Le professeur Didier Raoult est-il vraiment un dissident des autorités et mesures sanitaires ?

[Source : Conscience du peuple]

[Photo : Le professeur Didier Raoult
au déjeuner, en l’honneur du professeur D.Raoult, du Chinese Business Club
à l’hôtel L’InterContinental Paris le Grand à Paris, France, le 8 juillet 2021.
© Coadic Guirec/Bestimage]

Et si l’hydroxychloroquine était l’arbre qui cache la forêt…

Le professeur Didier Raoult n’a qu’une épine dans le pied, une seule… 


[Source : La Minute de Ricardo]






L’histoire macabre des pensionnats autochtones au Canada : Une conséquence de la 3e conquête britannique en Amérique

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Robin Philpot

Image en vedette : murale, Canada. Source : Pixabay.com

En faisant tomber le monument à la Reine Victoria devant l’Assemblée législative à Winnipeg à la suite de la découverte de plus de mille corps d’enfants autochtones autour de 3 pensionnats, les Premières nations du Manitoba ont choisi la bonne cible.  Leur action a résonné un peu partout sur la planète, car ce qu’ils ont subi au nom de la Reine Victoria est exactement ce qu’ont subi d’autres peuples, souvent à la même époque et aux mains des mêmes militaires britanniques : conquête militaire, répression sanglante, colonisation massive et domination raciste. 

Au cimetière de la Première nation Cowessess, en Saskatchewan, où 751 corps de jeunes autochtones ont été identifiés, le premier enterrement a eu lieu en 1885. C’était l’année de la célèbre conférence de Berlin où les empires européens se sont rencontrés pour partager et diviser l’Afrique en vue de la colonisation. 

L’année 1885, loin d’être anodine, est aussi une date charnière dans l’histoire de l’Empire britannique et son nouveau dominion, l’Amérique du Nord britannique ou le Canada. C’est l’année où cet Empire scelle sa 3e conquête en terres d’Amérique, après celle de 1759-60 (appelée aussi Guerre de 7 ans ou French and Indian War), et celle de 1837-38, où il a maté la révolte les Patriotes républicains québécois.

Portrait de Louis Riel. Auteur inconnu.  
Crédit / Source Notman Studio.
Library and Archives Canada, PA-139073. 
Flickr.com

Le 16 novembre 1885, le gouvernement du Canada sous John A. MacDonald pend Louis Riel dans les quartiers de la North-west Mounted Police (ancêtre de la GRC), sous les applaudissements nourris du tout Toronto, dominé par les Orangistes, mais sous la condamnation bruyante et massive du Québec, y compris de son premier ministre Honoré Mercie

Le crime de Riel : avoir tenté de fédérer les Métis et des peuples autochtones sous un gouvernement provisoire opposé à la prise des terres et la colonisation des territoires du Nord-Ouest que peuples autochtones occupaient depuis toujours. 

Onze jours plus tard, Le 27 novembre 1885, le même gouvernement pend en public 6 guerriers cris et 2 guerriers nakotas à Battleford, en Saskatchewan. Ce sont Kah – Paypamahchukways (Wandering Spirit), Pah Pah-Me-Kee-Sick (Walking the Sky), Manchoose (Bad Arrow), Kit-Ahwah-Ke-Ni (Miserable Man), Nahpase (Iron Body), A-Pis-Chas-Koos (Little Bear), Itka (Crooked Leg), Waywahnitch (Man Without Blood). La pendaison publique et l’enterrement dans une fosse commune suivaient de quelques semaines des procès expéditifs devant un jury composé de colons anglo-protestants et un juge du nom de Charles Rouleau dont le conflit d’intérêts était flagrant : sa maison avait brûlée lors du conflit.

Pour enfoncer le message, on fait venir des membres des nations dont les guerriers sont issus pour qu’ils n’oublient jamais. Dans une lettre confidentielle écrite le 20 novembre, le premier ministre John A. MacDonald écrit : « les exécutions … devraient convaincre l’homme rouge que c’est l’homme blanc qui gouverne. » Ce message suivait de peu sa déclaration que « Louis Riel serait pendu même si tous les chiens du Québec aboient en sa faveur. »

Il s’agissait de la deuxième grande intervention militaire visant à imposer la souveraineté britannique sur les Territoires du Nord-Ouest. La première, celle de 1870, avait pour objectif d’éliminer le premier gouvernement provisoire du Manitoba dirigé aussi par Louis Riel. 

Une conquête coloniale parmi d’autres

Aux commandes des troupes britanniques en 1870, on trouve le maréchal Garnet Wolseley. Wolseley n’est pas un quidam. Il est le grand symbole de l’expansion planétaire, et sanglante, de l’Empire britannique au 18e siècle. Nommé Vicomte Sir Wolseley en 1885 par la Reine Victoria, Wolseley, avant sa confrontation avec Louis Riel, avait gagné ses galons aux guerres coloniales meurtrières en Inde en 1857 et en Chine en 1860, dont le pillage et la destruction du magnifique Palais d’été de Beijing, cette « merveille du monde », selon Victor Hugo. 

Après Riel, à titre de gouverneur de la Gold Coast (aujourd’hui le Ghana), il dirige les troupes britanniques dans la prise de la capitale du royaume Ashanti, Kumasi, qu’il incendie; il commande les troupes contre une rébellion en Égypte et à Khartoum et en Afrique du Sud. Ardent défenseur du général esclavagiste Robert E. Lee, Wolseley est toujours honoré par le Canada où des rues de Montréal-Ouest, de Toronto, de Thunder Bay, de Winnipeg portent son nom de même qu’une petite ville de la Saskatchewan … tout près de la Première nation Cowessess.

En 1885, c’est le Major-général britannique Frederick Middleton, autre vétéran des guerres coloniales britanniques, qui est aux commandes des troupes envoyées pour mater la résistance des Métis et des nations autochtones. Comme Wolseley, Middleton avait participé à titre d’officier à la répression de la révolte en Inde en 1857, mais aussi dans la guerre contre les Maoris en Nouvelle-Zélande. Écraser la résistance de peuples autochtones est dans ses cordes. En 1885, ses troupes sont composées de paramilitaires de la NWMP, de milices volontaires, surtout orangistes de l’Ontario. La Couronne britannique voulait éviter de provoquer la plus puissante armée du monde en y déployant l’armée britanniques. 

Sans saisir la nature et le contexte de cette 3e conquête britannique, on ne peut comprendre ce qui s’ensuit, de l’imposition des traités de dépossession – pudiquement qualifiés de traités numérotés – et de la Loi sur les Indiens jusqu’à la désolante situation actuelle où le gouvernement du Canada parle de « réconciliation » tandis que des dirigeants autochtones réclament justice.

« Frapper l’organisation tribale en plein cœur »

Comme dans toute conquête, tous les moyens sont bons pour faire en sorte que les peuples conquis ne se relèvent pas : déportation (comme les Acadiens dans le prélude de la première conquête), confinement dans des réserves, assujettissement, assimilation, ou un peu de tout ça. Les Britanniques s’y connaissent. 

Nous nous souvenons de la pendaison de Louis Riel en 1885, beaucoup moins de la pendaison publique des huit guerriers autochtones. Ces pendaisons sont des symboles incontournables à la compréhension de l’histoire du Canada, mais elles ne sont que la pointe de l’iceberg de la politique de conquérant pratiquée par l’Empire britannique et son rejeton l’État canadien.

À la suite de l’intervention militaire de 1870, on pourchasse les Métis du Manitoba, qui, avant l’arrivée de Wolseley, comptaient pour environ 80% de la population; on inonde la région de colons de l’Ontario ou des « Îles britanniques », dont un grand nombre sont des Orangistes, en leur donnant des terres en les refusant aux Métis. On impose rapidement des traités de dépossession – 7 traités en l’espace de 6 ans (1871-1877) couvrant presque tout le territoire de ce qui deviendra le Manitoba, la Saskatchewan et l’Alberta. Et on fait bien savoir aux nations autochtones que même si les chefs ne signent pas, le gouvernement canadien ira de l’avant sans leur accord.

En 1876, on adopte l’inique Loi sur les Indiens qui impose le statut de « pupilles de l’État fédéral » à tous les autochtones. Cette loi donne un pouvoir inouï aux fonctionnaires/agents sur la vie et la mort de milliers d’autochtones, mais aussi à la North-West Mounted Police. Et dans les années 1880, on commence à déployer sérieusement la politique des pensionnats, appelés aussi écoles résidentielles ou industrielles. 

À cette époque, le Commissaire aux Affaires indiennes et Lieutenant-gouverneur des territoires du Nord-Ouest, Edgar Dewdney, est l’homme de confiance de John A. MacDonald (il sera l’un de ses exécuteurs testamentaires) en plus d’être un « homme profondément attaché à l’Empire et à la tradition monarchique » selon le Dictionnaire biographique du Canada

Dès sa nomination en 1879, Dewedney se donne comme mission de « frapper l’organisation tribale en plein cœur » notamment en ouvrant rapidement davantage d’écoles industrielles ou techniques (pensionnats) et ainsi mettre fin à toute agitation des nations autochtones visant à obtenir plus d’autonomie et des améliorations aux termes des traités qui avaient été signés. Il y réussit … pour un certain temps. 

La petite loterie : « loyal » ou « disloyal »

Dès le 20 juillet 1885, quelques mois après l’arrestation de Riel, le Commissaire adjoint aux Affaires indiennes, Hayter Reed, soumet un rapport en 15 points sur « The Future Management of Indians ». Aussi, il soumet une liste de toutes les nations/bandes autochtones en les qualifiant de « loyal » ou « disloyal » avec force détails sur les chefs et les membres soupçonnés d’avoir participé de près ou de loin à la résistance. Son rapport devient la base de la politique canadienne à l’égard des premières nations pour les années à venir. 

Tout y est : peines exemplaires aux résistants (d’où les pendaisons); châtiments collectifs sévères, notamment par privation de nourriture et d’autres nécessités pour tous ceux qui, selon les agents, auraient manqué de fidélité à la reine; confiscation des chevaux, des armes, des outils des autochtones « non loyaux »; confinement aux réserves à moins d’avoir la permission écrite d’un agent du Ministère des affaires indiennes; séparation nécessaire des Métis et des nations autochtones et interdiction de communiquer entre eux, et la même chose avec les « Canadiens » résistants; distinction de « bons » Indiens (loyal), qui mériteraient des récompenses et des cadeaux, et des Indiens « mauvais et paresseux » (bad and lazy), qui méritent de perdre leur réserve. 

Cette « petite loterie » utilisée pour contrôler les Premières nations ressemble beaucoup à celle déployée avec un certain succès par la Couronne britannique après la répression des Patriotes québécois. L’objectif est de coopter une certaine élite canadienne-française avec des émoluments, des récompenses, des nominations et autres miettes. La petite loterie réussit à transformer un certain nombre de révolutionnaires patriotes en collaborateurs bien apprivoisés du nouveau régime. 

Quel rôle pour les églises ?

Dans toute conquête coloniale, les églises jouent un rôle important d’appui au pouvoir militaire et politique. C’est le cas en Afrique, en Asie, en Amérique latine et en Amérique du Nord. Dans le cas de l’Amérique du Nord britannique, l’Église anglicane est la préférée de la Couronne car le roi ou la reine est le gouverneur suprême de cette Église (toujours le cas en 2021). 

Mais l’Église catholique n’est pas en reste; elle s’accorde très bien avec cet Empire : lors de la révolte de 1837-38 dans le Bas Canada, l’Église catholique se range du côté des Britanniques en refusant aux Patriotes le droit d’être enterrés dans les cimetières catholiques, en les menaçant d’excommunication et en les ordonnant de se plier aux directives du gouvernement. 

C’est à ce titre que les églises sont amenées à réaliser pour l’État canadien sa promesse, écrite dans les traités de dépossession, de fournir des écoles aux nations autochtones. Les églises viendront en appui à une politique conçue par et pour la puissance conquérante, l’Empire britannique et son nouveau Dominion du Canada. L’État canadien doit en assurer le financement, mais il réduit constamment et arbitrairement le financement accordé, ce qui oblige les religieux de se débrouiller sans les fonds minimaux requis. 

Pour remplir ces pensionnats, ça prend une loi obligeant les familles autochtones à envoyer leurs enfants aux pensionnats. Le gouvernement autorise, par la loi, les agents des Indiens à prendre tout enfant d’âge scolaire et à l’envoyer aux pensionnats. Si les parents s’y opposent, les agents ont le pouvoir de leur couper leurs allocations. On rapporte aussi qu’on menaçait de mettre les parent récalcitrants en prison.

Ça prend aussi une force policière pour appliquer la loi. Ce rôle reviendra à la NWMP (aujourd’hui la GRC). Les témoignages sur le travail de la police sont ahurissants : 

« des enfants qui étaient attirés dans des bateaux et des avions à l’insu des parents, et qui, parfois, disparaissaient à jamais. Des agents de la GRC en uniforme arrachaient les enfants des bras de leur mère. De nombreux survivants ont décrit les camions à bétail et les wagons où ils étaient tassés chaque automne. Des coups à la porte la nuit, la maison envahie par des étrangers à la recherche d’enfants en fugue, tout cela évoque la guerre » 

« [les agents de la GRC] encerclaient les réserves pour empêcher les enfants de se sauver, et allaient de porte à porte pour prendre les enfants, faisant fi des protestations des parents et des enfants eux-mêmes. Les enfants étaient enfermés dans des postes de police locaux ou des enclos à bestiaux jusqu’à ce que le rassemblement soit terminé, puis on les conduisait à l’école en train » (Le rôle de la Gendarmerie royales du Canada sous le régime des pensionnats indiens, rapport réalisé dans le cadre de la CVR, 2011)

En somme, le Canada délègue aux Églises la responsabilité d’ouvrir des pensionnats; il les finance; ses agents des Indiens et sa police sont investis par la du pouvoir de contraindre les parents à envoyer les enfants à ces pensionnats sous des menaces de toutes sortes. 

Et le Canada a le pouvoir de mettre fin à ce système. Ce qu’il ne fait pas pendant environ 100 ans même s’il sait fort bien, parce qu’il en est informé par certains fonctionnaires, que ce régime est criminel.

L’État canadien savait tout

Le docteur P. H. Bryce est médecin en chef du Ministère des affaires indiennes de 1904 à 1921, année où on le contraint à prendre sa retraite. Lançeur d’alerte sur les conditions sanitaires des enfants autochtones dans les pensionnats, il publie, après son renvoi, un petit livre intitulé : The Story of A National Crime, An Appeal for Justices to the Indians of Canada, The Wards of the Nation: Our Allies in the Revolutionary War: Our Brothers-in-Arms in the Great War (James Hope, 1922, Ottawa).

Chaque année Dr. Bryce soumet à ses supérieurs, y compris au ministre responsable des Affaires indiennes, un rapport accablant sur les conditions de vie des autochtones, et surtout celles des enfants dans les pensionnats. Il y fait des recommandations urgentes pour y remédier, mais sans réponse.

La tuberculose est très grave à cette époque, le Dr. Bryce compare notamment le taux de mortalité des villes comme Hamilton et Ottawa à celui des réserves de l’Ouest. Alors que dans le premier cas le taux de mortalité baisse constamment, dans les réserves (y compris chez les enfants en pensionnat, ce taux est effarant. La population autochtone diminue constamment d’année en année en raison de la tuberculose. Chaque rapport de ce médecin est étouffé. Pire encore, des représentants du ministère font tout pour empêcher ce spécialiste de la tuberculose de parler en public, notamment à l’assemblée annuelle de la National Tuberculosis Association.

Biblioarchives : Écoliers et responsables à l’extérieur du Pensionnat indien [catholique] de Fort Providence, Fort Providence (Territoires du Nord-Ouest), vers 1920. Créateur :  F. H. Kitto. Prise vers 1920. F. H. Kitto. Library and Archives Canada, PA-101545. Source internet : Flickr.com

Et le Québec dans cette tragédie

Dans le débat qui suit la découverte des corps d’enfants sur les lieux des pensionnats, on s’interroge sur le rôle du Québec. D’aucuns y voient un lien par le biais de l’Église catholique ou des congrégations religieuses dont la maison mère est au Québec. D’autres pointent du doigt des politiciens ou des fonctionnaires québécois qui ont pris part aux décisions de l’État canadien ou des autorités britanniques ou qui ont participé à leur application ou encore des deux bataillions québécois envoyés dans l’ouest en 1885. 

Dans la mesure où des individus, des membres de partis politiques, ou des institutions ont souscrit à l’ordre britannique établi au Canada à la suite des deux premières conquêtes militaires et à la marche impériale et coloniale britannique vers l’ouest, ils en portent une responsabilité évidente. 

Toutefois, cet ordre a été contesté souvent et vivement par beaucoup de Québécois et de Canadiens français, tout au long de l’histoire. 

À titre d’exemple, la Déclaration de l’indépendance du Bas-Canada écrite en 1838 par le patriote Robert Nelson dit ceci au troisième article :

« Que sous le gouvernement libre du Bas-Canada, tous les individus jouiront des mêmes droits : les sauvages ne seront plus soumis à aucune disqualification civile, mais jouiront des mêmes droits que tous les autres citoyens du Bas-Canada. »

Il en est de même pour l’Église catholique. Adoubée par la Couronne et associée aux autorités britanniques et canadiennes dans l’espoir d’enrayer au Canada les idées républicaines inspirées de la France révolutionnaire, elle aussi a été vivement contestée.

En ce qui concerne les deux bataillons de Québec envoyés sous les ordres du Major-général Middleton pour mater la résistance en 1885, le naturel britannique est revenu au galop. Se méfiant de la loyauté de ces troupes devant des Métis qui parlaient le français, les autoritaires s militaires les ont éloignés du combat en les envoyant en Alberta. Les troupes québécoises ont vite compris qu’ils étaient encore et toujours des membres de deuxième ordre des institutions de l’Amérique du Nord britannique. Cette histoire se répéterait. 

Faire du Canada un pays anglais

À mesure que le Dominion du Canada impose sa souveraineté dans l’ouest après les deux interventions militaires, il fait disparaître la langue française de la carte politique et culturelle avec presqu’autant de zèle que dans le combat contre les langues et cultures autochtones. 

En 1890, le Manitoba abolit le français comme langue officielle et peu après l’éducation en français a été interdite. (Gabrielle Roy, née à Saint-Boniface, Manitoba, rappelle dans Détresse et enchantement comment les sœurs francophones à son école catholique enseignaient en anglais, mais parfois, en cachette, elles sortaient des livres en français, loin des yeux des inspecteurs gouvernementaux.)

En 1905, la Saskatchewan et l’Alberta deviennent des provinces du Canada mais on a éliminé le statut bilingue qu’avaient les Territoires du Nord-Ouest. Quelques années plus tard, l’utilisation du français au gouvernement, devant les tribunaux et à l’école est interdite. 

Carte du Canada (2001)

Plus ça change…

Dans leurs combats contre l’Empire britannique, les Premières nations du Canada et les Métis n’étaient pas seuls; les Canadiens-français/Québécois non plus. Pour les puissances européennes qui étendaient leur empire partout au monde, ils représentaient tous un obstacle au projet impérial. En cela, ils faisaient effectivement cause commune avec les Chinois, les peuples de l’Inde et des autres pays du sud asiatique, les Maoris en Nouvelle-Zélande, les peuples autochtones de l’Australie ou des États-Unis, les nations africaines. 

Cent cinquante ans plus tard, les mêmes puissances européennes et nord-américaines tentent, tant bien que mal, de rétablir leur hégémonie, notamment en faisant la morale, en imposant des sanctions et en menaçant militairement des pays et des peuples qui choisissent la voie de l’indépendance politique et économique. 

Aujourd’hui, comme hier, elles n’ont ni le droit ni l’autorité morale, mais cela ne les arrêtera pas. 

Si on tire une seule leçon de l’histoire macabre des pensionnats au Canada, ce serait de se garder de se faire embrigader aujourd’hui dans des interventions militaires ou autres campagnes impériales contre des pays étrangers.

Robin Philpot

Quelques sources

Bryce, P.H. The Story of A National Crime, An Appeal for Justices to the Indians of Canada, The Wards of the Nation: Our Allies in the Revolutionary War: Our Brothers-in-Arms in the Great War. James Hope, 1922.

Dictionnaire biographique du Canada.

LeBeuf, Marcel-Eugène. Au nom de la GRC. Le rôle de la Gendarmerie royales du Canada sous le régime des pensionnats indiens, rapport réalisé dans le cadre de la CVR, 2011

Momudu, Samuel. « The Anglo-Ashanti Wars (1823-1900). Black Past. 24 mars 2018.
https://www.blackpast.org/global-african-history/anglo-ashanti-wars-1823-1900/

Morton, Desmond. A Military History of Canada, From Champlain to Kosovo, Fourth Edition. M&S, 1999.

Ogg, Arden. An infamous anniversary: 130 years since Canada’s Largest Mass Hanging 27 November 1885. Cree Literacy Network.
https://creeliteracy.org/2015/11/26/130th-anniversary-of-infamy-canadas-largest-mass-hanging-27-november-1885/

Reed, Hayter. Memorandum for the Hon(ourable) the Indian Commissioner Relative to the Future Management of the Indians. 20 July 1885.  http://iportal.usask.ca/index.php?sid=168308311&id=33613&t=details

Stonechild, Blair; Waiser, Bill. Loyal Till Death, Indians and the North-West Rebellion. Fifth House Publishers, 2010

Wolseley, Garnet. “General Lee”. Lee Family Digital Archive.
https://leefamilyarchive.org/reference/misc/wolseley/index.html


La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Robin Philpot, Mondialisation.ca, 2021




Le Bélarus face à la haine occidentale

[Source : Le Courrier]

[Photo : urbanisme à Minsk, la capitale biélorusse. M. GERBER]

[Voir aussi : 22 Juin 2021, Loukachenko au Fort de Brest : Appel à la Résistance populaire antifasciste]

« Alexandre Loukachenko est taxé de dictateur depuis vingt-cinq ans, soit depuis qu’il a envoyé paître le FMI et la Banque mondiale. » Pour Marcel Gerber, bon connaisseur du Bélarus, le petit pays européen est voué aux gémonies occidentales du fait qu’il est le seul État issu de l’ex-URSS à « n’avoir pas été « démocratisé » par un passage brutal au capitalisme ».

« L’évolution du Belarus a été loin de plaire aux puissances occidentales comme les États-Unis ou l’Union européenne, qui espèrent toujours mettre la main sur les richesses du pays »

Marcel Gerber

Par MARCEL GERBER

La nuit du 8 décembre 1991, trois personnes sont réunies dans une datcha perdue de la forêt biélorusse. Ce sont Boris Eltsine, président de la République socialiste fédérative soviétique de Russie, Stanislaw Chouchkievitch, président de la République socialiste soviétique de Biélorussie, et Leonid Kravtchouk, président de la République socialiste soviétique d’Ukraine. A la fin d’une soirée bien arrosée, les trois protagonistes décident démocratiquement, par trois voix sans opposition, de mettre fin à l’existence de l’URSS, malgré le vote récent de la population soviétique du 17 mars 1991, laquelle a voté à 78% le maintien de l’URSS avec 80% de participation. La Biélorussie, une des quinze républiques formant l’URSS, devient pour la première fois de son histoire un pays réellement indépendant. Anciennement agricole, le pays était devenu la partie la plus développée de l’URSS sur les plans agro-alimentaire, de la métallurgie, de la chimie, de la production de machines et de véhicules utilitaires, avec un niveau éducatif élevé. Pays plat, couvert de forêts et sans grandes ressources naturelles, il était aussi largement dépendant des échanges avec les autres républiques soviétiques.

La suite est connue. La « nomenklatura » corrompue des autres ex-républiques soviétiques, les organisations mafieuses et les prédateurs occidentaux se partagèrent l’essentiel les richesses créées par l’ensemble des citoyens, entraînant une grande baisse de la production et une chute du niveau de vie. Ce qui explique que la nostalgie de l’URSS est largement présente dans ces pays.

Itinéraire d’un « dictateur »

L’actuel président biélorusse Alexandre Loukachenko est né le 30 août 1954. Après sa scolarité, il étudie à la faculté d’histoire de l’Institut pédagogique de Moguilev, dont il est diplômé en 1975. Il adhère au Parti communiste en 1979. Il obtient un diplôme de l’Académie agricole de Biélorussie en 1985. Il prend en 1987 la direction d’une ferme collective jusqu’en juin 1993. En 1990, Alexandre Loukachenko se lance en politique et est élu député au Parlement de la République soviétique biélorusse. Il crée au sein de celui-ci un groupe intitulé « Communistes pour la démocratie », proposant une décentralisation du pouvoir et une plus grande autonomie de la Biélorussie par rapport aux dirigeants moscovites. Après la fin de l’URSS, Alexandre Loukachenko s’oppose publiquement à l’évolution capitaliste du pays. Il est élu en 1993 président du Comité anti-corruption du Parlement biélorusse, un emploi à plein temps. La lutte qu’il mène alors contre la corruption et les privilèges des dirigeants « historiques » accusés de détournements lui assure une grande popularité.

En 1994 a lieu la première élection présidentielle du nouvel Etat, avec six candidats, dont les hommes au pouvoir depuis l’époque soviétique. Alexandre Loukachenko est candidat avec un programme de conservation des principaux acquis issus du pouvoir soviétique – la santé, l’éducation, le plein-emploi, les services sociaux, la propriété étatique des grandes entreprises et de la terre. Il arrive en tête du premier tour avec 45% des voix et remporte le second tour avec plus de 80%. A 40 ans, il est le premier président élu démocratiquement du nouvel État biélorusse.

Président avec des pouvoirs limités face à l’ancien appareil d’État hostile au programme pour lequel il est élu, Alexandre Loukachenko propose en 1996 une nouvelle Constitution renforçant les pouvoirs présidentiels. Elle est approuvée par 70% des votants avec une participation de plus de 80%. Le pays s’appelle dorénavant République du Belarus et a un nouveau drapeau rouge et vert. Alexandre Loukachenko applique alors avec autorité et détermination le programme pour lequel il a été élu, soit la réalisation d’un « socialisme de marché » qui permet l’existence d’une économie privée, avec cependant des limitations empêchant la création d’une couche de grands capitalistes.

Par cette politique la nouvelle République du Belarus a été sortie en quelques années du marasme et est devenue rapidement un pays développé à tous points de vue – industriel, agricole, nouvelles technologies – tout en améliorant les services publics, l’éducation et la santé en priorité. Selon la Banque mondiale, le Belarus a le taux de pauvreté le plus faible d’Europe. Comme dans l’ex-URSS, le travail est garanti à chaque citoyen. La Banque mondiale estime le taux de chômage en Biélorussie à 0,5% en 2015.

L’offensive occidentale

L’évolution du Belarus, soit la seule continuité réussie de l’URSS, a été loin de plaire aux puissances occidentales comme les Etats-Unis ou l’Union européenne, qui espèrent toujours mettre la main sur les richesses du pays ou qui, comme l’OTAN, veulent le contrôler pour se rapprocher militairement de Moscou. Ce sont les raisons principales de la haine contre le Belarus. Les actions pour le « démocratiser » n’ont pas fait dans la dentelle. Il a même été déclaré comme faisant partie de l’« axe du mal » par l’administration Bush. Cette offensive existe de manière permanente et des structures d’intervention ont été mises en place, y compris par la création de pseudo organisations non-gouvernementales. Le Congrès américain a même voté, le 20 octobre 2004, une loi spécifique visant à « établir la démocratie au Belarus » (le Belarus Democracy Act of 2004). Cette loi budgète des dizaines de millions de dollars annuels afin de créer et soutenir une opposition en mesure de prendre le pouvoir à Minsk.

De même, l’argent coule à flots depuis diverses organismes étatiques – l’USAID (Agence des Etats-Unis pour le développement international), la NED (National Endowment for Democracy [présentée comme une organisation « privée non gouvernementale » mais quasi entièrement financée par Washington]), l’Union européenne, etc. – ou privés – comme les réseaux de George Soros ou des deux partis étasuniens. Ces « aides » sont d’ailleurs publiées sur internet sous couvert d’« actions pour la démocratie ».

Faire croire que les Bélarusses vivent sous la terreur est un autre axe de la désinformation. Ce peuple a de grandes qualités d’accueil et connaît très bien la situation des pays environnants, avec un enseignement des langues étrangères développé. Le niveau de vie est relativement élevé, sans misère apparente comme dans nos sociétés occidentales. Une société « apaisée », des gens détendus et souriants. Sans s’attarder sur ce que l’on peut ressentir là-bas, on est très loin de l’image donnée de ce pays, dont on ne montre pratiquement rien en dehors de manifestants pro-occidentaux,(([1] Rare exception, un petit reportage breton (septembre 2019) réalisé en dehors des médias dominants: https://www.tebeo.bzh/replay/587-bretons-dailleurs-en-bielorussie/10554946)) lesquels n’osent pas présenter ouvertement leur programme de privatisation générale avec adhésion à l’UE et à l’OTAN.

Pourtant les prédateurs occidentaux prêts à dépecer le Belarus savent ce qu’il y a à saisir dans ce pays, comme le souligne un rapport pour initiés d’Anders Aslund, l’un des auteurs de cette « thérapie de choc » qui a ravagé les autres pays de l’ex-bloc soviétique:

« Les touristes visitant la Biélorussie sont surpris. C’est la dernière économie soviétique qui fonctionne réellement. […] Cette économie industrialisée est dominée par une quarantaine d’entreprises publiques, notamment dans l’industrie lourde. Ils fabriquent toujours des produits […] soviétiques, mais ce sont les meilleurs produits soviétiques que vous n’ayez jamais vus. […] Les problèmes macroéconomiques sont minimes. L’inflation est sous contrôle et avoisine les 5%. Le déficit budgétaire officiel est minime et la dette publique totale est plafonnée à 35% du PIB. […] Dans l’ensemble, la structure de l’administration publique est en bon état, peut-être la meilleure de toute l’ex-URSS. […] Il n’y a pas de grands entrepreneurs ou oligarques privés en Biélorussie. La corruption est encore étonnamment rare… »(([2] A. Aslund, M. Haring, J.E. Herbst, A. Vershbow, « Biden and Belarus: A strategy for the new administration », Atlantic Council, 27 janvier 2021, accès: https://bit.ly/3xa9gWB))

La seule crainte pour les prédateurs occidentaux est la concurrence des oligarques russes, tout aussi rapaces, mais mieux placés si le système actuel était remplacé. Le Belarus subit ainsi une guerre souterraine qui peut un jour se transformer en guerre réelle, les pays voisins, Lituanie, Pologne ou Ukraine étant de plus en plus armés pour cela en prétextant la « menace russe ».

Pourquoi la population soutient-elle majoritairement Alexandre Loukachenko à chaque élection? Il y a plusieurs raisons à cela. Tout d’abord, les Bélarusses ont pour la première fois de l’histoire une nation indépendante. Ensuite, ayant connu dans le passé une vie difficile, ils savent à qui ils doivent leur situation actuelle. Enfin, ils vivent dans une société sans problème sociaux importants.

Comment caractériser le système en vigueur au Belarus? Alexandre Loukachenko agit en fonction des droits qui lui sont conférés par une Constitution adoptée à une large majorité et par ses réélections successives. Il applique la politique pour laquelle il est élu en contrôlant étroitement son application, qu’il détaille très souvent sur les chaînes d’État – trop, pour certains. Il est possible de caractériser le système bélarusse comme « social-populiste », social par la conservation des aspects positifs de l’ex-URSS et populiste parce que le président se comporte comme « le père de la nation ». Mais le Belarus n’est pas un État socialiste au sens strict du terme, basé une démocratie directe telle celle pratiquée par la Commune de Paris.

Comme dans l’ex-URSS, existe au Belarus un appareil d’Etat qui a ses propres intérêts et qui pourrait s’opposer à des revendications allant dans un sens réellement socialiste, avec un pouvoir aux mains des travailleurs et travailleuses dans le cadre d’un Etat basé sur l’éco-socialisme. La pratique d’Alexandre Loukachenko est autoritaire dans le sens où il impose sa conception de l’évolution du pays, comme pour les agrovilles créées pour diminuer le fossé ville-campagne.

L’avenir du Belarus

Sachant qu’il n’est pas éternel, Alexandre Loukachenko a proposé l’automne dernier qu’une nouvelle Constitution remplaçant le régime présidentiel par un régime basé sur la prédominance de l’Assemblée nationale soit discutée et soumise à votation. Le Belarus pourra-t-il continuer à se développer en résistant aux offensives hostiles, alors que la base du soutien majoritaire au président, soit la génération qui a connu les problèmes des dernières décennies du siècle passé, est remplacée graduellement par une jeunesse qui pourrait être moins insensible aux sirènes occidentales? L’avenir du Belarus est donc incertain.

À propos de l’auteur

Ingénieur en électronique et horlogerie, Marcel Gerber a effectué 25 séjours au Bélarus depuis 2002.

NOTES





La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

[Source : cv19.fr]

Par le Dr. Ron Brown

Vous pensez que le coronavirus s’est échappé d’un laboratoire de Wuhan ? Vous pourriez souffrir de microbiophobie. Espérez-vous qu’un vaccin vous protégera contre le coronavirus ? Vous êtes probablement microbiophobe. Vous sentez-vous à l’abri du coronavirus en portant un masque, en vous isolant et en gardant une distance sociale ? Vous êtes certainement atteint de microbiophobie. La microbiophobie rampante – qui perturbe nos vies en raison de peurs irrationnelles des micro-organismes tels que les virus – est hors de contrôle dans nos sociétés ! Mais que sont exactement ces microbes terrifiants appelés virus ? D’où viennent-ils dans la nature ? Que font-ils et où vont-ils quand ils ont fini de faire ce qu’ils font ? Malgré la microbiophobie de notre société liée aux pandémies, toutes les tentatives visant à éviter le quadrillion [un million de milliards] de virus (1 000 000 000 000 000) qui se cachent dans et sur le corps humain sont vaines. 

La métagénomique et les perspectives futures de la découverte de virus – ScienceDirect.

Comment tant de virus ont-ils élu domicile dans des zones de notre corps désignées sous le nom de viromes, et comment pouvons-nous surmonter notre microbiophobie irrationnelle, envahissante et incontrôlable à l’égard d’un virus du rhume comme le coronavirus ?

Si vous avez l’intention de chercher des réponses à ces questions en interrogeant un coronavirus, il vaut mieux vous donner beaucoup de temps pour le traquer et l’emmener pour le questionner. Ce sont des petites créatures très occupées, qui élèvent des familles de descendants, s’échappent audacieusement des laboratoires, passent les frontières en contrebande, brandissent des protéines en forme de pointes acérées comme des épées pour tuer les cellules ciblées, sautent d’un seul bond entre des humains en contact étroit avec eux, manœuvrent autour des masques faciaux, attendant patiemment que vos mains frottées se salissent à nouveau, détournant l’ADN des cellules et les rançonnant, disparaissant de la circulation pendant l’été pour passer des vacances dans des cachettes secrètes, modifiant leur apparence pour se dissimuler des vaccins, et bien sûr, rendant les gens malades et commettant des homicides.

Nous savons que ces choses sont vraies parce que des gens appelés scientifiques nous l’ont dit. Sauf que certaines de ces personnes ne sont pas du tout des scientifiques. Prenez le Dr Anthony S. Fauci, par exemple, médecin de formation et bureaucrate du gouvernement qui dirige l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses des États-Unis. Le Dr Fauci se met souvent dans des situations difficiles en faisant toutes sortes de déclarations non étayées sur la pandémie de coronavirus. Lorsque les données changent et qu’il est contraint de revenir sur ses déclarations, Fauci rejette la faute sur la science, en s’excusant et en expliquant que c’est ainsi que la science fonctionne.

La science ne fonctionne pas du tout de cette façon. La plupart des vrais scientifiques sont suffisamment expérimentés pour éviter de faire des déclarations à la Fauci qui ne sont pas fondées sur des connaissances et des faits incontestables. Néanmoins, sans se laisser décourager par son manque de sens scientifique, le Dr Fauci continue à faire toutes sortes de déclarations sur les vaccins, les masques, les confinements et les virus. Combien de temps encore devrons-nous continuer à croire Fauci qui affirme que les virus sont de vrais méchants sans preuve irréfutable, au-delà du doute raisonnable ? Par exemple, le Dr Fauci a déclaré au Congrès américain le 11 mars 2020 que le coronavirus “EST dix fois plus mortel que la grippe”, et non qu’il POURRAIT ÊTRE plus mortel que la grippe. Par rapport aux 80 000 décès survenus pendant la grippe saisonnière 2017-2018, la mortalité annuelle due au coronavirus est loin d’être dix fois plus élevée, soit 800 000 décès par an, même en tenant compte des mesures de mitigation pour “arrêter la propagation.” Fauci a également co-écrit un éditorial dans le New England Journal of Medicine déclarant que le taux de létalité de la grippe saisonnière est de 0,1%. En réalité, 0,1 % est le taux de létalité de l’infection de la grippe, bien souvent inférieur, et non le taux de létalité. Le taux de létalité de la grippe en 1918 était de 2 à 3 %, comme celui du coronavirus lorsqu’il est apparu en Chine. 

Leçons de santé publique tirées des biais dans la surestimation de la mortalité due au coronavirus (cambridge.org).

Les débuts de la virologie

Pour découvrir la véritable nature des virus et, espérons-le, nous aider à surmonter notre microbiophobie, nous devons écouter de vrais scientifiques spécialisés en virologie. Le premier grand virologue dont vous n’avez probablement jamais entendu parler est le Dr Robert Doerr, qui a dirigé les Archives of Virology pendant une grande partie du 20e siècle. 

(PDF) When did virology start ?, ASM News 62 (March) (1996), 142-5 | Ton van Helvoort – Academia.edu.

Sur la base de ses recherches sur les virus de l’herpès, et en utilisant le microscope électronique nouvellement développé dans les années 1930, le Dr Doerr a établi certains principes de base des propriétés virales. Doerr a proposé que les virus non vivants sont créés de manière endogène, à l’intérieur des cellules, et que les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes. De toute évidence, le point de vue de Doerr est très différent de celui qui prévaut aujourd’hui sur l’étiologie et la propagation des infections virales. Comment ce changement s’est-il produit ?

Bien qu’elles n’aient jamais été réfutées, les conclusions de Doerr ont fini par être ignorées et mises de côté après l’avènement du dogme central de la biologie moléculaire, qui affirme que tous les organismes vivants reproduisent la vie en transférant l’information génétique par le biais des acides nucléiques ADN et ARN. 

Il y a 60 ans, Francis Crick a changé la logique de la biologie (nih.gov).

Parce que les virus contiennent des acides nucléiques, le dogme central implique que les virus doivent se répliquer, même s’ils sont obligés de détourner les mécanismes de réplication génétique d’une cellule hôte pour réaliser cet exploit. Vous voulez une preuve de la réplication virale ? Placez quelques virus sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri et observez comment les virus disparaissent mystérieusement pour finalement réapparaître sous forme de hordes de progénitures qui se multiplient et tuent rapidement les cellules vivantes. 

Réplication virale – ScienceDirect.

Un message d’avertissement : cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale présente quelques défauts graves que nous évaluerons de manière critique par la suite.

Nouvelles connaissances en virologie

Des preuves plus récentes ont permis de découvrir que, bien que tous les organismes vivants se répliquent à l’aide d’acides nucléiques, tous les virus qui contiennent des acides nucléiques ne se répliquent pas. Par exemple, on a découvert que des virus non infectieux contiennent de l’ARN, mais ne se répliquent pas. 

Activités biologiques des particules du virus de la grippe A “non infectieux” (nih.gov).

Qu’advient-il de l’ARN de ces virus ? En outre, pourquoi un grand nombre de ces virus non infectieux s’agrègent-ils en viromes dans notre corps s’ils ne se répliquent pas ? Les réponses à ces questions peuvent être synthétisées à partir des derniers résultats de la recherche en virologie, combinés à un bref examen de la biologie cellulaire et de l’immunologie de base.

Les cellules de notre corps ont constamment besoin de protéines pour leur croissance et leur entretien. Le plan de fabrication d’une protéine nécessaire à une cellule est contenu dans les gènes de l’ADN stocké dans le noyau de la cellule. Une copie du code génétique contenant les instructions pour assembler une protéine est transcrite en ARN messager (ARNm), qui transmet le code génétique aux ribosomes de la cellule pour la traduction en protéine. Une fois que l’ARNm a fini de transmettre son code génétique transcrit, il est fragmenté en huit segments et emballé dans une vésicule du cytoplasme cellulaire, appelée exosome, pour être éliminé de la cellule comme un déchet. 

Les exosomes sécrétés par les cellules humaines transportent en grande partie des fragments d’ARNm qui sont enrichis dans les régions 3′ non-traduites | Biology Direct | Full Text (biomedcentral.com).

Transportés par le système immunitaire, les exosomes contenant des déchets de code génétique ARNm sont éliminés du corps principalement par le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire de la muqueuse nasale.

Nul autre que le docteur VIH lui-même, Robert C. Gallo, a cosigné un récent article de perspective décrivant les similitudes entre les virus et les exosomes qui contiennent des déchets d’ARNm fragmentés. 

Vésicules extracellulaires et virus : Sont-ils de proches parents ? (nih.gov)

Cette comparaison est étonnamment cohérente avec la proposition de Robert Doerr selon laquelle les virus sont des produits endogènes des cellules. Si nous supposons que les exosomes, chargés de déchets génétiques, sont identiques aux virus, le paradigme scientifique de l’infection virale change radicalement. Ce nouveau paradigme implique que le code génétique stocké dans un virus n’est pas traduit en protéines pour répliquer le virus lui-même. Au contraire, les fragments de code génétique ne sont que des restes de codes rejetés que la cellule a précédemment traduits au cours de la biosynthèse des protéines pour répondre aux besoins normaux de la croissance et de la maintenance cellulaires. En outre, la cellule synthétise les protéines S nécessaires pour encapsuler les fragments d’ARNm dans les exosomes afin de les éliminer en tant que déchets. Ces pointes [spike] sur le coronavirus pourraient fonctionner davantage comme des poignées qui facilitent le traitement des déchets par le système immunitaire.

La taille du protéome humain : La largeur et la profondeur (nih.gov)

Considérons que le corps humain est composé d’environ 20 000 types de protéines différentes, et que le code ARNm de chacune de ces protéines est finalement décomposé en huit fragments qui sont emballés dans les exosomes selon potentiellement plus de 40 000 combinaisons aléatoires. Même si les fragments ne sont pas combinés de manière totalement aléatoire, la manière dont les fragments d’ARNm sont assemblés crée une pléthore de séquences génomiques uniques détectées dans les nouvelles versions du virus, appelées variants. Les mutations ou modifications des gènes sont une propriété des cellules vivantes, mais la plupart des virus non vivants sont dépourvus de gènes, de sorte que l’on ne peut pas dire que les modifications de la séquence génétique d’un virus non infectieux mutent. Bien que certains variants puissent être associés à plus d’infections que d’autres, aucun variant d’un virus non infectieux n’est susceptible d’être plus infectieux qu’un autre variant. En outre, une toxine qui affaiblit le système immunitaire et ralentit ou inhibe la clairance virale à travers la muqueuse nasale peut entraîner une augmentation de la charge virale lorsque les exosomes s’accumulent en tant que déchets non excrétés. Ceci est également cohérent avec la proposition de Doerr selon laquelle les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes.

