L’effondrement de l’Occident, printemps/été 2023

[Source : unz.com]

Par Hans Vogel

La question de savoir si l’Occident est en chute libre ne relève plus de la spéculation. C’est clairement le cas, et c’est clairement intentionnel. Le « Great Covid Show » [Grand spectacle de la Covid], organisé par les suspects habituels, semble avoir créé les conditions propices à la « Grande Réinitialisation ». Il y a eu quelques accrocs, car une opération aussi vaste et globale que le « Great Covid Show » dépassait les capacités techniques et intellectuelles des néoconservateurs Américains et de leurs acolytes étrangers, y compris le FÉM [Forum Économique Mondial], l’OMS et l’UE.

L’opération militaire spéciale russe en Ukraine a compliqué les choses. Comme dans une partie d’échecs, la Russie oblige les États-Unis et leurs vassaux à faire des mouvements qu’ils n’avaient pas prévus ou qu’ils ne comptaient faire que plus tard dans la partie. Ces mouvements ne sont certainement pas à leur avantage. C’est pourquoi les gouvernements prennent des décisions aussi radicales dans tant de domaines différents, et ce simultanément.

Ils avaient prévu de réorganiser radicalement l’agriculture, en suivant l’exemple donné par les bolcheviks après 1929, lorsqu’ils ont commencé à expulser et à exterminer les koulaks. Au lieu de la collectivisation, les bolcheviks d’aujourd’hui veulent que des entreprises géantes dominent l’agriculture. Mais l’essence de ces projets est la même : les petits agriculteurs et les agriculteurs intermédiaires doivent être délogés, soit volontairement, soit par la force brute. Apparemment un peu plus tôt que ne le prévoyait le scénario original, le gouvernement néerlandais a entamé une guerre contre les agriculteurs qui, comme dans l’ex-URSS, risque d’entraîner une pénurie alimentaire généralisée, voire une famine.

De la même manière, avec une Allemagne obéissante en tête de peloton, les États clients des États-Unis en Europe commettent actuellement un suicide économique en coupant leur industrie de sources fiables d’énergie abordable, obligeant les producteurs et le public à compter sur l’énergie éolienne et solaire. Tout cela se fait au nom de ce que l’on appelle l’agenda vert, afin de réduire les émissions de carbone et d’azote. Dans le même temps, les partisans du changement climatique anthropique encouragent la destruction de l’environnement à une échelle véritablement gigantesque partout où l’on trouve du lithium et d’autres minerais nécessaires à la fabrication de batteries électriques. Comme tous les éléments du programme de la mafia de la Grande Réinitialisation, le discours officiel sur le changement climatique repose sur les contradictions les plus flagrantes.

Les contradictions les plus flagrantes se retrouvent dans le fonctionnement quotidien des gouvernements, en particulier dans l’UE. Comme le gouvernement des Pays-Bas, la plupart d’entre eux prennent régulièrement des décisions qui sont en violation claire ou implicite de la constitution et d’autres législations.

Malgré les innombrables contradictions au niveau de la politique elle-même, du discours politique officiel et des contradictions intrinsèques qui sous-tendent la plupart des décisions politiques, c’est un miracle que l’empire américain parvienne encore à rester en vie. Cela explique peut-être aussi pourquoi l’IA est actuellement déployée : dans l’espoir qu’elle contribuera à maintenir la puissance américaine. Cependant, on peut douter que l’IA se révèle capable de fonctionner dans un environnement où la confusion et la contradiction juridiques, linguistiques et lexicographiques sont devenues la norme.

Les hommes politiques, les médias publics et privés de l’Occident se réfèrent consciencieusement à « notre démocratie », aux « valeurs occidentales » (censées défendre les droits de l’homme), à la « transparence » et à « l’État de droit », tout en faisant et en préconisant tout ce qui est diamétralement opposé à ces valeurs. Après tout, l’IA, comme le système électronique qu’elle est, fonctionne sur le principe que « 0 » est « 0 » et que « 1 » est « 1 ». Lorsque « 0 » peut également signifier « 1 » et que « 1 » est parfois « 0 », l’effondrement est inévitable. Comment savoir si la « démocratie » signifie « le règne de la majorité populaire » ou son contraire, le règne d’une clique de criminels corrompus, comme c’est le cas dans les « démocraties » modernes ? En outre, étant donné la détermination fanatique avec laquelle les sources d’énergie fiables sont abandonnées partout en Occident, précisément au moment où tout ce qui permet la vie dépend de l’électronique, l’ensemble du système ressemble de plus en plus à une maison construite sur des sables mouvants.

[Note de Joseph : comme le rappelle le documentaire Le Grand Réveil, la démocratie est une forme de gouvernement qui s’impose toujours au détriment d’une partie de la population (au moins les 49 % minoritaires) dont la liberté n’est alors pas le moins du monde respectée. Et dans la pratique des États, seule une partie de la population a le droit de vote, ce qui fait qu’en réalité la proportion de liberté non respectée dépasse les deux tiers de la population. Si l’on ajoute que le vote est souvent conditionné aux campagnes de « communication » (lire : « propagande ») et aux sondages relativement manipulés et orientés, ceci sous la houlette des financeurs, alors les démocraties se révèlent le pouvoir facile d’une petite minorité financièrement riche et influante au détriment de la large majorité bien plus pauvre. En résumé, la démocratie est la forme de gouvernement favorite des usuriers et des banquiers.]

Où que l’on regarde en Europe, l’effondrement est à portée de main. Aujourd’hui, rouler sur les célèbres autoroutes allemandes est un véritable calvaire. Il fut un temps où l’on pouvait admirer des paysages splendides et parfois spectaculaires tout en roulant tranquillement sur la surface lisse d’autoroutes impeccablement entretenues. Avec une longueur totale de plus de 13 000 kilomètres, l’Allemagne possède le quatrième réseau au monde, précédé seulement par l’Espagne, les États-Unis et la Chine. Il y a 50 millions de voitures en Allemagne, mais le réseau est aussi intensivement utilisé par les camionneurs étrangers qui livrent et ramassent des marchandises et, en été et en hiver, par des millions d’étrangers qui se rendent à leurs destinations de vacances. Le réseau Autobahn est utilisé de manière très intensive, mais son entretien a longtemps été négligé et, par conséquent, de vastes tronçons d’autoroute doivent être rétrécis pour permettre la réparation des routes et des ponts. Cela provoque des embouteillages longs et fastidieux dans tout le pays, de tôt le matin à tard le soir. Si l’on ajoute à cela le fait que de nombreux conducteurs sont originaires de pays non occidentaux, où la proverbiale discipline allemande et le respect des règles et règlements ne sont pas enseignés dès le plus jeune âge, il est clair que conduire sur l’Autobahn consomme une quantité démesurée de temps et d’énergie. En fait, le système autoroutier allemand semble très proche du point de rupture.

En tirant cette conclusion, il m’est venu à l’esprit que les autoroutes fédérales allemandes sont un symbole de ce qui se passe dans toute l’Europe : les piliers mêmes qui soutiennent l’État et la société sont en train de s’effondrer. Bien sûr, pour ceux qui ont des yeux pour voir, l’effondrement a déjà eu lieu il y a un certain temps, peut-être deux décennies, si ce n’est plus tôt. À l’instar des trois tours du WTC qui se sont effondrées le 11 septembre, l’effondrement commence de manière hésitante, puis s’accélère. Comme dans le cas des tours du WTC, la destruction généralisée qui a lieu aujourd’hui en Occident est planifiée. Cependant, dans un certain nombre de domaines, l’effondrement avait déjà commencé bien avant sous la forme de la corruption. Les personnes corrompues se déplaçant d’un domaine à l’autre, la corruption se propage encore plus rapidement et finit par devenir systémique.

Par exemple, la corruption académique peut conduire au plagiat et à la manipulation des données de recherche. Mme Ursula von der Leyen, docteur en médecine, présidente non élue de l’Union européenne des sciences sociales, n’a jamais pu se débarrasser de l’odeur de fraude académique (commise lors de la rédaction de sa thèse) qui l’entoure. Il n’est donc pas surprenant d’apprendre qu’elle a conclu des accords secrets avec la société Pfizer pour la fourniture de vaccins non testés et qu’elle les a imposés à un public sans méfiance lors du grand spectacle de la Covid. Corrompue un jour, corrompue toujours, pourrait-on dire.

Alors que la fraude détruit de plus en plus la valeur de la recherche universitaire, l’enseignement universitaire lui-même est également attaqué. Le ministre néerlandais de l’Éducation a l’intention de réduire de moitié le nombre de crédits requis pour les étudiants de première année. Cela signifie que davantage d’étudiants seront autorisés à rester pour devenir des étudiants de deuxième année, avec le résultat final prévisible que les diplômes universitaires se dévalueront encore plus.

La corruption dans le domaine de la médecine est devenue évidente au cours du « Great Covid Show », à tel point qu’aujourd’hui, aucun médecin n’est digne de confiance. Pour dire les choses simplement, les médecins de famille et les spécialistes sont essentiellement des dealers de drogue [NDT En anglais, le mot « drug » signifie à la fois drogue (ou stupéfiant) et médicament] au service de Big Pharma. Il existe encore quelques médecins honnêtes et décents, mais ils sont difficiles à trouver.

À l’instar de la recherche universitaire, de l’éducation, de la politique et de la médecine, le système judiciaire est gangrené par la corruption et en chute libre. Prenons par exemple le cas récent du professeur Sucharit Bhakdi1, accusé d’antisémitisme sur la base des preuves les plus minces que l’on puisse imaginer. Bien que ce critique éloquent et influent des politiques covid décrétées par le gouvernement allemand ait été acquitté, le procureur général a néanmoins décidé de faire appel et de continuer à essayer de mettre le docteur Bhakdi derrière les barreaux à n’importe quel prix. Qu’un procureur procède de la sorte, en niant totalement le fait qu’il n’existe aucune preuve à l’appui de l’affaire, est plus qu’une parodie de justice : c’est transformer la justice en une plaisanterie stupide. Il est d’ailleurs inquiétant de constater que personne ne sourcille, ce qui montre bien à quel point le système judiciaire en Allemagne (et d’ailleurs dans le reste de l’Europe) a été corrompu.

Pourtant, aux yeux de l’État, exprimer des doutes ou des inquiétudes sur de telles questions est un péché. Tout récemment, le service d’espionnage néerlandais AIVD a publié un rapport indiquant qu’environ 100 000 citoyens néerlandais se méfient de l’État et du gouvernement, ce qui ferait d’eux des « théoriciens de la conspiration ». De plus en plus, et presque ouvertement, il est suggéré que ces personnes doivent être soumises à un traitement psychiatrique. Toute personne saine d’esprit ne ferait pas plus confiance au gouvernement que le gouvernement ne lui fait confiance, et il ne fait aucun doute que de nombreuses personnes sont fidèles à ce principe, mais apparemment le gouvernement des Pays-Bas, qui est, bien entendu, un pays « démocratique », n’est pas de cet avis.

Il y a plus de raisons qu’il n’en faut de se méfier du gouvernement, non seulement des Pays-Bas, mais de toutes les nations de l’UE. Le gouvernement allemand, dominé par les Verts, est devenu le chien de poche belliqueux et autodestructeur [aux ordres] des États-Unis, déterminé à chasser l’industrie et à humilier, appauvrir et décimer les Allemands de souche. Le gouvernement italien, dirigé par Giorgia Meloni, élue en raison de ses promesses solennelles de mettre fin à l’immigration illégale d’Africains noirs et de musulmans grossièrement non qualifiés, non éduqués et hostiles, encourage désormais activement ces personnes à venir en Italie. Le président français Macron, qui ressemble et agit comme un adolescent homosexuel qui a épousé sa mère, n’a cessé de mener des politiques visant à détruire la classe moyenne française. Le gouvernement néerlandais a présidé à l’appauvrissement de la classe moyenne, au point qu’aujourd’hui, 400 000 écoliers vivent sous le seuil de pauvreté, et dont les parents sont incapables de payer le petit-déjeuner et de nouveaux vêtements.

Le gouvernement allemand envisage sérieusement d’interdire le parti conservateur AfD. Cela n’a rien de surprenant dans un pays qui a une vénérable tradition d’interdiction des partis jugés indésirables dans son système démocratique. Pendant de nombreuses années, le parti communiste a été interdit en Allemagne de l’Ouest. Aux Pays-Bas, le parti conservateur FvD s’attend à une décision d’interdiction dans un avenir proche. Tout cela s’inscrit dans le cadre de l’Ukraine, qui défend les « valeurs occidentales » contre les méchants Russes : Zelensky a tout simplement interdit onze partis. Vive la démocratie !

Il n’est pas surprenant que la colère de la population s’accumule depuis un certain temps, et qu’elle augmente à chaque fois que les gouvernements publient un nouveau décret limitant davantage les libertés ou augmentant les prix.

La France ayant toujours été une nation où la classe moyenne est forte et la classe ouvrière militante, et où les gens sont prêts à descendre dans la rue pour exprimer leur indignation et leur colère, il n’est guère surprenant qu’au cours des dernières années, elle ait été le théâtre de manifestations massives du mouvement des Gilets Jaunes et de personnes protestant contre des réductions drastiques des retraites. Après avoir vu comment ces manifestations pacifiques ont été brutalement et impitoyablement réprimées par la police et les escadrons de tueurs à gages, les Nord-Africains et les Africains noirs des banlieues ont adopté une approche différente. Étant donné qu’au moins 15 % des 65 millions d’habitants de la France métropolitaine sont maghrébins (marocains, algériens, tunisiens) ou noirs, et que la plupart d’entre eux vivent dans les grandes villes, Paris, Lyon, Marseille, Lille, Toulouse, Bordeaux, l’heure est grave : Paris, Lyon, Marseille, Lille, Toulouse, Bordeaux, maintenant qu’ils entrent en scène, les choses semblent bien sérieuses.

La vague de guerre urbaine en France signifie que l’effondrement est entré dans une nouvelle phase, celle d’une violence anti-étatique organisée et coordonnée avec des connotations raciales.

Les musulmans d’Afrique du Nord et les Noirs d’Afrique participent à ce qui ressemble à une guerre civile contre des cibles étatiques, culturelles et commerciales et contre des Français blancs. Par conséquent, l’éruption actuelle de violence n’a pas seulement l’étoffe d’une guerre civile, mais plutôt d’une guerre raciale.

Quel que soit l’élément déclencheur de la vague de violence actuelle, celle-ci doit également être considérée comme une conséquence logique de décennies de politiques françaises décrétées sur ordre de la Commission européenne non élue.

Ce qui s’est passé en France pourrait facilement se produire demain dans d’autres pays de l’UE, pour la simple raison que les conditions dans de nombreux endroits sont similaires à celles de la France. De nombreux États membres de l’UE, notamment l’Allemagne, la Suède, les Pays-Bas et la Belgique, comptent également des minorités musulmanes de 10 à 15 % [de la population générale]. Comme de nombreux quartiers et banlieues populaires en France, certaines parties des villes suédoises de Stockholm, Göteborg et Malmö sont depuis longtemps inaccessibles à la police. Il en va de même pour un certain nombre de villes allemandes, notamment Berlin et la région de la Ruhr. À Bruxelles, même sous le nez des commissaires du Quatrième Reich, des quartiers entiers de cette ville sont des zones interdites.

D’aucuns ont suggéré que les événements survenus en France s’inscrivaient dans le cadre de la « grande remise à zéro » prônée par le Forum Économique Mondial (FÉM).

En fait, cette « grande remise à zéro » n’est qu’un autre terme pour beaucoup de destruction, de maladie, de mort, de guerre, de misère et de peur. Il semblerait que les quatre cavaliers de l’Apocalypse aient envoyé leur avant-garde préparer le terrain et qu’ils ne tarderont pas à se manifester. À cet égard, il convient de noter que le slogan « reconstruire en mieux » [NDT « Bild Back Better » — en abrégé BBB, en anglais], si important et si omniprésent il y a encore quelques années, a complètement disparu de la propagande d’État partout.

Pour « reconstruire en mieux », il faut d’abord tout casser. De toute évidence, ce n’est pas ce que les dirigeants de tous les États « démocratiques » de l’Occident ont raconté à leurs « électeurs ».

Mais ne vous inquiétez pas, l’« Occident » est composé de sociétés « fondées sur des valeurs » et soumises à l’« État de droit », où l’« équité », la « diversité » et les « droits de l’homme » sont défendus, où les « émissions de carbone et d’azote » sont limitées et où les « fake news » et la « désinformation » sont interdites.





Autoritarisme climatique : le Forum Économique Mondial veut diminuer le nombre de véhicules de tourisme de 75 % d’ici à 2050

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Tyler Durden − Le 18 juin 2023 − Source Zero Hedge

Le prétexte du changement climatique tient lieu de justification à toutes sortes de changements sociaux, politiques et économiques, voués à réduire fortement la liberté et la survie financière du terrien moyen. Comme le monde a pu le constater au moment de la pandémie de Covid, les institutions globalistes s’acoquinent avec les gouvernements et les grandes entreprises pour faire monter la sauce sur des menaces imaginaires et inspirer une hystérie publique, dès lors que ces acteurs estiment pouvoir utiliser la peur afin de supprimer nos droits individuels. La mode des « émissions de gaz à effet de serre » ne fait pas exception à cette règle.

L’écrasante majorité des politiques climatiques et de régulation du CO2 semblent viser l’Occident, et il s’agit de l’une des raisons pour lesquelles nous savons que ces affirmations sont fausses. La Chine cumule à elle seule environ 32 % des émissions mondiales de CO2, alors que les États-Unis n’en produisent que 14 % et l’UE environ 8 %. Mais les think tanks [groupes de réflexion] comme le Forum Économique Mondial (FEM), ainsi que les repères de globalistes, comme l’ONU, se concentrent absolument sur l’Europe, cependant que la Chine agit comme elle l’entend.

Pourquoi ? Peut-être parce que la population chinoise est déjà fermement sous contrôle et qu’il n’est pas nécessaire d’y implanter des craintes au sujet du climat pour la soumettre ? En tous cas, le sujet des émissions de gaz à effet de serre est douteux : il n’existe absolument aucune preuve d’une relation de cause à effet entre les émissions de gaz carbonique et le réchauffement global. Les éléments de corrélation entre les deux phénomènes sont d’ailleurs très suspects. Et si vous demandez à un alarmiste climatique de vous exposer la preuve de la « crise climatique » qui le fait hurler, attendez-vous à ce qu’il vous réponde en évoquant des événements météorologiques normaux (où à des feux de forêt), qui sont des phénomènes courants dans les archives de l’humanité.

On a ces derniers temps beaucoup entendu parler de tentatives de diminuer ou d’interdire les chaudières à gaz aux États-Unis, de ralentir la production agricole en Europe, et de réduire la consommation de viandes au sein du public, mais les limitations les plus répandues en matière de dioxyde de carbone vont s’appliquer aux voitures et aux transports publics. Le FEM a récemment publié un schéma de réduction du nombre de véhicules personnels de 75 % d’ici à l’année 2050.

Le livre blanc, paru sous le titre « Évaluation de la transition vers une mobilité urbaine durable », établit diverses pratiques visant à faire adopter par la majorité de la population humaine des transports en commun au sein de « villes intelligentes » compactes. Le FEM suggère également que plus de 70 % de la population mondiale doive vivre dans ces villes intelligentes d’ici à l’année 2050 — actuellement, 45 % de la population mondiale vit dans des régions rurales, ce qui exige que 15 % de la population soit contrainte à migrer dans des villes au cours des deux décennies à venir. Et ce n’est pas tout : il va falloir que les villes moyennes et les petites agglomérations s’agrègent en des réseaux homogènes. En d’autres termes, en mégalopoles.

L’agenda des transports du FEM exige que sur les 2 milliards de propriétaires de véhicules personnels, 1,5 milliard de personnes perdent l’option d’utiliser un moyen de transport personnel. Cela ne laisserait dans le monde que 500 millions de personnes disposant du « privilège » de posséder leur véhicule.

N’oublions pas non plus que l’ONU veut des émissions de gaz carbonique à l’équilibre pour 2050, ce qui signifie qu’aucun véhicule à énergie fossile n’existe plus dans 25 ans.

Le document émis par le FEM est inondé de mots à la mode ineptes, couvrant la rhétorique de « l’équité et l’inclusion » ainsi que d’« objectifs de développement durable » et d’une terminologie de « capitalisme par les parties prenantes. »

En résumé, la réduction des transports est l’extension d’un machin appelé « Cadre de gouvernance de la mobilité partagée, électrique et automatisée », et de projets de villes à zéro émission. En retirant leur voiture aux populations, on va contraindre les gens à des zones de plus en plus petites, au sein desquelles les transports de masse sont disponibles. Ces régions de population extrêmement concentrée seront reliées par des réseaux numériques et supervisées par des IA, et feront l’objet de mesures de surveillance sans précédent, et les gouvernements seront en mesure de centraliser et d’édicter les mouvements publics, les consommations d’énergie, les accès à la nourriture et même la manière de se comporter dans l’espace public.

Et tout ceci est vendu comme un compromis utopique rendant la vie plus simple et plus sécuritaire, alors qu’il s’agit dans les faits de la fin de la liberté que nous connaissons. La Chine tient lieu de pays béta-testeur pour ces mesures, qui dispose des plus grandes villes intelligentes et des plus vastes réseaux de surveillance au monde.

Nous savons que l’objectif derrière la déconstruction du transport personnel est de rassembler les gens comme du bétail au sein de villes de plus en plus compactes et oppressives, mais comment réaliser une réduction du nombre de véhicules à cette échelle ?

[Voir aussi :
Comment les Villes Intelligentes vont enfermer l’humanité dans des camps de concentration à ciel ouvert]

Cela va passer par une suite de régulations sur le carbone et par une montée des prix. Les taxes sur le carbone vont être appliquées afin de rendre intenables l’achat et la possession d’un véhicule à énergie fossile, et l’inflation des prix des véhicules électriques va faire en sorte que seules les classes les plus aisées pourront s’en offrir. Ainsi, l’establishment pourra affirmer « ne jamais avoir interdit les voitures », mais aura créé les conditions économiques qui vont contraindre la plus grande partie de la population à abandonner son véhicule personnel.

En examinant les projets de zéro-émissions comme une entité pleine et entière, et non plus comme des éléments épars, on comprend que ces projets n’ont rien à voir avec la préservation de l’environnement, de la planète, et tout à voir avec la centralisation du pouvoir.


Note du Saker Francophone

Cet article est parfaitement en ligne avec l’anticipation publiée en 2017 par Andrew Korybko sous le titre Géopolitique de l’ordre mondial techno-civilisationnel, à lire ou relire. On passe simplement de la phase stratégique à la mise en application.

Traduit par José Martí pour le Saker Francophone




CLIMAT : aux fous ! L’humanité aurait changé l’inclinaison de la terre à force de pomper l’eau souterraine !!

Par Gérard Le Maître

Ce n’est pas un poisson d’avril !! C’est même sur BFwc qu’ils l’ont dit !

Toutes les manipulations et tous les mensonges sont bons pour nous faire avaler le changement climatique !



L’humanité a déplacé l’axe de rotation de la Terre de près d’un mètre en deux décennies. En cause : le prélèvement des eaux souterraines et l’élévation du niveau de la mer.

Comment l’humanité a-t-elle réussi à décaler l’angle de rotation de la Terre ?

En pompant une grande quantité d’eau dans le sol, répondent les scientifiques.

Ils estiment que l’Homme a pompé 2 150 gigatonnes d’eau souterraine entre 1993 et 2010.
Alors que la masse de La Terre est en milliards de milliards de gigatonnes !!1

Ha bon ??? Mais voilà !! Ces pseudos « savants » ignorent sans doute que quoiqu’on fasse il y a toujours la même quantité d’eau sur terre globalement depuis sa création !!

La quantité d’eau est restée inchangée depuis trois milliards d’années, date de son apparition sur terre.

C’est l’organisation de la distribution et de la consommation d’eau douce qui pose problème, en période d’abondance ça passe mais en cas d’années plus sèches au cours des cycles plus ou moins chauds, plus ou moins secs qui évoluent depuis des millénaires c’est là que les difficultés apparaissent,
La quantité d’eau est restée inchangée depuis trois milliards d’années, date de son apparition sur terre. Dans l’atmosphère, l’eau est surtout présente à l’état de vapeur. Puis, sous l’effet du refroidissement, l’eau passe de l’état de vapeur à l’état liquide.

Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme : l’eau circule en circuit fermé :

Dans l’atmosphère, l’eau est surtout présente à l’état de vapeur. Puis, sous l’effet du refroidissement, l’eau passe de l’état de vapeur à l’état liquide. Cette eau liquide est concentrée dans les nuages puis dans les précipitations.

Une fois que l’eau a atteint le sol, son cycle va se dérouler de façon essentiellement liquide. Seule une toute petite partie de cette eau douce est en mouvement, la grande majorité étant stockée dans les nappes souterraines.

Une partie de l’eau douce est utilisée par les plantes, le reste est drainé vers les rivières ou dans les nappes. Les racines des plantes vont capter l’eau, qui s’évaporera ensuite par le système de transpiration des feuilles. Cette « transpiration » constitue de la vapeur d’eau.

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Répartition de l’eau sur Terre :

Sécheresses en France depuis 150 ans ce n’est pas nouveau, il y a eu pire….

Événements historiques remarquables :

On se souvient évidemment de 1976 qui nous a valu la création d’un » impôt sécheresse » Merci Giscard !

Et il y a eu entre autres plus importantes une sécheresse continue de 1942-1949

La France a connu de 1942 à 1949 une période sèche d’une gravité toute particulière, la plus importante de l’origine des observations pluviométrique à 1950. L’année septembre-août ou octobre-septembre 1948-1949 a été en particulier une des plus sèches que la France a connues, après celle de 1921 qui conserve le record connu de pénurie pour 12 mois consécutifs dans la majeure partie du pays (à la date d’établissement du rapport en 1950). Les cours d’eau ont connu de très nombreux assecs, notamment dans le Centre, le Sud-Ouest et l’Ouest où les débits moyens annuels sont tombés à des valeurs très faibles, entre 10 et 30 % pour de nombreuses rivières pluviales ou pluvio-nivales aux bassins semi-montagneux et de 3 à 5 % pour de nombreux cours d’eau de plaine.

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Le Québec court-il vers une catastrophe énergétique ?

[Source : libre-media.com]

[Illustration : Des employés d’Hydro-Québec travaillent sur des lignes électriques le 7 avril 2023 à Montréal, après que des pluies verglaçantes ont frappé des régions du Québec et de l’Ontario le 5 avril. Photo: Andrej IVANOV pour l’AFP.]

Par Léo Dupire

En voulant réduire les émissions de gaz à effet de serre à tout prix et en prônant le tout-électrique, le gouvernement du Québec a créé un monstre énergivore qui pourrait bientôt engloutir toute la production d’Hydro-Québec [NDLR L’entreprise publique de production électrique au Québec].

Nous allons dans le mur d’un point de vue énergétique. Nos surplus d’électricité vont s’évaporer d’ici 2027, et en plus, le réseau d’Hydro-Québec est de plus en plus vulnérable.

Ces problèmes résultent des mauvaises décisions de nos politiciens, mais ils peuvent encore y remédier.

Le Québec court effectivement à la catastrophe énergétique. C’est essentiellement ce que nous dit Pierre-Olivier Pineau, professeur à HEC Montréal et titulaire de la Chaire de gestion du secteur de l’énergie. Selon lui, à partir de 2027, le Québec risque de manquer d’électricité pour répondre à la demande croissante des entreprises et des consommateurs.

L’électrification forcée

Comment en est-on arrivé là ? La réponse est simple : le gouvernement Legault [NDLR François Legault est l’actuel premier ministre du Québec.] et ses prédécesseurs ont misé sur l’électrification forcée de tous les secteurs de l’économie, sans se soucier des conséquences sur l’approvisionnement en énergie.

En voulant réduire les émissions de gaz à effet de serre à tout prix, il a créé un monstre énergivore qui va bientôt engloutir toute la production d’Hydro-Québec.

Prenons l’exemple des transports. Le gouvernement Legault veut qu’il y ait 1,5 million de véhicules électriques sur les routes du Québec d’ici 2030. Il veut également interdire la vente des voitures thermiques neuves (c’est-à-dire celles carburant à l’essence ou au diesel) à partir de 2035. Sur ce point, il est d’accord avec Justin Trudeau.

Or, selon Hydro-Québec, chaque véhicule électrique consomme en moyenne 2000 kWh par année, soit l’équivalent de la consommation annuelle d’un chauffe-eau. Cela signifie que les véhicules électriques vont ajouter 3 térawattheures (TWh) à la demande en électricité chaque année, soit l’équivalent de la production annuelle du barrage de La Grande-1.

La demande en forte hausse

Et ce n’est pas tout. Le gouvernement Legault veut aussi électrifier le chauffage des bâtiments, la production industrielle, l’agriculture et même la production d’hydrogène vert. Selon les prévisions d’Hydro-Québec, la demande en électricité va passer de 193 TWh cette année à 205 TWh en 2029, soit une augmentation de 12 %.

Or, les approvisionnements en énergie et en puissance vont se resserrer dès 2027, et dès 2029, il faudra trouver 7 TWh à l’aide de nouveaux approvisionnements.

Quels sont ces nouveaux approvisionnements ? Le gouvernement Legault mise sur trois solutions : la construction ou la mise à niveau de barrages, la construction d’éoliennes et la réduction de la consommation grâce à une meilleure efficacité énergétique. Mais ces solutions sont-elles réalistes et suffisantes ?

Les barrages sont une source d’énergie renouvelable et fiable, mais ils sont coûteux et longs à construire. De plus, ils sont soumis à des contraintes environnementales et sociales qui limitent leur potentiel.

Selon l’Institut économique de Montréal (IEDM), il faudrait jusqu’à 15 ans pour mettre en service un nouveau barrage. Quant aux projets de mise à niveau des installations existantes, ils ne seront pas terminés avant 2035.

Les éoliennes sont une source d’énergie renouvelable et peu polluante, mais elles sont intermittentes et dépendantes des conditions météorologiques. De plus, elles nécessitent des lignes de transport et des systèmes de stockage qui augmentent leur coût et leur empreinte écologique.

Toujours selon l’IEDM, la puissance fournie par les éoliennes n’équivaut qu’à 35 % de la puissance installée. De plus, l’approbation environnementale des projets éoliens n’est pas non plus garantie.

