Mesdames et messieurs les médecins injecteurs d’enfants vous êtes hors-la-loi ! Mais n’avez-vous pas honte d’avoir piétiné toute déontologie ? Enquête sur un meurtre organisé…

Par Alain Tortosa

Mesdames et messieurs les médecins injecteurs d’enfants vous êtes hors-la-loi !
Mais n’avez-vous pas honte d’avoir piétiné toute déontologie ?
Enquête sur un meurtre organisé…

Déontologie, le patient d’abord !

En France et selon les textes en vigueur, l’individu passe avant la collectivité.

La vaccination des adultes ou des enfants en bonne santé ne peut se justifier au seul bénéfice de la collectivité.

« L’intérêt et le bien de l’être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science(([1] Décret n° 2012-855 du 5 juillet 2012 portant publication de la convention pour la protection des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : convention sur les droits de l’homme et la biomédecine, signée à Oviedo le 4 avril 1997
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000026151968))»

« Le médecin, au service de l’individu et de la santé publique, exerce sa mission dans le respect de la vie humaine, de la personne et de sa dignité.(([2] Article 32 (article R.4127-32 du code de la santé publique)
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006912860/))»

« Avec ses connaissances et son expérience (article 70), il lui revient >d’évaluer le rapport bénéfices/risques, de peser les enjeux, d’apprécier les risques que fait courir la maladie et, en regard, ceux de l’intervention possible et qu’il va proposer au patient.(([3] https://www.ordre-medecins-paca.fr/fr/documentation-crom-paca/commentaires-code-deontologie/theme-3-devoirs-envers-les-patients-art-32-a-55-))»

« Je considérerai la santé et le bien-être de mon patient comme ma priorité… Je n’utiliserai pas mes connaissances médicales pour enfreindre les droits humains et les libertés civiques, même sous la contrainte(([4] La déclaration de Genève également intitulée Serment du médecin figure en annexe du code de déontologie médicale.
https://www.conseil-national.medecin.fr/medecin/devoirs-droits/serment-dhippocrate#sommaire-id-1))»

« Le médecin s’engage à donner la priorité aux intérêts de santé du malade. Le médecin utilise ses connaissances professionnelles pour améliorer ou maintenir la santé de ceux qui se confient à lui, à leur demande ; en aucun cas il ne peut agir à leur détriment. Le médecin n’a pas à satisfaire des demandes de soin qu’il n’approuve pas.(([5] Charte Européenne d’Éthique Médicale
http://www.ceom-ecmo.eu/charte-europeenne-dethique-medicale-647))»

«La santé de mon patient prévaudra sur toutes les autres considérations. Un médecin doit agir dans le meilleur intérêt du patient lorsqu’il le soigne. Les médecins qui associent la recherche médicale à des soins médicaux devraient impliquer leurs patients dans une recherche uniquement dans la mesure où elle se justifie par sa valeur potentielle en matière de prévention, de diagnostic ou de traitement et si les médecins ont de bonnes raisons de penser que la participation à la recherche ne portera pas atteinte à la santé des patients concernés. Toute recherche médicale impliquant des êtres humains doit préalablement faire l’objet d’une évaluation soigneuse des risques et des inconvénients prévisibles pour les personnes et les groupes impliqués, par rapport aux bénéfices prévisibles pour eux et les autres personnes ou groupes affectés par la pathologie étudiée. Aucune personne capable de donner un consentement éclairé ne peut être impliquée dans une recherche sans avoir donné son consentement libre et éclair.(([6] Déclaration d’Helsinki de L’AMM — Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains.
https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/))»

« L’exercice de la médecine est personnel (article 69). Le médecin qui a accepté de soigner un patient agit en toute indépendance et engage sa responsabilité personnelle.(([7] Article 32 — Qualité des soins
https://www.ordre-medecins-paca.fr/fr/documentation-crom-paca/commentaires-code-deontologie/theme-3-devoirs-envers-les-patients-art-32-a-55-))»

« Le médecin doit s’interdire, dans les investigations et interventions qu’il pratique comme dans les thérapeutiques qu’il prescrit, de faire courir au patient un risque injustifié.(([8] R.4127-40 — Code de la santé publique.
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006912903/))»

« Article 35 (article R.4127-35 du code de la santé publique)
Le médecin doit à la personne qu’il examine, qu’il soigne ou qu’il conseille, une information loyale, claire et appropriée sur son état, les investigations et les soins qu’il lui propose. Tout au long de la maladie, il tient compte de la personnalité du patient dans ses explications et veille à leur compréhension. »

« Le devoir d’information du patient a toujours été reconnu et, à défaut du code, la jurisprudence de la Cour de Cassation l’avait formulé, admettant qu’il découlait implicitement, mais nécessairement, de l’obligation — posée désormais à l’article 36 suivant — d’obtenir du patient, préalablement à toute intervention ou traitement, son consentement. »

« Toute personne a le droit d’être informée sur son état de santé. Cette information porte sur les différentes investigations, traitements ou actions de prévention qui sont proposés, leur utilité, leur urgence éventuelle, leurs conséquences, les risques fréquents ou graves normalement prévisibles qu’ils comportent ainsi que sur les autres solutions possibles et sur les conséquences prévisibles en cas de refus… Cette information incombe à tout professionnel de santé dans le cadre de ses compétences et dans le respect des règles professionnelles qui lui sont applicables. Cette information est délivrée au cours d’un entretien individuel(([9] https://www.ordre-medecins-paca.fr/fr/documentation-crom-paca/commentaires-code-deontologie/theme-3-devoirs-envers-les-patients-art-32-a-55-))».

Le Covid n’est PAS une maladie infantile !

« Ce qui est rassurant, c’est que tout converge vers la même conclusion : le Covid-19 n’est définitivement pas une maladie pédiatrique. Les enfants ne s’infectent que très peu, et lorsque cela leur arrive, ils sont dans l’immense majorité des cas atteints par des formes bénignes, voire asymptomatiques, de la maladie…

Autre point important : les enfants sont très peu impliqués dans la chaîne de transmission de l’infection, en particulier avant 10 ans. De nombreux cas en attestent. (Cas d’un enfant contaminé par des adultes) âgé de 9 ans. Durant sa période symptomatique, ce jeune garçon a côtoyé 80 écoliers, dans 3 écoles différentes. Pourtant, lorsque ses contacts ont été retracés, aucun cas secondaire n’a été détecté.(([10] Christèle Gras-Le Guen, vice-présidente de la société française de pédiatrie.
https://www.lejdd.fr/Societe/Sante/rentree-scolaire-le-covid-19-nest-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-3989704))»

La « vaccination » n’est pas préconisée pour les enfants en bonne santé !

« Pour conclure, le groupe de réflexion a défini une population de patients prioritaires pour la vaccination dans le cadre de l’oncohématologie pédiatrique et AJA. Le présent avis a une validité nécessairement très limitée dans le temps. L’acquisition rapide de connaissances dans le domaine permettra la formulation de recommandations complétant ou se substituant à ces préconisations.(([11] Préconisations de priorisation des enfants, adolescents et jeunes adultes atteints de cancer pour la vaccination contre le SARS-CoV-2.
https://actu.ensemblepourleslibertes.fr/wp-content/uploads/2021/11/Rapport_experts_SFCE.pdf))»

Les « vaccins » sont encore en phase expérimentale

La fin de la phase 3 pour le Pfizer BioNTech est fixée au 2 mai 2023.(([12] https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04368728?term=NCT04368728&draw=2&rank=1))

« Les principaux objectifs de la phase III sont de démontrer l’innocuité et l’efficacité du nouveau médicament ou vaccin… identifier les effets indésirables et les raisons pour lesquelles le traitement ne doit pas être donné à certaines personnes atteintes de la pathologie à laquelle il est destiné (appelées « contre-indications »), acquérir des connaissances sur les bénéfices du médicament ou du vaccin, et les comparer aux risques éventuels, comparer les résultats aux résultats obtenus avec des traitements existants.
Les essais de phase III peuvent durer plusieurs années.
Si un nouveau médicament ou vaccin obtient des résultats positifs à l’essai de phase III, nous pouvons déposer une demande d’autorisation auprès des autorités réglementaires afin de pouvoir le commercialiser…
(([13] https://fr.gsk.com/fr-fr/recherche/essais-cliniques/les-phases-dun-essai-clinique/))»

« … Phase 3 : on étudie l’efficacité vaccinale et la tolérance à une grande échelle, chez plusieurs milliers de personnes.
Phase 4 : ces études sont réalisées après la mise sur le marché du vaccin. Elles permettent de vérifier qu’à grande échelle et chez des personnes pouvant présenter des affections chroniques, l’innocuité et l’efficacité du vaccin sont assurées, qu’il n’y a pas d’effets indésirables à long terme sur la survenue d’autres maladies.
(([14] https://vaccination-info-service.fr/Generalites-sur-les-vaccinations/Qualite-securite-et-efficacite-des-vaccins/Securite-et-qualite-des-vaccins/Recherche-et-essais-cliniques-sur-les-vaccins))»

« Les essais cliniques sont la phase « pivot » du développement d’un médicament : après les phases de recherche en laboratoire et sur les animaux (Phases précliniques), qui permettent d’évaluer l’activité d’un produit et sa toxicité, des études cliniques, c’est-à-dire réalisées chez l’homme, sont effectuées pour évaluer et préciser la sécurité d’emploi ainsi que le devenir du produit dans l’organisme (Phase I), confirmer l’efficacité thérapeutique de la molécule sur une maladie donnée (Phases II et III) puis, suivre le médicament dans la vraie vie (Phase IV).

Les trois premières phases d’essais cliniques sont des étapes incontournables du développement d’une molécule, car leurs résultats conditionnent la mise sur le marché du nouveau médicament. Ces essais constituent le « disque dur » du nouveau médicament : parce qu’ils sont réalisés sur l’homme, ils contribuent à mettre au point un médicament efficace et sûr à partir des données accumulées dans ces étapes d’apprentissage.

Une recherche (donc en phase 1, 2 ou 3) ne peut être menée sans information de la personne sur laquelle est mené l’essai et sans qu’elle ait donné son consentement libre et éclairé. Avant d’accepter ou de ne pas accepter de participer à un essai clinique, la personne est informée par le médecin qui dirige l’essai, le médecin investigateur ou son représentant. L’information doit être objective, loyale et compréhensible…(([15] https://www.leem.org/sites/default/files/2018-12/10questions%20sur%20les%20essais%20cliniques_27nov2018%20revu%20CPH.pdf))»

Principe de précaution les années précédentes

En 1976 :

«  Le président américain de l’époque, Gerald Ford, donne le feu vert à un programme national de vaccination contre la souche virale. La campagne démarre le 1er octobre 1976. Elle est interrompue le 16 décembre 1976, après qu’un peu plus de 48 millions de personnes (22 % de la population) ont été vaccinées. Entre-temps, les autorités ont enregistré 532 cas de syndrome de Guillain-Barré imputés à la vaccination. Cette pathologie neurologique rare (1 à 2 cas pour 100 000 habitants), qui donne une paralysie débutant aux membres inférieurs et qui régresse le plus souvent sous traitement, peut résulter de la vaccination dans environ 1 cas pour 1 million. Vingt-cinq décès ont été recensés comme étant liés à cette campagne de vaccination de 1976.(([16] https://www.lemonde.fr/planete/article/2009/09/15/le-precedent-vaccinal-de-1976_1240713_3244.html))»

532 syndromes, 25 décès recensés et arrêt de la campagne de vaccination !

En 2009 :
Le Parisien titrait :

« Grippe A : enquête après le décès d’un enfant vacciné(([17] https://www.leparisien.fr/societe/grippe-a-enquete-apres-le-deces-d-un-enfant-vaccine-12-12-2009-741894.php))»

suite au décès suspect d’UN SEUL enfant vacciné !

En 2014 Le Figaro :

« Les autorités sanitaires italiennes et européennes enquêtent sur la mort de personnes âgées, survenue après l’injection de deux types de vaccins anti-grippe fabriqués par Novartis.(([18] https://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/12/01/23116-vaccin-antigrippe-13-deces-suspects-italie))»

Des lots ont été retirés et une enquête a été menée pour… 12 décès suspects !

2017 :

« Suite à cinq décès, enquête sur le docétaxel utilisé dans le traitement du cancer du sein(([19] https://www.usinenouvelle.com/article/suite-a-cinq-deces-enquete-sur-le-docetaxel-utilise-dans-le-traitement-du-cancer-du-sein.N502819))»

Les effets secondaires des injections

Je vous rappelle que les produits appelés « vaccins » utilisent une technologie expérimentale jamais pratiquée en masse sur des personnes en bonne santé. Technologie pour laquelle nous n’avons pas de recul pour les adultes (quelques mois) et encore moins sur les enfants (quelques semaines). De nombreux effets secondaires étaient déjà répertoriés par Pfizer avant le début de la campagne de vaccination. 2021, décès du principe de précaution ?

Pharmacovigilance ANSM, vaccin Pfizer.(([20] https://ansm.sante.fr/uploads/2021/12/03/20211203-covid-19-vaccins-fiche-synthese-periode-12-11-2021-25-11-2021-2.pdf))

6000 affections du système nerveux, 3000 affections cardiaques, 3000 affections vasculaires reconnues, etc.

L’ANSM précise

« Cette enquête nationale contribue à détecter des signaux de sécurité en vue de prendre des mesures de réduction du risque. Elle n’a pas vocation à rendre compte de l’exhaustivité du nombre de cas d’effets indésirables réellement survenus en France chez les personnes vaccinées. »

Effets secondaires répertoriés par le site de pharmacovigilance européen.

Vaccin Covid-19 Mrna Vaccine Pfizer-Biontech (TOZINAMERAN(([21] https://dap.ema.europa.eu/analytics/saw.dll?PortalPages)) )

43 000 accidents cardiaques, 2204 décès, soit 5 % de décès parmi les accidents cardiaques. Chez les 12-17 ans, 1124 accidents cardiaques, soit 2,6 % des accidents tous âges confondus (l’extrapolation donnerait 57 morts).

Au 20 novembre, les autorités européennes dénombraient 31 018 décès et 3 162 380 effets secondaires.(([22] https://reaction19.fr/wp-content/uploads/2021/11/Bulletin-vaccination-covid19-EU-au-20-Nov.-2021.pdf))

1976 :
25 décès aux USA, on arrête la vaccination.

2009 :
UN décès suspect en France, on enquête.

2014 :
12 décès suspects en Italie, lots retirés et enquête.

2017 :
5 décès en France, enquête.

2021 :
31 000 décès suspects en Europe, la campagne se poursuit en accélérant le rythme sans la moindre enquête, recommandations ou mises en garde…
Bien au contraire la campagne d’injections s’étend désormais aux plus de 5 ans en attendant les nourrissons !

La sous-déclaration des effets secondaires est un phénomène notoire

Données officielles qui ne sont donc que la partie émergée des effets secondaires réels…

« En 1993, en Aquitaine, 81 médecins généralistes ont enregistré pendant 3 jours non consécutifs tous les effets indésirables auxquels ils étaient confrontés et leur nombre a été comparé avec les déclarations réalisées au centre de pharmacovigilance de Bordeaux pendant cette même période. Cette comparaison a permis d’estimer que seul 1 effet secondaire sur 24 433 serait rapporté au centre de pharmacovigilance. »

« En 2002, Bégaud et al. font une analyse de 3 différentes études(22,33,34), menées en France de 1997 à 1998. Ces 3 études ont permis d’estimer le nombre d’hospitalisations ayant pour cause un effet indésirable d’un médicament. En comparant les chiffres de ces études au nombre de déclarations spontanées d’effets indésirables aux centres de pharmacovigilance durant la même période et dans les mêmes régions, ils ont retrouvé des résultats concordants dans les 3 études et ont conclu que moins de 5 % des effets indésirables graves étaient déclarés aux centres de pharmacovigilance.(([23] https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02473574/document))»

« Vaccination » des enfants contre le Sars-cov2

Alors que les faits sont connus, absence de risque pour l’enfant, absence d’efficacité des injections contre la propagation, effets secondaires graves ou mortels…

76 % des 12 -17 ans sont déjà injectés en France soit 3 940 000 enfants.(([24] https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&f=17&i=vacsi_a.couv_complet&s=2021-11-30&t=a01&view=map2))
1900 injections chez les 5-9 ans.
Et… 4700 chez les 0-4 ans et ce en l’absence totale d’autorisation de mise sur le marché !

Obligations du médecin et sanctions

Le code de déontologie fait loi pour un médecin.

« Article R4127-1 Modifié par Décret n°2012-694 du 7 mai 2012 — art. 1
Les dispositions du présent code de déontologie s’imposent aux médecins inscrits au tableau de l’ordre, à tout médecin exécutant un acte professionnel dans les conditions prévues à l’article L. 4112-7…
Conformément à l’article L. 4122-1, l’ordre des médecins est chargé de veiller au respect de ces dispositions. Les infractions à ces dispositions relèvent de la juridiction disciplinaire de l’ordre.
(([25] https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000006072665/LEGISCTA000006196408/))»

« La juridiction disciplinaire est chargée de sanctionner d’éventuels manquements commis par les médecins aux règles de la déontologie. L’Ordre national des Médecins veille au maintien des principes de moralité, de probité, de compétence et de dévouement indispensables à l’exercice de la médecine et à l’observation, par tous ses membres, des devoirs professionnels ainsi que des règles édictées par le Code de déontologie (article L4121-2 du Code de la Santé Publique). Parmi ces principes figurent notamment le respect du secret professionnel ainsi que l’information et le consentement du patient;.(([26] https://www.conseil-national.medecin.fr/lordre-medecins/linstitution-ordinale/juridiction-ordinale))»

« Le Conseil national de l’ordre des médecins possède un rôle de juridiction disciplinaire. Son rôle est donc de sanctionner les manquements des médecins à leurs obligations déontologiques contenues dans le code de déontologie médicale. Cette juridiction est indépendante du juge civil, pénal ou administratif, car elle n’a pas le même but : elle vise uniquement à sanctionner de manière disciplinaire le médecin. Ainsi, une procédure disciplinaire contre un médecin peut être intentée conjointement à une procédure judiciaire ou administrative.(([27] https://www.dante-avocats.fr/la-procedure-de-sanction-deontologique-dun-medecin/))»

Synthèse

Il ressort de toutes ces données officielles que :

  • Le Covid n’est PAS une maladie infantile.
  • Un enfant en bonne santé ne peut PAS espérer un bénéfice personnel à la vaccination.
  • Les autorités ne recommandent pas la vaccination pour les enfants en bonne santé.
  • Les vaccins sont en phase expérimentale jusqu’en 2023.
  • Cette vaccination requiert l’accord du patient à participer à une expérimentation.
  • Les vaccins ont des effets secondaires connus, graves, et potentiellement mortels.
  • Ces effets secondaires étaient connus avant même de commencer à injecter les enfants.
  • La sous-déclaration des effets secondaires est la norme.
  • Le rapport bénéfice Vs risque pour l’enfant en bonne santé ne peut qu’être défavorable.
  • Les vaccins n’empêchent pas la contamination et la propagation du virus.
  • L’immunité vaccinale de masse est un leurre.
  • Le principe d’une vaccination altruiste perd tout sens.
  • Le principe de précaution doit prévaloir comme les années précédentes.
  • Tout médecin doit s’interdire de faire courir un risque injustifié à son patient.
  • Tout médecin ne peut agir au détriment de son patient même à la demande du patient.
  • L’intérêt du patient doit prévaloir sur l’intérêt de la société tel que précisé par le code de déontologie.
  • Tout médecin a obligation d’informer son patient des faits précédents.
  • Un accord du patient qui ne serait pas pleinement informé est caduc.
  • Tout médecin doit se plier à son code de déontologie.
  • Tout médecin engage sa responsabilité en injectant un enfant (ou un adulte).

Il ressort de ces faits que l’injection en direction des enfants en bonne santé (mais aussi des adultes en bonne santé) d’une substance expérimentale dangereuse appelée à tort « vaccin contre le Covid » est totalement réprouvée et interdite par le code de déontologie des médecins.

Tout médecin procédant à cette injection se place de fait hors la loi et d’autant plus qu’il n’a pas informé son patient des obligations issues de sa déontologie.

Quand bien même il y aurait des précédents, ceux-ci n’ont pas valeur d’excuse ou de pardon…

Les médecins qui procèdent à ces injections sur des enfants piétinent leur éthique, leur morale, des siècles de valeurs issues du serment d’Hippocrate.

Ils sont encouragés dans leur ignominie, voire menacés en cas de désobéissance, par leur ordre, les autorités de santé, le comité d’éthique et le Ministre de la Santé.

Nous ne saurions appeler cette entreprise autrement qu’une entreprise criminelle préméditée.

Merci

Alain Tortosa.

7 décembre 2021
https://7milliards.fr/tortosa20211207-vaccination-interdite-par-la-deontologie.pdf





60.000 scientifiques demandent l’arrêt de la vaccination de masse

[Source : infodujour.fr]

[Photo : Martin Kulldorff, Sunetra Gupta et Jay Bhattacharya les trois rédacteurs de la déclaration de Great Barrington (Massachussetts)]

Alors que le président de la République française réunit ce lundi 6 décembre, un nouveau Conseil de Défense pour lutter contre la propagation de l’épidémie de Covid-19, de plus en plus de voix s’élèvent contre la politique sanitaire complètement folle des autorités qui vise à vacciner toujours plus la population. Après la troisième dose de vaccin imposée, sous peine de désactivation du pass sanitaire ! Voilà qu’il est question de vacciner les enfants de 5 à 11 ans. Une décision qui serait gravissime selon de nombreux médecins et chercheurs dont nous nous sommes faits l’écho ici même.

Des effets secondaires graves

La vaccination de masse avec un vaccin encore expérimental à ARN messager inquiète depuis longtemps la communauté scientifique. Dès le 4 octobre 2020, trois scientifiques de haut niveau, le Pr Martin Kulldorff, professeur de médecine à l’université de Harvard, biostatisticien et épidémiologiste, spécialisé dans la détection et le suivi des épidémies de maladies infectieuses et dans l’évaluation de la sécurité des vaccins. La Dr Sunetra Gupta, professeur à l’Université d’Oxford, épidémiologiste spécialisée dans l’immunologie, le développement de vaccins et la modélisation mathématique des maladies infectieuses. Et le Dr Jay Bhattacharya, professeur à la faculté de médecine de l’université de Stanford, médecin, épidémiologiste, économiste de la santé et expert en politique de santé publique, spécialisé dans les maladies infectieuses et les populations vulnérables recommandaient une approche alternative contre la Covid-19 dans ce que l’on a appelé la Déclaration de Great Barrington. Car ils sont très inquiets des effets secondaires de la vaccination de masse sur les populations.

Que préconisent-ils ? Une protection « focalisée ». C’est-à-dire de protéger autant que possible les personnes âgées, infirmes, fragiles et de laisser aux autres le soin de vivre normalement jusqu’à ce que la société atteigne l’immunité collective. Or, la vaccination massive par ARNm rend impossible cette immunité collective.

L’un des premiers cosignataires était le Dr Simon Thornley, épidémiologiste et biostatisticien à l’université d’Auckland. De plus en plus connue dans le monde, la Déclaration de Great Barrington a, depuis, été signée par 60.000 médecins et scientifiques. Une pétition a recueilli à ce jour 870.000 signatures de soutien.

La Déclaration de Great Barrington

[Voir : Comment parvenir à l’immunité collective : la déclaration de Barrington]

« En tant qu’épidémiologistes des maladies infectieuses et scientifiques spécialisés en santé publique, nous sommes inquiets des impacts physiques et mentaux causés par les politiques actuelles contre la COVID-19 et nous recommandons une approche alternative que nous appelons Protection focalisée (Focused Protection), écrivent les trois premiers signataires.

« Que nous soyons de gauche ou de droite et quel que soit notre pays d’origine, nous avons consacré nos carrières à la protection des populations. Les politiques actuelles de confinement produisent des effets désastreux sur la santé publique à court, moyen et long terme. Parmi les conséquences, on peut citer, entre autres, une baisse des taux de vaccination chez les enfants, une aggravation des cas de maladies cardio-vasculaires, une baisse des examens pour de possibles cancers ou encore une détérioration de la santé mentale en général. Cela va engendrer de grands excès de mortalité dans les années à venir, notamment dans la classe ouvrière et parmi les plus jeunes. Maintenir les écoliers en dehors de l’école est une grande injustice.

Conserver ces mesures en attendant qu’un vaccin soit disponible causera des dégâts irréparables. Les couches sociales les moins favorisées seront les plus touchées.

Une maladie peu dangereuse pour les enfants

Heureusement, notre compréhension du virus s’améliore. Nous savons que la vulnérabilité à la mort par la COVID-19 est plus de mille fois plus haute parmi les personnes âgées et infirmes que chez les jeunes. En effet, pour les enfants, la COVID-19 est moins dangereux que bien d’autres maux, y compris la grippe.

L’immunité grandissant dans la population, le risque d’infection baisse pour tout le monde, y compris les plus vulnérables. Nous savons que toutes les populations vont finir par atteindre l’immunité collective, c’est-à-dire le point où le nombre de nouvelles infections est stable, et que ce processus peut s’accompagner (sans pour autant dépendre) de l’existence d’un vaccin. Par conséquent, notre objectif devrait être de minimiser la mortalité et le mal fait à la société jusqu’à ce qu’on atteigne l’immunité collective.

Une approche à la fois compassionnelle et prenant en compte les risques et les bénéfices consiste à autoriser celles et ceux qui ont le moins de risques de mourir du virus de vivre leurs vies normalement afin qu’ils fabriquent de l’immunité au travers d’infections naturelles tout en protégeant celles et ceux qui ont le plus de risques de mourir. Nous appelons cela la Protection Focalisée (Focused Protection).

En plein air plutôt qu’à l’intérieur

Le fait d’adopter des mesures pour protéger les plus vulnérables devrait être le but central des réponses de santé publique à la COVID-19. À titre d’exemples, les résidences pour personnes âgées devraient être dotées de personnel qui a acquis l’immunité et qui réalise fréquemment des tests pour les autres membres du personnel et les visiteurs. Par ailleurs, la rotation du personnel devrait être la plus faible possible. Les personnes retraitées qui vivent chez elles devraient se voir livrer leurs courses à domicile. Quand c’est possible, elles devraient rencontrer les proches en plein air plutôt qu’à l’intérieur.

Une liste de mesure complète et détaillée, incluant des approches pour les foyers comprenant plusieurs générations, peut être mise en œuvre. C’est largement dans la capacité et les prérogatives des professionnels de la santé publique.
Ceux qui ne sont pas vulnérables devraient immédiatement être autorisés à reprendre une vie normale. Des mesures d’hygiène simples, comme se laver les mains et rester chez soi si l’on est malade, devraient être pratiquées par chacun pour réduire le seuil de l’immunité collective. Les écoles et les universités devraient rouvrir pour des enseignements en présentiel. Les activités extrascolaires comme le sport devraient reprendre. Les jeunes adultes qui présentent peu de risques devraient travailler normalement plutôt que depuis chez eux. Les restaurants et les commerces devraient ouvrir. Les arts, la musique, le sport et les autres activités culturelles devraient reprendre. Les personnes qui présentent plus de risque peuvent participer si elles le souhaitent à ce processus tandis que la société dans son ensemble bénéficie de la protection ainsi conférée aux plus vulnérables par ceux qui ont construit l’immunité collective. »




France — Sommation à un recteur contre la vaccination des enfants

[Source : Capsule Sommation interpellative]






Les enfants sont la ligne de faille de la narration du vaccin COVID qui révèle la fraude

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Par Vasko Kohlmayer

https://www.globalresearch.ca/children-faultline-covid-vaccine-narrative-exposes-fraud/5763717?

Lorsqu’une faille se rompt à la surface de la terre, elle révèle la présence d’une discontinuité structurelle sous-jacente qui était auparavant insoupçonnée par ceux qui passaient par là. Ceux qui la rencontrent réalisent soudain que les choses ne sont pas ce qu’elles semblent être et que des forces puissantes sont à l’œuvre sous leurs pieds et peuvent à tout moment éclater dans des scènes de grand bouleversement.

Parfois, même les plus habiles trompeurs et manipulateurs commettent un acte tellement illogique et manifestement insensé qu’il ouvre une fissure profonde dans leur récit, révélant l’immensité et la profondeur de leur fraude à tous ceux qui ont des yeux pour voir.

Les vaccinateurs ont commis l’un de ces actes lorsqu’ils ont insisté pour que des enfants âgés de cinq ans seulement soient obligés de recevoir leurs injections.

Il est de notoriété publique que les enfants en bonne santé n’ont pratiquement aucun risque de subir des conséquences graves à cause de Corona.

Le CDC lui-même nous a dit qu’aux États-Unis, seuls 66 enfants de moins de 12 ans sont morts du Covid au cours des douze derniers mois. La grande majorité – si ce n’est la totalité – de ces malheureux enfants souffraient d’affections graves mettant leur vie en danger. Si nous supposons généreusement que 10 de ces enfants étaient en bonne santé, alors la probabilité qu’un enfant en bonne santé soit frappé par la foudre est mille pour cent plus grande que celle de mourir de Covid 19. (Pour référence, il y a eu 120 personnes frappées par la foudre en 2019 aux États-Unis).

Si les chances que de jeunes enfants meurent du Covid sont infiniment faibles, le danger d’effets secondaires et de décès lié au vaccin est réel.

Nous savons maintenant que les vaccins Covid sont de loin les vaccins les plus mortels et dangereux jamais lâchés sur l’humanité. En fait, ils sont huit cents fois plus mortels que le célèbre vaccin contre la variole qui avait auparavant revendiqué cette distinction infâme.

Pour voir à quel point les vaccins Covid sont mortels, considérez le graphique ci-dessous. Ce graphique présente des données provenant de la base de données VAERS. VAERS, comme vous le savez peut-être, est l’acronyme de Vaccine Adverse Event Reporting System (système de notification des effets indésirables des vaccins), un organisme gouvernemental qui recueille des informations sur les effets secondaires des vaccins.

Le graphique illustre le nombre de décès annuels signalés à la suite d’une vaccination au cours des trente dernières années. Comme vous pouvez le constater, les chiffres sont restés relativement stables de 1990 à 2020, et le nombre de décès était généralement inférieur à 500 par an. La situation a radicalement changé vers la fin de 2020, lorsque les vaccins Covid ont été introduits. À ce moment-là, nous assistons à une explosion rapide des déclarations de décès. L’augmentation est si exponentielle que la ligne du graphique s’élève presque verticalement.

Les enfants sont la ligne de faille de la narration du vaccin COVID qui révèle la fraude

Il est à la fois étonnant et révélateur qu’au cours des 11 derniers mois, il y ait eu plus de déclarations de décès dûs aux vaccins que pendant les 29 années précédentes combinées.

Cela devrait déclencher des signaux d’alarme partout, car c’est une bonne indication qu’il y a probablement quelque chose qui ne va pas du tout avec les vaccins Covid, et que ces produits pharmaceutiques conçus à la hâte et insuffisamment testés provoquent des décès à une échelle sans précédent.

L’incitation à injecter ces concoctions à des enfants qui, à toutes fins pratiques, ne courent aucun risque avec la maladie elle-même, est donc absurde à première vue.

La myocardite et la péricardite sont particulièrement préoccupantes chez les jeunes. Cet effort malencontreux porte déjà ses fruits horribles, puisque les jeunes enfants meurent de crises cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux dans des proportions jamais vues auparavant.

Le fils d'Ernest Ramirez, âgé de 16 ans et en bonne santé, est mort d'une crise cardiaque 5 jours après avoir reçu le vaccin Pfizer (voir le fil Twitter de M. Ramirez pour les mises à jour).

Le fils d’Ernest Ramirez, âgé de 16 ans et en bonne santé, est mort d’une crise cardiaque 5 jours après avoir reçu le vaccin Pfizer (voir le fil Twitter de M. Ramirez pour les mises à jour).

Le fils d’Ernest Ramirez, âgé de 16 ans et en bonne santé, est mort d’une crise cardiaque 5 jours après avoir reçu le vaccin Pfizer (voir le fil Twitter de M. Ramirez pour les mises à jour).
Selon une analyse coûts-avantages menée par Toby Rogers, PhD, dans la tranche d’âge 5-11 ans, 117 enfants en bonne santé devront mourir d’effets secondaires liés aux vaccins pour qu’un seul enfant ne meure pas du Covid 19.

De peur que vous ne soyez tenté de penser qu’il s’agit là de la prédiction d’un théoricien de la conspiration, nous vous recommandons de vérifier les références du Dr Rogers. Il s’est professionnellement spécialisé dans ce type d’analyse depuis plusieurs années.

La vaccination des enfants n’apportera pas non plus de bénéfices à la communauté dans son ensemble.

Nous savons maintenant que les vaccins ne protègent pas les enfants contre les infections qu’ils pourraient contracter et transmettre aux autres. Nous tenons cela d’une autorité non moins importante que la directrice du CDC, Rochelle Walensky, qui a avoué dans son interview du 5 août à CNN que les vaccins ne peuvent plus « prévenir la transmission ».

La source originale de cet article est « Notes from the Twilight Zone »
Copyright © Vasko Kohlmayer, Notes from the Twilight Zone, 2021




France — vaccins obligatoires : après les soignants, à qui le tour ? Toutes les autres professions ?

[Source : CNEWS]

Par Sibylle Delaitre

Et si le vaccin contre le coronavirus était obligatoire pour travailler en France ? Avec la reprise épidémique sur fond de variant Omicron du Covid-19, la question est désormais posée.

Cela d’autant plus que cette obligation vaccinale est déjà une réalité pour les soignants.

Depuis le 15 septembre dernier, les personnels médicaux doivent en effet être pleinement vaccinés s’ils veulent continuer à exercer leur métier.

Et avec un virus qui ne faiblit pas, la réflexion autour d’une généralisation s’intensifie.

À l’étranger, les exemples quant à une obligation vaccinale de l’ensemble des salariés se multiplient aussi.

À New York, les salariés de quelque 184.000 entreprises, sociétés et commerces devront être complètement vaccinés à compter du 27 décembre.

Un exemple qui pourrait bien inspirer d’autres contrées, même en France.




En janvier 2013, Antony Patch décrivait le mobile possible derrière une situation telle que la crise Covid

[Source : @Reveil]



Site : Anthony Patch




C19, Zemmour : la bêtise ambiante est aussi très vicieuse

Par Lucien Samir Oulahbib

Le scorpion piquant brusquement la grenouille qui l’aide pourtant à traverser l’étang répond à l’étonnement de celle-ci que « c’est dans sa nature ». Aussi faut-il s’attendre à autant de la part du gouvernement et de ses diverses prothèses : il est dans leur nature que de continuer par exemple à confondre, concernant le prétexte sanitaire actuel, « incidence positive à des tests » et « malades » tout en cachant que pour ces derniers il s’agit de gens non soignés de manière précoce (T.A.P), qu’ils soient injectés ou pas.

Les scorpions continuent à faire croire qu’ils sont utiles et bien sûr disent qu’ils ne roulent pas pour des intérêts divers ce qui est à l’évidence faux, mais ils s’en fichent. Ils l’avouent même au milieu du gué (pour avoir sa quatrième dose dans cinq mois — voire trois — il faudra bien passer par la troisième et ainsi de suite). Ce dernier constat n’a pour eux aucun autre intérêt que cela puisse glisser doucement sur leur peau lisse de vampires au cortex rabougri jusqu’à fermer les discothèques à nouveau, sans compter l’acharnement sur les enfants qu’ils mettent de plus en plus en danger psychique en les muselant, alors qu’ils ne sont en aucun cas un « danger », car ils n’infectent pas, combien bien même seraient-ils porteurs.

S’agissant du reste, telles ces autres prothèses, apprenties vampires, bébés néo-nazis affublés « anti-racistes » au meeting de Zemmour (néo-nazis parce qu’ils sont pour la discrimination racialiste antiblanc et la manipulation hormonale et génitale), sans doute que des nerfs d’acier n’auraient pas été inutiles pour les laisser dans leur coin, en les prenant ainsi à leur propre jeu. Car voilà l’exemple type du vicieux vampire qui ne sait faire que des crasses parce qu’il n’a plus rien d’autre à plomber, hormis son basculement vers le racisme inversé afin de se sustenter de soutiens grassement payés par la Secte transhumaniste affairiste globalisée qui l’a envoyé faire ses classes de trublion banal.

Il a été d’ailleurs dommage d’observer à Villepinte cette belle jeunesse sous muselière derrière les orateurs. Heureusement que le Chevalier Poisson a sauvé l’honneur en parlant de « liberté » en matière thérapeutique. Le « Roy » Zemmour (au sens des « deux corps du Roy ») aurait pu en parler un peu plus, ne serait-ce qu’en réaffirmant encore qu’aussitôt élu il abrogerait toutes les mesures liberticides et redonnerait pleinement aux médecins le droit de prescrire, bref de pouvoir faire leur métier. Peut-être que la « grâce » l’illuminera à temps…

Par contre, très belle idée que de parler de Reconquistacar cela désigne très bien cet effort civilisationnel de secouer le joug des envahisseurs, ce qui n’est toujours pas donné tant personne n’y croit, surtout lorsque « personne » est au pouvoir pour précisément masquer que la place est en réalité vide. Le « roi est nu », mais, chut, petit enfant, va te faire piquouzer plutôt, ou le fantasme facile de la pédocriminalité gracile.

Définition de la psychose : lorsque la distinction entre le principe de réalité et le principe de plaisir est vigoureusement niée. Traitant de « complotiste » ceux qui l’indiquent, le psychopathe est aussi paranoïaque, en particulier contre les enfants dont il envie la vie en éclosion alors que chez lui elle fuit.

Le cauchemar continue donc.

Pourtant, le Poste grésille, les personnages sur l’écran s’effilochent, rétrécissant à l’état micro d’électrons agités (du bocal).

Qui va (le) débrancher ? Qui ? That’s the question.




Jeune et sportive, sa vie s’effondre après sa première injection

Par Dimitri JACQUES

Après un vaccin Pfizer, une jeune femme de 21 ans se retrouve en Covid long avec une fatigue et des symptômes cardiaques invalidants. Malmenée par des médecins qui refusent de la croire, elle se retrouve plusieurs mois sans soins adaptés. Des témoignages similaires affluent sur les réseaux sociaux. Mais surtout, un examen attentif de la littérature scientifique peut expliquer les mécanismes de ce genre de phénomène.

Sportive et en bonne santé, Bessie travaille comme manager dans un magasin de sport situé dans une galerie commerciale, soumise au pass sanitaire pendant quelques semaines, avant que cette mesure soit rétractée. Hésitante et n’étant pas disposée à se faire tester tous les trois jours, elle choisit à contrecœur de se faire vacciner pour conserver son travail.

Elle reçoit un vaccin Pfizer, le 23 juillet dans un vaccinodrôme de Grenoble. Trois jours plus tard surviennent des diarrhées et un essoufflement. Les jours suivants verront apparaître une litanie de symptômes tout à fait inhabituels pour Bessie : palpitations, douleurs thoraciques, spasmes, fasciculations. Une fatigue s’installe, de plus en plus tenace. Le sommeil cesse d’être réparateur.

Au bout de trois jours de symptômes cardiaques devenus très inquiétants, direction les urgences. Prise de sang, électrocardiogramme. Rien. L’infirmière lui confie qu’elle voit de plus en plus de cas comme le sien. Bessie n’est donc pas un cas isolé. Ce n’est pas l’avis du médecin, qui notera sur la feuille de sortie : attaque de panique. Bessie ressort avec un anxiolytique et du Doliprane.

« Ce qui est très difficile à vivre, c’est de n’être pas prise au sérieux par des médecins, des gens qui sont censés me soigner. Ils remettent en question la réalité de mes douleurs et me considèrent comme une menteuse. Si j’ai de la température, c’est que mon thermomètre fonctionne mal. Si mon taux d’oxygène baisse, c’est que l’oxymètre fonctionne mal. »

Ce n’est pas mieux du côté du cardiologue, un praticien libéral réputé, dont Bessie et sa mère jugent néanmoins le comportement inacceptable. Au premier rendez-vous, il prescrit du magnésium et lui fait comprendre qu’elle avait seulement besoin d’être rassurée. Il refuse tout lien avec le vaccin. Le second rendez-vous se passe très mal. La maman s’est lourdement documentée entre temps, ce que beaucoup de médecins n’apprécient pas. Pourtant, des universitaires recommandent que l’expertise et les connaissances des patients soient intégrées aux bases de données sur la pandémie.(([1] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0277953620306456))

Lors de son test à l’effort, Bessie se trouve à la limite malaise. Le cardiologue la prend pour une simulatrice et lui demande d’arrêter de faire semblant de mal respirer ! Malgré les poussées de fièvre à ce moment-là, il diagnostique une tachycardie liée au stress et l’invite à reprendre son travail. Des sous-entendus qui font bondir sa maman : « Je connais bien ma fille, elle est dynamique, j’ai compris que c’était sérieux. »

C’est dans la tête !

Certains scientifiques ont osé récemment une étude qui prétend que les symptômes du Covid long sont essentiellement psychologiques.(([2] https://www.lefigaro.fr/flash-actu/le-covid-long-surtout-dans-la-tete-une-etude-fait-polemique-20211112)) Un refrain bien connu des personnes souffrant d’autres maladies, comme la borréliose de Lyme qui peut elle aussi provoquer un syndrome de fatigue chronique, des douleurs généralisées et des symptômes cardiorespiratoires. Les examens classiques, inadaptés, ne montrent rien la plupart du temps et le patient est orienté vers la psychiatrie. En France, le 17 février 2021, l’Assemblée nationale a pourtant adopté une résolution reconnaissant les symptômes prolongés de la Covid-19.

La totalité des symptômes exprimés par Bessie sont pourtant reconnus dans la littérature scientifique comme appartenant à ceux du Covid long, comme le rappelle cet article du BJM.(([3] https://www.bmj.com/content/374/bmj.n1648.abstract)) Sa famille a effectué un signalement de pharmacovigilance sur le site internet de l’ANSM. L’agence va alors les contacter par téléphone, en expliquant que la tachycardie et les douleurs thoraciques sont listées dans les effets secondaires du vaccin Pfeizer et ne méritent pas véritablement d’être recueillies à nouveau. Pour la maman, « nos interlocuteurs cherchaient à minimiser, malgré la longueur et la persistance des symptômes. »

Son Covid réactivé à cause du vaccin ?

En mars 2020, Bessie a contracté le Covid, avec des symptômes assez forts qui ont duré trois semaines, mais n’ont laissé aucune séquelle sur le plan clinique. Elle est sportive, habituellement en bonne santé, avec de rares infections saisonnières bénignes. Le vaccin a-t-il réactivé l’infection, plongeant la jeune femme dans un Covid long ? Ou bien s’agit-il d’autre chose ?

En médecine de terrain, une insuffisance mitochondriale est généralement suspectée en présence d’une fatigue persistante et de douleurs généralisées. Elle est fortement impliquée dans l’encéphalomyélite myalgique et le syndrome de fatigue chronique (EM/SFC). Elle peut tout aussi bien expliquer les formes traînantes du Covid.(([4] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2095882X20300839)) Il est établi que le virus Sars-Cov-2 interagit avec les mitochondries et peut en détourner les fonctions. Ce qui lui permet, entre autres, d’échapper au système immunitaire et de faciliter sa réplication.(([5] https://journals.physiology.org/doi/full/10.1152/ajpcell.00224.2020))

Plus surprenant, l’apparition chez Bessie de phénomènes allergiques, avec une sensibilité aux aliments histamino-libérateurs. Elle se retrouve à devoir improviser, sans aucune aide médicale, un régime d’exclusion assez pénible, mais qui la soulage. Par ailleurs, son taux d’oxygène baisse sensiblement après un effort, mais également après les repas. Bien qu’encore difficilement expliquée, cette hypersensibilité immunitaire suite à un Covid est déjà mentionnée dans la littérature scientifique. Un syndrome d’activation mastocytaire (MCAS) est observé dans certains syndromes post-covid. Les manifestations principales sont cardio-vasculaires, gastro-intestinales, neurologiques et respiratoires.

Parmi les hypothèses avancées, le fait que les mastocytes (cellules de l’immunité en première ligne des réactions allergiques) expriment des récepteurs ACE2 qui les rendent sensibles au virus Sars-Cov-2. Les auteurs de l’étude demandent ouvertement davantage de recherche sur les liens entre syndrome post-covid, EM/SFC et MCAS.(([6] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2666602221000239)) Par ailleurs, le système immunitaire peut produire des IgE (les anticorps des allergies immédiates) contre des dérivés de la protéine spike.(([7] https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/cea.14023)) Rappelons que c’est ce qui est injecté dans le vaccin.

Une atteinte cardiaque réelle ?

Bessie et sa maman veulent des réponses. Ce n’est pas la presse médicale conventionnelle qui va leur apprendre grand-chose. Une simple recherche fait ressortir une avalanche de publications toutes plus rassurantes les unes que les autres, insistant sur la rareté des atteintes cardiaques post-vaccinales chez les adolescents et jeunes adultes. Elles se rendent alors sur internet à la recherche de compagnons d’infortune. Et elles en trouvent. Les témoignages, vidéo ou écrits, se multiplient sur les réseaux sociaux. Souvent, les mêmes symptômes reviennent. De quoi faire réfléchir. Pourtant, Facebook supprime régulièrement les groupes qui recueillent ces témoignages. Qu’y a-t-il à cacher ?

Un cardiologue du Cardioparc de Moirant s’est montré beaucoup plus à l’écoute de Bessie. Il dit avoir vu plusieurs cas similaires et n’exclue que pas que le vaccin soit en cause. Il est réticent à ce qu’elle reçoive une seconde injection. Son médecin traitant, après plusieurs consultations pour des arrêts maladie d’une semaine renouvelés chaque fois, finira par admettre lui aussi la probabilité d’un lien avec le vaccin. Le diagnostic de péricardite a été écarté après une échographie cardiaque et un scanner thoracique. Une recherche insuffisante selon certains praticiens. Car les symptômes de péricardite sont bien présents : fièvre, douleurs musculaires et articulations, sueurs, douleurs thoraciques, palpitations et accélération du rythme cardiaque, difficulté respiratoire, vertiges, fatigue. Des myocardites et des péricardites ont été observées dans les syndromes post-covid. Les péricardites sont connues depuis longtemps pour être les séquelles possibles d’une infection virale. Y compris avec les herpèsvirus (CMV, EBV), que la plupart d’entre nous hébergeons naturellement, mais qui peuvent se retourner contre nous après un dérèglement immunitaire. Cela figure dans les manuels de médecine.

L’affaire Maxime Beltra

Ce rapprochement entre allergies, troubles cardiaques et vaccination n’est pas sans rappeler le cas de Maxime Beltra, une des premières victimes médiatisées en France. Le rapport d’autopsie conclut à un décès « compatible avec un choc anaphylactique secondaire à une allergie alimentaire », mais signale aussi « au niveau cardiaque, la présence d’un infiltrat lymphocytaire interstitiel sans nécrose pouvant témoigner de lésions de myocardite. » La confrontation entre opposants à la vaccination(([8] https://www.youtube.com/watch?v=JBiG2x3TI9k&t=1252s)) et fact-checkers est tout à fait stérile puisque l’un n’empêche pas l’autre. Les personnes qui présentent une allergie de type 1 majeure sont réputées suivre à la lettre leur régime d’éviction, lisent scrupuleusement les listes d’ingrédients et s’abstiennent au moindre doute. Il paraît hautement improbable que l’un d’eux s’aventure à un écart avec un aliment qu’il sait potentiellement mortel. En revanche, les myocardites et péricardites étant rares chez les jeunes, le lien de causalité juste après une vaccination est hautement probable. Une infection au Sars-Cov-2, mais également une vaccination contre ce même virus, en agissant sur la barrière intestinale, semblent pouvoir soudainement abaisser le seuil de tolérance immunitaire à certains aliments. Aucune certitude dans cette affaire, mais de nombreux doutes qui, pour n’importe quel autre médicament, aurait conduit à la suspension de l’AMM par principe de précaution.

Il est admis qu’une inflammation des tissus cardiaques trop intense ou durable peut ensuite causer une insuffisance cardiaque définitive. Les mitochondries dysfonctionnelles ne sont pas capables de répondre à l’accroissement de la demande énergétique qu’entraîne une inflammation. Le cœur est l’organe qui compte le plus de mitochondries et qui est le plus dépendant de leur bon fonctionnement. À ce jour, 155 publications scientifiques font lien entre le Covid sous toutes ses formes et les mitochondries.

La protéine spike, aussi bien celle du vaccin que celle du virus, semble pouvoir provoquer des lésions vasculaires en régulant à la baisse les récepteurs ACE2, ce qui perturbe ensuite le fonctionnement des mitochondries. Chez la souris, des dommages mitochondriaux ont déjà été observés avec la protéine spike seule, sans la présence du virus.(([9] https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/CIRCRESAHA.121.318902)) Des médecins nous assurent observer fréquemment une élévation significative des taux sanguins de D-dimères après une vaccination anticovid. Il s’agit de marqueurs d’une activation de la coagulation, qui peut entraîner des thromboses. Un phénomène qui ne se limite pas à la sphère cardiovasculaire et peut toucher tous les tissus. C’est une des explications possibles de l’arrêt ou des perturbations des règles qui surviennent en post-vaccinal.

Dès le mois de juin, l’agence américaine du médicament (FDA) avait reconnu 1 200 cas d’inflammation cardiaque chez les jeunes de 16 à 24 ans. Les atteintes cardiovasculaires chez les jeunes sportifs en bonne santé se multiplient. Selon une agence de presse allemande,(([10] https://www.lelibrepenseur.org/longue-liste-dathletes-soudainement-decedes-ou-gravement-malades/)) 75 athlètes dans le monde ont été victimes de mort subite dans les 5 derniers mois, un chiffre sans commune mesure avec ce qui était observé dans le milieu sportif avant la campagne de vaccination anticovid. La FDA a jusqu’ici refusé d’homologuer le vaccin de Moderna pour les jeunes, pointant le risque de maladie cardiaque. Mais elle vient de donner son feu vert pour le vaccin de Pfizer, qui présente pourtant les mêmes risques.(([11] https://www.westernjournal.com/fda-wont-approve-modernas-vaccine-teens-year-cites-risk-deadly-heart-condition/)) La différence serait-elle plutôt à chercher au niveau des conflits d’intérêts ? L’ancien patron de la FDA siège à présent au conseil d’administration de Pfizer.(([12] https://planetes360.fr/lodeur-de-corruption-qui-entoure-le-feu-vert-de-la-fda-pour-les-vaccins-destines-aux-enfants/)) Curieuse civilisation qui ferme les yeux sur ce genre de pratique.

« Le plus éprouvant, ce sont les douleurs au niveau du thorax, elles arrivent sans prévenir de façon extrêmement intense et je n’ai aucune solution pour les soulager. »

Bessie vient de passer une batterie d’examens au CHU de Grenoble pour être enfin reconnue « Covid Long ». Un parcours du combattant, épuisant pour des malades déjà très fatigués, qui commence par une batterie de tests psychologiques. Elle regrette qu’aucun praticien n’ai pu écouter attentivement la totalité de ses symptômes. En attente de résultats d’examens, le diagnostic final reste à poser. En attendant, elle s’est tournée vers des médecines alternatives. L’homéopathe et le naturopathe ont légèrement soulagé certains symptômes, un magnétiseur a un peu diminué le brouillard cérébral. L’ostéopathe, qui admet lui aussi avoir reçu plusieurs cas similaires, a immédiatement reconnu un Covid long. Il lui a trouvé des ganglions, signe qu’une réponse immunitaire est toujours en cours.

Une autre conséquence est la précarité sociale et financière. La jeune femme est en arrêt maladie depuis trois mois, mais n’a rien touché les deux premiers mois, son employeur n’ayant pas transmis les documents à la CPAM. Elle perdu son appartement et est revenue vivre chez ses parents. Elle s’était fait vacciner pour ne pas perdre son emploi. Elle a perdu son emploi et sa santé. C’est cher payé pour se protéger d’une maladie dont les formes graves ne concernent pas les jeunes en bonne santé.

Références :




Un Plan Pour Le Monde

[Source : Planète Homéopathie (planete-homeopathie.org)]

Par le Dr. Édouard Broussalian

À tous ceux qui sont tombés pour la manifestation de la Vérité, préférant suivre leur conscience plutôt que leur intérêt. Magna est veritas et praevalebit !

À toi, portier du consulat, qui fait attendre debout, dehors, au soleil, durant une heure une femme enceinte de 9 mois au prétexte qu’elle refuse de masquer son enfant de 5 ans pour entrer. Tu ne vois pas de rapport avec le nazisme et tu t’offusques qu’on ose te le dire.

À toi ma boulangère, qui du haut de ton Bac me donne des leçons sur la manière de porter un masque.

À toi mégère anonyme qui te saisis de ton téléphone pour dénoncer le vilain client qui foule le même sol que toi dans un magasin, mais qui refuse de porter un masque. Tu n’hésites pas à appeler les flics, demain ce sera pour « emmener » ces asociaux dans des camps de « regroupement ». Leur destination finale t’importera peu, tu auras la satisfaction du devoir accompli comme tous ceux qui avant toi ont réalisé les mêmes gestes.

À tous les médiocres qui de tout temps ont formé le lit du despotisme grâce à leur servilité aveugle, et qui réalisent à leur insu les paroles du Messie :

« Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive »

Mt 10 :34

[Voir : L’épée, le bon grain et l’ivraie]

Un plan pour le monde

Par le Dr. Édouard Broussalian, 18 Novembre 2021

« Sous la roue qui sans fin poursuit sa ronde deux sortes de gens vivent sans tourments : ceux qui savent les secrets du monde, et ceux qui les ignorent totalement ».

Omar Kayyam.

« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time Magazine et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion pendant près de 40 ans. … Il nous aurait été impossible de développer notre plan pour le monde si nous avions été soumis aux lumières de la publicité pendant ces années. Mais, le monde est maintenant plus sophistiqué et prêt à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est sûrement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. »

David Rockefeller.[1]

« Lorsque le consentement et l’intérêt individuel ne sont plus des priorités inaliénables, on se rapproche des théories eugénistes florissantes dès la fin du XIXe siècle et portées à la dimension industrielle par le nazisme »

Dr. Nicole Delépine.

Rien ne me prédisposait à jouer les Cassandre quand voici déjà plus d’un an je prédisais la situation dans laquelle nous sommes aujourd’hui plongés. Peut-être un lien immatériel peut-il réunir mes racines du Bosphore avec la fille de Priam, roi de Troie ? Défenseur de l’homéopathie depuis 40 ans face à la rhétorique pourrie du système et de ses séides, porteur épigénétique des effets du premier génocide[2] du XXème siècle et de 800 ans de dhimmitude[3], on se trouve mieux outillé intellectuellement pour envisager la notion terrifiante d’un gouvernement apparemment élu par le Peuple mais qui travaille désormais contre le Peuple.[4] Quand j’ai déclaré publiquement en Septembre 2020[5] que cette pandémie factice n’était qu’un hold-up mondial destiné à mettre en place une dictature, et que seule l’insurrection populaire sera notre salut, je n’ai pas été mieux cru que Cassandre lorsqu’elle annonçait que le cheval de Troie était une ruse qui allait aboutir à la ruine de la cité. Peu de gens ont compris dès le début :

  1. Que cette « pandémie » était grandement exagérée[6] puisqu’on s’est rapidement trouvés au point où il fallait se faire tester pour voir si l’on était malade —quant à lui, le rapport[7] de l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation révèle que le Covid n’a représenté que 2% des hospitalisation en 2020 :
    1. Seul le tripotage dès 2009 de la notion même de pandémie a permis d’en arriver où nous sommes. [8]
    2. Pour les cliniciens sur le terrain nous avons tous identifié une forme de coryza pouvant évoluer relativement rapidement vers une toux avec une dyspnée importante puis une détresse respiratoire.
    3. Confiants en l’expérience de succès magistraux ininterrompus enregistrés en deux siècles, nous savions que l’homéopathie se montrerait comme de coutume extrêmement efficace pour traiter n’importe quelle épidémie.[9] Ce n’est sans doute pas pour rien si la guerre totale a été déclarée contre l’homéopathie peu avant la survenue de toute cette affaire sous forme d’une attaque orchestrée mondialement peu avant la survenue des premiers cas COVID-19. Après l’attaque délirante des 124 parfaits inconnus[10] relayés dans tous les médias, sans que jamais on ne nous ait accordé le moindre droit de réponse, ce fut la fameuse étude australienne du NHMRC qui fit le tour du monde pour servir d’alibi gouvernemental en France et ailleurs pour justifier des mesures contre l’homéopathie, alors qu’une enquête sénatoriale[11] australienne a révélé la falsification[12] de l’étude. Aucun démenti n’a jamais été publié dans la presse mais la coordination de l’attaque témoignait bien de l’organisation pyramidale des médias compliants. La démarche est en tout point semblable à ce qui s’est passé avec l’étude bidonnée[13] publiée dans le Lancet et qui démolissait l’hydroxychloroquine.[14] L’étude a servi de prétexte à nos gouvernants pour retirer un produit devenu dangereux alors qu’il était prescrit à plus de 1 milliards de personnes durant 70 ans. Et comme de coutume, la rétractation de l’étude n’a jamais engendré celle des mesures prises en l’utilisant comme prétexte. Encore plus lamentable : l’institut Pasteur rétracte l’étude bidonnée qui a servi à justifier le passe sanitaire… mais le passe demeure.[15]
    4. Le totalitarisme s’empare de la science pour confirmer ce qui lui convient, l’idée est de créer une surréalité à laquelle les « croyants » vont adhérer — c’est le cas de la création de l’Islam par les Califes[16] et de la narration autour d’un prophète imaginaire, ou le bolchévisme avec la promotion de ses demi-dieux et du narratif autour du projet grandiose. Finalement tout cela correspond exactement à ce qu’a fait Auguste quand il a pris le pouvoir en s’assurant du contrôle religieux et des augures —d’où son nom. Au sujet des prédictions, quelqu’un a-t-il des nouvelles des 500.000 morts de 2020 et des 400.000 du premier trimestre 2021 que nous avait annoncé l’infâme Macron ? Pourtant tout ce que nous subissons, c’est au nom de ces morts imaginaires, de cette fausse pandémie et de ce pseudo-Covid-19.
  2. Que sans tests PCR il n’y avait point de pandémie[17] et que le test était parfaitement vérolé de manière à détecter un maximum de « cas ». Mais c’était tout ce qu’il fallait pour aller dans le sens de la nouvelle définition de « pandémie », juste des « cas », pas forcément des vrais malades et encore moins de mortalité. Un document[18] qui vient d’être publié par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis admet ouvertement que le fameux test PCR pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) a été mis au point non pas à partir d’échantillons réels du virus chinois, mais plutôt à partir de ce qui semble être du matériel génétique d’un virus du rhume. Dans le document de la FDA, il est clairement indiqué que le matériel génétique ordinaire de la grippe saisonnière a été utilisé comme marqueur de test dans les kits de test PCR.[19]
    1. De manière parfaitement incroyable, l’article de Corman-Drosten[20] a été soumis à Eurosurveillance le 21 janvier 2020 et accepté pour publication le 22 janvier 2020. Le 23 janvier 2020, l’article était en ligne.
    2. Plus incroyable encore, le protocole de test Drosten, alors qu’il avait déjà envoyé son texte à l’OMS à Genève le 17 janvier 2020, a été officiellement recommandé par l’OMS comme test mondial pour déterminer la présence du coronavirus de Wuhan, avant même que l’article ne soit publié.
    3. Que dire du scandale des cycles d’amplification ? L’OMS et Drosten ont recommandé un Ct de 45 cycles. Il n’est pas étonnant que, alors que le nombre de tests augmente au début de la saison grippale hivernale, les « positifs » PCR en Allemagne et ailleurs explosent. Comme le soulignent les auteurs critiques, si les autorités sanitaires devaient spécifier 35 cycles maximum, selon l’article de Jaafar à l’IHU à 35 cycles, il ne resterait plus que 3% de vrais positifs ! Ils notent, « un résultat analytique avec une valeur Ct de 45 est scientifiquement absolument dénué de sens (une valeur Ct raisonnable ne doit pas dépasser 30).
    4. Le 27 novembre 2020, un groupe[21] très respecté de plus de 20 virologues, microbiologistes et scientifiques du monde entier a publié un appel à Eurosurveillance pour retirer l’article du 23 janvier 2020 du « Dr » Christian Drosten, l’inventeur du dit « test » PCR. Leur analyse minutieuse de la pièce originale est accablante. Le leur est un véritable « examen par les pairs ». Ils accusent Drosten d’incompétence scientifique « fatale » et de failles dans la promotion de leur test.
    5. Il est même possible que ce test fourré au fond du nez serve rapidement à ficher toute la population avec l’ADN des frottis. Une firme britannique entend gagner ainsi beaucoup d’argent.[22]
  3. Que seule la complicité servile des mé(r)dias —hormis en France l’exception notable de France Soir[23] et quelques rares autres— soutenue par une censure féroce dans tous les réseaux sociaux[24] a permis d’installer la doxa officielle[25] dans les cerveaux d’une population hypnotisée[26], abasourdie. Toute forme de pensée critique, quelle qu’elle soit, est immédiatement suspectée d’être complotiste,[27] la plupart des professionnels compétents sont muselés par la peur du dénigrement ![28] Le grand test que fut la grippe H1N1 a appris aux mondialistes que le contrôle absolu des médias conditionnait la réussite du projet. C’est aujourd’hui chose faite. Devant des médias complices de la conspiration, débitant ad nauseam la doxa du système, la censure systématique —notamment sur les réseaux sociaux— et la ridiculisation de toute voix discordante à l’aide d’étiquettes telles que « complotisme » ou « anti-vax ». La censure organisée sur tous les réseaux sociaux et dans la pressetituée[29],[30] nous a prouvé très tôt l’existence d’un projet, d’une volonté, d’une coordination du crime, avec les fameux « fact-checkers » —simples informaticiens ou joueurs de jeux vidéo autoproclamés défenseurs de la « science »[31]— formant les bataillons de la répression afin de maintenir à tout prix la vision et les ordres de l’OMS. Voyons ce narratif :
    1. Une épidémie terrifiante (par exemple les images d’horreur, à la sauce Timisoara[32] des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui sont en fait celles de chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale)
      1. L’épidémie de COVID-19 n’est pas un drame sanitaire mais un crime de masse.
      2. Pour les moins de 60 ans, l’année 2020 est la moins mortelle de toute l’histoire de France.[33]
    2. Pas de traitement (précoce) efficace existant, interdiction faite aux médecins de prescrire, prescription de médicaments qui tuent (Valium, Rivotril) :
      1. « Démontrer que le virus n’a pas de thérapie a été une lutte de tous les instants au risque d’étaler au grand jour les incompétences crasses des uns et des autres. » Ecrit le Dr. Michel de Lorgeril, qui ajoute « et tout scientifique qui osera dire le contraire sera lynché et traité de complotiste. »
      2. Les médecins généralistes qui doivent naturellement encaisser frontalement le choc de toute épidémie se sont vus dessaisis des cas et interdire de prescrire l’hydroxychloroquine / azithro qui fonctionne remarquablement bien[34], de sorte que de nombreux cas ont pu évoluer vers des formes graves et encombrer les hôpitaux. Partout dans le monde, des gouvernements criminels comme celui de la France ont interdit la prescription qui aurait sauvé de nombreuses vies, interdiction basée sur un article bidonné à souhait paru dans une revue « prestigieuse », et qui illustre bien jusqu’où est tombée la médecine classique. De nombreux protocoles avec l’Ivermectine[35] ont aussi largement prouvé leur efficacité.
      3. Le réseau sentinelle a été pareillement limogé car ses vrais chiffres contredisaient la propagande étatique.[36]
      4. Selon toutes les apparences, les autorités sanitaires et politiques françaises ont tout fait pour que les malades de la COVID-19 meurent en masse en suivant cinq stratégies simultanées :
  • Refuser l’accès aux hôpitaux à la majorité des malades, c’est-à-dire les personnes âgées ;
  • Refuser l’accès aux services de réanimation aux personnes âgées hospitalisées ;
  • Conseiller des traitements inutiles ;
  • Interdire les traitements efficaces ;
  • Tuer au lieu de soigner.