Dans un exemple étonnant de causalité inversée, des preuves suggèrent que les infections virales peuvent ne pas être directement à l’origine de maladies. Au contraire, l’association d’une infection virale à une maladie peut être provoquée par des déterminants de la maladie qui sont toxiques pour le système immunitaire, qui altèrent la fonction immunitaire, retardent la clairance virale et provoquent des infections virales avec possibilité de septicémie due à la rétention de déchets génétiques. Certains de ces déterminants de la maladie pourraient être liés à des changements de l’état nutritionnel, un facteur de susceptibilité aux infections, et pourraient être plus fréquents pendant certaines saisons, comme dans la saisonnalité des infections respiratoires virales. En outre, la détection d’un virus dans la muqueuse nasale n’est pas suffisante pour provoquer des symptômes d’infection chez les cas asymptomatiques, à moins que la fonction immunitaire ne soit également fortement altérée. En résumé, au lieu de se répliquer, les virus semblent s’accumuler dans les infections virales, comme les ordures s’accumulent sur le trottoir pendant une grève du ramassage des ordures. Vous ne vous promènerez pas dans la rue pendant une grève du ramassage des ordures en disant : “Oh regarde, chérie, les ordures se répliquent !”.

Dans ce nouveau paradigme viral, tous les attributs personnifiés que nous attribuons habituellement aux virus pour justifier notre microbiophobie ne semblent plus valables. Mais existe-t-il des preuves cliniques réelles pour vérifier ce nouveau paradigme ? De manière surprenante, des expériences menées par la marine américaine en 1918 à Boston et à San Francisco ont confirmé que la grippe ne pouvait pas être transmise à des groupes de marins en bonne santé directement exposés à l’haleine, à la toux et aux expectorations de patients gravement malades de la grippe. 

pubhealthreporig00014-0071.pdf (nih.gov).

Les résultats des expériences de la marine vérifient que les fragments non infectieux d’ARNm dans les exosomes ne peuvent pas se répliquer, quel que soit le nombre de virus inhalés transmis par l’air. En soi, les virions inhalés sont insuffisants pour surmonter les barrières du système immunitaire à l’infection. Il existe une distinction importante entre la transmission d’un virus inhalé et les allégations non fondées de propagation d’une infection virale entre personnes. Souvenez-vous de ces conclusions la prochaine fois que vous accuserez vos enfants de vous avoir donné un rhume ou une grippe, ou la prochaine fois que vous vous mettrez en danger en vous jetant dans la circulation pour éviter un piéton non masqué qui s’approche de vous sur le trottoir.

Mais qu’en est-il de cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale ? Comme contrôle supplémentaire de l’expérience, placez des acides nucléiques sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri. Vous pouvez observer la disparition des acides nucléiques qui sont engloutis dans les endosomes et sont décomposés par les enzymes digestives des cellules à partir des lysosomes pour être consommés comme nutriments. Observez ensuite l’excrétion d’exosomes contenant des ARNm fragmentés dans la boîte de Pétri, qui sont des déchets normaux de la traduction génétique suivant la biosynthèse des protéines. Si on les laisse s’accumuler sans les retirer de la boîte de Pétri, les concentrations accrues de ces excrétions et d’autres excrétions cellulaires finissent par détruire les cellules avec les déchets métaboliques retenus.

En conclusion, le public a été endoctriné par des craintes infondées à l’égard des infections virales, ce qui accroît notre microbiophobie et exacerbe les dommages causés par les mesures répressives de contrôle des infections qui continuent de perturber notre vie quotidienne pendant la pandémie de coronavirus et les futures pandémies. Pour atténuer la microbiophobie liée au coronavirus, il faut poursuivre les recherches et diffuser de nouvelles connaissances fondées sur la véritable nature des virus.


Dr-Ron-Brown
Ronald B. Brown, PhD, est l’auteur de plus d’une douzaine d’articles évalués par des pairs et publiés dans la U.S. National Library of Medicine of the National Institutes of Health ; ainsi que d’un chapitre sur la synthèse des connaissances de pointe dans Contemporary Natural Philosophy and Philosophies. Outre ses recherches épidémiologiques et de santé publique sur les maladies infectieuses et les vaccins pendant la pandémie de COVID-19, ses domaines de recherche actuels comprennent la prévention du cancer, des maladies cardiovasculaires, de la démence et d’autres maladies chroniques.


Source : https://trialsitenews.com/rampant-microbiophobia-is-out-of-control-new-insights-on-the-true-nature-of-viruses/
Traduction https://cv19.fr


[Voir aussi :
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Déclaration sur l’isolement des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
La théorie des germes : Une erreur fatale
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Citations médicales sur les vaccinations
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La théorie des exosomes contre celle des virus]




Complot, conspiration, plan : dix faits troublants

[Source : ripostelaique.com]

Complot, conspiration, plan ?

[Preuves que la pandémie a été planifiée ?]

1) Bill Gates, aujourd’hui le principal acteur de l’OMS, préconisait déjà en 2010 la venue de « nouveaux vaccins » pour freiner la croissance démographique mondiale dans le cadre de la lutte contre les émissions de CO2. 
https://www.ted.com/talks/bill_gates_innovating_to_zero?language=fr#t-1374074

[►Qui finance l’OMS ? (siksik.org)
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé]

En 2015, l’organisation GAVI, subventionnée par Bill Gates, entre autres, et qui oriente la politique vaccinale mondiale, préconisait la vaccination pour atteindre 14 des 17 objectifs de développement durable (vaccins à gogo !).
https://www.gavi.org/fr/sante-mondiale-et-developpement/objectifs-de-developpement-durable

2) En octobre 2019 démarrent les jeux militaires de Wuhan pendant lesquels des athlètes connaîtront des problèmes respiratoires. En même temps, à New York, des dirigeants oligarques mondialistes simulent une pandémie dans le cadre d’un exercice baptisé « Event 201 ».

https://www.francetvinfo.fr/sports/des-sportifs-francais-contamines-par-le-covid-19-des-octobre-aux-jeux-militaires-de-wuhan_4515647.html

3) En novembre 2019 (avant la déclaration officielle de l’épidémie), PfizerBioNtech commande 2 lots de 800 millions de flacons à vaccins en verre spécial, jamais utilisés auparavant.

4) En janvier 2020, l’hydroxychloroquine est classée substance dangereuse par la ministre de la Santé, donc interdite de prescription, de même que (par la suite) tout médicament efficace pour soigner l’affection Covid (encore aujourd’hui), ce qui justifie une autorisation de mise sur le marché conditionnelle des injections géniques actuelles (seule solution envisagée depuis le début) sans recul de leurs effets à moyen et long terme.

[Covid-19 – Un virus monstrueux ou un alibi idéal pour tromper l’humanité ?]

5) Dès février/mars 2020, déclenchement et entretien de la peur dans la population : annonces morbides quotidiennes exagérées (on le sait maintenant, il n’y a pas eu de surmortalité en 2020), confinement général (d’abord en intérieur puis en extérieur), couvre-feu à horaires élastiques (deux mesures inutiles). Et tout au long de l’année 2020 et 2021, entretien volontaire de la confusion et de l’incertitude (masques d’abord inutiles puis obligatoires même pour les enfants dès 9 ans, sous peine de 135 € d’amende, annonces prédictives des vagues à venir, assimilation des personnes saines à des malades potentiels), annonce présidentielle d’une vaccination non obligatoire pour en arriver aujourd’hui à la volonté d’injecter toute la population dans une ambiance télévisuelle hystérique…

[►“Surmortalité Covid” en 2020 ? C’est la démographie, idiot !
Quatre gros mensonges sur l’épidémie et le confinement
Les mesures prises contre la propagation de l’épidémie ont-elles vraiment sauvé des vies ?
Covid : du mythe aux statistiques, les vérités cachées !
Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique
LES CONFINEMENTS SONT CATASTROPHIQUES PARTOUT DANS LE MONDE
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Le Forum économique mondial publie un guide sur la façon de contraindre et de manipuler le public pour imposer le vaccin Covid-19
COVID-19 : LE GRAND CAUCHEMAR
Covid-Arnaque : il n’y a pas de pandémie — une vision britannique de l’imposture
Les esclaves ne sont pas libérés plus vite parce qu’ils obéissent mieux
Après les tests PCR, le principe du confinement condamné par la justice
Gestion des épidémies – Étude sur l’exploitation médiatique, commerciale ou politique de la peur, et sur l’avènement d’un totalitarisme “sanitaire”
COVID19: Débunkage du narratif officiel
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Mortalité toutes causes confondues pendant la COVID-19 : Pas de fléau et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement
Effets nocifs des masques
Réponse à l’OMS sur le conseil d’utilisation des masques contre la Covid-19
“STOP ! Manipulations, masques, mensonges, peur…” un collectif international de professionnels de santé dénonce des “mesures folles et disproportionnées”
Comment leurs masques rendent bêtes et méchants
Coronavirus : et si les masques faisaient plus de mal que de bien ?
COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires]

6) Les médecins sont, depuis le début de la crise, empêchés de soigner par les autorités de santé (chose impensable) et sont contraints de conseiller à leurs patients de rester au domicile et de prendre du Doliprane jusqu’à l’apparition de l’insuffisance respiratoire les conduisant directement à l’intubation et au décès.

[►« Laissons les médecins prescrire » : la résistance des médecins libéraux s’organise
Vaccins et traitements : les masques tombent et vont tomber]

Des médicaments inefficaces voire dangereux comme le remdévisir (excessivement cher) seront autorisés et préconisés par nos instances de santé.

[Voir : « Le remdesivir ne soigne pas le Covid-19. Pire… » : Didier Raoult met l’OMS face à ses responsabilités]

Attaques médiatiques violentes de toute personne contestant la version officielle concernant les protocoles de soins, la réelle mortalité de la maladie (professeurs Raoult, Perronne, Toubiana…) ou l’origine du « virus » (professeur Montagnier), que ces professeurs soient de renommée mondiale ou prix Nobel !

[►La thèse d’un virus manipulé échappé d’un laboratoire chinois : le pavé dans la mare du Pr Luc Montagnier
Message du Professeur Perronne sur les vaccins contre la Covid-19 !]

7) Dans les Ehpad, le Rivotril sera légalisé et utilisé sans compter avec la bénédiction du ministre de la Santé.

[Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus vite possible]

8) De manière concomitante l’hyperclasse mondiale de Davos nous annonce un nouveau modèle économique après « le Great Reset ». Nouveau modèle ou effondrement inéluctable d’un capitalisme financier à bout de souffle entraînant une paupérisation croissante des populations ??

[►Crise financière de 2008, covid-19, “great reset” et contrôle des populations : la grande manipulation
Les valeurs familiales de Schwab
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
STRATÉGIE FINANCIÈRE ET GREAT RESET
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]

9) Alors que 72 % de la population était opposée à la mise en place du passeport vaccinal lors de la consultation du CESE, il nous est imposé via une instance supranationale non élue.

Ce passeport fait partie des projets de l’UE depuis 2018, bien avant la pseudo-pandémie !
https://participez.lecese.fr/pages/resultats-de-la-consultation-sur-le-passeport-vaccinal

10) Pour lancer la campagne « vaccinale », les dirigeants ont d’abord utilisé l’incitation puis l’injonction. Aujourd’hui, leur véritable objectif se précise puisqu’il est question d’imposer à toute la population l’obligation d’une expérimentation médicale aux effets inconnus voire dangereux. En effet, en Europe, on dénombre plus de 15 000 décès et plus de 1 500 000 effets secondaires dont la moitié sont graves ! Il est important de savoir que seuls 5 à 10 % des effets secondaires ou décès sont comptabilisés dans les centres de pharmaco-vigilance ! Rappelons aussi que les firmes pharmaceutiques sont exonérées de toute responsabilité en cas de problèmes suite à l’injection de leurs produits délétères !

[Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulés]

Il est clair que nos dirigeants actuels organisent la fin de la souveraineté de notre pays pour le soumettre à l’oligarchie mondialiste qui progressivement s’est emparée du pouvoir financier, économique, législatif et aujourd’hui… sanitaire.

Si cette marche forcée vers un nouvel ordre mondial ne relève pas d’un complot, d’une conspiration, il paraît évident qu’elle se déroule selon un plan satanique élaboré de longue date pour entraîner la destruction des nations au vu des réactions quasi similaires dans les pays occidentaux lors de cette crise organisée.

Quel futur pour nos enfants ? Une identité numérique injectable pour un contrôle permanent ? La pérennisation d’un nouveau marché « vaccinal » scandaleusement lucratif pour les placements en Bourse de quelques milliardaires ? Des êtres humains continuellement pharmaco-dépendants d’injections mortifères annuelles voire bi-annuelles et/ou de médicaments chimiques entraînant la destruction de l’immunité naturelle ? Un chantage permanent à la vaccination pour bénéficier de l’accès à une vie normale et/ou à une future éventuelle monnaie numérique ? La domination tyrannique d’une hyperclasse mondiale avide de pouvoir et détentrice insolente de plus en plus de richesses ? Une dépopulation progressive de la classe nombreuse des « inutiles » au profit des « dieux » ?

Seule une large coalition de personnalités politiques animées d’un souverainisme national puissant s’opposant à la caste oligarchique, prônant aussi et surtout l’inviolabilité de l’intégrité corporelle des êtres humains (menace qui se fait jour aujourd’hui), pourra éviter la disparition de notre nation (en cours aujourd’hui) dans l’abîme d’un mondialisme à forte tendance génocidaire.

Philippe Rossi




Garçon, la carte s’il vous plaît !

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Par Michel Lebon

Le retour à la vie normale, comme avant ? Non, rien ne sera plus jamais comme avant.

La dictature sanitaire s’installe à tous les coins de table

Avant, attablé en bonne compagnie, le rituel de la lecture commentée du menu alimentait la conversation de mise en bouche. Maintenant, chaque convive aura le nez rivé sur son téléphone portable. Terminée la carte des entrées, des plats et des vins. On passe au QR code, Quick Response code.

Les codes QR, ou QR codes, pour « Quick Response » ne sont pas une invention récente. Leur origine remonte à 1994, avec la création du premier système de code QR. Son invention revient à un industriel japonais, Denso Wave, filiale de Toyota.
À la différence des codes-barres traditionnels, le QR code permet donc de stocker une plus grande quantité d’informations. La raison est simple. Le premier se lit dans un sens unique (haut en bas). Le QR code est quant à lui bidimensionnel, ce qui lui vaut cette appellation de code-barre bidimensionnel, et une capacité plus grande à encoder des données. [source : ZDnet]

Ce lundi, sortant du cinéma, je décide de m’attabler dans un restaurant niçois. Je demande bêtement la carte. Le serveur m’invite à saisir le QR code sérigraphié sur la table bistrot. Je refuse indiquant que je ne souhaite pas être pisté sur mon téléphone. (Déjeunant avec ma maîtresse, je ne souhaite pas avoir d’explications à donner. Par exemple, bien sûr). Le serveur insiste, lourdement. Je ne cède pas et menace de partir. Maugréant, il m’apporte ronchonnant la relique cartonnée d’un fond de tiroir… caisse.

QRCode restaurant
QRCode restaurant

Arrivé chez moi, par curiosité, je scanne ce QR code : https://app.aji-code.com/place/11757?slugged=1Il m’aurait donc fallu renseigner ce document avant d’accéder au menu : https://app.aji-code.com/place/11757?slugged=1

Mais puisqu’on vous dit que « c’est le Progrès ».

Il ne s’agit là, vous l’aurez compris, ni plus ni moins que d’un « pass sanitaire » avec flicage

Pour aller au troquet, prendre l’avion, utiliser les pissotières, etc.

Vous ne pourrez plus rien faire sans votre téléphone mouchard.

Géolocalisation permanente et intrusive, paiement sans contact, disparition des espèces, etc.

Cette dictature prétendument sanitaire se met en place, pied à pied

Rappel à lire : Le jour d’après se dévoile peu à peu du 15 avril 2020. Oui, 2020 ! On a vous avait prévenus.

Et si vous pouvez encore sortir aujourd’hui sans votre smart-phone cafteur, demain le QR code tatoué sur le front et la puce RFID sous la peau achèveront votre résidu de liberté.




Déclaration sur l’isolement des virus

[Source anglophone : andrewkaufmanmd.com]

Par Sally Fallon Morell, MA
Dr. Thomas Cowan, MD
Dr. Andrew Kaufman, MD

Isolement : L’action d’isoler ; le fait ou la condition d’être isolé ou de se tenir seul ; la séparation d’autres choses ou personnes ; le solitarisme.

Dictionnaire anglais Oxford

La controverse sur la question de savoir si le virus du SRAS-CoV-2 a jamais été isolé ou purifié se poursuit. Toutefois, en se fondant sur la définition ci-dessus, le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. Par conséquent, on ne peut trouver aucune confirmation de l’existence du virus. Les conséquences logiques, de bon sens et scientifiques de ce fait sont les suivantes :

  • la structure et la composition de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connues, y compris la présence, la structure et la fonction de toute protéine Spike hypothétique ou d’autres protéines ;
  • la séquence génétique de quelque chose qui n’a jamais été trouvé ne peut être connue ;
  • les « variants » de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connus ;
  • il est impossible de démontrer que le SRAS-CoV-2 cause une maladie appelée Covid-19.

En termes aussi concis que possible, voici la manière correcte d’isoler, de caractériser et de démontrer un nouveau virus. Tout d’abord, on prélève des échantillons (sang, expectorations, sécrétions) sur de nombreuses personnes (par exemple 500) présentant des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN tissu ou produit contenant également du matériel génétique, le virologue macère, filtre et ultracentrifuge, c’est-à-dire purifie l’échantillon. Cette technique virologique courante, utilisée depuis des décennies pour isoler les bactériophages(([1] Isolation, characterization and analysis of bacteriophages from the haloalkaline lake Elmenteita, KenyaJuliah Khayeli Akhwale et al, PLOS One, Published: April 25, 2019. 
https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0215734 — accessed 2/15/21)) et les virus dits géants dans tous les laboratoires de virologie, permet ensuite au virologue de mettre en évidence par microscopie électronique des milliers de particules de taille et de forme identiques. Ces particules sont le virus isolé et purifié.

L’uniformité de ces particules identiques est ensuite vérifiée par des techniques physiques et/ou microscopiques. Une fois la pureté déterminée, les particules peuvent être caractérisées davantage. Cela inclut l’examen de la structure, de la morphologie et de la composition chimique des particules. Ensuite, leur composition génétique est caractérisée en extrayant le matériel génétique directement des particules purifiées et en utilisant des techniques de séquençage génétique, telles que le séquençage Sanger, qui existent également depuis des décennies. On procède ensuite à une analyse pour confirmer que ces particules uniformes sont d’origine exogène (extérieure), comme c’est le cas pour un virus, et non les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.(([2] “Extracellular Vesicles Derived From Apoptotic Cells: An Essential Link Between Death and Regeneration,” Maojiao Li1 et al, Frontiers in Cell and Developmental Biology, 2020 October 2. 
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fcell.2020.573511/full — accessed 2/15/21)) (En mai 2020, nous savons que les virologues n’ont aucun moyen de déterminer si les particules qu’ils voient sont des virus ou simplement les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.)(([3] “The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses,” Flavia Giannessi, et al, Viruses, 2020 May))

Si nous sommes arrivés jusqu’ici, c’est que nous avons entièrement isolé, caractérisé et séquencé génétiquement une particule virale exogène. Cependant, nous devons encore montrer qu’elle a un lien de causalité avec une maladie. Pour ce faire, on expose un groupe de sujets sains (on utilise généralement des animaux) à ce virus isolé et purifié, de la manière dont on pense que la maladie est transmise. Si les animaux sont atteints de la même maladie, comme le confirment les résultats cliniques et les autopsies, on a alors démontré que le virus provoque effectivement une maladie. Cela démontre l’infectivité et la transmission d’un agent infectieux.

Aucune de ces étapes n’a été tentée avec le virus SRAS-CoV-2, et toutes ces étapes n’ont pas non plus été réalisées avec succès pour tout virus dit pathogène. Nos recherches indiquent qu’il n’existe pas une seule étude montrant ces étapes dans la littérature médicale.

Au contraire, depuis 1954, les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes, souvent moins de dix, atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. À l’encontre de tout bon sens, de toute logique, de l’usage de la langue anglaise et de l’intégrité scientifique, ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion [ou soupe chimico-génétique] contenant des fragments de matériel génétique provenant de nombreuses sources est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico » [du mot « silicium », pour indiquer sa nature purement logicielle, puisque les microprocesseurs à la base du fonctionnement des ordinateurs sont faits de semi-conducteurs en silicium]. À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel. Il s’agit d’une fraude scientifique.

L’observation que le spécimen non purifié — inoculé sur une culture de tissus avec des antibiotiques toxiques, du tissu fœtal bovin, du liquide amniotique et d’autres tissus — détruit le tissu rénal sur lequel il est inoculé est donné comme preuve de l’existence et de la pathogénicité du virus. Il s’agit d’une fraude scientifique.

Dorénavant, lorsque quelqu’un vous donne un article qui suggère que le virus du SRAS-CoV-2 a été isolé, vérifiez les sections sur les méthodes. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que leur procédé n’était pas l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour expliquer pourquoi un véritable isolement n’est pas effectué :

  1. Il n’y avait pas assez de particules virales à analyser dans les échantillons des patients.
  2. Les virus sont des parasites intracellulaires ; ils ne peuvent pas être trouvés à l’extérieur de la cellule de cette manière.

Si le premier point est correct et que l’on ne peut pas trouver le virus dans les expectorations des personnes malades, sur quelle base peut-on penser que le virus est dangereux, voire mortel ?
Si la réponse n° 2 est correcte, comment le virus se transmet-il d’une personne à l’autre ? On nous dit qu’il émerge de la cellule pour infecter les autres. Alors pourquoi n’est-il pas possible de le trouver ?

Enfin, remettre en question ces techniques et conclusions virologiques n’est pas une distraction ou un sujet de discorde. Faire la lumière sur cette vérité est essentiel pour mettre fin à cette terrible fraude à laquelle l’humanité est confrontée. Parce que, comme nous le savons maintenant, si le virus n’a jamais été isolé, séquencé ou s’il n’a jamais été démontré qu’il causait des maladies, si donc le virus est imaginaire, alors pourquoi portons-nous des masques, pratiquons-nous la distanciation sociale et mettons-nous le monde entier en prison ?

Enfin, si les virus pathogènes n’existent pas, que contiennent ces dispositifs injectables appelés à tort « vaccins », et à quoi servent-ils ? Cette question scientifique est la plus urgente et la plus pertinente de notre époque.

Nous avons raison. Le virus SRAS-CoV2 n’existe pas.

Sally Fallon Morell, MA
Dr. Thomas Cowan, MD
Dr. Andrew Kaufman, MD





L’Originale K : « Je refuse les concerts devant des gens masqués… »

[Source : (lemediaen442.fr]

Lucie, alias L’Originale K, est une maman rapeuse qui a remporté son combat pour l’inclusion scolaire en obtenant une place dans une classe spécialisée pour son fils devenu autiste sévère à cause des vaccins. Cette artiste engagée dénonce aussi les mesures gouvernementales prises depuis l’arrivée du covid-19 dans notre pays. Rencontre en 4-4-2 avec Lucie, personnalité touchante et forcément « originale » qui se bat quotidiennement pour son fils, mais pas que !

Le Média en 4-4-2 : Bonjour Lucie et merci d’avoir accepté de répondre aux questions du Média en 4-4-2. Certains d’entre nous vous ont découvert il y a trois ans avec votre clip « #inclusionfermata****** » où vous vous adressez directement à Emmanuel Macron, car votre fils handicapé n’avait pas de place à l’école. Pouvez-vous revenir brièvement, pour ceux qui ne vous connaissent pas encore, sur cette chanson qui a fait le buzz et sur votre parcours si particulier ?

L’Originale K : Bonjour le média en 4-4-2 et merci pour l’intérêt que vous portez à mon parcours. En 2018, encore dans la promo de l’album MC Maman Courage et toujours au combat pour faire respecter les droits de mon enfant handicapé (mais ça, je crois que c’est un combat à vie en France), après que mon fils a été congédié de l’école de la République et que cet essai d’inclusion pour mon fils qui n’a été, bien que bref, que de la matraitance au final, car accueilli seulement une heure par semaine avec une AESH contrairement aux douze heures obtenues par le tribunal. J’ai fait le bilan de la situation à travers le titre « #inclusionfermeta***** », fait en collaboration avec d’autres mamans pour dénoncer le non-respect des droits et le manque scandaleux de formation et de place pour nos enfants. J’ai eu l’idée d’y ajouter les belles promesses en l’air faites par notre président et ce morceau a fait l’effet d’une bombe. En effet, à lui tout seul, il prouve les mensonges de l’inclusion à la française. Cinq mois après avoir sorti ce titre, mon fils Malone a obtenu grâce à lui une place en sureffectif dans l’école que je demandais pour lui depuis plus de quatre ans, sans avoir le droit d’être sur la liste d’attente car épileptique ! Eh oui ! j’ai obtenu sans monter en haut d’une grue le respect de ses droits et je suis la première à l’avoir fait en rap. La route est encore longue, car il n’existe que neuf écoles de ce genre en France (qui respectent les bonnes pratiques de la Haute autorité de santé envers les enfants autistes). L’envers du décor est pavé de scandale et j’ai choisi de prendre le risque d’utiliser ma musique pour éveiller les consciences.

« La musique est ma corde de secours, sans elle je tombe »

Le Média en 4-4-2 : Vous prenez « Maman courage » comme pseudonyme sur les réseaux sociaux. Comment se passe votre vie de tous les jours ? Comment faites-vous pour être rappeuse engagée ET maman à temps plein d’un enfant autiste ?

L’Originale K : « Maman Courage » est un terme que j’ai créé en 2015 pour définir une maman comme moi… C’est devenu un collectif et une association officielle qui s’appelle « Les Mamans Courage », c’est le titre de mon album 2017 « MC Maman Courage », le premier album témoignage du combat d’une maman d’enfant handicapé. Ma vie est une succession de montagnes russes avec un avenir incertain, un combat de tous les jours, autant dans l’amour pur et véritable que dans la souffrance insurmontable. La musique est ma corde de secours, je suis accrochée à la falaise au-dessus du précipice. Elle me permet d’extérioriser et d’être utile, malgré ma situation hardcore, en faisant entendre la voix de ces milliers de mamans comme moi. Sans elle, je tombe. Elle est le lien entre nos âmes. Maman Courage et rappeuse, c’est L’originale K.

Le Média en 4-4-2 : Cette « originalité malgré vous » fait que vous êtes solicitée pour en parler, notamment depuis l’étranger. Est-ce une indiscrétion de révéler que vous avez ajouté à la dernière minute une chanson à votre prochain album qui parlera justement de ce que vous ressentez personnellement et des difficultés que vous rencontrez pour reconstruire votre vie ?

L’Originale K : En effet j’ai des interviews régulièrement et même de l’étranger ! Cette semaine j’ai une demande du Brésil… Beaucoup de pays s’intéressent à la Maman Courage rappeuse que je suis. C’est aussi pour cela que j’ai fait la fameuse chanson sur l’autisme entièrement en anglais en collaboration avec Céline Dominik-Wicker. Certains fans me demandent de chanter en anglais pour qu’ils puissent comprendre mes paroles. J’ai annoncé en effet avoir repoussé la sortie de l’album « Monde de fous » pour y ajouter une chanson qui me tient beaucoup à cœur. Toutes mes chansons viennent du cœur, elles sont son expression, elle laissent une trace de ce que je vis. Cette dernière chanson est un message… Ma situation me condamne sentimentalement à être seule, car la souffrance ne se divise jamais, elle se multiplie et contamine mes proches malgré moi. Je pense que la vie est un enchaînement d’épreuves et plus tu atteins la conscience, plus les épreuves sont difficiles… J’ai été heureuse malgré la colère, j’ai goûté au paradis prisonnière de l’enfer, j’ai vu l’arc-en-ciel pendant l’orage, j’ai trouvé de l’eau dans le désert… Il y a des blessures bien profondes dont on ne guérira jamais, elles sont le moteur d’un nouveau combat. Pour trouver la paix, j’ai besoin de mettre des mots sur mes maux.https://www.youtube.com/embed/uA46vlazq2M?feature=oembed

Le Média en 4-4-2 : On vous connaît aussi grâce à votre titre « Monde de fous » qui est passé au Festival de Cannes. Et dans cette chanson, vous parliez des vaccins et de « ton médecin qui te soigne avec du poison ». Cette chanson n’est-elle pas plus que jamais d’actualité ?

L’Originale K : En effet, en tant que maman « victime collatérale » de dommage vaccinaux sur un de mes enfants, je défends de nombreuses causes et dénonce de nombreuses injustices telles que la non-reconnaissance des victimes et la désinformation dans le domaine, si ce n’est pas clairement ce que l’on peut qualifier de mensonges par peur du scandale, et quel scandale ! J’espère sincèrement qu’un jour elle ne sera plus d’actualité, mais en effet elle l’est encore plus aujourd’hui au vu des événements récents.

Le Média en 4-4-2 : De par votre expérience, on vous imagine méfiante vis à vis des vaccins contre le covid… Vous ont-ils d’ailleurs inspiré de nouveaux textes ?

L’Originale K : Si demain vous achetez des meubles chez Ikea pour la chambre de votre bébé et que vous découvrez finalement que la colle utilisée pour la fabrication de ces meubles est cancérigène, mais que c’est trop tard… rachèteriez-vous des meubles chez Ikea ? Et commencerez-vous à vous méfier chez les autres fabricants ? Bien sûr que ça n’arrive pas qu’aux autres et ça ne sera plus jamais pareil, car une fois qu’on a ouvert les yeux, on voit. Les inspirations pour de nouveaux textes ne manquent pas en effet…

Le Média en 4-4-2 : Justement, pouvez-vous nous dire quels seront les thèmes liés à cette « crise sanitaire » qui seront abordés dans votre prochain album ? Album qui sortira à la fin de l’été si nos informations sont bonnes…

L’Originale K : En fait quand on y réfléchit tout est lié… l’album s’appelle « Monde de fous » !

Le Média en 4-4-2 : Allez-vous y évoquer les confinements, la perte progressive de nos libertés, les vaccins covid, le Pass sanitaire… Les sujets ne manquent pas !

L’Originale K : Oui, j’aborde tous ces points en effet, plus ou moins tout y est et je vais même plus loin… L’album « Monde de fous » comprend seize titres. La date de sortie est pour début septembre. Il sortira en CD et en version numérique partout… comme les deux qui le précèdent, j’ai confié les masterings au grand Antoine Chabert. La qualité est importante pour moi, je suis très perfectionniste… il y a six beatmakers qui ont travaillé pour moi sur ce projet. Jim Walter et LaBoucleDor pour la majorité des morceaux, Dyna, karina Houston, Maté beats et Dralok. Plusieurs featurings aussi, Apa. H Toulouse, Dralok, Paul élixir, Jonathan Marion, guiggaz M power (Mozambique), MulecaXIII (Brésil), Hefzi-ba (Cuba). Deux auteurs ont travaillé sur une chanson chacun. Céline Dominik-Wicker et Eléa Doo. Deux célébrités y participent, Roch Sauquere et Emmanuel Macron. Ils y sont malgré eux et Roch est plutôt content d’ailleurs ! Il a même décidé de faire de la chanson « Le lapin blanc » le générique de fin de sa séries d’épisodes.https://www.youtube.com/embed/wj1rlcdqDyU?feature=oembed

Le Média en 4-4-2 : Dans cette chanson, « Le lapin blanc », vous évoquez la matrice dans laquelle on vit : nous sommes « des rêveurs et nous marchons dans le rêve d’autres rêveurs », dans un « monde d’illusions construit par des mensonges ». Quand et dans quelles circonstances avez-vous décidé de prendre la pilule rouge et de descendre avec le lapin blanc au fond du gouffre ?

L’Originale K : Quand j’ai perdu toute confiance en cette société en découvrant qu’on ne pouvait pas faire confiance au système de santé prêt à détruire des vies pour de l’argent… Le jour où mon fils est devenu handicapé et que la société m’a abandonnée parce qu’il a eu des dommages vaccinaux. Quand j’ai compris que je n’avais pas le droit de dire la vérité et qu’on essayait de me faire taire et surtout que personne ne chercherait à soigner mon enfant.

Le Média en 4-4-2 : Vous avez subi des pressions ? De quelles sortes ? Elles ne semblent pas en tout cas vous intimider !

L’Originale K : Il existe beaucoup de preuves aujourd’hui que toute « la mascarade » et son organisation ne sont pas une seconde le fruit du hasard… J’ai été dénigrée dans un reportage d’Arte… La journaliste hyper triste m’a prise dans ses bras les larmes aux yeux lors d’un rendez-vous à Paris en me disant que jamais en vingt ans de carrière elle n’avait vu cela… La chaîne a transformé le reportage et a essayé de me faire passer pour une femme avide, stupide et on m’a traitée d’antivax. J’ai été énormément choquée et déçue, je trouvais cela incroyablement ignoble… Le reportage a été interdit de diffusion pour atteinte à mon image d’artiste… Je suis régulièrement censurée sur les réseaux.

« La plus grosse menace c’est la puissance des 1 % qui détiennent l’argent et décident de notre sort à notre plus grand détriment »

Le Média en 4-4-2 : « Le virus est pour moi le gouvernement tout entier. » Dans « Confinés », vous allez même plus loin en expliquant que « pendant que les gens sont confinés et contaminés, ils n’ont pas conscience qu’il y en a bien plus des dangers ». Quelle est pour vous la plus grosse menace qui plane sur le peuple endormi et souvent confiné ?

L’Originale K : « À partir du moment où il est néfaste pour la santé, le virus est pour moi le gouvernement tout entier. » La plus grosse menace c’est la puissance des un pour cent qui détiennent l’argent et décident de notre sort à notre plus grand détriment… Les menteurs et les manipulateurs, le gouverne-ment.

Le Média en 4-4-2 : Dans « MC révolutionnaire », vous écrivez : « Des masques, des barrières, des tests : ils nous ont mis la fièvre. La voix du peuple gronde aux quatre coins du monde. Le point de non retour est proche. » La fin du coronacircus passe-t-elle par le réveil et une révolution du peuple ?

L’Originale K : Notre société est face au mur… Il est grand temps de l’anéantir, elle est corrompue jusqu’à la moelle. Le peuple se divise entre moutons dociles et moutons récalcitrants… Pour faire une révolution il faut des guerriers : où sont-ils ? Sûrement devant des sites douteux… C’est la réalité de notre société, le peuple n’est pas prêt pour la révolution… l’idiocratie est en place…

« Certains ne survivront pas au réveil… Car il peut être brutal… La propagande est partout… “Nous sommes en guerre” est peut-être la seule vérité que Macron nous a dite »

Le Média en 4-4-2 : Pourtant dans « Peuple de France », vous appelez celui-ci à ne pas abandonner notre pays. C’est que vous gardez quand même l’espoir d’un réveil prochain ?

L’Originale K : « Sans espoir il n’y a pas de vie sans courage pas de survie », c’est dans une autre chanson… Il y a beaucoup de travail pour réveiller les gens et certains ne survivront pas au réveil… car il peut être brutal… La propagande est partout… Nous sommes en guerre est peut-être la seule vérité que Macron nous a dite. De toute façon le système est mort… Il y a manifestement de plus en plus de personnes qui se réveillent… Une révolution, ça s’organise !

« Je refuse les concerts devant des gens masqués »

Le Média en 4-4-2 : Le Pass sanitaire vient d’être mis en place pour les évènements de plus de mille personnes. On espère que tu seras confrontée à ce dilemme prochainement : accepteras-tu de te produire, si les spectateurs doivent être vaccinés ou testés depuis moins de 72 heures ? En sachant que cette contrainte ne s’applique pas aux artistes…

L’Originale K : Bien sûr que je ne participerai jamais à l’atteinte des droits humains. Je me bats pour que nos droits soient respectés. Déjà que je refuse les concerts devant des gens masqués…

Le Média en 4-4-2 : Il n’y a que très peu d’artistes musicaux qui se positionnent comme vous contre ce Pass sanitaire. La plupart semblent fermer les yeux pour ne pas compromettre leur carrière… Comme personnalité de premier plan, il n’y a que HK qui a affirmé publiquement son boycott des concerts et festivals qui réclament ce Pass (il nous l’avait expliqué récemment dans une interview en 4-4-2). Comment expliquez-vous ce manque de courage ou cette absence de prise de conscience ?

L’Originale K : J’ai moi-même annoncé avant l’obligation du masque que je ne chanterais pas devant des gens masqués. Le manque de courage est dans tous les domaines, les artistes n’en sont pas épargnés, surtout ceux qui le font pour des raison purement pécuniaires… Comme je le dis dans « Victoire » : on comprend peu par la peur mais beaucoup par la souffrance. On apprend mieux dans sa sueur à force de persévérance, la motivation n’est pas une tâche mais un devoir et se battre pour une cause juste est déjà une victoire. Il faut du courage pour chanter avec conscience.

Le Média en 4-4-2 : Le Média en 4-4-2 vous avait rencontrée avec Les Masques Blancs nantais début mai dernier. Y a-t-il une ou des collaborations de prévues ?

L’Originale K : En effet j’ai été à la rencontre des Masques Blancs nantais, j’ai répondu avec plaisir à l’invitation, pour leur dire tous mon soutien et leur faire part de certains de mes projets avec eux. J’espère qu’ils pourront aboutir. En attendant j’ai donné l’autorisation aux Masques Blancsd’utiliser mes titres lors de leur prestations avec un grand honneur. Je suis à leur disposition pour venir me représenter à leurs côtés, dès que je trouverai un peu de temps, ce qui n’est pas évident dans ma situation.

Le Média en 4-4-2 : Merci Lucie pour vos réponses ! Nous avons hâte de découvrir votre nouvel album… Le mot de la fin est à vous !

L’Originale K : Pour le mot de la fin, je vous partage une partie des paroles d’une des chansons du nouvel album « Monde de fous » qui s’appelle « Je rêve » :

Construire un monde meilleur
sans peine et sans peur
ou l’amour nourrirait l’envie
pour nous tous
vivre dans le plus grand respect
loin de cette folie
un monde où notre cœur
rendrait à la vie
son sens et sa valeur

Je rêve d’un monde meilleur
le bon sens est de rigueur
quand le moment est venu
de dire stop !
un droit ce n’est pas une faveur
la conscience est la ferveur
en heure et en temps voulus
de dire stop !
je rêve d’un monde meilleur

Le besoin de changer de vie
avant que la vie ne nous change
passe par le voyage intérieur
tout en suivant son cœur
ce ne sont pas les choses extérieures
mais ton attitude
et ce que tu penses qui t’aideront
à trouver le bonheur

La vie n’a de sens que celui
du partage de l’amour
c’est ainsi que tu seras vraiment toi-même
sois le changement que tu veux voir
dans ce monde de fous
et commence par toi-même.

Merci




Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons

[Source : cv19.fr]

Par Sally Fallon Morell

L’anthrax est officiellement une infection causée par la bactérie Bacillus anthracis. Elle peut se manifester sous quatre formes : cutanée, pulmonaire, intestinale et par injection. Les symptômes commencent entre un jour et plus de deux mois après que la personne ait contracté l’infection.

La forme cutanée se présente sous la forme d’une vésicule noire caractéristique. La forme par inhalation se manifeste par de la fièvre, des douleurs thoraciques et un essoufflement. La forme intestinale se manifeste par une diarrhée (qui peut contenir du sang), des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements. La forme injectable se manifeste par de la fièvre et un abcès au point d’injection du médicament.

L’HISTOIRE OFFICIELLE

Bacillus anthracis est une bactérie anaérobie facultative en forme de bâtonnet, à Gram positif, d’une taille d’environ 1 sur 9 μm. La bactérie repose normalement sous forme de spores dans le sol et peut survivre pendant des décennies dans cet état.

L’anthrax se propage par contact avec les spores de la bactérie. Les spores de l’anthrax apparaissent souvent dans les produits animaux infectieux. Le contact se fait par la respiration, l’alimentation ou par une zone de peau lésée. En général, l’anthrax ne se propage pas directement entre les personnes ou les animaux – en d’autres termes, il n’est pas contagieux.

Spores de Bacillus anthracis

Bien qu’il s’agisse d’une maladie rare, l’anthrax humain, lorsqu’il se manifeste, est plus fréquent en Afrique et en Asie centrale et méridionale. L’infection de la peau par l’anthrax est connue sous le nom de “maladie du porteur de laine”. Historiquement, l’anthrax inhalé était appelé “maladie du trieur de laine” car il s’agissait d’un risque professionnel pour les personnes qui triaient la laine. Aujourd’hui, cette forme d’infection est extrêmement rare dans les pays développés, car il ne reste pratiquement plus d’animaux infectés. En 2008, au Royaume-Uni, un fabricant de tambours qui travaillait avec des peaux d’animaux non traitées est mort de la maladie du charbon par inhalation [1].

Bien qu’elle soit rare aujourd’hui, la maladie du charbon a posé un problème économique et sanitaire majeur en France et ailleurs au cours du XIXe siècle. Les moutons étaient particulièrement vulnérables, et des fonds nationaux ont été mis de côté pour étudier la production d’un vaccin. Louis Pasteur a consacré plusieurs années à cette quête après que Robert Koch, son rival allemand, ait revendiqué la découverte de l’agent responsable, le Bacillus anthracis. Les efforts déployés pour trouver un vaccin ont incité non seulement Pasteur mais aussi d’autres scientifiques de son époque à se lancer dans une course féroce pour la gloire et l’or.

En 1881, Pasteur réalise une expérience publique à Pouilly-le-Fort pour démontrer son concept de vaccination. Il prépare deux groupes de vingt-cinq moutons, une chèvre et plusieurs bovins. Les animaux d’un groupe reçoivent deux injections d’un vaccin contre la maladie du charbon préparé par Pasteur, à quinze jours d’intervalle ; le groupe témoin n’est pas vacciné. Trente jours après la première injection, on a injecté aux deux groupes une culture de bactéries vivantes de la maladie du charbon. Tous les animaux du groupe non vacciné sont morts, tandis que tous les animaux du groupe vacciné ont survécu.

L’expérience publique de Pasteur à Pouilly-le-Fort

Ce triomphe apparent, largement rapporté dans la presse locale, nationale et internationale, a fait de Pasteur un héros national et a assuré la reconnaissance de la vaccination dans la pratique médicale.

“Le bon Pasteur” – 1882

C’est en tout cas l’histoire officielle. Maintenant, examinons-la de plus près.

PUBLIC CONTRE PRIVÉ

Les triomphes publics de Pasteur sont différents si l’on compare les articles de presse élogieux de l’époque aux carnets privés de Pasteur, analysés par Gerald L. Geison dans son livre The Private Science of Louis Pasteur [2].

Pasteur a promu la théorie, largement contestée à l’époque, selon laquelle les microbes étaient à l’origine de la plupart des maladies, voire de toutes. La théorie des germes a permis aux scientifiques d’envisager un remède rapide à la maladie grâce à un vaccin contenant une forme affaiblie ou atténuée de la bactérie, un peu comme l’idée alors répandue qu’un peu de poison pouvait vous immuniser contre une dose plus importante.

La lecture de ces premières tentatives de découverte d’un vaccin contre l’anthrax évoque des images de Monty Python et du ministère de la science idiote. Certains scientifiques ont tenté une “atténuation” en soumettant le microbe à un poison, le bichromate de potassium, ou à l’acide carbolique, un désinfectant. Un autre scientifique pensait pouvoir créer un vaccin atténué en chauffant le sang d’animaux infectés et en l’injectant à des animaux non infectés. Certains préféraient faire bouillir la bactérie dans du bouillon de volaille, d’autres dans de l’urine. Un collègue de Pasteur a essayé d’”affaiblir” des cultures d’anthrax en les exposant à des vapeurs d’essence. Pasteur a tenté de détruire la virulence du bacille de l’anthrax en le soumettant à de l’”oxygène atmosphérique”, c’est-à-dire de l’air en langage scientifique – toutes ces théories ont été poursuivies avec un sérieux digne de John Cleese.

