Covid-19, vaccins expérimentaux, stratégie vaccinale : entretien avec Christian Vélot

[Source : mediapart.fr]

1) Bonjour Christian Vélot, pouvez-vous vous présenter rapidement pour mes lecteurs ? Quelle est votre formation, votre statut professionnel et votre domaine de compétence scientifique ? Avez-vous par ailleurs des conflits d’intérêts quels qu’ils soient ?

C.V. — Titulaire d’un doctorat de Sciences biologiques et médicales, je suis maître de conférences à l’Université Paris-Saclay, et plus précisément sur le centre scientifique d’Orsay où je dirige une équipe de recherche. Mon domaine de compétence est celui de la génétique moléculaire, et donc des biotechnologies et de leurs produits. C’est à ce titre que je m’intéresse notamment aux vaccins, et en particulier aux vaccins de dernière génération, dits vaccins génétiques, qui sont issus des biotechnologies. Je n’ai aucun conflit d’intérêt.

2) Vous êtes également président du Conseil scientifique du Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le Génie génétique (CRIIGEN), dans lequel j’ai retrouvé aussi plusieurs personnalités bien connues du monde de la recherche scientifique et de la réflexion sur l’éthique dans les sciences de la vie, telles que Jacques Testart (directeur de recherche honoraire à l’INSERM) et Pierre-Henri Gouyon (professeur de biologie au Muséum National d’Histoire Naturelle, signataire de ma tribune collective de septembre 2020 intitulée « Nous ne voulons plus être gouvernés par la peur »). Il s’agit d’une association créée en 1999 et qui s’est faite connaître notamment dans sa critique des produits du génie génétique (OGM) et des substances qui leurs sont liées telles que les pesticides et les perturbateurs endocriniens, eu égard aux effets de ces techniques sur la santé, en particulier le développement de certaines maladies chroniques que vous considérez être de véritables pathologies environnementales. Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur ces techniques, ces pathologies et leurs évolutions ?

C.V. — Les OGM agricoles sont, dans leur très grande majorité, conçus pour accumuler un ou plusieurs pesticide(s) dans leurs cellules. Il s’agit soit de plantes génétiquement modifiées pour produire un ou plusieurs insecticide(s) afin de lutter contre un ou des insecte(s) dont elles sont la cible, soit des plantes dont la modification génétique leur permet de tolérer un ou plusieurs herbicide(s), soit encore des plantes qui cumulent les deux propriétés. Ces plantes accumulent donc un ou plusieurs insecticide(s) qu’elles produisent, ou un ou plusieurs herbicide(s) qu’elles absorbent sans en mourir, lesquels vont alors se retrouver dans la chaine alimentaire. S’intéresser à la question des OGM agricoles et notamment à leur sécurité sanitaire et environnementale implique donc de s’intéresser de près à celle des pesticides. Or la plupart des pesticides sont des agents cancérigènes/mutagènes/reprotoxiques (CMR), ou des perturbateurs endocriniens (PE), responsables de nombreuses maladies dites chroniques ou environnementales qui ont explosé à travers le monde ces dernières décennies : cancers, maladies cardiovasculaires, troubles neuro-développementaux, obésité, diabète de type 2…

3) Les vaccins contre la Covid-19 qui sont commercialisés partout dans le monde depuis plusieurs mois utilisent pour beaucoup d’entre eux ces techniques de génie génétique et ne correspondent plus au principe des vaccins qu’on dira alors « classiques », les vaccins à virus inactivés que nous avons tous connus depuis notre enfance, ceux de Pasteur en quelque sorte. Pouvez-vous nous expliquer de quoi il s’agit et les différences entre ces multiples vaccins ?

C.V. — Permettez-moi tout d’abord de repréciser ce que sont les virus. Il s’agit d’agents infectieux comprenant une coque protéique appelée capside, constituée de la juxtaposition d’un grand nombre d’exemplaires d’une protéine virale (la protéine de la capside), et renfermant le matériel génétique du virus qui est soit de l’ADN soit de l’ARN (pour les notions d’ADN, ARN et protéine, voir la Figure 1 de ce texte). De nombreux virus sont en plus entourés d’une enveloppe qui est constituée d’une bicouche de graisse (lipides) dans laquelle sont enchâssés plusieurs exemplaires d’une autre protéine : la protéine de surface du virus (voir la Figure 2 de ce texte). Les virus possédant une enveloppe sont appelés des virus enveloppés ; ceux n’en possédant pas sont les virus nus. Le virus SARS-CoV-2, responsable de la Covid-19, est un virus enveloppé dont le matériel génétique est de l’ARN. Sa protéine de surface (enchâssée dans son enveloppe) est la fameuse protéine « Spike ».

Les vaccins actuellement disponibles dans le monde, ou sur le point de l’être, pour lutter contre la Covid-19 peuvent se classer en trois catégories : les vaccins inactivés, les vaccins à protéine recombinante et les vaccins génétiques.

Les vaccins inactivés consistent à injecter le virus entier mais préalablement inactivé (par la chaleur ou par un traitement chimique au formaldéhyde). C’est le cas par exemple des vaccins chinois Sinopharm et Sinovac, mais également du vaccin développé par l’entreprise de biotechnologies française Valneva.

Les vaccins dits « à protéine recombinante » consistent à injecter non pas le virus entier mais une protéine du virus (en général sa protéine de surface), laquelle a alors été produite en laboratoire par des cellules cultivées à grande échelle et dans lesquelles a été préalablement introduit le gène viral détenant le secret de fabrication de cette protéine. Ces cellules prennent alors le gène viral à leur propre compte, le décodent et fabriquent la protéine virale (l’antigène) qui est ensuite purifiée, associée à divers adjuvants puis injectée aux personnes à vacciner. La protéine virale en question est qualifiée de « protéine recombinante » car elle est produite par des cellules qui ne sont pas celles qui la fabriquent naturellement. C’est le cas du vaccin développé par l’entreprise américaine Novavax et qui consiste donc à injecter la protéine Spike du virus Sars-Cov2 responsable de la Covid-19. C’est aussi le cas du vaccin cubain (Soberna02), et des candidats vaccins développés par l’entreprise américaine United Biomedical-COVAXX (UB-612) et par l’entreprise française Ose Immunotherapeutics (CoVepiT) mais sous des déclinaisons différentes :  dans ces trois derniers cas, ce qui est produit et injecté (ou destiné à l’être) n’est pas la protéine Spike entière mais seulement un ou plusieurs fragments de cette protéine éventuellement fusionné(s) à une autre protéine (ou des fragments d’autres protéines) servant en quelque sorte de « présentoir » du ou des antigène(s) de Sars-Cov2.

Enfin, les vaccins génétiques consistent à injecter non plus le virus entier ou tout ou partie d’une protéine du virus, mais une partie de son matériel génétique détenant le secret de fabrication de la protéine de surface. Dans le cas de Sars-Cov2, il s’agit donc soit de la portion de l’ARN viral codant la protéine Spike et emprisonnée dans une nanoparticule de graisse, soit d’une copie ADN de cette portion d’ARN viral, insérée dans l’ADN d’un autre virus (adénovirus) utilisé comme « véhicule » (vecteur) pour délivrer ce matériel génétique dans les cellules de la personne à vacciner. Le virus vecteur est donc un virus génétiquement modifié qui a été rendu inoffensif (on dit qu’il a été « désarmé ») par suppression d’une partie de son propre matériel génétique (ADN), laquelle a été remplacée par la copie ADN de l’ARN viral de Sars-Cov2 codant Spike. Le principe de ces vaccins génétiques est donc de faire fabriquer l’antigène (ici la protéine Spike) directement par nos propres cellules. C’est bien sûr le cas des vaccins de Pfizer-BioNTech ou Moderna (vaccins à ARN emprisonné dans une nanoparticule de graisse) et des vaccins d’AstraZeneca ou Johnson & Johnson (vaccins à ADN utilisant un adénovirus comme vecteur).

4) En décembre 2020, vous avez rédigé un rapport d’expertise sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM (https://criigen.org/rapport-dexpertise-sur-les-vaccins-genetiquement-modifie/), qui a donné lieu à une polémique avec Alain Fischer, professeur de médecine au Collège de France et placé par le gouvernement à la tête d’un « Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale » le 3 décembre. Pouvez-vous nous expliquer les enjeux et le contenu de cette polémique de votre point de vue ?

C.V. — Dans mon rapport d’expertise, j’insiste sur un risque particulier lié aux vaccins génétiques (à ARN ou à ADN) : celui de favoriser l’apparition de virus recombinants. De quoi s’agit-il ? Les virus ont une grande capacité à échanger des fragments de leur matériel génétique respectif dès lors que les génomes viraux concernés sont de même nature (soit ADN, soit ARN) et cohabitent dans des mêmes cellules. Ce phénomène est encore plus marqué si les deux génomes viraux en question partagent des séquences (des gènes) qui se ressemblent. Le processus bien connu qui régit ces échanges s’appelle la recombinaison (et lorsque cette recombinaison a lieu entre séquences d’ADN ou d’ARN qui se ressemblent, on parle de recombinaison homologue). Ce phénomène de recombinaison n’est pas réservé à l’ADN ou l’ARN viral mais les séquences virales sont connues pour faire l’objet de nombreuses recombinaisons (on dit qu’elles sont très « recombinogènes »). Il résulte de ces échanges entre matériels génétiques viraux, des virus dits « recombinants », c’est-à-dire dont le génome est constitué de segments provenant des deux virus parentaux (voir la Figure 3 de ce texte).

Bien sûr, ce phénomène ne peut se produire que si du matériel génétique provenant d’au moins deux virus se retrouve dans les mêmes cellules, ce qui est fort heureusement extrêmement rare dans la nature puisque cela implique que des mêmes cellules soient co-infectées par au moins deux virus. Mais dès lors qu’on introduit volontairement et chez un très grand nombre d’individus du matériel génétique viral — ici à des fins de vaccination —, il suffit chez ces personnes d’une infection par un seul virus pour que de tels échanges (entre le génome du virus infectant et le matériel génétique vaccinal) se produisent et puissent ainsi donner lieu à des virus recombinants.

Or dans ses réponses à cette note d’expertise, M. Fischer réfute ce risque au prétexte que « l’ARN viral ne peut-être converti en ADN ». Outre le fait que cette allégation est totalement gratuite car il n’est pas du tout exclu que, dans certaines conditions, l’ARN viral de Sars-Cov2 puisse être converti en ADN au sein de nos cellules comme cela a été montré sur des cellules humaines en culture (Zhang et al, 2021), il est absolument impensable que M. Fischer puisse ainsi laisser croire que des évènements de recombinaison entre ARN viraux nécessiteraient une conversion préalable de ceux-ci en ADN. La recombinaison virale existe aussi bien entre ADN viraux d’une part qu’entre ARN viraux d’autre part. Et dans ce dernier cas, cela ne nécessite nullement une conversion de l’ARN viral en ADN. Les ARN viraux recombinent directement. Cela a été montré depuis fort longtemps déjà (à partir des années 60) avec le virus de la polio (Ledinko, 1963 ; Cooper, 1968 ; Cooper et al, 1974), les aphtovirus (McCahon et al, 1977 ; McCahon, 1981 ; King et al, 1982), les virus de la maladie de Newcastle et de la grippe (Hirst, 1962), ainsi que les coronavirus (Makino et a, 1986 ; Baric et al, 1990) qui sont d’ailleurs les champions de la recombinaison virale puisque leur taux de recombinaison (dès lors que deux génomes de coronavirus sont en contact) peut aller au delà de 10% (Makino et al, 1986 ; Baric et al, 1990) alors qu’il est en général, pour les autres virus à ARN, de l’ordre de 0,1 à 2% (Lai, 1992).

De plus, les coronavirus sont capables de recombiner avec des virus à ARN d’une autre famille : des évènements de recombinaison ont en effet pu être mis en évidence entre, d’une part, un virus de la grippe et, d’autre part, des coronavirus bovins, murins et un coronavirus humain (Luytjes et al, 1988).

Par ailleurs M. Fischer affirme que « de tels recombinants n’ont jamais été observés avec les vaccins vivants atténués qui délivrent pourtant leur matériel génétique dans les cellules qu’ils infectent ». Les vaccins vivants atténués (qui ne figurent pas parmi les vaccins ou candidats vaccins contre la Covid-19) consistent à injecter le virus entier, non pas inactivé mais affaibli. D’une part, il y a peu de vaccins vivants atténués (ce sont surtout des vaccins inactivés), et ils n’ont jamais été utilisés à une échelle aussi grande qu’est ou sera celle de la vaccination contre la Covid-19.  D’autre part, j’ai le regret d’apprendre au Pr. Fischer qu’une étude publiée en avril 2020 révèle l’apparition d’un virus recombinant (à ARN) de la bursite infectieuse chez le poulet entre une souche infectieuse naturelle et une souche vaccinale atténuée (Wu et al-2020).

Soit M. Fischer ignore tout cela et c’est grave, soit il ment délibérément et c’est… grave.

5) Les vaccins ont deux fonctions potentielles, l’une individuelle (protéger l’individu contre le risque de maladie au cas où il serait contaminé par le virus), l’autre collective (contribuer à la formation d’une immunité collective, ce que le gouvernement présente comme la clef exclusive pour sortir des mesures restrictives de libertés). Commençons par la première, qui pose elle-même plusieurs questions. J’en vois au moins quatre. La première est : quelle est selon vous la nature et le degré de protection individuelle que procurent ces nouveaux vaccins face au risque de développer une maladie après contamination ? Les publications préparées par les industriels pharmaceutiques qui commercialisent ces vaccins parlent de 70 à 90%, voire 95% d’efficacité contre le risque de maladie plus ou moins grave. Est-ce la réalité ou du marketing ?

C.V. — Concernant l’efficacité des vaccins, il faut bien savoir de quoi on parle. D’abord, efficacité contre quoi : forme grave, toutes les formes, contamination ? C’est le plus souvent le flou le plus complet. Pour mesurer directement l’efficacité d’un vaccin anti-Covid, il faudrait inoculer volontairement le virus à un échantillon de personnes, ce qui est bien évidemment totalement exclu pour des raisons éthiques alors qu’il n’existe pas de traitement curatif de la maladie. Ce que mesure l’efficacité d’un vaccin, ce n’est donc pas le risque de développer la maladie ou une de ses formes graves. Dire qu’un vaccin est efficace (par exemple vis-à-vis des formes graves) à 90% ne signifie pas que la population vaccinée est protégée à 90%. Cela ne signifie pas non plus que 90% des personnes vaccinées sont protégées. Ce que mesure l’efficacité annoncée du vaccin, c’est en fait la réduction du risque de développer la maladie en étant vacciné par rapport à la population non vaccinée. Imaginons par exemple que la probabilité de développer une forme grave dans la population non vaccinée soit de 1 pour 1000, alors elle serait de 1 pour 10 000 parmi la population vaccinée (avec un vaccin dont l’efficacité est de 90%). Autrement dit, un vaccin efficace à 90% diminue par 10 la probabilité d’être malade par rapport à la population non vaccinée. Notons enfin que le calcul de l’efficacité d’un vaccin devrait toujours être accompagné de la donnée d’un intervalle de confiance de cette valeur.

Enfin, se pose la question des protocoles ayant permis d’établir ces valeurs d’efficacité annoncées, et notamment des populations concernées. S’agit-il de personnes en bonne santé, de personnes présentant des comorbidités, de jeunes, de personnes âgées, ou d’une moyenne des efficacités sur l’ensemble de ces populations ? On nous gargarise avec des chiffres sans nous apporter la moindre explication et en comptant sur l’imaginaire collectif pour une surinterprétation positive de leur signification.

6) La seconde question concerne à mon sens les populations-cibles de la vaccination et les risques d’effets secondaires. Est-il raisonnable de vacciner toute la population ? N’y a-t-il pas des risques particuliers d’effets secondaires majeurs pour certaines personnes immunodéprimées, cardiques ou encore pour les femmes enceintes ? Quelle est la nature et l’ampleur de ces effets secondaires à votre connaissance ? Pensez-vous qu’ils sont correctement comptabilisés par les centres de pharmacovigilance ?

C.V. — Cette question fait le lien avec celle des protocoles soulignés ci-dessus : quelles sont les populations qui ont été testées dans le cadre de la phase III des essais cliniques ? Étant donné que la durée de cette phase III avant l’autorisation provisoire de mise sur le marché est extrêmement courte, on ne peut compter que sur les données émanant de l’essai grandeur nature que représente la phase de vaccination elle-même. Cela soulève donc la problématique du suivi post-vaccinal. Or, force est de constater que nous ne disposons pas de registres permettant d’assurer ce suivi de façon précise, et population par population (sexe, âge, indice de masse corporelle, comorbidités ou non, personnes allergiques, personnes immunodéprimées, femmes enceintes, etc.). Cela supposerait de devoir remplir un questionnaire très détaillé avant la vaccination, en particulier dans les « vaccinodromes » où les patients sont inconnus des personnels de santé effectuant cette vaccination. Au CRIIGEN, nous sommes particulièrement sensibles à cette question de registres que nous réclamons depuis longtemps pour pouvoir établir, par exemple, d’éventuelles corrélations, région par région, entre l’utilisation de certains pesticides et l’émergence de tel ou tel type de cancers ou autres maladies chroniques. Certes, les corrélations ne sont jamais des preuves mais constituent des pistes qui peuvent alors être creusées afin d’établir la réalité ou non du lien.

Et dans le cas des vaccins anti-Covid-19, la difficulté de cette absence de registre est encore aggravée par le fait que beaucoup de personnes ayant reçu une première injection du vaccin d’AstraZeneca exigent un autre vaccin pour la seconde injection en raison d’importants effets secondaires. Cela complique encore considérablement le suivi. Si on ne peut pas en vouloir aux personnes en question, cela montre une fois de plus qu’on est allé trop vite en autorisant un vaccin sans en apprécier l’ampleur des effets secondaires, au point de ne pas anticiper le refus par les patients de la seconde dose.

7) La troisième question est à mon sens celle de la contagiosité. Après l’argument de la protection individuelle contre le risque de maladie, l’argument central de la vaccination générale est celui au terme duquel il faut se vacciner pour protéger également les autres. Alors, être vacciné empêche-t-il de transmettre le virus lorsqu’on l’a attrapé ? L’IHU de Marseille a déjà signalé que ce n’était pas le cas et qu’ils avaient bien des patients vaccinés qui font ensuite des formes plus ou moins graves de Covid. Qu’en pensez-vous ?

C.V. — De toute évidence, la vaccination qui nous est proposée n’empêche pas la transmission. Non seulement des personnes vaccinées développent la Covid comme cela a effectivement été rapporté par l’IHU, mais l’OMS elle-même recommande que les personnes vaccinées continuent à porter le masque et à appliquer les gestes barrière. Cela signifie que le groupe des vaccinés et le groupe des contaminés se chevauchent, ce qui augmente encore plus le risque de recombinaison virale (entre le virus infectant et le matériel génétique vaccinal) mentionné précédemment.

Par ailleurs, 80% des personnes porteuses du virus étant asymptomatiques, il serait important, afin de limiter ce chevauchement entre contaminés et vaccinés, de faire une détection systématique avant vaccination, ce qui n’est pas le cas. Il serait pourtant facile de mettre ce système en place, notamment dans les « vaccinodromes » avec d’abord un poste de détection rapide (tests antigéniques) puis un poste de vaccination pour celles et ceux qui s’avèrent être négatifs au premier poste.

8) La quatrième question est celle des effets de la vaccination sur la vie des virus. Nous savons que les coronavirus sont des virus qui ont la propriété de pouvoir se recombiner facilement et de créer des variants ou des mutants. L’IHU de Marseille est le premier à en avoir parlé en France, dès la fin de l’été 2020, et à suivre de très près l’évolution de ces variants ou mutants. Mais la vaccination a-t-elle aussi des conséquences sur ces évolutions ?

C.V. — Tout d’abord, permettez-moi une petite clarification : tous les mutants sont des variants mais tous les variants ne sont pas des mutants. Pour « varier », et ainsi échapper au système immunitaire, un virus a deux solutions : muter ou recombiner (l’une n’étant d’ailleurs pas exclusive de l’autre).

Les mutations se produisent au moment de la réplication (recopie) du matériel génétique viral à l’intérieur des cellules infectées. L’enzyme en charge de cette réplication est fournie par le virus et commet un certain nombre d’erreurs (mutations), surtout lorsque le matériel génétique viral est de l’ARN. L’ARN est constitué de l’enchainement de 4 molécules que l’on désigne par leurs initiales respectives, à savoir quatre lettres : A, G, C, U. Il arrive que l’enzyme en charge de la réplication du génome viral mette un G à la place d’un A, un C à la place d’un U, etc. Les variants qui en résultent sont alors des mutants.

L’autre possibilité, pour un virus, de varier est la recombinaison comme expliqué dans ma réponse à la question 4. Les variants qui en résultent sont alors des recombinants.

Si les mutations ou les évènements de recombinaison ont lieu dans la séquence qui code la protéine Spike, cette protéine sera alors modifiée et pourra, le cas échéant, ne plus être reconnue par les anticorps dirigés contre la protéine d’origine. On parle d’échappement immunitaire.

Contrairement à ce qu’on entend très souvent, les coronavirus mutent peu par rapport à d’autres virus à ARN, et ceci malgré le fait que le génome des coronavirus est plus grand que celui des autres virus à ARN. A titre d’exemples, le génome du VIH (virus du sida) est constitué de 10 000 lettres (A, G, C, U) ; celui de la grippe : 13 500 ; le virus Ebola : 19 000 ; et les coronavirus : 31 000 lettres. En théorie, plus le génome est grand, plus la probabilité de faire des erreurs lors de la recopie est élevée. Les coronavirus échappent à cette règle car l’enzyme responsable de la réplication de leur génome est dotée d’un système de détection et de correction des erreurs. Cela ne veut pas dire qu’ils ne mutent pas (ce système de détection et de correction n’est pas efficace à 100 %), mais ils mutent peu. En revanche, comme cela a déjà été mentionné en réponse à la question 4, les coronavirus sont les champions de la recombinaison, et c’est le principal mécanisme qui leur permet d’échapper au système immunitaire.

Et comme expliqué précédemment, la vaccination génétique n’est pas neutre sur la capacité de Sars-Cov2 à varier puisque les vaccins génétiques font courir le risque d’augmenter l’apparition de variants par recombinaison (entre le matériel génétique vaccinal et le génome d’un virus infectant). Et cela est vrai pour tous les vaccins génétiques, qu’ils soient à ARN ou à ADN. Dans le cas des vaccins tels que celui d’AstraZeneca utilisant un virus à ADN pour délivrer le matériel génétique vaccinal, celui-ci sera, une fois dans la cellule, converti en ARN (codant la protéine Spike), lequel pourrait bien sûr recombiner avec un virus infectant à ARN de la même manière que quand le matériel génétique vaccinal est directement de l’ARN.

De plus, dans le cas des coronavirus au moins, il s’avère que le mécanisme de recombinaison passe par des portions d’ARN correspondant à une réplication partielle d’un virus parental (Makino et al, 1986). Avec l’ARN vaccinal, on fournit directement une portion d’ARN viral, ce qui représente donc un facteur de facilitation pour ces évènements de recombinaison. Par ailleurs, la recombinaison entre un virus infectant et un fragment seulement du matériel génétique d’un virus apparenté a largement été observée chez les plantes transgéniques dans lesquelles a été volontairement introduit un gène viral, et infectées par un virus apparenté (Lommel and Xiong, 1991 ; Gal et al, 1992 ; Green and Allison, 1994 ; Wintermantel and Schoelz ; 1996 ; Frischmuth and Stanley, 1998 ; Borja et al, 1999 ; Adair and Kearney, 2000 ; Varrelmann et al, 2000 ; Latham and Steinbrecher, 2004).

9) Se pose enfin la question de la stratégie de l’immunité collective. Vous expliquez dans votre dernière vidéo que la vaccination générale en période de pandémie est une erreur stratégique majeure. Pourquoi ? Est-il par ailleurs utile et raisonnable de vacciner massivement les enfants au regard des quatre points que nous venons d’évoquer ?

C.V. — En période de pandémie, par définition, le virus circule. Il y a donc émergence de variants (qu’il s’agisse, de manière générale, de mutants ou de recombinants). Si ceux-ci sont moins virulents que la souche d’origine et tout aussi bien neutralisés par les anticorps, tout va bien. Mais si ces variants échappent à l’immunité acquise (naturelle ou vaccinale) contre la souche d’origine, ils vont pouvoir proliférer et d’autant plus que la souche d’origine est freinée par la vaccination de masse. Le variant a alors la voie libre car la souche d’origine ne peut rentrer en compétition avec lui. Autrement dit, en vaccinant massivement en période de pandémie, on crée une pression de sélection en faveur des variants. En quelque sorte, on crée avec la vaccination de masse vis-à-vis des variants la même situation qu’avec l’utilisation intempestive d’antibiotiques vis-à-vis des bactéries résistantes aux antibiotiques : celles-ci ont la voie libre car toutes les bactéries sensibles sont décimées et ne peuvent donc plus « occuper le terrain » et limiter la prolifération des résistantes.

Par conséquent, en admettant que les vaccins soient sûrs et efficaces, il faut bien sûr vacciner mais seulement une frange de la population (les plus vulnérables vis-à-vis du virus), et surtout pas ceux qui permettent au virus d’origine de circuler sans en être victimes. Or cette population existe — et c’est une aubaine — : ce sont les jeunes. Il est donc stupide de vouloir vacciner les populations non sensibles, et notamment les jeunes, au prétexte que des variants circulent. Il faut faire exactement le contraire. Cela ne veut pas dire qu’il ne faudra jamais les vacciner, mais pas avant que nous soyons définitivement sortis de la pandémie.

C’est la raison pour laquelle, au lieu d’assister à une véritable compétition puérile entre les pays pour savoir qui aura vacciné le plus en un minimum de temps, la vaccination devrait être coordonnée à l’échelle mondiale en définissant, pays par pays, région par région, des pourcentages de personnes à vacciner. Mais pour cela, il faudrait disposer d’une structure qui pourrait, par exemple, s’appeler « Organisation Mondiale de la Santé »…

10) Lorsque l’on met en garde contre le marketing des industriels, en rappelant que leur objectif premier est de gagner un maximum d’argent, on est rapidement taxé de complotisme. La question me semble pourtant majeure. Comment décririez-vous le poids, l’influence et les stratégies de ces industries sur les gouvernements et sur l’OMS aujourd’hui ?

C.V. — Il s’agit de stratégies extrêmement agressives, subies par l’OMS et les états, et dictées par les profits et des visions à court terme. Or le temps que demande la sécurité sanitaire et environnementale est incompatible avec l’urgence des brevets et des profits. C’est vrai dans le domaine des vaccins, c’est vrai également dans celui des OGM, des pesticides et autres perturbateurs endocriniens.

Si leur objectif premier n’était pas le profit, ils auraient renoncé aux brevets et les vaccins seraient, comme ils le devraient, des biens communs. Si dire cela relève du complotisme, alors disons que les industriels qui produisent les vaccins sont des philanthropes…

11) Dans le même ordre d’idées, à votre connaissance, quels sont les liens entre les industries de la génétique, de la recherche sur les OGM (ou leurs nouveaux noms) et l’industrie pharmaceutique ?

C.V. — Ce sont les mêmes. Je me souviens avoir vu un documentaire (dont j’ai malheureusement oublié le titre) où l’on nous montrait, entre autres, un ouvrier victime dans son entreprise d’une intoxication avec un produit de chez Bayer. Un peu plus tard, on le retrouve dans son lit d’hôpital avec une poche de perfusion étiquetée « Bayer »…  Encore du complotisme ?

12) Finalement, on comprend que le projet de vaccination générale présenté comme la solution miracle, ce qui allait nous sauver du danger et nous permettre de « retrouver une vie normale », constitue une idéologie simpliste voire dangereuse. Plusieurs maladies classiques et majeures comme le Sida, le paludisme et la tuberculose n’ont jamais trouvé de vaccin. Que pensez-vous des mesures thérapeutiques alternatives, en particulier les traitements précoces ?

C.V. — On ne peut effectivement que déplorer cette politique qui consiste à mettre tous les œufs dans le même panier, celui des vaccins. Bien sûr que les vaccins peuvent s’avérer être une solution et il ne faut pas le négliger. Mais le problème est que c’est exclusif et au détriment de toute autre stratégie. C’est là encore une erreur ! Si, pour le VIH par exemple, on avait tout misé sur le vaccin, on ne disposerait pas aujourd’hui de la trithérapie qui a largement fait ses preuves.

Face à une telle situation, il ne faut rien négliger et ne se fermer aucune porte. On ne peut que s’interroger face à l’attitude qui a consisté à balayer d’un revers de main les pistes basées sur des molécules connues depuis longtemps telles que l’hydroxychloroquine couplée à l’azythromycine, ou l’ivermectine. On voit bien là qu’il s’agit de choix et décisions bien plus politiques et économiques que sanitaires : des molécules connues et administrées depuis 50 ans deviennent tout d’un coup dangereuse et des vaccins pour lesquels on a aucun recul sont sûrs et sans risque. Sur quelle rationalité scientifique reposent ces choix ? D’autres pistes semblent également totalement ignorées telles que, par exemple, celle du BHT (butylated hydroxytoluene), molécule dont l’efficacité d’inactivation des virus enveloppés est connue depuis longtemps et a fait notamment l’objet d’une publication dans la fameuse revue Science (Snipes et al, 1975).

Les États ont débloqué d’importantes sommes pour les laboratoires travaillant à la mise au point de vaccins au détriment des laboratoires explorant des thérapies (préventives ou curatives) alternatives.

13) Lorsque l’on étudie la mortalité liée à la Covid, on comprend rapidement que ce n’est pas du tout une menace pour l’humanité entière comme le prétendait le directeur général de l’OMS au début de la pandémie, ce qui a effrayé le monde entier. En réalité, la Covid ne tue essentiellement que des personnes extrêmement âgées et/ou des personnes déjà très malades pour d’autres raisons telles que des cancers ou des diabètes et de l’hypertension liées à l’obésité. Cela ne nous ramène-t-il pas à votre point de départ au CRIIGEN ? C’est-à-dire que cette mortalité, qui concerne tout particulièrement les pays occidentaux les plus riches de la planète, n’est pas en fin de compte directement liée voire caractéristique de notre mode de vie ?

C.V. — Dès 2008, l’OMS alertait sur les maladies chroniques qui étaient alors (et ça ne s’est pas arrangé depuis) responsables de 63% des décès dans le monde, soit 36 millions de morts, dont 29% avaient moins de 60 ans. Imaginez un instant si M. Salomon venait tous les soirs nous faire le bilan des morts de maladies chroniques, les chiffres annoncés seraient sans aucune commune mesure avec ceux qui nous ont été annoncés quotidiennement dans le cadre de la Covid-19. Il ne s’agit pas là pour moi d’opposer des morts à d’autres, mais force est de constater que, pour nos instances, tous les morts n’ont pas la même valeur. Et pourtant, Covid-19 et maladies chroniques ne sont pas déconnectées : si toutes les personnes atteintes de maladie chroniques ne sont pas victimes de la Covid-19, la plupart des victimes de la Covid-19 sont elles atteintes de maladies chroniques. En d’autres termes, le virus Sars-Cov2 n’est pas un virus tueur : il porte l’estocade finale à des personnes déjà fragilisées car atteintes de pathologies chroniques : les fameuses « comorbidités »…

Il est donc urgent de s’attaquer de près aux causes des maladies chroniques dont nous savons qu’elles ne sont ni génétiques ni infectieuses. Il n’y a en effet aucune loi de la génétique classique qui permette de rendre compte d’une telle explosion sur des temps aussi courts (à travers un nombre très faible de générations), tout comme il est clair que dans la grande majorité des cas, ces pathologies ne sont pas dues à un agent infectieux (virus ou bactérie). Non, nous le savons, la cause est environnementale : cette recrudescence de maladies chroniques s’explique notamment pas les nombreuses pollutions chimiques, et en particulier les pesticides et autre perturbateurs endocriniens omniprésents dans l’air qu’on respire, dans notre habitation, dans notre alimentation. La Covid-19 n’est que le révélateur de cette autre pandémie silencieuse contre laquelle aucune disposition forte n’est pourtant prise, ni à l’échelle nationale, ni à l’échelle mondiale.

Se prémunir de la Covid-19 aujourd’hui ou d’une autre maladie infectieuse demain passe par la lutte contre les pollutions chimiques. Or, c’est malheureusement toute la stratégie contraire à laquelle nous assistons. Nous étions déjà (dans le « monde d’avant ») obsédés par l’hygiène pasteurienne, au détriment de l’hygiène chimique. Cet épisode de la Covid-19 n’aura fait que décupler l’obsession du postillon et de la poignée de porte et nous désintéresser encore un peu plus de tous les poisons qui nous entourent. Mieux, cette pandémie est un prétexte et la porte ouverte à de plus grandes contaminations chimiques : on désinfecte à tout va, les tables, les sièges, les plans de travail, les portes, les rues et même les plages (!!) sans se préoccuper de la composition des produits utilisés et de leur dissémination dans nos intérieurs et dans l’environnement.

Vouloir résoudre la question de la Covid-19 sans s’attaquer à ce problème de santé globale n’est que vernis sur des ongles sales. Aujourd’hui, c’est la Covid-19, demain ce sera une autre maladie virale ou bactérienne mais les victimes seront toujours les mêmes : celles des maladies environnementales.

On nous a souvent parlé à propos de la Covid-19 du « monde d’après ». Or force est de constater qu’on ne tire aucune leçon de cet épisode. Oui, Il y aura bien un « monde d’après » : il sera pour l’essentiel comme le « monde d’avant », mais après… et pire !

14) Votre analyse critique est aujourd’hui presque inaudible dans le débat public. Vos vidéos YouTube ont été victimes de censure. Vous êtes quasiment absent dans l’ensemble des médias, ce qui n’a pas toujours été le cas. Je présume que d’aucuns n’ont pas tardé à vous cataloguer en « complotiste » afin de mieux écarter vos arguments (c’est l’argument favori des défenseurs de la doxa). Pouvez-vous nous raconter un peu ce mépris et cette censure tels que vous les avez vécus ces derniers mois ?

C.V. — J’ai déjà connu la censure, en particulier dans le monde scientifique, notamment autour de la question des OGM. Mais je dois avouer que, là, ça dépasse l’entendement. Que l’on ne soit pas d’accord en science, ce n’est pas grave et c’est même sain. La contradiction est ce qui fait respirer la démocratie, et on en a besoin en science comme ailleurs. On devrait pouvoir se mettre autour de la table et discuter, sans invectives, et prendre en considération tous les avis. En science c’est la culture du dissensus qui doit prévaloir, et non la recherche du consensus à tout prix. L’histoire des sciences nous a souvent montré qu’être seul à défendre une thèse n’est pas synonyme d’avoir tort. Le seul tort de ces scientifiques souvent isolés est d’avoir eu raison trop tôt. Mais là encore, on en tire aucune leçon. Et face au manque d’arguments à opposer, on a recours à l’éviction, à la censure, orchestrée ou relayée par l’essentiel des médias qui n’hésitent pas à déformer les propos desdits scientifiques ou médecins afin qu’on puisse aisément leur coller l’étiquette d’antivax ou de complotistes.

Par exemple, dans un article de l’Express du 6 janvier dernier intitulé « Vaccins modifiant notre génome, itinéraire d’une fake news », les deux auteurs me font dire que « l’ARN des vaccins de Pfizer-BioNTech ou Moderna pourrait s’insérer dans notre génome et nous transformer en OGM »Or c’est un mensonge, je n’ai jamais dit que l’ARN pouvait s’intégrer dans l’ADN et donc dans nos chromosomes : je dis même clairement, tant dans ma note d’expertise que dans la vidéo didactique que j’ai faite en décembre 2020, que ce n’est pas possible (sauf, éventuellement, s’il était préalablement converti en ADN, comme mentionné en réponse à la question 4). Quant au lien avec les OGM, c’est également une totale déformation de mes propos. Ma note d’expertise s’intitule « Note d’expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM », ce qui n’a évidemment rien à voir avec le fait de nous transformer en OGM. Les vaccins génétiques à ARN (Pfizer-BioNtech et Moderna) ou à ADN (AstraZeneca, Sputnik V, ou Johnson& Johnson) sont effectivement des vaccins s’appuyant sur les biotechnologies (ou technologies OGM). Dans le premier cas, l’ARN vaccinal correspondant à la partie du matériel génétique de Sars-Cov2 codant la protéine Spike, est un ARN de synthèse modifié pour augmenter sa stabilité, optimiser la production de la protéine Spike dans les cellules humaines, et optimiser l’immunogénicité de cette protéine. Dans le second cas, le vecteur utilisé pour délivrer le matériel génétique vaccinal dans les cellules de la personne à vacciner est bien un virus (adénovirus) génétiquement modifié comme je l’ai expliqué dans la réponse à la question 3. Et c’est bien pour cela que la directive européenne 2001/18 qui légifère les OGM a été modifiée en août dernier par le règlement européen 2020/1043 dont les articles 2 et 3 permettent à tout essai clinique de médicaments contenant des OGM ou consistant en de tels organismes, et destinés à traiter ou à prévenir la Covid-19, d’échapper aux évaluations préalables sur la santé et l’environnement prévues pour les OGM.

Et la plupart des autres organes de presse de répéter bêtement et aveuglément à l’unisson les inepties de leurs confrère et consœur de l’Express sans même prendre le soin de mener la moindre enquête et de vérifier les sources, ni même de me contacter. Tous ces prétendus journalistes se comportent comme un troupeau de brebis effrayées : la première (ceux de l’Express) sort de l’enclos tête baissée à travers le grillage en piétinant tout sur son passage, et toutes les autres empruntent le même chemin alors que la porte de l’enclos est grande ouverte. Et je m’excuse auprès des brebis pour cette métaphore. Ces prétendus journalistes sont au journalisme ce que Gérard Depardieu est à la diététique. Nous sommes dans une dictature de la pensée et cela m’inquiète beaucoup plus que la Covid-19.Recommandé (24)




Sur la toxicité de la Secte HA! : contribution à sa décantation

Par Lucien Samir Oulahbib

Ah ! La Secte HA! (Hygiéniste-Affairiste) — le point d’exclamation exprime le fait qu’elle accentue en permanence et avec frénésie paranoïaque sa hargne (séculaire, en fait) contre toute objection ou critique considérée par elle comme un complot ou une hérésie provenant, au 21e siècle, d’« antivax » et autres « anti-éoliennes ».

Elle VEUT (comme au temps de l’Inquisition et des procès totalitaires passés présents et à venir) que sa propagande pseudo-médicale et environnementale se déploie sans accroc par la méthode bien connue en manipulation psychologique de « punition-récompense » (carotte : liberté conditionnelle d’aller et venir, boire, manger, se chauffer. Bâton : menace d’obligations et de coupures en agitant quelques figurines grecques, comme dans La Caverne de Platon : Delta, Gamma…) alors que cette pratique d’ingénierie sociale (cataloguée d’« altruiste », mais oui : les c… osent tout…) reste non seulement toujours illégale pour des substances ayant une AMM conditionnelle (il faut 15 ANS pour l’obtenir « normalement »), mais surtout illégitime puisque nous avons les traitements qu’il faut (mais oui) pour cette syndémie peu létale hors maladies chroniques liées justement à un contexte donné de co-morbidités et de maltraitance sanitaire (d’où le préfixe « syn » comme dans synchronie).

La Secte HA! déploie donc sa Milice d’aboyeurs traitant les gens, simplement prudents et désireux de mesures proportionnées, de personnes « incurables » (dixit Enthoven, Lilliputien osant se réclamer de Montaigne) qu’il s’agit dans ce cas d’éliminer en prochaine étape s’il n’est pas possible de piquer de force ces « racailles » (dixit Onfray) et autres « passagers clandestins » (selon un éditorial du « journal » Le Monde) puisque « nous perdons patience » clame une autre fausse féministe désireuse de se faire un nom aussi dans ce secteur somme toute pas si éloigné de la toute puissante technologie Trans (PMA pour qui veut, GPA, Trans/es divers-es) ou comment bien manipuler la technologie scientifique à des fins de plus en plus délirantes. Les masques tombent (tout en étant exigés pour préserver les apparences de cette duperie).

Mais comment éliminer les « incurables »? Surtout s’ils sont taxés de « nocifs » (c’est « à cause d’eux » que…). Déjà, en les tuant médiatiquement : un contre dix, s’ils sont éventuellement « invités » dans quelques rares émissions alibis, tout en leur assénant sur des plateaux menés au fouet par des Miliciens HA! (Naulleau, par exemple) des contre-vérités avec de faux chiffres, puisque les taux d’incidence, par exemple, sont calculés sur des tests (surévalués en plus) et non sur des malades effectifs, tandis que les personnes en « réa » expriment seulement le fait qu’elles n’ont pas été soignées de manière précoce parce que l’on ne laisse pas les médecins prescrire des médicaments qui ont été mis précisément à l’index, car autrement toute l’expérimentation actuelle tomberait à l’eau (phase 3.3 d’une AMM) ; sans parler d’une mise en « réa » hâtive (il existe plusieurs paliers : observation, soins intensifs, réa…) et d’un manque drastique de lits (refus d’une synergie entre public et privé comme on l’a vu il y a dix-huit mois à Nancy, Strasbourg…).

Ensuite, il s’agit de « les » tuer professionnellement, d’écarter par exemple des médecins non pas à cause de ce qu’ils font, mais de ce qu’ils sont, comme soigner autrement que par du paracétamol (qui a un taux d’effets secondaires supérieur à celui de l’hydroxychloroquine) ou alors parce qu’ils ont eu cent pour cent de résultats (zéro morts, très peu d’hospitalisés lorsque c’est pris de façon précoce) : « je ne pouvais pas les laisser mourir » écrivit l’un d’entre eux alors que les miliciens activaient le bûcher médiatique pour le brûler à « bas bruit »….

Enfin, il faut sur le plan académique (afin de faire taire les savants byzantins regardant de haut tout ce raffut « humain trop humain ») peaufiner le faux dogme de l’exhaustivité statistique (battue en brèche par Russel et Whitehead dans les années 1910-1913) ou son contraire – l’exponentielle inductive (prolonger indéfiniment des courbes ascendantes ce qui est illogique comme le démontre actuellement sur un exemple donné Vincent Pavan ou encore Pierre de « décoder l’éco » également ici sur FranceSoir) – en considérant d’une part qu’il faudrait d’abord tout connaître sur cette maladie avant de la soigner (pourtant cette précaution n’est pas prise dans les actuelles injonctions d’injections expérimentales) et ensuite penser qu’il serait possible de « l’éradiquer » comme s’il s’agissait d’une maladie à haute mortalité…

De plus, ces deux (pseudo) arguments ne tiennent pas en pratique médicale : il faut en effet soigner, et tout de suite, comme dans une médecine de guerre (ne nous avait-on pas dit pourtant : « nous sommes en guerre » ?) et donc employer des moyens qui ont fait empiriquement leurs preuves comme l’ont proposé certains médecins intègres et s’appuyant aujourd’hui sur des centaines d’études et des milliers de gens guéris.

