« La tarte à Tain, le gâteau indigeste de Macron » L’édito de Charles SANNAT

[Source : Insolentiae]

par Charles Sannat

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Avertissement. La violence c’est jamais bien, il ne faut pas frapper le président, mais le non-violent que je suis vous dira aussi qu’il ne faut pas non plus frapper de façon générale son prochain etc… Il faut le dire donc disons-le, mais dire cela c’est le degré 0 de l’analyse et de la réflexion,  alors surtout commençons à penser un peu pour comprendre ce qu’il se passe et ce qui va se jouer. Notamment la dynamique des violences et des révolutions.

Expliquer, penser, ce n’est pas justifier, ce n’est pas cautionner, c’est analyser pourquoi ce qui vient de se passer, va se reproduire et s’amplifier, les mêmes causes provoquant les mêmes effets.

Hier le président a été giflé lors d’un bain de foule qui semble tout de même bien maigre côté foule. Généralement, ce genre de « foule » de 10 personnes filmées en plan serré et triées sur le volet, surtout depuis le mouvement des Gilets Jaunes notre jeune président devant, par la force des choses, courir devant le peuple. N’y voyez de ma part aucun plaisir. Aucune joie. C’est évidemment très grave et que le président de la république suscite un tel rejet est encore plus dramatique et attristant. L’enquête nous dira ou pas, comment cet « opposant » a pu arriver jusque-là.

Ce qui se passe est grave, et ce n’est pas faute d’alerter de la colère sourde et immense qui monte dans le pays.

Une colère « tripale ».

Une colère sourde.

Une colère noire.

Que la classe politique ne s’y trompe pas.

Derrière cet homme, ce sont des millions de Français qui ont « giflé » par procuration aussi bien ce président que cette république.

La colère est tripale. Sourde. Noire, et surtout, la colère est massive.

La colère est majoritaire.

Je vous le dis autrement, c’est l’idée viscérale de la France qui ne veut pas mourir et ne supporte plus de se voir mourir.

Mitterrand aurait dit ce sont les forces telluriques.

On n’arrête pas le déchaînement des forces telluriques.

Une fois dit que gifler le président c’est gifler la république, réfléchissons un peu.

Cela fait de nombreuses années que je cite dans chaque édito la phrase de JFK. « À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes ». Ce n’est pas un hasard. Cela fait plusieurs années que ce qui se passe aujourd’hui était très facilement prévisible d’un point de vue analytique.

Le président Macron n’est pas un président légitime dans le cœur des gens et il y a des explications très rationnelles à cela que cela plaise ou non.

Il a été élu, il est légalement légitime, mais inconnu quelques mois avant, monté en mayonnaise par un système et des médias, la droite éliminée par l’affaire Fillon, Macron, ne « pèse » au mieux que 20 %, sans parti, sans base électorale réelle. Pour résumer, dans l’esprit de millions de nos concitoyens et je dirais même de la majorité de nos concitoyens de droite comme de gauche il est le fruit d’un coup d’Etat médiatique.

Il a mis en place une politique nuisible aux intérêts du peuple.

Il a provoqué à de multiples reprises aussi bien dans ses outrances langagières que dans ses actes comme les photos terribles de la fête de la musique 2018 ou encore sa promenade à Saint-Martin.

Il détruit volontairement ce qui fait la grandeur de la fonction pour la réduire au poste de gouverneur d’une province européenne des Etats-Unis d’Europe. ENA, préfectorale, privatisation de fleurons de l’industrie etc…

Il a expliqué à certains qu’ils étaient des moins que rien, ou des « pas grand-chose ».

Lorsque nos concitoyens les plus méritants, travaillant beaucoup pour bien peu, ceux de la seconde ligne qui ont occupé par millions les ronds-points, le tout Paris les a méprisé, outragé, insulté.

Pour résumer, dans l’esprit de millions de nos concitoyens et je dirais même de la majorité de nos concitoyens il est là non pas pour le bien de la nation mais pour le bien d’un petit nombre et d’une caste dont il représente les intérêts. Il est vu comme un fossoyeur de la nation. Il est vu comme l’homme des hommes de l’ombre qui ruinent le pays.

Ils pensent sincèrement représenter, incarner et défendre beaucoup plus le pays que celui qui est le locataire de l’Elysée et qui est considéré dans une large mesure comme un usurpateur.

Le bal des couineurs peut reprendre comme un mantra nécessaire et convenu qu’en giflant Macron c’est la République que l’on gifle, je peux vous assurer que d’un point de vue analytique, une révolution qui fait tomber un ordre établi va, forcément par définition détruire l’ordre établi, donc pour protéger la « République », il va falloir trouver des arguments d’un autre calibre pour être crédible.

BFM peut dire que les Gilets Jaunes sont des complotistes qui détruisent la république, pas un seul d’entre eux pensent à un seul moment menacer cette république. Mieux ils pensent en être les vrais défenseurs.

Le hiatus est donc total entre dirigeants et dirigés.

Ils n’ont pas été compris disais-je.

Alors ils répondent, « je vous hais, compris ? ».

Après plusieurs mois de manifestations Gilets Jaunes, syndicales et autres et de propagande, le gouvernement à fait deux choses.

De la communication et de la répression.

Tour de France, grand débat blablablabla.

Des dizaines d’éborgnés et de gueules cassées.

La police est devenu milice car elle ne faisait plus du maintien de l’ordre indispensable, mais du maintien au pouvoir.

La résolution de la crise devait être politique. Un grand homme aurait remis son mandat. Il serait parti.

Ils ont voulu rester.

Ils veulent reprendre les réformes là où elles ont été laissées.

Mieux, ils veulent réduire Mélenchon, pour faire monter Marine le Pen, car c’est exactement la stratégie de la petite politique du diviser pour mieux régner. Une fois détruit et réduit le Mélenchon et LFI, on réduira et on détruira Marine le Pen, on tentera même de pousser une candidature dissidente de Zemmour qui sait, puis on se fera élire à nouveau en 2022 avec 50.1 % des voix sur les restes fumants d’un front républicain branlant pour continuer sans représentativité réelle une politique que l’immense majorité du peuple de ce pays toutes couleurs, origines, et religions confondues refuse.

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes »

Notre pays vient de passer des mois éprouvants, et d’autres nous attendent. Sur le plan économique, mais aussi sanitaire car, même si on ne vous le dit pas, rien n’est fini, mais aussi politique. Le déconfinement et le retour à une vie plus normale va s’accompagner de grands débordements, là aussi prévisibles. L’été risque d’être très chaud.

Si l’on veut éviter à notre pays un bain de sang et de violence, la résolution de nos différentes crises majeures ne peut être que politique et donc non-violente.

Le mouvement des Gilets Jaunes n’est pas terminé, et les révolutions, prennent plusieurs années. C’est rarement un seul évènement le lundi à 15h30. C’est un processus, un mouvement, une dynamique bien particulière qui s’étend toujours sur plusieurs années.

Ce pays danse sur un volcan, et la chaleur devient de plus en plus intense au fur et à mesure que la pression monte.

La pression du temps.

La pression de l’heure de vérité qui approche.

Tous ceux qui analysent la situation avec lucidité et froideur le savent et le ressentent.

L’heure approche et nous allons vers des temps qui ne seront ni beaux à voir, ni beaux à vivre.

La violence est toujours aveugle, toujours terrible, jamais souhaitable.

Parfois inéluctable.

Nous sommes dans un de ces moments où l’histoire semble inéluctable, les pulsions de mort et de violence collective irrépressibles.

Notre société est profondément malade, fracassée.

La classe politique devrait se poser une seule question.

Comment guérir notre pays ?

Au lieu de cela, c’est magouilles, propagande, mensonge et manipulation.

Pour le moment c’est une tarte à Tain. Ce n’est pas bien. C’est même très mal.

Mais à mon sens, ce n’est que le début d’un orage qui laissera notre pays exsangue.

La grandeur et le sens politique voudraient que cet homme soit condamné en comparution immédiate, et gracié par le président avec un sincère « je vous ai compris », une véritable solution politique, car, pour que la solution soit politique et éviter la violence, Macron, doit faire le choix, de ne pas se représenter ce qui semble peu probable.

La plus grande bataille, le plus grand combat est toujours celui des cœurs et de l’amour. Et côté amour et cœur, Macron n’a pas la côte…

Ce pays étouffe, ce pays est étouffé par une classe politique et médiatique insupportable de suffisance et de bien-pensance, et ce pays va exploser parce qu’on lui interdit de penser et de se penser.

Si vous ne laissez pas d’espaces de parole

Si vous ne laissez pas d’espaces d’expression et de pensées même si vous êtes en désaccord, surtout si vous êtes en désaccord.

Si vous ne laissez pas de libertés.

Si vous ne laissez pas assez de démocratie.

Alors, vous comprenez mieux le sens de la phrase et de la pensée de JFK.

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes »

Vous pouvez déplorer le résultat de la violence, et j’ai entendu ce soir le concert des couinemuses. Un concert nécessaire, mais très, très insuffisant. Les mêmes causes produiront les mêmes effets. Pire. Les mêmes causes vont amplifier une violence qui sera de plus en plus forte. Personne ne veut dire de quoi cette gifle est le nom et ce qu’elle représente ou porte en elle.

« Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. »

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
Pour m’écrire charles@insolentiae.com
Pour écrire à ma femme helene@insolentiae.com

Vous pouvez également vous abonner à ma lettre mensuelle « STRATÉGIES » qui vous permettra d’aller plus loin et dans laquelle je partage avec vous les solutions concrètes à mettre en œuvre pour vous préparer au monde d’après. Ces solutions sont articulées autour de l’approche PEL – patrimoine, emploi, localisation. L’idée c’est de partager avec vous les moyens et les méthodes pour mettre en place votre résilience personnelle et familiale.

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes »

(JFK)

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »




Le Texas interdit à toutes les entités gouvernementales et aux entreprises d’exiger des «passeports vaccinaux»

Sources : https://www.collective-evolution.com/2021/06/09/texas-bans-all-government-entities-businesses-from-requiring-proof-of-vaccination/
https://capitol.texas.gov/BillLookup/History.aspx?LegSess=87R&Bill=SB968 
et https://www.theepochtimes.com/texas-bans-businesses-from-requiring-vaccine-passports_3848787.html

Traduction : ExoPortail

«Le Texas est ouvert à 100%. Les Texans devraient avoir la liberté d’aller où ils veulent sans aucune limite, restriction ou exigence. Aujourd’hui, j’ai signé une loi qui interdit à toute entreprise ou entité gouvernementale du Texas d’exiger des passeports de vaccination ou toute information sur les vaccins», a tweeté Greg Abbott, le gouverneur du Texas. Il a fait cette annonce lundi et la nouvelle est devenue virale sur les plateformes de médias sociaux et les médias indépendants. En fait, le débat et la remise en question de l’idée des «passeports vaccinaux» n’ont pas vraiment été bien accueillis, bien que de nombreux experts de la santé aient condamné cette idée depuis sa création.
«Le Texas est ouvert à 100 %, et nous voulons nous assurer que vous avez la liberté d’aller où vous voulez sans limites», a annoncé le gouverneur républicain dans une vidéo postée sur Twitter.

La nouvelle loi SB 968 couvre de nombreux aspects de la préparation et de la réponse aux catastrophes et aux urgences de santé publique. Elle a été approuvée à l’unanimité en avril et a été adoptée par un vote de 146-2 par la Chambre de l’État en mai.

Dès à présent, les entreprises texanes «ne peuvent exiger d’un client qu’il fournisse un document attestant de sa vaccination contre le COVID-19 ou de sa guérison post-transmission pour entrer dans l’entreprise, y accéder ou bénéficier de ses services», indique la législation. Les agences d’État en charge des différents secteurs commerciaux peuvent exiger que les entreprises se conforment à la nouvelle loi pour être autorisées à exercer leurs activités au Texas.

En outre, les entreprises qui ne se conforment pas à la loi ne pourront pas conclure de contrats avec l’État et ne pourront pas recevoir de subvention.

Les entreprises peuvent toujours mettre en œuvre leurs propres protocoles de contrôle de l’infection par le COVID-19 «conformément à la loi de l’État et à la loi fédérale pour protéger la santé publique».

Le Texas sera le septième État à promulguer une telle mesure : 
https://exoportail.com/resistance-le-gouverneur-de-lalabama-signe-une-loi-interdisant-les-passeports-vaccinaux-rejoignant-ainsi-12-etats-us-sy-opposant/

L’Alabama, l’Indiana, l’Iowa et le Dakota du Nord ont également interdit aux entreprises et aux entités gouvernementales d’exiger une preuve de vaccination, tandis que l’Utah et l’Arkansas ont interdit aux gouvernements d’exiger une preuve de vaccination.




Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés

[Source : Eveilhomme.com]

https://youtu.be/bSZxQ34FbrA

[Voir aussi : La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ?]




Soutien à Louis Fouché, objet d’attaques hideuses

[Source : Anthropo-logiques]

Par Jean-Dominique Michel

Il fallait s’y attendre : une campagne de diffamation et de dénigrement extrêmement violente est en train de s’abattre sur le Dr Louis Fouché, co-fondateur et porte-parole du collectif Réinfo-Covid.

Avec cette convergence de malveillance à laquelle il faut désormais s’habituer entre les puissances capitalistiques les plus mafieuses et la bien-pensance de gôche qui a d’ailleurs toujours historiquement fait le lit des totalitarismes.

Ne sachant que trouver d’intelligent à porter comme critique contre le bonhomme (nous supporterions volontiers en tant qu’opposants un vrai débat d’idées avec de vraies critiques qui nous seraient adressées) voilà qu’on l’accuse d’ « être un gourou faisant le lit de l’extrême-droite. »

Ce qui me rappelle le titre stupide et malveillant d’un journaliste de l’Express à mon sujet dans lequel le gratte-papier en question me traitait d’ « expert autoproclamé » (au soir d’une carrière professionnelle de 30 ans !) « en guerre contre la science », ceci parce que je me fais un devoir de souligner l’état endémique de corruption qui y prévaut, de notoriété générale !

Au moins le message des gredins est clair : lorsque vous dénoncez la corruption, vous attaquez (au choix) la science ou bien la démocratie. Ce qui devrait -si une aptitude à penser (même modeste) persistait collectivement- s’avérer a contrario pédagogique…

Nous en prenons donc pour nos grades à tour de rôle et c’est actuellement Louis (dans la foulée du déchaînement contre Didier Raoult et l’IHU) qui en fait les frais.

Un moment peut-être décisif

Je comprends que l’homme soit dérangeant. Non seulement parce que sa critique est pertinente et affûtée, mais pour deux raisons supplémentaires : tout d’abord, il l’énonce avec une extrême prévenance et humanité, ce qui fait bizarre dans un monde qui s’est habitué à ce que les hurlement et les anathèmes remplacent le propos. Ensuite, par son aptitude à la pensée complexe, il ringardise de manière sanglante les pontes qui viennent servir une soupe abrutissante sur les plateaux de télévision.

Tout ceci s’inscrit de surcroît dans un moment historique à haute tension : les révélations tirées de la publication des emails d’Anthony Fauci sont bien plus redoutables qu’il y paraît, et méritent bien plus d’intérêt que la minimisation lamentable qu’en font nos médias payés à cette fin.

Car on y voit dans toute sa splendeur (certes noyée dans le style de correspondants qui n’ignorant rien du Freedom of Information Act, y mettent la prudence des formes) le fond de la réalité qui nous détruit depuis quinze mois : une collusion criminelle d’intérêts qui ont verrouillé toute la réponse dite sanitaire grâce à des acteurs comme ceux qui échangent dans ces mails.

Oui, bien sûr, les Fauci et autres Delfraissy ont mis en échec systématiquement les traitements précoces risquant de se montrer efficaces.

Oui, bien sûr, il y a eu une manipulation générale sur l’origine du Sars-CoV-2 et des opérations pour occulter les rôles de l’Institut Pasteur et des laboratoires américains sur les « gains de fonction » produits à Wuhan visant à rendre létaux des virus inoffensifs. Selon le titre d’un article du Daily Mail (que les presses suisses et française n’ont évidemment pas repris) : « Comment le Dr Peter Daszak, expert britannique, a orchestré une campagne d’intimidation et a contraint des scientifiques de haut niveau à signer une lettre adressée à The Lancet visant à écarter la responsabilité du laboratoire de Wuhan qu’il finançait avec des fonds américains au sujet du Covid-19. »

Et oui, il y a eu un système mafieux fait de chantages et même de menaces contre quiconque oserait transgresser l’omerta, comme en a témoigné le Dr Robert Redfield, ancien directeur du Center for Disease Control américain, qui a reçu des menaces de mort de la part de collègues scientifiques après avoir dit à CNN qu’il pensait que le virus s’était probablement échappé d’un laboratoire. « Je m’attendais à cela de la part des politiciens. Je ne m’y attendais pas de la part de la science. » a-t-il témoigné !

Le tout avec pour conséquences d’avoir laissé mourir des centaines de milliers de personnes qu’il aurait été possible de soigner, ainsi que violenté et conduit à la ruine des milliards d’autres uniquement pour réserver des centaines de milliards de dollars de profit à des compagnies répétitivement criminelles. Et imposer un Great Reset conduisant à la servitude la population mondiale.

Ce scénario criminel, que les médias payés à cette fin ont nié, moqué et vilipendé depuis quinze mois est en train d’exploser à la face de tout le monde comme constituant désormais une hypothèse indiscutable et même à ce stade l’hypothèse forte. Cette explosion n’est pour l’instant contenue que grâce à la complicité active (dès lors elle aussi criminelle) des grandes agences et des groupes de presse, incestueusement maqués avec les intérêts en question.

Bashing

Toute cette dérive a dépendu pour son succès du flingage systématique et diligent des voix osant s’opposer aux aberrations qui nous ont été infligées. Les meilleurs scientifiques et spécialistes ont été traînés dans la boue et humiliés publiquement par leurs homologues au service de la corruption systémique ainsi qu’une presse de caniveau rappelant plus la propagande fasciste qu’un travail journalistique respectant une élémentaire déontologie.

Aujourd’hui encore cette même presse fait feu de tout bois pour occulter ce qui révélerait le pot aux roses et descendre toute opposition – il n’y a qu’à lire les derniers éditoriaux -d’une stupidité et d’une veulerie dont le sublime confine presque à la beauté dans leur registre- de Tamédia ou du Temps sur la votation du 13 juin contre la loi Covid-19…

Le propre de la violence institutionnelle, c’est qu’elle doit s’exercer au vu et au su de tous pour déployer sa pleine puissance pédagogique : les lapidations et les crucifixions avaient lieu aux portes des villes pour que tous ceux qui les franchissaient mesurent bien ce qu’il en coûtait de s’opposer au pouvoir en place.

Les gibets étaient posés et les exécutions avaient lieu la plupart du temps sur les places centrales des villes pour obtenir le même effet.

On aura donc vu une sarabande lamentable de lynchages médiatiques contre les meilleurs experts, qu’il se soit agi du Pr Ioannidis, des Pr Gupta, Battacharya et Kulldorf (les épidémiologistes d’Oxford, Stanford et Harvard à l’origine de la déclaration du Great Barrington), des Pr Raoult et Perronne, ainsi qu’à une moindre échelle de votre modeste serviteur – protégé en quelque sorte par son statut de « menu fretin » : il aura suffi à quelques boîtes de comm’ (dont certaine basée en Suisse romande – je sais qui vous êtes les gars !) pour faire croire que j’étais « auto-proclamé » (malgré un CV fort bien fourni) pour que quelques idiots utiles s’en donnent à cœur joie comme ce fut le cas de Bertrand Kiefer (rédacteur de la Revue médicale suisse), le médecin cantonal neuchâtelois ou un ancien directeur des Hôpitaux universitaires de Genève à la réputation pourtant plus que douteuse… ainsi que plusieurs « rédacteurs en chef » romands arrosés par l’état.

Fouché bashing

Aujourd’hui donc, c’est Louis Fouché qui a droit à son lynchage individuel orchestré par des pouvoirs crapuleux. Je sais l’homme suffisamment aligné sur ses valeurs fondamentales et sa sincère abnégation ainsi que suffisamment entouré de bienveillance pour tenir le choc. Pour être passé par là, je ne minimise pas pour autant la brutalité de la haine et de la calomnie qu’il affronte. Je sais par expérience combien un homme est seul dans ces moments-là, même entouré d’amour et d’expressions de soutien.

C’est pourquoi je tiens à faire savoir l’indignation profonde que je ressens face à cette ignominie et ces procédés qui devraient être prohibés et dénoncés comme honteux non seulement en démocratie mais aussi simplement dans toute société cultivant un minimum de dignité.

Louis connaît (je les lui ai exprimés) toute l’admiration et le respect que j’ai pour sa personne et la sincérité de sa motivation. S’il existe un honnête homme en ce bas-monde, c’est bien de Louis Fouché (comme de Vincent Pavan ou de Christian Perronne parmi bien sûr d’innombrables autres) qu’il s’agit.

L’intelligence et l’éthique non-violente du bonhomme sont aussi ébouriffantes que sa coupe de cheveux est ébouriffée -c’est dire. Il dispose ainsi d’une aptitude rare à la pensée complexe, enracinée dans une culture encyclopédique – pour la petite histoire un de ses dadas est l’anthropologie de la technique, domaine dans lequel il m’en remontre aisément comme il en remontrerait à la plupart de mes collègues.

Il dispose de surcroît de cette « rationnalité sensible » dont parle Michel Maffesoli et qui est en quelque sorte à la fois le contraire et l’antidote au rationalisme morbide prévalant actuellement, avec une pseudoscience débile assénée avec fanatisme. Par des corrompus aussi cyniques que leur immoralité le commande ou encore des abrutis faisant penser aux chemises brunes du fascisme de l’avant-guerre, tout heureux de pouvoir conduire des campagnes de harcèlement en toute impunité.

Louis, lui est un homme de bien. Non seulement par qui il est ou ce qu’il énonce, mais aussi par ce qu’il propose. Il sait mieux que quiconque voir au-delà de la crapulerie en cours en gardant son regard posé vers un futur désirable, un futur digne de nos aspirations profondes et de cette humanité à laquelle nous avons à advenir.

Il en pressent les possibles désirables, et sait les communiquer de manière désarçonnante. Là où je suis pour ma part plus un combattant, Louis sait toujours mettre de la tendresse, de l’humour et de gentillesse. On en comprend d’autant mieux que cela infurie le camp adverse. Dont il a su révéler au passage la plus grande faiblesse, en soulignant que tous les totalitarismes du passé se sont toujours imposés sur la base d’un projet désirable- faux mais désirable.

Le totalitarisme religieux par la peur de l’enfer et la promesse du paradis, le communisme par l’avènement du paradis des travailleurs, le fascisme par le triomphe de la race supérieure expurgée des tares des sous-hommes…

Le nouveau fascisme numérique et transhumaniste lui ne s’appuie sur aucune illusion désirable, sauf celle, a contrario  et misérabiliste, que la robotisation nous soulage de notre humanité -ce qui peut être en effet la tentation de toutes les personnes suffisamment aliénées à elles-mêmes. Ce à quoi la presse, la télévision et la faillite de l’éducation ont abondamment œuvré depuis quelques décennies…

Louis donc est une menace pour ces forces d’aliénation et d’impérialisme totalitaire. Il n’est pas étonnant dès lors qu’il ait droit à une intensification du bashing qui le vise, en parallèle à celui visant Didier Raoult et l’IHU de Marseille.

Car c’est désormais un quitte ou double pour les puissances mortifères : soit le mensonge se verrouille pour quelques années au moins  (ce qui implique la mise hors d’état de nuire des opposants) soit le vent menace de tourner avec le risque d’une véritable Bérézina pour les corrompus de tous poils, petits et grands.

On voit donc les pires alliances sortir la tête de leur mare : comme Edwy Plénel (please !) accusant Louis Fouché d’être un gourou au service de l’extrême droite !

Peut-on imaginer argument plus vil et stupide ?! A défaut de s’être singularisé dans le renouveau d’un journalisme éthique et intelligent, au moins le rédacteur en question aurait-il brillé par un naufrage qui de tous ceux auxquels on a assistés n’est pas le moins lamentable et sidérant… Triste effondrement à vrai dire pour le responsable d’un média qui se voulait différent et termine simplement collabo, comme les autres.

Je conclurai ce billet en adressant à Louis Fouché, à sa femme Carole, à sa famille et à ses proches, ainsi qu’aux membres des collectifs Réinfo-Covid des différents pays francophones toute ma solidarité, mon respect ainsi que ma sincère et affectueuse admiration pour la valeur et la beauté de l’action menée. Sans violence et sans haine, de leur côté.

Et le temps rendra bien sûr son verdict.




Les liens étroits France-Chine symbolisés par l’Institut Pasteur

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Par Liliane Held-Khawam

Le Réseau International des Instituts Pasteur de la Région Asie-Pacifique offre une plateforme d’activités de recherche, de santé publique et de formation, dans laquelle chaque institut membre est reconnu comme un centre d’excellence sur les maladies infectieuses. Un réseau aussi efficace permet de mener une surveillance et des enquêtes de classe mondiale sur les agents pathogènes pandémiques et épidémiques aux niveaux national et régional. 
http://www.hkupasteur.hku.hk/presskit/leaflet_institut_pasteur_asia-pacific11.pdf

Plus je cherche à comprendre les tenants et les aboutissants de la Planète Santé, plus je découvre que le narratif officiel qui nous présente une Chine qui vampiriserait le savoir-faire occidental est faux. La chose est bien plus complexe dans un monde globalisé.

Hier, nous avons découvert la nature multi-casquettes de Peter Daszak, M Santé, qui défie la nature de base d’un État de droit. Aujourd’hui, nous partons à la découverte de la déterritorialisation de l’Institut Pasteur, qui n’est pas plus français que EDF, BNP, ou Total. De fait, on lui a fait subir le même genre de métamorphose qui consiste à globaliser la structure, et à la dénationaliser de fait.

https://lilianeheldkhawam.com/2021/06/07/largent-anglosaxon-developpe-la-technologie-necessaire-au-transhumanisme-en-chine-lhk/

En effet, les partenariats qui unissent l’Europe et la Chine sont bien plus conséquents que ce que l’on a bien voulu nous présenter. A la suite de ces quelques informations, si votre journaliste préféré continuait à vous dire que la Chine est l’ennemi de l’Occident, vous pourrez lui dire qu’il diffuse une fake news. D’ailleurs, l’ambassade de Chine est inscrite au Registre du Commerce belge depuis… 1988.

Qu’est-ce que l’Institut Pasteur?

L’Institut Pasteur reste optimiste, mais prudent. Alors que la décrue de l’épidémie se poursuit dans les hôpitaux et que le rythme de la vaccination est toujours élevé, les chercheurs ont publié lundi leurs nouveaux modèles pour la France. Dans cette projection à court terme des besoins hospitaliers pour les patients Covid-19, le modèle de la fondation française « anticipe une baisse des admissions à l’hôpital et des besoins en lits dans les jours qui viennent » au niveau national et dans les régions métropolitaines. « Dans les régions d’outre-mer, les effectifs étant faibles, nos projections restent très incertaines », précise l’Institut Pasteur dans sa mise à jour du 7 juin
https://www.lexpress.fr/actualite/sciences/covid-19-ce-qu-il-faut-retenir-des-nouvelles-projections-de-l-institut-pasteur_2152409.html

Avril 2020. Arnaud Fontanet, directeur de l’Unité d’épidémiologie des maladies émergentes à l’Institut Pasteur, présente brièvement une étude. Celle-ci révèle que 26% de la population étudiée a été infectée par le SARS-CoV-2 et possède des anticorps contre ce virus.

Si l’on posait la question autour de soi, on nous répondrait quelque chose qui ressemblerait à la mission affichée sur le site de l’établissement, à savoir: « L’Institut Pasteur est une fondation à but non lucratif dont la mission est de contribuer à la prévention et au traitement des maladies, en priorité infectieuses, par la recherche, l’innovation, l’enseignement, et des actions de santé publique. » Et l’on serait tenté de rajouter que c’est un établissement français agissant sur sol français, n’est-ce pas?

Eh bien pas du tout.

Une immense machine qui couvre les 5 continents

L’Institut Pasteur est une énorme organisation internationale et globale qui dépasse en taille tout ce que l’on peut imaginer. Il s’agit d’une galaxie de 33 instituts présents dans 25 pays. Russie et Iran inclus.

https://www.pasteur.fr/fr/institut-pasteur/dans-le-monde/reseau-international-instituts-pasteur

Association Pasteur International Network

Créée en 2011, l’Association Pasteur International Network est l’entité légale du réseau des différents instituts. En 2016, celle-ci a été reconnue comme organisation en « relations officielles » avec l’Organisation mondiale de la santé, soulignant le rôle du Réseau International des Instituts Pasteur dans la santé publique du globe.

Le Conseil d’Administration a confirmé, le 31 janvier 2019, le renouvellement pour 3 ans du statut l’Association Pasteur International Network, du réseau de l’Association internationale des Pasteurs – APIN « en tant qu’acteur non étatique en relations officielles » avec l’OMS, conformément au plan de collaboration 2019-2021 présenté à l’automne 2018.

Bras armé de l’OMS

Ce renouvellement souligne le rôle majeur du RIIP en santé mondiale et l’importance de ses relations avec l’OMS. Ce statut permet à l’APIN de participer à l’Assemblée mondiale de la santé et d’accroître la visibilité du RIIP sur les questions liées à ses activités, conformément aux déclarations précédentes des deux dernières années.

https://www.pasteur.fr/fr/international/association-pasteur-international/affiliation-partenaires

Ses apports sont:

  • promotion de la stratégie et soutien aux activités de l’OMS dans le cadre de son treizième programme de travail
  • offrir un soutien technique à l’OMS, en particulier en cas d’épidémie, et aider les pays à renforcer leurs systèmes et leurs capacités de santé, en particulier en ce qui concerne l‘accès aux données
  • proposer des formations pour renforcer les capacités des pays à se conformer au Règlement Sanitaire International (RSI) et dans le contexte des maladies transmissibles

Des organismes d’État partenaires de l’Institut

Le groupe Institut Pasteur est présidé pour la 1 ère fois par un non-Français.

L’organisation est présidée depuis 2018 par un Britannique/Français, Stewart Cole, qui fut durant 10 ans professeur à L’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne et le directeur de son Institut mondial de la santé.

Toutefois avant de rejoindre l’EPFL, M Cole a fait ses armes durant 24 ans dans la galaxie de l’Institut Pasteur aussi bien en France qu’en Iran ou à Montevideo. 
https://dndi.org/our-people/stewart-cole/

L’Institut Pasteur en Chine depuis 15 ans

Lors de l’inauguration du laboratoire P4 de haute sécurité de Wuhan, le 1er ministre français avait dit, en se référant au partenariat France-Chine:

Cette coopération repose également sur l’accord signé en 2014 entre l’Inserm, l’Institut Pasteur, la fondation Mérieux et le Centre chinois pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), ainsi que sur les rapprochements entre l’institut Pasteur en France, l’institut Pasteur de Shanghai, la fondation Mérieux et l’Institut de virologie de WUHAN.

https://www.gouvernement.fr/partage/8936-discours-du-premier-ministre-a-la-ceremonie-d-accreditation-du-laboratoire-de-haute-securite

Et ce partenariat dure depuis longtemps. En janvier 2020, l’Institut Pasteur a célébré ses 15 ans de présence en Chine! Le labo de Wuhan n’est pas un évènement aussi extraordinaire que ce que l’on nous avait présenté. L’organisation française est clairement déterritorialisée depuis un bon bout de temps. Elle est globale. 
http://nhbcb2020.csp.escience.cn/dct/page/65580

L’Institut est si bien intégré qu’il cohabite à Shanghaï avec l’Académie des Sciences chinoise.

La présence de l’Institut est couronnée par le transfert et la mise en place de compétences de très haut niveau. Voici 2 exemples de ce qui ressemble à des startups. Elles sont localisables à la même adresse que l’Institut.

Les activités de l’Institut Pasteur en Chine

Un rapport nous présente les réalisations de l’organisation.

PRINCIPALES EXPERTISES & PLATEFORMES TECHNIQUES DISPONIBLES (cf référence ci-dessous)

  • Centres de référence nationaux et OMS pour la grippe, le VIH, la dengue, la leptospirose, la rage, le paludisme
  • Partenariat avec les hôpitaux et les centres de santé régionaux
  • Capacités de recherche clinique sur la rage dans toutes les principales maladies infectieuses grâce à de vastes collaborations et réseaux hospitaliers
  • Une cohorte de 15 000 habitants en communauté (région de Kampong Cham, Cambodge)
  • Des biobanques d’échantillons biologiques et d’agents pathogènes
  • Des technologies et une expertise de pointe pour la compréhension des mécanismes des maladies infectieuses au niveau cellulaire : culture de plasmodium, tests de criblage à haut débit (pseudotypes et VLP pour H5N1, H1N1v, VIH, dengue), séquençage à haut débit, criblages à haut contenu (technologie PhenomicScreen™, PhenomicID™), technologies d’imagerie de pointe, canal ionique plateforme, développement de nouveaux nanomatériaux, chimie médicinale
  • Plateforme animaux transgéniques
  • Expertise en médecine translationnelle et programmes de développement avec l’industrie Installations : Laboratoires de biosécurité Niveaux : 2, 2+ et 3 ; Laboratoires de biosécurité animale Niveaux : 2, 2+, 3

Partenariat entre l’UE et la Chine dans le domaine scientifique et technologique

Cette présence ainsi que ce fort transfert de compétences France-Chine que nous voyons à travers l’Institut Pasteur fait suite à un partenariat UE-Chine remonte à… 1998. Voici un document qui dit que

Le nouveau partenariat UE-Chine visera donc à:

  • aider la Chine à occuper une place plus importante dans la communauté internationale par une intensification du dialogue politique
  • soutenir la transition de la Chine vers une société ouverte basée sur l’autorité de la loi et le respect des droits de l’homme
  • poursuivre l’intégration de la Chine dans l’économie mondiale en la faisant participer plus pleinement au système d’échanges commerciaux mondiaux et en soutenant le processus de réforme économique et social
  • étendre le financement européen pour fournir les moyens financiers nécessaires à la mise en oeuvre d’une politique concernant les relations avec la Chine
  • faire connaître l’Union européenne en Chine.

L’UE espère en particulier développer et étendre l’éventail d’activités de coopération dans des domaines tels que l’industrie, la formation, l’énergie et l’environnement. Dans le domaine de la science et de la technologie, la Commission propose que la coopération scientifique et technologique soit utilisée pour consolider la position des entreprises européennes en Chine, ainsi que pour soutenir le développement économique de la Chine. Les domaines de coopération pourraient inclure l’agriculture, les technologies de l’information et des communications, la biotechnologie, les sciences des matériaux, les transports, l’énergie, l’environnement et les ressources naturelles.

La Commission propose la négociation d’un accord de coopération spécifique en science et technologie entre l’UE et la Chine, et a récemment demandé l’autorisation du Conseil à cet effet. Les autres activités de coopération couvriraient le développement de partenariats et l’échange de jeunes scientifiques, de cadres et d’ingénieurs.

20 Mai 1998 https://cordis.europa.eu/article/id/10348-building-a-comprehensive-partnership-with-china/fr

Et voici la fin d’un discours du Président Chirac:

Mesdames, Messieurs,
La Chine et la France souhaitent aborder ce XXIe siècle dans une logique de partenariat global, politique, économique, industriel, culturel, scientifique.
Que la Chine retrouve le rang qui doit être le sien dans l’économie mondiale ; qu’elle continue sur la voie des réformes où elle s’est engagée : qu’elle libère toujours plus la créativité de son grand peuple et lui apporte le bien-être, sans que le progrès n’oublie personne ; qu’elle soit chaque jour davantage une amie et un partenaire, voilà les vux que la France forme, par ma voix, pour la Chine.
Mesdames, Messieurs, je vous remercie.

Déclaration de M. Jacques Chirac, Président de la République, sur le partenariat stratégique franco-chinois et l’implantation des entreprises françaises en Chine, à Chengdu le 9 octobre 2004. 
https://www.vie-publique.fr/discours/143804-declaration-de-m-jacques-chirac-president-de-la-republique-sur-le-par

La mystérieuse disparition de 2 349 tubes contenant du virus SRAS

Lors d’un inventaire à l’Institut Pasteur, les collaborateurs ont signalé la disparition de milliers de tubes contenant du SRAS. La chose est revenue sur le tapis lors de la survenue de la pandémie. Certains ont laissé sous-entendre que la Chine aurait pu être derrière cette disparition. 
https://www.lemonde.fr/societe/article/2014/04/15/la-mysterieuse-disparition-de-2-349-tubes-contenant-du-virus-sras_4401244_3224.html

Pourquoi au vu de ce qui précède, les Chinois auraient emporté à la sauvette des milliers de tubes de SRAS, alors que le transfert de savoir et savoir-faire était déjà en place depuis de nombreuses années?

Les partenaires privés de l’Institut

Bref, il est grand temps que l’on arrête de nous présenter les Etats comme étant les principaux acteurs. La stratégie de coller les problèmes sur leur dos a fait long feu… Ils ont été largement financiarisés et corporatisés. D’ailleurs regardons qui sont les financeurs privés…

LHK

Annexe

leaflet_institut_pasteur_asia-pacific11




Les valeurs familiales de Schwab

[Source anglaise : unlimitedhangout.com]

​[Traduction automatique par DeepL]

Le vrai Klaus Schwab est-il une figure de vieil oncle bienveillant souhaitant faire le bien pour l’humanité, ou est-il en réalité le fils d’un collaborateur nazi qui a utilisé l’esclavage et aidé les nazis à obtenir la première bombe atomique ? Johnny Vedmore mène l’enquête.

Par JOHNNY VEDMORE

Le matin du 11 septembre 2001, Klaus Schwab prend son petit-déjeuner à la synagogue Park East de New York avec le rabbin Arthur Schneier, ancien vice-président du Congrès juif mondial et proche des familles Bronfman et Lauder. Ensemble, les deux hommes ont assisté à l’un des événements les plus marquants des vingt prochaines années, lorsque des avions ont frappé les bâtiments du World Trade Center. Aujourd’hui, deux décennies plus tard, Klaus Schwab est à nouveau aux premières loges pour assister à un autre moment déterminant de l’histoire moderne de l’humanité.