L’intention criminelle préméditée est prouvée par les documents officiels autorisant l’administration de poisons mortels aux patients tout en interdisant la prescription des thérapies les plus prometteuses. En France, les plus de 70 ans ont été refoulés des services de réanimation alors que plus de la moitié des lits étaient vides.[37] « Le confinement des mois de novembre-décembre n’a pas modifié la consommation des médicaments conseillés dans les cas de COVID-19. Si les confinements ne modifient pas les prescriptions hospitalières dans le cas général, on en vient à penser qu’il y a eu un défaut de prescriptions précisément envers les patients souffrant de la COVID-19 pendant la « première vague ». Considérant le nombre très important de cas répertoriés, une telle diminution est incongrue. Comment expliquer qu’en pleine épidémie on puisse atteindre un record historique de sous-prescriptions des médicaments indiqués pour soigner ladite épidémie ? »
Un décret du gouvernement en date du 28 mars 2020[38] a autorisé exceptionnellement l’usage du Rivotril dans les cas de COVID-19, sachant que seulement une à deux injections sont suffisantes pour tuer un malade. Il n’est donc pas étonnant de constater, à l’inverse des médicaments qui soignent, une sur-prescription massive des médicaments qui tuent. Les prescriptions de Valium injectable ont augmenté de 53 % à 63 % en avril-mai par rapport à la moyenne de 2017-2019. Quant au Rivotril injectable, sa consommation a explosé, multipliée par 3,9 en avril pendant le pic épidémique, et depuis reste 2,3 fois supérieure à la moyenne de 2017-2019.

  1. Les mesures de contrainte fondamentales tant qu’on n’a pas d’immunité collective vaccinale (la notion d’immunité naturelle étant désormais bannie de l’OMS[39],[40]
    1. Les mesures appliquées en guise de « prévention » chez les personnes âgées les ont sans doute fait mourir de chagrin, isolées dans une chambre.
    2. Lors des audiences du Congrès, le représentant James Jordan (R-OH) a demandé au Dr Fauci d’expliquer pourquoi la prévalence de la maladie dans le Michigan fermé est pire que dans le Wisconsin voisin qui est depuis longtemps entièrement ouvert. Fauci a prétendu qu’il n’avait pas entendu la question, qu’il n’avait pas vu le tableau et qu’il n’avait pas compris. Finalement, il est resté assis, silencieux, après avoir prononcé quelques banalités sur les différences de mise en application. Les « confineurs » sont maintenant confrontés à l’énorme problème du Texas. Cet état est totalement ouvert, sans aucune restriction. Les cas et les décès ont chuté de façon spectaculaire au cours de la même période. Fauci n’a pas de réponse. Ou alors, comparez la Californie fermée avec la Floride ouverte : taux de mortalité similaires. Nous disposons d’une gamme complète d’expériences aux États-Unis qui permettent de comparer l’ouverture et la fermeture et les résultats des maladies. Il n’y a pas de relation.
  2. Seule la vaccination nous sauverait, débloquerait la situation[41] et ferait cesser la maltraitance des Peuples.

« Et si vous croyez que l’engrenage s’arrêtera à un laissez-passer pour les plages, jetez un coup d’œil en arrière : quelle est la ligne rouge impensable qui n’a pas été finalement franchie par les gouvernements ces treize derniers mois ? Quel est le droit inaliénable de la personne qui n’a pas été violé ? Dès le moment où l’État s’arroge l’accès à votre corps, quel que soit le motif, il en devient propriétaire. Il en dispose. » Slobodan Despot.

    1. Pour un homéopathe habitué à critiquer la médecine officielle, il est évident dès le début que tout serait fait pour trafiquer la fameuse notion de bénéfices [pour les labos] / risques [pour les victimes] —surtout que les « études » n’incorporaient pratiquement pas de gens âgés alors que ce sont justement eux qu’on se proposait de protéger en priorité.
    2. La démarche habituelle consiste à maximiser la gravité de la maladie (par exemple, instructions données aux pompes funèbres[42] de déclarer en morts Covid toute personne ayant eu de la toux et de la fièvre et n’importe quel symptôme vague) tandis qu’on dissimule les effets secondaires.[43],[44],[45] Or ici c’est une explosion d’effets secondaires qu’on ne parvient plus à dissimuler. Dans chacun de ces pays qui ont vacciné massivement à partir de décembre ou début janvier, on a observé un pic de mortalité jamais atteint auparavant.[46] Omerta, silence des médias ne suffisant plus c’est maintenant le caviardage des bases de données qui est entrepris à grande échelle.[47] La député Mathilde Panot signe un discours remarquable qui dénonce la situation,[48] cela détonne dans le marais collaborationniste ambiant. Pour ceux qui n’ont pas encore compris, la seule immunité est celle des laboratoires qui ont réussi à imposer des contrats aux clauses léonines[49] à tous les états, contrats signés pour ce qui concerne l’Europe par une seule personne, Stella Kyriakides qui a touché plusieurs millions en pots de vins.[50]
    3. L’injection —que l’on ne peut pas appeler vaccin, même si Merriam-Webster a eu le culot de modifier la définition du terme pour devenir corona-compliant je suppose— se confirme mois après mois être un produit hautement toxique. Le viol génétique conduit nos cellules (la plupart du temps celles de l’endothélium vasculaire) à produire de la protéine Spike S1. Or la Spike est elle-même responsable de la maladie qui est essentiellement endo-vasculaire, sa présence à la surface des cellules conduit à des processus de coagulation.[51],[52],[53],[54] Au microscope se produit en peu de temps une coagulation quand le sang entre en contact avec le produit, il est raisonnable de supposer que le graphène arrache des molécules de fer aux globules rouges, ce qui entraîne une activation de l’injection et explique peut-être les effets magnétiques observés. [55]
      En outre ces produits contiennent probablement des substances qui ne sont pas supposées être présentes, comme l’oxyde de graphène.[56] De nombreuses personnes ont constaté que la région injectée puis d’autres zones du corps deviennent magnétiques.[57] Certaines sources mentionnent même la présence de parasites ou d’œufs de parasites.[58] L’empoisonnement volontaire —et forcé— représente certainement l’un des objectifs de la crise actuelle et rendra difficile à nos gouvernants de plaider non-coupable quand ils passeront en cour martiale. Le principe éthique classique des « essais cliniques » consiste à stopper les recherches expérimentales thérapeutiques dès lors que l’essai atteint la vie d’autrui et sa santé. Certaines études ont arrêté l’essai thérapeutique autorisé par la FDA déjà après un seul décès comme c’est le cas pour un laboratoire pharmaceutique français[59], alors que d’autres experts estiment à un maximum 20 à 50 décès sont amplement nécessaires pour établir une « dangerosité » du produit utilisé et stopper l’expérience.Avec plus de 13 000 rapports aux CDC concernant des décès dus aux vaccins COVID-19, les vaccins COVID-19 ont maintenant le taux de mortalité le plus élevé de tous les vaccins de l’histoire. En effet, la moyenne des décès dus aux vaccins signalés chaque année aux CDC, avant le COVID-19, était d’un peu plus de 100 par an. En d’autres termes, les vaccins COVID-19 ont environ 100 fois plus de rapports de décès par an que la moyenne des rapports pour tous les autres vaccins combinés. Dans le passé, des vaccins individuels ont été retirés du marché pour seulement 12 à 50 décès signalés. Les décès liés au vaccin COVID-19 sont catastrophiques et, pire encore, les décès signalés ne reflètent qu’une petite fraction des décès réels liés au vaccin dans la communauté.[60]
    4. Il suffit pourtant d’examiner l’histoire récente des maladies transmissibles – avec de nouveaux agents infectieux (HIV-sida, Ebola, Zika, Chikungunya, Dengue, Borrélioses…) – pour ajouter plusieurs bémols à la douce mélodie voulant faire croire que la technologie des vaccins va apporter des solutions miraculeuses à la crise du COVID-19.
    5. L’histoire nous rappelle que :
    6. 1- Toutes les épidémies finissent par s’éteindre spontanément
    7. 2- Jamais un vaccin n’a permis d’éteindre une épidémie.
    8. 3- La vaccination durant une épidémie entraîne toujours une surenchère de mortalité par effet Buchwald.[61]
    9. Et quand on nous sert l’exemple de l’éradication de la variole ce n’est que la référence à un mythe. Le rapport final[62] admet que la « vaccination de masse a échoué » et que c’est la surveillance et endiguement qui a porté ses fruits » Encore ici, « les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. » Nous lisons aussi « A Java, malgré des taux de vaccination dépassant 90%, la transmission se poursuivait dans des zones densément peuplées… jusqu’à ce que des structures efficaces de dépistage des cas et de surveillance soient entièrement mis en place. »
    10. Nous subissons le totalitarisme des concepts mentaux : Il est décidé dans les sphères dirigeantes que les obstacles à la vaccination doivent être éliminés, car le vaccin est « notre porte de sortie de la crise ». Nous développerons dans le second chapitre comment la médecine industrielle porte en elle le despotisme, en ne traitant plus que des masses amorphes non individualisées. Cela a commencé avec la préparation de la vaccine sur les orphelins pour maintenir la souche, Pasteur a continué sur la même lancée, en fraudant massivement ses résultats —les héritiers du Dr. Roux, illustre collaborateur de Pasteur, ont publié la correspondance entre Brouardel et Pasteur, nous faisant ainsi découvrir comment on a masqué la mort d’un enfant inoculé par de l’extrait de moelle desséchée d’animal rabique en la faisant passer pour une crise d’urémie, permettant ainsi de sauver la science française.[63] En ce qui concerne l’éthique, en 1884, Louis Pasteur lui-même écrit à l’empereur du Brésil pour lui demander l’autorisation de contaminer des condamnés à mort avec le choléra afin d’essayer sur eux des traitements.[64]
    11. Au nom maintenant d’une théorie délirante comme la heird immunity l’immunité du troupeau —enfin de groupe— le massacre va maintenant porter aussi sur les enfants[65], surtout que nous sommes sur le chemin de l’élimination du consentement parental.[66] et les femmes enceintes —une méta-analyse a recensé 192 études et trouvé un taux de létalité chez les femmes enceintes atteintes de Covid-19 de 0,02%, décès toutes causes.[67]
    12. Et nous devrions croire sur parole des laboratoires véreux[68] qu’une injection génique expérimentale, produirait —sans le moindre recul connu— le résultat que jamais la vaccination n’a atteinte depuis que la pratique existe ?
    13. Pour ma part j’ai vraiment éclaté de rire quand on nous a annoncé une efficacité de 95% avec des études qui ne sont même pas en double aveugle. En cette fin de 2021, les preuves ne cessent de s’accumuler concernant la supercherie de ces « zétudes ».[69],[70],[71],[72] Dès le début il était facile aussi de penser que la mutation incessante du Coronavirus servirait d’excuse facile aux inoculateurs pour justifier leurs lamentables échecs. Quant à la blague que constitue les autorisations de mise sur le marché, l’ANSM, gendarme Français du médicament, se désintéresse totalement du fait qu’à ce jour (29/10/21) la dispensation des quatre vaccins anti-Covid puisse être réalisée de manière parfaitement illégale sur son sol : En effet, celle-ci se trouvait incapable de documenter que les Autorisations de Mise sur le Marché Conditionnelles (AMMc) régissant l’écoulement de ces produits n’existent encore…[73]
    14. Un groupe de 57 scientifiques, médecins et experts politiques de premier plan a publié un rapport appelant à remettre en question la sécurité et l’efficacité des « vaccins » COVID-19 actuels, et réclame maintenant la fin immédiate de tous les programmes de vaccination. Parmi eux se trouve la généticienne Alexandra Henrion-Caude —qui mérite d’être élue femme de l’année.[74]
    15. Nous étudierons en détails dans le chapitre suivant « Et vous Peuples infortunés » les ravages de la vaccination forcée. 
    16. Le tout étant servi aux Peuples grâce à un appareil de propagande relayé par les innombrables collabos et autres idiots utiles[75],[76],[77] qui relègue au niveau de la maternelle les Goebbels et maîtres à penser de la manipulation des masses, mettant en jeu des mécanismes comme la réduction de dissonance cognitive ou le syndrome de Stockholm :
      1. Souvenons-nous comment Orson Wells[78] —l’ancêtre de nos manipulateurs actuels— avait réussi à faire croire à un débarquement des martiens seulement en se servant d’une chaîne de radio. Imaginez la puissance de feu de tous les médias confondus…

« L’affirmation pure et simple, dégagée de tout raisonnement et de toute preuve, est un des plus sûrs moyens de faire pénétrer une idée dans l’esprit des foules. Plus l’affirmation est concise, plus elle est dépourvue de toute apparence de preuves et de démonstration, plus elle a d’autorité. » Gustave Le Bon.

    1. La première des erreurs les plus communes[79] sur la façon dont fonctionne la propagande officielle consiste à penser que son but est de tromper le public en lui faisant croire des choses fausses (le masque nous protège, le vaccin nous protège, les mesures sanitaires nous protègent, etc)… Toutefois, même si les propagandistes sont bien contents quand quelqu’un croit à leurs mensonges, la tromperie n’est pas leur but premier.
    2. Le premier des buts de la propagande officielle est de générer une « narrative » qui peut être mécaniquement répétée par les classes supérieures et ceux qui les soutiennent et s’y identifient. Cette narrative officielle n’a pas à être cohérente ou crédible, ni à résister à l’examen critique. Sa plausibilité n’est pas l’important. L’important est de dessiner une ligne Maginot, une frontière idéologique défensive, entre le « Bien » tel que défini par les classes supérieures et les vérités qui contredisent la narrative officielle.
    3. Dans des sociétés ouvertement despotiques, les enjeux de ce type de choix (se conformer ou désobéir) sont souvent la vie ou la mort. Dans nos sociétés occidentales (pour ceux d’entre nous qui ne sommes pas des guérilleros militants), les conséquences du non-conformisme sont généralement plus subtiles, mais les pressions restent intenses. Se conformer à la « réalité » consensuelle produite par ces narratives est le prix de l’admission dans le saint des saints où les emplois, l’argent, le prestige professionnel et les autres récompenses du capitalisme se trouvent. Se conformer aux narratives n’implique pas d’y croire. Cela demande juste une allégeance et une obéissance inconditionnelle. Ce que l’on croit en réalité n’a aucune importance, du moment que l’on répète, comme un perroquet, la narrative officielle du moment.
    4. Pour résumer, la propagande officielle n’est pas destinée à duper le public (pas plus que les phrases d’un rôle d’acteur ne sont destinées à tromper l’acteur). Elle est destinée à être absorbée et répétée, quelle que soit son invraisemblance. De fait, elle est souvent plus efficace quand ceux qui sont forcés de la répéter comme des robots savent qu’elle est complètement stupide, parce que l’humiliation d’avoir à le faire cimente leur allégeance à la classe supérieure.[80]
  1. Que les mesures imposées liberticides, incohérentes, illogiques et arbitraires (port du masque, distanciation, assignation à domicile, fermeture de tous les magasins) étaient non seulement hors de proportion avec le fléau supposé mais contraires au bon sens, sans la moindre justification scientifique, ou ayant déjà fait preuve de leur inefficacité.[81], [82], [83], [84], [85], [86], [87]
    1. Combien de vies ont été sauvées grâce à la fermeture des rayons slips, chaussettes et tee-shirts ? Combien de transmissions n’ont pas eu lieu grâce à l’arrosage frénétique des mains avec des produits chimiques déversés par milliards de tonnes dans la nature, et remplis de perturbateurs endocriniens ?[88] Plus de 150 milliards de masques sont produits chaque mois, sans le moindre recyclage.[89] Il est à craindre qu’un nouveau continent de plastique ne flotte à la surface de ce qui reste de nos océans.
    2. Concernant les masques, personne ne s’est soucié de citer la grande étude chinoise[90] publiée dans Nature, aux chiffres astronomiques de 10 millions de patients (la dictature a parfois du bon) qui a clairement montré que les sujets asymptomatiques ne sont pas contagieux.
    3. Le port du masque est un marqueur de la soumission populaire aux mesures débiles gouvernementales —on imagine la jouissance perverse des Macron et consorts à l’idée d’avoir réussi à faire respirer tout le monde dans ses propres crachats… Au même titre que le voile islamique dans les pays soumis à l’oppression de la charia, le despotisme d’état se charge par la violence de vous rappeler à l’ordre établi.[91]
    4. L’assignation à résidence— justifiée par des modélisations douteuses, notamment celle du très influent Pr. Ferguson. Sans doute dans le besoin malgré les généreux financements de la Fondation Gates, ce dernier a utilisé un programme digne de Sim City, lui permettant de prévoir 500.000 morts en Grande Bretagne, puis finalement 20.000.[92] La plus grande panique de l’histoire et la paralysie inédite de l’économie reposent sur des spéculations délirantes. Le code concernait un modèle de grippe conçu en 2005 pour Taïwan.[93] Plutôt que de mettre le code à la disposition des autres acteurs du domaine pour qu’ils puissent l’examiner à ce moment-là et contribuer à influencer les mesures prises par les gouvernements, Ferguson a choisi de s’adresser à Microsoft. Pourquoi ? Pour réécrire le code et l’améliorer. Ainsi, personne n’a pu voir le vilain code original utilisé pour créer un mauvais modèle que les gouvernements ont utilisé pour enfermer tout le monde. Depuis quand Microsoft est-il devenu l’expert en modélisation des épidémies ? De toutes les mesures qu’il aurait pu prendre, il s’est adressé à Microsoft, et non à d’autres experts en la matière pour modéliser correctement la pandémie. C’est troublant. Pourquoi ? Serait-ce dû à une certaine loyauté ou influence liée à Microsoft ? Peut-être au fondateur de Microsoft, Bill Gates ? La Fondation Gates a financé l’Imperial College à différents moments. Observez l’écart des dates entre lesquelles le financement a été multiplié par … 29 ! (29x).
      En 2010, 2 millions de dollars ont été versés à l’Imperial College :
      https://media.evolveconsciousness.org/2020/05/imperial-collage-gates1.jpg
      En mars 2020, ce sont 79 millions de dollars qui ont été versés à l’Imperial College: ! https://media.evolveconsciousness.org/2020/05/imperial-collage-gates2.jpg

Partout où l’on se tourne, on retrouve l’empreinte de la main de Gates au travers de sa Fondation Bill et Melinda Gates.[94]

  1. Que tout serait fait pour pousser à la vaccination obligatoire —et même sous contrainte— de la population mondiale, si tant est qu’on appelle « vaccins » des injections géniques expérimentales effectuées en violation du droit international.[95]
  2. Que les voyages mais aussi tous nos gestes quotidiens seraient soumis à l’obligation vaccinale qui sera appelée à devenir perpétuelle,
  3. Que la restriction des libertés annonçait la mise en place d’une dictature à la chinoise[96], basée sur un techno-contrôle permanent d’abord au moyen de passeports sanitaires, puis à terme à base de puces RFID, reconnaissance faciale et autres 5G, le sujet du système devenant « connecté » au même titre que sa voiture ou son frigo.[97]

Le loup mondialiste est sorti du bois.

Cette guerre contre les Peuples ne nous laisse d’alternative que de vaincre ou mourir. Non, il n’y aura plus jamais ni repos ni retour en arrière tant que n’auront pas été châtiés les instigateurs et les complices de ce « coup » mondial avec son narratif délirant et burlesque d’une pandémie qui n’existe pas, imposé à l’unisson[98] par les gouvernants et relayé en boucle par les médias. John Ioannidis, probablement le plus grand épidémiologiste actuel, affirme dans une étude publiée par l’OMS[99], mais passée complètement à la trappe depuis octobre 2020 que

« The inferred infection fatality rates tended to be much lower than estimates made earlier in the pandemic. »

Notre savant aime les euphémismes : il y a en effet un facteur 14 entre les premiers chiffres — qui ont servis de référence pour déclarer la pandémie et imposer toutes les mesures folles— donnés par les autorités sanitaires chinoises et la valeur constatée par le Dr Ioannidis. Grâce au Covid, la corruption généralisée apparaît au grand jour et beaucoup de nos confrères qui vivaient dans le confort douillet du consensus découvrent en exerçant leur sens critique l’horreur de la guerre permanente de désinformation, le mensonge dans lequel notre profession baigne, la répression en cas de transgression de la doxa officielle, et la manipulation dont ils sont l’objet pour les inciter à croire qu’en étant au « top » des nouveautés, ils font de la bonne médecine.[100] Cette même guerre qui nous était livrée depuis des générations d’homéopathes est désormais devenue mondiale.

La science représente un puissant outil dans la recherche de la vérité, mais quand elle est dévoyée par l’argent, surgit la fallacieuse notion de « preuve scientifique », un oxymore destiné à vendre aussi bien une traversée en Titanic ou un vaccin.

Il est probable que jamais l’humanité n’a encore dans son histoire encouru une telle menace, non pas à cause d’un virus mortel, mais d’un simple rhume qui sert de prétexte à l’instauration d’une tyrannie oligarchique. Si l’on m’explique que vous avez bouté le feu à votre maison parce qu’il y avait un moustique dans le salon, c’est la preuve que soit vous êtes complètement fou, soit que le moustique ne fait que servir d’excuse au pyromane. De même les mesures apparemment démentes prises comme un seul homme par (presque) tous les gouvernements face à une menace nulle ne deviennent logiques que si l’on change de paradigme et qu’on réalise que les gouvernements n’œuvrent plus dans l’intérêt des peuples et des nations, mais selon l’agenda d’une structure supérieure qui les contrôle tous :

:.

Les tendances et les déclarations financières mondiales indiquent une refonte sismique de la gouvernance et des systèmes financiers qui se joue sous la surface de la pandémie de Covid-19 et qui va bien au-delà du domaine de la santé.

Le renforcement du contrôle centralisé peut créer un gouffre infranchissable entre une petite poignée de gagnants et une majorité de perdants. ….

Les preuves suggèrent que les vaccins coronavirus, véritables chevaux de Troie, pourraient remettre en cause l’intégrité corporelle et le consentement éclairé de manière totalement nouvelle, en transportant des technologies invasives dans le cerveau et le corps des gens.

Des technologies telles que les interfaces cerveau-machine, les dispositifs de suivi de l’identité numérique et les puces compatibles avec les crypto-monnaies contribueraient à l’objectif de la banque centrale de remplacer les monnaies par des systèmes de transaction et d’identification numériques et de créer une grille de contrôle mondiale qui relie la population mondiale au nuage de renseignements militaires-pharmaceutiques des technocrates mondiaux. En outre, l’utilisation des vaccins comme vecteur des technologies de surveillance annule toute responsabilité juridique.[101]

Tant pis — ou tant mieux ?— si je heurte ceux encore douillettement endormis dans le confort de la Doxa du système et qui se font une joie de partir à l’abattoir en chantant. Je n’ai jamais eu l’habitude de mâcher mes mots —pas plus que le Dr. Zelenko[102] ou Dr. Sucharit Bhakdi[103] ou encore le Dr. Michael Yeadon[104] dont je partage ici complètement les analyses : au-delà d’un simple crime crapuleux destiné à l’enrichissement sans limite de l’industrie, c’est probablement un génocide planétaire qui se prépare dans la joie et l’insouciance, avec le consentement —je devrais dire la soumission— d’une grande partie de la population.

Qu’on ne se méprenne pas : le sens du mot « génocide » est chevillé dans mes cellules, le néologisme a été forgé par Lemkin en prenant pour modèle le génocide arménien. Son professeur de droit lui ayant expliqué que les gouvernements pouvaient faire ce qu’ils voulaient des peuples administrés, comme on le fait d’un élevage de poulets, Lemkin s’est écrié « mais les gens ne sont pas des poulets ! » J’envie la France quand elle pleure un Oradour. Nous en avons connu des milliers dans le cours d’une extermination systématique, sans distinction d’âge ou de sexe.

C’est donc bien en pleine acceptation du terme que je déclare qu’à mesure que nous découvrons les effets et le contenu des « vaccins » imposés de vive force contre toute science ou raison par les gouvernements, nous avons la preuve d’une tentative de génocide. J’ignore quelle proportion de l’humanité survivra à ces poisons. Des plaintes devant la Cour Pénale Internationale[105],[106] ont été déposées, en Inde L’avocate Dipali Ojha,[107] principale avocate de l’Association du barreau indien, a intenté des poursuites pénales contre le Dr Swaminathan « pour chaque décès » causé par ses actes, mais on se doute vu la corruption et le crime organisé que les chances d’aboutir sont minimes.

Au vu de la perversité —ce terme reviendra souvent dans mes commentaires— que nous constatons partout où l’on se retourne, seul Tocqueville me semble avoir clairement décrit pareille situation :

« Les Espagnols, à l’aide de monstruosités sans exemples, en se couvrant d’une honte ineffaçable, n’ont pu parvenir à exterminer la race indienne, ni même à l’empêcher de partager leurs droits ; les Américains des États-Unis ont atteint ce double résultat avec une merveilleuse facilité, tranquillement, légalement, philanthropiquement, sans répandre de sang, sans violer un seul des grands principes de la morale aux yeux du monde. On ne saurait détruire les hommes en respectant mieux les lois de l’humanité.[108] »

J’accuse !

J’accuse les mondialistes — cette ultra-minorité constituée de quelques grandes familles (Rothschild, Rockefeller, Carnegie, DuPont, Bush, Morgan, etc. et leurs coryphées comme Bezos, Soros, et Gates)[109] :

  • D’être majoritairement de dangereux psychopathes[110] avides uniquement de jouissance perverse ou des pires transgressions pour se sentir exister.[111]
  • D’avoir peu à peu accaparé la création de la monnaie dans le monde entier[112] depuis au moins la chute du Premier Empire.[113]
  • De contrôler ainsi les destinées des nations depuis au moins la fin du XIXème siècle, organisant pour leur profit les guerres ou révolutions qu’ils jugent utiles[114] : Guerre des Boers, Première Guerre Mondiale, Révolution Russe et instauration du Communisme,[115] etc.
  • De fomenter un complot mondial depuis des générations, en vue d’instaurer une gouvernance mondiale[116] sous forme d’un collectivisme oligarchique[117] dont la Chine représente le modèle —dès le 30 Mars 2020 Gordon Brown appelait à un gouvernement mondial « intérimaire », Attali au gouvernement mondial installé à Jérusalem[118],
  • De poursuivre depuis des générations une guerre mondiale secrète contre les Peuples[119] et de vampiriser les nations en forçant les états à une dette fictive en échange de la création de monnaie ex-nihilo.
  • D’avoir fabriqué de toutes pièces la pandémie Covid.[120],[121],[122],[123],[124],[125]
  • D’avoir breveté —à travers une multitude de sociétés dont le CDC, Pfizer, Moderna, Merck, Johnson & Johnson— le génome sous tous ses aspects du SARS-Cov-2 depuis au moins 20 ans pour réaliser leurs objectifs,[126],[127]
  • D’annoncer la pandémie depuis des années avec beaucoup de perversion[128] via quelques porte-paroles dont Bill Gates[129] qui semble être le grand prêtre du système.[130],[131] Soudainement autoproclamé spécialiste de tous les problèmes planétaires et virologue, celui que l’histoire regardera sans doute comme l’un des plus grands criminels de tous les temps nous annonçait, dès le mois de Février 2020, qu’il n’y aurait pas de retour à la normale sans que la planète entière ne soit vaccinée.[132],[133]
  • De recourir sans scrupule à l’ingénierie sociale[134],[135] —notion purement communiste— au crime contre l’humanité et probablement au génocide mondial pour façonner « l’homme nouveau » — dont la tentation a toujours été la marque des régimes totalitaires —, issu de leur ancien délire eugéniste et transhumaniste.[136],[137],[138]
  • De ruiner l’économie mondiale afin d’imposer une future monnaie numérique[139] et un contrôle total technocratique[140] de la population [restante…] réduite en esclavage.[141] Tout sera fait pour nous présenter comme seule solution le gouvernement mondial pour « sauver les banques. »
  • D’organiser une destruction —une sape— des fondements de la société[142], notamment de par l’Open Society de Soros,[143] et une corruption systémique dont on ne peut se faire de représentation tant elle est omniprésente et disséminée.[144],[145] Il a suffi ainsi de faire déclarer la pandémie par le bon Tedros[146],[147] —l’homme de paille de Gates— pour que tout se mettre en branle comme une cascade de dominos, toutes les nations signataires du Règlement sanitaire international de l’OMS étant légalement tenues de suivre ce que le directeur général décide de faire en cas d’urgence.[148] L’affaire a été préparée d’avance selon un agenda qui force l’admiration : en faisant passer un rhume pour la peste noire, les corrompus savaient qu’ils pouvaient ensuite compter sur la lâcheté généralisée, la fuite de toute responsabilité pour entraîner le reste du monde avec eux.
  • D’avoir noyauté et infiltré à peu près tous les gouvernements, et toutes les instances internationales et nationales, officielles (comme l’OMS, la Banque Mondiale, le GAVI, etc.) ou officieuses (franc-maçonnerie dévoyée en parti politique comme le Grand Orient en France) [149],[150] et de posséder à peu près toutes les firmes industrielles, bancaires et technologiques.[151]
  • De ne même plus prendre la peine de dissimuler leurs objectifs mais de diffuser leur doctrine à travers des organisations comme le World Economic Forum[152] —son patron et maître à penser, Klaus Schwab étant aussi un Rothschild[153], la Fabian Society ou autres revues comme The Economist. La stratégie habituelle consistant à utiliser la fenêtre d’Overton pour habituer peu à peu la pensée du public à ce qui aurait été inimaginable auparavant.

J’accuse les trois secteurs criminels de plus en plus imbriqués —Big Finance, Big Tech et Big Pharma— de récolter les fruits de la « pandémie » Covid-19, tout en bénéficiant de relations étroites avec l’appareil de renseignement militaire[154],[155] . Ceci a permis de créer le plus grand transfert de richesses de l’histoire de l’humanité et une montée en puissance énorme de la technocratie mondiale, une forme de contrôle centralisé, dirigé par des experts, sur la production et la consommation des ressources, que le Wall Street Journal a qualifié de « règle antidémocratique par des élites qui pensent mieux savoir. »[156]

J’accuse les laboratoires pharmaceutiques —notamment Pfizer, Moderna, Merck, Johnson & Johnson, Astra Zeneca— de constituer depuis le début du XXème siècle les pires organisations criminelles que le monde ait connues :

  • D’avoir déposé des milliers de brevets concernant le Coronavirus depuis 2000, d’avoir préparé et planifié la crise actuelle de concert avec la troïka Gates, Fauci, Tedros. Le génome du SARS-Cov2 a été ainsi breveté depuis de longues années, avec toutes les variantes connues de la protéine Spike (malgré leurs moyens illimités, ces messieurs ont quand même réussi à faire la bourde de déposer le brevet du futur vaccin quelques heures avant le dépôt du brevet du Coronavirus).[157]
  • D’avoir provoqué la fermeture de tous les hôpitaux homéopathiques[158] aux USA dès les années 1910 et imposé la médecine chimique sous la forme que nous connaissons, détruisant la santé de l’humanité depuis des générations.
  • D’être obsédés par la destruction de l’homéopathie, le seul édifice médical logique et scientifique capable de leur faire de l’ombre et de guérir les gens
  • De mener depuis cent ans une guerre incessante contre l’homéopathie afin de la discréditer[159] et détenir le monopole d’une médecine non-scientifique basée sur l’administration arbitraire de drogues pétrochimiques au gré de statistiques toujours falsifiées.

J’accuse la troïka Gates — à travers de sa fondation « philanthropique » Bill et Melinda et autres affidés comme l’Open society de Soros et la Clinton fundationFauci[160] — avec sa mainmise sur les CDC, ce dernier se retrouve aujourd’hui accusé d’avoir pris des mesures contraires à l’éthique et aux connaissances,[161] Tedros —avec sa haute main sur l’OMS, d’être les exécutants d’une affaire patiemment préparée —un hold-up mondial— depuis au moins deux décennies, aboutissant à une ahurissante toile d’araignées impliquant à peu près tous les secteurs[162] — avec l’aide inestimable du Parti Communiste Chinois[163] dont notamment :

  • Tripotage de la définition de la pandémie dès 2009[164]
  • Assujettissement des gouvernements aux décisions de l’OMS en cas de pandémie
  • Infiltration de toutes les instances internationales comme l’ONU, la Banque Mondiale, etc.
  • Recyclage de l’argent sale grâce à une galaxie d’ONG et autres fondations —gravitant autour de l’ONU par exemple— n’ayant de comptes à rendre à personne.[165]
  • Contrôle total des médias (ANP, AFP, REUTERS, eux même affiliés à European journalism center et Project syndicate, lesquels appartiennent comme le reste du monde à des compagnies comme Black RockVanguardStreet State ou Berkshire Hataway) et des réseaux sociaux via leur complices. Citons en France par exemple les dix milliardaires qui contrôlent toute la presse.[166]

J’accuse nos gouvernants de complicité totale avec les mondialistes et de conspirer contre la paix en créant une fracture irréconciliable de la population au moyen de mesures discriminatoires qui violent toutes les constitutions démocratiques[167] —le citoyen qui cotise pourtant à ses assurances sociales se voit refuser l’entrée à l’hôpital (chose jamais vue de mémoire d’homme), les délations pleuvent contre les mauvais porteurs de masque qui ont l’outrecuidance d’entrer dans un magasin, on refuse d’évacuer des non-vaccinés[168], les brutalités policières innommables s’abattent sur les gens au prétexte de non-port de masque[169], etc.

J’accuse l’ensemble de la classe politique —à de rares exceptions près— de connivence avec les gouvernements en place. Leur silence assourdissant alors que tous les principes démocratiques sont violés quotidiennement démontre leur culpabilité, et signe le pourrissement déjà ancien de nos sociétés où la démocratie est réduite à un simple théâtre avec de l’opposition contrôlée.

J’accuse de collaboration et de trahison tous les minables appartenant à des rouages divers de la société et qui ont tout fait pour imposer le nouvel ordre établi : Ordre des Médecins, Juges autres magistrats, Policiers, Syndicats, etc.

  • Une mention particulière ici au sujet de la lâcheté de l’immense majorité des médecins qui ont servilement accepté les consignes gouvernementales tout en sachant pertinemment leur absurdité. Ils ont ainsi trahi la confiance de leurs patients, tout en se couvrant d’une honte qui sera difficile à effacer.

Tous ces gens, du haut en bas de l’échelle, devront répondre avec leurs maîtres mondialistes des accusations de :

  • Complot mondial et escroquerie en bande organisée
  • Crime contre l’humanité (refus de soins à la population, meurtre des personnes âgées, injection forcée de substances expérimentales en violation du droit international,[170] de la liberté du refus de soin, et de toute éthique[171])
  • Crime contre l’économie (destruction volontaire de pans entiers de l’économie, assujettissement des victimes aux « aides » fournies et chantage au vote —c’est la même relation entre un mari alcoolique violent et son épouse—, pénuries organisées, inflation massive notamment des denrées céréalières[172])
  • Crime contre la société :
    • Ingénierie sociale,
    • Discrimination,[173] qui constitue le premier pas vers l’exclusion puis l’extermination, car il est facile de prévoir que tout sera fait pour faire porter le chapeau aux non-vaccinés —la situation sera bientôt catastrophique selon soit les effets délétères des vaccins soit carrément de par l’émergence de nouveaux variants naturels ou pas. L’Autriche, partie natale d’un artiste peintre tristement célèbre, vient de décider de confiner les non-vaccinés ![174]« La figure du non-vacciné est devenue au fil des mois, à mesure que la politique vaccinale devenait de plus en plus autoritaire, une sorte de citoyen à part, réduit à son statut sérologique et diabolisés en permanence par un pouvoir qui en a fait le bouc émissaire de la crise. » Mathieu Slama
    • Agnotologie (production méthodique de la bêtise, de l’ign
    • orance, du doute et de la désinformation), l’affiche ci-contre illustre bien le propos[175]
    • Destruction systématique de tous les repères —ainsi que l’avait annoncé Soljenitsyne dans son fameux discours de Harvard[176],
    • « Cancel culture » et autres aberrations comme la théorie du genre.

L’issue de la crise passera par une révolution sociétale de fond en comble avec la révision du rôle de l’industrie, notamment dans la médecine, et la remise en cause de la notion d’enrichissement personnel illimité introduit par Voltaire.[177] Rousseau quant à lui avait bien réalisé que :

Jamais dans une monarchie l’opulence d’un particulier ne peut le mettre au-dessus de la volonté du prince. En revanche dans une république elle peut le mettre aisément au-dessus des lois.

Seule l’insurrection populaire permettra de mettre les mondialistes et leurs complices hors d’état de nuire. Ces hyènes agissant dans l’ombre depuis toujours ne sont que des tigres en papier, futurs gibiers de potence et les peuples forcés à l’inoculation de poisons se trouvent désormais en situation de légitime défense. Que la sainte colère des peuples abusés se lève !

« Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. » Ep 6.12

A titre de réflexion songeons que les Français ont décapité un roi innocent et qui ne voulait que le bonheur de son peuple. Que ferons-nous d’un Macron, séide des mondialistes, qui empoisonne délibérément les Français ?

Les derniers mots de Louis XVI sur l’échafaud « Et vous peuple infortuné » résonnent à nos oreilles comme une douloureuse prophétie. Ce sera le titre de notre prochain chapitre.

Il faut détruire le mondialisme ![178]


