Un ancien conseiller de Trump s’est-il montré favorable à un coup d’État militaire aux États-Unis ?

[Source : RT en français]

[Photo : © Jonathan ERNST – Source: Reuters]

Alors que Donald Trump aurait annoncé s’attendre à redevenir président dès août, son ancien conseiller à la sécurité nationale a déclaré qu’un coup d’État «devrait voir lieu» aux États-Unis, avant d’affirmer que ses propos avaient été déformés.

L’ancien conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump et lieutenant-général en retraite de l’armée des États-Unis Michael Flynn a déclaré lors d’une conférence à Dallas qu’un coup d’État militaire comparable à celui qui a eu lieu en février dernier en Birmanie serait souhaitable dans son pays. Il a ensuite démenti, en affirmant que ses propos avaient été déformés. Au même moment, une journaliste a affirmé que Donald Trump envisagerait de redevenir président d’ici trois mois.

Dans une vidéo filmée lors de la manifestation intitulée For God and Country : Patriot Round-Up («Pour Dieu et la patrie : rassemblement patriote»), on peut entendre une personne dans le public demander «pourquoi ce qui s’est passé en Birmanie ne peut avoir lieu [aux États-Unis]». Ce à quoi Michael Flynn lui répond : «Il n’y pas de raison… ça devrait avoir lieu».

Néanmoins, Michael Flynn a démenti le 1er juin via son compte Telegram avoir souhaité un coup d’État aux États-Unis, en mettant en cause une «manipulation» de ses propos par les médias. «Soyons très clairs : il n’y a aucune raison de faire un coup d’État en Amérique, et je n’ai jamais appelé à une telle action», a-t-il affirmé.

Celui qui fut brièvement conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump (du 20 janvier au 13 février 2017) avait indiqué par le passé qu’il pensait que l’élection présidentielle de 2020 était frauduleuse. En décembre dernier, Michael Flynn avait même suggéré que le président Donald Trump pourrait utiliser les «capacités militaires» pour «refaire» l’élection dans les États-clés.

Peu après la conférence de Dallas, Maggie Haberman, une journaliste de CNN et correspondante à Washington pour le New York Times, a affirmé sur Twitter que Donald Trump avait déclaré à «un certain nombre de personnes avec lesquelles il est en contact» qu’il s’attendait à redevenir président d’ici le mois d’août. Maggie Haberman a cependant précisé qu’elle «partageait simplement l’information».

Auteur: RT France

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/87312-ancien-conseiller-trump-sest-il-montre-favorable-coup-detat-militaire-etats-unis




Covid, vaccins et mithridatisation

[Source : blog de Gérard Maudrux via reseauinternational.net]

La mithridatisation est le fait d’ingérer des doses croissantes d’un produit toxique afin d’acquérir supposément une insensibilité ou une résistance vis-à-vis de celui-ci. Et si les vaccins à ARN et ADN n’étaient pas des vaccins mais une forme de mithridatisation ? De plus en plus d’études semblent nous orienter dans ce sens, et nous attendons avec impatience la publication du Dr Bridle qui devrait en faire une synthèse documentée. Ci-joint la traduction de sa dernière intervention par nos amis suisses.

Depuis quelques temps quand on me parle des flambées de cas après vaccinations, plutôt que parler de nouvelles contaminations, qui seraient des coïncidences troublantes, j’évoquais plutôt une maladie propre développée par le vaccin, maladie ressemblant à la Covid, avec patients positifs sans doute du fait de la présence dépistée de fragments de protéine. Les très nombreux effets secondaires des vaccins seraient alors des formes atténuées de cette maladie, car il y a beaucoup de similitudes, notamment en ce qui concerne les troubles de la coagulation. Kevin McCairn avait déjà bien travaillé et documenté le sujet de la toxicité propre de la protéine spike.

Il semble de plus en plus établi, que la protéine spike, n’est pas seulement un élément de la coque du virus à visée esthétique, mais serait sans doute responsable d’une partie des troubles engendrés par le Sars-Cov-2, peut-être des plus importants, vasculaires et hématologiques. Ce serait la substance la plus active et toxique du virus. Le virus sans spike serait alors quasi inoffensif, et les variations de la spike le rendraient plus ou moins toxique, c’est le cas des variants récents, variations du virus qui ne portent que sur la spike.

Un vaccin classique injecte le “toxique” atténué ou mort. Ici on l’injecte “actif”, non atténué, d’où les effets secondaires très nombreux, parfois mortels, comme jamais vus dans les vaccins autorisés à ce jour. Si la spike est la substance la plus active du virus, ce n’est plus un vaccin que l’on injecte, mais le toxique, et c’est non plus un vaccin, mais une forme de mithridatisation. On ne pratique pas autrement pour désensibiliser les patients allergiques à une substance qui est toxique pour leur organisme.

Dans ces conditions, l’injection indirecte de la substance la plus toxique du Sars-Cov-2, sans l’avoir atténuée au départ, serait une erreur. Erreur non prévisible au départ, vu les connaissances sur la spike au début. Quand je parle d’injection indirecte, j’évoque un autre problème, qui est le passage par une phase génétique, car ce n’est pas la spike que l’on injecte directement, mais le mode d’emploi pour que notre organisme la fabrique lui-même. Aux effets secondaires initiaux, dus à la spike et non à l’ADN ou l’ARN injecté, peuvent alors s’ajouter des effets plus tardifs, dus à des modifications génétiques. C’est une inconnue totale qui peut être sans danger pour certains, gravissime pour d’autres, nous n’en savons rien, nous en sommes au stade de traitement expérimental. Sur ce point, j’avais écrit il y a 6 mois qu’il faudrait deux ans pour savoir, je m’y tiens.

On peut penser que les problèmes actuels des vaccins ne sont pas liés à l’ADN ou à l’ARN, mais uniquement à la spike, à une maladie de la spike. Dans ces conditions, la recherche ne doit-elle pas s’orienter vers la recherche d’une molécule qui se combinant à la spike inhiberait celle-ci, rendant alors le virus quasiment inoffensif. Les anticorps monoclonaux allaient un peu dans ce sens, mais peu pratiques et sans doute trop sensibles aux variations de la spike les rendant obsolètes ? Une autre voie existe déjà aussi : bloquer immédiatement la multiplication du virus pour bloquer la multiplication de la spike, cela s’appelle le traitement précoce.




Les camps FEMA, les sans domicile fixe et la puce RFID

[Source : reseauinternational.net]

par Thomaïe.

Qu’est-ce que la FEMA ? à quoi sert-elle, quelle est son ambition officielle et officieuse, y a-t-il des camps de concentration aux États-Unis, et si oui à quoi servent-ils ? Tout cela repose-t-il sur une réalité tangible, ou n’est-ce que de la paranoïa complotiste, propre à certains mouvements fondamentalistes, comme on veut nous le faire croire ? Séparer les faits de la spéculation, c’est ce que j’essaierai de faire, tout en essayant de répondre aux questions posées.

La FEMA (Federal Emergency Management Agency) est une agence gouvernementale née sous l’administration Carter le 1er avril 1979, et est rattachée au Département de la Sécurité intérieure des États-Unis. L’objectif officiel est de parer à d’éventuelles catastrophes naturelles, et autres incidences sur le territoire national.

Cette agence s’est faite remarquer en ayant pris part à l’enquête pour le 11 septembre 2001, où elle a eu pour mission la recherche des survivants et autres missions civiles, mais s’est aussi occupée des restes matériels, qui on le sait, ont bénéficié d’un traitement illégal au regard de la réglementation des enquêtes des incendies en expédiant les matériaux rapidement, ce qui a fait dire à l’éditeur Bill Manning du périodique Fire Engineering Magasine qu’il avait été question de destruction de preuve et que l’on violait la réglementation des enquêtes sur les incendies, en ne respectant pas l’obligation de sauvegarde du matériel incendié, elle a aussi eu pour mission de faire un rapport concernant l’effondrement des tours jumelles (voir wiki FEMA).

Peter Dale Scott dans son livre le nouveau désordre mondial nous dit aussi que la FEMA a travaillé au côté du Pentagone, concernant des exercices militaires précédent le 11/09, simulant des attaques sur les USA.

Elle s’est aussi fait remarquer au passage de l’ouragan Katrina le 29 août 2005, concernant la gestion qui s’en est suivie, et qui a provoqué le mécontentement du peuple Américain.

Mais là n’est pas le sujet, je voulais juste situer cette agence, qui par rapport à son comportement et aux questions laissées lors du 11/09, ne peut qu’inciter à la vigilance, quant à sa crédibilité et ses réelles intentions.

Pour une petite mise en perspective historique, on peut se reporter aux camps de concentration américains, où on a parqué des familles entières et où environ 110 000 ressortissants japonais et américains d’origine japonaises, ont été amenés durant la Seconde Guerre mondiale, suite à l’attaque de Pearl Harbor.

Le rôle des camps FEMA

Le gestion d’urgence nationale pourrait être un prétexte pour instaurer la loi martiale, car peu importe la menace, si c’était le cas, la FEMA aurait la responsabilité de ce qu’ils appellent « la continuité du gouvernement » (l’appellation est trompeuse), se placerait donc à la tête du pays, et pourrait mettre en place des lois d’exceptions, adaptées à la situation, ce qui aurait pour effet d’enlever tout droits constitutionnels aux citoyens américains. Nous pouvons nous reporter à ce sujet a « l’Internal Security Act » de 1950 ou juste après la guerre, le congrès américain ratifia un système de détention, pour pouvoir emprisonner tout communiste infiltré. La FEMA en fit de même lors de sa création en 1979, et fut encore repris par le Département de la Sécurité intérieure en 2003 qui la supervise. La mise en place de ce plan d’urgence se nommant « Security Portfolio » aurait permis au président Truman de l’époque, de pouvoir placer en détention 20 000 personnes, sans passer par la case procès. Le danger est que ces plans pourraient être d’actualités et bien plus opérationnels depuis le temps.1

Pour les ambitions officieuses de cette agence, nous pouvons nous reporter a ce document là2 ainsi que celui-ci3 (documents officiels) ; j’y reviendrai plus loin. On peut aussi lire cet article du New York Times4, traitant d’un contrat de 385 millions de dollars avec une filiale de Halliburton, pour des centres de détention destinés a l’immigration. Pour le détail, l’ancien directeur de Halliburton est Dick Cheney…

Souvenons nous des propos de John Ascroft (procureur général) qui un an après l’attentat du 11/09, et dont le Los Angeles Times les avait rapportés, annonçait son désir d’avoir des camps de rétention pour les citoyens américains considérés comme « des ennemis combattants » et que son intention lui permettrait « d’ordonner la détention à temps indéterminé de citoyens américains et de les destituer sommairement de leurs droits constitutionnels et de l’accès aux tribunaux en les déclarants ennemis combattants »5. Voir aussi le lien 1 et la déclaration du conservateur Howard J Ruff sur le « manque d’une crise etc… »

Nous pouvons remarquer que loin d’être une lubie de « complotiste », en se reportant à des sites aussi sérieux que, Courrier internationalMondialisation.caSputnik newsl’HumanitéDedefensaMediapart ou bien a un auteur aussi consciencieux que Peter Dale Scott, eux aussi nous ont tous fait part de leurs doutes, concernant ces camps et leur fonctions.

Un article du Courrier International6, nous signale que le commentateur de Fox News, Glenn Beck a consacré trois émissions sur la théorie et l’hypothèse soulevée par ces camps, partant du fait qu’il voulait « la déboulonner » mais qu’il n’y était pas arrivé, et on peut le voir se contredisant, en nous signalant d’abord qu’« il n’arrive pas a la déboulonner » pour ensuite dire à Jones « aucune preuve de ces camps » ; courageux mais pas téméraire comme on dit, un petit rappel à l’ordre a du être fait à ce monsieur. On peut remarquer que le premier mot de l’article est « paranoïa », si on avait voulu avoir un doute sur la fonction de ces camps, on n’aurait pas pu s’y prendre mieux que ça ; rien de plus douteux qu’un tel titre de faussaire de « journaliste ».

Pour l’article de Mondialisation.ca7, nous avons un communiqué assez sobre nous faisant simplement état de ces camps, mais confirmant bel et bien leur existence.

L’article de Sputnik news est, (a l’instar de L’Humanité, de Mediapart etc..), assez interrogatif sur le pourquoi de ces camps, il nous dit qu’une équipe de télévision locale d’Atlanta est allée sur place et à constaté des centaines de cercueils noirs, de modèle militaire, stockés dans un ancien champ de blé… Pour les dimensions, trois personnes peuvent rentrer dans ces cercueils. On nous dit aussi que ces camps sont parfaitement opérationnels et sont déjà équipés de miradors, centrales électriques, barbelés, voie d’accès, et pour le détail assez glaçant, dans un camp en Arizona, nous avons un chemin de fer se déployant à l’entrée principale… ! Pour les voies d’accès, les camps sont tous desservis par des routes, installations ferroviaires, aéroport etc… Nous avons aussi des lieux de travail, baraques sans fenêtres, une cantine. On nous a vendu ces camps en prévision d’éventuelles catastrophes à venir, mais comme le souligne l’article, une question reste en suspens si c’est bien le cas ; pourquoi alors les zones de sécurités sont elles dirigées vers le périmètre intérieur comme si c’est l’évasion que l’on voulait éviter ? Mais aussi « pourquoi ces camps sont-ils si éloignés de la civilisation, et qui attendent-ils au juste ? ». À changer je ne sais combien de fois de raisons d’être, on ne sait plus qu’en penser.

Sputnik souligne aussi que l’on peut mettre en place la directive « PDD 51 » qui permettrait à la loi d’annuler toutes les libertés civiles et introduire l’état de siège. Nous pouvons appuyer cette supposition de loi martiale par cette vidéo : « We Are Under Martial Law ! As Declared By The Speaker Last Night », et chercher à se la confirmer par des personnalités politiques en avertissant tels que : Brad Sherman,Dennis kucinich, Mickael Herzong etc.., ou par une vidéo et deux articles tels que : « Martial Law Launch », et « États-Unis : Économie et loi martiale – La Sécurité intérieure se prépare-t-elle pour le prochain effondrement de Wall Street ? » et « Rex 84 : FEMA’s Blueprint for Martial Law in America ». La directive dont parle Sputnik permettrait globalement au président Bush l’ayant voté, de passer outre l’avis du congrès. Cet article de John Lloyds sur Agora Vox en 2009 nous explique clairement, quelle serait les dispositions que pourrait prendre la FEMA en cas d’urgence nationale de toutes sortes : « Futurs camps de concentration »

Le recours à la loi martiale et au camps de détention ne date pas d’hier, le livre de Peter Dale Scott nous en apprend beaucoup et je retirerai certains passages éclairant de son livre.

« Le 30 octobre 1969, le président Nixon signa un ordre exécutif 11 490 confirmant 21 ordre exécutifs et deux ordres de mobilisation de défense attribuant des fonctions de préparations aux situations de crise à des agences et des départements fédéraux. En 1976 a travers l’ordre exécutif 11 921, le président Ford renforça encore ces fonctions en faveur de la Féderal Emergency Preparedness Agency (FEPA)… Dés 1984, le journaliste Ross Gelbspan (journaliste réputé ayant travaillé au Boston Globe, Washington Post etc.) nous disait « le lieutenant colonel Olivier North travaillait avec des responsables de la FEMA (…) dans le but d’un plan secret de prévoyance afin de surveiller les dissidents politiques et d’assurer la détention de centaines de milliers d’étrangers sans papier dans le cas d’une urgence nationale indéterminée ». Le plan dont une partie portait le nom de code Rex 84, appelait à la suspension de la constitution conditionnée par un certain nombre de scénarios dont une invasion des États-Unis du Nicaruaga. Mais outre les groupes s’opposant aux États-Unis en Amérique centrale, ce plan de la FEMA aurait inclus les activistes gouvernementaux, les opposants à l’énergie nucléaire ainsi que les activistes favorables à l’assistance aux réfugiés ». Le plan Cable splicer traitait déjà de réactions en cas d’insurrection, d’exercices destinés à gérer ce genre de crise. « Sous Reagan ces responsables de Cable Splicer (sous la direction de Louis Giuffrida) intégrèrent la FEMA les plans de Giuffrida concernant la détention de dissidents devinrent si tentaculaires que même le ministre de la justice William French Smith émit des objections ».

Lors de Iran Countra, au cours d’auditions suite à ce scandale national le député Jack Brook interrogea Olivier North (militaire ayant travaillé avec les responsables de la FEMA) à propos de son travail sur « un plan en cas de crise qui suspendrait la constitution américaine » il n’eut pour seule réponse que c’était là « un sujet hautement sensible et classé secret » et qu’on ne pouvait donc pas l’aborder au cours d’une audience publique !

Le type d’urgence nationale mettant en place cette « continuité du gouvernement » est très vaste, et fut définie par l’ordre exécutif 12 656 de 1988 qui disait « toute survenance incluant les catastrophes naturelles, les attaques militaires, les urgences technologiques, ou toute autre situation de crise qui dégradent sérieusement ou mettent gravement en péril la sécurité nationale des États-Unis », nous pouvons voir là par ce décret, que les incidents pouvant mettre en place cela, sont très vastes et sujets à caution. James Bamfort dans son livre « Pretext Of War » nous spécifie que lors du 11/09, seule une partie du plan de continuité du gouvernement a été mise en place.

En 1982 un mémo rédigé par la FEMA et aujourd’hui rendu public déclara qu’« un programme civil de défense pleinement mis en oeuvre ne serait certainement pas considéré comme un substitut a la loi martiale, ni promu en tant que tel. Cependant si l’exécution de ce plan s’avérait une réussite,il pourrait avoir les mêmes effets que la loi martiale »8. Cette idée prit de l’ampleur lors de l’ouragan Katrina ou selon le Washington post, le conseiller à la maison blanche Karl Rove dit au gouverneur de Louisiane que l’on pourrait explorer des options légales pour, je cite : « aller aussi près [de la loi martiale] qu’il nous est permis d’aller ».

La source de ces paragraphes précédents vient du livre de Peter Dale Scott, « Le nouveau désordre mondial », j’ai sorti ces citations et divers extraits du livre (que j’invite tout le monde à lire) simplement pour souligner que la FEMA et sa « continuité du gouvernement » n’est pas un projet récent, ni une réponse à diverses catastrophes naturelles.

Cette note du congrès datant de 2007 n’est franchement pas rassurante, et pourrait être mise en corrélation avec tout ça : whatreallyhappened.com/concentration.

Par contre nous voyons que l’auteur Dominique Jacques Roth du journal L’Humanité, est un peu plus incisif, et pose cette question à la fin de l’article9 :

« À quel usage sont destinés les 600 camps de concentration disséminés sur le territoire américain pouvant recevoir 20 000 personnes chacun et les 100 000 wagons de prisonniers à trois étages munis de menottes et de chaînes, que la FEMA a commandés à des entreprises étrangères ? »

Le lien numéro un est un document militaire qui traite de programme de travaux forcés pour des détenus, pour faire les basses besognes de l’armée, comme nous l’explique l’auteur John Lloyds avec son article de 2009 (« Futur camps de concentration ; vol au dessus des nids de la FEMA », agora.fr).

Le document en lien 2 est un rapport datant du 12 février 2010, dont le titre est « FM 3-39. 40 opérations d’internement et réinstallation », il s’agit d’un manuel expliquant l’organisation de camps d’internement pour divers prisonniers de camp FEMA, mais le point assez troublant du document est que l’on parle de « rééducation de prisonniers », ce qui fera surement penser à tout le monde, le traitement des régimes totalitaires envers leurs prisonniers politique. Le site Dedefensa, qui nous fait part de divers extraits repris de la transcription intégrale du manuel, donnent plusieurs détails troublants, la partie extraite de la transcription montre clairement que ces détentions arbitraires s’appliquent aussi au territoire des États-Unis et aux citoyens américains. La partie la plus controversée se situe page 56 ou il est question d’équipe « PSYOPS » dont la responsabilité sera d’utiliser « des programmes d’endoctrinement pour réduire ou éliminer les attitudes antagonistes » ainsi que le ciblage de « militants politiques », avec des programmes pour fournir « la compréhension et l’appréciation des politiques et des actions américaines » ! L’aspect le plus choquant de ce manuel, est qu’il en ressort un moyen de rééducation et d’endoctrinement très peu approprié aux victimes civiles.

Cette dérive autoritaire concernant des troubles civils n’est pas nouvelle, le plan Garden Plot datant déjà de dizaines années, traité déjà de réaction en cas de troubles civils, des documents déclassifié en parle. Garden plot n’est qu’un sous programme de Rex 84, mais traite a peu près de la même chose : governmentattic.org/USArmyCivilDisturbPlanGardenPlot.

Defense, 3 August 1978 – Government Attic : governmentattic.org

Description of document : US Department of the Army Civil Disturbance Plan « GARDEN PLOT » prepared for the Department of Defense, 3 August 1978

Deux documentaires

On peut aussi se reporter a ce reportage : « Les camps de la FEMA » (ce n’est pas un documentaire de Alex Jones, il est simplement co-producteur et fait partie des intervenants, le réalisateur s’appelle William Lewis) Vous verrez dans le reportage que plusieurs projets de lois mentionnent clairement ces camps FEMA et que plusieurs personnalités politiques nous font part de leur doutes et peurs concernant ces camps et lois liberticides. Nous voyons aussi que la FEMA a fait un appel d’offre pour des emplois dans ces camps, où la publicité de l’offre explique clairement que les militaires auront en charge la conduite de prisonniers.

Mise en relation des camps de la FEMA avec les sans abris

Tout le monde a du se demander selon le titre de ce texte, quelle est le rapport entre les camps FEMA et les sans domiciles fixes, le voici :

Autre point douteux est la raison d’être de cette FEMA, qui a été maintes fois redéfinie par le gouvernement, il a d’abord été question d’attaque nucléaire, ensuite catastrophes naturelles, puis les attaques terroristes, et qu’apprend-on maintenant, qu’elle enferme… des SDF, en leur implantant des puces sous la peau en échange de leurs sorties !!

Je vous reproduis mot à mot la première ligne d’introduction d’un article de Mediapart :

« Des camps FEMA en Caroline du Nord , on n’en sort qu’en acceptant de se faire enfiler une micropuce sous la peau ».10

Il a été proposé aux sans abris de pouvoir sortir de ces prisons de la FEMA à condition qu’ils acceptent cette puce RFID sous la peau (Radio Frequency Identification). Elle servirait donc à les mettre sur monitorage, à les maintenir sous contrôle en échange de biens comme la nourriture, couvertures, vêtements et autres bénéfices pour leur survie. Sachez que ce pays enferme ses citoyens pour le seul motif d’être dans la précarité, tout cela sans raison aucune, sans tribunaux, sans procès et qui plus est, sans aucune indication sur la durée. (pour ceux qui doutent de cette affirmation, je le répète, sachez juste qu’elle n’est que la reproduction des dires d’un article de Mediapart, dont l’auteur s’appelle Massimo Bonatto)

En se reportant au lien 1, nous pouvons voir que le site livescience.com, nous annonçait en mai 2006 que la société VeryCHip Corporatation avait proposé au gouvernement américain d’implanter une puce aux immigrants pour pouvoir les suivre et les localisés.

Une simple question vient de suite à l’esprit au sujet de l’affirmation de Mediapart sur le puçage des SDF qui reste à première vue insoluble est pourquoi ?! Pour l’immigration, bien que le faire resterait inhumain, nous aurions l’argument un tant soit peu crédible, sur le fait de pouvoir les suivre mais des SDF… ! pourquoi pucer des gens dont ils n’ont aucune utilité, on ne suit pas des SDF pour savoir ou ils vont, alors que par définition de leur situation ils ne vont nulle part, nous voyons donc que l’argument de les pister ne tient pas. J’entrerai donc dans des spéculations à partir de maintenant, que j’essayerai d’appuyer non par des preuves, mais par des corrélations.

Hypothèses et spéculations sur la raison du pucage de sans abris

Voici d’abord la traduction d’extraits d’un article publié dans le numéro de juin-juillet 1994 de la revue Nexus. C’est le témoignage du Dr Carl W. Sanders, qui était chargé de concevoir la micro-puce électronique. Le Dr. Sanders est un ingénieur électronicien, inventeur et expert, conseiller auprès de nombreuses organisations gouvernementales et de compagnie telles que IBM, General Electric, Honeywell et Teledyn. Extrait du témoignage :

« J’ai consacré trente-deux années de ma vie dans la conception électronique, concevant des micro-puces dans le domaine bio-médical. En 1968, je devins impliqué, presque par accident, dans un projet de recherche et de développement concernant un pontage spinal pour une dame ayant l’épine dorsale rompue. Nous recherchions comment pouvoir relier les nerfs moteurs, etc » (…) « Nous avions remarqué que la fréquence de la micro-puce avait un grand effet sur le comportement humain, et on orienta alors nos recherches sur la possibilité de modifier le comportement humain avec la micro-puce. Le projet se transforma presque en acupuncture électronique, parce qu’il résulta à installer une micro-puce qui émettait un signal qui affectait certaines parties du cerveau. On démontra qu’on pouvait provoquer des changements de comportement avec cette micro-puce. Un de ces projets sur le comportement fut appelé le « Projet Phoenix », concernant les vétérans de la guerre du Vietnam » ( …) ;

(je vous laisse aller lire la suite de vous même) ; mais pour ceux qui veulent aller jeter un coup d’œil au site de ce monsieur, c’est par ici : trumpetministries.net

L’extrait que j’ai sortie du témoignage intégral n’est là que pour souligner que l’inventeur de cette puce, nous a dit qu’on lui avait demandé de s’en servir pour des raisons médicales au début, mais que les recherches se sont dirigées vers la modification du comportement. Le fait donc de pucer des gens sans aucune utilité s’éclaire déjà un peu plus, surtout en gardant en tête que ces gens là sont idéals pour subir des expérimentations, étant donné que personne ne le saura compte tenu de leur situation. Dites vous que ce témoignage date de plus de 20 ans.. ! Imaginez ce qu’il doivent arriver à faire a l’heure d’aujourd’hui, si la modification du comportement était déjà a l’étude a l’époque.

Pour celles et ceux qui auraient un doute quant à la possibilité d’influer sur le comportement avec ces puces, je les invite à lire cet article du Daily Mail : « All in the mind : The ‘telepathy’ chip that lets you turn on the TV using the power of thought ».

On peut aussi lire ce copier coller, de l’article du Boston Globe, de l’auteur Gareth Cook, ou vous verrez que le contrôle de l’esprit n’est en rien de la science fiction et qu’il a déjà été expérimenté sur des animaux comme nous le fait remarquer l’auteur : prisonplanet.com/defense_department_funding_brain_machine_work

Il y a aussi cette vidéo de Russia Today : « Mind Control – Remote Neural Monitoring »

José Delgado (neurophysiologiste, pionnier dans la technologie des implants cérébraux), auteur du livre « Contrôle Physique de l’Esprit – Vers une Société Psychocivilisée », a fait une déclaration intéressante a ce sujet dans le numéro du 24 février 1974 du Congressional Record, N° 262E, Vol. 118.

« Nous avons besoin d’un programme de psychochirurgie pour le contrôle politique de notre société. Le but est le contrôle physique de l’esprit. Toute personne qui dévie de la norme donnée peut être mutilée par chirurgie. L’individu peut penser que la réalité la plus importante est sa propre existence, mais c’est seulement son point de vue personnel. Ceci manque de perspective historique. L’homme n’a pas le droit de développer son propre esprit. Ce type d’orientation libérale possède un grand attrait. Nous devons contrôler le cerveau électriquement. Un jour, les armées et les généraux seront contrôlés par stimulation électrique du cerveau ».

Que tout le monde comprennent bien que cette déclaration a été faites il y a plus de 40 ans, nous pouvons imaginer ce qu’ils savent faire a l’heure d’aujourd’hui, si nous avions des déclarations de la sorte il y a tant d’années, je me permets de supputer qu’elle se base sur des études et expérimentations, et que cette déclaration ne sort pas de nulle part.

Pour se pencher un peu plus sur ce que ce genre de puce sont capable de faire au niveau de comportement il y a ceci : ubergizmo.com/2015/04/27/en-2030-le-cerveau-humain-sera-devenu-une-telecommande-universelle, on peut y voir que le contrôle de l’esprit au travers de ces puces , n’est en rien quelque chose de futuriste et qu’il a déjà était expérimenté bon nombre de fois, quelques exemples de l’article. Miguel Nicolilis réalisa entre 2002 et 2005 a l’Université Duke une expérience qui permit a des singes de contrôler un bras robotisé par la pensée. Il réalisa aussi la prouesse de faire don de télépathie a des rats pour pouvoir résoudre des problèmes. Pour revenir au sujet de l’article qui est une manipulation du comportement et de l’état émotionnel, nous pouvons voir dans cet article qu’une étude française regroupant des chercheurs de l’École supérieure de Physique et de Chimie industrielles de Paros (ESPCI et de l’Université Pierre et Marie Curie (UPMC) a montré pour la première fois qu’il était possible de modifier le comportement de rongeurs en implantant de faux souvenirs complexes dans l’esprit de souris endormies ! Je ne pense pas trop m’avancer en affirmant que si de telle chose sont possibles sur des souris, il en est de même pour le genre humain, et je ne pense pas non plus enfoncer trop de porte ouverte, en supputant que la technologie militaire est toujours en avance par rapport a ce qu’on veut bien nous dire (projet Manhattan etc..) L’expérience sur ces souris a fait dire a Karim Benchenane à la tête de l’équipe ayant expérimenté tout ça :

« il est possible de fabriquer puis d’implanter un souvenir complexe qui peut être perçu consciemment par la souris, qui l’utilise dans un comportement dirigé vers un but ».

Pour revenir a José Delgado de la déclaration ci dessus, on nous cite plusieurs expériences. En 1963 il parvint à arrêter un taureau en pleine course en lui implantant des électrodes commandés à distance par un émetteur radio, à forcer un chat à lever la patte, etc.. mais il ne s’arrêta pas là, il parvint aussi déclencher des états émotionnels chez l’être humain a base d’un dispositif nommé « stimoceiver » et parvenant a provoquer certains états émotionnels comme : « la peur, la concentration et l’euphorie »… !

L’article a l’honnêteté de nous avertir des dérives que tout cela pourrait amener, en disant, « On imagine bien entendu sans peine les dérives et les dangers qu’un tel dispositif pourrait entraîner s’il était utilisé hors de tout contrôle médical ou de toute finalité thérapeutique, pour conditionner les individus et modifier leur personnalité », comme vu plus haut que le DARPA (défense) s’est intéressé a tout ça, devrait faire réfléchir tout le monde, sur cette avertissement innocent de l’article, et comprendre que la fonction médicale n’est plus tout à fait sollicité quand un organisme étatique pour la défense d’un pays s’y penche..

Cet article du Business insider parle aussi de puces « cérébrales », le directeur de l’Institut Allen Christoph Kock et le professeur de psychologie Gary Marcus explique ce qu’elles pourront peut être faire à l’avenir : « Brain implants will give us superpowers », il y est question de restaurer l’audition, la vue, mémoire et attention amélioré etc…

Quelque chose en rapport avec des camps et des expérimentations sur être humain, on peut trouver ceci :

  • « Expérimentation humaine à Guantanamo », c’est Le Guardian qui nous dit que de telles horreurs ont était pratiquées a Guantanamo, mais aussi cela :
  • « Des détenus cobayes à Guantanamo ». C’est un article du Nouvel Observateur qui est une interview de Jacques Debray, l’avocat de deux des quatre français ayant finit a Guantanamo, ou les prisonniers ont eu l’impression de subir des expérimentions médicales. Il n’y est mention d’aucune puce, que d’expérimentations.