Malheureusement pour ces héros en puissance, aucune de leurs idées ne fonctionne très bien. Par exemple, lorsque le rival de Pasteur, un vétérinaire du nom de Toussaint, s’est concentré sur le sang chauffé, qui, selon lui, pouvait servir de vaccin efficace, il a constaté par la suite que les résultats étaient incohérents, allant jusqu’à tuer les animaux de laboratoire. Il a commencé à ajouter de l’acide carbolique, qui n’a pas non plus répondu aux attentes.

Dans ses carnets, Pasteur exprime sa frustration de voir que ses propres expériences sur des lapins, des cochons d’Inde, des singes et des chiens donnent des résultats aussi peu concluants. Le vaccin magique était insaisissable et, selon Geison, Pasteur avait “une base expérimentale exceptionnellement faible pour annoncer la “découverte” d’un vaccin contre la maladie du charbon en janvier 1880″. [2] Pasteur fait une annonce similaire en février 1881 et, en mars, il fait état de résultats concluants lors de tests préliminaires sur des moutons. Comme le raconte Geison, “le ton audacieusement confiant des rapports publics de Pasteur exagérait les résultats réels de ses expériences avec le nouveau vaccin. En fait, les résultats de ses tests demeuraient décidément peu concluants”. [2]

Lésion cutanée noire attribuée à une infection à l’anthrax

Un autre problème rencontré par Pasteur était qu’il ne parvenait pas à rendre les animaux malades en leur injectant le microbe qu’il associait à la maladie qu’il étudiait, comme l’anthrax ou la rage. Dans le cas de l’anthrax, pour que des animaux sains tombent malades et meurent, il devait leur injecter de l’”anthrax virulent”. Pasteur rendait les microbes “pathogènes” plus virulents par ce qu’il appelait le “passage en série” de l’organisme à travers d’autres animaux. Dans le cas de l’anthrax, il utilisait des cobayes, leur injectait le micro-organisme qu’il associait à l’anthrax, puis sacrifiait l’animal et injectait son sang ou ses tissus – éventuellement mélangés à des poisons tels que l’acide carbolique ou le bichromate de potassium – à un autre animal ; ce processus était répété sur plusieurs cobayes. C’est ainsi qu’il a obtenu ce qu’il a appelé “l’anthrax virulent”.

Pour la rage, Pasteur a pu produire les symptômes de la maladie en injectant “de la matière cérébrale. extraite d’un chien enragé dans des conditions stériles [c’est-à-dire empoisonnées], puis inoculée directement à la surface du cerveau d’un chien sain par un trou percé dans son crâne”. Ce traitement faisait parfois écumer la bouche des chiens et les faisait mourir. [2]

Au milieu de ses expériences frustrantes sur l’anthrax, Pasteur est convaincu par l’Académie de médecine de faire la célèbre démonstration de Pouilly-le-Fort. Avec son rival Toussaint (un simple vétérinaire, même pas un vrai scientifique !) sur le dos, ses ennemis lui font signer le protocole d’une expérience qu’ils jugent impossible à réussir. Pasteur, à la consternation de ses collègues, accepte “impulsivement” le défi de Pouilly-le-Fort et signe le protocole d’expériences détaillé et astreignant le 28 avril 1881.

UNE EXPÉRIENCE TROMPEUSE ?

Geison insiste sur le fait que Pasteur a délibérément trompé le public sur la nature du vaccin qu’il a utilisé à Pouilly-le-Fort, bien qu’il n’y ait aucune raison particulière de le faire. Les protocoles ne spécifiaient pas le type de vaccin que Pasteur devait inoculer aux animaux. Au début de sa carrière, Pasteur était tout aussi méfiant quant aux détails de la fabrication de son vaccin contre le choléra des poules.

Le point essentiel : contrairement à toutes ses premières expériences, les essais de Pouilly-le-Fort ont parfaitement fonctionné ! Tous les moutons vaccinés ont vécu, et tous les moutons non vaccinés sont morts. Un triomphe !

Cependant, on est en droit de se demander si Pasteur a triché. Après tout, l’enjeu était de taille : toute sa carrière et l’avenir de la théorie des germes étaient en jeu. Les carnets de Pasteur indiquent qu’il était parfois malhonnête, voire peu recommandable. Il était également extrêmement agressif dans la défense de ses intérêts, ayant détruit plusieurs adversaires par la manipulation et une rhétorique acérée.

La mort de tous les moutons non vaccinés est facile à expliquer. Pasteur a utilisé de l’”anthrax virulent” ; en d’autres termes, il les a empoisonnés. Qu’en est-il des moutons vaccinés – tous les moutons – qui ont survécu ? Leur a-t-il injecté de l’”anthrax virulent” ou simplement de l’anthrax, avec lequel il n’avait jamais réussi à tuer d’animaux ? Comme le diraient les Français, “Il y avait quelque chose de louche”.

Après l’expérience, les demandes de vaccins contre l’anthrax inondent le laboratoire de Pasteur. Le laboratoire acquiert bientôt le monopole de la fabrication des vaccins commerciaux contre l’anthrax, et Pasteur poursuit agressivement les ventes à l’étranger. Au milieu des années 1880, Pasteur et son laboratoire tirent un bénéfice annuel net de 130 000 francs de la vente de vaccins contre l’anthrax. Mais Pasteur et ses assistants sont restés étonnamment réticents à divulguer tout détail sur le type de vaccin qu’ils utilisaient.

Rapidement, des problèmes sont apparus, fournissant une autre raison de soupçonner Pasteur d’avoir triché : le vaccin contre l’anthrax n’a pas fonctionné. Dans Pasteur: Plagiarist, Imposter! l’auteur R.B. Pearson note que Pasteur a commencé à recevoir des lettres de plainte de villes de France et d’aussi loin que la Hongrie, décrivant des champs jonchés de moutons morts, vaccinés la veille. [3] Selon le gouvernement hongrois, “les pires maladies, pneumonie, fièvre catarrhale, etc. ont exclusivement frappé les animaux soumis à l’injection”. Un essai réalisé en 1882 à Turin a conclu à l’inutilité de la vaccination. Dans le sud de la Russie, les vaccins contre l’anthrax ont tué 81 % des moutons qui les avaient reçus [3].

EMPOISONNEMENT À L’ARSENIC

Petit à petit, l’utilisation du vaccin contre l’anthrax a diminué. … mais le plus mystérieux, c’est que l’apparition de l’anthrax a également diminué. Aujourd’hui, c’est une maladie rare. Alors, qu’est-ce qui a causé la mort de tant d’animaux, principalement des moutons, au cours du XIXe siècle, et pourquoi les moutons ne meurent-ils pas de la maladie du charbon aujourd’hui ?

Prenons l’exemple de la solution de trempage pour moutons (une préparation liquide destinée à débarrasser les moutons des parasites). Le premier bain pour moutons au monde, inventé et produit par George Wilson de Coldstream, en Écosse, en 1830, était à base de poudre d’arsenic. L’une des marques les plus populaires était Cooper’s Dip, développée en 1852 par le vétérinaire et industriel britannique William Cooper. Le Cooper’s Dip contenait de la poudre d’arsenic et du soufre. La poudre devait être mélangée à de l’eau, si bien que les ouvriers agricoles – sans parler des moutons plongés dans la solution d’arsenic – étaient parfois empoisonnés.

Les symptômes de l’empoisonnement à l’arsenic sont remarquablement similaires à ceux de l’”anthrax”, notamment l’apparition de lésions cutanées noires. Comme l’anthrax, l’arsenic peut empoisonner par contact avec la peau, par inhalation et par le tube digestif. Si une injection contient de l’arsenic, elle provoquera une lésion au niveau du site.

Aujourd’hui, les bains pour moutons ne contiennent plus d’arsenic, de sorte que l’anthrax a disparu – sauf dans les pays en développement où il est encore utilisé dans des processus industriels comme le tannage – d’où le décès en 2008 du fabricant de tambours qui travaillait avec des peaux d’animaux importées [1].

Le véritable mystère est de savoir pourquoi les scientifiques de l’époque n’ont pas fait le lien entre l’anthrax et l’arsenic. Après tout, les Français connaissaient une chose ou deux sur l’arsenic. Tous les médecins et pharmaciens stockaient de la poudre d’arsenic, et dans le roman à succès de Flaubert du milieu du siècle dernier, Madame Bovary, son héroïne se tue en avalant une poignée d’arsenic. Flaubert décrit de manière imagée les lésions noires qui marquent la belle Madame Bovary au moment de sa mort – tous les Français savaient à quoi ressemblait un empoisonnement à l’arsenic. Il semble que les scientifiques, les vétérinaires et les médecins aient été tellement éblouis par la nouvelle théorie des germes qu’ils n’ont pas pu faire le lien entre le poison et la maladie.

Pasteur meurt en 1895 et prend immédiatement sa place en tant que premier saint de la médecine. La presse publie des gravures empestant la vieille dentelle, le montrant comme un objet d’adulation, ses flacons et ses gobelets posés sur un autel, un admirateur reconnaissant agenouillé devant eux. La science était devenue la nouvelle religion. Une description moderne appelle Pasteur “l’homme qui a sauvé des milliards de vies”.

NOUVELLE ALERTE À L’ANTHRAX

L’anthrax a disparu de l’esprit du public et les vaccins contre l’anthrax ont langui jusqu’aux célèbres lettres envoyées à des membres connus des médias et à deux sénateurs quelques semaines après le 11 septembre. Au moins vingt-deux personnes sont tombées malades et cinq sont décédées. [4] Les tests génétiques (et non l’isolement de la bactérie) ont révélé la présence de spores d’anthrax, mais personne n’a testé la présence d’arsenic dans les poudres.

Les attentats ont ravivé l’intérêt pour le vaccin contre l’anthrax. Très peu utilisé pendant des décennies, le vaccin a été dépoussiéré pour être utilisé chez les personnes considérées comme étant dans une catégorie “à risque”, comme les membres de l’armée. Les soldats reçoivent le vaccin en cinq doses consécutives, avec un rappel chaque année [5].

Même selon les sources conventionnelles, tous les vaccins contre l’anthrax actuellement utilisés provoquent des réactions, telles que des éruptions cutanées, des douleurs et de la fièvre, et des réactions indésirables graves se produisent chez environ 1 % des personnes vaccinées. [6] En 2004, une injonction légale contestant la sécurité et l’efficacité du vaccin a mis fin aux vaccinations obligatoires contre l’anthrax pour les membres de l’armée, mais après qu’un rapport de la FDA en 2005 ait affirmé que le vaccin était sûr, [7] le ministère de la Défense a rétabli les vaccinations obligatoires contre l’anthrax pour plus de deux cent mille soldats et employés du secteur de la défense. [8]

LA SOLUTION DE LA NATURE

Une dernière réflexion : Les scientifiques ont découvert que certaines bactéries peuvent “biorémédier” l’arsenic dans le sol. [9] Ces bactéries résistantes à l’arsenic ou accumulant l’arsenic “sont répandues dans les sols pollués et sont des candidats précieux pour la biorémédiation des écosystèmes contaminés par l’arsenic”. La nature a toujours une solution, et dans le cas de l’arsenic, la solution est constituée de certaines bactéries du sol omniprésentes. Nous devons envisager la possibilité que la bactérie “hostile” de l’anthrax, isolée pour la première fois par Robert Koch, soit en fait un organisme de remédiation utile qui apparaît sur la scène (ou dans le corps) chaque fois qu’un animal ou un humain rencontre le poison appelé arsenic.

Par Sally Fallon Morell, auteure du best-seller de cuisine Nourishing Traditions et présidente fondatrice de la Weston A. Price Foundation.

Cet article est paru dans Wise Traditions in Food, Farming and the Healing Arts, la revue trimestrielle de la Weston A. Price Foundation, automne 2020.

Source : https://www.westonaprice.org/health-topics/anthrax-arsenic-and-old-lace/
Traduction https://cv19.fr


[Voir aussi :
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Déclaration sur l’isolement des virus
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
La théorie des germes : Une erreur fatale
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Citations médicales sur les vaccinations
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La théorie des exosomes contre celle des virus]


RÉFÉRENCES

  1. https://www.telegraph.co.uk/news/uknews/4942456/Drum-maker-died-from-anthrax.html.
  2. Geison GL. The Private Science of Louis Pasteur. Prince-ton University Press, 1995, pages 167-170.
  3. Pearson RB. Pasteur: Plagiarist, Imposter! The Germ Theory Exploded! Dr William von Peters, 2002.
  4. Landers J. The anthrax letters that terrorized a na­tion are now decontaminated and on public view. Smithsonian Magazine, September 12, 2016.
  5. https://www.healthline.com/health/anthrax-vaccine-side-effects#dosage.
  6. https://en.wikipedia.org/wiki/Anthrax_vaccines.
  7. Roos R. FDA seeks comments on controversial anthrax vaccine. CIDRAP, January 13, 2005.
  8. Air Force Special Operations Command. Anthrax vaccine mandatory again. https://www.afsoc.af.mil/News/Article-Display/Article/163403/anthrax-vaccine-mandatory-again/.
  9. Ghodsi H, Hoodaji M, Tahmourespour A, Gheisar MM. Investigation of bioremediation of arsenic by bacteria isolated from contaminated soil. African Journal of Microbiology Research. 2012;5(32):5889-5895.



Covid-19, vaccins expérimentaux, stratégie vaccinale : entretien avec Christian Vélot

[Source : mediapart.fr]

1) Bonjour Christian Vélot, pouvez-vous vous présenter rapidement pour mes lecteurs ? Quelle est votre formation, votre statut professionnel et votre domaine de compétence scientifique ? Avez-vous par ailleurs des conflits d’intérêts quels qu’ils soient ?

C.V. — Titulaire d’un doctorat de Sciences biologiques et médicales, je suis maître de conférences à l’Université Paris-Saclay, et plus précisément sur le centre scientifique d’Orsay où je dirige une équipe de recherche. Mon domaine de compétence est celui de la génétique moléculaire, et donc des biotechnologies et de leurs produits. C’est à ce titre que je m’intéresse notamment aux vaccins, et en particulier aux vaccins de dernière génération, dits vaccins génétiques, qui sont issus des biotechnologies. Je n’ai aucun conflit d’intérêt.

2) Vous êtes également président du Conseil scientifique du Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le Génie génétique (CRIIGEN), dans lequel j’ai retrouvé aussi plusieurs personnalités bien connues du monde de la recherche scientifique et de la réflexion sur l’éthique dans les sciences de la vie, telles que Jacques Testart (directeur de recherche honoraire à l’INSERM) et Pierre-Henri Gouyon (professeur de biologie au Muséum National d’Histoire Naturelle, signataire de ma tribune collective de septembre 2020 intitulée « Nous ne voulons plus être gouvernés par la peur »). Il s’agit d’une association créée en 1999 et qui s’est faite connaître notamment dans sa critique des produits du génie génétique (OGM) et des substances qui leurs sont liées telles que les pesticides et les perturbateurs endocriniens, eu égard aux effets de ces techniques sur la santé, en particulier le développement de certaines maladies chroniques que vous considérez être de véritables pathologies environnementales. Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur ces techniques, ces pathologies et leurs évolutions ?

C.V. — Les OGM agricoles sont, dans leur très grande majorité, conçus pour accumuler un ou plusieurs pesticide(s) dans leurs cellules. Il s’agit soit de plantes génétiquement modifiées pour produire un ou plusieurs insecticide(s) afin de lutter contre un ou des insecte(s) dont elles sont la cible, soit des plantes dont la modification génétique leur permet de tolérer un ou plusieurs herbicide(s), soit encore des plantes qui cumulent les deux propriétés. Ces plantes accumulent donc un ou plusieurs insecticide(s) qu’elles produisent, ou un ou plusieurs herbicide(s) qu’elles absorbent sans en mourir, lesquels vont alors se retrouver dans la chaine alimentaire. S’intéresser à la question des OGM agricoles et notamment à leur sécurité sanitaire et environnementale implique donc de s’intéresser de près à celle des pesticides. Or la plupart des pesticides sont des agents cancérigènes/mutagènes/reprotoxiques (CMR), ou des perturbateurs endocriniens (PE), responsables de nombreuses maladies dites chroniques ou environnementales qui ont explosé à travers le monde ces dernières décennies : cancers, maladies cardiovasculaires, troubles neuro-développementaux, obésité, diabète de type 2…

3) Les vaccins contre la Covid-19 qui sont commercialisés partout dans le monde depuis plusieurs mois utilisent pour beaucoup d’entre eux ces techniques de génie génétique et ne correspondent plus au principe des vaccins qu’on dira alors « classiques », les vaccins à virus inactivés que nous avons tous connus depuis notre enfance, ceux de Pasteur en quelque sorte. Pouvez-vous nous expliquer de quoi il s’agit et les différences entre ces multiples vaccins ?

C.V. — Permettez-moi tout d’abord de repréciser ce que sont les virus. Il s’agit d’agents infectieux comprenant une coque protéique appelée capside, constituée de la juxtaposition d’un grand nombre d’exemplaires d’une protéine virale (la protéine de la capside), et renfermant le matériel génétique du virus qui est soit de l’ADN soit de l’ARN (pour les notions d’ADN, ARN et protéine, voir la Figure 1 de ce texte). De nombreux virus sont en plus entourés d’une enveloppe qui est constituée d’une bicouche de graisse (lipides) dans laquelle sont enchâssés plusieurs exemplaires d’une autre protéine : la protéine de surface du virus (voir la Figure 2 de ce texte). Les virus possédant une enveloppe sont appelés des virus enveloppés ; ceux n’en possédant pas sont les virus nus. Le virus SARS-CoV-2, responsable de la Covid-19, est un virus enveloppé dont le matériel génétique est de l’ARN. Sa protéine de surface (enchâssée dans son enveloppe) est la fameuse protéine « Spike ».

Les vaccins actuellement disponibles dans le monde, ou sur le point de l’être, pour lutter contre la Covid-19 peuvent se classer en trois catégories : les vaccins inactivés, les vaccins à protéine recombinante et les vaccins génétiques.

Les vaccins inactivés consistent à injecter le virus entier mais préalablement inactivé (par la chaleur ou par un traitement chimique au formaldéhyde). C’est le cas par exemple des vaccins chinois Sinopharm et Sinovac, mais également du vaccin développé par l’entreprise de biotechnologies française Valneva.

Les vaccins dits « à protéine recombinante » consistent à injecter non pas le virus entier mais une protéine du virus (en général sa protéine de surface), laquelle a alors été produite en laboratoire par des cellules cultivées à grande échelle et dans lesquelles a été préalablement introduit le gène viral détenant le secret de fabrication de cette protéine. Ces cellules prennent alors le gène viral à leur propre compte, le décodent et fabriquent la protéine virale (l’antigène) qui est ensuite purifiée, associée à divers adjuvants puis injectée aux personnes à vacciner. La protéine virale en question est qualifiée de « protéine recombinante » car elle est produite par des cellules qui ne sont pas celles qui la fabriquent naturellement. C’est le cas du vaccin développé par l’entreprise américaine Novavax et qui consiste donc à injecter la protéine Spike du virus Sars-Cov2 responsable de la Covid-19. C’est aussi le cas du vaccin cubain (Soberna02), et des candidats vaccins développés par l’entreprise américaine United Biomedical-COVAXX (UB-612) et par l’entreprise française Ose Immunotherapeutics (CoVepiT) mais sous des déclinaisons différentes :  dans ces trois derniers cas, ce qui est produit et injecté (ou destiné à l’être) n’est pas la protéine Spike entière mais seulement un ou plusieurs fragments de cette protéine éventuellement fusionné(s) à une autre protéine (ou des fragments d’autres protéines) servant en quelque sorte de « présentoir » du ou des antigène(s) de Sars-Cov2.

Enfin, les vaccins génétiques consistent à injecter non plus le virus entier ou tout ou partie d’une protéine du virus, mais une partie de son matériel génétique détenant le secret de fabrication de la protéine de surface. Dans le cas de Sars-Cov2, il s’agit donc soit de la portion de l’ARN viral codant la protéine Spike et emprisonnée dans une nanoparticule de graisse, soit d’une copie ADN de cette portion d’ARN viral, insérée dans l’ADN d’un autre virus (adénovirus) utilisé comme « véhicule » (vecteur) pour délivrer ce matériel génétique dans les cellules de la personne à vacciner. Le virus vecteur est donc un virus génétiquement modifié qui a été rendu inoffensif (on dit qu’il a été « désarmé ») par suppression d’une partie de son propre matériel génétique (ADN), laquelle a été remplacée par la copie ADN de l’ARN viral de Sars-Cov2 codant Spike. Le principe de ces vaccins génétiques est donc de faire fabriquer l’antigène (ici la protéine Spike) directement par nos propres cellules. C’est bien sûr le cas des vaccins de Pfizer-BioNTech ou Moderna (vaccins à ARN emprisonné dans une nanoparticule de graisse) et des vaccins d’AstraZeneca ou Johnson & Johnson (vaccins à ADN utilisant un adénovirus comme vecteur).

4) En décembre 2020, vous avez rédigé un rapport d’expertise sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM (https://criigen.org/rapport-dexpertise-sur-les-vaccins-genetiquement-modifie/), qui a donné lieu à une polémique avec Alain Fischer, professeur de médecine au Collège de France et placé par le gouvernement à la tête d’un « Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale » le 3 décembre. Pouvez-vous nous expliquer les enjeux et le contenu de cette polémique de votre point de vue ?

C.V. — Dans mon rapport d’expertise, j’insiste sur un risque particulier lié aux vaccins génétiques (à ARN ou à ADN) : celui de favoriser l’apparition de virus recombinants. De quoi s’agit-il ? Les virus ont une grande capacité à échanger des fragments de leur matériel génétique respectif dès lors que les génomes viraux concernés sont de même nature (soit ADN, soit ARN) et cohabitent dans des mêmes cellules. Ce phénomène est encore plus marqué si les deux génomes viraux en question partagent des séquences (des gènes) qui se ressemblent. Le processus bien connu qui régit ces échanges s’appelle la recombinaison (et lorsque cette recombinaison a lieu entre séquences d’ADN ou d’ARN qui se ressemblent, on parle de recombinaison homologue). Ce phénomène de recombinaison n’est pas réservé à l’ADN ou l’ARN viral mais les séquences virales sont connues pour faire l’objet de nombreuses recombinaisons (on dit qu’elles sont très « recombinogènes »). Il résulte de ces échanges entre matériels génétiques viraux, des virus dits « recombinants », c’est-à-dire dont le génome est constitué de segments provenant des deux virus parentaux (voir la Figure 3 de ce texte).

Bien sûr, ce phénomène ne peut se produire que si du matériel génétique provenant d’au moins deux virus se retrouve dans les mêmes cellules, ce qui est fort heureusement extrêmement rare dans la nature puisque cela implique que des mêmes cellules soient co-infectées par au moins deux virus. Mais dès lors qu’on introduit volontairement et chez un très grand nombre d’individus du matériel génétique viral — ici à des fins de vaccination —, il suffit chez ces personnes d’une infection par un seul virus pour que de tels échanges (entre le génome du virus infectant et le matériel génétique vaccinal) se produisent et puissent ainsi donner lieu à des virus recombinants.

Or dans ses réponses à cette note d’expertise, M. Fischer réfute ce risque au prétexte que « l’ARN viral ne peut-être converti en ADN ». Outre le fait que cette allégation est totalement gratuite car il n’est pas du tout exclu que, dans certaines conditions, l’ARN viral de Sars-Cov2 puisse être converti en ADN au sein de nos cellules comme cela a été montré sur des cellules humaines en culture (Zhang et al, 2021), il est absolument impensable que M. Fischer puisse ainsi laisser croire que des évènements de recombinaison entre ARN viraux nécessiteraient une conversion préalable de ceux-ci en ADN. La recombinaison virale existe aussi bien entre ADN viraux d’une part qu’entre ARN viraux d’autre part. Et dans ce dernier cas, cela ne nécessite nullement une conversion de l’ARN viral en ADN. Les ARN viraux recombinent directement. Cela a été montré depuis fort longtemps déjà (à partir des années 60) avec le virus de la polio (Ledinko, 1963 ; Cooper, 1968 ; Cooper et al, 1974), les aphtovirus (McCahon et al, 1977 ; McCahon, 1981 ; King et al, 1982), les virus de la maladie de Newcastle et de la grippe (Hirst, 1962), ainsi que les coronavirus (Makino et a, 1986 ; Baric et al, 1990) qui sont d’ailleurs les champions de la recombinaison virale puisque leur taux de recombinaison (dès lors que deux génomes de coronavirus sont en contact) peut aller au delà de 10% (Makino et al, 1986 ; Baric et al, 1990) alors qu’il est en général, pour les autres virus à ARN, de l’ordre de 0,1 à 2% (Lai, 1992).

De plus, les coronavirus sont capables de recombiner avec des virus à ARN d’une autre famille : des évènements de recombinaison ont en effet pu être mis en évidence entre, d’une part, un virus de la grippe et, d’autre part, des coronavirus bovins, murins et un coronavirus humain (Luytjes et al, 1988).

Par ailleurs M. Fischer affirme que « de tels recombinants n’ont jamais été observés avec les vaccins vivants atténués qui délivrent pourtant leur matériel génétique dans les cellules qu’ils infectent ». Les vaccins vivants atténués (qui ne figurent pas parmi les vaccins ou candidats vaccins contre la Covid-19) consistent à injecter le virus entier, non pas inactivé mais affaibli. D’une part, il y a peu de vaccins vivants atténués (ce sont surtout des vaccins inactivés), et ils n’ont jamais été utilisés à une échelle aussi grande qu’est ou sera celle de la vaccination contre la Covid-19.  D’autre part, j’ai le regret d’apprendre au Pr. Fischer qu’une étude publiée en avril 2020 révèle l’apparition d’un virus recombinant (à ARN) de la bursite infectieuse chez le poulet entre une souche infectieuse naturelle et une souche vaccinale atténuée (Wu et al-2020).

Soit M. Fischer ignore tout cela et c’est grave, soit il ment délibérément et c’est… grave.

5) Les vaccins ont deux fonctions potentielles, l’une individuelle (protéger l’individu contre le risque de maladie au cas où il serait contaminé par le virus), l’autre collective (contribuer à la formation d’une immunité collective, ce que le gouvernement présente comme la clef exclusive pour sortir des mesures restrictives de libertés). Commençons par la première, qui pose elle-même plusieurs questions. J’en vois au moins quatre. La première est : quelle est selon vous la nature et le degré de protection individuelle que procurent ces nouveaux vaccins face au risque de développer une maladie après contamination ? Les publications préparées par les industriels pharmaceutiques qui commercialisent ces vaccins parlent de 70 à 90%, voire 95% d’efficacité contre le risque de maladie plus ou moins grave. Est-ce la réalité ou du marketing ?

C.V. — Concernant l’efficacité des vaccins, il faut bien savoir de quoi on parle. D’abord, efficacité contre quoi : forme grave, toutes les formes, contamination ? C’est le plus souvent le flou le plus complet. Pour mesurer directement l’efficacité d’un vaccin anti-Covid, il faudrait inoculer volontairement le virus à un échantillon de personnes, ce qui est bien évidemment totalement exclu pour des raisons éthiques alors qu’il n’existe pas de traitement curatif de la maladie. Ce que mesure l’efficacité d’un vaccin, ce n’est donc pas le risque de développer la maladie ou une de ses formes graves. Dire qu’un vaccin est efficace (par exemple vis-à-vis des formes graves) à 90% ne signifie pas que la population vaccinée est protégée à 90%. Cela ne signifie pas non plus que 90% des personnes vaccinées sont protégées. Ce que mesure l’efficacité annoncée du vaccin, c’est en fait la réduction du risque de développer la maladie en étant vacciné par rapport à la population non vaccinée. Imaginons par exemple que la probabilité de développer une forme grave dans la population non vaccinée soit de 1 pour 1000, alors elle serait de 1 pour 10 000 parmi la population vaccinée (avec un vaccin dont l’efficacité est de 90%). Autrement dit, un vaccin efficace à 90% diminue par 10 la probabilité d’être malade par rapport à la population non vaccinée. Notons enfin que le calcul de l’efficacité d’un vaccin devrait toujours être accompagné de la donnée d’un intervalle de confiance de cette valeur.

Enfin, se pose la question des protocoles ayant permis d’établir ces valeurs d’efficacité annoncées, et notamment des populations concernées. S’agit-il de personnes en bonne santé, de personnes présentant des comorbidités, de jeunes, de personnes âgées, ou d’une moyenne des efficacités sur l’ensemble de ces populations ? On nous gargarise avec des chiffres sans nous apporter la moindre explication et en comptant sur l’imaginaire collectif pour une surinterprétation positive de leur signification.

6) La seconde question concerne à mon sens les populations-cibles de la vaccination et les risques d’effets secondaires. Est-il raisonnable de vacciner toute la population ? N’y a-t-il pas des risques particuliers d’effets secondaires majeurs pour certaines personnes immunodéprimées, cardiques ou encore pour les femmes enceintes ? Quelle est la nature et l’ampleur de ces effets secondaires à votre connaissance ? Pensez-vous qu’ils sont correctement comptabilisés par les centres de pharmacovigilance ?

C.V. — Cette question fait le lien avec celle des protocoles soulignés ci-dessus : quelles sont les populations qui ont été testées dans le cadre de la phase III des essais cliniques ? Étant donné que la durée de cette phase III avant l’autorisation provisoire de mise sur le marché est extrêmement courte, on ne peut compter que sur les données émanant de l’essai grandeur nature que représente la phase de vaccination elle-même. Cela soulève donc la problématique du suivi post-vaccinal. Or, force est de constater que nous ne disposons pas de registres permettant d’assurer ce suivi de façon précise, et population par population (sexe, âge, indice de masse corporelle, comorbidités ou non, personnes allergiques, personnes immunodéprimées, femmes enceintes, etc.). Cela supposerait de devoir remplir un questionnaire très détaillé avant la vaccination, en particulier dans les « vaccinodromes » où les patients sont inconnus des personnels de santé effectuant cette vaccination. Au CRIIGEN, nous sommes particulièrement sensibles à cette question de registres que nous réclamons depuis longtemps pour pouvoir établir, par exemple, d’éventuelles corrélations, région par région, entre l’utilisation de certains pesticides et l’émergence de tel ou tel type de cancers ou autres maladies chroniques. Certes, les corrélations ne sont jamais des preuves mais constituent des pistes qui peuvent alors être creusées afin d’établir la réalité ou non du lien.

Et dans le cas des vaccins anti-Covid-19, la difficulté de cette absence de registre est encore aggravée par le fait que beaucoup de personnes ayant reçu une première injection du vaccin d’AstraZeneca exigent un autre vaccin pour la seconde injection en raison d’importants effets secondaires. Cela complique encore considérablement le suivi. Si on ne peut pas en vouloir aux personnes en question, cela montre une fois de plus qu’on est allé trop vite en autorisant un vaccin sans en apprécier l’ampleur des effets secondaires, au point de ne pas anticiper le refus par les patients de la seconde dose.

7) La troisième question est à mon sens celle de la contagiosité. Après l’argument de la protection individuelle contre le risque de maladie, l’argument central de la vaccination générale est celui au terme duquel il faut se vacciner pour protéger également les autres. Alors, être vacciné empêche-t-il de transmettre le virus lorsqu’on l’a attrapé ? L’IHU de Marseille a déjà signalé que ce n’était pas le cas et qu’ils avaient bien des patients vaccinés qui font ensuite des formes plus ou moins graves de Covid. Qu’en pensez-vous ?

C.V. — De toute évidence, la vaccination qui nous est proposée n’empêche pas la transmission. Non seulement des personnes vaccinées développent la Covid comme cela a effectivement été rapporté par l’IHU, mais l’OMS elle-même recommande que les personnes vaccinées continuent à porter le masque et à appliquer les gestes barrière. Cela signifie que le groupe des vaccinés et le groupe des contaminés se chevauchent, ce qui augmente encore plus le risque de recombinaison virale (entre le virus infectant et le matériel génétique vaccinal) mentionné précédemment.

Par ailleurs, 80% des personnes porteuses du virus étant asymptomatiques, il serait important, afin de limiter ce chevauchement entre contaminés et vaccinés, de faire une détection systématique avant vaccination, ce qui n’est pas le cas. Il serait pourtant facile de mettre ce système en place, notamment dans les « vaccinodromes » avec d’abord un poste de détection rapide (tests antigéniques) puis un poste de vaccination pour celles et ceux qui s’avèrent être négatifs au premier poste.

8) La quatrième question est celle des effets de la vaccination sur la vie des virus. Nous savons que les coronavirus sont des virus qui ont la propriété de pouvoir se recombiner facilement et de créer des variants ou des mutants. L’IHU de Marseille est le premier à en avoir parlé en France, dès la fin de l’été 2020, et à suivre de très près l’évolution de ces variants ou mutants. Mais la vaccination a-t-elle aussi des conséquences sur ces évolutions ?

C.V. — Tout d’abord, permettez-moi une petite clarification : tous les mutants sont des variants mais tous les variants ne sont pas des mutants. Pour « varier », et ainsi échapper au système immunitaire, un virus a deux solutions : muter ou recombiner (l’une n’étant d’ailleurs pas exclusive de l’autre).

Les mutations se produisent au moment de la réplication (recopie) du matériel génétique viral à l’intérieur des cellules infectées. L’enzyme en charge de cette réplication est fournie par le virus et commet un certain nombre d’erreurs (mutations), surtout lorsque le matériel génétique viral est de l’ARN. L’ARN est constitué de l’enchainement de 4 molécules que l’on désigne par leurs initiales respectives, à savoir quatre lettres : A, G, C, U. Il arrive que l’enzyme en charge de la réplication du génome viral mette un G à la place d’un A, un C à la place d’un U, etc. Les variants qui en résultent sont alors des mutants.

L’autre possibilité, pour un virus, de varier est la recombinaison comme expliqué dans ma réponse à la question 4. Les variants qui en résultent sont alors des recombinants.

Si les mutations ou les évènements de recombinaison ont lieu dans la séquence qui code la protéine Spike, cette protéine sera alors modifiée et pourra, le cas échéant, ne plus être reconnue par les anticorps dirigés contre la protéine d’origine. On parle d’échappement immunitaire.

Contrairement à ce qu’on entend très souvent, les coronavirus mutent peu par rapport à d’autres virus à ARN, et ceci malgré le fait que le génome des coronavirus est plus grand que celui des autres virus à ARN. A titre d’exemples, le génome du VIH (virus du sida) est constitué de 10 000 lettres (A, G, C, U) ; celui de la grippe : 13 500 ; le virus Ebola : 19 000 ; et les coronavirus : 31 000 lettres. En théorie, plus le génome est grand, plus la probabilité de faire des erreurs lors de la recopie est élevée. Les coronavirus échappent à cette règle car l’enzyme responsable de la réplication de leur génome est dotée d’un système de détection et de correction des erreurs. Cela ne veut pas dire qu’ils ne mutent pas (ce système de détection et de correction n’est pas efficace à 100 %), mais ils mutent peu. En revanche, comme cela a déjà été mentionné en réponse à la question 4, les coronavirus sont les champions de la recombinaison, et c’est le principal mécanisme qui leur permet d’échapper au système immunitaire.

Et comme expliqué précédemment, la vaccination génétique n’est pas neutre sur la capacité de Sars-Cov2 à varier puisque les vaccins génétiques font courir le risque d’augmenter l’apparition de variants par recombinaison (entre le matériel génétique vaccinal et le génome d’un virus infectant). Et cela est vrai pour tous les vaccins génétiques, qu’ils soient à ARN ou à ADN. Dans le cas des vaccins tels que celui d’AstraZeneca utilisant un virus à ADN pour délivrer le matériel génétique vaccinal, celui-ci sera, une fois dans la cellule, converti en ARN (codant la protéine Spike), lequel pourrait bien sûr recombiner avec un virus infectant à ARN de la même manière que quand le matériel génétique vaccinal est directement de l’ARN.

De plus, dans le cas des coronavirus au moins, il s’avère que le mécanisme de recombinaison passe par des portions d’ARN correspondant à une réplication partielle d’un virus parental (Makino et al, 1986). Avec l’ARN vaccinal, on fournit directement une portion d’ARN viral, ce qui représente donc un facteur de facilitation pour ces évènements de recombinaison. Par ailleurs, la recombinaison entre un virus infectant et un fragment seulement du matériel génétique d’un virus apparenté a largement été observée chez les plantes transgéniques dans lesquelles a été volontairement introduit un gène viral, et infectées par un virus apparenté (Lommel and Xiong, 1991 ; Gal et al, 1992 ; Green and Allison, 1994 ; Wintermantel and Schoelz ; 1996 ; Frischmuth and Stanley, 1998 ; Borja et al, 1999 ; Adair and Kearney, 2000 ; Varrelmann et al, 2000 ; Latham and Steinbrecher, 2004).

9) Se pose enfin la question de la stratégie de l’immunité collective. Vous expliquez dans votre dernière vidéo que la vaccination générale en période de pandémie est une erreur stratégique majeure. Pourquoi ? Est-il par ailleurs utile et raisonnable de vacciner massivement les enfants au regard des quatre points que nous venons d’évoquer ?

C.V. — En période de pandémie, par définition, le virus circule. Il y a donc émergence de variants (qu’il s’agisse, de manière générale, de mutants ou de recombinants). Si ceux-ci sont moins virulents que la souche d’origine et tout aussi bien neutralisés par les anticorps, tout va bien. Mais si ces variants échappent à l’immunité acquise (naturelle ou vaccinale) contre la souche d’origine, ils vont pouvoir proliférer et d’autant plus que la souche d’origine est freinée par la vaccination de masse. Le variant a alors la voie libre car la souche d’origine ne peut rentrer en compétition avec lui. Autrement dit, en vaccinant massivement en période de pandémie, on crée une pression de sélection en faveur des variants. En quelque sorte, on crée avec la vaccination de masse vis-à-vis des variants la même situation qu’avec l’utilisation intempestive d’antibiotiques vis-à-vis des bactéries résistantes aux antibiotiques : celles-ci ont la voie libre car toutes les bactéries sensibles sont décimées et ne peuvent donc plus « occuper le terrain » et limiter la prolifération des résistantes.

Par conséquent, en admettant que les vaccins soient sûrs et efficaces, il faut bien sûr vacciner mais seulement une frange de la population (les plus vulnérables vis-à-vis du virus), et surtout pas ceux qui permettent au virus d’origine de circuler sans en être victimes. Or cette population existe — et c’est une aubaine — : ce sont les jeunes. Il est donc stupide de vouloir vacciner les populations non sensibles, et notamment les jeunes, au prétexte que des variants circulent. Il faut faire exactement le contraire. Cela ne veut pas dire qu’il ne faudra jamais les vacciner, mais pas avant que nous soyons définitivement sortis de la pandémie.

C’est la raison pour laquelle, au lieu d’assister à une véritable compétition puérile entre les pays pour savoir qui aura vacciné le plus en un minimum de temps, la vaccination devrait être coordonnée à l’échelle mondiale en définissant, pays par pays, région par région, des pourcentages de personnes à vacciner. Mais pour cela, il faudrait disposer d’une structure qui pourrait, par exemple, s’appeler « Organisation Mondiale de la Santé »…

10) Lorsque l’on met en garde contre le marketing des industriels, en rappelant que leur objectif premier est de gagner un maximum d’argent, on est rapidement taxé de complotisme. La question me semble pourtant majeure. Comment décririez-vous le poids, l’influence et les stratégies de ces industries sur les gouvernements et sur l’OMS aujourd’hui ?

C.V. — Il s’agit de stratégies extrêmement agressives, subies par l’OMS et les états, et dictées par les profits et des visions à court terme. Or le temps que demande la sécurité sanitaire et environnementale est incompatible avec l’urgence des brevets et des profits. C’est vrai dans le domaine des vaccins, c’est vrai également dans celui des OGM, des pesticides et autres perturbateurs endocriniens.

Si leur objectif premier n’était pas le profit, ils auraient renoncé aux brevets et les vaccins seraient, comme ils le devraient, des biens communs. Si dire cela relève du complotisme, alors disons que les industriels qui produisent les vaccins sont des philanthropes…

11) Dans le même ordre d’idées, à votre connaissance, quels sont les liens entre les industries de la génétique, de la recherche sur les OGM (ou leurs nouveaux noms) et l’industrie pharmaceutique ?

C.V. — Ce sont les mêmes. Je me souviens avoir vu un documentaire (dont j’ai malheureusement oublié le titre) où l’on nous montrait, entre autres, un ouvrier victime dans son entreprise d’une intoxication avec un produit de chez Bayer. Un peu plus tard, on le retrouve dans son lit d’hôpital avec une poche de perfusion étiquetée « Bayer »…  Encore du complotisme ?

12) Finalement, on comprend que le projet de vaccination générale présenté comme la solution miracle, ce qui allait nous sauver du danger et nous permettre de « retrouver une vie normale », constitue une idéologie simpliste voire dangereuse. Plusieurs maladies classiques et majeures comme le Sida, le paludisme et la tuberculose n’ont jamais trouvé de vaccin. Que pensez-vous des mesures thérapeutiques alternatives, en particulier les traitements précoces ?

C.V. — On ne peut effectivement que déplorer cette politique qui consiste à mettre tous les œufs dans le même panier, celui des vaccins. Bien sûr que les vaccins peuvent s’avérer être une solution et il ne faut pas le négliger. Mais le problème est que c’est exclusif et au détriment de toute autre stratégie. C’est là encore une erreur ! Si, pour le VIH par exemple, on avait tout misé sur le vaccin, on ne disposerait pas aujourd’hui de la trithérapie qui a largement fait ses preuves.

Face à une telle situation, il ne faut rien négliger et ne se fermer aucune porte. On ne peut que s’interroger face à l’attitude qui a consisté à balayer d’un revers de main les pistes basées sur des molécules connues depuis longtemps telles que l’hydroxychloroquine couplée à l’azythromycine, ou l’ivermectine. On voit bien là qu’il s’agit de choix et décisions bien plus politiques et économiques que sanitaires : des molécules connues et administrées depuis 50 ans deviennent tout d’un coup dangereuse et des vaccins pour lesquels on a aucun recul sont sûrs et sans risque. Sur quelle rationalité scientifique reposent ces choix ? D’autres pistes semblent également totalement ignorées telles que, par exemple, celle du BHT (butylated hydroxytoluene), molécule dont l’efficacité d’inactivation des virus enveloppés est connue depuis longtemps et a fait notamment l’objet d’une publication dans la fameuse revue Science (Snipes et al, 1975).

Les États ont débloqué d’importantes sommes pour les laboratoires travaillant à la mise au point de vaccins au détriment des laboratoires explorant des thérapies (préventives ou curatives) alternatives.

13) Lorsque l’on étudie la mortalité liée à la Covid, on comprend rapidement que ce n’est pas du tout une menace pour l’humanité entière comme le prétendait le directeur général de l’OMS au début de la pandémie, ce qui a effrayé le monde entier. En réalité, la Covid ne tue essentiellement que des personnes extrêmement âgées et/ou des personnes déjà très malades pour d’autres raisons telles que des cancers ou des diabètes et de l’hypertension liées à l’obésité. Cela ne nous ramène-t-il pas à votre point de départ au CRIIGEN ? C’est-à-dire que cette mortalité, qui concerne tout particulièrement les pays occidentaux les plus riches de la planète, n’est pas en fin de compte directement liée voire caractéristique de notre mode de vie ?