Notes

  1. David Rockefeller lors de la réunion des Bilderberger, à Baden en Allemagne, en juin 1991. Rockefeller a consacré sa vie au gouvernement mondial unique, c’est-à-dire au Nouvel Ordre Mondial (NWO). Il a fondé la Commission trilatérale et fait partie intégrante du Council on Foreign Relations. 
  2. Pour ceux qui désirent en savoir plus sur le génocide arménien, le site « Imprescriptible » est une référence. 
  3. Pour savoir ce qu’est le sort et la condition du dimmi en terre d’Islam. 
  4. Voir la Déclaration des Droits de l’homme de 1793-ch 35 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ». 
  5. Voir le documentaire Hold-Up de Pierre Barnerias et Philippe Cossé. Mon intervention complète en HD, ici
  6. Voir l’article de notre excellente Nicole Delepine : La peur basée sur une épidémie de rhume. Les colossales erreurs des simulations de N. Ferguson et de l’Institut Pasteur nous l’ont démontré, et il n’y a donc aucune raison objective de craindre l’avenir.Même si le Covid se comportait comme la grippe avec des récidives et un nouveau variant chaque année, il n’y aurait aucune raison d’en avoir peur. Les vaccins font chaque jour preuve de leur insuffisante efficacité, mais les traitements précoces sont efficaces en préventif et en curatif ainsi que l’a prouvé l’Inde.N’ayez plus peur. 
  7. Voir l’article sur le Courrier des Stratèges, et le pdf du rapport ici
  8. De 2003 à 2009, une pandémie a été définie par l’apparition de « plusieurs épidémies simultanées à travers le monde avec un grand nombre de décès et de maladies » ; un changement a été opéré entre le 1er et le 9 mai 2009, faisant disparaître le critère de gravité. Le contenu des pages Internet de l’OMS a été modifié, sans changer la date affichée.Pour sa part, l’OMS affirme que la définition de base de la pandémie n’a jamais changé. Citée par M. Tom Jefferson lors de son audition par la commission des questions sociales, de la santé et de la famille de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe le 29 mars 2010, Mme Nathalie Boudou, porte-parole de l’OMS, a justifié le changement de définition sur le site de l’OMS par la correction d’une « erreur », en affirmant que la définition correcte d’une pandémie devait faire référence à l’apparition de foyers dans au moins deux régions du monde, mais n’avait rien à voir avec la gravité de la maladie ou le nombre de décès. Voir le pdf
  9. La plupart des cas ont réagi favorablement pour amener à une guérison en quelques jours après la prise d’Ammonium Carbonicum, médicament dominant de l’épidémie, déterminé dès avril 2020. Nous comptabilisons avec nos étudiants plus de cent cas traités avec succès, dans n’importe quel stade de l’affection. 
  10. Voir le Figaro
  11. Voir le résultat de la commission sénatoriale. 
  12. Voir la falsification de l’étude, jamais publiée dans les médias standards et bien entendu aucune mesures prises à l’encontre de l’homéopathie n’ont été remises en cause… 
  13. À l’origine de cette étude bidon financée indirectement pas les sociétés-écrans de Bill Gates et un hôpital londonien, il y avait la société Quartz Clinical et sa directrice du marketing et des ventes, une certaine Ariane Anderson. Directrice marketing et des ventes d’une société qui produit une étude mondiale sur les dangers d’un médicament qui a été consommé par des milliards d’individus (il a en été vendu jusqu’à 1 milliard de cachets par an dans le monde), c’est quand même un sacré poste à responsabilité ! La société à l’origine de « l’article » du Lancet, la société de Big Data qui a fourni les « données » d’observation de l’étude… n’existe pas !C’est une société totalement bidon. Elle aurait été créée en 2007 par Sapan Desai, un des auteurs de l’article, et n’a jamais connu la moindre activité, n’a jamais payé d’impôts, aurait été dissoute ou suspendue à plusieurs reprises. Voir l’article de RR.On se dit que cette dame doit être bardée de diplômes et qu’elle doit avoir une expérience professionnelle à faire pâlir le docteur Raoult et les plus grands experts chinois qui ont osé vanter les effets thérapeutiques de ce médicament. On trouvera plein de photos de la dame à divers degrés d’habillement sur Internet. Cependant les « meilleures » ont déjà été retirées du Web… Voir ici
  14. Une étude italienne récemment publiée portant sur 3451 patients hospitalisés a révélé 30% de mortalité en moins, meilleure que celle rapportée pour le remdesivir très coûteux dans les hôpitaux, vanté par Fauci. Une étude italienne antérieure et plus petite a révélé une réduction de 66% des décès chez les patients hospitalisés. Une étude belge portant sur 8 075 patients hospitalisés a révélé une réduction de 65%. De même, une étude récente d’Arabie saoudite a révélé 43% d’hospitalisations en moins et 45% d’admissions en USI en moins. Pour les patients à haut risque des maisons de retraite en Espagne, le HCQ a réduit de moitié le risque d’un mauvais résultat.Une grande étude du système hospitalier Henry Ford a révélé un taux de mortalité pour 2 541 patients de 13,5% pour HCQ seul, 20,1% pour HCQ plus azithromycine et 26,4% pour aucun des deux. 
  15. Une honte de plus pour l’institut Pasteur, qui reste fidèle cependant au modèle de fausse science de son fondateur. L’étude truquée, prépubliée en juin, a été supprimée, d’un coup de baguette magique ! Tout simplement ! Plus besoin de revue par les pairs ! (L’investisseur sans costume l’a cependant soigneusement conservée  pour ceux que ne rebute pas un texte scientifique en anglais.) 
  16. Voir à cet égard le remarquable travail de vulgarisation et de synthèse accompli par Odon Lafontaine au travers du Grand Secret de l’Islam
  17. Voici le résumé par Fuellmich lui-même « Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent ».« En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes ».« Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé —n’en déplaise au bon Docteur Knock. Cela signifie qu’aucun de nous ne doit avoir peur des personnes qui ne présentent aucun symptôme et les forcer à porter des masques, ni avoir peur qu’un résultat positif signifie forcément qu’il est infecté. Les images d’horreur des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui réapparaissent maintenant, existent en fait chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale. Elles ne sont utilisées maintenant qu’à dessein, afin d’alimenter davantage la panique. Il n’y a toujours pas de surmortalité en Allemagne. Plus de gens meurent en hiver : c’est tragique, mais c’est malheureusement ‘normal’ ».« Alors, de quoi s’agit-il vraiment s’il n’y a pas de problème de santé qui diffère de la vague de la grippe habituelle ? À cet égard, nous avons pu nous forger une opinion sur la base des auditions qui ont eu lieu, ainsi que des informations complémentaires ». 
  18. Voir ici le pdf officiel de la FDA. On peut lire que « Étant donné qu’aucun isolat quantifié du virus 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et où cette étude a été réalisée, les tests conçus pour la détection de l’ARN du 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro (gène N ; accession GenBank : MN908947.2) de titre connu (copies d’ARN/µL) introduit dans un diluant composé d’une suspension de cellules humaines A549 et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique. »Une autre révélation du document est l’admission par la FDA que les résultats des tests sont « regroupés » pour produire des chiffres inexacts. La FDA fabrique littéralement des données dans le cadre du récit de la pandémie, et tout cela est révélé dans le document.Voir aussi l’excellent article de FDA.News : “FDA document admits “covid” PCR test was developed without isolated covid samples for test calibration, effectively admitting it’s testing something else” 
  19. Nicole Delépine signe un nouvel excellent article sur la PCR ici. Elle déclare : « En conclusion, la confirmation que les tests PCR ne sont pas fiables et ne devraient en aucun cas être utilisés par les gouvernements comme preuve de la « pandémie » vient de la FDA elle-même. Il est grand temps que nos dirigeants reviennent aux moyens classiques d’évaluer les épidémies : le comptage des malades et celui des morts de la maladie. » 
  20. Voir l’article ici
  21. Voir l’article de France Soir (l’un des seuls journaux ayant gardé l’éthique du journalisme). Voir sur KLA.TV le dossier Drosten, proprement accablant, puisque ce malfaiteur a même usurpé son titre de médecin, ainsi que l’a révélé Fuellmich. 
  22. Voir dans Times: « Testing firm can profit from sale of Covid swabs”. Il est ainsi possible que l’un des objectifs du test antigéniques soit le fichage généralisé de la population. Les mondialistes ont des dizaines de coups d’avance sur nous. 
  23. France Soir, RT, et Sud Radio, méritent toute notre admiration. Ce sont probablement les seuls médias qui respectent la vocation du journalisme et la charte de Munich qui demande entre autres de recueillir, analyser, vérifier, les informations de toutes origines afin de fournir une information loyale au lecteur. 
  24. En Belgique par exemple, La Libre offrait à ses lecteurs son petit manuel de diagnostic et conduite à tenir devant les vilains complotistes. Tandis que sur Facebook il était impossible de mentionner ne serait-ce que l’adresse www.adrreports.eu, site officiel européen de statistique des décès/var/folders/mr/_9dvc9_x6xgfbhgg6j3hcwk80000gn/T/com.apple.Notes/HardLinkURLTemp/AF2BDCA7-B473-4738-B82D-00C9604CD739/La Libre.png ../../../Desktop/Capture%20d’écran%202021-05-31%20à%2008.23.17.png 
  25. Voir la « Stratégie du choc » de Naomi Klein. Ne pas manquer cette vidéo
  26. « Voix ou pas voix, le peuple peut toujours être amené à se plier aux exigences des dirigeants. C’est facile. Il suffit de leur dire qu’ils sont attaqués et de dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme et pour le risque qu’ils font courir au pays. Cela fonctionne de la même manière dans n’importe quel pays. » Hermann Goering. 
  27. Le 14 octobre dernier, une rencontre avec Barbara Stiegler a été organisée par la librairie Mollat de Bordeaux à l’occasion de la sortie de son livre « Nietzsche et la vie : une nouvelle histoire de la philosophie » paru aux éditions Gallimard. La philosophe a pu présenter son ouvrage, et a livré une analyse très intéressante sur la manière dont le mot « complotisme » est instrumentalisé pour museler les oppositions. 
  28. Les exemples surabondent. Je me contente de citer ici l’article de l’express qui dénigre Mme Wonner, photographiée sous l’angle le moins avantageux possible. C’est un modèle du genre. 
  29. Nous devons ce bon mot à Christian Greiling, le remarquable auteur entre autres du blog les Chroniques du grand jeu
  30. Le Monde se vante d’avoir publié en son temps le manifeste des 343 mais refuse de publier toute tribune de discussion sur la vaccination. Les exemples peuvent se multiplier à l’infini. 
  31. Citons rapidement ici les cuistres comme La tronche en biais, les cercles zététiques. M. Buisseret, mieux que quiconque incarne ce phénomène : aucune formation scientifique, ayant à son actif la réalisation d’un film pitoyable, il est persuadé de devenir l’arbitre des élégances en science. Quelle déchéance ! 
  32. Voir par exemple cet article, pour ceux qui n’ont pas eu la chance de connaître en « live » ces événements en Roumanie. 
  33. « COVID-19 – du mythe aux statistiques », auteur anonyme, 9 février 2021, lien direct, lien archivé. Observons combien de morts en plus nous aurions eu à déplorer de 2015 à 2019 si pendant ces années nous avions souffert de la mortalité de 2020 hors-COVID-19. Le tableau suivant tient compte des décès déclarés « COVID-19 » à l’hôpital et en EHPAD, mais pas à domicile [47–50, 54, 56] :
    annéesurmortalité2015-490362016-331592017-339472018-256932019-1762Les grippes saisonnières ? Disparues ! Des dizaines de milliers de personnes ne seraient pas mortes si de 2015 à 2019 nous avions refusé l’accès des hôpitaux aux personnes âgées, dissuadé les malades de consulter, diminuer significativement la consommation de médicaments et paralysé l’économie pendant des mois. C’est à se demander si les autorités sanitaires n’étaient pas complètement folles de ne pas mettre à la poubelle plus tôt toute l’organisation publique de la santé. Grâce à la COVID-19, la France a connu en 2020 un âge d’or médical parfaitement inconnu avant le 17 mars 2020. Faut-il considérer que la COVID-19, les confinements, les couvre-feu, les abandons de soins, les lits d’hôpitaux supprimés, les médecins maltraités, les populations martyrisées, les enfants traumatisés, les commerçants ruinés et les libertés individuelles annulées on réussi à vaincre le cancer, la grippe, le diabète, l’hypertension, la sclérose en plaques, bref, toutes les maladies à l’exception de la COVID-19 ? Voir l’article complet ici. 
  34. Une étude italienne récemment publiée portant sur 3451 patients hospitalisés a révélé 30% de mortalité en moins, meilleure que celle rapportée pour le remdesivir très coûteux dans les hôpitaux, vanté par Fauci. Une étude italienne antérieure et plus petite a révélé une réduction de 66% des décès chez les patients hospitalisés. Une étude belge portant sur 8 075 patients hospitalisés a révélé une réduction de 65%. De même, une étude récente d’Arabie saoudite a révélé 43% d’hospitalisations en moins et 45% d’admissions en USI en moins. Pour les patients à haut risque des maisons de retraite en Espagne, le HCQ a réduit de moitié le risque d’un mauvais résultat.Une grande étude du système hospitalier Henry Ford a révélé un taux de mortalité pour 2 541 patients de 13,5% pour HCQ seul, 20,1% pour HCQ plus azithromycine et 26,4% pour aucun des deux. 
  35. Voir l’article complet sur le site de l’AIMSIB. En Inde 97% de guérison rapide avec le variant Delta. Chez nous, la permanence Riviera-Chablais, qui traitait les patients Covid avec de l’ivermectine depuis janvier 2021 et jusqu’à la semaine dernière, les bons résultats du traitement vantés sur Facebook ont valu aux responsables de la Providence une convocation face au Comité Médical de l’HRC, composé de tous les médecins chef(fe)s de service, du directeur médical, et du doyen. Résultat : malgré un bilan de 350 à 400 patients guéris jusqu’ici, l’ivermectine est désormais interdite. 
  36. Par exemple les données Sentinelles (711 généralistes et 70 pédiatres libéraux) montrent un taux d’incidence de 24/100.000 en semaine 10 !Le taux d’incidence du SARS-CoV-2 de la 10ème semaine de 2021 est de 24 cas/100.000, et non de 700 (Alpes maritimes) ou 900 (Dunkerque) comme l’affirme le gouvernement pour terroriser tout le monde !La tendance est plutôt stable depuis mi-novembre dans toutes les tranches d’âge, selon ce rapport, ce que l’on appelle des données consolidées depuis 4 mois maintenant.Ce chiffre correspond à 16.177 nouveaux cas pour toute la semaine 10, ce qui représente 2311 par jour dans toute la France et non les 40.000 cas annoncés ! 
  37. Voir l’article remarquable sur le site Anthropologiques. 
  38. Philippe Édouard (Premier ministre), « Décret n° 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire », Journal Officiel de la République Française, lois et décrets, no. 77, texte 11, 33-34 (29 mars 2020), lien sur le site de Légifrance
  39. Jusqu’en novembre 2020, l’OMS admettait que l’immunité peut être procurée par l’infection ou par la vaccination, le 13 novembre 2020, l’OMS affirme que l’immunité collective d’une population ne peut être atteinte que par la vaccination et non par l’infection naturelle ! Ceci est réaffirmé le 31 décembre 2020 pour la Covid-19, tout en reconnaissant qu’on ne connaît pas le seuil de couverture vaccinale à obtenir pour atteindre cette immunité collective !A noter que seule la définition du 31 décembre 2020 est encore accessible, les précédentes sont visibles sur la capture d’écran ci-dessous)../../../Downloads/capture-decran-2021-10-02-a-103329.pngDans une récente publication, l’institut John Hopkins n’évoque que l’immunité vaccinale dans une discussion au sujet de l’hypothétique immunité de groupe à attendre contre la Covid (2).Même le Wall Street Journal, incroyablement pro-vaccins, a récemment publié un article sur ce sujet. Habituellement, le WSJ laisse ses articles sur la page des opinions pendant environ une semaine. Mais en moins de 24 heures, le WSJ a enterré cet article sur l’immunité naturelle. L’article du WSJ traite de l’immunité des muqueuses par rapport à l’immunité interne. L’auteur (un neurologue) affirme que si les vaccins stimulent l’immunité interne, ils ne font rien pour l’immunité des muqueuses. 
  40. L’immunité naturelle est au bas mot 13 fois supérieure à celle supposée du vaccin. « Une nouvelle étude israélienne suggère que l’infection naturelle offre une bien meilleure protection contre la variante delta que les vaccins, et ce après qu’on ait dit aux Américains que les vaccins offraient une meilleure protection que les infections naturelles. Le Dr Anthony Fauci et le reste des conseillers COVID du président Biden ont une fois de plus prouvé qu’ils avaient tort concernant la « science » des vaccins COVID. L’étude a été décrite par Bloomberg comme « la plus grande analyse réelle comparant l’immunité naturelle – acquise lors d’une infection antérieure – à la protection fournie par l’un des vaccins les plus puissants actuellement utilisés. » 
  41. Voir la propagande vomitive qui a été servie sans cesse à tous les peuples par les médias aux ordres. Par exemple en France : « Vers un retour à la normale à l’hiver 2021 ? C’est ce qu’affirme le fabricant de vaccins BioNTech » ; « Covid-19 : à quand, grâce au vaccin, un retour à la vie normale ? » ; « Pour une majorité de la population, le retour à la vie normale passe par la vaccination, dit une étude » ; « Covid-19 – Vers un retour à la normale à l’automne 2021 ‘si on arrive à vacciner 80-90% des Français’, selon le Pr Fontanet » ; « Covid-19 : un an après le confinement, quand espérer un retour à la ‘normale’ ? » ; « « Sans vaccin, pas de retour à la normale dans le sport », prévient Roxana Maracineanu » 
  42. Voir le terrible témoignage de ce directeur de pompes funèbres. 
  43. Ne manquez pas l’étude bidon commanditée par Veran pour confirmer son propre discours. L’étude porte sur 7,2 millions de Français de plus de 75 ans alors que le pays n’en compte que 6,200000. Les vrais journalistes d’investigation de France soir y sont allés de leur côté, ils trouvent une explications au million mystérieux; 1,1M de vaccines auraient été comptés et appariés deux fois. Toutes les hospitalisations Covid n’ont pas été prises en compte. Un total de 26000 hospitalisés depuis le 11 février jusqu’au 20 juillet pour cause de Covid selon l’étude, or au cours de cette même période selon Geodes nous en obtenons huit fois plus pour les catégories concernées : 80% des hospitalisations Covid ont disparu… 
  44. Ainsi Moderna a dissimulé 300.000 effets secondaires graves. Cette fuite provient d’un employé de la société de sous-traitance qui gère les déclarations. 
  45. Lorsqu’une personne décède dans les 60 ou 28 jours suivant un test positif au covid-19 – même si le résultat du test était faux – elle est automatiquement traitée comme un décès dû au covid-19 pour faire grimper les chiffres. Mais lorsque des jeunes gens en bonne santé meurent quelques heures après avoir été vaccinés, ces décès sont considérés comme de simples coïncidences. 
  46. Je renvoie le lecteur au site Sens et Symboles de l’excellent Dr. Olivier Soulier. Je le cite : « Dans chacun de ces pays qui ont vacciné massivement à partir de décembre ou début janvier, on a observé un pic de mortalité jamais atteint auparavant. Au départ, j’avais cru à une simple coïncidence. Mais depuis, cette observation s’est confirmée à peu près partout dans le monde ! On a même vu plusieurs États, comme le Cambodge, qui n’avaient quasiment pas un seul mort de la Covid… jusqu’à ce qu’ils commencent le programme de vaccination de leur population :Le déploiement de la vaccination au Cambodge en février-mars a été suivi d’un pic de mortalité, alors que le pays avait été épargné par la Covid. Le même phénomène a eu lieu à Gibraltar, petit territoire britannique qui a vacciné encore plus massivement qu’Israël : alors qu’il n’y avait eu que 10 décès Covid au total en 2020, Gibraltar a déploré 44 morts Covid en deux semaines, en pleine campagne vaccinale.(À propos de Gibraltar, cela fait plus d’un mois et demi que 100 % de la population est vaccinée avec deux doses, ce dont rêve Emmanuel Macron… et pourtant, il y a là-bas 23 cas en ce moment, soit l’équivalent de 45 000 cas par jour en France !).Au total, il ne fait aucun doute que le vaccin commence par aggraver la situation avant d’avoir [éventuellement—NDLR] un effet positif sur les formes graves. Dans une analyse bénéfice-risque du vaccin, il faut absolument prendre cela en compte !Les calculs d’efficacité du vaccin qu’on vous donne dans les médias sont totalement faussés, parce qu’on ne regarde le risque de contamination qu’après 2 doses ! Or, cela écarte du calcul tous ceux qui ont été contaminés entre la 1ère et la 2ème dose à cause du vaccin ! C’est une raison de plus pour laquelle les « 95 % de protection » qu’on vous rabâche sont purement fictifs, l’efficacité du vaccin est certainement beaucoup plus faible ! 
  47. Les données VAERS publiées aujourd’hui par les CDC font état d’un total de 545 338 signalements d’effets indésirables, tous groupes d’âge confondus, après la vaccination par COVID, dont 12 366 décès et 70 105 lésions graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021. Voir ici
  48. Voir la vidéo de la députée. Mathilde Panot massacre la macronie avec élégance, et sans qu’on puisse vraiment lui opposer d’arguments tant la situation est folle. 
  49. Pfizer et BioNTech auraient donc obtenu un contrat commercial faramineusement avantageux pour eux. Le prétexte de la pandémie COVID 19 leur auraient permis d’être dégagé de toute responsabilité et de ne pas indemniser les victimes d’effets indésirables lors de cette phase 3 d’essai clinique en population générale. Les Etats supporteront le coût des indemnisations à moins de réussir à prouver que le laboratoire a commis une faute intentionnelle ou que les produits étaient défectueux. Sur ce dernier point cela sera proche de l’impossible tant les éléments de défense que pourraient évoquer le laboratoire pharmaceutique seront nombreux : rupture de la chaine du froid, erreur lors de la dilution, utilisation de 3 doses alors que le protocole n’en prévoit que 2, mélange entre les vaccins anti covid sur le marché, délai entre les deux doses non respecté… 
  50. La commissaire européenne a touché des millions en pots de vin pour signer les contrats Pfizer. Cela a été étouffé le plus vite possible et seul RT garde un page sur le sujet. Tout ceci est vraiment épouvantable. 
  51. Voir ici la remarquable étude du Stalk Institue. Scientists have known for a while that SARS-CoV-2’s distinctive “spike” proteins help the virus infect its host by latching on to healthy cells. Now, a major new study shows that the virus spike proteins (which behave very differently than those safely encoded by vaccines) also play a key role in the disease itself. The paper, published on April 30, 2021, in Circulation Research, also shows conclusively that COVID-19 is a vascular disease, demonstrating exactly how the SARS-CoV-2 virus damages and attacks the vascular system on a cellular level. The findings help explain COVID-19’s wide variety of seemingly unconnected complications, and could open the door for new research into more effective therapies. “A lot of people think of it as a respiratory disease, but it’s really a vascular disease,” says Assistant Research Professor Uri Manor, who is co-senior author of the study. 
  52. La Spike se retrouve à la surface des cellules endothéliales, ce qui explique sans doute que les effets massifs juste après les injections sont sans doute liés à une effraction vasculaire. De sorte que de très nombreux patients ont des d-dimères positifs : des milliards de capillaires sont affectés et cela génère des caillots. Les tissus cérébraux, spinaux, ou le muscle cardiaque sont directement attaqués. Au niveau pulmonaire on aura bientôt de nombreux cas d’hypertension pulmonaire avec au final défaillance du cœur droit. Voir ici le témoignage d’un médecin français. 
  53. On regardera avec profit le Dr. Hoffe détailler les effets du vaccin que les laboratoires et les gouvernants vont s’échiner à dissimuler. 
  54. Dans cette vidéo, le professeur Sucharit Bhakdi, M.D., et plusieurs de ses collègues ont averti l’Agence européenne dès le début 2021 du danger potentiel de caillots sanguins et de thrombose veineuse cérébrale chez des millions de personnes recevant des injections expérimentales géniques.Dans cet épisode de Perspectives, le professeur Bhakdi explique la science derrière le problème, pourquoi il ne se limite pas aux produits déjà suspendus et pourquoi, à long terme, nous pourrions créer des systèmes immunitaires dangereusement hyperactifs chez des milliards de sujets involontaires). 
  55. Voir le Dr. Fleming sur Rumble. «  » Ajoutez le vaccin Pfizer et les globules rouges perdent leur capacité de transport d’oxygène et les globules rouges commencent à coaguler…. C’est exactement ce que nous constatons dans les rapports du VAERS. C’est exactement ce que nous constatons avec les dommages neurologiques, cardiaques et les caillots sanguins qui se forment dans le corps. C’est la preuve que ces vaccins causent ce type de dommages au microscope, simplement en étant ajoutés au sang d’un être humain… Je pense qu’il est temps que la FDA et le CDC fassent leur travail au lieu de faire semblant. » 
  56. Voir les articles désormais nombreux à la suite de la Quinta Columna qui a découvert le pot aux roses. Voir Graphene-based “neuromodulation” technology is REAL: Press release from INBRAIN Neuroelectronics describes brain controlling biocircuits using AI-powered graphene. Ceux que le sujet du graphene intéresse découvriront que la question n’est pas nouvelle :https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/03602559.2018.1542714?journalCode=lpte21https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0379677914001441https://aip.scitation.org/doi/abs/10.1063/5.0009186https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0008622312000644https://pubs.rsc.org/en/content/articlelanding/2015/ra/c4ra12591f/unauth#!divAbstracthttps://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0272884216301584https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0169433215008193https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0167577X11007531https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0167577X13007933 
  57. Voir cette vidéo de la Quinta Columna par exemple. 
  58. Voir ici le papier du Dr. Zalewski qui ne semble pas être un fumiste. Certains flacons de vaccins ne contiendraient qu’une solution saline, d’autres seraient « chargés ». 
  59. Voir le sort de l’action Cellectis par exemple. 
  60. Voir ici l’intervention du Dr. Peter McCullough. 
  61. Voir sur AIMSIB, la vaccination des sujets contacts, et l’effet Buchwald. Voir aussi l’article suivant : « en matière sanitaire les solutions à l’emporte-pièce brutales, généralisées et intuitives sont rarement génératrices des succès espérés. Nos formidables élites vont-elles se souvenir des erreurs passées ou replongeront-elles dans les mêmes ornières ? » 
  62. Pour rappel ici : ce n’est pas la vaccination qui a permis d’éradiquer la variole mais bien le confinement. Voir le rapport de l’OMS dont je cite maintenant des extraits. La létalité de la terrible maladie ne se compare en rien avec celle du Covid-19 :../../../Desktop/Létalité%20de%20la%20variole,%20rapport%20final%20OMS%20p19.pngLe rapport admet que la « vaccination de masse a échoué » et que c’est la surveillance et endiguement qui a porté ses fruits :../../../Desktop/p32%20nécessité%20de%20l'endiguement.pngComme ici :../../../Desktop/p%2042%20soudan.pngEncore ici, « les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. » ../../../Desktop/p32%20changement%20de%20stratégie.pngNous lisons aussi « A Java, malgré des taux de vaccination dépassant 90%, la transmission se poursuivait dans des zones densément peuplées… jusqu’à ce que des structures efficaces de dépistage des cas et de surveillance soient entièrement mis en place. » 
  63. Voir l’excellent ouvrage du Dr. Eric Ancelet, « Pour en finir avec Pasteur : Un siècle de mystification scientifique. » 
  64. L. Pasteur, Lettre adressée à Pedro II, empereur du Brésil, 22 sept. 1884, Archives Nationales, AB/XIX/3332. 
  65. Le risque de mourir du Covid pour un enfant est proche de zéro. La corruption généralisée vient de donner le feu vert à Pfizer pour injecter les enfants de 5 à 11 ans. On frémit quant à la suite. Nous nageons en plein cauchemar. 
  66. Le parallèle devient de plus en plus frappant avec le recrutement des Jeunesses hitlériennes, ce qui à soi seul nous montre la progression de la dictature. Voici deux gamins montrant fièrement leur point d’injection, heureux de pouvoir protéger les autres !  
  67. Voir l’étude du BMJ ici. Voir aussi l’excellent article de l’AIMSIB sur la vaccination des femmes enceintes. La plupart des essais ont également exclu les volontaires enceintes et allaitantes, ainsi que celles souffrant d’affections chroniques et graves telles que la tuberculose, l’hépatite C, l’auto-immunité, les coagulopathies, le cancer et l’immunosuppression Il n’y a évidemment aucun intérêt à vacciner, mon avis personnel est que cette vaccination doit aussi générer de nombreuses fausses-couches. Notez que les autorités fédérales ont décrété que les femmes enceintes font partie des personnes vulnérable, comme toujours avec du cherry-picking des études. Nous ne sommes plus à une honte près. 
  68. Voir ici la liste des amendes infligées depuis l’an 2000 à ces organisations criminelles. 
  69. La firme pharmaceutique Pfizer a probablement lancé la production de son vaccin anti Covid-19 à ARNm bien avant d’avoir obtenu de la communauté européenne l’aménagement CE2020/1043 s’agissant de la levée de la protection de ses habitants vis à vis des OGM et avant même d’avoir lancé sa phase III d’essais cliniques, persuadée de pouvoir obtenir son autorisation de mise sur le marché partout dans le monde en faisant intervenir l’ancien Directeur Général de la FDA américaine, Scott Gottlieb, qu’elle a recruté depuis peu.La technologie vaccinale employée est embryonnaire sur le plan des connaissances scientifiques et contient de nombreuses incertitudes en termes d’effets secondaires au-delà de 6 mois, tous non étudiés. La mutation naturelle des coronavirus est importante et de nombreux co-variants du SARS-CoV-2 initial circulent déjà sur l’ensemble du globe rendant chimérique l’idée d’un vaccin unique, efficace sur toutes ses formes actuelles ou futures.La responsabilité financière des effets post-vaccinaux graves de ces vaccins a été transférée sans difficulté aux Etats acheteurs, ce qui doit faire craindre une absence totale de prudence comme de transparence de la part de l’ensemble des fabricants qui essayeront de placer leurs produits au plus vite dans cette course au rendement financier, le respect des règles déontologiques de ces firmes étant rappelé comme nul depuis de longue date.De nombreuses voix émanant de la société civile s’élèvent déjà pour inciter à une vaccination ou obligatoire, ou ségrégationniste, reléguant les non-vaccinés Covid au rang de citoyens de seconde zone, sans aucune conscience de la manipulation financière qu’ils installent, aux dépens évidents de la santé humaine et de la paix civile.Les études cliniques parues dans le New England devraient attirer l’attention du lecteur sur un détail très inhabituel : Pfizer aussi bien que Moderna parlent de « observer blind ». Habituellement, on mentionne « double blind », et une recherche sur Google vous convaincra que ce terme est pour ainsi dire absent de la littérature. Voilà qui est étrange.PfizerModernaIci je dois évoquer la réponse embrouillée du Dr. Siegrist à ma question, en tentant de me convaincre qu’il s’agit d’un double —mais dans ce cas pourquoi ne pas l’écrire comme telle ?— tout en me disant qu’on avait levé le secret pour les testeurs. Nous sommes donc priés de croire au double aveugle alors qu’il y a eu « unblinding » ? Pour le Dr. Michel de Lorgeril que je respecte comme l’un de nos plus grands spécialistes en matière de statistiques et d’études cliniques, la réponse est claire : ce n’est pas une étude en double aveugle et dès lors les effets placebo sont majeurs, les deux études, Pfizer et Moderna, profondément biaisées.Peter Doshi, dans un article remarquable et incontournable, évoque ce qui ressemble bien à un joli bidonnage de l’étude de Pfizer, grâce aux données supplémentaires fournies par la firme à la FDA. Bricolage de groupes, exclusions arbitraires, tout fleure bon la fraude.Doshi écrit par exemple :« Toute l’attention s’est concentrée sur les résultats d’efficacité spectaculaires: Pfizer a signalé 170 cas de covid-19 confirmés par PCR, répartis de 8 à 162 entre les groupes vaccin et placebo. Mais ces chiffres étaient éclipsés par une catégorie de maladie appelée «covid-19 suspectée» – ceux avec un covid-19 symptomatique qui n’ont pas été confirmés par PCR. Selon le rapport de la FDA sur le vaccin de Pfizer , il y a eu «3410 cas au total de covid-19 suspectés, mais non confirmés, dans la population globale de l’étude, 1594 dans le groupe vacciné contre 1816 dans le groupe placebo. »« Avec 20 fois plus de cas suspects que de cas confirmés, cette catégorie de maladie ne peut être ignorée simplement parce qu’il n’y avait pas de résultat positif au test PCR. »« Même après élimination des cas survenus dans les 7 jours suivant la vaccination (409 sous vaccin Pfizer vs 287 sous placebo), qui devraient inclure la majorité des symptômes dus à la réactogénicité du vaccin à court terme, l’efficacité du vaccin reste faible: 29% »Que dire de la déclaration de partage de données de Moderna qui indique que les données « peuvent être disponibles sur demande une fois l’essai terminé ». Cela se traduit entre le milieu et la fin de 2022, car un suivi est prévu sur 2 ans ! Les choses ne seront pas différentes pour le vaccin Oxford / AstraZeneca, qui a promis des données au niveau des patients « lorsque l’essai sera terminé ». Et l’entrée ClinicalTrials.gov pour le vaccin russe Spoutnik V indique qu’il n’est pas prévu de partager les données individuelles des participants.Bien d’autres points pourront être soulevés, parmi lesquels le traitement à part des patients HIV. Pour quelle raison ? S’il s’agit de l’immunodépression, je gage que bien d’autres cas existent parmi 40.000 personnes. En outre quelle surprise de ne constater aucun décès parmi tous ces gens exposés au virus… 
  70. Voir l’article de l’AIMSIB qui démonte cette pantalonnade. Cette étude ne montre donc absolument Aucun bénéfice pour empêcher la mort par Covid-19 et encore moins un effet sur la mortalité globale de la part du vaccin Pfizer-BioNTech. Au contraire, le risque d’hospitalisation pour effets secondaires grave est plus que doublé.Dans ces conditions et avec cette étude publiée voici à peine plus d’1 mois, comment peuvent-ils encore affirmer que ces vaccins empêchent de mourir de la maladie, qu’ils sont sûrs et efficaces et surtout qu’il n’y a pas d’effets secondaires graves ou de morts provoqués par ces vaccins ? L’étude de Pfizer dit exactement le contraire.Un produit pareil en temps normal n’aurait JAMAIS été approuvé et/ou aurait été retiré immédiatement avec de telles données à 6 mois. Le bénéfice de ces injections est tout simplement négatif !En langage comptable cela se nomme un DÉFICIT ou une PERTE dont l’ampleur ou l’accumulation peut conduire à un redressement ou à une liquidation…De surcroît, n’oublions pas que ces données sont basées sur la souche initiale de Wuhan plus mortelle que le variant Delta. La balance bénéfice risque est donc encore plus négative aujourd’hui
  71. Une fraude de grande ampleur déjà surnommée le PfizerGate, impliquant la société pharmaceutique Pfizer, son sous-traitant, la société Ventavia Research Group chargée des essais cliniques, et la Food and Drug Aministration (FDA), a été révélée hier par le British Medical Journal
  72. Le Dr. Peter Doshi, l’un des rares scientifiques à se battre pour la vérité déclare au Sénat américain : « Les essais cliniques n’ont pas prouvé que les vaccins géniques sauvent des vies. »Les études, réalisées par la société pharmaceutique elle-même, ont montré des incohérences et des dissimulations de données. Celles-ci laissent apparaître d’une part qu’elles ont été intentionnellement falsifiées pour pouvoir affirmer des résultats probants, d’autre part qu’en réalité, l’efficacité des injections géniques n’a jamais dépassé le seuil des 20 à 30%.Elles n’auraient donc jamais dû être approuvées pour leur mise sur le marché.Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses (article de Jean-Dominique Michel) : cliquer ici.Does the FDA think these data justify the first full approval of a Covid-19 vaccine? (article en anglais de P. Doshi dans le BMJ) : cliquer ici.Pfizer contre Pfizer : la dernière étude est frauduleuse, article sur Covidhub : cliquer ici
  73. Article AIMSIB
  74. Voir ici
  75. Comique, mais pas drôle, citons la mort d’un arrêt cardiaque juste après son injection, du grand acteur indien Vivekh engagé pour faire la promotion de l’inoculation. Il faut admettre aussi que le port du masque en solitaire dans sa voiture nous a révélé un nouvel étalon or de la connerie comme dirait Audiard
  76. La propagande totalitaire devrait tout de même essayer de se renouveler de temps en temps. Comparaison n’est par raison, mais les similitudes sont frappantes. Bon, évidemment notre médecin cantonal on ne l’imagine pas attaquer l’armée de César à lui tout seul et je ne suis pas certain de lire dans ses yeux l’éclat d’une intelligence surhumaine. Mais la même pose que les autres pour nous déclarer —aux antipodes de la science supposée— sa croyance dans la haute efficacité d’un vaccin aux statistiques bidonnées, c’est cocasse et navrant.
  77. Il est intéressant de noter l’évolution des concepts de la propagande sanitaire :je me vaccine pour être sauvé (marketing sanitaire), puisje me vaccine pour pouvoir voyager (marketing pour la liberté), puisje me vaccine pour ne pas tuer mes grand parents ouje me vaccine par solidarité (marketing de la culpabilisation)et maintenant la menace et l’intimidation. Si vous ne vous faites pas vacciner on va vous pourrir la vie.On va aussi faire croire aux vaccinés que tout est de la faute des non vaccinés (voir Veran). Tout est fait pour diviser le peuple en deux alors que toute la situation est due exclusivement à nos gouvernants. 
  78. Voir sur RTL le canular radiophonique qui faisait paniquer l’Amérique. 
  79. Lire absolument l’article complet en anglais sur Counterpunch qui pose dès 2017 la question : pourquoi la propagande officielle ridicule marche quand même ? 
  80. Voir le livre de Bruno Bettleheim, Le Coeur conscient, dans lequel une psychologue allemande décrit comment elle s’était rangée aux côtés des nazis pendant la Deuxième Guerre mondiale. L’obligation de saluer le drapeau nazi chaque matin sans y croire était rapidement devenu trop humiliante pour elle, de sorte qu’elle avait fini par lâcher prise et par le saluer avec le plus grand enthousiasme. Ainsi, pour échapper à la honte de s’abaisser à saluer des idées qu’elle méprisait, elle était devenue une nazie loyale. 
  81. Depuis la peste de Marseille en 1720, on sait parfaitement que le confinement des gens sains est parfaitement contre-indiqué. Par ailleurs, seul le confinement des personnes malades a permis d’éradiquer la variole, non pas la vaccination comme aiment encore à le dire de nombreux « spécialistes ». 
  82. Jingyi Xiao et autres (2020) « Mesures non pharmaceutiques en cas de pandémie de grippe dans des contextes autres que ceux des soins de santé – Mesures de protection personnelle et environnementale » : « Bien que des études mécanistes confirment l’effet potentiel de l’hygiène des mains ou des masques faciaux, les résultats de 14 essais contrôlés randomisés de ces mesures n’ont pas permis de conclure à un effet substantiel sur la transmission de la grippe confirmée en laboratoire. De même, nous avons trouvé des preuves limitées de l’efficacité d’une meilleure hygiène et d’un meilleur nettoyage de l’environnement ». 
  83. Denis G. Rancourt (2020) : « Les masques ne marchent pas : un examen de la science en rapport avec la politique sociale autour de la COVID-19 ». 
  84. Wittoria Offeddu et autres (2017) « Efficacité des masques et des respirateurs contre les infections respiratoires chez les travailleurs de la santé : Un examen systématique et méta-analyse « : « La preuve d’un effet protecteur des masques ou des respirateurs contre une infection respiratoire vérifiée (IRM) n’était pas statistiquement significative ». 
  85. Faisal Bin-Reza et autres (2011) « L’utilisation de masques et de respirateurs pour prévenir la transmission de la grippe : une revue systématique des preuves scientifiques – Grippe et autres virus respiratoires » : « Une revue systématique a été entreprise pour aider à éclairer les directives sur la grippe pandémique au Royaume-Uni. La revue initiale a été réalisée en novembre 2009 et mise à jour en juin 2010 et janvier 2011. Les critères d’inclusion comprenaient des essais contrôlés randomisés et des études quasi expérimentales et observationnelles sur des humains et publiées en anglais avec un résultat de grippe confirmée en laboratoire ou cliniquement diagnostiquée et d’autres études sur les infections respiratoires virales. Il y avait 17 études éligibles. Six des huit essais contrôlés randomisés n’ont trouvé aucune différence significative entre les groupes témoin et d’intervention (masques avec ou sans hygiène des mains ; respirateurs N95 / P2) (…) Aucune des études n’a établi de relation concluante entre l’utilisation d’un masque / respirateur et la protection contre l’infection grippale (…) ». 
  86. B. J. Cowling et autres (2010) « Masques faciaux pour prévenir la transmission du virus de la grippe : une étude systématique » : « Aucune des études examinées n’a démontré un bénéfice du port d’un masque, que ce soit dans le cadre du travail de santé ou dans la communauté membres des ménages (H). Voir les tableaux récapitulatifs 1 et 2 ». 
  87. Joshua L. Jacobs et autres (2009) « Utilisation de masques chirurgicaux pour réduire l’incidence du rhume chez les professionnels de la santé (HCW) au Japon : Un essai contrôlé randomisé » : « Les travailleurs de la santé masqués N95 étaient significativement plus susceptibles d’avoir des maux de tête. Il n’a pas été démontré que l’utilisation de masques faciaux chez les HCW présentait des avantages en termes de symptômes du rhume ou de prise de froid » 
  88. Les gels hydroalcooliques contiennent des perturbateurs endocriniens. Voir ici
  89. Voir le MIT mais aussi de nombreux articles dans Children Health Defense
  90. Voir Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China. 
  91. Voir Le messie et son prophète, vol II, p70 par E. M. Gallez. « Pour les femmes, les conséquences sont en tout cas funestes ; en bien des lieux où la Charia {saritah) ou loi islamique est imposée, il devient dangereux d’avoir été violée, ou d’être enceinte sans être mariée, ou même simplement d’être non mariée. 
  92. Voir notamment – Aurélie Haroche. Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie. JIM (Journal International de Médecine). 25 Avril 2020.- Jean-François Toussaint, Andy Marc. Sortir d’un confinement aveugle. La Recherche. 22 Avril 2020.- Tom Jefferson and Carl Heneghan. Modelling the models. CEBM (Centre for Evidence-Based Medicine). 3 Avril 2020. 
  93. Voir l’article complet en anglais
  94. Gates a patiemment infiltré la presse mondiale depuis des années. « Mais elle introduit un conflit d’intérêts flagrant, dans la mesure où les institutions mêmes sur lesquelles nous comptons pour demander des comptes à l’un des hommes les plus riches et les plus puissants de l’histoire de la planète sont discrètement financées par lui. Ce conflit d’intérêts est celui que les médias institutionnels ont largement tenté d’ignorer, tandis que le philanthrope prétendument altruiste qu’est Gates continue de s’enrichir, en riant aux éclats. »Voir la liste non exhaustive des médias arrosés par Gates ici, ainsi qu’un très intéressant développement sur le philathro-capitalisme. 
  95. Le vacciné participe sans son consentement à une gigantesque expérimentation médicale. Nous sommes donc pleinement en contradiction avec la loi. N’est-il pas fascinant que dans un bel unisson toute la classe politique confondue et toutes les rédactions de presse foulent au pied la Convention d’Oviedo que la Suisse a ratifié en 2008 et la France en 2012, dans le but d’encenser un produit qui n’a même pas encore reçu d’autorisation de mise sur le marché ? Pourquoi avoir pendu des nazis à Nuremberg pour en arriver là ? La situation s’est encore aggravée depuis que j’écris ces lignes car nous n’en sommes plus au consentement non éclairé mais à la coercition vaccinale, ce qui permettra d’ôter toute circonstance atténuante quand ces bureaucrates comparaîtront devant la cour martiale internationale. 
  96. Seul Bruno Riondel a dressé une analyse saisissante et percutante de la situation dans son intervention « D’octobre 17 au grand reset ». 
  97. Pour vous donner une idée du flicage déjà en place, regardez ce que votre IPhone enregistre à votre insu comme données sur vous. : 
  98. Sauf si l’on exclut la Suède, et quelques autres pays comme la Tanzanie —dont le président John Magufuli, n’a pas voulu reconnaître la pandémie, a demandé aux médias de ne pas parler de l’infection, mais qui est décédé dans des conditions étranges non sans avoir montré en Mai 2020 la fraude des tests PCR positifs de manière aussi drôle que concluante avec des échantillons de Durian et autres fruits ou animaux (chèvres et caille) ! 
  99. https://www.who.int/bulletin/online_first/BLT.20.265892.pdf. Lire aussi dans IL FOGLIO du 4 Mai 2020 au sujet de Ioannidis : « Ioannidis est bien connu pour avoir écrit peut-être l’article scientifique le plus lu de l’histoire de la biomédecine, qui s’intitule Pourquoi la plupart des résultats produits par la recherche sont faux. La thèse était que la plupart des études menées dans le domaine biomédical ne sont pas reproductibles. Non seulement ou pas tant en raison du fait que de nombreuses expériences sont mal conçues – Ionannidis le reconnaît et stigmatise la négligence et l’angoisse de publier des données – mais parce que la variabilité causale inhérente aux phénomènes étudiés rend certains résultats faux. Il s’agit d’un concept quelque peu sophistiqué pour une communauté scientifique cherchant à appliquer des modèles mécanistes aux phénomènes darwiniens » Ah ! qu’en termes galants ces choses-là sont mises (Le Misanthrope, I, 2, 314). 
  100. Le Dr. Richard Horton, éditeur en chef de la prestigieuse revue « The Lancet » déclare: « Les accusations contre la science sont simples : une grande partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, est tout simplement fausse … la science a pris un virage vers l’obscurité. »Le Dr. Marcia Angell enfonce le clou : « Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique publiée … Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, que j’ai atteinte lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédactrice en chef du New England Journal of Medicine ».Qu’en est-il d’une « vérité scientifique » réduite à la statistique dans un champ aussi complexe que la « Médecine » ? 
  101. Ce remarquable article de l’équipe Kennedy nous donne une idée précise du panier de crabes en action. Plus de 50 millions d’Américains ont perdu leur emploi à l’automne 20 tandis que la fortune des milliardaires a augmenté de mille milliards de dollars soit 40 milliards par semaine en moyenne. 
  102. Voir son intervention devant la haute autorité Rabbinique d’Israël, ainsi que sa récente interview de cet homme admirable qui n’a de compte à rendre qu’à Dieu. Il a probablement soigné à lui seul plus de cas de Covid que n’importe quel autre et dénonce le mise en route d’un génocide planétaire. 
  103. Voir l’interview du Dr . Bhakdi. 
  104. Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer dont il fut scientifique en chef pour les allergies et les voies respiratoires, a passé 32 ans dans l’industrie à diriger la recherche sur les nouveaux médicaments et a pris sa retraite du géant pharmaceutique avec «le poste de recherche le plus élevé» en son domaine. Il dénonce la propagande des gouvernements au sujet du COVID-19, y compris le «mensonge» de variants dangereux, l’aspect totalitaire des «passeports vaccinaux» et la forte possibilité que nous ayons affaire à une «conspiration» qui pourrait conduire à quelque chose de bien pire que les guerres et les massacres du 20e siècle. 
  105. Le CSAPE (Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens) a déposé en date du 28 juin dernier devant la CPI une plainte pénale avec demande d’ouverture d’enquête pour crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, servitude et génocide, sous le numéro OTP-CR-271/21visant le président Emmanuel Macron, le gouvernement et les haut-fonctionnaires impliqués dans la gestion criminelle de l’épidémie de Covid. 
  106. La plainte déposée début Mars 2021 devant le TPI a été reçue. L’organisation People of Truth a déposé une plainte contre le gouvernement israélien, qui mène des expériences illégales sur des citoyens israéliens au travers de la vaccination Pfizer. L’avocate Ruth Makhachovsky a déclaré à Israel News : « L’expérience que Pfizer mène dans l’Etat d’Israël a été menée en violation du Code de Nuremberg, qui appartient au droit pénal international et est sous la juridiction du tribunal de La Haye. Nous attendons maintenant une décision. » Lien vers les observations du Conseil européen. 
  107. Voir ici l’article de Nicole Delépine, « Un jour viendra où les négationnistes des traitements précoces devront rendre des comptes. En Inde, une représentante de l’OMS est mise en accusation. » 
  108. Alexis de Tocqueville (1835), De la démocratie en Amérique I (deuxième partie), chapitre X. 
  109. Les intrications sont probablement plus complexes encore que les liens féodaux du Moyen-Age, j’ai voulu simplifier ici en ne citant que les plus grands noms.La famille Wallenberg par exemple détient des parts de Astra-Zeneca par intermédiaire de sa très puissante société d’investissements Investor AB. Mais il y a aussi des miracles … il faut suivre le parcours exceptionnel d’un des membres de la famille, Raoul Wallemberg qui sauva la vie de plusieurs milliers de juifs pendant la guerre.Pour le lien entre l’agriculture et big-pharma, on peut simplement remonter à Elf-Aquitaine (qui sera absorbé par le groupe Total) et à la création de Sanofi … le lien est direct. Il est tout aussi direct avec le monde du luxe : famille Bettencourt (avec André Bettencourt en leader cagoulard et collaborateur) et la famille Arnault (avec là aussi le père et le beau-fils, Xavier Niel, qui s’occupe d’agriculture depuis peu de temps).Nous sommes ici très près des fabricants d’armes Lagardère et Dassault.On se souviendra alors de l’affaire Elf et de ce personnage extrêmement trouble qui a rôdé dans les souterrains du pouvoir à partir des années 30 : Etienne Léandri … collaborateur, agent de la mafia sicilienne en France, donc lié à la CIA, « parrain protecteur » de Charles Pasqua et grand stratège de la « France Afrique » …Quand on est sur les traces de Léandri, on remonte assez vite à Georges Alberini, collaborateur lui aussi et parrain du patronat français. Conseiller de l’ombre de Georges Pompidou … duquel sera proche Jacques Chirac.Pompidou, agent Rothschild (dont Vincent Bolloré, qui rachètera la banque Worms, protectrice d’Albertini après-guerre, est l’un des membres par sa grand-mère), qui organisera la réforme financière qui donnera naissance à la dette d’état.Dans cette réforme financière, seront sans doute associés Michel Cicurel (frère de Ilana Cicurel, cousine de Tristan Mendès-France qui ont tant critiqué le film Hold Up à sa sortie) et un certain Jean-René Bernard, banquier condamné, dont la fille est Présidente, nommée par Emmanuel Macron, de la CNIL et le beau-fils, le président très controversé de la 7ème banque française (qui détient la cagnotte Leetchi), sommé très récemment de démissionner sous la pression, mais remplacé par un certain Julien Carmona, copain de promotion d’Edouard Philippe. Julien Carmona dont le père n’était autre que l’un des derniers confidents de …. Etienne Léandri …Dont l’un des proches était Achille Peretti, beau-père de … Nicolas Sarkozy, bien entendu, dont le nom est apparu, rapidement, dans l’affaire de drogue « Air Cocaïne » … mais ceci est une autre histoire, même si le trafic de drogue est complètement lié à big-pharma et aux découvertes des chercheurs allemands de chez Bayer. La morphine sera diffusée en masse pendant la première guerre mondiale, au moment où on constatera l’efficacité des nitrates chimiques sur la pousse de l’herbe rendue plus haute et plus verte dans les champs de bataille de Verdun… 
  110. Macron ou Trudeau constituent à cet égard des exemples typiques de psychopathie avec leurs belles gueules. Ils sont si pervers que même les employer à jardiner ne serait pas sans danger… Voyez l’analyse remarquable de Macron par un grand professeur de psychiatrie italien. 
  111. Le divorce du couple Melinda et Bill repose non seulement sur son infidélité débridée mais probablement aussi dans la relation de Bill avec le sinistre Epstein « suicidé » dans sa cellule.Dans la biographie de 1997 Overdrive : Bill Gates et la course pour contrôler le cyberespace, le biographe James Wallace a déclaré que le style de vie extravagant de Bill Gates était connu de la plupart des gens, mais que la presse grand public avait décidé de ne pas y faire allusion. Le “mythe” Gates ne pouvait pas être touché. Le fondateur de Microsoft, en effet, aurait payé à l’époque des danseurs pour nager nus avec ses invités dans sa piscine couverte. Rien de nouveau, pour ceux qui le connaissaient vraiment : à Harvard, le magnat était « habitué à fréquenter la Combat Zone à Boston, avec ses shows pornos, ses prostituées et ses clubs avec des strip-teaseuses ». Un style de vie de rock star qu’il a ensuite maintenu, précise Wallace, même dans les premières années avec Melinda.En 2013 Epstein et Gates visitent Strasbourg pour avoir une vue complète de l’organisation de la santé en Europe. A cette époque ce dernier n’est que le PDG de Microsoft. Il en profite pour aller en Norvège afin de tenter de corrompre le jury prix Nobel pour se faire décerner le prix Nobel de la paix. Epstein était son pass car il a piégé de nombreuses têtes couronnées — il fournissait par exemple le Prince Andrew en filles. 
  112. Voir La Guerre des Monnaies classique devenu le livre de chevet des membres du Comité Central du Parti Communiste et des banquiers chinois. Le best-seller chinois de Hongbing Song, déroule l’histoire de la grande cabale monétaire qui a façonné le monde depuis plus de deux cents ans, de la constitution de la dynastie des Rothschild la fin du 18ème siècle jusqu’à la crise de 2008. 
  113. Le premier à se faire berner par les financiers Rothschild fut le roi d’Angleterre. Nathan est aussi à cet égard le pionnier de l’utilisation de la panique et de la fausse nouvelle : ayant appris la nouvelle de la défaite française de Waterloo 24 heures avant tout le monde, il s’installe à la Bourse, appuyé sur « son pilier » favori et commence à vendre. Tout le monde se dit que Rothschild « sait quelque chose », chacun se met à liquider ses positions. A la fin de la journée, Nathan rachète l’ensemble de la Bourse pour 5% de sa valeur. Bonaparte à peine élu Premier Consul crée la Banque dite de France, une institution privée, au même titre par exemple que la Fed américaine. Ce sont ces banquiers suisses dépendant aussi des Rothschild qui feront et déferont le Premier Empire dès que l’Empereur ne servira plus assez leurs intérêts. 
  114. L’ouvrage indispensable est Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine, de Quigley. L’auteur développe et explique à partir d’abondantes pièces d’archives que les élites anglo-saxonnes ont élaborées, dans la deuxième moitié du XIXe siècle, un véritable plan de bataille afin de permettre à l’Empire britannique associé aux États-Unis d’asseoir une hégémonie complète sur le monde. Cette volonté de puissance et de domination a été l’œuvre d’une poignée d’hommes liés intimement à la haute finance de la City et de Wall Street. Tout un groupe, issu de la haute aristocratie et bourgeoisie britannique en liaison avec une élite américaine, émerge. Fort d’un travail de bénédictin, Carroll Quigley recense les noms et expose les ambitions de cette « super classe « ou « famille technocratique » avant l’heure définie par des liens sociaux et familiaux étroits.Si vous n’avez jamais entendu parler du Groupe Milner (que se muera plus tard en d’autres associations comme Bilderberg), et si les noms de Sazonov, ou Izvolsky, vous sont étrangers alors vous devez lire aussi Docherty et McGregor, qui ont montré —à la suite de Quigley— les ressorts secrets de la Première Guerre mondiale dans Les origines secrètes de la première guerre mondiale. Leurs travaux sont largement confortés par McMeekin dans son fameux Russian Origins of the First World War
  115. Je renvoie le lecteur aux principaux ouvrages de Bruno Riondel touchant au communisme. Son classique L’effroyable vérité montre les horreurs de la mise en place du système et de l’ingénierie sociale, et démontre que le communisme n’est pas mort et qu’il présente des liens profonds avec le capitalisme. Une excellente conférence, censurée par YouTube se trouve ici
  116. Conclusions du Conseil européen sur la COVID-19, l’énergie, le commerce et les relations extérieures, 21 octobre 2021 :“accroître encore les taux de vaccination”“vaincre la méfiance en luttant contre la désinformation sur les réseaux sociaux”“coordination pour faciliter la libre circulation” (ce qui signifie passe sanitaire en langage diplomatique)“mesures législatives relatives à l’union de la sant锓accès aux médicaments dans tous les Etats membres”“accès aux vaccins pour tous”“rôle fort et central de l’OMS dans la future gouvernance mondiale de la sant锓traité international sur les pandémies”Dans son excellent article du Courrier des stratèges, Éric Verhaeghe de conclure : « Cette énumération permet de vérifier à quel point les gouvernements européens sont ligués autour d’un “mainstream” commun en matière de pandémie, avec des éléments de langage qui reviennent sans cesse à tous les étages de la fusée multilatérale.On retiendra du conseil européen qu’il vise aussi à préparer la réunion du G20 où la question de la pandémie sera évoquée. Nous baignons ici dans les eaux du multilatéralisme le plus pur. On découvre que les dirigeants européens parlent de préparer la “future gouvernance mondiale de la santé” avec l’OMS. On n’avait pas clairement entendu parler de ce projet entre nous, et on le découvre un peu sans qu’il n’ait été discuté par personne. Au fond, c’est en lisant les conclusions des Conseils européens qu’on comprend ce qui se trame en sous-main dans les arcanes du monde multilatéral. L’idée dominante est de transformer l’Organisation Mondiale de la Santé en structure de gouvernance mondiale pour les pandémies. C’est donc l’OMS qui déciderait de tout : des vaccins, des traitements, des mesures d’urgence.Pareil transfert de souveraineté n’est évidemment ni expliqué aux peuples de l’Union, ni discuté avec eux. La décision est prise et il n’y a plus qu’à l’appliquer. La pandémie aura donc aussi servi à déposséder les peuples de leurs droits et à favoriser l’avènement d’une caste multilatérale toute-puissante. » 
  117. Voir Théorie et pratique du collectivisme oligarchique de J.B.E. Goldstein. Quels que soient l’origine sulfureuse de l’ouvrage, supposément daté de 1948, ou ses liens avec le fameux 1984 d’Orwell (Eric Arthur Blair de son vrai nom), le texte nous éclaire sur la pensée mondialiste et ses ressorts : le rôle du secret, des alcôves de la République et des sociétés secrètes, sur cette aristocratie cachée qui a coupé la tête du roi pour recréer sa propre aristocratie obscure et avilie, et qui lutte contre le catholicisme pour recréer sa propre religion syncrétique et anti-catholique. On trouvera dans un site qui met Karl Polanyi à l’honneur —l’auteur de la Grande Transformation— un article intéressant sur le supposé Goldstein. 
  118. Nous reviendrons plus loin sur le sinistre personnage de Jacques Attali, grand-prêtre des mondialistes depuis toujours, et qui est aussi celui qui a fait la fabrication et la promotion de Macron. Citons ici son article de 2009 « Avancer par peur » : Une pandémie majeure ferait surgir la prise de conscience de la nécessité d’un altruisme, au moins intéressé. Admirons au passage le sublime oxymore de l’altruisme intéressé, et Jérusalem comme future capitale du nouvel ordre mondial. 
  119. Je fais allusion ici à l’ouvrage de Claire Séverac: La guerre secrète contre les peuples, un essai parfaitement documenté sur des faits sciemment négligés voire rejetés par nos médias tous dans la main de cette caste omnipotente. Le lecteur ne trouvera que des faits avérés, difficilement contestables et patiemment compilés par Claire Séverac qui, sans doute, paya de sa vie son honnêteté et son intégrité. Ce livre est une somme et même un ouvrage de référence sur ce sujet sensible. Et les derniers développements de cette course folle et mortifère vers ce « nouvel ordre mondial «, comme ils l’appellent pour ne pas dire « dictature globale «, ne font que confirmer ses dires. C’est un réquisitoire en règle. Tout y passe depuis le programme « HAARP « qui consiste à bombarder l’ionosphère d’ondes à très hautes fréquences pour déclencher artificiellement tempêtes, tremblements de terre, voire tsunamis, jusqu’aux OGM en passant par les nanotechnologies, la bio-ingénierie, le transhumanisme, sans oublier toutes les arnaques comme le prétexte climatique ou sanitaire avec les campagnes de vaccination de Bill Gates dans le Tiers-Monde cause de stérilité des femmes ou de maladies bien plus graves. 
  120. Voir l’article du Courrier des stratègesPremière certitude : l’épidémie de covid-19 a commencé à Wuhan bien avant décembre 2019. Des photos américaines prises par satellite ont repéré deux fois plus de voitures que d’ordinaire sur les parkings des principaux hôpitaux de Wuhan dès le mois d’août 2019.Deuxième certitude : le gouvernement chinois, avec les réflexes typiques d’un régime communiste, a dissimulé le plus longtemps possible l’existence de l’épidémie et n’en a parlé au monde que contraint et forcé, en janvier 2020 quand elle n’était plus possible à dissimuler.Troisième certitude : Le Dr. Anthony Fauci a tout fait pour empêcher Donald Trump de remonter la piste d’un accident de laboratoire au P4 de Wuhan car il avait, directement ou indirectement, autorisé des financements à destination du laboratoire de Wuhan.  Les révélations se sont multipliées à cet égard ces dernières semaines. En bref, les recherches dites de “gain de fonction”, consistant à transformer le génome de virus pour le rendre plus dangereux pour l’homme a été interdite aux Etats-Unis entre 2013 et 2017. Des chercheurs américains ont pu néanmoins continuer à faire de telles recherches au laboratoire de Wuhan avec, entre autres ressources, de l’argent du Pentagone transféré par une ONG appelée EcoHealth Alliance.  Le 20 juillet 2021, Anthony Fauci avait encore nié  l’existence de ce type de recherches mais un réseau de chercheurs appelé DRASTIC (Decentralized Radical Autonomous Search Team Investigating COVID-19) ne cesse d’amener des preuves du contraire.Quatrième certitude: la thèse de la transmission naturelle du virus à l’homme a de moins en moins de partisans. La thèse d’un accident de laboratoire devient majoritaire, d’autant plus que tout le monde s’accorde à dire que les Chinois ont mené avec un niveau de sécurité 2, à Wuhan, des recherches qui demandaient un niveau de sécurité 4.Cinquième certitude: l’Armée chinoise se serait bien passée de la publicité faite au laboratoire de Wuhan puisqu’elle y menait, en lien avec la recherche civile, une recherche sur les armes biologiques du futur. 
  121. L’article très raisonné et persuasif, du journaliste Nicholas Wade a marqué la prise de conscience de la manipulation virale. Bien que l’auteur ait passé plus de quatre décennies comme grand reporter scientifique au New York Times et dans d’autres grands médias, son travail a été discrètement publié le 2 mai sur le site de blogs Medium, sans aucun soutien ni imprimatur prestigieux, puis republié le 5 mai par le site à faible trafic du Bulletin of Atomic Scientists. On pourra aussi lire L’origine du Covid: retournement orwellien et pétard mouillé
  122. Des virologues affirment que des “empreintes” génétiques prouvent que le COVID-19 est d’origine humaine et qu’il n’a pas d’ancêtre naturel crédible. Bref résumé : l’étude suggère que des scientifiques chinois ont créé le virus alors qu’ils travaillaient sur un projet de gain de fonction dans un laboratoire de Wuhan.La recherche sur le gain de fonction, qui a été temporairement interdite aux États-Unis, consiste à modifier des virus naturels pour les rendre plus infectieux afin d’étudier leurs effets potentiels sur l’homme.Selon l’article, les scientifiques chinois ont pris la « colonne vertébrale » d’un coronavirus naturel trouvé chez les chauves-souris des grottes chinoises et y ont ajouté une nouvelle « pointe », le transformant en COVID-19, un virus mortel et hautement transmissible.Les chercheurs, qui ont conclu que le COVID-19 « n’a pas d’ancêtre naturel crédible », pensent également que les scientifiques ont procédé à une rétro-ingénierie des versions du virus pour brouiller les pistes.« Nous pensons que des virus de rétro-ingénierie ont été créés », a déclaré Dalgleish au DailyMail.com. Ils ont modifié le virus, puis ont essayé de faire croire qu’il était dans une séquence il y a des années ».L’étude fait également état de « destruction, dissimulation ou contamination délibérée de données » dans les laboratoires chinois et note que « les scientifiques qui souhaitaient partager leurs découvertes n’ont pas pu le faire ou ont disparu ».Jusqu’à récemment, la plupart des experts ont fermement nié que les origines du virus étaient autre chose qu’une infection naturelle passant des animaux aux humains.En début de semaine, le Dr Anthony Fauci a défendu le financement américain de l’Institut de virologie de Wuhan, affirmant que la subvention de 600 000 dollars n’avait pas été approuvée pour la recherche sur le Gain de Fonction. 
  123. Voir Covid-19 : l’origine du virus – L’analyse du Pr Tritto confirme celle du Pr Montagnier. Un livre polémique vient de sortir en Italie sur les origines de ce virus qui a bouleversé le monde au cours des six derniers mois. Le professeur Luc Montagnier, décrié dans les médias en avril dernier, voit son affirmation selon laquelle le virus était le résultat d’une manipulation humaine s’étant échappé (accidentellement) du laboratoire de Wuhan, aujourd’hui reprise dans ce livre.  Nous retraçons les évènements et les extraits d’une interview de l’auteur du livre, le Pr Tritto, dans le média italien Libero.Le 17 avril 2020, sur Cnews, le professeur Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine en 2008 pour sa participation à la découverte du virus responsable du sida, confirmait sa déclaration que le SARS-CoV-2 est une fabrication humaine. « Nous en sommes arrivés à la conclusion qu’il y a eu une manipulation sur ce virus. Une partie, je ne dis pas le total. Il y a un modèle qui est le virus classique, mais auquel on a ajouté par-dessus des séquences du VIH » « Ce n’est pas naturel, c’est un travail de professionnel, de biologiste moléculaire, d’horloger des séquences. Dans quel but ? Une de mes hypothèses est qu’ils ont voulu faire un vaccin contre le sida »Le Pr. Montagnier fait sa démonstration le 30 Juillet 2020 dans un article paru sous contrôle de pairs, et qui ne sera jamais cité dans les autres revues —autocensure et omerta— ni les merdias. En résumé : « L’analogie suivante permet d’illustrer cette conclusion : imaginons un puzzle principal « coronavirus » de 30 000 pièces et après plusieurs autres puzzles de 9000 pièces chacun que nous appellerons VIH 1, VIH 2 et SIV (rétrovirus proche du VIH-2 dont la cible est le singe). La preuve mathématique démontrée, peut être illustrée de la manière suivante : dans le puzzle de 30 000 pièces, à un endroit précis se trouvent trois pièces contiguës (côte à côte) issues chacune de l’un des trois autres puzzles. La probabilité que ce résultat soit naturel est nulle. » 
  124. Un ancien communiste chinois, Wei Jingsheng affirme que le SARS-Cov2 a été inoculé volontairement lors des Jeux Militaires Internationaux qui ont eu lieu à Wuhan en octobre 2019. Dans le documentaire de Sky News intitulé « What Really Happened in Wuhan », l’ancien communiste chinois a déclaré que le gouvernement de Pékin aurait profité des Jeux mondiaux militaires pour répandre le virus.Cet événement a réuni 9.000 athlètes en provenance de différents pays du monde en octobre 2019, soit deux mois avant la déclaration officielle de l’existence du virus. Par ailleurs, cette rencontre sportive s’est tenue dans la ville de Wuhan, le premier foyer de l’épidémie.A l’époque, toujours selon M Jingsheng, les participants à l’évènement, notamment les athlètes allemands, français et américains, ont été atteints d’une maladie mystérieuse. Ils présentaient les symptômes du Covid-19 mais n’ont jamais fait l’objet d’un test. Voir aussi l’article de Mail Online
  125. Voir l’incontournable article de Eric Verhaeghe. « Dans ce troisième volet de l’enquête, nous allons voir comment l’Occident, Etats-Unis et France en tête, portent une lourde responsabilité dans l’émergence du COVID-19. Cela ne dédouane en rien la Chine communiste de sa responsabilité première et principale dans les origines et la diffusion de la pandémie. Cependant, c’est bien la recherche occidentale qui a permis à la chercheuse Shi Zhengli, de Wuhan, de devenir le Frankenstein de cette histoire, à qui sa créature monstrueuse a échappé. » 
  126. Ces machinations furent dénoncées en France par le Pr. Fourtillan qui s’est retrouvé emprisonné arbitrairement, hospitalisé de force en hôpital psychiatrique —les vieilles recettes soviétiques fonctionnent toujours. Voir sur Qactus. Le Pr. Montagnier a aussi été l’un des premiers à monter l’origine artificielle du virus avant d’être enseveli sous des torrents de calomnies de la part des merdias officiels, ses vidéos effacées de tous les supports comme Facebook. 
  127. Voir https://denisbider.blogspot.com/2021/07/dr-david-martin-with-reiner-fuellmich.htmlLes découvertes fondamentales réalisées par le Dr. David Martin au sein de son entreprise M-CAM. L’interview par Robert Füllmich montre que plus de 4000 brevets ont été déposés sur le Coronavirus et le SARS. Martin a comparé les enregistrements de brevets disponibles au printemps 2020 avec la séquence de gènes isolée en tant que nouveau virus défini comme tel par le Comité international sur la taxonomie des virus de l’OMS. Son équipe a ainsi trouvé plus de 120 éléments de preuve brevetées qui suggèrent qu’il ne s’agit en rien d’un nouveau coronavirus mais au contraire d’innombrables modifications très subtiles des séquences de coronavirus. Il n’y a donc pas en tant que tel de nouveau coronavirus identifié.../../../Downloads/david%20martin.png Le premier vaccin jamais breveté contre le coronavirus a été déposé par Pfizer et comprenait spécifiquement la protéine Spike « S » – cette même protéine qui aurait été inventée à la hâte. La première demande a été soumise le 28 janvier 2000.L’idée que l’on soit mystérieusement tombés sur le moyen de trouver si rapidement des vaccins n’est pas seulement ridicule, elle est carrément inconcevable. Le 28 janvier 2000, Timothy Miller, Sharon Klepfer, Albert Paul Reed et Elaine Jones ont déposé ce qui a finalement été publié sous le nom de brevet américain 6372224, à savoir le vaccin à protéine Spike contre le coronavirus canin.Le SARS n’est en rien l’évolution naturelle d’une modification zoogène du coronavirus. En 1999, Anthony Fauci a financé des recherches à l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill. À partir d’une demande de brevet déposée le 19 avril 2002, le NIAID a construit un coronavirus infectieux à réplication défectueuse ciblant l’épithélium pulmonaire humain. En d’autres termes, nous avons créé le SARS et nous l’avons breveté avant même qu’il n’y ait une prétendue épidémie en Asie, qui a suivi plusieurs mois après. Ce brevet américain 7279327 expose clairement dans un séquençage génétique très spécifique que nous connaissions le récepteur ACE, le domaine de liaison ACE-2, la protéine Spike S1 et d’autres éléments du Covid-19. Il a été conçu et transformé de manière synthétique en laboratoire à l’aide des technologies de séquençage des gènes, en prenant un code informatique pour le transformer en un agent pathogène ou en un intermédiaire d’agent pathogène. Au début, cette technologie a été financée exclusivement comme un moyen d’exploiter le coronavirus comme vecteur pour distribuer le vaccin contre le VIH.À l’automne 2001, M-CAM a commencé à surveiller un nombre énorme d’agents pathogènes bactériens et viraux qui étaient brevetés par le NIH, le NIAID, l’USAMRIID et d’autres agences internationales. Ils étaient préoccupés par le fait que le coronavirus était considéré non seulement comme un agent manipulable potentiel pouvant être utilisé comme vecteur de vaccin, mais aussi comme un candidat à l’arme biologique.La prétendue épidémie de SARS qui a eu lieu en Chine en 2002-2003 a donné lieu à un dépôt de brevet problématique en avril 2003 par le CDC américain. Celui-ci a déposé une demande de brevet sur la séquence génétique complète de ce qui est devenu le coronavirus du SARS, ce qui constitue une violation de la section 101 de l’article 35 USC — on ne peut pas breveter une substance naturelle. Il s’agissait du brevet 7220852, avec des brevets dérivés, notamment les brevets 46592703p et 7776521. Ces brevets couvraient également les moyens de détection du coronavirus par RT-PCR.Cela pose problème car celui qui possède à la fois le brevet sur le gène lui-même et sur sa détection possède du même coup l’avantage de pouvoir contrôler à 100% la provenance non seulement du virus lui-même mais aussi sa détection. Vous avez un contrôle total de l’aspect scientifique et de la communication.Ce brevet demandé par le CDC a été prétendument justifié par son équipe de relations publiques dans le but de permettre à tout le monde de faire des recherches sur le coronavirus. C’est un mensonge car l’office des brevets a rejeté à deux reprises le brevet sur la séquence du gène comme étant non brevetable – l’office des brevets a trouvé une identité de 99,9% avec le coronavirus déjà existant dans le domaine public. Malgré le rejet de l’examinateur de brevets, et après avoir dû payer une amende en appel en 2006 et 2007, le CDC a passé outre le rejet de l’office des brevets et a finalement obtenu en 2007 le brevet sur le coronavirus du SARS.Toutes les déclarations du CDC selon lesquelles il s’agissait de l’intérêt public sont démenties par le pot-de-vin qu’il a lui-même versé à l’office des brevets. Le CDC a payé une taxe supplémentaire pour que leur demande reste privée. Les fact checkers ont déclaré à plusieurs reprises que le nouveau coronavirus SARS-CoV-2 est distinct du brevet des CDC. La séquence génétique déposée par les CDC en 2003, 2005 et 2006 présente une identité dans 89 à 99 % de la séquence qui recouvre le SARS-CoV-2. La désignation principale du coronavirus du SARS et le sous-clade SARS-CoV-2 doivent se chevaucher d’un point de vue taxonomique.Le 28 avril 2003, Sequoia Pharmaceuticals, situé dans le Maryland, a déposé le brevet américain 7151163 sur les agents antiviraux pour le traitement et le contrôle des infections par coronavirus. C’était 3 jours après que le CDC ait déposé le brevet sur le coronavirus du SARS. Sequoia Pharmaceuticals et, en fin de compte, Ablynx Pharmaceuticals, ont été intégrés dans les fonds propres de Pfizer, Crucell et Johnson & Johnson. Comment peut-on avoir un brevet sur un traitement pour une chose qui a été inventée 3 jours plus tôt ?Le brevet de Sequoia sur le traitement du coronavirus a été délivré et publié avant que le brevet du CDC sur le coronavirus ne soit autorisé. La seule façon pour Sequoia de connaître les informations contenues dans le brevet du CDC était par un moyen interne, car le CDC avait payé pour garder le secret. C’est la définition même de la conspiration criminelle, du racket et de la collusion. Ce n’est pas une théorie, c’est une preuve. C’est une affaire RICO.Le schéma RICO établi en avril 2003 pour le premier coronavirus s’est déroulé selon le même calendrier pour le SARS-CoV-2. Moderna a obtenu la séquence de la protéine spike par téléphone auprès du centre de recherche sur les vaccins du NIAID avant la définition de la nouvelle sous-classe. Comment traite-t-on une chose avant de la connaître ?Le 5 juin 2008, soit à peu près au moment où la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency (« Agence pour les projets de recherche avancée de défense) s’est intéressée activement au coronavirus en tant qu’arme biologique, Ablynx, qui fait maintenant partie de Sanofi, a déposé une série de brevets visant ce que l’on nous a dit être de nouvelles caractéristiques du SARS-CoV-2. Ils visaient le site de clivage polybasique du SARS-CoV, la nouvelle protéine de pointe et le domaine de liaison du récepteur ACE-2. Ces éléments sont prétendument nouveaux pour le SARS-CoV-2, et tous ont été brevetés le 5 juin 2008. Les brevets ont été délivrés entre le 24 novembre 2015 (brevet américain 9193780 ; celui-ci a été délivré après le moratoire sur la recherche sur le gain de fonction, après l’épidémie de MERS au Moyen-Orient), suivi en 2016, 2017, 2019 par une série de brevets couvrant non seulement les brins d’ARN mais aussi les sous-composants des brins de gènes, tous délivrés à Ablynx et Sanofi.Crucell, Rubius Therapeutics, Children’s Medical Corporation, et de nombreux autres, dont la Ludwig Maximilian’s Universität de Munich, Protein Science Corporation, le Dana Farber Cancer Institute, l’Université de l’Iowa, l’Université de Hong Kong, le Chinese National Human Genome Center de Shanghai, tous identifiés dans des dépôts de brevets allant de 2008 à 2017, chaque attribut étant prétendument publié de manière unique par la seule publication de référence «The Novel Bat Coronavirus», l’article qui a été systématiquement utilisé pour identifier le nouveau virus.Si vous regardez réellement ce qu’ils déclarent être nouveau, vous trouvez 73 brevets délivrés entre 2008 et 2019 qui ont les éléments qui étaient prétendument nouveaux dans le SARS-CoV-2. Plus précisément, le site de clivage polybasique, le domaine de liaison du récepteur ACE-2 et la protéine spike.Il n’y a pas eu d’épidémie de SARS parce que nous avions modifié tous les éléments de ce virus. En 2016, un article de Ralph Baric a été financé pendant le moratoire sur le gain de fonction, disant que le coronavirus du SARS était prêt pour l’émergence humaine. À ce moment-là, non seulement il était prêt pour l’émergence humaine, mais il avait été breveté 73 fois pour une exploitation commerciale !Les gens de Moderna savaient qu’ils allaient être placés en première ligne du développement d’un vaccin en mars 2019. À ce moment-là, pour des raisons qui ne sont pas transparentes, ils ont modifié une série de dépôts de brevets rejetés pour faire spécifiquement référence à une libération délibérée ou accidentelle de coronavirus. Ils ont modifié 4 demandes de brevet rejetées pour commencer le processus de développement d’un vaccin contre le coronavirus. Ensuite, ils ont commencé à s’attaquer à un problème de taille, à savoir qu’ils s’appuyaient sur une technologie qu’ils ne possédaient pas. Deux entreprises canadiennes, Arbutus et Acuitas, détiennent en fait le brevet sur l’enveloppe de nanoparticules lipidiques nécessaire à l’injection du fragment d’ARNm. Ces brevets ont été délivrés au Canada, aux États-Unis et dans le monde entier. Moderna ne possédait pas les droits et a commencé à négocier avec Arbutus et Acuitas pour obtenir une résolution de la technologie LNP disponible pour l’intégrer dans un vaccin. En novembre, la société a conclu un accord de coopération en matière de recherche et développement avec l’UNC Chapel Hill en vue d’obtenir la protéine Spike à placer à l’intérieur du LNP, de sorte qu’elle disposait d’un candidat-vaccin avant même qu’un agent pathogène ne soit prétendument en circulation.Leur procédure régulière est similaire à celle d’autres sociétés pharmaceutiques, où les demandes sont renouvelées et modifiées en permanence pour bénéficier des premières dates de priorité disponibles. De 2016 à 2019, à chacune des réunions du conseil consultatif du NIAID, Anthony Fauci se lamentait de ne pas avoir réussi à trouver un moyen de faire accepter le vaccin universel contre la grippe, qui était sa cible favorite pour amener la population à s’engager dans ce processus…En mars 2019, dans les dépôts de brevets modifiés de Moderna, nous voyons apparaître une pensée illluminante : «Et s’il y avait une libération accidentelle ou intentionnelle d’un pathogène respiratoire ?» La phrase est exactement récitée dans le livre A World at Risk, qui est le scénario mis en place par l’OMS en septembre 2019 – des mois avant qu’il y ait un pathogène présumé – qui dit : «Nous avons besoin d’une expérience mondiale coordonnée de la libération d’un pathogène respiratoire, qui, d’ici septembre 2020, doit mettre en place une capacité universelle de gestion des relations publiques, de contrôle des foules et d’acceptation d’un mandat universel de vaccination.» Le langage d’une libération intentionnelle d’un pathogène respiratoire a été écrit dans le scénario qui «doit être achevé d’ici septembre 2020» dans la déclaration unifiée du Global Preparedness Monitoring Board. Un certain nombre de personnes s’en sont attribuées le mérite, puis ont fait marche arrière.Toute affirmation selon laquelle cet agent pathogène est en quoi que ce soit unique ou nouveau s’effondre sur les séquences génétiques réelles qui sont publiées dans le dossier de brevet. Plus grave encore, Peter Daszak lui-même déclare que nous devons créer un battage médiatique pour que le public accepte la contre-mesure médicale que constitue un vaccin contre le pan-coronavirus. Ce qui est le plus ridicule, c’est que l’OMS a déclaré que le coronavirus n’avait plus d’intérêt – que nous avions éradiqué le coronavirus en tant que préoccupation. Alors pourquoi, après l’avoir éradiqué en 2007 et 2008, avons-nous commencé à dépenser des milliards de dollars dans le monde pour un vaccin contre une maladie qui avait été éradiquée par déclaration en 2008 ?Cette arme biologique était considérée comme très malléable. En 2005, c’était incontestablement une arme de choix. L’illusion dans laquelle nous continuons à voir des personnes bien intentionnées se faire piéger consiste à discuter de la question de savoir si nous disposons d’un vaccin contre un virus. Ce n’est pas le cas. Nous injectons une séquence ARNm de protéine de pointe qui est le résultat d’une simulation informatique, non dérivée de la nature, d’une séquence qui est connue et brevetée depuis des années.La nature ridicule de l’histoire selon laquelle il s’agirait d’un traitement prophylactique ou préventif va à l’encontre de toutes les preuves. Les preuves montrent clairement qu’aucune société pharmaceutique n’a fait d’efforts pour combattre le virus. Il s’agit d’injecter aux gens la protéine Spike S1, connue pour être nocive
  128. Un mot ici sur le concept de predictive programming qui consiste à faire passer les idées du développement mondialiste dans le monde courant. Il s’agit d’utiliser les émissions de télévision, les films, les bandes dessinées, les magazines, l’Internet bien sûr, les chansons, les animateurs, le ténors du genre Attali, etc. pour mettre dans la tête des masses l’idée d’un sujet spécifique. Puis, des années plus tard, le sujet devient réalité. C’est une méthode de lavage de cerveau, de sorte que lorsque les temps sont mûrs, il n’y a plus aucune difficulté à accepter l’idée comme normale. Bertrand Russell, HG Wells, et la famille Huxley sont de parfaits exemples —je passe ici tout ce qui concerne les Black Lives Matter ou même les Antifas — voir The Quad, S02.Les simulations diverses issues des grandes fondations jouent le même rôle. La « Rockefeller Foundation » nous prévient ainsi du maintien sous ferme contrôle de la population même après que l’épidémie soit terminée : “Even after the pandemic faded, this more authoritarian control and oversight of citizens and their activities stuck and even intensified. In order to protect themselves from the spread of increasingly global problems — from pandemics and transnational terrorism to environmental crises and rising poverty — leaders around the world took a firmer grip on power (p.19)”Les Protocoles des sages de Sion : quel qu’en soit l’auteur, les Protocoles ne font jamais qu’envisager la prise de pouvoir souterraine par une caste déterminée, tout en reprenant des idées qui étaient dans l’air du temps à la fin du 19ème siècle. Après tout, la démocratie ne serait-elle pas un masque et un moyen transitoire permettant d’instaurer une forme de despotisme d’origine orientale. C’était là, en tout cas, chose que pressentait le marquis de Custine, dans ses Lettres de Russie, dès la première moitié du 19ème siècle. La pertinence du texte écrit voici au moins cent ans laisse pantois : tout ce qui nous arrive aujourd’hui semble y être décrit. Je laisse au lecteur le soin de creuser cette piste qui sort de ma compétence.Dans La machine à explorer le temps (1895) HG Wells décrit le monde du futur où les habitants de la planète sont séparés en deux groupes, les Morlocks vivant sous terre et les Eloïs profitant du paradis qu’est devenu la Terre.Dans Le Meilleur des mondes (1932) Aldous Huxley a gratifié le monde d’une fiction visionnaire qui se rapproche de la réalité. L’esprit du livre a inspiré des générations entières de romanciers et de philosophes. Sexe, drogue, sécurité, loisirs, manipulation : Aldous Huxley avait tout compris. Serge Carfantan écrit un résumé de la pensée d’Aldous en 2007 —intitulé « Leçon 163 : Sagesse et révolte » :« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. […]Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste.Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée.Surtout pas de philosophie. Là encore il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des informations et des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif.On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique.Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser.On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains.Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté : de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. »Les films : Songbird qui évoque à peu près tout depuis la pandémie, au port obligatoire des masques et la passe sanitaire ; L’armée des 12 singes avec la dissémination volontaire d’un virus mortel ; The Crossing, on y parle d’un virus pandémique qui a été libéré dans le monde deux ans dans le futur et qui s’est répandu dans le présent. Bien sûr, on cite les vaccins toxiques et la mise en quarantaine également. Cette série est sortie en 2018, bien avant cette pandémie. 
  129. Voir ici, l’article de l’Obs glorifie Gates qui a prévu la pandémie alors qu’elle était planifiée depuis le début des années 2000. 
  130. Dès le mois d’Octobre 2019, la simulation Event 201 tenue à l’Université Johns Hopkins en présence du gratin mondialiste, étudiait l’impact d’une pandémie au coronavirus. Quand on possède tout, il n’est même plus besoin de se cacher pour comploter. Gates a par la suite osé prétendre qu’il n’était pas présent à la réunion. La lecture des recommandations ne manque pas de sel quand on connaît le niveau de corruption et d’interpénétration des toutes les instances citées. « Industry, national governments, and international organizations should work together » et « Governments and the private sector should assign a greater priority to developing methods to combat mis- and disinformation” pour ne citer que ces deux-là. 
  131. Voir le reportage ahurissant sur ce triste sire, qui a triplé sa fortune depuis qu’il est devenu « philanthrope. » Le bon Gates annonçait il y a 6 ans la survenue d’une épidémie mondiale avec un virus proche de la grippe. 
  132. Vous pouvez l’écouter ici dans une version plus « soft » que la vidéo d’origine où il s’exprime de manière très excitée avec de grands gestes simiesques. 
  133. Discours de Bill Gates, « Innover vers zéro » à la conférence annuelle TED2010 à Long Beach en Californie, le 18 février 2010. Ce dernier déclare vers la minute 4, Gates déclare : « Voyons d’abord la population. Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards de gens. Il se dirige vers environ 9 milliards. Or, si nous faisons un excellent travail sur de nouveaux vaccins, soins de santé, services de santé génitrice (reproductive), nous abaissons cela de 10 ou 15 pour cent. »../../../Desktop/Capture%20d’écran%202021-10-26%20à%2011.34.53.png 
  134. Aujourd’hui, nous remarquons que la crise sanitaire mobilise dans un accord presque parfait pouvoir politique, médias, administration, partis politiques, syndicats, institutions scolaires, institutions culturelles, religions… tous suivant comme un seul homme le pouvoir, sans esprit critique. Mais le plus important c’est la formidable manipulation des esprits dont nous sommes victimes. Les ingénieurs sociaux du communisme instrumentalisaient les crises et les fléaux, dramatisaient sciemment pour maintenir les individus dans l’anxiété permanente et obtenir une soumission accrue. L’instrumentalisation des pénuries, le soupçon permanent de complot qui était dénoncé, la dramatisation de l’épidémie… étaient des pratiques courantes pour tenir les masses par la peur, les rendant totalement dépendantes de l’Etat nourricier. 
  135. Voir l’interview de Marion Maréchal Le Pen : «Chaque Européen se verra attribuer une identité numérique qui contiendra toutes nos informations sociales, fiscales, bancaires et sanitaires pour mieux nous contrôler » 
  136. Citons ici l’essai de Sir Julian Huxley qui a inventé le terme de transhumanisme et fondé l’UNESCO : « La qualité des personnes et non la seule quantité est ce que nous devons viser : par conséquent, une politique concertée est nécessaire pour empêcher le flot croissant de population de submerger tous nos espoirs d’un monde meilleur ». 
  137. Le terme « transhumanisme » remonte aux années 1950, mais sa popularisation date des années 1990, lorsque les chercheurs commencent à cerner les promesses de la convergence NBIC : les nanotechnologies (N), la biologie (B), l’informatique (I) et les sciences cognitives (intelligence artificielle et sciences du cerveau -C) progressent et convergent de façon explosive. Le désir d’immortalité est au cœur de cette nouvelle religion qui prend la suite du scientisme et du positivisme. Seule la vision allopathique industrielle d’un homme composé d’organes permet d’asseoir ce nouveau délire, permettant déjà tous les trafics de fœtus via des constellations d’ONG.L’inventeur et propagandiste du transhumanisme est Sir Julian Huxley (1887-1975), biologiste de haut niveau, premier directeur de l’Unesco et cofondateur du WWF. Le mot « eugénisme » étant devenu sulfureux après les horreurs nazies, Julian Huxley inventa donc, en 1957, un néologisme synonyme d’eugénisme de gauche, le « transhumanisme ». Son frère Aldous Huxley (1894-1963) écrira « Le meilleur des mondes » décrivant la société eugéniste idéale en 1931. C’est l’un des nombreux exemples de predictive programming qui permet d’annoncer la direction que doit prendre le monde sous l’égide mondialiste. 
  138. Songeons que le Prince Philip demandait à se réincarner en virus particulièrement meurtrier. La surpopulation est l’un des thèmes récurrents des mondialistes. 
  139. Nous insérons ci-contre l’illustration de la page de couverture de « The Economist » de Mai 21 annonçant la future monnaie numérique qui nous sera servie après l’effondrement économique —il est probable que dès la rentrée les fonds de pension en faillite amèneront les gouvernants à annoncer la suite du programme. Ce qui est lassant avec les mondialistes, c’est leur côté « tradi » comme le dit si bien Pierre Hillard (voir une excellente conférence ici). Ils utilisent toujours les mêmes symboles : à gauche le temple, à droite l’œil qui sort des nuées au sommet de la pyramide (tout comme sur le billet de 1 dollar), la lettre G qui est celle des compagnons au second grade maçonnique. Comme rien n’est dû au hasard chez ces gens, il faut aussi remarquer la puce rectangulaire placée au milieu de la lettre G. Cela pourrait être une référence à peine voilée au contrôle des populations grâce à des implants, en coupe sagittale en effet le mésencéphale ressemble à la lettre G. Pour terminer, ce n’est même plus en Dieu que nous avons confiance mais dans la technologie.Nous nous souviendrons que les millionnaires veulent faire de l’argent, les milliardaires veulent faire l’histoire. Mais les multi-milliardaires vont plus loin dans leur délire de démiurges : ils veulent que l’humanité s’adapte à leurs besoins et à leurs souhaits. Quant aux personnes qui contrôlent des milliards et des milliards, eh bien, elles se soucient de nos souhaits autant que nous nous soucions des fourmis en balayant le jardin. 
  140. En tant qu’idéologie, la technocratie exalte la connaissance et l’expertise en tant que principales sources de pouvoir et d’autorité légitimes et pour affirmer qu’il existe « une meilleure façon de faire » que seuls les « experts » (par exemple, les ingénieurs, les scientifiques et les médecins) peuvent déterminer. 
  141. Voir la fameux brevet 060606 —troublante référence à l’Apocalypse de Jean— de Microsoft en vue de créer une monnaie numérique intégrée corporellement, sans doute testée au Rwanda. Un article intéressant ici
  142. Voir à cet égard le discours prophétique de Soljenitsyne à Harvard sur la perte du courage en Occident et la folie de détruire les murs porteurs de nos sociétés. Historiquement le meurtre de Louis XVI marque la première atteinte à l’image du père, qui incarne symboliquement la loi. Le mouvement s’est poursuivi jusqu’à nos jours où toutes les qualités viriles sont systématiquement niées au profit par exemple de notions délirantes comme la théorie du genre. 
  143. Comme le rappelle Eric Verhaeghe, immigration et libertés ne font qu’un seul et même sujet : « sont les deux faces d’un seul et même projet de dilution de l’Occident dans un grand tout mondialisé, servile et formaté pour les besoins d’un nouveau capitalisme de connivence ». « Le spéculateur américano-hongrois Soros, élève de Karl Popper, a créé une fondation qui prétend renverser, ou aider au renversement, des sociétés “traditionnelles”, c’est-à-dire des bons vieux Etats-nations occidentaux. Pour diluer leur identité, Soros n’a pas hésité à financer abondamment les ONG qui organisent la crise migratoire. Son projet est clair et assumé : il s’agit de diluer les vieilles résistances nationales en Europe, et de promouvoir un “activisme inclusif” grâce auquel nos sociétés ne feraient plus aucune distinction entre les individus, soit sur des critères culturels, ou ethniques, ou de genre. Dans cette vision de la société ouverte, l’obligation vaccinale, le passe sanitaire, le crédit social, la peur de la maladie, jouent des rôles essentiels. »Jeune Juif « adopté » par un SS, échappant ainsi au massacre généralisé, il est indéniable avec un tel bagage que Soros ne s’en est pas sorti indemne psychologiquement… 
  144. Notre amie, le Dr. Astrid Stuckelberger a réalisé un tour d’horizon de la corruption concernant l’OMS dans l’article ici. Elle souligne à juste titre le statut exceptionnel du GAVI, comparable à la BRI (Banque des Ressources Internationales, qui a servi à la City de New York à faire passer de nombreux brevets à l’Allemagne nazie jusque fin 1944). Ces deux institutions fonctionnent comme un état dans l’état : intouchables et inattaquables. 
  145. Gates a même envahi l’un des derniers bastions de résistance scientifique dans la médecine officielle en prenant le contrôle de Cochrane
  146. Le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus. L’OMS —qui s’est illustrée pour sa gestion lamentable de l’épidémie si son but était l’intérêt des malades— n’est pas une organisation internationale œuvrant pour le bien de l’humanité, mais plutôt un organe accaparé par quelques groupes d’intérêt, où domine Bill Gates. Personne n’en parle mais la corruption systémique de l’OMS est telle que 200 millions de dollars sont dépensés chaque année en frais de voyage, ce qui représente plus que les crédits alloués à la lutte contre le sida. Tedros, constitue l’exemple type de ces hommes « moyens » comme on a décrit la plupart des nazis jugés à Nuremberg. Élu en 2017 à la tête de cette organisation désormais mafieuse, il a été membre du CA du Global Fund de 2009 à 2011, et président du conseil de la GAVI vaccine Alliance en 2008-2009 avant d’être élu à la direction de l’OMS. Signe que ces crapules n’ont plus la moindre limite : il avait nommé à son arrivée à l’OMS… Robert Mugabe comme ambassadeur de bonne volonté ! Le Guardian nous explique en 2015 que : A partir de janvier 1983, une campagne de terreur a été menée contre le peuple Ndebele au Matabeleland, dans l’ouest du Zimbabwe. Les soi-disant massacres de Gukurahundi appartiennent à la période la plus sombre de l’histoire post-indépendance du pays, lorsque plus de 20 000 civils ont été tués par la redoutable cinquième brigade de Robert Mugabe.Le bon Tedros, accusé de crime contre l’humanité, est le premier non-médecin à diriger l’OMS. Tedros est membre du « Front de libération du peuple tigré » (TPLF), une organisation terroriste, fondée en tant que parti révolutionnaire communiste, ceci explique sans doute l’extase qu’il manifeste pour le Parti communiste chinois au pouvoir. Au programme : traque des dissidents, camouflage d’épidémie de choléra, famine organisée, torture sur prisonniers politiques, vente de terrains éthiopiens à des firmes internationales prix bradés, répression brutale de manifestations (500 morts), j’en passe et des meilleures. Encensé par les médias complices, ce gibier de potence doit son élection à la Fondation Bill et Melinda Gates qui a su utiliser le processus labyrinthique de nomination dans l’Organisation. 
  147. Pour compléter le tour d’horizon au sujet de cette pourriture de Tedros, je recommande au lecteur la visite du blog de l’inestimable Liliane Held-Khawam
  148. Seule la Russie a inscrit l’an passé dans sa constitution que les lois nationales passent avant les lois internationales. Un véritable pied de nez aux institutions supra-nationales mondiales. Il semble que la liberté se trouve désormais de l’autre côté de l’ancien « Mur ». 
  149. Il est difficile de se représenter l’interpénétration de toutes ces instances. Il existe des liens étroits entre des organisations et des entreprises comme la Fondation Rockefeller, Microsoft, le lobby pharmaceutique et le groupe de la Banque mondiale, sans parler des prestataires de services secondaires. 
  150. La quasi-totalité de Big Pharma apparient à deux sociétés : Vanguard et BlackRock. Vanguard et BlackRock sont les deux principaux propriétaires de Time Warner, Comcast, Disney et News Corp, quatre des six sociétés de médias qui contrôlent plus de 90 % du paysage médiatique américain.BlackRock et Vanguard forment un monopole secret qui possède à peu près tout ce que vous pouvez penser. Au total, ils détiennent des participations dans 1 600 entreprises américaines, dont les revenus combinés s’élevaient à 9,1 milliards de milliards de dollars en 2015. Si l’on ajoute le troisième plus grand propriétaire mondial, State Street, leur propriété combinée englobe près de 90 % de toutes les entreprises du S&P 500.Vanguard est le principal actionnaire de BlackRock. Vanguard lui-même, d’autre part, possède une structure unique qui rend sa propriété plus difficile à discerner, mais beaucoup des familles les plus anciennes et les plus riches du monde peuvent être sourcées aux fonds Vanguard. 
  151. L’un des premiers objectifs des mondialistes fut d’abattre l’Ancien Régime. La ‘Révolution française’ a fait plus de morts en un mois au nom de l’athéisme que l’Inquisition au nom de Dieu pendant tout le Moyen-Âge et dans toute l’Europe. Ce fait a été démontré par un historien sérieux (et protestant), Pierre Chaunu. On en retrouve l’analyse dans le quatrième numéro hors-série de L’Homme Nouveau consacré à quelques mythes de l’histoire antichrétienne, dont l’Inquisition. Un ensemble d’extraits de cette analyse est ici.C’est Voltaire et le cher Jean-Jacques qui ont pour la première fois introduit la notion d’enrichissement illimité alors que le roi, tenu par la religion, n’aurait jamais osé rêver un tel scénario qui rendit possible l’émergence de la bourgeoisie puis des industriels. Voir absolument La Laïcité, mère porteuse de l’islam, par Odon Lafontaine, l’ouvrage de référence sur ces sujets. 
  152. Je suggère au lecteur d’entreprendre la lecture barbante mais éclairante du torchon fameux de Klaus Schwab intitulé Le Grand Reset. Pour gagner du temps, cet article pourra vous intéresser. Beaucoup des mondialistes sont d’obédience gnostique, en tant que tels ils adorent semer la confusion, notamment en tentant d’inverser les causes et les conséquences. On voit ici Schwab admettre en p222 que la pandémie est la moins mortelle que l’humanité n’ait jamais connue, ce qui ne l’empêche pas d’utiliser cette opportunité pour vouloir façonner le monde selon ses vues. 
  153. Voici l’arbre généalogique de Schwab, juste histoire de nous donner une vague idée de l’interpénétration de tous les acteurs de la crise actuelle. 
  154. Voir Glaser, A. (2020, July 8). Thousands of contracts highlight quiet ties between Big Tech and U.S. military. NBC News. https://www.nbcnews.com/tech/tech-news/thousands-contracts-highlight-quiet-ties-between-big-tech-u-s-n1233171Voir Usdin, S. (2020, March 19). DARPA’s gambles might have created the best hopes for stopping COVID-19. BioCentury. https://www.biocentury.com/article/304691/darpa-jump-started-technologies-behind-some-of-the-leading-covid-19-vaccine-and-antibody-hopes
  155. Ces organisations criminelles ont déjà été condamnées à de nombreuses reprises à payer des sommes énormes, qui ne sont qu’une goutte d’eau dans leur budget : 3,75 milliards pour GlaxoSmithKline ; 3,3 milliards pour Pfizer, etc. Voir la liste officielle de la FDAViolation Tracker Agency Summary Page, qui totalise 19, 5 milliards d’amendes au total. 
  156. Wood, P. M. (2018). Technocracy: The Hard Road to World Order. Mesa, AZ: Coherent Publishing, LLC.Fitts, C. A. (2019). Will ESG Turn the Red Button Green? The Solari Report.Fitts, C. A. (2020a). The State of Our Currencies: The End of Currencies. The Solari Report.Fitts, C. A. (2020b, May 27). The injection fraud – It’s not a vaccine. The Solari Report.Schinder, R. J. (2020, January 26). The Davos crowd embraces big global government. The Wall Street Journal.Schumacher, K. (2020, March 14). Technocracy and sustainable development. Redoubt News.White, J. (2020, April 27). Technocracy after COVID-19. Boston Review
  157. Voir les révélations de Martin Füllmich et du Dr. David Martin dans cette vidéo historique. David E. Martin est le fondateur et le président de M-CAM Inc, le leader international du financement de l’innovation, du commerce et des actifs incorporels. Il est le créateur du premier indice quantitatif d’actions publiques basé sur l’innovation et est l’associé directeur des Purple Bridge Funds. Il est le créateur du premier indice quantitatif d’actions publiques au monde – le CNBC IQ100 alimenté par M-CAM. Activement engagé dans le développement économique éthique mondial, le travail du Dr Martin comprend l’ingénierie financière et l’investissement, les conférences publiques, l’écriture et la fourniture de services de conseil financier à la majorité des pays du monde. Le Dr Martin est l’architecte et le fondateur du Global Innovation Commons et l’auteur du cadre juridique international des programmes Heritable Knowledge Trust et Heritable Innovation Trust. Il est à l’origine de programmes mondiaux visant à apporter la transparence des entreprises et des marchés boursiers aux industries extractives multinationales et a joué un rôle déterminant dans le rapatriement de la valeur dans les pays qui ont été victimes d’abus financiers et d’entreprises. 
  158. Voir dans « Grippes et Pneumonies » le chapitre consacré à la destruction de l’homéopathie sous l’égide de Rockefeller —injectant pour la manœuvre plus de 225 milliards de dollars actuels. Le second statut de l’AMA était « l’éradication de l’homéopathie du sol américain ». Voir enfin le travail documenté de Thierry Lestrade « Comment l’AMA a éradiqué ». 
  159. Selon M. Kory, l’OMS ne fait que participer aux tactiques d’un « manuel de désinformation » usé par le temps. Ce terme a été inventé par l’Union of Concerned Scientists il y a 50 ans afin de décrire les stratégies que les entreprises ont développées au fil des décennies pour « attaquer la science lorsqu’elle va à l’encontre de leurs intérêts financiers ».Il se compose de cinq parties :L’imposture – Mener des recherches contrefaites et tenter de les faire passer pour des recherches légitimes.
    Le blitz – Harceler les scientifiques qui s’expriment sur des résultats qui dérangent l’industrie.
    La diversion – Fabriquer de l’incertitude sur la science là où il n’y en a pas ou peu.
    L’écran – Acheter de la crédibilité par le biais d’alliances avec le monde universitaire ou des sociétés professionnelles.
    La solution – Manipuler les fonctionnaires ou les processus gouvernementaux pour influencer les politiques de manière inappropriée.Dans l’intégralité de l’appel Zoom, censuré depuis par YouTube mais disponible sur Bitchute, Pierre Kory décrit comment les cinq phases ont été déployées contre les résultats scientifiques de l’ivermectine. Un exemple concret serait celui de la corruption des principales revues médicales, dont les rédacteurs en chef refusent que les études sur l’ivermectine soient soumises à un examen par les pairs. 
  160. Les emails de Fauci sur une certaine période ont pu être rendus publics, révélant un véritable scandale, à savoir que l’intéressé y admet que :Le coronavirus a été crééL’HQ traite la maladie avec succèsLes sujets asymptomatiques ne transmettent pas la maladieLes masques ne servent à rienLes confinements sont inutilesFacebook a participé à la promotion d’une propagande autoritaire du Covid.Le comptage des décès était largement trafiquéEt qu’il a délibérément menti au Congrès sous sermentCes informations éclaboussent aussi le Pr. Delfraissy (encore un collabo comme tant d’autres) exprimant ses affres pour résister à la pression d’autoriser l’hydroxychloroquine. « J’ai une énorme pression politique pour libérer l’accès à l’hydroxychloroquine pour tout le monde, mais je résiste », écrit-il au bon docteur Fauci. Une semaine plus tard, le Conseil scientifique rendra un avis critique sur le protocole Raoult, ayant donc visiblement résisté à ces « pressions ». Voir article du Parisien.Que s’est-il passé avec quelque chose d’aussi énorme ? Rien.Télécharger les emails. Voir le New York Post, voir Fauci is a liar
  161. J’ai de la peine à prononcer le nom de Fauci sans avoir la nausée. Dans « Les erreurs du Monsieur Covid américain impactent le monde occidental, Suisse comprise » Jamais encore des idées comme le confinement d’une population en bonne santé, l’imposition généralisée du port du masque contre un virus ou la « vaccination » de catégories de la population courant plus de risques avec la vaccination qu’avec la maladie n’avaient été envisagées, tant elles sont contraires à l’éthique et aux connaissances scientifiques. Un défilé continu de médecins de plateaux télévisés pétris de conflits d’intérêts est venu brouiller cette évidence, sans que les défenseurs des bonnes pratiques aient voix au chapitre. Ne manquez pas cette tribune écrite par les deux plus grands experts au monde, les Pr Kulldorff et Bhattacharya. 
  162. Voir le premier document magistral des analystes allemands (leur interview ici) qui ont scanné avec l’aide de l’intelligence artificielle plusieurs millions de documents. Cela a permis de mettre à jour le modus operandi des pilotes de la manœuvre dite « anticovid », de démontrer qu’il s’agit d’un réseau tissé très étroit et chargé d’une mission précise : obliger par tous les moyens la population mondiale à se soumettre au dictat d’intérêts privés sous prétexte de “santé publique.L’analyse se divise ainsi :- Les 20 à 30 figures-clefs qui poursuivent tranquillement leur œuvre à l’ombre des figures notoires telles Gates ou Schwab ;- Les flux financiers internationaux et leur montant (colossal) ;- Les ONG (dont le rôle notamment dans le financement est fondamental), les universités et entreprises-clef par lesquelles transitent les fonds.Ces flux ont été chiffrés par Schneeten et Röper. L’attention des analystes a été attirée – pour ne donner qu’un exemple – par un petit pavillon insignifiant de banlieue aux États-Unis, utilisé comme “boîte postale” par plusieurs ONG disposant de dizaines de millions de dollars.- Le mode opératoire de prise de contrôle des gouvernements et institutions occidentaux.Voici par exemple les ramification de le fondation Bill et Melinda Gates, dont le véritable gestionnaire est probablement le sioniste et démocrate Warren Buffet, a plusieurs intérêts :1- c’est un outil d’optimisation fiscale qui permet à ses responsables d’échapper aux impôts et de décupler leur fortune ;2- la mécanique de ses « donations » reposent sur l’investissement dans les marchés financiers et les grosses sociétés (Total, Exxon, Shell, Monsanto, McDonald’s, The Coca-Cola Company) ;3- les « dons » sont alloués à un faisceau d’organisations allant toutes dans le sens du mondialisme et de la grande industrie pharmaceutique…Probablement recruté dans les années 70 à Harvard (Gates est le premier Zuckerberg), Bill Gates est à la fois un agent de croissance et un agent d’influence du Nouvel ordre mondial oligarchique, un épouvantail mis en avant pour prendre les coups, un rouage d’un réseau allant de Wall Street à Israël en passant par Bill Clinton et Jeffrey Epstein. Voir l’article da E&R ici.../../../Downloads/Corona%20links%20analyse/Netzwerkanalyse-Corona-Komplex_Page_049.jpg 
  163. ../../../Downloads/Xi-Jinping.jpgPour parler d’autre chose que du virus, il me semble opportun de dire un mot de la crise financière qui se profile, avec le brûlot Evergrande qui risque d’ébranler le marché immobilier chinois et le reste du monde par contagion —mot qui me paraît ici très approprié. Le Parti Communiste Chinois (PCC) ne semble guère décidé à agir dans la crise financière qui se profile, avec un éclatement de la bulle immobilière. Loin de vouloir éviter la crise, les autorités chinoises semblent plutôt décidées à la laisser éclater pour justifier une reprise en main de l’économie du pays. De là à penser que cette stratégie vise aussi à affaiblir l’Occident en le contaminant avec une crise financière, il n’y a qu’un pas. Une fois de plus, le Great Reset et sa théorie du Big Government modifient les analyses habituelles et pourraient mettre les épargnants du monde entier en situation difficile.Et l’excellent Verhaeghe de conclure : « Progressivement, on comprend que Xi Jinping, qui n’est pas un tendre, ni un libéral façon Deng Xiaoping, s’apprête à laisser éclater une crise financière qui devrait ruiner les exubérances “capitalistes” de l’économie chinoise, mais pourrait aussi contaminer le monde. Cette option déjà déployée dans l’affaire du COVID 19, où les communications internes à la Chine étaient suspendues quand les habitants de Wuhan pouvaient facilement circuler dans le reste du monde, ressemble beaucoup à une tentative de déstabilisation de l’économie mondiale. On ne peut ici s’empêcher de penser que la crise immobilière qui se fait jour n’est, pour le PCC, qu’une pièce dans le puzzle d’un Great Reset géostratégique permettant à la fois de liquider la libéralisation de l’économie intérieure et de saper la prospérité de l’Occident. Nous maintenons donc notre pronostic d’une instrumentalisation de la crise qui pourrait déboucher sur un désordre mondial. » 
  164. C’est en manipulant la définition de « pandémie » que toute l’affaire a été préparée de longue date par l’appareil mondialiste dont Gates est l’un des coryphées. Dès 2013 on pouvait comprendre que ce petit jeu était destiné à servir les intérêts de laboratoires afin de créer autant de pandémies que nécessaires à la promulgation de vaccins en nombre illimité. En 2009, l’OMS avait en fait supprimé la notion de mortalité (nécessité d’un grand nombre de morts) pour pouvoir enclencher l’alerte pandémique maximale, qui conditionne en fait le début de la production de vaccins. Cette modification des critères avait donc permis aux fabricants de vaccins de s’enrichir de façon scandaleuse avec la vente de vaccins expérimentaux contre une grippe H1N1 qui faisait pourtant très peu de morts et qui était même plus bénigne que la traditionnelle grippe saisonnière.Le Dr. Lydia Archilède écrivait dès 2013 : « le système va devenir moins précis, donc PLUS FLOU avec passage de 7 critères à 4, ce flou allant évidemment profiter aux fabricants de vaccins et d’antiviraux, bien davantage qu’à la sécurité réelle des citoyens. Au prétexte d’être basé sur « le risque », il sera en réalité plutôt basé sur « la possibilité d’un risque hypothétique » avec maintien quasi permanent des citoyens les plus crédules dans « la peur de la pandémie à venir » ! Finalement, la phase de transition se confondra tôt ou tard avec la phase d’« interpandémie » et nous serons donc maintenus dans une sorte d’état d’alerte permanent pour le plus grand bonheur de Big Pharma et de ses investissements ! »Et notre consœur de conclure que « le modus operandi opaque inchangé au niveau du fonctionnement de l’OMS. Celle-ci garde son influence dictatoriale puisque les Etats qui pourront soi-disant évaluer eux-mêmes le risque au niveau national, « devront tenir compte des estimations faites par l’OMS ». Et par ailleurs, la décision finale quant aux pandémies reste aux mains d’une seule personne, le directeur de l’OMS, qui continuera de se faire conseiller par le même genre de petit « comité d’experts», qui fut pourtant à la base de tout le fiasco et de tout le gaspillage inimaginables du H1N1 ! » 
  165. Le lecteur pourra au sujet de ce cloaque regarder avec intérêt quelques épisodes du « Fall of the cabal » de Janet Ossebaard et Cyntha Koeter. Même si les premiers épisodes nous semblent largement discutables —je n’adhère en rien à la narration— ceux de l’ère moderne sont assez bien documentés. Je recommande de commencer par le Numéro 6
  166. Bouygues, Xavier Niel, Dassault, Bernard Arnault, Bolloré, Pierre Bergé, Patrick Drahi, François Pinault, Matthieu Pigasse et Lagardère, voilà les dix milliardaires qui possèdent les médias français. Tous les quotidiens nationaux (Le Monde, Libération et Le Figaro), toutes les chaînes d’info (LCI, I-Télé, BFM-TV), l’essentiel des hebdomadaires de référence (Le NouvelObs, L’Express, Le Point) et des chaînes de TV privées (Canal+, TF1) appartiennent à de grands milliardaires. Une telle concentration a rendue aisée la tache de Gates pour faire marcher tout le monde à l’unisson. Voir ici
  167. Voir la remarquable contribution sur Rumble : « Coronavirus. Violation des droits fondamentaux des peuples du monde par des mesures anti-humaines : enfermement, mode masque, enseignement à distance. » 
  168. Nous en sommes déjà à refuser d’évacuer une île des caraïbes la partie de la population non-vaccinée ! 
  169. Mon disque dur se remplit d’images horrifiantes montrant avec quelle cruauté les flics se jettent sur les gens, les martyrisent, pour des prétextes délirants comme le non port du masque en plein air par exemple. La France, l’Allemagne, l’Australie sont les pays où ces exactions sont devenues monnaie courante. Voyez déjà l’article suivant
  170. Le propre du fascisme : faire passer un prétendu intérêt collectif avant l’intérêt individuel : lorsque le consentement et l’intérêt individuel ne sont plus des priorités inaliénables, on se rapproche des théories eugénistes florissantes dès la fin du XIXe siècle et portées à la dimension industrielle par le nazisme.Otto Dietrich explique en 1934 : « « La pensée individualiste repose sur le postulat que l’homme est un individu. Ce postulat est faux. L’homme n’apparaît dans le monde que comme membre d’une communauté. Dans tous ses actes, l’homme est un être collectif et ne peut être pensé que comme tel. Les seules données réelles du monde sont les races, les peuples, les nations et non les individus. Le national-socialisme considère le Volk comme la seule réalité organique. »Et Capitant, ministre de De Gaulle de commenter ce délire : « La doctrine nazie inverse toutes les valeurs. Non seulement l’individu est désormais privé d’existence et donc de droits, comme le note Capitant, mais encore, il perd toute autonomie dans la mesure où cette exaltation de la communauté débouche sur l’obéissance prétendument volontaire à un Chef. Le règne du nazisme, c’est celui de l’hétéronomie et de la servitude volontaire ».Lire l’article du Dr. Delépine 
  171. Voir l’article remarquable de Philippe Ségur, Professeur de droit public à l’Université de Perpignan Via Domitia. 
  172. En un an, les prix agricoles à la production ont littéralement explosé, avec une hausse de 13,6% qui annonce le retour à l’hyper-inflation. Cette hausse concerne tout particulièrement les céréales qui dépassent les 35% d’augmentation sur l’année. Durablement, le monde industrialisé est donc exposé à une crise agricole qui pourrait enrichir les spéculateurs, et fortement précariser les consommateurs. Il est donc temps de stocker gentiment les produits agricoles à base de céréales, voire de cultiver celles-ci soi-même.L’explosion des prix agricoles à la production en un an est parfaitement illustrée par le graphique ci-dessus. Pour les céréales, pour un indice 120 début 2021 (indice 100 début 2019), les prix ont désormais grimpé en octobre à un indice proche de 150. En deux ans, les prix ont donc augmenté de 50%. Rappelons que l’indice 120 n’a été atteint qu’une seule fois à l’automne 2018.Autrement dit, le prix des céréales à la production bat actuellement des records historiques, très au-delà des scénarios connus ces dernières années. On y verra le signe d’une crise profonde. Source : Le Courrier des stratèges. 
  173. Pas d’évacuation d’une île où sévit une éruption volcanique dans les Caraïbes si vous n’êtes pas vacciné. Le gauchiste Chomsky déclare déjà qu’il faut enfermer les dangereux non-vaccinés. Et le misérable Berset, n’hésite pas à déclarer que tout sera de la faute des non-vaccinés : 
  174. Voir le remarquable article de Mathieu Slama: « Le non-vacciné est le bouc émissaire de la crise sanitaire ». 
  175. Étant taxé d’anti-vax, anti-masque et anti-PCR dans un courrier officiel de l’assistante du médecin cantonal à mon attention, je mesure chaque jour le naufrage de notre société. L’un des exemples ultimes étant —selon moi— l’adoption de noms comme « Avenue du Mondial » un peu partout dans les villes de France. Un beau recoupement d’agnotologie et du vieux principe panem circenses
  176. Voir par exemple ici quelques commentaires pertinents sur le discours à Harvard. 
  177. Voir Laïcié mère porteuse de l’Islam, par Odon Lafontaine. Article ici
  178. A son époque Caton l’Ancien concluait tous ses brillants discours par Delenda est Carthago ! Il faut détruire Carthage. « Il faut détruire le mondialisme » doit devenir notre devise, notre seul but si nous voulons que nos enfants vivent dans un monde libre. 



