5G : la technologie militaire appliquée sur les civils, liée aux nanomatériaux injectés

[Source : favoris-alcyonpleiades via @Cielvoile]

Mark Steele, ingénieur et activiste britannique, parle du plan de guerre de l’élite basé sur le changement climatique et dont le but est de déclencher un massacre de masse en utilisant la 5G, qui est une arme, et en mettant en œuvre les villes de 15 minutes. La 5G est la clé, car elle est interconnectée avec le contenu des vaccins Covid.

[NDLR Autour de l’hypothèse de base de l’interaction entre notamment la 5G, la nanotechnologie vaccinale et les villes 15 minutes, il existe deux thèses principales qui évoquent toutes les deux un plan contre l’Humanité de la part d’entités non humaines.
La première est celle défendue par Ricardo Delgado Martin. Selon lui, ces entités ont pour objectif d’entasser les êtres humains dans les villes 15 minutes afin de mieux ensuite se nourrir de leurs énergies émotionnelles engendrées par la souffrance. Cette hypothèse se situe plutôt dans la ligne gnostique concernant des entités nommées Archontes.
La seconde défendue ici considère que l’entité maîtresse du plan est celle connue dans la Bible sous le nom de Satan, l’Adversaire de la Création et de l’Humanité. Son but n’a rien à voir avec le vol d’énergie humaine, mais avec celui de l’âme.

Dans la première hypothèse, l’Humanité est une éternelle victime, soumise à des entités manipulatrices dont le but serait de faire l’élevage des êtres humains comme source de nourriture énergétique émotionnelle.
Dans la seconde, l’Humanité peut être sauvée ou libérée en suivant la voie indiquée par le Christ, par le Bouddha Gautama et par d’autres sages du passé.

La première est peu cohérente, car des entités invisibles ne subissent pas les contraintes de la matière et n’auraient a priori pas besoin d’entasser leurs victimes dans des villes 15 minutes ou autres enclos pour sucer aussi bien leur énergie. Elle n’explique pas non plus l’empoisonnement croissant de l’Humanité depuis des décennies, ni la surmortalité vaccinale qui semble aussi être croissante, ni la volonté eugéniste des élites mondialiste. Celle-ci est d’ailleurs contradictoire avec le besoin supposé de nourriture émotionnelle pour ces entités. Un tel besoin s’accommoderait plutôt au contraire d’une forte population humaine. Enfin, les énergies provenant de la souffrance sont très négatives et de faible qualité. Pourquoi des entités se nourrissant d’énergie émotionnelle rechercheraient-elles une nourriture de mauvaise qualité provenant d’une Humanité si peu saine ?
La seconde paraît bien davantage cohérente et compatible avec les faits observés, notamment avec un empoisonnement croissant de l’Humanité, y compris sur les plans psychique et spirituel, de sorte à obtenir beaucoup de morts et d’âmes (sans que cela se remarque trop, au moins dans un premier temps). Elle est également compatible avec le transhumanisme, la technologie à outrance, l’IA, la nourriture synthétique, etc. Satan étant adversaire de la Création et donc du naturel biologique, mais promoteur du tout artificiel.]






Naomi Wolf évoque l’apartheid à l’égard des non-vaccinées

[Source : favoris-alcyonpleiades via @Cielvoile]

Naomi Wolf, écrivaine et journaliste américaine, PDG de « Daily Clout », dénonce le fait qu’elle a assisté du jour au lendemain — surtout en 2021 et 2022, à New York, où se trouvent la plupart de ses amis et collègues, ainsi qu’à Washington — à la création d’une société à deux vitesses, sur le modèle de la société « Jim Crow », ou le modèle employé pendant l’occupation de la France, lorsque les Juifs n’avaient pas le droit de se rendre dans certains endroits. C’est une forme de torture qui modifie le cerveau. Ceux qui ont été isolés et soumis à une propagande sans fin — en entendant que nous mettions tout le monde en danger, ou que le personnel d’urgence non vacciné les mettait en danger — pensaient qu’ils devaient être renvoyés pour avoir mis tout le monde en danger.



[Voir aussi, à propos de Nehls cité par Wolf :
Selon le Dr Michael Nehls, les vaccins anticovid ont transformé les gens en zombies décérébrés
« Il s’agissait de conquérir l’esprit humain. »
La Réinitialisation par l’effacement de la mémoire et la maladie mentale de masse]




Rappel : 2020, l’année où la planète entière est devenue un gigantesque asile d’aliénés, presque du jour au lendemain

[Illustration : AFP]

Rappel, si vous voulez éviter que cela se reproduise ou soit pire la prochaine fois :

et bien d’autres articles du dossier Vaccins et virus




Pour éradiquer le choléra, Mayotte n’a pas besoin de vaccin, mais d’eau potable !

[Illustration : AFP

« La crise de l’eau à Mayotte ne cesse de s’amplifier. L’eau courante va bientôt être accessible uniquement un jour sur trois, ce qui accélère les risques de choléra et de typhoïde, alors que l’archipel est déjà gangrené par la pauvreté. »

1er septembre 2023 (source)

]

Par Dr Gérard Delépine

Le ministre chargé de la Santé, Frédéric Valletoux s’est rendu à Mayotte pour rassurer les habitants :

« On a une poussée du choléra qui est contenue. Il n’y a pas d’explosion… ».

Il s’est félicité de l’action de ses services qualifiée de « rapide, coordonnée et proportionnée1 » qui d’après lui a permis de garder la « situation sous contrôle » en prétendant « qu’à Mayotte, la réponse est adéquate » et a ajouté :

« La stratégie vaccinale pour le choléra n’est pas de vacciner tous azimuts et à l’aveugle », mais de « pallier », avec une vaccination de l’entourage des personnes touchées et des gens ayant été en contact avec celles-ci dans les dernières 48 heures, « Des stocks, on en a. Il y a aujourd’hui à peu près 7 000 vaccins sur l’île. 6 000 vaccins arrivent la semaine prochaine. On a encore des doses possibles et dans des volumes plus importants pour le début de l’été ».

D’après Nexus mai-juin 2024

Mais curieusement le ministre de la Santé n’a pas rappelé dans son discours que l’arme absolue contre le choléra est l’eau potable ! Fournissons enfin à tous les habitants l’eau potable, apprenons-leur à ne consommer qu’elle, assurons le traitement des eaux usées et l’épidémie s’arrêtera immédiatement.

On peut comprendre qu’un ministre non-médecin l’ignore, mais c’est plus étonnant d’un historien qui aurait pu tirer les leçons des épidémies européennes du 19e siècle comme celle de 1854 à Londres qui a permis d’identifier le rôle propagateur de l’eau et celle de Paris ou elle a causé la mort du général Lamarque dont les funérailles ont abouti au soulèvement populaire décrit par V. Hugo dans les Misérables.

Il est réellement stupéfiant que ses conseillers ne l’aient pas suffisamment instruit du choléra avant son premier discours et en particulier lui demander de promettre d’assurer enfin l’eau potable le plus rapidement possible pour tous les habitants.

Mais il a depuis heureusement corrigé son message dans un tweet récent dont on doit le féliciter :

Frédéric Valletoux
@fredvalletoux

« La meilleure prévention individuelle contre le choléra reste le respect des règles d’hygiène strictes pour éviter la transmission. Cela passe par des gestes simples, en consommant de l’eau potable et en se valant les mains fréquemment avec du savon. »

Rappels sur le choléra2

Le choléra est une toxiinfection digestive due au bacille vibrion cholérique dont la séquence complète du génome a été publiée en 2000 par Heidelberg3. C’est une maladie de la pauvreté qui touche les personnes n’ayant pas un accès suffisant à l’eau potable et aux services d’assainissement de base4. Il se transmet uniquement par voie féco-orale (par l’ingestion d’eau et les légumes souillés). Un malade excrète la bactérie dans ses selles pendant habituellement une dizaine de jours, mais certains d’entre eux peuvent se transformer en porteur sain pendant des mois et constituer ainsi une menace pour la population si le traitement des eaux usées n’est pas efficace. Les principaux réservoirs de la bactérie sont l’homme et les milieux aquatiques propices à la prolifération d’algues comme l’eau saumâtre et les estuaires.

Après une courte incubation silencieuse (deux heures à quelques jours), l’entrée dans la maladie se caractérise par des diarrhées aqueuses brutales, incolores prenant un aspect « eau de riz » d’odeur fade, sans fièvre.

Dans les formes les plus graves qui touchent particulièrement les enfants, les diarrhées, très abondantes et fréquentes (50 à 100 par jour) peuvent entraîner la mort en quelques heures par déshydratation sévère, insuffisance rénale, hypokaliémie, œdème pulmonaire et collapsus cardio-vasculaire.

La confirmation biologique du diagnostic (outre l’évidence clinique dans le cadre d’une épidémie) repose sur la culture de germes à partir des selles. L’examen au laboratoire met en évidence un vibrion du groupe antigénique O1 ou O139 dont la toxine (identifiée comme la choléragène, qui inverse le flux hydrosodé au niveau de l’épithélium de l’intestin grêle par activation d’un enzyme, l’adénylcyclase) entraîne la majorité des symptômes. Il existe aussi des tests rapides basés sur des techniques immunologiques5 permettant de confirmer le diagnostic en 15 minutes.

La réhydratation est la base du traitement du choléra, mais le traitement précoce par un antibiotique oral efficace éradique les vibrions, réduit le volume des selles de 50 %, limite le risque de complications pour le patient et fait cesser la diarrhée dans les 48 heures, ainsi que l’excrétion du vibrion cholérique diminuant ainsi le risque de contamination des eaux et de transmission du choléra à d’autres individus.

Le choix de l’antibiotique repose sur la sensibilité des V. cholerae isolés dans la population. La doxycycline est recommandée en traitement de première intention chez l’adulte6. En cas de résistance à la doxycycline,7 l’azithromycine et la ciprofloxacine constituent des solutions de sauvetage. Chez les malades qui guérissent, le vibrion disparaît des selles spontanément en 7 à 14 jours. La guérison de la maladie confère une immunité partielle de plusieurs années, contre le sérotype impliqué.8

C’est la contagiosité considérable de la maladie et son extrême rapidité d’évolution qui est à l’origine de la peur qu’elle a toujours inspirée.

Dans les pays où l’eau potable est partout disponible, il n’y a pas d’épidémie

L’exemple de la France métropolitaine le démontre puisque les 2 à 3 cas annuels observés, venus de pays lointains, ne sont jamais à l’origine d’épidémie (aucune contamination secondaire connue).

Malheureusement Mayotte manque d’eau potable ce qui permet aux germes apportés par les Comoriens de se propager.

À l’opposé, dans les pays où l’eau potable n’est pas assurée, le vaccin anti-choléra n’empêche pas la prolongation des épidémies comme l’illustrent l’Éthiopie, le Zimbabwe et le Yémen… Dans ces pays l’absence d’entretien et la destruction des réseaux de distribution lors des combats obligent les populations à boire l’eau des rivières ou des puits, dont le taux de contamination est très élevé.

L’eau potable permet aussi d’empêcher la transmission de nombreuses maladies bactériennes telles que la typhoïde, les gastroentérites à entérobactéries (Campylobacter. E. coli), les shigelloses), mais aussi des Infections virales (l’hépatite A et E, la poliomyélite, les rotavirus responsables de diarrhées, les entérovirus) et de certaines infections parasitaires intestinales (amibiases, giardase, dracunculose…). L’eau potable constitue donc un enjeu totalement prioritaire de santé publique.

Les vaccin anti-choléra sont peu efficaces

L’exemple d’un vaccin efficace est celui du vaccin contre la fièvre jaune : une injection unique protège tous les vaccinés à vie. Mais de très nombreux vaccins sont peu efficaces et ne protègent qu’une fraction des vaccinés durant une courte période obligeant à des rappels répétés.

Les premiers vaccins contre le choléra ont été distribués aux troupes alliées en 1915-1918 lors de la guerre des tranchées où ils ont contribué à la victoire contre les Allemands qui n’en possédaient pas et dont 200 000 à 300 000 soldats ont été mis hors de combat par le vibrion.

Depuis plusieurs vaccins ont été développés notamment le Dukoral, le Shanchol/mORCVAX et plus récemment l’Euvichol-S produits en Corée du Sud par EuBiologicals Co. Ltd.

Tous les vaccins actuels sont réalisés à partir de bactéries inactivées et administrés par voie orale, mais ils sont peu efficaces et seulement durant une courte période. De plus, des variations génétiques de la bactérie peuvent lui permettre permettent de résister aux vaccins. Elle ne dépasse pas 66 % à 80 % et diminue rapidement. En pays endémiques cette faible efficacité est attestée par la nécessité de rappels tous les six mois en dessous de 6 ans et tous les 2 ans au-delà. L’OMS considère l’utilisation des vaccins anticholériques oraux comme outils de santé publique « potentiellement utiles en complément des mesures de prévention classiques ».

Au Yémen les centaines de milliers de doses de vaccins distribuées par l’OMS et la fondation Gates n’ont pas empêché pas l’épidémie de proliférer avec plus de 2,5 millions de cas et au moins 4 000 décès.

Dans son témoignage récent sur Nexus9 le pasteur camerounais Franklin Yebga dénonce le coût astronomique (155 millions de dollars) du programme de vaccination en Afrique organisé par l’OMS, les fondations Gate et la banque mondiale. Compte tenu du coût moyen d’un forage pour 10 000 à 15 000 personnes (5000 euros), cette somme aurait permis de créer 30 000 points d’approvisionnement d’eau potable et « aurait sans doute pu résoudre tous les problèmes d’eau en Afrique ».

Mais distribuer l’eau potable aux populations ne rapporte rien aux laboratoires pharmaceutiques et risquerait de tarir la source de profits considérables que procurent de nombreux vaccins qui deviendraient inutiles…

Choléra, hygiène et quarantaine

Avant l’arrivée des antibiotiques et des vaccins, de grandes maladies mortifères comme la peste, le typhus ou le choléra ont été contenues par l’hygiène et la quarantaine. La quarantaine a prouvé son efficacité contre la transmission de la peste. La quarantaine des suspects de typhus et leur regroupement dans des lieux où étaient assurés leur hygiène corporelle et le nettoyage de leurs vêtements ont permis de stopper la propagation de la maladie après la Première Guerre mondiale.

Les grandes pandémies de choléra du 19siècle ont été combattues par et la quarantaine des voyageurs venant des pays infestés. Mais là encore les leçons de l’histoire paraissent oubliées.

La mise en quarantaine des Comoriens récemment arrivés à Mayotte contribuerait sans doute à les abriter dans de meilleures conditions que dans leurs bidonvilles, à les soigner et à protéger la population de Mayotte. Pourquoi n’a — telle pas été envisagée ?

Pour éradiquer le choléra, ce n’est pas seulement de vaccin que la population de Mayotte a besoin, mais d’eau potable et de la quarantaine des immigrants récents suspects de porter la bactérie !


1 L’ARS a déployé un centre de dépistage des unités mobiles de vaccination dans la zone de Koungou.

2 Delépine Choléra, Dieu ou l’Esprit invisible, hygiène, eau potable et eaux usées et… la guerre ! Agoravox, 4 septembre 2018.

3 JF Heidelberg et al. Séquence d’ADN des deux chromosomes de l’agent pathogène du choléra
Vibrio choléra. Nature (2000).

4 https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/cholera

5 JA Hasan et coll. Développement et test de kits de tests d’immunodiagnostic rapide basés sur des anticorps monoclonaux pour la détection directe de Vibrio cholerae O139 synonyme Bengal J Clin Microbiol 1995.

6 https://www.cdc.gov/cholera/treatment/antibiotic-treatment.html

7 RI Glass et coll. Émergence de Vibrio cholerae multirésistant aux antibiotiques au Bangladesh
J Infecter Dis 1980.

8 Renaud Piarroux, « Le choléra », La Revue du Praticien, vol. 67,‎ décembre 2017, p. 1117-1121.

9 Nexus, 152 mai juin 2024 page 24.




Pour ceux qui acceptent de douter : 39 publications scientifiques sur des cancers post vaccinaux Covid

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

À ce jour, les cancers sont l’un des effets secondaires potentiels des vaccins contre la Covid-19 les moins documentés dans la littérature sur les rapports de cas. Dans l’ensemble, il y aura généralement un intervalle de temps important entre la vaccination et la manifestation clinique du cancer.

Ainsi, les médecins et les cliniciens sont moins susceptibles d’envisager une relation possible entre un cancer et le statut vaccinal d’un patient Covid, et encore moins de soumettre une étude avec leur nom attaché affirmant la possibilité d’une tumeur induite par le vaccin Covid-19.

  1. Un cas de leucémie myélomonocytaire chronique démasqué après avoir reçu le vaccin J&J Covid-19 (Veerballi et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35865440

« Notre cas suggère la possibilité de développer une CMML associée à une sclérodermie limitée après avoir reçu le vaccin J&J Covid. »

  1. Lymphome anaplasique à grandes cellules au site d’injection du vaccin SARS-CoV2 (Revenga-Porcel et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36166359

[Article payant]

  1. Paralysie de Bell ou carcinome basaloïde infiltrant agressif après la vaccination par ARNm contre le Covid-19 ? À propos d’un cas et revue de la littérature (Kyriakopoulos AM et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37927346

« Dans l’ensemble, le court laps de temps et les caractéristiques extrêmement invasives des métastases du CBC chez notre patient suggèrent que les perturbations du système immunitaire dues à la vaccination anti-COVID-19 à ARNm pourraient avoir conduit à une progression accélérée de la maladie. »

« Une limitation sérieuse dans le cas que nous rapportons est le refus de l’hôpital qui a effectué la biopsie de fournir les images histopathologiques ou d’effectuer une coloration immunohistochimique de la protéine de pointe. »

  1. Expansion de l’adénome hypophysaire induite par le vaccin Covid-19 : un rapport de cas (Srimanan W & Panyakorn S)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38229808

« Les tumeurs de l’hypophyse se développent lentement, principalement asymptomatiques, avec des découvertes fortuites. Une détection précoce, des facteurs aggravants réduits et un traitement spécifique sont essentiels. Le vaccin Covid-19 représente un nouveau contributeur potentiel à l’hypertrophie de l’hypophyse. Les personnes atteintes d’hypophyse préexistante. Les adénomes doivent être particulièrement vigilants quant aux effets secondaires possibles associés à ce vaccin. »

  1. Développement d’un sarcome de haut grade après la deuxième dose du vaccin Moderna (Bae E et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37197108

« Sur la base d’une recherche approfondie, nous décrivons le premier cas de sarcome indifférencié de haut grade à progression rapide qui semble avoir une forte association avec la vaccination Moderna. »

[Bonus : « Il est bien documenté dans la littérature depuis plus de 20 ans que les sarcomes de haut grade ont été liés à l’administration de vaccins chez les félins. »]

  1. Lymphome extraganglionnaire à cellules NK/T nouvellement diagnostiqué, de type nasal, au niveau du bras gauche injecté après la vaccination par ARNm BNT162b2 contre le Covid-19 (Tachita et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37093551

« Bien que les lésions de lymphome des rapports précédents n’aient pas été observées aux sites d’injection du vaccin, notre cas présentait une lésion de lymphome dans la peau et le muscle au site d’injection du vaccin à ARNm BNT162b2. Il est possible que notre cas soit d’une pathogenèse différente de celle des rapports précédents., en ce sens que la maladie est apparue relativement tard après la vaccination et au site d’injection du vaccin. »

« Il n’y avait aucune preuve d’une relation causale entre la vaccination par l’ARNm BNT162b2 et l’ENKL dans ce cas, mais nous avons émis l’hypothèse que la vaccination pourrait conduire au développement de l’ENKL d’une manière similaire à une allergie grave aux piqûres de moustiques (SMBA). »

  1. Lymphome non hodgkinien développé peu de temps après la vaccination à ARNm contre le Covid-19 : rapport d’un cas et revue de la littérature (Cavanna et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36676781

  1. Leucémie lymphoblastique aiguë à cellules B à pH positif survenant après la réception d’un rappel de vaccin bivalent à ARNm contre le SRAS-CoV-2 : un rapport de cas (Ang SY et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36984629

« Par conséquent, ce rapport de cas pourrait présenter une corrélation possible entre le développement d’une leucémie lymphoblastique aiguë à cellules B à pH positif et les vaccinations bivalentes à ARNm. »

  1. Carcinome adénoïde kystique cutané primitif dans une localisation rare avec une réponse immunitaire à un vaccin BNT162b2 : un rapport de cas (Yilmaz A et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38608126

« Le vaccin à ARNm BNT162b2 a été associé à un syndrome inflammatoire multisystémique (MIS-V). Une réaction immunitaire comparable pourrait potentiellement améliorer le taux de croissance tumorale. »

  1. Progression rapide du lymphome angio-immunoblastique à cellules T après une injection de rappel du vaccin à ARNm BNT162b2 : un rapport de cas (Goldman S et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34901098

« Au meilleur de nos connaissances, il s’agit de la première observation suggérant que l’administration d’un vaccin contre le SRAS-CoV-2 pourrait induire une progression de l’AITL. Plusieurs arguments soutiennent cette possibilité. Premièrement, la vitesse et l’ampleur spectaculaires de la progression manifestée sur deux 18F-TEP-CT FDG réalisé à 22 jours d’intervalle. Une évolution aussi rapide serait très inattendue dans l’évolution naturelle de la maladie. »

  1. Progression rapide du lymphome à cellules B de la zone marginale après la vaccination contre le Covid-19 (BNT162b2) : un rapport de cas (Sekizawa et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35979213

« Dans notre cas, le même mécanisme par lequel les lymphomes à cellules T sont induits par le vaccin Covid-19 pourrait être envisagé pour la pathogenèse du MZL. Il a été rapporté que les vaccins à ARNm Covid-19 induisent des cellules T folliculaires auxiliaires avec un profil fonctionnel Th1, qui est associé à la génération sélective d’anticorps neutralisants et stimule les cellules B du centre germinal, les plasmocytes à vie longue et les cellules B mémoire. Par conséquent, ces vaccins induisent une réaction du centre germinal plus forte que les vaccins à protéines recombinantes (11). la stimulation continue des lymphocytes T et B par les vaccins à ARNm Covid-19 peut déclencher des réponses inflammatoires aberrantes, conduisant au lymphome ou accélérant sa progression. »

  1. Récidive du lymphome cutané à cellules T après la vaccination contre le vecteur viral Covid-19 (Panou et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34628691

« La question qui se pose dans ces cas est de savoir si et par quelle voie le vaccin a provoqué la MF CD30+ LCT et la réapparition du trouble lymphoprolifératif cutané primaire CD30+.
Selon la littérature, l’éducation des lymphocytes T CD4+, CD8+ T et B contre La protéine SARS-CoV-2 S semble être le moyen le plus réalisable pour la production de vaccins contre le Covid-19. Les cancers et les coronavirus fournissent une charge antigénique persistante et chronique, parmi laquelle PD1, entraînant un épuisement des lymphocytes T. garantir que la vaccination ne provoquerait pas un nouvel état d’épuisement des lymphocytes T qui aurait déjà pu être induit par les cellules tumorales. »

  1. Récidive du trouble lymphoprolifératif cutané primaire CD30-positif après la vaccination contre le Covid-19 (Brumfiel et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33974494

[Article payant]

  1. Kératoacanthome éruptif solitaire se développant au site d’injection du vaccin Covid-19 (Yumeen S et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38015786

« Notre rapport de cas s’ajoute à la littérature en décrivant le développement d’une lésion maligne qui peut survenir après la vaccination contre le Covid-19 et justifie une reconnaissance et un traitement rapides. »

  1. Deux cas de lymphadénopathie axillaire diagnostiqués comme un lymphome diffus à grandes cellules B se sont développés peu de temps après la vaccination BNT162b2 contre le Covid-19 (Mizutani et al.)

https://europepmc.org/article/pmc/pmc9114986

« Ainsi, il pourrait être concevable qu’un DLBCL préexistant ou subclinique puisse se développer rapidement dans une condition spécifique induite par la vaccination BNT162b2. » « En conclusion, le DLBCL peut croître rapidement après la vaccination par BNT162b2. Les dermatologues doivent faire attention à l’élargissement des LN ou à la masse près du site d’injection du vaccin BNT162b2. »

  1. Sarcome de Kaposi classique conjonctival unilatéral suite à un rappel Covid-19 (White E et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38601193

« Dans la mesure où le rappel vaccinal a précédé le cancer, il semble étiologique à l’apparition du sarcome de Kaposi. La vision monoculaire et le glaucome de la patiente ont compliqué son traitement. Ce cas développe les concepts actuels de cofacteurs nécessaires au développement du sarcome de Kaposi dans cette administration de rappel vaccinal. était pertinent pour la progression tumorale et des preuves cliniques et mécanistiques sont présentées pour soutenir cette hypothèse. »

« Dans ce cas particulier, il semble que la vaccination contre le Covid-19 ait agi comme l’un des cofacteurs supplémentaires nécessaires pour induire le SK dans la mesure où il n’y avait aucune autre cause claire autre que la relation temporelle entre le vaccin de rappel et le développement du SK. »

  1. Un rapport de cas de trouble lymphoprolifératif post-transplantation après le vaccin AstraZeneca contre la maladie à coronavirus 2019 chez un receveur de transplantation cardiaque (Tang WR et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34702598

« En résumé, nous émettons l’hypothèse que le vaccin pourrait contribuer à la tumorigenèse des lymphocytes B via la réactivation de l’EBV latent. »

« Nous rapportons un cas de PTLD après vaccination contre le Covid-19 chez un receveur de transplantation cardiaque, qui pourrait montrer un éventuel lien pathogène. Bien que nous ne puissions pas exclure la coïncidence de la vaccination contre le Covid-19 et le développement de PTLD dans ce cas, la greffe les chirurgiens doivent être conscients de l’effet immunomodulateur après la vaccination contre le Covid-19 et toujours penser au pire jusqu’à preuve du contraire. »

  1. Rapport de cas : Un cas de mélanome métastatique muté par BRAFV600 avec insuffisance cardiaque traité avec des inhibiteurs de point de contrôle immunitaire et des inhibiteurs de BRAF/MEK (Nishizawa A et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38529375

« Dans le cas présent, le vaccin aurait pu provoquer une forte réponse immunitaire, conduisant à la résolution spontanée de la tumeur primitive tout en favorisant simultanément les métastases des ganglions lymphatiques axillaires. »

  1. Lymphohistiocytose hémophagocytaire mortelle avec lymphome intravasculaire à grandes cellules B après vaccination contre la maladie à coronavirus 2019 chez un patient atteint de lupus érythémateux disséminé : un cas étroitement lié (Ueda Y et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38619098

« Nous pensons que la vaccination contre le Covid-19 et la maladie auto-immune de notre patiente, qui la prédispose à développer un lymphome, pourraient avoir contribué au développement de l’IVLBCL. L’activation du facteur d’activation des lymphocytes B appartenant à la voie de la famille des facteurs de nécrose tumorale (BAFF) a été observée. dans le lymphome agressif à cellules B. »

  1. Hémopathies malignes diagnostiquées dans le contexte de la campagne de vaccination à ARNm contre le Covid-19 : un rapport de deux cas (Zamfir et al.)

https://www.mdpi.com/1648-9144/58/7/874

« À notre connaissance, il s’agit du premier rapport faisant état d’une manifestation orale grave post-vaccination, confirmée immunohistochimiquement comme un lymphome non hodgkinien à cellules T/NK, apparaissant quelques jours après la vaccination par ARNm Covid-19. »

  1. Événements indésirables hématopoïétiques associés au vaccin BNT162b2 à ARNm Covid-19 (Erdogdu B et al.)

https://avesis.hacettepe.edu.tr/yayin/64667112-eb73-4bd3-b8c5-d5df96cc4e09/hematopoetic-adverse-events-associated-with-bnt162b2-mrna-covid-19-vaccine

  1. Lymphome cutané indolent avec expression gamma/delta après vaccination contre le Covid-19 (Hobayan CG & Chung CG)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36530557

« La présentation de notre patient est inhabituelle, car elle est apparue sur le site d’une vaccination contre le Covid-19 plusieurs jours après la vaccination. »

« Étant donné que cette présentation et cette évolution ne sont pas typiques du PCGDTCL, il n’est pas clair si ses lésions représentent une variante indolente du PCGDTCL ou un autre lymphome avec expression gamma/delta. On ne sait pas si le vaccin Covid-19 a directement contribué à sa présentation ou à l’évolution de sa maladie. Un rapport de cas supplémentaire montre une lésion lymphoproliférative atypique avec des caractéristiques imitant un lymphome après le rappel du vaccin, une prolifération monotypique de cellules B a été trouvée histologiquement. »

  1. Mésothéliome cardiaque primitif présentant une péricardite récurrente fulminante : à propos d’un cas (Schwartzenberg et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36937239

« Au meilleur de nos connaissances, il s’agit du seul deuxième cas de péricardite pathologiquement confirmé qui s’est transformé en mésothéliome17, dans ce cas en seulement 4 mois. Il est peu probable qu’un diagnostic correct plus précoce ait fait une différence clinique dans ce cas en vue de l’évolution accélérée de la maladie. »

  1. Sarcome de Kaposi sporadique suite à un vaccin contre le Covid-19 : simple coïncidence ou quelque chose de plus ? (Martínez-Ortega JI et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38465101

« Le KSHV est une exigence absolue de l’oncogenèse et est un cancérigène direct. Ainsi, lorsque nous examinons la relation entre le vaccin AstraZeneca et le sarcome de Kaposi, nous pouvons nous concentrer sur la réactivation du KSHV [1].
Des études ont montré que les protéines de pointe du SRAS-CoV-2 peut réactiver la phase lytique du KSHV. Le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 contient des protéines d’ADN codant pour l’ADNe. Si ces protéines de pointe rencontrent des cellules infectées par le HHV8, cela pourrait potentiellement déclencher la réactivation du virus, conduisant à la phase lytique. »

« Bien que des recherches supplémentaires soient nécessaires pour établir un lien définitif, les preuves discutées dans ce rapport indiquent des mécanismes potentiels impliquant la réactivation du KSHV, l’influence de l’inflammation induite par l’adénovirus et les effets liés aux protéines de pointe. »

  1. Lymphome à cellules T de type panniculite sous-cutanée après vaccination contre le Covid-19 (Kreher et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35966352

« Dans ce manuscrit, nous présentons un cas de SPTCL qui s’est développé à la suite du vaccin Covid-19 à base de vecteur viral Ad26 (Janssen Pharmaceuticals). Bien que le lien de causalité ne puisse pas être établi dans ce cas unique, ce cas conforte la compréhension que certains déclencheurs immunologiques, tels que en tant que vaccin à adénovirus modifié, peut contribuer au développement ou à l’exacerbation du SPTCL. Une fonction immunitaire aberrante ou une hyperstimulation lymphocytaire peuvent également en être responsables. Par exemple, une association a été établie entre le SPTCL et le lupus érythémateux systémique, le syndrome de Sjögren, le diabète sucré de type 1, et l’arthrite juvénile idiopathique. »

  1. Lymphome à cellules T de type panniculite sous-cutanée après la vaccination contre l’ARNm-1273 contre le Covid-19 (Ukishima et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37035606

« Dans l’ensemble, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour examiner les associations possibles entre la vaccination contre le Covid-19 et le SPTCL. Dans ce cas, les vaccins contre le Covid-19 peuvent provoquer un SPTCL, et une biopsie cutanée à un stade précoce peut aider au diagnostic de l’érythème noueux. »

  1. Le cas de T-ALL présentant un phénotype NK après la vaccination contre le Covid-19 (Yanagida E et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36706586

« Bien que la présence d’une relation causale directe entre la vaccination T-ALL et Covid-19 ne soit pas claire, l’immunisation pourrait être directement liée à la réponse immunitaire de l’hôte. »

« Bien que la relation entre la vaccination et l’apparition de ce cas ne soit pas claire, nous avons signalé qu’une observation attentive de cas similaires est nécessaire afin d’élucider la physiopathologie. »

  1. Le premier cas d’autopsie de lymphome de la zone marginale positif au virus d’Epstein-Barr qui s’est détérioré après la vaccination contre le Covid-19 (Wang Z et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38116849

[Article payant]

  1. Présentation clinique inhabituelle d’un sarcome à cellules claires chez une jeune femme (Asif S et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37877807

Documenté comme accessoire/contexte dans le rapport de cas

  1. Lymphadénopathie axillaire chez une patiente soumise à un dépistage mammaire à haut risque après le vaccin contre la Covid-19 : une énigme diagnostique (Musaddaq et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35300233

  1. Dépistage du cancer du sein et adénopathie axillaire à l’ère de la vaccination contre le Covid-19 (Wolfson & Kim)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36219117

  1. Lymphadénopathie hypermétabolique suite à l’administration du vaccin Covid-19 et de l’immunothérapie chez un patient atteint d’un cancer du poumon : à propos d’un cas (Tripathy et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36434709

  1. Lymphœdème du bras après vaccination contre le Covid-19 chez une patiente atteinte d’un cancer du sein caché et d’une dermatomyosite paranéoplasique (Aimo et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36016107

  1. Mélanome métastatique du sein et de l’aisselle : à propos d’un cas (Barnett C et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35255441

  1. Adénocarcinome prostatique métastatique se présentant comme une lymphadénopathie généralisée non masquée par un vaccin de rappel Covid (Bharathidasan K et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38033690

  1. Leucoencéphalopathie multifocale progressive chez un patient atteint de leucémie lymphoïde chronique à cellules B après vaccination contre le Covid-19, compliquée de Covid-19 et de mucormycose : à propos d’un cas (Amirifard H et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38704555

Tumeurs bénignes

  1. Pilomatricome en croissance sur le site de vaccination à ARNm du SRAS-CoV-2 (Erkayman MH et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38099131

  1. Angioendothéliomatose réactive après la vaccination Ad26.COV2.S (Faulkner C et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38290076

  1. Développement du pilomatrixome sur le site de vaccination : une complication rare de la vaccination contre le Covid-19 — Un rapport de cas (Yang Z et al.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38055654




La vérité choquante sur le cancer de la peau : ce qu’on ne vous dit pas sur le soleil

[Source : vigilantnews.com]

Cet article a été publié à l’origine sur The Forgotten Side of Medicine (La face oubliée de la médecine) et a été republié avec l’autorisation de l’auteur.

