Gibraltar : 99 % de vaccinés ; festivités de fin d’année annulées

[Source : Résistance Mondiale via ZEjournal.mobi]

Le gouvernement appelle à la prudence et demande d’éviter les rassemblements de masse, de porter un masque autant que possible et de maintenir une distance de sécurité. Au cours des dernières 24 heures, il a enregistré 57 nouveaux positifs et il y a déjà 359 cas actifs.

[Ndlr : sachant que les « cas » même prétendument « actifs » sont basés sur un test frauduleux, le PCR.
Tous les prétextes, même complètement fallacieux, seront bons pour finalement reprendre ou maintenir des mesures sanitaires malgré les piqûres géniques Covid, et ceci dans la plupart des pays.
Tant que les gens ne réaliseront pas que la seule chose à faire est de ne pas obéir à ces mesures quitte à se retrouver chargé d’amendes, puis en prison, ils s’enfonceront de plus en plus dans la dictature. Comme l’a rappelé le Dr Zelenko, il vaut mieux sacrifier le présent pour sauver l’avenir que sacrifier l’avenir pour espérer sauver le présent.]

Par de la population pleinement vaccinée contre la Covid-19
Doses de vaccins Covid-19 et personnes ayant reçu une dose, deux doses ou trois doses.
Nombre de nouveaux cas et de morts

Gibraltar connaît une augmentation constante des infections au Covid-19 depuis octobre et ces derniers jours, le nombre a grimpé en flèche, ce qui a incité le gouvernement, vendredi, à appeler à la prudence et à suspendre les fêtes et réceptions officielles de Noël. Il a également exhorté les gens à éviter les grands rassemblements et à porter un masque lorsque la loi l’exige ou lorsqu’ils se sentent mal à l’aise, ainsi qu’à garder une distance sociale sûre avec les autres personnes.

Cette augmentation des contagions, que le gouvernement de Gibraltar qualifie d’« exponentielle » ces derniers jours, rend « essentiel » que le public se comporte « de manière prudente et sensée étant donné que nous sommes toujours plongés dans une pandémie mondiale qui fait de nombreuses victimes chaque jour dans le monde », a-t-il déclaré dans un communiqué de presse.

Le Rock compte 359 cas actifs de Covid-19 vendredi, dont 57 au cours des dernières 24 heures et 72 au cours de la journée précédente. Cinq personnes sont hospitalisées, dont une dans l’unité de soins intensifs, et 440 personnes sont en isolement.

La campagne de vaccination, qui a fait des progrès vertigineux à Gibraltar, dont les habitants sont revenus à la normale bien plus tôt qu’en Espagne, n’a cependant pas permis de stopper le nombre d’infections. Le gouvernement de Gibraltar attribue ses chiffres au taux élevé de dépistage parmi ses résidents, qui lui permet, selon lui, de détecter beaucoup plus de cas positifs qu’ailleurs. Elle souligne toutefois qu’en Europe, le nombre de personnes infectées est en hausse.

Foyers lors d’événements, de rassemblements religieux et au travail

Selon le Département de la Santé publique de Gibraltar, depuis le 2 octobre, il y a eu des rapports positifs chez des adultes associés à divers événements et des épidémies communautaires distinctes liées à divers rassemblements religieux. Il ajoute : « Cette semaine, on a constaté une forte augmentation des transmissions sur les lieux de travail ».

Par conséquent, outre l’annonce de l’annulation des fêtes de Noël officielles, des réceptions officielles et autres rassemblements similaires, il appelle le public à faire preuve de discernement à cet égard, en tenant compte des conseils donnés. Il rappelle qu’il faut tenir compte du nombre de personnes, de l’environnement – intérieur ou extérieur – du degré de ventilation si l’on se trouve à l’intérieur, et du fait que les personnes présentes sont vaccinées, âgées ou vulnérables. Il conseille d’éviter les fêtes pendant quatre semaines.

En outre, il déconseille « fortement » l’organisation de grands événements sociaux informels, de fêtes ou de réceptions pendant au moins les quatre prochaines semaines, alors que le programme de vaccination de rappel est en cours de déploiement. « À ce moment-là, il sera également nécessaire de veiller à ce que l’utilisation des installations officielles soit étroitement surveillée et, le cas échéant, de reporter les événements à une date ultérieure », ajoute le document.

Il prévient qu’il est vital que le public suive les directives de la santé publique et prenne toutes les précautions raisonnables pour réduire la transmission du virus afin d’assurer sa propre sécurité, ce qui sera également dans le meilleur intérêt de ses proches.

Il rappelle également que les masques faciaux restent l’une des méthodes les plus efficaces pour réduire la transmission et qu’à Gibraltar, leur port est obligatoire dans les magasins et supermarchés, les établissements médicaux et de soins de santé, les transports publics, les funérailles dans un lieu de culte fermé ou légèrement ouvert et dans le terminal de l’aéroport.

La campagne de vaccination de rappel Covid-19 est actuellement en cours pour les plus de 40 ans, le personnel de santé et d’autres groupes vulnérables. Jusqu’à présent, 12 079 doses de rappel ont déjà été inoculées dans le Rock.

sources :

• sevilla.abc.es/sevi-gibraltar-suspende-fiestas-oficiales-navidad-ante-exponencial-aumento-contagios-covid-19
• ourworldindata.org
• 9news.com.au/australia-on-track-to-surpass-usa-in-vaccination-rates




Zemmour et sa vision du monde périmée

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Penser Zemmour à l’heure de la dictature sanitaire

Penser Zemmour et le zemmourisme, surtout s’il est teinté de knafisme, n’est pas chose simple en temps ordinaire. Mais en situation de dictature sanitaire, l’affaire se présente comme un accouchement par le siège, tant le personnage est clivant, suscitant chez certains un enthousiasme quasi-christique, chez d’autres un rejet viscéral. Régulièrement interrogés par des lecteurs sur cette question, nous avons décidé de sortir de l’ambiguïté pour confronter les vues éditoriales du Courrier aux prises de position du polémiste.

Eric Zemmour réussit l’exploit d’être un non-candidat à une élection dont il est cité comme un possible vainqueur. En soi, cette (non)posture est déjà une superbe réussite qui interroge sur le poids de la société du spectacle. À la différence des hommes politiques traditionnels, Éric Zemmour ne s’est en effet pas distingué par une prise de responsabilité dans un poste électif ou public. Il s’est seulement illustré par son potentiel télévisuel. Mais ce point de contexte, qui pourrait être considéré comme une limite, ne semble pas gêner ceux qui déclarent aujourd’hui le soutenir. 

Puisqu’il est d’usage désormais de prendre position même si l’intéressé est pour l’instant en phase de “réflexion”, il nous paraissait important d’apporter quelques éléments d’analyse libertarienne sur sa doctrine. 

Zemmour face à la dictature sanitaire

Nous éviterons ici de cataloguer sommairement la pensée zemmourienne sur le passe sanitaire et sur les mesures liberticides que le gouvernement multiplie depuis plusieurs mois. Nous retiendrons seulement (et nous pensons ne fâcher aucun lecteur en l’affirmant) que cette question de la dictature sanitaire n’occupe pas une place centrale dans la doctrine du polémiste. 

Tantôt contre le passe sanitaire, tantôt pour ou peu dérangé par son principe, Zemmour ne fait pas partie de ceux qui tempêtent contre une violation des libertés publiques par l’État. Redisons-le, peut-être cette violation l’embarrasse-t-elle, mais il n’en fait pas le centre de sa doctrine. 

Les lecteurs fidèles du Courrier savent que nous ne pouvons guère partager cette forme de tiédeur ou d’indifférence vis-à-vis de ce qui nous semble être crucial dans notre époque, ou plutôt dans le changement d’époque auquel nous assistons. 

Si nous en croyons les informations que nous recevons régulièrement, Zemmour appartient plutôt à ce groupe de pensée “identitaire” qui considère que la question de la vaccination ou celle du passe sanitaire sont des divertissements, des façons d’occulter ce qui leur semble le sujet de fond : l’immigration et l’identité française. Au fond, le seul sujet politique de l’époque serait celui de la démographie, et le reste ne compterait pas vraiment. 

Nous voulons expliquer ici deux choses : d’abord pour quelle raison nous n’opposons pas question migratoire et question de libertés. Ensuite pour quelle raison nous pensons qu’Éric Zemmour se trompe dans son appréciation de la réalité. 

Pourquoi immigration et libertés ne font qu’un seul et même sujet

Ainsi, il y aurait deux sujets différents. D’un côté celui que certains appellent la submersion migratoire. D’un autre côté celui de la vaccination obligatoire, du passe sanitaire et de la surveillance de masse. 

Nous pensons pour notre part que ces deux sujets ne font qu’un, ou plutôt qu’ils sont les deux faces d’un seul et même projet de dilution de l’Occident dans un grand tout mondialisé, servile et formaté pour les besoins d’un nouveau capitalisme de connivence sur lequel nous nous exprimons régulièrement. 

Nos lecteurs, habitués à la thématique prétendument complotiste du Great Reset, savent combien ces deux sujets sont en tout cas étroitement liés dans la conception multilatérale déployée par la caste mondialisée qui domine les démocraties occidentales. Ce lien étroit apparaît peu clairement si l’on reprend la chronologie des faits, mais il se comprend très vite si l’on se réfère aux conceptions politiques dominantes outre-Atlantique, notamment sous la férule de l’Open Society Foundation de George Soros. 

[Voir aussi : Comment les Britanniques ont inventé George Soros]

Pour mémoire, le spéculateur américano-hongrois Soros, élève de Karl Popper, a créé une fondation qui prétend renverser, ou aider au renversement, des sociétés “traditionnelles”, c’est-à-dire des bons vieux États-nations occidentaux. Pour diluer leur identité, Soros n’a pas hésité à financer abondamment les ONG qui organisent la crise migratoire. Son projet est clair et assumé : il s’agit de diluer les vieilles résistances nationales en Europe, et de promouvoir un “activisme inclusif” grâce auquel nos sociétés ne feraient plus aucune distinction entre les individus, soit sur des critères culturels, ou ethniques, ou de genre. 

Dans cette vision de la société ouverte, l’obligation vaccinale, le passe sanitaire, le crédit social, la peur de la maladie, jouent des rôles essentiels. 

Pourquoi la dictature sanitaire est indissociable de l’immigration

Il ne faut surtout pas oublier que la caste mondialisée qui a favorisé les submersions migratoires de ces dernières années (notamment la vague de 2015 accueillie à bras ouverts par la coupable Angela Merkel, qui a directement débouché sur des vagues d’attentats meurtriers) a pris peur lorsque deux événements sont intervenus coup sur coup. D’abord, l’élection de Donald Trump aux Etats-Unis a remis en cause le sacro-saint principe du libre-échange et de la gouvernance multilatérale du monde, dont la caste mondialisée dépend économiquement. Ensuite, l’adoption du Brexit en Grande-Bretagne a fini de démontrer que le suffrage universel était devenu l’allié du vote souverainiste, moqué sous les termes de “populiste” d’abord, puis de “complotiste” aujourd’hui. 

Face au risque de voir le suffrage universel servir les ennemis du multilatéralisme, du libre-échange, de la bien-pensance activiste, la caste mondialisée a compris le parti qu’elle pouvait tirer de la menace épidémique. En agitant les peurs, en répétant quotidiennement dans les médias qui lui sont dévoués que chacun risque sa vie en parlant à son voisin, une reprise en main des vieux peuples d’Occident a commencé. Cette reprise en main se matérialise par un véritable projet de zombification, de neutralisation de tout esprit critique, où n’importe quel citoyen est sommé d’obéir à la propagande s’il ne veut pas être puni pour fait de complotisme. 

D’où ce projet insensé de crédit social à la chinoise avancé par Emmanuel Macron, qui permet de domestiquer les peuples et de bannir tous ceux qui refusent de donner un blanc-seing à une politique organisée de dilution de l’Occident. 

Ce qu’il faut comprendre, c’est qu’entre la vague migratoire organisée et l’anesthésie des libertés sous prétexte de COVID, il n’y a qu’un seul et même projet : celui d’une solution finale pour une conscience occidentale décidément bien gênante pour le libre-échange et ses petits travers. 

Le retard conceptuel d’Eric Zemmour sur le Great Reset

Les Français qui ont fait l’effort de remettre en cause leurs certitudes acquises et qui se sont informés sur ce projet de Great Reset, au demeurant parfaitement théorisé et transparent, savent tout ce qui vient d’être dit. Mais le journaliste du Figaro Éric Zemmour, figure de proue d’une rédaction subventionnée par l’État, n’a pas fait l’effort de cette mise à niveau de ses connaissances. Il est resté dans les certitudes de l’Ancien Monde, sans prendre connaissance du dévoilement et des tournants doctrinaux de ces derniers mois, dont le Forum de Davos est devenu le porte-voix avec tant d’efficacité. Et, effectivement, il faut avoir mis les mains dans le Great Reset pour comprendre que la crise du COVID est montée en épingle pour pouvoir en finir une bonne fois pour toutes avec les vieilles résistances souverainistes qui transforment l’Occident en village gaulois, hostile à l’envahisseur globalisé. 

Au fond, la vague migratoire de 2015 portait en elle le trumpisme et le Brexit. Le trumpisme portait en lui l’épidémie de COVID comme prétexte rêvé pour imposer une gestion mondialisée de la crise et affaiblir l’économie américaine. Et l’épidémie de COVID portaient aussi en elle la dictature sanitaire et la guerre déclarée aux vieilles identités. 

Mais sur toutes ces questions, Éric Zemmour est encore un homme du vingtième siècle. Il s’est arrêté au regroupement familial autorisé par Giscard, et à quelques autres niaiseries si on les compare au noyau dur de la dictature sanitaire. Faute de disposer d’un cadre d’analyse capable d’expliquer, de décrypter, l’évolution internationale de ces derniers mois, il est resté figé sur une compréhension obsolète du monde contemporain. 

Un silence gênant sur le fait multilatéral

Et c’est bien ce qui nous gêne chez Éric Zemmour : ce sentiment qu’une vie trop confortable à l’abri des contrats par lesquels il loue sa force de travail aux Dassault et Bolloré ne l’a guère poussé à renouveler ses analyses, et ce constat qu’au fond sa vision du monde est périmée. 

C’est aussi pour cette raison que nous sommes embarrassés par ses silences sur le poids du multilatéralisme aujourd’hui, et par son manque de clarté ou de vision sur l’Union Européenne, outil névralgique de la caste. Pour être honnêtes, nous pensons qu’Éric Zemmour n’est pas équipé pour comprendre le monde dans lequel il vit et ce point faible compliquerait singulièrement son accession au pouvoir. 

Il y a en effet une illusion bien naïve dans le fait de croire que renoncer à l’immigration règlerait tous les problèmes de notre temps. La caste mondialisée mobilise bien d’autres outils que les flux migratoires pour torpiller les résistances à l’ordre qu’elle appelle de ses vœux. Et sur ces autres outils, on attend de connaître les positions du candidat Zemmour. Mais nous constatons qu’elles sont bien tardives, quoi qu’il arrive, et bien peu visionnaires. 

Mais… c’est notre point de vue. C’est un point de vue parmi d’autres. Et chacun reste bien entendu libre d’émettre une approche ou une évaluation différentes. 




Nouvelles apparemment insignifiantes

[Source : echelledejacob.blogspot.com]

Rappelez-vous mon article sur les « scientifiques » en sciences sociales, il s’intitulait « Pourquoi ils détestent la nouvelle famille de satellites russes Arctika-M« , qui présentent un danger pour l’ensemble du schéma de Ponzi sur le réchauffement climatique anthropique. Beaucoup de vrais scientifiques du monde entier, qui ont encore des couilles et de l’intégrité, ce qui est minoritaire en Occident, savent que l’Arctique est un point de référence pour tout ce changement climatique. Eh bien, voici des nouvelles aujourd’hui :

Deux brise-glaces sont en route pour sauver des navires bloqués par les glaces sur la route maritime du Nord. Une vingtaine de navires sont bloqués ou ont du mal à naviguer, car les eaux de la mer de Sibérie orientale ont gelé plus tôt que ces dernières années.

Oups ! Attendez une minute, vous me dites que la Russie, qui est déjà le leader mondial de la technologie des brise-glaces et du nombre construits et en cours de construction –  tellement en avance que cela est même pas juste, n’a même pas adhéré au AGW BS (Anthropogenic Global Warming Bull) ? Non, pas question. Ces arriérés de russes, seulement bisexuels, qui étudient la géophysique, le lancement de satellites, les hydrocarbures et l’utilisation du nucléaire, en rient encore.

Les autorités de district de l’Extrême-Orient russe ont fait déplacer deux brise-glaces pour aider les navires actuellement pris dans les glaces de la mer de Sibérie orientale. Le Yamal, à propulsion nucléaire  devrait arriver dans la région d’ici le 20 novembre, tandis que le Novorossiisk, à moteur diesel, arrivera d’ici le 15 novembre, selon les autorités régionales de Chukotka. Le navire de sauvetage Spasatel Zaborshchikov est également envoyé. La décision a été prise cette semaine par Yuri Trutnev, l’assistant présidentiel en Extrême-Orient russe. La mise en service des puissants brise-glaces intervient alors que les conditions sévères de glace de mer ont pris des navires par surprise. Il y a maintenant environ 20 navires qui sont bloqués ou qui ont du mal à traverser les eaux glacées. Parmi eux se trouvent le  UHL Vision,  qui a été bloqué ces derniers jours dans les eaux au nord des îles de Nouvelle-Sibérie, et les vraquiers  Golden Suek,  Golden Pearl,  Nordic Quinngua  et  Nordic Nuluujaak,  qui sont situés à l’est de ce même archipel. Dans la zone se trouvent également le pétrolier  Vladimir Rusanov , ainsi que les cargos  Selenga  et le navire finlandais  Kumpula, qui sont tous escortés vers l’ouest par le brise-glace nucléaire  Vaigach. Pendant ce temps, dans le port de Pevek, se trouvent six navires qui auront également probablement besoin d’aide pour quitter la zone.

Je vais répéter ma réponse, encore une fois, les Russes n’ont même pas de compétiteurs en termes d’étude scientifique et d’utilisation de l’Arctique. Juste pour donner un indice, tapez sur Google le mot Polynya et posez-vous la question pourquoi un mot purement russe a été emprunter dans la plupart des langues et est devenu un terme géographique officiel. Un indice : les Russes connaissent l’Arctique depuis le 19ème siècle, mais en réalité depuis Pomors, qui a commencé à s’aventurer loin au nord, à partir du 12ème siècle. Donc, pour parler un jargon profane, la Russie a un sacré pédigrée dans l’Arctique. La Russie continue d’investir massivement dans l’Arctique et, grâce à cela, dispose d’une machine scientifique impressionnante, qui effectue des observations et des études dans l’Arctique qui surpassent tout ce que le reste du monde peut faire. 

Voici l’une de ces organisations : le Service fédéral d’hydrométéorologie et de surveillance de l’environnement, son principal institut de recherche scientifique sur l’Arctique et l’Antarctique, à Saint-Pétersbourg, qui traite précisément des questions décrivant les conditions en Arctique. Parce que les Russes sont des gens arriérés et incultes, ils continuent de s’appuyer sur des choses aussi futiles que l’observation spatiale, des méthodes scientifiques avancées et une gigantesque flotte de brise-glaces et de moyens aériens, qui surveillent cet environnement 24h/24 et 7j/7. Cet institut, dont l’une des missions principales est la surveillance des glaces arctiques, publie des cartes des glaces. Et voici ce qui est si fascinant à leur sujet, la carte des glaces 2013 :

Old+Ice-2013.JPG (1280×894)

La partie la plus sombre est ce qu’on appelle la « vieille glace » (plus de 2 ans) – c’est la plus épaisse de toutes, la verte est une « glace d’un an » qui fait entre 30 et 200 centimètres d’épaisseur, soit deux mètres. 8 ans de « réchauffement » sévère et de réduction des calottes glaciaires se sont écoulés, mais soudainement… en novembre 2021 :

Old+Ice-2021.JPG (1271×909)

Hum, comment se fait-il que la vieille calotte glaciaire ait grandi dans sa région en 2013, alors que la jeune glace (couleur magenta) se forme partout créant ainsi une urgence ? Ce n’était pas censé être le cas, mais nous y sommes. À l’origine, nous étions censés voir disparaitre la calotte glaciaire de l’Arctique. Vous vous souvenez de 2009 et du fraudeur du prix Nobel, Al Gore ?
Al Gore a déclaré à la conférence des Nations Unies sur le climat que de nouvelles données suggèrent que la calotte glaciaire polaire arctique pourrait disparaître en été dans cinq à sept ans.

De quel genre de « données » Al Gore parlait-il ? Je peux vous dire quel genre de données, un BS falsifié, obtenu à partir de modèles mathématiques de merde, créés par des faux-jeton payés par la mafia mondialiste. Ce sont les « données » avec lesquelles ils opèrent. Bien sûr, la glace ancienne a considérablement augmenté au cours des dernières années, alors qu’elle était censée fondre conformément aux « scientifiques » occidentaux du climat. Ce ne sont pas des scientifiques, ce sont des compilations de modèles qui ont appris quelques rudiments mathématiques et qui vendent cette merde à ceux qui les paient. Une définition de GIGO (garbage in, garbage out) : concept selon lequel des données d’entrée défectueuses ou absurdes produisent des sorties absurdes ou « déchets ». Pouvez-vous imaginer à quel point ces foutus Russes, avec leur système de surveillance spatial avancé et une gigantesque flotte de brise-glaces qui naviguent toute l’année dans les eaux arctiques et la glace, les irritent. 

Le maximum sur lequel le système de Ponzi « changement climatique » politiquement correct occidental peut s’appuyer, ce sont les données de la NASA et peut-être une place au seul brise-glace de la Garde côtière américaine Polar Star; qui est en fin de course. Les Russes, quant à eux, conduisent des expéditions et ces convois des routes de la mer du Nord prennent des mesures et observent l’Arctique 24h/24 et 7j/7, en d’autres termes, sans escale. C’est précisément la raison pour laquelle un géant nucléaire de classe Lider est en cours de construction à Zvezda et deux autres attendent leur tour. Cela représente 70.000 tonnes d’une puissance brute, à propulsion nucléaire.

De plus, jetez un œil à la liste des brise-glaces nucléaires du pr.22222, dont l’un est déjà en service, 4 autres sont en cours de construction. La Russie est-t-elle un pays qui voudrait dépenser des ressources colossales pour quelque chose qui ne serait pas nécessaire, en raison du « réchauffement climatique » ? Comme l’a dit Bismark : « même lorsqu’ils construisent une décharge, les Russes ont un plan ». Eh bien, tirez-en votre propre conclusion. Je souri toujours quand un journaliste télévisé, ou un « stratège politique » occidental, se met à pontifier sur la « science ». Il y a de moins en moins d’espace pour la vraie science en Occident aujourd’hui et contrairement à la vieille glace arctique, qui grandit inexorablement, l’espace pour la vraie science en Occident continue de se rétrécir, et il n’y a rien de drôle à cela. Pendant ce temps, la Russie mobilise ses brise-glaces pour libérer 20 navires des glaces, à l’heure et à l’endroit où elle n’était pas censée se trouver. 

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Garçon, je ne peux qu’imaginer, en regardant ce gars, à quel point ils sont désespérés dans leur impuissance et leur mesquinerie.

Source




Dr Kary Mullis : Pourquoi j’ai commencé à remettre en question le VIH

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

“Pourquoi j’ai commencé à remettre en question le VIH” de l’édition Deluxe de House of Numbers (2009).

Un parallèle à faire avec le SARS-CoV-2, la situation étant très similaire.

[Voir aussi :
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Quel est aujourd’hui l’article scientifique de référence démontrant que le SARS-CoV-2 soit responsable du Covid-19 ?



Kary Mullis, prix nobel et inventeur de la méthode de test PCR
(Kary Mullis : “Le test PCR ne permet pas de savoir si vous êtes malade”)

Vidéo originale : https://www.youtube.com/watch?v=vaMZ4NyNCwI
Sous-titres FR https://cv19.fr




Le monstre de la vaccination GAVI : immunité juridique totale !

[Source : Kla.TV]

Dans l’émission affichée à l’arrière-plan, j’avais parlé de l’importance de surveiller de près les taux de mortalité à partir du moment où la vaccination commencerait. Vous vous en souvenez. Entre-temps, le décompte officiel montre que le nombre moyen de décès a augmenté de pas moins de 24 000 % depuis le début de la vaccination contre la maladie du Covid, et ce sans les cas non enregistrés. Il faudrait donc refaire le calcul.

[Ndlr : ce qui vaut pour la Suisse vaut pour les autres pays qui ont pactisé avec la GAVI.
Voir aussi :
GAVI et Bill Gates plus puissants que l’ONU !
Partenariats Public-Privé : de la Fondation Bill et Melinda Gates à Big Pharma]



Je suis à nouveau tombé sur des révélations explosives concernant un monstre de la vaccination qui n’a pas seulement la Suisse, mais tous les pays du monde sous son emprise. L’exemple de la Suisse vous montre ce qui se passe quand on s’associe à une alliance mondiale pour la vaccination. Et là, nous parlons de GAVI.

En effet, notre Conseil fédéral suisse l’a déjà fait le 23 juin 2009, en concluant un accord avec GAVI sans tenir compte du peuple et de la démocratie. Cet accord est tellement explosif qu’il est totalement inacceptable que la plupart des Suisses, et des personnes du monde entier en général, n’en soient toujours pas informés.
Avant de voir de quelles monstruosités notre Conseil fédéral suisse est donc capable, puissions-nous, nous Suisses, prendre conscience que c’est précisément à ce Conseil fédéral que nous donnerons le pouvoir absolu sur nous jusqu’à la fin de l’année 2031, si nous ne déposons pas un NON clair dans les urnes le 28 novembre prochain contre le durcissement de la loi Covid !

Mais commençons par un bref aperçu de ce qu’est GAVI :
En 1999, des représentants de l’association des entreprises pharmaceutiques se sont réunis au centre italien de Bellagio avec des représentants de l’UNICEF, de la Banque mondiale, de la Fondation Rockefeller, de l’OMS et, bien entendu, avec Bill Gates.
Les discussions y ont porté sur les programmes de vaccination pour les pays en développement, financés jusqu’alors par la fondation Rockefeller et mis en œuvre par l’OMS. Mais ces programmes de vaccination souffraient toujours de difficultés financières – comme ils disent. C’est pourquoi il a été décidé lors de cette réunion de créer GAVI, c’est-à-dire l’Alliance Globale pour les Vaccins.

Bill Gates a donné au nouveau venu GAVI une petite aide financière de départ de 750 millions de dollars. L’année suivante, la création de GAVI a été officiellement annoncée au Forum économique mondial de Davos, c’est-à-dire au FEM. Et pas annoncé au peuple suisse… Comprenez bien de quoi je parle maintenant.

L’objectif premier de GAVI est de permettre aux pays en développement d’accéder aux vaccins et d’intégrer les programmes de vaccination dans leur système de santé. Nous savons depuis le Covid qui GAVI compte parmi les pays en développement. Depuis 2019, le monde entier est en effet sous l‘emprise de cette pieuvre mondiale, appelée Alliance Globale pour les Vaccins.

Pourtant, GAVI n’a jamais été légitimée démocratiquement. GAVI n’est qu’une fondation privée dont le siège est à Genève. Elle est dirigée par un conseil d’administration de 18 membres. Au sein de ce conseil siègent, comme nous l’avons déjà mentionné, des représentants de la fondation Bill & Melinda Gates, de la Banque mondiale, de l’OMS, de l’UNICEF ; mais aussi des représentants des gouvernements des pays membres de GAVI, des représentants des gouvernements des pays en développement qui participent aux programmes de GAVI, etc. et bien sûr, on y trouve aussi des représentants des fabricants de vaccins en grand nombre, ainsi que les principaux dirigeants du secteur financier ; et puis encore diverses organisations non gouvernementales (dites ONG) et – tout cela réuni au sein d’un même conseil d’administration.
Voilà pour la compréhension de base de GAVI : il nous faut maintenant parler de cet accord entre le Conseil fédéral suisse et GAVI. Dans cet accord, cette Alliance GAVI est tout à coup reconnue « par la Suisse“ – soit au nom de la Suisse – comme une personnalité juridique internationale. Et ce, bien que le mandant du Conseil fédéral, c’est-à-dire le peuple suisse, ne savait absolument rien de cette personnalité GAVI, que je qualifierais d‘ « alliance secrète ».

Cela reviendrait donc, si je fais une comparaison, à ce que ma femme fonde dans mon dos et en mon nom une gigantesque entreprise dont je n’ai pas la moindre idée, mais dont je suis entièrement responsable et pour laquelle on peut me demander à tout moment des comptes. Vous comprenez ? Et maintenant, voyons tout de suite quels privilèges notre Conseil fédéral a garantis à cette Alliance GAVI au nom de « la Suisse », derrière notre dos :
Par exemple, l’inviolabilité de tous les bâtiments et du terrain à Genève où est implantée GAVI. L’inviolabilité, qu’est-ce que c’est ? Je vais le dire pour ceux qui ne comprennent pas ce mot. En clair, cela signifie qu’aucun représentant des autorités suisses ne peut pénétrer dans un quelconque bâtiment ou terrain de GAVI sans l’accord explicite du directeur de GAVI. Intéressant, non ? Au nom du peuple suisse, qui n’en sait absolument rien, il a été reconnu par la loi que les bâtiments, les terrains et les biens de GAVI ne peuvent jamais être inspectés, confisqués, expropriés ou saisis. Le peuple suisse n’a aucun pouvoir. Or, à notre insu, il a été reconnu au nom de la Suisse que toutes les archives, tous les documents et tous les supports de données de GAVI sont inviolables, et intouchables. Aucune personnalité ou instance, aussi élevée soit-elle, ne peut accéder à leur correspondance, à leurs documents, à leurs supports de données, etc. De plus, le Conseil fédéral suisse a accordé à GAVI l’immunité juridique et d’exécution. Imaginez-vous cela ! A l’exception des infractions au code de la route, s’ils ont un accident quelconque avec leur véhicule. Pour le reste, ils sont immunisés.
En d’autres termes, GAVI peut recevoir tout type d’avoirs ou de valeurs mobilières, peut les conserver, les convertir, les transférer et peut en disposer librement en Suisse. Le transport ou l’envoi de toute correspondance ou de tout support d’information est considéré comme une valise diplomatique. Tous les fonds ou toutes les fondations qui sont sous la surveillance de GAVI jouissent ensemble des mêmes droits que GAVI elle-même – donnés par notre Conseil fédéral – donc également de l’inviolabilité et de l’immunité pour tout ce qui a trait à GAVI.

Vous voyez, de cette perspective, les concessions fondamentales faites à GAVI, telles que nous les connaissons ailleurs, prennent naturellement un tout autre poids, comme la garantie par le Conseil fédéral d’une indépendance totale et d’une liberté commerciale, mais aussi d’une liberté de réunion, de parole, de décision et de publication illimitée, etc. Vous comprenez ?

Plandémie ou pas, tous les membres du conseil de la fondation, le directeur, son adjoint, les membres des comités consultatifs, mais aussi les collaborateurs de GAVI jouissent tout simplement d’une immunité totale, et ce même s’ils ne travaillent plus chez GAVI. C’est incroyable ! Le directeur de GAVI, son adjoint et les hauts fonctionnaires de GAVI bénéficient des mêmes droits que les diplomates. En clair, un Bill Gates a aujourd’hui des droits que seul un Etat entier possède.

Je vais donc tirer une conclusion jusqu’ici : Dans cette situation, une organisation totalement privée, qui n’a de légitimité démocratique nulle part, jouit d’une légitimité politique d’une étendue qu’on peut à peine imaginer !

Et ce qui est le plus incroyable, c’est que le Conseil fédéral suisse a déclaré dans cet accord que tous les bâtiments, y compris le site de GAVI à Genève, sont une zone extraterritoriale. En clair, cela signifie que même la juridiction suisse n’y est plus valable et que personne ne peut pénétrer sur ce site sans autorisation. Je fais une jolie petite analogie avec la City of London, qui est totalement privée et dont la majorité de l’humanité pense encore aujourd’hui qu’il s’agit du nombril de l’Angleterre, alors que même la reine Élisabeth n’y obtient d’autorisation d’accès qu’en s’agenouillant. Voilà ce qu’il en est. Le même spectacle se déroule dans le petit Etat du Vatican de 44 hectares avec ses 1 000 habitants et tous leurs privilèges et droits inaliénables.

En bref, GAVI a le même statut en Suisse que la Banque des règlements internationaux à Bâle, en abrégé BRI, qui est également considérée comme une zone extraterritoriale. Même en cas de litige au sein de la GAVI, cet accord du Conseil fédéral garantit que tout doit ou peut être réglé en interne, sans intervention extérieure.

Vous voyez, ce sont là les dérives factuelles de ces accords que nous allons encore regarder pour finir : depuis 2011, GAVI est financée en grande partie par les gouvernements, à travers ce qu’on appelle les Conférences de donateurs. Rien qu’au cours des dix dernières années, les gouvernements ont fait don à GAVI – écoutez bien – de quelque 23 milliards de dollars. Et cet argent est bien entendu utilisé par GAVI pour ses programmes de vaccination. Nous en subissons actuellement les conséquences dans le monde entier. N’oublions jamais la chose suivante : ces fonds que GAVI, elle-même exonérée d’impôts, reçoit en grande partie des gouvernements, c’est l’ARGENT DES IMPOTS des citoyens pour la plupart totalement ignorants. Donc pas seulement des Suisses, mais de tous les pays qui cofinancent GAVI. Elle est financée par l’argent de nos impôts. Il est donc difficile d’expliquer que ces gouvernements financent avec l’argent de nos impôts une organisation totalement privée, sans légitimité démocratique, qui est en outre absolument exempte de toute obligation de rendre des comptes et de toute juridiction. Beaucoup d’immunité contre les poursuites judiciaires… Oui, même notre Parlement fédéral n’a pas eu le droit de participer aux délibérations ou aux décisions concernant cet accord.

Je dois maintenant conclure : Si nous, Suisses, ne déposons pas dans l’urne le 28 novembre 2021 un NON clair au renforcement de la loi Covid, le Conseil fédéral pourra continuer à prendre des décisions dans des cas dits « d’urgence » sans en informer le Parlement – et ce dès maintenant et jusqu’à fin 2031.

Si nous ne déposons pas un NON clair dans les urnes le 28 novembre, cela signifie que pendant 10 ans, le Conseil fédéral pourra continuer à intervenir seul dans notre législation en ce qui concerne la loi sur les dettes et les faillites, et ainsi restreindre nos droits de propriété ! Réfléchissez bien, vous les Suisses, à ce que cela signifie.

J’ai encore une chose à dire : Si nous ne déposons pas un NON clair dans les urnes le 28 novembre, nous permettons au même Conseil fédéral de décider seul des restrictions de la vie économique et sociale de manière arbitraire – et ce jusqu’à fin 2031, c’est-à-dire sans droit de veto du Parlement !

Je le répète : Si nous ne déposons pas un NON clair dans les urnes le 28 novembre, nous légitimerons le même Conseil fédéral qui, derrière notre dos, a mis en place, a maintenu et maintient encore en place, la GAVI contre nous. Et qui peut, de sa seule compétence, établir une discrimination et une surveillance de masse de groupes ou d’individus, comme par exemple : le traçage des contacts, les seuils, les plans de vaccination, les quarantaines et les tests, etc.

Et c’est pourquoi, encore une fois, si nous ne déposons pas un NON clair dans les urnes le 28 novembre, nous tolérerons que le certificat Covid permette une restriction et une surveillance durables des citoyens que nous sommes !

Donc en résumé celui qui ne veut pas accepter sans résistance une loi d’habilitation, comme il y en a eu une pour la dernière fois sous le troisième Reich, qu’il dépose un NON clair dans l’urne le 28 novembre. Et je dis maintenant : S’il vous plaît, transmettez ce savoir à tous ceux qui n’ont pas encore connaissance de ces contenus. Maintenant c’est très important. Chaque heure compte, littéralement. Alors s’il vous plaît, profitez du temps et allez-y. Notre Suisse ne sera plus la même si les NON au durcissement de la loi Covid ne l’emportent pas très nettement, s’ils n’obtiennent pas la majorité. – Je le dis : le sprint final a commencé !

Je suis Ivo Sasek qui se tient devant Dieu depuis 44 ans.




Algérie : les tribulations tartarinesques de Marie-George Buffet

[Source ahmedbensaada.com]

Par Ahmed Bensaada

[Ndlr : le titre fait allusion à Tartarin de Tarascon d’Alphonse Daudet]

Le rôle des syndicats dans les « regime change »

Voici donc la « Tartarine » du palais Bourbon, alias Marie-George Buffet, qui organise, le 15 octobre 2021, un colloque sur l’Algérie, au sein même de l’Assemblée nationale française (sic!).

Était-ce pour commémorer le 17 octobre 1961, date du massacre et de la noyade de centaines de manifestants algériens pacifiques?

Était-ce à l’occasion du 67e anniversaire de la révolution algérienne qui a été déclenchée un certain 1er novembre 1954?

Mais non, pas du tout.

Pourtant ces dates étaient si proches et la grande majorité des invités au colloque étaient Algériens.

Que nenni! Bien au contraire!

La « Tartarine » a réuni un aréopage de droitdelhommistes douteux, de sécessionnistes véreux, de syndicalistes fantoches et autres adeptes d’un Hirak frelaté pour… « renverser un pouvoir autoritaire » en Algérie!

Post de Marie-George Buffet

Rien que ça! Même pas peur, la « Tartarine » va-t-en-guerre, en mal de conquêtes coloniales et encadrée par ses sbires!

Par souci d’honnêteté intellectuelle, il a fallu – hélas – me soumettre au supplice de l’écoute de ces deux heures et quelques de parlotte insipide ponctuée de lieux communs, de poncifs et d’accusations puériles. Et tout ça dans une langue française si torturée qu’elle aurait fait pâlir d’envie Chalghoumi en personne.

Et si on se demandait pourquoi le Parti communiste n’en finit pas de péricliter, on a maintenant la réponse. Au lieu de s’occuper des vrais problèmes des Français, madame la députée discutaille avec des estafiers – dont elle ne connait certainement pas les accointances et qu’elle présente comme le « peuple algérien » – pour s’ingérer dans les affaires d’autres pays que le sien. D’ailleurs, n’est-ce pas elle qui a battu le record du plus mauvais score du parti communiste dans une élection présidentielle?

Évolution des résultats du PCF aux élections présidentielles de 1969 à 2007

S’est-elle au moins rendu compte que l’évènement a été filmé en direct par la chaine de télévision islamawiste « Al Magharibia » qui appartient au fils du fondateur du Front islamique du Salut (FIS), ce parti qui a été à l’origine de la décennie noire et qui a causé la mort de plus de 200 000 personnes? Sait-elle au moins que ce média collabore directement avec les trois composantes majeures du Hirak frelaté qui militent pour le « regime change » en Algérie, à savoir les « ONGistes droitdelhommistes », les « makistes séparatistes » et les « islamawistes offshore »? Ou veut-elle les utiliser pour mener à bien son projet de renversement de pouvoir?