S’il semble toujours être aux premières loges lorsqu’une tragédie se profile à l’horizon, Schwab doit sa proximité avec les événements qui bouleversent le monde au fait qu’il est l’un des hommes les mieux connectés de la planète. En tant que force motrice du Forum économique mondial, « l’organisation internationale pour la coopération public-privé », Schwab a courtisé les chefs d’État, les grands dirigeants d’entreprise et l’élite des cercles universitaires et scientifiques à Davos pendant plus de 50 ans. Plus récemment, il s’est également attiré l’ire de nombreuses personnes en raison de son rôle plus récent en tant que chef de file de la Grande Réinitialisation, un vaste effort visant à refaire la civilisation au niveau mondial pour le bénéfice exprès de l’élite du Forum économique mondial et de ses alliés.

Lors de la réunion annuelle du Forum en janvier 2021, Schwab a souligné que l’instauration d’un climat de confiance ferait partie intégrante du succès de la Grande Réinitialisation, signalant une expansion ultérieure de la campagne de relations publiques déjà massive de l’initiative. Bien que Schwab ait appelé au renforcement de la confiance par le biais de « progrès » non spécifiés, la confiance est normalement facilitée par la transparence. C’est peut-être la raison pour laquelle tant de personnes ont refusé de faire confiance à M. Schwab et à ses motivations, car on sait si peu de choses sur l’histoire et le parcours de cet homme avant qu’il ne fonde le Forum économique mondial au début des années 1970.

Comme c’est le cas pour de nombreuses personnalités qui défendent les intérêts de l’élite, le dossier en ligne de Schwab a été bien aseptisé, ce qui rend difficile la recherche d’informations sur ses débuts et sur sa famille. Pourtant, étant donné qu’il est né à Ravensburg, en Allemagne, en 1938, beaucoup ont spéculé ces derniers mois sur le fait que la famille de Schwab aurait pu avoir un lien quelconque avec les efforts de guerre de l’Axe, des liens qui, s’ils étaient exposés, pourraient menacer la réputation du Forum économique mondial et apporter un examen indésirable à ses missions et motivations déclarées.

Dans cette enquête d’Unlimited Hangout, le passé que Klaus Schwab s’est efforcé de cacher est exploré en détail, révélant l’implication de la famille Schwab, non seulement dans la quête nazie d’une bombe atomique, mais aussi dans le programme nucléaire illégal de l’Afrique du Sud de l’apartheid. L’histoire du père de Klaus, Eugen Schwab, qui a dirigé la branche allemande d’une société d’ingénierie suisse, soutenue par les nazis, pendant la guerre en tant qu’entrepreneur militaire de premier plan, est particulièrement révélatrice. Cette société, Escher-Wyss, utilisait des esclaves pour produire des machines essentielles à l’effort de guerre nazi et à la production d’eau lourde pour le programme nucléaire nazi. Des années plus tard, dans la même entreprise, le jeune Klaus Schwab siégeait au conseil d’administration lorsqu’il a été décidé de fournir au régime raciste d’apartheid d’Afrique du Sud l’équipement nécessaire pour poursuivre sa quête de devenir une puissance nucléaire.

Le Forum économique mondial étant aujourd’hui un éminent défenseur de la non-prolifération nucléaire et de l’énergie nucléaire « propre », le passé de Klaus Schwab fait de lui un piètre porte-parole de l’agenda qu’il professe pour le présent et l’avenir. Pourtant, en creusant encore plus profondément dans ses activités, il apparaît clairement que le véritable rôle de Schwab a longtemps été de « façonner les programmes mondiaux, régionaux et industriels » du présent afin d’assurer la continuité de programmes plus vastes et beaucoup plus anciens qui ont été discrédités après la Seconde Guerre mondiale, non seulement la technologie nucléaire, mais aussi les politiques de contrôle de la population influencées par l’eugénisme.

Une histoire souabe

Le 10 juillet 1870, le grand-père de Klaus Schwab, Jakob Wilhelm Gottfried Schwab, appelé plus tard simplement Gottfried, est né dans une Allemagne en guerre contre ses voisins français. Karlsruhe, la ville où est né Gottfried Schwab, est située dans le Grand-Duché de Bade, gouverné en 1870 par le Grand-Duc de Bade, Frédéric Ier, âgé de 43 ans. L’année suivante, ledit Duc sera présent lors de la proclamation de l’Empire allemand qui a lieu dans la Galerie des Glaces du Château de Versailles. Il était le seul gendre de l’empereur en exercice Wilhelm Ier et, en tant que Frédéric Ier, il était l’un des souverains régnants d’Allemagne. Lorsque Gottfried Schwab a 18 ans, l’Allemagne voit Wilhelm II monter sur le trône à la mort de son père, Frédéric III.

En 1893, Gottfried Schwab, âgé de 23 ans, quitte officiellement l’Allemagne, abandonne sa nationalité allemande et quitte Karlsruhe pour émigrer en Suisse. À l’époque, sa profession est celle d’un simple boulanger. C’est là que Gottfried rencontre Marie Lappert, originaire de Kirchberg, près de Berne, et de cinq ans sa cadette. Ils se marient à Roggwil, Berne, le 27 mai 1898 et l’année suivante, le 27 avril 1899, leur enfant Eugen Schwab naît. A l’époque de sa naissance, Gottfried Schwab a gravi les échelons, il est devenu ingénieur en mécanique. Quand Eugen a environ un an, Gottfried et Marie Schwab décident de retourner vivre à Karlsruhe et Gottfried redemande la nationalité allemande.

Eugen Schwab suivra les traces de son père et deviendra lui aussi ingénieur en mécanique et, dans les années à venir, il conseillera à ses enfants de faire de même. Eugen Schwab commence à travailler dans une usine située dans une ville de Haute-Souabe, dans le sud de l’Allemagne, capitale du district de Ravensburg, dans le Bade-Wurtemberg.

L’usine où il allait forger sa carrière était la branche allemande d’une entreprise suisse appelée Escher Wyss. La Suisse avait de nombreux liens économiques de longue date avec la région de Ravensburg. Au début du XIXe siècle, des commerçants suisses apportaient du fil et des produits de tissage. À la même époque, Ravensburg a livré des céréales à Rorschach jusqu’en 1870, ainsi que des animaux d’élevage et divers fromages, au cœur des Alpes suisses. Entre 1809 et 1837, 375 Suisses vivaient à Ravensburg, mais la population suisse n’en comptait plus que 133 en 1910.

Dans les années 1830, des travailleurs suisses qualifiés ont créé une usine de coton avec une usine de blanchiment et de finition incorporée, dont les frères Erpf étaient les propriétaires et les responsables. Le marché aux chevaux de Ravensburg, créé vers 1840, a également attiré de nombreux habitants de Suisse, surtout après l’ouverture en 1847 de la ligne de chemin de fer reliant Ravensburg à Friedrichshafen, une ville située sur le lac de Constance voisin, à la frontière entre la Suisse et l’Allemagne.

Les négociants en grains de Rorsach se rendaient régulièrement au Ravensburger Kornhaus et, finalement, cette coopération et ce commerce transfrontaliers ont également conduit à l’ouverture d’une succursale de la fabrique de machines de Zurich, Escher-Wyss & Cie, dans la ville. Cet exploit a été rendu plausible lorsqu’une ligne de train reliant la Suisse au réseau routier allemand a été achevée entre 1850 et 1853. L’usine est créée par Walter Zuppinger entre 1856 et 1859 et commence à produire en 1860. En 1861, on peut voir le premier brevet officiel des fabricants Escher-Wyss de Ravensburg concernant des « installations particulières sur des métiers mécaniques pour le tissage de rubans ». À cette époque, la succursale de Ravensburg d’Escher Wyss est dirigée par Walter Zuppinger. C’est là qu’il développe sa turbine tangentielle et qu’il obtient un certain nombre de brevets supplémentaires. En 1870, Zuppinger et d’autres fondent également une usine de papier à Baienfurt, près de Ravensburg. Il prend sa retraite en 1875 et consacre toute son énergie à faire progresser les turbines.

Document de fondation de l’usine Escher-Wyss Ravensburg, daté de 1860.

Au début du nouveau siècle, Escher-Wyss avait mis de côté le tissage de rubans et commençait à se concentrer sur des projets beaucoup plus importants comme la production de grandes turbines industrielles. En 1907, ils ont demandé une « procédure d’approbation et de concession » pour la construction d’une centrale hydroélectrique près de Dogern am Rhein, ce qui a été rapporté dans une brochure bâloise de 1925.

En 1920, Escher-Wyss se trouve en proie à de graves difficultés financières. Le traité de Versailles avait limité la croissance militaire et économique de l’Allemagne après la Grande Guerre, et l’entreprise suisse trouvait le ralentissement des projets de génie civil des pays voisins trop lourd à supporter. La maison mère d’Escher-Wyss, située à Zurich, datait de 1805 et l’entreprise, qui bénéficiait encore d’une bonne réputation et d’une histoire de plus d’un siècle, était jugée trop importante pour être perdue. En décembre 1920, une réorganisation a été effectuée en réduisant le capital social de 11,5 à 4,015 millions de francs français, puis en l’augmentant à nouveau à 5,515 millions de francs suisses. À la fin de l’exercice 1931, Escher-Wyss perd toujours de l’argent.

Pourtant, l’entreprise courageuse a continué à fournir des contrats de génie civil à grande échelle tout au long des années 1920, comme le montre la correspondance officielle écrite en 1924 par Wilhelm III, prince d’Urach, à l’entreprise Escher-Wyss et au gestionnaire de fortune de la maison d’Urach, le comptable Julius Heller. Ce document traite des « Conditions générales de l’Association des fabricants allemands de turbines hydrauliques pour la livraison de machines et autres équipements pour les centrales hydrauliques ». Ceci est également confirmé dans une brochure sur les « Conditions de l’Association des fabricants allemands de turbines hydrauliques pour l’installation de turbines et de pièces de machines au sein du Reich allemand », imprimée le 20 mars 1923 dans une brochure publicitaire de Escher-Wyss pour un régulateur universel de pression d’huile.

Après que la Grande Dépression du début des années 1930 ait dévasté l’économie mondiale, Escher-Wyss annonce : « En raison de l’évolution catastrophique de la situation économique liée à la baisse des devises, la société [Escher-Wyss] est temporairement dans l’incapacité de poursuivre ses engagements actuels dans divers pays clients ». La société a également révélé qu’elle demanderait un sursis au tribunal au journal suisse Neue Zürcher Nachrichten, qui a rapporté le 1er décembre 1931 que « la société Escher-Wyss a obtenu un sursis de faillite jusqu’à la fin du mois de mars 1932 et qu’une société fiduciaire a été désignée comme curateur en Suisse ». L’article affirme avec optimisme qu' »il devrait y avoir une perspective de poursuite des activités ». En 1931, Escher-Wyss employait environ 1 300 travailleurs non contractuels et 550 employés salariés.

Au milieu des années 1930, Escher-Wyss se trouve à nouveau en difficulté financière. Afin de sauver l’entreprise, un consortium a été mis sur pied pour sauver la société d’ingénierie en difficulté. Le consortium est en partie formé par la Banque fédérale de Suisse (qui, par coïncidence, est dirigée par Max Schwab, qui n’a aucun lien de parenté avec Klaus Schwab) et une nouvelle restructuration a lieu. En 1938, il est annoncé qu’un ingénieur de l’entreprise, le colonel Jacob Schmidheiny, devient le nouveau président du conseil d’administration d’Escher-Wyss. Peu après le déclenchement de la guerre en 1939, Schmidheiny aurait déclaré : « Le déclenchement de la guerre ne signifie pas nécessairement le chômage pour l’industrie des machines dans un pays neutre, au contraire. » Escher-Wyss, et sa nouvelle direction, étaient apparemment impatients de profiter de la guerre, ouvrant la voie à leur transformation en un important contractant militaire nazi.

Une brève histoire de la persécution des Juifs à Ravensburg

Lorsque Adolf Hitler est arrivé au pouvoir, beaucoup de choses ont changé en Allemagne, et l’histoire de la population juive de Ravensburg à cette époque est triste à raconter. Pourtant, ce n’était pas la première fois que l’antisémitisme était signalé comme ayant fait son apparition dans la région.

Au Moyen Âge, une synagogue, mentionnée dès 1345, était située au centre de Ravensburg, au service d’une petite communauté juive dont on peut retrouver la trace entre 1330 et 1429. À la fin de l’année 1429 et au cours de l’année 1430, les Juifs de Ravensburg ont été pris pour cible et un horrible massacre s’en est suivi. Dans les localités voisines de Lindau, Überlingen, Buchhorn (rebaptisée plus tard Friedrichshafen), Meersburg et Konstanz, les résidents juifs sont arrêtés en masse. Les Juifs de Lindau sont brûlés vifs lors de la campagne de diffamation de Ravensburg en 1429/1430, au cours de laquelle des membres de la communauté juive sont accusés de sacrifier rituellement des bébés. En août 1430, à Überlingen, la communauté juive a été contrainte de se convertir, 11 d’entre eux l’ont fait et les 12 qui ont refusé ont été tués. Les massacres qui ont eu lieu à Lindau, Überlingen et Ravensburg se sont déroulés avec l’approbation directe du roi Sigmund et les Juifs restants ont été rapidement expulsés de la région.

Ravensburg a vu cette interdiction confirmée par l’empereur Ferdinand Ier en 1559 et elle a été maintenue, par exemple, dans une instruction de 1804 émise pour la garde de la ville, qui se lisait comme suit « Les juifs n’étant pas autorisés à exercer ici un commerce ou une activité, personne d’autre n’est autorisé à entrer dans la ville par la poste ou en voiture. Les autres, cependant, s’ils n’ont pas reçu du bureau de police une autorisation pour un séjour plus ou moins long, doivent être expulsés de la ville par le poste de police. »

Ce n’est qu’au XIXe siècle que les Juifs ont pu s’installer à nouveau légalement à Ravensburg et, même alors, leur nombre est resté si faible qu’une synagogue n’a pas été reconstruite. En 1858, seuls 3 Juifs étaient recensés à Ravensburg et, en 1895, ce nombre atteignait 57. Entre le début du siècle et 1933, le nombre de Juifs vivant à Ravensburg n’a cessé de diminuer jusqu’à ce que la communauté ne compte plus que 23 personnes.

Au début des années 1930, sept grandes familles juives vivaient à Ravensburg, notamment les familles Adler, Erlanger, Harburger, Herrmann, Landauer, Rose et Sondermann. Après la prise du pouvoir par les nationaux-socialistes, certains des Juifs de Ravensburg ont été contraints d’émigrer, tandis que d’autres ont été assassinés dans les camps de concentration nazis. Avant la Seconde Guerre mondiale, de nombreuses manifestations publiques de haine à l’égard de la petite communauté juive de Ravensburg et de ses environs ont eu lieu.

Dès le 13 mars 1933, environ trois semaines avant le boycott national par les nazis de tous les magasins juifs d’Allemagne, des gardes SA se postent devant deux des cinq magasins juifs de Ravensburg et tentent d’empêcher les acheteurs potentiels d’entrer, affichant sur l’un des magasins des panneaux indiquant « Wohlwert fermé jusqu’à l’aryanisation ». Le magasin Wohlwert sera bientôt « aryanisé » et sera le seul magasin juif à survivre au pogrom nazi. Les autres propriétaires des quatre grands magasins juifs de Ravensburg, Knopf, Merkur, Landauer et Wallersteiner, sont tous contraints de vendre leurs biens à des commerçants non-juifs entre 1935 et 1938. Au cours de cette période, de nombreux Juifs de Ravensburg ont pu fuir à l’étranger avant que le pire de la persécution nationale-socialiste ne commence. Alors qu’au moins huit d’entre eux sont morts violemment, il a été rapporté que trois citoyens juifs qui vivaient à Ravensburg ont survécu grâce à leurs conjoints « aryens ». Certains des Juifs arrêtés à Ravensburg pendant la Nuit de cristal ont été contraints de défiler dans les rues de Baden-Baden sous la surveillance de gardes SS le jour suivant et ont ensuite été déportés au camp de concentration de Sachsenhausen.

D’horribles crimes nazis contre l’humanité ont eu lieu à Ravensburg. Le 1er janvier 1934, la « loi sur la prévention des maladies héréditaires » est entrée en vigueur dans l’Allemagne nazie, ce qui signifie que les personnes atteintes de maladies diagnostiquées telles que la démence, la schizophrénie, l’épilepsie, la surdité héréditaire et divers autres troubles mentaux, pouvaient être légalement stérilisées de force. À l’hôpital municipal de Ravensburg, aujourd’hui appelé hôpital Heilig-Geist, des stérilisations forcées ont été pratiquées à partir d’avril 1934. En 1936, la stérilisation était la procédure médicale la plus pratiquée dans l’hôpital municipal.

Au cours des années d’avant-guerre des années 30 qui ont précédé l’annexion de la Pologne par l’Allemagne, l’usine Escher-Wyss de Ravensburg, désormais dirigée directement par le père de Klaus Schwab, Eugen Schwab, est restée le plus gros employeur de Ravensburg. Non seulement l’usine est un employeur majeur de la ville, mais le parti nazi d’Hitler lui-même décerne à la succursale Escher-Wyss de Ravensburg le titre d' »entreprise modèle nationale-socialiste » alors que Schwab est à sa tête. Les nazis courtisaient potentiellement l’entreprise suisse en vue d’une coopération dans la guerre à venir, et leurs avances ont fini par être réciproques.

​Escher-Wyss Ravensburg et la guerre

Ravensburg était une anomalie dans l’Allemagne de la guerre, car elle n’a jamais été visée par des frappes aériennes alliées. En raison de la présence de la Croix-Rouge et de la rumeur d’un accord avec diverses entreprises, dont Escher-Wyss, les forces alliées ont accepté publiquement de ne pas cibler la ville du sud de l’Allemagne. Elle n’a pas été classée comme une cible militaire importante tout au long de la guerre et, pour cette raison, la ville a conservé nombre de ses caractéristiques d’origine. Cependant, des choses bien plus sombres se préparaient à Ravensburg dès le début de la guerre.

Eugen Schwab continue de gérer la « National Socialist Model Company » pour Escher-Wyss, et l’entreprise suisse aidera la Wermacht nazie à produire d’importantes armes de guerre ainsi que des armements plus simples. L’entreprise Escher-Wyss est leader dans la technologie des grandes turbines pour les barrages hydroélectriques et les centrales électriques, mais elle fabrique également des pièces pour les avions de chasse allemands. Elle était aussi intimement liée à des projets beaucoup plus sinistres qui se déroulaient en coulisses et qui, s’ils avaient été menés à bien, auraient pu changer l’issue de la Seconde Guerre mondiale.

Officiels nazis devant l’hôtel de ville de Ravensburg en 1938,
Source : Haus der Stadtgeschichte Ravensburg

Les services de renseignements militaires occidentaux étaient déjà au courant de la complicité et de la collaboration d’Escher-Wyss avec les nazis. Les services de renseignements militaires occidentaux de l’époque disposent de documents, notamment le Record Group 226 (RG 226) des données compilées par l’Office of Strategic Services (OSS), qui montrent que les forces alliées étaient au courant de certaines relations d’affaires entre Escher-Wyss et les nazis.

Dans le document RG 226, il y a trois mentions spécifiques d’Escher-Wyss, notamment :

  • Dossier numéro 47178 qui se lit comme suit : La société suisse Escher-Wyss travaille sur une grosse commande pour l’Allemagne. Les lance-flammes sont expédiés de Suisse sous le nom de Brennstoffbehaelter. Daté de septembre 1944.
  • Le dossier numéro 41589 montre que les Suisses autorisaient le stockage d’exportations allemandes dans leur pays, une nation supposée neutre pendant la Seconde Guerre mondiale. L’entrée se lit comme suit : Relations commerciales entre Empresa Nacional Calvo Sotelo (ENCASO), Escher Wyss et Mineral Celbau Gesellschaft. 1 p. juillet 1944 ; voir aussi L 42627 Rapport sur la collaboration entre l’entreprise espagnole Empresa Nacional Calvo Sotelo et l’entreprise allemande Rheinmetall Borsig, sur les exportations allemandes stockées en Suisse. 1 p. Août 1944.
  • Le dossier numéro 72654 affirmait que : La bauxite de Hongrie était autrefois envoyée en Allemagne et en Suisse pour y être raffinée. Puis un syndicat gouvernemental a construit une usine d’aluminium à Dunaalmas, aux frontières de la Hongrie. L’énergie électrique était fournie ; la Hongrie a contribué aux mines de charbon, et l’équipement a été commandé à la société suisse Escher-Wyss. La production commence en 1941. 2 pages. Mai 1944.

Pourtant, Escher-Wyss est leader dans un domaine en plein essor, la création d’une nouvelle technologie de turbine. L’entreprise a conçu une turbine de 14 500 CV pour l’usine hydroélectrique d’importance stratégique de Norsk Hydro à Vemork, près de Rjukan en Norvège. L’usine Norsk Hydro, en partie alimentée par Escher Wyss, était la seule usine industrielle sous contrôle nazi capable de produire de l’eau lourde, un ingrédient essentiel à la fabrication du plutonium pour le programme nazi de la bombe atomique. Les Allemands avaient mis toutes les ressources possibles derrière la production d’eau lourde, mais les forces alliées étaient conscientes des avancées technologiques des nazis, de plus en plus désespérés, qui pouvaient changer la donne.

En 1942 et 1943, l’usine hydroélectrique a été la cible de raids partiellement réussis du Commando britannique et de la Résistance norvégienne, bien que la production d’eau lourde se soit poursuivie. Les forces alliées ont largué plus de 400 bombes sur l’usine, ce qui a à peine affecté les opérations de cette installation tentaculaire. En 1944, des navires allemands ont tenté de ramener de l’eau lourde en Allemagne, mais la Résistance norvégienne a réussi à couler le navire transportant la charge utile. Avec l’aide d’Escher-Wyss, les nazis ont presque réussi à changer le cours de la guerre et à provoquer la victoire de l’Axe.

Dans l’usine Escher-Wyss de Ravensburg, Eugen Schwab s’est employé à faire travailler des travailleurs forcés dans son entreprise nazie modèle. Pendant les années de la Seconde Guerre mondiale, près de 3 600 travailleurs forcés ont travaillé à Ravensburg, notamment chez Escher Wyss. Selon l‘archiviste de la ville de Ravensburg, Andrea Schmuder, l’usine de machines Escher-Wyss de Ravensburg a employé entre 198 et 203 travailleurs civils et prisonniers de guerre pendant la guerre. Karl Schweizer, un historien local de Lindau, affirme que Escher-Wyss a maintenu un petit camp spécial pour les travailleurs forcés dans les locaux de l’usine.

L’utilisation de masses de travailleurs forcés à Ravensburg a rendu nécessaire l’installation de l’un des plus grands camps de travail forcé nazis répertoriés dans l’atelier d’un ancien charpentier situé Ziegelstrasse 16. Le camp en question a accueilli à un moment donné 125 prisonniers de guerre français qui ont ensuite été redistribués dans d’autres camps en 1942. Les travailleurs français ont été remplacés par 150 prisonniers de guerre russes qui, selon la rumeur, étaient les plus mal traités de tous les prisonniers de guerre. L’un de ces prisonniers était Zina Jakuschewa, dont la carte et le carnet de travail sont détenus par le United States Holocaust Memorial Museum. Ces documents l’identifient comme une travailleuse forcée non juive affectée à Ravensburg, en Allemagne, en 1943 et 1944.

Eugen Schwab maintient consciencieusement le statu quo pendant les années de guerre. Après tout, avec le jeune Klaus Martin Schwab né en 1938 et son frère Urs Reiner Schwab né quelques années plus tard, Eugen aurait voulu garder ses enfants à l’abri du danger.

Klaus Martin Schwab – Homme de mystère international

Né le 30 mars 1938 à Ravensburg, en Allemagne, Klaus Schwab est l’aîné des enfants d’une famille nucléaire normale. Entre 1945 et 1947, Klaus a fréquenté l’école primaire de Au, en Allemagne. Dans une interview accordée en 2006 au Irish Times, Klaus Schwab se souvient que : « Après la guerre, j’ai présidé l’association régionale franco-allemande de la jeunesse. Mes héros étaient Adenauer, De Gasperi et De Gaulle ».

Klaus Schwab et son jeune frère, Urs Reiner Schwab, devaient tous deux suivre les traces de leur grand-père, Gottfried, et de leur père, Eugen, et suivre une formation d’ingénieur en machines. Le père de Klaus avait dit au jeune Schwab que, s’il voulait avoir un impact sur le monde, il devait suivre une formation d’ingénieur en machines. Ce n’est que le début de la carrière universitaire de Schwab.

Klaus commence à étudier ses nombreux diplômes au Spohn-Gymnasium de Ravensburg entre 1949 et 1957, et obtient finalement le diplôme du Humanistisches Gymnasium de Ravensburg. Entre 1958 et 1962, Klaus a commencé à travailler dans diverses sociétés d’ingénierie et, en 1962, Klaus a terminé ses études d’ingénierie mécanique à l’École polytechnique fédérale (ETH) de Zurich avec un diplôme d’ingénieur. L’année suivante, il a également suivi un cours d’économie à l’Université de Fribourg, en Suisse. De 1963 à 1966, Klaus a travaillé comme assistant du directeur général de l’Association allemande de la construction mécanique (VDMA), à Francfort.

En 1965, Klaus prépare également son doctorat à l’ETH de Zurich, en rédigeant sa thèse sur : « Le crédit à l’exportation à long terme comme problème commercial dans la construction mécanique ». Puis, en 1966, il obtient son doctorat en ingénierie à l’École polytechnique fédérale de Zurich (ETH). A cette époque, le père de Klaus, Eugen Schwab, nageait dans des cercles plus grands que ceux dans lesquels il avait nagé auparavant. Après avoir été une personnalité bien connue à Ravensburg en tant que directeur général de l’usine Escher-Wyss depuis l’avant-guerre, Eugen sera finalement élu président de la chambre de commerce de Ravensburg. En 1966, lors de la fondation du comité allemand pour le tunnel ferroviaire de Splügen, Eugen Schwab définit la fondation du comité allemand comme un projet « qui crée une connexion meilleure et plus rapide pour les grands cercles de notre Europe de plus en plus convergente et offre ainsi de nouvelles possibilités de développement culturel, économique et social ».

En 1967, Klaus Schwab a obtenu un doctorat en économie de l’université de Fribourg, en Suisse, ainsi qu’une maîtrise en administration publique de la John F. Kennedy School of Government de Harvard, aux États-Unis. À Harvard, Klaus Schwab suit les cours de Henry Kissinger, dont il dira plus tard qu’il fait partie des trois ou quatre personnalités qui ont le plus influencé sa pensée tout au long de sa vie.

Henry Kissinger et son ancien élève, Klaus Schwab,
accueillent l’ancien Premier ministre britannique Ted Heath lors de la réunion annuelle du WEF en 1980.
Source : Forum économique mondial

Dans l’article de l’Irish Times de 2006 mentionné précédemment, Klaus parle de cette période comme étant très importante pour la formation de sa pensée idéologique actuelle, déclarant : « Des années plus tard, lorsque je suis revenu des États-Unis après mes études à Harvard, deux événements ont eu un effet déclencheur décisif sur moi. Le premier était un livre de Jean-Jacques Servan-Schreiber, The American Challenge – qui disait que l’Europe perdrait contre les États-Unis en raison des méthodes de gestion inférieures de l’Europe. L’autre événement était – et cela concerne l’Irlande – l’Europe des six est devenue l’Europe des neuf« . Ces deux événements ont contribué à faire de Klaus Schwab un homme qui voulait changer la façon dont les gens travaillaient.

La même année, Urs Reiner Schwab, le frère cadet de Klaus, obtient son diplôme d’ingénieur en mécanique de l’ETH Zurich et Klaus Schwab entre dans l’ancienne entreprise de son père, Escher-Wyss, qui deviendra bientôt Sulzer Escher-Wyss AG, Zurich, en tant qu’assistant du président pour aider à la réorganisation des sociétés fusionnées. Cela nous mène aux connexions nucléaires de Klaus.

L’ascension d’un technocrate

Sulzer, une société suisse dont les origines remontent à 1834, s’est fait connaître après avoir commencé à construire des compresseurs en 1906. En 1914, l’entreprise familiale faisait partie de « trois sociétés par actions« , dont l’une était la société holding officielle. Dans les années 1930, les bénéfices de Sulzer ont souffert de la Grande Dépression et, comme beaucoup d’entreprises à l’époque, ont dû faire face à des perturbations et à des actions industrielles de la part de leurs travailleurs.

La Seconde Guerre mondiale n’a peut-être pas touché la Suisse autant que ses voisins, mais le boom économique qui a suivi a permis à Sulzer de gagner en puissance et de dominer le marché. En 1966, juste avant l’arrivée de Klaus Schwab chez Escher-Wyss, les fabricants suisses de turbines signent un accord de coopération avec les frères Sulzer à Winterthur. Sulzer et Escher-Wyss commencent à fusionner en 1966, lorsque Sulzer achète 53% des parts de la société. Escher-Wyss devient officiellement Sulzer Escher-Wyss AG en 1969, lorsque les dernières actions sont acquises par les frères Sulzer.

Une fois la fusion entamée, Escher-Wyss commence à être restructurée et deux des membres du conseil d’administration existants sont les premiers à voir leur service à Escher-Wyss prendre fin. Le Dr H. Schindler et W. Stoffel démissionnent du conseil d’administration désormais dirigé par Georg Sulzer et Alfred Schaffner. Le Dr Schindler a été membre du conseil d’administration d’Escher-Wyss pendant 28 ans et a travaillé aux côtés d’Eugen Schwab pendant la majeure partie de son mandat. Peter Schmidheiny prendra plus tard la présidence du conseil d’administration d’Escher-Wyss, poursuivant ainsi la domination de la famille Schmidheiny sur les dirigeants de l’entreprise.

Au cours du processus de restructuration, il a été décidé qu’Escher-Wyss et Sulzer se concentreraient sur des domaines distincts de la construction de machines. Les usines d’Escher-Wyss travailleraient principalement sur la construction de centrales hydrauliques, y compris les turbines, les pompes de stockage, les machines d’inversion, les dispositifs de fermeture et les canalisations, ainsi que les turbines à vapeur, les turbocompresseurs, les systèmes d’évaporation, les centrifugeuses et les machines pour l’industrie du papier et de la pâte à papier. Sulzer se concentrerait sur l’industrie de la réfrigération ainsi que sur la construction de chaudières à vapeur et de turbines à gaz.

Le 1er janvier 1968, la société Sulzer Escher-Wyss AG, fraîchement réorganisée, est présentée publiquement. La société a été rationalisée, un mouvement jugé nécessaire en raison de plusieurs acquisitions importantes. Parmi celles-ci figure une étroite collaboration avec Brown Boveri, un groupe de sociétés suisses d’ingénierie électrique qui avait également travaillé pour les nazis, fournissant aux Allemands une partie de la technologie des sous-marins utilisée pendant la Seconde Guerre mondiale. Brown Boveri est également décrite comme une « entreprise d’électricité liée à la défense » et trouvera les conditions de la course aux armements de la guerre froide bénéfiques à son activité.

La fusion et la réorganisation de ces géants suisses de l’ingénierie mécanique ont vu leur collaboration porter ses fruits de manière unique. Pendant les Jeux olympiques d’hiver de 1968 à Grenoble, Sulzer et Escher-Wyss ont utilisé 8 compresseurs de réfrigération pour créer des tonnes de glace artificielle. En 1969, les deux entreprises se sont associées pour participer à la construction d’un nouveau navire de passagers baptisé « Hamburg », le premier navire au monde à être entièrement climatisé grâce à la combinaison Sulzer Escher-Wyss.

En 1967, Klaus Schwab fait officiellement irruption sur la scène du monde des affaires suisse et prend la tête de la fusion entre Sulzer et Escher-Wyss, tout en formant des alliances profitables avec Brown Boveri et d’autres. En décembre 1967, Klaus s’est adressé, lors d’un événement à Zurich, aux principales organisations suisses d’ingénierie des machines : l’Association patronale des fabricants suisses de machines et de métaux et l’Association des fabricants suisses de machines.

Dans son exposé, il a prédit avec justesse l’importance de l’intégration des ordinateurs dans l’ingénierie des machines suisses modernes, en déclarant que :

« En 1971, des produits qui ne sont même pas sur le marché aujourd’hui sont susceptibles de représenter jusqu’à un quart des ventes. Cela oblige les entreprises à rechercher systématiquement les développements possibles et à identifier les lacunes du marché. Aujourd’hui, 18 des 20 plus grandes entreprises de notre industrie des machines ont des départements de planification qui sont chargés de ces tâches. Bien entendu, chacun doit utiliser les dernières avancées technologiques, et l’ordinateur en fait partie. Les nombreuses petites et moyennes entreprises de notre industrie des machines empruntent la voie de la coopération ou utilisent les services de prestataires spécialisés dans le traitement des données. »

Les ordinateurs et les données étaient manifestement considérés comme importants pour l’avenir, selon Schwab, et cela s’est reflété dans la réorganisation de Sulzer Escher-Wyss lors de leur fusion. Le site Web moderne de Sulzer reflète ce changement d’orientation notable, indiquant qu’en 1968 : « Les activités de technologie des matériaux sont intensifiées [par Sulzer] et constituent la base des produits de technologie médicale. Le changement fondamental d’une entreprise de construction de machines à une entreprise de technologie commence à devenir apparent. »

Klaus Schwab a contribué à faire de Sulzer Escher-Wyss quelque chose de plus qu’un simple géant de la construction de machines, il l’a transformé en une entreprise technologique qui se dirige à grande vitesse vers un avenir de haute technologie. Il convient également de noter que Sulzer Escher-Wyss a modifié un autre aspect de ses activités pour les aider à « former la base des produits de technologie médicale », un domaine qui n’avait pas été mentionné auparavant comme industrie cible pour Sulzer et/ou Escher-Wyss.

Mais le progrès technologique n’était pas la seule amélioration que Klaus Schwab voulait introduire chez Sulzer Escher-Wyss, il voulait également changer la façon dont l’entreprise pensait à son style de gestion. Schwab et ses proches collaborateurs poussaient une philosophie d’entreprise entièrement nouvelle qui permettrait « à tous les employés d’accepter les impératifs de la motivation et d’assurer chez eux un sens de la flexibilité et de la manœuvrabilité ».

C’est ici, à la fin des années 1960, que nous voyons Klaus commencer à devenir une personnalité plus publique. À cette époque, la société Sulzer Escher-Wyss s’intéresse également plus que jamais à la presse. En janvier 1969, les géants suisses ont mis en place une séance de consultation publique intitulée « Journée de presse de l’industrie des machines« , qui concernait principalement des questions sur la gestion de l’entreprise. Au cours de cet événement, Schwab déclare que les entreprises qui utilisent des styles de gestion autoritaires sont « incapables d’activer pleinement le « capital humain«  », un argument qu’il utilisera à plusieurs reprises à la fin des années 1960.

Le plutonium et Pretoria

Escher-Wyss a été le pionnier de certaines des technologies les plus importantes en matière de production d’énergie. Comme le souligne le ministère américain de l’énergie dans son document sur le développement du cycle de Brayton au CO2 supercritique (CBC), un dispositif utilisé dans les centrales hydroélectriques et nucléaires, « Escher-Wyss a été la première entreprise connue à développer les turbomachines pour les systèmes CBC dès 1939″. Escher-Wyss a été la première entreprise connue pour avoir développé les turbomachines des systèmes CBC à partir de 1939. » Elle ajoute que 24 systèmes ont été construits, « Escher-Wyss ayant conçu les cycles de conversion d’énergie et construit les turbomachines pour tous les systèmes sauf trois ». En 1966, juste avant l’entrée de Schwab dans Escher-Wyss et le début de la fusion avec Sulzer, le compresseur à hélium d’Escher-Wyss a été conçu pour la société La Fleur et a poursuivi l’évolution du développement du cycle de Brayton. En 1986, cette technologie était encore importante pour l’industrie de l’armement, les drones à propulsion nucléaire étant équipés d’un réacteur nucléaire à cycle de Brayton refroidi à l’hélium.

Escher-Wyss a été impliqué dans la fabrication et l’installation de la technologie nucléaire au moins dès 1962, comme le montre ce brevet pour un « dispositif d’échange de chaleur pour une centrale nucléaire » et ce brevet de 1966 pour une « centrale à turbine à gaz pour réacteur nucléaire avec refroidissement de secours ». Après le départ de Schwab de Sulzer Escher-Wyss, Sulzer a également contribué au développement de turbocompresseurs spéciaux pour l’enrichissement de l’uranium afin de produire des combustibles pour réacteurs.

Lorsque Klaus Schwab rejoint Sulzer Escher-Wyss en 1967 et entame la réorganisation de l’entreprise pour en faire une société technologique, l’implication de Sulzer Escher-Wyss dans les aspects les plus sombres de la course mondiale aux armements nucléaires devient immédiatement plus prononcée. Avant que Klaus ne soit impliqué, Escher-Wyss s’était souvent concentré sur l’aide à la conception et à la construction de pièces pour les utilisations civiles de la technologie nucléaire, par exemple la production d’énergie nucléaire. Pourtant, avec l’arrivée de l’enthousiaste M. Schwab, l’entreprise a également participé à la prolifération illégale de la technologie des armes nucléaires. En 1969, l’incorporation d’Escher Wyss dans Sulzer est entièrement achevée et l’entreprise devient Sulzer AG, abandonnant le nom historique d’Escher-Wyss.

Il a finalement été révélé, grâce à un examen et un rapport réalisés par les autorités suisses et un homme nommé Peter Hug, que Sulzer Escher-Wyss a commencé à se procurer et à construire secrètement des pièces clés pour les armes nucléaires dans les années 1960. La société, alors que Schwab siégeait au conseil d’administration, a également commencé à jouer un rôle essentiel dans le développement du programme illégal d’armes nucléaires de l’Afrique du Sud pendant les années les plus sombres du régime d’apartheid. Klaus Schwab était une figure de proue dans la fondation d’une culture d’entreprise qui a aidé Pretoria à construire six armes nucléaires et à en assembler partiellement une septième.