Article de A Midwestern Doctor (un médecin du Midwest)

L’histoire en un coup d’œil :

  • Les cancers de la peau sont de loin les cancers les plus fréquemment diagnostiqués aux États-Unis, et pour les prévenir, le public est constamment invité à éviter le soleil. Cependant, si les cancers de la peau relativement bénins sont causés par l’exposition au soleil, ceux qui sont responsables de la plupart des décès par cancer de la peau sont dus à un manque d’ensoleillement.
  • C’est regrettable, car la lumière du soleil est sans doute l’élément nutritif le plus important pour le corps humain.
  • On peut affirmer que cette dynamique résulte du fait que la profession de dermatologue (avec l’aide d’une société de relations publiques de premier plan) s’est repositionnée sur la lutte contre le cancer de la peau, ce qui lui a permis de devenir l’une des spécialités médicales les plus rémunératrices qui soient. Malheureusement, malgré les milliards investis chaque année dans la lutte contre le cancer de la peau, le nombre de décès dus à cette maladie n’a pas évolué de manière significative.
  • Dans cet article, nous aborderons également les dangers des traitements conventionnels du cancer de la peau, les moyens les plus efficaces de traiter et de prévenir le cancer de la peau, ainsi que certaines des meilleures stratégies pour avoir une relation saine et nourrissante avec le soleil.

Depuis que je suis toute petite, quelque chose me semble anormal dans le fait que tout le monde s’extasie sur la nécessité d’éviter le soleil et de toujours mettre de la crème solaire dès qu’il y a une activité en plein air, alors j’ai fait de mon mieux pour ne pas m’y conformer. En vieillissant, j’ai commencé à remarquer qu’en plus de l’effet bénéfique du soleil, chaque fois que j’étais au soleil, les veines sous ma peau qui étaient exposées au soleil se dilataient, ce que j’ai interprété comme un signe que le corps avait besoin de la lumière du soleil et qu’il voulait l’attirer dans la circulation sanguine. Plus tard encore, j’ai appris qu’un chercheur pionnier avait découvert que des altérations significatives se produisaient dans la santé des personnes qui portaient des lunettes empêchant certains spectres de lumière (par exemple, la plupart des verres bloquent la lumière UV) de pénétrer dans la partie la plus transparente du corps et qu’il était possible de les traiter en leur donnant des lunettes spécialisées qui n’empêchaient pas ce spectre de pénétrer.

Plus tard, lorsque je suis devenu étudiant en médecine (j’étais alors familiarisé avec la myriade de bienfaits de la lumière du soleil), j’ai été frappé par la névrose des dermatologues à propos de l’évitement de la lumière du soleil. Par exemple, en plus d’entendre chaque patient que je voyais se faire sermonner sur l’importance d’éviter la lumière du soleil, j’ai appris par mes camarades de classe que les dermatologues des latitudes septentrionales (où la lumière du soleil est suffisamment faible pour que les gens souffrent de troubles affectifs saisonniers) exigeaient effectivement de leurs étudiants qu’ils portent de la crème solaire et des vêtements qui couvrent la majeure partie de leur corps lorsqu’ils se trouvent à l’intérieur. À ce moment-là, mon point de vue sur la question s’est transformé en « cette croisade contre le soleil vient sans aucun doute des dermatologues » et « qu’est-ce qui ne va pas chez ces gens-là ? Il y a quelques années, j’ai découvert la dernière pièce du puzzle grâce à Robert Yoho MD et à son livre Butchered by Healthcare (Massacrés par les soins de santé).

La monopolisation de la médecine

Tout au long de ma vie, j’ai remarqué trois tendances curieuses dans l’industrie médicale :

– Elle promeut des activités saines que les gens sont peu susceptibles de pratiquer (par exemple, l’exercice physique ou le sevrage tabagique).

– Elle promeut des activités clairement malsaines qui rapportent de l’argent aux industries (par exemple, la consommation d’aliments transformés ou la prise d’une myriade de produits pharmaceutiques dangereux et inefficaces).

– Ils s’attaqueront à des activités clairement bénéfiques et faciles à réaliser (par exemple, l’exposition au soleil, la consommation d’œufs, de produits laitiers crus ou de beurre).

D’après ce que j’ai pu constater, tout cela trouve son origine dans l’histoire scandaleuse de l’American Medical Association, lorsqu’en 1899, George H. Simmons, docteur en médecine, a pris possession de cette organisation en difficulté (les médecins faisaient faillite parce que leurs traitements étaient barbares et inefficaces). À son tour, il lance un programme visant à accorder le sceau d’approbation de l’AMA en échange de la divulgation par les fabricants de leurs ingrédients et de leur acceptation de faire de la publicité dans de nombreuses publications de l’AMA (ils n’étaient toutefois pas tenus de prouver que leur produit était sûr ou efficace). Cette manœuvre a été couronnée de succès et, en l’espace de dix ans seulement, l’AMA a multiplié par cinq ses recettes publicitaires et par neuf le nombre de ses médecins membres.

Parallèlement, l’AMA s’est efforcée de monopoliser l’industrie médicale en mettant en place un conseil général de l’enseignement médical (qui déclarait en substance que sa méthode était la seule crédible pour pratiquer la médecine), ce qui lui a permis de devenir l’organisme national d’accréditation des écoles de médecine. Cela leur a permis de mettre fin à l’enseignement de nombreux modèles médicaux concurrents, tels que l’homéopathie, la chiropraxie, la naturopathie et, dans une moindre mesure, l’ostéopathie, car les États refusaient souvent de délivrer des licences aux diplômés des écoles mal notées par l’AMA.

De même, Simmons (ainsi que son successeur, Fishbein, qui a régné de 1924 à 1950) a créé en 1913 un « département de propagande » chargé d’attaquer tous les traitements médicaux non conventionnels et toute personne (médecin ou non) qui les pratiquait. Fishbein était très doué pour ce qu’il faisait et pouvait souvent organiser des campagnes médiatiques massives contre tout ce qu’il décidait de considérer comme du « charlatanisme », campagnes qui étaient entendues par des millions d’Américains (à une époque où le pays était beaucoup plus petit).

Après avoir créé ce monopole, Simmons et Fishbein n’ont pas tardé à l’exploiter. Ils ont notamment fait chanter les sociétés pharmaceutiques pour qu’elles leur fassent de la publicité, exigé que les droits de divers traitements médicaux soient vendus à l’AMA et envoyé la FDA ou la FTC à la poursuite de tous ceux qui refusaient de se vendre (ce qui, dans un cas au moins, a été prouvé au tribunal, car l’un des « compatriotes » de Fishbein pensait que ce qu’il faisait était mal et a témoigné contre lui). À cause de cela, de nombreuses innovations médicales remarquables ont été effacées de l’histoire (une partie du travail de ma vie et une grande partie de ce que j’utilise en pratique sont essentiellement les thérapies que Simmons et Fishbein ont réussi à faire disparaître de la Terre).

[NDLR Cependant, l’emprise actuelle de l’industrie pharmaceutique semble bien se jouer sur plusieurs niveaux imbriqués, à la manière de poupées russes, car même l’accent mis sur l’ivermectine pour prétendument soigner la Covid renforce son fondement existentiel (sans lequel elle s’effondrerait) : l’hypothèse virale et sa mère, la théorie des germes. Le débat (ou la controverse) dans ce cas porte sur l’efficacité ou non de cette substance chimique dans le traitement de symptômes covidiens attribués néanmoins à un virus par ailleurs pourtant jamais scientifiquement isolé. L’ivermectine est déclarée soigner la Covid par les uns (en servant d’antiviral), ou ne rien pouvoir y faire pour les autres (puisqu’étant essentiellement un antiparasitaire), alors que de toute manière elle ne ferait tout au plus que soulager des symptômes sans s’attaquer à leur cause véritable. Ce débat ne peut finalement que faire le jeu de l’industrie pharmaceutique tant qu’il met en avant l’existence de virus. Voir notamment Le jeu de l’ivermectine.]

En peu de temps, Big Tobacco est devenu le plus gros client de l’AMA, ce qui a conduit à d’innombrables publicités comme celle-ci, publiées par l’AMA, qui ont persisté jusqu’à ce que Fishbein soit évincé (il est alors devenu un lobbyiste très bien rémunéré pour l’industrie du tabac) :

Les bienfaits de la lumière du soleil

L’une des plus anciennes thérapies « prouvées » en médecine consistait à faire prendre des bains de soleil aux gens (par exemple, c’est l’une des rares choses qui ont réussi à traiter la grippe de 1918, avant les antibiotiques, c’était l’un des traitements les plus efficaces pour traiter la tuberculose et il était également largement utilisé pour une variété d’autres maladies). Par ailleurs, comme il est sûr, efficace et disponible gratuitement, il est logique que des individus sans scrupules, désireux de monopoliser la pratique de la médecine, veuillent empêcher le public d’y avoir accès.

En raison du succès de la guerre contre la lumière du soleil, de nombreuses personnes ne sont pas conscientes de ses bienfaits. En voici quelques exemples :

1. La lumière du soleil est essentielle pour la santé mentale. On l’apprécie surtout dans le cas de la dépression (par exemple, le trouble affectif saisonnier), mais en réalité, ses effets sont bien plus vastes (par exemple, l’exposition à la lumière non naturelle détruit le rythme circadien).

2. Une vaste étude épidémiologique a révélé que l’incidence du cancer du sein était deux fois moins élevée chez les femmes ayant une exposition solaire aux UVB plus importante que chez celles ayant une exposition solaire plus faible, et que l’incidence du cancer mortel de la prostate était deux fois moins élevée chez les hommes ayant une exposition solaire résidentielle plus importante.

3. Une étude prospective sur 20 ans a évalué 29 518 femmes dans le sud de la Suède. Des femmes moyennes de chaque tranche d’âge, sans problèmes de santé importants, ont été sélectionnées au hasard, ce qui en fait l’une des meilleures études épidémiologiques possibles. L’étude a révélé que les femmes qui évitaient le soleil par rapport à celles qui s’exposaient régulièrement à la lumière du soleil présentaient les caractéristiques suivantes :

– 60 % plus susceptibles de mourir, soit environ 50 % plus susceptibles de mourir que le groupe ayant une exposition modérée et environ 130 % plus susceptibles de mourir que le groupe ayant une forte exposition au soleil.

– Le gain le plus important a été observé dans le risque de mourir d’une maladie cardiaque, tandis que le deuxième gain a été observé dans le risque de toutes les causes de décès autres que les maladies cardiaques et le cancer (« autres »), et le troisième gain le plus important a été observé dans les décès dus au cancer.

– Le bénéfice le plus important a été observé chez les fumeurs, au point que les non-fumeurs qui évitaient le soleil avaient le même risque de mourir que les fumeurs qui s’exposaient à la lumière du soleil.

Compte tenu de tous ces éléments, je dirais qu’il faut une très bonne justification pour éviter l’exposition au soleil.

Cancer de la peau

Selon l’Académie américaine de dermatologie :

Le cancer de la peau est le cancer le plus fréquent aux États-Unis. Selon les estimations actuelles, un Américain sur cinq développera un cancer de la peau au cours de sa vie. On estime qu’environ 9 500 personnes aux États-Unis reçoivent chaque jour un diagnostic de cancer de la peau.

Les carcinomes basocellulaires et spinocellulaires, les deux formes les plus courantes de cancer de la peau, sont très faciles à traiter s’ils sont détectés tôt et traités correctement.

L’exposition aux rayons UV étant le facteur de risque le plus évitable pour tous les cancers de la peau, l’American Academy of Dermatology encourage chacun à éviter les lits de bronzage intérieurs et à protéger sa peau à l’extérieur en recherchant l’ombre, en portant des vêtements de protection — notamment une chemise à manches longues, un pantalon, un chapeau à large bord et des lunettes de soleil avec protection UV — et en appliquant un écran solaire à large spectre, résistant à l’eau, avec un FPS de 30 ou plus, sur toute la peau non couverte par les vêtements.

De même, selon la Fondation pour le cancer de la peau :

Aux États-Unis, plus de deux personnes meurent d’un cancer de la peau toutes les heures.

Voilà qui est plutôt effrayant. Voyons maintenant ce que cela signifie exactement.

Carcinome basocellulaire (CBC)

Le carcinome basocellulaire est de loin le type de cancer de la peau le plus courant (80 % de tous les cancers de la peau) :

L’incidence exacte du CBC varie considérablement, allant de 14 à 10 000 cas par million de personnes, et aux États-Unis, on estime généralement qu’environ 2,64 millions de personnes en contractent un par an (avec un total d’environ 4,32 millions de cancers, puisque certaines personnes en contractent plus d’un). Les trois principaux facteurs de risque du CBC sont une exposition excessive au soleil, une peau claire (qui vous rend plus sensible à la pénétration excessive de la lumière du soleil) et des antécédents familiaux de cancer de la peau. C’est pourquoi l’incidence très variable du CBC est en grande partie due au degré d’exposition au soleil des personnes, et on le trouve généralement dans les zones fréquemment exposées au soleil (par exemple, le visage).

Ce qu’il faut comprendre à propos du CBC, c’est qu’il n’est pas très dangereux, car il ne forme presque jamais de métastases. La plupart des sources indiquent un taux de mortalité de 0 %. En revanche, il est généralement évalué en fonction du risque de récidive après son ablation (qui varie de 65 % à 95 % selon les sources).

Carcinome épidermoïde

Deuxième type de cancer de la peau le plus fréquent, le carcinome épidermoïde cutané (CEC) se présente comme suit :

Comme il est également causé par la lumière du soleil, son incidence varie considérablement, allant de 260 à 4 970 par million d’années-personnes, avec une estimation de 1,8 million de cas survenant chaque année aux États-Unis. Auparavant, on pensait que le CBC était quatre fois plus fréquent que le CEC, mais aujourd’hui cet écart s’est réduit à deux fois. Contrairement au CBC, le CEC peut être dangereux, car il peut former des métastases. S’il est enlevé avant la formation de métastases, le taux de survie est de 99 %, mais s’il est enlevé après la formation de métastases, ce taux tombe à 56 %. Le CEC étant généralement détecté avant que cela ne se produise (en 1 à 2 ans, 3 à 9 % d’entre eux formeront des métastases), le taux de survie moyen pour ce cancer est d’environ 95 %, et l’on pense qu’environ 2 000 personnes (bien que certaines estimations aillent jusqu’à 8 000) meurent du CSC chaque année aux États-Unis.

Le mélanome

On estime que le mélanome survient à un taux de 218 cas par million de personnes aux États-Unis chaque année (le risque variant selon l’appartenance ethnique). Bien qu’il ne représente que 1 % de tous les diagnostics de cancer de la peau, le mélanome est responsable de la plupart des décès dus au cancer de la peau. La survie étant grandement améliorée par une détection précoce, de nombreux guides en ligne existent pour aider à reconnaître les signes communs d’un mélanome potentiel :

Le taux de survie à cinq ans du mélanome dépend de l’étendue de sa propagation au moment du diagnostic (de 99 % à 35 %, avec une moyenne de 94 %), d’où l’importance d’une identification correcte. De même, certains cas sont agressifs et métastasent rapidement (ils ne sont donc souvent pas détectés à temps) et ces variantes ont un taux de survie compris entre 15 et 22,5 %. Au total, cela représente un peu plus de 8 000 décès par an aux États-Unis.

Il est essentiel de comprendre que le mélanome est généralement considéré comme lié à l’exposition au soleil, mais ce n’est pas le cas. Ce n’est pas le cas :

Une étude portant sur 528 patients atteints de mélanome a révélé que ceux qui souffraient d’élastose solaire (une modification courante de la peau consécutive à une exposition excessive au soleil) avaient 60 % moins de risques de mourir d’un mélanome.

87 % des cas de CEC surviennent dans des régions du corps fortement exposées au soleil, comme le visage (qui représente au total 6,2 % de sa surface), tandis que 82,5 % des cas de CBC surviennent dans ces régions. À l’inverse, seuls 22 % des mélanomes apparaissent dans ces régions. Cela indique que le CEC et le CBC sont liés à l’exposition au soleil, mais pas le mélanome, ce qui est cohérent avec le fait que nous les trouvons constamment dans des zones qui ne sont pratiquement pas exposées au soleil.

Les travailleurs en extérieur reçoivent 3 à 10 fois la dose annuelle d’UV que reçoivent les travailleurs en intérieur, et pourtant ils ont une incidence plus faible de mélanome malin cutané et un risque inférieur de moitié à celui de leurs collègues en extérieur.

Une méta-analyse de la littérature disponible réalisée en 1997 a révélé que les travailleurs ayant une exposition professionnelle significative à la lumière du soleil étaient 14 % moins susceptibles de contracter un mélanome.

Les recherches existantes ont montré que l’utilisation d’un écran solaire n’a aucun effet sur les taux de mélanome malin ou les augmente, ce qui rend assez frustrant le fait que les gouvernements du monde entier répètent toujours le conseil d’en porter davantage, en particulier lorsque les taux de mélanome augmentent (en d’autres termes, exactement ce que nous constatons également avec les campagnes de promotion du vaccin Covid-19).

Une étude de 1982 (aujourd’hui oubliée) portant sur 274 femmes a révélé que l’exposition à la lumière fluorescente au travail multipliait par 2,1 le risque de développer un mélanome malin, ce risque augmentant avec l’exposition à la lumière fluorescente, soit en raison de l’exposition au travail (1,8 fois pour les emplois à exposition modérée, 2,6 fois pour les emplois à exposition élevée), soit en raison du temps passé à travailler (c’est-à-dire 2,4 fois plus de risques pour 1 à 9 ans de travail, 2,8 fois pour 10 à 19 ans et 4,1 fois pour plus de 20 ans).

– Le nombre de mélanomes a augmenté de manière significative dans de nombreuses régions, ce qui ne permet pas d’affirmer que la lumière du soleil est le principal problème, car elle n’a pas changé de manière significative au cours des dernières décennies. Prenons par exemple les données du registre norvégien du cancer sur le mélanome malin :

Cancers rares de la peau

Cette section n’est pas importante à lire, je l’inclus principalement comme référence pour étayer le point principal et pour être complet.

La grande escroquerie dermatologique

Si l’on tient compte de la section précédente, ce qui suit devrait être assez clair :

  • – Le « cancer de la peau » de loin le plus courant n’est pas dangereux.
  • – Les « cancers de la peau » dont vous devez vous préoccuper ne représentent qu’une petite partie des cancers de la peau existants.
  • – L’exposition au soleil ne provoque pas de cancers dangereux (à l’exception du CEC, qui est loin d’être aussi dangereux que les autres).

En substance, il n’y a aucun moyen de justifier l’interdiction de la lumière du soleil pour prévenir le cancer de la peau, car le « bénéfice » de cette prescription est largement dépassé par ses effets néfastes. Cependant, une astuce linguistique très intelligente permet de contourner cette contradiction — une seule étiquette, « cancer de la peau », est utilisée pour tout, ce qui permet d’adopter sélectivement la létalité du mélanome, la fréquence du CBC et la sensibilité à la lumière du soleil que présentent le CBC et le CEC.

Cela m’a toujours exaspéré, et j’ai donc beaucoup réfléchi aux raisons de ce choix.

Toutefois, je dois souligner que certains cancers de la peau (par exemple, de nombreux mélanomes) nécessitent une ablation immédiate. Mon propos ici est de vous encourager à ne pas éviter complètement les dermatologues, mais à envisager de demander un second avis à un autre dermatologue si vous n’êtes pas sûr de ce qui vous a été suggéré, car il existe de nombreux dermatologues excellents et respectueux de l’éthique qui exercent également dans ce domaine.

La spécialité la plus recherchée

Une grande partie du processus d’éducation médicale consiste à fournir aux étudiants en médecine des carottes (récompenses incitatives) qu’ils peuvent obtenir s’ils travaillent incroyablement dur, s’ils sont très respectueux des règles et s’ils font preuve d’un degré d’aptitude supérieur à la moyenne. Cela motive les étudiants en médecine à continuer à travailler très dur (même s’ils ont « réussi » et qu’ils ont déjà été admis à l’école de médecine) et, souvent, les résidents en médecine à continuer à le faire (afin qu’ils puissent accéder à une bourse prestigieuse). L’une des principales motivations est de pouvoir accéder à une spécialité prestigieuse, car celle-ci est généralement plus respectée et mieux rémunérée.

La dermatologie est généralement considérée comme la spécialité la plus recherchée, car :

  • – La période de formation post-médicale est relativement courte (quatre ans seulement).
  • – Elle offre un équilibre relativement souple entre vie professionnelle et vie privée (par exemple, vous ne travaillez que des heures normales pendant la semaine et vous pouvez prendre un jour de congé).
  • – Il est assez rare que vous ayez à traiter des patients en état d’urgence ou difficiles, de sorte que le stress dans ce domaine est très faible.
  • – La dermatologie est l’une des spécialités les mieux rémunérées. Le salaire moyen d’un dermatologue débutant est de 400 000 dollars par an, bien que certains, comme les chirurgiens Mohs, gagnent au moins 600 000 dollars (et souvent beaucoup plus). À titre de comparaison, les médecins généralistes gagnent généralement environ 220 000 dollars par an.

Il est remarquable que la profession de dermatologue ait réussi à faire cela et, par conséquent, son domaine a tendance à attirer les étudiants les plus compétitifs qui veulent vraiment le style de vie incroyable et le salaire qu’un cabinet privé de dermatologie peut offrir (même si, au cours du processus de candidature, tout le monde prétend généralement vouloir faire de la recherche universitaire puisque c’est ce qui vous permet d’être admis). De même, l’un des médecins les plus intelligents que je connaisse (qui avait un grand cœur et la capacité d’améliorer la médecine) s’est finalement orienté vers la dermatologie pour ces raisons, ce qui a eu pour conséquence de gâcher un potentiel incroyable (de même, je pense que l’une des principales raisons pour lesquelles la recherche innovante a été si lente en dermatologie est que son modèle de rémunération attire les médecins doués qui ne sont pas intéressés par la recherche).

La transformation de la dermatologie

Il n’y a pas si longtemps, la dermatologie était l’une des professions les moins appréciées, car la plupart de leurs activités consistaient à traiter l’acné et les boutons avant l’arrivée de l’accutane (qui, contrairement à la plupart des produits pharmaceutiques, fonctionne réellement, mais qui est malheureusement incroyablement toxique et a handicapé à vie quelques personnes que j’ai bien connues).

Un blog relativement peu connu du dermatologue David J. Elpern, M.D., explique enfin ce qui s’est passé :

Au cours des 40 dernières années, j’ai été témoin de ces changements dans ma spécialité et je suis consterné par la réticence de mes collègues à les aborder. Cette tendance a commencé au début des années 1980, lorsque l’Académie de dermatologie (AAD) a demandé à ses membres plus de 2 millions de dollars pour engager une agence de publicité new-yorkaise de premier plan afin de mieux faire connaître notre spécialité au public. Ces hommes fous ont recommandé d’« éduquer » le public au fait que les dermatologues sont des spécialistes du cancer de la peau, et pas seulement des chasseurs de boutons ; c’est ainsi qu’a été créée la Journée nationale gratuite de dépistage du cancer de la peau.

Ces dépistages ont servi à gonfler l’anxiété du public concernant le cancer de la peau et ont conduit à la réalisation d’un grand nombre de procédures coûteuses et de faible valeur pour le cancer de la peau et la kératose actinique (KA). Dans le même temps, les pathologistes ont élargi leur définition du mélanome, ce qui a entraîné une « dérive diagnostique » qui a faussement augmenté l’incidence du mélanome, alors que la mortalité est restée à son niveau de 1980. Parallèlement, les cancers de la peau sans mélanome sont surtraités par des armées de chirurgiens micrographes qui traitent souvent des cancers de la peau inoffensifs par des interventions chirurgicales inutilement agressives et lucratives.

Un article de 2021 fournit un contexte supplémentaire aux remarques du Dr Elpern :

Le dépistage du cancer de la peau a commencé au niveau communautaire dans les années 1970. Le premier programme public national de dépistage du cancer de la peau a été lancé par l’Académie américaine de dermatologie en 1985, après que l’augmentation de l’incidence et du taux de mortalité du mélanome malin eut attiré l’attention au début des années 1980. Au cours des premières années du programme, le président Ronald Reagan a signé des proclamations créant la « Semaine nationale de prévention et de détection du cancer de la peau » et la « Semaine de détection et de prévention du mélanome et du cancer de la peau chez les personnes âgées », et l’examen complet de la peau est devenu la référence en matière de dépistage du cancer de la peau.

En bref, comme cela s’est produit à maintes reprises en Amérique, une campagne de relations publiques remarquablement sophistiquée a été lancée pour transformer la société au profit d’une industrie.

Je suis relativement certain que quelques-uns des principaux éléments de cette campagne étaient les suivants :

  • – Reconnaître que les cancers de la peau sont de loin les plus faciles à diagnostiquer (puisqu’il suffit de les voir).
  • – La diabolisation du soleil, qui a permis aux dermatologues de se poser en héros et de susciter autant d’anxiété que possible à l’égard du soleil, d’autant plus que l’investissement psychologique qu’ils devaient consentir en mettant constamment de la crème solaire inciterait davantage les patients à se rendre chez leur dermatologue.
  • – Leur permettre de créer un énorme entonnoir de vente en les autorisant à effectuer un grand nombre d’examens de routine de la peau du corps entier (sur des personnes par ailleurs en bonne santé) et donc de disposer d’un énorme réservoir de cancers potentiels à biopsier ou à exciser (retirer).

  • – Il leur est permis de s’appuyer sur la peur que l’industrie médicale a fait naître autour du cancer pour justifier le fait de demander beaucoup d’argent pour faire quelque chose de douteux afin de prévenir le cancer, et de faire en sorte que tous les patients soient d’accord dès qu’ils entendent le mot « c » tant redouté.

Plus précisément, leur jeu ultime était de pouvoir justifier le fait de faire payer très cher l’ablation chirurgicale de cancers de la peau, en étant souvent payé plus qu’un chirurgien pour une procédure standard (ce qui est justifié dans une certaine mesure parce que la chirurgie nécessite également un examen pathologique à mi-parcours). La procédure de référence est la suivante

L’objectif essentiel de la chirurgie de Mohs est de permettre une incision beaucoup plus petite (c’est-à-dire de ne pas couper plus qu’il n’est nécessaire), ce qui peut souvent représenter un grand avantage pour le patient, car les grands trous dans le visage peuvent être dévastateurs. Pour ce faire, on interrompt l’opération à mi-parcours et on examine ce qui a été découpé au microscope afin de déterminer si tout le cancer a été extrait et s’il n’y a plus rien à découper (alors que dans la chirurgie conventionnelle, une marge plus importante est utilisée pour plus de sécurité).

L’astuce de la chirurgie de Mohs réside dans le fait que, puisqu’il s’agit d’une chirurgie et d’une pathologie au cours de la même visite, le médecin peut facturer une variété d’éléments différents qui s’additionnent assez rapidement. Pour illustrer cela, consultez ce guide de facturation et ce résumé de l’Assurance maladie sur ce qu’il est actuellement possible de facturer (ce qui, d’après ce que j’ai compris, est un peu différent de la facturation plus lucrative qui existait il y a une dizaine d’années et qui va de pair avec les récents changements de politique dans le secteur de l’assurance qui ont fait que les dermatologues dans la plupart des régions ne pouvaient être remboursés pour les chirurgies de Mohs que s’ils avaient suivi une formation supplémentaire d’un ou deux ans dans ce domaine — ce qui en a fait, on le comprend, une formation très compétitive pour être admis).

Vous pouvez donc deviner ce qui s’est passé :

Le taux de recours à la chirurgie de Mohs parmi les bénéficiaires de Medicare aux États-Unis a augmenté de 700 % entre 1992 et 2009 [ce qui lui a valu d’occuper la première place sur la liste des codes CPT « potentiellement mal évalués » de Medicare], bien qu’il y ait peu de preuves suggérant dans de nombreux cas que Mohs était supérieur aux options de traitement moins coûteuses, qui comprennent le grattage, l’arrachage ou même l’application d’une crème pour créer une brûlure chimique. La grande différence entre ces traitements plus conventionnels et le traitement de Mohs est leur prix : quelques centaines de dollars contre plus de 10 000, voire 20 000 dollars pour le traitement de Mohs.

Pour la plupart des tumeurs cutanées bénignes, « la décision de recourir à la chirurgie micrographique de Mohs reflète probablement l’avantage économique pour le prestataire plutôt qu’un avantage clinique substantiel pour le patient », a écrit le Dr Robert Stern, dermatologue à Harvard, notant qu’en 2012, l’Amérique a dépensé plus de 2 milliards de dollars estimés pour la chirurgie de Mohs, avec de grandes variations dans son utilisation : même pour des endroits sensibles comme le visage et les mains, elle a été utilisée 53 % du temps dans le Minnesota contre seulement 12 % au Nouveau-Mexique. Le Dr Stern estime que près de 2 % de l’ensemble des bénéficiaires de Medicare ont subi une opération de Mohs cette année-là.

Pour montrer ce que ce changement dans les lignes directrices a entraîné :

Au total, 10 726 dermatologues ont été identifiés dans la base de données, représentant 1,2 % de l’ensemble des professionnels de santé et 3 % du total des paiements Medicare (3,04 milliards de dollars sur environ 100 milliards) [alors que les dermatologues représentent un peu moins de 1 % des médecins du pays]. Le paiement médian par dermatologue était de 171 397 dollars. Le remboursement moyen pour l’E/M était de 77,59 dollars par unité, tandis que le Mohs recevait un remboursement moyen par procédure de 457,33 dollars par unité. Parmi les dermatologues, 98,9 % ont reçu un paiement E/M [visite générale] et 19,9 % ont reçu des paiements liés à Mohs. Le montant total des paiements aux dermatologues était le plus élevé pour l’E/M (756 millions de dollars), suivi par le Mohs (550 millions de dollars) et la destruction des lésions précancéreuses [cryochirurgie] (516 millions de dollars) [puis 289 millions de dollars pour les biopsies]. Comparativement aux dermatologues qui facturent le moins, les dermatologues qui facturent le plus reçoivent une plus grande proportion de paiements pour la chirurgie de Mohs et les lambeaux/greffes et une plus faible proportion pour l’E/M. Les 15,9 % de dermatologues qui facturent le plus reçoivent le plus de paiements pour la chirurgie de Mohs. Les 15,9 % de dermatologues les mieux payés ont reçu plus de la moitié des paiements totaux.

Comme vous pouvez le deviner, cette opportunité a rapidement attiré l’attention de parties peu scrupuleuses qui cherchaient à profiter de cette manne. C’est ce qui a conduit le New York Times à enquêter sur ce secteur et à faire une découverte :

  • Des sociétés de capital-investissement de Wallstreet sont entrées sur le marché, ont racheté des cabinets de dermatologie et les ont dotés d’infirmières et d’assistants (beaucoup moins chers à embaucher que les médecins), tout en annonçant au public qu’il verrait un médecin. Cette situation était regrettable, car ces pseudo-dermatologues effectuaient plus de deux fois plus de biopsies de cancers cutanés présumés que les dermatologues (qui, en l’espace de dix ans, étaient passés de presque aucune biopsie facturée à l’assurance maladie à plus de 15 %). De même, ils ont souvent manqué des cancers réels ou mal diagnostiqués des lésions dont tout dermatologue pouvait dire qu’elles n’étaient pas cancéreuses (ce qui est également arrivé à des personnes que je connais et qui ont fréquenté ce type de cliniques), au point que l’article du NYT de 2017 a pu donner un exemple de ce qui s’est passé.

  • Il y a eu une forte pression (par exemple, de la part de médecins avides) pour étendre cette franchise aux maisons de retraite. Par exemple, ils ont couvert une pratique mobile dans le Michigan qui envoie des cliniciens dans 72 maisons de retraite où ils effectuent des milliers de cryochirurgies, ainsi que de nombreuses injections de stéroïdes et des chirurgies mineures. L’enquête a révélé que 75 % de ces patients étaient atteints de la maladie d’Alzheimer et que la plupart de leurs lésions cutanées étaient sans conséquence. En outre, ils ont cité une société d’analyse des soins de santé qui a examiné 17 820 examens pratiqués sur des patients de plus de 65 ans au cours de la dernière année de vie et a constaté que des biopsies cutanées et la congélation de lésions précancéreuses étaient pratiquées fréquemment, souvent des semaines avant le décès.

  • C’est tout à fait regrettable :

Le Dr Linos a ajouté que les médecins sous-estiment les effets secondaires des procédures de traitement du cancer de la peau. Les complications telles que la mauvaise cicatrisation des plaies, les saignements et les infections sont fréquentes dans les mois qui suivent le traitement, en particulier chez les patients plus âgés souffrant de multiples autres problèmes. Environ 27 % d’entre eux signalent des problèmes, d’après ses recherches.

Pour conclure cette section, je dirai que l’une des choses qui m’a toujours dérangée dans certains des cabinets de dermatologie que j’ai observés était leur aspect « commercial », car les mêmes scénarios étaient répétés encore et encore pour faire passer les patients dans l’entonnoir de vente du cancer de la peau et, simultanément, les dermatologues s’attachaient à ce que tout et tout le monde soit aussi beau que possible (tout en ayant de nombreuses publicités destinées à répondre à l’insécurité physique de leurs patientes).

Évolution du cancer de la peau

Compte tenu des sommes investies dans la lutte contre le cancer de la peau, on pourrait s’attendre à des résultats. Malheureusement, comme pour de nombreux autres aspects de l’industrie du cancer, ce n’est pas ce qui s’est produit. Au lieu de cela, nous constatons, encore et encore, une tendance à diagnostiquer davantage de cancers (auparavant bénins), mais la plupart du temps, aucun changement significatif n’intervient dans le taux de mortalité.