Le colloque de Marie-George Buffet a été filmé et retransmis en direct par la chaine islamawiste Al Maghribia

Dans ce qui suit, nous allons tenter d’aider la « Tartarine » à faire connaissance avec quelques-uns de ses convives.

A- Les ONGistes droitdelhommistes

Commençons par le maitre de cérémonie, M. Ali Ait Djoudi, président de l’ONG « Riposte Internationale » qui distribuait la parole à tout le monde, même à la députée communiste qui les avait invités (!).

Comme on peut le constater dans l’image qui suit, le logo de cette « ONG » présente des similitudes de couleur qui ne font aucun doute sur son affiliation identitaire.

Comparaison entre le drapeau de Bessaoud-Bénet et le logo de « Riposte internationale »

On remarque donc que les quatre couleurs (en comptant celle des lettres du milieu) présentes dans le drapeau identitaire (kabyle et/ou amazigh) de Bessaoud-Bénet ont été reprises dans le logo de l’ONG, pour affirmer le supposé séparatisme ethnique et politique avec le reste de la population algérienne.

Une question évidente se pose : est-ce que cette « ONG » accepte en son sein des militants autres que des Kabyles/Amazighs « pure laine »?

Si oui, pourquoi ces couleurs. Si non pourquoi ce racisme.

Mais cela n’est pas étonnant si on tient compte du fait que Ali Ait Djoudi est un militant vétéran du Mouvement culturel berbère (MCB) tout comme son ami Ferhat Mehenni, le chef des sécessionnistes kabyles, président du Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie (MAK).

Ferhat Mehenni et Ait Ali Djoudi

D’autre part, lorsque « Riposte Internationale » a déposé un « rapport sur les violations des libertés en Algérie » auprès du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme à Genève, le 15 septembre 2020, les militants n’arboraient ni le drapeau algérien, ni la banderole de l’ONG, mais bel et bien le drapeau de Bessaoud-Bénet.

Seul le drapeau de Bessaoud-Bénet est brandi par « Riposte Internationale »

Les noms de « Riposte internationale » et de « Ait Ali Djoudi » se retrouvent dans une multitude de pétitions droitdelhommistes internationales ou contre l’État algérien. Ils ont appuyé (et probablement initié) la résolution du Parlement européen contre l’Algérie du 25 novembre 2020 (lire mon article sur le sujet).  On les retrouve aussi dans cette déclaration hostile à l’Algérie parrainée par « Project on Middle East Democracy » (POMED) qui date du 28 juin 2021.

Il est intéressant de savoir que POMED fait partie de l’arsenal d’organisations américaines dédiées à l’« exportation » de la démocratie comme la National Endowment for Democracy (NED), l’International Republican Institute (IRI), le National Democratic Institute for International Affairs (NDI), Freedom House (FH), la United States for International Development (USAID) ou l’Open Society Foundations (OSF) du milliardaire américain, George Soros. Il a été montré que ces organisations ont été impliquées dans les révolutions colorées et le mal nommé « printemps » arabe (pour plus de détails, lire mon livre « Arabesque$ »).

Il est aisé de vérifier que le POMED travaille de concert avec Freedom House et est financièrement soutenu par l’OSF. En 2016, par exemple, POMED a reçu une subvention de 550 000$ de la Fondation Open Society. POMED est également financé par la NED. (Pour plus d’informations sur POMED, le lecteur est invité à lire mon article sur le sujet).

Rappelons toutefois que POMED s’intéresse fortement à la « démocratisation » de l’Algérie. Elle a déjà organisé deux évènements spécialement dédiés au Hirak algérien les 15 avril et 19 juin 2019.

Sur les deux documents cités précédemment (Parlement européen et POMED), on retrouve « Riposte internationale » parmi les signataires, de concert avec divers organismes algériens dont la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH), le Collectif des familles de disparus en Algérie (CFDA), le Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (SNAPAP) et la Confédération générale autonome des travailleurs en Algérie (CGATA). Les deux premiers sont financés par la NED et il sera plus longuement question du SNAPAP et de la CGATA dans la prochaine section de cet article.

On retrouve aussi parmi les signataires des ONG internationales comme « Article 19 », CIVICUS, Human Right Watch (HRW), Reporters sans Frontières (RSF), la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) ou Amnesty International.

Ces ONG sont toutes financés par l’OSF de Soros. En plus, RSF et Article 19 sont aussi financés par la NED; Article 19 reçoit également des subventions de Freedom House, de l’USAID et du Département d’État américain.

Lorsque le directeur d’une ONG égyptienne (financée par la NED) fut condamné par contumace en août 2020 par un tribunal égyptien dédié aux « affaires terroristes », un appel à la solidarité a été émis par la FIDH. Il a été signé par toutes les ONG citées précédemment. Les noms de Ali Ait Djoudi (Riposte Internationale), Nacera Dutour (CFDA) et Rachid Malaoui (SNAPAP et CGATA) figuraient dans la même liste que d’« illustres » personnalités du monde de la « démocratisation made in USA » : Issandr Amrani, directeur régional du programme MENA de l’OSF, Carl Gershman, président de la NED, Jeffrey Feltman, ancien sous-secrétaire d’État américain pour les affaires du Proche-Orient ou Tamara Cofman Wittes, ancienne sous-secrétaire d’État adjointe au Département d’État, récemment nommée par le Président Joe Biden au poste d’administrateur adjoint pour le Moyen-Orient de l’USAID.

On pouvait aussi lire les noms de quelques sinistres rescapés du Conseil National Syrien (CNS) comme Bassma Kodmani, Burhan Ghalioun ou Radwan Ziadeh, bien connus de la NED et du Département d’État.

À propos de ces ONG, notons la présence, parmi les invités au palais Bourbon, de M. Madjid Bencheikh, professeur de droit et, accessoirement, ancien président d’Amnesty International Algérie.

Ali Ait Djoudi n’a pas raté l’occasion d’inviter son ami Hacène Hirèche, un de ses anciens collègues du MCB, militant berbériste de la première heure et formateur des makistes.

Un autre convive « de marque », l’avocat Salah Debouz, était présent à ce consistoire de boutefeux. Ce trublion en robe noire, qui s’est illustré par la défense des militants sécessionistes de la région du M’zab, a été président la LADDH (une de ses trois ailes).

Salah Debouz (à gauche) et Ferhat Mehenni (au centre) : le bras du second serrant l’épaule du premier!

La solidarité sécessionniste kabylo-mozabite n’est pas qu’une vue de l’esprit : Debouz-Mehenni, khawa-khawa (frères, frères)!

Nacera Dutour a aussi été invitée par la Tartarine. Comme expliqué dans un précédent article, la présidente du CFDA est probablement la personne qui a reçu le plus de financement de la NED.

Janvier 2015 : Nacera Dutour reçoit le prix Matoub Lounes (avec, en prime, le drapeau Bessaoud-Bénet!)

N’oublions pas de préciser que la plupart des personnes citées auparavant est abonnée aux plateaux de la chaine islamawiste Al Magharibia, celle qui a filmé ce colloque.

B- Les syndicalistes fantoches

En plus de ces ONGistes droitdelhommistes, enrubannés dans des étendards tricolores mêlant les couleurs de Marianne et de Bessaoud-Bénet, on remarque la curieuse présence de syndicalistes français appartenant à l’union syndicale « Solidaires ».

Stéphane Enjalran (« Solidaires ») et Rachid Malaoui

Mais que diable viennent-ils faire dans cette réunion qui n’a de colloque que le nom? Certes, ils accompagnaient le « syndicaliste en chef » Rachid Malaoui question de lui donner un peu plus d’assurance, mais quand même. Délaisser les graves problèmes des « Gilets jaunes » et de toute la classe ouvrière française pour venir palabrer sur le « renversement du pouvoir autoritaire » en Algérie a quelque chose d’insolite. Mais comme le hasard n’existe pas en politique, c’est en grattant un peu qu’on arrive à démêler l’écheveau de la conspiration.

Le financement du SNAPAP

Commençons par le commencement.

Rachid Malaoui, président du SNAPAP et de la CGATA, a d’étroites relations avec l’« American Federation of Labor and Congress of Industrial Organizations » (AFL–CIO) , la plus grande fédération de syndicats des États-Unis et tout particulièrement avec sa branche internationale, le « Solidarity Center ». Pour illustrer cette connexion, citons une anecdote qui est loin d’être anodine.

En 2011, le SNAPAP a été membre la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) qui a orchestré l’embryon de « printemps » algérien. Certainement briefée par le SNAPAP, la directrice du Département international du l’AFL-CIO, Cathy Feingold, écrivit deux lettres au Président Abdelaziz Bouteflika dans le but d’épauler Malaoui. Dans celle du 4 mars 2011, elle lui a fait part de son inquiétude concernant la violence policière contre les « manifestants pacifiques » en Algérie en précisant que « nous notons avec une vive préoccupation que, parmi les personnes blessées récemment, figurait le dirigeant syndical M. Rachid Malaoui président du secteur public de l’union syndicale nationale autonome du personnel d’administration publique (SNAPAP) ». Dans la seconde, datée du 14 octobre 2011, le nom de M. Malaoui « militant CNCD de premier plan », y est cité trois fois. Et madame Feingold semblait connaitre moult détails sur l’activisme politique algérien (Cliquez sur ce lien pour lire ces deux lettres).

Cathy Feingold, directrice du Département international du l’AFL-CIO

De nombreuses publications ont dévoilé la collaboration active de l’AFL-CIO avec la CIA et le Département d’État américain. Selon Kim Scipes, professeur d’histoire à Purdue University Northwest :

« Tout au long de son histoire, l’AFL-CIO a mené un programme de travail réactionnaire dans le monde entier. Il a été établi sans équivoque que l’AFL-CIO a travaillé pour renverser des gouvernements démocratiquement élus, collaboré avec des dictateurs contre les mouvements ouvriers progressistes et soutenu les mouvements ouvriers réactionnaires contre les gouvernements progressistes ».

Viscéralement anticommuniste, l’AFL-CIO s’est tellement acoquinée avec la CIA que cela lui a valu le surnom on ne peut explicite de « AFL-CIA ».

Comme expliqué dans de nombreux articles, le Solidarity Center est un des quatre satellites de la NED avec le NDI, l’IRI et le « Center for International Private Enterprise (CIPE) ».

Les quatre satellites de la NED

Malaoui a toujours nié recevoir (ou avoir reçu) une quelconque aide financière du Solidarity Center.  Dans sa remarquable thèse de doctorat intitulée « Les syndicats autonomes en Algérie », Karim Maïche rapporte les propos de Malaoui: « Nous sommes autofinancés, nos membres contribuent chacun à hauteur de 80 DA par an ».

Maïche mena son enquête sur le financement du SNAPAP en interviewant Selim Mecheri, un de ses activistes de longue date. Sa réponse était explicite :

« Ah, les pays étrangers. Pour nous, il était nécessaire d’obtenir de l’aide du Solidarity Center parce que sinon nous n’aurions pas eu la chance de sortir [d’Algérie]. Par exemple, je n’ai pas les moyens de sortir sans invitation de ces organisations internationales. Je ne veux pas cacher le fait que mon salaire ne suffit pas, ni non plus les ressources financières de mon organisation […] ».

La collaboration du SNAPAP avec le Solidarity Center n’est pas uniquement financière, comme on peut le constater, par exemple, dans le rapport annuel 2013 de l’organisme américain :

« L’année dernière en Algérie, le Solidarity Center et le Syndicat national autonome des travailleurs du secteur public (SNAPAP) ont entrainé un réseau de 32 militantes et formé le Réseau régional algérien d’autonomisation juridique des femmes (RAWLEN). Les femmes ont mené des cercles d’étude sur la peur, l’exploitation et les droits juridiques et humains des femmes dans 12 provinces, touchant plus de 600 femmes marginalisées et vulnérables ».

Par ailleurs, le nom de Rachid Malaoui est cité dans plusieurs câbles Wikileaks. Dans celui intitulé « Algeria and MEPI – Moving forward » daté du 26 avril 2009 et portant la référence 09Algiers415_a, on peut lire :

« En outre, nous avons demandé un financement au MEPI [The U.S. –Middle East Partnership Initiative] pour un projet du Solidarity Center travaillant avec les syndicats algériens, ainsi qu’une petite subvention pour le SNAPAP, le plus grand syndicat algérien autonome (c’est-à-dire non affilié au gouvernement). Le Solidarity Center est actuellement le meilleur véhicule pour un engagement soutenu avec les syndicats autonomes, mais l’exercice de petites subventions SNAPAP est un effort pour renforcer la capacité organisationnelle et de collecte de fonds d’un syndicat avec peu ou pas d’expérience dans l’un ou l’autre domaine. En cas de succès, la subvention SNAPAP pourrait conduire à un engagement direct plus important, bien que dans un avenir lointain, sans un responsable de la mise en œuvre de MEPI comme intermédiaire ».

Le câble 08ALGIERS661_a du 5 juin 2008, montre que Malaoui avait (a toujours?) ses entrées à l’ambassade des États-Unis à Alger. En effet, le document mentionne des discussions directes avec les diplomates américains sur la situation sociale et politique en Algérie :

« Le leader syndicaliste Rachid Malaoui du syndicat autonome SNAPAP nous a dit le 28 mai que le mécontentement vis-à-vis des performances des équipes de football n’était qu’une excuse pour déclencher une émeute. Les bases sous-jacentes des émeutes, a-t-il dit, étaient les frustrations refoulées de la société algérienne […]. Alors que les émeutes semblent avoir été déclenchées spontanément, il pense que les individus attendaient une occasion d’exprimer leur frustration élevée face à la vie en Algérie ».

Un troisième câble daté du 20 mars 2008 et portant la référence 08ALGIERS332_a est exclusivement consacré aux « syndicats libres ». Le nom de Malaoui y est cité sept fois et SNAPAP 6 fois. On peut y lire :

« Lors d’une réunion le 19 février, Rachid Malaoui, président de l’une des deux versions du Syndicat national autonome des employés de l’administration publique (SNAPAP), nous a dit que le gouvernement algérien prônait un « faux nationalisme » afin de détourner l’attention de ses échecs ».

Le reste est très instructif mais serait top long à discuter dans le cadre de cet article. Il montre cependant, de manière non équivoque, que Malaoui et son syndicat – tout comme les ONGistes algériens – discutaient allégrement, entre autres, des affaires politiques et sociales de l’Algérie avec les diplomates étasuniens au sein même de l’ambassade des États-Unis à Alger.

Outre le Solidarity Center, l’ouvrage de Karim Maïche mentionne les relations du SNAPAP avec différentes organisations internationales dont l’union syndicale « Solidaires », ce qui explique donc leur présence à un colloque organisé en France par une élue française. D’ailleurs, est-ce par pur hasard si les deux représentants de « Solidaires », Boualem Hamadache et Stephane Enjalran, étaient assis à côté de Rachid Malaoui lors de cet évènement?

Les syndicalistes invités par M.G. Buffet : Boualem Hamadache, Stéphane Enjalran et Rachid Malaoui

« Solidaires » et « quituquistes »

Il faut reconnaitre que « Solidaires » a été très actif contre l’Algérie non seulement pendant le Hirak, mais aussi bien avant comme nous allons le démontrer.

Ainsi, on peut lire dans une de leurs déclarations « pro-Hirak » publiée le 22 février 2021 (2e anniversaire du soulèvement populaire) :

« Il y a deux ans, la population manifestait contre la cinquième candidature à la présidence du très vieillissant Bouteflika, homme de paille des généraux qui ont pris le pouvoir dans les années 90. Les clans qui se partagent le pouvoir avaient été contraints de renoncer à cette candidature, mais les précédentes élections ont été une mascarade en termes de participation et de candidats (des clans militaires) ».

Le style et la terminologie utilisés dans ce communiqué officiel n’est pas sans nous rappeler l’empreinte des « islamawistes offshore » et des « ONGistes droitdelhommistes », adeptes de la « phase de transition » et du « Yetnahaw gaâ » (ils doivent tous partir). Cela est à des années-lumière du langage syndical coutumier, celui qui défend les intérêts des ouvriers et qui se bat pour ses acquis sociaux.

Mais ce qui attire le plus l’attention c’est cette allusion aux années 90, c’est-à-dire la décennie noire, le « quituquisme » et son corollaire l’absolution des djihadistes de leurs crimes terroristes.

Mais cela n’est pas nouveau pour « Solidaires », bien au contraire. Cette union syndicale a des relations très étroites avec les théoriciens du « quituquisme » et ses adeptes les plus teigneux.

En effet, dans le supplément à sa revue « Expression Solidaire » d’octobre 2015 de 128 pages exclusivement consacrées à l’Algérie (sic!), la parole est donnée à une dizaine de personnes dont François Gèze, Omar Benderra, Salima Mellah et Stéphane Enjalran.

Les trois premiers, François Gèze, Omar Benderra, et Salima Mellah sont membres de l’association « Algeria-Watch » fondée dans les années 90 par des journalistes algériens exilés en Allemagne.

Sur le site de l’association, on obtient un peu plus d’information :

« Algeria-Watch est une association de défense des droits humains en Algérie. Créée en 1997 en Allemagne, elle a rapidement dépassé le cadre germanophone et développé des activités en langue française. Depuis janvier 2002, elle existe également en France, où elle a constitué une association (loi de 1901) du même nom ».

Le recensement d’Algeria-Watch par le « Courrier international » précise qu’il s’agit d’un « webzine » qui « rassemble d’une manière générale des tendances hostiles au pouvoir en place à Alger, des islamistes modérés aux démocrates convaincus ».

Courrier International : description d’Algeria-Watch

Ainsi, pour figurer sur le site de cette association, il suffit juste d’être hostile au pouvoir algérien. Et cela dure depuis les années 90!

Aucune place à tous ceux qui défendent l’État-Nation, même pendant les moments difficiles que vit l’Algérie. Non, il faut juste être hostile, comme ceux qui vocifèrent « madaniya, machi aaskaria » (civil et non militaire) et surtout pas ceux qui scandent « djeich chaab, khawa khawa » (armée peuple, frères frères)!

C’est pour cette raison que mes écrits et mes livres ne sont jamais repris par ce site, malgré mes dizaines d’articles sur le sujet, lus et traduits en plusieurs langues. Par contre, tous ceux qui me tombent dessus à bras raccourcis sont les bienvenus et y ont bien entendu une place de choix.

Algeria-Watch, qui se targue d’être « une association de défense des droits humains », oublie que la liberté d’expression et d’opinion fait partie intégrante des droits humains.

« Algeria Watch », « Al Karama », « Rachad » et le djihadisme international

La description du « Courrier international » parle d’ouverture vers « des islamistes modérés ». La réalité est toute autre.

Regardons cela de près. Sur le site du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme, on peut encore trouver un document qui a pour titre « Observations d’Al Karama for Human Rights et Algeria-Watch sur le troisième Rapport périodique de l’Algérie au Comité des droits de l’homme de l’ONU – Audience du 23 juillet 2007 ».

Ce document montre un travail synergique entre la Fondation « Al Karama » et « Algeria-Watch» qui a pour but le dénigrement systématique de l’Algérie auprès des instances internationales ou des pays étrangers. Une recherche rapide sur le site d’Al Karama révèle des dizaines d’occurrences sur cette collaboration dont plusieurs d’entre elles traitent de la défense d’anciens dirigeants du FIS (Front Islamique du Salut).

Selon les documents publiés sur son site (en 2016), les membres fondateurs de la Fondation « Al Karama » sont Abderrahman Al Nuaimi, Rachid Mesli et Abbas Aroua. Mourad Dhina, son directeur exécutif, à rejoint la fondation en 2007.

Discuter de la fondation « Al Karama » nécessiterait certainement plusieurs articles. Ce qu’il faut retenir c’est que cet organisme fraye avec la nébuleuse djihadiste internationale. Son fondateur, Abderrahman Al Nuaimi, a été accusé en 2013 « de financer Al Qaida » et tous ses avoirs ont été gelés par les États-Unis.

Le communiqué de presse du Département du Trésor américain mentionne que :

« Nuaimi est un financier et facilitateur terroriste basé au Qatar qui a fourni de l’argent et un soutien matériel et a transmis des communications à al-Qaida et à ses affiliés en Syrie, en Irak, en Somalie et au Yémen pendant plus d’une décennie. Il était considéré comme l’un des partisans qatariens les plus en vue des extrémistes sunnites irakiens ».

Dans un article de 2018 du journal suisse « Le Temps » consacré aux islamistes pro-Qatar dont fait partie Al Nuaimi, on peut aussi lire :

« On ne parle pas ici de djihadistes de bas étage ou de jeunes fanatisés devant leur ordinateur. Mais d’intellectuels de l’islamisme radical, bien connectés à l’international, y compris en direction de groupes armés ».

C’est d’ailleurs cette même année que la fondation « Al Karama » et son président-fondateur Al Nuaimi ont été placé sur la liste qatarie du terrorisme.

Pour revenir au Hirak frelaté et une de ses composantes majeures, les « islamawistes offshore », il est facile d’établir la relation entre la fondation « Al Karama » et le mouvement « Rachad ». En effet, les membres fondateurs d’Al Karama (excepté Abderrahman Al Nuaimi) sont aussi membres fondateurs de « Rachad ».

Pour compléter la liste, on peut se fier au document publié sur le site officiel de « Rachad » :

Liste des membres fondateurs de « Rachad »

On remarque donc que ces deux entités possèdent des portes tournantes entre elles et, donc, travaillent de concert.

Il existe aussi des relations directes entre « Algeria Watch » et « Rachad » comme on peut le constater lors des rencontres conjointes, comme, par exemple, dans ces vidéos de Omar Benderra avec Mourad Dhina (sur Rachad TV) ou avec un autre membre de « Rachad », Yahia Mekhiouba (vidéo publiée sur « Algeria Watch »).

Accusé par l’Algérie « d’enrôlement dans un groupe terroriste armé actif à l’étranger », Mourad Dhina fut arrêté à Paris en 2012 en vue d’une éventuelle extradition vers l’Algérie. Un « comité de soutien pour la libération de Dr. Mourad Dhina » composé de 20 membres fut constitué. Parmi les noms de ces personnes, on retrouve ceux de Abderrahman Al Nuaimi, François Gèze, Habid Souaidia (dont il sera question ultérieurement) et Hakim Mutairi (aussi orthographié Hakem Al Mutairi) qui est un activiste salafiste, membre fondateur et chef du parti koweitien « hizb al-umma » (Parti de la communauté des croyants).

Selon l’opposant turc Abdallah Bozkurt, Al Mutairi « est un prédicateur salafiste et radical dont les opinions sont similaires à celles d’Al Qaïda et de l’État islamique en Irak et en Syrie (ISIS). Il a été accusé d’avoir canalisé des ressources financières vers des djihadistes en Syrie, d’abord vers Ahrar Al Cham et plus tard vers le Jabhat Al Nosra ».

C’est d’ailleurs pour ses activités délictueuses qu’Al Mutairi a été surnommé le « parrain de l’extrémisme dans le Golfe arabe »

Pour la gouverne de la « Tartarine », c’est ce même prédicateur qui a applaudi et justifié l’horrible décapitation de feu Samuel Paty. Intéressant, non?

En avril dernier, le tribunal pénal du Koweït a condamné Al Mutairi à une peine de prison à vie pour un complot visant à déstabiliser la sécurité dans la région du Golfe.

À la parution de mon livre « Qui sont ces ténors autoproclamés du Hirak? », les premiers à avoir réagi de manière violente et sordide ce sont les « adeptes » de Rachad. Non satisfaits de leurs sempiternelles logorrhées fétides, ils ont décidé de répondre à mon ouvrage en réunissant un groupe de piètres « experts » avec, à leur tête, Moncef Marzouki, le « tartour (pantin) de Carthage » en personne. Cette réponse, qui s’est plus attaquée à ma personne qu’au contenu de mon livre, s’est avérée d’une navrante médiocrité. Néanmoins, à force d’écrire pour ne rien dire et de griffonner des inepties, on finit toujours par faire des révélations intéressantes pour autrui. Ainsi, on apprend dans ce livre collectif (p. 308) que « Rachad » avait eu des contacts directs avec Rachid Maloui – tout comme avec « Algeria Watch » – et ce, bien avant le Hirak.

Mensonges, manipulations et diffamations

Né à Casablanca (Maroc) et militant d’extrême gauche, le nom de François Gèze est surtout relié aux Éditions La Découverte dont il a été directeur et qu’il a utilisé comme « machine à laver » pour « blanchir » les crimes des djihadistes algériens et les mettre sur le dos de l’institution militaire algérienne.

Cela a commencé en 2000 avec la publication de « Qui a tué à Bentalha » par Nesroulah Yous, avec la collaboration de Salima Mellah (tiens, tiens…).

(Petite remarque : Nesroulah Yous était invité à la grand-messe de la Tartarine au palais Bourbon).

Nesroulah Yous invité au colloque de M.G. Buffet organisé à l’Assemblée nationale française

En 2001, c’est au tour de « La sale guerre » de Habib Souaïdia, un ex-miliaire algérien, de se prêter à l’entreprise de blanchissage – salissage orchestrée par François Gèze. Un vrai succès de librairie : 72 000 exemplaires vendus et plusieurs éditions en d’autres langues.

Sauf que ce brûlot a révélé les dessous d’une entreprise professionnelle de désinformation nommée le « quituquisme ».

Vu les compétences d’écriture limitées de l’ex-militaire, un coauteur a été recruté. Il s’agit du journaliste Mohamed Sifaoui qui, malheureusement pour eux, n’a pas voulu marcher dans les combines de la « machine à laver ».

Après avoir remis sa copie, Sifaoui s’est rendu compte que Gèze avait par la suite manipulé son texte. Il déclara alors :

« On a tordu mon texte en occultant certains passages, en en rajoutant d’autres. En mettant toujours au conditionnel certains faits exacts – toujours des exactions commises par les islamistes – et en faisant passer pour des affirmations ce qui ne constitue que des hypothèses (la responsabilité de l’armée dans des massacres de civils) ».

Il a aussi accusé l’éditeur « d’avoir systématiquement supprimé les passages du manuscrit qui allaient « dédouaner les islamistes et occulter leurs crimes » au nom d’un « parti-pris idéologique » », tout en qualifiant Habib Saouaïdia, de « mythomane venu en France pour régler des comptes avec sa hiérarchie ».

Ébranlé par toutes ces accusations qui remettaient en cause sa stratégie, Gèze portant plainte contre Sifaoui pour « diffamation ».

Il fut platement débouté par le tribunal qui jugea que :

« les éléments produits aux débats permettent de démontrer que Habib Souaïdia, au printemps 2000, a livré à ses interlocuteurs des versions différentes, que de nombreuses modifications ont affecté le manuscrit livré par Mohamed Sifaoui à l’éditeur, et surtout que ces modifications ont eu pour résultat d’atténuer la responsabilité des groupes islamistes pour aggraver celle des militaires »

Et en ce qui concerne les responsabilités, le tribunal a été très clair :

« François Gèze et les Éditions La Découverte sont accusés d’avoir manipulé Habib Souaïdia et Mohammed Sifaoui, en intervenant sur le témoignage du premier et le manuscrit du second, pour réaliser un ouvrage partisan, volontairement défavorable pour l’armée et exonérant les islamistes ».

Malgré la mise en évidence de ces manipulations et de ces mensonges, le livre de Souaïdia est encore régulièrement cité par les adeptes de « Rachad » qui ne se lassent pas de le brandir comme la preuve par 9 du « quituquisme ».

Dans le volet « mensonges, manipulations et diffamations », François Gèze n’est pas le seul à y exceller. Stéphane Enjalran, le quatrième contributeur de la revue « Expression Solidaire » de 2015, n’a rien à lui envier.

Stéphane Enjalran, syndicaliste « Solidaires »

Tout d’abord, ce syndicaliste est lui aussi un « quituquiste » comme on peut s’en rendre compte en parcourant un de ses deux articles figurants dans la revue.

« On se rappelle aussi de l’assassinat des moines de Tibhirine en 1996 et du fait que les médias français commencent seulement à prendre au sérieux l’hypothèse de la responsabilité de l’armée algérienne dans ce drame, responsabilité pourtant hautement probable mais jusque-là étouffée ou évoquée à demi-mot, l’événement étant au mieux présenté comme un « accident » ».

Et à propos de l’Algérie, notre syndicaliste n’y va pas de main morte :

« Ce qu’il faut appeler par son nom, une dictature. « Dictature » : le mot peut sembler exagéré, voire dévoyé, tant l’ignorance est grande dans nos pays de la situation réelle en Algérie, encore présentée comme le modèle de « résistance au terrorisme » et donc comme un rempart contre ce fléau, qu’il soit réel ou fantasmé ».

Un vrai clone de François Gèze!

Mais ce n’est pas tout. Ce syndicaliste fantoche, qui prétend défendre la veuve et l’orphelin, montre son vrai visage digne de la Stasi.

En citant mon livre « Arabesque américaine », édité à Montréal en 2011, il se permet de dire :

Supplément à Expression Solidaires, journal édité par l’Union syndicale Solidaires, octobre 2015, page 48 (Extrait)

Soit Enjalran fait preuve d’une ignorance crasse, soit il est malhonnête. En ce qui me concerne, je pense que les deux qualificatifs s’appliquent admirablement bien à cet individu. Voilà pourquoi :

  • 1-     La NED et le Solidarity Center n’appartiennent pas « à l’oligarque israélo-américain d’origine hongroise, George Soros », mais au gouvernement américain.
  • 2-    La relation entre le SNAPAP et le Solidarity Center a été clairement établie au début de cette section.
  • 3-    Les mots « juif », « hébreu », « sémite » et « antisémite » n’ont jamais été écrit dans mon livre « Arabesque américaine ».
  • 4-   Le mot « Israël » a été écrit 2 fois dans le cadre de ses relations avec l’Égypte.
  • 5-    George Soros y est présenté comme « milliardaire américain » et non comme « israélo-américain ».

Cela prouve juste que, comme la majorité de ceux qui me critiquent, Enjalran n’a jamais lu mon livre. Pour défendre Rachid Malaoui, il aurait dû critiquer le contenu de mon ouvrage et faire un effort intellectuel. Mais non! Il est plus facile de me coller une étiquette « antisémite ». La « Reductio ad Hitlerum » dans sa plus simple expression : c’est plus facile et ça peut rapporter gros.

En fait, on se rend compte que cet article est, à une phrase près, le copié-collé d’un autre publié en 2013 :

« Algérie 2013 : la poursuite des violations des libertés syndicales par le pouvoir » (Extrait du Rapport CISA 2013)

En comparant les deux versions, on remarque en effet un petit ajout dans celle de 2015 : l’allusion à l’antisémitisme. La Stasi dans ses œuvres!

En ce qui concerne l’ingérence étrangère, il ne faut pas aller très loin pour la prouver. Enjalran lui-même étant un étranger, que vient-il faire dans les affaires de l’Algérie? N’a-t-il pas assez d’ouvrage avec les problèmes abyssaux de la classe ouvrière française? Ou rêve-t-il encore du « temps béni des colonies »? D’autre part, s’est-il posé la question pourquoi avoir organiser un colloque sur l’Algérie en France, au sein même de l’Assemblée nationale française? Ça s’appelle comment ce truc, M. Enjalran?

Un syndicaliste qui ne connait pas le rôle néfaste du Solidarity Center et de l’AFL-CIO dans plusieurs régions du monde, en particulier en Amérique du Sud, en Pologne, à Hong Kong et même en France ne mérite pas d’appartenir à un quelconque syndicat.

Une petite suggestion, monsieur le syndicaliste fantoche : pourquoi ne pas vous informer auprès de votre ami Dan Gallin (voir plus bas dans ce texte), lui qui a eu maille à partir avec l’AFL-CIO et qui connait si bien George Soros?

SNAPAP, CGATA et les confédérations syndicales internationales

Selon Karim Maïche,

« le SNAPAP travaille en étroite collaboration avec d’autres syndicats autonomes et organisations de la société civile telles que la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH), le Collectif des familles de disparus en Algérie (CFDA) et SOS Disparus (SOS Disparus) ».

Comme expliqué auparavant, ces organismes « autochtones » algériens sont tous financés par la NED. Cela explique aussi la présence de certaines personnes comme Nacera Dutour ou Salah Debouz à ce colloque

Concernant les organisations syndicales étrangères, Malaoui a déclaré qu’il n’avait aucune difficulté à s’en rapprocher :

« […] Les étrangers ne sont pas dupes. […] Ils savent reconnaître les vrais syndicats de faux. Quand tu es crédible, tu adhères facilement »

En fait, Malaoui fait semblant de ne pas comprendre que certains organismes internationaux ont des agendas précis pour l’Algérie et qu’en politique, la philanthropie n’existe pas. Chaque dollar investi doit rapporter gros et, comme le dit le dicton, c’est celui qui paie l’orchestre qui choisit la musique.

En ce qui concerne leurs relations avec les confédérations internationales, le SNAPAP est affilié à l’UITA (Union Internationale des travailleurs de l’alimentation, de l’agriculture, de l’hôtellerie, de la restauration, du tabac et des branches connexes) et le CGATA avec la CSI (Confédération syndicale internationale) .

Il faut savoir qu’il s’agit de mastodontes : l’UITA revendique 10 millions de membres provenant de 130 pays, alors que la CSI en compte quelques 168 millions répartis dans 155 pays. Il faut aussi préciser que l’UITA ainsi que l’AFL-CIO sont membres de la CSI.

Le « Courrier fédéral » de la Fédération nationale des industries chimiques (FNIC) de la CGT (n°580 du 30 novembre 2018) donne des informations très intéressantes au sujet du CSI.

Le CSI est né en 2006 de la fusion de la CISL (Confédération Internationale des Syndicats Libres) et de la CMT (Confédération Mondiale du Travail). Dès son origine la CISL était par principe anticommuniste et antisoviétique.

« Les grandes sociétés multinationales, les gouvernements des pays occidentaux américains et européens, les services d’intelligence comme la CIA ou le MI5 britannique, contribuèrent matériellement et financièrement au développement de la CISL ».

On y apprend aussi que la CSI/CISL a soutenu l’écrasement et la destruction de la Libye ainsi que l’intervention étrangère en Syrie et qu’elle reste dirigée par les syndicats des pays riches tout en entretenant des relations étroites avec les entreprises et les institutions financières.

« Outre la continuité qu’elle incarne avec la CISL, la CSI défend des positions identiques sur le plan syndical et les piliers de son organisation sont rigoureusement les mêmes ».

Pour abonder dans le même sens que cette revue syndicale, sachez que Cathy Feingold, la directrice du Département international du l’AFL-CIO, (celle qui avait pris la défense de Rachid Malaoui en écrivant deux lettres au Président Bouteflika en 2011) a été nommée Présidente adjointe du CSI (ITUC en anglais), en décembre 2018.

Cathy Feingold, présidente adjointe du CSI

Rachid Malaoui est décidément entre de bonnes mains, que ce soit à l’AFL-CIO ou au CSI.

« Solidaires », Dan Gallin et George Soros

Dan Gallin est un militant trotskyste dont la vie est un vrai roman d’aventure. Fils d’un diplomate roumain en poste à Berlin durant la 2e guerre mondiale, il obtint une bourse en 1949 pour étudier aux États-Unis. Contraint de quitter le pays à cause de ses activités politiques, il s’installa en Suisse où il y termina ses études universitaires. Après de nombreuses expériences politiques, il décida de s’impliquer dans le syndicalisme qu’il décrit comme « la première et peut-être la dernière ligne de résistance ouvrière ».

Gallin a été secrétaire général de l’UITA de 1968 à 1997, soit près de trois décennies, battant tous les records de longévité à ce poste.

Après cette longue carrière, il créa le « Global Labour Institute (GLI) », une fondation qui a pour objectif « de promouvoir la solidarité internationale entre les organisations syndicales et entre celles-ci et d’autres organisations et mouvements de la société civile dans le but de parvenir à une société mondiale démocratique et durable, fondée sur les principes de justice sociale, de liberté et d’État de droit ».

D’après le « Courrier fédéral » cité précédemment, cette fondation « est liée, entre autres, à l’Open Society du milliardaire George Soros ».

Peut-être doit-on conseiller à Stéphane Enjalran, ce syndicaliste qui se fait passer pour un bisounours, de consulter ses « collègues » de la CGT pour lui expliquer ce que veut dire être financé par Soros?

On peut se rendre compte de la proximité entre Gallin et Soros en lisant l’article que le premier a écrit pour défendre le second.  Intitulé « La sale guerre contre George Soros », il a été publié en 2018 sur le site du GLI.

Le texte est une vraie déclaration d’amour pour George Soros, son concept de « société ouverte » (Open Society), sa générosité démesurée et son combat contre « les ennemis de la démocratie ».

Il en profita pour écorcher tous ceux qui osent tenir tête au milliardaire américain, tout en évoquant le sempiternel argument d’antisémitisme. (Tiens, ça nous rappelle Stéphane Enjalran).

Gallin a tenté de faire passer Soros pour mère Thérèsa, tout en excellant dans le Russia-bashing et le China-bashing. Il a justifié le coup d’état de l’Euromaïdan (Ukraine 2013-2014) et a reproché au président Vladimir Poutine d’avoir sauvé « une autocratie meurtrière en Syrie en prolongeant une guerre civile qui jette des millions de réfugiés sur la route de l’exil […] ».

Mais aucun mot sur les néo-nazis qui ont fait la sale besogne en Ukraine, ni sur ces pays occidentaux qui ont financé le djihadisme et la destruction systématique de la Syrie.

On aurait cru entendre un des pires faucons « neocons » américains!

Et dire que ce type prétend avoir défendu, pendant 29 ans, les intérêts de millions d’ouvriers à travers le monde contre des patrons capitalistes de la trempe de Soros! On aura tout vu.

Cette histoire me fait penser à certains de nos trotskystes algériens tels que Hocine (Patrick) Belalloufi ou Ihsane El Kadi. On jurerait qu’ils ont été formés par le trotskyste en chef, Dan Gallin en personne.

Mais, vous allez me dire, que vient faire Dan Gallin dans notre sujet?

D’après certains observateurs avertis de la scène syndicale française, l’union syndicale « Solidaires » collabore fortement avec le GLI de Dan Gallin. On peut s’en rendre compte lors d’évènement organisés conjointement comme, par exemple, cette « Université d’automne francophone » (2017) ou cette « International Labour University » (2019).

Comme on peut le constater, Dan Gallin et Stéphane Enjalran ont participé à ces deux rencontres.

Si le GLI s’occupe de la formation des syndicalistes de « Solidaires », on doit s’attendre à ce que ces derniers partagent les idées développées par Dan Gallin dans sa lettre « d’amour » à Soros. On comprend alors l’acharnement maladif de Stéphane Enjalran et de ses « collègues » contre l’Algérie, tantôt en soutenant Rachid Malaoui, tantôt en recyclant la clique des « quituquistes ».

La photo ci-dessous montre Dan Gallin et Annick Coupé lors de l’Université d’automne francophone de 2017.

Dan Gallin et Annick Coupé, Université d’automne francophone (2017)

Annick Coupé est une militante syndicale qui a été porte-parole de « Solidaires » de 2001 à 2014.

Dans le supplément de la revue « Expression Solidaire » évoquée précédemment, Rachid Malaoui exprime ses remerciements à « Solidaires » et à Annick Coupé:

« Solidaires est à nos côtés depuis longtemps et j’espère bien pouvoir un jour exprimer de vive voix à Annick Coupé nos remerciements pour son soutien inconditionnel ».

