updates from Robert F. Kennedy, Jr. and the Children’s Health Defense. Your donation will help to support us in our efforts.” Mogensen et.al. 2017:
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5360569/

LA BIBLE MET EN GARDE CONTRE LA MARQUE 666
www.kla.tv/17622

Programme d’assassinat dévoilé, Sasek désamorce le piège des textes originaux – devant la chaîne 3sat ! Vidéos liées : 11 710 émissions de Kla.TV piratées et supprimées ! -Le BR est-il derrière tout cela ?
https://www.kla.tv/15647

Sasek choque le Landtag – L’OCG révèle la redoutable liste « ami-ennemi ».
https://www.kla.tv/15731

Kla.TV dans le piège de Tamedia ?
https://www.kla.tv/16081

Kla.TV – Un ennemi de l’État ? Lettre ouverte du fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, à Blick et autres médias de masse
https://www.kla.tv/16019

Vol de données XXL – Sasek répond au BR avec la formule 1 contre 65 milliards
https://www.kla.tv/16262

NDR-Zapp contre Sasek : « Qui laisse gigoter qui ? »
https://www.kla.tv/16480

L’aube du Nouveau Monde – et ses phénomènes

: Sept sermons – par Ivo Sasek Voir sermon 7 CONTRE LE RACISME ET LA CONSPIRATION
http://www.anti-zensur.info/azk11/widerrassismusundverschwoerung

: « Contre le racisme et la conspiration » SATANISTES – ABUS RITUELS D’ENFANTS
www.kla.tv/10795

Un initié de l’élite financière confirme le témoignage des victimes d’abus

L’affaire Dutroux : auteur isolé ou réseau pédophile-sataniste ? Dépêche « Savoir plus – vivre mieux » n° 02-03 du 29.1.2013 aux pages 5-8, 12, 14, 16.

« Lolita Express » – Compromission des politiciens américains par Israël

La dissimulation mondiale de la violence satanique rituelle par le Mind Control – Entretien avec le Dr Marcel Polte
www.kla.tv/16988

Adrénochrome : le sang humain comme drogue et agent de rajeunissement Déclaration de Xavier Naidoo sur l’adrénochrome, 2 avril 2020
https://www.youtube.com/watch?v=MTT8AzaV59g

Wikipédia « Adrénochrome »
https://de.wikipedia.org/wiki/Adrenochrom

: officier des services secrets CIA Robert David Steele

Le boxeur poids lourd américain David Rodriguez
https://www.youtube.com/watch?v=QMz6cWt3vHc&feature=youtu.be

Film « Fear and Loathing in Las Vegas », 1998

Wikipédia « Alice au pays des merveilles »
https://de.wikipedia.org/wiki/Alice_im_Wunderland

Film « Matrix », 1999

Symbolisme des stars américaines du cinéma et de la musique
https://www.youtube.com/watch?v=1Iz6aJ2H57Y

Hillary Clinton
https://www.youtube.com/watch?v=LAouGjeo1tg&list=PLMvv5RXuyS4nIZdByOsPi01oAU3qG7Nk0

Europol : 10 000 enfants disparus sans laisser de traces
https://orf.at/v2/stories/2322041/2322042

Pizzagate et Jeffrey Epstein – le film « Out of Shadows », 2020
https://www.youtube.com/watch?v=Wu46gi9wDZI

Le cas du siècle Marc Dutroux
https://www.andreas-goessling.de/b/81/68/der-jahrhundertfall-marc-dutroux

Affaire d’État Natascha Kampusch
https://www.youtube.com/watch?v=wtOBAZgUJjU

Déclaration vidéo de Xavier Naidoo, 10 avril 2020
https://t.me/Xavier_Naidoo/125

LES MAGNATS DES MÉDIAS BLOQUENT LE DÉBAT PUBLIC SUR LE CORONAVIRUS
www.kla.tv/17164

Complices de la terreur – Génocides couverts par les médias Nombreuses infections dues à de nombreux tests ? 15.03.2020 Coronavirus : danger ou pandémie de tests de laboratoire ?
www.kla.tv/15897

Est-ce que les tests sont fiables ? 16.03.2020 Test du coronavirus – un jeu de hasard pseudoscientifique ?
www.kla.tv/15905

Qu’en est-il des vaccinations ? 17.06.2020 Grippe espagnole : des morts en masse dues aux vaccinations de masse ?
www.kla.tv/16731

19.04.2020 « Vaccin contre le coronavirus : des milliards de dollars de bénéfices pharmaceutiques malgré les risques sanitaires ? » – Entretien avec Del Bigtree
www.kla.tv/16174

28.05.2020 L’OMS dissimule les effets secondaires dangereux ou mortels de la vaccination !
www.kla.tv/16483

22.04.2020 Robert F. Kennedy Jr. : « Le programme de vaccination globaliste et dictatorial de Bill Gates »
www.kla.tv/16418

Proportionnalité/base juridique 15.05.2020 Coronavirus : Base juridique pour la proportionnalité des mesures
www.kla.tv/16408

14.05.2020 La crise du coronavirus conduit-elle à l’introduction d’une vaccination obligatoire « volontaire » ?
www.kla.tv/16665

Avis d’experts 31.03.2020 Scénario du coronavirus : d’éminents spécialistes demandent la parole
www.kla.tv/16116

03.04.2020 Crise du coronavirus : lettre ouverte à la chancelière allemande du Pr. Sucharit Bhakdi
www.kla.tv/16056

03.05.2020 Pandémie du coronavirus : exemple de propagande et d’alarmisme par les médias grand public ?
www.kla.tv/16295

TRANSHUMANISME
www.kla.tv/17123

« Ils nous haïssent »

(LAAS: light as a Service)

(CRISPR-3Min)
www.kla.tv/16787

Le genre humain remplacé ? Les projets des technocrates pour l’humanité Le Forum économique mondial de Davos promet une amélioration mondiale, mais les crises politiques, sociales et économiques augmentent
https://scilogs.spektrum.de/beobachtungen-der-wissenschaft/globalisierung-4-0-das-weltwirtschaftsforum-zwischen-diskussion-ueber-unsere-technologische-zukunft-und-der-immer-unertraeglicher-werdenden-eitelkeit-einer-stumpfen-globalen-finanzelite/

L’Allemagne a besoin de plus de personnel qualifié dans les maisons de retraite
https://aerzteblatt.de/nachrichten/sw/Pflegenotstand?nid=109633

Essai dans une maison de retraite : des robots de divertissement au lieu de l’humanité
https://youtube.com/watch?v=ZiUxr6R41xM

L’avenir de l’intelligence machine-homme
http://singularity.com/KurzweilFuturist.pdf

Les scientifiques continuent à travailler sur le rêve de l’homme-machine
www.sein.de/transhumanismus-die-groesste-gefahr-fuer-die-menschheit/

Le « cyborg »est toujours un rêve d’avenir
https://mdr.de/wissen/faszination-technik/wenn-mensch-und-technik-verschmelzen-100.html

Jeffrey Epstein : Pédophile et mondialement connu
https://de.wikipedia.org/wiki/Jeffrey_Epstein

Fondation Jeffrey Epstein VI : Promotion de l’innovation dans les sciences et l’éducation
http://jeffreyepstein.org/Jeffrey_Epstein.html

Les fantasmes transhumanistes bizarres de Jeffrey Epstein

Prétendues jumelles génétiquement modifiées nées en Chine
https://spiegel.de/gesundheit/diagnose/china-angeblichgenmanipulierte-zwillinge-geboren-a-1240404.html

Litige sur le brevet de CRISPR, une technique de modification du matériel génétique




La Maladie du Magicien Macron

[Source et auteur : Réarmer l’intelligence ! – Le Blogue d’Arnaud Upinsky]

Chaque tour de magie est constitué de trois parties ou de trois actes. On appelle premier acte « le pacte ». Le magicien vous montre une chose ordinaire. Le deuxième acte s’appelle « l’effet ». Le magicien prend la chose ordinaire et lui fait faire quelque chose d’extraordinaire. Mais vous n’êtes pas encore prêt à applaudir par ce que faire disparaitre une chose n’est pas suffisante, il faut aussi la faire réapparaitre. Vous cherchez alors la clé du mystère, mais vous ne la trouverez pas parce que vous ne la cherchez pas vraiment, vous ne voulez pas réellement la connaitre. Vous voulez être mystifié.

Réplique du film Le prestige]

La Maladie du magicien Macron, c’est le cadeau de Noël pour en finir avec le cauchemar du confinement et de l’attente du Vaccin sans fin.

LA FIN DU CAUCHEMAR ! Français , « Emprisonner, piquer, vacciner ! » Le confinement vaccinal, c’est le chantage consistant à vous dire : « Tant que les Français ne seront pas vaccinés, ils resteront emprisonnés, soumettez-vous, il n’y a pas d’autre solution ! » Tel est le monstrueux mensonge d’État qui nous assassine ! C’est ce que Macron nous a appris lui-même dans sa vidéo sur son état de santé du 18 décembre qui invalide toute sa politique de gestion mathématique du confinement : « Tester, tracer, isoler » en attente de la piqûre magique du miraculeux vaccin ! Après la « Réponse de la Nation au Président de la République », du 28 avril 2020, lui intimant l’ordre de reconnaître et de généraliser sans délai « l’existence » d’un « traitement » du coronavirus ! Après, le 1er novembre, le « J’accuse de la Toussaint », du « pire crime de l’histoire de France », voici enfin la « fin du cauchemar », comme par Magie, que nous annonce Arnaud Upinsky si nous suivons sa « Méthode » d’élucidation, pour triompher de ce fol aveuglement qui conduit les Français à l’abîme :

  1. Le Président Macron agit en Magicien, et chaque tour de magie se joue en trois actes.
  2. Comment la solution de sortie du confinement est actée — et non contestée — depuis 28 avril 2020.
  3. À l’annonce d’une mutation du vaccin et d’une troisième vague, la situation actuelle n’est plus supportable.
  4. Français, ce que vous avez à juger : une Monstruosité entre deux infinis.
  5. Les 10 clefs de la maladie de Macron : exactement l’inverse de sa politique.
  6. L’antidote médical des Épidémies est connu depuis 2400 ans, sa négation révèle le combat du « Complotisme d’État » du Président Macron contre la Science.
  7. La politique du Président Macron fait exactement l’inverse des trois M ( Maladie, Malade, Médecin) structurant le triangle de la science médicale d’Hippocrate : c’est la preuve intentionnelle du nuire.
  8. Quel Avenir ? « Le microbe n’est rien, le terrain est tout ».

La solution est dans l’exacte inversion de la politique de « Négationnisme présidentiel » du traitement dont la surmortalité des plus faibles, la destruction des biens et le massacre du modèle français découlent en faisant participer les Français à leurs propres morts !


[Source : FranceSoir]

Arnaud Upinsky au Défi de la vérité

https://youtu.be/a9RNCF1Iw48

Appel aux Guerriers – Réarmez votre Intelligence

https://youtu.be/wVkDsNUnqlE

[Voir aussi :


À propos de l’auteur

« L’orateur mentionne le plan des 3D Debility, dread, dependency, au moment où sort en France le projet de loi 4D « décentralisation, différenciation, déconcentration, décomplexification »…

Arnaud-Aaron Upinsky est le nom de plume de Henri Hedde d’Entremont, essayiste français, né en 1944. 

Ses textes portent sur l’étude du pouvoir du langage dans divers domaines (sciences, art, littérature), sur des thèmes politiques (opposition au traité de Maastricht), culturel (opposition à une exposition de Jeff Koons, puis de Takashi Murakami au château de Versailles en 2010), ainsi que sur l’authenticité du linceul de Turin dans les années 1990. »

Jean-Pierre Auffret, ingénieur Arts et Métiers




Covid : du mythe aux statistiques, les vérités cachées !

[Source : Anthropo-Logiques]

Par Jean-Dominique Michel

Je n’irai pas par quatre chemins : l’article que je m’apprête à partager avec vous est aussi remarquable qu’explosif ! Il figure au rang de ce que j’ai lu de plus perspicace, rigoureux et éclairant au cours de l’année écoulée.

À partir de sa maîtrise des statistiques ainsi que d’une éthique personnelle et scientifique évidentes, l’auteur extrait des données disponibles certains tenants et aboutissants fondamentaux et occultés de la « crise sanitaire » que nous vivons depuis une année. Et, cela étonnera sans doute peu les lectrices et lecteurs de ce blog, les conclusions de son analyse de haut vol atterrissent à des années-lumière du narratif officiel.

L’auteur est mathématicien et non pas médecin ou chercheur en santé publique. Dans notre mouchoir de poche suisse romand, Fabien Balli Frantz (lui aussi inscrit dans ce domaine d’expertise) a pareillement découvert à partir de sa maîtrise des statistiques des motifs fondamentaux de l’épidémie. Qu’il a fait connaître dans différents articles publiés dans Bon pour la tête, hélas aucunement repris par les médias « mainstream » dont la priorité obsessionnelle paraît être d’affoler la population à tout prix.

On relèvera pareille effondrement chez la Task Force, l’OFSP et les centres hospitalo-universitaires helvétiques. L’indigence de l’analyse et la médiocrité des publications de ces pseudo « centres d’excellence » (en corruption systémique assurément mais au-delà, on ne voit vraiment pas…) détonne et choque, surtout quand on la compare par exemple avec la qualité de l’article que je partage ici.

Le Pr Raoult a mille fois raison de relever qu’il n’y a pratiquement plus aucune science dans les productions des autorités de santé, alors que certaines de celles réalisées à leurs heures perdues par des penseurs compétents et diffusées sur le net surpassent haut la main cette navrante pseudoscience. Pourtant payée — avec largesse — par nos impôts avec des salaires plus que dodus, complétés tant qu’à faire par les contributions de donateurs désintéressés comme un certain « philanthrope » américain, adoré par chez nous, et accessoirement en train de devenir le plus gros propriétaire agricole des États-Unis. Où, nous n’en doutons pas, il s’en donnera à cœur joie avec l’agriculture OGM intensive qui constitue, avec la vaccination (désormais OGM elle aussi) sa principale obsession…

L’auteur a souhaité rester anonyme, choix que je respecte évidemment. Son article est bien sûr plus ardu que ce dont on a l’habitude, mais reste remarquablement agréable à lire. C’est un autre talent, lui aussi rare, que de savoir restituer clairement le fruit d’analyses complexes. Le résultat, ici,  est ô combien décoiffant. Et rappelle accessoirement l’importance fondamentale de faire bon usage des données et statistiques.

La presse en a hélas donné un contre-exemple assez lamentable, en combinant l’obsession de l’anecdotique et du spectaculaire avec l’enfumage générique. Ce que l’on a pu constater par exemple sur la page web dédiée aux statistiques Covid de la Tribune de Genève, objectivement une des meilleures et des plus complètes de Suisse, mais dont les données les plus importantes étaient reléguées en toute fin de liste, noyées après des tartines et des tartines de données peu pertinentes.

Maniant l’art de décoder les chiffres et de les interpréter avec pertinence, l’auteur fait émerger des motifs puissants, que je résumerai ici à partir de quelques citations. Avec un préambule épistémologique qui est tout sauf secondaire :

« Nous comprenons aisément le rôle du vieillissement dans l’évolution de la mortalité. Les progrès de la science moderne nous permettent aujourd’hui de savoir que plus on vieillit, plus on a de chances de mourir. [NdNM : avait-on vraiment besoin de la science pour le savoir ?] De plus, en attendant suffisamment longtemps tout le monde finit toujours par décéder. La connaissance du mécanisme sous-jacent à la statistique, c’est-à-dire le rôle des classes d’âges dans la constitution des agrégats statistiques, est l’élément primordial qui permet d’interpréter les résultats quantitatifs. Sans elle nous ne saurions pas quelles sous-populations étudier pour donner du sens aux données. La statistique, malgré les apparences, est incapable de se substituer à la démarche hypothético-déductive exacte qui forme la base de toute méthode scientifique.

En médecine, la primauté de la logique sur les statistiques n’est plus considérée. La médecine basée sur les faits – qu’il vaudrait mieux appeler médecine basée sur les statistiques – a complètement abandonné l’idée de comprendre les mécanismes biologiques avant d’interpréter les données. Ce faisant, elle affirme n’importe quoi et elle le sait. John Ioannidis, professeur de médecine à l’université Stanford, a jeté un pavé dans la mare en publiant en 2005 un article intitulé « Pourquoi la plupart des résultats de recherche scientifique publiés sont faux. » Depuis, la communauté des chercheurs ose avouer son impuissance : le prestigieux journal Nature a publié en 2016 un article signalant l’impossibilité de reproduire des recherches biomédicales majeures pourtant publiées dans les règles de l’art, citant par exemple un taux d’échec ahurissant de 89% en oncologie.

On n’insistera jamais assez sur l’importance des disciplines fondamentales. Accusées d’être inutiles, elles sont pourtant les garde-fous qui permettent de savoir de quoi on parle et de comprendre ce que l’on fait : elles sont la conscience qui manque à la science. L’enseignement scientifique supérieur, quel que soit le pays, ne dispense plus de cours de philosophie ni d’épistémologie à l’attention des scientifiques : ils ne savent plus ce qu’est la science, d’où elle vient ni sur quoi elle s’appuie. Ils sont par la force des choses devenus de simples techniciens ignorant les bases de leur propre discipline. On entend dire partout que la médecine est une science : il n’y a rien de plus faux. La médecine est un art, l’art de soigner dans le but de guérir. Elle s’appuie sur des sciences comme par exemple la biochimie ou la physique de particules ; mais on ne peut pas réduire l’humain qui vient consulter à un ensemble de paramètres conformes. Une thérapie qui soignera l’un tuera peut-être l’autre. Le savoir-faire, le talent et même l’instinct du médecin participent à la qualité des soins tout autant que son savoir technique. Il est une sorte d’ingénieur de la santé ; mais il n’est pas un scientifique. Un mécanicien n’est pas un scientifique ; mais je conseille chaudement à quiconque de ne pas faire réviser sa voiture par un physicien, fût-il détenteur d’un prix Nobel. »

 Ceci posé, les analyses et les résultats s’enchaînent ! Premier constat : la mortalité est dans l’ensemble comparable à celle des épisodes grippaux habituels (une fois pondérée du vieillissement important de la population sous l’effet de la génération des baby-boomers). Avec pourtant la singularité d’une mortalité inhabituellement faible pour les tranches d’âge inférieure à 50 ans et normale au possible jusqu’ à… 80 ans !

Voici par exemple un diagramme présentant les courbes de mortalité (en valeur pour mille) pour les deux catégories « âge inférieur à l’espérance de vie » et « âge supérieur à l’espérance de vie ». Pour faire paniquer la population avec cela et lui imposer des mesures totalitaires et destructrices, il faudrait vraiment se lever de bonne heure…

Taux_1.png

L’inconfortable vérité pour l’idéologie (ou l’agenda) totalitaire est que la COVID-19 n’a quasiment pas concerné (en termes de mortalité) les personnes en dessous de l’espérance de vie : il n’y a eu statistiquement aucune différence significative entre mourir de la COVID-19 et mourir de vieillesse.

Déni de soins et mortalité

L’auteur développe ensuite une percutante analyse à partir des données relatives à la prise en charge (hospitalière puisque le rideau des généralistes a été, contrairement à toutes les recommandations en la matière, mis sur le carreau). Pourquoi cela importe-t-il ?

«  De deux choses l’une : on meurt soit à l’hôpital, soit en dehors. Dans le premier cas, c’est le signe que la prise en charge a permis au malade de recevoir des soins. Il est certes mort ; mais bien plus nombreux sont ceux qui survivent. Cependant, dans le second cas, la prise en charge n’a pas été assez efficace pour hospitaliser le malade puis tenter de le sauver. Quand la cause de la mort est rapide, il n’est pas toujours possible d’arriver à temps sur les lieux pour soigner le patient. Mais quand la mort est lente, plusieurs jours à plusieurs semaines comme dans le cas de la COVID-19, la mort en dehors de l’hôpital signifie un abandon de soins. »

Or c’est bel et bien ce paramètre (qui se dégrade régulièrement mais à bas bruit depuis 2014) qui a explosé l’année passée, atteignant :

« (…) des hauteurs himalayennes en 2020. La COVID-19 est nettement visible, non pas en tant que drame sanitaire mais comme un moment de profonde désorganisation du système de santé, incapable de faire accéder aux soins les personnes qui en avaient besoin. »

La prise en soins apparaît en effet, toutes catégories confondues, comme le principal prédicteur de mortalité ! Ce qui nous renvoie incontournablement et à nouveau à la péjoration des capacités hospitalières, particulièrement en soins intensifs, au cours des deux décennies écoulées.

« Les moyens alloués à la santé publique baissent constamment depuis la fin du XXe siècle. La figure 14 et la figure 15 montrent que les hôpitaux publics en France sont en déficit depuis 2006 (à l’exception de 2012) et que leur dette dépasse 50% de leurs ressources stables depuis 2013. Les investissements chutent comme l’illustre la figure 16, malgré l’importante augmentation de la population âgée, la plus fragile. Mais le plus grave est le manque de lits d’hôpitaux, dont le nombre diminue depuis le siècle dernier pour atteindre aujourd’hui moins de 6 lits pour 1000 habitants alors qu’il était de 11 lits en 1980. La figure 17 exhibe cette funeste chute sur la période 1997-2018. Mais la raréfaction des ressources hospitalières a commencé bien avant et elle continue encore en 2021 malgré la COVID-19 qui, paraît-il, aurait révélé le manque criant de lits disponibles dans les services de réanimation. »

Cas_2.png
Cas_3.png

Il y a donc largement de quoi expliquer la hausse des abandons de soins depuis 2014 ainsi que son pic pendant la crise de la COVID-19, en fait principalement un pic de confusion des instances sanitaires.

L’auteur conclut dès lors que les abandons massifs de soins en 2020 ont été le fait d’un affaiblissement généralisé du système de santé publique », ajoutant avec une douce-amère ironie : « quand on ne soigne pas les gens, ils ont tendance à mourir. » Ce qui permet de pondérer et mettre en perspectives les données :

« Pour mesurer la violence relative de la COVID-19 en tant que pathogène, il conviendrait donc de corriger la surmortalité en lui soustrayant le nombre de personnes décédés d’abandon de soins et non pas de la COVID-19.

En appliquant les profils de mortalité des années précédentes à la population de 2020, on découvre que la COVID-19 a une gravité de l’ordre des grippes de 2016 et 2017. Sachant que les années 2018 et 2019 ont été plutôt tranquilles, la conclusion s’impose : la COVID-19 et ses dérivés constituent des maladies de saison dans la norme : elles ne battent aucun record. Le véritable fléau est organisationnel : l’hôpital public est démantelé depuis des années. En 2020, le système a lâché. »

« Quand on tue les gens, ils guérissent beaucoup moins bien. »

Tout le monde se souviendra comment, au moment même où il prohibait d’une manière injustifiée et sans précédent l’hydroxychloroquine, le gouvernement français libéralisait et recommandait la prescription de Rivotril, en particulier dans les Ehpad, aux patients âgés en détresse respiratoire, que l’on soupçonnait d’être atteints du Covid. Si l’affaire a fait couler — à juste titre — beaucoup d’encre, il convient encore de rappeler que « sa notice officielle précise pourtant qu’il n’est absolument pas indiqué dans les cas d’infection par coronavirus. Le Rivotril est uniquement un antiépileptique. »

« Selon la notice de ce produit et les injonctions des autorités de santé, l’état clinique du patient atteint de la COVID-19 ne devrait donc jamais justifier l’injection de Rivotril, bien au contraire : son utilisation dans les cas de détresse respiratoire relève de la faute médicale grave. La notice précise bien que l’âge avancé est un facteur de risque et que l’insuffisance respiratoire est une contre-indications majeure à son utilisation :

« N’utilisez jamais Rivotril 1 mg/1 ml, solution à diluer en ampoules : Si vous avez une insuffisance respiratoire grave. »

« Ce médicament peut provoquer chez certaines personnes, en particulier chez les enfants et les personnes âgées, des réactions contraires à l’effet recherché. »

La notice du VIDAL précise en outre [22] :

« Il convient d’utiliser la plus faible dose possible chez le sujet âgé. »

Parmi les effets indésirables, on trouve précisément les cas de complications de la COVID-19 :

‒ insuffisance cardiaque (défaillance du cœur), arrêt cardiaque ;

‒ dépression respiratoire (importantes difficultés à respirer), arrêt respiratoire.

Il faut se rendre à l’évidence que le Rivotril est le pire médicament à administrer dans un cas de COVID-19, au point qu’on en vient immédiatement à penser que ses effets indésirables sont en réalité les effets désirés par les rédacteurs du décret du 28 mars 2020. En effet, le Rivotril n’est pas un analgésique. La lettre aux prescripteur précitée insiste sur ce point :

« L’efficacité et la sécurité d’emploi de RIVOTRIL® ne sont en effet pas établies dans le traitement de la douleur (notamment céphalées, douleurs osseuses, neuropathiques, articulaires, analgésie postopératoire), ni dans les indications habituelles des autres benzodiazépines (notamment anxiété et troubles du sommeil). »

Au sens strict, l’utilisation du Rivotril ne relève pas de l’euthanasie car le produit utilisé n’est pas un analgésique. Pire encore, elle a toutes les qualités pour précipiter la mort de ceux à qui on préconise de l’injecter. Enfin, le consentement formel et éclairé du patient ou de sa famille n’est pas requis. Ainsi, en toute rigueur, son administration suivant la note de l’ARS Île-de-France et le décret du 28 mars 2020, en plus de constituer un refus de soins caractérisé, entre dans le champ de l’homicide. »

Une autre donnée choquante émerge de l’analyse de la variation des quantités de Rivotril délivrés non seulement en Ehpad mais aussi, de manière importante, en hôpital !

« L’usage du Rivotril pour euthanasier les patients a eu lieu non seulement hors de l’hôpital mais également à l’hôpital, ce qui jette un doute sur la réalité de la mortalité de la COVID-19 en hôpital, peut-être même supérieur à sa mortalité naturelle, sans prise en charge. Quand un patient est laissé sans soins, il lui reste une chance de guérir par ses propres moyens ; mais si on lui injecte du Rivotril, il a alors la certitude de mourir. Le nombre d’ampoules surnuméraires délivrées à l’occasion de la COVID-19 est de l’ordre de celui des abandons de soins évalués à 29 866. Il faut cependant noter que même en hôpital le Rivotril a été administré : ses morts ne sont pas comptabilisées dans les abandons de soins et viennent donc diminuer encore l’impact réel de la COVID-19 en faisant porter la responsabilité des décès sur des choix funestes de santé publique. »

« Confinez ! » qu’ils disaient 

Mais les choses ne s’arrêtent pas là : ainsi que je l’ai moi-même abondamment souligné depuis mars 2020, les mesures coercitives imposées (au premier rang desquelles le confinement) doivent aussi être questionnées quant à leur impact sur l’épidémie et la mortalité de la Covid !

