Responsabilité des médias : la plainte contre X des associations BonSens et AIMSIB

[Source : francesoir.fr]

[Voir aussi :
L’heure des comptes Covid sonnera un jour, la justice pénale est saisie]

Auteur(s): FranceSoir

Emmanuel Macron s’est exprimé mardi, et ses assertions scientifiques pèchent une nouvelle fois par manque de rigueur. Rappelons que le 12 juillet 2021, le président de la République s’était déjà appuyé sur différentes données pour le moins fragiles afin de justifier les mesures les plus coercitives d’Europe : obligation vaccinale pour les soignants et mise en place d’un passe sanitaire.

Voir aussi : Analyse des assertions scientifiques d’Emmanuel Macron par le Pr Peter McCullough

L’association RéInfoLiberté a depuis déposé une plainte contre X, visant cette loi, qui repose potentiellement sur un document faux, d’après son président Vincent Pavan et Maître Ludovic Heringuez. Il s’agit de l’étude en prépublication de « Boseti et al » intitulée «  Épidémiologie et contrôle des épidémies de SRAS-CoV-2 chez les populations partiellement vaccinées : une étude de modélisation appliquée à la France . » Cette dernière avait servi de fondement à l’avis du Conseil scientifique.closevolume_off

Voir aussi : « Une loi qui repose potentiellement sur un document faux » Vincent Pavan et Me Heringuez

Troisième dose pour les plus de 65 ans, maintien du passe sanitaire, autocongratulation sur la gestion de crise sanitaire, annonce de traitements « réellement efficaces » pour la fin de l’année… Emmanuel Macron, se réclamant pourtant de « la science », a multiplié les annonces aux fondements hasardeux : or, la charge de la preuve incombe à celui qui énonce un fait scientifique. Force est de constater que le président a préféré un registre plus péremptoire.

Voir aussi : Emmanuel Macron, arrêtez de dire n’importe quoi !

Les affirmations scientifiques du président ont été reprises et diffusées à l’unisson dans les médias sans une vraie analyse contradictoire – et ce, même en amont de son allocution, puisque le 6 novembre, le terrain était déjà prêt : on rapportait ainsi une hausse de 61 % des rendez-vous pour la troisième dose. Le rôle des principaux médias dans la diffusion et rediffusion de ces informations est donc en question.

L’association BonSens.org s’associe donc à l’Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMISIB) pour une plainte contre X, qui concerne notamment les médias et leurs directeurs de la publication, afin d’arrêter ces diffusions d’informations déloyales, les incriminant des chefs :
– d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse (art. 223-15-2 du Code pénal)
– de complicité d’extorsion et de tentative d’extorsion (articles 312-1 et 312-9 du Code pénal)
– de complicité d’empoisonnement et de tentative d’empoisonnement (article 221-5 du Code pénal)

Une plainte de 108 pages, auxquelles s’ajoutent plus de 600 pages d’annexe dont les associations représentées par Maître Virginie de Araujo Recchia présentent le détail.

L’intégralité de la plainte (PDF) : Plainte contre X avec constitution de partie civile de BonSens.org et de l’AIMISIB

Auteur(s): FranceSoir




Un contrat Pfizer-CEE a peut-être fuité, les européens apprécieront

[Source : AIMSIB]

Par Encéphalix

Ne soyons pas naïfs, tout circule sur le Net, vrais pépites comme faux grossiers susceptibles de fausser toutes les analyses. Nous savons que certains « services » hostiles à nos politiciens européens ne se privent pas d’utiliser la crise de la Covid pour « aider » à la manifestation de la vérité et augmenter l’embarras de nos lamentables dirigeants politiques actuels. Voici la probable version non caviardée du contrat commercial de Novembre 2020 liant l’Union Européenne à Pfizer-BioNTech pour la délivrance des vaccins contre la Covid-19 (1). Si nous nous trompons, l’AIMSIB s’excusera platement auprès de tous les belligérants cités dans cet article, mais il faudra naturellement pour nous convaincre produire le contrat original que même les membres de la commission du contrôle budgétaire européen n’ont jamais pu consulter (2). On s’est demandé longtemps qui avait pu signer pour l’Europe un engagement aussi mirobolant pour les firmes et aussi incroyablement défavorable aux Européens, vous comprendrez beaucoup mieux en fin d’article. Encéphalix s’est penché longuement sur la centaine de pages de ce contrat, ce qu’il y a trouvé ne va pas vous laisser de marbre, en voici les éléments les plus saillants. La grande manipulation à marche forcée… Bonne lecture.

[Voir aussi :
PfizerLeak : les contrats Pfizer et leurs clauses surprenantes
et
Conflits d’intérêt et corruption à l’Agence Européenne du Médicament (EMA)]

Introduction

Ce « contrat d’achat anticipé » aurait été signé le 20 novembre 2020 pour une durée de 24 mois.

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Dispositions générales

Dès la 2e page de ce document, il aurait été convenu que les seuls changements qui pourront y être apportés seront d’ordre pratique et n’altèrera pas matériellement le risque, le coût ou la responsabilité des parties:

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Trad: « Il est entendu que tout changement fait sera d’ordre pratique et n’altèrera pas matériellement le risque, le coût ou la responsabilité des parties. Dans le cas où des modifications substantielles sont demandées, les parties discuteront de leur impact de bonne foi »

La commission européenne aurait pré-commandé à la date de la signature 200 millions de doses et pris une option pour 100 millions de doses supplémentaires.

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Trad: « Sur la base de ce contrat d’achat anticipé, la Commission Européenne mandate le contractant (=Pfizer-BioNTech) pour qu’il s’engage à produire et livrer en priorité 200 millions de doses du vaccin qui sera commandé par les Etats membres participants (via des formulaires spécifiques de commande de vaccins) au prix et conditions, incluant le calendrier de livraison, conclu dans cet accord d’achat anticipé »…/…Les parties reconnaissent que la Commission souhaitera peut-être passer une commande supplémentaire pour un maximum de 100 millions de doses du vaccin. »

Premiers paiements effectués par l’Union Européenne

Afin de garantir, l’accès aux vaccins, la Commission aurait versé un acompte de 700 millions d’euros correspondant à 3.50€H.T. par dose :

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Trad: « Afin de garantir aux Etats membres participant le droit d’acquérir des doses de vaccins dans un laps de temps donné et à un certain prix et conditions, la Commission payera un acompte. »

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Trad: « La Commission accepte de payer un paiement initial de 700 millions d’euros (correspondant à 3.50€ par dose multiplié par 200 millions) au contractant (=Pfizer-BioNTech). Ce paiement d’avance sera un acompte pour garantir le volume commandé à l’article 1.5.2, et devra etre considéré comme un acompte sur le prix [des vaccins] tel que défini ci-dessous. »

Les doses, à quels prix

Le prix qui aurait été négocié dépend du nombre de dose.

Pour les 200 millions pré-commandées, la moyenne serait à 15.50€ H.T.par dose avec une répartition :
– 17.50 € H.T. pour les doses comprises entre 0 et 100 millions
– 13.50 € H.T. pour les doses comprises entre 100 et 200 millions.

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Toutefois, les doses supplémentaires ne seraient pas payées au prix attendu de 13.50€ H.T mais :
– 15.50 € H.T. pour chaque dose supplémentaire si la commande est passée dans les 3 mois après l’accord initial de mise sur le marché
– 17.50€ H.T. pour chaque dose supplémentaire si commande >3mois après accord initial de mise sur le marché mais avant la fin de ce contrat d’achat anticipé.

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 Cet accord ne semble pas favorable à la commission et aux Etats membres puisqu’ils payent au prix fort les doses supplémentaires au-delà de l’accord initial de 200 millions de doses.

Livraison et répartition des vaccins

La livraison des doses de vaccins a été négocié avant qu’ils ne soient mis sur le marché avec un nombre croissant de doses :
– 25 millions dernier trimestre 2020
– 40 millions 1er trimestre 2021
– 60 millions 2e trimestre 2021
– 75 millions 3e trimestre 2021

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Retrait possible des engagements de commandes

On apprend ainsi que si l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle (AMMc) intervenait après le 15/08/2020, chaque partie signataire pouvait se retirer de l’accord. 
Si l’AMMc était pas accordée au 15/08/2021 mais que Pfizer-BioNTech était dans l’incapacité de délivrer la moindre dose de vaccin au 15/11/2021, les deux signataires pouvaient se retirer de l’accord.

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Traduction : « Si l’autorisation n’est pas accordée au 15 août 2021, la Commission et le contractant (=Pfizer-BioNTech) auront le droit de mettre fin à ce contrat d’achat anticipé. »

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Traduction : « Si l’autorisation est accordée au 15 août 2021, mais qu’au 15 novembre 2021 le contractant est dans l’incapacité de fournir la moindre dose commandée pour des raisons techniques ou autres, la Commission et le contractant auront le droit de mettre fin à ce contrat d’achat anticipé. »

La date limite de délivrance de la totalité des doses

Celle ci semble arrêtée au 31/05/2022, on ignore donc si un second contrat a été signé pour la période ultérieure.

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Trad: « Dans le cas où le contractant est dans l’incapacité de fournir la totalité des doses commandées au 31 mai 2022, la Commission et le contractant auront le droit de se mettre fin à ce contrat d’achat anticipé. »

Les états européens sans aucune marge de manœuvre

Comme cité plus haut, la commission européenne aurait négocié directement les conditions d’achat et de répartition des doses vaccinales. Les Etats auraient ensuite l’obligation d’acheter la quantité allouée par la commission et ne pourraient pas négocier directement avec le fabricant :

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Trad: « La Commission sera seule responsable du processus d’approvisionnement et de la conclusion de ce contrat d’achat anticipé incluant les responsabilités découlant de la conduite des négociations. »

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Traduction : « Il revient au Etats membres participants, et non à la Commission, d’acquérir les doses de vaccin auprès du fabricant sur la base de ce contrat d’achat anticipé sauf accord contraire. Toutes les politiques de vaccination resteront donc l’affaire des Etats membres participants. »

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Trad: « Les Etats membres participants commanderont pour 200 millions de doses de vaccin au total en accord avec la répartition communiquée par la Commission au contractant (=Pfizer-BioNTech) conformément à l’article 1.6.3, en envoyant au contractant un exemplaire rempli de l’annexe 1 au format papier ou par email au format PDF dans les 10 jours ouvrables après que la Commission a communiqué la répartition. Ce bon de commande de vaccin devra être signé par un représentant autorisé de l’Etat membre participant et le contractant. »

D’après ce document, les Etats ne peuvent pas annuler leurs commandes si les délais de livraison ne sont pas respectés :

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Trad: « Tout échec pour fournir des doses selon les dates de livraison estimées comme indiquées ci-dessus ne donnera pas le droit aux Etats membres participants d’annuler leur commande quelque soit la quantité du produit sauf disposition décrite dans l’article 1.6.3. »

De plus, les commandes ne pourraient être annulées uniquement que dans l’éventualité où la Commission n’a pas exercé son droit à suspendre cet accord commercial.

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Trad: « Pour éliminer tout doute, les Etats membres participants n’auront pas le droit de résilier un bon de commande de vaccin dans les scénarios (iii), (v) ou (vi) ci-dessus si la Commission n’a pas exercé sont droit à mettre fin à cet accord d’achat anticipé. »

Don et revente des vaccins sur avis favorable de Pfizer

La revente ou le don de doses de vaccin serait possible dans des conditions strictes. Les Etats membres pourraient revendre ou donner des doses à des pays tiers uniquement si Pfizer-BioNTech accepte. Par ailleurs, il serait possible de revendre ou d’allouer des doses à des Etats membres qui ont signé cet accord ou qui font parti de l’espace économique européen à condition qu’ils aient signé un accord équivalent à un bon de livraison directe de Pfizer-BioNTech.

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Trad: « La Commission communiquera au contractant (=Pfizer-BioNTech) la répartition des doses commandées conformément à la commande initiale ainsi que chaque dose supplémentaire parmi les Etats membres participants. Chaque Etat membre participant aura le droit de les revendre ou les donner aux pays tiers dans le besoin ou des institutions publiques, contribuant ainsi à un accès aux vaccins global et juste à travers le monde. Le droit de revendre ou donner les doses en excès nommées dans la phrase précédente sera sujet à l’accord du contractant… »

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Trad: « Nonobstant ce qui précède, les doses en excès peuvent être revendues ou réattribuées par les Etats membres participants à d’autres pays membres de l’Union Européenne ou revendues à des Etats de l’espace économique européen, le cas échéant, chaque Etat membre de l’UE devra avoir rempli un bon de commande de vaccin et acceptera par écrit d’être lié par les mêmes conditions pour ces doses réaffectées et chaque Etat membre de l’espace économique européen aura conclu un accord équivalent à un bon de commande de vaccin en cas de livraison directe par le contractant (=Pfizer-BioNTech), et devra accepter par écrit d’être lié par la clause d’indemnité/dédommagement de l’article…. »

Immunité totale de Pfizer-BioNTech en cas de dommages

En cas d’effet indésirable, Pfizer-BioNTech serait dégagé de toute responsabilité : « La commission déclare […] que:

L’utilisation de ces vaccins produits grâce à cet accord se fera dans les conditions d’une épidémie qui requière une telle utilisation, et donc que l’administration de ces vaccins se fera sous la seule responsabilité des Etats. Chaque Etat indemnisera et dégagera le contractant (=Pfizer-BioNTech), ses affiliés, sous traitants, distributeurs, employés […], de toute responsabilité encourue dans le cadre de la défense des réclamations de tiers (y compris les honoraires raisonnables d’avocats et autres dépenses) concernant les préjudices, dommages et pertes tels que définis à l’article 1.12.2 découlant de ou se rapportant à l’utilisation et au déploiement du vaccin ».

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Ce qui est appelé « pertes » dans cet accord concerne les décès, les blessures physiques, mentale ou émotionnelle, la maladie, le handicap, la perte ou dommage à la propriété, les pertes économiques ou l’interruption de son travail/business :

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Ainsi, les Etats endosseraient l’entière responsabilité de l’utilisation de ces vaccins et des indemnisations qui pourront en découler

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Trad: « Les Etats membres participants acquérant un vaccin seront responsables de leur déploiement et de leur utilisation selon leurs stratégies nationales de vaccination, et assumeront toute responsabilité associée avec un tel usage et déploiement. Ceci doit s’étendre à et inclure toute indemnisation du fabricant de vaccin selon les termes et conditions du contrat d’achat anticipé concerné pour la responsabilité relative à l’utilisation et déploiement de vaccins normalement supporté par un tel fabricant. »

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Traduction : « Considérant la nature sans précédent de la situation COVID-19 actuelle et les circonstances exceptionnelles dans lesquelles les vaccins doivent être livrés, les parties s’accordent explicitement à ce que le contractant (=Pfizer-BioNtech) et ses affiliés ne soient tenus pour responsable d’aucun préjudice à l’exception de préjudices supportés par la Commission et les Etats membres participants prouvés comme une conséquence directe d’une violation par le contractant ou ses affiliés de ses obligations dans le cadre de ce contrat d’achat anticipé ou d’un bon de commande de vaccins, et que le contractant et ses affiliés ne pourront être dans aucun cas responsables des retards de livraison, pertes de revenu, pertes économiques prévues, pertes d’entreprises, pertes de profit, pertes de bonne volonté, atteintes à la réputation, pertes liées à la crise économique ou coût d’approvisionnement alternatif. »

De plus, le montant [des indemnités] payées par un Etat membre participant en vertu de l’article 1.12 ne serait pas recouvrable auprès du contractant [=Pfizer-BioNTech] sauf si un tribunal juge que le laboratoire a commis une violation de ce contrat d’achat anticipé

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Trad: « Les montants payés par un Etat membre participant selon l’article 1.12 ne sont pas recouvrables auprès du contractant (que la réclamation d’une partie tierce résulte ou non d’une rupture de contrat par le contractant) si la plainte concerne une rupture des dispositions de ce contrat d’achat anticipé ou d’un bon de commande de vaccin par le contractant sauf s’il existe un jugement définitif par un tribunal compétent qu’aucune indemnisation n’est due au contractant conformément à cet article 1.12 auquel cas toute indemnisation correspondante déjà payée par un Etat membre participant pourra être totalement remboursée par le contractant. »

Cette immunité serait levée si ces « pertes » sont la conséquence d’une violation substantielle des bonnes pratiques de fabrication conduisant à un produit défectueux obligeant les autorités à faire un rappel de produits défectueux, suspendre la distribution des vaccins ou retirer l’AMMc.

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Traduction : « Une telle indemnisation ne sera pas disponible pour [Pfizer-BioNTech + affiliés] dans la mesure où (i) les pertes ont été causées par une faute intentionnelle, comme définie à l’article 1.12.3, de [Pfizer-BioNTech] ; ou (ii) les pertes ont été causées par une violation substantielle des bonnes pratiques de fabrication (telles qu’appliquées au moment de la fabrication) avant certification du lot de vaccin selon les exigences énoncées au Titre IV de la directive 2001/83/EC, conduisant à un défaut de qualité dans le vaccin au moment de chaque livraison et aboutissant à une décision par les autorités compétentes de rappeler ou suspendre la distribution du vaccin, ou à un retrait ou une suspension de l’autorisation par la Commission européene. »

Retrait européen des vaccins

Si un retrait des vaccins devait avoir lieu, les Etats doivent saisir le comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’agence européenne du médicament (EMA) pour avoir un avis scientifique afin de savoir si le retrait du marché du vaccin par les autorités était justifié. Le contractant (Pfizer-BioNTech) doit être inclus dans le processus.

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Traduction : « Les Etats membres participants devront, nonobstant les compétences et responsabilités des autorités de régulation compétente, impliquer le CHMP de l’agence européenne du médicament dans tous les cas de rappel ou de suspension de la chaine d’approvisionnement des vaccins à cause d’une suspicion de manquement aux bonnes pratiques de fabrication, et chercheront sans délai un avis scientifique du CHMP pour déterminer si un rappel ou une suspension de la chaine d’approvisionnement était justifié, et devront soumettre toutes les informations nécessaires au CHMP. Le contractant devra être impliqué dans le processus conformément aux procédures applicables. »

Cette disposition peut sembler légitime mais condamne absolument toute résolution du conflit en faveur des populations: Pfizer y représenterait ses intérêts industriels et en face,  on confierait à l’EMA , bastion profondément pénétré par l’influence déraisonnée des pharmaceutiques, la tâche de représenter les intérêts européens sans aucune représentation de la CEE. Risible mais ce n’est pas tout, si Pfizer est poursuivi la CEE doit pourvoir intégralement au paiement de ses frais d’avocats. Les états peuvent mandater un expert indépendant que Pfizer a le droit de récuser, obligeant à la désignation d’autant d’expert jusqu’à ce que Pfizer l’accepte. Et l’Europe a signé sans barguigner une disposition aussi scélérate…

Qui a signé seule ce contrat pour l’Europe ?

C’est Stella Kyriakides qui aurait signé au nom de la Commission Européenne et pour les Etats membres qui s’y sont associés.

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On se souvient des soupçons très lourds et immédiatement étouffés de corruption qui a touché cette commissaire européenne à la santé (3), seuls les médias « étrangers » ont publié l’affaire, toute la presse européenne ayant choisi d’en taire le scandale.

On comprend mieux désormais pour quel « service » Monsieur et Madame Stella Kyriakides aurait reçu 4M€  de prêt sur un compte familial sans même tenter de dissimuler cette somme dans un quelconque paradis fiscal

  Conclusion

Pfizer et BioNTech auraient donc obtenu un contrat commercial faramineusement avantageux pour eux. Le prétexte de la pandémie COVID 19 leur auraient permis d’être dégagé de toute responsabilité et de ne pas indemniser les victimes d’effets indésirables lors de cette phase 3 d’essai clinique en population générale. Les Etats supporteront le coût des indemnisations à moins de réussir à prouver que le laboratoire a commis une faute intentionnelle ou que les produits étaient défectueux. Sur ce dernier point cela sera proche de l’impossible tant les éléments de défense que pourraient évoquer le laboratoire pharmaceutique seront nombreux : rupture de la chaine du froid, erreur lors de la dilution, utilisation de 3 doses alors que le protocole n’en prévoit que 2, mélange entre les vaccins anti covid sur le marché, délai entre les deux doses non respecté…

Qui se saisira à l’avenir du problème crucial des lots vaccinaux supertoxiques écoulés sur le marché mondial (4)(5) sans que Pfizer ni l’EMA ne s’en préoccupe? 

Encephalix
Novembre 2021

Notes et sources

(1) https://www.aimsib.org/PDFs/Contrat-PFIZER-1618676600910_APA-BioNTech-Pfizer.pdf
(2) https://www.aimsib.org/2021/01/24/hesitants-a-la-vaccination-anti-covid-voila-qui-va-vous-decider/
(3) https://www.aimsib.org/2021/05/16/corruption-et-gestion-de-la-covid-19-on-y-est/
(4) https://www.covid-factuel.fr/2021/11/02/vaccins-anti-covid-les-evenements-graves-ne-concernent-ils-que-quelques-lots/
(5) https://theexpose.uk/2021/10/31/100-percent-of-covid-19-vaccine-deaths-caused-by-just-5-percent-of-the-batches-produced/




L’heure des comptes Covid sonnera un jour, la justice pénale est saisie

[Source : AIMSIB]

Trop c’est trop! le monde libre de toute influence pharmaceutique a vu ce mois-ci arriver la limite du tolérable en terme de recul de ses libertés. Prorogation de passes sanitaires absolument imbéciles, violations perpétuelles des droits du public à une information contradictoire, restriction généralisée des autorisations de déplacement, intrusion permanente des industriels du médicament dans la gestion des politiques publiques, empoisonnement des population par administration forcée de pseudo-vaccins totalement inefficaces quelques semaines après injections (1), certainement non conformes au droit européen (2), épouvantablement toxiques (3)(4)(5), refus catégorique de reconnaître l’existence de thérapeutiques tant  préventives que curatives (6), répression féroce de tous les opposants à la politique édictée par Pfizer et ses employés (7), mais où va le monde? La France Libre et quelques-uns de ses représentants ont choisi de saisir la justice en désespoir de cause. Si celle-ci décide d’instruire, les conséquences seront incalculables en terme de retour à une démocratie respectueuse de ses fondamentaux essentiels… Bonne lecture.

« On ne saurait prétendre que le droit d’informer est pleinement exercé quand la majorité des citoyens en sont exclus et que le droit d’être informé est garanti quand il est arbitrairement mutilé. Le droit d’informer est, comme la liberté d’expression et d’opinion, un droit social qui devrait être universellement partagé. Le droit d’informer ne saurait être réservé à des groupements publics et privés qui prétendent s’en réserver l’usage parce qu’ils en monopolisent les moyens. »

Henri Maller (ACRIMED)

Introduction

Si dans quelques mois cette affaire est réellement instruite, nous devrons tous une reconnaissance particulière à  Maître Virginie de Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris, pour l’exceptionnelle qualité rédactionnelle de son dépôt de plainte réalisé le 4 novembre 2021 auprès du Doyen des juges d’instruction. Les plaignants sont représentés par un particulier qui souhaite rester anonyme à ce jour, par l’association BonSens.org ainsi que par l’AIMSIB, au passage nous tenons à remercier chaudement l’ensemble de nos membres qui par le paiement régulier de leurs cotisations nous permettent d’assumer les coûts financiers parfois importants de plusieurs milliers d’euros, de certaines instances.

Les petits ruisseaux forment les grandes rivières, merci de ne jamais les tarir…

L’ensemble de la plainte est accessible ici et là (8):

Cliquez sur l’image pour consulter la plainte

 Les termes de la plainte

Le choix technique de la plainte contre X autorise au juge d’instruction toutes les directions que son enquête exigera, c’est naturellement cet instrument du Droit qui a été choisi. l’objet de la plainte est résumé ici:

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L’objet de cet article ne recherche pas à résumer le travail de Maître Virginie de Araujo-Recchia, mais simplement à le présenter, nul doute que dans les années à venir tout chercheur intéressé par l’histoire contemporaine pourra se référer avec bonheur dans la synthèse documentaire rassemblée par ce mémoire. 

Sommaire de la plainte pénale

Accès aux annexes

rendez-vous sur
https://partage-public.avocat.fr/ajax/share/0a168cc90115a15aa16a3b8115a14b39aa2d96a48ba021a7/1/8/NDg

Conclusion

L’AIMSIB est très heureuse d’avoir pu participer financièrement et techniquement à la réalisation de cette action judiciaire sans précédent dans l’histoire de la crise de la Covid. L’avenir nous dira si la justice Française se donnera le droit et les moyens d’investiguer dans les directions que nous lui présentons ici.

Mais dès aujourd’hui ce travail de compilation des preuves permet à l’ensemble des parties attaquées par la doxa officielle d’argumenter avec force l’idée que le désastre sanitaire qu’on nous présente demeure diamétralement opposé à la réalité objective de la situation réelle.

Médecins attaqués par les Conseils ordinaux, journalistes indépendants, politiciens intègres, malades ayant à souffrir d’effets indésirables post-vaccinaux, soignants non vaccinés, salariés pourchassés par leurs DRH, médecins objectifs… Ce mémoire est pour vous. Défendez-vous, défendons-nous!

La rédaction de l’AIMSIB
Novembre 2021

« Conformément à l’art 85 alinéa 2 du Code de Procédure Pénale, les plaignants n’avaient pas l’obligation préalable de dépôt de plainte entre les mains de M. le Procureur de la République, puisqu’ils se plaignent notamment de crimes ».

Notes et sources

(1)

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/emmanuel-macron-arretez-dire-nimporte-quoi

(2) https://www.aimsib.org/2021/10/10/des-vaccins-ecoules-sans-aucune-ammc-valide-cest-possible/
(3) https://www.aimsib.org/2021/09/25/pharmacovigilance-des-vaccins-anti-covid/
(4) https://www.aimsib.org/2021/06/27/pire-que-la-maladie-les-consequences-involontaires-des-injections-anti-covid/
(5) https://rumble.com/vp0smb-2021095-et-pourtant-leur-confiance-avait-t-totale.html
(6) https://www.aimsib.org/2021/07/04/traitement-de-ville-de-la-covid-19-reactualisation-de-juillet-2021/
(7) S’agissant des dix premiers de la raffle du printemps 2021, toute controverse inhérente à l’histoire officielle de la Covid doit être sévèrement condamnée:

(8) https://aimsib.org/PDFs/PlainteCaviardeeBonSens.orgAIMSIB-MP-04112021.pdf




Le peuple palestinien face aux équivoques du « monde libre » et à la félonie du « monde arabo-monarchique »

Par DJERRAD Amar

À la veille de la conférence de la « Ligue arabe » qui est programmée en Algérie, un article initialement publié en 2012(([1] sur les sites suivants :
https://libnanews.com/hy/le-peuple-palestinien-face-aux-equivoques-du-monde-libre-et-a-la-felonie-du-monde-arabo-monarchique-par-djerrad-amar/
http://www.lequotidien-oran.com/?archive_date=2012-12-10&news=5176416
https://www.legrandsoir.info/le-peuple-palestinien-face-aux-equivoques-du-monde-libre-et-a-la-felonie-du-monde-arabo-monarchique.html)), mais qui n’a pas perdu de son actualité.


Par cette agression sanglante et incessante, sur Gaza, contre les Palestiniens, un peuple spolié de sa terre par un « Israël » factice encrassé par une idéologie colonialiste et fasciste que soutient par allégeance et ressemblance un Occident à histoire jalonnée de contradictions, surtout de déshumanisation, on doit retenir la résurgence sinon la persistance des idéologies extrémises et nihilistes entraînant de récurrentes ruptures d’équilibre qui se manifestent par des souffrances et des incertitudes.

Ce qui se déroule dans le monde arabe, avec cette tempête controuvée baptisée « Printemps arabe », ne saurait être dissocié des crises économiques cycliques du Grand capital et de ses conséquences sociales, politiques et institutionnelles. La solution de ce Capital, pour surmonter ses crises, a toujours été, au travers de son évolution historique, de conquérir encore plus d’espaces économiques par la force des armes, sinon par des artifices de plus en plus subtils. Ainsi, il est passé de l’esclavagisme au colonialisme, puis au néo-colonialisme pour aboutir au chemin inverse dans une tentative de recolonisation et Dieu seul connaît la suite. Comme le monde a changé grâce à la Science et la Technologie, leurs stratégies, leurs tactiques, leurs moyens et leurs procédés ont également changé, mais pour les mêmes buts et les mêmes objectifs issus d’idéaux, qui eux n’ont pas changés, même dissimulés dans de grossiers sophismes.

Dans ce jeu de partage et de domination du monde, on a imposé un « État » factice, un corps étranger, là où les richesses pétrolières sont abondantes, presque simultanément avec la création d’« États arabes » liges sous forme d’oligarchies héréditaires où la puissance de l’argent est prépondérante ; de grandes ploutocraties rigides et féroces : un « État d’Israël » sans foi ni loi jouant le rôle de gendarme du Moyen-Orient et des Émirats/roitelets — liges dévoués à leurs protecteurs qui leur assurent la pérennité de leurs dynasties.

Depuis les accords secrets de Sykes-Picot de 1916 et la Déclaration Balfour de 1917 — qui aboutit à la partition de la Palestine en « deux États juif et arabe » en 1947 — le monde, en particulier le Moyen-Orient, n’a cessé de connaître l’instabilité. L’ensemble des peuples arabes et musulmans refusent à ce jour cette injustice, d’inspiration opportuniste sioniste, décidée dans le sillage du démantèlement de l’Empire ottoman suite à sa capitulation.

La question palestinienne reste, depuis, la pomme de discorde entre un monde occidental, pro-Israélien et pro-sioniste, à histoire sulfureuse jalonnée d’immoralité, qui ne s’est pas guéri de ses velléités colonialistes et un monde anticolonialiste et anti-impérialiste, dont les Arabes, qui refusent cette hégémonie inhumaine contraire à la morale et à la raison. « Les splendeurs et les horreurs de demain résident dans les décisions ou éclairées ou malavisées d’aujourd’hui. » (Yves Breton)

l’Organisation de la Conférence islamique (OCI), créée en 1969, devenue « de la coopération » en juin 2011 (certainement pour accabler la Syrie qu’elle suspend d’ailleurs 1 mois et demi après) avec 57 États membres regroupant plus de 2,5 milliards des musulmans à travers le monde (dont un des buts est de « soutenir la lutte du peuple palestinien et l’aider à retrouver ses droits et à obtenir, par la diplomatie, les territoires revendiqués comme leurs ») avec aussi sa soixantaine Conférences islamiques au Sommet et sa quarantaine de Conseil des Ministres des ministres des AE [Affaires Étrangères], ainsi que la Ligue dite des « États arabes », créée en 1945 regroupant 22 États arabes (dont l’objectif est d’« d’unifier la “nation arabe”, de défendre les intérêts des États membres, de faire face à toute ingérence des puissances dans la région ») avec sa trentaine de sommets, dont 12 en « urgence » concernant la Palestine, n’ont toujours pas réglé le problème de colonisation de la Palestine. 60 années de tergiversations pour aboutir à l’effet inverse avec plus de colonies, plus de morts, plus d’instabilité, plus de divisions, plus de domination. L’Occident « des lumières » qui a imposé la « liberté » et « l’égalité » ne veut pas voir chez les autres peuples les mêmes injustices qu’il a subies. Il y trouve, par contre, un prétexte pour plus d’iniquité et de supériorité. Nietzsche y voyait déjà, dans « Le Déclin de l’Occident » une décadence par une crise d’une civilisation malade. « On veut la liberté aussi longtemps qu’on n’a pas la puissance ; mais si on a la puissance, on veut la suprématie », affirme-t-il.

Les Arabes qui voulaient l’Union pour imposer « une force de proposition et d’impulsion » se sont avérés, avec le temps, profondément divisés, incapables d’une quelconque initiative, même de paix. Plus grave, ils se servent désormais de leurs propres « Organisations » pour nuire à leurs membres au profit de ceux qu’ils prétendent combattre ! La limite de la perversion. Deux visions politiques antinomiques s’affrontent. L’une « pro-occidentale » que mène l’axe monarchique, l’autre plus « indépendantiste » que mène l’axe républicain. D’où leur putréfaction et leur neutralisation.

Dès lors, la question palestinienne ne saurait, désormais, être réglée par les Arabes. Il devient impossible, voire dangereux pour eux, qu’ils prennent en charge le problème de colonisation de la Palestine ; du moins dans leur configuration politique actuelle basée sur la félonie. Seuls les Palestiniens, unis, sont à même de trouver la solution à leurs tourments selon leurs intérêts exclusifs. Se voir dicter les choses par certains États arabes, spéculateurs, opportunistes et corrompus, pour de l’argent, est une tactique perdante qui mène à la faillite. La preuve, 60 ans déjà sans arriver à un semblant de paix ! Même le projet d’une reconnaissance pourtant « partielle » s’était vu « torpiller » par des actions d’apparences pour la « cause », mais qui en fait va dans le sens d’une dilution de la Palestine et de son peuple, du moins d’envoyer la « question » aux calendes grecques en attendant, peut-être, le fait accompli, c’est-à — dire quand tout sera fini.

Plusieurs régimes arabes vivent et se maintiennent grâce à ce statu quo sur la Palestine. Ils useront de tous les artifices, dont financiers et politico-socio-religieux, pour que leur problème ne se règle pas. Bien plus, ils s’emploient à neutraliser tous les États arabes et autres de l’axe de la résistance au sionisme en leur fomentant des « révolutions » dites « printemps arabe » sur des principes aux antipodes des fondements de leur régime ! Les pétromonarchies du Golfe, en particulier l’Arabie Saoudite et le Qatar sont la cause des désespoirs du monde arabe, de leur impuissance pour leur félonie, leur corruption et leur illégitimité.

La puissance d’un pays se constate plus par la faiblesse de l’adversaire. C’est le cas d’Israël, une entité de 7 millions d’habitants (avec un PIB de 245 milliards de dollars), face à un monde arabe composé de 24 pays regroupant 400 millions de personnes (avec un PIB de 2,4 billions de dollars) ! Un « monde arabe » — factice, car plein de contradictions, d’adversités et de disparités — inconciliable. Un simple exemple économique : le PIB de l’Arabie Saoudite est de 560 milliards de dollars (2011), Mauritanie 4 milliards. Le Qatari jongle avec un PIB par tête de 76 000 dollars pendant que le Palestinien se débat avec 1000 dollars et sans perspective.