Et la boucle vient d’être bouclée.

Avant de clore cette investigation, il est important de mentionner un détail révélateur concernant Dan Gallin. Dans une longue interview, il reconnait sa préférence durant la guerre d’indépendance de l’Algérie :

« En 1954, la guerre d’Algérie éclate et la plupart de mes reportages portent sur cette guerre. Maposition, qui est devenue la position de l’ISL (Ligue socialiste indépendante), était bien sûr pour le mouvementindépendantiste, mais pas pour le camp des vainqueurs. J’ai soutenu le Mouvement nationalalgérien (MNA) dirigé par Messali Hadj. J’avais rencontré Messali, et j’avais été impressionnépar la dignité modeste du fondateur du mouvement indépendantiste algérien, mais mesprincipaux contacts étaient les syndicalistes de l’Union messaliste des travailleurs algériens(USTA), fondée en février 1956, et j’ai reconnu en eux la détermination révolutionnaire,l’internationalisme et l’esprit d’indépendance qui est toujours ce qu’il y a de mieux dans lemouvement ouvrier. Ce sont les qualités qui ont assuré leur destruction ».

Dan Gallin était donc « messaliste » et ne portait pas le FLN dans son cœur si on en croit la virulence des termes utilisés pour le qualifier dans le reste de l’entrevue.

Il est quand même décevant d’être, une vie durant, immanquablement dans tous les mauvais camps!

Organigramme des groupes présents au colloque de M.G. Buffet et de leurs accointances politico-financières

C- Conclusion

Le colloque organisé par Marie-George Buffet, députée et ancienne ministre, au sein même de l’Assemblée nationale française n’est pas un évènement banal, bien au contraire.

1-     Tout d’abord, le lieu choisi marque l’implication d’une institution politique majeure du Parlement français. Et, vu les récentes sorties médiatiques belliqueuses du président Macron et de quelques-uns de ses ministres, il ne serait pas étonnant que cette réunion ait reçu l’aval du gouvernement français.

2-    Le timing choisi (2 jours avant la commémoration des évènements sanglants du 17 octobre 1961) reflète la volonté de passer sous silence un des crimes d’états français les plus abjects contre des manifestants pacifiques algériens.

3-    Les personnes invitées à ce « colloque » ne sont pas les « acteurs et les actrices du mouvement du peuple algérien pour la démocratie » tel que mentionné dans le post de la députée communiste. Ce sont les représentants de groupes spécifiques qui dirigent le Hirak frelaté, à savoir des « makistes séparatistes », des « ONGistes droitdelhommistes » et des « syndicalistes fantoches » ayant des liens solides avec les « islamawistes offshore ». Ces groupes travaillent de concert pour la division et la « printanisation » de l’Algérie.

Qu’aurait pensé Mme Buffet (et le gouvernement français) si un député algérien avait réuni à l’Assemblée populaire nationale algérienne (APN) des représentants du mouvement séparatiste corse ou des membres de l’ « Opération Azur » qui ont fomenté un coup d’État en France?

4-   Certains invités sont des militants ou sympathisants « makistes séparatistes » qui œuvre à la partition de l’Algérie, sur le modèle du projet du « Grand Moyen-Orient ».

5-    La plupart des invités et les organismes auxquels ils appartiennent ont applaudi la destruction de la Libye et de la Syrie et travaillent d’arrache-pied pour la destruction de l’Algérie.

6-   Les syndicalistes invités travaillent de concert avec des confédérations de travailleurs ouvertement et historiquement anticommunistes. Qu’en pense la militante communiste, celle qui a représenté le PCF à l’élection présidentielle?

7-    Ces syndicalistes font la promotion du « quituquisme » et collaborent avec des groupes qui en ont fait un fonds de commerce lucratif.

8-   Ces syndicalistes et les « ONGistes droitdelhommistes » sont financés et/ou ont des liens étroits avec des organismes américains spécialisés dans la déstabilisation et la destruction de pays ciblés. Cela n’a absolument rien à voir avec la démocratie.

9-   Ces « quituquistes » coopèrent activement avec des prédicateurs ou des entités directement et notoirement impliquées dans le djihadisme international.

Le colloque a eu au moins un côté positif. Il a, en effet, permis de révéler la collusion entre des personnes et des organisations qui se sont liguées contre l’Algérie lors des différents moments difficiles de sa jeune histoire. Elles ont œuvré à la destruction de l’idée de l’État-Nation lors de la guerre de libération et l’ont combattu jusqu’au Hirak, en passant par la décennie noire.

Pour éviter d’en faire partie, Marie-George Buffet réussira-t-elle à se débarrasser de son ridicule costume de la « Tartarine » du palais Bourbon pour celui de la députée française? Elle pourra ainsi s’occuper de ce pourquoi elle a été élue, c’est-à-dire des problèmes du peuple français et non de ceux des autres peuples.




L’Union européenne se prononce en faveur du contrôle obligatoire des communications privées sur les smartphones

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

Lors de la réunion des ministres de l’Intérieur de l’UE à Brdo, en Slovénie, la semaine dernière, les représentants des divers gouvernements nationaux se sont prononcés en faveur d’un filtrage obligatoire des communications privées. Dans la déclaration finale, datée du 12 novembre dernier, de la conférence de deux jours convoquée par la présidence slovène du Conseil, les participants saluent l’intention de la Commission européenne de présenter un projet de loi début 2022. Cela obligerait les fournisseurs de services de messagerie tels que Whatsapp et les services de messagerie à rechercher automatiquement les communications cryptées et non cryptées, les messages privés et les photos jointes dont le contenu pourrait être suspect et de le signaler à la police.

Patrick Breyer, député européen allemand du Pirate Party Germany, a commenté ainsi cette décision :

« La folie de la surveillance des ministres de l’Intérieur de l’UE ne s’arrête même pas à notre correspondance personnelle et à nos photos privées. Nos smartphones doivent être transformés en espions et utilisés contre nous.

« Une telle surveillance de masse n’a jusqu’à présent été pratiquée que par des régimes totalitaires comme la Chine. Quelle sera la prochaine ? Toutes les lettres seront-elles ouvertes et scannées ? Avec le contrôle obligatoire du chat, tous les citoyens de l’UE seront placés sous suspicion générale. Cette fouille dans le brouillard ne mettra presque jamais fin aux abus, mais ne fera que pousser les criminels plus loin dans le Darknet, ce qui rendra les poursuites encore plus difficiles.

« J’appelle maintenant tous les Européens à se dresser contre ce plan sans précédent. L’opposition au projet commence à porter ses fruits, comme en témoigne le fait que la Commission a déjà dû reporter à maintes reprises ses plans totalitaires. Mais Zensursula (Ursula von der Leyen, ndlr) et StasYlva continueront de toute façon si nous les laissons faire. »

Derrière cette déclaration des ministres de l’Intérieur se profile les diktats de la Commission européenne qui souhaite que tous les messages et les photos avec des contenus suspects soient recherchés avant qu’ils ne soient envoyés via des services de messagerie cryptés. Les communications non cryptées doivent être filtrées par le fournisseur. Si l’algorithme détecte un contenu suspect, un rapport sera automatiquement envoyé à la police. Le but déclaré est la recherche de pornographie juvénile. Cependant, selon la police fédérale suisse, 86% des messages personnels et des photos signalés par les algorithmes sujets aux erreurs utilisés jusqu’à présent uniquement par les fournisseurs américains ne sont pas pertinents d’un point de vue pénal.

Ce plan de la Commission européenne a été confrontée à des oppositions dont un résultat négatif lors d’une consultation publique, à des protestations mondiales contre les plans d’espionnage comparables d’Apple, à une lettre de députés européens de divers partis. Jusqu’à présent, cependant, elle n’a réagi qu’en reportant à plusieurs reprises le projet de loi. Ylva Johansson, commissaire européenne aux Affaires intérieures, l’a maintenant annoncé pour le début de 2022.

Si ce projet de loi est voté par le parlement européen, ce sera un pas de plus, après le passe sanitaire, vers la surveillance globale des uns et des autres sous couvert de bien, la lutte contre la pédo-criminalité. Big brother, l’Union Européenne totalitaire, is watching you !

Francesca de Villasmundo 




Mathieu Slama: «Le non-vacciné est le bouc émissaire de la crise sanitaire»

[Source : lefigaro.fr]

Par Mathieu Slama

En Autriche, les autorités ont annoncé la mise en place d’un confinement pour les personnes non-vaccinées. Selon l’analyste politique, une telle mesure permet de désigner des coupables tout trouvés.

Consultant et analyste politique, Mathieu Slama collabore à plusieurs médias, notamment Le Figaro et Le Huffington Post. Il a publié La guerre des mondes, réflexions sur la croisade de Poutine contre l’Occident, (éd. de Fallois, 2016).


Le chancelier autrichien Alexander Schallenberg a annoncé, dimanche 14 novembre, l’entrée en vigueur dès ce lundi d’un confinement pour les personnes non vaccinées ou qui n’ont pas guéri du Covid-19. L’Autriche devient le premier pays au monde à mettre en place une telle mesure, qui s’installe donc au cœur même de l’Europe démocratique et libérale. Avec ce confinement discriminatoire, nous franchissons une étape supplémentaire dans la politique autoritaire mise en place pour lutter contre le Covid, puisqu’il s’agit désormais d’aller au bout de la logique du passe sanitaire, c’est-à-dire exclure définitivement les non-vaccinés de toute vie sociale.

La figure du non-vacciné est devenue au fil des mois, à mesure que la politique vaccinale devenait de plus en plus autoritaire, une sorte de citoyen à part, réduit à son statut sérologique et diabolisés en permanence par un pouvoir qui en a fait le bouc émissaire de la crise.Mathieu Slama

S’il y a une leçon que nous pouvons retenir de cette pandémie, c’est que celle-ci agit comme un laboratoire géant où les mesures les plus liberticides sont testées, approuvées puis généralisées. Le confinement, le couvre-feu, le masque en extérieur, le passe sanitaire : toutes ces mesures insensées et attentatoires à l’État de droit se sont progressivement normalisées à mesure qu’elles duraient dans le temps et s’étendaient géographiquement. Le confinement a commencé en Chine, puis a contaminé l’Italie et la France ; le passe sanitaire a d’abord été mis en place en Israël avant de contaminer l’Europe entière.

Pourquoi en irait-il différemment de ce confinement discriminatoire mis en place par l’Autriche ? On a entendu hier soir plusieurs candidats de droite à la présidentielle indiquer qu’ils n’étaient pas défavorables à l’idée de confiner les non-vaccinés seulement. Le Professeur Gilles Pialoux a déclaré ce matin que le confinement des non-vaccinés «avait du sens d’un point de vue médical». Tous les tabous sautent un à un, et ce n’est qu’une question de temps avant que celui-ci ne soit brisé.

À LIRE AUSSI : «Quelles erreurs de raisonnement ont permis l’acceptation du passe sanitaire ?»

Il est inutile de préciser qu’un tel monde qui enferme les citoyens selon qu’ils sont vaccinés ou non est un monde inacceptable et contraire à tout notre héritage démocratique. L’enjeu que nous voudrions soulever ici est ailleurs.

La France n’a pas attendu l’Autriche pour mener une politique culpabilisatrice et discriminatoire vis-à-vis des non-vaccinés. La figure du non-vacciné est devenue au fil des mois, à mesure que la politique vaccinale devenait de plus en plus autoritaire, une sorte de citoyen à part, réduit à son statut sérologique et diabolisés en permanence par un pouvoir qui en a fait le bouc émissaire de la crise. Cela ne doit rien au hasard, et relève d’une stratégie méthodiquement pensée et mise en place.

Le philosophe René Girard élabore, dans son ouvrage célèbre La Violence et le sacré, l’idée selon laquelle les sociétés sont, depuis les origines, troublées par un mal, le désir mimétique, source de rivalités et de conflits, et qu’elles ont résolu ce mal en désignant une victime sacrificielle, le bouc émissaire. «À l’agitation et à la peur qui ont précédé le choix du bouc émissaire, puis à la violence exercée contre lui, succède, après sa mort, un climat nouveau d’harmonie et de paix», écrit Girard.

Les persécuteurs finissent toujours par se convaincre qu’un petit nombre d’individus, ou même un seul peut se rendre extrêmement nuisible à la société tout entière, en dépit de sa faiblesse relative.René Girard

Le bouc émissaire est à la fois celui qui concentre toute la responsabilité de la crise et celui qui garantit, par son sacrifice, le maintien de l’ordre social. Pour Girard, «qu’elle soit physique ou psychologique, la violence infligée à la victime nous paraît justifiée par la responsabilité du bouc émissaire dans la survenue d’un mal dont il convient de se venger, d’un élément mauvais ou nuisible auquel il faut résister ou qu’il importe d’éliminer». Chaque crise a donc son coupable désigné. «Les persécuteurs, écrit Girard, finissent toujours par se convaincre qu’un petit nombre d’individus, ou même un seul peut se rendre extrêmement nuisible à la société tout entière, en dépit de sa faiblesse relative».

Les contextes changent, mais les mécanismes anthropologiques perdurent. La crise du Covid-19 n’y échappe pas. Face à une épidémie sans fin et un climat de peur savamment entretenu par les gouvernements pour favoriser l’acceptabilité de leurs mesures liberticides, les non-vaccinés sont devenus les boucs émissaires de la crise sanitaire, ceux par lesquels l’épidémie perdure et «rebondit» (selon le mot consacré).

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Great Reset : le « monde d’après » est un cauchemar

[Source : Chaîne officielle TVLibertés]

« Beaucoup se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse est courte : jamais ».

Voilà comment le président du Forum économique mondial, Klaus Schwab, a présenté le fameux « monde d’après » dont tout le monde rêve, il est sous nos yeux…

L’invité de « Politique & Eco », le juriste Marc-Gabriel Draghi qualifie ce nouveau monde ainsi : une domestication des masses combinée à une destruction des structures indépendantes par une soviétisation de l’économie. Le gestionnaire d’actifs américain BlackRock tient désormais dans sa main la Réserve fédérale américaine et donc toute l’économie occidentale.

Aujourd’hui, toutes les banques centrales utilisent une planche à billets qui n’aura qu’une conséquence : le gonflement d’une dette qui sera irremboursable. Et à terme, mais cela a déjà commencé, tout notre patrimoine servira à éponger les pertes.

Pour faire face à la catastrophe, Marc-Gabriel Draghi propose une union latine entre la France et l’Italie qui grâce à leur stock d’or pourront résister à la grande vague de défiance de la monnaie qui viendra inexorablement…




Pour la dissolution du Conseil national de l’Ordre des Médecins !

[Source : leslignesbougent.org]

Adressé à : Olivier Véran, Ministre de la santé

Autrefois fondée pour les meilleurs desseins, L’Ordre des Médecins est devenu aujourd’hui un organisme dépassé.

Entre la compétence des médecins qui n’est jamais réévaluée, des prescriptions dictées par les lobbys pharmaceutiques, des détournements de fonds et l’impunité des médecins en cas de plainte (y compris pour abus sexuels), comment pouvons-nous encore faire confiance à cette institution ?

Oui la liste est longue, comme vous pourrez le constater par vous-même un peu plus bas !!

Et c’est sans parler du musellement des médecins qui osent hausser la voix pour émettre de nouvelles idées.

Le Conseil national de l’Ordre des Médecins est un organisme archaïque qui cumule aujourd’hui les affaires louches, le tout dans un esprit obscurantiste et malsain.

Nous ne sommes plus en sécurité tant que l’Ordre des Médecins existera et détiendra autant de pouvoirs. Je fais donc un appel général au bon sens de tous les citoyens pour demander à ce que cet organisme soit aboli et remplacé par un nouveau plus sain, plus moderne et plus ouvert d’esprit.

JE SIGNE LA PÉTITION

L’Ordre des Médecins : à l’origine, c’était quoi ?

L’Ordre des Médecins est né le 7 octobre 1940, sous le régime de Vichy, prenant la forme d’un organisme de droit privé chargé d’une mission de service public :

  • veiller au respect de l’éthique médicale,
  • accompagner les médecins en matière de déontologie, de justice et dans leurs démarches administratives,
  • se poser comme garant de la relation médecin-patient,
  • et comme conseiller des pouvoirs publics et des organismes français de santé publique.

Bien que créé dans un contexte sombre, les missions confiées à cet organisme semblent a priori utiles, voire indispensables. En tout cas en théorie.

Mais dans les faits, le Conseil de l’Ordre ne remplit plus sa mission !

Qu’en est-il de l’Ordre des Médecins aujourd’hui ?

Dans une tribune publiée le 9 mars 2021, 26 organisations (parmi lesquelles plusieurs syndicats de médecins et des associations de patients) ont demandé officiellement la dissolution de l’ordre.

Selon les auteurs de cette tribune, le Conseil de l’Ordre « protège des professionnels de santé corrompus et maltraitants. »

Et ce ne sont pas des accusations en l’air. Elles reposent en effet sur un rapport à charge de la Cour des comptes paru en décembre 2019,(([1] https://www.vie-publique.fr/sites/default/files/rapport/pdf/272231.pdf)) pour le moins édifiant.

Voici quelques uns des nombreux manquements que ce rapport soulève :

  • un contrôle insuffisant de l’exercice de la profession et de la déontologie ;
  • une absence de contrôle de l’actualisation des compétences des médecins ;
  • un contrôle hétérogène des contrats entre médecins et industriels ;
  • une faible implication de l’Ordre des Médecins dans l’accès aux soins ;
  • divers problèmes de gouvernances et défaillances de gestion, etc.

JE SIGNE LA PÉTITION

Mais il y a bien pire !

Voici trois dysfonctionnements extrêmement graves que ce rapport soulève aussi :

1) Tout d’abord, l’indulgence dont bénéficient les médecins à qui des patient(e)s reprochent des abus sexuels (pages 104 à 108 du rapport).

Malgré les signalements allant jusqu’à des condamnations au pénal, on ne constate AUCUNE sanction de la part de l’Ordre en lui-même.(([2] Par exemple, l’affaire du chirurgien Joël Le Scouarnec, condamné par la justice en décembre 2020 pour viols et agressions sexuelles sur mineurs, mais aucunement inquiété par l’Ordre. https://www.lepoint.fr/justice/affaire-le-scouarnec-l-introuvable-sanction-disciplinaire-28-08-2019-2332206_2386.php#))

2) Ensuite, les arrangements obscurs entre les médecins et les laboratoires pharmaceutiques.

La Cour de Compte a pu en effet observer un fait étrange : aucun rappel à l’ordre n’a été émis par le conseil de l’ordre concernant les conventions entre les fabricants de médicaments et les prescripteurs… aucun !  (page 33 du rapport)

À croire que tous les médecins sont irréprochables à ce propos… la bonne blague !

Lorsque le journal Le Monde a souhaité enquêter sur ces relations troubles en mars 2019, le Conseil national de l’Ordre des médecins a refusé de communiquer sa base de données contenant les contrats conclus entre les laboratoires pharmaceutiques et les médecins.(([3] https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/09/30/conflit-d-interets-l-impossible-acces-aux-contrats-conclus-entre-les-laboratoires-et-les-medecins_6054218_3224.html)) Pourtant, fin 2011, après le scandale du Mediator, qui avait révélé l’emprise du laboratoire Servier sur la médecine française, la loi Bertrand avait instauré une obligation de transparence sur ces collaborations.(([4] Loi Bertrand et loi anti-cadeaux : les dessous de la transparence – Le petit juriste))

3) Et finalement, les fonds dédiés à l’aide aux médecins en difficulté attribués majoritairement aux conseillers ordinaux (soit les dirigeants du Conseil de l’Ordre) ou au président national lui-même, qui aurait touché jusqu’à 10 000€ par mois (pages 15 et 16 du rapport) alors que, comble de l’ironie, il est censé exercer sa fonction bénévolement…

À ce compte-là, je pense que beaucoup de Français souhaiteraient devenir de fervents bénévoles !

JE SIGNE LA PÉTITION

Et les patients dans tout ça ?

C’est à se demander si leur bien-être a encore une quelconque importance aux yeux de cet organisme.

Entre la compétence des médecins qui n’est pas réévaluée, des prescriptions dictées par les lobbys pharmaceutiques, et l’impunité en cas de plainte, il y a de quoi se faire du souci.

Combien d’erreurs médicales ? Combien de négligences faudra-t-il pour que la situation change ?

Et que dire des quelques médecins qui osent porter la voix pour émettre de nouvelles idées et qui se font museler sans ménagement.

Le professeur Henri Joyeux (chirurgien cancérologue), par exemple, pour ses positions concernant la politique vaccinale en France, subit les foudres de l’Ordre des Médecins depuis le 1er décembre 2016. Un véritable feuilleton judiciaire qui dure depuis près de cinq ans et dont le but est de radier cette trop forte tête.(([5] Le professeur Henri Joyeux, un habitué des polémiques médicales | Le Huffington Post LIFE))

La pensée unique semble être plus que jamais de mise dans le monde scientifique et médical.

Une pensée unique dictée par un Conseil de l’Ordre défaillant au plus haut point.

Il est grand temps de faire porter notre voix contre ce non-sens digne de l’obscurantisme.

Signez cette pétition pour :

  • dissoudre le Conseil national de l’Ordre des Médecins,
  • effectuer une refonte complète de cet organisme pour faire table rase de tous ses manquements actuels et pour qu’il intègre désormais de manière coordonnée et assumée les médecines alternatives au même titre que les traitements conventionnels. 

JE SIGNE LA PÉTITION

Prenez soin de vous,

Thibaud de Santé Non Censurée

Sources



Politique sanitaire, tout va bien madame la marquise !

[Source : @LigneDroiteMatinale]

Avec Alexandra Henrion-Caude, généticienne, ancienne directrice de recherche à l’INSERM, directrice de l’institut de recherche SimplissimA,
Martine Wonner, députée (non inscrite) du Bas-Rhin, médecin psychiatre,
et Marc Doyer, membre de l’association Verity France et fondateur du groupe de soutien Mauricette — son épouse est dans un état critique après vaccination.






John Shipton, père de Julian Assange, compte sur une France « honorable et exemplaire »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Il est en France afin de promouvoir la demande d’asile de son fils Julian Assange ; John Shipton a fait à FranceSoir l’honneur d’un entretien, le vendredi 12 novembre.



Ses premiers mots sont pour décrire la mission de son fils. Selon lui, c’est celle de Prométhée déchaîné : voler le feu aux Dieux pour le donner aux Hommes. Ici, les flammes sont celles de l’information, du savoir. Déjà en 2005, alors que son fils créait Wikileaks, John Shipton réalisait que mettre des informations cruciales entre les mains des citoyens les motiverait à agir sur un éventail de problèmes, plus vaste encore que le purement politique.

Julian Assange souhaitait voir émerger une conscience citoyenne débouchant sur un mouvement de masse. Ce mouvement existe désormais ; des milliards d’Hommes s’opposant à la « politique anglo-saxonne de guerre sans fin ».

Les informations révélées par son fils Julian et son équipe ont été diffusées par plus de cent publications de par le monde, dont The Guardian, El Pais, Der Spiegel ou Libération. Conscients des désastres humains provoqués par ces guerres étrangères, la population occidentale n’en veut plus. Grâce aux grandes mesures qui ont fait suite aux actions d’Assange, aujourd’hui, il n’y a plus que 80 prisonniers à Guantanamo, au lieu de 800. Parallèlement à cela, les États-Unis quittaient l’Afghanistan et bientôt, le Moyen-Orient.

Par ailleurs, l’un des traits saillants de la conduite des autorités anglo-saxonnes envers le fils de John Shipton a été sa « malveillance, voire sa cruauté caractérisée : diffamation, calomnie, remarques méprisantes dites en pleine Cour, méconnaissance flagrante des traités internationaux », dont la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 et des conclusions du rapporteur spécial de l’ONU pour la torture de Nils Melzer… Tout ceci témoigne de l’effondrement moral du monde occidental depuis 20 ans, dont les événements récents en Australie servent d’exemple.

Depuis 2005, Julian Assange entretient avec la France des liens étroits ; il vivait alors dans le Marais, y a fondé et incorporé WikiLeaks, y a connu ses premiers procès, y a fondé une famille. Quelques années plus tard, alors qu’il prévoyait de rentrer en France, il a été arrêté en Angleterre. La devise de la Révolution – Liberté Égalité Fraternité – et son symbolisme, n’est pas moins puissante que la Révolution elle-même. Pour John Shipton, les Gilets jaunes en sont l’expression et ils ont déjà gagné, car ils font le ferment d’un mouvement qui se propage dans toute la société.

La France a elle-même bénéficié de Wikileaks, dévoilant le rôle des États-Unis dans les écoutes téléphoniques des autorités françaises et dans l’espionnage industriel, qui a coûté des dizaines de milliards au pays. M. Shipton explique que sa mission « est celle de défendre les intérêts de Julian, raison pour laquelle je ne rencontre aucun homme politique. Je ne fais que définir le cadre des circonstances dans lequel les hommes politiques sauront agir ». Il souhaite que la France propose – comme viennent de le faire 38 députés français – l’asile politique à son fils, et à cette fin il parlera demain mardi à l’Assemblée nationale.

M. Shipton a saisi l’occasion pour affirmer son respect pour l’ancienne analyste de renseignement des armées américaine, Chelsea Manning, qu’il décrit comme une nouvelle Jeanne d’Arc : en résistant aux pressions officielles pendant une décennie et non un ou deux ans, l’analyste fait montre de qualités d’acier. Il a également salué l’ami et soutien de Julian qu’est l’ambassadeur Craig Murray, actuellement en prison en Ecosse. La semaine dernière, il s’est rendu là-bas et a visité la famille de l’ambassadeur, qui sera libéré fin novembre.

Quoiqu’âgé de 78 ans, M. Shipton ne cesse de faire le tour du monde afin d’obtenir la libération de son fils. Ces tournées ont été possibles grâce au soutien de dizaines de milliers de citoyens auxquels il envoie ici et maintenant « mille mercis ».

Doublage : Jeanne Traduction




En Autriche, le président de l’Ordre des Médecins veut attacher les gens pour les vacciner de force

[Source : wochenblick.at]

Par Christoph Uhlmann

Traduction par Christine côte

[Photo : Thomas Szekeres, président de l’Ordre des Médecins, à la Pressestunde, ORF, le 14 novembre 2021]

Complètement fou, Szekeres dépeint le scénario d’horreur de la vaccination forcée

« La question se pose de savoir si l’on doit attacher quelqu’un et lui faire l’injection ».

L’Ordre des Médecins va encore plus loin ! En Autriche, le président de l’Ordre des Médecins, Thomas Szekeres, s’est exprimé sur la vaccination obligatoire à l’heure de presse sur ORF, dimanche. Il fallait réfléchir à « comment l’appliquer », a-t-il expliqué, en disant : « Je veux dire, la question se pose déjà de savoir si vous attachez quelqu’un et si vous lui donnez ensuite la piqûre. » Le vice-président, Harald Mayer, s’emploie lui aussi à semer la panique face à la quatrième vague qui serait en train d’arriver, en se moquant des politiciens trop lâches pour imposer la vaccination obligatoire pour tous. Néanmoins, il envisage une vaccination obligatoire ainsi qu’un confinement pour tous avant Noël. Le ministre de la Santé Mückstein a déjà annoncé ce confinement. Et l’association des médecins de l’assurance maladie obligatoire du Bade-Wurtemberg recommande à ses membres de tenir des heures de consultation de 7 h à 7 h 10 pour les patients qui ne présentent pas de preuve de la 3G. Cela équivaut à un non-traitement ! Quant au corps médical, il perd actuellement toute éthique et toute morale et siffle inconsciemment le serment d’Hippocrate. Ils ont peut-être fait des études de médecine, mais ce ne sont pas des médecins. Parce que les médecins doivent avant tout ne pas faire de mal…

  • Le Président de l’Ordre des Médecibns (ÄK) pour la vaccination obligatoire générale
  • Préparation propagandiste des présidents de chambre pour ce qui est à venir : « Si vous attachez quelqu’un et lui donnez ensuite la piqûre ».
  • Le vice-président de l’Ordre des Médecins (ÄK) pour le confinement et la vaccination obligatoire générale avant Noël
  • Le ministre de la Santé, Wolfgang Mückstein (Verts), annonce le confinement de tous les établissements.
  • L’Association des médecins de l’assurance maladie obligatoire du Bade-Wurtemberg recommande une plage horaire de 10 minutes en tout pour les consultations de TOUS les patients sans preuve 3G

La dictature Corona est sur le déclin. Les acteurs et les sbires du régime en sont conscients. Une dernière bataille ? Ceci est reconnaissable au fait que les déclarations deviennent de plus en plus extrêmes. Le président de l’Ordre des Médecins, Thomas Szekeres, est particulièrement en vue à cet égard et ne manque pas une occasion de prouver qu’il fait partie de ceux qui ont étudié la médecine, mais ne peuvent absolument pas être qualifiés de médecins. Car le premier principe éthique de base de l’action médicale stipule que le médecin ne doit pas, ou ne devrait pas, avant tout, causer un préjudice au patient.

Szekeres parle d’attacher les gens et d’injections de force

Il a été prouvé que les confinements entraînent des dommages psychologiques et physiques importants. Comme le rapporte le Wochenblick, le « groupe vulnérable » des maisons de retraite, dont on parle tant, est particulièrement touché par cette mesure. Cela n’intéresse pas Szekeres. Il voulait déjà enfermer TOUS les Autrichiens en avril : « Enfermez toute l’Autriche. Et enfin, achetez des vaccins », fulminait-il à l’époque. Avec les injections expérimentales de génie génétique, des dommages massifs dus à des effets secondaires et à des effets tardifs ne peuvent être exclus. Mais cela ne concerne pas le médecin à la tête de l’Ordre des Médecins. Lors de l’heure de presse de dimanche, il s’est une nouvelle fois distingué comme un propagandiste modèle. En ce qui concerne la vaccination obligatoire, il a déclaré que son introduction était une décision politique, mais qu’elle avait un sens médical afin de « réduire le nombre d’infections ». Il a déclaré qu’il faudrait évaluer « la réaction de la population, la manière de mettre en œuvre et d’appliquer ces mesures ». « Je veux dire, c’est alors déjà la question de savoir si on attache quelqu’un et si on lui fait ensuite l’injection », un tableau sorti d’un film d’horreur. Il ajoute qu’il ne peut pas l’imaginer. Il se prononce explicitement en faveur du « fait que les personnes non vaccinées soient massivement désavantagées, même au travail ».

Mückstein annonce le confinement pour tous

Le vice-président de l’ÄK, Harald Mayer, est également favorable à l’obligation générale de vaccination et voit aussi la nécessité d’un confinement pour tous avant Noël. Il a fantasmé auprès d’un quotidien : « Si la politique autrichienne continue à être trop lâche pour décréter la vaccination obligatoire pour tous, alors elle entraînera toute l’Autriche dans un nouveau confinement, puis la quatrième vague nous dépassera. » Apparemment, le ministre vert Mückstein, qui est censé être responsable de la santé, l’a entendu. Car Mückstein a déjà annoncé un confinement général, qui doit être décidé mercredi, comme le rapporte le Wochenblick.

Une stratégie de propagande perfide

Le Wochenblick n’a fait état de cette forme de stratégie de propagande que récemment. Le Dr Roman Braun, expert en communication et maître formateur en PNL, explique dans une interview AUF1 avec Elsa Mittmannsgruber, rédactrice en chef du Wochenblick, que les intentions impopulaires sont diffusées à l’avance de telle sorte qu’elles soient mentionnées, mais avec distance. Ce pré-enseignement pourrait alors ressembler à ceci : « Il n’y aura pas de vaccination obligatoire », « Il n’y aura pas de nouveau confinement »… Il s’agit donc d’une stratégie perfide visant à préparer les gens à quelque chose qui a été prévu pour l’avenir…..

AUF1 rapporte bien à propos une citation explosive de Jean-Claude Juncker datant de décembre 1999 :

Escalade totale — aucun traitement sans 3G

En Allemagne, la « Kassenärztliche Vereinigung Baden-Württemberg » (Association des médecins de l’assurance maladie obligatoire du Bade-Wurtemberg) se moque également de l’éthique médicale. Selon une circulaire adressée à ses membres, l’association considère que « le refus de la vaccination est impudent et socialement inacceptable ». « Au plus tard lorsqu’on met en danger autrui, Corona et la vaccination ne sont plus une affaire privée », indique la circulaire. Loin de toute éthique médicale, il préconise des règles 2G/3G pour les visites des médecins et recommande aux médecins de tenir leurs consultations pour les patients qui ne respectent pas les règles 3G de 7h00 à 7h10 — soit 10 minutes seulement ! Ce que l’avocate Beate Bahner, active depuis longtemps dans la résistance aux mesures, en pense, vous pouvez le voir dans sa vidéo partagée sur Facebook. [Pour la vidéo de Maître Beate Bahner, ouvrir le lien principal ci-dessus c.c.]

Voici la circulaire :
https://www.wochenblick.at/wp-content/uploads/2021/11/Schreiben_der_KV_BW_v_11_11_2021_10_Minuten_Sondersprechstunde_fuer.pdf

Voici à quoi pourrait ressembler à l’avenir la salle d’attente pour les patients qui ne fournissent pas de preuve de la 3G, s’ils sont traités :

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Responsabilité des médias : la plainte contre X des associations BonSens et AIMSIB

[Source : francesoir.fr]

[Voir aussi :
L’heure des comptes Covid sonnera un jour, la justice pénale est saisie]

Auteur(s): FranceSoir

Emmanuel Macron s’est exprimé mardi, et ses assertions scientifiques pèchent une nouvelle fois par manque de rigueur. Rappelons que le 12 juillet 2021, le président de la République s’était déjà appuyé sur différentes données pour le moins fragiles afin de justifier les mesures les plus coercitives d’Europe : obligation vaccinale pour les soignants et mise en place d’un passe sanitaire.

Voir aussi : Analyse des assertions scientifiques d’Emmanuel Macron par le Pr Peter McCullough

L’association RéInfoLiberté a depuis déposé une plainte contre X, visant cette loi, qui repose potentiellement sur un document faux, d’après son président Vincent Pavan et Maître Ludovic Heringuez. Il s’agit de l’étude en prépublication de « Boseti et al » intitulée «  Épidémiologie et contrôle des épidémies de SRAS-CoV-2 chez les populations partiellement vaccinées : une étude de modélisation appliquée à la France . » Cette dernière avait servi de fondement à l’avis du Conseil scientifique.closevolume_off

Voir aussi : « Une loi qui repose potentiellement sur un document faux » Vincent Pavan et Me Heringuez

Troisième dose pour les plus de 65 ans, maintien du passe sanitaire, autocongratulation sur la gestion de crise sanitaire, annonce de traitements « réellement efficaces » pour la fin de l’année… Emmanuel Macron, se réclamant pourtant de « la science », a multiplié les annonces aux fondements hasardeux : or, la charge de la preuve incombe à celui qui énonce un fait scientifique. Force est de constater que le président a préféré un registre plus péremptoire.

Voir aussi : Emmanuel Macron, arrêtez de dire n’importe quoi !

Les affirmations scientifiques du président ont été reprises et diffusées à l’unisson dans les médias sans une vraie analyse contradictoire – et ce, même en amont de son allocution, puisque le 6 novembre, le terrain était déjà prêt : on rapportait ainsi une hausse de 61 % des rendez-vous pour la troisième dose. Le rôle des principaux médias dans la diffusion et rediffusion de ces informations est donc en question.

L’association BonSens.org s’associe donc à l’Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMISIB) pour une plainte contre X, qui concerne notamment les médias et leurs directeurs de la publication, afin d’arrêter ces diffusions d’informations déloyales, les incriminant des chefs :
– d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse (art. 223-15-2 du Code pénal)
– de complicité d’extorsion et de tentative d’extorsion (articles 312-1 et 312-9 du Code pénal)
– de complicité d’empoisonnement et de tentative d’empoisonnement (article 221-5 du Code pénal)

Une plainte de 108 pages, auxquelles s’ajoutent plus de 600 pages d’annexe dont les associations représentées par Maître Virginie de Araujo Recchia présentent le détail.

L’intégralité de la plainte (PDF) : Plainte contre X avec constitution de partie civile de BonSens.org et de l’AIMISIB

Auteur(s): FranceSoir




Le peuple palestinien face aux équivoques du « monde libre » et à la félonie du « monde arabo-monarchique »

Par DJERRAD Amar

À la veille de la conférence de la « Ligue arabe » qui est programmée en Algérie, un article initialement publié en 2012(([1] sur les sites suivants :
https://libnanews.com/hy/le-peuple-palestinien-face-aux-equivoques-du-monde-libre-et-a-la-felonie-du-monde-arabo-monarchique-par-djerrad-amar/
http://www.lequotidien-oran.com/?archive_date=2012-12-10&news=5176416
https://www.legrandsoir.info/le-peuple-palestinien-face-aux-equivoques-du-monde-libre-et-a-la-felonie-du-monde-arabo-monarchique.html)), mais qui n’a pas perdu de son actualité.


Par cette agression sanglante et incessante, sur Gaza, contre les Palestiniens, un peuple spolié de sa terre par un « Israël » factice encrassé par une idéologie colonialiste et fasciste que soutient par allégeance et ressemblance un Occident à histoire jalonnée de contradictions, surtout de déshumanisation, on doit retenir la résurgence sinon la persistance des idéologies extrémises et nihilistes entraînant de récurrentes ruptures d’équilibre qui se manifestent par des souffrances et des incertitudes.

Ce qui se déroule dans le monde arabe, avec cette tempête controuvée baptisée « Printemps arabe », ne saurait être dissocié des crises économiques cycliques du Grand capital et de ses conséquences sociales, politiques et institutionnelles. La solution de ce Capital, pour surmonter ses crises, a toujours été, au travers de son évolution historique, de conquérir encore plus d’espaces économiques par la force des armes, sinon par des artifices de plus en plus subtils. Ainsi, il est passé de l’esclavagisme au colonialisme, puis au néo-colonialisme pour aboutir au chemin inverse dans une tentative de recolonisation et Dieu seul connaît la suite. Comme le monde a changé grâce à la Science et la Technologie, leurs stratégies, leurs tactiques, leurs moyens et leurs procédés ont également changé, mais pour les mêmes buts et les mêmes objectifs issus d’idéaux, qui eux n’ont pas changés, même dissimulés dans de grossiers sophismes.

Dans ce jeu de partage et de domination du monde, on a imposé un « État » factice, un corps étranger, là où les richesses pétrolières sont abondantes, presque simultanément avec la création d’« États arabes » liges sous forme d’oligarchies héréditaires où la puissance de l’argent est prépondérante ; de grandes ploutocraties rigides et féroces : un « État d’Israël » sans foi ni loi jouant le rôle de gendarme du Moyen-Orient et des Émirats/roitelets — liges dévoués à leurs protecteurs qui leur assurent la pérennité de leurs dynasties.

Depuis les accords secrets de Sykes-Picot de 1916 et la Déclaration Balfour de 1917 — qui aboutit à la partition de la Palestine en « deux États juif et arabe » en 1947 — le monde, en particulier le Moyen-Orient, n’a cessé de connaître l’instabilité. L’ensemble des peuples arabes et musulmans refusent à ce jour cette injustice, d’inspiration opportuniste sioniste, décidée dans le sillage du démantèlement de l’Empire ottoman suite à sa capitulation.