L’efficacité énergétique est une mesure souhaitable et nécessaire pour réduire la consommation d’électricité, mais elle ne peut pas compenser la croissance de la demande liée à l’électrification forcée.

Un réseau vulnérable

En outre, le réseau d’Hydro-Québec est vieillissant et il a été mal entretenu. Il est donc de moins en moins fiable, il y a de plus en plus de pannes et elles durent de plus en plus longtemps. C’est la vérificatrice générale du Québec qui le souligne dans son rapport de l’an dernier.

Les Québécois ont pu le constater au cours des derniers mois. Des centaines de milliers de citoyens ont ainsi dû passer Noël et/ou Pâques dans le noir. C’est un problème de taille alors qu’on s’apprête à électrifier tout et n’importe quoi.

Comme l’a fait remarquer Richard Martineau récemment, c’est pour le moins utile d’avoir un poêle et un foyer au gaz lorsqu’on perd le courant. Si ce n’est pas votre cas, assurez-vous d’avoir une bonne génératrice… au diesel !

Une meilleure approche

Face à ce constat, il faut se rendre à l’évidence : le Québec court à la catastrophe énergétique si rien ne change. Les trois paliers de gouvernement doivent faire un 180 degrés sur leur politique d’électrification forcée et revenir à la raison.

Ils doivent cesser d’interdire ou de décourager l’utilisation de sources d’énergie alternatives qui nous permettent d’économiser de l’électricité, comme le chauffage au gaz et au mazout, les cuisinières au gaz, les foyers au bois ou encore les voitures thermiques.

À lire aussi : Boom des batteries électriques : le Québec dans la mire des Américains

On doit aussi envisager de produire plus d’électricité au moyen du gaz naturel, qui est une source d’énergie fiable et peu coûteuse. Le Québec dispose déjà d’une centrale au gaz naturel à Bécancour, qui est utilisée lors des pointes de consommation hivernales.

Et quitte à consommer plus de gaz au Québec, autant consommer du gaz québécois, dont l’exploitation enrichirait nos régions et répondrait à des normes environnementales particulièrement élevées.

Le Québec a besoin d’une politique énergétique réaliste et pragmatique, qui assure la sécurité énergétique des Québécois tout en protégeant l’environnement. L’électrification forcée n’est pas la solution. C’est un mirage.

Une pétition du groupe Québec fier pour la sécurité énergétique et contre l’interdiction des voitures thermiques dès 2035 est désormais en ligne.




Apocalypse woke !

[Source : AVATAR Media]

Voir aussi :




Les verts et leurs alliés contre les libertés, la démocratie et les pauvres

Par Gérard Delépine

Sous prétexte de « sauver la planète », les propositions irrationnelles des députés et des militants verts et de leurs alliés se révèlent de plus en plus antidémocratiques, liberticides et anti-pauvres. Bizarre évolution pour un parti qui se prétend « de gauche ».

Quoi qu’on fasse, la planète survivra à l’espèce humaine !

Il est invraisemblable d’entendre répéter partout « il faut sauver la planète ». Quoi que nous fassions la planète Terre nous survivra puisque sa longévité est estimée à 5 milliards d’années, lorsque le Soleil se transformera en géante rouge. Et si la folie des hommes aboutissait à une guerre nucléaire, notre espèce pourrait disparaître, mais pas la planète.

Ce n’est pas la planète qu’il faut sauver, c’est l’espèce humaine menacée par les délires de quelques-uns qui utilisent d’énormes mensonges pour terroriser la population et de fallacieux prétextes pour lui faire accepter la perte de ses libertés et lui imposer une soumission à la chinoise à l’aide de pass, du fichage numérique et de la suppression de l’argent liquide. Et au passage, certains augmenteront largement leur fortune.

Le réchauffement climatique actuel reste dans les normes du passé lointain

Les climato terroristes se réfèrent aux températures des 1000 dernières années pour prétendre que le réchauffement actuel dépasse « tout ce qui a été estimé jusqu’ici ». Mais à l’échelle planétaire, il est plus adapté de s’intéresser aux estimations des 10 000 dernières années qui montrent que le climat terrestre a connu, avant toute activité humaine notable, de plus fortes températures qu’aujourd’hui !

Cette vue court-termiste des climato terroristes témoigne d’une volonté délibérée d’écarter les faits qui les gênent pour ériger en dogme l’alarmisme climatique.

Le CO2 n’est pas toxique, mais un engrais indispensable pour les plantes

Les climato terroristes érigent le CO2 en ennemi qu’on ne peut combattre qu’en empêchant les humains de vivre comme ils en ont besoin. C’est oublier qu’aucun végétal ne peut croitre sans CO2. Le gaz carbonique (CO2) est en effet indispensable à la synthèse des chlorophylles présentes chez tous les végétaux aquatiques et terrestres. Dans la masse totale des plantes, le bois est la partie qui absorbe le plus de carbone. Et si les verts voulaient faire baisser utilement le CO2, ils planteraient partout des arbres et se battraient opiniâtrement pour sauvegarder ceux qui existent, alors qu’ils font souvent le contraire dans les villes qu’ils administrent ou cogèrent.

Les partis verts s’opposent peu à la mondialisation, pourtant principal responsable de la production inutile de CO2

La mondialisation multiplie les voyages entre les pays à bas coût de main-d’œuvre et les pays riches et pousse à la délocalisation des industries vers les pays les moins regardants en normes antipollution. Les pays riches qui se présentent comme vertueux se contentent en fait d’exporter leur production de CO2 et d’autres toxiques dans les pays lointains pour le seul bénéfice des marchands internationaux !

En 2022, la flotte mondiale comptait plus de 100 000 bateaux de commerce à l’origine de plus de trois quarts des émissions de C02 liées au transport maritime qui représente actuellement 3 % du total mondial (5 fois le total de la France !), chiffre qui, d’après certaines estimations, pourrait atteindre 17 % d’ici 2050. Et une fois que les marchandises débarquent en Europe, elles sont acheminées par une foule de camions qui polluent à leur tour très largement.

Même chose pour les produits agricoles. La Commission européenne se gargarise des accords de libre-échange donnant libre accès européen aux productions agricoles d’Amérique du Sud, alors qu’elles sont la principale cause de la destruction des forêts en particulier amazoniennes.

Limiter les excès de la mondialisation en interdisant l’importation de marchandises et de produits agricoles que nous pouvons produire chez nous constitue un moyen des plus efficace pour diminuer les pollutions et freiner le défrichement des forêts, facteur des plus nocifs sur le cycle du carbone.

Mais au parlement de Bruxelles les verts et leurs alliés n’ont pas combattu comme ils l’auraient dû le faire les accords de libre-échange !

Les propositions des verts et affidés rendent le logement inaccessible aux plus démunis

La crise du logement occupe une place de plus en plus importante dans le développement de l’exclusion et des inégalités. Elle atteint des sommets, mais les médias parlent peu de la responsabilité des lois écologistes dans sa genèse et en particulier de la loi sur les passoires thermiques.

En qualifiant de plus en plus de logements de « passoires thermiques » (avec un élargissement prévu pour les biens classés G en 2025, puis F en 2028 et E en 2034) et en interdisant leur location, les lois imaginées par les verts réduisent très fortement le nombre de logements bon marché disponibles à la location.

En imposant aux nouvelles constructions des normes thermiques qui les renchérissent sensiblement et en bloquant les loyers, ils découragent les potentiels investisseurs et acheteurs privés déjà inquiets de la hausse des taux d’intérêt et de l’augmentation de la taxe locale.

La chasse aux passoires thermiques participe ainsi fortement à la crise actuelle de la construction et des locations accessibles aux plus démunis.

Le chemin de l’enfer locatif est pavé de bonnes intentions écologiques.

Les Verts préfèrent les rats aux pauvres !

Ils chassent les pauvres des villes en utilisant les « zones à faibles émissions »

Jadis les différentes classes sociales cohabitaient dans les immeubles haussmanniens : les bourgeois aisés au premier étage, les étudiants pauvres sous les toits. Progressivement la spéculation foncière a expulsé les pauvres des centres-ville vers des banlieues lointaines souvent mal desservies par les transports publics les obligeant à utiliser leur voiture pour travailler.

Les zones à faible émission, mises en place par les municipalités dirigées ou cogérées par les verts, interdisent maintenant aux pauvres qui n’ont pas les moyens d’acheter des voitures récentes, de venir en ville. Comme jadis les manants étaient chassés de Versailles !

Mais pour garder les rats en ville, ils créent une commission !

Depuis l’antiquité l’homme essaie d’éviter la prolifération de ces rongeurs destructeurs des récoltes ; les Égyptiens avaient même élevé le chat en allié du dieu Rê dans sa lutte contre le serpent Apophis, puis l’avaient déifié en Bastet avant d’édifier une ville à sa gloire : Bubastis, chef-lieu de la déesse Bastet.

Le rat représente un réservoir de germes dangereux dont celui de la peste qui constitue l’épidémie la plus meurtrière de l’histoire qui tua 30 à 50 % de la population européenne en quatre ans (1347-1352). La victoire sur la peste n’a été obtenue que par la chasse aux rats. Et les seuls endroits du monde où elle persiste encore sont ceux où les rats cohabitent étroitement avec l’homme. Ils sont, entre autres, également porteurs de la leptospirose qui menace nos égoutiers.

Mais les verts, l’association de défense des animaux Paris Animaux Zoopolis, et madame Hidalgo, pour sauver les rats de Paris les ont renommés « surmulots », et prétendent qu’ils joueraient « un rôle essentiel sur le plan sanitaire en éliminant une partie de nos déchets » (ces nouveaux éboueurs ne se mettent pas en grève !), ont créé une commission destinée à « faciliter la cohabitation » et financent des études pour « lutter contre les préjugés pour aider les Parisiens à mieux cohabiter avec les rats ».

L’hygiène représente l’arme la plus efficace contre les maladies transmissibles ; elle a permis de vaincre la majorité des épidémies les plus graves sans antibiotiques ni vaccins (peste, choléra, typhus, typhoïde, poliomyélite, hépatite A..). L’oubli de ses bases constitue un recul sanitaire de deux siècles.

Ils veulent limiter le chauffage de nos maisons aux dépens de notre santé.

Les lois européennes imposant des intermédiaires privés dans la fourniture du gaz et de l’électricité et un modèle dément de calcul du prix de l’électricité ont entraîné un accroissement du coût de l’énergie considérablement aggravé par les sanctions contre la Russie et l’arrêt de l’importation du gaz russe au profit du gaz de schiste américain. Ces augmentations déstabilisent notre économie et ont fait réduire le chauffage dans d’innombrables habitations.

Mais le chauffage adéquat de nos maisons diminue fortement la fréquence et la gravité des infections respiratoires hivernales en particulier chez les plus jeunes et les plus âgés. Jusqu’à combien de morts cette réduction de la production de C02 sera-t-elle jugée bénéfique ?

Ils veulent limiter nos déplacements en particulier en avion

La liberté de se déplacer librement constitue l’une des libertés fondamentales. Après les confinements covid et les pass, cette liberté est maintenant menacée par le totalitarisme vert. Le transport aérien ne représente que 2 à 3 % des émissions de gaz à effet de serre causées par l’homme dans le monde. Mais Jean-Marc Jancovici veut limiter chaque personne à 4 trajets en avion sur toute une vie. « On pourrait instaurer un système où lorsqu’on est jeune, on a deux vols pour découvrir le monde et quand on est vieux, on part en vacances en Corrèze en train. ». Mais comment peut-on être à ce point opposé à nos libertés fondamentales ?

Le « Pacte vert », d’Ursula von der Leyen, du 14 juillet 2021, décidé sans consultation démocratique impose de réduire les émissions de gaz à effet de serre de l’Union européenne d’au moins 55 % dès 2030 avec un taux minimum de carburants « verts » pour les avions de 70 % en 2050. Mais ces carburants de synthèse, fabriqués à partir d’hydrogène et de CO2, sont actuellement trois à quatre fois plus chers que le kérosène et leur utilisation augmentera d’autant le coût des billets d’avion, les réservant progressivement aux plus aisés. Décidément les eurocrates, tellement encensés par les verts, n’aiment pas les pauvres.

Les verts contre les libertés et la démocratie

Beaucoup d’écologistes, de socialistes et de LFI estiment que les libertés individuelles sont désuètes et sont prêts à les supprimer au moindre prétexte sanitaire ou climatologique agité par les médias.

Ils ont voté massivement pour les pass sanitaires, puis vaccinaux qui ne servaient à rien sauf à tester notre soumission comme le montrent les données de l’OMS illustrant leur inefficacité contre l’extension de l’épidémie.

Ils ont déclaré avec Michèle Rivasi que « l’Europe avait bien fait d’acheter les “vaccins” de manière groupée », alors que de lourds soupçons de corruption pèsent sur cette opération. Ils ont soutenu le rapport préliminaire intitulé « Pandémie Covid-19 : leçons apprises et recommandations pour le futur » publié le 8 février 2023 qui ne précise pas que les injections ont été incapables d’éviter d’attraper la maladie, ni de la transmettre.

ni les formes graves comme l’atteste l’augmentation de la mortalité dans les pays les plus vaccinés après les campagnes massives d’injections.

et qui mentionnent à peine l’existence de leurs complications pourtant plus nombreuses et graves qu’après toute autre vaccination de masse.

Beaucoup d’écologistes font passer le prétendu « sauvetage de la planète » avant les libertés individuelles et rêvent d’imposer de nouvelles mesures liberticides : créer un pass écologique, des couvre-feux thermiques, l’interdiction des voitures autres qu’électriques, l’interdiction de tout vol aérien non justifié, la division par un gros facteur (trois est suggéré) du streaming et des données (jeux, réseaux) en général, la limitation à 1 kg de vêtements neufs mis sur le marché par an et par personne (contre 40 kg actuellement en moyenne), la limitation de la consommation de viande, des quotas sur de nombreux de biens importés (chocolat, café notamment).

Ils sont pour la Carte d’identité numérique européenne qui permettra le fichage biométrique de toute la population et les connexions avec les fichiers bancaires, fiscaux et sanitaires réalisant le rêve de Big Brother.

Ils défendent le projet de Gouvernance mondiale ainsi que l’exprime Michèle Rivasi évoquant favorablement « Une Seule Santé », le pilier idéologique du « Traité “Pandémies » de l’OMS, soutenue par la Banque Mondiale et par des entreprises liées à Blackrock, Vanguard et BioMérieux, visant à instaurer une « meilleure gouvernance mondiale » débarrassée de la volonté des peuples considérés comme de grands enfants irresponsables. La fin de la démocratie.

Rendre insupportable la vie des Français ne diminuera guère le C02

La France compte très peu dans la production de CO2 : 0,6 % du total mondial (400 millions de tonnes/60 milliards). Mais les verts et leurs alliés ne rêvent que de nous ficher, nous surveiller constamment, de limiter nos libertés en particulier celles de nous déplacer, de nous exprimer, de nous chauffer, de payer en liquide pour ne pas dépendre totalement des banques.

Les prévisions les plus optimistes (totalement irréalisables) de l’impact des mesures qu’ils veulent nous imposer en France sont une baisse de 40 % de notre bilan carbone soit de 0,2 % de celui de la planète, permettant d’espérer, d’après leur mode de calcul une diminution de 0,001 degré de l’augmentation de température qu’ils prophétisent.

Brimer sévèrement la vie des Français comme ils veulent le faire ne changera rien à la production de CO2 tant que les principaux pays responsables (Chine, Inde, USA) ne donneront pas l’exemple. Et ni la Chine, ni l’Inde, ni la Russie ne veulent diminuer leur bilan carbone, car ils préfèrent améliorer le sort de leurs populations que de croire les mensonges du GIEC. Steven Koonin, physicien et ancien conseiller d’Obama, affirme La neutralité carbone horizon 2050 n’arrivera pas » car le monde est « plus inquiet de savoir comment obtenir de l’énergie fossile pour vivre une vie meilleure », que par « l’objectif zéro carbone »…

La suppression de la démocratie et un tsunami de mesures de privation de liberté qu’ils veulent nous imposer pour rien !

Comment peuvent-ils encore se prétendre « de gauche » et se réclamer républicains en oubliant que notre devise commence par LIBERTÉ, si bien chantée par Paul Eluard à une époque où le totalitarisme sévissait.

Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J’écris ton nom

Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom

Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom

Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom

Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nom

Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom

Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom

Sur chaque bouffée d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom

Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom

Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom

Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom

Sur la lampe qui s’allume
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes maisons réunies
J’écris ton nom

Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nom

Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nom

Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nom

Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nom

Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attentives
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nom

Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom

Sur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom

Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom

Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer

Liberté.

Paul Eluard




Incendies de forêt au Canada : données contre hystérie climatique

[Source : https://electroverse.info/canada-wildfires-data-vs-hysteria/]

[Traduction : changera4]

Les feux de forêt au Canada ont-ils été allumés volontairement pour imposer une Taxe Carbone avec un réchauffement virtuellement construit ?

« Il y a déjà eu 2 355 incendies couvrant une étendue incroyable de 10 millions d’acres au Canada cette année », crient les premières lignes d’un article récent de Merdias — pas de contexte, juste ce qui semble être des chiffres élevés et une pincée d’hyperbole. 
Les dernières données du Centre interservices des feux de forêt du Canada (CIFFC) montrent qu’au 6 juin, il y avait 437 incendies actifs, portant le total de l’année à 2 355, soit environ 400 incendies au-dessus de la moyenne décennale.

« Les incendies de forêt sont un phénomène naturel », poursuit l’article des Merdias ; cependant, « le changement climatique les fait durer plus longtemps et les rend plus intenses ».

[Voir aussi :
Tout le sud du Québec a simultanément pris feu]

Examinons cette affirmation. 

Vous trouverez ci-dessous un tableau gracieuseté de la Base de données nationale sur les forêts

Il montre le nombre annuel de feux de forêt au Canada et leur étendue depuis 1990. 
Étudions le graphique. 

Le prétendu « signal climatique » n’est tout simplement pas là. 

La tendance est assez clairement à la baisse. 

Examinons ensuite la cause des incendies. 

Prenant l’Alberta comme exemple — simplement parce qu’elle était la première sur la liste — « l’activité humaine » a été le principal responsable des incendies de forêt dans la province chaque année depuis 2003 — et par une certaine marge, avec la foudre en deuxième et les brûlages dirigés en troisième. 
En une année récente, 681 incendies ont été causés par des humains, 89 par la foudre et 2 par des brûlages dirigés (dont 28 non spécifiés). 

« Le changement climatique fait que [les incendies de forêt] durent plus longtemps et sont plus intenses », affirme-t-on. 

Cependant, les données suggèrent que l’imprudence humaine est la principale cause des incendies — et même dans ce cas, la tendance est toujours à la baisse. 
Pour ajouter du poids à cela, revenons au graphique et notons l’année 2020 — en particulier sa chute spectaculaire. 

C’était l’année de la pandémie — vous savez, lorsque les Canadiens ont été enfermés de force dans leurs maisons à cause d’une vilaine vague de grippe. 
Curieusement, le « réchauffement climatique » semble s’être effondré cette année-là également, le nombre de feux de forêt et la superficie brûlée atteignant des niveaux historiquement bas. 
J’essaie de rester à l’écart des théories du complot spécieuses sur ce site, mais aidez-moi un peu ici les alarmistes climatiques. (Ndlr : il existe des satellites à armes à énergie dirigée qui peuvent créer des incendies comme en Californie il y a quelques années où le feu brûlait les maisons sans toucher les arbres à proximité ! Ici la localisation que sur le Canada, sans toucher les forêts à proximité aux États-Unis, rend suspect un déclenchement naturel !)

Expliquez l’imagerie satellitaire montrant les incendies qui se déclarent simultanément à travers le Canada. 

Les images sont fausses ? Peut-être. 

C’est soit cela, soit la majorité de ces incendies, comme ils le sont chaque année, ont été déclenchés par des incendiaires — mais cette fois-ci, peut-être dans le cadre d’une attaque chronométrée. 
Au vu de ce que j’ai vu ces dernières années, je considère qu’il est tout à fait possible pour un gouvernement déterminé à augmenter sa taxe carbone et ses « pouvoirs de lutte contre le climat » de mettre en scène un spectacle narratif comme celui-ci. 
Et, à leur tour, leurs serviteurs des Merdias dévoués sont en surmultipliée en ce moment :  

Autre curiosité, les feux du Canada semblent très patriotiques, adhérant, pour la plupart, du côté nord de la frontière américaine : 

Le patriotisme des incendies est bien sûr un grand soulagement pour les Américains, qui peuvent remercier leur bonne étoile de ne pas endurer une année de plus comme 1937 où un feu de forêt se déclarait toutes les trois minutes : 

Les informations télévisées liées à la météo nous feraient tous penser que les catastrophes s’aggravent. 
Ils ne le sont pas — les données sont claires à ce sujet également. 
En 1900, environ 4,5 % de la superficie terrestre du monde brûlerait chaque année. 

Au cours du siècle dernier, ce pourcentage est tombé à environ 3,2 %. 

Et au cours des deux dernières décennies, les satellites ont connu un déclin encore plus important. 

En 2021, seulement 2,5 % ont brûlé. 
Vous trouverez ci-dessous le tableau « officiel » des incendies de forêt aux États-Unis : 

https://ourworldindata.org/grapher/wildfire-numbers-usa

Elle, comme on le constate également au Canada, montre une tendance à la baisse. 
Mais il y a plus dans l’histoire. 
L’administration Biden a récemment effacé toutes les données sur les incendies de forêt avant 1983. 

Cela a été fait parce que la superficie brûlée par le feu s’est avérée beaucoup plus élevée entre 1910 et 1960 qu’elle ne l’est aujourd’hui et a donc contredit la corrélation AGW/incendie de forêt souhaitée. 
De manière typiquement orwellienne, l’administration a effacé ces décennies de données gênantes des livres d’histoire en citant le raisonnement terne : « ce n’était pas officiel » (voir ici). 
De plus, l’année 1983 — le nouveau point de départ — se trouve justement avoir la plus faible superficie brûlée de l’histoire enregistrée :

Le Centre national interservices des pompiers [NIFC].

Le tableau est clair, il n’y a pas de corrélation — c’est zéro, zip — entre l’intensité et/ou la fréquence des incendies et le « changement climatique ». 
Quiconque prétend le contraire répand une propagande non scientifique. 
La superficie brûlée aux États-Unis a en fait diminué de 90 % depuis que le CO2 était à des niveaux préindustriels. 
Fait révélateur, l’administration Biden a également récemment supprimé ce document : 




Rowan Atkinson se sent de plus en plus « trompé » par les promesses vertes des voitures électriques

[Source : quebecnouvelles.info]

Dans un billet d’opinion pour The Guardian, le populaire acteur Rowan Atkinson, principalement connu pour son personnage de Mr. Bean, révèle sa formation universitaire en génie électrique et électronique et fait part de ses doutes croissants au sujet des voitures électriques. Selon lui, la technologie ne serait pas encore à point et son coût environnemental la rendrait contre-productive. Il se montre donc sceptique des politiques gouvernementales visant à bannir les voitures à essence entre 2030 et 2035 et argue qu’il serait plus bénéfique pour l’environnement qu’on utilise le plus longtemps possible nos voitures au lieu de les remplacer aux trois ans. Il mise en outre sur le développement de nouvelles formes de carburants, dont certains pourraient potentiellement fonctionner dans le parc automobile déjà existant.

Par Rowan Atkinson

La motorisation électrique est, en théorie, un sujet sur lequel je devrais avoir des connaissances. J’ai obtenu mon premier diplôme universitaire en génie électrique et électronique, suivi d’une maîtrise en systèmes de contrôle. Combinez ce parcours académique, peut-être surprenant, avec une passion de toujours pour l’automobile, et vous comprendrez pourquoi j’ai été amené à adopter très tôt les véhicules électriques. J’ai acheté ma première voiture électrique hybride il y a 18 ans et ma première voiture entièrement électrique il y a neuf ans et (en dépit de la médiocrité de notre infrastructure de recharge électrique) j’ai beaucoup apprécié ces deux véhicules. Les véhicules électriques sont peut-être un peu dépourvus d’âme, mais ce sont des mécanismes merveilleux : rapides, silencieux et, jusqu’à récemment, très économiques en termes de coûts d’utilisation. Mais de plus en plus, je me sens un peu dupé. Lorsque l’on commence à creuser les faits, la motorisation électrique ne semble pas être la panacée environnementale que l’on prétend.

Comme vous le savez peut-être, le gouvernement a proposé d’interdire la vente de nouvelles voitures à essence et diesel à partir de 2030. Le problème de cette initiative est qu’elle semble se fonder sur des conclusions tirées d’une seule partie de la vie d’une voiture : ce qui sort du pot d’échappement. Les voitures électriques n’émettent pas de gaz d’échappement, ce qui est une bonne chose, notamment en ce qui concerne la qualité de l’air dans les centres-villes. Mais si l’on prend un peu de recul et que l’on examine la situation dans son ensemble, en tenant compte de la fabrication de la voiture, la situation est très différente. Avant la conférence sur le climat de la Cop26 qui se tenait à Glasgow en 2021, Volvo a publié des chiffres selon lesquels les émissions de gaz à effet de serre lors de la production d’une voiture électrique sont près de 70 % plus élevées que lors de la fabrication d’une voiture à essence. Comment cela se fait-il ? Le problème réside dans les batteries lithium-ion qui équipent actuellement la quasi-totalité des véhicules électriques : elles sont absurdement lourdes, leur fabrication nécessite de nombreux métaux des terres rares et d’énormes quantités d’énergie, et leur durée de vie est estimée à plus de 10 ans. Ce choix de matériel pour mener le combat automobile contre la crise climatique semble peu judicieux.

Il n’est donc pas surprenant que de nombreux efforts soient déployés pour trouver une meilleure solution. De nouvelles batteries dites à l’état solide sont en cours de développement ; elles devraient se charger plus rapidement et pourraient représenter un tiers du poids des batteries actuelles, mais il faudra encore des années avant qu’elles ne soient commercialisées, et d’ici là, bien sûr, nous aurons fabriqué des millions de voitures électriques trop lourdes, dont les batteries seront rapidement obsolètes. L’hydrogène apparaît comme un carburant alternatif intéressant, même si nous tardons à mettre au point une méthode de fabrication véritablement « verte ». Il peut être utilisé de deux manières. Il peut alimenter une pile à hydrogène (essentiellement une sorte de batterie) ; le constructeur automobile Toyota a investi beaucoup d’argent dans le développement de ces piles. Un tel système pèse la moitié d’une batterie lithium-ion équivalente et une voiture peut être ravitaillée en hydrogène dans une station-service aussi rapidement qu’avec de l’essence.

Si la batterie lithium-ion est un dispositif imparfait pour les voitures électriques, elle n’est pas du tout adaptée aux camions en raison de son poids ; pour ces véhicules, l’hydrogène peut être injecté directement dans un nouveau type de moteur à piston. JCB, l’entreprise qui fabrique les pelleteuses jaunes, a fait d’énormes progrès avec les moteurs à hydrogène et espère les mettre en production dans les deux prochaines années. Si l’hydrogène gagne la course à la motorisation des camions – et que, par conséquent, toutes les stations-service le stockent – il pourrait devenir un choix populaire et accessible pour les voitures.

Mais allons encore plus loin et considérons l’ensemble du cycle de vie d’une automobile. Le plus gros problème que nous devons résoudre dans la relation de la société avec la voiture est la culture de vente « fast fashion » qui constitue le modèle commercial de l’industrie automobile depuis des décennies. Actuellement, nous ne gardons en moyenne nos nouvelles voitures que trois ans avant de les revendre, principalement en raison de l’omniprésence du modèle de location sur trois ans. Cela semble être une utilisation outrageusement dépensières en ressources naturelles lorsque l’on sait dans quel état se trouve une voiture de trois ans. Lorsque j’étais enfant, toute voiture âgée de cinq ans était un seau de rouille et se trouvait à mi-chemin de la porte de la casse. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. On peut aujourd’hui fabriquer une voiture pour 15 000 livres sterling qui, avec un peu d’amour, durera 30 ans. Cela fait réfléchir de penser que si les premiers propriétaires de voitures neuves les gardaient en moyenne cinq ans, au lieu des trois ans actuels, la production de voitures et les émissions de CO2 qui y sont associées seraient considérablement réduites. Nous profiterions de la même mobilité, en conduisant simplement des voitures un peu plus anciennes.

Nous devons également reconnaître que les voitures actuelles (il y en a près de 1,5 milliard dans le monde) constituent un atout considérable. En termes de fabrication, ces voitures ont payé leur tribut à l’environnement et, bien qu’il soit judicieux de réduire notre dépendance à leur égard, il semblerait juste d’examiner attentivement les moyens de les conserver tout en réduisant leur effet polluant. Il est évident que nous pourrions les utiliser moins. Comme m’a dit un jour un écologiste, si vous avez vraiment besoin d’une voiture, achetez-en une vieille et utilisez-la le moins possible. Une chose raisonnable à faire serait d’accélérer le développement du carburant synthétique, qui est déjà utilisé dans les courses automobiles ; c’est un produit basé sur deux notions simples : premièrement, le problème environnemental d’un moteur à essence est l’essence, pas le moteur et, deuxièmement, il n’y a rien dans un baril de pétrole qui ne puisse être reproduit par d’autres moyens. La Formule 1 utilisera du carburant synthétique à partir de 2026. Il existe de nombreuses interprétations de cette idée, mais le constructeur automobile allemand Porsche développe actuellement au Chili un carburant utilisant l’énergie éolienne pour alimenter un processus dont les principaux ingrédients sont l’eau et le dioxyde de carbone. Avec plus de développement, il devrait être utilisable dans toutes les voitures à moteur à essence, rendant leur utilisation pratiquement neutre en CO2.

De plus en plus, j’ai l’impression que notre lune de miel avec les voitures électriques touche à sa fin, et ce n’est pas une mauvaise chose : nous nous rendons compte qu’un plus large éventail d’options doit être exploré si nous voulons nous attaquer correctement aux problèmes environnementaux très graves que notre utilisation de l’automobile a engendrés. Nous devrions continuer à développer l’hydrogène, ainsi que les carburants synthétiques pour éviter la mise à la casse des vieilles voitures qui ont encore tant à donner, tout en promouvant un modèle commercial tout à fait différent pour l’industrie automobile, dans lequel nous gardons nos nouveaux véhicules plus longtemps, en reconnaissant leur longévité étonnante mais négligée.