La meilleure preuve en a été apportée par cette étude qui s’est intéressée au type de mélanome malin réellement biopsié et a constaté que la quasi-totalité de l’augmentation des « cancers de la peau » correspondait à des mélanomes de stade 1 qui ne posent que rarement des problèmes :

Cette étude, à son tour, illustre exactement les résultats de notre guerre contre le cancer de la peau :

Enfin, comme beaucoup soupçonnaient les vaccins Covid d’entraîner une augmentation des mélanomes (ou d’autres cancers de la peau) et que je n’ai pas pu trouver de statistiques à ce sujet en ligne, j’ai décidé de les créer en compilant tous les rapports annuels disponibles de l’American Cancer Society en quelques graphiques :

Gestion du cancer de la peau et de la lumière du soleil

L’objectif premier de cet article était de responsabiliser chacun d’entre vous, car je pense qu’il est vraiment déplorable que les dermatologues abusent de la peur du cancer qu’éprouvent les patients pour promouvoir ce modèle commercial lucratif.

Néanmoins, je reconnais que cet article soulève également quelques questions évidentes, telles que :

  • – Existe-t-il des alternatives moins invasives aux chirurgies du cancer de la peau ?
  • – Quelle est la meilleure façon d’interagir en toute sécurité avec le soleil (par exemple, quelles sont les approches les plus sûres en matière de protection solaire) ?
  • – Quelles sont les causes réelles du cancer de la peau et comment peut-on le prévenir ?

Dans la dernière partie de l’article, je ferai part de nos réflexions actuelles sur chacune de ces questions.

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Au Royaume-Uni, les enseignants sont priés de diffuser les opinions de Bill Gates et de George Soros

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le COVID a largement cristallisé une insurrection à bas bruit, insurrection légale, numérique, mais qui a conduit de nombreux citoyens à se rebeller contre la mise en place d’un crédit social plus brutal qu’en Chine, appelé passe sanitaire. La caste a largement puisé dans les techniques de contre-insurrection, théorisées en Occident, notamment aux USA, pour combattre cette insurrection balbutiante qui n’a pas dit son nom. Mais… l’opération n’est sans doute pas terminée. Au point que, au Royaume-Uni (en pointe sur les techniques de contre-insurrection), les enseignants vont désormais être chargés d’inculquer à leurs élèves les grandes thématiques de la contre-insurrection, telles qu’elles sont formalisées par Soros et Gates. La France devrait rapidement suivre ce modèle. Une pratique qui fleure bon la rééducation en mode communiste.

L’affaire est révélée par le Guardian : les enseignants britanniques vont disposer de guides rédigés par les pouvoirs publics pour lutter contre le « complotisme ».

  • Les guides à destination des enseignants sont rédigés par des organismes directement liés à la caste mondialiste, dont Full Fact, financé par George Soros, et l’Institute for Strategic Dialogue, notamment financé par la Fondation Bill et Melinda Gates.
  • Ces organismes sont également financés par les GAFAM.
  • Leur objectif est de donner des arguments aux enseignants face aux théories complotistes, notamment vis-à-vis du COVID et des vaccins à ARN messager, mais aussi vis-à-vis de la consommation d’insectes, du réchauffement climatique ou du Great Reset.
  • Cette opération signale l’échec de la stratégie de contre-insurrection fondée sur l’infiltration des réseaux sociaux.
  • Les structures d’enseignement devraient être, de façon grandissante, la cible d’opérations de « réinformation » menées par la caste.
  • La France ne devrait pas tarder à suivre, sous une forme ou sous une autre.



La 5G, arme des télécoms, prise en flagrant délit pendant que nous dormons

[Source : reinettesenumsfoghornexpress.substack.com]

NEXRAD révèle le sale secret des télécoms : l’arme fumante de la 5G. Vous vous sentez mal ces derniers temps ?

Par Reinette Senum

Au cours des huit dernières années, j’ai milité contre l’expansion inutile et dangereuse des réseaux 5G dans ma communauté et dans tout le pays. En tant que citoyenne concernée et activiste, j’ai été confrontée à une opposition et à des critiques significatives pour ma position sur cette question cruciale.

Ici, je témoigne en 2017 devant l’Assemblée californienne contre la prolifération de la 5G en Californie :

Lorsque j’étais maire de Nevada City, en Californie, mes efforts pour protéger la santé et la sécurité publiques ont notamment consisté à renvoyer les opérateurs de télécommunications lorsqu’ils ont tenté d’étendre inconsidérément les réseaux 3G et 4G, et à présider un comité de travail chargé d’élaborer une ordonnance sur les télécommunications pour ma ville natale. Bien que l’ordonnance ait été affaiblie par des interférences internes et externes, je suis restée fidèle à mon engagement de sensibiliser la population aux risques sérieux de la technologie 5 G.

Aujourd’hui, avec l’émergence de preuves alarmantes provenant d’une récente imagerie satellite NEXRAD — qui m’a été envoyée par un ami et supporter, Jan — il apparaît que les préoccupations que je soulève depuis des années sont plus pressantes que jamais. La militarisation et l’instrumentalisation de la technologie 5G constituent une menace sérieuse pour notre bien-être, et il est temps que les opposants comprennent la gravité de la situation. Alors que nous examinons les implications de ces nouvelles informations, j’encourage chacun à considérer sérieusement ces faits et à prendre des mesures pour se protéger et protéger nos communautés des dangers de la 5G. Il est essentiel que nous nous rassemblions pour exiger la transparence, la responsabilité et la priorité de la santé publique sur les intérêts des entreprises. Le temps de la complaisance est révolu ; nous devons agir maintenant pour préserver notre avenir.

Le crime filmé par NEXRAD

[Voir le film en haut du site source — NDLR]

La semaine dernière, du 16 au 18 avril, NEXRAD a enregistré un rayonnement micro-ondes pulsé intense (voir la vidéo en haut de l’article) couvrant l’ensemble des États-Unis et s’intensifiant chaque nuit. Ces impulsions de 750 kW émises par 159 tours NEXRAD et 160 stations Doppler émettent des fréquences de 2,7 à 2,9 GHz, très proches de celles d’un four à micro-ondes. Et elles nous frappent pendant 12 à 14 heures d’affilée chaque nuit, pendant que nous dormons.

Pourquoi est-ce alarmant ? De plus en plus d’études établissent un lien entre l’exposition chronique à de faibles niveaux de micro-ondes et divers problèmes de santé. Elle peut supprimer la production de mélatonine, ce qui perturbe le sommeil et les rythmes circadiens. Des études EEG (électroencéphalographie) montrent qu’elles modifient l’activité cérébrale et la signalisation électrique. Des études sur les animaux suggèrent que les micro-ondes affaiblissent l’immunité, altèrent la fonction cardiaque et provoquent même un mauvais pliage des peptides — un facteur connu dans les maladies neurodégénératives comme la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson et la maladie de Creutzfeldt-Jakob (la forme humaine de la maladie de la vache folle1).

Source : https://en.m.wikipedia.org/wiki/Creutzfeldt%E2%80%93Jakob_disease

Qu’est-ce qui permet cela ? Une faille béante dans la réglementation de la FCC2. La FCC fixe des limites d’exposition, mais celles-ci sont calculées sur une moyenne de 30 jours. Ainsi, alors que ces pics de rayonnement nocturnes peuvent dépasser de loin les seuils de sécurité, ils sont masqués par les moyennes journalières. L’exposition chronique et répétitive passe inaperçue.

Il s’agit d’une petite faille commode dans la réglementation de la FCC qui permet aux opérateurs de télécommunications de zapper la nation sans jamais « violer » les limites d’exposition maximale admissible (MPE) de la FCC.

Savez-vous maintenant pourquoi j’ai tant plaidé en faveur d’un contrôle des entreprises de télécommunications et de leur déploiement de la 5G ?

Les ondes millimétriques sont une arme. Tout simplement. Elle n’aurait JAMAIS dû être autorisée à entrer dans le domaine public.

Et voici le clou du spectacle : les géants des télécommunications qui déploient la 5G ont des liens inconfortables avec les agences militaires et de renseignement. La NSA et le FBI sont profondément impliqués dans les « conseils de sécurité » de la 5G. Sans surprise, Blackstone et BlackRock ont réalisé des investissements substantiels dans des entreprises de tours de téléphonie cellulaire et des fournisseurs de fibres optiques qui sont essentiels à l’industrie du sans-fil… Une plongée plus approfondie peut s’avérer nécessaire, mais je peux vous dire ceci avec certitude : ces partenariats ne sont pas au bénéfice de notre santé ou de celle de la biosphère.

Pourquoi le monde devient-il « détraqué » ?

Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous, mais les gens sont de plus en plus déséquilibrés. J’en veux pour preuve l’augmentation massive des bagarres entre citoyens dans les salles de classe, les rues, les WallMart, les IHOP, et partout où une personne a l’espace nécessaire pour donner un coup de poing.

En outre, les gens n’arrivent plus à dormir, ce qui les rend agités, nerveux, groggy et tout simplement mal dans leur peau. Et je me pose des questions : le rayonnement pulsé de la 5G est-il un facteur ? Nous sommes en train de voler à l’aveuglette alors que la 5G recouvre notre monde, l’industrie menant la danse tandis que les régulateurs détournent le regard.

Des chevaux de Troie gigantesques

La 5G n’est pas seulement la prochaine génération d’appareils sans fil, c’est aussi un saut quantique en termes d’exposition de notre planète entière aux micro-ondes. La FCC a ouvert l’ensemble du spectre des micro-ondes à la 5G, ce qui représente environ 3 000 nouvelles fréquences potentielles. C’est l’équivalent de 300 « G » par rapport à la poignée de fréquences utilisées dans les générations précédentes. Chacune de ces fréquences n’a pas sa place sur Terre.

Et nous ne sommes pas les seuls à en subir les conséquences. Arthur Firstenberg, auteur de l’ouvrage The Invisible Rainbow (L’arc-en-ciel invisible)3, a récemment fait état de comportements très étranges de la part d’insectes et d’animaux.

Le mystérieux phénomène du poisson qui tourne : un signe d’interférence électromagnétique ?

Arthur Firstenberg, auteur de The Invisible Rainbow, a fait état d’un phénomène inquiétant : Plus de 50 espèces de poissons des Keys de Floride ont été observées en train de tourner en rond jusqu’à leur mort, sans cause apparente. Ce comportement bizarre, qui a commencé en février 2023 et se poursuit encore aujourd’hui, a affecté un large éventail de la vie marine, des poissons communs au poisson-scie à petite dent, gravement menacé d’extinction. Malgré les investigations, aucune preuve de marée rouge, de faibles niveaux d’oxygène, de températures élevées ou de parasites n’a été trouvée dans les poissons morts.

Toutefois, si l’on examine de plus près la zone d’où proviennent la majorité des rapports — un tronçon de 10 miles entre Big Pine Key et Sugarloaf Key — on découvre un coupable potentiel : les interférences électromagnétiques. Sur Cudjoe Key, située entre les deux zones concernées, une ancienne base de l’armée de l’air est aujourd’hui exploitée par le ministère de la Sécurité intérieure. Au-dessus de cette installation flotte un ballon radar, ou « aérostat », qui balaie un rayon de 200 miles dans le cadre de la surveillance des frontières américaines. Les radars puissants peuvent blesser les poissons lorsqu’ils remontent à la surface dans les eaux peu profondes des Keys de Floride. En outre, l’installation utilise des sonars sous-marins, ce qui pourrait avoir un impact supplémentaire sur les poissons. L’augmentation récente des offres d’emploi au Tethered Aerostat Radar System (TARS) suggère une amélioration et une expansion des opérations, y compris l’utilisation d’un sonar océanique.

Ce phénomène de rotation n’est pas limité aux poissons des Keys de Floride. Ces dernières années, des comportements circulaires similaires ont été observés chez diverses espèces animales à travers le monde, apparemment liés aux rayonnements électromagnétiques. Ici, des moutons et des vers de terre tournent en rond pendant des heures, incapables de se libérer du « sortilège ».

Photo prise en Angleterre le 26 mars 2021.
Photo prise à Hoboken, New Jersey le 25 mars 2021.

En 2021, après le lancement de près de 100 satellites par SpaceX et OneWeb, des vers dans le New Jersey et des moutons en Angleterre ont été vus en train de spiraler ou de tourner en rond. Des scientifiques japonais ont également fait état d’étranges cercles de tortues de mer vertes, d’otaries à fourrure de l’Antarctique, de manchots royaux, de requins et de baleines, les animaux portant des ordinateurs et des émetteurs susceptibles d’être à l’origine de ce comportement inhabituel. Même les abeilles ont été touchées : en Caroline du Nord, des abeilles charpentières ont tourné en rond pendant des jours après avoir traversé le champ d’un capteur de lumière Wi-Fi. Si les interférences électromagnétiques peuvent affecter profondément le règne animal, elles soulèvent de sérieuses inquiétudes quant à leur impact potentiel sur la santé et le bien-être de l’Homme.

Si ce comportement étrange peut arriver aux fourmis, il peut nous arriver à nous aussi. Je dirais que ce n’est qu’une question de temps, mais peut-être que nous tournons déjà en rond sans nous en rendre compte.

La Terre bloque ces ondes pour une raison bien précise

L’ionosphère terrestre bloque ces ondes millimétriques pour une bonne raison. Il n’existe aucune fréquence de rayonnement électromagnétique [millimétriques ou de plus haute fréquence] qui soit source de vie. Les gens sont déjà malades parce qu’ils sont exposés à la combinaison de la 5G en plus de la 4G, de la 3G et de la 2G. Vous ajoutez un nombre illimité de fréquences 5G dont les effets biologiques néfastes sont bien documentés.

La 5G a été conçue au début des années 1900 comme une arme militaro-industrielle. Il s’agissait d’un équipement radar militaire, utilisé et étudié de manière approfondie par l’armée pour ses effets biologiques. La maladie des micro-ondes était un phénomène courant chez les opérateurs radar. Aujourd’hui, l’industrie nie l’existence même de l’électrosensibilité.

Le déploiement de la 5G ne se limite pas à des téléchargements plus rapides et à des villes « intelligentes ». Il s’agit d’armer la technologie cellulaire à des fins de surveillance et de contrôle. La 5G permet la biométrie, la reconnaissance faciale, la numérisation, les systèmes de crédit social et les interactions centralisées entre les humains et les villes. Il s’agit de créer une réalité virtuelle à une époque où nous ne savons plus vraiment ce que signifie la réalité.

Cependant, permettez-moi d’être très claire sur un point : nous ne consentons pas et ne consentirons jamais à cela.

Les preuves des dommages sont accablantes, mais la FCC et les agences de régulation continuent d’approuver la 5G sans procéder à des tests de sécurité adéquats. Elles sont capturées par les industries mêmes qu’elles sont censées réglementer. La porte tournante entre l’industrie des télécommunications et les agences gouvernementales est bien documentée.

Mais je m’écarte du sujet. Je sais que vous le savez tous déjà.

Nous sommes soumis à une expérience massive et incontrôlée, sans notre consentement éclairé. Les effets à long terme sur la santé d’une exposition chronique à la 5G sont inconnus, mais les données scientifiques sont déjà très préoccupantes, et nous n’avons pas encore commencé à comprendre toutes les ramifications. De nombreux rapports font état de mal des micro-ondes, d’insomnie, de maux de tête, de fatigue, de troubles cognitifs, de palpitations cardiaques et d’autres symptômes liés au déploiement de la 5 G — et il s’agit là de choses que nous pouvons observer. Qu’en est-il de l’inobservable ? Comme notre esprit, nos pensées et nos actions.

— Craignez-vous que les algorithmes utilisés par les plateformes de médias sociaux soient une forme de contrôle mental ?
— Je… ne… m’inquiète pas… de… cela.
— Peut-être aurions-nous dû avoir cette conversation plus tôt.
— Je dois… poster… un selfie.

Les récentes images NEXRAD sont la preuve irréfutable que nous attendions. Elles prouvent que nous sommes irradiés par des micro-ondes pulsées la nuit, à notre insu et sans notre consentement. Il s’agit d’une violation de nos droits fondamentaux et d’un crime contre l’Humanité.

Nous devons interrompre le déploiement de la 5G jusqu’à ce que des scientifiques indépendants puissent étudier l’ensemble de ses effets sur la santé et l’environnement. Nous devons établir des limites d’exposition fondées sur la biologie qui protègent la santé publique, et pas seulement les profits de l’industrie. Nous devons donner la priorité aux connexions filaires en fibre optique plutôt qu’aux connexions sans fil chaque fois que cela est possible afin de minimiser l’exposition inutile. En tant que contribuables, nous avons déjà payé pour cela par le biais de nos factures de téléphone.

Plus important encore, nous devons affirmer notre souveraineté sur nos corps et nos esprits. Nous devons revendiquer notre droit à vivre dans un monde qui n’est pas saturé de radiations électromagnétiques artificielles. Nous devons résister à l’agenda de surveillance et de contrôle total que la 5G permet. Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, tout cela se resserre sur nous par des mesures désespérées.

Certaines personnes font preuve de créativité en demandant à des drones de déposer des sacs sur les caméras de surveillance.

L’heure est tardive, mais il n’est pas trop tard. Ensemble, nous pouvons éclairer les ténèbres et exiger le changement. Nous pouvons créer un avenir où la technologie est au service de la vie, et non l’inverse. Mais nous devons agir maintenant avant que la prison de la 5G ne soit achevée.

Je vous invite à diffuser largement ces informations. Parlez-en à vos amis et à votre famille. Contactez vos représentants élus. Soutenez les scientifiques et les défenseurs qui se battent pour notre santé et notre liberté. Ensemble, nous pouvons faire la différence. Supprimez le Wi-Fi de votre domicile et de votre lieu de travail. Expliquez à votre entourage pourquoi vous faites cela. Une fois le Wi-Fi supprimé, observez la différence dans la santé et le comportement des gens.

Les enjeux ne pourraient être plus importants. Notre avenir dépend des choix que nous faisons maintenant. Choisissons avec sagesse pour notre bien, celui de nos enfants et de toute vie sur Terre.

Je vous pose donc la question, chers lecteurs : avez-vous ressenti des troubles du sommeil ou des symptômes de santé inhabituels au cours de la semaine écoulée ? Insomnie, maux de tête, fatigue, brouillard cérébral, palpitations cardiaques ? Avez-vous observé une activité inhabituelle d’animaux ou d’insectes ? Si c’est le cas, je veux en savoir plus. Laissez un commentaire et partagez votre histoire. [Sur le site source en anglais — NdT. Vous pouvez toujours commenter ici, mais l’auteure n’en saura rien — NDLR].





Deux alternatives à Big Pharma vaccinaliste

Par Joseph Stroberg

Les deux alternatives principales qui sont apparues depuis l’opération psychologique Covid-19 (qui avait manifestement pour but de vacciner massivement l’Humanité avec des nanoparticules particulières sont les suivantes) :

Le point de vue dominant, Big Pharma compatible

S’il reconnaît que les vaccins anticovid ont eu des effets secondaires graves, nombreux et fréquents, il continue à donner du grain à moudre à Big Pharma et favorise une prochaine « plandémie ». Ceux qui s’y rangent continuent à croire en effet aux éléments suivants :

  • l’existence de méchants virus ;
  • l’existence de virus « augmentés » en labos P4 ;
  • le pouvoir de vaccins contre ces méchants virus, augmentés ou non ;
  • le pouvoir antiviral de substances telles que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine.

Même si dans ce groupes, des personnes pensent qu’il existe une nanotechnologie autre qu’à base d’ARNm ou de protéine Spike dans les vaccins, comme dans la vidéo suivante, elles continuent à croire aux pathogènes viraux.



Le point de vie étouffé même au sein de la Résistance au Nouvel Ordre Mondial

Ce groupe minoritaire prend cependant de l’expansion, car il expose avec force arguments le caractère pseudo scientifique (mais scientiste religieux) de l’hypothèse virale en particulier et de la théorie des germes en général.1

Il réfute scientifiquement l’hypothèse virale et la théorie des germes, montrant notamment que les supposés virus ne sont que des composants ou des déchets génétiques de cellules vivantes agressées d’une manière ou d’une autre, et que les bactéries vivent habituellement en harmonie avec nous dans notre microbiome.

Il considère que les supposés « antiviraux » atténuent en fait des symptômes, mais ne soignent rien.

Il considère la théorie du terrain comme étant bien plus compatible avec les faits observés et attribue donc les maladies à des déséquilibres (ou perte de l’homéostasie2) de ce dernier, ceci à cause d’excès ou de déficiences sur un ou plusieurs plans (physique, chimique, électrique, magnétique, électromagnétique, vital, affectif, émotionnel, mental, psychique, et même spirituel), certaines maladies pouvant avoir plusieurs causes simultanées, au moins comme causes secondaires ou dérivées d’une cause plus fondamentale3.

Il montre que les soi-disant « virus augmentés » en labos P4 ne sont que des soupes chimico-génétiques toxiques (issues de la prétendue « culture » virale)4.

Ne considérant plus les germes comme la cause véritable des maladies (mais tout au plus comme des témoins, des nettoyeurs et parfois des facteurs secondaires de ces maladies), il en déduit que les vaccins ne sont au mieux que des placebos, mais le plus souvent des soupes toxiques directement injectées dans le corps de leurs victimes.

Il a découvert la présence de graphène et de nanotechnologie autoassemblée dans les vaxins supposés être à ARNm.

Il a l’esprit ouvert, curieux, capable d’envisager les hypothèses les plus extraordinaires, souvent rejetées sans examen par les autres, comme celles présentées à partir d’éléments probants dans la vidéo suivante [source : @AgoraTVNEWS] :







Les virus n’existent pas — Réfutation de la théorie virale

Par Anonyme

1- Réfutation par le bon sens appliqué au narratif de la théorie virale.

2- Réfutation scientifique.

1- Origine de la théorie virale

D’après Pasteur, les maladies paraissant contagieuses sont d’origine microbienne. Or dans certaines maladies, les bactéries pathogènes ne sont pas retrouvées ; on en déduit qu’il existe des particules plus petites, des virus (virus signifie poison en latin) non visibles en microscopie optique et responsables d’infections. Le virus est décrit comme un brin de matériel génétique, ADN ou d’ARN, entouré d’une enveloppe ; c’est une particule morte, sans métabolisme (qui caractérise le vivant).

Ce virus (mort) est censé, pour un virus respiratoire :

  • – traverser la barrière de mucus, puis la membrane cellulaire,
  • – se diriger vers le noyau cellulaire, le pénétrer,
  • – ouvrir la chaîne d’ADN, pour s’y incorporer
  • – puis se multiplier en milliers d’exemplaires, entraînant la destruction de la cellule,
  • – infecter les cellules adjacentes, diffuser dans le sang (virémie) et envahir l’organisme.

Ce narratif est fantaisiste et invraisemblable car :

  • – le virus est mort et n’a pas d’outils pour réaliser toutes ces tâches ;
  • – il existe des barrières naturelles : mucus, enzymes, anticorps, membranes… ;
  • – il existe des moyens puissants de protection empêchant l’incorporation d’ADN étranger dans le génome.
  • – le système immunitaire, une merveille de complexité et d’intelligence, perfectionné sur des milliers d’années et adapté au cours de l’évolution à lutter contre les éléments étrangers, accepterait-il que des particules inertes envahissent l’organisme pour détruire les cellules ? Masochisme cellulaire ?

Irrationnel et défiant le bon sens !

2- Il n’a pas été prouvé scientifiquement que les virus existent
[et jusqu’à preuve du contraire, ils n’existent pas.]

  • – La théorie virale a été réfutée une 1re fois en 1952, par des expériences sur du « matériel infecté » : aucun virus n’est observé en microscopie électronique et les analyses biochimiques sont identiques au contrôle.
  • – La découverte des bactériophages (virus censés tuer les bactéries) en 1954 et de la double hélice d’ADN en 1953 (Crick et Watson, prix Nobel) conduisent à théoriser la virologie sur le modèle morphologique et biochimique du bactériophage.
  • – La théorie virale a été réfutée une 2e fois, principalement par le virologiste Stefan Lanka, dès 1995.
  • – Aucun virus n’a jamais été isolé de manière scientifique par les virologues.
  • – Aucun génome complet de virus n’a jamais été isolé.

Isolation scientifique d’un virus

La méthode de référence est celle d’une conférence de consensus de l’Institut Pasteur de 1973. Elle consiste :

  • – à réaliser sur un prélèvement, une ultracentrifugation en gradient de densité sur saccharose (séparation des divers éléments selon leur densité),
  • – à prélever la bande de densité virale, qui est ainsi purifiée (l’analyse en microscopie électronique doit montrer des particules virales, nombreuses, toutes de même taille),
  • – à décoder le génome complet et à caractériser les protéines.

Il s’agit d’une procédure simple et facilement reproductible.

Elle est couramment réalisée, avec succès, pour les bactériophages, découverts en 1954 et devenus le modèle des virus.

Malheureusement, pour la virologie :

  • – le bactériophage, censé être un tueur de virus, n’est pas un virus ; il s’agit d’une microspore produite par une bactérie mourante en culture, en milieu défavorable ; la microspore donnera naissance à une nouvelle bactérie.
  • – aucun « autre virus » n’a jamais été isolé par cette méthode, depuis 1954

La pseudoisolation des virus par la virologie

Devant l’échec d’une isolation scientifique, la virologie utilise une méthode de substitution, la culture cellulaire, de 2 façons :

1. Sur un surnageant d’échantillon infectieux, obtenu après centrifugation, qui contient des « virus », des débris cellulaires, des microbes, des exosomes (vésicules d’ADN ou de déchets), etc..

2. Sur une culture cellulaire, souvent de rein de singe (le singe a 98 % de génomes identiques à l’homme).

On laisse mourir la culture, en arrêtant de la nourrir au sérum fœtal bovin (indispensable à la survie des cellules) et en introduisant des antibiotiques (cytotoxiques). .

On en déduit que le virus a détruit les cellules, alors que sans matériel infectieux on obtient le même résultat !!

Les virus sont ensuite créés par ordinateur :

  • – Séquençage (caractérisation) des millions de fragments d’ADN ou ARN ;
  • – assemblage (ou alignement) des fragments, par de multiples logiciels, pour reconstituer le génome viral selon un modèle préétabli dans l’ordinateur, en gros, reconstituer le puzzle d’ADN.
    La fraude est grossière, les ADN proviennent de sources multiples et aucun contrôle (sans matériel infectieux) n’est effectué.
    Selon cette méthode, en 70 ans, jamais une expérience de contrôle n’a été faite,
    « ALORS QUE CELLE-CI EST UNE RÈGLE D’OR ÉLÉMENTAIRE EN SCIENCE ».
  • – Le Dr Lanka a réalisé la même expérience avec du génome humain et a retrouvé 100 % du génome du coronavirus !
  • – deux expériences avec culture cellulaire du virus de la rougeole et contrôle (sans virus) ont donné le même résultat.

Autres preuves

Procès de l’isolation du virus de la rougeole :

– Le Dr S. Lanka a promis 100 000 euros, en 2014, à qui démontrerait l’existence d’une étude prouvant l’isolation du virus : 6 études ont été présentées et invalidées.
– La Haute Cours de Justice de Stuttgart, en 2016 a reconnu la non-isolation du virus de la rougeole, ce qui constitue une jurisprudence pour la rougeole et tous les autres virus isolés par le même protocole.

– L’étude princeps de mise en évidence du Coronavirus de Zhu, de févr. 2020, ne montre ni isolation virale ni contrôle !!

– 222 institutions sanitaires scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du « SARS-COV-2 », par qui que ce soit, où que ce soit (Christine Massey—mars 2024).

– Le CDC chinois, en 2021, reconnaît la non-isolation du corona.

– Des demandes de preuves d’isolation, au CDC et à l’institut Robert Koch, pour tous les principaux virus, n’ont reçu aucune réponse positive.

– 1 million de dollars est promis à qui isolerait le Coronavirus.

En outre le CDC reconnaît en 2021, la non-validité des tests PCR !

Le test PCR du Pr Drosten a été finalisé en févr. 2020, avant même la « découverte » du virus !

En conclusion : toutes les allégations concernant la réalité de la théorie virale sont invalidées et frauduleuses. Cette fraude massive sert à l’autojustification de l’existence de la virologie et à l’industrie des vaccins. À noter que « la Grippe aviaire » est une autre escroquerie, basée sur des tests sans valeurs.

Références

l’erreur d’interprétation : http://wissenschafftplus.de/cms/de/wichtige-texte


[Voir aussi :

UN ADIEU À LA VIROLOGIE
(ÉDITION POUR EXPERT)

La virologie a inventé le modèle du virus, mais n’a jamais réussi à satisfaire à ses propres exigences. On prétend que les virus provoquent des maladies après s’être transmis entre des hôtes tels que l’homme, mais les preuves scientifiques de ces affirmations font défaut. L’un des plus grands échecs de la virologie a été l’incapacité d’obtenir des particules virales directement à partir des tissus des organismes dits atteints de maladies « virales ». Afin d’obscurcir cet état de fait, les virologues ont eu recours à la création de leurs propres méthodes pseudo-scientifiques pour remplacer la méthode scientifique de longue date, ainsi qu’à la modification du sens des mots dans le dictionnaire afin d’étayer leurs pratiques anti-scientifiques. Par exemple, un isolat « isolé » ne nécessite pas (pour les virologues) l’existence physique des particules pour obtenir le statut d’« isolat ».

et les autres articles du dossier Vaccins et virus

]




« Cher Dr Malone… »

[Source : sashalatypova.substack.com]

Par Sasha Latypova — 1er mai 2024

Robert Malone a récemment publié un billet dans lequel il revient sur les raisons qui l’ont poussé à se faire vacciner avec Moderna et sur la lésion vaccinale qu’il a subie par la suite :

Au début de l’année 2021, j’ai parlé à des collègues de la FDA qui m’ont assuré que le vaccin était sûr et qu’il aidait les personnes atteintes de Covid de longue durée. Ils m’ont également assuré que la toxicité que j’avais observée avec les LNP dans les années 1990 avait été résolue grâce à de nouvelles formulations. J’ai fait confiance à mon gouvernement et à la santé publique. J’ai fait confiance à mes amis. À ce moment-là, presque personne n’écrivait sur la myocardite ou même sur le fait que le vaccin produisait des effets indésirables. Franchement, j’étais fier d’avoir participé à l’invention de cet ensemble de technologies et heureux de voir les idées évoluer vers quelque chose qui sauverait des vies. J’étais loin de me douter que toutes les activités de « recherche et développement » menées au cours des années qui ont suivi mon départ n’avaient jamais abordé les problèmes de sécurité initiaux et qu’en fait, l’ajout de la pseudouridine1 avait rendu ces produits encore plus dangereux. N’oubliez pas que la plupart des recherches menées par les entreprises ne sont jamais publiées — littéralement, nous, le public, n’avons aucun moyen de savoir ce qui a été fait ou n’a pas été fait. Nous devions faire confiance au gouvernement.

Permettez-moi de préparer le terrain pour cette lettre ouverte en disant que Robert Malone pense que je suis l’un de ces détracteurs, qui le traque de manière absolument déraisonnable sur tout l’Internet avec des commentaires haineux, etc. Il pense qu’il s’agit d’une affaire personnelle. Récemment, il a publié un article de psychologie inventé par des amateurs, insinuant lourdement que tous ceux qui n’ont jamais été d’accord avec ses déclarations, qui ont souligné ses conflits d’intérêts vraiment graves ou qui n’ont pas été d’accord avec ses opinions le sont uniquement parce qu’ils sont des personnalités narcissiques de la « triade sombre ».

Cher Dr Malone,

Je ne vous déteste pas. Ce n’est pas personnel. Certains disent que vous mentez sur le fait que vous auriez reçu des injections de Moderna et que vous auriez été blessé par ces injections. Mais je vous crois sur ce point, car je crois toutes les victimes. Il y a d’autres raisons, et j’espère que cette lettre les expliquera clairement.

Tout d’abord, un bref mot de remerciement. Dans votre message, vous avez fait référence au site web Howbad is Your Batch (howbad.info) où vous avez trouvé vos numéros de lots Moderna. Merci pour cette référence. Il s’agit du site web que Craig Paaradekooper a créé avec mon aide, y compris 160 dollars pour l’hébergement. Il a été inspiré par mon analyse originale de la variabilité des événements indésirables et des décès pour les lots de vaccins Covid, qui a été publiée pour la première fois le 31 octobre 2021 dans The Exposé (un journal britannique). Craig a vu cette publication et a fait sa propre analyse indépendante qu’il a publiée sur Bitchute le 16 novembre 2021. Pendant plus d’un an, nous avons collaboré à la recherche de données dans ce domaine. Le site web est devenu extrêmement populaire, permettant aux gens de voir par eux-mêmes combien de morts et de blessés ont été causés par la technologie que vous prétendez avoir inventée.

Ensuite, examinons vos affirmations selon lesquelles je vous aurais « attaqué » et surtout « continuellement, tout le temps », comme vous l’avez affirmé avec colère lors de la désormais célèbre interview de Doc Malik, le 16 janvier 2024. Trois jours après cette interview, vous avez décidé de me bloquer sur X/Twitter et avez ensuite publié ce mensonge malveillant et diffamatoire sous la forme d’une « question » :

Mon mari n’a aucun lien avec le FEM, mais vous avez prouvé publiquement que vous êtes un menteur. Je ne vous avais pas attaqué avant cette diffamation idiote de votre part pour une raison simple : il n’y avait pas lieu de le faire. Je n’étais pas d’accord avec le fait que vous poursuiviez les Breggins et le Dr Ruby (que vous avez publiquement traité de « tarte » — quel gentleman !). Je n’étais pas d’accord avec votre préparation à la pandémie, car les pandémies sont une fiction utilisée par les psychopathes de l’État profond pour instaurer une tyrannie mondiale. Mes désaccords n’étaient pas des « attaques », mais des désaccords factuels, étayés par des preuves substantielles. Depuis le 16 janvier, j’ai de nombreuses bonnes raisons de dénoncer vos mensonges, vos conflits d’intérêts et la propagande sur la préparation à la pandémie que vous mettez en avant.