La question palestinienne reste, depuis, la pomme de discorde entre un monde occidental, pro-Israélien et pro-sioniste, à histoire sulfureuse jalonnée d’immoralité, qui ne s’est pas guéri de ses velléités colonialistes et un monde anticolonialiste et anti-impérialiste, dont les Arabes, qui refusent cette hégémonie inhumaine contraire à la morale et à la raison. « Les splendeurs et les horreurs de demain résident dans les décisions ou éclairées ou malavisées d’aujourd’hui. » (Yves Breton)

l’Organisation de la Conférence islamique (OCI), créée en 1969, devenue « de la coopération » en juin 2011 (certainement pour accabler la Syrie qu’elle suspend d’ailleurs 1 mois et demi après) avec 57 États membres regroupant plus de 2,5 milliards des musulmans à travers le monde (dont un des buts est de « soutenir la lutte du peuple palestinien et l’aider à retrouver ses droits et à obtenir, par la diplomatie, les territoires revendiqués comme leurs ») avec aussi sa soixantaine Conférences islamiques au Sommet et sa quarantaine de Conseil des Ministres des ministres des AE [Affaires Étrangères], ainsi que la Ligue dite des « États arabes », créée en 1945 regroupant 22 États arabes (dont l’objectif est d’« d’unifier la “nation arabe”, de défendre les intérêts des États membres, de faire face à toute ingérence des puissances dans la région ») avec sa trentaine de sommets, dont 12 en « urgence » concernant la Palestine, n’ont toujours pas réglé le problème de colonisation de la Palestine. 60 années de tergiversations pour aboutir à l’effet inverse avec plus de colonies, plus de morts, plus d’instabilité, plus de divisions, plus de domination. L’Occident « des lumières » qui a imposé la « liberté » et « l’égalité » ne veut pas voir chez les autres peuples les mêmes injustices qu’il a subies. Il y trouve, par contre, un prétexte pour plus d’iniquité et de supériorité. Nietzsche y voyait déjà, dans « Le Déclin de l’Occident » une décadence par une crise d’une civilisation malade. « On veut la liberté aussi longtemps qu’on n’a pas la puissance ; mais si on a la puissance, on veut la suprématie », affirme-t-il.

Les Arabes qui voulaient l’Union pour imposer « une force de proposition et d’impulsion » se sont avérés, avec le temps, profondément divisés, incapables d’une quelconque initiative, même de paix. Plus grave, ils se servent désormais de leurs propres « Organisations » pour nuire à leurs membres au profit de ceux qu’ils prétendent combattre ! La limite de la perversion. Deux visions politiques antinomiques s’affrontent. L’une « pro-occidentale » que mène l’axe monarchique, l’autre plus « indépendantiste » que mène l’axe républicain. D’où leur putréfaction et leur neutralisation.

Dès lors, la question palestinienne ne saurait, désormais, être réglée par les Arabes. Il devient impossible, voire dangereux pour eux, qu’ils prennent en charge le problème de colonisation de la Palestine ; du moins dans leur configuration politique actuelle basée sur la félonie. Seuls les Palestiniens, unis, sont à même de trouver la solution à leurs tourments selon leurs intérêts exclusifs. Se voir dicter les choses par certains États arabes, spéculateurs, opportunistes et corrompus, pour de l’argent, est une tactique perdante qui mène à la faillite. La preuve, 60 ans déjà sans arriver à un semblant de paix ! Même le projet d’une reconnaissance pourtant « partielle » s’était vu « torpiller » par des actions d’apparences pour la « cause », mais qui en fait va dans le sens d’une dilution de la Palestine et de son peuple, du moins d’envoyer la « question » aux calendes grecques en attendant, peut-être, le fait accompli, c’est-à — dire quand tout sera fini.

Plusieurs régimes arabes vivent et se maintiennent grâce à ce statu quo sur la Palestine. Ils useront de tous les artifices, dont financiers et politico-socio-religieux, pour que leur problème ne se règle pas. Bien plus, ils s’emploient à neutraliser tous les États arabes et autres de l’axe de la résistance au sionisme en leur fomentant des « révolutions » dites « printemps arabe » sur des principes aux antipodes des fondements de leur régime ! Les pétromonarchies du Golfe, en particulier l’Arabie Saoudite et le Qatar sont la cause des désespoirs du monde arabe, de leur impuissance pour leur félonie, leur corruption et leur illégitimité.

La puissance d’un pays se constate plus par la faiblesse de l’adversaire. C’est le cas d’Israël, une entité de 7 millions d’habitants (avec un PIB de 245 milliards de dollars), face à un monde arabe composé de 24 pays regroupant 400 millions de personnes (avec un PIB de 2,4 billions de dollars) ! Un « monde arabe » — factice, car plein de contradictions, d’adversités et de disparités — inconciliable. Un simple exemple économique : le PIB de l’Arabie Saoudite est de 560 milliards de dollars (2011), Mauritanie 4 milliards. Le Qatari jongle avec un PIB par tête de 76 000 dollars pendant que le Palestinien se débat avec 1000 dollars et sans perspective.

Il est étrange d’observer que, subitement, un « printemps arabe » se déclenche presque simultanément, en l’espace de moins de 2 ans dans plusieurs pays arabes. Les « vraies » révoltes, pour dégager les régimes vassaux à l’occident, vite confisquées ou contenues, ont été accompagnées des révoltes « fabriqués » dans les États à régimes hostiles à Israël et à l’hégémonie occidentale créant ainsi, avec l’accaparement des médias lourds du monde, la plus grande diversion, confusion et manipulation ! Les pétromonarchies du Golfe ont été les pourvoyeuses de fonds, de chair à canon et les guides dans l’endoctrinement, par la religion, pour imposer l’idéologie rétrograde wahabo-salafiste. La Palestine n’est, pour eux, rien d’autre qu’un faire-valoir, un paravent qui assure la pérennité de leur dynastie.

La dernière agression contre Gaza en est un des exemples, sinon l’exemple le plus significatif qui montre, le vrai visage, la putréfaction de ce « monde arabe ». Les occidentaux soutiendront encore et toujours Israël tant qu’il est utile aux dictatures arabes qui s’en servent pour détourner l’attention de leur peuple dans le sens qu’ils le souhaitent, tant que le tourment des palestiniens leur reste imputable à cause de leur division et ce, quelle que soit la justesse de leur cause et quelle que soit aussi la barbarie des israéliens. Les 3 morts israéliens comptent plus que la centaine de morts et le millier de blessés palestiniens. Pendant que l’on assassine des enfants, que l’on tue des femmes, la presse française titre « Israël tire sur des bureaux du Hamas ». Quelle déchéance ! À chaque fois qu’il y a poussé de violence par Israël cela se termine par 1, 2, 3 morts israéliens contre des centaines de morts palestiniens et c’est toujours ces derniers qui sont fautifs avec cet occident dépravé ! De quel côté et la terreur et le terroriste ? Ils n’oseront pas dire la vérité de crainte des lobbies sionistes.

Sitôt que les israéliens se trouvent en difficultés ou embourbés par leurs provocations, ils demandent vite à leurs protégés occidentaux, en particulier les États-Unis, le Royaume uni, la France, l’Allemagne, de les sortir. Mais les choses ont évolué en pire puisque ce sont maintenant les Arabes — par lâcheté, déshonneur, indignité et absence de solidarité — qui sont chargés maintenant de mettre fin aux risques d’enlisement des sionistes d’Israël. Surtout après qu’ils ont eu la surprise d’une riposte par missiles sur leurs colonies, jusqu’à Tel-Aviv, créant la panique générale ! Une équation nouvelle s’impose donc.

Des informations, rapportées par Al Manar font état que c’est Israël qui aurait demandé au félon Qatari de charger le frère musulman Morsi de faire pression sur son équivalent le Hamas pour une trêve. Mais lors de la visite du ministre Qandil les différents groupes de la résistance palestinienne auraient refusé. Ceci montre que le Hamas n’est pas le seul sur la scène. En assassinant un leader militaire d’importance (Al Djaabari) qui fera escalader les choses vers un conflit armé — dont ils ont programmé qu’il aboutirait à l’anéantissement, à jamais, de la cause palestinienne — les stratèges sionistes en ont eu pour leurs frais ! C’est les habitants israéliens aussi, dont Netanyahou lui-même, qui passent la nuit dans les abris ; c’est les bâtiments officiels qui sont touchés par les missiles, c’est un F16 qui se fait abattre et les pilotes disparus, par une résistance pourtant sous embargo, même alimentaire, depuis une décennie.

Ce seraient donc nos bienfaisants pourvoyeurs de fonds et de logistiques, pour les rebelles qui détruisent la Syrie, qui se seraient précipités au Caire pour faire pression sur Hamas afin d’arrêter les tirs de missiles, et ce, selon certains analystes, pour éviter des déclarations qui offusqueraient leur maître d’une part et pour donner à leur ami israélien une carte favorable à sa campagne électorale d’autre part notamment l’acceptation par le Hamas d’une trêve « sans conditions » qui « craindrait une opération terrestre après l’anéantissement de ses bases de lancement de missiles ».

Si une dizaine de simples missiles « fadjr 5 » ont créé l’affolement en Israël, que dire si des centaines de ces redoutables missiles iraniens, de haute technologie, s’abattent sur les Israéliens ?

Incontestablement, le « Dôme de fer » n’est plus désormais qu’une imposture, qu’un « couscoussier » et l’entité sioniste sera dorénavant à la portée de tous les missiles de la résistance ; un colosse aux pieds d’argile. Et dire que ces bandits sionistes veulent attaquer ce pays qui peut en faire une bouchée y compris les roitelets du golfe !

Même si la réaction limitée de la résistance palestinienne ne peut ébranler un régime fasciste surarmé que soutient tout l’occident, il demeure que les sionistes ont été surpris par la réaction farouche qui a mis à néant la fable de leur invincibilité. D’où cette diversion par la « fausse victoire du Hamas ». Passons !

En fait, ce qui a été obtenu de l’accord du Caire est d’abord un droit basique inaliénable qui ne devrait pas constituer un élément de négociation. Où est donc cette victoire quand vous obtenez le droit de manger, de boire, etc. après vous en avoir privé par un embargo illégal et inhumain ? C’est une des tactiques ignobles des sionistes qui n’ont d’humain que l’apparence. Ils trompent le monde en montrant qu’ils sont vertueux alors qu’ils ne font que restituer, par la pression, un droit. Comme si on vous autorisait à mettre un pantalon après vous avoir mis nu ! Un commentateur éclairé compare cet « accord » du Caire à cette histoire de Jeha (personnage légendaire de contes et anecdotes populaires au Maghreb) : à chaque assemblée des gens d’un douar, un villageois ne cesse de perturber les débats avec ses sempiternelles lamentations sur ses conditions de vie en particulier l’exiguïté de son gourbi. Il avait âne, un bouc, 2 chèvres et 2 moutons. Jeha connu pour sa sagesse et ses capacités à résoudre les problèmes intervient en lui promettant de résoudre son problème en 5 jours à condition qu’il respecte à la lettre ses recommandations. La 1re du 1er jour est qu’il doit mettre, dans son gourbi, tous ses animaux. Le paysan s’exécuta. Le lendemain il s’en plaint pour avoir vécu un « enfer » surtout à cause de l’âne. Jeha l’autorise au 2e jour de sortir l’âne. Le lendemain il s’en plaint de l’odeur du bouc, mais il est « mieux qu’hier ». Jeha le débarrasse du Bouc. Le 3e jour il déclare « commencer à respirer » et ce jusqu’à le débarrasser de tous les animaux. Au dernier jour le paysan annonce, avec soulagement, avoir « passé la nuit la plus paisible de ma vie » ! Conclusion du commentateur : « croire qu’une réunion de 2 jours entre les représentants des spoliateurs sionistes et des hypocrites puissent apporter un rayon de lumière aux Palestiniens est une vue de l’esprit ».

Au-delà du gain politique et stratégique, les palestiniens savent mieux que quiconque qu’ils n’ont encore rien obtenu de leurs droits fondamentaux légitimes qui leur terre, leur droit au retour. Le combat demeure entier face à la réalité et les leçons à tirer après chaque action et épreuve.

La réalité et que les Palestiniens pouvaient régler leur problème avec Israël si leurs congénères arabes, du golfe en particulier, avaient cette volonté. La même volonté et promptitude qui a permis, par leur « Ligue », de se réunir plusieurs fois en quelques mois, dont 2 fois en 24 heures, pour décider d’une série de sanctions contre la Syrie pour faire tomber son régime qui se trouve être le nœud gordien politique des sionistes sur la Palestine avec l’Iran et le Hezbollah. Contre Israël, il suffit de se réunir une seule fois prendre des mesures radicales, comme menacer l’occident par l’arme du pétrole (proposition de l’Irak), pour voir, par enchantement, le problème réglé définitivement ! Ce n’est pas dans leurs intérêts… « stratégiques ».

Serait bien naïf celui qui attend des organisations dites « arabes » ou « islamiques » une quelconque prise de position contre Israël et ceux qui les soutiennent tant que des États perfides œuvrent pour leurs intérêts personnels ; qui pour accaparer le pouvoir (les frères musulmans), qui pour perpétuer leur dynastie (les ploutocraties du golfe) qui, tel un Cheval de Troie, rêve en « Otanien », de devenir le nouvel Ottoman des Arabes !

Tous sont d’accord avec ce projet « Nouveau Moyen-Orient » américano-sioniste qui devait ôter toute puissance aux Arabes en les pulvérisant en petits États sur des bases religieuses, sectaires et ethniques pour en faire des peuplades amorphes et obéissantes. La Palestine étant la question nodale qui unie, il fallait donc anéantir toute forme de résistance à son sujet.

Il faut comprendre la visite, autorisée par Israël, du cheikh qatari plus comme une tentative alléchante de corrompre la résistance armée, en espèce et en nature, pour l’emmener à abandonner le combat de leurs ascendants qu’un acte de bienfaisance visant à soutenir une cause et à rebâtir une ville martyre. N’est-il pas bizarre que ce soit au lendemain de cette visite qu’Israël assassine un important responsable de la résistance, « récalcitrant » ?

La leçon est que rien ne vaut la lutte armée contre un colonisateur en comptant sur ses propres forces, unies, avec les aides d’amis sûrs. C’est pénible, coûteux, long, mais l’issue est certaine. Les exemples dans le monde ne manquent pas. Il reste, cependant, ces deux pétromonarchies perfides qui constituent l’obstacle majeur des arabo-musulmans qu’il faudra, par tous les moyens réduire, car ne cessant pas d’affaiblir la large coalition anti-sioniste en la simplifiant à une coalition « sunnite » inopérante pour enterrer, définitivement, la lutte d’un peuple pour un État viable.

Des palestiniens, victimes permanentes des exactions d’un « Israël » — englué dans les contradictions d’une idéologie colonialiste et fasciste — avec la bénédiction de l’Occident et de certains états arabes sans que l’on reconnaisse leur droit à se défendre, les voilà défier par eux-mêmes et par les armes leur bourreau en mettant à nu, irrémédiablement, sa vulnérabilité. Pour le faire, ils n’avaient pas eu besoin de l’aval de la « Ligue arabe » ou de son soutien. Ils avaient compté sur leurs propres forces soutenues par leurs amis… non arabes. Il ne reste donc aux Arabes, encore fidèles, aux musulmans sensés et aux pays épris de paix et de liberté qu’à accabler ces scélérats pour les neutraliser, à jamais, avec leur funeste idéologie.

Il faut croire que le sionisme est arrivé au point nodal de son évolution historique dont il est impératif d’exploiter la situation pour en faire un moment de rupture. Le monde est assez convaincu qu’il est face à un gouvernement israélien hypocrite, paranoïaque et usurpateur que pilotent des bandits sans origines et sans vertus, sous tutelle de lobbies influents dotés de moyens redoutables et immoraux.

L’offensive doit être engagée, à notre avis, sur trois directions : économique, politique, médiatique.

• Lier les intérêts économiques des Américano-sionistes et de certains pays européens au règlement définitif et juste du problème palestinien. Lier toute adversité par des conséquences économiques. L’arme la plus décisive est celle du pétrole/gaz qui a donné ses preuves par le passé.

• L’action politique doit passer par la refondation des institutions arabes, les regroupements régionaux d’intérêts communs en intégrant sans attendre l’Iran, l’offensive diplomatique doit viser la réorganisation des instances et organisations internationales qui se caractérisent par leur partialité tout en améliorer les politiques intérieures afin d’enlever tout prétexte sur la question des droits de l’homme.

• L’action médiatique et fondamentale pour contrer leur propagande. Elle doit se faire en anglais, espagnol, français et viser à démystifier le sionisme en dévoilant son vrai visage, c’est-à — dire une idéologie coloniale inhumaine qui ne survie que par l’agression et le mensonge. Elle doit toucher les opinions occidentales qui influent sur les décisions politiques.

Toute chose a ses limites. Les limites de l’adversité et du chantage des États sont leurs intérêts qui peuvent être compromis par les excès de celui qu’ils sont censés protéger.

La Palestine vient d’être admise à l’ONU, comme État observateur non membre, avec 138 voix pour, 9 voix contre et 41 abstentions (dont 4 pays africains). Une autre victoire d’importance. Un cauchemar pour les sionistes d’Israël et d’Amérique. Quelques jours avant, il était inimaginable que des missiles palestiniens s’abattent aux portes de Tel-Aviv, montrant que désormais aucune ville ne sera à l’abri en cas d’agression. La Syrie, le Hezbollah et l’Iran (ainsi que d’autres) restent, en le réaffirmant à toutes les occasions, leurs soutiens puissants et inconditionnels. Les États du golfe, surtout les pétromonarchies saoudiennes et du Qatar restent les seuls États à l’origine du malheur arabe, par leur félonie, qui empêche toute évolution et émancipation. Les délégués du Qatar et de l’Arabie Saoudite qui ont montré leur « indignation » devant les crimes de l’armée israélienne lors de la dernière réunion des ministres des Affaires étrangères de la « Ligue arabe » est de la pure comédie. C’est lors de la réunion du 13 novembre 2012 au Caire que le Ministre des AE Tunisien, et non moins gendre de Ghannouchi, réplique à son homologue algérien ainsi — alors qu’il s’adressait au Ministre Qatari auquel il demandait des « solutions concrètes dans le soutien à Gaza » — comme un ignorant et un « brosseur » : « En cinquante ans, qu’a-t-elle donc fait l’Algérie pour la cause palestinienne ? ». Mal lui en a pris, il a reçu la foudroyante réponse suivante : « À ceux qui s’interrogent où était l’Algérie, je répondrai que nous n’avions pas à renvoyer un ambassadeur sioniste qui ne rêve même pas de mettre les pieds chez nous. Devons-nous par exemple cesser d’exporter notre gaz à l’État sioniste ? Devons-nous expulser les bases américaines et celles de l’OTAN de nos territoires dont nous avons juré qu’ils n’y mettront jamais les pieds ? Dites-nous ce que nous devons faire, partir au djihad contre Israël ? C’est ce qu’il y a de plus facile pour un algérien libre, mais garantissez nous votre non-trahison, assurez nous que vous ne nous poignarderiez pas dans le dos comme à chaque fois… garantissez nous l’ouverture de vos frontières et nous… Nous avons été éduqués dans la haine du sionisme et vous avez été éduqué dans la trahison ».

La levée complète du blocus sur Gaza est une exigence non négociable et indiscutable ! qu’est-ce que c’est ce monde qui ferme les yeux sur une immoralité et une illégalité imposée par un ramassis des voyous, colonialistes, sans origines et mercenaires, sur un peuple chez lui, qui ne fait que défendre sa terre et sa dignité ? Sinon, il faut dissoudre toutes ces institutions dites « internationales » en se retirant au plus vite, car complice d’une idéologie qui sème le désordre et la désolation là où elle s’y introduit !

Il appartient, impérativement, au Monde de l’équité et de la liberté de riposter pour extirper, sans appréhensions, cet « abcès purulent », de la planète, que condamnent la raison et l’histoire. Ils l’avaient fait pour les systèmes et idéologies qui visent la domination et l’avilissement de l’homme, pourquoi pas pour le sionisme qu’il faut en urgence mettre au rebut de l’Histoire !

Djerrad Amar




Une piqûre dans l’obscurité

[Source : cv19.fr]






Un « Gouverne Aimant » pour la France

[Source : Philippe Argillier le RDH / le HRU]

https://youtu.be/YZGJjJfkfiI

[Voir aussi :
Révélations de Philippe Argillier auprés de Christian Tal Schaller
et
Le gouvernement mondial de l’ombre]




Pourquoi Big Pharma ne veut surtout pas reconnaître que l’ARN Messager est une thérapie génique

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Big Pharma a une angoisse : celle de voir le grand public admettre l’idée (pourtant difficile à contester) que l’ARN Messager et les vaccins qui utilisent sa technologie sont une thérapie génique. Ce débat en apparence purement technique pour le grand public revêt en réalité une importance capitale, car la thérapie génique est productrice de cancers, surtout chez les enfants. Le « monsieur Vaccin » du gouvernement, Alain Fischer, le sait très bien, puisqu’il est l’un des pionniers de la thérapie génique sur les bébé-bulles, arrêtée deux fois en urgence à cause de la mortalité par cancer qu’elle causait chez les enfants. Mais ce point crucial n’apparaît pas dans sa biographie Wikipédia…

https://twitter.com/Medic4allHuman/status/1457787822899822601?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1457787822899822601%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Flecourrierdesstrateges.fr%2F2021%2F11%2F12%2Fpourquoi-big-pharma-ne-veut-surtout-pas-reconnaitre-que-larn-messager-est-une-therapie-genique%2F

L’ARN Messager est-il une thérapie génique ? Cette affirmation angoisse beaucoup Big Pharma (et quelques autres), alors qu’elle est pourtant confirmée par des sites scientifiques. Mais pourquoi la combattre ? Il faut ici rappeler une série d’événements qui se sont succédé depuis les années 90 pour comprendre l’angoisse des laboratoires. 

Big Pharma se bat pour distinguer ARN Messager et thérapies géniques

Il faut lire les articles de presse insistant sur le caractère complotiste de l’affirmation selon laquelle l’ARN Messager ferait partie des thérapies géniques pour combattre l’importance de cette question technique en apparence secondaire. Ainsi, alors qu’un cadre de Bayer a déclaré, le 8 novembre, lors d’un événement officiel filmé de l’entreprise, que le vaccin à ARN Messager était une thérapie génique, la presse subventionnée s’est mise en ordre pour expliquer qu’il s’agissait d’un “lapsus” et que, bien entendu, il n’y avait aucun lien entre les deux

Cet article récent fait suite à une longue série d’autres, véhiculés par les fact-checkers habituels (dont le site de la RTBF). Pour tout ce petit monde :

Ces affirmations sont fausses ou infondées et ont déjà été vérifiées par l’AFP à plusieurs reprises.

Alors si l’AFP le dit, l’ARN Messager ne doit pas être une thérapie génique… et Stefan Oehlrich, dirigeant de Bayer, a réellement commis un lapsus en affirmant le contraire à la convention de l’entreprise. 

L’ARN Messager n’est pas une thérapie génique ? Vraiment ?

La difficulté de cette opinion selon laquelle l’ARN Messager n’est pas une thérapie génique tient au fait qu’on la lit beaucoup sous la plume des fact-checkers (et l’on sait que la rubrique fact-checking est confiée aux journalistes les moins compétents), mais qu’elle est démentie par les sites scientifiques. 

Par exemple, le site de la Société Française de Thérapie Cellulaire et Génique, dont l’objectif est de “favoriser le développement d’études scientifiques, technologiques, précliniques et cliniques sur la thérapie cellulaire et génique”, dit le contraire. On y lit en effet, sur la page consacrée aux vaccins contre le COVID 19, cette phrase sans ambiguïté :

Jusqu’à présent, quatre Autorisations de Mise sur le Marché Conditionnelles ont été accordées par la Commission pour les vaccins développés par BioNTech et Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Janssen Pharmaceutica NV, en accord avec leur évaluation positive par l’EMA. Les technologies qui se cachent derrière les vaccins AstraZeneca et Janssen ne concernent pas le domaine de la thérapie génique. Ils utilisent des vecteurs adénoviraux pour transporter de l’ADN vers les cellules et générer des anticorps contre COVID-19.

Donc, dans le groupe des vaccins commercialisés, seuls les vaccins AstraZeneca et Janssen ne relèvent pas le thérapie génique. Donc, Pfizer et Moderna en relèvent. C’est en tout cas le point de vue de la société de thérapie génique, mais on veut bien croire qu’il soit moins valable, moins compétent, que l’avis du fact-checker de l’AFP.

Au passage, la page Wikipedia consacrée aux vecteurs viraux ne dit pas autre chose : elle indique que les thérapies géniques, comme les vaccins à ARN Messager, utilisent des technologies similaires. 

La mauvaise réputation de la thérapie génique

Ce qu’il faut comprendre, c’est la raison pour laquelle les journalistes qui relaient comme des chiens fidèles les éléments de langage de Big Pharma sur le prétendu complotisme de tous ceux qui doutent, se mobilisent contre un rapprochement technologique qui n’est contesté par aucun site scientifique. Pourquoi désinforment-ils avec autant d’opiniâtreté ?

Tout le problème tient à la mauvaise réputation de la thérapie génique, et tout particulièrement aux cas de cancers déclenchés par les enfants qui l’ont reçue en traitement expérimental. Malgré toutes les campagnes de nettoyage de réputation sur Internet, il est en effet impossible d’effacer complètement de malheureuses séquences où des enfants sont morts de leucémie plusieurs mois, parfois quelques années, après avoir reçu ce traitement. 

Le Monsieur Vaccin du gouvernement au coeur des polémiques

Ce risque de réputation lié à la thérapie génique est au demeurant parfaitement connu d’Alain Fischer, le “Monsieur Vaccin” du gouvernement, puisqu’il en est l’un des principaux auteurs. Avant de représenter les intérêts d’Emmanuel Macron et de faire partie de l’équipe de Martine Aubry, le professeur Alain Fischer était en effet connu pour ses expérimentations en matière de thérapie génique sur les “bébé-bulles”, c’est-à-dire les enfants souffrant d’immunodéficience. 

Si ces expériences sont présentées comme de grands succès sur sa page Wikipedia, elles ont fait pas mal de remous à l’époque où elles étaient pratiquées. Elles ont notamment été interrompues deux fois en urgence à cause de leurs effets secondaires, consistant à favoriser l’apparition de cancers chez les enfants. 

Comme l’indiquait, en 2014, la Revue Médicale Suisse :

Après dix mois de suivi, la publication de Science faisait état du succès de la technique chez deux patients. Ce résultat remarquable fut toutefois suivi de deux échecs (sur dix tentatives) dont un décès. L’essai clinique fut alors suspendu en urgence en 2002.

(…) Parmi les neuf bébés-bulle qui ont participé au nouvel essai, cinq ont été traités en France et quatre aux Etats-Unis. Ils avaient entre 4 et 10 mois et demi, la plupart souffrant d’infections sévères. Un enfant est décédé rapidement après la thérapie. Un autre a dû recevoir une greffe de sang de cordon et il a été retiré de l’essai (il est vivant). Les sept autres enfants vont bien et ont pu surmonter leurs infections. «La thérapie génique a corrigé leur déficit immunitaire, mais pas tout à fait», a clairement expliqué le Pr Fischer au Monde. Il se refuse à user du terme de guérison. «Ce traitement est efficace sur les lymphocytes T, mais peu sur les lymphocytes B, précise-t-il. Ces enfants doivent donc recevoir des injections d’immunoglobulines toutes les quatre semaines. A part cela, leur vie est normale.»

Autrement dit, les deux essais de thérapie génique menés en dix ans par le professeur Fischer ont chaque fois conduit à des décès prématurés chez une partie des petits patients. Beaucoup de scientifiques en ont conclu que la thérapie génique appliquée aux enfants était une idée très risquée, qui pouvait produire des effets désastreux à moyen ou long terme. 

On comprend que Big Pharma n’ait guère envie de laisser s’installer l’idée que le vaccin à ARN Messager ressemble à la thérapie génique : cette banalisation de la comparaison ou du rapprochement ne pourrait que nourrir la méfiance vis-à-vis du vaccin. 

Où l’on retrouve le bon docteur Fauci

Il n’est pas sans intérêt de souligner que l’impuissance de la thérapie génique utilisée par le docteur Fischer à stimuler la production de lymphocytes B chez les enfants traités a donné l’idée, à des chercheurs américains, de corriger ce problème en utilisant des lentivirus. Cette expérimentation menée en 2018 et 2019 était conduite par… Anthony Fauci, qu’on retrouve à la manœuvre aux Etats-Unis pour faire la promotion des vaccins à ARN Messager. Comme le monde est petit !

On reprendra les propos de Fauci à l’époque :

Pour Anthony S. Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (Niaid) du NIH, « ces nouveaux résultats passionnants suggèrent que la thérapie génique pourrait être une option de traitement efficace pour les nourrissons atteints de cette maladie extrêmement grave, en particulier ceux qui ne disposent pas d’un donneur optimal pour la greffe de cellules souches. Cette avancée leur offre l’espoir de développer un système immunitaire entièrement fonctionnel et la chance de mener une vie saine et bien remplie. »

Entre Fischer et Fauci, on comprend désormais quelle communauté d’intérêts scientifiques fait la promotion d’une technique vaccinale dont aucun ne méconnaît la mauvaise réputation et les risques éventuels. Et on comprend mieux pourquoi tout ce petit monde évite de nuire à la “confiance dans le vaccin” en prenant soin d’établir une cloison artificielle entre l’ARN Messager et la thérapie génique. 




Gabriel Attal n’exclut pas de reconfiner les Français non-vaccinés

[Source : lemediaen442.fr]

Invité sur le plateau de l’émission de France 2 On est en direct le 13 novembre 2021, Gabriel Attal, n’exclut pas la possibilité d’un reconfinement pour les non-vaccinés. Face aux questions de Laurent Ruquier et Léa Salamé sur un possible confinement à l’autrichienne, qui ne concernerait que les personnes non-vaccinées, la réponse du porte-parole du gouvernement laisse planer une possible ségrégation un peu plus ciblée :

« On espère pouvoir éviter ça [NDLR: le reconfinement], on va tout faire pour ! […] L’un des enseignements que je tire en tant que porte-parole du gouvernement après dix-huit mois de crise, c’est qu’il ne faut jamais rien exclure par principe, car cette épidémie continue de surprendre le monde entier.  [L’exemple de l’Autriche] ça ressemble un peu à ce que l’on a fait avec le pass sanitaire. Il faut voir concrètement comment ça va s’organiser. »

Pourquoi se mettre à dos toute la population française quand on peut s’acharner sur les 20 % de récalcitrants ? En effet le gouvernement n’est pas aussi con qu’il en a l’air, bien au contraire. L’idée reste de contraindre — par la violence de la semi-liberté — les Français qui ne souhaitent toujours pas se faire injecter le produit Pfizer. Et confiner toute la population, c’est suicidaire, surtout avant la présidentielle. Rappelons à nos lecteurs que la vaccination n’est que la face cachée de l’identité numérique mondiale. Même si Albert Bourla se fait des couilles en or massif, c’est Bill Gates avec le projet ID2020 qui doit se finaliser. Et pour manipuler toutes les populations, il faut contraindre les récalcitrants qui emmerdent ces messieurs. Mais il ne faut pas non plus exaspérer les vaccinés, tout en gardant une certaine pression tout de même. Dans un monde qui ressemble de plus en plus à un cirque, rien d’étonnant à voir de la contorsion et des clowns en guise de politiques prêts à vendre leur propre mère pour se faire un p’tit billet.

Marcel D. pour Le Média en 4-4-2.




Pape François : « L’heure de la réinitialisation mondiale a sonné »

[Source : Aube Digitale]

Le pape François a déclaré que l’élite devait introduire une « réinitialisation mondiale » et a prévenu que le monde ne reviendrait pas à la normale après la pandémie.

Le souverain pontife a critiqué le monde d’avant la pandémie, qui, selon lui, était en proie à l’oppression capitaliste, à la corruption et à la guerre.

« La réalité que nous connaissions avant la pandémie était que la richesse et la croissance économique étaient réservées à une minorité tandis que des millions de personnes étaient incapables de répondre aux besoins les plus élémentaires et de mener une vie digne », a déclaré le pape d’extrême gauche.

« Un monde dans lequel notre Terre était pillée par une exploitation myope des ressources, par la pollution, par le consumérisme « jetable », et blessée par les guerres et les expériences avec les armes de destruction massive ».

« Le retour à la normale signifierait aussi un retour aux anciennes structures sociales inspirées par l’autosuffisance, le nationalisme, le protectionnisme, l’individualisme et l’isolement », a ajouté François.

« Et l’exclusion de nos frères et sœurs les plus pauvres ».

« Est-ce un avenir que nous pouvons choisir ? »

« Dans ce monde globalisé mais déchiré, les décisions que nous prenons aujourd’hui pour sortir de la crise déterminent la « route » des générations à venir ».

« Nous avons besoin d’une nouvelle porte de sortie » pour « en sortir mieux qu’avant ».

« L’espoir est audacieux et incite à l’action en sachant que la réalité peut être changée. »

Notre conscience nous appelle « à ne pas suivre la voie facile du retour à une « normalité » marquée par l’injustice, mais à accepter le défi d’assumer la crise comme une opportunité concrète de conversion, de transformation, pour repenser notre style de vie et notre système économique et social », a déclaré le pape François.

Breitbart rapporte : La vision du pape pour un monde nouveau commence par « un engagement collectif concret en faveur du désarmement intégral », a-t-il noté. « Les dépenses militaires mondiales ont maintenant dépassé le niveau enregistré à la fin de la « guerre froide » et augmentent systématiquement chaque année ».

Le pontife a critiqué les arguments fondés sur la dissuasion comme étant « une idée abusive » qui, dans de nombreux cas, « s’est révélée fallacieuse, entraînant de grandes tragédies humanitaires ».

« Il faut également souligner que la logique de la dissuasion a été associée à la logique du marché libéral selon laquelle les armements peuvent être considérés au même titre que tous les autres produits manufacturés et donc, comme librement commercialisables dans le monde entier », a-t-il averti. « Ce n’est donc pas une coïncidence si, pendant des années, nous avons assisté sans critique à l’expansion du marché des armes au niveau mondial ».

[Voir aussi :
La vraie vie du pape des pauvres
Le pape estime que les choses ne seront plus jamais les mêmes dans un monde post-pandémique et a, une nouvelle fois, appelé à l’établissement d’un « Nouvel Ordre Mondial »
PCB : Réponse à la conférence de presse aérienne de François entre Bratislava et Rome
Le Vatican conclut une «alliance mondiale» avec les Rothschild, la Fondation Rockefeller et les banques pour créer une Grande Réinitialisation]




Bill Gates : Les gouvernements doivent punir les utilisateurs en ligne qui s’opposent aux masques et aux vaccins

[Source : anguillesousroche.com]

Bill Gates a exhorté les gouvernements du monde entier à sanctionner les utilisateurs en ligne qui remettent en question les masques et les mandats de vaccination.

Dans une nouvelle interview de 30 minutes avec le politicien britannique Jeremy Hunt, M. Gates a évoqué la « préparation à la pandémie » et le déploiement actuel de vaccins dans le monde.

« Nous avons besoin d’une nouvelle façon de faire les vaccins », a déclaré Gates à Hunt.

M. Gates a souligné l’importance de supprimer ce qu’il a appelé les « fausses informations » concernant le coronavirus et les « vaccins » approuvés par le gouvernement qui l’accompagnent. Il a déploré la montée de ce que l’on appelle « l’hésitation du masque » et « l’hésitation du vaccin » chez ceux qui choisissent de ne pas porter le masque ou de ne pas se soumettre aux injections expérimentales.

Au lieu de s’en remettre aux médias sociaux pour réglementer « ce qui doit circuler » en ligne en ce qui concerne les discussions scientifiques sur la médecine et les vaccins COVID, M. Gates a suggéré que les gouvernements devraient « prendre les devants » pour contrôler la censure des médias en ligne, après avoir critiqué les plateformes telles que Facebook pour avoir été « un peu lentes » à enfoncer le clou.

Le magnat de la technologie a ensuite jeté l’opprobre sur les géants des médias sociaux, en se moquant de leurs motivations en matière de publication de contenu, qui sont loin d’être vertueuses, tout en préconisant que les gouvernements prennent en charge le contrôle des discussions sur Internet.

Affirmant qu’il n’est pas « réaliste » d’attendre de Big Tech qu’elle modère suffisamment ses propos, M. Gates a suggéré que « les gouvernements finiront par décider [des] supposées théories du complot sauvages : doivent-elles être vérifiées ? Doit-on ralentir leur diffusion ? Doit-on y placer des points de vue contrebalancés ? »

Après avoir exprimé une certaine insatisfaction à l’égard de la réponse mondiale à COVID-19, Gates a expliqué qu’il souhaitait désormais que les responsables politiques planifient les « futures pandémies », en s’appuyant sur les efforts concertés de 2020, en demandant aux organismes internationaux de mettre en place des programmes de surveillance médicale et de commencer à « s’entraîner » à répondre à d’éventuelles menaces biologiques à l’aide d’une série de « germ games« .

M. Gates a appelé à la création d’un « groupe de travail sur les pandémies à l’OMS [Organisation mondiale de la santé] » qui effectuerait des simulations d’attaques bioterroristes dans les aéroports, a-t-il déclaré, par exemple. « Vous dites, ok, et si un bioterroriste apportait la variole dans 10 aéroports ? Vous savez, comment le monde réagirait-il à cela ? Il existe des épidémies d’origine naturelle et des épidémies causées par le bioterrorisme qui pourraient même être bien pires que ce que nous avons connu aujourd’hui. »

Le groupe de travail nécessiterait des « dizaines de milliards » de dollars d’investissement de la part des nations du monde pour se préparer à l’éventualité d’une arme biologique fabriquée, a suggéré M. Gates.

« On pourrait donc penser qu’il s’agit d’une priorité », a-t-il déclaré, prédisant que « l’année prochaine, ces allocations [financières] devront être faites, y compris pour ce groupe de travail sur la pandémie mondiale ».

[En guise d’antidote, voir la vidéo suivante et les articles associés :
Dr Valentina Kiseleva : Le virus et autres mythes]




Vaccination de masse et logique sacrificielle

[Source : AIMSIB]

Par Hypathie A

Nous vivons un temps d’une exceptionnelle dureté pour la démocratie où même les juges, quels qu’en soient l’instance, répriment systématiquement le droit pour promouvoir l’idéologie vaccinale prétendument salvatrice. Exception notable de ce jugement du Conseil d’État en date de la semaine dernière, passé inaperçu et pourtant d’une double exceptionnelle portée (1) : Oui la myosfasciite à macrophage existe (2), et oui ses victimes doivent être indemnisées. Quinze ans pour faire reconnaître les droits d’une infirmière vaccinée par obligation professionnelle, probablement autant pour pouvoir peut être recevoir la compensation financière de celle-ci? Mais alors, si les victimes des vaccins ne peuvent ni préjuger de leurs effets secondaires possibles au moment des injections ni toucher leurs indemnisations en temps utile, comment peut-on éthiquement défendre le principe de la vaccination obligatoire ? Ce qui ce conçoit bien s’énonce clairement, et dans cet exercice, Hypatie A excelle (3)(4)(5). Voici un texte argumenté  et d’une limpidité sans faille, bonne lecture.