J’avais vérifié, après que le Pr Goetzsche m’ait mis sur la piste, que la connaissance épidémiologique suggère bel et bien que les virus se propagent d’avantage au sein d’un population confinée. Ce fut également…

« … la conclusion d’une grande étude séro-épidémiologique menée par le Ministère de la santé espagnol en collaboration avec l’Institut de santé Carlos III, les services de santé des communautés autonomes et l’Institut national des statistiques. Les taux de contamination au SARS-CoV-2 ont été mesurés dans différentes catégories de population. Les contaminés ne tombaient par forcément malades ; mais tous ont croisé le virus de manière à développer des anticorps caractéristiques. Les populations actives confinées ont été contaminés par le virus dans une proportion de 6,3%, tandis que les travailleurs l’ont été à 5,3%. La différence est significative ; elle montre que le SARS-CoV-2, à l’instar de la rougeole, est plus virulent dans une population confinée. Nous constatons a posteriori que le confinement des populations accroît la diffusion du virus SARS-CoV-2. »

Une seconde vérification s’offrait par la comparaison entre la France (ayant confiné) et la Suède (qui y a renoncé) :

« Pour savoir si vraiment le confinement a eu un impact sur la dangerosité de la COVID-19, observons la mortalité dans deux pays qui ont adopté des politiques différentes de ce point de vue : la France et la Suède. En effet la Suède est l’un des rares pays européens à avoir refusé de confiner sa population. On ne constate aucune différence significative. »

Après avoir présenté les conclusions comparables de l’étude récente de Ioannidis et Battacharya, l’auteur conclut que :

«  (…) d’un point de vue purement épidémiologique, le confinement semble donc inutile. Mais d’un point de vue politique, il répond aux angoisses habituelles des pouvoirs inquiets. Les techniques efficaces pour contrôler les maladies infectieuses sont toutes fondées sur la séparation des personnes saines et des malades. Le but est de diluer le virus et non pas de le concentrer, ce que font les méthodes agrégatives que sont le confinement et le couvre-feu. Le confinement concentre spatialement les personnes dans leur domicile et le couvre-feu concentre temporellement l’activité dans des tranches horaires rigides. Dans les deux cas, ces démarches concentrent le virus en plaçant les populations dans des situations de promiscuité. Elles répondent à un désir de contrôle politique des populations en soumettant les activités individuelles à l’autorité de l’État ; mais elles n’ont ni a priori, ni a posteriori un quelconque rapport avec la médecine. »

Une analyse, donc, remarquable, et dont les conclusions doivent impérativement être reprises et discutées. Certes, l’auteur me l’a indiqué dans notre échange, il serait possible en reproduisant ses calculs de trouver des chiffres différents en raison des variations induites par les techniques d’interpolation et d’extrapolation des données, mais sans que cela ne change quoi que ce soit dans l’analyse qualitative.

De tels questionnements, avec des propositions d’interprétation divergentes, font et doivent naturellement faire partie du débat scientifique. Or ce qu’il y a de tragique à l’heure actuelle, c’est  d’une part que nous faisons bel et bien face à ce qu’il faut bien appeler une prostitution scientifique massive conduisant des chercheurs à produire des résultats à la demande, comme le diagnostic en a été posé de longue date par les éditeurs de revue scientifique eux-mêmes et comme nous en avons vu à nouveau d’innombrables exemples ; d’autre part qu’il y a actuellement une véritable suppression du débat scientifique, avec des autorités (comme le Conseil scientifique en France ou la Task Force en Suisse) qui édictent des dogmes fumeux et ne reposant sur aucune science solide, qui influencent pourtant mécaniquement les politiques et sont repris comme « vérité » absolue par des médias qui débunkeront ensuite de manière forcenée tout ce qui s’éloigne de cette doxa… J’ai eu l’occasion de le relever à de nombreuses reprises : si un pareil fonctionnement s’était maintenu au cours des siècles écoulés, nous en serions restés à la certitude que la Terre est plate !

La Task Force ose ainsi asséner que le confinement a sauvé des milliers de vies ou que la moitié des contaminations sont le fait de porteurs asymptomatiques sans que cela repose sur quoi que ce soit de sérieux, de solide ou de probant. Ce sont des croyances, à fortes connotations superstitieuses, mais qui constituent une imposture évidente dès lors qu’elles sont assénées comme constituant une réalité « scientifique ».

Ce qui nous ramène, sinon à la prostitution, en tout cas à une dérive très grave et aux conséquences désastreuses sur l’ensemble de la population dont il est essentiel qu’elles trouvent tôt ou tard une traduction pénale.

Pour l’instant c’est avec une joie profonde et une vigoureuse gratitude envers son auteur que je rends disponible sont article en fichier pdf, à télécharger ici.




L’étau se resserre sur la clique de Davos

Par Jean-Michel Grau

Rappelons en préambule que le procès intenté contre le Dr Drosten par l’avocat allemand Reiner Fuellmich a pour but de le poursuivre pour crimes contre l’humanité, pour avoir faussé le protocole des tests PCR pour le compte de la clique de Davos, qui a amené les gouvernements occidentaux à prendre toutes les décisions ravageuses de confinements, couvre-feux, distanciations sociales et port du masque obligatoire. En préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, les résultats des tests devenaient presque tous positifs, même avec des traces infimes de virus, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée.

Voici le résumé traduit de la dernière communication du Docteur Fuellmich du 11/01/2021. (1)


« Les auditions menées par le Comité Covid de Berlin depuis le 10.07.2020 d’une centaine de scientifiques, d’experts médicaux, d’économistes, de juristes et de personnes de renommée internationale ont révélé que le scandale Covid19 n’a en aucun cas porté sur la santé. La dangerosité de ce prétendu nouveau virus correspond à celle d’une grippe, selon les études du professeur John Ioannides de l’université de Stanford, mais aussi selon l’évaluation de l’OMS. De plus, les tests PCR du Dr Drosten, que la direction de l’OMS sous contrôle financier de la Chine et de la Fondation Bill & Melinda Gates a recommandé comme norme mondiale de référence pour la détection des infections, ne conviennent en aucun cas à la détection des infections. »

« Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent. »

« En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes. »

« Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé. Cela signifie qu’aucun de nous ne doit avoir peur des personnes qui ne présentent aucun symptôme et les forcer à porter des masques, ni avoir peur qu’un résultat positif signifie forcément qu’il est infecté. Les images d’horreur des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui réapparaissent maintenant, existent en fait chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale. Elles ne sont utilisées maintenant qu’à dessein, afin d’alimenter davantage la panique. Il n’y a toujours pas de surmortalité en Allemagne. Plus de gens meurent en hiver : c’est tragique, mais c’est malheureusement “normal”. »

« Alors, de quoi s’agit-il vraiment s’il n’y a pas de problème de santé qui diffère de la vague de la grippe habituelle ? À cet égard, nous avons pu nous forger une opinion sur la base des auditions qui ont eu lieu, ainsi que des informations complémentaires. »

Le krach financier de septembre 2019 dont presque personne n’a parlé

« À ce jour, il faut partir du principe que ce que nous appelons la clique de Davos (dirigée par Klaus Schwab, ndt) composée d’élites d’entreprises et d’élites politiques autoproclamées qui collaborent intensivement depuis au moins 20 ans dans le cadre des réunions de l’organisation privée du World Economic Forum (WEF) a menacé de donner l’alerte en septembre 2019. Car en septembre 2019, il y a eu un autre krach financier, encore plus grave que la crise financière de la Lehman il y a 12 ans. Cela n’a été rapporté que très brièvement, entre autres de manière très argumentée dans le journal DIE ZEIT, puis le reportage sur cette crise a complètement disparu. »

« Une fois de plus, tout le système financier a été au bord de l’effondrement, car il menaçait de dévoiler que pendant au moins 20 ans, il n’avait servi qu’à piller les contribuables au profit de sociétés agissant comme des mafieux, c’est-à-dire en transférant les actifs des citoyens vers les sociétés. Le meilleur exemple est celui de la fraude fiscale appelée CumEx (2)des financiers opérant en bandes organisées, qui sont restées sans sanction jusqu’à ce jour, grâce auxquelles les banques, les entreprises et les super-riches se sont fait rembourser deux ou trois fois des impôts qu’ils n’avaient payés qu’une seule fois. »

« Ainsi les financiers ont-ils collecté pendant de nombreuses années un total d’environ 38 milliards d’euros par le biais de la fraude fiscale. Cela est passé inaperçu, car le soutien politique pour faire advenir cela venait des politiciens eux-mêmes,qui avaient été rendus dociles par les élites des entreprises fraudeuses au cours des 20 dernières années au moins, en particulier par le biais des réunions privées du WEF. Le fait que le pouvoir judiciaire allemand n’ait rien pu faire montre combien ces financiers sont capables de dominer la politique jusque dans les tribunaux. »

« Nous constatons depuis longtemps, notamment dans le cadre de nos actions en responsabilité des banques pour le financement de l’immobilier bon marché, que quelque chose ne va pas. Car là aussi, il est apparu que la complicité de l’ancien patron de la Deutsche Bank, Josef Ackermann avec Angela Merkel était telle que non seulement il la rencontrait régulièrement à Davos, mais encore allait même jusqu’à fêter son 60e anniversaire directement dans le bureau de la chancelière. Ainsi, avait-il un accès direct aux tribunaux pour la politique et avait-il fait des juges des garçons de courses à sa disposition. Ce n’est que de cette manière que l’on peut expliquer que les juges allemands ont repris aveuglément dans leurs jugements l’affirmation de la Deutsche Bank selon laquelle il était habituel pour elle d’accorder des prêts à des personnes sans contrat de prêt si elles en faisaient la demande, dans l’espoir qu’un jour un contrat de prêt approprié serait conclu, car l’octroi d’un prêt à la demande d’un emprunteur potentiel conduit à la conclusion d’un contrat de prêt. Mais au moment où le contrat de prêt était conclu, la Deutsche Bank ne disposait pas des documents requis pour une conclusion effective du contrat, de sorte qu’aucun tribunal n’a pu constater que le contrat avait été réellement conclu en mettant l’argent à disposition, car sinon la Deutsche Bank aurait coulé comme une pierre ! »

« Aucun d’entre nous n’a tenu compte du fait que la Deutsche Bank est une composante importante du blanchiment d’argent de la clique de Davos, et qu’aujourd’hui, nous avons affaire à une petite élite d’entreprises totalement corrompues qui ne s’arrête devant rien. »

« Paul Schreyer décrit très bien dans son rapport “Pandemic-Planspiele” l’imbrication toujours plus étroite des élites d’entreprises avec les élites politiques depuis au moins 20 ans. (3) Il y décrit également comment ces élites tentent délibérément depuis des années, non seulement de conserver leur pouvoir illégitime, mais de l’étendre à l’infini à l’aide de mécanismes de contrôle massifs et inhumains, avant que les objets de ces mécanismes de contrôle, à savoir nous, ne le remarquent et puissent se révolter contre lui. »

« Le professeur Rainer Mausfeld explique à son tour, dans sa conférence “Pourquoi les agneaux se taisent-ils”, comment la politique depuis de nombreuses années (et sans que le public le remarque) met en scène à plusieurs reprises la peur et la panique pour amener les gens à accepter des décisions politiques qu’ils ne soutiendraient pas autrement. » (4)

« Catherine Austin Fitts, ancienne vice-ministre américaine du Logement et banquier d’affaires, explique dans “Catherine Austin Fitts Full Interview Planet Lockdown” (5) comment ces “élites” sont en train de mettre en œuvre la prise de contrôle économique des richesses de toute la classe moyenne, car si seulement 10 % de la population s’en rend compte, le château de cartes s’effondre immédiatement. Certains universitaires supposent même un pourcentage inférieur. »

« Cela suppose que les petites et moyennes entreprises qui fonctionnent bien, par exemple dans la restauration et le commerce de détail, soient fermées par le confinement, de sorte que ces entreprises ne peuvent plus obtenir de revenus, et donc plus payer leurs crédits. L’aide est annoncée, mais elle est en réalité versée avec parcimonie ou pas du tout. Ensuite — cela ne s’applique pour l’instant qu’aux États-Unis — des émeutes sont organisées dans ces régions, qui entraînent une destruction supplémentaire de ces entreprises, de sorte qu’elles ne peuvent même plus être vendues en urgence. De ce fait, des investisseurs privilégiés sur le plan fiscal, à savoir ceux de la clique de Davos, reprennent ces entreprises quasi gratuitement. »

Les litiges juridiques maintenant

« Comme vous le savez, un certain nombre d’institutions et de cabinets d’avocats du monde entier se sont concertés pour dénoncer le contexte décrit ci-dessus avec l’aide des tribunaux et pour demander ensuite aux bailleurs de fonds et aux entreprises responsables d’indemniser les nombreuses victimes des confinements consécutifs au test du Dr Drosten. »

« Les litiges juridiques qui se déroulent actuellement dans le monde entier résultent essentiellement d’une planification conjointe approfondie des scientifiques et des juristes concernés. Car le fait que le test Drosten recommandé par l’OMS dans le monde entier ne puisse pas détecter les infections, et qu’il n’y ait pas d’infections asymptomatiques, donc pas de pandémie, tout au plus une pandémie de test PCR, est d’une importance capitale pour la conclusion de tous les litiges menés dans le monde entier, afin de faire s’écrouler partout le château de cartes des fraudeurs pandémiques. Cela signifie que tout ce qui est établi aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Italie, en France et ailleurs dans ce contexte avec l’aide de témoins et d’experts, peut être utilisé comme preuve dans tous les tribunaux du monde. »

Notre procès des tests PCR contre le Dr Drosten ainsi que les procès ultérieurs

« Le procès contre Drosten sera terminé dans les prochains jours et sera ensuite également déposé auprès du tribunal de grande instance de Berlin. Nous travaillons avec un groupe d’avocats pour préparer un certain nombre d’autres procès qui feront jurisprudence, mais surtout, parce que c’est plus rapide et moins coûteux. Nous obtiendrons ainsi un recours collectif allemand : les avis permettront de mettre sous pression les marionnettes visibles comme Drosten et Wieler, mais aussi les fonctionnaires de Leopoldina, y compris les personnes responsables auprès des autorités des ordres de quarantaine. »

Poursuite du procès des tests PCR à New York

« Les collègues américains du “Robert F. Kennedy Jr’s Childrens Health Defense group” ont déposé une plainte pour tests PCR frauduleux à New York le 16/12/2020, conseillés par les mêmes experts que nous pour un certain nombre de plaignants dont on peut lire le procès en anglais. » (6)

Le procès collectif canadien

« Le recours canadien va devenir un recours collectif international pour toutes les victimes de confinements suite aux tests PCR falsifiés du Dr Drosten.

Les collègues canadiens dirigés par Michael Swinwood ont déposé une action collective début janvier. Le recours collectif est composé d’Indiens et, entre autres, d’un groupe de propriétaires de petites entreprises et d’un représentant des handicapés.

Ce recours, contrairement à tous les autres recours introduits jusqu’à présent, décrit également le contexte historique des structures de pouvoir construites au cours des années derrière la clique de Davos mentionnée plus haut. Voir le procès canadien qu’on peut lire en anglais. » (7)

Jugements au Portugal

« Un premier jugement d’une cour d’appel du Portugal a déjà déclaré de façon spectaculaire que les tests PCR — tout comme leur inventeur, le prix Nobel Kary Mullis l’a souligné à maintes reprises — ne sont pas capables de détecter des infections ou même des maladies.

Ce jugement concerne quatre touristes allemands, dont l’un a été testé positif, ce qui a été considéré comme infectieux par les autorités sanitaires, tout comme par la fausse science allemande et les autorités administratives qui les suivaient aveuglément, entraînant une assignation à résidence jugée inconstitutionnelle par le tribunal, confirmant ainsi le tribunal de première instance. »

« Ce jugement invalide toutes les décisions des tribunaux administratifs allemands, qui ne pouvaient pas ne pas reconnaître dans les décisions d’urgence que les tests PCR ne peuvent pas détecter les infections, mais pensaient néanmoins, en agissant en véritables tribunaux de république bananière par un viol flagrant de la loi, qu’ils devaient suivre les fausses déclarations sanitaires qui mettaient l’accent sur les tests PCR frauduleux entraînant une surcharge accrue du système de soins de santé. »

Action en nullité pour cause de vaccin interdit et plainte constitutionnelle d’un juge allemand pour cause de destruction de la démocratie et de l’État de droit

« Parallèlement à toutes ces actions juridiques, la collègue italienne Dr Renate Holzeisen travaille avec notre aide et celle des experts sur un recours en annulation contre la Commission européenne en raison de l’approbation de vaccins non testés et très dangereux, en ce qui concerne les fabricants Pfizer/Biotech et Moderna, vaccins de facto interdits pour cause d’expériences génétiques sur les humains. De plus, en Italie, les procureurs antimafia, puissants et très bien formés, enquêtent, entre autres, sur l’OMS et ses gouverneurs italiens. En France, une plainte est par ailleurs en cours d’examen devant la Cour des droits de l’homme. »

« En outre, un juge allemand, avec lequel nous sommes en contact, a déposé une plainte constitutionnelle contre les mesures aveugles du gouvernement allemand qui détruisent la démocratie et l’État de droit. Cette Cour constitutionnelle peut être sollicitée par n’importe qui. »

« Nous continuerons à informer en permanence, y compris par des vidéos si nécessaire, sur les développements juridiques. Dans le même temps, nous devons tous nous efforcer de mettre les faits réels à la disposition du plus grand nombre de personnes possible. »

« Nous gagnerons parce que nous devons gagner. »

Dr. Reiner Fuellmich


Notes

  1. fuellmich.com/news/mandanten-information-nr-03-corona-schadensersatzklage/
  2. fr.wikipedia.org/wiki/CumEx_Files
  3. youtube.com/watch?v=SSnJhHOU_28 (vidéo en allemand)
  4. youtube.com/watch?v=-kLzmatet8w (vidéo en allemand)
  5. youtube.com/watch?v=MSAnq7HOmYs&feature=youtu.be (vidéo en allemand)
  6. fuellmich.com/wpcontent/uploads/content/newsletter/download/20210110/FILE_STAMPED_CO MPLAINT.pdf
  7. fuellmich.com/wp-content/uploads/content/newsletter/download/20210110/FINAL_statement-of- claim-A.pdf

Résumé et traduction du texte du Dr Fuellmich : Jean-Michel Grau




La Lettre de la Médecine du Sens n°326

[Source : Sens et Symboles]

« L’intelligence n’est pas affaire de diplômes. Elle peut aller avec mais ce n’est pas son élément premier. L’intelligence est la force, solitaire, d’extraire du chaos de sa propre vie la poignée de lumière suffisante pour éclairer un peu plus loin que soi – vers l’autre là-bas, comme nous égaré dans le noir. » 

Christian Bobin, L’inespérée

La Lettre de la Médecine du Sens n°326

Bonjour à toutes et à tous,

On se dit tous que ça ne se terminera jamais et que cela n’a pas de sens. Et pourtant, c’est d’une grande logique.

Essayons de bien voir ce qui se passe actuellement au niveau des vaccins. Il y a une chose capitale à comprendre et qui explique beaucoup de choses. 

Les vaccins ne sont autorisés qu’avec une AMM conditionnelle, ce qui est différent d’une AMM pleine et entière. (AMM = Autorisation de Mise sur le Marché)

Dans l’AMM pleine et entière les produits ont terminé la totalité des essais.

Mais il est possible de délivrer une AMM plus précoce, dite conditionnelle, avant que tous les essais ne soient terminés et validés, c’est-à-dire dans une phase encore expérimentale, dite de phase 3.  

Cette situation d’exception demande deux conditions :

  • que l’action du produit soit au-dessus de 50%,
  • qu’il n’y ait pas d’autre traitement possible.

C’est donc un traitement réservé aux situations d’urgence sans aucune autre possibilité. Seulement voilà, ici il y a deux hic. Le premier c’est que si les vaccins sont annoncés par les laboratoires à 95% d’action, Peter Doshi dans le BMJ (British Médical Journal ) du 4 janvier (Lettre MDS 325, lien : https://www.lessymboles.com/une-etude-scientifique-remet-en-cause-lefficacite-des-vaccins-anti-covid/ ) nous indique que les dits vaccins ne sont actifs, après relecture par ce très grand scientifique incontesté, que entre 19 et 29%. 

Cette publication n’a été contredite par personne.

Et bing ! Voilà une des deux conditions qui saute.

La deuxième est qu’il n’y ait aucun autre traitement, et là vous comprenez pourquoi depuis le début tout le système s’acharne à démontrer que le traitement du Pr Raoult n’existe pas (alors qu’il fonctionne à 60%), ou que soit ignorée aussi totalement, en France du moins, l’Ivermectine qui agit entre 80 et 100% au début et encore  40% en phase tardive.

Bing ! C’est la deuxième qui saute.

Ce serait tout le jackpot des vaccins qui sauterait. Et nous verrons juste après qu’il est énorme.  

Nous utilisons donc actuellement des vaccins qui ne devraient pas légalement avoir d’AMM provisoire.  

Si on continue, on réalise ce qui pourtant était évident depuis longtemps, c’est que les virus à ARN mutent perpétuellement et que c’est pour cela que l’on n’a jamais réussi à faire de vaccins contre les coronavirus.

Les laboratoires prétendent encore que leurs vaccins agissent sur la variant Anglais, mais déjà plus sur le variant Sud Africain à peine 1 mois 1/2 après le début des vaccinations. Et ce sont encore une fois les seules données de Pfizer, entreprise qui a déjà été condamnée en 2009 à 2,3 milliards d’euros d’amende pour falsification de données, publicité mensongère et commissions occultes (valises de billets pour corruption, pour des responsables et des leaders d’opinion).

Il faut toujours en médecine faire attention à ne pas abuser de ce qui marche. Les antibiotiques ont été en médecine une découverte essentielle, mais leur utilisation abusive a conduit à des antibio-résistances qui vont être dramatiques.

Malheureusement, nous continuons les mêmes erreurs au niveau des vaccins. Nous voyons bien apparaitre un vaccino échappement avec les variants anglais et sud africain. Cela risque de créer, comme au niveau des antibiotiques, une situation critique de résistance. 

Pourtant, les traitements existent.  

La Coordination Santé Liberté publie ce 31 janvier 2021 une synthèse très interessante et documentée des traitements efficaces du Covid 19 de quoi soigner très efficacement.

Télécharger le PDF :  https://www.lessymboles.com/wp-content/uploads/2021/02/2-Groupe_de_travail_PREVENTION___THERAPEUTIQUE.pdf 

Dans quelques jours elle publiera le Comité Scientifique Indépendant. Qui pourra donner des avis sur la crise avec une autre voix face à la doxa officielle de plus en plus totalitaire. Évidement, dès la sortie des recommandations toute la presse mainstream (celle qui appartient aux mêmes milliardaires) réagit. Il faut voir cela comme un satisfecit de qualité. Nous avions déjà dit dans la dernière lettre que la mortalité corrigée de 2020 était moindre que celle de 2015 ou 2017.

Lien : https://www.youtube.com/watch?v=8pA9pfFUSIk&feature=youtu.be 

Voilà avec ces recommandations notre Covid qui a terrorisé, ramené au stade d’une infection respiratoire assez commune.  

Le nombre de lits de réanimation a baissé entre mars 2020 et maintenant.

Pourtant LA chose à faire depuis le début de la crise était d’augmenter massivement le nombre de lits de réanimation en France. Cette pandémie aura au moins eu le mérite de révéler que la politique massive de réduction de lits poursuivie par tous les gouvernements depuis 20 ans était une catastrophe. Pourtant le gouvernement fait tout le contraire. Une fois de plus, il fait n’importe quoi ! En Ile de France, selon le Canard Enchaîné, ils sont passés de 2500 à 1700, alors que c’est tout l’inverse qu’il aurait fallu faire. Dans la situation actuelle c’est provoquer artificiellement une saturation des lits de réa. C’est à la fois manipulateur et criminel.

Le nombre de lits de réanimation a baissé entre mars 2020 et maintenant

Le nombre de lits de réanimation a baissé entre mars 2020 et maintenant

Pourquoi le gouvernement a-t-il délibérément laissé baisser le nombre de lits ?

Lire la suite.

Le conseil de l’Europe, dans une décision, rappelle la liberté vaccinale et l’interdiction de faire pression ou de discriminer.

La résolution 2361 adoptée le 28 janvier au Conseil de L’Europe indique entre autres : 7.3. pour ce qui est d’assurer un niveau élevé d’acceptation des vaccins:
7.3.1. de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que  la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ;
7.3.2. de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ;   Alors restons calmes, fermez vos télés, adhérez aux différents collectifs, attendons la fin des études pour prendre position sur les vaccins. Et prenez soin des personnes que vous aimez, et des autres aussi ! E.A.


BonSens, RéinfoCovid, Laissons les médecins prescrire, Réaction19, Les tribunes de Laurent Mucchelli, Manifeste des Médecins pour une 4ème voix, 

Vous retrouverez les liens de ces divers collectifs dans l’article : Le monde s’organise https://www.lessymboles.com/le-monde-sorganise/


Ivermectine de très nombreuses études montre sa remarquable action.

Télécharger le PDF : https://www.lessymboles.com/wp-content/uploads/2021/02/Ivermectin-covid-metanalysis-fev2021.pdf


HOLD-UP Version finale, le 15 février 2021 à 20h00. 

HOLD-UP revient dans une version augmentée, c’est énorme ! Le Lundi 15 Février 2021 à 20H sur https://holdup-lefilm.fr/


Dr Louis Fouché 

Bas les masques – COVID-19 Bilan avec le Dr Louis Fouché Très belle synthèse médicale pour bien tout comprendre simplement.


Dr Louis Fouché : la désobéissance civile.


Pr Didier Raoult 

Surmortalité chez les très âgés, mais pas du tout avant 65 ans. Les mesures contraignantes  (confinement, couvre-feu, fermetures des restaurants et commerces) n’ont aucune efficacité.


Pr Raoult : la France est tiers-mondisée dans sa lutte contre le Covid

Pr Raoult : la France est tiers-mondisée dans sa lutte contre le Covid

La surmortalité la plus importante s’est produite en région parisienne.

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Pr Raoult chez Guillaume Durand.

Pr. Didier Raoult, on va rendre tout le monde fou ! (Radio Classique, 28 janvier 2021)


Le Pr Raoult chez Bercoff

Les mesures sanitaires, on le sait maintenant, ne servent à rien. C’est en famille que l’on se contamine et le confinement a fait flamber l’épidémie. Didier Raoult : « Ce n’est pas dans la rue qu’on attrape le Covid-19, mais confiné à la maison ».


Excellent article de Edouard Broussalian sur les vaccins.

Version PDF de l’article :  https://planete-homeopathie.org/wp-content/uploads/2021/01/Lettre-Ouverte-Pr-Siegrist.pdf

Dr. Edouard Broussalian : lettre ouverte sur les vaccins

Dr. Edouard Broussalian : lettre ouverte sur les vaccins

Je suis navré, aucun médecin doué de raison ne peut acheter un tel discours.

Lire la suite.

Et son passage sur RTS revu avec humour


Chez Pascal Praud, le Pr. Peyromaure dénonce une vaccination « à marche forcée”:


Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses

Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses

Un article de Jean-Dominique Michel. C’est au fond très simple, les praticiens préconisant ce vaccin sont donc, tous, hors la loi en le recommandant. Lire la suite.