Dans ce rapport, Peter Hug explique comment Sulzer Escher Wyss AG (appelée Sulzer AG après la fusion) a fourni des composants vitaux au gouvernement sud-africain et trouve des preuves du rôle de l’Allemagne dans le soutien du régime raciste. Il révèle également que le gouvernement suisse « était au courant des transactions illégales mais les « tolérait en silence » tout en soutenant activement certaines d’entre elles ou en ne les critiquant qu’à moitié ». Le rapport de Hug a finalement été finalisé dans un ouvrage intitulé : « La Suisse et l’Afrique du Sud 1948-1994 – Rapport final du PFN 42+ mandaté par le Conseil fédéral suisse » qui a été compilé et rédigé par Georg Kreis et publié en 2007.

En 1967, l’Afrique du Sud avait construit un réacteur dans le cadre d’un projet de production de plutonium, le SAFARI-2 situé à Pelindaba. SAFARI-2 faisait partie d’un projet visant à développer un réacteur modéré à l’eau lourde qui serait alimenté par de l’uranium naturel et refroidi au sodium. Ce lien avec le développement de l’eau lourde pour la création d’uranium, la même technologie qui avait été utilisée par les nazis également avec l’aide d’Escher-Wyss, peut expliquer pourquoi les Sud-Africains ont initialement impliqué Escher-Wyss. Mais en 1969, l’Afrique du Sud abandonne le projet de réacteur à eau lourde à Pelindaba, car il draine les ressources de leur programme d’enrichissement de l’uranium qui a débuté en 1967.

Un missile nucléaire sud-africain en stockage

En 1970, Escher-Wyss était définitivement très impliqué dans la technologie nucléaire, comme le montre un document disponible dans les archives du Land de Bade-Wurtemberg. Ce document présente les détails d’une procédure de passation de marché public et contient des informations sur les pourparlers d’adjudication avec des entreprises spécifiques impliquées dans l’acquisition de technologies et de matériaux nucléaires. Les entreprises citées sont notamment : NUKEM ; Uhde ; Krantz ; Preussag ; Escher-Wyss ; Siemens ; Rheintal ; Leybold ; Lurgi ; et la tristement célèbre Transnuklear.

Les Suisses et les Sud-Africains ont entretenu des relations étroites durant cette période de l’histoire, où il n’était guère facile pour le brutal régime sud-africain de trouver des alliés proches. Le 4 novembre 1977, le Conseil de sécurité des Nations unies avait adopté la résolution 418 qui imposait un embargo obligatoire sur les armes à destination de l’Afrique du Sud, embargo qui ne serait pas entièrement levé avant 1994.

Georg Kreis a souligné les points suivants dans son évaluation détaillée du rapport Hug :

« Le fait que les autorités aient adopté une attitude de laisser-faire même après mai 1978 apparaît dans un échange de lettres entre le Mouvement Anti-Apartheid et la DFMA en octobre/décembre 1978. Comme l’explique l’étude de Hug, le Mouvement anti-apartheid de Suisse s’est appuyé sur des rapports allemands selon lesquels Sulzer Escher-Wyss et une société appelée BBC avaient fourni des pièces pour l’usine d’enrichissement d’uranium sud-africaine, et sur des crédits répétés à ESCOM, qui comprenaient également des contributions considérables de banques suisses. Ces affirmations ont conduit à se demander si le Conseil fédéral, compte tenu de son soutien fondamental à l’embargo de l’ONU, ne devrait pas inciter la Banque nationale à ne plus autoriser de crédits pour ESCOM à l’avenir. »

Les banques suisses ont contribué à financer la course au nucléaire de l’Afrique du Sud et, en 1986, Sulzer Escher-Wyss a réussi à produire des compresseurs spéciaux pour l’enrichissement de l’uranium.

La fondation du Forum économique mondial

En 1970, le jeune Klaus Schwab écrit à la Commission européenne pour lui demander de l’aider à créer un « groupe de réflexion non commercial pour les chefs d’entreprise européens ». La Commission européenne sponsorise l’événement et envoie l’homme politique français Raymond Barre comme « mentor intellectuel » du forum. Raymond Barre, qui était à l’époque commissaire européen aux affaires économiques et financières, est devenu par la suite premier ministre français et a été accusé de tenir des propos antisémites pendant son mandat.

Ainsi, en 1970, Schwab quitte Escher Wyss pour organiser une conférence de deux semaines sur la gestion des entreprises. En 1971, la première réunion du Forum économique mondial – alors appelée « European Management Symposium » – se tient à Davos, en Suisse. Environ 450 participants de 31 pays allaient prendre part au premier symposium européen sur le management organisé par Schwab, composé principalement de dirigeants de diverses entreprises européennes, de politiciens et d’universitaires américains. Le projet a été enregistré comme étant organisé par Klaus Schwab et sa secrétaire Hilde Stoll qui, plus tard la même année, deviendra l’épouse de Klaus Schwab.

Le symposium européen de Klaus n’était pas une idée originale. Comme l’a déclaré l’écrivain Ganga Jey Aratnam de manière tout à fait cohérente en 2018 :

 » L’esprit de Davos  » de Klaus Schwab était aussi  » l’esprit de Harvard « . L’école de commerce n’était pas la seule à défendre l’idée d’un symposium. L’éminent économiste de Harvard John Kenneth Galbraith s’est fait le champion de la société d’abondance ainsi que des besoins de planification du capitalisme et du rapprochement de l’Est et de l’Ouest. »

Il est également vrai que, comme l’a souligné Aratnam, ce n’était pas la première fois que Davos accueillait de tels événements. Entre 1928 et 1931, les conférences universitaires de Davos ont eu lieu à l’hôtel Belvédère, des événements cofondés par Albert Einstein et qui n’ont été interrompus que par la Grande Dépression et la menace d’une guerre imminente.

​Le Club de Rome et le WEF

Le groupe le plus influent qui a suscité la création du symposium de Klaus Schwab est le Club de Rome, un groupe de réflexion influent de l’élite scientifique et riche qui reflète le Forum économique mondial à bien des égards, notamment dans sa promotion d’un modèle de gouvernance mondiale dirigé par une élite technocratique. Le Club avait été fondé en 1968 par l’industriel italien Aurelio Peccei et le chimiste écossais Alexander King lors d’une réunion privée dans une résidence appartenant à la famille Rockefeller à Bellagio, en Italie.

Parmi ses premières réalisations, citons un livre publié en 1972, intitulé « The Limits to Growth » (Les limites de la croissance), qui portait essentiellement sur la surpopulation mondiale et avertissait que « si les modes de consommation et la croissance démographique du monde se poursuivaient au même rythme élevé qu’à l’époque, la Terre atteindrait ses limites d’ici un siècle. » Lors de la troisième réunion du Forum économique mondial en 1973, Peccei a prononcé un discours résumant le livre, que le site web du Forum économique mondial rappelle comme ayant été l’événement marquant de cette réunion historique. La même année, le Club de Rome publiait un rapport détaillant un modèle « adaptatif » de gouvernance mondiale qui diviserait le monde en dix régions économiques/politiques interconnectées.

Le Club de Rome a longtemps été controversé pour son obsession de la réduction de la population mondiale et nombre de ses politiques antérieures, que les critiques décrivaient comme influencées par l’eugénisme et le néo-malthusianisme. Cependant, dans le livre tristement célèbre du Club, The First Global Revolution, publié en 1991, il était affirmé que de telles politiques pouvaient obtenir un soutien populaire si les masses étaient capables de les associer à une lutte existentielle contre un ennemi commun.

À cet effet, La première révolution mondiale contient un passage intitulé « L’ennemi commun de l’humanité est l’Homme », qui stipule ce qui suit :

« En cherchant un ennemi commun contre lequel nous pourrions nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres phénomènes de ce genre, feraient l’affaire. Dans leur ensemble et leurs interactions, ces phénomènes constituent effectivement une menace commune qui doit être affrontée par tous ensemble. Mais en désignant ces dangers comme l’ennemi, nous tombons dans le piège, dont nous avons déjà averti nos lecteurs, à savoir confondre les symptômes avec les causes. Tous ces dangers sont dus à l’intervention de l’homme dans les processus naturels, et ce n’est qu’en changeant d’attitude et de comportement qu’on peut les surmonter. Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même. »

Dans les années qui ont suivi, l’élite qui peuple le Club de Rome et le Forum économique mondial a fréquemment soutenu que les méthodes de contrôle de la population sont essentielles pour protéger l’environnement. Il n’est donc pas surprenant que le Forum économique mondial utilise de la même manière les questions de climat et d’environnement pour faire valoir la nécessité de politiques autrement impopulaires, telles que celles de la grande réinitialisation.

Le passé est un prologue

Depuis la création du Forum économique mondial, Klaus Schwab est devenu l’une des personnes les plus puissantes au monde et sa Grande Réinitialisation a rendu plus important que jamais l’examen minutieux de l’homme assis sur le trône mondialiste.

Compte tenu du rôle prépondérant qu’il a joué dans la vaste entreprise de transformation de tous les aspects de l’ordre existant, l’histoire de Klaus Schwab a été difficile à rechercher. Lorsque vous commencez à creuser l’histoire d’un homme comme Schwab, qui côtoie d’autres membres de l’élite, vous vous apercevez rapidement que de nombreuses informations ont été cachées ou supprimées. Klaus est quelqu’un qui veut rester caché dans les coins sombres de la société et qui ne permet à la personne moyenne de voir qu’une construction bien présentée de son personnage choisi.

Le véritable Klaus Schwab est-il une figure de vieil oncle bienveillant souhaitant faire le bien pour l’humanité, ou est-il en réalité le fils d’un collaborateur nazi qui a utilisé le travail forcé et a aidé les nazis à obtenir la première bombe atomique ? Klaus est-il le chef d’entreprise honnête en qui nous devrions avoir confiance pour créer une société et un lieu de travail plus justes pour le commun des mortels, ou est-il la personne qui a contribué à pousser Sulzer Escher-Wyss dans une révolution technologique qui l’a conduit à jouer un rôle dans la création illégale d’armes nucléaires pour le régime raciste d’apartheid d’Afrique du Sud ? Les preuves que j’ai examinées ne suggèrent pas un homme aimable, mais plutôt un membre d’une famille riche et bien connectée qui a l’habitude d’aider à créer des armes de destruction massive pour des gouvernements agressifs et racistes.

Comme l’a déclaré Klaus Schwab en 2006, « le savoir sera bientôt disponible partout – j’appelle cela la « googlisation » de la mondialisation. L’important n’est plus ce que vous savez, mais la manière dont vous l’utilisez. Vous devez être à la pointe du progrès. » Klaus Schwab se considère comme un « pace setter » et un joueur de haut niveau, et il faut dire que ses qualifications et son expérience sont impressionnantes. Pourtant, lorsqu’il s’agit de mettre en pratique ce que l’on prêche, Klaus a été démasqué. L’un des trois plus grands défis figurant sur la liste des priorités du Forum économique mondial est la non-prolifération des armes nucléaires. Pourtant, ni Klaus Schwab ni son père Eugen n’ont respecté ces mêmes principes lorsqu’ils étaient dans les affaires. C’est tout le contraire.

En janvier, Klaus Schwab a annoncé que 2021 était l’année où le Forum économique mondial et ses alliés devaient « rétablir la confiance » avec les masses. Cependant, si Schwab continue à cacher son histoire et celle des liens de son père avec la « National Socialist Model Company » qu’était Escher-Wyss dans les années 1930 et 1940, les gens auront de bonnes raisons de se méfier des motivations sous-jacentes de son programme de Grande Réinitialisation, qui va trop loin et n’est pas démocratique.

Dans le cas des Schwab, il ne s’agit pas simplement de mauvaises pratiques commerciales ou d’un quelconque malentendu. L’histoire de la famille Schwab révèle au contraire une habitude de collaborer avec des dictateurs génocidaires pour des motifs basiques de profit et de pouvoir. Les nazis et le régime d’apartheid sud-africain sont deux des pires exemples de leadership dans la politique moderne, mais les Schwab n’ont manifestement pas pu ou voulu s’en rendre compte à l’époque.

Dans le cas de Klaus Schwab lui-même, il semble qu’il ait aidé à blanchir des reliques de l’ère nazie, c’est-à-dire ses ambitions nucléaires et ses ambitions de contrôle de la population, afin d’assurer la continuité d’un agenda plus profond. Alors qu’il occupait un poste de direction chez Sulzer Escher Wyss, la société a cherché à soutenir les ambitions nucléaires du régime sud-africain, qui était alors le gouvernement le plus proche des nazis dans le monde, préservant ainsi le propre héritage de l’ère nazie d’Escher Wyss. Ensuite, par le biais du Forum économique mondial, Schwab a contribué à réhabiliter les politiques de contrôle de la population influencées par l’eugénisme au cours de la période qui a suivi la Seconde Guerre mondiale, une époque où les révélations sur les atrocités commises par les nazis ont rapidement jeté un grand discrédit sur cette pseudo-science. Y a-t-il une raison de croire que Klaus Schwab, tel qu’il existe aujourd’hui, a changé de quelque façon que ce soit ? Ou est-il toujours le visage public d’un effort de plusieurs décennies pour assurer la survie d’un programme très ancien ?

La dernière question à se poser sur les motivations réelles des actions de Herr Schwab est peut-être la plus importante pour l’avenir de l’humanité : Klaus Schwab essaie-t-il de créer la quatrième révolution industrielle ou le quatrième Reich ?

L’auteur

Johnny Vedmore est un journaliste d’investigation totalement indépendant et un musicien de Cardiff, au Pays de Galles. Son travail vise à exposer les personnes puissantes qui sont négligées par les autres journalistes et à apporter de nouvelles informations à ses lecteurs. Si vous avez besoin d’aide, ou si vous avez un conseil à donner à Johnny, contactez-le via johnnyvedmore.com ou en écrivant à johnnyvedmore@gmail.com.




La réponse aux courriels de Fauci prouve que tout est faux, que la gestion des récits l’emporte sur la réalité, et que ceux qui sont au pouvoir le veulent ainsi

[Source : Aube Digitale]

En observant la couverture médiatique – ou l’absence de couverture – des courriels du Dr Anthony Fauci et de ce qu’ils signifient pour l’origine du coronavirus, on est frappé par le fait que tout est implacablement faux, des experts de la santé publique à la science.

Les courriels suggèrent notamment que Fauci s’est entendu avec Peter Daszak – chef de l’EcoHealth Alliance, qui a canalisé des fonds de recherche américains vers l’Institut de virologie de Wuhan – pour supprimer et écarter toute idée selon laquelle le virus responsable du Covid-19 pourrait ne pas avoir évolué naturellement.

En fait, M. Daszak a donné des interviews sur son travail en Chine tout au long de l’année dernière, et personne dans les médias n’a pensé à faire le lien. En d’autres termes, Donald Trump a dit que le virus venait de Chine et qu’il pouvait provenir d’un laboratoire, ce qui signifie qu’il était faux et raciste.

Ce n’est qu’un exemple, le plus récent et le plus aigu, de la victoire à tout prix de la narration sur la réalité. Des millions de morts, une destruction généralisée de l’économie, des changements tectoniques dans la société elle-même ? Petit prix à payer pour le “progrès” et assurer le “bon” résultat de l’élection de 2020, pourraient dire les fortifiants de Notre Démocratie, sans que personne ne sourcille. “Reconstruire en mieux !”, répète la presse à la place.

Trump en désaccord avec CNN est une menace mortelle pour la démocratie et la liberté d’expression, mais Biden disant à une journaliste qu’il préférerait l’écraser avec un camion électrique plutôt que de répondre à une question sur la guerre qui se déroule actuellement en Israël est une blague amusante, haha, comme c’est hilarant. Quel parfum de glace avez-vous commandé, monsieur ?

Cela peut sembler partisan à première vue, mais n’oublions pas qu’il s’agit des mêmes médias qui ont autrefois fièrement soutenu le récit des “ADM de Saddam” [Armes de Destruction Massive]. La vieille dichotomie entre démocrates et républicains ne fonctionne donc pas vraiment ici et, de plus, elle ne tient pas compte de la situation dans son ensemble.

Une société vraiment libre n’aurait pas de récits officielsa écrit la chroniqueuse australienne Caitlin Johnstone en début de semaine. Le fait est que les sociétés modernes ne sont pas libres, et que les récits officiels sont tout ce qu’elles ont. Où serait la légitimité de Joe Biden sans le récit de l’”insurrection” du 6 janvier au Capitole ?

Les fondateurs américains ont codifié le premier amendement parce qu’ils considéraient qu’une presse libre était nécessaire à une république libre. Pourtant, le complexe médiatique des entreprises et leurs homologues des Big Tech sont devenus les chiens de poche du pouvoir, et non ses chiens de garde. Même les agences, autrefois considérées comme neutres et objectives, sont dans le coup. AP a littéralement réécrit son manuel de style pour limiter l’utilisation du mot “émeute” l’été dernier. Reuters a “vérifié les faits” en déclarant que l’éloge funèbre de Robert Byrd par Biden était faux parce que le sénateur démocrate n’était pas un “grand sorcier” du KKK mais simplement un “cyclope exalté”.

Ce remplacement orwellien des faits par des récits conditionne le public à se faire l’écho de l’infâme défense d’Hillary Clinton à propos de Benghazi : “Quelle différence, à ce stade, cela fait-il ?”.

Les “faits” ne signifient rien pour cette foule. La “science” n’est pas [pour elle] un processus rigoureux de recherche de la vérité, mais un mot-totem invoqué pour conférer l’autorité et bannir la dissidence. La “vérité” est ce qu’ils déclarent être à ce moment-là, et lorsque cela ne leur convient plus, ils reviennent en arrière sans vergogne et réécrivent leurs propres mots, en prétendant depuis le début que c’est ce qu’ils ont toujours cru. Oui, c’est littéralement un comportement orwellien, mais ils ne semblent pas s’en soucier.

Après tout, qu’allez-vous faire, changer de chaîne ? En fait, c’est ce qui se passe. Mois après mois, les rapports d’audience montrent que CNN et MSNBC se font nettoyer par Fox News – et Tucker Carlson en particulier. La réponse est de tripler le nombre de sujets woke et de points de discussion démocrates, tout en menant un véritable jihad contre Fox pour “désinformation”.

Il est donc insensé de penser que les médias reviendront à la raison lorsque la réalité de l’audimat leur sautera aux yeux. Ils n’en ont tout simplement rien à faire. Se pourrait-il qu’ils ne se soucient pas tant de l’argent que du pouvoir ? Et pas seulement la proximité du pouvoir politique, mais le pouvoir de façonner et de contrôler la réalité elle-même, de refaire la société selon leurs idées utopiques. Même en supposant que ces idées soient bonnes – et c’est discutable dans le meilleur des cas – ce genre de pouvoir corrompt absolument, pour reprendre l’expression de Lord Acton.

Les médias sont censés être un moyen par lequel le public perçoit collectivement la réalité – et non les créateurs de la réalité elle-même ! Pourtant, ils agissent comme si cette dernière était vraie et voulue. C’est dangereux. Ils se croient maîtres de la réalité, au point qu’il est impossible de les raisonner. Confrontez-les à des faits réels, à des principes ou à des lois de la physique, et ils vous censurent – ou bien ils ricanent et continuent.

Le comportement de Biden commence à avoir du sens lorsque vous comprenez qu’il existe dans un monde imaginaire, entièrement imaginé par la presse et son équipe. Tout comme des milliers d’activistes, d’”ONG” et de consommateurs cultistes de subventions du gouvernement américain dans le monde entier. Comment atteindre ces personnes, qui ont intériorisé la “logique” de Qui/Qui ? C’est peut-être la question la plus importante à laquelle seront confrontés non seulement les États-Unis, mais le monde entier, très bientôt.

Traduction du Ron Paul Institute for Peace & Prosperity par Aube Digitale




Est-ce-que ce monde est sérieux ?

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : Prêt pour le saut dans le vide – Les photovores]

Auteur(s): Michel Rosenzweig pour FranceSoir

Quand tu te fais remonter les bretelles au Carrefour de ton quartier par un garde qui vient te chercher jusqu’à la caisse où tu as déjà commencé à déposer tes achats en t’apostrophant avec une remarque désobligeante et stupide parce que tu n’as pas ton nez correctement recouvert du niqab naso-buccal réglementaire alors que tous les indicateurs épidémiologiques rasent le plancher viral, ta colère éclate publiquement, car trop c’est trop, vraiment, la compliance a ses limites.

Je ne serai résolument et définitivement jamais adapté à cette société hygiéniste profondément malade dans laquelle nous ont projetés une clique de sociopathes bouffés par leur névrose thanatophobique et soumis à un Ordre économique et socio politique élitaire mondialiste et matérialiste sans conscience et sans âme.

Ce port obligatoire du masque est le symbole absolu de cette mascarade sanitaire de laquelle nous ne sortirons pas avant qu’un événement significatif ne fasse trembler ce régime autoritaire et totalitaire qui s’est imposé en un tournemain avec l’approbation et l’assentiment général et malheureusement dans une indifférence massive hallucinante et désespérante pour les êtres encore dotés d’un certain niveau de conscience.

Je sais qu’il se trouve des personnes qui refusent de reconnaître le caractère totalitaire de ce régime au motif qu’il ne remplit pas toutes les cases sociopolitiques classiques décrites par les grands théoriciens du totalitarisme.

Cela reste un débat auquel je demeure ouvert.

Néanmoins, je considère que lorsque nous n’avons plus la liberté de disposer de notre corps ni de notre vie comme nous en avons envie de le faire et en principe aussi le droit de le faire et que l’État s’approprie le droit de décider pour nous comment nous devons nous comporter en sortant de chez nous pour exercer notre liberté et nos droits fondamentaux, c’est que ce régime est devenu totalitaire, puisqu’il décide, contrôle et surveille nos déplacements, nos activités en fonction de mesures sanitaires décidées sans aucune concertation démocratique.

Le totalitarisme globalitaire (globalitarisme) est ce régime de gouvernance par lequel tous les aspects et les domaines de notre vie privée sont investis. Il est totalitaire parce que totalisant, englobant la vie des individus sans que ces derniers n’aient eu le droit ni l’occasion d’en débattre.

Le totalitarisme ne s’exerce pas seulement dans la sphère politique, mais dans les sphères privée et intime, englobant toute la société et tout le territoire, en imposant à tous les citoyens l’adhésion à une idéologie obligatoire (la santé selon le dogme viral et vaccinal), hors de laquelle ils sont considérés comme ennemis de la communauté.

Nous y sommes.

Les caractéristiques habituellement retenues pour définir le totalitarisme sont : d’une part, un monopole idéologique (le logiciel épidémiologique qui est un dogme auquel il faut souscrire), une conception d’une vérité indiscutable (virale, vaccinale, gravité de la pandémie) qui ne supporte aucun doute, ne tolère aucune critique, est imposée à tous et se trouve consolidée par la lutte contre les ennemis du régime (sanitaire) qui sont discrédités et disqualifiés, et d’autre part un pouvoir qui dispose de l’ensemble des moyens de communication de masse utilisés comme des instruments de propagande (formatage et fabrique de l’opinion et du consentement) ainsi que du pouvoir de coercition judiciaire, administratif et policier.
À ce titre, je considère que nous sommes dans les prolégomènes et l’antichambre d’un nouveau totalitarisme qui a déjà installé ses fondements et ses fondations au nom de la santé et d’un hygiénisme forcené que je qualifie de thanatophobique.

Il ne reste plus alors qu’à bâtir l’édifice dont les plans sont déjà établis et dessinés à Davos et dans d’autres instances internationales multilatérales depuis longtemps par une élite qui considère que la démocratie est trop lente et trop lourde, qu’elle est dépassée dans un monde interconnecté en réseaux où la vitesse et le changement sont érigés en fétiches et qu’elle est le produit des inutiles, des incultes, des profanes, des abrutis et des sans dents.

Le nouveau totalitarisme sanitaire numérique s’oppose aux anciens dans sa structure, dans son esthétique, dans ses rituels, dans sa phénoménologie, sa visibilité.

Les anciens (fascismes, nazisme, communisme) étaient incarnés par une figure humaine, un visage, des grimaces, des postures, une personnalité, une tête, visibles et identifiables, des habits, des costumes et des coutumes, des rites de passage, des mimiques, des pratiques et des traditions violentes, tandis que le nouveau est peu visible, confus, opaque, sans tête unique emblématique, multiforme, réticulaire, feutré, souriant, anonyme, insaisissable, affable, ce qui explique pourquoi il est si difficile de le reconnaître et de l’identifier.

L’erreur est, me semble-t-il, de penser le totalitarisme contemporain à l’aune de l’histoire révolue du 20e siècle. La fabrique du consentement autour d’un ennemi faussement désigné comme le fascisme (le “populisme” souverainiste, patriotique) relève d’une imposture historique (le fascisme étant historiquement mort à Berlin en 1945) dont le nouveau totalitarisme se nourrit afin d’avancer masqué au propre comme au figuré au nom de la santé érigée en valeur suprême alors que celle-ci n’est qu’un bien au même titre que la richesse ou la beauté : on n’admire pas, en principe, quelqu’un parce qu’il est en bonne santé.
La manoeuvre totalitaire contemporaine est en outre très perverse, car le rapport à la loi est tordu, celle-ci étant contournée, ignorée, violée.

L’État n’a pas la prérogative de se mêler de la santé individuelle de ses administrés, je l’ai déjà écrit et je l’écris à nouveau aujourd’hui, il s’agit d’un grave abus de pouvoir, l’État (de droit) a le devoir de s’occuper de la santé collective, de gérer les risques, de les prévenir, de soigner, mais la santé publique ne peut se confondre avec la santé individuelle et ce n’est pas à l’État de nous dire comment nous devons vivre et nous soigner, qui nous pouvons fréquenter, où nous pouvons aller ni comment nous devons nous vêtir pour faire nos courses. La santé est un bien individuel, personnel, intime, singulier, la santé publique est une des matières non régaliennes.

La soumission massive et le consentement général à l’autorité sanitaire sont un désastre anthropologique et sociopolitique majeur et historique.
Nous ne sommes pas sortis des ténèbres sanitaires numériques et vestimentaires desquelles je le crains, aucune immunité collective artificielle ne nous sortira.

Notre époque est celle du règne de l’hypnose collective savamment entretenue par l’emprise d’une nouvelle religion politique sanitaire qui se nourrit du vide spirituel et symbolique creusé depuis des décennies par une classe politique et médiatique et par une élite à qui nous avons accordé notre confiance et notre voix trop facilement.

Auteur(s): Michel Rosenzweig pour FranceSoir




La gifle et les habits trop grands du Président de la République pour Emmanuel Macron le petit

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

Vers 13h30, Emmanuel Macron a reçu une gifle de la part d’un jeune quidam chevelu qui a poussé le cri de « Montjoie ! Saint-Denis ! » lors d’une rencontre avec des Français ordinaires qui l’attendaient à Tain-l’Hermitage, village bien connu pour ses vignobles. C’est évidemment un geste scandaleux. Mais on ne peut s’empêcher d’y voir un abaissement global du statut de Président de la République, commencé avec le « Casse-toi pov’con » de Nicolas Sarkozy, poursuivi fidèlement avec le Président normal qui lui succéda, et désormais achevé par quatre années de macronisme ponctuées par des passages chez des Youtubeurs et autres amuseurs publics. Ou comment les habits de Président de la République sont devenus trop grands pour une caste méprisante mais sans véritable épaisseur.

La gifle (relativement théâtrale, au point que l’Elysée a parlé d’intention de gifler plus que de gifle) devrait rester dans les mémoires, à l’égal du « Casse-toi pov’con » qui a collé à Sarkozy durant son quinquennat. Elle exprime en apparence quelque chose de très différent du « Casse-toi pov’con », où les Français hallucinés découvraient que leur Président de la République pouvait se comporter dans la rue comme n’importe quel Français ordinaire. En réalité, elle en est une proche cousine, car, si le Président apparaît ici comme une victime là où Nicolas Sarkozy apparaissait comme un agresseur, les deux images illustrent deux versants de la désacralisation progressive de la fonction présidentielle.

Cette désacralisation n’est pas un phénomène propre à Emmanuel Macron. Elle a commencé bien avant lui, notamment avec Nicolas Sarkozy. Mais elle s’est poursuivie sans relâche jusqu’à ces images lunaires, et peut-être même martiennes, où les Français se sont interrogés (sans parfois oser le formuler) sur la nature du pouvoir qui s’exerçait dans leur pays :

Peu de Français pouvaient imaginer que leur Président se livreraient un jour en chemise à des attouchements avec deux jeunes hommes arborant les codes de communication de la racaille. Ce jour-là, l’exercice du pouvoir a franchi un cap, qu’Emmanuel Macron n’a pas renié depuis : il a multiplié les images de ce genre.

Par exemple, celle-ci, prise à l’Elysée :

Tout au long de ses quatre ans au pouvoir, Emmanuel Macron a multiplié les signaux envoyés sur son attirance pour les univers où le pouvoir est désacralisé. On notera, dans les derniers événements marquants en date, le temps qu’il a passé avec des youtubeurs

Macron et la désacralisation de la fonction présidentielle

Loué à ses débuts pour sa capacité à « endosser le costume de Président » par opposition à François Hollande, force est de constater qu’Emmanuel Macron a en réalité désacralisé la fonction présidentielle dans des proportions jamais connues avant lui. Chronologiquement, il est intéressant de noter que l’affaire Benalla a joué un véritable rôle de catalyseur dans cette fuite en avant. Tout le monde se souvient notamment de la petite phrase du « Qu’ils viennent me chercher s’ils ne sont pas contents », qui a préfiguré une visite au Puy-en-Velay, en pleine crise des Gilets Jaunes, particulièrement mouvementée. Ce soir-là, Emmanuel Macron avait failli être extrait manu militari de sa voiture par des manifestants en colère.  Jamais le pouvoir n’avait connu un tel passage en vide, en France. Les routes étaient bloquées par des manifestants en colère, et le Président semblait incapable de leur adresser la parole. Ce mutisme est probablement l’une des manifestations les plus saisissantes de la désacralisation présidentielle : soudain, celui qui est chargé d’incarner la nation a fait sécession et n’a plus adressé la parole au corps social.  

Le corps de la nation martyrisé

Que le Président ne soit pas seulement une personne physique, mais l’incarnation de la nation tout entière, qu’à ce titre toute offense faite à sa personne soit une offense faite au peuple, telle est l’idée la plus importante que la République ait conservé de l’Ancien Régime. Il existe, dans la crédibilité présidentielle, une sublimation individuelle, un dépassement de la personne humaine, et un accès à une forme d’incarnation mystique du groupe, sur laquelle Emmanuel Macron ne sermble guère à l’aise. 

Sa manie de se déguiser, par exemple, soulève des questions sur la capacité du personnage à prendre sa fonction au sérieux. Tous ceux qui ont vu Macron grimé en pilote de chasse, se sont demandés si leur Président n’était plus occupé à réaliser un rêve d’enfant qu’à gouverner le pays. L’exercice de la fonction présidentielle suppose une rupture de la personnalité, par laquelle l’élu renonce à ce qu’il était et devient la nation elle-même. 

« Le Roi est mort ! Vive le Roi ! » criait-on sous l’Ancien Régime pour manifester cet abandon de soi et cette forme de transsubstantiation propre à la fonction monarchique. Si cette métamorphose n’a pas lieu, un hiatus apparaît entre la nation et son dirigeant, en qui elle ne se reconnaît. 

On peut penser que le malheur français aujourd’hui tient à cette distance entre l’image attendue d’un Président et sa réalité. Il y aurait ici long à dire sur les astuces et les ruses que l’Ancien Régime utilisait pour donner vie à cette métamorphose (notamment le recours à l’onction du Prince), dont la République s’est privée. 

En attendant, un constat s’impose : les Présidents qui se succèdent peinent de plus en plus à endosser les habits qu’on leur donne lors de leur investiture.

La gifle, symbole d’une rupture criante

On est encore loin de tout savoir sur l’incident de la gifle opportunément tourné par une caméra bien placée qui a inondé les medias dans l’heure qui a suivi. Pour l’instant, la version officielle parle d’un royaliste d’extrême droite. Pourquoi pas…

Dans tous les cas, rien ne peut justifier une atteinte physique aux personnes. Et c’est tout particulièrement vrai du Président de la République qui incarne, nous l’avons dit, le corps social dans son entier. 

Reste que le spectacle d’un Président de la République giflé lors d’un « tour de France » par un quidam donne l’image d’un pouvoir présidentiel méprisé et contesté dans ses racines et dans sa dimension collective. Elle ponctue un cycle de quatre ans où beaucoup de Français ont eu le sentiment que leur Président jouait avec le feu en abaissant sa fonction lorsqu’il la confondait avec celle d’amuseur public. 

Le drame français tient au fait qu’Emmanuel Macron ne semble guère challengé par des rivaux capables de faire mieux que lui en termes d’incarnation de la fonction. C’est à la fois un drame et une chance, car c’est aussi l’occasion rare de rebâtir un système nouveau. 




Bobards Lives Matter, Golden Bobards et Bobid-19. Votez pour les Bobards d’or 2021 !

[Source : breizh-info.com]

La XIIe cérémonie des Bobards d’Or aura lieu lundi 14 juin à 19 heures au théâtre du Gymnase, 38, boulevard de Bonne-Nouvelle, 75010 Paris. Pour consulter les 15 Bobards présélectionnés : https://bobards-dor.fr/bobards-dor/bobards-dor-2021/

Pour sélectionner en ligne les 9 Bobards qui seront départagés par le public du Théâtre du Gymnase : https://polemia1.typeform.com/to/sqrofcyS

Pour s’inscrire à la cérémonie : https://www.weezevent.com/les-bobards-d-or-2021

Avec les catégories Bobards Lives Matter, Golden Bobards et Bobid-19, ce sera un peu la nuit américaine le lundi 14 juin au Théâtre du Gymnase !

Comme chaque année de grands noms sont en compétition.

L’usine à bobards, l’AFP – pour Agence France Presque ou Agence Française de Propagande -, qui « lave plus blanc que blanc » en dénonçant « un tireur blanc » comme auteur d’une tuerie aux États-Unis commise par un… musulman syrien !

France 2 et TF1 qui n’ont pas hésité à ouvrir leurs journaux télévisés par une étude totalement bidonnée sur l’ hydroxychloroquine. C’est le Bobard Lancet.

Quant au Monde, il tient la corde pour le Bobard de laboratoire pour avoir savamment expliqué que la thèse d’une sortie du coronavirus du laboratoire de Wuhan était « complotiste » : une thèse pourtant considérée aujourd’hui comme la plus probable par de très nombreux scientifiques.
Alors, un pangolin d’honneur pour le Monde ?

À moins que Michel Cymes ne rafle un prix bien mérité pour son Retournement de blouse blanche magistral ?

Pour le Bobard capital au Capitole, toute la presse est dans la course après avoir fortement dénoncé les cinq morts de « l’attaque meurtrière » ! En fait, aucun garde ou policier n’a trouvé la mort en rapport avec l’événement. La seule vraie et unique victime a été une manifestante abattue à bout portant par un garde !

Les différentes contraintes gouvernementales ne nous empêcheront pas de dénoncer ces journalistes qui mentent au nom du politiquement correct !

Rendez-vous lundi 14 juin, qui permettra de départager les meilleurs bobards sélectionnés par les internautes sur www.bobards-dor.fr

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021,
dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine


[Source : Les Bobards d’Or (bobards-dor.fr)]

BOBARDS LIVES MATTER

BOBARD PLUS BLANC QUE BLANC

Bobard plus blanc que blanc

Pour l’AFP, l’auteur d’une fusillade aux États-Unis était « un homme blanc ». En réalité, il s’agissait d’un migrant syrien musulman.

BOB’HARPON

Bob’Harpon

Pour le journal « L’Humanité », le terroriste Mickaël Harpon fait partie des… victimes des violences policières !

TOUT VA TRÈS BIEN, MADAME LA MARQUISE !

Tout va très bien, madame la marquise !

Les émeutes Black Live Matter ont été très violentes mais plusieurs journalistes américains ont tout fait pour minimiser ces violences.

BOB’ARMES À FEU

Bob’armes à feu

Lors d’une manifestation Black Lives Matter dans une ville du Missouri, des manifestants sont entrés illégalement sur une propriété privée.

BOBARD SYSTÉMIQUE

Bobard systémique

Après la mort de George Floyd, la quasi-totalité des médias français a dénoncé le racisme systémique de la police américaine.

GOLDEN BOBARDS

UNE INFORMATION QUI CLOCHE

Une information qui cloche

De nombreux médias américains avaient affirmé que la victoire de Joe Biden avait été saluée dans notre pays par… des volées de cloches !

BOBARD COMPLOT

Bobard Complot

Le magazine « Time » a dévoilé le plan de certaines élites contre Donald Trump. Une manipulation électorale massive et bien réelle.

MACHINE À BOBARDER

Machine à bobarder

Les accusations du clan Trump sur les machines à voter ont amené CNN à produire un « fact-checking »… qui a confirmé les accusations !

BOBARD CAPITAL AU CAPITOLE

Bobard capital au Capitole

Contrairement aux bobards médiatiques, il y a eu un seul décès lors de l’envahissement du Capitole, celui d’une manifestante pro-Trump.

BOBARD HUNTER BIDEN

Bobard Hunter Biden

Quand Trump attaquait le fils de Joe Biden, les médias français ironisaient. Hunter Biden est finalement mis en examen… après l’élection.

BOBID-19

BOBARD LANCET

Bobard Lancet

En 2020, une étude démontrant la dangerosité de la chloroquine était publiée dans « The Lancet ». Mais elle était totalement bidonnée !

RETOURNEMENT DE BLOUSE BLANCHE

Retournement de blouse blanche

Sur le Covid-19, Michel Cymes a procédé à de spectaculaires retournements de blouse blanche… toujours dans le sens du vent gouvernemental !

BOBARD MASQUÉ

Bobard masqué

Les journalistes ont assuré pendant longtemps que le port du masque était inutile et n’ont pas lésiné sur les moyens pour nous en convaincre.

BOBARD DE LABORATOIRE

Bobard de laboratoire

Pendant des semaines, les médias ont répété que l’hypothèse d’un virus sorti du laboratoire de Wuhan était « complotiste ». Et finalement…

BOBARD PASCAL

Bobard Pascal

Le 12 avril 2020, Le Point annonçait triomphalement une messe clandestine. Sauf que la messe était autorisée et que l’église était vide.