Serge Monast journaliste d’investigation, et les camps de concentration américains

Le journaliste d’investigation Serge Monast, fondateur de l’Agence de Presse libre internationale a écrit un document dans les années 1990, du nom de « rex 64 camps de concentration » (je conseille vivement à tout le monde de le télécharger), où vous verrez que cette avertissement de camps de concentrations aux États-Unis ne date pas d’hier, et que l’une des premières dénonciations a été faite par le rédacteur en chef du Oakland tribune en 1976. Ce monsieur était tellement sur de l’illégalité de ces camps et de leurs fonctions qu’il a déposé une plainte au nom du peuple des États-Unis intitulé « Plainte contre le programme de camps de concentration du Département de la Défense ». Il y a aussi un autre avertissement pour ces camps, qui a été donné en 1991 par l’auteur Tony Blizzard du journal National Education en Californie, ou son article avait comme titre « Des camps de concentration secret ? »

Et pour que tout le monde comprenne bien aussi, que cette manipulation du comportement est un projet mûrement réfléchi depuis bon nombre d’années, voici une déclaration du psychologue James Mc Conell publié dans un numéro de Psychologie Today dans les années 1970 : « Le jour est arrivé ou nous pouvons combiné la privation sensorielle, avec des drogues, de l’hypnose, et de la manipulation astucieuse de la punition et de la récompense, tout cela pour parvenir au contrôle presque absolu d’un individu. Il devrait être possible de développer une méthode (…) qui permettrait d’effectuer des changements radicaux dans la personnalité et comportement d’un individu » ! Vous verrez aussi que le Dr William R Pabst, de Houston au Texas, a sorti un document de 21 pages11, il y a plus de 30 ans, dont le titre est « Concentration Camp Program/United States Department Of Justice », avertissant des ambitions officieuses de ces camps FEMA, traduit et reproduit en totalité dans ce livre du journaliste international Serge Monast.

Conclusions

Cette technologie peut amener a toutes sortes de dérives, nous avons vu les allemands refusé de breveter une invention saoudienne libérant du cyanure, par télécommande, avec cette puce sous cutanée ! : « Allemagne – Refus de breveter une invention saoudienne : puces sous-cutanées pouvant libérer du cyanure par télécommande ».

En tout cas, peu importe la fonction qu’a cette puce, et je conclurai ce texte comme ça, nous pouvons d’ors et déjà dire, que rien que de l’implanter est criminel, car reconnue cancérigène. L’organisation américaine CASPIAN a publié un rapport de 52 pages combinant différentes études, au sujet de cette puce et confirmant bel et bien la nocivité et les risques cancérigènes de celle ci : antichips.com/albrecht-microchip-cancer-full-paper

Alors bien qu’aucune preuve directe n’atteste de la volonté d’expérimentations sur SDF pour la modification du comportement, l’argument de suivre des gens, qui par définition, vagabondent, n’est pas très convaincant. Tout cela restent des spéculations pour l’instant, mais sachant ce qu’ont étaient capable ces différents organismes étatiques au cours de l’histoire, avec des projets tels que MK ultra, Artichock, BlueBird, Monarch, ou Stargate pour le moins négatif, démontrant tous un intérêt pour le contrôle de l’esprit, par le complexe militaro-industriel, ça ne devrait donc étonner personne, qu’une telle affirmation soit faite de Mediapart. Affaire à suivre…


  1. karmapolis.be/fema_secrets
  2. apd.army.mil/r210_35
  3. info.publicintelligence.net/USArmy-InternmentResettlement
  4. nytimes.com/2006/02/04/halliburton-subsidiary-gets-contract-to-add-temporary-immigration
  5. latimes.com/2002/oe-turley14
  6. « PARANOïA. La folle rumeur des camps de concentration fédéraux » Courrier international
  7. « 600 camps de concentration aux États-Unis », Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation
  8. ReOpen911 – News, « Le programme secret de la FEMA pour supplanter la Constitution des États-Unis et établir un état d’urgence permanent »
  9. « Culture du malaise… au service des multinationales », L’Humanité
  10. « USA, Caroline du Nord. Les camps de concentration Fema pour les sans domicile fixe », Massimo Bonato, Le Club de Mediapart
  11. « Plans de camps de concentration pour les citoyens américains », bibliotecapleyades.net



Allemagne : enquêtes autour de fraudes massives aux tests de dépistage du Covid-19

[Source : RT en français]

[Photo : © Jonathan NACKSTRAND – Source : AFP]

Un scandale concernant les centres de dépistages du Covid-19 a éclaté en Allemagne. De nombreux établissements de tests établissent de fausses déclarations pour obtenir des remboursements indus de la part des pouvoirs publics.

Les tests de dépistages du Covid-19 sont obligatoires en Allemagne pour qui souhaite se rendre dans un bar, café ou restaurant ainsi dans un magasin ou une piscine municipale. Une nouvelle législation fédérale a rendu gratuits ces tests en mars 2021 dans le but d’intensifier la campagne de dépistage. Un remboursement est ainsi prévu pour les centres de dépistages, allant jusqu’à 18 euros par test.

Les médias allemands se sont toutefois interrogés sur l’absence de contrôle des tests effectués. Le journal Tagesspiegel dénonce ainsi la facilité avec laquelle il est possible d’obtenir une homologation, ce qui entraîne une multiplication de ces centres. En Rhénanie du Nord-Westphalie, le ministère de la Santé en a par exemple recensé plus de 8 000 et 1 200 pour la seule ville de Berlin.

Les centres de dépistages n’ont en effet pas à indiquer le nom ou le profil des personnes venant se faire dépister. «Il suffit qu’ils transmettent le nombre de tests, sans aucun justificatif, et ils reçoivent le virement d’argent peu de temps après», selon une enquête commune des télévisions publiques NDR et WDR, avec le quotidien Süddeutsche Zeitung, qui a lancé l’affaire.

Plusieurs enquêtes ont ainsi été lancées sur les centres de dépistages soupçonnés de gonfler leurs chiffres dans le but d’obtenir des remboursements indus de l’Etat allemand. «Ceux qui se servent de la pandémie pour s’enrichir de manière criminelle devraient avoir honte», a tweeté le 29 mai le ministre allemand de la Santé, Jens Spahn.

1 743 tests déclarés contre 550 réellement effectués

Pour déceler les irrégularités, les journalistes ont compté les personnes venues pour se faire tester à plusieurs endroits afin de les comparer aux chiffres transmis aux autorités. Le résultat : pour une centaine de dépistages effectués, un centre en déclarait 422 ; ailleurs, au lieu de 550, l’entreprise disait en avoir fait 1 743 sur une journée. Cela a poussé plusieurs parquets à réagir, comme celui de Bochum qui a perquisitionné les locaux d’un centre privé ou celui de Lübeck qui a lancé une enquête pour «fraude» portant sur la «réalisation et la facturation de tests rapides», selon l’hebdomadaire WirtschaftsWoche.

Le ministre allemand de la Santé a assuré que plus de contrôles seraient effectués pour pour empêcher que certains «profitent» du «pragmatisme nécessaire» dans l’organisation.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/87317-allemagne-enquetes-autour-fraudes-massives-tests-depistages-covid-19




Devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ?

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Laure Gonlézamar pour FranceSoir

TRIBUNE

Le 25 mai dernier, l’Académie Nationale de Médecine émet le souhait d’étendre la vaccination aux enfants et adolescents. Cette volonté s’inscrit dans le concept de « l’immunité collective », édictant que pour y parvenir, 90% d’une population adulte doit être vaccinée soit 80% d’une population totale, enfants compris.

Les enfants sont nos êtres chers, nos petits innocents à protéger, notre avenir. 

Devons-nous les vacciner ? 

Impossible de répondre à cette question de santé publique sans dissocier l’émotionnel du rationnel.

Que vous soyez parent, grand-parent, parrain, marraine, sœur, frère, oncle, tante, vous aimez forcément vos enfants, petits-enfants nièces ou neveux, d’un amour inconditionnel et ne souhaitez que leur bien-être, leur santé et leur bonheur. Prenez quelques minutes pour lire cet article. Installez-vous confortablement. Servez-vous un petit café, un thé comme vous l’appréciez.

Dans cette tribune, nous allons tenter de poser le plus clairement possible des arguments sourcés, afin de trouver une réponse sans ambiguïté à la question de la vaccination des moins de 15 ans. 

Pour commencer, les enfants peuvent-ils avoir le Covid-19 ? 

La réponse est ici sans appel : oui les enfants peuvent être contaminés et porteurs du Sars Cov-2. Les chiffres disponibles sur le site de Santé Publique France et plus largement ceux publiés au niveau international, indiquent que les enfants de tous âges peuvent être testés positifs au Covid-19, et ceci quels que soient leur âge et leur origine ethnique.

[Ndlr : être testé positif au Covid-19 avec un test non prévu pour diagnostiquer une maladie (et qui engendre d’autant plus de faux positifs que le nombre de cycles d’amplification utilisé est élevé) ne signifie nullement que l’on a cette maladie. Voir : Les tests de coronavirus positifs ne sont pas des «cas»: les experts de la santé démystifient le faux récit des médias mainstream sur la COVID-19]

Toutefois, les données de surveillance montrent également que les enfants sont globalement moins touchés par la maladie. Un rapport publié en août 2020 par l’Agence Européenne du contrôle et des maladies indique que moins de 5% des cas Covid-19 signalés dans l’Union Européenne concernent des personnes de moins de 18 ans. 

Quels sont leurs symptômes ? 

Selon l’étude Ped-Covid coordonnée par l’hôpital Necker et l’Institut Pasteur auprès de 775 enfants âgés de 0 à 18 ans, testés positifs dans sept hôpitaux parisiens et de la proche couronne entre le 1er mars et le 1er juin 2020, 69.4% de ces jeunes patients ne présentaient aucun symptôme. D’ailleurs, d’après cet article, Bruno Hoen, directeur de la recherche médicale à l’Institut Pasteur, affirme même que « Les signes très caractéristiques que sont la perte du goût et de l’odorat n’ont jamais été observés chez les moins de 15 ans ». Quand l’infection se manifeste par des signes cliniques, c’est le plus souvent « par un syndrome grippal banal » explique le Dr Fabienne Kochert, pédiatre. Les symptômes constatés sont : fièvre, toux, irritabilité ainsi que des problèmes digestifs (vomissements, diarrhées). 

Sont-ils hospitalisés ? 

Alors qu’ils constituent 17,75 % de la population française, les moins de 15 ans ne représentent même pas 1% des patients hospitalisés et des décès. Les formes graves sont exceptionnelles, ce qui explique la rareté des jeunes patients à l’hôpital. Quelques cas de maladies de Kawasaki ont été découverts en début de pandémie avec les premières souches du virus (sans qu’un lien formel ne soit établi), ces infections semblant baisser avec l’arrivée des variants, virus généralement plus contagieux mais moins agressifs que le virus original présent lors de la première vague. 

Décèdent-ils du Covid ? 

Depuis le 1er mars 2020, six décès d’enfants âgés de 0 à 14 ans ont été enregistrés lors d’une hospitalisation pour Covid en France. En général, ces enfants sont en mauvaise santé, présentent une ou plusieurs comorbidités, à l’exemple de cet enfant de 9 ans décédé d’une atteinte neurologique liée à un arrêt cardiaque qui a pourtant été comptabilisé dans les décès Covid car sa sérologie indiquait qu’il avait été au contact du coronavirus sans en avoir les symptômes.

Une étude européenne publiée dans la revue spécialisée The Lancet Child & Adolescent Health, portant sur 582 patients positifs par test PCR dans 82 établissements de santé, a montré que seuls quatre enfants sont décédés dont deux avec des comorbidités préexistantes. 

Les enfants sont-ils contaminants ? 

Là aussi, regardons ce que disent les études. Par exemple, l’étude menée par l’Institut Pasteur dans des écoles de l’Oise, sur 510 enfants de six écoles primaires : les cas déclarés dans ces écoles avant les vacances n’ont pas donné lieu à des cas secondaires, que ce soit parmi les autres écoliers ou parmi les enseignants. En revanche, les parents étaient plus infectés chez les enfants positifs. L’étude conclut que les parents ont été la source de l’infection et pas l’inverse. D’autres études vont également dans ce sens, en atteste le professeur Robert Cohen, pédiatre : « les enfants ne sont pas des super-contaminateurs, bien au contraire, ils sont de tout petits contaminateurs ».

Citons enfin le cas de ce garçon de 9 ans, positif au Covid, qui a continué à vivre normalement (écoles, ski-club, auprès de ses parents et ses deux frères…) sans contaminer aucune des 172 personnes vivant à son contact, dont 112 élèves et professeurs. 

Enfin, d’après l’Association Française de pédiatrie ambulatoire, « les facteurs de division du risque par rapport aux adultes sont de l’ordre de 1/10 000 pour les décès, de 1/1000 pour les formes graves, 1/100 pour les hospitalisations, 1/3 sur le pourcentage de PCR positives. Ceci est particulièrement vrai chez l’enfant de moins de 10 ans ». Ainsi, on peut au bout d’un an et demi de pandémie, affirmer que :

  1. Oui, les enfants peuvent attraper le virus du Sars-Cov-2.
  2. Mais, ils ont peu de symptômes.
  3. De plus, ils ne sont quasiment pas hospitalisés.
  4. En outre, les décès sont extrêmement rares, favorisés par des comorbidités.
  5. Enfin, ils contaminent peu, y compris leur entourage proche. 

La crainte selon laquelle les enfants contamineraient leurs parents ou leurs grands-parents n’est fondée sur aucun argument statistique, et même si cette possibilité n’est pas à exclure totalement car il existe toujours des cas isolés, elle est d’une rareté notoire. Ce coronavirus n’est donc pas une menace mortifère pour nos chères têtes blondes. Par conséquent, à ce stade, l’intérêt d’une vaccination semble assez limité, puisque grâce à leur système immunitaire et leur physiologie de jeunes êtres humains, les enfants résistent naturellement au Covid-19.

Les scientifiques tentent d’ailleurs à l’heure actuelle de comprendre pour quelles raisons et par quels mécanismes les plus jeunes ne sont pas touchés par le Covid-19 comme le sont les adultes. 

Les vaccins chez les enfants

Rappelons qu’en France, certains vaccins sont obligatoires. L’hexagone est d’ailleurs l’un des seuls pays au monde à imposer pas moins de onze vaccins aux nouveaux nés depuis 2018. Les maladies visées sont la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, la rougeole, les oreillons, la rubéole, l’haemophilus Influenza de type B, l’hépatite B, le pneumocoque, et le méningocoque de type C.

Ces infections ont pour caractéristiques d’être assez voire très contagieuses, de donner parfois des séquelles à vie et surtout d’être mortelles, en particulier chez les jeunes enfants. Dans ces cas précis de maladies malignes, on comprend donc aisément que les vaccins puissent sauver des vies ou éviter des handicaps. Mais qu’en est-il du vaccin Covid ? Pourquoi faudrait-il vacciner des enfants contre un virus qui ne les affecte pas, ne les rend pas malades, et qu’ils ne transmettent pas à leur entourage ? Étrange volonté que de vouloir injecter un sérum pour un bénéfice direct quasi nul, vous en conviendrez. 

Regardons de plus près ce que sont ces vaccins Covid.

Quatre vaccins sont actuellement autorisés en France : le Pfizer et le Moderna, tous deux à technologie ARN messager (ARNm) ; et l’AstraZeneca et le Janssen, tous deux à adénovirus.Ces sérums marquent une rupture dans la fabrication classique des vaccins car les deux techniques utilisées sont nouvelles, et n’ont jamais avant la pandémie de Covid-19, été utilisées à grande échelle sur l’homme. 

Un vaccin traditionnel utilise le virus atténué ou désactivé : injecté dans le corps, les cellules l’identifient comme étant un intrus et fabriquent des anticorps spécifiques. Appelons-les les soldats. Si par la suite, la personne vaccinée est confrontée au virus en question, son organisme possède déjà une armée de petits soldats prêts à le combattre, entourés d’autres combattants, les lymphocytes T. Ces « soldats anticorps » s’amenuisent avec le temps, c’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est nécessaire de faire des rappels de certains vaccins, afin de renouveler les effectifs. Vous remarquerez ici que le vaccin traditionnel stimule de façon assez mécanique mais naturelle le système immunitaire, ceci par un leurre de vrai/faux virus. 

Les vaccins à ARNm envoient un message codé en langage ARN aux cellules du corps du vacciné. Le message est limpide : il faut produire une protéine, appelée protéine Spike. Après le vaccin, les cellules se mettent à produire Spike, reconnue comme un intrus et combattue à son tour par les petits soldats vus plus haut : les anticorps. 

Les vaccins à adénovirus, ou vecteur viral, utilisent quant à eux des virus vivants ayant été rendus inoffensifs, et dans lesquels on a greffé un morceau d’ADN (un message génétique). Cet ADN est délivré dans les cellules du vacciné, traduit en ARN (le même message mais dans un autre langage), qui code la protéine Spike. Le mécanisme est ensuite le même que précédemment avec l’ARNm : fabrication des anticorps spécifiques. Pour AstraZeneca par exemple, l’adénovirus injecté est un adénovirus de chimpanzé, pour Spoutnik et Janssen, ce sont des adénovirus humains. 

Ces deux nouvelles techniques, ARNm et vecteur viral, sont bien différentes des vaccins traditionnels : l’ordre donné aux cellules humaines consiste à produire la protéine de pointe du virus, c’est-à-dire une partie de celui-ci, plus précisément les molécules qui l’entourent et qui lui permettent d’infecter la personne contaminée. La protéine Spike est en effet la clé qui permet au coronavirus d’entrer dans le corps humain. Le principal avantage de ces deux techniques est la rapidité avec laquelle les laboratoires ont pu mettre au point ces vaccins, là où il faut habituellement des années de recherche, de tests, d’ajustements, d’échecs, puis de réussites (en moyenne le développement d’un vaccin prend entre 10 et 15 ans).

Cette fois pour le Sars-Cov-2 l’industrie pharmaceutique a ici été capable de concevoir, tester, demander les autorisations, les obtenir, puis produire des sérums à grande échelle en moins d’une année. Heureusement, vous vous en doutez, les autorités sanitaires veillent au grain : les autorisations accordées sont conditionnées. Dans cet article du CTIAP de l’Hôpital de Cholet qui a décortiqué les documents officiels publiés par l’Agence Européenne du Médicament, on apprend qu’AstraZeneca a jusqu’à mars 2024 pour préciser les substances actives et excipients de son vaccin ainsi que les résultats définitifs de son étude clinique. On appelle cela une « AMM conditionnelle » : une autorisation de mise sur le marché qui pose des conditions.

Pfizer et Janssen ont quant à eux jusqu’à décembre 2023 pour déposer la confirmation de l’efficacité, de la sécurité et de la tolérance de leurs vaccins. Le plus pressé des quatre laboratoires est Moderna, qui doit se dépêcher de donner ses conclusions puisque son échéance est fixée à décembre 2022. 

Oui vous avez bien lu.

Les quatre vaccins actuellement inoculés à l’ensemble de la population adulte volontaire sont encore en phase d’essai. Sous pression de l’urgence pandémique, les autorités sanitaires ont pris pour argent comptant les études menées par les laboratoires eux-mêmes, et ont accepté de mettre sur le marché des vaccins… dont l’innocuité est encore à l’étude. Ces laboratoires sont au-dessus de tout soupçon, bien entendu. Par exemple Pfizer détient un record mondial. En 2009, il a été condamné à payer 2,3 milliards de dollars pour pratiques commerciales frauduleuses. En cause un anti-inflammatoire aux effets secondaires entraînant des complications cardiaques ainsi que trois autres médicaments mis sur le marché et largement promus.

Et l’herbe n’est pas forcément plus verte ailleurs. Le laboratoire Johnson&Johnson (Janssen) mouillé en 2020 dans le scandale du talc qui donne des cancers, a écopé d’une condamnation de 2,1 milliards de dollars.

Le groupe AstraZeneca, qui est actuellement poursuivi par l’UE pour non-respect de ses engagements de livraison de vaccins, a dû régler une amende de 60 millions d’euros en 2005 pour utilisation abusive du système de brevets et des procédures de commercialisation des produits pharmaceutiques afin de prévenir ou de retarder l’arrivée sur le marché de médicaments génériques qui concurrençaient son anti-ulcéreux. C’est ainsi que partout dans le monde on inocule des sérums, sans être totalement certains qu’ils sont inoffensifs à court, moyen et long termes. Enfin, pas tout à fait.

À court terme, nous disposons de quelques indicateurs grâce à la pharmacovigilance dont le travail consiste à récolter les effets indésirables des médicaments et vaccins, à partir de déclarations volontaires des soignants et patients. En France, elle est assurée par les CRPV et l’ANSM. Vous qui lisez cette tribune, vous pouvez si vous le souhaitez déclarer des effets secondaires en cliquant ici. C’est un acte citoyen qui permet de surveiller la survenue de symptômes liés aux médicaments et ainsi de déceler des molécules dangereuses. 

Que dit la pharmacovigilance sur les vaccins Covid ? 

À l’échelle de la France, deux articles doivent nous alerter. Le premier concerne le centre de pharmacovigilance de Tours qui, submergé par les signalements sur les vaccins, a demandé aux patients et aux médecins de ne pas tout déclarer afin de prioriser les signalements les plus graves.

Une pharmacovigilance oui, mais une pharmacovigilance sélective.

Le second article porte sur le centre du Limousin, qui reçoit en temps normal, d’après le Professeur Marie-Laure Laroche, responsable du centre, « à peine 10 notifications par an pour les vaccins classiques » mais qui, en quatre mois et demi de vaccination Covid, a vu les déclarations multipliées par 400, soit 4000 déclarations. Répétons-le pour ceux qui n’étaient pas totalement concentrés et buvaient une gorgée de leur thé préféré : multipliées par quatre-cents !

Enfin, les derniers rapports de l’ANSM disponibles en ligne, font état de près de 20000 cas d’effets secondaires liés à Pfizer, dont 5245 cas graves, dont 580 décès. Au total pour les quatre vaccins, 37 018 cas ont été rapportés, dont 26% de cas graves (hospitalisation, séquelles, décès).

Répétons-le pour mieux accentuer : cinq-cent-quatre-vingts décès liés uniquement au vaccin Pfizer en France du 28 décembre 2020 au 13 mai 2021. À l’échelle de l’Europe, EUDRAVIGILANCE, la base européenne de pharmacovigilance, enregistre des signalements d’effets indésirables comme jamais. Au 22 mai 2021, la comparaison avec deux autres lots de vaccins contre la grippe et la diphtérie est sans appel : les vaccins Covid sont les plus agressifs de toute l’histoire des vaccins administrés à l’homme, mais également les plus meurtriers !En additionnant les cas de décès post-vaccinaux des quatre vaccins, le total s’élève à plus de 12 000 morts. 

Aux USA, pays qui a vacciné 50% de sa population adulte, le VAERS, système de surveillance sous la responsabilité des CDC – Centers Disease of Control – enregistre des chiffres tout aussi alarmants, jugez plutôt :Sur les vingt dernières années (jusqu’à début mai 2021), le VAERS a enregistré 4182 décès, tous vaccins confondus. Du 14 décembre 2020 au 3 mai 2021, il comptabilise très exactement 4178 morts liés aux vaccins Covid. Ces seuls vaccins parviennent donc à eux-seuls, à totaliser en une poignée de mois autant de décès que TOUS les vaccins injectés au cours des vingt dernières années sur le sol américain. 

Le plus inquiétant est que la pharmacovigilance n’est qu’un indicateur. Elle ne recense pas de manière exhaustive et obligatoire tous les décès et effets secondaires qui surviennent après vaccination. Si, d’après le VIDAL, tous les effets secondaires – sérieux ou anodins – doivent être signalés dans les bases, il n’en est rien en pratique. En effet, les professionnels de santé et les patients n’en signalent qu’une infime partie, que ce soit par oubli ou plus simplement par manque d’informations sur les procédures à suivre. 

Par ailleurs, depuis les vaccins Covid, des consignes sont données pour ne signaler que les effets secondaires inattendus ou graves. Nous venons donc de décrire sommairement ce que sont les vaccins Covid, les études et essais toujours en cours, et une pharmacovigilance qui s’emballe malgré le faible taux de remontées. Certains se sont peut-être étranglés en découvrant les données, d’autres ont sans doute cliqué sur les liens et sont estomaqués de découvrir que de telles informations aussi cruciales sur les vaccins ne soient pas davantage rendues publiques. Ces signaux doivent nous alerter sur la vaccination des enfants.

Pouvons-nous accepter d’injecter ces formules inédites dans les bras de nos progénitures sans prendre la mesure des effets possibles sur leur santé ?Pouvons-nous accepter de vacciner nos enfants compte tenu des nombreux dommages causés aux adultes ?Ne devons-nous pas attendre que les essais soient totalement terminés avant de prendre une telle décision ? 

Des essais en cours sur les enfants aux États-Unis 

Connaissez-vous l’âge du plus jeune vacciné au monde ? Il s’appelle Vincenzo Mincolla, petit bonhomme joufflu, tétine en bouche, qui a reçu sa première dose de Pfizer à l’âge de 7 mois, et sa deuxième à 8 mois (voir la vidéo de son injection ici). Ses deux parents sont soignants et ont accepté sans hésitation d’enrôler leur bébé dans l’essai clinique de Pfizer « au nom de la science ». 

Depuis le 16 mars 2021, des essais menés par Moderna sont en cours aux USA et au Canada sur 6750 enfants et bébés âgés de 6 mois à 11 ans. D’autres essais sont en cours avec Pfizer et AstraZeneca. Les résultats ne sont pas encore publiés mais gageons que puisque les enfants ne sont quasiment jamais malades du Covid, les vaccins montreront une efficacité exceptionnelle. Reste à connaître les effets secondaires. 

Le VAERS fait état de plusieurs dizaines de cas d’effets indésirables graves et dont des décès d’enfants et adolescents ayant reçu une ou plusieurs doses de Pfizer ou de Moderna. Les cas sont rapportés par des soignants ou les familles des patients, ce qui complique la fiabilité des sources. Il est difficile de trouver des articles fiables.Néanmoins, voici deux exemples issus du VAERS, l’un d’une petite de 2 ans et l’autre d’une jeune fille trisomique de 15 ans, toutes deux décédées. 

On ne compte plus les témoignages de proches de victimes sur les réseaux sociaux… qui disparaissent comme par magie ; notamment sur Youtube et Facebook. Plusieurs groupes du réseau social n°1 mondial rassemblant diverses expériences malheureuses de vaccinés ont tout simplement été fermés. On peut raisonnablement se poser des questions. Certaines vérités ne semblent pas « désirées » car seule compte la propagande vaccinale. 

En Israël, pays ayant complètement vacciné 56,6% de sa population avec les deux doses, des voix s’élèvent contre la vaccination des enfants car des cas de myocardites chez des patients jeunes ont été rapportés. 

Conclusion 

Nul doute que vous avez désormais terminé votre boisson, et que malgré sa chaleur, cet article a jeté un froid. 

Tout d’abord car les nouvelles ne sont guère réjouissantes. Les vaccins ne sont pas aussi fiables que ce qu’on nous assure. Malgré toute l’énergie déployée par les éminents spécialistes des plateaux TV et des radios pour convaincre et apaiser les craintes, les chiffres et les documents non publiés parlent d’eux-mêmes : des incertitudes planent sur les effets à moyen et long termes des vaccins. Vous, ou vos proches et amis, avez peut-être reçu une ou plusieurs doses. Certains ont été très malades, d’autres n’ont rien remarqué, mais depuis, une fatigue, des maux se sont réveillés ou sont apparus. Quelques-uns d’entre vous ont d’ailleurs pu observer une recrudescence d’AVC ou de problèmes cardiaques dans leur entourage, ou ont assisté aux obsèques d’une personne âgée, qui avait été vaccinée quelques jours avant son décès. Il n’y a pas de mystère, ni de coïncidences. Il faudrait être aveugle ou inconscient pour ne pas établir formellement de lien de causalité entre l’injection et tous ces événements qui surviennent dans les heures, les jours ou les semaines qui suivent. 

Désormais vous savez. Vous venez de prendre connaissance d’un faisceau d’indices qui doivent vous alerter sur la vaccination de vos enfants. Une maladie qui ne les touche pas, des vaccins encore en phase d’essais, des informations négatives peu dévoilées au grand public, une pharmacovigilance qui s’emballe, des cas de décès et effets indésirables graves signalés sur des enfants… que des indicateurs au rouge. Désormais, si vous décidez de mener vos enfants à l’aiguille, et que tout ne se passe pas comme prévu, vous ne serez pas les victimes désinformées d’un système qui promeut la vaccination, non. Non, vous serez des parents responsables de ce qui arrive à leurs enfants. Vous croiserez leur regard en ayant conscience à chaque instant que vous ne les avez pas protégés, et ceci malgré tout l’amour que vous leur portez. L’Agence Européenne du Médicament vient de donner son feu vert pour le vaccin Pfizer des 12-15 ans.

De grands scientifiques, comme Arnaud Fontanet, épidémiologiste et membre du conseil scientifique, déclarent aux micros des journalistes de France Info et BFM qu’il faut vacciner les enfants pour atteindre l’immunité collective, et ceci, sans apporter un seul argument rationnel valable.

À quel prix ? Si un seul adolescent ou enfant décède du vaccin en France, ce sera pour sauver qui ? Une personne âgée de plus de 85 ans (âge médian des morts Covid sur les 100 000 premiers décès) ? Un adulte avec comorbidités ?D’autres, comme l’éditorialiste Eric Naulleau dans l’émission TPMP ou encore le philosophe Raphaël Enthoven dans l’émission Les Grandes Gueules sur RMC, qui n’ont ni diplôme scientifique, ni formation médicale, encensent la vaccination obligatoire pour tous avec une ferveur douteuse. Sans parler du footballeur Kylian Mbappé, un modèle pour de nombreux jeunes, qui s’affiche pansement sur le bras sur les réseaux sociaux.

Qui sont ces gens ? Ont-ils lu ne serait-ce qu’une seule étude randomisée ? Quelles sont leurs qualifications pour jeter l’opprobre sur les réticents, qui eux, s’informent du mieux qu’ils peuvent ? La vaccination n’est pas un débat philosophique, politique ou sportif. Elle doit rester un enjeu sanitaire et une décision médicale.

Et moi ? Qui suis-je pour vous avoir amené jusqu’à la fin de cette tribune ? Je ne suis personne. Ni épidémiologiste au conseil scientifique, ni politicienne, ni philosophe, ni sportive, ni éditorialiste. Et c’est justement parce que je ne suis rien de tout cela, que je suis vous. Une maman qui aime ses enfants, une fille qui veut protéger ses parents, une amie qui veille sur ses proches. Comme vous, je n’apprécie pas qu’on m’assomme et me matraque chaque jour de publicités et de messages sur et pour la vaccination, ni que les médias filtrent les informations à l’aune de la propagande vaccinale. Comme vous, il n’y a qu’une priorité dans ma vie et dans mon cœur : la santé et le bien-être de mes enfants. C’est la raison pour laquelle j’attends la fin des essais cliniques et que je ne cèderai jamais aux mesures qui ne relèvent pas du bon sens. 

Pour conclure, reposons la question de départ : devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ? Vous êtes seuls juges. Mais maintenant, vous savez.

Auteur(s): Laure Gonlézamar pour FranceSoir


[Voir aussi :
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Aux USA, un fusil à pompe offert pour un vaccin inoculé

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

Offrir un fusil à pompe pour une injection de vaccin reçue ? C’est la curieuse idée de loterie que la Virginie-Occidentale propose pour lutter contre la méfiance contre le vaccin. Car le phénomène ne touche pas que la France. Dans certains États américains, il faut lancer des loteries avec plusieurs millions $ de gains pour convaincre les plus réticents. Et un taux de réussite assez faible…

En Virginie Occidentale, les pouvoirs publics proposent 5 fusils à pompe et 5 fusils de chasse à gagner à la loterie pour ceux qui acceptent de se faire vacciner. Le premier tirage au sort aura lieu le 20 juin, jour de la Fête des Pères. Mais d’autres tirages sont prévus tout au long de l’été. En outre, la Virginie Occidentale offre d’autres lots hallucinants pour convaincre les réticents : des bourses d’études complètes, des camions personnalisés et des permis de chasse et de pêche à vie, mais aussi un lot de 1 million $.

Pour ceux qui, entre 16 et 35, acceptent une vaccination complète, l’État propose 100 $ d’obligations d’épargne ou de cartes-cadeaux.

Cette stratégie vise à augmenter le taux de vaccination dans l’État, qui est le plus bas des USA. 51% de la population y a reçu au moins une dose, et 41% une vaccination complète. Des chiffres supérieurs à la situation française, mais qui agacent les pouvoirs publics américains. 

Un phénomène généralisé outre-Atlantique

La Virginie Occidentale n’est pas le seul État à pratiquer ce système de loterie pour améliorer le taux de vaccination. Loin de la propagande relayée en France selon laquelle les Américains seraient largement vaccinés, beaucoup d’Etats rencontrent des difficultés pour remplir les salles d’attente. 

Cette méfiance des Américains oblige à multiplier ces loteries. Dans l’Illinois, l’État offre une séance de 100 tirs gratuite pour ceux qui se dévouent à subir le vaccin. L’Ohio et l’Oregon offrent également un million $ à la loterie. Dans le New Jersey, l’État offre des bières… 

Selon les sondages, ce sont surtout les électeurs du parti républicain qui hésitent à se faire vacciner. 