PFIZER : le vaccin, un jackpot à plus de 15 milliards de dollars

PFIZER : le vaccin rapporte plus de 15 milliards de dollars

PFIZER : le vaccin rapporte plus de 15 milliards de dollars

Le chiffre d’affaires est ressorti à 11,7 milliards, contre un consensus de 11,5 milliards.

Lire la suite.

Nice Matin, édition du 17 janvier 2021


Confinement : vers la fin de l’hystérie

Confinement : vers la fin de l’hystérie

Par  Ivan Rioufol du Figaro. « J’ai confiance en nous », a tweeté samedi le chef de l’Etat, en feignant d’oublier sa précédente politique d’infantilisation et de culpabilisation des Français. Lire la suite.


Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science

Le fameux article que cite régulièrement Louis Fouché. Par Kamran Abbasi le patron du BMJ dénonçant la corruption en manière de science ce qui nous renvoie évidement au fameux article bidon du Lancet. _ * La FDA, l’agence américaine de réglementation pharmaceutique, a approuvé l’utilisation de l’hydroxychloroquine chez tous les patients atteints de Covid-19. *

Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science

Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science

Le fameux article que cite régulièrement Louis Fouché.

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Vaccination des handicapés et trisomiques.

Les personnes fragiles et pas en état de donner leur consentement. « Les gens qui ne sont rien » de Emmanuel Macron.


Une étude sur 9 899 828 personnes en Chine montre que les asymptomatiques ne sont pas contagieux.


Le gouvernement américain a perdu un procès historique sur les vaccins !

Télécharger le PDF : https://www.lessymboles.com/wp-content/uploads/2021/02/Le-gouvernement-américain-a-perdu-un-procès-historique-sur-les-vaccins-.pdf  


Emmanuelle Charpentier, prix Nobel de chimie 2020, affirme que l’A.R.N a pour but de modifier le génome


La face cachée du système Macron

Macron le Manipulateur. Glaçant.


Francis Lalanne au Défi de la Vérité


Quand le conseil scientifique flirte avec l’illégalité

BAS LES MASQUES – Refus de la transparence : quand le conseil scientifique flirte avec l’illégalité.


Ce n’est qu’un début.

Un jour, qui se rapproche, il y aura un Nuremberg pour juger les responsables du plus grand scandale sanitaire du 21° siècle comme le titre du dernier livre de Didier Raoult.


Une information judiciaire ouverte contre Karine Lacombe après la plainte de Didier Raoult pour diffamation 

Une information judiciaire ouverte contre Karine Lacombe

Une information judiciaire ouverte contre Karine Lacombe

« Ce qui se passe à Marseille est à mon avis absolument scandaleux (…) C’est en dehors de toute démarche éthique. »

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Drosden, le monsieur vaccin d’Angela Merkel, mis en examen

Drosden, le monsieur vaccin d’Angela Merkel, mis en examen

Drosden, le monsieur vaccin d’Angela Merkel, mis en examen

le Dr Drosten, conseiller virologue d’Angela Merkel est aujourd’hui poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené tous les gouvernements occidentaux à prendre toutes ces décisions de distanciations sociales, de port du masque obligatoire et de confinement ravageuses.

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La ministre australienne fait semblant d’être vaccinée.

Le capuchon de l’aiguille reste en place !

COMMENT NOS PSEUDO ÉLITES MENTENT DEPUIS TRES LONGTEMPS, tout comme Bill Gate qui a dit que ces propres enfants ne seront JAMAIS vaccinés !!! Mais il veut vacciner la Terre entière !!! Réfléchissez ….

Autre information , la recherche d’un vaccin met environ 10 ans et là, une pseudo-pandémie en cours et déja un vaccin ???


Vaccins miracles et marketing!

Vaccins miracles et marketing!

Les « complotistes » avaient une fois de plus raison , il faut revenir à l’évidence, une évidence rappelée par le PR Fisher lui même… Et si l’urgence était de soigner ? La vaccination ne règle rien.

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Coup de chapeau au Dr Jean-Michel Crabbé

Coup de chapeau au Dr Jean-Michel Crabbé

Coup de chapeau au Dr Jean-Michel Crabbé, qui mouille courageusement la chemise en écrivant ceci à l’Ordre des Médecins: Monsieur le Président, mes chers confrères, Dans le contexte « covid-19 », je dénonce publiquement de graves violations du Code de Déontologie et du Serment d’Hippocrate par l’Ordre des médecins. Face aux discours apocalyptiques diffusés dans les médias par les hommes …

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« Danser encore », une chanson de HK.

Radio Courtoisie : Les vaccins.

Drs Louis Fouché, François Godeau, Pascal Sacré, Olivier Soulier, Me Carlo Alberto Brusa, La député Carine Montaner, Oskar Feyinger …

Réécouter les précédentes émissions : https://www.lessymboles.com/emissions-de-radio/


HUMOUR

Franjo : la vaccination

Drôle et si vrai.


Le dessin d’Emeline : « Corona etc… »

Le site d’Emeline : https://lesdessinsdeme.com/


« Olivier Soulier a fait un débriefing avec BonSens, France Soir et Xavier Azalbert »


Les prochains séminaires

Voir le programme complet de Sens et Symboles 

https://www.lessymboles.com/seminaires-resume/


Bonne semaine à toutes et à tous !




LES CONFINEMENTS SONT CATASTROPHIQUES PARTOUT DANS LE MONDE

Par Dr Gérard Delépine

Bilan chiffré des confinements en France et à l’international : une catastrophe sanitaire générale

Depuis le début de la crise, le gouvernement impose des mesures contre-productives en santé, aggravant la misère des plus pauvres et ruinant les classes moyennes et les petits commerçants pour faire accepter des médicaments hors de prix et dangereux, des vaccins bâclés et des lois de régression sociale. Il suit en cela fidèlement les prescriptions du conseil sanitaire de l’OMS et de son faux prophète Ferguson[1] qui a d’emblée affirmé qu’il faudrait confiner au moins jusqu’en décembre 2021, ou l’arrivée d’un traitement miracle[2], ou les vaccins sans se préoccuper des conséquences catastrophiques de ses préconisations.

Ceci s’intègre dans le cadre de l’agenda du forum de Davos décidé par l’oligarchie mondialiste dans les mains des milliardaires mondiaux en accord avec les gouvernements liés et actuellement réunis en forum virtuel.

Ce bilan sanitaire est d’autant plus d’actualité que le conseil prétendument scientifique composé de médecins trop proches de l’industrie appellent sur tous les médias à un troisième confinement sans aucune justification médicale, pour raviver le chantage « vous serez astreint à domicile à vie ou vacciné ! »

Dans ce chapitre, nous dresserons le bilan sanitaire des mesures liberticides qui nous ont été imposées. Pour rester le plus factuel possible cette analyse repose principalement sur les données publiées par l’OMS, les agences sanitaires des pays concernés et les organismes internationaux comme l’OCDE, illustrés par des interviews de médecins de terrain.

Effets constatés du confinement sur la propagation de l’épidémie

Une étude de l’OCDE sur les confinements de la première vague précise que sur les 31 pays européens étudiés, la moitié (16) ont demandé à leurs citoyens de rester chez eux durant la première vague. Ces confinements plus ou moins souples et plus ou moins obligatoires ont duré 47,5 jours en moyenne. Cinq grands pays ont basé leur politique sanitaire sur le confinement aveugle (sans isoler les malades des autres) de toute leur population : l’Italie, l’Espagne, la Belgique, la France et la Grande-Bretagne. Les plus durs ont été la France et l’Italie avec 55 jours, l’Espagne avec 50 jours et le Royaume-Uni avec 46 jours.

A l’opposé les Pays-Bas, la Suède, la Finlande, la Biélorussie ont fait confiance à leurs citoyens en leurs prodiguant des conseils et en les laissant libres de circuler.

L’étude des courbes de progression de la maladie dans les différents pays d’Europe par la recherche des inversions de tendance (break point analysis)[3] montre que le confinement aveugle a été incapable de ralentir la progression de l’épidémie.

En France, le nombre des contaminations n’a diminué qu’en avril, six semaines après le début de l’épidémie, en même temps qu’aux Pays-Bas et en Allemagne, pays qui n’ont pas astreint à domicile leurs populations.

Cette régression spontanée après 6 semaines d’évolution paraît une caractéristique de cette maladie d’après le professeur Ben Israel[4] 

« C’est comme ça partout dans le monde. Tant dans les pays où ont été prises des mesures de confinement comme l’Italie, que dans les pays qui n’ont pas eu de confinement comme Taiwan ou Singapour. Dans tel ou tel pays, il y a une augmentation jusqu’à la quatrième ou la sixième semaine, et immédiatement après la régression jusqu’à ce qu’elle disparaisse au cours de la huitième semaine.”

Les autorités norvégiennes ont reconnu l’inutilité du confinement

La Norvège est fréquemment citée comme preuve de l’efficacité du confinement par ses partisans français, mais ce n’est pas l’avis de l’autorité sanitaire norvégienne qui a publié un rapport dont la conclusion est sans ambiguïté : le virus était déjà en voie de disparition lorsque le verrouillage a été ordonné. Camilla Stoltenberg, directrice générale de l’Institut norvégien de santé publique précise ainsi[5]

« le confinement n’était pas nécessaire pour gérer le covid-19 car le taux de reproduction effectif était déjà tombé à environ 1,1 lorsque les mesures les plus restrictives ont été mises en œuvre le 12 mars ».

Impact des confinements à l’international : échec général

De nombreuses autres études[6] [7] [8] [9] [10] [11] [12] ont évalué l’effet des mesures coercitives sur les évolutions constatées de l’épidémie. Aucune n’a montré qu’elles auraient pu avoir un impact positif sur l’épidémie. C’est le cas de l’étude danoise sur le Nord Jutland[13] de l’étude néo- zélandaise[14], de l’analyse indienne[15], de l’étude des pays d’Europe occidentale[16] et de toutes les études internationales basées sur les faits avérés. Les seuls articles prétendant qu’il existerait un avantage au confinement sont celles qui n’analysent pas les faits constatés, mais reposent sur des simulations et des scénarios sans rapport avec la réalité.

Pour innocenter les gouvernements qui ont astreint leur population à domicile, on pourrait croire que les pays qui ont confiné policièrement l’ont fait parce que leur situation était plus menaçante au moment où ils en ont pris la décision.

Mais la comparaison des contaminations en Belgique et aux Pays-Bas (pays les plus proches par leurs origines ethniques, leur mode de vie et l’âge moyen de leurs habitants) montre qu’il n’en est rien; avant le confinement belge, le nombre quotidien des contaminations par million d’habitants évoluait de la même manière dans ces deux pays frères; ce n’est que dix jours après le début du confinement belge que le nombre de malades a fortement augmenté en Belgique tandis qu’il progressait sans modification aux Pays-Bas.

Les raisons de l’augmentation des contaminations par le confinement aveugle sont simples ; le traitement traditionnel des épidémies (l’endiguement-quarantaine) repose sur la séparation des malades des sujets sains ; le confinement aveugle prévoit au contraire de renvoyer les malades sans signes de gravité dans leur famille, et les pensionnaires d ’Ehpad dans leur établissement d’origine favorisant ainsi la contamination de leur entourage.

L’étude récente Comcor[17] sur les lieux de contamination rapporte que le tiers d’entre eux est le foyer familial où l’un des parents a contaminé l’autre ou son/ses enfants confirme cette hypothèse.

Le confinement aveugle entraîne une augmentation de la mortalité liée au Covid19.

Les données de l’OMS du 26 janvier 2021[18] prouvent que le confinement aveugle est contre-productif : les pays qui ont confiné policièrement sans isoler réellement les malades sont tous dans le top 5 européen des plus fortes mortalités globales attribuées au Covid19

avec respectivement : Belgique : 1793/Million, Italie : 1245/M, Espagne : 1177/M, Grande-Bretagne : 1443/M, France : 1113/M

contre 790/M pour les Pays-Bas, 117/M en Finlande, 173/M en Biélorussie et 1090/M en Suède. La probabilité qu’une telle distribution des mortalités selon les mesures sanitaires soit due au seul hasard n’est que 0,007[19].

Ferguson et ses élèves se glorifient de leurs erreurs de prédictions.

De nombreux articles d’auteurs proches de Ferguson ou des responsables du confinement aveugle prétendent qu’il aurait sauvé des vies ; il ne s’agit que de propagande totalement mensongère qui repose sur la comparaison entre leurs prévisions très exagérées de mortalité et les mortalités réellement observées à une date donnée. Ainsi, plus ils se trompent par excès dans leurs estimations initiales et plus ils se gargarisent ultérieurement des morts virtuelles évitées. Dans un article de Nature, ils prétendent ainsi avoir sauvé 3 millions d’européens et en particulier 26000 suédois, grâce au confinement, sans avoir remarqué que les suédois n’avaient jamais confiné et que leur chiffre de 2800 morts recensés au 5 mai prouvait seulement que leur prévision surestimait par dix le risque réel.

De même pour l’Allemagne ; le rapport 9 de l’Impérial College affirmait que la technique classique d’endiguement ne pourrait pas ralentir l’épidémie et que si l’Allemagne ne confinait pas elle pleurerait 570000 morts au 5 mai 2020. L’Allemagne n’a pas confiné à l’aveugle mais simplement pratiqué l’endiguement et ne comptait au 5 mai que 6800 décès attribués au Covid19. Mais l’équipe de Ferguson prétend que 560000 allemands auraient été sauvés grâce au confinement (qui n’a pas été pratiqué) !

Lancetgate et Naturegate

Dans le scandale du Lancet Gate, les auteurs avaient inventé des données pour affirmer que la chloroquine était dangereuse. Dans ce qui peut s’appeler le Nature Gate, il n’y a pas eu fabrication de données mais refus de regarder la réalité des mesures réellement utilisées pour se glorifier de ses erreurs ; il est étonnant qu’aucun membre du comité de lecture d’une revue de bonne réputation ne se soit rendu compte des erreurs de raisonnement et des mensonges sur les politiques suédoises, néerlandaises et allemandes aboutissant à une aussi grosse supercherie.

La même technique de glorification frauduleuse du confinement par des simulations a été utilisée en France par 3 élèves de l’école supérieure de santé publique prétendant[20] que le confinement aurait sauvé 60000 français. Leurs conclusions, non validées par des pairs, ont été immédiatement présentées aux députés par le premier ministre comme justification du confinement. Les erreurs de conception, des hypothèses et des conclusions d’un étude vraisemblablement commandée par le pouvoir ont été depuis largement démontrées dans des revues scientifiques[21]  [22] [23] mais les médias mainstream en ont très peu parlé[24].

Le confinement a créé des victimes d’autres pathologies (victimes collatérales)

En France, quelques jours avant le premier confinement, les Agences Régionales de Santé ont activé le plan blanc réservant tous les moyens sanitaires publics et privés aux malades du Covid19 et interdisant entre autres aux chirurgiens d’opérer sauf les extrêmes urgences vitales, en négligeant les malades ordinaires. Elles ont ainsi laissé des pans entiers de nos hôpitaux vides, tant dans le public que le privé et conduit à la mise au chômage partiel de nombreux personnels de soins, infirmières, aide- soignants, ambulanciers, manipulateurs radios empêchés de traiter les malades ordinaires.

Les traitements médicaux sont d’autant plus efficaces qu’utilisés tôt et bien surveillés. Leur absence, leur retard ou leur mauvaise surveillance ont des conséquences critiques sur la vie des malades, sans compter l’angoisse générée et leur effet connu sur la diminution des défenses immunitaires.  La notion de traitement « précoce » doit s’évaluer avec le médecin traitant dont on tente de plus en plus à minimiser le rôle pourtant essentiel pour l’adaptation des soins à chaque personne unique.

On peut estimer à 40 000 victimes supplémentaires actuelles et/ou futures par les défauts de soins et regretter le silence de la plupart des politiques et des médias pour ces victimes.

Malades urgents d’autres pathologies, déjà morts des confinements

En Ile-de-France, la crise a fait chuter les consultations de 40 % chez les généralistes, de près de 70 % chez les spécialistes et l’activité des urgences a fortement régressé. « Les Franciliens ont eu moins recours aux soinsce qui peut malheureusement engendrer, pour les cas les plus graves, des décès. » a avoué l’agence régionale de santé d’Ile-de-France

Le professeur Johanne Silvain, chirurgien cardiaque à la Pitié- Salpêtrière a précisé que trois quarts des opérations programmées ont été reportées.

« Quand on a rappelé des patients pour fixer de nouvelles dates, certains étaient décédés entre-temps ».

Mais comme prétend encore le ministre et comme le répètent toujours en boucle les médias « le confinement permet de sauver des vies » …

Le Monde rapporte le cas d’une Parisienne de 65 ans qui a subi un gros infarctus à son domicile, mais a préféré rester confinée. Sept jours plus tard, elle est conduite à la Pitié-Salpêtrière. Elle meurt d’une « rupture cardiaque ».

Une étude de l’Inserm menée par le chercheur Eloi Marijon au Centre de Recherche Cardiovasculaire de Paris (Inserm/Université de Paris) en collaboration avec Daniel Jost (Brigade des sapeurs-pompiers de Paris) montre que pendant la période du confinement, le nombre d’arrêts cardiaques en région parisienne a été multiplié par deux par rapport à la même période les années précédentes et que leur taux de guérison a été divisé par deux.

En Grande-Bretagne, une étude portant sur neuf hôpitaux a constaté que durant le confinement le nombre total d’admissions et de fréquentation aux urgences a diminué de 57,9% par rapport à l’année précédente. L’activité pour les affections cardiaques, cérébro-vasculaires et autres affections vasculaires a chuté de 31% à 88% après le verrouillage, avec les plus fortes réductions observées pour les pontages coronariens, l’endartériectomie carotidienne, la réparation de l’anévrisme de l’aorte et la maladie artérielle périphérique.

Les chances de guérison des accidents vasculaires cérébraux (AVC) dépendent considérablement de l’extrême précocité de leur traitement. Mais le docteur F Rouanet, de l’hôpital Pellegrin à Bordeaux a vu, pendant vingt jours, le nombre de diagnostics d’AVC baisser de 50 %. « On ne sait pas ce qu’ils sont devenus. La pathologie, elle, n’a pourtant pas disparu, cela nous fait craindre une hausse brutale des accidents et de la mortalité. »

Pourquoi les prévisions de Ferguson et les décisions des gouvernements obéissants n’ont-elles pas prévu ces morts indirectes bien réelles pour ne s’intéresser qu’aux morts Covid virtuelles imaginés par des simulations mathématiques fausses ?

Malades chroniques abandonnés à cause du plan blanc

En France, 20 millions de personnes souffriraient de pathologies chroniques, prises en charge à 100 % par la sécurité sociale. Chaque année, plus de 600 000 d’entre elles nécessitent des soins réguliers, près de 320 000 des chimiothérapies, 210 000 des séances de radiothérapie, et plus de 82 000 doivent être dialysés trois fois par semaine pour insuffisance rénale.  La télémédecine tant vantée par les énarques désincarnés ne peut remplacer le contact humain direct avec le malade. Des patients fragiles, angoissés, désespérés, dont les retards de consultations et de traitement ont accru les complications et la mortalité.

Les traitements des cancéreux ont été désorganisés par les injonctions des ARS[25]. Des cures de chimiothérapie ont été espacées ou modifiées, remplaçant un traitement par voie intraveineuse par un traitement oral, éventuellement moins efficace pour s’adapter au blocage des lits d’hospitalisation.  Des opérations urgentes ont été annulées, remises à période ultérieure sans précision sur une éventuelle reconvocation. C’est l’ARS qui a bloqué les opérations, les décrétant non urgentes et possiblement remplacées par de la chimiothérapie et/ou de la radiothérapie ! Raisonnement médical perdu, médecins transformés en robots devant obéir à des administratifs sous la surveillance inquisitoriale des agences régionales de santé, petites dictatures locales contre lesquelles il n’existe aucune voie de recours. Il semble bien que cela a recommencé lors des autres confinements puisque le préfet d’ile de France a décrété depuis mi-septembre le plan blanc alors que le nombre de morts attribués au Covid est très inférieur à celui de mars.

Cette rupture de soins ne concerne pas uniquement la cancérologie, mais a touché toutes les pathologies : cardiologie, neurologie, endocrinologie, rhumatologie, insuffisance rénale (la moitié des greffes rénales programmées n’ont pas été réalisées) etc.

Compte tenu du nombre considérable de malades chroniques et de leur poids dans la mortalité globale, ce sont plusieurs dizaines de milliers de décès prématurés évitables que ces arrêt/modifications de soins ont/vont entraîner. Impossible de prévoir précisément leur nombre car évidemment cela va se compter sur des années.

Malades nouveaux diagnostiqués et traités avec retard

Dans tous les pays, la baisse considérable des consultations a entrainé des retards diagnostiques très inquiétants : même si leurs conséquences à venir sont pour l’instant difficiles à mesurer avec précision.

En cardiologie, au Danemark une baisse de 47% des nouveaux cas de fibrillation auriculaire a été observée. De même, le nombre de patients hospitalisés avec une aggravation de l’insuffisance cardiaque ou un diagnostic de nouvelle apparition a été nettement réduit après le confinement soulevant « des inquiétudes quant à un sous-traitement potentiel de l’IC actuellement qui pourrait avoir un impact sur le pronostic à long terme ».

Le drame des cancéreux

En cancérologie en France, 380.000 nouveaux cas de cancer sont détectés chaque année, soit environ 30.000 par mois. Durant le premier plan blanc[26] 75.000 nouveaux cancers auraient dû être diagnostiqués si les chirurgiens avaient pu opérer.

L’académie de chirurgie s’en est inquiétée (assez tard) dans son communiqué du 15 Mai 2020 :

« depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85% des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines ».

Durant le confinement, ce chiffre semble être descendu de moitié. En cancérologie l’Institut Curie a vu le nombre des urgences et consultations pédiatriques reculer de 30 %. Les adultes sont aussi concernés par ces retards de diagnostic, notamment pour les formes de cancer les plus agressives, comme celui du poumon. Le professeur F. Le Tourteau du département de l’oncologie médicale de Curie témoigne :

« pendant trois semaines, au lieu de 15 à 20 personnes par jour aux urgences, on n’avait que 2 à 3 patients et on s’attend à une vague de diagnostics à des stades plus graves ».

Un constat partagé par l’institut Gustave-Roussy où « les urgences ont perdu 50 % de leur fréquentation. On a envoyé des messages d’information aux 15 000 personnes inscrites dans nos fichiers, on a eu moins de 10 % de réponses ».

Les auteurs de l’étude estiment à près de 10000 morts les conséquences prévisibles des retards de diagnostic pour les seuls cancers du sein et du colon.

Les dermatologues espagnols ont constaté : « en l’absence de diagnostic et de traitement adéquats du carcinome et du mélanome, la survie spécifique à la maladie à 2, 5 et 10 ans chez les patients dont la chirurgie a été retardée de 3 mois a diminué de 6,2%, 8,2% et 5,2%, respectivement ».

Au Royaume-Uni, the Centers for Disease Control and Prevention estiment que, « du fait du confinement, une augmentation de mortalité de 20% des nouveaux cancers est à craindre. »

Une autre étude britannique estime à 59 204 – 63 229 ans le nombre d’années de vie perdues pour les seuls cancers colo-rectaux, du sein, de l’œsophage et du poumon en raison des retards de diagnostic dus au confinement.

En France « nous craignons 5.000 à 10.000 morts supplémentaires du cancer », explique Jean-Yves Blay, du centre d’oncologie Léon Bérard de Lyon. « Ces estimations sont même plutôt optimistes, les anglais ont des projections allant jusqu’à 40.000 patients décédés en excès. »

Si on fait la somme des morts en excès toutes pathologies or Covid confondues, le bilan mortifère des retards diagnostiques s’élève actuellement pour la France à plus de 40000 morts à venir. Cette estimation ne constitue qu’un minima

L’hécatombe programmée de nos ainés

Le confinement avait pour premier prétexte de protéger particulièrement nos ainés, mais dix mois de mesure sanitaires inventées de toutes pièces sans fondement scientifiques ont abouti à une hécatombe sans précédent.

Pour les vieillards, pensionnaires des EHPAD, la solitude complète imposée par le confinement les a conduits au « syndrome de glissement » et à la mort, presque aussi sûrement que le virus. Quelle ineptie et quelle honte de leur interdire les visites de leurs proches, alors que leurs soignants sortent chaque jour et prennent des transports publics bondés et reviennent un jour ou l’autre porteurs du virus qu’ils propagent à leur insu car scandaleusement peu protégés. Et que dire de l’interruption des rééducations en particulier pour dysphagie nécessaires à beaucoup des pensionnaires ?

Et que penser de la note du ministère aux directeurs d’EHPAD précisant clairement que les personnes âgées malades ou susceptibles de l’être ne doivent en aucun cas être adressées aux urgences, car elles ne seront ni hospitalisées, ni traitées, ni réanimées. Précisons qu’il s’agit de critères d’âge, sans tenir aucun compte de l’état physique et intellectuel des résidents. Nous connaissons tous de beaux vieillards de plus de 90 ans et des « très vieux » de 70 ans ou moins.  Les médecins ont toujours pesé ces éléments du temps où ils pouvaient exercer leur vocation selon Hippocrate, et non sous l’autorité dictatoriale de bureaucrates interdisant d’hospitaliser les infectés de plus de 70-75 ans « afin qu’ils ne puissent pas occuper inutilement les lits de réanimation ». Les nazis à la descente du train de déportés triaient selon l’âge physiologique. Pas nos bureaucrates. Les plus de 70 ans infectés sont renvoyés dans leurs EHPAD ou faute de possibilité d’isolement réel, de traitement, de personnel et de matériel de protection, ils contaminent leurs compagnons d’infortune sans même pouvoir dire adieu à leurs familles. Et pour tout traitement le ministre propose le Rivotril censé leur adoucir la mort. Nos technocrates auraient-ils imaginé un début de solution au financement des retraites par le génocide des plus vieux retraités, suivant ainsi les conseils de J. Attali, mentor du président ?

Les récits dramatiques se succèdent sur les réseaux sociaux. Couples déchirés dans leurs derniers moments, enfants qui ne reverront jamais leur mère, soignants qui veillent depuis des mois ou années sur des vieillards et les voient brutalement contaminés, refusés d’hôpital, interdits de réanimation, privés de traitement, abandonnés à la mort sans personne pour leur tenir la main puis jetés au tombeau en catimini, sans accompagnement, les familles recevant des contraventions s’ils se retrouvent pour les accompagner au cimetière. Avec l’épidémie de décès dans les EHPADs, les proches risquent même la prison pour récidive d’infraction (présence aux enterrements), en attendant peut-être qu’on les condamne à mort comme l’Antigone de Sophocle, emmurée vivante pour avoir bravé l’interdiction royale d’enterrer son frère. Eternel combat de la morale qui définit notre humanité contre des lois tyranniques injustifiés.

Les victimes de pathologies psychiatriques

Le nombre de victimes de maladies organiques du confinement doit être complété par les conséquences des confinements sur les pathologies psychiatriques en traitement, les nouveaux malades psychiques, et les futurs suicides liés entre autres à la crise économique.