Extrait 1 (commençant à environ 30 minutes de l’interview) :

(VIDÉO sur site source)

Transcription (accentuation ajoutée) :

À 30:22 — Ahmad Malik demande : « Parlons de la FDA… Sasha Latypova a participé à mon podcast et elle a dit clairement que le DoD et la DARPA… »

RM : « Sasha Latypova dit beaucoup de conneries et elle m’attaque tout le temps, beaucoup de gens pensent qu’elle est en fait une opposition contrôlée. Elle fait beaucoup de déclarations qui ne sont pas étayées, et si vous regardez les documents, ils sont loin d’être ce qu’elle affirme qu’ils sont »… « Contrairement à Sasha, je suis un expert en affaires gouvernementales et en rédaction de contrats gouvernementaux et d’affaires réglementaires. Je sais de quoi je parle ! J’ai rédigé des contrats OTA2 ! Je connais intimement ces clauses ! … »

C’est ce qu’on appelle le « bad-jacketing »3, n’est-ce pas ? Vous prétendez être un expert en la matière : « Beaucoup de gens pensent qu’elle est une opposition contrôlée ». Qui sont ces « nombreuses personnes », Bob ? Voulez-vous développer, et peut-être montrer quelques preuves que je suis « contrôlée » et par qui/quoi ? Peut-être un ou plusieurs contrats de non-divulgation en cours avec une entité vraiment puissante, avec de l’argent et des armes ? Oh, attendez, je suis bête, c’est vous ! Vous avez ces CDA4 qui vous permettent d’être contrôlé par la partie qui a déclenché l’empoisonnement de masse et la privation de droits sous prétexte d’une « pandémie », à savoir le gouvernement américain et le ministère de la Défense. Plus tôt dans l’interview, vous avez engueulé Doc Malik pour avoir remis en question le caractère sacré de la pandémie. Accuser les autres de faire ce que vous faites — pouvez-vous me rafraîchir la mémoire, s’agissait-il d’Alinsky ou de Goebbels ?

Je ne savais pas que vous étiez également un expert de l’OTA ! C’est bon à savoir. Il aurait été encore mieux de le savoir aux alentours de 2020, lorsque vous étiez occupé à rédiger des guides sur la Covid et à falsifier la science avec de la famotidine5 pour 21 millions de dollars pour le compte de la DARPA. Les contrats OTA pour les contre-mesures contre la Covid ont été passés par le ministère de la défense pour un montant d’environ 50 milliards de dollars à l’époque. Il aurait été formidable que vous en fassiez mention sur le podcast de Joe Rogan ou de Dark Horse ou sur tout autre média social de haut niveau pour les Américains trompés qui pensaient tous qu’ils recevaient des produits pharmaceutiques sûrs et réglementés et non des contre-mesures militaires non réglementées, dangereuses et sans responsabilité de l’EUA6. Pourquoi n’avez-vous rien dit à l’époque ? Pourquoi n’avez-vous rien dit dans l’interview de Doc Malik du 16 janvier pour réfuter ce que j’ai dit au sujet des contrats OTA/Covid ? Quelle preuve de l’expertise d’OTA pouvez-vous apporter, si ce n’est l’affirmation rageuse que vous l’avez ? Pourquoi avez-vous attendu pour affirmer que vous aviez une expertise dans ce domaine jusqu’à ce que des non-experts en OTA, @Katherine Watt et moi-même ayons trouvé et examiné la loi pertinente et les contrats, et jusqu’à ce que @Debbie Lerman, une journaliste qui n’était pas auparavant une experte en OTA, ait compris pourquoi et comment le HHS7 s’est « associé » avec le DOD pour contourner leurs restrictions respectives en matière d’OTA ? Il s’avère que cela était nécessaire pour commander un volume massif de « prototypes et de démonstrations » (poison chimique non réglementé) et prétendre qu’il s’agissait de médicaments réglementés pour les militaires et les civils. Le saviez-vous en 2020 ?

En tant qu’expert, vous semblez toujours avoir plusieurs longueurs de retard sur les non-experts !

Clip 2 :

(VIDÉO sur site source)

Transcription :

RM : J’ai également étudié en profondeur les documents relatifs aux réglementations sanitaires d’urgence et ce qu’ils stipulent. Ils stipulent qu’en cas de déclaration d’urgence, la Défense sera impliquée. Sasha prétend que c’est une opération contrôlée par le ministère de la Défense. Je n’ai pas vu cette documentation.

Quelqu’un pourrait-il m’indiquer cette plongée en profondeur dans les règlements sanitaires d’urgence par le Dr Malone, et me dire quand elle a été publiée, si tant est qu’elle existe ? J’ai tellement de questions sans réponse. Pourquoi le ministère de la Défense serait-il impliqué dans un prétendu événement de « santé publique » sur le sol américain ? Quelles sont les lois qui autorisent le déploiement des forces armées fédérales sur le territoire américain et sur les terres non fédérales appartenant aux États qui ne sont vraisemblablement pas en guerre ? Pourquoi le colonel Matt Hepburn, de la DARPA, a-t-il appelé le consortium pharmaceutique sur la pandémie le 4 février 2020 pour lui dire que la Covid était une menace pour la sécurité nationale ? Qu’est-ce qui a justifié cette déclaration extraordinaire alors qu’il n’y avait pas de Covid aux États-Unis, qu’il n’y en avait presque pas dans le monde et que personne n’en était mort à l’époque (ou depuis lors, en fait8) ? Qu’est-ce qui a justifié ces activités militarisées extraordinaires, Bob ? S’il vous plaît, dites-le-nous, à nous, petites gens, qui ne sommes pas des experts comme vous ?

Vous dites que vous n’avez pas vu les documents prouvant que l’OWS9 était contrôlé par le ministère de la Défense. Cela ne signifie pas que la documentation est inexistante, mais seulement que vous n’êtes pas un expert dans les domaines où vous prétendez l’être, ou que vous avez un problème de perte de mémoire étrange et très prononcé (causé par le ministère de la Défense ?). Vous avez vu cette documentation, au moins une fois, lorsque je l’ai présentée en janvier 2023 à Stockholm. Vous souvenez-vous que vous êtes monté sur scène après la présentation et que vous m’avez serré dans vos bras ? Vous l’avez donc vu ! Ce tableau qui indique clairement que le DoD est le chef des opérations d’OWS. Ce tableau est disponible depuis octobre 2020 :

Le général Gustave Perna était le chef des opérations d’OWS. Ce type :

Il ne s’agit pas de Peter Marks ni de Robert Kadlec comme vous le prétendez plus loin dans l’interview, bien que Peter Marks soit effectivement crédité du nom OWS. C’est un fan de Star Trek. Et c’est aussi votre ami, Bob, du moins vous le pensiez. Je reviendrai sur ce point dans une minute.

Vous dites que c’est la faute de Kadlec et qu’il « pourrait être de la CIA ». Il pourrait être les deux, puisqu’il a personnellement alloué les milliards de dollars pillés aux contribuables sous la forme de « contrats de contre-mesures Covid » à ses copains de l’industrie pharmaceutique, y compris votre propre bébé — Inovio Pharmaceuticals ! Toutefois, outre les milliards de dollars de contrats sans appel d’offres qui ont été passés par le ministère de la Défense pour fabriquer toute une série de poisons et de systèmes meurtriers, je me permets d’attirer votre attention sur le fait que les dirigeants du ministère de la Défense d’OWS ont tenu de nombreuses conférences de presse en 2020 et 2021, expliquant clairement au monde entier qu’ils étaient en fait les responsables. Regardez ces uniformes prestigieux, ces insignes et ces grades militaires ! Non seulement ils sont en charge de l’OWS, mais ils affirment également à plusieurs reprises qu’ils sont en charge de l’ensemble du gouvernement. Écoutez le général Talley souffrir de la forme particulière du syndrome de Tourrete du ministère de la Défense : il s’agit d’un extrait d’une seule (!) conférence de presse du Pentagone, le 2 juin 2020.

(VIDÉO sur site source)

Bien entendu, il ne s’agit pas du seul document attestant que le ministère de la Défense est responsable de l’opération « Warp Speed » ! Loin de là. Voici un résumé de 14 pages discutant du rôle du DoD et des contrats OTA, préparé à la demande du sénateur Ron Johnson par moi-même, Katherine Watt et plusieurs avocats et autres professionnels (moins les pièces jointes). Je vous invite à réfuter calmement tout ce qui précède, mais, s’il vous plaît, évitons les explosions de colère en proclamant notre expertise sans rien dire de substantiel. Cette façon de faire est de plus en plus éculée.

Et bien sûr, ce n’est pas la première fois qu’un véritable expert vous le fait remarquer. Vous vous souvenez que le Dr Mike Yeadon en a parlé en décembre 2023 et que vous lui avez dit de « se taire » ? Oui, je m’en souviens ! Oui, c’était la première fois que je vous critiquais publiquement, Bob, pour votre impolitesse et pour avoir soigneusement « ignoré » la vérité. « Ne pas remarquer », par exemple ne pas remarquer que la Défense est en charge de l’OWS alors qu’elle l’est clairement, est une façon sophistiquée et pratique de mentir. Je cite ma propre déclaration :

Il est possible que les « experts » ne comprennent pas comment ce crime est commis et par qui, et il est possible qu’ils n’aient pas vu les réponses précédentes de la FDA (même dans les dépositions au tribunal), qu’ils ne soient pas au courant des décisions des juges fédéraux dans des affaires clés, qu’ils ne comprennent pas la loi américaine actuelle et qu’ils n’aient jamais entendu parler des contre-mesures de l’EUA (alors qu’ils travaillent pour la DoD et la DTRA10 et sont payés pour élaborer des contre-mesures). C’est possible, mais peu probable. Et si c’est le cas, pourquoi les appelle-t-on encore des experts ?

Pourquoi les grands experts posent-ils toujours la même question et s’attendent-ils à une réponse différente ? Cette citation est d’ailleurs attribuée à tort à Einstein.

Je ne pense pas que ce soit un signe de folie. Personne n’est stupide ou ne commet d’erreur. Il est clair que tous ces faux pas ont pour but de passer à côté de la vérité le plus longtemps possible pendant la construction de la prison mondiale.

Revenons à Peter Marks, Dr Malone. Le fait est que vous avez fait une grosse erreur. Ce n’était pas votre ami. Les cafards n’ont pas la capacité d’être des amis. Ses qualités humaines sont superficielles. Il/elle/quoi que ce soit, c’était un test de vos compétences en matière d’industrie pharmaceutique et de nature du gouvernement. Je suis désolé d’annoncer la mauvaise nouvelle, mais vous avez échoué. L’un d’entre nous est un expert, et l’autre a fait confiance à Peter Marks. Portez-vous bien. J’espère que votre corps se remettra à temps de la blessure causée par le vaccin. Votre réputation ne le fera peut-être pas…

Sincèrement,

Sasha Latypova


1 « La pseudouridine (notée ψ) est un ribonucléoside dérivé de l’uridine. On la trouve dans certains ARN non codants, comme les ARN de transfert ou les ARN ribosomiques. La pseudouridine n’est pas incorporée lors du processus de transcription, mais résulte d’une modification post-transcriptionnelle de certains résidus d’uridine. C’est la modification de base la plus fréquente dans l’ARN, elle est retrouvée chez l’ensemble des organismes vivants. » (Wikipédia) — NdT.

2 Other Transaction Authority (Autorité pour d’autres transactions) est le terme couramment utilisé pour désigner l’autorité (10 U.S.C. 4021) du Département de la Défense (DoD) pour réaliser certains prototypes, projets de recherche et de production. — NdT.

3 Le bad-jacketing est un terme qui désigne le fait de mettre en doute l’authenticité de la bonne foi ou de l’identité d’une personne — NdT.

4 Confidential Disclosure Agreement : accord de divulgation confidentielle — NdT.

5 La famotidine est utilisée pour traiter les ulcères de l’estomac (gastriques et duodénaux), l’œsophagite érosive (brûlures d’estomac ou remontées acides) et le reflux gastro-œsophagien (RGO) — NdT.

6 Emergency Use Authorization (Autorisation d’utilisation en cas d’urgence) — NdT.

7 Health & Human Services (Santé et services sociaux) — NdT.

8 L’auteur fait partie des personnes qui n’ont pas trouvé de preuves d’une nouvelle maladie et ne se sont pas contentées des déclarations officielles — NdT.

9 Opération « Warp Speed » — NdT.

10 Defense Threat Reduction Agency (Agence de la Défense pour la réduction des menaces) — NdT.




Comment les vaccins anticovid peuvent-ils produire des maladies à prion comme Creutzfeldt-Jakob ?

[Via https://twitter.com/Xochipelli1953/status/1785692876162126190]

La maladie de Creutzfeldt-Jakob est un des effets secondaires relevés suite aux vaccinations contre la Covid. La protéine spike des vaccins à ARNm a été suspectée de la produire. Problème : ces protéines sont supposées provenir de virus, mais aucun virus pathogène n’a jusqu’à ce jour été réellement isolé en suivant la méthode scientifique1 ; où sont les études qui isolent et caractérisent chimiquement de manière scientifique des protéines spike dans les vaccins ? Des observations et analyses menées par diverses équipes de chercheurs ont par contre relevé la présence de graphène dans les vaccins2. L’étude suivante montre le mécanisme par lequel le graphène affecte la protéine prion.

Comment le graphène affecte le mauvais pliage de la protéine prion humaine : une étude combinée d’expérimentation et de simulation de dynamique moléculaire3

Par Yongchang Zhu a, Jingjing Guo a, Ai Zhang a, Lanlan Li b, Xuewei Liu a, Huanxiang Liu a b, Xiaojun Yao b c.

  • a École de pharmacie, Université de Lanzhou, Lanzhou 730000, Chine.
  • b State Key Laboratory of Applied Organic Chemistry et Département de chimie, Université de Lanzhou, Lanzhou 730000, Chine.
  • c State Key Laboratory of Quality Research in Chinese Medicine, Macau Institute for Applied Research in Medicine and Health, Macau University of Science and Technology, Taipa, Macau, Chine.

Reçue le 19 août 2018, révisée le 15 décembre 2018, acceptée le 23 décembre 2018, disponible en ligne le 28 décembre 2018, version du dossier le 11 janvier 2019.

Points principaux

  • Il est important d’évaluer l’effet du graphène sur les protéines liées à l’amyloïde.
  • L’influence du graphène sur le prion a été explorée par des expériences et des simulations MD (Dynamique moléculaire).
  • L’ajout de graphène a modifié la structure secondaire de la protéine prion.
  • Dans l’induction du graphène, les régions des boucles H1 et S2-H2 du prion deviennent instables.
  • Le graphène peut induire un mauvais pliage du prion et entraîner un risque potentiel.

Résumé

En raison de la large application du graphène dans le domaine biomédical, il est urgent et important d’évaluer comment le graphène affecte la structure et la fonction des protéines dans notre corps, en particulier les protéines liées à l’amyloïde. La protéine prion, qui est une protéine amyloïde typique, se replie mal et s’agrège, ce qui entraîne de graves maladies à prion. Pour déterminer si le graphène favorise ou inhibe la formation de l’amyloïde, nous avons combiné les méthodes expérimentales et de simulation de la dynamique moléculaire (MD) pour étudier l’influence du graphène sur le domaine globulaire de la protéine prion (PrP117-231). Les résultats de la trempe de fluorescence et du spectre de dichroïsme circulaire ont montré que l’ajout de graphène modifiait considérablement la structure secondaire de la protéine prion, se traduisant principalement par une réduction de la structure en hélice α et une augmentation de la structure en spirale, ce qui indique que le graphène peut renforcer l’inclinaison du prion à mal se replier. Pour mieux comprendre le mécanisme du changement de conformation du prion sous l’effet du graphène, nous avons effectué des simulations MD de tous les atomes dans un solvant explicite. Nos simulations suggèrent que la protéine prion peut être rapidement et étroitement adsorbée sur le graphène avec un faible réarrangement conformationnel et qu’elle peut se réorienter lorsqu’elle s’approche de la surface. La force de Van der Waals dirige le processus d’adsorption. Dans l’induction du graphène, les régions des boucles H1 et S2-H2 du prion deviennent instables et le prion commence à se déformer partiellement. Notre travail montre que le graphène peut induire le mauvais repliement de la protéine prion et peut entraîner un risque potentiel pour les biosystèmes.

Introduction

Depuis sa découverte en 2004, le graphène a suscité une grande attention dans divers domaines, en raison de ses remarquables propriétés électriques, optiques, physiques et chimiques. Jusqu’en 2008, les applications biomédicales potentielles du graphène ont commencé à attirer l’attention des scientifiques, notamment l’administration de médicaments/gènes, la biodétection, la bioimagerie, les matériaux antibactériens, les échafaudages biocompatibles pour la culture cellulaire, etc.4. Comme nous le savons, lorsque des nanoparticules (NPs) pénètrent dans un milieu biologique, les protéines et autres biomolécules entrent rapidement en compétition pour se lier à la surface des NPs, soit fortement, soit faiblement, ce qui conduit à la formation d’une couronne protéique dynamique5. Leur interaction avec les protéines peut perturber à la fois la structure et la fonction des protéines. Lorsque les NPs interagissent avec des enzymes biologiques, elles peuvent faire perdre aux enzymes leurs conformations d’origine et inhiber ou améliorer les fonctions des enzymes6. Par exemple, tel que rapporté par Chen et al. (2017), lorsque les SWCNT interagissent avec la lignine peroxydase et la maléylpyruvate isomérase, les fonctions des enzymes sont inhibées. De plus, l’interaction entre les NPs et les protéines ou peptides amyloïdes pourrait inhiber ou faciliter la formation de l’amyloïde7. En raison de leur surface spécifique élevée, les nanomatériaux de la famille du graphène possèdent des capacités d’adsorption de protéines potentiellement plus importantes que la plupart des autres nanomatériaux8. Malgré le nombre croissant d’études computationnelles portant sur l’interaction entre le graphène et les protéines, on sait peu de choses sur les effets du graphène sur la structure de la protéine de l’amylose. Ainsi, la question de savoir si le graphène inhibe ou favorise la formation d’amyloïdes reste controversée. Par conséquent, une question essentielle à résoudre avant de poursuivre les applications du graphène en biomédecine est la toxicité potentielle à court et à long terme de ce nouveau nanomatériau9.

Ici, pour découvrir les effets du graphène sur les protéines liées à l’amyloïde, nous avons combiné les méthodes expérimentales et de simulation de dynamique moléculaire (MD) pour étudier l’influence du graphène sur le domaine globulaire de la protéine prion cellulaire normale (PrPC). Le mauvais repliement et l’agrégation de la protéine prion entraîneront de graves maladies à prion et constituent également le facteur clé pour le développement d’un diagnostic précoce et de technologies de détection très sensibles des biomolécules liées à la PrP10. Les maladies à prions11 sont les seules maladies amyloïdes infectieuses connues. La conversion de la protéine prion (PrP) de sa forme cellulaire (PrPC) à sa forme pathogène (PrPSc)12 est la procédure clé du développement des maladies à prions. Le domaine globulaire de la protéine prion cellulaire normale (PrPC) est riche en structure α-hélice. Une fois que le mauvais pliage se produit, il passe à la structure riche en feuillets β13. Ici, pour surveiller si la protéine prion se replie mal sous l’effet du graphène, on a utilisé la méthode d’extinction de la fluorescence et les spectres de dichroïsme circulaire (CD). Bien que ces méthodes expérimentales puissent nous permettre d’évaluer directement si la structure secondaire de la protéine prion va changer ou non, elles ne peuvent pas fournir le mécanisme de transition de la structure. Ainsi, afin d’explorer comment la protéine prion interagit avec le graphène et de découvrir la transition de structure de la protéine prion, la simulation de dynamique moléculaire (MD) a été réalisée. Comparée à la méthode expérimentale, la simulation de dynamique moléculaire peut fournir des informations plus détaillées et plus dynamiques sur l’interaction entre la protéine et les nanoparticules. En outre, le changement structurel induit de la protéine par le graphène peut également être observé facilement en analysant la trajectoire de la simulation de la dynamique moléculaire.

Extraits des sections

Clonage, expression et purification de Prion117-231

Les gènes de la protéine prion (PrP117-231) ont été synthétisés par GENEWIZ, Inc. Suzhou, Chine et ont été clonés dans le plasmide dérivé pET-28b contenant 6×His tag. Le plasmide a été transformé dans des cellules compétentes de la souche BL21 (DE3) d’Escherichia coli (Conway et al., 1998) par choc thermique à 42 °C pendant 60 s. Les protéines prions (PrP117-231) ont été exprimées et purifiées comme décrit (Li et al., 2017). La pureté et la concentration de la protéine repliée ont été déterminées à l’aide d’un SDS-PAGE à 12 % et d’un Nanodrop 2000.

L’interaction entre le graphène et PrP117-231

En présence de différentes concentrations de graphène, les spectres de fluorescence de PrP117-231 ont été collectés et affichés dans la Fig. 2. Ici, la « ligne blanche » est l’intensité de fluorescence de PrP117-231 sans graphène. Lorsque la concentration de graphène augmente, l’intensité de fluorescence de la protéine diminue, ce qui indique que le graphène peut éteindre la fluorescence intrinsèque du prion en fonction de la concentration. En particulier, lorsque la concentration de graphène atteignait 0,10 mg/ml, l’intensité de fluorescence de la protéine diminuait.

Conclusions

Dans le présent travail, nous avons étudié les variations structurelles au niveau atomique de la PrP125-228 sur la surface du graphène afin de comprendre les effets du graphène sur la structure de la protéine amyloïde et d’explorer la biosécurité du graphène dans les applications biomédicales. Les résultats des expériences de trempe de fluorescence et de spectre de dichroïsme circulaire ont montré que l’ajout de graphène modifiait largement la structure secondaire du domaine global du prion et pouvait renforcer la tendance au mauvais repliement de la protéine amyloïde.

Remerciements

Ce travail a été soutenu par la National Natural Science Foundation of China (Grant No: 21375054) et par le Fundamental Research Funds for the Central Universities (Grant No. lzujbky-2017-k24).

References (74)





Combattons les censures et les atteintes à nos droits fondamentaux

[Publication initiale : profession-gendarme.com]

Par le Dr Gérard Delépine, chirurgien et cancérologue

Le droit de se déplacer librement et celui d’exprimer ses idées et ses opinions constituent les plus essentiels des droits fondamentaux de l’homme. Mais les élites menacent la liberté d’expression par la désinformation et les censures. Battons-nous pour les faire respecter.

La liberté d’expression conditionne la liberté d’opinion

Elle est inscrite à l’article 11 de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789 :

Elle est rappelée par l’Article 19 de celle de l’ONU :

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit ».

Elle est garantie par la constitution française et de nombreux traités internationaux que nous avons signés dont la Convention européenne des droits de l’Homme.

Mais la liberté d’expression insupporte tous ceux qui n’ont pas d’arguments solides pour débattre avec leurs opposants et qui s’efforcent d’instaurer une censure généralisée pour imposer la pensée unique, premier pas du totalitarisme.

Depuis la crise du covid, les gouvernants des pays qui se prétendent pourtant démocratiques ont rivalisé d’ingéniosité pour diaboliser et censurer tous ceux qui dénonçaient l’énormité de leurs mensonges, les publications qui mettaient en danger leurs présentations de la vérité, leurs idéologies, leurs pouvoirs et leurs intérêts matériels.

La liberté d’opinion est indispensable à la science

La religion repose sur la foi et ignore le doute. Les vérités énoncées dans le livre Sacré sont immuables. Toute contestation est hérétique et doit être condamnée.

La science repose sur le doute. Une vérité scientifique n’est admise que tant qu’elle est compatible avec les faits constatés. Toute contradiction entre la théorie dominante du moment et un fait observé crée une controverse qui mène à une nouvelle vérité d’où naissent la plupart des progrès scientifiques.

Méconnaître les paradoxes et refuser le débat c’est stériliser la science, la transformer en religion. Niels Bohr, pionnier de la mécanique quantique, l’avait brillamment exprimé à propos du paradoxe Einstein-Podolsky-Rosen « qu’il est merveilleux de constater un paradoxe. Maintenant nous avons l’espoir de faire quelques progrès ».

La désinformation, les censures et l’oppression Covid pour modèles

Désinformation et propagande

Comme la censure des médias ne suffisait plus pour ignorer les hérétiques, les autorités ont utilisé les agences sanitaires comme caution pseudo scientifique de leurs mensonges.

Lors du Covid le très mal nommé « comité scientifique » a longtemps incarné la voix officielle en prétendant entre autres fadaises que les vaccins étaient efficaces. Le ministère, les agences officielles et l’académie de médecine ont répété à l’envie :

« Les vaccins sont efficaces à 90 %… ils empêchent la diffusion de l’épidémie… ils protègent des formes graves… ils sont efficaces et sans danger ».

L’académie de médecine a même réclamé l’obligation vaccinale pour tous, y compris pour les enfants en prétendant « qu’un taux de vaccination de 80 % assurerait une immunité collective suffisante pour contrôler l’épidémie ». Cette dernière affirmation été depuis dramatiquement démentie par les données officielles montrant l’explosion d’Omicron alors que le taux de vaccinés en France atteignait ce taux magique de 80 %.

Au niveau mondial aussi les données de l’OMS ont démontré que les injections covid ont été inefficaces contre les transmissions et qu’elles les ont peut-être même favorisées.

Répression de la liberté d’expression

Pour éviter que les faits contredisant leurs mensonges soient connus, certains milliardaires et les gouvernements occidentaux ont instrumentalisé des journalistes et l’ordre des médecins comme tribunal de l’Inquisition et ont fait condamner tous ceux qui voulaient ouvrir un débat scientifique ou qui diffusaient des faits scientifiquement établis, mais contraires au dogme officiel.

Comme l’inefficacité de l’obligation généralisée du masque contre les virus1, que les « vaccins covid » n’en étaient pas, que ces injections étaient expérimentales2Mais aussi que les injections anti-covid n’ont pas évité les formes graves entraînant la mort et qu’elles exposaient à des complications, que les traitements précoces (hydroxychloroquine, Ivermectine, antibiotiques, vitamine D…) étaient efficaces, que l’hydroxychloroquine était peu toxique.

De nombreux médecins qui énonçaient ces faits ont été interdits d’exercer leur activité sans qu’aucun tribunal n’ait à ce jour rappelé que la liberté d’expression est un droit constitutionnel.

Les pays occidentaux qui ont le plus imposé les pass et les vaccins sont ceux qui ont comptabilisé des plus fortes mortalités covid par million :

Et ce sont ces mêmes pays, chantres des injections, qui souffrent actuellement de surmortalités toutes causes confondues « inexpliquées », car possiblement liées aux effets secondaires des pseudo vaccins.

La censure emprunte de multiples méthodes

L’invisibilisation

Le premier temps consiste à ignorer les donneurs d’alerte : les médias ne mentionnent pas leurs informations, livres ou discours pour que le public n’y ait pas accès… Désindexation de leurs articles par Google Actualité, suppression de leurs vidéos par la chaîne YouTube, Facebook, Instagram, etc., puis rapidement censure financière par boycott de ses services de publicité. Google et les réseaux sociaux évitent d’en faire mention alors qu’ils accordent une place considérable à la propagande officielle.

Rappelons le blocage en France de la chaîne Rumble et de RT France chaîne de télévision très écoutée disparue brutalement sans explications techniques sur ordre du gouvernement. Les tentatives de diffusion par Odyssée ou autres des innombrables vidéos censurées par YouTube sont utiles, mais n’atteignent pas le même nombre de vues.

L’exercice qui consiste à éviter certains mots qui engendreront automatiquement la censure d’une vidéo par YouTube en minimisant son audience, comme vaxx, enfants, genre, etc. conduisent à une autocensure automatique des auteurs, de même que le fait de ne pas montrer d’images dures comme les photos des interventions pour changement de genre, ce qui amoindrit le message.

La diabolisation par sophisme, par association

Lorsque cela n’est pas suffisamment efficace, les censeurs tentent de décrédibiliser les donneurs d’alerte en s’attaquant à leur personne plutôt qu’à leurs propos pour le discréditer ou le déshonorer.

Ils ont pour cela créé des « fast checkers », le plus souvent journalistes3 qui, au lieu d’informer équitablement, à charge et à décharge, déforment les propos des donneurs d’alerte, ne les interrogent jamais et n’hésitent pas à mentir en les diffamant. Ces fast checkers sont entre autres financés par George Soros (Open Society Foundation), Google, la fondation Bill et Melinda Gates, the National Endowment for Democracy, Ebay’s Omidyar Foundation, les gouvernements occidentaux et la Commission Européenne.

Par exemple, pour tenter de démentir mon article illustrant la surmortalité post vaccinale précoce4, Françoise Kadri de AFP « factuelle », « antiviral » site Internet, La Montagne journal web, et Ludwig Gallet du Parisien ont imaginé et prétendu que j’étais l’objet d’« une plainte du Conseil national de l’Ordre des médecins depuis décembre 2020 »5 avant de confirmer les données chiffrées de l’OMS que je citai, tout en tentant de leur trouver des explications non liées aux injections pour quelques pays. Le comique de l’histoire est que je n’étais plus inscrit au conseil de l’ordre depuis 2014 !

Ils utilisent volontiers des sophismes par association pour induire une « culpabilité par association ». L’exemple de sophisme par association le plus classique en politique consiste à associer leurs adversaires au fascisme, à l’extrême droite ou à Hitler, référence suprême du mal, pour le discréditer. Ils les traitent d’antivax (même les vaccinés !) de « populistes », « contestés », « complotistes », « d’extrême droite », sans jamais étayer leurs accusations par des faits ou des propos précis, objectifs, et en citant comme contradicteurs les avis sans nuances de médecins de plateau aux liens d’intérêts avec les gouvernants ou l’industrie souvent considérables, jamais mentionnés.

L’accusation de « discours de haine »

Nos députés ont, à juste titre, déclaré illégales l’apologie du terrorisme, du racisme et la négation des crimes contre l’humanité. Les activistes utilisent ces modèles en qualifiant ce qu’ils désirent censurer de « discours de haine », et de « phobique » « islamophobes », « homophobes », « transphobes », « grossophobes » et même, tout récemment « capillaro phobes » !

Rappelons que la critique d’une croyance ne constitue pas un discours de haine envers les croyants, mais seulement l’expression d’une opinion qui appelle au débat. Le blasphème est d’ailleurs parfaitement autorisé en France depuis la révolution de 1789, et la plupart des chrétiens le tolèrent. Je ne suis pas chrétien et je réprouve les excès passés de l’Église catholique lorsqu’elle imposait ses lois à la cité, mais je ne ressens aucune haine envers cette religion, ni envers ses croyants dont, au contraire, j’apprécie profondément les principes moraux, fondateurs de notre civilisation. Ce qui n’est manifestement pas le cas de certains militants extrémistes de croyances minoritaires religieuses, sociales ou sexuelles qui s’expriment parfois avec la brutalité propre aux convertis récents à une idéologie.

L’interdiction légale

Cette accusation de discours de haine ou de phobie vise à préparer une interdiction légale. Les individus qui se prétendent discriminés font du lobbying intense pour transformer l’expression des opinions qui leur déplaisent en délit punissable par la loi.

Ils y parviennent trop souvent ; ainsi en France les députés n’ont pas hésité à couper les cheveux en quatre en votant le 28 mars 2024 une loi pour « Reconnaître et sanctionner la discrimination capillaire ». Maintenant critiquer la coiffure de son épouse peut exposer aux rigueurs de la loi !

Certains censeurs se glorifient de défendre une cause qu’ils jugent essentielle !

L’étape ultime du refus de la liberté d’expression est franchie lorsque le censeur se glorifie de combattre la liberté d’opinion sous prétexte qu’elle s’oppose à une cause qu’il juge essentielle.

Des extrémistes de l’urgence climatique n’hésitent pas à agresser des œuvres artistiques mondialement reconnues.

Aux États-Unis, l’autocensure des médias américains s’est exprimé en floutant la Une de Charlie Hebdo renaissant de ses cendres après l’attentat terroriste islamiste qui l’avait frappé.

Des extrémistes s’attaquent à la littérature et au cinéma et consacrent leur temps à traquer les expressions ou les thèmes qui leur déplaisent pour les censurer.

De nombreuses œuvres sont ainsi réécrites au gré de la sensibilité exacerbée de minorités agissantes ; « Dix petits nègres » a été renommé « ils étaient dix ».

Les accusations moralistes contre « Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur » (Prix Pullitzer 1961) ont conduit certaines bibliothèques scolaires de l’État de Virginie de le retirer de leurs rayons. « Huckleberry Finn » de Mark Twain, « La case de l’Oncle Tom », « Tintin au Congo », « Tristes tropiques », mais aussi « le marchand de Venise de Shakespeare » et Voltaire sont la cible de censeurs qui nous rappellent tristement l’époque du procès de Flaubert pour Mme Bovary ou plus récemment la chasse aux sorcières du Maccarthisme triomphant. Même les Misérables de Victor Hugo sont attaqués.

Le film multi-oscarisé « Autant en emporte le vent » accusé de raciste et de révisionniste, a été retiré de HBO Max en juin 20206 et est maintenant précédé d’une « mise en contexte », censée aider le public à comprendre qu’il faut bien le replacer dans son époque et qu’il « Il serait irresponsable de le maintenir sans explication et dénonciation. » Cela témoigne d’un mépris des spectateurs qui seraient incapables de comprendre seuls et d’une volonté totalitaire de rééducation culturelle.

L’exemple de censeur sans complexe est incarné par la directrice de Radio France A. V. Reeth qui se glorifie publiquement d’exclure de l’antenne les scientifiques covidosceptiques ou climatosceptiques s’érigeant ainsi en grand maître des vérités scientifiques.

Mais comment peut-elle se glorifier ainsi de mépriser la démocratie et de trahir son devoir de journaliste énoncé dans la charte de Munich de 19717 et du celle du journaliste8

« Le droit du public à une information de qualité, complète, libre, indépendante et pluraliste, rappelé dans la Déclaration des droits de l’homme et la Constitution française, guide le journaliste dans l’exercice de sa mission. Cette responsabilité vis-à-vis du citoyen prime sur toute autre… Défend la liberté d’expression, d’opinion, de l’information, du commentaire et de la critique ».

Cette volonté de « censure pour une bonne cause » s’oppose au jugement prononcé par la Cour Européenne des Droits de l’Homme dans la jurisprudence Hertel9 :

« Peu importe que l’opinion dont il s’agit soit minoritaire, et qu’elle puisse sembler dénuée de fondement : dans un domaine où la certitude est improbable, il serait particulièrement excessif de limiter la liberté d’expression à l’exposé des seules idées généralement admises ».