Introduction

Les blessés de guerre ont une place définie dans la société. Leur terrible malheur est transmuté en Honneur par la “Nation reconnaissante”. S’ils y perdent un membre ou la santé, ils gagnent une pension, une médaille, voire une statue, bref un statut. Et même une place réservée dans le métro.

“Nous sommes en guerre”

Pour ceux qui ne l’auraient pas encore compris, nous sommes en guerre. M. Macron l’a même affirmé en direct à la télé. Certes, une guerre d’un genre nouveau, mais une guerre malgré tout.

L’idéologie qui impose cette guerre est extrêmement simpliste, terriblement violente et diablement efficace. Elle tord la réalité pour nous faire croire qu’il ne peut y avoir qu’un seul et unique problème qui mérite toute notre attention, et

Ce problème ne peut être réglé que par une seule et unique solution (brevetée), véritable panacée : une “vaccination” expérimentale universelle. C’est trop simple : “il n’y a pas d’alternative”, le credo néolibéral par excellence.

Et puis, quand on y pense, la vaccination de masse n’est-elle pas intrinsèquement totalitaire ? Non seulement elle vise la soumission totale des individus et ne peut s’imposer que par coercition, terreur, propagande et autres bons pour une bière gratuite …

Mais surtout, il s’agit de l’intrusion ultime dans l’intime : la modification forcée et potentiellement irréversible de l’organisme de chaque Humain.
Et peu importe notre singularité : femme enceinte, vieux diabétique, bébé baveux ou jeune athlète, nous avons tous droit au même produit standardisé (breveté). La différence biologique est simplement niée.

Ne serait-ce pas là le commencement de la déshumanisation, et la porte ouverte aux pires atrocités ?

Alors imaginons un instant… Que se passerait-il si l’on ne produisait qu’une seule taille de chaussure afin de simplifier les chaînes de production et d’augmenter les rendements ? Beaucoup de gens auraient mal aux pieds… des « anti-chaussures » à n’en pas douter.

La logique de la standardisation génère forcément des oeufs cassés. Que faire de ces très très rares victimes de la standardisation industrielle ?

Une logique sacrificielle

Pour faire passer la pilule, on affirme que ces sacrifiés sont “acceptables” au regard du “bien commun”. De nombreux outils “scientifiques” sont là pour recenser, accompagner, dédommager les oeufs cassés : pharmacovigilance, balance bénéfice-risque, ONIAM… tout un arsenal spécialement dédié. Et on jure sur ses grands dieux que de tels oeufs sont très très rares… voire inexistants.

1. La Pharmacovigilance

Même Martin Blachier, pourtant ardent défenseur des vaccins, le reconnaît : la pharmacovigilance est incapable de déceler plus de 10% grand maximum des effets indésirables des médicaments, probablement autour des 1% dans le cas des vaccins (7)(8) . On le sait, on le dit depuis longtemps, ce système obsolète cumule les aberrations et les défauts (9).

Les vaccins en particulier bénéficient d’avantages que les Humains ont perdu depuis longtemps comme la présomption d’innocence, même s’il existe de nombreuses preuves du contraire, mais ils bénéficient aussi :
– D’une véritable “dissonance cognitive” de la part des médecins, incapables d’envisager ne serait-ce que la possibilité qu’un vaccin (n’importe lequel) puisse causer des drames.
 Par voie de conséquence : la méconnaissance par le corps médical des effets graves relevés dans la littérature scientifique par les chercheurs académiques ou les associations de victimes… voire des effets graves inscrits dans la notice, ce qui expliquerait leur incapacité à reconnaître que les pleurs inconsolables d’un nourrisson, à la suite de ses vaccins obligatoires, peuvent être le signe d’une inflammation cérébrale.
– La passivité du système de déclaration : de fait, si on refuse d’entrevoir un lien de causalité, rien n’est déclaré par le soignant. Quant aux victimes elles-mêmes, elles chercheront d’abord à se soigner. Déclarer l’effet ne vient pas spontanément à l’esprit, pour peu que le lien avec l’injection soit envisagée.
– Une extrême difficulté à déclarer un effet : obsolescence des plateformes qui peuvent saturer, difficultés d’accès, dossiers qui disparaissent… Sur ce point, le Réseau des Victimes d’Accidents Vaccinaux (REVAV) a beaucoup à nous apprendre (10).

Reconnaître les effets indésirables de tout médicament est pourtant fondamental à plus d’un titre :
– À titre médical, afin de favoriser les diagnostics et de développer des thérapies idoines
– À titre juridique, afin d’évaluer et de reconnaître les dommages, et de les indemniser.
– À titre humain, afin d’aider la victime à surmonter son traumatisme.
– À titre politique, pour évaluer le vrai coût des risques… et des campagnes de vaccination.

Ainsi, la fameuse balance bénéfice-risque est truquée à la base, reposant sur des données pourtant officiellement reconnues comme peu fiables.

Comme le dit le médecin québécois René Lavigueur dans sa lettre ouverte publiée dans le journal La Presse (censurée dès le lendemain) à propos des vaccins anti-covid : “Pourquoi ignorer (…) le risque de ces vaccins ? Si le fabricant n’est responsable de rien, s’il a pu négocier une immunité judiciaire, alors qui sera responsable des dommages bien réels de ces vaccins (11) ?”

Très bonne question.

2. L’ ONIAM

Dans le cas d’une simple recommandation vaccinale, si vous êtes victime d’un effet grave, vous l’avez dans l’os. Et bonne chance face aux laboratoires surpuissants.

Dans le cas d’une vaccination obligatoire, il existe en France un système d’indemnisation dédié, en cas d’accident vaccinal : l’Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux. Car bien évidemment, on ne va pas demander aux laboratoires de prendre la responsabilité de la sécurité de leurs produits… ce ne serait pas bon pour les affaires (12). C’est à la solidarité nationale d’assumer les “blessés de guerre”.

On privatise les bénéfices et on mutualise les pertes.

Le business plan parfait.

Étude de cas :

Mme L. était infirmière. Dans le cadre de sa profession, elle a reçu de multiples vaccinations obligatoires contenant de l’aluminium. Dès 2007, elle rencontre divers troubles neurologiques et en 2009, elle reçoit un diagnostic de Myofasciite à macrophages (MFM), un syndrome de fatigue chronique accompagné de douleurs musculaires et de troubles neurologiques, causé par une biopersistance des adjuvants aluminiques au sein des macrophages, qui migrent partout dans l’organisme via les voies lymphatiques, et peuvent même traverser la barrière hémato-encéphalique… avec leur dangereuse cargaison (13).

Ce type d’information cruciale, vous ne la trouverez dans aucun rapport officiel. Non, officiellement, les macrophages restent gentiment au site d’injection, l’adjuvant aluminique s’élimine par magie en quelques jours, les doses sont riquiquies et c’est bien connu, seule la dose fait le poison… Et puis, on en mange tous les jours, de l’alu ! Et tout le monde sait que « avalé » et « injecté », c’est kif kif en termes de pharmacodynamie (14).

Il existe pourtant à ce jour une littérature scientifique internationale de premier plan, plusieurs centaines d’études cliniques, post-mortem, in vivo et in vitro sur la toxicité des particules d’aluminium injectées lors d’une vaccination qui contredisent formellement ces croyances infondées.

Un parcours du combattant

C’est donc avec confiance que Mme L., épaulée par l’association E3M, dépose un dossier d’indemnisation en 2016 auprès de l’ONIAM. Seulement voilà, l’ONIAM rejette le dossier au prétexte que le lien entre la vaccination et la pathologie n’est pas démontré.

Pour affirmer cela, ses experts s’appuient exclusivement sur le “consensus règlementaire”, celui des agences sanitaires officielles (15) qui acceptent les données des laboratoires sans rien vérifier.

Ce consensus règlementaire est bien éloigné de l’état réel des connaissances scientifiques, celui des chercheurs qui étudient sérieusement ce sujet à l’exclusion de tout autre, et qui publient dans les plus grands journaux scientifiques, soumettant leurs travaux à la critique des pairs.

Ces chercheurs assument et signent leurs travaux, contrairement aux “experts” des laboratoires qui imposent leurs résultats de façon anonyme, sans donner accès aux données brutes classées “secret des affaires” (16).

En clair, la décision de l’ONIAM repose sur une contrefaçon intellectuelle : la confusion entre le consensus règlementaire (généralement fourni par les laboratoires, figé dans le marbre et impossible à vérifier) et le consensus scientifique (l’état des lieux réel de la connaissance, en perpétuelle évolution).

Ainsi, sur le sujet des adjuvants aluminiques, le consensus règlementaire toujours en vigueur est de considérer que les particules d’aluminium injectées lors d’une vaccination ne posent aucun problème, surtout pas chez le nourrisson en plein développement neurologique… surtout pas en lien avec l’autisme (17) .

Mais le plus amusant, c’est que pour affirmer cela, les agences s’appuient sur une rhétorique totalement anti-scientifique, pour ne pas dire magico-religieuse.

En effet, tout l’argumentaire règlementaire des agences ne repose que sur une seule et unique étude in vivo (18)…  portant sur 4 lapins étudiés pendant un mois… et qui observe systématiquement une pénétration cérébrale des particules neurotoxiques.

Ne serait-ce pas là un premier indice, conforté par de nombreuses études récentes (19) de “plausibilité biologique” pour de potentiels troubles neurologiques ? Pas pour les agences sanitaires.

Mme L. ne lâche pas. S’en suit des années de procédures, véritable calvaire pour des personnes épuisées physiquement, mentalement, financièrement : le Tribunal administratif de Caen condamne l’ONIAM, qui fait appel. Report du dossier en cour administrative d’appel de Nantes qui annule le jugement. Déjà 6 ans de procédures, et rien n’est encore gagné. Tout est fait pour décourager les victimes : allongement et coûts des procédures, refus des experts d’étudier la littérature scientifique, confiance quasi religieuse dans les leaders d’opinion et les agences sanitaires, question des délais de survenue des effets indésirables, question d’imputabilité… Sans les associations de victimes, l’implication de juristes spécialisés et une bonne dose de chance, c’est peine perdue.

3. Le Conseil d’État

Dernier espoir : le Conseil d’Etat.

Saisi en 2019, l’institution vient de rendre son verdict, estimant que la cour administrative d’appel avait commis une erreur de droit, et que « pour écarter toute responsabilité de la puissance publique, il appartenait à la cour, non pas de rechercher si le lien de causalité entre l’administration d’adjuvants aluminiques et les différents symptômes attribués à la myofasciite à macrophages était ou non établi, mais de s’assurer, au vu du dernier état des connaissances scientifiques en débat devant elle, qu’il n’y avait aucune probabilité qu’un tel lien existe.” (20)(21)

Depuis 2012, le Conseil d’État a rendu 12 arrêts en faveur des victimes de MFM. En clair, l’arrêt de la cour administrative d’appel de Nantes est annulé : Mme L. devrait être indemnisée… Un jour… Car l’ONIAM ne semble pas être un organisme favorable aux victimes d’accidents médicaux. Bien au contraire, il semblerait que la gestion de cet argent public sente le souffre : prise illégale d’intérêts, abus de confiance, malversations, impayés envers des victimes dont le dossier a pourtant été accepté (22)… Un scandale qui perdure. (23)

Maître François Jégu, chargé de l’affaire de Mme L., souligne que « la jurisprudence est en cours d’édification » dans le but également de faire progresser l’indemnisation des vaccinations non obligatoires qui se fait par voie contentieuse, face à des acteurs d’une extrême puissance.

L’ONIAM ne peut plus se retrancher derrière l’avis (obsolète) des agences sanitaires pour écarter toute demande.

Il paraît raisonnable de considérer qu’un « faisceau de preuves concordantes » devrait suffire pour accorder une indemnisation, et qu’il ne s’agit pas ici d’un tribunal pénal où les preuves formelles d’imputabilité, impossibles à obtenir pour ce type de produit, seraient exigées.

Ce n’est pas comme si les laboratoires étaient condamnables, de toute façon. (24)

Pourquoi de tels dysfonctionnements ?

On voit clairement qu’un organisme comme l’ONIAM est conçu pour protéger les laboratoires et les décisions politiques, le système en place.

Après tout, reconnaître les victimes vaccinales, c’est reconnaître les défauts des politiques de santé publique. C’est poser la question de la responsabilité politique (que l’idéologie néolibérale a totalement dissoute), la question des compromissions d’intérêts des leaders d’opinion, de l’indépendance des agences sanitaires, du pouvoir pharamineux qu’exercent les laboratoires sur le monde de la santé (entre autres).

Du coût réel de ces mesures, en termes de vies gâchées, en termes de dépenses engagées.

Alors que faire ?

Lors d’un colloque portant sur le droit des victimes d’un effet indésirable de médicament (25), l’universitaire Laurent Bloch fait des recommandations concrètes :

– La pharmacovigilance devrait être indépendante des structures étatiques, organisée par un groupe de citoyens et d’associations.
– Les comités d’experts doivent être totalement indépendants de l’industrie. Ils doivent exercer dans leur champ précis de compétences et s’exprimer exclusivement sur l’objet de leurs recherches.
– Le fonds d’indemnisation prévu devrait être financé par les laboratoires : l’ONIAM serait uniquement chargée de distribuer ce fonds. Le contrôle de la gestion de ce fonds devrait être renforcé.
– Le doute devrait bénéficier aux patients : la charge de la preuve doit porter sur les laboratoires et le produit doit être « présumé coupable » jusqu’à preuve du contraire.
– En clair il faut revoir toute la législation…

Sans ces réformes, les victimes sont condamnées à subir cette violence institutionnelle et à gérer, en plus de leurs soucis de santé, un poids moral et financier épuisant.

Le cas des vaccins anti-covid

En France, c’est également l’ONIAM qui prend en charge les accidents liés aux vaccinations anti-covid, au titre des articles L3131-0 à L3131-4 du Code de la Santé Publique. Au vu des difficultés rencontrées par les victimes des vaccins obligatoires, il y a de quoi être très inquiet.

Au moins 21 demandes d’indemnisation ont été déposées à l’ONIAM concernant des dommages liés aux vaccins anti-covid (26). Sur ces 21 dossiers, 2 ont été rejetés, 4 font l’objet d’une mission d’expertise médicale et 15 sont en cours d’instruction… Il est précisé que l’ONIAM dispose d’un délai de 6 mois pour se prononcer sur chaque dossier…

L’exemple des victimes de la vaccination H1N1 de 2009, souffrant notamment de narcolepsie, un trouble extrêmement handicapant, n’augure rien de bon.

Après 11 années, sur les 173 demandes déposées à l’ONIAM (l’avocat d’une victime affirme à lui seul détenir plus de 250 dossiers…) 57 seulement ont, à ce jour, reçu une indemnisation.

55 victimes ont été forcée de saisir la justice pour faire avancer leur dossier (27). Un véritable calvaire pour des victimes épuisées. L’ONIAM n’est-il pas censé simplifier et accélérer les procédures « amiables, rapides et gratuites » précise le site internet de l’établissement (28).

Au lieu de ça, on nage dans l’arbitraire le plus total : l’ONIAM décrète quelle marque de vaccin il indemnise ou pas, ce qui est imputable ou non au vaccin (on rappelle qu’il est le payeur). Il choisit les délais d’apparition des effets indésirables les plus courts possibles… et les montants versés sont systématiquement revus à la baisse, à l’encontre des préconisations de ses propres experts… Quand les victimes reçoivent effectivement leur indemnisation…

Conclusion

Bien sûr, on pourrait tiquer sur le fait que les vaccins, et notamment les vaccins anti-covid, ont été financés avec l’argent public (29) en termes de recherche et de pré-achat : les profits et les brevets, eux, restent bien privés. C’est encore l’argent public qui servira à indemniser les victimes.

Pile on perd, face ils gagnent.

Les victimes des effets secondaires des vaccins sont livrées à eux-mêmes et devront, in fine, supporter seules la charge d’effets parfois très graves pour leur santé et leur vie. Elles devront supporter seules les longues procédures d’indemnisation et l’impact psychologique et financier que tout cela génère. Devant autant de dysfonctionnements, il paraît absolument évident qu’aucune obligation vaccinale ne devrait être imposée à la population, de quelque façon que ce soit, et que chacun devrait pouvoir estimer sa propre balance bénéfice-risque, de façon éclairée et posée, pour ne pas avoir à dire « si seulement j’avais su… »

Hypatie A
Octobre 2021

Notes et sources

(1) https://jegu-associes.fr/2021/10/22/conseil-detat-arret-du-29-septembre-2021-consecration-de-la-relation-de-causalite-juridique-entre-la-myofasciite-a-macrophages-et-la-vaccination-aluminique/
(2) https://www.aimsib.org/2019/08/23/professeur-romain-gherardi-et-laluminium-vaccinal-quand-la-science-avance-a-pas-de-geants/
(3) https://www.aimsib.org/2019/07/29/aluminium-vaccinal-larticle-qui-tue-a-suivre-deux-heures-de-videos-gratuites/
(4) https://www.aimsib.org/2021/02/28/adjuvants-aluminiques-bravo-a-ceux-qui-savent-changer-davis/
(5) https://www.aimsib.org/2021/03/07/autopsie-assassinat-scientifique/
(6) Pour la blague : https://www.thecut.com/2021/06/the-most-wild-vaccine-incentives-that-states-are-offering.html
(7) http://www.pharmacovigilance-tours.fr/tl_files/Documents/Publications/2011/Pharmacovigilance%20des%20vaccins.%20E.%20Autre-teca%20et%20al.%20Revue%20du%20Praticien%20Med%20Gen%202011%2025%20869%20715-8.pdf
(8) https://digital.ahrq.gov/sites/default/files/docs/publication/r18hs017045-lazarus-final-report-2011.pdf
(9) https://www.aimsib.org/2021/09/25/pharmacovigilance-des-vaccins-anti-covid/
(10) https://www.facebook.com/reseauvictimesdaccidentsvaccinaux/photos/pcb.2993640594210404/2993640200877110
(11) https://web.archive.org/web/20211026114028/https://plus.lapresse.ca/screens/2cea04f9-8c82-4c75-8178-8377e51a966f__7C___0.html
(12) Pour en savoir plus : https://alutotal.wordpress.com/2020/02/21/pourquoi-de-laluminium-dans-les-vaccins/
(13) Gherardi RK et al. Myalgia and chronic fatigue syndrome following immunization: macrophagic myofasciitis and animal studies support linkage to aluminum adjuvant persistency and diffusion in the immune system. Autoimmun Rev 2019;18:691-705
(14) https://www.youtube.com/watch?v=tGdkUB8HTM8
(15) http://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2013/10/adjuvants-vaccinaux-rapport-ANM1.pdf
https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/hcspr20130711_aluminiumetvaccins.pdf
http://www.acadpharm.org/dos_public/Rapport_Adjuvants_aluminiques_VF_CORR_5.pdf
(16) Pour en savoir plus : Lobbytomie de Stéphane Horel, éditions La Découverte. Les Gardiens de la raison, Stéphane Horel, Stéphane Foucart, Sylvain Laurens, éditions La Découverte
(17) https://www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/autism-spectrum-disorders
(18) Flarend RE, Hem SL, White JL, Elmore D, Suckow MA, Rudy AC, et al. In vivo absorption of aluminium-containing vaccine adjuvants using 26Al. Vaccine. 1997 Sep;15(12–13):1314–8
(19) Bruce M, Streifel KM, Boosalis CA, et al. Acute peripheral immune activation alters cytokine expression and glial activation in the early postnatal rat brain. J Neuroinflam. 2019; 16:200.
(20) https://jegu-associes.fr/2021/10/22/conseil-detat-arret-du-29-septembre-2021-consecration-de-la-relation-de-causalite-juridique-entre-la-myofasciite-a-macrophages-et-la-vaccination-aluminique/
(21) Un seul regret : il est bien dommage que le Conseil d’Etat fasse exactement le contraire de ce qu’il préconise en se retranchant derrière l’avis (obsolète) de l’OMS dès que l’on s’attaque à la sécurité des vaccins pédiatriques à l’aluminium, obligatoires en France et injectés dès l’âge de 2 mois. Dans ce cas précis, ce n’est plus un « état des connaissances scientifiques » qui est observé, mais une simple référence aux agences sanitaires… Exactement comme l’ONIAM. Le scandale est probablement beaucoup trop gros et trop politique pour éclater.
(22) https://www.lejdd.fr/Societe/Sante/scandale-dans-la-gestion-de-largent-des-victimes-daccidents-medicaux-3509534
(23) https://www.youtube.com/watch?v=CcrjvRp9jTE
(24) Article L3131-3 du Code de la santé publique
(25) https://www.prescrire.org/Docu/Archive/docus/ColloqueVictimesBloch.pdf
https://www.prescrire.org/Fr/1/507/49888/4156/SubReportList.aspx
(26) https://www.village-justice.com/articles/vaccination-contre-covid-qui-est-responsable-cas-prejudices,39873.html
(27) https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/indemnisation-des-accidents-vaccinaux-un-scandale-francais_2146050.html
(28) https://www.oniam.fr/
(29) https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/covid-5-chiffres-fous-sur-le-financement-des-vaccins-1269170




Le seul choix qui nous reste : l’esclavage ou la liberté

[Source : Dr Mercola]

Analyse par le Dr Joseph Mercola — 31 octobre 2021

Les toilettes intelligentes utiliseront les empreintes digitales anales.

La « plandémie » et le Grand Réveil

Bref aperçu :

  • Catherine Austin [Catherine Austin Fitts] a passé des décennies à dénoncer la corruption et la fraude dans le système bancaire et gouvernemental, et la corruption et la fraude sont les éléments moteurs de la pandémie COVID.
  • Nous assistons à un transfert de milliards de dollars de passifs envers les familles pour des soins de santé, d’invalidité, de compensations salariales, de chômage et de décès parce que les injections COVID sont obligatoires tandis que les laboratoires, les médecins et les entreprises ont été affranchis de toute responsabilité.
  • À ce jour, il n’y a aucune obligation vaccinale légalement valide. Les injections sont toujours sous autorisation d’utilisation en urgence, et il n’y a pas de document officiel du gouvernement, que ce soit sous forme législative, de loi ou de règlement, qui accorde une base légale à l’obligation. L’Administration Américaine de la Sécurité au Travail et de la Santé n’a pas non plus publié de règle concernant l’obligation vaccinale par des entreprises privées.
  • Les passeports vaccinaux créent une plate-forme pour un système de transactions numériques qui documente et retrace toutes les transactions. Une fois combinés avec une monnaie numérique contrôlée par une banque centrale, ils auront la possibilité de bloquer les transactions.
  • Pour empêcher la mise en œuvre finale de ce système de contrôle planifié, nous devons être prêts et disposés à faire des sacrifices à court terme. Nous devons être prêts à dire « Non, je ne me soumettrai pas, quelles qu’en soient les conséquences », ou nous perdrons même nos libertés les plus fondamentales.

[Voir aussi :
Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait »
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
L’heure de la justice]

Habituellement, mes conversations avec des experts sur la pandémie COVID tournent autour de l’infection et de son traitement. L’interview d’aujourd’hui avec le gourou de la finance Catherine Austin Fitts s’attaquera le sujet de la COVID sous un angle différent.

Austin Fitts a passé des décennies à dénoncer la corruption et la fraude dans le système bancaire et gouvernemental, et la corruption et la fraude sont les éléments moteurs de la pandémie COVID.

« J’ai eu une carrière très réussie à Wall Street, puis je suis allée brièvement à Washington et j’ai été atterrée par la corruption hypothécaire et je suis partie », dit-elle. « J’ai créé mon propre cabinet, qui a très bien marché, et j’ai été prise dans un litige avec le gouvernement fédéral.

Cela était dû en partie à la découverte que les principaux médias étaient une entreprise criminelle. J’ai décidé pendant cette période que j’arrêterai d’essayer de discuter de quoi que ce soit avec des gens par le biais des médias. En fait, je répondrai que directement aux questions des gens. Ce processus de ne répondre que constamment aux questions des gens… s’est transformé en deux entreprises, dont l’une était une entreprise de conseils en investissements, lancée en 2007.

J’ai découvert que bon nombre des problèmes financiers et de nombreuses difficultés financières auxquels mes clients étaient confrontés étaient vraiment générés par la santé, et que nombreux d’entre eux provenaient de blessures vaccinales et d’effets indésirables des vaccins. Je ne suis plus conseillère en investissements… je de donne pas de conseil individuel en investissement.

Mais ce que j’ai découvert c’était qu’il était absolument impératif, si vous vouliez aider les clients à réussir à construire leur bien-être financier familial, d’intégrer les investissements dans la santé et le bien-être aux investissements dans les questions financières. J’avais des gens qui me disaient qu’ils mettaient des millions de dollars dans leur compte d’actions, mais qui n’avaient pas les moyens de se payer de la nourriture bio ou biodynamique.

J’ai l’air de, es-tu folle ? Donc il y avait une intégration qui devait se produire. À cause des extraordinaires dépenses liées aux blessures vaccinales et aux événements indésirables, cela m’a amenée à beaucoup m’intéresser aux vaccins. J’ai passé de nombreuses années à lire et à étudier ce qui se passait et pour quelles raisons les mensonges étaient si gros ».

Selon Austin Fitts, votre santé et vos finances personnelles ne peuvent tout simplement pas être séparées. Les deux sont vraiment comme les deux faces d’une même pièce et les personnes qui n’apprennent pas à naviguer à travers les mensonges des industries médicales et financières peuvent se retrouver en très mauvaise situation, tant du point de vue de la santé que du point de vue financier.

La fraude de l’injection

Un des crimes les plus odieux de cette pandémie est l’obligation de ces injections COVID expérimentales tout en donnant simultanément aux sociétés pharmaceutiques une immunité complète. Elles ne sont responsables de rien, peu importe combien de personnes sont blessées ou meurent. Une personne peut être forcée à prendre cette injection et souffrir d’une invalidité permanente nécessitant des millions de dollars de soins, et le patient doit en assumer les coûts, quand bien même il a été contraint.

« Au début de la pandémie COVID-19 j’ai publié un article intitulé « La Fraude de l’Injection »(([1] The Injection Fraud – It’s Not a Vaccine – Solari Report))» dit Austin Fitts, « et j’ai passé en revue tous les différents problèmes de responsabilité.

L’objectif des formulaires COVID-19 que nous avons publiés sur notre site Internet est d’essayer de ramener la responsabilité là où elle devrait être, parce que vous observez un transfert de milliards de dollars qui incombent aux familles pour des soins de santé, d’invalidité, de compensations salariales, de chômage, de décès, etc.,etc.. Le transfert des engagements financiers sur les particuliers est extraordinaire.

Ce que nous essayons de faire avec les formulaires COVID-19 c’est de donner aux personnes des formulaires qu’ils pourraient utiliser dans les négociations avec leurs employeurs et leurs écoles pour essayer de les tenir pour responsables du consentement éclairé… Ensuite il passe en revue les questions de soins de santé, les questions de handicap, les questions de compensations salariales, les questions d’assurance-vie…

Ce processus a commencé par quelque chose appelé le formulaire de déclaration de situation financière familiale. Nous avions de nombreux abonnés dont les épouses voulaient recevoir l’injection.

Il était très important pour moi de donner aux gens un formulaire qu’ils pourraient parcourir avec leur conjoint et m’assurer qu’un événement indésirable impactant le conjoint ne se traduirait pas en faillite pour la famille parce qu’il y a des mesures que les gens peuvent prendre pour protéger la famille de la catastrophe financière s’ils sont assez stupides pour aller prendre une de ces injections.

Donc cela a commencé avec le formulaire de déclaration de situation financière familiale, puis il s’est traduit en formulaire pour employé et pour l’université, et des abonnés m’ont dit qu’ils étaient en mesure de dissuader leurs employeurs d’exiger l’injection après qu’ils aient examiné ensemble le formulaire.

C’est incroyable parce que les employeurs et les universités ne font que mentir aux gens que ce soit au sujet des événements indésirables et des risques potentiels, ou de ce qu’est la loi.

Je mets au défi tout employeur qui essaie de dire qu’ils imposent ceci alors qu’ils sont encore sous autorisation d’utilisation d’urgence, de produire un document du gouvernement, qu’il s’agisse d’une disposition légale ou réglementaire, qui dit qu’ils ont une base juridique pour le faire. Pour autant que je sache, l’OSHA (Occupational Safety and Health Administration — Sécurité au Travail et Administration de la Santé) n’a rien publié à ce jour. »

Y a-t-il un chantage conspirationniste en cours ?

Alors que je pense que de nombreux employeurs et d’administrateurs d’écoles sont tout simplement ignorants et ont été victimes de la campagne de propagande la plus réussie de l’Histoire moderne, Austin Fitts soupçonne qu’ils savent exactement ce qu’ils font.

« Je ne pense pas qu’il s’agisse de propagande », dit-elle. ‘Je pense qu’ils subissent une pression terrible à la fois du gouvernement et des banques… Je pense qu’il y a dans les coulisses un chantage conspirationniste RICO (Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act — Loi fédérale conçue pour combattre le crime organisé aux États-Unis — NdT) en cours.

Je pense qu’ils le comprennent. Et je pense qu’ils sont sérieusement menacés par le système bancaire. Si vous regardez la pression la plus forte que nous voyons, elle vient des banques centrales et du côté de la finance.

Depuis un an j’ai passé beaucoup de temps avec les Médecins pour l’éthique COVID à apprendre ce que ces médecins et scientifiques savent, ce qu’il y a dans cette injection COVID et ce qu’elle fait. Il y a toute une partie des ingrédients dont nous ne savons toujours pas ce qu’ils sont.

Et, j’ose le dire, je crois que c’est relié à la raison pour laquelle les directeurs des banques centrales insistent tant. Je pense que ces gars dépendent vraiment du réseau intelligent et d’une technologie effrayante pour les aider à passer aux dernières étapes du contrôle financier, qui est, je pense, ce pour quoi ils font pression. »

Il ne reste plus qu’un seul choix : l’esclavage ou la liberté

Pour empêcher la mise en œuvre de ce système de contrôle planifié, nous devons être prêts à faire des sacrifices à court terme. Tout le monde doit être prêt à dire « Non, je ne me soumettrai pas, quelle qu’en soit la conséquence, que vous m’enleviez ma pension de retraite, que vous me licenciez, que vous me discréditiez et que je ne puisse plus jamais travailler dans ma profession ». C’est cela qu’il faudra pour garder même nos libertés les plus fondamentales.

S’ils arrivent à imposer les passeports (les pass sanitaires — NdT), je dirais que, d’un point de vue pratique, nous perdons notre capacité à arrêter les monnaies numériques des banques centrales (MNBC – NdT). Donc, quoi que nous fassions, il nous faut arrêter les pass. Les pass leur donnent le genre de contrôle dont ils ont besoin sur les transactions numériques et financières ce qui ensuite mène aux MNBC. — Catherine Austin Fitts

Comme l’a relevé Austin Fitts :

« Il s’agit d’esclavage ou de liberté. Si vous regardez ce qu’ils préparent, ce qu’ils visent, c’est une grille complète de contrôle financier et technologique. Ceci est de l’esclavage. Je veux dire, lorsque le Forum Économique Mondial dit, nous sommes en 2030 et vous n’avez pas de biens, qu’est-ce qui n’est pas clair là-dedans ? Vous n’avez pas de biens signifie que vous êtes un esclave ».

D’après les statistiques fédérales aux États-Unis, la richesse de la moitié inférieure de la population a augmenté durant la pandémie à cause de l’inflation immobilière. « Je peux vous assurer que ceci est une ruse », dit Austin Fitts. En ce qui concerne les liquidités, environ 70 à 80 % des Américains n’ont pratiquement pas de réserve d’argent liquide.

« C’est parce que ce que nous avons vu est un effort énorme pour… mettre en faillite la population et les gouvernements afin qu’il soit plus facile pour les directeurs des banques centrales de prendre le contrôle. C’est ce que j’ai écrit depuis 1998 que ceci est un coup d’État financier.

En ce moment le coup d’État financier est en train d’être consolidé, où les directeurs des banques centrales ne servent que de juridiction sur le Trésor et les recettes fiscales. Et s’ils peuvent obtenir les passeports avec la MNBC (rappel : Monnaie Numérique des Banques Centrales — NdT) alors il sera possible que les impôts soient retirés de nos comptes et que l’on prenne nos actifs.

Donc, nous sommes en présence d’un véritable coup d’État, et c’est pourquoi, si vous jetez un coup d’œil sur l’ensemble de la population, nous sommes les gars qui construisent la prison. Nous avons le pouvoir d’arrêter cela. »

Les raisons pour lesquelles nous devons rejeter les passeports vaccinaux

Je soupçonne que les MNBC sont au cœur de ce complot, et je crois fermement que les cryptomonnaies décentralisées telles que les Bitcoins sont une alternative puissante et importante pour contrer le contrôle des banques centrales sur le système financier. Austin Fitts n’est pas d’accord, soulignant que toutes les cryptomonnaies fonctionnent sur des systèmes contrôlés par le système de gouvernance existant.

« Je crois que toute technologie blockchain (une blockchain permet de stocker et d’échanger de la valeur sur Internet sans intermédiaire centralisé — NdT) dans le système de gouvernance actuel est un danger’, dit-elle. « Ayant plaidé pour le Ministère de la Justice durant 11 ans sur les questions financières et les questions d’argent, je pense qu’ils ont la capacité d’exercer un contrôle remarquable sur n’importe lequel d’entre eux… je veux dire, ils contrôlent le matériel informatique, les satellites, les câbles… et beaucoup de gens croient que les cryptomonnaies actuelles sont bien plus privées que je pense qu’elles ne le sont ».

Bien que le gouvernement ne contrôle pas les clés privées et les éléments décentralisés, ils ont toujours encore bon nombre de moyens d’accéder aux données privées de personnes ciblées. « J’ai vu plein de gens être assignés à comparaître et voir le FBI débarquer à leur porte, et c’est incroyable ce qu’ils choisissent de transmettre et de coopérer », dit Austin Fitts. En bref, la capacité du gouvernement de mettre à exécution une menace lorsqu’ils veulent quelque chose de vous est profonde, ce qui rend presque impossible toute résistance.

« Maintenant, je crois toujours que nous avons le pouvoir de renverser cela complètement, dit-elle. « Je veux néanmoins mentionner une chose, parce que la chose importante, notre point à risque, ce ne sont pas les MNBC. Il leur faudra un certain temps pour imaginer les MNBC. Notre point à risque se sont les passeports vaccinaux.

S’ils obtiennent les passeports, alors je dirais que, d’un point de vue pratique, nous perdons notre capacité à arrêter les MNBC. Donc, quoi que nous fassions, nous devons arrêter les passeports. Les passeports leur donnent le type de contrôle dont ils ont besoin sur les transactions numériques et financières ce qui conduit alors aux MNBC ».

Le passeport vaccinal est un ticket d’entrée pour l’esclavage financier

Comme l’explique Austin Fitts, les passeports vaccinaux créent une plate-forme pour un système de transactions numériques qui documente et trace toutes les transactions. Une fois combinés avec une monnaie numérique contrôlée par une banque centrale, ils auront la possibilité de bloquer les transactions.

Si le gouvernement ne veut pas que vous achetiez quoi que ce soit à plus de 8 km de votre domicile, ils ont la capacité de vous empêcher de le faire. S’ils ne veulent pas que vous achetiez des pizzas, ils ont la capacité de vous empêcher d’acheter des pizzas.

« Donc c’est l’Étape 1 pour la construction de cette grille de contrôle. Si vous allez sur solari.com et cliquez sur Cash Friday — qui est une campagne que nous menons pour inciter tout le monde à faire ses dépenses à l’aide d’argent liquide les vendredis — vous allez voir une vidéo de 56 secondes du directeur général de la Banque des Règlements Internationaux expliquant comment avec la MNBC ils auront la capacité de mettre en application toutes les règles qu’ils veulent créer sur les MNBC et votre argent.

C’est très effrayant et cela communique le contrôle qu’ils pensent qu’ils vont avoir lorsque ceci sera terminé. Mais pour obtenir ce contrôle, vous avez d’abord besoin que l’ensemble du système de passeport voie le jour. C’est en gros la grille d’information sur laquelle les MNBC peuvent ensuite se brancher…

Si vous avez un système de passeport qui est en place qui peut littéralement arrêter vos transactions financières à moins que vous n’ayez un autre rappel, imaginez, avec les MNBC, il peut arrêter toutes vos transactions. Il peut changer le montant de l’argent. Il peut retirer de l’argent de votre compte bancaire. En d’autres mots, ce n’est plus une monnaie. C’est un crédit que la société stocke et la société contrôle tout…

Les passeports sont déjà là. Nous devons arrêter cela maintenant. J’ai vu des applications de passeport qui montrent que les gens reçoivent huit rappels ou plus. Qui va s’inquiéter au sujet des MNBC si vous avez eu deux de ces injections et huit rappels ? Je veux dire, la question est : serez-vous encore en vie à ce moment-là ? Je ne sais pas ».

Que pouvez-vous faire maintenant ?

Donc, comment le citoyen moyen peut-il résister à ce plan diabolique ? Une des stratégies serait de déménager dans un État ou un pays qui a rendu illégal les obligations de détenir un passeport vaccinal. Une autre stratégie est de simplement refuser le passeport, quelles qu’en soient les conséquences.

Cela vaut également pour ceux qui ont eu une ou deux injections COVID. Pour que le passeport reste valide, vous devrez prendre des rappels. Combien êtes-vous prêt à en prendre ? Combien de fois êtes-vous prêt à risquer votre santé et votre vie ? À un moment donné il vous faudra prendre la même décision que tous ceux qui ne sont pas vaccinés — la liberté ou l’esclavage.

Ce que cela signifie c’est qu’il nous faudra également créer des systèmes alternatifs et parallèles pour tout ce dont on nous privera d’accès si nous n’avons pas de passeport vaccinal valide. Cela inclut l’éducation, la production alimentaire, toutes sortes de services, les soins de santé et l’économie.

Ces systèmes parallèles seront de toute façon cruciaux, puisqu’il semble que les programmes sociaux — Sécurité Sociale, Medicare et Medicaid — n’auront plus d’argent en 2028. Et, à mesure que ces programmes disparaissent, ils feront couler l’industrie pharmaceutique avec eux, puisqu’ils sont la première source de revenus des sociétés pharmaceutiques.

« J’ai découvert qu’il y avait toute une communauté de gens qui vivaient en VL (véhicule de loisir, véhicule aménagé avec à l’intérieur un espace de vie — NdT) tout simplement parce qu’ils ne faisaient confiance à aucune juridiction. Ils voulaient avoir la possibilité de se lever et de partir, et ce groupe est en progression constante.

Donc, mon sentiment c’est que nous devons dire non, et nous devons faire tout ce que nous pouvons faire. J’ai pris cette décision lors du litige auquel le gouvernement était partie prenante parce que j’étais absolument convaincue que si je continuais à dire non, il y avait de fortes chances que je puisse être tuée. J’ai été empoisonnée en maintes occasions, donc j’ai eu affaire à un harcèlement assez grave.