Les complications psychiques des personnes saines confinées sont nombreuses et bien connues : dépressions qui persistent dans plus d’un tiers des cas de nombreux mois après sa levée, stress post-traumatique durable, obésité, drames familiaux, divorces, retard scolaire, addiction renforcée à l’alcool aux drogues ou aux écrans. Les complications médicales et sociales de cette mesure moyenâgeuse inefficace, sont avérées et souvent catastrophiques.

Tous les confinés interrogés décrivent un sentiment d’isolement et le manque de contacts sociaux. L’absence de tout contact physique avec les membres de la famille et amis confinés ailleurs, est particulièrement mal vécu surtout lorsque le confinement aveugle est prolongé.

Certains groupes de personnes sont encore plus à risques. Enfants placés, qui se retrouvent encore plus seuls avec la moitié des encadrants absents. Femmes et/ou enfants victimes de violence familiales confinées avec leurs bourreaux eux-mêmes agacés par l’absence de sortie et paniqués par le Covid19. Prisonniers et malades des hôpitaux psychiatriques privés de visites facilitants le syndrome de glissement.

Mais plus généralement les enfants ainsi que le rappellent[27] des professionnels en psychologie, psychanalyse, pédiatrie et pédopsychiatrie qui :

« relèvent de graves perturbations dans le vivre-ensemble et la socialisation, la survenue de nouvelles maltraitances au sein des établissements, une condamnation de la tendresse, de l’empathie et un interdit implicite à l’altérité, une entrave au développement relationnel, psychomoteur ainsi que des régressions dans les apprentissages, une fragilisation majeure de l’autorité bienveillante/contenante et de la posture parentale, une perte de repères structurants et des discours paradoxaux. Le tableau clinique conclut à une souffrance psychique croissante chez les enfants, risquant d’entraîner une explosion de troubles psychiques graves et de passages à l’acte suicidaires. »

Les adolescents privés de leurs premières amours sont complètement déprimés, le téléphone et même Skype et/ou face time, Instagram ou WhatsApp ne pouvant en rien remplacer l’intimité qu’ils commençaient à découvrir. Même leur école et leurs professeurs en chair et en os qu’ils critiquaient souvent leur manquent cruellement. Les adolescents sportifs de haut niveau sont particulièrement menacés car ils ont été privés des entraînements et des compétitions nationales permettant de sélectionner nos futurs champions afin de mieux les préparer aux épreuves internationales proches.

Accouchées et nouveaux nés privées de la visite de leurs proches dans une période pourtant anxiogène pour ces jeunes femmes particulièrement en période de psychose publique organisée.

L’aggravation de la famine par les confinements tue les enfants

Le Covid19 ne tue pas les enfants, mais la famine consécutive aux confinements les menace directement[28].

La famine est déjà réapparue en France[29] [30]. Le secours populaire, le secours catholique et les restos du cœur sont débordés, et on lit de plus en plus de témoignages de mamans : « j’ai inscrit ma fille à la cantine et ne mange plus le midi, non par gout mais par économie. On s’habitue… »

C’est aussi le cas en Italie[31] où les enfants affamés italiens à la suite de la politique italienne délétère à l’origine d’un nombre de morts directs des plus élevés mais également de morts indirectes très élevées.

Dans les pays pauvres, d’après les responsables de l’ONU[32], de l’Oxcam[33] et du programme alimentaire mondial contre la faim[34], l’aggravation de la famine risque d’entraîner plus d’une centaine de millions de morts.

Les principales fautes de notre politique sanitaire

Le comité prétendument scientifique et notre premier ministre suivent l’exemple de Ferguson et ses élèves et continuent de se glorifier de leur politique sanitaire malgré les résultats catastrophique sur la mortalité attribuée au Covid19. Ce déni permanent de la réalité est très inquiétant pour l’avenir car comme le disait A. Einstein : « ce n’est pas avec ceux qui ont créé les problèmes qu’il faut espérer les résoudre ». Rappelons la liste de leurs autres principales erreurs :

-Ils ont cru un mathématicien-prophète prônant le confinement aveugle sans évaluer ses conséquences au lieu d’utiliser la technique médicale éprouvée d’endiguement-quarantaine.

-Ils ont créé un comité prétendument scientifique en réunissant les personnes les plus liées aux firmes pharmaceutiques dont peu de cliniciens, et lui ont accordé un pouvoir discrétionnaire sur nos libertés.

-Ils ont interdit aux médecins de ville de traiter les malades comme ils le jugeait utile : interdiction de la chloroquine, puis interdiction de l’azithromycine et même de l’ivermectine récemment.

-Ils ont interdit l’admission des vieillards en réanimation, puis à l’hôpital puis aux urgences pour les renvoyer sans traitement dans leurs Ephads d’origine

-Ils ont conseillé d’euthanasier par Rivotril sans leur consentement les vieux simplement suspects de Covid19 (les tests leur étant refusés)

-Ils ont discrédité les médecins opposés à leurs mesures infondées, rétabli le délit d’opinion pour les médecins par un décret du 22 décembre 2020et font poursuivre par le conseil de l’ordre les donneurs d’alerte.

Pourquoi devrions-nous attendre la fin de l’épidémie pour réagir ?

C’est maintenant que nous devons nous soulever pour stopper cette monstruosité, ce génocide de nos ainés qui se poursuit dans les EHPADs, et de nos jeunes isolés, privés de ce qui fait le sel de la vie, les contacts avec les autres humains.

Que chacun d’entre nous joigne le maximum d’élus, maires, conseillers régionaux et députés, sénateurs pour qu’ils transmettent au gouvernement la réalité des chiffres, montrant que le confinement aveugle général s’accompagne de beaucoup plus de morts que l’isolement ciblé des malades et de leurs contacts.

Les mesures sanitaires ont tué plus de français qu’elles n’auraient pu en sauver et sont responsables de notre rang de 5ème européen des plus fortes mortalités Covid19. Elles vont en tuer davantage dans les mois et années qui viennent.

Et ils veulent nous reconfiner !

Stop à toutes ces mesures sanitaires sans justification scientifiques. Liberté.


Notes

[1] Celui qui avait prédit 70000 morts en Suède et 100000 aux Pays-Bas s’ils ne confinaient pas qui, sans confinement, n’en comptent au 5/1/21 respectivement 8727 et 11612

[2] Mais l’opération « tous pour le Remdesevir » soutenue par les médecins liés à Gilead, le conseil prétendument scientifique et le directeur de l’AP-HP Martin Hirsch a piteusement échouée faisant reporter tous leurs efforts sur la promotion des vaccins

[3] Très utilisée en économie et en cancérologie

[4] Professeur Ben-Israel « Je propose que nous mettions fin aux confinements immédiatement…”

interview à Israel National News 16 avril 2020

[5] Norvège : “le confinement n’était pas nécessaire contre le coronavirus” 29 mai 2020 Strategika

[6] Rabail Chaudhry, George Dranitsaris, Talha Mubashir, Justyna Bartoszko, Sheila Riazi Une analyse au niveau national mesurant l’impact des actions gouvernementales, de la préparation du pays et des facteurs socio-économiques sur la mortalité COVID-19 et les résultats sanitaires associés ». EClinicalMedicine 25 (2020) 100464

[7] Christof Kuhbandner, Stefan Homburg, Harald Walach, Stefan Hockertz. « Le verrouillage de la couronne allemande était-il nécessaire ? » Sage Preprint, 23 juin 2020.

[8] Simon N. Wood. Les infections au COVID-19 ont-elles diminué avant le verrouillage du Royaume-Uni ?  Pré-impression de l’Université Cornell, 8 août 2020.

[9] Stefan Homburg et Christof Kuhbandner Commentaire sur Flaxman et al. (2020) : Les effets illusoires des interventions non pharmaceutiques sur le COVID-19 en Europe » par. 17 juin 2020. Advance, Sage Pre-Print

[10] Ben Israel Analyse de la transmission du virus par le professeur. 16 avril 202

[11] Paul Raymond Hunter, Felipe Colon-Gonzalez, Julii Suzanne Brainard, Steve Rushton « Impact des interventions non pharmaceutiques contre le COVID-19 en Europe : une étude quasi expérimentale ». MedRxiv Pre-Print 1er mai 2020

[12] « Lockdown and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins » par Surjit S Bhalla, directeur exécutif pour l’Inde du Fonds monétaire international

[13] Kasper Planeta Kepp Christian Bjørnskov Lockdown Effects on Sars-CoV-2 Transmission – The evidence from Northern Jutland https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.12.28.20248936v1.full.pdf

[14] John Gibson Government mandated lockdowns do not reduce Covid-19 deaths : implications for evaluation the stringent New Zealand response 18 Aug 2020, https://doi.org/10.1080/00779954.2020.1844786 « Les verrouillages imposés par le gouvernement ne réduisent pas le nombre de décès liés au Covid-19 : implications pour l’évaluation de la réponse rigoureuse de la Nouvelle-Zélande »

[15] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins Nov 1, 2020 http://ssbhalla.org/wp-content/uploads/2020/10/Lockdowns-Closures-vs.-COVID19-Covid-Wins-Nov-4.pdf

[16] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemic. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf

[17] https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/etude-comcor-lieux-contamination-au-sars-cov-2-ou-francais-s-infectent-ils

[18] https://covid19.who.int/

[19] Calcul direct des probabilités

[20] site internet de l’Ecole des Hautes Etudes de la Santé Publique, sur une page depuis supprimée (https://www.ehesp.fr/2020/04/23/une-etude-inedite-de-chercheurs-de-lehesp-montre-que-le-confinement-aurait-sauve-au-moins-60-000-vies/).

[21] Eric Le Bourg, Quentin de Larochelambert, Jean-François Toussaint Etude critique d’une modélisation des effets du confinement Journal International de médecine 2 mai 2020

[22] Aurélie Haroche Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie, Journal International de Médecine, 25 avril 2020

[23] Gilles Pech de Laclause 1 Arnaud Delenda Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 »

[24] Roland Salmon : https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/04/08/roland-salmon-les-donnees-pour-soutenir-la-politique-du-confinement-font-defaut_6035949_3232.html

[25] Agences régionales de santé

[26] Interdiction pour les chirurgiens publics ou privés d’opérer les malades non urgents, l’urgence étant décidée par l’ARS et non le chirurgien ou son malade, décret d’Edouard Philippe début mars 2020

[27] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/impacts-traumatiques-de-la-politique-sanitaire-actuelle-sur-les-enfants-un-constat

[28] France culture La faim plus dangereuse que le coronavirus ? 01/05/2020 https://www.franceculture.fr/emissions/radiographies-du-coronavirus/la-faim-plus-dangereuse-que-le-coronavirus

[29] D’après le canard enchaîné Georges-François Leclerc, préfet de Seine-Saint-Denis aurait écrit : « Je redoute des émeutes de la faim. Nous comptons entre 15.000 et 20.000 personnes qui, entre les bidonvilles, les hébergements d’urgence et les foyers de travailleurs migrants vont avoir du mal à se nourrir ».

[30] « Dans mon frigo, il y a de l’eau, du jus d’orange et deux yaourts », a ainsi témoigné Viviane, habitante de Stains, sur France bleu.

[31] Sara Rosenbaum et AFP Coronavirus en Italie : 700.000 enfants en difficulté alimentaire RTL  10/5/2020 https://www.rtl.fr/actu/international/coronavirus-en-italie-700-000-enfants-en-difficulte-alimentaire-7800498903

[32]  » Tiphaine Walton, porte-parole du Programme alimentaire mondial de l’ONU : » Ce qui nous inquiète, c’est la récession économique qui va être engendrée par le coronavirus. On estime qu’il y a plus de personnes qui vont mourir à cause de cette récession qu’à cause du virus en lui-même »

[33] Oxfam, Le nombre de personnes menacées de famine en Afrique de l’Ouest pourrait quasi tripler en trois mois et concerner 50 millions de personnes en août, mardi 21 avril.

[34] Margot van der Velden, directrice du bureau des urgences du PAM :« Lorsque nous déclarons une famine, cela signifie que de nombreuses vies ont déjà été perdues. Si nous attendons d’être sûrs qu’elle soit là, des personnes ont déjà perdu la vie »,




L’ineptie des « vaccins » à ARN pour « traiter » le Covid-19

[Source : Sott.net]

Par Pierre Lescaudron

Le présent article fait suite à celui intitulé « Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2 », publié en juin 2020 [le 1er juillet pour la traduction française – NdT], que nous vous invitons à lire d’abord. La conclusion en était en partie la suivante :

« Il est probable qu’une épidémie de grippe apparaîtra d’ici la fin de l’année 2020, comme chaque année. Ce virus sera, comme par hasard, considéré comme un proche parent du Sras-Cov-2, qui présentera peut-être des « caractéristiques supplémentaires terrifiantes ».

Nul besoin toutefois de désespérer, car à ce moment-là, les pouvoirs publics auront préparé un vaccin. C’est l’une des raisons pour lesquelles l’hydroxycholoroquine a été interdite. Si un traitement sûr et efficace existe déjà, qui acceptera un vaccin précipité et inconnu ? Un vaccin qui protégera prétendument les gens contre le Covid-20, mais qui sera en réalité conçu pour « annuler » les changements bénéfiques induits par la souche mutée du Sras-Cov-2.
[…]
Il est probable que la vaccination ne sera pas obligatoire. N’oubliez pas que les pouvoirs publics sont devenus pour le moment « plus affables et plus dociles ». Au lieu de recourir à la force brute, ces autorités publiques sont plus susceptibles d’exercer un chantage moral : « Faites-vous vacciner pour protéger les autres ! », combiné à un chantage social : « Pas de vaccin = pas de travail, pas de shopping, pas de voyage, pas de socialisation ! ». En gros, vous êtes libre de choisir entre le passeport d’immunité ou une peine de prison à vie dans une cellule isolée. »

© Sott.net
Citation de Denis Rancourt

Nous voici 7 mois plus tard. Comme on pouvait s’y attendre, de nouveaux variants sont apparus, les décès dus au Covid-19 d’origine humaine s’accumulent, le passeport vaccinal a déjà été adopté par plusieurs pays et les vaccinations ont commencé partout dans le monde.

En théorie, les médicaments, vaccins compris, sont approuvés et utilisés parce que leurs bénéfices dépassent de loin leurs risques. En ce sens, le médicament idéal présenterait un risque zéro et une efficacité totale contre une maladie incurable et mortelle. Nous verrons dans le présent article que les « vaccins » Covid-19, en particulier celui de Pfizer, sont quasiment à l’opposé du médicament idéal. Ils sont dangereux, inefficaces et ciblent une maladie bénigne pour laquelle des traitements efficaces et sûrs sont déjà connus.

Où est la pandémie ?

Le taux de létalité

Selon l’OMS, en octobre 2020, environ 750 millions de personnes, soit environ 10 pour cent de la population mondiale, avaient été infectées par le Sras-CoV-2 et un million de personnes étaient mortes du Covid-19. Ces chiffres conduisent à un taux de létalité de 0,13 pour cent, qui correspond au taux typique de la grippe saisonnière. Lorsqu’il est traité correctement, comme à Marseille où le protocole de l’hydroxychloroquine et le diagnostic clinique précoce sont utilisés, le taux de létalité tombe à 0,05 pour cent.

À Singapour, où l’utilisation de l’hydroxichloroquine est très répandue et où aucun confinement national n’a jamais été imposé, le taux de létalité du Covid-19 est le même que celui de Marseille, soit 0,05 pour cent seulement (29 décès sur 59 000 cas).

Quel type de pandémie présente un taux de létalité égal ou inférieur à celui de la grippe saisonnière ?

Les véritables décès du Covid

Les chiffres ci-dessus sont basés sur les données officielles publiées par l’OMS. Ces chiffres, en particulier le nombre total de décès par Covid, sont largement exagérés grâce à diverses supercheries :

1/ Comorbidité

94 pour cent des personnes qui sont mortes du Covid-19 présentaient des facteurs de comorbidité. La majorité d’entre elles présentaient non pas un mais plusieurs facteurs de comorbidité, notamment l’hypertension, l’obésité, les maladies pulmonaires chroniques, le diabète et les maladies cardiovasculaires. Par exemple, un patient britannique atteint d’un cancer avancé, d’une insuffisance rénale et d’un diabète, et dont le test s’est révélé positif dans les 60 jours précédant son décès, verra sa mort automatiquement attribuée au Covid-19. Au Royaume-Uni, au moins 30 pour cent des décès attribués au Covid-19 sont en fait dus à une comorbidité.

2/ Faux positifs

De nombreux décès ont été attribués au Covid-19 uniquement sur la base d’un test PCR positif. Selon les mots de son inventeur Kary Mullis, prix Nobel de chimie 1993 :

« [les tests PCR] ne peuvent pas du tout détecter les virus infectieux en circulation […] Les tests peuvent détecter des séquences génétiques de virus, mais pas les virus eux-mêmes »

Par conséquent, les questions évidentes sont les suivantes : combien d’autres virus affichent des séquences virales similaires à celles du Sras-CoV-2 et sont ensuite détectés et sont étiquetés à tort comme étant des Sras-CoV-2 ? Combien de séquences virales non pathogènes et non transmissibles du Sras-CoV-2 conduisent à un test PCR « positif » ?

Pour couronner le tout, le nombre de cycles d’amplification de la PCR pose un sérieux problème. Selon le CDC, il est pratiquement impossible de détecter un virus vivant au-delà d’un seuil de 33 cycles. Cependant, de nombreux États effectuent 4045 voire 50 cycles d’amplification. Par exemple, un test positif obtenu à 40 cycles a environ 43 pour cent de chances de ne plus être positif avec un seuil de 35, et 85 pour cent de chances avec un seuil de 30.

Le test antigène est encore pire que le test PCR, puisqu’il entraîne 63 pour cent de faux positifs en plus ! Ces tests sont si peu fiables que même l’OMS en déconseille l’utilisation.

3/ Interdiction des traitements efficaces

À Marseille, en France, où un diagnostic précoce est établi et suivi d’un traitement approprié, notamment l’hydroxychloroquine combinée à l’azythromycine, le taux brut de mortalité est de 0,01 pour cent. À environ 700 kilomètres de là, à Paris, où le diagnostic est tardif et où l’interdiction de ces deux médicaments est appliquée, le taux de mortalité global grimpe à 0,075 pour cent. Cela représente une augmentation d’un facteur de 7,5.

Comme à Marseille, le Belarus et l’Islande ont effectué un diagnostic précoce et/ont administré des soins appropriés et ils figurent parmi les pays où le nombre de décès par Covid-19 est le plus faible, avec respectivement 1 560 (taux de mortalité brut de 0,016 pour cent) et 29 (taux de mortalité brut de 0,008 pour cent) à la mi-janvier 2021. Dans la même veine, le Vietnam qui utilise le diagnostic précocel’hydroxichloroquine et n’a pas mis en place de confinement national, la mortalité brute due au Covid-19 est de 0,000036 pour cent (35 décès pour 96 millions d’habitants)

4/ Transfert du nombre de victimes de la grippe

L’hémisphère sud semble avoir purement et simplement échappé à la grippe saisonnière de l’hiver 2020, où les décès dus à la grippe ont diminué de 90 pour cent par rapport aux années précédentes. Selon les principaux médias, cette baisse des décès dus à la grippe est imputable au confinement. Si c’est le cas, comment expliquer que la France ait enregistré un nombre étonnamment bas de décès dus à la grippe pendant la saison 2019-2020 qui s’est terminée avant l’imposition du confinement le 17 mars ? En effet, seuls 3 680 décès dus à la grippe ont été enregistrés durant l’hiver 2019-2020. Cela représente une baisse de 70 pour cent par rapport à la moyenne des dix dernières années.

Un autre récit classique explique cette baisse brutale et inattendue du nombre de victimes de la grippe par le fait que le coronavirus empêche l’activité d’autres virus. Mais les virus n’ont aucune difficulté à cohabiter. Par exemple, rien qu’en Europe, pendant la saison de la grippe 2019/2020, au moins six souches actives de grippe ont été détectées : type A A(H1N1)pdm09, A(H3N2)) A(Inconnu), B/Victoria, B/Yamagata et B/Unknown, et nous savons que le Sras-CoV-2 était sur le continent depuis au moins le 2 décembre 2019.

Dans l’hémisphère nord, la France n’est pas le seul pays à avoir enregistré la disparition de la grippe saisonnière. Les États-Unis et le Royaume-Uni ont respectivement fait état d’une diminution stupéfiante de 98 pour cent et 90 pour cent des décès qui lui sont attribués.

En se basant sur le nombre hyper exagéré de décès par Covid de l’OMS, qui est de 1,7 million en janvier 2021, on peut déduire les chiffres suivants :

  • Les décès faussement positifs, c’est-à-dire les patients qui n’ont même pas eu le Covid, représentent au moins 33 pour cent du nombre total de décès attribués au Covid-19. Cela représente 700 000 sur 1,7 million ;
  • Les décès dus à des comorbidités représentent 30 pour cent du nombre total de décès attribués au Covid, soit 500 000 sur 1,7 million ;
  • Environ 90 pour cent du nombre de décès dus généralement à la grippe a été imputé au Covid, soit 300 000 décès sur 1,7 million.

En fonction des chevauchements entre ces trois types de décès non liés au Covid-19, le nombre réel de décès liés au Covid-19 peut être estimé entre 300 000 et 1,1 million.

Cette fourchette ne tient même pas compte de la réduction par 7 de la mortalité liée à un diagnostic précoce approprié et à un traitement adéquat. En tenant compte de ce paramètre, la mortalité totale due au Covid-19 avec un diagnostic précoce et des soins appropriés diminuerait de 40 000 à 140 000 victimes dans le monde. Notez que les estimations ci-dessus sont très prudentes, nous sommes donc amenés à nous demander si le Sras-CoV-2 a véritablement causé de façon directe un nombre important de décès.

Quel type de pandémie provoque bien moins de décès que la grippe saisonnière ?

Excès de mortalité

La surmortalité comprend les décès attribués au Covid-19 ainsi que les nombreux décès dus au confinement. Comme nous le verrons, il est probable que ces derniers ont provoqué beaucoup plus de décès que le Covid-19 lui-même.

1/ Retards dans les traitements et les diagnostics

En Angleterre et au Pays de Galles, seul un tiers de la surmortalité observée dans les maisons de retraite médicalisées et les résidences privées peut s’expliquer par le Covid-19, les deux tiers restants sont dus à des citoyens âgés qui se sont vu refuser les soins primaires et « qui auraient pu vivre plus longtemps s’ils avaient pu se rendre à l’hôpital ». Ce problème est particulièrement vrai pour les patients atteints de cancer. Au Royaume-Uni, le fait d’en avoir empêché le diagnostic et le traitement médical pourrait entraîner la mort de 18 000 patients supplémentaires.

2/ Conditions psychiatriques

Une méta-analyse de la santé mentale de la population générale a été publiée en décembre 2020. Comme prévu, la « pandémie » a considérablement aggravé le problème :

« Des taux relativement élevés de symptômes d’anxiété (6,33 pour cent à 50,9 pour cent), de dépression (14,6 pour cent à 48,3 pour cent), de stress post-traumatique (7 pour cent à 53,8 pour cent), de détresse psychologique (34,43 pour cent à 38 pour cent) et de stress (8,1 pour cent à 81,9 pour cent) ont été signalés pendant la pandémie de Covid-19 au sein des populations en Chine, en Espagne, en Italie, en Iran, aux États-Unis, en Turquie, au Népal et au Danemark […] La pandémie de Covid-19 est associée à des niveaux très élevés de détresse psychologique qui, dans de nombreux cas, atteindraient le seuil de gravité clinique. »

Source

Il convient de noter que l’espérance de vie des personnes souffrant de maladies mentales est inférieure d’environ 8 ans à celle de la population générale.

3/ Suicide

Les chiffres définitifs concernant les décès en 2020 n’ont pas encore été compilés. Cependant, la tendance est déjà claire. Selon certaines études, le suicide a augmenté de 145 pour cent. En toute logique, les tendances suicidaires ont augmenté parallèlement aux suicides avérés, l’Inde, par exemple, enregistrant une hausse de 67,7 pour cent des signalements de comportements suicidaires pendant le confinement. De même, en Chine, l’apparition de très fréquentes pensées suicidaires a été constatée tandis qu’au Canada, on prévoit une augmentation de 500 pour cent des suicides.

4/ Alcoolisme et toxicomanie

L’abus d’alcool a fortement augmenté pendant la « pandémie ». Au Royaume-Uni, le nombre d’appels à la ligne d’assistance du British Liver Trust a augmenté de 500 pour cent depuis le début du confinement en mars. De même, Alcohol Change a pendant le confinement enregistré une augmentation de 242 pour cent des visites sur les pages de conseil et de soutien de son site Web. Les enquêtes sur la consommation d’alcool révèlent une situation similaire, avec 21 pour cent des personnes déclarant qu’elles buvaient plus souvent pendant le confinement. Les gros buveurs sont les plus touchés : 38 pour cent de ceux qui buvaient beaucoup avant le confinement ont déclaré qu’ils buvaient encore plus pendant le confinement. Aux États-Unis, une augmentation de 54 pour cent des ventes nationales d’alcool a été enregistrée pour la semaine se terminant le 21 mars 2020, par rapport à l’année précédente.

De même, les surdoses de drogues ont fortement augmenté en 2020. Par exemple, aux États-Unis, les surdoses ont tué le nombre stupéfiant de 81 000 personnes, soit une augmentation de 38 pour cent des surdoses mortelles par rapport à 2019.

5/ Pauvreté

Selon la Banque mondiale, la « pandémie » pourrait plonger environ 100 millions de personnes supplémentaires dans l’extrême pauvreté. La différence d’espérance de vie entre un individu en situation d’extrême pauvreté et un individu riche est d’au moins 20 ans. Il faut toutefois préciser que la plupart des décès provoqués par la montée de l’extrême pauvreté ne se produiront pas immédiatement mais dans les années, voire les décennies, qui suivront cette crise économique mondiale fabriquée de toutes pièces.

En dépit du nombre de décès dus au confinement et à ses conséquences plutôt qu’au Covid-19, de nombreux pays n’ont même pas enregistré d’augmentation de la surmortalité pendant la pandémie. C’est le cas de l’Allemagne où l’hydroxychloroquine a été utilisée et où de nombreux diagnostics précoces ont été effectués. Mieux que cela, l’Islande — qui a mis en œuvre l’une des approches de diagnostic précoce les plus efficaces au monde — affiche un taux de mortalité en 2020 inférieur à sa mortalité annuelle moyenne. Mais la cerise sur le gâteau est la Chine, où environ 55 tonnes d’hydroxychloroquine ont été consommées en 2020 et où aucun confinement national n’a été mis en place : en conséquence, la Chine n’a connu pratiquement aucun décès dû au Covid depuis avril 2020.

© ourworldindata.org
Les décès quotidiens du Covid-19 en Chine

Même la France, qui a interdit l’hydroxychloroquine et l’azythromycine et a mis en place des mesures de confinement et des couvre-feux prolongés, a connu un taux de mortalité au printemps 2020 inférieur à celui de la saison de la grippe de 2017, et depuis le 1er mai 2020, aucune augmentation de la mortalité n’a été constatée.