C.V. — Dès 2008, l’OMS alertait sur les maladies chroniques qui étaient alors (et ça ne s’est pas arrangé depuis) responsables de 63% des décès dans le monde, soit 36 millions de morts, dont 29% avaient moins de 60 ans. Imaginez un instant si M. Salomon venait tous les soirs nous faire le bilan des morts de maladies chroniques, les chiffres annoncés seraient sans aucune commune mesure avec ceux qui nous ont été annoncés quotidiennement dans le cadre de la Covid-19. Il ne s’agit pas là pour moi d’opposer des morts à d’autres, mais force est de constater que, pour nos instances, tous les morts n’ont pas la même valeur. Et pourtant, Covid-19 et maladies chroniques ne sont pas déconnectées : si toutes les personnes atteintes de maladie chroniques ne sont pas victimes de la Covid-19, la plupart des victimes de la Covid-19 sont elles atteintes de maladies chroniques. En d’autres termes, le virus Sars-Cov2 n’est pas un virus tueur : il porte l’estocade finale à des personnes déjà fragilisées car atteintes de pathologies chroniques : les fameuses « comorbidités »…

Il est donc urgent de s’attaquer de près aux causes des maladies chroniques dont nous savons qu’elles ne sont ni génétiques ni infectieuses. Il n’y a en effet aucune loi de la génétique classique qui permette de rendre compte d’une telle explosion sur des temps aussi courts (à travers un nombre très faible de générations), tout comme il est clair que dans la grande majorité des cas, ces pathologies ne sont pas dues à un agent infectieux (virus ou bactérie). Non, nous le savons, la cause est environnementale : cette recrudescence de maladies chroniques s’explique notamment pas les nombreuses pollutions chimiques, et en particulier les pesticides et autre perturbateurs endocriniens omniprésents dans l’air qu’on respire, dans notre habitation, dans notre alimentation. La Covid-19 n’est que le révélateur de cette autre pandémie silencieuse contre laquelle aucune disposition forte n’est pourtant prise, ni à l’échelle nationale, ni à l’échelle mondiale.

Se prémunir de la Covid-19 aujourd’hui ou d’une autre maladie infectieuse demain passe par la lutte contre les pollutions chimiques. Or, c’est malheureusement toute la stratégie contraire à laquelle nous assistons. Nous étions déjà (dans le « monde d’avant ») obsédés par l’hygiène pasteurienne, au détriment de l’hygiène chimique. Cet épisode de la Covid-19 n’aura fait que décupler l’obsession du postillon et de la poignée de porte et nous désintéresser encore un peu plus de tous les poisons qui nous entourent. Mieux, cette pandémie est un prétexte et la porte ouverte à de plus grandes contaminations chimiques : on désinfecte à tout va, les tables, les sièges, les plans de travail, les portes, les rues et même les plages (!!) sans se préoccuper de la composition des produits utilisés et de leur dissémination dans nos intérieurs et dans l’environnement.

Vouloir résoudre la question de la Covid-19 sans s’attaquer à ce problème de santé globale n’est que vernis sur des ongles sales. Aujourd’hui, c’est la Covid-19, demain ce sera une autre maladie virale ou bactérienne mais les victimes seront toujours les mêmes : celles des maladies environnementales.

On nous a souvent parlé à propos de la Covid-19 du « monde d’après ». Or force est de constater qu’on ne tire aucune leçon de cet épisode. Oui, Il y aura bien un « monde d’après » : il sera pour l’essentiel comme le « monde d’avant », mais après… et pire !

14) Votre analyse critique est aujourd’hui presque inaudible dans le débat public. Vos vidéos YouTube ont été victimes de censure. Vous êtes quasiment absent dans l’ensemble des médias, ce qui n’a pas toujours été le cas. Je présume que d’aucuns n’ont pas tardé à vous cataloguer en « complotiste » afin de mieux écarter vos arguments (c’est l’argument favori des défenseurs de la doxa). Pouvez-vous nous raconter un peu ce mépris et cette censure tels que vous les avez vécus ces derniers mois ?

C.V. — J’ai déjà connu la censure, en particulier dans le monde scientifique, notamment autour de la question des OGM. Mais je dois avouer que, là, ça dépasse l’entendement. Que l’on ne soit pas d’accord en science, ce n’est pas grave et c’est même sain. La contradiction est ce qui fait respirer la démocratie, et on en a besoin en science comme ailleurs. On devrait pouvoir se mettre autour de la table et discuter, sans invectives, et prendre en considération tous les avis. En science c’est la culture du dissensus qui doit prévaloir, et non la recherche du consensus à tout prix. L’histoire des sciences nous a souvent montré qu’être seul à défendre une thèse n’est pas synonyme d’avoir tort. Le seul tort de ces scientifiques souvent isolés est d’avoir eu raison trop tôt. Mais là encore, on en tire aucune leçon. Et face au manque d’arguments à opposer, on a recours à l’éviction, à la censure, orchestrée ou relayée par l’essentiel des médias qui n’hésitent pas à déformer les propos desdits scientifiques ou médecins afin qu’on puisse aisément leur coller l’étiquette d’antivax ou de complotistes.

Par exemple, dans un article de l’Express du 6 janvier dernier intitulé « Vaccins modifiant notre génome, itinéraire d’une fake news », les deux auteurs me font dire que « l’ARN des vaccins de Pfizer-BioNTech ou Moderna pourrait s’insérer dans notre génome et nous transformer en OGM »Or c’est un mensonge, je n’ai jamais dit que l’ARN pouvait s’intégrer dans l’ADN et donc dans nos chromosomes : je dis même clairement, tant dans ma note d’expertise que dans la vidéo didactique que j’ai faite en décembre 2020, que ce n’est pas possible (sauf, éventuellement, s’il était préalablement converti en ADN, comme mentionné en réponse à la question 4). Quant au lien avec les OGM, c’est également une totale déformation de mes propos. Ma note d’expertise s’intitule « Note d’expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM », ce qui n’a évidemment rien à voir avec le fait de nous transformer en OGM. Les vaccins génétiques à ARN (Pfizer-BioNtech et Moderna) ou à ADN (AstraZeneca, Sputnik V, ou Johnson& Johnson) sont effectivement des vaccins s’appuyant sur les biotechnologies (ou technologies OGM). Dans le premier cas, l’ARN vaccinal correspondant à la partie du matériel génétique de Sars-Cov2 codant la protéine Spike, est un ARN de synthèse modifié pour augmenter sa stabilité, optimiser la production de la protéine Spike dans les cellules humaines, et optimiser l’immunogénicité de cette protéine. Dans le second cas, le vecteur utilisé pour délivrer le matériel génétique vaccinal dans les cellules de la personne à vacciner est bien un virus (adénovirus) génétiquement modifié comme je l’ai expliqué dans la réponse à la question 3. Et c’est bien pour cela que la directive européenne 2001/18 qui légifère les OGM a été modifiée en août dernier par le règlement européen 2020/1043 dont les articles 2 et 3 permettent à tout essai clinique de médicaments contenant des OGM ou consistant en de tels organismes, et destinés à traiter ou à prévenir la Covid-19, d’échapper aux évaluations préalables sur la santé et l’environnement prévues pour les OGM.

Et la plupart des autres organes de presse de répéter bêtement et aveuglément à l’unisson les inepties de leurs confrère et consœur de l’Express sans même prendre le soin de mener la moindre enquête et de vérifier les sources, ni même de me contacter. Tous ces prétendus journalistes se comportent comme un troupeau de brebis effrayées : la première (ceux de l’Express) sort de l’enclos tête baissée à travers le grillage en piétinant tout sur son passage, et toutes les autres empruntent le même chemin alors que la porte de l’enclos est grande ouverte. Et je m’excuse auprès des brebis pour cette métaphore. Ces prétendus journalistes sont au journalisme ce que Gérard Depardieu est à la diététique. Nous sommes dans une dictature de la pensée et cela m’inquiète beaucoup plus que la Covid-19.Recommandé (24)




Kennedy s’en prend à Anthony Fauci, le tsar de la mafia médicale qui contrôle la réponse à la pandémie

[Source : childrenshealthdefense.eu]

Si Robert F. Kennedy, Jr. a décidé de consacrer un livre à Anthony Fauci, ‘expert Covid’ n°1 aux Etats-Unis, c’est parce que ce médecin est aujourd’hui l’homme plus influent sur des politiques de santé au service d’une prise de contrôle géopolitique de la planète. Directeur du NIAID l’institut de recherche sur les maladies infectieuses et membre conseil ou administrateur de nombreux autres instituts, Fauci a conseillé 6 présidents, gérant des budgets colossaux de plusieurs dizaines et même centaines de milliards de dollars. Partenaire de longue date de Bill Gates, le tsar de la mafia médicale est aujourd’hui accusé par le médecin et sénateur Rand Paul d’avoir soutenu et subventionné les recherches de ‘gain de fonction’ aux États-Unis, avant que celles-ci ne soient interdites. Son institut a pourtant continué à financer ces recherches à l’étranger, notamment sur les coronavirus au laboratoire de Wuhan – et ce jusqu’en avril 2020, via un organisme intermédiaire EcoHealth Alliance.

Depuis quelques semaines, suite à une demande officielle de mise à disposition publique de sa correspondance depuis le début de la pandémie,  certains échanges ont révélé l’obstination de Fauci à ignorer les pistes de traitements (l’hydroxychloroquine par exemple), à vanter les mérites du Remdesivir ou à ignorer les interpellations de scientifiques confirmant la piste d’un virus manipulé en laboratoire.

Kennedy explique dans cette interview comment Fauci a pris le contrôle de la santé publique aux Etats-Unis et ailleurs, en partant de sa tentative d’appropriation de la découverte du sida avec son comparse Robert Gallo, pour faire de la santé publique ‘une machine à fric’ au service de l’industrie du médicament. Pour Kennedy, Fauci est un criminel, responsable de la mort de milliers de personnes et sa place est derrière les barreaux.

Nous sommes aujourd’hui à un moment critique de notre histoire. Fauci et Gates ne sont pas les seuls acteurs à remettre en cause.  C’est tout un réseau d’influence qu’il faut aujourd’hui démanteler et juger, au sein des commissions nationales en Europe et ailleurs, et des agences de santé et organisations internationales dirigées par l’industrie et la finance.

Une interview à regarder, un livre à commander (en anglais pour l’instant) et surtout… un dossier à compléter et une affaire à suivre. Merci de partager!



Transcription :

Senta Depuydt : [00:00:00] Bonjour à tous, je suis Senta Depuydt et je représente Children’s Health Defense en Europe. Aujourd’hui, j’ai l’honneur et le privilège d’interviewer notre président, Robert F. Kennedy Jr. sur son nouveau livre, The Real Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma on the Global War on Democracy and Public Health. M. Kennedy, je regardais aujourd’hui votre livre sur Amazon, et je vois qu’il est parti pour être un best-seller. Alors qu’est-ce qui se passe ? Est-il déjà en rupture de stock ? Dites-nous.

Robert F. Kennedy, Jr. : [00:00:40] Eh bien, vous savez, j’ai commencé à écrire le livre au début de l’été dernier. Et j’essayais vraiment d’informer les Américains, parce que c’est très pénible pour moi. Tony Fauci est cette figure très polarisée. Il a été l’incarnation de la polarisation, le genre de tribalisme qui se passe aux États-Unis. Où tous les républicains ont… beaucoup d’entre eux se sont engagés dans le tribalisme en suivant le président Trump et les démocrates en suivant Anthony Fauci. Et ce qui est affligeant pour quelqu’un comme moi, c’est que le parti démocrate et le libéralisme dans lequel j’ai grandi… beaucoup de libéraux traditionnels ont abandonné leurs valeurs traditionnelles. Les valeurs avec lesquelles nous avons tous grandi, les valeurs libérales de la pensée critique, des droits constitutionnels, de la liberté d’expression, de l’application régulière de la loi par les procès avec jury, de la justice, de la tolérance, de la patience et de toutes ces choses, ainsi que de la curiosité intellectuelle et de l’intégrité intellectuelle. Toutes ces choses ont maintenant été abandonnées. Il n’y a plus de pensée critique. Nous sommes de nouveau immergés dans une sorte de tribalisme où si Tony Fauci dit quelque chose, cela doit être vrai. Si Donald Trump dit quelque chose, c’est forcément faux et vice versa. Et personne ne fait vraiment preuve d’esprit critique. Et aux États-Unis, vous savez, j’ai vu le parti libéral, qui a toujours été le champion des droits constitutionnels, s’éloigner de tous nos droits constitutionnels. Ils sont devenus les défenseurs de la censure. Et, vous savez, le premier amendement était sacré pour les libéraux et les démocrates. Quand j’ai grandi, nous nous sommes battus pour que les nazis qui défilaient à Skokie, dans l’Illinois, aient le droit de parler, même si c’était abominable, c’était répugnant, c’était repoussant. Mais tout le monde a le droit de s’exprimer et nous devons avoir confiance dans le processus d’échange d’idées et dans le fait que les politiques et les principes doivent s’épanouir au sein d’une culture du débat et sont les fruits de débats.

[00:03:30] Et ce qui se passe maintenant, c’est que cela devient une entreprise religieuse, et les gens qui soulèvent des questions sur l’orthodoxie sont des hérétiques. Ils doivent être détruits. Ils doivent être réduits au silence. Leurs paroles sont dangereuses. Et parce que nous nous sommes maintenant débarrassés du premier amendement, de la liberté d’expression aux États-Unis, où, vous savez, quiconque qui parle des mêmes choses que moi est censuré. Une fois que vous vous débarrassez de la liberté d’expression, tous les autres droits constitutionnels sont sur la sellette. Les libertés religieuses font partie de la déclaration des droits et des libertés; or nous avons reçu l’ordre du gouvernement de fermer les églises pendant un an, même si les magasins d’alcool étaient ouverts en tant qu’entreprises essentielles. Les magasins d’alcool ne sont pas cités dans la Constitution. En revanche, la liberté de religion est citée dans la Constitution, tout comme les exemptions religieuses et de vaccination qui ont été abolies. Le droit à un procès avec jury a disparu aux États-Unis. Toute entreprise qui peut dire qu’elle est engagée dans des contre-mesures, peu importe son imprudence, sa négligence, qu’elle crée un médicament, un vaccin, des masques ou peu importe la contre-mesure, vous ne pouvez pas la poursuivre, peu importe la gravité de votre blessure, peu importe la négligence de son comportement. Le droit à la propriété a été aboli. Vous savez, nous avons des fonctionnaires du gouvernement, des fonctionnaires médicaux. Et Bill Gates va fermer toutes les entreprises d’Amérique pendant un an, mettre 60 000 entreprises en faillite, dont 70 % d’entreprises appartenant à des Noirs qui ne rouvriront jamais.

SD : [00:05:28] Nous avons les mêmes catastrophes en Europe. Je suis désolée de vous interrompre. Beaucoup d’Européens ne savent pas qui est Anthony Fauci.

RFK, Jr. : [00:05:38] Anthony Fauci, c’est la personne la plus puissante en matière de santé publique dans le monde aujourd’hui. Et il a été à la tête de l’Institut national des maladies allergiques et infectieuses, que nous appelons NIAID, qui fait partie du NIH, qui est l’Institut national de la santé, qui fait partie du HHS, qui est le grand département de la santé, avec vingt-cinq agences de santé différentes sous un seul département fédéral. Et Anthony Fauci est là depuis 50 ans. Il est probablement celui qui a vécu le plus longtemps dans l’histoire de la santé publique; c’est un panjandrum et il est de loin le plus puissant. Son travail au sein de cette agence consiste à apprendre l’idéologie des maladies chroniques et des maladies infectieuses. En d’autres termes, il est chargé par le Congrès de répondre aux questions suivantes : pourquoi l’autisme est-il passé d’1 personne sur 10,000 à 1 garçon sur 22 aujourd’hui aux États-Unis ? Pourquoi l’allergie aux arachides est soudainement apparue en 1989 ? Les allergies alimentaires et l’eczéma. Pourquoi toutes ces maladies auto-immunes sont-elles soudainement devenues épidémiques ? La polyarthrite rhumatoïde, le diabète juvénile, le lupus, etc. Pourquoi avons-nous soudainement une épidémie d’obésité ? Son travail consiste à répondre à ces questions. Il doit nous parler des expositions environnementales. Nous savons que les gènes ne sont pas à l’origine des épidémies. Les gènes peuvent contribuer à des vulnérabilités. Il faut une toxine environnementale, et son travail consiste à déterminer quelle toxine environnementale est à l’origine de cette énorme épidémie. Quand il est arrivé en 1968, seulement 6 % des Américains avaient une maladie chronique. 54% aujourd’hui. Pourquoi cela se produit-il ? La même chose est vraie en Europe, pas de façon aussi grave qu’aux États-Unis, mais la même chose est vraie en Europe. Eh bien, aucun de nos responsables médicaux ne fait les études nécessaires pour trouver la réponse à ces questions.

RFK, Jr. : [00:07:58] Et bien sûr, la réponse à cela est que les produits chimiques qui causent ces blessures sont fabriqués par des entités très puissantes, par des compagnies pétrolières, des compagnies chimiques, par les grandes compagnies alimentaires, et surtout par les compagnies pharmaceutiques. Et les régulateurs ont été capturés par ces industries. Leur travail n’est pas de protéger la santé publique, mais de protéger l’industrie qu’ils sont censés réglementer. Tony Fauci a tenu 50 ans à ce poste parce qu’il a été un bon protecteur de l’industrie pharmaceutique et qu’il a pris l’agence de régulation, qui était la meilleure agence de régulation de santé au monde. Et il en a fait une filiale de l’industrie pharmaceutique. Et pour répondre à votre question, Tony Fauci a été nommé par deux présidents, Trump et Biden, pour diriger la réponse à cette pandémie de Coronavirus. Toutes les contre-mesures que nous avons eu aux États-Unis et qui se sont répandues dans le monde entier, elles proviennent toutes de Tony Fauci : le confinement, la distanciation sociale, les masques, la suppression des médicaments thérapeutiques, et des traitements précoces, de l’Ivermectine, de l’hydroxychloroquine, toute la promotion de médicaments thérapeutiques sans valeur comme le Remdesivir. Toutes ces choses viennent directement de Tony Fauci. Comment ? Quelle est la source de son pouvoir ? La voici. Tony Fauci a un budget de 6,1 milliards de dollars par an. En plus de cela, il reçoit 1,6 milliard de l’armée, car une grande partie de ses activités font appel à la technologie, en d’autres termes, il développe des armes biologiques. C’est ce qu’il faisait avec les études sur le gain de fonctions à Wuhan et dans beaucoup, beaucoup de laboratoires. Oui.

SD : [00:10:14] Pouvez-vous élaborer un peu plus sur ce sujet ? Parce que ce n’est pas vraiment une question que tout le monde veut savoir. Nous avons entendu dire qu’il y a des emails. Vous savez,

RFK, Jr. : [00:10:24] L’histoire est que les États-Unis ont commencé à développer des armes biologiques au début de 1943 pendant la Seconde Guerre mondiale et en 1969, nous avions développé des armes biologiques dans notre pays que le chef du programme d’armes biologiques, David France, qualifiait comme des équivalents nucléaires. En d’autres termes, nous avions des armes biologiques qui pouvaient avoir le même impact qu’une arme nucléaire, une bombe nucléaire. En 1969, Richard Nixon a fermé le programme. Il s’est rendu à Fort Detrick, qui est l’endroit où se trouve le principal centre de recherche sur les armes biologiques aux États-Unis. Il l’a fermé et nous avons signé en 1972 le traité sur les armes biologiques, qui était une extension du traité de Genève. Et nous avons accepté de ne pas stocker d’armes biologiques et de ne pas les développer. Les États-Unis ont donc fermé Fort Detrick. Nous avons fermé tous nos autres laboratoires d’armes biologiques cette année-là. Les militaires voulaient recommencer. Et la CIA, bien sûr, était très impliquée dans les armes biologiques et l’industrie pharmaceutique. Qui était à la tête du programme d’armement américain pendant la Seconde Guerre mondiale ? Et dans les années 50 ? C’était George W. Merck, qui était à l’époque également à la tête de Merck. Donc, l’industrie pharmaceutique était composée des mêmes entreprises qui développaient des armes biologiques. Et cela, bien sûr, est venu de la Seconde Guerre mondiale quand vous aviez les compagnies pharmaceutiques et l’Allemagne qui développaient des armes biologiques, […] développant les gaz qui étaient utilisés pour tuer les juifs à Auschwitz et autres camps de la mort. L’industrie pharmaceutique et l’armée et l’appareil de renseignement voulaient tous avoir une excuse pour relancer les armes biologiques. Et donc en 1988, le mur de Berlin tombe. On nous promet à tous : ok, maintenant nous allons avoir les dividendes de la paix. Nous allons prendre tout l’argent qui était destiné à l’armée et, à la place, nous allons le dépenser pour les écoles, les routes, les soins de santé et l’éducation. Et nous allons faire des États-Unis un endroit exemplaire et brillant avec des monuments d’albâtre, des gens éduqués, etc. Lorsque l’appareil militaire et de renseignement entendirent les mots dividendes de la paix, ils se sont dit que cet argent allait sortir de leurs poches. Ils se sont dit qu’ils devaient trouver un moyen de faire avancer les choses, de continuer à faire ce qu’ils faisaient. Quatre et demi ou cinq ans plus tard, nous avons eu la première attaque du World Trade Center, et c’était en 1993. Et tout l’argent qui était destiné à l’éducation et à l’usage civil a soudainement disparu. Et les intérêts acquis nous poussèrent à dépenser cet argent dans la lutte contre le terrorisme. En 2000, nous avons les attaques du 11 septembre. Et à ce moment-là, des milliards, des dizaines de milliards de dollars se sont déversés dans l’idée que nous devions combattre le terrorisme islamique.

[00:14:35] Les militaires à ce moment-là, ont compris que les terroristes islamiques étaient géniaux parce que c’est un ennemi beaucoup plus fiable que l’Union Soviétique. L’Union Soviétique a plié. Elle s’est retirée. Le terrorisme ne s’arrêtera jamais car ce n’est pas une nation. Ce n’est pas un peuple. C’est une tactique. Et il sera toujours là. C’est donc un ennemi parfait, un ennemi qui ne mourra jamais. Et Dick Cheney a promis une longue guerre qui durera des générations. Et ce serait dans 50 nations ou plus. Dans le même temps, de nombreux planificateurs du renseignement disaient que la sécurité biologique est en fait ce que nous devrions faire à cause du terrorisme. Le terrorisme islamique aux États-Unis tue moins de personnes que la foudre chaque année. Mais ce n’est pas un ennemi dont vous pouvez garder les gens terrifiés pendant longtemps. En revanche, le grand ennemi, ce sont les germes, parce que les germes peuvent entrer dans la maison de tout le monde et tuer votre famille. L’armée et les services de renseignements dont nous disposons, ont tous ces documents où ils parlent de ça de façon  bien plus fiables que moi. Et ils font des simulations et des jeux de guerre sur les pandémies et les attaques biologiques. Il y avait donc un ferment, un intérêt énorme. Et si vous vous souvenez, une semaine après le 11 septembre, très exactement le 4 octobre 2001, donc deux semaines et demie après le 11 septembre.

[00:16:06] Il y a eu une attaque à l’anthrax et l’anthrax a tué sept personnes. Il y avait 17 personnes, dont des sénateurs et des membres du Congrès des États-Unis. Et à ce moment-là, l’anthrax a été attribué à Saddam Hussein. Et c’est une des raisons qui a justifié l’invasion de l’Irak. Mais il s’est avéré, lorsque le FBI a commencé à enquêter, que l’empreinte digitale sur l’anthrax, cet anthrax particulier qui a été utilisé dans l’attaque, provenait de l’armée américaine. Il était donc clair que quelqu’un de l’armée américaine avait quelque chose à voir avec l’envoi de cet anthrax. Et que s’est-il passé ? Des milliards de dollars ont commencé à être dépensés pour la biosécurité. Et Tony Fauci… une partie de la biosécurité est utilisée pour développer les vaccins. Vous vous dites, « eh bien, nous faisons cela de manière défensive, nous développons juste la même technologie que vous utilisez pour développer des vaccins et qui peut être utilisée pour développer des armes biologiques », et cela s’appelle le Gain de Fonction. Et qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que vous envoyez des zoologistes dans le monde entier pour trouver des microbes, des microbes mortels et différents animaux. Et ces microbes ne peuvent pas sauter sur les êtres humains. Ils vont tuer des pangolins. Ils tueront des chauves-souris. Ils tueront des civettes. Ils tueront des chameaux. Mais ils ne tueront pas des êtres humains.

Vous pouvez prendre un microbe dans un laboratoire, et il y a deux façons différentes d’infecter des êtres humains. L’une est d’utiliser la technologie CRISPR. Vous pouvez insérer [00:18:02] de nouvelles parties dans ce microbe qui lui donneront la capacité d’attaquer un poumon humain. Ou alors, vous pouvez le cultiver des milliers de fois, vous le prenez d’une chauve-souris, vous le cultivez sur une culture de pangolin, puis vous les prenez et vous les cultivez sur des cultures de cockers et finalement vous les cultivez sur les poumons d’un fœtus humain. Et vous avez appris à ce microbe à passer de la chauve-souris à la personne. Et cela fait partie de la technologie qui, selon certains, est utile pour les vaccins, bien que cela n’ait jamais été démontré.

Nous savons que cette technologie est utilisée pour les armes biologiques. Quoi qu’il en soit, afin de capter une grande partie de cet argent qui a soudainement commencé à affluer vers les armes biologiques vers 2001-2002, Tony Fauci a commencé à faire ces études de gain de fonction. Il a financé un scientifique appelé Ralph S. Baric, à l’Université de Caroline du Nord. Il a commencé à construire des laboratoires de biosécurité, ce qu’ils appellent des laboratoires BSL, quatre laboratoires, au plus haut niveau de biosécurité. Il a réouvert le laboratoire de Fort Detrick et en a construit un nouveau là-bas. Il en a construit un à Galveston, au Texas, et je crois qu’il en a construit six en tout. La Chine a un de ces laboratoires. Nous en avons une dizaine aux États-Unis. Et Tony Fauci a commencé à financer le travail dans ces laboratoires. Eh bien, vers 2014, un tas d’accidents se sont produits dans ces laboratoires, des microbes se sont échappés. Et ainsi, trois cents scientifiques ont envoyé une pétition au président Obama le suppliant d’arrêter Tony Fauci et ses expériences avant que l’une de ses créatures ne s’échappe et cause une pandémie mondiale. Le président Obama a réagi et a ordonné à Tony Fauci et au NIH d’arrêter les études sur le gain de fonction. Tony Fauci a mis fin à environ vingt et une de ses études, mais il a continué à mener secrètement certaines des pires avec Ralph Baric, un scientifique fou de l’Université de Caroline du Nord. Puis il a pris la plus grande partie de l’argent destiné à la recherche sur les gains de fonctions, environ sept millions de dollars en tout, et il a commencé à financer le même type d’expériences très, très dangereuses dans le laboratoire de Wuhan, avec Zhengli Shi, une chercheuse connue sous le nom de « Bat Lady ». Elle avait participé aux recherches sur le SRAS en 2002, et était en fait une psychiatre. Mais elle aimait manipuler les animaux et avait le courage d’aller dans les grottes où vivent les chauves-souris, dans la province du Yunnan, dans des grottes connues sous le nom de grottes de Mojiang. Elle a commencé à collecter des chauves-souris là-bas et ils ont collecté des centaines et des centaines de chauves-souris et créé la plus grande collection de coronavirus au monde dans ce laboratoire à Wuhan.

Je sais que vous êtes belge, mais vous serez peut-être intéressée d’apprendre, et je pense que vous le savez, que le laboratoire de Wuhan a été construit par une société française appelée BioMérieux, dont le PDG s’appelle Stéphane Bancel. La société a été engagée pour construire un système de flux d’air négatif qui, à Wuhan, est une pièce essentielle de l’infrastructure pour assurer la sécurité, ce qui signifie que l’air ne sort pas. C’est l’un des éléments les plus critiques de l’infrastructure du laboratoire. Les Chinois avaient demandé à BioMérieux de le construire, mais ils ne l’ont jamais fait. Et Stéphane Bancell, qui était le PDG de cette société, est aujourd’hui le PDG de Moderna, la société qui, plus que toute autre, a profité de la pandémie, dont nous savons maintenant qu’elle provient presque certainement du laboratoire. Laissez-moi ajouter autre chose, car je sais que vous le sujet vous intéresse.

En 2000, Bill Gates a contacté Tony Fauci et lui a demandé de venir dans sa demeure à Seattle, dans l’État de Washington, une demeure de cent quarante-sept millions de dollars. Il a fait entrer Tony Fauci dans sa bibliothèque et tous deux se sont assis sur des fauteuils club avec un verre. Et Bill Gates lui a proposé un partenariat. Ce partenariat consisterait à collaborer tous les deux à une entreprise visant à vacciner le monde entier et à abolir toutes les maladies infectieuses grâce aux vaccins. Ce partenariat était très important pour Gates, car il essayait à l’époque de prendre le contrôle de la politique mondiale en matière de santé. Et pour ce faire, il avait besoin de l’aval d’un puissant responsable de la santé aux États-Unis qui pouvait lui donner de la crédibilité à l’étranger. Et Tony Fauci a fait deux choses. Premièrement, il a donné de la crédibilité à Gates et à son programme, deuxièmement, il a développé le vaccin dans son atelier du NIH. Et ensuite, Gates garantirait un marché pour ces vaccins à l’étranger. Et la troisième chose que Tony Fauci a fait… Il est très, très influent auprès du président des États-Unis. Il a donc obtenu du président Bush, le premier président Bush, qu’il engage 15 milliards de dollars pour l’Afrique.

[00:24:59] Il a donc pris toute l’aide étrangère des États-Unis. Et au lieu de la consacrer à la réduction de la pauvreté, il a dédié ces 15 milliards aux médicaments et vaccins contre le SIDA en Afrique. Cela crée une infrastructure dans tous les ministères de la santé en Afrique qui deviennent dépendants de ce flux venant des USA. Il a ensuite obtenu du président Clinton qu’il prenne le même engagement et qu’il aille voir ces présidents pour leur dire que le SIDA se développe en Afrique. Si nous ne le résolvons pas là-bas, il va se propager aux États-Unis et donc, nous devons le résoudre en Afrique. Mais en réalité, ce qu’il fait, c’est qu’il a des relations avec toutes ces entreprises pharmaceutiques qui, en fin de compte, reçoivent tout cet argent. Et parce qu’il fait la pluie et le beau temps, que c’est un courtier qui a le pouvoir de régir toute cette aide des États-Unis à l’Afrique, il jouit d’une énorme crédibilité dans toute l’Afrique auprès des ministères de la santé et lorsqu’il se rend là-bas avec Gates et dit, OK, voici mon nouveau gars, Gates avait automatiquement du cachet et de la crédibilité. Et c’est l’une des façons dont Gates a pris le relais.

SD : [00:26:20] Je peux vous arrêter 30 secondes ? Parce que je pense que j’ai quelques commentaires. En France… je pense qu’il serait vraiment intéressant de regarder l’implication plus étroite de la France dans le laboratoire de Wuhan. Je peux vous dire que le directeur de l’INSERM y est allé, officiellement avec Bancel à l’inauguration du bâtiment, le laboratoire et l’installation, et ils avaient un programme. Ils étaient donc là pour couper le ruban. L’INSERM est le plus grand institut de recherche de France en matière de santé. Et la femme de ce directeur de l’INSERM était ministre de la santé au début de la pandémie. Elle s’appelle Agnès Buzyn. Donc il y avait vraiment comme je pense que vous êtes assez impliqué. Elle a maintenant été accusée de mauvaise gestion, disons qu’elle est mise en examen pour ne pas avoir donné les bonnes informations, puis les mesures, etc. Donc elle a quitté son poste. Elle est maintenant promue à l’OMS, où elle assiste Tedros, où elle  bénéficie de l’immunité de responsabilité – vous ne pouvez pas les poursuivre en justice une fois qu’ils sont à l’OMS. En France, nous avons quelques scientifiques que vous connaissez peut-être, certains d’entre eux qui se sont vraiment penchés sur la question du virus.

[00:27:50] Et c’est aussi une de mes questions. Je sais que vous avez soutenu la vidéo  » Plandemic  » avec David Martin avec la recherche sur les brevets. (…) Nous avons ici quelques scientifiques, l’un d’entre eux s’appelle Jean-Bernard Fourtillan, qui essaient également d’examiner les brevets. Ils disent que l’Institut Pasteur a également des brevets sur les coronavirus et sur leur utilisation en tant qu’armes. On peut donc suivre plusieurs brevets d’une sorte de SARS-COV-1 à SARS-COV-2. Donc ce scientifique est apparu il y a 6 mois. Il est maintenant dans un institut psychiatrique. Il y a une grande censure et un grand silence et nous avons aussi, plus ou moins, exactement le même genre de mesures, l’hydroxychloroquine qui a été bloquée, et bien sûr, l’agenda des vaccins, etc. […] Avez-vous suivi également cette piste des brevets ? Est-ce qu’elle mène aussi à d’autres pays étrangers ? Parce que je crois vraiment que plusieurs pays ont participé, je dirais en Europe, certainement la France, le Royaume-Uni et l’Allemagne.

RFK, Jr. : [00:29:13] Je sais, vous savez, les brevets sont un domaine intéressant et en ce moment, le NIH a un litige contre Moderna parce que Moderna a menti sur les brevets. Elle n’a pas divulgué quand elle a fait sa demande de brevet qu’elle avait reçu des fonds fédéraux et qu’à ce moment-là, Fauci avait investi 2,6 milliards de dollars de l’argent des contribuables dans les brevets et dans Moderna. Et Moderna n’a jamais révélé cela quand elle a déposé son brevet, ce qui est illégal aux États-Unis. Et il se peut que le contribuable américain soit en fait propriétaire des brevets. L’une des choses intéressantes à propos des brevets est que l’office des brevets a refusé à Moderna, à plusieurs reprises, un brevet, et lui a dit « Non, vous ne pouvez pas l’avoir ». Et puis Moderna est revenu à la charge le 29 mars 2019. Et a dit « il y a une urgence à ce que vous nous donniez immédiatement ce brevet ». C’est dans la demande de brevet, n’importe qui peut y accéder, et ça dit « vous devez nous donner le brevet en prévision d’une libération accidentelle ou délibérée d’un coronavirus amélioré ». Et quand est-ce que cela a eu lieu ? Quatre mois, cinq mois avant le coronavirus d’octobre. Le meilleur des meilleurs estime qu’il s’est échappé du laboratoire de Wuhan en octobre 2019.

[00:30:58] Donc… avril, mai, juin, juillet, août, septembre, octobre… c’est sept mois avant l’apparition réelle du coronavirus. Ils connaissaient l’urgence, Ils ont insisté sur l’imminence d’un virus.

SD : [00:31:14] Donc merci. Vous êtes un peu en train de cartographier, vous venez de revenir sur le virus du VIH et tout le programme. Et quand je le regarde, il était très intéressant de voir que certains scientifiques au début, vous je suis sûr que vous savez, que ce scientifique appelé Jonathan Mann, qui était vraiment celui qui est sorti pour faire les appels pour le VIH et en faire une cause mondiale. Mais il l’a lié aux droits de l’homme. Mais si j’ai bien compris, à un moment donné, l’autre partie de l’OMS et d’autres personnes ont préféré avoir une approche différente de son approche des droits de l’homme. Il a donc été en quelque sorte écarté de la cause du sida. Et malheureusement, il est mort dans un accident d’avion. Un avion Swissair s’est écrasé, ce qui est vraiment rare, vous savez, pour un avion suisse de s’écraser. Et après cela, je crois savoir que Fauci et d’autres scientifiques, et je pense en particulier à un certain Peter Piot. Je ne sais pas si vous l’avez rencontré, c’est un Belge, mais c’est le numéro un, disons, en charge de la réponse à la pandémie au sein de la Commission européenne. [00:32:58] Il a donc été nommé et il dirige également l’Institut d’hygiène tropicale de Londres.

Tous ces scientifiques sont donc très impliqués ensemble depuis des décennies déjà sur le VIH. Et donc après ça, ils ont vraiment adopté une approche différente par rapport aux droits de l’homme et le tout s’est déplacé vers le programme des Nations Unies et le programme d’aide des États-Unis. Et je pense que c’est à ce moment-là que la banque est intervenue et que les épidémies sont devenues, d’une certaine manière un instrument géopolitique possible, et une tentative de gouvernance mondiale par le biais des politiques de santé, du contrôle des politiques de santé. Et je pense qu’ils ont commencé à avoir plus que seule la santé à l’esprit. Vous savez, c’est là que la Banque mondiale est intervenue, ainsi que le FMI, puis les entreprises pharmaceutiques. Mais je pense que c’est tout ce réseau de scientifiques spécialisés dans le VIH, ou pas seulement des scientifiques, disons des experts du monde entier, qui est maintenant aux commandes. Je dirais donc que ce sont tous les amis de Fauci.

RFK, Jr. : Fauci étant celui qui a popularisé le VIH. Luc Montagnier, qui a été le premier à isoler ou à associer le VIH, à identifier le VIH comme une cause potentielle du SIDA. Il a insisté sur le mot « potentiel ». Sa découverte a été volée par un scientifique américain qui était un ami de Fauci, Robert Gallo. Et Gallo a prétendu avoir fait la découverte, puis il y a eu une dispute et des procès qui ont duré de nombreuses années, et finalement Gallo a admis qu’il avait volé le virus à Luc Montagnier et qu’il avait trompé Luc Montagnier pour qu’il lui donne le virus. Tony Fauci, vous savez qu’avant cela, le VIH ou le SIDA était considéré comme un cancer. Il était associé au sarcome de Kaposi et la plupart des gens pensaient probablement que cela avait quelque chose à voir avec les drogues qui étaient prises, qui étaient associées au mode de vie gay, et en particulier les poppers, et à d’autres lésions environnementales. […] Tony Fauci n’avait aucune compétence sur ce type de maladie. L’Institut national du cancer était compétent en matière de cancers et, à l’origine, il s’agissait du VIH, mais lorsque Bob Gallo a dit « non, c’est un virus », Tony a répondu « d’accord, c’est un virus, donc nous l’avons, car nous sommes l’Institut national des maladies infectieuses ». Et c’est ainsi qu’il s’est emparé du VIH. Et puis le VIH a bénéficié de tous ces financements parce que l’activisme au sein de la communauté gay. Tony Fauci, tout d’un coup, est devenu un courtier de pouvoir. Il avait le plus gros budget fixé par le NIH. Et tout cet argent était à disposition.

[00:36:28] Et ainsi, Tony Fauci a pris le NIAID, son agence, qui est censé chercher l’origine de toutes ces maladies infectieuses, allergiques, auto-immunes et chroniques, au lieu de cela il l’a transformé en incubateur de produits pharmaceutiques. Le premier produit développé a été l’AZT, en collaboration avec GlaxoSmithKline, qui s’appelait à l’époque Wellcome Trust. Et ils l’ont développé et en ont fait le médicament le plus cher de l’histoire. C’était dix mille dollars par dose par an. […] La valeur des actionnaires de GlaxoSmithKline a augmenté de quelque chose comme 2,10 milliards de dollars dès qu’il a fait approuver ce médicament, qui est devenu un modèle pour ce qu’il a fait par la suite. Il a donc arrêté la recherche sur les maladies infectieuses et a commencé à développer des médicaments pour l’industrie pharmaceutique. Aux États-Unis, le laboratoire de Tony Fauci recherche des molécules efficaces contre différents virus, comme le coronavirus dans une boîte de Pétri, puis il dépose des gouttes de différentes molécules sur différents types de médicaments toxiques de chimiothérapie et d’autres médicaments existants, ou tout autre produit qui tue le coronavirus. Et s’ils trouvent quelque chose qui fonctionne, ils font des tests sur les animaux pour voir si ça tue les animaux et si ça tue le coronavirus mais pas les animaux, ils disent que c’est un médicament potentiel et ils font ça pour tout le monde, pas seulement pour le coronavirus, mais pour des centaines et des centaines de virus.

[00:38:24] Et ensuite ils l’envoient aux universités, à ce qu’ils appellent les PIs, qui sont appelés les investigateurs principaux dans les universités. Et c’est ce dont vous parlez, c’est ainsi qu’il contrôle tous les scientifiques du monde, parce qu’il y a dix mille PI et la plupart d’entre eux sont des scientifiques très importants qui sont les chefs de départements à Harvard, à Columbia, à Berkeley, à Oxford. Et ce sont des scientifiques très puissants. Pourquoi ? Car ce sont eux qui reçoivent l’argent. Tony Fauci leur donne d’énormes quantités d’argent. Il peut vous donner environ 200 ou 300 millions de dollars pour faire une étude dans l’année. C’est ainsi que cet argent finance un médicament. Les labs de Fauci s’assurent que la molécule ne tue pas l’animal mais tue le coronavirus. Ensuite, il le confie, disons, à Columbia. Le chef du département de Columbia conduit les essais cliniques (phase 1, phase 2, phase 3). Pour la phase 1, c’est un petit groupe de personnes, peut-être deux cents. Et chaque personne que le scientifique recrute pour l’étude, Tony Fauci, leur donnera 15 ou 20 000 dollars. La moitié de cet argent va à l’université.

[00:39:46] Donc maintenant l’université dépend de Tony Fauci. Donc l’université développe le médicament jusqu’à la phase 2, et si le médicament semble toujours fonctionner, ils le vendent à une société pharmaceutique comme Glaxo, Gilead, Johnson et Johnson, Merck, Pfizer. Et Tony Fauci garde sa part du brevet pour son agence, plus ses adjoints préférés qui obtiennent chacun des intérêts de brevet. Ces gars peuvent se faire 150 000 dollars par an avec chaque brevet qu’ils possèdent. C’est ainsi qu’il s’assure de la loyauté de tous au sein de son agence. Il peut donner à ces gars des brevets et ils font des tonnes d’argent ainsi et son agence peut garder la moitié des brevets comme ils l’ont fait avec le vaccin Moderna. Son agence possède la moitié des brevets. Ils gagnent ainsi des milliards et milliards de dollars. Il y a donc un conflit d’intérêt direct. Ensuite, l’université obtient une partie du brevet et le chercheur universitaire, le PI, obtient une partie des brevets, donc ils sont tous solidaires. Et il a 10.000 de ces gars-là dans le monde entier. Et qui sont ces gens ? Paul Offit, Peter Hotez, Arthur Caplan, tous ces scientifiques célèbres que vous voyez sur CNN et qui font la une des journaux, Andrew Pollard d’Oxford.

[00:41:29] Ces gens sont tous des PI de Tony Fauci. On les voit à la télé et ils ont l’air de gens très crédibles et responsables. Tony Fauci les possède dans le monde entier. Et que se passe-t-il s’il y a un scientifique universitaire dissident ? Disons qu’un jeune scientifique de l’université de Harvard, naïf, se dit : « vous savez quoi, je vais faire une expérience. Je vais faire une étude. Je vais prendre les dossiers sur la vaccination. Je vais regarder les dossiers médicaux des HMOs. Et je vais déterminer s’il y a un lien entre le diabète et le vaccin Hib, le vaccin contre l’hépatite B, l’autisme ou les allergies alimentaires. Je pense que ce sera une étude fondamentale ». Dès que Tony Fauci apprend l’existence d’une étude, un de ses larbins appelle le doyen de l’école de médecine de Harvard et lui dit : « si vous laissez ce type faire cette étude, nous allons mettre votre université en faillite. Nous allons vous faire fermer parce que nous ne permettons pas que cette étude soit réalisée ». C’est ainsi que Tony Fauci contrôle la science dans le monde entier. Son budget annuel est 13 fois supérieur au budget annuel de Bill Gates. Il est donc beaucoup plus puissant que Bill Gates donne quelques milliards par an. Tony Fauci donne 7,6 milliards par an.