Il est étrange d’observer que, subitement, un « printemps arabe » se déclenche presque simultanément, en l’espace de moins de 2 ans dans plusieurs pays arabes. Les « vraies » révoltes, pour dégager les régimes vassaux à l’occident, vite confisquées ou contenues, ont été accompagnées des révoltes « fabriqués » dans les États à régimes hostiles à Israël et à l’hégémonie occidentale créant ainsi, avec l’accaparement des médias lourds du monde, la plus grande diversion, confusion et manipulation ! Les pétromonarchies du Golfe ont été les pourvoyeuses de fonds, de chair à canon et les guides dans l’endoctrinement, par la religion, pour imposer l’idéologie rétrograde wahabo-salafiste. La Palestine n’est, pour eux, rien d’autre qu’un faire-valoir, un paravent qui assure la pérennité de leur dynastie.

La dernière agression contre Gaza en est un des exemples, sinon l’exemple le plus significatif qui montre, le vrai visage, la putréfaction de ce « monde arabe ». Les occidentaux soutiendront encore et toujours Israël tant qu’il est utile aux dictatures arabes qui s’en servent pour détourner l’attention de leur peuple dans le sens qu’ils le souhaitent, tant que le tourment des palestiniens leur reste imputable à cause de leur division et ce, quelle que soit la justesse de leur cause et quelle que soit aussi la barbarie des israéliens. Les 3 morts israéliens comptent plus que la centaine de morts et le millier de blessés palestiniens. Pendant que l’on assassine des enfants, que l’on tue des femmes, la presse française titre « Israël tire sur des bureaux du Hamas ». Quelle déchéance ! À chaque fois qu’il y a poussé de violence par Israël cela se termine par 1, 2, 3 morts israéliens contre des centaines de morts palestiniens et c’est toujours ces derniers qui sont fautifs avec cet occident dépravé ! De quel côté et la terreur et le terroriste ? Ils n’oseront pas dire la vérité de crainte des lobbies sionistes.

Sitôt que les israéliens se trouvent en difficultés ou embourbés par leurs provocations, ils demandent vite à leurs protégés occidentaux, en particulier les États-Unis, le Royaume uni, la France, l’Allemagne, de les sortir. Mais les choses ont évolué en pire puisque ce sont maintenant les Arabes — par lâcheté, déshonneur, indignité et absence de solidarité — qui sont chargés maintenant de mettre fin aux risques d’enlisement des sionistes d’Israël. Surtout après qu’ils ont eu la surprise d’une riposte par missiles sur leurs colonies, jusqu’à Tel-Aviv, créant la panique générale ! Une équation nouvelle s’impose donc.

Des informations, rapportées par Al Manar font état que c’est Israël qui aurait demandé au félon Qatari de charger le frère musulman Morsi de faire pression sur son équivalent le Hamas pour une trêve. Mais lors de la visite du ministre Qandil les différents groupes de la résistance palestinienne auraient refusé. Ceci montre que le Hamas n’est pas le seul sur la scène. En assassinant un leader militaire d’importance (Al Djaabari) qui fera escalader les choses vers un conflit armé — dont ils ont programmé qu’il aboutirait à l’anéantissement, à jamais, de la cause palestinienne — les stratèges sionistes en ont eu pour leurs frais ! C’est les habitants israéliens aussi, dont Netanyahou lui-même, qui passent la nuit dans les abris ; c’est les bâtiments officiels qui sont touchés par les missiles, c’est un F16 qui se fait abattre et les pilotes disparus, par une résistance pourtant sous embargo, même alimentaire, depuis une décennie.

Ce seraient donc nos bienfaisants pourvoyeurs de fonds et de logistiques, pour les rebelles qui détruisent la Syrie, qui se seraient précipités au Caire pour faire pression sur Hamas afin d’arrêter les tirs de missiles, et ce, selon certains analystes, pour éviter des déclarations qui offusqueraient leur maître d’une part et pour donner à leur ami israélien une carte favorable à sa campagne électorale d’autre part notamment l’acceptation par le Hamas d’une trêve « sans conditions » qui « craindrait une opération terrestre après l’anéantissement de ses bases de lancement de missiles ».

Si une dizaine de simples missiles « fadjr 5 » ont créé l’affolement en Israël, que dire si des centaines de ces redoutables missiles iraniens, de haute technologie, s’abattent sur les Israéliens ?

Incontestablement, le « Dôme de fer » n’est plus désormais qu’une imposture, qu’un « couscoussier » et l’entité sioniste sera dorénavant à la portée de tous les missiles de la résistance ; un colosse aux pieds d’argile. Et dire que ces bandits sionistes veulent attaquer ce pays qui peut en faire une bouchée y compris les roitelets du golfe !

Même si la réaction limitée de la résistance palestinienne ne peut ébranler un régime fasciste surarmé que soutient tout l’occident, il demeure que les sionistes ont été surpris par la réaction farouche qui a mis à néant la fable de leur invincibilité. D’où cette diversion par la « fausse victoire du Hamas ». Passons !

En fait, ce qui a été obtenu de l’accord du Caire est d’abord un droit basique inaliénable qui ne devrait pas constituer un élément de négociation. Où est donc cette victoire quand vous obtenez le droit de manger, de boire, etc. après vous en avoir privé par un embargo illégal et inhumain ? C’est une des tactiques ignobles des sionistes qui n’ont d’humain que l’apparence. Ils trompent le monde en montrant qu’ils sont vertueux alors qu’ils ne font que restituer, par la pression, un droit. Comme si on vous autorisait à mettre un pantalon après vous avoir mis nu ! Un commentateur éclairé compare cet « accord » du Caire à cette histoire de Jeha (personnage légendaire de contes et anecdotes populaires au Maghreb) : à chaque assemblée des gens d’un douar, un villageois ne cesse de perturber les débats avec ses sempiternelles lamentations sur ses conditions de vie en particulier l’exiguïté de son gourbi. Il avait âne, un bouc, 2 chèvres et 2 moutons. Jeha connu pour sa sagesse et ses capacités à résoudre les problèmes intervient en lui promettant de résoudre son problème en 5 jours à condition qu’il respecte à la lettre ses recommandations. La 1re du 1er jour est qu’il doit mettre, dans son gourbi, tous ses animaux. Le paysan s’exécuta. Le lendemain il s’en plaint pour avoir vécu un « enfer » surtout à cause de l’âne. Jeha l’autorise au 2e jour de sortir l’âne. Le lendemain il s’en plaint de l’odeur du bouc, mais il est « mieux qu’hier ». Jeha le débarrasse du Bouc. Le 3e jour il déclare « commencer à respirer » et ce jusqu’à le débarrasser de tous les animaux. Au dernier jour le paysan annonce, avec soulagement, avoir « passé la nuit la plus paisible de ma vie » ! Conclusion du commentateur : « croire qu’une réunion de 2 jours entre les représentants des spoliateurs sionistes et des hypocrites puissent apporter un rayon de lumière aux Palestiniens est une vue de l’esprit ».

Au-delà du gain politique et stratégique, les palestiniens savent mieux que quiconque qu’ils n’ont encore rien obtenu de leurs droits fondamentaux légitimes qui leur terre, leur droit au retour. Le combat demeure entier face à la réalité et les leçons à tirer après chaque action et épreuve.

La réalité et que les Palestiniens pouvaient régler leur problème avec Israël si leurs congénères arabes, du golfe en particulier, avaient cette volonté. La même volonté et promptitude qui a permis, par leur « Ligue », de se réunir plusieurs fois en quelques mois, dont 2 fois en 24 heures, pour décider d’une série de sanctions contre la Syrie pour faire tomber son régime qui se trouve être le nœud gordien politique des sionistes sur la Palestine avec l’Iran et le Hezbollah. Contre Israël, il suffit de se réunir une seule fois prendre des mesures radicales, comme menacer l’occident par l’arme du pétrole (proposition de l’Irak), pour voir, par enchantement, le problème réglé définitivement ! Ce n’est pas dans leurs intérêts… « stratégiques ».

Serait bien naïf celui qui attend des organisations dites « arabes » ou « islamiques » une quelconque prise de position contre Israël et ceux qui les soutiennent tant que des États perfides œuvrent pour leurs intérêts personnels ; qui pour accaparer le pouvoir (les frères musulmans), qui pour perpétuer leur dynastie (les ploutocraties du golfe) qui, tel un Cheval de Troie, rêve en « Otanien », de devenir le nouvel Ottoman des Arabes !

Tous sont d’accord avec ce projet « Nouveau Moyen-Orient » américano-sioniste qui devait ôter toute puissance aux Arabes en les pulvérisant en petits États sur des bases religieuses, sectaires et ethniques pour en faire des peuplades amorphes et obéissantes. La Palestine étant la question nodale qui unie, il fallait donc anéantir toute forme de résistance à son sujet.

Il faut comprendre la visite, autorisée par Israël, du cheikh qatari plus comme une tentative alléchante de corrompre la résistance armée, en espèce et en nature, pour l’emmener à abandonner le combat de leurs ascendants qu’un acte de bienfaisance visant à soutenir une cause et à rebâtir une ville martyre. N’est-il pas bizarre que ce soit au lendemain de cette visite qu’Israël assassine un important responsable de la résistance, « récalcitrant » ?

La leçon est que rien ne vaut la lutte armée contre un colonisateur en comptant sur ses propres forces, unies, avec les aides d’amis sûrs. C’est pénible, coûteux, long, mais l’issue est certaine. Les exemples dans le monde ne manquent pas. Il reste, cependant, ces deux pétromonarchies perfides qui constituent l’obstacle majeur des arabo-musulmans qu’il faudra, par tous les moyens réduire, car ne cessant pas d’affaiblir la large coalition anti-sioniste en la simplifiant à une coalition « sunnite » inopérante pour enterrer, définitivement, la lutte d’un peuple pour un État viable.

Des palestiniens, victimes permanentes des exactions d’un « Israël » — englué dans les contradictions d’une idéologie colonialiste et fasciste — avec la bénédiction de l’Occident et de certains états arabes sans que l’on reconnaisse leur droit à se défendre, les voilà défier par eux-mêmes et par les armes leur bourreau en mettant à nu, irrémédiablement, sa vulnérabilité. Pour le faire, ils n’avaient pas eu besoin de l’aval de la « Ligue arabe » ou de son soutien. Ils avaient compté sur leurs propres forces soutenues par leurs amis… non arabes. Il ne reste donc aux Arabes, encore fidèles, aux musulmans sensés et aux pays épris de paix et de liberté qu’à accabler ces scélérats pour les neutraliser, à jamais, avec leur funeste idéologie.

Il faut croire que le sionisme est arrivé au point nodal de son évolution historique dont il est impératif d’exploiter la situation pour en faire un moment de rupture. Le monde est assez convaincu qu’il est face à un gouvernement israélien hypocrite, paranoïaque et usurpateur que pilotent des bandits sans origines et sans vertus, sous tutelle de lobbies influents dotés de moyens redoutables et immoraux.

L’offensive doit être engagée, à notre avis, sur trois directions : économique, politique, médiatique.

• Lier les intérêts économiques des Américano-sionistes et de certains pays européens au règlement définitif et juste du problème palestinien. Lier toute adversité par des conséquences économiques. L’arme la plus décisive est celle du pétrole/gaz qui a donné ses preuves par le passé.

• L’action politique doit passer par la refondation des institutions arabes, les regroupements régionaux d’intérêts communs en intégrant sans attendre l’Iran, l’offensive diplomatique doit viser la réorganisation des instances et organisations internationales qui se caractérisent par leur partialité tout en améliorer les politiques intérieures afin d’enlever tout prétexte sur la question des droits de l’homme.

• L’action médiatique et fondamentale pour contrer leur propagande. Elle doit se faire en anglais, espagnol, français et viser à démystifier le sionisme en dévoilant son vrai visage, c’est-à — dire une idéologie coloniale inhumaine qui ne survie que par l’agression et le mensonge. Elle doit toucher les opinions occidentales qui influent sur les décisions politiques.

Toute chose a ses limites. Les limites de l’adversité et du chantage des États sont leurs intérêts qui peuvent être compromis par les excès de celui qu’ils sont censés protéger.

La Palestine vient d’être admise à l’ONU, comme État observateur non membre, avec 138 voix pour, 9 voix contre et 41 abstentions (dont 4 pays africains). Une autre victoire d’importance. Un cauchemar pour les sionistes d’Israël et d’Amérique. Quelques jours avant, il était inimaginable que des missiles palestiniens s’abattent aux portes de Tel-Aviv, montrant que désormais aucune ville ne sera à l’abri en cas d’agression. La Syrie, le Hezbollah et l’Iran (ainsi que d’autres) restent, en le réaffirmant à toutes les occasions, leurs soutiens puissants et inconditionnels. Les États du golfe, surtout les pétromonarchies saoudiennes et du Qatar restent les seuls États à l’origine du malheur arabe, par leur félonie, qui empêche toute évolution et émancipation. Les délégués du Qatar et de l’Arabie Saoudite qui ont montré leur « indignation » devant les crimes de l’armée israélienne lors de la dernière réunion des ministres des Affaires étrangères de la « Ligue arabe » est de la pure comédie. C’est lors de la réunion du 13 novembre 2012 au Caire que le Ministre des AE Tunisien, et non moins gendre de Ghannouchi, réplique à son homologue algérien ainsi — alors qu’il s’adressait au Ministre Qatari auquel il demandait des « solutions concrètes dans le soutien à Gaza » — comme un ignorant et un « brosseur » : « En cinquante ans, qu’a-t-elle donc fait l’Algérie pour la cause palestinienne ? ». Mal lui en a pris, il a reçu la foudroyante réponse suivante : « À ceux qui s’interrogent où était l’Algérie, je répondrai que nous n’avions pas à renvoyer un ambassadeur sioniste qui ne rêve même pas de mettre les pieds chez nous. Devons-nous par exemple cesser d’exporter notre gaz à l’État sioniste ? Devons-nous expulser les bases américaines et celles de l’OTAN de nos territoires dont nous avons juré qu’ils n’y mettront jamais les pieds ? Dites-nous ce que nous devons faire, partir au djihad contre Israël ? C’est ce qu’il y a de plus facile pour un algérien libre, mais garantissez nous votre non-trahison, assurez nous que vous ne nous poignarderiez pas dans le dos comme à chaque fois… garantissez nous l’ouverture de vos frontières et nous… Nous avons été éduqués dans la haine du sionisme et vous avez été éduqué dans la trahison ».

La levée complète du blocus sur Gaza est une exigence non négociable et indiscutable ! qu’est-ce que c’est ce monde qui ferme les yeux sur une immoralité et une illégalité imposée par un ramassis des voyous, colonialistes, sans origines et mercenaires, sur un peuple chez lui, qui ne fait que défendre sa terre et sa dignité ? Sinon, il faut dissoudre toutes ces institutions dites « internationales » en se retirant au plus vite, car complice d’une idéologie qui sème le désordre et la désolation là où elle s’y introduit !

Il appartient, impérativement, au Monde de l’équité et de la liberté de riposter pour extirper, sans appréhensions, cet « abcès purulent », de la planète, que condamnent la raison et l’histoire. Ils l’avaient fait pour les systèmes et idéologies qui visent la domination et l’avilissement de l’homme, pourquoi pas pour le sionisme qu’il faut en urgence mettre au rebut de l’Histoire !

Djerrad Amar




Une piqûre dans l’obscurité

[Source : cv19.fr]






Un « Gouverne Aimant » pour la France

[Source : Philippe Argillier le RDH / le HRU]

https://youtu.be/YZGJjJfkfiI

[Voir aussi :
Révélations de Philippe Argillier auprés de Christian Tal Schaller
et
Le gouvernement mondial de l’ombre]




Pourquoi Big Pharma ne veut surtout pas reconnaître que l’ARN Messager est une thérapie génique

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Big Pharma a une angoisse : celle de voir le grand public admettre l’idée (pourtant difficile à contester) que l’ARN Messager et les vaccins qui utilisent sa technologie sont une thérapie génique. Ce débat en apparence purement technique pour le grand public revêt en réalité une importance capitale, car la thérapie génique est productrice de cancers, surtout chez les enfants. Le « monsieur Vaccin » du gouvernement, Alain Fischer, le sait très bien, puisqu’il est l’un des pionniers de la thérapie génique sur les bébé-bulles, arrêtée deux fois en urgence à cause de la mortalité par cancer qu’elle causait chez les enfants. Mais ce point crucial n’apparaît pas dans sa biographie Wikipédia…

L’ARN Messager est-il une thérapie génique ? Cette affirmation angoisse beaucoup Big Pharma (et quelques autres), alors qu’elle est pourtant confirmée par des sites scientifiques. Mais pourquoi la combattre ? Il faut ici rappeler une série d’événements qui se sont succédé depuis les années 90 pour comprendre l’angoisse des laboratoires. 

Big Pharma se bat pour distinguer ARN Messager et thérapies géniques

Il faut lire les articles de presse insistant sur le caractère complotiste de l’affirmation selon laquelle l’ARN Messager ferait partie des thérapies géniques pour combattre l’importance de cette question technique en apparence secondaire. Ainsi, alors qu’un cadre de Bayer a déclaré, le 8 novembre, lors d’un événement officiel filmé de l’entreprise, que le vaccin à ARN Messager était une thérapie génique, la presse subventionnée s’est mise en ordre pour expliquer qu’il s’agissait d’un “lapsus” et que, bien entendu, il n’y avait aucun lien entre les deux

Cet article récent fait suite à une longue série d’autres, véhiculés par les fact-checkers habituels (dont le site de la RTBF). Pour tout ce petit monde :

Ces affirmations sont fausses ou infondées et ont déjà été vérifiées par l’AFP à plusieurs reprises.

Alors si l’AFP le dit, l’ARN Messager ne doit pas être une thérapie génique… et Stefan Oehlrich, dirigeant de Bayer, a réellement commis un lapsus en affirmant le contraire à la convention de l’entreprise. 

L’ARN Messager n’est pas une thérapie génique ? Vraiment ?

La difficulté de cette opinion selon laquelle l’ARN Messager n’est pas une thérapie génique tient au fait qu’on la lit beaucoup sous la plume des fact-checkers (et l’on sait que la rubrique fact-checking est confiée aux journalistes les moins compétents), mais qu’elle est démentie par les sites scientifiques. 

Par exemple, le site de la Société Française de Thérapie Cellulaire et Génique, dont l’objectif est de “favoriser le développement d’études scientifiques, technologiques, précliniques et cliniques sur la thérapie cellulaire et génique”, dit le contraire. On y lit en effet, sur la page consacrée aux vaccins contre le COVID 19, cette phrase sans ambiguïté :

Jusqu’à présent, quatre Autorisations de Mise sur le Marché Conditionnelles ont été accordées par la Commission pour les vaccins développés par BioNTech et Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Janssen Pharmaceutica NV, en accord avec leur évaluation positive par l’EMA. Les technologies qui se cachent derrière les vaccins AstraZeneca et Janssen ne concernent pas le domaine de la thérapie génique. Ils utilisent des vecteurs adénoviraux pour transporter de l’ADN vers les cellules et générer des anticorps contre COVID-19.

Donc, dans le groupe des vaccins commercialisés, seuls les vaccins AstraZeneca et Janssen ne relèvent pas le thérapie génique. Donc, Pfizer et Moderna en relèvent. C’est en tout cas le point de vue de la société de thérapie génique, mais on veut bien croire qu’il soit moins valable, moins compétent, que l’avis du fact-checker de l’AFP.

Au passage, la page Wikipedia consacrée aux vecteurs viraux ne dit pas autre chose : elle indique que les thérapies géniques, comme les vaccins à ARN Messager, utilisent des technologies similaires. 

La mauvaise réputation de la thérapie génique

Ce qu’il faut comprendre, c’est la raison pour laquelle les journalistes qui relaient comme des chiens fidèles les éléments de langage de Big Pharma sur le prétendu complotisme de tous ceux qui doutent, se mobilisent contre un rapprochement technologique qui n’est contesté par aucun site scientifique. Pourquoi désinforment-ils avec autant d’opiniâtreté ?

Tout le problème tient à la mauvaise réputation de la thérapie génique, et tout particulièrement aux cas de cancers déclenchés par les enfants qui l’ont reçue en traitement expérimental. Malgré toutes les campagnes de nettoyage de réputation sur Internet, il est en effet impossible d’effacer complètement de malheureuses séquences où des enfants sont morts de leucémie plusieurs mois, parfois quelques années, après avoir reçu ce traitement. 

Le Monsieur Vaccin du gouvernement au coeur des polémiques

Ce risque de réputation lié à la thérapie génique est au demeurant parfaitement connu d’Alain Fischer, le “Monsieur Vaccin” du gouvernement, puisqu’il en est l’un des principaux auteurs. Avant de représenter les intérêts d’Emmanuel Macron et de faire partie de l’équipe de Martine Aubry, le professeur Alain Fischer était en effet connu pour ses expérimentations en matière de thérapie génique sur les “bébé-bulles”, c’est-à-dire les enfants souffrant d’immunodéficience. 

Si ces expériences sont présentées comme de grands succès sur sa page Wikipedia, elles ont fait pas mal de remous à l’époque où elles étaient pratiquées. Elles ont notamment été interrompues deux fois en urgence à cause de leurs effets secondaires, consistant à favoriser l’apparition de cancers chez les enfants. 

Comme l’indiquait, en 2014, la Revue Médicale Suisse :

Après dix mois de suivi, la publication de Science faisait état du succès de la technique chez deux patients. Ce résultat remarquable fut toutefois suivi de deux échecs (sur dix tentatives) dont un décès. L’essai clinique fut alors suspendu en urgence en 2002.

(…) Parmi les neuf bébés-bulle qui ont participé au nouvel essai, cinq ont été traités en France et quatre aux Etats-Unis. Ils avaient entre 4 et 10 mois et demi, la plupart souffrant d’infections sévères. Un enfant est décédé rapidement après la thérapie. Un autre a dû recevoir une greffe de sang de cordon et il a été retiré de l’essai (il est vivant). Les sept autres enfants vont bien et ont pu surmonter leurs infections. «La thérapie génique a corrigé leur déficit immunitaire, mais pas tout à fait», a clairement expliqué le Pr Fischer au Monde. Il se refuse à user du terme de guérison. «Ce traitement est efficace sur les lymphocytes T, mais peu sur les lymphocytes B, précise-t-il. Ces enfants doivent donc recevoir des injections d’immunoglobulines toutes les quatre semaines. A part cela, leur vie est normale.»

Autrement dit, les deux essais de thérapie génique menés en dix ans par le professeur Fischer ont chaque fois conduit à des décès prématurés chez une partie des petits patients. Beaucoup de scientifiques en ont conclu que la thérapie génique appliquée aux enfants était une idée très risquée, qui pouvait produire des effets désastreux à moyen ou long terme. 

On comprend que Big Pharma n’ait guère envie de laisser s’installer l’idée que le vaccin à ARN Messager ressemble à la thérapie génique : cette banalisation de la comparaison ou du rapprochement ne pourrait que nourrir la méfiance vis-à-vis du vaccin. 

Où l’on retrouve le bon docteur Fauci

Il n’est pas sans intérêt de souligner que l’impuissance de la thérapie génique utilisée par le docteur Fischer à stimuler la production de lymphocytes B chez les enfants traités a donné l’idée, à des chercheurs américains, de corriger ce problème en utilisant des lentivirus. Cette expérimentation menée en 2018 et 2019 était conduite par… Anthony Fauci, qu’on retrouve à la manœuvre aux Etats-Unis pour faire la promotion des vaccins à ARN Messager. Comme le monde est petit !

On reprendra les propos de Fauci à l’époque :

Pour Anthony S. Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (Niaid) du NIH, « ces nouveaux résultats passionnants suggèrent que la thérapie génique pourrait être une option de traitement efficace pour les nourrissons atteints de cette maladie extrêmement grave, en particulier ceux qui ne disposent pas d’un donneur optimal pour la greffe de cellules souches. Cette avancée leur offre l’espoir de développer un système immunitaire entièrement fonctionnel et la chance de mener une vie saine et bien remplie. »

Entre Fischer et Fauci, on comprend désormais quelle communauté d’intérêts scientifiques fait la promotion d’une technique vaccinale dont aucun ne méconnaît la mauvaise réputation et les risques éventuels. Et on comprend mieux pourquoi tout ce petit monde évite de nuire à la “confiance dans le vaccin” en prenant soin d’établir une cloison artificielle entre l’ARN Messager et la thérapie génique. 




Évolution sanitaire des pays les plus vaccinés au 14 novembre 21 — Faits avérés d’après les chiffres OMS

Par Gérard Delépine

Depuis plus de 18 mois, nos gouvernants et les médias complices nous rabâchent :

« le retour à la vie normale sera possible grâce au vaccin »,
« vous retrouverez vos libertés quand vous serez vaccinés »
« les non-vaccinés sont responsables de la poursuite de l’épidémie ».

Mais aucune étude dans le monde réel n’a apporté le moindre début de preuve à l’appui de cette propagande marchande pro injection anti-covid.

Et l’analyse des données officielles de l’OMS (consultable à OMS covid dashboard) est très inquiétante. Aucun des champions de la vaccination n’est parvenu à éliminer le virus, ni à éviter de fortes reprises de l’épidémie et très peu ont totalement libéré leur peuple vacciné des mesures liberticides prétendument sanitaires imposées sans preuve scientifique de leur efficacité.

La Grande-Bretagne est le champion de l’injection Astra Zeneca

Mais son haut niveau de « vaccination » ne l’a pas protégée d’une forte reprise de l’épidémie qui persiste depuis quatre mois, avec une moyenne de 40000 cas quotidiens.

Le 10 août 21, témoignant devant les députés anglais, le professeur Sir Andrew Pollard chef de l’Oxford Vaccine Group a déclaré « le fait que les vaccins n’arrêtent pas la propagation de Covid signifiait que l’atteinte du seuil d’immunité globale dans la population était “mythique”. », ajoutant « avec la variante Delta actuelle, ce n’est pas possible »

Israël est le champion de l’injection Pfizer

Au printemps 2021, avant l’émergence du variant Delta, Israël avait été le premier pays au monde à croire avoir atteint l’immunité collective grâce à l’injection Pfizer.

Mais son très haut taux d’injection ne lui a pas permis d’éviter une nouvelle vague avec l’établissement d’un nouveau record absolu de contaminations quotidiennes (11000/J soit l’équivalent pour la France de 70000 cas/J). Et la mortalité quotidienne a suivi malgré les troisièmes injections. Cette résurgence de la maladie a fait reconnaître au ministre de la Santé que le taux d’efficacité de l’injection ne dépassait pas 39 % et qu’elle ne durait que quelques mois.

S’adressant à Channel 13 TV News le 5 août 2021, le Dr Kobi Haviv, directeur médical de l’hôpital Herzog à Jérusalem, a précisé que « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées » et « 95 % des patients sévères sont vaccinés. » détruisant ainsi la propagande vaccinale prétendant que le vaccin protégerait des formes graves.

Les Pays-Bas ont plus de 75 % de leur population vaccinée,

mais ce grand succès de vente de pseudo vaccin est actuellement marqué par un record absolu des contaminations quotidiennes (12000/J soit l’équivalent français de 50000 cas/J) qui fait envisager de nouvelles mesures restrictives.

Là aussi la vaccination s’est révélée incapable de protéger la population.

Le 13 novembre le docteur Kuipers, spécialiste des soins intensifs a déclaré(([1] https://www.curacaochronicle.com/post/main/nl-forget-it-acute-care-expert-says-about-covid-herd-immunity/))

« La suggestion a été faite de l’immunité collective. Oubliez ça ! ».
« Nous travaillons maintenant avec plusieurs scénarios. L’un est le suivant : il y aura toujours un grand nombre de patients corona. Avec un nombre substantiel de patients, nous devons vraiment organiser les soins différemment à long terme. Augmenter la capacité hospitalière pour accueillir tous les patients atteints de Covid-19 et de soins réguliers ».

Singapour est le champion asiatique de la pseudo vaccination anti-Covid avec environ 90 % de la population injectée

Mais ce succès du nombre des injections ne l’a pas empêché de subir un véritable tsunami de contaminations avec un nombre 4 fois supérieur au pic d’avant injection.

Le jeudi 19 août 2021, lors d’un multi- conférence du groupe de travail du ministère, le ministre des Finances Lawrence Wong a averti :

« Singapour n’atteindra pas l’immunité collective pendant la pandémie malgré son taux élevé de vaccination contre le COVID-19(([2] : Lawrence Wong Singapour n’atteindra pas l’immunité collective contre le COVID
https://www.bworldonline.com/95-herd-immunity-vs-delta-is-a-myth-says-infectious-disease-expert/))»
« Le chemin pour devenir une nation résiliente au COVID sera une tâche longue et difficile. Même avec des taux de vaccination très élevés, nous n’allons pas atteindre l’immunité collective ».

Le 8 septembre 21, Tikki E. Pangestu, expert en maladies infectieuses et professeur invité à la NUS Yong Loo Lin School of Médecine à Singapour a déclaré :

« Atteindre 95 % d’immunité collective contre le Delta est un mythe. La variante Delta étant désormais dominante dans la plupart des pays, la cible devrait plutôt être l’immunité aux maladies ou la prévention des maladies graves et des décès dus au virus ».

La Corée du Sud dépasse un taux de vaccination de 80 %

En juin les médias coréens se réjouissaient que l’immunité de groupe était à portée de main.(([3] La Corée du Sud est en passe de créer une immunité collective après avoir vacciné 20 millions de personnes
https://en.yna.co.kr/view/AEN20210803004500320))(([4] https://koreajoongangdaily.joins.com/2020/07/09/national/socialAffairs/herd-immunity-covid-antibody/20200709190007649.html))

Ils prétendaient même « qu’elle serait atteinte dès novembre(([5] https://www.nationthailand.com/international/40004280))». Le porte-parole du ministère de la Santé, Son Young-rae, prévenait que :

« même après que l’immunité collective sera atteinte en novembre, les masques faciaux et d’autres mesures de sécurité resteront nécessaires ».

Mais, depuis octobre leur mirage s’évanouit, l’épidémie explose et la mortalité également :

En octobre, le nombre quotidien de contaminations s’est élevé à 2,5 fois celui du pic de l’épidémie avant la vaccination (2600 vs 1000) et la mortalité a suivi.

démontrant que les vaccins ne résolvent pas le problème Covid ni celui des restrictions sanitaires.

L’Allemagne a injecté 70 % de sa population

Mais ce succès des ventes de pseudo vaccins n’a pas évité une forte reprise de l’épidémie en juillet avec croissance exponentielle depuis septembre avec un nombre de contaminations quotidiennes (36000) dépassant largement les records d’avant « vaccination ».

Les habitants du quartier gouvernemental de Berlin font un adieu lent et silencieux, sans déclaration, sans communiqué de presse, l’adieu à une illusion, à l’objectif que les politiques poursuivent depuis le début de l’année : l’immunité collective.

« Je peux malheureusement difficilement imaginer à ce stade que nous atteindrons l’immunité collective », a déclaré K. Lauterbach(([6] Milena Hassenkamp, Christoph Hickmann, Armin Himmelrath, Martin Knobbe, Timo Lehmann, Martin U. Müller, Miriam Olbrisch, Gabriel Rinaldi et Christoph Schult L’immunité collective est impossible. Maintenant quoi ? Der Spiegel 21/7/2021
https://www.spiegel.de/international/germany/herd-immunity-is-impossible-now-what-a-35335ea0-5ab2-4e3d-95e5-f2672b817056-amp)) expert en santé des sociaux-démocrates de centre gauche (SPD).

L’euphorie vaccinale a apparemment cédé la place à la lassitude vaccinale, et une partie de la population ne veut toujours pas se faire vacciner, sachant que la protection vaccinale est beaucoup plus faible et plus courte qu’annoncée et les accidents post vaccinaux plus nombreux. Le pays apprend progressivement à vivre avec la pandémie, mais il peine, en partie parce que toutes les conséquences ne sont pas avouées et restent imprévisibles.

La population danoise est vaccinée à plus de 75 %,

mais ce haut taux de « vaccination » a été incapable de lui éviter une reprise brutale de l’épidémie et une menace de nouveau confinement.

L’agence danoise des maladies infectieuses SSI a déclaré qu’elle ne pensait plus qu’il serait possible d’obtenir une immunité collective dans le pays grâce à la vaccination,(([7] Ritzau/Le local news@thelocal.dk @thelocaldenmark 6 août 2021
https://www.thelocal.dk/20210806/explained-why-has-denmark-given-up-on-achieving-herd-immunity-via-vaccines/)) ce qui signifie que sars CoV 2 pourrait continuer à circuler pendant des années.

« Si les vaccins étaient efficaces à 100 % contre les variantes actuellement en jeu et si nous avions une couverture vaccinale à 100 % chez les personnes de 12 ans et plus, alors nous pourrions parler de l’obtention d’une véritable immunité collective contre la variante delta », a déclaré Krause. « Mais malheureusement ce n’est pas la réalité, nous ne pouvons pas y parvenir. »

« Cela signifie qu’il est désormais logique de traiter Covid-19 de la même manière que nous traitons la grippe saisonnière, et de ne pas répondre aux vagues d’infection avec des restrictions strictes ». « Cela rappellera plus la grippe qu’avant », a-t-elle ajouté.

L’Islande est le pays européen le plus vacciné

Malheureusement, cette couverture vaccinale ne lui a pas évité une récidive majeure de l’épidémie.

En juin 2021 Þórólfur Guðnason l’épidémiologiste en chef de l’Islande déclarait que l’immunité vaccinale progressait bien.(([8] https://grapevine.is/news/2021/06/11/icelands-herd-immunity-is-progressing-well/))

Mais depuis la nouvelle vague, il a dû déchanter et reconnaître dans une interview à la radio publique que :

« la vaccination n’a pas conduit à l’immunité collective que les experts espéraient et qu’en réalité l’immunité collective ne pouvait pas être obtenue par la vaccination. »(([9] https://www.organiclifestylemagazine.com/iceland-says-herd-immunity-must-be-reached-through-transmission))

Faute de mieux, il tente une dernière fois de l’atteindre en incitant à un rappel (3e dose).(([10] https://icelandmonitor.mbl.is/news/news/2021/11/08/hopes_booster_shot_will_create_herd_immunity/))

L’Irlande est également très vaccinée (plus de 75 % de la population totalement vaccinée)

En juin le Dr Vellinga déclarait(([11] https://www.rte.ie/news/primetime/2021/0608/1226962-covid-19-ireland-herd-immunity/)):

« avec les vaccins, si nous continuons comme nous le faisons, d’ici la fin de l’année, nous devrions avoir une situation assez normale ».

Mais une rechute majeure des contaminations est survenue début juillet 2021 qui s’amplifie encore depuis un mois.

La ville de Waterford a l’un des taux de vaccination les plus élevés d’Irlande contre Covid-19, avec 99,7 % des adultes de plus de 18 ans entièrement vaccinés, mais est devenue l’endroit avec le taux d’infection Covid-19 le plus élevé du pays.