Le Parlement européen, une mascarade de démocratie – par John Laughlan

[Source : RT en français]

[Illustration : © Frederick Florin/Pool via REUTERS
Le Parlement européen de Strasbourg, avant une séance]

Quand le Parlement européen vote une résolution antirusse, les médias russes s’affairent. Mais selon l’universitaire John Laughland, ils devraient plutôt faire comme les citoyens européens et ne prêter aucune attention à cette assemblée inutile.


Par John Laughland(([1] John Laughland est un universitaire britannique spécialisé en géopolitique et philosophie politique. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages traduits en sept langues. ))

Dans un monde qui change, certaines choses demeurent. Cette semaine, comme des dizaines de fois pendant les années récentes, le Parlement européen votera une énième résolution contre la Russie. Véritable fabrique de textes russophobes, le Parlement européen consacre un temps disproportionné à la condamnation obsessionnelle de son grand voisin.

Parfois ces résolutions créent des remous en Russie, comme par exemple quand le Parlement a voté une résolution demandant un changement de régime en Russie ainsi que des moyens financiers pour le provoquer. Cette semaine, c’est la réglementation russe sur les ONG étrangères qui est visée. La fois dernière, c’était Navalny. Et ainsi de suite.

Lire aussi Un projet de rapport du Parlement européen plaide pour un changement de régime en Russie A la différence de la Russie, par contre, ces résolutions passent totalement inaperçues en Europe même, alors que le Parlement européen est censé incarner la volonté démocratique des Européens. Il n’est en réalité qu’une parlotte, détachée des vrais soucis des citoyens, d’où le souverain dédain avec lequel ceux-ci le traitent.

Le Parlement européen est l’organe le moins puissant de l’UE : moins puissant que la Commission, le Conseil et la Cour de justice. Il ne remplit aucune des fonctions d’un vrai parlement, celui de soutenir un gouvernement au pouvoir tout en le soumettant au contrôle démocratique. Sa vraie fonction est ailleurs : il est censé donner une façade démocratique à une Union européenne qui est fondamentalement autoritaire et bureaucratique.

Son impuissance explique son intérêt disproportionné pour les affaires étrangères. Incapable de peser sur les vraies décisions prises au niveau européen, il entreprend une activité de substitution en votant, à chaque plénière, des textes sur d’autres pays du monde sur lesquels il a encore moins de pouvoir qu’en Europe, voire aucun. Cette semaine c’est l’Afghanistan, Cuba, le Sri Lanka, le Maroc, la Biélorussie et, bien sûr, la Russie qui seront condamnés. Les Nations unies et les Etats-Unis feront aussi l’objet de débats et de votes. Mais toutes ces résolutions et condamnations sont parfaitement futiles, ne servant qu’à renforcer un sentiment de supériorité morale chez ceux qui les votent.

Son impuissance intrinsèque fait qu’en réalité le Parlement européen ressemble à une grande ONG couveuse des idées les plus marginales et immatures, ou encore à un syndicat d’étudiants où on vote des résolutions condamnant tel ou tel pays avant d’aller prendre un verre.

Ce problème fondamental est aggravé dans le cas russe par le fait que tous les dossiers qui concernent la Russie ont été détournés par les eurodéputés polonais et baltes. On ne trouve jamais une résolution sur la Russie rédigée ou proposée par un Allemand ou un Français, bien que ces pays aient leur propre vision des rapports euro-russes qui est différente de celle des Polonais et Baltes monomaniaques. Dans le monde réel, ce sont les grandes puissances qui prennent les décisions, Paris et Berlin en premier lieu. On a l’impression que ces deux pays laissent les dossiers russes du Parlement européen, qui n’ont aucune incidence sur le monde réel, aux députés des anciens pays soviétiques simplement pour leur faire plaisir : ils peuvent ainsi se distraire en continuant à jouer aux jeux de leur enfance.

La résolution du mois dernier qui appelait à un changement de régime en Russie illustre bien ce problème. Elle a été rédigée par un ancien premier ministre lituanien, Andris Kubilius, qui consacre la totalité de son activité parlementaire au combat contre l’Etat successeur de l’URSS que son pays a quitté voici plus de 30 ans. Jamais Kubilius n’intervient sur son propre pays ou sa propre région. Adoubé par le Parlement l’an dernier comme son principal responsable de la question russe, il est comme un robot qui continue à effectuer les fonctions pour lesquelles il a été programmé, bien longtemps après qu’elles ne soient devenues inutiles. Il est la preuve vivante que le Parlement européen sert souvent de maison de retraite des hommes politiques d’hier.

Lire aussi Poutine appelle l’UE à reprendre une «coopération pragmatique et respectueuse» avec la Russie Le caractère illusoire d’une grande partie de l’activité du Parlement européen est bien mis en exergue par la résolution de Kublius, qui sera votée en commission en juillet et en plénière plus tard cette année. Dans son texte, Kubilius exhorte le Parlement européen à ne pas reconnaître les résultats des élections législatives russes qui auront lieu en septembre si celui-ci considère qu’elles ne sont pas démocratiques. Je prends rendez-vous avec vous, chers lecteurs, pour confirmer que cette non-reconnaissance aura bien lieu si Russie Unie, majoritaire, gagne cet automne.

Mais le plus ridicule ne se trouve pas dans la triste inévitabilité de cette affaire. Il se trouve dans le fait que la reconnaissance ou non-reconnaissance n’a strictement aucune importance. Ressortissant balte, monsieur Kubilius sait parfaitement que la non-reconnaissance par les puissances occidentales de l’annexion des pays baltes par l’URSS après la Seconde Guerre mondiale n’a eu absolument aucun effet sur la réalité de cette annexion, pas plus d’ailleurs que les décisions du même Parlement européen de reconnaître Juan Guaido comme président du Venezuela en 2019, ou de ne pas reconnaître Alexandre Loukachenko comme président biélorusse l’an dernier.

Plus le Parlement européen est délié de toute attache aux vrais soucis des électeurs, plus il flotte au-dessus de leurs problèmes pour se perdre dans un monde virtuel et imaginé. Là où un gouvernement national doit peser le pour et le contre – par exemple sur la question du gazoduc Nord Stream 2 dont la construction aura des conséquences concrètes sur la vie des citoyens, et notamment celles des factures de chauffage moins chères – le Parlement européen, lui, habite un monde rêvé. Il milite avec acharnement contre ce gazoduc, alors même que le gouvernement américain semble sur le point d’abandonner son opposition à celui-ci. Si le gazoduc est terminé, comme cela semble maintenant probable, il livrera du gaz aux Européens alors que leur parlement ne leur donne que du vent.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/opinions/87558-parlement-europeen-mascarade-democratie-john-laughland





Le guérisseur du désert – Un homme a passé deux décennies à créer une oasis verte au milieu d’un désert froid

[Source : anguillesousroche.com]

Anand Dhawaj Negi, un bureaucrate à la retraite devenu agriculteur du désert, a passé plus de deux décennies de sa vie à transformer le désert froid de l’Himachal Pradesh, dans le nord de l’Inde, en une oasis vivante.

En 1977, le gouvernement indien a lancé un ambitieux programme visant à atténuer les effets néfastes de la désertification dans les déserts froids et chauds de ce pays asiatique. A. D. Negi travaillait dans le département financier en charge du programme de développement des déserts et a vu des millions de dollars partir à la poubelle sans résultats concrets.

Chaque fois qu’il demandait aux scientifiques et aux fonctionnaires impliqués dans le programme pourquoi il n’y avait pas de réel progrès, la réponse était toujours qu’ils n’avaient pas la technologie nécessaire pour développer un type de culture durable dans l’environnement inhospitalier qu’est le désert. Fils d’agriculteur lui-même, Negi en a eu assez des excuses et a pris un congé en 1999 pour tenter sa chance. En 2003, il s’était déjà retiré définitivement de son travail pour concentrer toute son énergie sur son oasis de désert en pleine croissance.

Originaire du village de Sunam dans le Kinnaur, M. Negi a décidé de transformer une parcelle de terre stérile dans le désert froid de l’Himachal Pradesh en une oasis verte, juste pour montrer à tous, et en particulier aux agriculteurs en difficulté de la région, que c’était possible. Ce n’était pas la chose la plus facile à faire au monde, mais l’ancien bureaucrate savait dans quoi il s’engageait et avait l’ambition et la patience nécessaires pour aller jusqu’au bout.

A. D. Negi a échoué dans ses premières tentatives, car les graines qu’il a plantées n’avaient pas assez d’eau, ce qui a constitué son premier défi. Il a utilisé la plantation en courbes de niveau, c’est-à-dire le labourage d’un terrain en pente selon une élévation constante, afin de conserver l’eau de pluie et de réduire l’érosion du sol, et a travaillé avec les communautés locales pour créer des canaux d’irrigation peu profonds qui détournent les cours d’eau des glaciers situés à environ 25 kilomètres. Après avoir été témoin de ses progrès, le département régional de l’irrigation a également commencé à coopérer.

« Le département de l’irrigation fournit de l’eau ici. Auparavant, il ne mettait pas d’eau à disposition avant le mois de juin. J’y ai travaillé et j’ai complété leurs efforts. J’ai également travaillé sur les Kuhls, de sorte que nous avons réussi à obtenir un approvisionnement en eau au cours des mois d’avril et de mai. Une fois que nous avons rendu cela possible, le département de l’irrigation a également coopéré et a assuré un approvisionnement régulier en eau ici », a déclaré Negi à Down to Earth.

Mais l’eau n’était qu’un des défis posés par le froid des déserts. Le sol sablonneux manquait de nutriments pour soutenir les cultures que Negi voulait planter. Il a donc créé un élevage d’environ 300 chèvres Chigu et mélangé leur fumier avec des vers de terre pour doubler efficacement la teneur en azote de la terre. Cette teneur a été renforcée par les hectares de trèfle qu’il a plantés autour de l’oasis, qui se décomposent régulièrement à mesure que de nouvelles plantes prennent leur place.



Le tampon de trèfle a également réglé le problème du lièvre auquel Negi était confronté au départ. Les rongeurs venaient se régaler des plantes savoureuses, aussi l’agriculteur a-t-il planté du trèfle de la famille des pois légumineux autour des cultures plus précieuses. Comme les lièvres aiment les trèfles, ils ne s’occupent pas des autres plantes.

Lorsqu’il a commencé à travailler dans l’Himachal Pradesh, A. D. Negi a dépensé tout son argent pour tester différentes combinaisons de techniques agricoles locales avec des méthodes de culture plus scientifiques. C’était un processus laborieux, mais avec le temps, le taux de mortalité des plantes est passé d’environ 85% à 1%.

Après avoir prouvé qu’il était possible de cultiver des plantes de valeur comme les haricots rouges, les pommes de terre, les pois verts, les pommes et les abricots, même dans le dur environnement désertique, l’ancien bureaucrate a commencé à s’intéresser aux arbres, qu’il considérait comme essentiels pour lutter contre le changement climatique dans la région.



« Ma première priorité ici est le reboisement », a déclaré le guérisseur du désert. « Les robiniers sont les plus nombreux. Ils sont suivis par les saules et les abricotiers sauvages. En ce qui concerne les arbres fruitiers et les autres cultures, notamment les pois verts, je les cultive uniquement à des fins de démonstration afin que les gens puissent les reproduire. »

Avec l’aide de seulement deux volontaires, Anand Dhawaj Negi a réussi à transformer une parcelle de plus de 90 hectares de désert froid en une oasis verte qui a attiré les louanges des habitants et des scientifiques. Les gens viennent de loin pour assister à ce miracle de la vie réelle, certains viennent acheter l’engrais naturel de Negi pour faire pousser leurs propres cultures, et d’autres amènent leur bétail pour brouter son trèfle, car il est considéré comme le meilleur fourrage de la région.

Malheureusement, Anand Dhawaj Negi, le guérisseur du désert, est décédé le mois dernier, à l’âge de 74 ans, des suites d’une attaque cérébrale. Il restera dans les mémoires comme un héros local et son oasis de verdure sera, nous l’espérons, préservée pour rappeler que rien n’est impossible. La famille de Negi prévoit de poursuivre son travail, mais a demandé au gouvernement d’assumer la responsabilité de l’oasis et de contribuer à sa préservation.https://www.youtube.com/embed/-foEwcAu_zw

« Avant de nous faire ses adieux, il avait l’intention de planter quelques arbres à feuilles persistantes ou conifères comme le pin et le déodar », a déclaré Virender Sappa Negi à The Better India« Maintenant, en tant que famille, nous voulons réaliser ses dernières volontés. De plus, nous voulons que le gouvernement de l’État prenne la responsabilité de sa forêt afin que son travail puisse inspirer les générations futures. »

Anand Dhawaj Negi rejoint d’autres légendes indiennes qui ont consacré leur vie à la reforestation, comme l’homme-arbre d’Uttarakhan, ou Aditya et Poonam Singh.

Lire aussi : Pourquoi Jadav Payeng, l’homme qui a planté une forêt entière tout seul, n’est pas médiatisé comme Greta Thunberg ?

Source : Oddity Central – Traduit par Anguille sous roche




« Tous les jours j’entends à la télé que vous, “journalistes” ou politiciens, ne savez plus quoi faire de nous… les “réticents au vaccin”. »

Par Alain Tortosa

Tous les jours j’entends à la télé que vous, « journalistes » ou politiciens, ne savez plus quoi faire de nous… les « réticents au vaccin ».

Savez-vous que, au mieux, vous perdez votre temps ?

Et oui, pas un jour sans que vous, les porte-parole du gouvernement, BFM et autres France-Info ou LCI ne se posent cette question qui vous semble primordiale et centrale…

« Que faire de celles et ceux qui sont réticents aux vaccins ? »

Permettez-moi d’abord de rétablir une petite vérité…

Ce n’est pas que je sois « réticent » aux thérapies vaccinales expérimentales contre le Covid, mais disons plutôt que :

  • J’y suis viscéralement opposé me concernant !
  • Je suis prêt à perdre mon travail ou ma liberté de déplacement pour y échapper !
  • Il faudrait me passer sur le corps (ou me menacer d’une arme et être beaucoup plus rapide que moi) si vous vouliez « vacciner » mes enfants de force !

Je ne suis pas contre le port du masque, contre les confinements ou contre les vaccins, ne vous en déplaise, mais je suis contre l’obscurantisme, la fausse science et surtout contre l’obligation !

Mais ceci dit, je suis bon prince et disposé à vous aider en fonction de mes possibilités…

Il y a pourtant une chose que je ne comprends pas bien…

Vous avez tellement menti, terrorisé et manipulé les honnêtes gens qu’une majorité écrasante de Français (et peut-être vous-mêmes, ex-journalistes) ont fini par croire à vos mensonges.

Les terrorisés (et les moutons manipulés qui ne veulent pas savoir) :

  • Croient que le Covid est plus dangereux que les maladies respiratoires habituelles.
  • Croient que le masque porté par une population en bonne santé protège.
  • Croient que les confinements des personnes en bonne santé sont efficaces.
  • Croient qu’il n’y a pas de traitements efficaces contre le Covid.
  • Croient que ces thérapies vaccinales expérimentales sont efficaces et sans danger.
  • Croient que l’on peut éradiquer un coronavirus par une immunité vaccinale de groupe.
  • Croient que le « vaccin » et le passeport sont l’unique voie vers la liberté.

Ils pourraient même finir par croire que l’industrie pharmaceutique est bonne pour les humains ou que vous, ex-journalistes, n’êtes pas endormis, narcissiques, aveugles ou corrompus…

Vous avez d’autant plus la preuve de l’efficacité de vos manipulations que deux tiers des Français étaient contre la vaccination il y a quelques mois avant la campagne de propagande.

Le revirement est totalement extraordinaire et inespéré pour votre dictature sanitaire !

  • Les plus de 60 ans sont vaccinés à plus de 70 % et ils atteindront allégrement les 80 % voire 90 % de leur tranche d’âge lorsque l’on analyse les courbes actuelles d’évolution.
  • La vaccination chez les personnes jeunes et en bonne santé explose au point que les 18-24 ans sont déjà 25 % à être vaccinés contre une maladie qui ne les concerne PAS.
  • La vaccination criminelle des enfants sera probablement une réussite si vous arrivez à cacher suffisamment de décès… Je rappelle qu’il y a eu 0 mort du Covid chez les moins de 15 ans en bonne santé !

Alors qu’est-ce que vous en avez à faire de nous les « réticents » ?

Pourquoi ? Oui, pourquoi ?

Dites-moi, pourquoi focalisez-vous l’attention du public sur nous alors même que des millions de Français veulent se vacciner et qu’ils n’ont pas encore pu le faire ???

Comprenez bien que je ne demande qu’à vous aider, mais il faudrait d’abord m’expliquer…

Cherchez-vous juste à attiser la haine, à nous pousser les uns contre les autres ?

Aimeriez-vous qu’un non-vacciné soit pendu par la foule dans un bus en Prime Time ?

Voulez-vous une guerre civile ?

Parce que là où votre entreprise machiavélique est proche du génie c’est que vous avez réussi non seulement à faire croire que ces thérapies expérimentales sont inoffensives, mais aussi…

  • Efficaces alors qu’elles n’empêchent pas de tomber malade.
  • Solidaires alors qu’elles n’empêchent pas la propagation du virus.

Sans parler :

  • Des variants mathématiquement et logiquement favorisés par la vaccination.
  • Du risque d’anticorps facilitants et de formes beaucoup plus graves pour les vaccinés.
  • Des effets à long terme totalement inconnus pour des thérapies expérimentales jamais utilisées à grande échelle sur des personnes jeunes et en bonne santé.

Vous avez réussi à fabriquer :

  • « Le vacciné qui a peur d’être contaminé par un non-vacciné. »
  • « Le vacciné qui doit porter un masque pour protéger les autres (vaccinés). »
  • « Le vacciné qui doit respecter les gestes barrières pour protéger les autres (vaccinés). »

Vaccinés qui sont globalement très contents, satisfaits et rassurés (s’ils n’ont pas d’effets secondaires graves ) de leur « vaccination » même si elle ne leur apporte actuellement aucune liberté.

Vous avez inventé le « vaccin indispensable et solidaire » qui lui seul nous permettra d’en sortir, mais qui… ne protège pas.

Avez-vous si peur que nous puissions « pervertir » le peuple et le rallier à notre juste cause ?

Honnêtement pour l’instant on peut dire que vous nous avez battus à plate couture.

Les vaccinés n’ont strictement aucun questionnement et n’émettent aucune critique…

Si vous avez réussi, vous-mêmes, à croire au « Saint Vaccin contre le Covid », je comprends que vous soyez perturbés par notre existence et que vous communiquiez sans cesse sur vos antennes.

Il se trouve que les autorités vaccinales que vous avez crues et qui annonçaient qu’il faudrait atteindre une immunité de masse de l’ordre de 70 % ont révisé leur propagande mensongère.

Ils étaient obligés de le faire du fait de l’explosion de cas et de décès dans certains pays, jusqu’à présent épargnés par l’épidémie, qui ont eu massivement recours à la « vaccination ».

Ne pouvant avouer l’inefficacité de la vaccination, le leurre d’une immunité acquise contre un virus qui mute naturellement et donc que la vaccination amplifie les mutations, il devient indispensable d’accroître le mensonge et affirmer qu’il faudra peut être 80 % ou 90 % de la population vaccinée pour se débarrasser du virus…

Pour chaque mutation, chaque nouvelle « vague » vous serez bien obligés d’accuser les non-vaccinés et vendre de la 3e ou 4e dose de « poison »…

Il devient relativement logique (« biaisée ») que vous pensiez qu’il faille vacciner 100 % de la population mondiale, car une seule personne non vaccinée pourrait mettre en péril votre merveilleux édifice… construit sur des sables mouvants nauséabonds.

Pour être plus précis, cette personne non vaccinée serait désignée comme étant LA coupable étant donné que « les vaccins fonctionnent ».

Au-delà du fait qu’il faut vraiment être totalement stupide pour imaginer vacciner la population mondiale (vacciner les pays riches peut s’entendre, mais les pauvres est simplement impossible).

Vous avez gagné la bataille de la manipulation et vous pourriez naïvement croire que vous pourriez nous ramener dans « le droit chemin » et nous sortir de notre « folie ».

N’avez-vous pas compris que la route qui mène à la vérité scientifique, à l’esprit critique et à la réflexion n’est pas à double sens ?

Autant nous pouvons sauver encore des personnes, mais vous ne réussirez pas à ramener, ne serait-ce qu’une seule personne comme moi, dans votre obscurantisme mortifère et criminel !

Vous perdez votre temps à l’espérer alors acceptez avec humilité cette défaite !

Alors, même si l’hypothèse est stupide, car impossible, seriez-vous rassuré si vous arriviez à tous nous injecter en France ou en Europe ?

Savez-vous qu’environ 25 % des personnes qui attrapent le Covid seraient vaccinées ?

Savez-vous qu’un vacciné peut aussi vous contaminer ?

Faites-vous semblant de l’ignorer alors que vous savez que c’est vrai, sinon vous seriez en sécurité et vous auriez enlevé votre masque ?

Le seul fait que vous ayez peur de moi prouve que vous ne croyez pas en votre bouillie expérimentale.

Si d’aventure vous arriviez à me vacciner de force lors d’une rafle de vos amis de la milice, vous n’arriveriez pas à vous débarrasser de ce virus simplement parce que… vous n’avez pas de vaccin !

Quel dommage !

Je dois vous avouer humblement que mon raisonnement a ses limites…

Car pour m’entendre vous seriez obligés de vous questionner sur vos certitudes contradictoires…

Seule la foi vous guide et vous apporte de la sérénité et la foi ne se démontre pas.

Vous voulez croire, mais le problème est que votre dieu est un faux dieu qui vise au mieux à se faire des milliards de dollars de bénéfice ou nous transformer en esclaves.

Alors s’il vous plaît, arrêtez de croire que vous pourrez nous « convaincre », partez d’un principe de réalité qu’il va falloir faire avec nous, un « nous » qui ne peut qu’augmenter.

Merci

Alain Tortosa.

Le 6 juin 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210606-pourquoi-tant-de-haine.pdf




La synagogue de Satan

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

[Notes de Georges Gourdin :
Prenez le temps de lire cet article lumineux — et très rigoureusement documenté — de Mazetto qui vous apporte les clés pour comprendre la façon dont va le monde aujourd’hui.
Notre illustration à la une : Le Sabbat des sorcières, tableau de Goya (1798) qui nous dépeint un rituel de sorcellerie, dirigé par un Grand bouc, l’une des formes prises par le diable, qui officie lors d’un rituel de sacrifices d’enfants. Ce tableau avait été retenu par Juan Branco pour illustrer son site internet.]

[Ndlr : Mazetto évoque ici une secte particulière qui n’a rien à voir avec les synagogues en général.]

par Mazetto, le 3 juin 2021

Je connais ta tribulation et ta pauvreté bien que tu sois riche, et les calomnies de la part de ceux qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de Satan.

Apocalypse 2–9

Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. 

Apocalypse 13–17

Le Messie de 1666

C’est dans sa ville natale de Smyrne, qu’en décembre 1665, Sabbataï Tsevi se proclama « l’oint du Dieu de Jacob, rédempteur d’Israël », et fixa la date de la rédemption au 15e jour de Sivan 5426, correspondant au 18 (6+6+6) du 6e mois de 1666.(([1] Encyclopaedia Judaica, Second Edition, Volume 18 )) Le nombre de la bête marquera le plus important mouvement messianique du judaïsme depuis la destruction du second temple.

Sabbataï Tsevi naquit en 1626 et, dès l’âge de 18 ans, était déjà considéré par ses maîtres comme un grand kabbaliste. Il fut l’inspirateur de la secte turque des Sabbatéens ou Dönmeh(([2] https://en.wikipedia.org/wiki/D%C3%B6nmeh )) et provoqua, au sein du judaïsme, un schisme profond, qui s’accentua, un siècle plus tard, avec Jacob Frank.(([3] https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacob_Frank )) Celui-ci se déclara comme son successeur et il propagea en Europe la doctrine sabbatéenne, qui devint le sabbatéo-frankisme, ou le frankisme.

Sabbataï Tsevi, Jacob Frank et leurs adeptes se distingueront par leur rejet de toute loi morale ou religieuse,(([4] « Jakob Frank a résumé sa doctrine dans son livre « Les paroles du Seigneur », affirmant que le Dieu créateur n’était pas le même que celui qui s’était révélé aux Israéliens. Pour lui, Dieu est mauvais. Frank se proclame comme le véritable Messie. Il jure de ne pas dire la vérité, rejette toute loi morale et déclare que la seule voie vers une nouvelle société passe par la destruction totale de la civilisation actuelle. Le meurtre, le viol, l’inceste et la consommation de sang sont des actes parfaitement acceptables et des rituels nécessaires. » (([Jüri Lina, Sous le Signe du Scorpion, p. 22] )) en plus d’une apparente flexibilité religieuse. Tout en restant des kabbalistes dans l’âme, ils prétendront être des juifs respectueux de la Torah, ou se convertiront, les uns à l’islam, les autres au catholicisme, qu’ils subvertiront de l’intérieur. Pour les sabbatéo-frankistes la vrai foi ne peut être celle qu’on professe, elle doit rester cachée. Nous avons ici les fondements du mensonge et de l’inversion qui caractérisent les agissements de cette secte, qui subit dans son histoire l’excommunication de la communauté juive, mais réussit à reprendre l’ascendant sur celle-ci à partir de Weishaupt, en tant que sorte d’État profond du judaïsme, jusqu’à en prendre le contrôle total, comme c’est le cas aujourd’hui.

La kabbale lourianique

L’avènement de Sabbataï Tsevi ne peut être dissocié de l’influence considérable, qu’eurent sur le monde juif, les concepts théologiques de la kabbale lourianique (Isaac Louria, 1534–1572):(([5] https://wikimonde.com/article/Kabbale_lourianique ))

« Les spéculations mystiques lourianiques sur la nature de la rédemption et du « monde restauré » (olam ha-tikkun) qui devait suivre, ajoutèrent de nouveaux contenus et de nouvelles dimensions au mythe populaire messianique d’un héros national conquérant, l’élevant au niveau d’un drame cosmique suprême : le processus rédempteur n’est plus conçu comme une simple réalisation de l’émancipation temporelle d’Israël du joug des Gentils, mais comme une transformation fondamentale de la Création tout entière, touchant aussi bien les mondes matériels que spirituels et conduisant à une rectification de la catastrophe primordiale de « la brisure des vases » (chevirat ha-kelim), au cours de laquelle les mondes divins retrouveront leur unité et leur perfection originelles. »(([6] Gershom Scholem, The Messianic Idea in Judaism, p.111 ))

Selon Isaac Louria, c’est Dieu lui-même qui serait à l’origine de la catastrophe primordiale, car, lors de la création, il aurait sous-estimé la puissance de sa lumière divine :

« Les trois premières « sefirot », les trois premiers vases — la Couronne (Keter), la Sagesse (Hokhmah), l’Intelligence (Binah) — disposent d’un réceptacle assez solide pour supporter la croissance de l’intensité lumineuse, mais les vases des sept autres « sefirot » sont trop fragiles pour contenir l’afflux de la lumière. Ils se brisent. C’est la « chevirat hakelim. » »(([7] https://wikimonde.com/article/Kabbale_lourianique ))

Si la kabbale lourianique a exercé une influence aussi profonde sur la communauté juive, c’est qu’elle a donné une dimension cosmique à la question, qui tourmentait le monde juif dans la période faisant suite à la catastrophe de 1492, sur la nature de la diaspora (galout) et de la rédemption. La kabbale lourianique expliquera que lors du chevirat hakelim, des étincelles de la lumière divine tombèrent dans les profondeurs où résident les forces des ténèbres, du mal et de l’impureté. Ces étincelles étaient celles de la shekhina, la manifestation de l’aspect féminin de la divinité. Ainsi, il en résulta aussi une « diaspora » d’une partie du divin, ces étincelles de la shekhina, qui aspirent à retourner à leur source divine, mais qui ne le peuvent, tant qu’elles ne sont pas secourues.

Gershom Scholem,(([8] https://fr.wikipedia.org/wiki/Gershom_Scholem )) la haute autorité en matière de kabbale le résume ainsi :

« Nous avons ici une image cosmique de la diaspora (galout), non pas la diaspora du seul peuple d’Israël, mais la diaspora de la « shekhinah » dès l’origine même de sa venue en existence. Tout ce qui se passe dans le monde n’est qu’une expression de cette diaspora originelle et fondamentale. Toute existence, y compris, « pour ainsi dire », Dieu, réside dans la diaspora. »(([9] Gershom Scholem, The Messianic Idea in Judaism, p.68 ))

Voilà donc le drame originel au cœur de la cosmogonie kabbalistique, d’où découlera le concept de la nécessaire « réparation du monde » : tikkoun olam.(([10] https://wikimonde.com/article/Tikkoun_olam )) Et ce sera au peuple élu qu’incombera la tâche de « réparer » le monde et de restaurer l’harmonie universelle.

On doit aussi à Isaac Louria d’avoir énoncé le principe selon lequel il ne faut pas s’en remettre passivement à la volonté divine pour la rédemption, mais qu’il faut y travailler activement, afin de hâter sa venue. C’est ce principe kabbalistique qui est à la racine du sionisme et que rejettent les tenants de la vraie foi juive, qui considèrent que « le sionisme est un mouvement fondamentalement hérétique qui nie l’impératif divin selon lequel les Juifs doivent rester en exil jusqu’au jour du miracle de la rédemption de toute l’humanité »(([11] https://en.wikipedia.org/wiki/Yisroel_Dovid_Weiss ))

Kabbale et satanisme

Ce qui frappe, de prime abord, dans la kabbale, c’est la remise en cause, dans sa cosmogonie, de la perfection de la création divine, avec cette mission donnée à l’homme de « réparer » les manquements à la création, que Dieu aurait été incapable de prévoir. Ce pouvoir, prêté au peuple élu sur la création, semble franchir l’ultime frontière de l’hubris et empiéter sur le domaine de Satan.

Un des attributs du satanisme est aussi l’inversion des valeurs, ce que les sabbatéens mettent en pratique par leur concept de « rédemption par le péché », par lequel toutes les perversions imaginables sont permises.

Les kabbalistes ont repris à leur compte un principe occulte que les sociétés secrètes, à travers les âges, ont enseigné :

« Le mystique peut trouver la rédemption à travers une volonté héroïque de faire le mal au nom d’une ascension rédemptrice ultérieure vers le plus haut bien spirituel ; l’immersion dans le tréfonds du plus bas devient ainsi un chemin vers la rédemption : … connu par l’expression hébraïque, « Yeridah zorekh aliyah », à savoir la descente en vue de l’ascension, la transgression en vue du repentir »(([12] Michael Hoffman : Judaism discovered, p.191–192 – https://1lib.fr/book/2767043/fe4b52 ))

Et ils en ont trouvé une justification dans une citation du Talmud :

« « Le Fils de David viendra dans un temps ou complètement coupable ou complètement innocent » (Sanhedrin,98 a.). De cette épigramme, beaucoup de sabbatiens en ont tiré la conclusion morale : puisque nous ne pouvons pas tous être des saints, soyons tous pécheurs. »(([13] Gershom Scholem : Les grands courants de la mystique juive p.461–462 ))

Une des plus grandes organisations du judaïsme « orthodoxe » mondial d’aujourd’hui (sioniste et kabbaliste), Chabad, ne semble avoir aucune réserve sur ce même concept :

« La règle est que pour réaliser une ascension, il faut d’abord qu’il y ait une descente. C’est une révélation stupéfiante. C’est une révélation si grande qu’elle change à jamais l’appréciation que l’on a du monde. Il n’y a pas de mal dans le monde. »(([14] https://www.chabad.org/library/article_cdo/aid/80898/jewish/Yeridah-Descent-for-Aliyah-Ascent.htm ))

Parallèlement aux enseignements théologiques et mystiques de la kabbale, il y a, officiellement, aussi une kabbale qui s’apparente aux sciences occultes et à la sorcellerie.

Gershom Scholem nous apprend que la kabbale se compose de deux éléments :

« Une kabbale spéculative (kabbalah iyyunit), dont l’intérêt premier est la guidance spirituelle intérieure de l’individu, et une « kabbale pratique » (kabbalah ma ”ait), qui s’intéresse avant tout à la pratique de la magie. »
« Les lignes ostensibles tracées par les kabbalistes pour fixer les limites de la magie permise ont souvent été dépassées et obscurcies, avec pour conséquence l’apparition dans la kabbale pratique d’une bonne partie de magie « noire » — c’est-à-dire de la magie destinée à nuire à autrui… ou qui utilisait « les noms impies » (shemot ha-tum ”a1, Sanhedrin 91 a) de diverses puissances sombres et démoniaques… Dans le Tikkunei Zohar, la manipulation de ces forces est considérée comme justifiable dans certaines circonstances. »

Il ajoute :

« Souvent, les pratiques de magie blanche des amulettes et des charmes protecteurs côtoient l’invocation de démons, les incantations et les formules à but privé (raccourcis magiques, découverte d’un trésor caché, imprenabilité face à ses ennemis, etc.), voire la magie sexuelle et la nécromancie… Parmi les ouvrages kabbalistiques plus anciens, particulièrement riches en matériel emprunté à la kabbale pratique, figurent le Zohar, les écrits de Joseph b. Shalom Ashkenazi… »(([15] Gershom Scholem, Kabbalah , p.183–184 : https://1lib.fr/book/2293311/ff607d ))

Il convient de mentionner ici que le Zohar est considéré comme la « Bible » de la kabbale.

La kabbale et le satanisme qui lui est associé ont aussi été utilisés par le complexe médiatico-industriel dans son entreprise de destruction de la base chrétienne de notre société. Outre la promotion faite chez des jeunes de la fête d’Halloween,(([16] https://www.youtube.com/watch?v=_UjCWLdgG1s )) Hollywood a aussi, par l’entremise du star-system,(([17] https://www.msn.com/fr-ca/style-de-vie/horoscope/la-kabbale-un-fil-rouge-chez-les-stars/ar-BB1acDMV )) tenté de populariser la kabbale auprès de son audience.
Donald Trump lui-même, dans un de ses livres, nous confie le nom de son professeur de kabbale.(([18] D. Trump, The Way to the Top, page 141 – https://ca1lib.org/dl/3569979/4bf403 )) Cela en dit long sur la nature de sa foi chrétienne et l’attachement qui le lie à ses maîtres kabbalistes.

La cabale

C’est à Francfort que la jonction se fera entre la secte sabbatéo-frankiste et les Illuminés de Bavière de Weishaupt. C’est donc là que se formera la cabale de domination planétaire, qui entre aujourd’hui dans sa phase ultime.

« À l’époque, Francfort était le siège des « Illuminati » fondés par le jésuite Adam Weishaupt, ainsi que de l’empire financier des frères Rothschild. Cela mérite d’être répété : Francfort était le lieu de naissance à la fois des Illuminati et de l’empire Rothschild. Lorsque Jacob Frank est entré dans la ville, l’alliance entre les deux avait déjà commencé. Weishaupt a fourni les ressources conspiratoires de l’Ordre des Jésuites, tandis que les Rothschild ont apporté l’argent. Ce qui manquait, c’était un moyen de diffuser le programme des Illuminati, ce que les frankistes ont ajouté avec leur réseau d’agents à travers les mondes chrétien et islamique… la vision frankiste était la destruction de l’éthique juive pour être remplacée par une religion basée sur l’exact opposé des intentions de Dieu. Lorsque ces factions se sont mélangées, une guerre sanglante contre l’humanité, avec les Juifs en première ligne, a éclaté et, en ce moment même, elle atteint son apogée. »(([19] Barry Chamish, Shabtai Tzvi Labor Zionism and the Holocaust, p.199 – https://1lib.fr/book/964237/8b5986 ))

L’abolition de toute religion figurait au programme pré-communiste de Weishaupt, mais la priorité devait être donnée à la religion juive, comme l’explique le rabbin M. Antelman :

« Puisque la religion juive a été la mère de deux grandes religions occidentales, le christianisme et la religion musulmane, le judaïsme est naturellement devenu une cible principale. Les brillants dirigeants communistes savaient et percevaient que c’était le judaïsme qui continuait à infuser et imprégner une spiritualité dans ces autres religions »(([20] Rabbi M. Antelman, Eliminate the Opiate vol.1 p. ))

Le concept de Synagogue de Satan commence ici à prendre tout son sens.

De cette cabale, qui, très tôt, œuvrera à prendre le contrôle de la franc-maçonnerie, allait sortir d’abord la Haskala,(([21] https://fr.wikipedia.org/wiki/Haskala )) les Lumières du judaïsme, fomentée par Mendelssohn,(([22] https://fr.wikipedia.org/wiki/Moses_Mendelssohn )) sous l’influence de Nicolai,(([23] https://fr.wikipedia.org/wiki/Friedrich_Nicolai )) dont le rôle au sein de la loge de Weishaupt était précisément l’activisme anti-religieux, suivie de la Ligue des Justes,(([24] https://fr.wikipedia.org/wiki/Ligue_des_justes )) l’ancêtre de l’Internationale communiste. Ce fut ensuite cette Ligue, qui chargera Abraham Geiger(([25] https://fr.wikipedia.org/wiki/Abraham_Geiger )) de la perversion du judaïsme, en en initiant le mouvement de « réforme ».(([26] https://www.nytimes.com/1990/06/26/us/reform-judaism-votes-to-accept-active-homosexuals-in-rabbinate.html ))

Le siècle des « Lumières » allait rayonner de toute la lumière luciférienne émanant de la cabale de Francfort et propager le « poison du libéralisme » dans toutes les sociétés et toutes les religions. Le frankisme allait aussi avoir une influence politique directe sur la Révolution française à travers les clubs de Jacobins.

Dans la ligne directe de cette cabale, l’École de Francfort(([27] https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cole_de_Francfort )) et, aujourd’hui, le siège de la BCE(([28] https://fr.wikipedia.org/wiki/Banque_centrale_europ%C3%A9enne )) sont deux éléments, qui pourraient faire penser que le lieu géographique est resté, depuis le 18e siècle jusqu’à nos jours, un des centres névralgiques de la Synagogue de Satan.