Les élites veulent accroître les censures par la loi et les traités internationaux

Alors qu’ils prétendent se comporter en démocrates les dirigeants occidentaux veulent toujours plus censurer pour imposer plus étroitement leur contrôle et nous faire croire à de futures crises sanitaires dans l’espoir d’attenter davantage encore à nos libertés.

En France, la loi Darmanin menace d’amende astronomique et de prison les donneurs d’alerte en médecine :

« Art. 223-1-2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique »… « Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende ».

Il envisage même d’interdire les « outrages » dans la sphère privée !

En Europe, le règlement européen sur les services numériques (Digital Services Act, DSA) vise à obliger les plateformes à censurer les continus qui pourraient paraître problématique sous menace d’amende et d’interdiction de leur exploitation sur le territoire. Il sacralise une censure privée (les plateformes apprécient seules la légalité ou non du contenu). Le respect de codes de conduite européen comporte en particulier la « visibilité accrue des sources d’information faisant autorité » (celles des gouvernements…). Twitter et consorts seront « en liberté ultra-provisoire et totalement surveillés ».

Les autorités espèrent-elles vraiment « restaurer la confiance » en censurant des faits réels qui contredisent leur discours ? Ne devraient-elles pas plutôt répondre à leurs opposants par des arguments lors de débats ? C’est en tous cas ce qui correspondrait le mieux aux idéaux démocratiques qu’elles se targuent de respecter. La démocratie meurt de la censure.

L’OMS dans son projet de nouveau règlement sanitaire international veut instituer une censure renforcée contre les critiques émises de ses préconisations qu’elle veut de plus rendre contraignantes. S’il n’était pas refusé, il pourrait demander des obligations vaccinales que personne n’aurait le droit de critiquer.

C’est la démocratie qu’ils veulent assassiner

Sans liberté de parole, il n’y a pas de démocratie !

Refusons la dictature des minorités et des grands groupes financiers qui pilotent ces projets liberticides tant en France, qu’à l’OMS ou à la Commission européenne.

Ceux qui croient que la démocratie est le moins mauvais de tous les systèmes politiques doivent s’allier pour dénoncer ces scandales partout et toujours et nous gagnerons, car la vérité triomphe toujours quand on la défend.

De nombreux pays ont déjà annoncé qu’ils refuseraient d’appliquer le nouveau règlement sanitaire de l’OMS s’il était voté en mai 2024 tel que son directeur général l’espère.

Malheureusement de trop nombreux dirigeants européens, trop liés à la finance, veulent supprimer progressivement nos droits fondamentaux de citoyens. Renvoyons chez eux les politiques qui veulent restreindre les droits de l’homme.

Quittons les organismes supranationaux (UE, OMS, OTAN) qui veulent faire taire la voix des peuples et détruire la démocratie. Obtenons le Frexit !

À bas la censure ! Liberté de parole ! Liberté de communication ! Liberté de déplacement ! Libertés !

Gérard Delépine





« L’OMS appartient désormais à un particulier »




En Autriche aussi, des milliers de décès seraient dus aux vaccins anticovid

[Source : favoris-alcyonpleiades]






Après investigation, le Dr Mike Yeadon ne croit plus aux méchants virus

[Source : lionessofjudah.substack.com]

Par le Dr Michael Yeadon — 25 avril 2024

Je suis formellement convaincu que les maladies respiratoires aiguës que nous appelons rhumes et grippes (« maladies de type grippal ») ne sont pas causées par des particules infectieuses submicroscopiques appelées virus et qu’elles ne sont pas contagieuses.

Pour un certain nombre d’autres maladies attribuées à des virus, telles que le « VIH/SIDA » et la « polio », j’ai suivi la piste des preuves suffisamment loin pour affirmer également qu’il n’y a aucune preuve qu’elles soient causées par de tels virus. Au contraire, et comme pour le « Covid-19 », elles sont plus justement appelées syndromes (puisque les symptômes allégués varient dans des proportions extraordinaires) et sont des attributions erronées d’un ensemble d’autres maladies. Dans chaque cas, les personnes sont réellement malades. C’est simplement que le diagnostic est erroné et qu’il n’est pas viral.

J’ai lu qu’il n’a jamais été possible de répondre à des attentes raisonnables en matière d’isolement pour un virus quelconque.

En tant que passager de l’omnibus de Clapham1, j’en ai appris suffisamment pour dire que je pense que la virologie2 est totalement frauduleuse.

En tant que Dr Mike Yeadon, PhD, je n’ai pas fait suffisamment de recherches personnelles et détaillées pour être sûr que les virus n’existent pas, même si je soupçonne que c’est vrai.

Je fais cette distinction parce que je pense que les gens ont le droit de savoir si je parle en tant que scientifique expérimenté ou en tant que personne réfléchie mais inexpérimentée. Si je fais une déclaration sans réserve, il serait raisonnable qu’un tiers s’attende à ce que je sois en mesure de produire des chapitres et des versets sur de nombreuses déclarations importantes concernant des maladies prétendument virales et, dans de nombreux cas, je ne pourrais pas le faire. Je m’appuierais sur le témoignage d’autres personnes.

J’ai les preuves et j’ai lu la littérature primaire sur les maladies respiratoires et sur d’autres maladies sélectionnées. C’est pourquoi je suis sûr de moi.

Je suis également convaincu que les pandémies mondiales de maladies graves sont impossibles. Il n’y a jamais eu de pandémies. L’exemple le plus célèbre, la pandémie de grippe espagnole, est un mélange d’exagération et de probable empoisonnement délibéré. Ces dernières années, il s’agit de « pseudo-épidémies de PCR faussement positives », un phénomène bien établi et bien réel, dans lequel 100 % des résultats de tests prétendument positifs sont faux. Il existe des exemples célèbres où ce phénomène est entièrement accidentel, comme la pseudo-épidémie de coqueluche.

[Voir :
La fin du mythe infectieux — cas de la grippe espagnole]

L’idée que nous risquons à tout moment l’émergence d’une pandémie ou d’une maladie grave et hautement infectieuse est un mensonge central que je considère aujourd’hui comme une contre-vérité évidente.

Le voyage a été étrange et semé d’embûches. Le plus étrange, c’est de montrer à des gens intelligents les preuves qui étayent ma position actuelle sur les maladies respiratoires aiguës et de constater qu’elles ne les émeuvent pas.

Certains ont emprunté des chemins similaires et sont parvenus aux mêmes conclusions. Je crois que le Dr Jonathan Engler3 en fait partie. Il y a de nombreuses autres personnes que je crois sincères, je ne vais donc pas m’en prendre à elles demain, mais qui continuent à parler comme si la propagande de toute une vie restait intacte. C’est exaspérant et je suis incapable de l’expliquer.

Il est intéressant de noter qu’une personne, il y a des années, m’a avoué qu’elle ne voulait pas croire ce que je lui disais, parce que c’était tout simplement trop effrayant. Il est possible que des mécanismes de protection psychologique4 empêchent certains d’entre nous d’accepter de nouvelles informations. Je pense que nous sommes des êtres beaucoup plus actifs inconsciemment que nous ne le pensons. Nous rationalisons ensuite consciemment les choses que notre subconscient a traitées (ou non).

C’est peut-être la raison pour laquelle beaucoup d’entre nous se sont trouvés dans l’impossibilité de persuader les autres, même ceux que nous aimons et connaissons depuis de nombreuses années, que l’on nous ment et que nous subissons une attaque extraordinaire. Je ne suis pas psychologue non plus, et je ne sais donc pas ce qui se passe réellement lorsque je ne parviens pas à convaincre ma sœur aînée, titulaire d’un doctorat dans un domaine biologique, que la pandémie est une supercherie planifiée de longue date.

Certaines personnes agissent comme si elles croyaient qu’il suffisait d’affirmer que les virus n’existent pas pour que les écailles tombent des yeux de l’humanité et que la bataille soit terminée. Ma propre expérience me montre que c’est l’une des façons les moins efficaces d’aborder les couches indubitablement épaisses des maladies infectieuses.

Le fait d’être de cet avis incite certains d’entre eux à prétendre que je travaille pour les auteurs de ces maladies. Je n’y peux rien.

Je pense que c’est à peu près le point où j’en suis actuellement.

Pour dissiper tout doute, les diagnostics basés sur la PCR, les tests de détection de ce que l’on prétend être des anticorps contre certains agents responsables de maladies infectieuses et les vaccins (sans réserve) sont tous frauduleux.

Les maladies sous-jacentes sont réelles, c’est pourquoi les mensonges sont si efficaces.

Meilleurs vœux,

Mike

[Voir plus bas sa déclaration du 19 avril]



Déclaration de Mike Yeadon

[Source : drmikeyeadon.substack.com]

Par Dr Mike Yeadon — 19 avril 2024

1. Moi, Mike Yeadon, je dirai ce qui suit. J’ai suivi une formation en biochimie et en toxicologie (avec une mention très bien), puis un doctorat basé sur la recherche en pharmacologie respiratoire. J’ai ensuite travaillé à des niveaux de plus en plus élevés dans la R&D1 biopharmaceutique (nouveaux médicaments) et j’ai été vice-président et responsable mondial des allergies et des maladies respiratoires chez Pfizer, poste que j’ai quitté en 2011. Après avoir quitté mon poste chez Pfizer, j’ai travaillé en tant que consultant pour plus de 30 sociétés de biotechnologie et j’ai été très apprécié des investisseurs et des dirigeants. Plus récemment, j’ai fondé et dirigé en tant que PDG une société de biotechnologie qui a été rachetée par Novartis (2017).

2. J’ai une grande connaissance de l’industrie pharmaceutique, y compris tous les aspects de la conception, de la recherche et du développement de nouveaux médicaments. En particulier, j’ai une connaissance approfondie des usages et des pratiques en matière de conception de molécules susceptibles d’être sûres, ainsi que de l’immunologie et de la médecine respiratoire.

3. Je fournis l’aperçu ci-dessus de mes références comme preuve qu’en tant qu’ancien cadre supérieur de la recherche dans une entreprise pharmaceutique, je possède l’expertise et les connaissances qui font de moi un témoin crédible pour parler des graves préoccupations que j’ai (préoccupations qui sont partagées par d’autres) au sujet de la prétendue pandémie2 et des contre-mesures, en particulier les injections à base de gènes.

4. Je fais part de ces préoccupations depuis environ 3 ans et demi à ce jour.

5. Globalement, mon avis d’expert est que les injections censées être des vaccins contre un prétendu virus (je dis « prétendu », car aucune preuve n’a jamais été apportée d’un virus isolé du SRAS-CoV-2) sont intentionnellement nocives et, en tant que telles, doivent être immédiatement retirées du marché.

6. Je présenterai ci-dessous un bref résumé, que je me suis efforcé de rendre essentiellement non technique, expliquant pourquoi j’ai formé l’opinion que les injections sont intentionnellement nocives et qu’en tant que telles, elles doivent être immédiatement retirées du marché.

7. Toutefois, avant de présenter mon résumé, je ferai d’abord la remarque suivante, que je peux étayer.

8. À mon avis, la toile de fond de cette prétendue « pandémie » n’est pas une question médicale et scientifique, mais une scène de crime mondiale d’une ampleur et d’une nature sans précédent.

9. Affirmation 1 : Le choix d’inventer, de développer et de fabriquer un nouveau vaccin est incontestablement la mauvaise réponse à une pandémie, même si le récit qui nous est présenté n’était pas faux.

10. Étant donné que j’ai fait carrière pendant plus de 30 ans dans les grandes entreprises pharmaceutiques et biotechnologiques, je savais qu’il était impossible de créer un vaccin en moins de 5 à 6 ans si l’on voulait démontrer la sécurité clinique et affiner la fabrication pour obtenir la qualité habituelle nécessaire à la production d’un produit pharmaceutique final étroitement défini.

11. Si cela n’était pas fait, le produit serait très variable, ce qui est intrinsèquement dangereux. C’est ce qui s’est passé et la variabilité du produit qui en a résulté a complètement invalidé toutes les données obtenues au cours de la toxicologie et du développement clinique. En bref, l’effet d’un développement trop rapide est que le produit injecté à des milliards d’hommes, de femmes et d’enfants innocents n’est pas le même que celui utilisé dans les essais cliniques.

12. Aucun expert honnête n’envisagerait même de lancer un programme de recherche pour mettre au point un vaccin, car aucune pandémie dans l’histoire n’a duré une fraction du temps minimum nécessaire pour créer un nouveau vaccin sûr et efficace. Ce délai ne peut être raccourci car un certain nombre d’activités sont réalisées par étapes, chaque étape dépendant du résultat de l’étape précédente.

13. En outre, il faut tenir compte du contexte clinique. On nous a parlé d’une urgence de santé publique de portée internationale, où tout le monde pouvait attraper le virus et où les personnes âgées et déjà malades étaient particulièrement exposées au risque de décès. Je pense qu’il s’agit d’une tromperie délibérée, mais même si nous l’acceptons, il est essentiel de comprendre deux choses.

14. Premièrement, les vaccins injectés ne peuvent pas protéger et ne protègent pas les humains contre les maladies respiratoires aiguës que l’on pense être dues à l’arrivée de virus respiratoires dans les voies respiratoires. En effet, la réponse immunitaire consiste principalement à stimuler la production d’anticorps qui circulent dans le sang.

Les anticorps sont de très grosses molécules qui ne peuvent pas quitter la circulation et apparaître sur la face aérienne des voies respiratoires. En bref, le produit de la réponse immunitaire au vaccin et le virus lui-même ne se rencontrent pas, car ils se trouvent dans des « compartiments » corporels différents.

15. Deuxièmement, les personnes dont on nous a dit qu’elles étaient particulièrement à risque, à savoir les personnes âgées et les malades, se trouvent en partie dans cet état de vulnérabilité parce que leur système immunitaire sénescent réagit mal aux nouvelles menaces de maladies infectieuses. Pourquoi s’attendre à une bonne réaction à un vaccin injecté ? On dit qu’il imite une nouvelle menace de maladie infectieuse. Il est important de noter une chose très peu connue du public : les « vaccins antigrippaux » injectés ne fonctionnent pas. Ils ne réduisent pas le nombre d’hospitalisations ou de décès chez les personnes âgées. Pourtant, les vaccins antigrippaux sont présentés comme une mesure de santé publique vitale depuis des décennies et sont payés par les contribuables. En outre, même les vaccins antigrippaux peuvent entraîner des effets indésirables, parfois graves, mais cela n’est pas compensé par l’attente d’une protection contre une menace pour la santé, à savoir la grippe. Maintenant que vous savez cela, vous aurez peut-être moins de mal à croire que cette industrie est prête à mentir et à tromper pour atteindre ses objectifs.

16. J’ai expliqué pourquoi il est impossible de produire un vaccin sûr et efficace en moins de 5 à 6 ans, mais on nous demande d’accepter que cela ait été fait en moins d’un an. J’ai également expliqué pourquoi un vaccin injecté ne pouvait pas fonctionner, même s’il était sûr, dans le contexte dont on nous dit qu’il existe. Pourtant, ils sont allés de l’avant. C’est malveillant, comme je vais le montrer.

17. Affirmation 2 : les vaccins à base de gènes ont été présentés comme la solution exclusive, mais il s’agissait d’un moyen d’abuser des obstacles réglementaires réduits pour les vaccins conventionnels afin de pousser les thérapies géniques sur le marché.

18. Des vaccins ont été mis au point et utilisés contre un nombre croissant de maladies infectieuses depuis le milieu du 20e siècle, et certains sont beaucoup plus anciens. Jusqu’à l’ère de la pandémie de grippe aviaire, tous les vaccins ont consisté à prélever un échantillon de l’agent pathogène3 et à le formuler pour l’injecter ou l’instiller dans les voies respiratoires. L’avantage est que la quantité d’agent pathogène est connue et fixe. À bien des égards, ce processus imite ce que l’on nous dit être un processus similaire à celui de l’infection par l’agent pathogène sauvage. De nombreux vaccins ont été développés et commercialisés et, au fil des décennies, les fabricants, les autorités de réglementation, les médecins et le public ont acquis une compréhension commune de la nature de ces produits et de la manière de les évaluer. C’est ce contexte qui a conduit à la voie réglementaire pour leur développement. À certains égards, il a été opportun de tronquer ou même de ne pas étudier certaines propriétés des « vaccins conventionnels » parce qu’elles ne sont pas informatives et ne contribuent en rien à l’évaluation de l’agent.

19. Les préparations appelées vaccins dans cette prétendue pandémie ne ressemblent en rien à ces anciens produits. Il s’agit plutôt d’agents à base de gènes, qui réquisitionnent les cellules des receveurs pour fabriquer ce qui est codé dans la séquence génétique. Il s’agit là d’une différence cruciale, comme je le montrerai plus loin. Mais il est important de comprendre que la réponse biologique aux agents génétiques comporte des étapes supplémentaires par rapport aux vaccins traditionnels. Les anciens vaccins ne s’éloignent pas beaucoup du site d’injection. Les matériaux injectés sont des suspensions, de petits morceaux de cellules et des agents infectieux tués ou affaiblis. Notre corps est bien adapté pour reconnaître l’arrivée de matériaux étrangers et a évolué pour réagir de manière appropriée à cet événement. Les injections de gènes4, en revanche, peuvent se déplacer dans tout le corps et le font, incitant à fabriquer des protéines étrangères dans des endroits anatomiques que l’agent pathogène ne pourrait pas atteindre, comme le cerveau.

20. Les traitements à base de gènes sont souvent appelés en argot « thérapies géniques ». Il s’agit d’un terme imprécis qui suscite de nombreuses controverses, car il est souvent affirmé qu’ils ne modifient pas les gènes d’une personne. Cela n’a rien à voir. Ce qui compte, c’est que ce soit un gène qui soit au cœur du traitement. Un gène est simplement un code pour la fabrication d’une protéine. Ces agents à base d’ARNm SONT cependant classés par leurs fabricants dans la catégorie des « thérapies géniques » afin de décrire aux investisseurs la nature des risques commerciaux et de développement encourus. À juste titre, car aucun de ces produits n’avait atteint le marché en 2020, bien qu’il y ait eu un certain nombre de tentatives infructueuses.

21. J’ai été confronté pour la première fois à l’idée des thérapies basées sur l’ARNm à la fin des années 1990, lorsque je dirigeais la recherche sur les maladies respiratoires pour Pfizer. Je ne voyais d’utilité clinique potentielle que pour les cancers inopérables et potentiellement mortels qui ne répondaient pas aux chimiothérapies et aux radiothérapies. Il s’agit en quelque sorte d’une niche.

22. Il est essentiel de comprendre la raison pour laquelle ils ont été perçus comme ayant une certaine utilité dans cette application étroite mais importante, si l’on veut que j’explique clairement pourquoi je suis si convaincu qu’ils sont totalement inappropriés pour protéger contre un prétendu virus respiratoire. L’idée originale était qu’un morceau de code génétique couplé à quelque chose d’autre permettrait à la préparation de voyager jusqu’à la tumeur éloignée et d’être absorbée par elle. Les cellules constituant cette tumeur copieraient le code génétique et produiraient la protéine codée. Cette protéine étant étrangère et n’étant pas normalement fabriquée par l’homme, notre système immunitaire reconnaîtrait que nous avons quelque chose d’étranger à l’intérieur de nous et cela stimulerait une attaque mortelle contre toutes les cellules qui ont pris et suivi les instructions génétiques. Il s’agit d’une branche de ce que l’on appelle l’« immunooncologie » et un certain nombre d’entreprises ont essayé de développer de telles « thérapies géniques » en tant qu’agents anticancéreux, sans succès jusqu’à présent. Le point crucial à retenir est que ces préparations étaient censées agir en précipitant une attaque immunitaire mortelle sur toutes les cellules qui les avaient absorbées.

23. Revenons à la voie de développement de ces agents. Parce qu’ils sont nouveaux et sans précédent, les autorités de réglementation des médicaments du monde entier ont fixé des conditions onéreuses pour leur développement. De toute évidence, il s’agit de médicaments potentiellement très puissants et, comme ils sont nouveaux, il faut faire très attention à éviter les effets nocifs prévus et imprévus. Dans le cas de nouveaux types de traitements médicaux, si certains effets nocifs potentiels peuvent être anticipés et caractérisés correctement, d’autres effets nocifs imprévus peuvent survenir. C’est pourquoi la voie de développement de nouveaux types d’interventions médicales puissantes fait l’objet d’un examen particulièrement rigoureux.

24. Je voudrais maintenant aborder un point important. En 2020, on nous a dit qu’au moins quatre entreprises biopharmaceutiques avaient décidé de développer des vaccins basés sur les gènes. Comme je l’ai expliqué précédemment, les vaccins conventionnels bénéficient d’une certaine facilité en ce qui concerne les obligations en matière de développement. Bien qu’elles aient classé leurs propres produits comme des « thérapies géniques » et qu’elles les aient soumis à des obligations de développement longues et coûteuses, elles ont persuadé les autorités de réglementation médicale (et trompé le public) de les classer comme des « vaccins ». Il s’agit là d’une pratique abusive qui a été accompagnée par des organismes tels que l’OMS et même des fabricants de dictionnaires pour modifier la définition du mot « vaccin » afin de faciliter cette tromperie.

25. La tromperie n’est pas due à de simples conventions d’appellation, mais au fait que les fabricants savaient que les vaccins sont beaucoup plus légers en termes d’obligations de développement. Malgré cet avantage indu, les fabricants de vaccins à base de gènes n’ont pas respecté toutes les obligations de développement, même celles qui étaient relativement légères. Au final, des milliards de personnes se sont vu injecter des thérapies géniques mal classées et insuffisamment testées. Les profils d’effets indésirables et les décès qui en résultent sont extraordinaires, mais ils sont ignorés par de nombreux organismes chargés de veiller à la sécurité des patients. Rien de tout cela ne peut être considéré comme accidentel ou involontaire.

26. Affirmation 3 : Les choix de conception effectués lors de l’élaboration des agents génétiques censés être des vaccins sont la preuve d’un préjudice intentionnel.

27. Les préparations médicinales contiennent des molécules qui ont été choisies par leurs concepteurs. Rien ne s’y trouve qui n’ait été inclus de manière réfléchie. Ma carrière s’est déroulée entièrement dans la sphère d’activité appelée « découverte rationnelle de médicaments » ou « conception rationnelle de médicaments ». Ma principale responsabilité consistait à sélectionner des cibles biologiques en vue d’une intervention au moyen d’un produit chimique ou d’une molécule biologique, cette dernière étant généralement conçue par plusieurs personnes. J’ai fait partie des équipes de conception pendant des décennies. Notre objectif était d’atteindre la cible moléculaire et d’interagir avec elle, dans l’espoir de provoquer des effets souhaitables chez les patients, et de le faire sans induire d’effets indésirables inacceptables, en tenant compte de la gravité de la maladie en question.

28. Je soutiens qu’en examinant de près les produits de ces équipes de conception, je peux, au moins en partie, déduire les intentions des concepteurs. Je n’ai aucun plaisir à exposer ci-dessous plusieurs caractéristiques de la conception des « vaccins » à ARNm de Pfizer/BioNTech et de Moderna, dont TOUTES donnent lieu à une toxicité prévisible. Les caractéristiques qui nous intéressent sont communes aux deux produits. Il n’y a pas d’autre conclusion raisonnable à cette analyse que le fait que les concepteurs ont intentionnellement créé des produits dont on peut s’attendre à ce qu’ils causent des dommages, y compris la mort et la stérilité.

29. Toxicité conçue 1 : induction axiomatique de réponses « auto-immunes », quel que soit le code de la séquence génétique. Comme nous l’avons décrit précédemment à propos de l’immuno-oncologie, considérée comme l’application principale, lorsque notre corps fabrique une protéine étrangère ou non autochtone, notre système immunitaire reconnaît qu’il s’agit d’une menace et lance une attaque mortelle contre toutes les cellules qui exécutent l’instruction génétique. En bref, quel que soit l’endroit du corps où ces matériaux se déplacent après l’injection dans la partie supérieure du bras, le système immunitaire détruira ces cellules et ces tissus. Je pense qu’il est très probable que la vaste gamme d’effets indésirables signalés soit due à ce processus commun, la destruction auto-immune, qui se produit dans toutes sortes de tissus du corps. C’est normal. Toute personne ayant des connaissances de base en immunologie le sait.

30. Toxicité intégrée 2 : L’étape suivante a été le choix du gène sélectionné. Je pense que le choix de la protéine de pointe du prétendu coronavirus est irrationnel, car il était très probable qu’elle soit directement toxique. Ces protéines de surface sont connues, par comparaison avec des agents pathogènes apparentés, pour être toxiques pour le sang, provoquant la formation de caillots sanguins et endommageant la fonction des cellules nerveuses. Il est non seulement très dangereux de forcer le corps humain à fabriquer une protéine pro-coagulante, mais cela n’est pas nécessaire. Il existe plusieurs gènes alternatifs qu’un concepteur soucieux de la sécurité pourrait choisir.

31. Outre la toxicité de la protéine spike, celle-ci est, selon nos informations, sujette à la mutation la plus rapide (de sorte qu’un vaccin pourrait perdre rapidement son efficacité) et elle est également la moins différente des protéines humaines (de sorte qu’elle pourrait déclencher des attaques indirectes sur des autoprotéines même quelque peu similaires).

32. Pourtant, les quatre principaux acteurs ont choisi la protéine de pointe comme antigène codé génétiquement. Quelle coïncidence ! Si j’avais été l’un des responsables de ces efforts, j’aurais appelé mes pairs dans les autres entreprises pour m’assurer que nous n’agissions pas de la sorte. En effet, d’un point de vue stratégique, il ne serait pas souhaitable que tous les programmes soient exposés à des risques communs.

33. Toxicité intégrée 3 : En ce qui concerne la formulation, les équipes développant des produits à base d’ARNm ont toutes deux choisi des nanoparticules lipidiques (LNP) pour encapsuler leur message génétique. Pourtant, l’industrie sait que ces nanoparticules se déplacent dans tout le corps, y compris dans le cerveau, et qu’elles s’accumulent dans les ovaires. Pourtant, sachant cela, les entreprises et les régulateurs sont allés de l’avant, puis d’autres ont aggravé le risque de toxicité en recommandant ces injections chez les femmes enceintes et les enfants.

34. Cette liste n’est pas exhaustive et j’ai connaissance d’autres responsabilités en matière de toxicité. J’ai estimé que trois était un nombre suffisant pour illustrer mes préoccupations. N’oubliez pas, s’il vous plaît, que ces agents ne sont pas censés apporter des bénéfices, comme expliqué précédemment, et qu’ils ont été développés à un rythme totalement incompatible avec la pratique normale, absolument nécessaire pour aboutir à un produit cohérent.

35. Je suis très confiant dans cette conclusion. Je l’ai dit dans plus de 100 interviews vidéo qui ont été visionnées des millions de fois, malgré les efforts évidents des censeurs. Si ces affirmations étaient complètement fausses, je m’attendais à ce qu’on me corrige depuis des années et qu’on m’ordonne au moins de ne pas répéter ces affirmations.

36. Je sais que toutes les entreprises sont au courant de mon point de vue, car je connais malheureusement trois des quatre personnes responsables de la R&D sur les vaccins et je leur ai écrit pour leur faire part de mes préoccupations. Aucun n’a répondu, bien qu’un ait démissionné quelques mois plus tard sans donner de raison, ce qui est extraordinairement rare, car cela entraîne la perte d’une rémunération différée très importante.

37. Affirmation 4 : L’évolution de la population cible, qui n’était au départ que les personnes âgées et qui s’est finalement étendue à tout le monde, est une preuve confirmant l’existence d’un préjudice intentionnel.

38. Cette affirmation est simple à expliquer, mais elle vaut la peine d’être exposée. Rappelons qu’au départ, on nous a dit que les personnes les plus exposées à ce prétendu virus étaient les personnes âgées déjà malades. En conséquence, les premières cohortes du public invitées à recevoir ces injections étaient les plus de 60 ans.

39. Au fil des mois, l’âge limite pour recevoir les injections a baissé et a continué à baisser jusqu’à ce que des jeunes en bonne santé soient poussés à se faire injecter alors qu’ils ne risquaient pratiquement pas de mourir du prétendu virus.

40. En cours de route, et en dehors de la pratique médicale en vigueur depuis 60 ans, les femmes enceintes ont également été encouragées à se faire injecter. Rien ne prouve qu’elles couraient un risque. Même si elles avaient été à risque, la politique a toujours été de ne JAMAIS exposer les femmes enceintes à de nouveaux traitements médicaux, en raison des risques pour le bébé en développement. L’événement marquant a été la thalidomide et cet événement terrible a fixé une ligne rouge ferme, jamais franchie, pour ne pas autoriser les interventions risquées pendant la grossesse. Jusqu’en 2021, date à laquelle cette ligne rouge a été franchie sans aucun commentaire. À l’époque, les fabricants n’avaient même pas encore achevé la toxicologie réglementaire de la reproduction. Ils ne disposaient d’aucune information, mais on a dit aux femmes que le produit était sûr, alors qu’il ne l’était pas.

41. Enfin, des enfants ont été appelés à recevoir des injections, alors que les autorités nous avaient déjà dit que le prétendu virus ne présentait aucun risque pour les enfants.

42. En conclusion, plusieurs problèmes de sécurité tout à fait évidents sont intégrés dans ces produits. C’est intentionnel.

43. J’ai mis du temps à rassembler toutes ces preuves de préjudices soigneusement étudiés. Mais j’ai fini par y arriver et, depuis, je parle en des termes que beaucoup considèrent comme extrêmes.


1 Recherche et Développement — NDT

2 de Covid — NDT

3 supposé — NDT

4 ou plus exactement de nanoparticules supposées contenir du matériel génétique, mais pour lesquelles des analyses indépendantes ont plutôt démontré qu’il s’agissait de nanotechnologie à base de graphène et de divers métaux. Les nanoparticules sont trop petites pour être notamment stoppées par la barrière hématoencéphalique — NDT.




Le sophisme qui gouverne le monde

[Source : aubedigitale.com]

Par Jeffrey A. Tucker

Les personnes intelligentes savent qu’il faut éviter les sophismes.

L’un d’entre eux est connu sous le nom de sophisme « post hoc ergo propter hoc ».

En latin, cela signifie « après cela, donc à cause de cela ».

L’exemple classique est celui du coq et du lever du soleil.

Chaque matin, avant que le soleil ne se lève, le coq se met à chanter comme un fou, réveillant ainsi tout le monde. Peu après, la lumière commence à apparaître à l’horizon.

Si vous ne saviez rien d’autre et que vous observiez ce phénomène à plusieurs reprises, vous pourriez en conclure que le coq est à l’origine du lever du soleil.

Bien sûr, cela peut être testé. Vous pouvez tuer le coq et voir ce qui se passe. Le soleil se lève toujours. Mais attendez un instant. Le fait que ce coq soit mort ne signifie pas que tous les coqs ont disparu. Un coq quelque part chante et fait se lever le soleil. Votre petite expérience ne réfute donc pas la théorie.

Quelle énigme, n’est-ce pas ?

Si quelqu’un est convaincu qu’un oiseau contrôle le soleil, il n’y a probablement aucun moyen de le convaincre du contraire.

Nous pouvons rire de cet exemple. Comment peut-on être aussi bête ? En fait, cette erreur fondamentale affecte toutes les sciences, à toutes les époques, dans tous les lieux et sur tous les sujets. La présomption selon laquelle un schéma régulier montrant que quelque chose se produit et qu’ensuite quelque chose d’autre se produit régulièrement implique un lien de causalité est ancrée dans la pensée humaine. Aujourd’hui et toujours.

Il s’agit d’un sophisme, ce qui signifie qu’il n’est pas nécessairement vrai. Il pourrait être vrai, cependant, sous réserve d’une enquête sérieuse. Et c’est là que réside le véritable problème. Nous devons déterminer ce qui cause quoi. Or, discerner les agents causaux des agents accidentels est le plus grand problème de toute pensée.

[Note de Joseph : de prétendues sciences comme la virologie reposent sur de tels sophismes1 ainsi éventuellement que sur des syllogismes2. L’existence d’un lien de causalité entre deux phénomènes (comme entre le chant du coq et le lever du Soleil ou l’un des deux est possiblement la cause de l’autre) est dans la pratique difficile à démontrer hors de tout doute. La première partie de l’article L’enterrement de la théorie virale présente les conditions nécessaires et suffisantes pour établir l’existence d’un tel lien, ainsi que la méthode « scientifique » — utilisée pour vérifier ou pour réfuter sa réalité.
Voir aussi Aveuglés par la pseudo-science]

Le besoin de savoir est intégré dans ce que signifie être une créature rationnelle. Nous ne pouvons pas nous en empêcher. C’est pourquoi cette erreur persiste partout.

Il y a aussi le cas célèbre de la malaria. On croyait autrefois que les infections étaient plus graves à la tombée de la nuit, et la théorie voulait donc que le paludisme soit causé par l’air froid de la nuit. Pas fou, non ? Sauf que la vraie raison, c’est que les moustiques sortent le soir. C’était eux les vrais coupables. Mais une mauvaise théorie basée sur un sophisme a empêché beaucoup de gens de le voir.

Mon Dieu, nous avons été submergés par ce phénomène lors de l’expérience du COVID-19. La fausse science était écrasante.

Jour après jour, nous avons vu des tas de fausses données scientifiques de ce type déversées sur le monde.

Regardez, les cas en Californie sont en baisse et la Californie interdit les rassemblements, donc les mesures coercitives contrôlent la propagation du virus !

Pas si vite.

Ces facteurs pourraient n’avoir aucun rapport entre eux. Il se peut même que nous ne disposions pas de données fiables sur les infections. Celles-ci font l’objet de tests (exacts ou non) et peuvent être complètement erronées au niveau de la population. Même si les données étaient correctes, les faibles taux d’infection pourraient être dus aux conditions météorologiques, à une immunité antérieure ou à d’autres facteurs que nous n’avons pas pris en compte.