Quel type de pandémie n’entraîne pas un excès marqué de mortalité ?

Espérance de vie

En France, et avant même d’être testées positives pour le virus, 80 pour cent des victimes présumées du Covid-19 avaient une espérance de vie inférieure à un an en raison de comorbidités et d’un âge avancé. Dans l’ensemble, les victimes du Covid-19 avaient une espérance de vie d’à peine 3 ans et 82 pour cent des victimes avaient plus de 70 ans. L’âge moyen d’un décès Covid-19 est de 82 ans, soit quelques mois de moins que l’espérance de vie globale.

Dans plusieurs pays, l’âge moyen des décès attribués au Covid-19 est même supérieur à l’espérance de vie. Par exemple, au Royaume-Uni, l’âge moyen des décès attribués au Covid-19 est de 82,6 ans alors que l’espérance de vie moyenne y est de 81,2 ans. En Suède, l’âge moyen des personnes qui seraient mortes du Covid-19 est de 84 ans, soit deux ans de plus que l’âge moyen des décès qui y est de 82 ans.

En raison de l’âge très avancé des personnes qui seraient mortes du Covid-19, de nombreux pays n’ont pas connu de baisse de l’espérance de vie. C’est le cas de la Chine qui a enregistré 4 600 décès attribués au Covid-19 sur une population de 1,4 milliard d’habitants, ou de l’Islande et de ses 19 victimes du Covid sur 400 000 citoyens islandais.

Même en France, où beaucoup de personnes âgées ont été condamnées à mourir dans des maisons de retraite, où des mesures de confinement draconiennes ont été mises en place, où le diagnostic et les soins ont été retardés pour des affections graves et où des médicaments efficaces contre le Covid-19 ont été interdits et des médicaments toxiques comme le Rivotril ou le Remdesivir ont par contre été administrés, l’espérance de vie n’a diminué que de 5 mois.

Quel type de pandémie ne diminue pas sensiblement l’espérance de vie ?

En résumé, la victime type du Covid-19 est une personne octogénaire qui vit dans une maison de retraite et qui présente plusieurs comorbidités. En général, cette personne est morte à cause du désespoir de l’isolement social et du retard dans le diagnostic et le traitement de ses graves comorbidités. Dans de nombreux cas, le patient n’avait même pas le Covid-19. Toutefois, le Covid-19 l’a bien tué, non pas directement, mais par l’isolement et le refus de soins induits par la pandémie d’hystérie bien orchestrée.

Pour résumer, nous faisons l’expérience d’une « pandémie » assez particulière qui présente un taux de létalité inférieur à celui de la grippe saisonnière, qui tue moins que les maladies infectieuses habituelles, qui n’a pas provoqué de surmortalité marquée et qui n’a pas vraiment réduit l’espérance de vie.

Les traitements disponibles

Non seulement le Covid-19 est une maladie bénigne, mais elle peut être soignée par de nombreux traitements sûrs, efficaces et peu coûteux : l’artémisiala vitamine C à forte dose, la vitamine Dle cuivrele zincla doxycyclinela fluvoxaminela bromhexinela colchicinel’ivermectinel’azythromycine et, bien sûr, l’hydroxychloroquine. En outre, la combinaison de certains de ces médicaments a révélé des synergies bénéfiques, notamment un cocktailhydroxychloroquine + azythromycine + zinc. Notez également que l’efficacité des médicaments susmentionnés a été publiée dans des revues à comité de lecture il y a plusieurs mois.

Un bon exemple est l’hydroxychloroquine dont l’efficacité contre le Covid-19 a été testée dans pas moins de 195 articles publiés. La conclusion de la méta-analyse statistique de ces articles ne pourrait être plus claire :

« L’hydroxychloroquine est un traitement efficace contre le Covid-19. La probabilité qu’un traitement inefficace produise des résultats aussi positifs que les 166 études réalisées à ce jour est estimée à 1 sur 1 quadrillion (p = 0,00000000000000099). »

Source

Une autre façon de déterminer l’efficacité de l’hydroxychloroquine est simplement de vérifier si les articles scientifiques publiés ont reçu un financement de Gilead — la société américano-israélienne, bourrée de conflits d’intérêts — qui produit le désormais tristement célèbre Remdesivir.

En cas de conflit d’intérêts avec Gilead,73 pour centdes articles affirment que l’hydroxychloroquinene fonctionne pas, et s’il n’y a pas de conflit d’intérêts,83 pour centdes articles concluent que l’hydroxychloroquinefonctionne. C’est aussi simple que cela.

© IHUM
Chloroquine et mortalité du Covid-19

Malgré son efficacité testée à plusieurs reprises, l’hydroxychloroquine a été interdite dans un certain nombre de pays occidentaux. En revanche, il n’a fallu qu’un seul faux article scientifique (démystifié peu après) pour que les États achètent du Remdesivir pour des milliards de dollars avant d’administrer ce produit par ailleurs toxique en plus d’être inefficace.

La raison de la suppression des traitements connus est au moins double :

  • sociale : le refus de soigner pour augmenter délibérément le nombre de décès et donc la peur dans la population, ce qui conduit à l’acceptation peu enthousiaste des vaccins ;
  • juridique : l’approbation accélérée par la FDA d’un nouveau médicament n’est possible que lorsque la maladie ciblée « n’a pas de remède ». La suppression des remèdes connus a permis au « vaccin » Pfizer d’être approuvé après deux mois d’essais limités et un maigre rapport des tests, alors qu’une approbation correcte de la FDA nécessite environ 12 années d’essais approfondis et une demande d’homologation pour un nouveau médicament de plus de 100 000 pages.

Pour résumer, le Covid-19 est une maladie bénigne pour laquelle il existe de nombreux traitements sûrs et efficaces. Dans ce contexte, l’approche logique serait d’augmenter le diagnostic clinique précoce et de diffuser et d’améliorer les stratégies thérapeutiques existantes. Ce n’est pas ce que les élites ont décidé, surtout dans le monde occidental. Elles ont plutôt interdit les traitements efficaces et, parmi toutes sortes de vaccins douteux, ont imposé le pire, le « vaccin » à ARN de Pfizer sur lequel nous allons maintenant concentrer notre attention.

« Vaccin » à ARNm ou thérapie génique ?

En dépit de son nom, le « vaccin » de Pfizer s’apparente davantage à la thérapie génique, dont la définition est la suivante : « l’utilisation de l’apport thérapeutique d’acides nucléiques dans les cellules d’un patient ». Le « vaccin » de Pfizer est exactement cela, une séquence d’ARN artificielle délivrée par des nanolipides dans les cellules du patient, pour les pirater et les inciter à produire la protéine Spike que l’on trouve dans le Sras-CoV-2, ou au moins dans l’un de ses anciens variants. De là, l’hôte devrait réagir à cette protéine en produisant des anticorps. Si la quantité d’anticorps est trop importante, il se produit une tempête immunitaire [aussi appelé choc cytokinique ou encore tempête de cytokines – NdT] ; si la quantité d’anticorps est insuffisante, l’immunité induite est inutile.

Remarquez que la thérapie génique n’a jamais été utilisée à grande échelle. Elle n’a été utilisée que dans des protocoles expérimentaux anti-tumoraux de phase 1. Les médicaments étaient tellement toxiques que les essais de phase 2 n’ont jamais été réalisés. Les « vaccins » à ARN contre le Mers et le Sras ont suivi la même trajectoire conduisant à l’échec.

En 1999, le généticien Alain Fischer, a mené le premier essai clinique avec quelques rares résultats positifs dans le monde des thérapies géniques [pour les lecteurs francophones qui aimeraient en savoir plus sur Fischer dans le cadre des thérapies géniques qu’il a menés, lire cette interview menée par La Jaune et la Rouge en janvier 2002 – NdT]. Ce même Alain Fischer a été nommé expert en vaccins par les autorités françaises. Interrogé sur le « vaccin » Pfizer, Fischer a répondu avec prudence, soulignant que les effets de l’infectiosité et la durée de l’immunité étaient inconnus, que les effets secondaires étaient inévitables et que la crainte du vaccin était compréhensible. De toute évidence, l’analyse de Fischer ne correspondait pas au discours pro-vaccin, puisqu’il ne bénéficie plus [aujourd’hui – NdT] d’une exposition médiatique.

Un « vaccin » au mieux inutile, au pire nuisible ?

L’histoire des vaccins est pleine de scandales majeurs. En voici quelques exemples :

  1. Le vaccin de Salk contre la polio qui a provoqué la pire épidémie de polio de l’histoire en infectant 200 000 personnes avec un poliovirus vivant, dont 70 000 sont tombées malades ;
  2. La prévalence actuelle de la poliomyélite causée par les vaccins par rapport à la poliomyélite d’origine naturelle ;
  3. Le vaccin contre la dengue déclenchant la production d’anticorps qui ne sont pas nuisibles mais bénéfiques au virus de la dengue, ce qui entraîne des formes plus graves de la maladie ;
  4. Et n’oublions pas Bergame, en Italie, où la population a connu une forte prévalence de formes graves de Covid-19 parmi les personnes vaccinées. Il n’y a pas de mystère, car depuis des années, on sait que le vaccin anti-grippe favorise et aggrave les infections à coronavirus.

De même, les vaccins contre les proches parents du Sras-CoV-2 comme le Sras ou le Mers, qui comme le « vaccin » Pfizer ciblent la protéine Spike, ont également été testés mais rapidement abandonnés, l’un des principaux effets indésirables étant la création d’anticorps qui ne préviennent pas mais favorisent les infections virales.

Les vaccins contre la dengue, la grippe, le Sras et le Mers partagent le même défaut fondamental, bien connu des scientifiques sous le nom de renforcement dépendant des anticorps[ou facilitation de l’infection par des anticorps – NdT], causé par le vaccin qui, au lieu de fournir une immunité, augmente la vulnérabilité à et la gravité de la maladie qu’il cible. Dans ce contexte, il ne serait pas surprenant que les « vaccins » à ARN déclenchent des formes plus graves de Covid-19.

En outre, comme la plupart des rétrovirus, le Sras-CoV-2 est extrêmement enclin aux mutations. L’analyse de 10 000 de ses génomes a révélé un nombre élevé de modifications génétiques :

« 2 969 mutations faux-sens, 1 965 mutations silencieuses, 484 mutations dans les régions non codantes, 142 suppressions non codantes, 100 suppressions dans le cadre de lecture, 66 insertions non codantes, 36 variants à mutation ponctuelle, 11 suppressions de décalage du cadre de lecture et deux insertions dans le cadre de lecture. »

Source

Ce nombre important de variations génomiques a conduit à l’émergence d’au moins 14 variants distincts, dont le « variant anglais » qui présente 23 mutations détectables, dont 70 pour cent sont situées sur sa protéine Spike, qui est la cible même du « vaccin » Pfizer.

© Nextstrain
Variants Sras-CoV-2

Que ce soit une coïncidence ou pas, le Remdevisir mentionné ci-dessus a été testé sur des patients britanniques dans au moins 15 centres de santé différents et largement administré après sa pseudo-approbation. Il est désormais établi que le Remdevisir déclenche des mutations dans le Sras-CoV-2, en particulier dans sa protéine Spike. Étant donné sa propriété mutagène et son utilisation au Royaume-Uni, la question évidente est la suivante : « Le Remdesivir a-t-il joué un rôle dans l’apparition du variant anglais ? »

Quoi qu’il en soit, dans la seule ville de Marseille, pas moins de 33 patients sont tombés malades à deux reprises, du variant appelé Marseille 1, puis du variant Marseille 4. Pire encore, toujours à Marseille, un patient a été infecté trois fois par des variants du Sras-CoV-2 en seulement neuf mois.

La réinfection par le Sras-CoV-2 est suffisamment répandue pour que les scientifiques ne se demandent plus si elle se produit, mais comment elle se produit :

« la possibilité de réinfection par le Sras-CoV-2 n’est pas bien comprise […] une exposition antérieure au Sras-CoV-2 ne se traduit pas nécessairement par une immunité totale garantie. Les implications des réinfections pourraient être pertinentes pour le développement de vaccins […] L’analyse génomique du Sras-CoV-2 a montré des différences génétiquement significatives entre chaque variant associé à chaque cas d’infection. »

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Ces réinfections suggèrent que l’immunité naturelle contre le Covid-19 pourrait ne durer que quelques mois, l’une des raisons de cette courte immunité étant probablement les nombreuses mutations du Sras-CoV-2. Si l’immunité naturelle n’empêche pas une réinfection rapide, le « vaccin » Pfizer, qui, contrairement à l’immunité naturelle, ne cible qu’une petite partie du virus — à savoir sa protéine Spike, qui a considérablement changé depuis la conception du « vaccin » — devrait donner des résultats encore plus médiocres. En conclusion, il est peu probable que le « vaccin » Pfizer confère une immunité durable, si tant est qu’il en confère une tout court, en particulier contre les variants actuels et futurs.

Ce qui précède n’est pas seulement théorique. En Israël, par exemple, pas moins de 12 400 résidents ont été testés positifs au Sras-CoV-2 après avoir reçu le « vaccin » Pfizer, parmi lesquels 69 personnes qui avaient déjà reçu la deuxième dose.

La méthodologie du « vaccin » Pfizer

1/ Objectifs de procédure inappropriés

L’essai de Pfizer avait pour objectif principal d’évaluer, 28 jours après la première inoculation, la fréquence des formes légères à sévères du Covid-19. Le taux de mortalité, l’infectiosité, la durée de l’immunité (le cas échéant), ou même l’apparition de formes légères à sévères à long terme n’ont pas été étudiés. Mais, attendez une minute, toute la pandémie et l’hystérie vaccinale ont été construites sur ces mêmes craintes de mort et de contamination, nous avons entendu ad nauseam les injonctions des médias : « les gens meurent en masse », « faites-vous vacciner pour éviter d’infecter les autres », « faites-vous vacciner pour être immunisé contre le Covid-19 », « faites-vous vacciner pour éviter de mourir du Covid-19 », etc.

2/ Partialité du groupe testé

La sélection des essais, en particulier l’âge combiné à l’état de santé, constitue un autre préjugé frappant. Nous avons montré ci-dessus que les personnes fragiles et âgées sont de loin les plus susceptibles de souffrir du Covid-19. Mais seulement 2 pour cent de l’essai de Pfizer comprend des patients de plus de 75 ans et souffrant de maladies préexistantes. En outre, les sujets de tout âge présentant des comorbidités sont nettement sous-représentés :

« Au total, seule une personne sur cinq semble souffrir d’une affection sous-jacente, et pour les différentes affections sous-jacentes individuelles, le pourcentage de personnes qui en souffrent est souvent inférieur à 1 pour cent. »

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De plus, la taille limitée du groupe vaccinal (environ 20 000 participants) ne présente pas toutes les combinaisons âge – race – sexe – maladie – traitement – profil génétique rencontrées dans la population générale. Il n’existe aucune donnée de sécurité concernant les enfants, les personnes immunodéprimées ou les femmes enceintes, pour la bonne et simple raison qu’ils ont été exclus de l’essai.

Fondamentalement, Pfizer a sélectionné des sujets jeunes et sains pour tester un « vaccin » qui est maintenant administré en priorité aux personnes âgées et malades. Quel est l’intérêt d’étudier de jeunes individus en bonne santé, qui, vaccinés ou non, sont de toute façon à peine touchés par le Covid-19 ? Ce préjugé minimise-t-il les effets secondaires et maintient-il l’illusion d’un « vaccin » sûr ?

3/ Placebo au lieu de médicaments dont l’efficacité est connue

Un nouveau médicament est testé contre un placebo lorsque la maladie ciblée n’a pas de remède connu. Dans le cas du Covid-19, il existe plusieurs remèdes connus auxquels Pfizer aurait dû comparer son « vaccin ».

C’était le concept de l’essai clinique Discovery qui comparait le Remdesivir, l’hydroxychloroquine et d’autres médicaments. Lorsque les résultats préliminaires ont commencé à montrer que l’hydroxychloroquine était le plus efficace, elle a rapidement été retirée des essais. Pfizer n’a pas fait la même erreur en testant son nouveau médicament contre un médicament efficace. Au lieu de cela, ils ont testé leur « vaccin » contre un placebo.

4/ Conception et traitement unilatéral des données

Aucune partie tierce n’a été impliquée dans la conception de l’essai, son suivi et le traitement des résultats. Toute l’étude a été conçue, menée, analysée, publiée et payée par l’entreprise Pfizer elle-même.

Comme l’a déclaré le neurologue néerlandais Jan B. Hommel :

« Le fait qu’un comité indépendant sur les données et la sécurité ait pu voir les données ne change rien à cela, pour la simple raison qu’il n’était pas inclus ni n’a rien eu à dire dans la conception de la recherche, la sélection des participants, les statistiques utilisées ou la publication. […] Je n’ai pas besoin d’expliquer ici comment une telle façon de faire peut conduire à des résultats biaisés de la recherche scientifique, parce que cette question a fait l’objet de recherches et de publications approfondies au cours des vingt dernières années. »

Bénéfices

Le principal argument marketing du « vaccin » de Pfizer est son efficacité supposée de 95 pour cent. Ce chiffre est la seule affirmation de Pfizer et il doit être pris avec des pincettes en raison de nombreux facteurs :

1/ Les précédents de Pfizer

Nous devons d’abord comprendre le contexte de l’entreprise à laquelle nous avons affaire ici. Pfizer est la plus grande entreprise pharmaceutique au monde et c’est également l’entreprise qui a été condamnée à la deuxième plus grosse amende pénale de l’histoire des États-Unis pour avoir menti sur l’un de ses médicaments et avoir soudoyé des médecins. Cette amende record n’est qu’un exemple parmi d’autres. Pfizer a été condamné à de nombreuses reprises pour avoir dissimulé les principaux effets secondaires du Protonix, caché les propriétés cancérigènes du Prempro, menti sur le comportement suicidaire provoqué par le Chantix, fait la promotion de la Depo-Testosterone comme étant efficace et sûre alors qu’elle est inefficace et induiit des effets secondaires importants, et mené des essais cliniques illégaux pour le Trovan au Nigeria, qui a causé la mort de 11 enfants. La liste des crimes commis par Pfizer ne cesse d’augmenter.

N’oublions pas non plus que grâce à la vente mondiale de son « vaccin » à ARN, Pfizer encaissera 14 milliards de dollars par an — soit plus que le PIB du Nicaragua.

2/ Efficacité relative versus efficacité absolue

Au cours de l’essai clinique de Pfizer, 8 cas de Covid-19 ont été trouvés dans le groupe des 20 000 personnes vaccinées et 86 cas dans le groupe placebo de 20 000 personnes. Cela signifie que le taux de contamination au Covid-19 est de 0,0004 dans le groupe du vaccin et de 0,0043 dans le groupe placebo. Par conséquent, la réduction absolue du risque pour un individu n’est que d’environ 0,4 pour cent (0,0043 – 0,0004 x 100).

Le « nombre de personnes qui a besoin d’être vacciné (NNTV) » est égal à 256 (1 / 0,0039), ce qui signifie que pour prévenir un seul cas de Covid-19, 256 personnes doivent recevoir le « vaccin » ; les 255 autres personnes ne retirent aucun bénéfice, mais sont soumises à ses nombreux effets indésirables [le NNTV est une métrique utilisée dans l’évaluation des vaccins et dans la détermination de la politique de vaccination. Il s’agit d’une application spécifique du nombre nécessaire pour traiter la métrique qui intègre les implications de l’immunité collective – NdT].

3/ Exclusion des cas suspects

L’efficacité (relative) revendiquée de 95 pour cent a été obtenue en excluant un total de 3 410 cas Covid-19 suspectés, mais non confirmés (probablement en raison de faux négatifs). Lorsque ces 3 410 cas suspects sont réintégrés, l’efficacité relative tombe à 19 pour cent (ce qui est bien inférieur au seuil d’efficacité de 50 pour cent fixé par les autorités de réglementation) et la réduction absolue du risque tombe à un ridicule 0,08 pour cent.

4/ Résultats non reproduits

La pierre angulaire de tout travail scientifique est sa reproductibilité. Les résultats de l’essai clinique ont été publiés dans une revue à la fin de 2020, mais les essais cliniques n’ont pas été reproduits et il est peu probable qu’ils le soient, car aucune entreprise pharmaceutique ne réalisera d’essais cliniques coûteux pour une molécule brevetée par un concurrent. Nous n’avons donc que la parole de Pfizer, qui est également un criminel récidiviste.

En résumé, selon Pfizer, l’avantage de son « vaccin » repose sur une réduction des symptômes de la grippe chez les jeunes en bonne santé. Ils ne savent pas, ou plutôt, ils ne veulent pas que nous sachions, ce qui importe vraiment : les symptômes chez les personnes fragiles et âgées, la mortalité, l’infectiosité ou la durée de l’immunité. Nous commençons à en avoir une idée.

L’ironie est que le « vaccin » n’a même pas atteint son objectif principal (et non pertinent) qui était la réduction de la forme grave du Covid-19. On peut lire dans l’éditorial du New England Journal of Medicine où ont été publiés les résultats de l’essai clinique de Pfizer :

« Le nombre de cas graves de Covid-19 (un dans le groupe du vaccin et neuf dans le groupe placebo) est trop faible pour que l’on puisse tirer des conclusions quant à savoir si les rares cas qui surviennent chez les personnes vaccinées sont réellement plus graves. »

Les risques du vaccin Pfizer

On sait peu de choses sur les bénéfices du « vaccin » de Pfizer et le peu qui est revendiqué n’est pas pertinent. Mais les informations sur les risques arrivent lentement, et les résultats ne sont pas très reluisants.

1/ Les effets indésirables du « vaccin»

Selon la FDA, le « vaccin » Pfizer peut provoquer de nombreux « effets indésirables » graves, et ce ne sont que les effets indésirables connus induits par les vaccins « traditionnels » et leurs adjuvants habituels :

© FDA
Les effets indésirables du « vaccin » Pfizer

Note du traducteur : La FDA a émis dans sa Présentation de la réunion de la commission du 22 octobre 2020, un avis sur les vaccins et produits biologiques connexes, ***Sous réserve de modifications***. Pour ce qui concerne la surveillance de l’innocuité des vaccins Covid-19, le rapport de la FDA liste — dans une ébauche — la survenue possible d’effets indésirables, dont la mort ; cette liste se trouve à la page 16 dudit rapport, d’où est tiré l’image ci-dessus :

  • Syndrome de Guillain-Barré ;
  • Encéphalomyélite aiguë disséminée ;
  • Myélite transverse ;
  • Encéphalite / Myélite / Encéphalomyélite / Méningo-encéphalite / Méningite / Encéphalopathie ;
  • Convulsions / Crises ;
  • AVC ;
  • Narcolepsie et cataplexie ;
  • Anaphylaxie ;
  • Infarctus aigu du myocarde ;
  • Myocardite / Péricardite ;
  • Maladie auto-immune ;
  • Décès ;
  • Fausse couche ;
  • Autres maladies démyélinisantes aiguës ;
  • Réactions allergiques non anaphylactiques ;
  • Thrombocytopénie ;
  • Coagulation intra-vasculaire disséminée ;
  • Thrombo-embolie veineuse ;
  • Arthrite et arthralgie / Douleurs articulaires ;
  • Maladie de Kawasaki ;
  • Syndrome inflammatoire multi-systémique chez les enfants ;
  • Maladie renforcée par le vaccin.

Les effets à long terme des vaccins sont connus pour être parmi les plus dévastateurs. Ainsi, en plus de la liste ci-dessus, il est très probable que de nombreux autres effets indésirables graves induits par les « vaccins » à ARN seront progressivement identifiés, comme la maladie de Lou Gehrig, la maladie d’Alzheimer, le cancer et la sclérose en plaques, comme le suggère Judy Mikovitz [Voir un extrait de cet échange vidéo traduit en français dans cet article – NdT].

L’infertilité sera probablement un autre effet secondaire « inattendu » à long terme puisque la protéine Spike ciblée est très similaire à la syncytine, une protéine impliquée dans le développement du placenta [la syncytine est également présente dans le sperme – NdT]. Lorsque Pfizer a testé ses « vaccins » sur des rats, il a constaté une baisse de 50 pour cent du comportement reproductif par rapport aux rats non vaccinés. C’est probablement pour cacher cet effet secondaire que Pfizer a exclu les femmes enceintes de son essai.

Les effets indésirables des vaccins énumérés ci-dessus sont de plus en plus considérés par les autorités comme une conséquence du Covid-19. C’est le cas du syndrome de Guillain-Barré qui, depuis décembre 2020 et peu après le début de la campagne de vaccination, serait causé par le Covid-19. Jusqu’alors, aucune causalité entre les deux n’était revendiquée, si ce n’est une aggravation des symptômes du Covid-19 chez les patients atteints du syndrome de Guillain-Barré. Il en va de même pour le syndrome inflammatoire multi-systèmes chez les enfants, qui est maintenant considéré comme étant causé par le Sras-CoV-2, et pour le syndrome de Kawasaki, une réaction vaccinale avérée qui est maintenant imputée au Covid-19.

Pour minimiser encore les effets potentiellement dévastateurs du « vaccin » Pfizer, un rapport des CDC indique que l’anaphylaxie est à l’origine d’un nombre croissant d’effets indésirables.

Tout serait parfait, sauf que lorsque l’on calcule le pourcentage d’incidence de ces événements, on obtient les chiffres suivants :

  • 14 décembre : 3 / 679 = 0,4 pour cent ;
  • 15 décembre : 50 / 6 090 = 0,8 pour cent ;
  • 16 décembre : 373 / 27 823 = 1,3 pour cent ;
  • 17 décembre : 1 476 / 67 963 = 2,2 pour cent ;
  • 18 décembre : 3 150 / 112 807 = 2,8 pour cent.

Comme vous pouvez le constater, le taux d’incidence de l’« anaphylaxie » ne cesse d’augmenter. Il a été multiplié par sept, passant de 0,4 à 2,8 pour cent en cinq jours seulement, ce qui laisse supposer que le vaccin a des effets indésirables retardés qui peuvent mettre des jours à se manifester. Le problème est que l’anaphylaxie est connue pour se manifester presque immédiatement après l’exposition à l’agent allergène :

« Les symptômes peuvent commencer quelques secondes ou minutes après l’exposition à l’aliment ou à la substance à laquelle vous êtes allergique et, en général, ils progressent rapidement. Dans de rares cas, il peut y avoir un retard de quelques heures dans l’apparition des symptômes. »

Source

Cela signifie que d’autres effets indésirables (retardés) se produiront probablement parallèlement à l’anaphylaxie (immédiate).

2/ Les réactions négatives au « vaccin »

À ces effets négatifs, il faut en outre ajouter les réactions négatives. Le tableau ci-dessous récapitule les réactions au « vaccin Pfizer » (selon Pfizer) lors de la deuxième inoculation :

© Vox
Réactions secondaires signalées du « vaccin » Pfizer

Note du traducteur : Colonne de gauche : Douleurs – Rougeurs – Gonflements – Fatigue – Fièvre – Maux de tête – Frissons – Vomissements – Diarrhées – Douleurs musculaires – Douleurs articulaires
Deuxième colonne : Toute réaction – Troisième colonne : réactions moyennes – Quatrième colonne : Réactions modérées – Cinquième colonne : Réactions graves

Toutefois, une réserve s’impose. Ce tableau se concentre uniquement sur le sous-groupe des 18-55 ans, essentiellement les jeunes et les personnes en bonne santé, qui développent rarement une forme grave de Covid-19 et en meurent encore plus rarement.

