L’homme qui a vendu l’Ukraine

[Source : plumenclume.org]

Par Mike Whitney.

Volodymyr Zelensky est l’actuel président de l’Ukraine. Il a été élu lors d’une victoire écrasante en 2019 sur la promesse d’apaiser les tensions avec la Russie et de résoudre la crise dans les républiques séparatistes de l’est de l’Ukraine. Mais il n’a pas fait la moindre tentative pour tenir sa parole sur ces deux questions. Au contraire, il a considérablement exacerbé la crise interne de l’Ukraine tout en provoquant sans relâche la Russie. Zelensky a eu de nombreuses occasions d’aplanir les difficultés avec Moscou et d’empêcher le déclenchement des hostilités. Au lieu de cela, il a constamment aggravé la situation en suivant aveuglément les directives de Washington.

Zelensky a été adulé par l’Occident et loué pour sa bravoure personnelle. Mais, dans la pratique, il n’a pas réussi à rétablir l’unité nationale ou à mettre en œuvre l’accord de paix crucial qui est la seule voie vers la réconciliation. Le président ukrainien n’aime pas le protocole dit de Minsk et a refusé d’en respecter les exigences fondamentales. En conséquence, la guerre fratricide à forte connotation ethnique qui a embrasé l’Ukraine au cours des huit dernières années se poursuit aujourd’hui sans qu’aucune issue ne soit en vue. Le président Vladimir Poutine a fait référence à l’obstination de Zelensky dans un récent discours prononcé au Kremlin. Il a déclaré :

« Lors de l’événement d’hier… les dirigeants ukrainiens ont déclaré publiquement qu’ils n’allaient pas respecter ces accords. Qu’ils ne les respecteraient pas. Eh bien, qu’avez-vous à ajouter ? »

Vladimir Poutine

La plupart des Américains ne réalisent pas que le rejet des accords de Minsk par Zelensky a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Les responsables russes avaient travaillé pendant huit ans sur Minsk, élaborant des conditions acceptables pour toutes les parties. Puis, à la onzième heure, Zelensky a mis le holà à l’accord d’un geste de la main. Pourquoi ? Qui a dit à Zelensky d’abandonner l’accord ? Washington ? Oui, bien sûr.

Et pourquoi Zelensky a-t-il déployé 60 000 troupes de combat dans la zone située juste au-delà de la ligne de contact (dans l’est de l’Ukraine), où elles pouvaient lancer des obus mortels sur les villes et villages des Russes ethniques qui y vivaient ? De toute évidence, le message envoyé à la population était qu’une invasion était imminente et qu’elle devait fuir immédiatement ses maisons ou s’abriter dans ses caves. Quel objectif Zelensky espérait-il atteindre en forçant ces gens à se recroqueviller dans leurs maisons, craignant pour leur vie ? Et quel message entendait-il envoyer à Moscou, dont les dirigeants regardaient ces événements avec une horreur absolue ?

Savait-il que ses actions allaient déclencher des alarmes en Russie, forçant Poutine à appeler ses militaires et à les préparer à une éventuelle invasion pour protéger son peuple de ce qui semblait être une opération massive de nettoyage ethnique ? Oui, c’est ce qu’il faisait.

Alors, en quoi ces actions sont-elles cohérentes avec les promesses de campagne de Zelensky de restaurer l’unité nationale et de résoudre pacifiquement les problèmes de l’Ukraine avec la Russie ?

Elles ne sont pas du tout cohérentes, elles sont diamétralement opposées. En fait, Zelenskyy semble fonctionner selon un tout autre scénario. Prenez, par exemple, son refus total d’aborder les préoccupations minimales de la Russie en matière de sécurité. Zelensky savait-il que Poutine avait déclaré à plusieurs reprises que l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN était une « ligne rouge » pour la Russie ? Savait-il que Poutine n’a cessé de répéter la même chose depuis 2014 ? Sait-il que Poutine a prévenu que si l’Ukraine prenait des mesures pour rejoindre l’OTAN, la Russie serait obligée de prendre des mesures « militaro-techniques » pour assurer sa propre sécurité ? Zelensky est-il au courant que l’OTAN est une alliance contrôlée par Washington qui s’est livrée à de nombreux actes d’agression contre d’autres États souverains. Voici une courte liste des réalisations de l’OTAN :

  • La destruction de la Yougoslavie
  • La destruction de l’Afghanistan
  • La destruction de la Libye
  • La destruction de l’Irak
  • La destruction de la Syrie

Zelensky sait-il que l’OTAN est ouvertement hostile à la Russie et considère la Russie comme une menace sérieuse pour ses ambitions expansionnistes ?

Oui, il est au courant. Ça ne l’a pas empêché d’exprimer publiquement son intérêt pour le développement d’armes nucléaires. Qu’est-ce que cela signifie ? Imaginez le problème que cela poserait à la Russie. Imaginez qu’une marionnette soutenue par les États-Unis, comme Zelensky, ait des missiles nucléaires au bout des doigts. Comment pensez-vous que cela pourrait affecter la sécurité de la Russie ? Pensez-vous que Poutine pourrait ignorer une telle évolution et continuer à remplir son devoir de protection du peuple russe ?

Et pourquoi Zelenskyy a-t-il accepté de laisser livrer des cargaisons successives d’armes mortelles à l’Ukraine s’il recherchait sincèrement la paix avec la Russie ? Pensait-il que Poutine était trop stupide pour voir ce qui se passait juste sous son nez ? Pensait-il qu’il normalisait ses relations en développant son arsenal, en menaçant son propre peuple et en se pliant à toutes les exigences de Washington ?

0u bien considérait-il que les demandes de garanties de sécurité de Poutine étaient déraisonnables ? C’est cela ? Pensait-il que de l’autre côté de l’océan, les États-Unis permettraient au Mexique d’installer des bases militaires, des pièces d’artillerie et des sites de missiles le long de leur frontière sud ? Y a-t-il un président dans l’histoire américaine qui n’aurait pas fait la même chose que Poutine ? Y a-t-il un président dans l’histoire des États-Unis qui n’aurait pas lancé une attaque préventive sur ces armes mexicaines et vaporisé tout être vivant dans un rayon de 30 km ?

Non, les demandes de Poutine étaient tout à fait raisonnables, mais Zelenskyy les a quand même ignorées. Pourquoi ?

Zelenskyy sait-il qu’il y a des « Sektor » de droite, des néo-nazis au sein du gouvernement, de l’armée et des services de sécurité ? Sait-il que, même s’ils sont peu nombreux, ils constituent une force avec laquelle il faut compter et qui joue un rôle important dans la haine et la persécution des Russes ethniques ? Sait-il que ces éléments d’extrême droite participent à des défilés aux flambeaux, se font imprimer des croix gammées ou des tatouages SS sur les bras, et vénèrent l’idéologie racialiste d’Adolph Hitler ? Se rend-il compte que nombre de ces nazis se sont livrés à des actes criminels de brutalité, notamment l’incinération de 40 civils dans le bâtiment des syndicats à Odessa en 2014 ? Pense-t-il que les programmes secrets de la CIA pour armer et former ces militants d’extrême droite renforcent la confiance ou pense-t-il que cela rappelle à Moscou une guerre catastrophique au cours de laquelle 27 millions de Russes ont été exterminés par la Wehrmacht allemande ?

Vous rendez-vous compte que tout ce que Zelensky a fait, a été fait dans l’intention de provoquer la Russie ?

Tous les discours sur l’adhésion à l’OTAN, tous les discours sur la construction d’armes nucléaires, l’accumulation constante d’armes mortelles, le mouvement des troupes vers l’est, le refus d’appliquer le traité de Minsk et le rejet des demandes de sécurité de Poutine : tout cela constituait une série de provocations délibérées. Mais pourquoi ? Pourquoi avoir « appâté l’ours », telle est la question.

Parce que Washington veut attirer la Russie dans une guerre pour pouvoir diaboliser davantage Poutine, isoler la Russie, lancer une opération de contre-insurrection contre l’armée russe et imposer des sanctions économiques sévères qui infligeront un maximum de dommages à l’économie russe. C’est la stratégie de Washington en un mot, et Zelenskyy aide Washington à atteindre ses objectifs. Il se permet d’être l’outil de Washington. Il sacrifie son propre pays pour faire avancer les intérêts des États-Unis.

Tout cela contribue à souligner un point qui n’est jamais pris en compte par les médias et jamais discuté par les experts des informations câblées, à savoir que l’Ukraine va perdre la guerre, et que Zelenskyy le sait. Il sait que les forces armées ukrainiennes ne font pas le poids face à l’armée russe. C’est comme si un Géant écrasait une mouche. L’Ukraine est la mouche. Le public a besoin d’entendre ça, mais il ne l’entend pas. Au lieu de cela, ils entendent des blablas sur des Ukrainiens héroïques qui combattent l’envahisseur russe. Mais ce sont des absurdités, des absurdités dangereuses qui encouragent les gens à sacrifier leur vie pour une cause perdue. L’issue de ce conflit n’a jamais fait de doute : L’Ukraine va perdre. C’est certain. Et si vous lisez entre les lignes, vous verrez que la Russie est en train de gagner la guerre haut la main ; ils écrasent l’armée ukrainienne à chaque tournant, et ils continueront à les écraser jusqu’à ce que l’Ukraine se rende. Regardez cette brève interview du colonel Douglas MacGregor par Tucker Carlson et vous comprendrez ce qui se passe réellement :



Tucker : « Où en est la guerre à partir de ce soir » ? (1er mars)

Colonel McGregor : « Eh bien, les 5 premiers jours, nous avons assisté à un mouvement très lent et méthodique des forces russes pénétrant en Ukraine….. Ils se sont déplacés lentement et prudemment et ont essayé de réduire les pertes parmi la population civile, en essayant de donner aux forces ukrainiennes l’opportunité de se rendre. C’est terminé. Et dans la phase où nous nous trouvons maintenant, les forces russes ont manœuvré pour encercler et entourer les forces ukrainiennes restantes et les détruire par une série de frappes massives à l’artillerie, à coup de roquettes, de frappes aériennes, avec les blindés russes qui se rapprochent lentement mais sûrement et anéantissent ce qui reste. Donc, c’est le début de la fin de la résistance ukrainienne.

Tucker : Quel est l’objectif de Poutine ici ? »

Colonel McGregor : « Poutine a entrepris d’honorer sa promesse de 2007 à la Conférence sur la sécurité de Munich, où il a dit : ‘Nous ne permettrons pas l’expansion de l’OTAN jusqu’à un point où l’OTAN toucherait notre frontière, en particulier en Ukraine et en Géorgie’. Nous considérons ces pays comme des chevaux de Troie pour la puissance militaire de l’OTAN et l’influence des États-Unis… ». Il a répété cet avertissement à maintes reprises, dans l’espoir d’éviter d’avoir à prendre des mesures pour nettoyer efficacement l’est de l’Ukraine de toute force d’opposition, quelle qu’elle soit, et de placer ses forces dans une position vis-à-vis de l’OTAN qui nous dissuaderait de toute nouvelle tentative pour influencer ou transformer l’Ukraine en une plate-forme pour la projection de la puissance américaine et occidentale en Russie. Son objectif – à ce jour – est de s’emparer de toute la partie orientale de l’Ukraine (à l’est du Dniepr) et il a traversé le fleuve là où il se prépare à investir la ville de Kiev.

À ce stade, Poutine doit décider de ce qu’il veut faire de plus. Je ne pense pas qu’il veuille aller plus à l’ouest. Mais il aimerait être sûr que ce qui émergera de cette Ukraine… sera « neutre », non aligné et, de préférence, favorable à Moscou. Ça, il l’acceptera. Si ce n’est pas le cas, sa guerre n’aura été qu’une perte de temps ».

Ce que nous pouvons déduire de cette courte interview :

  • La Russie va l’emporter et l’Ukraine va perdre.
  • L’Ukraine va être divisée. Poutine va créer le tampon dont il a besoin pour assurer la sécurité de son pays.
  • Quiconque gouvernera la partie occidentale de l’Ukraine devra déclarer sa « neutralité » (par écrit) et rejeter toute offre d’adhésion à l’OTAN. Ceux qui violeront cette promesse seront démis par la force.

Mais voici ce qui est important : tous les principaux acteurs de ce fiasco savaient dès le départ que l’Ukraine n’avait aucune chance de vaincre l’armée russe. C’était couru d’avance. Ce que nous voulons savoir, c’est pourquoi Zelenskyy n’a pas pris de mesures pour éviter la tragédie avant qu’elle ne se produise.

Répondre à cette question, c’est révéler « qui est vraiment Zelenskyy ».

Posez-vous cette question : Pourquoi Zelenskyy n’a-t-il pas négocié avec Poutine lorsqu’il en avait l’occasion ? Pourquoi n’a-t-il pas retiré ses 60 000 soldats de l’Est ? Pourquoi n’a-t-il pas arrêté les livraisons d’armes de Washington ? Pourquoi n’a-t-il pas appliqué le traité de Minsk ? Pourquoi n’a-t-il pas rejeté l’offre d’adhésion à l’OTAN ?

Enfin, pourquoi était-il si déterminé à faire ce qu’il savait être une source de colère pour Moscou et accroître la probabilité d’une guerre ?

Il n’est pas difficile de répondre à ces questions.

Zelensky a agi sur ordre de Washington depuis le début. Nous le savons. Il a également mis en œuvre l’agenda de Washington, pas le sien et certainement pas celui de l’Ukraine. Nous le savons aussi. Mais cela ne l’exonère pas de sa responsabilité. Après tout, c’est un adulte capable de distinguer le bien du mal. Il sait ce qu’il fait, et il sait que c’est mal ; pire que mal, c’est inexcusable. Il envoie des hommes mourir dans une guerre dont il sait qu’ils ne peuvent pas la gagner ; il inflige des souffrances et des blessures incalculables à son propre peuple sans aucune raison ; et – le pire de tout – il a ouvert la voie à la dissolution de l’Ukraine elle-même, le pays qu’il avait juré de défendre. Ce pays va être brisé en morceaux dans le cadre d’un règlement final avec la Russie, et Zelenskyy aura une bonne part de responsabilité.

Comment un homme comme lui peut-il vivre avec lui-même ?

https://www.unz.com/mwhitney/the-man-who-sold-ukraine/

Traduction: MP




2 heures d’interviews avec les Drs Nicole et Gérard Delépine et le film « Cancer – Business mortel ? »

[Source : class.alternative-academy.net]

RENCONTRES REMARQUABLES 2

2 HEURES D’INTERVIEWS. DR NICOLE ET GERARD DELEPINE : LES ENFANTS SACRIFIÉS DU COVID 

ET LE FILM CANCER BUSINESS 

LIEN D’INSCRIPTION
https://bit.ly/3pAQF4e

Cette histoire commence dans les années 80 quand le Dr Gérard Delépine s’intéresse aux cancers des os avec l’équipe du Pr Georges Mathé pour éviter les amputations, puis les Drs N et G Delépine découvrent les travaux du Pr Gerald Rosen, États-Unis. Concernant le cancer des os, ses résultats sont excellents, 80% de chance de survie.
Dans l’ostéosarcome, le Pr Rosen utilise le méthotrexate à haute dose, un agent de la classe des antimétabolites, en adaptant ce traitement à chaque patient, en fonction de son âge et de sa maladie et en l’associant à d’autres drogues.

Une médecine individualisée, car chaque personne et chaque cancer sont différents.
Nicole et Gérard se plongent dans la littérature internationale et progressivement ils vont avec leurs équipes utiliser ces protocoles et le Dr Gérard Delépine va mettre au point les techniques de chirurgie conservatrice.

Gérard Delépine, un as de la chirurgie orthopédique, refuse l’amputation des enfants et va inventer une « prothèse de croissance  » munie d’une vis, elle permet de remplacer le morceau d’os atteint par le mal en respectant la croissance de l’enfant. Il évite ainsi l’amputation dans plus de 95% des cas.
Il faut rappeler qu’à cette époque, l’amputation se pratique quotidiennement dans la plupart des hôpitaux français.
Grâce à cette synergie chimio et chirurgie, les drs Delépine obtiennent d’excellents résultats avec un taux de guérison approchant 90% dans ce type de cancer.

Sauf que, leurs résultats ne plaisent pas à tout le monde…

Le service du Dr Nicole Delépine devient alors la dernière chance pour beaucoup de patients condamnés à une amputation ou à la mort.

Le combat continue pour eux aujourd’hui avec l’affaire covid.






Les francophones avalent-ils la propagande médiatique rose sur l’Ukraine et Zelensky ?

[Compilé par Nicole]




Ukraine : Asselineau répond à Macron

[Source : Union Populaire Républicaine]




La vérité sur la révolution ukrainienne : des nazis soutenus par les USA !

[Source : Forces Françaises Libres 2.0]

Comment les USA ont organisé un coup d’État en Ukraine avec l’aide des partis néonazis afin de séparer ce pays et l’Europe de la zone d’influence russe. La révolution ukrainienne qui a renversé le gouvernement ukrainien élu n’avait rien de spontané et de populaire.

Les États-Unis sont prêts à toutes les alliances afin d’arriver à leur fin et déstabiliser leurs adversaires ; comme avec les néonazis en Ukraine et les islamistes de Daesh en Syrie et Irak.




Ukraine : éviter la Guerre mondiale

[Source : solidariteetprogres.fr]

Documentaire sur les origines de la « crise ukrainienne », le véritable rôle de l’Occident, le risque de conflit mondial et l’alternative de la Paix par le développement entre l’Europe et l’Asie…

Il n’y a aucune raison pour [intégrer les pays d’Europe de l’Est dans l’OTAN]. Personne ne menace qui que ce soit. Bien sûr que les Russes réagiront de manière négative, et alors les [partisans de l’expansion de l’OTAN] diront : nous vous avons toujours dit comment sont les Russes.

Georges Kennan, ancien ambassadeur américain en URSS, 2 mai 1998.

Pour appronfondir

Les cartes


Jacques Cheminade sur Russia Today


Helga-Zepp LaRouche sur CCTV : relancer la Route de la soie ouvrira une nouvelle ère

https://solidariteetprogres.fr/nos-actions-20/partenaires/helga-zepp-larouche-sur-cctv.html


Sur la Vraie Amérique de Lincoln & Co.

https://solidariteetprogres.fr/documents-de-fond-7/histoire/pont-terrestre-eurasiatique-abraham-lincoln-henry-carey.html




L’OMS signe un contrat avec Deutsche Telekom pour la création d’un certificat vaccinal numérique mondial

[Source : echelledejacob]

Alors que le monde se concentre sur le conflit russo-ukrainien, l’OMS s’est discrètement associée à Deutsche Telekom pour développer un certificat numérique mondial COVID-19.

Le contrat entre l’agence mondiale de la santé et la société de télécommunications vise à utiliser un logiciel basé sur un code QR pour afficher les preuves de vaccination partout dans le monde.

En plus des injections expérimentales de COVID-19, l’application inclura d’autres vaccinations que l’OMS juge nécessaires pour la population mondiale.

Le partenariat public-privé entend construire l’infrastructure numérique pour obliger les citoyens à « montrer leurs papiers » partout sur la planète.

Une autre «théorie du complot» confirmée pour ceux qui ont mis en garde contre les pass de vaccins numériques au cours des deux dernières années. 

Reuters a rapporté :

L’Organisation mondiale de la santé a signé un contrat avec T-Systems, filiale de Deutsche Telekom (DTEGn.DE), pour créer une solution logicielle de vérification électronique mondiale des certificats de coronavirus, a indiqué la société de télécommunications.

La solution logicielle basée sur le code QR sera également utilisée pour d’autres vaccinations, telles que la poliomyélite ou la fièvre jaune, a déclaré T-Systems dans un communiqué mercredi, ajoutant que l’OMS soutiendrait ses 194 États membres dans la mise en place d’une technologie de vérification nationale et régionale. .

Les détails financiers de la transaction n’ont pas été divulgués.

« La santé est un domaine de croissance stratégique pour T-Systems », a déclaré Adel Al-Saleh, PDG de T-Systems.

T-Systems a précédemment travaillé avec SAP (SAPG.DE) pour développer l’application allemande de traçage et de vérification Corona-Warn-App et un système de vérification numérique des vaccins COVID-19 à l’échelle européenne.

Les Américains ont également travaillé sur un laissez-passer national pour les vaccins, qui s’est déployé dans environ la moitié du pays :




L’Ukraine, Zelensky et la Grande Réinitialisation

[Source : evangelicaldarkweb.org]

Par Ray Fava

Le narratif à l’emporte-pièce entourant le conflit en Ukraine est similaire en taille et en portée aux narratifs dont nous avons été nourris au cours des deux dernières années. Bien que cette guerre soit en gestation depuis 2014, son utilisation par les médias consiste à ignorer la tyrannie abjecte du Canada et des nations occidentales et à se rallier à la défense de la « liberté » en Ukraine. En outre, de nombreux Américains ont l’impression qu’une invasion à grande échelle a eu lieu, mais les reportages réels sur le terrain semblent beaucoup plus limités. L’Ukraine ne voit pas une tentative de répéter l’opération Barbarossa. Au contraire, il ne semble pas que la Russie ait encore déployé le gros de ses forces dans le conflit.

De plus, Zelenksy est considéré comme le George Washington ukrainien. Cependant, son parcours en tant que personnalité de la télévision, bien que similaire à celui de Donald Trump, est le point final des comparaisons. Zelensky n’est pas un outsider. Il a été préparé pour la politique, et l’Ukraine a été préparée pour le recevoir, par des individus avec des poches profondes et des relations.

L’infâme fondation placée à l’origine en Ukraine par le Nouvel Ordre Mondial dans le but d’aider la transition vers la démocratie, vers une économie de marché est devenue une sorte de gouvernement parallèle lançant immédiatement une série de projets dans différents domaines sans jamais vraiment aider le pays et donnant finalement le rôle de président de l’Ukraine, en fonction depuis mai 2019, à un comédien/clown appelé Volodymyr Zelenskyy, qui a fait sa fortune apparente avec une série télévisée ukrainienne de comédie satirique politique mais qui était secrètement financée par un ami de Soros, l’oligarque ukrainien Igor Kolomoisky. Son nom est apparu dans les révélations faites grâce à l’enquête des Pandora Papers, la plus grande collaboration journalistique au monde, impliquant plus de 600 journalistes, qui a démasqué les propriétaires cachés de sociétés offshore, de comptes bancaires secrets, de jets privés, de yachts, de manoirs et d’œuvres d’art précieuses d’un groupe de personnes influentes de l’élite du Nouvel Ordre Mondial. Plus de 100 milliardaires, 29 000 comptes offshore, 30 dirigeants actuels et anciens et 300 fonctionnaires ont été cités dans les premières fuites d’octobre 2021 qui ont poussé de nombreux gouvernements à lancer leurs propres enquêtes sur les activités financières révélées dans les documents.

L’enquête mondiale a été lancée à la suite d’un exposé massif réalisé par le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ), incluant le travail des journalistes du média ukrainien Slidstvо.Info, qui a établi un lien entre les transactions financières douteuses de la société de production télévisuelle de Zelensky, Studio Kvartal 95, et l’oligarque ukrainien Igor Kolomoisky susmentionné. Slidstvo a découvert que l’argent blanchi passait par la succursale chypriote de la Privatbank, propriété de Kolomoisky, selon les forces de l’ordre.

Il y a dix ans, les populaires Kvartal 95 ont commencé leurs émissions sur la chaîne de télévision ukrainienne 1+1, propriété d’Igor Kolomoisky. Leurs émissions et programmes étaient des succès sur la chaîne appartenant à Kolomoisky, qui soutiendra plus tard Zelensky et l’équipe, non seulement en tant qu’artistes mais aussi en tant que politiciens, prétendument en vertu de suggestions faites par nul autre que George Soros lui-même. Aujourd’hui, Kolomoisky est une personne d’intérêt dans des enquêtes en Ukraine, en Grande-Bretagne et aux États-Unis, qui en ignoreront probablement les résultats.

Depuis 2019, l’Ukraine a connu un changement de rhétorique plus que de véritables réformes pour aider la nation en difficulté. Armstrong Econocis note :

Le gouvernement ukrainien Zelensky est en train de devenir un tyran impitoyable. Il a également emprisonné le chef de l’opposition Viktor V. Medvedchuk, qui était député du peuple ukrainien depuis le 29 août 2019. Medvedchuk est le président de l’organisation politique pro-russe  Ukrainian Choice  et un opposant à l’adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne. D’un point de vue économique, l’adhésion de l’Ukraine à l’UE reviendrait à remplacer un gouvernement autoritaire par un autre. Même l’UE a demandé à Zelensky de libérer Medvedchuk.

De plus, l’ascension de Zelensky correspondait à une loi linguistique ciblant spécifiquement les Ukrainiens russophones.

Zelensky est un tyran, et ses liens avec George Soros et Igor Kolomoisky le rendent très certainement indigne du soutien américain. En  janvier 2020, Volodymyr Zelensky s’adresserait au Forum économique mondial, alias la Grande réinitialisation incarnée. Son utilisation inquiétante de l’expression « nouvelle normalité » avant mars 2020 ainsi que ses appels au changement climatique et à Greta Thunberg montrent que Zelensky est en phase avec la Grande Réinitialisation.

Le soutien de Zelensky à la Grande réinitialisation ainsi que sa tyrannie en Ukraine font de lui un ennemi des conservateurs américains. Et bien que Poutine ne soit pas à l’abri des accusations de Grande réinitialisation, les Américains devraient réfléchir à la manière dont le Forum économique mondial veut utiliser ce conflit pour remodeler l’humanité et occultr la tyrannie des gouvernements occidentaux qui ont soutenu leur narratif. La guerre en Ukraine a apparemment opposé les nations de la Grande réinitialisation à des nations anti-Grande réinitialisation comme la Russie et la Biélorussie. Et bien que je ne postule pas que l’ennemi de mon ennemi est mon ami, il est clair que l’Ukraine n’est pas un ami.




Première victoire de l’armée russe : liquidation totale des QR Codes à Moscou et d’autres restrictions globalistes

[Source : Russie politics]

Par Karine Bechet-Golovko

L’armée russe remporte une première véritable victoire intérieure dans ce combat contre la domination globale atlantiste, avec l’oukase de ce jour adopté par le maire de Moscou, qui annule les QR Codes dans toute la capitale et revient sur plusieurs restrictions importantes issues du régime global covidien. Le jour où le port du masque ne sera plus obligatoire, la population sera libérée. Ce jour viendra !

La Russie a fait son choix et manifestement il n’est plus de bon ton de jouer à SOS-Covid, à contraindre sa population en attendant la reconnaissance du vaccin russe et de pouvoir jouer dans la « cour des grands ». Le réveil de la Russie a inévitablement conduit à la remise en cause de mesures globalistes, il y a désormais d’autres priorités. 