Les crypto-sabbatéens

L’infiltration du judaïsme par des sabbatéens, dès le 18e siècle, est illustrée par la controverse qui opposa le rabbin Jonathan Eybeschutz(([29] https://fr.wikipedia.org/wiki/Jonathan_Eybeschutz )) à son confrère Jacob Emden,(([30] https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacob_Emden )) qui l’accusa d’être un crypto-sabbatéen. Aujourd’hui ce genre de controverse n’existe plus, car le judaïsme a été entièrement subjugué par la secte satanique. Celle-ci domine partout où l’avortement est devenu un droit, partout où flotte le drapeau LGBT, partout où les mots « inclusion », « mixité » ou « diversité » dominent le discours, partout où la loi naturelle et le judaïsme véritable sont foulés aux pieds.
En 1976, Harold Rosenthal,(([31] https://fr.wikipedia.org/wiki/Harold_Rosenthal )) jeune et arrogant « juif » sioniste, faisant partie du cercle des initiés du pouvoir mondialiste, accorda un entretien qui fut enregistré et auquel il ne survécut que quelques mois. À la fin de cet entretien, qui fut publié sous le nom « La tyrannie cachée », il fit la révélation suivante :

« Nous sommes le peuple élu de Dieu… La plupart des Juifs n’aiment pas l’admettre, mais notre dieu est Lucifer — je ne mentais donc pas — et nous sommes son peuple élu. Lucifer est bien vivant. »(([32] https://archive.org/details/TheHiddenTyranny-HaroldWallaceRosenthal/page/n38/mode/2up ))

Voilà qui résume bien ce qu’est le judaïsme dominant d’aujourd’hui. La Synagogue de Satan, aussi, est bien vivante.

Communisme et sionisme

C’est la Ligue des Justes qui engagea Karl Marx(([33] Rabbi M. Antelman, Eliminate the Opiate vol.2 p.21 )) pour écrire le Manifeste, selon les idées déjà formulées auparavant par Weishaupt. Moses Hess(([34] https://fr.wikipedia.org/wiki/Moses_Hess )) fut, non seulement le mentor de Karl Marx, mais aussi le précurseur du sionisme non religieux. Le fait que son arrière-grand-père, le rabbin David T. Hess, fût un sabbatéen confirme la volonté d’empêcher la création d’un état religieux en Israël, ce qui sera définitivement confirmé en 1917 par la Déclaration(([35] https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9claration_Balfour_de_1917 )) Balfour adressée à Lord Rothschild. L’État juif créé en 1948 porte la marque d’appartenance à la Synagogue de Satan.(([36] https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Elyon.JPG ))

Le règne du mensonge et de l’inversion

À la veille de la main mise complète de la secte satanique sur l’humanité, la grande majorité des « fidèles » des trois grandes religions monothéistes ne se sont toujours pas rendu compte qu’ils ne sont les « fidèles » que du libéralisme et que les instances religieuses, qu’ils n’ont pas cessé de respecter, les ont vendus au diable depuis bien longtemps. Les musulmans continuent dévotement à faire le pèlerinage de La Mecque, dans des lieux saints désacralisés, aux mains des forces sataniques sabbatéennes. Les chrétiens continuent d’envoyer leurs enfants à l’église pour faire leur première communion, tout en révérant leur Saint-Père franc-maçon, qu’ils considèrent comme le digne successeur de saint Pierre. Les Juifs israéliens sont persuadés qu’ils vivent dans l’unique démocratie du Moyen-Orient et sont fiers de la réputation de leur ville de Tel-Aviv comme la plus « gay-friendly » du monde, ce qu’ils ne perçoivent pas comme une négation du judaïsme dont ils se réclament. Le culte « illuminé » du libéralisme et de la raison a fait des miracles de « tolérance » partout, y compris en Israël, malgré que la Torah soit claire et intransigeante sur le sujet de l’homosexualité (Lévitique 20–13).

Tout comme la secte a subverti les trois religions du livre, elle a aussi subverti la médecine. Elle a pris le contrôle de toutes les institutions médicales, y compris les académies, l’ordre des médecins et le complexe pharmaco-industriel. On peut noter que Stéphane Bancel, PDG de Moderna, est « juif » et, depuis 2009, « Young Leader » du Forum économique mondial. Le cas d’Albert Bourla,(([37] https://fr.wikipedia.org/wiki/Albert_Bourla )) PDG de Pfizer, est aussi intéressant. Lui aussi est « juif » et il est originaire de Thessalonique, qui se trouve être le berceau historique de la secte sabbatéenne.
La grande majorité des médecins d’aujourd’hui sont des médecins, qui, de bonne foi, pensent que le paradigme médical pasteurien, imposé par Rockefeller,(([38] https://www.pdfdrive.com/murder-by-injection-eustace-mullins-e39680998.html )) est compatible avec la santé, de même que les chrétiens « libéraux » vont à l’église, et de bonne foi, pensent que le libéralisme est compatible avec la foi chrétienne.

Israël, l’État sabbatéo-frankiste

Après avoir pris le contrôle de la Palestine grâce à la Première Guerre mondiale, il fallut à la cabale qu’elle en fomente une deuxième pour permettre la création de l’état juif :

« L’objectif final du mouvement (sioniste) était d’établir un état sabbatéen sur la terre historique des Juifs et prendre ainsi définitivement le contrôle du judaïsme. Pour faire émerger cette idée, il fallait que la vie des Juifs d’Europe devienne si intolérable que l’évasion vers la Palestine apparaisse comme la meilleure option. »(([39] Barry Chamish, Shabtai Tzvi Labor Zionism and the Holocaust, p.200 ))

Le financement de l’Allemagne nazie fut assuré par les financiers de Wall Street.(([40] https://www.voltairenet.org/IMG/pdf/Sutton_Wall_Street_and_Hitler.pdf )) Quant à Adolf Hitler, on peut dire qu’il a bien servi les intérêts de la cabale. Sa collaboration avec les sionistes pour le transfert de Juifs vers la Palestine est un fait historique reconnu,(([41] https://fr.wikipedia.org/wiki/Accord_Haavara )) mais qu’il vaut mieux ne pas évoquer. Ken Livingstone, ancien maire de Londres et un vétéran du parti travailliste anglais (50 ans de service) a été forcé de quitter le parti, à la suite de sa suspension pour antisémitisme, après avoir mentionné(([42] https://www.theguardian.com/politics/2018/may/21/ken-livingstone-quits-labour-after-antisemitism-claims )) cette simple vérité historique. C’est un sujet délicat sur lequel il est conseillé de rester discret, car l’évoquer semble constituer un crime grave : une atteinte antisémite à l’intégrité idéologique de l’antisémitisme.

D’autre part, Hitler lui-même n’était sans doute pas le personnage décrit aujourd’hui dans les livres d’histoire. Le rabbin M. Antelman nous en donne une autre version, qui est plus en accord avec la logique machiavélique de ceux qui le financèrent :

« Un article du New York Times de 1933 traitant des prétendues origines juives d’Hitler affirmait qu’il y avait du sang juif du côté des Stronnes, la grand-mère maternelle d’Hitler, une famille qui s’était convertie au catholicisme à Vienne dans les années 1850. Un témoignage d’un tribunal rabbinique affirme que non seulement le vrai père d’Hitler était un sabbatéen, mais aussi son arrière-grand-père maternel ; Il existe des preuves qu’Hitler a maintenu des contacts étroits avec les sabbatéens tout au long de sa vie. En fait, son astrologue personnel, Erik J. Hanussen (assassiné dans les bois à l’extérieur de Berlin en février 1933), était un sabbatéen qui fut appelé « le prophète du Troisième Reich » et « magicien de Berlin ». Son vrai nom était Hershel Steinschneider, né à Vienne en 1889. »(([43] Rabbi M. Antelman, Eliminate the Opiate vol.2, p.163 ))

De son côté, la Fédération sioniste d’Allemagne avait supplanté en 1933 toutes les autres organisations juives :

« En 1932, combien d’organisations en Allemagne représentaient les Juifs allemands ? Plus de 250. En 1933, combien ? Une, et une seule : le sionisme travailliste…Les Juifs allemands seront d’abord endoctrinés au bolchévisme dans des camps de sionistes travaillistes, puis, avec l’approbation britannique, transférés en Palestine… Les sionistes travaillistes ont eu les Juifs qu’ils voulaient, et ont laissé les millions de Juifs religieux et autres non-frankistes périr en Europe sans aucune tentative de leur porter secours. »(([44] Barry Chamish, Shabtai Tzvi Labor Zionism and the Holocaust, p.202 ))

Dans un livre publié en 1977, le rabbin Moshe Shonfeld nous livre des “documents et des témoignages sur les criminels de guerre juifs” et nous dit dans son introduction :

Criminels de guerre juifs » est une expression qui ne figurait pas dans le lexique du « yishouv » d’Eretz Yisroel ou de la diaspora. Elle ne se trouve même pas dans les fantasmes ou la plus folle imagination de l’esprit de quiconque…
C’est pourquoi l’auteur de cet ouvrage a voulu dévoiler, aux yeux de tous, le visage des collaborateurs juifs, qui étaient à la tête du mouvement sioniste et qui ont prêté main-forte aux monstres nazis.
 »(([45] Reb Moshe Shonfeld, Holocaust Victims accuse, p. 8 – https://1lib.us/book/5255692/918b9e ))

À la lumière de ces faits, il devient plus facile de comprendre que l’antisémitisme est une stratégie machiavélique qui a trompé la majorité de la communauté juive et la majorité de la communauté des gentils. Elle a cimenté la cohésion de l’État national juif, comme refuge contre les persécutions, pendant qu’elle protégeait le parcours de la secte vers la domination mondiale. Lorsque la façade sioniste de la secte commença à être trop exposée au feu de la critique, l’antisémitisme « nouveau »(([46] https://fr.wikipedia.org/wiki/Nouvel_antis%C3%A9mitisme )) est apparu, incluant l’anti-sionisme.

Aujourd’hui, les Israéliens sont aussi, comme nous, à un tournant de leur histoire. Certains découvrent que ce que leur gouvernement appelle « complotisme » est la clé qui libère l’esprit et ouvre la voie vers la vérité. Dans le cadre de la vaccination en cours, on parle maintenant d’un « nouvel holocauste. »(([47] https://degroenegeus.wordpress.com/2021/03/11/israeli-fears-a-new-holocaust-is-coming-shai-dannon-talks-with-david-icke/ ))

Klaus Schwab, le sabbatéen

Klaus Schwab est issu d’une famille « juive »(([48] https://unlimitedhangout.com/2021/02/investigative-reports/schwab-family-values/ )) de collaborateurs nazis. Le groupe qui contribua le plus à la création de son Forum Économique Mondial est le Club de Rome, dont les valeurs « humanistes » sont bien connues :

« En cherchant un ennemi commun contre lequel nous pourrions nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres phénomènes de ce genre feraient l’affaire. … Mais en désignant ces dangers comme l’ennemi, nous tombons dans le piège… à savoir, confondre les symptômes avec les causes… Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même. »(([49] https://archive.org/details/TheFirstGlobalRevolution/page/n85/mode/2up?q=the+real+enemy ))

Le Club de Rome et Klaus Schwab partagent évidemment les mêmes valeurs, ainsi que tous les grands philanthropes milliardaires de notre temps, ce qui illustre bien le principe d’inversion énoncé plus haut. Cela nous renvoie directement à la kabbale. En effet, dans son étude du messianisme sabbatéen, Gershom Scholem nous dit :

« Au demeurant, si l’idée de violer la Torah de « beriah »(([50] Selon leur “sainte foi”, les Sabbatéens prétendent ne respecter que la Torah du monde supérieur de l’émanation divine (([atzilut]. La Torah que vénérent les vrais juifs, qu’ils appellent Torah de beriah (([de la création], fait partie d’un monde inférieur dans la hiérarchie des mondes kabbalistiques, donc elle ne doit pas être respectée. )) est restée un principe cardinal de la « sainte foi », son application a été transférée à d’autres domaines, notamment aux rêves d’une révolution générale qui balayerait le passé d’un seul coup pour reconstruire le monde… »(([51] Gershom Scholem, The Messianic Idea in Judaism, p.162 ))

Le rêve sabbatéen de « révolution générale », évoqué par l’auteur, ressemble fort au projet de Klaus Schwab : un grand « reset » général pour « balayer le passé d’un seul coup et reconstruire le monde ». Schwab, l’élu de Satan, usurperait alors la fonction du Créateur pour reconstruire le monde « en mieux » (« build back better »).(([52] https://odysee.com/@jobroski:6/bbb-sverige:8 ))

666, la marque déposée

Ce n’est pas un hasard si Microsoft a déposé un brevet transhumaniste, dont le numéro contient la marque de la bête,(([53] https://patentimages.storage.googleapis.com/58/f5/bf/bf453d0035610f/WO2020060606A1.pdf )) car le symbolisme est important chez les kabbalistes. L’internet des « corps »(([54] https://cv19.fr/2021/01/06/de-linternet-des-objets-a-linternet-du-corps/ )) marqués et contrôlés par l’IA est la vision de Schwab pour la nouvelle humanité. Celle-ci sera, non seulement diminuée numériquement, mais aussi spirituellement, car l’âme qui aspire à Dieu ne peut que déplaire à son maître. Maintenant que la science possède les moyens techniques de la juguler, la mise en garde de Rudolf Steiner, qui, en 1917, nous disait qu’un vaccin, qui effacerait toute aspiration à la spiritualité, pourrait être mis au point, ne doit pas être écartée. La science de la génétique est sans doute beaucoup plus évoluée que ce que nous pouvons imaginer. Les premières expérimentations génétiques sur le VMAT2, qu’on a appelé « le gène de Dieu »,(([55] Dean H. Hamer, The God Gene : How Faith Is Hardwired into Our Genes – https://1lib.us/book/5600763/a79838 )) remontent déjà à une vingtaine d’années. Ne sous-estimons pas les possibilités actuelles résultant des connaissances et des technologies de la génétique d’aujourd’hui.(([56] https://www.ficsum.com/dire-archives/ete-2016/biologie-crispr-revolution-genetique-a-portee-de-main/ ))

On peut remarquer ici que même Orwell, dans sa vision du futur, n’avait pas anticipé la dimension purement démoniaque du projet. Sa vision d’un totalitarisme policier ou militaire absolu a, en comparaison, quelque chose de presque idyllique. En effet, vivre dans ce monde transhumain, où Klaus Schwab nous promet que grâce à l’implant d’une puce électronique dans le cerveau, nous pourrons apprendre une langue étrangère par simple téléchargement, équivaudra à vivre dans un monde d’automates humanoïdes, un monde sans humanité. Devenir des objets biologiques connectés en permanence, avoir toutes nos données biologiques et mentales, allant même jusqu’à nos pensées les plus intimes, stockées dans une banque de données, avoir une mémoire éditable par l’IA, ne plus jamais avoir la possibilité d’être seul, un instant, avec soi-même, avoir comme seule âme, un système d’exploitation de Microsoft, actualisé sans cesse par le dernier vaccin obligatoire, pour nous automatiser toujours davantage, me semble être une vision dantesque de l’enfer, que le poète florentin, à son époque, ne pouvait encore concevoir.

La fuite en avant

Maintenant que la secte satanique est sortie de l’ombre, après avoir dû révéler la nature de ses véritables intentions pour l’humanité, elle a perdu le pouvoir qui la rendait invincible : l’invisibilité.
Bien que beaucoup continuent d’être trompés par la propagande des médias, des gouvernements et de tous les autres agents à sa solde, la secte est obligée d’accélérer son programme pour contrer une prise de conscience grandissante auprès du public. En effet, de plus en plus de personnes, à travers le monde, commencent à s’apercevoir que l’unique raison de ce cataclysme planétaire provoqué est cette volonté d’imposer une modification du génome humain à l’ensemble de l’humanité, et cela sous couvert de vaccination imposée en dépit de tout bon sens logique ou médical. Maintenant, les enfants ou les personnes qui ont déjà acquis une immunité naturelle au supposé SARS-CoV‑2, sont aussi passibles de « vaccination ». Cette fixation fanatique sur un « vaccin » inutile, qui a déjà derrière lui tout un cortège de victimes, ne peut plus passer inaperçue. Et plus la cabale devra presser le pas, plus la prise de conscience ira en s’amplifiant.

Mazetto


Notes de lecture :




Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »… sans être inquiétés par la justice

[Source : Sott.net]

Par Bernard Marx — OffGuardian

En 2010, une ONG financée par la Fondation Bill & Melinda Gates a enfreint de multiples directives éthiques et juridiques en testant un nouveau vaccin sur des enfants sans le consentement [éclairé – NdT] des parents, et les médias occidentaux ne s’en sont jamais fait l’écho.

Jeunes filles de la tribu Koya, dans le district de Khammam de l’État indien de Telangana

L’Inde fait couler beaucoup d’encre ces derniers temps… Bien plus que d’habitude. Si l’on en croit les médias populaires, il se produit là-bas une sorte d’apocalypse. Mais comme c’est souvent le cas, ces reportages sont dépourvus de tout contexte ou perspective.

Dans leur empressement à soutenir l’actuel récit de terreur sur le Covid-19, les médias du monde entier n’ont de cesse aujourd’hui de parler de l’Inde, alors qu’il y a douze ans, lorsqu’une véritable tragédie y avait cours, ils étaient tous aux abonnés absents.

Un peu de contexte

En 2009, une ONG financée par la Fondation Bill & Melinda Gates a procédé sur certains des enfants les plus pauvres et les plus vulnérables au monde à des essais cliniques non autorisés d’un vaccin. Cette ONG a agi sans fournir d’informations sur les risques encourus, sans le consentement éclairé des enfants ou de leurs parents et sans même mentionner qu’elle menait un essai clinique.

Après la vaccination, de nombreux enfants participants sont tombés malades et sept d’entre eux sont morts. Telles ont été les conclusions d’une commission parlementaire chargée d’enquêter sur cette misérable affaire. La commission a accusé l’ONG de « maltraitance d’enfants » et a produit un grand nombre de preuves à l’appui de ses dires. Toute cette affaire est passée quasiment inaperçue dans les médias occidentaux.

Path — anciennement connu comme le Program for Appropriate Technology in Health [Programme de technologie appropriée en santé – NdT] — est une ONG basée à Seattle, largement financée par la Fondation Bill & Melinda Gates mais qui reçoit également d’importantes subventions du gouvernement des États-Unis. Entre 1995 et le jour de la rédaction de cet article (mai 2021), Path a reçu plus de 2,5 milliards de dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates.

En 2009, Path a mené un projet visant à administrer le vaccin contre les infections à papillomavirus humains. L’objectif du projet était, selon les propres termes de Path,

« de générer et de répandre des données probantes [« des preuves d’impact » (Sic !) – NdT] en vue de favoriser auprès du public l’introduction des vaccins anti-papillomavirus. »

Il a été mené dans quatre pays : l’Inde, l’Ouganda, le Pérou et le Vietnam. La GAVI, une autre organisation financée par la Fondation Gates, avait initialement été envisagée pour gérer le projet directement financé par la Fondation Bill & Melinda Gates, mais la responsabilité en a finalement échu à Path.

De manière significative, chacun des pays sélectionnés pour le projet avait une population ethnique différente et disposait d’un programme national de vaccination financé par l’État. L’utilisation de différents groupes ethniques dans l’essai a permis de comparer les effets du vaccin dans divers groupes de population — l’ethnicité représentant un critère quant à l’innocuité et à l’efficacité de certains médicaments.

Les programmes de vaccination des pays concernés constituaient un marché potentiellement lucratif pour les entreprises dont les médicaments devaient faire l’objet d’études : si les médicaments s’avéraient efficaces et étaient inclus dans les programmes de vaccination nationaux financés par les États, les considérables bénéfices annuels réalisés par ces mêmes entreprises seraient une véritable aubaine.

Dans le cadre de cette expérimentation, deux types de vaccins contre le papillomavirus humain ont été utilisés : Gardasil de Merck et Cervarix de GlaxoSmithKline (GSK). Dans cet article, nous allons examiner l’essai du Gardasil mené sur les populations en Inde par Path.

Il convient de noter ici la relation entre la Fondation Bill & Melinda Gates et l’une des entreprises pharmaceutiques dont les produits étaient testés. En 2002, ladite fondation avait acheté pour 205 millions de dollars d’actions dans le secteur pharmaceutique, y compris des actions de Merck & Co. Cette opération avait suscité des interrogations en raison du conflit d’intérêts évident entre le rôle de ladite fondation en tant qu’organisation caritative médicale et son rôle en tant que détenteur de parts de marché dans des entreprises du même secteur.

Note du traducteur : Ces 205 millions d’investissement incluaient aussi des actions chez Pfizer Inc. et Johnson & Johnson.

Rapide aperçu du haut de la pyramide en partant de Merck

Le premier actionnaire de Merck est The Vanguard Group, Inc., une société étatsunienne de fonds d’investissement, qui détient par ailleurs aussi des parts dans des grandes sociétés comme Michelin, Amazon, American Express, Pernod Ricard, Monsanto, ExxonMobil, Alphabet, Dow Chemical ou encore Foxconn (liste non exhaustive). La société est également le premier actionnaire de Microsoft, Facebook, Google, Apple — en gros, les Big Techs — et de Goldman Sachs. Avec des sociétés comme The Vanguard Group, on atteint le haut du panier… Mentionnons que la société se trouve aussi être le premier actionnaire de son plus proche « concurrent » Blackrock, Inc., n°1 mondial de la gestion d’actifs avec 8 676 milliards de dollars d’actifs à la fin de 2020, le positionnant devant The Vanguard Group avec ses 6 200 milliards de dollars d’actifs sous gestion au début de 2020. Ces deux sociétés détiennent des parts dans une grande partie de l’ensemble des sociétés cotées en bourse, dans le monde.

Le Wall Street Journal a rapporté, en août 2009, que la Fondation Bill & Melinda Gates avait vendu ses parts [pour 8 millions de dollars – NdT] Merck entre le 31 mars et le 30 juin de cette année-là, soit à peu près au moment où les essais sur le terrain du vaccin contre le papillomavirus humain commençaient en Inde. Ainsi, pendant toute la durée de ce projet — qui était déjà opérationnel en octobre 2006 — et jusqu’aux essais finaux sur le terrain, la Fondation Bill & Melinda Gates a joué un double rôle : celui d’une organisation caritative investie dans des soins de santé humanitaires et celui d’un actionnaire de l’entreprise pharmaceutique qui réalisait des bénéfices.

De tels conflits d’intérêts sont depuis 2002 la marque de fabrique de la Fondation Bill & Melinda Gates. Lorsque Gates a fait l’année dernière des apparitions régulières à la télévision pour promouvoir la vaccination anti Covid-19, en apportant un soutien particulièrement enthousiaste à l’effort de Pfizer-BioNTechson objectivité n’a jamais été mise en doute. Pourtant, sa fondation est copropriétaire de plusieurs fabricants de vaccins, dont Pfizer, BioNTech et CureVac.

Le vaccin contre les infections à papillomavirus humains

Le vaccin contre les infections à papillomavirus humains (VPH) vise à prévenir le cancer du col de l’utérus. Le Gardasil avait été lancé avec succès par Merck en 2006 aux États-Unis, mais ses ventes ont souffert après qu’une série d’articles publiés dans des revues médicales étatsuniennes eurent jugé que ses risques étaient supérieurs à ses bénéfices. L’analyse des rapports sur les effets indésirables du Gardasil transmis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) des CDC leur a été particulièrement préjudiciable.

Cette analyse a été publiée dans le Journal of the American Medical Association le 19 août 2009. Parmi les 12 424 effets indésirables signalés, 772 ont été considérés comme graves, dont 32 décès. Les autres effets secondaires graves signalés comprenaient des troubles auto-immuns, des événements thromboemboliques veineux — caillots sanguins — et le syndrome de Guillain-Barré.

Dans la même édition du Journal of the American Medical Association, le Docteur Charlotte Haug, alors rédactrice en chef du Journal of the Norwegian Medical Associationa écrit :

« Le fait qu’un risque vaille la peine d’être pris dépend non seulement du risque absolu, mais aussi du rapport entre le risque potentiel et le bénéfice potentiel. Si les bénéfices potentiels sont substantiels, la plupart des individus seraient prêts à accepter les risques. Mais le bénéfice net du vaccin contre le VPH pour une femme est incertain. Même si elle est infectée de façon persistante par le VPH, une femme ne développera probablement pas de cancer si elle se soumet régulièrement à un dépistage. Donc, elle devrait logiquement être prête à n’accepter qu’un faible risque lié au vaccin. »

Le Docteur Haug, dans une allusion claire faite envers Merck, le fabricant du Gardasil, a également fait remarquer que

« lorsque l’on évalue les preuves des risques et des bénéfices, il convient également de se demander qui prend le risque et qui bénéficie des avantages. »

Les tentatives de Merck pour promouvoir le Gardasil ont été controversées. Le Docteur Angela Raffle, l’une des plus grandes spécialistes britanniques du dépistage du cancer du col de l’utérus, a décrit la stratégie marketing de Merck en l’assimilant à

« un coup de bélier porté sur le ministère de la Santé et un pilonnage en règle de ses institutions affiliées. »

Le Docteur Raffle craint que la pression en faveur d’une vaccination de masse ne nuise au programme de dépistage efficace qui fonctionne au Royaume-Uni depuis les années 1960 :

« Je crains que la précipitation motivée par des considérations commerciales pour nous faire paniquer et introduire rapidement le vaccin contre le VPH ne nous fasse reculer et n’aggrave notre programme de lutte contre le cancer du col de l’utérus. »

Le professeur Diane Harper

Le professeur Diane Harper, qui travaillait alors à la faculté de médecine de Dartmouth, dans le New Hampshire, avait dirigé deux essais du vaccin et était catégorique sur le fait que le Gardasil ne pouvait pas protéger contre toutes les souches de papillomavirus humains.

Lorsque Merck a lancé une énorme campagne de relations publiques en 2007 pour persuader les gouvernements européens d’utiliser le produit pour vacciner toutes les jeunes filles du continent contre le cancer du col de l’utérus, elle a déclaré :

« Les programmes de vaccination de masse [constitueraient] une gigantesque expérience de santé publique… Nous ignorons beaucoup de choses. Nous ne savons pas si le vaccin demeurera efficace. Pour être honnête, nous n’avons pas, pour le moment, de données sur l’efficacité chez ces jeunes filles. Nous vaccinons contre un virus qui attaque les femmes tout au long de leur vie et qui continue à provoquer des cancers. Si nous vaccinons les filles à 10 ou 11 ans, nous ne saurons pas avant 20 à 25 ans si cela sera efficace ou pas. C’est un gros défi à relever. »

Ainsi, à l’époque où Path menait ses essais en Inde, en Ouganda, au Pérou et au Vietnam, le Gardasil était un vaccin controversé : son innocuité, son efficacité et les tentatives de Merck pour le promouvoir étaient remises en question, non pas par les « anti-vaxx » et les « complotistes », mais par l’establishment médical international et les principaux médias respectés.

Les jeunes filles de Khammam

Le district de Khammam faisait, en 2009, partie de l’État indien oriental de l’Andhra Pradesh — les changements frontaliers effectués en 2014 font qu’aujourd’hui le district de Khammam appartient à l’État du Telangana. La région est essentiellement rurale et considérée comme l’une des parties les plus pauvres et les moins développées de l’Inde.

Khammam abrite plusieurs groupes ethniques tribaux, certaines estimations situant sa population tribale à environ 21,5 pour cent — environ 600 000 personnes. Comme c’est le cas pour les populations indigènes du monde entier, les groupes tribaux de Khammam souffrent d’un manque d’accès à l’éducation. Par conséquent, leur niveau d’alphabétisation est considérablement inférieur à celui de la région dans son ensemble.

En 2009, pas moins de 14 000 filles ont reçu une injection de Gardasil dans le district de Khammam. Les filles recrutées pour le projet de Path avaient entre 10 et 14 ans et étaient toutes issues de milieux à faibles revenus, principalement tribaux. Beaucoup d’entre elles ne vivaient pas avec leur famille, mais dans des ashram pathshalas — des foyers gérés par le gouvernement — situés à proximité des écoles qu’elles fréquentaient.

Le professeur Linsey McGoey, de l’université d’Essex, a déclaré par la suite être convaincue que les filles des ashrams pathshalas avaient été ciblées pour le projet car il s’agissait d’un moyen de :

« contourner la contrainte d’avoir à demander le consentement parental avant de procéder aux injections. »

Bien que l’Inde ait fait l’objet d’un grand nombre de reportages récemment, la couverture médiatique dont bénéficie ce pays et ses actualités reste généralement discrète. Et bien que l’Inde abrite près d’un cinquième de la population mondiale, les reportages qui lui sont consacrés sont rares.

Peu d’entre nous sont conscients, par exemple, de son épouvantable histoire en matière de santé et de sécurité ou de la corruption endémique de son gouvernement..

Depuis des décennies, des profiteurs sans scrupules ont su exploiter ces lacunes. Les médias occidentaux ne rendent compte des conséquences de ces actions que lorsque leur ampleur est trop grande pour être ignorée.

Nous avons appris que près de 7 000 personnes ont été tuées et plus d’un demi-million ont été blessées après avoir été exposées au gaz mortel d’isocyanate de méthyle, à la suite d’une fuite de gaz dans l’usine de pesticides d’Union Carbide à Bhopal. Mais nous n’avons rien appris, au cours des années qui ont précédé la catastrophe, de la culture basée sur des normes médiocres et le mépris de la réglementation, qui a été finalement responsable de la catastrophe.

Dans ces conditions, il est assez logique que le projet de Path visant à administrer et à étudier les effets du vaccin contre les infections à papillomavirus humains soit passé inaperçu en Occident. Le même constatation peut être faite en Inde : les médias indiens ne font pas plus de reportages sur leurs groupes tribaux que les médias occidentaux n’en font sur les Indiens. En dépit des préoccupations quant au projet formulées en octobre 2009 par Sama — une ONG basée à Delhi qui défend la santé des femmes — l’actualité indienne ne s’en est pas pour autant fait l’écho.

Membres du groupe de défense des droits Sama

Ce projet n’aurait donc pas pu être plus opaque s’il avait eu lieu sur la Lune, et il l’est resté pendant plusieurs mois jusqu’à ce que, début 2010, des informations commencent à circuler à Khammam selon lesquelles quelque chose avait affreusement mal tourné : plusieurs des filles incluses dans les essais étaient tombées malades et quatre d’entre elles étaient décédées.

En mars 2010, des membres de Sama se sont rendus à Khammam pour obtenir plus de renseignements sur les témoignages qui commençaient à émerger. Ils ont appris que jusqu’à 120 jeunes filles avaient subi des effets indésirables, notamment des crises d’épilepsie, de graves maux d’estomac, des maux de tête et des sautes d’humeur. Les représentants de Sama sont restés à Khammam pour approfondir leur enquête.

La mobilisation de Sama a finalement porté l’affaire à l’attention des médias indiens et, face au déluge de réactions négatives, le Conseil indien de la recherche médicale a suspendu le projet Path.

C’est alors que la commission permanente de la santé du Parlement indien a commencé à enquêter sur l’affaire.

Le 17 mai, Sama a produit un rapport accablant soulignant, entre autres, que les essais avaient été présentés comme un programme de vaccination gouvernemental et non comme un projet de recherche, que les filles n’avaient pas été informées qu’elles pouvaient choisir de ne pas participer aux essais, et que le consentement parental n’avait pas été demandé ni donné dans de nombreux cas.

Le rapport indique que :

« De nombreuses jeunes filles vaccinées continuent de souffrir de maux d’estomac, de maux de tête, de vertiges et d’épuisement. À la suite de la vaccination, des signalements ont fait état de l’apparition précoce des règles, de saignements abondants et de crampes menstruelles sévères, de sautes d’humeur extrêmes, d’irritabilité et de malaise. Aucun suivi ou contrôle systématique n’a été effectué par les fournisseurs de vaccins. »

Sama a également contesté l’affirmation du gouvernement de l’État d’Andhra Pradesh selon laquelle le décès de quatre des filles qui avaient participé aux essais n’avait rien à voir avec la vaccination.

La Commission parlementaire

Les rouages de la bureaucratie sont lents à mettre en branle. C’est plus de trois ans plus tard, le 30 août 2013, que le rapport du Comité permanent de la santé du Parlement indien a finalement été publié. Alors que beaucoup s’attendaient à ce qu’il cherche à dissimuler la réalité, il n’en est rien : la lecture en est choquante.

Le Sansad Bhavan, siège du Parlement de l’Inde, New Delhi

Le rapport critique à la fois Path et le Conseil indien de la recherche médicale, concluant que

« la sécurité et les droits des enfants ont été fortement compromis et violés. »

La commission a constaté que Path, bien qu’opérant en Inde depuis 1999, n’avait aucune autorisation légale pour agir ainsi. Elle a noté que, bien que l’organisation ait finalement reçu en septembre 2009 un certificat du Registre des sociétés de l’Inde, ce certificat lui-même avait été produit en violation de la loi.

Le rapport indique aussi que :

« Path […] a violé toutes les lois et réglementations applicables aux essais cliniques […] son seul objectif était de promouvoir les intérêts commerciaux des fabricants de vaccins contre les infections à papillomavirus humains […] il s’agit d’un grave abus de confiance […] car le projet impliquait la vie et la sécurité de fillettes et d’adolescentes qui, pour la plupart, n’étaient pas conscientes des implications de la vaccination. Il s’agit également d’une grave violation de l’éthique médicale. Ces agissements constituent de la part de Path une violation flagrante des droits fondamentaux de ces fillettes et adolescentes. Il s’agit également d’un cas avéré de maltraitance infantile. »

La commission a accusé Path de lui avoir menti et d’avoir au cours de son enquête tenté de l’induire en erreur, et a recommandé au gouvernement indien de signaler à l’OMS, à l’UNICEF et au gouvernement étatsunien les violations des droits fondamentaux commises par Path.

Le rapport stipule en outre que l’ensemble du projet de Path consistait en une tentative cynique d’assurer des profits continus pour Merck et GSK :

« Le choix des pays et des groupes de population, la nature monopolistique du produit mis en avant, à ce moment-là, le potentiel et les opportunités de marché illimités dans les programmes de vaccination universelle des pays respectifs sont autant d’indices d’un plan bien planifié pour exploiter une situation à des fins commerciales. Si [le plan de] Path avait été couronné de succès […] cela aurait généré un profit exceptionnel pour les fabricants par le biais de la vente automatique, année après année, sans aucune dépense en termes de campagne publicitaire ou de marketing. Il est notoire qu’une fois un vaccin introduit dans le programme vaccinal, il devient politiquement impossible de revenir en arrière. »

Et d’ajouter :

« Pour atteindre cet objectif sans effort, sans passer par la voie ardue et strictement réglementée des essais cliniques, Path a eu recours à un élément de subterfuge en appelant les essais cliniques « études d’observation » ou « projet de démonstration », et diverses autres expressions du même ordre. Ainsi, en utilisant une nomenclature établie par ses soins et servant ses propres intérêts, Path a complètement mis en péril le bénéfice, la sécurité et le bien-être des sujets, ce qui non seulement est absolument déplorable, mais constitue également une grave violation de la loi du pays. »

Samiran Nundy, rédacteur émérite du National Medical Journal of India

Des voix éminentes de la communauté médicale indienne se sont fait l’écho de ces accusations. Chandra M. Gulhati, rédacteur en chef de l’influent Monthly Index of Medical Specialities a déclaré :

« Il est choquant de voir comment une organisation étatsunienne a utilisé des méthodes subreptices pour s’établir en Inde. Il ne s’agissait pas de philanthropie. »

Samiran Nundy, rédacteur émérite du National Medical Journal of India et critique de longue date des pratiques corrompues dans le domaine de la santé, n’a pas mâché ses mots :

« Il s’agit d’un cas évident où les Indiens ont été utilisés comme cobayes. »

Le rapport de la commission permanente s’est également montré très critique à l’égard des relations entre Path et les membres de plusieurs agences sanitaires indiennes, mettant en évidence de multiples conflits d’intérêts.

Sur la question du consentement éclairé, la commission a confirmé la véracité des allégations de Sama, en constatant que la majorité des formulaires de consentement n’étaient signés ni par les enfants ni par leurs parents, que nombre d’entre eux étaient postdatés ou n’étaient pas datés du tout, que plusieurs formulaires avaient été signés par les mêmes personnes — souvent des membres du personnel des foyers où vivaient les jeunes filles — et que de nombreuses signatures ne correspondaient pas au nom figurant sur le formulaire. L’enquête a révélé que les parents n’avaient pas reçu d’informations quant à la nécessité de cette vaccination, à ses bénéfices et inconvénients ou à ses potentiels effets secondaires.

Aucune assurance n’avait été prévue pour aucun des enfants en cas de préjudice [post-vaccinal – NdT] et,

« Path n’avait pas plus anticipé le recours urgent à des experts médicaux en cas d’événements indésirables graves. »

En outre, en effectuant un essai clinique d’un médicament sur des enfants avant d’avoir effectué un essai du médicament sur des adultes, Path a gravement enfreint la réglementation indienne en matière de santé.

Concernant les jeunes filles décédées, le comité a critiqué Path, les autorités médicales indiennes et le gouvernement de l’État d’Andhra Pradesh pour avoir, sans mener d’enquêtes approfondies, sommairement écarté le lien entre leur décès et la vaccination. En 2016, quelque 1 200 des jeunes filles ayant participé en Inde aux deux essais de vaccins contre les infections à papillomavirus humains faisaient état d’effets secondaires graves à long terme, soit plus de 5 pour cent de la cohorte totale de 23 500 personnes. À ce moment-là, le nombre total de décès était passé à sept.

Un silence de mort

Hormis en Inde, cette effroyable violation de l’éthique médicale et des droits humains fondamentaux est passée presque totalement sous silence. La commission permanente de la santé du Parlement indien a littéralement accusé une ONG étatsunienne de maltraitance d’enfants, en fournissant de nombreuses preuves à l’appui de ses accusations, mais les médias occidentaux n’en ont pratiquement pas parlé.

Un conflit d’intérêt financier a-t-il compromis The Guardian ?