Très tôt, je me souviens d’avoir regardé ces étonnants graphiques en temps réel des infections et des décès et d’avoir cru que je disposais d’une fenêtre sur la réalité. À plusieurs reprises, j’ai même posté des messages du type « Vous voyez, l’Arizona a atteint l’immunité collective », sans comprendre que les données étaient extrêmement imprécises et sujettes à des tests, à des rapports et à toute une série d’autres facteurs. Même les données étaient suspectes : Les erreurs de classification étaient monnaie courante.

Là encore, le sophisme du « post hoc ergo propter hoc » a frappé tout le monde de plein fouet. Mais la plupart d’entre nous ont suivi le mouvement.

Tout cela est devenu tellement fou que des gens, y compris des bureaucrates des Centres de contrôle et de prévention des maladies, ont commencé à inventer des théories farfelues, comme celle selon laquelle le masquage protège contre la propagation du virus, alors que la science a prouvé depuis longtemps que c’était faux. Les choses sont devenues encore plus folles : on peut s’asseoir sans masque, mais marcher et se tenir debout entraîne la propagation des virus, c’est donc à ce moment-là qu’il faut porter un masque !

C’est complètement fou !

Il en a été de même après la vaccination.

D’innombrables célébrités se sont rendues sur les réseaux sociaux pour annoncer qu’elles avaient contracté le COVID-19, mais qu’il s’agissait d’un cas bénin grâce au vaccin. Il est tout simplement impossible qu’elles le sachent. Elles savaient avec certitude qu’elles avaient été vaccinées et elles savaient avec certitude que leur cas de COVID-19 était bénin. Mais croire que l’un a causé l’autre était simplement une question de foi. Le cas aurait pu être bénin malgré tout. Elle aurait pu être [même] plus bénigne [sans le vaccin]. Au fil du temps, nous avons rencontré de nombreuses études montrant qu’un plus grand nombre de vaccinations était associé à un plus grand nombre d’infections. L’un a-t-il causé l’autre ? Difficile à dire.

Pourtant, un grand nombre d’études sur les vaccins menées ces dernières années ont été affectées par ce problème. Le problème du « biais de l’utilisateur sain » est particulièrement contrariant : les personnes vaccinées ont tendance à être plus respectueuses et plus consciencieuses à d’autres égards, ce qui signifie qu’au départ, il semblait que la vaccination contre le COVID-19 donnait de meilleurs résultats en matière de santé, mais que les résultats étaient en fait attribuables à ce biais.

Des études ultérieures l’ont révélé. Mais le problème de discerner la cause et l’effet d’un bruit aléatoire persiste.

Le domaine de la médecine traite ce problème depuis longtemps. Nous sommes mortifiés que la pratique consistant à saigner les patients ait perduré pendant des siècles, même jusqu’au 19e siècle. Comment ont-ils pu être aussi stupides ? Eh bien, ils avaient une théorie selon laquelle les maladies étaient causées par les mauvaises humeurs présentes dans le sang et qu’il fallait donc le drainer. Ils ont ensuite observé que le patient allait mieux.

En fait, le patient aurait pu aller mieux de toute façon, et même plus vite, sans saignée. Mais il a fallu plusieurs siècles pour s’en rendre compte. De nombreux adeptes de la médecine non allopathique ont crié à ce sujet pendant longtemps, mais ils ont été ignorés et considérés comme des farfelus. C’est parce que la saignée était une pratique conventionnelle approuvée par les personnes jouissant du plus grand prestige professionnel.

Une fois que l’on voit ce sophisme à l’œuvre, on ne peut plus s’en défaire. Il est omniprésent en médecine, mais aussi en économie, en santé, en horticulture, en droit, en sociologie et dans toutes les sciences du monde physique. Le débat sur les armes à feu en est un bon exemple. La criminalité est élevée et les armes sont nombreuses, de sorte que les gens en concluent que les armes sont la cause de la criminalité, alors que la présence d’armes pourrait simplement être une réponse à la criminalité et un moyen de protection. Sans elles, la criminalité serait bien pire.

L’erreur en question est à l’origine d’une grande partie de la politique actuelle. On a tendance à blâmer n’importe quel président en exercice pour toutes les conditions économiques existantes, alors que la véritable cause pourrait remonter plus loin dans le temps. Pourtant, presque tous les débats suivent la même ligne de conduite : ceci est arrivé ; par conséquent, ses actions ou inactions en sont la cause. C’est peut-être vrai ou c’est peut-être la même chose que le coq et le lever du soleil.

Nous nous flattons aujourd’hui d’avoir dépassé ces sophismes. Ils n’appartiennent qu’à des époques révolues et pleines de superstitions. C’est totalement absurde. Nous sommes probablement plus que jamais inondés par ce sophisme. Ce en quoi les gens ont confiance et croient à un moment donné est ce qu’ils identifient comme la clé pour guérir n’importe quelle maladie.

Aujourd’hui, les gens croient aux produits pharmaceutiques. Quel que soit le problème, il peut être résolu par une nouvelle potion créée en laboratoire. En conséquence, notre société est imbibée de ces produits, même si les preuves de leur efficacité sont souvent maigres. Plus on étudie, par exemple, l’effet des médicaments psychiatriques, moins on sait si et dans quelle mesure ils sont utiles ou s’ils peuvent au contraire aggraver le vrai problème.

Il en va de même pour les antibiotiques. Aujourd’hui, tous les parents utilisent l’amoxicilline pour soigner les otites infantiles. Mais ma grand-mère ne jurait que par l’application d’huile minérale tiède dans l’oreille et évitait complètement les médicaments conventionnels. Il ne m’a fallu que quelques minutes pour découvrir une étude de 2003 qui a randomisé l’administration d’huiles végétales aux enfants avec ou sans antibiotiques. Résultat : aucune différence.

Les implications sont profondes. Nous sommes tellement attachés aux stratégies pharmaceutiques et allopathiques que nous risquons de négliger de vastes méthodes naturopathiques et homéopathiques qui fonctionnent mieux.

Le fait de s’accrocher à une solution et de s’y tenir empêche l’esprit humain d’être créatif quant à d’autres solutions possibles et meilleures. Des générations peuvent s’écouler sans que les raisonnements fallacieux ne prennent le dessus. Nous pouvons rire des coqs et du soleil, des saignements et des maladies, des danses et de la pluie, mais combien de fois commettons-nous ces sophismes dans le monde d’aujourd’hui sans que nos attachements dogmatiques nous empêchent de les voir ?

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale


1 Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ». NDLR

2 Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ». NDLR




Les médecins font-ils plus de mal que de bien ?

[Source : expose-news.com]

Nous dépensons aujourd’hui davantage pour les soins de santé et la profession médicale est mieux équipée que jamais. Il est vrai, bien sûr, que les médecins sauvent des milliers de vies. Cependant, les maladies iatrogènes — affections causées par des traitements ou des procédures médicales — qui ont toujours marqué la pratique médicale n’ont cessé de s’aggraver.

Dans un livre publié pour la première fois en 1994, le Dr Vernon Coleman a noté que nous avions déjà atteint le point où, tout compte fait, les médecins font plus de mal que de bien.

Le texte suivant est extrait du livre de Vernon Coleman « Betrayal of Trust » (La trahison de la confiance) (1994).

Rhoda Wilson — Le 26 Avril 2024

Par le Dr Vernon Coleman

Nous dépensons aujourd’hui plus que jamais pour les soins de santé, et la profession médicale est apparemment plus scientifique et mieux équipée que jamais. Il y a donc une ironie sauvage dans le fait que nous avons atteint le point où, tout compte fait, les médecins bien intentionnés de la médecine générale et les spécialistes hautement qualifiés et bien équipés travaillant dans les hôpitaux font plus de mal que de bien. L’épidémie de maladies iatrogènes qui a toujours marqué la pratique médicale n’a cessé de s’aggraver et, aujourd’hui, la plupart d’entre nous seraient le plus souvent mieux lotis sans profession médicale.

La plupart des pays développés consacrent aujourd’hui environ 8 % de leur produit national brut aux soins de santé (les Américains dépensent beaucoup plus — environ 12-14 %), mais par un mélange d’ignorance, d’incompétence, de préjugés, de malhonnêteté, de paresse, de paternalisme et de confiance mal placée, les médecins tuent plus de gens qu’ils n’en sauvent et ils causent plus de maladies et de malaises qu’ils n’en soulagent.

La plupart des pays développés dépensent aujourd’hui environ 1 % de leur revenu annuel en médicaments délivrés sur ordonnance et les médecins ont plus de connaissances et un meilleur accès à des traitements puissants que jamais auparavant, mais il n’y a probablement jamais eu d’autre période dans l’histoire où les médecins ont fait plus de mal qu’ils n’en font aujourd’hui.

Il est vrai, bien sûr, que les médecins sauvent des milliers de vies, par exemple en prescrivant des médicaments vitaux ou en pratiquant des interventions chirurgicales essentielles sur des victimes d’accidents.

Mais lorsque la profession médicale et l’industrie pharmaceutique affirment que ce sont les progrès de la médecine qui expliquent l’augmentation de l’espérance de vie depuis une centaine d’années, elles se trompent. Ainsi, il est communément admis que la médecine scientifique moderne a permis d’améliorer l’espérance de vie dans la plupart des pays développés, qui est passée d’environ 55 ans au début du siècle à plus de 70 ans aujourd’hui.

Or, cette affirmation n’est pas étayée par des preuves.

Toute amélioration (faible) de l’espérance de vie survenue au cours des cent dernières années n’est pas liée à l’évolution de la profession médicale ou à la croissance de l’industrie pharmaceutique internationale. En revanche, l’augmentation de la iatrogénie est liée à ces deux facteurs.

Quels que soient les faits observés, ils semblent confirmer ma thèse selon laquelle les médecins font peut-être un peu de bien, mais beaucoup plus de mal.

Si les médecins aidaient vraiment les gens à rester en vie, on pourrait s’attendre à ce que les pays qui ont le plus de médecins aient les meilleures espérances de vie. Or, ce n’est pas du tout le cas.

Aux États-Unis, il y a un médecin pour 500 personnes et l’espérance de vie des hommes noirs est d’environ 65 ans. En Jamaïque, il y a un médecin pour 7 000 personnes et l’espérance de vie des hommes est d’environ 69 ans. En Corée du Nord, il y a un médecin pour 400 patients et l’espérance de vie des hommes est de 63 ans. En Corée du Sud, il y a un médecin pour 1 500 personnes et l’espérance de vie est de 64 ans. L’Amérique dépense plus par habitant pour les soins de santé que n’importe quelle autre nation dans le monde et pourtant ses citoyens ont l’une des espérances de vie les plus faibles du monde occidental. (Il est bien sûr possible d’affirmer qu’il existe de nombreuses différences autres que le nombre de médecins entre la Corée du Sud et la Corée du Nord, mais il est raisonnable de s’attendre à ce que les médecins influencent ces facteurs. En outre, si les médecins en tant que groupe revendiquent la responsabilité des succès des soins de santé, ce qu’ils font, il est certainement juste qu’ils assument la responsabilité globale des taux de mortalité et de morbidité).

Les Américains dépensent environ 2 000 dollars par personne et par an pour les soins de santé et pourtant, sur 1 000 naissances vivantes, douze enfants meurent avant d’atteindre leur cinquième anniversaire. Au Japon, où les dépenses de santé sont nettement inférieures à la moitié de celles des Américains, le nombre d’enfants qui n’atteindront pas leur cinquième anniversaire est de huit sur mille naissances. Les Américains consacrent environ 12 à 14 % de leur produit national brut à la médecine de haute technologie, mais en moyenne ils sont plus malades et meurent plus jeunes que les habitants de la plupart des autres pays développés.

Les taux de mortalité infantile en Asie sont inférieurs à ceux de l’Europe occidentale, tandis que l’espérance de vie estimée à la naissance est plus élevée en Extrême-Orient que dans l’Occident surdoté.

Ce n’est que lorsque l’on compare des pays gravement sous-développés à des pays développés que l’on constate des différences évidentes dans les taux de mortalité infantile et les chiffres de l’espérance de vie et, dans ce cas, ce sont les différences dans l’infrastructure des pays qui expliquent la différence. Mon point de vue peut paraître surprenant et controversé, mais il est partagé par un nombre croissant d’experts indépendants dans le monde. Ces chiffres ne plaident guère en faveur de l’image des médecins en tant que profession curative efficace.

Ce qui est peut-être encore plus surprenant, c’est ce qui se passe lorsque les médecins font grève et laissent les patients se débrouiller sans aide médicale professionnelle.

On pourrait imaginer que sans les médecins, les gens meurent comme des mouches en automne. Il n’en est rien. Lorsque les médecins israéliens ont fait grève pendant un mois, les admissions à l’hôpital ont chuté de 85 %, seuls les cas les plus urgents étant admis. Malgré cela, le taux de mortalité en Israël a chuté de 50 % — la plus forte baisse depuis la précédente grève des médecins vingt ans plus tôt — pour atteindre son niveau le plus bas jamais enregistré. La même chose s’est produite partout où les médecins ont fait grève. À Bogota, en Colombie, les médecins ont fait grève pendant 52 jours et le taux de mortalité a chuté de 35 %. À Los Angeles, une grève des médecins a entraîné une réduction de 18 % du taux de mortalité. Pendant la grève, il y a eu 60 % d’opérations en moins dans 17 grands hôpitaux. À la fin de la grève, le taux de mortalité est revenu à la normale.

Quelles que soient les statistiques consultées, quelles que soient les preuves examinées, la conclusion doit être la même. Les médecins sont un danger plutôt qu’un atout pour une communauté. En Grande-Bretagne, le taux de mortalité des hommes actifs de plus de 50 ans était plus élevé dans les années 1970 que dans les années 1930. Les Britanniques n’ont jamais été en aussi bonne santé que pendant la Seconde Guerre mondiale.

Les chiffres publiés par le Bureau du recensement des États-Unis montrent que 33 % des personnes nées en 1907 pouvaient espérer vivre jusqu’à 75 ans, tandis que 33 % des personnes nées en 1977 pouvaient espérer vivre jusqu’à 80 ans. Si l’on exclut les améliorations apportées par de meilleures conditions de vie, un approvisionnement en eau plus propre et la réduction des décès pendant ou juste après l’accouchement, il devient évident que les médecins, les sociétés pharmaceutiques et les hôpitaux ne peuvent pas avoir eu d’effet utile sur l’espérance de vie. En effet, les chiffres montrent une augmentation des taux de mortalité chez les personnes d’âge moyen et une augmentation de l’incidence des troubles invalidants tels que le diabète et l’arthrite. L’incidence du diabète, par exemple, doublerait tous les dix ans et l’incidence des maladies cardiaques graves chez les jeunes hommes augmenterait rapidement. Aujourd’hui, les taux de mortalité dus aux maladies cardiaques chez les adultes sont 50 fois plus élevés qu’au début du siècle. Dans les pays comme l’Amérique où l’incidence des maladies cardiaques a légèrement diminué, il est clair que l’amélioration est due à de meilleures habitudes alimentaires (en général, cela signifie simplement que l’on consomme moins d’aliments gras) plutôt qu’à une amélioration des soins médicaux. L’explosion des médicaments et des traitements chirurgicaux pour les maladies cardiaques n’a eu aucun effet positif sur les taux de mortalité. Au contraire, de nombreux éléments montrent que l’augmentation du recours à des procédures telles que l’angiographie, le traitement médicamenteux et la chirurgie cardiaque a entraîné une augmentation du nombre de décès. Les Occidentaux sont soignés et drogués jusqu’à ce que mort s’ensuive.

Quatre personnes sur cinq dans le monde vivent dans des pays sous-développés, mais quatre médicaments sur cinq sont consommés par des personnes vivant dans des pays développés. Malgré les énormes sommes d’argent consacrées aux programmes de dépistage, le nombre de décès de jeunes femmes dus au cancer continue d’augmenter et chaque fois qu’une maladie infectieuse est vaincue, une autre semble prendre sa place. Les bactéries deviennent de plus en plus résistantes aux antibiotiques et le nombre de citoyens handicapés et incapables dans les pays développés augmente si rapidement qu’il est désormais clair que d’ici 2020, les personnes handicapées et incapables seront plus nombreuses que les personnes en bonne santé et valides.

En Grande-Bretagne, où l’accès aux médecins et aux hôpitaux est gratuit pour tous, l’espérance de vie des personnes âgées de 40 ans est plus faible que presque partout ailleurs dans le monde développé. Aux États-Unis, 6 % des patients hospitalisés contractent une infection résistante aux médicaments, provoquée par l’hôpital, et l’on estime à 80 000 le nombre de patients qui en meurent chaque année. Les infections hospitalières figurent donc parmi les dix premières causes de décès en Amérique.

Lorsque les médecins et les laboratoires pharmaceutiques publient des chiffres indiquant une augmentation (généralement légère) de l’espérance de vie au cours des cent dernières années environ, ils négligent invariablement la contribution massive apportée par l’amélioration des conditions de vie, l’assainissement de l’eau potable, l’amélioration des installations d’évacuation des eaux usées, la généralisation de l’éducation, l’amélioration (et l’abondance) de l’alimentation et l’amélioration et la sécurisation des moyens de transport. Tous ces facteurs ont eu une influence bien plus spectaculaire sur les taux de mortalité et de morbidité que la fourniture de services de soins de santé.

Les organisations humanitaires qui travaillent dans les régions sous-développées du monde sont bien conscientes qu’elles peuvent avoir un impact sur les taux de mortalité beaucoup plus rapidement en fournissant des outils, des puits et des abris qu’en construisant des hôpitaux ou des cliniques ou en important des médecins et des infirmières. Malheureusement, les gouvernements qui reçoivent de l’aide sont souvent réticents à l’accepter et sont souvent beaucoup plus enthousiastes à l’idée de construire des hôpitaux ultramodernes équipés de scanners, d’équipes de transplantation cardiaque et d’unités de soins intensifs que de construire des maisons, d’installer des systèmes d’irrigation ou de planter des cultures.

Cette obsession de la haute technologie entraîne des problèmes dans tous les domaines des soins de santé. Par exemple, la lutte contre le paludisme s’est bien déroulée tant que les mares d’eau stagnante étaient éliminées, mais lorsqu’on a découvert que les moustiques pouvaient être tués par pulvérisation de DDT et que la maladie pouvait être combattue à l’aide de médicaments tels que la chloroquine, les autorités ont cessé de se préoccuper de l’élimination des mares d’eau stagnante. Aujourd’hui, les moustiques sont résistants au DDT et les parasites responsables de la malaria deviennent résistants aux médicaments : la malaria tue aujourd’hui environ 1,5 million de personnes par an.

Ceux qui affirment que les médecins sont responsables de l’amélioration de l’espérance de vie dont nous bénéficions oublient que depuis le Moyen-Âge, en passant par la Renaissance et jusqu’aux premières décennies du XXe siècle, les taux de mortalité infantile étaient absolument terribles et que ce sont ces taux de mortalité massifs chez les jeunes qui faisaient baisser l’espérance de vie moyenne.

L’hôpital des enfants trouvés de Dublin a admis 10 272 nourrissons entre 1775 et 1796, et seuls 45 d’entre eux ont survécu. En Grande-Bretagne, le nombre de décès chez les bébés de moins d’un an a chuté de plus de 85 % au cours du siècle dernier. Même chez les enfants plus âgés, l’amélioration a été spectaculaire. En 1890, un enfant britannique sur quatre mourait avant son dixième anniversaire. Aujourd’hui, 84 enfants sur 85 survivent jusqu’à leur dixième anniversaire. Ces améliorations n’ont pratiquement rien à voir avec les médecins ou les laboratoires pharmaceutiques, mais résultent presque entièrement de l’amélioration des conditions de vie. En 1904, un tiers des écoliers britanniques étaient sous-alimentés. En raison d’une mauvaise alimentation, les bébés et les jeunes enfants étaient faibles et succombaient facilement aux maladies. Les enfants plus âgés des familles pauvres devaient survivre avec du pain et de la bouillie, et de nombreuses femmes qui devaient passer de longues heures à travailler dans des conditions épouvantables ne pouvaient pas allaiter leurs bébés, dont beaucoup mouraient après avoir bu du lait ou de l’eau contaminés.

Si l’on ne tient pas compte de l’amélioration des chiffres de la mortalité infantile, il est clair que, pour les adultes vivant dans les pays développés, l’espérance de vie n’a certainement pas augmenté comme le suggèrent habituellement les médecins et les laboratoires pharmaceutiques.

Et il n’est pas possible d’attribuer aux programmes de vaccination l’amélioration de l’espérance de vie, car les chiffres montrent clairement que les taux de mortalité pour des maladies aussi variées que la tuberculose, la coqueluche et le choléra étaient tous tombés à une fraction de leur niveau antérieur, en raison de l’amélioration des conditions de vie, bien avant l’introduction des vaccins en question.

À propos de l’auteur

Vernon Coleman a exercé la médecine pendant dix ans. Il est auteur professionnel à plein temps depuis plus de 30 ans. Romancier et écrivain militant, il a écrit de nombreux ouvrages non romanesques. Il a écrit plus de 100 livres qui ont été traduits en 22 langues. Son site web, www.vernoncoleman.com, contient des centaines d’articles dont la lecture est gratuite.




L’opération Covid-19

[Source : Artemus]

Entretien avec Astrid Stuckelberger

  • [00:00] Présentation.
  • [04:00] Causes du bannissement médiatique de l’invitée au printemps 2020.
  • [05:21] L’opération covid-19 : une scène de crime.
  • [13:42] Effets pervers de la compartimentation et la politisation de la médecine.
  • [17:30] Covid, le moment pivot dans la vie de l’invitée ?
  • [22:17] Théorie de l’innocuité des virus, toxicité des politiques imposées.
  • [29:58] Effets pathogènes de la peur.
  • [35:01] Succès du plan planétaire ?
  • [38:58] Quel est le but ultime de l’opération ? L’eugénisme.
  • [44:24] L’OMS aujourd’hui : une mafia ?
  • [48:49] La détection des vaccinés par la sensibilité olfactive.
  • [53:00] Une attaque contre l’âme.
  • [57:00] Des protocoles de protection.



Les manifestations pro-palestiniennes sur les campus sont mises en scène par la CIA

[Source : mileswmathis.com]

Par Miles Mathis1
24 avril 2024

C’est tellement évident. Pourquoi pensez-vous que la plupart d’entre eux portent des masques ? Pour cacher le fait qu’ils sont des provocateurs extérieurs de plus de 25 ans. Pas des étudiants. Même les médias mainstream l’admettent, concédant que bien que Harvard Yard et d’autres quads2 aient été réservés aux étudiants, ils auraient été impuissants à empêcher les « envahisseurs de prendre d’assaut le campus ». Vraiment ? Les seules personnes qu’ils ne peuvent pas empêcher d’entrer sont les membres de la CIA, puisque la CIA a un laissez-passer partout. Elle et ses acteurs de théâtre universitaire ont plus de poids que la police du campus, la police municipale et les forces de police de l’État.

[Voir aussi, pour des informations supplémentaires sur ces événements :
https://lecourrierdesstrateges.fr/2024/04/25/la-grande-revolte-des-campus-americains-contre-le-neo-conservatisme/]

Nous savons qu’il s’agit de la CIA d’une autre manière : ils tentent d’imputer l’invasion des universités à la Chine. Le Congrès demande à l’IRS d’enquêter sur le financement chinois des manifestations anti-israéliennes. Il y a de quoi rire. La moitié des actions de la CIA sont imputées à la Chine ou à la Russie et l’autre moitié à des terroristes d’extrême droite. Comme je vous l’ai dit à maintes reprises, les événements qui se déroulent aux États-Unis n’ont pas besoin d’être truqués par la Chine, la Russie, Israël, l’Iran ou qui que ce soit d’autre. Avec des millions d’agents qui n’ont rien de mieux à faire, nous sommes tout à fait capables de truquer nos propres événements.

Vous devriez vous demander quand les étudiants sont devenus si militants. Nous n’avons vu aucun signe de protestation contre les restrictions de masques pendant la Covid ou contre les exigences en matière de vaccins par la suite — en particulier dans des endroits comme Columbia et Harvard — bien que ces choses aient affecté ces étudiants personnellement et de manière majeure, parfois en les tuant. Mais cette guerre douteuse au Moyen-Orient est une raison pour eux de sécher tous les cours et de vivre dans des tentes sur le campus ? Pour s’énerver et crier devant les caméras ? Pour risquer d’être renvoyés ? Pour se battre avec les flics et se faire arrêter ? Cela ne tient pas debout, n’est-ce pas ? Nous sommes censés croire que les étudiants sont passés du jour au lendemain du calme, de la complaisance et de l’obéissance au tapage et à la rébellion, tout cela en raison de la solidarité avec la Palestine ? Vous pouvez le croire, mais pas moi.

Je souligne également que ces manifestations ont commencé et se poursuivent à Harvard, Columbia et dans d’autres établissements de ce type. Des campus qui sont déjà connus pour être des repaires de la CIA. Y a-t-il vraiment suffisamment de musulmans militants sur ces campus pour être à l’origine de ces manifestations ? J’en doute.

Je vois bien que tout cela est fabriqué pour faire basculer l’Amérique moyenne dans l’autre sens, plus profondément dans les bras d’Israël. Tout cela pour que ces faux étudiants puissent avoir une mauvaise presse et être traités d’antisémites par la presse traditionnelle, justifiant ainsi une répression. Ils ont déjà été traités de sympathisants terroristes, voire de terroristes eux-mêmes. L’« opinion publique » continuera d’être fabriquée contre eux, ce qui amènera le citoyen moyen à embrasser Israël ou à se taire. Cela conduira probablement à l’adoption de nouvelles lois ou de « mandats » interdisant toute critique d’Israël et des Juifs (y compris les banquiers) en tant qu’incitation à la haine. Le fait que ces fausses lois soient totalement anticonstitutionnelles n’aura aucune importance, puisqu’il faudra plusieurs années à la Cour suprême pour les invalider. Entre-temps, la CIA aura fait ce qu’on lui a ordonné de faire : faire passer toute l’opposition pour des mécontents, des théoriciens du complot et des gamins à grande gueule. Elle a fait la même chose dans les années 1960 et 1970, lorsqu’elle a fait passer toute l’opposition gouvernementale pour des hippies malodorants et des jeunes gâtés.

Et puis il y a ceci :

Les étudiants et la presse regardent le président de la Chambre des représentants Mike Johnson, R-La, s’adresser aux médias sur les marches de la Lower Library sur le campus de l’Université Columbia à New York, le mercredi 24 avril 2024.

Ce sous-texte prouve en quelque sorte mon point de vue, n’est-ce pas ? C’est l’une des photos qui font la une des journaux aujourd’hui. Johnson n’essaie pas de faire taire une manifestation de masse, n’est-ce pas ? Non, il s’adresse aux médias. C’est un événement médiatique, avec seulement quelques étudiants qui « regardent ». Même sans le sous-texte, cela se voit au premier coup d’œil. Presque tous les participants sont des médias, avec seulement quelques rangées d’étudiants à l’arrière. Comme tout le reste, il s’agit d’une fabrication. Regardez les gradins vides ! Je parie que cela vous a échappé. Cela nous rappelle les hôpitaux vides, les tentes d’urgence et les ambulances vides pendant Covid, n’est-ce pas ?

Qu’en est-il de ceci ?

Cela ressemble-t-il à une manifestation organique ? Tout le monde portait la même chemise ? Ils n’ont pas été produits à l’imprimerie de Langley ?

Quelle mise en scène cela donne-t-il ? « OK, tout le monde au premier rang, pour qu’on puisse prendre la photo ! La fille juive avec le turban d’Arafat, assurez-vous d’être entre la caméra et la personne arrêtée — le seul gars de Brooklyn qui porte une chemise bronzée pour qu’il se démarque ! » Et quelqu’un peut-il me dire pourquoi ce flic porte un masque ? Il doit avoir une identité IMDb3.

De plus, remarquez que dans le dernier événement, on voit des Juifs qui manifestent pour la Palestine. Il y a donc des juifs des deux côtés de ces fausses manifestations, et dans ce cas, ils l’admettent. Cela devrait vous paraître curieux. Ce sont toujours les juifs qui font semblant de se battre les uns contre les autres dans ces théâtres, pour créer des distractions et des divisions, mais maintenant ils l’admettent intelligemment. Ils savent que certains reconnaîtront ces acteurs comme étant des juifs, alors ils l’admettent, ce qui vous fait faire un autre tour dans le trou du lapin. Vous êtes censés penser : « Oh, ce sont les Juifs qui ont une conscience, qui ne pensent pas qu’Israël devrait s’emparer de la Palestine ». Mais comme je vous le montre, ce n’est pas ce qui se passe ici. Comme tout ce qui se passe en ce moment, il s’agit d’un autre grand événement fabriqué pour détourner les yeux : détourner les yeux du génocide vaccinal. Ces gens essaient d’empêcher leurs cousins de Big Pharma de se faire lyncher pour crimes contre l’humanité, et c’est la première chose à faire. Dans ce cas, la division est une question secondaire. La distraction est la thèse principale.

Pour s’en convaincre, il suffit de lire ces interviews d’« étudiants » de l’université de New York qui manifestent à New York. Ils ne savent même pas pourquoi ils sont là et ne sont manifestement que des acteurs payés pour être dans la rue avec des pancartes préfabriquées. Et lorsque la fausse police a arrêté les faux manifestants, devinez combien elle en a arrêté ? 133. Vous auriez pu le prédire, n’est-ce pas ?

En passant, il semble que Jerry Seinfeld m’ait lu, puisqu’il a récemment déclaré que « tout est faux ».

« Le public se rue maintenant sur les stand-up4 parce que c’est quelque chose qu’on ne peut pas simuler. C’est comme la plongée sur plate-forme. Vous pouvez dire que vous êtes un plongeur de plate-forme, mais en deux secondes, on peut voir si vous l’êtes ou non. C’est ce que les gens aiment dans les stand-up. Ils peuvent s’y fier. Tout le reste est faux », a-t-il ajouté.

Curieusement, cette phrase a été censurée par la plupart des médias. Ses commentaires sur le fait que l’industrie cinématographique est « finie » ont été largement rapportés, et c’est de là que vient cette information, mais MSN oublie de vous dire qu’il a mentionné que tout est faux. Il en va de même pour le Guardian. Sur la première page d’une recherche sur ce sujet, Yahoo, Complex, 10Play et Reddit font de même. Reddit l’a complètement supprimé.


1 Artiste, poète et écrivain américain, considéré comme « pseudo-scientifique » (avec notamment sa théorie selon laquelle le nombre PI serait égal à 4, ce qui reviendrait à dire qu’un cercle est en fait un carré. Il vaut probablement mieux retenir qu’il est avant tout un artiste et poète. Et dans le domaine de l’imaginaire, on peut tout se permettre.) et « conspirationniste ». NDT

2 Le quad est le cœur d’un campus, un espace de rassemblement central généralement ancré dans les principaux bâtiments d’une institution. NDT

3 Internet Movie Database (Base de données de films sur Internet). Autrement dit, ce doit être un acteur (qui se cache derrière ce masque pour ne pas se faire identifier). NDT

4 Spectacles d’humoristes (le plus souvent en solo). NDT




Pasteur se dépasteurise !

[Source : neosante.eu via PG]

Par Yves Rasir

Ce n’est évidemment pas de Louis Pasteur qu’il s’agit. Même si la légende raconte qu’il confessa son erreur sur son lit de mort (« Claude Bernard avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout »), le faussaire arriviste que la France vénère restera à tout jamais dans l’histoire comme le père de la folle théorie attribuant aux germes un rôle causal dans la genèse des maladies. Ce n’est pas lui, mais l’Institut qui porte son nom qui amorce un tournant scientifique historique ! Depuis janvier dernier, ce centre de recherche prestigieux a une nouvelle directrice générale en la personne de Yasmine Belkaid, brillante immunologiste franco-algérienne de 56 ans qui a fait l’essentiel de sa carrière aux États-Unis. Or cette grande spécialiste du microbiome — elle a notamment découvert sur la peau des souris une bactérie qui favorise la cicatrisation des tissus cutanés — est tout le contraire d’une biophobe obsédée par la lutte contre les microbes au moyen de biocides ou de vaccins. Comme en témoigne l’interview épatante qu’elle a récemment accordée à France Info, cette mère de famille transpirant l’intelligence, la compétence et la bienveillance porte sur le microcosme microbien un regard qui n’a plus grand-chose à voir avec la doctrine pasteurienne et que n’aurait pas renié Antoine Béchamp. En écoutant Yasmine Belkaid, on croirait presque entendre le contemporain de Pasteur contestant ce dernier et déclarant que « Rien n’est la proie de la mort, tout est la proie de la vie ».

Du Béchamp pur jus

En tout cas, on peut dire qu’elle en a. Au micro de France Info, la nouvelle directrice de l’Institut corrige d’emblée Ali Baddou qui introduit son invitée en présentant les microbes comme des ennemis à combattre. « Nous sommes un conglomérat de microbes, nous en hébergeons plus que de cellules. La grande majorité d’entre eux sont des passagers et parfois ils nous aident. » Trois minutes plus tard, l’animateur radio prouve qu’il a capté le message en posant une excellente question : comment se fait-il que les microbes persistent dans notre corps alors que notre organisme est censé les éliminer ? Ce à quoi la scientifique répond que « très peu sont des pathogènes » et que « les infections sont en réalité très rares » et rarement mortelles, ce qui tue étant la réaction inflammatoire et non l’agent infectieux lui-même. De façon encore plus claire, Yasmine Belkaid précise que « la métaphore de l’attaque ne fonctionne pas » et que « les microbes se comportent de manière très différente selon les individus et les circonstances », ce qui étant pathogène pour un être humain ne l’étant pas forcément pour son voisin. Y a-t-il moyen de prendre plus hardiment position contre la théorie des germes en lui opposant la théorie du terrain ? En fin d’émission, la chercheuse va jusqu’à se faire l’avocate des parasites en soulignant que tous les microbes se comportent en parasites et qu’il est absurde de vouloir s’en débarrasser. Absurde de leur faire la guerre, mais aussi et déjà de s’ingénier à les perturber : « Nos microbiotes sont importants et si on les perturbe, on perturbe notre écosystème ». On ne peut préjuger de rien, mais il serait logique, après de telles déclarations, que l’Institut Pasteur renonce à développer des antibiotiques ou des vaccins. Il serait même logique que la dépouille du fondateur soit expulsée de la crypte du bâtiment et qu’on y installe à la place les ossements d’Antoine Béchamp.