CoronaCircus – Tests ? Vaccinations ?? Passe sanitaire ??? Ils vont se faire coincer les uns après les autres !

[Source : rumble.com]

Traduction et doublage : Minima
Source : https://rumble.com/vh89df-ils-se-vont-se-faire-coincer-les-uns-aprs-les-autres.html
Source de la vidéo d’origine : https://youtu.be/c65Mg6rlOoo

Transcription :

De quoi s’agit-il, s’il ne s’agit pas de notre santé ? (9 mai 2021)

Comment auriez-vous réagi si on vous avait dit en tout début d’année 2020,
— Qu’à partir de la mi-mars 2020 et jusqu’au jour d’aujourd’hui, non seulement en Allemagne, mais partout dans le monde, les populations, y compris les enfants, seraient forcées de porter des masques,
— Que, au nom de ce qu’on appelle le confinement, toute la classe moyenne allemande ainsi que la classe moyenne de par le monde occidental seraient menacées de faillite,
— Que des millions d’opérations chirurgicales, de mesures de santé comme le dépistage du cancer, de rééducations et autres soins médicaux nécessaires, seraient reportés, avec des conséquences incommensurables pour la santé des personnes concernées,
— Que des milliers de malades en phase terminale, en Allemagne et dans de nombreux autres pays, seraient contraints de mourir seuls et dans l’isolement, sans la présence de leurs proches ?
— Que dans toute l’Allemagne et dans une grande partie du monde, des personnes seraient privées de leur liberté pendant des semaines entières, sans décision de justice, juste sur la base de ce que l’on appelle les « décrets de quarantaine » ?
— Qu’en Allemagne et dans beaucoup de pays, des personnes seraient poursuivies parce qu’elles ont fêté un anniversaire, se sont assises sur un banc public, ont fait un jogging, ou ont osé chanter ?

Les parlements remplis de nos représentants élus sont de facto privés de pouvoir, et les gouvernements, fédéraux et des Länder, ont émis une multitude de règlements arbitraires, dont personne ne comprend ni le contenu, ni les contraintes, et ce sans aucune légitimation par le peuple ?
Tous les droits démocratiques fondamentaux ont été de facto suspendus, y compris notre droit démocratique fondamental le plus important, la liberté d’expression.

01:41

Auriez-vous pensé que c’est normal et tout naturel, ou auriez-vous, au contraire, eu un sursaut d’incrédulité, et vous seriez demandé : « Mais comment est-ce chose possible dans une démocratie ? »
C’était une question rhétorique de ma part, bien sûr, car bien sûr, vous qui m’écoutez, vous vous seriez posé cette question.

Entre-temps, tout ce que je viens d’énumérer est devenu une réalité, mais il semble que personne parmi nos gouvernants ne se soit posé la question la plus pertinente au monde, à savoir : pour quelle raison est-ce que tout cela a été mis en place? Parce que jusqu’à aujourd’hui, nous n’avons pas obtenu de réponse à cette question, ni de la part du gouvernement fédéral ni des Länder. On a juste eu droit à : « On est en pandémie, donc obéissez. Faites ce qu’on vous dit et faites-le sans poser de questions. “
C’est d’ailleurs exactement ce que le Directeur du Robert-Koch-Institut RKI, un vétérinaire du nom de Wieler, nous a expressément expliqué lorsqu’il a exigé au nom du gouvernement fédéral — parce qu’il faut savoir que le RKI est une autorité supérieure fédérale, qui doit obéir aux instructions des gouvernements, au ministère fédéral de la Santé — lorsqu’il nous a publiquement expliqué qu’il ne fallait pas poser de questions, mais obéir aux injonctions.
Cela aurait dû nous estomaquer, couper le souffle à la démocratie, car une démocratie vit précisément de la compétence morale, et cette compétence morale, elle, requiert deux choses : la faculté de poser des questions au lieu de suivre aveuglément les ordres, et la faculté de discuter des autres opinions au lieu de les diffamer en bloc.
Tant la liberté de poser des questions que la capacité de débattre sont au cœur même de la liberté d’expression, et donc au cœur de la démocratie.
Cet arrêté gouvernemental — rappelons encore une fois que le RKI est une administration tenue de respecter des instructions, — a été le début de l’attaque la plus grave jamais perpétrée contre notre démocratie.

03:41
Les questions sous-jacentes qui en découlent sont donc :
Dans l’intérêt de qui se déroule cette attaque de notre propre gouvernement contre notre démocratie, c’est-à-dire contre le pouvoir du peuple ?
Et plus précisément, qui a intérêt à détruire le pouvoir du peuple, la démocratie, et à le remplacer par ce que nous avons vu au cours de l’année écoulée, un régime totalitaire fasciste.

Commençons par la question de fond :
Sur quelle évidence se fonde cet arrêté qui détruit la démocratie et cause des dommages gigantesques ?
Si l’on avait posé des questions concrètes à ce sujet, et si le gouvernement fédéral avait engagé une discussion publique, voire s’il avait seulement respecté le principe général « audiatur et altera pars », « Que l’autre partie soit également entendue » au lieu de suivre exclusivement les demandes de plus en plus effrontées d’un certain Monsieur Drosten, alors ces trois questions spécifiques auraient dû être posées :

04:43
— Premièrement, quelle est la dangerosité réelle de ce nouveau virus présumé ?
La réponse aurait été de se ranger à l’avis de la certes très controversée OMS et à celui du très respecté professeur Docteur John Ioannidis de l’Université de Stanford, selon lequel, avec un taux de mortalité par infection de 0,14 à 0,26 %, le virus n’est pas plus dangereux que la grippe saisonnière.

— Deuxièmement, quel est l’impact sanitaire et économique des mesures prises dites « Anti-Corona » ?
La réponse très détaillée et précise à cette question est disponible au ministère fédéral de l’Intérieur depuis mai 2020 sous la forme de ce que l’on appelle désormais le « document sur les fausses alertes ». Ce document a été préparé par un spécialiste du ministère de l’Intérieur hautement qualifié et formé à l’évaluation des risques pour protéger la population, et entre-temps, tout le monde connaît la réponse telle que décrite ci-dessus : les effets des mesures dites Anti-Corona sont dévastateurs.

— Troisièmement, quelle est la fiabilité du test PCR de détection de l’infection que Drosten a mis au point dès janvier 2020 ?

À une époque où lui, Wieler et les autres déclaraient encore publiquement qu’il n’y avait rien à craindre du coronavirus. Et ce test fut dans la foulée recommandé par l’OMS dans le monde entier.
La réponse est la suivante : un test PCR ne peut fournir aucune information sur une infection, il n’est même pas homologué à cette fin. C’est pourquoi ce test ne dispose que d’une « autorisation d’utilisation d’urgence » aux États-Unis, et non d’une véritable autorisation à part entière.
Où ai-je trouvé les réponses à ces trois questions ? Ce sont les résultats du travail du Comité Corona, que ma collègue Viviane Fischer et moi-même avons fondé avec deux autres avocats le 10 juillet 2020, et qui a depuis été sans discontinuer conseillé par le pneumologue et ancien chef de service de santé publique de longue date, le Dr Wolfgang Wodarg, la Professeur Dr Ulrike Kämmerer, Professeur de biologie humaine de l’Université de Würzburg, et le professeur de droit Dr Martin Schwab de l’Université de Bielefeld.

Ce comité a depuis consulté une centaine de scientifiques respectés et de renommée mondiale : des médecins, des juristes, des économistes, des psychologues, des psychiatres et bien d’autres.

Il n’est même plus nécessaire d’expliquer à qui que ce soit que les dommages causés par ces mesures sont dévastateurs. Une troisième guerre mondiale n’aurait pas fait pire.
Le fait que le danger réel du virus — quel qu’il soit exactement, et indépendamment du fait qu’il n’a jamais été isolé de manière scientifiquement correcte, — ne dépasse pas celui de la grippe saisonnière, ce fait a même été admis par l’OMS, qui suppose un taux d’infection de 0,14 %, comme je l’ai mentionné tout à l’heure.

Et l’écrasante majorité de ceux qui meurent, ont plus de 80 ans, et présentent de multiples pathologies préexistantes graves. C’est ce que prouvent, entre autres, les autopsies réalisées par le professeur Püschel de Hambourg, et, curieusement, réalisées contre la volonté expresse du RKI.
Entre-temps, des dizaines de scientifiques ont confirmé que le test dit « Test PCR de Drosten », devenu tristement célèbre dans le monde entier, ne permet pas de tirer des conclusions sur les infections, contrairement aux affirmations de son inventeur Monsieur Drosten. Même l’OMS et le CDC, l’institut de référence américain homologue du RKI allemand, l’ont admis et ont souligné qu’un test positif ne dit rien sur le caractère infectieux de la personne testée.

Cela est dû au fait que ce test ne permet pas de faire la distinction entre les matériaux vivants et les matériaux morts. Il ne peut donc pas dire si ce qu’il détecte est un fragment mort, vestige de la défense réussie du système immunitaire de l’organisme contre une attaque virale surmontée dans le passé, ou si un virus vivant a effectivement pénétré dans les cellules et s’y multiplie. Or, c’est uniquement cela qui conduirait à une infection. Ce test ne peut pas non plus nous indiquer si les symptômes qui apparaissent chez une personne ne proviennent pas d’un autre agent pathogène, par exemple un virus du rhume ou de la grippe.

D’ailleurs, le CDC indique en deux phrases que « la mise en évidence d’un ARN viral ne suggère pas la présence d’un virus infectieux ou que le Covid 19 est l’agent responsable des symptômes cliniques », et que « ce test ne permet pas d’exclure une maladie causée par d’autres agents bactériens ou viraux ».

Ah oui, et bien évidemment : Ces deux déclarations présupposent que la personne testée présente des symptômes, par exemple des maux de tête ou de gorge, douleurs dans les membres, diarrhée, etc.
Normalement, une personne qui ne présente aucun symptôme, c’est-à-dire aucun trouble, et qui, par conséquent, ne pourrait donner au médecin aucune indication pour un diagnostic médical de quoi que ce soit, eh bien une personne qui n’a rien ne va pas chez le médecin. Que répondre en effet à la question du médecin : « De quoi souffrez-vous ? » si vous ne présentez aucun symptôme ?
Normalement, du moins jusqu’à l’arrivée de Corona, les personnes ne présentant aucun symptôme étaient considérées comme étant en bonne santé — et perçues comme telles.

Notons également que cette affirmation selon laquelle il existerait des infections sans symptômes dites « asymptomatiques » est une thèse que Monsieur Drosten a également soutenue. Or, comme l’a montré récemment une étude menée auprès de 10 millions de participants à Wuhan, en Chine, à la fin de l’année dernière, il n’existe aucune infection asymptomatique.

Donc, résumons : ces deux affirmations fausses — l’affirmation selon laquelle il existe des infections asymptomatiques et l’affirmation selon laquelle le test PCR de Drosten peut détecter les infections — proviennent toutes deux de Drosten lui-même.

Il les a publiées au début de l’année 2020 dans deux documents qui ne répondent même pas aux normes scientifiques reconnues. D’ailleurs, au sujet de ces tests PCR, 22 scientifiques de renommée internationale se sont accordés pour le faire savoir dans leur soi-disant rétraction papier « document de rétractation ».
De plus, lorsqu’il a publié ces déclarations, il savait pertinemment qu’elles étaient fausses. Il savait, au moment de la publication, et au sujet de l’infection asymptomatique, que le cas qu’il a cité comme exemple d’une femme chinoise en visite en Allemagne n’était pas du tout asymptomatique. Elle avait même traité ses symptômes avec un médicament communément utilisé contre la grippe.

Et selon une interview qu’il a accordée à la Wirtschaftswoche en 2014, il avait parfaitement conscience qu’un test PCR positif ne veut rien dire en matière d’infection.

Mais Monsieur Drosten, outre de graves conflits d’intérêts financiers, a un tout autre problème de crédibilité. En effet, des doutes planent sur sa thèse de doctorat, et s’il a en fait le droit de porter ce titre de docteur. À ce sujet, une action en justice est en cours.

Au sujet de sa crédibilité également. Pendant l’épidémie de grippe porcine de 2009, et avec l’Anglais Neil Ferguson, aujourd’hui complètement discrédité, il a averti le public des conséquences désastreuses et des millions de morts si une vaccination de masse n’avait pas lieu immédiatement.
Ces prédictions se sont révélées totalement infondées et erronées, et la grippe porcine s’est avérée être une « grippe bénigne ». Cependant, les vaccins avaient déjà été achetés par de nombreux pays de par le monde — à des conditions qui sont restées d’ailleurs secrètes jusqu’à ce jour — et ont ensuite été injectés avant que tous les stocks ne soient détruits à grands frais. En conséquence, environ 1300 enfants, notamment en Scandinavie, sont gravement handicapés à vie parce qu’ils souffrent de narcolepsie.

La question est de savoir pourquoi le gouvernement fédéral, sans même un soupçon d’empathie ou de compassion, a suivi les conseils de cet homme et ses demandes de confinement massif, pourquoi il a ordonné ces mesures dévastatrices qui, entre autres, ont ainsi laissé des malades en phase terminale mourir seuls, sans l’accompagnement de leurs proches.

Et pourquoi le gouvernement a-t-il non seulement refusé de prendre connaissance d’autres opinions, mais les a rejetées en bloc en les qualifiant d’extrême droite, d’antisémites et de théories du complot, sans même seulement les examiner, et encore moins en discuter ?

Bref, comment se fait-il que le gouvernement — et, dans la foulée, le gouvernement des Länder — ait sciemment et volontairement ordonné des mesures mortifères et dévastatrices, qu’il ait exigé que personne ne pose de questions et qu’il ait en outre ignoré et délibérément dénigré tous les autres avis scientifiques et médicaux qui affirmaient que le nouveau virus présumé ne représentait pas une plus grande menace que le virus de la grippe, qu’il existait des traitements efficaces qui ne coûtaient pratiquement rien et que les mesures dans leur ensemble causeraient les dommages sanitaires et économiques les plus dévastateurs.
Comment le gouvernement fédéral en est-il venu à ignorer même les données corroborantes détaillées dans le volumineux « document sur les fausses alertes » que j’ai déjà mentionné, rédigé par un fonctionnaire hautement qualifié du ministère de l’Intérieur chargé de la défense civile ?
Et surtout, pourquoi le gouvernement fédéral, en désaccord complet avec le code de Nuremberg, autorise-t-il une expérience médicale sur sa propre population, et pour ce faire, lui ment délibérément.
Pourquoi le gouvernement fédéral permet-il que la population, qui est poussée dans cette direction depuis un an, soit traitée avec un produit dénommé vaccin, qui est en fait un traitement génétique dont l’efficacité est très controversée, et dont la dangerosité n’a jamais été testée de manière adéquate dans aucune étude scientifique, et qui l’est en ce moment même, « en direct », pour ainsi dire, sur une population sans méfiance.
Pourquoi, après des effets secondaires massifs, y compris une multitude de décès signalés, pour lesquels toute étude sérieuse serait immédiatement interrompue, pourquoi le gouvernement permet-il à cette expérience de se poursuivre ?

14:50
Pour résumer : quels intérêts le gouvernement allemand représente-t-il lorsqu’il ordonne des mesures aussi destructrices ? Ceux du peuple allemand, ou d’autres, totalement différents ?

Étant donné le fait évident que des représentants du gouvernement intelligents et empathiques n’agiraient jamais de la sorte, contre leur propre peuple, en optant pour des mesures qui porteraient gravement atteinte à leur santé, à leur économie et, surtout, à la démocratie, la question qui se pose et s’impose, c’est : Au nom de qui le gouvernement agit-il de la sorte ? Et pour quelles raisons ?
Lorsque l’on sait que les conseillers principaux du gouvernement fédéral allemand, sont, outre Drosten, le Wellcome Trust et la Fondation Bill & Melinda Gates, des représentants de haut rang de l’industrie pharmaceutique productrice de vaccins et de l’industrie technologique, qui tous réclament unisono l’introduction d’un passeport numérique de vaccination, on peut soupçonner que ce sont leurs intérêts qui sont représentés ici, et non ceux de la population, et ce, sans aucune empathie.

15:52
Un regroupement de plus en plus important d’avocats internationaux, en particulier de droit anglo-américain, travaille en étroite coopération pour faire la lumière dans l’obscurité et trouver les réponses aux questions suivantes : qui est derrière tout cela, et qui doit être tenu pour responsable. Car comme l’a dit le juriste Louis Brandeis, ancien membre de la Cour suprême aux États-Unis, « Sunlight is said to be the best of disinfectants » — « la lumière du soleil est le meilleur de tous les désinfectants » –

Et cette lumière du soleil, c’est la lumière au bout du tunnel que nous pouvons d’ores et déjà tous apercevoir, elle est de plus en plus brillante.



Cette vidéo « ainsi que d’autres » est également disponibles en cliquant sur le lien ci-dessous : https://rumble.com/c/c-791093

🔴 Article détaillé des poursuites judiciaires : https://translate.google.com/translate?sl=en&tl=fr&u=https://dailyexpose.co.uk/2021/05/17/lawyers-and-medical-experts-worldwide-say-they-have-all-the-evidence-they-need-to-convict-who-cdc-phe-bill-gates-and-world-leaders-of-crimes-against-humanity/


[Voir aussi :
La Dictature médicale Secrète : Entretien historique entre la rescapée de l’holocauste Vera Sherav et l’avocat Reiner Fuellmich
Reiner Fuellmich : “Je vois une lumière à la fin de ce tunnel !”
État actuel de la procédure judiciaire menée par le Dr Fuellmich]




Tous les yeux sur la Suisse : le 13 juin 2021, c’est référendum contre la dictature sanitaire

[Source : medias-presse.info]

Par Alain Späth

Méthodes pernicieuses d’un côté, naïveté et puérilité de l’autre, les bureaucrates fédéraux à la botte du globalisme occulte sont sur le point de faire aboutir leur immense hold-up juridique sur le dos du peuple suisse. Heureusement, des citoyens se sont levés : grâce à eux, l’usage des libertés les plus fondamentales pourrait encore être prolongé pour quelque (précieux) temps…

Ce 13 juin, le peuple suisse est appelé à voter sur cinq objets – deux initiatives populaires et trois référendums. Les deux premiers, ainsi que l’un des trois référendums portent sur des questions de politique agricole et environnementale ; ils sont certes importants, mais secondaires au regard du « nouveau péril rouge » qui est en train de s’abattre sur toutes les nations de la terre. Effectivement, ce sont bien les deux derniers objets – « NON à la Loi Covid » et « NON à la Loi contre le terrorisme (MPT) » – qui sont urgents et cruciaux pour l’avenir de notre pays. Car si le OUI venait à l’emporter sur ces deux référendums le 13 juin, le peuple suisse sera cette fois à son tour totalement réduit au niveau d’aliénation politique des autres « démocraties » européennes et perdra très rapidement le peu de libertés véritables que lui garantissent encore à ce jour son système institutionnel et juridique.

Un NON nous donnerait à tous du temps supplémentaire pour organiser la résistance

Pour nous suisses, aucun doute, l’enjeu de ces votations est de taille. Un OUI à la Loi MPT pourrait ainsi par exemple avoir pour conséquence directe l’arrestation de l’auteur de ces lignes si le Conseil fédéral (pouvoir exécutif suisse) venait à le décider, la définition de « terroriste » étant si floue dans les articles de la loi en question que toute personne critique envers le gouvernement pourrait entrer dans cette catégorie. Mais cette problématique est relativement secondaire par rapport à la Loi Covid, car contrairement à celle-ci, elle reste une « affaire interne » ne concernant que les suisses et a donc peu d’influence, dans l’absolu, sur les autres pays d’Europe et du monde (la dictature sous toutes ses formes étant de toute façon déjà plus ou moins la norme partout). Aussi, comme il est naturel de n’avoir que peu d’intérêt véritable pour les affaires politiques d’un autre pays que le sien, nous n’insisterons pas plus sur la Loi MPT, mais nous concentrerons ici exclusivement et très brièvement sur la Loi Covid. Et pour cause : nous sommes convaincus que par l’universalité et l’actualité de son objet, un NON par le peuple suisse pourrait avoir des répercussions mondiales dans le combat et la résistance contre ce que nous considérons comme la phase finale de la Révolution, la consolidation totale de toutes les infrastructures du Nouvel Ordre Mondial : l’établissement du Royaume de l’Antéchrist.

Un enjeu qui dépasse de loin nos frontières

Amis français, belges ou canadiens, la votation contre la Loi Covid du 13 juin est aussi la votre !

Imaginez l’impact moral pour notre commun combat pour la liberté véritable ! Et en terme de jurisprudence : imaginez la matière sur laquelle les juges intègres de vos pays pourront s’appuyer ! Car nous avons tendance à l’oublier : malgré leur erreur fondamentale et leurs vices (laïcisme et positivisme juridique), les constitutions libérales telles qu’elles pouvaient s’appliquer jusqu’en 2020 ont au moins le mérite de préserver ce qui reste du bien commun des nations en leur garantissant le maintien d’une certaine paix et le développement d’une certaine prospérité. À l’inverse, si les « lois d’exceptions » parviennent à s’imposer à long-terme, comme le permettrait notamment le « hold-up juridique » qu’incarne la Loi Covid, nous ne disposerons plus d’aucun garde-fou contre les utopies sociales qui foisonnent dans les cervelles malades des héritiers contemporains des « philosophes » des Lumières. Car qu’est-ce que le concept « vous ne posséderez rien et vous serez heureux », si ce n’est le storytelling d’un « bolchévisme 2.0 », dont les idées sont aussi vieilles que « ces démons qui renaissent de siècles en siècles » (François de Charrette) ? Il n’est pas trop tard ! Nous pouvons encore enrayer cette mécanique infernale – ou du moins, la ralentir, le temps de reprendre notre souffle !

Alors concrètement, que faire ?

D’abord, si vous avez des amis et des connaissances en Suisse, informez-les de l’importance de cette votation du 13 juin : vous serez étonnés de constater à quel point nombre de suisses sont complètement « endormis » face à la gravité de la situation. Dites-leur de se former et d’alerter à leur tour leur cercle d’amis et de connaissances. Dans l’idéal, incitez-les à rejoindre une section locale de l’association des Amis de la Constitution : ils sont toujours à la recherche de citoyens motivés pour distribuer des tracts et coller des affiches ! Il n’est pas trop tard : nombre de gens sont indécis ou n’avaient peut-être pas l’intention de voter. Chaque voix compte ! (…)

NON à la dictature sanitaire !




The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement

[Source : anguillesousroche.com]

Une nouvelle méthode « audacieuse » utilise une protéine magnétisée pour activer les cellules du cerveau de manière rapide, réversible et non invasive.

Des chercheurs américains ont mis au point une nouvelle méthode pour contrôler les circuits cérébraux associés aux comportements complexes des animaux, en utilisant le génie génétique pour créer une protéine magnétisée qui active à distance des groupes spécifiques de cellules nerveuses.

Comprendre comment le cerveau génère le comportement est l’un des objectifs ultimes des neurosciences – et l’une de leurs questions les plus difficiles. Ces dernières années, les chercheurs ont mis au point un certain nombre de méthodes qui leur permettent de contrôler à distance des groupes spécifiques de neurones et de sonder le fonctionnement des circuits neuronaux.

La plus puissante de ces méthodes est l’optogénétique, qui permet aux chercheurs d’activer ou de désactiver des populations de neurones apparentés, à l’échelle de la milliseconde, à l’aide d’impulsions de lumière laser. Une autre méthode récemment mise au point, appelée chimiogénétique, utilise des protéines modifiées qui sont activées par des médicaments de synthèse et peuvent être ciblées sur des types de cellules spécifiques.

Bien que puissantes, ces deux méthodes présentent des inconvénients. L’optogénétique est invasive, car elle nécessite l’insertion de fibres optiques qui délivrent les impulsions lumineuses dans le cerveau. De plus, la pénétration de la lumière dans le tissu cérébral dense est fortement limitée. Les approches chimiogénétiques permettent de surmonter ces deux limitations, mais elles induisent généralement des réactions biochimiques qui prennent plusieurs secondes pour activer les cellules nerveuses.

La nouvelle technique, mise au point dans le laboratoire d’Ali Güler à l’université de Virginie à Charlottesville, et décrite dans une publication avancée en ligne dans la revue Nature Neuroscience, est non seulement non invasive, mais peut également activer les neurones rapidement et de manière réversible.

Plusieurs études antérieures ont montré que les protéines des cellules nerveuses qui sont activées par la chaleur et la pression mécanique peuvent être génétiquement modifiées pour devenir sensibles aux ondes radio et aux champs magnétiques, en les attachant à une protéine stockant le fer appelée ferritine, ou à des particules paramagnétiques inorganiques. Ces méthodes représentent une avancée importante – elles ont, par exemple, déjà été utilisées pour réguler le taux de glucose dans le sang des souris – mais elles impliquent de multiples composants qui doivent être introduits séparément.

La nouvelle technique s’appuie sur ces travaux antérieurs et se base sur une protéine appelée TRPV4, qui est sensible à la fois à la température et aux forces d’étirement. Ces stimuli ouvrent son pore central, permettant au courant électrique de circuler à travers la membrane cellulaire ; cela provoque des impulsions nerveuses qui se propagent dans la moelle épinière, puis dans le cerveau.

Güler et ses collègues ont pensé que les forces de couple magnétique (ou de rotation) pouvaient activer TRPV4 en ouvrant son pore central. Ils ont donc utilisé le génie génétique pour fusionner la protéine avec la région paramagnétique de la ferritine, ainsi que de courtes séquences d’ADN qui signalent aux cellules qu’elles doivent transporter les protéines vers la membrane des cellules nerveuses et les y insérer.about:blankCliquez pour accepter les cookies de marketing et activer ce contenu

Lorsqu’ils ont introduit cette construction génétique dans des cellules rénales embryonnaires humaines poussant dans des boîtes de Pétri, les cellules ont synthétisé la protéine « Magneto » et l’ont insérée dans leur membrane. L’application d’un champ magnétique a activé la protéine TRPV1 modifiée, comme en témoigne l’augmentation transitoire de la concentration d’ions calcium dans les cellules, détectée au microscope à fluorescence.

Ensuite, les chercheurs ont inséré la séquence d’ADN Magneto dans le génome d’un virus, avec le gène codant pour la protéine fluorescente verte et des séquences d’ADN régulatrices qui font que la construction n’est exprimée que dans des types spécifiques de neurones. Ils ont ensuite injecté le virus dans le cerveau de souris, en ciblant le cortex entorhinal, et ont disséqué le cerveau des animaux pour identifier les cellules qui émettent une fluorescence verte. À l’aide de microélectrodes, ils ont ensuite montré que l’application d’un champ magnétique sur les tranches de cerveau activait Magneto afin que les cellules produisent des impulsions nerveuses.

Afin de déterminer si Magneto peut être utilisée pour manipuler l’activité neuronale chez des animaux vivants, ils ont injecté Magneto dans des larves de poisson zèbre, en ciblant les neurones du tronc et de la queue qui contrôlent normalement une réaction de fuite. Ils ont ensuite placé les larves de poisson-zèbre dans un aquarium magnétisé spécialement conçu à cet effet et ont constaté que l’exposition à un champ magnétique induisait des mouvements d’enroulement similaires à ceux qui se produisent lors de la réaction de fuite. (Cette expérience a porté sur un total de neuf larves de poisson zèbre, et des analyses ultérieures ont révélé que chaque larve contenait environ 5 neurones exprimant Magneto).

Lors d’une dernière expérience, les chercheurs ont injecté Magneto dans le striatum de souris au comportement libre, une structure cérébrale profonde contenant des neurones producteurs de dopamine qui interviennent dans la récompense et la motivation, puis ont placé les animaux dans un appareil divisé en sections magnétisées et non magnétisées. Les souris exprimant Magneto ont passé beaucoup plus de temps dans les zones magnétisées que les autres, car l’activation de la protéine a provoqué la libération de dopamine par les neurones striataux qui l’expriment, de sorte que les souris ont trouvé gratifiant de se trouver dans ces zones. Cela montre que Magneto peut contrôler à distance l’allumage des neurones dans les profondeurs du cerveau, ainsi que des comportements complexes.

Le neuroscientifique Steve Ramirez, de l’université Harvard, qui utilise l’optogénétique pour manipuler les souvenirs dans le cerveau des souris, a déclaré que cette étude était « géniale ».

« Les précédentes tentatives [d’utilisation d’aimants pour contrôler l’activité neuronale] nécessitaient de multiples composants pour que le système fonctionne – injection de particules magnétiques, injection d’un virus exprimant un canal thermosensible, [ou] fixation de la tête de l’animal pour qu’une bobine puisse induire des changements dans le magnétisme », explique-t-il. « Le problème d’avoir un système à plusieurs composants est qu’il y a tellement de possibilités pour que chaque pièce individuelle se décompose. »

« Ce système est un virus unique et élégant qui peut être injecté n’importe où dans le cerveau, ce qui rend techniquement plus facile et moins probable que les cloches et les sifflets mobiles tombent en panne », ajoute-t-il, « et leur équipement comportemental a été intelligemment conçu pour contenir des aimants aux endroits appropriés afin que les animaux puissent se déplacer librement ».

La « magnétogénétique » est donc un ajout important à la boîte à outils des neuroscientifiques, qui sera sans aucun doute développé plus avant et fournira aux chercheurs de nouveaux moyens d’étudier le développement et le fonctionnement du cerveau.


Référence

Wheeler, M. A., et al. (2016). Contrôle magnétique génétiquement ciblé du système nerveux. Nat. Neurosci, DOI : 10.1038/nn.4265 [Abstract]


Lire aussi : Le mensonge de Bill Gates : « Je n’ai jamais été impliqué dans aucune sorte de chose de type micropuce »

Source : The Guardian – Traduit par Anguille sous roche




Covid-19 – Partager l’expérience ? Quelle idée…

[Source : mediapart.fr]

De façon assez manifeste, durant cette crise du Covid-19, un mécanisme brille par son absence : le partage d’expérience.

On aurait pu imaginer qu’un organisme international (OMS ou autre), une ONG ou un site Internet recueille les diverses mesures prise par chaque pays (les confinements, les ports de masque, mais aussi les traitements mis en œuvre, les surcroîts de ventes observés pour divers médicaments etc.), et que ces informations soient accessibles.

On aurait aussi pu s’attendre à ce que les médias s’intéressent à l’évolution de divers pays ayant adopté des mesures différentes.

Et pourtant, c’est le contraire qui se passe : il est extrêmement difficile de savoir ce qui se passe ailleurs, et plus encore ce que se fait ailleurs.

Inde

Parfois, cette absence d’information prend des proportions étranges. Ainsi, comme on l’a signalé, voilà plus d’un mois que l’Inde, en pleine flambée épidémique, a inclus deux médicaments (l’ivermectine et la budesonide) dans ses recommandations de traitement précoce, c’est-à-dire pour les patients atteints de formes légères de Covid-19 (Fig.1).

Fig.1 Extrait des recommandations du Ministère indien de la Santé © Ministry of Health and Family Welfare

(Ces recommandations, initialement publiées le 23 avril 2021, ont été mises à jour le 19 mai, sans changement sur l’ivermectine et la budesonide.)

En Inde déjà, plusieurs états avaient officiellement adopté l’ivermectine comme traitement précoce depuis le mois d’août 2020, en remplacement de l’hydroxychloroquine. C’est notamment le cas de l’état le plus densément peuplé de l’Inde, l’Uttar Pradesh, dont le bilan durant la vague épidémique qui a frappé l’Inde à partir de mars a été modéré : 18516 décès enregistrés entre le 1er mars et le 29 mai 2021, pour 237 millions d’habitants. (En comparaison, sur la même période, le bilan de l’état du Maharashtra est de 41846 décès, pour 123 millions d’habitants ; et la France a déclaré 22563 « décès Covid », pour 67 millions d’habitants.)

Médias aveugles ou muets

On ne peut pas reprocher aux médias français d’avoir trop parlé de cette politique de traitements précoces récemment adoptée en Inde.
On peut par exemple faire l’expérience de taper « Inde » et « ivermectine » sur un moteur de recherche…
On n’y trouvera pas cet article de France Info, qui signale le reflux spectaculaire de l’épidémie à New Delhi, sans mentionner le récent changement de position de l’Inde sur les traitements précoces.