Les populaires magazines scientifiques que sont Nature et Science ont chacun publié un bref article sur la débâcle, mais aucune n’est entré dans les détails quant aux violations légales et éthiques de Path. Si l’article de Science est au moins légèrement critique, celui de Nature accorde plus de place à la réfutation des accusations formulées par le directeur de Path, Vivien Tsu.

La façon dont les médias du monde entier sont financés par la Fondation Bill & Melinda Gates et comment ces financements influencent leurs reportages sur la même Fondation et sur les organisations qu’elle parraine, requiert un article qui y soit exclusivement consacré. Mais mentionnons toutefois ici que la la Fondation Bill & Melinda Gates a financé la BBC pour un total de 51,7 millions de dollars — à mai 2021 — et The Guardianpour un total de 12,8 millions de dollars.

The Guardian, malgré toutes ses prétentions à donner une voix aux plus vulnérables dans le monde, est resté curieusement silencieux au sujet des jeunes filles de Khammam. Du moins, à l’exception d’un article, publié en octobre 2013, environ six semaines après la publication du rapport de la commission permanente.

L’article n’a pas été écrit par l’une des filles ou l’un de leurs parents, ni par l’une des femmes de Sama qui avait plaidé en faveur des filles, ni même par l’un des parlementaires indiens chargés d’enquêter sur l’affaire.

Non. Il a été écrit par un Étatsunien appelé Seth Berkley. Berkley est le Pdg de GAVI, un autre mastodonte de la santé financé par la Fondation Bill & Melinda Gates.

Seth F. Berkley, Pdg de GAVI

Berkley a profité de sa tribune dans The Guardian pour affirmer que les jeunes filles décédées après avoir été vaccinées à Khammam s’étaient suicidées. Parlant des 14 000 sujets ayant participé aux essais, il a déclaré :

« Il aurait été inhabituel qu’aucun d’entre eux ne se suicide par la suite. »

La compassion est loin d’être le seul élément absent de son article. En adressant une fin de non recevoir à cette infamie, Berkley n’a pas une seule fois abordé les multiples violations de la loi et de l’éthique qui s’étaient produites, ni le rôle de Path et celui de ses employeurs, la Fondation Gates.

The Guardiana commencé à recevoir des fonds de la Fondation Bill & Melinda Gates en août 2010. Avant cet accord, en 2007, le journal avait publié deux articles distincts qui critiquaient les tactiques de lobbying utilisées par Merck pour promouvoir le Gardasil et qui mettaient en doute l’efficacité de son utilisation dans les programmes de vaccination à grande échelle.

Depuis l’accord conclu avec Gates, The Guardian a toujours publié des articles positifs sur ce médicament — et sur la vaccination contre les infections à papillomavirus humains en général.

Que s’est-il passé ensuite ?

Le gouvernement indien était réticent à prendre l’une des mesures recommandées par le comité. Après tout, des organisations comme Path ont permis à l’État, aux institutions et aux particuliers de disposer d’énormes sommes d’argent.

Siège social de la Fondation Bill & Melinda Gates

C’est ainsi qu’aucun rapport officiel sur les violations des droits humains fondamentaux n’a jamais été présenté par le gouvernement indien à l’OMS, à l’Unicef ou au gouvernement étatsunien, comme l’avait recommandé le comité permanent.

Toutefois, en 2017, le comité a annoncé qu’il n’accepterait plus les subventions de la Fondation Bill & Melinda Gates pour son Unité de soutien technique à la vaccination, une organisation qui fournit des « conseils en matière de stratégie vaccinale » et qui concerne environ 27 millions de nourrissons. Néanmoins, le gouvernement indien continue d’accepter les subventions de la même Fondation dans d’autres domaines.

Merck, et son vaccin le Gardasil, ont enregistré de très bons résultats depuis les sombres événements relatés dans cet article. Le scandale de Khammam a tellement peu été relayé en dehors de l’Inde que la firme n’en a jamais vraiment été affectée. Rien qu’en 2018, les ventes de Gardasil se sont élevées à plus de 3 milliards de dollars, grâce à son intégration dans les calendriers vaccinaux du monde entier, ainsi qu’à son lancement cette année-là en Chine.

Path ne s’est jamais aussi bien porté. Tout comme pour Merck, et grâce au silence médiatique qui a entouré les événements de Khammam, l’organisation n’a pas souffert. Depuis 2010, elle a continué de recevoir d’énormes financements de la Fondation Bill & Melinda Gates et, dans une moindre mesure, du gouvernement étatsunien. Au cours de cette période, Path a reçu de la Fondation Bill & Melinda Gates un financement de plus de 1,2 milliard de dollars.

La Fondation Bill et Melinda Gates n’a eu de cesse d’accroître son réseau d’influence. Jacob Levich décrit comme suit les pratiques de l’organisation à l’époque des événements relatés ici :

« En substance, la Fondation Bill et Melinda Gates achèterait des stocks de médicaments qui n’ont pas réussi à créer une demande suffisante en Occident, les écoulerait à un prix réduit dans les pays dits en voie de développement et conclurait des accords d’achat sur le long terme avec les gouvernements des pays dits du tiers-monde. »

La Fondation s’est depuis lors tournée vers des pâturages encore plus lucratifs. La pandémie de Covid-19 a véritablement propulsé la Fondation Bill et Melinda Gates sur le devant de la scène. Gates lui-même a vu son profil public et son influence politique croître à un point qui aurait été inimaginable même en 2019.

En dépit de son absence de qualifications scientifiques ou de mandat électoral, il insiste régulièrement sur la nécessité d’une vaccination mondiale généralisée avec des produits fabriqués par les entreprises qu’il possède, en utilisant les plates-formes qui lui sont offertes par les médias qu’il finance.

Et les filles de Khammam ?

En 2010, ces pauvres enfants et leur situation critique n’étaient même pas connus au-delà des frontières de l’Inde. Dire qu’elles ont été oubliées reviendrait à sous-entendre que personne ne les connaissait ou ne se souciait d’elles.


À propos de l’auteur :

Bernard Marx est le pseudonyme utilisé par un écrivain et enseignant basé en Irlande. Ses domaines d’intérêt sont l’histoire, la politique et la musique populaire. Vous pouvez lire la suite de son travail sur Notes from the New Normal.


Note du traducteur : 
Voir aussi sur le sujet : Dépeuplement, ID2020 et preuve d’immunité numérique – La doctrine agressive de la Fondation Gates pour une vaccination massive

Source de l’article initialement publié en anglais le 18 mai 2021 : OffGuardian
Traduction : Sott.net


[Voir aussi :
Covid et domination planétaire – Comment Bill Gates et ses amis milliardaires se sont assurés le soutien des médias
La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai problème est « l’Agenda ID2020 »
Robert Kennedy junior s’entretient avec Vandana Shiva
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore]




Conseil de Maître DiVizio aux parents inquiets d’une vaccination de leur enfant à l’école sans leur consentement parental

[Source : reseauinternational.net]

par Candice Vacle.

La vaccination contre le Covid-19 des 12-15 ans sera ouverte le 15 juin 2021 en France, pour les volontaires et avec accord des parents, avec le vaccin nouvelle technologie à ARN de Pfizer/BioNTech (Comirnaty).(([1] 20minutes.fr/2021/06/02-coronavirus-pourquoi-vaccination-ados-12-15-ans-pourrait-faire-plus-debat-autres))

Bien qu’a priori les enfants ne peuvent être vaccinés en France sans le consentement de leurs parents, l’avocat Fabrice Di Vizio, spécialiste des questions de santé, comprend que les parents puissent être inquiets que leur enfant ou adolescent soit vacciné à l’école sans le consentement parental.

Pourquoi ?

Car l’OMS tend à laisser entendre qu’il y a une présomption de consentement des adolescents (à partir de 14 ans en particulier) et que les parents ne peuvent s’y opposer, plus particulièrement quand la vaccination se fait dans l’enceinte scolaire. (à partir de la minute 15:00)

On peut remarquer qu’en Belgique la vaccination contre le Covid-19 est étendue aux 16-17 ans, sur base volontaire et sans consentement des parents.(([2] rtbf.be/detail_la-vaccination-contre-le-coronavirus-etendue-aux-16-17-ans-sur-base-volontaire-et-sans-consentement-des-parents))

Maître Di Vizio dans sa vidéo du 4 juin 2021 donne un conseil aux parents inquiets du fait que leur enfant ou adolescent soit vacciné à l’école sans leur consentement parental.

https://youtu.be/fzlg55Kks9Y

Il propose aux parents d’adresser un courrier au chef de l’établissement scolaire de leur enfant en écrivant qu’ils refusent la vaccination de leur enfant ou adolescent dans le cadre scolaire ; et il préconise de mettre un mot exprimant ce même refus dans le carnet de correspondance de l’élève, à l’attention du professeur principal. (de la minute 17:43 à la minute 18:55)

Il donne aussi deux informations juridiques sur le consentement à la vaccination contre le Covid-19 concernant les enfants et adolescents.

Pour le cas où les deux parents sont d’accord pour la vaccination de leur enfant mais pas l’enfant, normalement le médecin ne peut pas faire l’injection du vaccin. (à partir de la minute 23:05)

La vaccination d’un enfant nécessite l’accord des deux parents. Si l’un des deux parents n’est pas d’accord, il peut en informer le médecin traitant. (à partir de la minute 29:26)





Le Grand Réveil : le nouveau virus

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

Aujourd’hui je ne vais pas vous parler des drames que nous vivons, de la folie que nous subissons depuis 1 an et demi, de cette peur entretenue artificiellement par les médias, de ces « contaminés » dont les chiffres ne correspondent à aucune réalité, de ce Nouvel Ordre Mondial dans lequel on veut nous entraîner. Non, rien de tout ça.

Ce que je constate en prenant le recul nécessaire à la réflexion, c’est un phénomène planétaire étrange et à la fois extraordinaire qui vient confirmer ce dicton populaire qui dit que « tous les maux ne viennent pas pour nuire » et qu’en clair, si nous regardons le monde autour de nous, cette tragi-comédie covidienne a des aspects surprenants et des conséquences étonnantes.

D’abord un besoin de vérité. Et oui, ils ont tellement menti, tellement triché, manipulé, que notre réaction au mensonge c’est un vital besoin de vérité, la nécessité d’une véritable information pour nourrir notre réflexion. Et dans un processus naturel que nous ne maîtrisons pas, comme des anticorps s’attaquent à un élément nocif étranger dans notre organisme, notre esprit élimine les impuretés pour retrouver équilibre et santé mentale.

Nous, êtres humains possédons à l’intérieur de nous, un système de défense extraordinairement efficace pour expulser ce qui peut nous nuire et nous protéger de tout ce qui pourrait être malsain, nous guérir de ce qui pourrait avilir et affaiblir notre esprit.

Et ces anticorps de l’esprit se sont mis à l’œuvre presque instantanément pour nous protéger. Ainsi, le besoin que nous ressentons pour démontrer que nous sommes sur le chemin de la guérison, c’est justement ce besoin de vérité qui vient, comme une source d’eau claire, désaltérer les assoiffés.

C’est ce que je veux appeler le Grand Réveil.

Et ce Grand Réveil a bien plus de puissance que n’importe quel virus, n’importe quelle vraie ou fausse pandémie. Ce Grand Réveil se propage à l’échelle planétaire comme le lever du jour succède à la nuit, comme l’obscurité cède sa place à la lumière. D’un seul coup, nous comprenons tout plus clairement sans avoir à nous forcer. Tout ce qui nous semblait obscur devient soudainement éclairé, et à la place de cette oppression que nous ressentions à l’intérieur de nous, un énorme soupir de soulagement car nous nous sentons délivrés.

Et cette lueur du jour qui vient nous éblouir de sa lumière, nous permet de voir et de regarder ce monde dans sa nouvelle réalité.

On a voulu nous enfermer, nous isoler, nous couper les uns des autres et en réaction nous apprécions maintenant la saveur douce de la liberté, la chaleur de se retrouver, et un besoin intense de nous aimer car nous avons compris que les êtres humains ne peuvent être heureux que dans la fraternité, la solidarité, l’entraide et l’amour partagé.

Quel fantastique bond en avant ! Quel merveilleux retournement de situation ! Quelle extraordinaire prise de conscience, prélude au changement salutaire dont nous avons tous besoin pour retrouver notre humanité.

Nous réalisons que ce monde ancien qui disparait, emporte avec lui tout ce qui a pollué nos vies, tout ce qui nous a salis et avilis, tout ce dont nous n’avions pas vraiment besoin. Les chaînes de la servitude volontaire se brisent comme par enchantement faisant de nous des êtres nouveaux, enthousiastes à l’idée du grand changement, d’une nouvelle vie plus saine, plus vraie, plus conforme à notre nature profonde et en harmonie avec l’univers qui nous entoure. Le Grand Réveil donne naissance à une Nouvelle Vie !

Et en regardant en arrière, comme dans un immense tremblement de terre, nous voyons s’effondrer les tours de l’égoïsme dans les flammes, les buildings du matérialisme transformés en amas de pierres, les monuments du consumérisme en poussière, les temples de la perversion dans le feu des enfers… Un châtiment divin qui s’abat sur ce monde ancien pour le détruire et l’enterrer, et un chemin qui s’ouvre vers un nouveau destin plus apaisé…

Nous réalisons que tout ce dont nous avons vraiment besoin n’existait pas dans ce monde ancien et que nous n’avons rien à regretter car qui pourrait se plaindre de retrouver la vraie liberté, la vraie fraternité ?

Nous accédons à un niveau de conscience qui fait de nous des êtres nouveaux, régénérés, remplis d’empathie, de sentiments purs, prêts à donner et à recevoir de l’amour, prêts à construire un monde plus conforme à ce que nous sommes. L’amour, la plus subtile des énergies, cette énergie qui permet de déplacer des montagnes, cette énergie pure et gratuite que Dieu nous a donné et que les maîtres ce monde ancien ont étouffé car ils en connaissaient la puissance…

Et dans ce triptyque divin, le Grand Réveil, la Nouvelle Vie, l’Amour, nous réalisons que tout ce que les prophètes de malheur nous promettaient, n’a plus sa place dans ce monde nouveau. Pour nous qui sommes miraculeusement éveillés, pas de guerre civile, pas d’affrontements, pas de violences, pas d’intolérance, pas de haine. Tout ceci disparaît dans le feu et dans les ruines, que cet éveil de la Conscience a provoqué…

Nous sommes délivrés. Enfin libres !

Le mot Apocalypse signifie Révélation. Et comme le disait si justement Robert F. Kennedy :

« Nous sommes dans la dernière bataille. C’est l’Apocalypse. Nous nous battons pour le salut de l’humanité. Nous savions tous que cela allait arriver à un moment donné. Je n’ai jamais cru que ça arriverait de mon vivant, mais c’est arrivé. Nous sommes quelques chanceux, le groupe des frères et des sœurs, et nous savons quel est notre travail dans cette vie. Nous savons que nous faisons partie de cette bataille. Tout le monde ici, j’en suis certain, sait quel est son devoir et va le faire et je serai à vos côtés quand vous agirez. Je sais que vous serez à nos côtés… »

Ouvrons nos cœurs, ouvrons nos bras et transmettons à tous ceux qui sont disposés à le recevoir, ce virus de la Vérité car il donne accès à ce que nous avons de plus précieux, de plus pur, de plus contagieux : l’Amour.

Image

[Voir aussi :
Note sur les problèmes et les opportunités
La clef de la libération
Note sur l’avenir
Note sur la science, la magie et la religion
La vue, la vision et la vie
L’Effet Jupiter et la purification de l’Humanité
Mourir libre ou vivre esclave]




Covid-19 : La destruction systématique de la psyché humaine

[Source : Medien-Klagemauer.TV]

Selon AXA Assurance, les problèmes de santé mentale des personnes ont fortement augmenté pendant la crise du Covid-19. Julia Asbrand, psychologue et chercheuse à l’Université Humboldt de Berlin, a écrit, au nom de nombreux collègues, une lettre ouverte au gouvernement fédéral.
Dans tout le pays, les psychiatres pour enfants et adolescents ainsi que les psychothérapeutes tirent la sonnette d’alarme quant à l’augmentation de l’agressivité, des troubles du sommeil, de l’anxiété à l’école, des troubles alimentaires, de la dépression et de la toxicomanie chez les jeunes, voire des suicides. À ce stade, la question se pose de savoir si les mesures de confinement sont réellement justifiées, compte tenu de ces conséquences dramatiques sur la santé mentale de la population.

Pourquoi empêche-t-on par tous les moyens un débat public sur la proportionnalité des mesures anti Covid ?
Une réponse possible est fournie par David Icke, journaliste et écrivain.
Depuis 1996, il étudie intensivement les opérations de contrôle mental menées par les services de renseignement et les gouvernements. Icke analyse les mesures de confinement à travers le monde et déclare :
« Ce qui est actuellement appliqué dans le monde entier, ce sont des techniques systématiques de coercition, de contrainte et de programmation de la perception qui sont pratiquées sur les individus depuis très, très longtemps. »

Comment en arrive-t-il à des déclarations aussi radicales ?

Les mesures actuelles contre le Covid-19, telles que l’isolement, le port de masques, les peurs massives qu’on attise ou la privation de libertés, présentent des parallèles frappants avec les méthodes de la CIA visant à manipuler délibérément la conscience des gens.

Dans les années 1950, dans le cadre du projet MK-Ultra, des psychologues de renom ont étudié les techniques de manipulation de la conscience. En 1956, par exemple, le psychologue Alfred Biderman a exposé les résultats de ses recherches dans le « diagramme de coercition de Biderman ».
Ce diagramme est considéré comme un cadre de méthodes visant à briser l’esprit humain, le respect de soi et la résistance des individus.
Biderman note que la torture psychologique est « le moyen idéal pour briser un prisonnier » car « l’isolement affecte les fonctions cérébrales du prisonnier tout autant que le fait de le battre, de l’affamer ou de le priver de sommeil. » Pour briser la volonté d’une personne, il suffit de la priver de tous les contacts sociaux, de la désorienter, de perturber ses rythmes biologiques et de la soumettre à un stress massif.

Les méthodes psychologiques nommées par Biderman ont été conçues pour la destruction ciblée de la psyché humaine.

Les mesures du gouvernement contre le Covid n’ont-elles que des similitudes fortuites ou sont-elles intentionnelles ?

  1. Isolement :
    Briser la force de résistance des victimes en retirant le soutien social de la famille ou des amis. Cela se fait par le biais du confinement, du travail à domicile, de l’enseignement à domicile, etc.
  2. Monopolisation de la perception :
    Fixer constamment l’attention sur la situation actuelle difficile. Une telle fixation sur le Covid n’est obtenue qu’en diffusant continuellement des informations dominantes sur le Covid qui excluent toutes les autres perceptions, c’est-à-dire les autres opinions.
  3. Atteindre l’épuisement, affaiblir la force de résistance :
    En interdisant tout ce qui est amusant, en imposant de lourdes charges, comme l’enseignement à domicile, les gens s’épuisent de plus en plus.
  4. Cultiver les peurs :
    Des peurs massives sont créées par des scénarios d’horreur constamment répétés.
  5. Assouplissements occasionnels :
    … ils provoquent une motivation à être docile, créent un espoir de changement, qui est sans cesse déçu. Cela crée une dépendance des victimes et réduit leur résistance. Les espoirs d’une fin rapide d’un confinement sont toujours déçus. À Noël, des concessions ont été faites, pour être ensuite annulées. Toujours de nouvelles perspectives d’assouplissement : Si nous descendons en dessous d’un taux d’incidence inférieur à XY, alors…
  6. Diminuer l’estime de soi en dégradant et en imposant des exigences insensées :
    De nombreuses mesures sont perçues par les gens comme contradictoires, dénuées de sens et arbitraires, telles que le port d’un masque pour se promener, des taux d’incidence douteux, l’ouverture de grandes surfaces et la fermeture de petits magasins, etc.…
  7. Développer une accoutumance à la situation exceptionnelle :
    Plus l’espoir d’une fin rapide du confinement est déçu, plus les gens sont censés s’habituer à cette situation inévitable.

Selon David Icke, les autres moyens sont les menaces en cas de violation et les assouplissements occasionnels en cas d’obéissance, ainsi que la démonstration de l’omnipotence. Plus les consignes sont triviales, stupides et ridicules, plus la dignité humaine est détruite. Le port de masques est un élément central de la guerre psychologique. Cela déshumanise et rend anonyme.

David Icke voit dans les ordres constamment changeants et contradictoires du gouvernement non pas de l’incompétence, mais de la méthode. Tout cela conduit à rendre les gens si dociles qu’ils ne devraient plus avoir leur propre raisonnement, leur propre perception et leur propre opinion. Pourquoi ?

Il est évident que les personnes psychologiquement affaiblies ne sont utiles que pour la mise en œuvre du « Great Reset » proclamé par le Forum économique mondial. Le but est de rendre les gens dociles à des changements planifiés de longue date qui sont tout à l’avantage des oligarques financiers et au détriment absolu des peuples.

Derrière les belles promesses de justice sociale et de nouveau départ écologique se cache l’imposition d’un despotisme global et totalitaire d’une minorité qui, totalement absorbée par elle-même, veut T O U T posséder et contrôler.

Cependant, selon David Icke, cela ne fonctionne que tant qu’une population désorientée, divisée, intimidée ou flegmatique laisse tout cela lui arriver, sans aucune réflexion et sans coordination.
Face à une grande résistance, tout ce « cirque » éclaterait immédiatement !

de rw., ag.


[Voir aussi :
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19]


Sources/Liens :

Anstieg psychischer Erkrankungen:
https://www.youtube.com/watch?v=V3WheSUqOpQ

Anstieg Psychischer Probleme bei Kindern und Jugendlichen:
https://www.welt.de/wissenschaft/article226432247/Corona-Mehr-Kinder-und-Teenager-brauchen-psychiatrische-Hilfe.html

Forschungsergebnisse zu psychologischer Kriegsführung, MK-Ultra, Geheimdienste, Biderman u.a.:
Wissenschaftlicher Artikel „Foltern für das Vaterland: Über die Beiträge der Psychologie zur Entwicklung von Techniken der weißen Folter“ von Prof. Rainer Mausfeld, April 2009;
http://www.uni-kiel.de/psychologie/psychophysik/mausfeld/Mausfeld_Psychologie%20und%20Folter.pdf

David Icke: „Die systematische Zerstörung der menschlichen Psyche“ vom 17.11.2020:
www.youtube.com/watch?v=Asi0XpTxi7E

Bidermans Diagramm des Zwangs:
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1806204/pdf/bullnyacadmed00378-0046.pdf
https://www.strath.ac.uk/media/1newwebsite/departmentsubject/socialwork/documents/eshe/Bidermanschartofcoercion




Macron trahit la « start-up Nation », les GAFAM raflent la mise

[Source : Le Fil d’Actu – Officiel]




Ça ne fait pas plus mal qu’une « bine » — Le geste de Christian Dubé et ses acolytes est-il si innocent qu’on veut bien nous le faire croire ?

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

[Ndlr : « bine » terme québécois pour « coup de poing »]

Par Guy Boulianne

Dans un article paru le 20 mai 2021, j’écrivais ceci : « J’aimerais bien savoir où se situe la frontière exacte entre le « complotisme » et le fait de se poser des questions légitimes vis-à-vis des événements qui se déroulent sous nos yeux. Il faut admettre que les personnes qui ont le droit au micro en cette société s’ingénient souvent à semer des doutes dans l’esprit de la population. Comme si tout cela était volontaire afin de maintenir la population dans la confusion la plus totale. N’est-ce pas là une manière de conserver le contrôle sur le mental des individus qui ne savent plus trop « à quel saint » se vouer pour faire le tri entre la vérité et le mensonge ? » Évidemment, je conserve toujours ce même point de vue aujourd’hui.

Le 4 mai dernier, le ministre de la Santé Christian Dubé a surpris les internautes avec la publication d’une publicité silencieuse invitant les Québécois(es) à se faire vacciner. On le voit faire un rond avec les doigts de sa main droite en fixant la caméra avec un sourire étrange. Un message suit en mentionnant : « Ça ne fait pas plus mal qu’une “bine”. Fais-toi vacciner. ». Ce signe des doigts, qui forme un « OK », ferait référence au circle game ou « jeu du rond », fort populaire auprès des adolescents. Si le regard d’autrui est porté vers le signe à la hauteur des hanches, le « perdant » peut recevoir une « bine ». On peut lire dans la publication du ministre : « Si t’as regardé, je t’en dois une », sous-entendant que le vaccin ne fait pas plus mal qu’une bine (je suis désolé, mais quiconque a déjà reçu une « bine » sur l’épaule, sait que cela fait plutôt mal). Le même jour, la cheffe du Parti libéral, Dominique Anglade, et la co-porte-parole de Québec solidaire, Manon Massé, ont toutes deux imité M. Dubé dans leur propre version de la vidéo. Chacune s’est fait reprocher de véhiculer un symbole des suprémacistes.

Les politiciens jouent les ignorants. Le premier ministre du Québec, François Legault, écrit sur sa page Facebook : « Vraiment pas sûr de comprendre de quoi on parle, mais comme le dit Christian, faites-vous vacciner! » Quant à elle, la co-porte-parole de Québec solidaire, Manon Massé, écrit sans gêne : « J’ai pas encore compris, mais si ça peut aider… », tandis que la cheffe du Parti libéral, Dominique Anglade, mentionne : « J’ai aussi regardé la vidéo, et ça ne fait pas plus mal qu’une « bine ». Fais-toi vacciner ! » Est-ce à dire que ces politiciens sont disposés à faire n’importe quoi — « en toute méconnaissance de cause » — avec l’argent des contribuables ? On dirait bien à la lueur de ce que l’on voit ici …


« Pour communiquer avec ses affiliés sans être compris des autres gens, il emploie des signes convenus d’avance » (Commentaires de « Bible annotée »)


S’agit-il d’un geste innocent ?

Signe, doigts, 666

Les médias “mainstream” prétendent que le geste posé par Christian Dubé et ses acolytes fait référence au « jeu du rond ». À l’origine, ce qu’on appelle le « jeu du rond » est généralement joué par les adolescents, et il consiste à faire regarder ce signe par une autre personne. Si on réussit, cela donne le droit de faire une « bine » à celui qui a regardé. Mais dans les commentaires sous les publications des politiciens, alors que certains s’interrogent sur le sens de la vidéo et du symbole, d’autres rappellent que le signe de rond fermé, quand il est montré dans les airs, est en fait un signe de la main récupéré par des groupes suprématistes.

En Grande-Bretagne, la Ligue de l’anti-diffamation l’a placé dans son document « Hate on Display » en l’an 2000. L’Anti-Defamation League tient à souligner que le plus souvent, le symbole signifie que tout va bien : « L’utilisation écrasante du geste de la main aujourd’hui est toujours son objectif traditionnel. » Personnellement, je ne crois pas que ces politiciens aient souhaité utiliser un symbole suprématiste. C’est la raison pour laquelle il faut savoir utiliser les symboles avec parcimonie, surtout venant de politiciens ayant une haute responsabilité sociale. Comme je l’écrivais le 29 avril dernier, on doit comprendre qu’il faut utiliser les symboles avec intelligence, car ceux-ci peuvent avoir une connotation insoupçonnée. Le symbole montre, réunit et enjoint. Selon l’encyclopédie Universalis :

« Le symbole, d’abord, montre ; il rend sensible ce qui ne l’est pas : valeurs abstraites, pouvoirs, vices, vertus, communautés. Il ne s’agit pas de la simple analogie, régie par la conjonction « comme ». « Laid comme un crapaud » ne signifie pas que le crapaud est le symbole de la laideur, privilège qu’il partagerait… avec les sept péchés capitaux ! On dit d’ailleurs aussi « laid comme un pou ». En d’autres termes, le symbole est exclusif. Le courage ne saurait être symbolisé que par le lion, lequel, d’ailleurs, n’accepte que difficilement de symboliser autre chose (l’orgueil est plutôt symbolisé par le paon). C’est qu’il faut que chacun puisse reconnaître le symbole comme tel, qu’il n’y ait pas de contestation quant à son contenu et son sens. On voit par là qu’il a une valeur pour le groupe, pour la communauté, pour la société, qu’il a pouvoir de rassemblement, de consensus, en d’autres termes que le symbole est social. »


guy.boulianne · Publicité de Christian Dubé : le message aura-t-elle la portée espérée chez les adolescents?

Le pasteur Paul Ballière écrivait en 2017 : « Depuis quelques années, un signe d’envergure mondiale, apparaît de plus en plus dans notre quotidien; si fréquent que l’on n’y prête pas attention. Ce signe, ou signal, est l’un des gestes des mains le plus couramment utilisé ces derniers temps. Il se réalise en connectant l’index et le pouce de la main, formant un cercle et en laissant les trois autres doigts étendus en l’air ; peu importe si c’est la main gauche ou droite. » En général, dans la partie occidentale du monde, il est interprété comme voulant dire « c’est bon », « approuvé » ou « apprécié ». Il convient de noter que cette interprétation a été promue et popularisée par l’influence subtile de la propagande des médias, ainsi que des magazines, et des centres commerciaux.

Comme beaucoup d’autres signes ou gestes, il a un sens beaucoup plus sombre et beaucoup plus profond dans les cercles occultes. Dans une large mesure, sa signification passe inaperçue parce que le système de la culture moderne est conçu de telle manière que ce genre de signe devient une mode ; sa signification originale, particulièrement sombre, est donc imperceptible. Comme le signe « des cornes », popularisé par des groupes de Heavy Metal, il semble que ce signe a été propagé, lui aussi, ces dernières années, par des groupes de rock, certains chanteurs et rappeurs, de nombreux artistes influents, et l’industrie populaire de la musique.

Dans ce contexte, quelle est la signification de ce signe ? L’Apocalypse évoque le nombre de la Bête (l’anti-Christ) : 

« C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence, calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. » 

(Apocalypse 13:18)

Dans le satanisme, l’inclinaison des trois doigts en l’air, forme trois six, 666. En raison du contexte et de son utilisation, et souvent combiné avec d’autres symboles ou signes occultes, le signal « OK » prend un sens différent, avec une toute autre signification que : « c’est bon ». Dans la philosophie des illuminati, le signe « OK » devient une approbation et une annonciation de la venue du « Seigneur de la lumière », que nous connaissons comme l’Antéchrist, ou la Bête du livre de l’Apocalypse.

Quoi qu’on en pense, il demeure étrange que les publications récentes de Christian Dubé et ses acolytes rejoignent symboliquement les publicités de Urbania que le Gouvernement du Québec a soutenu il y a quelques temps. Voici ce que j’écrivais sur Facebook le 12 avril 2021 : « Le Gouvernement du Québec a apposé sa signature satanique dans les publicités de Urbania concernant ses projets d’électrification de la province, d’économie verte, d’énergies renouvelables et de villes intelligentes. C’est ce qui se prépare en douce pendant que la population est en confinement, dirigée avec une main de fer sous le couvert du couvre-feu. » Mon compte Facebook fut fermé quelques heures après cette publication.


« L’homme pervers, l’homme inique, Marche la fausseté dans la bouche; Il cligne des yeux, parle du pied, Fait des signes avec les doigts; La perversité est dans son coeur, Il médite le mal en tout temps, Il excite des querelles. »

(Proverbes 6:12-14)



RÉFÉRENCES :



Les écoles australiennes doivent cesser d’appeler les enfants « garçons et filles »

[Source : anguillesousroche.com]

[Note de Joseph : l’homogénéisation et l’uniformisation représentent un mouvement qui va dans le sens du chaos, conforme à la logique franc-maçonne de la construction d’un Nouvel Ordre Mondial en passant d’abord par la destruction. Ce mouvement est contraire à celui de l’organisation des formes et structures (sociales et autres) par la Conscience. Et il l’est d’autant plus qu’il tend à couper les êtres humains de leur essence en leur faisant développer une vision et une approche matérialistes de la vie.
Voir notamment La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos)
et Le Nouvel Ordre Mondial par le chaos.]

En Australie, des enseignants ont reçu l’ordre d’imposer à leurs élèves un programme « woke » d’extrême gauche et de cesser d’appeler les enfants « garçons et filles » afin de rendre la classe plus neutre sur le plan du genre.

Selon les nouvelles directives en matière d’éducation, les enseignants doivent utiliser des termes tels que « autre » et éviter de qualifier les choses de « normales » afin de mieux intégrer les minorités.

Ces directives invitent le personnel scolaire à transmettre aux enfants les craintes liées à « l’urgence du changement climatique » et à promouvoir la « superdiversité ».

C’est ce que rapporte Dailymail.co.uk : Un chapitre du livre, édité par des universitaires de l’université Monash, encourage les enseignants à « s’engager à dire la vérité sur la réalité de la dégradation du climat ».

« Une politique associée devrait être utilisée pour rassembler la communauté scolaire, en s’appuyant sur l’énergie, les idées et les capacités de cette dernière, même si cette politique est susceptible d’être exigeante et d’une grande portée », peut-on lire dans le livre.

Le livre – Building Better Schools with Evidence Based Policy – indique également aux enseignants qu’ils peuvent promouvoir l’inclusion dans la classe s’ils « embrassent activement la diversité ».

Le terme « anglais en tant que deuxième langue » devrait être remplacé par l’expression « émergent – bilingue » pour donner plus d’assurance aux élèves qui parlent plusieurs langues.

Les termes « garçons et filles » devraient également être retirés de l’usage courant dans les écoles, suggère le livre.

Défendant son chapitre sur le climat, l’auteur universitaire Alan Reid a déclaré que les enseignants devraient encourager les élèves à débattre des concepts qu’il soulève.

« Une école peut également écouter et contester certains points de vue, et préciser ce qui reste à la porte de l’école, pour ainsi dire, étant donné le contrat social en matière d’éducation », a-t-il déclaré au Daily Telegraph.

Kel Richards, animateur radio de Sydney, a déclaré qu’essayer de supprimer le mot « normal » de l’usage en classe était voué à l’échec.

« Quoi qu’ils fassent en classe, quoi qu’ils disent, quel que soit le rapport publié, le mot “normal” sera toujours là et nous l’utiliserons toujours », a-t-il déclaré.

Cette révélation intervient quelques semaines après qu’il a été révélé que les écoles de Melbourne étaient invitées à utiliser des pronoms neutres et à remplacer « maman et papa » par « parent » dans le cadre d’une campagne visant à améliorer l’inclusion des étudiants LGBTQI+.

Les toilettes unisexes, les équipes sportives non mixtes et le déploiement de drapeaux arc-en-ciel sont également recommandés pour améliorer l’inclusion.

Certaines écoles sont même encouragées à empêcher les enseignants et les élèves d’utiliser des mots tels que « maman »« papa » et « petit ami », dans une tentative controversée de bannir les mots sexués.

Les mots « parent » et « partenaire » sont préférés.




Le wokisme est plus une idéologie religieuse que politique

[Source : Contrepoints]

Par Charles Castet

Is it therefore infallibly agreeable to the Word of God, all that you say ? I beseech you, in the bowels of Christ, think it possible you may be mistaken. 
[Tout ce que vous dites est-il donc infailliblement conforme à la Parole de Dieu ? Je vous en supplie, dans les entrailles du Christ, pensez qu’il est possible que vous vous trompiez.]

 Olivier Cromwell, Lettre à l’assemblée générale de l’Église d’Écosse – 3 août 1650

Le wokisme en tant que phénomène religieux est la proposition que le système de croyance actuel décrit ou auto-décrit sous les vocables alternatifs de progressiste, universaliste, politiquement correct ou plus exactement woke se comprend d’autant mieux s’il est considéré comme une branche du christianisme.

Plus spécifiquement s’il est vu comme une descendance non-théiste de la branche calviniste, plutôt que comme un phénomène politique désigné sous le vocable péjoratif de marxisme culturel. Le wokisme sera défini simplement par la conscience de l’existence d’injustices sociales et raciales et l’impératif d’agir pour les résoudre.

L’affirmation peut surprendre.

Quelle continuité entre certaines sociétés du XVIe siècle où la dévotion joue un rôle central autour de quatre points du calvinisme résumés de la manière suivante au synode de Dordrecht :

  • l’élection conditionnelle
  • l’expiation illimitée
  • la dépravation totale
  • la résistibilité de la grâce

Quel rapport entre le synode de Dordrecht et les célébrations sur le lieu de la mort de George Floyd ?

MISE EN PERSPECTIVE DU WOKISME

Il convient de rappeler deux choses.

D’abord la filiation intellectuelle entre christianisme et communisme (pour l’approuver ou la condamner) a été établie par des personnalités aussi diverses que Dostoïevski, Aron, Camus ou Arendt.

Dostoïevski écrivait dans la préface de son livre Les Frères Karamazov que la question du communisme n’avait rien à voir avec la question ouvrière mais qu’il s’agissait en fait de la création du royaume de Dieu sur Terre et de la tour de Babel renversée (faire venir la divinité et non pas chercher à l’atteindre comme dans le récit biblique original). Cela reste une réponse littéraire à une idéologie politique inédite.

Néanmoins dans L’Opium des intellectuels Raymond Aron a affiné l’intuition de l’écrivain russe en analysant les diverses filiations entre le prolétaire sauveur collectif chez Marx et le Messie sauveur collectif dans la Bible, la similitude entre le Parti et l’Église.

Dans L’Homme révolté, Camus disait que le communisme est une prophétie. Toute prophétie se justifie par une révélation divine, jamais par la raison humaine.

Ensuite, comment cette filiation a-t-elle été analysée ?

Dans son livre Aron ne s’intéresse pas aux croyances surnaturelles à propos du monde surnaturel. Mais construire le royaume de Dieu sur Terre est une action physique et si cette croyance est un impératif moral alors elle aura forcément des effets dans le monde réel.

Aron fonde sa démonstration du lien entre christianisme et communisme en s’inspirant de la cladistique de la manière suivante : l’existence d’une généalogie intellectuelle, un état d’esprit similaire, un mode de reproduction idéologique commun, des mêmes haines, des propositions qui ne sont pas consistantes avec la raison humaine et qui ont un fort caractère morbide.

Donc entre les principes de Dordrecht et le wokisme, quels liens pouvons-nous tirer sachant que :

  1. Le concept de christianisme non-théiste est cohérent.
  2. Le wokisme est mieux compris comme une secte du christianisme non théiste.
  3. Cette secte est la version la plus répandue du christianisme aujourd’hui.
  4. Elle inclut des propositions qui ne sont pas consistantes avec la raison humaine.
  5. Ces propositions contiennent un fort caractère morbide.