L’immunité pour réguler

Au XIXe siècle, les deux savants rivaux ne savaient encore rien de l’immunité. S’ils avaient connu l’existence du système immunitaire, il est cependant probable que Pasteur l’aurait considéré comme l’ont fait ses successeurs, à savoir comme un système de défense contre des assaillants extérieurs. Et il est non moins probable que Béchamp y aurait vu la confirmation de ses intuitions biophiles. Sur ce sujet, Yasmine Belkaid témoigne également qu’elle est beaucoup plus proche des idées du médecin découvreur des microzymas que de celles du chimiste inventeur du vaccin contre la rage : pour elle, l’immunité est un « système de régulation » sans rapport avec un arsenal guerrier puisqu’il consiste à harmoniser les relations, à « établir des compromis » entre les microbes et leurs hôtes. Non seulement la directrice générale plaide pour une coexistence pacifique, mais elle insiste sur le fait qu’en chouchoutant le microbiote, on peut renforcer le système immunitaire de façon spectaculaire. Sur la base de ses propres travaux — elle a publié plus de 220 articles révisés par des pairs — et d’autres études récentes, l’immunologiste souligne en effet qu’on peut changer très rapidement le système immunitaire d’un individu en changeant sa façon de s’alimenter. Deux semaines d’un nouveau régime alimentaire suffisent pour observer une amélioration de l’immunité, autrement dit de la capacité de vivre harmonieusement avec les micro-habitants qui peuplent nos entrailles et la plupart de nos organes. Au passage et avec un beau sourire, Yasmine Belkaid ajoute que nos alliés microbiotiques influent sur l’ensemble des systèmes physiologiques, c’est-à-dire sur notre santé dans sa globalité. On peut imaginer que la crise Covid aurait été gérée bien plus rationnellement si cette femme de tête était revenue des States plus tôt et si elle avait présidé le Conseil Scientifique. En la qualifiant de « miracle pour la France », le très vaccinaliste Alain Fischer ne réalise sans doute pas qu’elle va dépasteuriser l’hexagone au lieu de perpétuer un culte obsolète…

[NDLR : Yasmine Belkaid en viendra-t-elle à ne plus parler de parasites, mais de symbiotes et à considérer que la pathogénicité éventuelle de bactéries provient des perturbations qu’elles subissent par l’environnement ou par notre manière de vivre ?]

Grippe aviaire, l’offensive

Malheureusement, ce n’est plus à l’Institut Pasteur que se forgent les politiques sanitaires et ce ne sont plus ses chercheurs qui orientent la science infectiologique au niveau mondial. Le Vatican de l’église pasteurienne s’est déplacé à Genève et son Saint-Siège est désormais celui de l’OMS, la très mal nommée Organisation Mondiale de la Santé. Vous avez peu apprécié son rôle dans la mascarade covidienne ? Vous allez détester son implication dans la plandémie qui vient. Comme je l’avais subodoré dans ce billet du 29 mars 2023, c’est en effet la grippe aviaire qui se profile comme le prochain grand péril viral brandi par les bandits genevois dont les plantureux salaires sont payés en majeure partie par Bill Gates et Big Pharma. Histoire de renforcer son pouvoir et de faire voter en mai prochain les nouveaux traités qui lui donneraient la possibilité de dicter sa loi aux États, l’OMS agite l’épouvantail du virus H5N1 avec une frénésie croissante. Il y a quelques jours, elle faisait part devant la presse de son « énorme inquiétude » face à la progression de la maladie aviaire et de l’augmentation de sa transmission aux humains. Selon la doxa pasteurienne, la zoonose se transmet par la volaille et un cas de contagion via une vache s’est produit dernièrement au Texas, ce qui porte à croire que le virus horriblement létal (il tuerait entre 50 et 60 % des personnes infectées) pourrait déferler sur terre avec des conséquences apocalyptiques. L’éleveur texan a juste été enrhumé et aucun cas de transmission interhumaine n’a jamais été signalé, mais il n’en faut pas plus pour lancer une nouvelle opération de terrorisme psychologique. L’OMS recommande même de ne plus consommer que du lait pasteurisé, des fois que le virus ravageur serait déjà là. N’ayant rien retenu des précédents H1N1 et Sars-Cov-2, les médias subsidiés rivalisent bien sûr de manchettes alarmistes sur un « scenario catastrophe » imminent.

Yasmine avec nous ?

Pourquoi la grippe aviaire ? Comme je le soulevais l’an dernier, cette maladie représente un double et colossal jackpot pour la pharmafia : elle peut espérer injecter des milliards de pigeons humains (deux vaccins sont déjà agréés en Europe, neuf autres attendent l’autorisation) et des dizaines de milliards d’animaux d’élevage. Avec le corona, difficile de vacciner pangolins et chauve-souris. Grâce à l’influenza aviaire, les vaccinatueurs peuvent compter sur toutes les bêtes à plumes et à poils domestiquées sur la planète pour faire leur beurre. En date du 25 mars 2024, la France avait déjà vacciné 25 076 672 canards. Admirez la précision du chiffre et imaginez le pactole que constituent veaux, vaches, cochons, couvées et tutti quanti. À la limite, le bétail humain n’est qu’un marché subsidiaire dans cette affaire. Subsidiaire, mais capital, car c’est lui qui doit paniquer à mort pour multiplier la ponte des œufs d’or. Depuis plusieurs années, le système médiatique conditionne le public à s’effrayer en voyant l’extermination des animaux prétendument contaminés. Aujourd’hui, la stratégie du choc entre visiblement dans sa phase décisive et la grande offensive paraît lancée. Il faudra encore être fort pour résister à la propagande de peur, aux infox et aux mesures totalitaires qui se dessinent. Avec Yasmine Belkaid comme membre inattendu du camp du bien ? C’est tout le mal que je nous souhaite, car comme je le martèle depuis 4 ans, on ne sortira pas du cauchemar viroparano sans dépasteuriser les cerveaux. Aussi étonnant que cela paraisse, la nouvelle directrice de l’Institut Pasteur semble disposée à faire le job !

Yves Rasir

Commentaires

  1. Platon
    Pas trop vite en besogne Monsieur Rasir ! .
    Désolé de tempérer votre optimisme (il en faut), mais quitte à recruter un scientifique des « states » j’aurai préféré un Tom Cowan ou un Andrew Kaufman.
    Lorsque, dans un enthousiaste élan, vous qualifiez l’intervention de cette fière pasteurienne de « Béchamp pur jus », nous sommes à la limite de l’insulte envers notre cher et vénéré véritable savant français.
    Proposez-lui 1 ou 2 heures de débat ou simplement d’échanges avec Alain Scohy et nous pourrons évaluer les véritables connaissances de cette charmante scientifique. Je reste très dubitatif sur la qualité et l’honnêteté de ce qui peut sortir d’un institut nommé Pasteur.
  2. Brigitte Fau
    Malheureusement, le raisonnement des microbes cohabitants avec « l’hôte » reste une interprétation basée sur les dogmes de l’asepsie prétendant que les microbes sont étrangers à nos organismes.
    En remontant à la source de l’erreur on comprendrait que ceux-ci sont du SOI, la vie en nous depuis les gamètes puis l’œuf… à l’origine de tout dans nos organismes et sans lesquels nous ne serions que matière inerte.
    Béchamp l’avait compris ! Tant que les scientifiques ne s’intéresseront pas à ses travaux, on ajoute des interprétations à des dogmes sans jamais changer de voie.
  3. JUST
    Voilà qui est surprenant ?
    Je suis curieux de savoir comment a été recrutée cette nouvelle directrice ?
    Qui y avait-il dans le comité de recrutement ? Sur quelles bases scientifiques se sont-ils appuyés pour la recruter ?
    Il faut rester sur ses gardes… wait and see



66e cérémonie des Anus d’Or1

Par Alain Tortosa

Tout le gratin mondain sera présent ce soir pour la nouvelle cérémonie des Anus d’Or, anciennement nommée « La nuit de l’anus le plus dilaté ».
Celle-ci sera diffusée en direct et en prime time sur Rance Télévision au grand dam de Anal Plus pionner dans son genre avec le Quotidien de la Pénétration. Elle sera à n’en pas douter suivie par des dizaines de millions de téléspectateurs avides de savoir qui sera le grand trou de balle de l’année.

Profitons de l’occasion pour faire taire tous les détracteurs et autres pessimistes adeptes du « c’était mieux avant ». Je les entends me rappeler que dans le temps il y avait des émissions comme « Les dossiers de l’écran », « Le grand échiquier », « Apostrophe » et j’en passe. Mais qu’ils se taisent, la cérémonie des Anus d’Or est bien la preuve que la relève est là et bien là !

La fête se déroule au 666 rue Saint-Denis. Si vous avez la chance d’y être convié, je vous conseille les transports en commun et de descendre à la station Cambronne. Certes, il y aura un peu plus de marche à pied, mais cela vous permettra de vous mettre déjà dans l’ambiance avant de pénétrer.

Pour les extra-terrestres qui ne connaîtraient pas encore cette institution, je vous rappelle que la cérémonie vise à récompenser les acteurs connus du public qui ont trahi toutes leurs valeurs, leurs idéaux, leur honnêteté et leur dignité principalement dans le but de garder leur job, d’exister, d’évoluer dans leur carrière ou plus simplement de faire le mal et rejoindre l’équipe de Satan.

Il existe bien évidemment des personnages hauts en couleur, hors catégorie, qui, pour grimper dans la hiérarchie, bien que déjà scientifiques, députés, ministres, propagandistes ou autres (rayer la ou les mentions inutiles), n’ont pas hésité à renoncer à leur hétérosexualité déviante pour l’avancement de leur carrière. Il paraît que c’est la première fois le plus douloureux, après on s’y habitue et même on y prend goût. Qui serions-nous pour juger, nous pauvres aveugles hétérosexuels ?!

Dans la continuité des traditions

Les Anus d’Or sont issus d’une grande tradition d’enculade du peuple dont le 20siècle et le premier quart du 21e sont riches de pénétrations diverses et variées.
Rappelez-vous de la Première Guerre mondiale, Pearl Harbor, l’assassinat de JFK, l’homme sur la Lune, le SIDA, la guerre du Golfe, le 11 septembre et j’en passe. Tous ces événements et bien d’autres seraient dignes de la cérémonie des Anus d’Or.
Sans compter ces héros comme le Président Johnson et le golf du Tonkin ou Colin Powell et sa fameuse fiole d’anthrax à l’ONU qui s’est concrétisée en millions de morts civils.

Depuis quelques années nous vivons une période faste avec le Covid, les injections expérimentales, l’OMS, le réchauffement climatique, la montée des océans, la transition énergétique.
Sans compter le prix de l’énergie, l’inflation, les voitures électriques, les passoires thermiques, la surpopulation, la suppression de nos libertés, l’OTAN, le massacre des Palestiniens, la guerre en Ukraine, le sabotage de Nordstream, l’incendie de Notre-Dame ou les attaques sous faux drapeaux. Jamais les Anus d’Or n’ont eu autant de raisons d’exister pour notre plus grand plaisir.

Un événement interplanétaire dont le succès perdure

Il est tel que les coupures pub coûteront aussi cher que pour le Super Bowl. Nous retrouverons bien sûr les sponsors habituels dont je ne citerai pas les noms pour éviter la publicité camouflée, mais sachez que les fabricants de préservatifs parfumés, de vaseline, d’huile de vidange, de crème contre les fissures anales, d’outils électroportatifs et de chirurgie suite à un prolapsus de l’intestin sont toujours fidèles au rendez-vous depuis le début de cette merveilleuse aventure. De plus nous avons la chance de voir de nouveaux mécènes comme des fabricants de désodorisants, de raviolis en sauce, de boudins créoles ou de chili con carne qui permettront d’égayer la fête.

Les mauvaises langues (de pute ?) auraient pu imaginer qu’après des années de pénétration généralisée et quasi quotidienne de tous les Français (mais aussi européens et occidentaux), la cérémonie eut perdu un peu de sa saveur et de son odeur printanière, mais c’est sans oublier l’imagination des organisateurs qui ne sont jamais à court de nouvelles idées pour nous la mettre encore plus profonde.

Force est de constater que le public n’est toujours pas lassé de se faire enculer année après année et qu’il en redemande toujours plus. Imaginez que les sondages pour les prochaines élections européennes donnent 97 % aux listes qui ne veulent pas entendre parler de Frexit, c’est dire à quel point les électeurs en demandent et en redemandent.
Il faut dire qu’à l’instar des benzodiazépines, il est nécessaire d’augmenter la dose pour ressentir les mêmes effets. Rocco Siffredi fait désormais figure de vermisseau au regard des baobabs inventés pour nous apporter de nouvelles sensations.

Je vous rappelle que parallèlement à la cérémonie aura lieu le concours de la plus longue période sans pouvoir s’asseoir sur une chaise. Le record actuel est détenu par un-e journalist-e francais-e et je ne ferais pas l’affront de vous dire son nom-e et s’il-e travaille sur le sévice public ou pas.
Il faut dire qu’iel ne peut plus se mettre sur une chaise non percée depuis plus de six ans et demi.

Santé : L’Angine de Gorge Anale TErminale ou AGATE, le « nouveau SIDA » au marché prometteur

Rappelons que ce héros propagandiste est un des premiers à avoir contracté cette nouvelle maladie hautement contagieuse qui consiste à attraper le « mal de gorge par l’anus ».
Pour celles et ceux qui se rappellent de la douce période Covid, j’avais écrit un pamphlet militant pour « la plume dans le cul2 » afin de se protéger du virus diabolique.

La recherche sur l’Angine de Gorge Anale TErminale doit s’intensifier afin de pouvoir développer au plus vite un vaccin salvateur. Il semblerait que le virus pénètre par le trou de balle et à force de pénétrations répétées remonte jusqu’à la gorge.

Symptômes de l’AGATE.
Au commencement la maladie se traduit par un simple prurit anal puis les symptômes se diversifient et s’aggravent.
Parmi ceux-ci, citons :

  • Des difficultés pour s’asseoir.
  • Une diarrhée chronique.
  • Une odeur persistante.
  • Des selles dans le slip.
  • Des croûtes qui suintent.

Et enfin :

  • Une odeur de merde dans la bouche.
  • Une irritation de la gorge pouvant conduire à une obstruction des voies respiratoires.

En plus de ces symptômes classiques présents aussi dans le Covid, nous rencontrons fréquemment :

  • Un repli sur soi.
  • Une perte de spiritualité.
  • Une forte perte de pouvoir d’achat.
  • Une obligation de jeter sa voiture fonctionnelle.
  • Une frénésie d’injection de substances toxiques expérimentales.
  • Une peur d’un prétendu réchauffement climatique causé par l’homme.
  • Une volonté de faire la guerre à bien plus fort que soi et d’exterminer les plus faibles.

Etc.
Sachez que la maladie peut conduire à la folie comme croire que nous vivons en démocratie, que l’industrie pharmaceutique est aussi au service de l’humain ou que les élites veulent notre bien.

Nous ne doutons pas que les scientifiques qui mettront au point ce vaccin « efficace et sans effet secondaire », bref comme tous les autres, recevront un Anus d’Or l’année de leur extraordinaire commercialisation.
Un test PCR, constitué d’un petit concombre de six centimètres de diamètre et de 33 centimètres de long recouvert de papier de verre grain 66 en son bout, est déjà disponible en pharmacie afin de pouvoir se faire tester. Notez que le modèle pour enfant est commercialisé avec un papier de verre grain 120.
Pour qu’il soit précis et efficace, il est indispensable de l’enfoncer totalement puis le ressortir 10 fois de suite afin d’avoir un prélèvement de meilleure qualité et éviter les faux négatifs.
Prions pour que ce test 100 % efficace, sans douleur, non invasif et sans le moindre effet secondaire soit rapidement généralisé.

Ceci est d’autant plus important qu’une majorité écrasante de Français ignore totalement être porteurs de l’AGATE alors qu’ils se font enculer tous les jours depuis des décennies à un rythme de plus en plus effréné. Ils attribuent leurs symptômes à tout comme par exemple le réchauffement climatique, mais pas aux pénétrations répétées qu’ils n’imaginent même pas.
Notons que les propagandistes sont là pour les « informer » et les « protéger des complotistes ».

Leur unique source d’information demeure mainstream ce qui les met à l’abri de toute vérité.

Nombreux lots à gagner lors de la cérémonie

Nouveauté, une tombola sera organisée, chaque participant devant verser la somme symbolique de 166 euros (rapport à l’événement) dont les bénéfices après pot-de-vin seront reversés à l’association de lutte contre l’AGATE et le cancer du trou de balle. Les vainqueurs se verront la chance de se faire pénétrer en direct par un des lauréats précédents des Anus d’Or.

Petite précision, les heureux gagnants des années précédentes ayant moyennement apprécié la pénétration à sec, source d’un plaisir violent, mais trop fugace… Celle-ci sera désormais effectuée avec de l’huile de vidange usagée 20w50 offerte par notre sponsor amateur de sports de glisse.

Vous savez, il est important pour nous, petites gens, moins que rien, de pouvoir nous identifier à une star de la pénétration anale. Quelle fierté de pouvoir obtenir une dédicace autour de son trou de balle récemment dilaté par un de nos héros préférés :

  • « J’ai acheté une voiture électrique pour sauver la planète ».
  • « J’ai mon passe sanitaire avec 8 rappels de “vaccins” qui vaut bien 10 Légions d’honneur. »
  • « Je me suis chauffé à 17 degrés tout l’hiver, mais grand-mère nous a quittés suite à un Covid. »
  • « Je soutiens Zelensky, je n’achète plus de Vodka, je ne consomme que des avocats israéliens. » Et j’en passe.

Questions juridiques et philosophiques

Je vous rappelle que les nouvelles lois considèrent avec justesse que, même dans le cadre privé, toute parole raciste, homophobe, transphobe, satanophobe, schwabphobe, génociphobe, pédophobe, climatophobe et j’en passe doit être sanctionnée. Que ne l’a-t-on fait plus tôt !
La défense de la démocratie et de la liberté de parole doit passer par un encadrement strict limitant cette expression aux seules pensées autorisées par le gouvernement.
Il demeure néanmoins certaines questions :

Un de mes fidèles lecteurs habitant « Cul de Poule le Bas » m’a posé une question fort pertinente que je m’empresse de reproduire ici :

« Dès lors que l’homosexualité est devenue tendance, que ce simple statut prouve la vigueur de notre démocratie et de l’évolution des mentalités, traiter une personne, par exemple un homme politique “d’enculé”, relève-t-il de l’insulte et tombe-t-il sous le coup de la loi ? »

Je remercie ce fidèle lecteur pour cette question de bon sens.
Durant les temps obscurantistes, la sodomie pratiquée par deux hommes (terme impropre de l’époque voulant dire « biologiquement nés avec un pénis ») relevait de la perversion, de la psychiatrie et était condamnée par toutes les religions monothéistes non sataniques. Dès lors traiter une personne de « pédé » ou « d’enculé » relevait bien évidemment de l’insulte.
Mais ça, c’était avant !
Aujourd’hui vous ne verrez plus les moindre émission de divertissement, série ou film dans lesquels ne seront pas représentés quelques « folles » ou « gays ». Qui serait choqué de voir un adolescent avoir des rapports sexuels avec un homme de 25 ans dans le film « Call Me by Your Name » qui a eu trois nominations aux Golden Globes, quatre nominations aux BAFTA et aux Oscars et a remporté l’Oscar 2018 du meilleur scénario adapté. Dire que certains doutent du tournant merveilleux pris par notre civilisation !!!
Imaginez-vous qu’il y a eu polémique sur le film ? Et bien oui, ne vous en déplaise :

« Certains ont reproché au film, son manque de scène explicite, comme si le film exprimait une honte ou une pudeur. Peut-être que l’amour entre personnes du même sexe n’est pas encore accepté au point de paraître tout à fait banal dans les films à destination du grand public3. »

Certes il y a encore un peu de chemin à parcourir, certes le film est bien heureusement tout public, néanmoins nous pouvons regretter que des enfants de six ans ayant vu ce film en famille n’aient pu observer la bite turgescente circoncise de cet adulte pénétrer dans le cul vierge de l’adolescent avide de nouvelles sensations et en quête de plaisir. Bien heureusement, les programmes scolaires à l’école primaire sont désormais là pour informer nos jeunes têtes blondes sur l’acte amoureux le plus naturel qu’il soit dès lors qu’il n’est pas entre un mâle et une femelle, qui plus est blancs et occidentaux.
Donc si nous sommes le plus objectif possible, traiter quiconque « d’enculé » serait plutôt une marque positive fort sympathique alors que le traiter « d’hétérosexuel » relèverait plus de l’obscurantisme et de l’insulte.
Il serait important qu’une jurisprudence s’installe en ce sens.

Une autre question tout aussi intéressante posée par un internaute de « Saucisse en brie » dans le Bas-Rhin.

« Peut-on considérer qu’il y a insulte dès lors que l’on traite un enculé d’enculé ? »

Cette question est toute aussi pertinente que la précédente et je vais faire en sorte d’y répondre le plus profondément possible.
Il ne fait aucun doute que certaines personnalités ou des hommes politiques sont des enculés du fait de leur pratique sexuelle totalement naturelle et recommandée, notamment pour lutter contre la surpopulation mondiale. Être un enculé est donc bon pour la planète, autant que de manger des insectes ou de la viande artificielle. Qu’un député, ministre ou président le soit devrait être considéré comme signe de la bonne santé de notre grande démocratie. Le simple statut d’enculé devrait se suffire pour occuper un tel poste largement mérité, et ce, proportionnellement au diamètre de son trou de balle.
De fait traiter un enculé d’enculé revient à faire rappel d’une qualité propre à l’individu.
En vient donc la question « est-il légal de dire la vérité ? ». La réponse est « ça dépend ».
La réponse serait aussi la même, « ça dépend » à la question « est-il légal de mentir ? »
Comprenez bien que la Vérité dépend uniquement du ministère du même nom, encore heureux me direz-vous. Si demain celui-ci décrète que la Terre est plate, grâce au consensus scientifique de ceux qui sont d’accord et payés pour l’affirmer, alors la Vérité sera que celle-ci est plate. Dès lors affirmer le contraire, même preuves (pseudo) scientifiques à l’appui, relèverait du mensonge et serait donc condamnable.
De fait, dire que tel ou tel ministre est un enculé alors qu’il est factuellement un enculé, ce qui est même reconnu par celui-ci, devrait être considéré comme un simple constat et même une forme de compliment. C’est du même ordre que si on lui disait « Whoa tu es grand toi ! », un simple fait positif. Il ne devrait donc pas être condamnable de le croiser dans la rue et lui dire « Salut l’enculé, ça va bien aujourd’hui ? » geste auquel il pourrait répondre par un simple salut amical en arborant son tee-shirt de vainqueur d’un Anus d’Or.

J’espère vous avoir éclairé par ces réponses, n’hésitez pas à me contacter si vous en avez d’autres.

Séquence émotion

Hélas ! l’heure est aussi à l’émotion. Un grand homme, M Lépidoptère-vagabond, nous a quittés il y a quelques semaines, lui qui avait tant fait pour la promotion de la cause anale. Jusqu’à son dernier souffle, il a tenu à enculer quiconque passait devant sa bite sans racisme ou discrimination due à l’âge, ce qui est à son honneur (même si pour lui la jeunesse devait être une priorité absolue). Son intégrité et le sens de l’État lui permirent de ne jamais être poursuivi par la justice des Hommes.
Lui qui craignait le froid, nul doute qu’il sera bien au chaud dans l’au-delà. Il serait trop long de citer les œuvres majeures auxquelles il avait apporté son expertise, par exemple « La grosse bite d’Arachide4 » qui fut un succès salué en son temps par la presse. Citons le journal « Liberté » toujours à la pointe du progressisme, du Wokisme et de la lutte contre l’obscurantisme catholique d’extrême-droite (pléonasme) qui ne tarissait pas d’éloges sur cette petite gourmandise :

  • « Un bonbon au poivre vert. Délicieusement politiquement incorrect. »
  • « Détonnant petit court-métrage »
  • « Si on y voit (fugacement) une queue, et une belle, elle n’est pas en action et a fort peu de chance d’être vraiment celle du jeune acteur qui est censé l’arborer, aussi prometteur paraisse-t-il »

ou encore

  • «  Le film devrait être montré dans toutes les classes. »

Comment ne pas être raccord avec ces journalistes propagandistes multi récompensés d’un Anus d’Or au fil des années.

Espérons donc que les programmes scolaires incluent des extraits de l’œuvre de ce grand homme, ami de tous et des enfants et particulièrement d’un ancien ministre amateur d’exotisme et de musique.
Il y a certes quelques petits progrès comme l’apprentissage de la masturbation dès trois ans, mais une grande partie du chemin reste à parcourir.

Les différentes catégories et les nouveautés de l’année pour la cérémonie des Anus d’Or

Mais bon, assez de nostalgie et de tristesse, la vie continue, « le chauve must go in », comme on dit dans le milieu. Revenons à cette grande fête de l’anus dilaté qui nous attend ce soir.

Comme indiqué nous retrouverons des catégories classiques comme :

  • L’Anus d’Or de la pute journaliste le plus enculé, meilleur propagandiste.
  • L’Anus d’Or de la pute présentateur télé le plus enculé qui nous abrutit le plus possible.
  • L’Anus d’Or de la pute politique le plus enculé qui réduit nos libertés et notre pouvoir d’achat pour notre « sécurité ».
  • L’Anus d’Or de la pute médecin de plateau le plus enculé qui nous vend de la peur et nous propose de nous injecter un poison une fois par mois pour lutter contre des virus informatiques.

De nouvelles catégories ont vu le jour pour notre plus grande flatulence réactive :

  • L’Anus d’Or de la pute climatologue le plus enculé qui nous propose de tuer nos chiens et d’arrêter de manger de la viande, y compris locale et bio, pour sauver la planète.
    L’Anus d’Or de la pute des instances européennes le plus enculé qui nous propose de « supprimer la démocratie pour sauver la démocratie ».
  • L’Anus d’Or de la pute conseiller militaire le plus enculé et sans enfant qui propose d’envoyer les nôtres se faire déchiqueter en Ukraine pour l’escroc cocaïnomane pro-nazi.
  • L’Anus d’Or du parti politique qui nous promet de réformer l’Europe sans la quitter et en restant dans l’OTAN et dans l’Euro.

Je ne vous les cite pas tous pour ne pas gâcher l’effet de surprise.
Il est tellement bon de se faire enculer quand on s’y attend le moins, au détour d’un amendement ou d’un décret bien épicé revoté à deux heures du matin quand le premier vote lui était défavorable.

Rappel de règlement

Certains le regrettent, je le sais si bien, mais ni les ministres et présidents de l’UE, ni le Conseil d’État, le Conseil Constitutionnel, le Président de la Commission Européenne, les dirigeants de l’OTAN, de l’OMS, de la CEDH, de l’ONU, de l’OMC, des industries pharmaceutiques, d’armements et autres ne peuvent participer aux Anus d’Or.
Pour des raisons d’équité, il n’est pas possible de l’obtenir plusieurs années de suite, sinon ils le recevraient tous les ans. Ce qui n’empêche pas de l’avoir à titre honorifique. Gardez en tête qu’ils sont tous dans le Hall of Fame au fond de notre gorge. Sans eux l’AGATE n’aurait jamais vu le jour.

Aider les âmes égarées

Songez que durant l’écriture de ces phrases, un brave homme, un peu dérangé bien entendu. J’en parle, car dans sa douce folie il s’est mis en tête que sa femme était décédée suite à l’injection Anti-Covid sus nommée « la Sainte Ampoule », probablement manipulé par des enculés de complotistes sans effroi ni doigts. Je sais bien cela pourrait faire rire si ce n’était pas si pathétique. J’imagine votre tête, pardon votre trou de balle quand vous, les injectés 6 doses qui vous apprêtez à faire votre rappel afin que les JO ne soient pas endeuillés par de nouveaux morts Covid, entendez de tels délires. Qui doute encore de l’innocuité et de l’efficacité de cette Sainte Ampoule qui a sauvé des milliards de vies et sans doute de l’extinction de la race humaine. Qui doute qu’il est logique de rendre un vaccin obligatoire dès lors que les vaccinés sont protégés ?
Qui serait assez con pour se faire injecter 6 doses d’un produit expérimental qui ne protégerait en rien de cette maladie informatique (virus) et de la contamination, soyons un peu sérieux que diable. Ce n’est plus un trou de balle, mais un hall de gare que vous auriez si ce produit était aussi dangereux qu’inefficace. Une étude a d’ailleurs prouvé que seuls les covido-sceptiques développaient des symptômes psychosomatiques suite à l’injection,

Bref voilà que cet homme, aveuglé par le chagrin, et avec de fortes douleurs dans le fondement, ce que l’on aurait à moins, a eu l’audace de téléphoner à son grand monarque pour lui dire qu’il fallait s’occuper des effets secondaires de la Sainte Ampoule. Imaginez l’embarra de celui-ci, il n’allait quand même pas avouer à ce déchet humain, ce gueux, ce simple électeur, qu’il était en dehors de toute réalité. Vous savez la folie est sans limites de nos jours, sachez que certains croient que des femmes publiques sont des hommes au point qu’il devient nécessaire d’écrire des livres et bientôt une fiction en plusieurs épisodes pour ramener ces déments à la réalité. Mais pardon, une fois de plus je m’égare telle une bite turgescente dans le trou de balle d’un ministre faisant penser à une cathédrale, tant l’écho demeure (c’est là que l’on voit le professionnalisme des enculés qui nous gouvernent, ils testent plusieurs fois la mesure sur eux-mêmes avant de pénétrer à leur tour l’ensemble des Français).
J’entends que vous pourriez une fois de plus me reprocher de m’égarer, mais comment ne pas babiller tant la période que nous vivons est emplie d’amour, de poésie et de foutre.
J’en reviens donc à ce pauvre homme dont la perte d’un être cher a fait basculer sa frêle raison. Celui-ci avec son petit, très petit cerveau d’analphabète d’extrême droite complotiste a imaginé que la Sainte Ampoule avait pu provoquer le décès de sa femme. Tout être un peu censé sait bien que ce n’est pas l’injection, mais la compote de pomme du jardin, non pasteurisée, qui hélas a conduit au drame. Que pouvait donc faire ce bon roi qui aime distribuer de la merde à ses concitoyens (dans le texte) afin de leur remémorer la fête de la sodomie. Ce bon monarque ne pouvait de raison avouer à ce brave homme qu’il était fou, il ne l’aurait pas entendu.
Il ne pouvait rester indifférent face à sa souffrance, d’autant plus qu’il aurait pu contaminer d’autres débiles qui à leur tour se mettraient à imaginer une sorte de complot totalement délirant. C’est alors qu’il eut la bonne idée de faire arrêter le bougre. Attention non pas une simple convocation à la police tel jour à telle heure afin de l’interroger sur ses intentions. Non, non, non ! Il fallait un coup de poing psychologique. Et quoi de mieux qu’une descente de 15 flics à 6 heures du matin, comme dans les films en défonçant les portes… Puis une dizaine d’heures de garde à vue, tel un électrochoc afin de ramener ce fou à la réalité. C’est ainsi que l’on voit qu’il y a du bon en tous, y compris dans un monarque qui aurait pu basculer dans la dictature, mais dont cet événement prouve une fois de plus qu’il est resté proche de son peuple aimé.

Un message d’espoir et de paix

Ne polémiquons pas, ne soyons pas aigris, même les plus privilégiés goutteront tôt ou tard à une pénétration bien méritée, c’est une question de patience, vous les grands vous y aurez droit, n’en doutez point.

Imaginez un monde idéal, une sorte de ronde, dans lequel chaque personne, jeune, vieille, pauvre ou riche, quelle que soit sa religion, sa couleur de peau, ses opinions politiques, sa nationalité serait enculée par un de ses frères humains et qui à son tour enculerait son voisin.
Une merveilleuse chaîne de pénétration anale tout autour de la Terre ne peut que nous faire militer pour une démocratie gouvernance mondiale voulue par les grands de ce monde. Ah je me sens l’âme poète, plein d’espoir, d’illusions et de courant d’air… néanmoins avec la gorge qui gratte un peu.

Je le redis pour celles et ceux qui seraient perdus, dans le doute, comme disait un grand homme politique « la bête de l’événement est là5 ».
Vous savez nous touchons au divin au merveilleux, un ange passe laissant une petite odeur persistante et suave.

La raison principale des Anus d’Or est de ne pas nous faire oublier que tous les grands de ce monde et leurs serviteurs putes ne nous oublient pas et nous la mettent profonde jour après jour.

Longue vie aux Anus d’Or.

Je vous souhaite une excellente cérémonie.

Alain Tortosa6 expert en pénétration.

22 avril 2024
https://7milliards.fr/tortosa20240422-ceremonie-anus-d-or.pdf





Grippe aviaire, censure et vaccins en 100 jours : 7 prédictions pour la prochaine pandémie

[Source : off-guardian.org]

Par Kit Knightly — 19 avril 2024

Au début du mois, la Maison-Blanche a publié ses nouveaux objectifs en matière de préparation à la pandémie.

Ils sont loin d’être les seuls à couvrir ce sujet. En mars dernier, Sky News posait la question suivante :

« “La prochaine pandémie est à nos portes”, prévient un expert – mais l’enfermement se reproduirait-il un jour ? »

Le 3 avril, le Financial Times a posé une question similaire :

« La prochaine pandémie arrive. Serons-nous prêts ? »

Il y a moins d’une heure, le Daily Mail nous invitait à pénétrer dans « la grotte la plus meurtrière du monde qui pourrait être à l’origine de la prochaine pandémie ».

Il y a deux jours à peine, un professionnel de la panique a écrit pour CNN :

« La prochaine menace de pandémie exige que l’on agisse maintenant ! »

D’accord, j’ai ajouté le point d’exclamation, mais il est tout à fait implicite dans le texte original.