Violence et maltraitance ordinaire dans une dictature ordinaire. Quand faire du mal aux enfants devient banal et même recommandé par les autorités

Par Alain Tortosa

Que dites-vous à un enfant qui vous réclame d’aller au restaurant un samedi soir quand vous avez entendu parler d’un établissement qui ne pratiquerait pas l’apartheid ?

Vous y allez…

Et quand vous arrivez et que le parking est plein, vous vous dites que le bouche-à-oreille doit fonctionner, qu’une telle affluence n’est pas le fruit du hasard, surtout quand celui-ci ne paye pas de mine et se trouve en pleine zone industrielle.

Alors si vous avez comme moi des réflexes de « l’ancien monde », naïfs, vous profitez du sourire de vos enfants en vous dirigeant vers l’entrée…

Et c’est là que vous êtes rattrapé par la réalité de l’immonde… Au lieu d’être accueilli par un personnel charmant qui vous souhaite la bienvenue, votre premier contact se produit avec un videur de boîte de nuit.

N’y voyez pas un quelconque effet de style, nous avons littéralement été « accueillis », agressés devrais-je dire, par un individu dont le métier est réellement videur de boîte de nuit.

Point de « bonsoir » avec un sourire, point de « bienvenue au… », point de « vous serez combien » mais une injonction dictatoriale : « Puis-je voir votre passe ? »

Nous entamons alors une petite tentative de dialogue, mais c’est comme espérer le câlin d’un CRS en pleine manif…

N’ayant point prévu d’autotests que de toutes les façons je n’aurais jamais présentés à ce digne héritier de la Gestapo… Nous tentâmes, presque pour le sport, d’expliquer à cet être en directe lignée de Cro-Magnon, ou non plutôt à cet androïde, que le passe-sanitaire était caduc, que les décrets n’avaient pas été reconduits tel que nous l’a brillamment démontré le président de Réaction 19, maître Carlo Brusa.

Disons que c’est un peu comme discuter littérature du 13e siècle (domaine qui m’est totalement inconnu) avec un mollusque amphibien…

Cela m’a fait penser aux romans ou films d’anticipation dans lesquels le héros pose des questions à un androïde programmé pour une seule fonction. Ici la situation était identique…

  • Vous dites au robot « le passe-sanitaire est caduc » et lui de vous répondre « j’ai des ordres de la direction, ne pas laisser entrer de personnes sans passeport valide ».
  • Vous lui dites « il n’y pas de décrets mis à jour », même réponse !
  • Ou vous lui rétorquez que « demander le passe n’est plus légal », même réponse !

La scène se déroulant dans l’indifférence la plus totale de ces « bons » Français déjà attablés ou présentant (avec fierté ?) leur fameux sésame certificat d’appartenance à la « race supérieure des vaccinés ».

Nous eûmes aussi droit à la phrase rituelle (mais aussi fausse heureusement) que nous ne trouverions aucun établissement résistant qui nous accepterait… nostalgie quand tu nous tiens.

Nul doute que ce non-être opérera de même dans une gare pour vous faire monter dans un train en direction de camps, sans le moindre questionnement sur la moralité de son action…

Il nous a juste fait remarquer, pourquoi je l’ignore, que dans les boîtes de nuit il fallait présenter un QR-code ET une carte d’identité afin d’empêcher toute fraude… J’imagine que nous devions nous estimer « chanceux » d’être dans la situation de n’avoir qu’à présenter ledit QR-code sans lui prouver notre identité. Notons que l’individu nous confirmait qu’il n’était qu’un lecteur de code barres et rien d’autre, n’ayant strictement rien à foutre si nous lui présentions celui de notre voisin…

À aucun moment il n’a vu ni regardé dans les yeux, des humains, des compatriotes, une famille ou des enfants dont le seul crime était de vouloir dîner dans un restaurant. Quand bien même je conçois que notre désir était peut-être un peu risqué au regard des vaccinés potentiellement contaminés et contagieux présents dans cette salle…

C’est alors que je me suis reconnecté à cette réalité… toutes ces voitures garées, tous ces clients qui étaient donc injectés (j’imagine assez mal des clients faire un test PCR valable 24 h juste pour aller au restaurant)… En mai 2021 j’écrivais un texte affirmant qu’avant la fin de l’année, 70 % des Français seraient vaccinés… J’aurais tellement voulu avoir tort…

Et à cet instant et devant l’entrée de ce restaurant dans lequel je ne remettrai jamais les pieds, même après la libération, j’ai à nouveau ressenti à quel point ce peuple manipulé adorait sa servitude et qu’il n’en avait que faire de présenter un passeport vaccinal pour des loisirs de la vie courante.

Mais vous, parents, que dites-vous alors à votre enfant dépité et malheureux qui pleure à chaudes larmes dans la voiture ?

  • Que nous allons gagner ?
  • Que nous sommes les gentils ?
  • Que ce n’est qu’un mauvais moment à passer ?
  • Que nous sommes mieux entre nous qu’avec ces cons ?

Qu’est-ce que vous pouvez faire (de plus) pour lui rendre le sourire et lui cacher votre rage ou votre haine de cette Humanité ?

Je fais quoi moi pendant que des « parents » (je suis viscéralement obligé de mettre des guillemets) injectent leurs enfants avec des substances expérimentales dangereuses dans le présent et potentiellement mortelles dans le futur, dans l’unique but de pouvoir continuer à aller au restaurant et leur autoriser des plaisirs instantanés ?

La réponse est assez simple, je fais du mal à mes enfants, je les protège en les faisant souffrir, je les fais pleurer et je les rends tristes ! Vous — parents — qui n’avez pas oublié vos devoirs à la différence de ces âmes perdues et qui avez ce courage de protéger les vôtres, j’imagine que votre souffrance est du même ordre que la mienne.

Quand allons-nous nous unir pour affirmer le NON ? (comme en Guadeloupe par exemple.)
Quand allons-nous dire à cette dictature qu’elle a largement dépassé les limites de l’acceptable ?

Le lendemain j’ai décidé d’apporter un peu de bonheur à mes enfants, notamment pour les consoler de la soirée.

De retour du centre-ville où nous étions allés acheter des gâteaux dans une boulangerie humaine… Nous croisons sur le chemin un « père » avec sa fille d’environ 4 ans qui, de toute évidence, lui dit en nous voyant de mettre son masque, étant donné les « dangereux déviants » que nous représentons.

Et lorsque cette pauvre gamine, innocente et maltraitée pas ce pseudo père nous croise, nous l’entendons lui dire, « dis papa, je peux l’enlever maintenant ? »

Ces mots résonnent encore en moi avec une violence sans nom… Mais quand nous sommes-nous perdus, quand cette humanité est-elle devenue folle au point d’obéir aveuglément à une autorité, sans se poser la moindre question pour se faire sa propre opinion ?!

Je suis conscient que mes enfants sont heureux, mais souffrent… Ils angoissent, non pas de cette grippette qui a la gentillesse d’épargner les enfants, mais de cette dictature qui les empêche de vivre leur innocence.

Je me console comme je peux, eux aux moins ne vivent pas avec des parents tarés qui leur rappelle qu’ils peuvent mourir ou tuer leurs grands-parents si d’aventure ils osaient se comporter en enfants.

Et aujourd’hui rebelote…

  • « Peut-on aller à cette brocante ? » Non, passe-sanitaire !
  • « Peut-on aller au marché de Noël ? » Non, passe-sanitaire dans tous les marchés de la région !
  • « Peut-on aller au village des santons du centre-ville ? » Non, passe-sanitaire !

En revanche, s’entasser par milliers dans ces temples païens de la consommation, serrés comme des sardines et à l’intérieur, aucun souci !

Vous n’imaginez pas le risque que prendraient les enfants dans un marché de Noël en plein air s’il n’y avait pas ce passe de la honte ! Sans oublier, on ne le martèlera jamais assez, que les enfants ne sont pas concernés par ce Covid, information dont les autorités n’ont que faire…

Et vous trouverez systématiquement des membres de la nouvelle Gestapo à l’entrée de ces lieux qui ne font « qu’obéir aux ordres », aucune responsabilité ni légale ni morale…

Et ne commencez pas à dire à ce peuple en état de sujétion que nous vivons en dictature, ne commencez par à lui dire que nous avons non seulement importé le variant Omicron d’Afrique du Sud, mais aussi l’apartheid. Il est d’ailleurs cocasse de voir que ni l’un ni l’autre, du variant ou de l’apartheid, n’y sévissent actuellement…

Ah on les entend ces pourritures de médias aussi débiles que corrompus, mais aussi haineux, répéter au bon peuple que « c’est bien fait pour notre gueule », que nous devons être punis de notre désobéissance, que nous l’avons bien cherché en refusant cette « merveilleuse » vaccination « efficace et altruiste ».

Vaccination qui au demeurant n’empêche absolument pas la contagion, n’empêche pas l’hospitalisation et dont on commence à reconnaître officiellement qu’elle n’empêche pas d’aller en réanimation ou de décéder.

À chaque époque son bouc émissaire, et même si je sais que dans notre « pays des libertés » il est interdit d’écrire ou de prononcer certains mots, je n’ai d’alternative que d’écrire que nous, non-vaccinés, sommes les nouveaux juifs de la dictature !

Alors quoi, on aurait le droit de le crier uniquement lorsque nous serons dans des camps d’extermination ? Vous ne croyez pas que si dans les années 1920 ou 1930 certains avaient ouvert leur gueule pour dire NON on aurait évité les massacres de la 2e guerre mondiale ?

Surtout, continuons à nous taire, continuons à faire confiance au gouvernement et aux médias corrompus, continuons de faire notre troisième dose et présenter un passe, « outil de liberté » pour aller au restaurant !

Ne changeons rien. Celles et ceux qui souffrent aujourd’hui d’effets secondaires à vie suite à l’injection de ces poisons doivent subir une double peine :

  • Il leur est impossible de prendre une nouvelle dose et ils vont donc perdre leur fameux sésame.
  • Ils ne sont pas reconnus comme victimes.

Et ce sans compter les familles qui ont perdu un enfant, qui sont conscientes que c’est causé par l’injection, et dont la culpabilité doit représenter un enfer à chaque seconde.

Et pendant que j’écris ces lignes, pendant que je hurle de ne pouvoir libérer mes enfants de cette dictature, j’allume la Pravda et j’entends le président du Téléthon se réjouir de 78 millions de promesses de dons, probablement par les mêmes naïfs qui étaient hier au restaurant avec leur passe de merde pour s’acheter une bonne conscience. Mais quand allez vous comprendre qu’il faut moins de 24 heures, oui UNE SEULE JOURNÉE à Pfizer pour gagner cette somme en vous injectant leur poison ?

Et que dire de l’indécence de Elon Musk dont la fortune est construite sur la mort d’enfants polluant les sols et extrayant les fameuses terres rares pour faire des « voitures propres » chères à cette gentille Greta ? Ce brave homme serait en discussions avec l’ONU pour un plan à 6 milliards de dollars pour supprimer la faim dans le monde (des données plus sérieuses parleraient de 10 milliards par an pendant 10 ans). 6 milliards représentent ce qu’il gagne en 6 heures !!!!! Savez-vous que la faim dans le monde n’est que le fruit d’une décision réfléchie des puissants de ce monde ?

Bon, j’arrête pour aujourd’hui… mais il va falloir que la dictature arrête de nous pousser à bout, nous parents…

Ceci n’était qu’une journée ordinaire en dictature.

Merci.

Alain Tortosa

5 décembre 2021
https://7milliards.fr/tortosa20211205-journee-ordinaire-dictature.pdf




Chantage du pseudovaccin expérimental pour les enfants ! STOP au massacre des jeunes

Par Nicole Delépine

Nous avons vu à de nombreuses reprises que rien ne justifie une injection anticovid chez des jeunes qui risquent moins du covid que d’une grippe saisonnière.

Mais le pire est que ces injections sont dangereuses.

Après l’injection, ils ne seront plus à risque zéro, car personne ne connaît les effets à long terme des injections géniques et il existe beaucoup de craintes sur la deuxième génération, si la stérilité ne la réduit pas sensiblement.

Voici le résumé des effets secondaires du vaccin Pfizer via EudraVigilance chez l’enfant publié à ce jour 3 décembre.

Et en ce 3 décembre, le site de Robert Kennedy « the defender » publie :

« Un enfant de 5 ans est décédé 4 jours après le vaccin de Pfizer » et en profite pour revoir les accidents publiés par le VAERS

Effets secondaires de tous groupes d’âge depuis le début des injections géniques

Les données VAERS publiées par les Centers for Disease Control and Prevention comprenaient un total de 927 740 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge à la suite de vaccins contre la COVID, dont 19 532 décès et 146 720 accidents graves entre le 14 décembre 2020 et le 26 novembre 2021.

Par Megan Renshaw relatée par « the Defender »

En excluant les « rapports étrangers » au VAERS, 672 373 événements indésirables, dont 8 986 décès et 57 143 accidents graves, ont été signalés aux États-Unis entre le 14 décembre 2020 et le 26 novembre 2021.

Les rapports étrangers sont des rapports reçus par les fabricants américains de leurs filiales étrangères. En vertu de la réglementation de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, si un fabricant est informé d’un rapport de cas étranger décrivant un événement à la fois grave et n’apparaissant pas sur l’étiquetage du produit, le fabricant est tenu de soumettre le rapport au VAERS.

Sur les 8 986 décès aux États-Unis signalés au 26 novembre, 20 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 26 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 61 % chez les personnes qui ont présenté des symptômes dans les 48 heures suivant la vaccination.

Aux États-Unis, 454 millions de doses de vaccin contre la COVID avaient été administrées au 24 novembre. Cela comprend 264 millions de doses de Pfizer, 173 millions de doses de Moderna et 16 millions de doses de Johnson & Johnson (J & J). Chaque vendredi, le VAERS publie des rapports d’accidents par vaccin reçus à une date précise.

Les rapports soumis au VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’un lien de causalité puisse être confirmé. Historiquement, il a été démontré que le VAERS ne signalait que 1 % des effets indésirables réels du vaccin.

Les données Vaers américaines du 14 décembre 2020 au 26 novembre 2021 pour les 5 à 11 ans montrent :

Le décès le plus récent concerne une jeune fille de 16 ans de Géorgie (VAERS I.D. 1865389) qui serait décédée d’une maladie cardiaque et d’une défaillance multiviscérale deux jours après avoir reçu le vaccin COVID de Pfizer.

2 586 événements indésirables, dont 34 jugés graves et 2 décès signalés. Un décès est survenu chez une fillette de 11 ans de Géorgie vaccinée le 14 septembre, avant l’autorisation du vaccin COVID de Pfizer dans le groupe d’âge de 5 à 11 ans.

Le deuxième décès (VAERS I.D. 1890705) est survenu chez une fillette de 5 ans décédée quatre jours après avoir reçu sa première dose de Pfizer.

Dans le groupe d’âge des 5 à 11 ans, 1 581 événements indésirables ont été signalés depuis le 1er novembre.

Pour les jeunes de 12 à 17 ans les données Vaers américaines du 14 décembre 2020 au 26 novembre 2021 rapportent :

23 871 événements indésirables, dont 1 453 jugés graves et 31 décès signalés. 60 rapports d’anaphylaxie chez les 12 à 17 ans où la réaction était mortelle, nécessitait un traitement ou entraînait la mort — avec 96 % des cas attribués au vaccin de Pfizer.

563 rapports de myocardite et de péricardite (inflammation cardiaque) avec 553 cas attribués au vaccin de Pfizer.

139 rapports de troubles de la coagulation sanguine, tous les cas faisant l’objet d’une imputation à Pfizer.

QUI OSE ENCORE PIQUER DES ENFANTS QUI SONT À RISQUE ZÉRO DU COVID ?

Comment vivrez-vous un « accident » ? Un pass pour voyager en famille, aller au restaurant ou pour le laisser au sport vaut-il le risque ?

Il ne faut jamais céder aux chantages, car en le faisant on montre qu’on est faible et on encourage ainsi les maîtres chanteurs à récidiver et à vous en demander toujours plus.

Ceux qui ont cru être tranquilles en acceptant deux injections le vérifient aujourd’hui avec la troisième (avant la quatrième).

Il faut savoir dire NON

Les petits n’ont pas mérité cela ! Qu’on se le dise, à temps…

Macron et ses conseillers ont lu Voltaire et en ont retenu une citation :

Les Français ne sont pas faits pour la liberté : ils en abuseraient.




Espagne — Le colonel Martínez-Vara demande la suspension immédiate de la vaccination contre le COVID-19 dans les forces armées et dans la population civile en général

[Source : profession-gendarme.com]

La nouvelle rapportée par Ramblalibre peut revêtir une importance particulière dans le domaine militaire, mais aussi en raison des arguments que ce colonel présente pour demander la suspension immédiate de la vaccination contre le Covid dans les forces armées.
Carlos Martínez-Vara, chef de la section des hautes études de l’École supérieure des forces armées (ESFAS), du Centre supérieur d’études de la défense nationale (CESEDEN), et colonel EA (CGEO), a écrit un texte que nous avons sauvé pour nos lecteurs :


La population espagnole, tant dans la sphère civile que militaire, reçoit la recommandation des autorités sanitaires d’être vaccinée contre le Covid-19 avec des médicaments de différents fabricants, qui, bien qu’ils n’aient pas encore été formellement approuvés, sont administrés dans le cadre de la loi sur la protection de l’environnement.
L’Agence européenne des médicaments (AEMPS) a délivré une autorisation conditionnelle de mise sur le marché en urgence.

Il existe suffisamment de publications dans la littérature scientifique où sont présentées des analyses et des études réalisées sur ces médicaments, dont les conclusions mettent en garde contre le risque pour la santé des êtres humains à cause de la présence de matières toxiques dans les flacons utilisés. À cet égard, le 2 novembre, le Dr Pablo Campra Madrid, professeur à l’université d’Almeria, a publié une étude spectroscopique micro-Raman réalisée sur un échantillon aléatoire de flacons de vaccins Covid-19 commercialisés par diverses entreprises pharmaceutiques (Pfizer, Moderna, Janssen et Astra Zeneca), dans laquelle il a conclu qu’il avait détecté des objets qui “correspondent sans équivoque à de l’OXYDE DE GRAPHÈNE RÉDUIT”.

Bon nombre des effets indésirables graves, très graves et mortels qui ont été signalés en relation avec l’administration des vaccins susmentionnés au système européen de notification des effets indésirables associés aux médicaments, EudraVigilance, (infarctus, myo/péricardite, troubles de la coagulation/troubles vasculaires, troubles du système respiratoire, troubles du système reproducteur, troubles immunitaires, troubles rénaux, troubles hépatiques, cancer, etc.), sont compatibles avec les effets indésirables qui pourraient résulter de la présence d’oxyde de graphène réduit dans les vaccins.