Avant cet oukase, très rapidement, comme par magie, au début de l’opération militaire russe en Ukraine, il a déjà été annoncé que les soins courants hospitaliers, qui selon les dires de Sobianine avaient été réduit à 40%, étaient rétablis dans leur intégralité. Désormais, à compter du 3 mars, les QR Codes s’effondrent dans la capitale et les gens doivent sortir du distanciel pour revenir au travail, revenir dans le réel. Les personnes de plus de 60 ans ne sont plus soumises à un régime d’auto-isolement et peuvent reprendre une activité normale. Plus aucune limitation ne concerne les théâtres ou les cinémas, les bars et les restaurants, les événements sportifs et culturels ne sont plus l’objet d’aucunes limites.

Cet oukase entraîne de facto la chute de la vaccination obligatoire, qui était également de facto imposée.

Nous écrivions que cette guerre était lancée, certes en Ukraine, mais contre la domination globaliste, qui impose ses règles et son régime dans le monde. En voici une des confirmations. Et la Russie est amenée, si elle veut remporter ce combat, à nettoyer ses forces à l’intérieur, qui, comme nous le voyons, sont nombreuses à avoir suivi les sirènes du monde global et ne voudront à aucun prix y renoncer. Ces forces ont toujours préféré sacrifier leur pays, à leurs ambitions. Elles l’on déjà fait à deux reprises.

La population russe sera libérée de ce fléau, lorsque toutes les restrictions idéologiques adoptées sous couvert sanitaire en raison du Covid seront annulées. Ce jour viendra, la Russie n’a plus le choix, puisqu’elle est entrée de plein-pied dans le combat.




Héros de guerre ou coupable de haute trahison ? Un chef d’État au service de ses concitoyens ou à la solde d’une puissance étrangère ?

Par Alain Tortosa

[Citation de l’illustration : https://citation-celebre.leparisien.fr/citations/122781]

  • Imaginez un pays…
    • Un pays à la surface ridicule à l’échelle des grands pays de la Planète.
    • Un pays dont le nombre d’habitants serait ridicule au regard du nombre d’habitants des grands pays.
    • Un pays dont les ressources minières seraient ridicules.
    • Un pays qui aurait bradé son industrie.
    • Un pays qui n’aurait même plus d’autonomie alimentaire.
    • Un pays dont l’indépendance politique (et commerciale) serait ridicule…
    • Un pays dont la dette serait d’environ 3000 milliards d’euros soit plus de 100 % de son PIB.
    • Un pays dont plus de la moitié des créanciers seraient étrangers.
    • Un pays dont les moyens de défense conventionnels seraient ridicules.
    • Un pays qui posséderait néanmoins l’arme nucléaire, mais qui ne pourrait l’utiliser sans devenir le pays qui aurait entraîné la fin du monde.
    • Un pays qui aurait un passé… et une matière grise.

J’imagine que vous auriez tendance à dire que j’exagère et que si ce pays existait, vous diriez « les pauvres, ils n’ont pas beaucoup de chance, comment ont-ils pu en arriver là ! »

  • Imaginez une superpuissance…
    • Un pays qui aurait une surface inouïe.
    • Un pays qui aurait des ressources minières importantes comme le platine ou le cobalt.
    • Un pays qui serait le 3e exportateur mondial de céréales.
    • Un pays qui posséderait d’immenses quantités de pétrole et de gaz.
    • Un pays qui serait indépendant politiquement.
    • Un pays dont la dette serait… nulle… 0…
    • Un pays qui aurait la 3e armée du monde.
    • Un pays qui aurait 6000 ogives nucléaires.

Si ce pays existait, j’imagine que vous auriez tendance à dire « ben il vaut mieux être copains avec eux ! »

  • Imaginez que cette superpuissance…
    • se sentirait menacée par l’avancée de puissances étrangères ;
    • et qu’elle déciderait d’envahir un pays voisin pour, dirait-elle, « assurer sa sécurité ».

Si cette action était menée, vous pourriez dire « ce n’est pas bien, mais je comprends ».

  • Imaginez le Président du petit pays…
    • qui ne se contenterait pas de dire au grand pays « ce n’est pas bien ; il faut arrêter ! »;
    • qui enverrait du matériel militaire létal au pays agressé ;
    • qui bloquerait les avoirs de la superpuissance ;
    • qui bloquerait les flux financiers ;
    • qui interdirait les échanges commerciaux avec la superpuissance ;
    • qui mettrait fin à toutes coopérations et échanges et qui chercherait à expulser tous les ressortissants ;
    • qui ferait tout pour la détruire économiquement (si, si, ce serait assumé) ;
    • qui censurerait les médias de la superpuissance pour empêcher son peuple d’entendre une autre vision du monde.

Vous diriez quoi, si un petit pays se lançait dans cette aventure ? « Mais ils sont dingues ceux là ! Comment un Président peut-il prendre (et sans consulter son peuple) de telles décisions aussi irresponsables ? »

  • Imaginez le discours du Président…

Ce chef d’État dirait à son peuple :

« Vous allez souffrir pendant de nombreuses années. »

« La sécurité que vous avez connue appartient au passé. »

« Vous allez payer la facture économique pendant des années. »

Vous diriez quoi ? « Comment son peuple peut-il accepter ? Comment peut-il applaudir ? »

  • Imaginez un chef d’État dont 100 % des décisions…
    • seraient contre l’intérêt de son peuple (à minima à court terme) ;
    • seraient contre son économie ;
    • seraient contre sa sécurité ;
    • seraient contre les libertés de son peuple ;
    • seraient contre l’image du pays à l’international et de sa neutralité.

Dont, pour résumer, AUCUNE des décisions ne serait au bénéfice de ce petit État et de ses habitants aussi bien à court terme qu’à moyen terme.

Les seuls bénéficiaires étant les marchands d’armes et les spéculateurs.

Et, de plus, dont les décisions seraient au bénéfice exclusif géopolitique et commercial d’un autre géant dont le modèle politique est une dictature.

  • Imaginez le parlement et l’opposition de ce petit pays…
    • dans lequel le parlement ne s’opposerait jamais aux décisions de son Président ;
    • dans lequel l’opposition serait toujours d’accord avec les grandes lignes ;
    • dans lequel la justice n’irait jamais à l’encontre des lois privant ses citoyens de libertés fondamentales ;
    • dans lequel il n’y aurait aucun média d’opposition et la censure serait reine.

Alors…

Si vous étiez citoyen de ce petit pays imaginaire, imaginaire, car une telle folie ne peut être crédible…

Si vous étiez citoyen de ce petit pays, vous diriez quoi de votre Président ?

Affirmeriez-vous que ce Président imaginaire est un héros de guerre, un rempart pour vous protéger, le garant de votre sécurité, de votre bien-être et de vos libertés ?

Ou

Affirmeriez-vous que ce Président imaginaire est un traître à la Nation et envers son peuple, qu’il est coupable de haute trahison et d’intelligence avec l’ennemi ?

Je vous laisse à vos réflexions…

Hélas ! l’Histoire prouve que les propagandes aveuglent les peuples qui ne sont plus capables de discerner le vrai du faux, le bien du mal et l’héroïsme de la trahison.

Heureusement, et Dieu nous en préserve, un tel pays et un tel Président ne sauraient exister.

Merci

Alain Tortosa

3 mars 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220303-heros-de-la-nation-ou-coupable-de-haute-trahison.pdf




Armée ukrainienne hors de combat

[Source : Stratpol via RI]

Par Xavier Moreau.

  • 02:37 Situation militaire en Ukraine
  • 13:10 Négociation en cours
  • 14:06 Livraison d’armes et gangstérisme
  • 19:25 Désoligarchisation
  • 20:30 Stalingrad idéologique pour l’occident



L’Europe fait un incroyable COUP D’ÉTAT en surfant sur la guerre d’Ukraine !

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]




Alors, expliquez-nous : le sport, c’est politique ou non ?

Par Ahmed Bensaada

Mais, bon sang, pourquoi nous a-t-on bassiné les oreilles depuis des lustres avec cette phrase creuse brandie comme un principe céleste ?

« Il ne faut pas mélanger le sport et la politique ! » : le « Premier Commandement » du grimoire sportif, récité ad nauseam par les chamans du sport mondial !

Il fallait nous le dire que ce slogan n’était pas valable pour tout le monde, qu’il ne s’appliquait pas du tout aux pays occidentaux ou considérés comme tels, car « génétiquement » différents. Il fallait nous informer que seuls les pays du tiers-monde étaient visés et que ces chamans, serviteurs du Temple du Sport, étaient les intercesseurs entre les Dieux de la politique otanesque et nous, pauvres humains de seconde zone, rendus addicts aux JO et autres jeux à la baballe.

Selon l’AFP, le « monde sportif » a réagi très rapidement, à peine « quelques heures après l’invasion de l’Ukraine par l’armée russe jeudi ». Réaction rapide ou arc réflexe ?

La suite ? Un déluge de déclarations, d’indignations, d’interdictions et de bannissement de tout ce qui touche le sport russe ! De mémoire d’être humain, on n’a jamais rien vu de pareil !

En matière de football, l’UEFA (Union of European Football Associations) n’y est pas allée par quatre chemins : déplacement de la finale de la Ligue des champions initialement programmée à Saint-Pétersbourg. Puis, conjointement avec la FIFA (Fédération Internationale de Football Association), la décision d’exclure tout simplement la Russie « de toutes ses compétitions internationales» a été prise, la Pologne ayant refusé de jouer son match de barrage contre la Russie.

À ce sujet, un petit rappel historique s’impose.

En 2013, l’organisation du championnat d’Europe (sic) de football de moins de 21 ans a été octroyée à Israël. Dans le but, sans doute, de les remercier pour l’opération « Plomb durci » de 2009.  Vous vous rappelez ce massacre perpétré par l’État hébreu ?  Le voici en quelques chiffres : 1417 tués, dont 926 civils (313 enfants et 116 femmes). Les armes utilisées ? Phosphore blanc, DIME, GBU-39, …

Était-ce fini ? Oh que non ! Un autre massacre en 2012. En voici un compte rendu publié par Le Monde Diplomatique :

« […] les 8 et 11 novembre, soit quelques jours avant le début de l’opération militaire « Pilier de défense » contre la bande de Gaza (14-21 novembre 2012, plus de 180 morts du côté palestinien, en grande majorité des civils, dont une cinquantaine d’enfants) —, quatre adolescents étaient tués par des bombardements israéliens alors qu’ils jouaient au ballon rond à Gaza […] »

Cela n’avait pas du tout dérangé Michel Platini qui était à l’époque président de l’UEFA et accessoirement escroc professionnel.  Le 29 novembre 2012, soit quelques jours après l’attaque meurtrière, il alla « luncher » avec le président israélien, Shimon Peres. Peut-être ont-ils pris le temps, entre deux petits fours, de disserter sur la marque du ballon utilisé par les enfants trucidés par Tsahal ?

Au milieu du tollé suscité par le choix du pays hôte pour cet évènement sportif, une délégation de militants s’est rendue au siège de l’UEFA pour manifester son opposition et demander des explications. Platini leur a répondu :

« le sport ne peut se mêler de politique, c’est pourquoi l’UEFA n’envisage pas de prendre des sanctions contre Israël ».

Ah, ce sacré Platini ! Un véritable dribbleur !

Alors, quand il s’agit d’Israël, cet état assassin, ce régime qui pratique l’apartheid contre les Palestiniens, ce système cruel de domination et de crime contre l’humanité, aucune sanction ! En toute honnêteté, je voudrais mentionner que la phrase (soulignée) qualificative de l’État hébreu n’est pas de moi, mais figure dans le titre d’un récent rapport d’Amnesty International. Comme quoi, tout le monde est au courant, n’est-ce pas ? Platini aurait-il été soudoyé par le Mossad, par hasard ?

Rapport d’Amnesty International (2022)
Cliquez sur l’image pour lire le rapport

Alors sanction pour la Russie et « no sanction » pour Israël ?

Les massacres des Palestiniens et la colonisation de leurs terres n’ont jamais cessé depuis ce championnat. Cela n’a pas empêché le président de la FIFA, Gianni Infantino, de rêvasser béatement. À quoi exactement ? À l’organisation de la coupe du monde de football 2030 par Israël ! Et pourquoi pas ? La vie d’un Palestinien ne vaut-elle pas celle d’un Ukrainien ? Un teint basané et des cheveux frisés ne valent pas une peau blanche et des cheveux blonds, n’est-ce pas M. Infantino ?

Et on me dit que vous en avez même discuté avec le Premier ministre de ce pays dont le sport national est « le tir sur les Palestiniens ». Et dire que c’est vous qui avez banni la Russie de la prochaine coupe du monde ! Il y a un petit problème où c’est moi qui louche ?

Alors messieurs les chamans, le sport c’est politique, oui ou non ?

Si on peut appliquer des sanctions à la Russie, on pourrait bien les appliquer à Israël, et aussi aux États-Unis qui ont (entre beaucoup, beaucoup d’autres !) massacré des Irakiens et démoli leur pays après avoir agité un petit flacon de bicarbonate de soude à l’ONU. Et à la France qui a transformé un « no-fly zone » en destruction totale de la Libye, relançant ainsi le business de l’esclavage et du terrorisme. Et à tous ces pays, vassaux de Washington, qui sèment le chaos et la désolation en Syrie, au Yémen et dans d’autres contrées qui ne cherchent qu’à vivre en paix chez eux.

Si on suit ce type de raisonnement, TOUS les pays de l’OTAN devraient être bannis de TOUTES les compétitions sportives ad vitam æternam.

Outre le football, le Comité international olympique (CIO) a aussi bombé ses muscles : il faut exclure les athlètes russes ! Pas un, pas deux. Tous et dans tous les sports !

Voyons donc M. Thomas Bach, président du CIO, n’est-ce pas vous qui avez « rappelé à l’ordre » (Wow, quel courage), il y a moins de deux semaines, les organisateurs des JO de Pékin 2022 lorsqu’ils ont « dénoncé des mensonges concernant la situation des droits de l’homme au Xinjiang » ? Ne leur avez-vous pas rappelé le « Premier Commandement » du grimoire sportif. « Il ne faut pas mélanger le sport et la politique ! », leur avez-vous héroïquement martelé !  Et cela a fait les manchettes de vos médias mainstream qui nous montrent leur hideux visage de la désinformation raciste, servile et institutionnalisée.

En juillet 2021, la Fédération internationale de Judo (IJF) a sanctionné le judoka algérien Fathi Norine, mettant abruptement fin à sa carrière. Une suspension de 10 ans pour avoir refusé d’affronter un judoka israélien lors des derniers JO de Tokyo. L’Algérie, n’ayant aucune relation diplomatique avec l’État sioniste, il a décidé de s’aligner sur la politique officielle de son pays qui est opposé à toute normalisation avec Israël aussi longtemps que les droits ancestraux des Palestiniens ne soient pas respectés. Y a-t-il un geste aussi noble que celui-ci ? Sacrifier sa carrière et celle de son entraîneur pour une cause juste, humaniste et conforme aux résolutions de l’ONU.

Le sport est-il contre le droit international ?

Le sport est-il contre la politique officielle des pays membres des fédérations internationales ?

Le sport ne promeut-il pas dans sa charte les valeurs humanistes ?

Le sport est-il à la solde de l’OTAN et de sa politique belliqueuse et funeste ?

Le sport participe-t-il à la mission colonisatrice et discriminatoire d’Israël ?

Vous devinez ce qui suit : M. Marius L. Vizer, président de l’IJF, sanctionné la Russie (lui aussi !) pour son intervention en Ukraine. Dans une page baptisée « Judo for Peace », il a annoncé « avec regret l’annulation du Grand Chelem 2022 à Kazan, en Russie, qui devait se tenir du 20 au 22 mai 2022 ».

Dites-moi, tonton Marius, y aurait-il un « Judo for Peace » pour la Palestine et pour tous les Norine de ce monde qui se battent sur le tatami de la justice internationale ?

Norine n’a tué personne contrairement à l’État hébreu qui a enlevé la vie, les rêves et les oliviers de générations de Palestiniens.

Norine se bat pour que des jeunes Palestiniens pratiquent un sport au lieu de finir dans des fosses communes ou sous les décombres de leurs écoles.

Ahmed Bensaada

https://www.ahmedbensaada.com/index.php?option=com_content&view=article&id=604%3Aalors-expliquez-nous-le-sport-cest-politique-ou-non&catid=46%3Aqprintemps-arabeq&Itemid=119&fbclid=IwAR3jipmoFC-tV4-EFZlNWHp2jd2JT5Kz6kF4n–HFZ87FGvGs8OKmUbeibg

Alors, maudits chamans du sport mondial, le sport, c’est politique oui ou non ?




7 FAKE NEWS en provenance d’Ukraine

[Source : Sam La Touch]

Par Kit Knightly

7 FAKE NEWS en provenance d’Ukraine
Article originel :  7 FAKE NEWS stories coming out of Ukraine
Par Kit Knightly
Off Guardian, 27.02.22

Nous n’en sommes qu’au troisième jour de l’opération militaire russe en Ukraine, et pourtant les rouages de la propagande tournent à la vitesse de l’éclair, produisant des « nouvelles », des opinions et du contenu pour le moulin des médias.

Au cours des dernières 48 heures, des dizaines d’histoires, d’images, de récits et de vidéos ont circulé comme étant tirés des combats en Ukraine, dont un pourcentage énorme est faux.

Certains de ces cas peuvent être attribués à des malentendus, des erreurs d’identité, des erreurs d’attribution… mais la plupart sont probablement des tromperies délibérées conçues pour provoquer une réponse. Plongeons dans le vif du sujet.


1. « Le fantôme de Kiev »

Tôt vendredi matin, il a été signalé qu’un seul avion ukrainien, un MiG-29, patrouillait dans le ciel de Kiev. La presse anglophone a appelé le pilote anonyme « The Ghost of Kiev » (le fantôme de Kiev) et a affirmé qu’il avait abattu six jets russes en combat aérien en moins de deux jours, ce qui faisait de lui un as officiel de la chasse, et probablement l’un des plus rapides à obtenir ce titre.

Le problème est qu’il n’y a pratiquement aucune preuve que cela se soit produit. Pour citer Newsweek :

    Il n’y a aucune preuve que le « fantôme de Kiev » existe ».

Aucun des deux camps ne peut confirmer que la Russie a perdu six avions au total, et encore moins qu’elle en a perdu un en une seule journée. Et une vidéo censée montrer « le fantôme » au combat – partagée par les forces armées ukrainiennes – est confirmée comme étant en fait une séquence tirée d’un jeu vidéo.

Néanmoins, il a déjà sa propre page Wikipedia. Un témoignage de la rapidité avec laquelle un mensonge peut se déplacer alors que la vérité met ses bottes.

2. « Des avions russes survolent Kiev »

De nombreuses personnes ont partagé une courte vidéo d’avions russes qui survoleraient à basse altitude la ville de Kiev. Le Times en a utilisé une image dans son article « Les sanctions vont-elles arrêter un obus russe ? » :

7 FAKE NEWS en provenance d'Ukraine (Off Guardian)

Le problème avec ça, c’est que ce n’est pas Kiev, c’est Moscou. Et ce n’est pas aujourd’hui, c’est il y a deux ans. Il s’agit d’une séquence de ce qui est probablement une répétition pour le survol du défilé de la Victoire de 2020.

3. « Zelenskiy visite les troupes »

Aucun politicien dans l’histoire n’a eu un changement de relations publiques aussi rapide que Vlodomyr Zelenskiy. La semaine dernière, il n’était qu’un type quelconque, cette semaine il est un héros de guerre, on parle de lui construire des statues. Un appel téléphonique (pas du tout mis en scène) qui a fait l’objet d’une « fuite » l’a vu refuser l’offre étatsunienne d’un transport aérien vers un lieu sûr.

Sur Twitter, de nombreuses personnes partagent des photos de lui en treillis de combat, le comparent favorablement à Trump et Trudeau et demandent « quels autres dirigeants se battraient aux côtés de leurs troupes ? ».

Mais le problème, c’est que les photos datent toutes de près d’un an et ont été prises lors de sa visite aux troupes en avril dernier :

7 FAKE NEWS en provenance d'Ukraine (Off Guardian)

4. « Explosion de la centrale électrique de Luhansk »

Au début de la confrontation, cette vidéo a commencé à faire le tour des médias sociaux :

https://twitter.com/OakRedhammer/status/1496716492276002816

La vidéo est devenue virale, recevant des centaines de milliers de vues. Des centaines de comptes l’ont partagée, même les grands réseaux d’information l’ont utilisée, tous affirmant qu’elle montre une centrale électrique à Luhansk qui explose après avoir été frappée par des missiles russes.

Ce n’est pas le cas, il s’agit d’une usine chimique qui explose à Tianjin, en Chine, en 2015.

Tianjin , China explosion 2015

5. Jeux vidéo. encore

Cette séquence, prétendant montrer des forces terrestres ukrainiennes abattant des avions russes, est également devenue virale récemment, apparaissant même dans les journaux télévisés espagnols :

Elle est tirée du jeu  ARMA 3 :

[Vidéo de présentation du jeu]

6. « Navire de guerre russe va te faire foutre »

C’est le premier grand récit de propagande qui a suivi l’avancée de la Russie sur le territoire ukrainien. Une fuite audio aurait montré des gardes-frontières ukrainiens sur la petite île des Serpents, dans la mer Noire, communiquant avec un navire de guerre russe. Après avoir reçu l’ordre de se rendre, les gardes disent : « Navire de guerre russe, va te faire foutre ».

La presse occidentale a rapporté que les 13 hommes avaient été tués, et le gouvernement ukrainien a publié une déclaration indiquant qu’ils recevraient tous des honneurs posthumes.

Cependant, alors que les héros supposés morts au combat étaient canonisés dans tout le monde occidental, la Russie rapportait qu’ils n’avaient pas été tués du tout, mais ramenés vivants et indemnes sur le continent.

Une information que la presse et le gouvernement ukrainien ont depuis admis à contrecœur comme probablement vraie.

7. Images de frappes de drones syriens

Une autre vidéo qui circule, et qui est à nouveau partagée par les comptes officiels ukrainiensest une séquence de drone censée montrer la destruction d’une colonne de véhicules russes.

7 FAKE NEWS en provenance d'Ukraine (Off Guardian)

Il s’agit en fait d’images d’une frappe de drone turc en Syrie datant de 2020.

Pendant ce temps, d’autres comptes partageaient des images de combats en Libye ou de bombardements israéliens à Gaza sous le hashtag #StandWithUkraine. Middle East Eye en a dressé la liste.

C’est une assez belle ironie que tant de clips suscitant l’indignation des libéraux occidentaux proviennent en fait de guerres que leurs gouvernements ont déclenchées.


Nous y voilà, sept histoires sur la guerre en Ukraine qui sont manifestement fausses, et ce n’est que la partie émergée de l’iceberg.

Il y a des tonnes d’autres faux, sans parler des faux de faux conçus pour discréditer les sceptiques ou simplement semer le chaos.

En fin de compte, tout cela nous rappelle opportunément que la propagande est plus puissante lorsque les nouvelles vont vite et que les gens sont émotifs.

C’est pour cette raison que les médias attisent la peur, l’anxiété et la haine, car les personnes dans cet état émotionnel sont moins susceptibles d’avoir un esprit critique.

Il va sans dire que cela est également vrai pour les deux camps. Nous ne devrions pas accepter aveuglément les affirmations de la partie russe, simplement parce que nous savons que l’OTAN ment. Les deux parties font de la propagande, et le scepticisme aveugle n’est qu’une autre forme de partialité.

En bref, si vous voyez quelque chose destiné à provoquer une réaction émotionnelle, ne vous laissez pas faire. Ne vous laissez jamais entraîner par le récit, gardez toujours du recul, restez calme et posez des questions rationnelles.

Refusez de croire, exigez des faits. C’est le seul moyen de garder votre esprit libre.

Ou, pour citer HL Mencken :

« Ne croyez jamais tout ce que vous entendez, et seulement la moitié de ce que vous voyez. »

[Voir aussi :
Festival de désinformation sur l’Ukraine par les médias mainstream]




UKRAINE : Les vrais enjeux

[Source : politiquematin.fr]

Par Clémence Houdiakova

Pour mieux comprendre les enjeux de la crise en Ukraine, nous avons interrogé  Alexandre Del Valle, Géopolitologue, Chercheur-associé au CPFA et au Centre Français de Recherche sur le Renseignement, auteur de « La Mondialisation dangereuse » aux éditions L’Artilleur. Selon lui, la violence militaire de Vladimir Poutine peut être comprise comme celle d’un ours blessé tombé dans le piège OTANUSien. Mais, le piège peut aussi se refermer sur l’Occident : l’Ours russe décuplerait ses forces avec le Tigre chinois.

Clémence Houdiakova : Alors que les Russes ont lancé leur offensive militaire en Ukraine, comment expliquez-vous le passage à l’acte guerrier de Vladimir Poutine ? Vous qui avez publié récemment le livre « La Mondialisation dangereuse » aux éditions L’Artilleur, pensez-vous que les raisons de cette escalade des tensions soient moins régionales que mondiales ? 