[00:43:12] Tony Fauci se coordonne avec Gates et ils se coordonnent avec Wellcome Trust, qui est juste un énorme portefeuille d’actions pharmaceutiques qui est dirigé par Jeremy Farrar. Et tout ce qu’il fait est de servir les intérêts du paradigme pharmaceutique. Vous avez donc les plus grands bailleurs de fonds du monde qui fournissent probablement 90 % du financement aux entreprises pharmaceutiques et ils ne font pas de recherche sur l’origine des maladies. Ils font des recherches sur la façon dont nous développons les médicaments. Je vais vous dire une autre chose. Entre 2009 et 2016, plus de 200 médicaments ont été approuvés par la FDA dans notre pays et sont devenus des blockbusters nationaux et internationaux pour beaucoup d’entre eux, et 100 % de ces 200 médicaments sont issus de l’atelier de Tony Fauci. Il est donc le principal incubateur, de toute l’industrie pharmaceutique. C’est le type, vous savez, il n’est pas un régulateur. Il ne s’occupe pas de santé publique. C’est de la fiction polie pour dire que Tony Fauci s’occupe de santé publique ou Bill Gates s’occupe de la santé publique. Ils font la promotion des vaccins et des médicaments. C’est tout. Et ce sont ces types qui dirigent aujourd’hui les gouvernements de toute la planète. Et c’est effrayant pour nous car ils ne se soucient pas de la démocratie. Ils ne se soucient pas de la santé publique. Ils se soucient des profits, de l’industrie pharmaceutique et du contrôle de la population.

SD : [00:44:48] Ok, j’ai deux autres questions, donc je…

RFK, Jr : [00:44:51] J’ai seulement deux minutes de plus.

SD : [00:44:52] Ok, c’est injuste ! L’une d’entre elles est que vous savez, nous avons entendu qu’il y avait certains sénateurs, Rand Paul et d’autres sénateurs qui voulaient avoir une enquête sur Tony Fauci en rapport avec les fuites d’emails et le fait qu’il aurait parrainé…

RFK, Jr : [00:45:14] Le Président Biden, le 25 mai, a ordonné aux agences de renseignement de faire une enquête. Et cela va être très intéressant. C’est une enquête de 90 jours qui sortira le 25 août. Et nous espérons qu’elle sera publiée à peu près au même moment que mon livre.

J’aimerais demander à vos auditeurs qui veulent savoir comment ils peuvent aider notre mouvement : « achetez mon livre ». Et je tiens à dire que 100% des bénéfices de mon livre, qui s’appelle The Real Tony Fauci, pour lequel vous pouvez aller sur Amazon aujourd’hui et l’obtenir. 100% des bénéfices sont reversés à Children’s Health Defense, CHD, le fonds pour lequel je travaille, Senta travaille et tous les autres avocats qui travaillent pour nous dans le monde entier. Je pense que nous avons déjà pré-vendu environ 5000 livres. Si nous pouvons pré-vendre 10000 livres avant sa sortie, il devient automatiquement numéro un sur la liste d’Amazon, du New York Times et de toutes ces autres listes. Et ce qui se passe ensuite, c’est que les libraires le déplacent à l’avant du magasin. Il y a tout un tas d’effets en cascade. Plus les gens connaissent Tony Fauci et savent pourquoi il est arrivé là où il est, plus notre mouvement est fort. Si vous voulez aider ce mouvement, faites vos achats de Noël maintenant, allez sur Amazon aujourd’hui, achetez un tas d’exemplaires du livre pour vos amis, pour votre famille. Et comme je l’ai dit, tous les bénéfices vont à CHD, à 100%. Vous aidez aussi beaucoup le mouvement parce que le livre va se retrouver au top de la liste des best-sellers et les distributeurs sont alors obligés de l’y mettre. Ils le mettent dans toutes les librairies des aéroports et dans les librairies du monde entier. Et de plus en plus de gens pourront le voir. et cela donne de la crédibilité et du sérieux à notre mouvement.

SD : [00:47:25] Est-ce qu’il y aura des traductions, Bobbie ? Est-ce que le livre existera dans d’autres langues ?

RFK, Jr : [00:47:32] Oui, nous allons traduire. Il sera traduit.

SD : [00:47:35] Ok, c’est intéressant pour nous en Europe.

RFK, Jr : [00:47:39] Vous savez, que CHD et The Defender sont en cinq langues. Nous sommes un mouvement global; nous devons parler aux gens dans beaucoup, beaucoup de langues.

SD : [00:47:54] Je demande donc que la prochaine fois nous parlions de Bill Gates, car il y a beaucoup à dire là aussi.

RFK, Jr. : [00:48:02] La moitié du livre est sur Bill Gates, l’autre moitié sur Tony Fauci. Donc si vous voulez connaître la vérité sur Bill Gates, achetez le livre !

SD : [00:48:14] Oui. A propos de son lien avec Epstein (…) Je vais en parler très rapidement et ce sera une piste pour une autre interview. […] En 1987, Bill Gates était déjà avec Jeffrey Epstein au conseil d’administration de l’organisation caritative gérée par Apollo management, vous savez, en lien avec la CIA et le Mossad. Ce qui est intéressant pour nous, Européens, c’est qu’en 2013, je viens d’en entendre parler par un autre journaliste, en 2013, donc après qu’Epstein ait été condamné, etc. […] et que tout le monde savait qui il était, ils [Gates et Epstein] ont visité ensemble le Parlement européen à Strasbourg pour se renseigner sur les politiques de santé en Europe. Et puis, vous savez. Il faut se poser des questions, pourquoi Jeffrey Epstein voyage-t-il avec Bill Gates, qui à l’époque n’était pas impliqué dans l’OMS….

RFK, Jr : [00:49:15] Envoyez-moi les preuves de cela ?

SD : [00:49:19] Oui, bien sûr. C’est pour la prochaine interview alors.

RFK, Jr : [00:49:23] Merci Senta: Merci de m’avoir reçu. Et merci pour tout le travail, l’incroyable travail que vous faites. Rendez-vous sur les barricades.

SD : [00:49:36] Merci beaucoup. Et je suis très fière de faire partie du CHD, merci.

RFK, Jr : [00:49:42] Nous sommes fiers de toi Senta. Merci.




Inde : plainte pénale déposée contre GAVI, Bill Gates, Fauci… Peine de mort encourue

[Source : francesoir.fr]

[Voir aussi : Inde : condamnation à mort possible pour la scientifique de l’OMS après avoir déconseillé l’Ivermectine]

Auteur(s): FranceSoir

L’Indian Bar Association (Association des Avocats Indiens) a adressé un courrier au Premier ministre de l’Inde Shri Narendra Modi et au ministre de l’Intérieur Shri Amit Shah, qui les invite à prendre note de la plainte DHLTH/E/2021/09973 en date du 1er juillet 2021 déposée par le Secrétaire général du Conseil de sécurité des droits de l’homme (HRSC) M. A. Shaikh, contre le Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et d’autres.

Cette plainte les invite à prendre des mesures immédiates contre les accusés et à émettre des directives appropriées aux autorités légales pour qu’elles examinent l’affaire et prennent des mesures immédiates. Cela fait suite aux deux mises en demeure que l’IBA a envoyées à l’OMS (contre le Dr Soumya Swaminathan ainsi que Tedros Ghebreyesus) qui sont à ce jour restées sans réponse.

L’avocate Dipali Ojha explique cela en détail dans son debriefing.

La plainte de 132 pages enjoint les ministres à considérer en urgence la situation et surtout la « gravité » ou « extrême gravité »

des questions qui sont posées qui ne concernent pas seulement les citoyens indiens, mais aussi la sécurité, la survie et le bien-être de l’humanité tout entière.

Cette plainte annoncée et attendue prend en considération les éléments de réponse à la gestion d’une épidémie (les quatre piliers listés par le Pr McCullough) ainsi que les publications de diverses associations de médecins (FLCCC, AFLDS, IHU) en faveur des traitements précoces qui sont une alternative à la vaccination de masse, dixit Pierre Kory. Ceci est corroboré par le retour d’expérience de nombreux médecins indiens dans les Etats ayant mis en place les directives du ministère de la Santé sur l’ivermectine et l’hydroxychloroquine. Au sein de cet immense pays, on a pu observer l’effet de la vaccination de masse ainsi que celui des traitements précoce et prophylactique des Indiens, afin de gérer au mieux l’épidémie. Les Indiens ont subi les mêmes effets de censure, de suppression du « narratif » et des données scientifiques que ceux observés dans d’autres pays. Le summum étant une agence de santé (DGHS) périphérique qui a supprimée les traitements précoces alors qu’elle n’avait jamais exprimé d’opinion auparavant à ce sujet, démontrant la capture probable de certaines autorités par des influences externes. Rappelons que le ministère de la Santé a conservé les traitements précoces dans ses recommandations et est le seul compétent.  A l’inverse de la France, les autorités sanitaires (ministère) ont défendu par deux fois leur position en faveur des traitements précoces, remettant en cause les avis de l’OMS contre des associations d’avocats dont les commanditaires ne sont pas identifiés.

Le périmètre et les demandes de la plainte sont clairement établis :

  1. une orientation immédiate pour la mise en œuvre du 72e rapport de la Commission parlementaire et des recommandations d’enquête et de poursuite des membres du bureau du « philanthrope toxique » et de la Fondation Bill & Melinda Gates du Syndicat des vaccins (GAVI) et des responsables concernés du Conseil indien de la recherche médicale (ICMR) qui sont considérés responsables de la mort de huit filles suite à l’usage de vaccins non autorisés, illégaux et non approuvés;
  2. une directive immédiate au Bureau central d’enquête (CBI) pour l’enregistrement du premier rapport d’information (FIR) pour enquête et action stricte (en vertu des articles 115, 109, 302, 307, 304, 419, 420, 471, 474, 188, 505, r / w 120 (B) &34 de l’IPC & sections de la loi de 2005 sur la gestion des catastrophes et d’autres dispositions des actes spéciaux contre tous les éléments contre l’intérêt national, contre l’humanité, et bio-terroristes) sur les « Groupements Pharma», « Groupement Tech » et les « Cyber Harceleurs » qui sont impliqués dans des infractions contre l’humanité entière entrainant un génocide, causés par leurs actes de commission et d’omission liés à la pandémie de Covid-19.
  3. des ordonnances avec effet immédiat aux autorités concernées :
    • i) émettre des avis de garde à vue et des mandats d’arrêt contre l’accusé dont l’implication est prouvée à première vue ;
    • ii) D’engager une action en saisie conservatoire de tous les accusés et de leurs sociétés ;
    • iii) Commencer l’interrogatoire de l’accusé en détention ;
    • iv) Effectuer un test de détection de mensonges, un test de cartographie cérébrale, un test narco de tous les accusés principaux tels que le Dr Soumya Swaminathan, le Dr Randeep Guleria, M. Arvind Kejriwal Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, le Dr Anthony Fauci, Bill Gates, Mark Zuckerberg, Jack Dorsey et d’autres.
  4. des directives immédiates à toutes les autorités pour
    • i) examiner sérieusement le Livre blanc de l’association American Frontline Doctors (AFLDS) sur le Covid-19 et les vaccins expérimentaux.
    • ii) ne forcer personne à se faire vacciner et se conformer strictement à l’arrêt de la Cour suprême et de diverses hautes cours concernant le droit fondamental de chaque citoyen à choisir son traitement.
    • iii) informer le public des dangers réels du vaccin.
    • iv) informer le public sur les autres médicaments éprouvés, sûrs et plus efficaces.
    • v) ne pas répandre la peur d’une nouvelle vague sans vérifier les preuves scientifiques.
  5. une directive appropriée selon le rapport soumis par le Comité d’experts au bureau du Premier ministre avec des recommandations de ne pas administrer de vaccins sur les personnes qui se sont rétablies de l’infection à Covid-19 et qui ont développés des anticorps.
  6. Des directives immédiates pour fournir une protection à tous les dénonciateurs et à leurs témoins qui ont déjà exposé et continuent d’exposer le Syndicat comprenant BIG PHARMA, BIG TECH et BIG SCIENCE.
  7. Direction pour la constitution d’un comité d’enquête distinct concernant le vent de la panique soudain pendant la deuxième vague de coronavirus en Inde, qui a été alimenté par des reportages incessants dans les médias sur la pénurie d’oxygène. Et pourquoi ledit battage médiatique a disparu dès l’apparition de l’enquête sur le ‘Tool Kit’ (kit contre la covid) a été commencée par la police de Delhi.

Accusation principale de complot contre les accusés

La plainte (paragraphe 26) porte contre tous les accusés qui sont tenus de répondre à l’accusation principale sur la base des documents, de preuves et de preuves de nature remarquable :

Le principal accusé Bill Gates et ses alliés de GAVI (Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination) ont ourdi un complot visant à créer un marché fixe pour leurs vaccins et autres médicaments et dans ce complot, ils se sont joints à d’autres accusés. 

Les autres sont Dr Anthony Fauci, conseiller médical en chef du président des États-Unis, M. Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS, Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef à l’OMS, Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, Jack Dorsey, PDG de Twitter, Steve Chen, Chad Hurley et Jawed Karim, YouTube (Google), Arvind Kejriwal, Ministre principal, Delhi et que les autres personnes citées dans l’annexe T13 ou celles qui pourraient être accusés après enquête approfondie.

Au paragraphe 26.3, on peut lire que les accusés ont commis un acte public dans la droite lignée d’un complot. Ils sont accusés par des actes de commission et d’omission, d’avoir :

  • i) créé de fausses données.
  • ii) supprimé et dissimulé de manière malhonnête des données réelles.
  • iii) distordu des faits importants.
  • iv) créé un narratif et un complot.
  • v) mis en place des politiques « préméditées » sur YouTube, Twitter, Facebook, etc. pour supprimer la vérité et empêcher l’information réelle de se propager
  • vi) supprimé des informations originales et scientifiques de plateformes telles que YouTube, Twitter et d’autres sur la base de « fausses politiques et conditions générales » allant à l’encontre des données scientifiques.
  • vii) publié des « vérification de faits » fausses et sponsorisées afin d’aller à l’encontre de la vérité et par la même d’entraîner la confusion dans l’esprit du public ; cela avait pour but de décourager les personnes, les scientifiques et les médecins qui possèdent des données scientifiques.
  • viii) réussi à « capturer » les agences de santé gouvernementales de nombreux pays pour obtenir les politiques et les règles formulées en fonction de leurs objectifs inavoués.
  • ix) entraîné la mort de personnes en s’assurant que ceux-ci ne devraient pas accéder ou obtenir les médicaments facilement disponibles, sûrs et abordables tels que l’ivermectine, l’hydroxychloroquine, la vitamine D3, etc. et ayurvédique ainsi que les traitements naturopathes.
  • x) généré la peur dans l’esprit des gens afin que le vaccin puisse être présenté comme la seule alternative pour traiter et ainsi sauver les gens ; facilitant ainsi la voie à une autorisation d’utilisation en urgence (EUA) du vaccin non approuvé.         
  • xi) supprimé les données sur les effets dangereux du vaccin ainsi que l’usage de nombreux médicaments « ad hoc » couvrant ses effets.
  • xii) dévoyé, dissimulé ou supprimé les données sur l’inefficacité des vaccins et la mort de nombreuses personnes et de nombreux médecins. Ceci a entraîné des pertes de repères des gens causés par les sophismes des « hommes de paille ».
  • xiii) sous-déclaré les décès dus aux vaccins au travers de la création de règles à leur convenance.
  • xiv) essayé d’aller à l’encontre de la science réelle à l’aide de la rhétorique, c’est-à-dire la fausse science portée par les sophismes « de l’homme de paille », la malhonnêteté intellectuelle et les théories du complot pseudo-scientifiques.
  • xv) en outre, le cerveau de la conspiration et chef du Syndicat des vaccins M. Bill Gates a déjà été reconnu coupable d’essais illégaux et non autorisés de vaccins et d’avoir causé la mort de huit filles. Dans son 72e rapport du 28.08.2013, la Commission parlementaire de l’Inde Rajya Sabha a déjà recommandé une action en justice contre les membres du bureau de la Fondation Bill &Melinda Gates , des responsables de l’ICMR et d’autres accusés divers responsables de ces crimes odieux contre l’humanité.
  • xvi) tous les accusés étaient et sont bien conscients que par leur acte de commission et d’omission, ils vont causer la mort de millions d’innocents. Cependant ils ont choisi l’argent plutôt que les valeurs humaines. Ce sont eux les délinquants de l’humanité. Ils sont coupables de génocide. Ils ont commis des meurtres de masse avec sang-froid.

Ils ont enlevé les moyens de subsistance de l’homme du peuple et ont fait un enfer de la vie des pauvres. En raison de leurs conspirations, de nombreuses personnes qui ont réussi à survivre en prenant leurs médicaments toxiques souffrent maintenant d’effets secondaires graves ayant rendu leur vie misérable.

Ils ne méritent aucune sympathie ou indulgence. Sinon, ce sera une injustice pour toutes les victimes et une injustice pour toute l’humanité.

La peine minimale dans ce cas sera :

a) la peine de mort
et
b) La saisie de tous leurs biens meubles et immeubles et leur distribution égale à tous les peuples du monde.

D’autres questions importantes sont aussi mentionnées dans la plainte au paragraphe 2 mais suivent les mêmes bases qui comprennent la mise en cause des tests PCR, la censure et l’impossibilité pour les médecins d’échanger sur les réseaux sociaux sans risquer la censure.

La plainte a été déposée le 1er juillet 2021 et signée par la représente de l’association Me Dipali Ojha.

La plainte complète est disponible ci-après : Plainte [PDF]

www.indianbarassociation.in

Auteur(s): FranceSoir




Vaccination obligatoire : les apprentis sorciers ont pris le pouvoir

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

La vaccination obligatoire, comme nous l’avions annoncé fin mai, est devenue le thème dominant de cette fin de semestre, et devrait saturer le débat public de l’été. Elle devrait concerner au minimum les soignants, mais pourrait s’étendre à l’ensemble de la population. Mais a-t-elle une chance objective de se réaliser, même si elle est imposée par les textes ? Où l’on comprend que la caste au pouvoir est désormais dominée par son aile la plus fondamentaliste, celle des apprentis-sorciers, et qu’elle s’expose désormais au risque.

https://youtu.be/7vpOw1jERGg

Ce week-end a été fort occupé par la campagne médiatique en règle menée en faveur de la vaccination obligatoire. Prônée dans un climat hystérisé par la « modélisation » de l’institut Pasteur annonçant une quatrième vague si la vaccination obligatoire n’intervenait pas, celle-ci est désormais le leit-motiv de la frange la plus radicale de la caste au pouvoir, celle qui a pris le pas sur l’ensemble du système. 

Castex et la vaccination obligatoire pour tous

Depuis jeudi soir dernier, la rumeur circule d’une instauration de la vaccination obligatoire non seulement pour les soignants, mais même pour l’ensemble de la population. Un projet de loi serait en préparation. Il n’en fallait pas plus pour lancer une longue polémique, nourrie en tous sens par des tribunes de médecins, dont certains signataires sont d’illustres enfermistes, mais aussi par François Bayrou

Ceux qui donnent de la voix et qui sont écoutés dans les allées du pouvoir sont, semble-t-il, les plus extrémistes de la caste. 

Contre le principe de réalité

Pourtant, des voix raisonnables mettent en garde contre les risques d’une mesure aussi coercitive dans un contexte où le rapport de force n’est pas favorable aux extrémistes. C’est par exemple le cas de Philippe Juvin qui craint une mise en difficulté des hôpitaux dans l’hypothèse où la vaccination obligatoire interviendrait :

comment fait-on en pratique ? Que dit-on à une infirmière ou une aide-soignante ou un médecin qui dit : ‘Je ne veux pas me faire vacciner’ ? On lui dit : ‘Vous ne venez plus travailler’ ? Nous avons déjà des difficultés dans nos services. La vaccination obligatoire est quelque chose sur lequel je crois qu’il faut que nous réfléchissions, mais il faut avant tout que nous réfléchissions sur sa mise en œuvre. Et moi, elle me paraît plus complexe qu’on veut bien le dire.

Mais la caste est prise d’une telle peur hystérique qu’elle n’est probablement plus capable d’entendre le bon sens. 

Les apprentis-sorciers ont pris le pouvoir

Il est donc plausible que le gouvernement engage de façon assez irresponsable une confrontation avec la moitié du pays qui n’a reçu aucune injection, dans un contexte où l’abstention aux élections régionales a déjà signifié le divorce entre le pays réel et ses institutions. Qu’adviendra-t-il si cette obligation est édictée ? Les non-vaccinés obéiront-ils à l’injonction, ou bien défieront-ils le pouvoir en restant indifférents à leur obligation ? 

Jean Castex et Emmanuel Macron ont peut-être sous-estimé les dégâts que leur impuissance pourrait créer dans cette hypothèse. Les apprentis sorciers sont au pouvoir…




Le Forum Économique mondial de Davos promeut un contrôle total de l’information mondiale par les Big Tech

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Edouard Husson

Le Forum Economique Mondial promeut la « Coalition mondiale pour la sûreté numérique » (Global Coalition for Digital Safety). Au moment où l’efficacité et le danger pour la santé des vaccins contre le SARS-COV2 en phase expérimentale sont de plus en plus discutés sur les réseaux sociaux du monde entier, le Forum de Davos passe à l’offensive pour tenter de coordonner la censure des gouvernements et celle des grandes plateformes de la Big Tech. Ce raidissement est bien entendu un signe de panique, mais vu la dispersion des forces de la liberté, il pourrait signifier aussi l’avènement d’un monde où nous ayons le choix entre le néo-fascisme façon Davos et le néo-maoïsme de la Chine continentale.

« La pandémie représente une fenêtre rare, mais étroite d’opportunité pour repenser, réimaginer et réinitialiser notre monde »
Klaus Schawb, Président et fondateur du Forum Économique Mondial [de Davos]

Qy’y a-t-il de commun entre Anna Bergström, CEO de Netclean, Dame Melanie Dawes, CEO d’Ofcom, Iain Drennan, directeur exécutif de la WeProtect Global AllianceMykhailo Fedorov, Vice-Premier ministre ukrainien, Julie Inman Grant, commissaire australienne à la sécurité numérique, Courtney Gregoire, Chief Digital Safety Officer de Microsoft, Tan Kiat How, Ministre de la Communication, de l’Information et du Développement National de Singapour, Maggie Louie, fondatrice et CEO d’Otto, Victoria Nash, Professeur Associé et directrice de l’Oxford Internet Institute, Susan Ness, Distinguished Fellow du German Marshall Fund of the United States,  Zunaid Ahmed Palak, Ministre de L’information et des Technologies de la Communication du Bengladesh,  Charlotte Petri Gornitzka, directrice des partenariats de l’UNICEF,  Johnny G. Plate,  Ministre de la Communication et de l’Information de la République d’Indonésie, Chris Priebe, fondateur et CEO de Two Hat Security, Joanna Rubinstein, ancienne présidente de la World Childhood Foundation,?  Ils sont les coordinateurs – et le visage avenant, politiquement correct –  d’une Global Coalition for Digital Safety mise en place par le Forum Economique mondial (WEF).

L’enfer est pavé de bonnes intentions

Sur le site du WEF, on lit ces lignes, signées Courtney Gregoire: 

« La technologie offre des outils pour apprendre, jouer, se connecter et contribuer à la résolution de certains des plus grands défis du monde. Mais les menaces à la sûreté digitale sont nombreuses. Le Forum économique mondial étant particulièrement bien placé pour accélérer la collaboration public-privé nécessaire pour faire progresser la sécurité numérique à l’échelle mondiale, Microsoft est impatient de participer et de contribuer à l’élaboration de solutions de la société tout entière à ce problème de la société tout entière ».

Ces termes qui n’engagent à rien cachent en fait une volonté de contrôle mondial de l’information, telle qu’exprimée par le Forum Economique Mondial à propos….des vaccins contre le COVID 19. Lisons par exemple cet extrait d’un autre article paru sur le site internet du WEF

« L’un des principaux défis de la sécurité en ligne est la prolifération de la désinformation en matière de santé, notamment en ce qui concerne les vaccins. Des recherches ont montré qu’un petit nombre de personnes influentes sont responsables de la majeure partie du contenu anti-vaccination sur les plateformes sociales. Ce contenu semble toucher un large public. Par exemple, une étude du King’s College de Londres a révélé qu’une personne sur trois au Royaume-Uni (34 %) dit avoir vu ou entendu des messages décourageant le public de se faire vacciner contre le coronavirus. L’impact de ces messages dans le monde réel devient maintenant plus clair.

La recherche a également montré que l’exposition à la désinformation était associée à une baisse de l’intention de se faire vacciner. En fait, les informations erronées à consonance scientifique sont plus fortement associées à une baisse de l’intention de se faire vacciner. Une étude récente menée par l’Unité de recherche comportementale de l’Institut de recherche économique et sociale (ESRI) a montré que les personnes qui sont moins susceptibles de suivre la couverture médiatique du COVID-19 sont plus susceptibles d’hésiter à se faire vacciner. Au vu de ces résultats, il est clair que l’écosystème médiatique a un rôle important à jouer pour lutter contre la désinformation et atteindre le public afin d’améliorer les connaissances sur le vaccin ».

« L’élite globale » est devenue la première source de théories complotistes

Sur le site du Forum Economique Mondial, toujours, on trouve la référence à une étude du Center for Countering Digital Hate, présentée comme « scientifique« , qui affirme que la critique des vaccins développés contre le COVID 19 est le fait d’une douzaine, pas plus, d’influenceurs sur les réseaux sociaux: 

« Douze personnes seulement sont à l’origine de près des deux tiers du contenu anti-vaccins qui circule sur les plateformes de médias sociaux. Cette nouvelle analyse du contenu posté ou partagé sur les médias sociaux plus de 812 000 fois entre février et mars révèle comment un petit groupe d’anti-vaxxers déterminés est responsable d’un raz-de-marée de désinformation – et montre comment les plateformes peuvent y remédier en faisant respecter leurs normes »

On peut difficilement imaginer théorie du complot plus flagrante ! Comme s’il n’y avait pas des milliers de médecins à travers le monde que leur serment d’Hippocrate amène à recommander la prudence face à des vaccins expérimentaux. Comme si le droit n’était pas du côté de ceux qui disent qu‘aucune vaccination obligatoire n’est légale tant que les vaccins sont encore en phase expérimentale. Comme si le site de l‘Agence Européenne de Médicament [Ndlr : le site EudraVigilance qui dépend de l’EMA] ne recensait pas un nombre inquiétant de décès (1500) [plus de 17 500 au début juillet, sachant que seulement moins de 1 à 10 % des effets secondaires y sont rapportés.] et de séquelles graves (150 000) [plus de 1 500 000] consécutifs à la vaccination contre le COVID. Comme si la base de données publiques Transparence Santé ne permettait pas de voir que les 100 signataires de la tribune du Journal du Dimanche en faveur de la vaccination généralisée totalisent 8,8 millions d’intérêts liés à l’industrie pharmaceutique

Mais Klaus Schwab et son réseau sont-ils capables de considérer qu’un point de vue différent du leur relève d’autre chose que d’une conspiration contre leur prétention à faire le bien à la planète? Se souviennent-ils cette époque, pas si lointaine, où il existait des régimes politiques au sein desquels une droite et une gauche, incarnées en un ou plusieurs partis, confrontaient leur point de vue en espérant obtenir une majorité des suffrages?  Cela s’appelait la démocratie. 

La convergence des néo-fascistes et des néo-maoïstes au sein du Forum Économique Mondial

Heureusement, nous disposons des décryptages de quelques esprits libres. Eric Verhaeghe, fondateur et président du Courrier des Stratèges a publié un Dictionnaire du Great Reset. Je recommande aussi la remarquable étude de Joel Kotkin, The Rise of Corporate-State tyranny (l’avènement de la tyrannie de l’Etat allié aux grandes entreprises) dans laquelle cet universitaire californien décrit l’avènement d’un véritable néo-fascisme en Occident : 

« Une convergence entre les deux superpuissances du monde est en train de se produire. Aux États-Unis, à mesure que la propriété et le pouvoir se consolident, la « diffusion du pouvoir », si essentielle à la démocratie, s’érode et l’autocratie se développe naturellement. Seuls les acteurs au plus haut niveau possèdent le poids et la motivation nécessaires pour influencer la politique. Ce puissant front consiste en une nouvelle alliance entre les grandes entreprises, Wall Street, et la cléricature progressiste du gouvernement et des médias.

Son programme comporte plusieurs objectifs. Du côté des entreprises, nous assistons à l’émergence d’un capitalisme de « parties prenantes », qui embrasse implicitement les priorités de l’État et celles des progressistes en général, comme un moyen de plaire aux régulateurs, aux plus réveillés parmi leurs employeurs et, dans une certaine mesure, à leur propre conscience. En cela, elles ressemblent aux entreprises des États autoritaires – comme l’Italie de Mussolini, l’Allemagne d’Hitler et la Chine d’aujourd’hui – où l’accumulation de capital privé est autorisée, mais où la dissidence par rapport aux normes convenues de l’académie des médias et du gouvernement, autrefois le privilège des individus et des entreprises, est maintenant largement interdite ».

Le fascisme de l’entre-deux-guerres, né dans l’Italie de Mussolini et porté à son maximum de nocivité dans l’Allemagne hitlérienne, a sombré dans la fascination pour l’aventurisme militaire et la revanche de la Première Guerre mondiale et sa « victoire volée ». Le néo-fascisme, qui met l’Etat au service des très grandes entreprises et se finance par la fiat currency poussée à l’extrême, ne commet pas les mêmes erreurs: il se présente comme pacifique, inclusif, antiraciste et sa fascination pour l’eugénisme se pare des atours du choix individuel transhumaniste tandis que la composante écologiste, facette méconnue du IIIè Reich, est mise en avant plus que de raison. Jonah Goldberg en avait proposé un tableau extraordinaire dans un livre intitulé Liberal Fascism et paru en janvier 2008. 

Ce néo-fascisme a besoin d’un contrôle de l’information. Et il le confier aux entreprises de la Big Tech. Au sein du Forum de Davos, comme l’a montré John Laughland, cette élite occidentale néo-fasciste rencontre l’élite néo-maoïste de la Chine de Xi Jingping. On ignore souvent que le Forum de Davos tient depuis des années une session annuelle à Pékin. 

Face à la convergence des deux néo-totalitarismes, les forces de la liberté sont dispersées, peu organisées et souvent naïves sur la détermination et la dangerosité de leurs adversaires. 


Commentaire d’un lecteur de l’article (MC) sur le site source :

MC dit :6 juillet 2021 à 23 h 11 min

Je complète… Nous rendons publique la plainte et nos découvertes au niveau mondial et nous vous incitons à vous associer à l’action du CSAPE [Ndlr : voir Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité] en déposant également plainte avant que la situation ne devienne irréversible pour cause d’absence de résistance effective. Il s’agit de l’avenir de l’humanité dont nos enfants.

Vous pouvez prendre connaissance de la plainte jointe. Après avoir découvert les informations révélées, toutes factuelles, vous serez certainement convaincus de la nécessité d’agir.

Dans ce cas le CSAPE peut vous aider dans la démarche.

VOUS POUVEZ TÉLÉCHARGER LA PLAINTE ET LA NOTE DE DIFFUSION ICI :
https://drive.google.com/drive/folders/15p8urv_iJT3EisYYZ-_mPND4PNbqeHMM?usp=sharing




Pétition contre l’obligation vaccinale Covid 19. Mise à jour

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]

Pétition nationale contre l’obligation vaccinale Covid 19

Le 24 novembre 2020, à la télévision et à la radio, Emmanuel Macron avait pris un engagement très clair devant les Français : il respecterait la liberté vaccinale et ne rendrait jamais la vaccination contre le Covid 19 obligatoire.

Pourtant, depuis quelques semaines, nous sentons une pression monter très fortement dans le sens de l’obligation vaccinale.

Ces derniers jours, Olivier Véran a explicitement menacé les soignants de décider cette obligation vaccinale. Dès le mois de septembre prochain.
Des journalistes, des éditorialistes, des médecins de plateaux de télé, des politiques de tous bords, de Yannick Jadot à François Bayrou en passant par LFI et le RN, se prononcent pour l’obligation vaccinale.
Dans un communiqué publié le 24 juin 2021, l’Académie de médecine se montre plus pernicieuse encore en suggérant de rendre payant le test PCR, afin d’inciter par l’argument financier les gens à se faire vacciner. Horrible.

Pourtant, ce vaccin est toujours en phase d’expérimentation. C’est officiel.
Pourtant, la balance bénéfice-risque chez les jeunes n’est pas à l’avantage du bénéfice.
Pourtant, il est philosophiquement insupportable d’accepter de conditionner sa propre liberté à un acte médical. Un acte médical doit toujours se faire pour des raisons strictement médicales. Toute autre raison est toujours une mauvaise raison.
Pourtant, on peut s’étonner que les autorités n’évoquent jamais les traitements.

En signant cette pétition, je refuse l’obligation vaccinale covid19, je demande à Emmanuel Macron de tenir son engagement, et je participe à informer nos compatriotes de la menace d’obligation qui pèse sur nous tous collectivement.
En signant, je dis « Vive la liberté ! »


Pour signer la pétition : Pétition nationale contre l’obligation vaccinale Covid 19 – Les Patriotes (les-patriotes.fr)


Mise à jour

Un citoyen commente la pétition

Je signe car :

1) Ce n’est pas à un macron, à un Véran, à un Emmanuel Lechypre et à tous les participants du télé-achat diffusé par les chaînes de propagande aux ordres de l’État, de décider qu’est-ce que je dois m’injecter dans les veines ! Il est clair que la campagne de communication lancée aujourd’hui est une campagne de propagande de télé-achat ! Il essaye de nous vendre des casseroles médiator !

2) Ce ne sont juridiquement pas des vaccins (sinon il y a longtemps que Macron et Véran les auraient rendus obligatoires pour faire plaisir aux actionnaires des labos pharmaceutiques, dont Blackrock et Vangard). Un vaccin est un virus atténué. Or là, nous sommes en présence de produits qui sont des médicaments de matériels génétiques, d’OGM MGM (Organismes Génétiquement Modifiés) à injecter qui vont prendre le contrôle de nos cellules pour produire notamment de la protéine Spike et peut-être d’autres saloperies. Ça peut tuer ou être très toxique d’ici les 5 ans, voire même 10 ans, d’après les dernières recherches ! (leucémie, cancers, etc., souvenez vous de l’hépatite B et de Dengvaxia de Sanofi, etc.) J’attends de voir les résultats sur les injectés dans 5 ans… Ces injections sont tellement dangereuses que les labos ont décliné leur responsabilité.

3) Ce sont des essais cliniques. !!!! Véran a menti. Comment le Macron et le Véran vont-ils nous obliger juridiquement à participer à des essais cliniques d’injection de matériel génétique ? Ça ne ressemble pas aux actes d’accusation des médecins nazis de NUREMBERG, ça ?? Il y a une plainte lancée cette semaine à la cour pénale internationale contre Macron et ses sbires, suivant celles des Israéliens… certainement en prévision d’un NUREMBERG 2 dans les années qui viennent quand ils ne seront plus au pouvoir…

4) Je ne veux pas que mon patrimoine génétique et celui de ma descendance soient modifiés insidieusement par Macron, Véran, leurs sbires et Big Pharma : plusieurs études scientifiques démontrent depuis un an un risque de stérilisation et de modification de notre patrimoine génétique, donc en pleine violation de la convention d’OVIEDO ratifiée par la France…

La plupart des actes de ce gouvernement sont illégaux depuis le début de la pandémie… Que foutent les avocats ???




C. Deviers-Joncour : Aucune injustice ne peut durer pour l’éternité

[Source : zonefr.com]

Par Christine Deviers-Joncour

La destruction par le feu, celle que redoutaient nos ancêtres qu’ils percevaient comme une manifestation satanique ou luciférienne, appartient aujourd’hui à notre quotidien.

Les voitures brûlèrent par milliers en France. Les Champs-Élysées eux-mêmes n’ont pas échappé aux flammes en 2018 et 2019, comme des dizaines d’églises, dont la plus prestigieuse : la Cathédrale Notre Dame. 

Sa destruction par le feu est un fort symbole !!

Guerres, révoltes, famines, révolutions, Notre Dame est toujours restée debout.

Il aura fallu attendre le XXIe siècle pour la voir s’embraser comme une boite d’allumettes  devant nos seigneurs et maitres hilares,  alors que nous disposions de moyens de prévention et de lutte contre les incendies inconnus auparavant.

Après le FEU : LE SANG !

Le sang de nos braves Gilets jaunes, les premiers à se lever avec courage !

Le règne macronien de ce président de pacotille restera dans les annales comme une descente aux enfers !

Mon premier époux, première fausse route de ma vie, ancien ministre de Chirac, soutien inconditionnel de Macron après avoir au bout de quarante ans, quitté son parti PR, les yeux énamourés, nous lançait avec conviction durant la campagne présidentielle de 2017:

« Votez Macron ! Vous verrez comme vous serez heureux ! »

Et bien, on a vu !

La « plandémie » sera le grand final.

Le WEF, Forum économique Mondial du diabolique Schwab a déclaré dans un article récent qu’afin d’obtenir une immunité collective contre la « maladie présumée de Covid-19 », les responsables de la santé publique devaient utiliser la « théorie de la publicité » :

Manipuler la façon dont les gens pensent et ressentent l’obtention du vaccin, utiliser les dirigeants et les agents de santé, faire de la propagande et offrir des pots-de-vin comme incitation à « aider les sceptiques à franchir les portes des centres de vaccination locaux« .

La deuxième étape que le WEF recommande aux responsables de la santé publique est de mettre en œuvre la propagande et le harcèlementUne guerre psychologique qui a déclenché l’émotion de la peur qui nous a transformé en agneaux sacrificiels sous prétexte de « faire leur part pour le plus grand bien« .

Les mondialistes ont visé une dépopulation mondiale massive, mais ils ne semblent pas se rendre compte qu’une fois qu’ils auront supprimé 90 % de la population actuelle, nous devrions survivre à l’effondrement économique, à l’effondrement alimentaire, aux guerres tribales, aux accidents nucléaires et à tout ce qui serait déclenché par le programme de dépopulation mondiale.

Voici leur programme :

Phase 1 : Vacciner en priorité les personnes désinformées qui sont pressées de se faire vacciner pour retrouver leur liberté.

Phase 2 : Offrir des incitations et des récompenses pour convaincre ceux qui hésitent. (Confiseries gratuites, bières gratuites, billets de loterie, etc.)

Phase 3 : Menacer ceux qui refusent de se faire vacciner en leur retirant leurs droits (interdiction d’entrée dans toutes manifestations sportives, concerts, interdiction de voyager, etc.).

Phase 4 : Criminaliser systématiquement les résistants aux vaccins en adoptant des lois sur les vaccins obligatoires.

Phase 5 : Lancer des escouades de vaccination au porte-à-porte pour vacciner de force les gens sous la menace d’une arme, contre leur gré.

On nous prévient que nous sommes dans la phase 4 !

La cinquième pourrait sonner le glas de leurs espérances mégalomanes et mortifères ! !

D’éminents experts affirment que les symptômes du variant DELTA sont équivalents à ceux du rhume des foins !

https://nationalfile.com/top-experts-say-covid-19-delta-variant-symptoms-are-identical-to-hay-fever-common-cold/

Ces satanistes ont le soutien du gouvernement, des médias, des forces de l’ordre et des revues « scientifiques » corrompues. Les médias aux ordres  nous menacent sur les plateaux TV. Voir les interventions de journalistes lamentables qui aboient comme de bons petits soldats. Il serait intéressant de chercher à savoir combien ils sont rémunérés pour un tel boulot !

Emmanuel Lechypre :

Et Thomas Porcher : (la vidéo est tellement violente que Youtube vient de la faire disparaître, il ne faut pas faire peur au bon peuple en lui dévoilant à l’avance, les projets diaboliques que les « élites » ont pour lui…)

https://www.youtube.com/watch?v=r2UAzKCaQvA

Nous sommes nombreux depuis des mois à faire l’impossible pour informer, pour alerter ! Et pourtant il y a encore des innocents qui continuent à se faire injecter ce poison !!! Cet ostracisme entre les vaccinés et ceux qui  refusent l’injection nous divise et ne fait que confirmer que la France se consume… sous le soleil de Satan ! 

Mais depuis peu les satanistes mettent les bouchées doubles ! Ils sont en panique, fébriles. Ils sentent bien qu’ils sont en train de perdre la main. Les peuples s’éveillent peu à peu. Le nombre de candidats aux vaccins s’amenuise, malgré leurs sondages truqués auxquels bon nombre ne croient plus.

Alors ils paniquent, s’affolent et  menacent ! On envoie les petits valets sur les plateaux TV : Vendre du vaccin, leur obsession. Ils sont à vue, indignes et pathétiques. 

Et dans le même temps, les deux injections ne suffisent plus. Le PDG de Moderna préconise une troisième dose dès fin août ! Nous voilà partis pour quatre injections par an, sans en connaître exactement la composition, ni les conséquences.

Tout ça pour un soi-disant virus dont la létalité pour les moins de 65 ans est de  0,05%%. Effrayant !

Et moi qui croyais naïvement dans les années 2000 que mon combat contre la corruption politique allait enfin changer la donne. Que leurs turpitudes mises en pleine lumière allaient les calmer.

J’ai risqué ma peau pendant cinq ans dans Paris avec contrat sur ma vie, autres menaces et mon gilet pare-balles sur le dos.. On compte une vingtaine de morts suspectes dans l’Affaire des frégates de Taiwan qui me concernait. Je serais la seule survivante ! La médiatisation m’a sauvée.

J’y croyais ! Je me suis battue comme une lionne sur tous les médias que je squattais à longueur de temps et publié  de nombreux livres !..

J’avais apprivoisé la peur. Et plus ils m’agressaient, me menaçaient  et m’insultaient et plus la force en moi grandissait. A travers mon affaire j’ai peu à peu compris à l’époque, pas si lointaine, le haut niveau de corruption, de manigances malpropres et meurtres qui régnaient à tous les étages de notre république ou ce qu’il en reste ! Mais aussi ce qu’ils nous préparaient !

Et c’est ça qui me donnait le courage de les dénoncer et les combattre !. Car ce que j’entendais et découvrais alors me donnait la nausée ! Je suis atterrée de constater que non seulement cela n’a servi à rien mais qu’ils ont de plus en plus dérivé !

Aujourd’hui on a décidément touché le fond : Un crime contre l’Humanité à l’échelle mondiale et leur chimérique Grand Reset !

Et l’utilisation des réseaux sociaux rassure nos bourreaux car ils sont persuadés que tant que nous y déversons nos colères, eux peuvent dormir tranquilles : juste un exutoire pour nous maintenir enfermés, isolés devant nos claviers, sans que cela dégénère à l’extérieur ! Macron n’a – pour l’instant – plus besoin de l’hélicoptère dans le jardin de l’Elysée !