La cohérence du premier point a été démontrée dans les écrits mentionnés plus haut.

LE GOUVERNEMENT DES SAINTS

Pour le second point, qu’est-ce qui rapproche le calvinisme du wokisme ? Indépendamment des points théologiques qui apparaîtront incongrus au lecteur de 2021, les régimes politiques issus du calvinisme (la République de Genève, le gouvernement des Saints) avaient un double objectif : instaurer le royaume de Dieu sur Terre et la totale droiture.

Afin d’atteindre ces buts le système de gouvernement avait les caractéristiques suivantes : un contrôle social inédit pour l’époque, un amour pour la vérité officielle hors les questions théologiques, une obsession de la pureté morale et des relations sociales devenues pathologiques.

Comme Stefan Zweig le décrit dans Conscience contre violence :

Pour ce rabaissement draconien de la personnalité, pour ce dépouillement complet de l’individu au profit de la collectivité, Calvin applique une méthode particulière, la fameuse « discipline ». Dès la première heure, cet organisateur génial enferme son « troupeau », sa « communauté » dans un réseau serré d’articles et d’interdictions – les fameuses « ordonnances » – et crée en même temps un office spécial pour en surveiller l’exécution, le Consistoire, dont la tâche est définie d’une façon extrêmement équivoque : « surveiller la communauté afin que Dieu soit proprement honoré ». Mais c’est seulement en apparence que ce contrôle des mœurs est limité à la vie religieuse. Par suite de la liaison complète entre le terrestre et le spirituel dans la conception totalitaire de Calvin, toute la vie privée tombe désormais automatiquement sous la surveillance de l’État ; c’est ainsi qu’il est prescrit aux sbires du Consistoire, aux « anciens », d’ouvrir l’œil sur l’existence de chacun. Rien ne doit échapper à leur attention, « non seulement les paroles, mais aussi les opinions et les idées sont à surveiller. »

Zweig continue :

Cette Gestapo des mœurs fourre son nez partout. Elle s’assure que les robes des femmes ne sont ni trop longues ni trop courtes, qu’elles n’ont pas de ruches superflues ou des jours exagérés, compte les bagues que l’on a aux doigts et les chaussures qui sont dans l’armoire. Du cabinet de toilette elle passe à la salle à manger, pour voir si l’on n’a pas ajouté au seul plat permis une petite soupe ou un morceau de viande, ou si l’on n’a pas caché quelque part des friandises ou de la confiture. Et le pieux policier poursuit son inspection dans toutes les pièces. Il regarde dans la bibliothèque pour savoir si elle ne contient pas de livres ne portant pas le sceau de la censure consistoriale, fouille dans les tiroirs pour voir si par hasard on n’y a pas caché une image sainte ou un chapelet.

Un siècle plus tard en Angleterre pendant la guerre civile, un autre trait se manifeste, l’iconoclasme.

Le catéchisme du soldat recommande d’ailleurs en cette année 1644 de délivrer définitivement le pays des chefs-d’œuvre de l’art médiéval ou baroque qui détournent de la vraie foi. Cette fureur destructrice ne porte pas tant sur les édifices eux-mêmes, relativement épargnés, que sur les tableaux ou les sculptures représentant Dieu le Père, le Fils ou le Saint-Esprit, sans oublier les statues de la Vierges, les chérubins, les ora pro nobis et autres formules latines délictueuses qui assaillent l’âme de leurs troubles pensées. Bernard Cottret – Cromwell

Suite à la restauration monarchique anglaise en 1660, les branches du protestantisme exilées d’Europe ont fondé des colonies théocratiques aux États-Unis, se sont transfigurées dans le messianisme américain. Leurs pouvoirs se sont accrus en proportion de l’émergence des États-Unis comme superpuissance et les victoires militaires successives, que ce soit dans la guerre d’Indépendance, la guerre de Sécession, les deux guerres mondiales.

Prenons une de ces étapes intermédiaires clés de cette mutation décrite dans World War I as Fulfillment: Power and the Intellectuals de Murray Rothbard :

Also animating both groups of progressives was a postmillennial pietist Protestantism that had conquered Yankee areas of northern Protestantism by the 1830s and had impelled the pietists to use local, state, and finally federal governments to stamp out sin, to make America and eventually the world holy, and thereby to bring about the Kingdom of God on earth […] The crucial role of postmillennial pietist Protestantism in the drive toward statism in the United States. Dominant in the Yankee areas of the North from the 1830s on, the aggressive evangelical form of pietism conquered Southern Protestantism by the 1890s and played a crucial role in progressivism after the turn of the century and through World War I. Evangelical pietism held that requisite to any man’s salvation is that he do his best to see to it that everyone else is saved, and doing one’s best inevitably meant that the State must become a crucial instrument in maximizing people’s chances for salvation. In particular, the State plays a pivotal role in stamping out sin, and in making America holy.
[Ces deux groupes de progressistes étaient également animés par un protestantisme piétiste post-millénaire qui avait conquis les régions yankees du protestantisme nordique dans les années 1830 et qui avait poussé les piétistes à utiliser les gouvernements locaux, étatiques et finalement fédéraux pour éradiquer le péché, pour rendre l’Amérique et finalement le monde saint, et ainsi apporter le Royaume de Dieu sur terre […] Le rôle crucial du protestantisme piétiste post-millénaire dans la poussée vers l’étatisme aux États-Unis. Dominante dans les régions yankees du Nord à partir des années 1830, la forme évangélique agressive du piétisme a conquis le protestantisme du Sud dans les années 1890 et a joué un rôle crucial dans le progressisme après le tournant du siècle et pendant la Première Guerre mondiale. Le piétisme évangélique soutenait que le salut de tout homme exigeait qu’il fasse de son mieux pour que tous les autres soient sauvés, et faire de son mieux signifiait inévitablement que l’État devait devenir un instrument crucial pour maximiser les chances de salut des gens. En particulier, l’État joue un rôle central dans l’éradication du péché et dans la sanctification de l’Amérique.]

Un cas particulièrement frappant qui s’est déroulé quelques décennies après la période décrite par Rothbard, dans cet article du Time Magazine de 1942 : un programme politique élaboré par le conseil fédéral des églises (issues de la branche principale du protestantisme avec des racines calvinistes) se révèle être très proche du wokisme de 2021 et est décrit par le journaliste comme « super-protestant ».

Entre 1942 et 2021, la version sécularisée est apparue à travers le credo de l’amour universel pendant les décennies 1960-1970 lors du mouvement de la contreculture.

LE TRIOMPHE DE L’IRRATIONNEL MORBIDE

Avant d’aborder le quatrième et le cinquième point, pourquoi cacher la généalogie et le lien direct entre les puritains et dissidents anglais d’hier et les wokistes d’aujourd’hui ?

D’abord parce que le progrès des connaissances fait qu’un propos est plus facilement crédible s’il est présenté comme étant le fruit de la raison plutôt que comme provenant d’une révélation divine.

Une autre raison ensuite, un wokiste n’admettra jamais être le descendant direct du calvinisme surtout parce qu’il tient son credo comme universel et qu’aucun individu dans le monde ne peut en douter indépendamment de sa religion ou de son absence de religion.

Un élément qui contredit l’universalité du wokisme est son inégale implantation géographique. Né aux États-Unis, il est nettement répandu dans les pays anglo-saxons, plus faible en Europe continentale et quasiment absent en Asie et en Afrique si ce n’est en Corée du Sud dont un bon quart de la population est protestante.

Cette implantation est confirmée par les localisations géographiques des protestations de BLM. Que dit la cartographie officielle du mouvement ? Que les protestations se déroulent surtout au Royaume-Uni, Pays-Bas, Allemagne du Nord, et Scandinavie, moins en France, en Espagne, en Italie, et autre pays d’Europe centrale et de l’est. Elles sont quasiment inexistantes ailleurs.

Les discours wokistes suivent le même modèle que la diatribe de l’actrice Adèle Haenel à 29:55 :

Tout y est : la Faute, l’angoisse, la culpabilité, le repentir, le désir d’absolution, l’espoir d’être débarrassé du péché, la construction individuelle du salut, la quête (individuelle) vers la plus grande droiture, et enfin la conversion.

Que faire puisque nous vivons une époque de fièvre religieuse et que les discussions ont quitté tout champ rationnel ?

Dans sa biographie de Cromwell, l’historien Bernard Cottret décrit fort bien le climat d’hallucination spirituelle de l’époque où les protestants pensaient que le Pape était l’antéchrist qui recevait ses instructions directement du diable. Les catholiques n’étaient pas en reste avec l’Inquisition.

Que faire dans une perspective libérale ? Il resterait à choisir le retrait comme Montaigne en attendant que la fièvre baisse ou bien apporter une parole discordante pour défendre la liberté comme Raymond Aron dans les années 1950.




Éoliennes : du rêve aux réalités

[Source : Documentaire et Vérité]

Recueillant près de 80% d’opinion favorable, les éoliennes sont en quelques années devenues le symbole de la transition énergétique. Quels enseignements politiques, sociaux, économiques et environnementaux peut-on tirer de leur multiplication ? Le rêve est-il en phase avec la réalité ? Professionnels, experts et riverains nous dévoilent les envers du décor.

Pour en savoir plus : https://eoliennes-lefilm.com
Pour soutenir l’association et faire un don :
Éoliennes : du rêve aux réalités – Documentaire et Vérité (documentaire-et-verite.com)

SOMMAIRE :
00:00 Introduction
09:30 Stockage et intermittence
18:15 Le modèle allemand
22:45 Système européen
31:09 Toujours du vent quelque part ?
33:19 Du vent dans le gaz
39:28 Oil, GAFA & black-out
45:12 Pour une sortie du nucléaire ?
52:00 Quand le vent se transforme en or
58:58 L’installation d’un parc
1:05:43 Une chance pour l’emploi ?
1:11:41 Une énergie bon marché ?
1:19:37 Une fabrication verte ?
1:26:40 Eoliennes, mon amour ?
1:37:01 Dénis démocratiques ?
1:47:29 Le salut par l’offshore ?

INTERVENANTS :
Cette plongée dans l’univers des éoliennes a été l’occasion de réunir quelques-uns des plus éminents experts de l’énergie, parmis lesquels :

  • Jean-Marc Jancovici : ingénieur et directeur du Shift Project
  • Hervé Machenaud : ancien directeur de la production d’EDF
  • Jacques Percebois : directeur du centre de recherche en économie et droit de l’énergie
    D’autres personnalités, comme Henri Proglio (ancien président directeur général d’EDF), Dominique Finon (directeur de Recherche honoraire au CNRS) ou bien encore Antoine Waechter (candidat des Verts à l’élection présidentielle de 1988) apportent leur éclairage aux Français

L’ASSOCIATION :
Le projet est porté par une association loi 1901, Documentaire et Vérité, dont l’objectif est le financement participatif de documentaires basés sur des faits vérifiables et des experts reconnus, accessibles gratuitement et diffusés en ligne.

LE FINANCEMENT :
Destiné à être diffusé gratuitement au plus grand nombre, ce projet d’envergure a été exclusivement financé par des citoyens par le biais d’une campagne de crowdfunding organisée sur le site de l’association. Ce financement participatif a récolté plus de 100 000 € de la part de près de 1 000 contributeurs, révélant une fois de plus l’importance du sujet éolien en France.




L’Affaire AstraZeneca. Des victimes témoignent

[Source : breizh-info.com]

Nous évoquions hier le premier reportage d’Armel Joubert des Ouches, journaliste indépendant, suite à la censure dont il est victime concernant sa première enquête au sujet de la vaccination liée au Covid-19. Il en a réalisé une autre, elle aussi censurée, intitulée L’Affaire AstraZeneca, qui regroupe des témoignages, notamment de victimes.

L’affaire AstraZeneca, c’est l’histoire d’un scandale sanitaire occidental qui a vu des personnes en parfaite santé mourir peu après l’injection d’un vaccin produit par la multinationale pharmaceutique suédo-britannique. Le sujet est grave : l’enquête est rigoureuse, menée par des journalistes professionnels.

Nous sommes partis à la rencontre de médecins, de proches des victimes décédées quelques heures après l’injection du vaccin et de témoins de ces drames humains auxquels les médias mainstream refusent la parole, que les GAFA censurent impitoyablement.

Les victimes de cette affaire sont mortes deux fois : par des thromboses et par le silence coupable du pouvoir politico-médiatique.

Journalistes professionnels, nous avons décidé de briser le tabou. Par devoir de solidarité, par respect de la personne humaine, et en hommage aux victimes, nous n’avions pas le droit de nous taire. Vous non plus !

Voici le lien pour voir le reportage, et soutenir son réalisateur



Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Reiner Fuellmich – notre travail avance bien mais attention aux fausses rumeurs

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Nous recevons l’avocat allemand Reiner Fuellmich, une nouvelle fois pour un debriefing exclusif sur l’avancée des travaux du groupe d’experts qui forment le Comité Corona.

Beaucoup d’informations erronées ont circulé sur l’action qu’il mène avec un groupe d’avocats de plusieurs pays. Nous avons tenu à ce que Dr Fuellmich puisse apporter les réponses lui-même aux questions qui ne manquent pas d’enflammer les réseaux sociaux.

Les messages qui circulent sur les réseaux sociaux sont trop souvent « augmentés » rapportés de site en site, d’email en email avec des additions qui entrainent une déviation du message originel factuel.

Dr Fuellmich confirme travailler avec un groupe d’expert de moins de 100 personnes alors que l’on peut lire que ce groupe comprend parfois plus de 1000 avocats. Comme il dit :

« Seules quelques bonnes personnes suffisent »

Après un mise jour sur la procédure en cours, il répond à nos questions afin d’apporter une clarification nécessaire , très conscient du fait que la désinformation fait rage et sert possiblement à dénigrer ou dévaloriser l’action que son groupe mène.

Au risque d’en décevoir certains, il confirme qu’il y aura un procès, mais cela ne commencera pas le 3 juillet 2021 comme on a pu le lire sur le net.  Pas plus que ce ne sera un Nuremberg 2.0 mais plutôt un Tribunal International établi spécifiquement pour la crise du Corona.

Retrouvez le debriefing complet du Dr Fuellmich

Version Originale sous titrée en français



Version Originale en anglais



Auteur(s): FranceSoir


[Voir aussi :
État actuel de la procédure judiciaire menée par le Dr Fuellmich
Reiner Fuellmich : “Je vois une lumière à la fin de ce tunnel !”
La Dictature médicale Secrète : Entretien historique entre la rescapée de l’holocauste Vera Sherav et l’avocat Reiner Fuellmich]




Le culte de la virologie – Documentaire

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

“Le culte de la virologie, 150 ans de fraudes médicales de Pasteur au Covid-19” est un documentaire retraçant l’histoire de la théorie des germes jusqu’aux techniques de la virologie moderne.

Sont abordées en détail les méthodes et techniques frauduleuses que les scientifiques ont utilisés pour créer de toutes pièces un scénario d’épidémie catastrophe ayant plongé le monde dans une hystérie massive jamais vue auparavant.
Il est abordé par le biais de différents intervenants tels que le Dr. Stefan Lanka, le Dr. Andrew Kaufman, le Dr. Robert O. Young, le Dr. Thomas Cowan, le nutritionniste Jeff Green et le Dr. Alain Scohy les différentes failles dans le scénario présenté par les médias et experts en tous genre.

L’isolement des virus, les tests PCR, le séquençage nouvelle génération, la bio-informatique, les mutants, la théorie des germes, les processus de contagion, la vaccination et l’origine véritable du fameux “SARS-CoV-2” n’auront plus de secrets pour vous après ce visionnage.



Sous-titres et adaptation par https://cv19.fr

Sources :

[Voir aussi :
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
La théorie des exosomes contre celle des virus
Vaccins: le système immunitaire ne fait plus la différence entre ce qu’il doit rejeter et lui-même
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?
5G, virus et covid-19]




Mails de Fauci : l’AFP savait-elle pour l’origine du virus ?

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Dans les emails des FauciLeaks récemment dévoilés, une découverte de taille page 3123 : on y apprend que l’AFP était au courant de la fabrication du virus depuis le 31 janvier 2020. A-t-elle enterré l’affaire ?

Voir aussi : L’indépendance sanitaire des Français entre les mails du Pr Delfraissy et Anthony Fauci

Depuis le 31 janvier 2020

L’AFP, par le biais du journaliste Issam Ahmed, écrivait au Dr Barney Graham du NIH (National Health Institute) au sujet d’une demande assez urgente un vendredi soir. Le journaliste demandait un avis sur une étude scientifique qui venait juste d’être publiée sur le serveur Biorxiv.org. L’article affirmait que le nouveau coronavirus comprenait quatre insertions similaires au VIH-1, et que ce n’est pas une coïncidence.

Le journaliste demandait des informations sur cet article écrit par des chercheurs indiens, qui sera plus tard rétracté sous la pression, nous a déclaré le mathématicien Jean-Claude Perez.

Sur le site du NIAID (Institut national des allergies et des maladies infectieuses), on peut lire que Dr Barney Graham est le directeur adjoint du centre de recherche sur les vaccins, chef du laboratoire de pathogenèse virale et noyau de science translationnelle. Ses principaux domaines de recherche sont le développement de vaccins et d’anticorps monoclonaux pour COVID-19, RSV, grippe, EV-D68, Nipah, Zika, VIH, Ebola et d’autres agents pathogènes émergents viraux, la conception de vaccin basée sur la structure et base structurelle pour la neutralisation du virus à médiation par les anticorps et l’approche pathogène prototype pour la préparation et la riposte à une pandémie. Le Dr Graham est donc un expert et ne pouvait pas ne pas savoir puisque cette étude était publiée.

Quel rôle pour l’AFP ?

Ce qui semble étonnant, c’est que l’AFP n’ait pas fait écho de cette étude. Cette même AFP a attaqué le Pr Luc Montagnier et le mathématicien Jean-Claude Perez lors de leurs déclarations de mai 2020, puis lors d’un « AFP factuel » de Julie Charpentrat en août 2020. 

Contactés par la rédaction de FranceSoir, M. Ahmed et Mme Charpentrat n’ont pas répondu à l’heure où nous publions cet article.

Le rôle d’une agence de presse est de vérifier, de valider et d’informer en respect de la charte de Munich. L’AFP aurait-elle manqué à son devoir en jouant ainsi un rôle de désinformation important dans l’identification de l’origine du virus alors que l’information était disponible ? L’information s’est-elle perdue en route ou a-t-elle été enterrée ?
 


Traduction de l’email

From: lssam AHMED
Sent: Friday, January 31, 2020 5:27 PM
To: Graham, Barney (NIH/YRC)
Objet : Demande de commentaires sur un article indien concernant le nouveau coronavirus

Cher Dr Graham,

Je suis journaliste scientifique à l’agence de presse Agence France-Presse et j’écris avec une demande – excusez-moi d’avoir tendu la main un vendredi soir ! Un contact m’a dit que vous pourriez être prêt à donner un avis sur ce document qui vient d’être mis en ligne : https:www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.01.30.927871v1.full.pdf  

L’étude suggère que le nouveau coronavirus a quatre inserts similaires au VIH-1 et ce n’est pas une coïncidence.

Merci beaucoup, si vous le pouvez.

lssam AHMED Health, Science and Environment

Voir aussi :
Entre une policière espagnole et l’AFP, qui désinforme le plus ?
Le « Hold up » de l’AFP : « debunk » de leur « debunk »

Auteur(s): FranceSoir




Comment les médias ont perverti nos âmes…

[Source : zonefr.com]

Eric Montana

Par Eric Montana

.

Pour faire face à la désinformation et à la manipulation de l’opinion publique par les médias mainstream, Mediazone va proposer dans quelques semaines, un tour d’horizon hebdomadaire de l’information traitée par ces organes de propagande, pour permettre aux citoyens trop confiants d’appréhender la réalité médiatique avec un regard neuf.

Nous le ferons en vidéo-streaming sur Rumble et sur VK qui sont les dernières plateformes où la censure ne s’abat pas comme sur Facebook ou Youtube trop impliqués et trop compromis dans l’opération Covid.

Cette opération Covid a permis de prendre conscience que le monde dans lequel on nous fait vivre ou survivre est une matrice viciée où la démocratie n’est qu’une illusion, la classe politique dans son ensemble surtout préoccupée par ses propres intérêts, ses avantages et ses privilèges, les médias censés nous informer sont surtout des outils de manipulation et de conditionnement, la médecine surtout composée de prescripteurs de médicaments plutôt que par de vrais médecins soignants, l’industrie agro-alimentaire prospère grâce aux colorants, aux adjuvants, aux conservateurs et autres produits chimiques faisant de nous des gens en mauvaise santé, l’industrie pharmaceutique nous achève à petits feux, l’Éducation Nationale ne produit plus que des esprits formatés pour devenir de simples outils de production de richesses au profit de l’élite, les loisirs et le divertissement servent surtout à nous dépraver le corps et l’esprit et la boucle est bouclée.

Au fond quand on examine la vie quotidienne d’un être humain dans le monde capitaliste, elle se résume à peu de choses : manger, dormir, travailler quand on a la chance d’avoir un emploi, puis remplir le reste du temps du mieux qu’on peut en allant au restaurant, au concert, en boite, au cinéma ou en week-end à Deauville quand on a un peu de moyens.

Les jours passent, ils se ressemblent tous, ils sont souvent tristes et monotones et pour compenser le vide que l’on ressent à l’intérieur de soi, on utilise l’alcool pour s’enivrer, la fumette pour s’évader ou les tranquillisants pour éviter de regarder la réalité en face… En gros et en résumé, voilà comment on vit sa vie aujourd’hui… On en fait vite le tour…

Et c’est ainsi que beaucoup bossent pour rembourser le crédit sur la maison, la voiture, le frigo, la machine à laver, la télé pensant que c’est dans un semblant de confort matériel qu’on trouve le bonheur. La consommation devient le rite hebdomadaire, les courses dans les grandes surfaces et l’ivresse de s’extasier devant tout ce qu’on ne peut pas s’offrir mais qui devient source de désirs…

La vie passe comme un souffle et on se retrouve à 60 ans en se disant : « Mais qu’ai-je fait de ma vie ? Tout ça pour ça ? »

Et oui, on rêvait d’une autre vie, on rêvait de voyager, on rêvait de découvrir le monde, on rêvait d’apprendre et se cultiver, on rêvait d’entreprendre et de réaliser, on rêvait d’un bonheur idyllique et on ne l’a jamais trouvé. On passe d’une femme ou d’un homme à un autre, espérant qu’on trouvera toujours mieux pour finalement tomber sur toujours pire…

Nous passons à côté de la vraie vie, à côté de l’essentiel sans s’en rendre compte parce que nos cerveaux sont embrumés, pollués par la superficialité, déconnectés de la réalité. Et tous ensemble, nous finissons par fabriquer une société humaine déjantée, violente, pervertie loin, très loin des vraies valeurs de la vie. Nous devenons des bateaux ivres au milieu des tempêtes, incapables de nous diriger car nous n’avons pas de boussole, même plus la boussole spirituelle, celle qui permet de savoir avec précision quand on fait le bien et quand on fait le mal.

Le monde dans lequel on nous fait vivre produit bien plus de gens malheureux qu’heureux. Tout est dévoyé. L’amour devient un objet de consommation courante dont on se lasse pour une raison ou pour une autre, les valeurs qui régnaient au sein de la famille sont remplacées par la mode que nous inflige la télé réalité, chacun pour soi et Dieu pour tous et les vaches seront bien gardées.

Les médias ont une lourde responsabilité dans la dégénérescence de l’humanité. Ils sont le mensonge érigé en vérité, le vice érigé en vertu, la corruption des esprits est banalisée, l’adultère encouragé, la légèreté célébrée, la perversion partagée et nous croyons être des gens civilisés…

Si j’osais, je dirais que la télévision est l’arme la plus sophistiquée du Diable et ses serviteurs, une armée de démons…

Ce décryptage de l’actualité médiatique aura pour objectif de déshabiller cette perversion pour la faire apparaître dans toute sa laideur. Car comme pour un homme ou pour une femme, ce n’est pas l’apparence ou la beauté physique qui définit la qualité d’un être humain, mais la profondeur, la droiture et la noblesse de son âme…

En projetant sur nous sa propre image, la télévision a perverti nos âmes…
Il est temps d’en prendre conscience et de guérir…




Covid-19 et contrôle des masses — Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire

[Source : breizh-info.com]

Philippe Guillemant vient de publier sur sa page facebook un texte intitulé : « Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire » que nous vous proposons de découvrir ci-dessous, car très intéressant sur un certain avenir qui nous fonce droit dessus…

Philippe Guillemant est un ingénieur physicien français diplomé de l’Ecole Centrale Paris et de l’Institut de Physique du Globe. Il est Docteur en Physique et Habilité à Diriger des Recherches. Il exerce son activité au CNRS (UMR 7343, laboratoire IUSTI de Polytech’ Marseille) où il est Ingénieur de Recherche Hors Classe.


Par Philippe Guillemant

Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen. Il sera en effet permis que le contrôle de ses droits d’accès à différents lieux (restaurants, boutiques, gares etc.) se fasse de manière automatique, ce qui ouvrira un immense marché, celui des objets connectés, tellement savoureux qu’il est capable de transformer des informaticiens en virologues.

Cela permettra également l’introduction d’une monnaie numérique déjà préparée par la suppression progressive de l’argent liquide.

Il y a deux cas à considérer :

  • Port d’identité numérique non intimement liée au corps : mobile, bracelet, montre, sac à main…
  • Port d’identité numérique intimement liée au corps : bague, puce sous la peau, identification génique…

Dans le second cas il sera impossible, sauf opération chirurgicale, de se débarrasser de son identité.

Dans un premier temps seul le premier cas est à considérer sérieusement. Ce n’est que lorsque l’usage d’une identité numérique sera normalisé par l’habitude (de vivre autrement) que le second cas s’imposera naturellement pour renforcer la sécurité de l’usage.

Aujourd’hui ce port d’identité numérique est déjà réalisé via nos mobiles, mais aucun usage n’en est fait, sauf marginal comme dans le cas de l’application StopCovid. Tout le monde a le droit d’entrer dans n’importe quelle boutique et de voyager sans être obligé d’avoir un portable. D’autre part le traçage des déplacements permis par un mobile est très grossier, sa précision étant comprise entre 1 et 10 mètres. On peut considérer que pour l’instant, avoir un portable est inoffensif.
Tout cela pourrait changer avec le contrôle vaccinal automatisé et la généralisation des objets connectés via la 5G et même dès la 4G. En particulier le traçage ne serait plus réalisé par GPS mais par analyse et triangulation de signaux via les objets alentours et sera à terme 100 à 1000 fois plus précis, à mesure que la technologie évoluera.

Le port non lié au corps d’identité numérique, dans un environnement peuplé d’objets connectés (maisons, voitures, routes, villes…) permettrait les recueils de données suivants par une I.A. :

  • Vérification d’autorisation d’accès pour les vaccinés
  • Contrôle de vitesse et stationnement (voiture connectée)
  • Identification de toutes sortes d’infractions à la conduite
  • Identification des personnes avec qui l’on déjeune
  • Mémorisation de tous les déplacements
  •  Calcul de temps de travail ou temps de présence…
  •  Détection de déplacement inhabituel…

Il convient de préciser qu’aucune loi ne pourrait empêcher l’implémentation des algorithmes correspondants, mais seulement en interdire l’usage. Toutefois, il serait extrêmement difficile de détecter qu’un tel usage n’est pas effectué. Seule son exploitation pourrait être rendue visible, mais cela laisse une grande place à une exploitation inavouée, par exemple par une société d’assurance où le calcul des droits est déjà réalisé de façon informatique.
Considérons maintenant le deuxième cas, et allongeons la liste précédente :

  • Maison intelligente (interactions, commandes, dialogues…)
  • Analyse d’activités privées (dormir, lire, faire l’amour…)
  • Surveillance de l’activité des enfant
  •  Analyse des interactions familiales
  •  Analyse de situation (repos, activité, chute…)
  • Analyse de comportement (geste brusque, activité sportive…)
  • Détection et mémorisation des habitudes.

J’en oublie certainement, sachant qu’il est difficile d’imaginer d’avance tout ce que la quatrième révolution industrielle pourrait nous inventer. Je ne parle ici que d’un transhumanisme très doux, presque acceptable, sans faire référence à quoi que ce soit d’intrusif comme une puce dans le cerveau, des nanorobots dans nos veines ou une vision artificielle et connectée. Mais il va de soi que l’acceptation de ces technologies intrusives est conditionnée à l’acceptation de l’usage d’identité numérique.
La question de savoir si nous allons effectivement rentrer dans ce nouveau monde, ou pas, va donc dépendre du niveau d’acceptation du vaccin. Il est en effet peu probable que l’on oblige chaque citoyen à porter une identité numérique lors de ses déplacements si 50% de la population n’est pas vaccinée, car on ne va pas limiter à ce point la liberté de circulation. Par contre, si seulement 5% de la population n’est pas vaccinée, il est fort probable qu’on entrera dans ce nouveau monde.

La réalité sera évidemment bien plus complexe que cette simplification binaire, qui n’a d’autre but que d’éveiller aux véritables enjeux.

Donc, je le répète, nous ne sommes pas confrontés à un problème sanitaire avec le virus. Ce problème-là est peanuts à coté du choix de société qui se trouve devant nous, qu’une politique de gouvernance mondiale semble avoir déjà fait à notre place.

C’est cela qui explique la dictature sanitaire qui de façon rationnelle n’a aucune autre raison d’être.

Mais je le répète une fois de plus, mon avis est qu’on n’entrera pas dans ce nouveau monde.


[Voir aussi :
Des passeports pour les vaccins ont été planifiés avant même le début de la pandémie
La principale finalité de la vaccination n’est pas sanitaire
Vaccin COVID : Le programme de vaccination israélien «Passeport vert» a créé un «apartheid médical», disent des citoyens désemparés
Programme caché derrière la vaccination contre la Covid-19 ?
L’Abbé : « La vaccination finale est liée par une « chaîne du mal » à laquelle on ne doit absolument pas participer »]




Biélorussie : Roman Protassevitch opposant fabriqué et néo-nazi

[Source : Vu du Droit]

Par Charles Meyer

Le détournement de l’avion Ryanair vers Minsk et l’arrestation de Roman Protassevitch permet d’assister une fois de plus à un jeu de rôle classique. Le moins que l’on puisse dire c’est que si détournement il y a pour permettre une arrestation, c’est simplement de la piraterie. Et le fait que les États-Unis, l’Allemagne et la France (coucou Assange, coucou Snowden, coucou Benbella…) n’aient aucune leçon à donner n’empêche pas cette qualification.

Cela étant, le scénario habituel s’est mis en place. Les agents américains BHL et Glucksman (les plus rapides) se sont précipités sur tous les plateaux pour relayer la propagande de la CIA . Nos gauchistes à nous qu’on a, se sont comme d’habitude scrupuleusement alignés sur les positions américaines. Mention spéciale quand même pour Jean-Luc Mélenchon. Un petit aventurier néonazi, a été immédiatement intronisé comme martyr de la liberté. Et naturellement Macron, jamais en retard pour s’aligner sur les USA, en a fait des tonnes en mode roquet qui jappe.

Sur le fond j’invite à prendre connaissance de l’interview de l’interview d’Arnaud Dubien qui montre que l’affaire est un peu plus compliquée qu’on ne le présente.

Concernant le palmarès de l’admirateur du troisième Reich, Olivier Berruyer a fait le boulot. C’est édifiant.

J’ai demandé à Charles Meyer qui suit attentivement ce qui se passe en Europe centrale de nous donner son avis sur deux points. L’impasse politique et stratégique que constitue la création artificielle par les USA, servilement suivis par l’UE, d’opposants en carton. Et le danger de ce soutien que l’Occident apporte ainsi au développement de ce néo-nazisme raciste et antisémite particulièrement inquiétant.

Régis de Castelnau

La Biélorussie, c’est comme la Russie et la vie : c’est compliqué, parfois. Soyons clairs, on n’a pas besoin de défendre les vertus de la politique pensée à Minsk. Mais juste de comprendre que derrière un sujet d’actualité qui couvre une situation politique interne et géopolitique, se trouvent des individus pour lesquels on discerne mal les raisons qui conduisent à des soutiens inconditionnels qui fleurissent en Europe ou aux Etats-Unis. Pas plus qu’Alexeï Navalny, Roman Protassevitch n’échappe à une règle bien connue de la politique intérieure des pays de l’est : il n’y a pas pire remède que les opposants qui sont fabriqués de l’extérieur. Depuis quelques jours, on s’agite autour du cas de Protassevitch.

Soyons tout aussi clairs : il ne s’agit pas de priver celui-ci des droits qui seraient reconnus à d’autres ou de cautionner des tortures ou des châtiments qui lui seraient infligés par le régime de Loukachenko.  Mais simplement de nous déterminer sur le point de savoir si l’on défend les droits fondamentaux d’un citoyen biélorusse, ou la démarche politique d’un opposant. Et ce n’est pas du tout la même chose.

Protassevitch a droit au respect de son intégrité et de sa vie. Mais nous avons droit, aussi, de nous questionner sur sa démarche politique et de savoir, puis de comprendre comment ce jeune homme est devenu un militant et sympathisant néo-nazi. On ne parle pas d’extrême droite ou de « droite extrême », mais bien de néonazisme. Comme Navalny, ses accointances idéologiques le placent au cœur des dispositifs politiques et paramilitaires dont la Doctrine est la pureté de la race, l’élimination physique de l’ennemi russe, l’antisémitisme et surtout, l’adoration du Troisième Reich. Il faut comprendre que la mouvance néonazie en Europe de l’Est est beaucoup plus puissante et infiltrée qu’elle ne l’est ailleurs. Roman malgré sa jeunesse, en est un bon exemple. Et je vous assure qu’il n’y a nul besoin de noircir le tableau.

Roman Protassevitch fait partie de cette génération baignée dans le culte nationaliste du post soviétisme qui, d’année en année, a mené à la constitution de véritables corps francs en Europe de l’est, à l’image du bataillon Azov. C’est la raison pour laquelle on le retrouve il n’y a pas trois ans en arrière, manifestant au sein des tristement célèbres « blocs noirs » bien connus pour rassembler dans les rues la fine fleur de l’idéologie fasciste, la référence au fascisme ayant ici, pour une fois, un sens et ne dérangeant pas les grands mots.

C’est aussi la raison pour laquelle Protassevitch fait non seulement partie des manifestations de Maïdan à Kiev en 2014, mais qu’il sympathise à la même époque avec plusieurs membres du détachement de Pahonia. Pahonia est une organisation armée biélorusse qui a combattu aux côtés du bataillon Azov. Ces deux milices partagent clairement la même fascination pour le Troisième Reich, réunissent des néo -nazis venus de toute l’Europe et militent clairement pour une société raciale qu’ils rêvent de rétablir par les armes.

Il ne s’agit pas de faire comme certains de Protassevitch un néo-nazi irrécupérable ou un criminel de guerre, de la même manière que lorsqu’on dénonce l’islamisme d’un ou d’un tel, il ne s’agit pas non plus de prétendre à un déterminisme absolu ou à l’évocation systématique du djihadisme. Il s’agit de comprendre. En l’occurrence, on ne peut nier que Protassevitch fréquente les milieux néo- nazis et des chaînes de radio telles que « Belsat », dont l’idéologie est clairement documentée par le positionnement des animateurs qui est dépourvu de la moindre équivoque. On ne peut nier la participation de Protassevitch à des événements et un engagement dépourvus de la moindre équivoque. Pas plus qu’on ne peut nier les liens qu’entretiennent Protassecitch et Lobov, ou d’autres néo-nazis notoires. Je ne m’étendrai pas ici sur le rôle joué par des pays comme la Pologne et l’imprégnation évidente de l’idéologie fascisante que recycle ce pays, mais il y aurait aussi beaucoup à dire sur ceux qui ont encouragé, endoctriné et instrumentalisé des jeunes comme Protassevitch.

On peut tout à fait demander humanité et respect de la personne de Roman Protassevitch. Mais cela ne doit pas impliquer, comme on le lit trop souvent, de faire de lui l’opposant fantasmé qui représenterait face à Loukachenko celui qui porte les valeurs de la Démocratie. Ne soyons pas naïfs, la confusion qui s’opère en Occident entre les droits fondamentaux individuels des opposants médiatisés et la valeur du message qu’ils portent, est une confusion inacceptable en ce qu’elle ne rendra jamais service aux Peuples de cette Europe tantôt oubliée, fantasmée, perdue et qui se cherche au milieu de forces politiques et géopolitiques qui les instrumentalisent de toute part.




La zone euro en phase terminale ? Les déclarations-choc d’un ancien dirigeant de la BCE. Vincent Held

[Source : Le blog de Liliane Held-Khawam (lilianeheldkhawam.com)]

Voici ce qu’affirmait le 15 mai dernier l’ex-économiste en chef de la BCE Jürgen Stark au discret mensuel allemand Tichys Einblick, édité à Munich :

« L’Allemagne a perdu le contrôle de sa politique budgétaire. »
« Je ne peux plus exclure un krach ».
« Nous sommes en plein milieu d’un changement de système. »

Des déclarations d’autant plus spectaculaires qu’elles ne semblent avoir trouvé aucun écho dans les grands médias outre-Rhin. Pourtant, ces déclarations fracassantes proviennent bel et bien d’un haut fonctionnaire allemand qui avait à l’époque contribué « de façon déterminante »  à l’introduction de l’euro… et qui a siégé au directoire de la BCE jusqu’en septembre 2011 !