Le taux d’incidence sur 14 jours atteint 1 486 cas pour 100 000 habitants, soit trois fois la moyenne nationale qui s’élève à 493 infections pour 100 000 habitants. La zone électorale adjacente de Tramore-Waterford City West a un taux sur 14 jours de 1 121 pour 100 000, selon les derniers chiffres hebdomadaires publiés par le Health Service Executive’s Health Protection Surveillance Centre.

Que penser de « l’immunité de troupeau » érigée en Graal par nos dirigeants ?

Thierry Breton, le commissaire européen en charge des vaccins, avait jugé possible une immunité collective le 14 juillet 2021 dans l’Union européenne. Devant le sénat, il exposait ainsi le principe du certificat vaccinal :

« Rien ne sera obligatoire ! ».
« On n’utilisera jamais le mot passeport. Ça donne le sentiment d’être obligatoire. Il ne le sera pas. Ce sera volontaire ».

Comment pourrait-on encore le croire ?

L’OMS avait d’emblée prévenu :

« jamais, dans l’histoire de la santé publique, l’immunité collective n’a été utilisée comme stratégie pour répondre à une épidémie ».(([12] Allocution liminaire du Directeur général de l’OMS lors du point de ‎presse sur la COVID-19 — 12 octobre 2020‎
https://www.who.int/fr/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-opening-remarks-at-the-media-briefing-on-covid-19—12-october-2020))

Le 12/11/2021 le Dr Jefferson Jones, médecin du groupe de travail sur l’épidémiologie COVID-19 du CDC concluait lors de la réunion :

« penser que nous serons en mesure d’atteindre une sorte de seuil où il n’y aura plus de transmission d’infections peut ne pas être possible. » 

Depuis lors, le CDC détourne son attention d’un objectif de vaccination spécifique qui, une fois atteint, présagerait la fin de la pandémie. 

L’immunité de groupe ne pourrait être espérée par le vaccin que si celui-ci protégeait totalement les individus vaccinés suffisamment longtemps et les empêchait de transmettre la maladie. C’est le cas des vaccins contre la variole ou contre la fièvre jaune.

Or les faits avérés montrent qu’aucune de ces deux conditions n’est remplie par les pseudo vaccins anti-Covid. Les vaccinés ne sont protégés qu’à 40 % et guère plus de quelques mois, en cas d’infection leur charge virale est égale à celle des non-vaccinés infectés et ils peuvent transmettre parfaitement la maladie. Cela explique que l’immunité collective est irréalisable par la pseudo vaccination actuelle.

Conclusions

Ce panorama de l’évolution de l’épidémie dans ces pays champions de la vaccination, telle qu’elle est décrite par les données de l’OMS et les courbes de l’Université John Hopkins démontre :

  • Que les pseudo vaccins Covid ne protègent pas les populations des récidives de l’épidémie
  • Que les agences sanitaires abandonnent l’espoir d’une immunité collective par la vaccination maintenant qualifiée de mythe par la quasi-totalité des agences qui y croyaient
  • Que cet échec est la conséquence de l’efficacité insuffisante et de la durée beaucoup trop courte(([13] 4 à 6 mois alors que L’immunité naturelle dure beaucoup plus longtemps)) des pseudo vaccins actuels qui n’empêchent ni d’être malade ni de transmettre la maladie
  • Que beaucoup d’experts pensent qu’il est temps d’apprendre à vivre avec le covid comme avec la grippe saisonnière.

Il est grand temps que notre ministre de la Santé considère
les faits avérés et les conclusions des agences étrangères
et cesse la quête infructueuse d’un Graal vaccinal illusoire et dangereux.

L’échec maintenant patent des pseudo vaccins est d’autant plus criant que les traitements précoces bon marché ont fait leurs preuves d’innocuité et d’efficacité en Inde comme en Afrique (Nigéria, Madagascar) lorsqu’on regarde leurs données publiées par l’OMS.

L’inde a privilégié les traitements précoces et préventifs par hydroxychloroquine et Ivermectine avec succès.

Le Nigéria a bénéficié des traitements quotidiens par les antipaludéens

Madagascar est le champion victorieux de l’Artémisine





Gabriel Attal n’exclut pas de reconfiner les Français non-vaccinés

[Source : lemediaen442.fr]

Invité sur le plateau de l’émission de France 2 On est en direct le 13 novembre 2021, Gabriel Attal, n’exclut pas la possibilité d’un reconfinement pour les non-vaccinés. Face aux questions de Laurent Ruquier et Léa Salamé sur un possible confinement à l’autrichienne, qui ne concernerait que les personnes non-vaccinées, la réponse du porte-parole du gouvernement laisse planer une possible ségrégation un peu plus ciblée :

« On espère pouvoir éviter ça [NDLR: le reconfinement], on va tout faire pour ! […] L’un des enseignements que je tire en tant que porte-parole du gouvernement après dix-huit mois de crise, c’est qu’il ne faut jamais rien exclure par principe, car cette épidémie continue de surprendre le monde entier.  [L’exemple de l’Autriche] ça ressemble un peu à ce que l’on a fait avec le pass sanitaire. Il faut voir concrètement comment ça va s’organiser. »

Pourquoi se mettre à dos toute la population française quand on peut s’acharner sur les 20 % de récalcitrants ? En effet le gouvernement n’est pas aussi con qu’il en a l’air, bien au contraire. L’idée reste de contraindre — par la violence de la semi-liberté — les Français qui ne souhaitent toujours pas se faire injecter le produit Pfizer. Et confiner toute la population, c’est suicidaire, surtout avant la présidentielle. Rappelons à nos lecteurs que la vaccination n’est que la face cachée de l’identité numérique mondiale. Même si Albert Bourla se fait des couilles en or massif, c’est Bill Gates avec le projet ID2020 qui doit se finaliser. Et pour manipuler toutes les populations, il faut contraindre les récalcitrants qui emmerdent ces messieurs. Mais il ne faut pas non plus exaspérer les vaccinés, tout en gardant une certaine pression tout de même. Dans un monde qui ressemble de plus en plus à un cirque, rien d’étonnant à voir de la contorsion et des clowns en guise de politiques prêts à vendre leur propre mère pour se faire un p’tit billet.

Marcel D. pour Le Média en 4-4-2.




Pape François : « L’heure de la réinitialisation mondiale a sonné »

[Source : Aube Digitale]

Le pape François a déclaré que l’élite devait introduire une « réinitialisation mondiale » et a prévenu que le monde ne reviendrait pas à la normale après la pandémie.

Le souverain pontife a critiqué le monde d’avant la pandémie, qui, selon lui, était en proie à l’oppression capitaliste, à la corruption et à la guerre.

« La réalité que nous connaissions avant la pandémie était que la richesse et la croissance économique étaient réservées à une minorité tandis que des millions de personnes étaient incapables de répondre aux besoins les plus élémentaires et de mener une vie digne », a déclaré le pape d’extrême gauche.

« Un monde dans lequel notre Terre était pillée par une exploitation myope des ressources, par la pollution, par le consumérisme « jetable », et blessée par les guerres et les expériences avec les armes de destruction massive ».

« Le retour à la normale signifierait aussi un retour aux anciennes structures sociales inspirées par l’autosuffisance, le nationalisme, le protectionnisme, l’individualisme et l’isolement », a ajouté François.

« Et l’exclusion de nos frères et sœurs les plus pauvres ».

« Est-ce un avenir que nous pouvons choisir ? »

« Dans ce monde globalisé mais déchiré, les décisions que nous prenons aujourd’hui pour sortir de la crise déterminent la « route » des générations à venir ».

« Nous avons besoin d’une nouvelle porte de sortie » pour « en sortir mieux qu’avant ».

« L’espoir est audacieux et incite à l’action en sachant que la réalité peut être changée. »

Notre conscience nous appelle « à ne pas suivre la voie facile du retour à une « normalité » marquée par l’injustice, mais à accepter le défi d’assumer la crise comme une opportunité concrète de conversion, de transformation, pour repenser notre style de vie et notre système économique et social », a déclaré le pape François.

Breitbart rapporte : La vision du pape pour un monde nouveau commence par « un engagement collectif concret en faveur du désarmement intégral », a-t-il noté. « Les dépenses militaires mondiales ont maintenant dépassé le niveau enregistré à la fin de la « guerre froide » et augmentent systématiquement chaque année ».

Le pontife a critiqué les arguments fondés sur la dissuasion comme étant « une idée abusive » qui, dans de nombreux cas, « s’est révélée fallacieuse, entraînant de grandes tragédies humanitaires ».

« Il faut également souligner que la logique de la dissuasion a été associée à la logique du marché libéral selon laquelle les armements peuvent être considérés au même titre que tous les autres produits manufacturés et donc, comme librement commercialisables dans le monde entier », a-t-il averti. « Ce n’est donc pas une coïncidence si, pendant des années, nous avons assisté sans critique à l’expansion du marché des armes au niveau mondial ».

[Voir aussi :
La vraie vie du pape des pauvres
Le pape estime que les choses ne seront plus jamais les mêmes dans un monde post-pandémique et a, une nouvelle fois, appelé à l’établissement d’un « Nouvel Ordre Mondial »
PCB : Réponse à la conférence de presse aérienne de François entre Bratislava et Rome
Le Vatican conclut une «alliance mondiale» avec les Rothschild, la Fondation Rockefeller et les banques pour créer une Grande Réinitialisation]




Bill Gates : Les gouvernements doivent punir les utilisateurs en ligne qui s’opposent aux masques et aux vaccins

[Source : anguillesousroche.com]

Bill Gates a exhorté les gouvernements du monde entier à sanctionner les utilisateurs en ligne qui remettent en question les masques et les mandats de vaccination.

Dans une nouvelle interview de 30 minutes avec le politicien britannique Jeremy Hunt, M. Gates a évoqué la « préparation à la pandémie » et le déploiement actuel de vaccins dans le monde.

« Nous avons besoin d’une nouvelle façon de faire les vaccins », a déclaré Gates à Hunt.

M. Gates a souligné l’importance de supprimer ce qu’il a appelé les « fausses informations » concernant le coronavirus et les « vaccins » approuvés par le gouvernement qui l’accompagnent. Il a déploré la montée de ce que l’on appelle « l’hésitation du masque » et « l’hésitation du vaccin » chez ceux qui choisissent de ne pas porter le masque ou de ne pas se soumettre aux injections expérimentales.

Au lieu de s’en remettre aux médias sociaux pour réglementer « ce qui doit circuler » en ligne en ce qui concerne les discussions scientifiques sur la médecine et les vaccins COVID, M. Gates a suggéré que les gouvernements devraient « prendre les devants » pour contrôler la censure des médias en ligne, après avoir critiqué les plateformes telles que Facebook pour avoir été « un peu lentes » à enfoncer le clou.

Le magnat de la technologie a ensuite jeté l’opprobre sur les géants des médias sociaux, en se moquant de leurs motivations en matière de publication de contenu, qui sont loin d’être vertueuses, tout en préconisant que les gouvernements prennent en charge le contrôle des discussions sur Internet.

Affirmant qu’il n’est pas « réaliste » d’attendre de Big Tech qu’elle modère suffisamment ses propos, M. Gates a suggéré que « les gouvernements finiront par décider [des] supposées théories du complot sauvages : doivent-elles être vérifiées ? Doit-on ralentir leur diffusion ? Doit-on y placer des points de vue contrebalancés ? »

Après avoir exprimé une certaine insatisfaction à l’égard de la réponse mondiale à COVID-19, Gates a expliqué qu’il souhaitait désormais que les responsables politiques planifient les « futures pandémies », en s’appuyant sur les efforts concertés de 2020, en demandant aux organismes internationaux de mettre en place des programmes de surveillance médicale et de commencer à « s’entraîner » à répondre à d’éventuelles menaces biologiques à l’aide d’une série de « germ games« .

M. Gates a appelé à la création d’un « groupe de travail sur les pandémies à l’OMS [Organisation mondiale de la santé] » qui effectuerait des simulations d’attaques bioterroristes dans les aéroports, a-t-il déclaré, par exemple. « Vous dites, ok, et si un bioterroriste apportait la variole dans 10 aéroports ? Vous savez, comment le monde réagirait-il à cela ? Il existe des épidémies d’origine naturelle et des épidémies causées par le bioterrorisme qui pourraient même être bien pires que ce que nous avons connu aujourd’hui. »

Le groupe de travail nécessiterait des « dizaines de milliards » de dollars d’investissement de la part des nations du monde pour se préparer à l’éventualité d’une arme biologique fabriquée, a suggéré M. Gates.

« On pourrait donc penser qu’il s’agit d’une priorité », a-t-il déclaré, prédisant que « l’année prochaine, ces allocations [financières] devront être faites, y compris pour ce groupe de travail sur la pandémie mondiale ».

[En guise d’antidote, voir la vidéo suivante et les articles associés :
Dr Valentina Kiseleva : Le virus et autres mythes]




Qui décide de l’approbation des vaccins pour les plus jeunes ?

[Source : Kla.TV]

L’Agence européenne des médicaments (EMA) examine actuellement l’autorisation des vaccins Covid19 des fabricants BioNTech et Pfizer pour les enfants âgés de cinq à onze ans ! C’est ce qu’a annoncé l’EMA le 18 octobre à Amsterdam. C’est dans la précipitation que les autorisations pour les vaccins génétiques controversés ont été approuvées, d’abord pour les adultes, puis également pour les adolescents à partir de douze ans.
L’EMA, qui est responsable de l’autorisation et de la surveillance des médicaments dans l’UE, est présentée comme l’instance des experts.
Mais dans quelle mesure l’agence est-elle digne de confiance et surtout indépendante, compte tenu également du fait que le « vaccin » serait bientôt injecté aux plus jeunes ?

Le 16 novembre 2020, Madame Emer Cooke a été nommée directrice de l’EMA. Elle a une influence décisive sur l’approbation des produits pharmaceutiques. D’où vient-elle ?

— De 1985 à 1991, Madame Cooke a occupé divers postes au sein de l’administration de
l’industrie pharmaceutique irlandaise.

— En 1991, elle a rejoint le conseil d’administration de la Fédération européenne des associations et industries pharmaceutiques (EFPIA). Ceci est la plus importante organisation de lobbying de l’industrie pharmaceutique européenne, avec les dépenses les plus élevées, qui a le plus de contacts avec l’UE et plusieurs agences de lobbying.

— Elle représente certaines des plus grandes sociétés pharmaceutiques, dont Astra Zeneca, Johnson & Johnson et Pfizer. Jusqu’en 1998, Madame Cooke a officiellement représenté les intérêts de ces sociétés pharmaceutiques justement dans le domaine des réglementations.

— De 1998 à 2002, Madame Emer Cooke a ensuite dirigé le département pharmaceutique de la Commission européenne. Puis elle a rejoint l’EMA, où elle a occupé jusqu’en 2016 le poste de chef des inspections et chef des affaires internationales.

— De novembre 2016 à novembre 2020, Madame Cooke a occupé un mandat de directeur exécutif de l’EMA, en étant responsable de toutes les activités réglementaires liées aux produits pharmaceutiques.

Après la prise de fonction de Madame Cooke à l’EMA, les vaccins Covid19 ont été approuvés pour l’UE dans un délai très court par les sociétés pharmaceutiques suivantes:

— le 21 décembre 2020, celui de Pfizer et de BioNTech,
— le 29 janvier 2021, celui d’AstraZeneca.
— le 12 mars 2021, celui de Johnson & Johnson.

Lorsque de nombreux cas de thrombose veineuse cérébrale, dont certains mortels, ont été signalés en rapport avec une vaccination d’AstraZeneca, Madame Emer Cooke a notamment fait pression pour que l’autorisation de l’UE soit maintenue.

En outre, le budget total de l’EMA pour 2021 s’élève à la somme impressionnante de 386 millions d’euros. Sur ce montant, 330 millions d’euros, soit environ 86 %, proviennent uniquement des redevances d’approbation versées par les entreprises pharmaceutiques.

Le député autrichien Gerald Hauser se demande si une personne comme Madame Cooke avec une expérience aussi prononcée dans le secteur pharmaceutique peut décider de l’autorisation d’un vaccin sans parti pris :

« Alors, Madame Emer Cooke, qui a été nommée au conseil d’administration de l’EMA à la mi-novembre 2020, a travaillé toute sa vie pour l’industrie pharmaceutique. Elle a fait du lobbying pour l’industrie pharmaceutique à titre exécutif et est maintenant responsable de l’approbation, du contrôle et de l’efficacité des vaccins — dont AstraZeneca. Mesdames et Messieurs. Dans un tel cas, que dire en tant que parlementaire non praticien ? Que dire ? Délit d’initié pur et simple, favoritisme pur et simple, corruption… C’est comme ça. Veuillez y penser lorsqu’à l’avenir vous citerez l’EMA, comme preuve de l’exactitude des tests des médicaments. »

La question de la crédibilité de l’EMA se pose donc évidemment : un vaccin qui provoque déjà plus de décès et d’effets secondaires que tous les autres « vaccins » réunis, est censé protéger les enfants de maladie ? Une injection qui fait gagner des milliards aux compagnies pharmaceutiques est censée être « bénéfique » pour les enfants ? !

Résultats de l’entreprise en 2020 et au premier trimestre 2021 :

Pfizer : 14 500 millions de dollars
Johnson & Johnson : 21 600 millions de dollars
BioNTech : 1 100 millions d’euros






« On ne croit plus dans les partis » — Les maires se rebellent et soutiennent un parti du peuple

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Les maires des petites communes ne se sentent pas écoutés. Pour l’élection présidentielle de 2022, trois élus de France décident de rassembler tous ceux ne croyant plus dans les partis traditionnels. Qu’ils soient maires d’une grande ville ou d’un village, peu importe, leurs signatures ont le même poids lorsqu’ils soutiennent un candidat. Nous avons reçu Fabrice Marchand et Thierry Renaux, deux des fondateurs du Collectif des maires résistants, pour un Entretien essentiel.



L’objectif de ce collectif des maires résistants sur le long terme est de « fusionner l’action du peuple avec l’action des maires ». À court terme, cela se traduit par le soutien qu’ils porteront à un candidat à la prochaine élection nationale pour un collectif qui émergera « du peuple pour le peuple ».

Déçus par les politiques appliquées en France depuis les dernières décennies, nos invités ne souhaitent pas voter pour le Parti socialiste, les Républicains, ni les extrêmes. Fabrice Marchand est également le premier Gilet jaune devenu maire, le seul à ce jour, dans son village des Ardennes. Ces deux élus ne souhaitent pas porter un programme précis, mais plutôt donner un élan pour un nouveau parti sensible aux besoins du peuple de cette France des petites villes : « tous les élus ensemble, nous sommes les serviteurs du peuple français ».

Selon eux, les maires des villages font partie de ceux qui sont au plus proche des problèmes du quotidien de leurs habitants. En France, près de 85% des communes sont des communes de moins de 500 habitants : « pourtant on n’écoute que les maires des très grandes villes », déplore Fabrice Marchand.

Les fondateurs du collectif des maires résistants appellent « tous les maires de la ruralité et d’ailleurs à rejoindre ce mouvement. Ce sera peut-être historique, ça n’a jamais existé, quelque chose comme cela, il faut être des milliers ». Sur notre média, ces élus lancent officiellement leur mouvement, en appelant à un grand rassemblement et une marche dans la ville de Roanne, dans la Loire, à 13 h 30, ce samedi 13 novembre 2021.

Avant son lancement officiel, le mouvement prend déjà forme sur tous les réseaux sociaux, explique Thierry Renaux : « on est motivés, quand on voit tous les gens qui viennent nous rejoindre. Quand on a créé ce collectif et notre page Facebook, on s’est très vite retrouvé avec 15 000 ou 20 000 abonnés en quelques jours, quelques semaines. Et là, on a d’autres groupes qui nous ont rejoints, si on additionne tout cela, on dépasse les centaines de milliers d’adhérents à ce projet ».

« De plus en plus de maires n’ont plus confiance dans la politique actuelle, surtout les maires des communes rurales. Ils ne veulent plus aller dans un parti, car ils savent qu’ils vont être trompés » témoigne Thierry Renaux.

Auteur(s): FranceSoir




Vaccination de masse et logique sacrificielle

[Source : AIMSIB]

Par Hypathie A

Nous vivons un temps d’une exceptionnelle dureté pour la démocratie où même les juges, quels qu’en soient l’instance, répriment systématiquement le droit pour promouvoir l’idéologie vaccinale prétendument salvatrice. Exception notable de ce jugement du Conseil d’État en date de la semaine dernière, passé inaperçu et pourtant d’une double exceptionnelle portée (1) : Oui la myosfasciite à macrophage existe (2), et oui ses victimes doivent être indemnisées. Quinze ans pour faire reconnaître les droits d’une infirmière vaccinée par obligation professionnelle, probablement autant pour pouvoir peut être recevoir la compensation financière de celle-ci? Mais alors, si les victimes des vaccins ne peuvent ni préjuger de leurs effets secondaires possibles au moment des injections ni toucher leurs indemnisations en temps utile, comment peut-on éthiquement défendre le principe de la vaccination obligatoire ? Ce qui ce conçoit bien s’énonce clairement, et dans cet exercice, Hypatie A excelle (3)(4)(5). Voici un texte argumenté  et d’une limpidité sans faille, bonne lecture.

Introduction

Les blessés de guerre ont une place définie dans la société. Leur terrible malheur est transmuté en Honneur par la “Nation reconnaissante”. S’ils y perdent un membre ou la santé, ils gagnent une pension, une médaille, voire une statue, bref un statut. Et même une place réservée dans le métro.

“Nous sommes en guerre”

Pour ceux qui ne l’auraient pas encore compris, nous sommes en guerre. M. Macron l’a même affirmé en direct à la télé. Certes, une guerre d’un genre nouveau, mais une guerre malgré tout.

L’idéologie qui impose cette guerre est extrêmement simpliste, terriblement violente et diablement efficace. Elle tord la réalité pour nous faire croire qu’il ne peut y avoir qu’un seul et unique problème qui mérite toute notre attention, et

Ce problème ne peut être réglé que par une seule et unique solution (brevetée), véritable panacée : une “vaccination” expérimentale universelle. C’est trop simple : “il n’y a pas d’alternative”, le credo néolibéral par excellence.

Et puis, quand on y pense, la vaccination de masse n’est-elle pas intrinsèquement totalitaire ? Non seulement elle vise la soumission totale des individus et ne peut s’imposer que par coercition, terreur, propagande et autres bons pour une bière gratuite …

Mais surtout, il s’agit de l’intrusion ultime dans l’intime : la modification forcée et potentiellement irréversible de l’organisme de chaque Humain.
Et peu importe notre singularité : femme enceinte, vieux diabétique, bébé baveux ou jeune athlète, nous avons tous droit au même produit standardisé (breveté). La différence biologique est simplement niée.

Ne serait-ce pas là le commencement de la déshumanisation, et la porte ouverte aux pires atrocités ?

Alors imaginons un instant… Que se passerait-il si l’on ne produisait qu’une seule taille de chaussure afin de simplifier les chaînes de production et d’augmenter les rendements ? Beaucoup de gens auraient mal aux pieds… des « anti-chaussures » à n’en pas douter.

La logique de la standardisation génère forcément des oeufs cassés. Que faire de ces très très rares victimes de la standardisation industrielle ?

Une logique sacrificielle

Pour faire passer la pilule, on affirme que ces sacrifiés sont “acceptables” au regard du “bien commun”. De nombreux outils “scientifiques” sont là pour recenser, accompagner, dédommager les oeufs cassés : pharmacovigilance, balance bénéfice-risque, ONIAM… tout un arsenal spécialement dédié. Et on jure sur ses grands dieux que de tels oeufs sont très très rares… voire inexistants.

1. La Pharmacovigilance

Même Martin Blachier, pourtant ardent défenseur des vaccins, le reconnaît : la pharmacovigilance est incapable de déceler plus de 10% grand maximum des effets indésirables des médicaments, probablement autour des 1% dans le cas des vaccins (7)(8) . On le sait, on le dit depuis longtemps, ce système obsolète cumule les aberrations et les défauts (9).

Les vaccins en particulier bénéficient d’avantages que les Humains ont perdu depuis longtemps comme la présomption d’innocence, même s’il existe de nombreuses preuves du contraire, mais ils bénéficient aussi :
– D’une véritable “dissonance cognitive” de la part des médecins, incapables d’envisager ne serait-ce que la possibilité qu’un vaccin (n’importe lequel) puisse causer des drames.
 Par voie de conséquence : la méconnaissance par le corps médical des effets graves relevés dans la littérature scientifique par les chercheurs académiques ou les associations de victimes… voire des effets graves inscrits dans la notice, ce qui expliquerait leur incapacité à reconnaître que les pleurs inconsolables d’un nourrisson, à la suite de ses vaccins obligatoires, peuvent être le signe d’une inflammation cérébrale.
– La passivité du système de déclaration : de fait, si on refuse d’entrevoir un lien de causalité, rien n’est déclaré par le soignant. Quant aux victimes elles-mêmes, elles chercheront d’abord à se soigner. Déclarer l’effet ne vient pas spontanément à l’esprit, pour peu que le lien avec l’injection soit envisagée.
– Une extrême difficulté à déclarer un effet : obsolescence des plateformes qui peuvent saturer, difficultés d’accès, dossiers qui disparaissent… Sur ce point, le Réseau des Victimes d’Accidents Vaccinaux (REVAV) a beaucoup à nous apprendre (10).

Reconnaître les effets indésirables de tout médicament est pourtant fondamental à plus d’un titre :
– À titre médical, afin de favoriser les diagnostics et de développer des thérapies idoines
– À titre juridique, afin d’évaluer et de reconnaître les dommages, et de les indemniser.
– À titre humain, afin d’aider la victime à surmonter son traumatisme.
– À titre politique, pour évaluer le vrai coût des risques… et des campagnes de vaccination.

Ainsi, la fameuse balance bénéfice-risque est truquée à la base, reposant sur des données pourtant officiellement reconnues comme peu fiables.

Comme le dit le médecin québécois René Lavigueur dans sa lettre ouverte publiée dans le journal La Presse (censurée dès le lendemain) à propos des vaccins anti-covid : “Pourquoi ignorer (…) le risque de ces vaccins ? Si le fabricant n’est responsable de rien, s’il a pu négocier une immunité judiciaire, alors qui sera responsable des dommages bien réels de ces vaccins (11) ?”

Très bonne question.

2. L’ ONIAM

Dans le cas d’une simple recommandation vaccinale, si vous êtes victime d’un effet grave, vous l’avez dans l’os. Et bonne chance face aux laboratoires surpuissants.

Dans le cas d’une vaccination obligatoire, il existe en France un système d’indemnisation dédié, en cas d’accident vaccinal : l’Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux. Car bien évidemment, on ne va pas demander aux laboratoires de prendre la responsabilité de la sécurité de leurs produits… ce ne serait pas bon pour les affaires (12). C’est à la solidarité nationale d’assumer les “blessés de guerre”.

On privatise les bénéfices et on mutualise les pertes.

Le business plan parfait.

Étude de cas :

Mme L. était infirmière. Dans le cadre de sa profession, elle a reçu de multiples vaccinations obligatoires contenant de l’aluminium. Dès 2007, elle rencontre divers troubles neurologiques et en 2009, elle reçoit un diagnostic de Myofasciite à macrophages (MFM), un syndrome de fatigue chronique accompagné de douleurs musculaires et de troubles neurologiques, causé par une biopersistance des adjuvants aluminiques au sein des macrophages, qui migrent partout dans l’organisme via les voies lymphatiques, et peuvent même traverser la barrière hémato-encéphalique… avec leur dangereuse cargaison (13).

Ce type d’information cruciale, vous ne la trouverez dans aucun rapport officiel. Non, officiellement, les macrophages restent gentiment au site d’injection, l’adjuvant aluminique s’élimine par magie en quelques jours, les doses sont riquiquies et c’est bien connu, seule la dose fait le poison… Et puis, on en mange tous les jours, de l’alu ! Et tout le monde sait que « avalé » et « injecté », c’est kif kif en termes de pharmacodynamie (14).

Il existe pourtant à ce jour une littérature scientifique internationale de premier plan, plusieurs centaines d’études cliniques, post-mortem, in vivo et in vitro sur la toxicité des particules d’aluminium injectées lors d’une vaccination qui contredisent formellement ces croyances infondées.

Un parcours du combattant

C’est donc avec confiance que Mme L., épaulée par l’association E3M, dépose un dossier d’indemnisation en 2016 auprès de l’ONIAM. Seulement voilà, l’ONIAM rejette le dossier au prétexte que le lien entre la vaccination et la pathologie n’est pas démontré.

Pour affirmer cela, ses experts s’appuient exclusivement sur le “consensus règlementaire”, celui des agences sanitaires officielles (15) qui acceptent les données des laboratoires sans rien vérifier.

Ce consensus règlementaire est bien éloigné de l’état réel des connaissances scientifiques, celui des chercheurs qui étudient sérieusement ce sujet à l’exclusion de tout autre, et qui publient dans les plus grands journaux scientifiques, soumettant leurs travaux à la critique des pairs.

Ces chercheurs assument et signent leurs travaux, contrairement aux “experts” des laboratoires qui imposent leurs résultats de façon anonyme, sans donner accès aux données brutes classées “secret des affaires” (16).

En clair, la décision de l’ONIAM repose sur une contrefaçon intellectuelle : la confusion entre le consensus règlementaire (généralement fourni par les laboratoires, figé dans le marbre et impossible à vérifier) et le consensus scientifique (l’état des lieux réel de la connaissance, en perpétuelle évolution).

Ainsi, sur le sujet des adjuvants aluminiques, le consensus règlementaire toujours en vigueur est de considérer que les particules d’aluminium injectées lors d’une vaccination ne posent aucun problème, surtout pas chez le nourrisson en plein développement neurologique… surtout pas en lien avec l’autisme (17) .

Mais le plus amusant, c’est que pour affirmer cela, les agences s’appuient sur une rhétorique totalement anti-scientifique, pour ne pas dire magico-religieuse.

En effet, tout l’argumentaire règlementaire des agences ne repose que sur une seule et unique étude in vivo (18)…  portant sur 4 lapins étudiés pendant un mois… et qui observe systématiquement une pénétration cérébrale des particules neurotoxiques.

Ne serait-ce pas là un premier indice, conforté par de nombreuses études récentes (19) de “plausibilité biologique” pour de potentiels troubles neurologiques ? Pas pour les agences sanitaires.

Mme L. ne lâche pas. S’en suit des années de procédures, véritable calvaire pour des personnes épuisées physiquement, mentalement, financièrement : le Tribunal administratif de Caen condamne l’ONIAM, qui fait appel. Report du dossier en cour administrative d’appel de Nantes qui annule le jugement. Déjà 6 ans de procédures, et rien n’est encore gagné. Tout est fait pour décourager les victimes : allongement et coûts des procédures, refus des experts d’étudier la littérature scientifique, confiance quasi religieuse dans les leaders d’opinion et les agences sanitaires, question des délais de survenue des effets indésirables, question d’imputabilité… Sans les associations de victimes, l’implication de juristes spécialisés et une bonne dose de chance, c’est peine perdue.

3. Le Conseil d’État

Dernier espoir : le Conseil d’Etat.

Saisi en 2019, l’institution vient de rendre son verdict, estimant que la cour administrative d’appel avait commis une erreur de droit, et que « pour écarter toute responsabilité de la puissance publique, il appartenait à la cour, non pas de rechercher si le lien de causalité entre l’administration d’adjuvants aluminiques et les différents symptômes attribués à la myofasciite à macrophages était ou non établi, mais de s’assurer, au vu du dernier état des connaissances scientifiques en débat devant elle, qu’il n’y avait aucune probabilité qu’un tel lien existe.” (20)(21)

Depuis 2012, le Conseil d’État a rendu 12 arrêts en faveur des victimes de MFM. En clair, l’arrêt de la cour administrative d’appel de Nantes est annulé : Mme L. devrait être indemnisée… Un jour… Car l’ONIAM ne semble pas être un organisme favorable aux victimes d’accidents médicaux. Bien au contraire, il semblerait que la gestion de cet argent public sente le souffre : prise illégale d’intérêts, abus de confiance, malversations, impayés envers des victimes dont le dossier a pourtant été accepté (22)… Un scandale qui perdure. (23)

Maître François Jégu, chargé de l’affaire de Mme L., souligne que « la jurisprudence est en cours d’édification » dans le but également de faire progresser l’indemnisation des vaccinations non obligatoires qui se fait par voie contentieuse, face à des acteurs d’une extrême puissance.

L’ONIAM ne peut plus se retrancher derrière l’avis (obsolète) des agences sanitaires pour écarter toute demande.

Il paraît raisonnable de considérer qu’un « faisceau de preuves concordantes » devrait suffire pour accorder une indemnisation, et qu’il ne s’agit pas ici d’un tribunal pénal où les preuves formelles d’imputabilité, impossibles à obtenir pour ce type de produit, seraient exigées.

Ce n’est pas comme si les laboratoires étaient condamnables, de toute façon. (24)

Pourquoi de tels dysfonctionnements ?

On voit clairement qu’un organisme comme l’ONIAM est conçu pour protéger les laboratoires et les décisions politiques, le système en place.

Après tout, reconnaître les victimes vaccinales, c’est reconnaître les défauts des politiques de santé publique. C’est poser la question de la responsabilité politique (que l’idéologie néolibérale a totalement dissoute), la question des compromissions d’intérêts des leaders d’opinion, de l’indépendance des agences sanitaires, du pouvoir pharamineux qu’exercent les laboratoires sur le monde de la santé (entre autres).

Du coût réel de ces mesures, en termes de vies gâchées, en termes de dépenses engagées.

Alors que faire ?

Lors d’un colloque portant sur le droit des victimes d’un effet indésirable de médicament (25), l’universitaire Laurent Bloch fait des recommandations concrètes :

– La pharmacovigilance devrait être indépendante des structures étatiques, organisée par un groupe de citoyens et d’associations.
– Les comités d’experts doivent être totalement indépendants de l’industrie. Ils doivent exercer dans leur champ précis de compétences et s’exprimer exclusivement sur l’objet de leurs recherches.
– Le fonds d’indemnisation prévu devrait être financé par les laboratoires : l’ONIAM serait uniquement chargée de distribuer ce fonds. Le contrôle de la gestion de ce fonds devrait être renforcé.
– Le doute devrait bénéficier aux patients : la charge de la preuve doit porter sur les laboratoires et le produit doit être « présumé coupable » jusqu’à preuve du contraire.
– En clair il faut revoir toute la législation…

Sans ces réformes, les victimes sont condamnées à subir cette violence institutionnelle et à gérer, en plus de leurs soucis de santé, un poids moral et financier épuisant.