Quant à l’OMS, elle réussit un exploit. Elle publie le 7 mai 2021 un article sur l’Uttar Pradesh, titré « l’Uttar Pradesh sur la dernière ligne droite pour arrêter le Covid-19 », décrivant la politique sanitaire mise en œuvre dans l’état avec l’aide de l’OMS : à partir du 5 mai 2021, 141.610 équipes mobiles devaient faire du porte à porte dans les villages de l’Uttar Pradesh pour dépister les habitats, donner un « kit de médicaments » aux personnes testées positives, et presser les autres de se faire vacciner. Et cet article parvient à ne pas mentionner les mots « ivermectine » ou « budesonide »…

Selon TrialSiteNews, la presse indienne elle-même semble ne pas connaître le nom des molécules recommandées par le Ministère indien de la Santé depuis avril, et chercher ailleurs des explications du spectaculaire retournement de situation en Inde.

Parce que l’Inde va mieux, indéniablement. Le nombre de cas détectés chute depuis le 8 mai (Fig.2), et le nombre de décès a commencé à suivre, depuis le 23 mai (Fig.3).

Fig.2 – Evolution du nombre de cas de Covid détectés en Inde © OurWorldInData.org
Fig.3 – Evolution du nombre de décès Covid en Inde © OurWorldInData.org
Fig.4 – Mortalité du Covid en Inde, état par état © Enzo Lolo d’après https://www.covidindiastats.com/

Il est intéressant d’examiner en détail la situation des différents états indiens, notamment pour ceux dont on connaît la politique spécifique en matière de lutte contre le Covid-19. Car les états indiens ont des politiques, des bilans et des évolutions contrastés (Fig.4). Bien qu’il manque un outil de partage des expérience, on peut trouver quelques informations. On sait par exemple que :

– l’état de Goa a décidé*, le 13 mai 2021, d’aller au-delà des préconisations du gouvernement central indien, et de distribuer de l’ivermectine non pas seulement en traitement précoce (aux personnes atteintes du Covid-19) mais en traitement préventif à tous les adultes. Quinze jours après, la Haute-Cour a validé le principe du traitement à l’ivermectine. (Autres sources.) Par ailleurs, l’état — qui a été l’un des plus touchés d’Inde lors de la reprise épidémique — vient de prolonger le couvre-feu jusqu’au 7 juin.

– l’état d’Uttarakhand a semble-t-il décidé de l’imiter, mais son site gouvernemental n’en fait pas mention — du moins pas en anglais. Il est intéressant de le suivre, car c’est dans cet état que se tient cette année le pèlerinage de Kumbh Mela, qui rassemble des millions de visiteurs venus de toute l’Inde.

– l’état du Maharashtra, comme le relate cet article, applique les directives du gouvernement central indien concernant l’utilisation de l’ivermectine en traitement précoce, mais la Haute Court rendra en juin sa réponse à une demande d’autoriser l’ivermectine en traitement préventif aux côtésde la vitamine D.

– l’état du Tamil Nadu, inversement, à refusé d’appliquer les directives de Ministère indien de la Santé, et en guise de traitement précoce, ne préconise que le zinc et la vitamine C. Le taux d’incidence du Tamil Nadu, qui était en dessous de la moyenne indienne, a dépassé cette moyenne dès le 7 mai, et en est le triple au 30 mai.

Pour plus de lisibilité, on a isolé ces états et quelques autres sur des graphiques représentant l’évolution des taux d’incidence (nombre de cas détectés par million d’habitants, Fig.5) et le taux de mortalité quotidien (nombre de « décès Covid » par million d’habitants, Fig.6).

Fig.5 – Taux d’incidence dans quelques états de l’Inde © Enzo Lolo d’après https://www.covidindiastats.com/
Fig.6 – Taux de mortalité dans quelques états de l’Inde © Enzo Lolo d’après https://www.covidindiastats.com/

Il faut se garder de considérer que la politique officielle d’un état s’applique à la population de façon immédiate et exhaustive, mais on peut commencer par supposer qu’il existe un lien entre les recommandations d’un état et la proportion de la population qui a recours aux traitements recommandés. Il est donc raisonnable (même si on ne dispose pas de preuve et qu’il conviendrait d’étudier d’autres facteurs explicatifs) de faire, en première hypothèse, le lien entre la hausse observée au Tamil Nadu et le refus des traitements précoces par son gouvernement local.

Mexique

Un phénomène semblable plonge l’expérience du Mexique dans l’ombre . On a certes beaucoup entendu parler du Mexique lors de la vague qui l’a frappé cet hiver, mais on a moins entendu parler du fait que l’ivermectine a été adoptée par plusieurs états et par la sécurité sociale mexicaine à partir de fin décembre 2020. Un article de Capital, mentionnant l’expérience du Chiapas, fait figure d’exception.

L’étude de Merino et al., menée avec la Ville de Mexico, sur plus de 230.000 patients testés positifs, dont 77.000 ont reçu un kit de traitement (ivermectine + azithromycine) et faisant état de son expérience, selon laquelle le traitement a réduit de 75 % le risque d’hospitalisation chez les personnes testées positives, n’a pas eu énormément d’écho dans les grands médias.

Faisant suite à plusieurs billets précédents (iciici ou ), on poursuivra ici la veille sur l’évolution du Covid-19 au Mexique, à partir des données officielles du gouvernement mexicain, reprises de façon plus maniable sur cette page.

Fig.7. Extrait de la page « Coronavirus » du gouvernement central mexicain, 30 mai 2021 © Gouvernement du Mexique

Rappelons que le gouvernement central mexicain continue à considérer qu’aucun traitement n’existe (Fig.7) et que les seuls médicaments à prendre sont destinés à alléger les symptômes. Il est suivi par la plupart des états qui composent le Mexique, avec quelques exceptions : le Chiapas dès Juillet 2020, suivi à partir de fin décembre par la Ville de Mexico, puis par l’état d’Aguascalientes et celui de Guanajuato, mais surtout par l’IMSS (la sécurité sociale du secteur privé), qui ont inclus l’ivermectine et l’azithromycine dans leurs recommandations de traitement précoce. L’IMSS, qui a des centres de dépistage dans tous les états et qui y distribue des kits de traitement à toute personne recevant un test positif, a donc un impact potentiel sur tout le pays — sans pour autant avoir la maîtrise de la politique sanitaire. Les Mexicains ont d’ailleurs d’autres centres de dépistage que ceux de l’IMSS, et contrairement à ces derniers, certains centres ne leur fourniront pas de kit de traitement précoce en cas de tests positif.

Qu’observe-t-on au Mexique ?

Une tendance est manifeste : depuis la mi-janvier, « ça baisse » (Fig.8).

Fig.8 – Taux d’incidence au Mexique, état par état © Enzo Lolo, d’après les données du gouvernement mexicain. Source : https://github.com/mariorz/covid19-mx-time-series/commits?author=mariorz

Ce graphique représente le taux d’incidence pour chaque état du Mexique et permet devoir que la baisse est continue, et particulièrement marquée pour la Ville de Mexico, qui a quitté sa place de pire état du Mexique depuis quelques semaines. C’est encore plus net pour la mortalité (Fig.9), qui a atteint son plus bas niveau depuis les prémisses de l’épidémie en mars 2020. On est bien plus bas qu’au moment « d’accalmie » de l’automne 2020. Pourtant deux ou trois états semblent moins profiter de cette baisse générale.

En particulier, l’état de Quintana Roo, au Sud Est du Mexique, est en hausse depuis 3 mois.

Fig.9 – Mortalité au Mexique, état par état © Enzo Lolo, d’après les données du gouvernement mexicain. Source : https://github.com/mariorz/covid19-mx-time-series/commits?author=mariorz

Il faudrait se pencher en détail sur ce qui s’y passe. On sait que le gouvernement local de cet état ne préconise pas les traitements précoces, qu’il y a même des campagnes de désinformation sur l’ivermectine, comme par exemple ce message (Fig.10)*

Fig.10 – Message du groupe Facebook « Covid Quintana Roo » © « Covid Quintana Roo »
Fig.11 – Compte Twitter de l’IMSS du Quintana Roo © Twitter

publié par un groupe Facebook se présentant comme émanant de pneumologues et cardiologues ; on sait aussi que le compte de l’IMSS du Quintana Roo a été suspendu par Twitter (Fig.11) ; mais il serait hasardeux d’affirmer que seuls les habitants du Quintana Roo seraient sujets à de telles pressions. Une évaluation de la part des patients recevant (et prenant) un traitement précoce dans chaque état serait une information précieuse, mais elle ne semble pas disponible.

Ce serait d’autant plus précieux que les médias mexicains ne sont pas très diserts sur le fait qu’un traitement précoce a été largement mis en œuvre. D’après un article de TrialSiteNews, les médias mexicains ne font même pas état de la spectaculaire amélioration de la situation ! On trouve par ailleurs une dépêche de Bloomberg attribuant le recul rapide de l’épidémie à l’immunité post-infection, à la vaccination (bien qu’environ 16% des mexicains aient reçu une dose de vaccin), au réchauffement météorologique et… à la proximité avec les USA. Les traitements ne sont même pas mentionnés comme hypothèse.

On gardera donc le doute sur ce qui se passe au Quintana Roo. Et pour rester rigoureux, on précisera que le lien entre le recul de l’épidémie et les traitements précoces, que ce soit au Mexique, en Inde ou ailleurs, reste une hypothèse. Mais que cette hypothèse est cohérente avec toutes les observations faites dans divers pays, mais surtout avec les preuves scientifiques, apportées par des méta-analyses et des revues systématiques publiées, concluant à la grande efficacité de l’ivermectine face au Covid-19, notamment en traitement précoce.

Brésil

Suite à deux précédents billets (ici et ), voici un aperçu de la situation au Brésil (Fig.12).

Fig.12 – Mortalité du Covid-19 au Para, en Amazonas et dans les autres états brésiliens © Enzo, Lolo, d’après les chiffres du gouvernement brésilien. Source : https://covid.saude.gov.br/

L’étude d’Emmmerich s’était arrêtée au 15 mars 2021. Depuis, même si les chiffres ont évolué et partiellement atténué l’effet qu’il décrivait, le constat reste le même : l’état du Pará a traversé la deuxième vague brésilienne avec nettement moins de pertes que l’état voisin de l’Amazonas. Le Pará a fait une deuxième vague plus tardive que l’Amazonas (ce qu’Emmerich n’avait pas pu voir), mais nettement moins haute. Et, si le bilan de cette vague n’est plus 5 fois pire, il est encore 2,2 fois plus élevé en Amazonas qu’au Pará : 1949 décès par million d’habitants entre le 1er décembre et le 29 mai en Amazonas, contre 879 au Pará. Un indice supplémentaire : depuis juin 2020, après l’organisation de la mise en œuvre des traitements précoces, le Pará n’est plus jamais repassé au-dessus de la moyenne brésilienne en termes de mortalité.

Zimbabwe

On n’a pas encore abordé le cas du Zimbabwe sur ce blog. Il est singulier : l’ivermectine, qui y était interdite, a été autorisée fin janvier, après la mort de trois ministres emportés par le Covid-19 lors d’une vague inédite. La chute des décès dus au Covid a dès lors été plus rapide et plus durable que pour ses voisins (Fig. 13).

Fig.13 Mortalité du Covid au Zimbabwe et chez ses voisins © OurWorldInData.org

Pourquoi le Zimbabwe a-t-il été plus touché, en janvier 2021 que la Zambie et le Mozambique, mais moins que le Botswana et l’Afrique du Sud, cela mériterait une enquête poussée (quelle fiabilité des données, quelles politiques de santé publique, quels traitements distribués, contre le Covid ou contre d’autres maladies avec un possible effet sur le Covid…) Sauf éléments concrets permettant d’en douter, une chose semble lisible : à partir de janvier, le Zimbabwe a rejoint le groupe des pays voisins les moins touchés par le Covid-19 et y est resté.


*le document provient du site du gouvernement de Goa, sous le lien « Pro-Active Measures Adopted By Govt On Covid-19 »

** Sur ce post, on peut lire « Non à l’ivermetine« , puis « La publication qui a tout commencé, sur l’effet in vitro de l’Ivermectine contre SARS-CoV-2 est officiellement RETRACTÉE« . Ce qui est faux : l’image reproduite est tirée d’une autre étude, effectivement rétractée avant même d’être publiée, mais sans lien avec l’étude de Caly et al. qui a « tout commencé ».




Interview de Zach Bush par Robert F. Kennedy, Jr. : « Nous devons nous éloigner du paradigme Santé de Big Pharma »

[Source : Miss Red Pill — InfoVF]

Dans le dernier épisode de la deuxième saison de « TRUTH » avec Robert F. Kennedy Jr, ce dernier a interviewé le Dr Zach Bush, de renommée internationale. https://childrenshealthdefense.eu/?lang=…

Kennedy et Bush abordent un large éventail de sujets, notamment :

– le rôle crucial de l’inflammation dans la maladie ;
– comment le glyphosate perturbe le microbiome intestinal ;
– l’histoire largement incomprise du virus de la polio ;
– la prise de contrôle par l’industrie pharmaceutique du système de réglementation de la santé ;
– Bill Gates et ses amis scientifiques qui jouent sur un échiquier en 2 dimensions alors que notre microbiome est un système tridimensionnel ;
– la Covid-19.

Zach Bush MD est un médecin spécialisé en médecine interne, en endocrinologie et en soins palliatifs. C’est un éducateur de renommée internationale et un leader d’opinion sur le microbiome en relation avec la santé, la maladie et les systèmes alimentaires. Le Dr Zach Bush a fondé le *Seraphic Group et l’organisation à but non lucratif Farmer’s Footprint afin de développer des solutions pour la santé humaine et écologique.

◾Vidéo Originale : https://youtu.be/r6oQwNx65os

◾A voir aussi sur le site Children’s Health Defense EU : https://childrenshealthdefense.eu/aiovg_…






France : comment l’Éducation Nationale flique ses profs pour installer la cancel culture

[Source : ]

C’est un aspect peu connu de l’Éducation Nationale et de sa bureaucratie pédagogique, qui vaut pourtant le détour. Depuis l’inénarrable Luc Peillon, rien n’a bougé : le mammouth impose un « référentiel de compétences » des enseignants qui constitue une véritable arme de guerre pour faire régner la police de la pensée dans les rangs, et pour rétrécir au maximum les espaces de liberté des profs vis-à-vis de la bien-pensance vivre-ensembliste et snessienne. Ou comment une armée d’1 million de profs est équipée pour broyer toute forme d’esprit critique dans ses effectifs et pour imposer au goutte-à-goutte la cancel culture dominante dans la caste.

En 2013, le ministre socialiste de l’Éducation, Luc Peillon (qualifié de cerf-volant à piloter depuis le sol par l’un de ses proches collaborateurs) a imposé un « Référentiel des compétences professionnelles des métiers du professorat et de l’éducation » que Jean-Michel Blanquer n’a pas modifié. Ce texte, publié au Bulletin Officiel, sert aujourd’hui d’arme d’intimidation contre les enseignants qui refusent le diktat de la Cancel Culture et de la bien-pensance à outrance. Il faut absolument lire ce texte hallucinant, qui participe au naufrage éducatif dont nous sommes quotidiennement les témoins. 

Pourquoi un référentiel du métier de prof ?

En soi, l’édiction d’un « référentiel des compétences professionnelles » est une bonne idée, assez courante d’ailleurs dans le monde contemporain, qui permet de clarifier les attentes d’un employeur vis-à-vis de ses employés. C’est une démarche de transparence et d’explication sur qu’on attend d’un enseignant pour le considérer comme « un bon enseignant ». 

Dans le domaine éducatif, cette logique est salutaire. 

Ce qui est très instructif, c’est de détailler ce que la bureaucratie éducative y a rangé et consigné sous le quinquennat Hollande, et que personne n’a remis en cause depuis lors. 

Aux origines du référentiel français

Il faut lire attentivement le référentiel français pour noter qu’il découle d’un référentiel européen un peu mystérieux, contenu dans un avis du Parlement européen datant de 2006 ! La lecture de cet avis ne manque d’ailleurs pas d’intérêt, car le texte du Parlement est assez concis, plein d’ambitions, et empreint d’idées que nous pouvons assez facilement partager. 

Pour le comprendre, on lira ici les compétences clés attendues d’un enseignant selon le Parlement européen :

Les compétences sont définies en l’occurrence comme un ensemble de connaissances, d’aptitudes et d’attitudes appropriées au contexte. Les compétences clés sont celles nécessaires à tout individu pour l’épanouissement et le développement personnels, la citoyenneté active, l’intégration sociale et l’emploi.

Le cadre de référence décrit huit compétences clés:

  1. Communication dans la langue maternelle;
  2. Communication en langues étrangères;
  3. Compétence mathématique et compétences de base en sciences et technologies;
  4. Compétence numérique;
  5. Apprendre à apprendre;
  6. 6Compétences sociales et civiques;
  7. Esprit d’initiative et d’entreprise; et
  8. Sensibilité et expression culturelles.

Les compétences clés sont considérées comme étant aussi importantes les unes que les autres, dans la mesure où chacune d’entre elles peut contribuer à la réussite de l’individu vivant dans une société de la connaissance.

On peut évidemment contester le jargon communautaire. Mais il a le bon goût de mettre en avant des compétences comme l’esprit d’initiative et d’entreprise qui font cruellement défaut à l’enseignement français, et dont il aurait bien besoin de s’inspirer. 

Le Parlement européen contre la cancel culture

Au passage, il n’est pas inintéressant (bien au contraire) de relever les affirmations du parlement européen sur le « Vivre Ensemble » et sa façon de l’aborder à l’école. Par exemple cette citation riche de sens :

La connaissance culturelle suppose d’avoir conscience du patrimoine culturel local, national et européen et de sa place dans le monde. Elle inclut une connaissance élémentaire des œuvres culturelles majeures, dont la culture populaire contemporaine. Il est essentiel de comprendre la diversité culturelle et linguistique en Europe et dans d’autres régions du monde, la nécessité de la préserver et l’importance des facteurs esthétiques dans la vie de tous les jours.

Loin d’occulter les patrimoines locaux, le Parlement européen a donc appelé à en préserver l’apprentissage et la transmission. Cette idée est saisissante, car elle contraste singulièrement avec ce que la machine éducative a pu en déduire en 2013, comme nous allons le voir.

Comment l’Éducation Nationale a « traduit » le référentiel

Ce qui frappe à la lecture du référentiel français, c’est qu’il simplifie, appauvrit et amenuise fortement toutes les affirmations gênantes du référentiel français, pour en faire un document manifestement « téléguidé » pour mettre au pas les enseignants. 

La reprise de la table des matières permet de mesurer la distance qui sépare l’ambition européenne et sa réduction française :

1. Faire partager les valeurs de la République
2. Inscrire son action dans le cadre des principes fondamentaux du système éducatif et dans le cadre réglementaire de l’école
3. Connaître les élèves et les processus d’apprentissage
4. Prendre en compte la diversité des élèves
5. Accompagner les élèves dans leur parcours de formation
6. Agir en éducateur responsable et selon des principes éthiques
7. Maîtriser la langue française à des fins de communication
8. Utiliser une langue vivante étrangère dans les situations exigées par son métier
9. Intégrer les éléments de la culture numérique nécessaires à l’exercice de son métier
10. Coopérer au sein d’une équipe
11. Contribuer à l’action de la communauté éducative
12. Coopérer avec les parents d’élèves
13. Coopérer avec les partenaires de l’école
14. S’engager dans une démarche individuelle et collective de développement professionnel

Et encore, ces compétences s’entendent pour « tous les professeurs ». Il faut ensuite distinguer les compétences spécifiques pour chaque catégorie d’enseignants (CPE, documentalistes, lycée, collège, etc.). Rien qu’à ce stade, on s’interroge sur la profusion de compétences attendues, et sur le glissement de sens d’un certain nombre d’expressions européennes. 

Par exemple, le Parlement européen recommandait d’être compétent dans la communication dans la langue maternelle. Cette compétence est devenue « maîtriser la langue française à des fins de communication » sous la plume de Peillon et de ses acolytes. Les deux expressions ne se valent pas : l’Europe préconise de communiquer, la France préconise de maîtriser la langue pour pouvoir communiquer. La nuance est de taille. 

Comment la Cancel Culture est introduite par Peillon

Ce qu’il faut surtout, c’est le détail de chacune de ces compétences, qui illustre comment la Cancel Culture a fait son introduction subreptice dans les programmes éducatifs, sous couvert de bienveillance et de bienpensance. 

Qu’il nous soit permis d’en donner une illustration précise et méthodique. 

Le lavage de cerveau commence dès le premier item, où il faut « faire partager les valeurs de la République ». Le petit livre rouge-vert de Luc Peillon détaille ainsi cet objectif :

Savoir transmettre et faire partager les principes de la vie démocratique ainsi que les valeurs de la République : la liberté, l’égalité, la fraternité ; la laïcité ; le refus de toutes les discriminations.

On comprend donc que le « refus de toutes les discriminations » est une valeur républicaine aussi importante que la liberté ou la laïcité. Cet ajout curieux en dit long sur le fourre-tout dans lequel l’imagination pédagogique contemporaine a organisé le « refus de toutes les discriminations », et la suite du texte illustre parfaitement ce que cette expression suggère à demi-mots. 

On découvre plus loin « qu’agir en éducateur responsable et selon des principes éthiques » (compétence étrange, au demeurant, comme si respecter l’éthique était une compétence…), signifie notamment :

Se mobiliser et mobiliser les élèves contre les stéréotypes et les discriminations de tout ordre, promouvoir l’égalité entre les filles et les garçons, les femmes et les hommes.

Autrement dit, ne pas adhérer à la théorie du genre, et autres élucubrations à la mode relève de la faute professionnelle. Peu à peu se dessine la fourberie avec laquelle, sous couvert de déterminer les compétences des enseignants, le ministre pratique une reductio ad opinionem temporis [= position de réduction dans le temps de l’annonce]. 

Cancel culture jusqu’au bout des ongles

Mais l’injonction donnée aux enseignants (sur de très nombreuses pages) de refuser toutes les discriminations ne s’arrête pas à quelques mots creux. Elle est déclinée jusqu’aux pratiques pédagogiques elles-mêmes. 

Par exemple, les professeurs « praticiens experts des apprentissages », doivent savoir toiletter leur discipline pour :

Prendre en compte les préalables et les représentations sociales (genre, origine ethnique, socio-économique et culturelle) pour traiter les difficultés éventuelles dans l’accès aux connaissances.

Traduction : on oubliera soigneusement de préciser, en cours d’histoire, que le monde arabo-musulman a largement pratiqué l’esclavage des Noirs, car il faut tenir compte des « représentations sociales » de chacun dans l’enseignement. 

Ce point de doctrine est complété par la compétence suivante : 

Sélectionner des approches didactiques appropriées au développement des compétences visées.

Voilà un principe simple posé : il faut utiliser des « approches didactiques appropriées ». Tout un programme…

Bien entendu, ces exigences ne visent pas nommément la « Cancel Culture ». Elles permettent seulement de poser le cadre disciplinaire dans lequel les enseignants sont piégés s’ils refusent la culture de la discrimination positive, de la lutte contre les stéréotypes (cheval de bataille de tous les décolonialistes et racialistes du monde), et du Vivre Ensemble tel qu’il est conçu par la caste au pouvoir.

Comment la machine éducative met les profs au pas

Sans surprise, ces « compétences », dont le mot d’esprit critique est si terriblement absent (elle n’est utilisé que deux fois dans la liasse d’instructions données), permettent une véritable mise sous pression de tous les enseignants récalcitrants. Il nous a ainsi été donné de lire un rapport d’inspection où le rappel permanent du référentiel de compétences montre l’étendue des dégâts. 

Ces dégâts sont de deux ordres. 

Les premiers portent sur l’interdiction officielle de conduire des cours magistraux. L’enseignant qui expose un savoir pendant une heure est désormais en faute. Il doit préférer la « différenciation pédagogique »,  et « mettre en œuvre et animer des situations d’enseignement et d’apprentissage prenant en compte la diversité des élèves ». Bref, tirer tout le monde vers le bas. 

Les seconds portent sur les contenus d’enseignement eux-mêmes, et nous touchons ici au cœur de la Cancel Culture. Par exemple, punaiser des affiches de péplum américain pour illustrer l’histoire de Rome est devenu une faute professionnelle. Il s’agit d’une façon de contester les principes fondamentaux du système éducatif. 

On croit rêver, et pourtant c’est vrai, nous l’avons lu dans un rapport ! Le flicage des enseignants au nom de la bienpensance est poussé jusqu’à cette extrémité de la Cancel Culture qui est de ne plus recommander un péplum hollywoodien à des collégiens pour les intéresser à l’histoire. Trop violent ! trop guerrier ! trop stéréotypé !

Nous serions d’ailleurs curieux de recevoir d’autres rapports d’inspection de ce genre. 

Éducation Nationale ou propagande pour la Cancel Culture

Après l’affaire Samuel Paty, on a pu nourrir certains doutes sur la place de la Cancel Culture (et de l’une de ses ramifications consistant à ne pas qualifier « d’islamistes » les attentats survenus en France depuis plusieurs années. Il semblait en effet que le rectorat de Versailles n’avait pas été complètement carré dans son soutien à l’enseignant. 

Dans la pratique, ce rectorat (où Emmanuel Macron a placé l’une de ses camarades promotion, après avoir adapté le décret sur l’emploi de recteur à sa situation), dispose d’un service chargé de pister les enseignants les moins dociles : le SAPAP. Ce service d’accompagnement personnalisé illustre une fois de plus la capacité de la bureaucratie à utiliser les moyens de l’enseignement public pour poursuivre d’autres fins que l’éducation. 

Et c’est peut-être ce qu’on peut reprocher aujourd’hui à Jean-Michel Blanquer : ne pas voir déconstruit les errements de l’ère Hollande, et avoir conforté un système où apprendre passe bien après formater les esprits. 




Les pirouettes des médias sur la provenance du virus montrent ce qui ne va pas dans le journalisme d’aujourd’hui

[Source : quebecnouvelles.info]

Par Candice Malcolm

Tout ce qui ne va pas dans le journalisme d’aujourd’hui peut se résumer à un seul fait divers remarquable : la théorie de la fuite du COVID-19 d’un laboratoire en Chine.

Au cours des sept derniers jours, cette histoire a connu un incroyable virage à 180° en termes de crédibilité. Après avoir été discréditée et démystifiée pendant près de 18 mois par toutes les personnalités de la politique, des médias et des grandes entreprises technologiques, cette théorie est soudainement devenue une théorie dominante.

Remontons jusqu’en janvier 2020, date à laquelle le tout premier cas de coronavirus a été signalé au Canada. À l’époque, le COVID-19 était encore une histoire locale en Chine. Nous avons commencé à voir en ligne des images de la brutalité avec laquelle on traitait les personnes infectées et de l’odieuse pratique courante consistant à faire “disparaître” les journalistes et les dénonciateurs chinois.

Le récit de la Chine communiste était que ce mystérieux nouveau virus provenait d’un marché noir. À l’époque, j’ai noté le fait évident que Wuhan est le siège du seul laboratoire de haute sécurité pour les maladies infectieuses en Chine, l’Institut de virologie de Wuhan. Je pensais que c’était évident, en tout cas.

J’ai posé des questions simples sur ce laboratoire controversé, connu pour ses normes de sécurité laxistes et l’étude de maladies dangereuses, qui était situé à seulement 300 mètres du marché humide où le patient zéro a été infecté.

N’est-ce pas suspect ? On pourrait penser que les scientifiques, les chercheurs et les journalistes du monde entier commenceraient à examiner ce lien.

Après tout, la Chine est dirigée par une dictature communiste connue pour mentir et dissimuler les faits gênants. Il est certain que les penseurs éclairés de l’Occident remettraient en question leur récit et tenteraient de percer des trous dans leur théorie.

Imaginez donc ma surprise lorsque la totalité des grands médias – au Canada, aux États-Unis et dans le monde entier – ont complètement ignoré ce lien. Pire encore, une campagne a été menée pour diffamer et discréditer toute personne soulevant des questions sur le laboratoire controversé de Wuhan.

La brigade des médias au Canada a systématiquement commencé à “démystifier” cette théorie. Des journalistes malhonnêtes ont écrit des articles qualifiant la théorie de la fuite du laboratoire de “non-sens”, de “désinformation” et de “canular”.

Ces journalistes, à qui le récent revirement de situation a prouvé qu’ils avaient tout faux, n’admettent pas leurs erreurs. Au lieu de cela, ils essaient d’assurer à leurs lecteurs qu’ils avaient raison depuis le début.

À ce stade, vous vous dites peut-être que ce ne sont pas des journalistes.

Les journalistes posent des questions, examinent les liens et agissent avec scepticisme face aux informations diffusées par les partisans, les politiciens et les régimes communistes.

Ce que nous avons vu à la place, ce sont les actions des anti-journalistes. Il y a eu trop d’exemples de journalistes intellectuellement malhonnêtes, moralement corrompus ou agissant comme des propagandistes de mauvaise foi qui méritent d’être raillés, ridiculisés et ignorés.

Mais cela ne s’arrête pas là. Certains scientifiques, que beaucoup considèrent comme exempts de toute influence politique, ont admis qu’ils avaient délibérément évité d’examiner plus tôt la théorie de la fuite en laboratoire simplement parce que d’éminents conservateurs la remettaient en question.

Et, pour ajouter l’insulte à l’injure, des géants des médias sociaux comme Facebook ont admis qu’ils cachaient de leur algorithme les publications qui parlaient du lien avec le laboratoire dans le but d’arrêter la propagation de la “désinformation”.

Il y a quelque chose de pourri dans l’État danois. Et toutes les grandes institutions – gouvernements, journalistes, scientifiques et big tech – sont complices de cette corruption.

Un simple mea culpa ne suffira pas. La vérité est là.

Pour en lire davantage :




Michel Onfray compare les non-vaccinés à des contaminateurs du Sida et des violeurs de jeunes filles

[Source : lemediaen442.fr]

Par Marcel D.

Mes amis, Michel Onfray continue sa cavalcade. Après avoir trahi ceux qui l’ont rejoint sur Front Populaire, accompagné par son acolyte et producteur Stéphane Simon, rien ne va plus. Si t’as mis tes billes dans sa boutique alors que tu pensais sauver la France face à la dictature sanitaire qui pointait son blair via le Covid-19, tu dois certainement te dire que tu t’es fait enfiler sévèrement. Alors je vais pas te menti : oui, et bien profond. T’aurais mieux fait d’mettre tes billes chez moi, elles n’auraient pas servi à faire la promotion de la vaccination ou du Pass sanitaire. On en voit d’la trahison, mais il faut avouer que celle-là est costaud. 

Le philosophe s’est mis du jour au lendemain avec le camp d’en face en se positionnant pour la picouse et le Pass sanitaire et critique désormais ceux qui ne se soumettent pas à la dictature sanitaire, comme étant des capricieux « d’enfants rois ».

Comme notre anarchiste du dimanche patauge dans sa trahison la plus crasse et ayant conscience que ses soutiens prennent leur cliques et leur claques après leur avoir fait miroiter une révolution qui s’est terminée à servir Macron et les élites — on est loin, très loin du libertarien anarchiste proudhonien —, c’est donc au tour de la philosophie du bégaiement et du non-sens de faire surface (à découvrir dans les vidéos ci-dessous). Car, comprenez bien une chose, quand tu mens, que tu trahis les tiens, que tu persistes dans le mensonge, tu auras beau nous sortir toutes tes histoires à la con, ça sentira comme dans les ruelles où tout le monde pisse pas loin d’la boîte de nuit. Mon pauvre Onfray, t’auras beau t’laver les mains quinze fois à l’hydroalcoolique, y’aura toujours cet arrière goût d’pisse.

Heureusement, cette époque malheureuse est révélatrice, nous pouvons contempler nos alliés et nos ennemis d’un seul coup d’œil… tout remonte à la surface et voici à quoi ressemblent aujourd’hui les non-vaccinés pour Onfray : « Des racailles, des contaminateurs conscients d’avoir le Sida ou des violeurs de jeunes filles. » Rien que ça !

https://twitter.com/Apolline095/status/1397290511359221772?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1397290783385006081%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es2_&ref_url=https%3A%2F%2Flemediaen442.fr%2Fmichel-onfray-compare-les-non-vaccines-a-des-contaminateurs-du-sida-et-violeurs-de-jeunes-filles%2F

Point Godwin atteint.