Alexandre Del Valle : La réaction de Vladimir Poutine peut être comprise (hélas) comme celle d’un ours blessé, et encerclé, qui devient alors violent et hystérique.  C’est la réaction d’un leader d’une ancienne puissance impériale, traité comme le perdant de la guerre froide, traité par le mépris et désigné comme un paria. L’OTAN pointe ses missiles vers Moscou, et ne cesse de progresser dans le pré carré russe sans n’avoir jamais pris en considération les demandes du Kremlin depuis 1997, demandes qui partaient justement du principe de ne pas élargir l’OTAN au détriment de la sécurité et des intérêts russes.    Cette nouvelle Russie néo-impérialiste et irrédentiste de Vladimir Poutine n’est pas excusable. Rien ne permet de justifier cela.  Mais on ne peut pas comprendre ce qu’il s’est passé si on ne remonte pas à l’erreur originelle des pays de l’OTAN, Etats-Unis en tête, qui n’ont jamais accepté la main tendue pro-occidentale des dirigeants Eltsine et Poutine et qui, à partir de 2003, ont tout fait pour rendre hystérique et pousser la partie russe à commettre des erreurs, à se radicaliser en retour.    Désormais, la « prophétie négative » américaine russophobe est devenue une réalité, la Russie est de fait redevenue une menace. Une menace dont les Occidentaux sont co-responsables, mais cela permet bien à l’OTAN de retrouver sa raison d’être.  Bref, si le revanchisme agressif de Poutine n’est pas excusable, il est clair que les Occidentaux ont tout fait pour pousser le Kremlin dans ses pires retranchements. Or les trois grands stratèges de la guerre froide, Henri Kissinger, Zbigniew Brzezinski et même le concepteur de l’endiguement, George Kennan, ont déploré ces 20 dernières années, l’extension indéfinie de l’OTAN, les guerres en Irak, en ex-Yougoslavie, les révolutions orange et de couleurs en Géorgie ou en Ukraine et le refus systématique de Washington de donner des garanties de non-extension de l’OTAN vers l’Est. Ces avancées tentaculaires couplées à une diabolisation russophobe permanente ont déclenché les pires réactions russes, en interne (pouvoir autocratique) et à l’international (guerres en Géorgie, Ukraine, etc).   Si la Russie avait été intégrée à l’Occident et traitée en amie quand ses dirigeants (y compris Poutine jusqu’en 2003) voulaient se rapprocher des Etats-Unis, de l’Alliance atlantique et de l’Union européenne, alors l’OTAN – et donc son extension vers l’ Est, ses ventes d’armes et ses missiles pointés vers Moscou – n’aurait plus eu de raison d’ être. Car l’OTAN a été créée pour contrer Moscou et n’a jamais cessé de désigner la Russie comme son ennemi stratégique.  Pire, depuis les années 2000, les Etats-Unis ont remis en question les grands traités de désarmements et ont relancé une course aux armements qui a été suivie par la Russie. Il y a une sorte de coresponsabilité. Sans oublier les actions militaires américaines et atlantistes extrêmement meurtrières en Irak, en ex-Yougoslavie ou ailleurs qui n’ont rien à envier à l’occupation russe de l’Ukraine en termes de violations et de refonte des frontières de pays souverains puis de propagandes mensongères pour justifier les guerres…  Encore une fois, cela ne justifie rien, mais le contexte est celui-là. De là découle mon regrettable constat: les Occidentaux – États Unis en tête – ont préféré prendre le risque d’ une conflagration mondiale avec la Russie plutôt que de réformer l’Otan et renoncer à son extension tentaculaire vers l’Est sur « l’étranger proche russe », Moscou ayant toujours averti depuis les années 1990 que l’Ukraine était la « ligne rouge » absolue. D’ailleurs, Poutine avait lancé il y a six mois un ultimatum concernant les demandes de garantie de non-extension de l’OTAN à l’Ukraine et les Occidentaux n’ont hélas pas saisi cette opportunité de mettre fin à un contentieux de 30 ans et un casus belli maintes fois évoqué et connu depuis des années. On peut se demander pourquoi nos dirigeants n’ont pas respecté ces lignes rouges, pris au sérieux cet ultimatum, notamment en persistant de laisser la porte ouverte de l’OTAN aux Géorgiens et aux Ukrainiens et en les mettant ainsi de facto en danger et en conflit annoncé avec la Russie, sans pour autant aller le défendre une fois qu’on les a envoyé au charbon et fait miroiter l’eldorado occidentalo-atlantiste… Cette grande hypocrisie est apparue de manière flagrante dans le discours de Biden sur l’Ukraine dans lequel, après avoir laissé les Ukrainiens rêver d’OTAN, il a bien précisé qu’aucun soldat américain (ni occidental) ne mourra pour eux… 

Vous dénoncez, dans votre livre La mondialisation dangereuse, cette hypocrisie moraliste : elle serait, selon vous, à l’origine de nouvelles tensions internationales ?

J’analyse dans mon livre les aspects dangereux d’une mondialisation idéalisée par les Occidentaux. Les Etats-Unis, en particulier, et l’Occident atlantiste en général (Union Européenne incluse) ont en effet une prétention foncièrement universaliste et néo impériale extrêmement dangereuse qui passe par une volonté de répandre partout leur modèle libéral-libertaire et occidental-capitaliste-consumériste. Un modèle qui se décline, sur le Continent européen, par l’extension infinie vers l’Est de l’OTAN et de l’UE au détriment des pré carrés et « étrangers proches » de la Russie : celle-ci y voit depuis toujours une menace existentielle et même un casus belli. Ne pas en tenir compte peut participer d’une position de principe « morale », mais c’est aussi nier la « realpolitik » et cela rend le jeu diplomatique potentiellement explosif et extrêmement dangereux. 

Soulignons à ce sujet, que pour les mêmes raisons idéologiques moralistes-prosélytes et les mêmes propensions néo-impériales, l’Occident atlantiste a massacré des centaines de milliers d’innocents en Irak , avec autant de mensonges et manipulations d’ailleurs que les néo-impérialistes poutiniens… ce qui a donné à Poutine un prétexte et un précédent pour justifier ses propres dérives irrédentistes bellicistes actuelles.

Hélas les Occidentaux, prisonniers de leur moralisme néo-impérialiste et de leur vision  désuète de guerre froide, n’ont pu s’empêcher de répandre leur modèle sociétal et leurs institutions économico-politico-sécuritaires partout dans tout le continent eurasiatique, en empêchant tout rapprochement russo-européen, en vertu de la doctrine du Heartland et du Rimland des stratèges classiques anglo-saxons Mackinder et Spykman. L’OTAN ne fait que servir cet impératif géostratégique et il est lui-même facteur de conflits.

Vous décrivez d’ailleurs dans votre livre l’escalade et les étapes des tensions entre l’Occident et la Russie depuis quelques années :

Oui, après les contentieux fondateurs de 1999-2003-2004-2008 (guerre du Kosovo, Irak, révolutions orange et autres dans l’est européen puis crise géorgienne), la seconde révolution en Ukraine de 2014 (euromaidan), qui a consisté pour l’Occident à soutenir une révolte violente qui a fait fuir un président pro-russe élu démocratiquement, s’est soldée par la prise de la Crimée (2014), qui avait pour fonction russe de maintenir l’accès aux mers chaudes de la flotte russe (mer noire), mais qui aurait échappé aux Russes en cas d’adhésion future à l’OTAN. Ceci fut suivi par des tensions jamais réglées dans le Donbass, où les nationalistes ukrainiens ont refusé d’appliquer et respecter les accords de Minsk, dont l’importante question de l’autonomie et des droits culturels des régions russophones. 

La guerre y a fait déjà 14 000 morts.
Et l’ingérence occidentale dans cette guerre civile, qui a consisté à appuyer systématiquement les parties anti-russes, est co-responsable du pourrissement qui a éclos du drame actuel. 

Depuis 2014, le soutien russe aux séparatistes et l’annexion de la Crimée, certes inacceptables du point de vue du droit international, mais avalisé par les pro-russes d’Ukraine, ont déclenché des sanctions économiques qui n’ont pas fait faiblir Poutine et son clan au pouvoir mais l’ont au contraire ultra-radicalisé.
Dans le même moment, les dirigeants ukrainiens pro-occidentaux nouvellement élus n’ont pas été exhortés par les Occidentaux à respecter les accords de Minsk II ni les revendications des Russo-ukrainiens du Donbass, systématiquement attaqués par les forces armées ukrainiennes et des milices radicales. 

Ces sanctions ont permis aux Etats-Unis de réaliser leur rêve de dérussification de l’Europe de l’Est et de l’Ouest. Désormais, avec l’invasion de l’armée russe au Donbass et l’offensive militaire, fruit d’un piège tendu par Washington mais aux conséquences incontrôlables, les Etats-Unis ont atteint plus que leur objectif initial d’exacerbation d’un « ennemi utile »: les Russes sont devenus une vraie menace globale. L’OTAN est plus nécessaire que jamais et la Russie doit être mise au ban des nations puis privée de toute activité d’exportations d’hydrocarbures en Europe. L’Amérique est gagnante, mais elle ne contrôle plus les réactions et dérives possibles de l’ours blessé. 

Ces sanctions euro-américaines vont rendre bientôt illicite toute vente de gaz russe vers l’Europe de l’ouest, comme on l’a vu le 23 février dernier, avec la suspension du gazoduc russo-allemand  Nord Stream II. Les prochaines sanctions visent encore plus loin, les Etats-Unis et un grand nombre de pays européens envisagent de couper la Russie du réseau interbancaire Swift, un rouage essentiel de la finance mondiale. 
La Russie définitivement sortie du marché, les États Unis pourront alors augmenter leur exportation de gaz de schiste (écologiquement terrible et plus coûteux) vers l’Europe… Une exportation qui a doucement commencé depuis 2019, puisque 30 % du surplus de gaz de schiste américain est déjà exporté vers l’Europe! 

De ce point de vue, en devenant agressif et dangereusement irrédentiste, par revanchardisme et pour réagir au processus d’otanisation, on peut se demander si Poutine est un si grand stratège qu’on le dit. Il a fait ce que les Etats-Unis voulaient qu’il fasse et est sombré dans l’ubris. Un jeu dangereux et irresponsable pour les Américains comme pour les Russes à terme, et surtout terrible pour les Ukrainiens qui ont été envoyés au charbon sans assurance-vie, ni assistance de leurs parrains américains qui ne les ont galvanisés que pour encercler l’ennemi existentiel russe.

Derrière la guerre en Ukraine, on a donc également une guerre du gaz ? 

Oui, entre autres, mais pas seulement, bien sûr, les facteurs sont multiples en géopolitique. Répétons-le, Poutine n’a ni raison ni le droit de nier l’existence des frontières de l’Ukraine, pourtant reconnues par la Russie elle-même, depuis 1991. Il a commis une erreur irréversible. Mais cette dérive militariste-irrédentiste ressemble, selon moi, au résultat d’un piège tendu par les stratèges de Washington : ce conflit russo-ukrainien – qui date de décennies – et est redevenu explosif en mars 2021, lorsque déjà 130 000 soldats russes étaient postés le long de la frontière du Donbass, s’ajoute à d’autres facteurs de renchérissement du prix du gaz (reprise subite de la demande mondiale post-covid, etc) – ce qui a provoqué une augmentation inédite des prix de l’énergie il y a quelques semaines, avant même l’invasion.

Cette augmentation du prix du gaz rend plus rentable le GNL de schiste américain, très coûteux à produire et exporté par métaniers (fracturation hydraulique, transport maritime par métaniers couteux, liquéfaction et regassification).

La diabolisation-mise sous sanction de la Russie, permet aux compagnies de pétrole américaines de refourguer en Europe leur important surplus de gaz de schiste qu’ils n’auraient pas pu nous faire acheter en masse sans ce double contexte de remontée des prix par la demande mondiale, la crise et ces tensions extrêmes.
Le gaz américain y gagne en vertu. Il se présente désormais comme politiquement « vertueux », versus un gaz russe devenu « immoral ». 

Et ce n’est pas tout : 
Le gaz de schiste américain n’étant pas suffisant pour remplacer le gaz russe, Joe Biden a déjà convaincu ses alliés islamistes du Qatar et les nationalistes turcophones de l’Azerbaïdjan de combler la pénurie européenne en complément. 
De ce fait, si la crise ukrainienne dure et si Poutine ne se sort pas très vite de ce piège (certes aussi permis par son propre autisme idéologique et son ivresse du pouvoir), l’Europe sera demain plus dépendante encore du gaz de schiste mais aussi du gaz islamique du Qatar, parrain de l’islamisme radical mondial, puis de l’Azerbaïdjan, bourreau des Arméniens, sans oublier le gaz algérien, etc. Ceci n’est pas forcément bon pour l’indépendance de l’UE… 

Last but not least: les entreprises d’armements américaines trouvent un motif extraordinaire pour vendre à la Pologne, à la Roumanie, aux Pays Baltes et aux 30 pays de l’OTAN en général, toujours plus d’armes, majoritairement américaines, en vertu du principe de « standardisation » et de « compatibilité » technique et opérationnelle des armées de l’Alliance.. Bref, l’ennemi  russe « rapporte » aux entreprises américaines! 

Mais comment expliquer que Vladimir Poutine, en connaisseur du grand échiquier mondial, n’aurait pas songé à ces conséquences économiques et énergétiques?

Et en ce sens, l’action militaire de Vladimir Poutine ne paraît pas tactique. 
Soit Poutine n’est pas si bon stratège qu’entendu et il est tombé dans le piège atlanto-anglo-saxon et serait également victime de l’ivresse du pouvoir. C’est l’avis d’un de mes amis, professionnel du renseignement et spécialiste de la Russie.
Il est vrai que Gazprom a investi des milliards de dollars dans les gazoducs et ce sera une perte immense pour la Russie si le gaz russe est banni partiellement ou entièrement de l’ Europe : la Russie risquerait ainsi d’être ruinée. Certes, l’Ours russe se tourne d’ores et déjà vers le Tigre chinois, mais les importations chinoises ne remplaceront pas facilement la perte du marché européen. 
Soit a contrario, Vladimir Poutine, a tout prévu, anticipé et assumé, le piège OTANusien, ne faisant qu’accélérer et intensifier un plan déjà pensé. 
C’est ce que me confiait récemment un grand homme d’affaire qui l’a connu à ses débuts lorsque le jeune Poutine oscillait entre le renseignement et la Mairie de Saint Pétersbourg, avec son parrain l’ex-maire libéral pro-occidental Anatoli Sobtchak. Il me confiait que dans Poutine ont toujours cohabité les deux faces, la plus raisonnable et la pire, selon ce que les Occidentaux étaient prêts à lui accorder
Dans la seconde option, l’Occident a du soucis à se faire, car les conséquences et sanctions occidentales et onusiennes sont déjà intégrées: les énormes réserves de la Russie (800 milliards de dollars), en or comme en devises variées, sont suffisantes pour passer l’orage et préparer le recyclage asiato-chinois et multipolaires des marchés d’exportations des énergies russes. Et si le Kremlin et ses alliés chinois et autres acteurs « multipolaristes » ont mûrement pesé leur décisions et leurs conséquences, puis anticipé notre faiblesse, nos divisions et nos incohérences, alors cela peut vouloir dire que nous sommes entrés dans une sorte de III ème guerre mondiale qui n’est pas forcément un cataclysme nucléaire, mais dont l’objectif stratégique n’est ni plus ni moins que la fin de la domination planétaire occidentale, l’instauration d’un nouvel ordre multipolaire alternatif, une désoccidentalisation, ce à quoi souscrivent pas uniquement la Chine, mais aussi l’Inde, nombre pays d’Amérique latine ou d’Afrique, et pas seulement les alliés communistes totalitaires de Cuba, Corée du Nord… 

L’enjeu est gigantesque, et le second front sera probablement Taïwan, que la Chine a annoncé vouloir « réunir » au plus vite avec le Continent, avec comme objectif stratégique l’éviction à terme des forces américaines de mer de Chine que cela implique. Bref, exigence de désotanisation de l’Europe centrale, nordique et orientale de la part des Russes; exigence de « désanglosaxonisation » de la mer de Chine et même de l’Asie-Pacifique de la part des Chinois… 




La raison du retournement de Trudeau fait surface — L’Association des banquiers canadiens a été approuvée par le Forum économique mondial pour diriger la création d’une identité numérique

[Source : theconservativetreehouse.com]

Par Sundance

23 février 2022

La lumière du soleil est le meilleur désinfectant. Une vidéo promotionnelle de l’Association des banquiers canadiens (ABC) aide à bien relier tous les points sur la raison pour laquelle le gouvernement canadien a annulé si rapidement ses saisies d’actifs bancaires au cours des dernières 24 heures {pour plus de détails}. Et oui, comme nous le soupçonnions, c’est presque certainement le contact du Forum économique mondial avec la ministre canadienne des Finances, Chrystia Freeland, qui a déclenché le changement de position.

[Voir aussi :
Justin Trudeau est un « politicien bien formé » contrôlé par Klaus Schwab pour le compte de « Big Money ».]

Lorsque le premier ministre canadien Justin Trudeau et la ministre des Finances Chrystia Freeland ont annoncé qu’ils utiliseraient la déclaration de la loi sur les mesures d’urgence pour cibler les systèmes de soutien financier, les banques et les comptes des personnes qui protestaient contre les obligations de la vaccination anti-COVID, ils n’ont pas seulement sapé l’intégrité du système bancaire canadien – mais ils ont aussi, par inadvertance,  mis des bâtons dans les roues des plans du Forum économique mondial et de l’utilisation collaborative de l’Association des banquiers canadiens pour créer une identité numérique.

Dans le contexte de l’action du gouvernement canadien, REGARDEZ CETTE VIDÉO :

https://youtu.be/jRXR86wVSNw
Canadian Bankers Association Promotes Digital IDs And Refers To WEF #TheRayzorsEdge

Si le gouvernement canadien peut bloquer arbitrairement l’accès des citoyens à leur institution bancaire sans aucune procédure régulière, qu’est-ce que cela dit du système que l’Association des banquiers canadiens (ABC) mettait en place dans le cadre de son réseau d’identification numérique ?

Si l’identité numérique de l’ABC était en place, les mêmes personnes ciblées par l’utilisation de la loi sur les mesures d’urgence par Trudeau verraient leur identité entière bloquée par les mêmes mesures gouvernementales. La prise de conscience du problème, reflétée par une grave atteinte à la confiance dans le système bancaire, est un problème dramatique pour ceux qui travaillent à créer et à promouvoir l’identification numérique.

Ce n’est pas une coïncidence si le mécanisme de ciblage financier déployé par Trudeau/Freeland, le système bancaire canadien, est le même système utilisé pour créer l’identité numérique. À la suite du ciblage des comptes bancaires par le gouvernement, la ministre des Finances Freeland vient de créer un point de référence pour ceux qui s’opposeraient à l’autorisation de la création d’une identité numérique complète.

La raison pour laquelle le Forum économique mondial et l’Association des banquiers canadiens ont immédiatement contacté Trudeau et Freeland et leur ont dit de renoncer à leur plan est parfaitement claire. C’est presque certainement pourquoi Freeland est apparue si réprimandée, choquée et incapable de prendre pied hier {pour plus de détails}, et pourquoi le gouvernement canadien a simultanément informé le Parlement qu’il débloquait les comptes bancaires.

Justin Trudeau et Chrystia Freeland ont essentiellement brisé le code financier de l’omerta, en montrant à quel point il est facile pour le gouvernement de saisir vos comptes bancaires, vos cartes de crédit, vos comptes de retraite, vos assurances, vos hypothèques, votre accès aux prêts et de vous couper les vivres (sans procédure régulière).

La conséquence involontaire était un point de référence immédiat et clair si le gouvernement effectuait la même action avec une identité numérique en place.

Cependant, cette confiance minée et la foi dans le système bancaire ne peuvent être restaurées rapidement. Le dentifrice ne peut pas être remis dans le tube. Le cheval a quitté l’écurie.

Le gouvernement canadien doit rapidement limiter les dégâts. Cela explique pourquoi Justin Trudeau a abandonné la déclaration de la loi sur les mesures d’urgence.

Tout s’explique maintenant. Tout.

En effet, les chefs de gouvernement qui reçoivent leurs instructions des multinationales en charge du Forum économique mondial, c’est-à-dire la quasi-totalité d’entre eux, sont tellement ancrés dans leur besoin d’utiliser la COVID-19 comme levier pour le programme « Build Back Better (reconstruire en mieux) » qu’ils ne peuvent tout simplement pas y renoncer.

Sans la COVID-19, ils ne peuvent pas maintenir la campagne de vaccination. Sans la campagne de vaccination, ils ne peuvent pas maintenir le processus de passeport vaccinal en place. Sans le processus d’enregistrement du passeport vaccinal pour suivre et surveiller le comportement humain, les autorités gouvernementales ne peuvent pas remplir la mission d’un système complet d’identité numérique et de suivi du crédit social. En effet, tout ce qu’elles recherchent est subordonné au maintien de la prémisse de la COVID-19.

Ce n’est pas par hasard que le Forum économique mondial se trouve à l’épicentre de ce projet.

Comme nous l’avons déjà noté, les architectes de la société Build Back Better (FEM) guident les différents gouvernements sur les moyens de créer des systèmes d’enregistrement et de conformité efficaces, c’est-à-dire des moyens qui permettent aux citoyens de prouver qu’ils sont vaccinés et conformes. Alors que ces discussions ont lieu, il est prudent de faire une pause et de réfléchir très attentivement, avec sagesse.

Nous savons tous, au moment où nous lisons ces lignes, que sous couvert d’améliorer notre sécurité, le gouvernement fédéral américain est en discussion avec la communauté médicale, les sociétés multinationales et les employeurs de citoyens pour créer un processus plus efficace pour que vous puissiez enregistrer votre conformité aux vaccins.

Nous connaissons leur conversation sous la terminologie de Passeport COVID. L’objectif actuel est de créer un système nous permettant de montrer et de prouver notre statut de travailleur autorisé, qui, comme vous le savez, est basé sur votre obéissance à un vaccin obligatoire.

Des tests bêta sont menés dans diverses nations, chacune ayant des perspectives et des limitations constitutionnelles différentes, fondées sur des règles et des lois archaïques qui régissent la liberté.

En ce qui concerne les perspectives occidentales ou, faute d’un meilleur terme, « démocratiques« , l’Australie, la Nouvelle-Zélande, la France et l’Europe ouvrent la voie avec leur système technologique de points de contrôle de la vaccination et de statut vaccinal national/étatique lié à votre identification d’enregistrement.

La ville de New York a rejoint le processus des points de contrôle de la vaccination, car elle exige désormais le vaccin pour entrer dans toutes les entreprises privées. Los Angeles a rapidement suivi.

Les points de contrôle électroniques australiens sont essentiellement des passerelles où des codes QR sont scannés à partir des téléphones portables des citoyens vaccinés. Oui, camarades, il y a une application pour cela.

Actuellement, les scans du statut vaccinal sont enregistrés par d’heureux agents de conformité, les hôtes d’accueil à l’entrée de l’entreprise ou du lieu. En effet, l’hôte d’accueil de Walmart dispose d’un nouveau gadget pour scanner votre téléphone avant de vous laisser la garde d’un caddie.

Dans les restaurants, l’hôte ou l’hôtesse dispose d’un scanner de conformité similaire pour vous enregistrer avant de vous asseoir ou de confirmer votre réservation.

C’est simple et amusant. Vous affichez votre code QR sur votre téléphone portable (alias transpondeur portable et dispositif d’enregistrement), en utilisant l’application d’enregistrement, et votre téléphone est scanné et donne une réponse verte pour confirmer votre statut vaccinal correct et l’autorisation d’entrée.

Le gouvernement australien, tant au niveau fédéral qu’au niveau des États, travaille en étroite collaboration avec des entreprises de haute technologie (assoiffées du contrat national) pour évaluer le meilleur processus universel pouvant être déployé à l’échelle nationale.

Comme l’ont indiqué les six premières américaines, les systèmes matériels (scanners) et logiciels (enregistrement) sont tous testés pour trouver les unités portables les plus complètes et les plus pratiques. Entre-temps, aux États-Unis, des villes comme Los Angeles et New York attendent la conclusion du test bêta avant de déployer leur propre version du même processus.

En Europe, les processus de suivi et d’enregistrement des vaccins connus sous le nom de « passeport vert » de l’UE sont également testés.

Le « passeport vert » est un système technologique similaire qui permet à un citoyen vacciné et enregistré d’accéder à tous les lieux et sites précédemment confinés pendant la période d’atténuation de la COVID-19. Ce qui aurait été qualifié de « vaste théorie du complot de droite » il y a 24 mois, est aujourd’hui un processus de passeport COVID bien avancé.

Comme pour tout ce qui se passe dans notre ère technologique rapide, il n’est pas nécessaire de plisser les yeux pour voir l’horizon et accepter que ce processus finira par être automatisé, et qu’il y aura un gadget ou une passerelle de numérisation qui vous donnera automatiquement accès sans qu’une personne doive se tenir là et scanner individuellement le code QR sur chaque téléphone portable.

Comme pour toutes les choses de notre ère technologique rapide, vous n’avez pas à plisser les yeux pour voir l’horizon et accepter que ce processus finira par s’automatiser, et qu’il y aura un gadget ou une passerelle de numérisation vous accordant automatiquement l’accès sans qu’une personne ait besoin de se tenir là et scannez chaque code QR de téléphone portable individuellement.

Le processus automatisé est tout simplement logique. Vous savez très bien que votre téléphone portable transmet déjà une balise électronique permettant à votre chauffeur Uber ou Lyft d’accéder à votre emplacement en appuyant sur un bouton de l’écran tactile, une autre application pratique sur votre téléphone. Alors, pourquoi les passerelles n’accepteraient-elles pas simplement cette même transmission reconnaissable comme l’enregistrement de votre arrivée au café en conformité avec les lois de vaccination ?

La version automatisée est bien plus facile et bien plus cool que de devoir mettre la main dans sa poche ou son sac à main pour faire apparaître ce code QR sur l’écran. Souriez tous, le partenariat entre les grandes firmes technologiques et le gouvernement omniprésent est toujours là pour rendre votre transit plus fluide et plus transparent. Vous ne remarquerez même pas le récepteur électronique installé à l’entrée. Donnez-lui quelques semaines et vous ne vous souviendrez plus de la raison pour laquelle vous vous moquiez d’Alex Jones (NDT : journaliste « conspirationniste » américain), pas plus que vous ne vous souvenez de la raison pour laquelle vous enlevez vos chaussures à l’aéroport.

Cependant, au fur et à mesure de la création de ce processus, il convient de considérer que vous êtes en train de passer discrètement du statut de personne individuelle à celui de produit. Certains commencent à s’inquiéter dans le cadre du test bêta :

[…] « vous devez devenir un objet avec des attributs qui se trouvent dans une base de données. Au lieu de se promener anonymement et de faire toutes sortes de transactions à l’insu du gouvernement, les Australiens se retrouvent à passer par des « portes ». …

Tous les systèmes basés sur les produits ont ces portes pour contrôler le flux des stocks et éliminer les erreurs. C’est ainsi que les ordinateurs voient les choses. Plus il y a de portes, plus c’est clair.

Vous mettez à jour le gouvernement comme un colis est mis à jour par Australia Post sur son chemin vers un client. Si une erreur est détectée, des alertes automatiques sont émises et vous êtes arrêté dans votre démarche. En Nouvelle-Galles du Sud, cela se traduit par un grand « X » rouge sur l’application myGov pour les passeports vaccinaux (si vous avez réussi à relier votre compte Medicare sans faire exploser votre téléphone).

Les systèmes de contrôle des portes ont été adaptés du commerce de détail et transformés en solutions de foule à base humaine pour microgérer des millions de vies avec la même efficacité impitoyable que les codes-barres qui suivent les stocks. Il n’y a aucune nuance ou humanité dans cette ère numérique sans âme. Les codes-barres sont binaires. Bon – mauvais. Citoyen ou dissident.