Le cas des vaccins anti-covid

En France, c’est également l’ONIAM qui prend en charge les accidents liés aux vaccinations anti-covid, au titre des articles L3131-0 à L3131-4 du Code de la Santé Publique. Au vu des difficultés rencontrées par les victimes des vaccins obligatoires, il y a de quoi être très inquiet.

Au moins 21 demandes d’indemnisation ont été déposées à l’ONIAM concernant des dommages liés aux vaccins anti-covid (26). Sur ces 21 dossiers, 2 ont été rejetés, 4 font l’objet d’une mission d’expertise médicale et 15 sont en cours d’instruction… Il est précisé que l’ONIAM dispose d’un délai de 6 mois pour se prononcer sur chaque dossier…

L’exemple des victimes de la vaccination H1N1 de 2009, souffrant notamment de narcolepsie, un trouble extrêmement handicapant, n’augure rien de bon.

Après 11 années, sur les 173 demandes déposées à l’ONIAM (l’avocat d’une victime affirme à lui seul détenir plus de 250 dossiers…) 57 seulement ont, à ce jour, reçu une indemnisation.

55 victimes ont été forcée de saisir la justice pour faire avancer leur dossier (27). Un véritable calvaire pour des victimes épuisées. L’ONIAM n’est-il pas censé simplifier et accélérer les procédures « amiables, rapides et gratuites » précise le site internet de l’établissement (28).

Au lieu de ça, on nage dans l’arbitraire le plus total : l’ONIAM décrète quelle marque de vaccin il indemnise ou pas, ce qui est imputable ou non au vaccin (on rappelle qu’il est le payeur). Il choisit les délais d’apparition des effets indésirables les plus courts possibles… et les montants versés sont systématiquement revus à la baisse, à l’encontre des préconisations de ses propres experts… Quand les victimes reçoivent effectivement leur indemnisation…

Conclusion

Bien sûr, on pourrait tiquer sur le fait que les vaccins, et notamment les vaccins anti-covid, ont été financés avec l’argent public (29) en termes de recherche et de pré-achat : les profits et les brevets, eux, restent bien privés. C’est encore l’argent public qui servira à indemniser les victimes.

Pile on perd, face ils gagnent.

Les victimes des effets secondaires des vaccins sont livrées à eux-mêmes et devront, in fine, supporter seules la charge d’effets parfois très graves pour leur santé et leur vie. Elles devront supporter seules les longues procédures d’indemnisation et l’impact psychologique et financier que tout cela génère. Devant autant de dysfonctionnements, il paraît absolument évident qu’aucune obligation vaccinale ne devrait être imposée à la population, de quelque façon que ce soit, et que chacun devrait pouvoir estimer sa propre balance bénéfice-risque, de façon éclairée et posée, pour ne pas avoir à dire « si seulement j’avais su… »

Hypatie A
Octobre 2021

Notes et sources

(1) https://jegu-associes.fr/2021/10/22/conseil-detat-arret-du-29-septembre-2021-consecration-de-la-relation-de-causalite-juridique-entre-la-myofasciite-a-macrophages-et-la-vaccination-aluminique/
(2) https://www.aimsib.org/2019/08/23/professeur-romain-gherardi-et-laluminium-vaccinal-quand-la-science-avance-a-pas-de-geants/
(3) https://www.aimsib.org/2019/07/29/aluminium-vaccinal-larticle-qui-tue-a-suivre-deux-heures-de-videos-gratuites/
(4) https://www.aimsib.org/2021/02/28/adjuvants-aluminiques-bravo-a-ceux-qui-savent-changer-davis/
(5) https://www.aimsib.org/2021/03/07/autopsie-assassinat-scientifique/
(6) Pour la blague : https://www.thecut.com/2021/06/the-most-wild-vaccine-incentives-that-states-are-offering.html
(7) http://www.pharmacovigilance-tours.fr/tl_files/Documents/Publications/2011/Pharmacovigilance%20des%20vaccins.%20E.%20Autre-teca%20et%20al.%20Revue%20du%20Praticien%20Med%20Gen%202011%2025%20869%20715-8.pdf
(8) https://digital.ahrq.gov/sites/default/files/docs/publication/r18hs017045-lazarus-final-report-2011.pdf
(9) https://www.aimsib.org/2021/09/25/pharmacovigilance-des-vaccins-anti-covid/
(10) https://www.facebook.com/reseauvictimesdaccidentsvaccinaux/photos/pcb.2993640594210404/2993640200877110
(11) https://web.archive.org/web/20211026114028/https://plus.lapresse.ca/screens/2cea04f9-8c82-4c75-8178-8377e51a966f__7C___0.html
(12) Pour en savoir plus : https://alutotal.wordpress.com/2020/02/21/pourquoi-de-laluminium-dans-les-vaccins/
(13) Gherardi RK et al. Myalgia and chronic fatigue syndrome following immunization: macrophagic myofasciitis and animal studies support linkage to aluminum adjuvant persistency and diffusion in the immune system. Autoimmun Rev 2019;18:691-705
(14) https://www.youtube.com/watch?v=tGdkUB8HTM8
(15) http://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2013/10/adjuvants-vaccinaux-rapport-ANM1.pdf
https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/hcspr20130711_aluminiumetvaccins.pdf
http://www.acadpharm.org/dos_public/Rapport_Adjuvants_aluminiques_VF_CORR_5.pdf
(16) Pour en savoir plus : Lobbytomie de Stéphane Horel, éditions La Découverte. Les Gardiens de la raison, Stéphane Horel, Stéphane Foucart, Sylvain Laurens, éditions La Découverte
(17) https://www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/autism-spectrum-disorders
(18) Flarend RE, Hem SL, White JL, Elmore D, Suckow MA, Rudy AC, et al. In vivo absorption of aluminium-containing vaccine adjuvants using 26Al. Vaccine. 1997 Sep;15(12–13):1314–8
(19) Bruce M, Streifel KM, Boosalis CA, et al. Acute peripheral immune activation alters cytokine expression and glial activation in the early postnatal rat brain. J Neuroinflam. 2019; 16:200.
(20) https://jegu-associes.fr/2021/10/22/conseil-detat-arret-du-29-septembre-2021-consecration-de-la-relation-de-causalite-juridique-entre-la-myofasciite-a-macrophages-et-la-vaccination-aluminique/
(21) Un seul regret : il est bien dommage que le Conseil d’Etat fasse exactement le contraire de ce qu’il préconise en se retranchant derrière l’avis (obsolète) de l’OMS dès que l’on s’attaque à la sécurité des vaccins pédiatriques à l’aluminium, obligatoires en France et injectés dès l’âge de 2 mois. Dans ce cas précis, ce n’est plus un « état des connaissances scientifiques » qui est observé, mais une simple référence aux agences sanitaires… Exactement comme l’ONIAM. Le scandale est probablement beaucoup trop gros et trop politique pour éclater.
(22) https://www.lejdd.fr/Societe/Sante/scandale-dans-la-gestion-de-largent-des-victimes-daccidents-medicaux-3509534
(23) https://www.youtube.com/watch?v=CcrjvRp9jTE
(24) Article L3131-3 du Code de la santé publique
(25) https://www.prescrire.org/Docu/Archive/docus/ColloqueVictimesBloch.pdf
https://www.prescrire.org/Fr/1/507/49888/4156/SubReportList.aspx
(26) https://www.village-justice.com/articles/vaccination-contre-covid-qui-est-responsable-cas-prejudices,39873.html
(27) https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/indemnisation-des-accidents-vaccinaux-un-scandale-francais_2146050.html
(28) https://www.oniam.fr/
(29) https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/covid-5-chiffres-fous-sur-le-financement-des-vaccins-1269170




Le seul choix qui nous reste : l’esclavage ou la liberté

[Source : Dr Mercola]

Analyse par le Dr Joseph Mercola — 31 octobre 2021

Les toilettes intelligentes utiliseront les empreintes digitales anales.

La « plandémie » et le Grand Réveil

Bref aperçu :

  • Catherine Austin [Catherine Austin Fitts] a passé des décennies à dénoncer la corruption et la fraude dans le système bancaire et gouvernemental, et la corruption et la fraude sont les éléments moteurs de la pandémie COVID.
  • Nous assistons à un transfert de milliards de dollars de passifs envers les familles pour des soins de santé, d’invalidité, de compensations salariales, de chômage et de décès parce que les injections COVID sont obligatoires tandis que les laboratoires, les médecins et les entreprises ont été affranchis de toute responsabilité.
  • À ce jour, il n’y a aucune obligation vaccinale légalement valide. Les injections sont toujours sous autorisation d’utilisation en urgence, et il n’y a pas de document officiel du gouvernement, que ce soit sous forme législative, de loi ou de règlement, qui accorde une base légale à l’obligation. L’Administration Américaine de la Sécurité au Travail et de la Santé n’a pas non plus publié de règle concernant l’obligation vaccinale par des entreprises privées.
  • Les passeports vaccinaux créent une plate-forme pour un système de transactions numériques qui documente et retrace toutes les transactions. Une fois combinés avec une monnaie numérique contrôlée par une banque centrale, ils auront la possibilité de bloquer les transactions.
  • Pour empêcher la mise en œuvre finale de ce système de contrôle planifié, nous devons être prêts et disposés à faire des sacrifices à court terme. Nous devons être prêts à dire « Non, je ne me soumettrai pas, quelles qu’en soient les conséquences », ou nous perdrons même nos libertés les plus fondamentales.

[Voir aussi :
Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait »
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
L’heure de la justice]

Habituellement, mes conversations avec des experts sur la pandémie COVID tournent autour de l’infection et de son traitement. L’interview d’aujourd’hui avec le gourou de la finance Catherine Austin Fitts s’attaquera le sujet de la COVID sous un angle différent.

Austin Fitts a passé des décennies à dénoncer la corruption et la fraude dans le système bancaire et gouvernemental, et la corruption et la fraude sont les éléments moteurs de la pandémie COVID.

« J’ai eu une carrière très réussie à Wall Street, puis je suis allée brièvement à Washington et j’ai été atterrée par la corruption hypothécaire et je suis partie », dit-elle. « J’ai créé mon propre cabinet, qui a très bien marché, et j’ai été prise dans un litige avec le gouvernement fédéral.

Cela était dû en partie à la découverte que les principaux médias étaient une entreprise criminelle. J’ai décidé pendant cette période que j’arrêterai d’essayer de discuter de quoi que ce soit avec des gens par le biais des médias. En fait, je répondrai que directement aux questions des gens. Ce processus de ne répondre que constamment aux questions des gens… s’est transformé en deux entreprises, dont l’une était une entreprise de conseils en investissements, lancée en 2007.

J’ai découvert que bon nombre des problèmes financiers et de nombreuses difficultés financières auxquels mes clients étaient confrontés étaient vraiment générés par la santé, et que nombreux d’entre eux provenaient de blessures vaccinales et d’effets indésirables des vaccins. Je ne suis plus conseillère en investissements… je de donne pas de conseil individuel en investissement.

Mais ce que j’ai découvert c’était qu’il était absolument impératif, si vous vouliez aider les clients à réussir à construire leur bien-être financier familial, d’intégrer les investissements dans la santé et le bien-être aux investissements dans les questions financières. J’avais des gens qui me disaient qu’ils mettaient des millions de dollars dans leur compte d’actions, mais qui n’avaient pas les moyens de se payer de la nourriture bio ou biodynamique.

J’ai l’air de, es-tu folle ? Donc il y avait une intégration qui devait se produire. À cause des extraordinaires dépenses liées aux blessures vaccinales et aux événements indésirables, cela m’a amenée à beaucoup m’intéresser aux vaccins. J’ai passé de nombreuses années à lire et à étudier ce qui se passait et pour quelles raisons les mensonges étaient si gros ».

Selon Austin Fitts, votre santé et vos finances personnelles ne peuvent tout simplement pas être séparées. Les deux sont vraiment comme les deux faces d’une même pièce et les personnes qui n’apprennent pas à naviguer à travers les mensonges des industries médicales et financières peuvent se retrouver en très mauvaise situation, tant du point de vue de la santé que du point de vue financier.

La fraude de l’injection

Un des crimes les plus odieux de cette pandémie est l’obligation de ces injections COVID expérimentales tout en donnant simultanément aux sociétés pharmaceutiques une immunité complète. Elles ne sont responsables de rien, peu importe combien de personnes sont blessées ou meurent. Une personne peut être forcée à prendre cette injection et souffrir d’une invalidité permanente nécessitant des millions de dollars de soins, et le patient doit en assumer les coûts, quand bien même il a été contraint.

« Au début de la pandémie COVID-19 j’ai publié un article intitulé « La Fraude de l’Injection »(([1] The Injection Fraud – It’s Not a Vaccine – Solari Report))» dit Austin Fitts, « et j’ai passé en revue tous les différents problèmes de responsabilité.

L’objectif des formulaires COVID-19 que nous avons publiés sur notre site Internet est d’essayer de ramener la responsabilité là où elle devrait être, parce que vous observez un transfert de milliards de dollars qui incombent aux familles pour des soins de santé, d’invalidité, de compensations salariales, de chômage, de décès, etc.,etc.. Le transfert des engagements financiers sur les particuliers est extraordinaire.

Ce que nous essayons de faire avec les formulaires COVID-19 c’est de donner aux personnes des formulaires qu’ils pourraient utiliser dans les négociations avec leurs employeurs et leurs écoles pour essayer de les tenir pour responsables du consentement éclairé… Ensuite il passe en revue les questions de soins de santé, les questions de handicap, les questions de compensations salariales, les questions d’assurance-vie…

Ce processus a commencé par quelque chose appelé le formulaire de déclaration de situation financière familiale. Nous avions de nombreux abonnés dont les épouses voulaient recevoir l’injection.

Il était très important pour moi de donner aux gens un formulaire qu’ils pourraient parcourir avec leur conjoint et m’assurer qu’un événement indésirable impactant le conjoint ne se traduirait pas en faillite pour la famille parce qu’il y a des mesures que les gens peuvent prendre pour protéger la famille de la catastrophe financière s’ils sont assez stupides pour aller prendre une de ces injections.

Donc cela a commencé avec le formulaire de déclaration de situation financière familiale, puis il s’est traduit en formulaire pour employé et pour l’université, et des abonnés m’ont dit qu’ils étaient en mesure de dissuader leurs employeurs d’exiger l’injection après qu’ils aient examiné ensemble le formulaire.

C’est incroyable parce que les employeurs et les universités ne font que mentir aux gens que ce soit au sujet des événements indésirables et des risques potentiels, ou de ce qu’est la loi.

Je mets au défi tout employeur qui essaie de dire qu’ils imposent ceci alors qu’ils sont encore sous autorisation d’utilisation d’urgence, de produire un document du gouvernement, qu’il s’agisse d’une disposition légale ou réglementaire, qui dit qu’ils ont une base juridique pour le faire. Pour autant que je sache, l’OSHA (Occupational Safety and Health Administration — Sécurité au Travail et Administration de la Santé) n’a rien publié à ce jour. »

Y a-t-il un chantage conspirationniste en cours ?

Alors que je pense que de nombreux employeurs et d’administrateurs d’écoles sont tout simplement ignorants et ont été victimes de la campagne de propagande la plus réussie de l’Histoire moderne, Austin Fitts soupçonne qu’ils savent exactement ce qu’ils font.

« Je ne pense pas qu’il s’agisse de propagande », dit-elle. ‘Je pense qu’ils subissent une pression terrible à la fois du gouvernement et des banques… Je pense qu’il y a dans les coulisses un chantage conspirationniste RICO (Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act — Loi fédérale conçue pour combattre le crime organisé aux États-Unis — NdT) en cours.

Je pense qu’ils le comprennent. Et je pense qu’ils sont sérieusement menacés par le système bancaire. Si vous regardez la pression la plus forte que nous voyons, elle vient des banques centrales et du côté de la finance.

Depuis un an j’ai passé beaucoup de temps avec les Médecins pour l’éthique COVID à apprendre ce que ces médecins et scientifiques savent, ce qu’il y a dans cette injection COVID et ce qu’elle fait. Il y a toute une partie des ingrédients dont nous ne savons toujours pas ce qu’ils sont.

Et, j’ose le dire, je crois que c’est relié à la raison pour laquelle les directeurs des banques centrales insistent tant. Je pense que ces gars dépendent vraiment du réseau intelligent et d’une technologie effrayante pour les aider à passer aux dernières étapes du contrôle financier, qui est, je pense, ce pour quoi ils font pression. »

Il ne reste plus qu’un seul choix : l’esclavage ou la liberté

Pour empêcher la mise en œuvre de ce système de contrôle planifié, nous devons être prêts à faire des sacrifices à court terme. Tout le monde doit être prêt à dire « Non, je ne me soumettrai pas, quelle qu’en soit la conséquence, que vous m’enleviez ma pension de retraite, que vous me licenciez, que vous me discréditiez et que je ne puisse plus jamais travailler dans ma profession ». C’est cela qu’il faudra pour garder même nos libertés les plus fondamentales.

S’ils arrivent à imposer les passeports (les pass sanitaires — NdT), je dirais que, d’un point de vue pratique, nous perdons notre capacité à arrêter les monnaies numériques des banques centrales (MNBC – NdT). Donc, quoi que nous fassions, il nous faut arrêter les pass. Les pass leur donnent le genre de contrôle dont ils ont besoin sur les transactions numériques et financières ce qui ensuite mène aux MNBC. — Catherine Austin Fitts

Comme l’a relevé Austin Fitts :

« Il s’agit d’esclavage ou de liberté. Si vous regardez ce qu’ils préparent, ce qu’ils visent, c’est une grille complète de contrôle financier et technologique. Ceci est de l’esclavage. Je veux dire, lorsque le Forum Économique Mondial dit, nous sommes en 2030 et vous n’avez pas de biens, qu’est-ce qui n’est pas clair là-dedans ? Vous n’avez pas de biens signifie que vous êtes un esclave ».

D’après les statistiques fédérales aux États-Unis, la richesse de la moitié inférieure de la population a augmenté durant la pandémie à cause de l’inflation immobilière. « Je peux vous assurer que ceci est une ruse », dit Austin Fitts. En ce qui concerne les liquidités, environ 70 à 80 % des Américains n’ont pratiquement pas de réserve d’argent liquide.

« C’est parce que ce que nous avons vu est un effort énorme pour… mettre en faillite la population et les gouvernements afin qu’il soit plus facile pour les directeurs des banques centrales de prendre le contrôle. C’est ce que j’ai écrit depuis 1998 que ceci est un coup d’État financier.

En ce moment le coup d’État financier est en train d’être consolidé, où les directeurs des banques centrales ne servent que de juridiction sur le Trésor et les recettes fiscales. Et s’ils peuvent obtenir les passeports avec la MNBC (rappel : Monnaie Numérique des Banques Centrales — NdT) alors il sera possible que les impôts soient retirés de nos comptes et que l’on prenne nos actifs.

Donc, nous sommes en présence d’un véritable coup d’État, et c’est pourquoi, si vous jetez un coup d’œil sur l’ensemble de la population, nous sommes les gars qui construisent la prison. Nous avons le pouvoir d’arrêter cela. »

Les raisons pour lesquelles nous devons rejeter les passeports vaccinaux

Je soupçonne que les MNBC sont au cœur de ce complot, et je crois fermement que les cryptomonnaies décentralisées telles que les Bitcoins sont une alternative puissante et importante pour contrer le contrôle des banques centrales sur le système financier. Austin Fitts n’est pas d’accord, soulignant que toutes les cryptomonnaies fonctionnent sur des systèmes contrôlés par le système de gouvernance existant.

« Je crois que toute technologie blockchain (une blockchain permet de stocker et d’échanger de la valeur sur Internet sans intermédiaire centralisé — NdT) dans le système de gouvernance actuel est un danger’, dit-elle. « Ayant plaidé pour le Ministère de la Justice durant 11 ans sur les questions financières et les questions d’argent, je pense qu’ils ont la capacité d’exercer un contrôle remarquable sur n’importe lequel d’entre eux… je veux dire, ils contrôlent le matériel informatique, les satellites, les câbles… et beaucoup de gens croient que les cryptomonnaies actuelles sont bien plus privées que je pense qu’elles ne le sont ».

Bien que le gouvernement ne contrôle pas les clés privées et les éléments décentralisés, ils ont toujours encore bon nombre de moyens d’accéder aux données privées de personnes ciblées. « J’ai vu plein de gens être assignés à comparaître et voir le FBI débarquer à leur porte, et c’est incroyable ce qu’ils choisissent de transmettre et de coopérer », dit Austin Fitts. En bref, la capacité du gouvernement de mettre à exécution une menace lorsqu’ils veulent quelque chose de vous est profonde, ce qui rend presque impossible toute résistance.

« Maintenant, je crois toujours que nous avons le pouvoir de renverser cela complètement, dit-elle. « Je veux néanmoins mentionner une chose, parce que la chose importante, notre point à risque, ce ne sont pas les MNBC. Il leur faudra un certain temps pour imaginer les MNBC. Notre point à risque se sont les passeports vaccinaux.

S’ils obtiennent les passeports, alors je dirais que, d’un point de vue pratique, nous perdons notre capacité à arrêter les MNBC. Donc, quoi que nous fassions, nous devons arrêter les passeports. Les passeports leur donnent le type de contrôle dont ils ont besoin sur les transactions numériques et financières ce qui conduit alors aux MNBC ».

Le passeport vaccinal est un ticket d’entrée pour l’esclavage financier

Comme l’explique Austin Fitts, les passeports vaccinaux créent une plate-forme pour un système de transactions numériques qui documente et trace toutes les transactions. Une fois combinés avec une monnaie numérique contrôlée par une banque centrale, ils auront la possibilité de bloquer les transactions.

Si le gouvernement ne veut pas que vous achetiez quoi que ce soit à plus de 8 km de votre domicile, ils ont la capacité de vous empêcher de le faire. S’ils ne veulent pas que vous achetiez des pizzas, ils ont la capacité de vous empêcher d’acheter des pizzas.

« Donc c’est l’Étape 1 pour la construction de cette grille de contrôle. Si vous allez sur solari.com et cliquez sur Cash Friday — qui est une campagne que nous menons pour inciter tout le monde à faire ses dépenses à l’aide d’argent liquide les vendredis — vous allez voir une vidéo de 56 secondes du directeur général de la Banque des Règlements Internationaux expliquant comment avec la MNBC ils auront la capacité de mettre en application toutes les règles qu’ils veulent créer sur les MNBC et votre argent.

C’est très effrayant et cela communique le contrôle qu’ils pensent qu’ils vont avoir lorsque ceci sera terminé. Mais pour obtenir ce contrôle, vous avez d’abord besoin que l’ensemble du système de passeport voie le jour. C’est en gros la grille d’information sur laquelle les MNBC peuvent ensuite se brancher…

Si vous avez un système de passeport qui est en place qui peut littéralement arrêter vos transactions financières à moins que vous n’ayez un autre rappel, imaginez, avec les MNBC, il peut arrêter toutes vos transactions. Il peut changer le montant de l’argent. Il peut retirer de l’argent de votre compte bancaire. En d’autres mots, ce n’est plus une monnaie. C’est un crédit que la société stocke et la société contrôle tout…

Les passeports sont déjà là. Nous devons arrêter cela maintenant. J’ai vu des applications de passeport qui montrent que les gens reçoivent huit rappels ou plus. Qui va s’inquiéter au sujet des MNBC si vous avez eu deux de ces injections et huit rappels ? Je veux dire, la question est : serez-vous encore en vie à ce moment-là ? Je ne sais pas ».

Que pouvez-vous faire maintenant ?

Donc, comment le citoyen moyen peut-il résister à ce plan diabolique ? Une des stratégies serait de déménager dans un État ou un pays qui a rendu illégal les obligations de détenir un passeport vaccinal. Une autre stratégie est de simplement refuser le passeport, quelles qu’en soient les conséquences.

Cela vaut également pour ceux qui ont eu une ou deux injections COVID. Pour que le passeport reste valide, vous devrez prendre des rappels. Combien êtes-vous prêt à en prendre ? Combien de fois êtes-vous prêt à risquer votre santé et votre vie ? À un moment donné il vous faudra prendre la même décision que tous ceux qui ne sont pas vaccinés — la liberté ou l’esclavage.

Ce que cela signifie c’est qu’il nous faudra également créer des systèmes alternatifs et parallèles pour tout ce dont on nous privera d’accès si nous n’avons pas de passeport vaccinal valide. Cela inclut l’éducation, la production alimentaire, toutes sortes de services, les soins de santé et l’économie.

Ces systèmes parallèles seront de toute façon cruciaux, puisqu’il semble que les programmes sociaux — Sécurité Sociale, Medicare et Medicaid — n’auront plus d’argent en 2028. Et, à mesure que ces programmes disparaissent, ils feront couler l’industrie pharmaceutique avec eux, puisqu’ils sont la première source de revenus des sociétés pharmaceutiques.

« J’ai découvert qu’il y avait toute une communauté de gens qui vivaient en VL (véhicule de loisir, véhicule aménagé avec à l’intérieur un espace de vie — NdT) tout simplement parce qu’ils ne faisaient confiance à aucune juridiction. Ils voulaient avoir la possibilité de se lever et de partir, et ce groupe est en progression constante.

Donc, mon sentiment c’est que nous devons dire non, et nous devons faire tout ce que nous pouvons faire. J’ai pris cette décision lors du litige auquel le gouvernement était partie prenante parce que j’étais absolument convaincue que si je continuais à dire non, il y avait de fortes chances que je puisse être tuée. J’ai été empoisonnée en maintes occasions, donc j’ai eu affaire à un harcèlement assez grave.

Tout ce que je peux vous dire c’est qu’avoir dit non s’est avéré être la chose la plus intelligente que je n’aie jamais faite. Je ne dis pas que ce n’est pas difficile. C’est exceptionnellement gênant. Je suis passé de personne nantie à une personne ayant à vivre des périodes de pauvreté extrême. C’était assez horrible.

Mais en même temps, vous sortez de l’autre bout et c’est une belle vie. C’est juste une belle vie que d’être libre … Je ne pense pas qu’il y ait un autre moyen de parvenir à une vie libre et inspirée que de s’y lancer. Il vous faut dire non. Et si nous ne disons pas non, nous allons être des esclaves. Franchement, je préfère être morte que de prendre ces injections. Dieu sait ce qui s’y trouve. »

Il n’y a pas de vaccination obligatoire aux États-Unis

Récemment, le président Biden a publié une directive présidentielle inconstitutionnelle selon laquelle les entreprises de 100 employés ou plus sont tenues de rendre obligatoire l’injection de tous les membres du personnel. L’amende peut s’élever jusqu’à 700 000 dollars par infraction.

De telles grosses amendes pourraient rapidement mettre en faillite toutes les entreprises hormis les plus riches si elles ne s’y conforment pas. Néanmoins, même ici, il y a le choix, parce qu’en l’état actuel des choses, il n’y a pas de règle ou de loi LÉGALE dictant des règles en matière de vaccination pour les entreprises privées.

« Ceci est un génocide », dit Austin Fitts. ‘Il n’y a pas de règle d’urgence temporaire OSHA (Occupational Safety and Health Administration — Administration de la Sécurité au Travail et de la Santé — NdT). Il n’y a pas de document. Si je suis une entreprise et que vous n’avez pas de loi, pas de règlement, pas de règlement d’urgence — vous ne pouvez pas légiférer par conférence de presse, et vous ne pouvez pas appliquer des sanctions pécuniaires à partir de rien.

Je ne sais pas sur quelle base juridique vous pouvez appliquer une sanction pécuniaire civile à une violation d’une loi non existante et d’une règle non existante. Maintenant, je ne suis pas en train de vous dire que vous ne pouvez pas trouver un juge et le menacer et l’effrayer afin qu’il adhère à cela. Mais je dois vous dire, s’il y a quelque chose qui vaut la peine d’être plaidé, c’est bien cela.

Mais voyons si une entreprise peut exister en tant que sujet politique. Si toutes les entreprises dans le Monde sont en fait captives du chantage de l’organisation SPECTRE — parce que ça tourne vraiment en James Bond — (alors), personne ne peut représenter l’actionnaire, parce qu’ils ne peuvent pas dire non au crime organisé.

Alors nous n’avons plus d’économie. Nous n’avons plus de marché boursier. Nous n’avons plus de pays. Nous n’avons plus de civilisation. Nous n’avons plus qu’une mafia, n’est-ce pas ? Tout a disparu.

Donc, pour moi, je ne peux songer à quelque chose de mieux à plaider que de savoir si oui ou non nous allons avoir une loi. Si tout n’est que la règle de la mafia, il n’y aura pas d’entreprises. Il n’y aura pas de marché boursier. Il n’y aura pas de système financier. Et bon nombre d’entre nous vont mourir.

Donc je pense qu’il va nous falloir décider si nous voulons ou non avoir un État de Droit… Je ne crois pas que le crime organisé avec toute sa force coercitive ait le pouvoir de tout saboter pendant que les gens se dressent. »

Qui est derrière tout cela ?

Quant à savoir qui est derrière cette gigantesque manipulation, c’est difficile à dire. Je pense que le plus proche que nous puissions arriver sur l’identité de ces criminels ce sont les actionnaires privés de Vanguard [Ndlr : et de Blackrock], parce que Vanguard possède la plupart des entreprises du Monde. Austin Fitts pense que ce sont les propriétaires privés des banques centrales. Elle explique :

« Vanguard appartient essentiellement à elle-même. Donc la question est qui la contrôle dans les coulisses ? J’ai un livre en ligne intitulé « Dillon Read et l’Aristocratie des Profits Boursiers ». J’ai essayé par trois fois de le publier en version papier et à chaque fois j’ai été menacée. La dernière fois ils ont menacé quelqu’un de ma famille.

Donc je l’ai laissé en ligne. (Dans ce livre), je raconte l’histoire de comment j’ai été une associée et membre du conseil d’administration de Dillon Read. À un moment donné, j’ai été surprise par leur choix du prochain président de la compagnie. (Il y avait) là (dans cette compagnie — NdT) un merveilleux associé dont le père avait dirigé la compagnie autrefois, alors je lui ai dit ‘Je suis surprise de ce choix. Ce n’est pas du tout un « gars de Nick » (Nick étant l’ancien président — NdT)

Nick Brady, le PDG de la compagnie, était allé (avait été élu — NdT) au Sénat pendant un moment, c’est pourquoi ils amenaient un autre président. Et mon associé a dit, ‘Nick ne l’a pas choisi. Les Rothschild l’ont choisi’. J’ai dit, ‘Attends une minute. Nous sommes propriétaires de l’entreprise. Qu’est-ce que les Rothschild ont à voir avec nous ? Et il m’a simplement regardée et a roulé les yeux… et est parti comme si j’étais la personne la plus stupide d’Amérique. 

Le surnom d’Austin Fitts donné par le comité qui dirige le Monde est “Mr Global”. Elle reconnaît qu’elle ne comprend pas complètement comment ça fonctionne au sommet, mais elle sait que la prise de décision est très centralisée, qu’elle est probablement gérée par le comité, et que les membres (du comité — NdT) sont tenus au secret pour une durée de 50 ans.

Depuis la Deuxième Guerre Mondiale, il y a une quantité d’argent énorme qui disparaît de manière constante à cause du système financier’, dit-elle. ‘C’est presque comme si la planète est une REIT (real estate investment trust — société d’investissement immobilière). Je n’oublierai jamais la scène du film ‘Jupiter Ascending’ où la princesse d’une galaxie lointaine regarde cette Terrienne et lui dit ‘La Terre n’est qu’une toute petite partie d’une société bien plus grande’.

En fait, si vous regardez le système financier, c’est comme ça que ça marche — comme si tout le monde était forcé à produire ce dividende et qu’il (le système financier — NdT) devient très dysfonctionnel à cause du secret.

Maintenant on m’a dit à plusieurs reprises — et j’ai tendance à le croire — que les personnes qui dirigent littéralement ce que la plupart des gens appellent l’État Profond ont essayé de comprendre comment ils pourraient augmenter la transparence et ils se heurtent à tellement de problèmes de responsabilité que tout simplement ils abandonnent.

S’il y a une solution dont nous avons tous besoin, c’est d’apporter une énorme transparence et réduire le risque avec les personnes au sommet. Parce que je pense qu’une des raisons pour lesquelles ils poussent au contrôle complet c’est… qu’ils peuvent alors gérer les choses de manière centralisée avec l’intelligence artificielle…

Le contrôle complet c’est : vous êtes sur un réseau intelligent qui est sous surveillance 24/7 (24 h/24, 7 jours/7 — NdT) et qui vous soumet à toutes sortes de propagande et de contrôle de l’esprit, et ils ont le pouvoir d’effacer votre compte si vous ne vous comportez pas bien. Ceci peut être géré par logiciel, l’IA (Intelligence Artificielle — NdT) et un réseau intelligent (grâce au passeport vaccinal et la MNBC)…

Je le décrirais comme un système d’esclavage… Ils peuvent littéralement garantir un être humain et le connecter au système bancaire, et ils peuvent arrêter toute révolution violente une fois qu’ils ont en gros numérisé et mis tout le monde sur un système de contrôle des transactions financières…

Je pense que c’est une terrible erreur. Mais je pense qu’ils… ne savent pas quoi faire d’autre. Si nous arrivons à nous sortir de cela, premièrement, nous devons simplement dire non et refuser de rentrer dans la boîte. L’autre (deuxièmement — NdT) c’est qu’il nous faut apporter de la transparence là où nous pouvons tous changer. Parce qu’il nous faut une réinitialisation. Si nous continuons comme nous le faisons, ça ne marchera pas. »

Il nous faut une réinitialisation, mais pas de ‘la grande réinitialisation’

Ils sont nombreux à avoir souligné que c’est une inéluctabilité mathématique que le système financier des banques centrales s’effondre. Vous ne pouvez pas accumuler des dettes à perpétuité. Ce n’est tout simplement qu’une question de quand. Comme l’a fait remarquer Austin Fitts, nous avons actuellement un retour sur investissement négatif.

Mais le système financier peut certainement être remanié pour un retour sur investissement positif. Néanmoins, pour faire cela, nous ne pouvons pas permettre aux sociétés de fonctionner au-dessus de lois. Elle explique :

« À l’heure actuelle, nous avons une doctrine juridique qui dit qu’aussi longtemps qu’ils peuvent se faire de l’argent, ils sont plus ou moins libres d’agir au-dessus des lois. L’économie doit être subordonnée à la société. Vous ne pouvez pas laisser votre vie économique déterminer la primauté du droit. Et donc, nous avons pratiquement donné une immunité juridique aux grandes banques internationales, et à travers elles, aux entreprises.