Pour terminer sur une anecdote sympatoche, le producteur Stéphane Simon m’avait contacté à plusieurs reprises pour rejoindre l’équipe d’Onfray et le joli casting en devanture — le p’tit Marcel du peuple qui a la gouaille pour faire rire, c’est le bon plan pour ratisser large —, mais voilà, j’avais refusé pour une simple et bonne raison, je savais que le « très radical » Michel, allait faire volte-face et dévier la colère populaire afin de la canaliser pour, au final, la trahir et rejoindre le camp ennemi. Pile-poil ce qui s’est passé ! Pour faire clair, le Front Populaire c’est clairement de la merde, c’est la « Résistance » contrôlée par le pouvoir. Barrez-vous de là et rejoignez Le Média en 4-4-2, là où la liberté n’est pas d’avoir un Qr-code ou un pass vaccinal pour bouffer une andouillette dans le resto du coin.

Marcel D.




Nestlé dit que la majorité de son portefeuille de produits alimentaires est mauvais pour la santé

[Source : anguillesousroche.com]

La plus grande entreprise alimentaire du monde, Nestlé, a reconnu dans un document interne que plus de 60 % de ses produits alimentaires et boissons grand public ne répondent pas à une « définition reconnue de la santé » et que « certaines de nos catégories et certains de nos produits ne seront jamais “sains”, quelles que soient nos rénovations ».

Une présentation diffusée auprès des cadres supérieurs au début de l’année, consultée par le Financial Times, indique que seuls 37 % des produits alimentaires et des boissons de Nestlé en termes de revenus, à l’exclusion de produits tels que les aliments pour animaux de compagnie et la nutrition médicale spécialisée, obtiennent une note supérieure à 3,5 selon le système australien d’évaluation par étoiles de la santé.

Ce système, qui note les aliments sur cinq étoiles, est utilisé dans les recherches menées par des groupes internationaux tels que Access to Nutrition Foundation.

Nestlé, le fabricant des KitKats, des nouilles Maggi et de Nescafe, décrit le seuil de 3,5 étoiles comme une « définition reconnue de la santé ».

Dans son portefeuille global d’aliments et de boissons, quelque 70 % des produits alimentaires de Nestlé n’ont pas atteint ce seuil, selon la présentation, ainsi que 96 % des boissons – à l’exception du café pur – et 99 % du portefeuille de confiseries et de glaces de Nestlé.

L’eau et les produits laitiers ont obtenu de meilleurs résultats, 82 % des eaux et 60 % des produits laitiers atteignant le seuil.

« Nous avons apporté des améliorations significatives à nos produits, mais notre portefeuille ne répond toujours pas aux définitions externes de la santé dans un contexte où la pression réglementaire et les exigences des consommateurs montent en flèche », indique la présentation.

Les données excluent les préparations pour nourrissons, les aliments pour animaux de compagnie, le café et la division des sciences de la santé, qui fabrique des aliments pour les personnes souffrant de problèmes médicaux spécifiques. Cela signifie que les données représentent environ la moitié des 92,6 milliards de francs suisses (84,35 milliards d’euros) de revenus annuels totaux de Nestlé.

Ces conclusions interviennent alors que les fabricants d’aliments doivent faire face à une pression mondiale pour combattre l’obésité et promouvoir une alimentation plus saine. Les dirigeants de Nestlé réfléchissent aux nouveaux engagements à prendre en matière de nutrition et comptent dévoiler leurs plans cette année.

Le groupe met également à jour ses normes nutritionnelles internes, connues sous le nom de Nestlé Nutritional Foundation, qui ont été introduites sous l’ancien directeur général Peter Brabeck-Letmathe, qui caractérisait Nestlé comme une « entreprise de nutrition, de santé et de bien-être ».

Une option pourrait consister à abandonner ou à remplacer ces normes pour les produits considérés comme des friandises, comme les confiseries, selon une personne au fait de la situation.

Mark Schneider, directeur général, a reconnu que les consommateurs souhaitaient une alimentation plus saine mais a rejeté les affirmations selon lesquelles les aliments « transformés », y compris ceux fabriqués par Nestlé et d’autres multinationales, ont tendance à être mauvais pour la santé.

Cependant, la présentation met en avant des produits Nestlé tels qu’une pizza DiGiorno à croûte de croissant aux trois viandes, qui contient environ 40 % de l’apport journalier recommandé en sodium, et une pizza Hot Pockets pepperoni qui en contient 48 %.

Un autre produit, une boisson San Pellegrino à l’orange, obtient un “E” – la pire note disponible dans le cadre d’un système de notation différent, Nutri-Score – avec plus de 7,1 g de sucre par 100 ml, indique la présentation, qui pose la question suivante : « Une marque de santé doit-elle porter une note E ? »

Par ailleurs, le Nesquik à la fraise de Nestlé, vendu aux États-Unis, contient 14 g de sucre dans une portion de 14 g, ainsi que de petites quantités de colorants et d’arômes, bien qu’il soit conçu pour être mélangé à du lait. Il est décrit comme « parfait au petit-déjeuner pour que les enfants soient prêts pour la journée ».

Nestlé a déclaré qu’elle « travaille sur un projet à l’échelle de l’entreprise pour mettre à jour sa stratégie pionnière en matière de nutrition et de santé. Nous examinons l’ensemble de notre portefeuille à travers les différentes phases de la vie des gens pour nous assurer que nos produits contribuent à répondre à leurs besoins nutritionnels et à soutenir une alimentation équilibrée ».

Une base solide

« Nos efforts s’appuient sur une base solide, fruit d’un travail de plusieurs décennies…. Par exemple, nous avons réduit de manière significative les sucres et le sodium dans nos produits au cours des deux dernières décennies, environ 14 à 15 % rien qu’au cours des sept dernières années. »

Marion Nestle (aucun lien de parenté), professeur invité de sciences nutritionnelles à l’université Cornell, a déclaré que Nestlé et ses rivaux auraient du mal à rendre leurs portefeuilles globalement sains.

« Le travail des entreprises alimentaires est de générer de l’argent pour les actionnaires, et de le générer aussi rapidement et en aussi grande quantité que possible. Elles vont vendre des produits qui touchent un public de masse et sont achetés par le plus grand nombre de personnes possible, que les gens veulent acheter, et c’est la malbouffe », a-t-elle déclaré.

« Nestlé est une entreprise très intelligente, du moins d’après les rencontres que j’ai eues avec des personnes travaillant dans leurs départements scientifiques… mais elle a un réel problème…. Les scientifiques travaillent depuis des années pour essayer de trouver comment réduire la teneur en sel et en sucre sans modifier le profil de saveur et, devinez quoi, c’est difficile à faire. »

Certains produits perçus comme sains, tels que les substituts de viande à base de plantes, sont des domaines de forte croissance pour les fabricants de produits alimentaires. Nestlé a vendu certaines de ses divisions qui fabriquaient des produits moins sains, comme une participation de 60 % dans la branche charcuterie de Herta en 2019.

Nestlé a été classé en tête des grands fabricants mondiaux d’aliments et de boissons dans un indice 2018 des efforts déployés pour encourager une meilleure alimentation, compilé par la Fondation pour l’accès à la nutrition, bien que la fondation ait averti que « toutes les entreprises doivent faire beaucoup plus ».

Nestlé a déclaré : « Ces dernières années, nous avons lancé des milliers de produits pour les enfants et les familles qui répondent à des critères de nutrition externes. Nous avons également distribué des milliards de doses de micronutriments via nos produits abordables et nutritifs. »

Et d’ajouter : « Nous pensons qu’une alimentation saine implique de trouver un équilibre entre bien-être et plaisir. Cela inclut d’avoir un peu de place pour les aliments indulgents, consommés avec modération. Notre direction n’a pas changé et est claire : nous continuerons à rendre notre portefeuille plus savoureux et plus sain. »

Source : The Irish Times – Traduit par Anguille sous roche




Le fondateur d’un chapitre de Black Lives Matter démissionne et déclare que BLM ne se soucie pas vraiment des Noirs

[Source : anguillesousroche.com]

« Ils se soucient peu de la reconstruction des familles noires. »

Le fondateur d’un chapitre de Black Lives Matter à St. Paul dit qu’il a démissionné après avoir découvert la « vilaine vérité » sur l’organisation, à savoir qu’elle ne se soucie pas des Noirs.

Rashad Turner a publié une vidéo révélant la vérité sur BLM après avoir passé un an au sein de l’organisation.

Turner a expliqué comment il s’est efforcé de s’éduquer et de devenir une réussite personnelle malgré une naissance dans des circonstances extrêmement difficiles.

« Ma mère n’était pas en mesure de s’occuper de moi, alors j’ai été élevé par mes grands-parents. Ils m’ont dit que si je voulais changer ma vie pour le mieux, l’éducation était la solution. J’ai donc travaillé dur à l’école. Je suis entré à l’université Hamline et j’ai obtenu un diplôme universitaire, le premier de ma famille. J’ai ensuite obtenu une maîtrise en éducation à l’université St. Mary’s du Minnesota. Je suis la preuve vivante que, quel que soit votre départ dans la vie, une éducation de qualité est la voie de la réussite”, a-t-il déclaré.

Turner a ensuite expliqué que cette éthique de l’éducation des jeunes Noirs était non seulement absente de BLM, mais qu’elle s’y opposait activement.

« En 2015, j’ai été l’un des fondateurs de Black Lives Matter à St. Paul. Je croyais que l’organisation défendait exactement ce que son nom implique, les vies noires comptent », explique Turner. « Cependant, après un an à l’intérieur, j’ai appris qu’ils se souciaient peu de la reconstruction des familles noires, et qu’ils se souciaient encore moins de l’amélioration de la qualité de l’éducation pour les étudiants de Minneapolis.

« Cela est apparu clairement lorsqu’ils ont dénoncé publiquement les écoles à charte, aux côtés du syndicat des enseignants. J’étais un initié de Black Lives Matter, et j’ai appris la vilaine vérité : le moratoire sur les écoles à charte ne soutient pas la reconstruction de la famille noire, mais il crée des obstacles à une meilleure éducation pour les enfants noirs. »

Comme nous l’avons fait valoir de manière exhaustive, bien que la plus grande menace violente pour les Noirs soit les criminels noirs, BLM élude activement et met à l’index toute discussion sur ce sujet.

Cela s’est à nouveau produit au début du mois, lorsqu’un leader de BLM au Royaume-Uni a été abattu d’une balle dans la tête par quatre membres d’un gang noir.

La cofondatrice de Black Lives Matter, Patrisse Cullors, a également été récemment contrainte de quitter son poste de directrice exécutive de la Black Lives Matter Global Network Foundation après avoir utilisé l’argent généré par son activisme pour acheter de nombreuses demeures, dont l’une était située dans l’une des régions les plus blanches de Californie.

Un récent sondage a révélé que le soutien de l’opinion publique américaine à Black Lives Matter est au plus bas depuis deux ans.




La parabole de l’arbre pour comprendre ce qui nous arrive

[Source : Académie du gaullisme (academie-gaullisme.fr)]

Il faut d’abord remercier l’armée française d’avoir généré ceux qui font le constat précis de notre délitement général avant de solliciter une réaction rapide et réelle :

Comme le disait le cardinal Mercier, primat de Belgique : « Quand la prudence est partout, le courage n’est nulle part. » Alors, Mesdames, Messieurs, assez d’atermoiements, l’heure est grave, le travail est colossal ; ne perdez pas de temps et sachez que nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation.

Il faut la remercier aussi d’avoir généré ceux qui préfèrent en souligner les causes profondes :

Ce qui met mortellement en péril la France, c’est tout simplement le libéralisme effréné qui est inscrit dans le marbre des traités dits européens se traduisant par la désindustrialisation du pays tout autant que par l’abaissement de notre langue, l’emploi du globish par les médias, la publicité envahissante et … le chef de l’État lui-même. C’est aussi la destruction de l’outil de l’énergie nucléaire et la politique d’auto-flagellation au plus haut niveau et en toute occasion, c’est encore le délitement de l’éducation nationale et de la politique de santé publique, c’est enfin la mise en résidence surveillée de 66 millions de Français avec port obligatoire de la muselière.

Les uns soulignent la ramure, les autres, les racines. Ils ont évidemment tous raison et regretter la forme d’un arbre ne s’oppose pas à en chercher les causes dans ses racines.

Mais il n’y aurait ni ramure ni racines s’il n’y avait pas de sève pour fabriquer l’une à partir des autres, Or la sève de cet arbre dont les branches, les feuilles, les fruits et les racines posent problème, pour ne pas dire qu’ils sont quasiment pourris, cette sève vitale et empoisonnée est la véritable cause du désastre actuel que l’on peut voir en effet sous différents angles. Cette sève, c’est l’argent qui pour la première fois dans toute l’histoire de l’humanité n’a pas très rapidement disparu lorsqu’il n’a plus été lié à une richesse préexistante. Il y aura exactement 50 ans le 15 août prochain, le dollar auxquelles quasiment toutes les monnaies étaient liées, a été décroché de l’or, richesse préexistante à laquelle il était lié. Les Européens, oubliant Bretton Woods, ont créé l’euro en le liant consciencieusement (ou perfidement, ou bêtement) aux anciennes monnaies qui n’étaient liées à plus rien. Toutes les monnaies mondiales ont suivi et doivent donc disparaitre comme ont disparu les billets de Law, les assignats et tous les papiers-monnaies puisque les politiciens en fabriquent systématiquement toujours plus que le constat de la richesse préexistante ne l’autorise. Ils sont tellement sensibles, pour rester en place, aux demandes de « moyens » qui leur arrivent de partout, qu’ils ne savent que céder en faisant fonctionner la « planche à billets » qui est simplement devenue digitale.

Les banques centrales comme les banques commerciales sont devenues aujourd’hui les fabricants incessants de monnaies fondées uniquement sur une confiance aussi claironnée que mensongère. On dissimule au peuple que toutes les banques, ayant un bilan équilibré, inscrivent toujours, en même temps, en créance à recouvrer, ce qu’elles inscrivent comme argent créé et distribué. Les créances des banques centrales sont toujours de futurs impôts. Les Politiques sont donc écartelés entre leur discours racoleur de baisse d’impôts toujours promise et leur autre discours du « quoi qu’il en coûte » et du « déblocage » d’argent inexistant qui est mathématiquement une annonce masquée d’impôts futurs nouveaux.

La création monétaire actuelle est exclusivement fondée sur des impôts futurs ou du travail humain futur, ce qui signifie en clair l’appauvrissement du peuple, sa mise en esclavage ou un retour à l’esclavage des autres. Le jeu de glaces pervers du PIB que l’on présente comme une création de richesse alors qu’il n’est que la somme des dépenses, ne peut faire longtemps illusion.

Illusion ! Le mot est lâché. Il décrit tout cet arbre dont la sève est illusoire comme sa ramure et ses racines. Seule l’avalanche de monnaie devenue fausse donne l’illusion que les folies sont réalistes, voire même réalisables.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, le libéralisme serait ce qu’il devrait être, un échange véritable et libre, reconnu comme utile par les deux parties. Mais le libre-échange est devenu un échange illusoire entre des biens et des services véritables et des monnaies frelatées forçant à la désindustrialisation des uns et à l’esclavage des autres.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, jamais on aurait inventé le prêt sur richesses futures alors que dans toutes les civilisations il n’y avait jamais eu que des échanges que sont les prêts sur gage.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, jamais l’Union Européenne ne serait ce monstre de milliers de fonctionnaires bruxellois non élus et surpayés dans leur paradis fiscal. Ils imposent aux autres un enfer qu’ils ignorent et qui est composé de restrictions de libertés et d’anesthésies par distribution d’argent.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, le dieu dollar et sa mère la City, ne régneraient pas en maîtres imposant le « globish » l’abaissement des langues qui ne sont pas la leur et le matraquage publicitaire cherchant à récupérer à leur profit le travail des peuples.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, l’immobilier, les actions en bourse et les œuvres d’art, tout ce que les puissants recherchent en ayant accès à la monnaie, n’auraient pas doublé voire triplé de prix en 20 ans en créant non seulement une crise du logement mais une crise de la natalité dans les classes moyennes.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, jamais Emmanuel Macron n’aurait été élu monarque républicain, ce que furent tous les rois de France puisque la république n’est que la chose commune. Le monarque républicain Louis XIV avait moins de pouvoirs qu’Emmanuel 1er pénalement irresponsable et décidant secrètement en conseils de défense où personne n’a pénalement le droit de dévoiler ce qui s’y dit vraiment. Va-t-on déconstruire l’histoire pour que la fausse monnaie lui fasse une place honorable dans une vérité reconstruite ?

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, on ne fausserait pas le jeu des énergies avec des énergies renouvelables subventionnées sans limites pour casser une source nucléaire que le monde entier nous enviait et nous imite aujourd’hui en souriant de notre soumission à des écologistes irresponsables.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, nous ne nous pourrions pas vivre l’équilibre actuel imbécile de nous flageller nous-mêmes sur ce que nous avons apporté à nos anciennes colonies pendant que nous recevons sans limites tous ceux qui préfèrent vivre chez nous que chez eux grâce à la fausse monnaie qu’on leur distribue si généreusement et qui en attire chaque jour davantage.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, nous n’aurions pas une éducation nationale avec plus d’administratifs que d’enseignants. Les premiers domestiquent les seconds pour un résultat de plus en plus mauvais en dépit d’un temps de plus en plus long passé par la jeunesse à leur faire apparemment confiance.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, c’est toute l’administration non régalienne qui perdrait son obésité et le peuple pourrait contribuer à une administration régalienne actuellement pressurée et méprisée alors qu’elle est la seule utile.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, jamais les gouvernements n’auraient pu avoir la politique sanitaire stupide d’interdire de vivre pour empêcher de mourir en laissant une situation inextricable aux suivants. Interdire l’énergie humaine et la remplacer par l’énergie monétaire, ce qui est le principe du confinement, c’est ne pas savoir que l’énergie monétaire n’existe que par l’énergie humaine qu’elle véhicule et qu’il faudra trouver.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, jamais les associations de minorités ethniques, sexuelles ou religieuses, n’aurait pu être aussi visibles sans les subventions qu’on leur octroie pour faire vivre ces minorités les faire croitre croitre et parader au mépris de la majorité.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, nous ne pourrions pas piller la Terre et nous fabriquer une vie facile avec une énergie et des matières premières payées avec une monnaie de singe inépuisable. Jean-Marc Jancovici s’attriste du pillage mais ne voit pas qu’il l’alimente lui-même en disant : « Du pognon, il y en a ».

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, nous ne discuterions pas pour savoir si la monnaie est une marchandise, un signe ou une institution. Le seul point commun de toutes ces définitions distantes et médiocres est de négliger l’essentiel, à savoir l’origine de la force de l’argent qui n’est que la force humaine.

Quand on s’intéresse à un arbre, c’est à sa sève qu’il faut s’intéresser en premier. Elle est toujours le résultat du passé et le porteur de l’avenir. Elle nait de ses racines et génère sa ramure.

Marc Dugois, auteur
de L’inéluctable révolution : ne plus être les victimes consentantes des idéologies


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L’arnaque des courbes sur les mesures sanitaires

[Source : REINFOCOVID]

Exemple de l’incidence du SARS-Cov-2 en France et dans les Alpes-Maritimes depuis juin 2020

Figure 1 : Evolution de l’incidence du SARS-Cov2 depuis juin 2020. Source SPF
Figure 2 : Influence de parapluies durant un épisode pluvieux

Interprétation officielle

30 octobre 2020 : le confinement fait baisser les contaminations avec un court plateau observé dès le 30 octobre

26 février 2021 : le couvre-feu imposé en Alpes-Maritimes fait baisser la courbe des contaminations

4 avril 2021 : le confinement fait chuter la courbe des contaminations

Interprétation après vérification

Chaque point de la courbe correspond à la moyenne des mesures de la semaine précédente. Ainsi :

  • Le plateau de contaminations observé après le 30 octobre est déjà amorcé 1 semaine avant
  • La chute du 26 février est déjà largement amorcée bien avant le couvre-feu
  • La chute du 4 avril dans le département des Alpes-Maritimes correspond à la semaine précédant le confinement national

Avant la fin du confinement le 15 décembre 2020, la courbe est déjà en faible croissance au niveau national et même en croissance forte dans les Alpes-Maritimes.

La mesure sanitaire cesse-t-elle de fonctionner ?

Un confinement est imposé à Nice le 20 mars 2021. Le taux des contaminations remonte.

La mesure sanitaire est-elle inefficace ?

Un fort biais d’analyse

D’un point de vue scientifique, ces courbes ne permettent donc pas de confirmer  l’interprétation officielle. Celle-ci est soumise à un très fort biais de croyance bien connu des psychologues et des chercheurs en psychologie :

« (a) Les éléphants sont des mangeurs de foin, (b) les mangeurs de foin ne sont pas lourds. Est-ce que cela veut dire que (c) les éléphants sont lourds ? Les enfants répondent que oui. […] [Comme eux], les individus […] examinent la crédibilité sémantique avant la validité logique. Autrement dit, si la conclusion est crédible, ils l’acceptent sans examen – c’est l’heuristique de croyance ; si elle est non crédible, ils cherchent alors (et alors seulement) si elle découle validement des prémisses (en appliquant l’algorithme de vérification logique du syllogisme) »

Dès lors qu’un algorithme de vérification logique est appliqué, il en ressort deux hypothèses :

  • soit les courbes baissent grâce aux mesures non médicamenteuses (figure 1)
  • soit elles finissent toujours par baisser et les mesures donnent l’illusion d’y être pour quelque chose. Ainsi le même raisonnement appliqué à l’ouverture de parapluies indiquerait que c’est grâce aux parapluies que la pluie finit par s’arrêter (figure 2).

En logique, le principe de parcimonie peut être énoncé ainsi :

Si un phénomène se répète à l’identique (les pics épidémiques), et qu’une seule variable change à sa dernière occurrence (les mesures sanitaires), alors il est bien plus probable que cette variable soit indépendante du phénomène, et beaucoup moins probable qu’elle ait solutionné en même temps une variation du phénomène.

L’interprétation officielle est donc à la fois biaisée (c’est une croyance) et moins probable que la seconde (illustrée par la figure 2). L’efficacité du confinement n’est d’ailleurs toujours pas démontrée à ce jour.

Références

Olivier Houdé, L’intelligence Humaine n’est pas un algorithme. Ed Odile Jacob. 2019. 256 pp.

Ewers., J.P.A. Ioannidis., N. Plesnila. Access to data from clinical trials in the COVID-19 crisis: open, flexible, and time-sensitive. Journal of Clinical Epidemiology 130 (2021) 143-146.

https://www.santepubliquefrance.fr

Pour aller plus loin




Arrestation de Rémy Daillet et de sa famille en Malaisie : une cabale médiatique ?

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Le Français Rémy Daillet-Wiedemann, ainsi que sa compagne Léonie Bardet et leurs enfants, ont été arrêtés en Malaisie ce samedi 29 mai, suite à l’expiration de leur visa le 21 mai 2021. Pour obtenir une prolongation de leur titre de séjour, l’immigration a besoin d’une lettre de soutien de l’ambassade de France, ce qu’elle a refusé de faire. L’immigration de Langkawi est de ce fait incapable de traiter la demande de prolongation de Rémy Daillet et sa famille ; ils se retrouvent dans un cas de dépassement de séjour et ont été arrêtés. Grâce à un entretien téléphonique que nous avons obtenu avec elle depuis la prison de Langkawi, Léonie Bardet nous livre ce qu’elle et sa famille vivent depuis leur arrestation par la police, samedi après-midi.

France Soir : De quand datent derniers contacts avec l’ambassade pour obtenir la lettre de soutien ?

Léonie Bardet : Nous avons un agent qui s’occupe de notre dossier d’immigration depuis des années. Ça fait des années qu’on est en demande de visa. Elle a eu un premier rendez-vous avec l’immigration avec notre dossier. Ensuite, on a eu un second rendez-vous. Nous nous sommes tous rendus à l’immigration, un rendez-vous normal. Elle devait y retourner le lendemain. Elle n’a toujours pas eu de réponse, ils devaient lui téléphoner dans le week-end…

Donc samedi vous avez été emmené en détention avec les enfants et Monsieur Daillet c’est ça ?

Oui, moi je suis placée avec mes trois enfants, ma grande de 17 ans, mon garçon de 9 ans et ma petite fille de 1 an, et je suis enceinte. Nous sommes séparés de Rémy.

Quelles sont les conditions de détention ?

Nous sommes dans une cellule de neuf mètres carrés, sans lumière du jour. C’est la troisième nuit ce soir, et nous dormons à même le sol. On ne peut pas dormir car il y a énormément de bruit et de chaleur. On n’avait pas d’eau dans la cellule jusqu’à tout à l’heure. On en avait juste au moment des repas. C’est très sale, il y a des toilettes à la turque dans la cellule. Le plus dur c’est de dormir par terre, avec le bébé, qui dormait sur moi et qui pleure beaucoup. C’est extrêmement long et on a très peur. On ne sait pas du tout pour combien de temps on est là, on n’a eu le temps de contacter personne.

Vous avez eu un contact avec M. Daillet depuis l’incarcération ?

On se croise dans les couloirs et je sais qu’il fait une grève de la faim. Nous on a eu de la chance, au bout de la deuxième nuit, on a pu avoir une couverture et on a pu garder des tee-shirts pour faire des coussins, mais lui n’a rien du tout.

Pour votre bébé, vous avez tout ce qu’il vous faut ?

Quand ils nous ont emmenés au poste de police. Ils ne nous ont pas dit qu’ils nous arrêtaient, ils nous ont dit qu’ils nous emmenaient à l’immigration. Donc on ne savait pas qu’on était en état d’arrestation. On a pris quelques affaires, les affaires de base pour le bébé, mais on ne pensait pas que ça allait durer aussi longtemps. Je pensais qu’on rentrerait le soir. J’ai pris six couches, un biberon, la tétine… Ce n’est pas suffisant.

Aujourd’hui, vous avez pris contact avec un avocat ?

Hier la consule m’a téléphoné. Il faut savoir que j’avais déjà eu un contact avec elle dans le cadre d’un divorce avec mon ex-mari en 2017-2018, un problème de passeport : on nous refusait ici le renouvellement des passeports des enfants. Donc elle m’a appelée hier pour me demander si on avait besoin d’une aide consulaire. J’ai demandé en quoi cela consistait, et elle m’a dit qu’on ne pouvait pas faire grand-chose, à part vérifier que mon avocat était au courant. En effet, on ne peut rien remettre en cause de l’administration malaisienne. On ne comprend pas pourquoi l’administration s’entête à vouloir faire du mal à ses ressortissants et nous mettre des bâtons dans les roues.

Il y a beaucoup d’autres personnes qui sont dans votre cas et pour autant ils ne finissent pas au poste, comment vous expliquer le traitement que vous subissez ?

C’est une cabale médiatique contre Rémy. L’avocat a bien compris que pour avoir Rémy, il fallait passer par moi et les enfants. Nous servons d’appât à la police.

Donc vous êtes toujours incarcérée pour un problème de visa. Les services de l’immigration étant fermé, vous n’avez pas eu de date. Vous avez eu des contacts éventuels avec l’ambassade de France pour vous donner une assistance consulaire, mais vous ne savez pas exactement ce qui va se passer ?

C’est surtout qu’on avait un dossier complet pour avoir une extension, mais l’ambassade de France n’a pas daigné nous donner une lettre de soutien sans explication. Donc, voilà le résultat.

Vous supputez que ce refus de cette lettre de soutien servirait à arrêter Rémy ?

Cela fait cinq ans qu’on est en Malaisie et on travaille ici, on est inséré, on connaît beaucoup de monde. Dès le départ, on a cherché à se régulariser en créant une société, en demandant des visas, un visa de dix ans et ensuite le visa de cinq ans (MTAP), mais avec le covid tout s’est arrêté. De plus, avec mon divorce en France qui a duré quatre ans, je n’ai pas pu divorcer ni me remarier. C’est ça qui a bloqué car pour le visa de dix ans (MM2H), pour être considérée comme une famille il faut être marié. Donc il y a des empêchements à cause de mon ancien mariage je comprends, mais qu’il y ait des empêchements à cause de l’ambassade ce n’est pas normal.

De son côté, Me Ng, l’avocat malésien de Rémy Daillet confirme l’arrestation de Monsieur Daillet ce samedi, suite à l’expiration de son visa depuis le 21 mai 2021. Pour lui, il est normal que les services administratifs malaisiens se saisissent d’un tel cas. Il confirme aussi que les conditions de détentions dans la prison de Langkawi sont spartiates. Il déclare avoir été en contact avec les services de l’immigration et de l’ambassade de France en Malaisie et être au courant du mandat d’arrêt à l’encontre de Mr Daillet dans le cadre de l’affaire du rapt de la petite Mia, fillette de 8 ans qui a été retrouvée en avril 2021 avec sa mère en Suisse. Cependant, il ne s’est pas étendu sur les liens éventuels entre cette affaire et son arrestation, restant sur les faits  : l’expiration du visa. Maître NG reconnaît cependant que beaucoup de demandes de visa ou d’extension de visa prennent plus de temps à cause de la crise sanitaire.

En France, Maître Philippe Fortabat Labatut, ancien contrôleur des brigades des douanes à l’aéroport de Roissy et avocat international dont le client est Rémy Daillet déclare :

« Dans le cadre de l’affaire Mia, je ne peux pas croire que la DGSI ne connaissait pas l’équipe – l’approche utilisée est connue, l’objectif à atteindre était Remy Daillet. Ils ont donc suivi l’équipe afin de faire une liaison avec M. Daillet. C’est une méthode bien connue des services qui se conclut par un coup de communication y compris le mandat d’arrêt international du juge de Nancy. L’affaire continue avec ce visa touristique dont nous avons la preuve qu’il avait demandé l’extension.

Sur l’île de Langkawi, le bureau de l’immigration était fermé pour cause de crise sanitaire. Une raison qui explique le retard de réponse des autorités malaisienne à l’extension de visa. Ceci fournit un prétexte opportun pour potentiellement envisager l’expulsion de Mr Daillet vers la France, bien plus facile qu’une extradition. »

Rappelons que la Malaisie n’a pas de convention d’extradition avec la France.

Auteur(s): FranceSoir




France : Rémy Daillet-Wiedmann arrêté en Malaisie

[Source : @Rémy-Daillet-Wiedemann-Officiel via qactus.fr]


Au nom de Dieu

Communiqué Officiel du Renversement de RDW et appel à soutiens



Le canal Telegram pour envoyer vos soutiens vidéos: 
https://t.me/joinchat/F1h_QpjYfx4xOTY0

Si vous n’avez pas Telegram, téléchargez l’application ici :
Android > 
https://play.google.com/store/apps/details?id=org.telegram.messenger&hl=en_US&gl=US
Apple > 
https://apps.apple.com/fr/app/telegram/id686449807

Coordonnées de l’Ambassade de France en Malaisie :
The French Embassy in Malaysia
Level 31 Integra Tower
348, Jln Tun Razak
50400 Kuala Lumpur
Malaysia
https://my.ambafrance.org/Contacter-l...
Tel : +60320535500

Coordonnées du Ministère des Affaires Étrangères de Malaisie :
The Ministry of Foreign Affairs of Malaysia
Wisma Putra Complex
No. 1, Jalan Wisma Putra
Precinct 2,
Federal Government Administrative Centre
62602 Putrajaya
Malaysia
Tel : 603-8000 8000
Fax : 603-8889 1717/2816
Email : pro.ukk@kln.gov.my
Website : http://www.kln.gov.my

Soyez polis, bien entendu.

Le communiqué de presse numéro 1 du Renversement de Rémy Daillet-Wiedemann (fichier PDF): 
https://we.tl/t-FrC0FmH2eP

3 cabinets d’avocats internationaux sont saisis de l’affaire. À propos de cette affaire, les coordonnées utiles figurent sur le communiqué de presse, téléchargeable ci-dessus.

La lettre ouverte des avocats au Roi de Malaisie : 
https://support.remy-daillet-wiedemann.fr/api/v1/attachments/38519

L’Arrestation est survenue hier le 29 mai. Aujourd’hui, nous sommes le jour du martyr de Sainte Jeanne d’Arc, alors prenons son exemple, à la suite de Rémy. Ne nous démontons pas, l’ennemi tremble, si ce n’était pas le cas Rémy n’aurait pas été arrêté. Continuons son humble travail, pour la France !

Gardez-la foi, poursuivons le travail pour le Renversement. Dieu nous aidera si nous faisons Sa volonté, et nous serons vainqueurs. Dieu vous bénisse tous.


Le dissident Rémy DAILLET-WIEDEMANN arrêté le 29 Mai 2021 en Malaisie avec son bébé et sa famille.



Les détails de l’affaire par Maître Fortabat-Labatut.