Même si vous avez tous les attributs gouvernementaux requis pour passer les portes – deux vaccins, six rappels et un abonnement à vie à Microsoft – quelque chose peut mal tourner. Si vos données échouent au scanner, vous passerez au purgatoire numérique et deviendrez un message d’erreur. » (Lire la suite)

Cela pourrait poser problème si votre statut n’est pas enregistré correctement, ou si le système identifie une forme de non-conformité au mode de vie alternatif qui vous empêchera d’entrer. Mais bon, c’est à ça que servent les tests bêta, à résoudre tous ces bugs techniques et autres. Ne vous inquiétez pas…. passez votre chemin….

Mais encore une fois… 

« Pour ceux qui font partie de la classe privilégiée autorisée à faire du shopping, prenez note des panneaux Covid qui encouragent les transactions sans argent liquide sous le couvert de la « santé ». Les messages autour des cartes étant « plus sûres » vont se multiplier jusqu’à ce que le Trésor tente de supprimer entièrement l’argent liquide, presque certainement avec l’approbation du public. »

Attendez, maintenant nous plissons les yeux sur cette image familière à l’horizon parce que nous savons que ceux qui contrôlent les choses parlent d’une société sans argent liquide depuis un certain temps.

Nous savons également que les données sont considérées comme une marchandise majeure en soi. Pourquoi pensez-vous que tous les systèmes que vous rencontrez à l’ère moderne exigent votre numéro de téléphone, même si vous ne vous inscrivez à rien. Cela signifie que vous, nous, sommes tous liés à ce système d’enregistrement moderne qui définit notre statut. Nous savons également que les opérateurs du système achètent et vendent notre statut enregistré au sein de divers systèmes de vente au détail et de technologie.

Oui, cette ombre opaque devient un peu plus claire maintenant.

Vous essayez peut-être d’acheter de la nourriture pour chien et on vous refuse l’entrée à Pet Smart parce que vous n’avez pas renouvelé l’immatriculation de votre voiture. Ou peut-être que l’on vous bloque l’entrée parce que vous avez oublié de changer l’huile du véhicule que vous conduisez en leasing, et que Toyota a passé un accord bizarre avec un consortium de détaillants. Vous vous rendez chez le vidangeur qui apparaît comme par hasard dans l’application de conformité citoyenne – il n’est qu’à deux pâtés de maisons – ils effacent l’alerte après avoir effectué la vidange, et vous êtes à nouveau conforme aux règles de la passerelle.

Vous avez manqué votre piqûre de rappel ? Nous sommes désolés, citoyen, votre compte bancaire est gelé jusqu’à ce que votre conformité soit rétablie… Veuillez vous rendre au bureau de vaccination le plus proche, tel qu’il s’affiche sur l’écran de votre téléphone portable, afin de pouvoir accéder à tous les autres points de contrôle. …. tapez pour continuer !

Vous avez voté pour le mauvais candidat ? Participé, ou fait un don à une manifestation de camionneurs ?

Oui, où cela allait nous mener semblait clairement évident, et le Premier ministre canadien Justin Trudeau vient de réveiller les masses :




Le contrôle des émotions et des pensées par la technologie

[Source : nicocible harcèlement électromagnétique]

Vidéo d’origine : https://youtu.be/iEgZQgP9SMs

Découvrez les ARMES MILITAIRES basées sur les neurosciences et utilisées dans la CYBERTORTURE (Ce que vivent les INDIVIDUS CIBLÉS) :
https://nicocible.wordpress.com/2019/08/28/avant-propos-sur-le-harcelement-electromagnetique/

DÉFINITION : https://nicocible.wordpress.com/2019/12/14/definition-du-harcelement-electromagnetique/

LECTURES HISTORIQUES SOURCES ET BREVETS :
https://nicocible.wordpress.com/2019/11/18/sites-internet-et-lectures-sur-le-harcelement-criminel-en-reseau-et-electromagnetique/

*Origine CURIEUSE des normes* concernant les ondes électromagnétique :
http://www.teslabel.be/archives/non_thermiq.htm
http://www.i-sis.org.uk/FOI3.php (en anglais avec les réfs)

La recherche MILITAIRE n’est pas sous Contrôle du Parlement en France (page 4) :
https://sciencescitoyennes.org/wp-content/uploads/2012/12/nano-et-militaire.pdf
https://www.humanite.fr/monde/armement/controle-des-ventes-darmes-lopacite-une-specificite-francaise-703335 (2021)

— Mon nouveau Tract sur la cybertorture & LEGITIME DÉFENSE (en pdf, ajuster à la taille de la page pour l’impression. En noir et blanc ça passe très bien) :
https://nicocible.files.wordpress.com/2019/11/tract-cybertorture-brevet-1976-onu.pdf
https://nicocible.files.wordpress.com/2021/01/tract-cybertorture-schema-du-cerveau-1.pdf

— Depuis décembre 2016, je suis harcelé en réseau, sûrement pour des raisons immobilière, ou à cause d’une personne qui a des relations haut placé dans mon entourage proche, comme mon père (le Pr NIAMKEY Robert Koffi), suspect numéro 1 à mes yeux, car trop d’indices me mènent à lui.

MON HISTOIRE VERSION COURTE : ça a commencé en décembre 2016 à Clichy ou je vivais et m’occupais de l’appartement de ma mère (qui elle vit en Guadeloupe, car guadeloupéenne). Mes harceleurs sont donc montés en escalade dans l’horreur toute l’année 2017. Fin août 2017, je découvre que ce que je vis c’est du harcèlement criminel en réseau et décide de porter plainte via lettres au procureur de la République (les preuves concernent le tapage nocturne et diurne, car pour le reste c’est « quasi » impossible à prouver). En décembre 2017, je décide de rentrer en Guadeloupe, car ces lâches ont recruté le voisinage de ma mère (70 ans) afin de la harceler également. Je rentre donc, et l’aide à éviter les pièges de ce crime innommable que ces gens-là croient parfait. Maintenant elle le vit mieux, et est prête à combattre ces psychopathes en informant un maximum de personnes.

nicocible@gmail.com

[Note de Joseph : À un moment de la vidéo apparaît la mention RA alors que le texte anglais parlé semble plutôt se rapporter à IA, l’Intelligence Artificielle, ce qui paraît plus cohérent vu le contexte.]




[Voir aussi :
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction
Dossier 5G et ondes pulsées]




RENCONTRES REMARQUABLES 2 : LES ENFANTS

[Source : ACMÉ]

https://youtu.be/DQuN0NFEcD8

Vendredi 25 Février 22

Projection du film : « ICARE OU LA PULSION OCEANIQUE » avec le psychanalyste Willy Barral

(La question du suicide des enfants)

Rencontre avec le Pr Daniel Favre

L’Education, deux pédagogies se confrontent

Rencontre avec le Dre Antonella Verdiani

La question de la mort chez les enfants

Rencontre avec Abdennour Bidar

« Pour une école tisserande » ?

Samedi 26 février 22

Projection du film : « ENFANTS HYPERSENSIBLES, UN PRESENT POUR L’AVENIR »  de Nathalie Brochard

Emmanuel Bily, Christian Budex, Ilda Coppa, Dre Barbara Demeinex, Philippe Guillemant, Marion Kaplan, Dr Claude Lagarde, Frédéric Lenoir, Dre Fanny Nusbaum, Jean-Jacques Pignou, Blandine Pivan, Dr Dominic Sappey-Marinier,Jeanne Siaud-Facchin, Dr Claude Touzet, Marc Vella, Dr François Vialatte, Dre Jacqueline Warnet.

Rencontre avec Nathalie Brochard

L’hypersensibilité, génétique & Epigénétique !

Rencontre avec Jeanne Siaud-Facchin

Demain commence aujourd’hui, les enfants d’abord !

Rencontre avec Thomas d’Ansembourg, psychothérapeute

Notre façon d’être adulte fait-elle sens et envie pour les jeunes ?

Dimanche 27 février 22

Projection du film : « MUSIQUE & THERAPIE avec Marc Vella

Rencontre avec Marc Vella, pianiste, compositeur

Parents, enfants, chacun fait du mieux possible !

Rencontre avec Cathy Masseus-Vella, psychologue clinicienne, musicothérapeute

A la Rencontre de son enfant intérieur

Rencontre avec Isabelle Filliozat, psychothérapeute

La parentalité positive, un chemin d’apprentissage

Lundi 28 février 22

Projection du film : « LES SACRIFIES DES ONDES ». Une enquête de Maxence Layet

Avec la participation de : Pr Dominique Belpomme, Dr Jean-Paul Biberian, Dr Gérard Dieuzaide, Me Richard Forget, Dr Philippe Lebar, Pr Luc Montagnier, Dre Annie Sasco, Dr Pierre Souvet

Rencontre avec Maxence Layet, journaliste scientifique

Enfants :  exposition précoce et croissante aux miroirs du numérique

Projection du film : « LA NOUVELLE BIOLOGIE CELLULAIRE » par le Dr Bruce H. Lipton

Mardi 1er mars 22

Projection du film: « LA ROUTE DE LA CONSCIENCE » avec Philippe Guillemant   

Rencontre avec Philippe Guillemant, ingénieur physicien, chercheur CNRS

L’intelligence émotionnelle et le développement de l’intuition au regard d’un physicien.

TABLE RONDE : Rencontre avec Philippe Guillemant et Claude Touzet, Maître de conférence en SCIENCES COGNITIVES et Olivier Barbarroux, professeur de philosophie

Echange : Conjuguer l’intuition au présent et au futur

Projection du film :  » DE LA PSYCHOLOGIE A LA SPIRITUALITÉ  »  avec Thierry Janssen

Rencontre avec Thierry Janssen, psychothérapeute

« Sagesse et justesse. Aider nos enfants à avoir une vie intérieure.» 

Mercredi 2 mars 22

Projection du film :  » CROQUE LA VIE » avec Marion Kaplan

Rencontre avec Marion Kaplan, bionutritionniste

 » La nutrition & les émotions »

Rencontre avec le Dre Jacqueline Warnet, hépato-gastroentérologue

« L’intestin, notre deuxième cerveau »

Projection du film :  » VOYAGE AU COEUR DES FLEURS DE BACH » Avec  Dominick Léaud-Zachoval – Co-réalisation Ulrich Rampp

Projection du film :  »  SE SOIGNER AU QUOTIDIEN AVEC LES HUILES ESSENTIELLES » –
Conférence avec le Dr Dominique Baudoux

Jeudi 3 mars 22

Projection du film : « FREQUENCES ELECTROMAGNETIQUES DE L’ADN avec le
Pr Luc Montagnier. En mémoire du Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine.

Projection du film : « ENTRETIENS avec Willy Barral « 

Rencontre avec le Pr Christopher Exleychimiste bioinorganique

Autisme, l’impact de l’aluminium

Rencontre avec Alexandra Oakley, Présidente de Optim’Autime

Autisme : Raun Kaufmann, autiste, témoigne d’une approche d’accompagnement.

Rencontre avec Sonia Delahaigue

La Maltraitance chez les enfants

Vendredi 4 mars 22

Rencontre avec Frédéric Lenoir, philosophe, sociologue

« Enfant, sujet ou objet ? »

Rencontre avec le Dr Boris Cyrulnik

Les 1000 premiers jours de l’enfant

Projection du film : Les étapes du développement de l’enfant et de l’adolescent
avec Nathalie Brochard

Samedi 5 mars 22

Projection du film : « Cancer, BUSINESS MORTEL » avec les docteurs
Nicole & Gérard Delépine

AVEC LA PARTICIPATION DE : Zana et Damien Adzic, Dre Salwa Alkhallaf, Mathilde et Romain Antoine, Dr Francois Bachelot, Laurent Baffie, Medhi Balamane, Kamel Bechir, Naïma Bentahar, Djémila Boucenna, Marc Borand, Orlane Bretonniere, Ali Chaib, Coralie Corbec, Carine Curtet, Dre Hélène Cornille, Dre Nicole Delépine, Dr Gérard Delépine, Dre Eléonore Djikeussi, Christine et Paul-Emmanuel Esquier, Violaine Ferrand, Dr Michaël Finaud, Bernard Frau, Alina Gabor, Dre Olivia Hicks-Garcia, Kimberley-Anne et Marie-France Joseph Julien, Alex Kamara, Jean-Christophe Lagarde, Magalie Lange, Dre Zahia Lankri, Cindy et Logan Leclerc, Virginie et Océane Lingois, Ottman Mansour, Peggy et Guillaume Martinez, Dr Jérôme Marty, Alain, Sophie et Hugo Masset, Christelle Mathillon-Delmarthy, Mohamed Moud-Ari, Pascal Olmeta, Nadia Plazenet, Ileane Radoi, Dr Pierre Sadoul, Sabrina et Llya Serandoure, Jérôme Serapiglia, Christelle Soudé, Astrid Veillon.

Rencontre avec le Dre Nicole Delépine – Pédiatre, oncologue

Effets secondaires du Covid pour les enfants. 

Rencontre avec le Dr Gérard Delépine – Chirurgien orthopédiste, oncologue

Quel avenir pour une société qui sacrifie délibérement ses enfants ? 




Festival de désinformation sur l’Ukraine par les médias mainstream

[Compilation par Nicole]

Plusieurs exemples flagrants

Dans la vidéo suivante en Allemand, il suffit de comparer les dates. Dans la première séquence, en haut, le média mainstream Bild prétend que l’énorme explosion observée a été filmée le 24 février 2022 en Ukraine, alors que la séquence du bas montre que cela provient en fait d’une explosion en Chine en 2015 à Tianjin.

Dans la séquence des parachutes, il ne s’agit pas non plus de quelque chose filmé en Ukraine le 24 février 2022, mais filmé à Rostov en Russie en 2014 !



Il est également possible que l’information sur l’île aux Serpents soit fausse :

Pendant ce temps

Pour faciliter les choses, l’Union européenne veut interdire RT et Sputnik, médias russes :

Pourtant, voici quelques faits concernant l’Ukraine

https://twitter.com/daryl888/status/1498095308718366720?s=11

Avant d’être président de l’Ukraine, Zelensky jouait du piano avec son pénis et dansait en talons aiguilles

Les gens ne le savent pas, mais le président de l’Ukraine a un autre talent que celui de vassal des Etats-Unis. Il sait jouer l’hymne national de son pays au piano et avec son pénis. C’est dire la considération qu’il a pour l’Ukraine. Quant à sa prestation tout de noir dévêtu sur ses talons aiguilles, elle n’aurait pas déparé la fête de la musique de notre président LGBT le 24 juin 2018.

https://www.youtube.com/embed/kgOSrw9Q8rc

https://twitter.com/ElleAilo/status/1498043757387825155



Poutine ordonne à l’armée de détruire les laboratoires biologiques en Ukraine alors que les États-Unis éliminent les preuves de leur existence. Mise à jour

[Source : anguillesousroche.com]

[Note de Joseph : d’autres sources, pas toujours fiables, ont également mentionné cela, mais les médias mainstream vont certainement crier « fake news », sachant que l’information est difficilement prouvable.]

Le président russe Vladimir Poutine a ordonné à son armée de rechercher et de détruire les laboratoires biologiques de l’État profond des États-Unis, qui mènent des recherches top secrètes sur les zoonoses et les maladies infectieuses dans des dizaines de sites en Ukraine.

Ces derniers jours, des laboratoires d’armes biologiques situés dans des villes ukrainiennes telles que Kharkiv, Louhansk, Dnipropetrovsk et la capitale Kiev, entre autres, ont été pris pour cible par les troupes russes opérant sous les ordres directs de Poutine.

[Mise à jour :
Voir aussi
https://lesmoutonsenrages.fr/2022/02/27/une-operation-militaire-russe-a-empeche-le-lancement-de-bio-laboratoires-americains-en-ukraine-kiev-cache-des-preuves/
et :
https://aphadolie.com/2022/02/27/les-laboratoires-biologiques-americains-en-ukraine-sont-ils-lune-des-raisons-de-linvasion-russe-decouvrez-comment-le-gouvernement-russe-a-tire-la-sonnette-dalarme-sur-les-armes-biologiq/]

Pendant ce temps, l’ambassade américaine en Ukraine a été surprise en train d’effacer les preuves de l’existence de biolabs en Ukraine, tandis que les médias grand public et les vérificateurs de faits ont commencé à dire aux masses que les biolabs n’existent pas.

Le président ukrainien Volodmyr Zelensky a déclaré vendredi que les forces russes tiraient sur des « installations militaires », laissant les analystes spéculer que ce terme pourrait inclure les biolabs installés et exploités par les États-Unis.

Selon des documents du gouvernement américain, les États-Unis disposent de plusieurs biolabs en Ukraine. Dans le style typique du Pentagone, ces biolabs sont commercialisés en tant que « défense ».

La Russie avertit depuis des mois les États-Unis de cesser d’exploiter des biolabs dangereux à leur porte. Les médias grand public n’abordent pas le sujet aujourd’hui, mais ils ont couvert l’information par le passé.

Il y a quatre mois, la Russie et la Chine ont demandé à l’ONU que les États-Unis soient « contrôlés et limités » dans leurs capacités biologiques.

La Russie et la Chine accusaient les États-Unis d’être responsables de l’épidémie de Covid-19 et craignaient que les États-Unis ne disposent d’autres armes biologiques qu’ils pourraient lâcher sur le monde.

Quel est le rapport avec l’Ukraine ?

Poutine a admis qu’il était engagé dans une « opération militaire spéciale » visant à démilitariser l’Ukraine. Les analystes traditionnels ne comprennent pas la portée possible de cette déclaration.

Pendant ce temps, l’ambassade des États-Unis en Ukraine vient d’être prise en flagrant délit de tentative d’effacer les preuves de l’existence de laboratoires d’armes biologiques exploités par le gouvernement américain sur le sol ukrainien.

Comme nous l’avons signalé précédemment, au cours des dernières 24 heures, l’ambassade des États-Unis a supprimé tous les fichiers PDF du site Web de l’ambassade : 
https://ua.usembassy.gov/embassy/kyiv/sections-offices/defense-threat-reduction-office/biological-threat-reduction-program/.

Cependant, les fins limiers de l’Internet ont archivé l’information avant qu’elle ne soit oubliée à jamais.

Voici la liste complète des biolabs :

https://web.archive.org/web/20170130193016/https://photos.state.gov/libraries/ukraine/895/pdf/dtro-kharkiv-eng.pdf

https://web.archive.org/web/20210511164310/https://photos.state.gov/libraries/ukraine/895/pdf/dtro-luhansk-eng.pdf

https://web.archive.org/web/20170221125752/https://photos.state.gov/libraries/ukraine/895/pdf/dtro-dnipropetrovsk-eng.pdf

https://web.archive.org/web/20210506053014/https://photos.state.gov/libraries/ukraine/895/pdf/dtro-vinnitsa-eng.pdf

https://web.archive.org/web/20170221125752/https://photos.state.gov/libraries/ukraine/895/pdf/dtro-dnipropetrovsk-eng.pdf

https://web.archive.org/web/20170207122550/https://photos.state.gov/libraries/ukraine/895/pdf/dtro-kherson-fact-sheet-eng.pdf

https://web.archive.org/web/20170223011502/https://photos.state.gov/libraries/ukraine/895/pdf/dtro-ternopil-fact-sheet-eng.pdf

https://web.archive.org/web/20170208032526/https://photos.state.gov/libraries/ukraine/895/pdf/dtro-zakarpatska-fact-sheet-eng.pdf

https://web.archive.org/web/20170208032526/https://photos.state.gov/libraries/ukraine/895/pdf/dtro-zakarpatska-fact-sheet-eng.pdf

https://web.archive.org/web/20170202040923/https://photos.state.gov/libraries/ukraine/895/pdf/dtro-lviv-dl-eng.pdf

https://web.archive.org/web/20170201004446/https://photos.state.gov/libraries/ukraine/895/pdf/dtro-lviv-rdvl-eng.pdf

https://web.archive.org/web/20161230143004/https://photos.state.gov/libraries/ukraine/895/pdf/dtro-eidss.pdf

https://web.archive.org/web/20210506212717/https://photos.state.gov/libraries/ukraine/895/pdf/dtro-pathogen-asset-control.pdf

https://web.archive.org/web/20170207153023/https://photos.state.gov/libraries/ukraine/895/pdf/dtro-dnipropetrovsk-rdvl_eng.pdf

https://web.archive.org/web/20170211022339/https://photos.state.gov/libraries/ukraine/895/pdf/kiev-ivm-fact-sheet-eng.pdf

Les responsables américains se sont démenés pour tenter d’expliquer l’existence des laboratoires biologiques. Robert Pope, le directeur du Cooperative Threat Reduction Program, un programme du ministère de la Défense vieux de 30 ans, a admis que les laboratoires pouvaient libérer des « pathogènes dangereux ».

[D’après] un fonctionnaire américain : l’invasion de l’Ukraine par les Russes risque de libérer de dangereux agents pathogènes.

Dans la vidéo suivante, ils accusent également de manière préventive la Russie de diffuser de la « propagande » sur le véritable objectif des laboratoires biologiques gérés par les États-Unis en Ukraine.

Regardez :

Lire aussi : L’ambassade des États-Unis supprime discrètement tous les documents relatifs au laboratoire d’armes biologiques de l’Ukraine – Blackout médiatique




D’où vient la russophobie occidentale ?

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Nicolas Bonnal – Le 10 octobre 2016

La russophobie, pourquoi ?
Comment les Russes sont devenus des automates

La russophobie de la future présidente Clinton, de nos meilleurs journalistes et des élites occidentales est si totale et féérique qu’elle demande une explication.

Et comme toute explication répond à une question : les Russes sont-ils humains ? Les Russes sont-ils extra-terrestres ? Ou alors : les Russes ne seraient-ils pas des automates ?

Le livre préféré des libéraux sur la Russie, celui du marquis de Custine, le dit très bien, que les Russes sont des automates – un peu comme si notre Custine avait mal lu les Scènes de la vie des marionnettes de Kleist, qui d’ailleurs se terminent en Russie, et par un combat contre un ours invincible encore.

Les Russes ne sont pas comme nous, ils ne sont pas libres, ils sont cruels, menteurs, fourbes, despotes, orientaux, etc. Qu’est-ce que c’est alors ? Le Russe est une horloge – ou bien un automate. On cite le maître (tome premier) :

« Ce membre, fonctionnant d’après une volonté qui n’est pas en lui, vit autant qu’un rouage d’horloge ; on appelle cela l’homme, en Russie… La vue de ces automates volontaires me fait peur ; il y a quelque chose de surnaturel dans un individu réduit à l’état de pure machine. Si, dans les pays où les mécaniques abondent, le bois et le métal nous semblent avoir une âme, sous le despotisme les hommes nous semblent de bois ; on se demande ce qu’ils peuvent faire de leur superflu de pensée, et l’on se sent mal à l’aise à l’idée de la force qu’il a fallu exercer contre des créatures intelligentes pour parvenir à en faire des choses. »

Ce pays de «choses» produit alors Pouchkine, Gogol, Lermontov, Griboïedov, en attendant Dostoïevski, Tolstoï et Leskov. Quelle bêtise d’en rester au stade artisanal comme la Suisse libérale ! Mais passons.

J’ai beaucoup d’amis russes, et je les trouve très polis et très bien élevés – y compris mes collaborateurs de Sputnik. Mais Custine m’explique pourquoi ces gens, les Russes donc, sont si polis :

« Ces machines, incommodées d’une âme, sont, au reste, d’une politesse épouvantable ; on voit qu’elles ont été ployées dès le berceau à la civilité comme au maniement des armes ; mais quel prix peuvent avoir les formes de l’urbanité quand le respect est de commande ? »

Le Russe est une machine incommodée d’une âme. On est rassurés par cette belle définition qui nous ramène au russophile Stanley Kubrick 1 et à son légendaire Docteur Folamour «Mister president, leur armée rouge, c’est juste un tas de moujiks ignorants !» Et on continue sur les automates :

« Cette population d’automates ressemble à la moitié d’une partie d’échecs, car un seul homme fait jouer toutes les pièces, et l’adversaire invisible, c’est l’humanité. On ne se meut, on ne respire ici que par une permission ou par un ordre impérial ; aussi tout est-il sombre et contraint ; le silence préside à la vie et la paralyse. Officiers, cochers, cosaques, serfs, courtisans, tous serviteurs du même maître avec des grades divers, obéissent aveuglément à une pensée qu’ils ignorent ; c’est un chef-d’œuvre de discipline ; mais la vue de ce bel ordre ne me satisfait pas du tout, parce que tant de régularité ne s’obtient que par l’absence complète d’indépendance. »

Après les échecs et leur symbolique, Custine ajoute :

« Parmi ce peuple privé de loisir et de volonté, on ne voit que des corps sans âmes, et l’on frémit en songeant que, pour une si grande multitude de bras et de jambes, il n’y a qu’une tête. »

Là c’est ma tête qui fait tilt : René Guénon et le Katha Sarit Sagara.

C’est le grand recueil de contes initiatiques de l’Inde traditionnelle. Le texte fait état d’une ville d’automates mués (au sens traditionnel de mis en mouvement) par un esprit divin. Il me semble d’ailleurs que ce splendide texte est proche du tzar Saltan de Pouchkine, qui ranime l’île endormie de Bouyane. J’ai expliqué ce mythe dans un livre sur le cinéma, car A. Ptouchko en a fait une belle adaptation 2.

Je cite le maître René Guénon qui en rend compte dans un texte extraordinaire :

« Aussi une autre image plus exacte est-elle donnée par le jeu des marionnettes, puisque celles-ci ne sont animées que par la volonté d’un homme qui les fait mouvoir à son gré (et le fil au moyen duquel il les fait mouvoir est naturellement encore un symbole du sûtrâtmâ) ; et l’on trouve à cet égard un mythe particulièrement frappant dans le Kathâ-Sarit-Sâgara. Il y est question d’une cité entièrement peuplée d’automates en bois, qui se comportent en tout comme des êtres vivants, sauf qu’il leur manque la parole ; au centre est un palais où réside un homme qui est l’unique conscience (êkakam chêtanam) de la cité et la cause de tous les mouvements de ces automates qu’il a fabriqués lui-même ; et il y a lieu de remarquer que cet homme est dit être un charpentier, ce qui l’assimile à Vishwakarma, c’est-à-dire au Principe divin en tant qu’il construit et ordonne l’Univers. Cette dernière remarque nous amène à préciser que le symbolisme de la Cité divine est susceptible d’une application macrocosmique aussi bien que d’une application microcosmique 3. »

Voici le bel extrait cité par René Guénon :

« Il entra dans cette ville par la rue du marché, et vit que tous les habitants, les commerçants, les femmes et les citoyens étaient des automates en bois, qui se déplaçaient comme s’ils étaient en vie, mais ont été reconnus sans vie par leur manque de parole. Cela a suscité l’étonnement dans son esprit. Et en temps voulu, il arriva avec Gomukha près du palais du roi, et vit que tous les chevaux et les éléphants étaient là-bas de la même matière ; et avec son ministre, il entra, plein d’émerveillement, dans ce palais, qui resplendissait de sept ensembles de bâtiments d’or. Là, il vit un homme majestueux assis sur un trône de pierreries, entouré par les gardiens et les femmes, qui étaient aussi des automates en bois, le seul être vivant là-bas, qui produisait le mouvement de ces choses matérielles ternes, comme l’âme qui préside aux sens 4. »

Sans le vouloir, en tapant sur la Russie impériale, Custine 5 décrit la cité divine et l’ordre social le plus parfait de la perfection qui soit. Un peu plus bas, Guénon nous rappelle tout le bien qu’il pense lui de la civilisation occidentale :

« C’est assez dire que tout ce qu’on appelle ainsi dans le monde moderne, et dont on prétend même faire la civilisation par excellence, ne saurait en être qu’une caricature, et même souvent tout le contraire sous bien des rapports ; non seulement une civilisation antitraditionnelle comme celle-là ne mérite pas ce nom en réalité, mais elle est même, en toute rigueur, l’antithèse de la véritable civilisation. »

On aura compris que le duel actuel oppose la vraie à la fausse civilisation…




Parlons contamination

[Source : RI]

par Edy Fernandez.