Des amis soucieux de l’environnement me demandent souvent, en tant que passionné d’automobile, s’ils devraient acheter une voiture électrique. J’ai tendance à dire que si leur voiture est un vieux diesel et qu’ils roulent beaucoup en ville, ils devraient envisager un changement. Mais dans le cas contraire, il ne faut pas s’emballer pour l’instant. Un jour, la propulsion électrique sera réellement bénéfique pour l’environnement à l’échelle mondiale, mais ce jour n’est pas encore arrivé.

Pour lire l’article dans sa forme originale




500 millions

[Source et auteur : Lou Laurenz via PG]

Franc-maçonnerie, assassinat de Kennedy, 11 septembre, Apollo 11, guerre mondiale, Khazars… Tous ces événements [ou éléments] ont un point commun. Devinez lequel.

[Voir aussi :
Le Nouvel Ordre Mondial est en route et nous devons le combattre — Rav Dynovisz
La fin du Nouvel Ordre Mondial avant la délivrance finale
Le secret de l’exil juif et le dévoilement du messie
Le mensonge et l’hypocrisie domineront le monde avant la délivrance
La dictature sanitaire aura une fin
L’épouse du Machiah sera une Française
Rav Dynovisz : la délivrance finale viendra de France
Lettre à Myriam Palomba sur les deux religions juives
Histoire juive, religion juive : le poids de trois millénaires, par Israël Shahak
La synagogue de Satan
Le troisième Temple de Jérusalem et l’embrasement de la Terre Sainte – Analyse de Pierre-Antoine Plaquevent
Remise en question de l’ascendance hébraïque et sémitique des juifs ashkénazes
L’importance de l’Ukraine pour le Nouvel Ordre Mondial
La guerre en Ukraine : La cinquième colonne en Russie et le clan Rothschild
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen
L’histoire cachée de l’effroyable mafia khazare]

Liste des intervenants :
Stéphane Blet, Philippe Ploncard D’assac, Pierre Hillard, Henri Guillemin, Tony Miotto, Alain Soral, Pierre Dortiguier, Philippe De Villiers, Johan Livernette, Claire Séverac, André Fontaine, Aldo Stérone, Alexandre Havard.

[Note de Joseph concernant le prétendu virus du SIDA et les armes biologiques « virales » évoquées à un moment dans la première vidéo : celles-ci n’ont jamais pu se propager de manière naturelle et nécessitent une inoculation directe, le plus souvent sous forme de « vaccin » ; aucun virus pathogène n’a jamais été scientifiquement isolé, purifié et caractérisé. L’équipe de chercheurs allemands autour de Stefan Lanka offre un million d’euros au premier virologue qui sera capable d’isoler, purifier et caractériser ne serait-ce qu’un tel virus (censé produire une maladie dite virale). Le prix n’a pas encore été réclamé. Quand un virologue prétend isoler un virus, il ne fait que répéter un vieux rituel qui n’a rien de scientifique, mais ressemble bien davantage à une mauvaise recette de cuisine et ne permet nullement de démontrer scientifiquement la présence de virus pathogènes. Le séquençage génétique opéré en fin du rituel n’est qu’une opération logicielle, une escroquerie intellectuelle.
Voir notamment, dans le dossier Vaccins et Virus :
Pierre Chaillot : « Il est faux de dire que l’on a isolé un virus ».
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Commentaires sur le VIH de Montagnier
Démontage de la théorie virale
Déclaration sur l’isolement des virus
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
et L’enterrement de la théorie virale (qui rappelle notamment ce qu’est la méthodologie scientifique).
En réponse à l’argument « Oui, mais les virus fabriqués en labos p4 ? », voir en complément :
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
L’hypothèse virale pourtant démontrée fallacieuse, voire frauduleuse, perdure depuis des décennies au lieu d’avoir été abandonnée il y a 70 ans, car elle est le fondement d’une bonne partie des recettes financières de Big Pharma (l’autre partie étant la théorie mère, celle des germes pathogènes) et universellement enseignée aux médecins et autres personnels soignants lors de leur formation (ou endoctrinement) universitaire. Et c’est elle qui a notamment permis la justification des mesures prétendument « sanitaires », mais en réalité tyranniques et sanitairement nocives lors de la « plandémie » Covid-19. C’est par son biais que le Nouvel Ordre Mondial se finalise. Elle représente la pierre angulaire de l’édifice mondialiste.
Entretenir l’arnaque virale revient à favoriser la finalisation du Nouvel Ordre Mondial et l’établissement du totalitarisme planétaire. Tant que des gens ont peur de méchants virus pourtant inexistants jusqu’à preuve scientifique réelle du contraire, ils seront enclins à accepter les pires mesures contre eux-mêmes sous prétexte de santé et de sécurité. Pour que l’Humanité connaisse enfin la liberté, il faudra autre chose que seulement dénoncer les vaxins et leurs effets secondaires. Il faudra faire tomber la pierre angulaire qu’est l’hypothèse virale.]

[Mise à jour : la page source ayant ajouté une fonction de traçage, les vidéos ne peuvent plus être regardées adéquatement avec un navigateur qui bloque automatiquement les publicités et les fonctions de traçage (comme Brave). Pour pouvoir les regarder, il faut alors utiliser un navigateur configuré pour laisser passer les publicités et le pistage des visiteurs.]








France — La Cour des comptes veut limiter à 500 gr par semaine la consommation de viande rouge

[Source : pgibertie.com]

Par Patrice Gibertie

Heureusement il y a les insectes et la production de tumeurs cancéreuses en labo pour remplacer

Élevage bovin : la Cour des comptes recommande « une réduction importante du cheptel »

Le respect des engagements de la France en matière de réduction des émissions de méthane (souscrits dans l’accord international Global Methane Pledge) appelle nécessairement une réduction importante du cheptel », note en effet la Cour des comptes – sans donner de chiffre précis —, qui souligne que l’élevage bovin est « responsable en France de 11,8 % des émissions d’équivalents CO2, comparables à celles des bâtiments résidentiels du pays », principalement à cause du méthane produit lors de la digestion des animaux.

« Cette réduction peut être aisément conciliée avec les besoins en nutrition des Français, un tiers d’entre eux consommant davantage que le plafond de 500 g par semaine de viande rouge préconisé par le plan national nutrition santé », pointe-t-il.(([1] https://www.lefigaro.fr/conjoncture/elevage-bovin-la-cour-des-comptes-recommande-une-reduction-importante-du-cheptel-20230522))

Miracle, en même temps, l’Europe autorise la consommation de grillons, vers de farine et criquets migrateurs.

Bill Gates et ses alliés du Forum économique mondial (WEF) ont fortement poussé le public à passer à la viande cultivée en laboratoire en arguant qu’elle aide à lutter contre le « changement climatique ».

Le principe de production, la multiplication des cellules n’est rien d’autre que celui du développement des tumeurs cancéreuses

Les cellules sont placées dans des boîtes de Petri avec un « milieu de croissance » comprenant des nutriments tels que des acides aminés, du glucose, des vitamines et des sels inorganiques.

Ceci est complété par des facteurs de croissance et d’autres protéines pour aider les cellules musculaires à se multiplier et à se développer.

Ils sont autorisés à proliférer comme le feraient des tumeurs cancéreuses à l’intérieur d’un animal jusqu’à ce qu’il y ait des milliards de cellules.

Dans une interview de 2021 avec MIT Technology Review, Gates a fait valoir que « tous les pays riches devraient passer au bœuf 100 % synthétique » dans le but d’atteindre les objectifs de l’agenda vert du WEF.

Pour en sourire, regardez :

Partie 1 : https://vimeo.com/124391891 Partie 2 : https://vimeo.com/124392955

LA PRODUCTION DE VIANDE DE LIMOUSIN NÉCESSITÉ SEULEMENT L’EAU QUI TOMBE DU CIEL SUR LES PRAIRIES ET QUI TOMBERA MÊME SI LES BŒUFS DISPARAISSENT

Produire 1 livre de viande de bœuf prend moins d’eau que produire 1 libre d’avocats ou 1 livre de noix. Le mythe du 10 000 litres d’eau par livre de bœuf : c’est 95 % de l’eau de pluie qui tomberait quand même. Ce que vous ne lirez jamais dans nos médias Wokes.

Encore une arnaque mathématique qui consiste à comparer de l’eau et des fibres végétales faiblement nourrissantes à de la viande. Et bien sûr en fait les bilans carbone d’une alimentation très végétalisée ne sont pas meilleurs.




Un ex-président de Greenpeace : « Le changement climatique, c’est pour effrayer les gens afin de les contrôler et faire de l’argent »

[Source : lemediaen442.fr]

Patrick Albert Moore, ex-président de Greenpeace :

« Quand le changement climatique est apparu pour la première fois comme un problème, j’ai réalisé que nous étions dupés et qu’il s’agissait d’argent… cet argent est fait pour créer des récits qui effraieront les gens… »



La servitude volontaire par la peur

« Tout ce que les dirigeants ont à faire, c’est de dire au peuple qu’ils ont quelque chose à craindre. Pointez du doigt la source de leur peur, et vous pourrez obtenir des humains qu’ils fassent tout ce que vous désirez. Vous pouvez les rendre obéissants. »

Goering, Le Journal de Nuremberg, Gustave Gilbert, 1947

Le marketing de la honte

« Même dans les pays où le régime de confinement était le plus strict, comme en France, les autorités sanitaires insistaient sur la nécessité de passer un peu de temps à l’extérieur chaque jour. […] Cela permettra de créer des liens plus profonds et plus personnels au niveau individuel avec les éléments “macro” que nous avons évoqués plus tôt concernant la préservation de nos écosystèmes et la nécessité de produire et de consommer de manière respectueuse de l’environnement. »

Covid-19 : la grande réinitialisation, Klaus Schwab, Thierry Malleret, 2020 Forum économique mondial

La responsabilisation est la figure moderne de la honte. L’idée du marketing de la honte est de mettre en exergue un prétendu « problème ». Il s’agit  de créer des angoisses, des peurs et des hontes (et non plus un besoin) tout en lui apportant une solution. Le besoin naîtra de lui-même dans la tête du consommateur ! Les marques sont de plus en plus nombreuses à investir dans ce discours de la culpabilité. Elles incitent à se montrer responsable dans chaque acte de consommation courante.

L’utilisation de la culpabilité se multiplie autant dans les campagnes de prévention (campagne 2014 de la sécurité routière « Trop vite, trop tard. On ne regrette de rouler trop vite que quand il est trop tard ») ou de santé publique (« Pour votre santé, évitez de manger trop gras, trop sucré, trop salé ») mais également pour des publicités de produits (« se faire plaisir sans mauvaise conscience » avec la Honda CR-Z Hybrid).

Le marketing de l’écologie

Un exemple : les bouteilles ne sont plus consignées. On  peut toujours taper « bouteilles consignées » sur Service-Public.fr : aucun résultat. Vous n’y êtes pour rien si elles ne sont pas reprises par les commerces, mais si vous les jetez, c’est votre faute. Ça met la planète en danger. En revanche, si vous tapez tri sélectif, vous avez l’embarras du choix. Le ministère de l’écologie vous explique tout en détail : « par exemple, le carton d’emballage de la boîte de biscuits doit être séparé de la barquette en plastique ou du film, avant d’être jeté dans le bac de collecte. »…Les déchets de verre sont à déposer en général au niveau de points d’apport volontaire qui leur sont spécifiques. » Vous remarquerez que les belles bouteilles soigneusement vidées par les amateurs de bon vin, sont déjà  qualifiées de « déchets ».

Suivez l’argent…

Si vous triez les bouteilles (c’est-à-dire si vous les cassez) dans une poubelle spéciale, c’est bien, vous êtes éco-responsable. Tout-à-fait accessoirement l’industrie du verre va prospérer. O-I FRANCE est le principal fabricant de bouteilles en Europe et domine le marché français. Son chiffre d’affaires de 2021 frôlait les 800 millions d’euros. Sa maison mère (actionnaires majoritaires : Fidelity et Vanguard) a réalisé un bénéfice de 6,4 milliards de dollars en 2021. Selon une enquête mondiale menée en 2014 par le groupe marketing Nielsen sur la Responsabilité sociale des entreprises, 52 % des consommateurs dans le monde seraient prêts à payer davantage pour des produits fabriqués par des entreprises engagées sur le plan environnemental et social. Actuellement, la facture d’énergie de la verrerie de Puy-Guillaume représente 20 % des coûts fixes. Est-ce bien éco-responsable ?

Côté plastique, après avoir détruit les petits commerces où on pouvait faire ses courses avec un panier, le gouvernement favorable aux grandes surfaces se rachète une moralité en interdisant les concombres sous cellophane, les poires en barquette, les courgettes en sachet plastique. Tout le reste peut rester emballé (surtout dans les McDo Drive).

On vous laisse sur le refrain qu’entonne la joyeuse bande du prince Charles, Bill Gates & Cie dans les sélects clubs Bilderberg et Davos.




Un Québec tout électrique ? Impossible et non souhaitable

[Source : maisonsaine.ca]

Par Jon Eakes

Il y a un éléphant dans la pièce : il fait « frette » [très froid] au Québec ! Le rêve écologique d’une société urbaine tout électrique est suicidaire dans un climat froid comme celui du Québec.

Les pannes prolongées du réseau électrique sont une réalité de la vie au Québec. À quelques années d’intervalle, les pannes d’électricité ont forcé l’évacuation des maisons et des résidences collectives pour éviter que les gens ne meurent de froid. Heureusement, les véhicules à essence étaient disponibles pour effectuer ces évacuations. Les employés d’Hydro-Québec [NDLR L’entreprise publique de production d’électricité, principalement à partir de l’eau], du président aux techniciens, nous répètent sans cesse que l’électricité ne peut suffire à la tâche tout seuls, mais les politiciens motivés par l’idéologie ne tiennent pas compte de ces avertissements.

Les écologistes ne cessent de poser la question : sommes-nous prêts pour les changements climatiques ? Pour ce faire, nous devons parler de l’éléphant dans la pièce : le fait que le Québec est situé dans un climat nordique qui a besoin de chaleur pour la survie des gens. Un Québec tout électrique, où tout le chauffage et tous les transports sont alimentés par des lignes de transmission aériennes, et où toutes les alternatives ont été interdites ou mises en faillite, c’est comme construire une ville sur la plage de Fukushima et attendre le prochain tsunami.

Les piles et les accumulateurs thermiques ne durent que peu de temps en cas de panne de courant, que l’on conduise ou que l’on se chauffe. La production d’électricité solaire et éolienne est généralement compromise lors d’un événement météorologique extrême. Dans un monde tout électrique, ce n’est que dans les régions rurales, où le bois et les poêles à bois abondent, que les humains pourraient survivre pendant une semaine sans électricité — pas une seule région urbaine dans un Québec tout électrique ne pourrait survivre deux semaines en janvier sans électricité. Dans tout le Québec, les générateurs électriques de secours alimentés par du combustible sont déjà considérés comme essentiels pour les installations critiques comme les hôpitaux et les résidences pour personnes âgées. Que se passera-t-il lorsqu’il n’y aura plus de combustible disponible ?

Une ruée idéologique vers le tout-électrique dans notre climat est totalement irresponsable. Nous avons actuellement un mélange d’électricité et de combustibles fossiles. Le véritable avenir vivable sera principalement constitué d’électricité, avec un soutien important d’hydrogène pour le chauffage et le transport. Mais d’ici là, nous nous engageons sur une voie suicidaire, en éliminant trop tôt notre chauffage d’appoint. C’est comme si nous étions bloqués sur un radeau de fortune dans l’océan, à la recherche d’un bateau. Sauter à l’eau avant que le bateau ne soit à portée de main n’est pas une réaction intelligente au fait que notre radeau ne nous plaît pas.

Le gaz naturel et le propane doivent être soutenus, avec le chauffage et le transport biénergie, jusqu’à ce que nous puissions réellement les remplacer par l’hydrogène. Le tout-électrique n’est pas une alternative responsable à court ou à long terme dans notre climat et nous devons planifier en conséquence. C’est cette réalité qui devrait être considérée comme politiquement correcte aujourd’hui.

Il est temps d’inclure l’éléphant dans la planification de la transition écologique et de la faire de manière intelligente et réaliste pour assurer un avenir plus vert et plus sécuritaire pour toutes les familles dans ce climat froid qui est le nôtre.




Les sept facteurs contribuant à l’achèvement du Nouvel Ordre Mondial

[Source : multipolaristen.de via RI]

Notre lutte antisataniste, la cinquième colonne et la desouverainisation généralisé

Une contribution à la méthodologie multipolariste

Par Peter Töpfer

Pour assurer la victoire de la multipolarité et la défaite de l’unipolarité sataniste, il s’agit pour nous, en Europe centrale et en Occident, de soutenir les forces patriotiques russes en tant qu’avant-garde de la multipolarité, mais aussi et surtout de ne pas soutenir ce que Alexandre Douguine appelle la cinquième colonne à l’intérieur de la Russie, c’est-à-dire les agents satanistes.  

Bien entendu, nous devons faire de même en Europe centrale et en Occident : lutter pour l’indépendance et la souveraineté de notre pôle, c’est-à-dire unir toutes les forces multipolaristes sur place. C’est nécessaire pour pouvoir mener victorieusement ce combat difficile. 

En Europe centrale et en Occident, notre devoir ne peut pas être de fermer les yeux sur l’existence d’une cinquième colonne. Nous devons essayer de faire la distinction, dans chaque situation, entre les forces patriotiques multipolaires et la cinquième colonne. Et nous devons veiller non seulement à combattre l’ennemi évident, mais aussi à ce que la cinquième colonne ne s’installe pas dans nos rangs ou que nous ne la laissions pas faire par confort et par paresse d’analyse. Penser en noir et blanc est d’une belle simplicité. 

Il ne faut en aucun cas sous-estimer la cinquième colonne. Si nous le faisons, nous courons tout droit — et dans l’illusion de résister — vers le cauchemar unipolaire qui se profile déjà clairement à l’horizon proche. 

Lorsque nous définissons les représentants des forces mondialistes au pouvoir d’un pays, nous avons généralement à l’esprit un groupe relativement restreint, infiltré au sein du système politique et administratif, qui sert les intérêts de l’ennemi extérieur. Et l’ennemi extérieur dans ce contexte est ce centre de commandement unique et extraterritorial associé aux élites anglo-saxonnes et aux États-Unis, qui impose un programme unique à tous les pays du monde. Mais avec le déclenchement de la fausse pandémie en 2020, on a vu que ce qu’on appelle habituellement la cinquième colonne n’est pas seulement un nombre limité, à des postes secondaires dans le système politico-administratif de ces pays, mais même les chefs d’État et toute l’équipe gouvernementale. Dans de tels cas, le terme « cinquième colonne » est trop restrictif et trop partiel, et la formulation la plus précise de ces nouvelles réalités géopolitiques serait la suivante : « régime d’occupation » ou peut-être « gouvernance étrangère ». 

En fait, à mon avis, il est nécessaire de dépasser certaines interprétations superficielles des réalités internationales d’aujourd’hui, fondées sur une grille de lecture dépassée ou déformée. Le moment est venu de reconnaître que la tâche assignée par les élites mondialistes au Club de Rome au titre d’élaborations théoriques et à l’ONU au titre d’exécution a été pleinement accomplie. Il s’agit du processus de desouverainisationde tous les pays du monde. Au-delà des rivalités et des conflits entre un certain nombre de pays et l’Occident collectif, un agenda unique apparaît de manière flagrante, imposé par des organisations internationales affiliées aux mondialistes, mais aussi par la tendance commune à promouvoir les mêmes politiques partout dans le monde.

Une évolution vraiment libre vers la multipolarité réelle ne peut toutefois pas être un simple slogan vide de sens, mais doit avoir un contenu et des critères concrets pour nous démarquer de l’ennemi. Si nous ne mettons pas clairement en évidence ces contenus, nous courons aveuglément à notre perte, et Satan ne s’arrête plus de rire.

Afin de garder ces critères à l’esprit et d’en désigner le contenu comme objectif de notre lutte, le catalogue des facteurs, tel qu’il a été établi par Iurie Roşca dans sa contribution à la Conférence internationale sur la multipolarité du 29 avril 20231, peut nous être utile. Iurie Roşca est l’un des militants multipolaristes et antisatanistes les plus éprouvés, ami et compagnon de lutte de longue date d’Alexandre Douguine. 

Ces facteurs — et le fait qu’ils se réalisent partout allègrement sous nos yeux — devraient tempérer quelque peu l’optimisme de certains compagnons de lutte trop naïfs et aider à renforcer la vue, pour ne pas dire à guérir la cécité. Il s’agit des facteurs suivants : 

Premier facteur : la pandémie Covid-19 [NDLR ou plus généralement la théorie virale et sa théorie mère, celle des germes, sans lesquelles aucune « plandémie » n’est possible] et sa réédition possible à tout moment comme accélérateur de la mise en place du Nouvel Ordre Mondial et l’OMS comme instrument du gouvernement mondial. 

Deuxième facteur : la technologie 5G en tant que menace pour la santé publique et en tant qu’instrument de contrôle et de commande mentale et comportementale.

Troisième facteur : la société sans argent liquide et la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC — Central Bank Digital Currency) comme fin imminente de la liberté humaine.

Quatrième facteur : l’introduction de documents électroniques pour un contrôle total. [NDLR Ou l’emprise d’Internet]

Cinquième facteur : les smart cities, les smart things, les smart bodies comme fin de la vie privée et éléments constitutifs du goulag mondial. [NDLR ou l’Intelligence Artificielle et l’informatique en général]

Sixième facteur : le mythe du changement climatique et l’escroquerie du « réchauffement climatique [anthropique] » comme élément significatif de la transformation de notre monde selon la matrice sataniste. [NDLR ou plus généralement le fanatisme écologique.]

Iurie Roşca ajoute comme septième facteur tous les signes du transhumanisme et de son frère jumeau, la technocratie, comme forme finale de la dictature mondiale satanique. Tous les pays ne seraient plus, selon Iurie Roşca, qu’en concurrence pour s’introduire le plus rapidement possible dans la « nouvelle normalité ». 

[Note de Joseph : ces sept facteurs sont liés au départ à une utilisation dévoyée ou sans conscience de la science et tous reposent sur l’informatique.
La théorie virale l’utilise pour notamment les séquençages génétiques qui s’avèrent n’être finalement que des opérations mentales. (Voir le dossier Vaccins et virus.)
La 5G est pilotée par l’informatique et l’électronique sous-jacente.
La CBDC, les documents électroniques, l’IA et le transhumanisme ne peuvent exister sans l’informatique.
Et le fanatisme écologique, notamment en matière climatique, s’appuie sur des modélisations logicielles. D’ailleurs, la science en général s’appuie de nos jours sur de tels modèles.
Sans l’informatique, tout cela, tous les « miracles » technologiques modernes n’existeraient pas.
Celle-ci a probablement été représentée dans l’Apocalypse de Jean par la Bête de la terre, bête qui pouvait aussi symboliser le pays sans qui elle ne serait pas devenue ce qu’elle est actuellement : les États-Unis avec ses deux pouvoirs (ou cornes) interchangeables que sont les Républicains et les Démocrates.
L’informatique repose sur le silicium, l’élément le plus abondant de la croûte terrestre après l’oxygène, notamment du fait de sa présence dans le sable des plages et des déserts.
Bill Gates est né aux États-Unis, a mondialisé l’usage de l’informatique via Microsoft, a prophétisé le smartphone et d’autres éléments liés à l’informatique, a été longtemps l’homme le plus riche du monde grâce à elle, pousse à la vaxination des milliards d’êtres humains pour leur implanter sa marque digitale (sous forme d’adresse MAC — voir notamment https://nouveau-monde.ca/les-vaxines-bluetooth-explications-et-consequences-probables/), sans laquelle en combinaison avec la 5G ou la proche 6G et les non moins proches CBDC il ne sera bientôt plus possible d’acheter et de vendre. Quel meilleur candidat Antéchrist ?
Voir aussi : Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist
et Intelligence Artificielle : Un regard séculaire sur l’antéchrist numérique]

Partout où ces facteurs se manifestent, l’ennemi et sa cinquième colonne sont reconnaissables. C’est à l’aune de ces facteurs que tous les acteurs doivent être jugés. Pour pouvoir classer les acteurs, nous ne devons pas attendre que des attentats soient perpétrés contre eux ou qu’ils soient encensés par les médias occidentaux. Seuls les critères énumérés ci-dessus peuvent nous aider à faire la distinction point par point entre amis et ennemis : entre l’unipolarité sataniste et la multipolarité réelle, fondée sur l’indépendance des pôles géopolitiques en tant qu’expression de l’identité civilisationnelle, religieuse et culturelle.

Il semblerait que le « Great Reset » des centres de pouvoir occidentaux prenne également pied dans les pays qui prétendent représenter des pôles géopolitiques alternatifs. L’application des mesures dictées par l’OMS contre la pseudo-pandémie, la numérisation complète de la société, le remplacement de l’argent liquide par des CBDC, etc. font partie de l’agenda officiel de tous les pays BRICS sans exception, ainsi que des pays musulmans qui revendiquent également leur autonomie par rapport à l’Occident.

Le projet mondialiste unique et uniformisant pour tous les pays sans exception est promu notamment à travers l’ONU, comme dans le cas de l’Agenda 21 pour le Développement Durable (climatisme, théorie du genre, féminisme, planification familiale, etc.), ainsi qu’à travers La Banque des règlements internationaux (le contrôle des banques centrales et l’imposition de la monnaie numérique). 

Un autre facteur dévastateur et homogénéisant, ce tsunami de culture de masse qui impose des modèles de vie, des fausses valeurs et une standardisation vestimentaire qui efface toute identité culturelle traditionnelle.

Dans ces conditions, alors que le monde est déjà globalisé par la révolution technologique, les différences entre les pays et les cultures se dissolvent à une vitesse énorme. Et aucun État, aucun chef d’État ou aucune force politique ne semble s’opposer à ces phénomènes d’homogénéisation qui conduisent le monde vers une unipolarité technocratique d’essence démoniaque. Dès lors, la tâche des intellectuels de la Résistance antimondialiste est d’établir un diagnostic juste et honnête de l’état du monde aujourd’hui afin de proposer des solutions pratiques pour sortir de cette impasse historique qui risque de pousser l’humanité dans une phase terminale.

Pour être plus direct encore, je dirais qu’à mon avis un homme d’État qui adhère au principe de multipolarité ne peut pas en même temps promouvoir la politique mondialiste à l’intérieur de son pays. Un homme d’État qui s’opposerait à l’unipolarité satanique serait celui qui rejette résolument le plan de gouvernement mondial unique imposé par les méthodes et les instruments énoncés ci-dessus. Et celui qui adhère à l’agenda décrit ci-dessus est le représentant direct de la cinquième colonne mondialiste dans son propre pays. Si quelqu’un connaît de tels dirigeants nationaux, merci de me le faire savoir. Un débat ouvert et franc à ce sujet serait le bienvenu.

[À propos de l’auteur]

Peter Töpfer : auteur de livres, éditeur, journaliste, traducteur, poète, musicien, directeur de l’Institut pour la vérité des profondeursdepuis 1977 dans la lutte anti-globaliste1989 : reporter de révolution en RDA et en Roumanie1989 : hebdomadaire conservateur „Der Montag“1989 : Cofondateur du Parti pour la réunification de l’Allemagne1995–1997 : Cofondateur Verlag der Freunde (Éditions des amis), auteur entre autres : Anatoli Ivanov, Igor Chafarevitch, Alexandre Routskoï, Reinhold Oberlercher, Serge Thion, magazine Sleipnir, auteurs entre autres : Alexandre Barkachov, Alain de Benoist, Christian Bouchet, Alexandre Dougine, Roger Garaudy, Pierre Guillaume, Tomislav Sunic, Jean Thiriart, 1997–2000 : auteur des Staatsbriefe1999 : avec Hans Cany (France) et Troy Southgate (Angleterre) fondeur du national-anarchisme2004–2006 : Cofondateur du comité « Liberté pour Horst Mahler ! »2006 : Participation à la conférence sur l’Holocauste à Téhéran avec le discours „Sauver l’Occident !“, publié dans : „Исследование Голокауста“ (2007, édition Алгоритм, Moscou)2015 : double CD „Wachablösung“ [Relève de la garde] : reprises allemandes autorisées par Bob Dylan avec essai „I’m not there / Ich bin nicht da“2015–2017 : auteur de Compactà partir de 2021 : travail de réflexion intensif sur les pensées d’Alexandre Dougine2022 : préface pour Alexandre Dougine : « Eurasische Mission » (édition allemande) : « Das Radikale Subjekt als Katechon » [Le sujet radical comme katechon], Publications de livres : nationale Anarchie (2004), Nationalanarchismus (2004), Gedichte [poèmes] (2005), Den Westen retten! [Sauver l’Occident !] (2006), Die Wahrheit — sie sagen und in ihr leben [La vérité — la dire et la vivre, base théorique de la vérité des profondeurs (2006), Pan-Agnostik. Für ein theistisch-agnostisches Bündnis im Kampf gegen den Great Reset [Pan-Agnostique. Pour une alliance théiste-agnostique dans la lutte contre le Great Reset] (2023), Traducteur de Serge Thion, Pierre Guillaume, Roger Garaudy, Robert Faurisson, Jean Raspail, Jean Mabire, Gilad Atzmon, Robert Dun, Sites Internet : https://peter-toepfer.de/, http://blog.peter-toepfer.de/, https://nationalanarchismus.de/, http://tiefenwahrheit.de/, https://multipolaristen.de/, http://peter-post.net/, http://faultierfarm.net/plus d’information


1 https://multipolaristen.de/multipolaristen/politik/internationale-politik/iurie-rosca-der-great-reset-und-das-ende-der-klassischen-geopolitik-30-04-2023/




L’Union européenne s’associe au gouvernement néerlandais pour fermer les fermes laitières, bovines, porcines et avicoles à travers le pays ! Bonne voie vers la famine

[Source : information645]

(Natural News) Les « coupures climatiques » sont là. L’Union européenne s’associe au gouvernement néerlandais pour fermer définitivement les exploitations laitières, bovines, porcines et avicoles aux Pays-Bas. Il y a à peine un an, le gouvernement néerlandais a annoncé un plan visant à réduire les émissions d’azote dans tout le pays de plus de 50 % d’ici 2030.
Le 2 mai, la Commission européenne a approuvé un plan qui paierait les éleveurs pour qu’ils ferment indéfiniment les zones de conservation désignées s’ils s’engagent à ne jamais reprendre la même activité d’élevage ailleurs. Les réglementations environnementales de l’UE sont une menace pour les libertés économiques fondamentales et les répercussions auront un impact sur les droits de l’homme et l’approvisionnement alimentaire lui-même.