Non moins inquiétante est l’étude réalisée par le Dr Sergio J. Pérez Olivero, dont le rapport du 3 octobre intitulé “ÉTUDE DE LA PANDÉMIE — ANALYSE SCIENTIFIQUE INDÉPENDANTE” conclut que ces vaccins affaiblissent le système immunitaire, car la protéine S, entre autres effets négatifs, “modifie la signalisation cellulaire en se liant au récepteur ACE2, ce qui signifie qu’elle ordonne à la cellule de modifier ses fonctions, ce qui est particulièrement grave dans les cellules immunitaires, car cela les rend inefficaces, facilitant les processus inflammatoires et la susceptibilité à la maladie par tout pathogène”. En d’autres termes, selon ce rapport, la population diminue progressivement ses défenses contre toute maladie en endommageant directement le système immunitaire avec cette protéine.

Ces rapports sont étayés par la plus grande rigueur scientifique, corroborés par les données de pharmacovigilance du système américain VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) et soutenus par des conclusions similaires rapportées par des lauréats du prix Nobel, les créateurs mêmes de la technologie des vaccins à ARNm et les plus grands professionnels biomédicaux du monde dans le domaine de l’immunogénétique dans des pays tels que les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Allemagne, la France, le Japon et la Chine, entre autres.
Cette immunité naturelle est sans aucun doute supérieure à l’immunité induite par les vaccins, car elle comprend les défenses immunitaires innées, et il n’y a aucun avantage prouvé à ce jour à administrer ces vaccins à des personnes qui ont naturellement développé des anticorps parce qu’elles ont vaincu la maladie. Au contraire, les autorités scientifiques en immuno-épidémiologie estiment que cette stratégie compromettrait le statut immunitaire de la population en rendant l’immunité de groupe de plus en plus inaccessible, ce qui conduirait non seulement à une situation de dépendance perpétuelle, mais aussi à un affaiblissement progressif de la réponse immunitaire de la population avec des conséquences hautement indésirables.

Cependant, et de manière incompréhensible, l’administration d’au moins une dose est imposée au sein des forces armées afin de pouvoir effectuer une commission de service, à bord ou à l’étranger, sans qu’une prescription médicale soit requise, qu’une information détaillée soit fournie ou qu’un consentement éclairé précède cette inoculation.
Cette circonstance très irrégulière n’est pas régie par des critères scientifiques et constitue une violation d’innombrables droits, favorisant même la discrimination et autres préjugés à l’encontre des militaires qui, faisant appel à leur éthique personnelle, ne se conforment pas à cet ordre. Cette situation produit un conflit d’obéissance évident chez les militaires qui, étant en bonne santé ou ayant même développé des anticorps contre le Covid-19, souhaitent remplir leurs obligations professionnelles dans le cadre constitutionnel.
Les lots de vaccins actuellement commercialisés en Espagne n’ont pas été analysés par les laboratoires de l’Agence espagnole des médicaments et des produits de santé, n’ayant été permis qu’à travers des procédures de révision documentaire, malgré le risque clinique potentiellement grave ou très grave pour la population que représenterait la présence de particules étrangères dans des préparations parentérales liquides telles que les vaccins précités.

Le Ministère de la Défense dispose, pour des raisons de sécurité nationale, d’une méthodologie supplémentaire et indépendante dans le domaine de la réception et du contrôle de qualité des matériaux qui exige un échantillonnage significatif selon un échantillonnage de référence établi, dans le respect des spécifications définies et l’approbation des lots avec la signature d’un responsable. Il est également entendu que cette procédure d’acceptation est répétitive chaque fois qu’un nouveau lot est généré, exigeant dans tous les cas la transparence du fournisseur pour un audit par les Responsables de la Qualité du Ministère de la Défense pour recueillir les données et les résultats des essais du fabricant et du fournisseur, et l’analyse des échantillons choisis dans chaque lot, sans procéder à l’utilisation de ces lots jusqu’à leur approbation par les Responsables de la Qualité du Ministère de la Défense.
Le Service de Pharmacologie du SAF a la capacité technique de réaliser les analyses pertinentes des flacons des vaccins susmentionnés ou de superviser la correction de ceux qu’il sous-traite afin de vérifier l’absence de toute toxicité qui pourrait affecter la qualité et la sécurité des vaccins.

La présence de ces éléments dans un vaccin constituerait une violation de l’obligation pour les laboratoires pharmaceutiques qui fabriquent et/ou importent les vaccins susmentionnés de respecter les exigences établies par le chapitre IV du décret royal 824/2010 du 25 juin (qui réglemente les laboratoires pharmaceutiques, les fabricants de principes pharmaceutiques actifs et le commerce extérieur des médicaments et des médicaments expérimentaux) consacré aux normes de bonnes pratiques de fabrication. Cela impliquerait également une non-conformité avec la Pharmacopée européenne concernant la présence de particules dans les préparations parentérales ».

Compte tenu de ce qui précède, le colonel demande :

  1. que les instructions pertinentes soient données, au sein du ministère de la Défense ou en coordination avec d’autres entités de l’administration de l’État, afin que des contre-analyses soient réalisées sur des lots aléatoires des inoculations actuellement administrées aux forces armées et à la population espagnole. Le Dr Campra lui-même propose dans le rapport précité d’effectuer « d’autres analyses en utilisant la technique décrite ou d’autres techniques complémentaires basées sur un échantillonnage significatif qui permettraient d’évaluer le niveau de présence de matériaux à base de graphène dans ces médicaments avec une signification statistique adéquate, ainsi que leur caractérisation chimique et structurelle détaillée ».
    Ce contrôle de qualité doit exiger, outre l’échantillonnage, la collecte de la documentation pertinente et des certificats d’analyse auprès du fabricant ou de l’importateur. Les membres de la FAS font preuve d’un degré de confidentialité qui ne met pas en danger les secrets que les entreprises de fabrication de produits pharmaceutiques veulent garder. Des échantillons de chaque lot doivent également être conservés pour analyse, même après acceptation et utilisation, pendant une période suffisante, afin de garantir les contre-preuves pertinentes en cas de procès ou de réclamations devant les tribunaux militaires ou civils visant à établir la responsabilité de ceux qui ont accepté les lots comme étant sans risque.
  2. La campagne actuelle de vaccination contre le Covid-19 dans les forces armées et dans la population doit être arrêtée par mesure de précaution, tant que les doutes sur la présence d’oxyde de graphène réduit et d’autres particules et éléments potentiellement toxiques pour la santé ne seront pas levés.
    Pour les références aux documents cités par le Colonel, cliquez ici.

Source : Diario16




Les vaccinés marqués comme du bétail

[Source : Agora TV News via Qactus]

« Chers amis vaccinés

Voilà, nous y sommes, le point de basculement.
Tout ce qui s’est passé jusqu’à présent, épidémie, confinements, restrictions, masques, privations de libertés, vaccins, variants, pass sanitaire, division de la société, n’était qu’une préparation à ce qui arrive.

Vous avez accepté le confinement de deux semaines qui a duré 7 semaines…
Vous avez accepté les masques, et même en extérieur, pensant ainsi éviter les contaminations.
Vous avez accepté le vaccin en pensant que cela allait accélérer la sortie de la crise.
Vous avez accepté le Pass sanitaire en pensant qu’il était une garantie de protection…

Maintenant, vous savez :

Les confinements sont contre-productifs et destructeurs…
Les masques sont utiles pour les personnes malades, un usage quotidien altère l’immunité naturelle… Ils ne servent à rien en extérieur.
Les deux doses ne fonctionnent pas, il en faudra une troisième, et probablement d’autres encore (Israël, selon le ministre de la Santé : “Il est possible que nous ayons besoin d’une quatrième dose de vaccin”).
Le pass sanitaire est une aberration, au-delà de la ségrégation à laquelle vous participez, les vaccinés porteurs ne sont pas testés, et les non-vaccinés sains et testés sont mis en contact avec des personnes infectieuses…

Nous sommes au point de basculement, car tout est en place pour vous faire réagir… Jusque-là vous avez accepté sans prendre réellement conscience de la suite des événements.
Vous êtes entrain de comprendre que malgré tous vos efforts, la spirale infernale continue :
La troisième dose va devenir obligatoire pour ceux qui veulent continuer à avoir une vie sociale, il y aura un nouveau variant et une nouvelle dose… Et ainsi de suite…
Vous allez devoir accepter d’injecter vos enfants avec un produit expérimental dont personne ne connaît les effets réels à long terme alors qu’ils ne risquent rien.

Vous entrez dans une société où tous vos déplacements, tous vos achats, toutes vos publications, toutes vos pensées seront contrôlées. Il n’y aura pas de retour à la vie normale tant que nous laisserons faire, tant que nous accepterons ces mesures folles qui ne permettent pas d’arrêter la propagation du virus, mais qui arrête bien nos vies. Nous avons refusé cette société, maintenant, c’est à vous de décider de votre avenir, de notre avenir à tous.
Tout cela pour un virus respiratoire pas plus dangereux qu’une grippe qui épargne 99,8 % de la population…

Vous trouvez ça “normal” ? »
À VOUS DE MÉDITER !!



[Voir aussi :
Cryptomonnaie ou monnaie digitale, la marque de la bête est déjà brevetée]




Ami entends-tu les sanglots longs des violons de l’automne ? L’heure est venue de passer à l’action !

Par Diane Vincero

Ami entends-tu ?… Le vol noir des corbeaux sur nos plaines… Le chant des partisans, l’hymne de la Résistance française, chanson d’Anna Marly avec les paroles de Joseph Kessel et Maurice Druon. Résistance qui s’est constituée à l’appel du Général de Gaulle le 18 juin 1940 sur la BBC à Londres.

https://www.defense.gouv.fr/actualites/articles/le-saviez-vous-ami-entends-tu-le-chant-des-partisans

Les sanglots longs des violons de l’automne… (extrait du poème de Paul Verlaine « Chanson d’automne »), message crypté du 1er juin 1944 et des jours suivants, lancé sur les postes TSF à l’attention des résistants français du réseau Ventriloquist, chargé de saboter les installations ferroviaires et téléphoniques, en vue du débarquement en Normandie du 6 juin suivant.

En 1939-1945, les résistants s’opposaient à un ennemi désigné qui était les Allemands, sachant au passage que, comme toutes les guerres, elles ont toujours été orchestrées pour les intérêts personnels d’une poignée de dirigeants, et ont été menées à grand renfort de propagande, de lavage de cerveau pour stimuler les soldats (ces pauvres jeunes gens d’à peine 18 ans…) et les inciter à aller se faire tuer sur le front sous des prétextes tous aussi fallacieux les uns que les autres, mais, pour le plus grand bonheur de ces dirigeants… Ces guerres ont coûté la vie à des millions de soldats et de civils. Combien de parents brisés par la perte de ces enfants ? Combien de familles brisées par la perte d’un père ?

Donc en fait : « Soldats, c’est-à-dire vos enfants = de la chair à canon »….

Or, combien d’Allemands (pour n’évoquer qu’eux) pendant la guerre de 39-45 et après cette guerre, ont déploré de devoir (d’avoir dû) tuer des Français dont ils admiraient la Culture et envers lesquels ils n’éprouvaient aucune inimitié !!!… Combien de fois sur le front, il y a eu des échanges bienveillants, en douce, entre les soldats allemands et les soldats français, notamment à Noël ? Combien de fois des soldats allemands ont sauvé in extremis un enfant français du passage d’un bus ou d’un train ? Combien de Français aussi ont aidé des soldats allemands en mauvaise passe ? Etc., etc., etc.

Mais les journaux et les livres d’histoire préfèrent ne relater que ce qui va dans le sens voulu par les dirigeants, et tous ces faits ont été passés sous silence, parce qu’ils desservent trop le tableau guerrier voulu par ces derniers pour justifier leur action qui était de pousser les soldats et les peuples à s’entre-tuer pour des raisons bassement matérielles et personnelles…

Aujourd’hui, et pour la première fois dans l’histoire de l’Humanité, la guerre déclarée est celle des dirigeants directement contre leur propre peuple, sans même prendre la peine d’inventer un ennemi à l’étranger.

Et chose doublement inimaginable dans l’Histoire, cette guerre est déclarée à l’échelle mondiale, dans chaque pays, ce qui n’a jamais existé auparavant et qui laisse effectivement à penser qu’il s’agit d’une programmation de longue date, par un réseau de dirigeants politiques et de grands lobbies très puissants (pharmaceutiques, de l’industrie chimique comme Monsanto, mais aussi et surtout, les GAFA dont le pouvoir colossal actuel et à venir est même largement apprécié, voulu et décrit par des sénateurs dans leur rapport N° 673 du 3/6/2021 qui décrit tout le programme, telle une sorte de boule de cristal, de ce qui est en train de se dérouler actuellement… etc.), dirigeants qu’on ne peut décemment pas appeler « élite », car cela salirait les valeurs humaines et les rabaisseraient au rang d’un tas d’immondices…

Ainsi aujourd’hui, pour ce qui est de la France, l’ennemi contre lequel doit se battre la Résistance n’est pas les Allemands, mais… nos propres dirigeants qui nous ont déclaré la guerre….

En ce qui concerne le comportement de ces dirigeants de tous pays, il est celui des manipulateurs destructeurs. En effet, à y regarder de près, on retrouve ici tous les ingrédients de la manipulation destructrice, telle que décrite par le Docteur Pagnard dans son article « Quand le conte de fées se transforme en cauchemar » (https://nouveau-monde.ca/quand-le-conte-de-fees-se-transforme-en-cauchemar/), comme dans son livre « Crimes impunis ou Néonta : histoire d’un amour manipulé ».

Quand on reprend le canevas clinique de la manipulation destructrice telle que le Dr Pagnard le décrypte, on s’aperçoit que tout, dans le déroulement de la « crise Covid » depuis presque deux ans, s’emboîte parfaitement dans ce schéma !!…….

Les ingrédients en sont ceux-ci :

  • opération de charme, de séduction pour endormir l’Autre : « nous voulons votre bien, «nous vous promettons…» Ainsi, on a inventé une pandémie virale, pour apporter ensuite «dans l’intérêt du peuple», «LA solution salvatrice» pour le peuple qui est le port des masques, le confinement, les gestes barrières, les vaccins ».
  • au passage, on a imposé ces masques, les passes sanitaires et les contrôles afférents, visant à humilier les Français et à leur rappeler inlassablement « qu’il y a une pandémie », les réduisant à un statut dévalorisé de « moutons de Panurge ».
  • on a reproché aux Français de ne pas respecter les gestes barrières (que les dirigeants eux-mêmes ne respectent pas, et avec raison puisqu’ils savent que le Covid n’est qu’une mascarade…), de ne pas se vacciner, ce faisant, on a culpabilisé les Français, comme des enfants.
  • au passage, on les a isolés par le confinement, pour les vulnérabiliser, on les a divisés pour mieux régner, entre les vaccinés et les non-vaccinés.
  • on les sanctionne à tout va et de toutes les façons possibles pour les faire plier, de façon brutale, cruelle, pour les paralyser, en suspendant leurs contrats de travail et leurs salaires, en leur interdisant l’accès à l’hôpital pour visiter un membre de la famille, ou en leur interdisant l’accès aux soins, ce qui ne s’est jamais vu de mémoire d’Hippocrate…, en leur imposant le passe sanitaire et le vaccin, c’est-à-dire un passe vaccinal qui ne dit pas son nom, et en se remplissant les poches au passage grâce aux grands lobbies (l’argent étant le nerf de la guerre, comme le décrit le Dr Pagnard).
  • les dirigeants ont opéré par poussées successives, subrepticement, de façon perverse, en maniant progressivement, la carotte et le bâton : « vous recouvrerez votre liberté si vous vous faites vacciner », « la vaccination et le passe sanitaire ne seront pas obligatoires », autant de mensonges qui sont un pilier de la manipulation destructrice telle que décrite par le Dr Pagnard…, et parallèlement, le bâton : « si vous ne vous faites pas vacciner, vous serez confinés, sanctionnés, privés de travail, etc., etc. »

Dans certains pays, il est question de vacciner de force, voire d’interner en camp d’isolement…

Le maire de New York quant à lui, a fait une brillante démonstration, digne d’un enfant de maternelle (…) : « vous vous faites vacciner, vous aurez droit à un hamburger-frites gratuit »….

La carotte, réduite à sa plus simple (débile) expression infantilisante….

L’ensemble de ces comportements, de ces mesures, amène à un état de sidération voulu par les dirigeants qui est un véritable PTSD (état de stress post-traumatique) avec le syndrome dépressif qui l’accompagnent, tel que décrit par le Dr Pagnard et qui a coûté la vie à bon nombre de personnes, notamment de tous jeunes adolescents qui se sont suicidés

Le propre des manipulateurs destructeurs (MD), tel que le décrit le Dr Pagnard dans son livre « Crimes impunis » est leur intolérance à la frustration, leur immaturité. On le voit dans les réactions d’un certain nombre de dirigeants qui ne supportent pas d’être contredits et pas obéis et qui ont besoin de se rassembler en clan (celui de « l’élite ») pour se rassurer, s’encourager, parce que seuls, ils n’ont pas l’étoffe…

Nous connaissons maintenant le schéma selon lequel fonctionnent les dirigeants, et nous saurons à l’avenir décrypter toute future manipulation…

D’après le Dr Pagnard, les MD allient des traits appartenant tous au registre des psychoses, et qui sont des traits de personnalité perverse(dans le sens où ils instrumentalisent les autres qui ne les intéressent que dans la mesure de ce qu’ils peuvent en soutirer comme bénéfice, déniant par ailleurs l’existence de l’Autre), des traits paranoïaques (psychorigides, procéduriers, ils ont toujours raison, ne supportent pas la contradiction et refusent de se remettre en question, sont convaincus que l’extérieur est dangereux pour eux, d’où la nécessité de se protéger des autres, ici en l’occurrence du peuple, derrière : l’armée, la gendarmerie et… la police…), et enfin, des traits psychopathiques (avec leur intolérance à la frustration, leur immaturité, leur instabilité de vie et d’humeurs, leur propension à sortir de la légalité…)

Par définition, ces pervers sont AU-DESSUS DES LOIS, et ces paranoïaques FONT LES LOIS et ils nous en ont donné de magnifiques exemples dans toute cette campagne Covid, mais depuis bien plus longtemps encore, insensiblement, à l’insu de tous, amplifiant les coercitions dans différents champs de la vie quotidienne, toujours « pour notre bien », mais surtout pour des avantages financiers pour eux-mêmes (l’argent, le nerf de la guerre), tout en ne respectant pas les lois eux-mêmes…

Les MD sont classés comme insoignables en psychiatrie. Ils ne relèvent donc pas des hôpitaux psychiatriques, et SONT DONC RESPONSABLES DE LEURS ACTES. En d’autres termes, leur place est en prison, stricto sensu…

L’exemple du maire de New York est très intéressant, parce que les MD qu’on dit pourtant « intelligents », ont pour fâcheuse habitude d’énoncer le programme à venir. Là, dans cet exemple du hamburger-frites, ce qu’on entend, c’est le rapprochement entre la vaccination et la nourriture… Or, il est annoncé qu’aux USA, certains états font main basse sur des stocks de nourriture qu’ils ont détruits. Certains auraient même acheté des stocks de nourriture à des producteurs à un coût supérieur à la normale, en les menaçant de leur confisquer des subventions s’ils refusaient la transaction, stocks qui auraient ensuite été détruits…

Ainsi, le maire de New York, en étendant la campagne vaccinale au domaine de la nourriture, peut annoncer une suite qui sera encore plus féroce et cruelle en termes de coercition : pénuries alimentaires à large échelle et orchestrées, sous couvert de « réchauffement climatique » et autres balivernes là encore… pour encore plus paralyser et affoler les populations et les amener là encore et de force, au but voulu par ces sinistres et criminels dirigeants !!!!…..

Au passage, le réchauffement climatique (pollution de l’environnement) est une autre des tartes à la crème qui va être utilisée contre les peuples, et, la numérisation de tous les Terriens, permise par les GAFA, permettra là encore de les museler (blocage de compte en banques, etc., comme annoncé (sic…..) toujours dans le rapport du sénat évoqué ci-dessus…) cf. l’article « Santé et environnement : la future tarte à la crème du réchauffement climatique »

Santé et environnement : la future tarte à la crème du réchauffement climatique – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Là encore, les dirigeants vont mettre en avant de « beaux principes » comme la pollution de l’environnement, pour mieux culpabiliser les populations qui « sont responsables de cette catastrophique pollution par leurs voitures, etc. », ils vont les isoler en les empêchant de circuler, les sanctionner s’ils osent bouger, leur soutirer de l’argent en leur faisant payer des taxes à tout va, alors que les solutions non polluantes existent depuis le… XIXe siècle, comme décrit dans l’article ci-dessus !!!…. Mais dans le même temps, nos dirigeants vont continuer à se déplacer avec leurs jets privés, y compris pour se rendre aux COP de l’environnement (etc.), ce qui ne manquerait pas d’humour, si ce n’était l’expression manifeste du mépris profond qu’ils ont pour les populations et des mensonges qu’ils profèrent sur la pollution…

À bon entendeur, salut !!…

Il est donc grand temps de réagir…

Des militaires ont eux aussi été soumis à la suspension de travail et de salaire pour non-vaccination. Ils ont eu le cran de témoigner pour le journal Gallia Daily qui a ainsi permis de mettre en évidence le profond malaise qui sévit aujourd’hui dans l’armée et qui la sépare radicalement de ces dirigeants MD…

Témoignages de militaires : l’heure de la révolte a sonné – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

https://telegra.ph/Interview-avec-les-militaires-anti-vax-Je-suis-un-soldat-et-mon-pays-ne-veut-plus-de-moi-car-je-refuse-le-vaccin–PARTIE-1-11-28

et

https://telegra.ph/Interview-avec-les-militaires-anti-vax-Je-suis-un-soldat-et-mon-pays-ne-veut-plus-de-moi-car-je-refuse-le-vaccin–PARTIE-2-11-28

Ils avouent être nombreux à refuser la vaccination, à désapprouver totalement les mesures prises par les dirigeants contre le peuple, à avoir cherché des solutions pour ne pas sombrer.

Les gendarmes, pompiers et policiers ont également réagi.

Le seul obstacle qui pouvait empêcher le peuple d’agir était ces trois corps d’état, susceptibles de provoquer un bain de sang sur l’ordre exprès des dirigeants, et, comme d’habitude, pour protéger ces derniers de la population. Or, ils ont bien compris qu’ils sont issus du peuple et que c’est le peuple qu’ils doivent protéger, pas les dirigeants politiques et des grands lobbies…

Si la Résistance a réussi en 39-45, sans Internet (…), à s’organiser pour s’opposer à l’agresseur de l’époque, qui était matérialisé par toute une armée formatée, manipulée, gonflée à bloc « comme des petits soldats », alors aujourd’hui, face à cette poignée de dirigeants, l’action à entreprendre pour les paralyser est simple, sans effusion de sang, en allant les traquer jusqu’en Nouvelle-Zélande (ou ailleurs), sur leurs îles privées, si besoin, pour les enfermer en attendant le procès de Nüremberg 2.0 qui sera permis par la plainte du CSAPE près la CPI (Cour Pénale Internationale), instance internationale souveraine sur toutes les instances (corrompues) nationales et européennes, plainte pour crimes contre l’Humanité déposée en juin 2021, et à laquelle il faudra qu’un maximum de personnes s’associent pour en faire un char d’assaut….

https://www.csape.international/

Ne pas oublier que ces dirigeants ont modifié, créé, piétiné les sacro-saints textes de lois qui faisaient la noblesse de notre pays. Nous pouvons réinstaurer ces lois avec la même facilité déconcertante qu’ils les ont détruites, et faire tomber celles qu’ils ont inventées pour se dédouaner de leurs responsabilités, tout comme celle qu’ils ont sortie pour Big Pharma pour les dégager de toute responsabilité face aux effets secondaires de leurs vaccins, geste « très noble » de la part des dirigeants politiques (…), mais sans doute en cadeau de remerciements pour les remerciements qu’ils ont préalablement reçus de Big Pharma (vous savez, le jeu de l’ascenseur…..)…

Nous avons réagi, maintenant, nous devons nous fédérer et agir… Chacun de nous est comme le petit colibri, et tous ensemble, nous serons les plus forts (d’autant que nous sommes 68 millions de Français, et 7,8 milliards de Terriens, face à cette petite poignée de dirigeants indignes……) !!!

Ami entends-tu les sanglots longs des violons de l’automne ?…

[Voir aussi : France, relève-toi !]




Alexandre Juving-Brunet répond à ses détracteurs

[Source : AGORA PLACE AU PEUPLE]

[Voir aussi :
Le choix laissé aux Français : la soumission ou la mort sociale
et
France, relève-toi !
et
Témoignages de militaires : l’heure de la révolte a sonné]




Cryptomonnaie ou monnaie digitale, la marque de la bête est déjà brevetée

[Source : lilianeheldkhawam.com]

16 Il s’assura que tous les peuples, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, recevraient une marque sur leur main droite et sur leur front ; 17 et que personne ne pourrait acheter ou vendre sans une telle marque, c’est-à-dire le nom de la bête ou le numéro de son nom. C’est là que réside la sagesse. Que celui qui est sage calcule le nombre de la bête : c’est un nom d’homme. Et ce nombre est de six cent soixante-six. (666)

Apocalypse 13:16-18

La marque de la bête existe et a été brevetée par Microsoft. EXTRAITS

Et c’est là que la prophétie biblique se réalisa

SYSTÈME DE CRYPTOMONNAIE UTILISANT DES DONNÉES D’ACTIVITÉ CORPORELLERécemment, le 26 mars 2020, un brevet a été publié par Microsoft Technology Licensing LLC (Washington, DC) à l’Office américain des brevets (dossier présenté le 20 juin 2019), intitulé “The Deep State of the World”

Une cryptomonnaie qui utilise des données de l’activité du corps.

Depuis la naissance de la monnaie, la guerre a toujours été un prétexte pour faire cette remise à zéro, “tabula rasa”, qui n’a pas été faite depuis les Babyloniens – le jubilé de la dette – comme une occasion d’annuler les mauvaises dettes, et grâce au butin, recommencer avec la dette des pays envahis au profit des envahisseurs.

Il s’agit d’une guerre non conventionnelle que le deep state mondial a déclarée contre l’humanité pour la transporter vers la monnaie numérique à micro-puce, dont l’application de traçage Immuni* n’est qu’un apéritif.
Il s’agit d’un système de “mining” qui, au lieu d’utiliser les capacités de calcul d’une machine, utilise le “travail” du corps humain comme “bien sous-jacent” pour créer la monnaie(1).

*Immuni est une application de recherche de contacts COVID-19 open-source utilisée pour la recherche de contacts numériques en Italie. Il utilise le système de notification d’exposition Apple / Google. Elle a été développée par Bending Spoons et publiée par le ministère italien de la Santé le 1er juin 2020. (Wikipédia)

Dans le monde de la blockchain, l’image de la mine d’or est utilisée pour exalter le dogme de la monnaie-or, marchandise, comme étant le système parfait.

La description du brevet est la suivante :

“L’activité du corps humain associée à une tâche assignée à un utilisateur peut être utilisée dans un processus de mining pour produire la cryptomonnaie. Un server peut assigner une tâche au dispositif d’un utilisateur qui y est connecté pour communiquer. Un senseur connecté ou inclus dans l’appareil de l’utilisateur peut détecter l’activité du corps de l’utilisateur. Les données sur l’activité corporelle peuvent être générées en fonction de l’activité corporelle détectée par l’utilisateur. Le système de crypto-monnaie de cette invention, qui est connecté pour communiquer avec l’appareil de l’utilisateur, peut vérifier si les données d’activité corporelle de l’utilisateur remplissent une ou plusieurs conditions définies par le système en récompensant l’utilisateur dont les données d’activité corporelle ont été vérifiées, avec une prime en crypto-monnaie.”

En d’autres termes, il s’agit d’assigner au cheptel des tâches qui, pendant leur exécution, seront contrôlées par un dispositif – muni d’un capteur – qui mesurera les paramètres corporels : ils ne recevront la cryptomonnaie en prime que s’ils auront accompli le “travail”.

Il s’agit de remplacer les activités de calcul des machines dans le mining, par les activités corporelles humain associées à une tâche assignée à un utilisateur dans un système de monnaie digitale.

Le mining – littéralement “l’exploitation minière” – est le processus grâce auquel de nouveaux bitcoins et autres cryptomonnaies sont créées et les transactions sont transférées dans le réseau : c’est un système de calcul qui nécessite normalement des machines extrêmement efficaces pour résoudre les problèmes d’algorithmes permettant de valider le travail, c’est-à-dire de tester le travail de calcul et d’autoriser la transaction. Dans la description de l’invention brevetée, la collecte de données corporelles est présentée comme une méthode efficace pour remplacer le processus couteaux de mining par l’activité physique de l’utilisateur. Beaucoup moins cher !!!

En d’autres termes, c’est comme avoir une laisse à un capteur qui vérifie si notre corps fonctionne. Ou une vache avec un extracteur à lait attaché à ses tétons. Le système de la carotte et du bâton, perfectionné grâce à des capteurs et à la technologie numérique… appliqué au bétail humain.

Qu’est-ce que l’activité corporelle?

Et qu’entend-on par travail et activité corporelle ? Exemple :

Une onde cérébrale ou une chaleur corporelle émise par l’utilisateur lors de l’exécution de la tâche requise par un fournisseur d’informations ou de services, comme le fait de regarder une publicité ou d’utiliser certains services internet (…)”.

Description de l’activité corporelle de l’utilisateur...

“L’activité corporelle peut comprendre, par exemple, de manière non exhaustive, les fréquences émises par le corps humain, l’activité cérébrale, les humeurs corporelles (par exemple le sang), l’activité ou le mouvement des organes, le mouvement physique ou toute autre activité qui peut être détectée et représentée par des images, des ondes, des signaux, du texte, des chiffres, des degrés ou toute autre forme d’information ou de données.”

… ondes cérébrales incluses

Et puis, il y a la description des ondes cérébrales dans un scénario effrayant qui permet d’imaginer des situations de conditionnement total de la pensée.

“La chaleur corporelle émise, le pouls ou les ondes cérébrales sont des exemples d’ondes émises par un corps humain. Les ondes cérébrales comprennent, par exemple, de manière non exhaustive :

  • (i) Ondes gamma impliquées dans l’apprentissage ou les tâches mnémoniques,
  • (ii) Ondes bêta impliquées dans la pensée logique et/ou la pensée consciente,
  • (iii) Les ondes alpha qui peuvent être reliées à des pensées subconscientes,
  • (iv) Les ondes thêta qui peuvent être liées à des pensées impliquant des émotions brutes et profondes,
  • (v) les ondes delta qui peuvent être impliquées dans le sommeil ou la relaxation profonde, et
  • (vi) l’électroencéphalogramme (EEG) qui peut être mesuré pour évaluer l’activité électrique du cerveau comme dans le cas de la concentration profonde”.

Possibilité de conditionnement de l’humain?

Pour dire, dans ce système, on peut forcer l’utilisateur, en le conditionnant avec la prime en crypto, à n’importe quel type de comportement cérébral, même inconscient ou émotionnel, dans un système technologique de lavage de cerveau et de conditionnement. Et cela continue dans le scénario du contrôle total :

Les exemples de mouvements du corps peuvent comprendre la torsion des yeux, les mouvements du visage ou tout autre mouvement musculaire. En outre, l’activité cérébrale peut être détectée à l’aide de l’IRMf, qui mesure l’activité cérébrale en détectant les changements associés au flux sanguin. Cette technique est basée sur le fait que le flux sanguin cérébral et l’activité neuronale sont liés. Lorsqu’une zone du cerveau est active, le flux sanguin dans cette zone augmente”.

Un véritable système d’espionnage et de conditionnement de la pensée grâce à un capteur qui, spécifie le brevet, sera branché sur un smart phone, un PC, une tablette ou, peut-on logiquement penser, tout autre dispositif de stockage de la mémoire, comme une micropuce sous la peau.

Microsoft, la société de Bill Gates qui contrôle l’OMS et la GAVI, une alliance de vaccins, et qui prépare le monde à l’idée de vacciner 7 milliards de personnes, peut-être avec des patchs d’encre spéciaux dotés de capteurs spéciaux, a également financé la simulation de la pandémie organisée par l’école de santé publique Bloomberg John Hopkins en octobre 2019….

Un lien entre les deux technologies?

Nforcheri

Passages repris de l’article original écrit en Italien le 21 Avril 2020
https://nicolettaforcheri.wordpress.com/2020/04/21/il-marchio-della-bestia-esiste-ed-e-stato-brevettato-da-microsoft/

Référence du brevet : https://patentscope.wipo.int/search/en/detail.jsf?docId=WO2020060606


(1) Le mining est le processus de validation des transactions sur la blockchain grâce à la capacité de traitement et de calcul de machines/pc puissantes. La blockchain, qui permet de résoudre les opérations de calcul, permet d’obtenir la validation du travail, c’est-à-dire la proof of work pour pouvoir inscrire de façon cryptographique la nouvelle monnaie ou transaction.

À lire également

https://lilianeheldkhawam.com/2020/05/04/bill-gates-futur-maitre-de-la-planete/comment-page-1/

https://lilianeheldkhawam.com/2020/05/23/lhumanite-livree-aux-gafam-lhk/comment-page-1/


[Voir aussi :
Si, Bill Gates a bien dit que nous aurions besoin de passeports numériques pour les vaccins
et
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom]




Témoignages de militaires : l’heure de la révolte a sonné

Par Diane Vincero

Voici quelques extraits de différents témoignages de militaires parmi de très nombreux militaires qui ont refusé la « vaccination » Covid, témoignages obtenus par le Gallia Daily.

Merci à ce journal pour ce magnifique travail et merci aux militaires qui ont eu le cran de témoigner !!!

Ces témoignages montrent la détermination et le nombre important de militaires qui s’opposent à ces mesures coercitives,cruelles et brutales, et le fait que la gendarmerie, les pompiers et la police ont eux aussi pris conscience du dysfonctionnement grave des dirigeants.

Cela va permettre une neutralisation de ces dirigeants (politiques et de grands lobbies, notamment pharmaceutiques), en évitant un bain de sang au niveau de la population, comme cela aurait été irrémédiablement le cas si ces 3 corps de protection de l’état ne s’étaient pas ralliés au peuple…

Un « Nüremberg 3 ou 4.0 » va pouvoir se tenir avec l’aide de la CPI (Cour Pénale Internationale), qui est souveraine sur les instances nationales et européennes et semble relativement épargnée par la corruption généralisée de tous ces dirigeants et qui a été saisie en juin dernier par le CSAPE pour crimes contre l’humanité, plainte à laquelle un maximum de personnes devra se rallier pour obtenir la force de frappe indispensable… (https://www.csape.international/).

Étant donné le droit de réserve imposé aux militaires, ces témoignages sont précieux et rares. Les dirigeants ont eu le tort d’appliquer aux militaires la même politique qu’à la populace, c’est une très grossière faute de stratégie, l’armée étant l’un des 3 corps d’état servant de bouclier aux gouvernants contre le peuple ou toute autre menace potentielle…

C’est aussi le propre des manipulateurs destructeurs de toujours dépasser un point de non-retour, lié à leur fantasme de toute-puissance qui leur fait croire qu’ils peuvent tout se permettre… Grâce à cela, ils se heurtent au stop…

Voici ces quelques extraits :

« Si vous êtes civils, je ne sais pas quoi vous dire, si ce n’est qu’on a besoin de vous pour gueuler. Nous, on ne peut rien faire. Pour l’instant. Alors c’est à vous de bouger. Mais faites-le en sachant que vous n’êtes pas seuls, il y a beaucoup de policiers, de gendarmes, de pompiers et de militaires, qui sont d’accord avec vous, sur l’essentiel. Finalement c’est le message que je veux que tout le monde retienne : vous n’êtes pas seuls. Nous sommes majoritaires. De très loin. Des gens qui ont pris le vaccin par conviction, c’est une très petite minorité ».

« Mes collègues en régiment défendent la vie en risquant la leur. Je ne peux pas me résoudre à bafouer ces sacrifices qu’ils font en mettant leur vie en danger simplement parce que j’obéis aux ordres du gouvernement. La seule chose que je fais donc, c’est de rendre à chacun le choix que le gouvernement leur a enlevé. Je les rends maîtres de leur destin et je les laisse choisir. Je me refuse à être un agent de cette coercition**».

« J’accuse donc les institutions politiques de mener une politique sanitaire totalement inique. Une politique sanitaire qui est en train de fracturer profondément notre armée, de détruire la confiance des hommes dans leurs chefs, de détruire notre culture du commandement, de détruire des régiments, de détruire des vocations. Et surtout, de détruire des hommes ».

**C’est exactement comme cela qu’auraient dû réagir tous ces directeurs d’hôpitaux, etc. au lieu de se réfugier derrière un prétendu « devoir d’obéissance »… Il est pourtant bien stipulé dans les textes de loi que si un ordre donné semble anormal, il ne faut pas le suivre sous couvert d’obéissance…


Voici in extenso les 2 pages de témoignages recueillis :

https://telegra.ph/Interview-avec-les-militaires-anti-vax-Je-suis-un-soldat-et-mon-pays-ne-veut-plus-de-moi-car-je-refuse-le-vaccin–PARTIE-1-11-28

Interview avec les militaires « anti-vax » : « Je suis un soldat et mon pays ne veut plus de moi, car je refuse le vaccin »

T.me/GalliaDailyNovember 28, 2021

INTRODUCTION

Ces histoires vont peut-être vous choquer, vous énerver ou vous attrister, en tout cas elles ne vous laisseront sans doute pas indifférent. Ces histoires, ce sont celles de huit Français, des militaires honorables et patriotes, qui se sont trouvés face à un choix cornélien qui remet en cause leur engagement : la vaccination Covid 19. Ces hommes et femmes, forgés dans le moule du devoir et de l’obéissance, mais à qui leur carrière a aussi appris l’honneur et le discernement, se trouvent aujourd’hui dans une situation extrêmement compliquée. Certains subissent des pressions, d’autres ont été renvoyés, d’autres se voient menacés par leurs chefs, d’autres doivent se livrer à des activités illégales pour pouvoir continuer à servir leur pays.

En effet, depuis l’été 2021, une série de mesures du gouvernement français a imposé la vaccination obligatoire contre le Covid 19 à un certain nombre de professions, dont les militaires. Si la vaccination contre le Covid a soulevé de profonds débats dans la société civile, très peu de gens sont allés interroger les militaires pour savoir comment est perçu ce sujet dans l’armée.

Pourquoi ce silence ? Que l’Armée ne communique pas sur ce sujet est tout à fait normal. Mais que font les journalistes ? La presse française a-t-elle peur de l’effet que pourraient avoir ces témoignages sur le public ? Effectivement, la population française pourrait commencer à se poser des questions si il apparaissait que beaucoup de militaires, du soldat au général, sont très méfiants sur le sujet de la vaccination Covid.

Gallia Daily a la chance d’avoir des liens privilégiés avec l’institution militaire, avec les militaires eux-mêmes. Nous sommes heureux aujourd’hui de pouvoir donner la parole à certains d’entre eux, afin qu’ils témoignent de ce qu’ils voient, de ce qu’ils vivent, de ce qu’ils observent et de ce qu’ils pensent de tout cela.

« Vous mettez en danger la stabilité de l’armée et du pays avec cet article ! »

Voila ce que certains vont nous reprocher. Nous leur répondrons que, si notre armée tremble parce qu’un petit caporal-chef donne son avis sur un sujet de société, c’est probablement qu’il y a un mal beaucoup plus profond qui menace notre pays, et qu’il y a donc un certain nombre de problèmes plus urgents que d’attaquer un petit média indépendant comme le nôtre.

L’Armée française a toujours été grande, le mensonge ne préservera pas cette grandeur, il va la ternir. La tragédie c’est qu’aujourd’hui notre armée soit forcée de s’enfoncer dans une spirale de dissimulation pour conforter la politique et les éléments de langage du gouvernement, un gouvernement qui affirme à tue-tête que la vaccination remporte l’adhésion de la masse, et en premier lieu des citoyens respectables que sont les militaires.

La situation est beaucoup plus complexe et nuancée. La situation est bien moins apaisée que ne le laisse penser ce silence ordonné et coordonné. Notre article a pour vocation de donner la parole à certaines de ces personnes. Quand nous avons commencé à tirer sur le fil, nous avons reçu des centaines de retours de militaires désireux de parler de ce sujet et d’en témoigner. Plus surprenant encore, nous avons reçu des centaines et des centaines de messages de femmes de militaires qui témoignent pour leur mari. Et même des messages d’enfants (le plus jeune a 13 ans !) qui souhaitent parler de ce qui se passe pour leur papa… Nous avons décidé de sélectionner huit témoignages, du simple soldat au général, du commando au marin, en passant par le médecin et la femme de militaire.

Nous nous excusons d’avance d’avoir dû faire cette sélection difficile, mais nous espérons que notre choix permettra de rendre justice, dans l’ensemble, à tous les éléments que pouvaient évoquer ces témoignages. Par ailleurs, la plupart des témoignages reçus ou des interviews que nous avons menées étaient très denses. Nous nous excusons donc d’avoir dû modifier certains passages du texte final, pour en simplifier la lecture, ajouter du contexte ou protéger les sources. Les huit témoins ont évidemment relu et validé leur témoignage avant publication définitive.

Adjudant-chef Fred, régiment d’infanterie

Mon Adjudant-Chef, pouvez-vous vous présenter ?

Je suis Adjudant-Chef dans un régiment d’infanterie, ADU en compagnie de combat. Je me suis engagé dans l’Armée de Terre à 17 ans et demi et j’ai participé à 11 opérations extérieures. J’ai été blessé deux fois dont une assez gravement. Je suis marié et père de trois enfants.

Êtes-vous engagé politiquement ? Est-ce que vous vous reconnaissez dans le terme « Anti-vax » ?

Je n’ai jamais fait de politique, je vote blanc ou je ne vote pas. Je ne fais toujours pas de politique, je n’ai jamais compris cet empressement à vouloir absolument jouer à un jeu truqué…

Par ailleurs non, je ne suis pas anti-vaccins : tout au long de ma carrière, j’ai dû recevoir une bonne trentaine de vaccins pour pouvoir partir dans les pires coins du globe. Cela avait un sens, et je ne regrette pas : j’ai déjà vu un jeune en Afrique mourir du paludisme en quelques heures ou des bébés avoir des séquelles à vie à cause de la dengue. Il y a des maladies qui méritent qu’on les combatte. Et d’autres beaucoup moins, comme le Covid.

Comment a commencé cette position de doute, que certains qualifieront de « complotiste » ?

Au début du Covid, comme la plupart des gens normalement constitués, j’ai activé mon cerveau reptilien et j’étais sur la défensive face à une menace qu’on avait encore assez peu cernée. Je crois qu’à ce moment-là j’aurais pris le vaccin sans trop hésiter. Mais ce moment-là est vite passé, le sang-froid est vite revenu. Dès le premier confinement, j’ai commencé à comprendre qu’il y avait « autre chose » derrière tout cela. Que ce n’était pas seulement médical, mais qu’il y avait un agenda politique, qui était enclenché avec pour prétexte le combat sanitaire. De même que depuis plusieurs années on voit un agenda politique très clair être appliqué avec le prétexte fallacieux de sauver les arbres ou les pandas… La réponse du gouvernement français à la crise a donc éveillé ma suspicion. Cela s’est confirmé quand on a commencé à voir les premiers chiffres sortir sur la mortalité du Covid, ridiculement basse, en tout cas pas suffisamment haute pour justifier l’immense cirque dans lequel s’est enfoncé le monde.

Vous n’êtes donc pas vacciné ?

Je ne suis pas vacciné contre le Covid 19. Et il n’y a absolument aucune chance que je prenne ce vaccin. Le gouvernement est allé bien trop loin dans la folie pour que je leur accorde le moindre crédit ou le moindre sérieux quand ceux-ci prétendent vouloir veiller à ma santé. Vous remarquerez que c’est cocasse, le Président, celui qui m’a envoyé onze fois risquer ma vie à l’étranger prétend aujourd’hui tenir à ma santé. Quelle bouffonnerie. Je rajouterai aussi que je n’ai jamais eu besoin des politiciens pour prendre soin de moi, je suis capable de veiller seul à ma santé et celle de ma famille. On appelait ça être un homme, avant.

Concrètement, quelles conséquences cela a par rapport à votre engagement militaire ?

Concrètement je ne suis plus militaire. Ils m’ont poussé vers la porte. J’ai eu le droit à des rendez-vous interminables devant mon chef de corps, devant des généraux et des torche-culs du ministère, venus de Paris m’expliquer que je suis un « mauvais sous-officier et un mauvais exemple pour mes hommes », je cite… J’ai même eu le droit à un rendez-vous avec un psychologue et un psychiatre, qui devaient évaluer ma « capacité à servir » ou « détecter des signes de paranoïa ou de radicalisation ». J’ai répondu que si j’étais P4 [inapte psychologique], ils auraient dû s’en rendre compte pendant mes 30 ans de service…

J’ai eu le droit au discours faussement compatissant du psychiatre, qui m’a expliqué que j’avais « le droit d’être méfiant envers les médecins » comme j’avais été blessé, que je souffrais peut être de PTSD. Je lui ai simplement répondu que le problème ce n’est pas les médecins, mais le fait de m’injecter une thérapie génique dans le sang, de force. Cet imbécile à oser me répondre « Avec votre âge, votre forme physique, vous faites partie des populations à risque »… En réponse, je l’ai défié à un concours de tractions et un test cardio Cooper, en lui rappelant que si 11 OPEX ne m’avaient pas foutu au sol, ce n’est pas une grippe qui allait le faire.

Bon en d’autres termes j’ai été peu conciliant avec les demandes de mes chefs. Mais il faut dire que leurs demandes, même si elles étaient formulées avec la politesse des faux-culs, revenaient en fait à me dire « ferme ta gueule, vaccine-toi, sinon on te dégage ». Un adjudant-chef ne ferme pas sa gueule, donc je me suis fait dégager, soi-disant parce que mon « profil psychologique montre des incohérences ».

Le dernier coup de poignard est venu de mon chef de corps, qui a pris soin de faire circuler une rumeur selon laquelle, en gros, j’avais déraillé. Pour faire croire qu’ils m’avaient viré pour ce motif psychologique, alors qu’ils m’ont évidemment viré à cause du vaccin, sans l’avouer, pour éviter que cela fasse tache, je suppose. En tout cas ils ont réussi le tour de force de me virer à cause du vaccin, avant même que la vaccination ne soit obligatoire officiellement.

Au sein de votre régiment et de vos connaissances, vous étiez le seul dans cette position ?

Non seulement je n’étais pas seul, mais en plus nous sommes sacrément nombreux. Avant que la vaccination ne soit obligatoire, je crois que nous étions bien une grosse moitié de sceptiques au régiment, l’autre moitié étant purement indifférente.

Au sein de ma compagnie, mon CDU [le capitaine] avait la même position que moi. Il m’a dit un jour :

« Fred, si jamais je meurs et que ces enflures vaccinent mes gosses à l’école, tu me promets que tu prends un HK à l’armurerie et tu vas te faire la maîtresse, le toubib, la directrice de l’école, le préfet, le ministre de la Santé et le président ».

J’ai promis. Il m’a fait la même promesse. Elle tient toujours, et je dis ça sérieusement. L’autorité parentale c’est sacré, si ces imbéciles veulent jouer avec nos enfants, ils vont vite se rendre compte que tout le monde n’est pas très prompt à livrer ses progénitures à Chronos ou à se la jouer Simon de Trente. Je crois que c’est la position de la plupart des sous-off avec qui je peux parler, en tout cas tous ceux qui ont des enfants. Le fait d’avoir des enfants doit aider à se projeter, ça créait un enjeu de long terme.

Le fait que je me fasse virer a servi d’exemple malgré tout, je crois. Certains collègues ont accepté de prendre le vaccin. Beaucoup ont posé des permissions et sont revenus « vaccinés » au régiment, avec de faux certificats. Mais au moins quatre camarades de ma compagnie, deux EVAT, un sergent et un jeune lieutenant sont malgré tout sur la sellette pour avoir refusé de se compromettre tout court. Je ne sais pas encore où en est leur parcours du combattant. Mais je n’ai qu’un conseil à leur donner s’ils me lisent : ne vous soumettez pas, de toute façon vous êtes déjà morts pour eux, même si vous cédez, vous n’aurez pas de carrière, vous êtes fichés comme étant de vilains petits canards, pour de bon.

Je ne suis pas très bon avec les chiffres et je ne peux pas sonder les corps et les sangs, mais des contacts que j’ai encore au sein de ma compagnie, je pense qu’il y a grosso modo au moins 50 % de vaccinés, la plupart par contrainte, pas par conviction. Ensuite, environ 35 % de faux vaccinés, qui ont trouvé un médecin complaisant ou qui ont fait falsifier leur dossier mili grâce à des proches. Et 15 % de dissidents, soit qui résistent vraiment comme les quatre larrons dont je viens de parler, soit qui étaient sur la fin de leur contrat et qui ont préféré se barrer plutôt que de se vacciner. D’après ce que j’entends de mes amis, c’est globalement à peu près pareil partout, dans tous les régiments.

Et maintenant, pour vous quel est le plan ?

Je pars en 2022 m’installer en Croatie avec ma famille et la famille d’un autre collègue, lui aussi poussé à la porte. Pour nous, la France c’est terminé. C’est un crève-cœur. Mais si ce pays ne veut pas de nous, même comme gilet pare-balle, on ne va pas imposer notre présence. Surtout, mes deux plus jeunes enfants sont au collège et à l’école primaire, il est hors de question que je leur impose de vivre dans un pays entouré de cinglés. La Croatie c’est bien et si ça ne va plus, on ira ailleurs. Et je vous le dis : j’espère qu’un maximum de mes collègues feront pareil. Votre valeur en tant qu’hommes et en tant que Français, ce n’est pas de vous soumettre pour faire carrière. Votre valeur c’est vos qualités humaines et professionnelles, votre capacité à protéger votre sang, votre famille. Il reste des pays en Europe où vous serez respectés et accueillis pour ça.

Thierry : major CPA

Major, pouvez-vous vous présenter ?

Je suis le Major Thierry, je sers dans l’Armée de l’Air depuis mes 19 ans. J’ai effectué la majorité de ma carrière en tant que fusiller de l’air, puis au sein du CPA 10 et du CPA 20 (forces spéciales de l’armée de l’air). Je suis parti une quinzaine de fois en mission. Je suis marié, père de famille, j’ai deux enfants et trois petits-enfants. Accessoirement, j’ai aussi 3 chevaux et 3 chiens, qui comptent sur moi.

Major, pouvez-vous nous dire si vous êtes vacciné, pourquoi, et ce que cela a comme effet sur votre carrière militaire ?

Je suis vacciné, j’ai décidé de le faire après une longue réflexion. Ma mère est hospitalisée, la structure privée où elle est me refusait la possibilité de la visiter… Au début, je m’en accommodais comme je pouvais grâce à mon frère, vacciné, qui me permettait de voir ma mère en appel vidéo. Mais j’ai vu la santé de ma mère décliner, l’isolement ne devant pas aider. Je me suis vacciné pour pouvoir lui rendre visite, car je ne pouvais pas supporter de la voir mourir petit à petit sans pouvoir aller lui dire que je l’aimais. J’ai bien fait, elle est morte le lendemain de ma première visite, je crois sincèrement qu’elle attendait de me voir.

Je me suis donc vacciné par pure contrainte d’une certaine façon, sinon je ne l’aurais jamais fait. Ni ma femme, ni mes enfants ou petits enfants ne sont vaccinés.

En tant que sous-officier, mes cadres m’ont demandé de prendre en compte le statut de vaccination de mes gars. Ça devait être une formalité, en faisant circuler une fiche en interne. Mais pour avoir discuté avec mes gars à la popote ou au sport, je savais très bien que ça coincerait pour certains. J’ai donc pris le pari de voir tous mes gars en tête à tête, et j’ai discuté avec eux de la situation. Certains étaient déjà vaccinés, la plupart par contrainte, pour garder leur job. Pour eux je ne pouvais rien faire.

Mais il y avait aussi quelques Gaulois réfractaires. Grosso modo environ 20 sur 80, qui n’étaient pas vaccinés et qui n’avaient pas du tout envie de le faire. J’ai proposé à tous de récupérer de faux certificats. Ce qu’ils ont tous fait. Deux d’entre eux ne pouvaient pas payer le faux, j’ai payé de ma poche. Il y a un seul gars, un sergent, qui refusait absolument de se faire vacciner ou même d’utiliser un faux. Je l’ai prévenu des risques qu’il prenait, il a accepté de quand même monter au carton.

Je l’ai défendu autant que je pouvais face à nos cadres. Il a eu le droit à la totale, C2, C1, Généraux, visites médicales à rallonge, tests anti-cannabis tous les deux jours, visite de la DRSD (le service de contre-espionnage de l’armée, qui donne les accréditations Secret-Défense ou vérifie la radicalisation des militaires). Il s’est pris un torrent sur la gueule. Ils ont aussi mis une pression hallucinante sur sa petite amie, qui occupe un poste administratif de civil de la défense, en lui expliquant qu’elle perdrait son poste si son copain ne cédait pas. Cela a évidemment fait éclater leur couple. Point assez surprenant, sur la route, il s’est fait contrôler par les gendarmes 7 fois en deux mois, alors qu’il ne s’était jamais fait contrôler de sa vie. Je soupçonne qu’ils cherchaient à lui coller une procédure dans le civil pour justifier son renvoi. Enfin, pour finir, ils ont intégré son groupe de combat à une autre section, partie en terrain à l’autre bout de la France, sans lui bien sûr. De façon à le laisser totalement isolé, sans ses camarades…

Il n’a pas cédé, je salue infiniment son courage. Aujourd’hui, il a été muté dans un service logistique, de « plieur de chaussettes » comme on dit, une tâche dégradante pour un militaire qui a été formé pour être commando. Cela est temporaire, je pense qu’il sera expulsé discrètement d’ici quelques semaines ou quelques mois maintenant que la vaccination est officiellement obligatoire…

J’ai dit clairement à mes cadres ce que je pensais du sort qu’ils réservaient à ce jeune chef. Cette façon de faire me dégoutte. J’aurais préféré qu’il soit viré directement, plutôt que d’assister à ces tractations visant à le briser. Cela m’a donné honte d’avoir servi ces colonels et ces généraux. En tant que chef, j’ai appris à être le bouclier de mes hommes, pas le marteau utilisé pour les abattre. Apparemment, en France et dans l’Armée, tout le monde ne partage pas cette vision du service…

La quasi-totalité des militaires ne veulent pas se faire vacciner, c’est un fait. Certains l’ont fait par dépit, beaucoup ont fait des faux et quelques-uns tiennent la ligne de front symboliquement. Je ne pouvais pas accepter de devenir le mirador de la politique sanitaire du gouvernement alors même que la totalité des hommes qui me font confiance s’opposent à cette politique, pour diverses raisons. Mon rôle de chef, c’est d’être le représentant de mes hommes auprès des officiers, pas d’être le représentant des officiers auprès de mes hommes. Je défie n’importe quel chef d’aller au feu et de m’expliquer le contraire. Pour toutes ces raisons, j’ai décidé de partir de l’armée et de prendre ma retraite, j’ai précisé très clairement à mes cadres que je le faisais en opposition à leur gestion de la politique sanitaire, ce qui m’a valu un bon nombre de soucis également.

C’est « facile » pour moi en tant que vieux sous-off d’avoir cette liberté. Mais je peux vous assurer que c’est quand même une sorte de déchirement de quitter la tête basse une institution que l’on a servi pleinement pendant 30 ans. En tant qu’homme je ne peux m’empêcher de penser que l’Institution est en train de trahir ce qu’elle est ; mais en tant que militaire je ne peux m’empêcher de penser que c’est moi qui suis en train de trahir… Je crois que cela va me hanter pendant longtemps, car en réalité il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse. Je suis heureux d’avoir fait ce choix, même s’il était difficile. Et j’invite les jeunes sous-off des trois armées à écouter ce que j’ai à leur dire : vous êtes le bouclier de vos gars, leur berger, gardez ça à l’esprit, toujours. Vous avez la charge de leur vie au feu, mais aussi à l’arrière en temps de paix. Soutenez toujours leurs choix, même si parfois cela est difficile, usant ou destructeur pour vous.

Et maintenant, pour vous quel est le plan ?

Je vais déménager pour me rapprocher de mes deux enfants, qui habitent à la frontière suisse. Je me suis proposé pour faire l’école à la maison à mes deux petites filles. Cela risque de bien m’occuper, mais j’ai hâte. Ma femme va quitter son emploi actuelle et m’aider dans cette tâche aussi. Une page se tourne, c’est ainsi.

Sous-Lieutenant Clément : ESM de Saint-Cyr

Mon Lieutenant, pouvez-vous vous présenter ?

Je suis le sous-lieutenant Clément, élève officier au Premier Bataillon de France de Cyr. Je suis entré à Coet après une prépa au Vieux Bahut [Prytanée de La Flèche]. J’aspire à devenir officier depuis mon enfance, mon père étant sous-officier et mon grand-père ayant été lui-même officier, monté par l’interne.

Pouvez-vous nous dire si vous êtes vacciné, pourquoi, et ce que cela a comme effet sur votre jeune carrière militaire ?

Je ne suis pas vacciné, comme un certain nombre de mes camarades. Nous avons fait des faux pour passer entre les mailles du filet avant septembre. Tout le monde n’a pas cette chance cependant. Certains camarades de l’ESM2 et l’ESM3 ont été pris au dépourvu : les cadres ont prévu une séance de vaccination collective au retour de terrains exigeants ou de stages d’aguerrissement, à des moments ou les bazars étaient peu aptes à résister.

Mais j’ai quand même quelques exemples de ptits co courageux qui résistent courageusement. Ils se prennent une pression pas possible de la part des cadres de l’école. Les cadres nous ont aussi demandé de leur mettre la pression de notre côté… On remarquera l’ironie du sort : ça fait vingt ans que l’État nous emmerde à cause des traditions et du bahutage qui seraient soi-disant du harcèlement… Mais aujourd’hui ils nous demandent directement à nous, les Anciens, de harceler légalement les bazars non-vaccinés ou de mettre la pression à nos camarades de promo.