Votre croyance – par les influences de toutes sortes que vous subissez – en un « virus » défini comme étant un agent pathogène contagieux et dangereux crée chez vous des peurs, plus ou moins conscientes. Ces peurs créent des stress oxydatifs et des lésions invisibles de votre terrain, ce qui s’additionne aux effets des toxines déjà présentes en quantités plus ou moins importantes dans votre organisme.

Nous subissons en effet diverses pollutions et agressions de par notre environnement et tout ce que nous ingérons et inhalons, tant sur le plan physique que psychique, ce qui est générateur de quantité de toxines au niveau cellulaire.

« Le stress cellulaire dû à la charge toxique que nous subissons quotidiennement, qu’elle soit d’origine environnementale ou psychosomatique, exposition aux ondes électromagnétiques, pollutions chimiques, vaccins, alimentation malsaine, souffrance psychique et traumatismes divers, génère des vésicules extra cellulaires, des exosomes, qui contiennent des informations qui peuvent être alarmantes si on y est exposé, car elles avertissent les autres qu’ils doivent activer immédiatement leurs voies de détoxination, ces informations étant transférées au groupe afin qu’il puisse se créer une résistance au sein de la communauté.

Nous fonctionnons à ce niveau comme les plantes et les arbres, qui se transmettent des messages afin de résister à une agression.

Il s’avère malheureusement que l’exposition répétée à ces sources de pollution diminue graduellement la résistance du groupe, ce qui nous rend davantage sujets aux maladies ». (Informations extraites du film « Terrain », partie 2, qu’on peut visionner ici)

Ces différents stress et toxines sont alors générateurs de symptômes divers, qu’on appelle péjorativement maladie, mais qui ne sont en réalité qu’un processus naturel de nettoyage et de remise en état d’un terrain encrassé ou altéré. Un processus de guérison, certes non exempt de désagréments, dans lequel les bactéries interviennent systématiquement, leur rôle étant de nettoyer et réparer l’organisme et de rétablir la qualité du terrain.

Car le corps a besoin de se nettoyer périodiquement, et il est toujours préjudiciable d’entraver ce processus par la prise inappropriée de médicaments, ce qui est générateur de maladies chroniques.

Si une personne en bonne santé ne court guère de risques, il est cependant clair que ce processus de nettoyage peut s’avérer critique, voire fatal, en fonction d’une piètre qualité du terrain.

Comme le dit Jung :

« Nous ne sommes pas là pour guérir de nos maladies, mais nos maladies sont là pour nous guérir ».

Ou bien :

« La maladie est l’effort que fait la nature pour guérir l’homme ».

Vous le constatez, il n’est pas nécessaire qu’un virus existe réellement physiquement, sa seule représentation suffit à générer des symptômes en relation directe avec le potentiel morbide qu’on attribue au virus (foyers de Hamer).

Un virus est donc, avant tout, mental.

Pour le dire schématiquement, comme nous l’enseigne l’épigénétique (c’est à dire, globalement, l’influence de l’environnement sur la génétique), nos pensées, nos représentations mentales, nos croyances limitantes, créent nos maladies. Car les pensées, ainsi que les émotions, sont de puissantes énergies.

Je laisse volontairement ici de côté la question du sens des maladies et des messages qu’elles véhiculent à notre seule intention, sachant que tout est un et que le visible n’est que l’expression de l’invisible, toutes choses qui nous entraîneraient beaucoup trop loin.

« Les crises, les bouleversements et la maladie ne surgissent pas par hasard. Ils nous servent d’indicateurs pour rectifier une trajectoire, explorer de nouvelles orientations, expérimenter un autre chemin de vie. Si vous ne faites pas face à votre ombre, elle vous viendra sous la forme de votre destin ».

(Carl Gustav Jung)

Une fois vos symptômes déclarés, vous allez ensuite pouvoir « contaminer » votre entourage par un effet de mimétisme, c’est à dire par résonance vibratoire, par un échange de photons qui transportent une information (que nous le voulions ou non, nous sommes des êtres interconnectés et nous discutons en permanence avec tous les corps vivants que nous croisons ou rencontrons, par voie électromagnétique, par un échange de photons).
Quand l’organisme de votre proche voisin entre en résonance avec cette information, se met au diapason, il est alors susceptible de développer les mêmes symptômes, ou des symptômes similaires, s’il en a besoin ou si son terrain s’y prête.

La contagion peut être perçue comme :

« l’expression d’une toxicité qui se répand à travers le mycélium de l’interconnexion humaine afin d’inspirer, inciter ou soutenir un processus de détoxination chez d’autres personnes ».

(Dr Kelly Brogan)

On constate cela très facilement avec les maladies initiatiques de l’enfant, quand, par exemple, toute une fratrie ou toute une classe d’école déclare tout à coup les mêmes symptômes, par effet de mimétisme (rougeole, scarlatine, oreillons, varicelle…).

Ce qu’il est essentiel de comprendre est que ce n’est jamais une maladie (un « virus » contagieux) qui est transmise directement de personne à personne, mais UNE INFORMATION susceptible de provoquer des symptômes particuliers en fonction du terrain qui reçoit cette information.

Nous ne contaminons pas les autres en leur projetant des germes à la figure, nous ne sommes pas en lutte les uns avec les autres ou avec le vivant dans son ensemble, et l’autre n’est pas un potentiel danger, tout au moins dans le domaine de la santé. Tout ce que nous faisons est de transmettre des informations au groupe, de par nos permanentes et profondes interrelations. Nous dialoguons au niveau vibratoire et sur divers plans énergétiques. Et cela change tout, d’une part dans la conception de la maladie et, d’autre part, dans le rapport que nous avons à l’autre et à la nature.

Il est aisé de comprendre que tout ceci va totalement à l’encontre des intérêts mortifères du système et de Big Pharma, qui n’ont de cesse de nous diviser et de nous présenter la vie sous la forme d’une guerre incessante contre tout ce qui bouge et respire, et l’espace commun comme le lieu de tous les dangers.

La médecine du futur, qui est déjà là, sera une médecine informationnelle et holistique, qui utilisera pour soigner les formidables pouvoirs de l’eau (nous sommes constitués à 96 % de molécules d’eau), la lumière et les ondes sonores. Exit la chimie, et son cortège d’horreurs et de tromperies !


[Voir aussi :]

Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes

TERRAIN expose le canular tyrannique de la pandémie mondiale, construite sur le modèle erroné de la maladie, connu sous le nom de “théorie des germes”. Ce documentaire en deux parties explore la théorie du terrain, un modèle de santé fonctionnant en symbiose avec la nature pour promouvoir le bien-être et la guérison, sans recourir à un paradigme médical corrompu et défaillant. TERRAIN motive et inspire les spectateurs à comprendre le pouvoir et la responsabilité du consentement. La première partie de TERRAIN remet en question la théorie des germes, un système de croyance obsolète et non scientifique basé sur des fraudes et des mauvaises interprétations. (Vidéo 55 min)


Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?

La question de l’existence de virus pathogènes reste importante, car la croyance en de tels virus mobilise des milliards de dollars de ressources et de fonds de recherche. Ces deux dernières années, nous avons également vu comment un prétendu virus peut être utilisé comme un outil politique pour mettre les populations au pas. Ce n’est pas la première fois que cela se produit : par exemple, la “découverte” du VIH dans les années 1980 a donné naissance à une industrie de plusieurs milliards de dollars et a également été utilisée à des fins politiques dans la plupart des régions du monde.


L’invention du SARS-CoV-2

Un mathématicien allemand travaillant avec le Dr Stefan Lanka vient de publier un rapport intitulé “Analyse structurelle des données de séquençage en virologie – Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2FR“. Il fournit encore plus de preuves que les virologues sont pris dans un monde de simulations informatiques – des simulations qui ne sont pas fiables même selon leurs propres termes, sans compter qu’elles sont déconnectées de la réalité. Cette analyse est une contribution importante qui expose un autre élément de l’anti-science utilisée pour soutenir cette fausse pandémie. En outre, il s’agit d’un démantèlement technique de la manière dont tous les “virus” sont inventés et ensuite “trouvés”, dans un jeu de tromperie permanent.


L’enterrement de la théorie virale

Pour déterminer la validité d’une théorie scientifique touchant une discipline particulière, il est bien davantage utile de connaître la démarche scientifique et le propre de la science que d’être un expert du domaine en question. Le propre de la science est le doute, la remise en question des connaissances acquises à la lumière de nouvelles données ou informations, par exemple suite à l’exploration de nouvelles voies ou à l’observation du réel sous un nouvel angle de vue ou selon une nouvelle perspective. Une théorie explicative de phénomènes observés ne peut être véritablement d’ordre scientifique que si elle est contestable par l’argumentation ou l’expérimentation dans le cadre de la démarche scientifique. Si a contrario elle se pose en vérité absolue ou définitive, alors elle ne relève pas de science, mais de superstition ou de croyances religieusement ou affectivement entretenues. À la lumière de nombreux faits et constats, nous allons tenter de montrer ici en quoi la théorie virale ne relève pas de science, mais de scientisme et de croyances erronées.

Lettre ouverte aux services de police de l’Ontario, relative à l’absence de preuves de l’existence du SRAS-CoV-2

Procédure de violation, de responsabilité et mise en demeure, avec des preuves vérifiées, et avec un groupe de pairs la présente à la « commission des services de police de Peterborough. Bref exposé des faits « COVID-19 », incluant des transgressions et des responsabilités :


L’interprétation erronée du virus — 2e partie

Début et fin de la crise corona, par le Dr Stefan Lanka. (…) Un des deux faits décisifs pour le SARS et la crise corona c’est qu’au moins 20 à 30 % de toutes les pneumonies sont atypiques. Les causes de la pneumonie atypique sont clairement connues et par conséquent on ne doit PAS affirmer qu’elles sont dues à un nouveau virus. Cette information est censurée par les infectiologues et virologues et est le fondement des peur et panique actuelles, parce que l’on crée l’impression chez ceux qui sont affectés, dans le public et chez les responsables politiques que la pneumonie atypique serait particulièrement dangereuse et souvent fatale (…)


La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple

Contrairement à ce que croient la majorité des gens, il n’y a pas de virus pathogène. Les affirmations au sujet de l’existence des virus et des maladies virales sont basées sur de mauvaises interprétations historiques et non, comme on le pensait dans le passé, sur des fraudes ou des tromperies délibérées. Nous avons maintenant du mieux, dans le sens positif des découvertes « scientifiques » et des explications pour l’origine, la thérapie et la prévention des maladies, et pas seulement des maladies « virales ».


Ebola : briser les mensonges et la supercherie

Nous sommes avertis, de temps en temps, qu’une nouvelle épidémie d’Ebola (ou de Marburg) pourrait se propager. C’est l’une de ces attractions à venir dans le théâtre qui montre un film de virus après l’autre. (…) La campagne massive pour faire croire que le virus Ebola peut attaquer à tout moment, après le moindre contact, est plutôt réussie. (…) Pour ne pas résoudre les problèmes du peuple, une histoire servant de couverture est nécessaire, une histoire qui disculpe la structure du pouvoir.

Lire la suite


La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2

Après les deux clous précédents enfoncés dans le cercueil de la théorie virale, dans cette troisième phase, le Dr Stefan Lanka montre qu’en appliquant la même technique que celle utilisée par les virologues, en utilisant les acides nucléiques qui ne proviennent pas de matériel supposé infectieux, mais de tissus humains, d’animaux et de plantes sains, vous pouvez construire le génome de n’importe quel « virus ». (Vidéo 8 min)


Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal

Après avoir étudié la biologie moléculaire au MIT, le Dr Kaufman a obtenu son diplôme de médecine à l’université de Caroline du Sud, puis s’est spécialisé en psychiatrie au centre médical de l’université de Duke. Des virus aux injections et aux médicaments, cette vidéo (> 1 h 20) aborde les hypothèses de base qui sous-tendent l’ensemble du récit sur le covid.


L’effondrement de l’hypothèse virale

Urmie Ray est docteur puis chercheur en mathématiques de l’Université de Cambridge, ancienne professeur de mathématiques à l’université de Reims, et associée à diverses périodes avec l’Institut Max Planck de Bonn (Allemagne) notamment. Urmie a démissionné de son poste de professeur d’université afin de se consacrer pleinement à l’étude de questions culturelles et historiques et ainsi mieux comprendre l’époque actuelle. Après une analyse de la déformation de la science en dogme dans son dernier livre : « On Science : Concepts, Cultures, and Limits » (Routledge, 2021), elle s’est depuis 2020 intéressée notamment à « l’hypothèse virale », sur laquelle est basée toute la justification des mesures inédites actuelles. (Vidéo > 1 h 40)


La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA

Et d’autres articles dans le dossier Vaccins et virus




L’esclavage numérique et la fin de l’enseignement

[Source : RI]

Par Carlos X. Blanco.

Nous nous dirigeons vers un nouvel esclavage. Plus grand, si possible, que celui d’autres époques où l’on fouettait le dos nu et où l’on attachait le cou, les chevilles et les poignets avec des entraves, des anneaux et des chaînes. Aujourd’hui, le fer n’est pas nécessaire. Il existe d’autres technologies de contention. Il s’agit des technologies de l’information, de la communication et du contrôle.

Il ne s’agit pas vraiment de technologies au sens strict. Ce dont nous parlons n’est pas une « connaissance » ou un discours raisonné (logos) sur la technologie (techné). Nous parlons plutôt d’un ensemble d’appareils basés sur l’électronique et l’informatique qui permettent aux fournisseurs, sous prétexte de « nous faciliter la vie » avec leurs applications, de disposer d’énormes quantités de données sur la vie privée, les propensions, les affinités, les goûts, les habitudes (allant du commerce du sexe aux bibelots).

Les entreprises fournisseuses proposent leurs applications aux particuliers, aux entreprises et même aux établissements d’enseignement de manière apparemment gratuite et avec l’attrait de nous épargner du travail physique et intellectuel. Les consommateurs, de l’écolier qui entre dans une salle de classe virtuelle à l’adulte qui achète en ligne des cadeaux et des livres, par exemple, croient sincèrement qu’avec elles leur vie est « plus facile », qu’ils gagnent du temps, évitent les déplacements, évitent de stocker des objets physiques, apprennent plus vite et plus efficacement. La société qui nous fournit les applications est souvent liée à certains des géants des GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft). En réalité, la vie devient plus compliquée et s’appauvrit.

Le monde de l’éducation a été totalement happé par l’engouement pour la numérisation. À l’occasion de la « pandémie », le GAFAM s’est frotté les mains. De manière anarchique d’abord, puis, formellement ou non, de concert avec les administrations, les géants technologiques ont profité du choc pandémique (la « Shock Doctrine » de Naomi Klein s’applique ici à la perfection) pour usurper les fonctions pédagogiques qui n’appartiennent qu’aux parents, aux instituteurs et aux professeurs.

« L’État Papa », dans un autre cas flagrant de négligence de ses fonctions, loin de répondre aux besoins éducatifs des étudiants dans une situation de crise, dans une occasion totalement hors du commun, a confiné tout le monde chez soi et a prolongé indûment la fermeture des écoles et des universités, remplaçant la fourniture d’un service essentiel comme l’Éducation par une consommation obligatoire, compulsive et sans cervelle de ressources numériques et d’applications cybernétiques privées. Les GAFAM ont non seulement obtenu des millions de données supplémentaires sur les mineurs, mais aussi de nouveaux accros à leurs plateformes et un degré de dépendance à leurs « services » qui aura des effets dévastateurs à long terme. Toute une génération académique perdue, et la base sociale de l’effondrement éducatif et culturel imparable et irréversible de l’Espagne.

À ce jour, alors que le risque de contagion dans les écoles est minime et que l’utilité et le sens de ces classes numériques et plateformes en ligne sont plus que discutables, les administrations éducatives sont toujours déterminées à promouvoir ce pseudo-enseignement. Les enseignants sont plus ou moins contraints de se « recycler » avec des cours (souvent en dehors de leurs heures de travail) sur la numérisation. Ces cours, comme cela s’est déjà produit dans d’autres secteurs tels que la banque et la vente, seront précisément la ruine de ceux qui les suivent et mettent en pratique leur formation, car la sauvegarde des emplois et le remplacement de l’enseignant par un système d’algorithmes qui quantifieront les « progrès » des étudiants seront imposés plus tôt que prévu. Avec un entêtement moutonnier, de nombreux enseignants s’enthousiasment pour cette « révolution numérique », en s’aveuglant sur l’évidence : c’est la mort même de la figure de l’enseignant et la fin de l’éducation telle que nous l’avons comprise depuis les temps de la Grèce et de Rome jusqu’à hier.

Les élèves interagissent avec un réseau, dont ils sont de plus en plus esclaves. Des enseignants et des parents absents. L’État-providence, qui comprend un État formellement engagé dans le travail d’éducation, est également en recul. Un monde régi par les machines et une « révolution numérique » au service de puissances mondiales qui « éduqueront » à leur manière et à leur profit exclusif. L’esclavage numérique est là.




PCB : Lettre vidéo ouverte à l’ex-pape Benoît XVI pour l’annulation de la béatification non valable de Jean-Paul II

Par le Patriarcat Catholique Byzantin


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Benoît XVI, ex-pape,

Monastère Mater Ecclesiæ,

Vatican, Italie.

Votre Sainteté,

Les médias ont actuellement lancé une campagne blessante contre vous. Nous ne voulons pas commenter ce problème ici. Nous nous adressons à vous en relation avec une autre question, à savoir la question de la béatification non valable du pape Jean-Paul II, béatification que vous avez déclarée le 1er mai 2011.

Au nom de tous les catholiques sincères, nous vous demandons de révoquer cette béatification non valable.

Jean-Paul II n’est ni saint, ni béni ; au contraire, il est expulsé de l’église parce qu’il a commis des crimes contre l’Église beaucoup plus sévères que ce qui avait été commis par le pape Honorius I, qui fut excommunié à titre posthume.

Les raisons de la non-validité de cette béatification :

1) Avec le nouveau code datant de 1983, Jean-Paul II a reçu des francs-maçons dans l’Église, francs-maçons qui contrôlent pleinement le Vatican via Bergoglio.

2) En 1986, Jean-Paul II ouvrit la porte du syncrétisme avec le paganisme, à Assise. Il renia donc le premier commandement, et apporta une malédiction sur lui-même. Il promut une anti-mission au lieu de la mission, c’est-à-dire l’invasion du paganisme dans l’Église par le biais d’un dialogue interférentiel.

3) Jean-Paul II est resté silencieux sur la pédophilie. Le fruit empoisonné de ceci est, entre autres, un réseau homosexuel installé aux plus hautes fonctions de l’Église.

4) Jean-Paul II est resté silencieux sur les hérésies du néo-modernisme qui se sont propagées en masse via la pseudo-science historico-critique en théologie. Cette pseudo-science place, de façon trompeuse, la résurrection historique et réelle du Christ ainsi que tous les miracles de la Bible dans le domaine des symboles et des mythes ! Son silence à ce propos et sa négligence à punir la propagation de ces hérésies constituent un crime grave commis contre l’Église.

5) Jean-Paul II était obligé de condamner l’esprit de formulations ambiguës et hérétiques, esprit qui agissait via les documents du concile de Vatican II. Mais il fit exactement le contraire. Il pava ainsi la voie pour que Bergoglio accomplisse la rupture catastrophique de l’Église catholique.

En dépit de nombreux avertissements, vous avez déclaré que Jean-Paul II était béni, et vous avez donc approuvé et sanctifié son chemin du suicide spirituel de l’Église et l’avez défini comme un exemple à suivre ! Pour cette raison, la punition la plus sévère — l’anathème de Dieu — est tombée sur vous. De plus, le même jour, le 1er mai 2011, vous avez également attiré une malédiction sur l’Église. Bergoglio, qui a ensuite déclaré que Jean Paul II est un saint, amène cette malédiction à son achèvement.

Veuillez supprimer la malédiction que vous avez placée sur l’Église et sur vous-même : révoquez et annulez la béatification non valable de Jean-Paul II.

En faisant cela, vous donnerez un exemple de repentance salvatrice pour l’Église sanguinolente, et ouvrirez la porte au rétablissement véridique et à la réforme nécessaire, qui sont le contraire du chemin synodal auto-génocidaire amorcé par Bergoglio. S’il vous plaît, ne tardez pas, car à votre âge avancé, Dieu pourrait vous appeler à quitter cette vie de manière inattendue.

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires

Le 16 février 2022

« Lettre vidéo ouverte à l’ex-pape Benoît XVI : Annulation de la béatification non valable de Jean-Paul II »

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Poutine a appelé les militaires ukrainiens à prendre le pouvoir dans leur pays..un accord avec vous serait plus facile

[Source : almanar.com.lb]

Présidant une réunion du Conseil de sécurité russe, diffusée en visioconférence, le président russe Vladimir Poutine a appelé les militaires ukrainiens à prendre le pouvoir dans leur pays.

S’adressant  aux militaires des forces armées ukrainiennes, M.Poutine a affirmé : 

« Ne permettez pas aux néonazis et aux bandéristes d’utiliser vos enfants, vos femmes et vos vieillards comme boucliers vivants. Prenez le pouvoir dans vos mains. Il semble qu’il serait plus facile de se mettre d’accord avec vous qu’avec cette bande de toxicomanes et néonazis qui ont pris en otage tout le peuple ukrainien ».

Et de poursuivre: 

« L’armée russe ne mène pas les principaux combats contre les unités régulières des forces armées ukrainiennes, mais avec des groupes nationalistes directement responsables, comme il est notoire, du génocide dans le Donbass et du sang versé par les civils des républiques populaires ».

il a ajouté : 

« Des éléments nationalistes implantés dans les unités régulières ukrainiennes non seulement incitent ces dernières à opposer une résistance armée, mais aussi jouent, de fait, le rôle de forces anti-retraite ».

M.Poutine a indiqué : 

« selon les informations confirmées par les résultats du contrôle objectif, nous constatons que les partisans de Bandera  et les néonazis installent de lourds armements -lance-roquettes multiples compris- directement dans les quartiers centraux de grandes villes, dont Kiev et Kharkov. Ils envisagent de provoquer des tirs de réponse de la part des systèmes de combat contre les quartiers résidentiels. En fait, ils agissent tout comme les terroristes à travers le monde: utiliser les gens  pour accuser la Russie de faire des victimes parmi les civils ».

Et de conclure :

« Il est certain que cela se fait sur recommandation de conseillers étrangers, au premier américains ».

Zakharova : Il est insuffisant de parler de sécurité. Nous avons besoin de garanties à long terme

Pour sa part, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a déclaré que « la Russie garantira la sécurité des employés des organisations internationales en Ukraine ».

« Les soldats russes prendront toutes les mesures nécessaires pour assurer la sécurité du personnel des missions de l’ONU et de l’OSCE en Ukraine. Nous connaissons leurs emplacements », a affirmé Zakharova lors d’une conférence de presse, notant que « la menace qui pèse sur les organisations internationales en Ukraine provient de les bataillons nationaux ukrainiens. »

Elle a révélé qu’ « Hier, Moscou a reçu une note ukrainienne concernant la rupture des relations diplomatiques avec elle », ajoutant , « ce n’est pas notre option. Comme vous le savez, la rupture des relations diplomatiques est le résultat d’une politique anti-russe délibérée menée par les autorités de Kiev depuis 2014. »

La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères a expliqué que son pays est « prêt à former une délégation immédiate pour mener des négociations avec Kiev, mais cela exige un comportement responsable de sa part », notant qu’« il est trop tôt pour parler du niveau auquel la Russie sera représentée dans d’éventuelles négociations avec Kiev. »

Concernant les garanties de sécurité, Mme Zakharova a estimé qu’« il ne nous suffit pas de parler de sécurité, nous avons besoin de garanties de sécurité à long terme et juridiquement contraignantes de la part des États-Unis et de l’OTAN ».

Le Kremlin a annoncé aujourd’hui que le président Poutine était prêt à envoyer une délégation russe à Minsk pour des négociations avec la délégation ukrainienne. Plus tôt dans la journée, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé son homologue russe à mener des négociations sur la situation dans la région du Donbass.

À son tour, M.Poutine, lors d’une conversation avec son homologue chinois Xi Jinping, a exprimé la volonté de son pays de négocier avec l’Ukraine « à un niveau élevé ».

Les forces armées russes poursuivent leur opération militaire spéciale en Ukraine pour la deuxième journée consécutive, avançant vers la capitale, Kiev.

Source: Traduit d’AlMayadeen




Guerre : la France nucléarisée est terriblement vulnérable

[Source : observatoire-du-nucleaire.org]

[Photo : JEAN-CHRISTOPHE VERHAEGEN, AFP
La centrale nucléaire de Cattenom, en France.]

Par Stéphane Lhomme

L’invasion de l’Ukraine par la Russie est une nouvelle occasion pour les promoteurs du nucléaire de mettre en avant leur industrie fétiche, parée de toutes les vertus.

La construction de nouveaux réacteurs est ainsi mise en avant pour lutter contre le changement climatique… alors que ces chantiers ne seraient pas achevés avant 2040. De même, le nucléaire serait la solution face à l’envol des prix de l’énergie alors qu’il est d’ores et déjà acquis que les coûts de production des futures centrales seront prohibitifs.