Le Green Deal européen soudoie les petits agriculteurs pour qu’ils ferment définitivement

Dans le cadre du Green Deal européen, les gouvernements soudoient les petits et moyens agriculteurs pour qu’ils arrêtent définitivement leurs opérations parce que leurs installations produisent des niveaux élevés d’azote. L’azote est désormais étiqueté comme un « polluant » qui devrait être réduit de 50 % dans toute l’Europe. Dans le cadre du Green Deal, il est « nécessaire et approprié » d’« améliorer les conditions environnementales des zones ciblées et de permettre une production de haute qualité, durable et respectueuse de l’environnement », ce qui implique la fermeture de centaines de petites exploitations. Le gouvernement néerlandais a prévu un budget d’environ 1,47 milliard d’euros (1,62 milliard de dollars) pour rembourser les agriculteurs et les fermer définitivement.

Les fonds seront utilisés pour indemniser les agriculteurs « jusqu’à 100 % » des pertes qu’ils subissent après avoir accepté « volontairement » de fermer les sites d’élevage laitiers, bovins, porcins et avicoles. La Commission européenne appelle ces rachats des « subventions directes ».

Dans le cadre du plan du gouvernement, ces nouveaux rachats de petites et moyennes exploitations sont appelés « programmes ». Le gouvernement néerlandais maintiendra les programmes en vigueur jusqu’en février 2028, jusqu’à ce que la plupart des exploitations agricoles soient regroupées entre les mains de quelques-uns. La Commission européenne affirme que les régimes sont « proportionnés » et que la compensation « apporte des effets positifs qui l’emportent sur toute distorsion potentielle de la concurrence et des échanges dans l’Union européenne ».

Les agriculteurs ne sont éligibles aux rachats que s’ils peuvent prouver qu’ils ont produit pendant cinq années consécutives. Les mondialistes du WEF à l’origine du nouveau plan savent que les Pays-Bas sont l’un des principaux exportateurs de viande et de produits agricoles dans le monde. Selon l’Office national des statistiques, les exportations agricoles néerlandaises s’élevaient à 122,3 milliards d’euros l’année dernière. Les agriculteurs se battent contre les nouvelles règles environnementales qui menacent leur existence même, mais le gouvernement néerlandais conspire avec le WEF.

L’UE détruit les libertés fondamentales et restreint la production alimentaire, le tout pour le « plus grand bien ».

Robbin Voorend est l’un de ces agriculteurs qui se sont prononcés sur le Green Deal européen. Les programmes gouvernementaux d’émissions d’azote ont déjà réduit sa production animale de 90 à 95 %. Le producteur laitier Martin Neppelenbroek atteste que le gouvernement a abattu 95 % de son troupeau.

Ces stratagèmes ne suffiront pas à convaincre chaque agriculteur de fermer ses portes, donc des pots-de-vin et des paiements supplémentaires seront inclus dans le plan plus large. Dans le cadre du programme LBV-plus de 975 millions d’euros (1,77 milliard de dollars), certains agriculteurs qui arrêtent les opérations à haut niveau d’azote recevront jusqu’à 120 % de compensation de la capacité de production perdue. Dans le cadre du Green Deal européen, les États membres peuvent accorder à certains agriculteurs un « bonus vert » supplémentaire de 20 % — s’ils ferment leurs exploitations pour des raisons « environnementales ».

La commentatrice politique néerlandaise Eva Vlaardingerbroek estime que les rachats de l’UE pourraient fermer définitivement 3 000 fermes néerlandaises ou plus.

« C’est comme ça qu’ils font : ils mettent un couteau sous la gorge des agriculteurs. Ils s’assurent de ne pas renouveler leurs licences, ils les affligent chaque jour de nouvelles règles et restrictions, puis leur offrent un pot-de-vin, sachant que beaucoup le prendront par pur désespoir. Tout est si ignoble », a écrit Vlaardingerbroek, tout en remettant en question la légalité du gouvernement interdisant aux agriculteurs de recommencer.

« Toute l’idée de l’UE était censée concerner la liberté de circulation et la liberté des travailleurs. Ce sont des trucs de l’URSS de niveau supérieur », a averti Vlaardingerbroek.

Les sources comprennent :




La viande sera-t-elle interdite ?

[Source : articles.mercola.com]

Par Dr Mercola

Résumé

La viande est un aliment de base célèbre depuis l’aube de l’humanité. Jamais personne n’a eu besoin de justifier la consommation de protéines animales — jusqu’à aujourd’hui.

Selon la cabale mondialiste qui s’efforce d’obtenir le monopole de l’approvisionnement alimentaire, la consommation de viande est au cœur du changement climatique provoqué par l’homme et doit cesser.

Outre les appels à une interdiction pure et simple de la consommation de viande, d’autres stratégies coercitives ont également été proposées, telles que la modification des subventions agricoles et des lois commerciales, la modification des régimes alimentaires dans les hôpitaux et les écoles, l’ajout d’étiquettes d’avertissement, l’éducation (lire : la propagande) et diverses taxes, y compris des taxes spécifiques sur la viande et des taxes plus générales sur le carbone.

Selon des chercheurs de l’Université d’Oxford, la production de viande et de produits laitiers est responsable de 60 % des émissions de gaz à effet de serre produites par le secteur agricole. Ils affirment également que le bétail utilise 83 % des terres agricoles disponibles alors qu’il ne fournit que 18 % des calories et 37 % des protéines alimentaires.

Mais les préoccupations environnementales ne sont pas les seules à prendre en compte. La santé humaine doit également être prise en compte, et les chercheurs avertissent que nous ne savons pratiquement rien des effets à long terme sur la santé des substituts de viande cultivés et à base de plantes. Une enquête récente a révélé que les viandes d’origine végétale contiennent de grandes quantités de substances antinutritionnelles qui empêchent l’absorption par l’organisme de minéraux tels que le fer et le zinc, ce qui pourrait entraîner des carences nutritionnelles problématiques.


La viande est un aliment de base célèbre depuis l’aube de l’humanité.1 Personne n’a jamais eu besoin de justifier la consommation de protéines animales — jusqu’à aujourd’hui. Selon la cabale mondialiste qui s’efforce d’obtenir le monopole de l’approvisionnement alimentaire, la consommation de viande est au cœur du changement climatique provoqué par l’homme et doit cesser afin de « sauver la planète ».

En septembre 2019, un avocat britannique est allé jusqu’à demander l’adoption de nouvelles lois interdisant la consommation de viande pour protéger l’environnement, et ce genre de folie ne fera probablement que s’intensifier avec le temps. Comme le rapportait le Guardian à l’époque2:

« L’avocat Michael Mansfield a suggéré l’adoption de nouvelles lois contre l’écocide — les pratiques qui détruisent la planète — et, dans ce cadre, la viande pourrait être visée. Je pense qu’au vu des dégâts que la consommation de viande cause à la planète, il n’est pas absurde de penser qu’un jour elle deviendra illégale », a-t-il déclaré.

Outre l’interdiction pure et simple de la consommation de viande, d’autres stratégies coercitives ont également été proposées, telles que la modification des subventions agricoles et des lois commerciales, la modification des régimes alimentaires dans les hôpitaux et les écoles, l’ajout d’étiquettes d’avertissement, l’éducation (lire : la propagande) et la mise en place de diverses taxes, y compris des taxes spécifiques sur la viande et des taxes plus générales sur le carbone.3

La santé humaine sacrifiée à l’environnement

Le Guardian cite une recherche4,5,6 de l’Université d’Oxford, publiée à l’été 2018, qui affirme que la production de viande et de produits laitiers est responsable de 60 % des émissions de gaz à effet de serre produites par le secteur agricole, et que le bétail utilise 83 % des terres agricoles disponibles alors qu’il ne fournit que 18 % des calories et 37 % des protéines alimentaires.

Les préoccupations environnementales ne peuvent pas être la seule considération. La santé humaine doit également être prise en compte, et les chercheurs avertissent que nous ne savons pratiquement rien des effets à long terme sur la santé des substituts de viande cultivés et d’origine végétale.

Mais les préoccupations environnementales sont-elles le seul facteur valable dans cette équation ? Qu’en est-il de la santé humaine ? Est-il raisonnable de condamner intentionnellement l’ensemble de l’humanité à une mauvaise santé et à une faible cognition simplement parce qu’une petite cabale assoiffée de pouvoir prétend que la production alimentaire a un impact néfaste sur le climat ?

De nombreuses activités poursuivies par ces mondialistes ont des effets néfastes sur l’environnement, mais on ne les voit pas s’attaquer à ces problèmes. Au lieu de cela, ils s’en prennent à la nourriture !

L’aspect le plus exaspérant de ce débat est le fait que la santé humaine et la santé environnementale peuvent être optimisées simultanément. Si la cabale mondialiste avait vraiment de bonnes intentions, elle inciterait les agriculteurs à adopter des pratiques agricoles régénératrices et une gestion holistique du bétail.

Le problème serait résolu. Nous aurions des aliments plus sains et plus denses en nutriments et l’environnement se régénérerait rapidement. La normalisation du climat ne tarderait pas à suivre. Pour en savoir plus, voir « L’alimentation et l’agriculture régénératives : Survie et renaissance ».

Mais non, l’agriculture régénératrice ne fait même pas partie de la discussion. Elle est intentionnellement ignorée, et c’est ainsi que l’on sait que les mondialistes n’ont pas l’intention de résoudre un problème réel. Leur intention est de contrôler l’approvisionnement alimentaire en s’assurant que tous les aliments sont brevetables et leur appartiennent.

Une étude met en garde : l’interdiction de la viande nuirait à la santé humaine

De l’autre côté de ce débat, nous avons des recherches7 qui montrent que l’élimination de la viande et des produits laitiers de l’alimentation humaine aurait des conséquences néfastes sur la santé. Comme l’a rapporté Nutrition Insight à la mi-avril 20238:

« Parmi les recherches de plus en plus nombreuses établissant un lien entre la diminution de la consommation de viande et divers avantages pour la santé, une nouvelle étude conclut qu’il est risqué de supprimer ou de réduire la consommation de viande dans les régimes alimentaires, car la viande est un aliment riche en nutriments qui “continue à jouer un rôle clé dans la santé et le développement de l’être humain”.

Les chercheurs expliquent que la viande est une source de protéines et de nutriments de haute qualité qui ne sont pas toujours faciles à obtenir avec des régimes sans viande et qui sont souvent sous-optimaux ou déficients dans les populations mondiales.

“Les aliments d’origine animale sont supérieurs aux aliments d’origine végétale pour ce qui est de fournir simultanément plusieurs micronutriments biodisponibles et des macronutriments de haute qualité essentiels à la croissance et au développement cognitif”, note le Dr Adegbola Adesogan, directeur du Global Food Systems Institute de l’Université de Floride et coauteur de l’étude. Les recommandations diététiques visant à éliminer les aliments d’origine animale des régimes alimentaires ne tiennent pas compte de leur importance… »

En effet, comme indiqué dans le présent document9, l’anatomie, la digestion et le métabolisme humains indiquent que l’espèce humaine est non seulement compatible avec une consommation relativement importante de viande, mais qu’elle en est également tributaire, et le fait de déconnecter l’ensemble de la population de nos modèles alimentaires évolutifs augmente le risque de carences en nutriments et de maladies chroniques, au lieu de le réduire.

La viande est plus que la somme des nutriments individuels

Nous savons déjà que la prépondérance des aliments transformés dans le régime alimentaire occidental est responsable de la charge de morbidité actuelle, et la suppression de l’un des rares aliments entiers restants — la viande — ne fera sans doute qu’aggraver la situation.

Parmi les nutriments spécifiques présents dans la viande et difficiles à obtenir dans les régimes sans viande figurent les vitamines B, en particulier la vitamine B12, le rétinol, les acides gras oméga-3 à longue chaîne, le fer et le zinc sous des formes biodisponibles, la taurine, la créatine et la carnosine, qui ont tous des fonctions importantes pour la santé. Comme le notent les auteurs10:

« En tant que matrice alimentaire, la viande est plus que la somme de ses nutriments individuels. De plus, au sein de la matrice alimentaire, elle peut servir d’aliment clé dans les interventions diététiques basées sur l’alimentation pour améliorer l’état nutritionnel, en particulier dans les régions qui dépendent fortement des céréales de base.

Les efforts visant à réduire la consommation mondiale de viande pour des raisons environnementales ou autres au-delà d’un seuil critique risquent d’entraver les progrès vers la réduction de la dénutrition et de ses effets sur les résultats physiques et cognitifs, et donc d’étouffer le développement économique…

Abstraction faite du degré d’impact négatif que la viande peut avoir sur divers facteurs liés à la santé humaine et planétaire, l’objectif du présent article est de résumer les aspects nutritionnels positifs de la consommation de viande.

La mise en évidence, la compréhension et la pondération de ces paramètres seront nécessaires pour permettre une analyse coût-bénéfice appropriée de toute transformation du système alimentaire, et en particulier de celles qui visent à réduire fortement, voire à éliminer, la consommation de viande ».

Nous avons un problème d’origine humaine. Fort bien

Nous avons un problème d’origine humaine, mais il ne s’agit pas du changement climatique en tant que tel. Le problème est que la production alimentaire a été dénaturée. Dans un article paru le 24 avril 2023 dans The Scotsman11, le chroniqueur Philip Lymbery partage ses souvenirs d’un voyage dans la vallée agricole italienne.

Alors qu’il visitait de « jolis villages », « des pâturages et des champs de culture à perte de vue », il s’est rapidement rendu compte qu’il manquait quelque chose : le bétail. Il n’a jamais vu un seul animal de ferme. Les pittoresques pâturages étaient tous vides.

« Où étaient les vaches qui produisaient le lait pour le Parmesan ou le Grana Padano, célèbres dans le monde entier ? Ou les porcs réputés pour le jambon de Parme ? Ou les poules produisant les œufs pour la carbonara ? Ce que j’ai découvert, c’est que les agriculteurs de la région agricole la plus riche d’Italie avaient oublié comment garder les animaux à l’extérieur.

Ils avaient tout simplement un angle mort. Ils ne voyaient pas pourquoi il n’était pas juste de les garder enfermés à l’intérieur toute la journée, tous les jours. Ils ne voyaient pas l’ironie de faire pousser de l’herbe, de la tondre et de la mettre en balles pour nourrir les vaches incarcérées », écrit-il.

« Ils avaient perdu de vue le fait que les vaches, les cochons et les poulets aiment autant que nous l’air frais et le soleil. Cela m’a fait penser à une autre phrase de Locatelli : “Il vaut mieux avoir une viande fantastique une fois par semaine que de se gaver tous les jours de viande bon marché, élevée sans soin. Nous devons tous nous habituer à la qualité et non à la quantité”. »

Même les produits alimentaires présentés comme issus de vaches nourries à l’herbe, comme le célèbre parmesan italien Parmigiano Reggiano, ont été élevés en intérieur, a découvert M. Lymbery. Au lieu de laisser les vaches brouter librement dans tous ces pâturages, l’herbe coupée est jetée dans des usines obscures où des centaines de vaches sont entassées.

Selon M. Lymbery, moins de 1 % des fermes italiennes qui fournissent des produits laitiers pour la production de parmesan ont laissé les vaches paître librement à l’extérieur en 2016. (Il a demandé au consortium qui régit la fabrication du parmesan des statistiques actualisées pour 2023, mais n’a pas reçu de réponse). Au lieu de cela, le « zéro pâturage » est la norme, c’est-à-dire que les vaches sont gardées en permanence à l’intérieur.

M. Lymbery a également découvert, au cours de ses voyages en Italie, que les champs de culture sont principalement destinés à l’alimentation animale, et non à l’alimentation humaine. Ce sont ces pratiques qui ont un effet néfaste sur l’environnement. C’est l’élevage industriel qui pose problème, et non l’agriculture ou la production alimentaire en général. Comme indiqué précédemment, la solution réside dans l’agriculture régénératrice et l’élevage holistique, et non dans la multiplication des faux aliments transformés.

Les fausses viandes ne sont pas un substitut viable à la vraie viande


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Comme indiqué dans le document « La viande rouge n’est pas un risque pour la santé », la recherche a démontré que la viande rouge non transformée ne présente qu’un risque très faible d’effets néfastes sur la santé, si tant est qu’il y en ait. En revanche, les élevages de viande sont d’importants producteurs d’émissions de CO2 et il a été démontré que les viandes d’origine végétale inhibent l’absorption des minéraux chez l’homme.

Ces deux substituts de viande sont également ultra-transformés12 et peuvent donc entraîner le même type de détérioration de la santé que d’autres aliments transformés. L’obésité13, le diabète de type 2, les maladies cardiovasculaires, le cancer et la dépression ne sont que quelques exemples d’affections dont on sait qu’elles sont favorisées et exacerbées par un régime alimentaire à base d’aliments transformés14,15,16,17,18.

En décembre 2022, des chercheurs suédois ont averti que les substituts de viande à base de plantes présentaient des niveaux très élevés de phytates — des antinutriments qui inhibent l’absorption des minéraux dans le corps humain. Par conséquent, même si le substitut de viande semble contenir de nombreux nutriments nécessaires, tels que le fer, votre corps ne peut pas les absorber. Il est tout à fait prévisible que les substituts de viande à base de plantes puissent entraîner des carences en nutriments préjudiciables à la santé. Comme le rapporte Nutrition Insight19:

« L’étude, publiée dans la revue Nutrients, a analysé 44 substituts de viande vendus dans les supermarchés suédois, principalement composés de protéines de soja et de pois. Elle comprenait également des produits à base de soja fermenté (tempeh) et des mycoprotéines (champignons).

Tous les produits avaient une teneur élevée en fer et en zinc, mais une faible biodisponibilité (à l’exception du tempeh et des produits à base de mycoprotéines). Cela signifie que les minéraux traversent le tractus gastro-intestinal sans être absorbés », explique à NutritionInsight Ann-Sofie Sandberg, co-auteur de l’étude et professeur de sciences de l’alimentation et de la nutrition à l’université de Chalmers.

Sandberg précise que les mycoprotéines ne contenaient pas de fer, mais des quantités relativement élevées de zinc. L’absorption du zinc pourrait être influencée négativement par les parois cellulaires des champignons, bien que cela ne soit pas encore connu.

Parmi ces produits, nous avons constaté une grande variation dans le contenu nutritionnel et dans la façon dont ils peuvent être durables du point de vue de la santé. En général, l’absorption estimée de fer et de zinc à partir de ces produits était extrêmement faible », déclare Cecilia Mayer Labba, auteur principal de l’étude…

Sandberg explique que le fer le plus disponible pour l’absorption provient de la viande et du poisson contenant du fer héminique, qui est très facilement absorbé. La viande et le poisson contiennent également ce que l’on appelle le « facteur viande » — des tissus musculaires ou des acides aminés — qui stimule l’absorption du fer non héminique dans l’ensemble du repas. Il y a donc deux raisons pour lesquelles les protéines animales sont supérieures pour l’absorption du fer. L’absorption du zinc est également stimulée par les protéines animales.

Le décret jette les bases des aliments créés en laboratoire

Les dirigeants gouvernementaux semblent toutefois ignorer totalement les risques liés à une transition globale des aliments réels et entiers vers des alternatives transformées et synthétiques.

En septembre 2022, le président américain Joe Biden a signé un « décret sur l’avancement de la biotechnologie et de l’innovation en matière de biofabrication pour une bioéconomie américaine durable, sûre et sécurisée »20, qui ouvre la voie à la prise en charge de la production alimentaire par la biotechnologie.

Fin mars 2023, Joe Biden a développé ce principe dans un rapport intitulé « Bold Goals for U.S. Biotechnology and Biomanufacturing »21 [Des objectifs audacieux pour la biotechnologie et la biofabrication aux États-Unis]. Selon ce plan, l’industrie alimentaire doit être dirigée par la biotechnologie, et les « améliorations » auxquelles nous pouvons nous attendre sont davantage de viandes cultivées en laboratoire et d’aliments végétaux issus de la bio-ingénierie. Un plan similaire est également détaillé dans la loi britannique de 2023 sur les technologies génétiques et l’élevage de précision22.

Parmi les objectifs spécifiques mis en avant dans le rapport « Bold Goals »23 de Joe Biden figure la réduction des émissions de méthane provenant de l’agriculture de 30 % d’ici 2030, en partie grâce à la réduction des émissions de méthane provenant du bétail ruminant.

Alors que Bill Gates investit dans le développement de masques faciaux capturant le méthane pour le bétail24, le moyen le plus simple de réduire les émissions provenant du bétail est d’éliminer purement et simplement les animaux, ce qui, bien entendu, signifie moins de nourriture réelle.

Parmi les nombreux problèmes posés par ce plan, il y a le fait que les contribuables paieront désormais pour le financement par le gouvernement des sociétés privées impliquées dans l’industrie des faux aliments. Le résultat final est hautement prévisible. Il s’agira d’une répétition de ce qui s’est passé avec les subventions agricoles.

Au lieu de subventionner les aliments les plus nutritifs, les subventions agricoles gouvernementales vont presque exclusivement aux grandes exploitations de monoculture qui cultivent du maïs génétiquement modifié, du soja et d’autres ingrédients de base utilisés dans les aliments transformés. En conséquence, l’industrie des aliments transformés s’est développée à nos dépens, tandis que la santé publique s’est détériorée.

La même chose va se produire ici. Au lieu d’investir dans l’agriculture régénératrice, le gouvernement soutient une toute nouvelle industrie de faux aliments, allant des viandes cultivées en laboratoire à la production d’insectes à grande échelle. Pendant ce temps, les données relatives à la sécurité des viandes d’origine végétale, des viandes synthétiques cultivées et des protéines d’insectes font cruellement défaut.

Pour ne citer qu’un exemple, un rapport de mars 2023 sur l’identification des risques alimentaires25 de l’agence britannique des normes alimentaires (FSA) et des normes alimentaires d’Écosse souligne qu’il existe des « lacunes considérables dans les connaissances » en ce qui concerne la production de viande à base de cellules. Il existe peu ou pas de données sur la toxicologie, les profils nutritionnels, la stabilité des produits, les risques d’allergie, les risques de contamination et les effets indésirables de ces produits lorsqu’ils sont consommés par l’homme.

Exemples de dangers potentiels

Les problèmes potentiels identifiés par la FSA sont les suivants:26,27

Réactifs, bains d’air ou d’eau contaminés
Matériel mal nettoyé ou mal entretenu
Non-respect des protocoles de nettoyage lors de la culture de cellules
Non-respect des bonnes pratiques de laboratoire (BPL) et/ou des bonnes pratiques de fabrication (BPF)
Utilisation d’antibiotiques, de fongicides et/ou de produits chimiques toxiques pour l’homme dans la production
Consommation de virus utilisés dans le processus de fabrication
Contamination croisée d’une lignée cellulaire par une autre en raison de l’utilisation concomitante de plusieurs lignées cellulaires
D’autres risques de contamination croisée, tels qu’un mauvais entretien des équipements, de mauvaises méthodes de nettoyage, un stockage incorrect des cellules, l’utilisation de plusieurs lignées cellulaires dans une même zone, l’utilisation de mauvaises cellules et un étiquetage incorrect.
Nouvelles maladies et/ou réactions allergiques à de nouvelles protéines en raison de l’utilisation de lignées cellulaires d’animaux qui ne sont pas courants dans le régime alimentaire local
Carences nutritionnelles, « étant donné que le profil nutritionnel peut être différent de ce qu’il remplace ».

Comme l’indique le rapport sur l’identification des risques alimentaires28:

« Il existe de nombreuses étapes de développement pour la production de viande cultivée… depuis le prélèvement d’une lignée cellulaire dans un petit flacon ou une biopsie et l’augmentation du volume de culture par étapes (prolifération), jusqu’à ce qu’un bioréacteur de taille commerciale puisse être ensemencé, jusqu’à la différenciation des cellules pour obtenir le type de cellule final souhaité.

Ensuite, ils les font mûrir, généralement sur un support, pour augmenter la teneur en protéines, puis détachent/broient les cellules avec/de leur support pour obtenir un produit final qui peut être utilisé pour fabriquer des cellules semblables à celles de la viande. À chaque étape, différents produits chimiques, produits biologiques, milieux de culture, additifs et suppléments sont utilisés pour garantir une culture réussie. »

La contamination peut se produire à chacune de ces étapes. Chaque additif présente également des risques potentiels, connus et inconnus, car divers sous-produits sont créés au cours du processus. Dans la vidéo plus haut, je passe en revue quelques-uns des nombreux dangers potentiels associés aux fausses viandes.

Compte tenu du traitement en plusieurs étapes auquel sont soumises les viandes cultivées, il est tout simplement impossible qu’elles soient aussi sûres que les viandes conventionnelles, pour lesquelles les principaux risques de contamination se limitent à l’abattage, au traitement, à l’emballage, à la distribution et au stockage. Avec les fausses viandes, une contamination dangereuse peut se produire à n’importe quel moment de la fabrication, en plus de ces « points faibles » conventionnels.

Les aliments ultra-transformés n’ont rien d’écologique

Les aliments ultra-transformés vont également à l’encontre des objectifs écologiques et durables. Par exemple, les aliments ultra-transformés sont déjà responsables de 17 % à 39 % de la consommation totale d’énergie liée à l’alimentation, de 36 % à 45 % de la perte totale de biodiversité liée à l’alimentation et jusqu’à un tiers des émissions totales de gaz à effet de serre liées à l’alimentation.29

Alors, comment l’augmentation de la fabrication et de la consommation d’un nombre encore plus important d’aliments ultra-transformés va-t-elle permettre de réduire les émissions de gaz à effet de serre ? Comme l’indique un article paru en septembre 2022 dans le Journal of Cleaner Production30:

« Les aliments ultra-transformés sont des produits fondamentalement non durables ; ils ont été associés à des résultats sanitaires et sociaux médiocres et leur production nécessite des ressources environnementales limitées… ils sont responsables d’une quantité importante d’énergie liée à l’alimentation, et d’émissions de gaz à effet de serre ».

Et malgré tous les beaux discours sur l’« équité », l’augmentation de la consommation d’aliments transformés aggravera les inégalités économiques, car elle détournera l’argent des petits agriculteurs et des exploitants indépendants vers les sociétés transnationales qui font appel à des travailleurs sous-payés.

La viande bovine sera-t-elle interdite ?

Aussi fou que cela puisse paraître, il y a toutes les raisons de penser qu’une interdiction de la viande finira par devenir réalité. Personnellement, je ne pense pas que cela se fera par le biais de lois interdisant la consommation de viande.

Au contraire, la viande sera tout simplement supprimée au fur et à mesure que les agriculteurs seront contraints de limiter la taille de leurs troupeaux pour se conformer aux diverses restrictions sur l’utilisation des engrais et aux limites des émissions de carbone. De fausses alternatives prendront alors leur place et, au fil du temps, les gens oublieront comment produire leur propre nourriture. À ce moment-là, l’humanité sera entièrement capturée et réduite en esclavage.

[Voir aussi :
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]

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En fin de compte, si nous voulons être libres et si nous voulons la sécurité alimentaire, nous devons concentrer nos efforts sur la construction d’un système décentralisé qui relie les communautés aux agriculteurs qui cultivent de vrais aliments de manière durable et qui distribuent ces aliments localement.

Les stratégies permettant d’y parvenir ont été abordées lors du symposium Attack on Food [Attaque contre l’alimentation] organisé par la Children’s Health Defense le 4 mars 2023 (voir la vidéo ci-dessus). Par exemple, le Dr John Day et Beverly Johannson ont donné des conseils sur la manière de cultiver sa propre nourriture et de conserver les aliments que l’on cultive. Parmi les autres stratégies utiles, citons l’achat d’aliments auprès des agriculteurs locaux et des marchés de producteurs, ainsi que la création de plateformes alimentaires indépendantes qui éliminent les intermédiaires.

La dernière session du symposium a porté sur des solutions sociétales plus larges pour lutter contre la guerre de l’alimentation. Le représentant américain Thomas Massie a mis en évidence les principales vulnérabilités de l’approvisionnement alimentaire américain, qui s’est effondré pendant la pandémie lorsque les agriculteurs ont dû euthanasier les animaux parce qu’ils ne pouvaient pas les faire transformer.

Quatre conditionneurs de viande contrôlent 85 % de la viande transformée aux États-Unis. L’un d’entre eux appartient à la Chine, un autre au Brésil et les deux autres sont des multinationales. Les prix des denrées alimentaires augmentent alors que les agriculteurs sont ruinés. En 2017, Massie a présenté le Processing Revival and Intrastate Meat Exemption (PRIME) Act31, mais le projet de loi n’a pas avancé depuis son introduction à la Chambre.

La loi PRIME permettrait aux agriculteurs de vendre de la viande transformée dans de petites installations d’abattage et aux États de fixer leurs propres normes de transformation de la viande. Les petits abattoirs n’ayant pas d’inspecteur parmi leur personnel — une exigence que seules les grandes installations peuvent facilement remplir — il leur est interdit de vendre leur viande. La loi PRIME supprimerait cette réglementation sans sacrifier la sécurité, puisque des inspections aléatoires de l’USDA pourraient toujours avoir lieu.

« Si un agriculteur souhaite vendre du porc, du bœuf ou de l’agneau à un consommateur, tant que ce consommateur, cet agriculteur et ce transformateur se trouvent dans le même État et ne franchissent pas les frontières de l’État, le gouvernement fédéral n’intervient pas dans cette transaction », a déclaré M. Massey.

M. Massey a également présenté un projet de loi visant à protéger l’accès au lait cru (HR 4835, Interstate Milk Freedom Act of 202132).33 Ce projet de loi a été présenté à la fin du mois de juillet 2021, sous la forme d’un amendement à la loi agricole de 2018. Contactez vos représentants et demandez-leur de soutenir ces projets de loi.