Pourquoi Rémy DAILLET-WIEDEMANN est-il emprisonné en Malaisie ?
Pourquoi rejette-t-il cette décision ?

Lettre ouverte au Roi de Malaisie :

DOCUMENTS Divers de Maître Fortabat-Labatut

Accédez aux documents :


Communiqués de presse




Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus

[Sources : Blux Motivation et Babelio]

Bruce Harold Lipton est un biologiste du développement américain connu pour promouvoir l’idée que les gènes et l’ADN peuvent être manipulés par les croyances de la personne, proposant une conception non-académique de l’épigénétique.

En 1966, il a obtenu une licence de biologie à l’Université de Long Island. Puis un doctorat en biologie du développement à l’Université de Virginie en 1971. En 1973, il enseigne l’anatomie comme maître-assistant à l’école de médecine de l’Université du Wisconsin, avant de rejoindre l’Université américaine de l’école de médecine des Caraïbes, où il est professeur d’anatomie pendant trois ans.

De 1987 à 1992, Lipton a travaillé comme chercheur à l’Université Penn State et au Centre Médical de l’université Stanford. Depuis 1993, il est professeur vacataire dans différentes universités.

Ses recherches, menées à l’École de médecine de l’Université de Stanford, ont joué un rôle précurseur dans le développement de l’épigénétique, la discipline scientifique qui explore l’influence de l’environnement sur l’ADN.

Le Dr Bruce Lipton est un leader mondialement reconnu dans l’unification de la science et de l’esprit et l’une des voix les plus écoutées dans la nouvelle biologie. Pionnier dans les domaines de l’éducation alternative et de la littérature holistique.

[Voir aussi : Modifier notre ADN via notre conscience !]




La vaccination de masse déclenche un pic de cas COVID-19 et des décès

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Michael Whitney
Mondialisation.ca, 30 mai 2021
MERCOLA 21 mai 2021


Les cas de COVID ont fortement augmenté dans presque tous les pays qui ont lancé une campagne de vaccination de masse.

Le Cambodge a commencé sa campagne de vaccination début février après n’avoir compilé aucun décès ; après avoir commencé son programme de vaccination, les décès ont commencé à s’accumuler.

Il se peut que quelque chose dans le vaccin lui-même tue des gens

Les chercheurs de Salk ont confirmé que les principaux dommages causés par la COVID sont causés par la protéine de Spike et non par le virus ; si c’est le cas, alors pourquoi injectons-nous aux gens des vaccins qui enseignent à leurs cellules à fabriquer ces protéines.

118 millions d’Étasuniens ont maintenant reçu une protéine de Spike génératrice de caillots ; personne ne sait combien de temps ces protéines potentiellement mortelles restent piégées dans la paroi des vaisseaux sanguins ou quels dommages elles pourraient éventuellement causer.

Maintenant que les cas ont fortement diminué aux États-Unis, pourquoi ne pas abandonner les vaccinations jusqu’à ce que l’on comprenne mieux les risques à long terme ?

*

Les cas de COVID ont fortement augmenté dans presque tous les pays qui ont lancé une campagne de vaccination de masse. (Veuillez regarder cette courte vidéo avant que YouTube ne la supprime.1)
Pourquoi cela se produit-il ?

[Une animation de la mortalité COVID à travers le monde pour examiner l’impact de la vaccination, en testant l’hypothèse qu’ils sont jusqu’à 97% efficaces pour réduire la mortalité.Crédit @britishbennyboy sur Twitter pour l’animation.]

La vaccination de masse était censée réduire la menace de la COVID, mais – à court terme – elle semble beaucoup l’aggraver.

Pourquoi ? Et pourquoi la COVID « fait-elle maintenant une éclosion dans 4 des 5 pays les plus vaccinés ? » Selon le magazine Forbes :2

« Les pays où les taux de vaccination sont les plus élevés au monde – y compris quatre des cinq pays les plus vaccinés – se battent pour freiner les épidémies de coronavirus qui sont, par habitant, plus élevées que l’augmentation dévastatrice de l’Inde, une tendance qui a mis en question l’efficacité de certains vaccins … et la sagesse d’assouplir les restrictions, même avec la plupart de la population vaccinée. »

Pire que l’Inde ? Comment cela peut-il être ainsi ? Et pourquoi huit membres « entièrement vaccinés » des Yankees de New York [équipe de hockey] ont-ils obtenu un résultat positif au test COVID ? Voici l’histoire de l’Associated Press :3

« L’arrêt-court des Yankees de New York, Gleyber Torres, a été testé positif pour la Covid-19 malgré sa vaccination complète et son avoir précédemment contracté le coronavirus pendant la période de repos. Torres fait partie des huit soi-disant positifs de la percée parmi les Yankees – des personnes qui ont obtenu un résultat positif malgré leur vaccination complète. »

Et si cela ne prête pas assez à confusion, découvrez ce qui se passe au Cambodge. Le Cambodge a commencé sa campagne de vaccination début février après avoir compilé zéro décès. C’est vrai : le pays n’a connu aucun décès par COVID avant mars 2021, quelques semaines après avoir commencé son programme de vaccination. Et c’est à ce moment-là que les décès ont commencé à s’accumuler, comme vous pouvez le voir dans le tableau accrocheur ci-dessous.

Vaccinations et décès du COVID-19 Cambodge

Graphique de Joel Smalley Twitter4

Zéro décès COVID-19, jusqu’à la campagne de vaccination

Alors, voyons si nous pouvons le comprendre. Il n’y a eu aucun décès avant le lancement de la campagne de vaccination, mais peu après le début des injections, les décès ont commencé à augmenter. Pensez-vous qu’il pourrait y avoir un lien ici ? Pensez-vous que, peut-être, les décès sont liés aux vaccins ?

Bien sûr, ils le sont. Et c’est pourquoi les médias tentent de balayer cette histoire sous le tapis. Cela ne correspond pas au « récit officiel » sur les vaccins, ils ont donc décidé de « d’effacer » complètement l’histoire. « Poof » et c’est parti ! Et, en fait, c’est pire qu’une dissimulation parce que peu de temps après l’entrée en fonction de Biden, les CDC ont changé leur méthodologie de test, ce qui rend plus difficile le test positif.

En d’autres termes, ils ont truqué le système de sorte qu’il semble que moins de personnes « entièrement vaccinées » aient contracté la COVID après l’inoculation. Le Dr. Joseph Mercola explique ce qui se passe dans les coulisses :

« Maintenant, les États-Unis Les Centers for Disease Control and Prevention ont encore réduit la TDM, dans ce qui semble être un effort clair pour cacher les cas révolutionnaires du COVID-19, c’est-à-dire les cas dans lesquels des personnes entièrement vaccinées reçoivent un diagnostic de COVID-19. »

C’est tout un grand jeu de passe-passe. Ils manipulent le système pour donner l’impression que les vaccins arrêtent l’infection lorsque les preuves prouvent le contraire. Et remarquez le surnom délibérément trompeur que les médias ont inventé pour les personnes qui contractent la COVID après avoir été vaccinées. Ils les appellent « cas de percée » [breakthrough cases]. « Percée » ? Vraiment ?

Si les cas augmentent dans presque tous les pays qui lancent une campagne de vaccination de masse, alors il n’y a rien de « nouveau » [breakthrough] à cela. C’est le résultat prévisible d’une expérience ratée. Voici plus d’informations sur un article intitulé : « Taux de COVID après la vaccination dans le monde » :5

« … le gouvernement a supposé que si « vous vaccinez beaucoup de gens, le problème disparaît », mais les questionneurs parmi nous ne l’ont pas supposé. Surtout après avoir lu le document d’information de la FDA pour le vaccin COVID-19 Pfizer-BioNTech par exemple, beaucoup d’entre nous avaient des questions après l’avoir lu ; à la page 42, il est dit :

Les cas suspects de COVID-19 survenus dans les 7 jours suivant toute vaccination étaient de 409 dans le groupe vaccinal contre 287 dans le groupe placebo. Il est possible que le déséquilibre des cas suspects de COVID-19 survenant dans les 7 jours suivant la vaccination représente une réactogénicité vaccinale avec des symptômes qui chevauchent ceux du COVID-19.

Dans l’ensemble, cependant, ces données ne soulèvent pas de préoccupation quant au fait que la déclaration spécifiée dans le protocole des cas suspects, mais non confirmés, de COVID-19, aurait pu masquer des événements indésirables cliniquement significatifs qui n’auraient pas été détectés autrement. »

La FDA savait que les personnes vaccinées sont plus susceptibles de contracter la COVIDPour en savoir plus: Le vaccin « expérimental » contre l’ARNm Covid-19. On vous dit la vérité ?

WTF !?! Ainsi, la FDA SAVAIT que les personnes vaccinées étaient plus susceptibles de contracter la COVID que celles du groupe placebo, mais elle a approuvé les vaccins de toute façon ?!? Est-ce une négligence criminelle ou simplement une vieille stupidité ?

S’il vous plaît. Relisez le paragraphe ci-dessus et décidez si vous auriez donné le « feu vert » à ces injections douteuses ou non ?  Voici plus d’informations sur le même article :6

« Ce qui suit montre des données provenant du monde entier provenant de certains endroits sélectionnés. Il est, bien sûr, vital de souligner que la corrélation n’est pas la causalité. Et qu’il y a des pays où le déploiement des vaccins ne précède pas ou ne coïncide pas avec une augmentation des infections. Cependant, je n’ai pas été en mesure de trouver de pays où les taux de covidés ont commencé à baisser après le début de la vaccination, ou dans lequel une baisse a coïncidé avec le début de la vaccination.

En Indonésie, par exemple, le taux de covidé diminuait au début de la vaccination et semble n’avoir pas été affecté dans sa trajectoire par le déploiement du vaccin. Le lecteur peut consulter lui-même ces tableaux sur le site Internet. Jetez un coup d’œil à ceux-ci et voyez ce que vous en pensez… »

OK, donc l’auteur essaie de donner la plus grande tournure positive possible à la performance du vaccin. Il dit : « la corrélation n’est pas une causalité », ce qui signifie : « Ne faites pas fiez pas à ce que vous voyez lorsque vous observer les graphiques parce que – si vous le faites – vous tirerez la conclusion évidente que les vaccins augmentent considérablement vos chances de contracter la COVID dans les quelques semaines qui suivent la vaccination ».

Les graphiques vous convaincront également que Fauci, Biden et les médias ont menti comme des charlatans sur l’efficacité des vaccins. (Veuillez consulter les tableaux de l’article et juger par vous-même.) En voici plus :7

« Ce qui est très clair si l’on examine les données dans le monde entier, c’est que les vaccinations ne sont certainement pas associées à une baisse fiable des cas de covidés dans un délai prévisible. Cela, à côté des observations du procès, doit certainement être abordé. Que se passe-t-il ici ?

Est-ce juste que les vaccinations sont lancées par coïncidence en même temps que les épidémies sont sur le point de se produire ? Dans de très nombreux endroits ? Ou le vaccin ne fonctionne-t-il pas immédiatement ? Sinon, pourquoi pas ? … Ou le vaccin rend-il les gens plus sensibles à l’infection ? Si c’est le cas … s’agit-il d’un effet temporaire ? Qu’est-ce qui en est la cause ? …

Combien de temps faut-il pour qu’une sensibilité accrue diminue ? … On nous dit que tout le monde doit être vacciné (mais) Comment peut-on donner le consentement libre et éclairé dans ces conditions ? »

Ce sont toutes de bonnes questions. Malheureusement, le Dr. Fauci et ses collaborateurs n’ont pas l’intention d’y répondre. Au lieu de cela, leurs alliés dans les médias font tout ce qu’ils peuvent pour faire disparaître cette histoire et détourner l’attention vers les mystérieux « variants », qui sont la diversion médiatique quotidienne. Suis-je trop dur ? Peut-être, mais peut-être pas assez dur.

Raison de douter des propos rassurants des fabricants de vaccins

Jetez un coup d’œil à ce clip d’un article sur Conservative Woman intitulé « Toutes les raisons de douter des propos rassurants des fabricants de vaccins » :8

« J’ai déjà fait état d’une hausse étonnante des décès qui s’est produite parallèlement à une campagne de vaccination intensive à Gibraltar, où la petite communauté a donc développé le taux de mortalité par covidés le plus élevé au monde. Nous savons également que des milliers de décès ont été observés aux États-Unis, dans l’UE et au Royaume-Uni à la suite de la vaccination contre la Covid, souvent immédiatement après l’administration de l’injection.

Les fabricants, les principales revues médicales et la plupart des gouvernements insistent sur le fait que ces décès ne sont pas liés au vaccin. Dans de nombreux cas, les décès et les maladies graves ont été attribués à une infection fortuite par le virus. Mais les preuves sont de plus en plus nombreuses que pour certains, en particulier les personnes vulnérables et âgées, le vaccin lui-même crée ou aggrave la maladie même contre laquelle il est censé être protecteur…

… un phénomène inquiétant qui apparaît régulièrement dans les études sur le vaccin Covid est une flambée des prétendues « infections » qui se produit précisément au cours de cette période de trois semaines, et généralement immédiatement après l’injection … Les chercheurs soulèvent la possibilité que le vaccin puisse déclencher des « symptômes semblables aux symptômes de la Covid-19, y compris la fièvre » chez les personnes récemment exposées au virus …

Il suggère que le mécanisme peut être une baisse de l’immunité causée par une perte de globules blancs après le vaccin, observée dans les essais Pfizer et AstraZeneca, rendant les vaccinés plus vulnérables au virus à court terme. »

OK, donc l’auteur arrive à la même conclusion que l’auteur précédent ; peut-être que le vaccin rend les gens plus sensibles au virus en abaissant leurs défenses et, par conséquent, en favorisant l’infection. C’est certainement une possibilité, mais il en existe d’autres qui pourraient être infiniment plus graves. Jetez un coup d’œil :9

« Il n’a pas été généralement reconnu que le vaccin est conçu pour nous protéger en provoquant nos cellules à produire la toxine même qui rend le virus plus dangereux que ses prédécesseurs dans la famille des coronavirus. Cette toxine, connue sous le nom de protéine spike, peut endommager non seulement les poumons, mais aussi affecter des organes tels que le cerveau, le cœur et les reins.

Le raisonnement derrière l’administration du vaccin est que l’exposition temporaire à la toxine peut fournir une protection à long terme contre la maladie causée par le virus. Les premières indications indiquent que cette stratégie fonctionne, bien qu’il ne soit pas encore du tout certain dans quelle mesure la baisse des taux d’infection observée dans les populations intensément vaccinées est saisonnière et liée aux vagues d’infection, ou si elle constitue un avantage durable.

Mais il existe également une possibilité très réelle, étayée par des expériences sur les animaux ainsi que par les études citées ci-dessus, que le vaccin lui-même produise des symptômes chez les personnes vulnérables qui sont ensuite attribués au Covid-19. Les dommages à la santé peuvent être particulièrement graves chez une personne qui a été récemment ou qui est simultanément infectée par le virus réel.

Il y a donc tout lieu de douter des propos rassurants des fabricants selon lesquelles les décès et les blessures observés comme accompagnant la vaccination, et que dans certains cas ressemblent au Covid-19 et sont attribués à celui-ci, ne sont pas liés aux vaccin. La situation est suffisamment grave pour que certains médecins et scientifiques demandent un moratoire sur d’autres vaccinations contre la Covid jusqu’à ce que le vaccin ait été dûment vérifié. »

Il se peut donc que quelque chose dans le vaccin lui-même tue des gens. C’est une possibilité réelle. Bien sûr, les sociétés pharmaceutiques et les responsables de la santé publique rejettent carrément cette hypothèse, mais les professionnels de la santé et les scientifiques pensent que le danger est suffisamment important pour demander que le programme de vaccination de masse soit temporairement interrompu.

Principaux dommages causés par la COVID causés par les protéines spike.

Certains lecteurs se souviendront que le Salk Institute a récemment publié une étude qui a montré que la « protéine « spike » distinctive du CoV-2 du SRAS… « endommage les cellules, confirmant que la COVID-19 est une maladie principalement vasculaire ». Voici un extrait de l’article daté du 30 avril 2021:10

« Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont créé un « pseudovirus » qui était entouré d’une couronne classique de protéines de pointe du CoV-2 du SRAS, mais ne contenait aucun virus réel. L’exposition à ce pseudovirus a causé des dommages aux poumons et aux artères d’un modèle animal – prouvant que la protéine spike seule était suffisante pour causer la maladie.

Des échantillons de tissus ont montré une inflammation des cellules endothéliales tapissant les parois de l’artère pulmonaire. (Note – « Les cellules endothéliales vasculaires tapissent l’ensemble du système circulatoire, du cœur aux plus petits capillaires. »)

L’équipe a ensuite reproduit ce processus en laboratoire, exposant des cellules endothéliales saines (qui lignéent les artères) à la protéine spike. Ils ont montré que la protéine de pointe a endommagé les cellules en se liant à l’ACE2. Cette liaison a perturbé la signalisation moléculaire de l’ACE2 aux mitochondries (organites qui génèrent de l’énergie pour les cellules), provoquant des dommages et une fragmentation des mitochondries.

Des études antérieures ont montré un effet similaire lorsque des cellules ont été exposées au virus du CoV-2 du SRAS, mais c’est la première étude à montrer que les dommages se produisent lorsque les cellules sont exposées seules à la protéine de pointe. »

On ne saurait trop insister sur l’importance de ce rapport. Les chercheurs de Salk confirment que les principaux dommages causés par la COVID sont causés par la protéine spike et non par le virus. Et, si c’est le cas, alors pourquoi injectons-nous aux gens des vaccins qui enseignent à leurs cellules à fabriquer des protéines spike ?

Cela n’a aucun sens. Et comment cela affecte-t-il notre compréhension du phénomène que nous avons vu dans des pays du monde entier, c’est-à-dire la forte augmentation des cas à la suite de la vaccination de masse ? Permettez-moi de vous donner une explication plausible, mais non encore prouvée :

La forte augmentation des cas et des décès à la suite d’une vaccination de masse n’est PAS liée au COVID « la maladie respiratoire », mais au COVID « la maladie vasculaire ». La composante vasculaire est principalement le résultat de la protéine S [S pour spicule, Spike en anglais ou protéine de pointe] produites par les cellules de la paroi des vaisseaux sanguins (endothélium) qui activent les plaquettes qui provoquent des caillots sanguins et des saignements.

L’autre facteur principal est la réaction auto-immune dans laquelle les lymphocytes tueurs attaquent son propre corps, déclenchant une inflammation généralisée (et une défaillance potentielle des organes). En bref, les décès post-injection sont causés par les protéines S [Spike ou de pointe] produites par les vaccins et non par la COVID. Encore une fois, regardez la carte du Cambodge. Il n’y a eu aucun décès avant la vaccination. Tous les décès sont survenus par la suite. Cela suggère que les décès sont attribuables aux vaccins.

Une dernière réflexion : 118 millions d’Étasuniens ont maintenant reçu une protéine de pointe génératrice de caillots. À l’heure actuelle, personne ne semble savoir combien de temps ces protéines potentiellement mortelles restent piégées dans la paroi des vaisseaux sanguins ou quels dommages elles pourraient éventuellement causer.

En gardant cela à l’esprit, ne serait-ce pas le bon moment pour faire preuve d’un peu de prudence ? Maintenant que les cas ont fortement chuté dans tout le pays [États-Unis], pourquoi ne pas abandonner la vaccination anti-Covid tant que nous n’aurons pas une meilleure compréhension des risques à long terme ? Ce serait une bonne décision, n’est-ce pas ? Il suffit de reporter les nouvelles injections jusqu’à ce que la sécurité du produit puisse être garantie. Si on a pas été prudent jusqu’à maintenant sur cette question de vaccination, ce serait le moment de prendre des précautions.

Mike Whitney

Michael Whitney, analyste géopolitique et social renommé basé dans l’État de Washington, USA. Il a commencé sa carrière de journaliste-citoyen indépendant en 2002 avec un engagement en faveur d’un journalisme honnête et de la paix mondiale.

Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.

Article original en anglais :

Mass Vaccination Triggers Spike in Cases, Deaths, publié le 27 mai 2021.

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca

L’image en vedette est de Children’s Health Defense

Notes

YouTube 13 mai 2021

Forbes 11 mai 2021

NBC News 14 mai 2021

Twitter, Joel Smalley

5, 6, Informer l’Écosse 6 avril 2021

8, La femme conservatrice 3 mai 2021

10 Salk News 30 avril 2021

La source originale de cet article est MERCOLA
Copyright © Michael Whitney
MERCOLA, 2021




6 mois après la sortie du documentaire Hold-Up, interview du Pr Perronne sur la situation Covid-19

[Source : @waq-up2.21]






Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !

[Source : Anthropo-logiques (tdg.ch)]

Par Jean-Dominique Michel

Nous pouvons nous demander à ce stade si la « Covid », entrée dans sa saison 2, n’est pas une fiction dystopique produite par un quarteron de scénaristes sociopathes !

Alors que l’efficacité des traitements précoces ne cesse de se confirmer, alors que la volumétrie de l’épidémie ne cessent de se confirmer rassurantes, la pression narrative ne se relâche point : des résurgences dans certains contextes sanitairement précaires (comme hier au Brésil et aujourd’hui en Inde) sont brandies par les médias comme de nouvelle évidences de la nature apocalyptique du virus.

Alors que rapportées à leurs populations et mis en perspectives des problèmes sanitaires endémiques qui s’y constatent, ces épisodes,  tout tragiques qu’ils soient dans la réalité de ceux qui les subissent, n’ont hélas rien d’exceptionnel.

Et alors que la campagne « vaccinale » confirme être hasardeuse, dangereuse même, ainsi que parfaitement contraire aux règles et aux principes éthiques devant prévaloir en la matière, l’emballement conduit maintenant à ce qu’il faut bien appeler de nouvelles monstruosités.

Comme l’ouverture dans le canton de Vaud de l’expérimentation génique aux femmes enceintes (malgré l’augmentation constatées des fausses-couches chez les « vaccinées »…), la marche en avant vers la « vaccination » absurde des enfants et adolescents, qui sacrifiera inévitablement un certain nombre d’entre eux qui n’auraient aucunement été à risque ni de faire une forme grave de la maladie ni de la transmettre.

Cette danse de Saint-Guy semblant pour l’instant inarrêtable, il nous restera donc à continuer à en énoncer la tragique et meurtrière absurdité, en soulignant au passage combien la presse (sorry les gars) continue de ne pas faire son travail.

En taisant par exemple les falsifications des études produites par l’industrie, la complicité crapuleuse au tout-vaccinal de certaines autorités de santé (les scandales de corruption se multiplient à l’échelon de l’Union européenne) ainsi que la réalité préoccupante du taux d’effets indésirables et des décès dus à la « vaccination » dans un contexte de reporting défaillant du nombre réel d’accidents.

Bref, le bon peuple-marionnette n’est pas près de cesser de danser au bout de son fil et bien malin qui peut prédire la fin de cette « psycho-pandémie » collective comme l’appelle si à propos Michel Maffesoli.

Restent donc, encore et toujours, quelques sources et ressources pour  raison garder et ne pas être dupes.

Parmi icelles, relevons le travail d’information remarquable produit par quelques collectifs ou médias indépendants -comme bien sûr Réinfo-Covid. Saluons par la même occasion (avec un lien d’intérêt que je m’empresse d’annoncer puisque j’ai l’honneur de participer à cette aventure !) la création en Suisse romande de la plateforme d’information CovidHub.ch. Dont la mission est de donner l’information manquante (parce que filtrée, occultée ou censurée par les médias grand public) qui permettrait à tout un chacun de se forger ses opinions et prendre ses décision en toute connaissance de cause.

Le rôle de la presse, traditionnellement, était de présenter l’information de manière neutre, documentée et nuancée, en évitant de prendre partie dans les querelles idéologiques ou de participer aux humaines magouilles. Depuis qu’elle a été instrumentalisée à cette fin -renonçant au passage à son travail d’investigation sur les questions embarrassantes- , non seulement laisse-t-elle nos démocraties orphelines d’un contre-pouvoir essentiel à leur santé mais participe-t-elle activement comme générateur principal à la psycho-pandémie.

Reste aussi heureusement l’apport salvifique de voix expertes ne cédant pas aux pressions et à la répression de l’omerta, qu’il s’agisse de scientifiques, de penseurs et philosophes, ou de professionnels détenant des pièces du puzzle essentielles à une compréhension restaurée de la relativité et de la complexité des choses.

Parmi celles-ci (je l’ai souvent affirmé, ayant eu l’honneur de recevoir et de re-publier de nombreux textes de qualité) figurent des voix de médecins-psychiatres.

Nous vivons un temps où se multiplient hélas les impacts destructeurs des politiques sanitaires imbéciles qui nous ont été infligées depuis quinze mois, que j’avais prévus et annoncés de longue date. C’est sans doute le pire pour moi dans cette affaire : ne pas être entendu, me voir attaqué voire harcelé par certains suppôts de la dérive en cours ou devenir (temporairement) objet de scandale n’est rien face à ces montagnes de drames qui apparaissent.

Désormais donc, outre une flambée de la détresse psychosociale et des hospitalisations en psychiatrie, outre les faillites à la pelle d’honnêtes travailleurs étranglés puis conduits à la ruine par nos autorités, outre les morts inutiles de dizaines de milliers de personnes qu’il aurait été possible et impératif de soigner, apparaissent des réalités terribles et terrifiantes comme des suicides de jeunes enfants.

A Toulouse, les services de pédopsychiatrie alertent ainsi sur des pendaisons ou des défenestrations d’enfants âgés de six ans et les larmes -que les cyniques se fassent plaisir et se moquent- coulent en l’écrivant.

Comment la population, les familles, les parents, comment des corps de métier entiers comme les médecins et les enseignants, ont-ils pu ne pas voir que nous étions en train de générer une réalité mortifère, morbide, destructrice en particulier pour les groupes les plus vulnérable de la population ?

Notre Constitution -désormais piétinée, abusée, trahie et violentée par ceux qui auraient la charge d’en être les garants- énonce que c’est à la manière dont une société traite les plus vulnérable de ses membres que se reconnaît sa valeur et ses qualités.

Les yeux de ces enfants suicidés nous regardent depuis le fond de leurs tombes.

Et que leur regard puisse enfin collectivement nous hanter à l’heure où les crapuleries continuent à exploiter les lâchetés pour poursuivre envers et contre tout une entreprise de destruction massive des fondements de notre humanité.

C’est avec gratitude et fierté que je publie ici deux textes proposés par des habitués de cette page, les Dr Frédéric Badel et Frédérique Giacomoni. Ces deux médecin-psychiatres font partie des braves qui ne sont pas résignés au silence et à la complicité passive des dérives en cours conduisant à ces réalités terribles qui commencent seulement à nous exploser au visage.

Qu’ils soient remerciés de leur engagement et de leur courage, comme de la confiance qu’ils m’accordent en m’autorisant à re-publier leurs textes sur cette modeste page…

Et puissions-nous enfin, enfin, trouver le chemin de retour vers l’intelligence, le bon sens et le socle même minimal de notre humanité.


COVID-19 : VERS UNE SOCIÉTÉ DU SANS CONTACT ?

Par Dr Frédéric Badel

Quelques paroles de patients, recueillies au cours des consultations, doivent être rapportées en guise d’introduction. Le premier patient avait été hospitalisé pendant plus d’un mois, le second traité en soins externes, mais leurs récits se rejoignent. L’un et l’autre témoignent de la transformation rapide et profonde qu’a subie notre idée du soin, dans une société devenue monomaniaque, soucieuse avant tout de se préserver du Covid.

Le premier patient résume en quelques mots le vécu de bien des malades obligés de séjourner pour un temps plus ou moins long dans des cliniques ou des hôpitaux : « Si je sors pour le week-end, je suis en quarantaine pour une semaine en revenant dans l’établissement… si mes enfants viennent me visiter, ils doivent porter le masque, et je ne peux pas les embrasser… ils doivent rester à deux mètres… on ne peut pas sortir, on est en prison. Si j’avais été mieux, je ne serais pas resté dans ces conditions, ce n’est pas digne, surtout avec les PCR à répétition, on ne peut pas refuser, nos droits ne sont pas respectés ».

Le second, en l’occurrence une patiente, questionne directement notre humanité. Elle se rend à l’hôpital pour quelques heures, pour se voir administrer une chimiothérapie. Les cures antérieures ont affecté sa motricité car le produit a attaqué les nerfs de ses jambes. « Je ne peux pas me déplacer sans aide. Mon mari n’a pas été admis dans l’hôpital à cause du Covid ; il a dû m’attendre à l’entrée. Une patiente qui voulait m’aider à me déplacer s’est fait reprendre par une soignante qui lui a demandé de ne pas me toucher car c’est la règle de distanciation. Vous parlez de soins… on est traités pire que des chiens. Heureusement la patiente ne l’a pas écoutée et m’a aidée. Déjà qu’on est malade, comment voulez-vous qu’on aille bien dans ces conditions ?  C’est inhumain ».

Si la qualité technique des soins n’est généralement pas remise en cause, les conditions de l’accueil et de l’hébergement, régies par les règles nouvelles, interrogent nécessairement car elles déclenchent des réactions d’hostilité, de défiance, voire de violence de la part de patients, peu habituelles en temps normal.

Les mesures d’hygiène prises dans certains établissements de soins, parfois drastiques, font oublier que la santé se définit par un état de bien-être physique, psychologique et social. Deux des trois épithètes ont pâti de la crise, jusqu’à parfois être effacés. Certains patients préfèrent renoncer aux soins non urgents tant ils jugent que les conditions de vie sont dépourvues d’humanité et manquent au respect le plus élémentaire de leur personne qu’ils sont en droit d’attendre en ces lieux, tant ils estiment que les mesures sanitaires sont disproportionnées. Le soin, synonyme de lutte contre le virus, a en effet été diminué de plusieurs de ses dimensions fondamentales comme le souci de l’Autre et de son bien-être, ou la bienveillance envers les malades.

Le propos de ces personnes, souvent devenues dépendantes et vulnérables du fait de la maladie, invite à s’interroger sur le type de gestion de crise que proposent les autorités. Jusqu’où est-il raisonnable d’aller dans la traque d’un virus ? Quel modèle de société point à l’horizon quand la priorité retenue par une certaine science, érigée en guide, est d’éradiquer un virus ou de prévenir toute épidémie, quitte à piétiner un des éléments qui nous fonde de façon ontologique et qui nous situe dans l’humanité commune, à savoir le contact sous toutes ses formes ?

Mesures et démesures

Les mesures « sanitaires » prises pour lutter contre l’épidémie ont essentiellement consisté dans l’instauration de gestes barrière (lavage des mains, port du masque, distanciation sociale) et la réduction des droits des personnes (interdiction de regroupement, jauges multiples, atteinte au droit de travailler et de se déplacer). Si certaines de ces mesures peuvent sembler classiques et de bon sens, comme le lavage des mains ou le port du masque dans des situations précises, d’autres, si elles devaient durer, pourraient rapidement se révéler préjudiciables. L’histoire de l’humanité le montre.

La phylogénèse nous apprend en effet que les animaux les plus anciens, de type reptilien, n’ont que peu voire pas de contacts avec leur descendance. Leur progéniture naît autonome et nombreuse, ce qui permet de pallier les lourdes pertes qui se produisent dès la naissance. Elle n’a pas besoin de l’assistance de ses parents, lesquels ne s’en préoccupent pas. Par exemple les petites tortues naissent en grand nombre sur les plages, sans aide aucune et, malgré les multiples dangers qui les guettent dès la sortie de leur coquille, leur nombre permet le renouvellement de l’espèce. Elles sont d’emblée équipées, sans apprentissage nécessaire, pour tout ce qui est indispensable à leur vie, à savoir se nourrir, se reproduire, se diriger. Leur cerveau est centré sur l’auto-protection pour faire face à la menace. On estime cependant que 98 % d’entre elles n’atteignent pas l’âge adulte.

Cet exemple, édifiant, permet d’illustrer la vulnérabilité de l’espèce quand ses membres n’interagissent pas et quand les rapports entre les vivants n’intègrent pas la dimension du soin, ce qui a été la règle pendant des millions d’années. Or, le passage de la survie à la conservation des espèces s’est réalisé en partie grâce à l’émergence du soin.

Il y a environ 120 millions d’années, les femelles mammifères ont commencé à prendre soin de leur progéniture. Ce phénomène, qui s’est accompagné de la réduction du nombre des naissances pour que la mère puisse investir les petits, se double d’un changement dans le cerveau, lequel permet au petit de se tourner vers sa mère, de chercher sa proximité plutôt que de la fuir, et à la mère de lui assurer soins et protection. Cette interaction va bien au-delà de la préservation de la vie physique. Par les soins prodigués et le contact, le parent stimule en effet le système d’apaisement du petit qui calme à son tour son système de menace. Il suffit de regarder les images fabuleuses filmées par le naturaliste britannique D. Attenborough pour constater la magie du soin dans le monde naturel.