Et voilà aujourd’hui que l’invasion de l’Ukraine par la Russie démontrerait la pertinence de l’option nucléaire imposée depuis plusieurs décennies en France. Quant à l’Allemagne, elle serait désormais confrontée à une erreur majeure, celle d’avoir choisi la fermeture de ses centrales nucléaires et d’avoir parié sur le gaz, en particulier le gaz russe, pour assurer sa transition énergétique en attendant de fonctionner un jour avec 100% d’énergies renouvelables.

Il est certes exact que, comme ceux du blé ou de l’aluminium, les prix de l’énergie s’envolent depuis le déclenchement de l’attaque russe. En outre, les pays qui importent du gaz russe – dont la France ! – risquent de devoir se passer subitement de cette ressource, entraînant assurément un envol des prix, voire des pénuries.

L’Allemagne va assurément être confrontée à d’importantes difficultés. Pour autant, le nucléaire est-il l’option « magique » apte à protéger la France ? Certainement pas.

Commençons par rappeler que, tous les hivers, la France est fortement importatrice d’électricité, en particulier… depuis l’Allemagne, et ce malgré nos 56 réacteurs nucléaires, ou plus exactement à cause d’eux : l’option « nucléaire + des millions de chauffages électriques » entraîne de tels pics de consommation que la production nucléaire française est largement insuffisante.

Ce phénomène s’aggrave d’ailleurs chaque année avec le vieillissement des réacteurs et les pannes de plus en plus nombreuses et inquiétantes. Pour mémoire, EDF est actuellement obligée d’arrêter de nombreux réacteurs suite à la découverte de corrosions de systèmes de sécurité.

Si l’Allemagne ne peut plus exporter d’électricité suite aux conséquences de la guerre en Ukraine, la France va de fait se retrouver en situation critique. Encore est-il heureux que l’hiver touche à sa fin, mais il est très probable que de nouveaux hivers arriveront fin 2022 et les années suivantes !

Rappelons aussi que, même avec la production nucléaire la plus importante au monde – les USA comptent plus de réacteurs mais ils produisent moins de 20% de l’électricité du pays, contre 65% en France – le nucléaire ne couvre que 15% de la consommation française d’énergie. C’est d’ailleurs bien pour cela que les Français sont frappés comme leurs voisins par l’envol des prix du pétrole, du gaz, et de l’électricité : le nucléaire ne nous protège absolument pas.

Les promoteurs de l’atome en déduisent bien sûr que, pour que cette protection fonctionne, notre production nucléaire doit augmenter fortement. Mais, comme signalé plus haut à propos du climat, il faudra attendre au moins jusqu’en 2040 pour que de nouveaux réacteurs entrent en service. Poutine aura alors près de 90 ans  !

De plus, des dizaines de réacteurs actuels auront été fermés d’ici là, trop délabrés pour être indéfiniment rénovés à grand frais par EDF. On nous parle beaucoup ces derniers temps d’une électrification massive de notre économie, mais ce ne sont pas les 6 à 14 nouveaux réacteurs annoncés par M. Macron – cela ne coûte rien en période électorale ! – qui permettront un tel basculement : il en faudrait en réalité dix ou vingt fois plus !

Or, outre son aspect insensé – démultiplication des risques de catastrophe et de la production de déchets radioactifs – ce projet est totalement hors des capacités d’EDF sur le plan financier – l’entreprise est d’ores et déjà terriblement endettée – et sur le plan industriel – incapable de construire un seul réacteur, le fameux EPR de Flamanville, comment EDF en ferait elle des centaines ?

Mais l’incapacité du nucléaire à nous protéger, de façon générale et tout particulièrement en période de crise géopolitique, est évidente pour d’autres raisons que les déficiences d’EDF.

Il est même évident qu’un pays très nucléarisé comme la France est en réalité hautement vulnérable. En effet, qui peut raisonnablement écarter l’hypothèse dramatique d’une guerre qui toucherait le territoire français ? Alors que l’armée russe vient de prendre possession de la tristement célèbre centrale nucléaire ukrainienne de Tchernobyl, comment ne pas envisager que des centrales françaises soient attaquées ou bombardées ?

La France possède certes des armes atomiques, mais comment permettraient-elles de protéger nos centrales nucléaires ? En atomisant les attaquants… sur notre propre sol ?

Et même sans en arriver là, il est notable que la France nucléaire est d’une immense vulnérabilité du fait de la centralisation extrême de sa production : l’électricité est transportée sur des centaines de kilomètres par des lignes très haute tension (THT) dont les pylônes, situés pour la plupart en rase campagne, peuvent être dynamités avec la plus grande facilité. En une nuit, un groupe paramilitaire ou terroriste peut mettre la France à genoux. Et qu’on ne nous accuse pas de « donner des idées à nos ennemis », cette vulnérabilité extrême est connue de toute personne qui suit les questions d’énergie.

A contrario, les énergies renouvelables peuvent être déployées de façon harmonieuse et décentralisée sur tout le territoire, et continueraient à fonctionner en grande majorité même si plusieurs régions étaient attaquées. Cette résilience est d’ailleurs aussi de mise face aux évènements climatiques.

Instrumentaliser la guerre poutinienne pour tenter de promouvoir l’atome est cynique, irresponsable et absurde. Que ce soit face au péril climatique, à l’envol des prix de l’énergie ou aux crises géopolitiques, il est clair que la seule option d’avenir passe par le triptyque sobriété (éliminer les consommations non indispensables), efficacité (consommer moins d’énergie pour un même besoin) et énergies renouvelables.

[Note de Joseph Stroberg : malheureusement, les énergies renouvelables (solaire et éoliennes) ne sont pas non plus une solution viable à grande échelle pour les raisons suivantes :
– elles sont intermittentes et fortement dépendantes du climat, et notamment moins efficaces en hiver à cause de la neige, du verglas et du manque de soleil ;
– elles nécessitent de l’énergie et des matériaux coûteux pour être produites ;
– elles sont assez difficilement recyclables une fois usées.
Les mondialistes élitistes proposent bien sûr leur solution : réduire la population terrestre à 500 millions d’individus, contrôler la masse survivante avec un identifiant universel et l’espionnage de toutes ses activités, réduire drastiquement ses habitudes de consommation, lui interdire l’accès direct aux ressources en l’entassant dans les villes pendant qu’ils se réservent les campagnes…
Si une solution humainement acceptable passe par une réduction de la consommation et de la production, elle ne doit pas être imposée, mais guidée par une éducation adéquate qui relèverait non pas de propagande, mais de stimulation de l’intelligence et du sens de la responsabilité individuelle et collective. Cependant, les ressources énergétiques risquent de se révéler insuffisantes, ne serait-ce que pour assurer une transition en douceur vers un nouveau mode de vie et un nouveau paradigme civilisationnel. En conséquence, il sera probablement nécessaire de découvrir et de mettre en oeuvre de nouvelles formes d’énergie.]




Zelensky prêt à se rendre

[Source : Réseau Voltaire]

Le président Volodymyr Zelensky a fait transmettre par l’ambassade de Chine à Kiev, dans la nuit du 25 au 26 février 2022, une proposition de cessez-le-feu à la Russie.

Le Kremlin a immédiatement fait connaître ses conditions :
 arrestation de tous les nazis (le conseiller militaire spécial Dmitro Yarosh, le Bataillon Azov, etc.),
 enlever tous les noms de rue et les monuments glorifiant les collaborateurs des nazis durant la Seconde Guerre mondiale (Stepan Bandera, etc.),
 déposer les armes.

L’opération militaire spéciale de la Russie en Ukraine n’a aucun rapport avec ce qu’en disent les médias atlantistes. Comme à chaque guerre, les grands médias se font intoxiquer.




Les croix gammées de Justin Trudeau. « Une démocratie aux caractéristiques néo-nazies »

[Source : mondialisation.ca]

[Photo : Camions du Convoi de la Liberté. Photo par Micheline Ladouceur.]

Les croix gammées de Justin Trudeau. « Une démocratie aux caractéristiques néo-nazies ». La loi sur les mesures d’urgence est révoquée

Chez nous et à l’étranger. « Raviver les flammes d’une urgence nationale injustifiée »

Par Prof Michel Chossudovsky

Actualisation Convoi de la Liberté 2022

Justin Trudeau a mené une opération policière illégale et criminelle dirigée par un chef de police intérimaire non approuvé contre le Convoi de la Liberté. Cette opération avait débuté le jeudi 17 février.

Les mesures prises ont comporté des violences policières, des arrestations massives, le gel illégal de comptes bancaires et la confiscation des véhicules des camionneurs.

Trudeau avait invoqué l’application de la loi sur les urgences de 1988 quatre jours avant le vote à la Chambre des communes, le lundi soir.

Le mardi, le Sénat s’est réuni et le représentant du gouvernement lui a demandé de prendre une décision sans avoir accès aux soi-disant « informations secrètes », un rapport qui aurait confirmé que l’application de la loi sur les mesures d’urgence était nécessaire et justifiée.

Visiblement, il n’y avait absolument aucune preuve à l’appui d’une opération policière majeure contre le Convoi de la Liberté.

Trudeau est un menteur. Il a été informé mardi que le Sénat pourrait refuser d’approuver l’extension de la loi sur les urgences.

Mardi également, le premier ministre de l’Alberta a intenté une action en justice contre Trudeau :

M. Kenney a qualifié cette mesure – que M. Trudeau a jugé nécessaire pour faire face à l’état d’urgence provoqué par les manifestations et les blocages de convois – de « l’une des plus grandes erreurs de tout gouvernement canadien moderne ».

Erreur est un euphémisme poli.

Et le mercredi 23 février, Trudeau a fait marche arrière. Dix jours après l’invocation de cette loi, il a confirmé que l’application de la Loi sur les mesures d’urgence n’était plus nécessaire.

L’article ci-dessous concerne les accusations de Trudeau (sans la moindre preuve) selon lesquelles le Convoi de la Liberté est antisémite, alors que les preuves suggèrent amplement que Trudeau lui-même est antisémite.

Un groupe de 23 éminents médecins et scientifiques israéliens a écrit une lettre ouverte au premier ministre Justin Trudeau, le réprimandant pour avoir assimilé les manifestants du Convoi de la Liberté à des nazis.

« L’importante lutte contre l’antisémitisme ne devrait pas être militarisée et dirigée contre une manifestation civile légitime qui vise à restaurer les libertés fondamentales, dans ce qui était, il n’y a pas si longtemps, l’un des pays les plus libres du monde », a déclaré le groupe dans une lettre vendredi ».

Mais il y a autre chose que les médias n’ont pas reconnu. La vérité interdite est que Trudeau est connu pour avoir soutenu le parti néo-nazi Svoboda en Ukraine, qui a commis d’innombrables atrocités à l’encontre de la communauté juive de Kiev.

« Assimilation des manifestants à des nazis » lorsque notre Premier-Ministre Justin Trudeau a accueilli en 2016 Andriy Parubiy (à gauche de Trudeau), chef du parti Svoboda à la Chambre des communes. (détails dans l’article ci-dessous).

Tout cela est bien documenté. Il ne s’agit pas d’une blague.

Je demande à la communauté juive du Canada d’adopter une position ferme sur cette question.

Michel Chossudovsky


Justin Trudeau ne cesse de faire référence aux croix gammées en laissant entendre que les organisateurs du Convoi de la Liberté ne sont pas seulement favorables aux symboles nazis mais sont antisémites.

Et le 16 février, il a dirigé ces accusations sauvages contre le Parti conservateur du Canada :

« Le Premier ministre Justin Trudeau a été mis en garde contre l’utilisation d’un langage « incendiaire » par le président de la Chambre des communes mercredi après avoir dit à la députée conservatrice Melissa Lantsman, qui est juive, que son parti se tient avec « les gens qui brandissent des croix gammées ».

Mme Lantsman, députée de Thornhill, au nord de Toronto, a déclaré à la Chambre que M. Trudeau « attise les flammes d’une urgence nationale injustifiée » et a demandé : « Quand le premier ministre a-t-il perdu le nord ? »

Il a répondu en disant : « Les membres du Parti conservateur peuvent se tenir aux côtés de ceux qui brandissent des croix gammées. Ils peuvent se tenir aux côtés de ceux qui brandissent le drapeau confédéré ». ( Globe and Mail )

En fait, Trudeau accuse les membres du Parti conservateur d’être des néo-nazis.

Vidéo (en anglais) : Justin Trudeau est-il antisémite ?
https://www.youtube.com/embed/ooi9rfFUcic
Vidéo (en anglais) : Trudeau a perdu le contrôle de la situation

Le 2 février, le premier ministre Justin, dans un « twit » plutôt inhabituel et RIDICULE, a fait la déclaration suivante (prétendument adoptée par un vote unanime de la Chambre des communes). VRAIMENT ?

Aujourd’hui, à la Chambre, les députés ont unanimement condamné l’antisémitisme, l’islamophobie, le racisme anti-Noir, l’homophobie et la transphobie dont nous avons été témoins à Ottawa au cours des derniers jours. Ensemble, continuons à travailler pour rendre le Canada plus inclusif.

La vidéo suivante réfute les accusations de M. Trudeau.

« Une démocratie aux caractéristiques néo-nazies » ?

Au moment d’écrire ces lignes, l’application d’une urgence nationale dirigée contre le Convoi de la Liberté 2022 est débattue à la Chambre des communes. Selon M. Trudeau, la portée de l’urgence est « raisonnable », les mesures n’empiètent pas sur la Charte des droits et libertés du Canada, affirme M. Trudeau.

La Chambre des communes est divisée. Le NPD a fait savoir qu’il se rangeait du côté du gouvernement libéral minoritaire.

Pendant ce temps, le premier ministre Trudeau envisage une initiative policière majeure contre le convoi de la liberté, impliquant une opération des forces spéciales de haute technologie de style nazi.

Cette décision ne devrait pas être une surprise. Le premier ministre Trudeau et la vice-première ministre Chrystia Freeland (dans le cadre de la politique étrangère du Canada) ont tous deux soutenu « officieusement » la politique néonazie en Ukraine.

Le gouvernement Trudeau fournit-il des armes et un entraînement au bataillon néonazi Azov ?

La politique néonazie en Ukraine n’est pas un « mouvement marginal », elle est intégrée à l’appareil militaire et de sécurité nationale, soutenu par les États-Unis et le Canada.

Selon le Ottawa Citizen (9 novembre 2021)

« Les fonctionnaires canadiens qui ont rencontré les membres d’un bataillon ukrainien lié aux néo-nazis n’ont pas dénoncé l’unité, mais étaient plutôt inquiets que les médias exposent les détails de la rencontre, selon des documents récemment publiés.

Les Canadiens ont rencontré les dirigeants du bataillon Azov et ont été informés par eux en juin 2018. Les officiers et les diplomates ne se sont pas opposés à la réunion et se sont plutôt laissés photographier avec les responsables du bataillon, malgré les avertissements précédents selon lesquels l’unité se voyait comme pro-nazie. Le bataillon Azov a ensuite utilisé ces photos pour sa propagande en ligne, soulignant que la délégation canadienne avait exprimé « l’espoir de poursuivre une coopération fructueuse.« 

Le bataillon Azov, qui fait partie de la Garde nationale ukrainienne sous la direction du ministère de l’Intérieur, est financé par les contribuables canadiens.

L’accord de coopération entre le Canada et l’Ukraine en matière de formation militaire a suscité l’inquiétude de la communauté juive. Les Amis du Centre Simon Wiesenthal (FSWC) « ont demandé une enquête au ministère de la Défense nationale du Canada :

« Nous exhortons au ministère de la Défense nationale de lancer immédiatement une enquête sur les preuves qui ont été révélées par l’étude de l’Université George Washington et de développer de nouvelles politiques et procédures pour s’assurer que tous les stagiaires étrangers reçoivent un certain type de vérification des antécédents afin d’éliminer la possibilité d’une affiliation néo-nazie ou autre extrémisme avant de recevoir une formation des forces canadiennes. » (cité dans le Jerusalem Post, c’est nous qui soulignons)

Voir le drapeau de l’OTAN (à gauche), l’insigne nazi du bataillon d’Azov et la croix gammée.
Ukraine-Neo-Natzi-Militia
Milice néo-nazie d’Ukraine

Qui brandit des croix gammées ?

Trudeau accuse le Parti conservateur de soutenir « les gens qui agitent des croix gammées ».

Cela ne décrit-il pas la relation de Trudeau avec le chef du parti néo-nazi Svoboda Andrey Korubiy ?

Le chef du parti néo-nazi Svoboda Andrey Korubiy est un « ami politique » de notre premier ministre.

Andriy Parubiy cofondateur du parti néo-nazi Social-National d’Ukraine (rebaptisé par la suite Svoboda) a été invité par Trudeau à Ottawa en 2016.

Andriy Parubiy Andriy Parubiy estime qu’il était nécessaire « d’introduire la démocratie directe en Ukraine, avec Hitler comme porte-flambeau. »

Justin Trudeau invite Andriy Parubiy à Ottawa.

Le vice-président du Parlement ukrainien, Andriy Parubiy, s’est rendu à Ottawa en février 2016 et a rencontré le premier ministre. Lors de cette réunion (de gauche à droite), l’ambassadeur d’Ukraine au Canada Andriy Shevchenko, le vice-président de la Verkhovna Rada Andriy Parubiy, le premier ministre Justin Trudeau et le député Borys Wrzesnewskyj.

Andriy Parubiy est un partisan du leader nazi de la Seconde Guerre mondiale, Stepan Bandera.

Antisémitisme

Alors que Trudeau accuse le Convoi de la Liberté d’antisémitisme (sans la moindre preuve), il apporte son soutien à  la Garde nationale ukrainienne qui est intégrée par des éléments néo-nazis.

Entre-temps (le 13 février), Trudeau a confirmé que le Canada allait « envoyer à l’Ukraine des équipements létaux et des munitions d’une valeur de 7,8 millions de dollars ».

Le parti néonazi Svoboda d’Andrey Parubiy mène la campagne contre la communauté juive de Kiev. Juden Raus ! (Les Juifs dehors !) est leur devise.

La communauté juive d’Ukraine

Oleksandr Feldman, président du Comité juif ukrainien, a accusé le parti Svoboda de « tenir un discours de haine antisémite ». Selon le Times of Israel : (rapport de janvier 2017)

Des nationalistes ukrainiens [partisans de Parubiy] à Kiev ont scandé « Juifs dehors » en allemand lors d’une marche du Nouvel An célébrant l’anniversaire d’un collaborateur nazi dont les troupes ont tué des milliers de Juifs.

Des milliers de personnes ont participé à la manifestation organisée dans le centre de la capitale ukrainienne en l’honneur de Stepan Bandera, l’un des leaders du mouvement nationaliste ukrainien des années 1930 et 1940. Ils ont brandi son portrait tandis qu’une personne non identifiée criait le slogan antisémite dans un haut-parleur, incitant de nombreux participants à le répéter, selon une vidéo publiée par l’Agence fédérale de presse.

Le mouvement de Bandera comprenait une armée d’insurgés qui a combattu aux côtés des soldats nazis pendant une partie de la Seconde Guerre mondiale. Les partisans de Bandera affirment qu’ils se sont rangés du côté des nazis contre l’armée soviétique, croyant qu’Adolf Hitler accorderait l’indépendance à l’Ukraine.

En 2018, Parubiy a été accusé par les médias britanniques de faire l’éloge d’Adolph Hitler.

Andrey Parubiy a également été reçu par le Congrès américain.

Est-il inquiétant que les forces canadiennes dépêchées par notre gouvernement forment des forces paramilitaires nazies en Ukraine ?

Il existe de nombreuses preuves du soutien canadien et américain aux néonazis en Ukraine, qui remontent à l’Euromaïdan de 2014, (Vidéo en anglais)

Justin Trudeau’s Swastikas. “Democracy with Neo-Nazi Characteristics”. The Emergencies Act is Revoked

Traduit par Mondialisation.ca

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2022


Voir aussi :

Les troupes de Trudeau ont jeté un pasteur en isolement pour prière en faveur des camionneurs

Les troupes de Justin Trudeau ont arrêté un pasteur et l’ont jeté en isolement pour le « crime » d’avoir prié pour les camionneurs canadiens pacifiques qui se sont opposés aux passeports vaccinaux de Trudeau.

Trudeau « désobligeant envers les personnes handicapées »

Lettre de l’ancien président de Microsoft Canada au premier ministre Justin Trudeau. Objet : Demande d’éclaircissement concernant vos commentaires publics du 31 janvier 2022 au sujet des « chapeaux d’aluminium » et leur lien avec les préoccupations des Canadiens au sujet des rayonnements sans fil et de leur santé.

Justin Trudeau est un « politicien bien formé » contrôlé par Klaus Schwab pour le compte de « Big Money ».

Trudeau est un politicien préparé et contrôlé par l’establishment financier. Il a été un « élève » de l’initiative « Leaders of Tomorrow » (Jeunes Leaders de Demain) de Klaus Schwab (1992).
Klaus Schwab a fait la déclaration suivante en janvier 2016 lors de la réunion annuelle du Forum économique mondial de Davos, moins de trois mois après l’accession de Justin Trudeau au poste de Premier ministre du Canada à la suite des élections de novembre 2015.

Les « contre-manifestants » de Trudeau contre le Convoi canadien. Reportages ridicules des médias

Les contre-manifestants de Trudeau sont ridiculement peu nombreux en comparaison des Canadiens qui soutiennent le mouvement pour la liberté.

Convoi de la liberté, les croix gammées de qui? Justin Trudeau soutient les néo-nazis en Ukraine

Trudeau a fait référence aux croix gammées, laissant entendre que les organisateurs du Freedom Convoy soutenaient les symboles néonazis.
Ce que les médias ne reconnaissent pas, c’est que le premier ministre Trudeau a toujours soutenu la politique néonazie en Ukraine. Et la politique néonazie en Ukraine n’est pas un « mouvement marginal », elle est intégrée dans l’appareil militaire et de sécurité nationale, soutenu par les États-Unis et le Canada.

L’ancien tireur d’élite de Trudeau coordonne la sécurité bénévolement pour les camionneurs après sa démission pour refus de se faire vacciner

Le caporal Daniel Bulford, un ancien tireur d’élite de la RCMP (Royal Canadian Mounted Police) qui a été démis de ses fonctions après avoir refusé de se faire vacciner, a un nouvel emploi : il soutient les opérations de sécurité pour les bénévoles du programme “Adoptez un camion” pour le Convoi de la liberté 2022. De plus, il a déclaré qu’il disposait d’« informations très fiables » selon lesquelles personne directement associé à la manifestation n’avait été arrêté ou inculpé par la police, malgré les rapports faisant état de multiples arrestations liées aux manifestations de camionneurs en cours dans la capitale nationale.

Trudeau en Conflit d’Intérêts 

Quand il impose la Vaccination Obligatoire aux camionneurs et aux employés Fédéraux, M. Justin Trudeau est en Conflit d’Intérêts car il a déjà acheté 400 Millions de Vaccins pour une population de 40 Millions de Canadiens pour la somme astronomique de Mille Millions de Dollars qui lui rapportent des ristournes aux deux compagnies pharmaceutiques dont il est actionnaire. En effet, il détient 40% des actions de la Pharmaceutique Acuitas qui détient les brevets des nanoparticules utilisés dans les vaccins ARN… C’est illégal !

Carlson fustige Justin Trudeau sur les ondes de Fox News : « Il n’y a pas de despote plus effrayant que le premier ministre du Canada »

Lundi le 1er février, Tucker Carlson a accusé les médias canadiens d’être le porte-parole de Justin Trudeau et a déclaré qu’ils avaient « troué certaines lignes d’attaque empruntées à CNN et NBC News » pour salir les camionneurs qui protestaient contre les mandats de vaccination du Premier ministre. Dans cet épisode de “Tucker Carlson Tonight”, l’animateur de Fox News a reproché à Trudeau de ne pas avoir rencontré les camionneurs. « Donc, je rencontrerai les gens lors d’un rassemblement tant que je suis d’accord avec leurs objectifs, tant qu’ils sont d’accord avec moi, c’est tout à fait bien, comme Black Lives Matter », a déclaré Tucker, imitant le premier ministre. « Vous avez l’impression que même quelqu’un d’aussi faible que Justin Trudeau se rend compte que ce n’est pas un argument gagnant. Il avait besoin de ses amis dans les médias d’État pour l’aider. »

Trudeau corrompu par Big Pharma ? Mise à jour 2

Des indications de corruption du Premier ministre du Canada peuvent expliquer pourquoi son discours est à l’opposé de la réalité perçue au travers de multiples témoignages sur place à Ottawa. Mise à jour : vidéo montrant le décalage entre les mensonges de Trudeau sur la manifestation et ce qu’elle est réellement. Etc.




Allemagne : 4 à 5 % des « vaccinés » anti-Covid seraient sous traitement suite aux effets secondaires

[Source : BusinessBourse]



[Note de Joseph : 5 % de 55 millions d’Allemands doublement vaccinés, cela représenterait 2 millions et 750 mille personnes avec des effets secondaires chroniques !]




De « l’effondrement de la Russie » comme « clef de l’Histoire universelle »

Par Nicolas Bonnal

L’expression est de Georges Nivat, traducteur de Soljenitsyne, et date de 2016. Elle résume très bien notre histoire séculaire : Charles X de Suède, puis Napoléon, puis Hitler, puis les autres (le complexe Biden-BHL-Leyen) tentent d’abattre le monstre croquemitaine de cette bonne vieille Histoire universelle. Elle résume très bien l’atmosphère du jour : la Russie seule contre tout le monde ou presque, avec l’empire américain et ses colonies, l’Europe apeurée et le reste du monde plus ou moins entraîné dans cette croisade antirusse, qui succède à la croisade antiallemande de la dernière guerre mondiale. Car pour l’occident Poutine est moins Staline qu’Hitler. Simplement c’est un Hitler qui n’a pas à se coltiner l’Armée rouge, qui dispose d’une terre riche et immense, d’une économie autarcique, des gisements de gaz et de pétrole et d’une armée sensationnelle. Snyder a rappelé que seuls 14 % des soldats américains (oublions le F35, les Stinger de M. Cadbury et tout le reste) s’estiment opérationnels (et encore ? Contre les Russes ou contre les Irakiens ?). On sent en tout cas une haine gnostique, frémissante, et tout cela risque de mal finir pour nous surtout.