Sources et Références

1, 7, 9, 10 Animal Frontiers April 15, 2023

2, 3 The Guardian September 23, 2019

4 Science June 1, 2018; 360: 987-992

5 Science Erratum February 22, 2019

6 The Guardian May 31, 2018

8 Nutrition Insight April 17, 2023

11 The Scotsman April 24, 2023

12 Friends of the Earth, From Lab to Fork, June 2018 (PDF)

13 Cell Metabolism, 2019; doi: 0.1016/j.cmet.2019.05.008

14 JAMA Internal Medicine February 11, 2019;179(4):490-498

15 BMJ February 14, 2018; 360

16 JAMA 2017;317(9):912-924

17 BMJ, 2019;365:I1451

18 BMJ, 2019;365:l1949

19 Nutrition Insight December 9, 2022

20 White House Executive Order on Advancing Biotechnology September 12, 2022

21, 23 Bold Goals for US Biotechnology and Biomanufacturing March 2023

22 Genetic Technology (Precision Breeding) Act 2023

24 Cowboy State Daily March 23, 2023

25, 26 Food standards Agency Hazards Identification Report November 2022

27 Food Safety News March 24, 2023

28 Food standards Agency Hazards Identification Report November 2022, Page 8

29, 30 Journal of Cleaner Production September 25, 2022; 368: 133155

31 HR 2657 PRIME Act

32 HR4835 Interstate Milk Freedom Act 2021

33 Thomas Massie Press Release July 30, 2021




L’inclusion à l’honneur lors du Couronnement de Charles III

Par Gérard Le Maître

NB : Je ne vais pas me faire que des amis avec cette critique. La Royauté british fait beaucoup rêver, et même en France certains l’envient, imaginant que ce pourrait être l’une des solutions pour notre pays… Pourtant n’avons-nous pas un monarque… selon certaines mauvaises langues…?

L’inclusion à l’honneur lors du Couronnement de Charles III le Charlot-écolo-mondialiste

Couronnement : le roi Charles III souhaite mettre en avant le multiculturalisme

Le Grand Remplacement en marche au Royaume-Uni

Le Grand Remplacement prend tout son sens au Royaume-Uni. Un Premier ministre à Londres d’origine hindoue, un Premier ministre en Écosse d’origine pakistanaise et musulmane, et un maire de Londres tout aussi pakistanais et musulman, témoignent amplement de l’inclusion sous toutes ses formes, chère aux élites britanniques et du Grand Remplacement religieux, ethnique, sociétal, en cours dans l’île des Grands-Bretons.(([1] https://www.medias-presse.info/coran-couronnement-de-charles-iii/174103/))

Après la cérémonie de couronnement, une salutation conjointe des autres religions sera lue.

Selon le programme, des représentants du judaïsme, de l’islam, de l’hindouisme, du bouddhisme et des sikhs salueront Charles III en « voisins dans la foi ».

Ce virage œcuménique est encouragé par l’archevêque de Canterbury, Justin Welby. Par sa fonction, il diffuse ses idées très progressistes : il est favorable à la bénédiction des couples de même sexe, de plus, il aimerait que l’ordination des femmes évêques soit autorisée. C’est en vertu de ses convictions qu’il accepte que la religion anglicane ne soit pas la seule à être représentée lors de la cérémonie.(([2] https://www.bvoltaire.fr/couronnement-le-roi-charles-iii-souhaite-mettre-en-avant-le-multiculturalisme/))

Écologiste, il se dit, le Charlot ? Oui peut-être, il fallait bien qu’il occupe son oisiveté princière richissime et qu’on parle de lui de temps en temps autrement que de ses déboires de cœur et de famille…

Le faste et la débauche de centaines de millions de Sterling vont être claqués, sont-ils bien compatibles avec le bien de la planète ?

Des centaines d’avions et de jets des Grands du Monde vont affluer pour combien de milliers de tonnes de CO2 ? Tout cela est-il bien compatible pour sauver la planète qu’ils disent tellement en danger ??

Mais il est surtout devenu un agent et l’idiot (très) utile du mondialisme du FORUM de DAVOS du sinistre Klaus SCHWAB fils de dignitaire nazi.

Initiative « The Great Reset » : le Forum de Davos, le Prince Charles et autres mondialistes veulent une réinitialisation de l’économie « post-COVID »

Présentant le Great Reset Initiative dont il est l’un des principaux promoteurs, le Prince Charles a même semblé assez satisfait de la situation : « Nous avons une occasion en or de tirer quelque chose de bon de cette crise. Ses ondes de choc sans précédent pourraient bien rendre les gens plus réceptifs aux grandes visions du changement », a-t-il déclaré.

« Le choc et la grande peur mondiale sont en effet de puissants moteurs », disait-il…

Justement cette peur qui a été sublimée par les politiques, les médias, pour faire avaler toutes les restrictions, privations de libertés, obligation des injections de poison, a parfaitement fonctionné

Parmi les citations clefs de la réunion virtuelle en ligne au cours de laquelle le président du Forum économique mondial, le professeur Klaus Schwab, le prince Charles et plusieurs autres personnes ont présenté l’initiative Great Reset, on trouve de nombreuses remarques de ce type.

Affirmant que le « changement climatique » était un danger bien plus grand que la pandémie de coronavirus, le Prince Charles a appelé de ses vœux une « reprise verte » : « C’est une occasion que nous n’avons jamais eue auparavant et que nous n’aurons peut-être plus jamais », a-t-il déclaré. Recourant à des pronoms féminins pour évoquer « la Planète », ce qui revient, en anglais, à lui attribuer une personnalité, Charles a ajouté : « Nos activités ont endommagé son système immunitaire. »(([3] https://tanikomadagascar.wordpress.com/2020/12/08/initiative-the-great-reset-le-forum-de-davos-le-prince-charles-et-autres-mondialistes-veulent-une-reinitialisation-de-leconomie-post-covid/))

« Nous n’avons pas d’alternative, car sinon, à moins que nous ne prenions les mesures nécessaires et que nous reconstruisions d’une manière plus verte, plus durable et plus inclusive, nous finirons par avoir [plus] de pandémies et [plus] de catastrophes accélérant le réchauffement de la planète et le changement climatique », avait déclaré le prince Charles, reprenant le refrain du FEM selon lequel des interventions mondiales majeures dans les pratiques commerciales et les habitudes de consommation sont nécessaires pour éviter une « catastrophe imminente ».(([4] https://www.cqv.qc.ca/tags/prince_charles))

Les mêmes qui étaient les « invités » à Davos (dont Le Prince Charles) seront présents à ce grand raout…

Et pour finir une histoire bien triste.
La vie est dure parfois !
(pour certains plus que pour d’autres !!)

Quand j’étais gamin, mon père trompait ma mère et n’aimait pas ma famille.
Plus tard, mes parents ont divorcé.
Par la suite, ma mère est morte dans un accident de voiture.
Du coup, mon frère et moi vivions dans la grande maison de ma grand-mère.
La sœur de ma grand-mère était alcoolique.
Toute la famille vivait aux crochets de ma grand-mère, ce, grâce à ses économies.
Mon oncle a échappé à la prison grâce à un arrangement entre ma grand-mère et la justice.
Grand-mère est décédée récemment.
Mon petit frère a quitté la famille pour aller vivre à l’étranger et ne nous adresse plus la parole.
Papa, maintenant âgé de 73 ans, doit commencer à travailler pour subvenir aux besoins de la famille.
Et il va certainement me demander d’en faire autant…

Sincères salutations,
Prince William
Futur Roi d’Angleterre




Voitures électriques ⚡️ La grande tromperie et ses conséquences à venir

Par Gérard Le Maître

1er mai, fête du Travail : Parlons-en à propos de l’industrie de l’automobile

Le « tout -électrique » fossoyeur de l’emploi

La transition brutale entre thermique et électrique ne se fera pas sans dégâts. Une étude pronostique, si rien ne change, la perte d’un demi-million d’emplois dans l’UE.1

Écologiques ? Réduction du CO2 ? Économie d’énergie ?
Moins cher que les moteurs thermiques ? FOUTAISES !

Le problème vertigineux des mises à la casse anticipées des voitures électriques :

Actuellement, la durée de vie des voitures électriques serait parfois beaucoup trop courte à cause de l’impossibilité de les réparer en cas de souci même de faible gravité. La politique de certains constructeurs et celles des assureurs peuvent anéantir tout l’intérêt de ces voitures électriques et leurs bienfaits pour le climat.2

Supercherie de l’énergie verte




Le CO2 et l’arnaque climatique

Ce qu’en pensent le Dr Patrick Moore, cofondateur de Greenpeace, et Ian Plimer, géologue australien.








Le programme vert « zéro carbone » est impossible à tous les égards

[Source : reseauinternational.net]

Par F. William Engdahl

Pourquoi les grands gouvernements, les entreprises, les groupes de réflexion et le Forum économique mondial de Davos font-ils tous la promotion d’un programme mondial « zéro carbone » visant à éliminer l’utilisation du pétrole, du gaz et du charbon ? Ils savent que le passage à l’électricité solaire et éolienne est impossible. C’est impossible parce que la demande de matières premières, du cuivre au cobalt en passant par le lithium, le béton et l’acier, dépasse l’offre mondiale.

C’est impossible en raison du coût faramineux des batteries de secours pour un réseau électrique « fiable » 100 % renouvelable. C’est également impossible sans provoquer l’effondrement de notre niveau de vie actuel et une rupture de notre approvisionnement alimentaire qui entraînera des décès massifs dus à la famine et à la maladie. Tout cela pour une fraude scientifique appelée réchauffement climatique d’origine humaine ?

La corruption éhontée qui entoure la récente campagne de vaccination menée par les grandes sociétés pharmaceutiques et les principaux responsables gouvernementaux à l’échelle mondiale est encore plus évidente lorsque l’on constate que les gouvernements de l’Union européenne et des États-Unis s’efforcent inconsidérément de promouvoir un programme vert dont les coûts et les avantages ont rarement fait l’objet d’un examen ouvert. Il y a une bonne raison à cela. Il s’agit d’un programme sinistre visant à détruire les économies industrielles et à réduire la population mondiale de plusieurs milliards d’êtres humains.

Nous pouvons examiner l’objectif déclaré de zéro carbone au niveau mondial d’ici à 2050, l’Agenda 2030 de l’ONU, prétendument pour empêcher ce qu’Al Gore et d’autres prétendent être un basculement vers une élévation irréversible du niveau de la mer, des « océans en ébullition », la fonte d’icebergs, une catastrophe mondiale et pire encore. Dans l’un de ses premiers actes, Joe Biden a proclamé en 2021 que l’économie des États-Unis deviendrait zéro carbone net d’ici à 2050 pour les transports, l’électricité et la fabrication. L’Union européenne, sous la direction d’Ursula von der Leyen, notoirement corrompue, a annoncé des objectifs similaires dans le cadre de son programme « Fit for 55 » et d’innombrables autres programmes verts.

L’agriculture et tous les aspects de l’agriculture moderne sont visés par de fausses allégations de dommages causés au climat par les gaz à effet de serre. Le pétrole, le gaz naturel, le charbon et même l’énergie nucléaire sans CO2 sont progressivement abandonnés. Pour la première fois dans l’histoire moderne, nous sommes poussés à passer d’une économie plus efficace sur le plan énergétique à une économie nettement moins efficace sur le plan énergétique. Personne à Washington, Berlin ou Bruxelles ne parle des véritables ressources naturelles nécessaires à cette fraude, et encore moins de son coût.

Une énergie verte et propre ?

L’un des aspects les plus remarquables de l’engouement mondial frauduleux pour les énergies vertes dites « propres et renouvelables » – solaire et éolienne – est leur caractère non renouvelable et écologiquement polluant. Presque aucune attention n’est accordée aux coûts environnementaux stupéfiants liés à la fabrication des gigantesques tours éoliennes, des panneaux solaires ou des batteries lithium-ion des véhicules électriques. Cette grave omission est délibérée.

Les panneaux solaires et les éoliennes géantes nécessitent d’énormes quantités de matières premières. Une évaluation technique standard de la production d’électricité solaire et éolienne « renouvelable » par rapport à la production actuelle d’électricité nucléaire, de gaz ou de charbon commencerait par une comparaison des matériaux en vrac utilisés, tels que le béton, l’acier, l’aluminium et le cuivre, consommés pour la production d’un térawattheure (TWh) d’électricité. L’énergie éolienne consomme 5 931 tonnes de matériaux en vrac par TWh, et l’énergie solaire 2441 tonnes, toutes deux bien plus élevées que le charbon, le gaz ou le nucléaire. La construction d’une seule éolienne nécessite 900 tonnes d’acier, 2500 tonnes de béton et 45 tonnes de plastique non recyclable. Les parcs solaires nécessitent encore plus de ciment, d’acier et de verre, sans parler des autres métaux. Il ne faut pas oublier que l’efficacité énergétique de l’énergie éolienne et solaire est nettement inférieure à celle de l’électricité conventionnelle.

Une étude récente de l‘Institute for Sustainable Futures détaille les exigences impossibles à satisfaire en matière d’exploitation minière, non seulement pour les véhicules électriques, mais aussi pour l’énergie électrique 100 % renouvelable, principalement les parcs solaires et éoliens. Le rapport note que les matières premières nécessaires à la fabrication des panneaux solaires photovoltaïques ou des éoliennes sont concentrées dans un petit nombre de pays : la Chine, l’Australie, la République démocratique du Congo, le Chili, la Bolivie et l’Argentine.

Il souligne que

« la Chine est le plus grand producteur de métaux utilisés dans les technologies solaires, photovoltaïques et éoliennes, avec la plus grande part de production d’aluminium, de cadmium, de gallium, d’indium, de terres rares, de sélénium et de tellure. En outre, la Chine exerce une grande influence sur le marché du cobalt et du lithium pour les batteries ». Et de poursuivre : « Alors que l’Australie est le plus grand producteur de lithium […] la plus grande mine de lithium, Greenbushes, en Australie occidentale, est détenue en majorité par une société chinoise ».

Ce n’est pas très bon quand l’Occident intensifie la confrontation avec la Chine.

En ce qui concerne l’énorme concentration de cobalt, ils notent que la République démocratique du Congo exploite plus de la moitié du cobalt mondial. L’exploitation minière dans ce pays a entraîné

« la contamination de l’air, de l’eau et du sol par des métaux lourds […], ce qui a eu de graves répercussions sur la santé des mineurs et des communautés environnantes en République démocratique du Congo, et la zone d’extraction du cobalt est l’un des dix endroits les plus pollués au monde. Environ 20% du cobalt provenant de la République démocratique du Congo est extrait par des mineurs artisanaux et à petite échelle qui travaillent dans des conditions dangereuses dans des mines creusées à la main et où le travail des enfants est très répandu ».

L’extraction et le raffinage des terres rares sont essentiels à la transition vers le zéro carbone dans les batteries, les éoliennes et les panneaux solaires. Selon un rapport du spécialiste de l’énergie Paul Driessen,

« la plupart des minerais de terres rares du monde sont extraits près de Baotou, en Mongolie intérieure, en pompant de l’acide dans le sol, puis traités à l’aide d’autres acides et produits chimiques. La production d’une tonne de métaux de terres rares libère jusqu’à 420 000 pieds cubes de gaz toxiques, 2600 pieds cubes d’eaux usées acides et une tonne de déchets radioactifs. Les boues noires qui en résultent sont déversées dans un lac nauséabond et sans vie. De nombreux habitants de la région souffrent de graves maladies cutanées et respiratoires, les enfants naissent avec des os mous et les taux de cancer ont grimpé en flèche ».

Les États-Unis envoient également la plupart de leurs minerais de terres rares en Chine pour qu’ils y soient traités depuis qu’ils ont mis fin à la transformation nationale sous la présidence Clinton.

Parce qu’elles sont beaucoup moins efficaces sur le plan énergétique, les terres utilisées pour produire l’électricité mondiale sans émission de carbone sont stupéfiantes. L’éolien et le solaire nécessitent jusqu’à 300 fois plus de terrain pour produire la même électricité qu’une centrale nucléaire classique. En Chine, 25 kilomètres carrés d’un parc solaire sont nécessaires pour produire 850 MW d’électricité, soit la taille d’une centrale nucléaire classique.

Coût pour le sol

Presque aucune étude du lobby vert n’examine la chaîne de production totale, de l’exploitation minière à la production de panneaux solaires et d’éoliennes, en passant par la fonte. Au lieu de cela, ils font des affirmations frauduleuses sur le prétendu coût inférieur par KWh de la production solaire ou éolienne à des coûts hautement subventionnés. En 2021, le professeur Simon P. Michaux du Geological Survey of Finland (GTK) a publié une étude inhabituelle sur les coûts des matières premières nécessaires à la mise en place d’une économie mondiale sans carbone. Les coûts sont stupéfiants.

Michaux souligne tout d’abord la réalité actuelle du défi de l’économie zéro carbone. En 2018, le système énergétique mondial dépendait à 85 % des combustibles carbonés (charbon, gaz, pétrole). Un autre 10 % provenait du nucléaire, pour un total de 95 % d’énergie conventionnelle. Seuls 4 % provenaient des énergies renouvelables, principalement le solaire et l’éolien. Nos politiciens parlent donc de remplacer 95 % de notre production énergétique mondiale actuelle d’ici à 2050 au plus tard, et une grande partie de cette production d’ici à 2030.

En ce qui concerne les véhicules électriques (voitures, camions ou bus), moins de 1 % du parc automobile mondial, qui compte quelque 1,4 milliard de véhicules, est aujourd’hui électrique. Il estime que

« la capacité annuelle totale d’électricité produite à partir de combustibles non fossiles à ajouter au réseau mondial devra être d’environ 37 670,6 TWh. Si l’on part de l’hypothèse d’un mix énergétique non fossile identique à celui de 2018, cela se traduit par 221 594 nouvelles centrales électriques supplémentaires à construire… Pour replacer ces chiffres dans leur contexte, le parc total de centrales électriques en 2018 (tous types confondus, y compris les centrales à combustibles fossiles) n’était que de 46 423 stations. Ce nombre élevé reflète le ratio de rendement énergétique de l’énergie investie (ERoEI) plus faible de l’énergie renouvelable par rapport aux combustibles fossiles actuels ».

Michaux estime en outre que si nous devions passer au tout VE,

« pour fabriquer une seule batterie pour chaque véhicule du parc mondial de transport (à l’exclusion des camions de classe 8), il faudrait 48,2 % des réserves mondiales de nickel de 2018 et 43,8 % des réserves mondiales de lithium. Les réserves actuelles de cobalt ne sont pas non plus suffisantes pour répondre à cette demande… Chacune des 1,39 milliard de batteries lithium-ion ne pourrait avoir qu’une durée de vie utile de 8 à 10 ans. Ainsi, 8 à 10 ans après leur fabrication, de nouvelles batteries de remplacement seront nécessaires, soit à partir d’une source minérale extraite, soit à partir d’une source métallique recyclée. Cela ne sera probablement pas pratique ».

Il décrit le problème de manière très légère.

Michaux attire également l’attention sur l’énorme demande de cuivre :

« Rien que pour le cuivre, il faut 4,5 milliards de tonnes (1000 kilogrammes par tonne) de cuivre, soit environ six fois le total de la production mondiale. C’est environ six fois la quantité totale que l’homme a extraite de la Terre jusqu’à présent. Le ratio roche-métal pour le cuivre étant supérieur à 500, il faudrait extraire et raffiner plus de 2250 milliards de tonnes de minerai ».

Et pour fonctionner, les équipements miniers devraient être alimentés par des moteurs diesel.

Michaux conclut simplement :

« Pour éliminer progressivement les produits pétroliers et remplacer l’utilisation du pétrole dans le secteur des transports par un parc de véhicules entièrement électriques, une capacité supplémentaire de 1,09 × 1013 kWh (10 895,7 TWh) de production d’électricité est nécessaire de la part du réseau électrique mondial pour charger les batteries des 1,416 milliard de véhicules du parc mondial. Comme la production mondiale totale d’électricité en 2018 était de 2,66 × 1013 kWh (annexe B), cela signifie que pour rendre viable la révolution des VE, il faut ajouter une capacité supplémentaire de 66,7 % de l’ensemble de la capacité mondiale existante de production d’électricité… La tâche consistant à faire la révolution des batteries des VE est d’une ampleur beaucoup plus grande que ce que l’on pensait auparavant ».

Il s’agit uniquement de remplacer les moteurs à combustion interne des véhicules à l’échelle mondiale.

[Voir aussi :

La solution : construire des véhicules plus petits, plus légers, avec moins d’équipement…

]

L’éolien et le solaire ?

Si l’on considère ensuite la proposition de remplacer les sources d’énergie électrique conventionnelles actuelles à 95 % par des panneaux solaires et de l’énergie éolienne sur terre et en mer pour atteindre l’objectif absurde et arbitraire de zéro carbone dans les prochaines années, tout cela pour éviter le faux « point de basculement » d’Al Gore, à savoir une augmentation de 1,5 °C de la température moyenne de la planète (qui est elle-même une notion absurde), le calcul devient encore plus absurde.

Le principal problème des parcs éoliens et solaires est qu’ils ne sont pas fiables, ce qui est essentiel pour notre économie moderne, même dans les pays en développement. Les pannes d’électricité imprévisibles qui affectent la stabilité du réseau étaient pratiquement inexistantes aux États-Unis ou en Europe avant l’introduction des grandes centrales solaires et éoliennes. Si nous insistons, comme le font les idéologues du zéro carbone, pour qu’aucune centrale de secours au pétrole, au gaz ou au charbon ne soit autorisée à stabiliser le réseau en période de faible ensoleillement, comme la nuit, les jours nuageux ou l’hiver, ou lorsque le vent ne souffle pas à la vitesse optimale, la seule réponse sérieuse envisagée est de construire des batteries de stockage pour les véhicules électriques, en grande quantité.

Les estimations du coût d’une telle batterie de secours varient. Van Snyder, mathématicien et ingénieur système à la retraite, calcule le coût d’une telle batterie de secours pour le réseau électrique des États-Unis afin de garantir une électricité fiable et régulière au niveau actuel :

« Combien coûteraient les batteries ? En prenant l’hypothèse la plus optimiste de 400 wattheures – ce qu’un véritable ingénieur ne ferait jamais – et en supposant que l’installation est gratuite – ce qu’un véritable ingénieur ne ferait jamais non plus – on pourrait consulter le catalogue de Tesla et découvrir que le prix est de 0,543 dollar par wattheure – avant l’installation – et que la période de garantie, à peu près égale à la durée de vie, est de dix ans. Les activistes insistent sur le fait qu’une économie américaine entièrement électrique aurait une demande moyenne de 1700 gigawatts. Si l’on évalue la formule 1 700 000 000 000 x 400 x 0,543 / 10, la réponse est 37 000 milliards de dollars, soit environ deux fois le PIB total des États-Unis en 2020, chaque année, pour les seules batteries ».

Une autre estimation de Ken Gregory, également ingénieur, est également incroyablement élevée. Il calcule :

« Si l’énergie électrique produite à partir de combustibles fossiles n’est pas disponible pour soutenir l’énergie S+W hautement variable et que seules des batteries peuvent être utilisées comme secours, ce dernier devient extrêmement coûteux… Le coût total de l’électrification des États-Unis s’élève à 258 000 milliards de dollars selon le profil 2019 et à 290 000 milliards de dollars selon le profil 2020 ».

L’agenda caché

Il est clair que les puissances à l’origine de ce programme fou de zéro carbone sont conscientes de cette réalité. Ils s’en moquent, car leur objectif n’a rien à voir avec l’environnement. Il s’agit d’eugénisme et d’abattage du troupeau humain, comme l’a fait remarquer feu le prince Philip.

Maurice Strong, fondateur du Programme des Nations unies pour l’environnement, a déclaré dans son discours d’ouverture du Sommet de la Terre de Rio en 1992 :

« Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-il pas de notre responsabilité d’y parvenir ? ».

Lors du sommet de Rio, Strong a supervisé la rédaction des objectifs de l’ONU en matière d’« environnement durable », de l’Agenda 21 pour le développement durable qui constitue la base de la Grande Réinitialisation de Klaus Schwab, ainsi que la création du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’ONU.

Strong, un protégé de David Rockefeller, a été de loin la personnalité la plus influente derrière ce qui est aujourd’hui l’Agenda 2030 de l’ONU. Il était co-président du Forum économique mondial de Davos de Klaus Schwab. En 2015, lors du décès de Strong, le fondateur de Davos, Klaus Schwab, a écrit : « Il était mon mentor depuis la création du Forum : un grand ami, un conseiller indispensable et, pendant de nombreuses années, un membre de notre conseil de fondation ».

Article original en anglais : Davos WEF is Promoting Impossible Zero Carbon Green Agenda. All this for a scientific fraud called man-made global warming?

Traduction Réseau International






Sondages : Malgré une propagande incessante, le scepticisme à l’égard du changement climatique s’accroît

[Source : summit.news]

[Illustration : Alistair Berg via Getty Images]

Par Paul Joseph Watson

Deux sondages récents ont révélé qu’en dépit d’une propagande incessante en faveur de la thèse du réchauffement climatique d’origine humaine, le scepticisme à l’égard du changement climatique s’accroît à l’échelle mondiale.

Une enquête menée par un groupe de l’université de Chicago a demandé aux Américains si l’homme était à l’origine de la totalité ou de la majeure partie du changement climatique.

Alors que 60 % d’entre eux étaient de cet avis il y a cinq ans, ils ne sont plus que 49 % aujourd’hui.

Un récent sondage IPSOS portant sur les deux tiers de la population mondiale a également révélé que près de quatre personnes sur dix pensent que le changement climatique est principalement dû à des causes naturelles.

« La statistique la plus surprenante de l’enquête de l’Energy Policy Institute de l’université de Chicago (EPIC) est sans doute que 70 % des Américains ne sont pas disposés à dépenser plus de 2,50 dollars par semaine pour lutter contre le changement climatique », écrit Chris Morrison.

« Près de quatre Américains sur dix ont déclaré qu’ils n’étaient pas prêts à débourser quelques centimes. Malgré des décennies de propagande verte apocalyptique visant à amener les populations à vivre dans une société collectiviste Net Zéro [ou décarbonée], il apparaît que la grande majorité des Américains n’est pas prête à débourser ne serait-ce que la petite monnaie qu’ils ont dans leur poche pour stopper le changement climatique ».

Un tel scepticisme est franchement étonnant étant donné que le « récit officiel » sur le changement climatique d’origine humaine a été amplifié avec véhémence par toutes les grandes entités gouvernementales, les entreprises, les médias et les institutions culturelles existantes.

Le fait que le « régime » s’efforce toujours de convaincre un grand nombre de personnes que le changement climatique est à la fois la faute des humains et qu’il représente une menace existentielle représente un échec massif de la rééducation et du lavage de cerveau.

Comme nous l’avons souligné hier, les géants des médias sociaux sont de plus en plus nombreux à considérer tout scepticisme à l’égard du changement climatique comme une opinion interdite.

TikTok est la dernière plateforme en date à annoncer que tout contenu remettant en cause le dogme sacré du réchauffement climatique sera « vérifié » et supprimé.






Union Européenne — Une taxe carbonée carabinée en vue pour 2027

Par Gérard Le Maître

Dans le tintamarre des manifs et les bruits de casseroles, l’UE vient d’adopter dans le plus grand silence une nouvelle taxe carbone pour les particuliers qui coûtera cher, très cher…
Mais évidemment aucun écho dans les médias spécialisés manip-intox au service de la mondialisation.

L’UE instaure une taxe carbone de 45 euros/tonne dès 2027 pour les carburants et le chauffage

L’instauration d’un second marché du carbone est prévue pour les particuliers.
Dès 2027, les foyers devront s’acquitter d’un prix du carbone sur le carburant et le chauffage.
Ce prix serait cependant plafonné à 45 euros/tonne au moins jusqu’en 2030.

Une famille consommant 20 tonnes de carbone par an devra payer 900 € de « taxe carbone » à compter de 2027 !(([1] https://www.bfmtv.com/economie/economie-social/union-europeenne/que-contient-la-reforme-du-marche-du-carbone-votee-par-le-parlement-europeen_AN-202304180678.html))

L’imposture Climat avec le CO2 décrété l’ennemi mondial selon MACRON et les mondialistes du GIEC, de DAVOS, SCHWAB, SOROS & Co… qui dictent leurs règles à L’UE et tous les pays.

Mais il faut savoir que nous payons déjà une taxe carbone sur les carburants !

La taxe carbone (aussi appelée Contribution Climat-Énergie ou CCE) est mise en place en France en 2014 par le gouvernement de Jean-Marc Ayrault, après deux tentatives législatives infructueuses en 2000 et 2010. Elle est le plus souvent dénommée composante carbone, car ce n’est pas une taxe spécifique, mais une composante des taxes intérieures de consommation (TIC) sur les combustibles fossiles, proportionnelle à leur contenu carbone.(([2] https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Taxe_carbone_en_France))

Tout cela n’est qu’une vaste imposture, un prétexte pour soumettre les peuples, un moyen de détourner des capitaux énormes vers des profiteurs, les mafias mondialistes de l’écologie qui est devenue une véritable nouvelle religion.

La France va devoir « doubler le taux d’effort » en faveur de la réduction des émissions de carbone pour atteindre ses objectifs en 2030, a souligné samedi le président Emmanuel Macron, en annonçant plusieurs mesures sectorielles.(([3] https://www.latribune.fr/economie/france/climat-on-n-y-arrivera-pas-assure-macron-si-on-n-accelere-pas-la-reduction-des-emissions-949705.html))

Alors que sur les trois dernières années L’Allemagne avec ses éoliennes couplées au charbon fait partie des pays les plus gros émetteurs de CO2 : cinq fois plus que La France !!
La France avec ses barrages et ses centrales nucléaires est un des meilleurs élèves d’Europe derrière Norvège et Finlande !!
Résultat : La France est sanctionnée de 500 millions d’euros. Cherchez l’erreur !!

Quel est le pourcentage de CO2 dans l’air que nous respirons ? 0,04 % !!

L’air contient aujourd’hui environ 0,04 % de CO2. À partir d’une certaine concentration dans l’air, ce gaz s’avère dangereux voire mortel. La valeur limite d’exposition est de 3 % sur une durée de 15 minutes et cette valeur ne doit jamais être dépassée, mais c’est 75 fois plus que la concentration actuelle, il y a de la marge !!

Le CO2 est bénéfique pour les plantes. Pourquoi s’inquiéter ?