La fréquence des réactions secondaires est élevée : 59 pour cent éprouvent de la fatigue, 52 pour cent des maux de tête, 37 pour cent des douleurs musculaires. Presque tous les patients ont ressenti des réactions secondaires. La gravité des symptômes est également assez effrayante. Par exemple, 38 pour cent des sujets jeunes et en bonne santé ont éprouvé une fatigue modérée à forte et 26 pour cent des maux de tête modérés à forts. « modéré » signifie interférer avec l’activité et « grave » signifie empêcher l’activité quotidienne.

En revanche, la population générale a une probabilité de plus de 60 pour cent de ne pas avoir de symptômes après avoir contracté le Sras-CoV-2. La sous-population relativement jeune et saine sélectionnéepar Pfizer a environ 80 pour cent de probabilité d’être asymptomatique. Ainsi, d’un côté, nous avons le « vaccin » Pfizer avec ses réactions secondaires garanties à 100 pour cent, et de l’autre, nous avons le Sras-CoV-2 à 80 pour cent asymptomatique.

Ce « vaccin » cause-t-il plus de symptômes que la maladie qu’il est censé guérir ?

Notez dans le tableau ci-dessus que, tout comme le tableau des effets indésirables des vaccins, seules les réactions négatives peu après l’inoculation sont enregistrées. Les réactions négatives survenues plus de deux mois après la première inoculation n’ont tout simplement pas été évaluées.

Cela signifie que nous n’avons aucune idée des risques à moyen et long terme du « vaccin ».

3/ Les décès dus aux vaccins

La mort figurait sur la liste des effets indésirables de la FDA, et la FDA avait raison. Plusieurs décès sont survenus peu après la vaccination. Au début, les cas semblaient sporadiques. Un décès, puis un second sont survenus en Israël peu après l’inoculation. À peu près au même moment, un décès similaire est survenu en Suisse. Puis un médecin de Floride est mort peu après avoir reçu le « vaccin » Pfizer.

Le cas de la Norvège est plus singulier avec 2 décès dus au vaccin début janvier, suivis de 23 décès dans une maison de retraite. Cela fait un total de 25 décès dus au vaccin alors qu’environ 20 000 doses y ont été administrées dans les semaines précédant les « incidents ». Ainsi, le taux de mortalité lié au « vaccin » est d’environ 0,125 pour cent, ce qui est comparable au taux de létalité du Covid-19 mentionné plus haut. Et ces décès induits par le « vaccin » ne sont que les premiers et ils sont consécutifs à une seule inoculation.

Plus choquant encore est le cas des maisons de retraite de Nice, avec 50 décès en surnombre le 15 janvier, soit seulement 4 jours après le début des vaccinations. Au cours de ces quatre jours, environ 16 000 doses du « vaccin » Pfizer y ont été administrées. Cela donne un taux de mortalité préliminaire par vaccin supérieur à 0,3 pour cent, soit plus du double du taux de létalité du Covid-19 et, là encore, ce nombre de décès est limité à quelques jours après la toute première inoculation.

La Norvège et Nice ne sont pas des cas isolés. Après la première inoculation du « vaccin » Pfizer à 5 847 patients de Gibraltar, 53 d’entre eux sont morts en quelques jours. Cela représente un taux de mortalité lié au vaccin de 0,9 pour cent. Une maison de retraite de New York qui n’avait connu aucun décès dû au Covid-19 avant la vaccination, a signalé 24 décès juste après la vaccination de 193 résidents. Cela représente un taux de mortalité vaccinale de 12 pour cent. La liste des victimes du vaccin se poursuit, et ce juste après la première dose.

Le « médicament » est-il plus mortel que la maladie qu’il est censé guérir ?

Bien entendu, les autorités nient tout lien entre les vaccinations et ces décès. Elles accusent les comorbidités. Quand un individu vacciné avec des comorbidités meurt, c’est à cause des comorbidités. Lorsqu’un individu présumé positif au Sras-CoV-2 et présentant des comorbidités meurt, c’est à cause du Sras-CoV-2. Tout cela a-t-il un sens ?

Conclusion

Le Covid-19 est une maladie bénigne pour laquelle il existe des traitements sûrs et efficaces. Mais ces traitements sont interdits ou supprimés alors qu’un dangereux et inefficace « vaccin » à ARN nous est imposé par chantage : pas de vaccin = pas de liberté. Des dizaines de millions de personnes ont déjà été vaccinées, alors, si vous devez vous faire injecter le « vaccin », voici un article décrivant les approches thérapeutiques et nutritionnelles pour atténuer ses effets secondaires.

Les élites ne veulent pas nous protéger, elles veulent nous contrôler. Ces créateurs de réalité autoproclamés ont fabriqué un vaccin [pour diffuser le virus] de l’« obéissance » qui s’est royalement retourné contre eux et s’est transformé en un [virus] mutant [diffusant la] « désobéissance ». Ils ont donc créé de toutes pièces une fausse pandémie afin d’imposer un vaccin qui, je crois, est conçu pour annuler les effets bénéfiques du mutant « désobéissance ». En outre, ce vaccin est plus mortel et plus nocif que la maladie mineure qu’il est censé guérir.

Mais comme nous le verrons dans le prochain épisode, au lieu de faire semblant de prévenir une fausse pandémie, le « vaccin » à ARN pourrait très bien se recombiner avec des endo-rétrovirus dormants et déclencher une véritable pandémie lors d’une seconde épopée. Si cela devait se produire, cela montrerait une fois de plus que l’histoire a un sens de l’ironie superbe.


Notes : 

Certains des liens de cet article mènent à des vidéos en français de chercheurs du laboratoire de l’IHU comme Didier Raoult, Louis Fouché, Michel Drancourt ou Philippe Parola. En dehors de la Chine, le laboratoire IHU a publié le plus grand nombre d’articles sur le SARS-COV-2 à ce jour. Ces chercheurs ont donc une connaissance unique de la « pandémie », malheureusement [sauf pour les francophones – NdT] leurs présentations vidéo sont pour la plupart en français.

Cet article a initialement été publié en anglais le 27 janvier 2021 : Sott.net

Pierre Lescaudron 

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Après une formation d’Ingénieur et l’obtention d’un MBA, Pierre a occupé des fonctions de direction générale, de consultant et d’enseignant en 3e cycle. Pierre a rejoint Sott.net pour qui il écrit des articles et mène des traductions, satisfaisant ainsi sa soif de découverte en particulier dans les domaines des sciences, des technologies, de la santé et de l’histoire.

Pierre est également instructeur certifié du programme Eiriu Eolas et pendant son temps libre, il aime fabriquer ou construire toute sorte de choses.




Covid-Arnaque : il n’y a pas de pandémie — une vision britannique de l’imposture

[Source : La cause du peuple]

[Traduction de There Is No Pandemic, by Nick Kollerstrom – The Unz Review]

2020 a vu 14% de décès de plus que la moyenne, l’année dernière en Angleterre et au Pays de Galles et cela s’est élevé à soixante-quinze mille décès supplémentaires. Nous utilisons ici les chiffres du Bureau des statistiques nationales , car il donne le total des décès hebdomadaires, plus également à titre de comparaison une valeur moyenne des décès hebdomadaires correspondants au cours des cinq années précédentes.[1]
Cela se compare au chiffre de quatre-vingt dix mille morts pour l’ensemble du Royaume-Uni, prétendument attribuable au covid-19.

Nous posons ici et répondons à la question, qu’est – ce qui a causé cet excès de décès ? La réponse ne sera pas certaine, mais sera l’explication la plus simple possible. Par le rasoir d’Occam, nous sommes obligés de le prendre.

Pour le premier trimestre de l’année dernière, les décès en Angleterre et au Pays de Galles ont diminué : pour une raison quelconque, la mortalité hebdomadaire globale était de 3% inférieure à la moyenne annuelle. Ensuite , autour de l’équinoxe de printemps le 23 Mars rd Lockdown a été annoncé et tout à coup, les décès ont bondi jusqu’à alors que des milliers de morts supplémentaires ont commencé à se produire semaine après semaine. Cela a continué tout au long des mois d’avril et de mai, puis finalement, la première semaine de juin, les Britanniques ont de nouveau été autorisés à sortir: avec soulagement, nous avons pu marcher dans les rues et les parcs, les cafés et les pubs ont rouvert.

Ces mois de verrouillage ont vu 59 000 décès en excès (voir graphique). Cela vient de compter les onze semaines se terminant le 27 Mars au 5 e Juin, comme la période de verrouillage.

La question se pose de savoir ce qui les a provoqués? Cela aurait-il pu être, par exemple, le choc? Le mois d’avril a enregistré en moyenne 90% de décès de plus que d’habitude! Puis mai n’était pas si mal, car les gens se sont habitués à la nouvelle réalité sinistre.

Dans les semaines qui ont suivi le Lockdown, c’est-à-dire après la première semaine de juin, tout l’excédent de décès a soudainement disparu. Au cours des quatre mois suivants, les décès sont restés exactement moyens par rapport aux années précédentes.

Le graphique montre ce processus distinct en trois étapes.

Données OBNS pour les semaines se terminant
3 janvier au 20 mars 12 semaines 138 916 143 738 -4 822 -3%
27 mars au 5 juin 11 semaines 168 396 109 703 +58 693 + 54% CONFINEMENT
12 juin au 9 oct 18 semaines 166 392 165 808 +584 0%

Ces chiffres suggèrent que c’est le verrouillage lui-même et non aucun virus, qui a causé les décès excessifs.

Nous rappelons ici une enquête minutieuse réalisée en mai dernier qui a révélé que, dans tous les pays disposant de chiffres de mortalité fiables, leur augmentation de la mortalité a commencé après l’ imposition du verrouillage et pas avant. Il y a une différence très simple entre cause et effet: la cause vient en premier, avant l’effet!

Un deuxième Lockdown a été imposé au cours du mois de novembre. Celui-ci manquait de la même valeur de terreur et de choc que le premier et n’atteignait donc qu’une surmortalité nette de 18%: pour les cinq semaines allant de la semaine se terminant le 6 novembre à celle du 4 décembre, il y avait neuf mille décès en excès, par rapport à la moyenne saisonnière.

Figure: données hebdomadaires du Bureau des statistiques nationales pour 2020, comparant la mortalité totale par semaine avec une moyenne estimée des cinq années précédentes.

Figure: données hebdomadaires du Bureau des statistiques nationales pour 2020, comparant la mortalité totale par semaine avec une moyenne estimée des cinq années précédentes.

Après l’équinoxe d’automne, alors que les nuits s’allongeaient, le gouvernement a recommencé à terroriser la population en parlant de «l’hiver sombre» à venir. D’une manière ou d’une autre, ils savaient qu’une «deuxième vague» arrivait, et qu’il faudrait donc un «deuxième verrouillage» et pas de Noël. Voici ce que j’ai dit dans un podcast du 20 octobre :

Ils essaient de susciter une autre grosse panique, prétendant qu’il y a une deuxième vague… survenue cet automne. Ils ont recommencé à propager la peur. Ils ont imposé ces niveaux de Lockdown qui sont plutôt terrifiants. Beaucoup de stress qu’ils mettent sur les gens. Je me suis demandé : est-ce que les morts vont recommencer comme la dernière fois?

Cela s’est-il produit? Comme auparavant, les chiffres montrent une augmentation au moment du verrouillage et juste avant, mais cette fois, elle n’a pas disparu après le verrouillage. C’est parce qu’il n’y a pas vraiment eu de détente. Au contraire, des mesures encore plus draconiennes ont été annoncées, avec la mesure inouïe de la police arrêtant les gens qui marchent dehors, pour leur demander s’ils avaient de bonnes raisons de sortir de chez eux. Rencontrer des amis a été interdit, etc. Cette pression a augmenté la mortalité encore davantage et nous avons ici en particulier relevé la « semaine de Noël » finissant le 25 décembre, avec une surmortalité énorme de 45%. Ce n’était pas un joyeux Noël. C’est trois mille cinq cents personnes supplémentaires (par rapport aux années précédentes) en une semaine, probablement causées par le choc et le désespoir de l’annulation de Noël. La semaine suivante, c’était encore très élevé : 26% d’excès, alors que les gens affrontaient la sombre nouvelle année.

Exprimer cette surmortalité comme une moyenne mensuelle globale, pour les derniers mois de 2020, facilite les choses. En prenant ainsi chaque mois dans son ensemble et en sélectionnant quatre semaines de données pour chaque mois :

Septembre des semaines se terminant 11 sept au 2 oct. + 4%
octobre 9 oct au 30 oct + 7%
novembre 6 nov au 27 nov + 18%
décembre 4 décembre au 1er janvier + 21%

Lentement, les décès excédentaires (comparés, comme auparavant, aux années précédentes) ont augmenté tout au long de l’automne et de l’hiver. Le mois de décembre a eu dix mille morts supplémentaires. Doit-on prendre l’avis du gouvernement, que ces décès ont été causés par le virus CV19, et que les restrictions de plus en plus sévères étaient une réponse nécessaire pour «contenir» la propagation de ce virus ? Une hypothèse plus simple serait qu’il n’y a pas de virus tuant des gens, alors que le stress de la faillite, de la solitude, etc. imposé par les décrets du gouvernement a vraiment tué des gens. Ainsi, par exemple le « niveau 4 » [de confinement] a été annoncé le 19 Décembre pour une grande partie de l’Angleterre, ce qui a donné lieu à la mortalité la plus élevée pour la semaine suivante. Ce coup de grâce à Noël pour tout le monde — jamais interdit depuis l’époque d’Oliver Cromwell — a eu un impact profond, faisant grimper l’indice de mortalité.

Dans l’ensemble, il semblerait que ce soit la politique de verrouillage du gouvernement qui tue des gens et non une nouvelle maladie. Le stress, la solitude, la peur et le désespoir sont à l’origine de l’excès de décès, avec le vidage des hôpitaux, en particulier des personnes âgées, et l’annulation des services normaux en raison de la «pandémie». Si le gouvernement le sait, il s’agit d’un programme de réduction de la population.

Un rapport récent du CDC américain a approuvé l’approche que nous avons adoptée ici, à savoir que l’importance de CV19 ne peut être appréciée qu’en termes de mortalité totale. Publié sur le site de l’Université John Hopkins, le 22 novembre (mais retiré peu après), il partage l’avis qu’aucun virus tue des gens plus que la grippe normale, alors que les décès dus à d’autres causes sont reclassés Covid19 :

Selon de nouvelles données, les États-Unis se classent actuellement au premier rang pour le nombre total de cas de COVID-19, de nouveaux cas par jour et de décès. Genevieve Briand, directrice adjointe du programme de maîtrise en économie appliquée à Hopkins, a analysé de manière critique l’effet du COVID-19 sur les décès aux États-Unis en utilisant les données des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) dans son webinaire intitulé « Morts COVID-19 : un regard sur les données américaines. »

De la mi-mars à la mi-septembre, le nombre total de décès aux États-Unis a atteint 1,7 million, dont 200 000, soit 12% du total des décès, sont liés au COVID-19. Au lieu de regarder directement les décès dus au COVID-19, Briand s’est concentrée sur le nombre total de décès par groupe d’âge et par cause de décès aux États-Unis et a utilisé ces informations pour faire la lumière sur les effets du COVID-19.

Elle a expliqué que l’importance du COVID-19 sur les décès aux États-Unis ne peut être pleinement comprise que par comparaison avec le nombre total de décès aux États-Unis.

Après avoir récupéré des données sur le site Web du CDC, Briand a compilé un graphique représentant les pourcentages du nombre total de décès par catégorie d’âge du début février au début septembre, qui comprend la période allant de la détection du COVID-19 aux États-Unis à la montée en flèche des taux d’infection.

Étonnamment, les décès de personnes âgées sont restés les mêmes avant et après le COVID-19. Étant donné que le COVID-19 affecte principalement les personnes âgées, les experts s’attendaient à une augmentation du pourcentage de décès dans les groupes plus âgés. Cependant, cette augmentation ne ressort pas des données du CDC. En fait, les pourcentages de décès parmi tous les groupes d’âge restent relativement les mêmes.

« La raison pour laquelle nous avons un nombre plus élevé de décès par COVID-19 signalés chez les personnes âgées que chez les personnes plus jeunes est tout simplement parce que chaque jour aux États-Unis, les personnes âgées meurent en plus grand nombre que les personnes plus jeunes », a déclaré Briand.

Briand a également noté que 50 000 à 70 000 décès sont observés avant et après le COVID-19, indiquant que ce nombre de décès était normal bien avant l’apparition du COVID-19. Par conséquent, selon Briand, non seulement le COVID-19 n’a eu aucun effet sur le pourcentage de décès de personnes âgées, mais il n’a pas non plus augmenté le nombre total de décès.

Ces analyses de données suggèrent que contrairement aux hypothèses de la plupart des gens, le nombre de décès par COVID-19 n’est pas alarmant. En fait, il n’a relativement aucun effet sur les décès aux États-Unis…

Lorsque Briand a examiné les données de 2020 au cours de cette période saisonnière, les décès liés au COVID-19 ont dépassé les décès dus aux maladies cardiaques. C’était très inhabituel puisque les maladies cardiaques ont toujours prévalu comme la principale cause de décès. Cependant, en examinant de plus près les chiffres des décès, elle a noté quelque chose d’étrange. Alors que Briand comparait le nombre de décès par cause au cours de cette période en 2020 à 2018, elle a remarqué qu’au lieu de l’augmentation drastique attendue pour toutes les causes, il y avait une diminution significative des décès dus aux maladies cardiaques. Plus surprenant encore, comme le montre le graphique ci-dessous, cette baisse soudaine des décès est observée pour toutes les autres causes.

Cette tendance est tout à fait contraire à la tendance observée toutes les années précédentes. Fait intéressant, comme le montre le tableau ci-dessous, la diminution totale des décès dus à d’autres causes équivaut presque exactement à l’augmentation des décès par COVID-19. Cela suggère, selon Briand, que le nombre de morts du COVID-19 est trompeur. Briand pense que les décès dus aux maladies cardiaques, aux maladies respiratoires, à la grippe et à la pneumonie peuvent plutôt être reclassés comme étant dus au COVID-19.

[NdNM : selon la phrase mise en rouge, la conclusion ici devrait plutôt être formulée comme suit : Briand pense qu’une partie (importante ?) des décès habituellement attribués aux maladies cardiaques, aux maladies respiratoires, à la grippe et à la pneumonie ont été reclassés comme étant dus au Covid-19.]

Sur la base de cette analyse, le meilleur moyen de mettre fin au massacre continu de Britanniques âgés serait de mettre fin aux verrouillages et de reprendre une vie normale. Comme l’a bien expliqué le Dr Simone Gold (de Frontline Doctors) , CV19 ne fait que «tuer» des personnes âgées qui étaient sur le point de mourir de toute façon. Il ne peut pas être démontré qu’ «avoir» CV19, c’est-à-dire être testé PCR «positif» a contribué à raccourcir leur durée de vie. Ce n’est donc pas un lien causal, c’est-à-dire que la prétendue maladie n’a pas «causé» leur mort. C’est pourquoi la distribution par âge du CV-19 ne se distingue pas de celle de la population normale.

L’âge moyen des décès en Angleterre et au Pays de Galles est de 81,5 ans, tandis que l’âge moyen des décès de «Covid-19» est de 82,4 ans (données ONS). Ce que cela nous dit est très simple : la maladie n’existe pas.

Le concept de «test» PCR a toujours été frauduleux . Le soi-disant «test» PCR multiplie les fragments de chaînes nucléotidiques et le nombre de cas «positifs» dépend du facteur de multiplication utilisé ainsi que du nombre de personnes testées. Il ne viendra jamais un moment où le virus sera «guéri» ou «résolu» ou quoi que ce soit que les gens imaginent que le gouvernement essaie de faire (s’il le sait!), de sorte que le test PCR cesse [alors] de générer des tests «positifs». Personne ne vous donnera jamais la preuve que les personnes dont le test est «positif» tombent malades plus souvent que les autres. Y a-t-il un but de la politique gouvernementale, à part terroriser la population ? Est-ce [vraiment] pour tuer le virus ? Cela ne pourra jamais arriver car le virus n’est pas vivant.

Le 13 janvier, l’Organisation mondiale de la Santé a fait machine arrière sur le « test » PCR, en disant qu’il est simplement un outil de diagnostic qui peut aider. Elle conseille maintenant :

Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant une technologie NAT identique ou différente.

En d’autres termes, un seul test PCR ne doit pas être utilisé pour diagnostiquer une infection à Sars-Cov-2. Ce n’est qu’un guide !

La plupart des tests PCR sont indiqués comme une aide au diagnostic. Par conséquent, les prestataires de soins de santé doivent considérer tout résultat en combinaison avec le moment de l’échantillonnage, le type d’échantillon, les spécificités du test, les observations cliniques, les antécédents du patient, le statut confirmé de tout contact et les informations épidémiologiques.

Nous avons donc finalement compris que le PCR ne peut pas servir au diagnostique. C’est exactement ce qu’a dit son inventeur Kary Mullis. Alors oubliez tous les chiffres que vous avez entendus sur les «cas» et les «décès de covid» — on ne peut pas s’y fier.

Si l’on voulait croire qu’il y avait une maladie associée à ce virus, nous serions sûrement d’accord avec le Dr Alexander Myasnikov, nommé l’année dernière en tant que conseiller médical en chef de la Russie. Dans une interview, il a expliqué comment le monde avait fortement réagi de manière excessive à l’histoire de CV19 et que le nombre de morts en Occident était largement surestimé. Il a ajouté :

«Tout est exagéré. C’est une maladie respiratoire aiguë avec une mortalité minimale. »

Ainsi, l’ancien médecin-chef de l’Ontario a récemment contesté la politique de son gouvernement en disant: « Nous sommes bloqués pour un taux de mortalité par infection de moins de 0,2 % ? » et le verrouillage n’est pas «soutenu par une science solide». Il veut dire ici que pour ceux dont le test PCR est positif, un sur cinq cents mourra. La période de temps impliquée ici doit être définie, par exemple elle pourrait être d’un mois : nous mourons tous, et étant donné que l’âge médian des décès présumés CV19 est d’environ 80 ans, ce qui pourrait bien être un taux de mortalité normal — surtout si on teste avec le PCR toutes les personnes admises à l’hôpital.

En novembre dernier, une infirmière de Cornouailles s’est fait connaître en affirmant que les salles de l’hôpital étaient vides depuis des mois quand on a prétendu qu’elles débordaient. Elle a déclaré que chaque fois qu’ils avaient des patients grippés, ils étaient classés comme Covid : « Les cas de grippe et de Covid sont désormais enregistrés comme “la même chose” sur les certificats de décès. » Ce ne serait pas nécessaire si la maladie existait vraiment. Sans surprise, la grippe de cet hiver a mystérieusement disparu. Une femme qui a marché autour de son hôpital local en train de filmer ses salles vides a été arrêtée chez elle par la police le lendemain.

L’existence même du virus ne peut pas être démontrée, ce qui signifie qu’il ne peut pas être différencié, de manière fiable, de tous les autres coronavirus normaux, avec lesquels nous vivons depuis le début des temps. Il n’a jamais été isolé. Soyons clairs à ce sujet ! En avril dernier, un département scientifique de l’UE a admis :

« Aucun isolat de virus avec une quantité quantifiée de SARS-CoV-2 n’est actuellement disponible… »

Et la même chose a été reprise quelques mois plus tard par le Center for Disease Control américain :

« Étant donné qu’aucun isolat viral quantifié du nCoV 2019 n’est actuellement disponible , des tests [de diagnostic] conçus pour la détection de l’ARN du nCoV 2019 ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro… »[2]

En d’autres termes, personne ne peut tenir un tube à essai ou une boîte de Pétri et dire: «Voici le COVID-19». Les séquences génétiques publiées du prétendu virus ne sont que de simples constructions hypothétiques. Oui, une maladie a éclaté à Wuhan en novembre 2019 et oui, les autorités chinoises ont publié une séquence génétique qui en serait, mais alors ?

Promotion pornographique de la peur

Le gouvernement a besoin de votre peur. Il veut votre attention, mais sait qu’il n’a aucune chance d’améliorer votre vie de quelque manière que ce soit. Nous avons donc un ministre de la Santé qui ne sait rien de la santé ou du bien-être : il peut attirer votre attention en vous disant que vous ne pourrez pas voyager sans vaccin. Ils ont besoin de votre peur et, au siècle dernier, le gouvernement a pu stimuler votre peur en menaçant d’appuyer sur le bouton nucléaire. Cela ne fonctionne plus. Le dernier exercice du gouvernement britannique en matière de pornographie de peur conseille aux citoyens de se comporter comme s’ils étaient malades . («Agissez comme vous l’avez compris»). Oui, cela ressemble à la façon de promouvoir la santé.

Il promeut en outre l’idée diabolique selon laquelle des personnes en parfaite santé peuvent transmettre des maladies («n’importe qui peut la propager»). On pourrait citer ici l’expert de l’OMS, la Dre Maria van Kerkhove :

« D’après les données dont nous disposons, il semble encore rare qu’une personne asymptomatique transmette effectivement à un individu secondaire. C’est très rare. » 

Dre Maria van Kerkhove (Chef de l’unité Maladies émergentes et zoonose de l’OMS lors d’un point de presse du siège de l’agence des Nations Unies à Genève, 6.6.20). 

Certes, elle a été obligée de faire marche arrière et de se rétracter, mais elle l’a dit.[3]

Pour reprendre les mots du Daily Mail , de « Terrifiantes nouvelles annonces télévisées » sont promues par le gouvernement (23 janvier 2021). Cette pornographie de peur est organisée par l’agence de presse américaine Omnigov qui a signé le 2 mars un contrat publicitaire pro confinement trois semaines avant le verrouillage :

Le journaliste Neil Clark a commenté[4] la nouvelle du Daily Telegraph selon laquelle le gouvernement britannique a conclu un accord d’une valeur de 119 millions de livres sterling avec une société de publicité américaine, OMD Group, exhortant les gens à « rester à la maison, rester en sécurité » trois semaines complètes avant que Boris Johnson ordonne un verrouillage. Pensez à ce que cela signifie. Ce mème «Stay home Stay safe» aurait été planifié l’année précédente lors de l’événement américain «Event 201» organisé par Bill Gates et autres. La peur bloque la pensée rationnelle et cohérente, c’est pourquoi le gouvernement en a besoin.

Les gens oublient peut-être à quel point la grippe hivernale peut être débilitante et comment elle peut durer des semaines. Maintenant, ils veulent l’appeler COVID. Soutenons ici la professeure Dolores Cahill, qui s’est penchée sur le séquençage des tests PCR. En Irlande, il a été constaté que sur quinze cents tests PCR «tous étaient des virus de la grippe A et B, aucun d’entre eux n’était du SRAS-COV2». Son groupe demandera une action en justice lorsque les tests indiquent la grippe plutôt que le CV19 spécifique et les médecins pourront être poursuivis pour négligence médicale. (Rapport Corbett, 23 minutes). Cela semble être une manière prometteuse de lutter contre ce virus fantôme.