La lutte contre l’empire russe sourd à travers toute notre histoire depuis le dix-neuvième siècle : voyez le livre de Lesur qui en 1812 dénonce la montée de la puissance russe au moment où les troupes napoléoniennes dévastent la Russie. On pense à la haine du tsarisme, à la Guerre de Crimée, au Grand Jeu britannique (voyez le Kim de Kipling qui lui donne une aura ésotérique) ; puis on passe à l’homme au couteau entre les dents, au stalinisme et à la situation actuelle. J’ai évoqué la lutte occidentale contre la Russie dans mon livre sur Dostoïevski contre la modernité occidentale. Dans l’Idiot, le prince Muichkine attaque l’Église de Rome (que dirait-il d’elle aujourd’hui !!!) ; dans les Possédés Dostoïevski évoque l’adoration de l’Amérique et ces libéraux russes qui sont (et seront) toujours les laquais de l’occident. Dans son Journal (texte admirable disponible sur Wikisource), Dostoïevski annonce la guerre germano-russe, les problèmes avec la minorité juive (qui s’adonnera, comme disait Poutine, au bolchévisme), l’effondrement de la France devenue républicaine, et le racisme ontologique antirusse. Dostoïevski est souvent drôle et pince-sans-rire (plus que Poutine) ; et cela donne :

« … Il y a en Russie des hommes très bizarres, constitués comme les autres hommes et pourtant ne ressemblant à personne. Ils tiennent à la fois de l’Européen et du Barbare. On sait que notre peuple est assez ingénieux, mais qu’il manque de génie propre ; qu’il est très beau ; qu’il vit dans des cabanes de bois nommées isbas, mais que son développement intellectuel est retardé par les paralysantes gelées hivernales. »

Dostoïevski reprend l’éprouvant pamphlet de Custine (les Russes sont des automates) avec humour :

« On n’ignore pas que la Russie encaserne une armée très nombreuse, mais on se figure que le soldat russe, simple mécanisme perfectionné, bois et ressort, ne pense pas, ne sent pas, ce qui explique son involontaire bravoure dans le combat ; que cet automate sans indépendance est à tous les points de vues à cent piques au-dessous du troupier français. »

Enfin les Russes ont trop de barbe :

« L’effet du rasoir surtout fut merveilleux : une fois glabres, les Russes devinrent très vite quelque chose comme des Européens. »

C’est d’ailleurs leur point commun avec les islamistes, aux Russes : ils ont trop de barbe !

Mais la barbe revêt une dimension religieuse et culturelle. Et là on rentre dans le domaine de la guerre de civilisation, celle qui oppose les Anglo-saxons aux Russes depuis un siècle et demi.

Je cite un libéral dans les Possédés :

« Hélas ! nous sommes des pygmées comparativement aux citoyens des États-Unis ; la Russie est un jeu de la nature et non de l’esprit. »

Là-dessus les Occidentaux sont tombés sur un os. Brzezinski avait parlé du scandaleux refus du monde LGBTQ et du reste à Moscou. Et Poutine a dit dans son discours à la nation :

« Mais non un état d’euphorie né de leur supériorité absolue, une sorte d’absolutisme moderne, qui plus est, sur fond de faible niveau de culture générale et d’arrogance de ceux qui ont préparé, adopté et fait passer les décisions qui n’étaient profitables que pour eux-mêmes. La situation a commencé à évoluer d’une manière différente. »

Et il ajoute :

« En fait, jusqu’à récemment, les tentatives de nous utiliser dans leurs intérêts, de détruire nos valeurs traditionnelles et de nous imposer leurs pseudo-valeurs, qui nous rongeraient, nous, notre peuple, de l’intérieur n’ont pas cessé. Ces attitudes ils les imposent déjà agressivement dans leurs pays et elles mènent directement à la dégradation et à la dégénérescence, car elles sont contraires à la nature humaine elle-même. Cela n’arrivera pas [ici], cela n’a jamais marché pour personne. Cela ne marchera pas non plus maintenant. »

Là on est au cœur du problème : avec Poutine la Russie (qui était plus tolérée du temps de la Révolution) est redevenue la bête noire de l’ordre libéral mondialiste. Revoyez d’ailleurs mon texte publié sur fr.sputniknews.com à ce sujet : Dostoïevski (visionnaire et théologien comme Flaubert ou Baudelaire à la même époque — tous nés en 1821) et la prophétie du nouvel ordre mondial auquel nous arrivons aujourd’hui, incarcérés, sous la coupe du totalitarisme libéral anglo-américain.

Poutine a compris qu’il faut frapper (sans faire trop mal, mais ça dépend qui) parce que l’occident veut le détruire lui et sa terre. Hitler disait dans son Testament qu’il ne saurait jamais faire la paix à la Russie, qu’il faudrait toujours qu’il lui saute à la gorge. Blinken, Biden et leur clique n’ont pas évolué. Ils en sont au stade suprême du nihilisme impérial : détruire leur peuple, la culture, les sexes, la religion, la nature (comme dit justement Poutine), tout ce qui Est.

Il leur reste comme je l’ai dit à affronter la meilleure (la meilleure ou la dernière ?) armée du monde, ses armements et à éviter des contre-sanctions ruineuses. Pour parler comme mon ami Jean Parvulesco, auteur d’un beau livre traduit en russe par Alexandre Douguine, on ne pouvait rêver de meilleur Endkampf.

Sources principales :

https://fr.wikisource.org/wiki/Journal_d%E2%80%99un_%C3%A9crivain/Texte_entier

https://beq.ebooksgratuits.com/vents/Dostoievski-possedes-1.pdf

https://www.profession-gendarme.com/ce-matin-a-6h00-heure-de-moscou-vladimir-poutine-sest-adresse-a-son-peuple-pour-expliquer-ce-quil-allait-faire-et-pourquoi-il-allait-le-faire/

https://fr.sputniknews.com/20170129/dostoevski-prophetie-ordre-mondial-1029827127.html

https://books.google.com.bn/books?id=3tkCAAAAYAAJ

https://www.cairn.info/revue-le-debat-2017-4-page-165.htm




L’ordre à partir du chaos : comment le conflit ukrainien est conçu pour profiter aux mondialistes

[Source : exoconscience.com]

Par Brandon Smith

Dans les deux prochains mois, il est probable qu’il y aura une implication militaire directe des États-Unis en Ukraine, la Russie soutenant et reconnaissant désormais ouvertement les groupes séparatistes dans la région du Donbass, à l’est du pays, et s’apprêtant apparemment à les aider militairement à se séparer. Ce n’est pas la première fois que la Russie envoie des unités militaires en Ukraine, mais c’est la première fois depuis 2014 et l’annexion de la Crimée que la menace d’une action militaire est manifeste plutôt que secrète.

Lorsque le conflit éclatera, vous verrez un essaim d’histoires médiatiques dans les nations occidentales, qui tenteront d’exposer la complexité de la relation entre la Russie et l’Ukraine depuis la chute de l’Union soviétique, tout en ignorant certaines vérités dérangeantes. Vous verrez beaucoup de ces articles construire un récit qui simplifie à l’extrême la situation et dépeint la Russie comme le monstrueux agresseur. L’objectif sera de convaincre le public que notre implication en Ukraine est une nécessité morale et géopolitique. Il y aura des tentatives pour gagner la faveur des Américains et un appel à l’envoi de troupes américaines sur le terrain. Joe Biden sera à l’avant-garde de ces efforts.

L’élément déclencheur de la confrontation est évidemment la décision prise en 2009 par les puissances occidentales et les responsables ukrainiens d’envisager l’adhésion du pays à l’OTAN. La plupart des actions de la Russie vis-à-vis de l’Ukraine sont dues à l’implication de l’OTAN dans la région, y compris l’invasion russe de la Crimée en 2014. D’un point de vue stratégique, cela a du sens. Imaginez que le Mexique annonce soudainement qu’il rejoint une alliance militaire avec la Chine et que des moyens militaires chinois vont être transférés près de la frontière sud des États-Unis ? Cela ne se terminerait probablement pas bien.

Certes, la Russie a un passé de comportement hypocrite lorsqu’il s’agit de son implication dans les affaires de ses voisins. Par exemple, il y a quelques mois à peine, le Kazakhstan était confronté à des manifestations de masse qui, selon le gouvernement, étaient dues à une « manipulation étrangère ». Aucune preuve n’a été présentée pour justifier cette affirmation. Toutefois, cette affirmation a suffi à justifier le déploiement de 2 300 soldats russes à la frontière pour mettre fin aux manifestations.

En réalité, les citoyens du Kazakhstan étaient en colère à cause d’un pic d’inflation et des prix élevés de l’essence qui continuent de broyer la classe moyenne et les personnes en situation de pauvreté (ça vous dit quelque chose ?). En 2019, seulement 4% de la population vivait sous le seuil de pauvreté officiel. En 2020, ce chiffre a explosé pour atteindre 14% de la population. Il est difficile de trouver des chiffres précis pour 2021, mais il est probable que les niveaux de pauvreté soient maintenant plus proches de 16%-20%. Les raisons des troubles civils sont évidentes et justifiées, mais les Kazakhs qui protestent sont accusés d’être les pions d’ennemis étrangers. Comme je l’ai noté dans de nombreux articles ces derniers temps, il s’agit d’une stratégie typique des gouvernements corrompus qui tentent de conserver le pouvoir lorsque le peuple se soulève et se rebelle pour des raisons légitimes.

Encore une fois, imaginez si le gouvernement canadien de Trudeau avait demandé l’aide de l’armée américaine pour disperser les manifestations des camionneurs contre ses mandats draconiens en matière de vaccins ? Nous devons examiner ces décisions dans leur contexte afin de saisir à quel point elles sont insensées.

Ironiquement, la Russie est heureuse de soutenir l’agitation des séparatistes en Ukraine tout en aidant à faire taire l’agitation au Kazakhstan. Gardez ce schéma à l’esprit, car il vous aidera à comprendre comment les événements entourant la Russie reflètent une tendance mondiale qui pourrait affecter les Américains à l’avenir.

Le désordre diplomatique entre l’Ukraine et la Russie peut être imputé en partie aux deux parties, et c’est dans ce genre d’ambiguïté historique que les mondialistes ont tendance à prospérer. Le brouillard de la guerre contribue à masquer les activités de l’establishment et il est souvent difficile pour les gens de voir qui profite vraiment du chaos jusqu’à ce qu’il soit trop tard. Je suis convaincu que le problème ukrainien est au moins partiellement conçu et qu’il s’agit du premier domino d’une chaîne de crises prévues.

Je ne pense pas que le conflit ukrainien soit unique pour les mondialistes ; ils auraient tout aussi bien pu essayer de déclencher une guerre régionale à Taïwan, en Corée du Nord, en Iran, etc. Il y a de nombreux pays qui sont des poudrières et qu’ils cultivent depuis quelques décennies. Nous ne devrions pas nous concentrer sur la question de savoir qui est à blâmer entre l’Ukraine ou la Russie, mais plutôt sur les effets qui résulteront de tout désastre régional majeur et sur la manière dont les mondialistes exploitent de telles catastrophes pour faire avancer leur programme de centralisation totale du pouvoir.

Le scénario de l’Ukraine pourrait être facilement désamorcé si les deux parties prenaient quelques mesures diplomatiques de base, mais cela ne se produira pas. Les responsables de l’OTAN pourraient faire un pas en arrière dans leur quête d’ajouter l’Ukraine à leurs rangs. Les États-Unis pourraient cesser de déverser de l’argent et des armes en Ukraine pour un montant de 5,4 milliards de dollars depuis 2014. Plus de 90 tonnes d’équipements militaires ont été envoyées au pays rien qu’en 2022. La Russie pourrait cesser d’envoyer des unités d’opérations spéciales secrètes dans le Donbass et être plus disposée à venir à la table pour discuter de solutions diplomatiques. La raison pour laquelle ces choses ne se produisent pas est qu’elles ne sont pas autorisées par les courtiers en pouvoir derrière le rideau.

Nous sommes tous conscients des influences mondialistes derrière les dirigeants des États-Unis et de l’OTAN, nous en présentons régulièrement les preuves indéniables. Le penchant de Biden pour les institutions mondialistes est bien connu. Mais qu’en est-il de la Russie ?

Certains, dans les médias alternatifs et le mouvement pour la liberté, croient à tort que la Russie est anti-mondialiste – Rien n’est plus faux. Comme de nombreux dirigeants politiques, Poutine utilise parfois une rhétorique antimondialiste, mais ses relations racontent une autre histoire. Dans sa première autobiographie, intitulée « First Person », Poutine évoque avec tendresse sa première rencontre avec le mondialiste du Nouvel ordre mondial Henry Kissinger, alors qu’il était membre du FSB (anciennement KGB). Au fur et à mesure que Poutine gravissait les échelons politiques, il a entretenu une amitié constante avec Kissinger. Aujourd’hui encore, ils déjeunent régulièrement ensemble et Kissinger a été conseiller auprès de plusieurs branches du Kremlin.

Mais cela ne s’arrête pas là. Poutine et le Kremlin ont également entretenu un dialogue constant avec le Forum économique mondial, le projet du mondialiste désormais notoire Klaus Schwab. En fait, l’année dernière encore, la Russie a annoncé qu’elle rejoignait le « réseau de la quatrième révolution industrielle » du WEF, qui se concentre sur la socialisation économique, l’intelligence artificielle, l’ »internet des objets » et une foule d’autres intérêts mondialistes qui mèneront tous à la technocratie et à la tyrannie mondiale.

Encore une fois, le gouvernement russe n’est PAS anti-mondialiste. Cette affirmation est absurde et l’a toujours été. J’attribue le fantasme de l’opposition russe à un flux constant de propagande et à ce que j’appelle le faux paradigme Est/Ouest – la notion frauduleuse que l’agenda mondialiste est un agenda purement occidental ou américain et que des pays comme la Chine et la Russie s’y opposent. Si vous observez les interactions étroites entre l’Est et les mondialistes, cette idée s’effondre complètement.

Il est important de comprendre que la plupart des conflits entre l’Est et l’Ouest sont des conflits artificiels et que les dirigeants des DEUX COTES ne sont pas vraiment en désaccord les uns avec les autres. Ces guerres sont plutôt du théâtre Kabuki ; ce sont des guerres de convenance pour atteindre des objectifs cachés tout en hypnotisant les masses avec des moments de terreur et de calamité. Pour ceux qui en doutent, je leur recommande vivement de lire les travaux de recherche et de preuve de l’historien et économiste professionnel Antony Sutton, qui a découvert par hasard les faits entourant la conspiration mondialiste et a poursuivi en exposant leur habitude de jouer sur les deux tableaux dans presque toutes les guerres du siècle dernier, de la révolution bolchevique à la Seconde Guerre mondiale et au-delà.

La stratégie de l’ordre à partir du chaos n’a rien de nouveau, c’est quelque chose que les mondialistes font depuis très longtemps. Le nombre de révélations ouvertes post-Covid sur la « Grande Réinitialisation » que les mondialistes ont publiquement admises est si stupéfiant que leurs plans ne peuvent plus être niés. Tout sceptique à ce stade devrait être soupçonné d’avoir un QI à un chiffre.

Donc, maintenant que nous avons établi la réalité de l’implication des globalistes à la fois en Occident et en Russie, nous devons nous demander comment ils bénéficient du déclenchement d’une crise entre ces puissances à propos de l’Ukraine ? Qu’en retirent-ils ?

Comme je l’ai noté dans des articles récents, il me semble que l’Ukraine est une tentative de plan B pour produire plus de fumée et de miroirs là où la pandémie de covid n’a pas satisfait le plan de la Grande Réinitialisation. Comme Klaus Schwab et le WEF l’ont constamment affirmé, ils ont vu dans la pandémie l’ »occasion » parfaite d’imposer au monde la quatrième révolution industrielle. Comme l’a dit le mondialiste Rahm Emanual à la suite de la crise économique de 2008 :

« Vous ne voulez jamais qu’une crise grave soit gâchée. Et ce que je veux dire par là, c’est que c’est une occasion de faire des choses que vous pensez ne pas pouvoir faire auparavant. »

Le WEF est un habitué de cette tactique. Klaus Schwab a également utilisé exactement le même langage juste après le krach du crédit de 2008 que celui qu’il a utilisé après la propagation du covid, en essayant toujours de vendre la gouvernance mondiale comme la solution à chaque catastrophe :

« Ce que nous vivons est la naissance d’une nouvelle ère, un appel au réveil pour revoir nos institutions, nos systèmes et, surtout, notre façon de penser, et pour adapter nos attitudes et nos valeurs aux besoins d’un monde qui attend, à juste titre, un degré beaucoup plus élevé de responsabilité et de reddition de comptes », a-t-il expliqué. « Si nous reconnaissons que cette crise est réellement transformatrice, nous pouvons jeter les bases d’un monde plus stable, plus durable et même plus prospère. »

Klaus Schwab sur l’initiative de refonte mondiale, 2009

Schwab a sauté le pas à l’époque, tout comme il a sauté le pas en 2020 lorsqu’il a déclaré que la Grande Réinitialisation était inévitable face au covid. Les mondialistes devaient s’attendre à un taux de mortalité beaucoup plus élevé à cause du virus, car ils dansaient pratiquement dans les rues, ravis de la quantité de pouvoir qu’ils pouvaient voler au nom de la « protection du public contre une menace sanitaire mondiale. » Si vous regardez la simulation du WEF et de la Fondation Gates d’une pandémie de covid, l’événement 201 qui a eu lieu seulement deux mois avant que la VRAIE CHOSE ne se produise, ils s’attendaient clairement à ce que le covid fasse beaucoup plus de dégâts, prédisant un nombre initial de décès de 65 millions. Cela ne s’est jamais produit ; c’est loin d’être le cas.

Il est difficile de dire pourquoi une arme biologique évidente comme le covid n’a pas réussi à faire le travail. Les virus ont tendance à muter rapidement dans la nature et à se comporter différemment de ce qu’ils font dans un laboratoire. J’envisagerais même la possibilité d’une intervention divine. Quelle que soit la raison, les mondialistes n’ont pas obtenu ce qu’ils voulaient et ils ont maintenant besoin d’une nouvelle crise pour huiler les engrenages de la machine Reset. Avec le taux de mortalité déjà minuscule de la covid qui baisse encore plus avec la variante Omicron et la moitié des États des États-Unis qui défient totalement les mandats de vaccination, ce n’est qu’une question de temps avant que le reste du monde ne se demande pourquoi il est toujours sous l’autoritarisme médical.

La guerre en Ukraine et la simple menace d’une extension de cette guerre au-delà de la région pourraient accomplir un certain nombre de choses que la covid n’a pas accomplies. Elle fournit une couverture permanente pour l’effondrement stagflationniste qui bat son plein aux États-Unis, les problèmes de chaîne d’approvisionnement qui se poursuivent au niveau mondial ainsi que la déstabilisation de l’économie européenne. En particulier, l’UE est fortement dépendante du gaz naturel russe pour chauffer les maisons et maintenir son économie. La Russie a étranglé les approvisionnements en gaz naturel de l’Europe dans le passé et elle le fera à nouveau. Les exportations de pétrole russe comblent également les lacunes de la demande mondiale, et ces exportations seront étranglées par les sanctions ou par le Kremlin qui coupe délibérément les approvisionnements de certaines nations.

La guerre est toujours une distraction pour le sabotage économique. Même si les banques centrales plantent et arrosent souvent les graines des krachs financiers bien à l’avance, les banques ne sont jamais blâmées parce que les conflits internationaux occupent commodément le devant de la scène. Par extension, la crise économique provoque la pauvreté de masse, le désespoir de masse et l’hystérie de masse, et les mondialistes diront que ces dangers exigent une solution internationale qu’ils fourniront volontiers sous la forme de la centralisation.

Aux États-Unis et dans de nombreuses autres nations occidentales où un grand nombre de personnes défendent encore la liberté individuelle, les mondialistes veulent clairement utiliser les tensions avec la Russie comme un moyen de faire taire la dissidence publique sur les politiques autoritaires. Je vois déjà de nombreux cas de fonctionnaires de l’establishment et de gauchistes sur les médias sociaux suggérant que les défenseurs des libertés sont des « pions des Russes » et que nous sommes utilisés pour « diviser pour régner ». Ce sont des absurdités qui ne sont soutenues par rien, mais ils essaient quand même ce récit pour voir s’il tient la route.

Je ne doute pas que toute rébellion aux États-Unis contre les mondialistes sera imputée à une ingérence étrangère. Comme nous l’avons mentionné précédemment, la dernière chose que les élites veulent, ce sont des mouvements de personnes libres qui font obstruction à la Réinitialisation au nom de la liberté. Nous en avons été témoins au Canada où Trudeau a annoncé des pouvoirs d’urgence unilatéraux contre les manifestations des camionneurs, se donnant ainsi des niveaux de contrôle totalitaires. Même le gouvernement russe est intervenu dans de telles actions publiques pour empêcher toute forme d’élan militant. Biden va essayer de faire la même chose, et la guerre, même une petite guerre régionale, lui donne une raison d’opprimer la dissidence au nom de la sécurité publique.

Il est intéressant de noter que la loi martiale aux États-Unis est également beaucoup plus facile à justifier légalement et historiquement pour le gouvernement, tant qu’elle est appliquée en réponse à l’invasion d’un ennemi étranger. Le récit de l’influence russe pourrait très bien être une préparation à la loi martiale en Amérique. Que cela réussisse ou non est une autre question.

Les conséquences d’une fusillade en Ukraine iront bien au-delà d’une distraction pour le public américain ; mon intention n’est pas de suggérer que seuls les Américains seront touchés. Mon propos n’est pas de suggérer que seuls les Américains seront affectés. Ce que je veux dire, c’est que certains endroits dans le monde sont naturellement résistants au projet mondialiste, et que les Américains épris de liberté constituent un obstacle majeur. S’il y a une rébellion à grande échelle contre la Grande Réinitialisation, elle commencera ici. Les mondialistes le savent aussi, c’est pourquoi les États-Unis seront sans aucun doute impliqués de manière centrale dans le bourbier ukrainien.

Alors que l’événement serait désastreux pour les Ukrainiens et probablement pour de nombreux Russes, il existe des menaces sous-jacentes plus profondes et plus dangereuses destinées aux États-Unis et une guerre en Ukraine sert de bouc émissaire efficace pour nombre d’entre elles.

Source : https://alt-market.us/order-out-of-chaos-how-the-ukraine-conflict-is-designed-to-benefit-globalists/

Traduction : https://exoconscience.com




Ukraine : dernier message du 24 février de Vladimir Poutine à son peuple

[Source : RI]

Par Dominique Delawarde.

Ce matin à 6h00, heure de Moscou, Vladimir Poutine, s’est adressé à son peuple pour expliquer ce qu’il allait faire et pourquoi il allait le faire.

[Voir aussi :
Pourquoi Poutine intervient-il en Ukraine ?]

*

Moscou, Kremlin, 24 février 2022 – 06:00 (heure de Moscou)

V. Poutine : Chers citoyens de Russie ! Chers amis !

Aujourd’hui, je pense qu’il est à nouveau nécessaire de revenir sur les événements tragiques qui se déroulent dans le Donbass et sur les questions essentielles pour assurer la sécurité de la Russie même.

Je commencerai par ce que j’ai dit dans mon discours du 21 février de cette année. Je parle de quelque chose qui nous préoccupe particulièrement, des menaces fondamentales qui, d’années en années, étape par étape, sont créées de manière flagrante et sans cérémonie, année après année, par des politiciens irresponsables de l’Ouest contre notre pays. Je fais référence à l’expansion du bloc de l’OTAN vers l’Est, qui rapproche son infrastructure militaire des frontières de la Russie.

Il est bien connu que, depuis 30 ans, nous essayons avec constance et patience de parvenir à un accord avec les principaux pays de l’OTAN sur les principes d’une sécurité égale et indivisible en Europe. En réponse à nos propositions, nous nous sommes constamment heurtés soit à des tromperies et à des mensonges cyniques, soit à des tentatives de pression et de chantage, alors que dans le même temps, l’Alliance de l’Atlantique Nord, malgré toutes nos protestations et nos préoccupations, ne cesse de s’étendre. La machine de guerre est en marche et, je le répète, s’approche au plus près de nos frontières.

Pourquoi tout cela arrive-t-il ? Pourquoi cette façon insolente de [nous] parler depuis une position d’exclusivité, d’infaillibilité et de permissivité ? D’où vient cette attitude indifférente et dédaigneuse à l’égard de nos intérêts et de nos demandes parfaitement légitimes ?

La réponse est claire, [pour nous] tout est clair et évident. L’Union soviétique s’est affaiblie à la fin des années 1980 avant de s’effondrer complètement. Toute la suite des événements qui se sont alors déroulés est aujourd’hui une bonne leçon pour nous ; elle a montré de manière convaincante que la paralysie du pouvoir et de la volonté est le premier pas vers une dégradation totale et une disparition complète. Il a suffi que nous perdions un temps notre confiance, et voilà le résultat, l’équilibre des forces dans le monde a été rompu.

Cela a conduit au fait que les traités et les accords précédents, ne sont plus dans les faits appliqués. Les tentatives de persuasion et les demandes ne servent à rien. Tout ce qui ne convient pas aux Puissants, à ceux qui ont le pouvoir, est déclaré archaïque, obsolète et inutile. Et vice versa : tout ce qui leur semble avantageux est présenté comme la vérité ultime, à faire passer à tout prix, sans ménagement, par tous les moyens. Les contradicteurs sont brisés.

Ce dont je parle maintenant ne concerne pas seulement la Russie, et ces préoccupations ne sont pas seulement les nôtres. Cela concerne l’ensemble du système des relations internationales, et parfois même les alliés des États-Unis eux-mêmes. Après l’effondrement de l’URSS, une redistribution du monde a effectivement commencé, et les normes établies du droit international – et les principales, fondamentales – adoptées à la fin de la Seconde Guerre mondiale et ont largement consolidé ses résultats – ont commencé à gêner ceux qui se sont déclarés vainqueurs de la guerre froide.

Bien sûr, dans la vie pratique, dans les relations internationales et dans les règles qui les régissent, il faut tenir compte des changements de la situation mondiale et de l’équilibre des forces. Toutefois, cela devait être fait de manière professionnelle, sans heurts, avec patience, en tenant compte et en respectant les intérêts de tous les pays et en comprenant sa propre responsabilité.

Mais non – un état d’euphorie né de leur supériorité absolue, une sorte d’absolutisme moderne, qui plus est, sur fond de faible niveau de culture générale et d’arrogance de ceux qui ont préparé, adopté et fait passer les décisions qui n’étaient profitables que pour eux-mêmes. La situation a commencé à évoluer d’une manière différente.

Il n’est pas nécessaire d’aller bien loin pour trouver des exemples. Premièrement, sans aucune autorisation du Conseil de sécurité des Nations unies, ils ont mené une opération militaire sanglante contre Belgrade, en utilisant des avions et des missiles en plein cœur de l’Europe. Plusieurs semaines de bombardements continus ont été effectués sur des villes et des infrastructures indispensables à la vie. Nous devons rappeler ces faits, car certains collègues occidentaux n’aiment pas se souvenir de ces événements, et lorsque nous en parlons, ils préfèrent pointer du doigt non pas les normes du droit international, mais des circonstances, qu’ils interprètent comme bon leur semble.