Parce qu’ils naissent avec des capacités d’apprentissage, les petits restent un temps variable avec leurs parents avant de les quitter. L’environnement joue un rôle dans l’épanouissement de ces espèces pour lesquelles l’existence dans son entièreté ne se résume pas au matériel génétique qu’ils détiennent à la naissance.

Ce phénomène s’est poursuivi jusqu’à l’homme avec, comme corollaire, le développement extraordinaire du cerveau ces trois derniers millions d’années. À sa naissance, le petit d’homme est très incomplet et entièrement dépendant de son environnement. À ce stade, certaines zones de son cerveau sont déjà spécialisées et répondent à la gentillesse et à l’affection. Les gènes qui y correspondent sont activés ou désactivés en fonction de la quantité et du type d’affection qu’il reçoit, tout particulièrement au début de sa vie. Ainsi, des modifications du cerveau sont visibles en cas de carences de soins ou d’abus sévères alors qu’elles ne sont pas observées si les soins sont correctement assurés.

Le soin a par ailleurs des effets sur la production d’ocytocine, une hormone importante liée à nos sentiments de sécurité et d’affiliation et qui joue un rôle social majeur. L’ocytocine est en particulier stimulée quand des soins sont prodigués par les parents ou leurs substituts, et il a été établi que le contact physique augmente son taux (câlins, bisous, caresses). Cette hormone intervient dans la capacité à faire confiance, à aimer les gens, à nourrir un sentiment de sécurité. Elle diminue également le stress. Plus largement, il est démontré que les animaux chez qui cette hormone est éliminée ne développent pas d’attachement à leur progéniture.

Le cerveau humain est donc conçu dans son ensemble pour être sensible aux marques d’affection et aux soins issus de l’environnement à travers toute une série de systèmes spécialisés capables de ramener le calme et le sentiment de sécurité.

Pour contrôler les systèmes d’activation des conduites ou ceux de la peur, un système antagoniste est capable de ramener le calme. Il comprend le système parasympathique et certaines zones cérébrales correspondant aux sentiments de bienveillance, d’affiliation et de compassion, la compassion pouvant être comprise comme la capacité qu’a la mère (principalement) à repérer la souffrance de son enfant et à lui venir en aide.

Ces systèmes sont stimulés par le regard, la parole et l’étreinte. L’enfant peut être rassuré ou consolé par un simple contact ou une parole gentille (en thérapie, l’auto-compassion passe par le contact avec son propre corps, par exemple le fait de s’étreindre, et procure de l’apaisement).

Les parties de notre cerveau qui soutiennent et permettent l’attachement et plus largement l’affiliation sont liées à des sentiments d’empathie et d’amitié. Ces sentiments nous permettent d’appréhender le milieu extérieur et nos semblables, de nous sentir dans un même flux d’humanité, de nous considérer comme des humains au milieu d’autres humains, préoccupés, quelles que soient leurs différences, par le souhait d’être heureux et ne pas souffrir. Ce sentiment d’affiliation se développe différemment selon que l’on grandit dans un milieu bienveillant ou dans un milieu plus hostile. L’affiliation est donc étroitement liée au sentiment communautaire.

Ces systèmes codant pour l’apaisement, la bienveillance, la compassion nécessitent une stimulation suffisante, régulière et permanente, pour que l’individu se porte bien, pour qu’il soit en bonne santé.

Cela explique que certaines personnes âgées, isolées, privées de leurs seuls repères affectifs – les visites de leurs proches le plus souvent – se laissent mourir ou développent des troubles cérébraux dégénératifs irréversibles. Pour elles, la vie sans affection n’a peut-être plus de sens et les systèmes neuro-hormonaux perdent leur équilibre, favorisant l’apoptose.

Cet équilibre fragile risque de subir de graves dommages lors chocs importants et/ou prolongés comme le montre l’exemple des personnes qui ont vécu des traumatismes. Ces victimes présentent en effet des modifications de leur fonctionnement cérébral avec une hyperactivation des zones correspondant à la peur et une sous-activation des zones correspondant à l’apaisement. Ces états font suite à des épisodes de peur intense, d’incompréhension ou de sidération plus ou moins durables. Les modifications immunitaires liées au stress peuvent également laisser émerger des maladies auto-immunes, des cancers ou d’autres pathologies somatiques (ulcères, infarctus etc.)

Des mesures délétères

Les mesures prises à partir de mars 2020 et surtout du mois d’octobre de la même année concernent toute la population. Elles ont mis un terme aux rassemblements, à la fréquentation des lieux d’échanges et de socialisation – bars, restaurants, salles de sport et de spectacles-. Nombre d’associations ont également fermé, une part des salariés a été obligée de travailler à domicile en télé travail. Les cours en distanciel ont réduit les échanges également chez les étudiants et les élèves. Les rares échanges qui subsistent se réalisent avec des normes « sanitaires » impliquant une distanciation, le port du masque et une limitation du nombre des personnes qui se regroupent.

Cette nouvelle façon de vivre modifie notre système hormonal, immunologique et cérébral. Il se pourrait même, si ces habitudes devenaient pérennes, que des modifications adaptatives de nature épigénétique (mode de lecture de notre code génétique) apparaissent. Ceci est d’autant plus grave que les études menées sur les personnes ayant subi des traumatismes montrent une transmission de ces traumatismes aux générations suivantes. La nature épigénétique de cette transmission a été mise en évidence.

Les mesures prises pour lutter contre le virus vont donc à l’encontre de ce que sont les humains, des êtres de communication et de contact. Elles sont délétères et nous mettent face à un défi, celui de préserver notre santé. Nous constatons qu’en diminuant la convivialité et les loisirs, la quantité et la qualité des contacts, notre dynamisme et notre joie de vivre s’altèrent. Nous tendons au repli et à l’aboulie. Notre pulsion de vie s’épuise.

Nous pouvons prendre conscience de cette réalité nouvelle pour réagir au mieux et prendre soin de nous. Des modifications de nos habitudes peuvent se révéler salvatrices pour rétablir ou maintenir l’équilibre entre les systèmes activateurs et les systèmes de détente. La source de stress la plus présente réside dans le réseau d’informations qui relaie presque exclusivement des nouvelles qui activent les systèmes de menace.

S’apaiser

Par exemple, il est possible de réduire ces sources de stress en regardant les informations peu de temps, en se limitant aux titres, en faisant des pauses d’informations de plusieurs jours, en s’informant de façon indirecte (réseaux sociaux) pour éviter de subir les chocs émotionnels créés par les annonces.

La réduction du stress peut aussi passer par une alimentation équilibrée, laquelle participe à une bonne digestion et à l’entretien du microbiote (le microbiote comprend des milliards de bactéries, champignons et virus dont le métagénome joue un rôle encore peu connu).

Activer les systèmes d’apaisement constitue égale une cible majeure et plusieurs propositions peuvent être faites en ce sens :

  • Rencontrer les personnes/amis, échanger sur ses expériences actuelles pour aider à trouver du sens et du réconfort et augmenter le sentiment d’affiliation. S’inscrire dans des associations peut être utile et permettre de rencontrer de nouvelles personnes habitant à proximité.
  • Éviter le repli en sortant, utiliser le plus possible les attestations tant qu’elles sont obligatoires. Le repli peut faire le lit de la dépression. Préférer les sorties aux écrans.
  • Pratiquer de l’exercice physique régulièrement (production d’endorphines apaisantes). La marche constitue une activité physique à part entière.
  • Favoriser les pratiques de détente (respiration, yoga, méditation, qi gong, etc), pratiquer des exercices de pleine conscience pour s’extraire des ruminations et apprendre à mieux observer le moment présent pour en profiter. Les anxieux sont très souvent en hyperventilation et la respiration abdominale, comme les exercices de cohérence cardiaque, sont rapidement efficaces pour la diminuer.
    La méditation tournée vers la bienveillance l’émerveillement et la compassion permet de lutter contre les poisons mentaux que sont la colère, la haine, la peur, émotions négatives qui altèrent la qualité de vie. Des études menées récemment auraient montré que la pratique de la méditation diminuerait la vitesse d’érosion des télomères, ces parties distales a priori non codantes des chromosomes qui, avec le temps, se rétracteraient et détermineraient les modifications biologiques du vieillissement.
  • Développer des activités créatrices ou plaisantes: bricolage, dessin, chant, danse, lecture etc.
  • Préserver son sommeil.
  • La prière est également un moyen de se recentrer, de prendre du recul, de donner du sens, de faire corps avec le monde et l’univers.
  • Faire des câlins, caresses, pratiquer la méditation, l’écoute des autres, l’exercice physique et l’activité sexuelle, faire des cadeaux, faire plaisir, rire, garder de l’humour, sont cités pour augmenter le taux d’ocytocine.
  • Avoir des activités agréables, voir les autres et échanger avec eux, les toucher, les embrasser, les étreindre, contribue grandement à maintenir une bonne santé physique et mentale. Toute atteinte prolongée à ces activités fondamentales peut détériorer gravement et durablement ce capital. C’est pourquoi l’isolement social et les privations sensorielles sont classées dans les tortures.

Heurts de fond

La société du sans contact, qui a été imposée de façon irresponsable et arbitraire, sans aucune référence aux pratiques de gestion passée des épidémies, se heurtera toujours à ce que nous sommes de façon pérenne et profonde, des êtres sensibles à la gentillesse, aux marques d’affection et aux contacts. Sa mise en place sera obligatoirement un échec.

La richesse et la diversité des liens sociaux étant un gage de santé, une transgression brutale, forcée et durable de cette humanité ne pourrait se réaliser qu’au prix d’une réduction de population sélectionnant progressivement les mutants de demain, qui auraient par exemple désactivé la production d’ocytocine ou d’autres hormones régissant le lien à l’autre et l’affectivité. Des mutants capables de vivre dans un référentiel totalement différent où l’individualisme règnerait et où tout échange avec l’autre serait devenu inutile. Un monde d’écrans et de machines, de consommation, de travail, dans lequel les notions de loisir, de partage, de convivialité, de contacts, auraient disparu.

Quand bien même ce système oppressant mis en place depuis plus d’un an serait levé, il aura été le moyen de dissoudre les libertés individuelles et d’instaurer un apartheid sanitaire. Les lieux d’échanges et de convivialité ouvriront comme dans le monde d’avant, mais dans un référentiel différent intégrant les barrières sanitaires et l’obsession de la maladie. Le chemin est désormais tracé pour que cette obsession de la maladie et sa hantise nourrissent les prochaines crises sanitaires, lesquelles induiront les mêmes réactions irrationnelles de peur et ouvriront les portes à de nouvelles modifications dans nos relations sociales, nous isolant toujours un peu plus les uns des autres, acceptant d’avantage de réductions de nos droits.

Dr Frédéric BADEL

Mai 2021


« Au fond de moi, je le savais ! »

Par Dre Frédérique Giacomoni

Combien de fois avez-vous pensé ou prononcé cette phrase?
Où situez-vous ce « fond de moi »?
Dans votre tête, dans vos pensées ou bien plutôt quelque part dans vos tripes?

La plupart d’entre nous situons clairement ce « fond de moi » dans les tripes, dans un espace sous le diaphragme et derrière l’estomac. C’est probablement là que se situent l’intuition et les pensées qui jaillissent dans le corps.

L’être humain a cette particularité de pouvoir déplacer son attention là où il le veut. Il peut choisir de la mettre dans sa tête, de suivre toutes ses pensées voire même de s’y accrocher ou de mettre son attention dans son corps par exemple dans cette zone sous le diaphragme et ainsi se connecter directement avec son intuition.

Beaucoup d’entre nous ne ressentent plus ni leur corps, ni leur instinct ou leur intuition et se sentent plus ou moins complètement coupés de leur corps. Cette dissociation totale ou plus souvent partielle selon les personnes provient d’expériences traumatiques répétées. Les traumatismes qui la provoquent sont physiques, bien évidemment, et aussi psychologiques.

Peu importe la nature des trauma psychologiques, le résultat sera toujours le même : maintenir les peurs à un haut niveau, peurs qui empêcheront l’Etre d’évoluer et de grandir en autonomie et en liberté. Les peurs maintiennent l’Etre dans un état de soumission voire d’esclavagisme. Les peurs sont un produit du mental et chacune d’entre elles forme les barreaux de notre prison.  Le mental est une prison. D’ailleurs la technique utilisée par les sectes pour maintenir leurs adeptes dans la dépendance consiste pour le gourou  à créer  ou s’appuyer sur une peur terrible : celle de la mort sous toutes ses formes – peur de la fin du monde, peur d’être banni, peur de l’opinion des autres, peur du rejet du groupe, peur de sortir du rang, peur de la maladie, peur du jugement, peur du regard des autres…-  pour provoquer chez ses adeptes une émotion forte et propose alors LA solution que lui seul détient. Il utilise également d’autres techniques issues de l’ingéniérie sociale qui lui permettent d’empêcher ses adeptes de réfléchir par eux-mêmes. Les adeptes consentent donc à cesser leur réflexion et à s’en remettre au gourou. Ils sont soulagés de ne plus avoir à réfléchir et n’ont plus besoin de tenir compte de leurs ressentis, il suffit de suivre les préceptes du « sauveur, celui qui connaît la solution ». C’est plus confortable pour eux de suivre sans réflexion que de remettre en question leurs propres croyances. Il faut réfléchir à cette phrase de Machiavel : « Celui qui contrôle la peur, contrôle les âmes ».

Lorsque les trauma psychologiques sont répétés, l’être humain se dissocie pour se protéger dans un réflexe de survie. Il se coupe, sans intention consciente de le faire, de son ressenti douloureux et pense ainsi avoir réglé le problème. Or plus il se coupe de ses ressentis et plus il sera amené à le faire. A tel point que la coupure, cette dissociation peut devenir une manière d’être au monde. Dans ce cas terrible, la personne est coupée dans son incarnation et ne peut plus ressentir son intuition. C’est comme si elle avait perdu sa boussole. Certains nomment d’ailleurs cette intuition : la partie divine en soi. Peu importe que l’on croit ou non en Dieu. C’est en se reliant à son corps et à ses tripes que l’être humain peut ressentir sa « pleine conscience ». C’est -à-dire la totalité de sa conscience et pas seulement celle contenue dans sa tête. Devenir conscient c’est sortir de la prison. Le mental réalise alors qu’il pensait être en prison et que ce n’était qu’une illusion.

La totalité de sa conscience nécessite donc de pouvoir relier le mental – les pensées qui viennent de la tête – à l’intuition dans le corps : aux pensées et ressentis qui viennent du corps. Or si la personne est dissociée, elle ne peut plus réaliser cette connexion pourtant essentielle à sa réflexion. Une personne dissociée est donc la candidate idéale pour subir l’influence d’une personne ou de toute autre entité comme un état qui aurait intérêt à la maintenir dans la peur pour mieux la manipuler et la soumettre. Par exemple, beaucoup d’entre nous ont eu des parents qui utilisaient la peur ou la honte pour faire tenir les enfants tranquilles : « tu n’as pas honte? » ;  « Attention, ne fais pas ça, sinon tu vas voir ce que tu vas voir. »…Ce modèle éducatif remonte souvent sur plusieurs générations. A telle enseigne que certains définissent le « mental » comme la somme des peurs de l’humanité!

Si la personne est dissociée, même partiellement, son attention est donc tout le temps captivée par les peurs et cela génère évidemment des tas de troubles, de confusion, de difficultés de tout ordre dont l’incapacité à ressentir ce qui est bon pour soi, ce qui est juste pour soi et ce qui fait sens pour soi.

Je reprends là, comme un exemple, les paroles du Père Kalka qui fût aumônier  dans l’armée française et qui écrit ceci :
« …Mais il y a deux catégories de chef et deux sortes de solitude. Le premier est pendu au câble du téléphone et attend les directives venant d’en haut. Quelles que soient ces directives, il les accepte sans broncher, car il ne pense qu’à son avancement. Le second se met devant Dieu et sa conscience, et décide. Oui, je sais, ce n’est pas évident de prendre ce genre de décision, c’est même très dur d’assumer ainsi cette volonté qui pourrait être, et en général, elle est celle du Ciel. Elle vient toujours du Ciel, d’ailleurs, dès qu’il est question de vérité, de courage et d’honneur. »

Il décrit très bien la nécessité de se connecter à sa pleine conscience dès qu’il est question de vérité, de courage et d’honneur. C’est donc essentiel de pouvoir reconnecter le mental, la tête avec le corps et ses ressentis profonds. Il faut aider chacun d’entre nous à se reconnecter avec son intuition. Il faut rétablir la ligne!

Depuis la découverte de l’importance du rôle du microbiote dans la gestion émotionnelle certains n’hésitent pas à parler du tube digestif comme étant notre premier cerveau ! Premier ou deuxième, ce qui compte est de relier ces deux cerveaux et que cette connexion ne puisse pas être interrompue à tout bout de champ.

Une manière de restaurer cette connexion essentielle entre nos deux cerveaux est sans conteste la méditation. Le Dalaï-Lama postule d’ailleurs que si l’on enseignait la méditation dans une classe d’âge à des enfants de 8 ans, la paix dans le monde serait obtenue en une seule génération. Le pouvoir de la méditation de masse créatrice de paix pour réduire la guerre et le terrorisme a été testé à plusieurs reprises, notamment sur la guerre civile au Liban avec une réduction de 70% des décès liés à la guerre. http://www.permanentpeace.org/evidence/war.html

La pratique de la méditation comme outil de développement personnel est depuis longtemps théorisée et relayée par nombre d’auteurs, ouvrages, congrès, théories, recherches…Cette pratique est essentielle et utile comme préalable pour rétablir la connexion en soi tout d’abord. En revanche elle ne doit pas en rester à ce stade car se sentir mieux, se développer, grandir en soi n’est pas une fin en soi! Ce n’est que le début du travail qui n’a de sens que si cette meilleure connexion à SOI permet d’améliorer sa connexion aux autres et à l’AUTRE plus généralement. Cet Autre, ce Tout Autre plus grand que soi. On pourrait aussi le nommer l’intelligence collective ou inconscient collectif. A ce titre j’estime même que le terme de 3ème cerveau serait intéressant. On pourrait ainsi postuler que la pratique régulière de la méditation est l’outil nécessaire, simple gratuit et facilement accessible, puisqu’il s’agit d’un travail sur le souffle, outil nécessaire et indispensable pour connecter les trois cerveaux dont nous avons besoin pour vivre sainement. Lorsque l’être humain parvient à se connecter à plus grand que lui, il apprend à laisser son ego à sa juste place et peut développer sa conscience ou plutôt la totalité de sa conscience en lui et autour de lui.

En étant correctement « aligné » c’est-à-dire en maintenant cette ligne fonctionnelle entre les trois cerveaux  : spirituel (intelligence collective) , organique (mental) et digestif (émotionnel) nous aurons beaucoup moins tendance à utiliser la violence sous toutes ses formes et pourrons améliorer le respect  et la compassion pour toute forme de vie humaine ou non humaine. Le mot compassion est très beau bien qu’il soit difficile d’en trouver une définition parfaitement consensuelle. La définition qui me paraît la plus juste est celle qui fait de la compassion la forme la plus élevée, la plus pure de l’Amour. Les travaux se multiplient pour montrer l’intérêt de la pratique méditative et spirituelle pour aller vers une transformation collective. La crise que nous traversons actuellement est essentiellement spirituelle. Seule une reconnexion de l’être à des valeurs hautes telles que compassion, miséricorde, pardon, amour inconditionnel, beauté, bonté, vérité…peut nous aider à sortir de cette crise qui emprisonne les humains dans leur seule volonté-nécessité  de survivre. La méditation en est un des vecteurs.

Laissons-nous inspirer par cette phrase de Gandhi «  Sois le changement que tu veux voir dans le monde ».

Dre Frédérique Giacomoni

Mai 2021




Covid-19 : témoignages de travailleurs de la santé

[Source : Games N Roses]

Des travailleurs de la santé qui jusqu’à maintenant étaient restés dans l’ombre, mettent enfin un terme à l’omerta du silence imposée sous peine de licenciement. Ces témoignages tant attendus exposent ce qu’elles ont vu en coulisse derrière le rideau du Covid Show. Ce documentaire révèle les incohérences en milieu hospitalier dont elles ont été témoins. Ces témoignages inespérés jusqu’à présent, viennent montrer l’envers de la médaille. Les mensonges propagés par les médias quant à la réalité de ce qu’elles voyaient, seront clarifiés et ce, grâce à ces anges qui étaient en première ligne durant cette « plandémie ». Vous serez aux premières loges également de ce que nos ainés ont subi comme fin de vie…

https://youtu.be/dD4WAMtI8gA



«Marche pour la liberté» : manifestation d’ampleur à Londres contre les restrictions sanitaires

[Source : RT France]

[Photo : © HENRY NICHOLLS Source: Reuters.
Les manifestants étaient nombreux à Londres.]

Lassés par la poursuite des restrictions sanitaires, des milliers de Britanniques se sont rassemblés dans les rues de Londres pour protester, entre autres, contre le pass sanitaire, et faire part de leur méfiance vis-à-vis des vaccins anti-Covid.

Une «Marche pour la liberté» organisée à Londres a attiré le 29 mai plusieurs milliers de participants, venus protester contre la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement britannique. Cette manifestation, la dernière en date d’une série dans la capitale anglaise, s’inscrit dans un mouvement plus large dans les pays européens.

Ce 29 mai, la mobilisation a rassemblé des personnes mécontentes des fermetures prolongées imposées par le gouvernement, critiques du pass sanitaire, ou encore qui se méfient des vaccins contre le Covid-19.

David Kurten, ancien membre du Parti pour l’indépendance du Royaume-Uni (Ukip), a estimé que le rassemblement était plus important que celui du week-end dernier, qui avait réuni plusieurs milliers de personnes.

Au Royaume-Uni, la défiance vis-à-vis des politiques gouvernementales a été alimentée par l’évolution du discours des autorités, qui avaient initialement affirmé que les restrictions seraient imposées pour une courte durée avec l’objectif d’«aplanir la courbe» des infections Covid-19 et d’empêcher que les hôpitaux soient débordés, mais qui se sont ensuite prolongées pendant des mois.

Le gouvernement de Boris Johnson a récemment mis en garde contre le variant indien, en raison duquel l’assouplissement promis des restrictions dans le pays pourrait être remis en question. Les pubs et les restaurants d’Angleterre ont récemment été autorisés à servir à nouveau les clients à l’intérieur par groupes de six maximum et d’autres lieux publics ont vu leurs restrictions partiellement levées. Les rassemblements publics en plein air sont normalement limités à 30 personnes.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/87231-marche-pour-liberte-manifestation-ampleur-londres-restrictions-sanitaires




Bruxelles : plusieurs milliers de manifestants contre les restrictions anti-Covid, le pass sanitaire

[Source : RT France]

[Photo : © HATIM KAGHAT / Belga Source: AFP
Les manifestants au Bois de la Cambre le 29 mai 2021.]

Entre 2 000 et 3 000 personnes ont protesté contre les restrictions sanitaires ce 29 mai à Bruxelles, faisant notamment part de leur opposition à la politique vaccinale et au pass sanitaire européen, ou encore au port du masque.

Ce 29 mai, entre 2 000 et 3000 manifestants, selon 7 sur 7 et La DH, sont descendus dans les rues de Bruxelles pour protester contre les restrictions anti-coronavirus, se réunissant notamment au Bois de la Cambre, lieu habituel de rassemblements.

Ils marchaient en fin d’après-midi en direction du Parlement européen, notamment pour protester contre la politique vaccinale dans l’Union européenne.

Le site du Soir indique que, dans ce rassemblement non autorisé, se retrouvaient des coronasceptiques, des anti-masques et quelques soutiens au militaire fugitif Jürgen Conings, qui avait proféré des menaces contre un virologue et des représentants de l’Etat. Le média assure que des opposants aux vaccins et au pass sanitaire étaient d’ailleurs venus «de plusieurs pays européens», dont de nombreux Néerlandais et Allemands selon la RTBF.

Malgré quelques fumigènes, la manifestation s’est déroulée dans le calme, comme le fait savoir une journaliste présente sur place.

Quelques tensions sont toutefois apparues quand les manifestants ont été empêchés d’approcher du Parlement européen, mais le calme est vite revenu.

Selon Sud Info, en début de soirée, des manifestants ont pris la direction du parc du Cinquantenaire, scandant «liberté, liberté». «Une petite bagarre a eu lieu entre des manifestants et des cavaliers de la police», note le site d’information.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/87229-bruxelles-plusieurs-milliers-manifestants-contre-restrictions-anti-covi-pass-sanitaire




Livre accablant, prétentions « printanistes » et slogans séditieux par pseudo-hirak en mode « bis repetita » !

Par DJERRAD Amar

[Ndlr : même si cet article est écrit plus spécialement à destination de la communauté algérienne au Canada, il peut intéresser d’autres personnes qui souhaitent connaître davantage la réalité algérienne, l’auteur Amar DJERRAD vivant lui-même en Algérie.]

C’est alors que des forces sont apparues, chevauchant la vague, portant des slogans insolites et hasardeux entrant dans le cadre « printaniste » et « islamistes » exigeant qu’on « enlève tout le monde », entendre même ceux à l’origine de la déchéance du pouvoir… Des slogans surgissant curieusement au moment où les poursuites judiciaires battent leur plein !

Un livre-enquête accablant, des répliques « ad personam » !

Il a fallu donc un livre-enquête bien documenté par des preuves incontestables, citant des associations et des personnalités algériennes fiancées par des organismes impliqués dans la « printanisation » de certains États pour que les mis en cause, leurs serviteurs, leurs soutiens médiatiques internes et étrangers (surtout français) répliquent, en se relayant, pour tirer à boulets rouges sur la personne de l’auteur (de ses préfaciers et de son éditeur) non pas pour apporter les preuves du contraire, mais pour dénigrer, jusqu’à l’insulte, sa personne, sa probité, son patriotisme et même ses compétences et son éducation !

Ces mensonges, matraquages que ces « opposants » algériens d’ici et de l’étranger, aidés par des officines imposantes et puissantes, injectent leur venin, en fait, depuis des années dans le but de dominer les consciences et caporaliser la jeunesse. Les voilà, par leur comportement désespéré, mis à bas par un seul livre, leur donnant des cauchemars tels, que les rachado-démocrates n’ont rien trouvé comme arguments que de le qualifier, par colère et dépit, de « kouteyb » (opuscule), de pamphlet, de brochure… ! Logiquement c’est aux concernés de répliquer par des preuves tangibles et non à Rachad, depuis Londres ou Genève. Le « kouteyb » vise des personnes et des associations sensées de la mouvance « démocratique » et c’est les islamistes de Rachad qui interviennent, feignant le sentiment d’en être éprouvé, en ripostant par un livre de 3oo pages écrites par un panel d’une dizaine de personnes ; sans avoir apporté la moindre preuve du contraire ! Que des attaques « ad personam » !

Financements étrangers, pseudos-hirak impurs, slogans séditieux

Les citoyens patriotes doivent plutôt lire le livre du Dr Bensaada pour faire leur propre opinion et éviter de prêter l’oreille aux trompettes des félons et aux chants langoureux des sirènes qui n’attirent que les stupides et les cupides ! Mieux vaut se fier à l’original qu’à son interprète ! Ils trouveront les preuves documentaires que des personnalités et associations algériennes ont bien été financées par la NED américaine liée à la CIA et par Canal France International lié au Quai d’Orsay ! Il est toujours utile de le rappeler : selon les publications du Dr Bensaada, Le Collectif des Familles de Disparus en Algérie (CFDA) a bénéficié de la NED de la somme de 462 900 dollars (entre 2001 et 2014); cela fait en monnaie locale plus de 6 milliards de centimes ! Le RAJ-Algérie (rassemblement-actions-jeunesse) a bénéficié de la NED d’un financement de 427 000 dollars entre 1997 et 2019. Soit plus de 5,6 milliards de centimes ! La LADDH (Ligue Algérienne de Défense des droits de l’homme Algérie) a bénéficié d’un financement de 117 000 dollars de la NED entre 2002 et 2010 (sauf en 2004). Soit plus de 1,5 milliard de centimes ! Radio M de El Kadi Ihsane, financée par « Canal France International (CFI) » qui dépend du Quai d’Orsay. Entre 20 000 et 80 000 euros (soit entre 300 millions et 1 milliard de centimes). Pour cette radio, la somme est plus proche de 80 000 euros (selon Bensaada). Alors, que peuvent-ils répondre ? Rien à ce jour.

Beaucoup, restent encore à cancaner, depuis l’étranger en ne cessant pas de déverser leur fiel en espérant voir l’Algérie dans le chaos pour conforter leur thèse que rien ne marche en Algérie sans un tuteur colonialiste, islamo-khilafiste ou sans une partition ! Tout ce que fait l’Algérie de « bon », est « mauvais » pour eux pendant que tout ce qu’ils « conseillent » est meilleur en déversant leur rage et leur jalousie maladive contre tous ceux qui la défendent !

Certains sont bien d’infâmes personnages aux mains griffues et à la langue fourchue. Ils ne lâchent rien de toutes les opportunités qui se présentent à leur face et à leurs oreilles toujours aux aguets. Ils ne ratent rien des faits et actes de gouvernance et de gestion régulières pour sonner l’hallali dans l’objectif de nuire en organisant et finançant d’hypothétiques et impurs « pseudo-hirak » en mode « bis repetita » sans autorisation et sans organisateurs déclarés avec slogans évolutifs vers la sédition ! Pour cela, ils trompent, mentent, déforment en usant de tous les moyens abjects ; en exagérant les « faits divers », en diabolisant tout ce qui vient du « pouvoir » et de « son Armée », des services de sécurité et de la justice, allant jusqu’à exacerber la maladie du Président, qui s’est soigné du Covid19, en l’assimilant à celle de Bouteflika, lui prédisant le même sort ! N’est-ce pas démoniaque ?

Pour ces individus dont le « pouvoir » ou le chaos est devenu une fixation jusqu’à la déraison, l’Algérie est bien un pays définitivement perdu pour eux !

Le changement passe par le vote et non par une « phase de transition » qui écarte le peuple !

Est-il acceptable et logique que le Hirak original des débuts qui a regroupé des centaines de milliers de citoyens dans une douzaine de grandes villes d’Algérie criant des slogans clairs et précis comme « non au 5e mandat », « changement du système de gouvernance », « yetnehaw ga3 (on les enlève tous) », « armée et peuple des frères » puis « poursuite judiciaire des pontes corrompues » puisse se transformer en slogans opposés après avoir obtenu l’essentiel des revendications (possibles dans l’immédiat) avec l’aide agissante de l’Armée dont on a réclamé d’assumer la responsabilité ! C’est alors que des forces sont apparues, chevauchant la vague, portant des slogans insolites et hasardeux entrant dans le cadre « printaniste » et « islamistes » exigeant qu’on « enlève tout le monde », entendre même ceux à l’origine de la déchéance du pouvoir, le chef de l’État intérimaire, les ministres intérimaires, le refus de toutes nouvelles élections, même après l’élection au suffrage universel du nouveau Président ! Des slogans surgissant curieusement au moment où les poursuites judiciaires battent leur plein ! Des centaines de milliers dans au moins une douzaine de grandes villes le « hirak » a vu le nombre de ses manifestants se réduire comme peau de chagrin pour se limiter à 3 / 4 villes ne regroupant que quelques milliers puis quelques centaines ! Il faut dire que les slogans sont devenus clairement séditieux ! Contre le Président, contre l’Institution militaire en s’attaquant à ses officiers, contre les services de sécurité ; les qualifiant tous de « traitres » à la nation et au Peuple, contre les législatives en préparation malgré un nouveau code électoral des plus démocratiques, avec mode de scrutin à la « proportionnelle » avec vote « préférentiel » c’est-à-dire que l’électeur algérien doit choisir son ou ses candidats au sein de sa liste préférée ; bannissant ainsi le stratagème privilégiant les « têtes de liste » ! Ils réclament, par contre, le changement par une « phase de transition » (anticonstitutionnelle), sans vote du peuple, que dirigerait un trio de personnalités inconnues dont les noms sont balancés par un certain professeur, depuis la France !