« Est-ce une épidémie de désespoir ? » a demandé ce commentateur perspicace, Peter Hitchins. Les scientifiques sont formés à ne pas prendre en compte les émotions et à rechercher les choses, les objets comme agents causaux, alors qu’ici nous sommes d’accord avec Peter Hitchens sur le fait que les conditions négatives de l’âme de la population causées par les politiques gouvernementales conduisent à la mort. L’article de Hitchens cite l’éminent professeur de microbiologie médicale, Sucharit Bhakdi :

« Il a dit que les personnes âgées avaient le droit de faire des efforts pour rester en forme, actives, occupées et en bonne santé. Mais il a averti que la fermeture de la société les condamnerait à une mort prématurée en empêchant cela.

« Les contacts sociaux et les événements sociaux, le théâtre et la musique, les voyages, les sports et les loisirs contribuent tous à prolonger leur séjour sur terre. L’espérance de vie de millions de personnes est raccourcie ».

Dans une prédiction qui s’est révélée terriblement précise, il a ajouté : « L’impact horrible sur l’économie mondiale menace l’existence d’innombrables personnes. Les conséquences pour les soins médicaux sont profondes. Déjà, les services aux patients qui en ont besoin sont réduits, les opérations annulées, les cabinets vides, à cause du personnel hospitalier qui diminue. Tout cela aura un impact profond sur toute notre société ».

C’est ce qui tue des gens, il n’y a pas d’autre pandémie.

Nous sommes ici préoccupés par le Royaume-Uni, mais à titre de comparaison, terminons par un graphique montrant le taux de mortalité hebdomadaire aux États-Unis en 2020, montrant le même effet.

Le graphique montrait un excès de 280 000 décès au-dessus des niveaux normaux attendus, après le verrouillage. La page Web hébergeant ce graphique indique que « le grand pic de décès en avril 2020 correspond à l’épidémie de coronavirus ». Je suggère ici un point de vue différent.

Par Nick Kollerstrom , PhD, auteur de The Great British coronavirus Hoax, A Skeptics view (interdit par Amazon.)


Notes

[1] En utilisant cinquante-deux semaines pour 364 jours de l’année, de celle se terminant le 3 janvier 2020 à celle du 1er Janvier 2021, l’ONS compare une semaine de 2020 avec la valeur moyenne pour la période 2015-9.

[2] CDC «Caractéristiques de performance du panneau de diagnostic PCR en temps réel 2019-Novel Coronavirus» p.39, 13.7.20. Cela a été effacé du Web, mais voyez la réponse du BMJ.

[3] Une vaste étude chinoise de dix millions de personnes autour de Wuhan entre mai et juin n’a montré « aucune preuve que les cas positifs sans symptômes propagent la maladie » : Nature 20.11.20 « Dépistage de l’acide nucléique du SRAS-CoV-2 après le verrouillage ».

[4] RT «Psychologie inversée Covid-19» de Neil Clarke, 28.10.20, supprimée, mais conservée sur la vidéo Hugo Talks [Note : vidéo également censurée].




Les esclaves ne sont pas libérés plus vite parce qu’ils obéissent mieux

[Source : breizh-info.com]

[Sur la photo :
Covid–1984 est une histoire de couverture
Le cartel médical vous ment
Le cartel médiatique vous ment
Bill Gates vous ment
Le totalitarisme est le véritable virus
et il tue nos libertés
]

Covid-1984 (Telegram) : « Dans l’Histoire du monde, je n’ai pas souvenir que des esclaves aient été libérés plus vite parce qu’ils obéissaient mieux » [Interview]

Sur le canal Telegram, dont nous vous avons expliqué le process récemment, on trouve énormément de chaines qui diffusent du contenu de qualité (voir notre liste mise à jour ici). Parmi elles, Covid-1984 (http://t.me/ReOpenCovid1984) où l’on trouve énormément d’informations — qui ne seront pas communiquées par les médias de grand chemin — au sujet de la crise sanitaire et des politiques mises en place pour asservir les populations au prétexte de les soigner.

Nous avons rencontré l’animateur de la chaîne, qui souhaite rester anonyme et qui a répondu à quelques-unes de nos questions.

Breizh-info.com : Qu’est-ce qui vous a amené à lancer la chaine telegram covid 1984 ?

Covid-1984 (Telegram) : Dès le 1er février, j’ai posé des questions sur cette « pandémie » de chauve-souris mal cuite à l’un de mes oncles, médecin généraliste à la retraite (40 ans de médecine de ville à Paris, 20 ans externe attaché à l’APHP, notamment en réanimation digestive, et qui a travaillé sur le VIH), pour essayer de comprendre ce qu’il en était vraiment et si, réellement et comme on commençait à nous le faire croire, nous allions tous en mourir.

Ses réponses m’ont fait beaucoup sourire et m’ont amené ensuite à passer des heures et des heures à me renseigner, à croiser des sources, à analyser la situation, à interroger d’autres médecins, des infirmières, et je suis vite arrivé à la conclusion qu’on se foutait totalement de notre tronche.

Du coup, dès le mois de mars, j’ai essayé d’apporter quelques informations alternatives sur Facebook ou sur des groupes de discussion privés, parce que je voyais bien où tout cela allait nous mener. J’ai évidemment pris une volée de bois vert, y compris de la part de camarades pourtant formés politiquement, mais j’ai continué, semaine après semaine, mois après mois.

Le problème de Facebook, c’est la visibilité relative (je ne partageais pas en public) et les commentaires sans fin de ceux qui, n’ayant pas pris la peine de bosser un minimum le sujet, viennent expliquer qu’il faut continuer à faire confiance au gouvernement et que les mesures imposées ne sont pas si graves. Comme le résume très bien Florian Philippot, qui fait un gros boulot sur le sujet, quand on rentre dans l’état d’esprit covidiste, on peut toujours trouver une justification aux privations de liberté.

Cela m’a fatigué et j’ai opté pour une chaîne sur le réseau Telegram, ce qui me permet de relayer les informations et analyses sans gaspiller du temps et de l’énergie à répondre aux commentaires. Cela fonctionne assez bien, je crois que la chaîne compte près de 800 abonnés à ce jour et certaines de mes publications ont été vues plus de 2 500 fois. Ce qui est pas mal, mais évidemment trop peu.

Breizh-info.com : Le maire d’Eindhoven (Pays-Bas) a évoqué la possibilité d’une guerre civile en Europe du fait des restrictions, qualifiant les opposants aux mesures sanitaires de « lie » de la société. Qu’en dites-vous ?

Covid-1984 (Telegram) : La guerre civile qui vient et qui aura 15 minutes en retard, j’en entends parler depuis 30 ans.

Ce qui est vrai, en revanche, c’est que nous allons au-devant de cataclysmes sociaux et économiques majeurs, conséquence directe des confinements et des mesures liberticides, et que la seule réponse des gouvernements sera, comme toujours, d’envoyer la police (puis l’armée ?) sur les manifestants et de mâter tout ça en tirant dans le tas.

On a vu lors de l’épisode Gilets Jaunes. Je crains donc plus un massacre de population qui n’est pas armée (condition sine qua non pour parler de « guerre » civile), mais le nombre et le désespoir peuvent faire la différence.

Et cela pourrait vite très mal tourner.

En tout cas, en France comme ailleurs, nos gouvernants s’y préparent, il n’y a qu’à se pencher sur la mise en place de la troupe d’intervention rapide de « super CRS », créée pour intervenir sur les violences urbaines partout sur le territoire.

Notre cher Président nous avait prévenus : « Nous sommes en guerre ». Alors oui, nous sommes en guerre.

Mais pas contre un virus (qui se combat avec une politique de Santé cohérente, des diagnostics, des traitements et des soins, pas avec des masques en papier crépon et des couvre-feux). C’est une guerre ouverte entre les gouvernements, mandatés par quelques assassins psychopathes, et leurs peuples.

Quant à la posture de cet élu hollandais qui parle de la « lie de la société », quand on veut tuer son chien (ou son peuple), on dit qu’il a la rage, et on sait à quel point les mots aujourd’hui n’ont plus aucune valeur, dans des sociétés où règne l’inversion accusatoire.

Lorsqu’il finira pendu par le cul à un lampadaire, il sera un peu plus déférent.

Breizh-info.com : Il semblerait que nous allions tout droit vers un troisième confinement. Vous faites partie de ceux qui appellent les Français à sortir, dès le 1er février, pour quelles raisons ?

Covid-1984 (Telegram) : Déjà, parce que le confinement, contrairement à ce que nous affirmait péremptoirement notre cher Jérôme Salomon, ne sauve pas « une vie toutes les 8 minutes », mais ne sert à rien et pire, il tue.

Par l’absence de soin (les spécialistes ne consultaient pratiquement plus lors du premier confinement de mars 2020), par l’abandon des personnes âgées, par la non-prise en charge des problématiques médicales autres (cancers et pathologies cardiaques en tête).

Les pays qui ont imposé les mesures restrictives les plus strictes sont ceux qui ont connu et connaissent les surmortalités les plus importantes. À l’inverse, les pays qui n’ont presque pris aucune mesure ont des surmortalités très basses.

Ensuite, parce que c’est une privation de liberté absolument intolérable.

Je ne comprends même pas comment autant de mes concitoyens ont pu accepter de rester cloîtrés chez eux, par peur de choper une grippe ou une amende (alors que les attestations dérogatoires permettent d’aller et venir absolument où on veut et quand on veut). Certainement Étienne de La Boetie avait tristement raison quand il évoquait la servitude volontaire il y a près de 500 ans.

Dans l’Histoire du monde, je n’ai pas souvenir que des esclaves aient été libérés plus vite parce qu’ils obéissaient mieux. Alors quand j’entends l’argument du « Reste confiné deux semaines et on pourra revivre normalement », pardon, mais c’est stupide.

Surtout que c’est exactement l’inverse qui se passe depuis bientôt un an. Chaque mesure est une étape supplémentaire vers la soumission totale.

Et la désobéissance civile est une réponse à mon sens mesurée, radicale, non violente et efficace, qui consiste juste à dire : « Nous n’attendons plus votre autorisation pour revivre comme avant, nous vous avons fait confiance une fois, deux fois, maintenant c’est fini ».

Breizh-info.com : La majorité des Français semble toutefois pour les mesures sanitaires strictes. N’est-ce pas finalement aller à l’encontre de la volonté populaire ?

Covid-1984 (Telegram) : Je me méfie des sondages d’opinion. Même s’il est probable qu’une grande partie de la population vive encore dans la peur du virus ou dans la volonté de rester sous la tutelle de Macron et Véran (ou, plus précisément, de Bill Gates et Klaus Schwab), je ne sais pas si c’est réellement la majorité.

Beaucoup de Français commencent quand même à comprendre l’entourloupe.

Mais même si c’est le cas, que cette majorité reste chez elle, vive avec un masque toute la journée, se badigeonne de gel hydroalcoolique, qu’elle aille se faire piquer et qu’elle nous lâche la grappe. Si une majorité de mes concitoyens est hypocondriaque et mue par la trouille, ce n’est pas pour cela qu’elle a raison et que les gens sains d’esprit doivent faire comme elle.

La masse ne comprend pas toujours ce qui se passe.

Et je me réfère toujours à José Antonio Primo de Rivera dans ces cas-là :

« La révolution est l’œuvre d’une minorité résolue, inaccessible au découragement, d’une minorité dont la masse ne comprend pas les premiers mouvements parce que, victime d’une période de décadence, elle a perdu cette chose précieuse qu’est la lumière intérieure. »

Terrible d’actualité, non ?

Breizh-info.com : Comment s’y retrouver dans le flot d’informations, y compris alternatives, concernant la question du Covid-19 ? Comment éviter les pièges sur lesquels les « chasseurs de complotistes » sont prêts à se jeter ?

Covid-1984 (Telegram) : Déjà, il faut arrêter de croire (et c’est un travers du système démocratique) qu’un avis en vaut un autre.

À mon sens, il faut écouter les avis divergents pour se forger le sien, mais il faut être attentif à deux critères :

  • Quel est le CV de la personne qui me parle
  • Quels sont ses intérêts (officiels ou plus masqués)

Je prends un exemple simple.

Le Dr Louis Fouché a fait 11 ans d’études de médecine, 3 ans de DEA d’Éthique de la médecine ; après avoir fait un an de philosophie. Il est médecin réanimateur. Son métier est de soigner et de sauver des gens, toute la journée.

Il est clinicien et a les mains dans le cambouis, si je puis dire.

Le Dr Jérôme Salomon, dont je vous parlais déjà tout à l’heure, a exercé 5 ans seulement comme médecin. Le reste de sa carrière, il l’a passé derrière un bureau à gérer de la paperasse. Il est Directeur général de la Santé, il est donc fonctionnaire de l’État.

Il a été nommé à ce poste par Agnès Buzyn (oui, celle-là même), femme de Yves Lévy, qui accompagnait Bernard Cazeneuve lors de la cérémonie d’inauguration et d’accréditation du laboratoire P4 de Wuhan en Chine (ce même laboratoire dont se serait échappé le fameux virus, décidément le monde est petit).

Alors à votre avis, lequel des deux à un point de vue pertinent, rationnel et objectif ?

Lequel des deux veut réellement le bien des malades, et lequel fait le sale boulot pour le gouvernement ?

On pourrait renouveler cent fois l’expérience, en comparant Raoult, Perronne, Toussaint, Bricaire, Toubiana, avec Laurent Alexandre (chef d’entreprise qui n’a jamais exercé comme médecin), Blachier (il n’a jamais exercé non plus et fait de la projection mathématique), et même Olivier Véran (12 ans de neurologie), qui début mars et dans un éclair de lucidité nous expliquait que c’était le confinement qui permettait la propagation des épidémies grippales.

Sans parler des conflits d’intérêts de certains praticiens avec les laboratoires pharmaceutiques. La plupart des informations sont officielles et trouvables facilement, c’est édifiant.

Pour ce qui est des « chasseurs de complotistes », je crois qu’il ne faut pas s’en soucier. Et le meilleur moyen d’échapper à leurs pièges est de savoir de quoi on parle, d’avoir des sources fiables, de toujours vérifier plusieurs fois les informations.
Et d’arrêter de vouloir toujours se justifier.

De toute façon, à la fin, si vous allez à l’encontre de la doxa officielle, vous serez taxés de complotisme.

Il faut voir ça comme un hommage du vice à la vertu, une médaille plus qu’une insulte. Je rappelle d’ailleurs à ce propos que toutes les « théories du complot » de 2020 se sont finalement avérées exactes.

Breizh-info.com : Comment expliquez-vous la faculté d’accepter d’être réduits au silence et à la mort économique d’une large partie des restaurateurs, des gérants de discothèque, de ce pays. La France est tout de même un pays traditionnellement et historiquement contestataire, et même violent non ?

Covid-1984 (Telegram) : Parce que pour le moment, la plupart touchent des aides de l’État qui leur permettent de survivre. Aides financées par nos impôts, ce qui est un poil agaçant, vous en conviendrez.

Les petits meurent et sont isolés (je crois que 300 discothèques ont déjà déposé le bilan, et ça va continuer), les moyens survivent grâce à ces aides (et à des emprunts qu’ils ne pourront jamais rembourser), et les gros ont des trésoreries (et des aides) qui leur permettent de tenir jusqu’au moment où ils pourront racheter les petits (et au pire, ils licencient à tour de bras, comme le font certains grands hôtels parisiens).

En Italie, ou dans d’autres pays, ces aides ne sont jamais venues ou ont mis 6 mois à être versées. Raison pour laquelle le peuple est descendu plus spontanément dans la rue.

Malheureusement, dans de nombreux cas, c’était plus pour quémander des sous au papa État que pour réellement s’en affranchir et renverser la table.

Est-ce que cela va durer ? Le peuple va-t-il se laisser martyriser encore longtemps sans broncher ? J’en doute. En tout cas, il faudra ne pas rater l’occasion que nous avons de changer le cours de l’Histoire.

Breizh-info.com : Le mot de la fin ?

Covid-1984 (Telegram) : Nous vivons notre pire cauchemar.

Je suis militant politique depuis 1993, et tout ce que nous dénonçons depuis des décennies se met en place sous nos yeux. Chacun doit en avoir conscience, et admettre cette terrible réalité : il est possible que les gens qui nous gouvernent ne nous veulent pas du bien.

Quand on a compris et intégré cette donnée, il est plus facile d’opérer une juste sécession mentale et organique, et d’aller de l’avant. Nous sommes tous devons un choix terrible, celui de faire partie du problème, ou de faire partie de la solution.

Ou en d’autres termes, et puisque ce monde ne nous laisse pas le choix, de rester esclaves ou de devenir des hors-la-loi (ou, à minima, des renards furtifs).

Il est l’heure les amis. Réveillons-nous, battons-nous, avec force, courage, humilité et endurance.

Je vous donne rendez-vous à la Victoire !

Propos recueillis par YV

Crédit photo : wikipedia (cc)
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




La gauche face à la guerre sanitaire

[Source : Les 7 du Québec]

De la crise pandémique à la guerre sanitaire

Il y a maintenant un an s’échappait opportunément un coronavirus de type SRAS-CoV-2 concocté dans un laboratoire militaire chinois à sécurité maximale (c’est du moins l’hypothèse admise dans les milieux de l’espionnage). Depuis, la communauté internationale, celle de gauche comme celle de droite, a eu largement le temps de faire son lit et d’élever la voix au milieu de ce qui est devenu la pire crise sanitaire, politique, juridique et économique des temps modernes. C’est du moins ce qu’en a fait la gestion incompétente de la plupart des gouvernements bourgeois et qui en sont aujourd’hui réduit à porter tous leurs espoirs vers des vaccins coûteux, inconnus, bricolés pressés, non validés et risqués.

En pleine cacophonie catastrophique mondiale, on se serait attendu à ce que la gauche, impatiente de s’emparer du pouvoir étatique totalitaire, profite de l’occasion pour tirer le tapis sous les pieds de la droite tétanisée. Au contraire, dans la plupart des pays du monde les gauches n’ont même pas protesté quand les exécutifs nationaux effrayés se sont octroyé des pouvoirs extraordinaires, réservés au temps de guerre, afin de forcer les peuples récalcitrants à rentrer dans le rang des confinements et pour briser toute résistance populaire aux restrictions arbitraires. Encore une fois, comme pour chaque grande guerre, le peuple se retrouve seul face à la confrérie des larbins politiciens de gauche et de droite.

Nous en convenons sans peine, comme le disaient Macron et d’autres leaders de la communauté internationale bancale: «Le monde est en guerre». Hier, c’était contre le terrorisme djihadiste patenté, aujourd’hui, c’est contre le terrorisme viral alambiqué. Ces deux menaces terroristes sont d’envergure mondiale. Mais cette dimension internationale n’est pas le facteur primordial du défi que ces menaces présentent pour les populations nationales. Nous y reviendrons.

La gauche, constatant l’amateurisme de la gestion pandémique confiée à des médecins au service de grandes entreprises pharmaceutiques – tout s’effrite en cette fin de règne capitaliste – la gauche disions-nous préconise de profiter de l’opportunité pour hausser la paralysie administrative de l’ordre national à l’ordre international. Tout le pouvoir à l’OMS, à Bill Gates, à George Soros et aux autres malfrats de la confrérie des milliardaires internationaux.(1)

Lisons plutôt:

«Les nouvelles variantes du virus, qui sont sur le point de gâcher les quelques avancées (sic) de ce qui est déjà une situation dramatique, sont le résultat direct de l’incapacité à apporter une réponse universelle à un problème universel. Le monde de la classe dirigeante avec ses instruments nationaux plus ou moins coordonnés, des systèmes de santé plus ou moins débordés et plus ou moins insuffisants, ne peut pas répondre à une pandémie de cette envergure mondiale. Selon nous, la principale leçon que le développement de l’épidémie laissera aux travailleurs est que les menaces globales auxquelles nous sommes confrontés en tant que classe sociale sont mondiales: le virus, comme la crise, ne connaît pas de frontières et ce qui se passe dans chaque pays affectera les autres pays. Il n’y a tout simplement pas de solutions nationales. Nous ne pouvons même pas nous attendre à une «coordination» internationale; les intérêts de chaque capitale nationale empêchent les classes dirigeantes d’apporter des solutions véritablement mondiales. Ils seront toujours incités à «attendre un peu plus longtemps», à nous pousser à «continuer avec la vie normale» d’abord et ensuite à invoquer «la responsabilité individuelle» tant qu’ils ne perdent pas leur situation concurrentielle.»(2)

Et l’organisation de gauche de conclure :

«C’est l’équivalent de mener des guerres en attendant patiemment qu’elles se terminent d’elles-mêmes. Il est temps d’appliquer dans le monde entier ce que nous avons déjà appris à un coût immense, de résister à la primauté des investissements et des profits sur les vies humaines et d’imposer le confinement total et la fermeture de toute activité non essentielle»(3).

Quelle filouterie démagogique, opposer ainsi les profits des ploutocrates à la vie des populations qui compterait plus que tout autre chose aux yeux des milliardaires cosmopolites et de leurs affidés de la gauche hypocrite. Que répondre devant tant de philanthropie obséquieuse? La gauche accrédite et supporte de la sorte la guerre sanitaire qu’une faction du grand capital mène contre une autre faction, retenant la population mondiale en otage de leur affrontement pour l’hégémonie…quoiqu’il en coûte… au peuple.

Que faut-il attendre de cette guerre sanitaire mondialisée?

Pour notre part nous n’y voyons qu’une hystérie politico-médicale alimentée par le monde pharmaceutique et les entreprises numériques (Big Pharma et Big Tech) qui y voit une opportunité en or de réaliser des fortunes avec de nouveaux médicaments, vaccins, et services en ligne aux dépens de leurs concurrents. Nous anticipons la faillite assurée pour des centaines de milliers de petites et moyennes entreprises et pour des milliers d’autoentrepreneurs créant des millions de chômeurs supplémentaires sur l’ensemble de la planète et particulièrement dans les pays pauvres du tiers monde. Déjà, en Inde et en Afrique, en France et au Canada les suicides de paysans endettés se comptent par milliers.  Enfin, nous voyons se profiler le renforcement de l’État bourgeois totalitaire préparant les conditions d’une 3e guerre mondialisée.(4)

Poursuivons l’énumération du coût social, économique et politique du confinement, du couvre-feu et des autres restrictions imaginés par les tortionnaires de l’État totalitaire.

Le coût économique et social du confinement rapporté à la mortalité effectivement observée est absolument dément, suicidaire et injustifiable.

Un principe de précaution poussé jusqu’à l’absurde dénué de toutes traces de rationalité. Abandonné cependant face à la diffusion de vaccins à ARN messager non validé.

Le système de santé français, ou Canadien, et de la plupart des pays n’est pas encore saturé, malgré les cris d’alarme des faiseurs de peurs. On crée des lits, on évacue vers des hôpitaux moins chargés. C’est un problème de logistique plus que de capacité absolue malgré les coupes budgétaires et les politiques d’austérité.

La surmortalité associée au non-confinement, toutes choses par ailleurs égales, semble toujours être de zéro (pas de « pertes de chance »).

La surmortalité associée au confinement des Ehpads et CHSLD, par contre, semble réel.

Les traumatismes et violences ménagères et sociales associées au confinement sont, elles aussi, bien réelles et dramatiques même si les élites n’en ont strictement rien à faire vu qu’elles ont les moyens, elles, de vivre un confinement confortable.

Les séquelles innombrables qui hanteront nos enfants enfermés, privés d’école et de fratries.

Le système des attestations à la con relève, ni plus ni moins, d’un racket policier.

En France comme au Canada le confinement s’inscrit dans une « loi » d’État d’urgence sanitaire qui relève d’un abus de pouvoir inacceptable et dangereux, ce que le pénaliste Raphaël Kempf nomme une «loi scélérate» (5). De même pour tous les pays qui ont produit chacun leur propre «Patriot Act sanitaire».  
https://les7duquebec.net/archives/261671

La gauche confinée et déconnectée d’avec la réalité du prolétariat opprimé

La 3e guerre mondiale est en marche et je ne crois pas que les masses populaires devraient se mettre à la traîne de la petite bourgeoisie réformiste ou gauchiste.

Il a un siècle que la gauche maintient le prolétariat en laisse avec la promesse que des réformes amélioreront les conditions de vie et de travail, et qu’elles contribueront à hausser la conscience politique des travailleurs, alors qu’en réalité, les réformes sont toujours des mesures visant à consolider l’esclavage salarié. Ces réformes sont moussées par les larbins de la gauche qui une fois au pouvoir font la politique des capitalistes.

La trahison n’est pas le fait de ces larbins politiciens de gauche ou de droite…ceux-là servent leurs maîtres. La trahison commence le jour où  un militant de gauche proclame que les chefs de la gauche offrent une alternative prolétarienne par des réformes politiques et économiques souhaitées par le capital.  La gauche se compromet ainsi à soutenir les manigances du capital et elle en subit aujourd’hui les conséquences. Qu’y a-t-il d’étonnant à ce que le prolétariat fuit toutes les sectes de gauche et toutes les factions de droite ? Le prolétariat a retiré toute crédibilité à tous les larbins politiciens de gauche comme à ceux de droite manifestant ainsi sa conscience de classe.

C’est dans la lutte – classe contre classe – que la conscience de classe s’aiguise. Le mouvement de Résistance populaire à la guerre sanitaire qu’on nous impose indique le chemin à suivre d’Amsterdam à Atlanta en passant par Paris et Montréal. 

https://les7duquebec.net/archives/261626


Notes

  1. Louis Fouché. La corruption de la médecine. https://www.facebook.com/100028301435413/posts/757230411897000/?sfnsn=scwspmo
  2. https://en.communia.blog/covid-mutations-and-the-inability-of-the-system-to-respond-to-a-pandemic/
  3. https://en.communia.blog/covid-mutations-and-the-inability-of-the -system-to-respond-to-a-pandemic/
  4. La 3e guerre mondiale est là : https://les7duquebec.net/archives/261662
  5. https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/03/24/raphael-kempf-il-faut-denoncer-l-etat-d-urgence-sanitaire-pour-ce-qu-il-est-une-loi-scelerate_6034279_3232.html
  6. Stop de lockdown (Pays-Bas) : https://les7duquebec.net/archives/261626



Après les tests PCR, le principe du confinement condamné par la justice

[Source : FranceSoir]

Un tribunal allemand déclare le confinement régional INCONSTITUTIONNEL, décision politiquement majeure

Auteur(s): Nicole Delépine pour FranceSoir

Tribune : Un tribunal allemand déclare le confinement régional INCONSTITUTIONNEL, décision politiquement majeure[1]

Weimar sera-t-elle à nouveau le lieu de révolutions juridiques comme au temps où fut élaborée, après la première guerre mondiale, la constitution mettant fin à l’empire.[2] En tous cas le jugement qui déclare inconstitutionnel le confinement fait grand bruit en Allemagne et donne lieu à plusieurs articles. Espérons qu’il réveillera aussi les consciences françaises, leur donnant le courage d’attaquer en justice ces mesures liberticides et injustifiées inspirées par l’OMS qui guide nos gouvernements[3] et leur promet des aides financières via le FMI comme le président de Biélorussie l’a clairement exposé.[4]

Le jugement de Weimar considéré comme majeur

Les règles de distanciation sociale imposées par le gouvernement de Thuringe sont jugées incompatibles avec la Constitution du pays. Grâce à l’analyse médico-légale des données officielles, le jugement affirme que la situation épidémique utilisée pour justifier la loi n’existe pas. L’avocat Reiner Fuellmich qui a initié les premières plaintes et procédures allemandes et américaines commente ainsi[5] :

« Nous considérons ce jugement comme extraordinaire et d’une importance fondamentale. Il est transférable à toutes les violations des mesures Covid19. Il est également transférable au Confinement actuel renouvelé et à toutes les réglementations liées au coronavirus en vigueur. Parce que les “nombres de cas” diminuent, tout comme les patients des unités de soins intensifs ! Le juge le confirme avec une excellente démonstration. »

Récit

 A l’occasion d’un jugement d’un homme ayant selon l’accusation « violé » (voilà un bien grand mot), le confinement strict imposé par le gouvernement de l’État central de Thuringe au printemps dernier, la légalité des mesures imposées en Allemagne pour juguler une épidémie de gravité discutable revient à la une. Ceci est d’autant plus intéressant que certains pays dont le nôtre parle de reconfinement alors que l’épidémie stagne ou diminue, qu’il existe des traitements précoces efficaces et que l’écrasante majorité des hôpitaux ne sont pas pleins contrairement à ce que nos autorités annoncent ci et là.