Je pense que ces camarades vont de toute évidence se faire exclure ou pousser vers la sortie, leur carrière est de toute façon foutue. L’encadrement lui-même s’assure de mettre les récalcitrants face au mur. En entretien, un de nos ptit-co a eu le droit à un long sermon, sur le fait que, refusant le vaccin, il était « pire qu’un terroriste » ou qu’un « combattant de Daech au Sahel ». Notre bazar, a eu la bonne idée de répondre, malicieusement, mais avec justesse, que Daech ne pouvait pas être au Sahel, puisque Daech signifie « État Islamique en Iraq et au Sham ». La remarque n’a probablement pas arrangé son cas. Mais on remarquera la perfidie d’une telle affirmation : il faut avoir beaucoup de culot pour oser dire à un jeune qui vient de passer trois ans en prépa et trois ans en école, dans l’espoir de servir son pays, qu’il ne vaut pas mieux que le dernier rat de l’État Islamique. Visiblement, notre État ne fait absolument aucune différence entre ses officiers qui défilent le 14— juillet sur les Champs Élysées, et les djihadistes qui roulent sur des enfants le 14— juillet. C’est bon à savoir…

Je sais par ailleurs que la vaccination a posé problème avec plusieurs crocos, les élèves étrangers (souvent africains), qui refusaient aussi de se faire vacciner au départ… Certains ont été menacés d’être renvoyés chez eux en Afrique. Ici encore, on notera l’ironie de la situation, politiquement… Un gouvernement qui refuse d’expulser les criminels et terroristes étrangers menace d’expulser des officiers africains hautement diplômés qui refusent de se vacciner…

Dernier point : je ne peux pas en témoigner directement, car on n’appartient pas à la même promotion, mais apparemment les officiers sous contrat de l’EMAC ont été les plus menacés. Ils ne font que 1 an à Cyr au lieu de trois ans. Donc la plupart n’étaient pas vaccinés, et ont pu un peu passer entre les mailles du filet. La politique du gouvernement s’accentuant, ils ont finalement été obligés de se vacciner, ce que certains ont refusé bien sûr, ils sont donc sur la sellette, et tout le tralala. Beaucoup ont fait des faux, mais d’autres ont été vaccinés en masse directement par le SSA à l’école. Sauf qu’ils ont eu un mauvais timing : il y avait l’inauguration de l’EMAC par la ministre Parly juste quelques jours après. Et certains officiers avaient de fortes fièvres après le vaccin, plusieurs ont fait des malaises. Les cadres de l’EMAC ont dit aux officiers qui si un seul d’entre eux tombait pendant la cérémonie avec la ministre, sa carrière serait détruite. À mon avis ils craignaient la mauvaise pub : avoir des officiers vaccinés qui tombent devant un membre du gouvernement c’est moyen. Si il est fréquent que des militaires tombent pendant des cérémonies, je crois que l’idée d’avoir d’un coup 10 personnes par terre leur faisait un peu peur. Fun fact: ça a été pareil pour le défilé du 14— juillet, non seulement ils ont menacé les non-vaccinés de ne pas pouvoir y participer, mais en plus ils ont viré du défilé les officiers vaccinés qui avaient des effets secondaires graves…

Il y a probablement dans mon témoignage des imprécisions, des détails exagérés ou d’autres que j’ai oubliés, cela mériterait que vous interrogiez directement d’autres camarades des autres promos. Je n’ai pas la prétention de parler pour les autres. Mais cela vous donne clairement un bon aperçu de la situation à Saint-Cyr. Ce n’est pas la joie. Entre les parias, ceux que l’on prend par surprise, ceux que l’on menace, ceux qui sont harcelés ou poussés vers la sortie, ceux qui se vaccinent à contrecœur et ceux qui font des faux, ça fait un sacré paquet de mécontents. J’espère que nos dirigeants s’en rendent compte et qu’ils prennent cette variable au sérieux.

Et maintenant donc, que prévoyez-vous ?

Après mon passage en DA, je vais servir quelques années, histoire de rembourser ce que je dois à ce pays. Je suis passé entre les mailles du filet, donc je vais en profiter. Mais ensuite je me barre, définitivement. L’épisode Covid a totalement détruit mes derniers accents « patriotiques ». Pour être patriote, il faut une patrie. Je refuse de servir un appareil d’État dont le principal objectif est de vendre des doses d’un vaccin israélo-américain à des Français en bonne santé. Qu’ils aillent se faire foutre. Je le dis en tant que fils et petit-fils de militaire. Je le dis en tant qu’ancien de Autun, en tant que Brution et en tant que Cyrard. Je le dis en tant qu’officier et en tant que militaire. Et je le dis en tant que citoyen. Qu’ils aillent se faire foutre.

On en parle beaucoup entre nous, je crois que le sentiment qui prédomine c’est exactement celui-là. Le ras-le-bol. Les 12 derniers mois ont fait l’effet d’un électrochoc chez beaucoup d’entre nous. Ceux qui se moquaient de ces sujets s’en moquent toujours. Mais ceux qui étaient sur le fil, qui avaient des doutes, sont aujourd’hui totalement passés de l’autre côté du miroir. Le turnover des officiers est déjà important, je crois qu’on va le voir exploser.

Je me projette peut-être un peu, mais je ne sais pas comment l’État peut résoudre ce problème. Dans le secteur hospitalier, je sais qu’ils vont faire appel à des travailleurs étrangers pour compenser les effectifs de non-vaccinés. Pour l’armée ça va être plus compliqué, mais à mon avis on va aller de plus en plus vers des contractuels, y compris étrangers, sans statut militaire, qui vont servir de de garde prétorienne à la République… Sympathique, je suis sûr que Napoléon, paix à son âme, serait fier de voir le sort qui est réservé à ses protégés par ses descendants…

En tout cas je n’ai qu’un truc à dire à ceux qui peuvent nous lire : si vous êtes militaires, EVAT par exemple, sachez qu’il y a une génération d’officier qui arrive et qui en a autant plein le cul que vous. Voilà. Si vous êtes civils, je ne sais pas quoi vous dire, si ce n’est qu’on a besoin de vous pour gueuler. Nous on ne peut rien faire. Pour l’instant. Alors c’est à vous de bouger. Mais faites-le en sachant que vous n’êtes pas seuls, il y a beaucoup de policiers, de gendarmes, de pompiers et de militaires, qui sont d’accord avec vous, sur l’essentiel. Finalement c’est le message que je veux que tout le monde retienne : vous n’êtes pas seuls. Nous sommes majoritaires. De très loin. Des gens qui ont pris le vaccin par conviction, c’est une très petite minorité. Que nous soyons non-vaccinés, fraudeurs ou vaccinés par contrainte, c’est nous la masse, c’est nous la majorité. Même si on nous fait croire le contraire. Alors j’ai un truc à dire aux dirigeants : le mot de Cambronne [Merde !].

Lieutenant de Vaisseau Marc, FUSCO

→ Capitaine, pouvez-vous vous présenter pour nos lecteurs ?

Je suis le lieutenant de vaisseau Marc, j’ai passé l’intégralité de ma carrière chez les FUSCO. Depuis cinq ans je sers au sein des commando-marine. Je suis fiancé et je suis père d’un petit garçon. Je suis par ailleurs sportif de haut niveau dans le civil.

Pouvez-vous nous dire si vous êtes vacciné, pourquoi, et ce que cela a comme effet sur votre carrière militaire ?

Je ne suis pas vacciné, comme beaucoup de mes collègues. Pour passer sous les radars, j’ai pu bénéficier de l’aide de la femme d’un camarade de l’École Navale, qui travaille au SSA dans un hôpital militaire. En d’autres termes, j’ai un faux pass et un faux certificat de vaccination.

En tant qu’officier, j’ai encouragé tous mes hommes à faire de même. J’ai même eu l’assentiment officieux de deux de mes cadres pour agir de la sorte. Cela est bien sûr totalement illégal. Mais sur le papier, l’intégralité de mon commando est vacciné. Dans la réalité, je pense qu’on a au grand maximum 30 % de « vrais vaccinés », en tout cas chez les commando-marine. Je parle un peu avec mes camarades des autres commandos ou de divers bâtiments, le schéma est à peu près le même. Il y a un certain nombre de gens qui se font vraiment vacciner, mais une grande partie qui a refusé ou qui fait des faux.

Je crois que globalement le fait que nous appartenions au COS [forces spéciales], nous permet d’avoir un peu moins la pression que les autres militaires ou que les autres professions. La priorité du commandement n’est pas de nous faire fuir. Pour former un jeune sur la filière CTLO, c’est 3 ans de formation et au moins 2 ans de déploiement pour arriver à un niveau de professionnalisation suffisant. Cela en plus de sa formation initiale. D’une certaine façon le rapport de force est en notre faveur donc, ils ne peuvent pas se permettre de nous virer, ils nous laissent globalement assez tranquilles. J’ai même l’exemple d’un officier marinier qui a pu partir il y a quelques semaines en zone Sahel, sans être vacciné, ce qui est bien sûr totalement interdit. Les chefs ont fermé les yeux, du fait qu’il avait un rôle crucial et qu’il aurait été compliqué de le remplacer en dernière minute.

Je crois malheureusement que nous sommes privilégiés, en quelque sorte. Nos amis de l’Armée de Terre font face à une forme de répression beaucoup plus agressive, c’est les remontées qu’on a de nos échanges avec eux. J’ai un camarade de prépa qui sert en régiment de transmission et qui préparait l’École de Guerre. Il se retrouve aujourd’hui sur un siège éjectable, car il a clairement refusé la vaccination. En l’occurrence, ils lui ont envoyé la DRSD, pour des motifs fallacieux bien sûr. J’ai aussi le neveu d’un voisin, qui est rentré dans l’armée il y a quelques mois et qui se retrouve bloqué à la fin de sa formation technique, la DRHAT ayant refusé de valider son affectation dans une compagnie, parce qu’il refuse le vaccin.

Je crois que dans la Marine, la plupart des gens, s’ils avaient le choix, n’auraient pas fait le vaccin. C’est paradoxal en quelque sorte, la vie d’un marin c’est de passer son temps dans les espaces exigus de bâtiments coupés de tout. On pourrait se dire que les marins auraient très envie de se vacciner pour se protéger. Mais c’est le contraire.

Il faut dire que dès le départ, nous les marins avions une preuve assez frappante du fait que le Covid ne présentait pas de danger. Nos camarades du porte-avions Charles de Gaulle se sont retrouvés tous contaminés, dès le début de l’épidémie. 1500 marins dans un espace restreint avec le Covid. Je crois qu’ils ont tous attrapé le Covid. Donc ça nous donne un bon indicateur de la dangerosité du virus : minime. Sur 1500 marins, il y a eu 10 cas de personnes nécessitant une prise en charge médicale, ça veut dire une visite médicale, même pas de la réanimation. Et je crois qu’il y a eu seulement deux cas graves, qui ont tous les deux touché de vieux camarades avec des comorbidités. L’empirisme est donc formel : chez des jeunes en bonne santé, sportifs, sans comorbidité, le risque est presque inexistant. Voire inexistant. Ce n’est pas les marges statistiques qui viendront invalider cet état de fait.

C’est la raison pour laquelle j’ai refusé de me faire vacciner : ça ne me gêne pas de prendre un vieux vaccin contre le tétanos ou ce genre de choses. Mais j’ai un gros problème avec l’idée de m’injecter, en y étant contraint, une dose de virus dans le corps, alors même que je n’ai littéralement aucune chance de souffrir de formes graves. C’est totalement incohérent. C’est ce que je pense et ce que pensent la plupart de mes collègues, chefs et subordonnés. Notre position est assez unanime sur ce plan.

Et maintenant donc, que prévoyez-vous ?

Ma position est très confortable. Je fais ce que j’aime, je passe sous les radars, mes hommes aussi. Je vais essayer de continuer à agir ainsi. Je suis plus utile à ce poste plutôt qu’au chômage. Je vais essayer autant que possible de permettre à mes gars d’éviter la piqouze. Ça me paraît être mon devoir. On a déjà suffisamment de choses à gérer pour en plus devoir se soucier de ces conneries pseudo-sanitaires.

Ce n’est pas une question de peur du vaccin, ou de quoi que ce soit. Je ne suis pas médecin, au mieux je sais poser un pansement trois côtés pour tenir un gars en vie le temps que l’evasan arrive. Mais je n’y connais pas grand-chose en épidémiologie. Le problème ce n’est pas les risques du vaccin. C’est purement une question d’honneur. J’ai juré obéissance à la France, pour des missions très précises. Par principe, je prends le droit de refuser tout ce qui sort de ce cadre. Cette pandémie est un phénomène avant tout médiatique. C’est une question d’honneur pour moi de refuser. Je suis breton, marin et commando. On nous apprend à être des requins, ils vont attendre longtemps avant de me transformer en poisson rouge nageant avec le banc. J’ai fait un choix d’homme, je l’assume totalement.

Peut-être que je me trompe et que je regretterai de ne pas avoir pris ce vaccin. Je l’assume totalement. J’use de mon droit à vivre libre et donc de me rendre compte que j’ai fait le mauvais choix. Je n’ai pas besoin de l’État pour me protéger de moi-même et de mes mauvaises décisions. Donc oui, j’ai refusé, pour une question d’honneur. Il est hors de question que je me soumette à cette contrainte ridicule. Cette mascarade est un test de foi. C’est un test pour voir qui se soumet et qui à la force de résister. Il n’y a que les chiens qui se soumettent. Mais il n’y a que les idiots qui sortent du rang et lèvent le bras quand on demande des volontaires pour le peloton d’exécution. Il faut être assez malin pour refuser le collier sans s’aliéner le maître, pas tout de suite en tout cas. Donc je refuse tout en ménageant mes possibilités, en faisant des faux, en passant sous les radars.

Si la situation n’empire pas, je pense qu’on pourra continuer sur cette lancée. Mais si la Marine serre la vis ou si le gouvernement serre la vis, on devra aviser. Je ne sais pas trop jusqu’où ils sont prêts à aller, donc je ne sais pas jusqu’où nous sommes prêts à aller aussi. Nous verrons. Mais il y a certaines lignes rouges à ne pas franchir, je pense qu’ils savent exactement lesquelles, je l’espère. Sinon l’issue de tout cela risque d’être tristement compliquée pour tout le monde. Croyez-moi, ils n’ont aucune envie d’avoir ne serait-ce que 40 anciens commandos foutus au chômage forcé. En fait, même un seul ça serait déjà beaucoup, ce serait déjà dangereux. Ils le savent.

Le gouvernement doit prendre conscience que même si les militaires sont muets, ils ne sont pas aveugles. Nous avons des yeux pour voir les infos, y compris celles des médias indépendants, pas toujours très sérieuses, mais souvent très utiles. Nous avons des familles, des frères et sœurs qui travaillent dans le civil. Parmi les infirmières que vous mettez au chômage ou que vous noyez dans les gaz lacrymogènes le samedi, il y a des femmes de militaires, des femmes de gendarmes, des femmes de policiers… Nous avons des enfants voire des petits-enfants, alors quand vous vous permettez d’utiliser nos petits comme des cobayes, rappelez vous qu’il y a dans le lot des enfants de militaires. C’est-à-dire les enfants d’hommes dont le métier consiste essentiellement à mettre symboliquement et physiquement leur vie en jeu pour protéger l’avenir des enfants de France.

Nous nous taisons, car c’est notre métier. Mais nous nous forgeons un avis en silence, rappelez-vous-en. Avec votre politique, vous êtes en train de vous aliéner une partie de l’armée, une partie des militaires, de tous grades. Mais surtout, et c’est le plus important, vous vous aliénez la population française, vaccinée ou pas. Rappelez-vous que les non-vaccinés le sont par conviction, mais que très peu des vaccinés l’ont fait par conviction. Ils ne descendront pas dans la rue pour défendre la République Vaccinale. L’immense majorité des vaccinés, y compris dans l’armée, l’ont fait pour avoir la paix. Si vous ne leur donnez pas la paix qu’ils méritent enfin, vous allez bientôt vous retrouver avec un énorme bloc de 20 % de citoyens, transversal à toutes les classes et tous les métiers, qui n’a aucune envie de reculer. Un bloc acculé qui ne va pas cesser de grossir. J’appréhende beaucoup ce qui peut sortir d’une telle fracture. Je crois que nos dirigeants aussi, je l’espère en tout cas. Car s’ils choisissent la voie du jusqu’au-boutisme, l’issue sera explosive, je peux vous l’assurer.

Colonel Antoine : chef de corps d’un régiment de cavalerie

→ Mon, Colonel, pouvez-vous vous présenter ?

Je suis le Colonel Antoine, je suis chef de corps d’un régiment de cavalerie. Je dirige au quotidien près de 800 hommes et femmes qui ont choisi la voie des armes. Dans ma vie privée, je suis marié et père de cinq enfants.

→ Mon, Colonel, êtes-vous vacciné ? Pourquoi ? Quels effets cela a-t-il sur votre carrière ?

La décision a été très difficile à prendre pour moi. J’ai une méfiance naturelle envers les vaccins, depuis longtemps. Mon frère cadet est atteint de sclérose en plaques. Selon les médecins, cela est très probablement dû au fait que notre mère se soit vaccinée contre l’hépatite pendant sa grossesse. La maladie s’est déclarée tard chez mon frère, mais j’ai vu sa santé se dégrader à un rythme terrifiant. À mesure que l’armée faisait de moi un homme plus fort et plus solide, je voyais mon frère être détruit par la maladie. Tout cela à cause d’un vaccin. Autant vous dire que je n’ai jamais apprécié les vaccins, et tout au long de ma carrière militaire j’ai essayé de crassusser (éviter) les séances de vaccination, comme on dit. Mon médecin généraliste m’a beaucoup aidé à chaque fois.

En théorie je n’aurais donc pas dû faire le vaccin Covid. Pas plus celui-là qu’un autre donc. Mais je me suis trouvé face à un cas de conscience affreux. J’ai compris assez vite que le vaccin allait être obligatoire pour les militaires, les informations circulaient avant l’annonce officielle. Nous avons longuement discuté de ce sujet avec plusieurs cadres du BOI de mon régiment [l’état-major du régiment]. Il m’est alors apparu avec assez d’évidence que nous allions nous trouver face à plusieurs types de profils : des soldats vaccinés volontairement, des soldats vaccinés par dépit, des soldats faussement vaccinés et des soldats non vaccinés prêts à résister. Quatre catégories de soldats, ce qui est déjà une aberration alors que toute notre mission consiste à créer de l’efficacité en créant de la symbiose, c’est-à-dire de la cohésion.

En tant que chef, j’ai beaucoup hésité à démissionner, à écrire à la presse, à écrire à mes chefs. À entrer dans le rapport de force. Je ne l’ai pas fait. J’ai décidé de rester à mon poste et d’utiliser tout le pouvoir que j’avais pour laisser le plus grand choix possible à mes hommes, en laissant une grande marge de manœuvre aux CDU [capitaines de compagnie], en faisant traîner au maximum les demandes du SSA et de la DRHAT [Service de Santé des Armées et Direction des Ressources Humaines], en laissant circuler les bonnes astuces pour récupérer de faux pass ou de faux certificats de vaccination.

Mais j’ai rapidement pris conscience d’une chose. Malgré cela, il y aurait des soldats qui ne pourraient pas passer sous les radars, ou simplement qui refuseraient de se plier à l’impératif et qui refusaient même l’idée d’avoir un faux. Il y a eu quelques cas. Je pense notamment à un caporal-chef, qui refusait désespérément de se faire vacciner, mais qui refusait aussi de faire un faux certificat, par principe, car il refusait d’avoir un passe-droit, car il voulait se montrer solidaire avec ceux qui ne pouvaient pas avoir de faux ou qui ne voulaient pas. Je l’ai reçu cinq fois dans mon bureau, pour essayer de le convaincre. Il m’a expliqué qu’il avait peur de perdre son travail et d’être renvoyé de l’armée, car il a une fille de quatre ans, un prêt, des parents vieillissants. Je lui ai expliqué que c’était une raison de plus pour lui de jouer profil bas et d’accepter l’idée d’avoir un faux certificat, pour rester militaire.

Ce caporal-chef m’a répondu qu’il ne pouvait pas s’y résoudre. Vous savez ce qu’il m’a répondu ? Il m’a dit « Je ne peux pas supporter l’idée que je doive me soumettre et perdre mon âme pour avoir le droit d’élever ma fille normalement. Je préférerais que ma fille grandisse sans père, plutôt qu’elle grandisse en étant fière d’un père qu’elle ne peut admirer que parce qu’il s’est couché et a rampé ».

J’ai compris ce jour-là qu’il serait plus facile pour moi d’envoyer ce caporal-chef dix fois à Verdun ou à Uzbin, plutôt que de réussir à lui faire renier ses principes. J’ai compris que j’allais devoir le virer. Ou plutôt que, à travers moi, l’armée allait le virer.

Cette situation m’a fait beaucoup réfléchir à mon rôle de chef et à mes valeurs d’homme. J’ai passé des nuits blanches entières, préoccupé par ces questions : quel genre d’homme je suis si, confortablement caché derrière les concessions que je fais, je m’autorise à juger de l’avenir de ceux qui refusent ces mêmes concessions ?

J’ai donc décidé de me faire vacciner. Je n’avais pas à le faire, car j’avais déjà un certificat valide, un faux, mais j’ai décidé de me faire quand même vacciner. Par respect pour ces hommes dont j’ai la responsabilité. Ceux qui se sentent obligés de se faire vacciner pour conserver l’emploi qui nourrit leur famille. Ceux qui utilisent des faux tout en ayant conscience de s’être déjà à moitié soumis. Et pour tous ceux qui, comme le caporal-chef, vont perdre leur travail, car ils refusent la compromission.

C’est peut-être la plus grande erreur que j’ai faite de ma vie. Mais paradoxalement je me sens en paix avec ma conscience. J’avais le pouvoir de refuser la compromission et de « passer entre les gouttes ». Mais tous n’ont pas ce pouvoir. Moralement en tant que chef, je ne pouvais supporter l’idée de diriger des hommes sans être au même régime qu’eux. Maintenant, je suis dans leur situation. Nous partageons la même chose. Ils ne le sauront pas et ils s’en moquent. Et je m’en moque. Mais j’ai fait ce que je pensais être juste et ce que me commandait mon éthique et mon honneur. Mon C2 [commandant en second] a fait exactement le même choix et m’a accompagné sur cette voie, il a décidé après coup de se faire vraiment vacciner, pour être dans le même bateau que nos hommes qui ne peuvent pas refuser et pour pouvoir nous regarder dans le miroir quand on devra pousser vers la porte des Anciens qui eux ont refusé de se compromettre.

Ce sont des choix déchirants. Je ne dis pas qu’il y a un bon et un mauvais choix. Nous avons tous des situations différentes. Certains peuvent entrer dans le rapport de force, d’autres ont moins de marge de manœuvre et préfère passer sous les radars. Certains pourraient passer sous les radars, mais leur sens moral est tel qu’ils préfèrent tout perdre que de céder un millimètre à leur ennemi… Dans cette histoire, il n’y a pas plusieurs camps en réalité, il y en a un seul : la population contre le gouvernement et ses donneurs d’ordre. J’ai un profond mépris pour l’appareil politique qui a créé toute cette situation, pour tous les déchirements que cela entraîne.

Lieutenant-Colonel Gabrielle : médecin militaire au SSA

→ Colonel, pouvez-vous vous présenter ?

Je suis le Lieutenant-Colonel Gabrielle, je suis médecin militaire au SSA. J’ai servi en antenne et en hôpital militaire. Je suis mariée et mère de trois enfants.

→ Colonel, êtes-vous vaccinée ? Pourquoi ? Quels effets cela a-t-il sur votre carrière ?

Je ne suis pas vaccinée, je ne me ferai jamais vacciner contre le Covid 19. J’ai fait en sorte d’obtenir un faux certificat, comme certaines de mes collègues. Je crois profondément dans mon rôle de médecin, qui consiste à soigner et sauver des vies. La politique de vaccination autour du Covid n’entre certainement pas dans ce cadre-là. Je me refuse à injecter des soldats avec une substance supposée les protéger d’une maladie… qui ne peut de toute façon pas les tuer. Je me refuse à leur injecter un vaccin qui ne les empêchera de toute façon pas d’être porteurs ou de transmettre la maladie.

Je suis par ailleurs assez sceptique quant à ce vaccin, si efficace et si consensuel qu’il est nécessaire de passer par la coercition pour que les gens acceptent de le recevoir. Un vaccin contre un virus qui, rappelons-le, est si agressif que les gens sont obligés de faire plusieurs tests pour savoir s’ils sont malades… La politique sanitaire du gouvernement n’a véritablement aucun sens, en tout cas pas sous l’angle sanitaire.

Je fais partie des médecins qui considèrent que, de façon empirique, contre une maladie il faut trouver un remède, pas un vaccin. Il est inutile de traiter des gens qui ne peuvent de toute façon pas développer de formes graves. Par contre, il est très utile de développer des médicaments capables d’atténuer ces formes graves SI elles se présentent. C’est la question que je pose aujourd’hui : cela fait près de deux ans que nous faisons face à cette crise sanitaire, donc où en sont les remèdes éventuels contre le virus et ses symptômes ? Est-ce qu’on a au moins essayé d’en trouver ? Ou même pas ?

Je fais aussi partie de ces médecins qui considèrent que vacciner massivement et de façon indiscriminée PENDANT la phase de croissance épidémique est une très mauvaise idée, car c’est le meilleur moyen de laisser apparaître ce que l’on nomme des variants d’échappements. Cela est bien documenté dans la presse spécialisée, mais pour faire très simple : le vaccin permet d’uniformiser le « marché », ce qui simplifie grandement la tâche du virus, qui n’a plus à s’adapter à chaque individu, mais qui trouve au contraire un point d’accroche commun chez tout le monde, via le vaccin. Après quoi le virus n’a plus qu’à opérer une seule mutation, lui permettant de surpasser le vaccin. Et d’un virus finalement inoffensif, on se retrouve alors avec un virus extrêmement agressif.

Bref, même sans être médecin, il y a un grand nombre de points qui posent sérieusement question dans la gestion de cette crise sanitaire. Et je pense qu’ils mériteraient d’être discutés de façon démocratique. Le fait que le gouvernement passe par la coercition prouve selon moi que le Covid n’est plus une question médicale, c’est devenu une question politique, et seulement politique. Et l’armée (pas plus que la population civile) ne devrait pas payer le prix de cette folle politique. Ça ne viendrait à l’esprit à personne de rendre le vaccin contre la grippe obligatoire. C’est exactement ce que l’on fait avec le Covid.

Voilà les raisons qui font que j’ai refusé la vaccination. Et voilà les raisons qui font que j’ai décidé, depuis juin dernier, avec l’aide d’un capitaine et de plusieurs auxsan, de ne pas vacciner au sein de l’armée. Ou plutôt, de vacciner ceux qui le souhaitent vraiment, mais de permettre à ceux qui ne le veulent pas d’obtenir un faux.

Ce que je fais est totalement illégal, je sais qu’il y a un risque et je sais que nous finirons probablement pas être découverts ou dénoncés. Cela arrivera. Mais je quitterai l’armée en ayant au moins la conscience tranquille. J’ai la conviction que je protège plus la santé de la troupe en ne les piquant pas plutôt qu’en les piquant.

Je suis certes un médecin et un militaire. Mais je suis et je reste avant tout une femme et une mère. Je connais le prix de la vie, ce qu’elle coûte, ce qu’elle vaut, ce qu’elle implique. Je connais la beauté de la vie, celle qu’on peut voir dans les yeux d’un enfant qui rigole. Mais je connais aussi la fragilité de la vie, celle qu’on peut voir en regardant les yeux d’un patient qui est en train de partir pour sa dernière chevauchée. Mon rôle est de défendre la vie.

Mes collègues en régiment défendent la vie en risquant la leur. Je ne peux pas me résoudre à bafouer ces sacrifices qu’ils font en mettant leur vie en danger simplement parce que j’obéis aux ordres du gouvernement. La seule chose que je fais donc, c’est de rendre à chacun le choix que le gouvernement leur a enlevé. Je les rends maîtres de leur destin et je les laisse choisir. Je laisse mes auxsan faire de même et je les couvre autant que possible.

Et vous savez quoi ? Quand les gens ont le choix, en général ils décident tous de ne pas se faire vacciner. Et croyez-moi, c’est exactement la raison pour laquelle le vaccin est obligatoire pour les militaires et en passe de l’être pour les civils : parce que sinon, personne ne voudrait se faire vacciner. Parce qu’au fond, sauf quelques exceptions, tout le monde sait très bien que cette situation autour du Covid n’est pas médicale, mais politique. Les gens ont du bon sens, c’est pour ça que le gouvernement a besoin de la coercition. Et c’est pour rendre honneur au bon sens des gens et à la valeur de leur vie que je me refuse à être un agent de cette coercition. Et je ferai cela jusqu’à ce que les gendarmes viennent me chercher par la force.

Général Guillaume : Général de Division

→ Mon Général, pouvez-vous vous présenter ?

Je suis le Général Guillaume. J’ai intégré Saint-Cyr dans les années 1980 puis j’ai fait l’intégralité de ma carrière dans l’infanterie (Troupes de Montagne, Troupes de Marine) puis en état-major. Je suis aujourd’hui Général de Division.

→ Mon Général, êtes-vous vacciné ? Pourquoi ? Quels effets cela a-t-il sur votre carrière ?

Je suis vacciné, j’ai pris la décision personnelle de me faire vacciner en conscience, car je fais partie de la population considérée comme « à risque ». Je souffre d’une maladie que je traîne de façon chronique depuis Daguet [la Première Guerre du Golf], une maladie qui m’a abîmé les poumons. Rien de grave dans la vie quotidienne, mais en cas de complication due au Covid, mais chances de survie ne sont pas garanties. Pour moi, cela faisait donc sens de me vacciner, je l’aurais fait de toute façon.

Pour autant, j’ai encouragé mon épouse et mes enfants et petits enfants à ne pas le faire. Le vaccin s’adresse surtout à des gens comme moi. En fait, il s’adresse même exclusivement à des gens comme moi. Mon petit fils de 13 ans n’a absolument aucune raison de se faire injecter. C’est un non-sens. Je suis partisan d’une approche responsable de la vaccination, basée sur la responsabilité individuelle : les gens qui veulent se vacciner, car ils sont à risque (réellement à risque), doivent pouvoir le faire. Mais c’est tout.

Je trouve qu’il est absolument scandaleux que l’on force de façon directe ou indirecte des citoyens français à se faire vacciner contre une maladie somme toute bénigne, en tout cas qui ne les menace pas. Mon petit fils, dont je viens de parler, fait du rugby et du VTT en club. Il a un très bon niveau en rugby, mais aujourd’hui il ne peut plus aller aux entraînements, car il n’est pas vacciné. C’est absolument stupide. Et c’est même criminel.

On observe la même chose dans l’armée ainsi que dans la gendarmerie : des militaires d’une grande valeur sont poussés vers la sortie en raison de leur statut vaccinal. L’armée manque de moyens, mais pourtant on refuse à certains jeunes la possibilité de s’engager, uniquement car ils ne sont pas vaccinés… De même, l’armée manque de cadres de contact, de sous-officiers, et pourtant l’institution se met à faire la chasse à ces sous-officiers qui refusent de se faire vacciner. Ou pire, à ces sous-officiers qui refusent de jouer la police sanitaire dans leur groupe ou leur section.

Lors d’une visite dans un régiment, j’ai un lieutenant qui m’a interpellé de façon assez directe et assez inhabituelle quand nous étions entre nous. Nous parlions de plusieurs sujets et nous en étions arrivés à parler du sujet de la vaccination et j’ai laissé entendre de façon subtile que je pensais beaucoup de mal de la politique du gouvernement et du CEMA, totalement déconnectée de la réalité du terrain. Le jeune lieutenant n’a pas manqué de me demander, plein de candeur : « Mais Mon Général, vous êtes général, pourquoi vous ne faites pas quelque chose, pourquoi vous ne vous opposez pas à ces décisions ? »

C’est une question légitime. Mais tellement naïve. En tant que général de division, j’ai une meilleure paye que ce lieutenant. J’ai aussi plus d’avantages. Plus d’ancienneté. Plus de responsabilités et plus d’autorité aussi. Mais ça ne veut pas dire que j’ai plus de pouvoir que lui. La structure de l’armée est faite de telle façon que, plus vous montez dans les échelons, plus vous avez de l’autorité. Mais vous n’avez jamais vraiment plus de pouvoir. Vous remarquez vite, à chaque nouvel échelon, qu’en fait le pouvoir décisionnaire véritable vous échappe toujours. En tant que militaires on sait bien que le pouvoir est pyramidal, hiérarchique, vertical. On sait bien qu’on aura toujours moins de pouvoir que la personne du dessus. Mais on croit quand même très naïvement que l’on aura, à chaque échelon, un peu plus de pouvoir qu’à l’échelon précédent. On croit que le « pouvoir » est une sorte d’entreprise, où certains sont actionnaires majoritaires avec 51 % des parts, où d’autres ont seulement 30 % et d’autres 5 %, 2 %, 1 %. On espère qu’à chaque nouvel échelon que l’on grimpe, on gagnera quelques parts de pouvoir supplémentaires.

C’est totalement faux en réalité. Cette vision est totalement fausse. J’ai aussi peu de pouvoir aujourd’hui après quatre décennies de carrière qu’hier, quand j’étais un khornichon de 16 ans. Le pouvoir n’est pas pyramidal. Le pouvoir est un point de concentration unique. Et il n’est pas dans la main des militaires. Nos dirigeants ont le pouvoir sans la responsabilité. Nous, militaires, avons la responsabilité sans le pouvoir. La vie est bien faite…

Je ne sais pas si vous comprenez exactement ce que j’essaye d’expliquer. En réalité je suis en train de vous expliquer que je suis tout aussi impuissant qu’un boulanger ou qu’un caporal face à la situation actuelle. Je vous témoigne de ma propre impuissance. C’est mon cas, et c’est le cas de la totalité de mes collègues, quel que soit le nombre d’étoiles. Je crois que même le CEMA et le CEMAT savent très bien que leur marge de manœuvre est totalement limitée.

Face au traitement qui est réservé à nos subordonnés, nous n’avons aucun pouvoir. J’ai personnellement essayé de faire entendre une voix discordante, comme certains collègues, cela a été inutile. J’ai essayé de faire remonter les plaintes que je recevais de certains chefs de corps, cela a été inutile. J’ai écrit plusieurs lettres, transmettant des témoignages déconcertants que je recevais de plusieurs officiers. Je n’ai jamais reçu rien d’autre que du silence.

Et pourtant, les éléments que je portais à la connaissance de mes supérieurs étaient très préoccupants. Des centaines et des centaines de cas de militaires qui se retrouvent totalement inaptes après avoir été vaccinés. Je citais notamment le cas dans une lettre d’un jeune EVAT dans un régiment des troupes de montagne : il s’est engagé à 19 ans, il a fait sa formation initiale et sa formation de spécialité, il sort dans les trois premiers de sa cohorte. Il avait un profil très sportif, bien câblé, le genre qui une tête bien remplie et des bras bien faits, typiquement le genre de jeune que son CDU aurait pu orienter vers les GCM ou l’EMIA [Commando-Montagne ou École d’Officiers]. Sa section a été vaccinée par le SSA : après sa seconde dose, il s’est retrouvé immobilisé pendant plusieurs semaines. Il a développé des symptômes d’embolie pulmonaire, avec des difficultés respiratoires assez graves, qui l’empêchent même de parler sans être essoufflé. Vous savez ce qui lui est arrivé ? Le jeune s’est fait virer, l’armée a artificiellement prolongé sa période probatoire pour pouvoir briser son contrat, au motif qu’il « présentait des contre-indications médicales au métier militaire ». Et c’est tout. Voilà. Ce pauvre jeune qui aurait fait un très bon soldat se retrouve dans le civil, avec des poumons détruits irrémédiablement.

J’ai écrit à un ami à la DRHAT pour ce cas précis, sur lequel j’étais bien informé. Vous savez ce qui s’est passé ? Ce n’est pas mon ami qui m’a répondu. J’ai reçu une lettre d’un supérieur, qui m’a expliqué que « je sortais totalement de mon rôle » en m’intéressant à ce « sujet secondaire ». Je lui ai répondu que mon rôle d’officier c’est aussi d’être capable de sortir des sentiers battus et d’alerter mes chefs quand je vois que des décisions politiques sont en train de détruire l’armée que je sers.

Car c’est ce qui est en train de se produire. Des cas comme celui que je viens d’évoquer, il y en a des milliers. Je n’exagère pas. Des milliers de jeunes et de moins jeunes avec des symptômes plus ou moins graves. Cette campagne de vaccination précipitée cause plus d’attrition et de pertes à l’armée que nos 20 dernières années d’OPEX… Vous vous rendez compte de l’imbécillité de la chose ?

Mais le pire ce n’est pas ça. Le pire c’est que les hommes s’en rendent compte. Tout le monde dans l’armée connaît au moins un collègue, un proche, un chef ou un subordonné, qui se retrouve mal en point après le vaccin. Les rumeurs circulent, les gens parlent et débattent de tout ça. Le climat est d’autant plus grave qu’on atteint une forme de paranoïa, légitime, où n’importe quel arrêt maladie ou n’importe quel décès dans l’armée est lié au vaccin. Je ne dis pas que c’est le cas, l’armée compte près de 200 000 personnels, statistiquement il y a forcément des malades et des morts. Mais nos hommes sont tellement habitués à voir leurs camarades souffrir d’effets secondaires, qu’ils se mettent à cibler le vaccin pour chaque petit problème.

Le problème de tout cela, c’est que les conséquences sont extrêmement délétères. La méfiance et la défiance montent dans certaines unités. L’armée ne communique pas. Le SSA ne communique pas. La seule chose que les hommes voient c’est qu’ils doivent se faire vacciner, sinon ils seront traînés dans la boue et virés. Et s’ils se vaccinent, ils voient que certains de leurs amis souffrent de complication. Je suis désolé de dire ça, mais même le dernier des mercenaires n’accepterait jamais d’être traité avec si peu de déférence.

Il ne faut pas s’étonner, après, que des dizaines de milliers de militaires décident de sortir de cette boucle infernale en se faisant faire des faux, ou en ne renouvelant pas leurs contrats. Vous pouvez demander énormément de choses à un soldat tant que vous le faites avec autorité, gravité et respect. Mais il y a certaines limites. Cette façon de traiter nos militaires, en variable d’ajustement et en cobaye, est absolument outrageante.

Je crois que les hommes accepteraient bien tout cela, si c’était effectivement la seule façon de se prémunir d’un péril immense. Et si on le leur demandait droit dans les yeux. Le risque fait partie du métier de militaire.

Mais les risques qu’ils prennent aujourd’hui, ils les prennent pour des raisons purement politiques. J’ose affirmer que, au bout du compte, un caporal-chef de 25 ans ne va pas mourir ou tuer qui que ce soit s’il refuse de se vacciner. J’ose l’affirmer, et je défie M. Véran d’aller défendre l’argument contraire et d’aller expliquer à une section de capo-chefs que, s’ils ne sont pas vaccinés, ce sont des irresponsables qui risquent la mort et qui risquent de tuer leurs proches.

Je sais que certains de mes collègues ne seront pas d’accord avec ce que je vais dire, mais je vais le dire : cette épidémie de Covid est avant tout une épidémie médiatique. Dans le sens, où elle est purement fabriquée par une sorte d’hystérie médiatique. Habituellement, des réseaux politico-médiatiques s’agitent pour influencer sur le bulletin que l’on choisit de mettre dans l’urne : les gens ne voteront pas pour le candidat qui les a convaincus, ils votent pour le candidat que les médias ont promu. C’est le fondement de notre démocratie. Aujourd’hui, ces mêmes réseaux politico-médiatiques sont recyclés pour encourager les gens à la vaccination. Les gens ne se vaccinent pas parce que le vaccin les a convaincus, mais parce que les réseaux politico-médiatiques les convainquent de se faire vacciner. C’est tout. Le cœur nucléaire de la pandémie de Covid ce n’est pas le virus, ou le vaccin. Le cœur nucléaire de la pandémie de Covid ce sont les médias et ceux qui dirigent les médias, qui dirigent les médias dans un certain sens.

Vous doutez de ce que je dis ? Posez-vous une question toute simple : si vous n’aviez pas accès aux médias et s’il n’y avait aucune mesure sanitaire, est-ce que vous seriez capable de dire que le pays fait face à une épidémie ? Je veux dire, est-ce qu’en vous promenant, en parlant avec vos proches, vous seriez capables de dire qu’il y a une épidémie ? Moi non. Absolument pas. Car l’épidémie n’existe pas, ou alors de façon extrêmement marginale. Pendant la Peste noire, mon village en Franche-Comté est passé d’environ 1700 habitants à moins de 25 habitants. Il restait 6 familles. Je peux vous assurer que ces 6 familles n’avaient pas besoin de France Inter pour se rendre compte qu’elles faisaient face à une épidémie. Vous si. Sans médias et sans mesures gouvernementales, notre vie serait exactement la même qu’il y a 2 ans. Tout au plus, certains se plaindraient du fait que la grippe, cette année, a été particulièrement agressive. Et c’est tout.

C’est pour moi la preuve que cette pandémie est, avant toute chose, une création ou une exagération médiatico-politique. Dans les TTA de l’armée française ou dans la documentation de l’OTAN, tout cela est regroupé dans un champ d’études très précis, celui des CIMIC, les actions civilo-militaires. En langage plus compréhensibles, on appelle cela les PSYOPS, la guerre psychologique. L’idée est simple : comment, par des moyens non militaires, une armée va gagner les cœurs et les esprits de la population et entraîner son adhésion à une cause ou une idée.

Dans la BSS [Sahel], nous avons plusieurs programmes de ce type : distributions de matériel et de cadeaux à la population civile, campagnes sur les réseaux sociaux visant à changer la perception des civils locaux envers l’Armée française, etc. Non seulement ces techniques sont utilisées, mais elles marchent très bien, très très bien même. C’est la raison pour laquelle nous avons des TTA [manuels] complets sur le sujet en France depuis les années 1970, et que les Américains et les Britanniques ont des unités spécialisées dans ce domaine. Avec assez de moyens, sur le long terme, les PSYOPS permettent d’obtenir des résultats exceptionnels sans avoir à déployer un seul GTIA sur le terrain.

Pour moi, la pandémie de Covid entre exactement dans le champ des CIMIC ou PSYOPS. Pour moi, nous sommes de fait dans une forme de guerre psychologique qui est menée contre la population civile française de façon à lui faire croire :

  • qu’elle fait face à une menace grave et existentielle (le virus)
  • que le seul moyen d’y faire face et de sacrifier certaines libertés au gouvernement.

Je ne dis pas qu’il y a un grand plan coordonné visant à mener une guerre psychologique à la population civile française. J’ai beaucoup de mal à imaginer cela. Mais je dis que c’est de facto ce qui se produit, les Français sont attaqués par des moyens de guerre psychologique, les premiers étant les médias et leur pornographie de la peur. Est-ce un traitement médiatique conscient ? Ou bien totalement inconscient et seulement guidé par l’appât du clic et du gain ? Je n’en sais rien, je ne suis pas journaliste.

Mais ce qui est certain c’est que la population française est attaquée. Très clairement. Dans les faits, peu importe qui est le responsable et qui vise quoi, à quelles fins, j’observe simplement que notre population est attaquée, ses représentations mentales sont parasitées et attaquées. Et les effets de ces attaques, on les voit depuis deux ans : une démission totale de tout sens moral et critique, un abandon et une acceptation des politiques du gouvernement.

C’est ce qui me pousse à dire que notre gouvernement est complice et coupable. Un gouvernement doit avoir assez de hauteur de vue pour voir quand sa population est menacée et attaquée, y compris quand cette attaque est purement informationnelle. Et ayant remarqué cette menace, le gouvernement doit agir pour protéger sa population. S’il ne réagit pas, il est soit incompétent, soit complice. Notre gouvernement ne réagit pas, mais en plus il prend part lui-même à l’attaque en contribuant à répandre la peur. Il va même plus loin, non seulement il contribue à bombarder sa propre population, mais il sabote même sa propre armée, en bombardant mentalement sa propre armée. Dans le langage de la marine, on appelle cela un sabordage. Dans le langage courant, on appelle cela un coup de poignard dans le dos. Dans le langage universel, on appelle cela une trahison.

J’accuse donc les institutions politiques de mener une politique sanitaire totalement inique. Une politique sanitaire qui est en train de fracturer profondément notre armée, de détruire la confiance des hommes dans leurs chefs, de détruire notre culture du commandement, de détruire des régiments, de détruire des vocations. Et surtout, de détruire des hommes.

Et ce constat est autant valable dans l’armée que dans la population civile. Cette façon de faire, ces attaques psychologiques et cet empire du mensonge ne détruisent pas seulement la cohésion des régiments. Ils détruisent la cohésion des familles, la cohésion des couples, la cohésion des entreprises, la cohésion des groupes d’amis… Le gouvernement, par sa politique totalement irresponsable, est en train de semer les germes de la défiance, de la sédition et de la guerre… dans son propre pays.

Le militaire, c’est l’homme qui s’engage à se battre pour retrouver ensuite son pays plus grand et plus paisible. Je peux vous assurer qu’un militaire qui rentre aujourd’hui, en 2021, d’une mission au Sahel, ne peut absolument pas dire que le pays qu’il retrouve est plus paisible qu’il y a un an. Les militaires sont des hommes de paix, ils veulent la guerre aujourd’hui pour avoir la paix demain. Vous êtes en train de leur arracher cet espoir et de cliver durablement le pays. Vous êtes en train de détruire la paix pour laquelle les militaires se battent…

Cette façon de faire est de toute façon très grave. Si elle est involontaire, elle est la preuve d’une grande irresponsabilité. Si elle est volontaire, elle est la preuve d’une grande noirceur d’âme. Les gens qui agissent de la sorte sont hideux et vils, j’ose le dire en sachant très bien que je parle de mes supérieurs : vous êtes hideux, vils et s’il existe quelque part quelque chose qui s’apparente à l’Enfer, croyez bien que votre place là-bas est déjà réservée.

Je n’ai qu’un mot à dire pour finir, un mot que j’adresse indifféremment aux militaires comme aux civils : la situation est compliquée. Je suis aussi perdu que vous, tout autant que beaucoup de mes amis, collègues, supérieurs et subordonnés. Je pense que nous sentons tous le « vent du changement », comme dit la célèbre chanson de ma jeunesse. Mais je suis incapable de vous dire vers quoi nous allons. Si nous allons vers une issue heureuse, ou bien vers des heures encore plus difficiles.

La seule chose que je peux vous garantir, c’est qu’il y a de toute façon des données invariables : la famille, les valeurs du travail, de l’amitié, l’amour pour votre conjoint et vos enfants, toutes ces petites choses-là vous aideront à franchir les grandes vagues et à éviter la submersion (et la subversion). Ne succombez pas aux divisions et aux diversions. Ne vous laissez pas submerger par l’impuissance ou l’indécision. Vous êtes encore capables de faire des choix et en plus de faire les bons choix. Il vous suffit de vous poser les bonnes questions. Les bonnes décisions sont souvent difficiles à prendre. Mais elles en valent la peine. Alors, prenez soin de vous. Et comme on dit chez les paras : être et durer. Soyez ce que vous êtes et ayez pour seul et unique objectif de traverser tout cela, de laisser quelque chose, d’être plus fort que les nuages sombres qui nous menacent. Vive la France !

Alice, femme de militaire

→ Madame, pouvez-vous vous présenter ?

Je m’appelle Alice, je suis mariée et mère de quatre enfants. Mon mari est sous-officier dans l’armée de terre dans un RPIMa. Aujourd’hui, je veux témoigner en mon nom, mais aussi au nom des autres femmes de militaires. Je pense que certaines se reconnaîtront dans mes paroles et j’espère que je porterai leurs états d’âme comme il se doit.

→ Madame, êtes-vous vaccinée ? Pourquoi ? Qu’en est-il de votre mari ? Quels effets la politique de vaccination a sur votre famille et votre couple ?

Je suis enceinte de notre quatrième enfant. Au cours de ma grossesse, mon mari et moins nous sommes beaucoup documentés, pour avoir les témoignages d’autres femmes enceintes, savoir comment elles géraient cela. Ce que j’ai vu est horrifiant. J’ai vu des centaines de femmes témoignant de fausses couches. Au début, je n’étais pas particulièrement opposée à la vaccination, j’étais plutôt indifférente même. Mais ces témoignages m’ont beaucoup fait douter et mon mari également. Si un vaccin détruit la vie d’un petit bébé dans le ventre de sa mère, c’est probablement que ce vaccin n’est pas là pour notre bien.

Mais en même temps j’ai aussi été sensible aux campagnes gouvernementales et à ce que j’entendais dans les médias :

« Si vous êtes enceinte, vous DEVEZ vous faire vacciner sinon vous êtes une mère irresponsable qui met la santé de son enfant en danger ! ».

Lors des échographies à l’Hôpital, j’avais le droit au discours culpabilisant du genre :

« Comment, mais vous n’êtes pas vaccinée ? Vous êtes au courant qu’il y a une épidémie et que vos choix risquent de tuer votre bébé ?! »…

J’exagère à peine. Cette période a été difficile pour mon mari et pour moi. Toutes ces injonctions contradictoires étaient difficiles à gérer.

À la fin j’étais tellement sous pression que j’ai décidé de céder. J’ai pris rendez-vous pour me faire vacciner. À ce moment-là, la campagne de vaccination était surchargée et mon rendez-vous était dans quinze jours. Sauf que pendant ce délai, il s’est passé deux événements qui m’ont fait changer d’avis.

Un midi, mon mari m’appelle depuis le régiment et il me dit tout affolé : « Décommande ce rendez-vous pour la vaccination ! La femme de l’adjudant X s’est fait vacciner et elle vient de faire une fausse couche ». Il s’agit de la femme d’un collègue de mon mari, qui était à presque 6 mois de grossesse. Je vous laisse imaginer ce qu’elle a vécu et ce qu’a vécu son mari à elle aussi…

Évidemment, ça m’a fait beaucoup douter, mais j’ai refusé de décommander mon rendez-vous, je me suis dit que j’allais attendre et voir, que je pouvais toujours décommander au dernier moment… J’ai attendu et j’ai vu. Quatre jours après, ma cousine, qui est sage-femme, m’appelle. Ça faisait plusieurs mois que je n’avais pas de ses nouvelles, elle était juste au courant que j’étais enceinte. Elle m’appelle et me laisse juste ce message sur mon portable :

« Alice, je sais que tu es enceinte, j’espère que la grossesse se passe bien. Je ne sais pas si tu es déjà vaccinée, mais si ce n’est pas le cas, je pense que c’est mieux de ne pas te vacciner du tout. Je viens de voir une autre fausse couche chez une femme que j’accompagne, qui vient de se faire vacciner… Peut être que ça n’a rien à voir, mais c’est la 3e en dix jours… Fais comme tu veux, mais réfléchis-y. »

Peut-être que c’était seulement un biais de confirmation, mais j’ai pris cela comme une confirmation : j’ai décommandé mon rendez-vous et mon mari me soutenait dans cette décision. J’ai décidé que je n’allais pas me faire vacciner, ni pendant ma grossesse ni après. Mes enfants non plus. Et mon mari ne souhaitait pas non plus se faire vacciner. Un vaccin qui cause tant de dégâts pour détruire un virus finalement presque anodin… le jeu n’en vaut pas la chandelle.

Ma mari a fait savoir à son chef de section avec qui il a de bonnes relations qu’il ne souhaitait pas se faire vacciner. Son chef de section l’a soutenu en lui disant que ce n’était pas le seul dans cette situation, mais que la vaccination allait certainement devenir obligatoire et qu’il allait devoir faire un choix. Rester et se vacciner ou partir.

Le lieutenant avait raison, puisque quelques semaines plus tard la nouvelle sur la vaccination obligatoire des militaires est tombée. Mon mari et ses collègues qui n’étaient pas vaccinés ont été sous pression de leurs cadres. Le lieutenant a essayé de protéger mon mari, il a essayé de contacter ses amis au SSA pour voir s’il pouvait trouver une dérogation pour mon mari, une exemption médicale, voire un faux. Mais sans succès. À la fin l’étau s’est resserré, mon mari a été convoqué chez le C2 [commandant en second] du régiment, qui lui a fait comprendre que s’il ne cédait pas, il serait renvoyé, sans avantages (c’est-à-dire sans l’aide à la reconversion qui est notamment mise en place pour les militaires qui ont fait un service long). Le but était clairement de lui mettre la corde au cou et de le faire céder. Quand mon mari a dit à ses cadres qu’il avait une femme et quatre enfants à charge, son CDU a osé lui répondre « raison de plus pour ne pas perdre votre travail maintenant ». J’ai trouvé cela horriblement cynique, vraiment.

Mais mon mari a suivi une réflexion similaire. Il ne veut pas que je me vaccine, il ne veut pas que nos enfants soient vaccinés. Mais en même temps, nous avons conscience tous les deux qu’une famille de quatre enfants, ce n’est pas anodin… J’ai proposé à mon mari de trouver un travail à mi-temps et de faire des tests PCR réguliers pour pouvoir l’occuper. Je lui ai proposé de faire la même chose. Mais il a refusé. Il a dit qu’il préférait que nos enfants grandissent avec leurs parents, plutôt qu’ils grandissent entre deux nounous, en allant dans une école publique, entourés d’adultes masqués et élevés par des parents stressés de ne pas réussir à joindre les deux bouts. Nous étions dans l’impasse.

Un matin, pendant que je m’occupais des enfants, je reçois un message de mon mari. « Je l’ai fait. Il le fallait. Maintenant c’est réglé. On en parle ce soir. Je t’aime ». À ce moment-là je n’ai pas su quoi penser. Je n’ai pas su si je devais pleurer ou le remercier, ou l’admirer, ou le maudire, ou le bénir. Je ne sais pas alors j’ai fait tout ça à la fois. D’une certaine façon, je lui en veux beaucoup. Mais en même temps, je l’aime tellement, je suis tellement reconnaissante et tellement admirative de ce qu’il a fait. Vraiment. Je suis plus admirative de ce geste infime qu’il a fait pour notre famille, plutôt que du fait qu’il saute plusieurs fois par mois par la porte d’un avion… Je savais que j’avais un mari extraordinaire, mais là c’est un autre niveau.

Mon mari s’est sacrifié d’une certaine façon. Il a mis sa santé en jeu et sa morale entre parenthèses pour nous protéger les enfants et moi, pour s’assurer qu’on ne manque de rien, pour s’assurer qu’on puisse traverser tout ça ensemble. Je pense que ça lui coûtait infiniment moins de partir au Sahel que de tendre son bras pour se faire piquer. Ça peut paraître idiot vu de l’extérieur. Mais ce n’est pas seulement la question médicale, le risque du vaccin. C’est aussi le fait qu’il a l’impression, en se faisant vacciner, de vendre sa liberté, de se laisser enchaîner, de participer à quelque chose d’infamant. Il a l’impression de capituler et d’être un collabo en quelque sorte. Il a l’impression de violer sa parole et ses valeurs. Les risques qu’il prend lors d’un saut ou d’une OPEX, il le fait par choix, par pure volonté. Là, c’est tout l’inverse, il avait l’impression d’abdiquer sa liberté.

C’est un caractère fort, un Basque. Il ne renonce pas facilement à ses valeurs, il ne se soumet pas facilement. Mais là, il l’a fait pour nous. Je vois plus d’héroïsme et plus d’amour dans ce petit geste anodin que dans l’ensemble de nos onze ans de vie commune.

Il s’est donc sacrifié. Notre vie est donc revenue à la normale, plus ou moins. « La vie d’avant » comme ils disent à la TV quand ils nous narguent en promettant de nous rendre ce qu’ils ont eux-mêmes arraché… Mais je ne suis pas idiote, je sais très bien que ce n’est pas exactement comme avant. Mon mari n’oubliera jamais cela. Pour lui, c’est une trahison de l’armée et de l’état. Il me l’a dit une fois :

« Tu sais, je l’ai fait, mais un jour je laverai mon honneur et je prendrai ma revanche. Je trouverai un moyen de leur faire payer ce qu’ils m’ont forcé à faire et ce qu’ils forcent les gens à faire ».

Je ne sais pas ce que ça veut dire. Je n’ai pas envie de savoir. Je lui fais confiance, c’est un père de famille fort et un bon mari. Il m’a prouvé qu’il était responsable et qu’il prendrait soin de nous, je sais qu’il ne fera pas de bêtise.

Mais je sais que pour lui, ça va rester comme une marque, comme une blessure. Comme le tatouage d’un esclave. Je le connais assez pour savoir qu’il est capable de vivre avec, mais qu’il tiendra parole et qu’un jour il aura sa revanche, quelle que soit la forme. J’ai déjà vu des vidéos de mon mari avec son stick [unité] au stand de tir, et je me suis dit « Purée, je n’aimerais pas être la femme du terroriste malien qui va se retrouver face à mon mari ». Aujourd’hui, je me dis « Purée, je n’aimerais pas être la femme de ces hommes qui ont pris ces décisions et qui ont mis mon mari en colère ».

Ce qui est certain, c’est que notre gouvernement a pris une très mauvaise décision en décidant d’acculer les gens face à la vaccination. Je ne suis pas une grande philosophe, mais il me semble évident que la question finalement n’a plus rien à voir avec le vaccin en tant que produit médical. Je crois que c’est plus une question d’honneur, de valeurs, de libertés. Bien sûr, il y a aussi le problème du vaccin en lui-même. Mais enfin de compte, le vrai dilemme, c’est que des gens refusent de se soumettre à un impératif qu’ils jugent illégitime et donc illégal. C’est vieux comme le monde, c’est Antigone et c’est Blandine.

En agissant comme ça, le gouvernement a marché sur la queue d’un lion endormi. La France a beaucoup de défauts, les Français ont beaucoup de défauts. Mais je crois que les Français, et particulièrement les hommes français, ont aussi beaucoup de qualités. Et d’abord la première d’entre elles : un Français aime sa femme et ses enfants. Acculer un père de famille et un mari, en menaçant le centre de son monde, ce n’est jamais une bonne solution. Ce n’est pas une idée très adroite. Or des familles comme la mienne, poussées à bout, il y en a des centaines de milliers. Dans l’armée bien sûr. Mais dans toute la France aussi, dans la fonction publique, chez les petits travailleurs. Partout.

Je ne sais pas où cela va nous conduire. Je pense qu’on est encore loin d’avoir tout vu. La vaccination obligatoire des militaires et des soignants risque de toucher toute la population à mon avis. Ou peut être pas. Je ne sais pas. Mais je pense que le gouvernement est allé trop loin pour reculer. Nous sommes dans une sorte de lutte à mort maintenant. Eux contre nous. Et comme je le disais, quand je vois la force de caractère de mon mari, je n’aimerais pas être dans le camp d’en face…

Je ne sais pas quoi rajouter de plus, si ce n’est que vous devez tenir bon. Aux hommes, n’ayez pas peur d’être ce que vous êtes et de défendre ce que vous aimez et ceux que vous aimez. Aux femmes, rappelez-vous que votre premier devoir c’est de défendre la vie. Si vous vous posez des questions existentielles et des dilemmes moraux, ça vous aidera peut-être.

CONCLUSION

Nous avons choisi de laisser la parole à ces hommes et ces femmes sans en retrancher un mot. Nous ne prétendons pas que ces paroles représentent un sentiment majoritaire dans la population ou dans nos armées. Mais ces paroles représentent un sentiment et un état d’esprit qui existe et qui est très loin d’être anecdotique. C’est un fait.

En donnant la parole à ces personnes, nous souhaitions donner une tribune « hors cadre » à des gens que l’on entend pas souvent s’exprimer et dont, pourtant, la parole est particulièrement importante pour les Français. Les Français aiment leur armée. Ou au moins, ils la respectent et lui donnent du crédit. Le fait que notre gouvernement et nos médias fassent un blackout complet sur le mouvement de défiance qui agite l’armée est problématique. Les Français ont le droit et ont le besoin de savoir quel est le sentiment au sein de leur armée. Aujourd’hui, nous leur permettons d’y avoir accès.