Le modèle d’entreprise actuel, tel qu’il existe actuellement, ne marche pas. Ce que nous observons c’est la destruction de la société afin qu’il puisse continuer à fonctionner. Franchement, vous ne pouvez pas avoir une économie ou une société en bonne santé si le secteur financier est dominant plutôt que subordonné. Le système financier devrait servir la société et la civilisation, et non l’inverse. »

Des signes d’un changement positif

Cependant, il y a des signes d’un réel changement — un changement positif. Austin Fitts fait remarquer, pour la première fois de sa vie, elle voit des personnes extrêmement talentueuses et bien éduquées qui ont toujours été réticentes à faire des vagues disant qu’elles veulent sortir (du système — NdT) ; elles préfèrent mourir plutôt que d’être réduites en esclavage par le crime organisé.

« Je me rappelle d’un scientifique et médecin vraiment formidable me disant, ‘Je suis prêt à commencer une toute nouvelle civilisation’. Il y a une vague de talents et de solennité que je n’ai jamais vue et qui dit ‘Je préfère faire partie de la nouveauté. J’en ai marre de celle-ci.

Donc je vois une formidable cassure — et non simplement un refoulement — de la part de personnes qui veulent être partie prenante de quelque chose de civilisé. Elles réalisent que la corruption a atteint un point où il est inutile d’essayer de s’entendre ou d’être au milieu de la route ou de suivre…

Le défi pour nous tous est comment pouvons-nous basculer nos économies et notre épargne retraite pour financer la création de cette nouvelle capacité ? D’une part, vous avez des étudiants qui quittent l’école et qui doivent faire l’école à la maison. D’autre part, vous avez des enseignants qui quittent l’école parce qu’ils ne veulent pas recevoir l’injection.

Nous devons créer des entreprises et des réseaux et des sites web qui nous aident à nous rencontrer. Si ce processus se déroule dans un esprit d’entreprise, il pourrait être très positif et très excitant.

C’est ce que je vois dans les nouveaux médias. Mais cela doit également se produire dans les services de santé et dans l’éducation, et il faudra que suffisamment de personnes réalisent que le Titanic est en train de couler. Il n’est pas possible de revenir en arrière. Elles pourraient tout aussi bien récupérer quelques planches et commencer à construire des arches.

Sans intégrité il n’y a pas de civilisation. Donc, si vous voulez faire partie de quelque chose qui a de l’intégrité, vous ne pouvez pas rester (dans l’ancien système). Je le répète, il n’y a pas de juste milieu… Je dis, dites oui à la science, dites oui à l’intégrité, dites oui à la loi.

La situation de chaque personne est différente, mais trouvez un moyen de traduire ce oui en quelque chose de productif. Soyez utile. C’est ce que j’ai essayé de faire. J’ai eu une vie merveilleuse en tant que banquier d’affaires, mais je me suis réveillée et je ne pouvais plus (continuer)… j’ai fait des transactions portant sur des milliards de dollars. Je ne savais pas faire un plan financier pour quelqu’un qui avait 25 000 dollars.

Donc j’ai commencé par simplement répondre aux questions des gens et ces questions ont évolué jusqu’à devenir deux entreprises, le Solari Report et le Solari Investment Advisory Services (pour cette dernière ‘Service de Conseils en Investissement — NdT). Cela a pris de nombreuses années, mais je n’ai fait qu’essayer d’être utile. Donc chacun d’entre nous doit commencer par là.

Nous devons nous demander ‘quelle compétence ai-je’ ? Quelles compétences puis-je acquérir ? Dans quelles compétences puis-je évoluer ? Et comment puis-je servir les gens autour de moi ? Que puis-je faire pour être utile ? Et nous partons de là.

Mais vous devez choisir l’intégrité et la civilisation ou choisir d’être un esclave du crime organisé. Vous devez faire ce choix. Et voulez-vous savoir ? C’est un choix dangereux. J’ai failli ne pas y arriver. Mais comme je l’ai dit à mon ancien collègue, je préfère mourir dans le désert que d’être dans des endroits souterrains avec vous les gars. »

Traduction Jean Bitterlin, le 12 novembre 2021




Une brève histoire des expériences et opérations biologiques américaines sur les populations civiles

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

« Le CDC n’est pas une agence indépendante. C’est une entreprise d’exploitations de vaccins. Le CDC détient plus de vingt brevets de vaccins. Il vend environ 4,6 milliards de dollars de vaccins chaque année. »

Robert F. Kennedy Jr.

L’opération Warp Speed ​​qui est entrée en vigueur au début de 2020, après que COVID-19 a été officiellement reconnu comme une pandémie par l’OMS, était essentiellement une opération d’exercice de guerre biologique militariste pour fabriquer des vaccins très rapidement et pour faire appel au DOD pour la distribution des vaccins aux hôpitaux et aux cliniques de santé si besoin est. Avec le recul, il s’agit d’une boule de cire qui a été moulée par des entités telles que la DARPA, la Fondation Bill et Melinda Gates et son associée GAVI, le CDC, le NIH et son porte-parole Big Pharma pour le National Institute of Allergies and Infectious Diseases (NIAID). Le Dr Anthony Fauci comme moyen non seulement de verrouiller l’ensemble de l’économie mondiale en vue d’un plan élaboré par le Forum économique mondial (WEF) pour une réinitialisation mondiale, mais aussi d’amener des milliards de personnes dans le monde à se faire injecter un vaccin expérimental et très dangereux. Même s’il s’agit clairement d’une pro vaccination, Bloomberg a révélé à quel point six grandes sociétés pharmaceutiques incroyablement rentables qui ont reçu de l’argent des coffres du gouvernement pour développer des vaccins contre le SRAS-CoV-2 ont été gratifiés dans des contrats attribués de manière opaque au sein de l’Operation Warp Speed OWS) .

Préambule

La guerre biologique, ou « guerre des germes », est « l’utilisation de toxines biologiques ou d’agents infectieux (bactéries, virus et champignons) dans l’intention de tuer ou de neutraliser des humains ». Historiquement, l’implication des États-Unis dans les armes bactériennes a été motivée par la concurrence et la paranoïa.
En 1918, vers la fin de la Première Guerre mondiale, le gouvernement a brièvement expérimenté la ricine – une protéine végétale naturelle mortelle – et le Chemical Warfare Service (CWS) a été formé pour superviser la recherche et le développement. Avec la signature du Protocole de Genève en 1925 (qui interdisait l’utilisation d’armes biologiques et chimiques dans les guerres internationales), l’intérêt du gouvernement américain s’est affaibli : jusqu’aux années 1940, les armes biologiques étaient largement considérées comme impraticables.
Peu de temps après Pearl Harbor, les États-Unis ont changé d’avis.

En 1942, le président Roosevelt a mis en œuvre le premier programme de guerre biologique ; soutenue par la National Academy of Sciences, l’initiative visait à développer des armes biologiques et à explorer la vulnérabilité des États-Unis à de telles attaques. Un organisme gouvernemental – le War Research Service (WRS) – a été créé pour superviser ces activités, et George W Merck (de la Merck Pharmaceutical Company) a été nommé à la direction. À la demande de son équipe, Fort Detrick [6], le « quartier général » de guerre biologique des États-Unis, a été construit dans la petite ville de Frederick, dans le Maryland.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement avait amassé un arsenal massif d’armes biologiques (utilisant l’anthrax et d’autres bactéries diverses) – le tout dans le « plus strict secret ». Bientôt, la justification de la poursuite de la recherche s’est déplacée vers le « besoin de défense nationale ».
Sous le commandement du professeur et bactériologiste de l’Université du Wisconsin, Ira Baldwin, un comité sur la guerre biologique a été créé en 1948. Lorsqu’un rapport ultérieur a déterminé que les États-Unis étaient « particulièrement sensibles » aux attaques, une série de « tests en plein air » a été ordonnée. . Le but de ces efforts ? Pour simuler les effets d’une attaque de guerre biologique réaliste.

Pour en savoir plus sur d’autres tests de guerre biologique aux États-Unis, reportez-vous au livre bien documenté de Leonard J. Cole, Clouds of Secrecy.

H. Genséric


Selon Bloomberg :

Au cours des six semaines suivantes, OWS a passé des contrats d’une valeur de plus de 8 milliards de dollars pour soutenir cinq vaccins supplémentaires, ceux de Johnson & Johnson, Moderna, Novavax, Pfizer et Sanofi conjointement avec Glaxo. Le gouvernement a publié à contrecœur certains des contrats – fortement censurés – au cours de l’été en réponse aux demandes du Freedom of Information Act. Slaoui(([1] Le 15 mai 2020, Moncef Slaoui est nommé par Donald Trump coordinateur de la stratégie vaccinale de son administration contre la Covid-19 (programme gouvernemental Operation « Warp Speed »). Cette mission s’achève avec l’arrivée de l’administration Biden en janvier 2021)) dit que le tapage n’est pas nécessaire : « Ce sont des contrats simples. Ils n’ont rien de spécial à part le montant d’argent, qui est lié au coût de développement des vaccins. » À la mi-octobre, le groupe de défense Public Citizen a déposé une plainte exigeant la publication des contrats des vaccins coronavirus. Fin octobre, HHS a publié un contrat Moderna, fortement censuré.

Les accords OWS ont conduit à d’énormes gains pour de nombreux dirigeants de l’industrie pharmaceutique. Les dirigeants de Moderna ont réalisé un bénéfice de 115,5 millions de dollars en vendant des actions de leur entreprise du 15 mai au 31 août, selon Accountable Pharma, un groupe de surveillance non partisan. Un porte-parole de Moderna a déclaré que les ventes d’actions avaient été effectuées dans le cadre de programmes précédemment programmés et conformément à la réglementation sur les délits d’initiés. Les dirigeants d’Emergent ont récolté 5 millions de dollars en vendant des actions au cours de la même période, et en septembre, le président exécutif de la société, Fuad El-Hibri, a vendu 80.000 actions supplémentaires pour un bénéfice net de 8,1 millions de dollars. Emergent a déclaré dans un communiqué que les dirigeants vendaient régulièrement des actions, conformément à toutes les lois régissant les transactions financières. Les actions d’Emergent ont grimpé de 78% cette année jusqu’au 23 octobre.

« C’est un buziness parfait », déclare Eli Zupnick, porte-parole d’Accountable Pharma, des sociétés OWS. « Leurs inconvénients sont couverts par les contribuables et leurs avantages sont déjà dans leurs poches. »

Maintenant que des millions d’Américains et des millions d’autres dans le monde ont pris ces « vaccins » de thérapie génique de Pfizer-BioNTech, Moderna, Astro-Zeneca et Johnson & Johnson, nous avons déjà vu des effets indésirables plus graves ainsi que des décès dus à juste la dernière année où ils ont été administrés à des personnes que nous avons vu de tous les 70 vaccins combinés des 10 années précédentes selon les propres chiffres VAERS du CDC.(([2] Le gouvernement britannique publie la 32e mise à jour sur les effets indésirables des vaccins Covid-19
–  Les vaccins ARNm Covid-19 sont les produits médicaux les plus mortels jamais fabriqués par l’Homme
–  Maux de tête, fausse couche, surdité, cécité, accident vasculaire cérébral, décès – les réactions indésirables aux vaccins ARNm Covid-19
–  HORREUR VACCINALE ! La protéine de pointe du vaccin déclenche une explosion de cancers, d’immunodéficiences, de troubles auto-immuns et un vieillissement accéléré
–  La vaccination dans la tranche d’âge de 5 à 11 ans tuera 117 enfants pour sauver UN SEUL de la mort par COVID !
–  Vax tueurs. Il y a 6 fois plus de décès chez ceux qui sont entièrement vaccinés que chez les non vaccinés
–  Une effrayante vague de surmortalité en Europe, aux Etats Unis et ce n’est pas la covid….
–  Le sang contaminé nouveau est arrivé
–  Pandémie vaccinale. Pour 10 mille vaccinés, il y a 5400 effets secondaires et 7 morts))
Et, étant donné qu’il est extrêmement long de remplir tous les documents nécessaires pour signaler ces effets indésirables et le fait qu’ils ne sont presque jamais déposés après 48 heures ainsi que le biais inhérent au système allopathique de soins médicaux en ce qui concerne les vaccins, vous pouvez être sûr que le nombre d’effets indésirables graves et de décès est bien plus élevé que ce qui est signalé (d’au moins un ordre de grandeur de dix fois, mais probablement plus proche de 100 fois(([3] Officiel. Les « vaccins » Covid-19 sont 100 fois plus mortels que TOUS les autres vaccins réunis
–  USA. Selon les statistiques officielles, les vaccins Covid-19 tuent 78 fois plus que les vaccins standards
–  HOLOCAUSTE SECRET : Des millions de victimes du vaccin disparaissent-elles dans des fosses communes ?
–  Les pseudovaccins anticovid (injections géniques) ne protègent ni les vaccinés, ni leurs contacts. Au contraire : les chiffres le démontrent)) ). Cependant, aussi fou que cela puisse paraître, il ne faut pas oublier que le gouvernement américain a une longue et tortueuse histoire d’expériences biologiques sur ses propres citoyens avec divers agents pathogènes et agents, généralement sans en informer les citoyens au préalable. Ce qui suit est une brève chronologie, bien que loin d’être exhaustive, d’une poignée de telles expériences biologiques que nous connaissons et qui ont été documentées, comme vous pouvez tout lire dans les hyperliens indiqués.

• 1763 : Dans l’un des premiers cas enregistrés de guerre biologique sur le sol américain, le capitaine Ecuyer a rencontré deux chefs indiens sous prétexte d’amitié. Il leur a ensuite donné des couvertures prises dans un hôpital où les patients étaient infectés par la variole. Au cours des mois qui ont suivi, la variole a décimé les tribus indiennes de la région de l’Ohio.

• 1918 : La pandémie de grippe, également connue sous le nom de « grippe espagnole », a été une énorme tragédie aux proportions épiques, tuant quelque quelque 50 millions de personnes dans le monde. Elle aurait été déclenchée dans le monde comme une pandémie de pneumonie bactérienne induite par un vaccin plutôt qu’une pandémie naturelle par l’Institut Rockefeller avec leurs cobayes soldats de la Première Guerre mondiale avec des vaccins contre la méningite bactérienne dérivés d’un sérum de cheval.(([4] Bis repetita. La « Grippe Espagnole » de 1918 était une pandémie mondiale provoquée par Rockefeller et l’armée américaine
Un nouveau développement historique qui a évolué depuis quelques années et qui est maintenant mis en évidence à cause du COVID-19, est la soi-disant «grippe espagnole» de 1918, il y a donc un siècle.
Des rapports et des documents récurrents émergent pour nous dire que cette «plus grande pandémie de L’histoire n’était [1] ni «espagnole», [2] ni «une grippe» et ni [3] un événement naturel mais le résultat du bricolage humain fait avec des vaccins.

Cela ne vous rappelle-t-il pas comment le virus fabriqué du COVID-19 s’est échappé des labos américains pour infecter le mode entier ??))
Cette véritable pandémie a été aggravé par les quartiers exigus de la guerre des tranchées et si l’on considère que c’était également à l’époque où le système immunitaire des gens était gravement compromis par les fréquences radio des rayonnements électromagnétiques, comme le documente l’excellent livre The Invisible Rainbow: A History of Electricity and Life (L’arc-en-ciel invisible : une histoire de l’électricité et de la vie) par Arthur Firstenberg.

• 1942 : L’armée impériale japonaise établit un camp de recherche en Nouvelle-Guinée pendant la Seconde Guerre mondiale. Tout comme ils l’avaient fait auparavant au tristement célèbre Camp 731 en Mandchourie, les soldats-scientifiques japonais ont expérimenté sur la tribu indienne Fore là-bas. La tribu a reçu une injection de la version hachée du cerveau de moutons malades contenant des prions du virus Visna, qui a causé la maladie de Creutzfelt-Jacob ou l’équivalent humain de la maladie de la « vache folle ». Après cinq ou six ans, la tribu Fore a développé ce qu’elle appelait le «kuru» où elle s’est littéralement dépérie alors que son cerveau se transformait en bouillie. Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, le Dr Ishii Shiro (le médecin généraliste en charge du développement, des tests et du déploiement de la guerre biologique au Japon) a été capturé par les États-Unis. On lui a donné à choisir. Soit être mis à mort en tant que criminel de guerre, soit venir travailler pour l’armée américaine. Sans surprise, il a choisi la deuxième solution, et dans les années qui ont suivi, il a aidé les spécialistes américains de la « guerre biologique avec des germes » à développer leur propre agent de la maladie à prion kuru de la MCJ/ESB de qualité militaire.

• 1946 : le Dr George Merck, alors qu’il était encore directeur de la recherche américaine sur la guerre biologique, admet que les États-Unis ont appris à cristalliser les toxines bactériennes. Notez que c’est le même Merck de Merck Pharmaceuticals qui allait développer de nombreux vaccins comme celui contre la polio, qui était contaminé par le SV40 (Simian Virus 40), un cancérogène humain connu.

• 1949-1969 : L’armée américaine pulvérise au moins 239 zones peuplées, d’agents de guerre biologique et de soi-disant « simulants biologiques » qui incluent, entre autres,  de l’Aspergillus fumigatus (un champignon connu pour causer la mort), du sulfure de zinc et de cadmium, du Bacillus subtilis (une bactérie qui partage des caractéristiques avec l’Anthrax) et Serratia Marcescens (qui est connu pour causer la méningite).(([5] Les États-Unis ont fabriqué la bio-arme Covid et l’ont d’abord disséminée en Chine et en Iran. Ils ont contaminé le Monde
–  Implication israélienne dans la création du COVID-19 à l’Université de Caroline du Nord (censuré / supprimé)
–   La Chine exhorte l’OMS à enquêter sur le biolab militaire américain à la recherche des origines de Covid
–  USA. Le virus Covid-19 se serait échappé du laboratoire dès juillet 2019
–  Preuve. Voici l’un des « athlètes américains » et officier du renseignement qui a introduit le COVID-19 en Chine
–  France. Quand la CIA empoisonnait au LSD les habitants de Pont Saint Esprit (Gard)
–  Covid-19: une guerre bioterroriste voulue par Fauci, l’armée US, la CIA, les chinois, la France, et les pharmaceutiques!
–  Le projet pour un nouveau siècle américain et l’ère des armes biologiques : 20 ans de terreur psychologique
–  Le Covid-19 participe de la course aux armements biologiques, visant à fabriquer et répandre des agents pathogènes mortels!))

• 1955 : La CIA pulvérise de grandes quantités d’Haemophilus Pertussis (bactérie de la coqueluche) lors d’« essais sur le terrain » le long de la côte du golfe de Floride. Les dossiers médicaux de cette époque montrent que l’incidence de la coqueluche a triplé par rapport à l’année d’avant. (Voir aussi le livre Clouds of Secrecy.: The Army’s Germ Warfare Tests Over Populated Areas de Leonard Cole)

• 1957 : L’une des premières épidémies de syndrome de fatigue chronique à Punta Gorda, en Floride, est déclenchée par des moustiques infectés par la bactérie Brucella par le Dr Guilford B. Reed de l’Université Queen’s au Canada. Les moustiques ont été élevés à Belleville, en Ontario, et relâchés à Punta Gorda, où au moins 450 personnes ont contracté la maladie pour la première fois.

• 1962 : agissant sur une directive émise en janvier 1961, l’administration Kennedy a autorisé le DOD à lancer le projet 112 avec son projet dérivé SHAD (Shipboard Hazard and Defense ; Risque et défense à bord des navires) qui a expérimenté sur les soldats et les citoyens américains des armes chimiques et bactériologiques, appelées par euphémisme « stimulants ». Au moins 13 navires de la marine américaine ont été exposés dans le cadre du seul projet SHAD à des attaques chimiques et biologiques simulées, ce qui a été nié jusqu’en mai 2000, lorsque CBS News a finalement révélé l’histoire publiquement.

• 1969 : le président Richard Nixon met théoriquement fin à la recherche et aux tests sur la guerre des germes biologiques sur les citoyens américains avec l’adoption d’un décret. Cependant, les preuves qui suivent démontreront clairement que les tests et les expérimentations se sont poursuivis.

• 1969 : le Dr Donald MacArthur, lors d’une réunion secrète à huis clos portant sur l’approbation budgétaire du budget noir du Pentagone de 1970 avec un sous-comité du Congrès, a déclaré : « Il est possible qu’avec un financement approprié, nous puissions développer dans les 5 à 10 ans un virus synthétique pour lequel il n’y a pas d’immunité naturelle connue. C’est précisément  le virus du sida a fini qui a été conçu. Il a été créé à partir d’une bactérie Brucella mutée avec un virus visna et la toxine éliminée sous forme de particule d’ADN appelée mycoplasme.

• 1971 : Le Service de santé publique des États-Unis publie un rapport détaillant ce qu’on appelle le « The Special Virus Cancer Program» créé par la CIA et le NIH pour développer un agent pathogène mortel pour lequel l’humanité n’a pas d’immunité naturelle (c’est-à-dire le syndrome d’immunodéficience acquise, le SIDA) , qui était déguisé en guerre contre le cancer mais faisait vraiment partie de MKNAOMI. (Par exemple, voir : « The Special Virus Cancer Program : Progress Report No. 8 » ainsi que le livre Dr. Mary’s Monkey d’Edward T. Haslam)

• 1974 : National Security Study Memorandum 200 intitulé « The Kissinger Report » indique que pour réduire la croissance démographique : 

“ Un certain nombre d’actions majeures dans le domaine de la création des conditions d’une baisse de la fécondité peuvent être financées à partir des ressources disponibles pour les secteurs en question (par exemple, l’éducation, l’agriculture). D’autres actions, dont les services de planification familiale, les activités de recherche et d’expérimentation sur les facteurs affectant la fécondité, relèvent des fonds de la population… ”

• 1974-1979 : Le vaccin contre la variole est administré en Afrique centrale et le vaccin contre l’hépatite B est administré à la population homosexuelle à New York et à San Francisco, et l’on assiste aux premiers cas de sida qui explosent à plein régime dans les années 1980.

• 1991 : le brevet américain n° 5 242 820 montre que Shyh-Ching Lo est « l’inventeur » du mycoplasme pathogène, qui peut provoquer des « maladies pseudo-grippales » et d’autres maladies débilitantes et mortelles comme je l’ai déjà dit.

• 1994 : Le rapport Riegle détaille comment les États-Unis ont envoyé des armes biologiques et chimiques aux irakiens tout au long des années 1980. Ces agents biologiques et chimiques comprenaient l’anthrax, le virus du Nil occidental, les gaz neurotoxiques, etc.

• 1997 : US Public Law 95-79, Title 50, Chapter 32, Section 1520 est finalement modifié. Avant sa modification, on lisait : « L’utilisation de sujets humains sera autorisée pour les tests d’agents chimiques et biologiques par le département américain de la Défense. »

• 1999 : Une infection par le virus du Nil occidental unique en son genre s’est déclarée naturellement à New York. Environ la moitié des corbeaux et de nombreuses autres espèces d’oiseaux sont morts, et il s’est apparemment propagé aux humains par les moustiques. Au 8 octobre 2002, le CDC avait signalé un total cumulé de 2 768 infections au VNO avec 146 décès enregistrés. Ce n’est qu’au milieu des années 90 que le VNO a commencé à causer un grand nombre de décès d’oiseaux, et la souche virale la plus proche du virus NY99 était celle qui a circulé en Israël de 1997 à 2000. L’une des personnalités clés pendant cette période à la tête du Bureau de la gestion des urgences était l’ancien homme de Kroll Associates lié au renseignement de sécurité sur le 11 septembre, Jerome Hauer. Après avoir dirigé pendant quelques années des pulvérisations massives et sans doute très dangereuses de pesticides qui semblaient viser non seulement les moustiques mais aussi les humains, il a tenté d’imposer d’autres expériences biologiques comme le vaccin contre la variole sous la « Emergency Health Powers Act » jusqu’à ce que la California Association of Nurses refuse de l’accepter et qu’ils soient obligés de reculer. Il est ensuite devenu vice-président de SAIC, l’un des poids lourds de l’État profond du complexe militaro-industriel. Quelques bons candidats pour la source de la souche génétiquement manipulée du VNO sont les principaux laboratoires américains de développement biologique et germinatif de Ft. Detrick [5]et Plum Island, cette dernière étant située de manière suspecte près de Long Island. Rétrospectivement, il semble probable que le VNO a été délibérément déployé pour au moins deux raisons principales : 1) En fonction d’un « exercice de préparation au bioterrorisme » utilisant un virus vivant au lieu d’un « stimulant », et 2) Pour créer « un marché d’un million de dollars » pour le vaccin contre l’encéphalite japonaise (JE) d’OraVax, ainsi que d’autres médicaments majeurs à suivre, comme le Cipro de Bayer utilisé pour l’anthrax. Fait intéressant, George W. Bush et les membres de son cabinet prenaient déjà Cipro avant que les lettres suspectes contenant de l’anthrax ne soient envoyées à NBC et à des opposants politiques clés comme le chef de la majorité au Sénat, Tom Daschle. (Voir le livre Death in the Air du Dr Leonard G. Horowitz)

• 2014 : Début décembre 2014, le Centre de surveillance épidémiologique (CVE) du ministère brésilien de la Santé a annoncé la vaccination obligatoire des femmes enceintes entre la 27e et la 36e semaine de grossesse avec le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTaP). En mai 2015, un grand nombre de bébés naissaient avec une microcéphalie où ils avaient la tête rétrécie et malformée et d’autres malformations congénitales graves. La majorité des cas se sont produits dans la région nord-est de Pernambouc, au Brésil, où la plupart des vaccins DTaP ont été distribués. En décembre 2015, le gouvernement brésilien a déclaré une urgence nationale après la naissance de 2400 bébés atteints de microcéphalie. L’OMS a ensuite imputé l’épidémie de microcéphalie au virus Zika, découvert en Ouganda en 1947 et propagé par les moustiques. Cependant, il n’y a aucune preuve que le virus Zika provoque une microcéphalie, alors que les vaccins le font parfois. Les vaccins utilisés en 2014 qui sont les principaux suspects de l’épidémie de bébés nés avec une tête mal formée en raison d’une microcéphalie étaient le Refortrix de GlaxoSmithKline (connu au Brésil sous le nom de Boostrix) et l’Adacel de Sanofi Pasteur produit en France.

En résumé, permettez-moi de citer Catherine O’Driscoll d’un article intitulé « Vaccines, Biowarfare, and Betrayal » (Vaccins, guerre biologique et trahison ) publié dans Nexus Magazine, Vol. 24, No. 3, May-June 2017:

 « Les agences gouvernementales, y compris les National Institutes of Health (NIH) des États-Unis, le National Cancer Institute (NCI), les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), le ministère de la Défense, le US Public Health Service ainsi que l’Institut Pasteur  et le Centre international de recherche sur le cancer en France, Porton Down en Angleterre, l’Institut Ivanovsky en Russie et d’autres – des scientifiques du monde entier dans des départements gouvernementaux et des sociétés pharmaceutiques – étaient (et sont toujours) en train de jouer avec les virus dans les laboratoires, épissant ensemble différents virus de différentes espèces et créant des super virus sous le couvert de soins de santé préventifs tout en délivrant de puissantes armes biologiques et en les partageant les uns avec les autres ! »

SOURCE : Algora Blog

NOTES de H. Genséric




Dr Valentina Kiseleva 🎯 Le virus et autres mythes

[Source : AKINA | Le Front médiatique]

Titulaire d’un doctorat en médecine (équivalent américain) de l’université de médecine pédiatrique de Saint-Pétersbourg, le Dr Valentina Kiseleva est un expert indépendant en matière de bioéthique et de biosécurité. Elle a notamment été le conseiller personnel du chef de la mission de Médecins sans frontières en Russie. Elle a participé à de nombreux processus législatifs touchant à la santé et possède une vaste expérience aux États-Unis, en Russie et en Europe dans le domaine du diagnostic différentiel, à savoir la détection des erreurs médicales et la recommandation de traitements appropriés. C’est ce qu’elle fait actuellement dans le cadre du covid-19.

Du mythe du virus à celui de la protéine spike, des causes réelles de la maladie attribuée à Sars-Cov-2 à une invention technologique visant à influencer notre système nerveux par des champs électromagnétiques externes de très faible intensité, des résultats les plus récents concernant des objets mystérieux observés dans les injections (nanorobots ?) au projet de les remplacer par des médicaments, cette émission jettera un nouvel éclairage sur le plus incroyable mensonge de notre histoire : une pandémie qui n’a jamais eu lieu.



🗣 Interview animé par : Dr. Urmie RAY a étudié les mathématiques à l’Université de Cambridge, où elle a obtenu une licence, puis une maîtrise, et un doctorat. Après 23 ans de carrière universitaire et avoir diriger des recherches, après plusieurs articles dans des journaux scientifiques et un livre dans le domaine de l’algèbre, elle a démissionné de son poste de professeur en France – le pays de son enfance – pour se consacrer à ses centres d’intérêts depuis toujours, des questions de fond, notamment celles liées à la science.

[Voir aussi :
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

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La liberté d’information à l’épreuve d’une commission ? Arnaud Dimeglio au Défi de la vérité

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Arnaud Dimeglio a relevé le défi ! Avocat au barreau de Montpellier, spécialisé dans les nouvelles technologies, le droit de la communication et le droit de la propriété intellectuelle, ce docteur en droit, avocat de FranceSoir par ailleurs, revient sur l’actualité crispée autour des questions de vérité et de désinformations médiatiques et institutionnelles, plus particulièrement sur la mise en place de la commission Bronner du nom du sociologue Gérald Bronner.

Cette commission intitulée : « Les Lumières à l’ère du numérique » qui prétend lutter contre la désinformation et le complotisme, a inspiré un article dans lequel Arnaud Dimeglio a exposé ses réserves : les risques de la commission Bronner. Il y fustige une commission obscure (malgré son intitulé), censée lutter contre les diffuseurs de haine et de la désinformation, des notions vagues et floues juridiquement, et en liste les contradictions et zones d’ombre.



Pour contrer l’imprécision, il revient sur la définition que le droit français propose de la désinformation dans la loi de 1881 : délit de fausses nouvelles, de mauvaise foi, qui trouble la paix publique… Il évoque aussi la loi de 2018 : si elle complète et prévoit que les « fausses informations » doivent être sanctionnées, elle ne permet pas d’établir qu’une information contraire à la vérité « officielle » du pouvoir en place constituerait pour autant une « fausse information ».

C’est pourtant une définition qu’a donnée Gérald Bronner : serait théorie du complot toute théorie remettant en question la vérité officielle… Une déclaration choquante et dangereuse qui a soulevé l’indignation générale.

Pour lutter contre ces dérives, Arnaud Dimeglio propose de revenir aux définitions, et à la liberté d’expression, qui permet de diffuser des idées minoritaires qui ne font pas (…ou pas encore) consensus. Prenant l’exemple des effets secondaires du vaccin, et de ce qu’il est possible d’en écrire pour ne pas enfreindre la loi, il revient sur les fondements possibles.

Une réflexion sur les Gafam (Google, Apple, Facebook…) qui suppriment tous les contenus qui seraient contraires aux « consensus » de l’OMS et des autorités locales, tandis que la Cour européenne des droits de l’homme affirme qu’il faut admettre les idées minoritaires et non pas les informations largement admises, en matière de santé. La suppression de ces contenus est d’autant plus choquante que le consensus est mouvant et qu’une information considérée comme fausse un jour peut se révéler juste ou plausible quelques mois plus tard. Des géants du numérique, réseaux sociaux et autres plateformes, qui jouent un double jeu, entre leur rôle d’hébergeur et celui d’éditeur, souligne Arnaud Dimeglio – voire de juge ? 

L’avocat montpelliérain regrette enfin la proximité des médias et du pouvoir et invite, dès lors que la presse est le « quatrième pouvoir », à s’inspirer de la séparation des pouvoirs telle que Montesquieu l’avait pensée, et revient enfin sur les polémiques autour du rôle médiatique de médecins dans cette crise sanitaire.

Auteur(s): FranceSoir




Le rapport qui ne change rien et dont les médias ne parlent pas. Le Covid a officiellement représenté 2 % des hospitalisations en 2020

Par Alain Tortosa

Un rapport totalement officiel de l’ATIH(([1] https://www.atih.sante.fr/sites/default/files/public/content/4144/aah_2020_analyse_covid.pdf
[voir aussi : Martin Blachier en mode retournage de veste puissance 1000, Il doit sentir le vent tourner… Nous aurait-on menti à l’insu de notre plein gré ?])) fait couler de l’encre dans la sphère dite « complotiste », mais il est passé sous silence dans les médias mainstream. Il énonce que le Covid a représenté 2 % des hospitalisations et 5 % des soins critiques en 2020.

À ma connaissance, seul Pascal Praud sur Cnews et, étrangement, Martin Blachier sur LCP, en ont parlé.

Mais le sujet est suffisamment dangereux et épineux pour que les « vérificateurs » de l’information de checknews(([2] https://www.liberation.fr/checknews/est-il-vrai-que-les-patients-covid-nont-represente-que-2-du-total-des-hospitalisations-en-france-en-2020-20211111_BEEG2I2RTRAX7O3Q5LD2D33J4I/)) s’en emparent.

Il est intéressant de constater que le mode opératoire des « vérificateurs » est toujours le même, aussi bien chez les décodeurs de France-info que chez le checknews de Libération.

Le titre sera quasi toujours le même « C’est vrai, mais c’est faux ! »
Les premières phrases seront généralement de nature à dédouaner le peuple de s’intéresser au sujet.

« Dormez sur vos deux oreilles, on s’occupe de tout ».

Ils savent très bien que la majorité des gens se contente de titres et ne vont pas au bout, raisons pour lesquelles ils insistent sur les premières phrases choc.

Résumons-le déroulé de l’argumentaire de Libération sur ce fameux rapport « vrai, mais faux ».

Le 2 % initial devient 4 % de la durée, pour ne retenir au final que les pics et arriver à la conclusion que les Covid ont occupé plus de 100 % des réanimations.
Le « journaliste » concluant quand même que 110 % c’était un peu exagéré.