Tout ce que je peux faire devant cet écran, c’est dénoncer le plan de ces monstres illuminés. « Je me révolte donc je suis« , disait Camus ! Et bien je tente depuis bien des années de réveiller le maximum de personnes avant qu’il ne soit trop tard.                 

J’y mets tout mon cœur, avec conviction et espoir ! Tout a une fin. Ils seront détruits ! Et j’en profite pour rendre hommage à ceux, les rares, qui m’ont tendu la main durant cette dure période, « ma drôle de guerre à moi« . Je veux adresser ici un remerciement tout particulier aux hommes d’honneur et de justice que sont les parachutistes, eux qui durant cette période où ma vie était menacée, ont veillé sur moi comme des anges gardiens. Je ne les oublierai jamais et je sais qu’ils veillent sur nous tous. Ils ne nous abandonneront pas, j’en suis sûre.

LA PRIÈRE DU PARA.

Je m’adresse à vous mon Dieu, car vous seul donnez ce que l’on peut obtenir que de soi.

Donnez-moi mon Dieu ce qu’il vous reste.

Donnez-moi ce qu’on ne vous demande jamais.

Je ne vous demande pas le repos, ni la tranquillité, ni celle de l’âme, ni celle du corps.

Je ne vous demande pas la richesse, ni le succès, ni même la santé.

Tout ça, mon Dieu, on vous l’a tellement demandé que vous ne devez plus en avoir.

Donnez-moi ce que l’on vous refuse !

Je veux l’insécurité et l’inquiétude.

Je veux la tourmente et la bagarre, et que vous me les donniez définitivement et que je sois sûr de les avoir toujours car je n’aurai pas toujours le courage de vous les demander. Donnez-moi mon Dieu ce qu’il vous reste, donnez-moi ce que les autres ne veulent pas.

Mais donnez-moi aussi le courage et la foi, car vous seul donnez que ce que l’on peut obtenir que de soi !




Portugal et Covid : la justice confirme que seuls 152 décès sont dus au Covid et non 17 000

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

Une récente décision de justice portugaise est passée inaperçue, si ce n’est occultée par les mass médias. Pourtant elle bouleverse la narration officielle sur la mortalité covidienne.

Selon une décision du tribunal de Lisbonne, seulement 0,9% des « cas vérifiés » sont morts de covid, soit 152, et non 17 000 comme le prétend le gouvernement. « La décision a prouvé que le gouvernement a falsifié les statistiques sur les décès dus au covid-19 » écrit GreatGameIndia, le média qui révèle l’affaire et publie le jugement.

« À la suite d’une pétition citoyenne, explique l’article, un tribunal de Lisbonne a été contraint de fournir des données vérifiées sur la mortalité covid-19.

Selon la décision (lire l’intégralité du jugement ici), le nombre de décès vérifiés dus au covid-19 de janvier 2020 à avril 2021 n’est que de 152, et non d’environ 17 000 comme le prétendent les ministères. 

Tous les « autres » sont décédés pour diverses raisons, bien que leur test PCR soit positif.

Les données proviennent du Sistema de Informação dos Certificados de Óbito (Système d’information sur les certificats de décès – SICO), le seul système de ce type au Portugal.

La référence à 152 certificats de décès délivrés « sous la supervision du ministère de la Justice » est fallacieuse, car tous les certificats de décès sont délivrés sous les auspices du ministère de la Justice, étant la seule institution qui les délivre. »

Ce n’est pas la première fois que la justice portugaise condamne la gestion et les mesures prises par le gouvernement du pays :

« L’année dernière, rappelle GreatGameIndia, une cour d’appel portugaise a statué que les tests PCR ne sont pas fiables et qu’il est illégal de mettre en quarantaine des personnes uniquement sur la base d’un test PCR. Le tribunal a déclaré que la fiabilité du test dépend du nombre de cycles utilisés et de la charge virale présente. Citant Rita Jaafar et l’Oxford Academy, le tribunal concluait que ‘’si quelqu’un est testé par PCR comme positif lorsqu’un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c’est la règle dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit infectée est inférieure à 3%, et la probabilité que ledit résultat est un faux positif est de 97%‘’ ».




Celui qui a fait « DOLLY », le mouton, a-t-il aussi fait « COVID », la maladie ?

[Source : Le Saker Francophone]


Par Bogdan Herzog − Juin 2021

Dans un article(([1] Herzog, B. Sur la signification occulte du terme COVID. Une incursion succincte dans la reconnaissance des formes. Disponible en ligne sur geopolitica.ru, sur bogdanherzog.ro et en Français sur le lesakerfrancophone.fr. [NDLR l’article avait repris sur Nouveau Monde : Sur la signification occulte du terme COVID] )) écrit il y a un an, j’ai soutenu que lu en hébreu le nom de Covid devient Dybbuk, et que sa véritable signification est la possession démoniaque par un mauvais esprit. C’est essentiellement le même algorithme que j’ai identifié dans « Dolly », le premier animal cloné, qui en hébreu devient Ylud – se traduisant par nouveau-né. Dans le même article, j’ai tenté d’expliquer pourquoi des forces cachées seraient intéressées par le choix de tels noms de code et de certaines dates et j’ai attiré l’attention sur des événements antérieurs historiquement significatifs qui suivent le même schéma synchronique. Bien qu’à l’époque j’étais déjà au courant de certaines informations que vous rencontrerez dans cet article, j’ai préféré ne pas les divulguer à ce moment-là.

L’article, initialement publié en langue anglaise par le site Geopolitica, est devenu populaire dans les médias alternatifs et a ensuite été traduit en plusieurs langues [dont le français par LeSakerFrancophone à la demande de l’auteur, NdT] par des personnes que je ne connais pas personnellement et à qui j’aimerais exprimer ma gratitude, avant de poursuivre la présente thèse.

Comme la base théorique a déjà été expliquée dans l’article susmentionné intitulé On the Occult meaning of the word COVID et dans mon livre Synchronicité et Symbolisme,(([2] Herzog, B. Sincronicitate și Simbol, Frontiera, Timișoara. 2019)) le présent article sera centré sur la présentation de nouvelles informations au public. C’est au lecteur de juger si les informations présentées ci-dessous sont le fruit du hasard ou d’une action délibérée. Les synchronicités seront numérotées. Alors, c’est parti !

Les noms

Comme indiqué précédemment, lorsqu’il est écrit en hébreu, Dolly devient Ylod / ד ו ל י qui se traduit par nourrisson ou nouveau-né, et COVID devient DIVOC transcrit comme ק ו ב י ד ou dybbuk. Selon l’éminent spécialiste israélien Yoram Bilu, dans le folklore juif, un dybbuk est un esprit maléfique qui prend possession d’un humain(([3] Bilu, Y. Dybbuk et Maggid : Deux modèles culturels d’altération de la conscience dans le judaïsme, in Revue AJS, Vol 21 n° 2 (1996) Cambridge University Press, p. 348)):

Le terme dybbuk (dibbuq) était utilisé dans les cercles mystiques juifs pour désigner l’esprit d’un mort, pécheur notoire de son vivant, qui prenait temporairement possession d’un être humain (…) la possession par un dybbuk était toujours conçue comme une affliction ou une maladie et l’agent possesseur comme un intrus étranger et dangereux qu’il fallait expulser.

Dybbuk se traduit également par « obsession ». Plus important que le fait que Dolly et Covid aient en fait une certaine signification dans une autre langue, l’hébreu, ce qui pourrait être accidentel, c’est le fait que la signification des mots corresponde extrêmement bien aux événements qu’ils décrivent. Qu’est-ce qui est le plus vraisemblable, l’histoire officielle selon laquelle le premier animal cloné a été nommé d’après Dolly Parton, ou le fait qu’il signifie en fait « enfant » ou « nouveau-né » ? L’obsession/la possession décrit-elle précisément l’effet psychologique (et j’ose dire spirituel) que la pandémie a eu sur le monde ?

Par conséquent, nous ne décrivons pas de simples coïncidences Ce sont des coïncidences qui ont un sens. (1) et (2).

La tradition

(3) Dans mes études sur Carl Jung, j’ai rencontré le passage suivant, dans lequel le savant suisse décrit la tradition alchimique de la terminologie médicale et des noms de code, appliquée à Paracelse(([4] Jung. C.G. Alchemical Studies, dans The Collected Works of C.G. Jung, Volume 13, Bollingen Series XX, Princeton, p. 121-122.)):

Généralement, certains symptômes apparaissent, parmi lesquels un usage particulier du langage : on veut parler avec force pour impressionner son adversaire, on emploie donc un style spécial, « grandiloquent », plein de néologismes que l’on pourrait qualifier de « mots forts ». Ce symptôme est observable non seulement dans la clinique psychiatrique, mais aussi chez certains philosophes modernes et, surtout, chaque fois qu’il faut insister sur quelque chose d’indigne de la croyance malgré une résistance intérieure : la langue se gonfle, se surpasse, pousse des mots grotesques qui ne se distinguent que par leur complexité inutile. Le mot est chargé d’accomplir ce qui ne peut être fait par des moyens honnêtes. C’est le vieux mot magie, et parfois il peut dégénérer en une maladie ordinaire. Paracelse en était atteint à un tel point que même ses élèves les plus proches étaient obligés de compiler des « onomastica » (listes de mots) et de publier des commentaires.

Le lecteur non averti se heurte continuellement à ces néologismes et est d’abord complètement déconcerté, car Paracelse ne prend jamais la peine de donner des explications, même lorsque, comme c’est souvent le cas, le mot est un légomène hapax (qui n’apparaît qu’une seule fois). Souvent, ce n’est qu’en comparant plusieurs passages que l’on peut en dégager approximativement le sens. Il existe toutefois des circonstances atténuantes : les médecins ont toujours aimé utiliser un jargon magiquement incompréhensible, même pour les choses les plus ordinaires. Cela fait partie du personnage médical. Mais il est étrange que Paracelse, qui se targuait d’enseigner et d’écrire en allemand, ait été le seul à concocter les néologismes les plus complexes en latin, grec, italien, hébreu ou même arabe.

La magie est insidieuse, et c’est là que réside son danger. À un moment donné, alors que Paracelse discute de sorcellerie, il tombe dans l’utilisation d’un langage magique de sorcier sans donner la moindre explication. (…)

Dans les rites magiques, l’inversion des lettres sert le but diabolique de transformer l’ordre divin en un désordre infernal. Il est remarquable de voir avec quelle désinvolture et quel manque de réflexion Paracelse reprend ces mots magiquement déformés et laisse simplement le lecteur en faire ce qu’il peut. (…) Il était convaincu que les médecins devaient avoir une connaissance des arts magiques et ne devaient pas renoncer à la sorcellerie si cela pouvait aider leurs patients. Mais ce genre de magie populaire n’est pas chrétienne, elle est manifestement païenne – en un mot, un « Pagoyum ».

(4) A ce stade, permettez-moi de citer un passage d’un autre éminent érudit, le rabbin Joshua Trachtenberg, qui, dans son livre sur l’utilisation de la magie et du folklore juif, écrit ce qui suit sur l’utilisation de noms de code aux fins d’invocations(([5] Trachtenberg J. Jewish Magic and Superstition disponible en ligne sur scribd pp. 228-229.)):

Une caractéristique familière de la magie est l’injonction de faire les choses à l’envers, de marcher à reculons, de mettre ses vêtements à l’envers, de jeter des choses derrière son dos. Le même principe s’applique aux incantations, et les charmes juifs talmudiques et médiévaux illustrent amplement son fonctionnement. Les citations bibliques étaient souvent récitées à l’endroit et à l’envers, les noms mystiques étaient inversés ; parfois, les mots étaient écrits à l’envers au moment où ils devaient être prononcés, de sorte qu’il faut une grande agilité mentale pour ne pas se laisser prendre par ce rendu contre nature. Les phrases pouvant être lues de la même façon dans les deux sens étaient particulièrement appréciées. particulièrement prisées. Le but était de capitaliser le mystère du bizarre et de l’inconnu, et le pouvoir associé à la capacité d’inverser l’ordre naturel des choses.

Le lieu

(5) Comme je l’ai déjà précisé dans mon livre et mon article, la première information qui a attiré mon attention sur « DOLLY » a été le fait que le premier animal « fabriqué » artificiellement par l’homme était le produit du Roslin Institute, situé dans le minuscule village écossais du même nom (également orthographié Rosslyn) où se trouve la célèbre chapelle Rosslyn. En fait, l’Institut a été créé précisément pour cet événement, dans un lieu dont la signification franc-maçonnique et hermétique est reconnue.

Les chiffres :

(6) DOLLY a été annoncé(([6] Roslin Institute official website)) le 22 février 1997 – 22.2.1997 (222).

(7) COVID a été annoncé(([7] Remarques du Directeur général de l’OMS lors du point de presse sur 2019nCOV le 11 février 2020)) le 11 février 2020 – 11.02.2020 (222)

(8) La valeur guématrique juive de ק ו ב י ד ( Dybbuk) est 122. La 19ème lettre de l’alphabet hébreu, Kuf(([8] Kuf – La dix-neuvième lettre de l’alphabet hébreu, disponible)) ( ק ) a une valeur guématrique de 100. Par conséquent, COVID 19 ( ק ו ב י ד 19) a une valeur guématrique de (222).

(9) Quel est le slogan choisi pour le Grand Reset ? Build Back Better, également marqué dans le monde entier comme « BBB », avec la valeur numérique de 222, bien sûr.

Ces séquences de trois deux sont-elles le fruit du hasard ? Quelles sont les probabilités ? Peut-on les interpréter d’une certaine manière ? S’agit-il d’une sorte d’invocation, du type de celle dont parle Trachtenberg, et si oui, une invocation de quoi ? Que signifie le chiffre trois fois 222 ? Laissons au lecteur le soin d’en juger.

(10) Gardez aussi à l’esprit, quel est le chiffre de l’année prochaine ? Pourquoi cela est-il pertinent ? Qui le fait ?

Eh bien, on pourrait soutenir que tout ce qui précède est le fruit du hasard, ou qu’il pourrait s’agir d’un jeu de mots bénin de la part de spécialistes médicaux, dans la tradition du jargon médical de Paracelse, cryptique pour le public, significatif pour l’initié. Mais ce qui pourrait être bénin dans le cas de Dolly, semble vraiment horrible dans le cas d’une maladie qui a tué de nombreuses personnes et a forcé un confinement mondial.

Je n’aurais peut-être pas écrit cet article, mais ces dernières semaines, un changement s’est produit dans les messages autorisés à être envoyés au public. La fuite du laboratoire de Wuhan, après avoir été qualifiée de théorie du complot et par conséquent bannie par les médias sociaux, est soudainement devenue acceptable dans le discours public. Les implications sont géopolitiques : La Chine doit être accusée de négligence ou, bien pire, de malveillance délibérée. Pour contrer cela, les journalistes des médias alternatifs, tels que Ron Unz, ont mis en avant les jeux militaires qui ont eu lieu à Wuhan à l’automne 2019, et la possibilité que le virus se soit propagé à cet endroit par des militaires venant de pays étrangers. Eh bien, qui sait, mais passons notre chemin… Maintenant, étant conscient des informations fournies ci-dessus, laissez-moi demander au lecteur : voyez-vous un modèle ? Peut-on identifier un certain modèle, une signature si vous voulez, dans ces synchronicités (1) à (10) ? Si oui, le parti communiste chinois est-il capable d’établir un institut au Royaume-Uni et de donner un nom alchimique significatif à Dolly ? L’armée américaine peut-elle faire le faire ? Le PCC ou l’armée américaine peuvent-ils donner un nom à DOLLY, COVID et BBB et choisir les dates de l’annonce publique de l’Institut Roslin et de l’Organisation mondiale de la santé ?

Une secte ashkénaze marginale soucieuse de préserver son folklore peut-elle faire ces choses ? Peuvent-ils organiser le sommet de Davos et promouvoir le concept du Grand Reset sous le slogan BBB ? Si la réponse est non, qui le peut ? Existe-t-il une organisation internationale avec des chapitres dans différents pays du monde, s’inspirant de la tradition hermétique et alchimique ? Y a-t-il un lien possible entre Roslin, Covid et Davos ?

Comme les choses arrivent toujours avec pour une raison, j’ai récemment mis le pied sur une information précieuse qui semble presque surréaliste. En janvier 2019, environ dix mois avant le début de la pandémie, des scientifiques britanniques se sont rendus à Davos, en Suisse, pour annoncer devant les dirigeants du monde entier la mise au point réussie de vaccins à ARNm capables de combattre la grippe et l’apparition future de mystérieux agents pathogènes tels que la maladie X ! Je sais, j’ai dû me frotter les yeux aussi, mais c’est exact à 100%. Non seulement cela, mais ces vaccins ont été mis au point avec… la coopération du Roslin Institute, car, vous le savez, le Roslin est spécialisé dans la recherche animale et les maladies telles que la grippe aviaire. Permettez-moi de citer le site officiel de l’Imperial College de Londres, où un article daté du 24 janvier 2019 indique ce qui suit(([9] Des scientifiques de l’Impérial présentent la révolution des vaccins aux dirigeants du monde entier au WEF de Davos, disponible à l’adresse)):

Le professeur Robin Shattock, responsable de l’infection et de l’immunité des muqueuses au sein du département de médecine, travaille sur la fabrication de vaccins à ARN pour créer une réactivité plus rapide et plus accessible aux épidémies d’agents pathogènes connus – comme la grippe, et d’agents pathogènes inconnus, appelés maladie X. …

Les vaccins synthétiques à ARN – qui exploitent la machinerie cellulaire de l’organisme pour fabriquer un antigène plutôt que de l’injecter directement – ne prennent que quelques semaines à produire et pourraient constituer la voie la plus facile pour assurer la cohérence du produit au niveau mondial. …

Le professeur Shattock a déclaré : « Dans une situation de pandémie, pour chaque mois de retard, il y a un potentiel de cinq millions de décès, ce qui équivaut à perdre une ville de la taille de Rome ou de Singapour chaque mois. Nous devons complètement repenser la manière dont les vaccins sont produits et approuvés » …

En collaboration avec le Roslin Institute, le professeur Barclay utilise la technologie CRISPR – un moyen de modifier avec précision le génome d’une espèce pour introduire de nouveaux traits bénéfiques – pour développer des poulets totalement résistants à l’infection par le virus de la grippe.

Maintenant, dites-moi que c’est aussi une coïncidence !

Que suis-je en train de dire ? Est-ce que j’insinue que les scientifiques britanniques de Roslin ou de l’Imperial ont un lien quelconque avec la pandémie ? Pas nécessairement. Cependant, ce que j’affirme, c’est qu’il y a une forte ressemblance entre les deux événements et qu’il y a une forte probabilité qu’ils partagent le même centre de commandement. Je considère que des forces au plus haut niveau d’une organisation internationale, lorsqu’elles ont été informées que la technologie de clonage était fonctionnelle, ont décidé de cloner un mouton et d’annoncer l’événement dans un lieu à la signification hautement symbolique.

Ils ont laissé leur signature en nom et en chiffre. La même signature a été identifiée plus tard dans la COVID. Il est possible que, pour des raisons connues d’eux-mêmes, les personnes du même centre de commandement aient ensuite ordonné le développement d’un traitement médical pour une future pandémie qu’ils ont initialement nommée maladie X. Lorsqu’ils ont été informés qu’une certaine procédure médicale comprenant des vaccinations de masse avec de l’ARNm avait été développée, ils ont rendu l’information publique à Davos. Dix mois plus tard, la maladie X est apparue en Chine et a été baptisée COVID selon l’algorithme utilisé pour Dolly.

Le lieu, le nom, le chiffre, tout cela a l’apparence d’un travail rituel. Je ne sais pas pour vous, mais j’aimerais que la police, ou une autorité quelconque, enquête sur ces coïncidences et ces personnes. Sauf que, dans certains cas, ces personnes pourraient être la police. Par exemple, le comte Rosslyn, propriétaire de la chapelle Rosslyn, a été le chef de Scotland Yard (police métropolitaine) et est actuellement le maître de maison de l’héritier de la couronne britannique, le prince de Galles

Nous devons nous défendre. Et prier.

Bogdan Herzog, Timișoara, 3 juin 2021

PS : Pour les personnes intéressées par le rôle joué par la tradition hermétique dans l’établissement de la Royal Society, « la plus ancienne institution scientifique nationale du monde », profondément interconnectée avec Roslin et Imperial, conseiller du gouvernement britannique, de la Commission européenne, des réunions du G7/G8 et des Nations Unies et de ses agences, je recommande vivement les travaux de Dame Frances Yates, en particulier The Rosicrucian Enlightenment.(([10] En mettant l’accent sur le chapitre 13 – Du Collège Invisible à la Royal Society au chapitre 15 – Rosicrucianisme et franc-maçonnerie, dans Yates, F. – The Rosicrucian Enlightenment, Routlegde, 2001 également disponible en ligne à l’adresse))

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Notes




Vos petits-enfants porteront encore des masques en 2050 et ils ne se rappelleront pas pourquoi

[Source : anguillesousroche.com]

L’éminent auteur britannique Peter Hitchens prévient que si les gens continuent d’accepter allègrement les restrictions du confinement, leurs petits-enfants porteront encore des masques en 2050 et personne ne se souviendra pourquoi.

« Si les gens ne s’y opposent pas maintenant, leurs petits-enfants porteront des masques dans les années 2050, mais personne ne se souviendra pourquoi », a tweeté Hitchens.

Il répondait à un nouveau rapport qui révèle qu’en dépit de la promesse du gouvernement britannique de lever toutes les restrictions relatives au confinement et au port du masque pour la « journée de la liberté » du 19 juillet, les compagnies aériennes, les magasins et autres entreprises les maintiendront en place.

Ryanair et EasyJet ont répondu à l’annonce du gouvernement en jurant de forcer les gens à continuer à porter un masque indéfiniment.

« Afin de protéger la santé de nos clients et de notre équipage, l’utilisation de masques faciaux restera obligatoire sur tous les vols Ryanair, quel que soit le pays de départ/de destination », a déclaré la compagnie aérienne dans un communiqué.

EasyJet a adopté un ton similaire, annonçant : « À l’heure actuelle, il n’y a pas de changement dans la politique de masque à bord d’easyJet et nous continuerons à garder cela à l’étude. »

« Ils rejoindront les entreprises d’autres secteurs qui ont décidé de refuser la clientèle des personnes qui ne suivent pas les ‘conseils’ du gouvernement après le 19 juillet », écrit Michael Curzon.

En d’autres termes, quoi que dise le gouvernement, puisqu’il n’interdira pas explicitement aux entreprises d’appliquer les mandats de masquage, la prétendue « journée de la liberté » n’est rien de tel et les restrictions resteront de facto en place indéfiniment.

Ce sera de la musique aux oreilles des conseillers du gouvernement SAGE comme Susan Michie, une communiste avouée qui insiste sur le fait que les gens devraient être forcés de porter des masques « pour toujours ».

En février 2020, le Dr Anthony Fauci a admis qu’un masque facial typique acheté dans le commerce « n’est pas vraiment efficace pour empêcher l’entrée du virus, qui est assez petit pour passer à travers le matériau ».

Une étude danoise évaluée par des pairs et portant sur 6 000 participants a révélé qu’« il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre ceux qui portaient un masque et ceux qui n’en portaient pas lorsqu’il s’agissait d’être infecté par le Covid-19 »rapporte le Spectator.

« 1,8 % des personnes portant un masque ont attrapé le Covid, contre 2,1 % dans le groupe témoin. Par conséquent, il semble que tout effet des masques sur la prévention de la propagation de la maladie dans la communauté soit faible. »




Médiator : un conte pour Noël ?

[Source : Site Web du Dr Marc GIRARD] (rolandsimion.org)]

lundi 23 septembre 2019 par Marc Girard

L’actualité médiatique me conduit à ressortir cet article sur la mystification Médiator (date de première mise en ligne : 01/01/2011(([1] N’en déplaise à ceux qui ne veulent plus entendre parler de Frachon après l’avoir adulée, ce n’est pas moi qui ai changé d’avis…))). Ni l’émission de C dans l’air à laquelle j’avais participé et où le plus ardent adulateur d’Irène Frachon(([2] Et le plus sévère pourfendeur de Servier.)) avait été le président du LEEM (le syndicat national de l’industrie pharmaceutique), ni la politique sanitaire de Macron et de sa bande, ni les blocages de la justice sur des affaires d’une tout autre gravité, ne m’incitent à renier ma prédiction que grâce à la bouffonnerie Frachon, la situation serait « pire qu’avant ».

L’affaire Médiator, on l’a dit et documenté, défie le sens commun. Et par le nombre de victimes (extrêmement faible toutes choses égales par ailleurs), et par l’inexplicable tardiveté de cette micro-révélation relativement à l’immense scandale des anorexigènes impunément commercialisés par Servier depuis 1963, et par l’invraisemblance des circonstances ayant conduit à sa révélation, et par le caractère éminemment suspect de l’unanimité dans la dénonciation qui devrait soulever d’autant plus de résistances qu’elle vise une corruption censément généralisée – « palpable » dit le Petit Poucet (TF1 News, 30/12/10) : quand on « palpe » où ça fait mal, on s’attire généralement des gueulements, et pas des louanges généralisées – notamment des instances qui mériteraient le plus d’être palpées…(([3] Plus d’un an après la mise en ligne de cet article, je lis sous la plume de Jacques Ellul (Exégèse des nouveaux lieux communs, La Table Ronde, Paris, 2004 : p. 18.) : « Ce qui révèle le plus aisément le lieu commun, c’est précisément cet accord de tous ! » A l’aune de ce critère, il est facile de reconnaître le « lieu commun » dans cette dénonciation apparemment implacable de la pseudo-affaire Médiator.))

À l’évidence, il y a de la magie dans tout cela.

Eu égard à l’intérêt assumé du présent site pour les contes de fées, il peut être utile de relire l’actualité à la lumière des analyses désormais bien classiques de V. Propp.(([4] V. Propp. Morphologie du conte. Paris, Seuil, 1970.))

Le héros, c’est le Petit Poucet : caractère superbement trempé, comme attendu d’un pneumologue exerçant dans une ville où quand il y a de la brume, c’est qu’il va pleuvoir, alors que quand il n’y en a pas, c’est qu’il pleut… Comme souvent dans la littérature merveilleuse, la tradition est parasitée par une autre source – La Belle au Bois dormant en l’occurrence – puisque se réveillant d’un sommeil de cent ans, le Petit Poucet prétend vouloir éviter un deuxième scandale.(([5] Sur ce point, les sources varient un peu, Poucet déclarant, selon d’autres versions, vouloir éviter « un troisième » scandale (France-Soir, 22/12/10), accréditant de la sorte l’existence d’un précédent avec l’Isoméride pourtant présenté dans son livre (p. 28) comme la démonstration de l’exception française par contraste avec la jobardise des Américains. Historiquement, il convient de rappeler que c’est depuis ce jour où notre Agence a ridiculisé les autorités américaines dans la gestion du scandale fenfluramines que l’on trouve des coqs sur tous les clochers de France.)) Les enfants rient beaucoup à cette version, car, bien moins naïfs que ne l’imaginent les adultes, ils savent très bien qu’il y a plus que « deux » ou « trois » scandales au Royaume de la Pharmacie, et que quand un canard comme Le Figaro vous tresse plusieurs couronnes de laurier par jour, c’est qu’il y a un blèmepro – comme ils disent…

Le méchant, c’est le fabricant du médicament. Comme tous les êtres malfaisants, il a les yeux rouges – et l’haleine fétide : même les crapauds craignent sa bave !… Tous les ans, à la même saison, il charme de jeunes vierges en leur faisant croire qu’elles seront bien plus séduisantes si elles perdent quelques grammes avant de paraître en bikini. Il les abandonne exsangues et moribondes sur les plages de sable, hélas hors d’atteinte du Parquet – lequel (comme la DDE, cette fois avec la neige) n’est évidemment pas équipé pour intervenir en pareil terrain.

Le chevalier, c’est le super-épidémiologiste qui a tout découvert avant tout le monde sans rien dire à personne. Malgré sa vaillance, il a été transformé en statue de pierre par le méchant (il l’a d’ailleurs échappé belle, parce que pour le même prix, il aurait pu se retrouver sous forme d’un « petit cercueil« ). Bref et pour dire, sa délivrance dépend du héros. Petit Poucet doit venir, lui donner un grand coup de pied et, lui, doit alors débiter une formule magique : « Ouille mon cul ! Hue mes c*** ! À dada sur mon bidet ! Prout ! Prout ! Prout ! » Le comique de la situation tient d’une part à la disproportion entre le petit pied de Poucet et le derrière du chevalier, d’autre part aux connotations sexuelles et scatologiques d’une formule magique en forme de comptine, bien classiques dans la littérature merveilleuse – et qui font beaucoup rire les enfants.

Le roi, c’est le ministre de la santé. Dans la logique narrative du conte, il n’a pas besoin d’être intelligent : c’est juste une instance de décision.(([6] Qui dispense le narrateur de la moindre justification concernant les décisions en question : nous reviendrons sur ce point à la fin.)) Ainsi, il peut prendre d’abord des décisions favorables au méchant, puis se déclarer en faveur du héros, tout en regrettant le sort injuste réservé au chevalier. Bonjour pour le suspense…

Les donateurs, ce sont tous les faux-culs de l’administration sanitaire qui, après avoir soutenu le méchant durant des décennies, se découvrent une soudaine passion pour la mission de Poucet. Ce sont eux, par exemple, qui vont lui conseiller les caramels mous pour rendre moins mal aimable la responsable de la pharmacovigilance à l’AFSSAPS.(([7] Les versions varient là encore sur ce point : selon certaines, c’est une pinte de bière à la cerise qui lui aurait ouvert les portes de l’AFSSAPS.)) Les enfants sont généralement horrifiés par tant de duplicité.

La récompense, c’est l’aura médiatique, d’autant plus convaincante qu’elle émane d’intervenants – parlementaires, experts, administratifs, journalistes – dont les liens d’intérêts sont particulièrement « palpables ».(([8] Elle peut aussi émaner de « grands reporters » avouant sans fard ne rien connaître au monde de la santé, mais forcés de gagner leur croûte depuis que leur rédaction a jugé plus rentable de couvrir l’actualité en Irak ou en Afghanistan par des couper-coller en corrigeant juste au jour le jour le nombre de victimes – à trois poils près, il faut le dire.)) Elle permet à Poucet enfin reconnu de pérorer sur n’importe quoi, sans être jamais contredit : les enfants adorent ça, car ils ont tous, au fond d’eux-mêmes, le goût des fatrasies.

Le narrateur, c’est un député socialiste de la région toulousaine(([9] Certains critiques parlent de « metteur en scène ». C’est idiot : dans la littérature merveilleuse, on a des narrateurs, pas des metteurs en scène…)): avec sa faconde méridionale, il s’y entend à mettre les enfants dans sa poche – lesquels l’adorent de toute façon.

Marc Girard


Articles de cet auteur





Actionner un interrupteur dans la tête

[Source anglophone : rockefeller.edu]

[Illustration de Ellen Weinstein]

Grâce à une nouvelle technologie, les scientifiques sont en mesure d’exercer un contrôle sans fil sur les cellules du cerveau des souris en appuyant simplement sur un bouton. La première chose qu’ils ont faite a été de donner faim aux souris.

Par W. Wayt Gibbs

1er avril 2017

[Ndlr : la date de l’article peut bien sûr laisser penser à un poisson d’avril. Cependant, le lien ci-dessous pointe sur une autre page du site de l’Université Rockefeller qui présente notamment :
Jeffrey M. Friedman, M.D., Ph.D.
professeur titulaire de la chaire Marilyn M. Simpson
CHERCHEUR, INSTITUT MÉDICAL HOWARD HUGHES
(Sections) GÉNÉTIQUE ET GÉNOMIQUE | MÉCANISMES DES MALADIES HUMAINES | NEUROSCIENCES ET COMPORTEMENT
Étudie les mécanismes moléculaires qui régulent la prise alimentaire et le poids corporel.]

Préparez vos chapeaux en fibre de verre : le contrôle de l’esprit n’est pas une idée aussi farfelue qu’il n’y paraît. Dans le laboratoire de Jeffrey M. Friedman, cela se produit tout le temps, bien que les sujets soient des souris et non des humains.

Friedman et ses collègues ont démontré qu’ils pouvaient télécommander par radio l’appétit et le métabolisme du glucose chez les souris — une technique sophistiquée permettant de modifier sans fil les neurones du cerveau des animaux. En appuyant sur un interrupteur, ils sont capables de donner faim aux souris ou de supprimer leur appétit, tout en leur permettant de mener une vie normale. Ils utilisent cet outil pour élucider les bases neurologiques de l’alimentation, et il est probable qu’il aura des applications pour l’étude d’autres comportements câblés.

M. Friedman, professeur titulaire de la chaire Marilyn M. Simpson, travaille sur cette technique depuis plusieurs années avec Sarah Stanley, ancienne post-doctorante de son laboratoire, aujourd’hui professeur adjoint à l’école de médecine Icahn de Mount Sinai, et des collaborateurs du Rensselaer Polytechnic Institute. Conscient des limites des méthodes existantes pour déclencher les cellules cérébrales chez les animaux vivants, le groupe a entrepris d’inventer une nouvelle méthode. L’approche idéale, ont-ils pensé, devrait être aussi peu invasive et aussi peu dommageable que possible. Et elle devrait fonctionner rapidement et de manière répétée.

Il existe d’autres moyens d’envoyer des signaux aux neurones, mais chacun a ses limites. Dans la stimulation cérébrale profonde, par exemple, les scientifiques font passer un fil dans le cerveau pour placer une électrode à proximité des cellules cibles. Mais l’implant peut endommager les cellules et les tissus voisins et perturber ainsi le comportement normal. L’optogénétique, qui fonctionne de manière similaire mais utilise des fibres optiques et une impulsion lumineuse plutôt que l’électricité, présente le même problème. Une troisième stratégie, qui consiste à utiliser des médicaments pour activer des cellules génétiquement modifiées introduites dans des souris, est moins invasive, mais les médicaments sont lents à agir et à disparaître.

La solution trouvée par le groupe de Friedman, appelée radiogénétique ou magnétogénétique, permet d’éviter ces problèmes. Grâce à leur méthode, publiée l’année dernière dans Nature, les biologistes peuvent activer ou désactiver les neurones d’un animal vivant à volonté — rapidement, à plusieurs reprises et sans implant — en modifiant les cellules pour les rendre réceptives aux ondes radio ou à un champ magnétique.

« En effet, nous avons créé une illusion perceptive selon laquelle l’animal avait une baisse de glycémie. »

« Nous avons combiné des molécules déjà utilisées dans les cellules à d’autres fins d’une manière qui permet à une force invisible de prendre le contrôle d’un instinct aussi primaire que la faim », explique M. Friedman.

La méthode relie cinq outils biologiques très différents, ce qui peut sembler fantaisiste et alambiqué, comme un bricolage de Rube Goldberg à l’échelle moléculaire. Elle s’appuie sur une protéine fluorescente verte empruntée aux méduses, un anticorps particulier dérivé des chameaux, des sacs spongieux de particules de fer [Ndlr : donc magnétisables] et l’équivalent cellulaire d’une porte fabriquée à partir d’une protéine qui perce la membrane [Ndlr : comme une protéine de type Spike], le tout livré et installé par un virus génétiquement modifié [Ndlr : comme le SRAS-CoV-2]. La télécommande de cet engin est un outil de soudure modifié (bien qu’un aimant acheté dans le commerce fonctionne également).

[Ndlr : à mettre en relation avec :
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
Ce que cache le test PCR ?
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
Le gouvernement américain publie accidentellement des documents sur le contrôle mental électromagnétique dans une demande FOIA
Le contrôle mental au temps du Covid
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Est-ce que certaines des technologies de contrôle mental existantes et expérimentées sont ou seront pour autant utilisées contre l’Humanité ?]

Le premier défi des chercheurs était de trouver un élément dans un neurone qui pourrait servir d’antenne pour détecter le signal radio ou le champ magnétique entrant. Le choix logique s’est porté sur la ferritine, une protéine qui stocke le fer dans les cellules sous forme de particules semblables à des ballons d’à peine une douzaine de nanomètres de large. Le fer est essentiel aux cellules, mais il peut aussi être toxique. Il est donc séquestré dans les particules de ferritine jusqu’à ce qu’il soit nécessaire. Chaque particule de ferritine porte en elle des milliers de grains de fer qui s’agitent en réponse à un signal radio, et se déplacent et s’alignent lorsqu’ils sont immergés dans un champ magnétique. Nous avons tous ces particules qui s’agitent à l’intérieur des cellules de notre cerveau, mais ces mouvements n’ont normalement aucun effet sur les neurones.

Friedman et Stanley, avec l’équipement qu’ils utilisent pour envoyer des ondes radio.
Photo par Zachary Veilleux

L’équipe de Friedman a réalisé qu’elle pouvait utiliser un virus génétiquement modifié pour créer des portes dans la membrane externe d’un neurone. S’ils pouvaient ensuite attacher chaque porte à une particule de ferritine, ils ont pensé qu’ils pourraient être en mesure d’agiter suffisamment la ferritine pour ouvrir la porte. La « porte » que nous avons choisie s’appelle TRPV1 », explique Stanley. « Une fois que TRPV1 est activé, les ions calcium et sodium s’écouleraient ensuite dans la cellule et déclencheraient le feu du neurone ». Les morceaux empruntés aux chameaux et aux méduses ont fourni ce dont les scientifiques avaient besoin pour connecter la porte à la ferritine (voir l’encadré Comment équiper un cerveau, plus bas).

Une fois que l’équipe a fait fonctionner le nouveau mécanisme de contrôle, elle l’a mis à l’épreuve. Pour Friedman et Stanley, dont l’objectif est de démêler les causes biologiques de la suralimentation et de l’obésité, la première application était évidente : essayer d’identifier les neurones spécifiques impliqués dans l’appétit. Le groupe a modifié les neurones détecteurs de glucose — des cellules censées surveiller le taux de glycémie dans le cerveau et le maintenir dans une fourchette normale — pour les mettre sous contrôle sans fil. Pour ce faire, ils ont inséré les gènes TRPV1 et de la ferritine dans un virus et — en utilisant une autre astuce génétique — les ont injectés dans les neurones capteurs de glucose. Ils ont ensuite pu manipuler les cellules pour voir si elles sont impliquées, comme on le soupçonne, dans la coordination de l’alimentation et la libération d’hormones, telles que l’insuline et le glucagon, qui permettent de contrôler la glycémie.

Comment équiper un cerveau pour la radiocommande

Des scientifiques ont trouvé un moyen astucieux de contrôler les neurones par radio en combinant des gènes d’humains, de chameaux et de méduses. Ils utilisent un virus modifié pour installer une porte dans la membrane externe de chaque neurone cible, puis ils ouvrent cette porte en utilisant des particules de ferritine qui répondent à de puissants signaux radio. Une fois la porte ouverte, les ions calcium se déversent dans la cellule et déclenchent le feu dans le neurone.

Illustration by Jasu Hu
Illustration par Jasu Hu
  1. Pour installer le système de radiogénétique dans les neurones, les scientifiques ont équipé un adénovirus des différents gènes nécessaires au fonctionnement du système. Ils ont ensuite injecté le virus modifié dans les cellules du cerveau qu’ils voulaient modifier.
  2. L’un des gènes ajoutés produit la TRPV1, une protéine qui aide normalement les cellules à détecter la chaleur et le mouvement. Dans chaque neurone, la protéine TRPV1 (en rose) s’intègre à la membrane externe de la cellule. Comme une porte, elle peut changer de forme pour ouvrir ou fermer un canal ionique. Pour ajouter une poignée à la porte, les chercheurs ont cousu TRPV1 à un « nanocorps » (violet) — une variété d’anticorps exceptionnellement simple que l’on trouve chez les chameaux.
  3. Les particules de ferritine remplies de fer (en vert) servent de capteur au système. Pour leur permettre de s’accrocher à la poignée de porte du nanocorps, les chercheurs ont ajouté un gène pour la GFP, une protéine de méduse qui brille en vert sous la lumière ultraviolette. Le nanocorps et la GFP se collent l’un à l’autre et le système est maintenant connecté. Lorsqu’ils sont exposés à de fortes ondes radio ou à des champs magnétiques, les particules de ferritine s’agitent, le canal ionique s’ouvre et les ions calcium (en rouge) entrent dans la cellule pour l’activer.

Une fois que le virus a eu le temps d’infecter et de transformer les neurones cibles, les chercheurs ont allumé un émetteur radio réglé sur 465 kHz, un peu en dessous de la bande utilisée pour la radio AM.

Les neurones ont répondu. Ils se sont mis à tirer, signalant une pénurie de glucose, même si le taux de glycémie de l’animal était normal. D’autres parties du corps ont réagi comme elles l’auraient fait en cas de baisse réelle de la glycémie : le taux d’insuline a baissé, le foie a commencé à produire davantage de glucose et les animaux ont commencé à manger davantage. « En fait », dit Friedman, « nous avons créé une illusion de perception selon laquelle l’animal avait une faible glycémie alors que les niveaux étaient normaux ».

Inspirés par ces résultats, les chercheurs se sont demandé si le magnétisme, comme les ondes radio, pouvait déclencher l’ouverture des portes cellulaires par la ferritine. Ce fut le cas : Lorsque l’équipe a placé les cages des souris à proximité d’une machine IRM ou qu’elle a fait passer un aimant de terre rare sur les animaux, les neurones sensibles au glucose se sont déclenchés.

Stimuler l’appétit est une chose. Pourraient-ils aussi le supprimer ? Le groupe a modifié le gène TRPV1 pour qu’il laisse passer le chlorure, qui agit pour inhiber les neurones. Lorsqu’ils ont inséré le TRPV1 modifié dans les neurones, l’afflux de chlorure a fait en sorte que les neurones se comportent comme si le sang était surchargé de glucose. La production d’insuline a augmenté chez les animaux et ils ont moins mangé. « Cela semble indiquer clairement que le cerveau, tout comme le pancréas, est impliqué dans la régulation du glucose », déclare Friedman.

Friedman et Stanley espèrent que les biologistes seront en mesure d’utiliser le système de télécommande pour s’attaquer à toute une série de processus neuronaux autres que l’appétit. Et au-delà d’un outil de recherche fondamentale, la méthode pourrait potentiellement conduire à de nouvelles thérapies pour les troubles du cerveau.

Par exemple, on pourrait imaginer l’utiliser pour traiter la maladie de Parkinson ou les tremblements essentiels — des maladies qui sont parfois traitées par stimulation cérébrale profonde, au moyen de fils implantés dans le cerveau des patients et reliés à un bloc-piles logé dans la poitrine. Il serait potentiellement moins invasif d’injecter le virus paralysé au même endroit du cerveau et de le laisser modifier de façon permanente les cellules qui s’y trouvent, pour qu’elles répondent à un contrôle sans fil.

En théorie, il serait également possible de rendre les cellules d’un patient réceptives aux ondes électromagnétiques en les retirant du corps, en leur administrant du TRPV1 et de la ferritine, puis en les remettant en place, explique Friedman. Il s’agirait d’un protocole semblable à ceux actuellement utilisés dans les traitements par cellules souches et dans certaines immunothérapies contre le cancer, dans lesquels les propres cellules des patients sont modifiées et réimplantées dans leur corps.

À ce stade, cependant, l’utilité clinique du système est une question de spéculation. « Nous sommes loin de l’utiliser chez l’homme pour des traitements médicaux », déclare Friedman. « Il y aurait beaucoup à faire avant même de pouvoir le tester ».




Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulés

[Source : reseauinternational.net]

Par Joseph Mercola.

Les rapports de décès et de blessures graves dus aux vaccins COVID-19 s’accumulent à une vitesse vertigineuse. Ceux qui regardent les chiffres et ont une certaine connaissance des taux historiques de blessures dues aux vaccins s’accordent à dire que nous n’avons jamais rien vu de tel, où que ce soit dans le monde. Bien que les données soient difficiles à obtenir pour certains pays, celles que nous pouvons vérifier révèlent des tendances profondément troublantes.

– États-Unis – En date du 11 juin 2021, le Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) des États-Unis avait enregistré 358 379 événements indésirables1, dont 5 993 décès et 29 871 blessures graves. Dans le groupe d’âge des 12 à 17 ans, on a enregistré 271 blessures graves2 et 7 décès. Chez les femmes enceintes, on a enregistré 2 136 événements indésirables, dont 707 fausses couches ou naissances prématurées.3

Tous ces chiffres sont forcément inférieurs à la réalité car, historiquement, moins de 10% des effets secondaires des vaccins sont signalés au VAERS4. Une enquête du Département américain de la Santé et des Services sociaux a estimé ce chiffre à 1%.5 6

Quoi qu’il en soit, le taux de décès rapporté pour les injections de vaccins COVID-19 dépasse maintenant le taux de décès rapporté pour plus de 70 vaccins combinés au cours des 30 dernières années, et il est environ 500 fois plus mortel que le vaccin contre la grippe saisonnière7, qui a toujours été le plus dangereux.

Les injections de vaccins COVID sont également cinq fois plus dangereuses que le vaccin H1N1, dont le taux d’effets secondaires graves était de 25 pour un million8,9. En supposant que les injections de vaccins anti-COVID aient le même taux d’effets secondaires et que quelque 200 millions de personnes aient reçu le vaccin, le nombre estimé de personnes souffrant d’un effet secondaire grave serait d’environ 5 000. Nous avons déjà largement dépassé ce chiffre, puisque 35 86410 personnes ont été gravement blessées ou tuées.

Même si près de 6 000 décès ont été signalés dans le VAERS, ce chiffre est probablement sérieusement compromis. J’ai récemment interviewé le Dr Vladimir Zelenko, qui a traité avec succès des patients COVID, et nous avons discuté de la possibilité très nette que toutes les personnes ayant reçu le vaccin COVID meurent de complications dans les deux ou trois prochaines années.

Il a personnellement connaissance de 28 décès liés au vaccin qui n’ont pas été acceptés par le VAERS. Zelenko pense que le nombre de décès pourrait déjà dépasser 100 000.

Le fait de recevoir le vaccin anti-COVID place immédiatement la personne injectée dans une situation de risque très élevé de mourir du COVID. La plupart d’entre elles ont la fausse assurance d’être protégées, mais en réalité, elles sont beaucoup plus vulnérables et, par conséquent, elles ne prendront pas de mesures proactives très agressives pour éviter de mourir de l’amorçage pathogène ou du renforcement immunitaire paradoxal avant qu’il ne soit trop tard.

N’oubliez pas de noter dans votre agenda de revoir mon interview révolutionnaire avec Zelenko ce dimanche 4 juillet 2021. Nous passons en revue les protocoles que vous pouvez utiliser pour vous protéger, vous et votre famille ou ceux que vous aimez, qui regrettent maintenant d’avoir reçu le vaccin COVID.

– Union européenne – Dans la base de données de l’Union européenne sur les effets indésirables des vaccins anti-COVID, appelée EudraVigilance, 1 509 266 blessures ont été signalées, dont 15 472 décès, au 19 juin 202111. EudraVigilance n’accepte que les rapports des membres de l’UE, et ne couvre donc que 27 des 50 pays européens.

Il est remarquable de constater qu’environ la MOITIÉ de toutes les blessures signalées – 753 657 – sont classées comme « graves », ce qui signifie que la blessure met la vie en danger, nécessite une hospitalisation, entraîne une condition médicalement importante, un handicap significatif ou une incapacité persistante.

– Royaume-Uni – Le système britannique Yellow Card avait reçu, au 9 juin 2021, 276 867 rapports d’événements indésirables suite à la « vaccination » COVID, dont 1 332 décès.12

– Israël – Selon un rapport du Comité du Peuple israélien, un organisme civil composé d’experts de la santé, « il n’y a jamais eu de vaccin qui a nui à autant de personnes »13. Par exemple, les données israéliennes montrent que les garçons et les hommes âgés de 16 à 24 ans qui ont été vaccinés ont un taux de myocardite (inflammation du cœur) 25 fois supérieur à la normale.14

(La myocardite touche également les adolescents et les jeunes adultes aux États-Unis. Bien que les responsables du CDC affirment qu’aucun décès confirmé n’a été signalé, au moins deux décès ont été liés temporellement au vaccin.15 16 17 18 19)

– Australie – En Australie, deux personnes sont mortes de caillots sanguins après avoir reçu le vaccin anti-COVID d’AstraZeneca. En revanche, une seule personne – une femme âgée – est décédée du COVID-19 cette année.20 21

Si quelque chose ne va pas, vous êtes tout seul

La douleur et la souffrance que ces vaccins ont déjà engendrées sont difficiles à imaginer. Il est clair que des millions de personnes dans le monde ont vu leur vie bouleversée par ces injections. Beaucoup ne s’en remettront peut-être pas, ni physiquement ni financièrement. Il est vraiment important de réaliser que si quelque chose tourne mal, vous êtes en grande partie seul.

Avant de prendre la décision de participer à cette expérience sanitaire sans précédent, il peut être judicieux d’évaluer votre assurance personnelle et votre capacité financière à faire face à une blessure grave, car les fabricants de vaccins sont protégés contre les poursuites judiciaires. Vous ne pouvez pas les poursuivre en justice pour obtenir des dommages et intérêts. Vous ne pouvez pas non plus poursuivre le gouvernement ou toute autre personne.

Si vous êtes blessé par une injection du vaccin et que vous vivez aux États-Unis, votre seul recours est de demander une indemnisation au titre de la Countermeasures Injury Compensation Act (CICP), en vertu de laquelle les vaccins COVID-19 sont une contre-mesure couverte22. La CICP est gérée par une agence au personnel clairsemé relevant du Département américain de la Santé et des Services sociaux.

Vous trouverez des détails et des hyperliens vers les formulaires de demande d’indemnisation dans l’encadré juridique du Congressional Research Service, « Compensation Programs for Potential COVID-19 Vaccine Injuries »23. Vous ne pouvez pas demander et ne recevrez pas d’indemnisation du National Vaccine Injury Compensation Program (VICP), qui couvre d’autres vaccins, notamment le vaccin contre la grippe.

L’indemnisation par le VICP est très limitée et difficile à obtenir. Au cours de ses 15 années d’existence, il n’a versé que 29 indemnités, soit moins d’une sur 1024 25 26. Vous n’êtes admissible que si votre blessure nécessite une hospitalisation et entraîne une invalidité importante et/ou un décès, et même si vous répondez aux critères d’admissibilité, vous devez épuiser votre assurance maladie privée avant que celle-ci ne prenne en charge la différence.

L’indemnité moyenne du CICP est de 200 000 $, et les cas de décès sont plafonnés à environ 370 000 $. En attendant, vous pouvez facilement accumuler une facture d’hôpital d’un million de dollars si vous souffrez d’un grave accident thrombotique.

Il n’y a pas de remboursement pour la douleur et la souffrance, seulement pour les salaires perdus et les factures médicales impayées. Cela signifie qu’une personne retraitée ne peut pas y prétendre même si elle meurt ou se retrouve en fauteuil roulant. L’indemnisation salariale est d’une durée limitée et plafonnée à 50 000 dollars par an. Pour couronner le tout, vous ne pouvez pas faire appel de la décision du CICP. Les appels sont simplement examinés par un autre membre du personnel du même bureau.

Pouvez-vous vous permettre une blessure par injection du vaccin COVID ?

Même s’ils peuvent les obtenir, les indemnités accordées par le CICP risquent d’être une goutte d’eau dans l’océan pour la plupart des gens. L’indemnité moyenne est de 200 000 $, et les cas de décès sont plafonnés à 370 376 $27. Par ailleurs, vous pouvez facilement accumuler une facture d’hôpital d’un million de dollars si vous souffrez d’un grave accident thrombotique28. Vous devez également payer votre propre aide juridique et tout témoin professionnel dont vous pouvez avoir besoin pour soutenir votre demande.

Au début du mois de juin 2021, KRDO news a rapporté29 le cas de Kendra Lippy, une femme de 38 ans qui n’avait aucun problème de santé avant de se faire vacciner avec Johnson & Johnson. Dans la semaine qui a suivi, elle a souffert de maux de tête, de douleurs abdominales et de nausées. Son diagnostic : De graves caillots sanguins qui ont évolué vers une défaillance de plusieurs organes et un coma.

Elle a dû subir l’ablation de la plus grande partie de son intestin grêle et aura besoin d’une nutrition parentérale totale pour le reste de sa vie – une méthode d’alimentation qui contourne son système gastro-intestinal. Elle a été hospitalisée pendant 33 jours, dont 22 jours dans l’unité de soins intensifs. Elle a maintenant besoin d’une ergothérapie et d’une physiothérapie pour retrouver des fonctions de base comme marcher, écrire et tenir une fourchette.

La facture d’hospitalisation de Lippy dépasse déjà le million de dollars, une somme qu’elle ne pourra probablement jamais rembourser, et on ne sait pas de quel type de traitement médical elle aura besoin dans les années à venir. Il est clair que Lippy se dirige vers la faillite, et les factures médicales sont la cause la plus courante aux États-Unis.

Des stipulations supplémentaires qui rendent les paiements rares

Il existe également des conditions de temps. Pour être admissible, vous devez déposer une demande d’indemnisation dans l’année qui suit la date d’administration du vaccin. Il s’agit d’un obstacle important, car les effets secondaires graves peuvent mettre du temps à se développer. Par exemple, après la pandémie de grippe porcine de 2009, des personnes ont commencé à déclarer un syndrome de Guillain-Barré des années après avoir reçu le vaccin H1N1. À ce moment-là, ils n’étaient plus admissibles.30

Mais le pire, c’est qu’il vous incombe désormais de prouver que votre blessure est le « résultat direct de l’administration de la contre-mesure, sur la base de preuves médicales et scientifiques convaincantes, fiables et valides, allant au-delà de la simple association temporelle ».

En d’autres termes, vous devez prouver ce que le développeur du vaccin lui-même doit encore vérifier, puisque vous faites partie de leur étude toujours en cours ! Le CICP est aussi notoirement secret sur les raisons de l’approbation ou du rejet des demandes. Comme le rapporte l’Insurance Journal,

« il ne divulgue même pas les détails les plus élémentaires, comme les types de maladies que les gens prétendent avoir contractées à cause des vaccins ».31

Au 1er juin 2021, 1 360 Américains avaient demandé à être indemnisés par le CICP pour des blessures et des décès résultant de contre-mesures pandémiques, mais seuls 869 ont été jugés éligibles pour déposer une demande32. Aucune n’a été jugée. Le professeur Peter Meyers, ancien directeur de la Vaccine Injury Litigation Clinic, qui a qualifié le CICP de « processus de trou noir »33, prévient qu’il s’agit d’un « programme minable ». Il a déclaré à Life Site News34 :

« Il s’agit d’un programme secret et opaque dans le cadre duquel des fonctionnaires inconnus du Département de la Santé et des Services sociaux prendront des décisions ; nous ne savons pas combien de personnes prennent des décisions, qui elles sont, ni quel est le processus ».

Ce secret signifie qu’il n’existe pas de statistiques officielles sur les types de blessures pour lesquelles les personnes déposent une demande, ni sur la contre-mesure qui aurait causé leur blessure. À propos, les vaccins ne sont pas les seules contre-mesures à être protégées de la responsabilité. Les erreurs de traitement hospitalier sont également protégées, et nous savons que certains hôpitaux tuaient régulièrement des patients, qu’ils aient ou non une infection confirmée par le COVID-19, en les plaçant sous respirateur même lorsqu’ils n’en avaient pas besoin.35

Pouvez-vous faire confiance à ces criminels en col blanc ?

Comme nous l’avons mentionné, les fabricants de vaccins sont protégés de toute responsabilité financière. Vous ne pouvez les poursuivre que si vous pouvez prouver une « faute intentionnelle », telle qu’une tromperie délibérée, un comportement frauduleux ou la dissimulation d’informations pertinentes. Pour contourner ce problème, les fabricants de vaccins peuvent simplement ne pas rechercher certains problèmes.

Le potentiel d’infertilité en est un parfait exemple. La protéine spike est soupçonnée d’être toxique pour la reproduction, et les données de biodistribution de Pfizer montrent qu’elle s’accumule dans les ovaires des femmes36. Malgré cela, Pfizer n’a effectué aucun test de toxicologie de la reproduction. Comme ils n’ont pas cherché, ils peuvent dire sans sourciller qu’ils « ne savaient pas » que la piqûre pouvait provoquer des problèmes de reproduction. Le fait est qu’ils auraient dû s’en douter, et faire les tests pour s’en assurer.

Nous voyons déjà des signes de toxicité reproductive. Les données suggèrent que le taux de fausses couches chez les femmes qui reçoivent le « vaccin » anti-COVID au cours des 20 premières semaines de grossesse est de 82%. Le taux normal est de 10%, ce n’est donc pas une augmentation mineure. L’infertilité sera beaucoup plus difficile à établir, et pourrait prendre des décennies.37

Dans une lettre adressée le 28 mai 2021 à la rédaction du New England Journal of Medicine, les docteurs Ira Bernstein, Sanja Jovanovic et Deann McLeod, HBSc, de Toronto, ont attiré l’attention sur ce point en soulignant que les études préliminaires sur la sécurité publiées dans le NEJM en avril 2021 étaient erronées car elles incluaient des « grossesses cliniquement non reconnues ».38

Ils ont inclus des graphiques ajustés reflétant cette erreur et ont demandé aux auteurs de l’étude de retirer les données erronées mais, fait intéressant, leur lettre a disparu d’Internet la dernière semaine de juin, bien qu’elle soit toujours dans les archives de Wayback au 27 juin 2021. Par coïncidence, le 17 juin 2021, le NEJM a republié l’étude d’avril sans expliquer pourquoi elle était republiée et sans corriger les données.

Compte tenu des antécédents criminels de Pfizer, Johnson & Johnson et AstraZeneca, il est difficile de comprendre comment des millions de personnes font confiance à ces entreprises pour ne pas mentir afin de gagner de l’argent. Comme le rapporte Life Site News39 :

« Les trois principaux fabricants de vaccins, Pfizer, Johnson & Johnson et AstraZeneca, ont été condamnés par des tribunaux d’État et fédéraux à payer un total de plus de 8,6 milliards de dollars d’amendes pour répondre à des dizaines d’allégations de mauvaise conduite au pénal et au civil.

À elle seule, la société Pfizer a été condamnée à une amende de 2,3 milliards de dollars – le règlement le plus important de l’histoire, selon le Département de la Justice – pour avoir délibérément fraudé et dénaturé ses médicaments qui avaient déjà été retirés des rayons en raison de leurs dangers avérés.

Mais grâce à six dénonciateurs qui ont apporté des preuves contre la société, celle-ci aurait pu continuer à faire de la publicité mensongère et à vendre ses produits dangereux.

« Nous avons fait un compromis en Amérique », a déclaré Meyers, « en accordant aux fabricants de vaccins une protection en matière de responsabilité pour s’assurer qu’ils continueront à fabriquer des vaccins qui, avant l’immunité juridique, étaient enlisés dans des procès pour effets secondaires ».

Les fabricants de voitures, d’échelles ou d’autres produits peuvent être poursuivis s’ils sont défectueux. Les fabricants de vaccins bénéficient d’une responsabilité générale pour garantir la production de leurs produits, d’un financement public pour les produire, de commandes gouvernementales garanties pour les produits, d’une commercialisation de masse payée par le gouvernement et de mandats …

« Le compromis semble injuste aujourd’hui parce que le programme CICP est tellement défectueux », a déclaré Meyers, en particulier lorsque les fabricants de vaccins engrangent des bénéfices colossaux (Pfizer est prêt à récolter 26 milliards de dollars avec ses vaccins COVID cette année et la fabrication des vaccins COVID produit des milliardaires dont les salaires annuels sont des multiples d’une décennie de paiements CICP à des dizaines de personnes).

Les prestations du CICP sont des « compensations avares », a-t-il ajouté, pour des personnes qui souffrent et attendent face à la cupidité des entreprises et à l’opacité des gouvernements. En dépit du casier judiciaire des entreprises pharmaceutiques, Meyers pense qu’elles seraient « folles de prendre le risque de commettre une faute ». S’il s’avérait que les fabricants de vaccins cachent en fait des informations sur les risques des vaccins COVID, dit-il, “ce serait une catastrophe” ».

Le gouvernement et les grandes entreprises pharmaceutiques sont-ils coupables de mauvaise conduite délibérée ?

Je ne sais pas pour vous, mais le sentiment que j’ai lorsque je regarde la cascade de blessures et de décès survenant dans les jours ou, dans de nombreux cas, dans les heures qui suivent l’injection, est que quelque chose ne tourne pas rond, et que les fabricants de vaccins balaient tout sous le tapis. N’est-ce pas une faute intentionnelle ? Ne pas effectuer de tests de toxicologie reproductive après avoir découvert que la protéine spike s’accumule dans les ovaires – n’est-ce pas une faute intentionnelle répréhensible ?

Continuer à prétendre que l’ARNm reste dans le muscle de l’épaule alors qu’ils ont des données montrant qu’il est distribué dans pratiquement tous les organes du corps humain – n’est-ce pas cacher des informations importantes ? N’est-ce pas une faute intentionnelle répréhensible ?

Je soutiens que les responsables gouvernementaux sont également coupables de malfaisance médicale. Comme l’a fait remarquer le Dr Robert Malone, l’inventeur de la plateforme technologique de base des vaccins à ARNm et à ADN40, la version la plus récente de l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) qui régit ces injections de vaccins anti-COVID révèle que la FDA a choisi de ne pas exiger une collecte et une évaluation rigoureuses des données post-vaccinales, alors qu’elle avait le pouvoir de le faire.

Encore une fois, si vous ne cherchez pas les blessures, vous avez peu de chances de les trouver. En l’absence d’un processus solide de collecte et d’évaluation des données, ils peuvent dire que les vaccins sont sûrs et les faire passer dans le processus d’autorisation beaucoup plus facilement. Le problème auquel ils sont maintenant confrontés est que le VAERS reçoit un nombre tellement élevé de rapports que même s’ils ne représentent que 10% des blessures réelles, ou moins, il est absolument indubitable qu’il existe de sérieux problèmes.

Le fait de ne pas exiger des fabricants de vaccins qu’ils mettent en place un système complet de collecte des données sur les événements indésirables est, au mieux, un signe d’incompétence. Mais ce n’est pas tout. La FDA commence vraiment à se montrer fourbe lorsqu’elle refuse de reconnaître que les rapports du VAERS indiquent l’existence de problèmes.

Qualifier de « coïncidence » plus de 35 000 fois n’est tout simplement pas crédible, et rejeter les risques d’invalidité permanente et de décès en disant qu’ils « en valent la peine » est plus qu’insensible, étant donné que nous disposons de traitements sûrs et efficaces et que personne n’a besoin de jouer sa santé sur une thérapie génique expérimentale.

Les injections de COVID sont clairement plus risquées que ce qui est annoncé

Comme l’indiquait un article du Wall Street Journal du 22 juin 202141, bien que le VAERS ne puisse pas nous dire si les injections ont été la cause d’un effet secondaire donné, lorsque des groupes de rapports forment une tendance, il est temps d’enquêter.

Les quatre effets indésirables graves qui forment actuellement une tendance sont la thrombocytopénie (faible nombre de plaquettes), la myocardite non infectieuse (inflammation cardiaque), surtout chez les moins de 30 ans, la thrombose veineuse profonde et le décès.42

Pour que de tels effets soient tolérables, même s’ils sont rares, il faudrait que le vaccin (ou le médicament) soit absolument crucial pour la survie. Pensez à une pandémie hautement infectieuse d’Ebola, par exemple – quelque chose où la mort est rapide et pratiquement assurée, et où le traitement, une fois infecté, est inefficace.

Aucun de ces critères ne s’applique au COVID-19, dont le taux de létalité est équivalent à celui de la grippe saisonnière, sauf pour les personnes âgées et les plus fragiles. Il faudrait également que le vaccin soit un véritable vaccin, c’est-à-dire qu’il confère une immunité. Les injections de thérapie génique anti-COVID-19 ne le font pas non plus.

Dans l’ensemble, il est clair que les décès et les blessures causés par ces injections sont passés sous silence, et nous ne pouvons pas permettre que cela continue. Nous devons continuer à faire pression pour la transparence, l’honnêteté et la responsabilité.

N’oubliez pas de voir mon interview révolutionnaire avec le Dr Vladimir Zelenko. Nous passons en revue les protocoles que vous pouvez utiliser pour vous protéger, vous et votre famille ou ceux que vous aimez, qui regrettent maintenant d’avoir reçu le vaccin COVID.


source : https://www.lewrockwell.com

  1. MedAlerts/VAERS, June 11, 2021
  2. MedAlerts/VAERS, June 11, 2021, « Cases where Vaccine is COVID19 and Serious »
  3. The Defender, June 18, 2021
  4. BMJ, 2005;330:433
  5. AHRQ, December 7, 2007
  6. The Vaccine Reaction, January 9, 2020
  7. Trial Site News, May 25, 2021
  8. Insurance Journal, December 29, 2020
  9. CNBC, March 25, 2021
  10. MedAlerts/VAERS, June 11, 2021
  11. Based Underground, June 22, 2021
  12. « Gov.UK Yellow Card Reporting Summary », June 17, 2021 (Covers 12/9/2020 – 6/9/2021)
  13. Aletho News, April 21, 2021
  14. Ottawa Citizen, June 4, 2021
  15. STAT News, June 10, 2021
  16. NBC News, June 23, 2021
  17. The Defender, June 24, 2021
  18. The Defender, June 15, 2021
  19. WLWT, June 14, 2021
  20. USA Today, June 22, 2021
  21. The Defender, June 21, 2021
  22. « Congressional Research Service Legal Sidebar CICP », March 22, 2021
  23. « Congressional Research Service Legal Sidebar CICP », March 22, 2021
  24. Life Site News, June 15, 2021
  25. Insurance Journal, August 14, 2020
  26. Insurance Journal, December 29, 2020
  27. Insurance Journal, December 29, 2020
  28. The Defender, June 2, 2021
  29. KRDO, June 2, 2021
  30. Insurance Journal, December 29, 2020
  31. Insurance Journal, December 29, 2020
  32. HRSA, June 1, 2021
  33. Yahoo News, August 21, 2020
  34. Life Site News, June 15, 2021
  35. 11alive.com, June 4, 2021
  36. Trial Site News, June 6, 2021
  37. Trial Site News, May 25, 2021
  38. Wayback, June 27, 2021
  39. Life Site News, June 15, 2021
  40. Trial Site News, May 30, 2021
  41. WSJ Opinion, June 22, 2021 (Archived)
  42. WSJ Opinion, June 22, 2021 (Archived)



Oui ! Nous savons !

[Source : La Minute de Ricardo]






Manifestation devant les grands médias : la défiance règne

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Romain Pauc

« Il ne peut y avoir de liberté sans vérité », témoigne Marc, un des citoyens protestant ce samedi 3 juillet pour demander un traitement de l’information plus honnête, et des journalistes davantage indépendants.



Une centaine de personnes non-encartées dans un parti se sont rassemblées et ont ainsi marché dans Paris : leur objectif était de s’arrêter devant les sièges des « grands médias », les médias « mainstream », dont ils trouvent le journalisme « arriéré ».

Sylvain Baron faisait partie des déclarants de cet évènement : il était notre invité d’un « Entretien essentiel » il y a quelques semaines pour nous faire part de son analyse de la souffrance du peuple, et de sa déconnexion avec les élites.

Marchant devant Radio France et France Télévision, ils ont choisi de commencer par manifester devant BFM TV, la chaîne dont l’éditorialiste Emmanuel Lechypre avait appelé à une vaccination « de force », au mépris du droit de choisir des Français, et à l’encontre de toute déontologie médicale.

Ces manifestations sont organisées tous les premiers samedis de chaque mois, le prochain rassemblement se tiendra donc le samedi 7 août. Organisé par des Gilets jaunes, ils appellent chacun à venir, tous les citoyens désireux d’une nouvelle information, et d’un nouveau système médiatique en France.

Auteur(s): Romain Pauc




Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

[Source : Le blog de Liliane Held-Khawam (lilianeheldkhawam.com)]

Par Liliane Held-Khawam

Comment transformer notre monde, la société, et donc l’humain ?

Révolutionner l’organisation sociétale est une obsession des dirigeants européens en vue de la réalisation des objectifs du Programme de développement durable 2030 des Nations Unies. Le nom complet de celui-ci est d’ailleurs: » « Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l’horizon 2030 ». Les 3 premiers mots de ce titre sont indispensables à la compréhension de ce qui se passe. Ce site et les livres qui y sont présentés poursuivent tous le même objectif: comprendre et faire comprendre les stratégies et moyens utilisés pour réaliser cette révolution qui vise rien de moins que la restructuration de la vie la vie sur terre. Et cela passe par la révolution numérique et l’industrie qui la sous-tend.

Le graphène en fait partie, et occupe une bonne place dans le Digital Single Market de l’UE. Une thèse relevait en 2015 que le graphène est une nanoparticule bidimensionnelle d’épaisseur atomique présentant des propriétés uniques, qu’elles soient mécaniques, électriques ou thermiques. Ceci ajouté à une faible densité et une très grande surface spécifiquefait que l’ajout de graphène et de nanoparticules dérivées (oxyde de graphène, graphite exofilé) pour renforcer des matrices polymères est devenu un sujet d’études d’intérêt majeur dans le domaine des nanocomposites

https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01138100/
Les terrains d’application dans le but d’aller toujours plus vite, toujours plus haut, pour toujours moins cher.
fet_flagships_factsheet_20190905_final_d79bb51d-92f1-0390-5359064ac3e6f5b1_61526-graphene

L’oxyde de graphène, un outil de disruption technologique indispensable à la révolution digitale

L’oxyde de graphène est semble-t-il un composant majeur qui doit participer à cette révolution globale. Ce mot est évité au profit de la disruption technologique, histoire de ne pas trop expliquer en quoi cette chose consiste. Au final, il s’agit de la même chose. En fait, il s’agit ni plus ni moins de faire advenir la 4ème révolution dont parle Klaus Schwab qui devrait mener au transhumanisme, lui-même n’étant qu’un phase transitoire vers le posthumanisme.

Et les révolutionnaires ne lésinent pas sur les moyens. Et c’est à cela que l’on reconnait le degré d’importance accordé à un projet: le fric mis à disposition. Ainsi, la Commission européenne, les Etats membres et Etats associés financent un programme de 1 milliard d’euros afin de réaliser les objectifs de disruption basés sur le graphène.

Selon des membres du Laboratoire fédéral d’essai des matériaux et de recherche , « le programme phare sur le graphène est la plus grande initiative de recherche de l’UE à ce jour et, selon la Commission européenne, « la plus grande distinction de l’histoire pour l’excellence de la recherche ». Doté d’un budget d’un milliard d’euros, le programme Graphene Flagship a pour mission de faire passer le graphène du domaine des laboratoires universitaires à la société européenne dans dix ans – générant ainsi de la croissance économique, de nouveaux emplois et de nouvelles opportunités pour les Européens en tant qu’investisseurs et employés. Avec le programme Graphene Flagship, l’Europe a lancé une nouvelle forme d’initiative de recherche commune et coordonnée d’une ampleur sans précédent. Graphene Flagship réunit un consortium académico-industriel visant une percée en matière d’innovation technologique. L’effort de recherche couvrira l’ensemble de la chaîne de valeur, de la production des matériaux à l’intégration des composants et des systèmes, et visera un certain nombre d’objectifs spécifiques qui exploitent les propriétés uniques du graphène.« 

https://graphene-flagship.eu/

L’oxyde de graphène, le matériau qui permet la surveillance de la santé! Étude à lire. INDISPENSABLE

L’orientation des soins de santé humaine s’est progressivement déplacée des hôpitaux vers les communautés (familles, individus) nous dit une étude qui présente la médecine idéale où la santé humaine est sous surveillance permanente grâce à des capteurs composés de graphène. Les hôpitaux classiques et autres personnels soignants qui ne sont pas préparés à la télémédecine risquent de se retrouver hors du système dans peu de temps. Souvenez-vous d’ailleurs quand nous avions abordé les sujets qui semblaient lointains. Eh bien le lointain est devenu actuel. 

https://lilianeheldkhawam.com/2018/10/28/etes-vous-daccord-davoir-un-clone-numerique-vous-laurez-quand-meme-lhk/

Extraits de l’étude

Des efforts considérables ont donc été consacrés aux capteurs et aux dispositifs de surveillance de la santé. En raison de ses caractéristiques uniques, notamment ses propriétés chimiques et physiques, le graphène est extrêmement attrayant pour l’électronique flexible et les capteurs.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Dans cette revue, les réalisations récentes dans les capteurs à base de graphène pour la surveillance de la santé humaine, y compris les capteurs portables flexibles non invasifs et les dispositifs invasifs ont été examinées. Les capteurs à base de graphène ont été explorés pour mesurer un large éventail de signes vitaux et de biomarqueurs du corps humain, qui sont très prometteurs dans un avenir prévisible pour des applications dans les soins de santé, la médecine personnalisée/préventive, le traitement des maladies, l’interaction homme-machine, comme ainsi que les interfaces cerveau-ordinateur.De nouvelles structures ont été utilisées pour améliorer les performances, tandis que leurs mécanismes de détection et les innovations technologiques ont également été discutés en profondeur.

Les capteurs portables non invasifs sont plus acceptables et souhaitables dans les applications de soins de santé, car ils sont moins invasifs et réduisent les risques tout en maintenant leur fonction et leurs performances. L’attitude du public envers les appareils portables est passée de la curiosité aux soins de santé de qualité clinique (Rogers et al., 2019). Cependant, il reste encore un long chemin à parcourir avant de répondre aux exigences des dispositifs médicaux. Avec les progrès des matériaux et des techniques de fabrication, les dispositifs médicaux implantables deviennent de plus en plus attractifs, en raison de leur capacité à surveiller de manière précise et à long terme l’état des tissus, des organes, du système, tout en fournissant également des conseils/des assistants/des pronostics pour diagnostic et thérapeutique, qui remplacent progressivement les appareils portables et portables traditionnels. Cependant, pour les dispositifs implantables, plusieurs défis tels que la biocompatibilité, l’encrassement biologique ainsi que l’alimentation électrique doivent être résolus. L’électronique transitoire/biodégradable présente un immense potentiel dans les applications implantables, qui peuvent être dégradées de manière contrôlée et/ou auto-déclenchante sans chirurgies secondaires ni risques d’infection. Par ailleurs,la chose intéressante est que les feuilles de GO hautement dispersées peuvent être biodégradées par la myéloperoxydase qui est dérivée des neutrophiles humains, qui peut être utilisée dans l’électronique biodégradable pour les implants (Kurapati et al.,2015).

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

En général, les capteurs pour la surveillance de la santé humaine, qu’il s’agisse de capteurs invasifs ou non invasifs, peuvent être considérés comme un « sens augmenté », qui est une extension des sens humains.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Un fichier externe contenant une image, une illustration, etc. Le nom de l'objet est fchem-07-00399-g0001.jpg
Présentation de la plate-forme de capteurs à base de graphène (y compris oxyde de graphène)
pour la surveillance de la santé.
Une distinction majeure peut être faite entre les applications non invasives et invasives, y compris les capteurs portables pour surveiller les signaux biophysiques, biochimiques, environnementaux et les dispositifs implantables pour le système nerveux, cardiovasculaire, digestif et locomoteur. 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Des quantités considérables de données seront générées avec le développement des technologies de capteurs et de la science des matériaux en raison de la détection omniprésente allant de l’Internet des objets (IoT) aux soins de santé. Ainsi, des méthodes statistiques et informatiques, telles qu’une gamme de techniques d’apprentissage automatique, peuvent être utilisées dans le traitement des données et l’extraction efficace d’informations. Des capacités d’analyse de données en temps réel sont souhaitées pour une gestion robuste des données (Paulovich et al., 2018). Les problèmes éthiques et moraux dans la collecte, l’analyse et le stockage des données, en particulier les données concernant la santé personnelle, doivent être correctement résolus pour protéger la vie privée.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Bien que les capteurs à base de graphène aient reçu une attention considérable dans la surveillance de la santé et les applications biomédicales, il est crucial de considérer l’impact du graphène et de ses dérivés sur la santé humaine, tels que sa biocompatibilité, sa toxicité, ainsi que ses risques potentiels pour l’environnement avant que le graphène ne soit intégré à la peau humaine, en particulier lorsqu’il est implanté dans le corps humain. De nombreuses études ont été consacrées aux nanomatériaux à base de graphène (GBN). Cependant, il y a encore un manque de recherche systématique sur la santé humaine ou les effets environnementaux (Dasari Shareena et al., 2018).

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Cependant, il est encore trop tôt pour tirer des conclusions en raison de la rareté des données et du manque de compréhension des effets d’accumulation à long terme (Fadeel et al., 2018).

À lire : 
https://lilianeheldkhawam.com/2020/05/31/vos-donnees-biologiques-et-medicales-sont-lenjeu-et-ce-nest-pas-facultatif-vincent-held/

Méconnaissance de l’impact de l’oxyde de graphène sur la santé. Étude internationale

L’euphorie due à ce produit miracle peut se transformer un de ces jours en catastrophe aussi bien pour la santé humaine que pour celle de l’environnement. Une étude publiée à fin 2018 tirait la sonnette d’alarme:

« Le graphène et ses dérivés sont présentés comme des matériaux « miracles » avec de nombreuses applications dans différents secteurs de la société, de l’électronique au stockage d’énergie en passant par la médecine. L’exploitation croissante des matériaux à base de graphène (GBM) nécessite une évaluation complète de l’impact potentiel de ces matériaux sur la santé humaine et l’environnement. Ici, nous discutons de la synthèse et de la caractérisation des GBM ainsi que de l‘évaluation des risques humains et environnementaux des GBM à l’aide de systèmes modèles in vitro et in vivo dans le but de comprendre les propriétés qui sous-tendent les effets biologiques de ces matériaux ; tous les GBM ne se ressemblent pas et il est essentiel de démêler les relations structure-activité pour cette classe de matériaux. »

https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsnano.8b04758

Laboratoire fédéral d’essai des matériaux et de recherche 
https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-73908.html

En novembre 2018, ces scientifiques écrivaient que « La caractérisation des matériaux, à son tour, est un élément clé de l’évaluation des dangers. L’évaluation toxicologique des nanotubes de carbone en est un exemple. Il y a dix ans, il a été suggéré que les nanotubes de carbone présentent une pathogénicité « de type amiante » dans un modèle animal en ce sens que les nanotubes de carbone longs et rigides, mais pas courts ou enchevêtrés, ont provoqué la formation de granulomes et une inflammation après injection intrapéritonéale chez la souris. Nous comprenons maintenant que les nanotubes de carbone adhèrent dans une certaine mesure au paradigme dit de la fibre pathogène, et que certains types de nanotubes de carbone multiparois peuvent être considérés comme potentiellement cancérigènes pour l’homme. Cependant, d’autres membres de la même famille de matériaux se sont révélés non toxiques et peuvent même subir une dégradation, suggérant que tous les nanotubes de carbone ne ressemblent pas à l’amiante (examiné dans la réf). En fait, les nanotubes de carbone, s’ils sont purifiés de manière appropriée et modifiés en surface, offrent des perspectives prometteuses en nanomédecine, par exemple pour l’administration et/ou l’imagerie de médicaments ou de gènes. » 

https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsnano.8b04758

Quelques remarques finales de l’étude citée ci-dessus sont plus que fascinantes au vu des textes que nous aborderons plus bas dans cette publication. En voici quelques-unes:

  • Le présent aperçu de la littérature a montré que même si l’évaluation des dangers des GBM arrive à maturité, avec un nombre toujours croissant d’études portant sur l’impact potentiel des GBM sur les systèmes vivants, des lacunes dans les données subsistent, ce qui, par conséquent, empêche la prédiction de toxicité basée uniquement sur les propriétés matérielles des GBM.
  • Pour conclure, le battage médiatique qui suit inévitablement les progrès technologiques devrait être tempéré par une évaluation scientifique solide de l’impact potentiel sur la santé humaine et l’environnement afin d’assurer le développement sûr et durable de nouveaux produits et applications. La présente étude de la littérature peut peut-être servir de première étape vers une collecte systématique de données sur la sécurité ou la biocompatibilité des GBM.

L’oxyde de graphène dans le vaccin induit la mort cellulaire! Étude chinoise

Il y a un an, une étude chinoise portant le titre de « Progrès récents de l’oxyde de graphène en tant que vecteur potentiel de vaccin et adjuvant » a été publiée après avoir été transmise en février 2020. Un troublant just in time puisqu’elle arrive au moment du démarrage de la crise covidienne dont le vaccin pourra bénéficier de la technologie.

Encore plus intriguant, ils admettaient dans leur publication l’usage de l’oxyde de graphène en médecine. L’oxyde de graphène (GO), largement utilisé pour l’administration de biomolécules, excelle dans le chargement et l’administration d’antigènes et montre le potentiel d’activation du système immunitaire. Or dans la phrase suivante, on peut lire Cependant, GO s’agrège dans le liquide biologique et induit la mort cellulaire, et il présente également une faible biosolubilité et biocompatibilité. Plutôt effrayant non?

Des adjuvants et des transporteurs ont été ajoutés de manière appropriée à la formulation du vaccin pour améliorer l’immunogénicité de l’antigène et induire une immunité de longue durée. Cependant, il existe un besoin urgent de développer de nouveaux adjuvants tout usage car certains adjuvants approuvés pour un usage humain ont une fonctionnalité limitée. L’oxyde de graphène (GO), largement utilisé pour l’administration de biomolécules, excelle dans le chargement et l’administration d’antigènes et montre le potentiel d’activation du système immunitaire. Cependant, GO s’agrège dans le liquide biologique et induit la mort cellulaire, et il présente également une faible biosolubilité et biocompatibilité. Pour pallier ces limitations,divers protocoles de modification de surface ont été utilisés pour intégrer des substances compatibles aqueuses avec GO afin d’améliorer efficacement sa biocompatibilité.

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

Vous constaterez que hormis une personne pharmacienne, les auteurs chinois de ladite étude sont actifs à l’ École de médecine ou des matériaux de l’Université des sciences et technologies électroniques de Chine. Le profil de cette école de médecine est troublant et nous rappelle notre papier qui se demandait si la santé avait été transmise aux ingénieurs…
https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/02/notre-sante-livree-aux-ingenieurs/comment-page-1/
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

L’étude espagnole qui montre que malgré toutes les mises en garde, les industriels envoient de l’oxyde de graphène dans le corps humain!

Voici une étude qui témoigne que l’oxyde de graphène est envoyé dans le corps humain par plusieurs voies: les masques, les écouvillons des PCR, et les vaccins. Ce produit toxique que nous pourrions qualifier de poison est non seulement présent dans les masques, mais aussi dans les écouvillons et dans les vaccins. Des chercheurs espagnols ont jeté un gros pavé dans la mare en apportant la preuve de cette présence inquiétante. La chose est édifiante, scandaleuse et très probablement criminelle. Il faut le dire et le faire savoir. Bref, la vidéo est sous-titrée en anglais.



[Ndlr : version doublée en français :]



Le biostatisticien Ricardo Delgado, le Dr José Luis Sevillano et l’équipe de chercheurs et de professeurs avec lesquels le site LA QUINTA COLUMNA ont mené leurs recherches ont confirmé la présence de nanoparticules d’oxyde de graphène dans les flacons de vaccination. Traduit et sous-titré par Orwell City (www.orwell.city).

Merci au site « Ciel voilé » qui nous a remis le document en espagnol.

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Les médias mainstream admettent enfin la présence du graphène dans les masques… pas encore dans les vaccins.

Si votre enfant ne supporte pas le port du masque, c’est dû au fait que celui-ci héberge très probablement des intrus indésirables qui portent le nom de nanoparticules d’oxyde de graphène. (Voir la vidéo ci-dessus). Il y a quelques semaines, les médias mainstream ont dû rendre compte de la présence problématique de nanoparticules d’oxyde de graphène dans certains masques testés. Et ces particules qui sont inhalées ne sont pas neutres en matière de santé. De fait, elles sont hautement dangereuses.

« Tout a commencé cette année au Canada, au Québec précisément, où 30 millions de ces masques FFP2 ont été distribués notamment dans les écoles. Les autorités constatent alors une multiplication de remontées de symptômes qui vont de difficultés à respirer à des irritations de la peau.

BFMTV.com

Fin mars, le ministère de la Santé décide de rappeler tous les masques en circulation qui ont été distribués et émet un avis radical. « Santé Canada conseille aux Canadiens de ne pas utiliser de masques faciaux contenant du graphène, car ils pourraient inhaler des particules de graphène, ce qui pourrait poser des risques pour la santé ».

En avril, un particulier lance même une action collective contre un distributeur. « Les masques en graphène ont été faussement présentés comme sûrs pour les humains, malgré de nombreuses connaissances contraires », peut-on lire dans le libellé de la poursuite déposée par le Groupe de Droit des Consommateurs, cité par Le Journal de Montréal. » 

Dans le cas de l’équipe espagnole on n’a analysé que certains masques. Mais voilà, il y a tous ceux qui ne l’ont pas été et qui continuent d’inonder la place publique, dont les écoles! Et plutôt que de faire retirer ces masques et de laisser les enfants respirer librement, on préfère palabrer sur la question. « Y-a-t-il un vrai risque pour la santé? La question est loin d’être tranchée. Comme tout nanomatériau, le graphène peut présenter des risques, surtout s’il est ingéré ou respiré. Mais on ne sait pas s’il y a un vrai risque d’inhalation par les humains à travers un masque. Les études sont encore en cours. » 

https://www.bfmtv.com/sante/faut-il-interdire-les-masques-ffp2-contenant-du-graphene_AN-202106020283.html

Les « normes qui entourent le graphène ont été établies pour un contexte d’utilisation classique du nanomatériau, c’est-à-dire installé à l’intérieur d’appareils électroniques, pas dans un masque qui est à proximité de la bouche et du nez d’êtres humains. »

https://www.bfmtv.com/sante/faut-il-interdire-les-masques-ffp2-contenant-du-graphene_AN-202106020283.html

Que les études prennent du temps n’est pas un problème, mais que des autorités sanitaires totalement débordées depuis un an ne sonnent pas l’arrêt du port du masque au nom du principe de précaution est un immense scandale!

Et alors que certains produits empoisonnent littéralement les citoyens, on nous tient des discours abracadabrants sur des molécules qui ont soigné depuis des de nombreuses décennies… Nous pensons évidemment aux antibiotiques, à l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine.

HeiQ Materials AG dépose un brevet conjointement avec l’École polytechnique de Zurich (ETHZ). But fabriquer des membranes de graphène

HeiQ, une entreprise zurichoise spécialisée dans les technologies qui rendent les tissus « intelligents », avait développé un traitement antiviral appelé Viroblock, que l’on peut appliquer sur des masques chirurgicaux, des blouses médicales ou des gants. Voici donc le masque qui détruit les virus. Et ce miracle de la technologie est présenté par la société HeiQ en tant qu’outil antiviral pouvant combattre entre autres le Covid-19. Il est donc plus qu’un outil de protection.