Le CO2 (Dioxyde de carbone) est indispensable à a vie des végétaux, si le taux de carbone contenu dans l’air baisse la végétation en souffrira et en dessous d’un certain taux elle disparaîtra !(([4] https://www.lesoir.be/264050/article/2019-12-01/le-co2-est-benefique-pour-les-plantes-pourquoi-sinquieter))

Les députés français ont mis en garde leurs collègues européens contre le danger de faire payer le coût du carbone aux particuliers. Le Parlement européen a voté trois textes importants du paquet climat : la réforme du marché du carbone, la taxe carbone aux frontières et le fonds social pour le climat.







5G : 90 % de ses rayonnements sont stoppés par les feuilles des arbres

[Source : michele-rivasi.eu via santeglobale.world]

[NDLR L’article date de 2019, mais reste d’actualité.]

5G : 90 % de ses rayonnements sont stoppés par les feuilles des arbres,
révèle une étude britannique

Par Michèle Rivasi

Cette étude sur « les effets de l’environnement naturel et bâti sur les ondes radio millimétriques » date de 2018. Elle a été commanditée par le Ministère de la culture et du digital du gouvernement britannique. Elle passe en revue les effets de la présence de façades d’immeubles, de mobiliers urbains, d’arbres, de la pluie sur la diminution et la propagation du signal d’ondes supérieures à 6 GHz (à 26, 32, 39 et 60 GHz en particulier)…

Dans le cas de la végétation et des arbres, voici différents extraits de ce rapport :

La végétation cause des problèmes de propagation importants, en particulier les feuilles. Les mesures confirment que cet impact est substantiel pour tous les types d’arbres. Cependant, la certitude de la perte exacte causée dépend fortement du volume du feuillage et peut varier selon la saison (p. 11)

Des mesures ont été effectuées (en chambre anéchoïque) pour validation entre 22 et 40 GHz et entre 50 et 67 GHz afin de vérifier que le modèle choisi était adapté à de petits éléments de végétation dans un environnement urbain. La perte n’est pas très préoccupante dans le cas sans feuilles car moins de 30% de la puissance est perdue. Dans le cas où il y a du feuillage, la perte est systématiquement de 90% sur toute la gamme de fréquences.

(p. 71)

Comme il a été établi, les pertes par la végétation sont nettement plus importantes là où il y a une forte densité de feuillage avec une teneur en eau importante. Dans les cas où le feuillage est faible ou inexistant, les branches présentes dans la végétation par laquelle le signal se propage entraîneraient une atténuation sélective de la fréquence.

(p. 77)

Les résultats présentés dans ce rapport montrent que les objets de végétation (arbres et arbustes) au feuillage important perturbent la propagation du signal au-dessus de 6 GHz.

(p. 94)

On veut végétaliser et reverdir les villes, notamment pour lutter contre les vagues de chaleur appelées à se multiplier et pour contribuer à réduire la pollution de l’air, et dans le même temps les opérateurs se préparent à déployer la 5G en milieu urbain. Ce rapport nous montre que les deux objectifs ne sont pas compatibles, à moins de vouloir sacrifier les arbres existants en ville et privilégier des arbustes, petits et sans feuilles.

Je suis très préoccupée par cette tentation de céder aux sirènes de l’hyperconnexion sans fil du tout technologique, et de son impact prévu sur l’environnement et la biodiversité. Ne laissez pas les arbres être coupés au nom de la 5G ! Attention à un monde sans fil mais hors sol !

Les effets de l’environnement naturel et bâti sur les ondes radio millimétriques : le rapport britannique sur les arbres et la 5G
http://bit.ly/Arbres_5G

Articles similaires :

[Voir aussi :
Dossier 5G et ondes pulsées]






Huit milliards de terriens à portée de Satan

Les pieds sur terre, la tête dans les étoiles, Michel Cornillon entre en écriture à l’âge de trente ans. Après un premier roman, « Le Funambule » (éd. Tchou), il en écrit plusieurs autres, puis passe à un livre pour jeunes lecteurs, « Discours aux enfants », suivi peu après d’un second, « Écris-nous un livre ». Retour alors à la fiction romanesque avec « Auschwitz Karnaval », ouvrage clownesque jugé politiquement incorrect par l’édition bien pensante, donc méprisé par elle.

Qu’importe, il n’a pas dit son dernier mot. C’est ainsi qu’il se lance dans une série d’essais politiques autoédités, dont « Capitalisme, la Chute et ensuite », lesquels nous amènent à ce dernier :

Huit milliards de terriens à portée de Satan

Le titre à lui seul donne une idée de la teneur de cet essai. Parti d’une intuition, puis étayé d’indices laissant deviner ce qui se trame autour des problèmes qui ne cessent de s’accumuler (pollution, dérèglement du climat, roboti­sation, langue de bois, croissance démographique, etc.), il nous alerte sur le seul remède que puissent envisager des régimes de plus en plus éloignés de nos idéaux : en vertu des rivalités pour la domination du globe (avec en prime les outils que procure la technologie), un violent coup de sabre dans le nœud gordien interdisant à notre espèce son émancipation naturelle. Autrement dit, en guise de soutien à une humanité de moins en moins sereine, l’éradication d’une grande partie de la population. Cela au seul profit des organisateurs d’un holocauste plus radical que ceux que mit en œuvre le siècle précédent.

Les mafias au pouvoir deviendront-elles alors les seules bénéficiaires d’un Nouvel Ordre Mondial visant à maintenir sous sa tutelle les cinq cents millions de sujets demeurés à sa merci ? Le XXIsiècle conduira-t-il notre espèce à son asservissement ? Nombre d’indices le donnent à présager, de nouvelles Tables de la Loi le gravent dans le granit… Mais nous demeurons en vie et tout espoir n’est pas perdu. Malgré l’accumulation des mauvais présages, nous pressentons qu’une profonde évolution de nos manières de penser, doublée de la mise en commun de nos talents, nous remettra peut-être sur le chemin de notre développement.

Malgré l’âpreté du sujet, l’ouvrage se lit avec aisance. Les courts chapitres qui le composent nous font passer avec élégance d’aujourd’hui à hier et demain, du quotidien au rêve, du vieillissement à la jeunesse.

Le livre (e-book ou papier) se trouve chez la plupart des librairies en ligne, ainsi que chez BoD :

Pour contacter l’auteur :

Michelcornillon172@gmail.com






Carbone et Lithium : Le mirage de la voiture électrique

[Source : Radio-Canada Info]

On parle beaucoup de la voiture électrique ces temps-ci. Elle est présentée comme la solution pour décarbonner nos transports. Mais si ce n’était pas la solution souhaitée ? Rencontre avec quatre experts sur la question.






Pénurie d’eau en France ? Mais Macron veut échanger NOTRE EAU contre du PÉTROLE !

[Illustration : tv.mariane.net]

Par Gérard Le Maître

Et l’eau sera cotée en bourse ? Au grand bonheur des financiers qui l’ont fait élire…

Emmanuel Macron et les bassines : « Il ne s’agit pas de privatiser l’eau »

En déplacement en Haute-Savoie pour présenter son plan eau, le président de la République, E. Macron est revenu sur les bassines ou réserves de substitution d’eau et leur utilité qui ont donné lieu à une manifestation chaotique à Sainte-Soline (Deux-Sèvres), samedi 25 mars.

Il a réaffirmé ce jeudi 30 mars 2023 en Savoie l’utilité des stockages artificiels d’eau pour les agriculteurs, du type de celui de Sainte-Soline où des affrontements très violents ont eu lieu samedi, mais a proposé que les prochains prennent mieux en compte la raréfaction de l’eau.

« Il ne s’agit pas de privatiser l’eau. Ou de permettre à certains de se l’accaparer », a-t-il déclaré, en répétant que l’eau était indispensable à notre souveraineté alimentaire.(([1] https://www.ouest-france.fr/environnement/eau/emmanuel-macron-et-les-bassines-il-ne-sagit-pas-de-privatiser-leau-1f2f1b9c-cefa-11ed-b466-7c5a98825706))

Attention ! avec Macron et les politiques en général quand ils vous disent qu’ils ne feront pas ceci ou cela c’est qu’ils ont une idée derrière la tête : et très souvent, vous pouvez être certain que c’est qu’ils ont l’intention de le faire !! 

La flambée du prix de l’eau, déjà taxée, surtaxée (souvent gérée par des géants mondiaux) avec différentes charges qui y sont incluses : traitement avant et après utilisation, est à venir et verra-t-on L’EAU COTÉE EN BOURSE comme le pétrole, le gaz, l’électricité…

L’air que nous respirons n’est pas encore taxé, mais il est déjà coté en bourse pour une partie de sa composition avec les cotations (mafieuses) du CO2 ??

Et plus grave encore malgré les pénuries que nous connaissons, Macron prévoit que la France échange de l’eau douce contre des hydrocarbures avec des pays du Moyen-Orient !

https://www.marianne.net/economie/eau-contre-petrole-ce-projet-fou-qui-embarrasse-lelysee

Voir cette vidéo du Sénateur de Côte-d’Or Alain HOUPERT(([2] Le Sénateur LR Alain Houpert est aussi radiologue et a été interdit d’exercer pendant 6 mois :
Il a critiqué l’efficacité des tests PCR, et a « stigmatisé l’inutilité et l’inefficacité des vaccins protégeant de la propagation du covid ».
https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/info-france-bleu-alain-houpert-senateur-de-cote-d-or-et-medecin-interdit-d-exercer-pour-six-mois-1667577046))  qui dénonce ce projet complètement avec André Bercoff Sud Radio :

Pénurie d’eau vraiment ? Rien d’anormal, en principe, à la baisse du niveau… à condition qu’au printemps, les pluies et la fonte fassent leur office et remplissent le lac.

Oui sans doute, mais cet hiver la pénurie (la faute à qui ?) d’électricité nucléaire a fait que les barrages ont été très sollicités, vidés en partie pour faire tourner à plein régime les centrales hydro-électriques, mais ça, personne ne le dit… et ça tombe mal après un automne et un hiver peu pluvieux…

https://www.lefigaro.fr/actualite-france/pourquoi-emmanuel-macron-a-t-il-choisi-serre-poncon-pour-parler-de-la-secheresse-20230330







Changer le Système ?

Par Joseph Stroberg

Si par « Système » on entend l’organisation de la vie collective humaine et ceci plus particulièrement à notre époque et donc dans ses circonstances actuelles, dans quelle mesure et de quelle manière peut-on alors le changer volontairement ? Est-il humainement faisable et facile de changer la forme des gouvernements, les institutions administratives, financières ou juridiques diverses, le tissu économique, les bases culturelles et éducatives, etc. qui à eux tous représentent le Système ?

L’Histoire et la mémoire humaine tendent à indiquer que cette vie commune ou d’ensemble a déjà changé de forme et d’expression selon les lieux et les ères. Cependant, ces changements apparaissent le plus souvent aux historiens comme fortuits ou involontaires, résultats d’événements extérieurs, éventuellement catastrophiques, de concours de circonstances qui peuvent demander de nouvelles formes de réponses et d’organisation, rarement ou jamais le fruit d’une volonté collective exprimée dans une direction bien définie.

Par contre, de nos jours, il existe d’un côté une petite minorité puissamment organisée qui cherche à « réinitialiser » la société, voire la civilisation entière, sur un modèle qui en gros conserverait pourtant le pire du système actuel pour le peuple et offrirait ainsi son meilleur matériel aux élites dominantes. Et d’un autre côté, une autre minorité, en volume croissant, n’en peut plus de la situation, et peut en venir non pas à vouloir changer « le » Système pour en faire une énième variante tout aussi dysfonctionnelle que les précédentes, mais souhaiterait même carrément changer « de » système. Malheureusement, elle ne sait pas vraiment quoi créer d’autre ou comment le faire, à part quelques rares individus qui ont une idée plus précise de ce qu’ils souhaitent. Néanmoins, elle ne veut surtout pas du modèle proposé par la première minorité. Est-ce qu’au moins l’une d’elles est susceptible de concrétiser son objectif ?

Un système d’organisation collective humaine peut trouver deux sources principales d’inspiration : l’une que l’on qualifiera ici de « verticale », d’origine cosmique, spirituelle, ou encore « divine » ; et l’autre qualifiée d’« horizontale », de conception matérialiste ou artificielle. Paradoxalement, chacune portant sa croix, la seconde est fortement hiérarchique en disposition pyramidale verticale, avec les dominateurs tout au sommet et les esclaves à la base. Mais la première offre à chacun la même chance de s’exprimer et de vivre, considérant tous les individus sur un pied d’égalité, sans qu’aucun ne cherche à dominer les autres. Au contraire, les idées de service et d’humilité dans ce service y sont mises en avant : le vrai « roi » sert son peuple, mais ne se fait pas servir par lui.

Le premier système est verticalement relié au divin et agit horizontalement. Le second est horizontal matérialiste, mais agit verticalement, en écrasant la base. Comme l’écrasement ne pourrait se faire sous le seul poids de l’infime minorité du sommet, la verticale est découpée en une série de niveaux hiérarchiques de plus en plus « bas », caractérisés chacun par un nombre d’individus inversement proportionnel au pouvoir et à la liberté d’action dont dispose chaque membre de cet étage. Comme le second niveau depuis le haut compte plus d’individus que le premier, mais comme chacun de ces derniers dispose de moins de pouvoir (et se laisse écraser par les individus du sommet), le premier niveau se sert des individus du second pour écraser indirectement le troisième niveau, car par vengeance ou par simple continuité ou transfert de la même logique, les individus du second étage hiérarchique écrasent à leur tour ceux du troisième pourtant plus nombreux. Et ainsi de suite jusqu’au rez-de-chaussée où la base se trouve écrasée de proche en proche finalement par le sommet. Chaque niveau écrase celui immédiatement sous lui et se trouve écrasé par celui du dessus.

Une société matérialiste ne peut ainsi s’organiser que sur le modèle de la pyramide hiérarchique. Le poids du matériel est transféré progressivement aux étages inférieurs de la pyramide hiérarchique pendant que le sommet s’allège matériellement, en bénéficiant de nombreux privilèges, sous le prétexte d’avoir plus de responsabilités. Mais une société d’inspiration spirituelle ne peut s’organiser que sur le modèle de la croix debout : une inspiration verticale pour éclairer le monde ; l’égalité de traitement, de considération et des chances sur la branche horizontale ; le service et le sacrifice du « roi » ou du « messie » pour son peuple, à l’intersection des deux branches de la croix. Ce guide ou cet éclaireur ne s’y trouve pas plus privilégié matériellement que les autres et le seul privilège dont il dispose est celui de servir le plus grand nombre.

Tous les systèmes organisés par les êtres humains sont des expressions plus ou moins parfaites ou au contraire plus ou moins combinées de ces deux modèles de base. Plus l’Humanité se laisse inspirer par le divin, et plus elle développe l’approche de la croix tout en utilisant des analogies tirées de la nature en général ou de la forme humaine en particulier pour la mise en forme détaillée de sa société ou de sa civilisation. À l’inverse, plus elle développe l’approche matérialiste, et plus elle est artificielle, pyramidale, et tend à inverser les modèles proposés par la nature et à se forger une vision des choses opposée aux grands principes cosmiques. C’est ainsi, par exemple, qu’une humanité dominée par le matérialisme en est venue à croire que la nature reposait sur la compétition, la survie des plus forts, la « loi de la jungle », jusqu’à des niveaux microscopiques, au lieu de percevoir la fabuleuse coopération qui existe entre les myriades d’espèces vivantes, humaines, animales, végétales et même minérales, ceci effectivement jusqu’aux niveaux microscopiques. La maladie dans l’un de ces règnes provient d’un déséquilibre et ce dernier naît d’excès (ou d’empoisonnements) ou de déficiences dans l’acquisition, la distribution et/ou l’assimilation des ressources alimentaires ou énergétiques d’un ordre ou d’un autre.

Actuellement, le nouveau système voulu et promu par l’élite mondialiste est d’essence profondément matérialiste et artificielle. Pour la plus grande partie des populations du monde, il se traduit par une souffrance croissante sous le poids de l’écrasement par le sommet pyramidal. Celui-ci tend à monopoliser les ressources1 énergétiques, minérales, alimentaires, informationnelles (en en faisant des organes de propagande, de désinformation et d’abrutissement), éducationnelles (idem), culturelles (idem), etc. grâce aux échelons intermédiaires qui collaborent, volontairement ou aveuglément, au processus de « réinitialisation ». L’inversion de la Création ou des lois cosmiques se traduit en particulier par la montée de la théorie du genre et du transhumanisme et par la destruction croissante des religions et des valeurs traditionnelles qui avaient déjà perdu depuis des siècles leurs fondements au profit de la lettre et des codes (idéologiques, superstitieux, juridiques… et plus récemment informatiques et normatifs).

En réalité, l’élite mondialiste ne veut surtout pas changer le Système, et encore moins changer de système. Elle s’efforce seulement de le redémarrer avec un ensemble de conditions qui lui soient encore plus favorables qu’à l’époque de Nimrod et de la tour de Babel. Le chaos qu’elle produit lors du redémarrage n’est certainement pas pour elle, mais uniquement pour le peuple. Du moins si elle parvient à réaliser son plan jusqu’au bout. Elle veut toujours un monde basé sur les pyramides et le matérialisme, le culte du veau d’or qui lui a si bien réussi par le passé, les sacrifices humains, des enfants et des vierges pour en aspirer la vie… Elle se réserve des bases de repli, des abris antiatomiques, de véritables villes souterraines, et en surface des territoires immenses volés aux nations, les zones « protégées » où les individus ordinaires n’ont pas le droit d’aller. Elle a accaparé les ressources multiples de la planète, n’en laissant que des miettes aux milliards d’êtres humains du commun des mortels. Et ceux-ci n’ont guère bronché, car aveuglés, rendus sourds, fainéants, oisifs et abrutis, non seulement par le pain et les jeux, mais aussi par un petit confort matérialiste auquel ils s’attachent, par la destruction des grandes religions, par la propagande éducative, par l’encouragement au vice, par la déresponsabilisation, par les sortilèges modernes qui les maintiennent dans la peur, la confusion, les mirages et l’illusion…

Si certains êtres humains désirent ou veulent plus ou moins ardemment changer complètement de système et ne surtout pas risquer de retomber dans l’un des vieux schémas éculés, ils doivent se donner les moyens de le faire et cette fois abandonner les pyramides, pour viser la croix. L’Église Catholique Romaine a peut-être cru que donner aux églises de pierre une forme de croix suffirait à amener le règne d’un Christ, d’un Messie ou d’un Grand Monarque sur Terre. Cependant, celle-ci était couchée, tombée sur le sol, déracinée, sans plus de dimension verticale, et finalement réduite symboliquement au matérialisme concrétisé par les pierres, alors que l’Église du Christ était faite d’Hommes de chair et de sang. À un moment de cette aventure chrétienne déracinée, peut-être sous l’impulsion de quelques-uns des nombreux saints qui survivaient malgré tout en terre de France, la fille aînée de l’Église, on tenta de redonner une dimension verticale aux églises de pierre en érigeant alors les cathédrales gothiques. Cela ne fut visiblement pas suffisant, car ce pays connut ensuite la Révolution matérialiste. Cette dernière décapita d’abord la royauté — le lieutenant du Christ en terre de France — en 1793, avant de décapiter ensuite la bête ecclésiale de pierres elle-même, en 1798. Le tyran napoléonien lui enleva son terrain de chasse et la blessa mortellement en enfermant le pape.

S’il existe effectivement un Créateur, bien des chrétiens en général, et des catholiques en particulier, peuvent se demander comment un tel fait a été rendu possible si la France était bien la fille aînée de l’Église et si en le sein du Catholicisme romain subsistait encore au moins quelques traces d’esprit christique grâce notamment à des saints, à des prêtres de campagnes à forte vocation, ou encore à des moines serviteurs retirés en leur monastère. Eh bien, est-ce que cette Église de pierres suivait les traces et les enseignements du Christ, surtout aux plus hauts niveaux de sa pyramide hiérarchique ? Se montrait-elle humble, réellement charitable (et donc matériellement désintéressée), parangon d’amour et de pardon ? Qu’en était-il avec par exemple l’inquisition, les croisades, l’extermination des Albigeois ou encore le bûcher de Jeanne d’Arc ? Qu’aurait dit ou fait le Christ en voyant de tels « œuvres » ? Ne disait-il pas que l’on reconnaît l’arbre à ses fruits ?

La Création ne s’est pas opposée à la blessure mortelle du Catholicisme Romain, parce que celui-ci s’était dangereusement écarté de sa source christique. La Révolution française et Napoléon ont ainsi largement contribué au fait que nombre de Français confondent maintenant le christianisme originel avec sa déflexion catholique romaine au point que certains sont devenus de purs matérialistes ou que d’autres haïssent les chrétiens sans distinction. Maintenant, quel rapport avec la possibilité ou non de changer de système ? Eh bien, ceci a été mentionné ou au moins esquissé : pour réellement changer de système, comme l’actuel est basé sur la pyramide depuis plusieurs millénaires, l’alternative est de baser le nouveau sur la croix. Et tant qu’à faire, autant profiter de la voie indiquée il y a 2000 ans.

Les fondements de l’enseignement du Christ sont l’Amour, le Pardon, la Charité et l’Humilité. Et nul être humain ne peut réclamer le système alternatif à l’actuel s’il ne démontre pas lui-même suffisamment de telles qualités ou manières d’être et de se comporter. Il doit devenir le changement qu’il réclame pour la société. De manière naturelle, lorsqu’un volume suffisant d’êtres humains suivra une telle voie démonstratrice au niveau individuel, alors le changement civilisationnel se fera spontanément et en douceur. Ou bien, la condition sera présente pour qu’un changement soudain et plus ou moins miraculeux ou surnaturel se produise. « Aide-toi et le Ciel t’aidera ». Cela vaut aussi pour l’Humanité comme être collectif.

Les variations autour d’un système de type croix sont aussi nombreuses que celles qui ont pu avoir lieu principalement d’après la pyramide. L’Humanité n’aura que l’embarras du choix pour peaufiner la ou les formes de gouvernements, d’institutions, d’organisations ou de communautés diverses à adopter dans son Nouveau Monde radicalement différent du Nouvel Ordre Mondial. Chaque nation, chaque région, chaque groupe devrait alors être en mesure de s’autodéterminer et de choisir la forme qui lui convient le mieux. Ils seront tous libres d’en changer en fonction des circonstances. Et si par malheur certains d’entre eux voulaient de nouveau expérimenter des formes pyramidales, il conviendrait tout au plus de chercher à les en dissuader par la discussion raisonnable, leur rappelant les souffrances qui généralement en découlent (à part éventuellement pour ceux du sommet). Si nous avons été créés dotés de libre arbitre, il y a peu de chances que ce soit pour restreindre la liberté d’autrui.

Un nouveau système basé sur la croix, dans lequel l’Humanité se met à l’écoute de sa dimension spirituelle, se laisse ainsi inspirer par le divin, s’accompagne par essence du respect de la liberté individuelle et collective, ce qui se traduit notamment par la souveraineté aussi bien des nations que des divers groupes humains jusqu’au niveau individuel lui-même. Nul ne cherche plus à imposer sa volonté, ses idées ou ses croyances à d’autres, car le faire ferait automatiquement retomber dans les hiérarchies pyramidales oppressantes. Cependant, une telle liberté reste illusoire, factice ou seulement très temporaire si elle n’est pas fondée à la fois sur la responsabilité et sur la vérité, car l’irresponsabilité et le mensonge la détruisent plus ou moins rapidement.

Un individu irresponsable, par exemple lorsqu’il ne peut pas ou ne veut pas se préoccuper des conséquences possibles de ses choix et de ses actes (y compris de ses paroles), ou qui laisse porter aux autres ce qui devrait relever de sa propre responsabilité permet ainsi ou demande inconsciemment aux autres de décider à sa place, lui enlevant donc automatiquement la partie correspondante de liberté qui se trouve désormais assumée par autrui. C’est d’ailleurs la raison fondamentale pour laquelle les individus qui cherchent à se propulser au sommet des pyramides hiérarchiques mettent en œuvre des moyens ou des techniques pour amener les peuples à se comporter de manière de plus en plus irresponsable (notamment par la stimulation de la frivolité, de l’infantilisation et de l’addiction à des drogues) ou à réclamer la sécurité matérielle au détriment de leur liberté (par la stimulation de la peur, notamment via le terrorisme d’État, des psyops [opérations psychologiques] ou divers récits ou contes de fées plus ou moins terrorisants, comme le récent de la Covid…). En procédant ainsi, ils volent la liberté des autres ainsi d’ailleurs que leurs capacités créatrices afin d’en profiter des fruits. Ces individus se comportent comme des parasites prédateurs et n’ont aucune volonté de fonctionner de manière harmonieuse et symbiotique avec le reste de l’Humanité.

Un individu qui s’enferme dans le mensonge construit de fait une prison mentale qui peut s’accompagner d’une prison affective ou émotionnelle, surtout si la culpabilité, la honte, la peur d’être « découvert » ou d’autres sentiments négatifs s’en mêlent. C’est la raison fondamentale pour laquelle une liberté réelle ne peut s’obtenir dans ou par le mensonge. À l’inverse, la vérité nous affranchit.

« Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous rendra libres. »

Jean 8:32

La France est le pays des Francs, littéralement « les hommes libres », affranchis du mensonge. Elle est considérée par certains juifs et par certains chrétiens comme la seconde Jérusalem. Fille aînée de l’Église du Christ, elle est la terre des Français, ou des « François » en ancien français. Eh théorie, elle est donc particulièrement prédisposée à accueillir la Jérusalem céleste (Apocalypse 21.9-22,5), que l’on peut voir comme un nouveau système d’organisation humaine inspiré non plus sur la pyramide, mais sur la croix (qui est aussi un cube déplié ou « déployé ») :

Si l’on s’en tient aux dimensions exprimées par Jean de Patmos dans son texte prophétique et qu’on veut y voir une interprétation au moins partiellement concrète, alors la taille d’un côté du cube étant d’environ 2200 kilomètres, cela déborderait bien sûr la taille de la France seule et la surface d’une de ses faces représenterait environ 4,84 millions de kilomètres carrés, soit un peu plus que celle de la stricte Europe actuelle. Et si l’on considère la superficie totale du cube, soit 6 fois plus ou encore 29 millions de kilomètres carrés, cela pourrait inclure la totalité de la Russie et du Proche-Orient. En traduction plus symbolique, ceci pourrait signifier que la matérialisation de la Croix démarrant en France se propagerait dans un premier temps à l’Europe entière, puis déborderait sur le reste de la Russie, du Proche-Orient, et possiblement de l’Afrique du Nord, avant de se répandre sur la Terre entière. Aussi sûrement que le modèle antichristique imposé par la Révolution Française a fini par contaminer la planète entière, un réel nouveau système reposant enfin sur autre chose que la pyramide pourrait gagner le monde entier à partir de ce même pays.

Bien des êtres humains en général et des Français en particulier se plaignent de leurs gouvernements, de leurs leaders politiques, de leurs institutions, etc. sans réaliser la cause profonde de leur état corrompu. Ils ne peuvent pourtant pas réclamer et surtout obtenir un nouveau système s’ils ne réunissent pas auparavant les conditions nécessaires et suffisantes pour cela. L’une d’elles est d’accepter de voir la réalité en face, ceci en déchirant les voiles de l’illusion matérialiste et les multiples mensonges qu’elle a produits. Une autre est de se reconnecter à son âme et à sa dimension spirituelle. Une autre encore est de devenir soi-même le changement que l’on souhaite voir apparaître dans le monde. Et en fait, la seconde favorise les deux autres et elle tend à nous faire suivre spontanément l’exemple du Christ ou la voie du Bouddha et d’autres grands sages du passé qui au final aboutissent au même résultat : la libération par l’éveil au Réel et par le déploiement des qualités divines en l’Homme. Le bourgeon se transforme en fleur, puis en fruit. La chenille se transforme en papillon. Le plomb se transforme en or. Les ténèbres sont dissipées par la lumière.

On ne peut pas réclamer de l’Univers, de Dieu ou des autres ce que l’on n’est pas prêt soi-même à offrir. Si l’on souhaite une vie collective harmonieuse, il est nécessaire de commencer par trouver l’harmonie, et notamment la santé, en soi-même, car la maladie, y compris mentale ou affective, est le signe d’un déséquilibre, d’un manque d’harmonie : on absorbe trop de certaines choses, mais pas assez d’autres ; et souvent, on ne donne pas suffisamment. La vie sur Terre pourrait devenir une sorte de petit paradis, car cette planète est merveilleuse de vie et de beauté. Mais tout ce que l’Homme a trouvé à faire a été de la blesser, de l’enlaidir, de la corrompre, par paresse, avidité, recherche du confort, égoïsme… Et maintenant il se plaint, il souffre, il subit les conséquences de ce qu’il a produit par le passé. Il veut changer de Système : la forme des gouvernements, de l’économie, de la justice, de l’éducation, etc. Il doit commencer par se laver, par enlever sa propre corruption, par ouvrir ses oreilles, ses yeux, son esprit et son cœur. Aide-toi, le Ciel t’aidera.



1 Voir aussi :
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources




La Russie est toujours complice de la Grande Réinitialisation

[Source : off-guardian.org]

« La Russie et la Grande Réinitialisation — Résistance ou complicité ? » — un an après

Par Riley Waggaman

Il y a douze mois (plus quelques jours), nous avons participé à une table ronde animée par Whitney Webb et Kit Knightly, « Russia & the Great Reset—Resistance or Complicity? »

Un bref résumé de notre position (« Oui, la Russie est complice de la Grande Réinitialisation » ; 3 avril 2022) est rapidement devenu le deuxième article le plus lu sur ce blog.

En juillet, nous avons réexaminé cette question brûlante (Resetting Without Schwab: Russia & the Fourth Industrial Revolution), en nous appuyant sur l’ouvrage de Klaus Schwab intitulé Future of the Fourth Industrial Revolution (2018) pour nous guider dans les méandres technocratiques de Moscou.

Quoi qu’il en soit. Nous avons pensé qu’il serait approprié et éducatif de profiter du premier anniversaire du débat Zoom pour mettre à jour notre pronostic.

Ce qui suit est un addendum à l’article de juillet utilisant les mêmes catégories de la Grande Réinitialisation : les monnaies numériques, les villes sûres (et intelligentes), les « vaccins » génétiques et le développement durable.