La conclusion est donc que 2 % ne reflètent pas la réalité d’une saturation des réanimations à 100 %.
Nous sommes donc bien dans le « c’est vrai, mais c’est faux ».
Et il n’est donc pas utile de perturber le public avec cela, mieux vaut se focaliser sur la 5e vague…

Je voudrais néanmoins souligner quelques faits :

  • Si seuls certaines périodes et certains lieux ont connu une saturation des hôpitaux et des réanimations et si la moyenne des patients Covid n’est que de 2 % des hospitalisations et 5 % des soins critiques… C’est bien la preuve que la quasi-totalité des régions françaises et/ou la quasi-totalité de l’année… les hôpitaux étaient vides de patients Covid ! Dans ces conditions : Pourquoi paniquer les Français 24 heures sur 24 depuis mars 2020 ? Pourquoi leur faire croire que TOUS les hôpitaux étaient au bord de la saturation dans TOUTES les régions ? Et donc pourquoi confiner nationalement, pourquoi faire des restrictions nationales ?
  • Notons aussi que certaines régions comme l’Île-de-France ou le Nord semblent avoir eu plus de cas, plus de morts que d’autres régions. Il est possible de se poser des questions sur des conflits d’intérêts de tel ou tel. Pourquoi une inégalité aussi flagrante dans des régions alors même que l’on ne cesse de nous dire que le virus circule partout et tout le temps ?
  • Libération oublie aussi de dire que le nombre de patients hospitalisés pour Covid est un faux. Je ne perdrai pas mon temps à retrouver les sources… Le fait est que l’État a officiellement reconnu qu’il n’était pas en capacité de distinguer un patient hospitalisé pour Covid dans une unité Covid d’un patient positif à un test et présent dans l’hôpital. Si on ajoute le fait que 90 % des personnes positives à un test PCR étaient asymptomatiques, qu’il y avait souvent un facteur 10 entre le taux d’incidence gouvernemental et le taux d’incidence relevé par le réseau Sentinelles, et si nous tenons compte du fait qu’une majorité écrasante de patients Covid avaient de lourdes comorbidités, nous pouvons aisément dire que seules 10 % des hospitalisations pour Covid l’étaient réellement. Nous pouvons donc affirmer que les patients Covid n’ont pas représenté 2 % des hospitalisations de 2020, mais 0,2 % !
  • Concernant les soins critiques. J’invite mes lecteurs à se pencher sur mes précédents textes à ce sujet. Je dénonçais ce scandale dès novembre 2020. Je vous rappelle que le gouvernement n’a cessé de nous fournir ce qu’il appelait le pourcentage de personnes en réanimation. Or le chiffre du nombre de personnes en réanimation n’a JAMAIS été fourni, seul le nombre de personnes en soins critiques. Pour calculer le pourcentage d’occupation, le gouvernement a toujours divisé le nombre de personnes en soins critiques par le nombre de lits de réanimation disponibles. Le hic est qu’il y a en France environ 5000 lits de réanimation pour 15 000 de soins critiques. Il est dès lors très facile de dépasser les 100 % d’occupation en divisant par 5000 au lieu de 15 000. Si l’on tient compte du nombre de personnes en soins critiques au pic de l’épidémie et qu’on le divise par le nombre total de lits de soins critiques, alors on constate que le taux d’occupation en soins critiques n’a JAMAIS dépassé les 37 % ! Si nous ajoutons à cela que des personnes en fin de vie étiquetées Covid étaient en soins critiques et que l’on affirme raisonnablement que pour la moitié d’entre elles le Covid n’était pas la cause principale de lit de soins critiques, alors on peut affirmer avec une énorme marge de sécurité que le Covid n’a utilisé que 18 % des lits de soins critiques au PIC de l’épidémie, soit environ 2,5 % de moyenne nationale annuelle.

Et des journalistes débiles ou corrompus continuent à dire que le Covid a fait 118 000 décès en France en oubliant de mentionner que c’est sur 2 saisons et que la plupart étaient des personnes en fin de vie !

Les droits de l’homme ont été détruits, nous avons été privés de libertés et nous le sommes encore. Nous avons été confinés ou placés sous couvre-feu. Des masques aussi inutiles que dangereux ont été imposés y compris à nos enfants. Nous subissons un passeport vaccinal pour nos besoins de la vie courante. Nous sommes obligés à une injection génique expérimentale.

Et ce pour quoi ?

  • Pour une maladie qui a représenté 0,2 % des personnes hospitalisées !
  • Pour une maladie qui a au maximum représenté 2,5 % des soins critiques avec un pic au pire de l’épidémie de 18 % des lits de soins critiques !
  • Pour une maladie dont l’âge médian des décès était de 84 ans et dont les traitements efficaces ont été et sont encore interdits.

C’est sans doute cela que les médias considèrent comme n’étant « rien » et qu’il est donc inutile d’en faire les grands titres ! C’est donc sur une base de propagande mensongère que nous demeurons en dictature.

Alain Tortosa.

12 novembre 2021
https://7milliards.fr/tortosa2021112-la-fausse-pandemie-chiffres-officiels.pdf





Appel aux candidats à la Présidence : protégez les enfants des pseudovaccins Covid dangereux et inutiles

Par N et G Delépine(([1] Suivez-nous sur Telegram https://t.me/DrDelepine))

Résumé :

Les pseudo vaccins expérimentaux ne peuvent apporter aucun bénéfice personnel aux enfants et adolescents, adultes jeunes qui risquent moins du Covid que de la grippe saisonnière.

Ils les exposent à de nombreuses complications parfois même mortelles.

Ils ne protégeraient pas les adultes à risque puisque les enfants ne constituent pas une source de contamination et que les pseudo vaccins n’empêchent pas les transmissions virales.

Et que l’obtention d’une immunité collective par le vaccin est un mythe maintenant reconnu inatteignable par tous les experts des pays qui ont le plus vacciné.

La « vaccination anti-Covid » des enfants est une faute qui va bientôt devenir un scandale sanitaire d’ampleur inégalée.

L’essai Pfizer est frauduleux.(([2] BMJ Investigation
Covid-19: Researcher blows the whistle on data integrity issues in Pfizer’s vaccine trial
BMJ 2021; 375 doi: https://doi.org/10.1136/bmj.n2635 (Published 02 November 2021)
Cite this as: BMJ 2021 ; 375 : n2635))

Résistons pour nos enfants, notre Futur.

Résistons par tous nos moyens aux publicités mensongères diffusées par les médias et aux pressions et chantages inadmissibles de nos gouvernants et leurs collabos.

IL FAUT STOPPER LA PUB À LA VACCINATION Covid CHEZ L’ENFANT.

Les enfants sont innocents du Covid :
ni malades ni contaminateurs

Alors que depuis mars avril 2020, les médecins et chercheurs honnêtes, et les sociétés de pédiatrie(([3] https://www.sfpediatrie.com/actualites/Covid-19)) savent, écrivent, publient et clament que les enfants (moins de 19 ans) ne risquent rien du Covid et ne le transmettent pas, ni aux autres petits ni aux adultes, même s’ils font une forme bénigne (appelée dans le monde d’avant un rhume).

L’étude publiée en juin 2020 par l’Institut Pasteur aurait dû mettre fin aux polémiques :

« Cette étude confirme que le plus souvent les jeunes enfants, lorsqu’ils sont infectés par ce nouveau coronavirus, ne développent pas de symptômes de la maladie ou présentent des symptômes mineurs qui peuvent ne pas conduire à évoquer le diagnostic. Les signes très caractéristiques que sont la perte du goût et la perte de l’odorat n’ont jamais été observés chez les enfants de moins de 15 ans alors qu’ils ont été rapportés par la moitié des adultes » ajoute Bruno Hoen, auteur de l’étude et directeur de la recherche médicale à l’Institut Pasteur. 

« Toutes ces données laissent à penser que les enfants sont résistants au virus du Covid et ses variants, grâce à un système immunitaire efficace, et concourent de surcroît à l’atteinte de l’immunité collective, en faisant circuler le virus sans danger ».

Le Covid est une maladie extrêmement peu létale : taux de mortalité de ce coronavirus présenté comme la pandémie mondiale 0,035 %, et 0 % chez les enfants non immunodéprimés et très peu chez les enfants à comorbidité : six enfants de 0 à 9 ans et 10 enfants de 10 à 19 ans sont décédés à l’hôpital en France depuis mars 2020 en ayant un test Covid positif. Cela ne signifie pas qu’ils sont morts du Covid, mais avec le Covid, car tous présentaient au moins une comorbidité susceptible d’entraîner la mort.

Les écoles n’auraient jamais dû fermer, comme l’expérience de la Suède (dûment critiquée) l’a amplement démontré. Seuls les enfants immunodéprimés par maladie ou par traitement chimio par exemple peuvent décéder avec le Covid comme avec la rougeole ou la varicelle (sans danger chez les petits sans comorbidité). Ils se comptent sur les doigts de la main tant en France que dans les autres pays comme USA, Royaume-Uni, etc.

Plus de 19 000 articles détaillés sur Covid et enfants avec bibliographie (recensés sur la banque de données PubMed au 12/11), émanant d’auteurs différents et de nombreuses macroanalyses les résumant ont largement confirmé ces faits.

Mais la propagande mensongère des médias et gouvernements au service du plan Schwab/Bill Gates/OMS, a été si lourde, quotidienne et répétitive sur toutes les chaînes de TV du monde, dont celles de France appartenant à huit milliardaires, que la rumeur de contamination par les enfants continue à courir, à faire peur aux enseignants, aux parents. Les petits sont obligés de porter le masque démontré inutile et toxique sur tous les plans, physique et encore plus psychologique.(([4] Pendant que les puissants s’affichent sans masque et sans distanciation sur des vidéos provocantes pour le peuple astreint à muselière et surtout les petits)) Et le temps passe, laissant prévoir des séquelles d’apprentissage et de comportement sur plusieurs années.

But de la désinformation sur la contamination par les enfants :
les vacciner !

Tout cela est décrit en détail dans tous les pays, dans toutes les langues, mais la puissance mondiale de la désinformation nous incite à revenir sur le sujet. On voit bien aujourd’hui que le but de ce mensonge mondial était de préparer les citoyens confiants et incapables d’imaginer une telle perversion — à vacciner vos enfants et leur faire courir les dangers immédiats comme les myocardites(([5] Myocardites et pseudovaccin antiCovid : un risque à ne pas courir — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) et
MYOCARDITES POST VACCIN COVID : RISQUE INACCEPTABLE CHEZ L ENFANT QUI NE RISQUE RIEN DU VIRUS – Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr) )) voire des morts subites, mais aussi à long terme de probables problèmes de fertilité, de maladies auto-immunes, de cancer, voire pire encore de maladie à prions, cousine de la maladie terrible de Creutzfeld — Jacob, dite maladie de la vache folle.(([6] https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/parents-enfants-verite/
une association de parents d’enfants décédés à la suite du vaccin anti-Covid se met en place Verity France))

Les enfants ne sont pas une cible du Covid, les pseudo vaccins ne protègent ni de la contamination ni de la transmission. Alors, pourquoi exposer nos jeunes à ces substances encore à l’essai en leur faisant prendre le risque d’effets secondaires graves ?

Il y a 15,5 millions d’enfants de 0 à 19 ans en France, si on les vaccinait tous sans exception, 99 200 auraient potentiellement des effets secondaires sévères (15,5 millions x 0,64 %) d’après l’essai présenté par Pfizer.

LES EFFETS SECONDAIRES GLOBAUX RECENSÉS PAR LES BASES OFFICIELLES INTERNATIONALES

Ils sont importants et devraient justifier à eux seuls le renoncement à cette injection sans effet positif chez les enfants. Ils ont été largement résumés ailleurs.(([7] https://docteur.nicoledelepine.fr/effets-indesirables-des-injections-geniques-sources-officielles-au-10-octobre-2021/)) Chacun peut consulter l’état des lieux directement sur les sites respectifs. Quelques exemples :

EUDRAVIGILANCE – EMA pour l’Union Européenne selon le site officiel de l’agence européenne du médicament au 5 novembre (27 pays sans la GB)

ET GLOBALEMENT EN UNION EUROPÉENNE au 30 octobre 2021

Le Pr Suisse Dr Astrid Stuckelberger @Stuckelberger publie une nouvelle vidéo pour mettre en garde contre cette injection encore en expérimentation.

« C’est quand même dingue, si ça marchait, ils ne se feraient pas injecter encore, encore, encore… on en est à 29 173 morts directes et 2 999 743 effets secondaires graves dans EudraVigilance en Europe… 12 115 enfants de 0 à 17 ans… »(([8] https://twitter.com/i/status/1456689834395897858))

VAERS : RECENSEMENT DES EFFETS SECONDAIRES DÉCLARÉS SPONTANÉMENT AUX USA

Aux États-Unis, le VAERS recense tous les effets secondaires déclarés par les citoyens, après les vaccins depuis 1991. Le VAERS est coadministré par 1) la Food and Drug Administration (FDA) et 2) les Centers for Disease Control (CDC).

les vaccins Covid-19 ont nui et tué plus d’enfants aux États-Unis que tous les autres vaccins combinés selon les données officielles(([9] Search Results from the VAERS Database (medalerts.org) ))

BY DAILY EXPOSE ON SEPTEMBER 20, 2021

De nouveaux chiffres du système de déclaration des événements indésirables vaccinaux (VAERS) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis montrent que les enfants souffrent après avoir été vaccinés contre le Covid-19, avec de nombreux malades graves, handicapés et, dans certains cas, décès.

Du 1er janvier 1991 au 30 novembre 2020, donc sur deux décennies, un mois avant que le premier vaccin contre le Covid-19 ne reçoive une autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis, il n’y avait qu’un total de 6 068 décès enregistrés (principalement des bébés nourrissons) en raison de tous les vaccins disponibles.

Mais au 10 septembre 2021, en moins d’un an, plus de 3,1 millions d’accidents avaient été enregistrés dans le VAERS en raison des vaccins Covid-19, ainsi que 80 337 visites aux urgences, 60 565 hospitalisations, 19 210 incapacités permanentes, 15 012 événements mettant la vie en danger et 14 925 décès.

Les mêmes analyses sont disponibles pour les autres pays avec des résultats comparables.

SAUVER LES GÉNÉRATIONS FUTURES — SAUVER LEUR ADN :
NON AUX pseudo vaccins, vraies injections OGM à des HUMAINS

Il faut parvenir à relayer l’information, sauver les générations futures qui sont déjà traumatisées par le vécu invraisemblable de ces deux années de coronafolie mondiale, moins sauver leur ADN, ne pas risquer de les transformer en transhumain OGM d’avenir incertain. Les nouveau-nés de mères vaccinées font craindre le pire, en particulier un vieillissement accéléré.

N’oublions pas que les candidats vaccins contre les précédents coronavirus (SRAS et MERS-CoV) ont été abandonnés en raison de décès, plus fréquents chez les animaux vaccinés que dans les groupes témoins. Essais animaliers qui n’ont guère été réalisés pour le Covid19

Ce jour, nous nous adressons donc à vous, tous les candidats déclarés ou potentiels, et à tous les élus, car vous disposez d’une visibilité, qui pourrait aider les médecins honnêtes du monde entier, à faire passer l’information et à éviter ainsi au moins une partie de l’humanité de cette menace majeure de notre patrimoine génétique construit sur des millénaires.

En résumé, message à faire passer : les enfants ne risquent rien du Covid, mais beaucoup des pseudovaccins.

En même temps que le Pfizergate émerge démontrant l’absence totale de fiabilité des essais, que le vaccin Moderna est interdit au moins de trente ans, le PDG de Moderna demande le même jour à l’UE d’autoriser l’injection de ce même Moderna chez les enfants de 5 à 11 ans.

SONNEZ L’ALERTE.

Nos milliardaires ne doutent de rien, mais le monde résiste de plus en plus. Pas certain qu’ils gagnent, mais combien de victimes entre temps. Alors, diffusons l’appel de ces médecins réunis en Floride.(([10] t.me/VaccinoSceptique November 09, 2021
Traduction de l’article du site trialsitenews.com 👇🏻
https://trialsitenews.com/dont-vaccinate-kids-urgent-message-from-doctors-summit/))

NE VACCINEZ PAS LES ENFANTS :
MESSAGE URGENT DU SOMMET DES MÉDECINS

Extraits de l’article de Mary Beth Pfeiffer

« Les principaux experts de la politique défectueuse du programme Covid américain ont lancé un avertissement urgent lors d’un sommet le 8 novembre 2021 : les jeunes enfants seront lésés par la hâte malavisée de vacciner une population dont le risque d’infection grave par le virus est très faible. »

« Le risque réel pour les enfants en bonne santé est à peu près nul — il semble bien qu’il soit inférieur à celui de la grippe », a déclaré le Dr Robert Malone, inventeur de la technologie ARNm sur laquelle repose le vaccin. Inoculer 28 millions d’enfants âgés de 5 à 11 ans, a déclaré le Dr Malone aux participants du sommet de Floride sur le Covid,(([11] Public de 800 médecins, infirmières et défenseurs des droits.)) pourrait entraîner « un millier ou plus de décès supplémentaires ».

« C’est un millier d’enfants », a-t-il dit au « C’est un millier d’enfants de trop ».

« Les enfants ne tombent pas gravement malades. Les enfants ne meurent pas de cette infection », a déclaré Paul Alexander, épidémiologiste clinique et ancien conseiller principal sur la politique en matière de pandémie au ministère américain de la Santé et des Services sociaux. « On nous a donné beaucoup d’informations trompeuses ».

Bien que sévèrement critiquée pour avoir gardé les écoles ouvertes, « la Suède n’a pas eu un seul décès d’enfant dû au Covid », a déclaré le Dr Richard Urso, ophtalmologiste texan citant des données publiées.

Dans une étude portant sur 48 000 enfants de moins de 18 ans infectés par le Covid, aucun décès n’a été signalé parmi ceux qui ne présentaient pas de comorbidités comme la leucémie ou l’obésité. En d’autres termes, les enfants en bonne santé ne meurent pas du Covid, ce qui suggère que les vaccins ne sont pas nécessaires pour eux.

L’AVEUGLEMENT VOLONTAIRE

« le coût potentiel de la vaccination est inacceptable, soulignant les milliers d’effets secondaires et de décès officiellement minimisés, mais réels. Les risques pour les enfants comprennent, entre autres, une grave inflammation du cœur appelée myocardite, dont le taux est trois à six fois supérieur au taux attendu… Une étude des CDC a fait état de 14 décès liés à la vaccination et de 849 réactions graves chez des enfants âgés de 12 à 17 ans. »

« Il y aura des enfants perdus avec le vaccin — bien plus que ce qui s’est passé avec le Covid », a déclaré le Dr Peter McCullough, cardiologue, voix importante pour une réponse rationnelle à la pandémie. Les médecins sont coupables d’un « aveuglement volontaire » face aux dangers des vaccins, a-t-il ajouté, car ils ont « cru à ce rêve… que ce vaccin était à la fois sûr et efficace. Le fait qu’il ne soit pas suffisamment sûr est en train de briser leurs rêves ».



En Floride, où le débat sur l’obligation de vacciner est vigoureux, les organisateurs du sommet considèrent la vaccination des enfants comme une ligne à ne pas franchir dans un État qui pourrait servir d’exemple à la nation. Ils espèrent « arrêter le programme de vaccination obligatoire élargie voulue par Biden et attendent un décret du gouverneur Ron DeSantis ou une loi lors d’une prochaine session d’urgence convoquée pour traiter des obligations de vaccination. »

« Nous devons faire tout ce qui est possible », a dit le Dr John Littell, médecin d’Ocala qui a dirigé le sommet. « Nous n’avons fait que commencer à nous battre pour nos enfants ».

Avec un soutien médiatique quasi universel, la pression est intense pour vacciner les tout-petits.

LA SCANDALEUSE VIDÉO SUR LES SUPER HÉROS PASSE SUR NOS TV :
QUI PORTE PLAINTE ?

Elle montre des garçons et des filles « super-héros », en capes, masques et ailes, célébrant la vaccination. Ils prononcent des mots écrits par Pfizer, ils félicitent les autres enfants qui se sont fait vacciner pour leur « courage », leur volonté « d’essayer de nouvelles choses » et « d’aider le monde entier ». UNE PROPAGANDE ABSOLUMENT HONTEUSE.

Les médecins réunis ont également soulevé deux autres préoccupations urgentes :

  • 1) suppression effective de la liberté des médecins de traiter le Covid précoce avec de l’ivermectine, de l’hydroxychloroquine, de la fluvoxamine et d’autres médicaments qui pourraient éviter aux patients d’être hospitalisés et sauver des vies.
  • 2) valeur protectrice de la Covid, qui offre des avantages immunitaires qui dépassent — et suppriment — la nécessité de la vaccination.

« L’immunité naturelle est robuste ; elle est complète ; elle est durable », a déclaré le Dr McCullough au groupe. « Avec le Covid, vous développez une immunité contre une cinquantaine de protéines qui stimulent la production d’anticorps », a expliqué M. Malone dans son exposé. « Avec le vaccin, vous développez une immunité contre une protéine structurelle, à savoir la protéine spike. C’est une énorme différence. »

« Ne les laissez pas vous dire que le Covid récupéré n’entraîne pas une immunité durable », a déclaré le Dr Ryan Cole, pathologiste de l’Idaho, opposant un rapport sur 106 articles scientifiques en faveur de l’immunité acquise par l’infection à un seul « faux papier » du CDC affirmant que les vaccins offrent une meilleure protection.

Une corruption sans bornes

« Pierre Kory, président de Frontline Covid-19 Critical Care Alliance et défenseur d’un traitement précoce, a pointé du doigt une litanie de méthodes que les revues scientifiques, les médias et le gouvernement ont utilisées pour refuser les soins efficaces par des médicaments “réadaptés” peu coûteux comme l’ivermectine. »

« Parmi elles : Le refus de publier des articles scientifiques favorables au traitement et la rétractation, sous pression, d’autres articles. L’insistance sur les essais de contrôle aléatoires coûteux, alors qu’ils ne sont pas financés. Un double standard qui fait que le molnupiravir de Merck, très coûteux, est en passe de devenir un médicament ambulatoire de premier choix, sur la base d’un essai parrainé par la pharmacie, alors que des dizaines d’études en faveur de l’ivermectine, de l’hydroxychloroquine et d’autres traitements potentiels sont écartées. Le rejet de l’expérience clinique de centaines de médecins qui ont vu des médicaments de traitement précoce éviter des hôpitaux et des cercueils ».

M. Kory a décrit en deux mots la raison de l’échec monumental du traitement du Covid : « la capture réglementaire ». En bref, les agences alphabétiques — NIH, CDC, FDA — ne prennent pas les décisions officielles de ces agences ne sont pas prisesselon les données acquises de la science, mais guidées uniquement par la politique, les lobbys et la corruption.

« Toutes ces agences sont littéralement dirigées par Pharma », a-t-il dit. « Si vous voulez garder votre emploi, vous laissez les dirigeants faire ce qu’ils font ». Cela a conduit, selon lui, à « des actes de corruption non mitigés et répétés, qui nuisent à la santé publique. »

Kory et d’autres ont dit qu’il y a peut-être deux autres douzaines de composés qui pourraient aider rapidement. Néanmoins, les responsables de la santé publique ne recommandent aucun d’entre eux. Parmi eux : l’aspirine, le budésonide, la colchicine, la curcumine, la mélatonine, le nitazoxanide, la quercétine, le zinc et les vitamines C et D. Même un essai très favorable sur la fluvoxamine n’a pas obtenu l’aval du gouvernement.

« Les PDG et les administrateurs des hôpitaux nous menacent. Vous allez être virés. Vous devez vous conformer à nos normes de soins. »(([12] Telegram: t.me/VaccinoSceptique))

LA CRISE EST POLITIQUE ET NON SANITAIRE

Vous aurez tous compris qu’il s’agit d’un problème politique et non sanitaire, résultant de la mainmise de Big Pharma sur les instances dirigeantes et sur trop de responsables des agences d’état corrompus et tenant l’ensemble du système de santé par corruption à tous les étages et/ou harcèlement des opposants les réduisant au silence ou à la démission.

Cette organisation perverse est en place depuis des décennies, mais a atteint un niveau de « perfection » avec la crise du Covid longtemps préparée après la répétition générale du H1N1. Il faut en sortir VITE, car l’avenir de l’Humanité, de son génome sont en jeu.

Mesdames, Messieurs les Politiques et vos relais dans les médias, la balle est dans votre camp. Nous vous soutiendrons.

Il faut libérer tous les citoyens de cette terre des mesures liberticides injustifiées, et en particulier le masque chez les enfants, et interdire la poursuite de cette injection mortifère officiellement contre une maladie extrêmement peu létale chez les sujets sans comorbidité.

Exigez un moratoire pour cette injection génique suivie de débats publics devant les élus en présence des scientifiques indépendants et sans lien d’intérêt avec Big Pharma. En attendant, laissez-les vivre, laissez-nous vivre.





Transhumanisme et intelligence artificielle selon le docteur Alwest

[Source : fawkes-news.com]






GÉNOCIDE Vax : Les hôpitaux pour enfants sont maintenant inondés de patients souffrant de maladies cardiaques

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Les hôpitaux pour enfants de tout le pays (USA) se remplissent de nouveau-nés qui ont de graves problèmes cardiaques, tout cela parce que leurs mères ont été « vaccinées » contre le Covid-19.
Ainsi, à titre d’exemple, les trois Unités de soins intensifs néonatals (Neonatal Intensive Care Unit NICU) d’un hôpital sont toutes complètement remplies de nourrissons. Tous les bébés provenaient de mères complètement vaccinées, a confirmé une infirmière.

Étant donné que cela fait environ neuf mois que « Operation Warp Speed » a été lancé pour la première fois par Donald Trump, qui a ensuite passé le relais au Joe Biden, le monde commence tout juste à en voir les effets sur les bébés nés de mères qui se sont fait piquer.

« Je me demandais si cela vaudrait la peine de partager avec certains des médecins conseillers scientifiques/médicaux du Projet Unity qui pourraient avoir des contacts “à l’intérieur” des grands hôpitaux avec les unités de soins intensifs néonatals, tant qu’on pouvait leur faire confiance pour enquêter discrètement sans risquer leur crédibilité ou la nôtre en révélant l’histoire avant la confirmation », a poursuivi la source.

« Si cette rumeur pouvait être confirmée et révélée, elle pourrait potentiellement, à elle seule, renverser le cours de cette guerre. »

Les unités de soins intensifs des hôpitaux sont envahies par des patients « entièrement vaccinés »

Kirsch a demandé à tous les médecins qui ont lu son travail de commenter les affirmations de la lettre, soit pour les contester, soit pour les confirmer. Des centaines de personnes ont répondu et voici quelques-unes de leurs histoires. (EN RELATION : Kirsh a également écrit sur la façon dont 28 millions d’enfants doivent se faire piquer afin de « sauver » seulement 14 vies de « Covid ».)

Une personne a déclaré qu’il y avait eu plusieurs articles publiés ces derniers jours confirmant que les unités de soins intensifs étaient « pleines à craquer » de patients malades et mourants, dont beaucoup doivent s’asseoir dans les couloirs, car il n’y a plus de lits disponibles.

« Les chambres sont pleines de patients présentant des symptômes NON-Covid, c’est-à-dire qu’ils ne sont pas là à cause de la Covid », a ajouté cette personne. « La cause probable suspectée vient des effets secondaires du vaccin. »

« La question ici est de savoir combien de ces patients sont des nourrissons ? Les médias et la communauté médicale n’interviendront pas pour vous le dire. Cela viendra de la base d’entre nous qui en a marre qui a plus peur de ce gouvernement que du Covid. »

Un autre a écrit sur la façon dont il a été «clairement établi» que le taux d’avortements spontanés a monté en flèche depuis que les vaccins contre la grippe Fauci ont commencé à être administrés aux femmes enceintes.

« Ma belle-fille, qui n’est pas vaccinée et vient d’accoucher, s’est fait dire par son médecin de ne pas se faire vacciner pendant sa grossesse, car ses trois dernières patientes ont toutes fait une fausse couche juste après’avoir reçu un vaccin », a expliqué cette personne.

«Je pense que M. Kirsch a fourni des mises en garde notables concernant les sources jusqu’à ce qu’il soit mieux confirmé, mais quiconque suit la recherche sur un vaccin Covid n’est pas du tout surpris. Ce sera confirmé. »

Une personne a partagé une vidéo d’un croque-mort qui dit qu’il constate un nombre anormalement élevé de décès chez les nouveau-nés à cause des injections Covid.(([1] Le Directeur de pompes funèbres britannique : les bébés morts s’entassent dans les morgues.
Lors d’une interview avec Resistance GB, Wesley, qui est directeur de pompes funèbres depuis plus de trois ans, parle de son expérience tout au long de la soi-disant « pandémie » et de ce qu’il a vu dans les morgues ces derniers temps. Il dit qu’il voit actuellement un nombre incalculable de bébés morts et de nouveau-nés dans des chambres froides et qui s’entassent dans les morgues en attendant leurs funérailles.
Le nombre sans précédent de bébés auxquels lui et d’autres praticiens des pompes funèbres sont confrontés n’a d’égal que le nombre excessif de jeunes dans la trentaine et la quarantaine qui meurent depuis le lancement des injections de Covid, dit-il.
Au début de la « pandémie », les morgues ont vu une vague de décès qui, en quelques mois, s’est calmée, même si les médias ont continué à mettre en exergue les morts de Covid. Il y a eu une augmentation des suicides à l’été 2020 chez des hommes principalement plus jeunes, mais lorsque l’automne 2020 est arrivé, tout était plutôt calme.
Et puis, il a dit : « En janvier [2021], les chiffres montaient en flèche… et cela s’est aggravé depuis que les gens se faisaient vacciner. » Maintenant, il a le plus d’enterrements qu’il ait jamais vus en deux semaines, et chez les plus jeunes, il a en moyenne environ 12 « en une seule fois », alors qu’avant l’injection de Covid, il ne voyait que « quatre ou cinq funérailles, pas 12, et pas tous dans ce groupe d’âge ».
Et maintenant, dit-il, ce qu’il voit, c’est beaucoup de nouveau-nés… « un nombre très élevé, environ 30 » au lieu de 3 à 4 habituellement. En d’autres termes, environ 10 fois plus de nouveau-nés meurent qu’il n’y en avait normalement — tellement qu’ils doivent les garder dans la section des adultes, où il y a plus de place. « Évidemment, il s’agit soit de fausses couches, soit de naissances à terme, mais on n’en parle pas beaucoup », dit-il.
Pour mettre les causes des décès en perspective, il dit n’avoir eu qu’un seul décès dû au Covid cette année. Tout le reste des décès est consécutif à une myocardite, des infarctus (crise cardiaque) et certaines pneumonies. Il note également que «tout le monde» qui est décédé au début de la pandémie a été marqué comme « mort du Covid » sur son certificat de décès, mais cela ne se produit pas depuis l’introduction des injections de Covid.
Source : British Funeral Director: Dead Babies Are Piling Up in Morgues))

« Il ne sait pas combien sont avant-terme, mais cela ne fait pas vraiment de différence en ce qui concerne les décès inhabituels associés à la grossesse/à l’accouchement », a expliqué cette personne.

D’autres se sont demandé si l’e-mail reçu par Kirsch était légitime, suggérant qu’il pourrait s’agir d’un « appât empoisonné » d’une « opposition contrôlée ». Bien que cela soit certainement possible, il semble y avoir une légère augmentation des hospitalisations chez les nourrissons maintenant que les piqûres Covid sont largement administrées.

« Il ne s’agit pas seulement des nouveau-nés souffrant de problèmes cardiaques », a noté un autre à propos de la façon dont les enfants plus âgés sont également endommagés par les piqûres. « Combien de fois devons-nous voir des jeunes faire en même temps de mystérieuses crises cardiaques avant que les gens ne commencent à devenir un peu curieux ? »

Un autre a émis l’hypothèse que si les protéines de pointe du vaccin sont capables de traverser la barrière hématoencéphalique, elles ont peut-être aussi la même perméabilité par rapport au placenta.(([2] HORREUR VACCINALE ! La protéine de pointe du vaccin déclenche une explosion de cancers, d’immunodéficiences, de troubles auto-immuns et un vieillissement accéléré :
– Salk Institute CONFIRME que la protéine de pointe du Covid, présente dans TOUS LES VACCINS, provoque les thromboses ;
– Pfizer confirme que les personnes vaccinées contre le Covid peuvent « disséminer » les protéines de pointe nuisibles aux non-vaccinés ;
– ALERTE : les vaccins à ARNm « tueront la plupart des gens » par insuffisance cardiaque, 62 % des personnes vaccinées présentent des caillots sanguins microscopiques ;
– Autopsie. Chaque organe du corps d’un patient vacciné était criblé de protéines de pointe (spike) ;
– L’Australie organise un rituel de vaccination luciférienne ciblant 24 000 enfants (images choquantes) ))

« Je ne serais pas surpris si certains de ces bébés avaient une réaction désagréable », a écrit cette personne. « Quel genre de démon dirait à une femme enceinte de ne pas boire de verre de vin, mais de piquer une aiguille et d’injecter dans son corps du bio-matériau expérimental ? »

Les patients « négatifs » Covid accablent les hôpitaux, exactement comme prévu

(Natural News) Les médias grand public sont perplexes sur les hordes de patients malades et mourants qui pullulent maintenant dans les hôpitaux américains.

Selon les présentateurs TV, ces personnes n’ont pas le Covid-19, car beaucoup d’entre elles sont « complètement vaccinées », donc tout cela serait, selon eux, un insondable « mystère ». En effet, étant donné que les piqûres sont « sûres et efficaces », il n’y a aucune explication à cette dernière crise. Ce doit être juste une malheureuse coïncidence, n’est-ce pas ?

« Les urgences sont maintenant inondées de patients gravement malades — mais beaucoup n’ont même pas de Covid », a rapporté Michigan Radio.

NPR a également relayé l’histoire, prétendant qu’il n’y avait aucun lien entre ce pic soudain d’hospitalisations immédiatement après les mandats de Joe Biden imposant la piquouse Covid.

Comme nous l’avons signalé, il ne reste pratiquement plus de lits d’hôpitaux disponibles, car les unités de soins intensifs locales sont complètement inondées.

« C’est difficile à regarder », a déclaré Tiffani Dusang, directrice des soins infirmiers des urgences de l’hôpital Sparrow à Lansing, Michigan.

«Je me sens toujours très, très mal quand je marche dans le couloir et que je vois que les gens souffrent ou ont besoin de dormir ou de calme. Mais ils doivent être dans le couloir avec, comme vous pouvez le voir, 10 ou 15 personnes qui passent chaque minute. »

Ce sont évidemment les vax Covid qui rendent les gens malades

La situation est à peu près la même en Australie, où certains des pires fascismes « sanitaires » ont été imposés au peuple au nom de la « santé publique ».(([3] Covid. Folie en Australie ;
– Coronacircus. L’Australie construit des goulags sanitaires permanents pour les récalcitrants au vaxx ;
– La police australienne du « goulag Covidien » menace de gazer un prisonnier demandant sa libération après 14 jours de détention ;
– Que pouvons-nous apprendre de l’Australie et de l’Afghanistan sur l’hystérie Covid en Occident ?))

ABC Australia a rapporté que les hôpitaux à travers le pays sont «sous pression». Le même média attribue cette montée subite à la « menace Delta (variante) ».