Quoi que l’on pense des points de vue exprimés dans ces petites interviews, ce qui ressort de tout ça est assez facile à résumer : la politique de vaccination voulue par le gouvernement français cause des divisions profondes et des dilemmes moraux importants chez les personnes, poussant certains à accomplir des actes illégaux, d’autres à remettre leur patriotisme en cause, et d’autres à se « soumettre » à l’impératif vaccinal tout en nourrissant depuis une amertume revancharde.

Il apparaît aussi de façon évidente que la question du vaccin est aujourd’hui tout sauf une question médicale. De facto, elle est devenue pour une grande partie de la population une question purement politique. Les opposants à la vaccination obligatoire ont des raisons multiples de tenir cette position. Mais pour beaucoup, le principal socle de leur position repose sur le constat que le Covid n’est pas un danger sanitaire, mais que c’est à l’inverse un prétexte politique pour accomplir des changements sociaux. Un prétexte politique qui s’appuie sur le vaccin comme moyen symbolique de diviser la société entre ceux qui se soumettent volontairement, ceux qui se soumettent par dépit et ceux qui refusent de se soumettre.

Cette vision peut certainement être contestée pour son simplisme excessif. Mais cette vision existe et est destinée à se répandre de plus en plus à mesure que le gouvernement français (et les autres gouvernements du monde) apportent une réponse purement politique à un problème sanitaire. Agissant de la sorte, ils nourrissent la vision exposée dans le paragraphe précédent.

Ce qui est certain, c’est que la France, à l’image de ses voisins, n’a jamais été aussi divisée, avec des clivages transversaux qui agitent les familles, les professions, les cercles d’amis. Le gouvernement a-t-il conscience que cette politique de polarisation aura des séquelles, peut-être irréversibles ? Rien n’est moins sûr. Les dirigeants français semblent assumer la logique du rapport de force, et nous le voyons, des civils et des militaires semblent prêts à entrer dans cette logique aussi, à faire face.

Le temps de la cohésion nationale nous paraît aussi loin derrière que le temps de l’apaisement nous paraît loin devant.


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Il faut cesser le massacre par l’injection, toutes affaires cessantes

Par Nicole Delépine

Résumé 

Les enfants ne meurent pas du Covid. Ils ne contaminent ni les autres enfants, ni les adultes et leur injection ne protègent pas les autres.

L’épidémie de Covid est terminée, entretenue seulement par la multiplication abusive des tests PCR fallacieux imposée par le pouvoir, aboutissant à une épidémie de tests, mais pas de malades, comme le démontre le site officiel Sentinelles et santé publique France.

L’injection est dangereuse et d’autant plus que la personne est plus jeune et ainsi particulièrement les petits enfants et les bébés. Elle ne protège pas des formes graves, notion inventée et entretenue par le comptage des vaccinés récents (ceux qui viennent de recevoir leur première dose, les plus à risque de complications précoces) dans le groupe des soi-disant « non-vax ».(([1] Compté comme vax seulement quinze jours après la deuxième dose.))

Les accidents et les décès se multiplient gravement car le nombre de doses est le poison.

Exigeons la fin des mesures liberticides injustifiées car épidémie terminée et l’arrêt complet des injections expérimentales.


Au-delà du fait que l’épidémie stricto sensu de covid 19 n’existe plus, que la première vague fut une grippe habituelle qui n’aurait pas donné tant de morts sans interdiction des médicaments habituels ( antibiotiques, hydroxychloroquine etc.), ni euthanasie cachée des plus âgés, l’injection ne sauve personne et tue trop souvent tout en laissant des handicapés à vie dont personne ne parle.

Lire le résumé d’Alain Tortosa :

Et chaque jour, ne regardez plus la télé, n’écoutez plus les radios main stream qui relaient la propagande terrorisante du gouvernement, examinez les données de l’OMS, du réseau sentinelle et de santé publique France qui montrent qu’en novembre 2021, nous restons à des valeurs basses de 12/100000 contre 600/100000  pour les vraies épidémies de grippe des années passées.  Il existe effectivement d’autres viroses dont des grippes en ce moment, mais le tout est étiqueté covid grâce aux prescriptions injustifiées des tests PCR chez des asymptomatiques (faussement positifs dans 97% des cas), montrant toutes sortes d’autres virus ou de résidus et d’amplification trop élevée, malgré les consignes de l’OMS et de la société française de microbiologie. « Stop PCR » «liberté » sont les slogans à adopter dans les manifestations.(([2] https://www.mondialisation.ca/definition-trompeuse-des-vaccines-pour-pretendre-que-linjection-genique-protegerait-des-formes-graves/5662732))(([3] Et la dictature créa le PCR pour nous soumettre… – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Épidémie terminée :

Écoutez Laurent Toubiana  sur la 5ème vague  https://youtu.be/diFch8bNCdQ dont l’article a été censuré par Mediapart  (pour ceux qui croiraient encore à l’indépendance de ce journal faux nez de « la bonne opposition ».

En ce qui concerne les enfants, l’extorsion de consentement s’intensifie.(([4] tortosa20211202-fausse-vague-enfant-extorsion-vaccination (7milliards.fr) ))

« Selon Sentinelles le taux d’incidence des IRA tous âges confondus est de 142 pour 100 000 habitants, 58% de vaccinés, 8,3% positifs au Sars-cov2 ; le taux d’incidence de sars-cov2 est de 22. »

« En semaine 2021-46 le taux de positivité au Sars-cov2 des patients consultant pour une IRA était de 6%… chez les 0-14 ans »

Taux d’incidence de 160 Infections Respiratoires Aiguës pour 100 000 chez les 5-14 ans.

En France les courbes de l’OMS montrent clairement que l’épidémie n’est plus menaçante.

Le taux d’incidence Sars-cov2 pour les enfants est quant à lui de 18 pour 100 000. Ce qui signifie que 94% des enfants qui sont allés consulter un médecin la semaine dernière pour des symptômes grippaux et autres infections respiratoires n’étaient PAS positifs au Covid !

Tandis qu’en semaine 46 les autorités sanitaires font exploser le nombre de tests chez les 0 à 9 ans à un niveau jamais atteint ! Soit 146 000 dans la journée du 26 novembre versus 9000 le 6 novembre16 fois plus. Le nombre de positifs croît en conséquence (plus on fait de tests, plus on trouve de personnes positives). De fait on fait exploser le taux d’incidence qui est le nombre de positifs pour 100 000 habitants. Les autorités parviennent à un taux d’incidence artificiel de 210 cas pour 100 000 chez les 0-9 ans ! Pendant ce temps le réseau Sentinelles nous rapporte un taux d’incidence d’enfants ayant des symptômes grippaux ET positifs au Pcr SARS-CoV-2 de 18 pour 100 000 habitants (12 fois moins). Pour ce réseau, nous sommes à des années-lumière d’une épidémie de Covid chez les enfant » et pour l’OMS aussi.

PSEUDOVAX inutile : lire les bilans sanitaires de  Gérard Delépine dans les pays vaccinés (avec haute mortalité dans les deux mois qui suivent les vagues vaccinales et oubli du covid dans les pays non vaccinés comme l’Afrique.(([5] https://reseauinternational.net/lafrique-test-geant-pour-la-chloroquine-comparaisons-des-mortalites-covid-entre-lafrique-et-leurope/
Pseudo-vaccins ou Artémisine ? Les Seychelles versus Madagascar – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Lire aussi que la dernière antienne de pascal Praud pour sauver ses convictions ébranlées est : le vaccin sauve des vies. Malheureusement l’analyse est fausse grâce à un nième mensonge des médias, le calcul fallacieux des « non vax ».

Pour faire croire que les hospitalisés, voire les morts ne sont pas vax, ils truquent les comptes : en ne comptant comme vaccinés que les personnes au-delà du quinzième jour après la deuxième dose. Comme la mortalité des vaccinés culmine dans les deux mois qui suivent la première injection, l’estimation de la mortalité des injections est gommée et on hospitalise les vaccinés une dose et les vaccinés deux doses de moins de quinze jours en les affublant du qualificatif « non vax » qui rassure Pascal Praud sur ses choix.  Très forts dans le mensonge, nos bourreaux.(([6] Définition trompeuse des « vaccinés » pour prétendre que l’injection génique protègerait des formes graves | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation ))

Bénéfices indécents des milliardaires du pseudovax : mille euros par vaxx et par seconde ! bénéfices indécents des défenseurs de la vax chez les enfants comme ce pédiatre canadien qui a touché deux millions de dollars ; Sa parole vaut de l’or. Celle de Karine Lacombe et Gilbert Deray dix fois moins chers (mais pas mal de smic tout de même).

Tragiques effets secondaires chez les vax, et de plus en plus nombreux chez les plus jeunes dont le système immunitaire

N’en avez-vous pas assez d’entendre ou lire chaque jour le décès d’une personnalité du monde médical ou politique (comme tout récemment cet assistant de Castex) comme ce pianiste anglais de 40 ans particulièrement doué, semble-t-il, ou le décès (un de plus) d’un jeune footballeur (la FIFA dit avoir comptabilisé une hausse de 440% de chute sur les stades en neuf mois) ?

Ou bien même n’avez-vous aucune compassion pour la chute brutale de Céline Dion qui ne peut plus faire de concert, et semble-t-il ne se lève plus de son lit et peut à peine avaler entre paralysies et spasmes insupportables. Même si elle était tombée dans le piège de la pub au vax offrant des places gratuites aux enfants qui se vaccineraient, cela est bien tragique et on ne peut lui en vouloir, car elle a été trompée par le slogan de certains cardiologues parisiens, « faites confiance à la science »

N’en avez -vous pas assez d’apprendre ce jour les drames d’enfants devenus aveugles alors qu’ils ne risquaient rien du covid, ne contaminaient personne et en protégeraient personne en étant vaccinés, peut-être même au contraire ?

N’en avez -vous pas assez d’entendre des témoignages de l’armée, de gendarmes qui tombent dans le silence comme les footballeurs ?

« Gendarme, ancien policier et militaire témoignent de la même réalité dans #HoldOn : « Il y a des jeunes gendarmes qui décèdent alors qu’ils sont dans la force de l’âge.

On a beaucoup d’AVC, de crises cardiaques et de morts et malgré ça le service de santé des armées ne dit rien fidèle à sa tradition de grande muette(([7] SOURCE COMPLÈTE (non éditée) https://holdup-lefilm.fr))

Ne pensez-vous pas qu’il est temps de s’intéresser au drame des vaccinés, anonymes qui, comme les célébrités, tombent encore plus silencieusement, un enterrement et basta.

Peut-etre à deux pas de chez vous et dénié ?

Combien de personnes, qui m’appellent pour toute autre chose, finissent par me raconter qu’elles ont été à l’enterrement de la voisine tombée dans la rue, alors qu’elle allait plutôt bien et du jeune papa de 40 ans décédé quelques jours après un malaise au stade. Pourtant il était grand sportif, cet homme avec une bonne hygiène de vie. Le hasard, bien sûr, le hasard, la coïncidence au pire, car pas question de poser la question tabou de l’injection.  TOUJOURS DES HISTOIRES COMPARABLES ; BASTA

Un chroniqueur parle, non plus de tabou, mais de blasphème si on ose poser la question de la responsabilité éventuelle du vax. Celine Dion, influenceuse du vax et vaccinée elle-même seraient devenue brutalement malade en raison de problèmes de ménopause… La ménopause paralysante du XXIème siècle !

On en est là, dans l’aveuglement induit par l’hypnose collective créée par le sujet télévisuel unique (et inique) pendant des mois et les mensonges éhontés sur « les vieux qu’on voudrait protéger » (alors qu’on les euthanasie encore aujourd’hui dans certains lieux et qu’on leur refuse les traitements interdits dans le silence complice de trop de médecins, les autres terrorisés par l’ordre et confortés par la soumission d’une partie du peuple.

Mensonge sur le vax qui sauverait des vies chez les plus âgés que peu veulent sauver et certainement pas le pouvoir (penser aux retraites,) alors que les vaxx, (ceux qui ont reçus au moins une dose) sont les plus hospitalisés  (les vrais vax, pas ceux comptés par le ministre)  et que des traitements simples comme l’ivermectine les auraient sauvé rapidement.

IL FAUT CESSER LE MASSACRE ACTUEL ET À VENIR

Tous ne mourront pas mais tous étaient touchés…  Ici avec les vax tous ne mourront pas, mais beaucoup sont déjà touchés.

Nous savons déjà est que les adultes vaccinés contaminent leurs enfants et que les femmes enceintes contaminent leurs bébés. Des décès précoces de nouveau-nés dans le premier mois sont signalés. L’allaitement est aussi suspect et à éviter si vous avez été récemment injectée.

Mais ce qui est aussi très angoissant est l’avenir des petites filles qui échapperont à tout effet secondaire visible dans les premières années (espérons-le encore une fois) mais qui auront pu être touchées dans les deux premiers mois de grossesse quand se forment les ovules pour leur vie entière.(([8] Et si on parlait des effets graves des vaccins COVID sur les femmes enceintes ? – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

Pour les plus jeunes qui ont oublié l’histoire du Distilbène donné largement à des femmes enceintes pour limiter les vomissements(([9] La-face-cachee-des-medicaments_Dr-Delepine.pdf (nicoledelepine.fr) )) ou limiter les fausses couches et qui donna chez leurs filles des anomalies des organes génitaux et des stérilités. Et comme si cela ne suffisait pas des troubles psychiatriques chez les garçons de la génération suivante qui ont pu naitre.(([10] Les filles du distilbène D.E.S. France – Réseau D.E.S. France (des-france.org) )) Jouer à l’apprenti sorcier en médecine ne date pas d’aujourd’hui mais l’injection génique expérimentale contre un virus quasiment disparu de France gagne le concours du plus machiavélique.

INFORMEZ VOS AMIS

VOS RELATIONS

NE LAISSEZ PAS INJECTER LES JEUNES, AVENIR DE L’HUMANITÉ





France, pays de Démocratie et des Droits de l’Homme, ou pays de prestidigitation ?

Par Diane Vincero

La France, Terre des Hommes, ce beau pays terriblement accueillant, pays de Démocratie et des Droits de l’Homme.

C’est ce que nous présente le prestidigitateur (il semble qu’il ait pour doux nom Macron…), mais derrière cette belle image vendeuse, il nous cache LA chose importante.

Parlons du Covid, vous savez ce virus qui causerait tant de misères depuis maintenant presque deux ans, en tout cas, c’est ce que relaient inlassablement tous les médias officiels. Selon eux et les autorités, nous surfons d’une vague (Covid…) sur l’autre, au point de surfer aujourd’hui sur la cinquième vague. C’est beau d’être aussi sportifs…

Or, pour ceux qui savent ouvrir les yeux, ils ressentent une sorte de « too much » dans tout ce qui est « hurlé » depuis qu’E. Macron nous a annoncé son fameux « Nous sommes en guerre », en oubliant du reste de nous préciser contre qui… Ce « too much » a amené les personnes dont les yeux sont ouverts, à regarder de près ce qui se passe en réalité.

Les observations faites par l’ensemble de ces personnes convergent toutes vers le même constat : nous sommes en réalité face à une gigantesque mascarade grand-guignolesque faite d’un impressionnant ramassis de mensonges plus énormes les uns que les autres, visant à obliger la totalité de la population à se faire injecter les produits fabriqués par quatre laboratoires pharmaceutiques.

Juste au passage et pour un rappel synthétique, voici quelques-uns de ces mensonges :

un virus circule par voie aérienne, mais, pas besoin de masques pour autant (ah bon ??). Mais, dès l’annonce initiale, on parle pourtant d’une « crise sanitaire », avant même le premier misérable mort !!… Ensuite, le tourbillon de mensonges s’est enchaîné : masques obligatoires même dehors au grand air (alors qu’ils ne peuvent stopper que des germes 5 à 10 fois plus gros que le Covid, celui-ci se glissant donc facilement dans les mailles du filet…), nombre de morts soi-disant catastrophique, lits de réanimation qui déborderaient, les pseudo variants mortels, les « vaccins » fabriqués et autorisés à être mis sur le marché (AMM) en un temps éclair (quelques mois au lieu des 10 ans habituels…), le passe sanitaire qui permet de recouvrer sa liberté et de partir en vacances pour l’été 2021, et vaccins qui soi-disant, garantissent une immunité totale, mais qu’il faut refaire finalement de plus en plus souvent, sous peine de perdre son passe sanitaire, etc., etc.

Et le bal de continuer de plus belle !!… L’image du nez de Pinocchio qui s’allonge au fur et à mesure de ses mensonges sied effectivement parfaitement à tous ces dirigeants politiques, et ces dirigeants industriels (Big pharma, industrie chimique etc.). Il doit maintenant friser les 1000 km… et ce n’est pas fini……

Résultat, obligation vaccinale pour tous qui se profile à l’horizon, lentement mais sûrement, et prolongation de l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022. Injections imposées à des êtres de plus en plus jeunes, malgré les effets secondaires potentiellement handicapants à vie, voire potentiellement mortels, et pourtant signalés largement, mais le principe de précaution n’est pas appliqué, les dirigeants de Big Pharma et les dirigeants politiques ont même fait voter des lois les dédouanant de toute responsabilité de ces terribles effets, autant de crimes impunis…

Mais, à en croire nos dirigeants (et ceux du monde entier…), la population doit garder en mémoire que « tout ce qui est fait et mis en place depuis début 2020, l’est dans l’intérêt du peuple » et que celui-ci doit penser aux autres (comme c’est beau !!!), les protéger grâce aux masques (pourtant inutiles, cherchez l’erreur…) et aux gestes barrières, mesures que pourtant nos dirigeants piétinent, foulent aux pieds généreusement quand ils font la fête entre eux… Ces soignants portés aux nues en 2020 et pourtant jetés dehors quand ils ne sont pas vaccinés à partir du 15 septembre 2020 (contrats de travail ET SALAIRES SUSPENDUS purement et simplement….).

Manifestement, il y a un océan entre les beaux principes que nos dirigeants mettent en avant et les mensonges qu’ils profèrent, et la coercition dangereuse qu’ils exercent…

En effet, au fur et à mesure, les sanctions pleuvent, il est question par exemple de verbaliser les parents qui n’ont pas fait vacciner leur(s) enfant(s) à hauteur de… 1500 euros…

L’ensemble des mesures mises en place, lentement mais sûrement, vise à placer la population dans un goulot d’étranglement de plus en plus serré, comme on le fait d’ailleurs pour le bétail, notamment par le levier de ces aspects financiers, de manière à ce qu’aucun individu ne puisse échapper à ces injections potentiellement mortelles…

Mais toujours bien sûr, « pour le bien du peuple », comment en douter une seule seconde ??…

À ce stade, on voit donc un ramassis de mensonges énormes, des mesures déguisées, comme la possibilité de recouvrer sa liberté et de partir en vacances si on se fait vacciner, ou des mesures directement violentes comme la mise à la porte des soignants, ou des amendes, ou des mesures cruelles comme l’interdiction d’aller voir son enfant (ou autre personne de la famille) hospitalisé, si on n’est pas vacciné, etc., etc.

En conclusion, les dirigeants mentent, font croire qu’ils agissent pour le bien du peuple, et au passage le sanctionnent, l’obligent à se faire injecter un produit potentiellement mortel.

En quoi agissent-ils alors pour le bien du peuple ???

Est-ce cela la Démocratie ?? Est-ce cela le pays des Droits de l’Homme, pays où tous ces droits sont piétinés sauvagement par les dirigeants ???

Et pourtant, à y regarder de près, la France peut se vanter d’être un véritable pays démocratique. Nous en voulons pour preuve, les futures élections présidentielles : elles vont se faire, comme depuis des décennies par la voie des urnes, avec ces bulletins soigneusement cachés aux yeux des personnes présentes dans les bureaux de vote, pour garantir la confidentialité totale du choix de l’électeur. Qu’y a-t-il de plus beau que ce moment de pure Démocratie ??!! Cette merveilleuse opportunité de pouvoir choisir son (puis ses) dirigeant(s) au « plus haut sommet » de l’état (pardon : État…), puis au niveau des circonscriptions, etc.

Or, à y regarder de près, depuis De Gaulle, que le dirigeant élu soit de droite ou de gauche, la France a glissé inexorablement vers la situation actuelle… Combien de promesses électorales jamais tenues ??!!… Combien de « bonnes intentions » mises en avant, pour plaire au peuple, mais pas suivies ensuite ou suivies de leurs contraires ??!!… Comment a évolué le pouvoir d’achat des retraités ?? Comment ont évolué les salaires et les conditions de travail des camionneurs, malgré leurs grèves, leurs blocages de raffineries ?? Comment ont évolué les hôpitaux (vous savez, là où le peuple se fait soigner, pas les dirigeants bien sûr, ou alors dans des conditions toutes spéciales pour eux…) ??

Est-ce cela la Démocratie ???

Donc, elle se résumerait à pouvoir « élire » le président de la République (pardon : le Président de la République) ??

Mais, il semble qu’en ouvrant les yeux ne serait-ce que 2 secondes, on s’aperçoit que là encore, il y a un lézard (ou plutôt un énorme varan de Komodo, voire même un dinosaure carnivore géant, type Tyrannosaure Rex..) !!

En effet, comment est-il possible qu’E. Macron puisse décider de la prolongation de l’état d’urgence jusqu’au…. 31 juillet 2022, alors que les élections sont en mai ????!!!!

Cela sent le truc déjà orchestré d’avance : en d’autres termes, la campagne présidentielle est (comme toutes les précédentes), tout comme la vaste campagne de la prétendue pandémie Covid, une gigantesque mascarade, un tour de prestidigitation de plus. On attire votre attention sur des « candidats » à l’élection (d’où sortent-ils, qui les finance et finance leurs campagnes, etc. ?), de prétendus débats politiques, de belles promesses électorales, tout pour vous faire croire qu’on veut le bien du peuple, comme d’habitude…, mais, les mensonges sont déjà présents : le Système** a déjà choisi le futur président qui va suivre la même politique Covid (tout en affirmant peut-être le contraire pendant la campagne présidentielle…)

En d’autres termes, les dés sont aussi pipés qu’en Russie ou aux USA, mais la prestidigitation fonctionne toujours….

Et le tout saupoudré de « c’est pour le bien du peuple »

Et les mesures liberticides, coercitives, criminelles vont continuer de plus belle, puisque le peuple veut croire le prestidigitateur…

**Le Système serait, selon certains, Bilderberg, etc. Il est clair qu’il y a un système et qu’il dure depuis au moins 60 ans, sous nos yeux innocents, croyant dans cet « état souverain protecteur »… À propos de souverain, aucune différence avec les pays monarchiques !!! Comme on dit « monarchie républicaine »… Le peuple a toujours été pris pour une truffe, pendant la révolution de 1789 également, mais on souligne bien le 14 juillet, comme le jour où le peuple… le peuple rien du tout, il s’est fait rouler dans la farine comme avant et comme après…

Avec la mascarade Covid, il n’est plus possible de croire un seul instant à un état protecteur !!!

Voulant à tout prix injecter 100 % de la population, les dirigeants ont en effet perdu toute mesure et leur machine s’est emballée, pas seulement pour des raisons financières, puisque Big Pharma s’est d’ores et déjà mis en poche des dizaines de milliards d’euros aux frais des contribuables, mais manifestement pour d’autres raisons. D’aucuns disent que c’est pour nous pucer numériquement et nous rendre totalement tributaires des caprices des dirigeants (blocage de vos comptes bancaires dans le cadre d’une mascarade sur la pollution de l’environnement, ou d’une nouvelle « pandémie », cf. en ce sens, le très officiel rapport sénatorial français N°673 (Sénat-Session ordinaire de 2020-2021) par Mmes Véronique Guillotin, Christine Lavarde et M.René-Paul Savary…….), d’autres disent qu’il y a une volonté délibérée de réduire la population mondiale de 70 %. Ou peut-être tout cela à la fois, puisque nous avons affaire à une catégorie de population, la délicieusement nommée « élite », gravement atteinte sur le plan psychiatrique…




PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial

[Source : Nexus]

Dans cet entretien pour Nexus, Marc Arazi nous révèle les dessous de l’industrie de la téléphonie mobile et l’impact des ondes sur notre santé.

[Voir aussi : Dossier 5G et ondes pulsées]

Médecin, président et co-fondateur de l’ONG Alerte Phonegate et auteur de l’ouvrage « Phonegate » paru en 2020 aux Éditions Massot, Marc Arazi revient sur les nombreuses mesures biaisées, les enquêtes passées sous silence et l’omerta qui continue de s’exercer dans les médias mainstream. Ondes téléphoniques, 4G/5G, mensonges d’État, impact sur les tissus biologiques : Marc Arazi passe au crible tous les problèmes liés à cette industrie mondiale.

– Retrouvez Marc Arazi sur son blog : https://arazi.fr
– L’ONG Alerte Phonegate : https://www.phonegatealert.org/

https://www.youtube.com/embed/E4orXMg-gsQ

👉 Lire notre dossier « Antenne-relais de téléphonie mobile, la résistance citoyenne », dans notre numéro 137 en vente en kiosque et en ligne :

👉Lire notre dossier « Danger d’Absorption Spécifique », dans notre numéro 136 en vente ici :

👉Lire notre dossier « Stop à la 5G », dans notre numéro 124 en vente ici :  

👉Lire notre dossier « Être électrohypersensible ou vivre l’enfer des ondes » dans notre numéro 128 :

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Gunther Anders et le virus de la télévision

Par Nicolas Bonnal

La fin du monde a donc pu venir avec une simple boîte de Pandore : la télévision. C’est elle qui impose tout, avec le Pentagone et Madison avenue, disait Patrick McGoohan en répondant à Warner Troyer à une question sur notre feuilleton préféré [Le prisonnier]. Là, elle impose le nazisme médical (les camps en Australie sont réels), le génocide malthusien sans frontières, la peur omniprésente, le transhumain et la misère universelle. Rien que ça ? Oui, oui, rien que ça. Déjà Ovide et Virgile décrivent (je les ai commentés aussi sur ce point) le rôle sinistre de Fama qui ne désigne pas, comme le disent nos imbéciles cours de latin, la renommée, mais les news et leur rôle apocalyptique sur les consciences (voyez aussi mon texte De Platon à Cnn).

Comment disait Lucien sans la télévision on n’aurait même pas su qu’il y avait épidémie. La peste noire évoquée par les bouffons fascistes aux commandes a tué 40 % des Européens, le coronavirus 0,4 % de la population globale, et encore ; on a transformé une petite grippe bien moins mortelle que l’espagnole et tout aussi suspecte en Fin du monde pour les besoins de la cause : la Fin du monde précisément — renommée Reset. Plein d’imbéciles refusent encore de voir la réalité du complot, n’y voyant sans rire que l’incompétence. La théorie du complot devient l’insulte supérieure — et donc l’ultime stratagème — dont parle Schopenhauer à la fin de son Art d’avoir toujours raison :

« Ultime stratagème Soyez personnel, insultant, malpoli Lorsque l’on se rend compte que l’adversaire nous est supérieur et nous ôte toute raison, il faut alors devenir personnel, insultant, malpoli. Cela consiste à passer du sujet de la dispute (que l’on a perdue), au débateur lui-même en attaquant sa personne… »

La télévision (coup de génie de ces chaînes news avec l’actu en bandeau – répétition, seule figure de rhétorique importante, disait Napoléon qui s’y connaissait mieux qu’un pape jésuite en propagande) est donc la grande triomphatrice de cette fausse pandémie. Elle a maté le monde pour les oligarques fous et es gouvernements dictatoriaux et elle imposera le Reset et la dictature informatique comme à la parade. Nous aurons le grand camp de concentration électronique promis dans l’indifférence ou l’assentiment général du troupeau. Debord sur la question dans les années soixante et Gunther Anders dans les années cinquante nous avaient prévenus. La messe des téléphages imposera sa laisse électronique aux non-vaccinés qui seront de toute manière transformés en parias, les Vladimir et Estragon de la terrifiante pièce de Beckett citée et commentée par Anders.

Philosophe de formation allemande, juif libre et non libéral de noble fibre (même Adorno se moque des « juifs libéraux » dans son essai sur les médias), Anders brosse un tableau d’épouvante de cette humanité abrutie dans sa peu connue Obsolescence de l’homme écrit en 1956, quand la télé fait des ravages aux USA (c’est elle qui fera élire le catastrophique — n’en déplaise à certains — Kennedy). Le cinéma s’en rendait compte. Voyez le film « Il fait toujours beau temps » de Stanley Donen (et par là même notre ouvrage sur la comédie musicale, très bons pour les « fêtes ») et « l’Homme au complet gris » de Mervyn Le Roy qui montre la destruction de la famille américaine de l’époque (trois enfants, le chien, la caravane, le pavillon, etc.) par cette même télévision. La télévision c’est la disparition du foyer, de la vie intérieure et du noyau solidaire. Anders écrit à ce propos des lignes extraordinaires :

« Ce mode de consommation permet en réalité de dissoudre complètement la famille tout en sauvegardant l’apparence d’une vie de famille intime, voire en s’adaptant à son rythme. Le fait est qu’elle est bel et bien dissoute : car ce qui désormais règne à la maison grâce à la télévision, c’est le monde extérieur — réel ou fictif — qu’elle y retransmet. Il y règne sans partage, au point d’ôter toute valeur à la réalité du foyer et de la rendre fantomatique — non seulement la réalité des quatre murs et du mobilier, mais aussi celle de la vie commune. Quand le lointain se rapproche trop, c’est le proche qui s’éloigne ou devient confus. Quand le fantôme devient réel, c’est le réel qui devient fantomatique. Le vrai foyer s’est maintenant dégradé et a été ravalé au rang de “container” : sa fonction n’est plus que de contenir l’écran du monde extérieur. »

Or le monde extérieur c’est le virus et il va tout conditionner : je suis l’alpha et l’omicron, le principe et la Fin de votre monde.

Le livre de Gunther Anders et riche et long, on ne va se concentrer que sur cette seule question de la destruction de la famille, à l’heure où les parents (comme les profs) détruisent, vaccinent et masquent leurs enfants, sauf une poignée de louves. Il ajoute :

« La télévision a liquidé le peu de vie communautaire et d’atmosphère familiale qui subsistait dans les pays les plus standardisés. »

Rappelons que ce sont les pays les plus riches — les plus standardisés — qui se sont jetés sur les vaccins. Certains aiment citer l’occident et sa civilisation (qui a disparu depuis deux siècles — voir mes textes sur Guénon et Chateaubriand), ils sont servis ! Être un occidental signifie être un riche et vieux consommateur et téléphage abruti, strictement rien d’autre. L’homme libre n’est jamais occidental. Le moyen âge se référait à l’orient comme le psalmiste.

« Les fantômes (les envahisseurs du célèbre feuilleton) ont gagné : Sans même que cela déclenche un conflit entre le royaume du foyer et celui des fantômes, sans même que ce conflit ait besoin d’éclater, puisque le royaume des fantômes a gagné dès l’instant où l’appareil a fait son entrée dans la maison : il est venu, il a fait voir et il a vaincu. Dès que la pluie des images commence à tomber sur les murailles de cette forteresse qu’est la famille, ses murs deviennent transparents et le ciment qui unit les membres de la famille s’effrite : la vie de famille est détruite. »

La télé aussi a marqué la Fin du christianisme (Cène) :

« Ce qui ne veut pas dire que la télévision est maintenant devenue le centre de la famille. Au contraire. Ce que l’appareil représente et incarne, c’est précisément le décentrement de la famille, son excentration.

Il est la négation de la table familiale. »

Être ensemble c’est regarder la télé ensemble. On est certes réunis, dit Guy Debord, mais dans le séparé.

Simple auditeur, le téléspectateur devient un serf. Et dans une brillante note le traducteur Christophe David écrit :

« Die Horige, qui désigne le serf, est un dérivé du verbe horen, écouter. Le serf est celui qui écoute silencieusement les ordres de son maître et ne les conteste jamais. Son statut juridique est proche de celui de l’enfant. C’est donc par un calembour étymologique qu’Anders assimile au cours de ce paragraphe l’attitude infantile de l’auditeur (der Horer) à celle du serf. »

Internet qui n’est qu’une énorme télé pour 90 ou 99 % de la masse a renforcé cette aliénation. Il y a vingt ans j’avais forgé la notion de techno-serf dans mon livre sur Internet (notion qui m’a été volée). Nous y sommes.

On se consolera avec Guénon en rappelant qu’il y a longtemps que l’occident est une civilisation hallucinatoire : le mythe de Faust, l’imprimerie…

Sources :

Gunther Anders – L’obsolescence de l’homme (Ivréa)

Nicolas Bonnal – Internet nouvelle voie initiatique

Debord – La Société du Spectacle

Schopenhauer — L’art d’avoir toujours raison (Wikisource !)

http://www.dedefensa.org/article/de-platon-a-cnn-lenchainement-par-les-infos

https://www.dedefensa.org/article/divagations-et-citations-sur-les-simulacres

https://www.dedefensa.org/article/rene-guenon-et-notre-civilisation-hallucinatoire

https://www.dedefensa.org/article/chateaubriand-et-la-conclusion-de-notre-histoire




Australie : la solidarité s’organise… Les coiffeuses offrent des coupes gratuites à tous les non-vaccinés qui n’ont plus le droit d’aller chez le coiffeur !

[Source : businessbourse.com]




Comment faire sécession de la domination des élites : exercice n°1

[Source : Le Courrier des Stratèges]






Effets pervers et dramatiques de la gestion psychopathologique de la crise Covid

[Source : NTD Français]

Mila Aleckovic Bataille, professeur de psychopathologie :

« Il y a un silence total sur les maladies mentales qui étaient causées non pas par la COVID-19, mais par la gestion catastrophique de la COVID-19. Dans le monde entier en particulier en France, il y a énormément de “Troubles dépressifs”, il y a des dépressions majeures, ce qu’on appelle des dépressions majeures ce- sont des dépressions graves, ce ne sont pas les troubles en tant que tels, mais ce sont les dépressions suicidaires. »


Voir aussi, concernant la gestion de la crise :




Quel nom donneriez-vous à des institutions et des médias qui inventent une vague de contaminations chez les enfants pour extorquer un consentement à la vaccination ?

Par Alain Tortosa

Ce que les médias et politiques ne vous disent pas…
Fausse pandémie chez les 0-9 ans !

Tests quotidiens tous âges.

Données Santé Publique France (SPF) sur le nombre de tests effectués quotidiennement en France, toutes tranches d’âges confondus.

Nous constatons sur le graphique une forte augmentation du nombre de tests quotidiens avec 792 000 tests le 26 novembre soit un peu plus qu’au 22 décembre 2020 (756 000) ou au pic de la « vague » 3, le 30 mars 2021 (685 000). Doublement des tests depuis le 2 novembre, fabrique en cours de la vague 5.

Tests quotidiens 0 — 9 ans

Le nombre de tests quotidiens chez les 0 à 9 ans explose passant de 10 000 le 11 novembre à 146 000 le 26 (15 fois plus) étant de 21 000 (7 fois moins) le 22 décembre 2020 et 81 000 (1,8 fois moins) le 30 mars 2021, pic de la « vague » 3. tandis que le nombre de tests tous âges confondus ne fait que doubler.
Nous sommes face à un choix délibéré de fabriquer une « vague » chez les jeunes enfants !

Taux d’incidence quotidien tous âges

Cela se retrouve bien sûr dans le taux d’incidence toutes tranches d’âge.

Nous constatons sur le graphique ci-dessus une forte augmentation du taux d’incidence tous âges qui suit la courbe du nombre de tests effectués.
Taux d’incidence quotidien de 56 cas pour 100 000 habitants (avec 792 000 tests) le 26 novembre 2021 soit supérieur par exemple au pic de la « vague » 4, le 9 août 2021 avec un taux d’incidence de 54 cas pour 100 000 (avec 989 000 tests).

Taux d’incidence quotidien 0 à 9 ans

Le taux d’incidence des 0-9 ans est bien évidemment impacté par l’augmentation vertigineuse des tests.

Nous constatons une forte augmentation du taux d’incidence qui suit la courbe du nombre de tests effectués.
Taux d’incidence quotidien de 75 cas pour 100 000 habitants (avec 146 000 tests) le 26 novembre 2021 soit supérieur par exemple au pic de la « vague » 4, le 9 août 2021 avec un taux d’incidence de 27 cas pour 100 000 (avec 17 000 tests).

Taux d’incidence hebdomadaire des 0 à 9 ans

Au niveau hebdomadaire le taux d’incidence des 0-9 ans a explosé en semaine 46 à 210 cas pour 100 000 enfants (394 000 tests par semaine), légèrement supérieur au pic de la « vague » 3 à 201 cas pour 100 000 jeunes en semaine 13 (372 000 tests par semaine).

Taux de positivité des 0 à 14 ans en semaine 46 par le réseau Sentinelles(([1] https://www.sentiweb.fr/document/5465))

Selon Sentinelles le taux d’incidence des IRA tous âges confondus est de 142 pour 100 000 habitants, 58 % de vaccinés, 8,3 % positifs au Sars-cov2 ; taux d’incidence de sars-cov2 est de 22.

« En semaine 2021-46 le taux de positivité au Sars-cov2 des patients consultant pour une IRA était de 6 %… chez les 0-14 ans ».

Taux d’incidence de 160 Infections Respiratoires Aiguës pour 100 000 chez les 5-14 ans.
Le taux d’incidence Sars-cov2 pour les enfants est quant à lui de 18 pour 100 000.

Ce qui signifie que 94 % des enfants qui sont allés consulter un médecin la semaine dernière pour des symptômes grippaux et autres infections respiratoires n’étaient PAS positifs au Covid !

Tandis qu’en semaine 46 les autorités sanitaires font exploser le nombre de tests chez les 0 à 9 ans à un niveau jamais atteint !
Soit 146 000 dans la journée du 26 novembre versus 9000 le 6 novembre, 16 fois plus.
Le nombre de positifs croît en conséquence (plus on fait de tests, plus on trouve de personnes positives).
De fait on fait exploser le taux d’incidence qui est le nombre de positifs pour 100 000 habitants.
Les autorités parviennent à un taux d’incidence artificiel de 210 cas pour 100 000 chez les 0-9 ans !

Pendant ce temps le réseau Sentinelles nous rapporte un taux d’incidence d’enfants ayant des symptômes grippaux ET positifs au PCR Sars-cov2 de 18 pour 100 000 habitants (12 fois moins).
Pour ce réseau, nous sommes à des années-lumière d’une épidémie de Covid chez les enfants.

Il n’y a PAS d’épidémie de malades, mais une épidémie de cas lié à l’augmentation du nombre de tests.
L’année 2020 ayant vu la naissance de pandémies de personnes en bonne santé !

La dictature sanitaire va s’appuyer sur cette augmentation artificielle du taux d’incidence pour prétexter un accroissement de l’épidémie chez les enfants et donc préconiser l’injection dans cette tranche d’âge non concernée par cette maladie.

Le test PCR étant l’outil qui permet de faire croire à une population en bonne santé et asymptomatique qu’elle est un vecteur significatif de propagation d’un virus…
Sans PCR sur les asymptomatiques, plus de confinement, plus de masques, plus de passe-sanitaire et plus de vaccination des personnes en bonne santé non à risque !

Je vous rappelle que 94 % des enfants qui consultent pour des symptômes ORL ne sont pas positifs au Sars-cov2… 6 % serait donc plus important que 94 % pour protéger officiellement les vieux grabataires.

Quand bien même tous ces enfants positifs ne seraient pas connus en l’absence de tests, il n’en demeure pas moins vrai que testés ou pas, ils sont nombreux à être porteurs sains.

Nous sommes là face à un mur de croyance et de propagande…
Le problème est le même qu’en justice, il est plus facile de prouver la culpabilité d’un coupable (par des preuves) que de prouver l’innocence d’un innocent (par des preuves)…
Il faudrait que l’enfant positif prouve qu’il n’est pas (ou infiniment peu) propagateur, bref, qu’il prouve son innocence…
Dans un monde scientifique, les études (non biaisées, sans conflit d’intérêts) devraient amener la preuve que les enfants asymptomatiques sont de puissants propagateurs, mais nous n’y vivons plus.

[Note de Joseph Stroberg : le problème encore plus grave est que la propagande commence dès la formation universitaire largement chapeautée par Big Pharma depuis que Rockefeller s’est acharné en début de siècle dernier à éliminer toute école de pensée et toute médecine qui n’allait pas dans le sens de sa médecine chimique dérivée du pétrole. Et notamment la preuve d’un isolement véritable de virus sur un plan réellement scientifique, ainsi que la preuve expérimentale indubitable de contagions virales ou bactériennes avec expériences de contrôle ou contre-expériences n’ont jamais été fournies.
Il est maintenant largement avéré que la théorie des germes et son corollaire viral relèvent de fraude scientifique et de comportement religieux depuis au moins l’époque de Pasteur. Le présent site propose un large éventail d’articles et de sources qui tendent à démontrer tout ceci.
Le propre de la véritable science est la remise en question permanente des théories et des hypothèses à la lumière des nouvelles observations ou données et de faits mis à jour qui avaient jusqu’à une époque récente été maintenus cachés ou étouffés.
La théorie alternative du terrain et des exosome se révèle bien plus efficace et cohérente, sans « rustines », pour expliquer les maladies prétendument contagieuses, bactériennes ou virales. Et si elle était davantage prise en compte, elle ferait s’effondrer toute cette mascarade plandémique Covid et les mesures sanitaires nocives.]

Quelques pistes de réflexion :

Si les enfants asymptomatiques (ou les adultes) étaient réellement des propagateurs d’épidémie menaçant les personnes vaccinées d’un vaccin « efficace ».

  • Nous devrions avoir des vagues chez les enseignants durant la période scolaire et des creux pendant les vacances… Où sont les études si faciles à réaliser et comparant le taux de contamination des enseignants versus les autres professions ?
  • Pourquoi faudrait-il augmenter artificiellement un taux d’incidence en augmentant le nombre de tests pour faire croire à la dangerosité des enfants ?
  • Testé ou non testé un enfant positif asymptomatique devrait contaminer autant… De plus un enfant testé positif étant retiré de l’école, l’augmentation délirante du nombre de tests devrait donc être de nature à diminuer le taux d’incidence des élèves, des enseignants, mais aussi de la population générale.

Mais quiconque regarde les courbes verra que ni le « tester, isoler », ni même le confinement, n’ont été de nature à aplanir les courbes de cas ou d’hospitalisations. Courbes qui suivent « étrangement » les courbes de nombre de tests… Et comme je l’ai écrit dans mon précédent texte, si l’augmentation du taux d’incidence de positifs par SPF correspondait à une anticipation d’une réalité de malades, alors Sentinelles verrait une amplification les semaines suivantes des taux d’incidence de malades comparable et non 10 fois moindre que le taux SPF !

En fait, ces tests ne pourraient avoir une utilité QUE si vous testiez 100 % de la population française tous les 3 jours et… nous constaterions alors qu’ils n’ont aucune utilité. En revanche, tester 100 % des symptomatiques pourrait avoir un sens, car on pourrait les isoler… (Mais à quoi bon les tester si on les sait malades [et contagieux] ?)

Ici encore, à quoi bon isoler un symptomatique en bonne santé alors qu’il pourrait participer à l’immunité naturelle de masse en contaminant d’autres personnes jeunes et en bonne santé (immunité naturelle qui n’existe plus depuis cette année pour L’OMS — voir mon texte à ce sujet). On en revient au bon sens, à la protection des personnes à risque et pour cela nul besoin de tests PCR !

  • Vous avez des symptômes, vous ne vous approchez pas de personnes à risque.
  • Vous êtes une personne à risque, vous vous protégez et prenez un traitement préventif.

Si les enfants étaient vraiment dangereux, il ne serait pas nécessaire de créer une fausse vague d’asymptomatiques.

Il faudrait aussi m’expliquer comment ces enfants (pas ou peu contaminants) pourraient protéger autrui en les injectant d’un produit qui n’empêche pas (ou très peu) la contamination.

  • Prenez un million (1 000 000) d’enfants.
  • Imaginez que 5 % soient des porteurs sains positifs asymptomatiques, ce qui donnerait en fait 50000 potentiellement « dangereux ».
  • Mais parmi ces potentiellement « dangereux », disons que seuls 10 % ont une charge virale suffisante pour être à la fois positifs, contagieux et contaminants, soit 5000 enfants « tueurs ».
  • Injectez ces enfants en imaginant (délire) que le « vaccin » bloque 20 % des transmissions, ce qui signifie que 80 % des enfants vaccinés ne protégeront pas, vous allez alors avoir 1000 enfants vaccinés bloqueurs « protecteurs ».
  • Vous allez maintenant supposer que ces 1000 enfants « protecteurs » vont prévenir la contamination d’une ou plusieurs personnes (ou d’une personne qui à son tour contaminerait une personne). Avec un R0 à 2 (épidémie réelle), ils vont théoriquement protéger 2000 personnes.
  • 76 % des Français étant adultes, vous aurez protégé 500 enfants et 1500 adultes.
  • Vous allez ensuite supposer que cette ou ces personnes n’auraient pas été contaminées par un autre enfant ou adulte vacciné ou pas… supposons ainsi que la protection tombe de moitié, soit 760 personnes épargnées par la vaccination infantile et de plus non contaminées par un tiers.
  • Vous allez alors supposer que les personnes protégées sont des personnes à risque, sinon aucun intérêt, soit 10 % des adultes. Vous allez donc potentiellement protéger 76 personnes à risque.
  • Vous allez ensuite supposer que les personnes à risque potentiellement protégées avaient un vaccin efficace à 20 % contre la contamination et qui de fait n’ont pas besoin de protection… vous tombez à 80 % de ces personnes à protéger soit 61 personnes à risque sans vaccin anti-contagion qui peuvent être ainsi protégées de la contamination grâce à la vaccination des enfants…
  • Puis vous allez supposer que ces personnes ont un vaccin efficace contre les formes graves à 60 % grâce à la 12e dose (ils disent 90 %)… Ainsi seuls 40 % ont besoin de protection. 24 personnes seront « protégées » d’une forme grave par les enfants.
  • Mais tout le monde ne va pas en réanimation, fort heureusement. Imaginons que l’on ne traite toujours pas les malades (sic) et que 20 % des hospitalisés vont en réa… (80 % n’ont pas besoin de protection contre). Donc 5 personnes seraient allées en Réa sans ce « vaccin solidaire » d’enfants.
  • Mais tout le monde ne décède pas en réa… tablons sur 50 % de décès. 2,5 personnes auront la vie sauve en réa « grâce » à la vaccination de ces enfants…
  • Oui, mais ces personnes ne seraient-elle pas décédées de leurs comorbidités, d’un autre virus si d’aventure… Rappelons que l’âge médian des décès est de 85 ans… disons que la moitié serait quand même décédée… soit 1,25 personnes « sauvées ».

De fait pour 1 million d’enfants vaccinés on pourrait espérer (avec beaucoup de chance et en se basant sur l’hypothèse du « vaccin efficace protecteur ») sauver pendant quelques mois ou un ou deux ans 1,25 personnes âgées, probablement en fin de vie et avec des comorbidités…

Combien d’effets secondaires à vie et de décès d’enfants par million d’injectés en ARNm expérimental ?

C’est votre définition du « vaccin solidaire » ?

Mais ça les autorités sanitaires n’en ont que faire en fabriquant une fausse 5e vague chez les enfants.

Alain Tortosa.

2 décembre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211202-fausse-vague-enfant-extorsion-vaccination.pdf




Louis Fouché : « Il faut rester ouvert et en lien avec le monde »

[Source : francesoir.fr]

Marseille, épisode 5 – Il est toujours difficile de débriefer un entretien avec Louis Fouché. Cultivé et passionné, l’anesthésiste-réanimateur passe d’une idée à l’autre, dresse des ponts là où on ne les attend pas, enchaîne propositions et contre-propositions. Faire une synthèse de son propos s’avère délicat, tant il semble que chaque phrase revêt une importance cruciale.

Il faut dire que cette révolte qu’il ne cesse d’exprimer depuis un an et demi bouillonnait en lui depuis longtemps. Coincé dans le confort de sa vie de « médecin nanti », il a fallu que la crise sanitaire, qu’il perçoit comme une chance, « vienne secouer le cocotier » pour le faire descendre dans l’arène de la vie publique.

La technique et ses conséquences sur la société est l’un des grands champs de la réflexion du leader – il préfère « diplomate », l’organisation ne se voulant pas pyramidale – du collectif Reinfo Covid. À ses yeux, le problème réside dans le fait qu’elle progresse aujourd’hui à un rythme trop élevé « pour pouvoir être régulée par le corps social ». Conséquence : « Celui qui est le tenant de la technique va toujours prendre le pouvoir sur le groupe social. Pour le dire plus simplement : aujourd’hui, ce n’est pas vous qui décidez si votre fille de 12 ans a un IPhone dans la poche. C’est Google, c’est Amazon, c’est Microsoft, c’est Facebook, mais ce n’est pas vous. »

Alors, anti-progrès le Dr Fouché ? Non, bien entendu. Mais à condition d’être en mesure à chaque fois de bien peser le pour et le contre des implications d’une avancée technologique. « Si vous faites le compte des bénéfices-risques des systèmes numériques tels qu’ils sont conçus aujourd’hui, je crois qu’il faudrait les brider, les calmer et dire non à certains moments. »

Paradoxalement, c’est pourtant grâce à ces mêmes outils numériques qu’une partie de la population est en train de se réapproprier certains pans de sa vie. On le voit par exemple dans le domaine de la santé, où la diffusion des savoirs conduit désormais certains à reprendre en main leur alimentation ou la façon de prévenir les maladies. Autre exemple prosaïque donné par le médecin : les tutoriels disponibles sur YouTube permettent à des gens de refaire une partie de leur maison « à leur sauce, et non à celle de Leroy Merlin ».

« Entre être heureux et avoir raison, je préfère être heureux »

Rompre avec la société, rejoindre un groupe alternatif, comporte un risque de dérive sectaire. Une critique qui a souvent été formulée à l’égard de ceux qu’on catalogue comme « dissident », « résistant » ou encore « complotiste ». C’est un écueil dont a conscience Louis Fouché. « A Reinfo Covid, il y a cette idée qu’il faut rester ouvert et en lien avec le monde. » Apôtre de la non-violence, il déplore que les débats passionnés autour de la gestion de la crise sanitaire, et plus largement du rapport au monde tel qu’il est, conduisent familles et amis à se déchirer. « À mon avis, cela n’a pas de sens. […] Entre être heureux et avoir raison, je préfère être heureux. En revanche, il faut bien sûr ne pas oublier ce qui est important et conserver ses valeurs. »

À propos du système de santé, celui qui a été poussé à se mettre en disponibilité de son poste à l’AP-HM (anesthésiste-réanimateur à l’hôpital de la Conception, à Marseille) dit avoir été très marqué par une conférence à laquelle il a assisté en 2014 au Collège de France. Il était question de l’évaluation en santé. « L’ambition actuelle, c’est de parvenir à un système où tout serait standardisé, et où les médecins, les infirmiers, les aides-soignants, ceux qui font le ménage se contenteraient d’appliquer des protocoles préconçus par « ceux qui savent penser ».

« Je ne crois pas que la manifestation soit quelque chose d’utile »

Symbole de cette doxa :  la Convention on Health Analysis and Management (CHAM), qui réunit chaque année à Chamonix les ministres de la Santé, des Finances, les patrons de grands fonds d’investissement, des Gafam, « et quelques chefs de services ronflants d’hôpitaux parisiens ». Le rêve de ces gens-là : « une santé qui ne serait que le fruit d’algorithmes ». « C’est déjà l’idée qu’on essaye de faire passer aux étudiants en médecine actuels. […] Mais c’est un leurre complet. Parce que ce qui soigne au fond, c’est l’humain et c’est la relation [entre le médecin et son patient]. »

Comment faire face à ce système ? Et d’une manière générale, comment s’opposer au néolibéralisme, désigné par Louis Fouché comme « l’ennemi » ? Cela en décevra certains, mais l’anesthésiste est sceptique quant au pouvoir de la rue. « Je ne crois pas que la manifestation soit quelque chose d’utile. […] Quand ils veulent, [les gouvernants] peuvent envoyer les blacks blocs afin de vous faire passer pour des gens violents. Quand ils veulent, ils peuvent faire dire aux médias que vous étiez 300 alors que vous étiez 3 000. »

Il appelle plutôt les opposants au système à recréer du lien, à monter des systèmes parallèles. « Il n’y a pas besoin de tout lâcher. Par exemple : pour organiser une bibliothèque collective destinée à ceux qui n’ont plus le droit d’entre dans une bibliothèque municipale, et ainsi leur permettre d’accéder à nouveau à des livres et du savoir, vous n’avez rien besoin d’abandonner. » Cela suffira-t-il ? On ne demande qu’à y croire.

Un « Entretien essentiel » dans lequel Louis Fouché nous parle de son livre « Tous résistants dans l’âme – Éclairons le monde de demain ! », (éditions Guy Trédaniel)… et de bien d’autres choses encore.

Auteur(s): FranceSoir




L’ancien premier ministre de la Colombie-Britannique, Bill Vander Zalm, affirme que le but derrière l’agenda COVID-19 est l’établissement d’un ordre mondial fasciste ou communiste

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Le 18 octobre dernier, Dan Dicks a réalisé une entrevue pour la chaîne Press For Truth avec l’ancien premier ministre de la Colombie-Britannique au Canada, Bill Vander Zalm, durant laquelle celui-ci affirme que le but ultime derrière l’agenda COVID est le contrôle total des populations et l’établissement d’un gouvernement mondial dictatorial. Le journaliste indépendant avait déjà rencontré Bill Vander Zalm en 2013. À ce moment, ils avaient discuté ensemble du point de vue de l’ancien premier ministre sur la politique, l’élite mondiale et leur programme final. William Nicholas Vander Zalm, né le 29 mai 1934, a été le 28e premier ministre de la Colombie-Britannique de 1986 à 1991 et il a été impliqué dans le gouvernement pendant 25 ans au total, étant au courant de la façon dont les choses fonctionnent à l’intérieur.

Bill n’a accordé d’interview exclusive à aucun média depuis 8 ans (la dernière fois, c’était avec PFT), mais aujourd’hui, il est prêt à reparler en raison de la vitesse à laquelle il voit le monde accélérer vers un ordre communiste et fasciste mondial. Dans la vidéo ci-dessous, Dan Dicks de Press For Truth obtient une entrevue exclusive pour parler du cauchemar actuel de Covid-19 dans lequel nous nous sommes tous retrouvés, comment cela s’est produit, où cela se dirige dans le futur et surtout ce que vous pouvez faire pour vous protéger, vous et votre famille, à l’avenir !

Attention : la liberté est en train d’être supprimée et tout finira par être contrôlé !

Vous pouvez regarder l’intégralité de l’entrevue réalisée par Dan Dicks avec Bill Vander Zalm sur
la chaîne Odysee du média indépendant Press For Truth (en version anglaise).




À propos de Bill Vander Zalm

Bill Vander Zalm

Bill Vander Zalm est né Wilhelmus Nicholaas Theodore Marie van der Zalm et a grandi à Noordwijkerhout, aux Pays-Bas. Il a émigré au Canada après la Seconde Guerre mondiale, s’installant dans la vallée du Fraser en 1947. Après avoir terminé ses études secondaires, il a vendu des bulbes de tulipes et s’est finalement établi dans la pépinière et le jardinage.

Vander Zalm a été élu échevin de Surrey en 1965 et a été maire de la ville de 1969 à 1975. Son mandat a été marqué par sa répression contre les « mauvais payeurs » de l’aide sociale (jusqu’au début des années 1970, l’aide sociale en Colombie-Britannique était une responsabilité municipale).

Vander Zalm était à l’origine un partisan du Parti libéral du Canada et du Parti libéral de la Colombie-Britannique. Il a demandé l’élection à la Chambre des communes du Canada lors des élections fédérales de 1968 en tant que libéral à Surrey. Il a perdu par 4 445 voix. Il a également été candidat au congrès provincial à la direction du Parti libéral de 1972, où il a perdu contre David Anderson. Il s’est joint au Parti du crédit social de la Colombie-Britannique en 1974.

Il a été élu pour la première fois à l’Assemblée législative de la Colombie-Britannique lors des élections de 1975 pour la circonscription de Surrey (il représentera plus tard Richmond après les élections de 1986). Les Socreds ont repris le pouvoir après une interruption de trois ans.

Il a servi dans le cabinet du premier ministre Bill Bennett en tant que ministre des Ressources humaines de 1975 à 1978, où il a poursuivi sa croisade contre la fraude à l’aide sociale. Après la cérémonie d’assermentation, les médias lui ont demandé de commenter ce que le public pouvait attendre de l’aide sociale. Il a répondu : « Si les gens sont vraiment dans le besoin, ils peuvent s’attendre à être traités avec équité et compassion. traités généreusement, espérons-le encore plus que par le passé. Mais si quelqu’un est capable de travailler et refuse de le faire, il vaut mieux qu’il prenne une pelle ou que je lui donne une pelle. » Il est devenu largement connu du jour au lendemain lorsque les médias ont rapporté sa remarque improvisée avec les titres « Vander Zalm dit de leur donner une pelle ».

Vander Zalm a également été ministre des Affaires municipales et du Transport en commun de 1978 à 1981 et ministre de l’Éducation de 1981 à 1983. En 1984, il achète Fantasy Garden World, un parc à thème. La même année, il se présente sans succès à la mairie de Vancouver pour le candidat de l’Association non partisane. Il a perdu contre Mike Harcourt, qui était plus tard le chef provincial du NPD pendant la majeure partie du mandat de Vander Zalm en tant que premier ministre.

Premier ministre de la Colombie-Britannique

En 1986, le premier ministre Bennett a annoncé qu’il prenait sa retraite. Vander Zalm a attiré une attention considérable alors qu’il se demandait s’il se présenterait à la direction du Parti du crédit social. Il a généré plus de presse de la course que les autres candidats. Lors du congrès du parti à Whistler, en Colombie-Britannique, il l’a emporté sur 11 autres candidats en l’emportant au quatrième tour.

Il a prêté serment en tant que premier ministre juste un mois avant les élections de 1986. Au cours de la campagne électorale provinciale qui a suivi, « Vandermania » a balayé la Colombie-Britannique et les Socreds ont facilement remporté un autre mandat contre le Nouveau Parti démocratique (NPD) d’opposition. Vander Zalm a promis un « nouveau départ » après les années conflictuelles de Bennett. Cependant, lui et son gouvernement n’avaient aucun plan public pour ce qu’ils avaient l’intention de faire à long terme.

Une fois élu à part entière, Vander Zalm a occupé la plupart des postes ministériels avec des députés qui avaient langui à l’arrière-ban sous Bennett. Curieusement, Vander Zalm a décidé de divulguer la liste normalement secrète des nominations au cabinet à deux journalistes du Vancouver Sun quelques heures avant l’annonce officielle.

Le Parti du Crédit social était une alliance ténue entre les conservateurs fiscaux urbains, les libéraux fédéraux et les conservateurs chrétiens dans la Bible Belt de la province. Les conservateurs fiscaux ont dominé le parti pendant plus d’une décennie. Cependant, Vander Zalm était membre de l’aile sociale conservatrice, qui a rapidement pris le contrôle du parti. Son gouvernement a déjà tenté de réduire le financement public des avortements qui n’étaient pas médicalement nécessaires. Le tumulte qui en a résulté a forcé Vander Zalm à abandonner le programme.