Tout ce que je peux vous dire c’est qu’avoir dit non s’est avéré être la chose la plus intelligente que je n’aie jamais faite. Je ne dis pas que ce n’est pas difficile. C’est exceptionnellement gênant. Je suis passé de personne nantie à une personne ayant à vivre des périodes de pauvreté extrême. C’était assez horrible.

Mais en même temps, vous sortez de l’autre bout et c’est une belle vie. C’est juste une belle vie que d’être libre … Je ne pense pas qu’il y ait un autre moyen de parvenir à une vie libre et inspirée que de s’y lancer. Il vous faut dire non. Et si nous ne disons pas non, nous allons être des esclaves. Franchement, je préfère être morte que de prendre ces injections. Dieu sait ce qui s’y trouve. »

Il n’y a pas de vaccination obligatoire aux États-Unis

Récemment, le président Biden a publié une directive présidentielle inconstitutionnelle selon laquelle les entreprises de 100 employés ou plus sont tenues de rendre obligatoire l’injection de tous les membres du personnel. L’amende peut s’élever jusqu’à 700 000 dollars par infraction.

De telles grosses amendes pourraient rapidement mettre en faillite toutes les entreprises hormis les plus riches si elles ne s’y conforment pas. Néanmoins, même ici, il y a le choix, parce qu’en l’état actuel des choses, il n’y a pas de règle ou de loi LÉGALE dictant des règles en matière de vaccination pour les entreprises privées.

« Ceci est un génocide », dit Austin Fitts. ‘Il n’y a pas de règle d’urgence temporaire OSHA (Occupational Safety and Health Administration — Administration de la Sécurité au Travail et de la Santé — NdT). Il n’y a pas de document. Si je suis une entreprise et que vous n’avez pas de loi, pas de règlement, pas de règlement d’urgence — vous ne pouvez pas légiférer par conférence de presse, et vous ne pouvez pas appliquer des sanctions pécuniaires à partir de rien.

Je ne sais pas sur quelle base juridique vous pouvez appliquer une sanction pécuniaire civile à une violation d’une loi non existante et d’une règle non existante. Maintenant, je ne suis pas en train de vous dire que vous ne pouvez pas trouver un juge et le menacer et l’effrayer afin qu’il adhère à cela. Mais je dois vous dire, s’il y a quelque chose qui vaut la peine d’être plaidé, c’est bien cela.

Mais voyons si une entreprise peut exister en tant que sujet politique. Si toutes les entreprises dans le Monde sont en fait captives du chantage de l’organisation SPECTRE — parce que ça tourne vraiment en James Bond — (alors), personne ne peut représenter l’actionnaire, parce qu’ils ne peuvent pas dire non au crime organisé.

Alors nous n’avons plus d’économie. Nous n’avons plus de marché boursier. Nous n’avons plus de pays. Nous n’avons plus de civilisation. Nous n’avons plus qu’une mafia, n’est-ce pas ? Tout a disparu.

Donc, pour moi, je ne peux songer à quelque chose de mieux à plaider que de savoir si oui ou non nous allons avoir une loi. Si tout n’est que la règle de la mafia, il n’y aura pas d’entreprises. Il n’y aura pas de marché boursier. Il n’y aura pas de système financier. Et bon nombre d’entre nous vont mourir.

Donc je pense qu’il va nous falloir décider si nous voulons ou non avoir un État de Droit… Je ne crois pas que le crime organisé avec toute sa force coercitive ait le pouvoir de tout saboter pendant que les gens se dressent. »

Qui est derrière tout cela ?

Quant à savoir qui est derrière cette gigantesque manipulation, c’est difficile à dire. Je pense que le plus proche que nous puissions arriver sur l’identité de ces criminels ce sont les actionnaires privés de Vanguard [Ndlr : et de Blackrock], parce que Vanguard possède la plupart des entreprises du Monde. Austin Fitts pense que ce sont les propriétaires privés des banques centrales. Elle explique :

« Vanguard appartient essentiellement à elle-même. Donc la question est qui la contrôle dans les coulisses ? J’ai un livre en ligne intitulé « Dillon Read et l’Aristocratie des Profits Boursiers ». J’ai essayé par trois fois de le publier en version papier et à chaque fois j’ai été menacée. La dernière fois ils ont menacé quelqu’un de ma famille.

Donc je l’ai laissé en ligne. (Dans ce livre), je raconte l’histoire de comment j’ai été une associée et membre du conseil d’administration de Dillon Read. À un moment donné, j’ai été surprise par leur choix du prochain président de la compagnie. (Il y avait) là (dans cette compagnie — NdT) un merveilleux associé dont le père avait dirigé la compagnie autrefois, alors je lui ai dit ‘Je suis surprise de ce choix. Ce n’est pas du tout un « gars de Nick » (Nick étant l’ancien président — NdT)

Nick Brady, le PDG de la compagnie, était allé (avait été élu — NdT) au Sénat pendant un moment, c’est pourquoi ils amenaient un autre président. Et mon associé a dit, ‘Nick ne l’a pas choisi. Les Rothschild l’ont choisi’. J’ai dit, ‘Attends une minute. Nous sommes propriétaires de l’entreprise. Qu’est-ce que les Rothschild ont à voir avec nous ? Et il m’a simplement regardée et a roulé les yeux… et est parti comme si j’étais la personne la plus stupide d’Amérique. 

Le surnom d’Austin Fitts donné par le comité qui dirige le Monde est “Mr Global”. Elle reconnaît qu’elle ne comprend pas complètement comment ça fonctionne au sommet, mais elle sait que la prise de décision est très centralisée, qu’elle est probablement gérée par le comité, et que les membres (du comité — NdT) sont tenus au secret pour une durée de 50 ans.

Depuis la Deuxième Guerre Mondiale, il y a une quantité d’argent énorme qui disparaît de manière constante à cause du système financier’, dit-elle. ‘C’est presque comme si la planète est une REIT (real estate investment trust — société d’investissement immobilière). Je n’oublierai jamais la scène du film ‘Jupiter Ascending’ où la princesse d’une galaxie lointaine regarde cette Terrienne et lui dit ‘La Terre n’est qu’une toute petite partie d’une société bien plus grande’.

En fait, si vous regardez le système financier, c’est comme ça que ça marche — comme si tout le monde était forcé à produire ce dividende et qu’il (le système financier — NdT) devient très dysfonctionnel à cause du secret.

Maintenant on m’a dit à plusieurs reprises — et j’ai tendance à le croire — que les personnes qui dirigent littéralement ce que la plupart des gens appellent l’État Profond ont essayé de comprendre comment ils pourraient augmenter la transparence et ils se heurtent à tellement de problèmes de responsabilité que tout simplement ils abandonnent.

S’il y a une solution dont nous avons tous besoin, c’est d’apporter une énorme transparence et réduire le risque avec les personnes au sommet. Parce que je pense qu’une des raisons pour lesquelles ils poussent au contrôle complet c’est… qu’ils peuvent alors gérer les choses de manière centralisée avec l’intelligence artificielle…

Le contrôle complet c’est : vous êtes sur un réseau intelligent qui est sous surveillance 24/7 (24 h/24, 7 jours/7 — NdT) et qui vous soumet à toutes sortes de propagande et de contrôle de l’esprit, et ils ont le pouvoir d’effacer votre compte si vous ne vous comportez pas bien. Ceci peut être géré par logiciel, l’IA (Intelligence Artificielle — NdT) et un réseau intelligent (grâce au passeport vaccinal et la MNBC)…

Je le décrirais comme un système d’esclavage… Ils peuvent littéralement garantir un être humain et le connecter au système bancaire, et ils peuvent arrêter toute révolution violente une fois qu’ils ont en gros numérisé et mis tout le monde sur un système de contrôle des transactions financières…

Je pense que c’est une terrible erreur. Mais je pense qu’ils… ne savent pas quoi faire d’autre. Si nous arrivons à nous sortir de cela, premièrement, nous devons simplement dire non et refuser de rentrer dans la boîte. L’autre (deuxièmement — NdT) c’est qu’il nous faut apporter de la transparence là où nous pouvons tous changer. Parce qu’il nous faut une réinitialisation. Si nous continuons comme nous le faisons, ça ne marchera pas. »

Il nous faut une réinitialisation, mais pas de ‘la grande réinitialisation’

Ils sont nombreux à avoir souligné que c’est une inéluctabilité mathématique que le système financier des banques centrales s’effondre. Vous ne pouvez pas accumuler des dettes à perpétuité. Ce n’est tout simplement qu’une question de quand. Comme l’a fait remarquer Austin Fitts, nous avons actuellement un retour sur investissement négatif.

Mais le système financier peut certainement être remanié pour un retour sur investissement positif. Néanmoins, pour faire cela, nous ne pouvons pas permettre aux sociétés de fonctionner au-dessus de lois. Elle explique :

« À l’heure actuelle, nous avons une doctrine juridique qui dit qu’aussi longtemps qu’ils peuvent se faire de l’argent, ils sont plus ou moins libres d’agir au-dessus des lois. L’économie doit être subordonnée à la société. Vous ne pouvez pas laisser votre vie économique déterminer la primauté du droit. Et donc, nous avons pratiquement donné une immunité juridique aux grandes banques internationales, et à travers elles, aux entreprises.

Le modèle d’entreprise actuel, tel qu’il existe actuellement, ne marche pas. Ce que nous observons c’est la destruction de la société afin qu’il puisse continuer à fonctionner. Franchement, vous ne pouvez pas avoir une économie ou une société en bonne santé si le secteur financier est dominant plutôt que subordonné. Le système financier devrait servir la société et la civilisation, et non l’inverse. »

Des signes d’un changement positif

Cependant, il y a des signes d’un réel changement — un changement positif. Austin Fitts fait remarquer, pour la première fois de sa vie, elle voit des personnes extrêmement talentueuses et bien éduquées qui ont toujours été réticentes à faire des vagues disant qu’elles veulent sortir (du système — NdT) ; elles préfèrent mourir plutôt que d’être réduites en esclavage par le crime organisé.

« Je me rappelle d’un scientifique et médecin vraiment formidable me disant, ‘Je suis prêt à commencer une toute nouvelle civilisation’. Il y a une vague de talents et de solennité que je n’ai jamais vue et qui dit ‘Je préfère faire partie de la nouveauté. J’en ai marre de celle-ci.

Donc je vois une formidable cassure — et non simplement un refoulement — de la part de personnes qui veulent être partie prenante de quelque chose de civilisé. Elles réalisent que la corruption a atteint un point où il est inutile d’essayer de s’entendre ou d’être au milieu de la route ou de suivre…

Le défi pour nous tous est comment pouvons-nous basculer nos économies et notre épargne retraite pour financer la création de cette nouvelle capacité ? D’une part, vous avez des étudiants qui quittent l’école et qui doivent faire l’école à la maison. D’autre part, vous avez des enseignants qui quittent l’école parce qu’ils ne veulent pas recevoir l’injection.

Nous devons créer des entreprises et des réseaux et des sites web qui nous aident à nous rencontrer. Si ce processus se déroule dans un esprit d’entreprise, il pourrait être très positif et très excitant.

C’est ce que je vois dans les nouveaux médias. Mais cela doit également se produire dans les services de santé et dans l’éducation, et il faudra que suffisamment de personnes réalisent que le Titanic est en train de couler. Il n’est pas possible de revenir en arrière. Elles pourraient tout aussi bien récupérer quelques planches et commencer à construire des arches.

Sans intégrité il n’y a pas de civilisation. Donc, si vous voulez faire partie de quelque chose qui a de l’intégrité, vous ne pouvez pas rester (dans l’ancien système). Je le répète, il n’y a pas de juste milieu… Je dis, dites oui à la science, dites oui à l’intégrité, dites oui à la loi.

La situation de chaque personne est différente, mais trouvez un moyen de traduire ce oui en quelque chose de productif. Soyez utile. C’est ce que j’ai essayé de faire. J’ai eu une vie merveilleuse en tant que banquier d’affaires, mais je me suis réveillée et je ne pouvais plus (continuer)… j’ai fait des transactions portant sur des milliards de dollars. Je ne savais pas faire un plan financier pour quelqu’un qui avait 25 000 dollars.

Donc j’ai commencé par simplement répondre aux questions des gens et ces questions ont évolué jusqu’à devenir deux entreprises, le Solari Report et le Solari Investment Advisory Services (pour cette dernière ‘Service de Conseils en Investissement — NdT). Cela a pris de nombreuses années, mais je n’ai fait qu’essayer d’être utile. Donc chacun d’entre nous doit commencer par là.

Nous devons nous demander ‘quelle compétence ai-je’ ? Quelles compétences puis-je acquérir ? Dans quelles compétences puis-je évoluer ? Et comment puis-je servir les gens autour de moi ? Que puis-je faire pour être utile ? Et nous partons de là.

Mais vous devez choisir l’intégrité et la civilisation ou choisir d’être un esclave du crime organisé. Vous devez faire ce choix. Et voulez-vous savoir ? C’est un choix dangereux. J’ai failli ne pas y arriver. Mais comme je l’ai dit à mon ancien collègue, je préfère mourir dans le désert que d’être dans des endroits souterrains avec vous les gars. »

Traduction Jean Bitterlin, le 12 novembre 2021




Une brève histoire des expériences et opérations biologiques américaines sur les populations civiles

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

« Le CDC n’est pas une agence indépendante. C’est une entreprise d’exploitations de vaccins. Le CDC détient plus de vingt brevets de vaccins. Il vend environ 4,6 milliards de dollars de vaccins chaque année. »

Robert F. Kennedy Jr.

L’opération Warp Speed ​​qui est entrée en vigueur au début de 2020, après que COVID-19 a été officiellement reconnu comme une pandémie par l’OMS, était essentiellement une opération d’exercice de guerre biologique militariste pour fabriquer des vaccins très rapidement et pour faire appel au DOD pour la distribution des vaccins aux hôpitaux et aux cliniques de santé si besoin est. Avec le recul, il s’agit d’une boule de cire qui a été moulée par des entités telles que la DARPA, la Fondation Bill et Melinda Gates et son associée GAVI, le CDC, le NIH et son porte-parole Big Pharma pour le National Institute of Allergies and Infectious Diseases (NIAID). Le Dr Anthony Fauci comme moyen non seulement de verrouiller l’ensemble de l’économie mondiale en vue d’un plan élaboré par le Forum économique mondial (WEF) pour une réinitialisation mondiale, mais aussi d’amener des milliards de personnes dans le monde à se faire injecter un vaccin expérimental et très dangereux. Même s’il s’agit clairement d’une pro vaccination, Bloomberg a révélé à quel point six grandes sociétés pharmaceutiques incroyablement rentables qui ont reçu de l’argent des coffres du gouvernement pour développer des vaccins contre le SRAS-CoV-2 ont été gratifiés dans des contrats attribués de manière opaque au sein de l’Operation Warp Speed OWS) .

Préambule

La guerre biologique, ou « guerre des germes », est « l’utilisation de toxines biologiques ou d’agents infectieux (bactéries, virus et champignons) dans l’intention de tuer ou de neutraliser des humains ». Historiquement, l’implication des États-Unis dans les armes bactériennes a été motivée par la concurrence et la paranoïa.
En 1918, vers la fin de la Première Guerre mondiale, le gouvernement a brièvement expérimenté la ricine – une protéine végétale naturelle mortelle – et le Chemical Warfare Service (CWS) a été formé pour superviser la recherche et le développement. Avec la signature du Protocole de Genève en 1925 (qui interdisait l’utilisation d’armes biologiques et chimiques dans les guerres internationales), l’intérêt du gouvernement américain s’est affaibli : jusqu’aux années 1940, les armes biologiques étaient largement considérées comme impraticables.
Peu de temps après Pearl Harbor, les États-Unis ont changé d’avis.

En 1942, le président Roosevelt a mis en œuvre le premier programme de guerre biologique ; soutenue par la National Academy of Sciences, l’initiative visait à développer des armes biologiques et à explorer la vulnérabilité des États-Unis à de telles attaques. Un organisme gouvernemental – le War Research Service (WRS) – a été créé pour superviser ces activités, et George W Merck (de la Merck Pharmaceutical Company) a été nommé à la direction. À la demande de son équipe, Fort Detrick [6], le « quartier général » de guerre biologique des États-Unis, a été construit dans la petite ville de Frederick, dans le Maryland.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement avait amassé un arsenal massif d’armes biologiques (utilisant l’anthrax et d’autres bactéries diverses) – le tout dans le « plus strict secret ». Bientôt, la justification de la poursuite de la recherche s’est déplacée vers le « besoin de défense nationale ».
Sous le commandement du professeur et bactériologiste de l’Université du Wisconsin, Ira Baldwin, un comité sur la guerre biologique a été créé en 1948. Lorsqu’un rapport ultérieur a déterminé que les États-Unis étaient « particulièrement sensibles » aux attaques, une série de « tests en plein air » a été ordonnée. . Le but de ces efforts ? Pour simuler les effets d’une attaque de guerre biologique réaliste.

Pour en savoir plus sur d’autres tests de guerre biologique aux États-Unis, reportez-vous au livre bien documenté de Leonard J. Cole, Clouds of Secrecy.

H. Genséric


Selon Bloomberg :

Au cours des six semaines suivantes, OWS a passé des contrats d’une valeur de plus de 8 milliards de dollars pour soutenir cinq vaccins supplémentaires, ceux de Johnson & Johnson, Moderna, Novavax, Pfizer et Sanofi conjointement avec Glaxo. Le gouvernement a publié à contrecœur certains des contrats – fortement censurés – au cours de l’été en réponse aux demandes du Freedom of Information Act. Slaoui(([1] Le 15 mai 2020, Moncef Slaoui est nommé par Donald Trump coordinateur de la stratégie vaccinale de son administration contre la Covid-19 (programme gouvernemental Operation « Warp Speed »). Cette mission s’achève avec l’arrivée de l’administration Biden en janvier 2021)) dit que le tapage n’est pas nécessaire : « Ce sont des contrats simples. Ils n’ont rien de spécial à part le montant d’argent, qui est lié au coût de développement des vaccins. » À la mi-octobre, le groupe de défense Public Citizen a déposé une plainte exigeant la publication des contrats des vaccins coronavirus. Fin octobre, HHS a publié un contrat Moderna, fortement censuré.

Les accords OWS ont conduit à d’énormes gains pour de nombreux dirigeants de l’industrie pharmaceutique. Les dirigeants de Moderna ont réalisé un bénéfice de 115,5 millions de dollars en vendant des actions de leur entreprise du 15 mai au 31 août, selon Accountable Pharma, un groupe de surveillance non partisan. Un porte-parole de Moderna a déclaré que les ventes d’actions avaient été effectuées dans le cadre de programmes précédemment programmés et conformément à la réglementation sur les délits d’initiés. Les dirigeants d’Emergent ont récolté 5 millions de dollars en vendant des actions au cours de la même période, et en septembre, le président exécutif de la société, Fuad El-Hibri, a vendu 80.000 actions supplémentaires pour un bénéfice net de 8,1 millions de dollars. Emergent a déclaré dans un communiqué que les dirigeants vendaient régulièrement des actions, conformément à toutes les lois régissant les transactions financières. Les actions d’Emergent ont grimpé de 78% cette année jusqu’au 23 octobre.

« C’est un buziness parfait », déclare Eli Zupnick, porte-parole d’Accountable Pharma, des sociétés OWS. « Leurs inconvénients sont couverts par les contribuables et leurs avantages sont déjà dans leurs poches. »

Maintenant que des millions d’Américains et des millions d’autres dans le monde ont pris ces « vaccins » de thérapie génique de Pfizer-BioNTech, Moderna, Astro-Zeneca et Johnson & Johnson, nous avons déjà vu des effets indésirables plus graves ainsi que des décès dus à juste la dernière année où ils ont été administrés à des personnes que nous avons vu de tous les 70 vaccins combinés des 10 années précédentes selon les propres chiffres VAERS du CDC.(([2] Le gouvernement britannique publie la 32e mise à jour sur les effets indésirables des vaccins Covid-19
–  Les vaccins ARNm Covid-19 sont les produits médicaux les plus mortels jamais fabriqués par l’Homme
–  Maux de tête, fausse couche, surdité, cécité, accident vasculaire cérébral, décès – les réactions indésirables aux vaccins ARNm Covid-19
–  HORREUR VACCINALE ! La protéine de pointe du vaccin déclenche une explosion de cancers, d’immunodéficiences, de troubles auto-immuns et un vieillissement accéléré
–  La vaccination dans la tranche d’âge de 5 à 11 ans tuera 117 enfants pour sauver UN SEUL de la mort par COVID !
–  Vax tueurs. Il y a 6 fois plus de décès chez ceux qui sont entièrement vaccinés que chez les non vaccinés
–  Une effrayante vague de surmortalité en Europe, aux Etats Unis et ce n’est pas la covid….
–  Le sang contaminé nouveau est arrivé
–  Pandémie vaccinale. Pour 10 mille vaccinés, il y a 5400 effets secondaires et 7 morts))
Et, étant donné qu’il est extrêmement long de remplir tous les documents nécessaires pour signaler ces effets indésirables et le fait qu’ils ne sont presque jamais déposés après 48 heures ainsi que le biais inhérent au système allopathique de soins médicaux en ce qui concerne les vaccins, vous pouvez être sûr que le nombre d’effets indésirables graves et de décès est bien plus élevé que ce qui est signalé (d’au moins un ordre de grandeur de dix fois, mais probablement plus proche de 100 fois(([3] Officiel. Les « vaccins » Covid-19 sont 100 fois plus mortels que TOUS les autres vaccins réunis
–  USA. Selon les statistiques officielles, les vaccins Covid-19 tuent 78 fois plus que les vaccins standards
–  HOLOCAUSTE SECRET : Des millions de victimes du vaccin disparaissent-elles dans des fosses communes ?
–  Les pseudovaccins anticovid (injections géniques) ne protègent ni les vaccinés, ni leurs contacts. Au contraire : les chiffres le démontrent)) ). Cependant, aussi fou que cela puisse paraître, il ne faut pas oublier que le gouvernement américain a une longue et tortueuse histoire d’expériences biologiques sur ses propres citoyens avec divers agents pathogènes et agents, généralement sans en informer les citoyens au préalable. Ce qui suit est une brève chronologie, bien que loin d’être exhaustive, d’une poignée de telles expériences biologiques que nous connaissons et qui ont été documentées, comme vous pouvez tout lire dans les hyperliens indiqués.

• 1763 : Dans l’un des premiers cas enregistrés de guerre biologique sur le sol américain, le capitaine Ecuyer a rencontré deux chefs indiens sous prétexte d’amitié. Il leur a ensuite donné des couvertures prises dans un hôpital où les patients étaient infectés par la variole. Au cours des mois qui ont suivi, la variole a décimé les tribus indiennes de la région de l’Ohio.

• 1918 : La pandémie de grippe, également connue sous le nom de « grippe espagnole », a été une énorme tragédie aux proportions épiques, tuant quelque quelque 50 millions de personnes dans le monde. Elle aurait été déclenchée dans le monde comme une pandémie de pneumonie bactérienne induite par un vaccin plutôt qu’une pandémie naturelle par l’Institut Rockefeller avec leurs cobayes soldats de la Première Guerre mondiale avec des vaccins contre la méningite bactérienne dérivés d’un sérum de cheval.(([4] Bis repetita. La « Grippe Espagnole » de 1918 était une pandémie mondiale provoquée par Rockefeller et l’armée américaine
Un nouveau développement historique qui a évolué depuis quelques années et qui est maintenant mis en évidence à cause du COVID-19, est la soi-disant «grippe espagnole» de 1918, il y a donc un siècle.
Des rapports et des documents récurrents émergent pour nous dire que cette «plus grande pandémie de L’histoire n’était [1] ni «espagnole», [2] ni «une grippe» et ni [3] un événement naturel mais le résultat du bricolage humain fait avec des vaccins.

Cela ne vous rappelle-t-il pas comment le virus fabriqué du COVID-19 s’est échappé des labos américains pour infecter le mode entier ??))
Cette véritable pandémie a été aggravé par les quartiers exigus de la guerre des tranchées et si l’on considère que c’était également à l’époque où le système immunitaire des gens était gravement compromis par les fréquences radio des rayonnements électromagnétiques, comme le documente l’excellent livre The Invisible Rainbow: A History of Electricity and Life (L’arc-en-ciel invisible : une histoire de l’électricité et de la vie) par Arthur Firstenberg.

• 1942 : L’armée impériale japonaise établit un camp de recherche en Nouvelle-Guinée pendant la Seconde Guerre mondiale. Tout comme ils l’avaient fait auparavant au tristement célèbre Camp 731 en Mandchourie, les soldats-scientifiques japonais ont expérimenté sur la tribu indienne Fore là-bas. La tribu a reçu une injection de la version hachée du cerveau de moutons malades contenant des prions du virus Visna, qui a causé la maladie de Creutzfelt-Jacob ou l’équivalent humain de la maladie de la « vache folle ». Après cinq ou six ans, la tribu Fore a développé ce qu’elle appelait le «kuru» où elle s’est littéralement dépérie alors que son cerveau se transformait en bouillie. Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, le Dr Ishii Shiro (le médecin généraliste en charge du développement, des tests et du déploiement de la guerre biologique au Japon) a été capturé par les États-Unis. On lui a donné à choisir. Soit être mis à mort en tant que criminel de guerre, soit venir travailler pour l’armée américaine. Sans surprise, il a choisi la deuxième solution, et dans les années qui ont suivi, il a aidé les spécialistes américains de la « guerre biologique avec des germes » à développer leur propre agent de la maladie à prion kuru de la MCJ/ESB de qualité militaire.

• 1946 : le Dr George Merck, alors qu’il était encore directeur de la recherche américaine sur la guerre biologique, admet que les États-Unis ont appris à cristalliser les toxines bactériennes. Notez que c’est le même Merck de Merck Pharmaceuticals qui allait développer de nombreux vaccins comme celui contre la polio, qui était contaminé par le SV40 (Simian Virus 40), un cancérogène humain connu.

• 1949-1969 : L’armée américaine pulvérise au moins 239 zones peuplées, d’agents de guerre biologique et de soi-disant « simulants biologiques » qui incluent, entre autres,  de l’Aspergillus fumigatus (un champignon connu pour causer la mort), du sulfure de zinc et de cadmium, du Bacillus subtilis (une bactérie qui partage des caractéristiques avec l’Anthrax) et Serratia Marcescens (qui est connu pour causer la méningite).(([5] Les États-Unis ont fabriqué la bio-arme Covid et l’ont d’abord disséminée en Chine et en Iran. Ils ont contaminé le Monde
–  Implication israélienne dans la création du COVID-19 à l’Université de Caroline du Nord (censuré / supprimé)
–   La Chine exhorte l’OMS à enquêter sur le biolab militaire américain à la recherche des origines de Covid
–  USA. Le virus Covid-19 se serait échappé du laboratoire dès juillet 2019
–  Preuve. Voici l’un des « athlètes américains » et officier du renseignement qui a introduit le COVID-19 en Chine
–  France. Quand la CIA empoisonnait au LSD les habitants de Pont Saint Esprit (Gard)
–  Covid-19: une guerre bioterroriste voulue par Fauci, l’armée US, la CIA, les chinois, la France, et les pharmaceutiques!
–  Le projet pour un nouveau siècle américain et l’ère des armes biologiques : 20 ans de terreur psychologique
–  Le Covid-19 participe de la course aux armements biologiques, visant à fabriquer et répandre des agents pathogènes mortels!))

• 1955 : La CIA pulvérise de grandes quantités d’Haemophilus Pertussis (bactérie de la coqueluche) lors d’« essais sur le terrain » le long de la côte du golfe de Floride. Les dossiers médicaux de cette époque montrent que l’incidence de la coqueluche a triplé par rapport à l’année d’avant. (Voir aussi le livre Clouds of Secrecy.: The Army’s Germ Warfare Tests Over Populated Areas de Leonard Cole)

• 1957 : L’une des premières épidémies de syndrome de fatigue chronique à Punta Gorda, en Floride, est déclenchée par des moustiques infectés par la bactérie Brucella par le Dr Guilford B. Reed de l’Université Queen’s au Canada. Les moustiques ont été élevés à Belleville, en Ontario, et relâchés à Punta Gorda, où au moins 450 personnes ont contracté la maladie pour la première fois.

• 1962 : agissant sur une directive émise en janvier 1961, l’administration Kennedy a autorisé le DOD à lancer le projet 112 avec son projet dérivé SHAD (Shipboard Hazard and Defense ; Risque et défense à bord des navires) qui a expérimenté sur les soldats et les citoyens américains des armes chimiques et bactériologiques, appelées par euphémisme « stimulants ». Au moins 13 navires de la marine américaine ont été exposés dans le cadre du seul projet SHAD à des attaques chimiques et biologiques simulées, ce qui a été nié jusqu’en mai 2000, lorsque CBS News a finalement révélé l’histoire publiquement.

• 1969 : le président Richard Nixon met théoriquement fin à la recherche et aux tests sur la guerre des germes biologiques sur les citoyens américains avec l’adoption d’un décret. Cependant, les preuves qui suivent démontreront clairement que les tests et les expérimentations se sont poursuivis.

• 1969 : le Dr Donald MacArthur, lors d’une réunion secrète à huis clos portant sur l’approbation budgétaire du budget noir du Pentagone de 1970 avec un sous-comité du Congrès, a déclaré : « Il est possible qu’avec un financement approprié, nous puissions développer dans les 5 à 10 ans un virus synthétique pour lequel il n’y a pas d’immunité naturelle connue. C’est précisément  le virus du sida a fini qui a été conçu. Il a été créé à partir d’une bactérie Brucella mutée avec un virus visna et la toxine éliminée sous forme de particule d’ADN appelée mycoplasme.

• 1971 : Le Service de santé publique des États-Unis publie un rapport détaillant ce qu’on appelle le « The Special Virus Cancer Program» créé par la CIA et le NIH pour développer un agent pathogène mortel pour lequel l’humanité n’a pas d’immunité naturelle (c’est-à-dire le syndrome d’immunodéficience acquise, le SIDA) , qui était déguisé en guerre contre le cancer mais faisait vraiment partie de MKNAOMI. (Par exemple, voir : « The Special Virus Cancer Program : Progress Report No. 8 » ainsi que le livre Dr. Mary’s Monkey d’Edward T. Haslam)

• 1974 : National Security Study Memorandum 200 intitulé « The Kissinger Report » indique que pour réduire la croissance démographique : 

“ Un certain nombre d’actions majeures dans le domaine de la création des conditions d’une baisse de la fécondité peuvent être financées à partir des ressources disponibles pour les secteurs en question (par exemple, l’éducation, l’agriculture). D’autres actions, dont les services de planification familiale, les activités de recherche et d’expérimentation sur les facteurs affectant la fécondité, relèvent des fonds de la population… ”

• 1974-1979 : Le vaccin contre la variole est administré en Afrique centrale et le vaccin contre l’hépatite B est administré à la population homosexuelle à New York et à San Francisco, et l’on assiste aux premiers cas de sida qui explosent à plein régime dans les années 1980.

• 1991 : le brevet américain n° 5 242 820 montre que Shyh-Ching Lo est « l’inventeur » du mycoplasme pathogène, qui peut provoquer des « maladies pseudo-grippales » et d’autres maladies débilitantes et mortelles comme je l’ai déjà dit.

• 1994 : Le rapport Riegle détaille comment les États-Unis ont envoyé des armes biologiques et chimiques aux irakiens tout au long des années 1980. Ces agents biologiques et chimiques comprenaient l’anthrax, le virus du Nil occidental, les gaz neurotoxiques, etc.

• 1997 : US Public Law 95-79, Title 50, Chapter 32, Section 1520 est finalement modifié. Avant sa modification, on lisait : « L’utilisation de sujets humains sera autorisée pour les tests d’agents chimiques et biologiques par le département américain de la Défense. »

• 1999 : Une infection par le virus du Nil occidental unique en son genre s’est déclarée naturellement à New York. Environ la moitié des corbeaux et de nombreuses autres espèces d’oiseaux sont morts, et il s’est apparemment propagé aux humains par les moustiques. Au 8 octobre 2002, le CDC avait signalé un total cumulé de 2 768 infections au VNO avec 146 décès enregistrés. Ce n’est qu’au milieu des années 90 que le VNO a commencé à causer un grand nombre de décès d’oiseaux, et la souche virale la plus proche du virus NY99 était celle qui a circulé en Israël de 1997 à 2000. L’une des personnalités clés pendant cette période à la tête du Bureau de la gestion des urgences était l’ancien homme de Kroll Associates lié au renseignement de sécurité sur le 11 septembre, Jerome Hauer. Après avoir dirigé pendant quelques années des pulvérisations massives et sans doute très dangereuses de pesticides qui semblaient viser non seulement les moustiques mais aussi les humains, il a tenté d’imposer d’autres expériences biologiques comme le vaccin contre la variole sous la « Emergency Health Powers Act » jusqu’à ce que la California Association of Nurses refuse de l’accepter et qu’ils soient obligés de reculer. Il est ensuite devenu vice-président de SAIC, l’un des poids lourds de l’État profond du complexe militaro-industriel. Quelques bons candidats pour la source de la souche génétiquement manipulée du VNO sont les principaux laboratoires américains de développement biologique et germinatif de Ft. Detrick [5]et Plum Island, cette dernière étant située de manière suspecte près de Long Island. Rétrospectivement, il semble probable que le VNO a été délibérément déployé pour au moins deux raisons principales : 1) En fonction d’un « exercice de préparation au bioterrorisme » utilisant un virus vivant au lieu d’un « stimulant », et 2) Pour créer « un marché d’un million de dollars » pour le vaccin contre l’encéphalite japonaise (JE) d’OraVax, ainsi que d’autres médicaments majeurs à suivre, comme le Cipro de Bayer utilisé pour l’anthrax. Fait intéressant, George W. Bush et les membres de son cabinet prenaient déjà Cipro avant que les lettres suspectes contenant de l’anthrax ne soient envoyées à NBC et à des opposants politiques clés comme le chef de la majorité au Sénat, Tom Daschle. (Voir le livre Death in the Air du Dr Leonard G. Horowitz)

• 2014 : Début décembre 2014, le Centre de surveillance épidémiologique (CVE) du ministère brésilien de la Santé a annoncé la vaccination obligatoire des femmes enceintes entre la 27e et la 36e semaine de grossesse avec le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTaP). En mai 2015, un grand nombre de bébés naissaient avec une microcéphalie où ils avaient la tête rétrécie et malformée et d’autres malformations congénitales graves. La majorité des cas se sont produits dans la région nord-est de Pernambouc, au Brésil, où la plupart des vaccins DTaP ont été distribués. En décembre 2015, le gouvernement brésilien a déclaré une urgence nationale après la naissance de 2400 bébés atteints de microcéphalie. L’OMS a ensuite imputé l’épidémie de microcéphalie au virus Zika, découvert en Ouganda en 1947 et propagé par les moustiques. Cependant, il n’y a aucune preuve que le virus Zika provoque une microcéphalie, alors que les vaccins le font parfois. Les vaccins utilisés en 2014 qui sont les principaux suspects de l’épidémie de bébés nés avec une tête mal formée en raison d’une microcéphalie étaient le Refortrix de GlaxoSmithKline (connu au Brésil sous le nom de Boostrix) et l’Adacel de Sanofi Pasteur produit en France.

En résumé, permettez-moi de citer Catherine O’Driscoll d’un article intitulé « Vaccines, Biowarfare, and Betrayal » (Vaccins, guerre biologique et trahison ) publié dans Nexus Magazine, Vol. 24, No. 3, May-June 2017:

 « Les agences gouvernementales, y compris les National Institutes of Health (NIH) des États-Unis, le National Cancer Institute (NCI), les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), le ministère de la Défense, le US Public Health Service ainsi que l’Institut Pasteur  et le Centre international de recherche sur le cancer en France, Porton Down en Angleterre, l’Institut Ivanovsky en Russie et d’autres – des scientifiques du monde entier dans des départements gouvernementaux et des sociétés pharmaceutiques – étaient (et sont toujours) en train de jouer avec les virus dans les laboratoires, épissant ensemble différents virus de différentes espèces et créant des super virus sous le couvert de soins de santé préventifs tout en délivrant de puissantes armes biologiques et en les partageant les uns avec les autres ! »

SOURCE : Algora Blog

NOTES de H. Genséric




Dr Valentina Kiseleva 🎯 Le virus et autres mythes

[Source : AKINA | Le Front médiatique]

Titulaire d’un doctorat en médecine (équivalent américain) de l’université de médecine pédiatrique de Saint-Pétersbourg, le Dr Valentina Kiseleva est un expert indépendant en matière de bioéthique et de biosécurité. Elle a notamment été le conseiller personnel du chef de la mission de Médecins sans frontières en Russie. Elle a participé à de nombreux processus législatifs touchant à la santé et possède une vaste expérience aux États-Unis, en Russie et en Europe dans le domaine du diagnostic différentiel, à savoir la détection des erreurs médicales et la recommandation de traitements appropriés. C’est ce qu’elle fait actuellement dans le cadre du covid-19.

Du mythe du virus à celui de la protéine spike, des causes réelles de la maladie attribuée à Sars-Cov-2 à une invention technologique visant à influencer notre système nerveux par des champs électromagnétiques externes de très faible intensité, des résultats les plus récents concernant des objets mystérieux observés dans les injections (nanorobots ?) au projet de les remplacer par des médicaments, cette émission jettera un nouvel éclairage sur le plus incroyable mensonge de notre histoire : une pandémie qui n’a jamais eu lieu.



🗣 Interview animé par : Dr. Urmie RAY a étudié les mathématiques à l’Université de Cambridge, où elle a obtenu une licence, puis une maîtrise, et un doctorat. Après 23 ans de carrière universitaire et avoir diriger des recherches, après plusieurs articles dans des journaux scientifiques et un livre dans le domaine de l’algèbre, elle a démissionné de son poste de professeur en France – le pays de son enfance – pour se consacrer à ses centres d’intérêts depuis toujours, des questions de fond, notamment celles liées à la science.

[Voir aussi :
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

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Transhumanisme et intelligence artificielle selon le docteur Alwest

[Source : fawkes-news.com]






GÉNOCIDE Vax : Les hôpitaux pour enfants sont maintenant inondés de patients souffrant de maladies cardiaques

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Les hôpitaux pour enfants de tout le pays (USA) se remplissent de nouveau-nés qui ont de graves problèmes cardiaques, tout cela parce que leurs mères ont été « vaccinées » contre le Covid-19.
Ainsi, à titre d’exemple, les trois Unités de soins intensifs néonatals (Neonatal Intensive Care Unit NICU) d’un hôpital sont toutes complètement remplies de nourrissons. Tous les bébés provenaient de mères complètement vaccinées, a confirmé une infirmière.

Étant donné que cela fait environ neuf mois que « Operation Warp Speed » a été lancé pour la première fois par Donald Trump, qui a ensuite passé le relais au Joe Biden, le monde commence tout juste à en voir les effets sur les bébés nés de mères qui se sont fait piquer.

« Je me demandais si cela vaudrait la peine de partager avec certains des médecins conseillers scientifiques/médicaux du Projet Unity qui pourraient avoir des contacts “à l’intérieur” des grands hôpitaux avec les unités de soins intensifs néonatals, tant qu’on pouvait leur faire confiance pour enquêter discrètement sans risquer leur crédibilité ou la nôtre en révélant l’histoire avant la confirmation », a poursuivi la source.