«Les hôpitaux australiens sont déjà débordés et à la traîne, même avec le ralentissement “une fois par génération” du nombre de patients liés au Covid-19» a rapporté le média, citant un rapport des autorités médicales.

Le Premier ministre australien Mark McGowan a récemment donné une conférence de presse au cours de laquelle il a prétendu ne pas savoir pourquoi les Australiens complètement vaccinés tombent malades et meurent en nombre record.

« C’est quelque chose que personne n’a jamais vu auparavant », a déclaré McGowan. « Pourquoi ? c’est difficile à savoir, sauf qu’il existe des preuves qu’il s’agit d’une sorte de réaction retardée à » Covid « . »

« Mais il y a un grand nombre de personnes qui franchissent les portes des urgences et nous faisons tout notre possible pour essayer de gérer la situation », a-t-il ajouté. « En particulier, dans le budget, nous avons alloué 1,9 milliard de dollars supplémentaires au personnel supplémentaire — médecins, infirmières, etc. »

McGowan a en outre révélé qu’un montant supplémentaire de 3,1 milliards de dollars avait été alloué aux « nouveaux travaux d’immobilisations » — parce que la redistribution de l’argent des contribuables aux projets pour animaux de compagnie est le moyen utilisé par le gouvernement pour « guérir » des maladies mystérieuses.

La Suède, qui a rejeté la plupart de la tyrannie plandémique, mais a tout de même introduit les piqûres « Opération Warp Speed », connaît également un « mois record » d’hospitalisations.

Il semblerait que les personnes complètement injectées dans ce pays subissent la facilitation de l’infection par des anticorps (ADE)(([4] Vaccinés à mort. Une étude alarmante confirme que les vaccinés seront confrontés à des blessures et des décès catastrophiques liés à la facilitation de l’infection par des anticorps
Pendant plus d’un an, des recherches intensives menées par des experts de la santé comme le Dr Sherri Tenpenny ont mis en lumière des inquiétudes croissantes concernant la facilitation de l’infection par des anticorps (Antibody-dependent enhancement) (ADE), un phénomène où les vaccins aggravent fortement la maladie en préparant le système immunitaire à une réaction excessive potentiellement mortelle. Également appelé « réponse hyperinflammatoire » aux infections ultérieures, l’ADE est bien connu pour se produire avec des vaccins contre les coronavirus qui ont été testés dans des expérimentations animales. La grande question est de savoir si elle apparaîtra chez les 2,4 milliards de personnes qui ont maintenant été vaccinées dans le monde.)) ou un autre cocktail de complications causées par les injections.

« Il sera intéressant de voir de quoi il s’agit », a déclaré Johan Björk, chef d’une salle d’urgence à Jönköping qui est submergée de patients malades. « Des recherches seront certainement menées à ce sujet. »

« Donc, si ce n’est pas Covid et que cela semble être une épidémie, qu’est-ce qui a changé d’autre au cours, oh, disons, au cours des 12 derniers mois ? » a demandé un commentateur à Information Liberation.

« Bon sang, je vais vous donner une hypothèse : c’est généralement du plastique avec une pointe très pointue avec un produit chimique à l’intérieur. »

« La transition vers le Nouveau Désordre Mondial est presque terminée », a écrit un autre.

Les dernières nouvelles sur le nombre croissant de décès dus aux injections des bio-armes américaines peuvent être trouvées sur Genocide.news.

La maladie induite par le vaccin se propage comme une traînée de poudre et le gouvernement le nie

Il est important de noter que l’Australie-Occidentale a certaines des restrictions de coronavirus les plus strictes de tout le pays. Ses frontières sont fortement surveillées pour arrêter la propagation, et à peu près tout le monde a été vaxxé.

La Région aurait dû être une utopie sans maladie — en supposant, bien sûr, que le fascisme Virus-Fauci est vraiment basé sur la science pour aider à « aplatir la courbe ». Avec cette nouvelle épidémie « mystère », il est peut-être temps, pour les autorités, de repenser leur récit.

Selon les dernières données, près de 66 % de l’Australie-Occidentale a pris les deux ou plusieurs doses d’injection de « Operation Warp Speed ». Près de 75 pour cent de la région a pris au moins une dose.

Sur la base des normes officielles d’«immunité collective» du gouvernement, cela devrait signifier que l’Australie-Occidentale est pleinement protégée contre la maladie. Et pourtant c’est le contraire qui est vrai. (Lien connexe : Il n’y a pas de « variante delta » — aucun test clinique ne peut vous diagnostiquer avec « delta » et tout le récit est une arnaque fabriquée par les médias.)

Une maladie mystérieuse est apparue de nulle part juste après que la plupart des habitants de la région aient été forcés de recevoir une injection de produits chimiques étranges. Et vous feriez mieux de ne pas remettre en question ces injections parce qu’elles n’ont rien à voir avec ces maladies et ces décès, dit le gouvernement.

Il est évident que les piquouses sont la cause de cette nouvelle crise, mais vous aurez du mal à trouver un politicien, de droite ou de gauche, qui soit prêt à dire la vérité à ce sujet.

« Je suis infirmière depuis 25 ans et je viens d’avoir cette conversation avec mon collègue hier », a écrit un commentateur de Alex Berenson’s Substack. « Pourquoi notre hôpital est-il si plein ? Très peu de cas de Covid, pas encore de saison de la grippe, et nous sommes à bout de souffle. Je n’ai jamais travaillé aussi dur, je ne l’ai jamais vu comme ça sans fin en vue. »

Cette même personne a ajouté que « quelque chose se passe » dont il faut parler, d’autant plus qu’elle vit dans un état « bleu » vacciné à 90 %.

« Les personnes âgées arrivent confuses, tombent, se cassent les os. Un médecin m’a dit l’année dernière qu’elle voyait beaucoup de personnes âgées avec des troubles soudains juste après avoir été vaccinée. »

Par Rhoda Wilson

NOTES




COP26 : comment les élites nous préparent un « pass carbone »

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par JULIEN G.

Le Nouvel Ordre Mondial est bien là et le Prince Charles a donné, à la COP26, un aperçu des moyens que les élites utiliseront pour parvenir à leurs fins. Après les états d’urgence attentat et sanitaire, les dirigeants mondiaux ont clairement montré leur volonté de mettre en place un état d’urgence climatique. Prenant prétexte de l’urgence climatique, cette politique doit permettre, non pas un développement plus harmonieux pour tous, mais un renflouement vert du système financier spéculatif actuel et quoi de mieux qu’un pass carbone ?

1. Le prince Charles en roue libre

Lors de la COP26, le Prince Charles a tenu des propos surréalistes concernant le futur de l’humanité. Des propos, qui par ailleurs, ont été peu ou pas repris par les médias hexagonaux.

La feuille de route ne parle pas de confinement pour fin 2021, mais de pénuries et d’installation de contrôles militaires pour le programme de transition et de renoncement à la dette.

Il a expliqué, d’un ton sur et monotone, qu’il fallait mettre en place une campagne militaire qui imposera la nouvelle transition économique mondiale afin de sauver la planète en y injectant des milliers de milliards de dollars, une somme plus importante que le PIB mondial !

Il affirme que les pays sont gravement endettés et qu’ils ne pourront pas faire face aux défis climatiques.

Qui pouvait mieux annoncer cette grande réinitialisation du monde que « son Altesse » dont l’obsession climatique est bien connue de tous !

Ségolène Royal l’avait d’ailleurs fait venir chez nous, en décembre 2015, pour trôner aux côtés de Michael Bloomberg (un des mécènes de Joe Biden), Al Gore et Arnold Schwarzenegger, au sommet de la COP21 aboutissant aux fameux Accords de Paris.

Si ces dirigeants mondiaux mettaient à disposition cet argent fictif gagné via la spéculation boursière, ce n’est pas pour le bien de l’humanité, mais pour en contrôler l’avenir.

Comment imaginer un seul instant que Jeff Bezos, le patron d’Amazon, devenu milliardaire en vendant des gadgets chinois aux Américains et aux Européens en détruisant leur industrie et leur petit commerce, puisse à un moment devenir une partie de la solution au problème climatique !

Nous assistons, donc, à la mise en place du Nouvel ordre mondial, une dictature mise en place par le secteur privé mondialiste, qui veut mettre fin aux démocraties que nous connaissons en utilisant systématiquement la menace pour arriver à ses fins.

Pour rappel, du 9 au 11 novembre 2020, s’est tenue une rencontre de haut niveau, baptisée Green Horizon summit, réunissant une centaine de décideurs financiers et économiques de haut vol, tous avides d’examiner comment passer de la théorie climatique à la spéculation verte : le Great Reset de leur portefeuille au détriment de la planète.

Selon les organisateurs, le sommet avait pour but d’accélérer l’innovation financière dans le climat, en promouvant des initiatives semblables à celles des obligations vertes.

2. Et maintenant l’état d’urgence climatique

En 2015, c’était la menace terroriste, depuis 2 ans nous sommes en état d’urgence sanitaire et demain ce sera la menace climatique.

En effet, comment ne pas admettre la conformité massive et sans questionnement des peuples aux réglementations restrictives et liberticides du COVID.

L’idée de confinement climatique pourrait être facilement normalisée à la lumière du respect massif des confinements pandémiques.

Alors qu’avec la crise sanitaire, beaucoup de responsables se rendent à l’évidence que la mondialisation financière a rongé la substance productive de nos économies et fragilisé nos secteurs publics, cette « Caste » voit comme une énorme menace le retour aux recettes économiques élémentaires ayant fait leurs preuves lors de la reconstruction d’après-guerre.

Pour ces élites déconnectées, il s’agit, donc, de saisir la formidable occasion que leur offre la peur suscitée par la crise sanitaire mondiale, pour imposer une dictature climatique et de contrôler directement le portefeuille de chaque citoyen.

De faire en sorte que l’essentiel des investissements soit affecté exclusivement au fameux New Green Deal et que les citoyens se comportent comme il faut.

L’idée est donc de mettre en place une tyrannie plus intrusive en misant sur le fait que les gens peuvent être plus disposés à accepter le suivi et les limitations liées aux quotas carbone personnels pour obtenir un climat plus sûr.

3. Un pass carbone pour contrôler chaque aspect de votre vie

Si, lors de cette COP26, les gouvernements décident soudainement de bannir le CO2 de leur économie, le monde pourrait connaître un retournement brutal des valeurs d’un tiers de l’économie mondiale, soit la partie liée aux hydrocarbures (lignite, charbon, gaz, pétrole, etc.) et l’écosystème qu’elles entretiennent (exploitation minière, pétrochimie, plastique, etc.).

Mieux vaut donc prendre les devants et organiser le verdissement de la finance mondiale, afin de limiter les frais et surtout les secousses.

Pour cette finance-là, faute d’une réelle opposition de la part de gouvernants obéissant à l’intérêt général et non aux lobbies, la crise pandémique de Covid-19 a offert une fenêtre de tir pour mettre en place le type de société totalitaire et de surveillance dont elle rêve depuis longtemps.

Car s’il s’agit, officiellement, de sauver le climat et la planète, en réalité, ce n’est que l’ultime bouée de sauvetage de la bulle des « actifs verts » et un moyen efficace pour la faire gonfler.

Nos élites, présentes à Glasgow, préparent donc des quotas de carbone personnels obligatoires qui introduiraient le rationnement dans tous les domaines de votre vie et ceci via une application qui enregistrerait vos déplacements, vos dépenses de chauffage et même la nourriture que vous mangez.

D’ailleurs, cette proposition avait été présentée dans la revue scientifique Nature par quatre experts de l’environnement comme un moyen de réduire les émissions mondiales de carbone.

Le discours ambiant de cette COP26 est donc que, face aux problèmes écologiques présents et à venir, il est nécessaire de mettre dans l’esprit collectif, que chaque citoyen soit conscient d’avoir un rôle à jouer dans la lutte contre le changement climatique, en proposant l’instauration d’un compte ou pass carbone.

À l’image d’un compte en banque, ce compte carbone sera crédité de 2000 kg de carbone par français par an, suivant les accords de Paris.
Il sera demandé lors de tout achat de produits ou services de première main générant une quantité non négligeable de carbone dans son cycle de production/commercialisation de présenter son compte ou pass carbone sur lequel sera débité le montant de carbone lié à la dépense.

Il est donc envisagé que pass sanitaire se transformera en pass carbone et donc une limitation des voyages, de la nourriture, des kilomètres en voiture, etc.

Le tout au nom de la prochaine crise à venir : le changement climatique.

Aujourd’hui le pass, renouvelé à minima jusqu’en juillet 2022, offre un QR code pour le vaccin. Et demain ce sera pour votre bilan carbone.

Et le surlendemain ?

Reste à savoir si les populations mondiales vont se laisser faire et se faire esclavagiser et de la sorte par cette caste.




Allocution du président de la République : « Mes chers compatriotes ou plutôt, mes amis, mes enfants, mes petits enfants… »

Par Alain Tortosa

« C’est toujours un immense plaisir de m’adresser à vous en cette fin d’année 2047.

Les plus perspicaces d’entre vous auront peut-être perçu une légère diminution de la bonhomie et de la jovialité qui me caractérisent habituellement. Vous n’êtes pas sans savoir que ma fidèle épouse, ma muse, vient de s’éteindre dans la force de l’âge. Elle aussi, terrassée par cet odieux et perfide virus.

Je vous fais confiance comme vous me faites confiance depuis le début la crise. Nous nous disons tout et vous savez que jamais je ne vous ai menti ou dissimulé la moindre information.

Nous savons tous que ma femme se dévouait corps et âme pour la nation et c’est probablement lors d’une de ces multiples missions humanitaires ou pour venir en aide aux plus démunis qu’elle a contracté le virus.

Mes amis, face à la souffrance et la maladie, il n’y a plus ni riche ni pauvre, mais notre condition humaine.

Les premiers éléments de l’enquête laissent penser qu’elle aurait été contaminée lors d’une visite dans une ferme éducative pour primo-délinquants non vaccinés.

N’écoutant que son cœur et au mépris du danger, elle aurait caressé une poule dont nous savons désormais que sa dernière injection remontait à plus de 8 mois. Une enquête est en cours et je ne manquerai pas de vous tenir informé. Sachez que justice passera et que les coupables seront châtiés comme il se doit.

Vous me connaissez, je parle de moi, de ma vie, je me laisse aller à mes émotions et j’en suis à oublier l’objet de mon intervention…

Je voudrais d’abord vous remercier encore de votre soutien actif. Sans vous, mes amis, nous n’aurions pas pu parcourir un tel chemin. Vingt-huit années de crise !

En premier lieu, permettez-moi de saluer le parlement qui, spontanément, après 18 votes, a finalement autorisé le Président de la République à garder son mandat tant que la crise sanitaire n’était pas terminée et lui donner les pleins pouvoirs. Et surtout vous, vous les 99,2 % de Français qui ont voté par Internet pour ma réélection et renouvelé votre pleine confiance pour des décennies.

Permettez-moi d’avoir une pensée émue pour les millions de nos compatriotes de moins de 30 ans qui, du fait du Covid, sont décédés du jour au lendemain d’AVC, de thromboses, de crises cardiaques ou de cancers aussi soudains que fulgurants. Réjouissons-nous que nous fussions tous vaccinés, cela a prévenu 10 fois plus de morts.

Cela fait désormais plusieurs années que 100 % des Français sont vaccinés avec un rappel tous les 3 mois.

Ceci grâce à une loi spontanément proposée puis votée par le parlement autorisant les autorités administratives à déchoir automatiquement de la nationalité française tous les ennemis du peuple refusant l’injection salvatrice.

Et il est bien loin le temps où l’on communiquait sur les risques ou les avantages de la vaccination à tel ou tel âge.

D’aucuns, des idéalistes, disent que nous aurions dû rendre la vaccination obligatoire à la naissance dès l’année 2020 et que nous aurions gagné ainsi quelques années de souffrance.

C’est peut-être vrai, je ne le nie pas, mais nous sommes un pays de liberté qui a toujours fait passer l’intérêt individuel, les droits de chacun et le principe de précaution avant toute autre préoccupation. Notre méthode nous a permis de rassurer les Français et nous assurer de l’innocuité de tous les vaccins.

Avec ces années de recul, nous avons désormais la preuve que le vaccin n’a tué PERSONNE sur la planète.

On ne peut pas en dire autant du changement climatique qui a entraîné le décès de millions de nos compatriotes, changement que nous sommes sur le point de maîtriser. Certains experts pensent que d’ici 70 ans nous aurons sauvé la planète !

J’en profite au passage pour remercier la grande Greta Thunberg, triple prix Nobel de la paix et de l’économie, avec qui je partage beaucoup, y compris son rapport à l’émotion. Elle est une icône à suivre… nous lui devons toutes les grandes lois climatiques comme l’interdiction d’un moyen de transport individuel au-delà d’un rayon d’action supérieur à 5 km. Mais aussi l’interdiction de chauffer sa maison à plus de 15 degrés ou l’usage des avions réservés aux personnes utiles, pour ne citer que ces quelques exemples.

Nous pouvons affirmer que la mise en œuvre du crédit écologique associé au pass vaccinal nous a permis de conserver nos valeurs et notre modèle basé prioritairement sur les libertés individuelles.

Je vous rappelle le slogan « la liberté individuelle prime, mais s’arrête au meurtre d’un ours blanc. »

Ma prise de parole est aussi l’occasion de saluer la mémoire de notre grand et glorieux Ministre de la Santé retrouvé mort chez lui il y a maintenant 5 ans. Ses proches ne comprennent toujours pas son suicide, lui qui avait tant donné pour la France… Avant son décès, il avait tenu quelques propos incohérents sur la crise, propos qui ont été depuis supprimés d’Internet et de tous les ordinateurs, en respect à sa mémoire et de son œuvre. Les résultats de l’enquête sont sans appel. Il a été établi qu’il s’est donné la mort en se tirant deux balles, dont une, dans le dos et que la première était déjà mortelle.

Nous ne doutons pas que son remplaçant, à l’éthique sans failles et au parcours professionnel exceptionnel l’ayant conduit au poste de président de Pfizer France, sera un atout majeur pour l’avenir et la santé de tous. Rappelons que la loi autorise désormais un ministre à conserver son emploi, et ce afin qu’il garde le contact avec le monde réel. Son expertise ne pouvant qu’être un plus dans la noble mission qu’il se doit d’accomplir.

Je salue au passage la probité de notre nouveau Ministre de la Santé et son esprit républicain, celui-ci ayant spontanément renoncé à son salaire de ministre pour ne garder que ses modestes émoluments au sein de l’entreprise Pfizer. Dans un esprit de transparence, son salaire de 1975,50 euros brut par mois a été rendu public. Moi-même, l’ensemble des députés et des membres du gouvernement le remercions aussi pour le WE inoubliable organisé à Little St James.

Cette vaccination volontaire et spontanée de tous les Français nous a permis de retrouver notre entière liberté.

Le pass sanitaire a été abandonné parce qu’il était source d’inégalités Rappelez-vous, seuls les nantis pouvaient se permettre de s’acheter un test quatre fois par jour pour vaquer à leurs occupations et pouvoir acheter leur nourriture. C’est grâce à un amendement conjoint du groupe socialiste et du groupe communiste, salué par l’ensemble des députés, que les tests ont été rendus interdits au nom du principe d’égalité.

La solidarité et la fraternité chères à notre grande nation nous ont conduits vers cette avancée majeure pour remplacer le pass sanitaire par un pass vaccinal et écologique pour tous.

Mesure de bon sens, vous en conviendrez…

Concernant les mauvais Français déchus de leur nationalité, les débats furent rudes à l’Assemblée. Les députés les plus idéalistes souhaitaient que nous les placions dans des bateaux que nous aurions coulés au large. Tollé immédiat, comme vous vous en doutez, du Ministre de l’Économie targuant que nous avions besoin de ces bateaux pour le commerce depuis la Chine démocratique et pour notre croissance infinie. Mais aussi du groupe écologique affirmant justement une fois de plus que « la mer n’est pas une poubelle dans laquelle on peut se débarrasser impunément de ses déchets ».

Il fut donc décidé de construire des camps de rééducation ou d’assigner à domicile ces ex-Français que nous ne pouvions expulser du fait que nulle nation n’en voulait.

Un programme de réinsertion fut mis en œuvre. Chaque paria pouvait décider de postuler à la nationalité française. Pour cela il s’engageait à :

  • Se vacciner tous les 15 jours pendant deux ans pour rattraper le retard.
  • Suivre des cours de citoyenneté et de déprogrammation des thèses complotistes.
  • Se couper définitivement de sa famille et de ses ex-amis restés complotistes.

À l’issue de deux années, il pouvait commencer à réintégrer la société avec un bracelet électronique, l’obligation d’un traitement psychiatrique à vie, et, bien entendu, interdiction de procréer et de s’approcher à moins de 500 m d’enfants innocents.

La transformation du pass sanitaire en pass vaccinal, écologique et social a été une avancée majeure dans nos libertés, mais aussi un formidable outil de croissance. Des centaines de millions de portiques de détection ont été installés dans toute la France. Aussi bien à l’entrée des administrations, entreprises, commerces, hôpitaux, mais aussi des lieux de loisirs. Plus aucun appareil, téléphone, four micro-ondes, ordinateur, voiture, carte bancaire ne pouvant fonctionner si vous n’étiez pas à jour de toutes vos obligations vaccinales et citoyennes.

Hélas ! le virus est encore là, mais heureusement, nos scientifiques ont trouvé la solution qui fait que nous serons bientôt sortis du tunnel et cette crise ne sera qu’un lointain souvenir. Preuve en est que la patience paye !

Je tenais aussi à souligner l’innovation et l’imagination de nos chercheurs. Une entreprise 100 % française aux capitaux chinois vient de mettre au point un micro-masque qu’il est possible d’insérer dans la paroi nasale des nouveau-nés. Ce masque écologique traité avec des nanoparticules qui détruisent le virus est sans danger pour les nourrissons et n’est à renouveler que tous les 6 mois chez son médecin traitant dans la caserne de son choix. J’en profite pour vous mettre en garde contre une vidéo virale qui montre un nouveau-né hurler 2 h 30 pendant et après lui avoir inséré le micro-masque. Nos services ont pu démontrer que ses parents, des anarchistes notoires, avaient torturé leur enfant avant de le lui mettre. Nous rappelons qu’à cet âge, l’enfant n’arrive pas à faire la différence entre le plaisir et la douleur. Nos spécialistes ont ainsi pu prouver que le plaisir pour le nourrisson était tel qu’il se mettait à pleurer de joie pendant quelques heures.

Après toutes ces années, nous voyons bien que le port du masque n’a eu aucune conséquence pour notre santé. Bien au contraire même, il permet de coller aux rythmes naturels de l’enfant. Désormais les bébés commencent à parler vers l’âge de 3 ans ce qui est beaucoup moins violent. Nous déplorons encore quelques rares déclenchements de crises de schizophrénie chez certains bébés, mais le masque n’est pas en cause. Ces bébés ont été traumatisés par des mères aussi stupides qu’irresponsables qui enlèvent leur masque devant un enfant découvrant un visage humain pour la première fois de sa vie.

Je profite de mon intervention pour rappeler l’importance vitale des gestes barrières et de ne jamais enlever son masque devant, ou à, son enfant, quand bien même il serait en train de s’étouffer.

Ici encore je salue une fois de plus l’innovation française avec la commercialisation de cabines individuelles de restauration avec verre fumé permettant à toute personne de pouvoir manger et d’enlever son masque en dehors de tout regard, mais surtout en toute sécurité sans risque d’assassiner un membre de sa famille, et ce, grâce au système de ventilation de la machine. Ces cabines individuelles peuvent être placées tout autour d’une table, elles sont munies d’écran de télé permettant de partager un moment convivial et de liberté avec les membres de sa famille ou des amis venus dîner. Fini le temps des contraintes dans les années 20 où il fallait faire manger papi et mamie dans la cuisine le jour de Noël pour ne pas les assassiner.

Le masque n’est de fait plus un sujet depuis quelques années. Nous le portons tous, tout le temps, partout, y compris pour dormir.

Côté économie, cette crise sanitaire est devenue un eldorado grâce aux efforts de chacun. Malgré les 20 000 milliards d’euros (planche à billets) injectés dans l’économie française, tous les indicateurs sont au vert :

  • La croissance est de 10 % par an.
  • Le déficit est en dessous des 3 %.
  • Le cac40 n’a jamais été aussi haut.
  • Le chômage n’est plus, nous sommes au plein emploi.
  • Les ménages n’ont jamais eu autant d’argent épargné.
  • L’industrie française a fait un bon au point que nous allons devoir faire venir 5 millions d’immigrés pour répondre à la demande croissante.

Nous voyons bien que les efforts ont payé et les résultats sont au-delà des espérances du haut-commissaire au plan.

Hélas ! les nouveaux variants ne cessent de voir le jour malgré les vaccins toujours plus efficaces. Cela prouve bien notre humilité face à ce virus… Bien heureusement, le Ministère de la Vérité a enfin réussi à faire taire les complotistes avec leurs théories de la terre plate, complotistes qui affirmaient que les vaccins bloquaient la souche d’origine et qu’ils étaient de nature à favoriser les variants. Hypothèse farfelue, réfutée par tous les grands chercheurs accrédités par le Ministre de la Santé.

Nous voyons le bout du tunnel, mais nous devons maintenir nos efforts. Il serait stupide de tout gâcher alors que nous approchons de l’immunité vaccinale de masse, qui, si tout va bien, devrait se produire l’année prochaine.

En effet, si tous les Français sont vaccinés, il demeure des animaux non vaccinés.

Nous savons depuis quelques mois que les poules et les cochons sont de forts vecteurs de propagation. Notre Ministre de la Santé, en collaboration étroite avec les plus grands chercheurs de son entreprise, nous a confirmé que le vaccin était parfaitement efficace et inoffensif chez ces animaux.

Le fait qu’un pourcentage non négligeable décèdent en pleine course n’a strictement rien d’inhabituel. Les études, réécrites cette année, prouvent qu’il en a toujours été ainsi. Des sujets jeunes et en bonne santé décèdent, c’est triste, mais c’est la nature.

Pour autant et malgré les campagnes de promotion de la vaccination, seuls 70 % des poules et des cochons de notre pays sont à ce jour vaccinés. C’est totalement irresponsable de la part de celles et ceux qui disent que nous n’avons pas assez de recul et que cela pourrait compromettre la santé des poussins, mais aussi leur capacité reproductive.

Balivernes !
Nos voisins israéliens l’ont fait depuis plusieurs mois et la situation chez eux aurait empiré de 70 % s’ils n’avaient pas pris ces mesures grâce auxquelles il n’y a que 30 % d’augmentation du taux de décès des poules (ils n’ont pas pu faire les tests sur les cochons). Preuve en est de l’efficacité sans commune mesure de cette vaccination qui évite de nombreux décès.

C’est pourquoi, sous conseil du Ministre de la Santé, j’ai décidé de rendre obligatoire dès ce jour la vaccination des poules et des cochons avec un rappel tous les 3 mois.

Dans un premier temps, nous avions pensé à brûler les animaux non vaccinés, mais sur proposition du Ministre de l’Écologie il a été décidé d’envoyer les poules et cochons non vaccinés dans les camps des parias.

Nul doute que cette mesure forte en faveur de la vaccination massive des poules et des cochons nous permettra de sortir de la crise et retrouver une vie encore plus normale alors qu’elle est déjà normale.

N’écoutez pas ces oiseaux de mauvais augure qui vous disent que demain il faudra rendre obligatoire la vaccination des chats et des chiens. Nous savons bien qu’ils ne sont ni porteurs ni vecteurs et que leur vaccination n’est donc pas à l’ordre du jour. Vaccination qui est même déconseillée à ce jour. Celle-ci ne sera jamais préconisée et encore moins rendue obligatoire, vous pouvez me croire les yeux fermés.

Le bout du tunnel est là mes amis. Ne perdez pas espoir !

N’oubliez pas que toutes ces mesures contraintes nous ont permis de retrouver nos libertés. Je n’hésiterai pas à citer une fois de plus notre grand maître G Orwell « l’interdit c’est la liberté ».

Vive la république, vive la France ! »

Propos(([1] Pure fiction évidemment. « toute ressemblance…, blablabli, blablabla »)) recueillis par Alain Tortosa.

Le 11 novembre 2047
https://7milliards.fr/tortosa20211111-allocution-president-2047.pdf




Covid-1984 : les données Sentinelles montrent un taux d’incidence à 9/100 000 en semaine 44 !

[Source : Le Libre Penseur]

Voici les derniers résultats du réseau Sentinelles (608 généralistes et 43 pédiatres libéraux) : le taux d’incidence du SARS-CoV-2 de la 44e semaine de 2021 est de 9 cas/100 000, stableToujours très en dessous du seuil d’alerte et des TI communiqués par les autorités dans les médias-mensonges qui avancent des chiffres astronomiques mensongers tous au dessus de 50/100 000 habitants. L’OMS parle de 500 000 morts en Europe pour le prochain trimestre, Macron prolonge le pass sanitaire et demande une 3e dose de vaccin !

Covid-1984 : les données Sentinelles montrent un taux d’incidence à 9/100.000 en semaine 44 !

Le réseau Sentinelles, sur sa page d’accueil, indique que la situation est modérée avec une iconographie en orange depuis 5 semaines pour toutes les autres IRA ! Le Re du SARS-CoV-2 est à 1.11, en très légère augmentation, selon le site CovidTracker ce qui est très intéressant car il va  me permettre de démontrer le décalage entre ce Re est le taux d’incidence. On remarque d’ailleurs une augmentation chez CovidTracker qui ne se remarque pas chez les 611 généralistes et 43 pédiatres libéraux du réseau Sentinelles ! On aimerait d’ailleurs savoir comment il est possible d’augmenter le R0 sans augmenter le TI ! 

Nous sommes encore très loin des seuils de taux d’incidence épidémique de la grippe saisonnière qui se situent, rappelons-le, entre 150 et 200 cas pour 100 000 habitants. Le gouvernement ment et les chiffres de Santé Publique France sont trompeurs pour terroriser les gens et continuer à imposer des restrictions sanitaires.




Sénateur Ted Cruz : Biden compte sur les entreprises pour obéir au mandat « illégal » de vaccination jusqu’à ce que les tribunaux décident

[Source : lifesitenews.com]

Le sénateur du Texas a déclaré que l’administration Biden sait que le mandat de vaccination « manifestement illégal » sera « invalidé », mais qu’elle « compte cyniquement sur le fait que certains employeurs et certains employés vont simplement obéir, et qu’il faudra des mois et des années pour que le litige se règle de lui-même ».

Quelques jours après que le mandat de l’administration Biden concernant le vaccin COVID-19 pour les grandes entreprises ait été bloqué par un tribunal fédéral, le sénateur républicain du Texas Ted Cruz a déclaré qu’il pense que le président Biden sait que le règlement ne passera pas l’épreuve judiciaire, mais qu’il « compte cyniquement sur le fait que certains employeurs et certains employés vont simplement obéir » au mandat pendant que cela prend « des mois et des années pour que le litige se règle ».

« Les mandats de vaccination de Biden sont manifestement illégaux », a déclaré le sénateur Cruz à un journaliste de One America News lors de la Coalition juive républicaine à Las Vegas, Nevada, lundi. « Ils constituent un abus de pouvoir ».

« Joe Biden et l’administration savent que les mandats de l’OSHA [Occupational Safety and Health Administration : Administration de la sécurité et de la santé au travail] vont être invalidés, qu’ils vont être contestés devant les tribunaux et qu’ils vont perdre. Et franchement, ils comptent cyniquement sur le fait que certains employeurs et certains employés vont simplement obéir, et qu’il faudra des mois et des années pour que le litige se règle de lui-même », a déclaré le sénateur du Texas.



Les commentaires de Cruz interviennent alors que la tentative de l’administration Biden d’utiliser l’Occupational Safety and Health Administration (OSHA) pour obliger les employeurs de plus de 100 employés à se faire vacciner contre le COVID-19 ou à se soumettre à des tests hebdomadaires a rencontré un obstacle majeur.

Le mandat a été arrêté samedi par la cour d’appel du cinquième circuit des États-Unis, deux jours seulement après la publication du règlement de 490 pages. Le panel de trois juges a déclaré que les pétitions des États et des entreprises qui ont intenté une action contre le gouvernement « donnent à penser que le mandat pose de graves problèmes statutaires et constitutionnels ».

S’il est confirmé par les tribunaux, le règlement de l’OSHA aura un impact sur quelque 84 millions d’Américains et punira les entreprises non conformes d’amendes pouvant aller jusqu’à 136 532 dollars par infraction pour les contrevenants récidivistes, des sanctions massives qui pourraient mettre en faillite la plupart des entreprises.

Le ministère américain du Travail a également laissé entendre qu’il pourrait étendre l’obligation aux entreprises de moins de 100 employés, ce qui pourrait avoir un impact sur presque tous les Américains adultes et faire courir aux petites entreprises un risque sérieux de fermeture.

Lundi, l’administration Biden a dit aux entreprises qu’elles devaient aller de l’avant et exiger que les travailleurs reçoivent des injections de COVID-19 malgré la suspension du mandat de l’OSHA par le tribunal fédéral.




Martin Blachier en mode retournage de veste puissance 1000, Il doit sentir le vent tourner… Nous aurait-on menti à l’insu de notre plein gré ?

[Source : businessbourse.com]

Martin Blachier en mode retournage de veste puissance 1000, Il doit sentir le vent tourner… Nous aurait-on menti à l’insu de notre plein gré ? écoutez et lisez ce rapport !

https://twitter.com/LE_GENERAL_OFFL/status/1458726080769110018?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1458726080769110018%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.businessbourse.com%2F2021%2F11%2F11%2Fmartin-blachier-en-mode-retournage-de-veste-puissance-1000-il-doit-sentir-le-vent-tourner-nous-aurait-on-menti-a-linsu-de-notre-plein-gre-ecoutez-et-lisez-ce-rapport%2F

Source : https://www.atih.sante.fr/sites/default/files/public/content/4144/aah_2020_analyse_covid.pdf




Argentine : Une journaliste s’emporte contre la vaccination… « Vous réalisez ce qui se passe dans le monde aujourd’hui ? Je vous le dis, Ils sont en train de tuer énormément de gens ! Beaucoup de médecins sont complices de ce chaos humain !!! »

[Source : businessbourse.com]

« Ceux qui meurent ne meurent pas seulement du Covid… Énormément de médecins sont complices et un jour, on saura tout…Et même si je perds mon emploi, je vous dis que ils nous font peur à longueur de journée… Quand il y aura une énorme réaction, la société changera… Arrêtez de les écouter, avec toutes leurs mauvaises nouvelles ! Attention à ces médias corrompus qui nous bernent, Faites gaffe par rapport à tout ce que vous écoutez ou lisez…Restez calmes et surtout n’ayez plus peur du Covid !!! »




Accès du parlement européen à Bruxelles refusé à des députés non vaccinés

[Source : Ciel voilé]






Des médecins de soins intensifs et des scientifiques prestigieux sont menacés pour avoir sonné l’alarme sur les blessures causées par le vaccin COVID-19

[Source : MIRASTNEWS]

Par Brian Shilhavy
Rédacteur en chef, Health Impact News

Aujourd’hui, je vous apporte plus de preuves que les dirigeants des agences de santé du gouvernement américain et les sociétés pharmaceutiques produisant les «vaccins» COVID-19 sont coupables de crimes contre l’humanité, y compris de meurtres de masse.