Vander Zalm a été remplacé en tant que premier ministre par la vice-première ministre Rita Johnston, qui a battu McCarthy dans la course pour le remplacer en tant que chef de Socred. Le parti a été défait et a terminé loin troisième, le NPD revenant au gouvernement et les libéraux devenant l’opposition officielle. Le Parti Crédit Social a été complètement exclu de la législature lors des élections suivantes de 1996 et n’a plus jamais remporté de sièges.

Dans cette entrevue exclusive de Press For Truth, Dan Dicks s’entretient avec Bill Vander Zalm, ancien premier ministre de la Colombie-Britannique, pour discuter de son point de vue sur la politique, l’élite mondiale et leur programme final.




Injection génique chez les enfants : aberration inutile et dangereuse. MàJ

Par Nicole Delépine

[Mise à jour : vidéo en fin d’article].

Mais payée jusqu’à deux millions de dollars pour ceux qui en font la propagande !

Jusqu’où iront-ils et jusqu’à quand les parents laisseront-ils faire cette folie criminelle ?

« Une éventuelle campagne de vaccination des plus jeunes en France ne débuterait pas avant la fin de l’année au plus tôt, a indiqué Olivier Véran »,

écrit Le Parisien, le 11 novembre 2021.

AU SECOURS HIPPOCRATE ! 

On a appris il y a quelques jours que l’EMA autorisait l’injection expérimentale du Pfizer aux enfants de 5 à 11 ans. Tristesse, désespoir, colère. Pourquoi attaquer ces petits déjà meurtris par les mesures restrictives de leur liberté depuis deux ans ou presque dont le port du masque, sans intérêt contre la transmission,(([1] Comme l’ont démontré entre autres l’essai randomisé danois Danmasq19 et la Suède qui a laissé ses enfants aller sans masque à l’école et n’a constaté aucune propagation du virus en milieu scolaire.)) mais toxique avec risques médicaux, psychologiques et surtout sociaux ? Des enfants de 6 ans dessinent des visages sans bouche ni nez. Imaginez-vous que ce sera sans séquelles à vie ?

« Le vaccin de Pfizer contre le Covid-19 a été approuvé pour les enfants de 5 à 11 ans par le régulateur européen du médicament », a annoncé le 25 novembre 2021 cette agence, ouvrant la voie à une vaccination au sein de ce groupe d’âge dans l’Union européenne.

Un groupe d’experts « a recommandé d’approuver une extension de l’application du vaccin contre le Covid-19 Comirnaty pour inclure son usage chez les enfants de 5 à 11 ans », a expliqué l’Agence européenne des médicaments (EMA). Ce vaccin à ARN messager est déjà autorisé pour les enfants de plus de 12 ans dans les 27 pays de l’UE.(([2] https://video.lefigaro.fr/figaro/video/Covid-19-lautriche-commence-a-vacciner-les-enfants-de-plus-de-cinq-ans))

Hors du continent européen, le vaccin de Pfizer a déjà été approuvé pour les enfants de 5 à 11 ans dans un petit nombre de pays, parmi lesquels les États-Unis, Israël(([3] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/11/14/Covid-19-israel-autorise-la-vaccination-des-enfants-de-5-a-11-ans_6102053_3244.html/)) et le Canada. Les enfants de 5 à 11 ans recevront un tiers de la dose utilisée pour les personnes plus âgées, en deux injections espacées de trois semaines, a expliqué le régulateur européen.

Le vaccin a démontré une efficacité de 90,7 %,(([4] En réalité seulement 1517 enfants ont reçu l’injection, l’efficacité n’a pas été jugée sur des critères pertinents (nombre de maladies symptomatiques et d’évolutions sévères), mais seulement sur le taux des anticorps (dont on ne connaît mal le rôle précis dans cette maladie nouvelle) et le suivi médian ne dépasse pas 2,3 mois, totalement insuffisant pour évaluer les effets secondaires.)) lors d’un essai réalisé sur 2 000 jeunes enfants suivis de cette classe d’âge a-t-il ajouté. Les effets secondaires ont été jugés « légers ou modérés ».(([5] Le nombre des enfants injectés et leur suivi médian ne dépassant pas 2,3 mois sont totalement insuffisants pour évaluer les complications à moyen et plus long terme ; en particulier aucune péricardite n’a été signalée alors qu’il s’agit d’une complication reconnue de ce pseudo vaccin à cet âge.)) Ils peuvent durer quelques jours et peuvent se manifester sous la forme d’une douleur localisée à l’endroit de l’injection, d’une fatigue, de maux de tête, de douleurs musculaires ou d’un rhume.

Selon le communiqué, le régulateur « a donc conclu que les bénéfices du Comirnaty chez les enfants de 5 à 11 ans dépassent les risques, particulièrement chez ceux qui présentent des comorbidités augmentant le risque de contracter une forme grave du Covid-19 ».

La propagande récente de l’Institut Pasteur

Pour promouvoir la vaccination chez les enfants qui n’ont absolument aucun bénéfice à en espérer, tous les médias montent en épingle un détail d’une étude de l’institut pasteur selon laquelle les personnes de plus de 40 ans vivant avec des enfants seraient plus exposées à la contamination.(([6] BFM TV Covid-19 : les personnes vivant avec des enfants sont plus exposées à la contamination 26/11/2021))

Il faut préciser que les auteurs de cet article(([7] Rebecca Grant Impact of SARS-CoV-2 Delta variant on incubation, transmission settings and vaccine effectiveness: Results from a nationwide case-control study in France The Lancet Regional Health – Europe 2021;00:100278)) sont majoritairement salariés par les promoteurs et/ou responsables des vaccinations.(([8] Institut Pasteur, Research & Action Emerging Infectious Diseases (REACTing), ANRS | Maladies Infectieuses Emergentes, Fondation de France (Alliance « Tous unis contre le virus »), Caisse Nationale d’Assurance Maladie, Paris, France…)) Que le but déclaré du travail est de préciser l’impact du variant delta sur l’efficacité des pseudo vaccins actuels. Qu’il ne s’agit absolument pas d’une enquête épidémiologique, mais une simple étude « cas control » dont tous les scientifiques admettent la très faible valeur probante du fait de l’incertitude de la réelle représentativité du groupe dit «control » construit a posteriori. De plus, le nombre de sous-groupes testés n’est pas précisé et tout le monde sait qu’au risque 5 % un test sur vingt est positif, même en l’absence de tout lien causal.

De plus, cet article de circonstances contredirait les conclusions de l’enquête épidémiologique de ce même Institut Pasteur sur les écoles de Creil et de plus d’une vingtaine d’articles internationaux prouvant que « les enfants sont innocents du Covid ».(([9] https://docteur.nicoledelepine.fr/il-faut-stopper-la-pub-a-la-vaccination-chez-lenfant-innocent-du-sars-cov-2/))

Vacciner les enfants, une absurdité dramatique contre ce rhume des fous(([10] Vacciner les enfants, une absurdité dramatique contre le rhume des fous (20+) Facebook ReinfoCovid Quebec))

Des appels à la raison émanent de partout dans le silence et la soumission des peuples dont les 20 à 30 % réveillés n’arrivent pas à ouvrir les yeux de trop de concitoyens travaillés au corps par les politiques et la propagande écrasante des médias aux ordres.

De plus en plus de personnes même médiatiques prennent conscience de la vaste manipulation, mais encore insuffisamment nombreux. Poursuivons l’information, l’exposé des faits avérés et sauvons des vies, comme disait Pascal Praud quand il croyait aux prétendus vaxx…

Combien de victimes faudra-t-il avant ce réveil salutaire ?

Nous ne pouvons que confirmer ce que tous les articles les pédiatres honnêtes expliquent depuis avril mai 2020 :

Les enfants non malades (sans comorbidité = sans cancer ni immunodépression) ne risquent rien du SARS-CoV-2(([11] Il ne faut pas vacciner les enfants contre le Covid-19 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) même dans ses formes initiales plus virulentes, les mutants actuels dont l’Omicron étant de moins en moins dangereux, bien que plus contagieux : une tempête dans une tasse de thé selon les Sud-Africains.

Les enfants porteurs du rhume Covid ne contaminent ni les enfants ni les adultes et aucun bénéfice collectif n’est à attendre de cette injection chez les petits. DONC PAS DE BÉNÉFICE NI INDIVIDUEL NI COLLECTIF.

L’INJECTION, UN RISQUE NON NÉGLIGEABLE ET INUTILE

Comment convaincre les parents de refuser cette injection chez les petits ?

Une nouvelle fois, rappeler l’état des lieux des effets dits indésirables avec les données récentes et les diffuser au maximum. Lecteurs, aidez-nous, aidez les petits et informez vos proches.

Ce risque est bien réel, car plus les sujets sont jeunes, plus leur système immunitaire est réactif, donc plus les enfants sont à risque de complications liées à la déferlante immunitaire.

C’est ainsi que les immunologistes expliquent que les jeunes présentent beaucoup plus de complications en tous cas précoces, des injections que les sujets âgés dont l’immunité est peu réactive. Et plus on est jeune, plus on est à risque : ainsi les sujets de moins de trente ans font des myocardites post vax, mais les 15 -18 ans plus que les 20 –30 ans et moins que les 11 – 15. Tout est à craindre chez les plus petits.

Les graphiques suivants montrent la parfaite concordance entre le nombre d’injections et la fréquence des myocardites et démontrent ainsi l’effet dose.

Vaccinations des enfants de 10 à 14 ans et mortalité toutes causes confondues en Angleterre — données officielles

Comparée à la moyenne de la mortalité toutes causes confondues de ces enfants pour les 5 dernières années : augmentation de + 44 %

Pour le Virologue J-M Claverie : La « vaccination » des enfants est une erreur grave(([12] https://planetes360.fr/video-virologue-j-m-claverie-la-vaccination-des-enfants-est-une-erreur-grave/))

La maladie des enfants est complètement bénigne. Ce rhume n’est pas dangereux, on devrait laisser les enfants faire leur petite maladie dans leur coin et pour acquérir l’immunité naturelle contre tous les ingrédients du virus et pas seulement une seule protéine. De plus la durée des tests a été très insuffisante : suivi 57 jours !

LES FORMES GRAVES CHEZ LES ENFANTS SONT UN MYTHE

Même la société française de pédiatrie le reconnaît :

voici sa mise au point le 30 septembre 2021 : FORMES GRAVES DE Covid CHEZ L’ENFANT : QU’EN EST-IL VRAIMENT ?

En août 2021, des données venant des USA et concernant un nombre important de décès des enfants et adolescents ont inquiété quant à la possibilité d’une plus forte virulence chez l’enfant. Cependant, ces données sont à moduler par les données globales aux États-Unis (https://www.aap.org/en/pages/2019-novel-coronavirus-Covid-19-infections/children-and-Covid-19-state-level-data-report/) qui font état d’un taux de létalité de 0,00 %-0,03 % (pourcentage de décès parmi les enfants atteints de Covid).

Les données françaises sont également très rassurantes ET CONFIRMENT TOUTES LES ANALYSES PRÉCÉDENTES : LES ENFANTS BIEN PORTANTS NE RISQUENT RIEN DU Covid

(https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/donnees-hospitalieres-relatives-a-lepidemie-de-Covid-19/)

La mortalité hospitalière cumulée au 18 août 2021 depuis le début de l’épidémie est de 11 cas pour les 10-19ans et 6 pour les moins de 10ans soit 0,02 % de la mortalité hospitalière cumulée rapportée au 18 aout 2021 par Sante Publique France (17 / 86 451) alors que les enfants et jeunes de moins de 20 ans représentent plus de 23,9 % de la population.(([13] (source https://fr.statista.com/statistiques/472349/repartition-population-groupe-dage-france/))

Ces données sont illustrées par les graphiques visibles sur le PDF de santé France,(([14] Ce document PDF [téléchargé automatiquement] : Évolution des indicateurs épidémiques chez les 5-11 ans et comparaison avec les 12-17 ans. Au 31 octobre, semaine 43. Le point sur. 10 novembre 2021. Saint-Maurice : Santé publique France, 4 p. Directrice de publication : Pr Geneviève Chêne. Dépôt légal : 10 novembre 2021)) représentant le nombre d’enfants hospitalisés en soins critiques (moins de 10 ans et 10-19 ans), ainsi que la proportion de moins de 20 ans parmi les hospitalisations en soins critiques et le nombre d’hospitalisations en soins critiques tous âges confondus (données quotidiennes)

Chiffres officiels concernant les décès et hospitalisations des enfants de 5 à 11 ans dus au Covid-19 ?(([15] Analyse du Pr La Scola de l’IHU de Marseille Copyright © Prof. Bernard La Scola et Candice Vacle, Mondialisation.ca, 2021))

Point épidémique de Santé Publique France sur la « situation SARS-CoV-2 depuis le début de l’épidémie chez les 5-11 ans et les 12-17 ans » datant du 31 octobre 2021 :

« Très rares décès d’enfants pour lesquels le lien avec le SARS-COV-2 est possible ou établi (respectivement 3 et 12 chez les 5-11 ans et 12-17 ans). Très grande majorité de ces décès chez des enfants présentant des pathologies chroniques.(([16] https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/enquetes-etudes/evolution-des-indicateurs-epidemiques-chez-les-5-11-ans-et-comparaison-avec-les-12-17-ans.-point-au-31-octobre-2021))»

Selon cette source officielle, en 1 an et 8 mois de crise Covid-19, il y a eu 3 décès dus au Covid-19 chez les enfants de 5 à 11 ans ; et 12 chez les enfants de 12 à 17 ans et tous ces enfants avaient une fragilité puisqu’ils avaient des pathologies chroniques.

Santé Publique France écrit aussi pour toute la période de la crise du Covid-19 :

« Les hospitalisations chez les enfants âgés de 5-11 ans et de 12-17 ans représentent respectivement 0,3 % et 0,5 % de l’ensemble des hospitalisations, sans différence entre 2020 et 2021. »

Donc, sur 1000 personnes hospitalisées ayant le Covid-19, il y a en moyenne 3 enfants de 5 à 11 ans et 5 de 12 à 17 ans. Cette situation est stable.

Les enfants hospitalisés du Covid-19 ne sont pas des enfants en bonne santé

Professeur Bernard La Scola a précisé :

« Il en est des enfants comme des adultes de moins de 50 ans en moyenne. Ceux qui sont hospitalisés sont des personnes atteintes de pathologies chroniques — notamment immunosuppression — souvent liées à un cancer, ou une obésité morbide. »(([17] Mail du 16 novembre 2021 le pr la Scola))

Les chiffres ci-dessus de Santé Publique France peuvent-ils justifier une vaccination des 5-11 ans et des 12-17 ans ?

Réponses recueillies auprès du Pr La Scola(([18] Prof. Bernard La Scola et Candice Vacle, Mondialisation.ca, 2021))

Pr La Scola :

« Ça n’a jamais été ces chiffres qui ont justifié la vaccination des enfants, mais une éventuelle limitation de la transmission virale. »

Dans l’état actuel des connaissances est-il prouvé que la vaccination des enfants limite la transmission et la circulation du virus Sars-CoV-2 ?

Pr La Scola :

« Non, pas plus que celles des adultes d’ailleurs. Les pays les plus vaccinés et le plus tôt comme UK [Royaume-Uni] et Israël ont eu des taux d’incidence parmi les plus élevés au monde avec la propagation du variant delta. C’est bien l’évidence que la vaccination de masse ne protège pas la circulation du virus. »

La vaccination contre le Covid-19 représente-t-elle un/des risque(s) pour les enfants ? Si oui le ou lesquels ? Et avez-vous des preuves concernant ces risques ?

Le Pr explique qu’on n’a pas de démonstration des risques faute d’essai clinique sérieux et prolongé. En d’autres termes si nous les laissons faire vos enfants seront des cobayes purement et simplement.

« Les autorités se basent sur les résultats d’une étude faite sur un peu plus de 2000 enfants dont la moitié ont reçu le vaccin (10.1056/NEJMoa2116298) »(([19] https://www.nejm.org/doi/pdf/10.1056/NEJMoa2116298?articleTools=true))

« On n’a pas détecté d’effets secondaires graves. Mais en testant 1000 enfants, on ne détectera jamais que les effets secondaires fréquents à une fréquence inférieure à 1/1000. Orles effets qu’on a vus chez les adultes jeunes (thromboses, myocardites) ont une fréquence bien inférieure. En clair, on ne peut pas détecter ces effets secondaires rares. »

« On ne les détectera qu’en faisant les apprentis sorciers, en faisant une vaccination de masse des enfants et en reproduisant ce qui a été fait avec les adultes jeunes. Je trouve toujours aussi scandaleux qu’on puisse continuer à vacciner des jeunes sans aucun facteur de risque avec les risques de thrombose et de myocardite que ça représente »

« Ce qui me gêne le plus depuis le début c’est le risque à très long terme d’une technologie non éprouvée justement sur ce long terme (vaccination ARN). Il ne se passera peut-être rien et il faut l’espérer, mais si ces vaccins sont responsables de pathologies cancéreuses ou dégénératives d’ici 15-20 ans, comment justifiera-t-on auprès des jeunes de les avoir vaccinés alors que c’était inutile ? »

Pour les 0 à 19 ans, le risque de soins critiques est de 2 pour 4962 contaminés non vaccinés (soit 0,05 %) et de 2 pour 1279 contaminés vaccinés (soit 0,16 %). LE RISQUE EST DONC TROIS FOIS SUPÉRIEUR POUR UN JEUNE VACCINÉ. Compte tenu des effets secondaires, la balance bénéfice/risque est totalement défavorable à la vaccination, car la probabilité des seules myocardies est supérieure.(([20] Ils tentent de vous faire croire que leurs injections protègent des formes graves, c’est bidon ! Nous avons besoin de traitements précoces et des vrais scientifiques qu’ils censurent ! | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) ))

Les jeunes 12-17 ans représentent 15 % des déclarations depuis le début dans les 8 derniers jours (120/780)

La proportion des déclarations des jeunes est de 22 % des déclarations de myocardites tous âges ces 8 derniers jours. Ce pour juste une tranche d’âge de 6 années.

Ajouter 269 péricardites, dont 29 ces 8 derniers jours.

Total 12-17 ans : myocardites + péricardites = 1049 dont 149 du 19 au 26 novembre.

Exemple de rapport(([21] marco nius @NiusMarco))

Aux USA les données du VAERS sont cruelles

VACCINATION DES 12-17 ans

L’effroyable remontée de pharmacovigilance du VAERS (ministère de la Santé US)

EN 4 MOIS :

  • 24 DÉCÈS
  • 86 CÉCITÉS
  • 444 MYOCARDITES
  • 1159 HOSPITALISATIONS

Toujours garder à l’esprit que seulement 10 % de la réalité est remontée

ET LES MODÉLISATIONS SUR LES VAX DES ENFANTS, INVRAISEMBLABLE PROPAGANDE

Données Pfizer/FDA, par million de 5-11 ans doubles doses. En résumé : Ils vont filer 106 myocardites à des enfants en bonne santé à risque zéro pour éviter 200 hospitalisations à des enfants malades. 22

LA CORRUPTION DES EXPERTS CACHÉE PAR LES MÉDIAS PERMET CETTE ABOMINATION

ENFIN SE DEMANDER CE QUI MOTIVE CERTAINS MÉDECINS À ENVOYER LES ENFANTS JOUER A LA ROULETTE RUSSE. Croyance ? Crédulité ? Liens d’intérêts ? Corruption ?

Déjà une interrogation : Le Pr Alain Fischer , Mr Vaccin est président de la fondation Rothschild(([23] http://www.fedr.ibpc.fr/fr/la-fondation-edmond-de-rothschild-85.htm. Leurs missions :
https://www.edmondderothschildfoundations.org/nos-missions/sante/default.aspx#SubSection)) promoteur des vaccinations. Est-ce que ce lien n’aurait pas dû l’exclure de cette fonction de conseiller ?

Pas facile de savoir exactement les motivations, mais pour certains elles sont claires. Les exploits de l’urologue Gilbert Deray (néphrologue cumulant 171 déclarations pour plus de 160 000 €)(([24] D’après Covidinfos.net)) deviennent bien connus comme ceux de Karine Lacombe (247 861€) qui prétendait que les vaccins étaient efficaces à 100 % et veut nous faire porter le masque ad vitam aeternam.

« Vacciner » des enfants à risque ZÉRO par une injection génique expérimentale dangereuse qui ne protège ni les vaccinés ni leurs contacts des contaminations n’a pas de sens médical, d’autant que leurs effets à long terme sont complètement inconnus.

Aucune justification en dehors de la corruption, de la propagande à la Goebbels et de la soumission des peuples à la pression quotidienne, répétée depuis 18 mois. La stratégie de la peur même avec un variant du nom omicron que l’on sait déjà n’être une tempête dans une tasse de thé.

Un expert canadien, Jim Kellner, qui fait la promotion de la vaccination des enfants vient d’être sacré champion mondial de la corruption Covid avec 2 millions de dollars reçus de Pfizer. Citons quelques articles canadiens(([25] Par Aguellid 3 novembre 2021 2 millions de dollars versés par Pfizer à un médecin qui fait la promotion de la vaccination des enfants — Bing News))(([26] Cosmin Dzsurdzsa Québec Nouvelles Info 1er novembre 2021))(([27] Tags : Alberta corruption Dr Jim Kellner pédiatre et professeur à l’Université de CalgaryPfizer PharmaceuticalsPromotion de la vaccination des enfants.)):

«Tout est logique, simple, limpide : c’est celui qui paie qui écrit la musique. Les médias sont conscients et complices de cette folie, ils devront le payer face à la justice. Comme par hasard, les chaînes d’info ont le numéro de téléphone de la crapule la plus corrompue de l’état ! »

Il est super content le monsieur… et souriant…

Plusieurs des plus grandes entreprises médiatiques du Canada n’ont pas révélé qu’un éminent professeur de pédiatrie de l’Alberta avait reçu près de 2 millions de dollars de Pfizer Pharmaceuticals pour promouvoir la vaccination des enfants de 5 à 11 ans.

Le Dr Jim Kellner, pédiatre et professeur à l’Université de Calgary, a été cité comme une autorité dans des dizaines d’articles publiés par CTV News, CBC, Global News, le Toronto Star et le Globe and Mail sur la vaccination des enfants et d’autres questions liées aux pandémies.

Depuis 2014, les recherches de Kellner ont reçu 1 940 443 $ de Pfizer Pharmaceuticals pour diverses études sur les vaccins, la subvention la plus récente de 787 004 $ étant allouée jusqu’à l’année 2022.

Le financement de la recherche de Kellner n’a pas été divulgué par les médias susmentionnés dans de nombreux articles remontant à 2020, bien qu’il soit indiqué publiquement dans son CV, qui est publié sur le site Web de l’université de Calgary.

(…) Dans les articles où M. Kellner est cité, il est tour à tour qualifié de « professeur et chercheur » , de « pédiatre », de « spécialiste des maladies infectieuses à l’Alberta Children’s Hospital », d’ »expert en maladies infectieuses », de « membre du groupe de travail fédéral sur l’immunité Covid-19 » et d’autres variantes. Kellner est également employé par les services de santé de l’Alberta.

Un article publié par CBC News ce 24 novembre, intitulé » Wondering about vaccinating younger kids against Covid-19? Alberta experts weigh in”, cite Kellner sur le sujet de l’administration du vaccin Pfizer aux enfants, sans faire référence à son financement.

« De mon point de vue, l’analyse des risques et des avantages montre qu’il y a un avantage certain à administrer le vaccin pour prévenir l’infection et les conséquences graves du Covid-19 », aurait déclaré M. Kellner.

Dans un autre article publié en avril par le radiodiffuseur public, M. Kellner encourage l’élargissement des groupes de personnes admissibles au vaccin Covid « en particulier en fonction de l’âge » et aurait déclaré que « la vaccination est la première chose qui peut faire la différence ».

Selon les résultats de recherche de la CBC, le nom de Kellner apparaît plus de 41 fois et apparaît dans de nombreuses vidéos et articles sur le thème de la vaccination, sans aucune indication sur les sommes qu’il a reçues du fabricant de vaccins Pfizer.

Les données du gouvernement du Canada montrent que le vaccin Pfizer-BioNTech (Cormirnaty) est le vaccin le plus utilisé au Canada, plus de 14 millions de Canadiens ayant reçu au moins une dose du produit.

Dans un article publié en juin par le Globe and Mail, Kellner remet en question la protection offerte par l’immunité naturelle.

« Nous encourageons les personnes qui ont eu le Covid à se faire vacciner, et il est recommandé de le faire. On pourrait même dire que les personnes qui ont eu le Covid sont plus susceptibles de se faire vacciner, ayant vécu cette expérience », a déclaré M. Kellner au Globe and Mail. Le journal a cité Kellner comme une autorité au moins sept fois.

Quant au Toronto Star, Kellner apparaît en tant qu’expert dans au moins 11 articles, dont beaucoup encouragent la vaccination des enfants, et ce sans divulguer son financement. Dans le dernier article publié le 18 octobre 2021, Kellner discute des essais de vaccins Pfizer sur des enfants et est cité aux côtés du PDG de Pfizer, Albert Bourla.

De même, Global News cite Kellner à de nombreuses reprises, y compris dans des interviews, à propos de ses recherches sur le Covid-19 et les enfants, sans révéler les près de 2 millions de dollars qu’il reçoit de Pfizer.

Quant à CTV News, Kellner fait plusieurs apparitions à la une en tant que pédiatre, notamment dans un article daté du 20 octobre 2020.

Comme l’a rapporté en exclusivité True North au début du mois, le Globe and Mail et le Toronto Star n’ont pas non plus divulgué le financement par AstraZeneca de l’éminent professeur et auteur d’articles d’opinion Mark Lautens.

En comparaison la cote des experts français paraît bien plus faible (8 fois moins pour la championne française d’Euros for docs).

Contrairement à ce qu’on croit généralement la cause principale de la chute de l’Empire romain n’est pas la puissance brute des barbares, mais la corruption généralisée du bas empire qui l’a vidé de ses moyens de défense.(([28] Max Gallo La Chute de l’Empire romain Paru le 15 septembre 2016.))

En France la corruption paraît déjà avoir décrédibilisé les experts scientifiques et la parole des représentants de l’état. Au-delà de la santé des enfants, elle menace les fondements de notre démocratie ; comme l’avaient déjà expérimenté les citoyens d’Athènes(([29] Paul Demont, « Le tirage au sort dans la démocratie de l’Athènes classique », Silomag, n° 10, déc. 2019. URL :
https://silogora.org/le-tirage-au-sort-dans-la-democratie-de-lathenes-classique/)) et de certaines cités italiennes du Moyen âge qui ont recouru au tirage au sort de leurs représentants pour la limiter.








Et la dictature créa le PCR pour nous soumettre…

Par Alain Tortosa

De la multiplication d’un RIEN pour en faire un TOUT !
Des preuves supplémentaires du mensonge et de la fausse pandémie…

Je me bornerai aujourd’hui à ne parler que de la France quand bien même gouvernement et médias ne se privent pas de nous parler de la « catastrophe » européenne pour crédibiliser leurs nombreux mensonges. Et ce en prenant systématiquement soin de ne pas évoquer les pays qui ne confinent pas, ne vaccinent pas ou peu, qui traitent leurs malades et qui ont des résultats remarquables. Partant du principe acquis que « tous les pays qui font mieux ne sont pas comparables à la France et que seuls les pays qui ont de moins bons résultats sont fiables en termes de comparaison ».

Donc nous voici dans cette fameuse « 5e vague » tout aussi extraordinaire que les précédentes… une épidémie de « cas » comme il se doit.

Et un « cas », c’est quoi ?
C’est une personne asymptomatique, c’est-à-dire sans le moindre symptôme — fièvre, douleur, toux, etc. — qui est positive à un test PCR pratiqué au fond de votre nez !

Qu’est-ce qu’un test PCR ?
C’est une méthode inventée uniquement à des fins de recherches et non à visée diagnostique. Le principe revient à amplifier, augmenter la quantité de virus dans un échantillon par un certain nombre de cycles… Plus on fait de cycles et plus on peut trouver… n’importe quoi comme des virus « morts » ou des fragments de virus qui seraient des « restes » d’une ancienne infection. Le test est à ce point « impressionnant » que durant la première vague des bananes et du Coca-cola étaient positifs ainsi que des écouvillons vierges…

Et pourquoi pratique-t-on un prélèvement aux tréfonds de votre nez ? Parce que la probabilité de trouver des traces de virus est plus grande que dans votre salive…

De façon pragmatique, il faudra m’expliquer comment une personne en bonne santé sans le moindre symptôme, qui ne crache pas et ne tousse pas, et dont il n’est possible de détecter (par une méthode douteuse) un virus uniquement dans le fond de sa gorge, mais pas dans sa salive et dont la charge virale ne pourra qu’être faible, pourrait contaminer qui que ce soit ?
Et ce alors même que c’est un virus qui se transmet par les voies aériennes… il faut bien qu’il sorte de vous pour contaminer votre voisin ou tuer papi mamie !

D’autre part, les tests n’étant pas effectués sur 100 % des français et uniquement une infime partie… ces Français asymptomatiques et non testés sont donc non isolés et donc des « propagateurs officiels de virus ». De fait si tout ceci n’était pas une vaste escroquerie, le taux d’incidence de malades des semaines suivantes devrait suivre de près la courbe des positifs asymptomatiques des semaines précédentes. Bien entendu, ce n’est pas le cas comme nous pouvons le voir sur le tableau suivant.

Analysons les données…

Pour celles et ceux qui l’ignorent, le réseau Sentinelles(([1] https://www.sentiweb.fr)) comporte un ensemble de médecins de ville répartis sur toute la France qui fournissent chaque semaine une image de leur activité. Il est associé à d’autres réseaux dont Grippenet comportant un ensemble de Français (peut-être pas représentatif, mais reproductif) qui font remonter leur état de santé. Ces réseaux conjugués au réseau des hospitalisations permettent de détecter et suivre les épidémies en France.

En janvier 2018 par exemple, Sentinelles indiquait qu’il y avait épidémie de grippe en France dès lors que l’on dépassait les 179 cas (personnes symptomatiques) pour 100 000 habitants.

Notons que jusqu’à présent et pour la grippe il n’a jamais été question de tester massivement des personnes asymptomatiques et de les isoler pour gérer l’épidémie qui présente tous les ans sa courbe d’évolution en forme de cloche. Mais tout ceci a volé en éclat avec le Covid où le chef d’orchestre n’est plus Sentinelles, mais Santé Publique France avec ses positifs PCR, son taux d’incidence de positifs et son fameux R0 magique !

Tableau de données réseau Sentinelles, Grippenet et Santé Publique France.(([2] https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&i=sp_pe_std_heb.tx_std&s=2021-S46&t=a01&view=map2))

Sur le tableau, j’ai reproduit le taux d’incidence du pic épidémique de symptômes grippaux des saisons 2016-17, 2017-18 et 2018-19. Nous voyons que celui-ci a oscillé entre 437 et 527 cas pour 100 000 habitants. Le pourcentage de virus de la grippe type A ou B dans les prélèvements était entre 65 % et 79 %, le solde étant d’autres virus respiratoires. À noter qu’au pic épidémique de ces saisons grippales, 5 % des Français du panel Grippenet déclaraient avoir eu des symptômes dans la semaine et qu’entre 2 et 8 % s’étaient rendus aux urgence sans passer par un médecin.

À ma grande surprise et contrairement au mensonge véhiculé par la propagande, l’hiver 2019-2020 a eu sa grippe. Certes un peu moins en termes de pic de taux d’incidence, 324 pour 100 000 habitants, mais comparable en termes de personnes touchées. Le pic a eu lieu en février et aussi bien le taux d’incidence que le pourcentage de virus de grippe dans les prélèvements faits par les médecins ont diminué régulièrement dans les semaines suivantes…

L’absence d’augmentation des déclarations de symptômes, mais aussi de passages aux urgences relevés par le réseau Grippenet tendrait à prouver que le Sars-cov2 n’avait pas remplacé la grippe et que les syndromes grippaux n’étaient pas du Sars-cov2 qui s’ignore… Sars-cov2 qui était sans doute ou probablement présent depuis un certain temps, mais à un niveau marginal. Sans compter que le taux de virus de grippe A ou B présent dans les prélèvements étaient comparables aux années précédentes.

À ce titre Sentinelles déclarait le 17 mars, juste avant le confinement :

« C’est la première fois depuis la mise en place de la surveillance des syndromes grippaux par le réseau sentinelles en 1984, qu’une remontée simultanée des cas de syndromes grippaux est observée dans plusieurs régions après le pic annuel de l’épidémie de grippe. Plusieurs raisons pourraient expliquer ces observations, comme la modification des comportements de consultation de la population due à la situation actuelle, mais aussi l’accroissement du nombre de cas de Covid-19 sur le territoire. »

Je peux donc affirmer que les deux épidémies de grippe et de Covid sont 2 épidémies distinctes et non concomitantes.

Quelle était l’ampleur de la première vague de Covid ?

La réponse du réseau Sentinelles est biaisée du fait du confinement et de l’interdiction de soins faite aux médecins de ville. Il fallait rester chez soi, prendre du paracétamol,(([3] https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/covid19_fiche_patients-2.pdf)) ne pas se rendre chez le médecin et appeler le 15 uniquement en cas de détresse respiratoire. Selon les médecins de ville, au pic de l’épidémie de la vague 1, le taux d’incidence était de 138 cas pour 100 000 habitants, soit inférieur au seuil d’épidémie. En revanche l’ensemble des infections respiratoires présentes était de 436 cas pour 100 000 habitants, de fait le Covid représentait moins de 30 % des infections respiratoires rencontrées par les médecins du réseau.

D’autre part nous ne disposons pas du taux d’incidence de l’épidémie de positifs par test PCR, car à l’époque il n’y avait aucune campagne de dépistage massif des personnes en bonne santé positives.

(Notons au passage que Sentinelles a changé son outil de mesure dès l’apparition du Covid. Auparavant il mesurait les symptômes grippaux, puis il s’est mis à mesurer les Infections Respiratoires Aigus, qui englobent tous les virus y compris les symptômes grippaux. Il n’est donc pas possible de comparer le taux d’IRA au taux de symptômes grippaux.)

Comme je l’ai expliqué, il y a un biais sur le taux d’incidence de Sentinelle pour la vague 1. 41 % des consultations étaient des téléconsultations et selon Grippenet, 14 % des personnes interrogées symptomatiques se rendaient directement aux urgences, contre moins de 8 % pour les saisons grippales précédentes.

En revanche, si la médecine de ville était quasi interdite d’exercice, expliquant sans doute la faiblesse des 138 cas pour 100 000, le réseau Grippenet continuait de fonctionner.

Il est intéressant de voir qu’au pic de la vague 1, seules 2,5 % des personnes interrogées déclaraient des symptômes soit environ deux fois moins que pour les pics d’épidémie de grippe des années précédentes… Si on divise (avec le même coefficient) par deux le taux d’incidence moyen du pic d’une épidémie de grippe de 480 qui correspond à 5 % de personnes déclarant des symptômes, on arrive à un taux d’incidence au pic de la vague 1 de 240 Covid pour 100 000 habitants avec 2,5 % de personnes déclarant des symptômes.

Une autre façon de voir est d’estimer (ce qui est vérifié par les chiffres de mortalité saisonnière) que la petite épidémie de grippe de la saison 2019-20 additionnée de la « encore plus petite épidémie de Covid » de la même saison forme une épidémie somme toute banale qui a été perturbée par les mesures de restrictions et interdictions de soins.

On peut donc estimer le pic de la vague 1 non pas à 138 cas pour 100 000, mais à 240 cas pour 100 000 soit l’équivalent d’une toute petite épidémie de grippe.

Je rappelle pour celles et ceux qui l’ignorerait, Santé Publique France a reconnu ne pas savoir faire la différence entre un patient hospitalisé positif au Covid et un patient hospitalisé dont la pathologie principale, ou conduisant au décès, est le Covid.

Nous pouvons trouver une explication de texte sur le document des autorités de santé « Parcours hospitalier des patients atteints de la Covid-19 lors de la première vague de l’épidémie(([4] Parcours hospitalier https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/dd67.pdf))»

« En effet, il convient de préciser que l’outil SI-VIC ne permet pas de distinguer les patients hospitalisés pour des formes graves de Covid, des patients admis à l’hôpital pour d’autres raisons (opération planifiée, crise d’appendicite, etc.) et qui s’avèrent être également infectés par le SARS-Cov2. Ces derniers ne représentaient probablement que très peu de cas au début de l’épidémie, mais leur proportion a pu augmenter par la suite, sans que l’on puisse quantifier ce phénomène. »

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De plus on nous a toujours menti sur le taux d’occupation en réanimation(([5] https://7milliards.fr/tortosa20201122-fausses-reanimations.pdf)) qui en fait additionnait les personnes en soins critiques pour les diviser par le nombre total de lits de réanimation.

De fait au pic de la vague 1, le taux d’occupation des lits de soins critiques par des personnes officiellement Covid (les malades et les positifs) ne dépassait pas les 36 % (et non le chiffre mensonger de 138 %).

Enfin le nombre de décès est un faux, d’une part parce qu’il n’est fait aucune distinction entre les personnes malades décédées du Covid et les personnes positives, mais aussi parce que c’est une recommandation officielle de l’OMS de mentir sur les chiffres.(([6] https://7milliards.fr/coronavirus-faux-morts-officiels-oms.html))

Je vous cite le document officiel :

« Un décès dû à la Covid-19 ne peut pas être imputé à une autre maladie (par exemple, à un cancer) et doit être comptabilisé indépendamment des affections préexistantes qui sont soupçonnées d’avoir déclenché une évolution grave de la Covid-19. »

De fait, une personne avec un cancer en phase terminale positive au Sars-covd2 ou avec des symptômes faisant penser à un Covid, doit être considérée comme décédée du Covid.

Nous pouvons conclure de tout ceci que la première vague de Covid a bien existé, mais l’ampleur était celle d’une petite grippe qui serait restée inaperçue si on n’avait pas empêché les malades de se rendre chez leur médecin et si on avait autorisé ceux-ci à prescrire ne serait-ce que des antibiotiques en lieu et place du paracétamol… et non attendu qu’ils soient à l’article de la mort pour les hospitaliser et les placer en réanimation avant décès. Ceci sans parler du Rivotril dans les maisons de retraite.

Les autres « vagues ».

Si l’on se réfère aux données officielles reprises dans le tableau, la vérité est qu’elles n’ont pas existé.

Ces vagues n’ont pas le biais de la vague 1 du fait du confinement et de l’empêchement de consultation.

Pic de la « vague 2 » :

  • Taux d’incidence de PCR, 497 « cas » pour 100 000 habitants.
  • Taux d’incidence de personnes symptomatiques, de « malades », 82 malades pour 100 000 habitants (soit 6 fois moins que le taux mensonger de SPF et à la moitié du seuil de déclaration d’une épidémie). Pas d’épidémie, juste une présence d’un virus !

Pic de la « vague 3 » :

  • Taux d’incidence de PCR, 360 « cas » pour 100 000 habitants.
  • Taux d’incidence de personnes symptomatiques, de « malades », 35 malades pour 100 000 habitants (soit 10 fois moins que le taux mensonger de SPF et cinq fois moins que le seuil de déclaration d’une épidémie). Pas d’épidémie, juste une petite présence d’un virus !

Pic de la « vague 4 » :

  • Taux d’incidence de PCR, 244 « cas » pour 100 000 habitants.
  • Taux d’incidence de personnes symptomatiques, de « malades », 16 malades pour 100 000 habitants (soit 15 fois moins que le taux mensonger de SPF et onze fois moins que le seuil de déclaration d’une épidémie). Pas d’épidémie, juste une petite présence d’un virus !

Actuellement « vague 5 » :

  • Taux d’incidence de PCR, 191 « cas » pour 100 000 habitants.
  • Taux d’incidence de personnes symptomatiques, de « malades », 22 malades pour 100 000 habitants (soit 8 fois moins que le taux mensonger de SPF et huit fois moins que le seuil de déclaration d’une épidémie). À noter que 4 % des prélèvements effectués par le réseau Sentinelles indiquent le début probable d’une épidémie de grippe. Pas d’épidémie en cours actuellement, juste une petite présence d’un virus qui sera probablement supplanté par la grippe qui arrive !

La présence de Sars-cov2 chez des personnes symptomatiques n’étant pas nulles…

Il est possible de se poser des questions sur l’existence de ces vaguelettes 2 à 5 et plus si affinités… au-delà des données mensongères.

  • Ont-elles été facilitées par l’interdiction de traitements ?
  • Ont-elles été facilitées par l’absence de politique ciblant les personnes à risque ?
  • Ont-elles été facilitées par les injections expérimentales inefficaces et créatrices de variants ?

Cela me semble plus que probable.

Il faut voir les pays qui s’étaient débarrassés du Covid et des morts qui sont réapparus après des campagnes massives d’injections de personnes en bonne santé non à risque.

Pour résumer :

Il est crédible et raisonnable d’affirmer :

  • Que les tests PCR permettent de fabriquer des épidémies de positifs en bonne santé.
  • Que ces positifs PCR ne se traduisent pas ensuite en « vrais » malades (le « faux » malade étant devenu une norme).
  • Que les PCR sont l’outil de la peur, de la privation des libertés, du passe-sanitaire et de l’obligation « vaccinale ».
  • Sans les PCR, pas d’épidémie de Covid, pas de dictature sanitaire, pas de manne vaccinale !
  • Que la première « vague » a été une petite épidémie qui a pris le relais de l’épidémie de grippe et dont les conséquences désastreuses ont été induites par les décisions sanitaires d’interdiction de consultation ET de soins.
  • Qu’il n’y a pas eu d’autres vagues épidémiques, les suivantes n’étant que mensonges et manipulations, ce que nous savions depuis fort longtemps et qui est corroboré par les données officielles Sentinelles.

Merci.

Alain Tortosa.

30 novembre 2021

https://7milliards.fr/tortosa20211130-pcr-sentinelles-fausse-pandemie.pdf





Je viens d’être diplômée d’une des universités britanniques. Celles-ci sont foutues

[Source : Le Saker Francophone]

Par Ramsha Afridi – Le 16 novembre 2021 – Source Russia Today

L’enseignement supérieur au Royaume-Uni ne vise pas à élargir l’esprit, il s’agit plutôt d’endoctrinement et de conformité idéologique qui écrasent le développement intellectuel et le débat. Il faut absolument changer cela.

Lorsque l’Université d’Austin a été annoncée, ma première réflexion a été que le Royaume-Uni devrait suivre l’exemple de l’Amérique et lancer sa propre initiative anti-woke.

Cette nouvelle institution, dédiée à la poursuite de la vérité et à la liberté d’enquête, a été lancée par le président fondateur Pano Kanelos, et inclut dans son corps enseignant Ayaan Hirisi Ali, Bari Weiss et Kathleen Stock. C’est exactement le genre de choses dont nous aurions besoin en Grande-Bretagne.

Je le sais parce que j’ai l’honneur douteux d’être une récente diplômée des universités britanniques, et je sais donc à quel point elles sont foutues. Lorsque je suis entré dans l’enseignement supérieur, je croyais naïvement que mon séjour à l’université m’offrirait une nouvelle perspective sur le monde ; j’avais tort. Ce que j’ai trouvé en fait, c’est une culture universitaire qui se souciait de tout sauf de la vérité.

J’ai obtenu un diplôme de premier cycle en relations internationales et un diplôme de troisième cycle en journalisme dans deux universités britanniques différentes. Au cours de mon séjour dans le monde universitaire, j’ai été témoin d’un système tordu impliquant l’intimidation des non-conformistes, la discrimination raciale déguisée en « quotas de diversité » et la menace toujours imminente d’une « révocation » pour cause de pensée erronée.

Il est évident pour moi que la liberté académique n’existe plus. En fait, en tant qu’étudiante, j’ai souvent craint d’exprimer mes véritables opinions, car on m’a dit un jour, pendant un cours, que la « pensée correcte » était plus importante que la recherche de la vérité. C’est à ce moment-là que ma désillusion vis-à-vis du monde universitaire a commencé pour de bon.

[Ndlr : il semble bien que les universités françaises suivent le même chemin.]

Les universitaires et les étudiants britanniques doivent se défendre s’ils veulent voir un changement culturel, et je le dis en tant qu’ancienne étudiante qui a été le témoin direct de ce système tordu. C’est pourquoi il est vital de construire un cadre législatif solide pour protéger la liberté académique des excès de la gauche culturelle.

Des universitaires britanniques comme Kathleen Stock ont été chassés de leur emploi pour avoir eu une opinion politiquement incorrecte ou pour avoir simplement énoncé des faits biologiques. Cette obsession de la « sécurité émotionnelle » s’est depuis longtemps emparée de nos institutions éducatives, étouffant du même coup toute dissidence.

Ce n’est pas surprenant, étant donné que nos universités tentent d’imposer simultanément la rigueur académique et l’inclusivité, deux valeurs incompatibles.

Pendant mes études, j’ai vu ces valeurs s’affronter tragiquement à l’université. Au cours d’un séminaire, j’ai vu des étudiants travailler sur un projet, affirmant que « le genre est une construction sociale », tandis qu’un autre niait que la biologie soit un facteur déterminant le genre. Il s’agit là de deux idéologies marginales et progressistes (du moins, partout ailleurs que dans une université). Je pensais que ce point de vue était manifestement absurde, mais je me suis retrouvé à compromettre mes principes pour satisfaire une minorité militante d’étudiants absurdement wokes. À l’époque, je me suis demandé si d’autres étudiants se sentaient dans la même situation, contraints de se soumettre. J’ai considéré qu’il s’agissait d’un incident insignifiant et isolé, mais la situation n’allait faire qu’empirer.

Plus tard, au plus fort des manifestations Black Lives Matter, j’ai vu un certain nombre d’étudiants préparer une pétition sur la nécessité d’embaucher des universitaires issus de milieux plus « divers », en dépit de leur expérience universitaire ou même de leur expertise – affirmant que le monde universitaire était « trop blanc ».

En fin de compte, ils préconisaient l’application de « quotas de diversité » qui, ironiquement, discrimineraient les universitaires en raison de leur race. Le mérite ou le talent ne sont pas des exigences dans cette vision du monde, en fait, il semble presque être des obstacles à surmonter au nom de cet activisme autoritaire. L’orthodoxie libérale-gauchiste est le paradigme idéologique dominant à l’université, et toute pensée hétérodoxe est accueillie avec une immense hostilité. Garantir la conformité idéologique est la préoccupation majeure de ces institutions et j’ai très vite compris que pour survivre à la « cancellation » et terminer mes études, je devais censurer mes convictions personnelles et politiques sur le campus.

Les données révèlent que l’autocensure est un phénomène de plus en plus courant pour de nombreux étudiants non-conformistes. Une enquête réalisée par Survation pour le compte d’ADF International, une organisation confessionnelle de défense juridique, révèle que plus d’un quart des étudiants s’autocensurent par crainte que leurs opinions n’entrent en conflit avec les valeurs « woke » promues par leur université.

En tant qu’étudiant, je me suis rendu compte que le monde universitaire récompense le politiquement correct et ne laisse aucune place à la pensée critique. Ce qui est également devenu encore plus clair, c’est que nos institutions éducatives ne sont plus un lieu pour les pionniers qui ont de nouvelles perspectives à offrir. Ce qui est encore plus déprimant, c’est que j’ai été témoin de peu ou pas de réactions contre cette culture totalitaire. En fait, il est devenu courant de voir des personnes accusées d’être « nuisibles »« offensantes » et même « dangereuses » pour leurs opinions.

C’est pourquoi nous devons agir pour défendre la liberté d’expression et la diversité d’opinion. Le lancement de nouvelles initiatives éducatives est une première étape cruciale pour réparer ce système en ruine, qui ne semble qu’empirer. Cela pourrait également expliquer pourquoi les universités britanniques « sont confrontées à une crise de confiance de la part de la nation », selon un document publié par Policy Exchange, un groupe de réflexion de centre-droit.

Ce qui se passe dans l’enseignement se propage dans toute la société. Les idées et les croyances institutionnalisées par les universités peuvent rapidement faire leur chemin dans le monde réel, il suffit de voir combien de personnes ont entendu parler de la théorie critique de la race aujourd’hui par rapport à il y a deux ans. C’est pourquoi il est plus important que jamais d’avoir une incitation sérieuse à changer l’enseignement supérieur.

Au moment où j’ai obtenu mes diplômes, je n’avais rien appris de nouveau ; en fait, l’expérience ressemblait davantage à la fréquentation d’une usine d’endoctrinement qui ne sert qu’à la formation de main-d’œuvre pour l’entreprise et qui crache un diplôme confirmant votre conformité.

La subversion des universités a conduit à une vision du monde basée sur la culture de la doléance et l’idéologie gauchiste qui vise à endoctriner les gens pour qu’ils deviennent des victimes, plutôt que de leur apprendre à penser indépendamment.

La Grande-Bretagne, plus que jamais, a besoin de son propre projet éducatif, qui se consacrerait à la liberté académique et à un discours intellectuel rigoureux, pour ceux qui sont désillusionnés par ce climat toxique.

Ramsha Afridi

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone




Canada SPÉCIAL : un courageux policier de la GRC dénonce la gestion tyrannique et illégale de la crise Covid

[Source : qactus.fr]






La naïveté navrante desdits « alternatifs » à la Technostructure néonazie du globalisme hygiéniste

Par Lucien SA Oulahbib

[Illustration : la Technosphère de James Law Cybertecture]

Cela en devient presque risible toutes ces pleurnicheries et ces atermoiements quémandant, bégayant, ânonnant à la moindre altercation alors que les milices néonazies, tendance néo-léniniste, se répandent violemment pour défendre l’autre tendance alter-djihadiste menacée de dissolution sinon pis en cas de victoire de MLP et/ou de Zemmour.

Or qui dit dissolution implique suspension, annulation de subventions, ce qui va porter atteinte à leur emprise croissante sur ce formidable gruyère qu’est encore le feu État Providence français dont les restes permettent tout de même à toute cette faune en particulier néo-léniniste et alter-djihadiste de vivre aux frais de la Princesse France (du moins tant que le géant germain accepte de se faire tondre).

Leur essence spirituelle à toutes ces tendances était déjà raciste au sens métaphysique de se substituer à la façon des sans-culottes et des bolcheviks à l’élite post gaulliste coco et socialo d’après guerre qui ont eu leur place au chaud uniquement grâce à la victoire anglo-américaine et soviétique sur l’Axe ; d’où d’ailleurs l’illégitimité lancinante de cette « élite » qui n’a pu tenir uniquement depuis 58 que grâce à l’aura de De Gaulle et son 18 juin. L’élection de Mitterrand était un accident lié à l’incapacité de la droite dite « libérale » d’incarner un futur politique et non pas seulement gestionnaire ; ce que Giscard a été incapable de faire, Chirac (tuant Chaban, Balladur, Madelin), Sarkozy (massacrant Devedjian, Séguin…), Hollande et Macron étant, eux, les pâles imitations, mixées, des deux premiers de la 5e.

Dans un tel contexte d’illégitimité permanente, les troupes parasitaires de tous ces partis croupions se sont gavées jusqu’à plus soif, quitte aussi à faire rentrer le monde entier en France afin de pouvoir gérer en sus l’énorme budget d’une « sécurité sociale » au sens large, ouvert à qui peut arracher un dossier de réfugié, ce qui permet à toute la faune néo-léniniste, alter-djihadiste, mais aussi post-gaulliste et rad-soc de s’entendre comme cul et chemise à empêcher toute alternative sérieuse sinon une « balle dans la tête » et les hurlements de bête blessée contre « l’extrême droite ». C’est que toute cette fange se repaît à satiété de toutes les officines publiques, de l’enseignement à la santé en passant par les médias et les grandes entreprises, tout ce beau monde étant uni dans les appels « au loup » de temps à autre quitte à s’allier avec « l’ennemi de mon ennemi ». Les futurs égorgés et violés font cause commune avec leurs égorgeurs, ayant déclaré la guerre djihadiste et étant acceptés comme dominateurs par les esclaves issus de la gauche et de la droite parce que ces derniers ont été formatés dans cette ambiance depuis des décennies par toute la culpabilité distillée par les Sartre/Bataille/Blanchot/Foucault/Derrida/Deleuze/Bourdieu, voyant dans leurs bourreaux futurs les outils pour les euthanasier afin enfin d’expier (mais avec passe « sanitaire » comme en Allemagne…).

Et puis dans un ultime souci de transgression et comme l’élan vient aussi d’outre-Atlantique, pourquoi ne pas maquiller ce racisme métaphysique (visant à remplacer l’élite post-gaulliste et coco-socialo-tradi par l’élite-nation soixante-huitarde dé(cons)truite et culpabilisée) avec un racisme également de peau (contre la « domination blanche ») et de sexe (contre la« domination héréro-normée ») quitte à ségréguer en fonction, tout en ajoutant dans cette ambiance de manipulation génitale et hormonale une manipulation génétique visant à des « gains de fonction » greffés à une « humanité » à dé(cons)truire de toute façon en la formatant selon les autres lignes du Code en train d’être programmées sous nos yeux : ligne sanitaire (fait) ; ligne climatique (en cours) ; ligne d’uniformisation des genres ; et cultures dont la diversité apparente ne sert plus que de folklore pour justifier les énormes budgets alimentés également par la défalcation privée qui provient des immenses fondations alimentant idéologiquement et pratiquement tout ce foisonnement interstitiel de cette technostructure globale, cette élite-nation se cooptant par la novlangue du politiquement correct, tout en socialisant monopoles, États, ONGs : vous avez là le néo-nazisme nouvelle mouture qui n’a plus rien à voir avec la nostalgie hitlérienne (sinon dans les affres façon Portier de Nuit véhiculés par toute une littérature et le cinéma, admiratrice de Sade comme Foucault) construisant (dans les mines de la « déconstruction ») la soumission multiforme en marche

Aussi, dans un tel contexte, mouvant, que des alternatives puissent voir le jour, s’avèrent insupportables, elles doivent être exterminées.




« Avis de décès. Elle est morte, Lavie Davant !!! » L’édito de Charles SANNAT

[Source : Insolentiae]

Par Charles Sannat

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Ouin-ouin, snif-snif, ouin-ouin, je veux boire des coups en terrasse à 9,50 € les 25 centilitres de mauvaise bière et me sentir vivant en me serrant dans un RER à l’heure de pointe pour m’entasser dans un cinéma pour regarder un mauvais film à 12 euros le ticket.

Ouin-ouin, snif-snif, ouin-ouin, je veux retrouver ma copine Lavie Davant, qui n’a rien à voir avec l’élégante Sophie Davant, non, je vous parle bien de la vie d’avant. D’avant le Covid bien sûr.

Je veux protéger la planète et sauver l’environnement, mais s’il vous plait, laissez moi partir en avion à 40 euros pour un week-end à Rome, mieux, je veux aller à Bali en charter low-cost, je veux polluer, je veux voyager en all inclusive et me sentir un prince dans un pays où les gens sont payés au lance-pierres !

Ouin-ouin, snif-snif, ouin-ouin, je veux retrouver ma copine Lavie Davant.

Haaaaa, mes amis que ne serait-on pas prêt à faire pour passer encore une nuit de plus dans les bras de la belle Lavie Davant.

Tout.

J’accepterais tout pour une nuit de plus avec elle.

Toutes les compromissions.

Toutes les lâchetés.

Oui.

Oui aux restrictions, aux piqûres, oui au passe sanitaire même si, il n’a d’autre utilité que de forcer les méchants non-vaccinés à se faire piquer. Oui encore à la ségrégation, oui au fait de rester enfermé, oui aux confinements, mais promettez moi une nuit dans les bras de la belle Lavie Davant !

Lavie Davant ce n’était pas juste les coups en terrasse et les avions. Lavie Davant était beaucoup plus profonde que cela. Les coups en terrasse ce n’est que l’écume des choses. Ils s’y trompent tous. Ils confondent. Ils n’ont pas compris que dans la liberté de boire des coups ou de voyager l’important n’était pas la boisson mais le flacon, ni le voyage, mais la liberté. C’est parce qu’ils se sont totalement trompés et égarés qu’ils ne la retrouveront jamais. La liberté, donc, Lavie.

Vous ne retrouverez jamais Lavie Davant !

Lavie Davant a vieilli, le temps est passé, il a fait son œuvre.

Le monde d’avant n’existe plus.

Il a déjà laissé place au monde d’aujourd’hui.

Demain sera pire.

Ce sera le monde d’après.

Un monde bien loin de Lavie Davant.

Gardez son visage en tête, son sourire, sa joie de vivre.

Ainsi était Lavie Davant.

Elle croquait la vie à pleines dents.

Nous rigolions, c’était une époque où nous avions de l’humour. Nous pouvions rire de tout. Ou presque. On sortait. Nous étions libres. Pas de passe ni de laissez-passer. Pas de restriction. Pas de prison pour un verre entre amis sur une plage un soir avec un feu de camps. On roulait en GTI bien trop vite. Nous buvions sans doute trop. Nous mangions mal, loin des 5 fruits et légumes chiants que nous permet notre triste quotidien. Entre boulghour et quinoa. Bio. Sans gras. Vivre longtemps. Même si c’est très chiant. Ni homme ni femme. Pas d’excès. Contrôle social. Permis à point. De l’école à l’âge adulte. Qu’elle était belle Lavie Davant à la lumière du feu crépitant.

Puis le feu s’est éteint. Comme Lavie Davant.

Je la garde dans mon cœur.

Autant d’instants précieux.

Ceux partagés par des gens, si différents, mais humains, tout simplement. Nous vivions ensemble, nous nous embrassions, nous nous serrions dans les bras, nous nous aimions, il n’y avait pas de distanciation sociale ni de gestes barrières.

Lavie Davant savait que vivre était dangereux, elle savait même que l’issue, toujours fatale était connue à l’avance. Lavie Davant savait, qu’un jour, il lui faudra mourir.

Nous voulons tous que ce soit le plus tard possible.

Lavie Davant, elle, comme tous ceux qui nous sont précieux, nous a quittés bien trop tôt.

Repose en paix, Lavie.

Ils ont tous voulu te tuer.

Ils ont réussi.

Ils ont réussi, parce que nous les avons laissés faire.

C’est pour cela que nous visons dans un monde de dépressifs suicidaires et devenant tous fous, plus ou moins.

Gardez le souvenir de Lavie Davant dans vos cœurs et dans vos esprits.

Il n’y a rien de plus puissant qu’une idée. Une idée de liberté, une idée d’humanité, d’égalité et de fraternité.

Elle était comme cela Lavie Davant.

Repose en paix.

Partagez ce faire-part de décès avec vos députés, vos sénateurs, vos maires. Ils sont les premiers responsables du climat de tristesse qui étrangle ce pays. L’étouffe. C’est eux, les vrais assassins de Lavie Davant. Elle n’est pas morte de vieillesse, c’était bien un homicide, que dis-je un vrai féminicide comme on dit aujourd’hui.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
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Pour écrire à ma femme helene@insolentiae.com

Vous pouvez également vous abonner à ma lettre mensuelle « STRATÉGIES » qui vous permettra d’aller plus loin et dans laquelle je partage avec vous les solutions concrètes à mettre en œuvre pour vous préparer au monde d’après. Ces solutions sont articulées autour de l’approche PEL – patrimoine, emploi, localisation. L’idée c’est de partager avec vous les moyens et les méthodes pour mettre en place votre résilience personnelle et familiale.

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »




Pfizer rançonne les gouvernements !

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