On le voit, la Secte HA! n’a que faire de la réalité, de la vérité, surtout empirique (pour eux le réel doit être simulé : effacé puis restauré autrement comme l’a démontré Jean Baudrillard). Il est pourtant dommage que face à une telle déferlante, parmi les amis de la liberté, de la tolérance, de la justice, de l’égalité et de la fraternité, bref de ce qui fait d’un « nous » une « nation », certains divisent, condamnent, montrent du doigt, comme le fait un Richard Boutry dans un rassemblement en attaquant le directeur de FranceSoir parce que celui-ci ne le suivrait pas dans sa prochaine aventure médiatique (à partir de 1 h 50). C’est bien regrettable, alors que devant l’ennemi les rangs doivent tenir et que les dissensions d’ordre tactique doivent être écartées, du moins si l’on ne veut pas servir de cheval de Troie…

Car l’offensive de la Secte HA! ne fait que commencer, se donnant comme objectif, on le sait maintenant de mieux en mieux, ce « Grand Reset » qui modélise le monde humain et sa chair en autant de cibles marketing, ce qui est là une déviation de l’esprit dit « libre » qui avait pour objet, par exemple chez Descartes, Pascal, mais aussi Locke comme Rousseau et Kant, de permettre que chacun puisse acquérir des connaissances et soit à même de vivre en pratique cette liberté qui se nourrit d’altérité et non pas d’uniformité (aujourd’hui la théorie du « sans » ou du « trans »), car c’est en se confrontant au contraire de la Liberté, à savoir la Limite, que l’on arrive à se forger un visage (et aussi décanter ami et ennemi…).

Par exemple le Visage de la France… Ne laissons pas des infâmes en effacer la trame au lieu de l’enrichir (alors que les milliers d’années passées nous « contemplent »).

Il est également dommage que Didier Raoult soit obligé de se sacrifier pour sauver la casse de l’IHU, selon certaines sources [par exemple : RT en français], en se ralliant à l’idée de piquer les soignants avec une substance expérimentale. S’il avait pu résister, une chaîne humaine se serait constituée pour protéger l’institut. Un véritable combattant est tombé. Saluons son sacrifice.




Kennedy s’en prend à Anthony Fauci, le tsar de la mafia médicale qui contrôle la réponse à la pandémie

[Source : childrenshealthdefense.eu]

Si Robert F. Kennedy, Jr. a décidé de consacrer un livre à Anthony Fauci, ‘expert Covid’ n°1 aux Etats-Unis, c’est parce que ce médecin est aujourd’hui l’homme plus influent sur des politiques de santé au service d’une prise de contrôle géopolitique de la planète. Directeur du NIAID l’institut de recherche sur les maladies infectieuses et membre conseil ou administrateur de nombreux autres instituts, Fauci a conseillé 6 présidents, gérant des budgets colossaux de plusieurs dizaines et même centaines de milliards de dollars. Partenaire de longue date de Bill Gates, le tsar de la mafia médicale est aujourd’hui accusé par le médecin et sénateur Rand Paul d’avoir soutenu et subventionné les recherches de ‘gain de fonction’ aux États-Unis, avant que celles-ci ne soient interdites. Son institut a pourtant continué à financer ces recherches à l’étranger, notamment sur les coronavirus au laboratoire de Wuhan – et ce jusqu’en avril 2020, via un organisme intermédiaire EcoHealth Alliance.

Depuis quelques semaines, suite à une demande officielle de mise à disposition publique de sa correspondance depuis le début de la pandémie,  certains échanges ont révélé l’obstination de Fauci à ignorer les pistes de traitements (l’hydroxychloroquine par exemple), à vanter les mérites du Remdesivir ou à ignorer les interpellations de scientifiques confirmant la piste d’un virus manipulé en laboratoire.

Kennedy explique dans cette interview comment Fauci a pris le contrôle de la santé publique aux Etats-Unis et ailleurs, en partant de sa tentative d’appropriation de la découverte du sida avec son comparse Robert Gallo, pour faire de la santé publique ‘une machine à fric’ au service de l’industrie du médicament. Pour Kennedy, Fauci est un criminel, responsable de la mort de milliers de personnes et sa place est derrière les barreaux.

Nous sommes aujourd’hui à un moment critique de notre histoire. Fauci et Gates ne sont pas les seuls acteurs à remettre en cause.  C’est tout un réseau d’influence qu’il faut aujourd’hui démanteler et juger, au sein des commissions nationales en Europe et ailleurs, et des agences de santé et organisations internationales dirigées par l’industrie et la finance.

Une interview à regarder, un livre à commander (en anglais pour l’instant) et surtout… un dossier à compléter et une affaire à suivre. Merci de partager!



Transcription :

Senta Depuydt : [00:00:00] Bonjour à tous, je suis Senta Depuydt et je représente Children’s Health Defense en Europe. Aujourd’hui, j’ai l’honneur et le privilège d’interviewer notre président, Robert F. Kennedy Jr. sur son nouveau livre, The Real Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma on the Global War on Democracy and Public Health. M. Kennedy, je regardais aujourd’hui votre livre sur Amazon, et je vois qu’il est parti pour être un best-seller. Alors qu’est-ce qui se passe ? Est-il déjà en rupture de stock ? Dites-nous.

Robert F. Kennedy, Jr. : [00:00:40] Eh bien, vous savez, j’ai commencé à écrire le livre au début de l’été dernier. Et j’essayais vraiment d’informer les Américains, parce que c’est très pénible pour moi. Tony Fauci est cette figure très polarisée. Il a été l’incarnation de la polarisation, le genre de tribalisme qui se passe aux États-Unis. Où tous les républicains ont… beaucoup d’entre eux se sont engagés dans le tribalisme en suivant le président Trump et les démocrates en suivant Anthony Fauci. Et ce qui est affligeant pour quelqu’un comme moi, c’est que le parti démocrate et le libéralisme dans lequel j’ai grandi… beaucoup de libéraux traditionnels ont abandonné leurs valeurs traditionnelles. Les valeurs avec lesquelles nous avons tous grandi, les valeurs libérales de la pensée critique, des droits constitutionnels, de la liberté d’expression, de l’application régulière de la loi par les procès avec jury, de la justice, de la tolérance, de la patience et de toutes ces choses, ainsi que de la curiosité intellectuelle et de l’intégrité intellectuelle. Toutes ces choses ont maintenant été abandonnées. Il n’y a plus de pensée critique. Nous sommes de nouveau immergés dans une sorte de tribalisme où si Tony Fauci dit quelque chose, cela doit être vrai. Si Donald Trump dit quelque chose, c’est forcément faux et vice versa. Et personne ne fait vraiment preuve d’esprit critique. Et aux États-Unis, vous savez, j’ai vu le parti libéral, qui a toujours été le champion des droits constitutionnels, s’éloigner de tous nos droits constitutionnels. Ils sont devenus les défenseurs de la censure. Et, vous savez, le premier amendement était sacré pour les libéraux et les démocrates. Quand j’ai grandi, nous nous sommes battus pour que les nazis qui défilaient à Skokie, dans l’Illinois, aient le droit de parler, même si c’était abominable, c’était répugnant, c’était repoussant. Mais tout le monde a le droit de s’exprimer et nous devons avoir confiance dans le processus d’échange d’idées et dans le fait que les politiques et les principes doivent s’épanouir au sein d’une culture du débat et sont les fruits de débats.

[00:03:30] Et ce qui se passe maintenant, c’est que cela devient une entreprise religieuse, et les gens qui soulèvent des questions sur l’orthodoxie sont des hérétiques. Ils doivent être détruits. Ils doivent être réduits au silence. Leurs paroles sont dangereuses. Et parce que nous nous sommes maintenant débarrassés du premier amendement, de la liberté d’expression aux États-Unis, où, vous savez, quiconque qui parle des mêmes choses que moi est censuré. Une fois que vous vous débarrassez de la liberté d’expression, tous les autres droits constitutionnels sont sur la sellette. Les libertés religieuses font partie de la déclaration des droits et des libertés; or nous avons reçu l’ordre du gouvernement de fermer les églises pendant un an, même si les magasins d’alcool étaient ouverts en tant qu’entreprises essentielles. Les magasins d’alcool ne sont pas cités dans la Constitution. En revanche, la liberté de religion est citée dans la Constitution, tout comme les exemptions religieuses et de vaccination qui ont été abolies. Le droit à un procès avec jury a disparu aux États-Unis. Toute entreprise qui peut dire qu’elle est engagée dans des contre-mesures, peu importe son imprudence, sa négligence, qu’elle crée un médicament, un vaccin, des masques ou peu importe la contre-mesure, vous ne pouvez pas la poursuivre, peu importe la gravité de votre blessure, peu importe la négligence de son comportement. Le droit à la propriété a été aboli. Vous savez, nous avons des fonctionnaires du gouvernement, des fonctionnaires médicaux. Et Bill Gates va fermer toutes les entreprises d’Amérique pendant un an, mettre 60 000 entreprises en faillite, dont 70 % d’entreprises appartenant à des Noirs qui ne rouvriront jamais.

SD : [00:05:28] Nous avons les mêmes catastrophes en Europe. Je suis désolée de vous interrompre. Beaucoup d’Européens ne savent pas qui est Anthony Fauci.

RFK, Jr. : [00:05:38] Anthony Fauci, c’est la personne la plus puissante en matière de santé publique dans le monde aujourd’hui. Et il a été à la tête de l’Institut national des maladies allergiques et infectieuses, que nous appelons NIAID, qui fait partie du NIH, qui est l’Institut national de la santé, qui fait partie du HHS, qui est le grand département de la santé, avec vingt-cinq agences de santé différentes sous un seul département fédéral. Et Anthony Fauci est là depuis 50 ans. Il est probablement celui qui a vécu le plus longtemps dans l’histoire de la santé publique; c’est un panjandrum et il est de loin le plus puissant. Son travail au sein de cette agence consiste à apprendre l’idéologie des maladies chroniques et des maladies infectieuses. En d’autres termes, il est chargé par le Congrès de répondre aux questions suivantes : pourquoi l’autisme est-il passé d’1 personne sur 10,000 à 1 garçon sur 22 aujourd’hui aux États-Unis ? Pourquoi l’allergie aux arachides est soudainement apparue en 1989 ? Les allergies alimentaires et l’eczéma. Pourquoi toutes ces maladies auto-immunes sont-elles soudainement devenues épidémiques ? La polyarthrite rhumatoïde, le diabète juvénile, le lupus, etc. Pourquoi avons-nous soudainement une épidémie d’obésité ? Son travail consiste à répondre à ces questions. Il doit nous parler des expositions environnementales. Nous savons que les gènes ne sont pas à l’origine des épidémies. Les gènes peuvent contribuer à des vulnérabilités. Il faut une toxine environnementale, et son travail consiste à déterminer quelle toxine environnementale est à l’origine de cette énorme épidémie. Quand il est arrivé en 1968, seulement 6 % des Américains avaient une maladie chronique. 54% aujourd’hui. Pourquoi cela se produit-il ? La même chose est vraie en Europe, pas de façon aussi grave qu’aux États-Unis, mais la même chose est vraie en Europe. Eh bien, aucun de nos responsables médicaux ne fait les études nécessaires pour trouver la réponse à ces questions.

RFK, Jr. : [00:07:58] Et bien sûr, la réponse à cela est que les produits chimiques qui causent ces blessures sont fabriqués par des entités très puissantes, par des compagnies pétrolières, des compagnies chimiques, par les grandes compagnies alimentaires, et surtout par les compagnies pharmaceutiques. Et les régulateurs ont été capturés par ces industries. Leur travail n’est pas de protéger la santé publique, mais de protéger l’industrie qu’ils sont censés réglementer. Tony Fauci a tenu 50 ans à ce poste parce qu’il a été un bon protecteur de l’industrie pharmaceutique et qu’il a pris l’agence de régulation, qui était la meilleure agence de régulation de santé au monde. Et il en a fait une filiale de l’industrie pharmaceutique. Et pour répondre à votre question, Tony Fauci a été nommé par deux présidents, Trump et Biden, pour diriger la réponse à cette pandémie de Coronavirus. Toutes les contre-mesures que nous avons eu aux États-Unis et qui se sont répandues dans le monde entier, elles proviennent toutes de Tony Fauci : le confinement, la distanciation sociale, les masques, la suppression des médicaments thérapeutiques, et des traitements précoces, de l’Ivermectine, de l’hydroxychloroquine, toute la promotion de médicaments thérapeutiques sans valeur comme le Remdesivir. Toutes ces choses viennent directement de Tony Fauci. Comment ? Quelle est la source de son pouvoir ? La voici. Tony Fauci a un budget de 6,1 milliards de dollars par an. En plus de cela, il reçoit 1,6 milliard de l’armée, car une grande partie de ses activités font appel à la technologie, en d’autres termes, il développe des armes biologiques. C’est ce qu’il faisait avec les études sur le gain de fonctions à Wuhan et dans beaucoup, beaucoup de laboratoires. Oui.

SD : [00:10:14] Pouvez-vous élaborer un peu plus sur ce sujet ? Parce que ce n’est pas vraiment une question que tout le monde veut savoir. Nous avons entendu dire qu’il y a des emails. Vous savez,

RFK, Jr. : [00:10:24] L’histoire est que les États-Unis ont commencé à développer des armes biologiques au début de 1943 pendant la Seconde Guerre mondiale et en 1969, nous avions développé des armes biologiques dans notre pays que le chef du programme d’armes biologiques, David France, qualifiait comme des équivalents nucléaires. En d’autres termes, nous avions des armes biologiques qui pouvaient avoir le même impact qu’une arme nucléaire, une bombe nucléaire. En 1969, Richard Nixon a fermé le programme. Il s’est rendu à Fort Detrick, qui est l’endroit où se trouve le principal centre de recherche sur les armes biologiques aux États-Unis. Il l’a fermé et nous avons signé en 1972 le traité sur les armes biologiques, qui était une extension du traité de Genève. Et nous avons accepté de ne pas stocker d’armes biologiques et de ne pas les développer. Les États-Unis ont donc fermé Fort Detrick. Nous avons fermé tous nos autres laboratoires d’armes biologiques cette année-là. Les militaires voulaient recommencer. Et la CIA, bien sûr, était très impliquée dans les armes biologiques et l’industrie pharmaceutique. Qui était à la tête du programme d’armement américain pendant la Seconde Guerre mondiale ? Et dans les années 50 ? C’était George W. Merck, qui était à l’époque également à la tête de Merck. Donc, l’industrie pharmaceutique était composée des mêmes entreprises qui développaient des armes biologiques. Et cela, bien sûr, est venu de la Seconde Guerre mondiale quand vous aviez les compagnies pharmaceutiques et l’Allemagne qui développaient des armes biologiques, […] développant les gaz qui étaient utilisés pour tuer les juifs à Auschwitz et autres camps de la mort. L’industrie pharmaceutique et l’armée et l’appareil de renseignement voulaient tous avoir une excuse pour relancer les armes biologiques. Et donc en 1988, le mur de Berlin tombe. On nous promet à tous : ok, maintenant nous allons avoir les dividendes de la paix. Nous allons prendre tout l’argent qui était destiné à l’armée et, à la place, nous allons le dépenser pour les écoles, les routes, les soins de santé et l’éducation. Et nous allons faire des États-Unis un endroit exemplaire et brillant avec des monuments d’albâtre, des gens éduqués, etc. Lorsque l’appareil militaire et de renseignement entendirent les mots dividendes de la paix, ils se sont dit que cet argent allait sortir de leurs poches. Ils se sont dit qu’ils devaient trouver un moyen de faire avancer les choses, de continuer à faire ce qu’ils faisaient. Quatre et demi ou cinq ans plus tard, nous avons eu la première attaque du World Trade Center, et c’était en 1993. Et tout l’argent qui était destiné à l’éducation et à l’usage civil a soudainement disparu. Et les intérêts acquis nous poussèrent à dépenser cet argent dans la lutte contre le terrorisme. En 2000, nous avons les attaques du 11 septembre. Et à ce moment-là, des milliards, des dizaines de milliards de dollars se sont déversés dans l’idée que nous devions combattre le terrorisme islamique.

[00:14:35] Les militaires à ce moment-là, ont compris que les terroristes islamiques étaient géniaux parce que c’est un ennemi beaucoup plus fiable que l’Union Soviétique. L’Union Soviétique a plié. Elle s’est retirée. Le terrorisme ne s’arrêtera jamais car ce n’est pas une nation. Ce n’est pas un peuple. C’est une tactique. Et il sera toujours là. C’est donc un ennemi parfait, un ennemi qui ne mourra jamais. Et Dick Cheney a promis une longue guerre qui durera des générations. Et ce serait dans 50 nations ou plus. Dans le même temps, de nombreux planificateurs du renseignement disaient que la sécurité biologique est en fait ce que nous devrions faire à cause du terrorisme. Le terrorisme islamique aux États-Unis tue moins de personnes que la foudre chaque année. Mais ce n’est pas un ennemi dont vous pouvez garder les gens terrifiés pendant longtemps. En revanche, le grand ennemi, ce sont les germes, parce que les germes peuvent entrer dans la maison de tout le monde et tuer votre famille. L’armée et les services de renseignements dont nous disposons, ont tous ces documents où ils parlent de ça de façon  bien plus fiables que moi. Et ils font des simulations et des jeux de guerre sur les pandémies et les attaques biologiques. Il y avait donc un ferment, un intérêt énorme. Et si vous vous souvenez, une semaine après le 11 septembre, très exactement le 4 octobre 2001, donc deux semaines et demie après le 11 septembre.

[00:16:06] Il y a eu une attaque à l’anthrax et l’anthrax a tué sept personnes. Il y avait 17 personnes, dont des sénateurs et des membres du Congrès des États-Unis. Et à ce moment-là, l’anthrax a été attribué à Saddam Hussein. Et c’est une des raisons qui a justifié l’invasion de l’Irak. Mais il s’est avéré, lorsque le FBI a commencé à enquêter, que l’empreinte digitale sur l’anthrax, cet anthrax particulier qui a été utilisé dans l’attaque, provenait de l’armée américaine. Il était donc clair que quelqu’un de l’armée américaine avait quelque chose à voir avec l’envoi de cet anthrax. Et que s’est-il passé ? Des milliards de dollars ont commencé à être dépensés pour la biosécurité. Et Tony Fauci… une partie de la biosécurité est utilisée pour développer les vaccins. Vous vous dites, « eh bien, nous faisons cela de manière défensive, nous développons juste la même technologie que vous utilisez pour développer des vaccins et qui peut être utilisée pour développer des armes biologiques », et cela s’appelle le Gain de Fonction. Et qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que vous envoyez des zoologistes dans le monde entier pour trouver des microbes, des microbes mortels et différents animaux. Et ces microbes ne peuvent pas sauter sur les êtres humains. Ils vont tuer des pangolins. Ils tueront des chauves-souris. Ils tueront des civettes. Ils tueront des chameaux. Mais ils ne tueront pas des êtres humains.

Vous pouvez prendre un microbe dans un laboratoire, et il y a deux façons différentes d’infecter des êtres humains. L’une est d’utiliser la technologie CRISPR. Vous pouvez insérer [00:18:02] de nouvelles parties dans ce microbe qui lui donneront la capacité d’attaquer un poumon humain. Ou alors, vous pouvez le cultiver des milliers de fois, vous le prenez d’une chauve-souris, vous le cultivez sur une culture de pangolin, puis vous les prenez et vous les cultivez sur des cultures de cockers et finalement vous les cultivez sur les poumons d’un fœtus humain. Et vous avez appris à ce microbe à passer de la chauve-souris à la personne. Et cela fait partie de la technologie qui, selon certains, est utile pour les vaccins, bien que cela n’ait jamais été démontré.

Nous savons que cette technologie est utilisée pour les armes biologiques. Quoi qu’il en soit, afin de capter une grande partie de cet argent qui a soudainement commencé à affluer vers les armes biologiques vers 2001-2002, Tony Fauci a commencé à faire ces études de gain de fonction. Il a financé un scientifique appelé Ralph S. Baric, à l’Université de Caroline du Nord. Il a commencé à construire des laboratoires de biosécurité, ce qu’ils appellent des laboratoires BSL, quatre laboratoires, au plus haut niveau de biosécurité. Il a réouvert le laboratoire de Fort Detrick et en a construit un nouveau là-bas. Il en a construit un à Galveston, au Texas, et je crois qu’il en a construit six en tout. La Chine a un de ces laboratoires. Nous en avons une dizaine aux États-Unis. Et Tony Fauci a commencé à financer le travail dans ces laboratoires. Eh bien, vers 2014, un tas d’accidents se sont produits dans ces laboratoires, des microbes se sont échappés. Et ainsi, trois cents scientifiques ont envoyé une pétition au président Obama le suppliant d’arrêter Tony Fauci et ses expériences avant que l’une de ses créatures ne s’échappe et cause une pandémie mondiale. Le président Obama a réagi et a ordonné à Tony Fauci et au NIH d’arrêter les études sur le gain de fonction. Tony Fauci a mis fin à environ vingt et une de ses études, mais il a continué à mener secrètement certaines des pires avec Ralph Baric, un scientifique fou de l’Université de Caroline du Nord. Puis il a pris la plus grande partie de l’argent destiné à la recherche sur les gains de fonctions, environ sept millions de dollars en tout, et il a commencé à financer le même type d’expériences très, très dangereuses dans le laboratoire de Wuhan, avec Zhengli Shi, une chercheuse connue sous le nom de « Bat Lady ». Elle avait participé aux recherches sur le SRAS en 2002, et était en fait une psychiatre. Mais elle aimait manipuler les animaux et avait le courage d’aller dans les grottes où vivent les chauves-souris, dans la province du Yunnan, dans des grottes connues sous le nom de grottes de Mojiang. Elle a commencé à collecter des chauves-souris là-bas et ils ont collecté des centaines et des centaines de chauves-souris et créé la plus grande collection de coronavirus au monde dans ce laboratoire à Wuhan.

Je sais que vous êtes belge, mais vous serez peut-être intéressée d’apprendre, et je pense que vous le savez, que le laboratoire de Wuhan a été construit par une société française appelée BioMérieux, dont le PDG s’appelle Stéphane Bancel. La société a été engagée pour construire un système de flux d’air négatif qui, à Wuhan, est une pièce essentielle de l’infrastructure pour assurer la sécurité, ce qui signifie que l’air ne sort pas. C’est l’un des éléments les plus critiques de l’infrastructure du laboratoire. Les Chinois avaient demandé à BioMérieux de le construire, mais ils ne l’ont jamais fait. Et Stéphane Bancell, qui était le PDG de cette société, est aujourd’hui le PDG de Moderna, la société qui, plus que toute autre, a profité de la pandémie, dont nous savons maintenant qu’elle provient presque certainement du laboratoire. Laissez-moi ajouter autre chose, car je sais que vous le sujet vous intéresse.

En 2000, Bill Gates a contacté Tony Fauci et lui a demandé de venir dans sa demeure à Seattle, dans l’État de Washington, une demeure de cent quarante-sept millions de dollars. Il a fait entrer Tony Fauci dans sa bibliothèque et tous deux se sont assis sur des fauteuils club avec un verre. Et Bill Gates lui a proposé un partenariat. Ce partenariat consisterait à collaborer tous les deux à une entreprise visant à vacciner le monde entier et à abolir toutes les maladies infectieuses grâce aux vaccins. Ce partenariat était très important pour Gates, car il essayait à l’époque de prendre le contrôle de la politique mondiale en matière de santé. Et pour ce faire, il avait besoin de l’aval d’un puissant responsable de la santé aux États-Unis qui pouvait lui donner de la crédibilité à l’étranger. Et Tony Fauci a fait deux choses. Premièrement, il a donné de la crédibilité à Gates et à son programme, deuxièmement, il a développé le vaccin dans son atelier du NIH. Et ensuite, Gates garantirait un marché pour ces vaccins à l’étranger. Et la troisième chose que Tony Fauci a fait… Il est très, très influent auprès du président des États-Unis. Il a donc obtenu du président Bush, le premier président Bush, qu’il engage 15 milliards de dollars pour l’Afrique.

[00:24:59] Il a donc pris toute l’aide étrangère des États-Unis. Et au lieu de la consacrer à la réduction de la pauvreté, il a dédié ces 15 milliards aux médicaments et vaccins contre le SIDA en Afrique. Cela crée une infrastructure dans tous les ministères de la santé en Afrique qui deviennent dépendants de ce flux venant des USA. Il a ensuite obtenu du président Clinton qu’il prenne le même engagement et qu’il aille voir ces présidents pour leur dire que le SIDA se développe en Afrique. Si nous ne le résolvons pas là-bas, il va se propager aux États-Unis et donc, nous devons le résoudre en Afrique. Mais en réalité, ce qu’il fait, c’est qu’il a des relations avec toutes ces entreprises pharmaceutiques qui, en fin de compte, reçoivent tout cet argent. Et parce qu’il fait la pluie et le beau temps, que c’est un courtier qui a le pouvoir de régir toute cette aide des États-Unis à l’Afrique, il jouit d’une énorme crédibilité dans toute l’Afrique auprès des ministères de la santé et lorsqu’il se rend là-bas avec Gates et dit, OK, voici mon nouveau gars, Gates avait automatiquement du cachet et de la crédibilité. Et c’est l’une des façons dont Gates a pris le relais.

SD : [00:26:20] Je peux vous arrêter 30 secondes ? Parce que je pense que j’ai quelques commentaires. En France… je pense qu’il serait vraiment intéressant de regarder l’implication plus étroite de la France dans le laboratoire de Wuhan. Je peux vous dire que le directeur de l’INSERM y est allé, officiellement avec Bancel à l’inauguration du bâtiment, le laboratoire et l’installation, et ils avaient un programme. Ils étaient donc là pour couper le ruban. L’INSERM est le plus grand institut de recherche de France en matière de santé. Et la femme de ce directeur de l’INSERM était ministre de la santé au début de la pandémie. Elle s’appelle Agnès Buzyn. Donc il y avait vraiment comme je pense que vous êtes assez impliqué. Elle a maintenant été accusée de mauvaise gestion, disons qu’elle est mise en examen pour ne pas avoir donné les bonnes informations, puis les mesures, etc. Donc elle a quitté son poste. Elle est maintenant promue à l’OMS, où elle assiste Tedros, où elle  bénéficie de l’immunité de responsabilité – vous ne pouvez pas les poursuivre en justice une fois qu’ils sont à l’OMS. En France, nous avons quelques scientifiques que vous connaissez peut-être, certains d’entre eux qui se sont vraiment penchés sur la question du virus.

[00:27:50] Et c’est aussi une de mes questions. Je sais que vous avez soutenu la vidéo  » Plandemic  » avec David Martin avec la recherche sur les brevets. (…) Nous avons ici quelques scientifiques, l’un d’entre eux s’appelle Jean-Bernard Fourtillan, qui essaient également d’examiner les brevets. Ils disent que l’Institut Pasteur a également des brevets sur les coronavirus et sur leur utilisation en tant qu’armes. On peut donc suivre plusieurs brevets d’une sorte de SARS-COV-1 à SARS-COV-2. Donc ce scientifique est apparu il y a 6 mois. Il est maintenant dans un institut psychiatrique. Il y a une grande censure et un grand silence et nous avons aussi, plus ou moins, exactement le même genre de mesures, l’hydroxychloroquine qui a été bloquée, et bien sûr, l’agenda des vaccins, etc. […] Avez-vous suivi également cette piste des brevets ? Est-ce qu’elle mène aussi à d’autres pays étrangers ? Parce que je crois vraiment que plusieurs pays ont participé, je dirais en Europe, certainement la France, le Royaume-Uni et l’Allemagne.

RFK, Jr. : [00:29:13] Je sais, vous savez, les brevets sont un domaine intéressant et en ce moment, le NIH a un litige contre Moderna parce que Moderna a menti sur les brevets. Elle n’a pas divulgué quand elle a fait sa demande de brevet qu’elle avait reçu des fonds fédéraux et qu’à ce moment-là, Fauci avait investi 2,6 milliards de dollars de l’argent des contribuables dans les brevets et dans Moderna. Et Moderna n’a jamais révélé cela quand elle a déposé son brevet, ce qui est illégal aux États-Unis. Et il se peut que le contribuable américain soit en fait propriétaire des brevets. L’une des choses intéressantes à propos des brevets est que l’office des brevets a refusé à Moderna, à plusieurs reprises, un brevet, et lui a dit « Non, vous ne pouvez pas l’avoir ». Et puis Moderna est revenu à la charge le 29 mars 2019. Et a dit « il y a une urgence à ce que vous nous donniez immédiatement ce brevet ». C’est dans la demande de brevet, n’importe qui peut y accéder, et ça dit « vous devez nous donner le brevet en prévision d’une libération accidentelle ou délibérée d’un coronavirus amélioré ». Et quand est-ce que cela a eu lieu ? Quatre mois, cinq mois avant le coronavirus d’octobre. Le meilleur des meilleurs estime qu’il s’est échappé du laboratoire de Wuhan en octobre 2019.

[00:30:58] Donc… avril, mai, juin, juillet, août, septembre, octobre… c’est sept mois avant l’apparition réelle du coronavirus. Ils connaissaient l’urgence, Ils ont insisté sur l’imminence d’un virus.

SD : [00:31:14] Donc merci. Vous êtes un peu en train de cartographier, vous venez de revenir sur le virus du VIH et tout le programme. Et quand je le regarde, il était très intéressant de voir que certains scientifiques au début, vous je suis sûr que vous savez, que ce scientifique appelé Jonathan Mann, qui était vraiment celui qui est sorti pour faire les appels pour le VIH et en faire une cause mondiale. Mais il l’a lié aux droits de l’homme. Mais si j’ai bien compris, à un moment donné, l’autre partie de l’OMS et d’autres personnes ont préféré avoir une approche différente de son approche des droits de l’homme. Il a donc été en quelque sorte écarté de la cause du sida. Et malheureusement, il est mort dans un accident d’avion. Un avion Swissair s’est écrasé, ce qui est vraiment rare, vous savez, pour un avion suisse de s’écraser. Et après cela, je crois savoir que Fauci et d’autres scientifiques, et je pense en particulier à un certain Peter Piot. Je ne sais pas si vous l’avez rencontré, c’est un Belge, mais c’est le numéro un, disons, en charge de la réponse à la pandémie au sein de la Commission européenne. [00:32:58] Il a donc été nommé et il dirige également l’Institut d’hygiène tropicale de Londres.

Tous ces scientifiques sont donc très impliqués ensemble depuis des décennies déjà sur le VIH. Et donc après ça, ils ont vraiment adopté une approche différente par rapport aux droits de l’homme et le tout s’est déplacé vers le programme des Nations Unies et le programme d’aide des États-Unis. Et je pense que c’est à ce moment-là que la banque est intervenue et que les épidémies sont devenues, d’une certaine manière un instrument géopolitique possible, et une tentative de gouvernance mondiale par le biais des politiques de santé, du contrôle des politiques de santé. Et je pense qu’ils ont commencé à avoir plus que seule la santé à l’esprit. Vous savez, c’est là que la Banque mondiale est intervenue, ainsi que le FMI, puis les entreprises pharmaceutiques. Mais je pense que c’est tout ce réseau de scientifiques spécialisés dans le VIH, ou pas seulement des scientifiques, disons des experts du monde entier, qui est maintenant aux commandes. Je dirais donc que ce sont tous les amis de Fauci.

RFK, Jr. : Fauci étant celui qui a popularisé le VIH. Luc Montagnier, qui a été le premier à isoler ou à associer le VIH, à identifier le VIH comme une cause potentielle du SIDA. Il a insisté sur le mot « potentiel ». Sa découverte a été volée par un scientifique américain qui était un ami de Fauci, Robert Gallo. Et Gallo a prétendu avoir fait la découverte, puis il y a eu une dispute et des procès qui ont duré de nombreuses années, et finalement Gallo a admis qu’il avait volé le virus à Luc Montagnier et qu’il avait trompé Luc Montagnier pour qu’il lui donne le virus. Tony Fauci, vous savez qu’avant cela, le VIH ou le SIDA était considéré comme un cancer. Il était associé au sarcome de Kaposi et la plupart des gens pensaient probablement que cela avait quelque chose à voir avec les drogues qui étaient prises, qui étaient associées au mode de vie gay, et en particulier les poppers, et à d’autres lésions environnementales. […] Tony Fauci n’avait aucune compétence sur ce type de maladie. L’Institut national du cancer était compétent en matière de cancers et, à l’origine, il s’agissait du VIH, mais lorsque Bob Gallo a dit « non, c’est un virus », Tony a répondu « d’accord, c’est un virus, donc nous l’avons, car nous sommes l’Institut national des maladies infectieuses ». Et c’est ainsi qu’il s’est emparé du VIH. Et puis le VIH a bénéficié de tous ces financements parce que l’activisme au sein de la communauté gay. Tony Fauci, tout d’un coup, est devenu un courtier de pouvoir. Il avait le plus gros budget fixé par le NIH. Et tout cet argent était à disposition.

[00:36:28] Et ainsi, Tony Fauci a pris le NIAID, son agence, qui est censé chercher l’origine de toutes ces maladies infectieuses, allergiques, auto-immunes et chroniques, au lieu de cela il l’a transformé en incubateur de produits pharmaceutiques. Le premier produit développé a été l’AZT, en collaboration avec GlaxoSmithKline, qui s’appelait à l’époque Wellcome Trust. Et ils l’ont développé et en ont fait le médicament le plus cher de l’histoire. C’était dix mille dollars par dose par an. […] La valeur des actionnaires de GlaxoSmithKline a augmenté de quelque chose comme 2,10 milliards de dollars dès qu’il a fait approuver ce médicament, qui est devenu un modèle pour ce qu’il a fait par la suite. Il a donc arrêté la recherche sur les maladies infectieuses et a commencé à développer des médicaments pour l’industrie pharmaceutique. Aux États-Unis, le laboratoire de Tony Fauci recherche des molécules efficaces contre différents virus, comme le coronavirus dans une boîte de Pétri, puis il dépose des gouttes de différentes molécules sur différents types de médicaments toxiques de chimiothérapie et d’autres médicaments existants, ou tout autre produit qui tue le coronavirus. Et s’ils trouvent quelque chose qui fonctionne, ils font des tests sur les animaux pour voir si ça tue les animaux et si ça tue le coronavirus mais pas les animaux, ils disent que c’est un médicament potentiel et ils font ça pour tout le monde, pas seulement pour le coronavirus, mais pour des centaines et des centaines de virus.

[00:38:24] Et ensuite ils l’envoient aux universités, à ce qu’ils appellent les PIs, qui sont appelés les investigateurs principaux dans les universités. Et c’est ce dont vous parlez, c’est ainsi qu’il contrôle tous les scientifiques du monde, parce qu’il y a dix mille PI et la plupart d’entre eux sont des scientifiques très importants qui sont les chefs de départements à Harvard, à Columbia, à Berkeley, à Oxford. Et ce sont des scientifiques très puissants. Pourquoi ? Car ce sont eux qui reçoivent l’argent. Tony Fauci leur donne d’énormes quantités d’argent. Il peut vous donner environ 200 ou 300 millions de dollars pour faire une étude dans l’année. C’est ainsi que cet argent finance un médicament. Les labs de Fauci s’assurent que la molécule ne tue pas l’animal mais tue le coronavirus. Ensuite, il le confie, disons, à Columbia. Le chef du département de Columbia conduit les essais cliniques (phase 1, phase 2, phase 3). Pour la phase 1, c’est un petit groupe de personnes, peut-être deux cents. Et chaque personne que le scientifique recrute pour l’étude, Tony Fauci, leur donnera 15 ou 20 000 dollars. La moitié de cet argent va à l’université.

[00:39:46] Donc maintenant l’université dépend de Tony Fauci. Donc l’université développe le médicament jusqu’à la phase 2, et si le médicament semble toujours fonctionner, ils le vendent à une société pharmaceutique comme Glaxo, Gilead, Johnson et Johnson, Merck, Pfizer. Et Tony Fauci garde sa part du brevet pour son agence, plus ses adjoints préférés qui obtiennent chacun des intérêts de brevet. Ces gars peuvent se faire 150 000 dollars par an avec chaque brevet qu’ils possèdent. C’est ainsi qu’il s’assure de la loyauté de tous au sein de son agence. Il peut donner à ces gars des brevets et ils font des tonnes d’argent ainsi et son agence peut garder la moitié des brevets comme ils l’ont fait avec le vaccin Moderna. Son agence possède la moitié des brevets. Ils gagnent ainsi des milliards et milliards de dollars. Il y a donc un conflit d’intérêt direct. Ensuite, l’université obtient une partie du brevet et le chercheur universitaire, le PI, obtient une partie des brevets, donc ils sont tous solidaires. Et il a 10.000 de ces gars-là dans le monde entier. Et qui sont ces gens ? Paul Offit, Peter Hotez, Arthur Caplan, tous ces scientifiques célèbres que vous voyez sur CNN et qui font la une des journaux, Andrew Pollard d’Oxford.

[00:41:29] Ces gens sont tous des PI de Tony Fauci. On les voit à la télé et ils ont l’air de gens très crédibles et responsables. Tony Fauci les possède dans le monde entier. Et que se passe-t-il s’il y a un scientifique universitaire dissident ? Disons qu’un jeune scientifique de l’université de Harvard, naïf, se dit : « vous savez quoi, je vais faire une expérience. Je vais faire une étude. Je vais prendre les dossiers sur la vaccination. Je vais regarder les dossiers médicaux des HMOs. Et je vais déterminer s’il y a un lien entre le diabète et le vaccin Hib, le vaccin contre l’hépatite B, l’autisme ou les allergies alimentaires. Je pense que ce sera une étude fondamentale ». Dès que Tony Fauci apprend l’existence d’une étude, un de ses larbins appelle le doyen de l’école de médecine de Harvard et lui dit : « si vous laissez ce type faire cette étude, nous allons mettre votre université en faillite. Nous allons vous faire fermer parce que nous ne permettons pas que cette étude soit réalisée ». C’est ainsi que Tony Fauci contrôle la science dans le monde entier. Son budget annuel est 13 fois supérieur au budget annuel de Bill Gates. Il est donc beaucoup plus puissant que Bill Gates donne quelques milliards par an. Tony Fauci donne 7,6 milliards par an.

[00:43:12] Tony Fauci se coordonne avec Gates et ils se coordonnent avec Wellcome Trust, qui est juste un énorme portefeuille d’actions pharmaceutiques qui est dirigé par Jeremy Farrar. Et tout ce qu’il fait est de servir les intérêts du paradigme pharmaceutique. Vous avez donc les plus grands bailleurs de fonds du monde qui fournissent probablement 90 % du financement aux entreprises pharmaceutiques et ils ne font pas de recherche sur l’origine des maladies. Ils font des recherches sur la façon dont nous développons les médicaments. Je vais vous dire une autre chose. Entre 2009 et 2016, plus de 200 médicaments ont été approuvés par la FDA dans notre pays et sont devenus des blockbusters nationaux et internationaux pour beaucoup d’entre eux, et 100 % de ces 200 médicaments sont issus de l’atelier de Tony Fauci. Il est donc le principal incubateur, de toute l’industrie pharmaceutique. C’est le type, vous savez, il n’est pas un régulateur. Il ne s’occupe pas de santé publique. C’est de la fiction polie pour dire que Tony Fauci s’occupe de santé publique ou Bill Gates s’occupe de la santé publique. Ils font la promotion des vaccins et des médicaments. C’est tout. Et ce sont ces types qui dirigent aujourd’hui les gouvernements de toute la planète. Et c’est effrayant pour nous car ils ne se soucient pas de la démocratie. Ils ne se soucient pas de la santé publique. Ils se soucient des profits, de l’industrie pharmaceutique et du contrôle de la population.

SD : [00:44:48] Ok, j’ai deux autres questions, donc je…

RFK, Jr : [00:44:51] J’ai seulement deux minutes de plus.

SD : [00:44:52] Ok, c’est injuste ! L’une d’entre elles est que vous savez, nous avons entendu qu’il y avait certains sénateurs, Rand Paul et d’autres sénateurs qui voulaient avoir une enquête sur Tony Fauci en rapport avec les fuites d’emails et le fait qu’il aurait parrainé…

RFK, Jr : [00:45:14] Le Président Biden, le 25 mai, a ordonné aux agences de renseignement de faire une enquête. Et cela va être très intéressant. C’est une enquête de 90 jours qui sortira le 25 août. Et nous espérons qu’elle sera publiée à peu près au même moment que mon livre.

J’aimerais demander à vos auditeurs qui veulent savoir comment ils peuvent aider notre mouvement : « achetez mon livre ». Et je tiens à dire que 100% des bénéfices de mon livre, qui s’appelle The Real Tony Fauci, pour lequel vous pouvez aller sur Amazon aujourd’hui et l’obtenir. 100% des bénéfices sont reversés à Children’s Health Defense, CHD, le fonds pour lequel je travaille, Senta travaille et tous les autres avocats qui travaillent pour nous dans le monde entier. Je pense que nous avons déjà pré-vendu environ 5000 livres. Si nous pouvons pré-vendre 10000 livres avant sa sortie, il devient automatiquement numéro un sur la liste d’Amazon, du New York Times et de toutes ces autres listes. Et ce qui se passe ensuite, c’est que les libraires le déplacent à l’avant du magasin. Il y a tout un tas d’effets en cascade. Plus les gens connaissent Tony Fauci et savent pourquoi il est arrivé là où il est, plus notre mouvement est fort. Si vous voulez aider ce mouvement, faites vos achats de Noël maintenant, allez sur Amazon aujourd’hui, achetez un tas d’exemplaires du livre pour vos amis, pour votre famille. Et comme je l’ai dit, tous les bénéfices vont à CHD, à 100%. Vous aidez aussi beaucoup le mouvement parce que le livre va se retrouver au top de la liste des best-sellers et les distributeurs sont alors obligés de l’y mettre. Ils le mettent dans toutes les librairies des aéroports et dans les librairies du monde entier. Et de plus en plus de gens pourront le voir. et cela donne de la crédibilité et du sérieux à notre mouvement.

SD : [00:47:25] Est-ce qu’il y aura des traductions, Bobbie ? Est-ce que le livre existera dans d’autres langues ?

RFK, Jr : [00:47:32] Oui, nous allons traduire. Il sera traduit.

SD : [00:47:35] Ok, c’est intéressant pour nous en Europe.

RFK, Jr : [00:47:39] Vous savez, que CHD et The Defender sont en cinq langues. Nous sommes un mouvement global; nous devons parler aux gens dans beaucoup, beaucoup de langues.

SD : [00:47:54] Je demande donc que la prochaine fois nous parlions de Bill Gates, car il y a beaucoup à dire là aussi.

RFK, Jr. : [00:48:02] La moitié du livre est sur Bill Gates, l’autre moitié sur Tony Fauci. Donc si vous voulez connaître la vérité sur Bill Gates, achetez le livre !

SD : [00:48:14] Oui. A propos de son lien avec Epstein (…) Je vais en parler très rapidement et ce sera une piste pour une autre interview. […] En 1987, Bill Gates était déjà avec Jeffrey Epstein au conseil d’administration de l’organisation caritative gérée par Apollo management, vous savez, en lien avec la CIA et le Mossad. Ce qui est intéressant pour nous, Européens, c’est qu’en 2013, je viens d’en entendre parler par un autre journaliste, en 2013, donc après qu’Epstein ait été condamné, etc. […] et que tout le monde savait qui il était, ils [Gates et Epstein] ont visité ensemble le Parlement européen à Strasbourg pour se renseigner sur les politiques de santé en Europe. Et puis, vous savez. Il faut se poser des questions, pourquoi Jeffrey Epstein voyage-t-il avec Bill Gates, qui à l’époque n’était pas impliqué dans l’OMS….

RFK, Jr : [00:49:15] Envoyez-moi les preuves de cela ?

SD : [00:49:19] Oui, bien sûr. C’est pour la prochaine interview alors.

RFK, Jr : [00:49:23] Merci Senta: Merci de m’avoir reçu. Et merci pour tout le travail, l’incroyable travail que vous faites. Rendez-vous sur les barricades.

SD : [00:49:36] Merci beaucoup. Et je suis très fière de faire partie du CHD, merci.

RFK, Jr : [00:49:42] Nous sommes fiers de toi Senta. Merci.