J’ai été critiqué et censuré par beaucoup, même dans les médias alternatifs, pour avoir utilisé un langage aussi fort, souvent accusé d’utiliser le « sensationnalisme ».

Mais quand la vérité et les faits sont aussi évidents qu’ils le sont aujourd’hui, le sensationnalisme n’est pas nécessaire. Juste le courage de dire la vérité et d’exposer les criminels, c’est tout ce qui est nécessaire pour avertir le public.

Et la vérité est que de plus en plus de médecins de première ligne qui travaillent avec des patients blessés par vaccin, ainsi que des scientifiques et chercheurs médicaux très prestigieux, ont tenté de dénoncer ceux qui sont tués et blessés par ces vaccins en informant les dirigeants de la FDA, CDC, NIH, etc., et non seulement leurs voix sont ignorées, il y a un effort concerté pour les faire taire.

Ces professionnels risquent non seulement leur carrière et leurs moyens de subsistance, mais peut-être leur vie même pour avoir révélé la vérité sur les dommages causés par ces injections expérimentales de modification génétique.

Les compagnies pharmaceutiques et les organismes de réglementation fédéraux savent très bien ce qui se passe, ce qui les rend complices de ces crimes contre l’humanité et de ces meurtres de masse.

C’est la vérité, et pour mes collègues des médias alternatifs qui n’ont pas le courage de sortir et de dire cela parce que vous avez peur d’être étiquetés avec un terme péjoratif qui pourrait affecter votre financement ou votre popularité, honte à vous !  

Vous aussi, vous êtes alors complice de ces crimes car ces monstres se précipitent aussi vite qu’ils le peuvent pour injecter autant d’enfants et d’autres personnes que possible avant que la vérité ne les rattrape enfin.

Parce que cela arrivera à un moment donné. À un moment donné, le récit public changera, car il y aura tellement de morts et de paralysés à cause des injections qu’il ne pourra plus être nié, même parmi la plupart des ignorants et des idiots.  

Aujourd’hui, je publie le travail de l’avocat Aaron Siri qui représente plus de 12 médecins des unités de soins intensifs et d’autres emplois hospitaliers de première ligne qui ont essayé de parler au CDC, à la FDA et à d’autres organisations de santé de ce qu’ils voient chez leurs patients vaccinés blessés, mais sont ignorés.

L’avocat Siri a déposé 11 déclarations contre ces agences et menace de nouvelles poursuites judiciaires.

Ensuite, j’ai également publié un autre orateur de la table ronde de la semaine dernière à Washington DC par le sénateur Ron Johnson, avec le Dr Retsef Levi, un professeur israélien à la MIT Sloan School of Management qui a également essayé d’avertir les responsables de la santé en Israël et ici aux États-Unis , mais a été censuré, notamment en se voyant refuser la publication dans des revues universitaires.

11 mois maintenant après le début des campagnes de vaccination de masse contre le COVID-19, il n’y a plus d’excuse pour ceux qui permettent à ces décès et blessures de continuer. Il est temps de commencer à arrêter les gens et de convoquer des grands jurys de citoyens pour commencer à juger leurs affaires, et s’ils sont reconnus coupables, ils devraient être exécutés publiquement, le tout conformément à la loi du pays, la Constitution des États-Unis d’Amérique.

Et ces criminels appartiennent aux deux partis politiques, donc plus vite nous arrêterons d’en faire une question partisane, plus vite nous pourrons commencer à arrêter et à juger les criminels.

Un médecin de soins intensifs courageux signalant des blessures causées par le vaccin Covid-19 en entraîne une douzaine de plus

Dr. Patricia Lee.

Par Aaron Siri

AaronSsiri.substack.com

Un acte de bravoure commence à faire boule de neige. Le Dr Patricia Lee « a tout risqué » pour s’avancer, après avoir été ignorée par les responsables de la santé publique, pour révéler la grave série de dommages dont elle a été témoin des vaccins Covid-19 dans son unité de soins intensifs.

Avec ce seul acte, mon cabinet a maintenant été contacté par plus d’une douzaine d’autres médecins. Vous trouverez ci-joint 11 déclarations de médecins de tout le pays attestant de graves dommages causés par les vaccins Covid-19.

Ces médecins, comme le Dr Lee, ont contacté les autorités de santé publique du CDC, de la FDA et du NIH pendant plus de dix mois, mais leurs préoccupations ont été rejetées ou ignorées.

Ces agences répondent généralement en disant que le VAERS ne montre pas de signal de sécurité, il n’y a donc rien à craindre.

Si vous ne le savez pas déjà, le VAERS est le système qui, selon le CDC et la FDA, ne peut pas montrer qu’un vaccin provoque une blessure, mais peut néanmoins montrer qu’un vaccin est sûr. C’est-à-dire qu’ils gagnent face, que vous perdez face.

Pire encore, bon nombre de ces médecins ont eux-mêmes été blessés par un vaccin Covid-19 et, bien qu’ils soient médecins, les médecins auprès desquels ces médecins blessés ont demandé un traitement ont également généralement rejeté leurs blessures. Et ce sont des médecins qui recherchent l’aide de leurs collègues médecins !

L’histoire que racontent la plupart de ces médecins ressemble à celle de Maddie de Garay qui, bien qu’elle soit en fauteuil roulant et qu’elle ait besoin d’une sonde d’alimentation par le nez, s’est fait dire que c’était psychologique.

Ces médecins ont été, incroyablement, presque tous initialement à dire la même chose. Ce n’est qu’après avoir demandé un traitement à des médecins qu’ils connaissaient du travail ou de la faculté de médecine que beaucoup d’entre eux ont cru.

Si les médecins sont rejetés comme « inventant », imaginez à quoi doit faire face la personne moyenne sans connaissances et accès médicaux après une blessure due au vaccin Covid-19.

Les autorités de santé publique nous disent de faire confiance aux médecins. Si des personnes ont des inquiétudes au sujet du vaccin, elles disent : « parlez avec votre médecin. » Ces mêmes médecins disent maintenant aux autorités sanitaires qu’il y a un grave problème.

Ils le disent à ces autorités sanitaires depuis des mois dans une myriade de correspondances. Et les 11 déclarations jointes sont probablement un petit échantillon – après tout, la lettre du Dr Patricia Lee n’a été publiée sur cette sous-pile que lorsqu’elle n’avait que quelques centaines d’abonnés. Cela a néanmoins déclenché une boule de neige de médecins tendant la main avec des histoires similaires qui se multiplient de jour en jour.

Il ne faudrait pas que les autorités de santé publique n’écoutent les médecins que s’ils répètent leur message préféré concernant les vaccins Covid-19.

Au contraire, les médecins devraient être particulièrement écoutés lorsque leur expérience clinique s’oppose directement à ce message. Mais l’expérience de ces médecins, et des nombreux autres qui ont contacté mon cabinet, prouve que c’est exactement le contraire qui est vrai.

Ces médecins, comme la plupart des médecins, sont les derniers individus à vouloir admettre qu’un vaccin Covid-19 a été la cause des blessures de leurs patients ou de leurs propres blessures. Et ils sont les derniers à vouloir faire publiquement un tel aveu. Vraiment.

Mais la réalité ne leur offre pas ce luxe. Les blessures qu’ils rapportent sont bien trop réelles et dévastatrices. Comme détaillé dans les déclarations ci-jointes, la plupart des médecins blessés ne peuvent plus travailler ou sont sévèrement limités dans leur capacité de travailler.

La leçon encore une fois est que les droits civils et individuels ne devraient jamais être subordonnés à une procédure médicale. Jamais.

Exiger un consentement éclairé – ce qui signifie donner à chaque Américain la possibilité de donner ou de refuser son consentement sans coercition – est le dernier et dernier filet de sécurité face aux dangers qui résultent lorsque nous permettons au gouvernement de décider ce qui doit être injecté ou placé dans ou sur notre corps.

Ce n’est pas une hyperbole car l’état actuel des choses est que vous ne pouvez pas poursuivre les fabricants pour les blessures du vaccin Covid-19, ne pouvez pas voir les données sous-jacentes à l’homologation du vaccin, ne pouvez pas discuter des blessures du vaccin Covid-19 sur les réseaux sociaux, et ne pouvez pas dire non au vaccin si vous souhaitez conserver votre emploi ou fréquenter de nombreuses universités.

Quel que soit votre point de vue sur le vaccin Covid-19 lui-même, chaque Américain devrait refuser de laisser le gouvernement décider des procédures médicales dans lesquelles il doit s’engager pour participer à la société civile.

Lisez l’article complet et consultez les pièces jointes sur AaronSsiri.substack.com.

Un scientifique israélien du MIT s’oppose au récit « grand public » du vaccin COVID-19 : « Vous devez être prudent car vous pourriez être éliminé »

Le Dr Retsef Levi est professeur à la MIT Sloan School of Management. Il était l’un des conférenciers invités la semaine dernière à Washington D.C. lors de la table ronde du sénateur Ron Johnson sur les mandats des vaccins COVID-19. Nous avons publié les présentations de nombreux autres participants qui ont assisté à cette réunion organisée par le sénateur Johnson. Voir:

Des médecins et des blessés par vaccin COVID-19 témoignent à Washington D.C. de crimes contre l’humanité – CDC, FDA, NIH, Fauci ne se présentent pas

Le Dr Levi est pro-vaccin et possède une biographie impressionnante en tant que scientifique et professeur à la MIT Sloan School of Management.

Retsef Levi est le professeur J. Spencer Standish (1945) de gestion des opérations à la MIT Sloan School of Management. Il est membre du groupe de gestion des opérations du MIT Sloan et affilié au MIT Operations Research Center. Levi est également codirecteur de la faculté des leaders du MIT pour les opérations mondiales (LGO).   

Avant de venir au MIT, il a passé un an au département des sciences mathématiques de l’IBM T.J. Watson Research Center en tant que titulaire de la bourse postdoctorale Goldstine.   

Il a obtenu un baccalauréat en mathématiques de l’Université de Tel-Aviv (Israël) en 2001, et un doctorat en recherche opérationnelle de l’Université Cornell en 2005.   

Levi a passé près de 12 ans dans les Forces de défense israéliennes en tant qu’officier de l’aile du renseignement et a été désigné officier du mérite supplémentaire. Après avoir quitté l’armée, Levi a rejoint une nouvelle entreprise de haute technologie israélienne émergente en tant que consultant en développement commercial.   

Les recherches actuelles de Levi sont axées sur la conception de modèles et d’outils d’aide à la décision basés sur des données analytiques traitant des décisions complexes de conception d’entreprise et de système dans des domaines tels que la gestion de la santé et des soins de santé, la chaîne d’approvisionnement, la gestion des achats et des stocks, la gestion des revenus, l’optimisation des prix et logistique.   

Levi a dirigé plusieurs efforts de recherche collaborative basés sur l’industrie avec certains des principaux hôpitaux universitaires de la région de Boston, tels que le Mass General Hospital (MGH), le Beth Israel Deaconess Medical Center (BIDMC), le Children’s Hospital et à travers les États-Unis (par ex. , Memorial Sloan Kettering Cancer Center, NYC Presbyterian Hospital System et l’American Association of Medical Colleges).  

Levi était l’IP dans le cadre d’un contrat du MIT avec la Federal Drug Administration (FDA) pour développer une approche systématique de gestion des risques afin de traiter les risques liés aux falsifications économiques d’aliments fabriqués dans les chaînes d’approvisionnement mondiales.   

Levi a diplômé 10 étudiants au doctorat, 34 étudiants à la maîtrise et 6 boursiers postdoctoraux. Il a également reçu plusieurs prix d’enseignement prestigieux. (Biographie complète ici.)

Comme vous pouvez le voir, il a beaucoup d’expérience dans le développement de médicaments et en collaboration avec la FDA.

Et pourtant, à l’instar des médecins de première ligne qui ont maintenant envoyé des déclarations à la FDA, au CDC et au HHS, ses inquiétudes concernant les dangers des vaccins COVID-19 ont été ignorées.

Il a déclaré:

Je ne suis pas un anti-vaccin. Je ne suis pas républicain, je ne suis pas démocrate.   

Il se trouve que je suis un scientifique qui remet en question le discours actuel qui domine les politiques de santé publique dans le monde, aux États-Unis et en Israël.  

Je peux vous dire que je connais de nombreux scientifiques et professionnels de la santé traditionnels, qui, comme moi, pensent que le récit actuel est extrême et faux.   

Mais très peu d’entre eux sont prêts à s’exprimer.   

Et je ne suis pas sûr de pouvoir les blâmer, car toute tentative de s’écarter du récit aujourd’hui se heurte à un mur d’hostilités, de rejet et même d’élimination de la part du gouvernement, y compris des agences de financement, des médias publics et, pire encore, de la communauté scientifique elle-même.

Le Dr Levi déclare ensuite qu’un de ses collègues au MIT qui est membre de la National Academy of Engineering lui a dit :

« Il faut faire attention, car on peut être éliminé. »

Le Dr Levi poursuit ensuite en parlant de la fraude universitaire et de la façon dont lui et de nombreux autres scientifiques ont tout de suite vu que ce que Pfizer publiait sur les résultats de leurs essais de vaccins COVID-19 était gravement erroné et que leurs déclarations concernant l’efficacité étaient fausses.

Et nous avons maintenant également un dénonciateur qui a travaillé sur les essais de vaccins COVID-19 pour Pfizer qui a également exposé la fraude chez Pfizer. Voir:

Un lanceur d’alerte révèle une fraude dans les essais de vaccins COVID de Pfizer alors que des enfants de 5 à 11 ans commencent à se faire injecter – Décès et blessures par vaccin à suivre

Ces scientifiques ont tenté de faire publier leurs critiques des études de Pfizer dans les revues universitaires, mais ont été déboutées. Les seules études publiées étaient celles qui se conformaient au récit dominant, et ces études étaient essentiellement de la camelote.

Le Dr Levi donne l’exemple des études qui viennent d’être publiées pour affirmer que les nouvelles injections de rappel étaient efficaces et sûres. La plupart des patients ayant reçu les injections dans les essais n’ont été suivis que pendant moins de deux semaines afin que les sociétés pharmaceutiques déclarent que les vaccins sont sûrs et efficaces.

Il est très critique à l’égard de ces journaux, car en ce qui concerne la sécurité, ils ne signalent aucun effet secondaire négatif, y compris des décès.

Le Dr Levi donne ensuite un exemple de cette censure académique.

Mes co-auteurs et moi avons souligné que lorsque vous examinez les appels des services d’urgence nationaux en Israël pour un arrêt cardiaque chez les jeunes de moins de 40 ans, vous constatez une augmentation spectaculaire de 25% de ces appels parallèlement à la campagne de vaccination en Israël au début de 2021, et nous voyons une association statistique à cette campagne.  

Nous avons écrit l’article à ce sujet, sans prétendre qu’il y a un effet occasionnel entre les vaccins et ce que nous voyons, car nous n’en avons pas la preuve.   

Mais nous avons soulevé la préoccupation et nous avons appelé les autorités pour vérifier ce qui se passait.   

Inutile de dire que nous n’avons jamais reçu de réponse des autorités, et en fait, elles ont rendu publiques et ont qualifié cette recherche de « fausse ».   

Mais encore plus inquiétant, revue après revue après revue dans la littérature académique rejette cet article, la plupart du temps en se basant sur l’argument qu’il n’est « pas une priorité ».  

Eh bien, je ne pense pas que qualifier les problèmes de sécurité de « faux » soit moralement juste ou scientifiquement juste.   

Je pense qu’il est clair que ces vaccins ne sont pas naïfs et qu’ils ont des effets secondaires graves et sans précédent.

Regardez la présentation complète du Dr Levi. C’est sur nos chaînes Rumble et Bitchute.



https://www.bitchute.com/embed/76q9F5B9qQiC/?feature=oembed#?secret=mVkOmPEUdd

Traduction : MIRASTNEWS

Source : Health Impact News




Maître Marian : « l’AP-HP a appliqué la vaccination obligatoire avec brutalité »

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

L’AP-HP (les hôpitaux de Paris, dirigés par Martin Hirsch, ancien Haut-Commissaire sous Nicolas Sarkozy mais issu de la coterie des « Kouchner boys ») vient de connaître un nouveau drame : un salarié a tenté de s’immoler par le feu dans les bureaux de l’hôpital Saint-Louis. Nous avons interrogé, à cette occasion, Maud Marian, avocate qui s’est beaucoup investie dans la défense des soignants suspendus. Elle nous donne son point de vue sur le comportement de l’AP-HP vis-à-vis de ses salariés à l’occasion de la mise en œuvre de l’obligation vaccinale.



Il est vrai (nous pouvons en témoigner après avoir lu les centaines de mails que nous avons reçus cet été) que l’AP-HP n’a pas donné dans la dentelle dès lors qu’il s’est agi d’appliquer la loi du 5 août 2021. Forte des prescriptions illégales de la FHF, présidée par le maire de Fontainebleau Frédéric Valletoux (proche d’Edouard Philippe), l’AP-HP, elle-même dirigée par une personnalité indissociable de l’appareil de santé publique en France, Martin Hirsch, s’est livrée à une véritable inquisition contre les soignants non-vaccinés cet été.

La brutalité de l’AP-HP laissera des traces

Il faut écouter le témoignage sur le déferlement de violence patronale, très symptomatique, dont l’AP-HP a été le théâtre cet été pour comprendre l’état de tension des personnels. Maud Marian en donne, dans son interview, de nombreuses illustrations. Nous-mêmes avons reçu de nombreux témoignages détaillant des scènes hallucinantes. 

Avant l’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale, l’encadrement moyen des hôpitaux, probablement sous la férule des directeurs, s’est dans de nombreux endroits livré à un véritable travail de harcèlement moral pour pousser le plus grand nombre possible de soignants à se vacciner. Parfois lors des réunions d’équipe, les non-vaccinés étaient sommés de s’expliquer devant leurs collègues que l’encadrement exhortait à prendre les non-vaccinés en grippe. 

Ailleurs, les non-vaccinés recevaient une cascade de mails, de messages, de coups de téléphone, leur assénant la propagande officielle sur le vaccin, et cherchant à les culpabiliser de ne pas y céder. 

Une fois l’obligation vaccinale mise en place, les suspensions ont régulièrement été appliquées en dehors du cadre légal. Comme l’indique Maud Marian, des fonctionnaires hospitaliers accidentés depuis plusieurs mois sur leur lieu de travail ont vu leurs indemnités journalières illégalement suspendues sans explication, alors même qu’ils étaient en arrêt maladie. L’entretien prévu trois jous après la suspension se tient rarement. Les non-vaccinés font l’objet d’un véritable acharnement totalement inhumain de la part d’une hiérarchie supposée défendre l’intérêt général, le soin, et le bien public. 

L’AP-HP se comporte-t-elle de façon illégale ?

Ce déchaînement de violence patronale, qui vise des personnels dont les congés ont été suspendus en mars 2020 pour faire face au COVID, affronté sans masque et sans protection à l’époque, et qui ont brutalement basculé dans la relégation sociale sans un remerciement, pose de vrais problèmes juridiques. L’AP-HP semble en effet jouer le pot de fer contre le pot de terre, refusant de répondre aux recours, et refusant toute explication aux personnels victimes d’agissements patronaux qui violent la loi. 

C’est notamment le cas dans le refus de continuer le versement des indemnités maladie aux personnels non-vaccinés en arrêt de travail. Une fois de plus, rappelons que la sécurité sociale est ici utilisée par le gouvernement comme une arme de répression et d’oppression

Cette violation de la loi par l’institution, dans une indifférence générale, soulève une vraie question sur la légitimité de l’ordre en vigueur en France. Cette légitimité est d’autant plus mise à mal que la justice, et tout particulièrement la justice administrative, ne joue plus son rôle d’autorité indépendante protectrice des libertés. 




Macron ou le faux-nez néo-nazi de la nouvelle race des seigneurs

Par Lucien SA Oulahbib


Un nazisme même inversé reste un nazisme en ce sens où l’idée de supériorité de fait d’une couleur de peau, d’une origine, d’un genre, d’une religion, s’établit de manière violente (mais progressive… nouvelle définition du « progrès »…), tel l’étranger sur le Français qui s’est érigé en pratique depuis par exemple 2019 puisque l’étranger (victime magnifiée idolâtrée comme force salvatrice face à un monde occidental méprisable) peut avoir désormais dans les faits des droits sociaux supérieurs (comme l’accès à la CSS — ex-CMU — qu’un smicard ou, bien sûr, un salarié médian français ne peut guère espérer). De même, et ce toujours dans les faits (car dans le « Discours » le contraire est bien entendu professé façon village Potemkine), le genre « neutre » (ou « queer ») devient dominant. Il est symbolisé par l’effacement des notions de « père » et de « mère » (et peu à peu d’homme et de femme). Enfin, une religion remplace peu à peu les autres dans les faits (non dans les discours et les apparences), puisque par exemple l’islam est de plus en plus privilégié en ce sens où il peut construire autant d’établissements religieux qu’il le désire (Eurabia), alors que la réciprocité reste interdite dans les faits par les pays dominés par lui (plusieurs établissements protestants ont été d’ailleurs récemment fermés en « Algérie »).

Cette supériorité, revendiquée également par un Mélenchon avec son concept de « créolisation » (qu’un « Tonneau » taureau aux cornes acérées aimerait même imposer rapidement) ne signifie cependant pas que l’on accepte le métissage comme nouvelle réalité à prendre en compte, mais seulement comme étant la seule possible. Ceci, du moins dans la version exotérique (pour l’instant), parce qu’en réalité il s’agit d’une « transition » vers la domination totale : celle d’une nouvelle race des seigneurs au sens métaphysique, c’est-à-dire ayant certes comme indice privilégié de cooptation la couleur de peau (non blanche), mais pas seulement. Et, en ce sens, c’est un néo-nazisme, puisqu’il faut posséder, d’abord, et ce même surtout, du moins si l’on veut arriver au sommet de cette « race », il faut savoir donc psalmodier à souhait sa couleur intérieure ou idéologique queer, Antifa, scientiste, hygiéniste, affairiste, y compris dans ses diverses nuances nécessaires et suffisantes.

Cette supériorité racialiste inconditionnée (sacralisée) peut être nommée « transitude » afin de caractériser précisément la spéciation (voir La condition néomoderne sur ce point) de ce néonazisme : ou le fait (primat deleuzien de l’empirique) d’être à l’intersection de la métamorphose permanente (au sens caméléon du terme), celui du désir néo-thélémiste (le » Fays ce que vouldras » mais dévoyé de Rabelais comme « Seigneur » façon Salô décrit si bien par Pasolini) selon l’instant le moment la personne ou l’opportunisme et donc le cynisme du Paradoxe du Menteur élevé par Foucault au rang de mode de vie, de « souci de soi » (au sens sadien) animant cette « race » des seigneurs assise tout en haut de la Pyramide globale mondialisée ; tandis qu’à la base est de plus en plus greffée la masse indifférenciée (neutralisée au sens de Schmitt : émasculée) de post-citoyens futurs cyborgs c’est-à-dire de populations broyées soumises écervelées de plus en plus injectées Q-R codées et enfin branchées aux séries diverses laveuses de cervelles au sens de fabriquer (industriellement) les nouveaux comportements neutres (queer) en attendant que l’industrie des organes artificiels prenne pleinement son envol : assemblage bionumérique de néo-organes.

Ce qui implique économiquement par exemple qu’en haut de la Pyramide mondiale cette nouvelle race néonazie des Seigneurs (théorisée via une lecture de Nietzsche sur la notion de « race forte » par Blanchot maître de Derrida, Foucault, Deleuze, voir ici Éthique et épistémologie du nihilisme les meurtriers du Sens) imprime (indirectement) de la monnaie sans compter (le « quoiqu’il en coûte » des banques centrales) ce qui crée une inflation financière lui permettant d’acheter des actions et obligations à foison et par là de posséder non seulement un pouvoir d’achat inouï, mais aussi une puissance politique globale et mondiale à même d’entretenir de multiples « danseuses » comme toutes ces ONG (façon Soros, Gates, etc.) qui favorisent ainsi l’établissement sociologique et psychologique progressive d’une base de masse : celle de toute cette transitude néonazie qui chasse de plus en plus en meute tous les récalcitrants (tels en France ces 200 « journalistes » anti-Zemmour) les faisant fuir de certains quartiers devenus des concessions accordées à Eurabia les attaquant dans les médias, les universités, partout en agitant les faux-nez de noms valise (extrême droite, complotisme…).

Ainsi, et schématiquement dit, cette nouvelle race des seigneurs qu’incarne le néonazisme d’aujourd’hui est issue d’une recomposition et de la fusion sous nos yeux du néo-léninisme (via Althusser, BHL comme exemple type en France) du djihadisme altermondialiste (Mélenchon, Autain… comme exemples phare également en France) enfin du scientisme hygiéniste affairiste d’un Macron l’un des faux-nez de cette nouvelle race des seigneurs néo-nazis.

En apparence, il s’agit d’agir pour un « Bien » abstrait parsemé de boules de Noël, mais en pratique, dans les faits durs et têtus du réel au quotidien, il est de plus en plus question d’avancer dans le programme de la destruction industrielle des Nations en général des individus en particulier (il est regrettable que la soumission structurelle du judaïsme de cour comme le CRIF en France ne le voie pas ou refuse de le faire) afin de transformer tout un chacun en terminaux bio-numériques distribuant cette transitude néonazie : une race des Seigneurs globalisée dépense ainsi sans compter et coopte (par « l’amitié » des alcôves et salons affrétés) qui elle veut à partir du moment où le catéchisme de cette Secte Scientiste (hygiéniste affairiste) est frénétiquement adoptée.

Toute cette qualification peut être surprenante, mais à force de recherches et de réflexions je suis obligé d’en arriver à cette conclusion, inédite me concernant ; la goutte d’eau aura été sans doute la façon dont lesdits Antifa (en particulier ex-Allemands, Américains, Français, « ex » parce qu’ils rejettent cette « identité ») s’en prennent violemment à tout ce qui n’est pas eux, tout en imposant une conception globale allant jusqu’à transformer le vivant humain ; ce qui est là non seulement un geste totalitaire, mais néonazi au sens non seulement d’imposer, mais de fabriquer le Bios pour le substituer à l’ancien jugé impur, dangereux, inférieur, contaminant (tel aujourd’hui le blanc hétérosexuel non injecté).

Ainsi ce qui était, dans le principe industriel, le rêve d’un Mengele, mais aussi d’un Lyssenko, devient la continuation du Pacte germano-soviétique par d’autres moyens ; intégrant en plus aujourd’hui une force de frappe financière anglo-saxonne et aussi post-maoïste, devenues démesurées, avec comme allié inédit le scientisme hygiéniste de plus en plus exacerbé de certains israéliens qui, au pouvoir, se sont jetés tête baissée dans une expérimentation de masse de plus en plus instable et aux effets à long terme inconnus ; le tout comme si toute la pensée complexe d’un Moïse Maïmonide, d’un Léo Strauss, d’un Einstein, d’un Schrödinger (son « Qu’est-ce que la vie ? » par exemple) comptaient désormais pour rien ou le technocratisme tacticien poussé jusqu’à l’absurde ; ce qui n’est d’ailleurs pas sans rappeler le départ tactique précipité de la bande de Gaza par Sharon et le fait aussi d’avoir voulu jouer également tactiquement le Hamas contre l’OLP avec les résultats que l’on sait (et dont les répercussions se font sentir également dans les banlieues françaises) tout en laissant les djihadistes pavaner en haut du Mont du temple alors qu’ils n’en ont pas du tout le droit historique (idem en « Algérie » d’ailleurs).

En tout cas, l’actuel président de la République française, ainsi que toute la classe politico-médiatico-intellectuelle française et occidentale, sont non seulement de moins en moins à la hauteur des enjeux (hormis quelques exceptions), mais s’avèrent être devenus les faux-nez de cette nouvelle Race des Seigneurs forgeant aujourd’hui la transitude cybernétique sectaire scientiste hygiéniste affairiste ou ce néonazisme renouant avec la version originelle réinitialisée : fabriquer industriellement du surhumain purifié.




Fondation Bill & Melinda Gates — la grande arnaque révélée

[Source : MoneyRadar]

https://moneyradar.org/

[Voir aussi :
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Les silex de la vérité. Spectateur ou Acteur ?

Par SINED

La période que nous vivons est historique, et l’histoire se déroule selon les agissements des peuples. Des agissements puissants, tels des révoltes, des grèves, des actes politiques ou militaires, des événements ou des discours sont la conséquence d’une étincelle qui embrase l’ensemble de la population. Cette étincelle est parfois programmée, préméditée et servie royalement juste au bon moment et au bon endroit. Celle-là est artificielle. Artificielle parce que non naturelle. Non naturelle parce qu’elle nie la vérité (faux attentat, faux discours, fausse information).

Mais il y a aussi des étincelles naturelles, celles qui jaillissent de l’entrechoc des silex de la vérité. Cette étincelle de vérité embrase les cœurs des peuples, et le feu est sain, joyeux et fédérateur.

Qu’est-ce qu’une étincelle de vérité ? Et d’où vient-elle ?

C’est une vraie étincelle, matérielle, visible partout, pas uniquement visible sur certains sites Internet pour certaines personnes. Ainsi, la vérité doit s’incarner dans la matière. D’où provient-elle ? d’un homo sapiens, qui sait. Qui sait qu’il faut taper avec son silex sur un caillou. Taper c’est agir sur la matière.

En ce moment, la raie zi stance est un peu spectatrice, commentatrice sportive parfois, ou alors hara kirienne en se présentant dans les officines de l’ennemi et en réclamant justice (justice ? C’est quoi ce mot ? jamais entendu parler). Elle s’informe, elle commente et se nourrit elle-même, mais agit-elle dans la matière ? Tape-t-elle avec son silex pour que l’étincelle embrase l’ensemble. Certains diront qu’il est difficile, voire impossible, d’allumer un tas de bois humide avec une simple et seule étincelle. Alors, autant ne rien faire. Il est vrai qu’à voir certains de nos congénères actuellement, on ne doute plus qu’ils sont bien pires que du bois vermoulu et trempé.

Pourtant, des étincelles répétées continuellement finiront par faire prendre la mousse la plus humide. Mais il en faut beaucoup !

Oui, mais combien y a-t-il d’homo sapiens avec un silex en main qui se refuse à taper le caillou, tant ils voient l’inutilité d’un tel geste. Beaucoup aussi !

Alors, il ne reste plus qu’à poser la question aux sapiens :

– « tu sais, et tu tapes pas le caillou ? »

Spectateur : le bois est trop humide, en plus il pleut, et en plus y’a du vent du nord.
Ou
acteur : moi je tape avec mon caillou préféré ou avec un autre.

Acteur, OK, mais pas un acteur raté.

Une étincelle c’est vif, anonyme, simple, clair, concis, lumineux, choquant, visible, brillant et fugace.

  • – Sur les panneaux de propagande, contre propa.
  • – Sur les zélés, comportement zélé réciproque. « Tu veux mon nom, mon identification, mon statut xnal ? OK si tu me donnes toi aussi ton nom, où tu habites, si t’es marié et bien sûr ton statut xnal. Ah bon, tu veux pas, et pourquoi ? T’es antivache ou quoi ? Tu veux que je te dénonce aussi ? »
    Le refus de vous répondre constitue alors leur terrible et propre aveu qu’ils sont en train de faire quelque chose de mal. Leur déshonneur leur est envoyé à la face de manière évidente. Le déshonneur une fois, bon, deux fois, bon, dix fois c’est énervant, cinquante fois, ça irrite et ça provoque des arrêts maladie.
  • – Sur les communications officielles, boycott total radiyhouuu, télébaizion et journhontes.
  • – Sur les entreprises privées qui se font un plaisir non feint de jouer cette douce musique, total boycott avec doux mot d’encouragement pour le futur quand le vent aura tourné.
  • – Sur les gestes bHOUrières, tendre la main ouverte et à ce qui refuse : tu refuses la paix que je te donne je saurais m’en souvenir.
  • – Sur les panneaux de propa affichés partout, lieux de culte, magasins, services publics, entreprises, voie publique, un simple message au feutre suffit.
  • – Sur le panneau centre d’intoxication, « =mort » suffit
  • – Sur les zébus, nos très chers zébus, ne pas écrire de lettre d’évocat, ils ne savent pas lire, mais plutôt un petit mot comme CO-LABO sur les plaques dorées des divers QG et succursales référentes.

Outils nécessaires : 1 feutre, 1 langue, une main ouverte.

Avantages : multiples auteurs anonymes et visibilité continuelle. Modeste, mais tapant sur le caillou.

Petites étincelles partout ! Multiples étincelles tous les jours ! Une s’éteint, une autre s’allume. Le panneau a-t-il été remplacé ? le nouveau se voit alors affublé immédiatement d’un complément d’information, un simple mot et sans équivoque, lisible par tous et rapidement, pas de texte qui, une fois bien manipulé, servirait la propa guangue de nouveau. Mots à adapter selon le contexte : mensonge, mort, satanisme, dictature, blague, fable, foutaise, ordure, meurtre, esclavage, folie, psychose, soumission, lâcheté, peur, médiocrité, pourriture.

Les petits koalas (les co les la les bo) vont en avoir assez de remplacer et nettoyer tous les jours les beaux messages du parti unique. Quant aux vilains petits mots qui embêtent,… euh… et si on nous avez menti ?!

Enfin, un petit lexique commun serait bienvenu pour parler plus ouvertement, en milieu non sain (c’est-à-dire en présence de petits koalas non identifiés), de cette belle époque que nous vivons.

J’aime bien koalas et le zébu, car le koala qui prêterait une oreille indiscrète se demanderait où est le zoo.

– « dis papi, dis mami, vous avez fait quoi pendant les horreurs des années 20 ? »

– « haaa… tu sais mon petit, ……………………………………………………………………… 
………………………………………. »

LA SUITE, il appartient à chacun de l’écrire maintenant,…

pour avoir plaisir et fierté de la raconter demain.