MONNAIES NUMÉRIQUES

Un ensemble de projets de loi sur le rouble numérique fait actuellement son chemin à la Douma d’État. Initialement prévue pour le 1er avril, l’adoption de la législation est maintenant attendue pour le début du mois de mai.

Treize banques russes participent à un projet pilote de jeton numérique. Si l’essai est concluant, d’ici 3 à 5 ans, la CBDC de la Banque de Russie pourrait être utilisée pour les paiements sociaux, y compris les pensions, a rapporté Izvestia à la fin du mois de mars.

La monnaie traçable et programmable a été présentée au public comme un outil permettant de contourner les sanctions et de réduire la corruption.

Comme nous l’avons récemment souligné (le 29 janvier et le 28 mars), les activistes et les commentateurs russes, en particulier dans la sphère médiatique patriotique/conservatrice, n’y croient pas.

Source : Katyusha.org. January 17, 2023
Source : Tsargrad.tv. February 19, 2023

Même dans les médias pro-Poutine, l’affirmation selon laquelle le rouble numérique mettra fin au gaspillage et à l’escroquerie du gouvernement n’est pas prise au sérieux.

« Les vis seront serrées pour les citoyens ordinaires, alors qu’il y aura toujours des échappatoires pour les “serviteurs du peuple” », a déclaré l’animateur de Tsargrad TV, Yuri Pronko, lors d’une émission diffusée le 9 mars.

Deux semaines plus tard, M. Pronko a laissé entendre qu’il était illusoire de croire que le rouble numérique resterait facultatif.

« Tout est donc facultatif. Cependant, l’histoire nous apprend qu’une grande partie de ce qui a commencé sur une base volontaire est devenue obligatoire en très peu de temps. L’histoire des vaccins COVID, dont personne ne se souvient aujourd’hui, en est une confirmation éclatante », a ironisé le journaliste le 25 mars.

VILLES SÛRES (ET INTELLIGENTES)

Le programme russe « Safe City » utilise « des solutions organisationnelles, informationnelles, analytiques, prédictives et d’autres solutions méthodologiques, techniques et technologiques pour assurer la sécurité et le développement durable des villes ».

Le réseau national de caméras de vidéosurveillance, soutenu par la technologie de reconnaissance faciale, n’a cessé de croître en taille et en sophistication.

Une simple recherche sur Yandex a permis de constater un foisonnement d’activités au cours des deux dernières semaines.

La région de Tyumen prévoit d’ajouter 378 caméras à son réseau Safe City de 4 500 caméras de vidéosurveillance, a écrit Fedpress.ru le 24 mars.

Par ailleurs, les responsables de la ville de Voronezh finalisent les plans d’un « éco-quartier », ont rapporté les médias locaux le 25 mars :

Ce quartier numérique comprendra des interphones « intelligents » avec reconnaissance faciale, des entrées de parking avec reconnaissance des plaques d’immatriculation, une vidéosurveillance et des chargeurs de smartphones dans la cour.

Le 28 mars, le gouvernement de l’oblast de Leningrad a annoncé que 3 013 caméras de surveillance avaient été connectées au système Safe City de la région.

D’ici juillet, les caméras de vidéosurveillance des établissements d’enseignement seront « intégrées dans un système Safe City unique, ce qui permettra de protéger les jeunes Léningradois des menaces extérieures », a déclaré le gouvernement régional dans un communiqué de presse.

La région de Novgorod a installé 146 caméras de surveillance en 2022, ce qui porte à 700 le nombre total de caméras de vidéosurveillance dans le cadre de son programme « Safe City ».

« Les espaces publics de Veliky Novgorod et des régions de la région sont surveillés 24 heures sur 24 », a déclaré un média local le 29 mars.

À partir du 1er avril, les écoles de Rostov seront intégrées au système Safe City de la municipalité.

Source : Bloknot-rostov.ru

Le réseau Safe City installé dans la minuscule (selon les normes russes) République de Tchouvachie surveille plus de 1 300 endroits ; les caméras analysent les données en temps réel à l’aide d’algorithmes et de l’IA. Les services d’urgence et les services publics seront connectés au système d’ici la fin de l’année 2023, a rapporté Versia.ru le 7 avril.

L’introduction de systèmes d’identification biométrique et de « contrôle de la température » dans les écoles est sans doute l’aspect le plus inquiétant du programme Safe/Smart City.

« Le fait est que le secteur de l’éducation est en train de se transformer en un marché pour les entreprises numériques », a déclaré Olga Chetverikova, directrice du Fonds de soutien aux valeurs traditionnelles de l’héritage de la patrie, en octobre.

« Et si nous regardons les concours qu’ils ont annoncés : pour les appareils d’imagerie vidéo à Moscou — plus de 2 milliards de roubles. Un concours pour la fourniture d’appareils de dépistage corporel — 392 millions de roubles. Il devient clair que nous parlons d’affaires, que cela ne fait absolument rien pour les enfants, ni en termes d’éducation, ni en termes de santé, ni en termes de sécurité, mais que c’est d’un grand intérêt pour les structures informatiques commerciales ».

LES « VACCINS » GÉNÉTIQUES

Fin septembre, le Centre Gamaleya — le prétendu berceau du clone d’AstraZeneca Sputnik V — a annoncé qu’il commencerait à travailler sur son propre vaccin à ARNm.

« La technologie des vaccins à ARNm présente un avantage très important : elle peut être administrée au moins tous les mois », a expliqué Denis Logunov, directeur adjoint de Gamaleya.

Il a ajouté que les vaccins à ARNm de Moderna et de Pfizer étaient des exemples à suivre, car ils « confèrent tous deux une forte immunité après trois ou quatre vaccinations ».

Source : TASS

Un jour plus tard, l’institut public Vector a dévoilé ses propres projets de développement d’un vaccin à base d’ARNm.

« Le développement de vaccins à ARNm est un domaine prometteur dans le monde entier. On s’attend à ce que les avantages du vaccin en cours de développement par rapport aux vaccins russes existants […] soient la sécurité, la rapidité de production et le coût des médicaments », a rapporté TASS, citant un directeur adjoint de l’institut.

Source : TASS

Le ministère de la Santé a trouvé d’autres moyens d’accroître la « sécurité » et la « rapidité de production » des vaccins.

En octobre, le ministère a adopté de nouvelles règles permettant d’accélérer l’approbation des vaccins COVID « mis à jour ». Gamaleya, Vector et d’autres développeurs de vaccins russes n’ont plus qu’à tester leurs formules « améliorées » sur « 50 volontaires en bonne santé ». Pour accélérer le processus, les protocoles de ces « essais cliniques » peuvent commencer immédiatement, sans passer par l’examen standard des organismes de réglementation gouvernementaux.

La nouvelle procédure d’approbation améliorée prendra entre 16 et 38 jours.

Le directeur de Gamaleya, Alexander Gintsburg, a déclaré en janvier que Sputnik V devrait être mis à jour « tous les 9 à 10 mois », ajoutant que son équipe était déjà en train de développer un vaccin contre la souche dite « Kraken ».

Un mois plus tard, M. Gintsburg a annoncé que son nouveau « vaccin » COVID pour les enfants âgés de 6 à 11 ans avait passé avec succès les tests de sécurité et d’efficacité.

Le COVID a disparu des premières pages des journaux russes, alors à quoi tout cela sert-il ?

LE DÉVELOPPEMENT DURABLE

Nous avons récemment publié un rapport sur la romance actuelle de la Russie avec les objectifs de développement durable et l’agenda ESG, mais nous avons omis quelques développements curieux.

« Les banques [russes] déclarent qu’elles continueront à suivre la stratégie ESG, malgré l’isolement des agences de notation et d’analyse occidentales qui traitent de l’agenda du développement durable », a écrit Banking Review le 7 octobre.

De juillet 2021 à juillet 2022, le portefeuille de prêts ESG des banques russes a triplé pour atteindre 1,2 trillion de roubles, a rapporté le média.

L’enthousiasme soutenu pour tout ce qui touche à l’ESG a été exprimé dans un article d’opinion publié par la Chambre de commerce de Russie en novembre.

Source : tpprf.ru

Le 6 avril, le premier vice-président du conseil d’administration de Sberbank, Alexander Vedyakhin, a fait l’éloge de l’agenda ESG et a prédit qu’il « déterminerait l’avenir de la planète pour les décennies à venir ».

Source : irkutskmedia.ru

En ce qui concerne les objectifs de développement durable (ODD), la deuxième étape de la feuille de route russe pour la mise en œuvre des ODD a débuté en 2023. Cinquante villes russes mono-industrielles participeront à un projet de suivi de la « société, de l’environnement et de l’écologie ». Chaque municipalité recevra un plan personnalisé pour contribuer à la réalisation de l’utopie envisagée par les Nations unies.

La poursuite des ODD par la Russie a reçu un grand coup de pouce à la fin du mois de décembre, lorsque le président russe Vladimir Poutine a signé la loi sur le système biométrique unifié.

La base de données biométriques centralisée a été saluée par l’Union internationale des télécommunications (UIT), l’agence des Nations unies pour les technologies de l’information et de la communication, pour ses caractéristiques hautement durables.

ÉPILOGUE

Pour ne rien arranger, Poutine fréquente toujours Herman Gref, le banquier adorateur de Schwab qui est responsable de pas moins de 50 % de toutes les choses dégoûtantes que nous venons d’énumérer.

Absolutely unacceptable. Source : Kremlin.ru. November 24, 2022

Nous pensons toujours que la Russie est un endroit agréable et tranquille pour cultiver des pommes de terre et attendre patiemment que les chatbots sensibles exterminent tout le monde.

À la fin, il n’y aura plus que vous, les chatbots et les pommes de terre. Les chatbots vous garderont comme animal de compagnie ; pour s’amuser, ils coderont instantanément un programme JavaScript qui vous enfoncera une pomme de terre dans la bouche toutes les 15 secondes, pour toujours.

Mais oui, la Russie est toujours complice. En grande partie.



Riley Waggaman est votre humble correspondant à Moscou. Il a travaillé pour RT, Press TV, Russia Insider, etc. Dans sa jeunesse, il a assisté à une fête sur la pelouse de la Maison-Blanche où il a demandé à Barack Obama si le dénonciateur emprisonné Bradley Manning (Chelsea était encore un garçon à l’époque) « avait passé de bonnes Pâques ». Du bon temps, du bon temps. Vous pouvez vous abonner à son Substack ici, ou le suivre sur Twitter ou Telegram.




Comment détruire un île en 30 ans

[Source : Draw my economy]

OK, c’est donc à ça que ressemble l’Apocalypse

Un pays dont le PIB par habitant est 3 fois supérieur aux US ! Cette île avait tout pour devenir le pays le plus riche au monde. En 1974, ce pays est même devenu une destination phare pour les millionnaires qui y amènent leurs yachts et leurs fêtes. L’argent coule à flots. Pourquoi ? Parce que la petite île d’à peine 21,3 km² à découvert une poule aux œufs d’or : le phosphate.

Et pourtant, 30 ans plus tard, c’est le chaos. Le pays recense le taux d’obésité le plus élevé au monde, le chômage touche 90 % des actifs, l’île s’est transformée en catastrophe écologique. Il est impossible de pêcher quoi que ce soit, les poissons ne viennent plus, et les déchets s’empilent sur terre comme dans la mer. Le seul moyen pour ce pays de subsister est de compter sur un approvisionnement mensuel de nourriture et d’eau.

Et non, je ne vous parle pas d’un pays théorique ni même d’une île que j’ai vue dans un film. Je vous parle d’une île bien réelle. L’île de Nauru.

Mais, qu’a-t-il bien pu arriver pour qu’une île passe d’un succès exponentiel et sans précédent à une faillite totale et sans appel ?

L’île prend son indépendance

Situés à 42 km de l’équateur, et au large de la Papouasie–Nouvelle-Guinée, les Nauruans sont une population de pêcheurs. Leur île étant trop petite pour y mener une quelconque activité agricole, le peuple avait mis en place des techniques de pêche très sophistiquées.

Puis, en 1798, le navigateur John Fern découvre l’île. C’est alors que celle-ci est soumise à l’influence culturelle et religieuse occidentale. Entre 1888 et 1914, l’île tombe sous la tutelle coloniale de l’Allemagne. Puis, de 1914 à son indépendance, en 1968, ce sont les Australiens qui prennent le relais. Bien que l’on peut noter qu’entre 1942 et 1945, dans le cadre de la Seconde Guerre mondiale, l’île est sous l’occupation japonaise.

Avec seulement quelques milliers d’habitants, les Nauruans sont rapidement englobés dans la culture occidentale. De plus, des évangélistes catholiques et protestants vont convertir la population. L’île est aujourd’hui très majoritairement protestante.

Ce n’est qu’à partir de 1906 que l’on découvre un trésor caché à Nauru : du phosphate pur. Le phosphate est un engrais très prisé, utilisé dans les agricultures, notamment dans celles anglaises et australiennes.

C’est ainsi que les Allemands et les Australiens vont, tour à tour, commencer à puiser les ressources du pays. Et ce, à travers des entreprises privées et publiques. Les Nauruans alors mis de côté, car non intégrés au système économique mondiale, se retrouvent à tenir des bibliothèques et des écoles pour les étrangers venant puiser le phosphate de l’île.

Mais alors, vous, si vous aviez à votre disposition une ressource qui pourrait vous rapporter des millions, mais que ce n’est que votre voisin qui en profite, seriez vous vraiment satisfait ? Où chercheriez-vous à vous réapproprier ce qui vous appartient ? 

C’est ce que firent les Nauruans en 1968. Excédés de voir leur poule aux œufs d’or n’être profitable qu’aux entreprises et états étrangers, la petite île décide de prendre son envole. C’est donc le 31 janvier 1968 que Nauru obtient son indépendance et devient la plus petite république au monde.

30 ans de rêve

C’est donc le président Hammer Derobert qui prend les rênes. Et, son premier geste mais aussi tous ceux qui suivirent furent très, très socialistes. 

En premier, il nationalise l’extraction de phosphate. Est donc créé le Nauru phosphate corporation. 

Puis, le gouvernement décide de verser une partie des revenus des mines à ses habitants. Et comme le phosphate, ça rapporte beaucoup, les habitants se retrouvent du jour au lendemain, de passer d’un salaire de prof à celui d’un millionnaire. Et ce, sans rien faire. Car le travail à la mine est donné, non pas à des Nauruans, mais à des immigrés chinois.

Et les politiques de Derobert ne s’arrêtent pas là ! L’eau potable et l’électricité sont désormais offertes aux habitants qui ne payent, évidemment, plus d’impôts.

Ayant toujours trop d’argent à son goût, le gouvernement de l’île fait bâtir un hôpital à la pointe de la technologie de l’époque. Et bien sûr, l’accès y est gratuit.

Puis, le gouvernement, toujours en quête de distribution monétaire, va assurer à chaque foyer nauruan une femme de ménage.

Bref, les Nauruans vivent dans l’opulence la plus grossière qui soit. Et, n’ayant aucune obligation d’aller travailler, la pêche, activité traditionnelle de l’île, se perd peu à peu.

En 1970, le gouvernement décide qu’il n’en fait toujours pas assez pour ses citoyens. Il va donc leur assurer 6 ou 7 voitures par foyer… alors que l’île ne comprend qu’une seule route. Plutôt ironique non ?

Ne sachant que faire de tout l’argent maintenant à disposition, et n’ayant aucune éducation financière, les Nauruans achètent de la technologie de pointe et la changent dès que mieux apparaît.

Ainsi, plus rien n’est réparé. Tout est abandonné en bordure de route ou dans la mer. Parce qu’après tout, pourquoi s’embêter à réparer quelque chose quand on peut simplement acheter mieux… ?

Les Nauruans sont donc devenus peu à peu oisifs. La vie à Nauru était une perpétuelle fête dans laquelle les habitants vivaient dans l’abondance la plus totale.

Et tant qu’il y aurait du phosphate, cette fête continuerait.

La descente aux enfers

Un seul problème. Le phosphate est une matière première non renouvelable. Lorsque vous épuisez vos stocks, vous n’en avez pas d’avantage. Et évidemment, ce fait est loin d’être méconnu. 

Alors, vous devez être en train de penser que, sachant pertinemment que leurs ressources de phosphate allaient tôt ou tard s’épuiser, l’État a fait des prévisions et pensé à l’avenir ? Eh bien non ! En fait, s’étant habitué à l’opulence excessive qu’apportent les mines de phosphate, l’état a été peu regardant sur les investissements qu’il effectuait. Du coup, ce dernier a fait des placements aberrants, espérant que leurs rentes seraient suffisantes à maintenir leur train de vie post-phosphate. Investissements qui leur ont fait perdre beaucoup d’argent et qui, comme nous pouvons aujourd’hui le voir, n’étaient pas judicieux et n’ont pas amené l’effet escompté.

Ce qui veut dire qu’à la fin des années 90, lorsque le pays a commencé à manquer de phosphate, l’état s’est rapidement retrouvé au pied du mur.  

C’est dos au ravin que le pays à décidé, pour essayer de garder à flot ce qui restait de l’île, de se plonger dans l’illégalité.

Blanchiment d’argent pour les mafias, vente de passeports à tout vas, Nauru, pays socialiste, invite volontiers les gens immensément riches et peu scrupuleux à créer des sociétés-écran sur l’île afin d’éviter de payer des taxes dans leur pays d’origine. C’est le chaos, et rapidement Nauru rejoint la liste noire des paradis fiscaux.

Afin de s’en extraire, elle met fin à sa possibilité de blanchiment d’argent. Mais pas pour autant à son business de ventes de passeports qui va encore de bon train.

Cependant, criblé de dettes, le petit pays est obligé de vendre ses biens immobiliers. Notamment un immeuble à Melbourne. Or, ça ne couvre pas l’entièreté des dettes. Loin de là.

Nauru passe alors deux marchés. Un avec Taïwan afin de leur vendre la ligne faisant des allers-retours entre l’île et l’Australie, et ce pour 10 millions d’euros. Le deuxième marché conclu est, toujours avec Taïwan, un approvisionnement continuel de l’île en eau et nourriture. Et ce, en échange d’un soutien de Nauru. Taïwan cherchant à intégrer l’ONU, dans lequel siège déjà Nauru, le soutien de l’île lui est très précieux.

Nauru décide également de conclure un marché avec l’Australie. L’île abrite une prison pour réfugiés entièrement à disposition de l’Australie. Celle-ci est plus connue sous le nom de la « Solution du pacifique » et abrite des immigrants illégaux repêchés aux côtes australiennes. Dans cette prison, car c’est le mot approprié, les immigrés sont privés de tous droits. Leurs douches sont peu fréquentes et minutées, ils ont interdiction de sortir de leurs cellules et se font souvent harasser par les locaux.

Cependant, ce marché a pris fin lorsque ces agissements ont créé une polémique en Australie.

Bref, le pays est maintenant au fond du trou financièrement et éthiquement.

Pourquoi les habitants ne reprennent-ils pas leur vie d’antan ?

Peuple de pêcheurs, il est légitime de se demander pourquoi les Nauruans ne reprennent pas la pêche et leur rythme pré-découverte du phosphate. La réponse est simple, ils ne le peuvent pas.

Outre le fait que Nauru soit aujourd’hui le pays avec l’indice d’obésité le plus élevé au monde, 80 % de leur population souffrant d’obésité morbide, en 30 ans, leur culture a totalement disparu.

Remplacée par l’oisiveté et l’opulence, les habitants de l’île ont quasi totalement perdu leur culture ainsi que les techniques de pêche sophistiquées qu’ils avaient mis des millénaires à acquérir.

Et si ce n’était pas assez, les quelques habitants ayant gardé leur culture ne peuvent pas non plus pêcher. La pollution liée à tous les déchets jetés par les habitants durant ces 30 ans a totalement détruit les coraux. Coraux qui abritent des milliers d’espèces différentes de poissons. Ceux-ci se sont d’ailleurs éloignés de l’île, les eaux de Nauru étant devenues trop polluées pour que des poissons y vivent. 

Quant aux magnifiques oiseaux de l’île ? Ceux-ci ont également disparu à cause de la déforestation de masse. Autrefois une île paradisiaque, Nauru est maintenant un désert de cailloux ; la terre de l’île ayant été très majoritairement retournée pour y trouver le phosphate. De plus, les montagnes de déchets causés par les habitants ont fait de l’île une décharge. 

Il est juste de dire que Nauru représente une catastrophe sociologique, écologique et financière.

Conclusion

De l’île paradisiaque au dépotoir, l’île est le contre-exemple de ce que doit faire un gouvernement. Surtout que, contrairement à Nauru, beaucoup de pays, tels que l’Arabie Saoudite, qui est le pays le plus riche au monde, s’en sortent très bien, malgré le fait que la majeure partie de leur économie soit basée sur une ressource naturelle insulaire.

Et vous qu’en pensez-vous ? Quelles leçons peuvent être tirées de la chute de Nauru ?



Sources




Le prix de l’eau

[Source : alternatif-bien-etre.com]

Par Rodolphe Bacquet

Chers amis,

Ce qui se passe depuis plusieurs mois autour de l’eau m’inquiète.

Je ne vous parle pas de la sécheresse que nous avons vécue l’été et l’hiver derniers, mais plutôt de ce à quoi cette sécheresse sert de prétexte : la confiscation de l’eau.

Et, pire que cela, sa privatisation et sa transformation en objet de spéculation boursière, au même titre que des matières premières comme l’or ou le pétrole.

Nous sommes, depuis plusieurs mois et en ce moment même, en train de rentrer dans cette logique très grave de transformation d’un bien commun, indispensable à la vie, en un objet coté en bourse.

Ces derniers jours, les évènements autour de la mégabassine de Sainte-Soline et les annonces d’Emmanuel Macron au sujet d’un futur « éco-watt » de l’eau pour en restreindre la consommation donnent corps à ce changement très préoccupant.

Je vais y revenir plus en détail dans un instant, mais avant j’aimerais rappeler le caractère absolument essentiel de l’eau pour notre santé.

Les premiers problèmes de santé commencent dès 1 % d’eau en moins

Nous sommes faits d’eau. Une mauvaise hydratation a des conséquences bien plus sévères que la seule sensation d’une bouche pâteuse et d’une gorge sèche.

Il suffit d’une perte d’eau d’1 % à peine pour que votre corps ne puisse plus réguler sa température correctement, que votre endurance à l’effort s’amenuise et que vous vous sentiez plus fatigué [1].

Le cerveau, qui contient 76 % d’eau, se ratatine littéralement s’il manque d’eau. Une perte de 2 % d’eau suffit à altérer l’humeur, la mémoire et la vigilance. Si cette faible déshydratation se prolonge, les principales fonctions cognitives peuvent être durablement perturbées [2].

Les premiers signes d’une déshydratation se logent à peu près à tous les étages de votre organisme :

  • Vous avez les yeux secs ;
  • La voix enrouée, ou cassée ;
  • À plus long terme, votre peau se durcit, les rides apparaissent plus vite, ainsi que des taches cutanées ;
  • Votre transit intestinal se ralentit, et vous souffrez régulièrement de constipation ;
  • Vous accumulez les toxines dans les reins et la vessie, qui n’ont plus assez de liquide pour les évacuer ;
  • Vous êtes plus sujet à la fièvre (à cause du rôle de l’eau dans la fonction métabolique de thermorégulation) ;
  • Etc.

L’accès à l’eau potable est donc non seulement un droit fondamental, mais une nécessité sanitaire absolue.

En France, comme dans la plupart des autres pays de l’OCDE, cette nécessité semble, sans jeu de mots, couler de source. Contrairement à plusieurs autres pays moins bien lotis, l’eau n’a pratiquement jamais cessé de couler du robinet.

C’est plutôt le contenu de cette eau qui devient très préoccupant, et qui depuis plusieurs décennies préfigure la confiscation de l’eau à laquelle nous arrivons peu à peu.

De moins en moins d’eau… de plus en plus contaminée

En France, la potabilité de l’eau répond à des normes précises : 63 critères exactement, qui fixent les seuils de valeurs à ne pas dépasser concernant le chlore, les nitrates, l’arsenic, le cyanure, le mercure, etc., etc.

Mais il y a deux problèmes avec ces normes.

Le premier, c’est que ces seuils sont insuffisants : le chlore à lui seul a déjà été démontré comme dangereux aux seuils officiellement admis en France, augmentant les risques de fausse couche chez la femme enceinte, et de cancers de la vessie ou du côlon dans la population générale [3].

Le second problème, c’est que dépasser ces seuils… n’empêche pas l’eau d’être distribuée. Il suffit à la commune de demander une dérogation. Il y a dix ans, en France, 400 communes disposaient d’une telle dérogation [4] (dont un tiers en seule Seine-et-Marne).

Je n’ai pas trouvé les chiffres des dérogations pour 2023. Mais je peux déjà vous livrer une information sûre et certaine, et qui n’a rien d’un scoop : l’eau potable, en France, est aujourd’hui encore plus polluée qu’il y a dix ans.

Ce jeudi 6 avril, l’ANSES a publié un rapport démontrant que la proportion de contamination de l’eau potable a atteint dans notre pays des proportions inouïes, en particulier celle des eaux souterraines et de surface provoquée par un produit de dégradation d’un pesticide utilisé en France entre 1970 et 2019, le chlorothalonil R471811 [5].

Ce métabolite (issu de la dégradation du pesticide après usage) est classé parmi les substances cancérigènes.

L’ensemble du bassin parisien, capitale comprise, recevrait une eau 4 à 5 fois plus concentrée en résidus de chlorothalonil que les seuils tolérés.

Toujours d’après l’ANSES, ce serait aujourd’hui au moins 34 % de l’eau potable distribuée en France métropolitaine qui serait non-conforme aux réglementations sanitaires ; et d’après le journal Le Monde, qui a interrogé un opérateur d’eau public, ce serait en réalité plus de la moitié de la population française qui serait concernée [6].

Même les eaux en bouteille, comme celle d’Evian, ne seraient pas épargnées !

Ne comptez pas sur les politiques au pouvoir pour vous défendre

Une fois ce constat hallucinant effectué, on pourrait espérer que les pouvoirs publics se saisissent du problème et décident de réduire drastiquement les sources de contamination par des substances cancérigènes, et rétablissent des seuils de potabilité corrects.

D’une, c’est (hélas) très difficile.

Et de deux… la volonté de dépolluer l’eau, au plus haut niveau de l’État, est absente.

Il y a à cela une raison désespérément limpide : l’argent des lobbys.

On voit, avec le chlorothalonil, comment cinquante années d’utilisation ininterrompue d’un pesticide ont irrémédiablement dégradé, en surface (l’eau des rivières, des fleuves) comme sous terre (les nappes phréatiques), les eaux.

Les mêmes causes entraînant les mêmes effets, il faudrait a minima réduire voire interdire les pesticides dont le caractère polluant et dangereux pour la santé est avéré.

C’est exactement l’inverse qui se produit.

Notre ministre de l’agriculture actuel, Marc Fesneau, est actuellement engagé dans une croisade… pour contrecarrer l’interdiction du S-Métolachlore, substance active d’un herbicide utilisé pour désherber, notamment les champs de maïs, de soja ou de tournesols [7].

Là encore, c’est la dégradation de ce produit, une fois usagé, qui pollue l’eau de notre pays.

Aussi l’ANSES a-t-elle demandé l’interdiction de cet herbicide au nom de la santé des Français… mais le ministre de l’agriculture lui-même défend son usage pour, officiellement, que les produits issus de l’agriculture française restent compétitifs !

L’eau est-elle une matière première comme les autres ?

La même logique est à l’œuvre avec l’ahurissante affaire des mégabassines.

Je le rappelle, le principe des mégabassines consiste à puiser l’eau des nappes phréatiques où elle reste au frais, pour la stocker en surface… où elle peut donc s’évaporer.

Cette opération est donc non seulement absurde, mais illustre la gestion à venir de l’eau dans notre pays, placée sous le signe de l’appropriation et de la confiscation.

Au nom de quoi ?

Du profit, et seulement du profit. Cette opération d’extraction et de stockage de l’eau s’apparente à celle du pétrole : on considère que le produit appartient à celui qui fore, aspire et exploite l’eau en sous-sol, comme si c’était une matière première parmi d’autres.

Et au détriment de quoi ?

De la santé publique, puisque le niveau des nappes phréatiques, déjà anormalement abaissé par les sécheresses successives, va directement déterminer nos accès à l’eau potable dans les prochains mois.

Et c’est là que nous entrons dans une logique insidieuse, mais implacable.

Car ce stress hydrique pousse les pouvoirs publics, et M. Macron en tête, à prendre des mesures « préventives » en vue des pénuries d’eau à venir.

Or la démarche du pouvoir ne consiste pas à interdire ce phénomène de confiscation de l’eau à des fins mercantiles… mais à le renforcer.

L’entrée en Bourse de l’eau

Le Président de la République a annoncé les grands axes de son « plan eau », le 30 mars dernier.

Ce plan, qui consiste en 53 mesures, peut se consulter dans le dossier de presse réalisé par le gouvernement (et, je suppose, McKinsey ou quelque autre « cabinet de conseil »), disponible dans le lien en source [8].

Ce plan part d’un constat de bon sens — l’eau est précieuse — et d’une bonne intention — économisons-la.

Mais certaines mesures interpellent, notamment la n° 50 :

« Un outil simple d’accès et d’utilisation sera déployé afin que chacun puisse connaître les restrictions qui s’appliquent en fonction de sa géolocalisation et de sa catégorie d’usager, et les éco-gestes recommandés au regard de la situation hydrologique locale. »

Le déploiement de cet « outil » est prévu pour l’été 2023 ; autrement dit demain. On l’appelle déjà l’« écowatt de l’eau » : il incite à faire des économies d’eau — O.K., très bien — mais reste flou quant à la vraie dimension contraignante de son emploi.

Je crains, pour ma part, que cet outil rejoigne le système de crédit social qui se met progressivement en place dans notre pays et dans la plupart des pays développés [9].

La surveillance et le contrôle de l’usage individuel de l’eau réunissent les critères pour nourrir le modèle social dont le pass vaccinal a été la première expérimentation : le conditionnement d’une existence sociale normale à de « bons comportements » dictés par le pouvoir.

Ces « bons comportements », dont la règle de conduite est en apparence déterminée par le bien commun, est en réalité dictée par la finance et une idéologie de marchandisation tous azimuts, où tout citoyen est puni ou récompensé selon son mode de consommation.

J’en veux pour preuve le changement discret, mais gravissime du statut de l’eau, qui entérine sa confiscation par les sphères financières privées, et son exploitation comme matière première.