« Si cette rumeur pouvait être confirmée et révélée, elle pourrait potentiellement, à elle seule, renverser le cours de cette guerre. »

Les unités de soins intensifs des hôpitaux sont envahies par des patients « entièrement vaccinés »

Kirsch a demandé à tous les médecins qui ont lu son travail de commenter les affirmations de la lettre, soit pour les contester, soit pour les confirmer. Des centaines de personnes ont répondu et voici quelques-unes de leurs histoires. (EN RELATION : Kirsh a également écrit sur la façon dont 28 millions d’enfants doivent se faire piquer afin de « sauver » seulement 14 vies de « Covid ».)

Une personne a déclaré qu’il y avait eu plusieurs articles publiés ces derniers jours confirmant que les unités de soins intensifs étaient « pleines à craquer » de patients malades et mourants, dont beaucoup doivent s’asseoir dans les couloirs, car il n’y a plus de lits disponibles.

« Les chambres sont pleines de patients présentant des symptômes NON-Covid, c’est-à-dire qu’ils ne sont pas là à cause de la Covid », a ajouté cette personne. « La cause probable suspectée vient des effets secondaires du vaccin. »

« La question ici est de savoir combien de ces patients sont des nourrissons ? Les médias et la communauté médicale n’interviendront pas pour vous le dire. Cela viendra de la base d’entre nous qui en a marre qui a plus peur de ce gouvernement que du Covid. »

Un autre a écrit sur la façon dont il a été «clairement établi» que le taux d’avortements spontanés a monté en flèche depuis que les vaccins contre la grippe Fauci ont commencé à être administrés aux femmes enceintes.

« Ma belle-fille, qui n’est pas vaccinée et vient d’accoucher, s’est fait dire par son médecin de ne pas se faire vacciner pendant sa grossesse, car ses trois dernières patientes ont toutes fait une fausse couche juste après’avoir reçu un vaccin », a expliqué cette personne.

«Je pense que M. Kirsch a fourni des mises en garde notables concernant les sources jusqu’à ce qu’il soit mieux confirmé, mais quiconque suit la recherche sur un vaccin Covid n’est pas du tout surpris. Ce sera confirmé. »

Une personne a partagé une vidéo d’un croque-mort qui dit qu’il constate un nombre anormalement élevé de décès chez les nouveau-nés à cause des injections Covid.(([1] Le Directeur de pompes funèbres britannique : les bébés morts s’entassent dans les morgues.
Lors d’une interview avec Resistance GB, Wesley, qui est directeur de pompes funèbres depuis plus de trois ans, parle de son expérience tout au long de la soi-disant « pandémie » et de ce qu’il a vu dans les morgues ces derniers temps. Il dit qu’il voit actuellement un nombre incalculable de bébés morts et de nouveau-nés dans des chambres froides et qui s’entassent dans les morgues en attendant leurs funérailles.
Le nombre sans précédent de bébés auxquels lui et d’autres praticiens des pompes funèbres sont confrontés n’a d’égal que le nombre excessif de jeunes dans la trentaine et la quarantaine qui meurent depuis le lancement des injections de Covid, dit-il.
Au début de la « pandémie », les morgues ont vu une vague de décès qui, en quelques mois, s’est calmée, même si les médias ont continué à mettre en exergue les morts de Covid. Il y a eu une augmentation des suicides à l’été 2020 chez des hommes principalement plus jeunes, mais lorsque l’automne 2020 est arrivé, tout était plutôt calme.
Et puis, il a dit : « En janvier [2021], les chiffres montaient en flèche… et cela s’est aggravé depuis que les gens se faisaient vacciner. » Maintenant, il a le plus d’enterrements qu’il ait jamais vus en deux semaines, et chez les plus jeunes, il a en moyenne environ 12 « en une seule fois », alors qu’avant l’injection de Covid, il ne voyait que « quatre ou cinq funérailles, pas 12, et pas tous dans ce groupe d’âge ».
Et maintenant, dit-il, ce qu’il voit, c’est beaucoup de nouveau-nés… « un nombre très élevé, environ 30 » au lieu de 3 à 4 habituellement. En d’autres termes, environ 10 fois plus de nouveau-nés meurent qu’il n’y en avait normalement — tellement qu’ils doivent les garder dans la section des adultes, où il y a plus de place. « Évidemment, il s’agit soit de fausses couches, soit de naissances à terme, mais on n’en parle pas beaucoup », dit-il.
Pour mettre les causes des décès en perspective, il dit n’avoir eu qu’un seul décès dû au Covid cette année. Tout le reste des décès est consécutif à une myocardite, des infarctus (crise cardiaque) et certaines pneumonies. Il note également que «tout le monde» qui est décédé au début de la pandémie a été marqué comme « mort du Covid » sur son certificat de décès, mais cela ne se produit pas depuis l’introduction des injections de Covid.
Source : British Funeral Director: Dead Babies Are Piling Up in Morgues))

« Il ne sait pas combien sont avant-terme, mais cela ne fait pas vraiment de différence en ce qui concerne les décès inhabituels associés à la grossesse/à l’accouchement », a expliqué cette personne.

D’autres se sont demandé si l’e-mail reçu par Kirsch était légitime, suggérant qu’il pourrait s’agir d’un « appât empoisonné » d’une « opposition contrôlée ». Bien que cela soit certainement possible, il semble y avoir une légère augmentation des hospitalisations chez les nourrissons maintenant que les piqûres Covid sont largement administrées.

« Il ne s’agit pas seulement des nouveau-nés souffrant de problèmes cardiaques », a noté un autre à propos de la façon dont les enfants plus âgés sont également endommagés par les piqûres. « Combien de fois devons-nous voir des jeunes faire en même temps de mystérieuses crises cardiaques avant que les gens ne commencent à devenir un peu curieux ? »

Un autre a émis l’hypothèse que si les protéines de pointe du vaccin sont capables de traverser la barrière hématoencéphalique, elles ont peut-être aussi la même perméabilité par rapport au placenta.(([2] HORREUR VACCINALE ! La protéine de pointe du vaccin déclenche une explosion de cancers, d’immunodéficiences, de troubles auto-immuns et un vieillissement accéléré :
– Salk Institute CONFIRME que la protéine de pointe du Covid, présente dans TOUS LES VACCINS, provoque les thromboses ;
– Pfizer confirme que les personnes vaccinées contre le Covid peuvent « disséminer » les protéines de pointe nuisibles aux non-vaccinés ;
– ALERTE : les vaccins à ARNm « tueront la plupart des gens » par insuffisance cardiaque, 62 % des personnes vaccinées présentent des caillots sanguins microscopiques ;
– Autopsie. Chaque organe du corps d’un patient vacciné était criblé de protéines de pointe (spike) ;
– L’Australie organise un rituel de vaccination luciférienne ciblant 24 000 enfants (images choquantes) ))

« Je ne serais pas surpris si certains de ces bébés avaient une réaction désagréable », a écrit cette personne. « Quel genre de démon dirait à une femme enceinte de ne pas boire de verre de vin, mais de piquer une aiguille et d’injecter dans son corps du bio-matériau expérimental ? »

Les patients « négatifs » Covid accablent les hôpitaux, exactement comme prévu

(Natural News) Les médias grand public sont perplexes sur les hordes de patients malades et mourants qui pullulent maintenant dans les hôpitaux américains.

Selon les présentateurs TV, ces personnes n’ont pas le Covid-19, car beaucoup d’entre elles sont « complètement vaccinées », donc tout cela serait, selon eux, un insondable « mystère ». En effet, étant donné que les piqûres sont « sûres et efficaces », il n’y a aucune explication à cette dernière crise. Ce doit être juste une malheureuse coïncidence, n’est-ce pas ?

« Les urgences sont maintenant inondées de patients gravement malades — mais beaucoup n’ont même pas de Covid », a rapporté Michigan Radio.

NPR a également relayé l’histoire, prétendant qu’il n’y avait aucun lien entre ce pic soudain d’hospitalisations immédiatement après les mandats de Joe Biden imposant la piquouse Covid.

Comme nous l’avons signalé, il ne reste pratiquement plus de lits d’hôpitaux disponibles, car les unités de soins intensifs locales sont complètement inondées.

« C’est difficile à regarder », a déclaré Tiffani Dusang, directrice des soins infirmiers des urgences de l’hôpital Sparrow à Lansing, Michigan.

«Je me sens toujours très, très mal quand je marche dans le couloir et que je vois que les gens souffrent ou ont besoin de dormir ou de calme. Mais ils doivent être dans le couloir avec, comme vous pouvez le voir, 10 ou 15 personnes qui passent chaque minute. »

Ce sont évidemment les vax Covid qui rendent les gens malades

La situation est à peu près la même en Australie, où certains des pires fascismes « sanitaires » ont été imposés au peuple au nom de la « santé publique ».(([3] Covid. Folie en Australie ;
– Coronacircus. L’Australie construit des goulags sanitaires permanents pour les récalcitrants au vaxx ;
– La police australienne du « goulag Covidien » menace de gazer un prisonnier demandant sa libération après 14 jours de détention ;
– Que pouvons-nous apprendre de l’Australie et de l’Afghanistan sur l’hystérie Covid en Occident ?))

ABC Australia a rapporté que les hôpitaux à travers le pays sont «sous pression». Le même média attribue cette montée subite à la « menace Delta (variante) ».

«Les hôpitaux australiens sont déjà débordés et à la traîne, même avec le ralentissement “une fois par génération” du nombre de patients liés au Covid-19» a rapporté le média, citant un rapport des autorités médicales.

Le Premier ministre australien Mark McGowan a récemment donné une conférence de presse au cours de laquelle il a prétendu ne pas savoir pourquoi les Australiens complètement vaccinés tombent malades et meurent en nombre record.

« C’est quelque chose que personne n’a jamais vu auparavant », a déclaré McGowan. « Pourquoi ? c’est difficile à savoir, sauf qu’il existe des preuves qu’il s’agit d’une sorte de réaction retardée à » Covid « . »

« Mais il y a un grand nombre de personnes qui franchissent les portes des urgences et nous faisons tout notre possible pour essayer de gérer la situation », a-t-il ajouté. « En particulier, dans le budget, nous avons alloué 1,9 milliard de dollars supplémentaires au personnel supplémentaire — médecins, infirmières, etc. »

McGowan a en outre révélé qu’un montant supplémentaire de 3,1 milliards de dollars avait été alloué aux « nouveaux travaux d’immobilisations » — parce que la redistribution de l’argent des contribuables aux projets pour animaux de compagnie est le moyen utilisé par le gouvernement pour « guérir » des maladies mystérieuses.

La Suède, qui a rejeté la plupart de la tyrannie plandémique, mais a tout de même introduit les piqûres « Opération Warp Speed », connaît également un « mois record » d’hospitalisations.

Il semblerait que les personnes complètement injectées dans ce pays subissent la facilitation de l’infection par des anticorps (ADE)(([4] Vaccinés à mort. Une étude alarmante confirme que les vaccinés seront confrontés à des blessures et des décès catastrophiques liés à la facilitation de l’infection par des anticorps
Pendant plus d’un an, des recherches intensives menées par des experts de la santé comme le Dr Sherri Tenpenny ont mis en lumière des inquiétudes croissantes concernant la facilitation de l’infection par des anticorps (Antibody-dependent enhancement) (ADE), un phénomène où les vaccins aggravent fortement la maladie en préparant le système immunitaire à une réaction excessive potentiellement mortelle. Également appelé « réponse hyperinflammatoire » aux infections ultérieures, l’ADE est bien connu pour se produire avec des vaccins contre les coronavirus qui ont été testés dans des expérimentations animales. La grande question est de savoir si elle apparaîtra chez les 2,4 milliards de personnes qui ont maintenant été vaccinées dans le monde.)) ou un autre cocktail de complications causées par les injections.

« Il sera intéressant de voir de quoi il s’agit », a déclaré Johan Björk, chef d’une salle d’urgence à Jönköping qui est submergée de patients malades. « Des recherches seront certainement menées à ce sujet. »

« Donc, si ce n’est pas Covid et que cela semble être une épidémie, qu’est-ce qui a changé d’autre au cours, oh, disons, au cours des 12 derniers mois ? » a demandé un commentateur à Information Liberation.

« Bon sang, je vais vous donner une hypothèse : c’est généralement du plastique avec une pointe très pointue avec un produit chimique à l’intérieur. »

« La transition vers le Nouveau Désordre Mondial est presque terminée », a écrit un autre.

Les dernières nouvelles sur le nombre croissant de décès dus aux injections des bio-armes américaines peuvent être trouvées sur Genocide.news.

La maladie induite par le vaccin se propage comme une traînée de poudre et le gouvernement le nie

Il est important de noter que l’Australie-Occidentale a certaines des restrictions de coronavirus les plus strictes de tout le pays. Ses frontières sont fortement surveillées pour arrêter la propagation, et à peu près tout le monde a été vaxxé.

La Région aurait dû être une utopie sans maladie — en supposant, bien sûr, que le fascisme Virus-Fauci est vraiment basé sur la science pour aider à « aplatir la courbe ». Avec cette nouvelle épidémie « mystère », il est peut-être temps, pour les autorités, de repenser leur récit.

Selon les dernières données, près de 66 % de l’Australie-Occidentale a pris les deux ou plusieurs doses d’injection de « Operation Warp Speed ». Près de 75 pour cent de la région a pris au moins une dose.

Sur la base des normes officielles d’«immunité collective» du gouvernement, cela devrait signifier que l’Australie-Occidentale est pleinement protégée contre la maladie. Et pourtant c’est le contraire qui est vrai. (Lien connexe : Il n’y a pas de « variante delta » — aucun test clinique ne peut vous diagnostiquer avec « delta » et tout le récit est une arnaque fabriquée par les médias.)

Une maladie mystérieuse est apparue de nulle part juste après que la plupart des habitants de la région aient été forcés de recevoir une injection de produits chimiques étranges. Et vous feriez mieux de ne pas remettre en question ces injections parce qu’elles n’ont rien à voir avec ces maladies et ces décès, dit le gouvernement.

Il est évident que les piquouses sont la cause de cette nouvelle crise, mais vous aurez du mal à trouver un politicien, de droite ou de gauche, qui soit prêt à dire la vérité à ce sujet.

« Je suis infirmière depuis 25 ans et je viens d’avoir cette conversation avec mon collègue hier », a écrit un commentateur de Alex Berenson’s Substack. « Pourquoi notre hôpital est-il si plein ? Très peu de cas de Covid, pas encore de saison de la grippe, et nous sommes à bout de souffle. Je n’ai jamais travaillé aussi dur, je ne l’ai jamais vu comme ça sans fin en vue. »

Cette même personne a ajouté que « quelque chose se passe » dont il faut parler, d’autant plus qu’elle vit dans un état « bleu » vacciné à 90 %.

« Les personnes âgées arrivent confuses, tombent, se cassent les os. Un médecin m’a dit l’année dernière qu’elle voyait beaucoup de personnes âgées avec des troubles soudains juste après avoir été vaccinée. »

Par Rhoda Wilson

NOTES




COP26 : comment les élites nous préparent un « pass carbone »

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par JULIEN G.

Le Nouvel Ordre Mondial est bien là et le Prince Charles a donné, à la COP26, un aperçu des moyens que les élites utiliseront pour parvenir à leurs fins. Après les états d’urgence attentat et sanitaire, les dirigeants mondiaux ont clairement montré leur volonté de mettre en place un état d’urgence climatique. Prenant prétexte de l’urgence climatique, cette politique doit permettre, non pas un développement plus harmonieux pour tous, mais un renflouement vert du système financier spéculatif actuel et quoi de mieux qu’un pass carbone ?

1. Le prince Charles en roue libre

Lors de la COP26, le Prince Charles a tenu des propos surréalistes concernant le futur de l’humanité. Des propos, qui par ailleurs, ont été peu ou pas repris par les médias hexagonaux.

La feuille de route ne parle pas de confinement pour fin 2021, mais de pénuries et d’installation de contrôles militaires pour le programme de transition et de renoncement à la dette.

Il a expliqué, d’un ton sur et monotone, qu’il fallait mettre en place une campagne militaire qui imposera la nouvelle transition économique mondiale afin de sauver la planète en y injectant des milliers de milliards de dollars, une somme plus importante que le PIB mondial !

Il affirme que les pays sont gravement endettés et qu’ils ne pourront pas faire face aux défis climatiques.

Qui pouvait mieux annoncer cette grande réinitialisation du monde que « son Altesse » dont l’obsession climatique est bien connue de tous !

Ségolène Royal l’avait d’ailleurs fait venir chez nous, en décembre 2015, pour trôner aux côtés de Michael Bloomberg (un des mécènes de Joe Biden), Al Gore et Arnold Schwarzenegger, au sommet de la COP21 aboutissant aux fameux Accords de Paris.

Si ces dirigeants mondiaux mettaient à disposition cet argent fictif gagné via la spéculation boursière, ce n’est pas pour le bien de l’humanité, mais pour en contrôler l’avenir.

Comment imaginer un seul instant que Jeff Bezos, le patron d’Amazon, devenu milliardaire en vendant des gadgets chinois aux Américains et aux Européens en détruisant leur industrie et leur petit commerce, puisse à un moment devenir une partie de la solution au problème climatique !

Nous assistons, donc, à la mise en place du Nouvel ordre mondial, une dictature mise en place par le secteur privé mondialiste, qui veut mettre fin aux démocraties que nous connaissons en utilisant systématiquement la menace pour arriver à ses fins.

Pour rappel, du 9 au 11 novembre 2020, s’est tenue une rencontre de haut niveau, baptisée Green Horizon summit, réunissant une centaine de décideurs financiers et économiques de haut vol, tous avides d’examiner comment passer de la théorie climatique à la spéculation verte : le Great Reset de leur portefeuille au détriment de la planète.

Selon les organisateurs, le sommet avait pour but d’accélérer l’innovation financière dans le climat, en promouvant des initiatives semblables à celles des obligations vertes.

2. Et maintenant l’état d’urgence climatique

En 2015, c’était la menace terroriste, depuis 2 ans nous sommes en état d’urgence sanitaire et demain ce sera la menace climatique.

En effet, comment ne pas admettre la conformité massive et sans questionnement des peuples aux réglementations restrictives et liberticides du COVID.

L’idée de confinement climatique pourrait être facilement normalisée à la lumière du respect massif des confinements pandémiques.

Alors qu’avec la crise sanitaire, beaucoup de responsables se rendent à l’évidence que la mondialisation financière a rongé la substance productive de nos économies et fragilisé nos secteurs publics, cette « Caste » voit comme une énorme menace le retour aux recettes économiques élémentaires ayant fait leurs preuves lors de la reconstruction d’après-guerre.

Pour ces élites déconnectées, il s’agit, donc, de saisir la formidable occasion que leur offre la peur suscitée par la crise sanitaire mondiale, pour imposer une dictature climatique et de contrôler directement le portefeuille de chaque citoyen.

De faire en sorte que l’essentiel des investissements soit affecté exclusivement au fameux New Green Deal et que les citoyens se comportent comme il faut.

L’idée est donc de mettre en place une tyrannie plus intrusive en misant sur le fait que les gens peuvent être plus disposés à accepter le suivi et les limitations liées aux quotas carbone personnels pour obtenir un climat plus sûr.

3. Un pass carbone pour contrôler chaque aspect de votre vie

Si, lors de cette COP26, les gouvernements décident soudainement de bannir le CO2 de leur économie, le monde pourrait connaître un retournement brutal des valeurs d’un tiers de l’économie mondiale, soit la partie liée aux hydrocarbures (lignite, charbon, gaz, pétrole, etc.) et l’écosystème qu’elles entretiennent (exploitation minière, pétrochimie, plastique, etc.).

Mieux vaut donc prendre les devants et organiser le verdissement de la finance mondiale, afin de limiter les frais et surtout les secousses.

Pour cette finance-là, faute d’une réelle opposition de la part de gouvernants obéissant à l’intérêt général et non aux lobbies, la crise pandémique de Covid-19 a offert une fenêtre de tir pour mettre en place le type de société totalitaire et de surveillance dont elle rêve depuis longtemps.

Car s’il s’agit, officiellement, de sauver le climat et la planète, en réalité, ce n’est que l’ultime bouée de sauvetage de la bulle des « actifs verts » et un moyen efficace pour la faire gonfler.

Nos élites, présentes à Glasgow, préparent donc des quotas de carbone personnels obligatoires qui introduiraient le rationnement dans tous les domaines de votre vie et ceci via une application qui enregistrerait vos déplacements, vos dépenses de chauffage et même la nourriture que vous mangez.

D’ailleurs, cette proposition avait été présentée dans la revue scientifique Nature par quatre experts de l’environnement comme un moyen de réduire les émissions mondiales de carbone.

Le discours ambiant de cette COP26 est donc que, face aux problèmes écologiques présents et à venir, il est nécessaire de mettre dans l’esprit collectif, que chaque citoyen soit conscient d’avoir un rôle à jouer dans la lutte contre le changement climatique, en proposant l’instauration d’un compte ou pass carbone.

À l’image d’un compte en banque, ce compte carbone sera crédité de 2000 kg de carbone par français par an, suivant les accords de Paris.
Il sera demandé lors de tout achat de produits ou services de première main générant une quantité non négligeable de carbone dans son cycle de production/commercialisation de présenter son compte ou pass carbone sur lequel sera débité le montant de carbone lié à la dépense.

Il est donc envisagé que pass sanitaire se transformera en pass carbone et donc une limitation des voyages, de la nourriture, des kilomètres en voiture, etc.

Le tout au nom de la prochaine crise à venir : le changement climatique.

Aujourd’hui le pass, renouvelé à minima jusqu’en juillet 2022, offre un QR code pour le vaccin. Et demain ce sera pour votre bilan carbone.

Et le surlendemain ?

Reste à savoir si les populations mondiales vont se laisser faire et se faire esclavagiser et de la sorte par cette caste.




Argentine : Une journaliste s’emporte contre la vaccination… « Vous réalisez ce qui se passe dans le monde aujourd’hui ? Je vous le dis, Ils sont en train de tuer énormément de gens ! Beaucoup de médecins sont complices de ce chaos humain !!! »

[Source : businessbourse.com]

« Ceux qui meurent ne meurent pas seulement du Covid… Énormément de médecins sont complices et un jour, on saura tout…Et même si je perds mon emploi, je vous dis que ils nous font peur à longueur de journée… Quand il y aura une énorme réaction, la société changera… Arrêtez de les écouter, avec toutes leurs mauvaises nouvelles ! Attention à ces médias corrompus qui nous bernent, Faites gaffe par rapport à tout ce que vous écoutez ou lisez…Restez calmes et surtout n’ayez plus peur du Covid !!! »




Des médecins de soins intensifs et des scientifiques prestigieux sont menacés pour avoir sonné l’alarme sur les blessures causées par le vaccin COVID-19

[Source : MIRASTNEWS]

Par Brian Shilhavy
Rédacteur en chef, Health Impact News

Aujourd’hui, je vous apporte plus de preuves que les dirigeants des agences de santé du gouvernement américain et les sociétés pharmaceutiques produisant les «vaccins» COVID-19 sont coupables de crimes contre l’humanité, y compris de meurtres de masse.

J’ai été critiqué et censuré par beaucoup, même dans les médias alternatifs, pour avoir utilisé un langage aussi fort, souvent accusé d’utiliser le « sensationnalisme ».

Mais quand la vérité et les faits sont aussi évidents qu’ils le sont aujourd’hui, le sensationnalisme n’est pas nécessaire. Juste le courage de dire la vérité et d’exposer les criminels, c’est tout ce qui est nécessaire pour avertir le public.

Et la vérité est que de plus en plus de médecins de première ligne qui travaillent avec des patients blessés par vaccin, ainsi que des scientifiques et chercheurs médicaux très prestigieux, ont tenté de dénoncer ceux qui sont tués et blessés par ces vaccins en informant les dirigeants de la FDA, CDC, NIH, etc., et non seulement leurs voix sont ignorées, il y a un effort concerté pour les faire taire.

Ces professionnels risquent non seulement leur carrière et leurs moyens de subsistance, mais peut-être leur vie même pour avoir révélé la vérité sur les dommages causés par ces injections expérimentales de modification génétique.

Les compagnies pharmaceutiques et les organismes de réglementation fédéraux savent très bien ce qui se passe, ce qui les rend complices de ces crimes contre l’humanité et de ces meurtres de masse.

C’est la vérité, et pour mes collègues des médias alternatifs qui n’ont pas le courage de sortir et de dire cela parce que vous avez peur d’être étiquetés avec un terme péjoratif qui pourrait affecter votre financement ou votre popularité, honte à vous !  

Vous aussi, vous êtes alors complice de ces crimes car ces monstres se précipitent aussi vite qu’ils le peuvent pour injecter autant d’enfants et d’autres personnes que possible avant que la vérité ne les rattrape enfin.

Parce que cela arrivera à un moment donné. À un moment donné, le récit public changera, car il y aura tellement de morts et de paralysés à cause des injections qu’il ne pourra plus être nié, même parmi la plupart des ignorants et des idiots.  

Aujourd’hui, je publie le travail de l’avocat Aaron Siri qui représente plus de 12 médecins des unités de soins intensifs et d’autres emplois hospitaliers de première ligne qui ont essayé de parler au CDC, à la FDA et à d’autres organisations de santé de ce qu’ils voient chez leurs patients vaccinés blessés, mais sont ignorés.

L’avocat Siri a déposé 11 déclarations contre ces agences et menace de nouvelles poursuites judiciaires.

Ensuite, j’ai également publié un autre orateur de la table ronde de la semaine dernière à Washington DC par le sénateur Ron Johnson, avec le Dr Retsef Levi, un professeur israélien à la MIT Sloan School of Management qui a également essayé d’avertir les responsables de la santé en Israël et ici aux États-Unis , mais a été censuré, notamment en se voyant refuser la publication dans des revues universitaires.

11 mois maintenant après le début des campagnes de vaccination de masse contre le COVID-19, il n’y a plus d’excuse pour ceux qui permettent à ces décès et blessures de continuer. Il est temps de commencer à arrêter les gens et de convoquer des grands jurys de citoyens pour commencer à juger leurs affaires, et s’ils sont reconnus coupables, ils devraient être exécutés publiquement, le tout conformément à la loi du pays, la Constitution des États-Unis d’Amérique.

Et ces criminels appartiennent aux deux partis politiques, donc plus vite nous arrêterons d’en faire une question partisane, plus vite nous pourrons commencer à arrêter et à juger les criminels.

Un médecin de soins intensifs courageux signalant des blessures causées par le vaccin Covid-19 en entraîne une douzaine de plus

Dr. Patricia Lee.

Par Aaron Siri

AaronSsiri.substack.com

Un acte de bravoure commence à faire boule de neige. Le Dr Patricia Lee « a tout risqué » pour s’avancer, après avoir été ignorée par les responsables de la santé publique, pour révéler la grave série de dommages dont elle a été témoin des vaccins Covid-19 dans son unité de soins intensifs.

Avec ce seul acte, mon cabinet a maintenant été contacté par plus d’une douzaine d’autres médecins. Vous trouverez ci-joint 11 déclarations de médecins de tout le pays attestant de graves dommages causés par les vaccins Covid-19.

Ces médecins, comme le Dr Lee, ont contacté les autorités de santé publique du CDC, de la FDA et du NIH pendant plus de dix mois, mais leurs préoccupations ont été rejetées ou ignorées.

Ces agences répondent généralement en disant que le VAERS ne montre pas de signal de sécurité, il n’y a donc rien à craindre.

Si vous ne le savez pas déjà, le VAERS est le système qui, selon le CDC et la FDA, ne peut pas montrer qu’un vaccin provoque une blessure, mais peut néanmoins montrer qu’un vaccin est sûr. C’est-à-dire qu’ils gagnent face, que vous perdez face.

Pire encore, bon nombre de ces médecins ont eux-mêmes été blessés par un vaccin Covid-19 et, bien qu’ils soient médecins, les médecins auprès desquels ces médecins blessés ont demandé un traitement ont également généralement rejeté leurs blessures. Et ce sont des médecins qui recherchent l’aide de leurs collègues médecins !

L’histoire que racontent la plupart de ces médecins ressemble à celle de Maddie de Garay qui, bien qu’elle soit en fauteuil roulant et qu’elle ait besoin d’une sonde d’alimentation par le nez, s’est fait dire que c’était psychologique.

Ces médecins ont été, incroyablement, presque tous initialement à dire la même chose. Ce n’est qu’après avoir demandé un traitement à des médecins qu’ils connaissaient du travail ou de la faculté de médecine que beaucoup d’entre eux ont cru.

Si les médecins sont rejetés comme « inventant », imaginez à quoi doit faire face la personne moyenne sans connaissances et accès médicaux après une blessure due au vaccin Covid-19.

Les autorités de santé publique nous disent de faire confiance aux médecins. Si des personnes ont des inquiétudes au sujet du vaccin, elles disent : « parlez avec votre médecin. » Ces mêmes médecins disent maintenant aux autorités sanitaires qu’il y a un grave problème.

Ils le disent à ces autorités sanitaires depuis des mois dans une myriade de correspondances. Et les 11 déclarations jointes sont probablement un petit échantillon – après tout, la lettre du Dr Patricia Lee n’a été publiée sur cette sous-pile que lorsqu’elle n’avait que quelques centaines d’abonnés. Cela a néanmoins déclenché une boule de neige de médecins tendant la main avec des histoires similaires qui se multiplient de jour en jour.

Il ne faudrait pas que les autorités de santé publique n’écoutent les médecins que s’ils répètent leur message préféré concernant les vaccins Covid-19.

Au contraire, les médecins devraient être particulièrement écoutés lorsque leur expérience clinique s’oppose directement à ce message. Mais l’expérience de ces médecins, et des nombreux autres qui ont contacté mon cabinet, prouve que c’est exactement le contraire qui est vrai.

Ces médecins, comme la plupart des médecins, sont les derniers individus à vouloir admettre qu’un vaccin Covid-19 a été la cause des blessures de leurs patients ou de leurs propres blessures. Et ils sont les derniers à vouloir faire publiquement un tel aveu. Vraiment.

Mais la réalité ne leur offre pas ce luxe. Les blessures qu’ils rapportent sont bien trop réelles et dévastatrices. Comme détaillé dans les déclarations ci-jointes, la plupart des médecins blessés ne peuvent plus travailler ou sont sévèrement limités dans leur capacité de travailler.

La leçon encore une fois est que les droits civils et individuels ne devraient jamais être subordonnés à une procédure médicale. Jamais.

Exiger un consentement éclairé – ce qui signifie donner à chaque Américain la possibilité de donner ou de refuser son consentement sans coercition – est le dernier et dernier filet de sécurité face aux dangers qui résultent lorsque nous permettons au gouvernement de décider ce qui doit être injecté ou placé dans ou sur notre corps.

Ce n’est pas une hyperbole car l’état actuel des choses est que vous ne pouvez pas poursuivre les fabricants pour les blessures du vaccin Covid-19, ne pouvez pas voir les données sous-jacentes à l’homologation du vaccin, ne pouvez pas discuter des blessures du vaccin Covid-19 sur les réseaux sociaux, et ne pouvez pas dire non au vaccin si vous souhaitez conserver votre emploi ou fréquenter de nombreuses universités.

Quel que soit votre point de vue sur le vaccin Covid-19 lui-même, chaque Américain devrait refuser de laisser le gouvernement décider des procédures médicales dans lesquelles il doit s’engager pour participer à la société civile.

Lisez l’article complet et consultez les pièces jointes sur AaronSsiri.substack.com.

Un scientifique israélien du MIT s’oppose au récit « grand public » du vaccin COVID-19 : « Vous devez être prudent car vous pourriez être éliminé »

Le Dr Retsef Levi est professeur à la MIT Sloan School of Management. Il était l’un des conférenciers invités la semaine dernière à Washington D.C. lors de la table ronde du sénateur Ron Johnson sur les mandats des vaccins COVID-19. Nous avons publié les présentations de nombreux autres participants qui ont assisté à cette réunion organisée par le sénateur Johnson. Voir:

Des médecins et des blessés par vaccin COVID-19 témoignent à Washington D.C. de crimes contre l’humanité – CDC, FDA, NIH, Fauci ne se présentent pas

Le Dr Levi est pro-vaccin et possède une biographie impressionnante en tant que scientifique et professeur à la MIT Sloan School of Management.

Retsef Levi est le professeur J. Spencer Standish (1945) de gestion des opérations à la MIT Sloan School of Management. Il est membre du groupe de gestion des opérations du MIT Sloan et affilié au MIT Operations Research Center. Levi est également codirecteur de la faculté des leaders du MIT pour les opérations mondiales (LGO).   

Avant de venir au MIT, il a passé un an au département des sciences mathématiques de l’IBM T.J. Watson Research Center en tant que titulaire de la bourse postdoctorale Goldstine.   

Il a obtenu un baccalauréat en mathématiques de l’Université de Tel-Aviv (Israël) en 2001, et un doctorat en recherche opérationnelle de l’Université Cornell en 2005.   

Levi a passé près de 12 ans dans les Forces de défense israéliennes en tant qu’officier de l’aile du renseignement et a été désigné officier du mérite supplémentaire. Après avoir quitté l’armée, Levi a rejoint une nouvelle entreprise de haute technologie israélienne émergente en tant que consultant en développement commercial.   

Les recherches actuelles de Levi sont axées sur la conception de modèles et d’outils d’aide à la décision basés sur des données analytiques traitant des décisions complexes de conception d’entreprise et de système dans des domaines tels que la gestion de la santé et des soins de santé, la chaîne d’approvisionnement, la gestion des achats et des stocks, la gestion des revenus, l’optimisation des prix et logistique.   

Levi a dirigé plusieurs efforts de recherche collaborative basés sur l’industrie avec certains des principaux hôpitaux universitaires de la région de Boston, tels que le Mass General Hospital (MGH), le Beth Israel Deaconess Medical Center (BIDMC), le Children’s Hospital et à travers les États-Unis (par ex. , Memorial Sloan Kettering Cancer Center, NYC Presbyterian Hospital System et l’American Association of Medical Colleges).  

Levi était l’IP dans le cadre d’un contrat du MIT avec la Federal Drug Administration (FDA) pour développer une approche systématique de gestion des risques afin de traiter les risques liés aux falsifications économiques d’aliments fabriqués dans les chaînes d’approvisionnement mondiales.   

Levi a diplômé 10 étudiants au doctorat, 34 étudiants à la maîtrise et 6 boursiers postdoctoraux. Il a également reçu plusieurs prix d’enseignement prestigieux. (Biographie complète ici.)

Comme vous pouvez le voir, il a beaucoup d’expérience dans le développement de médicaments et en collaboration avec la FDA.

Et pourtant, à l’instar des médecins de première ligne qui ont maintenant envoyé des déclarations à la FDA, au CDC et au HHS, ses inquiétudes concernant les dangers des vaccins COVID-19 ont été ignorées.

Il a déclaré:

Je ne suis pas un anti-vaccin. Je ne suis pas républicain, je ne suis pas démocrate.   

Il se trouve que je suis un scientifique qui remet en question le discours actuel qui domine les politiques de santé publique dans le monde, aux États-Unis et en Israël.  

Je peux vous dire que je connais de nombreux scientifiques et professionnels de la santé traditionnels, qui, comme moi, pensent que le récit actuel est extrême et faux.   

Mais très peu d’entre eux sont prêts à s’exprimer.   

Et je ne suis pas sûr de pouvoir les blâmer, car toute tentative de s’écarter du récit aujourd’hui se heurte à un mur d’hostilités, de rejet et même d’élimination de la part du gouvernement, y compris des agences de financement, des médias publics et, pire encore, de la communauté scientifique elle-même.

Le Dr Levi déclare ensuite qu’un de ses collègues au MIT qui est membre de la National Academy of Engineering lui a dit :

« Il faut faire attention, car on peut être éliminé. »

Le Dr Levi poursuit ensuite en parlant de la fraude universitaire et de la façon dont lui et de nombreux autres scientifiques ont tout de suite vu que ce que Pfizer publiait sur les résultats de leurs essais de vaccins COVID-19 était gravement erroné et que leurs déclarations concernant l’efficacité étaient fausses.

Et nous avons maintenant également un dénonciateur qui a travaillé sur les essais de vaccins COVID-19 pour Pfizer qui a également exposé la fraude chez Pfizer. Voir:

Un lanceur d’alerte révèle une fraude dans les essais de vaccins COVID de Pfizer alors que des enfants de 5 à 11 ans commencent à se faire injecter – Décès et blessures par vaccin à suivre

Ces scientifiques ont tenté de faire publier leurs critiques des études de Pfizer dans les revues universitaires, mais ont été déboutées. Les seules études publiées étaient celles qui se conformaient au récit dominant, et ces études étaient essentiellement de la camelote.

Le Dr Levi donne l’exemple des études qui viennent d’être publiées pour affirmer que les nouvelles injections de rappel étaient efficaces et sûres. La plupart des patients ayant reçu les injections dans les essais n’ont été suivis que pendant moins de deux semaines afin que les sociétés pharmaceutiques déclarent que les vaccins sont sûrs et efficaces.

Il est très critique à l’égard de ces journaux, car en ce qui concerne la sécurité, ils ne signalent aucun effet secondaire négatif, y compris des décès.

Le Dr Levi donne ensuite un exemple de cette censure académique.

Mes co-auteurs et moi avons souligné que lorsque vous examinez les appels des services d’urgence nationaux en Israël pour un arrêt cardiaque chez les jeunes de moins de 40 ans, vous constatez une augmentation spectaculaire de 25% de ces appels parallèlement à la campagne de vaccination en Israël au début de 2021, et nous voyons une association statistique à cette campagne.  

Nous avons écrit l’article à ce sujet, sans prétendre qu’il y a un effet occasionnel entre les vaccins et ce que nous voyons, car nous n’en avons pas la preuve.   

Mais nous avons soulevé la préoccupation et nous avons appelé les autorités pour vérifier ce qui se passait.   

Inutile de dire que nous n’avons jamais reçu de réponse des autorités, et en fait, elles ont rendu publiques et ont qualifié cette recherche de « fausse ».   

Mais encore plus inquiétant, revue après revue après revue dans la littérature académique rejette cet article, la plupart du temps en se basant sur l’argument qu’il n’est « pas une priorité ».  

Eh bien, je ne pense pas que qualifier les problèmes de sécurité de « faux » soit moralement juste ou scientifiquement juste.   

Je pense qu’il est clair que ces vaccins ne sont pas naïfs et qu’ils ont des effets secondaires graves et sans précédent.

Regardez la présentation complète du Dr Levi. C’est sur nos chaînes Rumble et Bitchute.



https://www.bitchute.com/embed/76q9F5B9qQiC/?feature=oembed#?secret=mVkOmPEUdd

Traduction : MIRASTNEWS

Source : Health Impact News




Fondation Bill & Melinda Gates — la grande arnaque révélée

[Source : MoneyRadar]

https://moneyradar.org/

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Les silex de la vérité. Spectateur ou Acteur ?

Par SINED

La période que nous vivons est historique, et l’histoire se déroule selon les agissements des peuples. Des agissements puissants, tels des révoltes, des grèves, des actes politiques ou militaires, des événements ou des discours sont la conséquence d’une étincelle qui embrase l’ensemble de la population. Cette étincelle est parfois programmée, préméditée et servie royalement juste au bon moment et au bon endroit. Celle-là est artificielle. Artificielle parce que non naturelle. Non naturelle parce qu’elle nie la vérité (faux attentat, faux discours, fausse information).