Puis vint le tour de l’Irak, de la Libye et de la Syrie. Le recours illégitime à la force militaire contre la Libye et la perversion de toutes les décisions du Conseil de sécurité des Nations unies sur la question libyenne ont conduit à la destruction totale de l’État [libyen], à la création d’un immense foyer de terrorisme international et à la plongée du pays dans un désastre humanitaire et dans l’abîme d’une longue guerre civile qui se poursuit encore. La tragédie qui a condamné des centaines de milliers, des millions de personnes non seulement en Libye, mais dans toute la région, a créé une migration massive de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient vers l’Europe.

Un sort similaire était réservé à la Syrie. L’action militaire de la coalition occidentale dans ce pays, sans le consentement du gouvernement syrien et sans l’autorisation du Conseil de sécurité des Nations unies, n’est rien d’autre qu’une agression, une intervention.

Mais l’invasion de l’Irak occupe également une place de choix dans cette liste, bien entendu sans aucune base juridique. Le prétexte était que les États-Unis disposaient prétendument d’informations fiables sur la présence d’armes de destruction massive en Irak. Pour le prouver publiquement, devant le monde entier, le secrétaire d’État américain a secoué un genre de tube contenant une poudre blanche, assurant à tout le monde qu’il s’agissait d’une arme chimique développée en Irak. Et puis il s’est avéré que c’était une manipulation, du bluff : il n’y avait pas d’armes chimiques en Irak. Incroyable, étonnant, mais les faits restent les faits. Des mensonges ont été proférés au plus haut niveau de l’État et du haut de la tribune de l’ONU. Le résultat a été d’énormes pertes humaines, des destructions et une incroyable poussée de terrorisme.

D’une manière générale, il semble que presque partout, dans de nombreuses régions du monde, là où l’Occident vient établir son ordre, il y laisse des blessures sanglantes, non cicatrisantes, les plaies du terrorisme international et de l’extrémisme. Tous les exemples ci-dessus sont les plus flagrants, mais loin d’être les seuls exemples de mépris du droit international.

Cela inclut la promesse faite à notre pays de ne pas étendre l’OTAN d’un pouce vers l’Est. Une fois encore, ils nous ont trompé ou, dans le langage populaire, tout simplement arnaqué. Oui, on entend souvent dire que la politique est un sale métier. Peut-être, mais pas aussi sale que cela, pas à ce point quand même. Après tout, un tel comportement de pipeur de dés est non seulement contraire aux principes des relations internationales, mais surtout aux normes de moralité et d’éthique généralement acceptées. Où sont la justice et la vérité ici ? Rien que des mensonges et de l’hypocrisie.

D’ailleurs, les politiciens, les analystes politiques et les journalistes américains eux-mêmes écrivent et disent que ces dernières années qu’un véritable « Empire du mensonge » a été créé aux des États-Unis. Il est difficile de ne pas être d’accord avec cela – c’est vrai. Mais, disons-le : les États-Unis restent quand même un grand pays, une puissance à la base d’un système.

Tous ses satellites ne se contentent pas de l’approuver docilement, d’acquiescer, de reprendre en cœur [ses positions] à chaque occasion, mais aussi de copier son comportement et acceptent avec enthousiasme les règles qu’ils leur proposent. Avec raison, on peut dire avec certitude que l’ensemble du soi-disant bloc occidental, formé par les États-Unis à son image et à sa ressemblance, est ce même « Empire du mensonge ».

Quant à notre pays, après l’effondrement de l’URSS, malgré l’ouverture sans précédent de la nouvelle Russie moderne et sa volonté de travailler honnêtement avec les États-Unis et d’autres partenaires occidentaux, dans des conditions de désarmement réellement unilatéral, ils [l’Ouest] ont immédiatement essayé de nous enfoncer, de nous achever et de nous détruire pour de bon. C’est exactement ce qui s’est passé dans les années 90 et au début des années 2000, lorsque le soi-disant Occident collectif a soutenu activement le séparatisme et les bandes de mercenaires dans le sud de la Russie. Quels sacrifices et quelles pertes cela nous a coûté, quelles épreuves nous avons dû traverser avant de pouvoir enfin de définitivement briser les reins du terrorisme international dans le Caucase. Nous nous en souvenons et ne l’oublierons jamais.

En fait, jusqu’à récemment, les tentatives de nous utiliser dans leurs intérêts, de détruire nos valeurs traditionnelles et de nous imposer leurs pseudo-valeurs, qui nous rongeraient, nous, notre peuple, de l’intérieur n’ont pas cessé. Ces attitudes ils les imposent déjà agressivement dans leurs pays et elles mènent directement à la dégradation et à la dégénérescence, car elles sont contraires à la nature humaine elle-même. Cela n’arrivera pas [ici], cela n’a jamais marché pour personne. Cela ne marchera pas non plus maintenant.

En dépit de tout cela, en décembre 2021, nous avons tenté une nouvelle fois de parvenir à un accord avec les États-Unis et leurs alliés sur les principes de la sécurité en Europe et au non-élargissement de l’OTAN. Tout a été en vain. La position des États-Unis n’a pas changé. Ils ne considèrent pas qu’il est nécessaire de parvenir à un accord avec la Russie sur cette question essentielle pour nous, ils poursuivent leurs propres objectifs et ne tiennent aucun compte de nos intérêts.

Et bien sûr, dans cette situation, nous nous posons la question : que faire ensuite, à quoi s’attendre ? L’histoire nous apprend qu’en 1940 et au début de 1941, l’Union soviétique a tenté d’empêcher ou, du moins, de retarder le déclenchement de la guerre. Pour ce faire, il faut notamment essayer littéralement jusqu’à la dernière minute de ne pas provoquer un agresseur potentiel, ne pas prendre, voire de reporter les mesures les plus nécessaires et les plus évidentes pour se préparer à repousser une attaque inévitable. Et les mesures qui ont finalement été prises étaient désastreusement tardives.

En conséquence, le pays n’était pas préparé à faire face à l’invasion de l’Allemagne nazie, qui a attaqué notre Patrie sans déclaration de guerre le 22 juin 1941. L’ennemi a été arrêté puis écrasé, mais à un coût colossal. La tentative de plaire à l’agresseur à la veille de la Grande Guerre patriotique a été une erreur qui a coûté cher à notre peuple. Au cours des premiers mois de combat, nous avons perdu de vastes territoires stratégiquement importants et des millions de personnes. Nous ne ferons pas une telle erreur une deuxième fois, nous n’en avons pas le droit.

Ceux qui aspirent à la domination du monde déclarent publiquement, en toute impunité et, je le souligne, sans aucune justification, que nous, la Russie, sommes leur ennemi. En effet, ils disposent aujourd’hui d’importantes capacités financières, scientifiques, technologiques et militaires. Nous en sommes conscients et évaluons objectivement les menaces qui sonnent constamment à notre adresse dans le domaine de l’économie, ainsi que notre capacité à résister à ce chantage impudent et permanent. Je le répète, nous les évaluons sans illusions et de manière extrêmement réaliste.

Dans le domaine militaire, la Russie moderne, même après l’effondrement de l’URSS et la perte d’une grande partie de son potentiel, est aujourd’hui l’une des puissances nucléaires les plus importantes du monde et dispose en outre d’avantages certains dans un certain nombre d’armements de pointe. À cet égard, personne ne doit douter qu’une attaque directe contre notre pays entraînerait une défaite et des conséquences désastreuses pour tout agresseur potentiel.

Cependant, la technologie, y compris celle de la défense, évolue rapidement. Le leadership dans ce domaine a changé et changera de mains [souvent]. Mais l’aménagement militaire des territoires adjacents à nos frontières, si nous le permettons, se poursuivra durant des décennies, peut-être même pour toujours, et constituera une menace toujours plus grande et totalement inacceptable pour la Russie.

Aujourd’hui déjà, alors que l’OTAN s’étend vers l’Est, la situation de notre pays empire et devient chaque année plus dangereuse. De plus, ces derniers jours, les dirigeants de l’OTAN ont explicitement parlé de la nécessité d’accélérer, de forcer l’infrastructure de l’alliance jusqu’aux frontières de la Russie. En d’autres termes, ils renforcent leur position. Nous ne pouvons plus nous contenter de regarder ce qui se passe. Ce serait complètement irresponsable de notre part.

La poursuite de l’expansion de l’infrastructure de l’Alliance de l’Atlantique Nord et l’aménagement militaire du territoire de l’Ukraine sont inacceptables pour nous. Le problème, bien sûr, n’est pas l’organisation de l’OTAN elle-même – elle n’est qu’un instrument de la politique étrangère américaine. Le problème, c’est que sur les territoires qui nous sont adjacents – je tiens à le préciser, nos territoires historiques – se crée une « anti-Russie » ennemie, placée sous un contrôle extérieur total, qui est intensivement colonisée par les forces armées des pays de l’OTAN et qui est gavée des armes les plus modernes.

Pour les États-Unis et leurs alliés, il s’agit d’une politique dite d’endiguement de la Russie, d’un dividende géopolitique évident. Pour notre pays, c’est en fin de compte une question de vie ou de mort, la question de notre avenir historique en tant que Nation. Et ce n’est pas une exagération – c’est tout simplement comme ça. Il s’agit d’une menace réelle, non seulement pour nos intérêts, mais aussi pour l’existence même de notre État, pour sa souveraineté. C’est la ligne rouge qui a été évoquée à plusieurs reprises. Ils l’ont franchi.

Dans ce contexte, [revenons sur] la situation à Donbass. Nous constatons que les forces qui ont réalisé un coup d’État en Ukraine en 2014, se sont emparées du pouvoir et l’ont conservé au moyen de procédures électorales essentiellement décoratives, ont définitivement refusé de résoudre le conflit de manière pacifique. Pendant huit ans, huit infiniment longues années, nous avons tout fait pour que la situation soit résolue par des moyens pacifiques et politiques. En vain.

Comme je l’ai dit dans mon allocution précédente, il est impossible de regarder ce qui se passe là-bas sans compassion. Il n’était tout simplement plus possible de le tolérer. Il faut arrêter immédiatement ce cauchemar – le génocide contre les millions de personnes vivant là-bas. Ceux-ci n’espèrent plus que [dans l’aide de] la Russie, ils n’espèrent plus qu’en vous et moi. Ce sont ces aspirations, ces sentiments et cette douleur des gens qui nous ont poussés à prendre la décision de reconnaître les Républiques populaires de Donbass.

Ce qu’il me semble important de souligner. Les principaux pays de l’OTAN, afin d’atteindre leurs propres objectifs, soutiennent en Ukraine les ultra-nationalistes et les néonazis, qui, à leur tour, ne pardonneront jamais aux habitants de Crimée et de Sébastopol leur libre choix de se réunifier à la Russie.

Ils [les ultra-nationalistes et les néonazis] tenterons, bien évidemment, de s’infiltrer en Crimée, comme ils l’ont fait dans le Donbass, pour y faire la guerre et tuer des gens sans défense.

Tout cela comme l’on fait les bandes punitives des nationalistes ukrainiens, les supplétifs d’Hitler pendant la Grande Guerre patriotique. Ils déclarent aussi ouvertement qu’ils revendiquent un certain nombre d’autres territoires de la Russie.

L’ensemble du déroulement des événements et l’analyse des informations qui nous parviennent montrent que l’affrontement entre la Russie et ces forces est inévitable. Ce n’est qu’une question de temps : ils se préparent et attendent le moment opportun. Maintenant, ils revendiquent également la possession d’armes nucléaires. Nous ne permettrons pas que cela se produise.

Comme je l’ai dit précédemment, la Russie a accepté les nouvelles réalités géopolitiques après l’effondrement de l’URSS. Nous respectons et continuerons à respecter tous les pays nouvellement formés dans l’espace post-soviétique. Nous respectons et continuerons à respecter leur souveraineté, et un exemple de cela est l’aide que nous avons apportée au Kazakhstan, qui a été confronté à des événements tragiques et à des défis pour son statut d’État et son intégrité. Mais la Russie ne peut se sentir en sécurité, ne peut se développer, ne peut exister avec une menace constante émanant du territoire de l’actuelle Ukraine.

Permettez-moi de vous rappeler qu’en 2000-2005, nous avons riposté militairement aux terroristes dans le Caucase, défendu l’intégrité de notre État et préservé la Russie. En 2014, nous avons soutenu la population de Crimée et de Sébastopol. En 2015, nous avons utilisé nos forces armées pour mettre une barrière fiable aux infiltrations de terroristes depuis la Syrie vers la Russie. Il n’y avait pas d’autre moyen pour nous de nous défendre.

La même chose se produit maintenant. Vous et moi n’avons simplement pas eu d’autre possibilité de défendre la Russie, notre peuple, que celle que nous serons forcés d’utiliser aujourd’hui. Les circonstances nous obligent à agir de manière décisive et immédiate. Les Républiques populaires de Donbass ont demandé l’aide de la Russie.

À cet égard, conformément à l’article 51 de la partie 7 de la Charte des Nations unies, avec l’autorisation du Conseil de la Fédération de Russie et conformément aux traités d’amitié et d’assistance mutuelle avec les Républiques populaires de Donetsk et de Louhansk ratifiés par l’Assemblée fédérale le 22 février de cette année, j’ai pris la décision de mener une opération militaire spéciale.

Son but est de protéger les personnes qui ont été soumises à des abus, à un génocide par le régime de Kiev pendant huit ans. Et à cette fin, nous chercherons à démilitariser et à dénazifier l’Ukraine, à traduire en justice ceux qui ont commis de nombreux crimes sanglants contre des civils, y compris des citoyens de la Fédération de Russie.

Dans le même temps, nos plans n’incluent pas l’occupation de territoires ukrainiens. Nous n’avons pas l’intention d’imposer quoi que ce soit à qui que ce soit par la force. Dans le même temps, nous entendons de plus en plus souvent ces derniers temps à l’Ouest que les documents signés par le régime totalitaire soviétique, qui consacrent les résultats de la Seconde Guerre mondiale, ne devraient plus être appliqués. Quelle pourrait être la réponse à cette question ?

L’issue de la Seconde Guerre mondiale est sacrée, tout comme les sacrifices consentis par notre peuple sur l’autel de la victoire sur le nazisme. Mais cela ne contredit pas les hautes valeurs des droits de l’homme et des libertés, fondées sur les réalités des décennies d’après-guerre. Elle n’annule pas non plus le droit des nations à l’autodétermination consacré par l’article premier de la Charte des Nations unies.

Permettez-moi de vous rappeler que ni lors de la fondation de l’URSS ni après la Seconde Guerre mondiale, personne n’a jamais demandé aux habitants des territoires qui constituent l’actuelle Ukraine la manière dont ils voulaient organiser leur vie. Notre politique est fondée sur la liberté, la liberté de choix pour chacun de déterminer son propre avenir et celui de ses enfants. Et nous pensons qu’il est important que tous les peuples vivant sur le territoire de l’Ukraine actuelle, tous ceux qui le souhaitent, puissent exercer ce droit – le droit de choisir.

À cet égard, je lance également un appel aux citoyens de l’Ukraine. En 2014, la Russie avait l’obligation de protéger les habitants de Crimée et de Sébastopol contre ceux que vous appelez vous-même des « nazillons ». Les habitants de Crimée et de Sébastopol ont fait le choix d’être avec leur Patrie historique, avec la Russie, et nous l’avons soutenu. Encore une fois, nous ne pouvions tout simplement pas faire autrement.

Les événements d’aujourd’hui ne visent pas à porter atteinte aux intérêts de l’Ukraine et du peuple ukrainien. Il s’agit de protéger la Russie elle-même contre ceux qui ont pris l’Ukraine en otage et tentent de l’utiliser contre notre pays et son peuple.

Encore une fois, nos actions relèvent de l’autodéfense contre les menaces que l’on fait peser sur nous et contre une calamité encore plus grande que celle qui se produit aujourd’hui. Aussi difficile que cela soit, je vous demande de le comprendre et j’appelle à la coopération pour que nous puissions tourner cette page tragique le plus tôt possible et avancer ensemble, sans permettre à quiconque de s’immiscer dans nos affaires, dans nos relations, mais en les construisant de manière indépendante, afin de créer les conditions nécessaires pour surmonter tous les problèmes et, malgré les frontières étatiques, nous renforcer de l’intérieur en tant qu’entité unie. Je crois en cela – c’est notre avenir.

Je dois également m’adresser aux militaires des forces armées de l’Ukraine.

Chers camarades ! Vos pères, grands-pères, arrière-grands-pères ont à leur époque combattu les nazis, en défendant notre Patrie commune, ce n’est pas pour qu’aujourd’hui les néonazis prennent le pouvoir en Ukraine. Vous avez prêté serment au peuple ukrainien, et non à la junte antipopulaire, qui vole l’Ukraine et maltraite ce même peuple.

N’exécutez pas les ordres criminels [de cette junte]. Je vous appelle à déposer les armes immédiatement et à rentrer chez vous. Soyons clairs : tous les membres de l’armée ukrainienne qui se plieront à cette exigence pourront quitter la zone de guerre sans entrave et retourner auprès de leurs familles.

Permettez-moi d’insister une fois de plus : toute la responsabilité d’une éventuelle effusion de sang reposera entièrement sur la conscience du régime au pouvoir sur le territoire de l’Ukraine.

Maintenant, quelques mots importants, très importants pour ceux qui pourraient être tentés de l’extérieur d’interférer dans les événements qui se déroulent. Quiconque tente d’interférer avec nous, et encore plus de mettre en danger notre pays et notre peuple, doit savoir que la réponse de la Russie sera immédiate et vous conduira à des conséquences auxquelles vous n’avez jamais été confrontés dans votre histoire. Nous sommes prêts à faire face à tout développement d’événements. Toutes les décisions nécessaires ont été prises à cet égard. J’espère que je serai entendu.

Chers citoyens de Russie !

Le bien-être, l’existence même d’États et de peuples entiers, leur succès et leur viabilité trouvent toujours leur origine dans le puissant système de racines de leurs cultures et de leurs valeurs, dans l’expérience et les traditions de leurs ancêtres, et ils dépendent bien sûr de leur capacité à s’adapter rapidement à une vie en constante évolution, de la cohésion de la société, de sa volonté de se consolider, de rassembler toutes les forces pour aller de l’avant.

On a toujours besoin de forces – toujours – mais les forces peuvent être de différentes qualités. La politique de « l’Empire du mensonge » à laquelle j’ai fait référence au début de mon discours est basée avant tout sur la force brute et directe. Dans de tels cas, nous disons : « Vous avez la force, vous n’avez pas besoin d’intelligence ».

Mais vous et moi savons que la vraie force réside dans la justice et la vérité, qui sont de notre côté. Et si cela est vrai, alors il est difficile de ne pas convenir que la force et la volonté de combattre sont le fondement de l’indépendance et de la souveraineté, le fondement nécessaire sur lequel seul on peut construire son avenir, son foyer, sa famille, sa Patrie.

Chers compatriotes !

Je suis sûr que les soldats et les officiers des forces armées russes qui sont loyaux envers leur pays rempliront leur devoir avec professionnalisme et courage. Je ne doute pas que tous les niveaux de pouvoir et les spécialistes responsables de la stabilité de notre économie, du système financier et de la sphère sociale, ainsi que les dirigeants de nos entreprises et de l’ensemble du monde des affaires russe travailleront de manière harmonieuse et efficace. Je compte sur la position consolidée et patriotique de tous les partis parlementaires et des forces publiques.

Après tout, comme cela a toujours été le cas dans l’histoire, le destin de la Russie est entre les bonnes mains de notre peuple multiethnique. Cela signifie que les décisions que nous avons prises seront mises en œuvre, que nos objectifs seront atteints et que la sécurité de notre patrie sera garantie de manière fiable.

J’ai confiance en votre soutien et en la force invincible que nous donne l’amour de notre Patrie.

Texte original en russe : Site du Kremlin




La mémoire de l’eau – documentaire complet. Mise à jour

[Source : https://www.dailymotion.com/video/x3sbctn]

[Note de Joseph Stroberg : la physique depuis Einstein a émis la théorie que matière et énergie étaient interchangeables et la physique quantique a montré que les particules élémentaires de la matière étaient toutes associées à une fréquence vibratoire particulière. Par extension, il est envisageable que chaque objet matériel ou vivant soit caractérisé par un signal électromagnétique unique. Et si son état varie, la vibration électromagnétique varie probablement aussi. Notamment un état maladif ou au contraire un état de bonne santé doit aussi pouvoir se retrouver inscrit dans le signal particulier qu’il émet. La mémoire d’un tel signal dans l’eau pourrait provenir de sa structure particulière complexe rendue possible par l’existence des liaisons hydrogène entre ses molécules.
Matière = Énergie = « Signal vibratoire » peut permettre d’envisager que chaque maladie spécifique identifiée soit liée non pas à une bactérie ou à un virus (voir L’enterrement de la théorie virale), mais à une fréquence vibratoire particulière (ou à un ensemble de vibrations) qui pourraient donc notamment facilement se propager d’un être humain à l’autre à distance et même à travers les murs. Ceci expliquerait bien pourquoi les mesures sanitaires prises dans le cas de la Covid-19 ne fonctionnent tout simplement pas. Par conséquent, si la cause d’une maladie n’est jamais bactérienne ou virale, mais une agression chimique (poison, toxine, polluant, hormones provenant d’émotions négatives…), physique (froid, chaleur, choc, friction…) ou électromagnétique (ondes pulsées comme la 5G ou le Wi-Fi) donnée, alors du fait de l’équivalence entre matière, énergie et fréquence vibratoire, il est parfaitement envisageable de soigner les individus avec des sons, des ondes lumineuses ou des signaux électromagnétiques adaptés qui puissent inverser ceux de la cause. Cependant, ceci marquerait la ruine des entreprises pharmaceutiques et cela explique notamment pourquoi certaines recherches sont violemment combattues et discréditées sous couvert de science.]

Mise à jour

Voir aussi le film Fréquences électromagnétiques de l’ADN (de Jean-Yves Bilien), sur le même sujet.
(Pour accéder au visionnement, il faut fournir une adresse courriel).




Précisions et point de vue sur l’intervention russe en Ukraine

[Source : Qactus]

À 5 heures du matin des explosions sont entendues sur la rive droite de Kiev… Des attaques par drones sont faites sur des sites stratégiques, (Armes, matériel, commandement militaire, station électriques, gaz, pétrole.) ….

L’invasion des troupes Russes a commencé, c’est le service de presse du ministère de l’Intérieur Ukrainien qui rapporte ces informations.

Le lancement du BM-30 « Smerch » depuis le Belgorod russe en direction de l’Ukraine :



Les aéroports de Kiev, Kharkov Dniepropetrovsk fermés ainsi que les espaces aériens… Toutes les villes sont touchées… Les hackers Russes ont mis hors service les sites Web gouvernementaux, les banques de données du ministère de la Défense sont touchées…

L’arrivée d’un missile de croisière à Ivano-Frankivsk :



Poutine a officiellement déclaré à 5 heures du matin, que la Russie est en guerre avec l’Ukraine… et que ceux qui veulent se mêler de cette histoire sont attendus de pied ferme.
Il a déclaré que celui qui désire donner des ordres à la Russie devra bien réfléchir dorénavant…

Des troupes aéroportées sont déjà en position dans les villes et lieux stratégiques… Le pays est bloqué.

Embouteillage à Kiev

Les missiles viennent de frapper le centre de l’administration militaire, des aérodromes, des dépôts militaires stratégiques à Kiev, Karkhok, Dniepropetrovsk. Le bombardement d’artillerie de la frontière est en cours.

Carte des objets de l’infrastructure militaire des forces armées de l’Ukraine qui ont subi des frappes

Poutine vient de dire que cette opération d’envergure n’est pas dirigée contre le peuple Ukrainien, mais contre tous ceux et celles qui depuis 30 ans se moquent d’eux, des Russes et pensent diriger ou contrôler le monde…

Poutine est vraiment en colère et emploi un ton martial… Il invite tous pays complices et manipulateurs à intervenir directement comme ils le promettent dans les médias et journaux complices…

Malheureusement, c’est bien ce que nous disons depuis des années…

Il est très dangereux de vouloir humilier un peuple… Souvenez-vous de l’Allemagne et de son humiliation après la première guerre mondiale…

[Note de Joseph :
la partie suivante de l’article est nettement plus « complotiste », avec une part qui relève (très ?) probablement davantage d’opinions, d’espoirs, d’illusions et/ou de croyances que de faits avérés. À prendre avec un grain de sel, comme on dit au Québec.]

Les khazars Sionistes Rothschild sont vraiment dans la merde… Poutine vient de dire qu’il va désarmer l’Ukraine, mettre le drapeau Russe sur le pays, arrêter toutes celles et ceux qui ont été complices de cette situation depuis les premiers jours de l’indépendance de l’Ukraine…

Tous les oligarques fanfarons, ces imbéciles profonds et incompétents que nous avons connus, sont soit en fuite, soit-on déjà quittés le pays depuis 15 jours à destination de l’Angleterre, Monaco et autres…

C’est à la fin du bal que l’on sait si la musique était bonne…

L’addition vient d’être présentée à celles et ceux qui ont festoyé comme des porcs…

Maintenant, l’arbitre vient de siffler la fin du match…
Les grands spécialistes de politique, économie, stratégie et autres conneries vont devoir réapprendre l’humilité, le respect et le bon sens…

Ce n’est pas un vieux pédophile sénille qui n’est même pas président des États-Unis qui va pouvoir trop longtemps manipuler le monde avec ses fidèles et serviles vassaux…

Poutine a lancé le grand nettoyage mondial !!

La fin prochaine du virus bidon et des vaccins/poisons ou plutôt des piqûres mortelles… Une peur terrifiante va s’abattre sur tous les dirigeants crétins des pays idiots qui vont devoir se réveiller vraiment… Ce n’est pas une guerre de conquête, mais de nettoyage…

La peur fait parler et délie les langues… Ça commence par les journalistes ukrainiens qui commencent à raconter tout ce qu’ils savent et n’ont jamais dit…

Ce que disent les journalistes ce matin…

L’Ukraine est sous le contrôle total d’un groupe de Sionistes (ils ne parlent pas encore des khazars Sionistes Rothschild, mais je suis sûr que ça va venir) qui dirigent et contrôlent tout le pays, le SBU (ex-KGB services secrets), l’armée, les ministères et tous les ministres et politiques…

Une journaliste vient de téléphoner pour l’informer que Trump est avec Poutine pour mettre en place le grand nettoyage… C’est un plan bien ficelé, planifié et prévu depuis très longtemps… Pendant que les idiots voleurs et psychopathes dansaient, Poutine et Trump travaillaient dur et efficacement…

Prions pour que tout se déroule selon le plan de Dieu…