Inde : plainte pénale déposée contre GAVI, Bill Gates, Fauci… Peine de mort encourue

[Source : francesoir.fr]

[Voir aussi : Inde : condamnation à mort possible pour la scientifique de l’OMS après avoir déconseillé l’Ivermectine]

Auteur(s): FranceSoir

L’Indian Bar Association (Association des Avocats Indiens) a adressé un courrier au Premier ministre de l’Inde Shri Narendra Modi et au ministre de l’Intérieur Shri Amit Shah, qui les invite à prendre note de la plainte DHLTH/E/2021/09973 en date du 1er juillet 2021 déposée par le Secrétaire général du Conseil de sécurité des droits de l’homme (HRSC) M. A. Shaikh, contre le Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et d’autres.

Cette plainte les invite à prendre des mesures immédiates contre les accusés et à émettre des directives appropriées aux autorités légales pour qu’elles examinent l’affaire et prennent des mesures immédiates. Cela fait suite aux deux mises en demeure que l’IBA a envoyées à l’OMS (contre le Dr Soumya Swaminathan ainsi que Tedros Ghebreyesus) qui sont à ce jour restées sans réponse.

L’avocate Dipali Ojha explique cela en détail dans son debriefing.

La plainte de 132 pages enjoint les ministres à considérer en urgence la situation et surtout la « gravité » ou « extrême gravité »

des questions qui sont posées qui ne concernent pas seulement les citoyens indiens, mais aussi la sécurité, la survie et le bien-être de l’humanité tout entière.

Cette plainte annoncée et attendue prend en considération les éléments de réponse à la gestion d’une épidémie (les quatre piliers listés par le Pr McCullough) ainsi que les publications de diverses associations de médecins (FLCCC, AFLDS, IHU) en faveur des traitements précoces qui sont une alternative à la vaccination de masse, dixit Pierre Kory. Ceci est corroboré par le retour d’expérience de nombreux médecins indiens dans les Etats ayant mis en place les directives du ministère de la Santé sur l’ivermectine et l’hydroxychloroquine. Au sein de cet immense pays, on a pu observer l’effet de la vaccination de masse ainsi que celui des traitements précoce et prophylactique des Indiens, afin de gérer au mieux l’épidémie. Les Indiens ont subi les mêmes effets de censure, de suppression du « narratif » et des données scientifiques que ceux observés dans d’autres pays. Le summum étant une agence de santé (DGHS) périphérique qui a supprimée les traitements précoces alors qu’elle n’avait jamais exprimé d’opinion auparavant à ce sujet, démontrant la capture probable de certaines autorités par des influences externes. Rappelons que le ministère de la Santé a conservé les traitements précoces dans ses recommandations et est le seul compétent.  A l’inverse de la France, les autorités sanitaires (ministère) ont défendu par deux fois leur position en faveur des traitements précoces, remettant en cause les avis de l’OMS contre des associations d’avocats dont les commanditaires ne sont pas identifiés.

Le périmètre et les demandes de la plainte sont clairement établis :

  1. une orientation immédiate pour la mise en œuvre du 72e rapport de la Commission parlementaire et des recommandations d’enquête et de poursuite des membres du bureau du « philanthrope toxique » et de la Fondation Bill & Melinda Gates du Syndicat des vaccins (GAVI) et des responsables concernés du Conseil indien de la recherche médicale (ICMR) qui sont considérés responsables de la mort de huit filles suite à l’usage de vaccins non autorisés, illégaux et non approuvés;
  2. une directive immédiate au Bureau central d’enquête (CBI) pour l’enregistrement du premier rapport d’information (FIR) pour enquête et action stricte (en vertu des articles 115, 109, 302, 307, 304, 419, 420, 471, 474, 188, 505, r / w 120 (B) &34 de l’IPC & sections de la loi de 2005 sur la gestion des catastrophes et d’autres dispositions des actes spéciaux contre tous les éléments contre l’intérêt national, contre l’humanité, et bio-terroristes) sur les « Groupements Pharma», « Groupement Tech » et les « Cyber Harceleurs » qui sont impliqués dans des infractions contre l’humanité entière entrainant un génocide, causés par leurs actes de commission et d’omission liés à la pandémie de Covid-19.
  3. des ordonnances avec effet immédiat aux autorités concernées :
    • i) émettre des avis de garde à vue et des mandats d’arrêt contre l’accusé dont l’implication est prouvée à première vue ;
    • ii) D’engager une action en saisie conservatoire de tous les accusés et de leurs sociétés ;
    • iii) Commencer l’interrogatoire de l’accusé en détention ;
    • iv) Effectuer un test de détection de mensonges, un test de cartographie cérébrale, un test narco de tous les accusés principaux tels que le Dr Soumya Swaminathan, le Dr Randeep Guleria, M. Arvind Kejriwal Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, le Dr Anthony Fauci, Bill Gates, Mark Zuckerberg, Jack Dorsey et d’autres.
  4. des directives immédiates à toutes les autorités pour
    • i) examiner sérieusement le Livre blanc de l’association American Frontline Doctors (AFLDS) sur le Covid-19 et les vaccins expérimentaux.
    • ii) ne forcer personne à se faire vacciner et se conformer strictement à l’arrêt de la Cour suprême et de diverses hautes cours concernant le droit fondamental de chaque citoyen à choisir son traitement.
    • iii) informer le public des dangers réels du vaccin.
    • iv) informer le public sur les autres médicaments éprouvés, sûrs et plus efficaces.
    • v) ne pas répandre la peur d’une nouvelle vague sans vérifier les preuves scientifiques.
  5. une directive appropriée selon le rapport soumis par le Comité d’experts au bureau du Premier ministre avec des recommandations de ne pas administrer de vaccins sur les personnes qui se sont rétablies de l’infection à Covid-19 et qui ont développés des anticorps.
  6. Des directives immédiates pour fournir une protection à tous les dénonciateurs et à leurs témoins qui ont déjà exposé et continuent d’exposer le Syndicat comprenant BIG PHARMA, BIG TECH et BIG SCIENCE.
  7. Direction pour la constitution d’un comité d’enquête distinct concernant le vent de la panique soudain pendant la deuxième vague de coronavirus en Inde, qui a été alimenté par des reportages incessants dans les médias sur la pénurie d’oxygène. Et pourquoi ledit battage médiatique a disparu dès l’apparition de l’enquête sur le ‘Tool Kit’ (kit contre la covid) a été commencée par la police de Delhi.

Accusation principale de complot contre les accusés

La plainte (paragraphe 26) porte contre tous les accusés qui sont tenus de répondre à l’accusation principale sur la base des documents, de preuves et de preuves de nature remarquable :

Le principal accusé Bill Gates et ses alliés de GAVI (Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination) ont ourdi un complot visant à créer un marché fixe pour leurs vaccins et autres médicaments et dans ce complot, ils se sont joints à d’autres accusés. 

Les autres sont Dr Anthony Fauci, conseiller médical en chef du président des États-Unis, M. Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS, Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef à l’OMS, Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, Jack Dorsey, PDG de Twitter, Steve Chen, Chad Hurley et Jawed Karim, YouTube (Google), Arvind Kejriwal, Ministre principal, Delhi et que les autres personnes citées dans l’annexe T13 ou celles qui pourraient être accusés après enquête approfondie.

Au paragraphe 26.3, on peut lire que les accusés ont commis un acte public dans la droite lignée d’un complot. Ils sont accusés par des actes de commission et d’omission, d’avoir :

  • i) créé de fausses données.
  • ii) supprimé et dissimulé de manière malhonnête des données réelles.
  • iii) distordu des faits importants.
  • iv) créé un narratif et un complot.
  • v) mis en place des politiques « préméditées » sur YouTube, Twitter, Facebook, etc. pour supprimer la vérité et empêcher l’information réelle de se propager
  • vi) supprimé des informations originales et scientifiques de plateformes telles que YouTube, Twitter et d’autres sur la base de « fausses politiques et conditions générales » allant à l’encontre des données scientifiques.
  • vii) publié des « vérification de faits » fausses et sponsorisées afin d’aller à l’encontre de la vérité et par la même d’entraîner la confusion dans l’esprit du public ; cela avait pour but de décourager les personnes, les scientifiques et les médecins qui possèdent des données scientifiques.
  • viii) réussi à « capturer » les agences de santé gouvernementales de nombreux pays pour obtenir les politiques et les règles formulées en fonction de leurs objectifs inavoués.
  • ix) entraîné la mort de personnes en s’assurant que ceux-ci ne devraient pas accéder ou obtenir les médicaments facilement disponibles, sûrs et abordables tels que l’ivermectine, l’hydroxychloroquine, la vitamine D3, etc. et ayurvédique ainsi que les traitements naturopathes.
  • x) généré la peur dans l’esprit des gens afin que le vaccin puisse être présenté comme la seule alternative pour traiter et ainsi sauver les gens ; facilitant ainsi la voie à une autorisation d’utilisation en urgence (EUA) du vaccin non approuvé.         
  • xi) supprimé les données sur les effets dangereux du vaccin ainsi que l’usage de nombreux médicaments « ad hoc » couvrant ses effets.
  • xii) dévoyé, dissimulé ou supprimé les données sur l’inefficacité des vaccins et la mort de nombreuses personnes et de nombreux médecins. Ceci a entraîné des pertes de repères des gens causés par les sophismes des « hommes de paille ».
  • xiii) sous-déclaré les décès dus aux vaccins au travers de la création de règles à leur convenance.
  • xiv) essayé d’aller à l’encontre de la science réelle à l’aide de la rhétorique, c’est-à-dire la fausse science portée par les sophismes « de l’homme de paille », la malhonnêteté intellectuelle et les théories du complot pseudo-scientifiques.
  • xv) en outre, le cerveau de la conspiration et chef du Syndicat des vaccins M. Bill Gates a déjà été reconnu coupable d’essais illégaux et non autorisés de vaccins et d’avoir causé la mort de huit filles. Dans son 72e rapport du 28.08.2013, la Commission parlementaire de l’Inde Rajya Sabha a déjà recommandé une action en justice contre les membres du bureau de la Fondation Bill &Melinda Gates , des responsables de l’ICMR et d’autres accusés divers responsables de ces crimes odieux contre l’humanité.
  • xvi) tous les accusés étaient et sont bien conscients que par leur acte de commission et d’omission, ils vont causer la mort de millions d’innocents. Cependant ils ont choisi l’argent plutôt que les valeurs humaines. Ce sont eux les délinquants de l’humanité. Ils sont coupables de génocide. Ils ont commis des meurtres de masse avec sang-froid.

Ils ont enlevé les moyens de subsistance de l’homme du peuple et ont fait un enfer de la vie des pauvres. En raison de leurs conspirations, de nombreuses personnes qui ont réussi à survivre en prenant leurs médicaments toxiques souffrent maintenant d’effets secondaires graves ayant rendu leur vie misérable.

Ils ne méritent aucune sympathie ou indulgence. Sinon, ce sera une injustice pour toutes les victimes et une injustice pour toute l’humanité.

La peine minimale dans ce cas sera :

a) la peine de mort
et
b) La saisie de tous leurs biens meubles et immeubles et leur distribution égale à tous les peuples du monde.

D’autres questions importantes sont aussi mentionnées dans la plainte au paragraphe 2 mais suivent les mêmes bases qui comprennent la mise en cause des tests PCR, la censure et l’impossibilité pour les médecins d’échanger sur les réseaux sociaux sans risquer la censure.

La plainte a été déposée le 1er juillet 2021 et signée par la représente de l’association Me Dipali Ojha.

La plainte complète est disponible ci-après : Plainte [PDF]

www.indianbarassociation.in

Auteur(s): FranceSoir




Doit-on avoir peur des variants, nouveaux croquemitaines du lobby de la peur ?

Par Gérard Delépine

Le Covid a quitté la France depuis avril 2021, comme d’ailleurs les autres pays européens, sauf la Grande-Bretagne où la vaccination a entraîné l’apparition d’un nouveau variant avec lequel le gouvernement essaie de nous terroriser.

Les covidterroristes et leur politique d’emprise par la peur

Les Covid terroristes sont inquiets : sans peur, ils ne pourront plus imposer des mesures liberticides. Alors ils inventent des simulations terrifiantes : la nouvelle vague (ce n’est qu’un scénario de film catastrophe créé par ordinateur) et une foule de variants en les affublant de tous les qualificatifs pouvant entretenir la panique et promouvoir les pseudo vaccins.

Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, a développé le plan terreur actuel(([1] ce lundi matin 5 juillet sur France Inter)):

« le variant Delta gagne du terrain très rapidement ». « Il double presque chaque semaine, on est aujourd’hui à plus de 30 % des contaminations. » Sa capacité à supplanter les autres variants pour devenir majoritaire dans les prochaines semaines ne fait plus de doute. « Une quatrième vague fin juillet est une possibilité.L’exemple anglais montre qu’une vague est possible dès la fin juillet”. Il faut continuer à se faire vacciner » « Le seul moyen d’empêcher une aggravation de la situation sanitaire est d’avoir recours à la vaccination. »

Benoît Elleboode, très proche de Véran qui l’a récemment promu directeur de l’agence régionale de santé (ARS) de Nouvelle-Aquitaine, renchérissait :

« Toute personne non vaccinée sera contaminée par le variant Delta… une personne non vaccinée et contaminée par le variant Delta pouvait contaminer six personnes en moyenne, contre une seule si le malade est entièrement vacciné »

Mais curieusement, alors que le gouvernement passait jadis son temps à nous imposer chaque jour le nombre quotidien de cas et de morts, il ne donne plus aucun chiffre absolu. Et il oublie de préciser que ce variant, beaucoup moins mortifère que la souche initiale, peut être contrôlé par les traitements précoces.

L’épidémie en France est au plus bas et ne justifie aucune inquiétude

Depuis avril 2021, l’épidémie quitte le pays dans presque tous les pays européens. D’après l’OMS, en 1 jour (le 1/11/2020) la France avait comptabilisé 69 998 cas ; la semaine dernière la moyenne quotidienne de nouveau cas était inférieure à 2000. Et actuellement aucun élément objectif n’indique que la tendance puisse s’inverser.

Le réseau Sentinelle qui rapporte les données de la médecine de ville confirme la quasi-disparition de l’épidémie : « en semaine 25, le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-vus en consultation de médecine générale a été estimé à 0,3 cas pour 100 000, ce qui représente pour l’ensemble de la France 170 nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux continue à diminuer ».

Alors pourquoi le gouvernement cache-t-il ces chiffres rassurants ? Pourquoi continue-t-il à propager la peur avec des variants dont le variant delta vedette actuel est certes plus contagieux, mais encore moins mortifère que le précédent.

Le variant delta, plus contagieux, n’est le plus souvent qu’un gros rhume

Les virus à ARN comme le coronavirus ou la grippe se transforment souvent pour s’adapter aux modifications de leurs environnements. Nous savons tous que chaque année nous sommes confrontés à un virus grippal nouveau qui a pris le dessus pour sa résistance au vaccin de l’année précédente. Le coronavirus n’échappe pas à la règle habituelle de l’évolution : plus il mute, plus il devient résistant au vaccin en cours, plus contagieux et moins mortifère.

Lorsque le représentant du gouvernement tente d’affoler la population en faisant croire que le variant delta observé dans les Landes nous submergerait et nous tuerait tous. Il a « oublié » de préciser le nombre absolu de cas recensés et de rappeler sa bénignité habituelle. D’après Santé Publique France dans le département des Landes sur la période du 27 juin au 3 juillet, le taux d’incidence était de 49,8 cas pour 100 000 habitants, soit un total d’environ 200 cas (et en baisse par rapport à la semaine précédente). On sonne le tocsin pour 200 cas d’un virus très peu mortifère !

Car si ce variant est effectivement plus contagieux, il est très peu chez les dangereux chez les non-vaccinés. Un gros rhume ! En Grande-Bretagne, où il prédomine depuis 6 semaines et où le nombre de contaminations quotidiennes atteint les records de février dernier, le nombre d’hospitalisations et la mortalité quotidienne n’augmentent pas sensiblement chez les non-vaccinés.

En France, les deux morts du variant delta de l’EHPAD de Pontonx-sur-l’Adour étaient vaccinés, d’après le directeur départemental de l’ARS.(([2] Lou Bourdy, Variant Delta dans les Landes : un deuxième mort dans l’EHPAD de Pontonx-sur-l’Adour France Bleu Gascogne.27 juin 2021))

L’aggravation de l’infection à variant delta par la vaccination est confirmée par un rapport officiel récent(([3] Public Health England SARS-CoV-2 variants of concern and variants under investigation in England Technical briefing 1725 June 2021)) montrant que les Anglais vaccinés, contaminés par ce variant, sont exposés à un risque vital trois fois supérieur à celui des non-vaccinés ! Ce sur risque traduit très vraisemblablement un phénomène d’anticorps facilitants comme dans la catastrophe/scandale sanitaire récente du Dengvaxia aux Philippines.(([4] Analyse d’une catastrophe sanitaire annoncée, la saga du Dengvaxia, vaccin contre la Dengue https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/analyse-d-une-catastrophe-217699)) Il est très regrettable que ce phénomène paradoxal ne semble pas avoir suscité pour l’instant des recherches qui pourraient permettre de l’éviter.

Les responsables anglais de la vaccination prétendent que la très faible mortalité actuelle serait due à la vaccination, en oubliant que les autres pays européens ont bénéficié aussi d’une chute drastique de la mortalité dès février, mars ou avril 2021, bien avant que le pourcentage de population vaccinée atteigne les 10 %.

Chiffres que même les mercenaires de la désinformation(([5] M.Bounafaa, S. Terragno : Vrai ou Fake : les vaccins sont-ils efficaces contre le variant Delta ? France info 02/07/2021)) n’ont pas pu contester ; ils ont dû se contorsionner en reconnaissant « en même temps » que le vaccin n’est pas efficace à 100 % et en prétendant (comme l’EMA le 1 juillet), que deux doses de vaccin anti-Covid-19 « semblent » protéger contre le très contagieux variant Delta, sans citer aucune étude scientifique qui le confirmerait, mais seulement des communiqués du fabricant et alors que l’épidémie à variant delta qui flambe chez les Anglais, pourtant très vaccinés, démontre le contraire.

Heureusement, il n’y a pas de raison de s’en inquiéter. Outre que ce variant delta est naturellement peu mortifère chez les non-vaccinés, il est de plus remarquablement sensible à l’Ivermectine et à la chloroquine ainsi que la démontré l’Inde qui a jugulé la poussée épidémique post vaccinale de ce variant avec ces traitements.

L’apparition de ce variant delta ne doit pas inquiéter. Il incite à ne pas se faire vacciner (pour ne pas aggraver son risque vital) et à se faire traiter dès les premiers signes cliniques par exemple selon le protocole de la Task Force Covid indienne.

Les covidterroristes ont plus d’un variant effrayant à leur arc. L’OMS a déjà répertorié plus d’une dizaine de variants dont l’alpha, le bêta, le gamma, le delta, le zêta, l’êta, le thêta, le Kappa (et ses 4 sous variants), le lambda (et ses deux sous-variants) et l’epsilon. À ce rythme, l’alphabet grec ne va pas longtemps suffire. Heureusement que les alphabets cyrillique, hindou, persan, arabe recèlent de nombreuses lettres utilisables.

L’invention de la menace « quatrième vague » par une boule de cristal

Nous avons été astreints à domicile en mars 2020 sur la seule foi d’une prédiction apocalyptique totalement fausse issue du rapport 9 de l’Imperial College et de Neil Ferguson, sacré grand devin officiel de l’OMS par Bill Gates.

Sa prophétie fausse a été prise pour parole d’évangile et a justifié l’astreinte à domicile de la population saine avec les malades (confinement aveugle) alors que les mesures classiques qui ont fait leurs preuves pour contrôler les épidémies ont toujours consisté à la séparation des malades et des personnes saines.

Ce sont les élèves français(([6] et en particulier le mathématicien Simon Cauchemez, chef de service de modélisation de l’institut Pasteur)) de ce mage dangereux qui, depuis le début de l’épidémie, se gargarisent de leurs prédictions fausses et veulent, tous les deux mois, nous enfermer, nous empêcher de vivre, de nous rencontrer, de travailler, d’enseigner nos enfants et nos étudiants et édictent des mesures dictatoriales prétendument sanitaires, dont aucune n’a pu apporter la moindre preuve scientifique d’utilité. Leurs dégâts médicaux par retard de soins et dégradation psychique, et leurs conséquences scolaires, universitaires, sociales et économiques se sont avérés et considérables.

La quatrième vague est la dernière invention du modèle mathématique faux dont les prédictions se sont toujours révélées erronées et qui nous ont coûté si cher.

Il serait temps que notre stratégie anticovid soit enfin basée sur les faits avérés et sur l’expérience des médecins de terrain qui savent qu’une maladie infectieuse doit être traitée le plus tôt possible. Qu’on s’inspire des stratégies des pays dont les résultats sont bien meilleurs que les nôtres, plutôt que sur des élucubrations parfois fortement biaisées par des liens d’intérêt.(([7] Beaucoup de membres du comité prétendument scientifique sont liés aux firmes fabricant des vaccins et le but principal de la privation de nos libertés est de nous obliger à nous faire injecter des prétendus vaccins. Mr Cauchemez est salarié de l’Institut Pasteur qui n’existe que par les vaccins…))

Le bon moyen de stopper le Covid, s’il revenait, est de le traiter précocement

L’Inde est parvenue à stopper la vague post-vaccinale de covid19 par la prescription précoce de chloroquine et/ou d’Ivermectine. La comparaison des évolutions indienne et britannique est éloquente.

Le bon moyen de limiter la mortalité est de traiter précocement

La Grande-Bretagne, et la France ont suivi à la lettre les recommandations de Ferguson et de l’OMS, limitant leur stratégie aux confinements et à la vaccination. L’Inde, au contraire, a surtout centré sa stratégie sur l’utilisation précoce et/ou préventive de traitements anciens et bon marché repositionnés. Au 8 juillet 2021, l’Inde pleure 296 morts/million d’habitants contre 1923 en Grande-Bretagne et 1661/M en France.

Conclusions

Il ne faut pas avoir peur des variants et des vagues à venir que les Covids terroristes agitent pour continuer à nous gouverner par la peur.

Le Covid traité précocement se comporte comme une mauvaise grippe. Ne nous précipitons pas sur des pseudo vaccins expérimentaux qui exposent à de nombreuses complications, déclenchent des pics d’épidémie et de mortalité sans donner une protection individuelle fiable, ni empêcher les transmissions virales, ni les récidives de l’épidémie.

Aux premiers signes cliniques du Covid, exigeons les traitements qui ont fait leurs preuves en Inde.





Note au Saker

Par Joseph Stroberg

En réponse à son article « Note aux dissidents Covid et anti-vaccins »

Le nombre de partisans ou de croyants d’une hypothèse (que ce soit celle de l’existence d’une pandémie ou son opposée) n’est pas une preuve de la validité de cette dernière. Giordano Bruno était le seul de son époque à penser que la Terre tournait autour du Soleil et non l’inverse, et on l’a brûlé vif pour cela.

Simplifier une théorie ou une hypothèse pour tenter de la ridiculiser ou de la démontrer comme étant fausse ne relève pas de démarche scientifique ni d’un processus d’enquête (journalistique ou judiciaire…).

Au-dessus de l’hypothèse discutable de la pandémie Covid-19 qui serait due à un virus dénommé SRAS-CoV-2, il existe quelques faits maintenant indiscutables, tels que les suivants :

  • La plupart des pays du monde (194 pays membres) s’en remettent à l’OMS pour ce qui concerne la gestion des pandémies et d’autres phénomènes médicaux supposés de grande ampleur, ceci du fait de leur adhésion signée à cet organisme.
  • Bill Gates est le plus grand contributeur privé au financement de l’OMS, loin devant la plupart des pays (voir notamment Qui finance l’OMS ? (siksik.org), Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ? Ou encore L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé), suivi par la GAVI et de nombreuses entreprises pharmaceutiques (qu’il finance aussi partiellement).
  • Lors de l’épidémie initiale de Covid, la Grippe a pratiquement disparu des radars.
  • La 5G a été initialement installée à Wuhan, en Corée du Sud et Saint-Marin, pays qui ont vu naître l’épidémie.
  • Le Laboratoire P4 de Wuhan a été financé en partie par la France (par le biais de l’Institut Pasteur). Ce laboratoire travaillait sur des coronavirus issus notamment de chauves-souris (voir : Fauci, OMS, Wuhan… la télévision australienne crève l’abcès).
  • L’OMS a recommandé initialement les mesures sanitaires Covid-19 reprises en chœur par la plupart des pays membres, sans preuve scientifique suffisante de leur validité et alors que jamais dans l’Histoire humaine de telles mesures n’avaient été prises (distanciation sociale, port du masque obligatoire, confinement de biens portants, etc.).
  • Les courbes de mortalité des différents pays ne montrent généralement aucune incidence favorable de ces mesures sur l’évolution de la situation (voir notamment les données de l’OMS et OurWorldinData).
  • Une pandémie très similaire a été simulée quelques semaines avant celle attribuée à la Covid-19, lors de lEvent 201 en fin 2019.
  • Il existe des composants biologiques minuscules d’aspect similaire dans les cellules humaines et animales, dont certains sont appelés « endosomes » (ou « exosomes » lorsqu’ils en sortent) et d’autres « virus » ou « rétrovirus » et dont on ne connaît pas en toute certitude la fonction ou les fonctions exactes.
  • Alors que l’hypothèse d’une origine humaine du SRAS-CoV-2 était décriée pendant près d’un an comme étant purement « complotiste », bien qu’elle soit soutenue comme hautement probable par le Professeur Montagnier et quelques autres sommités, elle circule maintenant sur les médias mainstream en tant qu’hypothèse réaliste et assez probable, surtout depuis que le gouvernement américain a commencé à investiguer sur cette question.
  • Les symptômes attribués à la maladie Covid-19 sont le plus souvent (voir Maladie à coronavirus (COVID-19) : Symptômes et traitement — Canada.ca) :
    • apparition ou aggravation de toux
    • essoufflement ou difficulté respiratoire
    • température égale ou supérieure à 38 °C
    • sensation de fièvre
    • frissons
    • fatigue ou faiblesse
    • douleurs musculaires ou courbatures
    • perte de l’odorat ou du goût
    • mal de tête
    • symptômes gastro‑intestinaux (douleur abdominale, diarrhée, vomissements)
    • malaises intenses.
  • Les symptômes attribués aux ondes pulsées (Wi-Fi, Bluetooth, 3G, 4G, 4G+…), similaires à ceux attribués à d’autres agents tels que chimiques en raison notamment des phénomènes de résonance et d’induction électromagnétique qui peuvent être induits par ces ondes à des fréquences particulières correspondant aux fréquences propres (notamment d’absorption) de ces agents (voir Diagnostic, traitement, ressources — ASEQ-EHAQ) :
    • Symptômes neurologiques : maux de tête, vertiges, nausées, difficultés de concentration, perte de mémoire, irritabilité, dépression, anxiété, insomnie, fatigue, faiblesse, spasmes musculaires, altération des réflexes, douleurs articulaires, douleurs dans les jambes, fièvre, ainsi que des symptômes plus sévères pouvant inclure des paralysies ou encore des psychoses.
    • Symptômes cardiaques : palpitations, arythmie, douleur dans la poitrine, modification de la pression sanguine, modification du rythme cardiaque, manque de souffle.
    • Symptômes respiratoires : sinusites, bronchites, pneumonies, asthme.
    • Symptômes dermatologiques : rougeurs, démangeaisons, sensation de brûlure.
    • Symptômes ophtalmologiques : douleurs et sensations de brûlure, tension oculaire, détérioration de la vision, cataracte.
    • Autres symptômes : problèmes digestifs, douleur abdominale, problème de thyroïde, douleurs aux ovaires ou aux testicules, sécheresse de la bouche, de la langue, des yeux, grande soif, déshydratation, saignements du nez, saignements, modification dans l’assimilation de sucre, problèmes immunitaires, perte de cheveux, douleurs dans les dents, détérioration des sens, perte d’odorat, bourdonnement dans les oreilles.
  • Symptômes grippaux (voir Les symptômes et l’évolution de la grippe) :
    • une forte fièvre (autour de 39 °C) ;
    • des frissons ;
    • une fatigue intense (asthénie), une sensation d’abattement avec perte d’appétit ;
    • des douleurs musculaires (courbatures) et articulaires diffuses ;
    • des maux de tête (céphalées) ;
    • puis une toux sèche et douloureuse.
  • Symptômes de l’action de la protéine Spike des « vaccins » à ARNm et du SRAS-CoV-2 (voir : SARS-CoV2 : alertes sur les potentialités toxiques de la protéine Spike (francesoir.fr) ):
    • microthromboses et saignements, etc.
  • Voir aussi : Les faits sur le coronavirus (ou Facts about Covid-19 – Swiss Policy Research (swprs.org) pour une mise à jour récente en anglais)

Maintenant, ce qui relève pour l’instant de questionnements légitimes qui n’ont pas encore reçu de réponse positive (voir Déclaration sur l’isolement des virus, Le culte de la virologie – Documentaire et Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies pour plus d’informations sur ces problématiques) :

  • Le virus SRAS-CoV-2 a-t-il réellement été isolé au sens physique du terme (à savoir séparé comme entité unique et indivisible d’autres composants issus d’une soupe génétique en provenance de tissus biologiques supposément infectés par lui) ? Il faut savoir que lorsque les virologues parlent habituellement de virus « isolé », ils ne font en fait que reconstituer son séquençage génétique à partir d’un modèle. Et un tel séquençage passe par une opération logicielle assez semblable à la résolution d’un puzzle mathématique dont il manque toujours des pièces et dont certaines ne se placent pas correctement dans les cases (et pour lesquelles le logiciel effectue une sorte de moyenne ou de rabotage, afin de pouvoir l’y caser). Dans le cas du SRAS-CoV-2, le modèle génétique utilisé pour cette opération logicielle est le génome lui-même séquencé (et donc supposé, mais non certain) du SRAS-CoV-1.
  • Est-ce que ce virus respecte tous les postulats de Rivers et le premier postulat de Koch, conditions minimales indispensables pour pouvoir démontrer qu’il serait effectivement la cause d’une maladie appelée Covid-19 ?
  • Vladimir Poutine, la plupart des dirigeants du monde et des virologues et autres experts mandatés « mainstream » (et souvent les seuls écoutés par ces dirigeants, au détriment de ceux qui ne suivent pas l’hypothèse ou croyance dominante) sont-ils omniscients et à l’abri de se tromper, qu’ils soient ou non majoritaires ?

Et ce qui relève seulement d’hypothèses non indubitablement démontrées, mais largement contestées par une partie non négligeable de chercheurs et de médecins sur la base de solides arguments statistiques et/ou factuels :

  • La Covid-19 serait une maladie unique (et non un ensemble disparate de symptômes couvrant plusieurs maladies ou problématiques différentes, dont, par exemple, l’exposition aux ondes électromagnétiques pulsées et particulièrement la nouvelle 5G à laquelle les corps humains ne sont pas encore habitués ?).
  • Elle aurait fait près de 4 millions de morts comme cause unique ou principale depuis plus d’un an et demi.
  • Les masques, le confinement, la distanciation sociale et la « vaccination » auraient ralenti l’épidémie.
  • Les virus seraient de méchantes nano bestioles provoquant des maladies plus ou moins mortelles (alors qu’une théorie alternative les présente comme simples conséquences de processus de dégradation cellulaire ou comme agents réparateurs dans d’autres cas, selon leur forme et structure).

Un argument de ceux qui tentent de rejeter la possibilité d’une hypothèse alternative à celle de pandémies virales consiste à dire qu’une théorie ou une explication extraordinaire requiert une preuve extraordinaire. En quel honneur devrait-elle bénéficier d’un traitement de défaveur en matière de mécanisme démonstratif, surtout si rien n’a encore été trouvé qui puisse véritablement la contredire ?

En matière de contradiction, par contre, la théorie virale fait figure de fragile château de cartes. Il semble bien malheureusement que jamais le moindre virus n’ait été véritablement isolé au sens physique du terme (mais seulement « séquencé par logiciel à la suite de processus physico-chimiques complexes ou particuliers ») et surtout n’ait pu être démontré comme cause effective de la maladie qu’il est supposé provoquer. Autrement dit, la pierre angulaire de cette théorie n’existe pour l’instant pas! Et si la théorie virale est sans fondement effectif, on comprend facilement qu’humainement et professionnellement, peu de virologues, d’infectiologues et autres experts microbiologiques le reconnaîtront et le mettront en avant au risque de ruiner leur carrière et le sens de leur vie.

La conséquence d’une telle remise en question scientifique serait la fin de la vaccination qui repose sur l’existence de virus nocifs comme causes de maladies dites « virales », et, dans la foulée, la fin probable de l’existence de l’industrie pharmaceutique. On comprend alors facilement que toute théorie alternative, aussi géniale soit-elle, sera massivement combattue par tous les moyens et par le biais d’un outil largement subventionné par cette industrie : les médias mainstream. Il s’agirait néanmoins d’une véritable révolution et représenterait probablement le seul moyen restant pour faire chuter le Nouvel Ordre Mondial, surtout si la fameuse « marque de la Bête » se trouve intimement liée à cette pseudo vaccination anti-Covid mondiale qui est poussée en avant par presque tous nos dirigeants pourtant peu enclins habituellement à servir réellement leurs peuples.




L’injection génique anti-Covid n’est pas un vaccin

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Tous les propagandistes des « vaccins anti-covid » sortent le label « Pasteur », comme si cela justifiait l’indéfendable et surtout coupait court à toute discussion sur son utilité et ses risques, sous peine d’être taxé d’antivax, de complotiste, de mauvais citoyen, de brebis galeuse et menacé d’être arrêté par la police et menotté en attendant un futur goulag.

L’utilisation de la renommée de Pasteur constitue ici une escroquerie, car ces injections anticovid ne sont pas des vaccins, mais des substances géniques expérimentales, des médicaments préventifs et devraient en conséquence, obéir à leur législation propre.(([1] document RITA déc. 2020 par des scientifiques francophones : Note%20d’expertise%20RITA%20(002).pdf))

LE VACCIN TRADITIONNEL AUQUEL LES PROMOTEURS MÉDIATIQUES FONT RÉFÉRENCE, UN AUTRE MONDE

Selon le dictionnaire Larousse, un vaccin est une

« substance d’origine microbienne (microbes vivants atténués ou tués, substances solubles) qui, administrée à un individu ou à un animal, lui confère l’immunité à l’égard de l’infection déterminée par les microbes mêmes dont elle provient et parfois à l’égard d’autres infections. »

Le principe vaccinal de Pasteur est de présenter les antigènes du virus à l’organisme hôte, dans le but de déclencher une réponse immunitaire qui génère des anticorps spécifiques. Lorsque le vaccin est efficace, le stock d’anticorps ainsi constitué et la mémoire immunitaire informée permettent le plus souvent d’éviter ou d’atténuer fortement la maladie naturelle ou ses conséquences délétères lors d’un contact ultérieur avec l’agent infectieux. Ceci correspond aux vaccins classiques anti-tétanos, antipolio, anti-diphtérie, etc.

À l’exception de SinoPharm et de SinoVac qui sont des vrais vaccins inactivés, aucun des traitements expérimentaux anti-covid 19 ne contient d’antigène. Ces derniers appartiennent à de nouvelles générations de médicament, improprement appelés « vaccins », pour des raisons de pur marketing, et rassurer le consommateur qui croit avoir affaire à quelque chose de connu.

LE « VACCIN GÉNIQUE EXPÉRIMENTAL », à ARNm, à ADN OU OGM

De nouvelles technologies développées en génie génétique (« genetic engineering ») sont fondées sur l’administration de molécules d’ADN ou d’ARNm artificiellement synthétisées avec pour objectif de contraindre un organisme hôte à produire lui-même les protéines codées par cette information génétique.

L’information génétique reçue transforme de facto l’organisme qui les reçoit en organisme génétiquement modifié.

L’insertion de génome viral dans le génome humain est un phénomène rare, mais connu et observable, que ce soit pour les virus à ADN, comme à ARN. Au cours de l’évolution, de nombreuses séquences génomiques d’origine virale ont été intégrées au génome humain et transmises à la descendance, au point que près de 8 % de notre génome est constitué d’ADN viral.

AVEC L’INJECTION DE CES MÉDICAMENTS NOUS JOUONS À L’APPRENTI SORCIER

MÉDICAMENTS DE THÉRAPIE INNOVANTE DE TYPE ATMP(([2] ATMP (pour Advanced Therapy Medicinal Products).))(([3] Procédure d’autorisation de mise sur le marché ANSM
Les ATMP doivent être développés en respectant le cadre législatif global concernant le développement et la mise sur le marché des médicaments.
Les essais cliniques doivent être effectués conformément à la directive 2001/20/CE applicable aux essais cliniques de médicaments humains, et dans le respect des bonnes pratiques cliniques (GCP). La procédure à suivre est identique à celles des autres médicaments.
La procédure d’obtention d’une autorisation de mise sur le marché doit obligatoirement être centralisée. La classification et la certification sont des procédures optionnelles, également gérées par l’Agence européenne des médicaments (EMA).))

Les technologies vaccinales préventives de nouvelle génération (jamais mises en œuvre chez l’homme auparavant) sont

  • le « vaccin à ARNm » qui propose d’injecter une information génétique du virus (ARNm viral), pour la faire fabriquer par la cellule humaine (ex. : stratégies de Pfizer-BioNTech et de Moderna) ;
  • le « vaccin OGM » qui propose d’injecter un organisme génétiquement modifié (ex. : adénovirus de chimpanzé recombinant ChAdox1 de AstraZeneca)(([4] Une dose (0,5 ml) d’AstraZeneca contient : antigène au moins 2,5 × 108 particules virales (U.I.) de l’Adénovirus de chimpanzé, codant la glycoprotéine Spike du SARS-CoV-2 (ChAdOx1-S) produit dans des cellules rénales embryonnaires humaines (Human Embryonic Kidney, HEK) 293 génétiquement modifiées, par la technologie de l’ADN recombinant.))

Les pseudo-vaccins anticovid actuellement appliqués en France (Moderna, Pfizer, Janssen, et AstraZeneca) appartiennent à cette catégorie sur le plan scientifique, mais aussi juridique.

Les médicaments de thérapie innovante (MTI, ATMP) — ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (integra.fr)(([5] Médicaments de thérapie innovante et préparations cellulaires à finalité thérapeutique site ANSM
Le contexte réglementaire des médicaments de thérapie innovante
Règlement européen sur les médicaments de thérapie innovante
Les trois types de produits : les MTI, les MTI-PP et les préparations
Le produit est-il un MTI, un MTI-PP ou une préparation ? Comment le déterminer ?
Les médicaments de thérapie innovante (MTI, ATMP)
Les médicaments de thérapie innovante préparés ponctuellement (MTI-PP, Exemption hospitalière)
Les préparations cellulaires ou tissulaires))

Les médicaments de type ATMP(([6] Les médicaments de thérapie innovante ou Advanced Therapy Medicinal Products (ATMP) sont des médicaments à usage humain qui comprennent la thérapie génique, la thérapie cellulaire somatique, l’ingénierie tissulaire et les médicaments combinés de thérapie innovante.)) ont les caractéristiques suivantes :

Les substances à ARNm

Comirnaty (Pfizer) contient une protéine appelée ARN messager (ARNm) comprenant des instructions pour la production d’une protéine du SARS-CoV-2 (rappel : le SARS-CoV-2 provoque la Covid-19).

 Comirnaty ne contient pas le virus lui-même et ne peut provoquer la Covid-19.

  • Les substances géniques contiennent une substance active qui contient ou constitue un acide nucléique recombinant et sont administrées à des personnes en vue de réguler, de réparer, de remplacer, d’ajouter ou de supprimer une séquence génétique.
  • Leur effet thérapeutique, prophylactique ou diagnostique dépend directement de la séquence d’acide nucléique recombinant qu’il contient ou au produit de l’expression génétique de cette séquence.

La stratégie du « vaccin à ARNm » repose sur le principe de faire produire par l’hôte une protéine de virus, c’est-à-dire de modifier génétiquement l’homme afin de lui conférer l’information qui est considérée comme manquante pour lutter contre la Covid-19. 

Le « vaccin à ARNm » a la particularité d’être constitué d’un acide nucléique de synthèse.

Cette stratégie génique vise des individus sains. Ces stratégies anti-Covid-19 sont expérimentales, car elles ont fait l’objet d’un développement accéléré (en « fast-track »), sans évaluation chez l’animal.

Ces produits en essai ne sont pas juridiquement des vaccins, mais bien des médicaments OGM.

Les autres « vaccins OGM »

Ils proposent d’injecter un organisme génétiquement modifié (ex. : adénovirus de chimpanzé recombinant ChAdox1 de AstraZeneca)

Le vaccin AZD1222 d’AstraZeneca est un vaccin à vecteur viral recombinant.

Cette technologie consiste à utiliser un virus non pathogène (ici un virus du singe modifié afin de l’empêcher de se répliquer).

Ensuite est intégrée dans son génome la séquence codant la protéine S (Spike) du SARS-CoV-2, et ce afin d’induire une réponse immunitaire humorale et cellulaire de l’organisme dirigée spécifiquement contre la protéine S, (et donc contre le SARS-CoV-2).

Ces substances géniques improprement appelées vaccins anticovid sont des médicaments OGM et dépendent de cette catégorie pour leur législation.

LE CODE DE LA SANTÉ PUBLIQUE (ARTICLE L.5111-1) DÉFINIT AINSI LE MÉDICAMENT :

« toute substance ou composition présentée comme possédant des propriétés curatives ou préventives à l’égard des maladies humaines ou animales, ainsi que toute substance ou composition pouvant être utilisée chez l’homme ou chez l’animal ou pouvant leur être administrée, en vue d’établir un diagnostic médical ou de restaurer, corriger ou modifier leurs fonctions physiologiques en exerçant une action pharmacologique, immunologique ou métabolique. »

L’article 13 de la convention d’Oviedo ratifiée par la France stipule, concernant les interventions sur le génome humain : une intervention ayant pour objet de modifier le génome humain ne peut être entreprise que pour des raisons préventives, diagnostiques ou thérapeutiques, et seulement si elle n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance.

Or, aucune étude sérieuse démontrant que ces ARM messagers ne pouvaient en aucun cas s’incorporer au génome des receveurs n’a été publiée.

Les exemptions législatives liées aux vaccins classiques telles que les onze vaccins obligatoires chez l’enfant ne peuvent en aucun cas servir de références juridiques ni médicales à une éventuelle obligation vaccinale anti-covid. 

Les pseudo-vaccins anticovid relèvent de la législation du MÉDICAMENT tant en UE qu’en France.





Vaccination obligatoire : les apprentis sorciers ont pris le pouvoir

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

La vaccination obligatoire, comme nous l’avions annoncé fin mai, est devenue le thème dominant de cette fin de semestre, et devrait saturer le débat public de l’été. Elle devrait concerner au minimum les soignants, mais pourrait s’étendre à l’ensemble de la population. Mais a-t-elle une chance objective de se réaliser, même si elle est imposée par les textes ? Où l’on comprend que la caste au pouvoir est désormais dominée par son aile la plus fondamentaliste, celle des apprentis-sorciers, et qu’elle s’expose désormais au risque.

https://youtu.be/7vpOw1jERGg

Ce week-end a été fort occupé par la campagne médiatique en règle menée en faveur de la vaccination obligatoire. Prônée dans un climat hystérisé par la « modélisation » de l’institut Pasteur annonçant une quatrième vague si la vaccination obligatoire n’intervenait pas, celle-ci est désormais le leit-motiv de la frange la plus radicale de la caste au pouvoir, celle qui a pris le pas sur l’ensemble du système. 

Castex et la vaccination obligatoire pour tous

Depuis jeudi soir dernier, la rumeur circule d’une instauration de la vaccination obligatoire non seulement pour les soignants, mais même pour l’ensemble de la population. Un projet de loi serait en préparation. Il n’en fallait pas plus pour lancer une longue polémique, nourrie en tous sens par des tribunes de médecins, dont certains signataires sont d’illustres enfermistes, mais aussi par François Bayrou

Ceux qui donnent de la voix et qui sont écoutés dans les allées du pouvoir sont, semble-t-il, les plus extrémistes de la caste. 