Mais il y a aussi des étincelles naturelles, celles qui jaillissent de l’entrechoc des silex de la vérité. Cette étincelle de vérité embrase les cœurs des peuples, et le feu est sain, joyeux et fédérateur.

Qu’est-ce qu’une étincelle de vérité ? Et d’où vient-elle ?

C’est une vraie étincelle, matérielle, visible partout, pas uniquement visible sur certains sites Internet pour certaines personnes. Ainsi, la vérité doit s’incarner dans la matière. D’où provient-elle ? d’un homo sapiens, qui sait. Qui sait qu’il faut taper avec son silex sur un caillou. Taper c’est agir sur la matière.

En ce moment, la raie zi stance est un peu spectatrice, commentatrice sportive parfois, ou alors hara kirienne en se présentant dans les officines de l’ennemi et en réclamant justice (justice ? C’est quoi ce mot ? jamais entendu parler). Elle s’informe, elle commente et se nourrit elle-même, mais agit-elle dans la matière ? Tape-t-elle avec son silex pour que l’étincelle embrase l’ensemble. Certains diront qu’il est difficile, voire impossible, d’allumer un tas de bois humide avec une simple et seule étincelle. Alors, autant ne rien faire. Il est vrai qu’à voir certains de nos congénères actuellement, on ne doute plus qu’ils sont bien pires que du bois vermoulu et trempé.

Pourtant, des étincelles répétées continuellement finiront par faire prendre la mousse la plus humide. Mais il en faut beaucoup !

Oui, mais combien y a-t-il d’homo sapiens avec un silex en main qui se refuse à taper le caillou, tant ils voient l’inutilité d’un tel geste. Beaucoup aussi !

Alors, il ne reste plus qu’à poser la question aux sapiens :

– « tu sais, et tu tapes pas le caillou ? »

Spectateur : le bois est trop humide, en plus il pleut, et en plus y’a du vent du nord.
Ou
acteur : moi je tape avec mon caillou préféré ou avec un autre.

Acteur, OK, mais pas un acteur raté.

Une étincelle c’est vif, anonyme, simple, clair, concis, lumineux, choquant, visible, brillant et fugace.

  • – Sur les panneaux de propagande, contre propa.
  • – Sur les zélés, comportement zélé réciproque. « Tu veux mon nom, mon identification, mon statut xnal ? OK si tu me donnes toi aussi ton nom, où tu habites, si t’es marié et bien sûr ton statut xnal. Ah bon, tu veux pas, et pourquoi ? T’es antivache ou quoi ? Tu veux que je te dénonce aussi ? »
    Le refus de vous répondre constitue alors leur terrible et propre aveu qu’ils sont en train de faire quelque chose de mal. Leur déshonneur leur est envoyé à la face de manière évidente. Le déshonneur une fois, bon, deux fois, bon, dix fois c’est énervant, cinquante fois, ça irrite et ça provoque des arrêts maladie.
  • – Sur les communications officielles, boycott total radiyhouuu, télébaizion et journhontes.
  • – Sur les entreprises privées qui se font un plaisir non feint de jouer cette douce musique, total boycott avec doux mot d’encouragement pour le futur quand le vent aura tourné.
  • – Sur les gestes bHOUrières, tendre la main ouverte et à ce qui refuse : tu refuses la paix que je te donne je saurais m’en souvenir.
  • – Sur les panneaux de propa affichés partout, lieux de culte, magasins, services publics, entreprises, voie publique, un simple message au feutre suffit.
  • – Sur le panneau centre d’intoxication, « =mort » suffit
  • – Sur les zébus, nos très chers zébus, ne pas écrire de lettre d’évocat, ils ne savent pas lire, mais plutôt un petit mot comme CO-LABO sur les plaques dorées des divers QG et succursales référentes.

Outils nécessaires : 1 feutre, 1 langue, une main ouverte.

Avantages : multiples auteurs anonymes et visibilité continuelle. Modeste, mais tapant sur le caillou.

Petites étincelles partout ! Multiples étincelles tous les jours ! Une s’éteint, une autre s’allume. Le panneau a-t-il été remplacé ? le nouveau se voit alors affublé immédiatement d’un complément d’information, un simple mot et sans équivoque, lisible par tous et rapidement, pas de texte qui, une fois bien manipulé, servirait la propa guangue de nouveau. Mots à adapter selon le contexte : mensonge, mort, satanisme, dictature, blague, fable, foutaise, ordure, meurtre, esclavage, folie, psychose, soumission, lâcheté, peur, médiocrité, pourriture.

Les petits koalas (les co les la les bo) vont en avoir assez de remplacer et nettoyer tous les jours les beaux messages du parti unique. Quant aux vilains petits mots qui embêtent,… euh… et si on nous avez menti ?!

Enfin, un petit lexique commun serait bienvenu pour parler plus ouvertement, en milieu non sain (c’est-à-dire en présence de petits koalas non identifiés), de cette belle époque que nous vivons.

J’aime bien koalas et le zébu, car le koala qui prêterait une oreille indiscrète se demanderait où est le zoo.

– « dis papi, dis mami, vous avez fait quoi pendant les horreurs des années 20 ? »

– « haaa… tu sais mon petit, ……………………………………………………………………… 
………………………………………. »

LA SUITE, il appartient à chacun de l’écrire maintenant,…

pour avoir plaisir et fierté de la raconter demain.




Une publicité révoltante de Pfizer présente les enfants vaccinés comme des « super-héros », et oublie ceux qui souffrent d’effets secondaires

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Matt Agorist

Le géant pharmaceutique multimilliardaire, dont les malversations ont défrayé la chronique dans le passé, a non seulement enregistré des profits exponentiels pendant la pandémie du fait que les contribuables ont été contraints de payer le vaccin, mais a également bénéficié de milliards de dollars des contribuables pour faire la publicité dudit vaccin. La manne de profits réalisés grâce à la vaccination des adultes a rapidement incité la firme à s’intéresser aux enfants pour pallier la diminution de sa clientèle. Bien que les enfants n’aient pratiquement aucune chance de mourir du COVID-19, la Food and Drug Administration (FDA) s’est empressée d’approuver le vaccin à ARNm de Pfizer pour les enfants âgés de 5 à 11 ans.

Après avoir dépensé des milliards de dollars en publicités financées par les contribuables pour convaincre les adultes de se faire vacciner, Pfizer a lancé cette semaine une nouvelle publicité qui cible sa nouvelle clientèle, les enfants. La société s’est surpassée en qualifiant les enfants, qui ont reçu l’injection dans le cadre de l’expérience, de « super-héros » dotés de « super-pouvoirs ».

« Il y a des super-héros de toutes les tailles.🦸🏽‍♀️🦸🏻🦸🏿‍♂️🦸🏼‍♀️ Regardez cette vidéo où de vrais enfants remercient leurs super-héros : les volontaires de l’essai clinique du vaccin #Covid19 âgés de 5 à 11 ans. Notre reconnaissance envers les participants à l’essai et leurs familles est infinie 💙 #ScienceWillWin »

Voilà la scandaleuse vidéo en question:

Malheureusement, les enfants de la vidéo ci-dessus ne sont pas des héros. Aucun d’entre eux n’est en âge de consentir à recevoir un vaccin et ils ont tous été offerts au géant pharmaceutique comme cobayes par leurs parents.

La publicité semble s’adresser spécifiquement aux « super-héros », que seraient les enfants qui ont servi de cobayes, mais elle a, en réalité, pour objectif d’influencer tous les enfants.

« Si je me fais vacciner, je serai un super-héros ! »

Naturellement, cette publicité n’enthousiasme pas ceux dont un membre de la famille ou un ami a souffert d’effets secondaires. En conséquence, les dislikes [pouce en bas] sur la vidéo ont déjà dépassé les likes [pouce en haut] et ils s’accumulent rapidement.

Il est important de souligner que l’écrasante majorité des personnes qui se font vacciner n’ont que peu ou pas d’effets secondaires. Cependant, dire qu’il n’y a aucun risque et censurer ceux qui soulignent ces risques est, au mieux, contraire à l’éthique et, au pire, carrément malhonnête.

[Ndlr : le nombre de vaccinés anticovid n’ayant pas eu d’effets secondaires notables est probablement loin de représenter une majorité « écrasante ». Selon les sites officiels chargés de rapporter les effets secondaires post-vaccinaux, autant en Amérique qu’en Europe, leur nombre dépasse le million, sachant que de nombreux médecins s’accordent à dire que seulement 1 à 10 % des effets secondaires y sont rapportés.]

Comme le rapporte le TFTP (TheFreeThoughtProject), la pression en faveur de la vaccination des enfants s’intensifie en dépit du fait que le virus ne représente pas une menace pour les enfants. De plus, comme les Américains sont en train de le découvrir, le vaccin perd de son efficacité au fil du temps, ce qui entraîne un grand nombre de nouveaux cas que les Centres de contrôle des maladies (CDC) ne peuvent plus dissimuler.

En plus de ces nouveaux cas, il a été signalé aux CDC un nombre record d’effets indésirables dont souffrent aussi un grand nombre d’enfants. L’un de ces enfants – qui a participé à l’essai de Pfizer et qui est un « super-héros » selon la publicité ci-dessus – est Maddie de Garay. On lui a injecté le vaccin de Pfizer lorsqu’elle avait 12 ans. Elle est aujourd’hui en fauteuil roulant.

Comme Pfizer, la famille de Maddie a réalisé une vidéo pour raconter son expérience du vaccin. Mais contrairement à Pfizer, la vidéo de Maddie a été censurée sur YouTube et l’est toujours. De plus, Comcast a retiré la vidéo la semaine dernière, alors qu’elle devait être diffusée avant que le comité consultatif de la FDA sur les vaccins et les produits biologiques connexes ne se réunisse pour discuter des vaccins COVID-19 destinés aux enfants.



Un autre de ces « super-héros » qui a été censuré jusqu’à l’oubli est Ernesto Ramirez Jr. qui faisait partie des centaines d’enfants qui, comme Maddie, ont été vaccinés très tôt. Malheureusement, contrairement à Maddie, il n’a pas survécu et cinq jours après l’injection, selon son père, Ernesto est mort subitement.

« J’ai entendu toujours plus de publicités affirmer que c’était sans danger pour les adolescents, alors j’ai dit ‘OK’ », a déclaré le père d’Ernesto Ramirez à Ivory Hecker, un journaliste de Fox 26 Houston, plus tôt dans l’année. « Deux ou trois semaines plus tard, le CDC a commencé à annoncer que des enfants avaient le cœur hypertrophié. »

« Le cœur d’un garçon de cet âge pèse normalement moins de 250 grammes », a déclaré le Dr Peter McCullough, un médecin de Dallas dans la vidéo de Hecker. « Dans son cas, il pesait plus de 500 grammes ».

Ramirez a essayé de collecter des fonds pour les funérailles de son fils décédé, mais parce qu’il a prétendu que l’injection a tué son fils, GoFundMe a supprimé sa collecte.

Apparemment, les multinationales de la haute technologie ont décidé que seuls ceux qui louent l’efficacité du vaccin ont droit à la parole. Si vous ou votre enfant avez souffert des effets secondaires du vaccin, vous n’avez pas le droit de le dire. Si vous vous interrogez sur le raison de cette censure, regardez la vidéo ci-dessous !

Matt Agorist

Article original en anglais :

Creepy Pfizer Ad Tells Kids They Are “Superheroes” for Taking Jab, Ignores Injuries of Others

Traduction : Dominique Muselet pour Mondialisation.ca

La source originale de cet article est TheFreeThoughtProject.com
Copyright © Matt AgoristTheFreeThoughtProject.com, 2021




Les décès excessifs indiquent un programme de dépopulation

[Source : reseauinternational.net]

Par Mike Whitney

« Je pense qu’il est très probable que la prochaine phase impliquera des décès à une échelle qui éclipsera les allégations de “décès par Covid-19” »

Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer


Question : Pourquoi la mortalité en Écosse est-elle plus élevée en 2021 qu’en 2020 ?

Réponse : Parce que plus de gens meurent. Et la raison pour laquelle plus de gens meurent est que plus de gens ont été vaccinés. En d’autres termes, il y a un lien entre la hausse de la mortalité et le vaccin contre le Covid-19.

Q : Vous ne pouvez pas le prouver.

R : Vous avez raison, je ne peux pas. Les preuves sont toutes circonstancielles. Mais elles sont tout de même convaincantes. Par exemple, l’augmentation de la mortalité ne se produit pas seulement en Écosse. Elle se produit dans de nombreux pays qui ont lancé des campagnes de vaccination de masse plus tôt dans l’année. Ils constatent tous une hausse significative de la mortalité toutes causes confondues. Pourquoi cela ? Que font-ils différemment en 2021 de ce qu’ils faisaient les années précédentes ?

Q : Je vois où vous voulez en venir, mais je ne pense toujours pas que vous ayez suffisamment de preuves pour étayer vos arguments.

R : Ok, alors dites-moi : Pourquoi y a-t-il plus de gens qui meurent en 2021 qu’en 2020 ? Et n’oubliez pas que la mortalité toutes causes confondues n’est pas seulement en légère hausse, mais qu’elle dépasse largement la moyenne des cinq dernières années. Regardez ce récent article d’Alex Berenson sur Substack :

« L’Écosse compte 87% d’adultes vaccinés ; le nombre de décès hebdomadaires est désormais supérieur de 30% à la normale.

14 octobre : Ceci est extrait du tableau de bord quotidien Covid-19 de Public Health Scotland :

“Les 315 décès excédentaires enregistrés la semaine dernière représentent une augmentation de 30% par rapport à la moyenne pré-pandémique sur cinq ans pour cette période de l’année. C’est la 20ème semaine consécutive où le nombre de décès excédentaires est supérieur à la moyenne quinquennale et la plus élevée depuis la semaine se terminant le 10 janvier 2021”.

Même en excluant les décès dus au Covid, ils étaient près de 20% au-dessus de la normale pour la semaine la plus récente, et la tendance est à la hausse »1.

Q : Mais comment pouvez-vous construire un dossier sur les données d’un seul pays ? C’est ridicule.

R : Mais il ne s’agit pas seulement de l’Écosse. La même règle s’applique à de nombreux pays qui ont lancé des campagnes de vaccination plus tôt dans l’année. Voici plus d’informations de Berenson :

« Ajoutez l’Allemagne – la nation la plus peuplée d’Europe – aux pays qui connaissent une mortalité anormalement élevée, toutes causes confondues, qui n’est PAS liée au Covid.

En septembre, l’Allemagne a signalé près de 78 000 décès, soit plus de 10% de plus que le chiffre attendu, ont déclaré les démographes du gouvernement allemand en début de semaine.

Presse : “Chiffres de mortalité (en Allemagne) en septembre 2021 : 10% au-dessus de la moyenne des années précédentes” »2.

Et puis il y a ceci, tiré du compte Twitter de Data Analyst (regardez les graphiques) :

Data Analysis @Data_is_Louder

26 octobre – Mystère COVID, Le Danemark, la Finlande et la Norvège enregistrent une surmortalité plus importante que lors de leur pic épidémique du Covid. Ces mystérieux excès de décès se sont produits en même temps que le déploiement de la vaccination.

Danemark – « 5 mois d’affilée, 2021 a battu le record de 10 ans de décès de personnes, toutes causes confondues… décès covid proches de zéro au cours de la même période ».

Il en va de même en Irlande, au Royaume-Uni et en Israël. Jetez un coup d’œil à l’Angleterre (de 10 à 59 ans).

« Ce qui est si inquiétant dans ce graphique, c’est qu’il montre comment les vaccins ciblent les jeunes. “Alors que le bilan des décès dus au COVID a été largement confiné aux personnes âgées… ce sont les jeunes qui supportent le poids des blessures dues aux vaccins. Selon VigiAccess, la base de données des événements indésirables de l’Organisation mondiale de la Santé, 41% des plus de 2,4 millions de lésions vaccinales signalées à ce jour concernent les moins de 44 ans, et seulement 6% les plus de 75 ans” »3.

C’est quelque chose que vous ne lirez pas dans les médias, et pour une bonne raison. Parce que cela saperait leur objectif mortel de continuer à vanter les mérites du vaccin.

Joel Smalley, analyste quantitatif, nous en dit plus :

« Mise à jour hebdomadaire des décès par les CDC. “Malgré” une vaccination complète à plus de 80%, depuis le 24 juillet, les décès de personnes âgées de plus de 65 ans en Floride ont augmenté de 14% par rapport à la même période l’année dernière. “Malgré” une vaccination complète à au moins 50% chez les moins de 65 ans, les décès sont en hausse de 46% et continueront d’augmenter au fur et à mesure du rattrapage des déclarations ».

Les exemples sont partout sur Internet. Il n’est pas nécessaire de chercher bien loin. Partout où des vaccinations de masse ont eu lieu, là aussi, la mortalité a augmenté. Et, une fois de plus, il ne s’agit pas de décès dus au Covid. Il s’agit principalement de crises cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux, de caillots sanguins, de maladies circulatoires et de problèmes neurologiques ; les mêmes affections induites par les vaccins contre lesquelles les médecins et les scientifiques qui nous disent la vérité depuis le début nous ont mis en garde. Il s’avère qu’ils avaient raison après tout.

En clair, les vaccins augmentent le nombre de décès, au lieu de le réduire. Ils aggravent les choses au lieu de les améliorer. Ils perpétuent la crise au lieu d’y mettre fin. Et c’est pourquoi la ligne rouge du graphique est orientée vers le haut. Elle indique que le nombre de décès continuera à augmenter tant que nous continuerons à faire ce que nous faisons actuellement, en inoculant à des millions de personnes un agent pathogène cytotoxique qui déclenche la formation de caillots sanguins, l’inflammation et l’auto-immunité. Voici un autre graphique de l’Écosse avec un bref commentaire du Daily Skeptic :

« … la présence d’une épidémie de Covid n’a pas été constatée à l’été 2020, mais l’est à l’été 2021. Qu’est-ce qui diffère entre ces deux années ? La réponse la plus évidente est le déploiement de la vaccination contre le COVID-19. Il n’y avait pas de programme de vaccination COVID-19 en 2020, mais il y a eu un déploiement des vaccinations contre le Covid de manière séquentielle à des groupes d’âge de plus en plus jeunes en 2021, un modèle que nous voyons dans la manifestation de la surmortalité. … Le système de notification des événements indésirables Yellow Card, […] a déjà enregistré plus de 1700 décès dans la population britannique associés aux vaccins anti-covid. Il y a donc de bonnes raisons de penser que la vaccination contre le COVID-19 est un facteur contribuant à l’augmentation spectaculaire de la surmortalité estivale en Écosse en 2021 »4.

Avez-vous remarqué comment les médias tentent de dissimuler la soudaine augmentation de la mortalité ? Voici un bon exemple tiré d’un article du UK Telegraph :

« Alors que l’attention reste fixée sur le Covid-19, une deuxième crise sanitaire émerge discrètement en Grande-Bretagne. Depuis le début du mois de juillet, il y a eu des milliers de décès supplémentaires qui n’ont pas été causés par le coronavirus. Selon les experts de la santé, cette situation est tout à fait inhabituelle pour l’été. Bien que l’on s’attende à une surmortalité pendant les mois d’hiver, lorsque le froid et les infections saisonnières se combinent pour mettre la pression sur le NHS, l’été connaît généralement une accalmie.

Cette année est une exception inquiétante.

Selon l’Office for National Statistics (ONS), depuis le 2 juillet, il y a eu 9619 décès en excès en Angleterre et au Pays de Galles, dont 48% (4635) n’ont pas été causés par le Covid-19.

Donc, si toutes ces personnes supplémentaires ne meurent pas du coronavirus, qu’est-ce qui les tue ?

Les données de Public Health England (PHE) montrent qu’au cours de cette période, 2103 décès supplémentaires ont été enregistrés pour des cardiopathies ischémiques, 1552 pour des insuffisances cardiaques, ainsi que 760 décès supplémentaires pour des maladies cérébrovasculaires telles que les accidents vasculaires cérébraux et les anévrismes, et 3915 pour d’autres maladies circulatoires »5.

Donc, selon l’article, il y a eu :

  • 24% de décès par insuffisance cardiaque de plus que la base de référence
  • 19% de cardiopathies ischémiques
  • 16% de maladies cérébrovasculaires (accidents vasculaires cérébraux)
  • 18% d’autres maladies circulatoires

Toutes ces affections cérébro-vasculaires, cardiaques et circulatoires ne sont pas tombées du ciel en 2021. Ce sont des lésions générées par les vaccins. Vous ne voyez pas ?

Et elles sont toutes liées à la protéine spike qui est le « mécanisme d’action biologique » qui « endommage les vaisseaux sanguins, les organes, et provoque des caillots sanguins, et qui peut tuer un être humain ? ». (Citation : Dr Peter McCullough)

Vous êtes-vous demandé pourquoi plus de personnes sont mortes cette année du Covid que durant toute l’année 2020 ? Selon Johns Hopkins, le Covid a tué 353 000 personnes aux États-Unis en 2020. Mais en seulement 10 mois en 2021, 390 000 personnes sont mortes. Comment cela est-il possible ? Après tout :

  1. Beaucoup de personnes extrêmement vulnérables sont déjà mortes.
  2. Selon les experts, la variant Delta n’est pas aussi mortel que l’infection originale de Wuhan.
  3. 100 millions de personnes (selon le CDC) ont déjà survécu au Covid et possèdent désormais une immunité naturelle.
  4. Et 190 millions de personnes ont été doublement vaccinées.

Ce sont quatre raisons pour lesquelles les décès devraient diminuer. Mais ils ne diminuent pas, ils augmentent.

Pourquoi ?

Le vaccin, voilà pourquoi.

Et pourquoi les pays ayant les taux de mortalité les plus élevés pour le Covid-19 sont aussi les pays les plus vaccinés ?

C’est parce qu’« il y a une corrélation positive importante entre le pourcentage de vaccination et les décès ».

Mais ne me croyez pas sur parole. Vérifiez par vous-même. Faites vos propres recherches.

Tout récemment, le professeur Norman Fenton de l’Université Queen Mary de Londres a passé au crible les statistiques du gouvernement (ONS) pour voir s’il pouvait « déterminer le risque-bénéfice global des vaccins contre le Covid-19 » en comparant « les taux de mortalité toutes causes confondues entre les vaccinés et les non-vaccinés dans chaque catégorie d’âge ».

Sa pensée sur la question était simple :

« Si le Covid est aussi dangereux qu’on le prétend – et si le vaccin est aussi efficace qu’on le prétend – nous devrions à ce jour avoir constaté beaucoup plus de décès liés au Covid chez les non-vaccinés que chez les vaccinés…(et) Si le vaccin est aussi sûr qu’on le prétend, alors il devrait y avoir un peu plus de décès de causes non liées au Covid chez les vaccinés que chez les non-vaccinés (dans chaque groupe d’âge). Ainsi, le nombre de décès, toutes causes confondues, devrait être plus élevé chez les non-vaccinés que chez les vaccinés (dans chaque groupe d’âge), ce qui confirmerait que les avantages de la vaccination l’emportent sur les risques »6.

Simple, non ? En d’autres termes, si le vaccin est si génial, les données devraient le montrer clairement. Mais ce n’est pas ce que Fenton a trouvé. Ce qu’il a trouvé est le contraire. Il a constaté que la mortalité toutes causes confondues est plus élevée chez les personnes vaccinées que chez les personnes non vaccinées. (Fenton espérait que son analyse aurait un impact sur le débat concernant le programme de vaccination en cours, mais au lieu de cela, il a été vicieusement dénoncé comme un extrémiste de droite, ce qui est ce qui arrive à tous ceux qui osent remettre en question le récit officiel. Voici plus d’informations de NPR :

« Dans le service des urgences de l’hôpital Sparrow de Lansing, dans le Michigan, les membres du personnel s’efforcent de soigner des patients qui se présentent beaucoup plus malades qu’ils ne l’ont jamais été. Tiffani Dusang, directrice des soins infirmiers du service des urgences, vibre pratiquement d’anxiété refoulée en regardant tous les patients allongés sur une longue file de brancards poussés contre les murs beiges des couloirs de l’hôpital. “C’est dur à regarder”, dit-elle dans sa voix chaude de Texane.

Mais il n’y a rien qu’elle puisse faire. Les 72 chambres des urgences sont déjà remplies.

“Je me sens toujours très, très mal quand je marche dans le couloir et que je vois que les gens souffrent ou ont besoin de dormir ou de calme”.

Même dans les régions du pays où le COVID-19 ne submerge pas le système de santé, les patients se présentent aux urgences plus malades qu’avant la pandémie, leurs maladies étant plus avancées et nécessitant des soins plus complexes.

Les mois de retard dans les traitements ont exacerbé les maladies chroniques et aggravé les symptômes. Selon les médecins et les infirmières, la gravité des maladies est très variable et comprend, entre autres, des douleurs abdominales, des problèmes respiratoires, des caillots sanguins, des problèmes cardiaques et des tentatives de suicide »7.

Je répète : « douleurs abdominales, problèmes respiratoires, caillots sanguins, problèmes cardiaques ». En d’autres termes, l’engorgement des salles d’urgence pourrait aussi bien être lié à des blessures induites par le vaccin qu’à des « traitements retardés ». Et remarquez que l’auteur semble sincèrement préoccupé par la multiplication des salles d’urgence, mais ne mentionne jamais l’éléphant dans la pièce : le vaccin. S’agit-il d’une simple erreur de sa part ou avait-il vraiment l’intention d’embobiner ses lecteurs dès le départ ?

Ensuite, il y a cette perle du New York Post qui tente de préparer le public à l’assaut de troubles « thromboemboliques » auquel nous serons confrontés dans un avenir très proche. L’article est judicieusement intitulé « La crise cardiaque peu connue qui frappe les femmes en bonne santé dès l’âge de 22 ans ». Voici un extrait de l’article :

« Quand on pense à une crise cardiaque, on imagine immédiatement quelqu’un de plus âgé et qui pourrait déjà avoir des problèmes de santé sous-jacents. Mais les experts ont averti que des femmes de 22 ans seulement pouvaient être frappées par une maladie peu connue.

La dissection spontanée de l’artère coronaire (SCAD) se produit lorsqu’une déchirure se forme dans un vaisseau sanguin du cœur, rapporte le New York Post. Elle peut ralentir ou bloquer le flux sanguin vers le cœur, provoquant une crise cardiaque, des anomalies du rythme cardiaque ou une mort subite, selon les experts de la Mayo Clinic.

En général, il s’agit d’une affection peu fréquente, mais les médecins exhortent les femmes à demander un diagnostic et des soins lorsqu’elles présentent des symptômes. Cette affection est plus fréquente chez les femmes âgées de 30 à 60 ans, mais les experts ont signalé qu’elle touche des femmes en bonne santé dès l’âge de 22 ans »8.

C’est compris ? Donc, selon le Post, il est parfaitement normal qu’une jeune femme de 22 ans en bonne santé soit frappée par une crise cardiaque. Pensez-vous que l’auteur essaie peut-être d’adoucir les attitudes à l’égard des blessures causées par les vaccins avant qu’elles ne nous frappent comme une tonne de briques ? En effet, c’est le cas, tout comme l’article du Times of India sur la superstar des célébrités et fou de fitness, Puneeth Rajkumar, décédé il y a quelques jours d’un arrêt cardiaque. Il avait 46 ans. Selon le Times of India :

« La mort soudaine de Rajkumar a une fois de plus mis en évidence les dangers auxquels sont confrontés de nombreux trentenaires et quadragénaires aujourd’hui, à savoir le risque croissant de maladies cardiaques et d’arrêts cardiaques. […] (Rajkumar) a été victime d’un malaise cardiaque massif alors qu’il faisait de l’exercice dans un gymnase. Connu pour être ouvertement en forme et en bonne santé, Rajkumar avait l’habitude de s’entraîner souvent…

On observe une augmentation choquante du nombre d’arrêts cardiaques chez les jeunes, voire les jeunes de 20 ans. Alors que les maladies cardiaques et les arrêts cardiaques étaient généralement considérés comme des « problèmes de personnes âgées », ce n’est plus le cas et c’est désormais un signe d’alerte auquel les médecins invitent les gens à faire attention. […]

En raison de la pandémie, les médecins ont également souligné que la préoccupation pour les questions liées à la santé cardiaque a été repoussée, et il est maintenant plus probable qu’avant que les gens souffrent de crises cardiaques et d’arrêts cardiaques silencieux »9.

A-t-on l’impression que les médias ont accepté leur rôle de complice d’une extermination de masse ou est-ce une exagération ?

Quoi qu’il en soit, nous pouvons nous attendre à voir un déluge d’articles similaires surgir partout dans un avenir proche. Des articles comme celui-ci :

« L’activité physique peut augmenter le risque de crise cardiaque, selon une étude – Les nouvelles conclusions ne l’emportent pas sur les bienfaits de l’exercice, soulignent les chercheurs », The Irish Times.

Ou ceci :

« Les crises cardiaques chez les jeunes sont en augmentation », The Hindu

Ou encore ceci :

« Le nombre de crises cardiaques a augmenté en 2021, l’âge n’étant pas une barrière ; voici ce qui en est à l’origine », cnbctv18.

Vous voyez ce qui se passe ? Ces articles à l’emporte-pièce ont tous été concoctés dans le même but : faire croire au public que la vague extraordinaire de décès chez les jeunes en bonne santé est tout à fait normale. (« Rien à voir ici. Circulez ») Mais, bien sûr, rien de tout cela n’est normal. Tout est effroyablement bizarre et choquant, et c’est pourquoi nous nous concentrons tant sur les décès excessifs et la mortalité toutes causes confondues. Car nous pensons qu’ils fourniront les preuves dont nous avons besoin pour démontrer que le vaccin est un élément essentiel du programme de dépopulation de l’élite visant à réduire la population mondiale de milliards de personnes. Nous croyons toujours que c’est ce qui se passe réellement. Les grands argentiers ont décidé d’éradiquer quelques milliards d’entre nous, les cafards, pour avoir plus de place pour garer leurs Learjets. Il se trouve qu’ils ont opté pour le vaccin comme alternative « moins salissante » que de nous faucher dans les rues avec des mitrailleuses. Non pas qu’ils perdent le sommeil à cause de ça.

Alors, comment se passe le plan, vous demandez ? Regardez ça :

« Selon les statistiques de mortalité toutes causes confondues, le nombre d’Américains décédés entre janvier 2021 et août 2021 est supérieur de 18% au taux de mortalité moyen entre 2015 et 2019 ».

Et voici un extrait d’un article qui a extrait ses données d’une recherche plus diversifiée. Jetez-y un coup d’œil :

« La piqûre COVID est-elle responsable de la surmortalité ?…

Matthew Crawford, de la lettre d’information Rounding the Earth, a examiné les statistiques de mortalité avant et après le déploiement des piqûres de COVID… Crawford poursuit en examinant les données de pays où l’adoption du vaccin est importante tout en ayant simultanément des taux très faibles de COVID-19. De cette manière, il est possible de se faire une meilleure idée de la question de savoir si les injections anti-covid pourraient être responsables de la surmortalité, par opposition à l’infection elle-même.

Il a identifié 23 pays qui répondent à ce critère, représentant 1,88 milliard d’individus, soit environ un quart de la population mondiale […] Crawford procède à un certain nombre d’ajustements afin d’éliminer les valeurs aberrantes susceptibles de fausser les ensembles de données, (mais) après avoir éliminé les nations dont le nombre de décès dus au COVID était supérieur à 100 par million avant leur programme de vaccination, il est parvenu à 13 pays représentant une population combinée de 354 millions d’habitants […]

Il est remarquable de constater que le nombre de décès dus au COVID dans ces 13 pays est 11,61 fois plus élevé après la vaccination qu’avant le déploiement des vaccins. Dans cinq de ces 13 pays, 90% des décès dus au COVID-19 ont été enregistrés après le début des campagnes de vaccination.

“À première vue, ces résultats renforcent l’idée que les vaccins expérimentaux tuent des gens”, écrit Crawford. “À tout le moins, il s’agit d’un signal de sécurité dramatique de plus qui devrait inciter les autorités qui se soucient de notre santé à se réunir pour discuter de la manière d’affiner les données qu’elles n’analysent pas, à la connaissance de tous…” »10.

Intéressant, non ? Donc, si vous prenez les pays où il n’y a pas beaucoup de virus, et que vous inoculez quand même une tonne de personnes, alors vous pouvez vraiment voir combien de personnes sont tuées par le vaccin. Au moins 10 fois plus !

En revanche, dans les pays où la propagation virale est importante, les effets néfastes du vaccin sont beaucoup moins visibles. Mais quelle que soit la manière dont on la décrit, la protéine spike érode l’infrastructure vitale du corps, affaiblissant le système vasculaire, tuant les cellules saines et les mitochondries, épuisant les lymphocytes tueurs et court-circuitant le système immunitaire. Les répercussions de cette attaque féroce peuvent prendre la forme d’une myriade d’affections qui se développent inévitablement à partir d’un système circulatoire ravagé par un agent pathogène : arrêt cardiaque, accident vasculaire cérébral, embolie pulmonaire, auto-immunité, etc. À l’heure actuelle, les crises cardiaques semblent être en tête de liste. Consultez ce bref article du Dr Peter McCullough :

« Le monde est maintenant témoin d’une pandémie de crises cardiaques N-STEMI causées par des caillots sanguins.

Un certain type de crise cardiaque est en augmentation dans le monde entier. En Écosse, les professionnels de la santé ont constaté une forte augmentation d’un type de crise cardiaque potentiellement mortel appelé crise N-STEMI. Cette affection résulte de l’obstruction partielle d’une artère qui coupe l’approvisionnement en sang du cœur. Elle présente moins de lésions tissulaires qu’une crise STEMI classique, mais peut être tout aussi fatale […] Les cas de crise STEMI sont restés stables pendant des années, (mais) ils ont récemment augmenté… Au cours de l’été, l’hôpital a dû augmenter son nombre de lits de cardiologie de 44%, car les travailleurs de la santé de première ligne ont dû faire face à une demande accrue de patients victimes de crises cardiaques ».

Une pandémie de crises cardiaques provoquée par une injection cytotoxique qui inflige des dommages à ses victimes, qu’elles meurent ou non. Est-ce là un résumé exact du vaccin contre le Covid-19 ?

Oui. Voici plus d’informations de The Expose :

« Les données disponibles auprès du Centre de Contrôle des Maladies aux États-Unis montrent que depuis le lancement du programme de vaccination contre le Covid-19 aux États-Unis, les décès dus à des “résultats cliniques anormaux non classés ailleurs” ont augmenté de manière exponentielle par rapport aux niveaux de vaccination antérieurs au Covid-19 […]

Les décès de cette catégorie comprennent les cas pour lesquels aucun diagnostic plus spécifique n’a pu être posé… ou les symptômes étaient difficiles à déterminer… ou les cas ont été référés ailleurs.

[…] le nombre de décès dus à des résultats cliniques anormaux […] a maintenu une moyenne stable d’un peu plus de 1000 par semaine depuis février 2020, et était également à ces niveaux avant que la prétendue pandémie ne frappe les États-Unis. Cependant, vers la fin du mois de mars et le début du mois d’avril 2021, le nombre de décès anormaux enregistrés par semaine a soudainement augmenté… pour atteindre plus de 7000 par semaine à la mi-septembre, ce qui représente une augmentation de 600% par rapport à la moyenne observée chaque semaine avant le début du déploiement de la vaccination Covid-19.

La question est bien sûr : pourquoi ?

[…] La seule chose que des millions de personnes ont en commun depuis que les décès anormaux ont commencé à augmenter par rapport à la moyenne attendue, c’est que des millions de personnes ont reçu une injection expérimentale, pour laquelle il n’existe aucune donnée de sécurité à long terme permettant de savoir quelles en seront les conséquences.

Les données officielles du CDC suggèrent que les conséquences d’un déploiement expérimental massif de la vaccination sont une augmentation choquante et brutale du nombre de décès dus à des causes anormales non identifiées »11

Cet article est cohérent avec les nombreuses histoires que nous avons entendues de la part d’infirmières rapportant des patients présentant des symptômes inhabituels qui échappent au diagnostic traditionnel. Cela ne devrait pas être surprenant étant donné les propriétés uniques de la protéine spike dont l’attaque furtive du système vasculaire a déjà déclenché un tsunami de maladies cardiovasculaires, neurologiques et immunologiques comme on n’en a jamais vu auparavant. Tous ces décès peuvent être attribués à un « poison mortel » qui augmente sans cesse la mortalité toutes causes confondues tout en tuant des personnes de plus en plus jeunes. Si vous en doutez, jetez un coup d’œil au nombre d’athlètes qui meurent peu après avoir reçu une injection. C’est une histoire qui ne peut que déprimer tout être humain normal.

Voir ici : « Une vague de sportifs dans le monde souffrant de problèmes de santé inhabituelles », Not The Beeb.com.

Regardez également cette vidéo éclairante de 2 minutes qui traite de l’arrêt cardiaque et de notre système bidon de notification des blessures dues aux vaccins. (VAERS)

Le Dr Mike Yeadon a résumé les récents développements dans un commentaire qu’il a posté sur le Morningstar Channel la semaine dernière. Il a déclaré :

« Il n’y a pas de fin logique … si ce n’est la tyrannie totalitaire … et la dépopulation massive … Certains collègues sont d’accord avec la partie tyrannie, mais rechignent sur la partie dépopulation. (Mais) Les preuves l’indiquent fermement ».

En effet.

source : https://www.unz.com

traduit par Réseau International


[Références]

  1. « L’Écosse compte 87% d’adultes vaccinés ; les décès hebdomadaires sont maintenant 30% au-dessus de la normale », Alex Berenson Substack
  2. « Il n’y a pas que le Royaume-Uni ; les décès, toutes causes confondues, sont également bien supérieurs à la normale en Allemagne (80% des adultes sont entièrement vaccinés », Alex Berenson Substack
  3. « La véritable pandémie vient de commencer, et il s’agit des crises cardiaques provoquées par les vaccins anti-covid chez les jeunes », Lifesite News
  4. « Les vaccins sont-ils à l’origine des décès excessifs en Écosse, demande un professeur de biologie », The Daily Skeptic
  5. « Des milliers de personnes de plus que d’habitude meurent… mais ce n’est pas à cause du Covid », Telegraph
  6. « Des divergences et des incohérences dans les ensembles de données du gouvernement britannique compromettent l’exactitude des comparaisons des taux de mortalité entre les vaccinés et les non-vaccinés »
  7. « Les urgences sont maintenant submergées de patients gravement malades – mais beaucoup n’ont même pas le COVID », NPR
  8. « La crise cardiaque peu connue qui frappe les femmes en bonne santé dès l’âge de 22 ans », New York Post
  9. « L’acteur kannada Puneeth Rajkumar meurt à 46 ans, il a souffert d’un grave arrêt cardiaque alors qu’il faisait de l’exercice », Times of India
  10. « Les vaccins COVID sont-ils responsables de la hausse de la mortalité ? », Mercola.com
  11. « Investigation : Les données officielles du CDC montrent une augmentation choquante du nombre de décès dus à des causes anormales non identifiées depuis le début des vaccinations Covid-19 », The Expose