Le 7 décembre 2020, l’eau est en effet entrée en bourse au Chicago Mercantile Exchange [10].

Pour le dire simplement : l’eau est devenue, officiellement, une valeur financière sur laquelle on peut spéculer et faire varier les prix selon le bon vouloir des places financières.

Concrètement, l’eau n’est plus seulement considérée comme une ressource à vendre et à acheter (ce qu’elle est depuis longtemps, puisque vous achetez votre eau en bouteille au supermarché), mais comme un « indice » dont on peut faire artificiellement varier la valeur.

Concrètement, ce système fait qu’il peut devenir plus rentable, pour un agriculteur, de vendre l’eau dont il dispose, que de s’en servir pour arroser ses cultures. C’est déjà ce qui se produit en Californie [11].

C’est insensé. L’usage et l’exploitation de l’eau deviennent ainsi un « marché » dont la valeur varie en fonction des circonstances : inutile de vous dire qu’en cas de sécheresse, le « prix de l’eau » va atteindre des sommets…

Ce sera une catastrophe pour 99,99 % de la population humaine, mais une opération financière juteuse pour les 0,01 % ayant des parts dans les sociétés intéressées.

Le rapporteur spécial pour l’ONU Pédro Arrojo-Agudo dénonçait, fin 2021, cette financiarisation de la ressource naturelle :

« Sous le prétexte originel d’être plus performants pour répondre à une période de sécheresse, les acteurs privés ont priorisé le marché au détriment des droits humains et de l’intérêt général. [12] »

Je ne saurais mieux dire.

Au lieu d’économiser l’eau, on spécule dessus

Résumons-nous : nous sommes face à un État qui,

  • 1 — complice des géants de l’agroalimentaire, laisse l’eau, bien universel et essentiel à la vie, être irrémédiablement polluée par des substances dangereuses pour la santé ;
  • 2 — est en train de préparer et d’organiser la confiscation à grande échelle de l’eau et sa gestion « rationnalisée » sur le modèle de n’importe quelle autre matière première non essentielle et cotée en bourse.

Cette financiarisation de l’eau fait complètement abstraction de son statut de ressource vitale.

Autrement dit, l’eau était déjà, depuis l’avènement de l’ère industrielle, une victime collatérale de la recherche effrénée de profit — par la pollution de l’eau douce, ou salée — et devient, par sa raréfaction même et le stress écologique qu’elle subit… une source de profit purement financier.

Je suis convaincu que nous devons nous battre, de toutes nos forces, contre cette dénaturation et cette confiscation de l’eau.

Nous arriverons bientôt pour de bon dans un monde où l’accès à une eau pure et potable, voire à l’eau tout court, sera un privilège accessible à ceux qui en auront les moyens… qu’ils auront acquis sur le dos de la planète, et de la population mondiale.

Si vous avez des idées ou des initiatives pour contrer cette perspective glaçante, merci de les partager en commentaire.

Portez-vous bien,

Rodolphe







Mégabassines : ils privatisent l’eau en France

[Source : Greenpeace France]

Les mégabassines font couler beaucoup d’encre. Présentées par leurs promoteurs comme une solution face aux sécheresses de plus en plus sévères, ces « réserves de substitution » posent de nombreuses questions sur le plan environnemental. Accaparement des ressources en eau, perte de biodiversité, maintien coûte que coûte d’un modèle agro-industriel très consommateur en eau, réponse court-termiste et aggravation des conséquences du changement climatique… Notre experte en questions agricoles fait le point sur le fonctionnement de ces mégabassines et sur les méga-enjeux liés à l’eau, avant de laisser la parole à un maraîcher, fortement impacté par la sécheresse mais opposé aux mégabassines.

  • 00:00 : Intro
  • 00:48 : Mégabassine, qu’est-ce que c’est ?
  • 03:09 : Mégabassine, fausse solution
  • 05:34 : Mégabassine, choix égoïste
  • 06:39 : Face à la sécheresse, on fait comment ?
  • 07:54 : Conclusion



SOURCES

POUR ALLER PLUS LOIN

Des personnalités à suivre :

Florence Habets, hydroclimatologue, directrice de recherche au CNRS https://twitter.com/florencehabets
Magali Reghezza, géographe, membre du Haut Conseil pour le climat (HCC) https://twitter.com/MagaliReghezza




Alerte ! L’Europe prend prétexte de l’énergie pour décider de nos logements… à nos frais.

[Source : fr.irefeurope.org]

 Par Jean-Philippe Delsol

Le Parlement européen a voté, le 14 mars, une proposition de directive préparée par la Commission européenne pour réduire la consommation d’énergie, notamment fossile. Mais cette directive est une usine à gaz dangereuse pour nos libertés et nos porte-monnaie. Au prétexte de lutter contre l’insalubrité des logements populaires et le réchauffement, l’Europe veut s’emparer définitivement de nos modes d’habitation.

Interdiction de vendre et renchérissement des logements

Les bâtiments résidentiels devront satisfaire, au plus tard : i) à partir du 1er janvier 2030, au moins aux exigences de la classe de performance énergétique E ; et ii) à partir du 1er janvier 2033, au moins aux exigences de la classe de performance énergétique D. Des normes minimales de performance énergétique devront être établies par chaque État membre pour la rénovation de tous les autres bâtiments existants dans un horizon 2040/2050. Mais déjà, cette folle directive impose les matériaux à utiliser, le niveau de CO2, la température et le confort thermique, l’humidité relative de l’air, les niveaux d’éclairage, le taux de ventilation, le confort acoustique, « l’intelligence des bâtiments », la place des prises électriques… Les données seront communiquées aux autorités locales et contrôlées. Les États surveilleront la disponibilité des compétences et des professionnels qualifiés ainsi que les modalités de financement par les banques des travaux de rénovation.

Les États pourront exempter les logements sociaux publics de cette obligation, mais pas les logements privés, ce qui est une discrimination et une atteinte graves à la neutralité de la loi. Les bâtiments proposés à la vente ou à la location devront posséder un certificat de performance énergétique valable, ce qui interdira (Article 17-4 de la directive) la vente et la location de ceux qui n’auront pas été rénovés dans les conditions susvisées.

À partir du 1er janvier 2028, tous les bâtiments neufs devront être des bâtiments à émissions nulles. En 2050, tous les bâtiments devront l’être, si tant est qu’il puisse y avoir des bâtiments à « émission nulle », car nous émettons tous de la chaleur et du carbone pour vivre. Ce qui ne manquera pas de rendre les logements plus chers et de paupériser une partie de la population qui ne pourra plus y accéder. D’autant que dans le même temps, nombre de logements locatifs disparaîtront à défaut de pouvoir être rénovés selon les normes prévues, ce qui réduira l’offre et augmentera les prix de location autant que de vente, au détriment, là encore, des plus modestes.

Un « wokisme » énergétique

En vertu de cette directive, les États s’approprieront le droit de gérer les locaux inoccupés, de diriger « la construction, la reconstruction et la modification de bâtiments permettant de réduire leur PRP [potentiel de réchauffement planétaire !] pendant leur durée de vie », de décider de l’implantation des nouvelles constructions « sur des friches industrielles ».

Le projet de directive prévoit la manière dont les États devront déployer des installations d’énergie solaire sur tous les bâtiments, réglementer les chauffages, les climatisations, les sanitaires, les prises de recharge électrique pour les véhicules, leurs moyens de contrôle numérique à distance… Tout devrait être dépendant des énergies renouvelables. Il faudrait donc à terme ne se chauffer que quand il y a du soleil ou un vent modéré, probablement à tiers de temps au mieux ! Vive le progrès.

En réalité la directive veut transformer, détruire, reconstruire tous les bâtiments de telle façon que le monde soit résolument nouveau, même si elle admet certaines dérogations pour la préservation de monuments historiques protégés. Ils veulent tout transformer, éradiquer notre passé, « soutenir… les rénovations de type industriel ou “en série”. » On imagine notre paysage urbain de demain : des ZUP en moins bien. Et bien entendu toutes ces transformations se feront avec l’argent du contribuable. Les aides étatiques seront encouragées dans le cadre des « plans nationaux de rénovation des bâtiments » établis sous le contrôle de la Commission. Des « passeports de rénovation » et un « registre numérique des bâtiments » seront institués d’une façon toute soviétique. Bien entendu, « les États membres devraient chercher à réduire les disparités entre les hommes et les femmes dans le secteur de la construction et du bâtiment ». Rien ne nous est donc épargné.

Un germe de totalitarisme

Mais l’objectif se veut encore plus ambitieux : une « initiative du nouveau Bauhaus européen, qui tend à promouvoir une plus grande circularité dans l’environnement bâti en favorisant la rénovation et la réutilisation adaptative plutôt que la démolition et la construction neuve, le cas échéant. » Cette référence au Bauhaus, une école d’architecture allemande des années d’avant-guerre, dont la quête artistique globale a évolué en une utopie sociale, rejointe en France par un Le Corbusier par exemple, n’est qu’un déguisement de cette réforme technocratique et administrative à l’excès.

Selon le projet de directive, « l’initiative du nouveau Bauhaus européen a vocation à favoriser l’avènement d’une société plus inclusive propice au bien-être de tous, dans la continuité du Bauhaus historique, qui a contribué à l’inclusion sociale et au bien-être des citoyens, et des communautés ouvrières en particulier ». Ursula von der Leyen avait déjà annoncé le 16 septembre 2020 devant les membres du Parlement européen à Bruxelles ce « nouveau projet culturel pour l’Europe […] Nous allons créer un nouveau Bauhaus européen […]. C’est la NextGenerationEU. C’est ainsi que nous façonnons le monde dans lequel nous voulons vivre ».

Les élus se font ingénieurs, techniciens, mais surtout démiurges. Ils veulent façonner nos vies, concevoir le monde des hommes à leur place en méconnaissant cette réalité, que ceux qui veulent bâtir des mondes parfaits sèment toujours la terreur. Et c’est ce que nous refusons. Un trilogue s’engagera, entre Parlements, Commission et Conseil européens, à partir d’avril 2023, pour arrêter le texte final de la directive. Il faut empêcher l’Europe d’adopter définitivement cette directive insensée.




[À propos de l’auteur]

Docteur en droit et licencié ès lettres, Jean-Philippe Delsol est avocat au Barreau de Lyon spécialisé en droit des sociétés et fiscalité internationale. Fondateur du cabinet Delsol Avocats, il est Président de l’IREF. Auteur de plusieurs livres, dont « A quoi servent les riches », il est un interlocuteur privilégié des médias sur les sujets touchant à la fiscalité, au patrimoine et à l’entreprise. Autres ouvrages publiés : Au risque de la Liberté (FX de Guibert, 2007), Pourquoi je vais quitter la France (Tatamis, 2013), Anti-Piketty (libréchange, 2015), L’Injustice fiscale (Desclée de Brouwer, 2016), Eloge de l’inégalité (Manitoba/les belles lettres, 2019), Civilisation et libre arbitre, Desclée de Brouwer, 2022




Le temps du changement est venu !

Par Claude Janvier

Cela fait quelques années que les élites mondialistes veulent que vous deveniez le plus minimaliste possible. Les écolos à la petite semaine appliquent à la lettre la bible de Klaus Schwab avec pour unique slogan : « décroissance et minimalisme ».

Tout est fait pour que chaque citadin rêve d’habiter un petit appartement, dans un HLM aux murs végétalisés, avec un balcon où pousseraient deux ou trois plants de tomates rachitiques. Chaque matin, après avoir ingurgité un bol rempli d’un liquide ressemblant à du café, l’heureux citoyen enfourcherait son vélo électrique pour aller travailler. Empreinte carbone oblige, pas de voiture sauf électrique. Les voyages en avion ne seront pas envisagés, et la vie s’écoulera lentement, entre travail et temps libre avec pour seules distractions les jeux vidéo, les émissions de Télé-Réalité et les réseaux sociaux consultés toutes les heures sur son portable dernier cri.

Toujours dans le même livre, Klaus Schwab et Thierry Malleret, décrivent exactement à quoi va ressembler le futur alimentaire de chaque être humain vivant sur Terre. Un avenir radieux où la gastronomie aura disparu au profit de la « malbouffe » qui est, malheureusement, de plus en plus plébiscitée dans nos pays dits « civilisés ». Mac Donald, KFC, Subway, Pizzas industrielles, Kebab… Cette bouffe insipide ne vous nourrit pas. Même additionnée de sauces qui ne sont que des « rehausseurs de goûts », les saveurs sont totalement absentes. Et côté nutrition, un zéro pointé. En plus, si vous buvez un Coca-Cola afin de faire passer le hamburger étouffe-chrétien, sachez que la quantité de sucres absorbés va annihiler votre tonus pour quelques heures.

L’abandon du nucléaire civil, à force d’un lobby actif, se poursuit à grande vitesse. Le problème posé par les déchets nucléaires a été résolu. Un bref retour en arrière : à cause de Lionel Jospin, le projet Super Phénix a été totalement abandonné. Pourtant, ce projet allait dans le sens de retraiter les déchets radioactifs, donc d’éviter leur stockage et, de facto, de limiter les risques. La réutilisation de l’uranium 238 qui compose une grande partie du combustible usé dans un surgénérateur — un réacteur à neutrons rapides, dit de 4e génération — est au point. Avec un parc de surgénérateurs et rien qu’avec les stocks de combustible que nous avons actuellement en France, le problème de l’énergie ne se poserait pas avant plusieurs milliers d’années. Mais voilà. Ça ne rapporte rien ou presque et comme d’habitude, le raisonnement ne peut exister qu’en termes de « bénéfices engrangés ». La France a stoppé le projet ASTRID définitivement en 2019. Merci Emmanuel Macron. Ce programme étudiait les réacteurs de quatrième génération, lesquels recyclent les déchets des autres réacteurs. Autrement dit, de l’énergie nucléaire propre assurant notre pays et les autres, d’une énergie sans limites. Mais, cette solution n’arrange pas BlackRock, Vanguard et quelques autres. Il faut vendre à prix d’or des programmes d’énergie inefficaces et polluants.

La majorité de la population des nations occidentales doit désormais obéir à des minorités. La cancel culture, qui veut dire la culture de l’effacement ou de la déconstruction est le bras armé du Wokisme. Tout doit être déconstruit. Ce sont les buts de l’ONU, de l’UE, du FMI, de la CEDH et de toutes les ONG. Vous noterez qu’on en revient toujours aux buts d’une certaine oligarchie internationale financière apatride. Il est à noter que le Wokisme, la théorie du genre et le lobby des LGBTQ+A sont largement promus par des multinationales comme Coca-Cola, l’Oréal et Balenciaga. — La marque Balenciaga accusée de promouvoir la pédopornographie : ce qu’il faut retenir du scandale. FranceSoir. Publié le 4 décembre 2022. Mais il est à noter aussi que du sommet de l’état en France jusqu’aux municipalités de petites villes, tout est fait pour vous influencer. Drapeaux LGBTQ+A omniprésents dans les publicités, sur les plages — parasols, coupe-vent —, dans les commerces, tout est bon pour mettre l’attention sur ce fanion coloré, comme les passages piétons à Paris !

Une toile, exposée d’une « artiste » suisse, Miriam Cahn, au Palais de Tokyo à Paris, intitulée « Fuck Abstraction » montre un adulte en train de se faire faire une fellation par un enfant. Malgré les explications vaseuses de « l’artiste » et de la direction du Palais de Tokyo, on y voit un adulte nu, sexe en érection, en train de se faire faire une fellation par un enfant nu, agenouillé avec les mains liées dans le dos.

Si « l’artiste » ne voulait pas, selon ses dires, montrer cela, alors pourquoi n’a-t-elle pas montré une fellation entre deux adultes ? Extrait de la réponse de la direction du Palais de Tokyo, le 7 mars 2023. « Exposition de Miriam Cahn… L’œuvre “Fuck Abstraction” a fait réagir sur les réseaux sociaux où elle apparaît généralement recadrée ce qui entraîne une lecture biaisée. L’artiste représente ici une personne adulte aux mains liées, contrainte à une fellation… Ce ne sont pas des enfants… ». Je vous fais grâce du reste du communiqué. Vu les tailles des deux personnes, c’est sans équivoque. Il y a un adulte et un enfant. Ce Tableau est visible sur le Tweet de Karl Zéro @karlitozero en date du 5 mars 2023. 18 h 39. Communiqué intégral du Palais de Tokyo visible sur leur compte Twitter. @PalaisdeTokyo 7 mars 2023 19 h 26

Nos élites de droite comme de gauche sont les valets de pied des « Anglo-Saxons » et de leur hégémonie. Bien rémunérés, super protégés par des FDOs de plus en plus nerveux, nos dirigeants et tous les chefaillons de la république s’emploient activement à la destruction de notre civilisation. Sous des couverts de libertés, cette idéologie soi-disant gauchisante nous mène droit dans le mur. N’oubliez pas que c’est à cause de Jean-Luc Mélenchon, de la NUPES, des abstentionnistes et des syndicats félons, qu’Emmanuel Macron a été réélu. Quant au RN, sa position est loin d’être claire, au vu du débat tiédasse et peu convaincant de sa présidente face à Emmanuel Macron au second tour des présidentielles de 2022.

C’est peut-être de bon ton et à la mode de s’asseoir et d’attendre, en espérant « un monde meilleur ». C’est certainement très bien de ne penser qu’à sa famille, qu’à son travail et à ses vacances, en se disant que le monde pourrait être meilleur qu’il ne l’est, mais qu’on n’est pas si mal en France, etc.

Mais ce sont des démarches qui conduisent, petit à petit, à un suicide personnel, national et international. En effet, qu’on le veuille ou non, toute la population terrestre est en interaction. Ignorer sciemment ou inconsciemment qu’en dehors de son « pré carré », il y a des guerres, de la famine, de l’illettrisme, de la pauvreté et de la criminalité, n’aide en rien la survie. Ignorer aussi, et c’est très certainement un des points majeurs, qu’il y a un nombre assez conséquent de psychopathes ayant de hautes fonctions dans les gouvernements est suicidaire. Car, en apparence, ils vous veulent du bien, mais leurs actions prouvent le contraire.

À moins d’un grand changement dans la civilisation actuelle, au demeurant fort branlante, nous risquons fort d’être anéantis ou de faire partie d’une population de plus en plus réduite en esclavage.

Notre culture est aujourd’hui au bord de la destruction totale. Victime des coups de boutoir de la « cancel culture », du « Wokisme », du lobby LGBTQ+, et du lavage de cerveau médiatique et politique, elle est en train de s’effondrer dans une inconsistance abyssale.

Que cette destruction survienne sous la forme d’une ou plusieurs explosions épouvantables, à l’occasion d’un soulèvement politique ou encore par la désagrégation sociale, elle risque de venir, et ce, beaucoup plus rapidement qu’on ne le pense. À moins d’y faire quelque chose.

Il faut regarder autour de soi et observer maintes conditions et situations qui sont autant de signes de déclin, de douleur et de chagrin. Vous savez, au fond de vous-même, que cela ne doit pas être ainsi.

Prétendre, comme une majorité, que tout va bien aujourd’hui, c’est comme attendre que la tornade lancée à plus de 230 km/h vers votre habitation ne la détruise pas. Trop de gens ne connaissent pas grand-chose à propos du pourquoi, une certaine catégorie de la population, ne s’active qu’à détruire son prochain. Et pourtant, une bonne partie de cette catégorie se trouve à la tête de certains pays et occupe de hautes fonctions. Être instruit n’est pas synonyme d’altruisme et de bienveillance. Loin s’en faut.

Si un individu avait une conduite similaire à la conduite, par exemple de notre gouvernement en ce moment et depuis quelque temps, vous l’enfermeriez. Il suffit de regarder les faits. Pas d’écouter le bla-bla, ni de lire le copié/collé des médias. Non, il faut juste regarder les faits et les actions. Est-ce que cela va dans le sens de la survie pour le plus grand nombre ou pas ?

Si chacun d’entre nous se hisse vers des états d’efficacité toujours plus hauts, les choses peuvent changer. Chacun d’entre nous a le pouvoir de dire « Non ». Chacun de nous peut désobéir à des ordres ineptes et contre survie. La désobéissance civile, face à un gouvernement qui oppresse de plus en plus et qui n’œuvre pas pour la survie de son peuple, est une nécessité.

Les lanceurs d’alerte sont décriés, mis au ban de la société sans pouvoir s’exprimer dans les médias qui sont aux ordres. Mais le bouche-à-oreille est beaucoup plus puissant qu’on ne l’imagine. Un exemple : malgré l’antipub que les médias de masse ont écrit à propos du film « Vaincre ou mourir », malgré le déluge des critiques négatives des médias, ce film caracole à plus de 300 000 entrées.

Le temps du changement est venu. On peut y arriver si de plus en plus de gens disent « Non ». Tout peut s’améliorer. Tout peut changer. Le futur n’est pas écrit.

Claude Janvier.
Écrivain, essayiste. Co-auteur de deux livres avec Jean-Loup Izambert : « Le virus et le président » et « Covid-19, le bilan en 40 questions ». IS Édition. https://www.is-edition.com/






Un professeur finlandais expose les racines occultes du Forum économique mondial

[Source : medias-presse.info]

[Illustration : Great Reset et Great Narrative, les programmes officiels du Forum économique mondial de Klaus Schwab]

Par Pierre-Alain Depauw

« Les justifications des politiques mondiales de l’ONU et du Forum économique mondial, visant à subjuguer les gens, sont habillées sous forme de science, mais elles sont basées sur l’ésotérisme et l’occultisme. »

Côtoyant depuis une trentaine d’années des cercles du pouvoir dans le cadre de ses recherches, le professeur finlandais Mikko Paunio, considère que les politiques environnementales de l’ONU, du Club de Rome et du Forum économique mondial sont imprégnées d’ésotérisme.

Les arguments du professeur Mikko Paunio ont été présentés pour la première fois à un public finlandais en octobre 2022, dans une conférence intitulée « Occult Power ». Répétons-le, il ne s’agit pas d’un obscur théoricien du complot, mais d’un homme dont la longue carrière l’a mené dans les coulisses mêmes du pouvoir. Le professeur Paunio est un épidémiologiste qui a travaillé pour un certain nombre d’institutions de santé publique dans sa Finlande natale, et qui, après un bref passage à la Banque mondiale, est actuellement médecin principal au ministère des Affaires sociales et de la Santé de Finlande. Son travail en tant que conseiller scientifique et politique l’a amené à participer à des réunions au niveau des États à travers l’Europe et les États-Unis.

Il a combiné cela avec une opposition franche à la « religion » climatique dont les « idées néo-malthusiennes » sont un point de principe parmi l’élite technocratique. En fait, c’est son travail de spécialiste de la santé publique qui l’a d’abord alerté sur les sombres courants sous-jacents de ces misanthropes adorateurs de la nature et de leur culte à Gaïa.

« Quand j’étais jeune chercheur en médecine, je suis devenu l’un des secrétaires du Comité de l’énergie du Premier ministre en Finlande à la suite de l’accident de Tchernobyl. Moi-même et les autres secrétaires avons dû lire un flux de conscience manuscrit sans fin d’un membre du comité appelé Pentti Malaska, professeur d’études futures à l’Université d’économie et de commerce de Turku.

Qu’y avait-il de si remarquable dans cette rencontre ?

Il a été révélé plus tard qu’il était un occultiste. »

L’intérêt du professeur Paunio a été piqué, et c’est ainsi qu’a commencé son long voyage dans ce qu’il appelle « … le panthéisme nouveau et ancien de la nature développé dans le cadre de l’ONU, avec ses partenaires le Club de Rome et le Forum économique mondial. »

La création du Club de Rome en 1968 a été une étape importante dans le culte de la Terre, présentant l’humanité comme un handicap porté par une planète souffrante condamnée à un avenir catastrophique sans l’intervention d’une organisation internationale bienveillante et éclairée.

En combinant les prophéties de malheur avec la promesse d’espoir, il a creusé un sillon bien tracé par les dirigeants des bureaucraties internationales d’aujourd’hui. L’Organisation mondiale de la santé, les Nations Unies et le Forum économique mondial sont tous des représentants de cette méthode et sont bien sûr unis dans leur engagement envers les projets mondialistes.

Pourtant, il y a plus qu’un intérêt commun mondialiste qui unit ces organisations, explique le professeur Paunio.

« En 1991, dans mon premier livre, Vihreä valhe [Le mensonge vert], j’ai fait le constat qu’une grande partie des militants du mouvement néo-malthusien vert étaient attirés par l’anthroposophie ou la pensée occulte plus originale, c’est-à-dire, la théosophie. »

Le professeur Paunio accuse les maîtres du monde d’être directement inspirés d’une tradition occulte. Le panthéisme de la nature s’inspire spécifiquement de la « sagesse » de la théosophie, qui est basée sur l’ésotérisme et l’occultisme de l’escroc la plus célèbre du monde, Madame Blavatsky, qui prétendait avoir découvert la « vérité perdue » qui unit les religions du monde.

Klaus Schwab avait recruté Maurice Strong, un riche industriel canadien sans instruction (1929-2015), pour diriger la fondation du WEF. Maurice Strong était LA figure centrale dans la promotion du programme de développement durable depuis le premier sommet environnemental de l’ONU à Stockholm en 1972. Il était également un occultiste et un ésotériste invétéré.

Paunio a longuement écrit sur le développement de la tradition occulte à partir du 19e siècle, notant et nommant des personnalités politiques qui ont visiblement absorbé les principes du panthéisme de la nature.

Les découvertes du Professeur Paunio révèlent comment les organisations comme le WEF travaillent avec les gouvernements pour falsifier les preuves afin de promouvoir un programme d’effondrement.

Paunio explique comment le Forum économique mondial a, par exemple, utilisé un fonds d’innovation finlandais pour faire avancer la grande réinitialisation de Schwab.

En 2016, SITRA, qui est subordonné au Parlement finlandais, a rendu un rapport fabriqué sur le miracle de l’économie circulaire en Finlande et a créé le concept actuel d’économie circulaire pour le Forum économique mondial, qui est nocif pour l’environnement, la santé humaine et l’économie.

En exploitant ce concept, la Commission de l’Union européenne a fait des présentations aux législateurs de l’UE, par exemple, le règlement sur la taxonomie de la finance verte, le paquet sur l’économie circulaire de Jyrki Katainen et l’énorme paquet climatique Fit for 55, qui est encore principalement entre les mains des législateurs de l’UE, et ce qui conduira finalement à une planification quinquennale de style soviétique et à la chute de la société industrielle moderne.

Le professeur Paunio appelle les gens, simples travailleurs et entrepreneurs qui aiment leur pays et leur famille, à se réveiller pour défendre le réel et refuser ces expériences folles.

[Voir aussi :
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus
Les origines sombres de la Grande Réinitialisation de Davos
La religion du carbone
Les stratagèmes totalitaires des génocidaires mondialistes, partie 1
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
Luciferisme : un regard laïque sur un système de croyance globaliste destructeur
Le programme de contrôle de la population]






La pollution de l’air progresse fortement en Afrique et met les populations en danger

[Source : afrik.com]

Par Hélène Bailly

La pollution de l’air est une préoccupation croissante dans toutes les régions du monde, mais c’est en Afrique que la situation se détériore le plus. Sur le continent, on estime que 90% des 1,3 milliard d’habitants sont exposés à des niveaux trop élevés de pollution atmosphérique. Selon une récente étude, le Tchad est même le pays du monde où l’air est le moins propre.

L’Afrique est soumise à de multiples dangers. Mais celui de la pollution atmosphérique, s’il est moins connu, n’est pas le moins préoccupant. La pollution de l’air sur le continent est causée par une série de facteurs. Notamment l’industrialisation, les transports et l’utilisation inefficace de l’énergie, mais aussi les feux de forêt. Sur ces facteurs, certains sont compliqués à réduire, en particulier l’industrialisation. En effet, la croissance économique et démographique de la plupart des pays du continent africain implique un développement des usines et des centrales électriques, encore largement au charbon, une consommation accrue des énergies fossiles, notamment le pétrole, et bien souvent une déforestation. Autant de causes qui augmentent les émissions des polluants tels que le dioxyde de soufre et les oxydes d’azote. Ces émissions augmentent les probabilités d’être sujet à des maladies respiratoires.

Un rapport préoccupant sur la qualité de l’air en Afrique

Le rapport 2022 de l’IQAir sur la qualité de l’air dans le monde révèle que seuls 5% des pays respectent les recommandations de l’OMS en matière de pollution atmosphérique. Sur les pays étudiés, seuls six ont respecté la directive de l’OMS sur les PM2,5 (moyenne annuelle de 5 µg/m3 ou moins) : Australie, Estonie, Finlande, Grenade, Islande et Nouvelle-Zélande. Avec 89,7 µg/m3, plus de 17 fois supérieur à la recommandation annuelle de l’OMS, le Tchad est le pays le plus pollué du panel, devant l’Irak et le Pakistan. En cause notamment le développement de l’exploitation pétrolière.

Le transport est aussi un contributeur très important de la mauvaise qualité de l’air. En cause, l’augmentation du nombre de véhicules sur les routes. Outre les voitures individuelles, il y a les autobus et les camions de transport. Le tout couplé à une mauvaise qualité des carburants utilisés dans ces véhicules.

Mauvaise utilisation des ressources

L’utilisation inefficace de l’énergie est un autre facteur majeur contribuant à la pollution de l’air en Afrique. De nombreux ménages dépendent des combustibles traditionnels, bois ou charbon de bois, pour cuisiner et se chauffer. Des modes de chauffage qui produisent des polluants nocifs pouvant provoquer des maladies respiratoires. Les femmes et les enfants, qui passent davantage de temps dans les maisons mal ventilées, sont davantage touchés.

Lire aussi : Cameroun, lutter contre les véhicules polluants

La pollution de l’air est l’une des principales causes de décès prématurés dans le monde, avec environ 7 millions de morts par an. Mais le coût des maladies respiratoires, comme l’asthme, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et le cancer du poumon, est particulièrement problématique pour les états.

Mais des mesures en cours de mise en place

C’est une des raisons qui expliquent que les gouvernements, poussés par les ONG, travaillent à prendre des mesures. Le solaire est un axe essentiel pour le continent en raison de son ensoleillement important. Mais il faut aussi œuvrer aux évolutions des modes de consommation. Et pour cela, travailler à l’éducation des ménages. Un travail de longue haleine, mais qui est chaque jour plus indispensable.