Contre le principe de réalité

Pourtant, des voix raisonnables mettent en garde contre les risques d’une mesure aussi coercitive dans un contexte où le rapport de force n’est pas favorable aux extrémistes. C’est par exemple le cas de Philippe Juvin qui craint une mise en difficulté des hôpitaux dans l’hypothèse où la vaccination obligatoire interviendrait :

comment fait-on en pratique ? Que dit-on à une infirmière ou une aide-soignante ou un médecin qui dit : ‘Je ne veux pas me faire vacciner’ ? On lui dit : ‘Vous ne venez plus travailler’ ? Nous avons déjà des difficultés dans nos services. La vaccination obligatoire est quelque chose sur lequel je crois qu’il faut que nous réfléchissions, mais il faut avant tout que nous réfléchissions sur sa mise en œuvre. Et moi, elle me paraît plus complexe qu’on veut bien le dire.

Mais la caste est prise d’une telle peur hystérique qu’elle n’est probablement plus capable d’entendre le bon sens. 

Les apprentis-sorciers ont pris le pouvoir

Il est donc plausible que le gouvernement engage de façon assez irresponsable une confrontation avec la moitié du pays qui n’a reçu aucune injection, dans un contexte où l’abstention aux élections régionales a déjà signifié le divorce entre le pays réel et ses institutions. Qu’adviendra-t-il si cette obligation est édictée ? Les non-vaccinés obéiront-ils à l’injonction, ou bien défieront-ils le pouvoir en restant indifférents à leur obligation ? 

Jean Castex et Emmanuel Macron ont peut-être sous-estimé les dégâts que leur impuissance pourrait créer dans cette hypothèse. Les apprentis sorciers sont au pouvoir…




Le Forum Économique mondial de Davos promeut un contrôle total de l’information mondiale par les Big Tech

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Edouard Husson

Le Forum Economique Mondial promeut la « Coalition mondiale pour la sûreté numérique » (Global Coalition for Digital Safety). Au moment où l’efficacité et le danger pour la santé des vaccins contre le SARS-COV2 en phase expérimentale sont de plus en plus discutés sur les réseaux sociaux du monde entier, le Forum de Davos passe à l’offensive pour tenter de coordonner la censure des gouvernements et celle des grandes plateformes de la Big Tech. Ce raidissement est bien entendu un signe de panique, mais vu la dispersion des forces de la liberté, il pourrait signifier aussi l’avènement d’un monde où nous ayons le choix entre le néo-fascisme façon Davos et le néo-maoïsme de la Chine continentale.

« La pandémie représente une fenêtre rare, mais étroite d’opportunité pour repenser, réimaginer et réinitialiser notre monde »
Klaus Schawb, Président et fondateur du Forum Économique Mondial [de Davos]

Qy’y a-t-il de commun entre Anna Bergström, CEO de Netclean, Dame Melanie Dawes, CEO d’Ofcom, Iain Drennan, directeur exécutif de la WeProtect Global AllianceMykhailo Fedorov, Vice-Premier ministre ukrainien, Julie Inman Grant, commissaire australienne à la sécurité numérique, Courtney Gregoire, Chief Digital Safety Officer de Microsoft, Tan Kiat How, Ministre de la Communication, de l’Information et du Développement National de Singapour, Maggie Louie, fondatrice et CEO d’Otto, Victoria Nash, Professeur Associé et directrice de l’Oxford Internet Institute, Susan Ness, Distinguished Fellow du German Marshall Fund of the United States,  Zunaid Ahmed Palak, Ministre de L’information et des Technologies de la Communication du Bengladesh,  Charlotte Petri Gornitzka, directrice des partenariats de l’UNICEF,  Johnny G. Plate,  Ministre de la Communication et de l’Information de la République d’Indonésie, Chris Priebe, fondateur et CEO de Two Hat Security, Joanna Rubinstein, ancienne présidente de la World Childhood Foundation,?  Ils sont les coordinateurs – et le visage avenant, politiquement correct –  d’une Global Coalition for Digital Safety mise en place par le Forum Economique mondial (WEF).

L’enfer est pavé de bonnes intentions

Sur le site du WEF, on lit ces lignes, signées Courtney Gregoire: 

« La technologie offre des outils pour apprendre, jouer, se connecter et contribuer à la résolution de certains des plus grands défis du monde. Mais les menaces à la sûreté digitale sont nombreuses. Le Forum économique mondial étant particulièrement bien placé pour accélérer la collaboration public-privé nécessaire pour faire progresser la sécurité numérique à l’échelle mondiale, Microsoft est impatient de participer et de contribuer à l’élaboration de solutions de la société tout entière à ce problème de la société tout entière ».

Ces termes qui n’engagent à rien cachent en fait une volonté de contrôle mondial de l’information, telle qu’exprimée par le Forum Economique Mondial à propos….des vaccins contre le COVID 19. Lisons par exemple cet extrait d’un autre article paru sur le site internet du WEF

« L’un des principaux défis de la sécurité en ligne est la prolifération de la désinformation en matière de santé, notamment en ce qui concerne les vaccins. Des recherches ont montré qu’un petit nombre de personnes influentes sont responsables de la majeure partie du contenu anti-vaccination sur les plateformes sociales. Ce contenu semble toucher un large public. Par exemple, une étude du King’s College de Londres a révélé qu’une personne sur trois au Royaume-Uni (34 %) dit avoir vu ou entendu des messages décourageant le public de se faire vacciner contre le coronavirus. L’impact de ces messages dans le monde réel devient maintenant plus clair.

La recherche a également montré que l’exposition à la désinformation était associée à une baisse de l’intention de se faire vacciner. En fait, les informations erronées à consonance scientifique sont plus fortement associées à une baisse de l’intention de se faire vacciner. Une étude récente menée par l’Unité de recherche comportementale de l’Institut de recherche économique et sociale (ESRI) a montré que les personnes qui sont moins susceptibles de suivre la couverture médiatique du COVID-19 sont plus susceptibles d’hésiter à se faire vacciner. Au vu de ces résultats, il est clair que l’écosystème médiatique a un rôle important à jouer pour lutter contre la désinformation et atteindre le public afin d’améliorer les connaissances sur le vaccin ».

« L’élite globale » est devenue la première source de théories complotistes

Sur le site du Forum Economique Mondial, toujours, on trouve la référence à une étude du Center for Countering Digital Hate, présentée comme « scientifique« , qui affirme que la critique des vaccins développés contre le COVID 19 est le fait d’une douzaine, pas plus, d’influenceurs sur les réseaux sociaux: 

« Douze personnes seulement sont à l’origine de près des deux tiers du contenu anti-vaccins qui circule sur les plateformes de médias sociaux. Cette nouvelle analyse du contenu posté ou partagé sur les médias sociaux plus de 812 000 fois entre février et mars révèle comment un petit groupe d’anti-vaxxers déterminés est responsable d’un raz-de-marée de désinformation – et montre comment les plateformes peuvent y remédier en faisant respecter leurs normes »

On peut difficilement imaginer théorie du complot plus flagrante ! Comme s’il n’y avait pas des milliers de médecins à travers le monde que leur serment d’Hippocrate amène à recommander la prudence face à des vaccins expérimentaux. Comme si le droit n’était pas du côté de ceux qui disent qu‘aucune vaccination obligatoire n’est légale tant que les vaccins sont encore en phase expérimentale. Comme si le site de l‘Agence Européenne de Médicament [Ndlr : le site EudraVigilance qui dépend de l’EMA] ne recensait pas un nombre inquiétant de décès (1500) [plus de 17 500 au début juillet, sachant que seulement moins de 1 à 10 % des effets secondaires y sont rapportés.] et de séquelles graves (150 000) [plus de 1 500 000] consécutifs à la vaccination contre le COVID. Comme si la base de données publiques Transparence Santé ne permettait pas de voir que les 100 signataires de la tribune du Journal du Dimanche en faveur de la vaccination généralisée totalisent 8,8 millions d’intérêts liés à l’industrie pharmaceutique

Mais Klaus Schwab et son réseau sont-ils capables de considérer qu’un point de vue différent du leur relève d’autre chose que d’une conspiration contre leur prétention à faire le bien à la planète? Se souviennent-ils cette époque, pas si lointaine, où il existait des régimes politiques au sein desquels une droite et une gauche, incarnées en un ou plusieurs partis, confrontaient leur point de vue en espérant obtenir une majorité des suffrages?  Cela s’appelait la démocratie. 

La convergence des néo-fascistes et des néo-maoïstes au sein du Forum Économique Mondial

Heureusement, nous disposons des décryptages de quelques esprits libres. Eric Verhaeghe, fondateur et président du Courrier des Stratèges a publié un Dictionnaire du Great Reset. Je recommande aussi la remarquable étude de Joel Kotkin, The Rise of Corporate-State tyranny (l’avènement de la tyrannie de l’Etat allié aux grandes entreprises) dans laquelle cet universitaire californien décrit l’avènement d’un véritable néo-fascisme en Occident : 

« Une convergence entre les deux superpuissances du monde est en train de se produire. Aux États-Unis, à mesure que la propriété et le pouvoir se consolident, la « diffusion du pouvoir », si essentielle à la démocratie, s’érode et l’autocratie se développe naturellement. Seuls les acteurs au plus haut niveau possèdent le poids et la motivation nécessaires pour influencer la politique. Ce puissant front consiste en une nouvelle alliance entre les grandes entreprises, Wall Street, et la cléricature progressiste du gouvernement et des médias.

Son programme comporte plusieurs objectifs. Du côté des entreprises, nous assistons à l’émergence d’un capitalisme de « parties prenantes », qui embrasse implicitement les priorités de l’État et celles des progressistes en général, comme un moyen de plaire aux régulateurs, aux plus réveillés parmi leurs employeurs et, dans une certaine mesure, à leur propre conscience. En cela, elles ressemblent aux entreprises des États autoritaires – comme l’Italie de Mussolini, l’Allemagne d’Hitler et la Chine d’aujourd’hui – où l’accumulation de capital privé est autorisée, mais où la dissidence par rapport aux normes convenues de l’académie des médias et du gouvernement, autrefois le privilège des individus et des entreprises, est maintenant largement interdite ».

Le fascisme de l’entre-deux-guerres, né dans l’Italie de Mussolini et porté à son maximum de nocivité dans l’Allemagne hitlérienne, a sombré dans la fascination pour l’aventurisme militaire et la revanche de la Première Guerre mondiale et sa « victoire volée ». Le néo-fascisme, qui met l’Etat au service des très grandes entreprises et se finance par la fiat currency poussée à l’extrême, ne commet pas les mêmes erreurs: il se présente comme pacifique, inclusif, antiraciste et sa fascination pour l’eugénisme se pare des atours du choix individuel transhumaniste tandis que la composante écologiste, facette méconnue du IIIè Reich, est mise en avant plus que de raison. Jonah Goldberg en avait proposé un tableau extraordinaire dans un livre intitulé Liberal Fascism et paru en janvier 2008. 

Ce néo-fascisme a besoin d’un contrôle de l’information. Et il le confier aux entreprises de la Big Tech. Au sein du Forum de Davos, comme l’a montré John Laughland, cette élite occidentale néo-fasciste rencontre l’élite néo-maoïste de la Chine de Xi Jingping. On ignore souvent que le Forum de Davos tient depuis des années une session annuelle à Pékin. 

Face à la convergence des deux néo-totalitarismes, les forces de la liberté sont dispersées, peu organisées et souvent naïves sur la détermination et la dangerosité de leurs adversaires. 


Commentaire d’un lecteur de l’article (MC) sur le site source :

MC dit :6 juillet 2021 à 23 h 11 min

Je complète… Nous rendons publique la plainte et nos découvertes au niveau mondial et nous vous incitons à vous associer à l’action du CSAPE [Ndlr : voir Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité] en déposant également plainte avant que la situation ne devienne irréversible pour cause d’absence de résistance effective. Il s’agit de l’avenir de l’humanité dont nos enfants.

Vous pouvez prendre connaissance de la plainte jointe. Après avoir découvert les informations révélées, toutes factuelles, vous serez certainement convaincus de la nécessité d’agir.

Dans ce cas le CSAPE peut vous aider dans la démarche.

VOUS POUVEZ TÉLÉCHARGER LA PLAINTE ET LA NOTE DE DIFFUSION ICI :
https://drive.google.com/drive/folders/15p8urv_iJT3EisYYZ-_mPND4PNbqeHMM?usp=sharing




Pétition contre l’obligation vaccinale Covid 19. Mise à jour

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]

Pétition nationale contre l’obligation vaccinale Covid 19

Le 24 novembre 2020, à la télévision et à la radio, Emmanuel Macron avait pris un engagement très clair devant les Français : il respecterait la liberté vaccinale et ne rendrait jamais la vaccination contre le Covid 19 obligatoire.

Pourtant, depuis quelques semaines, nous sentons une pression monter très fortement dans le sens de l’obligation vaccinale.

Ces derniers jours, Olivier Véran a explicitement menacé les soignants de décider cette obligation vaccinale. Dès le mois de septembre prochain.
Des journalistes, des éditorialistes, des médecins de plateaux de télé, des politiques de tous bords, de Yannick Jadot à François Bayrou en passant par LFI et le RN, se prononcent pour l’obligation vaccinale.
Dans un communiqué publié le 24 juin 2021, l’Académie de médecine se montre plus pernicieuse encore en suggérant de rendre payant le test PCR, afin d’inciter par l’argument financier les gens à se faire vacciner. Horrible.

Pourtant, ce vaccin est toujours en phase d’expérimentation. C’est officiel.
Pourtant, la balance bénéfice-risque chez les jeunes n’est pas à l’avantage du bénéfice.
Pourtant, il est philosophiquement insupportable d’accepter de conditionner sa propre liberté à un acte médical. Un acte médical doit toujours se faire pour des raisons strictement médicales. Toute autre raison est toujours une mauvaise raison.
Pourtant, on peut s’étonner que les autorités n’évoquent jamais les traitements.

En signant cette pétition, je refuse l’obligation vaccinale covid19, je demande à Emmanuel Macron de tenir son engagement, et je participe à informer nos compatriotes de la menace d’obligation qui pèse sur nous tous collectivement.
En signant, je dis « Vive la liberté ! »


Pour signer la pétition : Pétition nationale contre l’obligation vaccinale Covid 19 – Les Patriotes (les-patriotes.fr)


Mise à jour

Un citoyen commente la pétition

Je signe car :

1) Ce n’est pas à un macron, à un Véran, à un Emmanuel Lechypre et à tous les participants du télé-achat diffusé par les chaînes de propagande aux ordres de l’État, de décider qu’est-ce que je dois m’injecter dans les veines ! Il est clair que la campagne de communication lancée aujourd’hui est une campagne de propagande de télé-achat ! Il essaye de nous vendre des casseroles médiator !

2) Ce ne sont juridiquement pas des vaccins (sinon il y a longtemps que Macron et Véran les auraient rendus obligatoires pour faire plaisir aux actionnaires des labos pharmaceutiques, dont Blackrock et Vangard). Un vaccin est un virus atténué. Or là, nous sommes en présence de produits qui sont des médicaments de matériels génétiques, d’OGM MGM (Organismes Génétiquement Modifiés) à injecter qui vont prendre le contrôle de nos cellules pour produire notamment de la protéine Spike et peut-être d’autres saloperies. Ça peut tuer ou être très toxique d’ici les 5 ans, voire même 10 ans, d’après les dernières recherches ! (leucémie, cancers, etc., souvenez vous de l’hépatite B et de Dengvaxia de Sanofi, etc.) J’attends de voir les résultats sur les injectés dans 5 ans… Ces injections sont tellement dangereuses que les labos ont décliné leur responsabilité.

3) Ce sont des essais cliniques. !!!! Véran a menti. Comment le Macron et le Véran vont-ils nous obliger juridiquement à participer à des essais cliniques d’injection de matériel génétique ? Ça ne ressemble pas aux actes d’accusation des médecins nazis de NUREMBERG, ça ?? Il y a une plainte lancée cette semaine à la cour pénale internationale contre Macron et ses sbires, suivant celles des Israéliens… certainement en prévision d’un NUREMBERG 2 dans les années qui viennent quand ils ne seront plus au pouvoir…

4) Je ne veux pas que mon patrimoine génétique et celui de ma descendance soient modifiés insidieusement par Macron, Véran, leurs sbires et Big Pharma : plusieurs études scientifiques démontrent depuis un an un risque de stérilisation et de modification de notre patrimoine génétique, donc en pleine violation de la convention d’OVIEDO ratifiée par la France…

La plupart des actes de ce gouvernement sont illégaux depuis le début de la pandémie… Que foutent les avocats ???




C. Deviers-Joncour : Aucune injustice ne peut durer pour l’éternité

[Source : zonefr.com]

Par Christine Deviers-Joncour

La destruction par le feu, celle que redoutaient nos ancêtres qu’ils percevaient comme une manifestation satanique ou luciférienne, appartient aujourd’hui à notre quotidien.

Les voitures brûlèrent par milliers en France. Les Champs-Élysées eux-mêmes n’ont pas échappé aux flammes en 2018 et 2019, comme des dizaines d’églises, dont la plus prestigieuse : la Cathédrale Notre Dame. 

Sa destruction par le feu est un fort symbole !!

Guerres, révoltes, famines, révolutions, Notre Dame est toujours restée debout.

Il aura fallu attendre le XXIe siècle pour la voir s’embraser comme une boite d’allumettes  devant nos seigneurs et maitres hilares,  alors que nous disposions de moyens de prévention et de lutte contre les incendies inconnus auparavant.

Après le FEU : LE SANG !

Le sang de nos braves Gilets jaunes, les premiers à se lever avec courage !

Le règne macronien de ce président de pacotille restera dans les annales comme une descente aux enfers !

Mon premier époux, première fausse route de ma vie, ancien ministre de Chirac, soutien inconditionnel de Macron après avoir au bout de quarante ans, quitté son parti PR, les yeux énamourés, nous lançait avec conviction durant la campagne présidentielle de 2017:

« Votez Macron ! Vous verrez comme vous serez heureux ! »

Et bien, on a vu !

La « plandémie » sera le grand final.

Le WEF, Forum économique Mondial du diabolique Schwab a déclaré dans un article récent qu’afin d’obtenir une immunité collective contre la « maladie présumée de Covid-19 », les responsables de la santé publique devaient utiliser la « théorie de la publicité » :

Manipuler la façon dont les gens pensent et ressentent l’obtention du vaccin, utiliser les dirigeants et les agents de santé, faire de la propagande et offrir des pots-de-vin comme incitation à « aider les sceptiques à franchir les portes des centres de vaccination locaux« .

La deuxième étape que le WEF recommande aux responsables de la santé publique est de mettre en œuvre la propagande et le harcèlementUne guerre psychologique qui a déclenché l’émotion de la peur qui nous a transformé en agneaux sacrificiels sous prétexte de « faire leur part pour le plus grand bien« .

Les mondialistes ont visé une dépopulation mondiale massive, mais ils ne semblent pas se rendre compte qu’une fois qu’ils auront supprimé 90 % de la population actuelle, nous devrions survivre à l’effondrement économique, à l’effondrement alimentaire, aux guerres tribales, aux accidents nucléaires et à tout ce qui serait déclenché par le programme de dépopulation mondiale.

Voici leur programme :

Phase 1 : Vacciner en priorité les personnes désinformées qui sont pressées de se faire vacciner pour retrouver leur liberté.

Phase 2 : Offrir des incitations et des récompenses pour convaincre ceux qui hésitent. (Confiseries gratuites, bières gratuites, billets de loterie, etc.)

Phase 3 : Menacer ceux qui refusent de se faire vacciner en leur retirant leurs droits (interdiction d’entrée dans toutes manifestations sportives, concerts, interdiction de voyager, etc.).

Phase 4 : Criminaliser systématiquement les résistants aux vaccins en adoptant des lois sur les vaccins obligatoires.

Phase 5 : Lancer des escouades de vaccination au porte-à-porte pour vacciner de force les gens sous la menace d’une arme, contre leur gré.

On nous prévient que nous sommes dans la phase 4 !

La cinquième pourrait sonner le glas de leurs espérances mégalomanes et mortifères ! !

D’éminents experts affirment que les symptômes du variant DELTA sont équivalents à ceux du rhume des foins !

https://nationalfile.com/top-experts-say-covid-19-delta-variant-symptoms-are-identical-to-hay-fever-common-cold/

Ces satanistes ont le soutien du gouvernement, des médias, des forces de l’ordre et des revues « scientifiques » corrompues. Les médias aux ordres  nous menacent sur les plateaux TV. Voir les interventions de journalistes lamentables qui aboient comme de bons petits soldats. Il serait intéressant de chercher à savoir combien ils sont rémunérés pour un tel boulot !

Emmanuel Lechypre :

Et Thomas Porcher : (la vidéo est tellement violente que Youtube vient de la faire disparaître, il ne faut pas faire peur au bon peuple en lui dévoilant à l’avance, les projets diaboliques que les « élites » ont pour lui…)

https://www.youtube.com/watch?v=r2UAzKCaQvA

Nous sommes nombreux depuis des mois à faire l’impossible pour informer, pour alerter ! Et pourtant il y a encore des innocents qui continuent à se faire injecter ce poison !!! Cet ostracisme entre les vaccinés et ceux qui  refusent l’injection nous divise et ne fait que confirmer que la France se consume… sous le soleil de Satan ! 

Mais depuis peu les satanistes mettent les bouchées doubles ! Ils sont en panique, fébriles. Ils sentent bien qu’ils sont en train de perdre la main. Les peuples s’éveillent peu à peu. Le nombre de candidats aux vaccins s’amenuise, malgré leurs sondages truqués auxquels bon nombre ne croient plus.

Alors ils paniquent, s’affolent et  menacent ! On envoie les petits valets sur les plateaux TV : Vendre du vaccin, leur obsession. Ils sont à vue, indignes et pathétiques. 

Et dans le même temps, les deux injections ne suffisent plus. Le PDG de Moderna préconise une troisième dose dès fin août ! Nous voilà partis pour quatre injections par an, sans en connaître exactement la composition, ni les conséquences.

Tout ça pour un soi-disant virus dont la létalité pour les moins de 65 ans est de  0,05%%. Effrayant !

Et moi qui croyais naïvement dans les années 2000 que mon combat contre la corruption politique allait enfin changer la donne. Que leurs turpitudes mises en pleine lumière allaient les calmer.

J’ai risqué ma peau pendant cinq ans dans Paris avec contrat sur ma vie, autres menaces et mon gilet pare-balles sur le dos.. On compte une vingtaine de morts suspectes dans l’Affaire des frégates de Taiwan qui me concernait. Je serais la seule survivante ! La médiatisation m’a sauvée.

J’y croyais ! Je me suis battue comme une lionne sur tous les médias que je squattais à longueur de temps et publié  de nombreux livres !..

J’avais apprivoisé la peur. Et plus ils m’agressaient, me menaçaient  et m’insultaient et plus la force en moi grandissait. A travers mon affaire j’ai peu à peu compris à l’époque, pas si lointaine, le haut niveau de corruption, de manigances malpropres et meurtres qui régnaient à tous les étages de notre république ou ce qu’il en reste ! Mais aussi ce qu’ils nous préparaient !

Et c’est ça qui me donnait le courage de les dénoncer et les combattre !. Car ce que j’entendais et découvrais alors me donnait la nausée ! Je suis atterrée de constater que non seulement cela n’a servi à rien mais qu’ils ont de plus en plus dérivé !

Aujourd’hui on a décidément touché le fond : Un crime contre l’Humanité à l’échelle mondiale et leur chimérique Grand Reset !

Et l’utilisation des réseaux sociaux rassure nos bourreaux car ils sont persuadés que tant que nous y déversons nos colères, eux peuvent dormir tranquilles : juste un exutoire pour nous maintenir enfermés, isolés devant nos claviers, sans que cela dégénère à l’extérieur ! Macron n’a – pour l’instant – plus besoin de l’hélicoptère dans le jardin de l’Elysée !

Tout ce que je peux faire devant cet écran, c’est dénoncer le plan de ces monstres illuminés. « Je me révolte donc je suis« , disait Camus ! Et bien je tente depuis bien des années de réveiller le maximum de personnes avant qu’il ne soit trop tard.                 

J’y mets tout mon cœur, avec conviction et espoir ! Tout a une fin. Ils seront détruits ! Et j’en profite pour rendre hommage à ceux, les rares, qui m’ont tendu la main durant cette dure période, « ma drôle de guerre à moi« . Je veux adresser ici un remerciement tout particulier aux hommes d’honneur et de justice que sont les parachutistes, eux qui durant cette période où ma vie était menacée, ont veillé sur moi comme des anges gardiens. Je ne les oublierai jamais et je sais qu’ils veillent sur nous tous. Ils ne nous abandonneront pas, j’en suis sûre.

LA PRIÈRE DU PARA.

Je m’adresse à vous mon Dieu, car vous seul donnez ce que l’on peut obtenir que de soi.

Donnez-moi mon Dieu ce qu’il vous reste.

Donnez-moi ce qu’on ne vous demande jamais.

Je ne vous demande pas le repos, ni la tranquillité, ni celle de l’âme, ni celle du corps.

Je ne vous demande pas la richesse, ni le succès, ni même la santé.

Tout ça, mon Dieu, on vous l’a tellement demandé que vous ne devez plus en avoir.

Donnez-moi ce que l’on vous refuse !

Je veux l’insécurité et l’inquiétude.

Je veux la tourmente et la bagarre, et que vous me les donniez définitivement et que je sois sûr de les avoir toujours car je n’aurai pas toujours le courage de vous les demander. Donnez-moi mon Dieu ce qu’il vous reste, donnez-moi ce que les autres ne veulent pas.

Mais donnez-moi aussi le courage et la foi, car vous seul donnez que ce que l’on peut obtenir que de soi !




Portugal et Covid : la justice confirme que seuls 152 décès sont dus au Covid et non 17 000

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

Une récente décision de justice portugaise est passée inaperçue, si ce n’est occultée par les mass médias. Pourtant elle bouleverse la narration officielle sur la mortalité covidienne.

Selon une décision du tribunal de Lisbonne, seulement 0,9% des « cas vérifiés » sont morts de covid, soit 152, et non 17 000 comme le prétend le gouvernement. « La décision a prouvé que le gouvernement a falsifié les statistiques sur les décès dus au covid-19 » écrit GreatGameIndia, le média qui révèle l’affaire et publie le jugement.

« À la suite d’une pétition citoyenne, explique l’article, un tribunal de Lisbonne a été contraint de fournir des données vérifiées sur la mortalité covid-19.

Selon la décision (lire l’intégralité du jugement ici), le nombre de décès vérifiés dus au covid-19 de janvier 2020 à avril 2021 n’est que de 152, et non d’environ 17 000 comme le prétendent les ministères. 

Tous les « autres » sont décédés pour diverses raisons, bien que leur test PCR soit positif.

Les données proviennent du Sistema de Informação dos Certificados de Óbito (Système d’information sur les certificats de décès – SICO), le seul système de ce type au Portugal.

La référence à 152 certificats de décès délivrés « sous la supervision du ministère de la Justice » est fallacieuse, car tous les certificats de décès sont délivrés sous les auspices du ministère de la Justice, étant la seule institution qui les délivre. »

Ce n’est pas la première fois que la justice portugaise condamne la gestion et les mesures prises par le gouvernement du pays :

« L’année dernière, rappelle GreatGameIndia, une cour d’appel portugaise a statué que les tests PCR ne sont pas fiables et qu’il est illégal de mettre en quarantaine des personnes uniquement sur la base d’un test PCR. Le tribunal a déclaré que la fiabilité du test dépend du nombre de cycles utilisés et de la charge virale présente. Citant Rita Jaafar et l’Oxford Academy, le tribunal concluait que ‘’si quelqu’un est testé par PCR comme positif lorsqu’un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c’est la règle dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit infectée est inférieure à 3%, et la probabilité que ledit résultat est un faux positif est de 97%‘’ ».




Celui qui a fait « DOLLY », le mouton, a-t-il aussi fait « COVID », la maladie ?

[Source : Le Saker Francophone]


Par Bogdan Herzog − Juin 2021

Dans un article(([1] Herzog, B. Sur la signification occulte du terme COVID. Une incursion succincte dans la reconnaissance des formes. Disponible en ligne sur geopolitica.ru, sur bogdanherzog.ro et en Français sur le lesakerfrancophone.fr. [NDLR l’article avait repris sur Nouveau Monde : Sur la signification occulte du terme COVID] )) écrit il y a un an, j’ai soutenu que lu en hébreu le nom de Covid devient Dybbuk, et que sa véritable signification est la possession démoniaque par un mauvais esprit. C’est essentiellement le même algorithme que j’ai identifié dans « Dolly », le premier animal cloné, qui en hébreu devient Ylud – se traduisant par nouveau-né. Dans le même article, j’ai tenté d’expliquer pourquoi des forces cachées seraient intéressées par le choix de tels noms de code et de certaines dates et j’ai attiré l’attention sur des événements antérieurs historiquement significatifs qui suivent le même schéma synchronique. Bien qu’à l’époque j’étais déjà au courant de certaines informations que vous rencontrerez dans cet article, j’ai préféré ne pas les divulguer à ce moment-là.

L’article, initialement publié en langue anglaise par le site Geopolitica, est devenu populaire dans les médias alternatifs et a ensuite été traduit en plusieurs langues [dont le français par LeSakerFrancophone à la demande de l’auteur, NdT] par des personnes que je ne connais pas personnellement et à qui j’aimerais exprimer ma gratitude, avant de poursuivre la présente thèse.

Comme la base théorique a déjà été expliquée dans l’article susmentionné intitulé On the Occult meaning of the word COVID et dans mon livre Synchronicité et Symbolisme,(([2] Herzog, B. Sincronicitate și Simbol, Frontiera, Timișoara. 2019)) le présent article sera centré sur la présentation de nouvelles informations au public. C’est au lecteur de juger si les informations présentées ci-dessous sont le fruit du hasard ou d’une action délibérée. Les synchronicités seront numérotées. Alors, c’est parti !

Les noms

Comme indiqué précédemment, lorsqu’il est écrit en hébreu, Dolly devient Ylod / ד ו ל י qui se traduit par nourrisson ou nouveau-né, et COVID devient DIVOC transcrit comme ק ו ב י ד ou dybbuk. Selon l’éminent spécialiste israélien Yoram Bilu, dans le folklore juif, un dybbuk est un esprit maléfique qui prend possession d’un humain(([3] Bilu, Y. Dybbuk et Maggid : Deux modèles culturels d’altération de la conscience dans le judaïsme, in Revue AJS, Vol 21 n° 2 (1996) Cambridge University Press, p. 348)):

Le terme dybbuk (dibbuq) était utilisé dans les cercles mystiques juifs pour désigner l’esprit d’un mort, pécheur notoire de son vivant, qui prenait temporairement possession d’un être humain (…) la possession par un dybbuk était toujours conçue comme une affliction ou une maladie et l’agent possesseur comme un intrus étranger et dangereux qu’il fallait expulser.

Dybbuk se traduit également par « obsession ». Plus important que le fait que Dolly et Covid aient en fait une certaine signification dans une autre langue, l’hébreu, ce qui pourrait être accidentel, c’est le fait que la signification des mots corresponde extrêmement bien aux événements qu’ils décrivent. Qu’est-ce qui est le plus vraisemblable, l’histoire officielle selon laquelle le premier animal cloné a été nommé d’après Dolly Parton, ou le fait qu’il signifie en fait « enfant » ou « nouveau-né » ? L’obsession/la possession décrit-elle précisément l’effet psychologique (et j’ose dire spirituel) que la pandémie a eu sur le monde ?

Par conséquent, nous ne décrivons pas de simples coïncidences Ce sont des coïncidences qui ont un sens. (1) et (2).

La tradition

(3) Dans mes études sur Carl Jung, j’ai rencontré le passage suivant, dans lequel le savant suisse décrit la tradition alchimique de la terminologie médicale et des noms de code, appliquée à Paracelse(([4] Jung. C.G. Alchemical Studies, dans The Collected Works of C.G. Jung, Volume 13, Bollingen Series XX, Princeton, p. 121-122.)):

Généralement, certains symptômes apparaissent, parmi lesquels un usage particulier du langage : on veut parler avec force pour impressionner son adversaire, on emploie donc un style spécial, « grandiloquent », plein de néologismes que l’on pourrait qualifier de « mots forts ». Ce symptôme est observable non seulement dans la clinique psychiatrique, mais aussi chez certains philosophes modernes et, surtout, chaque fois qu’il faut insister sur quelque chose d’indigne de la croyance malgré une résistance intérieure : la langue se gonfle, se surpasse, pousse des mots grotesques qui ne se distinguent que par leur complexité inutile. Le mot est chargé d’accomplir ce qui ne peut être fait par des moyens honnêtes. C’est le vieux mot magie, et parfois il peut dégénérer en une maladie ordinaire. Paracelse en était atteint à un tel point que même ses élèves les plus proches étaient obligés de compiler des « onomastica » (listes de mots) et de publier des commentaires.

Le lecteur non averti se heurte continuellement à ces néologismes et est d’abord complètement déconcerté, car Paracelse ne prend jamais la peine de donner des explications, même lorsque, comme c’est souvent le cas, le mot est un légomène hapax (qui n’apparaît qu’une seule fois). Souvent, ce n’est qu’en comparant plusieurs passages que l’on peut en dégager approximativement le sens. Il existe toutefois des circonstances atténuantes : les médecins ont toujours aimé utiliser un jargon magiquement incompréhensible, même pour les choses les plus ordinaires. Cela fait partie du personnage médical. Mais il est étrange que Paracelse, qui se targuait d’enseigner et d’écrire en allemand, ait été le seul à concocter les néologismes les plus complexes en latin, grec, italien, hébreu ou même arabe.

La magie est insidieuse, et c’est là que réside son danger. À un moment donné, alors que Paracelse discute de sorcellerie, il tombe dans l’utilisation d’un langage magique de sorcier sans donner la moindre explication. (…)

Dans les rites magiques, l’inversion des lettres sert le but diabolique de transformer l’ordre divin en un désordre infernal. Il est remarquable de voir avec quelle désinvolture et quel manque de réflexion Paracelse reprend ces mots magiquement déformés et laisse simplement le lecteur en faire ce qu’il peut. (…) Il était convaincu que les médecins devaient avoir une connaissance des arts magiques et ne devaient pas renoncer à la sorcellerie si cela pouvait aider leurs patients. Mais ce genre de magie populaire n’est pas chrétienne, elle est manifestement païenne – en un mot, un « Pagoyum ».

(4) A ce stade, permettez-moi de citer un passage d’un autre éminent érudit, le rabbin Joshua Trachtenberg, qui, dans son livre sur l’utilisation de la magie et du folklore juif, écrit ce qui suit sur l’utilisation de noms de code aux fins d’invocations(([5] Trachtenberg J. Jewish Magic and Superstition disponible en ligne sur scribd pp. 228-229.)):

Une caractéristique familière de la magie est l’injonction de faire les choses à l’envers, de marcher à reculons, de mettre ses vêtements à l’envers, de jeter des choses derrière son dos. Le même principe s’applique aux incantations, et les charmes juifs talmudiques et médiévaux illustrent amplement son fonctionnement. Les citations bibliques étaient souvent récitées à l’endroit et à l’envers, les noms mystiques étaient inversés ; parfois, les mots étaient écrits à l’envers au moment où ils devaient être prononcés, de sorte qu’il faut une grande agilité mentale pour ne pas se laisser prendre par ce rendu contre nature. Les phrases pouvant être lues de la même façon dans les deux sens étaient particulièrement appréciées. particulièrement prisées. Le but était de capitaliser le mystère du bizarre et de l’inconnu, et le pouvoir associé à la capacité d’inverser l’ordre naturel des choses.

Le lieu

(5) Comme je l’ai déjà précisé dans mon livre et mon article, la première information qui a attiré mon attention sur « DOLLY » a été le fait que le premier animal « fabriqué » artificiellement par l’homme était le produit du Roslin Institute, situé dans le minuscule village écossais du même nom (également orthographié Rosslyn) où se trouve la célèbre chapelle Rosslyn. En fait, l’Institut a été créé précisément pour cet événement, dans un lieu dont la signification franc-maçonnique et hermétique est reconnue.

Les chiffres :

(6) DOLLY a été annoncé(([6] Roslin Institute official website)) le 22 février 1997 – 22.2.1997 (222).

(7) COVID a été annoncé(([7] Remarques du Directeur général de l’OMS lors du point de presse sur 2019nCOV le 11 février 2020)) le 11 février 2020 – 11.02.2020 (222)

(8) La valeur guématrique juive de ק ו ב י ד ( Dybbuk) est 122. La 19ème lettre de l’alphabet hébreu, Kuf(([8] Kuf – La dix-neuvième lettre de l’alphabet hébreu, disponible)) ( ק ) a une valeur guématrique de 100. Par conséquent, COVID 19 ( ק ו ב י ד 19) a une valeur guématrique de (222).

(9) Quel est le slogan choisi pour le Grand Reset ? Build Back Better, également marqué dans le monde entier comme « BBB », avec la valeur numérique de 222, bien sûr.

Ces séquences de trois deux sont-elles le fruit du hasard ? Quelles sont les probabilités ? Peut-on les interpréter d’une certaine manière ? S’agit-il d’une sorte d’invocation, du type de celle dont parle Trachtenberg, et si oui, une invocation de quoi ? Que signifie le chiffre trois fois 222 ? Laissons au lecteur le soin d’en juger.

(10) Gardez aussi à l’esprit, quel est le chiffre de l’année prochaine ? Pourquoi cela est-il pertinent ? Qui le fait ?

Eh bien, on pourrait soutenir que tout ce qui précède est le fruit du hasard, ou qu’il pourrait s’agir d’un jeu de mots bénin de la part de spécialistes médicaux, dans la tradition du jargon médical de Paracelse, cryptique pour le public, significatif pour l’initié. Mais ce qui pourrait être bénin dans le cas de Dolly, semble vraiment horrible dans le cas d’une maladie qui a tué de nombreuses personnes et a forcé un confinement mondial.

Je n’aurais peut-être pas écrit cet article, mais ces dernières semaines, un changement s’est produit dans les messages autorisés à être envoyés au public. La fuite du laboratoire de Wuhan, après avoir été qualifiée de théorie du complot et par conséquent bannie par les médias sociaux, est soudainement devenue acceptable dans le discours public. Les implications sont géopolitiques : La Chine doit être accusée de négligence ou, bien pire, de malveillance délibérée. Pour contrer cela, les journalistes des médias alternatifs, tels que Ron Unz, ont mis en avant les jeux militaires qui ont eu lieu à Wuhan à l’automne 2019, et la possibilité que le virus se soit propagé à cet endroit par des militaires venant de pays étrangers. Eh bien, qui sait, mais passons notre chemin… Maintenant, étant conscient des informations fournies ci-dessus, laissez-moi demander au lecteur : voyez-vous un modèle ? Peut-on identifier un certain modèle, une signature si vous voulez, dans ces synchronicités (1) à (10) ? Si oui, le parti communiste chinois est-il capable d’établir un institut au Royaume-Uni et de donner un nom alchimique significatif à Dolly ? L’armée américaine peut-elle faire le faire ? Le PCC ou l’armée américaine peuvent-ils donner un nom à DOLLY, COVID et BBB et choisir les dates de l’annonce publique de l’Institut Roslin et de l’Organisation mondiale de la santé ?

Une secte ashkénaze marginale soucieuse de préserver son folklore peut-elle faire ces choses ? Peuvent-ils organiser le sommet de Davos et promouvoir le concept du Grand Reset sous le slogan BBB ? Si la réponse est non, qui le peut ? Existe-t-il une organisation internationale avec des chapitres dans différents pays du monde, s’inspirant de la tradition hermétique et alchimique ? Y a-t-il un lien possible entre Roslin, Covid et Davos ?

Comme les choses arrivent toujours avec pour une raison, j’ai récemment mis le pied sur une information précieuse qui semble presque surréaliste. En janvier 2019, environ dix mois avant le début de la pandémie, des scientifiques britanniques se sont rendus à Davos, en Suisse, pour annoncer devant les dirigeants du monde entier la mise au point réussie de vaccins à ARNm capables de combattre la grippe et l’apparition future de mystérieux agents pathogènes tels que la maladie X ! Je sais, j’ai dû me frotter les yeux aussi, mais c’est exact à 100%. Non seulement cela, mais ces vaccins ont été mis au point avec… la coopération du Roslin Institute, car, vous le savez, le Roslin est spécialisé dans la recherche animale et les maladies telles que la grippe aviaire. Permettez-moi de citer le site officiel de l’Imperial College de Londres, où un article daté du 24 janvier 2019 indique ce qui suit(([9] Des scientifiques de l’Impérial présentent la révolution des vaccins aux dirigeants du monde entier au WEF de Davos, disponible à l’adresse)):

Le professeur Robin Shattock, responsable de l’infection et de l’immunité des muqueuses au sein du département de médecine, travaille sur la fabrication de vaccins à ARN pour créer une réactivité plus rapide et plus accessible aux épidémies d’agents pathogènes connus – comme la grippe, et d’agents pathogènes inconnus, appelés maladie X. …

Les vaccins synthétiques à ARN – qui exploitent la machinerie cellulaire de l’organisme pour fabriquer un antigène plutôt que de l’injecter directement – ne prennent que quelques semaines à produire et pourraient constituer la voie la plus facile pour assurer la cohérence du produit au niveau mondial. …

Le professeur Shattock a déclaré : « Dans une situation de pandémie, pour chaque mois de retard, il y a un potentiel de cinq millions de décès, ce qui équivaut à perdre une ville de la taille de Rome ou de Singapour chaque mois. Nous devons complètement repenser la manière dont les vaccins sont produits et approuvés » …

En collaboration avec le Roslin Institute, le professeur Barclay utilise la technologie CRISPR – un moyen de modifier avec précision le génome d’une espèce pour introduire de nouveaux traits bénéfiques – pour développer des poulets totalement résistants à l’infection par le virus de la grippe.

Maintenant, dites-moi que c’est aussi une coïncidence !

Que suis-je en train de dire ? Est-ce que j’insinue que les scientifiques britanniques de Roslin ou de l’Imperial ont un lien quelconque avec la pandémie ? Pas nécessairement. Cependant, ce que j’affirme, c’est qu’il y a une forte ressemblance entre les deux événements et qu’il y a une forte probabilité qu’ils partagent le même centre de commandement. Je considère que des forces au plus haut niveau d’une organisation internationale, lorsqu’elles ont été informées que la technologie de clonage était fonctionnelle, ont décidé de cloner un mouton et d’annoncer l’événement dans un lieu à la signification hautement symbolique.

Ils ont laissé leur signature en nom et en chiffre. La même signature a été identifiée plus tard dans la COVID. Il est possible que, pour des raisons connues d’eux-mêmes, les personnes du même centre de commandement aient ensuite ordonné le développement d’un traitement médical pour une future pandémie qu’ils ont initialement nommée maladie X. Lorsqu’ils ont été informés qu’une certaine procédure médicale comprenant des vaccinations de masse avec de l’ARNm avait été développée, ils ont rendu l’information publique à Davos. Dix mois plus tard, la maladie X est apparue en Chine et a été baptisée COVID selon l’algorithme utilisé pour Dolly.

Le lieu, le nom, le chiffre, tout cela a l’apparence d’un travail rituel. Je ne sais pas pour vous, mais j’aimerais que la police, ou une autorité quelconque, enquête sur ces coïncidences et ces personnes. Sauf que, dans certains cas, ces personnes pourraient être la police. Par exemple, le comte Rosslyn, propriétaire de la chapelle Rosslyn, a été le chef de Scotland Yard (police métropolitaine) et est actuellement le maître de maison de l’héritier de la couronne britannique, le prince de Galles

Nous devons nous défendre. Et prier.

Bogdan Herzog, Timișoara, 3 juin 2021

PS : Pour les personnes intéressées par le rôle joué par la tradition hermétique dans l’établissement de la Royal Society, « la plus ancienne institution scientifique nationale du monde », profondément interconnectée avec Roslin et Imperial, conseiller du gouvernement britannique, de la Commission européenne, des réunions du G7/G8 et des Nations Unies et de ses agences, je recommande vivement les travaux de Dame Frances Yates, en particulier The Rosicrucian Enlightenment.(([10] En mettant l’accent sur le chapitre 13 – Du Collège Invisible à la Royal Society au chapitre 15 – Rosicrucianisme et franc-maçonnerie, dans Yates, F. – The Rosicrucian Enlightenment, Routlegde, 2001 également disponible en ligne à l’adresse))

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Notes




NON ! Non, je n’obéirai pas à une injonction vaccinale ! Point… final !

Par Alain Tortosa

Quels que soient mon métier, les chantages, les sanctions, les menaces de blâmes, les mises à pied ou autres licenciements…, je ne me plierai jamais à une injonction vaccinale contre le Covid.

Non je ne suis pas « anti-vax »…
Non je ne suis pas complotiste, extrémiste ou délirant…
Non je ne fais pas de la désinformation…
Non je ne suis pas irresponsable…
Non je ne mets pas les autres en danger…

Je ne suis pas contre la vaccination anticovid même s’il pouvait y avoir matière…

En revanche, je suis contre l’obligation vaccinale et contre l’absence de consentement libre et éclairé qui ne peut exister sans une information loyale et plurielle qui est censurée par les médias.

Je suis d’autant plus opposé à l’obligation vaccinale contre le Covid :

  • que le gouvernement a répété durant des mois que cette vaccination devait relever du choix de chaque individu, et ce, quelle que soit sa profession ;
  • qu’une vaccination est un acte médical fort qui modifie notre système immunitaire ;
  • que cette maladie ne menace qu’une infime partie de la population, population qu’il est possible de traiter et protéger autrement ou qui décédera quoiqu’il arrive de ses comorbidités ou de son âge ;
  • que les moyens financiers ont été orientés quasi exclusivement vers le « vaccin » ;
  • que ces « vaccins » sont en phase III de tests et soumis à une AMM conditionnelle à l’absence de traitements ;
  • que ces vaccins ont bénéficié de dérogations sur des sécurités élémentaires ;
  • que les laboratoires ont été déchargés de leurs responsabilités ;
  • que l’ARNm est expérimental et qu’il n’a jamais été diffusé à grande échelle et encore moins sur une population jeune et en bonne santé ;
  • qu’il existe des traitements efficaces utilisés avec succès dans de nombreux pays et qui ont été interdits en France ;
  • que le risque de Covid grave pour une personne de moins de 60 ans en bonne santé est quasi nul ;
  • que le risque de décès du Covid pour une personne de moins de 60 ans en bonne santé est nul ;
  • que le rapport bénéfice vs risque ne peut qu’être défavorable pour une personne jeune en bonne santé ;
  • qu’il existe des effets secondaires réels rares, peu remontés, mais graves ;
  • que même les sociétés d’assurance refusent d’indemniser les victimes d’un vaccin « expérimental » ;
  • que les effets secondaires remontés sont d’autant plus graves que l’on est jeune ;
  • que les effets à long terme de maladies auto-immunes ou de cancers sont inconnus ;
  • que les effets à long terme sur la fertilité ne sont pas connus ;
  • que l’apport du vaccin versus les traitements préventifs et curatifs n’a jamais été évalué ;
  • qu’aucune politique ciblée sur les personnes à risque n’a jamais été mise en œuvre ;
  • que des pays qui ont massivement vacciné, connaissent de fortes nouvelles vagues ;
  • que la vaccination massive durant une épidémie favorise les variants ;
  • que l’immunité vaccinale de masse contre un coronavirus relève du mythe ;
  • que les vaccins n’empêchent pas la contamination comme cela a été confirmé par le Ministre de la Santé, mais aussi par l’obligation du port du masque qui demeure pour les personnes vaccinées… et la volonté d’une obligation vaccinale dont l’objet est de protéger les personnes vaccinées et donc qu’il ne saurait exister une vaccination « solidaire ».

Alain Tortosa — 7 juillet 2021

https://7milliards.fr/tortosa20210707-non-a-une-injonction-vaccinale.pdf




Vos petits-enfants porteront encore des masques en 2050 et ils ne se rappelleront pas pourquoi

[Source : anguillesousroche.com]

L’éminent auteur britannique Peter Hitchens prévient que si les gens continuent d’accepter allègrement les restrictions du confinement, leurs petits-enfants porteront encore des masques en 2050 et personne ne se souviendra pourquoi.

« Si les gens ne s’y opposent pas maintenant, leurs petits-enfants porteront des masques dans les années 2050, mais personne ne se souviendra pourquoi », a tweeté Hitchens.

Il répondait à un nouveau rapport qui révèle qu’en dépit de la promesse du gouvernement britannique de lever toutes les restrictions relatives au confinement et au port du masque pour la « journée de la liberté » du 19 juillet, les compagnies aériennes, les magasins et autres entreprises les maintiendront en place.

Ryanair et EasyJet ont répondu à l’annonce du gouvernement en jurant de forcer les gens à continuer à porter un masque indéfiniment.

« Afin de protéger la santé de nos clients et de notre équipage, l’utilisation de masques faciaux restera obligatoire sur tous les vols Ryanair, quel que soit le pays de départ/de destination », a déclaré la compagnie aérienne dans un communiqué.

EasyJet a adopté un ton similaire, annonçant : « À l’heure actuelle, il n’y a pas de changement dans la politique de masque à bord d’easyJet et nous continuerons à garder cela à l’étude. »

« Ils rejoindront les entreprises d’autres secteurs qui ont décidé de refuser la clientèle des personnes qui ne suivent pas les ‘conseils’ du gouvernement après le 19 juillet », écrit Michael Curzon.

En d’autres termes, quoi que dise le gouvernement, puisqu’il n’interdira pas explicitement aux entreprises d’appliquer les mandats de masquage, la prétendue « journée de la liberté » n’est rien de tel et les restrictions resteront de facto en place indéfiniment.

Ce sera de la musique aux oreilles des conseillers du gouvernement SAGE comme Susan Michie, une communiste avouée qui insiste sur le fait que les gens devraient être forcés de porter des masques « pour toujours ».

En février 2020, le Dr Anthony Fauci a admis qu’un masque facial typique acheté dans le commerce « n’est pas vraiment efficace pour empêcher l’entrée du virus, qui est assez petit pour passer à travers le matériau ».

Une étude danoise évaluée par des pairs et portant sur 6 000 participants a révélé qu’« il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre ceux qui portaient un masque et ceux qui n’en portaient pas lorsqu’il s’agissait d’être infecté par le Covid-19 »rapporte le Spectator.

« 1,8 % des personnes portant un masque ont attrapé le Covid, contre 2,1 % dans le groupe témoin. Par conséquent, il semble que tout effet des masques sur la prévention de la propagation de la maladie dans la communauté soit faible. »




Médiator : un conte pour Noël ?

[Source : Site Web du Dr Marc GIRARD] (rolandsimion.org)]

lundi 23 septembre 2019 par Marc Girard

L’actualité médiatique me conduit à ressortir cet article sur la mystification Médiator (date de première mise en ligne : 01/01/2011(([1] N’en déplaise à ceux qui ne veulent plus entendre parler de Frachon après l’avoir adulée, ce n’est pas moi qui ai changé d’avis…))). Ni l’émission de C dans l’air à laquelle j’avais participé et où le plus ardent adulateur d’Irène Frachon(([2] Et le plus sévère pourfendeur de Servier.)) avait été le président du LEEM (le syndicat national de l’industrie pharmaceutique), ni la politique sanitaire de Macron et de sa bande, ni les blocages de la justice sur des affaires d’une tout autre gravité, ne m’incitent à renier ma prédiction que grâce à la bouffonnerie Frachon, la situation serait « pire qu’avant ».

L’affaire Médiator, on l’a dit et documenté, défie le sens commun. Et par le nombre de victimes (extrêmement faible toutes choses égales par ailleurs), et par l’inexplicable tardiveté de cette micro-révélation relativement à l’immense scandale des anorexigènes impunément commercialisés par Servier depuis 1963, et par l’invraisemblance des circonstances ayant conduit à sa révélation, et par le caractère éminemment suspect de l’unanimité dans la dénonciation qui devrait soulever d’autant plus de résistances qu’elle vise une corruption censément généralisée – « palpable » dit le Petit Poucet (TF1 News, 30/12/10) : quand on « palpe » où ça fait mal, on s’attire généralement des gueulements, et pas des louanges généralisées – notamment des instances qui mériteraient le plus d’être palpées…(([3] Plus d’un an après la mise en ligne de cet article, je lis sous la plume de Jacques Ellul (Exégèse des nouveaux lieux communs, La Table Ronde, Paris, 2004 : p. 18.) : « Ce qui révèle le plus aisément le lieu commun, c’est précisément cet accord de tous ! » A l’aune de ce critère, il est facile de reconnaître le « lieu commun » dans cette dénonciation apparemment implacable de la pseudo-affaire Médiator.))

À l’évidence, il y a de la magie dans tout cela.

Eu égard à l’intérêt assumé du présent site pour les contes de fées, il peut être utile de relire l’actualité à la lumière des analyses désormais bien classiques de V. Propp.(([4] V. Propp. Morphologie du conte. Paris, Seuil, 1970.))

Le héros, c’est le Petit Poucet : caractère superbement trempé, comme attendu d’un pneumologue exerçant dans une ville où quand il y a de la brume, c’est qu’il va pleuvoir, alors que quand il n’y en a pas, c’est qu’il pleut… Comme souvent dans la littérature merveilleuse, la tradition est parasitée par une autre source – La Belle au Bois dormant en l’occurrence – puisque se réveillant d’un sommeil de cent ans, le Petit Poucet prétend vouloir éviter un deuxième scandale.(([5] Sur ce point, les sources varient un peu, Poucet déclarant, selon d’autres versions, vouloir éviter « un troisième » scandale (France-Soir, 22/12/10), accréditant de la sorte l’existence d’un précédent avec l’Isoméride pourtant présenté dans son livre (p. 28) comme la démonstration de l’exception française par contraste avec la jobardise des Américains. Historiquement, il convient de rappeler que c’est depuis ce jour où notre Agence a ridiculisé les autorités américaines dans la gestion du scandale fenfluramines que l’on trouve des coqs sur tous les clochers de France.)) Les enfants rient beaucoup à cette version, car, bien moins naïfs que ne l’imaginent les adultes, ils savent très bien qu’il y a plus que « deux » ou « trois » scandales au Royaume de la Pharmacie, et que quand un canard comme Le Figaro vous tresse plusieurs couronnes de laurier par jour, c’est qu’il y a un blèmepro – comme ils disent…

Le méchant, c’est le fabricant du médicament. Comme tous les êtres malfaisants, il a les yeux rouges – et l’haleine fétide : même les crapauds craignent sa bave !… Tous les ans, à la même saison, il charme de jeunes vierges en leur faisant croire qu’elles seront bien plus séduisantes si elles perdent quelques grammes avant de paraître en bikini. Il les abandonne exsangues et moribondes sur les plages de sable, hélas hors d’atteinte du Parquet – lequel (comme la DDE, cette fois avec la neige) n’est évidemment pas équipé pour intervenir en pareil terrain.

Le chevalier, c’est le super-épidémiologiste qui a tout découvert avant tout le monde sans rien dire à personne. Malgré sa vaillance, il a été transformé en statue de pierre par le méchant (il l’a d’ailleurs échappé belle, parce que pour le même prix, il aurait pu se retrouver sous forme d’un « petit cercueil« ). Bref et pour dire, sa délivrance dépend du héros. Petit Poucet doit venir, lui donner un grand coup de pied et, lui, doit alors débiter une formule magique : « Ouille mon cul ! Hue mes c*** ! À dada sur mon bidet ! Prout ! Prout ! Prout ! » Le comique de la situation tient d’une part à la disproportion entre le petit pied de Poucet et le derrière du chevalier, d’autre part aux connotations sexuelles et scatologiques d’une formule magique en forme de comptine, bien classiques dans la littérature merveilleuse – et qui font beaucoup rire les enfants.

Le roi, c’est le ministre de la santé. Dans la logique narrative du conte, il n’a pas besoin d’être intelligent : c’est juste une instance de décision.(([6] Qui dispense le narrateur de la moindre justification concernant les décisions en question : nous reviendrons sur ce point à la fin.)) Ainsi, il peut prendre d’abord des décisions favorables au méchant, puis se déclarer en faveur du héros, tout en regrettant le sort injuste réservé au chevalier. Bonjour pour le suspense…

Les donateurs, ce sont tous les faux-culs de l’administration sanitaire qui, après avoir soutenu le méchant durant des décennies, se découvrent une soudaine passion pour la mission de Poucet. Ce sont eux, par exemple, qui vont lui conseiller les caramels mous pour rendre moins mal aimable la responsable de la pharmacovigilance à l’AFSSAPS.(([7] Les versions varient là encore sur ce point : selon certaines, c’est une pinte de bière à la cerise qui lui aurait ouvert les portes de l’AFSSAPS.)) Les enfants sont généralement horrifiés par tant de duplicité.

La récompense, c’est l’aura médiatique, d’autant plus convaincante qu’elle émane d’intervenants – parlementaires, experts, administratifs, journalistes – dont les liens d’intérêts sont particulièrement « palpables ».(([8] Elle peut aussi émaner de « grands reporters » avouant sans fard ne rien connaître au monde de la santé, mais forcés de gagner leur croûte depuis que leur rédaction a jugé plus rentable de couvrir l’actualité en Irak ou en Afghanistan par des couper-coller en corrigeant juste au jour le jour le nombre de victimes – à trois poils près, il faut le dire.)) Elle permet à Poucet enfin reconnu de pérorer sur n’importe quoi, sans être jamais contredit : les enfants adorent ça, car ils ont tous, au fond d’eux-mêmes, le goût des fatrasies.

Le narrateur, c’est un député socialiste de la région toulousaine(([9] Certains critiques parlent de « metteur en scène ». C’est idiot : dans la littérature merveilleuse, on a des narrateurs, pas des metteurs en scène…)): avec sa faconde méridionale, il s’y entend à mettre les enfants dans sa poche – lesquels l’adorent de toute façon.

Marc Girard


Articles de cet auteur





Actionner un interrupteur dans la tête

[Source anglophone : rockefeller.edu]

[Illustration de Ellen Weinstein]

Grâce à une nouvelle technologie, les scientifiques sont en mesure d’exercer un contrôle sans fil sur les cellules du cerveau des souris en appuyant simplement sur un bouton. La première chose qu’ils ont faite a été de donner faim aux souris.

Par W. Wayt Gibbs

1er avril 2017

[Ndlr : la date de l’article peut bien sûr laisser penser à un poisson d’avril. Cependant, le lien ci-dessous pointe sur une autre page du site de l’Université Rockefeller qui présente notamment :
Jeffrey M. Friedman, M.D., Ph.D.
professeur titulaire de la chaire Marilyn M. Simpson
CHERCHEUR, INSTITUT MÉDICAL HOWARD HUGHES
(Sections) GÉNÉTIQUE ET GÉNOMIQUE | MÉCANISMES DES MALADIES HUMAINES | NEUROSCIENCES ET COMPORTEMENT
Étudie les mécanismes moléculaires qui régulent la prise alimentaire et le poids corporel.]

Préparez vos chapeaux en fibre de verre : le contrôle de l’esprit n’est pas une idée aussi farfelue qu’il n’y paraît. Dans le laboratoire de Jeffrey M. Friedman, cela se produit tout le temps, bien que les sujets soient des souris et non des humains.

Friedman et ses collègues ont démontré qu’ils pouvaient télécommander par radio l’appétit et le métabolisme du glucose chez les souris — une technique sophistiquée permettant de modifier sans fil les neurones du cerveau des animaux. En appuyant sur un interrupteur, ils sont capables de donner faim aux souris ou de supprimer leur appétit, tout en leur permettant de mener une vie normale. Ils utilisent cet outil pour élucider les bases neurologiques de l’alimentation, et il est probable qu’il aura des applications pour l’étude d’autres comportements câblés.

M. Friedman, professeur titulaire de la chaire Marilyn M. Simpson, travaille sur cette technique depuis plusieurs années avec Sarah Stanley, ancienne post-doctorante de son laboratoire, aujourd’hui professeur adjoint à l’école de médecine Icahn de Mount Sinai, et des collaborateurs du Rensselaer Polytechnic Institute. Conscient des limites des méthodes existantes pour déclencher les cellules cérébrales chez les animaux vivants, le groupe a entrepris d’inventer une nouvelle méthode. L’approche idéale, ont-ils pensé, devrait être aussi peu invasive et aussi peu dommageable que possible. Et elle devrait fonctionner rapidement et de manière répétée.

Il existe d’autres moyens d’envoyer des signaux aux neurones, mais chacun a ses limites. Dans la stimulation cérébrale profonde, par exemple, les scientifiques font passer un fil dans le cerveau pour placer une électrode à proximité des cellules cibles. Mais l’implant peut endommager les cellules et les tissus voisins et perturber ainsi le comportement normal. L’optogénétique, qui fonctionne de manière similaire mais utilise des fibres optiques et une impulsion lumineuse plutôt que l’électricité, présente le même problème. Une troisième stratégie, qui consiste à utiliser des médicaments pour activer des cellules génétiquement modifiées introduites dans des souris, est moins invasive, mais les médicaments sont lents à agir et à disparaître.

La solution trouvée par le groupe de Friedman, appelée radiogénétique ou magnétogénétique, permet d’éviter ces problèmes. Grâce à leur méthode, publiée l’année dernière dans Nature, les biologistes peuvent activer ou désactiver les neurones d’un animal vivant à volonté — rapidement, à plusieurs reprises et sans implant — en modifiant les cellules pour les rendre réceptives aux ondes radio ou à un champ magnétique.

« En effet, nous avons créé une illusion perceptive selon laquelle l’animal avait une baisse de glycémie. »

« Nous avons combiné des molécules déjà utilisées dans les cellules à d’autres fins d’une manière qui permet à une force invisible de prendre le contrôle d’un instinct aussi primaire que la faim », explique M. Friedman.

La méthode relie cinq outils biologiques très différents, ce qui peut sembler fantaisiste et alambiqué, comme un bricolage de Rube Goldberg à l’échelle moléculaire. Elle s’appuie sur une protéine fluorescente verte empruntée aux méduses, un anticorps particulier dérivé des chameaux, des sacs spongieux de particules de fer [Ndlr : donc magnétisables] et l’équivalent cellulaire d’une porte fabriquée à partir d’une protéine qui perce la membrane [Ndlr : comme une protéine de type Spike], le tout livré et installé par un virus génétiquement modifié [Ndlr : comme le SRAS-CoV-2]. La télécommande de cet engin est un outil de soudure modifié (bien qu’un aimant acheté dans le commerce fonctionne également).

[Ndlr : à mettre en relation avec :
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
Ce que cache le test PCR ?
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
Le gouvernement américain publie accidentellement des documents sur le contrôle mental électromagnétique dans une demande FOIA
Le contrôle mental au temps du Covid
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Est-ce que certaines des technologies de contrôle mental existantes et expérimentées sont ou seront pour autant utilisées contre l’Humanité ?]

Le premier défi des chercheurs était de trouver un élément dans un neurone qui pourrait servir d’antenne pour détecter le signal radio ou le champ magnétique entrant. Le choix logique s’est porté sur la ferritine, une protéine qui stocke le fer dans les cellules sous forme de particules semblables à des ballons d’à peine une douzaine de nanomètres de large. Le fer est essentiel aux cellules, mais il peut aussi être toxique. Il est donc séquestré dans les particules de ferritine jusqu’à ce qu’il soit nécessaire. Chaque particule de ferritine porte en elle des milliers de grains de fer qui s’agitent en réponse à un signal radio, et se déplacent et s’alignent lorsqu’ils sont immergés dans un champ magnétique. Nous avons tous ces particules qui s’agitent à l’intérieur des cellules de notre cerveau, mais ces mouvements n’ont normalement aucun effet sur les neurones.

Friedman et Stanley, avec l’équipement qu’ils utilisent pour envoyer des ondes radio.
Photo par Zachary Veilleux

L’équipe de Friedman a réalisé qu’elle pouvait utiliser un virus génétiquement modifié pour créer des portes dans la membrane externe d’un neurone. S’ils pouvaient ensuite attacher chaque porte à une particule de ferritine, ils ont pensé qu’ils pourraient être en mesure d’agiter suffisamment la ferritine pour ouvrir la porte. La « porte » que nous avons choisie s’appelle TRPV1 », explique Stanley. « Une fois que TRPV1 est activé, les ions calcium et sodium s’écouleraient ensuite dans la cellule et déclencheraient le feu du neurone ». Les morceaux empruntés aux chameaux et aux méduses ont fourni ce dont les scientifiques avaient besoin pour connecter la porte à la ferritine (voir l’encadré Comment équiper un cerveau, plus bas).

Une fois que l’équipe a fait fonctionner le nouveau mécanisme de contrôle, elle l’a mis à l’épreuve. Pour Friedman et Stanley, dont l’objectif est de démêler les causes biologiques de la suralimentation et de l’obésité, la première application était évidente : essayer d’identifier les neurones spécifiques impliqués dans l’appétit. Le groupe a modifié les neurones détecteurs de glucose — des cellules censées surveiller le taux de glycémie dans le cerveau et le maintenir dans une fourchette normale — pour les mettre sous contrôle sans fil. Pour ce faire, ils ont inséré les gènes TRPV1 et de la ferritine dans un virus et — en utilisant une autre astuce génétique — les ont injectés dans les neurones capteurs de glucose. Ils ont ensuite pu manipuler les cellules pour voir si elles sont impliquées, comme on le soupçonne, dans la coordination de l’alimentation et la libération d’hormones, telles que l’insuline et le glucagon, qui permettent de contrôler la glycémie.

Comment équiper un cerveau pour la radiocommande

Des scientifiques ont trouvé un moyen astucieux de contrôler les neurones par radio en combinant des gènes d’humains, de chameaux et de méduses. Ils utilisent un virus modifié pour installer une porte dans la membrane externe de chaque neurone cible, puis ils ouvrent cette porte en utilisant des particules de ferritine qui répondent à de puissants signaux radio. Une fois la porte ouverte, les ions calcium se déversent dans la cellule et déclenchent le feu dans le neurone.

Illustration by Jasu Hu
Illustration par Jasu Hu
  1. Pour installer le système de radiogénétique dans les neurones, les scientifiques ont équipé un adénovirus des différents gènes nécessaires au fonctionnement du système. Ils ont ensuite injecté le virus modifié dans les cellules du cerveau qu’ils voulaient modifier.
  2. L’un des gènes ajoutés produit la TRPV1, une protéine qui aide normalement les cellules à détecter la chaleur et le mouvement. Dans chaque neurone, la protéine TRPV1 (en rose) s’intègre à la membrane externe de la cellule. Comme une porte, elle peut changer de forme pour ouvrir ou fermer un canal ionique. Pour ajouter une poignée à la porte, les chercheurs ont cousu TRPV1 à un « nanocorps » (violet) — une variété d’anticorps exceptionnellement simple que l’on trouve chez les chameaux.
  3. Les particules de ferritine remplies de fer (en vert) servent de capteur au système. Pour leur permettre de s’accrocher à la poignée de porte du nanocorps, les chercheurs ont ajouté un gène pour la GFP, une protéine de méduse qui brille en vert sous la lumière ultraviolette. Le nanocorps et la GFP se collent l’un à l’autre et le système est maintenant connecté. Lorsqu’ils sont exposés à de fortes ondes radio ou à des champs magnétiques, les particules de ferritine s’agitent, le canal ionique s’ouvre et les ions calcium (en rouge) entrent dans la cellule pour l’activer.

Une fois que le virus a eu le temps d’infecter et de transformer les neurones cibles, les chercheurs ont allumé un émetteur radio réglé sur 465 kHz, un peu en dessous de la bande utilisée pour la radio AM.

Les neurones ont répondu. Ils se sont mis à tirer, signalant une pénurie de glucose, même si le taux de glycémie de l’animal était normal. D’autres parties du corps ont réagi comme elles l’auraient fait en cas de baisse réelle de la glycémie : le taux d’insuline a baissé, le foie a commencé à produire davantage de glucose et les animaux ont commencé à manger davantage. « En fait », dit Friedman, « nous avons créé une illusion de perception selon laquelle l’animal avait une faible glycémie alors que les niveaux étaient normaux ».

Inspirés par ces résultats, les chercheurs se sont demandé si le magnétisme, comme les ondes radio, pouvait déclencher l’ouverture des portes cellulaires par la ferritine. Ce fut le cas : Lorsque l’équipe a placé les cages des souris à proximité d’une machine IRM ou qu’elle a fait passer un aimant de terre rare sur les animaux, les neurones sensibles au glucose se sont déclenchés.

Stimuler l’appétit est une chose. Pourraient-ils aussi le supprimer ? Le groupe a modifié le gène TRPV1 pour qu’il laisse passer le chlorure, qui agit pour inhiber les neurones. Lorsqu’ils ont inséré le TRPV1 modifié dans les neurones, l’afflux de chlorure a fait en sorte que les neurones se comportent comme si le sang était surchargé de glucose. La production d’insuline a augmenté chez les animaux et ils ont moins mangé. « Cela semble indiquer clairement que le cerveau, tout comme le pancréas, est impliqué dans la régulation du glucose », déclare Friedman.

Friedman et Stanley espèrent que les biologistes seront en mesure d’utiliser le système de télécommande pour s’attaquer à toute une série de processus neuronaux autres que l’appétit. Et au-delà d’un outil de recherche fondamentale, la méthode pourrait potentiellement conduire à de nouvelles thérapies pour les troubles du cerveau.

Par exemple, on pourrait imaginer l’utiliser pour traiter la maladie de Parkinson ou les tremblements essentiels — des maladies qui sont parfois traitées par stimulation cérébrale profonde, au moyen de fils implantés dans le cerveau des patients et reliés à un bloc-piles logé dans la poitrine. Il serait potentiellement moins invasif d’injecter le virus paralysé au même endroit du cerveau et de le laisser modifier de façon permanente les cellules qui s’y trouvent, pour qu’elles répondent à un contrôle sans fil.

En théorie, il serait également possible de rendre les cellules d’un patient réceptives aux ondes électromagnétiques en les retirant du corps, en leur administrant du TRPV1 et de la ferritine, puis en les remettant en place, explique Friedman. Il s’agirait d’un protocole semblable à ceux actuellement utilisés dans les traitements par cellules souches et dans certaines immunothérapies contre le cancer, dans lesquels les propres cellules des patients sont modifiées et réimplantées dans leur corps.

À ce stade, cependant, l’utilité clinique du système est une question de spéculation. « Nous sommes loin de l’utiliser chez l’homme pour des traitements médicaux », déclare Friedman. « Il y aurait beaucoup à faire avant même de pouvoir le tester ».




Les brebis galeuses répondent aux Diafoirus qui foisonnent sur les médias

Par Nicole Delépine

[Illustration : Diafoirus père et fils soignant Argan, le malade imaginaire]

« Médecins du “malade imaginaire” de Molière, Monsieur Diafoirus et son fils Thomas (“grand benêt nouvellement sorti des écoles, fait toutes choses de mauvaise grâce et à contretemps”), deux cuistres grandiloquents et rétrogrades dont le charlatanisme finit par éclater au grand jour. »

Et comme nos vaccinateurs actuels de toute nature (pharmaciens, vétérinaires, pompiers, ambulanciers, aides-soignants, etc.) dépêchés par le gouvernement, Molière a l’idée de dépêcher son patient chez le pharmacien… Comme quoi on n’invente rien.

« On m’a cru malade, et on m’a dépêché le pharmacien. Je me suis fâché. Un révolté avoir recours à l’apothicaire !
— Mais, monsieur, a fait le Diafoirus, tout le monde se drogue ici.
»

 (Jules VallèsL’Insurgé, G. Charpentier, 1908)

Devant la disparition du Sars Cov 2 de France et de Navarre, comme le démontre la surveillance du Réseau sentinelle

Réseau sentinelle du 4 juillet 2020 : 3 cas pour 100 000 habitants. « Le gouvernement dictature vise l’immortalité. Mortalité cancers, suicides, noyades, accidents, AVC, infarctus, accidents domestiques ? OMERTA » @divergente151

Et ce 5 juillet il y a moins d’un cas pour 100 000 !

Et malgré la très faible dangerosité du variant delta (dont les symptômes sont ceux d’un bon rhume avec parfois maux de tête, gorge sèche, nez qui coule) qu’on veut nous vendre comme le péril jaune des années soixante, notre gouvernement veut continuer à nous faire peur et rameute « les bonnes volontés » pour désinformer.

Boris Johnson avec seulement 50 % de vaccinés par Astra Zeneca en majorité (efficacité réduite sur variant delta) relâche toutes les restrictions et admet le variant delta comme bénin sous la pression populaire. Belle manifestation géante à Londres le 29 juin. Plus utile qu’une prédiction de Ferguson pour prendre les bonnes décisions.

Les gouvernements mondialistes qui veulent à tout prix injecter leurs pseudo vaccins avant qu’ils ne soient périmés rameutent les diafoirus habituels, les médecins corrompus qui hantent les plateaux télé depuis des mois, mais aussi de nouveaux volontaires, syndicalistes, politiques, etc., pour alimenter la peur.

MENSONGE MAJEUR DES PROVACCINS covid

IL NE S’AGIT PAS DE VACCINS SELON PASTEUR,

MAIS DE MÉDICAMENTS DE THÉRAPIE GÉNIQUE JAMAIS EXPÉRIMENTÉS CHEZ L’HOMME À TITRE PRÉVENTIF

Selon la définition de Pasteur, un vaccin est un concentré d’antigènes spécifiques de la maladie à combattre, qui, injecté à un être vivant, suscite la fabrication d’anticorps spécifiques. La fabrication d’un vaccin se déroule en deux temps : d’abord la production de l’antigène, puis sa mise en forme pharmaceutique. L’antigène peut être constitué d’un microbe tué ou atténué, soit, le plus souvent, d’un ou plusieurs fragments de celui-ci. Cela permet à l’organisme de développer des défenses immunitaires contre la maladie ciblée. Ainsi, si un jour l’individu vacciné rencontre le vrai virus le système immunitaire le reconnaîtra et s’activera immédiatement pour le protéger de cette maladie. Le système immunitaire fabrique des anticorps pour éliminer spécifiquement ce microbe ; il s’agit du mécanisme de défense naturelle.

Ce qu’on nous présente comme « vaccins anticovid » ne contient aucun antigène. Ce sont en réalité des médicaments contenant un ARN messager destiné à nos cellules pour les forcer à fabriquer la protéine Spike en espérant que cette présence créera une réaction immunitaire anti Spike. Cette technique médicamenteuse pseudo vaccinale n’a jamais été utilisée chez l’homme. Elle n’a pas suivi le cycle normal des essais qui prend habituellement 7 à 10 ans. Sous prétexte d’urgence, les agences sanitaires lui ont accordé une autorisation conditionnelle de mise sur le marché, sans attendre la fin des essais de phase 3 dont les premiers sont attendus pour 2023. Leur utilisation en population générale constitue donc un essai gigantesque, un pari jamais tenté susceptible d’aboutir à une catastrophe sanitaire mondiale.

LEURS LIENS D’INTÉRÊTS MOTEURS DES DIAFOIRUS MÉDECINS ?

Les médecins signataires de la tribune du JDD demandant l’obligation ont attiré l’attention des éveillés : ces 96 médecins qui réclament la « vaccination obligatoire » cumulent « en même temps » 8 millions d’€ de conflits d’intérêts avec différents labos qu’ils ont oublié de signaler contrairement à ce que la loi leur demande (sans compter leurs contrats commerciaux couverts par le secret défense)

source @LerouxArthur10

Dans cette tribune agissent-ils comme médecins ou comme représentants de commerce de leurs employeurs pharmaceutiques ? Et pourquoi ne respectent-ils pas la loi Transparence Santé ?

Mention spéciale pour Jean-Paul Hamon

Le Dr Jean-Paul Hamon ancien militant pour une médecine libre qui écrivit « comment ils tuent la médecine de proximité ? » a sombré lui aussi dans le délire vaccinal. Que lui ont-ils fait pour qu’il renie ainsi son passé de défenseur de la liberté médicale, fidèle à Hippocrate ?

Si on la chance de ne pas avoir une nouvelle flambée c’est parce que la moitié de la population française a reçu sa première dose […] Je pense qu’il faut sortir la boîte à claques et avoir le courage de dire aux Français “vaccinez-vous””, Jean-Paul Hamon dans #LaMatinaleWE 4 juillet 2021.

Ne sait-il pas que la première dose ne protège pas et expose au contraire à la possible aggravation de la maladie comme l’a reconnu O. Veran(([1] https://www.europe1.fr/sante/un-octogenaire-demande-au-conseil-detat-a-etre-deconfine-apres-avoir-ete-vaccine-4034911)): « les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant » ? Ignore-t-il que les pays qui ont le plus vacciné sont ceux qui ont le plus souffert d’une recrudescence de cas et de morts pendant 6 à 8 semaines(([2] Depuis qu’on vaccine (anticovid), la mortalité moyenne quotidienne a augmenté dans 13 pays sur 14))?

Et d’autres

– Dr Peloux (ancien président de l’association des médecins urgentistes, fidèle soutien du président Hollande et coutumier de la collaboration avec le pouvoir.

– Dr Prudhomme (actuel président de l’association des médecins urgentistes) qui voudrait vacciner le monde entier en cassant les brevets pour avoir l’air « de gauche », peu importe le danger des vaccins qui n’en sont pas…

L’un des meilleurs est le Dr Wargon (dont l’épouse est ministre de la Ville.(([3] Elle promeut la mixité sociale alors qu’elle habite dans une belle maison de 150 m2 évaluée 1 500 000 € à St-Mandé (94) alors que son mari exerce à Saint-Denis (93)!!! Bel exemple de mixité sociale !!! (voir l’article de Paul Le Poulpe sur Riposte Laïque) ? Ce couple pourrait habiter dans la riante ville de Saint-Denis !!!))), chef du service des urgences à l’hôpital de Saint-Denis (93) qui insulte littéralement le Pr Raoult

@CNEWS et ne dépare pas l’ensemble des médias malgré la réputation d’indépendance qu’on essaie de lui créer.

« Quand le Dr Brigitte Millaud prend comme support le nombre de morts dans le monde (environ 4 millions) pour pousser à la vaccination, j’ai envie de lui demander, il y a-t-il un vaccin contre la faim, car bon an mal an, c’est 8 millions de morts par an, un peu de pudeur », dit un Twittos qui pourrait ajouter que ces morts covid étaient en grande partie évitables en utilisant les traitements précoces interdits dans les pays occidentaux et plus strictement en France. Et que les restrictions sanitaires qu’on nous a inutilement imposées seront responsables de la mort par famine de plusieurs centaines de milliers d’enfants du tiers monde.(([4] Le nombre de personnes souffrant de faim dans le monde pourrait doubler, « atteignant plus de 250 millions d’ici la fin de 2020 », a prévenu mardi 21 avril 2020 le Programme alimentaire mondial (PAM) ))(([5] ONU infos Des millions d’enfants menacés par la famine en 2021 dans plusieurs pays, dont la RDC, le Yémen et le Soudan du Sud
https://news.un.org/fr/story/2020/12/1085632))

L’éternel Martin Blachier est capable de rejoindre 5 plateaux le même jour, utilise des arguments tout sauf scientifiques :

« Vous devez vous faire vacciner pour les autres […] S’il y a une petite vague épidémique en septembre ou octobre, ces gens que vous fustigez feront refermer le pays et ils y arriveront »

(dans #HDPros le 5 juillet).

Ignore-t-il que le vaccin ne prévient pas la transmission aux autres comme l’a également précisé O Veran(([6] Ibid référence 1)): « le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers », mais ses activités télévisuelles ne lui laissent certainement pas le temps d’écouter son ministre.

Et bien sûr, ils sont allés chercher Irène Frachon, l’officielle lanceuse d’alerte pour avoir participé à la mise en évidence du drame du médiator, mais qui avait déjà soutenu en 2017 la vaccination obligatoire pour les petits nés après 2018 dont l’épouvantable vaccin hépatite B !

« L’appel d’Irène Frachon aux récalcitrants.(([7] https://www.leparisien.fr/societe/sante/les-etudes-sont-serieuses-faites-moi-confiance-allez-vous-faire-vacciner-lappel-direne-frachon-aux-antivax-05-07-2021-HDP47PCCENGNZF2SMTEE2NYAM4.php)) Lanceuse d’alerte de l’affaire du Mediator, Irène Frachon prend position pour la vaccination dans une tribune ce lundi sur notre site. Le bénéfice est immense, clame-t-elle après avoir épluché les études ».

On est heureux d’apprendre qu’elle a épluché les études… qui n’existent pas puisque les essais ne seront terminés qu’en 2023 au plutôt… Devin, la belle Irène ?

Il faut croire que cette « bonne opposante » préfère les morts du Médiator aux milliers de décès déjà répertoriés liés aux pseudovaccins, par l’agence européenne du médicament EudraVigilance(([8] 17 5 0 3 décès début juillet 2021 #EudraVigilance)) ou le système américain VAERS.(([9] VAERS 6 9 8 5 pour les USA sans parler des milliers d’accidents graves laissant des handicapés à vie)) Viendra-t-elle aussi défendre les familles lors des procès futurs ?

Mais manifestement, tous les morts ne se valent pas et Mme Frachon se serait honorée de rester cachée. Nul n’est parfait.

Quant au conseil de l’ordre, il suit bien sûr comme d’habitude les consignes gouvernementales et se prononce pour l’obligation, mais après avoir interdit les traitements précoces aux médecins, personne ne s’étonnera.

DIAFOIRUS JOURNALISTES

En plus de ceux cités préalablement dans notre article « les brebis galeuses répondent à la secte des covidistes »,(([10] https://nouveau-monde.ca/les-brebis-galeuses-repondent-a-la-secte-des-covidistes/)) la liste s’allonge chaque jour.
Nous en citerons quelques-uns de plus :

Emmanuelle Ducros :

« Si les soignants ne veulent pas se vacciner, ils n’ont rien à faire dans les lieux de soins »(([11] https://t.co/ELl2TpYiGK
https://twitter.com/StephanMarie11/status/1410568757706174471?s=20))

Sans vouloir se répéter, on se demande comment toutes ces personnes deviennent brutalement des spécialistes si bien formés qu’ils se permettent de jeter l’opprobre sur les citoyens mieux informés qu’eux sur la balance avantages/risques des médicaments et sur l’inefficacité des pseudo vaccins à prévenir la transmission de la maladie.

DIAFOIRUS POLITIQUES ET SYNDICALISTES

Le plus célèbre est évidemment Francois Bayrou toujours là pour « la bonne cause » et auquel on doit en partie l’élection du président actuel.

« Invité du Grand Jury RTL — Le Figaro – LCI ce dimanche 4 juillet, le Haut-commissaire au plan François Bayrou s’est prononcé en faveur d’une vaccination obligatoire contre le Covid-19. François Bayrou a rappelé qu’en France, « chaque bébé qui naît reçoit 11 vaccinations obligatoires » et que “pour aller dans un département français, la Guyane, il faut être obligatoirement vacciné contre la fièvre jaune”. »

« La vaccination fait partie de la vie et c’est probablement la conquête médicale — avec l’hygiène — la plus importante depuis le début des temps. Et c’est un Français, Pasteur, qui l’a inventée », a-t-il insisté.

Évidemment l’argumentation pèche sur deux points majeurs : la vaccination des bébés a été imposée sans consensus du pays par la désormais célèbre Mme Buzyn après une consultation de professionnels et de la société civile qui ne souhaitaient pas cette obligation. Le professeur Fischer déjà lui a rédigé le rapport selon ses conclusions personnelles trahissant les conclusions des médecins.

« Aux yeux du président du Modem, qui craint particulièrement qu’un nouveau variant ne finisse par être “particulièrement nocif pour les enfants en bas âge” “la vaccination est la seule digue contre ce qui nous pend au nez”, à savoir une nouvelle vague de Covid-19 ».

Brutalement grand médecin visionnaire, le maire de Pau ! Il est étrange de voir tant de personnalités se permettre des avis péremptoires sans la moindre compétence. Brutalement, il sait que les bébés sont concernés alors que leur risque réel du covid est de zéro, et visionnaire pour cette nouvelle vague qui toucherait les enfants ! Les covidistes ont dû s’offrir un lot de boules de cristal.

D’autres personnalités tout aussi compétentes en médecine ont déclaré qu’il faut rendre le vaccin obligatoire. Nous voyons qu’il n’y a plus de problème de numerus clausus médical en France puisque des vocations sont apparues rapidement et d’emblée savantes.

Ce virus a fait des miracles et a rendu fou comme répète Pascal Praud à juste raison chaque jour sur l’heure des pros. Quand vont-ils juger la qualité des chimiothérapies prescrites aux cancéreux ?

-Yannick Jadot (chef des écolos)

– Le philosophe Michel Onfray tristement peu « philosophe », le doute ayant déserté ses dires et peu respectueux du peuple puisqu’il sait ce qui est bon pour les sans dents.

Mais aussi le président du Medef avec son « ami » syndicaliste(([12] EXCLUSIF. Berger et Roux de Bézieux appellent « solennellement les salariés à se faire vacciner sans tarder » (lejdd.fr) ))!

Les numéros un de la CFDT et du Medef, Laurent Berger et Geoffroy Roux de Bézieux, plaident en faveur d’« un sursaut » vaccinal. Ils évoquent même une vaccination obligatoire pour les salariés au contact du public !

Il est rare que les deux leaders syndicaux prennent la parole ensemble. Mais face au plafonnement de la vaccination et à l’inquiétante progression du variant Delta,(([13] Il est contagieux et donnera beaucoup de rhumes des foins ! quelle tragédie ! tout cela serait comique si ce n était pas si grave d’injecter des drogues dangereuses.)) Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, et Geoffroy Roux de Bézieux, président du Medef, ont décidé de « réveiller le sens civique de chacun », en plaidant pour une vaccination massive des salariés dans les entreprises.

« Nous sommes attachés à deux principes : le volontariat et le secret médical. Le premier peut toutefois connaître des exceptions pour les salariés au contact du public au nom de l’indispensable protection des autres. »

Enterré le secret médical… Ça continue…

Pour eux,

« la vaccination est la seule manière de retrouver une vie normale. (…) Si nous prenons la parole, ensemble, une nouvelle fois, c’est pour appeler au sursaut. » « La reprise économique, la relance de l’emploi ne pourront se faire qu’à la condition d’une vaccination massive de nos concitoyens, disent-ils également. Mais c’est aussi parce que nous sommes animés d’une même foi humaniste. »

Et les traitements précoces, jamais entendu parler ?

Tous les Français sont heureux de découvrir l’humanisme du Medef et de son complice de la CFDT, y compris les nouveaux chômeurs quotidiens suite à fermetures ou délocalisations qui se multiplient…

Extraordinaire attelage pour défendre l’indéfendable, un pseudo vaccin qui n’existe pas, qui protégerait « les autres » et permettrait de reprendre une vie « normale ».

Et pendant ce temps-là est votée l’épouvantable loi de bioéthique qui permet d’avorter d’un bébé de neuf mois prêt à naître, et autorise de concevoir des chimères homme-animal, entre autres folies.

Et pendant ce temps-là se prépare le vote de la réforme des retraites qui avait réuni des millions de gens dans les rues, malgré les lanceurs de LBD et les yeux crevés, avant que le Premier ministre Edouard Philippe n’impose le 49-3 le 29 février et dans la foulée les mesures sanitaires et l’enfermement total à partir du 17 mars 2020. Combien d’opposants à cette loi perfide verrons-nous en ce mois de juillet pendant lequel le ministre de la Santé et le Premier ministre tentent de raviver la peur d’un variant mineur à l’aide des complices et collaborateurs qui ruinent notre pays économiquement et psychologiquement.

Qui peut croire à la sincérité de cet attelage inédit pour la santé des Français ?

Alors que les multiples études des pays largement « vaccinés » démontrent de façon irréfutable et répétitive que ces injections géniques, outre leurs effets secondaires multiples, ne préviennent pas de nouvelles contaminations ni de formes graves comme l’avait expliqué le ministre Veran le 30 mars 2021 en réponse, avant d’affirmer le contraire ces jours-ci.

Le syndrome des masques se reproduit, un jour oui, un jour non.

 Alors que l’immunité collective ne peut être atteinte par ces thérapies géniques contre un virus qui mute. Le mensonge répétitif à ce sujet ne peut masquer la réalité. Le professeur Raoult l’avait expliqué, démontré, il y a plusieurs mois et les faits avérés des résultats des campagnes de vaccination dans les pays les plus vaccinés le démontrent.(([14] L’immunité collective post injection pseudo-vaccinale anticovid, mythe versus faits avérés ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

MAIS L’INJECTION GÉNIQUE N’EST PAS UN VACCIN

LEUR INCONSCIENCE (ou leur corruption ?) LES LAISSERA-T-IL METTRE EN DANGER NOS ENFANTS ?

Même le PDG de Moderna modère l’enthousiasme des politiques sur la vaccination itérative permanente :

« Stéphane Bancel : “le virus ne disparaîtra pas de la planète !”
1/ oui zéro covid (suppression) n’a pas de sens
2/ pas certain qu’une vaccination massive et itérative soit la solution. Vaccinons les groupes à risque et dopons les soins.(([15] https://w.lpnt.fr/2434159t via @LePoint))»

QUELQUES POLITIQUES SAUVENT L’HONNEUR

Florian Philippot se bat pour la liberté et contre l’obligation vaccinale anti covid et pour les traitements précoces, depuis le début du coronacircus.

Dans une vidéo du 1er juillet 2021,(([16] https://youtu.be/P34BpxRD4T0)) il explique le rapport du sénat Jomier paru le 1er juillet.

Trois sénateurs veulent nous vacciner à tout prix, selon leur rapport intitulé “recommandations relatives à la vaccination anticovid”. Ils représentent à eux trois tout le spectre politique du sénat.

Leur raisonnement est la probabilité de la quatrième vague à l’automne. Pour eux le traitement précoce connu de plusieurs milliards d’individus n’existe pas, il n’est même pas cité. Leur angle d’attaque est la vaccination contre le covid pour soi-disant éviter de nouvelles restrictions. Ils veulent rendre la vaccination obligatoire au moins pour certaines catégories. Ils veulent vacciner les moins de 60 ans, car plus de 1/3 des plus de 60 ans hospitalisés ont été vaccinés. Ils veulent obtenir des taux élevés de vaccination dans “des viviers d’infection”, dont les jeunes à partir de 12 ans. Si le taux de vaccination est inférieur à 50 %, ils imposeront des mesures non médicamenteuses comme la fermetures des écoles. ET POURTANT LES ENFANTS NE TRANSMETTENT PAS LE COVID ET NE FONT JAMAIS DE FORMES GRAVES ; zéro mort chez l’enfant sain. OU SONT CES VIVIERS ?

Le gouvernement voudrait passer une loi imposant la vaccination obligatoire pour tous à partir de 12 ans faisant fi de la convention d’Oviedo que la France a pourtant signée. Il faudra bien sûr faire un recours au Conseil constitutionnel. Il faut soixante députés ou sénateurs pour ce recours.

Par ailleurs Francois Asselineau, Jean Frédéric Poisson et parfois Dupont-Aignan ont protesté contre la dictature sanitaire. Espérons qu’ils seront rejoints bientôt par d’autres élus, et politiques prenant conscience de la mascarade Covid qui ruine le pays depuis 18 mois.





Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulés

[Source : reseauinternational.net]

Par Joseph Mercola.

Les rapports de décès et de blessures graves dus aux vaccins COVID-19 s’accumulent à une vitesse vertigineuse. Ceux qui regardent les chiffres et ont une certaine connaissance des taux historiques de blessures dues aux vaccins s’accordent à dire que nous n’avons jamais rien vu de tel, où que ce soit dans le monde. Bien que les données soient difficiles à obtenir pour certains pays, celles que nous pouvons vérifier révèlent des tendances profondément troublantes.

– États-Unis – En date du 11 juin 2021, le Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) des États-Unis avait enregistré 358 379 événements indésirables1, dont 5 993 décès et 29 871 blessures graves. Dans le groupe d’âge des 12 à 17 ans, on a enregistré 271 blessures graves2 et 7 décès. Chez les femmes enceintes, on a enregistré 2 136 événements indésirables, dont 707 fausses couches ou naissances prématurées.3

Tous ces chiffres sont forcément inférieurs à la réalité car, historiquement, moins de 10% des effets secondaires des vaccins sont signalés au VAERS4. Une enquête du Département américain de la Santé et des Services sociaux a estimé ce chiffre à 1%.5 6

Quoi qu’il en soit, le taux de décès rapporté pour les injections de vaccins COVID-19 dépasse maintenant le taux de décès rapporté pour plus de 70 vaccins combinés au cours des 30 dernières années, et il est environ 500 fois plus mortel que le vaccin contre la grippe saisonnière7, qui a toujours été le plus dangereux.

Les injections de vaccins COVID sont également cinq fois plus dangereuses que le vaccin H1N1, dont le taux d’effets secondaires graves était de 25 pour un million8,9. En supposant que les injections de vaccins anti-COVID aient le même taux d’effets secondaires et que quelque 200 millions de personnes aient reçu le vaccin, le nombre estimé de personnes souffrant d’un effet secondaire grave serait d’environ 5 000. Nous avons déjà largement dépassé ce chiffre, puisque 35 86410 personnes ont été gravement blessées ou tuées.

Même si près de 6 000 décès ont été signalés dans le VAERS, ce chiffre est probablement sérieusement compromis. J’ai récemment interviewé le Dr Vladimir Zelenko, qui a traité avec succès des patients COVID, et nous avons discuté de la possibilité très nette que toutes les personnes ayant reçu le vaccin COVID meurent de complications dans les deux ou trois prochaines années.

Il a personnellement connaissance de 28 décès liés au vaccin qui n’ont pas été acceptés par le VAERS. Zelenko pense que le nombre de décès pourrait déjà dépasser 100 000.

Le fait de recevoir le vaccin anti-COVID place immédiatement la personne injectée dans une situation de risque très élevé de mourir du COVID. La plupart d’entre elles ont la fausse assurance d’être protégées, mais en réalité, elles sont beaucoup plus vulnérables et, par conséquent, elles ne prendront pas de mesures proactives très agressives pour éviter de mourir de l’amorçage pathogène ou du renforcement immunitaire paradoxal avant qu’il ne soit trop tard.

N’oubliez pas de noter dans votre agenda de revoir mon interview révolutionnaire avec Zelenko ce dimanche 4 juillet 2021. Nous passons en revue les protocoles que vous pouvez utiliser pour vous protéger, vous et votre famille ou ceux que vous aimez, qui regrettent maintenant d’avoir reçu le vaccin COVID.

– Union européenne – Dans la base de données de l’Union européenne sur les effets indésirables des vaccins anti-COVID, appelée EudraVigilance, 1 509 266 blessures ont été signalées, dont 15 472 décès, au 19 juin 202111. EudraVigilance n’accepte que les rapports des membres de l’UE, et ne couvre donc que 27 des 50 pays européens.

Il est remarquable de constater qu’environ la MOITIÉ de toutes les blessures signalées – 753 657 – sont classées comme « graves », ce qui signifie que la blessure met la vie en danger, nécessite une hospitalisation, entraîne une condition médicalement importante, un handicap significatif ou une incapacité persistante.

– Royaume-Uni – Le système britannique Yellow Card avait reçu, au 9 juin 2021, 276 867 rapports d’événements indésirables suite à la « vaccination » COVID, dont 1 332 décès.12

– Israël – Selon un rapport du Comité du Peuple israélien, un organisme civil composé d’experts de la santé, « il n’y a jamais eu de vaccin qui a nui à autant de personnes »13. Par exemple, les données israéliennes montrent que les garçons et les hommes âgés de 16 à 24 ans qui ont été vaccinés ont un taux de myocardite (inflammation du cœur) 25 fois supérieur à la normale.14

(La myocardite touche également les adolescents et les jeunes adultes aux États-Unis. Bien que les responsables du CDC affirment qu’aucun décès confirmé n’a été signalé, au moins deux décès ont été liés temporellement au vaccin.15 16 17 18 19)

– Australie – En Australie, deux personnes sont mortes de caillots sanguins après avoir reçu le vaccin anti-COVID d’AstraZeneca. En revanche, une seule personne – une femme âgée – est décédée du COVID-19 cette année.20 21

Si quelque chose ne va pas, vous êtes tout seul

La douleur et la souffrance que ces vaccins ont déjà engendrées sont difficiles à imaginer. Il est clair que des millions de personnes dans le monde ont vu leur vie bouleversée par ces injections. Beaucoup ne s’en remettront peut-être pas, ni physiquement ni financièrement. Il est vraiment important de réaliser que si quelque chose tourne mal, vous êtes en grande partie seul.

Avant de prendre la décision de participer à cette expérience sanitaire sans précédent, il peut être judicieux d’évaluer votre assurance personnelle et votre capacité financière à faire face à une blessure grave, car les fabricants de vaccins sont protégés contre les poursuites judiciaires. Vous ne pouvez pas les poursuivre en justice pour obtenir des dommages et intérêts. Vous ne pouvez pas non plus poursuivre le gouvernement ou toute autre personne.

Si vous êtes blessé par une injection du vaccin et que vous vivez aux États-Unis, votre seul recours est de demander une indemnisation au titre de la Countermeasures Injury Compensation Act (CICP), en vertu de laquelle les vaccins COVID-19 sont une contre-mesure couverte22. La CICP est gérée par une agence au personnel clairsemé relevant du Département américain de la Santé et des Services sociaux.

Vous trouverez des détails et des hyperliens vers les formulaires de demande d’indemnisation dans l’encadré juridique du Congressional Research Service, « Compensation Programs for Potential COVID-19 Vaccine Injuries »23. Vous ne pouvez pas demander et ne recevrez pas d’indemnisation du National Vaccine Injury Compensation Program (VICP), qui couvre d’autres vaccins, notamment le vaccin contre la grippe.

L’indemnisation par le VICP est très limitée et difficile à obtenir. Au cours de ses 15 années d’existence, il n’a versé que 29 indemnités, soit moins d’une sur 1024 25 26. Vous n’êtes admissible que si votre blessure nécessite une hospitalisation et entraîne une invalidité importante et/ou un décès, et même si vous répondez aux critères d’admissibilité, vous devez épuiser votre assurance maladie privée avant que celle-ci ne prenne en charge la différence.

L’indemnité moyenne du CICP est de 200 000 $, et les cas de décès sont plafonnés à environ 370 000 $. En attendant, vous pouvez facilement accumuler une facture d’hôpital d’un million de dollars si vous souffrez d’un grave accident thrombotique.

Il n’y a pas de remboursement pour la douleur et la souffrance, seulement pour les salaires perdus et les factures médicales impayées. Cela signifie qu’une personne retraitée ne peut pas y prétendre même si elle meurt ou se retrouve en fauteuil roulant. L’indemnisation salariale est d’une durée limitée et plafonnée à 50 000 dollars par an. Pour couronner le tout, vous ne pouvez pas faire appel de la décision du CICP. Les appels sont simplement examinés par un autre membre du personnel du même bureau.

Pouvez-vous vous permettre une blessure par injection du vaccin COVID ?

Même s’ils peuvent les obtenir, les indemnités accordées par le CICP risquent d’être une goutte d’eau dans l’océan pour la plupart des gens. L’indemnité moyenne est de 200 000 $, et les cas de décès sont plafonnés à 370 376 $27. Par ailleurs, vous pouvez facilement accumuler une facture d’hôpital d’un million de dollars si vous souffrez d’un grave accident thrombotique28. Vous devez également payer votre propre aide juridique et tout témoin professionnel dont vous pouvez avoir besoin pour soutenir votre demande.

Au début du mois de juin 2021, KRDO news a rapporté29 le cas de Kendra Lippy, une femme de 38 ans qui n’avait aucun problème de santé avant de se faire vacciner avec Johnson & Johnson. Dans la semaine qui a suivi, elle a souffert de maux de tête, de douleurs abdominales et de nausées. Son diagnostic : De graves caillots sanguins qui ont évolué vers une défaillance de plusieurs organes et un coma.

Elle a dû subir l’ablation de la plus grande partie de son intestin grêle et aura besoin d’une nutrition parentérale totale pour le reste de sa vie – une méthode d’alimentation qui contourne son système gastro-intestinal. Elle a été hospitalisée pendant 33 jours, dont 22 jours dans l’unité de soins intensifs. Elle a maintenant besoin d’une ergothérapie et d’une physiothérapie pour retrouver des fonctions de base comme marcher, écrire et tenir une fourchette.

La facture d’hospitalisation de Lippy dépasse déjà le million de dollars, une somme qu’elle ne pourra probablement jamais rembourser, et on ne sait pas de quel type de traitement médical elle aura besoin dans les années à venir. Il est clair que Lippy se dirige vers la faillite, et les factures médicales sont la cause la plus courante aux États-Unis.

Des stipulations supplémentaires qui rendent les paiements rares

Il existe également des conditions de temps. Pour être admissible, vous devez déposer une demande d’indemnisation dans l’année qui suit la date d’administration du vaccin. Il s’agit d’un obstacle important, car les effets secondaires graves peuvent mettre du temps à se développer. Par exemple, après la pandémie de grippe porcine de 2009, des personnes ont commencé à déclarer un syndrome de Guillain-Barré des années après avoir reçu le vaccin H1N1. À ce moment-là, ils n’étaient plus admissibles.30

Mais le pire, c’est qu’il vous incombe désormais de prouver que votre blessure est le « résultat direct de l’administration de la contre-mesure, sur la base de preuves médicales et scientifiques convaincantes, fiables et valides, allant au-delà de la simple association temporelle ».

En d’autres termes, vous devez prouver ce que le développeur du vaccin lui-même doit encore vérifier, puisque vous faites partie de leur étude toujours en cours ! Le CICP est aussi notoirement secret sur les raisons de l’approbation ou du rejet des demandes. Comme le rapporte l’Insurance Journal,

« il ne divulgue même pas les détails les plus élémentaires, comme les types de maladies que les gens prétendent avoir contractées à cause des vaccins ».31

Au 1er juin 2021, 1 360 Américains avaient demandé à être indemnisés par le CICP pour des blessures et des décès résultant de contre-mesures pandémiques, mais seuls 869 ont été jugés éligibles pour déposer une demande32. Aucune n’a été jugée. Le professeur Peter Meyers, ancien directeur de la Vaccine Injury Litigation Clinic, qui a qualifié le CICP de « processus de trou noir »33, prévient qu’il s’agit d’un « programme minable ». Il a déclaré à Life Site News34 :

« Il s’agit d’un programme secret et opaque dans le cadre duquel des fonctionnaires inconnus du Département de la Santé et des Services sociaux prendront des décisions ; nous ne savons pas combien de personnes prennent des décisions, qui elles sont, ni quel est le processus ».

Ce secret signifie qu’il n’existe pas de statistiques officielles sur les types de blessures pour lesquelles les personnes déposent une demande, ni sur la contre-mesure qui aurait causé leur blessure. À propos, les vaccins ne sont pas les seules contre-mesures à être protégées de la responsabilité. Les erreurs de traitement hospitalier sont également protégées, et nous savons que certains hôpitaux tuaient régulièrement des patients, qu’ils aient ou non une infection confirmée par le COVID-19, en les plaçant sous respirateur même lorsqu’ils n’en avaient pas besoin.35

Pouvez-vous faire confiance à ces criminels en col blanc ?

Comme nous l’avons mentionné, les fabricants de vaccins sont protégés de toute responsabilité financière. Vous ne pouvez les poursuivre que si vous pouvez prouver une « faute intentionnelle », telle qu’une tromperie délibérée, un comportement frauduleux ou la dissimulation d’informations pertinentes. Pour contourner ce problème, les fabricants de vaccins peuvent simplement ne pas rechercher certains problèmes.

Le potentiel d’infertilité en est un parfait exemple. La protéine spike est soupçonnée d’être toxique pour la reproduction, et les données de biodistribution de Pfizer montrent qu’elle s’accumule dans les ovaires des femmes36. Malgré cela, Pfizer n’a effectué aucun test de toxicologie de la reproduction. Comme ils n’ont pas cherché, ils peuvent dire sans sourciller qu’ils « ne savaient pas » que la piqûre pouvait provoquer des problèmes de reproduction. Le fait est qu’ils auraient dû s’en douter, et faire les tests pour s’en assurer.

Nous voyons déjà des signes de toxicité reproductive. Les données suggèrent que le taux de fausses couches chez les femmes qui reçoivent le « vaccin » anti-COVID au cours des 20 premières semaines de grossesse est de 82%. Le taux normal est de 10%, ce n’est donc pas une augmentation mineure. L’infertilité sera beaucoup plus difficile à établir, et pourrait prendre des décennies.37

Dans une lettre adressée le 28 mai 2021 à la rédaction du New England Journal of Medicine, les docteurs Ira Bernstein, Sanja Jovanovic et Deann McLeod, HBSc, de Toronto, ont attiré l’attention sur ce point en soulignant que les études préliminaires sur la sécurité publiées dans le NEJM en avril 2021 étaient erronées car elles incluaient des « grossesses cliniquement non reconnues ».38

Ils ont inclus des graphiques ajustés reflétant cette erreur et ont demandé aux auteurs de l’étude de retirer les données erronées mais, fait intéressant, leur lettre a disparu d’Internet la dernière semaine de juin, bien qu’elle soit toujours dans les archives de Wayback au 27 juin 2021. Par coïncidence, le 17 juin 2021, le NEJM a republié l’étude d’avril sans expliquer pourquoi elle était republiée et sans corriger les données.

Compte tenu des antécédents criminels de Pfizer, Johnson & Johnson et AstraZeneca, il est difficile de comprendre comment des millions de personnes font confiance à ces entreprises pour ne pas mentir afin de gagner de l’argent. Comme le rapporte Life Site News39 :

« Les trois principaux fabricants de vaccins, Pfizer, Johnson & Johnson et AstraZeneca, ont été condamnés par des tribunaux d’État et fédéraux à payer un total de plus de 8,6 milliards de dollars d’amendes pour répondre à des dizaines d’allégations de mauvaise conduite au pénal et au civil.

À elle seule, la société Pfizer a été condamnée à une amende de 2,3 milliards de dollars – le règlement le plus important de l’histoire, selon le Département de la Justice – pour avoir délibérément fraudé et dénaturé ses médicaments qui avaient déjà été retirés des rayons en raison de leurs dangers avérés.

Mais grâce à six dénonciateurs qui ont apporté des preuves contre la société, celle-ci aurait pu continuer à faire de la publicité mensongère et à vendre ses produits dangereux.

« Nous avons fait un compromis en Amérique », a déclaré Meyers, « en accordant aux fabricants de vaccins une protection en matière de responsabilité pour s’assurer qu’ils continueront à fabriquer des vaccins qui, avant l’immunité juridique, étaient enlisés dans des procès pour effets secondaires ».

Les fabricants de voitures, d’échelles ou d’autres produits peuvent être poursuivis s’ils sont défectueux. Les fabricants de vaccins bénéficient d’une responsabilité générale pour garantir la production de leurs produits, d’un financement public pour les produire, de commandes gouvernementales garanties pour les produits, d’une commercialisation de masse payée par le gouvernement et de mandats …

« Le compromis semble injuste aujourd’hui parce que le programme CICP est tellement défectueux », a déclaré Meyers, en particulier lorsque les fabricants de vaccins engrangent des bénéfices colossaux (Pfizer est prêt à récolter 26 milliards de dollars avec ses vaccins COVID cette année et la fabrication des vaccins COVID produit des milliardaires dont les salaires annuels sont des multiples d’une décennie de paiements CICP à des dizaines de personnes).

Les prestations du CICP sont des « compensations avares », a-t-il ajouté, pour des personnes qui souffrent et attendent face à la cupidité des entreprises et à l’opacité des gouvernements. En dépit du casier judiciaire des entreprises pharmaceutiques, Meyers pense qu’elles seraient « folles de prendre le risque de commettre une faute ». S’il s’avérait que les fabricants de vaccins cachent en fait des informations sur les risques des vaccins COVID, dit-il, “ce serait une catastrophe” ».

Le gouvernement et les grandes entreprises pharmaceutiques sont-ils coupables de mauvaise conduite délibérée ?

Je ne sais pas pour vous, mais le sentiment que j’ai lorsque je regarde la cascade de blessures et de décès survenant dans les jours ou, dans de nombreux cas, dans les heures qui suivent l’injection, est que quelque chose ne tourne pas rond, et que les fabricants de vaccins balaient tout sous le tapis. N’est-ce pas une faute intentionnelle ? Ne pas effectuer de tests de toxicologie reproductive après avoir découvert que la protéine spike s’accumule dans les ovaires – n’est-ce pas une faute intentionnelle répréhensible ?

Continuer à prétendre que l’ARNm reste dans le muscle de l’épaule alors qu’ils ont des données montrant qu’il est distribué dans pratiquement tous les organes du corps humain – n’est-ce pas cacher des informations importantes ? N’est-ce pas une faute intentionnelle répréhensible ?

Je soutiens que les responsables gouvernementaux sont également coupables de malfaisance médicale. Comme l’a fait remarquer le Dr Robert Malone, l’inventeur de la plateforme technologique de base des vaccins à ARNm et à ADN40, la version la plus récente de l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) qui régit ces injections de vaccins anti-COVID révèle que la FDA a choisi de ne pas exiger une collecte et une évaluation rigoureuses des données post-vaccinales, alors qu’elle avait le pouvoir de le faire.

Encore une fois, si vous ne cherchez pas les blessures, vous avez peu de chances de les trouver. En l’absence d’un processus solide de collecte et d’évaluation des données, ils peuvent dire que les vaccins sont sûrs et les faire passer dans le processus d’autorisation beaucoup plus facilement. Le problème auquel ils sont maintenant confrontés est que le VAERS reçoit un nombre tellement élevé de rapports que même s’ils ne représentent que 10% des blessures réelles, ou moins, il est absolument indubitable qu’il existe de sérieux problèmes.

Le fait de ne pas exiger des fabricants de vaccins qu’ils mettent en place un système complet de collecte des données sur les événements indésirables est, au mieux, un signe d’incompétence. Mais ce n’est pas tout. La FDA commence vraiment à se montrer fourbe lorsqu’elle refuse de reconnaître que les rapports du VAERS indiquent l’existence de problèmes.

Qualifier de « coïncidence » plus de 35 000 fois n’est tout simplement pas crédible, et rejeter les risques d’invalidité permanente et de décès en disant qu’ils « en valent la peine » est plus qu’insensible, étant donné que nous disposons de traitements sûrs et efficaces et que personne n’a besoin de jouer sa santé sur une thérapie génique expérimentale.

Les injections de COVID sont clairement plus risquées que ce qui est annoncé

Comme l’indiquait un article du Wall Street Journal du 22 juin 202141, bien que le VAERS ne puisse pas nous dire si les injections ont été la cause d’un effet secondaire donné, lorsque des groupes de rapports forment une tendance, il est temps d’enquêter.

Les quatre effets indésirables graves qui forment actuellement une tendance sont la thrombocytopénie (faible nombre de plaquettes), la myocardite non infectieuse (inflammation cardiaque), surtout chez les moins de 30 ans, la thrombose veineuse profonde et le décès.42

Pour que de tels effets soient tolérables, même s’ils sont rares, il faudrait que le vaccin (ou le médicament) soit absolument crucial pour la survie. Pensez à une pandémie hautement infectieuse d’Ebola, par exemple – quelque chose où la mort est rapide et pratiquement assurée, et où le traitement, une fois infecté, est inefficace.

Aucun de ces critères ne s’applique au COVID-19, dont le taux de létalité est équivalent à celui de la grippe saisonnière, sauf pour les personnes âgées et les plus fragiles. Il faudrait également que le vaccin soit un véritable vaccin, c’est-à-dire qu’il confère une immunité. Les injections de thérapie génique anti-COVID-19 ne le font pas non plus.

Dans l’ensemble, il est clair que les décès et les blessures causés par ces injections sont passés sous silence, et nous ne pouvons pas permettre que cela continue. Nous devons continuer à faire pression pour la transparence, l’honnêteté et la responsabilité.

N’oubliez pas de voir mon interview révolutionnaire avec le Dr Vladimir Zelenko. Nous passons en revue les protocoles que vous pouvez utiliser pour vous protéger, vous et votre famille ou ceux que vous aimez, qui regrettent maintenant d’avoir reçu le vaccin COVID.


source : https://www.lewrockwell.com

  1. MedAlerts/VAERS, June 11, 2021
  2. MedAlerts/VAERS, June 11, 2021, « Cases where Vaccine is COVID19 and Serious »
  3. The Defender, June 18, 2021
  4. BMJ, 2005;330:433
  5. AHRQ, December 7, 2007
  6. The Vaccine Reaction, January 9, 2020
  7. Trial Site News, May 25, 2021
  8. Insurance Journal, December 29, 2020
  9. CNBC, March 25, 2021
  10. MedAlerts/VAERS, June 11, 2021
  11. Based Underground, June 22, 2021
  12. « Gov.UK Yellow Card Reporting Summary », June 17, 2021 (Covers 12/9/2020 – 6/9/2021)
  13. Aletho News, April 21, 2021
  14. Ottawa Citizen, June 4, 2021
  15. STAT News, June 10, 2021
  16. NBC News, June 23, 2021
  17. The Defender, June 24, 2021
  18. The Defender, June 15, 2021
  19. WLWT, June 14, 2021
  20. USA Today, June 22, 2021
  21. The Defender, June 21, 2021
  22. « Congressional Research Service Legal Sidebar CICP », March 22, 2021
  23. « Congressional Research Service Legal Sidebar CICP », March 22, 2021
  24. Life Site News, June 15, 2021
  25. Insurance Journal, August 14, 2020
  26. Insurance Journal, December 29, 2020
  27. Insurance Journal, December 29, 2020
  28. The Defender, June 2, 2021
  29. KRDO, June 2, 2021
  30. Insurance Journal, December 29, 2020
  31. Insurance Journal, December 29, 2020
  32. HRSA, June 1, 2021
  33. Yahoo News, August 21, 2020
  34. Life Site News, June 15, 2021
  35. 11alive.com, June 4, 2021
  36. Trial Site News, June 6, 2021
  37. Trial Site News, May 25, 2021
  38. Wayback, June 27, 2021
  39. Life Site News, June 15, 2021
  40. Trial Site News, May 30, 2021
  41. WSJ Opinion, June 22, 2021 (Archived)
  42. WSJ Opinion, June 22, 2021 (Archived)



Dans une démocratie, l’individu doit passer avant le collectif !

Par Alain Tortosa

La liberté individuelle d’abord !

La « sécurité », l’autoroute vers la dictature !

« En même temps… » ou les limites de la démagogie…

Nous sommes nombreux à vouloir croire au « en même temps », forme d’idéal sociétal dans lequel il serait possible de concilier sur un pied d’égalité toute chose et son contraire… or cela relève de la manipulation, de l’utopie ou de la démagogie.

L’utopie du « en même temps »

Prenons l’exemple du système judiciaire… Nous sommes a priori tous d’accord pour dire qu’il est important que les coupables n’échappent pas à la justice, mais en même temps qu’aucun innocent ne soit condamné. Dans un monde parfait, une humanité parfaite, cela serait sans doute possible, mais pas dans la réalité.

Quoique vous fassiez un des deux objectifs prendra le dessus sur l’autre :

  • Soit vous aurez un système qui, à la marge, laissera des coupables en liberté.
  • Soit vous aurez un système qui, à la marge, mettra des innocents en prison.

Pourquoi ? Parce que la perfection n’existe pas, que la justice est humaine et l’erreur aussi…

La société exige de plus en plus que les coupables n’échappent pas à la justice tandis qu’elle fait semblant de croire que des innocents n’iront pas en prison.

Pourquoi ?
Pour la simple raison que chaque individu refuse le hasard ou le destin, qu’il ne veut pas être victime d’autrui, tout en pensant que, statistiquement, il est quasi impossible qu’il se retrouve en prison comme innocent.

C’est le même principe que la survie statistique d’un banc de sardines où les sardines « acceptent »(pour peu qu’elles fussent en capacité de penser) d’en sacrifier quelques-unes pour la survie du groupe.

C’est aussi le même raisonnement qui pousse les plus paniqués (et donc manipulés) à exiger la « vaccination » obligatoire pour tous dans le cadre du Covid. Cette « vaccination » n’ayant strictement rien d’altruiste comme certains cherchent à nous en convaincre. L’objectif ici encore est d’échapper à la menace, au « méchant » Covid «injuste», et d’accepter que certains vaccinés aient des séquelles graves ou y perdent la vie, y compris des enfants.

Ce principe accepté et revendiqué par les médias m’est totalement inacceptable !

En ce qui concerne le Covid, des morts de personnes âgées ou avec de fortes comorbidités, c’est regrettable et triste. Cela devient en partie inadmissible si on leur a refusé les traitements comme depuis plus d’un an ou qu’on les a « terminés » avec du Rivotril au lieu de les soigner.

En revanche, la mort de ne serait-ce qu’un seul enfant suite à une injection d’un vaccin…
… Décès induit non pas par une maladie frappant au hasard, mais par l’action ciblée de l’homme m’est totalement viscéralement inacceptable !

Et il en est de même d’un enfant emporté par une maladie versus un enfant tué par un vaccin ! Concernant la justice, mon raisonnement demeure le même… Autant il est déplorable, injuste, dégueulasse, immonde qu’un pédophile échappe à la justice et poursuive ses méfaits, autant il est totalement inacceptable qu’un innocent soit condamné à 30 ans de prison pour ces crimes odieux qu’il n’aurait pas commis.

Est-ce à dire que je préconiserais de laisser les coupables et les pédophiles en liberté ? Si tel est votre pensée me concernant, passez votre chemin et ne polluez pas mon texte… Comme disait une certaine publicité que seules les personnes de mon âge peuvent connaître :

« Nous n’avons pas les mêmes valeurs. »

Il est évident que la justice des hommes doit tout mettre en œuvre (non pas pour condamner ou pour punir) pour protéger les innocents de personnes qui peuvent nuire à autrui. Le maximum doit évidemment être fait ! En revanche, la PREMIÈRE préoccupation doit être de tout faire pour ne pas condamner un innocent.

Dans ce cadre l’habeas corpus doit être la ligne et il ne saurait exister la moindre condamnation basée sur une « intime conviction » de jurés, quitte à — je le redis — laisser en liberté le pire des monstres que la Terre n’ait connu.

Et ne me faites pas le coup du « et si ce monstre avait tué ton enfant », les mêmes qui m’ont inondé pendant des mois sur les réseaux sociaux de « et si c’était ton enfant qui mourrait faute de places en réanimation ? ». Ma réponse serait toujours la même ; « J’espère que mon enfer ne me rendrait pas aussi con que vous ».

La « sécurité » a tué la liberté.

Or notre monde a troqué et troque de plus en plus la liberté contre la «sécurité». La société n’a plus aucun scrupule à s’approprier la novlangue de Georges Orwell et d’affirmer que « la liberté c’est l’interdit ».

J’ai l’impression que le peuple est à ce point manipulé qu’il n’en est plus à penser ou dire que l’on peut être à la fois « libre et en sécurité ». (De même que pour l’exemple précédent de la justice ou de la vaccination, cela relève de l’utopie.)

Il est évident que plus nous allons vers la « sécurité », plus nous cherchons à contrôler, y compris l’incontrôlable, et plus c’est aux dépens de la liberté individuelle, de la démocratie et des droits de l’homme.

Mais notre société semble avoir franchi ce cap !

La liberté n’est même plus une donnée fondamentale. La valeur de la société est ainsi devenue la « sécurité».

Vous comprendrez bien qu’il m’est impossible d’adhérer à ce système qui grignote nos libertés individuelles depuis des dizaines d’années, mais qui est passé à la vitesse supérieure avec le Covid.

Au nom de la « sécurité », la dictature sanitaire n’a pas hésité à supprimer le parlement, à transformer les médias nationaux en service de presse du gouvernement, à censurer toutes les oppositions, à assigner à résidence l’ensemble de la population innocente et en bonne santé, à masquer de force toutes les personnes en bonne santé y compris des enfants, à créer un passeport sanitaire, et maintenant à vouloir vacciner de force toutes les personnes en bonne santé y compris celles et ceux qui ne sont pas concernés par cette maladie !
… Maladie dont les traitements demeurent interdits !

Tout ceci au nom de cette fameuse « sécurité », nous construisons des États de plus en plus totalitaires tels que décrits dans les romans les plus noirs de la fiction !

Comme je l’ai déjà écrit, on n’hésite plus à faire de l’interdit et de la « sécurité » un synonyme du mot « liberté ».

Je m’y oppose viscéralement !

Il ne saurait exister de modèle démocratique dans lequel la liberté individuelle ne serait pas la valeur primaire et fondamentale, tandis que l’interdit serait l’exception !

Rien ne saurait avoir plus d’importance que la liberté individuelle et les droits de l’homme dans une démocratie !

Est-ce à dire que je prônerais l’anarchie, le « chacun pour soi » et la loi de la jungle ? Bien sûr que non !

Il va de soi que la sécurité demeure aussi un droit et que nul individu n’a le droit moral de tuer son voisin pour lui voler sa voiture (encore que cela peut se discuter si c’est pour récupérer la voiture d’un dictateur sanguinaire).

La sécurité de chacun doit être une préoccupation de tous les instants, mais elle doit être systématiquement mise en corrélation avec le risque de perte de liberté individuelle.

Il en est de même d’autres domaines où il est plus facile d’interdire l’accès à 100 % des personnes sous prétexte qu’il y a eu une noyade que d’investir dans un pourquoi, qui, comment…

La gestion des libertés individuelles.

Je verrais 3 niveaux de gestion des libertés.

1. Cette liberté est-elle de nature à nuire à quiconque ?

Il est indispensable de généraliser dans les faits le : « Tout ce qui ne nuit pas est autorisé ! »

Par exemple, doit-on rendre le casque obligatoire en moto pour un adulte ou une obligation de ceinture de sécurité ?
La réponse est bien entendu, « Non » !

Charge à la société de former les individus à l’importance de mettre un casque ou de mettre une ceinture et aux sociétés d’assurance de mettre en place des polices tenant compte du risque réel et non imaginaire. D’autre part, je rappellerais à tout un chacun que nous vivons dans un monde ultralibéral où l’accident et le soin sont des marchés et qu’ils sont bons pour la croissance. De plus nous manquons cruellement de donneurs d’organes et si les accidents domestiques ou de la route disparaissaient, ce serait une catastrophe pour des milliers de personnes en attente de greffe. Ceci pour dire que rien n’est noir ou blanc !

2. Cette liberté peut nuire à autrui, mais existe-t-il des aménagements possibles ?

S’il est possible de faire cohabiter des libertés contradictoires alors l’aménagement est la règle (et certainement pas l’interdit comme actuellement) !

Prenons l’exemple de la cigarette…
Je ne fume pas, je déteste son odeur et pour autant je déteste l’interdiction de fumer dans les restaurants. Et je déteste tout autant l’autorisation de fumer en terrasse qui les rend irrespirables. Et par pitié, ne me faites pas le coup des cancers, car ils sont aussi un marché capitaliste. Ici encore, à la société de convaincre sans interdire, quitte à faire des visites organisées pour les lycéens dans des unités de soin contre le cancer… Là encore, les polices d’assurance pourront s’adapter en fonction du risque réel.

Ici, la solution pour les libertés est extrêmement simple, il suffit d’autoriser les restaurants fumeurs et les restaurants non-fumeurs. Le marché se chargera naturellement de réguler… Un restaurateur qui est pour ou contre acceptera ou refusera. Un restaurant qui pense qu’il y a un marché pour les non-fumeurs transformera son restaurant en non-fumeur et inversement.

C’est ce que l’on appelle la liberté.

Dans le cadre du Covid, on pourrait étendre le concept aux concerts, théâtres, cinémas, restaurants, etc., certains n’accueillant que des vaccinés avec des masques et les autres usant de leur liberté…

Notons que les adaptations peuvent aussi être sous la forme de certains créneaux horaires ou certains trains ou avions…

La seule limite à cette liberté sera issue du cadre de nos valeurs humaines communes. Par exemple il ne saurait être acceptable d’avoir des restaurants ou des lieux interdits aux blancs ou interdits aux noirs, des restaurants ou des lieux réservés à telle ou telle communauté religieuse et interdits à une autre, etc.

3. Les libertés totalement inconciliables.

Dans l’hypothèse où il est totalement impossible de mettre en œuvre des solutions permettant le « et en même temps », il n’y a d’alternative que la « dictature démocratique ».

La majorité doit pouvoir se prononcer via le parlement ou via le référendum selon l’importance du sujet. Mais j’insiste, uniquement dans les cas où aucune solution de cohabitation n’est possible. Dans ces cas, et uniquement ces cas, la liberté sera limitée par la majorité. Liberté limitée dans le temps et qui devra être modifiée en fonction de l’évolution du désir de la majorité. Pas toujours facile de trouver des exemples… Tiens, prenons l’exemple de l’alcool au volant qui, pour le coup, fait des ravages. Il est très facile de l’interdire totalement… mais moins de le faire appliquer.

Une loi qui interdit, mais qui n’a pas les moyens de se faire appliquer ne présente aucun sens hormis démagogique. D’autre part, boire un seul verre de vin au restaurant, puis reprendre la voiture ne semble pas délirant hormis pour les adorateurs de l’interdit et de la « sécurité » à tout prix. (Nous pourrions aussi interdire les repas trop gras ou trop caloriques qui risquent d’entraîner de la somnolence ou interdire de reprendre la route moins de 4 heures après la fin du repas, etc.)

Nous voyons ici qu’il est impossible de concilier toutes les options, hormis de multiplier par 5 le réseau routier. Un pour 0g/l, un pour 0,2g/l, un pour 0,4g/l, un pour 0,8g/l, etc. D’autre part dans ce cas de figure, une personne bourrée peut tuer des innocents et c’est inacceptable. Mais le réflexe, si facile, de l’interdit pur est simple ne doit pas être la solution.

Alors que faire ?
Une commission réunissant des experts, des médecins, des associations, des usagers, des restaurateurs, des assureurs et la grande autorité de défense des libertés (à créer), etc. devrait statuer et conclure qu’une consommation d’alcool jusqu’à x g/l représenterait un risque acceptable comme il est acceptable que des personnes sans casque chutent dans un escalier et décèdent. Un référendum serait alors organisé dans lequel les Français seraient amenés à se prononcer sur la dose maximale et, par exemple, de conclure que le taux serait fixé à 0,5g par litre pour les 5 prochaines années ou une nouvelle votation serait organisée.

De fait, aucune loi, aucun règlement ne saurait exister sans faire des libertés individuelles la préoccupation principale.

Interdire sans nuance est à la fois facile et populaire !

Nous voyons bien que la liberté, c’est complexe. Cela doit être une obsession, mais il est plus facile d’interdire !

Nous devons nettoyer et réécrire en conséquence l’ensemble de nos lois.

Ici encore, reprenons l’exemple de la vaccination de l’ensemble de la population contre le Covid. Imaginons qu’il existe un vrai vaccin contre le Covid, ce qui n’est pas… Dans ces conditions, il serait plus facile de faire de la mauvaise médecine, de vacciner 100 % de la population, que d’identifier les personnes à risque, leur fournir un traitement adéquat, mettre l’argent, ou les vacciner uniquement elles.

Le principe de la vaccination générale revient à investir sur une thérapeutique ciblée sur les personnes qui n’en ont pas besoin pour protéger la minorité qui en aurait besoin et pour laquelle la thérapeutique proposée est inefficace. Bref le contraire d’un traitement ciblé et adapté à chaque individu, bien le contraire de la bonne médecine !

Que conclure ?

En résumé nous voyons bien que deux modèles de sociétés s’affrontent.

  • Le modèle sécuritaire basé officiellement sur le « collectif » et qui conduit inexorablement à une société de non droits individuels et une dictature plus ou moins light.
  • Le modèle basé sur les libertés individuelles qui fait réellement de l’interdit l’exception dès lors qu’aucune alternative ou solution n’est possible.

Le tout étant bien sûr au sein d’un cadre inspiré par la Déclaration universelle des droits de l’homme, d’égalité des individus et du respect de valeurs fondamentales.

Dans mon « idéal » démocratique…
Je place l’individu au centre et le collectif doit être à son service, le moins contraignant et le moins intrusif possible…

Le modèle démocratique n’est plus, dès lors, le mythe de tout un peuple désireux d’aller vers une même voie, vers un même destin, mais un peuple dont l’idéal est l’appartenance à un cadre avec ses valeurs fondamentales.

La « dictature démocratique » étant systématiquement soumise à vote ou à referendum, mais uniquement mise en œuvre lorsque des libertés individuelles s’opposent et sont inconciliables.

Merci

Alain Tortosa.

6 juillet 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210706-en-meme-temps-et-autres-utopies.pdf




Oui ! Nous savons !

[Source : La Minute de Ricardo]






Manifestation devant les grands médias : la défiance règne

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Romain Pauc

« Il ne peut y avoir de liberté sans vérité », témoigne Marc, un des citoyens protestant ce samedi 3 juillet pour demander un traitement de l’information plus honnête, et des journalistes davantage indépendants.



Une centaine de personnes non-encartées dans un parti se sont rassemblées et ont ainsi marché dans Paris : leur objectif était de s’arrêter devant les sièges des « grands médias », les médias « mainstream », dont ils trouvent le journalisme « arriéré ».

Sylvain Baron faisait partie des déclarants de cet évènement : il était notre invité d’un « Entretien essentiel » il y a quelques semaines pour nous faire part de son analyse de la souffrance du peuple, et de sa déconnexion avec les élites.

Marchant devant Radio France et France Télévision, ils ont choisi de commencer par manifester devant BFM TV, la chaîne dont l’éditorialiste Emmanuel Lechypre avait appelé à une vaccination « de force », au mépris du droit de choisir des Français, et à l’encontre de toute déontologie médicale.

Ces manifestations sont organisées tous les premiers samedis de chaque mois, le prochain rassemblement se tiendra donc le samedi 7 août. Organisé par des Gilets jaunes, ils appellent chacun à venir, tous les citoyens désireux d’une nouvelle information, et d’un nouveau système médiatique en France.

Auteur(s): Romain Pauc




Pourquoi la Secte aurait-elle suscité la panique sinon pour asservir aujourd’hui ?

Par Lucien Samir Oulahbib

[Photo : JOHANNES EISELE / AFP]

Comme il est de plus en plus probable maintenant d’entériner la « manip » faite sur ce virus et surtout le fait qu’il vienne d’un labo P4 installé en Chine communiste, il faut distinguer dans l’analyse deux hypothèses :

  • celle qu’il ait été volontairement distribué via diverses cérémonies sportives et militaires ;
  • celle qu’il soit issu d’un « accident » (ce qui aurait alors suscité la panique des dirigeants communistes, car ne sachant pas comment ce » gain de fonction » pourrait être létal — ce qui aurait été cependant le but recherché, selon la première hypothèse).

L’idée première fut de « confiner » en attendant mieux, en particulier : les traitements précoces (la première étude sur l’hydroxychloroquine fut chinoise) ; et ce que les dirigeants ont appelé par la suite « vaccin » (qui n’a cependant pas été exporté). La Secte qui nous gouverne (scientiste-hygiéniste et affairiste adepte du « Trans ») apprenant cet « accident » se mit alors en mode panique et suivit sa frange communiste chinoise dans cette pratique archaïque appelée « confinement ».

Mais les partisans de la première hypothèse (l’accident volontaire) peuvent rétorquer que cette « panique » a pu être simulée de la même façon que l’apparente décontraction du Président français disant qu’il fallait continuer à aller au théâtre. Pratiquement au même moment, sa ministre de la santé entérinait le fait de classer l’hydroxychloroquine comme substance vénéneuse (débutée en novembre au moment même de la diffusion officielle du virus via les cérémonies), faisant fi des études chinoises et françaises qui s’amorçaient (elle aurait pu suspendre le classement de cet antiviral comme toxique dangereux). Et le nouveau ministre de la Santé l’interdisait carrément quelques mois plus tard (ainsi que tout autre médicament), suite à une étude frauduleuse retirée depuis, mais jamais attaquée juridiquement jusqu’à présent (juillet 2021) par les autorités concernées dont il a toujours la charge. Il tolère cependant, mais au compte-gouttes que les médecins puissent prescrire, laissant « en même temps » à certaines officines le soin de les poursuivre dans une contradiction somme toute peu gênante selon la doctrine de la Secte (les contradictions n’ont pas à être dépassées ou résolues, mais « gérées » — j’ai étudié cela dans Éthique et épistémologie du nihilisme, les meurtriers du Sens, et dans divers articles sur « le néo-léninisme contemporain »).

Ce « concours de circonstances » fait cependant de plus en plus peser la balance du côté de l’intention volontaire et de la simulation généralisée (panique au-dehors, mais la vie continue en privé y compris dans les restaurants et les bordels chics). Mais dans quel but ?… Et puis les partisans de la seconde hypothèse (« l’accident » opportuniste) peuvent ne pas lâcher prise en avançant que le problème n’est pas là, mais plutôt dans sa manipulation affairiste (les traitements géniques en lieu et place de combinaisons efficaces entre antiviraux et antibiotiques articulés à diverses prises de vitamines C et D) et aussi sa manipulation politique comme cette « opportunité » dite du « Grand Reset ». Celle-ci permet aux adeptes du tout numérique et de l’écologisme frugal d’imposer leur furie idéologique grâce à l’arrêt de l’économie « non essentielle » et des transports, au nom d’un nouveau paganisme qui déifie la Terre et aussi d’une Volonté infinie capable de soumettre la vie à la moindre torsion du préfixe « Trans » fonctionnant alors comme prémisse onto/eschato/téléo/logique sacrée : trans/ition éco/logique/nomos/sexuel/identité, humanisme, animal, etc.

Les partisans du caractère volontaire de « l’accident » n’en démordent cependant pas : il s’agirait de réduire la population mondiale de 7 milliards à environ 500 000 « trans » en faisant en sorte que l’essai clinique actuel (appelé pompeusement « vaccin ») fabrique suffisamment de « variants » mortellement fulgurants de type Ebola.

Qu’en penser ? Comment trancher ?…

Pour l’instant concernant l’analyse il semble bien que l’hypothèse de « l’accident » volontaire pèse plus dans la balance que le côté involontaire, d’autant que cela ne nuit pas au fait que ladite opportunité du Grand Reset peut fort bien être pensée comme étant le réel but à atteindre.

Néanmoins, il semble bien que ce dernier point pèse plus dans l’analyse en dernier ressort que la mise à mort de milliards d’individus du moins au vu des faits à disposition : en effet la maladie reste peu létale et les « variants » n’entament pas (pour l’instant, juillet 2021) cette caractéristique objective du moins lorsque les chiffres ne sont pas biaisés.

Aussi convient-il d’admettre, du moins pour le moment (juillet 2021), que la balance des faits penche plutôt vers l’accident simulé en vue de réorienter drastiquement le cours du monde vers le « Trans » (affairiste) que vers la seule hypothèse d’exterminer les trois quarts de l’humanité.

Ce qui ne veut pas dire cependant que cette dernière possibilité ne fasse pas de manière indirecte, douce, via une implosion, un « suicide », d’aucuns disant, par exemple, que les civilisations s’effondrent lorsqu’elles n’arrivent plus à « gérer » la somme des contradictions laissées à l’abandon, tant l’élite est de plus en plus occupée à se vautrer dans le narcissisme et le nombrilisme (« après moi le déluge »). Ceux-ci sont amplifiés aujourd’hui dans ses caprices cristallisés en idées fixes par la médiatisation névrotique de l’égotisme parfois sulfureux (pédocriminalité), mais voilés dans l’altruisme forcené (obligatoire, disproportionné, donc esclavagiste) ce qui est le comble de l’hypocrisie, disait Pascal, car à force de simuler l’ange on donne prise à la Bête.




Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

[Source : Le blog de Liliane Held-Khawam (lilianeheldkhawam.com)]

Par Liliane Held-Khawam

Comment transformer notre monde, la société, et donc l’humain ?

Révolutionner l’organisation sociétale est une obsession des dirigeants européens en vue de la réalisation des objectifs du Programme de développement durable 2030 des Nations Unies. Le nom complet de celui-ci est d’ailleurs: » « Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l’horizon 2030 ». Les 3 premiers mots de ce titre sont indispensables à la compréhension de ce qui se passe. Ce site et les livres qui y sont présentés poursuivent tous le même objectif: comprendre et faire comprendre les stratégies et moyens utilisés pour réaliser cette révolution qui vise rien de moins que la restructuration de la vie la vie sur terre. Et cela passe par la révolution numérique et l’industrie qui la sous-tend.

Le graphène en fait partie, et occupe une bonne place dans le Digital Single Market de l’UE. Une thèse relevait en 2015 que le graphène est une nanoparticule bidimensionnelle d’épaisseur atomique présentant des propriétés uniques, qu’elles soient mécaniques, électriques ou thermiques. Ceci ajouté à une faible densité et une très grande surface spécifiquefait que l’ajout de graphène et de nanoparticules dérivées (oxyde de graphène, graphite exofilé) pour renforcer des matrices polymères est devenu un sujet d’études d’intérêt majeur dans le domaine des nanocomposites

https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01138100/
Les terrains d’application dans le but d’aller toujours plus vite, toujours plus haut, pour toujours moins cher.
fet_flagships_factsheet_20190905_final_d79bb51d-92f1-0390-5359064ac3e6f5b1_61526-graphene

L’oxyde de graphène, un outil de disruption technologique indispensable à la révolution digitale

L’oxyde de graphène est semble-t-il un composant majeur qui doit participer à cette révolution globale. Ce mot est évité au profit de la disruption technologique, histoire de ne pas trop expliquer en quoi cette chose consiste. Au final, il s’agit de la même chose. En fait, il s’agit ni plus ni moins de faire advenir la 4ème révolution dont parle Klaus Schwab qui devrait mener au transhumanisme, lui-même n’étant qu’un phase transitoire vers le posthumanisme.

Et les révolutionnaires ne lésinent pas sur les moyens. Et c’est à cela que l’on reconnait le degré d’importance accordé à un projet: le fric mis à disposition. Ainsi, la Commission européenne, les Etats membres et Etats associés financent un programme de 1 milliard d’euros afin de réaliser les objectifs de disruption basés sur le graphène.

Selon des membres du Laboratoire fédéral d’essai des matériaux et de recherche , « le programme phare sur le graphène est la plus grande initiative de recherche de l’UE à ce jour et, selon la Commission européenne, « la plus grande distinction de l’histoire pour l’excellence de la recherche ». Doté d’un budget d’un milliard d’euros, le programme Graphene Flagship a pour mission de faire passer le graphène du domaine des laboratoires universitaires à la société européenne dans dix ans – générant ainsi de la croissance économique, de nouveaux emplois et de nouvelles opportunités pour les Européens en tant qu’investisseurs et employés. Avec le programme Graphene Flagship, l’Europe a lancé une nouvelle forme d’initiative de recherche commune et coordonnée d’une ampleur sans précédent. Graphene Flagship réunit un consortium académico-industriel visant une percée en matière d’innovation technologique. L’effort de recherche couvrira l’ensemble de la chaîne de valeur, de la production des matériaux à l’intégration des composants et des systèmes, et visera un certain nombre d’objectifs spécifiques qui exploitent les propriétés uniques du graphène.« 

https://graphene-flagship.eu/

L’oxyde de graphène, le matériau qui permet la surveillance de la santé! Étude à lire. INDISPENSABLE

L’orientation des soins de santé humaine s’est progressivement déplacée des hôpitaux vers les communautés (familles, individus) nous dit une étude qui présente la médecine idéale où la santé humaine est sous surveillance permanente grâce à des capteurs composés de graphène. Les hôpitaux classiques et autres personnels soignants qui ne sont pas préparés à la télémédecine risquent de se retrouver hors du système dans peu de temps. Souvenez-vous d’ailleurs quand nous avions abordé les sujets qui semblaient lointains. Eh bien le lointain est devenu actuel. 

https://lilianeheldkhawam.com/2018/10/28/etes-vous-daccord-davoir-un-clone-numerique-vous-laurez-quand-meme-lhk/

Extraits de l’étude

Des efforts considérables ont donc été consacrés aux capteurs et aux dispositifs de surveillance de la santé. En raison de ses caractéristiques uniques, notamment ses propriétés chimiques et physiques, le graphène est extrêmement attrayant pour l’électronique flexible et les capteurs.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Dans cette revue, les réalisations récentes dans les capteurs à base de graphène pour la surveillance de la santé humaine, y compris les capteurs portables flexibles non invasifs et les dispositifs invasifs ont été examinées. Les capteurs à base de graphène ont été explorés pour mesurer un large éventail de signes vitaux et de biomarqueurs du corps humain, qui sont très prometteurs dans un avenir prévisible pour des applications dans les soins de santé, la médecine personnalisée/préventive, le traitement des maladies, l’interaction homme-machine, comme ainsi que les interfaces cerveau-ordinateur.De nouvelles structures ont été utilisées pour améliorer les performances, tandis que leurs mécanismes de détection et les innovations technologiques ont également été discutés en profondeur.

Les capteurs portables non invasifs sont plus acceptables et souhaitables dans les applications de soins de santé, car ils sont moins invasifs et réduisent les risques tout en maintenant leur fonction et leurs performances. L’attitude du public envers les appareils portables est passée de la curiosité aux soins de santé de qualité clinique (Rogers et al., 2019). Cependant, il reste encore un long chemin à parcourir avant de répondre aux exigences des dispositifs médicaux. Avec les progrès des matériaux et des techniques de fabrication, les dispositifs médicaux implantables deviennent de plus en plus attractifs, en raison de leur capacité à surveiller de manière précise et à long terme l’état des tissus, des organes, du système, tout en fournissant également des conseils/des assistants/des pronostics pour diagnostic et thérapeutique, qui remplacent progressivement les appareils portables et portables traditionnels. Cependant, pour les dispositifs implantables, plusieurs défis tels que la biocompatibilité, l’encrassement biologique ainsi que l’alimentation électrique doivent être résolus. L’électronique transitoire/biodégradable présente un immense potentiel dans les applications implantables, qui peuvent être dégradées de manière contrôlée et/ou auto-déclenchante sans chirurgies secondaires ni risques d’infection. Par ailleurs,la chose intéressante est que les feuilles de GO hautement dispersées peuvent être biodégradées par la myéloperoxydase qui est dérivée des neutrophiles humains, qui peut être utilisée dans l’électronique biodégradable pour les implants (Kurapati et al.,2015).

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

En général, les capteurs pour la surveillance de la santé humaine, qu’il s’agisse de capteurs invasifs ou non invasifs, peuvent être considérés comme un « sens augmenté », qui est une extension des sens humains.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Un fichier externe contenant une image, une illustration, etc. Le nom de l'objet est fchem-07-00399-g0001.jpg
Présentation de la plate-forme de capteurs à base de graphène (y compris oxyde de graphène)
pour la surveillance de la santé.
Une distinction majeure peut être faite entre les applications non invasives et invasives, y compris les capteurs portables pour surveiller les signaux biophysiques, biochimiques, environnementaux et les dispositifs implantables pour le système nerveux, cardiovasculaire, digestif et locomoteur. 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Des quantités considérables de données seront générées avec le développement des technologies de capteurs et de la science des matériaux en raison de la détection omniprésente allant de l’Internet des objets (IoT) aux soins de santé. Ainsi, des méthodes statistiques et informatiques, telles qu’une gamme de techniques d’apprentissage automatique, peuvent être utilisées dans le traitement des données et l’extraction efficace d’informations. Des capacités d’analyse de données en temps réel sont souhaitées pour une gestion robuste des données (Paulovich et al., 2018). Les problèmes éthiques et moraux dans la collecte, l’analyse et le stockage des données, en particulier les données concernant la santé personnelle, doivent être correctement résolus pour protéger la vie privée.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Bien que les capteurs à base de graphène aient reçu une attention considérable dans la surveillance de la santé et les applications biomédicales, il est crucial de considérer l’impact du graphène et de ses dérivés sur la santé humaine, tels que sa biocompatibilité, sa toxicité, ainsi que ses risques potentiels pour l’environnement avant que le graphène ne soit intégré à la peau humaine, en particulier lorsqu’il est implanté dans le corps humain. De nombreuses études ont été consacrées aux nanomatériaux à base de graphène (GBN). Cependant, il y a encore un manque de recherche systématique sur la santé humaine ou les effets environnementaux (Dasari Shareena et al., 2018).

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Cependant, il est encore trop tôt pour tirer des conclusions en raison de la rareté des données et du manque de compréhension des effets d’accumulation à long terme (Fadeel et al., 2018).

À lire : 
https://lilianeheldkhawam.com/2020/05/31/vos-donnees-biologiques-et-medicales-sont-lenjeu-et-ce-nest-pas-facultatif-vincent-held/

Méconnaissance de l’impact de l’oxyde de graphène sur la santé. Étude internationale

L’euphorie due à ce produit miracle peut se transformer un de ces jours en catastrophe aussi bien pour la santé humaine que pour celle de l’environnement. Une étude publiée à fin 2018 tirait la sonnette d’alarme:

« Le graphène et ses dérivés sont présentés comme des matériaux « miracles » avec de nombreuses applications dans différents secteurs de la société, de l’électronique au stockage d’énergie en passant par la médecine. L’exploitation croissante des matériaux à base de graphène (GBM) nécessite une évaluation complète de l’impact potentiel de ces matériaux sur la santé humaine et l’environnement. Ici, nous discutons de la synthèse et de la caractérisation des GBM ainsi que de l‘évaluation des risques humains et environnementaux des GBM à l’aide de systèmes modèles in vitro et in vivo dans le but de comprendre les propriétés qui sous-tendent les effets biologiques de ces matériaux ; tous les GBM ne se ressemblent pas et il est essentiel de démêler les relations structure-activité pour cette classe de matériaux. »

https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsnano.8b04758

Laboratoire fédéral d’essai des matériaux et de recherche 
https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-73908.html

En novembre 2018, ces scientifiques écrivaient que « La caractérisation des matériaux, à son tour, est un élément clé de l’évaluation des dangers. L’évaluation toxicologique des nanotubes de carbone en est un exemple. Il y a dix ans, il a été suggéré que les nanotubes de carbone présentent une pathogénicité « de type amiante » dans un modèle animal en ce sens que les nanotubes de carbone longs et rigides, mais pas courts ou enchevêtrés, ont provoqué la formation de granulomes et une inflammation après injection intrapéritonéale chez la souris. Nous comprenons maintenant que les nanotubes de carbone adhèrent dans une certaine mesure au paradigme dit de la fibre pathogène, et que certains types de nanotubes de carbone multiparois peuvent être considérés comme potentiellement cancérigènes pour l’homme. Cependant, d’autres membres de la même famille de matériaux se sont révélés non toxiques et peuvent même subir une dégradation, suggérant que tous les nanotubes de carbone ne ressemblent pas à l’amiante (examiné dans la réf). En fait, les nanotubes de carbone, s’ils sont purifiés de manière appropriée et modifiés en surface, offrent des perspectives prometteuses en nanomédecine, par exemple pour l’administration et/ou l’imagerie de médicaments ou de gènes. » 

https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsnano.8b04758

Quelques remarques finales de l’étude citée ci-dessus sont plus que fascinantes au vu des textes que nous aborderons plus bas dans cette publication. En voici quelques-unes:

  • Le présent aperçu de la littérature a montré que même si l’évaluation des dangers des GBM arrive à maturité, avec un nombre toujours croissant d’études portant sur l’impact potentiel des GBM sur les systèmes vivants, des lacunes dans les données subsistent, ce qui, par conséquent, empêche la prédiction de toxicité basée uniquement sur les propriétés matérielles des GBM.
  • Pour conclure, le battage médiatique qui suit inévitablement les progrès technologiques devrait être tempéré par une évaluation scientifique solide de l’impact potentiel sur la santé humaine et l’environnement afin d’assurer le développement sûr et durable de nouveaux produits et applications. La présente étude de la littérature peut peut-être servir de première étape vers une collecte systématique de données sur la sécurité ou la biocompatibilité des GBM.

L’oxyde de graphène dans le vaccin induit la mort cellulaire! Étude chinoise

Il y a un an, une étude chinoise portant le titre de « Progrès récents de l’oxyde de graphène en tant que vecteur potentiel de vaccin et adjuvant » a été publiée après avoir été transmise en février 2020. Un troublant just in time puisqu’elle arrive au moment du démarrage de la crise covidienne dont le vaccin pourra bénéficier de la technologie.

Encore plus intriguant, ils admettaient dans leur publication l’usage de l’oxyde de graphène en médecine. L’oxyde de graphène (GO), largement utilisé pour l’administration de biomolécules, excelle dans le chargement et l’administration d’antigènes et montre le potentiel d’activation du système immunitaire. Or dans la phrase suivante, on peut lire Cependant, GO s’agrège dans le liquide biologique et induit la mort cellulaire, et il présente également une faible biosolubilité et biocompatibilité. Plutôt effrayant non?

Des adjuvants et des transporteurs ont été ajoutés de manière appropriée à la formulation du vaccin pour améliorer l’immunogénicité de l’antigène et induire une immunité de longue durée. Cependant, il existe un besoin urgent de développer de nouveaux adjuvants tout usage car certains adjuvants approuvés pour un usage humain ont une fonctionnalité limitée. L’oxyde de graphène (GO), largement utilisé pour l’administration de biomolécules, excelle dans le chargement et l’administration d’antigènes et montre le potentiel d’activation du système immunitaire. Cependant, GO s’agrège dans le liquide biologique et induit la mort cellulaire, et il présente également une faible biosolubilité et biocompatibilité. Pour pallier ces limitations,divers protocoles de modification de surface ont été utilisés pour intégrer des substances compatibles aqueuses avec GO afin d’améliorer efficacement sa biocompatibilité.

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

Vous constaterez que hormis une personne pharmacienne, les auteurs chinois de ladite étude sont actifs à l’ École de médecine ou des matériaux de l’Université des sciences et technologies électroniques de Chine. Le profil de cette école de médecine est troublant et nous rappelle notre papier qui se demandait si la santé avait été transmise aux ingénieurs…
https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/02/notre-sante-livree-aux-ingenieurs/comment-page-1/
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

L’étude espagnole qui montre que malgré toutes les mises en garde, les industriels envoient de l’oxyde de graphène dans le corps humain!

Voici une étude qui témoigne que l’oxyde de graphène est envoyé dans le corps humain par plusieurs voies: les masques, les écouvillons des PCR, et les vaccins. Ce produit toxique que nous pourrions qualifier de poison est non seulement présent dans les masques, mais aussi dans les écouvillons et dans les vaccins. Des chercheurs espagnols ont jeté un gros pavé dans la mare en apportant la preuve de cette présence inquiétante. La chose est édifiante, scandaleuse et très probablement criminelle. Il faut le dire et le faire savoir. Bref, la vidéo est sous-titrée en anglais.



[Ndlr : version doublée en français :]



Le biostatisticien Ricardo Delgado, le Dr José Luis Sevillano et l’équipe de chercheurs et de professeurs avec lesquels le site LA QUINTA COLUMNA ont mené leurs recherches ont confirmé la présence de nanoparticules d’oxyde de graphène dans les flacons de vaccination. Traduit et sous-titré par Orwell City (www.orwell.city).

Merci au site « Ciel voilé » qui nous a remis le document en espagnol.

deteccion-de-oxido-de-grafeno-en-suspension-acuosa.-informe-preliminar-1-dr.-pablo-campra-madrid

Les médias mainstream admettent enfin la présence du graphène dans les masques… pas encore dans les vaccins.

Si votre enfant ne supporte pas le port du masque, c’est dû au fait que celui-ci héberge très probablement des intrus indésirables qui portent le nom de nanoparticules d’oxyde de graphène. (Voir la vidéo ci-dessus). Il y a quelques semaines, les médias mainstream ont dû rendre compte de la présence problématique de nanoparticules d’oxyde de graphène dans certains masques testés. Et ces particules qui sont inhalées ne sont pas neutres en matière de santé. De fait, elles sont hautement dangereuses.

« Tout a commencé cette année au Canada, au Québec précisément, où 30 millions de ces masques FFP2 ont été distribués notamment dans les écoles. Les autorités constatent alors une multiplication de remontées de symptômes qui vont de difficultés à respirer à des irritations de la peau.

BFMTV.com

Fin mars, le ministère de la Santé décide de rappeler tous les masques en circulation qui ont été distribués et émet un avis radical. « Santé Canada conseille aux Canadiens de ne pas utiliser de masques faciaux contenant du graphène, car ils pourraient inhaler des particules de graphène, ce qui pourrait poser des risques pour la santé ».

En avril, un particulier lance même une action collective contre un distributeur. « Les masques en graphène ont été faussement présentés comme sûrs pour les humains, malgré de nombreuses connaissances contraires », peut-on lire dans le libellé de la poursuite déposée par le Groupe de Droit des Consommateurs, cité par Le Journal de Montréal. » 

Dans le cas de l’équipe espagnole on n’a analysé que certains masques. Mais voilà, il y a tous ceux qui ne l’ont pas été et qui continuent d’inonder la place publique, dont les écoles! Et plutôt que de faire retirer ces masques et de laisser les enfants respirer librement, on préfère palabrer sur la question. « Y-a-t-il un vrai risque pour la santé? La question est loin d’être tranchée. Comme tout nanomatériau, le graphène peut présenter des risques, surtout s’il est ingéré ou respiré. Mais on ne sait pas s’il y a un vrai risque d’inhalation par les humains à travers un masque. Les études sont encore en cours. » 

https://www.bfmtv.com/sante/faut-il-interdire-les-masques-ffp2-contenant-du-graphene_AN-202106020283.html

Les « normes qui entourent le graphène ont été établies pour un contexte d’utilisation classique du nanomatériau, c’est-à-dire installé à l’intérieur d’appareils électroniques, pas dans un masque qui est à proximité de la bouche et du nez d’êtres humains. »

https://www.bfmtv.com/sante/faut-il-interdire-les-masques-ffp2-contenant-du-graphene_AN-202106020283.html

Que les études prennent du temps n’est pas un problème, mais que des autorités sanitaires totalement débordées depuis un an ne sonnent pas l’arrêt du port du masque au nom du principe de précaution est un immense scandale!

Et alors que certains produits empoisonnent littéralement les citoyens, on nous tient des discours abracadabrants sur des molécules qui ont soigné depuis des de nombreuses décennies… Nous pensons évidemment aux antibiotiques, à l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine.

HeiQ Materials AG dépose un brevet conjointement avec l’École polytechnique de Zurich (ETHZ). But fabriquer des membranes de graphène

HeiQ, une entreprise zurichoise spécialisée dans les technologies qui rendent les tissus « intelligents », avait développé un traitement antiviral appelé Viroblock, que l’on peut appliquer sur des masques chirurgicaux, des blouses médicales ou des gants. Voici donc le masque qui détruit les virus. Et ce miracle de la technologie est présenté par la société HeiQ en tant qu’outil antiviral pouvant combattre entre autres le Covid-19. Il est donc plus qu’un outil de protection.

Et cette entreprise est associée à l’EPFZ (ETH) dans le cadre d’un brevet qui concerne la fabrication de membranes de graphène:  » La présente invention concerne un procédé de production de membranes poreuses (« trouées ») de graphène qui sont imperméables tout en étant hautement respirantes en raison de la transmission améliorée de la vapeur à travers les pores perforés à l’intérieur des couches de graphène ». Vous pouvez lire le brevet (ou pas) et découvrir l’association qui est faite avec les matériaux (cuivre, argent, etc.)… Et tout ces trésors incluant l’oxyde de graphène sont travaillés à l’échelle nanométrique.

Annexes

Le marché des masques traités anti-virus en plein boom grâce au Covid-19. La société HeiQ Materials AG.

Le port du masque n’est pas près d’être suspendu. Il fait partie de la nouvelle société en cours de transhumanisation.

https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/23/vers-le-port-permanent-dun-masque-connecte-la-maltraitance-morale-de-nos-jeunes-en-question/
https://lilianeheldkhawam.com/2021/01/28/le-masque-premier-pas-vers-le-transhumanisme/comment-page-1/

Les investisseurs se régalent de cette innovation prometteuse de gros sous. De plus, les autorités sanitaires regardent ailleurs, et même vont jusqu’à financer… Un régal financier! 

https://resources.swissquote.com/sites/default/files/2021-02/swi_1_epaper_fr.pdf

Masques et tissus « intelligents » pour désactiver le Covid-19…

Le brevet n’étant pas disponible, il nous est impossible de dire si la société HEIQ, co-détentrice du brevet concernant le graphène (ci-dessus), fabrique ses masques en tissus intelligents avec ou sans graphène…

… et beaucoup d’autres virus

Vous trouverez dans cette vidéo la manière dont fonctionne l’une des inventions qui permet à ces tissus « intelligents » de combattre les virus. Des particules d’argent (nanoparticules ?) vont détruire les virus en les attirant d’abord (effet magnétique ?).




L’Inconstant Martin Blachier, voix de la « Macronie vaccinale »

[Source : iROCBlog]

Par Régis DESMARAIS

Martin Blachier est reparti en mission médiatique. Sa tâche redoutable : convaincre les récalcitrants au vaccin Covid de se faire vacciner. Si l’exercice est amusant par ses contradictions, omissions ou incohérences, il ne doit pas effrayer : on assiste au spectacle redoutable d’une déroute d’un pouvoir trahi par les faits.

La matinale de Radio Classique, haut lieu de la pensée officielle, accueillait, ce lundi 5 juillet 2021, Martin Blachier. Ce personnage, encore jeune, d’allure sportive et un brin Steve Mac Queen (l’acteur) est adulé des médias de masse. Il incarne à la perfection l’ère de la Macronie, c’est-à-dire une ère de décadence et de confusion des savoirs et des valeurs. Dans les propos de Martin Blachier, et dans la durée, tout est instable, contradictoire, péremptoire, changeant, incohérent et à terme nocif, si ce n’est comique quand on a compris la mission du personnage et la pièce dans laquelle il se perd.

Faire « le job »

Ce matin du 5 juillet 2021, Martin Blachier a fait le job, à savoir « vendre » la vaccination obligatoire, faire croire que c’est la seule alternative à cette pandémie aux très faibles taux de mortalité et de létalité. Cet homme qui, il y a peu, affirmait qu’il ne ferait jamais vacciner ses enfants, a déclaré sur les ondes que ceux qui refusaient la vaccination obligatoire étaient soumis à des théories complotistes ! Le journaliste qui interviewait Monsieur Blachier a réagi, fait rare en cette époque, pour dire qu’il ne fallait tout de même pas mettre tout le monde dans le même sac. Il est vrai, Martin Blachier est excessif car il se met lui aussi dans le même sac puisqu’il refuse la vaccination obligatoire pour ses enfants (et à juste titre). On devine qu’il doit être soumis à une théorie complotiste disant que les enfants ne sont pas à risque par rapport à la Covid.

Le Docteur Blachier, médecin en santé publique, qui intervient donc à un niveau macro (une population) et non micro (le malade), affirme donc qu’il n’y rien de nouveau à vouloir imposer une vaccination obligatoire contre la Covid dès lors qu’il y a déjà d’autres vaccins obligatoires et que 3 milliards de personnes se sont fait récemment vacciner et que tout va bien. Si tout va bien pour elles, pourquoi cela irait mal pour vous, remarque Martin Blachier avec une voix teintée d’assurance audacieuse. Dans son élan, M. Blachier va même jusqu’à critiquer les positons du professeur Raoult sur la vaccination car aujourd’hui les gens se laissent aller à exprimer des opinions et rien d’autre. Évidemment, Martin Blachier, dans son ignorance hédoniste, « oublie » que le docteur Raoult se positionne sur l’analyse des faits, des données, les observations des malades, et n’exprime pas des opinions ou des hypothèses basées sur des modèles prédictifs. Martin Blachier oublie l’explosion des déclarations des effets secondaires survenant après la vaccination et le fait qu’en quelques mois de vaccination, les États-Unis présentent plus d’effets secondaires mortels après vaccination qu’en plus de 15 ans, tous vaccins confondus. Les statisticiens, les chiffres et sans doute les morts semblent soumis à des théories complotistes, le complot étant de regarder et de décrire la réalité factuelle…. Étrange tournant de notre civilisation qui choisit de devenir sourde et aveugle.

Le « job » sur le terrain des amalgames et des confusions

Monsieur Blachier  est un avant-gardiste. Il aborde un sujet en mélangeant torchons et serviettes ou plutôt produits en phase d’essai et vaccins testés selon des normes rigoureuses. Faut-il rappeler à Monsieur Blachier que les vaccins actuellement obligatoires en France ont fait l’objet des différentes phases de tests nécessaires et normalisées avant d’être mis sur le marché avec une autorisation de mise sur le marché NON conditionnelle ? Faut-il lui rappeler que les vaccins « anti-covid » sont encore en phase expérimentale et que l’on ne connait pas leurs effets secondaires à moyen et long termes. En fait, on ne connait même pas leur exacte composition et les seules études qui vantent leur efficacité sont celles des fabricants :on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même… même si autrefois ces fabricants ont été condamnés à plusieurs milliards de dollars d’amendes pour études frauduleuses sur leurs médicaments ! Martin Blachier connaît-il le Dr R. Malone ? Ce dernier,  inventeur de la technologie du vaccin à ARNm, ne cesse de mettre en garde contre les actuels vaccins mis trop rapidement sur le marché.

Martin Blachier a enfin l’audace de se targuer d’être indépendant. Une fois de plus, nous sommes bien dans l’ère de la Macronie décomplexée, c’est-à-dire une époque où la corruption morale est totale et où les mots, les faits et leur signification n’ont plus aucun sens. Il faut rafraichir la mémoire de Martin Blachier pour que ce dernier se souvienne des avantages financiers perçus de Johnson et Johnson, pour que M. Blachier redécouvre qu’il est consultant pour GileadJanssenIpsen et Lundbeck et que sa société a reçu presque un million d’euros de Big Pharma ! Martin Blachier est invité de toute urgence à consulter la définition du mot indépendance, le job en sera mieux fait car plus crédible …

Un matraquage obscène pour la vaccination

Il est important de rappeler aux lecteurs de couper la télé, la radio et de ne regarder que les pages sports et culture de la presse papier. Actuellement, une campagne obscène et vulgaire  de matraquage pour la vaccination obligatoire est en cours. Obscène car elle repose sur l’intimidation, la stigmatisation et la peur. Le message est simple, les éléments de langage sont connus : le variant Delta est hyper contagieux – on oublie de dire qu’il est hyper peu dangereux et que ses symptômes sont ceux du Rhume -, le confinement à la rentrée est plus que probable si on ne fait rien, ceux qui ne se vaccineront pas seront responsables de la contamination des autres et du déclin économique du pays. Le message est bien rôdé, relativement éculé et d’un cynisme féroce car bâti sur des opinions et des intentions malsaines.

Aujourd’hui beaucoup de gens ont compris que :

  • les problèmes économiques sont induits par des décisions politiques inappropriées et non par la pandémie : sur ce point M. Blachier alterne dans ses interventions entre la dénonciation des confinements et le soutien aux mesures de gestion de la crise sanitaire.
  • la vaccination n’empêche pas d’être contaminé et d’être contaminant et ne protège guère, voire pas du tout, contre les variants (Olivier Véran l’a même écrit dans un mémoire en défense présenté au Conseil d’État). Par ailleurs, la situation épidémique en Israël et au Royaume-Uni montre à quel point la vaccination n’est guère performante. Dans ces pays, une flambée épidémique a lieu au sein de la population vaccinée mais M. Blachier l’ignore.

L’arnaque du « zéro Covid »

La volonté d’imposer la vaccination obligatoire repose sur l’idée qu’il faut éradiquer le Sars-Cov-2 et aboutir au « zéro Covid ». Ainsi, avec 80%, voire 100% de la population vaccinée, il n’y aurait plus de pandémie et plus de contraintes sociales. Hélas, ce type de propos relève de la croyance, d’une religion bâtie autour du dieu vaccin et aussi des approximations de Monsieur Blachier et des autres  « experts » en plateaux télé. En effet, la Covid-19 est une zoonose, c’est-à-dire une maladie qui peut se transmettre des animaux à l’homme. Le variant anglais est sur ce point illustratif de la nature de cette maladie puisqu’il provient d’élevages de visons. De fait, pour atteindre le « zéro Covid », il faudrait vacciner tous les êtres humains mais aussi tous les animaux transmetteurs et poser la double hypothèse que le virus cesse de muter et que le vaccin serait efficace à 100% : folie irréalisable et inconcevable sauf dans les rêves délirants des patrons de Big Pharma qui verraient surgir des milliards de profits en diffusant des milliards de doses pour vacciner tout le règne animal de la planète. Nous sommes dans un « monde de dingues » pour détourner une expression symbolique de M. Macron.

Ayez conscience du spectacle

Pour terminer et donner un peu d’apaisement à ceux qui seraient stressés par les propos délirants de M. Blachier et les injonctions à se faire vacciner : voyez ce qui se passe en Inde (Uttar Pradesh) ou au Mexique : l’Ivermectine a fait quasiment disparaître la phase épidémique dans ces pays.

Blachier3

Le show de Martin Blachier, car c’est un spectacle médiatique, pour rôdé qu’il soit, est désormais éventé, bien connu et sans surprise. Écouter Martin Blachier c’est comme voir la énième suite d’un blockbuster dans lequel s’épuisent des acteurs vieillissants à la recherche d’un ultime cachet. Parfois pathétique mais souvent émouvant de naïveté. Le problème, c’est que le public se lasse et devient, avec le temps et la diffusion des informations, plus exigeant. Les éléments de langage utilisés par M. Blachier se confrontent aux faits, et c’est cruel pour le pouvoir. Désormais, nous assistons presque médusés à une agitation « d’experts » et de « politiques » qui se bousculent sur la scène médiatique comme des acteurs égarés sur une scène de théâtre mais des acteurs qui confondraient la réalité du monde avec ce qui se dit et se passe sur les planches.




Angleterre : le Cabinet convient qu’il est temps de « vivre avec Covid » et d’abandonner l’idée du passeport vaccinal

[Source : nicolasbonnal.com]

  • Les ministres sont sur le point de suspendre les plans pour l’utilisation obligatoire de la « certification Covid ».
  • Les projets de pubs et de restaurants avaient déjà été mis en veilleuse.
  • Le Mail peut désormais révéler que les ministres ont également abandonné l’idée de les imposer lors d’événements de masse.

Par JASON GROVES RÉDACTEUR POLITIQUE POUR LE DAILY MAIL

Les passeports Covid ne seront pas obligatoires dans les festivals de musique, les événements sportifs et autres rassemblements de masse lorsque les restrictions de verrouillage seront levées le mois prochain.

Les ministres devraient suspendre les plans pour l’utilisation obligatoire de la «certification Covid» après la Journée de la liberté le 19 juillet.

Les projets de pubs et de restaurants avaient déjà été mis en veilleuse à la suite d’une réaction brutale des députés et du secteur hôtelier.

Les ministres devraient suspendre les plans pour l’utilisation obligatoire de la «certification Covid» après la Journée de la liberté le 19 juillet

Le Mail peut désormais révéler que les ministres ont également abandonné l’idée de les imposer lors d’événements de masse. Les organisateurs seront toutefois autorisés à gérer leurs propres programmes, la Premier League faisant partie de ceux qui devraient introduire une forme de certification pour prouver que ceux qui fréquentent les terrains de football ne présentent pas de risque Covid.

Cette décision intervient dans un contexte de confiance croissante dans le fait que Boris Johnson poursuivra ses plans pour lever les règles de distanciation sociale le mois prochain malgré une augmentation des cas de Covid.

Il a déclaré hier au Cabinet que notre succès de vaccination signifie que la Grande-Bretagne pourra « vivre avec Covid » car le lien entre les cas de virus et les hospitalisations a été rompu.

Hier, 20 479 autres cas ont été enregistrés – avec un total de sept jours en hausse de 70% en une semaine – mais une source gouvernementale a déclaré que la Journée de la liberté se déroulerait comme prévu, même si les cas sont plus de deux fois plus élevés qu’ils ne le sont actuellement.

« Nous devons nous habituer à l’idée de traiter Covid davantage comme une grippe », a déclaré la source. « Les gens ont le vaccin contre la grippe, qui aide à réduire les maladies graves, mais nous obtenons toujours un grand nombre de cas et un nombre important de décès. »

« Lorsque nous arriverons au 19 juillet, les cas semblent être potentiellement très élevés, peut-être jusqu’à 30 000 ou 40 000 par jour. Mais ce n’est pas en soi une raison pour ne pas aller de l’avant, à condition que les hospitalisations et les décès restent à des niveaux relativement bas. »

Les admissions à l’hôpital ont augmenté d’un peu plus de 10 % au cours de la semaine dernière, avec un nombre moyen de décès quotidiens de 17, soit moins de 2 % des niveaux observés en janvier. 23 autres décès ont été annoncés hier.

Un porte-parole de Downing Street a déclaré :

« Le Cabinet a convenu qu’une fois que nous aurons terminé la feuille de route, nous pourrons vivre avec Covid à l’avenir – même si les cas continuent d’augmenter – grâce aux protections fournies par le vaccin. »

Dans ce qui semblait être une série coordonnée d’interventions, Michael Gove a déclaré que les gens devront vivre avec Covid de « la manière dont nous vivons avec la grippe », qui fait des milliers de morts chaque hiver mais n’exige pas que la société et l’économie être enfermé.

Le ministre de l’Intérieur, Priti Patel, a également abordé la question, affirmant que les Britanniques devraient « s’adapter » à la vie avec le coronavirus. Ce changement fait suite à la nomination de Sajid Javid au poste de secrétaire à la Santé à la suite de la démission de Matt Hancock. Dans une déclaration d’intention, M. Javid a profité de sa première comparution aux Communes lundi pour faire passer le message qu’il était temps de « commencer à revenir à la normale » après 15 mois de restrictions paralysantes.

Les ministres semblent désormais presque certains de lever les principales mesures de distanciation sociale le 19 juillet – mais les débats se poursuivent sur l’opportunité de continuer à demander aux gens de porter des masques dans les transports publics et de travailler à domicile.

Une question qui semble avoir été réglée est celle des passeports Covid. Des sources de Whitehall ont déclaré au Mail qu’elles seraient mises de côté pour un usage domestique, malgré les essais en cours à Wimbledon et Wembley. Des programmes pilotes ont contrôlé l’accès aux événements de masse en exigeant des personnes présentes qu’elles fournissent la preuve qu’elles ont été vaccinées ou testées pour Covid.

Les ministres pensent maintenant que le succès de notre programme de vaccination signifie que de telles mesures ne seront pas nécessaires dans toute la Grande-Bretagne cet été, évitant ainsi un autre affrontement potentiel avec les députés.

Le changement fait suite à la nomination de Sajid Javid au poste de secrétaire à la Santé à la suite de la démission de Matt Hancock



« Il semble peu probable que nous devions rendre la certification Covid obligatoire, même pour les événements de masse », a déclaré une source.

« Ce sera nécessaire pour les voyages à l’étranger et certains événements peuvent choisir de gérer leurs propres programmes, mais il ne semble pas que nous ayons besoin d’une législation à ce stade. »

« Le travail n’a pas été vain. Il sera nécessaire pour les déplacements et nous aurons un système en place qui pourrait être utilisé si nous en avons besoin en hiver. » En effet, les plans de généralisation des passeports pourraient être relancés en cas de nouvelle vague majeure de Covid. Cela permettrait aux sites de rester ouverts même si les cas montent en flèche. Le numéro 10 a déclaré que le Premier ministre était « de plus en plus confiant » qu’il n’y aurait pas besoin de retarder davantage la levée des restrictions à nos libertés.

M. Johnson a déclaré au Cabinet que les dernières données « montrent que les cas continuent d’augmenter, mais que les hospitalisations et les décès ont connu une croissance beaucoup plus faible ».

La députée conservatrice Siobhan Baillie s’est félicitée des commentaires, déclarant: « Nous devons avoir un dividende des vaccins. Nous devons revenir à la normale et apprendre à vivre avec le risque. »

L’ancien ministre Steve Baker a mis en garde contre la question de savoir si un examen de la distanciation sociale dirigé par M. Gove pourrait laisser certaines restrictions en place après le 19 juillet. Il a déclaré à Sky News:  « Je veux savoir à quoi ressemblera réellement le monde quand nous retrouvons notre liberté. »

https://www.dailymail.co.uk/news/article-9738819/Vaccine-passports-over.html?ito=email_share_article-masthead




Dr YEADON : Nous allons nous interposer entre ces criminels et nos enfants

[Source : Quantum Leap]

« J’en veux à tous les médecins du NHS qui ont été stupides au point de croire tout ce qu’on leur a dit, qui n’ont pas traité leurs patients, qui ne leur ont pas permis de se voir, qui ont prétendu que les masques les protégeaient, qui ont prétendu que le test PCR fonctionnait, qui les ont vaccinés alors que la plupart d’entre eux n’en avaient pas besoin… »




Source anglaise complète :






Rapport officiel anglais : Il est urgent d’arrêter la vaccination anti COVID

[Source : Conscience du peuple (conscience-du-peuple.blogspot.com)]

Rapport officiel anglais : Il est urgent d’arrêter la vaccination anti COVID. Faites suivre à vos contacts qui n’ont pas encore reçu l’injection ou en attente d’une seconde dose.

Publication de Stephane Guay, Microbiologiste 

https://b3d2650e-e929-4448-a527-4eeb59304c7f.filesusr.com/ugd/593c4f_b2acdef3774b4e9ca06e9fae526fd5cd.pdf

Un « rapport préliminaire urgent sur les données de la carte jaune » publié par l’Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd, basée au Royaume-Uni et soumis à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA), 👉 indique que

« la MHRA dispose désormais de suffisamment de preuves sur le système de la carte jaune pour déclarer les vaccins COVID-19 dangereux pour une utilisation chez l’homme. »

Semblable au Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) des États-Unis, la MHRA décrit le but de son système de carte jaune comme fournissant « un avertissement précoce indiquant que la sécurité d’un médicament ou d’un dispositif médical peut nécessiter une enquête plus approfondie ».