Ce que le terrorisme le plus barbare, aidé par des forces occultes, durant plus d’une décennie, n’a pas obtenu par une guerre — contre le Peuple avec ses femmes et hommes, ses intellectuels, ses cadres, ses démocrates, ses journalistes, son armée pourtant non préparée et formée durant contre la guérilla — ces « démocrato-khilafistes », incompétents et fripons croient l’obtenir par la propagande, le mensonge et la subversion ? En plus, contre un peuple immunisé et une armée, plus forte par ses hommes, son armement et son professionnalisme, reconnue puissance africaine et méditerranéenne qui compte géopolitiquement !

Si la politique algérienne, nos gouvernants, notre Armée inquiètent et dérangent à ce point ces milieux hostiles qui nous « veulent du bien », c’est que l’on est assurément, au minimum, sur la bonne voie ! Ils « battront le tambour » autant de fois qu’ils voudront, rien d’inquiétant n’arrivera !

A.D




« Littéralement criminel » : Pierre Kory accuse la suppression des données sur l’ivermectine d’avoir coûté « un demi-million de vies »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): R. Clinton Ohlers, traduit par FranceSoir

Lors d’une récente conférence Zoom, le Dr Pierre Kory, de l’Alliance Front Line COVID-19 Critical Care, a exposé de nombreux détails montrant que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a sciemment supprimé les données sur l’efficacité de l’ivermectine contre le virus afin de favoriser les intérêts de Big Pharma en matière de vaccins.

Article initialement paru sur worldtribune.com et traduit par France Soir, cet article faisant écho à l’analyse du Collectif citoyen publiée le 23 décembre dernier :
Ivermectine : De l’indifférence scandaleuse au mensonge criminel

« C’est criminel », a déclaré Kory. « C’est littéralement criminel ». Le médicament « aurait pu sauver un demi-million de vies cette année s’il avait été approuvé ».

Selon M. Kory, l’OMS ne fait que participer aux tactiques d’un « manuel de désinformation » usé par le temps. Ce terme a été inventé par l’Union of Concerned Scientists il y a 50 ans afin de décrire les stratégies que les entreprises ont développées au fil des décennies pour « attaquer la science lorsqu’elle va à l’encontre de leurs intérêts financiers ».

Il se compose de cinq parties :

L’imposture – Mener des recherches contrefaites et tenter de les faire passer pour des recherches légitimes.
Le blitz – Harceler les scientifiques qui s’expriment sur des résultats qui dérangent l’industrie.
La diversion – Fabriquer de l’incertitude sur la science là où il n’y en a pas ou peu.
L’écran – Acheter de la crédibilité par le biais d’alliances avec le monde universitaire ou des sociétés professionnelles.
La solution – Manipuler les fonctionnaires ou les processus gouvernementaux pour influencer les politiques de manière inappropriée.

Dans l’intégralité de l’appel Zoom, censuré depuis par YouTube mais disponible sur Bitchute, Pierre Kory décrit comment les cinq phases ont été déployées contre les résultats scientifiques de l’ivermectine. Un exemple concret serait celui de la corruption des principales revues médicales, dont les rédacteurs en chef refusent que les études sur l’ivermectine soient soumises à un examen par les pairs. Le participant institutionnel le plus flagrant, cependant, reste l’OMS.

Pierre Kory est l’auteur principal d’une revue scientifique des études sur l’ivermectine dans le monde, qui a été publiée dans l’édition de mai-juin de The American Journal of Therapeutics.

Comme indiqué sur le site web du FlCCC, il y a eu au total 56 essais impliquant 469 scientifiques et 18 447 patients. Parmi ceux-ci, 28 étaient des essais contrôlés randomisés (ECR), le type d’essai considéré comme faisant autorité dans la communauté médicale.

Ensemble, ces essais ont montré une amélioration de 85 % en tant que mesure préventive contre la maladie lorsqu’elle est prise avant l’exposition. On a constaté une amélioration de 78 % chez les patients lorsqu’il est administré tôt et de 46 % lorsqu’il est administré tard. Une amélioration de 74 % de la mortalité a été constatée et une amélioration de 66 % sur plusieurs domaines dans les 28 essais contrôlés randomisés.

Dix jours seulement après sa publication, l’article sur l’ivermectine a été classé numéro 13 des articles les plus lus parmi plus de 200 000 autres publications scientifiques parues dans le même temps, rapporte Kory. Sur les 17,7 millions d’articles suivis par la source de notation depuis sa création, l’étude sur l’ivermectine est déjà classée 246e.

Pierre Kory estime que l’accueil réservé à l’article est un bon signe et qu’il voit « un changement se produire ».

Par ailleurs, il note que son équipe est loin d’être seule. « Le docteur [Tess] Lawrie est l’un des experts mondiaux en matière d’élaboration de lignes directrices et d’examens systématiques. Son groupe seul, ainsi que son initiative indépendante, le consortium BIRD (British Ivermectin Recommendation Development), sont parvenus à la conclusion que l’ivermectine devrait être la norme de soins. Notre article est également arrivé à cette même conclusion. Nous ne sommes pas les seuls. Le professeur [Satoshi] Omura, lauréat du prix Nobel, et son groupe du Japon, ont publié un article concluant la même chose. Un autre groupe indépendant d’Espagne et d’Italie » a fait de même.

Plus important encore, a-t-il ajouté, « l’élément clé de tous ces groupes… est que nous sommes des groupes d’experts indépendants. Aucun d’entre nous n’est en conflit. Aucun d’entre nous n’a d’autres intérêts que le serment que nous avons prêté en tant que médecins, à savoir le soin de nos patients ».

Une partie du problème est que les entreprises donatrices de l’OMS ne se contentent pas de fournir des fonds, elles déterminent tous les aspects de la recherche et fournissent même les équipes de recherche.

« Regardez d’où vient l’argent. Maintenant, l’argent est assorti de conditions », a déclaré M. Kory. « Les gens donnent de l’argent à l’OMS, mais ils disent ‘nous voulons que vous fassiez ceci ou étudiez cela. Nous voulons que vous fassiez appel à nos consultants, à nos experts et à nos scientifiques ». Beaucoup d’entre eux viennent de l’industrie pharmaceutique. Cette dernière a presque complètement infiltré cette organisation ».

Lorsque « vous examinez le médicament d’un œil critique, surtout en cas de pandémie, vous ne pouvez qu’arriver à la conclusion objective qu’il s’agit de la norme de soins », a déclaré M. Kory. « Et il a vraiment un impact phénoménal dans le monde entier ». Au Mexique et en Inde, par exemple, « les taux de mortalité et d’hospitalisation ont absolument chuté » là où l’ivermectine était utilisée.

Selon Pierre Kory, le véritable problème de ce médicament est qu’en plus d’être efficace, sûr et facilement disponible, il est très bon marché. L’ivermectine ne coûte que quelques dollars par dose. Cela oppose le médicament aux intérêts financiers de plus de 100 milliards de dollars à tirer des vaccins.

« Je ne peux pas imaginer dans l’histoire des produits pharmaceutiques, un intérêt concurrent aussi profond et aussi vaste que celui qui est déployé contre la petite ivermectine », a déclaré Kory. « L’intérêt contre elle est vraiment presque incalculable ».

Des organismes de santé autrefois fiables, comme l’OMS, sont devenus les principaux défenseurs des intérêts de leurs bailleurs de fonds, Big Pharma et les vaccins. En conséquence, selon Pierre Kory, l’OMS, avec d’autres organismes, supprime activement les nombreuses preuves de l’efficacité de l’ivermectine afin de les soustraire à la vue du public. Les preuves de cette affirmation sont étonnantes. En examinant le rapport du groupe d’experts de l’OMS sur l’ivermectine, il a déclaré :

« Ce qu’ils font n’est pas subtil. Il est évident que celui qui était en charge de ce panel avait un objectif non scientifique. »

« Numéro un, il n’y avait pas de protocole pour exclure les données. Ils étaient donc libres de rejeter tout essai qu’ils jugeaient inapproprié à leur objectif », a noté Pierre Kory. « Et devinez quoi ? Ils l’ont fait. Ils ont jeté un grand nombre d’essais que leur propre équipe Unitaid avait découverts et rassemblés au cours des derniers mois. »

L’énormité la plus importante, selon M. Kory, est une phrase du rapport de l’OMS que leurs chercheurs n’ont même pas pris la peine de défendre, « elle dit simplement : ‘Nous n’avons pas examiné les essais contrôlés randomisés et la prévention du COVID-19’. Aucune raison de le faire, aucune raison de ne pas le faire. Nous ne l’avons tout simplement pas fait ».

L’un des indicateurs les plus importants de l’efficacité d’un médicament sont les données sur la relation dose-effet, explique  Pierre Kory. « Ils ont délibérément évité de mentionner » les données sur la relation dose-effet. « Ils ont complètement omis des données vraiment importantes, car si elles sont là, c’est un énorme pilier scientifique qui montre l’efficacité. »

Ils n’ont pas non plus inclus les études épidémiologiques, comme celle de Juan Chamie, qui dure depuis un an et a été présentée à l’OMS. Cette étude montre « que partout où l’on fait de la distribution et de l’adoption à grande échelle, on voit le nombre de cas et de décès chuter ».

« Quand j’ai lu ça, je connaissais ces données. J’avais la tête entre les mains et je me suis dit que ces gens étaient des criminels. Ils sont littéralement des criminels », a déclaré Pierre Kory. Lorsque le rapport examine si l’ivermectine est sûre ou non, il fait remarquer que « c’est tout simplement comique ».

Voir aussi le debriefing de Pierre Kory : « Ivermectine : nous avons un traitement qui marche ! »

S’agissant d’un médicament utilisé depuis plus de 40 ans, avec des milliards de doses administrées et un meilleur bilan de sécurité que l’aspirine ou le Tylenol, dit-il, l’OMS a trouvé trois études qui contiennent une suggestion d’effets indésirables. Le groupe d’experts a alors déterminé, selon Pierre Kory, « que cela ne fonctionne pas, car nous avons rejeté toutes les données montrant que cela fonctionne. Mais vous savez quoi, nous voyons que cela pourrait être nocif. Je veux dire, [c’est] absolument ridicule ce qu’ils font ».

En revanche, l’OMS a autorisé le remdesivir pour le COVID-19, qui coûte entre 2340 et 3120 dollars, sur la base d’une seule étude réalisée auprès de 800 patients. Cette étude a révélé que le remdesivir ne réduit pas la mortalité, et réduit la durée d’hospitalisation des survivants de deux jours en moyenne.

En 2018, l’OMS a recommandé l’ivermectine pour le traitement de la gale sur la base de 10 essais contrôlés randomisés portant sur seulement 852 patients. Elle a fait de même pour l’ivermectine comme traitement des strongyloïdes, une infection parasitaire, sur la base de cinq essais contrôlés randomisés et de 591 patients.

Cependant, 28 essais contrôlés randomisés portant sur près de 3 000 patients n’ont pas suffi à l’OMS pour approuver cette thérapie salvatrice pour le COVID-19.

« L’OMS a effectivement commis une action criminelle », a déclaré M. Kory.

« Ce qu’on voit là, ce n’est clairement pas de la science« .

M. Kory

Auteur(s): R. Clinton Ohlers, traduit par FranceSoir


[Complément : études médicales sur l’efficacité de l’Ivermectine pour traiter la Covid-19 :]






Révolution de 1789 : le détail qui tue…

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

[Ndlr : l’auteur perçoit une cause fondamentale unique derrière la situation. Est-ce réellement le cas ? Comme il le conseille, c’est à chacun de faire ses propres recherches. Cependant, Internet n’est probablement pas suffisant, car on y trouve de tout et son contraire et que certaines parties de cet univers virtuel manquent presque totalement de fiabilité, voire d’honnêteté. Il peut être alors utile de compléter des recherches virtuelles par la lecture d’ouvrages d’Histoire et d’autres domaines, d’auteurs variés et aux opinions éventuellement contradictoires afin de peser le pour et le contre et de faire la part des choses.]

Faites vos propres recherches, fouillez, et vous verrez que ce que Kennedy qualifiait de « conspiration monolithique » a un seul et unique lien, un seul et unique point commun. Et si vous ne comprenez pas ce que le mot « monolithique » signifie, ouvrez un dictionnaire bordel !!

Il y a des moments où je m’interroge sur la passivité et la crédulité des Français. Je n’arrive pas à croire qu’il y ait une telle masse de dégénérés, incapables de réfléchir, incapables d’analyser, incapables de comprendre que nous vivons actuellement le plus grand crime contre l’humanité de l’Histoire.

Alors je me dis qu’il faut qu’il en soit ainsi, il faut que des gens meurent en masse pour qu’une partie des endormis finisse par réaliser ce qui se passe vraiment. Et malgré ça, je suis certain que nombreux continueront à croire la télé ou le gouvernement qui leur diront : « ils sont morts du Covid, d’un variant particulièrement virulent… »

Nom de Dieu de nom de Dieu !! Mais quand allez-vous ouvrir les yeux ? Quand allez-vous comprendre qu’avec la vaccination, nous faisons l’objet d’un génocide programmé qui selon les propres mots de Bill Gates permettra de réduire la population mondiale de 10 à 15% ?

Vérifiez-le si vous ne me croyez pas. Internet est là pour ça !!

Ce plan criminel est planifié depuis des dizaines d’années ! Et pour l’avoir dénoncé, le Président John F. Kennedy l’a payé de sa vie, il a été assassiné !!!

Si vous n’avez pas de la merde à la place du cerveau, vous parviendrez très rapidement à identifier ceux qui ont conçu ce plan criminel. Et c’est facile !!!
Qui sont ceux qui rêvent de nous réduire en esclavage ? Qui sont ceux qui prétendent qu’ils sont nés pour dominer le monde ? Qui sont ceux qui nous décrivent comme étant du bétail né pour les servir ?

Il faut vous faire un dessin ?

Faites vos propres recherches, fouillez, et vous verrez que ce que Kennedy qualifiait de « conspiration monolithique » a un seul et unique lien, un seul et unique point commun. Et si vous ne comprenez pas ce que le mot « monolithique » signifie, ouvrez un dictionnaire bordel !!

Savez-vous que la Révolution française a été démarrée par 300 ou 400 personnes à Paris ? Ils n’étaient pas des milliers, pas des dizaines de milliers, pas des millions mais quelques centaines de gens payés par les usuriers !!

Savez-vous que la première loi votée par l’Assemblée Constituante en octobre ou novembre 1789 a été la légalisation de l’usure ? La légalisation du prêt avec intérêt ?

Pendant qu’on mettait le pays à feu et à sang, les faux révolutionnaires agissaient pour le compte des banquiers en faisant voter une loi que des siècles de monarchie ont refusé, à cause de son immoralité et du danger qu’elle représente pour un pays, pour un peuple, pour une nation !

Français ignorants et endormis, nos ancêtres ont fait la révolution pour faire de nous les esclaves des banquiers !! Le saviez-vous ça ? Et vous continuez à croire ce que les livres d’histoire nous racontent ?

Nathan Rothschild a déclaré :

« Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je me fiche de qui fait ses lois. »

Ses descendants possèdent désormais plus de 193 banques nationales dans 193 pays du monde. Vous comprenez ce que cela signifie ? Ils possèdent la planète ! Nos gouvernements sont leurs employés, leurs serviteurs, leurs domestiques !! Et maintenant ils considèrent que nous sommes trop nombreux et qu’il faut nous éliminer par la maladie, par le test, par le vaccin après nous avoir empoisonnés par la nourriture industrielle qui est à l’origine de l’explosion des cancers, des maladies cardiaques et cardio-vasculaires !

Alors réveillez-vous, car si Klaus Schwab et les gens de sa tribu réussissent leur coup, nous gémirons et pleurerons toutes les larmes de notre corps en nous demandant comment nous avons fait pour être aussi abrutis, pour être les responsables de nos malheurs, les fossoyeurs de nos propres vies, les idiots qui sont allés à l’abattoir de leur plein gré…

Nous n’avons pas besoin d’être des millions pour renverser cette tyrannie mais quelques centaines de milliers d’hommes courageux et déterminés. N’attendons rien des faibles, des soumis et des ignorants !! Il en va de nos vies, de nos familles, de nos enfants, de notre peuple et de l’avenir de cette nation !

Et pour ce qui me concerne, je suis prêt à sacrifier ma vie !




Guide de survie pour Républicains en péril: le macronisme, voilà l’ennemi !

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Le parti les Républicains (LR) joue son existence à la prochaine élection présidentielle. Or, semaine après semaine, les sondages indiquent que l’ancien parti de gouvernement n’est plus capable de placer un candidat au second tour de l’élection présidentielle. Dans « Les Droites de Husson », cette semaine, je propose une stratégie élémentaire de rebond à un parti dont se demande s’il est encore doté d’un instinct de survie.

Les sondages pour la présidentielle se suivent et se ressemblent. Lundi 24 mai, le sondage mensuel IFOP-Fiducial pour LCI et Le Figaro annonce une nouvelle fois un second tout Macron-Le Pen. Les protagonistes gagnent même légèrement en intentions de vote au premier tour, tandis que le second tour donne 54-46. Une nouvelle fois LR, même avec Xavier Bertrand, est hors jeu. C’est confirmé, s’il en était besoin, par un sondage Harris-Interactive/Challenges et par un sondage YouGov pour l’Internaute, qui montrent que Xavier Bertrand, Valérie Pécresse et Laurent Wauquiez n’arrivent pas à rayonner dans l’opinion au-delà de leur bon enracinement régional. Les Républicains sont face à une interrogation stratégique de base: quand on a deux adversaires, quel est celui qu’on doit affronter le premier puisque c’est celui qu’on a le plus de chances de vaincre? Il est bien évident que Marine Le Pen est le plus fort des deux adversaires. Il vaut mieux concentrer le combat politique sur Emmanuel Macron.

La bonne intuition de Guillaume Peltier

Un membre de la direction de LR semble avoir compris les enjeux. Dans l’entretien qu’il a accordé à Valeurs Actuelles, paru le 28 mai, Guillaume Peltier, vice-président de LR, tranche avec les propos habituels que l’on entend chez LR dans la mesure où l’adversaire politique qu’il désigne, c’est Emmanuel Macron et non Marine Le Pen.

« Contrairement à la bien-pensance, je le dis, Marine Le Pen n’est pas l’ennemi de la République (…) Emmanuel Macron est le pire président de la Ve République. Il est le président du record de la dette (2 500 milliards), des impôts (1 000 milliards par an), de la pauvreté (10 millions de pauvres), de l’immigration (2 millions de nouveaux étrangers depuis 2017), de l’insécurité (700 agressions par jour en France). Au fond, Emmanuel Macron incarne l’alliance entre le gauchisme culturel et la mondialisation financière ».

On a envie de dire à Guillaume Peltier: encore un effort, vous y êtes presque. Comme Michel Keyah et Eric Verhaeghe l’ont analysé dans nos colonnes cette semaine, le problème n’est pas d’abord « la finance » mais le mondialisme. Le renversement de Margaret Thatcher par son propre parti fin 1990, le passage aux États-Unis du libéralisme patriotique de Ronald Reagan au globalisme des Bush et des Clinton ont mis en place une redoutable machine à casser l’économie de marché et le capitalisme. Quand il n’est plus soumis à l’arbitrage des juridictions nationales ni stimulé par la concurrence entre nations, le libéralisme se transforme en son contraire: ce que Klaus Schwab appelle Great Reset est à l’opposé de la « révolution conservatrice » d’une Margaret Thatcher ou d’un Ronald Reagan, ces disciples de Hayek.  

Le Great Reset version Macron

Emmanuel Macron vient de donner une illustration de ce que la droite LR, si elle était fidèle à ses racines gaulliennes et pompidoliennes, devrait désigner comme le projet qu’elle combat sans répit. Il a prononcé le discours d’ouverture du sommet « Sauver le bien commun » co-organisé par la Toulouse School of Economics et le magazine Challenges. Occasion pour lui d’envoyer des signaux appuyés à la gauche:  « Nous avons laissé le capitalisme se déployer sans garde-fou, nous l’avons laissé se dévoyer – trop dérégulé, trop court-termiste, au point parfois de devenir fou. Ce schéma de pensée n’est plus adapté au monde actuel, car il ne prend pas assez en compte les biens communs, comme la préservation de la planète ou la justice sociale, ce qui sous-tend pour l’humanité la possibilité de poursuivre son chemin« . Le Président a justement rappelé son engagement pour « une fiscalité juste et robuste des entreprises multinationales ». Entendez la tentative d’imposer par l’intermédiaire du G7 ou de l’Union Européenne un taux universel minimal de l’Impôt sur les Sociétés. Emmanuel Macron est, dans ce combat, aux côtés de la gauche du Parti démocrate américain et d’une Angela Merkel qui ne cache plus, à quelques mois de quitter le pouvoir, ce qu’elle doit à sa jeunesse en RDA. 

Voici également comment le Président a présenté le fait que la France connaisse la part des dépenses publiques la plus élevée des économies occidentales: 63% en 2020« Nous sommes un des pays de l’OCDE qui répare le plus les inégalités par sa fiscalité et l’ensemble de ses aides et ses dispositifs de soutien« . Il a également annoncé son intention, malgré la crise des Gilets Jaunes, de revenir à la charge en matière de fiscalité écologique: « Nous courrons à l’échec si nous cherchons à décourager une action polluante par un signal prix trop vigoureux, si aucune alternative crédible n’est offerte. La France a fait l’expérience d’une politique incomplète en la matière : il faut offrir un accompagnement social massif pour permettre aux classes moyennes, aux classes populaires, de pouvoir franchir ce pas« . Non content d’avoir endetté le pays à presque 120% de son PIB, Emmanuel Macron annonce son intention de continuer: « Quant aux finances publiques, il faut raisonner à l’inverse de ce que nous faisons aujourd’hui : fixons-nous nos objectifs de croissance et donnons-nous les moyens de les atteindre. Cela ne veut pas dire endosser quelque laxisme budgétaire que ce soit, mais plutôt de réinventer un cadre rigoureux d’évaluation de la qualité de la dépense publique. »  Ah la belle langue de bois ! Demain on rase gratis: « Visons plus de croissance, car c’est le seul chemin qui nous permet de viser plus de protection sociale, plus d’innovation, plus d’investissement dans la transition écologique, plus d’égalité et de justice dans nos sociétés mais aussi entre les continents ». 

Le macronisme, voilà l’ennemi !….

Le macronisme, voilà l’ennemi ! La stratégie politique de LR devrait tenir dans ces mots simples. On n’existe pas en politique si on ne sait pas ce qu’on combat. Ou bien si on se trompe d’adversaire. Les Républicains sont à la croisée des chemins. Soit ils s’obstinent dans l’impasse du chiraquisme (« Nous n’avons qu’un ennemi, le Front National! ») et ils escamotent les raisons de la défaite de Nicolas Sarkozy en 2012. Soit ils comprennent deux choses fondamentales: 1. Ils se privent de toute chance d’être au second tour en ciblant Marine Le Pen plutôt qu’Emmanuel Macron dans un scrutin où le vote des Français va se structurer autour de la question du rejet d’Emmanuel Macron.  2. Marine Le Pen sera éventuellement élue mais son programme économique est inconsistant et elle ne semble pas, jusqu’à aujourd’hui, avoir compris qu’un renouveau de l’Etat régalien et de la faculté à en financer les postes budgétaires passe par une nouvelle « révolution conservatrice », une libération des forces entrepreneuriales et créatives du pays qui périssent actuellement étouffées sous des monceaux de régulation et une fiscalité délirante. 

Pour que la défaite, souhaitable, du président sortant, ne débouche pas sur un énorme ratage, le pays a besoin d’une droite entrepreneuriale qui joue tout son rôle à côté de la droite régalienne. 




Le Forum économique mondial annule son édition à Singapour

[Source : La Presse]

(Zurich) Le Forum économique mondial, connu sous le nom de Forum de Davos, annule l’édition 2021 qui devait se tenir à Singapour, ont annoncé lundi ses organisateurs, précisant que la prochaine rencontre n’aura lieu qu’au premier semestre 2022.  

AGENCE FRANCE-PRESSE

Le lieu, mais aussi la date définitive seront déterminés ultérieurement, en fonction d’une réévaluation de la situation au cours de l’été, ont précisé les organisateurs de cet évènement qui rassemble habituellement le gratin de la politique, de la finance et de la diplomatie dans la station chic des Alpes suisses de Davos.

Cette édition annuelle du Forum économique mondial (WEF) devait se tenir en août à Singapour, mais les organisateurs ont finalement annulé alors que la Cité-État, jusqu’à présent très peu touchée par la pandémie de COVID-19, a annoncé la semaine dernière une série de restrictions pour juguler une récente hausse du nombre de cas.  

« Ce fut une décision difficile, notamment en raison du grand intérêt de nos partenaires à se réunir non seulement virtuellement, mais aussi en personne, pour contribuer à un monde plus résilient, plus inclusif et plus durable », a déclaré le professeur Klaus Schwab, son fondateur et président exécutif, cité dans le communiqué.  

« Mais en fin de compte, la santé et la sécurité de toutes les personnes concernées restent notre priorité absolue », a-t-il ajouté.

Les organisateurs du Forum ont annulé cette édition, invoquant notamment les perspectives incertaines en matière de voyages, la mise en œuvre des stratégies de vaccination à des vitesses différentes ainsi que l’incertitude autour des nouveaux variants qui « font qu’il est aujourd’hui impossible d’organiser une rencontre internationale réunissant des dirigeants d’entreprises, de gouvernements et de la société civile à l’échelle initialement prévue », précise le communiqué.

Avec la crise sanitaire, les organisateurs du Forum avaient d’abord décidé de déplacer l’évènement ailleurs en Suisse, sur les sommets du Bürgenstock, près de Lucerne, avant d’opter pour Singapour face à l’envolée des infections dans le pays alpin durant l’automne.

La date de l’édition à Singapour qui devait permettre aux participants de se rencontrer sur place, initialement prévue fin mai, avait cependant déjà été repoussée une première fois. Elle devait finalement se tenir du 17 au 20 août.  

En janvier, le WEF avait néanmoins organisé un sommet virtuel consacré aux grands sujets du moment, dont la pandémie et le nationalisme vaccinal ou encore la crise économique.  




Étude Pfizer : 79% d’enfants de plus de 12 ans vaccinés ont développé des effets indésirables

[Source : report24.news]

[Traduction automatique partiellement révisée.]

Le 19 mai, Pfizer/Biontech a publié une fiche d’information de 37 pages sur la sécurité et l’utilisation de leur vaccin. Il se réfère à l’état actuel des études de vaccination dans le cadre de l’autorisation d’urgence de l’AEE (Autorisation d’utilisation d’urgence). Ces contenus sont passés sous silence par les médias traditionnels, qui préfèrent réciter le dogme des gouvernants: les avantages seraient plus importants que les dégâts, les enfants seraient en danger. En réalité, les enfants tombent très rarement ou légèrement malades, mais 80% d’entre eux sont susceptibles d’avoir des effets traumatiques lorsqu’on les vaccine.

Comme en Allemagne, où nous avons publié hier une statistique sur la base des données de l’Institut Paul Ehrlich (les statistiques suggèrent que le risque de vaccination pour les moins de 50 ans est considérablement plus élevé que le risque de Covid), la répartition par âge des maladies Covid problématiques aux États-Unis est en baisse. À titre d’exemple, à New York (8,4 millions d’habitants), 24 décès d’enfants et d’adolescents de moins de 18 ans sont à ce jour associés à la Covid-19. 18 d’entre eux avaient des antécédents de maladie grave, et 2 étaient en attente de confirmation. Peu des enfants et des adolescents sont atteints de covid-19, voire pas du tout. C’est ce que confirme également la CDC: La plupart des enfants diagnostiqués Covid [Par tests PCR] ont des symptômes légers ou pas du tout.

Ce tableau actuel montre la répartition des décès liés à Covid-19 dans la grande ville américaine de New York (8,4 millions d’habitants).

Les antécédents médicaux comprennent: asthme, maladies cardiaques, système immunitaire affaibli, surpoids, diabète, maladies rénales, maladies du foie et cancer.

Source: Service de santé publique de la ville de New York, https://www1.nyc.gov/site/doh/covid/covid-19-data-totals.page

Malgré des cas moins critiques, on pousse à la vaccination

Pourtant, les médias système et les autorités sanitaires frappent l’imagination des gens : les enfants seraient en danger et doivent être vaccinés d’urgence avec les vaccins expérimentaux. Les données de Pfizer/Biontech montrent [pourtant] que jusqu’à 80% des enfants développent des effets secondaires qui peuvent entraîner un traumatisme grave et qui, très probablement, ancrent une profonde méfiance envers le système de santé dans la conscience des personnes vaccinées. En effet, les enfants et les adolescents âgés de 12 ans et plus ne peuvent pas décider seuls de leur vaccination, et la vaccination est toujours obligatoire pour les personnes protégées et les personnes sous tutelle.

Taux d’effets indésirables extrêmement élevé

La nouvelle fiche d’information indique que la vaccination biontech/pfizer a été testée sur 1.097 enfants et adolescents âgés de 12 à 15 ans. 78,9% des personnes vaccinées, soit 8 66 enfants sur 1 097, ont développé une forme ou une autre d’effet secondaire. Chez 466, les effets indésirables sont décrits comme « légers », 393 sont « modérés » et 7 sont considérés comme « graves ».

L’étude a été évaluée en double aveugle, et en plus des 1 127 avec la première dose et 1 097 enfants et adolescents vaccinés avec la deuxième dose, 1.127 et 1.078 ont été vaccinés avec une solution saline sous forme de placebo. Les différences sont extrêmement significatives, parmi les enfants vaccinés par un vaccin réel, plus de 5 fois plus d’enfants se plaignent d’effets indésirables au cours des 7 premiers jours.

Un enfant sur cinq développe une forte fièvre

Les effets indésirables ont été:

Première vaccination
Fièvre supérieure à 38 degrés C
(114)
Fatigue (677) Maux de tête
(623) Fresque (311)
Vomissements (31)
Diarrhée (90)
Douleurs musculaires (272)
Douleurs articulaires (109)

Deuxième vaccination

Fièvre supérieure à 38 degrés C (215)
Fatigue
(726)
Maux de tête (708) Fresseaux (455)
Vomissements
(29) Diarrhée (65)
Douleurs musculaires (355)
Douleurs articulaires (173)

Les effets indésirables graves pouvant être observés plus fréquemment chez les vaccinés que chez le groupe témoin sont une appendicite potentiellement fatale. Ici, Pfizer / Biontech rejette néanmoins tout lien avec la vaccination.

Les effets indésirables graves envisagés pour 660.000 enfants en cas de vaccination

Le nombre d’effets indésirables graves est estimé par Pfizer/Biontech entre 0,4 et 0,8% des personnes vaccinées. Actuellement, environ 82 millions d’habitants âgés de 0 à 19 ans vivent aux États-Unis. (Source: Population pyramid). Si tous ces enfants et adolescents étaient vaccinés, on peut s’attendre à de graves effets secondaires chez 330.000 à 660.000 personnes! Cela est dû à un nombre de décès de 295 enfants et adolescents âgés de 0 à 17 ans (incohérences dues aux données disponibles, mais une comparaison ou une évaluation est possible sans problème). Les chiffres correspondants des personnes présumées décédées de la Covid-19 sont annexés à cet article.

Les statistiques et les expériences d’autres pays nous ont fait comprendre que de nombreux décès sont également à prévoir. La Norvège a arrêté la vaccination d’Astrazeneca pour des raisons statistiques, car on s’attendait à ce qu’au moins 10 enfants meurent en cas de vaccination. Les chiffres attendus sont nettement plus élevés et plus dramatiques aux États-Unis.

Haute vigilance recommandée

Pfizer/Biontech appelle le personnel médical qui administre les vaccins à indiquer tous les effets indésirables dans la base de données VAERS américaine. La soumission des données est obligatoire dans les cas où un vaccin a été mal administré, où des effets indésirables graves surviennent, où des réactions inflammatoires graves surviennent ou où des patients doivent être hospitalisés ou étritionnés après vaccination pour Covid-19.

Annexe: Répartition par âge des morts présumés de Covid dans l’ensemble des États-Unis

Les États-Unis comptent 328,2 millions d’habitants. Une infection Covid-19 a été rapportée pour 295 décès (!) d’enfants et d’adolescents, en plus d’autres diagnostics. Source: CDC

Les antécédents de maladie ou de maladie concomitante ont été enregistrés chez 388 personnes décédées de moins de 25 ans (le tableau ne suit malheureusement pas de façon cohérente le premier). Il en résulte qu’aucun enfant ou adolescent n’est mort « exclusivement » du Covid-19.




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[Source : lemediaen442.fr]