Et cette entreprise est associée à l’EPFZ (ETH) dans le cadre d’un brevet qui concerne la fabrication de membranes de graphène:  » La présente invention concerne un procédé de production de membranes poreuses (« trouées ») de graphène qui sont imperméables tout en étant hautement respirantes en raison de la transmission améliorée de la vapeur à travers les pores perforés à l’intérieur des couches de graphène ». Vous pouvez lire le brevet (ou pas) et découvrir l’association qui est faite avec les matériaux (cuivre, argent, etc.)… Et tout ces trésors incluant l’oxyde de graphène sont travaillés à l’échelle nanométrique.

Annexes

Le marché des masques traités anti-virus en plein boom grâce au Covid-19. La société HeiQ Materials AG.

Le port du masque n’est pas près d’être suspendu. Il fait partie de la nouvelle société en cours de transhumanisation.

https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/23/vers-le-port-permanent-dun-masque-connecte-la-maltraitance-morale-de-nos-jeunes-en-question/
https://lilianeheldkhawam.com/2021/01/28/le-masque-premier-pas-vers-le-transhumanisme/comment-page-1/

Les investisseurs se régalent de cette innovation prometteuse de gros sous. De plus, les autorités sanitaires regardent ailleurs, et même vont jusqu’à financer… Un régal financier! 

https://resources.swissquote.com/sites/default/files/2021-02/swi_1_epaper_fr.pdf

Masques et tissus « intelligents » pour désactiver le Covid-19…

Le brevet n’étant pas disponible, il nous est impossible de dire si la société HEIQ, co-détentrice du brevet concernant le graphène (ci-dessus), fabrique ses masques en tissus intelligents avec ou sans graphène…

… et beaucoup d’autres virus

Vous trouverez dans cette vidéo la manière dont fonctionne l’une des inventions qui permet à ces tissus « intelligents » de combattre les virus. Des particules d’argent (nanoparticules ?) vont détruire les virus en les attirant d’abord (effet magnétique ?).




L’Inconstant Martin Blachier, voix de la « Macronie vaccinale »

[Source : iROCBlog]

Par Régis DESMARAIS

Martin Blachier est reparti en mission médiatique. Sa tâche redoutable : convaincre les récalcitrants au vaccin Covid de se faire vacciner. Si l’exercice est amusant par ses contradictions, omissions ou incohérences, il ne doit pas effrayer : on assiste au spectacle redoutable d’une déroute d’un pouvoir trahi par les faits.

La matinale de Radio Classique, haut lieu de la pensée officielle, accueillait, ce lundi 5 juillet 2021, Martin Blachier. Ce personnage, encore jeune, d’allure sportive et un brin Steve Mac Queen (l’acteur) est adulé des médias de masse. Il incarne à la perfection l’ère de la Macronie, c’est-à-dire une ère de décadence et de confusion des savoirs et des valeurs. Dans les propos de Martin Blachier, et dans la durée, tout est instable, contradictoire, péremptoire, changeant, incohérent et à terme nocif, si ce n’est comique quand on a compris la mission du personnage et la pièce dans laquelle il se perd.

Faire « le job »

Ce matin du 5 juillet 2021, Martin Blachier a fait le job, à savoir « vendre » la vaccination obligatoire, faire croire que c’est la seule alternative à cette pandémie aux très faibles taux de mortalité et de létalité. Cet homme qui, il y a peu, affirmait qu’il ne ferait jamais vacciner ses enfants, a déclaré sur les ondes que ceux qui refusaient la vaccination obligatoire étaient soumis à des théories complotistes ! Le journaliste qui interviewait Monsieur Blachier a réagi, fait rare en cette époque, pour dire qu’il ne fallait tout de même pas mettre tout le monde dans le même sac. Il est vrai, Martin Blachier est excessif car il se met lui aussi dans le même sac puisqu’il refuse la vaccination obligatoire pour ses enfants (et à juste titre). On devine qu’il doit être soumis à une théorie complotiste disant que les enfants ne sont pas à risque par rapport à la Covid.

Le Docteur Blachier, médecin en santé publique, qui intervient donc à un niveau macro (une population) et non micro (le malade), affirme donc qu’il n’y rien de nouveau à vouloir imposer une vaccination obligatoire contre la Covid dès lors qu’il y a déjà d’autres vaccins obligatoires et que 3 milliards de personnes se sont fait récemment vacciner et que tout va bien. Si tout va bien pour elles, pourquoi cela irait mal pour vous, remarque Martin Blachier avec une voix teintée d’assurance audacieuse. Dans son élan, M. Blachier va même jusqu’à critiquer les positons du professeur Raoult sur la vaccination car aujourd’hui les gens se laissent aller à exprimer des opinions et rien d’autre. Évidemment, Martin Blachier, dans son ignorance hédoniste, « oublie » que le docteur Raoult se positionne sur l’analyse des faits, des données, les observations des malades, et n’exprime pas des opinions ou des hypothèses basées sur des modèles prédictifs. Martin Blachier oublie l’explosion des déclarations des effets secondaires survenant après la vaccination et le fait qu’en quelques mois de vaccination, les États-Unis présentent plus d’effets secondaires mortels après vaccination qu’en plus de 15 ans, tous vaccins confondus. Les statisticiens, les chiffres et sans doute les morts semblent soumis à des théories complotistes, le complot étant de regarder et de décrire la réalité factuelle…. Étrange tournant de notre civilisation qui choisit de devenir sourde et aveugle.

Le « job » sur le terrain des amalgames et des confusions

Monsieur Blachier  est un avant-gardiste. Il aborde un sujet en mélangeant torchons et serviettes ou plutôt produits en phase d’essai et vaccins testés selon des normes rigoureuses. Faut-il rappeler à Monsieur Blachier que les vaccins actuellement obligatoires en France ont fait l’objet des différentes phases de tests nécessaires et normalisées avant d’être mis sur le marché avec une autorisation de mise sur le marché NON conditionnelle ? Faut-il lui rappeler que les vaccins « anti-covid » sont encore en phase expérimentale et que l’on ne connait pas leurs effets secondaires à moyen et long termes. En fait, on ne connait même pas leur exacte composition et les seules études qui vantent leur efficacité sont celles des fabricants :on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même… même si autrefois ces fabricants ont été condamnés à plusieurs milliards de dollars d’amendes pour études frauduleuses sur leurs médicaments ! Martin Blachier connaît-il le Dr R. Malone ? Ce dernier,  inventeur de la technologie du vaccin à ARNm, ne cesse de mettre en garde contre les actuels vaccins mis trop rapidement sur le marché.

Martin Blachier a enfin l’audace de se targuer d’être indépendant. Une fois de plus, nous sommes bien dans l’ère de la Macronie décomplexée, c’est-à-dire une époque où la corruption morale est totale et où les mots, les faits et leur signification n’ont plus aucun sens. Il faut rafraichir la mémoire de Martin Blachier pour que ce dernier se souvienne des avantages financiers perçus de Johnson et Johnson, pour que M. Blachier redécouvre qu’il est consultant pour GileadJanssenIpsen et Lundbeck et que sa société a reçu presque un million d’euros de Big Pharma ! Martin Blachier est invité de toute urgence à consulter la définition du mot indépendance, le job en sera mieux fait car plus crédible …

Un matraquage obscène pour la vaccination

Il est important de rappeler aux lecteurs de couper la télé, la radio et de ne regarder que les pages sports et culture de la presse papier. Actuellement, une campagne obscène et vulgaire  de matraquage pour la vaccination obligatoire est en cours. Obscène car elle repose sur l’intimidation, la stigmatisation et la peur. Le message est simple, les éléments de langage sont connus : le variant Delta est hyper contagieux – on oublie de dire qu’il est hyper peu dangereux et que ses symptômes sont ceux du Rhume -, le confinement à la rentrée est plus que probable si on ne fait rien, ceux qui ne se vaccineront pas seront responsables de la contamination des autres et du déclin économique du pays. Le message est bien rôdé, relativement éculé et d’un cynisme féroce car bâti sur des opinions et des intentions malsaines.

Aujourd’hui beaucoup de gens ont compris que :

  • les problèmes économiques sont induits par des décisions politiques inappropriées et non par la pandémie : sur ce point M. Blachier alterne dans ses interventions entre la dénonciation des confinements et le soutien aux mesures de gestion de la crise sanitaire.
  • la vaccination n’empêche pas d’être contaminé et d’être contaminant et ne protège guère, voire pas du tout, contre les variants (Olivier Véran l’a même écrit dans un mémoire en défense présenté au Conseil d’État). Par ailleurs, la situation épidémique en Israël et au Royaume-Uni montre à quel point la vaccination n’est guère performante. Dans ces pays, une flambée épidémique a lieu au sein de la population vaccinée mais M. Blachier l’ignore.

L’arnaque du « zéro Covid »

La volonté d’imposer la vaccination obligatoire repose sur l’idée qu’il faut éradiquer le Sars-Cov-2 et aboutir au « zéro Covid ». Ainsi, avec 80%, voire 100% de la population vaccinée, il n’y aurait plus de pandémie et plus de contraintes sociales. Hélas, ce type de propos relève de la croyance, d’une religion bâtie autour du dieu vaccin et aussi des approximations de Monsieur Blachier et des autres  « experts » en plateaux télé. En effet, la Covid-19 est une zoonose, c’est-à-dire une maladie qui peut se transmettre des animaux à l’homme. Le variant anglais est sur ce point illustratif de la nature de cette maladie puisqu’il provient d’élevages de visons. De fait, pour atteindre le « zéro Covid », il faudrait vacciner tous les êtres humains mais aussi tous les animaux transmetteurs et poser la double hypothèse que le virus cesse de muter et que le vaccin serait efficace à 100% : folie irréalisable et inconcevable sauf dans les rêves délirants des patrons de Big Pharma qui verraient surgir des milliards de profits en diffusant des milliards de doses pour vacciner tout le règne animal de la planète. Nous sommes dans un « monde de dingues » pour détourner une expression symbolique de M. Macron.

Ayez conscience du spectacle

Pour terminer et donner un peu d’apaisement à ceux qui seraient stressés par les propos délirants de M. Blachier et les injonctions à se faire vacciner : voyez ce qui se passe en Inde (Uttar Pradesh) ou au Mexique : l’Ivermectine a fait quasiment disparaître la phase épidémique dans ces pays.

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Le show de Martin Blachier, car c’est un spectacle médiatique, pour rôdé qu’il soit, est désormais éventé, bien connu et sans surprise. Écouter Martin Blachier c’est comme voir la énième suite d’un blockbuster dans lequel s’épuisent des acteurs vieillissants à la recherche d’un ultime cachet. Parfois pathétique mais souvent émouvant de naïveté. Le problème, c’est que le public se lasse et devient, avec le temps et la diffusion des informations, plus exigeant. Les éléments de langage utilisés par M. Blachier se confrontent aux faits, et c’est cruel pour le pouvoir. Désormais, nous assistons presque médusés à une agitation « d’experts » et de « politiques » qui se bousculent sur la scène médiatique comme des acteurs égarés sur une scène de théâtre mais des acteurs qui confondraient la réalité du monde avec ce qui se dit et se passe sur les planches.




Angleterre : le Cabinet convient qu’il est temps de « vivre avec Covid » et d’abandonner l’idée du passeport vaccinal

[Source : nicolasbonnal.com]

  • Les ministres sont sur le point de suspendre les plans pour l’utilisation obligatoire de la « certification Covid ».
  • Les projets de pubs et de restaurants avaient déjà été mis en veilleuse.
  • Le Mail peut désormais révéler que les ministres ont également abandonné l’idée de les imposer lors d’événements de masse.

Par JASON GROVES RÉDACTEUR POLITIQUE POUR LE DAILY MAIL

Les passeports Covid ne seront pas obligatoires dans les festivals de musique, les événements sportifs et autres rassemblements de masse lorsque les restrictions de verrouillage seront levées le mois prochain.

Les ministres devraient suspendre les plans pour l’utilisation obligatoire de la «certification Covid» après la Journée de la liberté le 19 juillet.

Les projets de pubs et de restaurants avaient déjà été mis en veilleuse à la suite d’une réaction brutale des députés et du secteur hôtelier.

Les ministres devraient suspendre les plans pour l’utilisation obligatoire de la «certification Covid» après la Journée de la liberté le 19 juillet

Le Mail peut désormais révéler que les ministres ont également abandonné l’idée de les imposer lors d’événements de masse. Les organisateurs seront toutefois autorisés à gérer leurs propres programmes, la Premier League faisant partie de ceux qui devraient introduire une forme de certification pour prouver que ceux qui fréquentent les terrains de football ne présentent pas de risque Covid.

Cette décision intervient dans un contexte de confiance croissante dans le fait que Boris Johnson poursuivra ses plans pour lever les règles de distanciation sociale le mois prochain malgré une augmentation des cas de Covid.

Il a déclaré hier au Cabinet que notre succès de vaccination signifie que la Grande-Bretagne pourra « vivre avec Covid » car le lien entre les cas de virus et les hospitalisations a été rompu.

Hier, 20 479 autres cas ont été enregistrés – avec un total de sept jours en hausse de 70% en une semaine – mais une source gouvernementale a déclaré que la Journée de la liberté se déroulerait comme prévu, même si les cas sont plus de deux fois plus élevés qu’ils ne le sont actuellement.

« Nous devons nous habituer à l’idée de traiter Covid davantage comme une grippe », a déclaré la source. « Les gens ont le vaccin contre la grippe, qui aide à réduire les maladies graves, mais nous obtenons toujours un grand nombre de cas et un nombre important de décès. »

« Lorsque nous arriverons au 19 juillet, les cas semblent être potentiellement très élevés, peut-être jusqu’à 30 000 ou 40 000 par jour. Mais ce n’est pas en soi une raison pour ne pas aller de l’avant, à condition que les hospitalisations et les décès restent à des niveaux relativement bas. »

Les admissions à l’hôpital ont augmenté d’un peu plus de 10 % au cours de la semaine dernière, avec un nombre moyen de décès quotidiens de 17, soit moins de 2 % des niveaux observés en janvier. 23 autres décès ont été annoncés hier.

Un porte-parole de Downing Street a déclaré :

« Le Cabinet a convenu qu’une fois que nous aurons terminé la feuille de route, nous pourrons vivre avec Covid à l’avenir – même si les cas continuent d’augmenter – grâce aux protections fournies par le vaccin. »

Dans ce qui semblait être une série coordonnée d’interventions, Michael Gove a déclaré que les gens devront vivre avec Covid de « la manière dont nous vivons avec la grippe », qui fait des milliers de morts chaque hiver mais n’exige pas que la société et l’économie être enfermé.

Le ministre de l’Intérieur, Priti Patel, a également abordé la question, affirmant que les Britanniques devraient « s’adapter » à la vie avec le coronavirus. Ce changement fait suite à la nomination de Sajid Javid au poste de secrétaire à la Santé à la suite de la démission de Matt Hancock. Dans une déclaration d’intention, M. Javid a profité de sa première comparution aux Communes lundi pour faire passer le message qu’il était temps de « commencer à revenir à la normale » après 15 mois de restrictions paralysantes.

Les ministres semblent désormais presque certains de lever les principales mesures de distanciation sociale le 19 juillet – mais les débats se poursuivent sur l’opportunité de continuer à demander aux gens de porter des masques dans les transports publics et de travailler à domicile.

Une question qui semble avoir été réglée est celle des passeports Covid. Des sources de Whitehall ont déclaré au Mail qu’elles seraient mises de côté pour un usage domestique, malgré les essais en cours à Wimbledon et Wembley. Des programmes pilotes ont contrôlé l’accès aux événements de masse en exigeant des personnes présentes qu’elles fournissent la preuve qu’elles ont été vaccinées ou testées pour Covid.

Les ministres pensent maintenant que le succès de notre programme de vaccination signifie que de telles mesures ne seront pas nécessaires dans toute la Grande-Bretagne cet été, évitant ainsi un autre affrontement potentiel avec les députés.

Le changement fait suite à la nomination de Sajid Javid au poste de secrétaire à la Santé à la suite de la démission de Matt Hancock



« Il semble peu probable que nous devions rendre la certification Covid obligatoire, même pour les événements de masse », a déclaré une source.

« Ce sera nécessaire pour les voyages à l’étranger et certains événements peuvent choisir de gérer leurs propres programmes, mais il ne semble pas que nous ayons besoin d’une législation à ce stade. »

« Le travail n’a pas été vain. Il sera nécessaire pour les déplacements et nous aurons un système en place qui pourrait être utilisé si nous en avons besoin en hiver. » En effet, les plans de généralisation des passeports pourraient être relancés en cas de nouvelle vague majeure de Covid. Cela permettrait aux sites de rester ouverts même si les cas montent en flèche. Le numéro 10 a déclaré que le Premier ministre était « de plus en plus confiant » qu’il n’y aurait pas besoin de retarder davantage la levée des restrictions à nos libertés.

M. Johnson a déclaré au Cabinet que les dernières données « montrent que les cas continuent d’augmenter, mais que les hospitalisations et les décès ont connu une croissance beaucoup plus faible ».

La députée conservatrice Siobhan Baillie s’est félicitée des commentaires, déclarant: « Nous devons avoir un dividende des vaccins. Nous devons revenir à la normale et apprendre à vivre avec le risque. »

L’ancien ministre Steve Baker a mis en garde contre la question de savoir si un examen de la distanciation sociale dirigé par M. Gove pourrait laisser certaines restrictions en place après le 19 juillet. Il a déclaré à Sky News:  « Je veux savoir à quoi ressemblera réellement le monde quand nous retrouvons notre liberté. »

https://www.dailymail.co.uk/news/article-9738819/Vaccine-passports-over.html?ito=email_share_article-masthead




Dr YEADON : Nous allons nous interposer entre ces criminels et nos enfants

[Source : Quantum Leap]

« J’en veux à tous les médecins du NHS qui ont été stupides au point de croire tout ce qu’on leur a dit, qui n’ont pas traité leurs patients, qui ne leur ont pas permis de se voir, qui ont prétendu que les masques les protégeaient, qui ont prétendu que le test PCR fonctionnait, qui les ont vaccinés alors que la plupart d’entre eux n’en avaient pas besoin… »




Source anglaise complète :






Rapport officiel anglais : Il est urgent d’arrêter la vaccination anti COVID

[Source : Conscience du peuple (conscience-du-peuple.blogspot.com)]

Rapport officiel anglais : Il est urgent d’arrêter la vaccination anti COVID. Faites suivre à vos contacts qui n’ont pas encore reçu l’injection ou en attente d’une seconde dose.

Publication de Stephane Guay, Microbiologiste 

https://b3d2650e-e929-4448-a527-4eeb59304c7f.filesusr.com/ugd/593c4f_b2acdef3774b4e9ca06e9fae526fd5cd.pdf

Un « rapport préliminaire urgent sur les données de la carte jaune » publié par l’Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd, basée au Royaume-Uni et soumis à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA), 👉 indique que

« la MHRA dispose désormais de suffisamment de preuves sur le système de la carte jaune pour déclarer les vaccins COVID-19 dangereux pour une utilisation chez l’homme. »

Semblable au Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) des États-Unis, la MHRA décrit le but de son système de carte jaune comme fournissant « un avertissement précoce indiquant que la sécurité d’un médicament ou d’un dispositif médical peut nécessiter une enquête plus approfondie ».

Le rapport, signé par Evidence-based Medicine Consultancy Ltd et le directeur d’EbMC Squared CiC, le Dr Tess Lawrie (MBBCh, PhD), déclare :

« nous avons recherché les rapports Yellow Card en utilisant des mots clés spécifiques à la pathologie pour regrouper les données selon les critères suivants. cinq [sic] grandes catégories cliniquement pertinentes :

  • EIM hémorragiques, coagulantes et ischémiques
  • Effets indésirables du système immunitaire
  • EIM « douloureux »
  • Effets indésirables neurologiques
  • Effets indésirables impliquant une perte de la vue, de l’ouïe, de la parole ou de l’odorat
  • EIM de la grossesse »

Le rapport poursuit en disant :

« Nous sommes conscients des limites des données de pharmacovigilance et comprenons que les informations sur les effets indésirables signalés ne doivent pas être interprétées comme signifiant que le médicament en question provoque généralement l’effet observé ou est dangereux à utiliser. 👉Nous partageons ce rapport préliminaire en raison du besoin urgent de communiquer des informations qui devraient conduire à l’arrêt du déploiement de la vaccination pendant qu’une enquête complète est menée. Selon l’article récent de Seneff et Nigh, les pathologies potentielles aiguës et à long terme comprennent :

  • Amorçage pathogène, maladie inflammatoire multisystémique et auto-immunité
  • Réactions allergiques et anaphylaxie
  • Amélioration dépendante des anticorps
  • Activation des infections virales latentes
  • Neurodégénérescence et maladies à prions
  • Émergence de nouvelles variantes du SARSCoV2
  • Intégration du gène de la protéine de pointe dans l’ADN humain »




L’opération Covid-19 met à nu le « Nombre de la Bête »

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

« (…)fait que, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, soient marqués sur la main droite ou sur le front, de sorte que personne ne puisse acheter ou vendre à moins qu’il a la marque. »

Nouveau Testament, Apocalypse, chapitre 13

Comme la vague de criminalité Covid est si ÉNORME, il y aura de graves conséquences !

Il y a maintenant des fissures énormes et irréparables qui s’ouvrent dans la façade du Plan Covid-Arnaque (Plandemie).

Le SYSTÈME de la BÊTE

La chose extraordinairement unique à propos de cette plus grande conspiration criminelle mondiale de l’histoire du monde, c’est qu’elle devait impliquer tout le monde – chaque entité institutionnelle majeure, c’est-à-dire qui était nécessaire pour mener à bien ce gigantesque canular.

Cela signifie que le  SYSTÈME DE LA BÊTE[1] a  révélé à quel point il est puissant et omniprésent à travers la planète.

Le graphique suivant ne capture que certaines de ces entités institutionnelles et mouvements mondialistes qui ont constitué le  SYSTÈME DE LA BÊTE depuis le tout début. Il comprend également des opposants féroces qui ont exposé le canular CORONA actuel  .

CARTE DE CONSPIRATION CRIMINELLE COVID

Même un examen superficiel du précédent diagramme du complot COVID-5G révèle que chaque grande institution mondiale et nationale, qui est vitale pour la continuité du  SYSTÈME DE LA BÊTE, s’est inscrite sur la « carte de la frénésie de crime Covid » en constante évolution.

La première de ces organisations criminelles est peut-être le complexe gouvernemental et médical (GMC) qui a participé à ce génocide mondial sans précédent en tant que principal criminel opérationnel de Covid.

Le GMC comprend l’OMS, le CDC, la FDA, le NIH [dirigé par Fauci], l’AMABig Pharma [Ndlr : ensemble des grosses entreprises pharmaceutiques] et plusieurs autres poids lourds de la santé qui ont tous conspiré pour mener un complot criminel extrêmement complexe afin de commettre un génocide mondial et de couvrir la vague mondiale de criminalité Covid. [Ndlr : cela reste malgré tout une hypothèse.]

Dès le départ, les chances d’empêcher un complot criminel aussi complexe de se dénouer complètement étaient minces, voire inexistantes, et plus proches de « NULLES ». En effet, comment compter sur les innombrables co-conspirateurs pour se serrer les coudes lorsque les choses deviennent difficiles — vraiment difficiles, comme c’est sur le point de l’être alors que les perspectives d’un nouveau verrouillage mondial augmentent en raison du « variant Delta » inexistant et totalement faux.
[Voir : ]LA VARIANTE DELTA REDOUTÉE :
une autre opération noire de Covid et un psyop mondial de proportions épiques

Le fait que la cabale mondialiste du Nouvel Ordre Mondial ait même imaginé qu’elle pouvait maintenir cette conspiration criminelle et cette dissimulation témoigne d’un degré d’orgueil et d’arrogance jamais atteint dans l’histoire.

Maintenant que l’ensemble du système de santé américain, ainsi que les différents gouvernements à tous les niveaux à travers les États-Unis, ont souffert d’une perte de confiance incomparable en raison du génocide gériatrique délibéré exécuté au cours de l’année et demie écoulée, qu’est-ce que les médecins autrefois dignes de confiance espèrent voir se produire ?

Maintenant que les mêmes responsables de la santé et les hommes de main politiques ont imposé à la population des vaccins hautement expérimentaux, qui se sont avérés extrêmement dangereux pour la santé humaine et souvent mortels, comment les médecins du monde entier vont-ils répondre aux accusations de « meurtre par médicament » et de « viol médical » ?

Avouons-le : la fête est finie pour Big Pharma et tous leurs nombreux co-conspirateurs criminels qui ont empoisonné les citoyens américains pendant plusieurs décennies.

L’effondrement en chute libre de la confiance qui se produit actuellement ne fera que s’accélérer à mesure que de plus en plus de personnes mourront des injections répétées de vaccins Covid, ou deviendront mortellement malades des expositions au défilé annuel des prochaines grippes en raison de leur vulnérabilité accrue après avoir reçu les vaccins.

Il est devenu tout à fait clair que l’une des principales raisons de la poussée démesurée pour vacciner chaque personne sur la planète — SANS CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ — était de la rendre considérablement plus sensible à tous les agents infectieux communs qui circulent lors de chaque saison de grippe. Les victimes vaccinées seront également beaucoup plus vulnérables face aux nombreux autres micro-organismes pathogènes et microbiens virulents en raison de leur système immunitaire fortement compromis et/ou supprimé.

Bien entendu, tous ces développements intentionnels ont été soigneusement mis en œuvre par le  SYSTÈME DE LA BÊTE (SB).

Parce que le SB satanique s’est maintenant pleinement exposé, il n’a d’autre choix que d’aller à fond dans sa tentative de verrouiller l’ensemble de la civilisation planétaire. Car une fois que la boîte de Pandore a été ouverte, il est impossible de remettre les choses comme elles étaient. Ce qui veut dire que LA GRANDE ARNAQUE COVID était en réalité un énorme coup de poker aux conséquences considérables… pour l’élite au pouvoir.

Ce qui est maintenant clair, c’est que les criminels covidiens se sont mis à nu comme jamais auparavant dans l’histoire de l’humanité, et ils seront — finalement — traqués et sévèrement punis, à moins qu’ils ne dépeuplent la planète de tous les chercheurs de vérité.

Contrairement aux « attaques sous faux drapeau du 11 septembre », à la « guerre contre le terrorisme » et à d’autres crimes odieux contre l’humanité, le complot criminel hautement prémédité et organisé du Covid a été placé carrément dans l’arrière-cour de tout le monde. Chaque personne sur Terre a été profondément affectée par la pure malveillance démontrée par les pouvoirs en place tout au long de cette guerre de bioterrorisme en cours. Et cela seul change tout, car tout le monde, à des degrés divers, joue sa peau dans le jeu.

Qui sont au juste les individus et les organisations qui commettent ce plus grand « crime de l’ère » ?

Marque de la bête

Quelle plus grande preuve existe-t-il de l’existence d’un SYSTÈME DE LA BÊTE apparemment tout-puissant que la « Marque de la Bête ?

N’est-ce pas le but de l’Agenda de Super Vaccination Covid ? Pour s’assurer que chaque personne sur la planète soit dotée de la  « Marque de la Bête » laborieusement conçue par Bill Gates ?

Quoi de mieux que d’imposer un programme de vaccination obligatoire au COVID-19 à toute l’humanité ?

Bien que ce plan d’agression médicale par vaccination anti-Covid puisse sembler tiré par les cheveux, c’est exactement l’objet du plan.

Par conséquent, il est impératif que les États-Unis, informés et conscients, fassent tout ce qui est nécessaire pour empêcher l’approbation par la FDA des vaccins les plus dangereux et les plus mortels de l’histoire des États-Unis.

Conclusion

À la lumière de ces dures réalités, il est fort probable que les pouvoirs en place souffriront bientôt à la fois de la fatigue psychologique et de l’épuisement des gens suite à la dissimulation.

Pensez simplement à la main-d’œuvre, au temps et à l’énergie qu’il faut à la fois pour perpétuer cette fausse pandémie de COVID-19, puis pour la couvrir, puis pour administrer un programme de super vaccination anti-Covid extrêmement nocif et mortel  dans le monde entier.

Il va sans dire qu’une opération bioterroriste de cette taille et de cette ampleur est vouée à entraîner BEAUCOUP d’erreurs, beaucoup d’erreurs graves. Voir :  CE MÉMO SECRET EST-IL UN SUPER COUP MONTÉ PAR LES CRIMINELS BRITANNIQUES DE LA COVIDIE ?

La simple surveillance de tous les lanceurs d’alerte devient également une opération majeure. Le niveau d’espionnage et de surveillance 24h/24 et 7j/7 est à lui seul un travail colossal qui doit être entrepris sans failles. De plus, tout ce qu’il faut, c’est un dénonciateur courageux pour faire exploser — pour de bon — tout le stratagème criminel covidien.

Chaque entité institutionnelle au sein du SYSTÈME DE LA BÊTE a connu un effondrement complet de la confiance dans le monde entier depuis que COVID-19 a été nommé pour la première fois.

En fait, les systèmes politiques, médicaux, scientifiques, juridiques, universitaires et autres systèmes influents ont perdu à jamais la confiance du peuple. [Ndlr : tout au plus de la partie du peuple qui a gobé l’histoire officielle]. De même, les gouvernements à tous les niveaux ont subi de manière irréversible la perte de confiance des gouvernés, qui est nécessaire pour continuer cette ruse covidienne. Finalement, le public forcera ces fonctionnaires criminels et corrompus à quitter leurs fonctions. Et, de nombreux criminels covidiens seront probablement poursuivis dans toute la rigueur de la loi.

Ce n’est qu’alors que Nous, le Peuple, nous reposerons tranquillement.

Note spéciale :  ce que ces super-criminels covidiens ont fait jusqu’à présent est si outrageusement barbare qu’ils se sont créés un dilemme « ça passe ou ça casse ». En d’autres termes, s’ils ne verrouillent pas la planète comme jamais auparavant, ils subiront tous les conséquences les plus graves. Être pendu en direct sur Internet serait pour eux s’en tirer à bon compte. Par conséquent, à l’avenir, les criminels covidiens feront tout ce qui est nécessaire pour éviter leur chute respective et certaines punitions. Cela signifie que la situation ne fera que s’intensifier pendant le mandat du POTUS [Ndlr : « Président des États-Unis »] Imposteur Joe Biden, et que les contrôleurs covidiens deviendront beaucoup plus effrontés et imprudents dans leurs efforts pour dépouiller les Américains de leurs droits et libertés constitutionnels.

Source : OPERATION COVID-19 EXPOSES THE BEAST SYSTEM

Source : State of the Nation

Traduction automatique [Révisée par Nouveau Monde]


NOTE de H. Genséric

[1] Beaucoup de gens soulignent des similitudes entre les caractéristiques des vaccins et la marque de la bête du livre de l’Apocalypse.

La marque de la bête est décrite dans le Nouveau Testament, plus précisément dans l’Apocalypse, chapitre 13. Dans ce dernier livre de la Bible, l’auteur, connu sous le nom de Jean l’Ancien, décrit les visions qu’il voit à la fin du monde.

Deux bêtes surgissent de la mer, et la seconde bête « fait que, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, soient marqués sur la main droite ou sur le front, de sorte que personne ne puisse acheter ou vendre à moins qu’il a la marque. »

On en arrive aujourd’hui à la situation catastrophique suivante : personne ne peut acheter ou vendre, aller au travail ou à l’école, ou voyager, etc. sans posséder la marque de la bête, c’est-à-dire le « pass vaccinal » et autres documents de marquage et puces électroniques intégrées au corps humain au moyen des soi-disant vaccins.

Voici ce qu’a dit Bill Gates dans un article sur le sujet dans Yahoo Finance :

« La solution ultime, la seule chose qui permettrait un retour complet à la vie normale,  de pouvoir s’asseoir sans crainte dans un stade plein de gens, serait de créer un vaccin. Et cela pas seulement dans notre pays mais dans le monde entier afin de créer une vaste immunité et que « cette chose » quelle qu’elle soit ne se propage pas en grand nombre »

Vouloir un vaccin pour lutter contre le Covid 19 n’est pas suspicieux en soi. C’est ce que Bill Gates a dit ensuite qui a soulevé des soupçons.
En effet, dans un autre article : Bill Gates veut pucer les gens avec une micro chip pour « lutter contre des maladies » comme le Coronavirus (Kurios.com). Durant une session de Reddit, Gates a parlé de « certificats numériques » révélant qui a guéri ou qui a été vacciné contre le Covid 19. Ceci a soulevé des inquiétudes chez de nombreuses personnes qui craignent que le milliardaire américain, promoteur de vaccins tueurs en Afrique, veuille implanter des puces à tout le monde.

Et, en effet, Gates a suggéré une telle possibilité :

« Cependant, le sujet de controverse concerne les certificats numériques. On aura donc un registre des gens testés, vaccinés »

A quoi fait-il référence ?
Peut-être à son « quantum dot tatoo » ? Il s’agit d’un tatouage invisible accompagnant le vaccin : il est fait de points quantiques : de très petits cristaux semi-conducteurs qui reflètent la lumière et qui brillent en présence de lumière infrarouge.

Ces tatouages incluent l’application de micro aiguilles résorbables contenant le vaccin et des capsules microscopiques contenant des points fluorescents à base de cuivre. Ces capsules étant biocompatibles. (Jamesfitzer.org)

Ces tatouages ont pour but de contenir le carnet de santé de chaque personne. C’est la fondation Bill et Melinda Gates qui a poussé à trouver une solution pour identifier les gens vaccinés et qui a financé cette recherche publiée dans le « Journal of Translational  Medecine »

Ces tatouages sont en cours de développement par les chercheurs du MIT (Institut de technologie de Massachussetts) et Rice University. 

Ceux-ci ont créé une encre qui peut être incorporée dans la peau avec le vaccin et qui est lisible uniquement par un smartphone spécial (camera et filtre spécialisés)

Ce système de dépistage dans la peau destiné à tous les habitants du monde ressemble à la fameuse « marque de la bête » .

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VOIR AUSSI :
Sur la route du servage. Neuralink Brain Chip mettra fin au langage dans 5 à 10 ans
Assassinats par vaccins : le plus grand scandale du 21e siècle
En 2009, Projet Dépopulation : Bill Gates rassemble les « meilleurs » milliardaires du monde
– De Platon à Packard : de la gestion du troupeau humain par les élites et le bio-contrôle. Par N. BONNAL
– Les vaccins covidiques intègrent une micropuce de la DARPA  


[Voir aussi :
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
Les camps FEMA, les sans domicile fixe et la puce RFID
Si, Bill Gates a bien dit que nous aurions besoin de passeports numériques pour les vaccins
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?]




Pr Perronne : « Les pays où l’épidémie est repartie avec des morts ont vacciné massivement ! »

[Source : lemediaen442.fr]

Dans cette vidéo, lors d’un rassemblement qui s’est déroulé samedi 3 juillet 2021, le Pr Christian Perronne explique que l’épidémie repart de plus belle après les vaccinations massives.

« Pendant plusieurs années j’ai été vice-président du groupe d’experts à l’OMS pour le vaccin en Europe. Là, aujourd’hui, on n’a pas affaire à des vaccins, mais à des produits expérimentaux qui sont potentiellement dangereux, puisqu’on n’a pas encore tous les résultats sur les effets secondaires. Et de toute façon, ces produits qu’on injecte aujourd’hui ne protègent pas. Si vous regardez le dictionnaire Vidal à la page « vaccin – Moderna, Pfizer contre le Covid », c’est écrit en grand, c’est écrit en gras que ce produit ne protège pas contre les formes graves. Et à côté de ça, on a des journalistes, les experts qui ont beaucoup de conflits d’intérêts à la télévision, qui disent que ce vaccin protège contre les formes graves. Alors je vous explique pourquoi. Roselyne Bachelot a été ministre de la Santé […], elle s’est fait vacciner et dans les jours qui ont suivi elle a fait une forme grave du Covid. Je connais plein de gens qui ont fait des formes graves après deux vaccins. Si vous regardez, il y a des pays dans le monde où l’épidémie s’était très bien passée, a été parfaitement gérée. Il y avait peu de cas, peu de morts. Au Vietnam, il avait quelques dizaines de morts en un an et demi, tout allait bien, tranquille. Et j’ai un ami vietnamien qui m’a envoyé un message : “Nos dirigeants qui reviennent du Forum de Davos veulent imposer la vaccination à tout le peuple vietnamien.” Ils ont commencé et l’épidémie est repartie, il y a des morts. Tous les pays où l’épidémie est repartie avec des morts, ce sont les pays qui ont vacciné massivement. Regardez Israël, la Grande-Bretagne, le Brésil, l’Inde… »

https://twitter.com/LEGENERAL_OFF/status/1411433386091106308

Voir la vidéo entière avec Richard Boutry, Christian Perronne, Martine Wonner, Me Carlo Alberto Brusa… :






Singapour veut être le premier pays à cesser de compter les cas quotidiens de COVID-19 et à les traiter comme une grippe normale

[Source : exoportail.com]

Singapour envisage de devenir le premier pays à ne plus compter les cas de COVID-19 sur une base quotidienne et à les traiter comme une grippe saisonnière normale.

Le pays d’Asie du Sud-Est n’a enregistré que 36 décès depuis le début de la pandémie, et les autorités veulent maintenant abandonner les mesures telles que le comptage quotidien des infections.

Trois membres éminents du groupe de travail Covid-19 de Singapour ont élaboré un plan visant à mettre fin à 18 mois de restrictions sévères afin de rétablir la liberté de déplacement et de rassemblement public en quarantaine.

L’espoir est de laisser les gens «reprendre le cours de leur vie» en abandonnant les règles strictes et en contrôlant le virus par d’autres moyens.

« Au lieu de surveiller chaque jour les chiffres de l’infection par le virus Covid-19, nous nous concentrerons sur les résultats », ont écrit les ministres du commerce, des finances et de la santé dans une tribune commune publiée dans le Straits Times.

« Combien tombent très malades, combien dans l’unité de soins intensifs, combien doivent être intubés pour l’oxygène, et ainsi de suite. C’est comme la façon dont nous surveillons maintenant la grippe. »

« Nous ne pouvons pas l’éradiquer, mais nous pouvons transformer la pandémie en quelque chose de beaucoup moins menaçant, comme la grippe, la maladie des mains, des pieds et de la bouche, ou la varicelle, et reprendre le cours de nos vies. »

Tous les détails de la feuille de route n’ont pas encore été révélés, mais les ministres ont suggéré des mesures telles que des alcootests, des traitements plus thérapeutiques et une plus grande responsabilité personnelle.

La proposition de Singapour pourrait être un signe précoce du monde qui commence à vivre avec le Covid après plus d’un an de restrictions dans le monde entier.

Entre-temps, un groupe de médecins a adressé une «lettre ouverte urgente» au comité d’experts de Singapour sur la vaccination Covid-19, demandant l’arrêt de la vaccination des jeunes à Singapour jusqu’à ce que les CDC américains expliquent pourquoi un adolescent ayant reçu le vaccin est décédé.

Sources : 
https://greatgameindia.com/singapore-covid-19-normal-flu/ 
et https://www.straitstimes.com/opinion/living-normally-with-covid-19

Traduction : ExoPortail 




« L’espérance de vie de 2020 est exactement la même que celle de 2015 » Pierre, Décoder l’éco

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Un Entretien essentiel atypique : Pierre, de Décoder l’éco, une chaîne YouTube dans laquelle il partage ses analyses didactiques et parfois icononclastes, est un analyste statisticien qui vient nous présenter ses résultats sur les indicateurs statistiques des causes de mortalité des années 2020-2021.

Interrogé par Xavier Azalbert, Pierre nous propose une analyse détaillée des décès en France et en Europe, s’attachant tout au long de l’émission à remettre tous les chiffres en perspective entre l’ensemble des décès toutes causes confondues et les décès imputés au covid, pour savoir si nous sommes dans la norme habituelle.



« Les vraies différences de mortalités ne sont pas entre années mais entre pays. »

Pour savoir si un événement a un impact sur l’ensemble de la mortalité, il faut prendre en compte la taille de la population, son évolution et l’âge des gens.

Tout au long de l’émission, il reprend les chiffres qu’il analyse avec précision, invitant les spectateurs à sortir de la peur quotidienne pour exercer un œil critique et prendre du recul sur cette crise.




L’un des projets de loi de censure d’Internet au Canada a échoué

[Source : anguillesousroche.com]

Une belle victoire, mais ce n’est pas encore fini.

Le projet de loi controversé C-10, qui aurait fortement restreint la liberté d’expression en ligne des Canadiens, n’a pas été adopté par le Sénat avant la pause estivale.

« Nous l’avons fait ! Nous avons gagné une bataille pour la liberté d’expression ! » a déclaré le député Pierre Poilievre, du Parti conservateur du Canada (PC), dans une vidéo publiée sur Twitter.

Il a ajouté : 

« Vous vous souvenez du projet de loi C-10, le projet de loi sur la censure qui permettrait aux gouvernements de contrôler ce que vous voyez et dites en ligne ? Eh bien, le Sénat a fermé ses portes pour l’été sans adopter ce projet de loi. »

« En d’autres termes, il n’a pas force de loi aujourd’hui, et si Trudeau déclenche les élections anticipées dont il a parlé, le projet de loi mourra. Même s’il gagne cette élection, il devra présenter à nouveau le projet de loi dès la première étape et tout recommencer.

Et s’il perd et que les conservateurs prennent le pouvoir, nous nous assurerons que ce projet de loi ne verra plus jamais la lumière du jour.

Les conservateurs ont utilisé tous les outils procéduraux de leur boîte à outils pour retarder et bloquer l’avancement de ce terrible projet de loi. Nous l’avons empêché de passer en force à la Chambre des communes, en le retardant probablement de trois ou quatre semaines cruciales, ce qui a fait tourner le chrono et empêché le Sénat, même s’il a une majorité Trudeau, de l’adopter. »

Selon le ministre du Patrimoine Steven Guilbeault, qui faisait la promotion du projet de loi, celui-ci a pour but de « réglementer Internet et les médias sociaux de la même manière que la radiodiffusion nationale ».

Mais les critiques ont heureusement vu dans le projet de loi un moyen pour le gouvernement de restreindre le discours en ligne des Canadiens.

Poilievre, cependant, a averti que la lutte contre les tentatives de Trudeau de censurer Internet n’est pas terminée.

« Cela dit, ce n’est que le début de votre combat. Si vos efforts pour signer des pétitions, contacter des politiciens et élever votre voix ont porté leurs fruits cette fois-ci, vous devrez recommencer », a-t-il expliqué. « Il ne fait aucun doute que la gauche autoritaire, les médias libéraux et le petit groupe de libéraux de Justin Trudeau, avides de pouvoir, tenteront une fois de plus de vous priver de votre liberté d’expression, en ligne et par d’autres moyens. »

Il a appelé les gens à être prêts pour le prochain combat :

« Faisons en sorte d’être prêts la prochaine fois que Trudeau et son équipe s’en prendront à notre liberté d’expression. Mais pour l’instant, prenons un moment pour célébrer. Nous pouvons avoir des victoires si nous défendons nos principes et faisons ce qui est juste, nous pouvons gagner. »

Lire aussi : Le Canada dévoile un projet de loi orwellien de « pré-crime » sur les discours haineux – « Si vous le pensez, nous vous arrêterons »

Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche