Le Grand Réveil : le nouveau virus

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

Aujourd’hui je ne vais pas vous parler des drames que nous vivons, de la folie que nous subissons depuis 1 an et demi, de cette peur entretenue artificiellement par les médias, de ces « contaminés » dont les chiffres ne correspondent à aucune réalité, de ce Nouvel Ordre Mondial dans lequel on veut nous entraîner. Non, rien de tout ça.

Ce que je constate en prenant le recul nécessaire à la réflexion, c’est un phénomène planétaire étrange et à la fois extraordinaire qui vient confirmer ce dicton populaire qui dit que « tous les maux ne viennent pas pour nuire » et qu’en clair, si nous regardons le monde autour de nous, cette tragi-comédie covidienne a des aspects surprenants et des conséquences étonnantes.

D’abord un besoin de vérité. Et oui, ils ont tellement menti, tellement triché, manipulé, que notre réaction au mensonge c’est un vital besoin de vérité, la nécessité d’une véritable information pour nourrir notre réflexion. Et dans un processus naturel que nous ne maîtrisons pas, comme des anticorps s’attaquent à un élément nocif étranger dans notre organisme, notre esprit élimine les impuretés pour retrouver équilibre et santé mentale.

Nous, êtres humains possédons à l’intérieur de nous, un système de défense extraordinairement efficace pour expulser ce qui peut nous nuire et nous protéger de tout ce qui pourrait être malsain, nous guérir de ce qui pourrait avilir et affaiblir notre esprit.

Et ces anticorps de l’esprit se sont mis à l’œuvre presque instantanément pour nous protéger. Ainsi, le besoin que nous ressentons pour démontrer que nous sommes sur le chemin de la guérison, c’est justement ce besoin de vérité qui vient, comme une source d’eau claire, désaltérer les assoiffés.

C’est ce que je veux appeler le Grand Réveil.

Et ce Grand Réveil a bien plus de puissance que n’importe quel virus, n’importe quelle vraie ou fausse pandémie. Ce Grand Réveil se propage à l’échelle planétaire comme le lever du jour succède à la nuit, comme l’obscurité cède sa place à la lumière. D’un seul coup, nous comprenons tout plus clairement sans avoir à nous forcer. Tout ce qui nous semblait obscur devient soudainement éclairé, et à la place de cette oppression que nous ressentions à l’intérieur de nous, un énorme soupir de soulagement car nous nous sentons délivrés.

Et cette lueur du jour qui vient nous éblouir de sa lumière, nous permet de voir et de regarder ce monde dans sa nouvelle réalité.

On a voulu nous enfermer, nous isoler, nous couper les uns des autres et en réaction nous apprécions maintenant la saveur douce de la liberté, la chaleur de se retrouver, et un besoin intense de nous aimer car nous avons compris que les êtres humains ne peuvent être heureux que dans la fraternité, la solidarité, l’entraide et l’amour partagé.

Quel fantastique bond en avant ! Quel merveilleux retournement de situation ! Quelle extraordinaire prise de conscience, prélude au changement salutaire dont nous avons tous besoin pour retrouver notre humanité.

Nous réalisons que ce monde ancien qui disparait, emporte avec lui tout ce qui a pollué nos vies, tout ce qui nous a salis et avilis, tout ce dont nous n’avions pas vraiment besoin. Les chaînes de la servitude volontaire se brisent comme par enchantement faisant de nous des êtres nouveaux, enthousiastes à l’idée du grand changement, d’une nouvelle vie plus saine, plus vraie, plus conforme à notre nature profonde et en harmonie avec l’univers qui nous entoure. Le Grand Réveil donne naissance à une Nouvelle Vie !

Et en regardant en arrière, comme dans un immense tremblement de terre, nous voyons s’effondrer les tours de l’égoïsme dans les flammes, les buildings du matérialisme transformés en amas de pierres, les monuments du consumérisme en poussière, les temples de la perversion dans le feu des enfers… Un châtiment divin qui s’abat sur ce monde ancien pour le détruire et l’enterrer, et un chemin qui s’ouvre vers un nouveau destin plus apaisé…

Nous réalisons que tout ce dont nous avons vraiment besoin n’existait pas dans ce monde ancien et que nous n’avons rien à regretter car qui pourrait se plaindre de retrouver la vraie liberté, la vraie fraternité ?

Nous accédons à un niveau de conscience qui fait de nous des êtres nouveaux, régénérés, remplis d’empathie, de sentiments purs, prêts à donner et à recevoir de l’amour, prêts à construire un monde plus conforme à ce que nous sommes. L’amour, la plus subtile des énergies, cette énergie qui permet de déplacer des montagnes, cette énergie pure et gratuite que Dieu nous a donné et que les maîtres ce monde ancien ont étouffé car ils en connaissaient la puissance…

Et dans ce triptyque divin, le Grand Réveil, la Nouvelle Vie, l’Amour, nous réalisons que tout ce que les prophètes de malheur nous promettaient, n’a plus sa place dans ce monde nouveau. Pour nous qui sommes miraculeusement éveillés, pas de guerre civile, pas d’affrontements, pas de violences, pas d’intolérance, pas de haine. Tout ceci disparaît dans le feu et dans les ruines, que cet éveil de la Conscience a provoqué…

Nous sommes délivrés. Enfin libres !

Le mot Apocalypse signifie Révélation. Et comme le disait si justement Robert F. Kennedy :

« Nous sommes dans la dernière bataille. C’est l’Apocalypse. Nous nous battons pour le salut de l’humanité. Nous savions tous que cela allait arriver à un moment donné. Je n’ai jamais cru que ça arriverait de mon vivant, mais c’est arrivé. Nous sommes quelques chanceux, le groupe des frères et des sœurs, et nous savons quel est notre travail dans cette vie. Nous savons que nous faisons partie de cette bataille. Tout le monde ici, j’en suis certain, sait quel est son devoir et va le faire et je serai à vos côtés quand vous agirez. Je sais que vous serez à nos côtés… »

Ouvrons nos cœurs, ouvrons nos bras et transmettons à tous ceux qui sont disposés à le recevoir, ce virus de la Vérité car il donne accès à ce que nous avons de plus précieux, de plus pur, de plus contagieux : l’Amour.

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[Voir aussi :
Note sur les problèmes et les opportunités
La clef de la libération
Note sur l’avenir
Note sur la science, la magie et la religion
La vue, la vision et la vie
L’Effet Jupiter et la purification de l’Humanité
Mourir libre ou vivre esclave]




Covid-19 : La destruction systématique de la psyché humaine

[Source : Medien-Klagemauer.TV]

Selon AXA Assurance, les problèmes de santé mentale des personnes ont fortement augmenté pendant la crise du Covid-19. Julia Asbrand, psychologue et chercheuse à l’Université Humboldt de Berlin, a écrit, au nom de nombreux collègues, une lettre ouverte au gouvernement fédéral.
Dans tout le pays, les psychiatres pour enfants et adolescents ainsi que les psychothérapeutes tirent la sonnette d’alarme quant à l’augmentation de l’agressivité, des troubles du sommeil, de l’anxiété à l’école, des troubles alimentaires, de la dépression et de la toxicomanie chez les jeunes, voire des suicides. À ce stade, la question se pose de savoir si les mesures de confinement sont réellement justifiées, compte tenu de ces conséquences dramatiques sur la santé mentale de la population.

Pourquoi empêche-t-on par tous les moyens un débat public sur la proportionnalité des mesures anti Covid ?
Une réponse possible est fournie par David Icke, journaliste et écrivain.
Depuis 1996, il étudie intensivement les opérations de contrôle mental menées par les services de renseignement et les gouvernements. Icke analyse les mesures de confinement à travers le monde et déclare :
« Ce qui est actuellement appliqué dans le monde entier, ce sont des techniques systématiques de coercition, de contrainte et de programmation de la perception qui sont pratiquées sur les individus depuis très, très longtemps. »

Comment en arrive-t-il à des déclarations aussi radicales ?

Les mesures actuelles contre le Covid-19, telles que l’isolement, le port de masques, les peurs massives qu’on attise ou la privation de libertés, présentent des parallèles frappants avec les méthodes de la CIA visant à manipuler délibérément la conscience des gens.

Dans les années 1950, dans le cadre du projet MK-Ultra, des psychologues de renom ont étudié les techniques de manipulation de la conscience. En 1956, par exemple, le psychologue Alfred Biderman a exposé les résultats de ses recherches dans le « diagramme de coercition de Biderman ».
Ce diagramme est considéré comme un cadre de méthodes visant à briser l’esprit humain, le respect de soi et la résistance des individus.
Biderman note que la torture psychologique est « le moyen idéal pour briser un prisonnier » car « l’isolement affecte les fonctions cérébrales du prisonnier tout autant que le fait de le battre, de l’affamer ou de le priver de sommeil. » Pour briser la volonté d’une personne, il suffit de la priver de tous les contacts sociaux, de la désorienter, de perturber ses rythmes biologiques et de la soumettre à un stress massif.

Les méthodes psychologiques nommées par Biderman ont été conçues pour la destruction ciblée de la psyché humaine.

Les mesures du gouvernement contre le Covid n’ont-elles que des similitudes fortuites ou sont-elles intentionnelles ?

  1. Isolement :
    Briser la force de résistance des victimes en retirant le soutien social de la famille ou des amis. Cela se fait par le biais du confinement, du travail à domicile, de l’enseignement à domicile, etc.
  2. Monopolisation de la perception :
    Fixer constamment l’attention sur la situation actuelle difficile. Une telle fixation sur le Covid n’est obtenue qu’en diffusant continuellement des informations dominantes sur le Covid qui excluent toutes les autres perceptions, c’est-à-dire les autres opinions.
  3. Atteindre l’épuisement, affaiblir la force de résistance :
    En interdisant tout ce qui est amusant, en imposant de lourdes charges, comme l’enseignement à domicile, les gens s’épuisent de plus en plus.
  4. Cultiver les peurs :
    Des peurs massives sont créées par des scénarios d’horreur constamment répétés.
  5. Assouplissements occasionnels :
    … ils provoquent une motivation à être docile, créent un espoir de changement, qui est sans cesse déçu. Cela crée une dépendance des victimes et réduit leur résistance. Les espoirs d’une fin rapide d’un confinement sont toujours déçus. À Noël, des concessions ont été faites, pour être ensuite annulées. Toujours de nouvelles perspectives d’assouplissement : Si nous descendons en dessous d’un taux d’incidence inférieur à XY, alors…
  6. Diminuer l’estime de soi en dégradant et en imposant des exigences insensées :
    De nombreuses mesures sont perçues par les gens comme contradictoires, dénuées de sens et arbitraires, telles que le port d’un masque pour se promener, des taux d’incidence douteux, l’ouverture de grandes surfaces et la fermeture de petits magasins, etc.…
  7. Développer une accoutumance à la situation exceptionnelle :
    Plus l’espoir d’une fin rapide du confinement est déçu, plus les gens sont censés s’habituer à cette situation inévitable.

Selon David Icke, les autres moyens sont les menaces en cas de violation et les assouplissements occasionnels en cas d’obéissance, ainsi que la démonstration de l’omnipotence. Plus les consignes sont triviales, stupides et ridicules, plus la dignité humaine est détruite. Le port de masques est un élément central de la guerre psychologique. Cela déshumanise et rend anonyme.

David Icke voit dans les ordres constamment changeants et contradictoires du gouvernement non pas de l’incompétence, mais de la méthode. Tout cela conduit à rendre les gens si dociles qu’ils ne devraient plus avoir leur propre raisonnement, leur propre perception et leur propre opinion. Pourquoi ?

Il est évident que les personnes psychologiquement affaiblies ne sont utiles que pour la mise en œuvre du « Great Reset » proclamé par le Forum économique mondial. Le but est de rendre les gens dociles à des changements planifiés de longue date qui sont tout à l’avantage des oligarques financiers et au détriment absolu des peuples.

Derrière les belles promesses de justice sociale et de nouveau départ écologique se cache l’imposition d’un despotisme global et totalitaire d’une minorité qui, totalement absorbée par elle-même, veut T O U T posséder et contrôler.

Cependant, selon David Icke, cela ne fonctionne que tant qu’une population désorientée, divisée, intimidée ou flegmatique laisse tout cela lui arriver, sans aucune réflexion et sans coordination.
Face à une grande résistance, tout ce « cirque » éclaterait immédiatement !

de rw., ag.


[Voir aussi :
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19]


Sources/Liens :

Anstieg psychischer Erkrankungen:
https://www.youtube.com/watch?v=V3WheSUqOpQ

Anstieg Psychischer Probleme bei Kindern und Jugendlichen:
https://www.welt.de/wissenschaft/article226432247/Corona-Mehr-Kinder-und-Teenager-brauchen-psychiatrische-Hilfe.html

Forschungsergebnisse zu psychologischer Kriegsführung, MK-Ultra, Geheimdienste, Biderman u.a.:
Wissenschaftlicher Artikel „Foltern für das Vaterland: Über die Beiträge der Psychologie zur Entwicklung von Techniken der weißen Folter“ von Prof. Rainer Mausfeld, April 2009;
http://www.uni-kiel.de/psychologie/psychophysik/mausfeld/Mausfeld_Psychologie%20und%20Folter.pdf

David Icke: „Die systematische Zerstörung der menschlichen Psyche“ vom 17.11.2020:
www.youtube.com/watch?v=Asi0XpTxi7E

Bidermans Diagramm des Zwangs:
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1806204/pdf/bullnyacadmed00378-0046.pdf
https://www.strath.ac.uk/media/1newwebsite/departmentsubject/socialwork/documents/eshe/Bidermanschartofcoercion




Macron trahit la « start-up Nation », les GAFAM raflent la mise

[Source : Le Fil d’Actu – Officiel]




« Ceci n’est pas un vaccin »

Par Lucien Samir Oulahbib


Dans ce moment surréaliste si douloureusement vécu, cette affirmation dans le titre n’est peut-être pas tant que cela une énième imitation de Magritte, mais l’illustration de notre triste réalité devenue même hyperréaliste, en ce sens où nous est imposé (en guise de « science » censée nous « éclairer » sur ce « réel » sanitaire) un trompe-l’œil : il s’agit en effet d’un modèle coercitif Canada Dry de perception et de comportement. La peinture présentée montre ainsi qu’une thérapie génique expérimentale (TGE) ayant une autorisation provisoire de mise sur le marché et appelée pompeusement « vaccin » aurait pour but de protéger non pas soi-même, mais « autrui » (nous pourrions lui faire du mal sans le savoir) ; ce qui implique déjà alors de ne plus percevoir ce « médicament vaccinal » comme ayant pour objet d’abord de protéger son porteur, mais d’empêcher qu’il puisse nuire, voilà la réalité (inédite) telle qu’elle nous est peinte. Et à laquelle il est sommé de croire sous peine d’être mis à l’Index..

Or, il s’avère que personne, pas même parmi les « positifs », n’est transmetteur sans symptômes (Fauci l’avouait il y a plus d’un an dans ses emails confortant ce qu’une docteure de l’OMS avait indiqué à la même époque — avant de se faire rabrouer — ainsi que l’Institut Pasteur), ce qui rendrait alors d’autant plus caduque la volonté de « vacciner » les enfants et adolescents. Ces derniers sont bien loin d’être les victimes majeures de cette maladie, celle-ci étant alimentée plutôt par le manque de soins préventifs précoces…

C’est donc bien ce détournement de fonction dudit « vaccin » (censé d’abord protéger son porteur) qui s’avère de plus en plus irréaliste, irresponsable, inconcevable, puisque tout le discours sur le côté principalement « asymptomatique » d’une maladie aux taux de létalité et mortalité infimes s’avère en réalité être de plus en plus faux…

Et pourtant cela n’empêche pas que des pseudo philosophes tels Enthoven et Onfray (par ailleurs guère connus comme étant des spécialistes en matière de santé) éructent des menaces, bien loin de leur posture maniérée en matière de tolérance stoïque de bon aloi. Exit donc Montaigne et Voltaire. Chassez le naturel, place à l’Inquisition au nom de « la » Morale (maximaliste pour le coup). Ne parlons pas d’un pseudo journaliste comme Patrick Cohen et d’autres encore, sans oublier nos deux « médecins » Dupont et Dupond — Alexandre et Marty — dont les visages défigurés par l’envie et la haine/jouissance solitaire dévoilent qu’ils deviennent le portrait craché que tentait en vain de cacher Dorian Gray dans son intimité.

Pourtant cela repart de plus belle en une GB de plus en plus « vaccinée », sans oublier les 1/1000 de myocardite chez les jeunes en Israël (comme l’indique le Courrier des Stratèges), comme si cette TGE inoculée avait pour but en réalité d’augmenter la fonction venimeuse du virus puisqu’il posséderait un « gain de fonction » permettant d’être mieux accepté par l’organisme humain. C’est en tout cas ce qui semble indiquer son séquençage selon Alexandra Henrion-Caude montrant dès novembre 2020 que ce « gain » aurait même été « breveté » : Fauci reconnaît l’existence de recherches liées à un tel « gain », tout en démentant le fait que sa participation financière au laboratoire P4 incriminé ait eu pour objet ce dernier… Pourtant, l’on ne voit pas vraiment comment dans une structure aussi opaque au sein d’un régime politique fait de la même matière la teneur des sommes allouées pourrait être vérifiée comme Fauci le prétend…

Mais peu importe, surtout s’il s’avère en tout cas qu’au fond ce « gain de fonction » peut faciliter la transmission du virus à l’organisme humain et que ledit « vaccin » est précisément structuré à partir d’une de ses parties (dont cette fameuse protéine Spike), car l’hypothèse se renforce en stipulant que ce virus à la réalité augmentée serait le levier permettant ce Grand Reset ou ce grand remodelage des sociétés urbaines contemporaines en route vers le tout numérique et le tout sanitaire, nos corps et esprits devenant le produit à manipuler fabriquer et vendre en même temps (le tout au nom également de la lutte contre le réchauffement climatique). « Vaccinés », nous voilà ainsi encore plus perméables à ce virus augmenté (puisque directement inoculé et non plus reçu aléatoirement), devenant donc dépendants de « l’antidote » que serait la « dose » [vaccinale] vendue, un peu comme dans les films de SF, ou plus prosaïquement à la façon des « addictions », alors qu’ayant des traitements précoces et prenant tout ce qu’il faut pour rester en bonne santé nous n’aurions pas besoin de tout cela en réalité…

Le « tout hygiéniste » formaté par la Secte Scientiste Affairiste (SSA) est ainsi parti à l’assaut global du dernier terrain vague supposé : nos corps qu’il faut littéralement programmer, baignant par ailleurs dans cette eau intellectuelle putride bien imaginée dansI-robot et Minority report, et que des pré-cyborgs en tête de gondole cherchent à nous vendre en guise d’élixir de vie.

Lucien Samir Oulahbib

Le 07/06/2021

Dernier ouvrage paru : Rhombe:
https://www.editions-harmattan.fr/livre-rhombe_les_nouvelles_eve_marie_marianne_les_nouveaux_adam_moise_jacob_lucien_samir_oulahbib-9782343233161-69943.html




Ça ne fait pas plus mal qu’une « bine » — Le geste de Christian Dubé et ses acolytes est-il si innocent qu’on veut bien nous le faire croire ?

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

[Ndlr : « bine » terme québécois pour « coup de poing »]

Par Guy Boulianne

Dans un article paru le 20 mai 2021, j’écrivais ceci : « J’aimerais bien savoir où se situe la frontière exacte entre le « complotisme » et le fait de se poser des questions légitimes vis-à-vis des événements qui se déroulent sous nos yeux. Il faut admettre que les personnes qui ont le droit au micro en cette société s’ingénient souvent à semer des doutes dans l’esprit de la population. Comme si tout cela était volontaire afin de maintenir la population dans la confusion la plus totale. N’est-ce pas là une manière de conserver le contrôle sur le mental des individus qui ne savent plus trop « à quel saint » se vouer pour faire le tri entre la vérité et le mensonge ? » Évidemment, je conserve toujours ce même point de vue aujourd’hui.

Le 4 mai dernier, le ministre de la Santé Christian Dubé a surpris les internautes avec la publication d’une publicité silencieuse invitant les Québécois(es) à se faire vacciner. On le voit faire un rond avec les doigts de sa main droite en fixant la caméra avec un sourire étrange. Un message suit en mentionnant : « Ça ne fait pas plus mal qu’une “bine”. Fais-toi vacciner. ». Ce signe des doigts, qui forme un « OK », ferait référence au circle game ou « jeu du rond », fort populaire auprès des adolescents. Si le regard d’autrui est porté vers le signe à la hauteur des hanches, le « perdant » peut recevoir une « bine ». On peut lire dans la publication du ministre : « Si t’as regardé, je t’en dois une », sous-entendant que le vaccin ne fait pas plus mal qu’une bine (je suis désolé, mais quiconque a déjà reçu une « bine » sur l’épaule, sait que cela fait plutôt mal). Le même jour, la cheffe du Parti libéral, Dominique Anglade, et la co-porte-parole de Québec solidaire, Manon Massé, ont toutes deux imité M. Dubé dans leur propre version de la vidéo. Chacune s’est fait reprocher de véhiculer un symbole des suprémacistes.

Les politiciens jouent les ignorants. Le premier ministre du Québec, François Legault, écrit sur sa page Facebook : « Vraiment pas sûr de comprendre de quoi on parle, mais comme le dit Christian, faites-vous vacciner! » Quant à elle, la co-porte-parole de Québec solidaire, Manon Massé, écrit sans gêne : « J’ai pas encore compris, mais si ça peut aider… », tandis que la cheffe du Parti libéral, Dominique Anglade, mentionne : « J’ai aussi regardé la vidéo, et ça ne fait pas plus mal qu’une « bine ». Fais-toi vacciner ! » Est-ce à dire que ces politiciens sont disposés à faire n’importe quoi — « en toute méconnaissance de cause » — avec l’argent des contribuables ? On dirait bien à la lueur de ce que l’on voit ici …


« Pour communiquer avec ses affiliés sans être compris des autres gens, il emploie des signes convenus d’avance » (Commentaires de « Bible annotée »)


S’agit-il d’un geste innocent ?

Signe, doigts, 666

Les médias “mainstream” prétendent que le geste posé par Christian Dubé et ses acolytes fait référence au « jeu du rond ». À l’origine, ce qu’on appelle le « jeu du rond » est généralement joué par les adolescents, et il consiste à faire regarder ce signe par une autre personne. Si on réussit, cela donne le droit de faire une « bine » à celui qui a regardé. Mais dans les commentaires sous les publications des politiciens, alors que certains s’interrogent sur le sens de la vidéo et du symbole, d’autres rappellent que le signe de rond fermé, quand il est montré dans les airs, est en fait un signe de la main récupéré par des groupes suprématistes.

En Grande-Bretagne, la Ligue de l’anti-diffamation l’a placé dans son document « Hate on Display » en l’an 2000. L’Anti-Defamation League tient à souligner que le plus souvent, le symbole signifie que tout va bien : « L’utilisation écrasante du geste de la main aujourd’hui est toujours son objectif traditionnel. » Personnellement, je ne crois pas que ces politiciens aient souhaité utiliser un symbole suprématiste. C’est la raison pour laquelle il faut savoir utiliser les symboles avec parcimonie, surtout venant de politiciens ayant une haute responsabilité sociale. Comme je l’écrivais le 29 avril dernier, on doit comprendre qu’il faut utiliser les symboles avec intelligence, car ceux-ci peuvent avoir une connotation insoupçonnée. Le symbole montre, réunit et enjoint. Selon l’encyclopédie Universalis :

« Le symbole, d’abord, montre ; il rend sensible ce qui ne l’est pas : valeurs abstraites, pouvoirs, vices, vertus, communautés. Il ne s’agit pas de la simple analogie, régie par la conjonction « comme ». « Laid comme un crapaud » ne signifie pas que le crapaud est le symbole de la laideur, privilège qu’il partagerait… avec les sept péchés capitaux ! On dit d’ailleurs aussi « laid comme un pou ». En d’autres termes, le symbole est exclusif. Le courage ne saurait être symbolisé que par le lion, lequel, d’ailleurs, n’accepte que difficilement de symboliser autre chose (l’orgueil est plutôt symbolisé par le paon). C’est qu’il faut que chacun puisse reconnaître le symbole comme tel, qu’il n’y ait pas de contestation quant à son contenu et son sens. On voit par là qu’il a une valeur pour le groupe, pour la communauté, pour la société, qu’il a pouvoir de rassemblement, de consensus, en d’autres termes que le symbole est social. »


guy.boulianne · Publicité de Christian Dubé : le message aura-t-elle la portée espérée chez les adolescents?

Le pasteur Paul Ballière écrivait en 2017 : « Depuis quelques années, un signe d’envergure mondiale, apparaît de plus en plus dans notre quotidien; si fréquent que l’on n’y prête pas attention. Ce signe, ou signal, est l’un des gestes des mains le plus couramment utilisé ces derniers temps. Il se réalise en connectant l’index et le pouce de la main, formant un cercle et en laissant les trois autres doigts étendus en l’air ; peu importe si c’est la main gauche ou droite. » En général, dans la partie occidentale du monde, il est interprété comme voulant dire « c’est bon », « approuvé » ou « apprécié ». Il convient de noter que cette interprétation a été promue et popularisée par l’influence subtile de la propagande des médias, ainsi que des magazines, et des centres commerciaux.

Comme beaucoup d’autres signes ou gestes, il a un sens beaucoup plus sombre et beaucoup plus profond dans les cercles occultes. Dans une large mesure, sa signification passe inaperçue parce que le système de la culture moderne est conçu de telle manière que ce genre de signe devient une mode ; sa signification originale, particulièrement sombre, est donc imperceptible. Comme le signe « des cornes », popularisé par des groupes de Heavy Metal, il semble que ce signe a été propagé, lui aussi, ces dernières années, par des groupes de rock, certains chanteurs et rappeurs, de nombreux artistes influents, et l’industrie populaire de la musique.

Dans ce contexte, quelle est la signification de ce signe ? L’Apocalypse évoque le nombre de la Bête (l’anti-Christ) : 

« C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence, calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. » 

(Apocalypse 13:18)

Dans le satanisme, l’inclinaison des trois doigts en l’air, forme trois six, 666. En raison du contexte et de son utilisation, et souvent combiné avec d’autres symboles ou signes occultes, le signal « OK » prend un sens différent, avec une toute autre signification que : « c’est bon ». Dans la philosophie des illuminati, le signe « OK » devient une approbation et une annonciation de la venue du « Seigneur de la lumière », que nous connaissons comme l’Antéchrist, ou la Bête du livre de l’Apocalypse.

Quoi qu’on en pense, il demeure étrange que les publications récentes de Christian Dubé et ses acolytes rejoignent symboliquement les publicités de Urbania que le Gouvernement du Québec a soutenu il y a quelques temps. Voici ce que j’écrivais sur Facebook le 12 avril 2021 : « Le Gouvernement du Québec a apposé sa signature satanique dans les publicités de Urbania concernant ses projets d’électrification de la province, d’économie verte, d’énergies renouvelables et de villes intelligentes. C’est ce qui se prépare en douce pendant que la population est en confinement, dirigée avec une main de fer sous le couvert du couvre-feu. » Mon compte Facebook fut fermé quelques heures après cette publication.


« L’homme pervers, l’homme inique, Marche la fausseté dans la bouche; Il cligne des yeux, parle du pied, Fait des signes avec les doigts; La perversité est dans son coeur, Il médite le mal en tout temps, Il excite des querelles. »

(Proverbes 6:12-14)



RÉFÉRENCES :



Le Christ à deux doigts d’être battu par les firmes pharmaceutiques qui vaccinent ?

Par Alain Tortosa

« Miracle » ou « catastrophe » aux Seychelles ?

Cela fait maintenant des semaines que les « complotistes terroristes débiles ennemis du peuple paranoïaques » trouvent plutôt « étrange » que de nombreux pays qui se sont lancés dans la folle course à la « vaccination » de leur population générale (et jeune), en bonne santé, vivent une explosion du nombre de cas et de décès…

Cette information demeure bien sûr totalement niée et cachée par la Pravda française !

Mais voilà qu’un magazine sérieux comme Forbes(([1] https://www.forbes.com/sites/roberthart/2021/05/29/some-countries-with-the-highest-vaccination-rates-are-facing-a-surge-in-covid-deaths-and-infectionsexperts-say-complacency-is-partly-to-blame/?sh=51b970c84457)) publie un article confirmant cette réalité des chiffres.

Les pseudo « vaccins » seraient-ils alors dangereux ou à minima inefficaces ?

Blasphème !

Si vous le pensez, c’est que vous n’avez strictement rien compris aux saintes Écritures de l’église du coronavirus… comme d’habitude !

Comment pourrions-nous être stupides au point de croire qu’il pourrait y avoir un lien entre vaccination et augmentation de l’épidémie quand bien même cette information se vérifie dans de très nombreux pays?…

Prenons l’exemple des Seychelles.

Le virus n’aimant pas voyager et encore moins les plages de sable fin ou la chaleur avait décidé de boycotter massivement les Seychelles.

Au point qu’au 1er janvier 2021 le pays avait dénombré 256 cas(([2] https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer?zoomToSelection=true&hideControls=true&Metric=Confirmed+cases&Interval=Cumulative&Relative+to+Population=false&Align+outbreaks=false&country=~SYC)) officiels depuis le début de la crise pour un total de… 1 mort !

Devant une telle hécatombe, décision fut prise de vacciner l’ensemble de la population qui compte un peu moins de 100 000 habitants.

Comme quoi il y a encore des politiques dignes qui pensent avant tout à leur peuple et certainement pas à l’argent !

La raison officielle en fut la réouverture du tourisme !

Mais parlons-en, des touristes !

Cette réouverture(([3] https://www.lefigaro.fr/voyages/sans-vaccin-ni-quarantaine-les-seychelles-rouvrent-en-grand-aux-touristes-20210324)) « en grand » a été fixée au 25 mars 2021 pour toutes les personnes, y compris les non vaccinés, un test PCR étant obligatoire et suffisant ! (test PCR y compris pour les vaccinés).

Pour autant, notez que les Seychelles ont quand même reçu des touristes en 2020.

Le chiffre d’affaires(([4] https://www.reuters.com/article/seychelles-economy-idUSL8N2KM4G7)) n’a chuté « que » de 61 % et il y a eu par exemple environ 2000 touristes au mois de juillet 2020.

Vous pourrez constater sur les courbes de cas (et encore plus sur celles des décès) que cette présence touristique n’a pas été de nature à faire apparaître une épidémie demeurée quasi inexistante jusqu’à début 2021.

Donc début janvier 2021, la campagne de « vaccination » débute avec le vaccin chinois puis de l’AstraZeneca.

Dès le 11 février, 50 % de la population a reçu une dose de vaccin et au 30 mars 100 % de la population a reçu au moins une dose. En 3 mois, 100 % de la population a reçu une dose.

Voici la courbe des cas :

Nous voyons une quasi-absence de cas jusqu’au 4 janvier, date où le nombre se met à fortement augmenter…

Il est néanmoins difficile d’accuser le vaccin dès lors que la vaccination n’aurait débuté que le 9 janvier.

La courbe de cas croit de façon forte et linéaire jusqu’au 29 avril où le pourcentage de doses administrées est déjà de 129 % (on peut donc supposer que 29 % de la population a eu 2 doses).

Un être naïf comme moi aurait pu penser qu’avec 100 % de la population ayant reçu une dose depuis le 27 mars, dans ces conditions, un mois plus tard… les effets de la vaccination devraient se faire sentir positivement, non ?

Mais là pas du tout !

À partir du 29 avril, la courbe d’augmentation de cas est quasi verticale !

Jetons maintenant un œil à la courbe des décès :

  • 1 mort au total le jour de la première vaccination soit 10 décès par million d’habitants
  • Le 15 février, alors que 50 % de la population a reçu une dose, il y a déjà 8 morts soit 81 décès par million d’habitants (8 fois plus).
  • Le 27 mars, alors que 100 % de la population a reçu une dose, 20 morts, soit 203 morts par million d’habitants vs 10 morts par million d’habitants 3 mois plus tôt !
  • Le 29 avril, un mois après que 100 % de la population ait reçu une dose, 26 morts, soit 264 morts par million d’habitants.
  • Le 2 juin soit deux mois après que 100 % de la population ait reçu une dose, 42 morts pour 427 morts par million d’habitants vs 10 avant le début de la vaccination.

Les autorités et les spécialistes (mais aussi les Pravda) sont donc arrivées à la conclusion « évidente » que la cause en était les habitants heureux d’être libérés du fléau invisible…

Je vous rappelle qu’il n’y avait pas d’épidémie dans le pays… et donc les habitants se sont mis à faire la fête et ont arrêté de respecter le port du masque et les gestes barrières après le début de la campagne !

Un représentant du gouvernement(([5] https://la1ere.francetvinfo.fr/reunion/seychelles-80-des-personnes-infectees-n-ont-pas-ete-vaccinees-1004674.html)) a même mis en garde ses concitoyens contre un relâchement du respect des mesures sanitaires et déclaré début mai :

« Les Seychellois, parce qu’ils sont vaccinés maintenant, se détendent et pensent que tout va bien. Nous baissons la garde, nous ne sommes pas aussi prudents qu’avant ».

Et notant le fait qu’il n’y avait que deux cas graves en réanimation au moment de ses déclarations…

« Cela montre que la vaccination a eu son effet ! »

Bien bien, bien…

Notons plusieurs points intéressants :

  • Le virus circulait aux Seychelles avant la vaccination et leur première vague. Il y avait bien des flux migratoires, des touristes, et donc l’épidémie n’est pas arrivée ex nihilo.
  • Le nombre de cas a commencé à augmenter fin décembre et le nombre de décès début janvier ce qui pourrait constituer une preuve que le vaccin n’aurait pas créé la vague.
  • Le « vaccin » ne pourrait pas être la cause de la vague d’autant plus qu’au 19 janvier, seuls 10 % des habitants avaient reçu une dose ce qui semble bien faible et bien court pour provoquer une épidémie…
  • La courbe des cas demeure linéaire jusqu’au 29 avril alors que 100 % de la population a reçu une dose depuis plus d’un mois. Cela tendrait à prouver que les habitants ne se sont pas relâchés à moins que par miracle la vaccination ait parfaitement contré l’augmentation qui n’aurait pas manqué de se produire sans vaccination (étant donné qu’elle est déclarée « efficace »).
  • L’hypothèse du relâchement, déjà utilisée pour l’Inde et les bidonvilles de New Delhi pourrait faire rire.
    • Les îles Seychelles possèdent des plages de classe mondiale et un luxe cinq étoiles attirant une classe élite de touristes. Mais l’argent du tourisme de l’archipel ne profite pas aux citoyens les plus pauvres du pays: des dizaines de maisons ne disposent ni d’électricité, ni de toilettes intérieures, ni d’eau potable traitée.
      Héléna De Letourdis, directrice générale adjointe du bureau, a déclaré :
      « Cela montre que 32 % de la population des Seychelles est pauvre de manière multidimensionnelle et souffre de privations liées au niveau de vie, à l’éducation, à la santé, à la nutrition et à l’emploi.(([6] http://www.seychellesnewsagency.com/articles/11029/Une+enqute+sur+la+pauvret+aux+Seychelles+rvle+que++familles+peinent++se+procurer+des+produits+de+premire+ncessit))»
      De fait, qui pourrait gober que cette population pauvre, mal éduquée, ne disposant pas du nécessaire pour vivre dignement… porterait parfaitement un masque et respecterait des gestes barrières ?
    • Comment expliquer que la vaccination, au contraire de diminuer la vague, la fait exploser par la suite, alors même que toute la population a reçu au moins une dose ?

Autre point intéressant le même ministre a déclaré que :

« Les Seychelles viennent d’annoncer très officiellement que 80 % des personnes, testées positives lors de cette troisième vague, n’ont pas été vaccinées »

Dans des documents transmis à l’OMS,(([7] https://www.aljazeera.com/news/2021/5/12/who-reviewing-seychelles-data-after-fully-vaccinated-get-covid)) il ajoutait :

« The seven-day rolling average of positive cases increased from 120 on April 30 to 314 on May 8, the ministry said in a statement late on Monday, with almost two-thirds of the positive cases being close contacts of another person testing positive.

Some 37 percent of those testing positive had received both doses of a vaccine, it said. »

Plus d’un tiers des contaminés avaient reçu 2 doses de vaccin !

Ce qui est déjà de nature suffisante pour critiquer le côté protecteur et immunisant du « vaccin ».

Et pourrait peut-être aussi expliquer pourquoi même les vaccinés doivent fournir un test PCR négatif avant de pénétrer le pays !

Cela nous montre à quel point les autorités elles-mêmes ne croient pas à l’efficacité du vaccin…

D’autre part, si l’augmentation délirante de l’épidémie, notamment à partir du 29 avril, était liée au vaccin, cela pourrait vouloir dire que les vaccinés seraient de fait des super-contaminateurs…

Autre point intéressant précisé au 8 mai.

« Les Seychelles comptent actuellement 1 068 cas actifs. 84 % sont des Seychellois, 16 % des touristes ou des étrangers. »

Cette information soulève plusieurs questions :

  • Hypothèse 1 : Les touristes ont importé du virus malgré les quarantaines et autres tests PCR. Ce qui tendrait à prouver que ces mesures ne servent à rien et que le test PCR est une fumisterie.
  • Hypothèse 2 : Les touristes ont été contaminés sur place par les autochtones massivement vaccinés.

La vérité ne peut qu’être un mélange des deux..

Des touristes ont importé le virus et des autochtones ont contaminé des touristes, autochtones eux-mêmes contaminés par des touristes…

Le problème des cas :

Il est impossible de baser son raisonnement sur le nombre de cas.

D’une part parce que les tests PCR peuvent dire n’importe quoi selon le nombre de cycles et qu’il est possible de jouer sur ceux-ci pour modifier les courbes.

D’autre part, et étant donné que le pays avait décidé de vacciner début janvier…

En effet 50 000 doses de vaccin (chinois) sont arrivées le 22 décembre, offertes par les Émirats Arabes Unis.

Il était de fait logique d’accroître les tests :

  • Pour suivre l’évolution de la maladie du fait de la vaccination.
  • Pour augmenter artificiellement le nombre de cas, plus on teste plus on trouve, afin de « motiver » la population à se faire vacciner… ce que la France a fait en créant sa fausse 3e vague de Covid pour vendre du vaccin. À ce propos, vous comprenez bien qu’une nouvelle vague sera indispensable en France à la fin août, malgré la vaccination massive et délirante des adultes, pour vacciner les enfants dont même les autorités répètent qu’elles ne sont PAS à risque !

Il est donc IMPOSSIBLE de se fier à l’évolution du nombre de cas…

La Seychelles News Agency (leur AFP locale) indiquait dans une publication du 4 janvier(([8] http://www.seychellesnewsagency.com/articles/14135/Seychelles+to+unveil+vaccination+plan+this+week+as+COVID-+infection+spreads)) que le président serait le premier à recevoir une dose (d’eau salée?), marketing oblige, et que les personnels de santé seraient les premiers à se vacciner.

Pourquoi le gouvernement attendrait-il le 9 janvier, soit 18 jours après l’arrivée des premiers vaccins, pour administrer les premières doses à des professionnels de santé si « fiers » de lutter contre l’épidémie (qui le 22 décembre est quasi inexistante) ????

Il est intéressant de constater que le 8 mai le ministre précisait « that no one who had died had been fully vaccinated » (aucune personne ayant reçu deux doses n’est décédée).

En langage compréhensible cela confirme que des personnes ayant reçu UNE dose de vaccin étaient décédées (sinon il n’aurait pas ajouté « fully » ou aurait mis « partially »).

En résumé

  • Le 22 décembre, arrivée des vaccins aux Seychelles.
  • Le 16 janvier, le 2e mort officiel du Covid se produit, marquant le début d’une vague qui se poursuit jusqu’à ce jour malgré une vaccination Sinopharm et AstraZeneca (50/50). … Soit 3 semaines après l’arrivée des premières doses…
  • Il est confirmé que des personnes ayant reçu une dose sont mortes.
  • En France les premières doses de Pfizer conservées à -80°C, sont arrivées le 26 décembre et la première vaccination dès le lendemain !

Qui peut raisonnablement croire qu’il s’est passé plus de 2 semaines entre la réception de vaccins dont l’administration est classique (pas de conservation à -80°C) et les premières vaccinations de personnels de santé ?

Qui peut croire que les politiques ne voudraient pas faire la publicité de la vaccination le plus tôt possible ?

Si cette hypothèse logique de vaccination dès le 23 décembre s’avère exacte alors cela change tout !

Car :

  • Non seulement la vaccination de masse n’aurait pas été en mesure de diminuer l’épidémie
  • Non seulement la vaccination aurait fait empirer l’épidémie notamment à partir du 29 avril du fait des vaccinés devenant des super-contaminateurs.

Mais

  • la vaccination serait elle-même à l’origine de la vague qui a conduit à multiplier par 40 le taux de mortalité en 3 mois. Le « vaccin » agissant alors comme un catalyseur…

Tout ceci est difficile à prouver, la seule chose qui est CERTAINE est que la vaccination aux Seychelles n’a pas été de nature à diminuer l’épidémie.

Car, comme en France, il est gravé dans le marbre nauséabond que les confinements, port du masque et désormais les vaccinations expérimentales sont efficaces.

En science, quand tu as la preuve que le 1er confinement en France n’a pas sauvé de vies (en observant l’absence d’aplanissement de la courbe, l’absence de regain après le déconfinement et des courbes identiques dans des pays qui n’ont pas confiné), tu ne mets pas en œuvre le 2e puis le 3e confinement !

Avec leur pseudo science manipulatrice, non seulement ils ont osé dire que le confinement avait sauvé 60 000 vies, mais que l’échec potentiel pourrait être causé par le non-respect de la mesure.

Donc il suffit d’abord d’affirmer que s’il n’y avait pas eu vaccination, la situation aurait été 100 fois pire aux Seychelles puis d’ajouter qu’il faut augmenter le pourcentage de vaccinés pour parvenir à 100 %.

Puis si malgré cela, de nouveaux cas et décès se produisent, il suffira d’affirmer que c’est causé par des variants (sinon créés, tout du moins favorisés par lesdits « vaccins ») et d’administrer une 3e dose à l’ensemble de la population…

Jamais l’efficacité de la mesure ne sera remise en question, ce qui est l’apanage des pseudosciences qui ne peuvent jamais être contredites.

Nous sommes bien dans la Foi pour les uns… et dans le crime organisé pour les autres…

Et le Christ dans tout ça ?

Si on adhère aux prêches des autorités et de la Pravda, les 41 morts aux Seychelles comptabilisés depuis la campagne de vaccination ne seraient absolument pas causés par ladite « vaccination »…

Bien au contraire même, cette thérapie vaccinale expérimentale aurait permis d’endiguer la vague et épargner des dizaines de vies ou des centaines de vies…

Alors, imaginez qu’ils aient lancé la vaccination 3 mois plus tôt !

Avant même le début de leur première vague !

C’était un coup à ressusciter des dizaines de personnes décédées !

Par chance, la vaccination a été entreprise plus tard et l’église du coronavirus n’a pas pu faire mieux que le Christ !

Et pendant ce temps ?

Le peuple, jeune et vieux, se précipite pour recevoir la sainte injection qui leur permettra de retrouver leur liberté, ce qui selon les saintes Écritures de l’église du coronavirus veut dire, retrouver la possibilité de voyager et de consommer grâce à un passeport vaccinal !

Merci.

Alain Tortosa.

Le 6 juin 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210606-christ-vs-vaccin-seychelles.pdf





Fait divers inquiétant. (humour)

Par Alain Tortosa

[Photo : iStock]

Peut-être aurez-vous du mal à le croire, mais un homme de 44 ans a été retrouvé chez lui, en parfaite santé, 4 semaines après sa 2e dose de vaccin.

Étrangement, celui-ci ne présentait strictement aucun effet secondaire, pas même un petit mal de crâne.

Il a été transféré en urgence à l’hôpital par une cellule spécialement équipée pour les accidents chimiques afin de procéder aux premiers examens.

Bien évidemment son entourage a été mis à l’isolement comme il se doit et ses effets personnels ont été incinérés.

Lui-même et sa famille ont reçu (de force) 2 nouvelles doses panachées de vaccins en espérant que la solution permette d’endiguer la situation qui, si elle se répandait, pourrait s’avérer dramatique pour le monde libre.

Contacté par notre correspondant, le directeur local de la compagnie pharmaceutique, M. Bad Isvéri, ayant fourni les doses s’est voulu rassurant.

Celui-ci a déclaré à notre micro :

« Je peux vous assurer que tout est mis en œuvre depuis le début afin que nos vaccins développent un maximum d’effets secondaires. S’il y a bien une chose que l’on ne peut pas nous reprocher, c’est bien d’avoir court-circuité toutes les sécurités possibles et corrompu un maximum de soignants et de politiques. Nous avons même procédé aux premiers essais sur l’homme dès le mois d’avril 2020 pour épargner un maximum de rats de laboratoire. Hélas, nous sommes humains et il peut parfois y avoir des incidents. Croyez bien que la population est à l’abri et qu’elle peut continuer à s’injecter nos produits présents et futurs sans se poser la moindre question. »

Le directeur de l’hôpital le professeur Ted Caurup, député et président du conseil de l’ordre régional, s’est aussi voulu rassurant :

« Je confirme tout à fait les propos de mon très généreux bienfaiteur. Nous-mêmes n’avons fait strictement aucun test d’innocuité avant de vacciner en masse adultes, enfants et femmes enceintes. Je vous rappellerais aussi qu’en cas d’effets secondaires, même graves, nous interdisons tout traitement, seul du paracétamol est proposé afin de ne pas risquer de perturber le processus. »

Nous continuons nos investigations, mais d’ores et déjà il semblerait que cet individu peu recommandable ne respectait ni les confinements ni les gestes barrières.

Celui-ci avait même retiré ses enfants de l’école afin qu’ils ne portent pas de masques « maltraitants » selon ses propos incohérents.

Une expertise psychiatrique a été immédiatement diligentée par la procureuse de la République chargée de l’enquête, Mme Jay Padcouye, chargée de déterminer le degré de folie et de dangerosité de l’individu.

L’enquête de voisinage a permis de déterminer que celui-ci ne portait pas de masque, faisait du sport, se promenait souvent en forêt, qu’il prenait des vitamines et avait une vie saine.

D’autre part, fait étrange qui souligne la bizarrerie de l’individu, celui-ci ne prenait jamais de médicaments malgré son âge.

Une voisine, Mme Aimée Vichy, nous a confié que rien n’avait été fait malgré les dizaines d’appels téléphoniques anonymes qu’elle avait passés à la gendarmerie depuis le mois de mars dernier.

Le maire de Bourgnon sur Oiseuse, qui se serait bien passé de cette publicité, a quant à lui déclaré qu’il ne cautionnait absolument pas ce type d’agissements et que l’ensemble de ses concitoyens respectait scrupuleusement les mesures sanitaires surtout et y compris les plus absurdes !

Afin de limiter le brassage, il avait même été décidé que les habitants ayant un numéro pair pourraient se rendre au marché de la ville les semaines paires et inversement tout en alternant une semaine pour les hommes et une semaine pour les femmes. Les enfants pouvant s’y rendre, en toute logique, une semaine sur quatre, sauf les mois qui comportent 31 jours. Des cours du soir avaient été proposés par la ville afin de rappeler ces règles de bon sens.

Qui aurait pu prédire un tel drame ?

Nous vous rappelons que selon les données officielles de Santé Publique France, le risque de décès pour une personne jeune et en bonne santé n’est que 10 fois plus important pour les personnes vaccinées que de décéder du Covid.

Nous fondons de grands espoirs sur les variants favorisés par les vaccins afin que ce risque augmente de façon significative.

Hélas, l’objectif de plus de décès par la vaccination que par le Covid prévu pour la fin 2021 risque de ne pas se produire avant 2023 si aucun progrès significatif n’est apporté dans les vaccins actuels.

Espérons que les défenses immunitaires réduites à la fois par les gestes barrières, les confinements, les masques, le stress, l’épuisement psychologique, mais aussi surtout par les vaccins puissent accélérer les choses.

Nous ne manquerons pas de revenir vers vous surtout si nous n’avons rien à vous dire de plus…

Merci

Alain Tortosa correspondant CGN pour Facture Portes.

2 juin 2021

https://7milliards.fr/tortosa20210602-vaccin-pas-effet-secondaire.pdf




Les écoles australiennes doivent cesser d’appeler les enfants « garçons et filles »

[Source : anguillesousroche.com]

[Note de Joseph : l’homogénéisation et l’uniformisation représentent un mouvement qui va dans le sens du chaos, conforme à la logique franc-maçonne de la construction d’un Nouvel Ordre Mondial en passant d’abord par la destruction. Ce mouvement est contraire à celui de l’organisation des formes et structures (sociales et autres) par la Conscience. Et il l’est d’autant plus qu’il tend à couper les êtres humains de leur essence en leur faisant développer une vision et une approche matérialistes de la vie.
Voir notamment La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos)
et Le Nouvel Ordre Mondial par le chaos.]

En Australie, des enseignants ont reçu l’ordre d’imposer à leurs élèves un programme « woke » d’extrême gauche et de cesser d’appeler les enfants « garçons et filles » afin de rendre la classe plus neutre sur le plan du genre.

Selon les nouvelles directives en matière d’éducation, les enseignants doivent utiliser des termes tels que « autre » et éviter de qualifier les choses de « normales » afin de mieux intégrer les minorités.

Ces directives invitent le personnel scolaire à transmettre aux enfants les craintes liées à « l’urgence du changement climatique » et à promouvoir la « superdiversité ».

C’est ce que rapporte Dailymail.co.uk : Un chapitre du livre, édité par des universitaires de l’université Monash, encourage les enseignants à « s’engager à dire la vérité sur la réalité de la dégradation du climat ».

« Une politique associée devrait être utilisée pour rassembler la communauté scolaire, en s’appuyant sur l’énergie, les idées et les capacités de cette dernière, même si cette politique est susceptible d’être exigeante et d’une grande portée », peut-on lire dans le livre.

Le livre – Building Better Schools with Evidence Based Policy – indique également aux enseignants qu’ils peuvent promouvoir l’inclusion dans la classe s’ils « embrassent activement la diversité ».

Le terme « anglais en tant que deuxième langue » devrait être remplacé par l’expression « émergent – bilingue » pour donner plus d’assurance aux élèves qui parlent plusieurs langues.

Les termes « garçons et filles » devraient également être retirés de l’usage courant dans les écoles, suggère le livre.

Défendant son chapitre sur le climat, l’auteur universitaire Alan Reid a déclaré que les enseignants devraient encourager les élèves à débattre des concepts qu’il soulève.

« Une école peut également écouter et contester certains points de vue, et préciser ce qui reste à la porte de l’école, pour ainsi dire, étant donné le contrat social en matière d’éducation », a-t-il déclaré au Daily Telegraph.

Kel Richards, animateur radio de Sydney, a déclaré qu’essayer de supprimer le mot « normal » de l’usage en classe était voué à l’échec.

« Quoi qu’ils fassent en classe, quoi qu’ils disent, quel que soit le rapport publié, le mot “normal” sera toujours là et nous l’utiliserons toujours », a-t-il déclaré.

Cette révélation intervient quelques semaines après qu’il a été révélé que les écoles de Melbourne étaient invitées à utiliser des pronoms neutres et à remplacer « maman et papa » par « parent » dans le cadre d’une campagne visant à améliorer l’inclusion des étudiants LGBTQI+.

Les toilettes unisexes, les équipes sportives non mixtes et le déploiement de drapeaux arc-en-ciel sont également recommandés pour améliorer l’inclusion.

Certaines écoles sont même encouragées à empêcher les enseignants et les élèves d’utiliser des mots tels que « maman »« papa » et « petit ami », dans une tentative controversée de bannir les mots sexués.

Les mots « parent » et « partenaire » sont préférés.




Vacciner les enfants contre le covid serait « irresponsable, inutile et contraire à l’éthique »

Par Nicole et Gérard Delépine

DANGER : les enfants ne doivent pas être vaccinés par les pseudovaccins anticovid

À l’heure où l’épidémie est en voie de disparition en France, Europe et USA et que la divulgation des mails du DR Fauci montre qu’il a menti pour préparer le marché aux pseudo vaccins, il faut absolument faire échapper les petits à ces injections géniques expérimentales qui ne sont pas des vaccins, au sens classique du terme.(([1] Depuis Pasteur un vaccin se compose d’antigènes que l’on injecte pour stimuler la réponse immunitaire spécifique. Les pseudo vaccins actuels ne comportent pas d’antigène, mais un code génétique donnant des ordres à nos cellules.))

Les révélations scandaleuses qu’apporte la publication des mails de FAUCI arriveront-elles à temps à maturation pour stopper la folie vaccinale ? Ne vous étonnez pas en tous cas des gesticulations du pouvoir et des médias pour vous forcer à vous vacciner le plus vite possible, y compris les plus jeunes sous prétexte de passeport vaccinal ou autres mesures coercitives. Grâce à Macron, nous serons peut-être les derniers à l’abandonner, mais il disparaîtra en pratique, comme l’a prédit Eric Verhaeghe(([2] Pass sanitaire : Macron peut-il passer en force ? – Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) )) dans un article récent du courrier des stratèges et nous même dès avril dernier,(([3] Delépine – Passeport vaccinal : chronique d’une mort annoncée mondialisation.ca 9 avril 2021 https://www.mondialisation.ca/passeport-vaccinal-chronique-dune-mort-annoncee/5655350)) sa suppression début juin en Israël(([4] https://fr.businessam.be/trois-mois-apres-son-introduction-israel-na-deja-plus-besoin-du-passeport-vaccinal/)) et en bientôt en Grande-Bretagne(([5] https://jeminformetv.com/2021/06/01/le-pass-sanitaire-la-grande-bretagne-jette-leponge/)) le confirme.

Nous répétons depuis plus d’une année que les enfants et adolescents ne risquent rien du Covid(([6] Delépine – Les écoles doivent ouvrir comme prévu le 11 MAI 2020. Pas de danger, ni pour les enfants ni pour les adultes. Démonstration Agoravox 17/4/2020
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-ecoles-doivent-ouvrir-comme-223390))

La littérature internationale démontre unanimement que les enfants ne contaminent ni les autres enfants ni les adultes côtoyés. Les quelques articles qui essaient de faire croire le contraire ne s’appuient que sur des données théoriques de laboratoires ou des simulations mathématiques fausses et jamais sur des études épidémiologiques dans le monde réel, les enseignants n’étant pas plus à risque de covid que la population générale (contrairement au jeu pervers de leurs syndicats qui ont tenté de le faire croire).(([7] Institut Pasteur COVID-19 DANS LES ÉCOLES PRIMAIRES : PAS DE TRANSMISSION IMPORTANTE DU VIRUS ENTRE ENFANTS OU VERS LES ENSEIGNANTS
https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/covid-19-ecoles-primaires-pas-transmission-importante-du-virus-entre-enfants-ou-enseignants))

Même ceux qui prônent en France la vaccination pour les plus jeunes, le reconnaissent et font intervenir des arguments aussi malhonnêtes les uns que les autres.

Le plus ridicule propose la vaccination comme antidépresseur ! « Vacciner les enfants les ferait rentrer dans le sort commun (!) et donc « aiderait à leur reconstruction psychologique » ! Message pervers qui a le mérite de reconnaître qu’en tant que protection contre le covid, il n’a aucun rôle.

Une couverture vaccinale très élevée peut-elle empêcher les contaminations ?

Des apôtres de la vaccination covid des enfants veulent l’imposer pour obtenir la couverture vaccinale la plus élevée possible(([8] dont on sait avec l’exemple de la rougeole qu’elle est incapable d’éradiquer le virus)) dans le but officiel de sauver les personnes âgées. Mais les pays qui ont les plus hauts taux mondiaux de couverture vaccinale comme le Bhoutan (96 %), Gibraltar (>100 %) ou les Seychelles (>70 %) ont été victimes de graves flambées épidémiques post vaccinales ainsi que le montrent les courbes suivantes publiées par l’OMS(([9] Sur son site officiel WHO Covid19 Dashboard)) commentées par nos soins en rouge.

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Une couverture vaccinale même très élevée paraît donc incapable de prévenir les contaminations.

Quant à la protection des anciens comme argument ? Ces mêmes personnes âgées auxquelles on a refusé les traitements précoces efficaces et donné facilement le Rivotril « pour les soulager » et, de fait, les euthanasier intéressaient-elles le pouvoir ? Pourtant, environ dix mille personnes(([10] France Soir Chronique N°52 — « La sur prescription des 3 benzodiazépines injectables Rivotril®, Valium® et Tranxène®, a coïncidé avec les pics de décès de résidents dans les EHPADs, ce qui interroge »
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/chronique-ndeg52-la-surprescription-des-3-benzodiazepines-injectables-rivotrilr)) pourraient ainsi être décédées dans les EHPAD avec l’aide de ce « merveilleux » médicament interdit aux insuffisants respiratoires et donné larga manu grâce au décret de fin mars 2020 de Édouard Philipe-Véran renouvelé en octobre et récemment le 1er juin 2021…

Qu’en est-il ?(([11] 40+ Doctors Tell UK Drug Regulators: Vaccinating Kids for COVID is ‘Irresponsable, Unethical and Unnecessary’ • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

APPEL DE MÉDECINS À LEURS GOUVERNANTS AU ROYAUME-UNI

« vacciner les enfants contre covid est « irresponsable, contraire à l’éthique et inutile » »

Dans une lettre ouverte adressée à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé,(([12] Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) executive agency of the Department of Health and Social Care in the United Kingdom which is responsible for ensuring that medicines and medical devices work and are acceptably safe.)) plus de 40 médecins, médecins et scientifiques au Royaume-Uni affirment que les enfants sont plus vulnérables aux effets potentiels à long terme des vaccins CONTRE LA COVID.

Le groupe a déclaré qu’aucune personne de moins de 18 ans ne devrait être vaccinée contre la COVID, car les preuves montrent que le virus ne présente aucun risque pour les enfants en bonne santé. Lettre écrite en réponse à des documents divulgués du service national de santé du Royaume-Uni détaillant comment les autorités sanitaires britanniques prévoient de vacciner les enfants de plus de 12 ans.

Selon les documents du service de santé, des enfants dès l’âge de 5 ans pourraient être vaccinés dès juillet 21 — une mesure qui, selon le gouvernement, « pourrait être nécessaire pour réduire les cas de COVID alors que les confinements se lèvent dans tout le pays ». Pourtant les enfants ne transmettent pas et l’épidémie européenne s’effondre.

De hauts responsables anglais viennent, de plus, d’avouer officiellement avoir truqué les chiffres et instrumentalisé la peur pour imposer les mesures dites sanitaires qui convenaient aux politiques. Vont-ils poursuivre leurs mensonges ?(([13] Covid: des scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la « peur » pour faciliter le contrôle de la population ! — Le Libre Penseur
« Dans un long article The Telegraph révèle que des « scientifiques du comité (SPI-B) qui a encouragé l’utilisation de la peur pour contrôler le comportement des gens pendant la pandémie de covid ont admis que leur travail était ‘’contraire à l’éthique ‘’ et ‘’totalitaire ‘’ ».
Le SPI-B est l’un des sous-comités qui conseille le Groupe consultatif scientifique pour les urgences (Sage), dirigé par Sir Patrick Vallance, le conseiller scientifique en chef de Boris Johnson))

Les auteurs de la lettre ont rappelé que le risque de décès par COVID chez les enfants en bonne santé est de 1 sur 1,25 million. Les pseudovaccins géniques contre la COVID sont responsables des accidents vasculaires cérébraux dus à des thromboses veineuses cérébrales chez les personnes de moins de 40 ans — conclusion qui « a conduit à la suspension de l’essai pour enfants Oxford-AstraZeneca », ont précisé les auteurs. Ils précisent :

« les enfants ont une vie devant eux, et leurs systèmes immunologique et neurologique sont encore en développement, ce qui les rend potentiellement plus vulnérables aux effets indésirables que les adultes. »

Sommes-nous vraiment au temps des apprentis sorciers, des joueurs de roulette russe ou bien le mythe de Faust a -t-il hanté nos dirigeants, mais aussi les populations étrangement soumises à cette intoxication par injection d’une substance qui peut transformer notre ADN voire celui des générations suivantes. Nul ne sait et c’est bien le plus invraisemblable. Dans le monde qui a inscrit il y a peu le principe de précaution dans la Constitution, où les mots environnement, futur de la planète reviennent à toutes les sauces, où des arracheurs d’OGM purgent encore leur peine, ceux qui achètent bio et chassent l’OGM de leur savon ou de leur shampoing se font injecter le poison qui les transformera au minimum en humains OGM. Bravo les communicants ! Vous avez transformé nos écolos et leurs adeptes, une bonne partie de la population, en défenseur de l’Homme OGM… Vous êtes très forts.(([14] La ruée vers les vaccins, immense manipulation organisée ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Il faut lire cette lettre in extenso : « Covid-19 Child Vaccination: Safety and Ethical Concerns — An Open Letter From UK Doctors to Dr. June Raine, Chief Executive, MHRA » :

« Nous souhaitons vous informer de nos graves préoccupations concernant toutes les propositions visant à administrer des vaccins contre la COVID-19 aux enfants. Des documents gouvernementaux récemment divulgués suggèrent qu’un déploiement du vaccin contre la COVID-19 chez les enfants de plus de 12 ans est déjà prévu pour septembre 2021, et la possibilité que des enfants d’à moins de 5 ans soient vaccinés en été dans le pire des scénarios ».

Nous avons été profondément troublés d’entendre plusieurs représentants du gouvernement et du SAGE(([15] Leur comité scientifique conseiller du gouvernement anglais :
Le SPI-B est l’un des sous-comités qui conseille le Groupe consultatif scientifique pour les urgences (Sage), dirigé par Sir Patrick Vallance, le conseiller scientifique en chef de Boris Johnson)) appeler dans les médias à ce que le déploiement du vaccin contre la COVID-19 «se tourne vers les enfants aussi vite que possible ». Le Matériel pédagogique distribué aux écoles de Londrescontient des questions « chargées d’émotions et inexactitudes ».

Manipulation des responsables syndicaux enseignants qui eux-mêmes manipulent les enfants

Il y a eu un langage troublant utilisé par les dirigeants syndicaux enseignants, qui conduit à la coercition des enfants pour qu’ils acceptent les vaccins contre la COVID-19.

La pression des pairs dans les écoles devrait être encouragée selon les directives gouvernementales relayées par les syndicats. Pourtant la coercition visant à faire accepter un traitement médical est contraire aux lois et déclarations britanniques et internationales.(([16] Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin anticovid ») — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Passer par les enfants est particulièrement minable, méprisable et illégal. La pression sur les enfants ne peut pas être acceptée selon la charte des droits de l’enfant.

« Une telle rhétorique est irresponsable et contraire à l’éthique, et encourage le public à exiger la vaccination des mineurs avec un produit encore au stade de la recherche et dont aucun effet à moyen ou long terme n’est connu, contre une maladie qui ne présente aucun risque matériel pour eux. Un résumé de nos motifs est donné ci-dessous et une explication plus détaillée et entièrement référencée est disponible. » dit la lettre adressée aux instances médicales gouvernementales anglaises.

Les auteurs listent ensuite les risques et avantages dans les traitements médicaux. Citons quelques réflexions majeures.

NE PAS REPRODUIRE LES TRAGÉDIES PASSÉES AVEC D’AUTRES VACCINS COMMERCIALISÉS À LA HÂTE

«  Nous devons veiller à ce que les tragédies passées qui se sont produites ne se reproduisent pas, en particulier lorsque les vaccins sont mis sur le marché à la hâte.

Par exemple, le vaccin contre la grippe porcine Pandemrix, déployé à la suite de la pandémie de 2010, a entraîné plus d’un millier de cas de narcolepsie, lésion cérébrale dévastatrice, chez les enfants et les adolescents, avant d’être retiré.

Le Dengvaxia, vaccin contre la dengue, a également été déployé sur les enfants avant les résultats complets de l’essai, et 19 enfants sont morts d’une possible détérioration dépendante des anticorps (ADE) avant le retrait du vaccin.(([17] Analyse d’une catastrophe sanitaire annoncée, la saga du Dengvaxia, vaccin contre la Dengue – AgoraVox le média citoyen)) Une répétition de cette situation avec les vaccins contre la COVID-19, aurait non seulement un impact sur les enfants et les familles touchés, mais aurait également un effet extrêmement dommageable sur le taux de vaccination en général ».

En France aussi, des médecins pro-vaccination craignent l’impact négatif des effets dommageables de la pseudo vaccination anticovid quand l’étendue des effets délétères sera connue, car l’acceptation facilitée par la confusion entre vaccin habituel et « vaccin » covid se retournera dans l’autre sens. Il sera trop tard pour que les gens confiants et trompés admettent leur erreur (difficile à sortir d’une conviction même devant les preuves, car mentalement on se détruit intérieurement) et ils risquent de rejeter en bloc les vaccins.

« Aucune intervention médicale ne devrait être introduite sur une base « taille unique (…). Cette approche a été décrite en octobre dernier par la chef du Groupe de travail gouvernemental sur les vaccins, Kate Bingham ». Elle avait déclaré : « nous devons simplement vacciner toutes les personnes à risque. Il n’y aura pas de vaccination des moins de 18 ans. Il s’agit d’un vaccin réservé aux adultes, destiné aux personnes de plus de 50 ans, qui se concentre sur les travailleurs de la santé, les travailleurs des foyers de soins et les personnes vulnérables. Les enfants n’ont pas besoin d’être vaccinés pour leur propre protection ».

« L’immunité acquise naturellement donne une immunité plus large et plus durable que la vaccination. En effet, de nombreux enfants seront déjà immunisés. Les enfants à très haut risque peuvent déjà se faire vacciner pour des raisons humanitaires. Les enfants n’ont pas besoin de vaccination pour soutenir l’immunité collective ».

PRÉOCCUPATIONS À COURT TERME EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ DES « VACCINS » ANTICOVID

Selon la lettre adressée au MHRA (réf 12)

« Au 13 mai, le MHRA 22 avait reçu un total de 224 544 événements indésirables, dont 1 145 décès en lien avec les vaccins contre le SARS-CoV-2. Les rapports d’accidents vasculaires cérébraux dus à la thrombose veineuse cérébrale initialement en faible nombre, mais à mesure que la sensibilisation augmentait, de nombreux autres rapports ont conduit à la conclusion que le vaccin AstraZeneca ne devrait pas être utilisé pour les adultes de moins de 40 ans. Cette conclusion imprévue a également conduit à la suspension de l’essai pour enfants d’Oxford AstraZeneca.

Des événements similaires ont été notés avec les vaccins Pfizer & Moderna sur le système américain de déclaration des effets indésirables (VAERS) et il est probable qu’il s’agisse d’un effet lié à la production de protéine Spike. »

« Les nouvelles lignes directrices du Royaume-Uni sur la prise en charge de la thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin (VITT) incluent tous les vaccins contre la COVID-19 dans leurs préconisations. La possibilité d’autres problèmes de sécurité inattendus ne peut être exclue.

En Israël, où les vaccins ont été largement déployés auprès des jeunes et des adolescents, le vaccin de Pfizer a été associé à plusieurs cas de myocardite chez de jeunes hommes et des préoccupations ont été soulevées au sujet de rapports faisant état d’une altération des cycles menstruels et de saignements anormaux chez les jeunes femmes après le vaccin. »

Les décès signalés aux USA chez des enfants vaccinés inclus dans des essais inquiètent les médecins anglais

« il y a maintenant eu un certain nombre de décès associés à la vaccination signalés au VAERS aux États-Unis, bien que les vaccins ne soient administrés qu’aux enfants dans le cadre d’essais et d’un déploiement très récent aux 16-17 ans ».

PRÉOCCUPATIONS EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ À LONG TERME

« Tous les essais de phase 3 du vaccin contre la COVID-19 sont en cours et ne devraient pas se terminer avant la fin de 2022 ou le début de 2023. Les vaccins sont EXPÉRIMENTAUX et ne disposent que de données limitées à court terme et de données à un peu plus long terme sur l’innocuité pour les adultes. En outre, beaucoup utilisent une toute nouvelle technologie de vaccin à ARNm, qui n’a jamais été approuvée auparavant pour une utilisation chez l’homme. L’ARNm est effectivement un promédicament et on ne sait pas combien de protéine Spike un individu produira.

Les effets potentiels d’apparition tardive peuvent prendre des mois ou des années pour devenir apparents. Les essais limités sur les enfants entrepris à ce jour sont totalement sous-renseignés pour éliminer les effets secondaires rares, mais graves ».

Insistons avec nos collègues anglais :

Les enfants ont la vie devant eux, leurs systèmes immunologiques et neurologiques sont encore en développement, ce qui les rend potentiellement plus vulnérables aux effets indésirables que les adultes.

« Un certain nombre de préoccupations spécifiques ont déjà été soulevées, y compris les maladies auto-immunes et les effets possibles sur le placenta et la fertilité. Un article récemment publié a soulevé la possibilité que les vaccins contre la COVID-19 à ARNm puissent déclencher une maladie neurodégénérative à base de prions. Tous les risques, connus et inconnus, doivent être mis en balance avec les risques de COVID-19. »

Le serment d’Hippocrate dit : « d’abord ne pas nuire », devoir d’agir avec prudence et proportionnalité.

« Les données probantes actuelles et disponibles montrent clairement que le calcul du risque par rapport aux avantages ne soutient PAS l’administration de vaccins précipités et expérimentaux contre la COVID-19 aux enfants, qui n’ont pratiquement aucun risque de COVID-19, mais qui font face à des risques connus et inconnus liés aux vaccins ».

La Déclaration des droits de l’enfant dit :

« l’enfant, en raison de son immaturité physique et mentale, a besoin de garanties et de soins spéciaux, y compris d’une protection juridique appropriée ». En tant qu’adultes, nous avons le devoir de protéger les enfants contre des préjudices inutiles et prévisibles.

La fin des essais de phase 3 actuels devrait au moins être attendue ainsi que plusieurs années de données sur l’innocuité chez les adultes, afin d’exclure ou de quantifier tous les effets indésirables potentiels.

Les auteurs de la lettre au MHRA concluent :

« nous appelons nos gouvernements et les régulateurs à ne pas répéter les erreurs de l’histoire et à rejeter les appels à vacciner les enfants contre la COVID-19. Une extrême prudence a été exercée sur de nombreux aspects de la pandémie, mais c’est certainement le moment le plus important pour faire preuve d’une véritable prudence nous ne devons pas être la génération d’adultes qui, par la précipitation et la peur, inutiles, met en péril la santé des enfants. »

COMPLÉTONS CETTE ANALYSE ANGLAISE PAR LES RAPPORTS AMÉRICAINS SUR LES ESSAIS INFANTILES(([18] COVID Vaccine Injury Reports Among 12- to 17-Year-Old More Than Triple in 1 Week, VAERS Data Show • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

Regardons d’abord l’ensemble des signalements aux USA. Aux États-Unis, 281,6 millions de doses de vaccin contre la COVID avaient été administrées au 21 mai 2021. Cela comprend 120 millions de doses du vaccin de Moderna, 152 millions de doses de Pfizer et 10 millions de doses du vaccin Johnson & Johnson (J&J) contre la COVID.

Sur les 4 406 décès signalés en date du 21 mai, 23 % sont survenus dans les 48 heures suivant la vaccination, 16 % dans les 24 heures et 38 % chez des personnes qui sont tombées malades dans les 48 heures suivant la vaccination.

Le nombre d’événements indésirables signalés à la suite de vaccins contre la COVID continue d’augmenter, selon les données publiées par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) au 21 mai. Les données proviennent directement des déclarations soumises au Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS).(([19] Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables d’un vaccin aux États-Unis.
Chaque vendredi, VAERS rend publics tous les rapports d’incidents vaccinaux reçus à une date précise, habituellement environ une semaine avant la date de libération))

Les données montrent qu’entre le 14 décembre 2020 et le 21 mai, un total de 262 521 événements indésirables totaux ont été signalés au VAERS, dont 4 406 décès — une augmentation de 205 par rapport à la semaine précédente — et 21 537 accidents graves, en hausse de 3 009 par rapport à la semaine dernière.

CHEZ LES JEUNES

Les rapports d’incidents et accidents liés au vaccin antiCovid chez les jeunes de 12 à 17 ans ont plus que triplé en 1 semaine, selon les données de VAERS au 28 MAI

Les données ont montré 3 449 événements indésirables au total, contre 943 rapports la semaine précédente, chez les jeunes de 12 à 17 ans. Les données de cette semaine comprenaient 58 déclarations d’événements indésirables graves dans le groupe d’âge des 12 à 17 ans.

LES CDC ENQUÊTENT SUR LES PROBLÈMES CARDIAQUES CHEZ LES ADOLESCENTS ET LES ADOLESCENTS APRÈS LE VACCIN CONTRE LA COVID

Le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation des CDC a publié un avis le 17 mai avertissant les médecins des rapports de myocardite qui semble survenir principalement chez les adolescents et les jeunes adultes, plus souvent chez les hommes que chez les femmes, plus souvent après la deuxième dose et généralement dans les quatre jours suivant la vaccination avec les vaccins Pfizer ou Moderna. La plupart des cas semblaient « bénins » et un suivi est en cours. La myocardite est une inflammation du muscle cardiaque qui peut entraîner une arythmie cardiaque et la mort.

Comme l’a rapporté The Defender le 26 mai, le Connecticut a signalé 18 nouveaux cas de problèmes cardiaques chez les adolescents qui avaient reçu un vaccin COVID. Les 18 cas ont entraîné une hospitalisation, la grande majorité pendant quelques jours, tandis qu’une personne était toujours hospitalisée le 26 mai.

Une recherche dans VAERS a révélé 419 cas de péricardite et de myocardite, parmi tous les groupes d’âge, signalés aux États-Unis après la vaccination contre la COVID entre le 14 décembre 2020 et le 21 mai. Sur les 288 cas signalés, 247 cas ont été attribués à Pfizer, 151 cas à Moderna et 20 cas au vaccin COVID de J&J.

COMMENT CONVAINCRE DE LA NÉCESSITÉ DU VACCIN CHEZ L’ENFANT ?
SURESTIMER LES HOSPITALISATIONS POUR COVID : CQFD

Une étude menée par des chercheurs de Stanford a révélé que le comptage des infections au SARS-CoV-2 chez les enfants hospitalisés surestimait l’impact de la COVID dans les populations pédiatriques, car les chiffres incluaient de nombreux patients asymptomatiques. Sur 117 admissions à l’hôpital, les auteurs ont conclu que 53 patients (45 %) ont été admis pour des raisons non liées au virus. L’étude a également révélé que 39,3 % (soit 46 patients) codés comme étant atteints du SARS-CoV-2 étaient en fait asymptomatiques (personne saine ayant seulement un test PCR positif).

« Si nous nous fions aux résultats positifs des tests de SRAS-CoV-2 des hôpitaux, nous gonflons environ deux fois le risque réel d’hospitalisation de la maladie chez les enfants. »

Alors, ne nous laissons pas manipuler, la vie actuelle et l’avenir de nos enfants est en jeu ! Prenons le temps d’attendre ce que deviendra l’épidémie actuellement terminée en Europe et aux USA et les résultats des traitements précoces dont l’autorisation est indispensable.

Cette épidémie disparaîtra peut-être définitivement comme celle du SRAS et du Mers. Et si ce n’est pas le cas, attendons les résultats des essais et des « vaccinations » sur des milliards d’individus qui ont été précipités dans la vaccination par une propagande inégalée. Qui vivra verra. Souhaitons leur bonne chance.





Le wokisme est plus une idéologie religieuse que politique

[Source : Contrepoints]

Par Charles Castet

Is it therefore infallibly agreeable to the Word of God, all that you say ? I beseech you, in the bowels of Christ, think it possible you may be mistaken. 
[Tout ce que vous dites est-il donc infailliblement conforme à la Parole de Dieu ? Je vous en supplie, dans les entrailles du Christ, pensez qu’il est possible que vous vous trompiez.]

 Olivier Cromwell, Lettre à l’assemblée générale de l’Église d’Écosse – 3 août 1650

Le wokisme en tant que phénomène religieux est la proposition que le système de croyance actuel décrit ou auto-décrit sous les vocables alternatifs de progressiste, universaliste, politiquement correct ou plus exactement woke se comprend d’autant mieux s’il est considéré comme une branche du christianisme.

Plus spécifiquement s’il est vu comme une descendance non-théiste de la branche calviniste, plutôt que comme un phénomène politique désigné sous le vocable péjoratif de marxisme culturel. Le wokisme sera défini simplement par la conscience de l’existence d’injustices sociales et raciales et l’impératif d’agir pour les résoudre.

L’affirmation peut surprendre.

Quelle continuité entre certaines sociétés du XVIe siècle où la dévotion joue un rôle central autour de quatre points du calvinisme résumés de la manière suivante au synode de Dordrecht :

  • l’élection conditionnelle
  • l’expiation illimitée
  • la dépravation totale
  • la résistibilité de la grâce

Quel rapport entre le synode de Dordrecht et les célébrations sur le lieu de la mort de George Floyd ?

MISE EN PERSPECTIVE DU WOKISME

Il convient de rappeler deux choses.

D’abord la filiation intellectuelle entre christianisme et communisme (pour l’approuver ou la condamner) a été établie par des personnalités aussi diverses que Dostoïevski, Aron, Camus ou Arendt.

Dostoïevski écrivait dans la préface de son livre Les Frères Karamazov que la question du communisme n’avait rien à voir avec la question ouvrière mais qu’il s’agissait en fait de la création du royaume de Dieu sur Terre et de la tour de Babel renversée (faire venir la divinité et non pas chercher à l’atteindre comme dans le récit biblique original). Cela reste une réponse littéraire à une idéologie politique inédite.

Néanmoins dans L’Opium des intellectuels Raymond Aron a affiné l’intuition de l’écrivain russe en analysant les diverses filiations entre le prolétaire sauveur collectif chez Marx et le Messie sauveur collectif dans la Bible, la similitude entre le Parti et l’Église.

Dans L’Homme révolté, Camus disait que le communisme est une prophétie. Toute prophétie se justifie par une révélation divine, jamais par la raison humaine.

Ensuite, comment cette filiation a-t-elle été analysée ?

Dans son livre Aron ne s’intéresse pas aux croyances surnaturelles à propos du monde surnaturel. Mais construire le royaume de Dieu sur Terre est une action physique et si cette croyance est un impératif moral alors elle aura forcément des effets dans le monde réel.

Aron fonde sa démonstration du lien entre christianisme et communisme en s’inspirant de la cladistique de la manière suivante : l’existence d’une généalogie intellectuelle, un état d’esprit similaire, un mode de reproduction idéologique commun, des mêmes haines, des propositions qui ne sont pas consistantes avec la raison humaine et qui ont un fort caractère morbide.

Donc entre les principes de Dordrecht et le wokisme, quels liens pouvons-nous tirer sachant que :

  1. Le concept de christianisme non-théiste est cohérent.
  2. Le wokisme est mieux compris comme une secte du christianisme non théiste.
  3. Cette secte est la version la plus répandue du christianisme aujourd’hui.
  4. Elle inclut des propositions qui ne sont pas consistantes avec la raison humaine.
  5. Ces propositions contiennent un fort caractère morbide.

La cohérence du premier point a été démontrée dans les écrits mentionnés plus haut.

LE GOUVERNEMENT DES SAINTS

Pour le second point, qu’est-ce qui rapproche le calvinisme du wokisme ? Indépendamment des points théologiques qui apparaîtront incongrus au lecteur de 2021, les régimes politiques issus du calvinisme (la République de Genève, le gouvernement des Saints) avaient un double objectif : instaurer le royaume de Dieu sur Terre et la totale droiture.

Afin d’atteindre ces buts le système de gouvernement avait les caractéristiques suivantes : un contrôle social inédit pour l’époque, un amour pour la vérité officielle hors les questions théologiques, une obsession de la pureté morale et des relations sociales devenues pathologiques.

Comme Stefan Zweig le décrit dans Conscience contre violence :

Pour ce rabaissement draconien de la personnalité, pour ce dépouillement complet de l’individu au profit de la collectivité, Calvin applique une méthode particulière, la fameuse « discipline ». Dès la première heure, cet organisateur génial enferme son « troupeau », sa « communauté » dans un réseau serré d’articles et d’interdictions – les fameuses « ordonnances » – et crée en même temps un office spécial pour en surveiller l’exécution, le Consistoire, dont la tâche est définie d’une façon extrêmement équivoque : « surveiller la communauté afin que Dieu soit proprement honoré ». Mais c’est seulement en apparence que ce contrôle des mœurs est limité à la vie religieuse. Par suite de la liaison complète entre le terrestre et le spirituel dans la conception totalitaire de Calvin, toute la vie privée tombe désormais automatiquement sous la surveillance de l’État ; c’est ainsi qu’il est prescrit aux sbires du Consistoire, aux « anciens », d’ouvrir l’œil sur l’existence de chacun. Rien ne doit échapper à leur attention, « non seulement les paroles, mais aussi les opinions et les idées sont à surveiller. »

Zweig continue :

Cette Gestapo des mœurs fourre son nez partout. Elle s’assure que les robes des femmes ne sont ni trop longues ni trop courtes, qu’elles n’ont pas de ruches superflues ou des jours exagérés, compte les bagues que l’on a aux doigts et les chaussures qui sont dans l’armoire. Du cabinet de toilette elle passe à la salle à manger, pour voir si l’on n’a pas ajouté au seul plat permis une petite soupe ou un morceau de viande, ou si l’on n’a pas caché quelque part des friandises ou de la confiture. Et le pieux policier poursuit son inspection dans toutes les pièces. Il regarde dans la bibliothèque pour savoir si elle ne contient pas de livres ne portant pas le sceau de la censure consistoriale, fouille dans les tiroirs pour voir si par hasard on n’y a pas caché une image sainte ou un chapelet.

Un siècle plus tard en Angleterre pendant la guerre civile, un autre trait se manifeste, l’iconoclasme.

Le catéchisme du soldat recommande d’ailleurs en cette année 1644 de délivrer définitivement le pays des chefs-d’œuvre de l’art médiéval ou baroque qui détournent de la vraie foi. Cette fureur destructrice ne porte pas tant sur les édifices eux-mêmes, relativement épargnés, que sur les tableaux ou les sculptures représentant Dieu le Père, le Fils ou le Saint-Esprit, sans oublier les statues de la Vierges, les chérubins, les ora pro nobis et autres formules latines délictueuses qui assaillent l’âme de leurs troubles pensées. Bernard Cottret – Cromwell

Suite à la restauration monarchique anglaise en 1660, les branches du protestantisme exilées d’Europe ont fondé des colonies théocratiques aux États-Unis, se sont transfigurées dans le messianisme américain. Leurs pouvoirs se sont accrus en proportion de l’émergence des États-Unis comme superpuissance et les victoires militaires successives, que ce soit dans la guerre d’Indépendance, la guerre de Sécession, les deux guerres mondiales.

Prenons une de ces étapes intermédiaires clés de cette mutation décrite dans World War I as Fulfillment: Power and the Intellectuals de Murray Rothbard :

Also animating both groups of progressives was a postmillennial pietist Protestantism that had conquered Yankee areas of northern Protestantism by the 1830s and had impelled the pietists to use local, state, and finally federal governments to stamp out sin, to make America and eventually the world holy, and thereby to bring about the Kingdom of God on earth […] The crucial role of postmillennial pietist Protestantism in the drive toward statism in the United States. Dominant in the Yankee areas of the North from the 1830s on, the aggressive evangelical form of pietism conquered Southern Protestantism by the 1890s and played a crucial role in progressivism after the turn of the century and through World War I. Evangelical pietism held that requisite to any man’s salvation is that he do his best to see to it that everyone else is saved, and doing one’s best inevitably meant that the State must become a crucial instrument in maximizing people’s chances for salvation. In particular, the State plays a pivotal role in stamping out sin, and in making America holy.
[Ces deux groupes de progressistes étaient également animés par un protestantisme piétiste post-millénaire qui avait conquis les régions yankees du protestantisme nordique dans les années 1830 et qui avait poussé les piétistes à utiliser les gouvernements locaux, étatiques et finalement fédéraux pour éradiquer le péché, pour rendre l’Amérique et finalement le monde saint, et ainsi apporter le Royaume de Dieu sur terre […] Le rôle crucial du protestantisme piétiste post-millénaire dans la poussée vers l’étatisme aux États-Unis. Dominante dans les régions yankees du Nord à partir des années 1830, la forme évangélique agressive du piétisme a conquis le protestantisme du Sud dans les années 1890 et a joué un rôle crucial dans le progressisme après le tournant du siècle et pendant la Première Guerre mondiale. Le piétisme évangélique soutenait que le salut de tout homme exigeait qu’il fasse de son mieux pour que tous les autres soient sauvés, et faire de son mieux signifiait inévitablement que l’État devait devenir un instrument crucial pour maximiser les chances de salut des gens. En particulier, l’État joue un rôle central dans l’éradication du péché et dans la sanctification de l’Amérique.]

Un cas particulièrement frappant qui s’est déroulé quelques décennies après la période décrite par Rothbard, dans cet article du Time Magazine de 1942 : un programme politique élaboré par le conseil fédéral des églises (issues de la branche principale du protestantisme avec des racines calvinistes) se révèle être très proche du wokisme de 2021 et est décrit par le journaliste comme « super-protestant ».

Entre 1942 et 2021, la version sécularisée est apparue à travers le credo de l’amour universel pendant les décennies 1960-1970 lors du mouvement de la contreculture.

LE TRIOMPHE DE L’IRRATIONNEL MORBIDE

Avant d’aborder le quatrième et le cinquième point, pourquoi cacher la généalogie et le lien direct entre les puritains et dissidents anglais d’hier et les wokistes d’aujourd’hui ?

D’abord parce que le progrès des connaissances fait qu’un propos est plus facilement crédible s’il est présenté comme étant le fruit de la raison plutôt que comme provenant d’une révélation divine.

Une autre raison ensuite, un wokiste n’admettra jamais être le descendant direct du calvinisme surtout parce qu’il tient son credo comme universel et qu’aucun individu dans le monde ne peut en douter indépendamment de sa religion ou de son absence de religion.

Un élément qui contredit l’universalité du wokisme est son inégale implantation géographique. Né aux États-Unis, il est nettement répandu dans les pays anglo-saxons, plus faible en Europe continentale et quasiment absent en Asie et en Afrique si ce n’est en Corée du Sud dont un bon quart de la population est protestante.

Cette implantation est confirmée par les localisations géographiques des protestations de BLM. Que dit la cartographie officielle du mouvement ? Que les protestations se déroulent surtout au Royaume-Uni, Pays-Bas, Allemagne du Nord, et Scandinavie, moins en France, en Espagne, en Italie, et autre pays d’Europe centrale et de l’est. Elles sont quasiment inexistantes ailleurs.

Les discours wokistes suivent le même modèle que la diatribe de l’actrice Adèle Haenel à 29:55 :

Tout y est : la Faute, l’angoisse, la culpabilité, le repentir, le désir d’absolution, l’espoir d’être débarrassé du péché, la construction individuelle du salut, la quête (individuelle) vers la plus grande droiture, et enfin la conversion.

Que faire puisque nous vivons une époque de fièvre religieuse et que les discussions ont quitté tout champ rationnel ?

Dans sa biographie de Cromwell, l’historien Bernard Cottret décrit fort bien le climat d’hallucination spirituelle de l’époque où les protestants pensaient que le Pape était l’antéchrist qui recevait ses instructions directement du diable. Les catholiques n’étaient pas en reste avec l’Inquisition.

Que faire dans une perspective libérale ? Il resterait à choisir le retrait comme Montaigne en attendant que la fièvre baisse ou bien apporter une parole discordante pour défendre la liberté comme Raymond Aron dans les années 1950.




Éoliennes : du rêve aux réalités

[Source : Documentaire et Vérité]

Recueillant près de 80% d’opinion favorable, les éoliennes sont en quelques années devenues le symbole de la transition énergétique. Quels enseignements politiques, sociaux, économiques et environnementaux peut-on tirer de leur multiplication ? Le rêve est-il en phase avec la réalité ? Professionnels, experts et riverains nous dévoilent les envers du décor.

Pour en savoir plus : https://eoliennes-lefilm.com
Pour soutenir l’association et faire un don :
Éoliennes : du rêve aux réalités – Documentaire et Vérité (documentaire-et-verite.com)

SOMMAIRE :
00:00 Introduction
09:30 Stockage et intermittence
18:15 Le modèle allemand
22:45 Système européen
31:09 Toujours du vent quelque part ?
33:19 Du vent dans le gaz
39:28 Oil, GAFA & black-out
45:12 Pour une sortie du nucléaire ?
52:00 Quand le vent se transforme en or
58:58 L’installation d’un parc
1:05:43 Une chance pour l’emploi ?
1:11:41 Une énergie bon marché ?
1:19:37 Une fabrication verte ?
1:26:40 Eoliennes, mon amour ?
1:37:01 Dénis démocratiques ?
1:47:29 Le salut par l’offshore ?

INTERVENANTS :
Cette plongée dans l’univers des éoliennes a été l’occasion de réunir quelques-uns des plus éminents experts de l’énergie, parmis lesquels :

  • Jean-Marc Jancovici : ingénieur et directeur du Shift Project
  • Hervé Machenaud : ancien directeur de la production d’EDF
  • Jacques Percebois : directeur du centre de recherche en économie et droit de l’énergie
    D’autres personnalités, comme Henri Proglio (ancien président directeur général d’EDF), Dominique Finon (directeur de Recherche honoraire au CNRS) ou bien encore Antoine Waechter (candidat des Verts à l’élection présidentielle de 1988) apportent leur éclairage aux Français

L’ASSOCIATION :
Le projet est porté par une association loi 1901, Documentaire et Vérité, dont l’objectif est le financement participatif de documentaires basés sur des faits vérifiables et des experts reconnus, accessibles gratuitement et diffusés en ligne.

LE FINANCEMENT :
Destiné à être diffusé gratuitement au plus grand nombre, ce projet d’envergure a été exclusivement financé par des citoyens par le biais d’une campagne de crowdfunding organisée sur le site de l’association. Ce financement participatif a récolté plus de 100 000 € de la part de près de 1 000 contributeurs, révélant une fois de plus l’importance du sujet éolien en France.




L’Affaire AstraZeneca. Des victimes témoignent

[Source : breizh-info.com]

Nous évoquions hier le premier reportage d’Armel Joubert des Ouches, journaliste indépendant, suite à la censure dont il est victime concernant sa première enquête au sujet de la vaccination liée au Covid-19. Il en a réalisé une autre, elle aussi censurée, intitulée L’Affaire AstraZeneca, qui regroupe des témoignages, notamment de victimes.

L’affaire AstraZeneca, c’est l’histoire d’un scandale sanitaire occidental qui a vu des personnes en parfaite santé mourir peu après l’injection d’un vaccin produit par la multinationale pharmaceutique suédo-britannique. Le sujet est grave : l’enquête est rigoureuse, menée par des journalistes professionnels.

Nous sommes partis à la rencontre de médecins, de proches des victimes décédées quelques heures après l’injection du vaccin et de témoins de ces drames humains auxquels les médias mainstream refusent la parole, que les GAFA censurent impitoyablement.

Les victimes de cette affaire sont mortes deux fois : par des thromboses et par le silence coupable du pouvoir politico-médiatique.

Journalistes professionnels, nous avons décidé de briser le tabou. Par devoir de solidarité, par respect de la personne humaine, et en hommage aux victimes, nous n’avions pas le droit de nous taire. Vous non plus !

Voici le lien pour voir le reportage, et soutenir son réalisateur



Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Reiner Fuellmich – notre travail avance bien mais attention aux fausses rumeurs

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Nous recevons l’avocat allemand Reiner Fuellmich, une nouvelle fois pour un debriefing exclusif sur l’avancée des travaux du groupe d’experts qui forment le Comité Corona.

Beaucoup d’informations erronées ont circulé sur l’action qu’il mène avec un groupe d’avocats de plusieurs pays. Nous avons tenu à ce que Dr Fuellmich puisse apporter les réponses lui-même aux questions qui ne manquent pas d’enflammer les réseaux sociaux.

Les messages qui circulent sur les réseaux sociaux sont trop souvent « augmentés » rapportés de site en site, d’email en email avec des additions qui entrainent une déviation du message originel factuel.

Dr Fuellmich confirme travailler avec un groupe d’expert de moins de 100 personnes alors que l’on peut lire que ce groupe comprend parfois plus de 1000 avocats. Comme il dit :

« Seules quelques bonnes personnes suffisent »

Après un mise jour sur la procédure en cours, il répond à nos questions afin d’apporter une clarification nécessaire , très conscient du fait que la désinformation fait rage et sert possiblement à dénigrer ou dévaloriser l’action que son groupe mène.

Au risque d’en décevoir certains, il confirme qu’il y aura un procès, mais cela ne commencera pas le 3 juillet 2021 comme on a pu le lire sur le net.  Pas plus que ce ne sera un Nuremberg 2.0 mais plutôt un Tribunal International établi spécifiquement pour la crise du Corona.

Retrouvez le debriefing complet du Dr Fuellmich

Version Originale sous titrée en français



Version Originale en anglais



Auteur(s): FranceSoir


[Voir aussi :
État actuel de la procédure judiciaire menée par le Dr Fuellmich
Reiner Fuellmich : “Je vois une lumière à la fin de ce tunnel !”
La Dictature médicale Secrète : Entretien historique entre la rescapée de l’holocauste Vera Sherav et l’avocat Reiner Fuellmich]




Le culte de la virologie – Documentaire

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

“Le culte de la virologie, 150 ans de fraudes médicales de Pasteur au Covid-19” est un documentaire retraçant l’histoire de la théorie des germes jusqu’aux techniques de la virologie moderne.

Sont abordées en détail les méthodes et techniques frauduleuses que les scientifiques ont utilisés pour créer de toutes pièces un scénario d’épidémie catastrophe ayant plongé le monde dans une hystérie massive jamais vue auparavant.
Il est abordé par le biais de différents intervenants tels que le Dr. Stefan Lanka, le Dr. Andrew Kaufman, le Dr. Robert O. Young, le Dr. Thomas Cowan, le nutritionniste Jeff Green et le Dr. Alain Scohy les différentes failles dans le scénario présenté par les médias et experts en tous genre.

L’isolement des virus, les tests PCR, le séquençage nouvelle génération, la bio-informatique, les mutants, la théorie des germes, les processus de contagion, la vaccination et l’origine véritable du fameux “SARS-CoV-2” n’auront plus de secrets pour vous après ce visionnage.



Sous-titres et adaptation par https://cv19.fr

Sources :

[Voir aussi :
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
La théorie des exosomes contre celle des virus
Vaccins: le système immunitaire ne fait plus la différence entre ce qu’il doit rejeter et lui-même
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?
5G, virus et covid-19]




Mails de Fauci : l’AFP savait-elle pour l’origine du virus ?

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Dans les emails des FauciLeaks récemment dévoilés, une découverte de taille page 3123 : on y apprend que l’AFP était au courant de la fabrication du virus depuis le 31 janvier 2020. A-t-elle enterré l’affaire ?

Voir aussi : L’indépendance sanitaire des Français entre les mails du Pr Delfraissy et Anthony Fauci

Depuis le 31 janvier 2020

L’AFP, par le biais du journaliste Issam Ahmed, écrivait au Dr Barney Graham du NIH (National Health Institute) au sujet d’une demande assez urgente un vendredi soir. Le journaliste demandait un avis sur une étude scientifique qui venait juste d’être publiée sur le serveur Biorxiv.org. L’article affirmait que le nouveau coronavirus comprenait quatre insertions similaires au VIH-1, et que ce n’est pas une coïncidence.

Le journaliste demandait des informations sur cet article écrit par des chercheurs indiens, qui sera plus tard rétracté sous la pression, nous a déclaré le mathématicien Jean-Claude Perez.

Sur le site du NIAID (Institut national des allergies et des maladies infectieuses), on peut lire que Dr Barney Graham est le directeur adjoint du centre de recherche sur les vaccins, chef du laboratoire de pathogenèse virale et noyau de science translationnelle. Ses principaux domaines de recherche sont le développement de vaccins et d’anticorps monoclonaux pour COVID-19, RSV, grippe, EV-D68, Nipah, Zika, VIH, Ebola et d’autres agents pathogènes émergents viraux, la conception de vaccin basée sur la structure et base structurelle pour la neutralisation du virus à médiation par les anticorps et l’approche pathogène prototype pour la préparation et la riposte à une pandémie. Le Dr Graham est donc un expert et ne pouvait pas ne pas savoir puisque cette étude était publiée.

Quel rôle pour l’AFP ?

Ce qui semble étonnant, c’est que l’AFP n’ait pas fait écho de cette étude. Cette même AFP a attaqué le Pr Luc Montagnier et le mathématicien Jean-Claude Perez lors de leurs déclarations de mai 2020, puis lors d’un « AFP factuel » de Julie Charpentrat en août 2020. 

Contactés par la rédaction de FranceSoir, M. Ahmed et Mme Charpentrat n’ont pas répondu à l’heure où nous publions cet article.

Le rôle d’une agence de presse est de vérifier, de valider et d’informer en respect de la charte de Munich. L’AFP aurait-elle manqué à son devoir en jouant ainsi un rôle de désinformation important dans l’identification de l’origine du virus alors que l’information était disponible ? L’information s’est-elle perdue en route ou a-t-elle été enterrée ?
 


Traduction de l’email

From: lssam AHMED
Sent: Friday, January 31, 2020 5:27 PM
To: Graham, Barney (NIH/YRC)
Objet : Demande de commentaires sur un article indien concernant le nouveau coronavirus

Cher Dr Graham,

Je suis journaliste scientifique à l’agence de presse Agence France-Presse et j’écris avec une demande – excusez-moi d’avoir tendu la main un vendredi soir ! Un contact m’a dit que vous pourriez être prêt à donner un avis sur ce document qui vient d’être mis en ligne : https:www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.01.30.927871v1.full.pdf  

L’étude suggère que le nouveau coronavirus a quatre inserts similaires au VIH-1 et ce n’est pas une coïncidence.

Merci beaucoup, si vous le pouvez.

lssam AHMED Health, Science and Environment

Voir aussi :
Entre une policière espagnole et l’AFP, qui désinforme le plus ?
Le « Hold up » de l’AFP : « debunk » de leur « debunk »

Auteur(s): FranceSoir




Les emails de Fauci confirment la manipulation du coronacircus !

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Le scoop du jour : les emails d’Anthony Fauci, le Mr Santé des USA, révèlent la supercherie du coronacircus

En attendant que les TV françaises se réveillent et au passage ouvrent des yeux encore fermés de trop nombreux citoyens sur le drame des pseudo-vaccins et « sauvent des vies » en évitant que des parents soumis acceptent de les vacciner (et prendre des risques majeurs tant dans l’immédiat que pour le futur), réjouissons-nous sur le nouveau feuilleton de l’année, le faucileaks.(([1] https://assets.documentcloud.org/documents/20793561/leopold-nih-foia-anthony-fauci-emails.pdf))

Et attendons impatiemment les épisodes suivants. Pas encore le caviar dit Olivier D., mais ça vient.(([2] Fauci Files : au menu caviar et petits fours | Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie (wordpress.com) )) Remontons-nous le moral ! Il était temps.

Pas évident de savoir pourquoi ces emails sont lâchés dans la nature maintenant, par qui et pourquoi, mais il semble bien que le vieux Mr Fauci soit bien un fusible et en tous cas que son sort soit fixé à brève échéance.

Le Dr Fauci est le conseiller médical de longue date de la haute administration américaine. Conseiller du Président Trump avec lequel il y eu beaucoup de divergences, il resta naturellement le conseiller du nouveau Président, Biden.

Fauci est donc le numéro UN de la santé aux USA. C’est dire l’importance de ces révélations à un moment où le scénario du coronacircus se fissure. L’existence de preuves incontestables de la manipulation mondiale dirigée par quelques-uns est capitale pour faire cesser enfin cette mascarade qui a déjà coûté tant de vies, en particulier par les mesures sanitaires complètement disproportionnées que ce mini-groupe adossé aux milliardaires via l’OMS et le forum de Davos a imposées dans une grande partie des pays occidentaux. L’Asie et l’Afrique ont été relativement épargnées par une moindre obéissance aux ordres de Davos et du FMI.

Comme souvent depuis le début de la crise, le journaliste André Bercoff révèle sur Sud Radio ce jour 4 juin, cette saga de l’histoire du coronacircus vue à travers les emails de Fauci ! Ils sont mis en lumière grâce à une liberté aux USA disparue en France. Grace au Freedom of information act aux USA qui a dévoilé 3 000 pages de mails du Mister Santé des USA avec ses correspondants. Richard Boutry appelle à ce que la vérité éclate !



Selon Olivier :

« Le fait fondamental est qu’il ne s’agit pas d’une “fuite“… France-Soir commet une faute importante en parlant de “fuite“. Mais de la communication officielle de documents, menée par un organe officiel qui en amont a procédé à une censure en bonne et due forme, dans le cadre d’une loi officielle (Freedom of Information Act). J’ajoute que caviarder est une chose… il est encore plus facile de faire disparaître purement et simplement un email.

Car ces messages, entre janvier et juin 2020… sont une sélection ! Absolument pas toute la correspondance de Fauci durant cette période ».(([1] https://assets.documentcloud.org/documents/20793561/leopold-nih-foia-anthony-fauci-emails.pdf))

Fauci répète mail après mail que les asymptomatiques ne sont pas à risque, ne peuvent pas transmettre. Les masques sont uniquement pour les gens infectés.  Mais en pratique il va les imposer. Et ainsi de suite.

Et nous ne sommes pas en reste. Déjà sans que tous les mails ne soient défrichés, notre M. Conseil scientifique est concerné. Formidable !

Le Pr Delfraissy le 25 mars 2021 explique dans un mail à son collègue le Dr Fauci « qu’il y a un léger signal positif pour l’hydroxychloroquine. (..) mais qu’il fait face à une énorme pression politique pour autoriser l’hydroxychloroquine, mais ne cède pas ». Trop beau de disposer de ces affirmations entre privés (le Dr Fauci, Mr vaccin américain, et M. Delfraissy, M. vaccin français).

À croire que les USA sont encore une vraie démocratie contrairement à notre pays et que l’élection volée de Trump, même reconnue par Biden, laisse des traces et entraîne des remous majeurs.

Le Pr Didier Raoult interviewé ce jour par André Bercoff sur Sud radio fait rapidement remarquer pourquoi il ne pouvait pas travailler avec des gens comme cela, les décisions prises ne résultant pas d’une discussion scientifique, le Conseil scientifique lui apparaissant plus comme un Conseil des copains. En ce qui concerne par exemple les essais, il n’a même pas été consulté sur le bras hydroxychloroquine, alors qu’il avait en France la plus grande expérience sur ce sujet. Il a renoncé à participer à ce Conseil, car il refuse d’être une marionnette. Il pense qu’on ne pourra pas faire l’économie de la mise en cause des raisons pour lesquelles le Lancet Gate a trompé le monde et poursuivre les gens qui ont imposé le Remdésivir qu’on savait inefficace et toxique, en collusion avec Gilead qui a subventionné les prix de la recherche remis cette année à des médecins corrompus. On ne pourra pas faire l’économie de la mise à plat de la corruption universitaire.

Fauci a menti, on le savait bien sûr, mais maintenant c’est révélé sur les chaînes de télé américaines. Il a menti devant le Sénat, ce qui habituellement aux USA est mal vécu et habituellement lourdement condamné. On verra si le cirque coronavirus depuis 18 mois a changé les mentalités même aux USA…


Watch the latest video at foxnews.com

Cette vidéo est excellente : ici est apportée la preuve qu’il savait que le Sars-cov2 n’avait pas sauté la barrière des espèces, mais il a menti sous serment en affirmant le contraire. Il a menti sur les masques, l’immunité naturelle, les vaccins. Et à la fin, le lien avec Gates est souligné.

Tucker Carlson n’a pas insisté, mais entre les minutes 4 : 30 et 4 : 40, on voit apparaître en copie d’un mail le nom de Christian Drosten, le conseiller santé de Mme Merkel, grand manitou de la politique sanitaire allemande et, de fait, européenne, homme douteux dont la thèse [de Doctorat] est difficile à trouver, mais qui a su imposer à la terre entière les fameux tests PCR fallacieux, mais toujours omniprésents dans notre quotidien pour la moindre réunion sportive ou autre voyage.

Il est aussi à l’origine du mensonge majeur sur la prétendue contagiosité des porteurs asymptomatiques de la Covid et tout ce qui s’en est ensuivi : les masques, les quarantaines de bien-portants surnommés asymptomatiques, etc.

Fauci, Gates, Drosten : acteurs majeurs de la pandémie et tous mis en cause ici.

Cette vidéo de Fox news par T Carlson sur Fauci est créditée d’un million de vues. Il est bien difficile à ce jour de tirer des conclusions claires de cette entreprise de transparence, car comme dit Olivier D. :

« La NSA est capable d’écouter un pet de mouche à des milliers de km dans un bunker enterré… Alors trafiquer des emails ? En supprimer ?

Je rappelle qu’aux États-Unis, les services de renseignement n’hésitent pas à monter des dossiers de toute pièce, même des faux (exemple le Russiagate sous Trump), y compris les trucs les plus farfelus le tout ensuite repris par tous les médias et les politiciens des États-Unis, sans oublier des institutions (comme le FBI)…

Bref, on a bien voulu publier… ce qu’on a bien voulu publier, avec un ou des objectifs précis. Mais il est naïf de croire que l’administration américaine laisserait passer des éléments réellement compromettants.

C’est pourquoi je revendique un certain scepticisme face à ce genre de communication officielle…

On mesure le gouffre entre les Faucifiles et les révélations par exemple de Snowden… basées elles sur des véritables fuites, pas du tout contrôlées ! Il n’y a semble-t-il aucune preuve irréfutable …

On a simplement la confirmation qu’il a menti, souvent »

Relativisons, pourquoi pas, mais il semble bien que ce feuilleton ne fasse que commencer et nous tienne en haleine un certain temps. Pourquoi pas un « plus belle la vie » ? À moins que le grand Soleil n’apparaisse à nouveau ?

Nicole Delépine





Comment les médias ont perverti nos âmes…

[Source : zonefr.com]

Eric Montana

Par Eric Montana

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Pour faire face à la désinformation et à la manipulation de l’opinion publique par les médias mainstream, Mediazone va proposer dans quelques semaines, un tour d’horizon hebdomadaire de l’information traitée par ces organes de propagande, pour permettre aux citoyens trop confiants d’appréhender la réalité médiatique avec un regard neuf.

Nous le ferons en vidéo-streaming sur Rumble et sur VK qui sont les dernières plateformes où la censure ne s’abat pas comme sur Facebook ou Youtube trop impliqués et trop compromis dans l’opération Covid.

Cette opération Covid a permis de prendre conscience que le monde dans lequel on nous fait vivre ou survivre est une matrice viciée où la démocratie n’est qu’une illusion, la classe politique dans son ensemble surtout préoccupée par ses propres intérêts, ses avantages et ses privilèges, les médias censés nous informer sont surtout des outils de manipulation et de conditionnement, la médecine surtout composée de prescripteurs de médicaments plutôt que par de vrais médecins soignants, l’industrie agro-alimentaire prospère grâce aux colorants, aux adjuvants, aux conservateurs et autres produits chimiques faisant de nous des gens en mauvaise santé, l’industrie pharmaceutique nous achève à petits feux, l’Éducation Nationale ne produit plus que des esprits formatés pour devenir de simples outils de production de richesses au profit de l’élite, les loisirs et le divertissement servent surtout à nous dépraver le corps et l’esprit et la boucle est bouclée.

Au fond quand on examine la vie quotidienne d’un être humain dans le monde capitaliste, elle se résume à peu de choses : manger, dormir, travailler quand on a la chance d’avoir un emploi, puis remplir le reste du temps du mieux qu’on peut en allant au restaurant, au concert, en boite, au cinéma ou en week-end à Deauville quand on a un peu de moyens.

Les jours passent, ils se ressemblent tous, ils sont souvent tristes et monotones et pour compenser le vide que l’on ressent à l’intérieur de soi, on utilise l’alcool pour s’enivrer, la fumette pour s’évader ou les tranquillisants pour éviter de regarder la réalité en face… En gros et en résumé, voilà comment on vit sa vie aujourd’hui… On en fait vite le tour…

Et c’est ainsi que beaucoup bossent pour rembourser le crédit sur la maison, la voiture, le frigo, la machine à laver, la télé pensant que c’est dans un semblant de confort matériel qu’on trouve le bonheur. La consommation devient le rite hebdomadaire, les courses dans les grandes surfaces et l’ivresse de s’extasier devant tout ce qu’on ne peut pas s’offrir mais qui devient source de désirs…

La vie passe comme un souffle et on se retrouve à 60 ans en se disant : « Mais qu’ai-je fait de ma vie ? Tout ça pour ça ? »

Et oui, on rêvait d’une autre vie, on rêvait de voyager, on rêvait de découvrir le monde, on rêvait d’apprendre et se cultiver, on rêvait d’entreprendre et de réaliser, on rêvait d’un bonheur idyllique et on ne l’a jamais trouvé. On passe d’une femme ou d’un homme à un autre, espérant qu’on trouvera toujours mieux pour finalement tomber sur toujours pire…

Nous passons à côté de la vraie vie, à côté de l’essentiel sans s’en rendre compte parce que nos cerveaux sont embrumés, pollués par la superficialité, déconnectés de la réalité. Et tous ensemble, nous finissons par fabriquer une société humaine déjantée, violente, pervertie loin, très loin des vraies valeurs de la vie. Nous devenons des bateaux ivres au milieu des tempêtes, incapables de nous diriger car nous n’avons pas de boussole, même plus la boussole spirituelle, celle qui permet de savoir avec précision quand on fait le bien et quand on fait le mal.

Le monde dans lequel on nous fait vivre produit bien plus de gens malheureux qu’heureux. Tout est dévoyé. L’amour devient un objet de consommation courante dont on se lasse pour une raison ou pour une autre, les valeurs qui régnaient au sein de la famille sont remplacées par la mode que nous inflige la télé réalité, chacun pour soi et Dieu pour tous et les vaches seront bien gardées.

Les médias ont une lourde responsabilité dans la dégénérescence de l’humanité. Ils sont le mensonge érigé en vérité, le vice érigé en vertu, la corruption des esprits est banalisée, l’adultère encouragé, la légèreté célébrée, la perversion partagée et nous croyons être des gens civilisés…

Si j’osais, je dirais que la télévision est l’arme la plus sophistiquée du Diable et ses serviteurs, une armée de démons…

Ce décryptage de l’actualité médiatique aura pour objectif de déshabiller cette perversion pour la faire apparaître dans toute sa laideur. Car comme pour un homme ou pour une femme, ce n’est pas l’apparence ou la beauté physique qui définit la qualité d’un être humain, mais la profondeur, la droiture et la noblesse de son âme…

En projetant sur nous sa propre image, la télévision a perverti nos âmes…
Il est temps d’en prendre conscience et de guérir…




Covid-19 et contrôle des masses — Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire

[Source : breizh-info.com]

Philippe Guillemant vient de publier sur sa page facebook un texte intitulé : « Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire » que nous vous proposons de découvrir ci-dessous, car très intéressant sur un certain avenir qui nous fonce droit dessus…

Philippe Guillemant est un ingénieur physicien français diplomé de l’Ecole Centrale Paris et de l’Institut de Physique du Globe. Il est Docteur en Physique et Habilité à Diriger des Recherches. Il exerce son activité au CNRS (UMR 7343, laboratoire IUSTI de Polytech’ Marseille) où il est Ingénieur de Recherche Hors Classe.


Par Philippe Guillemant

Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen. Il sera en effet permis que le contrôle de ses droits d’accès à différents lieux (restaurants, boutiques, gares etc.) se fasse de manière automatique, ce qui ouvrira un immense marché, celui des objets connectés, tellement savoureux qu’il est capable de transformer des informaticiens en virologues.

Cela permettra également l’introduction d’une monnaie numérique déjà préparée par la suppression progressive de l’argent liquide.

Il y a deux cas à considérer :

  • Port d’identité numérique non intimement liée au corps : mobile, bracelet, montre, sac à main…
  • Port d’identité numérique intimement liée au corps : bague, puce sous la peau, identification génique…

Dans le second cas il sera impossible, sauf opération chirurgicale, de se débarrasser de son identité.

Dans un premier temps seul le premier cas est à considérer sérieusement. Ce n’est que lorsque l’usage d’une identité numérique sera normalisé par l’habitude (de vivre autrement) que le second cas s’imposera naturellement pour renforcer la sécurité de l’usage.

Aujourd’hui ce port d’identité numérique est déjà réalisé via nos mobiles, mais aucun usage n’en est fait, sauf marginal comme dans le cas de l’application StopCovid. Tout le monde a le droit d’entrer dans n’importe quelle boutique et de voyager sans être obligé d’avoir un portable. D’autre part le traçage des déplacements permis par un mobile est très grossier, sa précision étant comprise entre 1 et 10 mètres. On peut considérer que pour l’instant, avoir un portable est inoffensif.
Tout cela pourrait changer avec le contrôle vaccinal automatisé et la généralisation des objets connectés via la 5G et même dès la 4G. En particulier le traçage ne serait plus réalisé par GPS mais par analyse et triangulation de signaux via les objets alentours et sera à terme 100 à 1000 fois plus précis, à mesure que la technologie évoluera.

Le port non lié au corps d’identité numérique, dans un environnement peuplé d’objets connectés (maisons, voitures, routes, villes…) permettrait les recueils de données suivants par une I.A. :

  • Vérification d’autorisation d’accès pour les vaccinés
  • Contrôle de vitesse et stationnement (voiture connectée)
  • Identification de toutes sortes d’infractions à la conduite
  • Identification des personnes avec qui l’on déjeune
  • Mémorisation de tous les déplacements
  •  Calcul de temps de travail ou temps de présence…
  •  Détection de déplacement inhabituel…

Il convient de préciser qu’aucune loi ne pourrait empêcher l’implémentation des algorithmes correspondants, mais seulement en interdire l’usage. Toutefois, il serait extrêmement difficile de détecter qu’un tel usage n’est pas effectué. Seule son exploitation pourrait être rendue visible, mais cela laisse une grande place à une exploitation inavouée, par exemple par une société d’assurance où le calcul des droits est déjà réalisé de façon informatique.
Considérons maintenant le deuxième cas, et allongeons la liste précédente :

  • Maison intelligente (interactions, commandes, dialogues…)
  • Analyse d’activités privées (dormir, lire, faire l’amour…)
  • Surveillance de l’activité des enfant
  •  Analyse des interactions familiales
  •  Analyse de situation (repos, activité, chute…)
  • Analyse de comportement (geste brusque, activité sportive…)
  • Détection et mémorisation des habitudes.

J’en oublie certainement, sachant qu’il est difficile d’imaginer d’avance tout ce que la quatrième révolution industrielle pourrait nous inventer. Je ne parle ici que d’un transhumanisme très doux, presque acceptable, sans faire référence à quoi que ce soit d’intrusif comme une puce dans le cerveau, des nanorobots dans nos veines ou une vision artificielle et connectée. Mais il va de soi que l’acceptation de ces technologies intrusives est conditionnée à l’acceptation de l’usage d’identité numérique.
La question de savoir si nous allons effectivement rentrer dans ce nouveau monde, ou pas, va donc dépendre du niveau d’acceptation du vaccin. Il est en effet peu probable que l’on oblige chaque citoyen à porter une identité numérique lors de ses déplacements si 50% de la population n’est pas vaccinée, car on ne va pas limiter à ce point la liberté de circulation. Par contre, si seulement 5% de la population n’est pas vaccinée, il est fort probable qu’on entrera dans ce nouveau monde.

La réalité sera évidemment bien plus complexe que cette simplification binaire, qui n’a d’autre but que d’éveiller aux véritables enjeux.

Donc, je le répète, nous ne sommes pas confrontés à un problème sanitaire avec le virus. Ce problème-là est peanuts à coté du choix de société qui se trouve devant nous, qu’une politique de gouvernance mondiale semble avoir déjà fait à notre place.

C’est cela qui explique la dictature sanitaire qui de façon rationnelle n’a aucune autre raison d’être.

Mais je le répète une fois de plus, mon avis est qu’on n’entrera pas dans ce nouveau monde.


[Voir aussi :
Des passeports pour les vaccins ont été planifiés avant même le début de la pandémie
La principale finalité de la vaccination n’est pas sanitaire
Vaccin COVID : Le programme de vaccination israélien «Passeport vert» a créé un «apartheid médical», disent des citoyens désemparés
Programme caché derrière la vaccination contre la Covid-19 ?
L’Abbé : « La vaccination finale est liée par une « chaîne du mal » à laquelle on ne doit absolument pas participer »]




Bilan de la vaccination en France au 4 juin 2021

Par Gérard Delépine

[Illustration : © Crédit photo : Archives AFP / Capture SO]

Une propagande sans précédent répétée depuis des mois conditionne les Français à se faire « vacciner » par des médicaments expérimentaux qui ne sont pas de réels vaccins (ils ne contiennent pas d’antigènes, mais un code génétique censé stimuler la création d’anticorps). Cette propagande répète sans arrêt que l’épidémie ne sera pas vaincue tant que la couverture vaccinale ne dépassera pas les 70 % et tant que les enfants ne seront pas vaccinés. Et que nos libertés inutilement confisquées ne nous seront pas rendues avant.

Cette propagande totalement mensongère ne vise qu’à faire injecter les tonnes de vaccin achetées par nos gouvernants qui risquent de leur rester sur les bras comme les vaccins H1N1 de Mme Bachelot en 2009.

Quelle est réellement la situation vaccinale en France ?

Depuis le début de la campagne de vaccination, 26 583 112 personnes ont reçu au moins une injection (soit 39,7 % de la population totale) et 11 452 053 personnes ont reçu deux injections (soit 17,1 % de la population totale et 21,8 % de la population majeure). D’après les apôtres de la vaccination, cette couverture vaccinale est totalement insuffisante pour prétendre agir sur le cours de l’épidémie. (Chiffres officiels du ministère de la Santé.

Comment évolue l’épidémie en France ?

Mais depuis deux mois l’épidémie s’éteint avec un nombre de nouvelles contaminations quotidiennes en chute libre (diminution de 80 % entre début avril et fin mai 2021.

Cette chute des contaminations journalières déclarées à l’OMS est confirmée par le réseau Sentinelle : en semaine 21 (celle du 24 mai 2021), le taux d’incidence des cas de COVID-19 vus en consultation de médecine générale a été estimé à 5 cas pour 100 000 habitants.

Rappelons qu’en 2016, le seuil épidémique des syndromes grippaux était de 173 cas pour 100.000 habitants et celui de la diarrhée aiguë (gastro-entérite) était de 194 cas pour 100.000 habitants.

En France, l’épidémie de Covid est donc terminée depuis plus de 2 mois. Cette évolution spontanément régressive évoque celle des grippes saisonnières. Il est scandaleux que ces bonnes nouvelles ne fassent pas la une des médias, car elles permettraient à la population de reprendre confiance en l’avenir. Et de libérer enfin le pays de toutes les contraintes sans intérêt sanitaire qui briment encore la population alors que la quasi-totalité des États américains s’en sont débarrassées, sans qu’aucune reprise des contaminations n’ait été observée.

Cette disparition de l’épidémie en France ne peut en aucun cas être attribuée à la vaccination, car, quand elle a commencé, début avril, moins de 7 % de la population était complètement vaccinée.

Qu’en est-il aux USA ?

Ce recul spontané de l’épidémie est également observé aux USA depuis début janvier, date à laquelle moins de 3 % de la population avaient reçu deux doses

Comment évolue l’épidémie en Europe ?

Dans la plupart des pays européens (vaccinés ou pas) le nombre de nouvelles contaminations journalières s’effondre depuis avril avec une chute de 85 % en deux mois

Cette régression spontanée de l’épidémie dans les pays durement touchés a partout précédé la vaccination démontrant que l’hypothèse « pas de fin du Covid19 sans vaccination » n’était qu’un slogan publicitaire des marchands de vaccins.

Une couverture vaccinale élevée protège -t-elle les populations ?

Les avocats de la vaccination prétendent constamment qu’une couverture vaccinale supérieure à 70 % protège les populations de la maladie. Examinons les faits avérés.

À ce jour, seuls deux petits pays ont obtenu une couverture vaccinale supérieure à 70 % : les Seychelles et Gibraltar. Et dans ces deux pays, les statistiques de l’OMS montrent que la vaccination a été suivie par une explosion des cas et de la mortalité.

Gibraltar (34000 habitants) a commencé la vaccination en décembre alors que l’agence sanitaire locale recensait seulement 5 morts. Après une campagne de vaccination éclair et très complète, obtenant une couverture vaccinale de 115 % (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols) le nombre de nouvelles contaminations et de morts a explosé (passant à 95 morts).

La couverture vaccinale idéale, rêvée par les avocats de la vaccination n’a donc abouti dans ce pays qu’à une cuisante déconvenue alors que la situation sanitaire ne la justifiait en rien. Mais les autorités sanitaires responsables de ce désastre, pour éviter toute mise en cause, jurent que la vaccination n’est pas responsable.

Les Seychelles

Le tourisme constitue la principale ressource (environ 72 % du PIB et employant plus de 30 % de la population) de ce petit état africain qui compte à peu près 100000 habitants. Fin décembre, le pays comptait moins de 500 cas confirmés sans aucun mort, mais la fermeture des liaisons aériennes et l’hystérie mondiale de l’infection menaçaient la prochaine saison touristique.

Pour sauver sa prochaine saison touristique et rassurer ses clients potentiels, le gouvernement a décidé de vacciner massivement la population. L’Inde et la Chine lui ont fait cadeau de plus de 120000 doses qui ont été administrées à partir du 11 janvier 2021. Le 5 mai il est devenu le premier pays africain à se vacciner et l’un des pays les plus vaccinés au monde avec une couverture vaccinale supérieure à 70 %.

Mais depuis les Seychelles font face à une hausse considérable des cas de coronavirus avec des pics de 1000 cas journaliers plusieurs jours de suite mi-mai, conduisant ainsi le gouvernement à fermer les écoles, interdire les rassemblements, fermer plus tôt les bars, les casinos.

Au 3 juin, en cinq mois post vaccinaux, les Seychelles comptabilisent 42 morts de covid.

Un phénomène semblable a été observé sur l’ile de Man

Une couverture vaccinale de plus de 70 % installée depuis plusieurs mois ne protège donc pas de la propagation de la maladie contrairement à ce qu’affirment constamment les médias et les promoteurs de la vaccination !

Les faits avérés montrent :

Que l’épidémie est en voie de disparition en France, en Europe et aux USA.

Que les vaccinations étaient à chaque fois trop rares et trop récentes pour avoir participé à l’extinction de la maladie

Que les pays qui ont dépassé les 70 % de couverture vaccinale ne sont pas protégés

Alors pourquoi vouloir imposer un traitement expérimental pour une épidémie en voie de disparition alors que ces pseudo vaccins sont incapables d’empêcher les contaminations et qu’ils exposent à de nombreuses complications ?




Biélorussie : Roman Protassevitch opposant fabriqué et néo-nazi

[Source : Vu du Droit]

Par Charles Meyer

Le détournement de l’avion Ryanair vers Minsk et l’arrestation de Roman Protassevitch permet d’assister une fois de plus à un jeu de rôle classique. Le moins que l’on puisse dire c’est que si détournement il y a pour permettre une arrestation, c’est simplement de la piraterie. Et le fait que les États-Unis, l’Allemagne et la France (coucou Assange, coucou Snowden, coucou Benbella…) n’aient aucune leçon à donner n’empêche pas cette qualification.

Cela étant, le scénario habituel s’est mis en place. Les agents américains BHL et Glucksman (les plus rapides) se sont précipités sur tous les plateaux pour relayer la propagande de la CIA . Nos gauchistes à nous qu’on a, se sont comme d’habitude scrupuleusement alignés sur les positions américaines. Mention spéciale quand même pour Jean-Luc Mélenchon. Un petit aventurier néonazi, a été immédiatement intronisé comme martyr de la liberté. Et naturellement Macron, jamais en retard pour s’aligner sur les USA, en a fait des tonnes en mode roquet qui jappe.

Sur le fond j’invite à prendre connaissance de l’interview de l’interview d’Arnaud Dubien qui montre que l’affaire est un peu plus compliquée qu’on ne le présente.

Concernant le palmarès de l’admirateur du troisième Reich, Olivier Berruyer a fait le boulot. C’est édifiant.

J’ai demandé à Charles Meyer qui suit attentivement ce qui se passe en Europe centrale de nous donner son avis sur deux points. L’impasse politique et stratégique que constitue la création artificielle par les USA, servilement suivis par l’UE, d’opposants en carton. Et le danger de ce soutien que l’Occident apporte ainsi au développement de ce néo-nazisme raciste et antisémite particulièrement inquiétant.

Régis de Castelnau

La Biélorussie, c’est comme la Russie et la vie : c’est compliqué, parfois. Soyons clairs, on n’a pas besoin de défendre les vertus de la politique pensée à Minsk. Mais juste de comprendre que derrière un sujet d’actualité qui couvre une situation politique interne et géopolitique, se trouvent des individus pour lesquels on discerne mal les raisons qui conduisent à des soutiens inconditionnels qui fleurissent en Europe ou aux Etats-Unis. Pas plus qu’Alexeï Navalny, Roman Protassevitch n’échappe à une règle bien connue de la politique intérieure des pays de l’est : il n’y a pas pire remède que les opposants qui sont fabriqués de l’extérieur. Depuis quelques jours, on s’agite autour du cas de Protassevitch.

Soyons tout aussi clairs : il ne s’agit pas de priver celui-ci des droits qui seraient reconnus à d’autres ou de cautionner des tortures ou des châtiments qui lui seraient infligés par le régime de Loukachenko.  Mais simplement de nous déterminer sur le point de savoir si l’on défend les droits fondamentaux d’un citoyen biélorusse, ou la démarche politique d’un opposant. Et ce n’est pas du tout la même chose.

Protassevitch a droit au respect de son intégrité et de sa vie. Mais nous avons droit, aussi, de nous questionner sur sa démarche politique et de savoir, puis de comprendre comment ce jeune homme est devenu un militant et sympathisant néo-nazi. On ne parle pas d’extrême droite ou de « droite extrême », mais bien de néonazisme. Comme Navalny, ses accointances idéologiques le placent au cœur des dispositifs politiques et paramilitaires dont la Doctrine est la pureté de la race, l’élimination physique de l’ennemi russe, l’antisémitisme et surtout, l’adoration du Troisième Reich. Il faut comprendre que la mouvance néonazie en Europe de l’Est est beaucoup plus puissante et infiltrée qu’elle ne l’est ailleurs. Roman malgré sa jeunesse, en est un bon exemple. Et je vous assure qu’il n’y a nul besoin de noircir le tableau.

Roman Protassevitch fait partie de cette génération baignée dans le culte nationaliste du post soviétisme qui, d’année en année, a mené à la constitution de véritables corps francs en Europe de l’est, à l’image du bataillon Azov. C’est la raison pour laquelle on le retrouve il n’y a pas trois ans en arrière, manifestant au sein des tristement célèbres « blocs noirs » bien connus pour rassembler dans les rues la fine fleur de l’idéologie fasciste, la référence au fascisme ayant ici, pour une fois, un sens et ne dérangeant pas les grands mots.

C’est aussi la raison pour laquelle Protassevitch fait non seulement partie des manifestations de Maïdan à Kiev en 2014, mais qu’il sympathise à la même époque avec plusieurs membres du détachement de Pahonia. Pahonia est une organisation armée biélorusse qui a combattu aux côtés du bataillon Azov. Ces deux milices partagent clairement la même fascination pour le Troisième Reich, réunissent des néo -nazis venus de toute l’Europe et militent clairement pour une société raciale qu’ils rêvent de rétablir par les armes.

Il ne s’agit pas de faire comme certains de Protassevitch un néo-nazi irrécupérable ou un criminel de guerre, de la même manière que lorsqu’on dénonce l’islamisme d’un ou d’un tel, il ne s’agit pas non plus de prétendre à un déterminisme absolu ou à l’évocation systématique du djihadisme. Il s’agit de comprendre. En l’occurrence, on ne peut nier que Protassevitch fréquente les milieux néo- nazis et des chaînes de radio telles que « Belsat », dont l’idéologie est clairement documentée par le positionnement des animateurs qui est dépourvu de la moindre équivoque. On ne peut nier la participation de Protassevitch à des événements et un engagement dépourvus de la moindre équivoque. Pas plus qu’on ne peut nier les liens qu’entretiennent Protassecitch et Lobov, ou d’autres néo-nazis notoires. Je ne m’étendrai pas ici sur le rôle joué par des pays comme la Pologne et l’imprégnation évidente de l’idéologie fascisante que recycle ce pays, mais il y aurait aussi beaucoup à dire sur ceux qui ont encouragé, endoctriné et instrumentalisé des jeunes comme Protassevitch.

On peut tout à fait demander humanité et respect de la personne de Roman Protassevitch. Mais cela ne doit pas impliquer, comme on le lit trop souvent, de faire de lui l’opposant fantasmé qui représenterait face à Loukachenko celui qui porte les valeurs de la Démocratie. Ne soyons pas naïfs, la confusion qui s’opère en Occident entre les droits fondamentaux individuels des opposants médiatisés et la valeur du message qu’ils portent, est une confusion inacceptable en ce qu’elle ne rendra jamais service aux Peuples de cette Europe tantôt oubliée, fantasmée, perdue et qui se cherche au milieu de forces politiques et géopolitiques qui les instrumentalisent de toute part.




La zone euro en phase terminale ? Les déclarations-choc d’un ancien dirigeant de la BCE. Vincent Held

[Source : Le blog de Liliane Held-Khawam (lilianeheldkhawam.com)]

Voici ce qu’affirmait le 15 mai dernier l’ex-économiste en chef de la BCE Jürgen Stark au discret mensuel allemand Tichys Einblick, édité à Munich :

« L’Allemagne a perdu le contrôle de sa politique budgétaire. »
« Je ne peux plus exclure un krach ».
« Nous sommes en plein milieu d’un changement de système. »

Des déclarations d’autant plus spectaculaires qu’elles ne semblent avoir trouvé aucun écho dans les grands médias outre-Rhin. Pourtant, ces déclarations fracassantes proviennent bel et bien d’un haut fonctionnaire allemand qui avait à l’époque contribué « de façon déterminante »  à l’introduction de l’euro… et qui a siégé au directoire de la BCE jusqu’en septembre 2011 !

L’évocation par le Dr. Stark d’un « krach » financier majeur n’est donc pas anodine, surtout à l’heure où l’on commence à prendre conscience de la fragilité du gigantesque marché REPO, dont les banques centrales sont justement des acteurs-clés. Par ailleurs, la référence du Dr. Stark à un « changement de système » évoque immanquablement cet appel de l’actuel ministre des Finances français à « réinventer l’ordre monétaire international » :

« L’ordre [monétaire international] de Bretton Woods tel que nous le connaissons a atteint ses limites, a affirmé le ministre des Finances français Bruno Le Maire […] D’après [lui], tout comme Bretton Woods a défini l’ordre économique international de la seconde moitié du 20ème siècle, la première partie de ce siècle pourrait bien être définie par le projet de nouvelles Routes de la soie de la Chine. » (Reuters, juillet 2019)

Après la crise - couverture (hi-q)

Et M. Le Maire de surenchérir :

« L’euro est menacé. Il n’a jamais été aussi menacé »

Ainsi, cette sortie fracassante du Dr. Stark est aussi pour nous l’occasion d’esquisser le scénario de la scission de l’euro, que nos grands médias évoquent de temps à autres. Sans que cette hypothèse pourtant connue ne prenne véritablement pied dans le débat politique.

Voici donc un extrait de notre dernier ouvrage, où cette option politique est abordée de façon plus directe que ce n’est généralement le cas dans les grands médias.

Le destin trouble de la zone euro
(extrait d’Asservissement, janvier 2021)

« Avec l’euro, il y a quelques gagnants, mais beaucoup de perdants » (Antonio Costa, premier ministre portugais, mars 2015)

« Il est vrai que [le] pouvoir politique [allemand] aura, au fil des années, donné tous les gages d’un jusqu’au-boutisme farouche en faveur de l’euro. De fait, un effondrement de la zone euro ne manquerait pas de produire de fâcheux effets pour les retraités allemands, dont le poids électoral est notoirement considérable… Et qui se retrouvent aujourd’hui exposés – à leur insu et dans des proportions phénoménales – aux risques explosifs de la dette des pays du Sud.[1] Ce d’autant plus qu’avec leurs fameux « mini-BOTS » (approuvés à l’unanimité par les parlementaires de tous bords !), les dirigeants italiens se sont d’ores et déjà assurés de la possibilité, le cas échéant, de rembourser leurs dettes vis-à-vis de l’Eurosystème (et donc de l’Allemagne)… en monnaie de singe. On comprend dès lors que les dirigeants allemands tiennent tant à faire la preuve de leur engagement sans faille en faveur de la monnaie unique !

Pourtant, quelques talentueux économistes ne nous ont-ils pas expliqué par le menu que l’eurozone est, par construction, un ensemble sécable ? Et que la Bundesbank elle-même cherche, depuis bien des années déjà, à se ménager des portes de sortie, en développant des mécanismes permettant d’exclure de la zone euro les pays trop indisciplinés… ?[2] Or, voilà que la Cour de Karlsruhe nous signifi[ait] subitement [en mai 2020] que ce scénario d’un fractionnement de la zone euro pourrait se concrétiser à tout instant !

On comprend dès lors mieux pourquoi « la décision de Karlsruhe » a pu être interprétée comme l’arrêt de mort de la zone euro telle que nous la connaissons. Et relancé les spéculations quant à l’éventualité d’une future scission de la zone euro…

« Il s’agit à présent d’agir de manière responsable et avec sagesse pour que l’euro puisse continuer d’exister… LA COUR CONSTITUTIONNELLE A DÉPOSÉ UNE CHARGE EXPLOSIVE SOUS L’EURO ET SOUS L’UNION EUROPÉENNE » (Angela Merkel à l’agence Reuters, mai 2020. Les majuscules sont de Reuters.)

De fait, les pays du Sud, déjà largement désindustrialisés, auraient aujourd’hui un intérêt évident à procéder à une forte dévaluation monétaire en vue de regagner de la compétitivité commerciale. Une question d’autant plus pressante que leur gestion souvent calamiteuse de la « crise sanitaire » covidienne les a passablement lessivés sur le plan économique…

« Nous ne sommes pas ici pour fermer les écarts [entre le coût des dettes italienne et allemande] » (Christine Lagarde, présidente de la BCE, en mars 2020)

La réémergence inéluctable de la crise de l’euro pourrait ainsi aboutir à une scission plus ou moins ordonnée de l’espace monétaire européen. Avec au Nord, une eurozone rétrécie menée par l’Allemagne, face à laquelle pourrait se former un bloc « euro-Sud », sans doute mené par la France. Cette nouvelle « Union latine » pouvant dès lors être amenée à mettre en place – tout au moins temporairement, des politiques de contrôle des changes en vue de garantir la stabilité monétaire face à des risques accrus de fuite des capitaux ou d’attaques spéculatives…

Par ailleurs, les pays « méditerranéens » de l’UE pourraient également trouver un intérêt majeur dans le fait de valoriser des réserves d’or parfois très importantes (Italie, France) ou significatives par rapport à la taille de leurs économies (Portugal, Grèce). Ceci afin de se donner un peu d’oxygène financier à un moment où ils en auront sans doute le plus grand besoin. De telle sorte que bien des candidats à la sortie de l’euro pourraient être tentés de s’associer rapidement (individuellement ou ensemble) au projet de nouveau système monétaire international basé sur « un étalon-or modernisé » que proposent, en particulier, la Chine et la Russie… »

Asservissement-couv

Par Vincent Held, auteur des ouvrages Le crépuscule de la Banque nationale suisse (2017), Après la crise (2018), Une civilisation en crise (2020) et Asservissement (2021).


RAPPEL, vidéo 2018

https://youtu.be/zY3b3wuTrsA

Notes

[1] Et ce en particulier via les gigantesques « soldes Target » de la banque centrale allemande. On rappellera que les « soldes Target » expriment le montant des capitaux transférés par les banques centrales européennes à l’étranger (à l’intérieur de l’Eurosystème ou au-dehors). Fin 2020, le solde Target (positif) de l’Allemagne se montait à quelque 1’136 milliards (!) d’euros, alors que l’Italie et l’Espagne présentaient, à elles deux, un « découvert » de quelque 1’000 milliards d’euros environ.

[2] cf. les passionnantes explications du regretté Vincent Brousseau sur le scénario d’une « sortie furtive de l’euro » (son article éponyme publié sur le site de l’UPR contient de précieuses références pour prendre la mesure des préparatifs allemands).

[3] Et ce en particulier via les gigantesques « soldes Target » de la banque centrale allemande. On rappellera que les « soldes Target » expriment le montant des capitaux transférés par les banques centrales européennes à l’étranger (à l’intérieur de l’Eurosystème ou au-dehors). Fin 2020, le solde Target (positif) de l’Allemagne se montait à quelque 1’136 milliards (!) d’euros, alors que l’Italie et l’Espagne présentaient, à elles deux, un « découvert » de quelque 1’000 milliards d’euros environ.

[4] cf. les passionnantes explications du regretté Vincent Brousseau sur le scénario d’une « sortie furtive de l’euro » (son article éponyme publié sur le site de l’UPR contient de précieuses références pour prendre la mesure des préparatifs allemands.




Pour le Dr Fauci, ce sera la chaise électrique ou la lapidation ?

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

Bon. Je vais essayer de rester calme pour aborder ce nouvel épisode de « l’opération Covid« . Mais je vous le dis, je suis au bord de la plus grande explosion de colère de ma vie.

Depuis le début de cette fausse pandémie j’affirme que nous sommes dans le cadre d’une opération criminelle et en aucun cas dans un problème de santé. Et si il y a maintenant de graves conséquences sur la santé, elles ne sont que le résultat de cette opération criminelle que je dénonce depuis le début. Relisez tous les articles publiés sur Médiazone depuis mon arrivée à la direction de la rédaction, et vous verrez que je me suis employé à faire ce qu’un journaliste et un homme intègre doit faire : dire la vérité.

Je ne vais pas faire l’historique ici, il me faudrait des heures pour résumer tout ce que j’ai écrit.

Mais la première chose que je veux dire c’est que le prochain qui me traite de complotiste je le renvoie chez sa mère en petits morceaux, car être stupide au point de ne pas avoir compris que cette « opération Covid » est criminelle, dépasse mon entendement. Il y a tellement d’éléments qui le prouvent, tellement de preuves qui le démontrent qu’il faut vraiment avoir le cerveau d’un mollusque (pardon pour les mollusques) pour ne pas s’en rendre compte. Un enfant de 5 ans l’aurait déjà cernée !

[Ndlr : de nombreux articles publiés sur Nouveau Monde tendent à démontrer ceci comme étant très probable. Voir notamment :
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Des passeports pour les vaccins ont été planifiés avant même le début de la pandémie
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Preuves que la pandémie a été planifiée ?
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]La vaccination mondiale : le véritable objectif de l’opération COVID-19
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Le bon virus au bon moment
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Après le confinement: Un programme mondial de vaccination contre le coronavirus…
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Programme caché derrière la vaccination contre la Covid-19 ?
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]COVID-19: les plans secrets du Pentagone et le Canada]

Que mes confrères qui me disaient que je vois le mal partout, que je sombre dans la folie, que je ne suis pas crédible malgré tous les éléments que je leur ai mis sous le nez, disparaissent à jamais de ma vie et de ma liste « d’amis » !

Avoir des « amis » aussi cons me déshonore, m’afflige et me met en colère. J’ai perdu trop de temps à espérer un éclair de lucidité et d’honnêteté de leur part. J’aurais du méditer ce proverbe ; »Dis-moi qui sont tes amis et je te dirai qui tu es. » Et j’avoue que j’avais parmi mes « amis » un certain nombre de confrères aveugles, stupides et incompétents.

Ils sont à jamais rayés de mon répertoire car avoir déployé autant d’efforts pour leur faire comprendre que le gouvernement ment, que les experts scientifiques ont trop de conflits d’intérêts avec les labos pour être honnêtes, que l’OMS est une organisation privée soumise à Bill Gates qui en est le plus gros financier, que le Dr Fauci est une ordure de la pire espèce puisqu’il a investi son argent personnel dans « les gains de fonction » destinés à rendre le virus plus dangereux pour la santé humaine, — ce qui nous avait été révélé par notre ami Patrick Jaulent ex responsable de la cyber-sécurité de Wall Street, — que les médias ont pour mission d’alimenter la peur en désinformant et manipulant l’opinion publique avec des chiffres de contaminés truqués et exagérés, que les réseaux sociaux américains comme FacebookYoutubeTwitter sont complices de ce crime, et voir ces journalopes continuer à déshonorer la profession, et répéter tels des perroquets dressés, tous les mensonges de ceux qui sont censés nous protéger, nous informer et nous soigner, me fait penser que ces gens ne sont pas des journalistes mais de simples instruments de désinformation et de manipulation. Qu’ils restent loin de moi, car même les tardives excuses de quelques-uns me laissent de marbre. J’ai honte pour eux !

Ceci étant dit, venons-en à l’essentiel. La divulgation en vertu du Freedom Information Act d’une partie des emails de cet assassin de Fauci, confirme tout ce que nous sommes un certain nombre à affirmer depuis le début de cette fausse pandémie, destinée à nous faire accepter l’inacceptable : une campagne de vaccination mondiale avec un faux vaccin provoquant plus de morts que le virus qu’il est censé combattre. Une folieune hérésieune insulte à notre intelligence.

Nous le constatons, tous les pays fiers d’annoncer que la vaccination était un « succès« , qu’ils étaient parmi ceux qui vaccinaient le plus, sont aujourd’hui ceux qui enregistrent une explosion du Covid et de ses variants, un nombre alarmant de morts et des effets secondaires tragiques puisque certains voient leurs vies détruites à jamais. Bravo.

Aujourd’hui nous découvrons que le Professeur Luc Montagnier traîné dans la boue par ces médias de merde, disait la vérité, que la généticienne Alexandra Henrion-Caude avait raison de confirmer la thèse du Prix Nobel de Médecine au sujet du séquençage et de la modification génétique d’origine humaine, avec des cellules de VIH et de malaria, que le Dr Raoult avait lui aussi raison de préconiser et d’utiliser l’hydroxychloroquine qui réduit à néant la charge virale au bout de 5 jours, que le masque — même selon ce criminel de Dr Fauci — est totalement inutile, que ce sont désormais les personnes vaccinées qui sont les principaux propagateurs du virus, qu’elles vont mourir dans un temps plus ou moins bref, que toutes les mesures qui nous ont été imposées par notre gouvernement ont favorisée la contamination plutôt que la combattre, que si les hôpitaux sont débordés c’est parce que ce gouvernement d’assassins ferme des unités de soins et diminue les lits, que ce virus a bien été utilisé pour supprimer nos libertés, que nous sommes bien dans le cadre d’un crime contre l’humanité qui mobilise plus de 1000 avocats et plus de 10.000 médecins, virologues, microbiologistes pour le démontrer, et qu’il est temps que les responsables de cet immense chaos soient arrêtés, jugés et condamnés comme ils le méritent !

Nos confrères de BuzzFeed publient un dossier complet que je vous suggère fortement de regarder, car vous verrez que la thèse criminelle est désormais une évidence. Nos confrères de Intelligence Artificielle et Transhumanisme publient une version en français et vous n’aurez donc plus aucune excuse si vous préférez rester dans l’ignorance et vous nourrir des mensonges de la télé.

Les e-mails de Fauci font la Une aujourd’hui. BuzzFeed a publié 3 200 pages d’e-mails. Les mails ont été obtenus en vertu de la Freedom of Information Act (FOIA) et démontrent que Anthony Fauci nous ment depuis le début !

Plus de 3 200 pages d’e-mails obtenues dans le cadre d’une action en justice au titre de la loi sur la liberté de l’information (Freedom of Information Act) déposée par BuzzFeed News — couvrant la période de janvier à juin 2020 — offrent un rare aperçu de la manière dont Fauci abordait son travail pendant la plus grande crise sanitaire, le montrant en train de traiter directement avec le public, les responsables de santé, les journalistes et même les célébrités. Le Washington Post a également reçu plus de 800 pages d’e-mails et a publié un article.

Ces milliers de pages montrent comment Fauci a tenté de calmer et de manipuler les Américains et de développer une stratégie.

Dans The Guardian, parmi les courriels les plus révélateurs figurent ceux provenant de correspondants fortunés ou influents.

Dans l’un d’eux, daté du 3 avril de l’année dernière, Fauci évoque une conversation avec le fondateur de MicrosoftBill Gates, au sujet d’un effort mondial de vaccination et s’est dit “enthousiaste à l’idée d’aller de l’avant dans une “approche collaborative et, espérons-le, synergique concernant le Covid-19” impliquant les agences de santé fédérales et la Fondation Bill et Melinda Gates, selon les courriels.

Il y a également des échanges de courriels avec le fondateur de FacebookMark Zuckerberg, au sujet de la création d’un centre d’information sur le coronavirus sur les médias sociaux, et un autre avec l’acteur Morgan Freeman qui propose de diffuser le message Covid-19 à ses 100 000 followers sur Twitter.

Les courriels montrent également que Fauci a reçu une rafale de correspondance indiquant que le coronavirus avait fui d’un laboratoire de Wuhan. Les réponses de Fauci sont censurées.

Dans The National Pulse on découvre que le Dr Anthony Fauci — qui a nié à plusieurs reprises avoir participé à des recherches sur les “gains de fonction” (militarisation des virus) — a envoyé des mails de panique aux membres du personnel du National Institutes for Allergies and Infectious Disease (NIAID) au début de la pandémie.

L’article académique joint à l’e-mail s’intitule : A SARS-like cluster of circulating bat coronaviruses shows potential for human emergence. Il y est question de la manière dont des chercheurs américains et chinois manipulent les virus pour mieux comprendre comment ils peuvent s’attacher aux humains.

Selon le National Institute for Health , « la recherche sur le gain de fonction (GOF) peut présenter des risques en matière de biosécurité et de biosûreté.« 

Ça confirme l’explication du Pr Montagnier et de Henrion-Caude.

La pandémie a été utilisée comme prétexte pour abolir les libertés selon l’ONU

The Insider Paper sur le FOIA #FauciEmails twitt également :

  • Il a eu des discussions urgentes sur le gain de fonction.
  • A ignoré le scientifique qui lui a dit que la Chine avait menti sur le virus et les données.
  • A été informé d’une possible fuite du laboratoire de Wuhan.
  • On lui a dit par courriel que les masques de détail ne fonctionnaient pas en raison de la taille du virus.

Un autre qui indique que le Dr Fauci a animé un groupe de discussion sur le gain de fonction.

Les premiers #FauciEmails montrent que l’on est conscient du risque d’aggravation de la maladie après la vaccination par le COVID, comme cela a été le cas pour les candidats vaccins contre le SRAS.

Dans un email que le physicien Erik Nielsen a envoyé à Fauci en mars 2020, il a recommandé non pas un, mais deux médicaments qui pourraient aider à combattre le #COVID19. L’un des médicaments était l’Hydroxychloroquine.

Selon Fauci, les masques ne sont pas nécessaires à moins d’être malade et il fait remarquer que le SARS CoV 2 est si petit qu’il passe facilement entre les fibres des masques.

Beaucoup d’américains sont en colères et ne comprennent pas pourquoi certains des #FauciEmails sont dissimulés par la plupart des médias. En effet, nous ne retrouvons aucun des e-mails dignes d’intérêt dans les comptes rendus des médias (sauf National Pulse cité plus haut) et ils n’ont même pas pris la peine de faire une enquête plus poussée.

Le référentiel complet des e-mails peut être trouvé et lu ici.

Et en complément d’infos, les mensonges de Fauci devant le Sénat américain !

Source : BuzzFeed & IATranshumanisme

Robert F. Kennedy explique le crime de Fauci, de Gates et de Buzyn







« La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme » déclare le Pr Bridle. MàJ

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

« Nous avons fait une erreur ». Dans une interview récente avec la journaliste Alex Pierson, le professeur Byram Bridle, spécialiste en immunologie virale, déclare que ces nouvelles recherches et travaux l’ont mené à faire des découvertes importantes sur le virus et en particulier la protéine Spike. Cette protéine est celle qui a fait l’objet de nombreux travaux notamment sur les vaccins à ARN messagers. Dans le cadre de son interview, le professeur Bridle prend les devants pour expliquer les éléments de sa découverte ainsi que les conséquences notamment pour la vaccination en cours…

Byram Bridle, canadien, est un immunologiste viral passionné par l’amélioration de la vie grâce à deux voies de recherche (1) la conception et à l’optimisation de nouvelles biothérapies pour le traitement des cancers et (2) sur l’étude des réponses de l’hôte aux virus et autres stimuli inflammatoires. closevolume_off

Il est donc tout à fait normal que dans le cadre de ses travaux, il se soit penché sur le coronavirus et il déclare :

« Jusqu’à récemment, nous n’avions jamais pensé que les protéines Spike pouvaient être toxiques ! Les vaccins ARNm qui ont été testés pour la première fois sur des animaux et dont les études n’ont jamais été rendues publiques, montrent que les nanoparticules d’ARNm ne restent pas localement au site de ponction dans le tissu musculaire, comme supposé et revendiqué par les fabricants, mais vont dans les organes à des concentrations parfois dramatiques, où ils sont transférés de cellules en cellules et absorbés en continu. »

Les chercheurs du groupe du Pr Bridle ont donc découvert que la protéine Spike du vaccin est une toxine et crée des dommages cardio-vasculaires (le coronavirus a une protéine Spike qui permet d’entrer dans le corps). On croyait que l’injection dans l’épaule restait localisée. Mais une étude a observé où va la protéine après : dans le sang, s’accumule dans le foie, les ovaires. C’est pourquoi on l’utilise en thérapie génique vaccinale, on la fabrique, notre système la détecte et se défend contre elle, en théorie.

En pratique, on a découvert que la protéine pose problème : 13 jeunes ont reçu la thérapie génique Moderna et on a observé que la protéine Spike est passée dans leur sang chez 11 des 13 jeunes. En passant dans le sang, elle peut se lier aux récepteurs de nos plaquettes pouvant provoquer coagulation, caillots, problème neurologique. Ce qui explique tous les effets secondaires graves que l’on a pu observer (thromboses et autres caillots).

Ses travaux le mènent à conclure :

« Nous avons fait une erreur. La protéine de pointe est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme. Il est même transmis par le lait maternel aux enfants allaités ». »

La vidéo de l’interview avec les sous-titres : [sous-titrage en français par ivermectine-covid.ch]

https://videas.fr/embed/b6543e41-ed5a-4233-ae9a-0ae37e6d96fb/

L’étude est publiée et en cours d’évaluation par les pairs. La voici : étude (PDF)

En réaction à cette recherche, le Professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine déclare : 

Au nom du principe de précaution: Il faut arrêter immédiatement toutes vaccinations Covid-19 utilisant la protéine Spike.

Un article du site LifeSiteNews a documenté cela en détail, traduit ci-après : 

Une nouvelle recherche terrifiante révèle de manière inattendue un pic de protéine du vaccin dans la circulation sanguine. La protéine est liée aux caillots sanguins, aux lésions cardiaques et cérébrales et aux risques potentiels pour les bébés allaités et la fertilité. Cette recherche montre que la protéine de pointe de coronavirus de la vaccination COVID-19 pénètre de manière inattendue dans la circulation sanguine, ce qui est une explication plausible pour des milliers d’effets secondaires signalés des caillots sanguins et des maladies cardiaques aux lésions cérébrales et aux problèmes de reproduction , a déclaré la semaine dernière un chercheur canadien sur les vaccins contre le cancer.

Bridle, chercheur en vaccins ayant reçu une subvention gouvernementale de 230000 dollars en 2020 pour la recherche sur les vaccins COVID, a déclaré que son groupe de scientifiques internationaux avaient déposé une demande d’informations auprès de l’agence de réglementation japonaise pour avoir accès à ce qu’on appelle l ‘« étude sur la biodistribution . »

« C’est la toute première fois que des scientifiques découvrent où vont ces vaccins à ARN messager [ARNm] après la vaccination », a déclaré Bridle. « Est-ce une hypothèse sûre qu’il reste dans le muscle de l’épaule? La réponse courte est: absolument pas. C’est très déconcertant. »

Les chercheurs avaient fait l’hypothèse que les nouveaux vaccins à ARNm COVID se comporteraient comme des vaccins traditionnels et que la protéine de pointe du vaccin – responsable de l’infection et de ses symptômes les plus graves – resterait principalement dans le site de vaccination au niveau du muscle de l’épaule. Au lieu de cela, les données japonaises ont montré que la tristement célèbre protéine de pointe du coronavirus pénètre dans le sang où elle circule pendant plusieurs jours après la vaccination, puis s’accumule dans les organes et les tissus, y compris la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et dans concentrations assez élevées dans les ovaires.

« Nous savons depuis longtemps que la protéine de pointe est une protéine pathogène. C’est une toxine. Il peut causer des dommages à notre corps s’il entre en circulation », a déclaré Bridle.

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 est ce qui lui permet d’infecter les cellules humaines. Les fabricants de vaccins ont choisi de cibler la protéine unique, permettant aux cellules de la personne vaccinée de fabriquer la protéine qui, en théorie, provoquerait alors une réponse immunitaire à la protéine, l’empêchant d’infecter les cellules.

Un grand nombre d’études a montré que les effets les plus graves du SRAS-CoV-2 (le virus responsable du COVID-19), tels que la coagulation sanguine et les saignements, sont dus aux effets de la protéine de pointe du virus lui-même.

« Ce qui a été découvert par la communauté scientifique, c’est que la protéine de pointe à elle seule est presque entièrement responsable des dommages au système cardiovasculaire, si elle entre en circulation », a déclaré Bridle aux auditeurs.

Les animaux de laboratoire injectés avec une protéine de pointe purifiée dans leur circulation sanguine ont développé des problèmes cardiovasculaires, et il a également été démontré que la protéine de pointe traversait la barrière hémato-encéphalique et causait des dommages au cerveau.

Une grave erreur, selon Bridle, était la croyance que la protéine de pointe ne s’échapperait pas dans la circulation sanguine. « Maintenant, nous avons des preuves claires que les vaccins qui fabriquent les cellules de nos muscles deltoïdes fabriquent cette protéine – que le vaccin lui-même, plus la protéine – entre dans la circulation sanguine », a-t-il déclaré.

Bridle a cité l’étude récente qui a détecté la protéine SARS-CoV-2 dans le plasma sanguin de 11 des 13 jeunes travailleurs de la santé qui avaient reçu le vaccin COVID-19 de Moderna, dont trois avec des niveaux détectables de protéine de pointe. Une protéine « sous-unité » appelée S1, faisant partie de la protéine de pointe, a également été détectée. La protéine de pointe a été détectée en moyenne 15 jours après la première injection. Un patient avait une protéine de pointe détectable au jour 29, un jour après une injection, qui a disparu deux jours plus tard. 

Effets sur le cœur et le cerveau

Une fois en circulation, la protéine de pointe peut se fixer à des récepteurs ACE2 spécifiques qui se trouvent sur les plaquettes sanguines et les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins. « Lorsque cela se produit, il peut faire l’une des deux choses suivantes : cela peut soit provoquer l’agglutination des plaquettes, ce qui peut conduire à la coagulation. C’est exactement pourquoi nous avons constaté des troubles de la coagulation associés à ces vaccins. Cela peut également entraîner des saignements. » Bridle a également déclaré que la protéine de pointe en circulation expliquerait les problèmes cardiaques récemment signalés chez les jeunes qui avaient reçu les injections.

« Les résultats de cette étude Pfizer qui a révélé la biodistribution de l’ARNm du vaccin ne sont pas surprenants, mais les implications sont terrifiantes », a déclaré Stephanie Seneff, chercheuse principale au Massachusetts Institute of Technology, à LifeSiteNews. Il est maintenant clair que le contenu du vaccin est administré à la rate et aux glandes, y compris les ovaires et les glandes surrénales. « La protéine de pointe libérée est rejetée dans le milieu, puis atteint finalement la circulation sanguine, causant des dommages systémiques. Les récepteurs ACE2 sont communs dans le cœur et le cerveau, et c’est ainsi que la protéine de pointe provoque des problèmes cardiovasculaires et cognitifs », a déclaré Seneff.

Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont récemment annoncé qu’ils étudiaient les rapports de maladies cardiaques bénignes suite à la vaccination COVID-19 et la semaine dernière, 18 adolescents dans l’état du Connecticut seul ont été hospitalisés pour des problèmes cardiaques qui se sont développés peu de temps après avoir pris Vaccins contre le Covid-19.

Le vaccin d’AstraZeneca a été interrompu dans un certain nombre de pays et n’est plus recommandé pour les jeunes en raison de son lien avec des caillots sanguins potentiellement mortels et mortels, mais les vaccins à ARNm COVID ont également été liés à des centaines de rapports d’ événements de coagulation sanguine .

La FDA a mis en garde contre le danger de la protéine Spike

Le rhumatologue pédiatrique J.Patrick Whelan avait averti un comité consultatif sur les vaccins de la Food and Drug Administration du potentiel problème de la protéine Spike dans les vaccins COVID de causer des dommages microvasculaires causant des dommages au foie, au cœur et au cerveau de manières qui n’ont pas été évaluées en les essais de sécurité.

Alors que Whelan n’a pas contesté la valeur d’un vaccin contre le coronavirus qui a fonctionné pour arrêter la transmission de la maladie (ce qu’aucun vaccin COVID en circulation n’a été démontré), a-t-il déclaré : souffrent de dommages durables ou même permanents à leur microvascularisation cérébrale ou cardiaque en raison de l’incapacité à apprécier à court terme un effet involontaire des vaccins à base de protéines de pointe complètes sur d’autres organes. »

Le pic de protéines associé au vaccin dans la circulation sanguine pourrait expliquer une myriade d’événements indésirables signalés par les vaccins COVID, y compris les 4000 décès à ce jour et près de 15000 hospitalisations, signalés au système de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS) du gouvernement américain au 21 mai 2021. Puisqu’il s’agit d’un système de notification passif, ces rapports ne sont probablement que la pointe de l’iceberg d’événements indésirables, car une étude de Harvard Pilgrim Healthcare a révélé que moins d’un pour cent des effets secondaires que les médecins devraient signaler chez les patients après la vaccination sont en fait rapportés. VAERS.

Bébés, enfants et adolescents qui allaitent, fragiles, les plus à risque

Bridle a déclaré que la découverte d’une protéine de pointe induite par le vaccin dans la circulation sanguine aurait des implications pour les programmes de don de sang. « Nous ne voulons pas de transfert de ces protéines de pointe pathogènes à des patients fragiles qui sont transfusés avec ce sang », a-t-il déclaré. Le scientifique a également déclaré que les résultats suggéraient que les bébés allaités dont les mères avaient été vaccinées risquaient d’obtenir des protéines de pointe COVID de son lait maternel. Bridle a ajouté que « toutes les protéines du sang se concentrent dans le lait maternel » et « nous avons trouvé des preuves de nourrissons allaités souffrant de troubles de la coagulation dans le tractus gastro-intestinal » dans VAERS.

Bien que Bridle ne l’ait pas cité, un rapport VAERS décrit un nourrisson de cinq mois allaité dont la mère a reçu une deuxième dose du vaccin Pfizer en mars. Le lendemain, le bébé a développé une éruption cutanée et est devenu inconsolable, a refusé d’allaiter et a développé une fièvre. Le rapport indique que le bébé a été hospitalisé avec un diagnostic de purpura thrombocytopénique thrombotique , une maladie sanguine rare dans laquelle des caillots sanguins se forment dans de petits vaisseaux sanguins dans tout le corps. Le bébé est mort.

La nouvelle recherche a également trouvée de graves implications pour les personnes pour qui le SRAS Coronavirus 2 n’est pas un agent pathogène à haut risque, et cela comprend tous nos enfants.

Effet sur la fertilité et la grossesse?

La forte concentration de protéines de pointe trouvée dans les testicules et les ovaires dans les données secrètes de Pfizer publiées par l’agence japonaise soulève également des questions. « Allons-nous rendre les jeunes stériles? » Bridle a demandé. Il y a eu des milliers de rapports de troubles menstruels par des femmes qui avaient pris un vaccin COVID-19, et des centaines de rapports de fausses couches chez des femmes enceintes vaccinées, ainsi que de troubles des organes reproducteurs chez les hommes.

Campagne de diffamation vicieuse

En réponse à une demande, Bridle a envoyé une déclaration à LifeSiteNews lundi matin, déclarant que depuis l’interview radio, il avait reçu des centaines de courriels positifs. Il a également ajouté qu ‘« une campagne de dénigrement vicieuse a été lancée contre moi. Cela comprenait la création d’un site Web diffamatoire en utilisant mon nom de domaine. »

« Tels sont les moments où un universitaire ne peut plus répondre aux questions légitimes des gens avec honnêteté et sur la base de la science sans craindre d’être harcelé et intimidé », a écrit Brindle. « Cependant, ce n’est pas dans ma nature de permettre que des faits scientifiques soient cachés au public.»

Il a joint un bref rapport décrivant les principales preuves scientifiques à l’appui de ce qu’il a dit lors de l’entrevue. Il a été rédigé avec ses collègues de la Canadian COVID Care Alliance (CCCA) – un groupe de médecins, scientifiques et professionnels canadiens indépendants dont le but déclaré est de fournir des informations factuelles de qualité supérieure sur le COVID-19, dans le but de réduire les hospitalisations. et sauver plus de vies.

Un point central de l’énoncé était le risque pour les enfants et les adolescents qui sont la cible des dernières stratégies de commercialisation des vaccins, y compris au Canada.

Au 28 mai 2021, il y avait eu 259 308 cas confirmés d’infection par le SRAS-CoV-2 chez les Canadiens de 19 ans et moins. Parmi ceux-ci, 0,048% ont été hospitalisés, mais seulement 0,004% sont décédés, selon le communiqué de l’ACCJE. La grippe saisonnière est associée à une maladie plus grave que le Covid-19.

Compte tenu du petit nombre de jeunes sujets de recherche dans les essais de vaccins de Pfizer et de la durée limitée des essais cliniques, le CCCA a déclaré que les questions sur la protéine de pointe et une autre protéine du vaccin doivent trouver une réponse avant que les enfants et les adolescents ne soient vaccinés, y compris si la protéine de pointe du vaccin traverse le barrière hémato-encéphalique, si la protéine de pointe du vaccin interfère avec la production de sperme ou l’ovulation, et si la protéine de pointe du vaccin traverse le placenta et affecte un bébé en développement ou se trouve dans le lait maternel.

LifeSiteNews a envoyé à l’Agence de la santé publique du Canada la déclaration de l’ACCJE et a demandé une réponse aux préoccupations de Bridle. L’agence a répondu qu’elle travaillait sur les questions, mais n’a pas envoyé de réponses avant l’heure de publication. 

Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson n’ont pas répondu aux questions sur les préoccupations de Bridle. Pfizer n’a pas répondu aux questions permettant d’établir depuis combien de temps l’entreprise était au courant des données de recherche, publiées par l’agence japonaise, montrant des pics de protéines dans les organes et les tissus des individus vaccinés.

À propos du Dr Bridle

Sur son site internet, le Dr Bridle est présenté comme un immunologiste virologue passionné par l’amélioration de la vie grâce à deux voies de recherche. Un des volets de son programme de recherche est dédié à la conception et à l’optimisation de nouvelles biothérapies pour le traitement des cancers. Le but de son équipe de recherche est d’exploiter la puissance naturelle du système immunitaire d’un patient pour éliminer ses propres cellules cancéreuses. Cela représente la thérapie personnalisée ultime et détient le potentiel de traiter les cancers plus efficacement, en toute sécurité et à moindre coût que les options actuelles. Le deuxième volet de son programme de recherche se concentre sur l’étude des réponses de l’hôte aux virus et autres stimuli inflammatoires. Cela a des implications pour le traitement des maladies infectieuses et des troubles induits par l’inflammation. Ces deux programmes ont été unifiés de manière unique. Le laboratoire Bridle exploite son expertise dans la fabrication de vaccins anticancéreux puissants et combine cela avec son intérêt pour l’immunité antivirale pour développer des vaccins pour se protéger contre les maladies infectieuses telles que celles causées par des coronavirus hautement pathogènes. Le mentorat de la prochaine génération de scientifiques canadiens est une responsabilité que le Dr Bridle prend très au sérieux. Il considère également comme un privilège d’enseigner aux étudiants des programmes de doctorat en médecine vétérinaire, des cycles supérieurs et du premier cycle de l’Université de Guelph.

Centre d’intérêts de recherche du laboratoire

Le programme de recherche du laboratoire Bridle comporte deux volets :

Le premier consiste à développer de nouvelles biothérapies hautement ciblées pour le traitement des cancers. Dans un effort pour tuer les cellules malignes avec un minimum de dommages des spectateurs aux tissus normaux, deux approches sont combinées: (a) l’immunothérapie anticancéreuse qui dirige le pouvoir du système immunitaire d’un patient contre sa ou ses propres tumeurs et (b) la virothérapie oncolytique, qui utilise des virus qui se répliquent et ne tuent que les cellules cancéreuses. La spécificité, la capacité de ciblage systémique et les fenêtres de traitement courtes de ces thérapies promettent que les patients cancéreux pourraient être traités efficacement avec des effets secondaires réduits et à un coût minime. L’objectif est de traduire les itérations les plus prometteuses de ces thérapies en essais cliniques chez les animaux de compagnie comme tremplin vers des tests sur des patients humains. 

L’étude des réponses de l’hôte aux virus est un deuxième objectif du laboratoire. Un domaine d’intérêt est le développement d’une meilleure compréhension des mécanismes sous-jacents aux tempêtes de cytokines induites par les virus. L’équipe de recherche du Dr Bridle a identifié un rôle essentiel de la signalisation par le récepteur de l’interféron de type I dans la régulation négative d’un vaste réseau de cytokines. Les réponses des cytokines aux virus sont souvent très différentes entre les femmes et les hommes et le groupe de laboratoire Bridle cherche à comprendre pourquoi. À l’intersection de ces deux programmes, se trouve une initiative de recherche visant à modifier les plateformes optimisées de vaccination contre le cancer de l’équipe de recherche pour cibler le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoC) -2, qui est l’agent causal de la maladie à coronavirus identifié à la fin de 2019 (COVID-19). 

Financement de la recherche :

Le laboratoire Bridle est ou a été financé par Instituts de recherche en santé du Canada, Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), Institut de recherche Terry Fox, Société canadienne du cancer, Société de recherche sur le cancer, Fondation canadienne du cancer du sein, Fonds de recherche rapide COVID-19 de l’Ontario, Université de Guelph / Collège vétérinaire de l’Ontario / Département de pathobiologie Financement de démarrage COVID-19, Centre national d’excellence en biothérapies pour le traitement du cancer (BioCanRx), OVC Pet Trust, Le Fonds de lutte contre le cancer du ciel bleu souriant, Fondation canadienne pour l’innovation – Fonds des leaders John R. Evans, Fondation canadienne pour l’innovation – Fonds d’exploitation des infrastructures, Fonds de recherche du ministère de la Recherche et de l’Innovation de l’Ontario – Programme d’infrastructure de recherche.

Le laboratoire Bridle fait partie du Consortium canadien du virus oncolytique, Réseau de centres d’excellence en biothérapies pour le traitement du cancer (membre fondateur), Société canadienne d’immunologie, Société canadienne de virologie, Institut de recherche Terry Fox, Institut d’investigation comparative sur le cancer, Groupe de l’ostéosarcome du chien: biomarqueurs / biothérapie de la néoplasie (DOGBONe), One Health Institute


[Voir aussi :
Un nouveau rapport fait la lumière sur le culte apocalyptique des vaccins
Le tableau de bord de CoVaxx-19 : Saignements, caillots sanguins et tout le reste
La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ?
Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus]


[Mise à jour : condensé « complotiste » sur la problématique de la protéine Spike, dans cette vidéo de 14 min.
Source : Vivre sainement]






5G : installation à marche forcée malgré les risques

[Source : BLAST – Le souffle de l’info]

Depuis le 1er novembre 2020, la 5G est dotée d’un premier réseau commercial embryonnaire actif en France. 14 000 antennes sont aujourd’hui activées, contre plus de 50.000 pour la 4G. Un déploiement généralisé lancé sans connaissance des impacts, des risques et des façons de les atténuer.

Ainsi, plusieurs questions demeurent : pourquoi n’y a t-il eu aucune consultation de la population sur une décision qui va impacter nos vies ? Est-on réellement conscients de tous les risques que le déploiement de cette nouvelle technologie peut avoir sur notre santé, sur notre environnement, sur la cybersécurité etc ? Pourquoi le principe de précaution n’a-t-il pas été appliqué ? Pourquoi n’y a t il pas eu de débat ?

[Voir aussi : Dossier 5G et ondes pulsées]




Un ancien conseiller de Trump s’est-il montré favorable à un coup d’État militaire aux États-Unis ?

[Source : RT en français]

[Photo : © Jonathan ERNST – Source: Reuters]

Alors que Donald Trump aurait annoncé s’attendre à redevenir président dès août, son ancien conseiller à la sécurité nationale a déclaré qu’un coup d’État «devrait voir lieu» aux États-Unis, avant d’affirmer que ses propos avaient été déformés.

L’ancien conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump et lieutenant-général en retraite de l’armée des États-Unis Michael Flynn a déclaré lors d’une conférence à Dallas qu’un coup d’État militaire comparable à celui qui a eu lieu en février dernier en Birmanie serait souhaitable dans son pays. Il a ensuite démenti, en affirmant que ses propos avaient été déformés. Au même moment, une journaliste a affirmé que Donald Trump envisagerait de redevenir président d’ici trois mois.

Dans une vidéo filmée lors de la manifestation intitulée For God and Country : Patriot Round-Up («Pour Dieu et la patrie : rassemblement patriote»), on peut entendre une personne dans le public demander «pourquoi ce qui s’est passé en Birmanie ne peut avoir lieu [aux États-Unis]». Ce à quoi Michael Flynn lui répond : «Il n’y pas de raison… ça devrait avoir lieu».

Néanmoins, Michael Flynn a démenti le 1er juin via son compte Telegram avoir souhaité un coup d’État aux États-Unis, en mettant en cause une «manipulation» de ses propos par les médias. «Soyons très clairs : il n’y a aucune raison de faire un coup d’État en Amérique, et je n’ai jamais appelé à une telle action», a-t-il affirmé.

Celui qui fut brièvement conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump (du 20 janvier au 13 février 2017) avait indiqué par le passé qu’il pensait que l’élection présidentielle de 2020 était frauduleuse. En décembre dernier, Michael Flynn avait même suggéré que le président Donald Trump pourrait utiliser les «capacités militaires» pour «refaire» l’élection dans les États-clés.

Peu après la conférence de Dallas, Maggie Haberman, une journaliste de CNN et correspondante à Washington pour le New York Times, a affirmé sur Twitter que Donald Trump avait déclaré à «un certain nombre de personnes avec lesquelles il est en contact» qu’il s’attendait à redevenir président d’ici le mois d’août. Maggie Haberman a cependant précisé qu’elle «partageait simplement l’information».

Auteur: RT France

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/87312-ancien-conseiller-trump-sest-il-montre-favorable-coup-detat-militaire-etats-unis




Covid, vaccins et mithridatisation

[Source : blog de Gérard Maudrux via reseauinternational.net]

La mithridatisation est le fait d’ingérer des doses croissantes d’un produit toxique afin d’acquérir supposément une insensibilité ou une résistance vis-à-vis de celui-ci. Et si les vaccins à ARN et ADN n’étaient pas des vaccins mais une forme de mithridatisation ? De plus en plus d’études semblent nous orienter dans ce sens, et nous attendons avec impatience la publication du Dr Bridle qui devrait en faire une synthèse documentée. Ci-joint la traduction de sa dernière intervention par nos amis suisses.

Depuis quelques temps quand on me parle des flambées de cas après vaccinations, plutôt que parler de nouvelles contaminations, qui seraient des coïncidences troublantes, j’évoquais plutôt une maladie propre développée par le vaccin, maladie ressemblant à la Covid, avec patients positifs sans doute du fait de la présence dépistée de fragments de protéine. Les très nombreux effets secondaires des vaccins seraient alors des formes atténuées de cette maladie, car il y a beaucoup de similitudes, notamment en ce qui concerne les troubles de la coagulation. Kevin McCairn avait déjà bien travaillé et documenté le sujet de la toxicité propre de la protéine spike.

Il semble de plus en plus établi, que la protéine spike, n’est pas seulement un élément de la coque du virus à visée esthétique, mais serait sans doute responsable d’une partie des troubles engendrés par le Sars-Cov-2, peut-être des plus importants, vasculaires et hématologiques. Ce serait la substance la plus active et toxique du virus. Le virus sans spike serait alors quasi inoffensif, et les variations de la spike le rendraient plus ou moins toxique, c’est le cas des variants récents, variations du virus qui ne portent que sur la spike.

Un vaccin classique injecte le “toxique” atténué ou mort. Ici on l’injecte “actif”, non atténué, d’où les effets secondaires très nombreux, parfois mortels, comme jamais vus dans les vaccins autorisés à ce jour. Si la spike est la substance la plus active du virus, ce n’est plus un vaccin que l’on injecte, mais le toxique, et c’est non plus un vaccin, mais une forme de mithridatisation. On ne pratique pas autrement pour désensibiliser les patients allergiques à une substance qui est toxique pour leur organisme.

Dans ces conditions, l’injection indirecte de la substance la plus toxique du Sars-Cov-2, sans l’avoir atténuée au départ, serait une erreur. Erreur non prévisible au départ, vu les connaissances sur la spike au début. Quand je parle d’injection indirecte, j’évoque un autre problème, qui est le passage par une phase génétique, car ce n’est pas la spike que l’on injecte directement, mais le mode d’emploi pour que notre organisme la fabrique lui-même. Aux effets secondaires initiaux, dus à la spike et non à l’ADN ou l’ARN injecté, peuvent alors s’ajouter des effets plus tardifs, dus à des modifications génétiques. C’est une inconnue totale qui peut être sans danger pour certains, gravissime pour d’autres, nous n’en savons rien, nous en sommes au stade de traitement expérimental. Sur ce point, j’avais écrit il y a 6 mois qu’il faudrait deux ans pour savoir, je m’y tiens.

On peut penser que les problèmes actuels des vaccins ne sont pas liés à l’ADN ou à l’ARN, mais uniquement à la spike, à une maladie de la spike. Dans ces conditions, la recherche ne doit-elle pas s’orienter vers la recherche d’une molécule qui se combinant à la spike inhiberait celle-ci, rendant alors le virus quasiment inoffensif. Les anticorps monoclonaux allaient un peu dans ce sens, mais peu pratiques et sans doute trop sensibles aux variations de la spike les rendant obsolètes ? Une autre voie existe déjà aussi : bloquer immédiatement la multiplication du virus pour bloquer la multiplication de la spike, cela s’appelle le traitement précoce.




Les camps FEMA, les sans domicile fixe et la puce RFID

[Source : reseauinternational.net]

par Thomaïe.

Qu’est-ce que la FEMA ? à quoi sert-elle, quelle est son ambition officielle et officieuse, y a-t-il des camps de concentration aux États-Unis, et si oui à quoi servent-ils ? Tout cela repose-t-il sur une réalité tangible, ou n’est-ce que de la paranoïa complotiste, propre à certains mouvements fondamentalistes, comme on veut nous le faire croire ? Séparer les faits de la spéculation, c’est ce que j’essaierai de faire, tout en essayant de répondre aux questions posées.

La FEMA (Federal Emergency Management Agency) est une agence gouvernementale née sous l’administration Carter le 1er avril 1979, et est rattachée au Département de la Sécurité intérieure des États-Unis. L’objectif officiel est de parer à d’éventuelles catastrophes naturelles, et autres incidences sur le territoire national.

Cette agence s’est faite remarquer en ayant pris part à l’enquête pour le 11 septembre 2001, où elle a eu pour mission la recherche des survivants et autres missions civiles, mais s’est aussi occupée des restes matériels, qui on le sait, ont bénéficié d’un traitement illégal au regard de la réglementation des enquêtes des incendies en expédiant les matériaux rapidement, ce qui a fait dire à l’éditeur Bill Manning du périodique Fire Engineering Magasine qu’il avait été question de destruction de preuve et que l’on violait la réglementation des enquêtes sur les incendies, en ne respectant pas l’obligation de sauvegarde du matériel incendié, elle a aussi eu pour mission de faire un rapport concernant l’effondrement des tours jumelles (voir wiki FEMA).

Peter Dale Scott dans son livre le nouveau désordre mondial nous dit aussi que la FEMA a travaillé au côté du Pentagone, concernant des exercices militaires précédent le 11/09, simulant des attaques sur les USA.

Elle s’est aussi fait remarquer au passage de l’ouragan Katrina le 29 août 2005, concernant la gestion qui s’en est suivie, et qui a provoqué le mécontentement du peuple Américain.

Mais là n’est pas le sujet, je voulais juste situer cette agence, qui par rapport à son comportement et aux questions laissées lors du 11/09, ne peut qu’inciter à la vigilance, quant à sa crédibilité et ses réelles intentions.

Pour une petite mise en perspective historique, on peut se reporter aux camps de concentration américains, où on a parqué des familles entières et où environ 110 000 ressortissants japonais et américains d’origine japonaises, ont été amenés durant la Seconde Guerre mondiale, suite à l’attaque de Pearl Harbor.

Le rôle des camps FEMA

Le gestion d’urgence nationale pourrait être un prétexte pour instaurer la loi martiale, car peu importe la menace, si c’était le cas, la FEMA aurait la responsabilité de ce qu’ils appellent « la continuité du gouvernement » (l’appellation est trompeuse), se placerait donc à la tête du pays, et pourrait mettre en place des lois d’exceptions, adaptées à la situation, ce qui aurait pour effet d’enlever tout droits constitutionnels aux citoyens américains. Nous pouvons nous reporter à ce sujet a « l’Internal Security Act » de 1950 ou juste après la guerre, le congrès américain ratifia un système de détention, pour pouvoir emprisonner tout communiste infiltré. La FEMA en fit de même lors de sa création en 1979, et fut encore repris par le Département de la Sécurité intérieure en 2003 qui la supervise. La mise en place de ce plan d’urgence se nommant « Security Portfolio » aurait permis au président Truman de l’époque, de pouvoir placer en détention 20 000 personnes, sans passer par la case procès. Le danger est que ces plans pourraient être d’actualités et bien plus opérationnels depuis le temps.1

Pour les ambitions officieuses de cette agence, nous pouvons nous reporter a ce document là2 ainsi que celui-ci3 (documents officiels) ; j’y reviendrai plus loin. On peut aussi lire cet article du New York Times4, traitant d’un contrat de 385 millions de dollars avec une filiale de Halliburton, pour des centres de détention destinés a l’immigration. Pour le détail, l’ancien directeur de Halliburton est Dick Cheney…

Souvenons nous des propos de John Ascroft (procureur général) qui un an après l’attentat du 11/09, et dont le Los Angeles Times les avait rapportés, annonçait son désir d’avoir des camps de rétention pour les citoyens américains considérés comme « des ennemis combattants » et que son intention lui permettrait « d’ordonner la détention à temps indéterminé de citoyens américains et de les destituer sommairement de leurs droits constitutionnels et de l’accès aux tribunaux en les déclarants ennemis combattants »5. Voir aussi le lien 1 et la déclaration du conservateur Howard J Ruff sur le « manque d’une crise etc… »

Nous pouvons remarquer que loin d’être une lubie de « complotiste », en se reportant à des sites aussi sérieux que, Courrier internationalMondialisation.caSputnik newsl’HumanitéDedefensaMediapart ou bien a un auteur aussi consciencieux que Peter Dale Scott, eux aussi nous ont tous fait part de leurs doutes, concernant ces camps et leur fonctions.

Un article du Courrier International6, nous signale que le commentateur de Fox News, Glenn Beck a consacré trois émissions sur la théorie et l’hypothèse soulevée par ces camps, partant du fait qu’il voulait « la déboulonner » mais qu’il n’y était pas arrivé, et on peut le voir se contredisant, en nous signalant d’abord qu’« il n’arrive pas a la déboulonner » pour ensuite dire à Jones « aucune preuve de ces camps » ; courageux mais pas téméraire comme on dit, un petit rappel à l’ordre a du être fait à ce monsieur. On peut remarquer que le premier mot de l’article est « paranoïa », si on avait voulu avoir un doute sur la fonction de ces camps, on n’aurait pas pu s’y prendre mieux que ça ; rien de plus douteux qu’un tel titre de faussaire de « journaliste ».

Pour l’article de Mondialisation.ca7, nous avons un communiqué assez sobre nous faisant simplement état de ces camps, mais confirmant bel et bien leur existence.

L’article de Sputnik news est, (a l’instar de L’Humanité, de Mediapart etc..), assez interrogatif sur le pourquoi de ces camps, il nous dit qu’une équipe de télévision locale d’Atlanta est allée sur place et à constaté des centaines de cercueils noirs, de modèle militaire, stockés dans un ancien champ de blé… Pour les dimensions, trois personnes peuvent rentrer dans ces cercueils. On nous dit aussi que ces camps sont parfaitement opérationnels et sont déjà équipés de miradors, centrales électriques, barbelés, voie d’accès, et pour le détail assez glaçant, dans un camp en Arizona, nous avons un chemin de fer se déployant à l’entrée principale… ! Pour les voies d’accès, les camps sont tous desservis par des routes, installations ferroviaires, aéroport etc… Nous avons aussi des lieux de travail, baraques sans fenêtres, une cantine. On nous a vendu ces camps en prévision d’éventuelles catastrophes à venir, mais comme le souligne l’article, une question reste en suspens si c’est bien le cas ; pourquoi alors les zones de sécurités sont elles dirigées vers le périmètre intérieur comme si c’est l’évasion que l’on voulait éviter ? Mais aussi « pourquoi ces camps sont-ils si éloignés de la civilisation, et qui attendent-ils au juste ? ». À changer je ne sais combien de fois de raisons d’être, on ne sait plus qu’en penser.

Sputnik souligne aussi que l’on peut mettre en place la directive « PDD 51 » qui permettrait à la loi d’annuler toutes les libertés civiles et introduire l’état de siège. Nous pouvons appuyer cette supposition de loi martiale par cette vidéo : « We Are Under Martial Law ! As Declared By The Speaker Last Night », et chercher à se la confirmer par des personnalités politiques en avertissant tels que : Brad Sherman,Dennis kucinich, Mickael Herzong etc.., ou par une vidéo et deux articles tels que : « Martial Law Launch », et « États-Unis : Économie et loi martiale – La Sécurité intérieure se prépare-t-elle pour le prochain effondrement de Wall Street ? » et « Rex 84 : FEMA’s Blueprint for Martial Law in America ». La directive dont parle Sputnik permettrait globalement au président Bush l’ayant voté, de passer outre l’avis du congrès. Cet article de John Lloyds sur Agora Vox en 2009 nous explique clairement, quelle serait les dispositions que pourrait prendre la FEMA en cas d’urgence nationale de toutes sortes : « Futurs camps de concentration »

Le recours à la loi martiale et au camps de détention ne date pas d’hier, le livre de Peter Dale Scott nous en apprend beaucoup et je retirerai certains passages éclairant de son livre.

« Le 30 octobre 1969, le président Nixon signa un ordre exécutif 11 490 confirmant 21 ordre exécutifs et deux ordres de mobilisation de défense attribuant des fonctions de préparations aux situations de crise à des agences et des départements fédéraux. En 1976 a travers l’ordre exécutif 11 921, le président Ford renforça encore ces fonctions en faveur de la Féderal Emergency Preparedness Agency (FEPA)… Dés 1984, le journaliste Ross Gelbspan (journaliste réputé ayant travaillé au Boston Globe, Washington Post etc.) nous disait « le lieutenant colonel Olivier North travaillait avec des responsables de la FEMA (…) dans le but d’un plan secret de prévoyance afin de surveiller les dissidents politiques et d’assurer la détention de centaines de milliers d’étrangers sans papier dans le cas d’une urgence nationale indéterminée ». Le plan dont une partie portait le nom de code Rex 84, appelait à la suspension de la constitution conditionnée par un certain nombre de scénarios dont une invasion des États-Unis du Nicaruaga. Mais outre les groupes s’opposant aux États-Unis en Amérique centrale, ce plan de la FEMA aurait inclus les activistes gouvernementaux, les opposants à l’énergie nucléaire ainsi que les activistes favorables à l’assistance aux réfugiés ». Le plan Cable splicer traitait déjà de réactions en cas d’insurrection, d’exercices destinés à gérer ce genre de crise. « Sous Reagan ces responsables de Cable Splicer (sous la direction de Louis Giuffrida) intégrèrent la FEMA les plans de Giuffrida concernant la détention de dissidents devinrent si tentaculaires que même le ministre de la justice William French Smith émit des objections ».

Lors de Iran Countra, au cours d’auditions suite à ce scandale national le député Jack Brook interrogea Olivier North (militaire ayant travaillé avec les responsables de la FEMA) à propos de son travail sur « un plan en cas de crise qui suspendrait la constitution américaine » il n’eut pour seule réponse que c’était là « un sujet hautement sensible et classé secret » et qu’on ne pouvait donc pas l’aborder au cours d’une audience publique !

Le type d’urgence nationale mettant en place cette « continuité du gouvernement » est très vaste, et fut définie par l’ordre exécutif 12 656 de 1988 qui disait « toute survenance incluant les catastrophes naturelles, les attaques militaires, les urgences technologiques, ou toute autre situation de crise qui dégradent sérieusement ou mettent gravement en péril la sécurité nationale des États-Unis », nous pouvons voir là par ce décret, que les incidents pouvant mettre en place cela, sont très vastes et sujets à caution. James Bamfort dans son livre « Pretext Of War » nous spécifie que lors du 11/09, seule une partie du plan de continuité du gouvernement a été mise en place.

En 1982 un mémo rédigé par la FEMA et aujourd’hui rendu public déclara qu’« un programme civil de défense pleinement mis en oeuvre ne serait certainement pas considéré comme un substitut a la loi martiale, ni promu en tant que tel. Cependant si l’exécution de ce plan s’avérait une réussite,il pourrait avoir les mêmes effets que la loi martiale »8. Cette idée prit de l’ampleur lors de l’ouragan Katrina ou selon le Washington post, le conseiller à la maison blanche Karl Rove dit au gouverneur de Louisiane que l’on pourrait explorer des options légales pour, je cite : « aller aussi près [de la loi martiale] qu’il nous est permis d’aller ».

La source de ces paragraphes précédents vient du livre de Peter Dale Scott, « Le nouveau désordre mondial », j’ai sorti ces citations et divers extraits du livre (que j’invite tout le monde à lire) simplement pour souligner que la FEMA et sa « continuité du gouvernement » n’est pas un projet récent, ni une réponse à diverses catastrophes naturelles.

Cette note du congrès datant de 2007 n’est franchement pas rassurante, et pourrait être mise en corrélation avec tout ça : whatreallyhappened.com/concentration.

Par contre nous voyons que l’auteur Dominique Jacques Roth du journal L’Humanité, est un peu plus incisif, et pose cette question à la fin de l’article9 :

« À quel usage sont destinés les 600 camps de concentration disséminés sur le territoire américain pouvant recevoir 20 000 personnes chacun et les 100 000 wagons de prisonniers à trois étages munis de menottes et de chaînes, que la FEMA a commandés à des entreprises étrangères ? »

Le lien numéro un est un document militaire qui traite de programme de travaux forcés pour des détenus, pour faire les basses besognes de l’armée, comme nous l’explique l’auteur John Lloyds avec son article de 2009 (« Futur camps de concentration ; vol au dessus des nids de la FEMA », agora.fr).

Le document en lien 2 est un rapport datant du 12 février 2010, dont le titre est « FM 3-39. 40 opérations d’internement et réinstallation », il s’agit d’un manuel expliquant l’organisation de camps d’internement pour divers prisonniers de camp FEMA, mais le point assez troublant du document est que l’on parle de « rééducation de prisonniers », ce qui fera surement penser à tout le monde, le traitement des régimes totalitaires envers leurs prisonniers politique. Le site Dedefensa, qui nous fait part de divers extraits repris de la transcription intégrale du manuel, donnent plusieurs détails troublants, la partie extraite de la transcription montre clairement que ces détentions arbitraires s’appliquent aussi au territoire des États-Unis et aux citoyens américains. La partie la plus controversée se situe page 56 ou il est question d’équipe « PSYOPS » dont la responsabilité sera d’utiliser « des programmes d’endoctrinement pour réduire ou éliminer les attitudes antagonistes » ainsi que le ciblage de « militants politiques », avec des programmes pour fournir « la compréhension et l’appréciation des politiques et des actions américaines » ! L’aspect le plus choquant de ce manuel, est qu’il en ressort un moyen de rééducation et d’endoctrinement très peu approprié aux victimes civiles.

Cette dérive autoritaire concernant des troubles civils n’est pas nouvelle, le plan Garden Plot datant déjà de dizaines années, traité déjà de réaction en cas de troubles civils, des documents déclassifié en parle. Garden plot n’est qu’un sous programme de Rex 84, mais traite a peu près de la même chose : governmentattic.org/USArmyCivilDisturbPlanGardenPlot.

Defense, 3 August 1978 – Government Attic : governmentattic.org

Description of document : US Department of the Army Civil Disturbance Plan « GARDEN PLOT » prepared for the Department of Defense, 3 August 1978

Deux documentaires

On peut aussi se reporter a ce reportage : « Les camps de la FEMA » (ce n’est pas un documentaire de Alex Jones, il est simplement co-producteur et fait partie des intervenants, le réalisateur s’appelle William Lewis) Vous verrez dans le reportage que plusieurs projets de lois mentionnent clairement ces camps FEMA et que plusieurs personnalités politiques nous font part de leur doutes et peurs concernant ces camps et lois liberticides. Nous voyons aussi que la FEMA a fait un appel d’offre pour des emplois dans ces camps, où la publicité de l’offre explique clairement que les militaires auront en charge la conduite de prisonniers.

Mise en relation des camps de la FEMA avec les sans abris

Tout le monde a du se demander selon le titre de ce texte, quelle est le rapport entre les camps FEMA et les sans domiciles fixes, le voici :

Autre point douteux est la raison d’être de cette FEMA, qui a été maintes fois redéfinie par le gouvernement, il a d’abord été question d’attaque nucléaire, ensuite catastrophes naturelles, puis les attaques terroristes, et qu’apprend-on maintenant, qu’elle enferme… des SDF, en leur implantant des puces sous la peau en échange de leurs sorties !!

Je vous reproduis mot à mot la première ligne d’introduction d’un article de Mediapart :

« Des camps FEMA en Caroline du Nord , on n’en sort qu’en acceptant de se faire enfiler une micropuce sous la peau ».10

Il a été proposé aux sans abris de pouvoir sortir de ces prisons de la FEMA à condition qu’ils acceptent cette puce RFID sous la peau (Radio Frequency Identification). Elle servirait donc à les mettre sur monitorage, à les maintenir sous contrôle en échange de biens comme la nourriture, couvertures, vêtements et autres bénéfices pour leur survie. Sachez que ce pays enferme ses citoyens pour le seul motif d’être dans la précarité, tout cela sans raison aucune, sans tribunaux, sans procès et qui plus est, sans aucune indication sur la durée. (pour ceux qui doutent de cette affirmation, je le répète, sachez juste qu’elle n’est que la reproduction des dires d’un article de Mediapart, dont l’auteur s’appelle Massimo Bonatto)

En se reportant au lien 1, nous pouvons voir que le site livescience.com, nous annonçait en mai 2006 que la société VeryCHip Corporatation avait proposé au gouvernement américain d’implanter une puce aux immigrants pour pouvoir les suivre et les localisés.

Une simple question vient de suite à l’esprit au sujet de l’affirmation de Mediapart sur le puçage des SDF qui reste à première vue insoluble est pourquoi ?! Pour l’immigration, bien que le faire resterait inhumain, nous aurions l’argument un tant soit peu crédible, sur le fait de pouvoir les suivre mais des SDF… ! pourquoi pucer des gens dont ils n’ont aucune utilité, on ne suit pas des SDF pour savoir ou ils vont, alors que par définition de leur situation ils ne vont nulle part, nous voyons donc que l’argument de les pister ne tient pas. J’entrerai donc dans des spéculations à partir de maintenant, que j’essayerai d’appuyer non par des preuves, mais par des corrélations.

Hypothèses et spéculations sur la raison du pucage de sans abris

Voici d’abord la traduction d’extraits d’un article publié dans le numéro de juin-juillet 1994 de la revue Nexus. C’est le témoignage du Dr Carl W. Sanders, qui était chargé de concevoir la micro-puce électronique. Le Dr. Sanders est un ingénieur électronicien, inventeur et expert, conseiller auprès de nombreuses organisations gouvernementales et de compagnie telles que IBM, General Electric, Honeywell et Teledyn. Extrait du témoignage :

« J’ai consacré trente-deux années de ma vie dans la conception électronique, concevant des micro-puces dans le domaine bio-médical. En 1968, je devins impliqué, presque par accident, dans un projet de recherche et de développement concernant un pontage spinal pour une dame ayant l’épine dorsale rompue. Nous recherchions comment pouvoir relier les nerfs moteurs, etc » (…) « Nous avions remarqué que la fréquence de la micro-puce avait un grand effet sur le comportement humain, et on orienta alors nos recherches sur la possibilité de modifier le comportement humain avec la micro-puce. Le projet se transforma presque en acupuncture électronique, parce qu’il résulta à installer une micro-puce qui émettait un signal qui affectait certaines parties du cerveau. On démontra qu’on pouvait provoquer des changements de comportement avec cette micro-puce. Un de ces projets sur le comportement fut appelé le « Projet Phoenix », concernant les vétérans de la guerre du Vietnam » ( …) ;

(je vous laisse aller lire la suite de vous même) ; mais pour ceux qui veulent aller jeter un coup d’œil au site de ce monsieur, c’est par ici : trumpetministries.net

L’extrait que j’ai sortie du témoignage intégral n’est là que pour souligner que l’inventeur de cette puce, nous a dit qu’on lui avait demandé de s’en servir pour des raisons médicales au début, mais que les recherches se sont dirigées vers la modification du comportement. Le fait donc de pucer des gens sans aucune utilité s’éclaire déjà un peu plus, surtout en gardant en tête que ces gens là sont idéals pour subir des expérimentations, étant donné que personne ne le saura compte tenu de leur situation. Dites vous que ce témoignage date de plus de 20 ans.. ! Imaginez ce qu’il doivent arriver à faire a l’heure d’aujourd’hui, si la modification du comportement était déjà a l’étude a l’époque.

Pour celles et ceux qui auraient un doute quant à la possibilité d’influer sur le comportement avec ces puces, je les invite à lire cet article du Daily Mail : « All in the mind : The ‘telepathy’ chip that lets you turn on the TV using the power of thought ».

On peut aussi lire ce copier coller, de l’article du Boston Globe, de l’auteur Gareth Cook, ou vous verrez que le contrôle de l’esprit n’est en rien de la science fiction et qu’il a déjà été expérimenté sur des animaux comme nous le fait remarquer l’auteur : prisonplanet.com/defense_department_funding_brain_machine_work

Il y a aussi cette vidéo de Russia Today : « Mind Control – Remote Neural Monitoring »

José Delgado (neurophysiologiste, pionnier dans la technologie des implants cérébraux), auteur du livre « Contrôle Physique de l’Esprit – Vers une Société Psychocivilisée », a fait une déclaration intéressante a ce sujet dans le numéro du 24 février 1974 du Congressional Record, N° 262E, Vol. 118.

« Nous avons besoin d’un programme de psychochirurgie pour le contrôle politique de notre société. Le but est le contrôle physique de l’esprit. Toute personne qui dévie de la norme donnée peut être mutilée par chirurgie. L’individu peut penser que la réalité la plus importante est sa propre existence, mais c’est seulement son point de vue personnel. Ceci manque de perspective historique. L’homme n’a pas le droit de développer son propre esprit. Ce type d’orientation libérale possède un grand attrait. Nous devons contrôler le cerveau électriquement. Un jour, les armées et les généraux seront contrôlés par stimulation électrique du cerveau ».

Que tout le monde comprennent bien que cette déclaration a été faites il y a plus de 40 ans, nous pouvons imaginer ce qu’ils savent faire a l’heure d’aujourd’hui, si nous avions des déclarations de la sorte il y a tant d’années, je me permets de supputer qu’elle se base sur des études et expérimentations, et que cette déclaration ne sort pas de nulle part.

Pour se pencher un peu plus sur ce que ce genre de puce sont capable de faire au niveau de comportement il y a ceci : ubergizmo.com/2015/04/27/en-2030-le-cerveau-humain-sera-devenu-une-telecommande-universelle, on peut y voir que le contrôle de l’esprit au travers de ces puces , n’est en rien quelque chose de futuriste et qu’il a déjà était expérimenté bon nombre de fois, quelques exemples de l’article. Miguel Nicolilis réalisa entre 2002 et 2005 a l’Université Duke une expérience qui permit a des singes de contrôler un bras robotisé par la pensée. Il réalisa aussi la prouesse de faire don de télépathie a des rats pour pouvoir résoudre des problèmes. Pour revenir au sujet de l’article qui est une manipulation du comportement et de l’état émotionnel, nous pouvons voir dans cet article qu’une étude française regroupant des chercheurs de l’École supérieure de Physique et de Chimie industrielles de Paros (ESPCI et de l’Université Pierre et Marie Curie (UPMC) a montré pour la première fois qu’il était possible de modifier le comportement de rongeurs en implantant de faux souvenirs complexes dans l’esprit de souris endormies ! Je ne pense pas trop m’avancer en affirmant que si de telle chose sont possibles sur des souris, il en est de même pour le genre humain, et je ne pense pas non plus enfoncer trop de porte ouverte, en supputant que la technologie militaire est toujours en avance par rapport a ce qu’on veut bien nous dire (projet Manhattan etc..) L’expérience sur ces souris a fait dire a Karim Benchenane à la tête de l’équipe ayant expérimenté tout ça :

« il est possible de fabriquer puis d’implanter un souvenir complexe qui peut être perçu consciemment par la souris, qui l’utilise dans un comportement dirigé vers un but ».

Pour revenir a José Delgado de la déclaration ci dessus, on nous cite plusieurs expériences. En 1963 il parvint à arrêter un taureau en pleine course en lui implantant des électrodes commandés à distance par un émetteur radio, à forcer un chat à lever la patte, etc.. mais il ne s’arrêta pas là, il parvint aussi déclencher des états émotionnels chez l’être humain a base d’un dispositif nommé « stimoceiver » et parvenant a provoquer certains états émotionnels comme : « la peur, la concentration et l’euphorie »… !

L’article a l’honnêteté de nous avertir des dérives que tout cela pourrait amener, en disant, « On imagine bien entendu sans peine les dérives et les dangers qu’un tel dispositif pourrait entraîner s’il était utilisé hors de tout contrôle médical ou de toute finalité thérapeutique, pour conditionner les individus et modifier leur personnalité », comme vu plus haut que le DARPA (défense) s’est intéressé a tout ça, devrait faire réfléchir tout le monde, sur cette avertissement innocent de l’article, et comprendre que la fonction médicale n’est plus tout à fait sollicité quand un organisme étatique pour la défense d’un pays s’y penche..

Cet article du Business insider parle aussi de puces « cérébrales », le directeur de l’Institut Allen Christoph Kock et le professeur de psychologie Gary Marcus explique ce qu’elles pourront peut être faire à l’avenir : « Brain implants will give us superpowers », il y est question de restaurer l’audition, la vue, mémoire et attention amélioré etc…

Quelque chose en rapport avec des camps et des expérimentations sur être humain, on peut trouver ceci :

  • « Expérimentation humaine à Guantanamo », c’est Le Guardian qui nous dit que de telles horreurs ont était pratiquées a Guantanamo, mais aussi cela :
  • « Des détenus cobayes à Guantanamo ». C’est un article du Nouvel Observateur qui est une interview de Jacques Debray, l’avocat de deux des quatre français ayant finit a Guantanamo, ou les prisonniers ont eu l’impression de subir des expérimentions médicales. Il n’y est mention d’aucune puce, que d’expérimentations.

Serge Monast journaliste d’investigation, et les camps de concentration américains

Le journaliste d’investigation Serge Monast, fondateur de l’Agence de Presse libre internationale a écrit un document dans les années 1990, du nom de « rex 64 camps de concentration » (je conseille vivement à tout le monde de le télécharger), où vous verrez que cette avertissement de camps de concentrations aux États-Unis ne date pas d’hier, et que l’une des premières dénonciations a été faite par le rédacteur en chef du Oakland tribune en 1976. Ce monsieur était tellement sur de l’illégalité de ces camps et de leurs fonctions qu’il a déposé une plainte au nom du peuple des États-Unis intitulé « Plainte contre le programme de camps de concentration du Département de la Défense ». Il y a aussi un autre avertissement pour ces camps, qui a été donné en 1991 par l’auteur Tony Blizzard du journal National Education en Californie, ou son article avait comme titre « Des camps de concentration secret ? »

Et pour que tout le monde comprenne bien aussi, que cette manipulation du comportement est un projet mûrement réfléchi depuis bon nombre d’années, voici une déclaration du psychologue James Mc Conell publié dans un numéro de Psychologie Today dans les années 1970 : « Le jour est arrivé ou nous pouvons combiné la privation sensorielle, avec des drogues, de l’hypnose, et de la manipulation astucieuse de la punition et de la récompense, tout cela pour parvenir au contrôle presque absolu d’un individu. Il devrait être possible de développer une méthode (…) qui permettrait d’effectuer des changements radicaux dans la personnalité et comportement d’un individu » ! Vous verrez aussi que le Dr William R Pabst, de Houston au Texas, a sorti un document de 21 pages11, il y a plus de 30 ans, dont le titre est « Concentration Camp Program/United States Department Of Justice », avertissant des ambitions officieuses de ces camps FEMA, traduit et reproduit en totalité dans ce livre du journaliste international Serge Monast.

Conclusions

Cette technologie peut amener a toutes sortes de dérives, nous avons vu les allemands refusé de breveter une invention saoudienne libérant du cyanure, par télécommande, avec cette puce sous cutanée ! : « Allemagne – Refus de breveter une invention saoudienne : puces sous-cutanées pouvant libérer du cyanure par télécommande ».

En tout cas, peu importe la fonction qu’a cette puce, et je conclurai ce texte comme ça, nous pouvons d’ors et déjà dire, que rien que de l’implanter est criminel, car reconnue cancérigène. L’organisation américaine CASPIAN a publié un rapport de 52 pages combinant différentes études, au sujet de cette puce et confirmant bel et bien la nocivité et les risques cancérigènes de celle ci : antichips.com/albrecht-microchip-cancer-full-paper

Alors bien qu’aucune preuve directe n’atteste de la volonté d’expérimentations sur SDF pour la modification du comportement, l’argument de suivre des gens, qui par définition, vagabondent, n’est pas très convaincant. Tout cela restent des spéculations pour l’instant, mais sachant ce qu’ont étaient capable ces différents organismes étatiques au cours de l’histoire, avec des projets tels que MK ultra, Artichock, BlueBird, Monarch, ou Stargate pour le moins négatif, démontrant tous un intérêt pour le contrôle de l’esprit, par le complexe militaro-industriel, ça ne devrait donc étonner personne, qu’une telle affirmation soit faite de Mediapart. Affaire à suivre…


  1. karmapolis.be/fema_secrets
  2. apd.army.mil/r210_35
  3. info.publicintelligence.net/USArmy-InternmentResettlement
  4. nytimes.com/2006/02/04/halliburton-subsidiary-gets-contract-to-add-temporary-immigration
  5. latimes.com/2002/oe-turley14
  6. « PARANOïA. La folle rumeur des camps de concentration fédéraux » Courrier international
  7. « 600 camps de concentration aux États-Unis », Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation
  8. ReOpen911 – News, « Le programme secret de la FEMA pour supplanter la Constitution des États-Unis et établir un état d’urgence permanent »
  9. « Culture du malaise… au service des multinationales », L’Humanité
  10. « USA, Caroline du Nord. Les camps de concentration Fema pour les sans domicile fixe », Massimo Bonato, Le Club de Mediapart
  11. « Plans de camps de concentration pour les citoyens américains », bibliotecapleyades.net



Algérie — L’Armée, objet d’enjeux malsains ; inepties et échec des complotistes !

Par Amar Djerrad

Quand le porte-parole de l’Armée a averti que l’ANP défendra par tous les moyens l’Algérie ce n’est pas une « ingérence dans la politique » (comme le claironnent certains ‘‘opposants’’), mais une confirmation d’une mission essentielle de l’Armée qui est de réduire les ennemis qui veulent attenter à la sécurité et à la stabilité de la nation ! Il y a bien des forces hostiles, dont internes, qui activent pour ces objectifs ! Une grande nuance donc.

L’Armée algérienne : objet d’enjeux malsains au lieu d’un partenaire

L’Armée et presque devenue l’enjeu et leur « chou gras » que l’on inclut à toutes les sauces ! Tant que c’est ainsi, elle restera toujours vigilante et regardante sur tout ce qui pourrait toucher à la stabilité et la sécurité du pays ! C’est ainsi dans tous les pays du monde ! Elle est conçue, formée et engagée pour des missions précises !

Nous pensons que tous les acteurs politiques doivent écarter l’Armée, voire l’oublier, de toute compétition et enchères d’ordre politique en évitant qu’à chaque événement, à chaque échec, à chaque fait et geste politique ou autres de l’impliquer en la pointant du doigt !

Comment peut-on qualifier une Armée – qui défend la Nation; qui ne cesse de déjouer les complots ; qui a défendu le principe du respect de la Constitution ; qui a défendu jusqu’au bout, le principe démocratique de l’élection par le Peuple du Président de la République ; qui a assisté à la remise sur rail du processus démocratique et à l’élection du Président ; qui a accompagné en aidant le Peuple, par le « hirak », dans ses revendications légales et légitimes ; qui a veillé à ce qu’aucune goutte de sang ne soit versée lors des manifestations ; qui a refusé de cautionner une « phase de transition » antidémocratique , car sans vote du Peuple ? De mercenaires ? De dictature militaire ? De clanique ? C’est bien l’Armée qui a été à l’avant-garde, avec les GLD (groupes civils de légitime défense), contre le terrorisme du GIA/FIS pour empêcher cette horde ‘hilalienne’ – et leurs descendants les daechiens (en armes, en costume, en journaliste ou en commentateur sur FB) – d’instaurer un régime moyenâgeux de Califat qui les obligera à suivre et ne plus réfléchir… à reclasser l’Algérie dernière, sous la haute autorité des princes du Moyen-Orient, ‘erdoganienne’ ou autres !

Critiquer son Armée, la voir pour certains comme « une milice » au service d’un clan, la considérer comme un antagoniste, comme antipopulaire, ou inciter ses soldats à la mutinerie et autres n’est ni acceptable, ni raisonnable, ni faisable, ni réaliste, ni logique, ni sage, ni patriotique en plus d’être dangereux ! C’est toujours sans résultat et sans issue ! Il n’est pas possible et sensé que notre Armée aujourd’hui – dans les conditions actuelles d’hostilités permanentes, de menaces sécuritaires, de projet de partition ou de Califat, de tentatives répétées d’ingérence, de confusion dans les partis et de compromission dans les ONG, de renforcement des institutions, de consolidation des secteurs économiques et sociaux – relâche de vigilance !

Réclamer la « démilitarisation » de l’Algérie est la preuve que l’on veut affaiblir son Armée ! Le vœu cher des ennemis de l’Algérie ! Refuser à son pays le droit à des moyens d’autodéfense efficaces, équivaut à encourager l’agression contre lui. Il est curieux et pertinent de s’interroger sur la similitude de cette propagande des « démocrates » avec celle des islamistes de Rachad, sur tout ce qui concerne l’Algérie et son Armée, qu’ils pointent de façon maladive !

L’Armée doit être un partenaire total pour tous les acteurs politiques, économiques et sociaux, sans distinctions de couleurs politiques ou idéologiques ; que dans l’intérêt suprême de son pays ! En dehors de ce principe républicain et des principes de l’Armée dite populaire, il est vain de s’attendre ou d’espérer quoi que ce soit d’autres ! Elle est bien plus forte et engagée qu’ils ne le croient avec la reconnaissance de pays puissants, dont ceux qu’ils servent !

Échec des complots, des cancaneries et perte d’une patrie

C’est parce qu’ils ont échoué du fait de leur tare et « fui » leur pays en se retrouvant, des années après, dans la même situation – sinon pire, en plus d’être dépassés et ne pouvant plus y retourner – qu’ils ont choisi la voie de la déraison tout en se prévalant d’un patriotisme à deux sous ! Les Algériens les qualifient d’un terme spécifique des plus humiliants ! L’Algérie est bien un pays définitivement perdu pour eux ! Par leur égoïsme et cupidité, ils l’ont fait perdre à leur famille et surtout à leurs enfants, malheureusement, sans leur laisser la possibilité, et même l’espoir, d’y retourner ! Même cette fierté, d’avoir une patrie, leur a été ôtée ! Il leur restera, plus tard peut-être, des souvenirs lointains racontés et l’origine ! « Il ne peut y avoir ici-bas de bien-être parfait sans la patrie. » (E. Chouinard)

Ce qui est grotesque, c’est qu’ils qualifient de ‘félons’ tous ceux qui défendent le pays par le fait qu’ils prennent fait et cause pour les gouvernants en place, pour l’Armée de son pays et pour les décisions qu’ils jugent bénéfiques pour leur pays !

Soyons clairs et directs : Il est préférable d’être les « traîtres » des nôtres, ici chez nous, et être « payés » en monnaie locale, en gardant notre honneur et notre dignité, que dans leur cas indigne et sordide qui préfèrent être les serviteurs d’officines lugubres, en dénigrant leur pays, ses institutions et ses dirigeants, dans l’objectif de le déstabiliser – souvent par cupidité, par frustration, par échec ou revanche – en contrepartie d’une gratification en devises.

Selon V. Poutine :

« Il vaut mieux être pendu pour la loyauté que d’être récompensé pour trahison. »

On dit bien aussi :

« orge de mon pays vaut mieux que blé étranger. »

Encore 50 ans sur cette voie, ils n’infligeront aucune égratignure à une Algérie qui les devance en tout et qui les ignore.

Terminons par cette réalité :
Il y a ceux liés aux intérêts de l’Occident, par soumission, acceptant sa suprématie, qui activent pour la déstabilisation des pays hors de leur giron en soutenant, armant, finançant, encadrant les terroristes et leurs soutiens.
Il y a ceux, soucieux de leur indépendance, qui rejettent toute hégémonie en dénonçant les terroristes et leurs soutiens occidentaux ! 

Le choix et la position de chacun détermine le camp auquel on appartient ! Le reste n’est que boniment bien loin de la réalité et de la raison.

 Amar Djerrad




Allemagne : enquêtes autour de fraudes massives aux tests de dépistage du Covid-19

[Source : RT en français]

[Photo : © Jonathan NACKSTRAND – Source : AFP]

Un scandale concernant les centres de dépistages du Covid-19 a éclaté en Allemagne. De nombreux établissements de tests établissent de fausses déclarations pour obtenir des remboursements indus de la part des pouvoirs publics.

Les tests de dépistages du Covid-19 sont obligatoires en Allemagne pour qui souhaite se rendre dans un bar, café ou restaurant ainsi dans un magasin ou une piscine municipale. Une nouvelle législation fédérale a rendu gratuits ces tests en mars 2021 dans le but d’intensifier la campagne de dépistage. Un remboursement est ainsi prévu pour les centres de dépistages, allant jusqu’à 18 euros par test.

Les médias allemands se sont toutefois interrogés sur l’absence de contrôle des tests effectués. Le journal Tagesspiegel dénonce ainsi la facilité avec laquelle il est possible d’obtenir une homologation, ce qui entraîne une multiplication de ces centres. En Rhénanie du Nord-Westphalie, le ministère de la Santé en a par exemple recensé plus de 8 000 et 1 200 pour la seule ville de Berlin.

Les centres de dépistages n’ont en effet pas à indiquer le nom ou le profil des personnes venant se faire dépister. «Il suffit qu’ils transmettent le nombre de tests, sans aucun justificatif, et ils reçoivent le virement d’argent peu de temps après», selon une enquête commune des télévisions publiques NDR et WDR, avec le quotidien Süddeutsche Zeitung, qui a lancé l’affaire.

Plusieurs enquêtes ont ainsi été lancées sur les centres de dépistages soupçonnés de gonfler leurs chiffres dans le but d’obtenir des remboursements indus de l’Etat allemand. «Ceux qui se servent de la pandémie pour s’enrichir de manière criminelle devraient avoir honte», a tweeté le 29 mai le ministre allemand de la Santé, Jens Spahn.

1 743 tests déclarés contre 550 réellement effectués

Pour déceler les irrégularités, les journalistes ont compté les personnes venues pour se faire tester à plusieurs endroits afin de les comparer aux chiffres transmis aux autorités. Le résultat : pour une centaine de dépistages effectués, un centre en déclarait 422 ; ailleurs, au lieu de 550, l’entreprise disait en avoir fait 1 743 sur une journée. Cela a poussé plusieurs parquets à réagir, comme celui de Bochum qui a perquisitionné les locaux d’un centre privé ou celui de Lübeck qui a lancé une enquête pour «fraude» portant sur la «réalisation et la facturation de tests rapides», selon l’hebdomadaire WirtschaftsWoche.

Le ministre allemand de la Santé a assuré que plus de contrôles seraient effectués pour pour empêcher que certains «profitent» du «pragmatisme nécessaire» dans l’organisation.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/87317-allemagne-enquetes-autour-fraudes-massives-tests-depistages-covid-19




Devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ?

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Laure Gonlézamar pour FranceSoir

TRIBUNE

Le 25 mai dernier, l’Académie Nationale de Médecine émet le souhait d’étendre la vaccination aux enfants et adolescents. Cette volonté s’inscrit dans le concept de « l’immunité collective », édictant que pour y parvenir, 90% d’une population adulte doit être vaccinée soit 80% d’une population totale, enfants compris.

Les enfants sont nos êtres chers, nos petits innocents à protéger, notre avenir. 

Devons-nous les vacciner ? 

Impossible de répondre à cette question de santé publique sans dissocier l’émotionnel du rationnel.

Que vous soyez parent, grand-parent, parrain, marraine, sœur, frère, oncle, tante, vous aimez forcément vos enfants, petits-enfants nièces ou neveux, d’un amour inconditionnel et ne souhaitez que leur bien-être, leur santé et leur bonheur. Prenez quelques minutes pour lire cet article. Installez-vous confortablement. Servez-vous un petit café, un thé comme vous l’appréciez.

Dans cette tribune, nous allons tenter de poser le plus clairement possible des arguments sourcés, afin de trouver une réponse sans ambiguïté à la question de la vaccination des moins de 15 ans. 

Pour commencer, les enfants peuvent-ils avoir le Covid-19 ? 

La réponse est ici sans appel : oui les enfants peuvent être contaminés et porteurs du Sars Cov-2. Les chiffres disponibles sur le site de Santé Publique France et plus largement ceux publiés au niveau international, indiquent que les enfants de tous âges peuvent être testés positifs au Covid-19, et ceci quels que soient leur âge et leur origine ethnique.

[Ndlr : être testé positif au Covid-19 avec un test non prévu pour diagnostiquer une maladie (et qui engendre d’autant plus de faux positifs que le nombre de cycles d’amplification utilisé est élevé) ne signifie nullement que l’on a cette maladie. Voir : Les tests de coronavirus positifs ne sont pas des «cas»: les experts de la santé démystifient le faux récit des médias mainstream sur la COVID-19]

Toutefois, les données de surveillance montrent également que les enfants sont globalement moins touchés par la maladie. Un rapport publié en août 2020 par l’Agence Européenne du contrôle et des maladies indique que moins de 5% des cas Covid-19 signalés dans l’Union Européenne concernent des personnes de moins de 18 ans. 

Quels sont leurs symptômes ? 

Selon l’étude Ped-Covid coordonnée par l’hôpital Necker et l’Institut Pasteur auprès de 775 enfants âgés de 0 à 18 ans, testés positifs dans sept hôpitaux parisiens et de la proche couronne entre le 1er mars et le 1er juin 2020, 69.4% de ces jeunes patients ne présentaient aucun symptôme. D’ailleurs, d’après cet article, Bruno Hoen, directeur de la recherche médicale à l’Institut Pasteur, affirme même que « Les signes très caractéristiques que sont la perte du goût et de l’odorat n’ont jamais été observés chez les moins de 15 ans ». Quand l’infection se manifeste par des signes cliniques, c’est le plus souvent « par un syndrome grippal banal » explique le Dr Fabienne Kochert, pédiatre. Les symptômes constatés sont : fièvre, toux, irritabilité ainsi que des problèmes digestifs (vomissements, diarrhées). 

Sont-ils hospitalisés ? 

Alors qu’ils constituent 17,75 % de la population française, les moins de 15 ans ne représentent même pas 1% des patients hospitalisés et des décès. Les formes graves sont exceptionnelles, ce qui explique la rareté des jeunes patients à l’hôpital. Quelques cas de maladies de Kawasaki ont été découverts en début de pandémie avec les premières souches du virus (sans qu’un lien formel ne soit établi), ces infections semblant baisser avec l’arrivée des variants, virus généralement plus contagieux mais moins agressifs que le virus original présent lors de la première vague. 

Décèdent-ils du Covid ? 

Depuis le 1er mars 2020, six décès d’enfants âgés de 0 à 14 ans ont été enregistrés lors d’une hospitalisation pour Covid en France. En général, ces enfants sont en mauvaise santé, présentent une ou plusieurs comorbidités, à l’exemple de cet enfant de 9 ans décédé d’une atteinte neurologique liée à un arrêt cardiaque qui a pourtant été comptabilisé dans les décès Covid car sa sérologie indiquait qu’il avait été au contact du coronavirus sans en avoir les symptômes.

Une étude européenne publiée dans la revue spécialisée The Lancet Child & Adolescent Health, portant sur 582 patients positifs par test PCR dans 82 établissements de santé, a montré que seuls quatre enfants sont décédés dont deux avec des comorbidités préexistantes. 

Les enfants sont-ils contaminants ? 

Là aussi, regardons ce que disent les études. Par exemple, l’étude menée par l’Institut Pasteur dans des écoles de l’Oise, sur 510 enfants de six écoles primaires : les cas déclarés dans ces écoles avant les vacances n’ont pas donné lieu à des cas secondaires, que ce soit parmi les autres écoliers ou parmi les enseignants. En revanche, les parents étaient plus infectés chez les enfants positifs. L’étude conclut que les parents ont été la source de l’infection et pas l’inverse. D’autres études vont également dans ce sens, en atteste le professeur Robert Cohen, pédiatre : « les enfants ne sont pas des super-contaminateurs, bien au contraire, ils sont de tout petits contaminateurs ».

Citons enfin le cas de ce garçon de 9 ans, positif au Covid, qui a continué à vivre normalement (écoles, ski-club, auprès de ses parents et ses deux frères…) sans contaminer aucune des 172 personnes vivant à son contact, dont 112 élèves et professeurs. 

Enfin, d’après l’Association Française de pédiatrie ambulatoire, « les facteurs de division du risque par rapport aux adultes sont de l’ordre de 1/10 000 pour les décès, de 1/1000 pour les formes graves, 1/100 pour les hospitalisations, 1/3 sur le pourcentage de PCR positives. Ceci est particulièrement vrai chez l’enfant de moins de 10 ans ». Ainsi, on peut au bout d’un an et demi de pandémie, affirmer que :

  1. Oui, les enfants peuvent attraper le virus du Sars-Cov-2.
  2. Mais, ils ont peu de symptômes.
  3. De plus, ils ne sont quasiment pas hospitalisés.
  4. En outre, les décès sont extrêmement rares, favorisés par des comorbidités.
  5. Enfin, ils contaminent peu, y compris leur entourage proche. 

La crainte selon laquelle les enfants contamineraient leurs parents ou leurs grands-parents n’est fondée sur aucun argument statistique, et même si cette possibilité n’est pas à exclure totalement car il existe toujours des cas isolés, elle est d’une rareté notoire. Ce coronavirus n’est donc pas une menace mortifère pour nos chères têtes blondes. Par conséquent, à ce stade, l’intérêt d’une vaccination semble assez limité, puisque grâce à leur système immunitaire et leur physiologie de jeunes êtres humains, les enfants résistent naturellement au Covid-19.

Les scientifiques tentent d’ailleurs à l’heure actuelle de comprendre pour quelles raisons et par quels mécanismes les plus jeunes ne sont pas touchés par le Covid-19 comme le sont les adultes. 

Les vaccins chez les enfants

Rappelons qu’en France, certains vaccins sont obligatoires. L’hexagone est d’ailleurs l’un des seuls pays au monde à imposer pas moins de onze vaccins aux nouveaux nés depuis 2018. Les maladies visées sont la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, la rougeole, les oreillons, la rubéole, l’haemophilus Influenza de type B, l’hépatite B, le pneumocoque, et le méningocoque de type C.

Ces infections ont pour caractéristiques d’être assez voire très contagieuses, de donner parfois des séquelles à vie et surtout d’être mortelles, en particulier chez les jeunes enfants. Dans ces cas précis de maladies malignes, on comprend donc aisément que les vaccins puissent sauver des vies ou éviter des handicaps. Mais qu’en est-il du vaccin Covid ? Pourquoi faudrait-il vacciner des enfants contre un virus qui ne les affecte pas, ne les rend pas malades, et qu’ils ne transmettent pas à leur entourage ? Étrange volonté que de vouloir injecter un sérum pour un bénéfice direct quasi nul, vous en conviendrez. 

Regardons de plus près ce que sont ces vaccins Covid.

Quatre vaccins sont actuellement autorisés en France : le Pfizer et le Moderna, tous deux à technologie ARN messager (ARNm) ; et l’AstraZeneca et le Janssen, tous deux à adénovirus.Ces sérums marquent une rupture dans la fabrication classique des vaccins car les deux techniques utilisées sont nouvelles, et n’ont jamais avant la pandémie de Covid-19, été utilisées à grande échelle sur l’homme. 

Un vaccin traditionnel utilise le virus atténué ou désactivé : injecté dans le corps, les cellules l’identifient comme étant un intrus et fabriquent des anticorps spécifiques. Appelons-les les soldats. Si par la suite, la personne vaccinée est confrontée au virus en question, son organisme possède déjà une armée de petits soldats prêts à le combattre, entourés d’autres combattants, les lymphocytes T. Ces « soldats anticorps » s’amenuisent avec le temps, c’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est nécessaire de faire des rappels de certains vaccins, afin de renouveler les effectifs. Vous remarquerez ici que le vaccin traditionnel stimule de façon assez mécanique mais naturelle le système immunitaire, ceci par un leurre de vrai/faux virus. 

Les vaccins à ARNm envoient un message codé en langage ARN aux cellules du corps du vacciné. Le message est limpide : il faut produire une protéine, appelée protéine Spike. Après le vaccin, les cellules se mettent à produire Spike, reconnue comme un intrus et combattue à son tour par les petits soldats vus plus haut : les anticorps. 

Les vaccins à adénovirus, ou vecteur viral, utilisent quant à eux des virus vivants ayant été rendus inoffensifs, et dans lesquels on a greffé un morceau d’ADN (un message génétique). Cet ADN est délivré dans les cellules du vacciné, traduit en ARN (le même message mais dans un autre langage), qui code la protéine Spike. Le mécanisme est ensuite le même que précédemment avec l’ARNm : fabrication des anticorps spécifiques. Pour AstraZeneca par exemple, l’adénovirus injecté est un adénovirus de chimpanzé, pour Spoutnik et Janssen, ce sont des adénovirus humains. 

Ces deux nouvelles techniques, ARNm et vecteur viral, sont bien différentes des vaccins traditionnels : l’ordre donné aux cellules humaines consiste à produire la protéine de pointe du virus, c’est-à-dire une partie de celui-ci, plus précisément les molécules qui l’entourent et qui lui permettent d’infecter la personne contaminée. La protéine Spike est en effet la clé qui permet au coronavirus d’entrer dans le corps humain. Le principal avantage de ces deux techniques est la rapidité avec laquelle les laboratoires ont pu mettre au point ces vaccins, là où il faut habituellement des années de recherche, de tests, d’ajustements, d’échecs, puis de réussites (en moyenne le développement d’un vaccin prend entre 10 et 15 ans).

Cette fois pour le Sars-Cov-2 l’industrie pharmaceutique a ici été capable de concevoir, tester, demander les autorisations, les obtenir, puis produire des sérums à grande échelle en moins d’une année. Heureusement, vous vous en doutez, les autorités sanitaires veillent au grain : les autorisations accordées sont conditionnées. Dans cet article du CTIAP de l’Hôpital de Cholet qui a décortiqué les documents officiels publiés par l’Agence Européenne du Médicament, on apprend qu’AstraZeneca a jusqu’à mars 2024 pour préciser les substances actives et excipients de son vaccin ainsi que les résultats définitifs de son étude clinique. On appelle cela une « AMM conditionnelle » : une autorisation de mise sur le marché qui pose des conditions.

Pfizer et Janssen ont quant à eux jusqu’à décembre 2023 pour déposer la confirmation de l’efficacité, de la sécurité et de la tolérance de leurs vaccins. Le plus pressé des quatre laboratoires est Moderna, qui doit se dépêcher de donner ses conclusions puisque son échéance est fixée à décembre 2022. 

Oui vous avez bien lu.

Les quatre vaccins actuellement inoculés à l’ensemble de la population adulte volontaire sont encore en phase d’essai. Sous pression de l’urgence pandémique, les autorités sanitaires ont pris pour argent comptant les études menées par les laboratoires eux-mêmes, et ont accepté de mettre sur le marché des vaccins… dont l’innocuité est encore à l’étude. Ces laboratoires sont au-dessus de tout soupçon, bien entendu. Par exemple Pfizer détient un record mondial. En 2009, il a été condamné à payer 2,3 milliards de dollars pour pratiques commerciales frauduleuses. En cause un anti-inflammatoire aux effets secondaires entraînant des complications cardiaques ainsi que trois autres médicaments mis sur le marché et largement promus.

Et l’herbe n’est pas forcément plus verte ailleurs. Le laboratoire Johnson&Johnson (Janssen) mouillé en 2020 dans le scandale du talc qui donne des cancers, a écopé d’une condamnation de 2,1 milliards de dollars.

Le groupe AstraZeneca, qui est actuellement poursuivi par l’UE pour non-respect de ses engagements de livraison de vaccins, a dû régler une amende de 60 millions d’euros en 2005 pour utilisation abusive du système de brevets et des procédures de commercialisation des produits pharmaceutiques afin de prévenir ou de retarder l’arrivée sur le marché de médicaments génériques qui concurrençaient son anti-ulcéreux. C’est ainsi que partout dans le monde on inocule des sérums, sans être totalement certains qu’ils sont inoffensifs à court, moyen et long termes. Enfin, pas tout à fait.

À court terme, nous disposons de quelques indicateurs grâce à la pharmacovigilance dont le travail consiste à récolter les effets indésirables des médicaments et vaccins, à partir de déclarations volontaires des soignants et patients. En France, elle est assurée par les CRPV et l’ANSM. Vous qui lisez cette tribune, vous pouvez si vous le souhaitez déclarer des effets secondaires en cliquant ici. C’est un acte citoyen qui permet de surveiller la survenue de symptômes liés aux médicaments et ainsi de déceler des molécules dangereuses. 

Que dit la pharmacovigilance sur les vaccins Covid ? 

À l’échelle de la France, deux articles doivent nous alerter. Le premier concerne le centre de pharmacovigilance de Tours qui, submergé par les signalements sur les vaccins, a demandé aux patients et aux médecins de ne pas tout déclarer afin de prioriser les signalements les plus graves.

Une pharmacovigilance oui, mais une pharmacovigilance sélective.

Le second article porte sur le centre du Limousin, qui reçoit en temps normal, d’après le Professeur Marie-Laure Laroche, responsable du centre, « à peine 10 notifications par an pour les vaccins classiques » mais qui, en quatre mois et demi de vaccination Covid, a vu les déclarations multipliées par 400, soit 4000 déclarations. Répétons-le pour ceux qui n’étaient pas totalement concentrés et buvaient une gorgée de leur thé préféré : multipliées par quatre-cents !

Enfin, les derniers rapports de l’ANSM disponibles en ligne, font état de près de 20000 cas d’effets secondaires liés à Pfizer, dont 5245 cas graves, dont 580 décès. Au total pour les quatre vaccins, 37 018 cas ont été rapportés, dont 26% de cas graves (hospitalisation, séquelles, décès).

Répétons-le pour mieux accentuer : cinq-cent-quatre-vingts décès liés uniquement au vaccin Pfizer en France du 28 décembre 2020 au 13 mai 2021. À l’échelle de l’Europe, EUDRAVIGILANCE, la base européenne de pharmacovigilance, enregistre des signalements d’effets indésirables comme jamais. Au 22 mai 2021, la comparaison avec deux autres lots de vaccins contre la grippe et la diphtérie est sans appel : les vaccins Covid sont les plus agressifs de toute l’histoire des vaccins administrés à l’homme, mais également les plus meurtriers !En additionnant les cas de décès post-vaccinaux des quatre vaccins, le total s’élève à plus de 12 000 morts. 

Aux USA, pays qui a vacciné 50% de sa population adulte, le VAERS, système de surveillance sous la responsabilité des CDC – Centers Disease of Control – enregistre des chiffres tout aussi alarmants, jugez plutôt :Sur les vingt dernières années (jusqu’à début mai 2021), le VAERS a enregistré 4182 décès, tous vaccins confondus. Du 14 décembre 2020 au 3 mai 2021, il comptabilise très exactement 4178 morts liés aux vaccins Covid. Ces seuls vaccins parviennent donc à eux-seuls, à totaliser en une poignée de mois autant de décès que TOUS les vaccins injectés au cours des vingt dernières années sur le sol américain. 

Le plus inquiétant est que la pharmacovigilance n’est qu’un indicateur. Elle ne recense pas de manière exhaustive et obligatoire tous les décès et effets secondaires qui surviennent après vaccination. Si, d’après le VIDAL, tous les effets secondaires – sérieux ou anodins – doivent être signalés dans les bases, il n’en est rien en pratique. En effet, les professionnels de santé et les patients n’en signalent qu’une infime partie, que ce soit par oubli ou plus simplement par manque d’informations sur les procédures à suivre. 

Par ailleurs, depuis les vaccins Covid, des consignes sont données pour ne signaler que les effets secondaires inattendus ou graves. Nous venons donc de décrire sommairement ce que sont les vaccins Covid, les études et essais toujours en cours, et une pharmacovigilance qui s’emballe malgré le faible taux de remontées. Certains se sont peut-être étranglés en découvrant les données, d’autres ont sans doute cliqué sur les liens et sont estomaqués de découvrir que de telles informations aussi cruciales sur les vaccins ne soient pas davantage rendues publiques. Ces signaux doivent nous alerter sur la vaccination des enfants.

Pouvons-nous accepter d’injecter ces formules inédites dans les bras de nos progénitures sans prendre la mesure des effets possibles sur leur santé ?Pouvons-nous accepter de vacciner nos enfants compte tenu des nombreux dommages causés aux adultes ?Ne devons-nous pas attendre que les essais soient totalement terminés avant de prendre une telle décision ? 

Des essais en cours sur les enfants aux États-Unis 

Connaissez-vous l’âge du plus jeune vacciné au monde ? Il s’appelle Vincenzo Mincolla, petit bonhomme joufflu, tétine en bouche, qui a reçu sa première dose de Pfizer à l’âge de 7 mois, et sa deuxième à 8 mois (voir la vidéo de son injection ici). Ses deux parents sont soignants et ont accepté sans hésitation d’enrôler leur bébé dans l’essai clinique de Pfizer « au nom de la science ». 

Depuis le 16 mars 2021, des essais menés par Moderna sont en cours aux USA et au Canada sur 6750 enfants et bébés âgés de 6 mois à 11 ans. D’autres essais sont en cours avec Pfizer et AstraZeneca. Les résultats ne sont pas encore publiés mais gageons que puisque les enfants ne sont quasiment jamais malades du Covid, les vaccins montreront une efficacité exceptionnelle. Reste à connaître les effets secondaires. 

Le VAERS fait état de plusieurs dizaines de cas d’effets indésirables graves et dont des décès d’enfants et adolescents ayant reçu une ou plusieurs doses de Pfizer ou de Moderna. Les cas sont rapportés par des soignants ou les familles des patients, ce qui complique la fiabilité des sources. Il est difficile de trouver des articles fiables.Néanmoins, voici deux exemples issus du VAERS, l’un d’une petite de 2 ans et l’autre d’une jeune fille trisomique de 15 ans, toutes deux décédées. 

On ne compte plus les témoignages de proches de victimes sur les réseaux sociaux… qui disparaissent comme par magie ; notamment sur Youtube et Facebook. Plusieurs groupes du réseau social n°1 mondial rassemblant diverses expériences malheureuses de vaccinés ont tout simplement été fermés. On peut raisonnablement se poser des questions. Certaines vérités ne semblent pas « désirées » car seule compte la propagande vaccinale. 

En Israël, pays ayant complètement vacciné 56,6% de sa population avec les deux doses, des voix s’élèvent contre la vaccination des enfants car des cas de myocardites chez des patients jeunes ont été rapportés. 

Conclusion 

Nul doute que vous avez désormais terminé votre boisson, et que malgré sa chaleur, cet article a jeté un froid. 

Tout d’abord car les nouvelles ne sont guère réjouissantes. Les vaccins ne sont pas aussi fiables que ce qu’on nous assure. Malgré toute l’énergie déployée par les éminents spécialistes des plateaux TV et des radios pour convaincre et apaiser les craintes, les chiffres et les documents non publiés parlent d’eux-mêmes : des incertitudes planent sur les effets à moyen et long termes des vaccins. Vous, ou vos proches et amis, avez peut-être reçu une ou plusieurs doses. Certains ont été très malades, d’autres n’ont rien remarqué, mais depuis, une fatigue, des maux se sont réveillés ou sont apparus. Quelques-uns d’entre vous ont d’ailleurs pu observer une recrudescence d’AVC ou de problèmes cardiaques dans leur entourage, ou ont assisté aux obsèques d’une personne âgée, qui avait été vaccinée quelques jours avant son décès. Il n’y a pas de mystère, ni de coïncidences. Il faudrait être aveugle ou inconscient pour ne pas établir formellement de lien de causalité entre l’injection et tous ces événements qui surviennent dans les heures, les jours ou les semaines qui suivent. 

Désormais vous savez. Vous venez de prendre connaissance d’un faisceau d’indices qui doivent vous alerter sur la vaccination de vos enfants. Une maladie qui ne les touche pas, des vaccins encore en phase d’essais, des informations négatives peu dévoilées au grand public, une pharmacovigilance qui s’emballe, des cas de décès et effets indésirables graves signalés sur des enfants… que des indicateurs au rouge. Désormais, si vous décidez de mener vos enfants à l’aiguille, et que tout ne se passe pas comme prévu, vous ne serez pas les victimes désinformées d’un système qui promeut la vaccination, non. Non, vous serez des parents responsables de ce qui arrive à leurs enfants. Vous croiserez leur regard en ayant conscience à chaque instant que vous ne les avez pas protégés, et ceci malgré tout l’amour que vous leur portez. L’Agence Européenne du Médicament vient de donner son feu vert pour le vaccin Pfizer des 12-15 ans.

De grands scientifiques, comme Arnaud Fontanet, épidémiologiste et membre du conseil scientifique, déclarent aux micros des journalistes de France Info et BFM qu’il faut vacciner les enfants pour atteindre l’immunité collective, et ceci, sans apporter un seul argument rationnel valable.

À quel prix ? Si un seul adolescent ou enfant décède du vaccin en France, ce sera pour sauver qui ? Une personne âgée de plus de 85 ans (âge médian des morts Covid sur les 100 000 premiers décès) ? Un adulte avec comorbidités ?D’autres, comme l’éditorialiste Eric Naulleau dans l’émission TPMP ou encore le philosophe Raphaël Enthoven dans l’émission Les Grandes Gueules sur RMC, qui n’ont ni diplôme scientifique, ni formation médicale, encensent la vaccination obligatoire pour tous avec une ferveur douteuse. Sans parler du footballeur Kylian Mbappé, un modèle pour de nombreux jeunes, qui s’affiche pansement sur le bras sur les réseaux sociaux.

Qui sont ces gens ? Ont-ils lu ne serait-ce qu’une seule étude randomisée ? Quelles sont leurs qualifications pour jeter l’opprobre sur les réticents, qui eux, s’informent du mieux qu’ils peuvent ? La vaccination n’est pas un débat philosophique, politique ou sportif. Elle doit rester un enjeu sanitaire et une décision médicale.

Et moi ? Qui suis-je pour vous avoir amené jusqu’à la fin de cette tribune ? Je ne suis personne. Ni épidémiologiste au conseil scientifique, ni politicienne, ni philosophe, ni sportive, ni éditorialiste. Et c’est justement parce que je ne suis rien de tout cela, que je suis vous. Une maman qui aime ses enfants, une fille qui veut protéger ses parents, une amie qui veille sur ses proches. Comme vous, je n’apprécie pas qu’on m’assomme et me matraque chaque jour de publicités et de messages sur et pour la vaccination, ni que les médias filtrent les informations à l’aune de la propagande vaccinale. Comme vous, il n’y a qu’une priorité dans ma vie et dans mon cœur : la santé et le bien-être de mes enfants. C’est la raison pour laquelle j’attends la fin des essais cliniques et que je ne cèderai jamais aux mesures qui ne relèvent pas du bon sens. 

Pour conclure, reposons la question de départ : devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ? Vous êtes seuls juges. Mais maintenant, vous savez.

Auteur(s): Laure Gonlézamar pour FranceSoir


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Aux USA, un fusil à pompe offert pour un vaccin inoculé

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

Offrir un fusil à pompe pour une injection de vaccin reçue ? C’est la curieuse idée de loterie que la Virginie-Occidentale propose pour lutter contre la méfiance contre le vaccin. Car le phénomène ne touche pas que la France. Dans certains États américains, il faut lancer des loteries avec plusieurs millions $ de gains pour convaincre les plus réticents. Et un taux de réussite assez faible…

En Virginie Occidentale, les pouvoirs publics proposent 5 fusils à pompe et 5 fusils de chasse à gagner à la loterie pour ceux qui acceptent de se faire vacciner. Le premier tirage au sort aura lieu le 20 juin, jour de la Fête des Pères. Mais d’autres tirages sont prévus tout au long de l’été. En outre, la Virginie Occidentale offre d’autres lots hallucinants pour convaincre les réticents : des bourses d’études complètes, des camions personnalisés et des permis de chasse et de pêche à vie, mais aussi un lot de 1 million $.

Pour ceux qui, entre 16 et 35, acceptent une vaccination complète, l’État propose 100 $ d’obligations d’épargne ou de cartes-cadeaux.

Cette stratégie vise à augmenter le taux de vaccination dans l’État, qui est le plus bas des USA. 51% de la population y a reçu au moins une dose, et 41% une vaccination complète. Des chiffres supérieurs à la situation française, mais qui agacent les pouvoirs publics américains. 

Un phénomène généralisé outre-Atlantique

La Virginie Occidentale n’est pas le seul État à pratiquer ce système de loterie pour améliorer le taux de vaccination. Loin de la propagande relayée en France selon laquelle les Américains seraient largement vaccinés, beaucoup d’Etats rencontrent des difficultés pour remplir les salles d’attente. 

Cette méfiance des Américains oblige à multiplier ces loteries. Dans l’Illinois, l’État offre une séance de 100 tirs gratuite pour ceux qui se dévouent à subir le vaccin. L’Ohio et l’Oregon offrent également un million $ à la loterie. Dans le New Jersey, l’État offre des bières… 

Selon les sondages, ce sont surtout les électeurs du parti républicain qui hésitent à se faire vacciner. 




CoronaCircus – Tests ? Vaccinations ?? Passe sanitaire ??? Ils vont se faire coincer les uns après les autres !

[Source : rumble.com]

Traduction et doublage : Minima
Source : https://rumble.com/vh89df-ils-se-vont-se-faire-coincer-les-uns-aprs-les-autres.html
Source de la vidéo d’origine : https://youtu.be/c65Mg6rlOoo

Transcription :

De quoi s’agit-il, s’il ne s’agit pas de notre santé ? (9 mai 2021)

Comment auriez-vous réagi si on vous avait dit en tout début d’année 2020,
— Qu’à partir de la mi-mars 2020 et jusqu’au jour d’aujourd’hui, non seulement en Allemagne, mais partout dans le monde, les populations, y compris les enfants, seraient forcées de porter des masques,
— Que, au nom de ce qu’on appelle le confinement, toute la classe moyenne allemande ainsi que la classe moyenne de par le monde occidental seraient menacées de faillite,
— Que des millions d’opérations chirurgicales, de mesures de santé comme le dépistage du cancer, de rééducations et autres soins médicaux nécessaires, seraient reportés, avec des conséquences incommensurables pour la santé des personnes concernées,
— Que des milliers de malades en phase terminale, en Allemagne et dans de nombreux autres pays, seraient contraints de mourir seuls et dans l’isolement, sans la présence de leurs proches ?
— Que dans toute l’Allemagne et dans une grande partie du monde, des personnes seraient privées de leur liberté pendant des semaines entières, sans décision de justice, juste sur la base de ce que l’on appelle les « décrets de quarantaine » ?
— Qu’en Allemagne et dans beaucoup de pays, des personnes seraient poursuivies parce qu’elles ont fêté un anniversaire, se sont assises sur un banc public, ont fait un jogging, ou ont osé chanter ?

Les parlements remplis de nos représentants élus sont de facto privés de pouvoir, et les gouvernements, fédéraux et des Länder, ont émis une multitude de règlements arbitraires, dont personne ne comprend ni le contenu, ni les contraintes, et ce sans aucune légitimation par le peuple ?
Tous les droits démocratiques fondamentaux ont été de facto suspendus, y compris notre droit démocratique fondamental le plus important, la liberté d’expression.

01:41

Auriez-vous pensé que c’est normal et tout naturel, ou auriez-vous, au contraire, eu un sursaut d’incrédulité, et vous seriez demandé : « Mais comment est-ce chose possible dans une démocratie ? »
C’était une question rhétorique de ma part, bien sûr, car bien sûr, vous qui m’écoutez, vous vous seriez posé cette question.

Entre-temps, tout ce que je viens d’énumérer est devenu une réalité, mais il semble que personne parmi nos gouvernants ne se soit posé la question la plus pertinente au monde, à savoir : pour quelle raison est-ce que tout cela a été mis en place? Parce que jusqu’à aujourd’hui, nous n’avons pas obtenu de réponse à cette question, ni de la part du gouvernement fédéral ni des Länder. On a juste eu droit à : « On est en pandémie, donc obéissez. Faites ce qu’on vous dit et faites-le sans poser de questions. “
C’est d’ailleurs exactement ce que le Directeur du Robert-Koch-Institut RKI, un vétérinaire du nom de Wieler, nous a expressément expliqué lorsqu’il a exigé au nom du gouvernement fédéral — parce qu’il faut savoir que le RKI est une autorité supérieure fédérale, qui doit obéir aux instructions des gouvernements, au ministère fédéral de la Santé — lorsqu’il nous a publiquement expliqué qu’il ne fallait pas poser de questions, mais obéir aux injonctions.
Cela aurait dû nous estomaquer, couper le souffle à la démocratie, car une démocratie vit précisément de la compétence morale, et cette compétence morale, elle, requiert deux choses : la faculté de poser des questions au lieu de suivre aveuglément les ordres, et la faculté de discuter des autres opinions au lieu de les diffamer en bloc.
Tant la liberté de poser des questions que la capacité de débattre sont au cœur même de la liberté d’expression, et donc au cœur de la démocratie.
Cet arrêté gouvernemental — rappelons encore une fois que le RKI est une administration tenue de respecter des instructions, — a été le début de l’attaque la plus grave jamais perpétrée contre notre démocratie.

03:41
Les questions sous-jacentes qui en découlent sont donc :
Dans l’intérêt de qui se déroule cette attaque de notre propre gouvernement contre notre démocratie, c’est-à-dire contre le pouvoir du peuple ?
Et plus précisément, qui a intérêt à détruire le pouvoir du peuple, la démocratie, et à le remplacer par ce que nous avons vu au cours de l’année écoulée, un régime totalitaire fasciste.

Commençons par la question de fond :
Sur quelle évidence se fonde cet arrêté qui détruit la démocratie et cause des dommages gigantesques ?
Si l’on avait posé des questions concrètes à ce sujet, et si le gouvernement fédéral avait engagé une discussion publique, voire s’il avait seulement respecté le principe général « audiatur et altera pars », « Que l’autre partie soit également entendue » au lieu de suivre exclusivement les demandes de plus en plus effrontées d’un certain Monsieur Drosten, alors ces trois questions spécifiques auraient dû être posées :

04:43
— Premièrement, quelle est la dangerosité réelle de ce nouveau virus présumé ?
La réponse aurait été de se ranger à l’avis de la certes très controversée OMS et à celui du très respecté professeur Docteur John Ioannidis de l’Université de Stanford, selon lequel, avec un taux de mortalité par infection de 0,14 à 0,26 %, le virus n’est pas plus dangereux que la grippe saisonnière.

— Deuxièmement, quel est l’impact sanitaire et économique des mesures prises dites « Anti-Corona » ?
La réponse très détaillée et précise à cette question est disponible au ministère fédéral de l’Intérieur depuis mai 2020 sous la forme de ce que l’on appelle désormais le « document sur les fausses alertes ». Ce document a été préparé par un spécialiste du ministère de l’Intérieur hautement qualifié et formé à l’évaluation des risques pour protéger la population, et entre-temps, tout le monde connaît la réponse telle que décrite ci-dessus : les effets des mesures dites Anti-Corona sont dévastateurs.

— Troisièmement, quelle est la fiabilité du test PCR de détection de l’infection que Drosten a mis au point dès janvier 2020 ?

À une époque où lui, Wieler et les autres déclaraient encore publiquement qu’il n’y avait rien à craindre du coronavirus. Et ce test fut dans la foulée recommandé par l’OMS dans le monde entier.
La réponse est la suivante : un test PCR ne peut fournir aucune information sur une infection, il n’est même pas homologué à cette fin. C’est pourquoi ce test ne dispose que d’une « autorisation d’utilisation d’urgence » aux États-Unis, et non d’une véritable autorisation à part entière.
Où ai-je trouvé les réponses à ces trois questions ? Ce sont les résultats du travail du Comité Corona, que ma collègue Viviane Fischer et moi-même avons fondé avec deux autres avocats le 10 juillet 2020, et qui a depuis été sans discontinuer conseillé par le pneumologue et ancien chef de service de santé publique de longue date, le Dr Wolfgang Wodarg, la Professeur Dr Ulrike Kämmerer, Professeur de biologie humaine de l’Université de Würzburg, et le professeur de droit Dr Martin Schwab de l’Université de Bielefeld.

Ce comité a depuis consulté une centaine de scientifiques respectés et de renommée mondiale : des médecins, des juristes, des économistes, des psychologues, des psychiatres et bien d’autres.

Il n’est même plus nécessaire d’expliquer à qui que ce soit que les dommages causés par ces mesures sont dévastateurs. Une troisième guerre mondiale n’aurait pas fait pire.
Le fait que le danger réel du virus — quel qu’il soit exactement, et indépendamment du fait qu’il n’a jamais été isolé de manière scientifiquement correcte, — ne dépasse pas celui de la grippe saisonnière, ce fait a même été admis par l’OMS, qui suppose un taux d’infection de 0,14 %, comme je l’ai mentionné tout à l’heure.

Et l’écrasante majorité de ceux qui meurent, ont plus de 80 ans, et présentent de multiples pathologies préexistantes graves. C’est ce que prouvent, entre autres, les autopsies réalisées par le professeur Püschel de Hambourg, et, curieusement, réalisées contre la volonté expresse du RKI.
Entre-temps, des dizaines de scientifiques ont confirmé que le test dit « Test PCR de Drosten », devenu tristement célèbre dans le monde entier, ne permet pas de tirer des conclusions sur les infections, contrairement aux affirmations de son inventeur Monsieur Drosten. Même l’OMS et le CDC, l’institut de référence américain homologue du RKI allemand, l’ont admis et ont souligné qu’un test positif ne dit rien sur le caractère infectieux de la personne testée.

Cela est dû au fait que ce test ne permet pas de faire la distinction entre les matériaux vivants et les matériaux morts. Il ne peut donc pas dire si ce qu’il détecte est un fragment mort, vestige de la défense réussie du système immunitaire de l’organisme contre une attaque virale surmontée dans le passé, ou si un virus vivant a effectivement pénétré dans les cellules et s’y multiplie. Or, c’est uniquement cela qui conduirait à une infection. Ce test ne peut pas non plus nous indiquer si les symptômes qui apparaissent chez une personne ne proviennent pas d’un autre agent pathogène, par exemple un virus du rhume ou de la grippe.

D’ailleurs, le CDC indique en deux phrases que « la mise en évidence d’un ARN viral ne suggère pas la présence d’un virus infectieux ou que le Covid 19 est l’agent responsable des symptômes cliniques », et que « ce test ne permet pas d’exclure une maladie causée par d’autres agents bactériens ou viraux ».

Ah oui, et bien évidemment : Ces deux déclarations présupposent que la personne testée présente des symptômes, par exemple des maux de tête ou de gorge, douleurs dans les membres, diarrhée, etc.
Normalement, une personne qui ne présente aucun symptôme, c’est-à-dire aucun trouble, et qui, par conséquent, ne pourrait donner au médecin aucune indication pour un diagnostic médical de quoi que ce soit, eh bien une personne qui n’a rien ne va pas chez le médecin. Que répondre en effet à la question du médecin : « De quoi souffrez-vous ? » si vous ne présentez aucun symptôme ?
Normalement, du moins jusqu’à l’arrivée de Corona, les personnes ne présentant aucun symptôme étaient considérées comme étant en bonne santé — et perçues comme telles.

Notons également que cette affirmation selon laquelle il existerait des infections sans symptômes dites « asymptomatiques » est une thèse que Monsieur Drosten a également soutenue. Or, comme l’a montré récemment une étude menée auprès de 10 millions de participants à Wuhan, en Chine, à la fin de l’année dernière, il n’existe aucune infection asymptomatique.

Donc, résumons : ces deux affirmations fausses — l’affirmation selon laquelle il existe des infections asymptomatiques et l’affirmation selon laquelle le test PCR de Drosten peut détecter les infections — proviennent toutes deux de Drosten lui-même.

Il les a publiées au début de l’année 2020 dans deux documents qui ne répondent même pas aux normes scientifiques reconnues. D’ailleurs, au sujet de ces tests PCR, 22 scientifiques de renommée internationale se sont accordés pour le faire savoir dans leur soi-disant rétraction papier « document de rétractation ».
De plus, lorsqu’il a publié ces déclarations, il savait pertinemment qu’elles étaient fausses. Il savait, au moment de la publication, et au sujet de l’infection asymptomatique, que le cas qu’il a cité comme exemple d’une femme chinoise en visite en Allemagne n’était pas du tout asymptomatique. Elle avait même traité ses symptômes avec un médicament communément utilisé contre la grippe.

Et selon une interview qu’il a accordée à la Wirtschaftswoche en 2014, il avait parfaitement conscience qu’un test PCR positif ne veut rien dire en matière d’infection.

Mais Monsieur Drosten, outre de graves conflits d’intérêts financiers, a un tout autre problème de crédibilité. En effet, des doutes planent sur sa thèse de doctorat, et s’il a en fait le droit de porter ce titre de docteur. À ce sujet, une action en justice est en cours.

Au sujet de sa crédibilité également. Pendant l’épidémie de grippe porcine de 2009, et avec l’Anglais Neil Ferguson, aujourd’hui complètement discrédité, il a averti le public des conséquences désastreuses et des millions de morts si une vaccination de masse n’avait pas lieu immédiatement.
Ces prédictions se sont révélées totalement infondées et erronées, et la grippe porcine s’est avérée être une « grippe bénigne ». Cependant, les vaccins avaient déjà été achetés par de nombreux pays de par le monde — à des conditions qui sont restées d’ailleurs secrètes jusqu’à ce jour — et ont ensuite été injectés avant que tous les stocks ne soient détruits à grands frais. En conséquence, environ 1300 enfants, notamment en Scandinavie, sont gravement handicapés à vie parce qu’ils souffrent de narcolepsie.

La question est de savoir pourquoi le gouvernement fédéral, sans même un soupçon d’empathie ou de compassion, a suivi les conseils de cet homme et ses demandes de confinement massif, pourquoi il a ordonné ces mesures dévastatrices qui, entre autres, ont ainsi laissé des malades en phase terminale mourir seuls, sans l’accompagnement de leurs proches.

Et pourquoi le gouvernement a-t-il non seulement refusé de prendre connaissance d’autres opinions, mais les a rejetées en bloc en les qualifiant d’extrême droite, d’antisémites et de théories du complot, sans même seulement les examiner, et encore moins en discuter ?

Bref, comment se fait-il que le gouvernement — et, dans la foulée, le gouvernement des Länder — ait sciemment et volontairement ordonné des mesures mortifères et dévastatrices, qu’il ait exigé que personne ne pose de questions et qu’il ait en outre ignoré et délibérément dénigré tous les autres avis scientifiques et médicaux qui affirmaient que le nouveau virus présumé ne représentait pas une plus grande menace que le virus de la grippe, qu’il existait des traitements efficaces qui ne coûtaient pratiquement rien et que les mesures dans leur ensemble causeraient les dommages sanitaires et économiques les plus dévastateurs.
Comment le gouvernement fédéral en est-il venu à ignorer même les données corroborantes détaillées dans le volumineux « document sur les fausses alertes » que j’ai déjà mentionné, rédigé par un fonctionnaire hautement qualifié du ministère de l’Intérieur chargé de la défense civile ?
Et surtout, pourquoi le gouvernement fédéral, en désaccord complet avec le code de Nuremberg, autorise-t-il une expérience médicale sur sa propre population, et pour ce faire, lui ment délibérément.
Pourquoi le gouvernement fédéral permet-il que la population, qui est poussée dans cette direction depuis un an, soit traitée avec un produit dénommé vaccin, qui est en fait un traitement génétique dont l’efficacité est très controversée, et dont la dangerosité n’a jamais été testée de manière adéquate dans aucune étude scientifique, et qui l’est en ce moment même, « en direct », pour ainsi dire, sur une population sans méfiance.
Pourquoi, après des effets secondaires massifs, y compris une multitude de décès signalés, pour lesquels toute étude sérieuse serait immédiatement interrompue, pourquoi le gouvernement permet-il à cette expérience de se poursuivre ?

14:50
Pour résumer : quels intérêts le gouvernement allemand représente-t-il lorsqu’il ordonne des mesures aussi destructrices ? Ceux du peuple allemand, ou d’autres, totalement différents ?

Étant donné le fait évident que des représentants du gouvernement intelligents et empathiques n’agiraient jamais de la sorte, contre leur propre peuple, en optant pour des mesures qui porteraient gravement atteinte à leur santé, à leur économie et, surtout, à la démocratie, la question qui se pose et s’impose, c’est : Au nom de qui le gouvernement agit-il de la sorte ? Et pour quelles raisons ?
Lorsque l’on sait que les conseillers principaux du gouvernement fédéral allemand, sont, outre Drosten, le Wellcome Trust et la Fondation Bill & Melinda Gates, des représentants de haut rang de l’industrie pharmaceutique productrice de vaccins et de l’industrie technologique, qui tous réclament unisono l’introduction d’un passeport numérique de vaccination, on peut soupçonner que ce sont leurs intérêts qui sont représentés ici, et non ceux de la population, et ce, sans aucune empathie.

15:52
Un regroupement de plus en plus important d’avocats internationaux, en particulier de droit anglo-américain, travaille en étroite coopération pour faire la lumière dans l’obscurité et trouver les réponses aux questions suivantes : qui est derrière tout cela, et qui doit être tenu pour responsable. Car comme l’a dit le juriste Louis Brandeis, ancien membre de la Cour suprême aux États-Unis, « Sunlight is said to be the best of disinfectants » — « la lumière du soleil est le meilleur de tous les désinfectants » –

Et cette lumière du soleil, c’est la lumière au bout du tunnel que nous pouvons d’ores et déjà tous apercevoir, elle est de plus en plus brillante.



Cette vidéo « ainsi que d’autres » est également disponibles en cliquant sur le lien ci-dessous : https://rumble.com/c/c-791093

🔴 Article détaillé des poursuites judiciaires : https://translate.google.com/translate?sl=en&tl=fr&u=https://dailyexpose.co.uk/2021/05/17/lawyers-and-medical-experts-worldwide-say-they-have-all-the-evidence-they-need-to-convict-who-cdc-phe-bill-gates-and-world-leaders-of-crimes-against-humanity/


[Voir aussi :
La Dictature médicale Secrète : Entretien historique entre la rescapée de l’holocauste Vera Sherav et l’avocat Reiner Fuellmich
Reiner Fuellmich : “Je vois une lumière à la fin de ce tunnel !”
État actuel de la procédure judiciaire menée par le Dr Fuellmich]




Tous les yeux sur la Suisse : le 13 juin 2021, c’est référendum contre la dictature sanitaire

[Source : medias-presse.info]

Par Alain Späth

Méthodes pernicieuses d’un côté, naïveté et puérilité de l’autre, les bureaucrates fédéraux à la botte du globalisme occulte sont sur le point de faire aboutir leur immense hold-up juridique sur le dos du peuple suisse. Heureusement, des citoyens se sont levés : grâce à eux, l’usage des libertés les plus fondamentales pourrait encore être prolongé pour quelque (précieux) temps…

Ce 13 juin, le peuple suisse est appelé à voter sur cinq objets – deux initiatives populaires et trois référendums. Les deux premiers, ainsi que l’un des trois référendums portent sur des questions de politique agricole et environnementale ; ils sont certes importants, mais secondaires au regard du « nouveau péril rouge » qui est en train de s’abattre sur toutes les nations de la terre. Effectivement, ce sont bien les deux derniers objets – « NON à la Loi Covid » et « NON à la Loi contre le terrorisme (MPT) » – qui sont urgents et cruciaux pour l’avenir de notre pays. Car si le OUI venait à l’emporter sur ces deux référendums le 13 juin, le peuple suisse sera cette fois à son tour totalement réduit au niveau d’aliénation politique des autres « démocraties » européennes et perdra très rapidement le peu de libertés véritables que lui garantissent encore à ce jour son système institutionnel et juridique.

Un NON nous donnerait à tous du temps supplémentaire pour organiser la résistance

Pour nous suisses, aucun doute, l’enjeu de ces votations est de taille. Un OUI à la Loi MPT pourrait ainsi par exemple avoir pour conséquence directe l’arrestation de l’auteur de ces lignes si le Conseil fédéral (pouvoir exécutif suisse) venait à le décider, la définition de « terroriste » étant si floue dans les articles de la loi en question que toute personne critique envers le gouvernement pourrait entrer dans cette catégorie. Mais cette problématique est relativement secondaire par rapport à la Loi Covid, car contrairement à celle-ci, elle reste une « affaire interne » ne concernant que les suisses et a donc peu d’influence, dans l’absolu, sur les autres pays d’Europe et du monde (la dictature sous toutes ses formes étant de toute façon déjà plus ou moins la norme partout). Aussi, comme il est naturel de n’avoir que peu d’intérêt véritable pour les affaires politiques d’un autre pays que le sien, nous n’insisterons pas plus sur la Loi MPT, mais nous concentrerons ici exclusivement et très brièvement sur la Loi Covid. Et pour cause : nous sommes convaincus que par l’universalité et l’actualité de son objet, un NON par le peuple suisse pourrait avoir des répercussions mondiales dans le combat et la résistance contre ce que nous considérons comme la phase finale de la Révolution, la consolidation totale de toutes les infrastructures du Nouvel Ordre Mondial : l’établissement du Royaume de l’Antéchrist.

Un enjeu qui dépasse de loin nos frontières

Amis français, belges ou canadiens, la votation contre la Loi Covid du 13 juin est aussi la votre !

Imaginez l’impact moral pour notre commun combat pour la liberté véritable ! Et en terme de jurisprudence : imaginez la matière sur laquelle les juges intègres de vos pays pourront s’appuyer ! Car nous avons tendance à l’oublier : malgré leur erreur fondamentale et leurs vices (laïcisme et positivisme juridique), les constitutions libérales telles qu’elles pouvaient s’appliquer jusqu’en 2020 ont au moins le mérite de préserver ce qui reste du bien commun des nations en leur garantissant le maintien d’une certaine paix et le développement d’une certaine prospérité. À l’inverse, si les « lois d’exceptions » parviennent à s’imposer à long-terme, comme le permettrait notamment le « hold-up juridique » qu’incarne la Loi Covid, nous ne disposerons plus d’aucun garde-fou contre les utopies sociales qui foisonnent dans les cervelles malades des héritiers contemporains des « philosophes » des Lumières. Car qu’est-ce que le concept « vous ne posséderez rien et vous serez heureux », si ce n’est le storytelling d’un « bolchévisme 2.0 », dont les idées sont aussi vieilles que « ces démons qui renaissent de siècles en siècles » (François de Charrette) ? Il n’est pas trop tard ! Nous pouvons encore enrayer cette mécanique infernale – ou du moins, la ralentir, le temps de reprendre notre souffle !

Alors concrètement, que faire ?

D’abord, si vous avez des amis et des connaissances en Suisse, informez-les de l’importance de cette votation du 13 juin : vous serez étonnés de constater à quel point nombre de suisses sont complètement « endormis » face à la gravité de la situation. Dites-leur de se former et d’alerter à leur tour leur cercle d’amis et de connaissances. Dans l’idéal, incitez-les à rejoindre une section locale de l’association des Amis de la Constitution : ils sont toujours à la recherche de citoyens motivés pour distribuer des tracts et coller des affiches ! Il n’est pas trop tard : nombre de gens sont indécis ou n’avaient peut-être pas l’intention de voter. Chaque voix compte ! (…)

NON à la dictature sanitaire !




The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement

[Source : anguillesousroche.com]

Une nouvelle méthode « audacieuse » utilise une protéine magnétisée pour activer les cellules du cerveau de manière rapide, réversible et non invasive.

Des chercheurs américains ont mis au point une nouvelle méthode pour contrôler les circuits cérébraux associés aux comportements complexes des animaux, en utilisant le génie génétique pour créer une protéine magnétisée qui active à distance des groupes spécifiques de cellules nerveuses.

Comprendre comment le cerveau génère le comportement est l’un des objectifs ultimes des neurosciences – et l’une de leurs questions les plus difficiles. Ces dernières années, les chercheurs ont mis au point un certain nombre de méthodes qui leur permettent de contrôler à distance des groupes spécifiques de neurones et de sonder le fonctionnement des circuits neuronaux.

La plus puissante de ces méthodes est l’optogénétique, qui permet aux chercheurs d’activer ou de désactiver des populations de neurones apparentés, à l’échelle de la milliseconde, à l’aide d’impulsions de lumière laser. Une autre méthode récemment mise au point, appelée chimiogénétique, utilise des protéines modifiées qui sont activées par des médicaments de synthèse et peuvent être ciblées sur des types de cellules spécifiques.

Bien que puissantes, ces deux méthodes présentent des inconvénients. L’optogénétique est invasive, car elle nécessite l’insertion de fibres optiques qui délivrent les impulsions lumineuses dans le cerveau. De plus, la pénétration de la lumière dans le tissu cérébral dense est fortement limitée. Les approches chimiogénétiques permettent de surmonter ces deux limitations, mais elles induisent généralement des réactions biochimiques qui prennent plusieurs secondes pour activer les cellules nerveuses.

La nouvelle technique, mise au point dans le laboratoire d’Ali Güler à l’université de Virginie à Charlottesville, et décrite dans une publication avancée en ligne dans la revue Nature Neuroscience, est non seulement non invasive, mais peut également activer les neurones rapidement et de manière réversible.

Plusieurs études antérieures ont montré que les protéines des cellules nerveuses qui sont activées par la chaleur et la pression mécanique peuvent être génétiquement modifiées pour devenir sensibles aux ondes radio et aux champs magnétiques, en les attachant à une protéine stockant le fer appelée ferritine, ou à des particules paramagnétiques inorganiques. Ces méthodes représentent une avancée importante – elles ont, par exemple, déjà été utilisées pour réguler le taux de glucose dans le sang des souris – mais elles impliquent de multiples composants qui doivent être introduits séparément.

La nouvelle technique s’appuie sur ces travaux antérieurs et se base sur une protéine appelée TRPV4, qui est sensible à la fois à la température et aux forces d’étirement. Ces stimuli ouvrent son pore central, permettant au courant électrique de circuler à travers la membrane cellulaire ; cela provoque des impulsions nerveuses qui se propagent dans la moelle épinière, puis dans le cerveau.

Güler et ses collègues ont pensé que les forces de couple magnétique (ou de rotation) pouvaient activer TRPV4 en ouvrant son pore central. Ils ont donc utilisé le génie génétique pour fusionner la protéine avec la région paramagnétique de la ferritine, ainsi que de courtes séquences d’ADN qui signalent aux cellules qu’elles doivent transporter les protéines vers la membrane des cellules nerveuses et les y insérer.about:blankCliquez pour accepter les cookies de marketing et activer ce contenu

Lorsqu’ils ont introduit cette construction génétique dans des cellules rénales embryonnaires humaines poussant dans des boîtes de Pétri, les cellules ont synthétisé la protéine « Magneto » et l’ont insérée dans leur membrane. L’application d’un champ magnétique a activé la protéine TRPV1 modifiée, comme en témoigne l’augmentation transitoire de la concentration d’ions calcium dans les cellules, détectée au microscope à fluorescence.

Ensuite, les chercheurs ont inséré la séquence d’ADN Magneto dans le génome d’un virus, avec le gène codant pour la protéine fluorescente verte et des séquences d’ADN régulatrices qui font que la construction n’est exprimée que dans des types spécifiques de neurones. Ils ont ensuite injecté le virus dans le cerveau de souris, en ciblant le cortex entorhinal, et ont disséqué le cerveau des animaux pour identifier les cellules qui émettent une fluorescence verte. À l’aide de microélectrodes, ils ont ensuite montré que l’application d’un champ magnétique sur les tranches de cerveau activait Magneto afin que les cellules produisent des impulsions nerveuses.

Afin de déterminer si Magneto peut être utilisée pour manipuler l’activité neuronale chez des animaux vivants, ils ont injecté Magneto dans des larves de poisson zèbre, en ciblant les neurones du tronc et de la queue qui contrôlent normalement une réaction de fuite. Ils ont ensuite placé les larves de poisson-zèbre dans un aquarium magnétisé spécialement conçu à cet effet et ont constaté que l’exposition à un champ magnétique induisait des mouvements d’enroulement similaires à ceux qui se produisent lors de la réaction de fuite. (Cette expérience a porté sur un total de neuf larves de poisson zèbre, et des analyses ultérieures ont révélé que chaque larve contenait environ 5 neurones exprimant Magneto).

Lors d’une dernière expérience, les chercheurs ont injecté Magneto dans le striatum de souris au comportement libre, une structure cérébrale profonde contenant des neurones producteurs de dopamine qui interviennent dans la récompense et la motivation, puis ont placé les animaux dans un appareil divisé en sections magnétisées et non magnétisées. Les souris exprimant Magneto ont passé beaucoup plus de temps dans les zones magnétisées que les autres, car l’activation de la protéine a provoqué la libération de dopamine par les neurones striataux qui l’expriment, de sorte que les souris ont trouvé gratifiant de se trouver dans ces zones. Cela montre que Magneto peut contrôler à distance l’allumage des neurones dans les profondeurs du cerveau, ainsi que des comportements complexes.

Le neuroscientifique Steve Ramirez, de l’université Harvard, qui utilise l’optogénétique pour manipuler les souvenirs dans le cerveau des souris, a déclaré que cette étude était « géniale ».

« Les précédentes tentatives [d’utilisation d’aimants pour contrôler l’activité neuronale] nécessitaient de multiples composants pour que le système fonctionne – injection de particules magnétiques, injection d’un virus exprimant un canal thermosensible, [ou] fixation de la tête de l’animal pour qu’une bobine puisse induire des changements dans le magnétisme », explique-t-il. « Le problème d’avoir un système à plusieurs composants est qu’il y a tellement de possibilités pour que chaque pièce individuelle se décompose. »

« Ce système est un virus unique et élégant qui peut être injecté n’importe où dans le cerveau, ce qui rend techniquement plus facile et moins probable que les cloches et les sifflets mobiles tombent en panne », ajoute-t-il, « et leur équipement comportemental a été intelligemment conçu pour contenir des aimants aux endroits appropriés afin que les animaux puissent se déplacer librement ».

La « magnétogénétique » est donc un ajout important à la boîte à outils des neuroscientifiques, qui sera sans aucun doute développé plus avant et fournira aux chercheurs de nouveaux moyens d’étudier le développement et le fonctionnement du cerveau.


Référence

Wheeler, M. A., et al. (2016). Contrôle magnétique génétiquement ciblé du système nerveux. Nat. Neurosci, DOI : 10.1038/nn.4265 [Abstract]


Lire aussi : Le mensonge de Bill Gates : « Je n’ai jamais été impliqué dans aucune sorte de chose de type micropuce »

Source : The Guardian – Traduit par Anguille sous roche