L’évocation par le Dr. Stark d’un « krach » financier majeur n’est donc pas anodine, surtout à l’heure où l’on commence à prendre conscience de la fragilité du gigantesque marché REPO, dont les banques centrales sont justement des acteurs-clés. Par ailleurs, la référence du Dr. Stark à un « changement de système » évoque immanquablement cet appel de l’actuel ministre des Finances français à « réinventer l’ordre monétaire international » :

« L’ordre [monétaire international] de Bretton Woods tel que nous le connaissons a atteint ses limites, a affirmé le ministre des Finances français Bruno Le Maire […] D’après [lui], tout comme Bretton Woods a défini l’ordre économique international de la seconde moitié du 20ème siècle, la première partie de ce siècle pourrait bien être définie par le projet de nouvelles Routes de la soie de la Chine. » (Reuters, juillet 2019)

Après la crise - couverture (hi-q)

Et M. Le Maire de surenchérir :

« L’euro est menacé. Il n’a jamais été aussi menacé »

Ainsi, cette sortie fracassante du Dr. Stark est aussi pour nous l’occasion d’esquisser le scénario de la scission de l’euro, que nos grands médias évoquent de temps à autres. Sans que cette hypothèse pourtant connue ne prenne véritablement pied dans le débat politique.

Voici donc un extrait de notre dernier ouvrage, où cette option politique est abordée de façon plus directe que ce n’est généralement le cas dans les grands médias.

Le destin trouble de la zone euro
(extrait d’Asservissement, janvier 2021)

« Avec l’euro, il y a quelques gagnants, mais beaucoup de perdants » (Antonio Costa, premier ministre portugais, mars 2015)

« Il est vrai que [le] pouvoir politique [allemand] aura, au fil des années, donné tous les gages d’un jusqu’au-boutisme farouche en faveur de l’euro. De fait, un effondrement de la zone euro ne manquerait pas de produire de fâcheux effets pour les retraités allemands, dont le poids électoral est notoirement considérable… Et qui se retrouvent aujourd’hui exposés – à leur insu et dans des proportions phénoménales – aux risques explosifs de la dette des pays du Sud.[1] Ce d’autant plus qu’avec leurs fameux « mini-BOTS » (approuvés à l’unanimité par les parlementaires de tous bords !), les dirigeants italiens se sont d’ores et déjà assurés de la possibilité, le cas échéant, de rembourser leurs dettes vis-à-vis de l’Eurosystème (et donc de l’Allemagne)… en monnaie de singe. On comprend dès lors que les dirigeants allemands tiennent tant à faire la preuve de leur engagement sans faille en faveur de la monnaie unique !

Pourtant, quelques talentueux économistes ne nous ont-ils pas expliqué par le menu que l’eurozone est, par construction, un ensemble sécable ? Et que la Bundesbank elle-même cherche, depuis bien des années déjà, à se ménager des portes de sortie, en développant des mécanismes permettant d’exclure de la zone euro les pays trop indisciplinés… ?[2] Or, voilà que la Cour de Karlsruhe nous signifi[ait] subitement [en mai 2020] que ce scénario d’un fractionnement de la zone euro pourrait se concrétiser à tout instant !

On comprend dès lors mieux pourquoi « la décision de Karlsruhe » a pu être interprétée comme l’arrêt de mort de la zone euro telle que nous la connaissons. Et relancé les spéculations quant à l’éventualité d’une future scission de la zone euro…

« Il s’agit à présent d’agir de manière responsable et avec sagesse pour que l’euro puisse continuer d’exister… LA COUR CONSTITUTIONNELLE A DÉPOSÉ UNE CHARGE EXPLOSIVE SOUS L’EURO ET SOUS L’UNION EUROPÉENNE » (Angela Merkel à l’agence Reuters, mai 2020. Les majuscules sont de Reuters.)

De fait, les pays du Sud, déjà largement désindustrialisés, auraient aujourd’hui un intérêt évident à procéder à une forte dévaluation monétaire en vue de regagner de la compétitivité commerciale. Une question d’autant plus pressante que leur gestion souvent calamiteuse de la « crise sanitaire » covidienne les a passablement lessivés sur le plan économique…

« Nous ne sommes pas ici pour fermer les écarts [entre le coût des dettes italienne et allemande] » (Christine Lagarde, présidente de la BCE, en mars 2020)

La réémergence inéluctable de la crise de l’euro pourrait ainsi aboutir à une scission plus ou moins ordonnée de l’espace monétaire européen. Avec au Nord, une eurozone rétrécie menée par l’Allemagne, face à laquelle pourrait se former un bloc « euro-Sud », sans doute mené par la France. Cette nouvelle « Union latine » pouvant dès lors être amenée à mettre en place – tout au moins temporairement, des politiques de contrôle des changes en vue de garantir la stabilité monétaire face à des risques accrus de fuite des capitaux ou d’attaques spéculatives…

Par ailleurs, les pays « méditerranéens » de l’UE pourraient également trouver un intérêt majeur dans le fait de valoriser des réserves d’or parfois très importantes (Italie, France) ou significatives par rapport à la taille de leurs économies (Portugal, Grèce). Ceci afin de se donner un peu d’oxygène financier à un moment où ils en auront sans doute le plus grand besoin. De telle sorte que bien des candidats à la sortie de l’euro pourraient être tentés de s’associer rapidement (individuellement ou ensemble) au projet de nouveau système monétaire international basé sur « un étalon-or modernisé » que proposent, en particulier, la Chine et la Russie… »

Asservissement-couv

Par Vincent Held, auteur des ouvrages Le crépuscule de la Banque nationale suisse (2017), Après la crise (2018), Une civilisation en crise (2020) et Asservissement (2021).


RAPPEL, vidéo 2018

https://youtu.be/zY3b3wuTrsA

Notes

[1] Et ce en particulier via les gigantesques « soldes Target » de la banque centrale allemande. On rappellera que les « soldes Target » expriment le montant des capitaux transférés par les banques centrales européennes à l’étranger (à l’intérieur de l’Eurosystème ou au-dehors). Fin 2020, le solde Target (positif) de l’Allemagne se montait à quelque 1’136 milliards (!) d’euros, alors que l’Italie et l’Espagne présentaient, à elles deux, un « découvert » de quelque 1’000 milliards d’euros environ.

[2] cf. les passionnantes explications du regretté Vincent Brousseau sur le scénario d’une « sortie furtive de l’euro » (son article éponyme publié sur le site de l’UPR contient de précieuses références pour prendre la mesure des préparatifs allemands).

[3] Et ce en particulier via les gigantesques « soldes Target » de la banque centrale allemande. On rappellera que les « soldes Target » expriment le montant des capitaux transférés par les banques centrales européennes à l’étranger (à l’intérieur de l’Eurosystème ou au-dehors). Fin 2020, le solde Target (positif) de l’Allemagne se montait à quelque 1’136 milliards (!) d’euros, alors que l’Italie et l’Espagne présentaient, à elles deux, un « découvert » de quelque 1’000 milliards d’euros environ.

[4] cf. les passionnantes explications du regretté Vincent Brousseau sur le scénario d’une « sortie furtive de l’euro » (son article éponyme publié sur le site de l’UPR contient de précieuses références pour prendre la mesure des préparatifs allemands.




Pour le Dr Fauci, ce sera la chaise électrique ou la lapidation ?

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

Bon. Je vais essayer de rester calme pour aborder ce nouvel épisode de « l’opération Covid« . Mais je vous le dis, je suis au bord de la plus grande explosion de colère de ma vie.

Depuis le début de cette fausse pandémie j’affirme que nous sommes dans le cadre d’une opération criminelle et en aucun cas dans un problème de santé. Et si il y a maintenant de graves conséquences sur la santé, elles ne sont que le résultat de cette opération criminelle que je dénonce depuis le début. Relisez tous les articles publiés sur Médiazone depuis mon arrivée à la direction de la rédaction, et vous verrez que je me suis employé à faire ce qu’un journaliste et un homme intègre doit faire : dire la vérité.

Je ne vais pas faire l’historique ici, il me faudrait des heures pour résumer tout ce que j’ai écrit.

Mais la première chose que je veux dire c’est que le prochain qui me traite de complotiste je le renvoie chez sa mère en petits morceaux, car être stupide au point de ne pas avoir compris que cette « opération Covid » est criminelle, dépasse mon entendement. Il y a tellement d’éléments qui le prouvent, tellement de preuves qui le démontrent qu’il faut vraiment avoir le cerveau d’un mollusque (pardon pour les mollusques) pour ne pas s’en rendre compte. Un enfant de 5 ans l’aurait déjà cernée !

[Ndlr : de nombreux articles publiés sur Nouveau Monde tendent à démontrer ceci comme étant très probable. Voir notamment :
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Des passeports pour les vaccins ont été planifiés avant même le début de la pandémie
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Preuves que la pandémie a été planifiée ?
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]La vaccination mondiale : le véritable objectif de l’opération COVID-19
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Le bon virus au bon moment
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Après le confinement: Un programme mondial de vaccination contre le coronavirus…
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Programme caché derrière la vaccination contre la Covid-19 ?
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]COVID-19: les plans secrets du Pentagone et le Canada]

Que mes confrères qui me disaient que je vois le mal partout, que je sombre dans la folie, que je ne suis pas crédible malgré tous les éléments que je leur ai mis sous le nez, disparaissent à jamais de ma vie et de ma liste « d’amis » !

Avoir des « amis » aussi cons me déshonore, m’afflige et me met en colère. J’ai perdu trop de temps à espérer un éclair de lucidité et d’honnêteté de leur part. J’aurais du méditer ce proverbe ; »Dis-moi qui sont tes amis et je te dirai qui tu es. » Et j’avoue que j’avais parmi mes « amis » un certain nombre de confrères aveugles, stupides et incompétents.

Ils sont à jamais rayés de mon répertoire car avoir déployé autant d’efforts pour leur faire comprendre que le gouvernement ment, que les experts scientifiques ont trop de conflits d’intérêts avec les labos pour être honnêtes, que l’OMS est une organisation privée soumise à Bill Gates qui en est le plus gros financier, que le Dr Fauci est une ordure de la pire espèce puisqu’il a investi son argent personnel dans « les gains de fonction » destinés à rendre le virus plus dangereux pour la santé humaine, — ce qui nous avait été révélé par notre ami Patrick Jaulent ex responsable de la cyber-sécurité de Wall Street, — que les médias ont pour mission d’alimenter la peur en désinformant et manipulant l’opinion publique avec des chiffres de contaminés truqués et exagérés, que les réseaux sociaux américains comme FacebookYoutubeTwitter sont complices de ce crime, et voir ces journalopes continuer à déshonorer la profession, et répéter tels des perroquets dressés, tous les mensonges de ceux qui sont censés nous protéger, nous informer et nous soigner, me fait penser que ces gens ne sont pas des journalistes mais de simples instruments de désinformation et de manipulation. Qu’ils restent loin de moi, car même les tardives excuses de quelques-uns me laissent de marbre. J’ai honte pour eux !

Ceci étant dit, venons-en à l’essentiel. La divulgation en vertu du Freedom Information Act d’une partie des emails de cet assassin de Fauci, confirme tout ce que nous sommes un certain nombre à affirmer depuis le début de cette fausse pandémie, destinée à nous faire accepter l’inacceptable : une campagne de vaccination mondiale avec un faux vaccin provoquant plus de morts que le virus qu’il est censé combattre. Une folieune hérésieune insulte à notre intelligence.

Nous le constatons, tous les pays fiers d’annoncer que la vaccination était un « succès« , qu’ils étaient parmi ceux qui vaccinaient le plus, sont aujourd’hui ceux qui enregistrent une explosion du Covid et de ses variants, un nombre alarmant de morts et des effets secondaires tragiques puisque certains voient leurs vies détruites à jamais. Bravo.

Aujourd’hui nous découvrons que le Professeur Luc Montagnier traîné dans la boue par ces médias de merde, disait la vérité, que la généticienne Alexandra Henrion-Caude avait raison de confirmer la thèse du Prix Nobel de Médecine au sujet du séquençage et de la modification génétique d’origine humaine, avec des cellules de VIH et de malaria, que le Dr Raoult avait lui aussi raison de préconiser et d’utiliser l’hydroxychloroquine qui réduit à néant la charge virale au bout de 5 jours, que le masque — même selon ce criminel de Dr Fauci — est totalement inutile, que ce sont désormais les personnes vaccinées qui sont les principaux propagateurs du virus, qu’elles vont mourir dans un temps plus ou moins bref, que toutes les mesures qui nous ont été imposées par notre gouvernement ont favorisée la contamination plutôt que la combattre, que si les hôpitaux sont débordés c’est parce que ce gouvernement d’assassins ferme des unités de soins et diminue les lits, que ce virus a bien été utilisé pour supprimer nos libertés, que nous sommes bien dans le cadre d’un crime contre l’humanité qui mobilise plus de 1000 avocats et plus de 10.000 médecins, virologues, microbiologistes pour le démontrer, et qu’il est temps que les responsables de cet immense chaos soient arrêtés, jugés et condamnés comme ils le méritent !

Nos confrères de BuzzFeed publient un dossier complet que je vous suggère fortement de regarder, car vous verrez que la thèse criminelle est désormais une évidence. Nos confrères de Intelligence Artificielle et Transhumanisme publient une version en français et vous n’aurez donc plus aucune excuse si vous préférez rester dans l’ignorance et vous nourrir des mensonges de la télé.

Les e-mails de Fauci font la Une aujourd’hui. BuzzFeed a publié 3 200 pages d’e-mails. Les mails ont été obtenus en vertu de la Freedom of Information Act (FOIA) et démontrent que Anthony Fauci nous ment depuis le début !

Plus de 3 200 pages d’e-mails obtenues dans le cadre d’une action en justice au titre de la loi sur la liberté de l’information (Freedom of Information Act) déposée par BuzzFeed News — couvrant la période de janvier à juin 2020 — offrent un rare aperçu de la manière dont Fauci abordait son travail pendant la plus grande crise sanitaire, le montrant en train de traiter directement avec le public, les responsables de santé, les journalistes et même les célébrités. Le Washington Post a également reçu plus de 800 pages d’e-mails et a publié un article.

Ces milliers de pages montrent comment Fauci a tenté de calmer et de manipuler les Américains et de développer une stratégie.

Dans The Guardian, parmi les courriels les plus révélateurs figurent ceux provenant de correspondants fortunés ou influents.

Dans l’un d’eux, daté du 3 avril de l’année dernière, Fauci évoque une conversation avec le fondateur de MicrosoftBill Gates, au sujet d’un effort mondial de vaccination et s’est dit “enthousiaste à l’idée d’aller de l’avant dans une “approche collaborative et, espérons-le, synergique concernant le Covid-19” impliquant les agences de santé fédérales et la Fondation Bill et Melinda Gates, selon les courriels.

Il y a également des échanges de courriels avec le fondateur de FacebookMark Zuckerberg, au sujet de la création d’un centre d’information sur le coronavirus sur les médias sociaux, et un autre avec l’acteur Morgan Freeman qui propose de diffuser le message Covid-19 à ses 100 000 followers sur Twitter.

Les courriels montrent également que Fauci a reçu une rafale de correspondance indiquant que le coronavirus avait fui d’un laboratoire de Wuhan. Les réponses de Fauci sont censurées.

Dans The National Pulse on découvre que le Dr Anthony Fauci — qui a nié à plusieurs reprises avoir participé à des recherches sur les “gains de fonction” (militarisation des virus) — a envoyé des mails de panique aux membres du personnel du National Institutes for Allergies and Infectious Disease (NIAID) au début de la pandémie.

L’article académique joint à l’e-mail s’intitule : A SARS-like cluster of circulating bat coronaviruses shows potential for human emergence. Il y est question de la manière dont des chercheurs américains et chinois manipulent les virus pour mieux comprendre comment ils peuvent s’attacher aux humains.

Selon le National Institute for Health , « la recherche sur le gain de fonction (GOF) peut présenter des risques en matière de biosécurité et de biosûreté.« 

Ça confirme l’explication du Pr Montagnier et de Henrion-Caude.

La pandémie a été utilisée comme prétexte pour abolir les libertés selon l’ONU

The Insider Paper sur le FOIA #FauciEmails twitt également :

  • Il a eu des discussions urgentes sur le gain de fonction.
  • A ignoré le scientifique qui lui a dit que la Chine avait menti sur le virus et les données.
  • A été informé d’une possible fuite du laboratoire de Wuhan.
  • On lui a dit par courriel que les masques de détail ne fonctionnaient pas en raison de la taille du virus.

Un autre qui indique que le Dr Fauci a animé un groupe de discussion sur le gain de fonction.

Les premiers #FauciEmails montrent que l’on est conscient du risque d’aggravation de la maladie après la vaccination par le COVID, comme cela a été le cas pour les candidats vaccins contre le SRAS.

Dans un email que le physicien Erik Nielsen a envoyé à Fauci en mars 2020, il a recommandé non pas un, mais deux médicaments qui pourraient aider à combattre le #COVID19. L’un des médicaments était l’Hydroxychloroquine.

Selon Fauci, les masques ne sont pas nécessaires à moins d’être malade et il fait remarquer que le SARS CoV 2 est si petit qu’il passe facilement entre les fibres des masques.

Beaucoup d’américains sont en colères et ne comprennent pas pourquoi certains des #FauciEmails sont dissimulés par la plupart des médias. En effet, nous ne retrouvons aucun des e-mails dignes d’intérêt dans les comptes rendus des médias (sauf National Pulse cité plus haut) et ils n’ont même pas pris la peine de faire une enquête plus poussée.

Le référentiel complet des e-mails peut être trouvé et lu ici.

Et en complément d’infos, les mensonges de Fauci devant le Sénat américain !

Source : BuzzFeed & IATranshumanisme

Robert F. Kennedy explique le crime de Fauci, de Gates et de Buzyn







« La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme » déclare le Pr Bridle. MàJ

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

« Nous avons fait une erreur ». Dans une interview récente avec la journaliste Alex Pierson, le professeur Byram Bridle, spécialiste en immunologie virale, déclare que ces nouvelles recherches et travaux l’ont mené à faire des découvertes importantes sur le virus et en particulier la protéine Spike. Cette protéine est celle qui a fait l’objet de nombreux travaux notamment sur les vaccins à ARN messagers. Dans le cadre de son interview, le professeur Bridle prend les devants pour expliquer les éléments de sa découverte ainsi que les conséquences notamment pour la vaccination en cours…

Byram Bridle, canadien, est un immunologiste viral passionné par l’amélioration de la vie grâce à deux voies de recherche (1) la conception et à l’optimisation de nouvelles biothérapies pour le traitement des cancers et (2) sur l’étude des réponses de l’hôte aux virus et autres stimuli inflammatoires. closevolume_off

Il est donc tout à fait normal que dans le cadre de ses travaux, il se soit penché sur le coronavirus et il déclare :

« Jusqu’à récemment, nous n’avions jamais pensé que les protéines Spike pouvaient être toxiques ! Les vaccins ARNm qui ont été testés pour la première fois sur des animaux et dont les études n’ont jamais été rendues publiques, montrent que les nanoparticules d’ARNm ne restent pas localement au site de ponction dans le tissu musculaire, comme supposé et revendiqué par les fabricants, mais vont dans les organes à des concentrations parfois dramatiques, où ils sont transférés de cellules en cellules et absorbés en continu. »

Les chercheurs du groupe du Pr Bridle ont donc découvert que la protéine Spike du vaccin est une toxine et crée des dommages cardio-vasculaires (le coronavirus a une protéine Spike qui permet d’entrer dans le corps). On croyait que l’injection dans l’épaule restait localisée. Mais une étude a observé où va la protéine après : dans le sang, s’accumule dans le foie, les ovaires. C’est pourquoi on l’utilise en thérapie génique vaccinale, on la fabrique, notre système la détecte et se défend contre elle, en théorie.

En pratique, on a découvert que la protéine pose problème : 13 jeunes ont reçu la thérapie génique Moderna et on a observé que la protéine Spike est passée dans leur sang chez 11 des 13 jeunes. En passant dans le sang, elle peut se lier aux récepteurs de nos plaquettes pouvant provoquer coagulation, caillots, problème neurologique. Ce qui explique tous les effets secondaires graves que l’on a pu observer (thromboses et autres caillots).

Ses travaux le mènent à conclure :

« Nous avons fait une erreur. La protéine de pointe est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme. Il est même transmis par le lait maternel aux enfants allaités ». »

La vidéo de l’interview avec les sous-titres : [sous-titrage en français par ivermectine-covid.ch]

https://videas.fr/embed/b6543e41-ed5a-4233-ae9a-0ae37e6d96fb/

L’étude est publiée et en cours d’évaluation par les pairs. La voici : étude (PDF)

En réaction à cette recherche, le Professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine déclare : 

Au nom du principe de précaution: Il faut arrêter immédiatement toutes vaccinations Covid-19 utilisant la protéine Spike.

Un article du site LifeSiteNews a documenté cela en détail, traduit ci-après : 

Une nouvelle recherche terrifiante révèle de manière inattendue un pic de protéine du vaccin dans la circulation sanguine. La protéine est liée aux caillots sanguins, aux lésions cardiaques et cérébrales et aux risques potentiels pour les bébés allaités et la fertilité. Cette recherche montre que la protéine de pointe de coronavirus de la vaccination COVID-19 pénètre de manière inattendue dans la circulation sanguine, ce qui est une explication plausible pour des milliers d’effets secondaires signalés des caillots sanguins et des maladies cardiaques aux lésions cérébrales et aux problèmes de reproduction , a déclaré la semaine dernière un chercheur canadien sur les vaccins contre le cancer.

Bridle, chercheur en vaccins ayant reçu une subvention gouvernementale de 230000 dollars en 2020 pour la recherche sur les vaccins COVID, a déclaré que son groupe de scientifiques internationaux avaient déposé une demande d’informations auprès de l’agence de réglementation japonaise pour avoir accès à ce qu’on appelle l ‘« étude sur la biodistribution . »

« C’est la toute première fois que des scientifiques découvrent où vont ces vaccins à ARN messager [ARNm] après la vaccination », a déclaré Bridle. « Est-ce une hypothèse sûre qu’il reste dans le muscle de l’épaule? La réponse courte est: absolument pas. C’est très déconcertant. »

Les chercheurs avaient fait l’hypothèse que les nouveaux vaccins à ARNm COVID se comporteraient comme des vaccins traditionnels et que la protéine de pointe du vaccin – responsable de l’infection et de ses symptômes les plus graves – resterait principalement dans le site de vaccination au niveau du muscle de l’épaule. Au lieu de cela, les données japonaises ont montré que la tristement célèbre protéine de pointe du coronavirus pénètre dans le sang où elle circule pendant plusieurs jours après la vaccination, puis s’accumule dans les organes et les tissus, y compris la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et dans concentrations assez élevées dans les ovaires.

« Nous savons depuis longtemps que la protéine de pointe est une protéine pathogène. C’est une toxine. Il peut causer des dommages à notre corps s’il entre en circulation », a déclaré Bridle.

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 est ce qui lui permet d’infecter les cellules humaines. Les fabricants de vaccins ont choisi de cibler la protéine unique, permettant aux cellules de la personne vaccinée de fabriquer la protéine qui, en théorie, provoquerait alors une réponse immunitaire à la protéine, l’empêchant d’infecter les cellules.

Un grand nombre d’études a montré que les effets les plus graves du SRAS-CoV-2 (le virus responsable du COVID-19), tels que la coagulation sanguine et les saignements, sont dus aux effets de la protéine de pointe du virus lui-même.

« Ce qui a été découvert par la communauté scientifique, c’est que la protéine de pointe à elle seule est presque entièrement responsable des dommages au système cardiovasculaire, si elle entre en circulation », a déclaré Bridle aux auditeurs.

Les animaux de laboratoire injectés avec une protéine de pointe purifiée dans leur circulation sanguine ont développé des problèmes cardiovasculaires, et il a également été démontré que la protéine de pointe traversait la barrière hémato-encéphalique et causait des dommages au cerveau.

Une grave erreur, selon Bridle, était la croyance que la protéine de pointe ne s’échapperait pas dans la circulation sanguine. « Maintenant, nous avons des preuves claires que les vaccins qui fabriquent les cellules de nos muscles deltoïdes fabriquent cette protéine – que le vaccin lui-même, plus la protéine – entre dans la circulation sanguine », a-t-il déclaré.

Bridle a cité l’étude récente qui a détecté la protéine SARS-CoV-2 dans le plasma sanguin de 11 des 13 jeunes travailleurs de la santé qui avaient reçu le vaccin COVID-19 de Moderna, dont trois avec des niveaux détectables de protéine de pointe. Une protéine « sous-unité » appelée S1, faisant partie de la protéine de pointe, a également été détectée. La protéine de pointe a été détectée en moyenne 15 jours après la première injection. Un patient avait une protéine de pointe détectable au jour 29, un jour après une injection, qui a disparu deux jours plus tard. 

Effets sur le cœur et le cerveau

Une fois en circulation, la protéine de pointe peut se fixer à des récepteurs ACE2 spécifiques qui se trouvent sur les plaquettes sanguines et les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins. « Lorsque cela se produit, il peut faire l’une des deux choses suivantes : cela peut soit provoquer l’agglutination des plaquettes, ce qui peut conduire à la coagulation. C’est exactement pourquoi nous avons constaté des troubles de la coagulation associés à ces vaccins. Cela peut également entraîner des saignements. » Bridle a également déclaré que la protéine de pointe en circulation expliquerait les problèmes cardiaques récemment signalés chez les jeunes qui avaient reçu les injections.

« Les résultats de cette étude Pfizer qui a révélé la biodistribution de l’ARNm du vaccin ne sont pas surprenants, mais les implications sont terrifiantes », a déclaré Stephanie Seneff, chercheuse principale au Massachusetts Institute of Technology, à LifeSiteNews. Il est maintenant clair que le contenu du vaccin est administré à la rate et aux glandes, y compris les ovaires et les glandes surrénales. « La protéine de pointe libérée est rejetée dans le milieu, puis atteint finalement la circulation sanguine, causant des dommages systémiques. Les récepteurs ACE2 sont communs dans le cœur et le cerveau, et c’est ainsi que la protéine de pointe provoque des problèmes cardiovasculaires et cognitifs », a déclaré Seneff.

Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont récemment annoncé qu’ils étudiaient les rapports de maladies cardiaques bénignes suite à la vaccination COVID-19 et la semaine dernière, 18 adolescents dans l’état du Connecticut seul ont été hospitalisés pour des problèmes cardiaques qui se sont développés peu de temps après avoir pris Vaccins contre le Covid-19.

Le vaccin d’AstraZeneca a été interrompu dans un certain nombre de pays et n’est plus recommandé pour les jeunes en raison de son lien avec des caillots sanguins potentiellement mortels et mortels, mais les vaccins à ARNm COVID ont également été liés à des centaines de rapports d’ événements de coagulation sanguine .

La FDA a mis en garde contre le danger de la protéine Spike

Le rhumatologue pédiatrique J.Patrick Whelan avait averti un comité consultatif sur les vaccins de la Food and Drug Administration du potentiel problème de la protéine Spike dans les vaccins COVID de causer des dommages microvasculaires causant des dommages au foie, au cœur et au cerveau de manières qui n’ont pas été évaluées en les essais de sécurité.

Alors que Whelan n’a pas contesté la valeur d’un vaccin contre le coronavirus qui a fonctionné pour arrêter la transmission de la maladie (ce qu’aucun vaccin COVID en circulation n’a été démontré), a-t-il déclaré : souffrent de dommages durables ou même permanents à leur microvascularisation cérébrale ou cardiaque en raison de l’incapacité à apprécier à court terme un effet involontaire des vaccins à base de protéines de pointe complètes sur d’autres organes. »

Le pic de protéines associé au vaccin dans la circulation sanguine pourrait expliquer une myriade d’événements indésirables signalés par les vaccins COVID, y compris les 4000 décès à ce jour et près de 15000 hospitalisations, signalés au système de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS) du gouvernement américain au 21 mai 2021. Puisqu’il s’agit d’un système de notification passif, ces rapports ne sont probablement que la pointe de l’iceberg d’événements indésirables, car une étude de Harvard Pilgrim Healthcare a révélé que moins d’un pour cent des effets secondaires que les médecins devraient signaler chez les patients après la vaccination sont en fait rapportés. VAERS.

Bébés, enfants et adolescents qui allaitent, fragiles, les plus à risque

Bridle a déclaré que la découverte d’une protéine de pointe induite par le vaccin dans la circulation sanguine aurait des implications pour les programmes de don de sang. « Nous ne voulons pas de transfert de ces protéines de pointe pathogènes à des patients fragiles qui sont transfusés avec ce sang », a-t-il déclaré. Le scientifique a également déclaré que les résultats suggéraient que les bébés allaités dont les mères avaient été vaccinées risquaient d’obtenir des protéines de pointe COVID de son lait maternel. Bridle a ajouté que « toutes les protéines du sang se concentrent dans le lait maternel » et « nous avons trouvé des preuves de nourrissons allaités souffrant de troubles de la coagulation dans le tractus gastro-intestinal » dans VAERS.

Bien que Bridle ne l’ait pas cité, un rapport VAERS décrit un nourrisson de cinq mois allaité dont la mère a reçu une deuxième dose du vaccin Pfizer en mars. Le lendemain, le bébé a développé une éruption cutanée et est devenu inconsolable, a refusé d’allaiter et a développé une fièvre. Le rapport indique que le bébé a été hospitalisé avec un diagnostic de purpura thrombocytopénique thrombotique , une maladie sanguine rare dans laquelle des caillots sanguins se forment dans de petits vaisseaux sanguins dans tout le corps. Le bébé est mort.

La nouvelle recherche a également trouvée de graves implications pour les personnes pour qui le SRAS Coronavirus 2 n’est pas un agent pathogène à haut risque, et cela comprend tous nos enfants.

Effet sur la fertilité et la grossesse?

La forte concentration de protéines de pointe trouvée dans les testicules et les ovaires dans les données secrètes de Pfizer publiées par l’agence japonaise soulève également des questions. « Allons-nous rendre les jeunes stériles? » Bridle a demandé. Il y a eu des milliers de rapports de troubles menstruels par des femmes qui avaient pris un vaccin COVID-19, et des centaines de rapports de fausses couches chez des femmes enceintes vaccinées, ainsi que de troubles des organes reproducteurs chez les hommes.

Campagne de diffamation vicieuse

En réponse à une demande, Bridle a envoyé une déclaration à LifeSiteNews lundi matin, déclarant que depuis l’interview radio, il avait reçu des centaines de courriels positifs. Il a également ajouté qu ‘« une campagne de dénigrement vicieuse a été lancée contre moi. Cela comprenait la création d’un site Web diffamatoire en utilisant mon nom de domaine. »

« Tels sont les moments où un universitaire ne peut plus répondre aux questions légitimes des gens avec honnêteté et sur la base de la science sans craindre d’être harcelé et intimidé », a écrit Brindle. « Cependant, ce n’est pas dans ma nature de permettre que des faits scientifiques soient cachés au public.»

Il a joint un bref rapport décrivant les principales preuves scientifiques à l’appui de ce qu’il a dit lors de l’entrevue. Il a été rédigé avec ses collègues de la Canadian COVID Care Alliance (CCCA) – un groupe de médecins, scientifiques et professionnels canadiens indépendants dont le but déclaré est de fournir des informations factuelles de qualité supérieure sur le COVID-19, dans le but de réduire les hospitalisations. et sauver plus de vies.

Un point central de l’énoncé était le risque pour les enfants et les adolescents qui sont la cible des dernières stratégies de commercialisation des vaccins, y compris au Canada.

Au 28 mai 2021, il y avait eu 259 308 cas confirmés d’infection par le SRAS-CoV-2 chez les Canadiens de 19 ans et moins. Parmi ceux-ci, 0,048% ont été hospitalisés, mais seulement 0,004% sont décédés, selon le communiqué de l’ACCJE. La grippe saisonnière est associée à une maladie plus grave que le Covid-19.

Compte tenu du petit nombre de jeunes sujets de recherche dans les essais de vaccins de Pfizer et de la durée limitée des essais cliniques, le CCCA a déclaré que les questions sur la protéine de pointe et une autre protéine du vaccin doivent trouver une réponse avant que les enfants et les adolescents ne soient vaccinés, y compris si la protéine de pointe du vaccin traverse le barrière hémato-encéphalique, si la protéine de pointe du vaccin interfère avec la production de sperme ou l’ovulation, et si la protéine de pointe du vaccin traverse le placenta et affecte un bébé en développement ou se trouve dans le lait maternel.

LifeSiteNews a envoyé à l’Agence de la santé publique du Canada la déclaration de l’ACCJE et a demandé une réponse aux préoccupations de Bridle. L’agence a répondu qu’elle travaillait sur les questions, mais n’a pas envoyé de réponses avant l’heure de publication. 

Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson n’ont pas répondu aux questions sur les préoccupations de Bridle. Pfizer n’a pas répondu aux questions permettant d’établir depuis combien de temps l’entreprise était au courant des données de recherche, publiées par l’agence japonaise, montrant des pics de protéines dans les organes et les tissus des individus vaccinés.

À propos du Dr Bridle

Sur son site internet, le Dr Bridle est présenté comme un immunologiste virologue passionné par l’amélioration de la vie grâce à deux voies de recherche. Un des volets de son programme de recherche est dédié à la conception et à l’optimisation de nouvelles biothérapies pour le traitement des cancers. Le but de son équipe de recherche est d’exploiter la puissance naturelle du système immunitaire d’un patient pour éliminer ses propres cellules cancéreuses. Cela représente la thérapie personnalisée ultime et détient le potentiel de traiter les cancers plus efficacement, en toute sécurité et à moindre coût que les options actuelles. Le deuxième volet de son programme de recherche se concentre sur l’étude des réponses de l’hôte aux virus et autres stimuli inflammatoires. Cela a des implications pour le traitement des maladies infectieuses et des troubles induits par l’inflammation. Ces deux programmes ont été unifiés de manière unique. Le laboratoire Bridle exploite son expertise dans la fabrication de vaccins anticancéreux puissants et combine cela avec son intérêt pour l’immunité antivirale pour développer des vaccins pour se protéger contre les maladies infectieuses telles que celles causées par des coronavirus hautement pathogènes. Le mentorat de la prochaine génération de scientifiques canadiens est une responsabilité que le Dr Bridle prend très au sérieux. Il considère également comme un privilège d’enseigner aux étudiants des programmes de doctorat en médecine vétérinaire, des cycles supérieurs et du premier cycle de l’Université de Guelph.

Centre d’intérêts de recherche du laboratoire

Le programme de recherche du laboratoire Bridle comporte deux volets :

Le premier consiste à développer de nouvelles biothérapies hautement ciblées pour le traitement des cancers. Dans un effort pour tuer les cellules malignes avec un minimum de dommages des spectateurs aux tissus normaux, deux approches sont combinées: (a) l’immunothérapie anticancéreuse qui dirige le pouvoir du système immunitaire d’un patient contre sa ou ses propres tumeurs et (b) la virothérapie oncolytique, qui utilise des virus qui se répliquent et ne tuent que les cellules cancéreuses. La spécificité, la capacité de ciblage systémique et les fenêtres de traitement courtes de ces thérapies promettent que les patients cancéreux pourraient être traités efficacement avec des effets secondaires réduits et à un coût minime. L’objectif est de traduire les itérations les plus prometteuses de ces thérapies en essais cliniques chez les animaux de compagnie comme tremplin vers des tests sur des patients humains. 

L’étude des réponses de l’hôte aux virus est un deuxième objectif du laboratoire. Un domaine d’intérêt est le développement d’une meilleure compréhension des mécanismes sous-jacents aux tempêtes de cytokines induites par les virus. L’équipe de recherche du Dr Bridle a identifié un rôle essentiel de la signalisation par le récepteur de l’interféron de type I dans la régulation négative d’un vaste réseau de cytokines. Les réponses des cytokines aux virus sont souvent très différentes entre les femmes et les hommes et le groupe de laboratoire Bridle cherche à comprendre pourquoi. À l’intersection de ces deux programmes, se trouve une initiative de recherche visant à modifier les plateformes optimisées de vaccination contre le cancer de l’équipe de recherche pour cibler le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoC) -2, qui est l’agent causal de la maladie à coronavirus identifié à la fin de 2019 (COVID-19). 

Financement de la recherche :

Le laboratoire Bridle est ou a été financé par Instituts de recherche en santé du Canada, Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), Institut de recherche Terry Fox, Société canadienne du cancer, Société de recherche sur le cancer, Fondation canadienne du cancer du sein, Fonds de recherche rapide COVID-19 de l’Ontario, Université de Guelph / Collège vétérinaire de l’Ontario / Département de pathobiologie Financement de démarrage COVID-19, Centre national d’excellence en biothérapies pour le traitement du cancer (BioCanRx), OVC Pet Trust, Le Fonds de lutte contre le cancer du ciel bleu souriant, Fondation canadienne pour l’innovation – Fonds des leaders John R. Evans, Fondation canadienne pour l’innovation – Fonds d’exploitation des infrastructures, Fonds de recherche du ministère de la Recherche et de l’Innovation de l’Ontario – Programme d’infrastructure de recherche.

Le laboratoire Bridle fait partie du Consortium canadien du virus oncolytique, Réseau de centres d’excellence en biothérapies pour le traitement du cancer (membre fondateur), Société canadienne d’immunologie, Société canadienne de virologie, Institut de recherche Terry Fox, Institut d’investigation comparative sur le cancer, Groupe de l’ostéosarcome du chien: biomarqueurs / biothérapie de la néoplasie (DOGBONe), One Health Institute


[Voir aussi :
Un nouveau rapport fait la lumière sur le culte apocalyptique des vaccins
Le tableau de bord de CoVaxx-19 : Saignements, caillots sanguins et tout le reste
La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ?
Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus]


[Mise à jour : condensé « complotiste » sur la problématique de la protéine Spike, dans cette vidéo de 14 min.
Source : Vivre sainement]






5G : installation à marche forcée malgré les risques

[Source : BLAST – Le souffle de l’info]

Depuis le 1er novembre 2020, la 5G est dotée d’un premier réseau commercial embryonnaire actif en France. 14 000 antennes sont aujourd’hui activées, contre plus de 50.000 pour la 4G. Un déploiement généralisé lancé sans connaissance des impacts, des risques et des façons de les atténuer.

Ainsi, plusieurs questions demeurent : pourquoi n’y a t-il eu aucune consultation de la population sur une décision qui va impacter nos vies ? Est-on réellement conscients de tous les risques que le déploiement de cette nouvelle technologie peut avoir sur notre santé, sur notre environnement, sur la cybersécurité etc ? Pourquoi le principe de précaution n’a-t-il pas été appliqué ? Pourquoi n’y a t il pas eu de débat ?

[Voir aussi : Dossier 5G et ondes pulsées]