Le rapport, signé par Evidence-based Medicine Consultancy Ltd et le directeur d’EbMC Squared CiC, le Dr Tess Lawrie (MBBCh, PhD), déclare :

« nous avons recherché les rapports Yellow Card en utilisant des mots clés spécifiques à la pathologie pour regrouper les données selon les critères suivants. cinq [sic] grandes catégories cliniquement pertinentes :

  • EIM hémorragiques, coagulantes et ischémiques
  • Effets indésirables du système immunitaire
  • EIM « douloureux »
  • Effets indésirables neurologiques
  • Effets indésirables impliquant une perte de la vue, de l’ouïe, de la parole ou de l’odorat
  • EIM de la grossesse »

Le rapport poursuit en disant :

« Nous sommes conscients des limites des données de pharmacovigilance et comprenons que les informations sur les effets indésirables signalés ne doivent pas être interprétées comme signifiant que le médicament en question provoque généralement l’effet observé ou est dangereux à utiliser. 👉Nous partageons ce rapport préliminaire en raison du besoin urgent de communiquer des informations qui devraient conduire à l’arrêt du déploiement de la vaccination pendant qu’une enquête complète est menée. Selon l’article récent de Seneff et Nigh, les pathologies potentielles aiguës et à long terme comprennent :

  • Amorçage pathogène, maladie inflammatoire multisystémique et auto-immunité
  • Réactions allergiques et anaphylaxie
  • Amélioration dépendante des anticorps
  • Activation des infections virales latentes
  • Neurodégénérescence et maladies à prions
  • Émergence de nouvelles variantes du SARSCoV2
  • Intégration du gène de la protéine de pointe dans l’ADN humain »




L’opération Covid-19 met à nu le « Nombre de la Bête »

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

« (…)fait que, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, soient marqués sur la main droite ou sur le front, de sorte que personne ne puisse acheter ou vendre à moins qu’il a la marque. »

Nouveau Testament, Apocalypse, chapitre 13

Comme la vague de criminalité Covid est si ÉNORME, il y aura de graves conséquences !

Il y a maintenant des fissures énormes et irréparables qui s’ouvrent dans la façade du Plan Covid-Arnaque (Plandemie).

Le SYSTÈME de la BÊTE

La chose extraordinairement unique à propos de cette plus grande conspiration criminelle mondiale de l’histoire du monde, c’est qu’elle devait impliquer tout le monde – chaque entité institutionnelle majeure, c’est-à-dire qui était nécessaire pour mener à bien ce gigantesque canular.

Cela signifie que le  SYSTÈME DE LA BÊTE[1] a  révélé à quel point il est puissant et omniprésent à travers la planète.

Le graphique suivant ne capture que certaines de ces entités institutionnelles et mouvements mondialistes qui ont constitué le  SYSTÈME DE LA BÊTE depuis le tout début. Il comprend également des opposants féroces qui ont exposé le canular CORONA actuel  .

CARTE DE CONSPIRATION CRIMINELLE COVID

Même un examen superficiel du précédent diagramme du complot COVID-5G révèle que chaque grande institution mondiale et nationale, qui est vitale pour la continuité du  SYSTÈME DE LA BÊTE, s’est inscrite sur la « carte de la frénésie de crime Covid » en constante évolution.

La première de ces organisations criminelles est peut-être le complexe gouvernemental et médical (GMC) qui a participé à ce génocide mondial sans précédent en tant que principal criminel opérationnel de Covid.

Le GMC comprend l’OMS, le CDC, la FDA, le NIH [dirigé par Fauci], l’AMABig Pharma [Ndlr : ensemble des grosses entreprises pharmaceutiques] et plusieurs autres poids lourds de la santé qui ont tous conspiré pour mener un complot criminel extrêmement complexe afin de commettre un génocide mondial et de couvrir la vague mondiale de criminalité Covid. [Ndlr : cela reste malgré tout une hypothèse.]

Dès le départ, les chances d’empêcher un complot criminel aussi complexe de se dénouer complètement étaient minces, voire inexistantes, et plus proches de « NULLES ». En effet, comment compter sur les innombrables co-conspirateurs pour se serrer les coudes lorsque les choses deviennent difficiles — vraiment difficiles, comme c’est sur le point de l’être alors que les perspectives d’un nouveau verrouillage mondial augmentent en raison du « variant Delta » inexistant et totalement faux.
[Voir : ]LA VARIANTE DELTA REDOUTÉE :
une autre opération noire de Covid et un psyop mondial de proportions épiques

Le fait que la cabale mondialiste du Nouvel Ordre Mondial ait même imaginé qu’elle pouvait maintenir cette conspiration criminelle et cette dissimulation témoigne d’un degré d’orgueil et d’arrogance jamais atteint dans l’histoire.

Maintenant que l’ensemble du système de santé américain, ainsi que les différents gouvernements à tous les niveaux à travers les États-Unis, ont souffert d’une perte de confiance incomparable en raison du génocide gériatrique délibéré exécuté au cours de l’année et demie écoulée, qu’est-ce que les médecins autrefois dignes de confiance espèrent voir se produire ?

Maintenant que les mêmes responsables de la santé et les hommes de main politiques ont imposé à la population des vaccins hautement expérimentaux, qui se sont avérés extrêmement dangereux pour la santé humaine et souvent mortels, comment les médecins du monde entier vont-ils répondre aux accusations de « meurtre par médicament » et de « viol médical » ?

Avouons-le : la fête est finie pour Big Pharma et tous leurs nombreux co-conspirateurs criminels qui ont empoisonné les citoyens américains pendant plusieurs décennies.

L’effondrement en chute libre de la confiance qui se produit actuellement ne fera que s’accélérer à mesure que de plus en plus de personnes mourront des injections répétées de vaccins Covid, ou deviendront mortellement malades des expositions au défilé annuel des prochaines grippes en raison de leur vulnérabilité accrue après avoir reçu les vaccins.

Il est devenu tout à fait clair que l’une des principales raisons de la poussée démesurée pour vacciner chaque personne sur la planète — SANS CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ — était de la rendre considérablement plus sensible à tous les agents infectieux communs qui circulent lors de chaque saison de grippe. Les victimes vaccinées seront également beaucoup plus vulnérables face aux nombreux autres micro-organismes pathogènes et microbiens virulents en raison de leur système immunitaire fortement compromis et/ou supprimé.

Bien entendu, tous ces développements intentionnels ont été soigneusement mis en œuvre par le  SYSTÈME DE LA BÊTE (SB).

Parce que le SB satanique s’est maintenant pleinement exposé, il n’a d’autre choix que d’aller à fond dans sa tentative de verrouiller l’ensemble de la civilisation planétaire. Car une fois que la boîte de Pandore a été ouverte, il est impossible de remettre les choses comme elles étaient. Ce qui veut dire que LA GRANDE ARNAQUE COVID était en réalité un énorme coup de poker aux conséquences considérables… pour l’élite au pouvoir.

Ce qui est maintenant clair, c’est que les criminels covidiens se sont mis à nu comme jamais auparavant dans l’histoire de l’humanité, et ils seront — finalement — traqués et sévèrement punis, à moins qu’ils ne dépeuplent la planète de tous les chercheurs de vérité.

Contrairement aux « attaques sous faux drapeau du 11 septembre », à la « guerre contre le terrorisme » et à d’autres crimes odieux contre l’humanité, le complot criminel hautement prémédité et organisé du Covid a été placé carrément dans l’arrière-cour de tout le monde. Chaque personne sur Terre a été profondément affectée par la pure malveillance démontrée par les pouvoirs en place tout au long de cette guerre de bioterrorisme en cours. Et cela seul change tout, car tout le monde, à des degrés divers, joue sa peau dans le jeu.

Qui sont au juste les individus et les organisations qui commettent ce plus grand « crime de l’ère » ?

Marque de la bête

Quelle plus grande preuve existe-t-il de l’existence d’un SYSTÈME DE LA BÊTE apparemment tout-puissant que la « Marque de la Bête ?

N’est-ce pas le but de l’Agenda de Super Vaccination Covid ? Pour s’assurer que chaque personne sur la planète soit dotée de la  « Marque de la Bête » laborieusement conçue par Bill Gates ?

Quoi de mieux que d’imposer un programme de vaccination obligatoire au COVID-19 à toute l’humanité ?

Bien que ce plan d’agression médicale par vaccination anti-Covid puisse sembler tiré par les cheveux, c’est exactement l’objet du plan.

Par conséquent, il est impératif que les États-Unis, informés et conscients, fassent tout ce qui est nécessaire pour empêcher l’approbation par la FDA des vaccins les plus dangereux et les plus mortels de l’histoire des États-Unis.

Conclusion

À la lumière de ces dures réalités, il est fort probable que les pouvoirs en place souffriront bientôt à la fois de la fatigue psychologique et de l’épuisement des gens suite à la dissimulation.

Pensez simplement à la main-d’œuvre, au temps et à l’énergie qu’il faut à la fois pour perpétuer cette fausse pandémie de COVID-19, puis pour la couvrir, puis pour administrer un programme de super vaccination anti-Covid extrêmement nocif et mortel  dans le monde entier.

Il va sans dire qu’une opération bioterroriste de cette taille et de cette ampleur est vouée à entraîner BEAUCOUP d’erreurs, beaucoup d’erreurs graves. Voir :  CE MÉMO SECRET EST-IL UN SUPER COUP MONTÉ PAR LES CRIMINELS BRITANNIQUES DE LA COVIDIE ?

La simple surveillance de tous les lanceurs d’alerte devient également une opération majeure. Le niveau d’espionnage et de surveillance 24h/24 et 7j/7 est à lui seul un travail colossal qui doit être entrepris sans failles. De plus, tout ce qu’il faut, c’est un dénonciateur courageux pour faire exploser — pour de bon — tout le stratagème criminel covidien.

Chaque entité institutionnelle au sein du SYSTÈME DE LA BÊTE a connu un effondrement complet de la confiance dans le monde entier depuis que COVID-19 a été nommé pour la première fois.

En fait, les systèmes politiques, médicaux, scientifiques, juridiques, universitaires et autres systèmes influents ont perdu à jamais la confiance du peuple. [Ndlr : tout au plus de la partie du peuple qui a gobé l’histoire officielle]. De même, les gouvernements à tous les niveaux ont subi de manière irréversible la perte de confiance des gouvernés, qui est nécessaire pour continuer cette ruse covidienne. Finalement, le public forcera ces fonctionnaires criminels et corrompus à quitter leurs fonctions. Et, de nombreux criminels covidiens seront probablement poursuivis dans toute la rigueur de la loi.

Ce n’est qu’alors que Nous, le Peuple, nous reposerons tranquillement.

Note spéciale :  ce que ces super-criminels covidiens ont fait jusqu’à présent est si outrageusement barbare qu’ils se sont créés un dilemme « ça passe ou ça casse ». En d’autres termes, s’ils ne verrouillent pas la planète comme jamais auparavant, ils subiront tous les conséquences les plus graves. Être pendu en direct sur Internet serait pour eux s’en tirer à bon compte. Par conséquent, à l’avenir, les criminels covidiens feront tout ce qui est nécessaire pour éviter leur chute respective et certaines punitions. Cela signifie que la situation ne fera que s’intensifier pendant le mandat du POTUS [Ndlr : « Président des États-Unis »] Imposteur Joe Biden, et que les contrôleurs covidiens deviendront beaucoup plus effrontés et imprudents dans leurs efforts pour dépouiller les Américains de leurs droits et libertés constitutionnels.

Source : OPERATION COVID-19 EXPOSES THE BEAST SYSTEM

Source : State of the Nation

Traduction automatique [Révisée par Nouveau Monde]


NOTE de H. Genséric

[1] Beaucoup de gens soulignent des similitudes entre les caractéristiques des vaccins et la marque de la bête du livre de l’Apocalypse.

La marque de la bête est décrite dans le Nouveau Testament, plus précisément dans l’Apocalypse, chapitre 13. Dans ce dernier livre de la Bible, l’auteur, connu sous le nom de Jean l’Ancien, décrit les visions qu’il voit à la fin du monde.

Deux bêtes surgissent de la mer, et la seconde bête « fait que, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, soient marqués sur la main droite ou sur le front, de sorte que personne ne puisse acheter ou vendre à moins qu’il a la marque. »

On en arrive aujourd’hui à la situation catastrophique suivante : personne ne peut acheter ou vendre, aller au travail ou à l’école, ou voyager, etc. sans posséder la marque de la bête, c’est-à-dire le « pass vaccinal » et autres documents de marquage et puces électroniques intégrées au corps humain au moyen des soi-disant vaccins.

Voici ce qu’a dit Bill Gates dans un article sur le sujet dans Yahoo Finance :

« La solution ultime, la seule chose qui permettrait un retour complet à la vie normale,  de pouvoir s’asseoir sans crainte dans un stade plein de gens, serait de créer un vaccin. Et cela pas seulement dans notre pays mais dans le monde entier afin de créer une vaste immunité et que « cette chose » quelle qu’elle soit ne se propage pas en grand nombre »

Vouloir un vaccin pour lutter contre le Covid 19 n’est pas suspicieux en soi. C’est ce que Bill Gates a dit ensuite qui a soulevé des soupçons.
En effet, dans un autre article : Bill Gates veut pucer les gens avec une micro chip pour « lutter contre des maladies » comme le Coronavirus (Kurios.com). Durant une session de Reddit, Gates a parlé de « certificats numériques » révélant qui a guéri ou qui a été vacciné contre le Covid 19. Ceci a soulevé des inquiétudes chez de nombreuses personnes qui craignent que le milliardaire américain, promoteur de vaccins tueurs en Afrique, veuille implanter des puces à tout le monde.

Et, en effet, Gates a suggéré une telle possibilité :

« Cependant, le sujet de controverse concerne les certificats numériques. On aura donc un registre des gens testés, vaccinés »

A quoi fait-il référence ?
Peut-être à son « quantum dot tatoo » ? Il s’agit d’un tatouage invisible accompagnant le vaccin : il est fait de points quantiques : de très petits cristaux semi-conducteurs qui reflètent la lumière et qui brillent en présence de lumière infrarouge.

Ces tatouages incluent l’application de micro aiguilles résorbables contenant le vaccin et des capsules microscopiques contenant des points fluorescents à base de cuivre. Ces capsules étant biocompatibles. (Jamesfitzer.org)

Ces tatouages ont pour but de contenir le carnet de santé de chaque personne. C’est la fondation Bill et Melinda Gates qui a poussé à trouver une solution pour identifier les gens vaccinés et qui a financé cette recherche publiée dans le « Journal of Translational  Medecine »

Ces tatouages sont en cours de développement par les chercheurs du MIT (Institut de technologie de Massachussetts) et Rice University. 

Ceux-ci ont créé une encre qui peut être incorporée dans la peau avec le vaccin et qui est lisible uniquement par un smartphone spécial (camera et filtre spécialisés)

Ce système de dépistage dans la peau destiné à tous les habitants du monde ressemble à la fameuse « marque de la bête » .

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VOIR AUSSI :
Sur la route du servage. Neuralink Brain Chip mettra fin au langage dans 5 à 10 ans
Assassinats par vaccins : le plus grand scandale du 21e siècle
En 2009, Projet Dépopulation : Bill Gates rassemble les « meilleurs » milliardaires du monde
– De Platon à Packard : de la gestion du troupeau humain par les élites et le bio-contrôle. Par N. BONNAL
– Les vaccins covidiques intègrent une micropuce de la DARPA  


[Voir aussi :
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
Les camps FEMA, les sans domicile fixe et la puce RFID
Si, Bill Gates a bien dit que nous aurions besoin de passeports numériques pour les vaccins
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?]




Pr Perronne : « Les pays où l’épidémie est repartie avec des morts ont vacciné massivement ! »

[Source : lemediaen442.fr]

Dans cette vidéo, lors d’un rassemblement qui s’est déroulé samedi 3 juillet 2021, le Pr Christian Perronne explique que l’épidémie repart de plus belle après les vaccinations massives.

« Pendant plusieurs années j’ai été vice-président du groupe d’experts à l’OMS pour le vaccin en Europe. Là, aujourd’hui, on n’a pas affaire à des vaccins, mais à des produits expérimentaux qui sont potentiellement dangereux, puisqu’on n’a pas encore tous les résultats sur les effets secondaires. Et de toute façon, ces produits qu’on injecte aujourd’hui ne protègent pas. Si vous regardez le dictionnaire Vidal à la page « vaccin – Moderna, Pfizer contre le Covid », c’est écrit en grand, c’est écrit en gras que ce produit ne protège pas contre les formes graves. Et à côté de ça, on a des journalistes, les experts qui ont beaucoup de conflits d’intérêts à la télévision, qui disent que ce vaccin protège contre les formes graves. Alors je vous explique pourquoi. Roselyne Bachelot a été ministre de la Santé […], elle s’est fait vacciner et dans les jours qui ont suivi elle a fait une forme grave du Covid. Je connais plein de gens qui ont fait des formes graves après deux vaccins. Si vous regardez, il y a des pays dans le monde où l’épidémie s’était très bien passée, a été parfaitement gérée. Il y avait peu de cas, peu de morts. Au Vietnam, il avait quelques dizaines de morts en un an et demi, tout allait bien, tranquille. Et j’ai un ami vietnamien qui m’a envoyé un message : “Nos dirigeants qui reviennent du Forum de Davos veulent imposer la vaccination à tout le peuple vietnamien.” Ils ont commencé et l’épidémie est repartie, il y a des morts. Tous les pays où l’épidémie est repartie avec des morts, ce sont les pays qui ont vacciné massivement. Regardez Israël, la Grande-Bretagne, le Brésil, l’Inde… »

https://twitter.com/LEGENERAL_OFF/status/1411433386091106308

Voir la vidéo entière avec Richard Boutry, Christian Perronne, Martine Wonner, Me Carlo Alberto Brusa… :






Singapour veut être le premier pays à cesser de compter les cas quotidiens de COVID-19 et à les traiter comme une grippe normale

[Source : exoportail.com]

Singapour envisage de devenir le premier pays à ne plus compter les cas de COVID-19 sur une base quotidienne et à les traiter comme une grippe saisonnière normale.

Le pays d’Asie du Sud-Est n’a enregistré que 36 décès depuis le début de la pandémie, et les autorités veulent maintenant abandonner les mesures telles que le comptage quotidien des infections.

Trois membres éminents du groupe de travail Covid-19 de Singapour ont élaboré un plan visant à mettre fin à 18 mois de restrictions sévères afin de rétablir la liberté de déplacement et de rassemblement public en quarantaine.

L’espoir est de laisser les gens «reprendre le cours de leur vie» en abandonnant les règles strictes et en contrôlant le virus par d’autres moyens.

« Au lieu de surveiller chaque jour les chiffres de l’infection par le virus Covid-19, nous nous concentrerons sur les résultats », ont écrit les ministres du commerce, des finances et de la santé dans une tribune commune publiée dans le Straits Times.

« Combien tombent très malades, combien dans l’unité de soins intensifs, combien doivent être intubés pour l’oxygène, et ainsi de suite. C’est comme la façon dont nous surveillons maintenant la grippe. »

« Nous ne pouvons pas l’éradiquer, mais nous pouvons transformer la pandémie en quelque chose de beaucoup moins menaçant, comme la grippe, la maladie des mains, des pieds et de la bouche, ou la varicelle, et reprendre le cours de nos vies. »

Tous les détails de la feuille de route n’ont pas encore été révélés, mais les ministres ont suggéré des mesures telles que des alcootests, des traitements plus thérapeutiques et une plus grande responsabilité personnelle.

La proposition de Singapour pourrait être un signe précoce du monde qui commence à vivre avec le Covid après plus d’un an de restrictions dans le monde entier.

Entre-temps, un groupe de médecins a adressé une «lettre ouverte urgente» au comité d’experts de Singapour sur la vaccination Covid-19, demandant l’arrêt de la vaccination des jeunes à Singapour jusqu’à ce que les CDC américains expliquent pourquoi un adolescent ayant reçu le vaccin est décédé.

Sources : 
https://greatgameindia.com/singapore-covid-19-normal-flu/ 
et https://www.straitstimes.com/opinion/living-normally-with-covid-19

Traduction : ExoPortail 




« L’espérance de vie de 2020 est exactement la même que celle de 2015 » Pierre, Décoder l’éco

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Un Entretien essentiel atypique : Pierre, de Décoder l’éco, une chaîne YouTube dans laquelle il partage ses analyses didactiques et parfois icononclastes, est un analyste statisticien qui vient nous présenter ses résultats sur les indicateurs statistiques des causes de mortalité des années 2020-2021.

Interrogé par Xavier Azalbert, Pierre nous propose une analyse détaillée des décès en France et en Europe, s’attachant tout au long de l’émission à remettre tous les chiffres en perspective entre l’ensemble des décès toutes causes confondues et les décès imputés au covid, pour savoir si nous sommes dans la norme habituelle.



« Les vraies différences de mortalités ne sont pas entre années mais entre pays. »

Pour savoir si un événement a un impact sur l’ensemble de la mortalité, il faut prendre en compte la taille de la population, son évolution et l’âge des gens.

Tout au long de l’émission, il reprend les chiffres qu’il analyse avec précision, invitant les spectateurs à sortir de la peur quotidienne pour exercer un œil critique et prendre du recul sur cette crise.




L’un des projets de loi de censure d’Internet au Canada a échoué

[Source : anguillesousroche.com]

Une belle victoire, mais ce n’est pas encore fini.

Le projet de loi controversé C-10, qui aurait fortement restreint la liberté d’expression en ligne des Canadiens, n’a pas été adopté par le Sénat avant la pause estivale.

« Nous l’avons fait ! Nous avons gagné une bataille pour la liberté d’expression ! » a déclaré le député Pierre Poilievre, du Parti conservateur du Canada (PC), dans une vidéo publiée sur Twitter.

Il a ajouté : 

« Vous vous souvenez du projet de loi C-10, le projet de loi sur la censure qui permettrait aux gouvernements de contrôler ce que vous voyez et dites en ligne ? Eh bien, le Sénat a fermé ses portes pour l’été sans adopter ce projet de loi. »

« En d’autres termes, il n’a pas force de loi aujourd’hui, et si Trudeau déclenche les élections anticipées dont il a parlé, le projet de loi mourra. Même s’il gagne cette élection, il devra présenter à nouveau le projet de loi dès la première étape et tout recommencer.

Et s’il perd et que les conservateurs prennent le pouvoir, nous nous assurerons que ce projet de loi ne verra plus jamais la lumière du jour.

Les conservateurs ont utilisé tous les outils procéduraux de leur boîte à outils pour retarder et bloquer l’avancement de ce terrible projet de loi. Nous l’avons empêché de passer en force à la Chambre des communes, en le retardant probablement de trois ou quatre semaines cruciales, ce qui a fait tourner le chrono et empêché le Sénat, même s’il a une majorité Trudeau, de l’adopter. »

Selon le ministre du Patrimoine Steven Guilbeault, qui faisait la promotion du projet de loi, celui-ci a pour but de « réglementer Internet et les médias sociaux de la même manière que la radiodiffusion nationale ».

Mais les critiques ont heureusement vu dans le projet de loi un moyen pour le gouvernement de restreindre le discours en ligne des Canadiens.

Poilievre, cependant, a averti que la lutte contre les tentatives de Trudeau de censurer Internet n’est pas terminée.

« Cela dit, ce n’est que le début de votre combat. Si vos efforts pour signer des pétitions, contacter des politiciens et élever votre voix ont porté leurs fruits cette fois-ci, vous devrez recommencer », a-t-il expliqué. « Il ne fait aucun doute que la gauche autoritaire, les médias libéraux et le petit groupe de libéraux de Justin Trudeau, avides de pouvoir, tenteront une fois de plus de vous priver de votre liberté d’expression, en ligne et par d’autres moyens. »

Il a appelé les gens à être prêts pour le prochain combat :

« Faisons en sorte d’être prêts la prochaine fois que Trudeau et son équipe s’en prendront à notre liberté d’expression. Mais pour l’instant, prenons un moment pour célébrer. Nous pouvons avoir des victoires si nous défendons nos principes et faisons ce qui est juste, nous pouvons gagner. »

Lire aussi : Le Canada dévoile un projet de loi orwellien de « pré-crime » sur les discours haineux – « Si vous le pensez, nous vous arrêterons »

Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche




Covid-19 : pourquoi les Russes boudent-ils le vaccin Spoutnik V ?

[Source : Le Cri des Peuples]

Il est salué dans le monde entier, efficace, sans effets secondaires et est homologué dans 65 pays, alors pourquoi n’y a-t-il pas davantage de Russes qui se font vacciner au Spoutnik V ?

Suivi de « Poutine : il est hors de question de rendre la vaccination obligatoire »

Par Jonny Tickle

Source : RT, 26 avril 2021

Traduction : lecridespeuples.fr

La défiance historique des Russes envers les vaccins, la propagande nationale et internationale contre les vaccins Covid-19 en général (cf. les effets secondaires graves voire mortels constatés avec AstraZeneca, Pfizer et Moderna) et le Spoutnik-V en particulier, et surtout une absence d’incitation (la Russie a déjà déconfiné, et aucun chantage au retour à la vie normale n’y a jamais été exercé, Poutine ne cessant d’assurer qu’il n’y aura aucune forme d’obligation directe ou indirecte telle que le Pass sanitaire) sont les causes principales de ce désamour pour la  vaccination.

Précision à destination des Européens qui voudraient se faire injecter le vaccin russe, de facto boycotté par l’UE sous la pression de Washington et Big Pharma : le micro-Etat de Saint-Marin, en Italie, propose un tourisme vaccinal assez abordable (il suffit de réserver 2 fois 3 nuits d’hôtel à 25 jours d’intervalle + 50 euros pour s’y faire administrer les deux doses de Spoutnik).

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Les 65 pays (3.2 milliards d’habitants au total) qui ont homologué le vaccin russe

En août 2020, la Russie est devenue le premier pays au monde à enregistrer un vaccin contre le Covid-19. Malgré une réputation mondiale favorable et bien méritée de Spoutnik V, l’adoption nationale a été d’une lenteur décevante, mais il y a de nombreuses raisons à cela.

Développé par le centre Gamaleya de Moscou et nommé d’après le tout premier satellite artificiel, Spoutnik V a suscité des applaudissements internationaux, des responsables de la santé et des experts de pays tels que les États-Unis et l’Allemagne saluant les réalisations impressionnantes des scientifiques russes.

Institut d’épidémiologie et de microbiologie, le Centre Gamaleya n’est certainement pas étranger aux avancées scientifiques significatives, avec des succès dans la lutte contre Ebola et le MERS.

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Le vaccin lui-même a une base solide. En tant que vecteur viral, Spoutnik V est construit de la même manière que les vaccins Oxford-AstraZeneca et Johnson & Johnson, mais contrairement à ces vaccins, aucun effet secondaire significatif n’a été signalé par aucun des dizaines de pays utilisant le vaccin. Notamment, il existe d’importantes différences de composition. Par exemple, Spoutnik V utilise un adénovirus humain, tandis qu’Oxford-AstraZeneca utilise de l’adénovirus de chimpanzé modifié.

Et de plus, Spoutnik V fonctionne. En février, la prestigieuse revue médicale britannique The Lancet a publié des données des scientifiques de Gamaleya montrant que le vaccin est efficace à 91,6%.

De plus, il ne semble pas non plus y avoir de problème d’approvisionnement, en particulier à Moscou et à Saint-Pétersbourg, où les doses sont facilement disponibles. Dans la capitale, il est même possible de se faire vacciner dans le prestigieux centre commercial GUM, sur la Place Rouge, avec vue sur le Kremlin. Cette disponibilité ne se limite pas aux deux capitales. Dans les villes du sud, telles que Krasnodar et Sotchi, on peut facilement se faire administrer le vaccin dans les centres commerciaux.

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Cependant, au lundi 26 avril, selon la Première ministre Tatyana Golikova, seulement 5% (7 500 000 personnes) de la population russe avaient été entièrement vaccinés, un chiffre nettement inférieur à celui observé aux États-Unis et au Royaume-Uni, qui ont mis plus de temps pour approuver un vaccin. La proportion de Russes vaccinés est encore plus faible que celle de la France et de l’Allemagne, deux parties de l’Union européenne qui ont connu d’énormes ratés au début de leur programme de vaccination.

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Chiffres de la population totalement vaccinée au 29 mai 2021, selon les données de ourworldindata, pour les USA, le Royaume-Uni, la France et la Russie. On voit que si, en valeur absolue, la population russe totalement vaccinée est légèrement supérieure à celle de la France, en valeur relative, elle est moitié moindre.
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Chiffres de la population ayant reçu au moins une dose de vaccin au 29 mai 2021.

Contrairement à l’UE, le manque de personnes vaccinées contre le Covid-19 ne semble pas être dû à une pénurie de doses – du moins tant que la demande de vaccin reste faible. Selon le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, le pays n’a eu aucun problème à vacciner les personnes qui le souhaitent, mais la demande « laisse beaucoup à désirer ».

Alors, pourquoi le succès très médiatisé du vaccin russe s’est-il terminé avec si peu de citoyens voulaient recevoir le vaccin ?

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Scepticisme vis-à-vis des vaccins

Le facteur le plus important, du moins selon les données de sondages disponibles, semble être le manque de confiance dans les vaccins en général.

Dans un article publié en mars, une étude de la banque d’investissement suisse Crédit Suisse a révélé que la Russie se classait à la dernière place sur huit pays sélectionnés, avec environ 30% de ses habitants souhaitant se faire vacciner contre le Covid-19. Ce chiffre est bien en deçà des pays en développement tels que la Chine, l’Inde et la Thaïlande, où plus des quatre cinquièmes ont déclaré qu’ils étaient prêts à se faire vacciner.

Ces résultats sont globalement similaires au sondage de février d’une autre société, le Levada Center, qui a révélé que seulement 30% des Russes étaient intéressés par Spoutnik V, tandis que 62% étaient totalement contre l’idée de se faire vacciner, et que seuls 4% l’avaient déjà fait. Le Centre Levada est enregistré en tant qu’agent étranger par le ministère russe de la Justice.

Les conclusions du Crédit Suisse sont cohérentes avec ses précédentes enquêtes, qui ont également révélé que moins de la moitié des Russes font confiance aux vaccins nationaux (38% en janvier 2021).

Et ce ne sont pas seulement les vaccins auxquels les gens ne semblent pas croire. Selon Vadim Pokrovsky de l’Académie des sciences de Russie, les citoyens ont très peu confiance en tout ce qui est approuvé par le gouvernement.

« Il y a des gens qui s’opposent complètement à la vaccination, pas seulement au vaccin contre le Covid-19 », a déclaré Pokrovsky au quotidien moscovite Gazette. « D’autres personnes, en particulier celles qui ont été élevées pendant l’Union soviétique, sont instinctivement méfiantes si elles pensent que l’État fait activement la promotion de quelque chose. »

Cependant, comme le rapport du Crédit Suisse l’a également noté, certains ont fait valoir que le moment et les circonstances entourant l’approbation de Spoutnik V pourraient également avoir joué un rôle dans la réduction de la confiance de la population dans le vaccin russe.

L’enregistrement de Spoutnik V a été révélé par le président Vladimir Poutine le 11 août de l’année dernière. S’exprimant à la télévision, il l’a qualifié de « moment important pour le monde entier » et a rassuré les Russes sur le fait que cela fonctionne « plutôt efficacement » et qu’il « a passé toutes les inspections nécessaires ». Même sa fille a déjà été vaccinée, a-t-il révélé.

Cependant, à ce stade, la formule approuvée n’avait pas encore passé son essai de phase trois. Cela a conduit Moscou à être accusé de brûler les étapes pour déployer le vaccin plus rapidement que d’habitude, en sautant une partie vitale du processus.

Alors que les résultats des phases un et deux avaient été extrêmement positifs, l’absence d’une troisième série de tests était source de préoccupation et a été critiquée par certains scientifiques occidentaux comme une « décision imprudente et insensée » et un « coup politique ».

En particulier, aux États-Unis, le directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses du pays, Anthony Fauci, a exprimé « de sérieux doutes » qu’un vaccin « sûr et efficace » aurait pu être produit après avoir été testé sur moins de 100 personnes.

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Cependant, une fois finalement réalisés, les résultats intermédiaires de la phase III ont montré une efficacité de 91,6%. Bien que cela ait convaincu de nombreux experts, y compris le Dr Fauci, les Russes n’étaient pas entièrement convaincus. Les données positives, publiées en février, n’ont toujours pas eu l’effet souhaité d’améliorer massivement la confiance dans le vaccin.

Poutine n’a pas été vacciné tôt, et certains doutent qu’il ait été vacciné du tout

Contrairement aux gouvernements de nombreux autres pays, le Kremlin a été beaucoup moins énergique dans ses efforts pour encourager les citoyens à se faire vacciner. L’exemple le plus frappant en est le refus du Président Poutine de se faire vacciner publiquement.

En décembre, le porte-parole de Poutine, Dmitri Peskov, a révélé que le retard était dû à « l’attente que toutes les formalités soient accomplies », comme l’essai de phase III, ayant précédemment noté qu’il « ne pouvait pas utiliser un vaccin non certifié ».

Lorsque Poutine a finalement décidé de recevoir le vaccin, le 23 mars, il a pris la décision inattendue de choisir de le faire en privé. D’autres dirigeants, tels que le britannique Boris Johnson, l’Ukraine Volodymyr Zelensky et l’américain Joe Biden, ont tous reçu leurs injections devant les caméras.

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La décision du Président de ne pas faire de sa vaccination un événement public, et son refus de nommer le vaccin qu’il a reçu, ont conduit à toute une série de théories du complot, certains allant même jusqu’à suggérer qu’il aurait reçu un vaccin étranger au lieu d’un vaccin russe. D’autres disent qu’il n’a même jamais été immunisé du tout, tant de folles rumeurs constituant du carburant supplémentaire pour une population déjà sceptique à l’égard des vaccins. Cependant, le Kremlin a déclaré que sa réticence à préciser le vaccin utilisé était d’éviter de faire preuve de favoritisme à l’égard d’un des trois vaccins produits dans le pays.

Cela s’est encore compliqué lorsque Peskov a expliqué que Poutine n’aimait pas l’idée de « vaccination devant les caméras » pour ne pas « singer » les autres dirigeants, malgré le fait que son torse nu ait déjà été vu à la télévision à plusieurs reprises. La présidence russe a également souligné que ce genre de publicité n’était pas convaincant pour les sceptiques, soulignant qu’à un tel niveau, il serait facile de se faire injecter tout autre chose qu’un vaccin anti-Covid-19.

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En 2009, Bachelot avait-elle vraiment reçu le vaccin contre la grippe A ou une simple solution saline inoffensive ? 94 millions de doses avaient été achetées face au prétendu fléau de la grippe H1N1, permettant surtout aux laboratoires de se gaver… Face à la commission d’enquête, Bachelot avait déclaré « Les liens d’intérêt ne sont pas forcément des conflits d’intérêt », nouveau « Responsable mais pas coupable ».

Un jour après que Poutine a reçu son injection de rappel, Peskov a affirmé que l’exemple personnel du Président serait « mobilisateur » et entraînerait « un effet très positif ». Selon le portail en ligne gogov, un agrégateur non officiel, le nombre quotidien de personnes recevant leur première injection a considérablement augmenté depuis que le Président a été vacciné, passant de 61 563 le 23 mars à 184 151 le 23 avril. On ne peut qu’imaginer à quel point cela aurait pu être amplifié si Poutine avait été vacciné plus tôt, et devant les caméras.

Désinformation et presse négative

À l’instar du déploiement du vaccin Covid-19 dans de nombreux autres pays, la campagne russe a été entachée d’énormes quantités de désinformation, à la fois en ligne et dans les médias grand public.

À la télévision, certains programmes se sont concentrés sur les inconvénients potentiels de la vaccination. Des histoires effrayantes, en particulier concernant les vaccins étrangers, ont souvent figuré en bonne place sur les chaînes d’information. En particulier, plus tôt dans l’année, les médias ont fréquemment rapporté le nombre de décès suite à la vaccination par le vaccin AstraZeneca, de fabrication occidentale, en particulier ceux liés aux caillots sanguins.

Avant son déploiement, le programme Vesti Nedeli sur Channel Russia 1 a surnommé l’AstraZeneca un « vaccin de singe » (référence à son adénovirus de chimpanzé), une description qui a certainement pu inquiéter un public déjà sceptique face aux vaccins. Ce propos a été condamné dans les médias étrangers, notamment dans le journal britannique The Times, qui affirmait que « les Russes » diffusaient de fausses informations sur le vaccin. En réponse, l’ambassade de Russie à Londres a qualifié le rapport du journal de « désinformation ».

Si les effets secondaires et décès de Pfizer / Moderna étaient rapportés aussi régulièrement que ceux (bien moindres) d’AstraZeneca, qui voudrait encore se faire vacciner ?

Il y a également eu beaucoup de désinformation sur le Spoutnik V de la Russie. En particulier, sur les réseaux sociaux tels que Vkontakte, WhatsApp et TikTok, les théories du complot sur les dommages potentiels causés par le vaccin se sont généralisées.

Sur Telegram, des chaînes comme « Sorok Sorokov » ont promu le contenu anti-vax, qualifiant Spoutnik V d’ « anti-humain » et « incluant une lignée cellulaire créée sur les cellules d’un enfant assassiné ». La chaîne partage régulièrement des vidéos et des citations de sceptiques sur les vaccins, dénichant et republiant des articles de quiconque note une légère inquiétude au sujet des vaccins.

Pour les jeunes, le site Web le plus dangereux pour les fausses informations est TikTok. Populaire auprès des jeunes Russes, le site Web est inondé de mensonges et de fausses déclarations. Cependant, s’adressant au média DW, financé par l’État allemand, la société a assuré qu’elle n’autorisait pas le contenu anti-vaccination.

Selon Alexandra Arkhipova, anthropologue et chercheuse principale à l’Université RANEPA, les Russes ont été inondés de désinformation sur des complots, tels que des rumeurs selon lesquelles « des personnes se font piquer ou se faire injecter quelque chose de dangereux sous le couvert de la vaccination ».

En fait, la situation avec les reportages des médias sur Spoutnik V a même atteint un point où le bureau du Procureur général a commencé à bloquer activement les sites « contenant de fausses informations sur le coronavirus et le puçage obligatoire des personnes. »

Voir Moscou : en boycottant le vaccin russe, Macron mène une « guerre contre son propre peuple »

Manque d’incitation

Un autre facteur affectant le déploiement du vaccin est un simple manque de motivation des Russes à prendre le temps de se rendre dans une clinique. Bien que le pays ait connu un confinement sévère au printemps 2020, les restrictions ont été assouplies depuis le déploiement massif du programme de vaccination en janvier de cette année. Étant donné que les restaurants, bars et boîtes de nuit sont ouverts, beaucoup de gens n’ont pas ressenti le besoin de recevoir le vaccin, n’ayant aucune incitation à obtenir une quelconque liberté supplémentaire en échange.

https://twitter.com/StephanMarie11/status/1398334003065798658

De plus, alors que certaines personnes dans d’autres pays se font vacciner avant de potentielles vacances d’été, la taille immense de la Russie signifie que les citoyens peuvent facilement se rendre à la plage ou dans une grande ville pour passer des vacances dépaysantes sans quitter le pays. Les vols à l’intérieur de la Russie fonctionnent comme d’habitude, certaines compagnies aériennes utilisant leurs avions excédentaires – généralement utilisés pour les liaisons internationales – pour emmener plus de personnes vers des stations balnéaires populaires telle que celle de Sotchi.

Pour ceux qui ont déjà eu le Covid-19, on pense également qu’il n’est pas nécessaire de se faire vacciner. Selon le maire de Moscou, Sergueï Sobianine, environ 50% des Moscovites avaient des anticorps contre le coronavirus il y a cinq mois, un chiffre qui devrait être beaucoup plus élevé en avril 2021.

Et après ?

À l’intérieur du Kremlin, les responsables commencent peut-être à s’inquiéter du manque de Russes qui choisissent de se faire vacciner. Outre l’admission de Peskov selon laquelle la demande « laisse beaucoup à désirer », Poutine semble également amplifier son message pro-vaccin. Mercredi, lors de son discours annuel à l’Assemblée fédérale, le Président a utilisé sa plate-forme nationale, en direct à la télévision, pour exhorter les Russes à se faire vacciner.

« La vaccination est d’une importance cruciale », a-t-il déclaré aux responsables réunis. « L’opportunité de prendre le vaccin doit être disponible partout, afin que nous obtenions la prétendue immunité collective d’ici l’automne. »

« La réalisation de cet objectif dépend de tout le monde, de tous nos citoyens. Je vous en prie, je demande une fois de plus à tous les citoyens russes de se faire vacciner. »

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À l’approche de l’été, le Kremlin voudra utiliser le temps chaud et la baisse des chiffres d’infection pour faire vacciner davantage de personnes afin d’éviter une nouvelle troisième vague dévastatrice à l’automne. Tant que le pays peut fournir les approvisionnements pour répondre à la demande, il peut empêcher toute nouvelle catastrophe. Cela dépend simplement du bon vouloir des gens.


Poutine : il est hors de question de rendre la vaccination obligatoire

Réunion sur les questions économiques

Le Président a tenu une réunion, par vidéoconférence, pour discuter de la situation économique actuelle en Russie, le 26 mai 2021.

Source : en.kremlin.ru

Traduction : lecridespeuples.fr

Vidéo

Transcription :

[…] L’épidémie de coronavirus a souligné l’importance et la signification absolues de notre travail principal (en tant que gouvernement) : protéger les gens, assurer la vie et la santé de nos citoyens.

Maintenant que les restrictions sont assouplies et que l’économie se redresse, les entreprises et les organisations rétablissent leurs modes de travail habituels. La saison des vacances d’été est proche. Tout cela signifie que les gens se connectent davantage les uns aux autres et visitent les lieux publics. Dans ces conditions, il est très important de réduire systématiquement les risques de propagation du virus. Et à cette fin, comme je l’ai dit plus d’une fois, il est nécessaire de parvenir à ce que l’on appelle l’immunité collective.

La vaccination complète est le moyen le meilleur et le plus civilisé de réaliser cette tâche, comme le disent les experts à la fois dans notre pays et dans le reste du monde.

Je sais que les gens expriment des opinions différentes sur cette question. Certains d’entre eux soutiennent le fait de rendre la vaccination anti-coronavirus obligatoire. Certains pensent que celle-ci devrait être imposée à l’ensemble de la population du pays, tandis que d’autres pensent en termes de certaines professions, celles qui entrent en contact avec de nombreuses personnes en raison de leur travail. Ce dernier groupe comprend les personnes travaillant dans la vente, la restauration publique, les institutions médicales, éducatives et sociales, etc.

Je voudrais à nouveau exprimer ma position à ce sujet. Je pense que la vaccination obligatoire est inopportune et ne devrait pas être introduite. Les gens doivent se rendre compte par eux-mêmes de la nécessité de se faire vacciner. Ils doivent comprendre que s’ils ne le font pas, ils pourraient faire face à un danger très grave et même mortel. Cela s’applique principalement aux personnes âgées.

Je voudrais insister à nouveau et faire appel à tous nos concitoyens : veuillez y réfléchir sérieusement. Rappelez-vous que le vaccin russe, comme le montre la pratique de son utilisation des millions de fois (dans le monde), est le plus fiable et le plus sûr aujourd’hui, et que les conditions de vaccination ont été créées dans ce pays. Permettez-moi de répéter que sur la base de l’utilisation de ce vaccin des millions de fois, les spécialistes constatent qu’il ne nuit pas à la santé des gens ni ne provoque de graves complications. Il protège vraiment les gens de la menace d’infection ou prévient une forme grave. Les spécialistes, les scientifiques disposent d’informations fiables et démontrées sur cette question. Nous devons faire confiance à leur opinion professionnelle et les écouter. Ceci est directement lié à la situation économique et sociale, comme nous pouvons le voir d’après l’expérience de l’année écoulée. Mais ce n’est pas le point principal ; c’est très important, mais pas l’aspect le plus important. La santé passe avant tout. Veuillez y réfléchir en ces termes. […]