Les faits

Ce monsieur avait célébré un anniversaire avec ses sept[6] amis. Le 24.04.2020, l’intéressé se trouvait dans la soirée avec au moins sept autres personnes dans l’arrière-cour de la maison X-Straße 1 à W. pour célébrer l’anniversaire de l’un des participants. Les huit participants au total se répartissaient entre sept ménages différents. Or le séjour dans l’espace public n’est autorisé que seul, dans le cercle des membres de son propre foyer et, en outre, au maximum avec une autre personne non-domestique » selon le règlement local.

 Le juge de Weimar a condamné une restriction limitant les rassemblements privés aux membres d’un même foyer et à une personne extérieure à celui-ci, règlement que n’avait pas respecté l’accusé. Le juge a déclaré que le gouvernement régional lui-même avait violé la « dignité humaine inviolablement garantie » garantie par l’article 1 de la loi fondamentale allemande en imposant de telles restrictions.

L’accusé a été acquitté et dispensé de la nécessité de payer une amende de 200 euros (243 dollars).

Aucune raison suffisante au confinement

 Selon le tribunal, le gouvernement n’avait pas de motifs suffisants pour imposer ces restrictions puisqu’il n’y avait pas de « situation épidémique d’importance nationale » à l’époque et que le système de santé ne risquait pas de s’effondrer, l’Institut Robert Koch ayant signalé que le coefficient de multiplication de Covid-19 était alors tombé en dessous de 1.

À aucun moment, il n’y a danger concret que le service de santé soit submergé par une « vague » de patients atteints de COVID-19. Selon le registre établi le 17 mars 2020, une moyenne d’au moins 40% de lits de soins intensifs en Allemagne étaient disponibles en permanence. En Thuringe, 378 lits ont été enregistrés occupés le 3 avril, dont 36 chez   des patients covid-19. Pendant ce temps, il y avait 417 lits vacants. Le 16 avril, deux jours avant la publication du règlement, 501 lits ont été enregistrés occupés, 56 covid-19, et 528 lits étaient vacants… La Thuringe a enregistré son plus grand nombre de patients covid-19 notifiés au printemps à 63 (le 28 avril). Ainsi, à aucun moment le nombre de patients atteints de COVID-19 n’a atteint un niveau qui aurait pu justifier les craintes d’un débordement du système de santé.

Cette estimation des dangers réels du COVID-19 au printemps 2020 est confirmée par une évaluation des données de 421 cliniques appartenant à l’Initiative Qualitätsmedizin, qui a constaté que le nombre de cas d’infections respiratoires aiguës ( IRA sévère)  hospitalisées en Allemagne au premier semestre 2020 était de 187 174 – inférieur au chiffre du premier semestre 2019 (221 841 cas) , même si ce chiffre incluait les cas d’IRA causés par covid. La même analyse a montré que le nombre de cas en soins intensifs était inférieur au premier semestre 2020 à celui de 2019…

Le juge a également déclaré que le gouvernement régional n’avait pas le droit d’introduire des mesures d’une telle portée puisqu’il appartenait au législateur de le faire (du parlement et non aux juridictions de district).

Le tribunal de Weimar a affirmé que le confinement printanier de la Thuringe était une « décision politique catastrophiquement erronée, avec des conséquences dramatiques pour presque tous les domaines de la vie des gens ».[7]

Situation sanitaire et confinement : décision disproportionnée

Le confinement imposé en Thuringe représente « les restrictions les plus complètes et les plus profondes des droits fondamentaux dans l’histoire de la République fédérale », a déclaré le tribunal, qualifiant ces mesures d’attaque « disproportionnée » contre les « fondements de notre société  ».

Conséquences d’une ordonnance régionale

La décision n’est pas juridiquement contraignante en dehors de Weimar, bien que chaque tribunal allemand puisse rendre un jugement sur la constitutionnalité des ordonnances émises par toute autorité autre que le Bundestag, parlement fédéral ou un parlement régional.  Sauf loi votée, chaque tribunal peut contredire les règlements s’ils paraissent injustifiés

Retentissement du jugement de Weimar parmi certains fonctionnaires et médias locaux

Comme les autres pays soumis au conseil sanitaire international de l’OMS, les mesures de confinement sont régulièrement re-imposées, et clairement sans aucun lien avec la virulence de l’épidémie variable selon les régions, mais suivant  fidèlement le schéma de Ferguson qui a prévu en mars 2020 (rapport 9) la succession de six confinements, afin de pouvoir passer à la grande réinitialisation prévue par le forum économique et mondial de Davos (lire le précis de Klaus Schwab disponible sur internet du même nom). Cette crise est purement politique avec un prétexte sanitaire.

L’Allemagne applique à nouveau un confinement strict assez similaire à celui qui a été imposé par le gouvernement fédéral en novembre et qui a été étendu et renforcé à plusieurs reprises depuis lors[8]. Le cabinet de la chancelière Angela Merkel a prolongé les restrictions jusqu’à la mi-février.

Appel de la région contre le jugement du tribunal de Weimar

Le ministère public régional de Thuringe a déposé une plainte contre la décision de justice, demandant qu’elle soit réexaminée et éventuellement annulée, l’affaire étant confiée à un autre juge. Le jugement doit être « révisé pour développer la loi et assurer une juridiction unifiée » en ce qui concerne le confinement et sa violation, selon un porte-parole du bureau du procureur, Hannes Gruenseisen, aux médias locaux.

Le confinement passe mal en Allemagne, d’autant que le pays a beaucoup mieux résisté que la France à l’épidémie probablement en raison du traitement précoce et discret des malades par l’hydroxychloroquine, antibiotiques et vitamines etc., dès le début, un isolement des malades, et souffre en conséquence[9] un plus faible taux de mortalité (622/million au 26/1, d’après l’OMS. La France au contraire a interdit les traitements précoces et pratiqué un confinement dit aveugle car mélangeant malades et bien portants conduisant à une explosion de la mortalité directe (1113/M) et indirecte par défaut de soins et autres complications du confinement.

L’Allemagne a connu à plusieurs reprises des manifestations contre cette mesure dans différentes villes au cours de l’automne et de l’hiver 2020. À un moment donné, les manifestants ont même comparé leur lutte à la résistance anti-nazie, ce qui n’a pas plus au ministre allemand des affaires étrangères Heiko Maas.

Justification de l’annulation de l’accusation

L’intéressé a dû être acquitté pour des raisons juridiques parce que les articles lesquels se basaient l’accusation sont inconstitutionnels et donc annulés.[10]

Le tribunal a décidé lui-même de la constitutionnalité des normes, car l’obligation de soumission selon la jurisprudence constante de la Cour constitutionnelle fédérale  s’applique uniquement aux lois officielles fédérales et des États, mais pas aux ordonnances statutaires de district.

« Le jugement est puissant[11] :

Le juge a conclu qu’il n’y avait pas de « lacunes inacceptables en matière de protection » qui auraient pu justifier le recours à des règlements généraux.  Ces mesures « violent la dignité humaine garantie inviolable » à l’article 1, paragraphe 1 de la Constitution fédérale. »

Accusation dévastatrice contre le gouvernement fédéral.

 Il est frappant de constater à quel point le juge Weimar a conclu froidement cette discussion de plusieurs mois :  l’interdiction générale des contacts est une intervention sévère en matière de droits civiques. Il fait partie des libertés fondamentales de l’individu dans une société libre de déterminer par lui-même avec qui (sur présomption de consentement) et dans quelles circonstances il ou elle entrera en contact.

La rencontre libre entre les gens à toutes fins imaginables est aussi une base fondamentale pour la société.

L’obligation de l’État en l’espèce est catégoriquement de s’abstenir de toute intervention qui réglemente et limite délibérément cette mesure. Les questions du nombre de personnes qu’un citoyen peut inviter à son domicile ou du nombre de personnes qu’un citoyen peut rencontrer dans un lieu public pour se promener, faire du sport, faire des courses ou s’asseoir sur un banc de parc n’ont absolument aucun intérêt légitime pour l’État.

En imposant une interdiction générale du contact, l’État – bien qu’avec de bonnes intentions – attaque les fondements de la société en imposant une distance physique entre les citoyens (« distanciation sociale »).

 Personne, même en janvier 2020, n’aurait pu imaginer, en Allemagne, être empêché par l’Etat sous peine d’une amende d’inviter ses parents chez eux sans bannir d’autres membres de leur famille de la maison, le temps qu’ils étaient là. Personne n’aurait pu imaginer qu’il soit interdit de s’asseoir avec trois amis sur un banc de parc. Jamais auparavant, en Allemagne, l’État n’avait eu l’idée d’imposer de telles mesures pour contrer une épidémie.

Même l’analyse des risques en 2013

« Pandémie causée par le virus de type SRAS » (publication du Bundestag 17/12051), qui décrivait un scénario de 7,5 millions de morts en 3 ans, ne considère pas d’interdiction générale des contacts (ou d’interdiction de quitter le domicile ou de suspension générale de la vie publique). Outre la quarantaine et l’isolement des personnes infectées, les seules mesures anti-épidémies dont il parle sont la fermeture d’écoles, l’annulation d’événements de masse et la question des recommandations d’hygiène »

(BT 17/12051, p. 61f).

« Bien qu’il semble qu’un changement de valeurs ait eu lieu au cours des mois de la crise de Covid, avec pour conséquence que beaucoup de gens trouvent des procédures  autrefois considérées comme absolument exceptionnelles plus ou moins « normales » – ce qui, bien sûr, modifie également les perspectives sur la Constitution – il ne fait aucun doute qu’en imposant une interdiction générale des contacts, le parlement  démocratique a brisé ce qui était auparavant considéré comme un tabou évident. »

« Il convient également de noter – comme un aspect digne d’une attention particulière – que l’État, en imposant son interdiction générale des contacts dans le but de se protéger contre l’infection, traite chaque citoyen comme une menace potentielle pour la santé de tiers. Si chaque citoyen est considéré comme une menace dont les autres doivent être protégés, ce citoyen est également privé de la possibilité de décider quels risques prendre – qui est une liberté fondamentale. »

Le choix d’un citoyen de visiter un café ou un bar le soir et de courir le risque d’une infection respiratoire au nom de l’interaction sociale et du plaisir dans la vie, ou de faire preuve de prudence parce qu’il a un système immunitaire affaibli et préfère donc rester à la maison, est supprimé en vertu des dispositions d’une interdiction générale des contacts. »

Le rapport détaille ensuite l’examen par le juge des dommages collatéraux causés par le confinement

  • Les baisses de bénéfices, les pertes subies par les entreprises, les commerçants et les professionnels indépendants comme conséquences directes des restrictions imposées à leurs libertés. Pertes pour les fournisseurs d’entreprises directement touchées ; pertes résultant de la rupture des chaînes d’approvisionnement entraînant des arrêts de production ; pertes résultant de restrictions de voyage.
  • Pertes salariales dues à des heures réduites ou au chômage
  • Faillites et destruction des moyens de subsistance et coûts conséquents des faillites et destruction des moyens de subsistance ».

Pour Berlin, l’administration sénatoriale a rapporté une augmentation de 23 % des mauvais traitements infligés aux enfants pour le premier semestre 2020[12].

 Selon une enquête représentative (Steinert/Ebert), pendant la période de confinement  au printemps, environ 3 pour cent des femmes en Allemagne ont été victimes de violences physiques à domicile, 3,6 pour cent ont été violées par leur partenaire, et dans 6,5 pour cent de tous les foyers les enfants ont été sévèrement punis.

Le nombre de suicides enregistrés statistiquement en Allemagne n’est pas encore disponible pour 2020, mais l’administration sénatoriale de Berlin a fait état d’une augmentation potentiellement significative du nombre de suicides.

Lors du confinement du printemps, plus de 908.000 opérations ont été annulées en Allemagne, non seulement d’opérations dites non urgentes, telles que l’implantation de prothèses de l’articulation du genou et de la hanche, de l’arthroscopie du genou, des chirurgies de la cataracte, etc., mais aussi de 52 000 opérations contre le cancer.[13]

Selon une méta-analyse publiée (British Medical Journal) en novembre[14]  ce retard augmente déjà le risque de décès de 6 à 13 % selon le type de cancer, un report de huit semaines pour le cancer du sein de 13 pour cent, un report de douze semaines de 26 pour cent. Sans pouvoir chiffrer plus en détail, il ne fait aucun doute que l’annulation des opérations a également entraîné des décès en Allemagne.

Une étude menée par la Clinique du Haut-Rhin Waldshut-Tiengen[15] a examiné la surmortalité dans le district de Waldshut (170.000 habitants) en avril 2020. En moyenne, 165 personnes y sont mortes entre 2016 et 2019 en avril, contre 227 en 2020, soit une surmortalité de 37 %. Sur les 62 décès supplémentaires, 34 seulement ont pu être associés au covid19, 28, soit 45% de la surmortalité sont dus à d’autres causes de décès. Les auteurs de l’étude attribuent ces cas à la réduction de l’utilisation des structures médicales d’urgence. Deux fois plus de personnes ont été retrouvées mortes chez elles que la moyenne comparative.  Ces chiffres indiquent que des décès sont dus à une sous-utilisation ou à un retard dans l’utilisation des soins de santé.

Des dommages à court moyen et long terme ont été pointés par le tribunal

  • (1) Perte de scolarité, d’enseignement et atteinte au développement psychosocial des enfants en raison de l’échec ou des restrictions de l’enseignement scolaire ou de la fermeture d’autres établissements d’enseignement
  • (2) Perte de suggestions culturelles ou d’expériences dues à la fermeture de théâtres, de salles de concert ou d’opéra et de nombreuses autres institutions culturelles
  • (3) Perte de possibilités d’épanouissement artistique par des interdictions qui interdisent la musique commune dans les orchestres ou les chœurs.
  • (4) perte d’expériences communautaires/de cohabitation sociale personnelle en interdisant les réunions dans les associations, manifestations, rassemblements, en fermant les bars, etc.
  • (5) Réduction de possibilités de développement social pour les enfants en fermant les écoles maternelles
  • (6) Isolement des enfants dans des logements sans contact avec d’autres enfants en fermant des écoles, des jardins d’enfants et des aires de jeux

Le rapport du jugement souligne que l’école n’est pas seulement un lieu de transmission des connaissances, mais un lieu d’apprentissage social. Les fermetures d’écoles suppriment pratiquement totalement l’apprentissage social et défavorisent l’intégration des enfants et des jeunes.

L’enseignement par les parents est difficile particulièrement dans certains milieux défavorisés. La fracture sociale est donc renforcée. L’apprentissage de l’allemand chez les enfants de familles migrantes est également gravement perturbé. « La connaissance de  l’ allemand ? Catastrophique pour un tiers des élèves[16].

Conséquences économiques du confinement

 Selon le jugement de Weimar, on note

  • (1) Aides apportées par l’État fédéral et les Länder aux agents économiques
  • (2) Pertes fiscales dues à la limitation de l’activité économique due au confinement
  • (3) Allocations de chômage partiel et allocations de chômage qui ont dû être versées à la suite du confinement
  • (4) Aide sociale aux personnes dépendantes de l’aide sociale

Le « bouclier coronavirus », un paquet législatif adopté le 27.03.2020, en Allemagne  représentait à lui seul 1,173 milliards d’euros (353,3 milliards d’euros d’aide, 819,7 milliards d’euros de garanties). Les derniers budgets fédéraux étaient de 356,4 milliards d’euros (2019) et de 346,6 milliards d’euros (2018). Même si les garanties fournies ne sont pas en soi « perdues », les charges globales devraient atteindre le niveau global de plusieurs budgets fédéraux

Dommages sanitaires et économiques dans les pays du Sud secondaires aux confinements des pays riches occidentaux

 Les dommages collatéraux déjà survenus ou à prévoir sont énormes. Les raisons en sont l’interruption des programmes de lutte contre la tuberculose, des programmes de vaccination contre les maladies infantiles, les interruptions de l’approvisionnement alimentaire due à l’effondrement des chaînes d’approvisionnement, etc..

L’ONU prévoit la famine de plus de 10 000 enfants par mois pendant la première année de pandémie (plus de 10 000 enfants meurent de faim chaque mois à cause du covid19[17]

Rien qu’en Afrique, selon le ministre fédéral du Développement, M. Müller, 400.000 victimes supplémentaires sont attendues à cause du paludisme et du VIH et un demi-million de morts de tuberculose à la suite du confinement (plus de victimes par confinement que par le virus : en Afrique, les crises ont été considérablement aggravées. Selon un article de John Ioannidis [18] 1,4 million de décès supplémentaires de la tuberculose devraient même être à craindre au cours des cinq prochaines années.

À long terme, les mesures de surmortalité liées au confinement seront probablement nettement plus importantes que le nombre de morts de la COVID 19.

Étant donné que la politique de confinement en Thuringe fait partie d’une politique générale de la quasi-totalité des pays industrialisés occidentaux, ces dommages sont la conséquence indirecte également imputable au prorata et sont donc en principe liés à l’examen de proportionnalité.

Pour cette seule raison, les normes à évaluer ici ne répondent pas à l’exigence de proportionnalité. À cela s’ajoutent les restrictions directes et indirectes à la liberté, les dommages financiers gigantesques, les dommages immenses pour la santé et les dommages spirituels.

Le mot « disproportionné » est trop incolore pour indiquer les dimensions de ce qui s’est passé. La politique de confinement mise en œuvre par le gouvernement du Land au printemps (et aujourd’hui à nouveau), dont l’interdiction générale des contacts était (et reste) essentielle, est une « erreur politique catastrophique, avec des conséquences dramatiques pour presque tous les secteurs de la vie humaine, pour la société, pour l’État et pour les pays du Sud du monde entier ».

Constitutionnalité des normes

Dans le cas d’ordonnances légales qui n’ont pas été adoptées par le Bundestag ou un parlement régional, chaque tribunal est autorisé à décider lui-même de leur constitutionnalité.  Les articles cités[19] par l’accusation ne sont pas constitutionnels, car ils ne reposent pas sur une loi votée au parlement.

Ils sont inconstitutionnels pour des raisons formelles, car les dispositions qui empiètent profondément sur les droits fondamentaux ne sont pas couvertes par la base légale d’habilitation dans la loi sur la protection contre les infections.

Le législateur doit prendre lui-même toutes les décisions essentielles dans des domaines normatifs fondamentaux, en particulier dans le domaine de l’exercice des droits fondamentaux – dans la mesure où cette réglementation étatique est accessible – et ne doit pas les déléguer à l’exécutif régional.

Plus les règlements juridiques essentiels ou les autres actes de l’exécutif interfèrent avec les droits fondamentaux, plus les dispositions de la loi d’exécution doivent être précises.

Atteinte à la dignité humaine 

Ainsi en ce qui concerne l’isolement et interdiction de contact avec les personnes extérieures à la famille, Une interdiction générale de contact pose -au moins – la question de l’atteinte de la garantie de la dignité humaine.

 Ici l’interdiction pose problème car elle constitue une atteinte grave à la liberté d’action générale et aussi à la liberté de réunion, d’association, de religion, de profession et d’art, non seulement parce qu’elle s’adresse à tous les citoyens, indépendamment de la question de savoir s’ils sont ou non des suspects de maladie ou de contamination. 

En interdisant à tous les citoyens de se réunir avec plus d’une personne extérieure au ménage, en l’interdisant non seulement à l’espace public, mais aussi aux libertés dans le noyau familial, l’interdiction générale des contacts entraîne inévitablement d’autres restrictions aux droits fondamentaux.

 La loi fédérale dispose que si des personnes suspectes de maladie, contamination d’une maladie transmissible ont été identifiés, la restriction ne peut être prise que « dans la mesure nécessaire à la prévention de la propagation de la maladie », ce dernier n’étant rien de plus qu’une référence explicite au principe de proportionnalité déjà en vigueur.

Il ne s’agit là que de conditions minimales absolues. La loi ne peut porter que des mesures individuelles, telles que la fermeture de stations balnéaires (individuelles) et non une interdiction générale de contact.

Dans la mesure où une interdiction générale de contact peut être conforme à la Constitution, il faudrait au moins exiger une réglementation précise des conditions d’organisation afin de concrétiser précisément la situation de danger nécessaire, mais des dispositions concrètes seraient également nécessaires du point de vue des conséquences juridiques.

Le principe de l’État de droit est l’impératif de précision dans la législation. Les lois ne peuvent pas simplement imposer des règlements généraux, ce qui donnerait aux autorités la licence d’agir selon des caprices, ce qui équivaudrait à une règle arbitraire.

Selon la Loi fédérale sur la protection contre les infections (API), les « autorités compétentes » doivent imposer « les mesures de sécurité requises ». En temps normal, cela signifie que les épandeurs ou les personnes soupçonnées de propager une infection peuvent être placées des zones isolées ou contaminées fermées.

Plus un acte juridique de l’exécutif intervient dans les droits fondamentaux, plus les règlements de la loi d’habilitation doivent être PRECIS.

Les mesures à forte intensité d’intervention qui, en soi, nécessitent un régime spécifique, ne peuvent être autorisées que dans le cadre de « développements imprévus » en utilisant des clauses générales, cette condition n’est pas remplie en l’état.

Confinement local responsable au prorata des conséquences dans les pays industrialisés,  liés à l’examen de proportionnalité.

« Il ne fait aucun doute que le nombre de décès imputables aux mesures de la politique de confinement dépasse de plusieurs fois le nombre de décès évités par celui-ci. Pour cette seule raison, les normes à évaluer ici ne répondent pas à l’exigence de proportionnalité. À cela s’ajoutent les restrictions directes et indirectes à la liberté, les dommages financiers gigantesques, les dommages immenses pour la santé et les dommages spirituels ».

Le mot « disproportionné » est trop incolore pour indiquer les dimensions de ce qui s’est passé.


[Notes]

[1] Un tribunal allemand déclare le confinement régional INCONSTITUTIONNEL dans une décision «politiquement explosive» (exoportail.com).

[2] Nom donné au régime de l’Allemagne après la Première Guerre mondiale (1919-1933). Née de l’effondrement du régime impérial, la première république allemande, proclamée par le social-démocrate Scheidemann à Berlin, le 9 novembre 1918, ne prend forme qu’après l’écrasement de la révolution spartakiste (novembre 1918-janvier 1919). Elle tire son nom de la ville où se réunit en février 1919 une Assemblée nationale dominée par les sociaux-démocrates et les modérés, dont les travaux aboutissent à la promulgation (août 1919) d’une Constitution qui fait de l’Allemagne un État fédéral, le Reich, composé de 17 États (Länder) autonomes, eux-mêmes représentés au Reichsrat. Encyclopédie Larousse en ligne – République de Weimar.

[3] Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France (francesoir.fr).

[4] 950 Millions d’euros lui furent promis s’il confinait son pays. Il a dit non et raconté que d’autres pays avaient refusé mais soupçonnait que les plus obéissants avaient cédé au mirage de l’argent facile.

[5] Tribunal d’instance Weimar 6 OWi-523 Js 202518/20 : Free Download, Borrow, Streaming : Internet Archive https://archive.org/details/tribunal-dinstance-weimar-6-owi-523-js-202518-20 via @internetarchive.

[6] pas une rave partie à 2000 qui au passage n’a d’ailleurs pas entrainé aucune vague de malades du Covid, ni même de poussée de contaminations, ni le moindre cluster.

[7] Tribunal d’instance Weimar, jugement du 11.01.2021 – 6 OWi-523 Js 202518/20 from Éditions Dédicaces https://www.rt.com/news/513443-german-court-covid-unconstitutional/ et https://openjur.de/u/2316798.html.

[8] Néanmoins toujours moins rigide qu’en France.

[9] Nous n’en avons eu confirmation que très tardivement.

[10] Le tribunal a décidé lui-même de la constitutionnalité des normes, car l’obligation de soumission selon l’article 100 Abs.1 GG selon la jurisprudence constante de la Cour constitutionnelle fédérale (BVerfG, arrêts du 20 mars 1952, 1 BvL 12/51, 1 BvL 15/51, 1 BvL 16/51, 1 BvL 24/51, 1 BvL 28/51) s’applique uniquement aux lois officielles fédérales et des États, mais pas aux ordonnances statutaires.

[11] 2020 news traduction de Northumbrian Nomad.

[12] Le niveau journalier du 02.07.2020, https://www.tagesspiegel.de/berlin/corona-krise-trifft-frauen-und-kinder-besonders-gewalt-eskaliert-in-berlin-immer-haeufiger/25970410.html).

[13] https://www.welt.de/wirtschaft/article208557665/Wegen-Corona-In-Deutschland-wurden-908-000-OPs-aufgeschoben.html).

[14] Hanna, Mortality due to cancer treatment delay: systematic review and meta-analysis, BMJ 2020, 371, https://www.bmj.com/content/371/bmj.m4087).

[15] (Kortüm, Corona-Independent Excess Mortality Due to Reduced Use of Emergency Medical Care in the Corona Pandemic: A Population-Based Observational Study, https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.27.20220558v1)

[16] ». MONDE du 11.01.2021, https://www.welt.de/politik/deutschland/plus224000152/Geschlossene-Schulen-Was-das-fuer-Kinder-in-sozialen-Brennpunkten-bedeutet.html),

[17] https://rp-online.de/panorama/coronavirus/mehr-als-10000-kinder-verhungern-jeden-monat-krise-durch-corona-verschaerft_aid-52446949).

[18] Global perspective of COVID-19 epidemiology for a full-cycle pandemic, https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/eci.13423),

[19] III.L’article 2, paragraphe 1, et l’article 3, paragraphe 3, paragraphe 1, 3. ThürSARS-CoV-2-EindmaßnVO

Auteur(s): Nicole Delépine pour FranceSoir