Alors, pendant que l’Iran et Israël agitent leurs sabres en première page, j’ai pensé que nous devrions jeter un coup d’œil aux dernières pages, plus calmes, pour voir ce que nous pouvons apprendre et nous aider à prédire comment se déroulera « la prochaine pandémie ».

QU’EST-CE QUE LA « PROCHAINE PANDÉMIE » ?

Je veux dire… j’ai l’impression que c’est assez explicite.

Plus sérieusement, c’est celle qu’ils ont prédite depuis le début de la Covid. Au départ, il s’agissait de la variole du singe — pardon, de MPox1 — mais cela n’a pas fonctionné.

Bien entendu, par « pandémie », nous entendons en réalité « opération psychologique », car la prochaine pandémie ne sera pas plus réelle que la précédente2. D’ailleurs, compte tenu des progrès de la technologie de l’intelligence artificielle, elle pourrait être beaucoup moins réelle la prochaine fois.

Nous ne connaissons pas encore tous les détails, mais il y a suffisamment de détails pour faire quelques suppositions.

QUELLE MALADIE UTILISERONT-ILS ?

C’est probablement la question la plus importante. Nous avons déjà mentionné la variole du singe, mais elle ne semble plus très probable.

Pour l’instant, on parle surtout de la « maladie X » — un terme qui a provoqué une certaine panique dans certains milieux lorsqu’il est apparu pour la première fois — mais il ne s’agit pas d’un gain de fonction top secret d’une super maladie, c’est littéralement un nom bouche-trou.

Il s’agit d’un nom provisoire qui remplit sa fonction, pour l’instant.

Après tout, ils n’ont pas encore besoin d’un nom réel, pas plus qu’ils n’ont besoin d’une maladie réelle, ils ont juste besoin de l’idée d’une maladie à faire passer dans la tête des gens pendant qu’ils élaborent les règles législatives de leur tyrannie basée sur la santé.

En effet, l’imprécision de la « maladie X » est utile, car elle maintient également l’imprécision de la législation.

Cela dit, il est probable qu’ils voudront et/ou devront produire une maladie réelle à un moment ou à un autre.

Le moment venu, il s’agira presque certainement d’une autre maladie respiratoire, parce qu’il est facile de la « falsifier » en utilisant des maladies endémiques préexistantes et leurs symptômes uniformes.

Le principal candidat est la grippe aviaire, qui fait couler beaucoup d’encre depuis deux ans et qui a récemment fait l’objet d’une couverture médiatique plus importante parce qu’elle aurait été transmise à l’homme par les vaches.3

Les Nations unies signalent que les « experts en pandémie » sont « préoccupés par la propagation de la grippe aviaire à l’homme ». Hier encore, Jeremy Farrar, de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a déclaré que « la menace d’une propagation de la grippe aviaire à l’homme est très préoccupante ».

Ce qui a donné lieu à des titres sensationnalistes comme celui-ci, publié par le Daily Star :

« L’OMS s’attend à une nouvelle pandémie, la grippe aviaire interhumaine suscitant de vives inquiétudes. »

La grippe aviaire est un choix commode parce qu’elle leur permet d’imposer leur tyrannie sanitaire et leur transition alimentaire en même temps. Ils peuvent prétendre que les produits laitiers, le bœuf, le poulet et les œufs sont devenus « dangereux », ce qui leur sert d’excuse pour les rationner ou au moins pour imposer la pénurie tout en faisant grimper les prix.4

Ils feront ensuite passer l’idée que le véganisme et/ou la viande cultivée en laboratoire « préviennent les pandémies ». C’est ce qu’ils prétendent depuis au moins 2021.

Le Daily Mail l’a rapporté il y a quelques heures :

« L’Organisation mondiale de la santé met en garde contre la présence de la souche H5N1 de la grippe aviaire dans le lait pour la première fois, à des “concentrations très élevées”. »

L’inconvénient de la grippe aviaire est qu’il est difficile d’intégrer l’angle du changement climatique dans la narration, alors peut-être qu’ils choisiront quelque chose d’autre.

[Voir aussi :
« La grippe aviaire est de retour… alors ne mangez plus de bœuf ! »
et
Le but : vous enlever vos poulets]

QUAND CELA SE PRODUIRA-T-IL ?

Probablement pas avant l’hiver, je dirais janvier 2025 au plus tôt, pour deux raisons :

  1. Ils ont besoin que ce soit la saison de la grippe pour pouvoir intégrer les décès saisonniers normaux dans leur discours sur la « pandémie ».
  2. Je pense qu’ils voudront attendre la fin de la « grande année électorale » pour que de nouveaux gouvernements soient en place.

Ce deuxième point n’est pas une simple intuition, il est basé sur l’article de Sky que j’ai mentionné plus haut. Il pose la question suivante : « Un lockdown se reproduirait-il un jour ? », et un « expert » y répond [souligné par nous] :

« … si un nouveau verrouillage s’avérait nécessaire, le gouvernement conservateur actuel devrait soit minimiser les scandales liés à ses propres violations des règles, soit changer complètement de main pour garder le public à bord. Si nous avions un nouveau gouvernement, les gens seraient beaucoup plus enclins à lui faire confiance, car il serait moins enclin à dire “c’est la même bande qu’avant, pourquoi devrions-nous recommencer ?” »

Ce qui me semble correct.

Cela expliquerait également la série de démissions politiques soudaines — y compris celles des stars de la Covid, Angela Merkel et Jacinda Ardern — qui ont balayé le monde dans le sillage de la Covid. Ils étaient conscients à l’époque, et le sont encore aujourd’hui, que leurs joueurs étaient usés et qu’ils avaient besoin d’une nouvelle équipe avant de revenir pour le match retour.

Donc, d’abord les élections — avec toutes les absurdités que cela implique — puis peut-être la « prochaine pandémie ».

EN QUOI SERA-T-ELLE DIFFÉRENTE DE LA « COVID » ?

Il est peu probable qu’une future opération psychologique de lutte contre une pandémie suive le modèle covidien à la lettre, notamment parce que le récit covidien s’est épuisé avant d’avoir atteint tous ses objectifs.

Il y a fort à parier qu’au cours des quatre années qui ont suivi, des groupes de travail et des chercheurs se sont penchés sur les données relatives à la pandémie afin de comprendre ce qui n’avait pas fonctionné et de trouver une solution pour la prochaine fois.

Il semble y avoir trois thèmes récurrents.

1. Des vaccins plutôt que des blocages

L’accent sera mis sur la sécurisation des vaccins plutôt que sur les blocages. En effet, une partie de l’ensemble de l’argumentation sur les dommages causés par l’enfermement, qui l’aurait cru, consiste à créer une dynamique selon laquelle, « la prochaine fois », nous devrons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour éviter l’enfermement.

Les fermetures deviendront une menace plutôt qu’un fait.

« Nous devons rendre les vaccins obligatoires, car l’économie ne peut pas se permettre un autre blocage. »

« Prenez le vaccin, vous ne voulez pas avoir une autre fermeture, n’est-ce pas ? »

Il y aura donc plus de tests, plus de masques et plus d’obligations vaccinales… et/ou des camps de quarantaine pour les personnes non vaccinées. Et s’il y a des fermetures, elles seront entièrement imputées aux « anti-vax », bien sûr.

2. La vitesse, la vitesse, la vitesse

Le principal défaut de l’histoire de la Covid est qu’elle s’est essoufflée. Lorsque les vaccins ont été mis sur le marché au début de l’année 2021, la fatigue de la pandémie s’était déjà installée. Et lorsque les troisièmes rappels et les quatrièmes vagues ont fait la une des journaux, tout le monde s’en fichait.

Le blitzkrieg de propagande du début de l’année 2020 a sans doute été la plus grande et la plus vaste campagne de désinformation de tous les temps, et son efficacité a été presque écrasante, mais elle a ralenti, stagné, calé et s’est arrêtée.

La prochaine fois, ils savent maintenant qu’ils devront être plus rapides. C’est ce qu’a déclaré Bill Gates lors de la conférence sur la sécurité qui s’est tenue à Munich en 2022. Il faut que la maladie soit éradiquée, que les décès soient évités et que les vaccins soient administrés avant même que les gens ne réalisent ce qui s’est passé.

D’où le plan « Vaccins en 100 jours ». Comme l’écrit Devi Shridar, toujours aussi hystérique et fiable, dans le Guardian :

« La plupart des gouvernements s’efforcent de relever le défi des 100 jours : il s’agit de savoir comment contenir la propagation d’un virus en attendant qu’une réponse scientifique, telle qu’un vaccin, un diagnostic ou un traitement, puisse être approuvée, fabriquée et mise à la disposition du public. »

La « Mission des 100 jours » est une idée de CEPI, l’ONG soutenue par Gates et l’OMS. Son objectif principal est de permettre la production en 100 jours de nouveaux vaccins contre des agents pathogènes inconnus jusqu’alors.

Aux États-Unis, l’objectif est de 130 jours entre la découverte de l’agent pathogène et la couverture vaccinale nationale.

Il va sans dire que de véritables vaccins fiables, « sûrs et efficaces » ne peuvent être produits en 100 jours. Quoi qu’ils fabriquent, vendent et vous obligent à vous injecter dans ce laps de temps, ce ne sera pas un vaccin.

3. La liberté d’expression est dangereuse

La lenteur de l’élaboration du récit post-2020 a peut-être entravé l’agenda de la tyrannie sanitaire, mais ce sont les médias indépendants qui lui ont vraiment porté préjudice. Le réseau improvisé d’experts dissidents, de chercheurs indépendants et de mouvements de médias sociaux a propagé la « désinformation » plus rapidement que les pouvoirs en place ne pouvaient la vérifier.

Depuis lors, les messages sur les dangers de la « désinformation et de la mésinformation » n’ont cessé d’être diffusés, notamment lors du dernier sommet DAVOS au début de l’année, où ils ont été désignés comme l’un des « trois plus grands dangers » auxquels la planète est confrontée.

La semaine dernière, une commission parlementaire britannique a publié des « recommandations » intitulées :

« Le gouvernement doit tirer les leçons de la pandémie pour améliorer la communication et lutter contre la désinformation. »

Il y a quelques jours à peine, Gordon Brown a été cité dans les journaux comme « avertisseur » :

« Les “fake news” compromettent les préparatifs en vue de la prochaine pandémie. »

Ce qui implique fortement qu’ils vont agir pour contrer ces « fake news » avant que la « prochaine pandémie » ne commence.

PRÉDICTION DE WILDCARD : L’angle multipolaire

Quelle que soit la forme que prendra la « prochaine pandémie », elle évitera probablement le message monolithique de 2020, où la conformité mondiale totale au « message » était l’un des signes révélateurs de la tromperie. La prochaine fois, il faut s’attendre à ce que des pays comme l’Inde, la Chine et la Russie élaborent leur propre stratégie de lutte contre la pandémie, en se concentrant sur un nouveau traitement ou une nouvelle technologie que l’Occident refuse d’approuver.

Il n’y a pas encore de sources pour étayer cette affirmation. Ce n’est qu’une intuition.

Qu’est-ce que je prédis officiellement pour la « prochaine pandémie » ?

  1. Il ne sera pas lancé avant les grandes élections de cette année, parce qu’ils veulent de nouveaux visages politiques non ternis par la Covid.
  2. Il s’agira probablement de la grippe aviaire ou d’une autre maladie respiratoire, lancée en hiver pour détourner à nouveau la vraie saison de la grippe.
  3. La maladie choisie s’inscrira dans un ou plusieurs programmes préexistants, soit qu’elle ait un impact sur l’alimentation, soit qu’elle provienne d’un lien forcé avec le « changement climatique », soit les deux.
  4. Ils iront plus vite, produisant des « vaccins » en 100 jours pour empêcher les gens de se rendre compte de la supercherie, comme ils l’ont fait avec la Covid.
  5. Ils essaieront d’éviter les fermetures, mais les utiliseront comme une menace pour appliquer plus rigoureusement les obligations en matière de vaccination.
  6. Ils s’attaqueront plus durement à la « désinformation » avant de lancer le nouveau récit.
  7. La prochaine pandémie aura un angle de multipolarité pour établir un faux binaire.

C’est ainsi que je vois les choses. N’hésitez pas à mettre ce billet dans vos favoris pour vous y référer ultérieurement.

Même si je me trompais dans les détails, il ne fait aucun doute qu’ils prévoient de lancer une nouvelle pandémie dans un avenir proche, une suite covidienne qui tire les leçons des erreurs passées.

Si, à certains égards, elle sera probablement pire que la Covid, la bonne nouvelle est que, cette fois, nous pouvons nous y préparer.





La fin du mythe infectieux — cas de la grippe espagnole

[Source : viroliegy.com]

[Traduction : Jean Bitterlin]

Par Mike Stone

Introduction du traducteur

L’article de Mike Stone s’appuie sur trois documents (sur fond bleu) :

  1. Le document publié en 2010 par la National Library of Medicine (ou Bibliothèque Nationale de Médecine) qui fait partie du NIH (ou National Institut of Health) qui est l’organisme de santé publique aux États-Unis. Cet organisme domine, dans le Monde entier, tout ce qui touche à la médecine (médicaments, vaccins, soins). Le NIH étant lui-même financé pour une large partie par l’industrie pharmaceutique et son personnel étant également issu de l’industrie pharmaceutique, il ne finance évidemment que les projets qui correspondent aux vœux de l’industrie pharmaceutique. C’est ainsi que depuis 40 ans aucune étude n’a été financée pour s’assurer que le « SIDA » n’était pas dû à des problèmes d’hygiène de vie tels que, par exemple, l’addiction aux drogues dures, le NIH préférant financer des recherches sur le « VIH », sur les « médicaments » anti « VIH » et sur le vaccin contre le « VIH ». Comme 40 ans ça commence à être long il y a actuellement de nombreuses tentatives pour relier le « VIH » au « SARS-CoV-2 ». La « science » ne sait plus comment faire pour se dépêtrer avec ses histoires de virus.
    The State of Science, Microbiology, and Vaccines Circa 1918—PMC (nih.gov)
  2. Le document publié le 2 août 1919 par le JAMA (Journal of the American Medical Association) du 2 août 1919 (p. 311 à 313) à une époque où cette « prestigieuse » revue de l’Association des Médecins Américains, association qui existe toujours, était sans doute moins dépendante — et donc plus libre — du financement de l’industrie pharmaceutique.
    (https://zenodo.org/record/1505669/files/article.pdf?download=1)
  3. Le document publié dans le Journal des Maladies Infectieuses en février 1921
    https://scholar.google.com/scholar?cluster=15073126220601141127&hl=en&as_sdt=0,28#d=gs_qabs&u=%23p%3Dh6eO0W-ALtEJ
La fin des mythes infectieux : la boule « vérité » fait tomber les quilles « mythe »

[Voir aussi, du même auteur :
Aveuglés par la pseudo-science
L’invention du « virus Ebola »
Le château de cartes de la théorie des germes]

Les expériences de Rosenau sur la grippe espagnole

Titre : l’épidémie de grippe de 1918.
Titres des articles :
Un décès met en garde contre la grippe
Écoles fermées. Pas de messe dans les églises dimanche.
L’interdiction des funérailles est ordonnée

Voici quelque chose que vous ne verrez jamais dans les médias grand public. Lors de la grippe espagnole de 1918, considérée comme étant due au « virus » le plus contagieux de tous les temps, des chercheurs du service de santé publique et de la marine américaine ont tenté de déterminer les causes de la grippe et son degré de contagiosité réel. Cependant, les résultats de leurs expériences ont prouvé que la grippe n’est pas du tout infectieuse. Voici un bref aperçu de ce qui s’est passé au cours de ces études :

The State of Science, Microbiology, and Vaccines Circa 1918—PMC (nih.gov)

L’état de la science, de la microbiologie et des vaccins vers 1918

Les études épidémiologiques les plus intéressantes menées au cours de la pandémie de 1918-1919 sont sans doute les expériences sur l’homme réalisées par le Service de santé publique et la marine américaine sous la supervision de Milton Rosenau sur Gallops Island, la station de quarantaine du port de Boston, et sur Angel Island, son homologue à San Francisco. L’expérience a débuté avec 100 volontaires de la marine qui n’avaient pas d’antécédents de grippe. Rosenau a été le premier à rendre compte des expériences menées à Gallops Island en novembre et décembre 191869. Ses premiers volontaires ont d’abord reçu une souche, puis plusieurs souches du bacille de Pfeiffer par pulvérisation et écouvillonnage dans le nez et la gorge, puis dans les yeux. Lorsque cette procédure ne produisait pas de maladie, d’autres volontaires étaient inoculés avec des mélanges d’autres organismes isolés de la gorge et du nez de patients atteints de la grippe. Ensuite, certains volontaires ont reçu des injections de sang provenant de patients grippés. Enfin, 13 des volontaires ont été emmenés dans un service de grippe et exposés à 10 patients grippés chacun. Chaque volontaire devait serrer la main de chaque patient, lui parler de près et lui permettre de tousser directement dans son visage. Aucun des volontaires ayant participé à ces expériences n’a contracté la grippe. Rosenau était manifestement perplexe, et il a mis en garde contre le fait de tirer des conclusions à partir de résultats négatifs. Il a terminé son article dans le JAMA par une reconnaissance éloquente : “Nous sommes entrés dans l’épidémie avec l’idée que nous connaissions la cause de la maladie : « Nous sommes entrés dans l’épidémie avec l’idée que nous connaissions la cause de la maladie et que nous étions tout à fait sûrs de savoir comment elle se transmettait d’une personne à l’autre. Si nous avons appris quelque chose, c’est peut-être que nous ne sommes pas tout à fait sûrs de ce que nous savons sur la maladie. » 69 (p.313)

Les recherches menées à Angel Island et poursuivies au début de 1919 à Boston ont élargi cette recherche en inoculant le streptocoque de Mathers et en incluant la recherche d’agents filtrants, mais elles ont donné des résultats négatifs similaires 7072. Il semblait que ce qui était reconnu comme l’une des maladies transmissibles les plus contagieuses ne pouvait pas être transmise dans des conditions expérimentales ».

Les études menées sur les îles Gallops et Angel, sur des côtes distinctes et à des moments différents, ont montré que, quels que soient les efforts déployés par les chercheurs, ils n’ont pas pu transmettre la grippe espagnole « mortelle » d’un être humain malade à un être humain sain. Ils se sont efforcés d’infecter les volontaires de différentes manières et ont tenté de prendre en compte tous les facteurs susceptibles d’interférer avec la transmission. Hélas, ils n’ont pas réussi à transmettre le « virus » dans tous les cas.

Pour un examen plus approfondi de ce qui s’est passé sur l’île de Gallops, je vous propose le rapport complet de Milton Rosenau avec un résumé à la fin :

Milton Rosenau

EXPÉRIENCES VISANT À DÉTERMINER LE MODE DE PROPAGATION DE LA GRIPPE MILTON J. ROSENAU, M.D. BOSTON

Les expériences décrites ici ont été réalisées sur une île du port de Boston, sur des volontaires de la marine. Les travaux ont été menés par un groupe d’officiers dédiés à cette tâche, issus de l’US Navy et des Services de Santé Publique des États-Unis, parmi lesquels G. W. McCoy, directeur de la bibliothèque hygiénique, le Dr Joseph Goldberger, le Dr Leake et le Dr Lake, tous du Service de santé publique des États-Unis ; et coopérant avec ces médecins, un groupe également détaché à cette fin par la marine américaine, composé du Dr J. J. Keegan, du Dr De Wayne Richey et de moi-même.

Le travail lui-même s’est déroulé sur l’île de Gallops Island, qui est la station de quarantaine du port de Boston et qui est particulièrement bien adaptée à ce genre d’opérations, car elle permet d’isoler, d’observer et d’entretenir le grand groupe de volontaires et le personnel nécessaire pour s’occuper d’eux.

Les volontaires étaient tous de l’âge le plus sensible, la plupart entre 18 et 25 ans, quelques-uns seulement autour de 30 ans ; et tous étaient en bonne condition physique. Aucun de ces volontaires, 100 au total, n’avait eu la « grippe » ; c’est-à-dire que, d’après les antécédents les plus minutieux que nous avons pu obtenir, ils n’ont fait état d’aucune attaque fébrile de quelque sorte que ce soit au cours de l’hiver, à l’exception de quelques-uns qui ont été sélectionnés à dessein, comme ayant présenté une attaque typique de grippe, afin de tester les questions d’immunité et à des fins de contrôle.

Nous avons d’abord procédé assez prudemment en administrant une culture pure de bacille de la grippe, le bacille de Pfeiffer, en quantité plutôt modérée, dans les narines de quelques-uns de ces volontaires. Je ne m’arrêterai pas à ces premières expériences, mais je passerai tout de suite à ce que j’appellerai notre expérience 1.

Les expériences sur l’île Gallops island

Les essais préliminaires s’étant révélés négatifs, nous sommes devenus plus audacieux et, sélectionnant dix-neuf volontaires, nous avons administré à chacun d’eux une très grande quantité d’un mélange de treize souches différentes du bacille de Pfeiffer, dont certaines avaient été prélevées récemment sur des poumons lors d’une autopsie ; d’autres étaient des sous-cultures plus ou moins anciennes, et chacune des treize souches avait, bien entendu, des antécédents différents. Des suspensions de ces organismes ont été pulvérisées à l’aide d’un vaporisateur dans le nez et dans les yeux, puis dans la gorge, pendant que les volontaires inspiraient. Nous avons utilisé quelques milliards de ces organismes, selon nos estimations, sur chacun des volontaires, mais aucun d’entre eux n’est tombé malade.

Ensuite, nous avons procédé au transfert du virus obtenu à partir des cas de la maladie, c’est-à-dire que nous avons recueilli le matériel et les sécrétions muqueuses de la bouche, du nez, de la gorge et des bronches des cas de la maladie et nous l’avons transféré à nos volontaires. Nous avons toujours obtenu ce matériel de la même manière : Le patient fiévreux, alité, dispose d’un grand plateau peu profond devant lui, et nous avons lavé une narine avec une solution saline stérile, à raison d’environ 5 cm3, qu’on laisse couler dans le plateau ; cette narine est ensuite vigoureusement soufflée dans le plateau. On répète l’opération avec l’autre narine. Le patient se gargarise ensuite avec un peu de cette solution. Ensuite, nous obtenons un peu de mucus bronchique en les faisant tousser, puis nous tamponnons la surface muqueuse de chaque narine ainsi que la muqueuse de la gorge. Nous plaçons ces écouvillons avec le matériel dans un flacon avec des billes de verre, et nous ajoutons tout le matériel obtenu dans le plateau. C’est ce matériel que nous transférons à nos volontaires. Dans cette expérience particulière, pour laquelle nous avons utilisé dix volontaires, chacun d’entre eux a reçu une quantité relativement faible de ce produit, environ 1 cm3 vaporisé dans chaque narine et dans la gorge, en les faisant inspirer, et sur l’œil. Aucun d’entre eux n’a été malade. Une partie de la même substance a été filtrée et instillée à d’autres volontaires, mais n’a produit aucun résultat.

Je tiens à préciser que les donneurs étaient tous des patients atteints de la grippe dans les hôpitaux de Boston, parfois à l’hôpital naval américain de Chelsea, parfois à l’hôpital Peter Bent Brigham, où nous avions accès à des cas appropriés. Nous avons toujours gardé à l’esprit le fait que nous n’avons pas de critère pour la grippe ; c’est pourquoi je voudrais insister sur le fait que nous n’avons jamais pris un cas isolé de fièvre, mais que nous avons sélectionné nos donneurs à partir d’un foyer distinct ou d’une épidémie de la maladie, parfois une épidémie dans une école avec 100 cas, parmi lesquels nous sélectionnions quatre ou cinq cas typiques, afin d’éviter les erreurs dans le diagnostic de la grippe.

Pensant que peut-être l’impossibilité de reproduire la maladie dans les expériences était due au fait que nous avons obtenu le matériel dans des hôpitaux de Boston pour l’amener dans la baie pour l’île de Gallops, ce qui pouvait durer quatre heures avant que nos volontaires ne soient infectés par le matériel et croyant que le virus était peut-être très fragile et qu’il ne pourrait pas supporter cette exposition, nous avons planifié une autre expérience dans laquelle nous avons obtenu une grande quantité de matériel et, grâce à des arrangements spéciaux, nous l’avons transporté en urgence jusqu’à l’île de Gallops, de sorte que l’intervalle entre le prélèvement du matériel auprès des donneurs et sa distribution à nos volontaires n’était que d’une heure et quarante minutes, en tout et pour tout. Chacun des volontaires de cette expérience, au nombre de dix, a reçu 6 cm3 de la substance mélangée que j’ai décrite. Ils l’ont reçu dans chaque narine, dans la gorge et sur l’œil ; et quand vous pensez que 6 cm3 en tout ont été utilisés, vous comprendrez qu’une partie a été avalée. Aucun d’entre eux n’a été malade.

Puis, pensant que ce n’était peut-être pas seulement le temps qui était la cause de nos échecs, mais aussi la solution saline — car il est possible que la solution saline soit défavorable au virus — nous avons planifié une autre expérience pour éliminer à la fois le facteur temps et la solution saline, ainsi que toutes les autres influences extérieures. Dans cette expérience, nous avions de petits cotons-tiges et nous avons transféré le matériel directement de nez à nez et de gorge à gorge, en utilisant un tube West pour la culture de la gorge, afin d’obtenir le matériel non seulement des amygdales, mais aussi du nasopharynx postérieur.

Nous avons utilisé dix-neuf volontaires pour cette expérience, et ce pendant la période de l’épidémie, alors que nous avions le choix entre de nombreux donneurs. Quelques-uns des donneurs étaient au premier jour de la maladie. D’autres étaient au deuxième ou au troisième jour de la maladie. Aucun de ces volontaires qui ont reçu le matériel transféré directement des cas n’a été malade. Quand je dis qu’aucun d’entre eux n’a été malade, je veux dire qu’après avoir reçu le matériel, ils ont été isolés sur l’île Gallops. Leur température était prise trois fois par jour et soigneusement examinée, bien sûr, et sous surveillance médicale constante, ils ont été gardés pendant une semaine entière avant d’être relâchés, et peut-être utilisés à nouveau pour une autre expérience. Tous les volontaires ont reçu au moins deux, et certains trois « piqûres », comme ils l’ont dit.

L’expérience suivante consistait en des injections de sang. Nous avons pris cinq donneurs, cinq cas de grippe au stade fébrile, certains d’entre eux encore au début de la maladie. Nous avons prélevé 20 cm3 de la veine du bras de chacun d’eux, soit un total de 100 cm3, qui ont été mélangés et traités avec une solution à 1 % de citrate de sodium. Dix cm3 du sang total citraté ont été injectés à chacun des dix volontaires. Aucun d’entre eux n’a été malade. Nous avons ensuite recueilli une grande quantité de mucus des voies respiratoires supérieures et l’avons filtré à l’aide de filtres Mandler. Alors que ces filtres retiennent les bactéries de taille normale, ils laissent passer les organismes « ultramicroscopiques ». Ce filtrat a été injecté à dix volontaires, chacun recevant 3,5 cm3 par voie sous-cutanée, et aucun d’entre eux n’est tombé malade.

L’expérience suivante a été conçue pour imiter la manière naturelle dont la grippe se propage, du moins la manière dont nous pensons que la grippe se propage, et je n’ai aucun doute sur le fait qu’elle se propage — par contact humain. Cette expérience consistait à amener dix de nos volontaires de Gallops Island à l’hôpital naval américain de Chelsea, dans un service de trente lits, tous remplis de malades atteints de la grippe.

Nous avions préalablement sélectionné dix de ces patients pour être les donneurs ; et maintenant, si vous voulez bien me suivre avec l’un de nos volontaires dans cette salle, et vous rappeler que les neuf autres faisaient la même chose au même moment, nous aurons une idée de ce qui s’est passé au cours de cette expérience :

Le volontaire est conduit au chevet du patient, il est présenté. Il s’est assis à côté du lit du patient. Ils se sont serré la main et, conformément aux instructions, il s’est approché le plus près possible et ils ont parlé pendant cinq minutes. À la fin des cinq minutes, le patient a expiré aussi fort qu’il le pouvait, tandis que le volontaire, une bouche en face de l’autre (conformément à ses instructions, environ 5 cm entre les deux), recevait ce souffle expiré, et en même temps inspirait au fur et à mesure que le patient expirait. Ils ont répété cette opération cinq fois et l’ont fait assez fidèlement dans presque tous les cas.

Après avoir fait cela cinq fois, le patient a toussé directement dans le visage du volontaire, face à face, par cinq fois.

Je dois dire que les volontaires ont parfaitement réussi à mettre en œuvre la technique de ces expériences. Ils l’ont fait avec un grand idéalisme. Ils étaient inspirés par l’idée qu’ils pourraient aider les autres. Ils ont suivi le programme dans un esprit splendide. Après que notre volontaire ait eu ce type de contact avec le patient, en lui parlant, en bavardant et en lui serrant la main pendant cinq minutes, et en recevant son souffle cinq fois, puis sa toux cinq fois directement sur son visage, il est passé au patient suivant que nous avions sélectionné, et a répété cela, et ainsi de suite, jusqu’à ce que ce volontaire ait eu ce type de contact avec dix cas différents de grippe, à différents stades de la maladie, principalement des cas récents, aucun d’entre eux n’ayant plus de trois jours de maladie.

Rappelons que chacun des dix volontaires a eu ce type de contact intime avec chacun des dix patients grippés. Ils ont été surveillés de près pendant sept jours et aucun d’entre eux n’est tombé malade.

Les expériences à Portsmouth

À ce moment-là, les vacances sont arrivées, notre personnel était épuisé et nous avons temporairement suspendu notre travail. En fait, nous nous sentions plutôt surpris et quelque peu perplexes, et nous ne savions pas trop quelle direction prendre, et nous avons pensé qu’il valait mieux prendre un peu de temps pour respirer et se reposer.

En février, nous avons entamé une autre série d’expériences qui s’est poursuivie jusqu’en mars, toujours avec cinquante volontaires soigneusement sélectionnés au camp d’entraînement naval de Deer Island. Je ne détaillerai pas ces expériences. Cela prendrait trop de temps. Elles ont été simplement conçues et le programme a été soigneusement planifié, mais la façon dont les choses se sont déroulées est devenue très confuse et perplexe. Je donnerai deux exemples pour expliquer ce que je veux dire, et je les donne parce qu’ils sont extrêmement instructifs et très intéressants.

En février et mars, l’épidémie était en déclin. Nous avons eu du mal à trouver des donneurs. Nous n’étions pas sûrs de notre diagnostic, n’ayant aucun critère de grippe. Nous avons donc eu beaucoup de chance lorsque nous avons appris qu’une épidémie se déclarait à la prison navale de Portsmouth, à quelques heures seulement au nord de Boston. Nous avons immédiatement chargé deux automobiles avec nos volontaires et nous nous sommes précipités à Portsmouth, où nous avons répété beaucoup de choses que j’ai décrites dans notre première série d’expériences. À Portsmouth, nous avons soigneusement fait notre sélection à partir d’un grand nombre de cas, choisissant des cas typiques pour les donneurs et transmettant le matériel directement à nos volontaires. En l’espace de trente-six heures environ, la moitié de ceux que nous avons exposés ont contracté de la fièvre et des maux de gorge, les streptocoques hémolytiques étant présents et sans aucun doute l’agent causal. Tous les cliniciens qui ont vu ces cas en consultation ont convenu avec nous qu’il s’agissait de cas ordinaires de maux de gorge.

Autre incident : L’un de nos officiers, le Dr. L., qui avait été en contact étroit avec la maladie depuis le début du mois d’octobre, a prélevé du matériel sur six hommes en bonne santé au chantier naval de Portsmouth, dont on pensait qu’ils se trouvaient dans la période d’incubation de la maladie — nousessayions d’obtenir du matériel le plus tôt possible, car tout semble indiquer que l’infection est transmissible à un stade précoce de la maladie. Aucun des six hommes n’a contracté la grippe, mais le Dr L. a été atteint en trente-six heures d’une crise clinique de grippe, alors qu’il en avait échappé tout le reste de l’épidémie.

Conclusion

Je pense qu’il faut être très prudent et ne pas tirer de conclusions positives de résultats négatifs de ce type. De nombreux facteurs doivent être pris en considération. Nos volontaires n’étaient peut-être pas sensibles. Ils étaient peut-être immunisés. Ils ont été exposés comme toutes les autres personnes à la maladie, bien qu’ils n’aient pas donné d’antécédents cliniques d’attaque.

Le Dr McCoy, qui, avec le Dr Richey, a réalisé une série d’expériences similaires sur l’île de Goat, à San Francisco, en utilisant des volontaires qui, pour autant qu’on le sache, n’avaient pas été exposés à l’épidémie, a également obtenu des résultats négatifs, c’est-à-dire qu’il ne leur a pas été possible de reproduire la maladie. Il y a peut-être des facteurs, ou un facteur, dans la transmission de la grippe que nous ne connaissons pas.

En fait, nous avons abordé l’épidémie avec l’idée que nous connaissions la cause de la maladie et que nous étions tout à fait sûrs de savoir comment elle se transmettait d’une personne à l’autre. Si nous avons appris quelque chose, c’est peut-être que nous ne sommes pas tout à fait sûrs de ce que nous savons sur la maladie. »

https://zenodo.org/record/1505669/files/article.pdf?download=1

ViroLIEgy1 101 : Prenez les mêmes symptômes d’une maladie et donnez-leur un nouveau nom.

Traduction d’extraits de l’article ci-dessus2 :
Titre : Grippe espagnole… Un nouveau nom pour une vieille maladie familière.
Il s’agit tout simplement de la même emprise qui a balayé le monde à maintes reprises.
La dernière épidémie aux États-Unis remonte à 1889-90.
Un des paragraphes : Il n’y a pas lieu de paniquer.
Il n’y a pas lieu de paniquer : l’influenza ou grippe a un très faible pourcentage de décès — pas plus d’un décès sur 400, selon le Conseil de la Santé de Caroline du Nord. Le principal danger réside dans les complications qui s’attaquent principalement aux patients en état dégradé — ceux qui ne se couchent pas assez tôt ou ceux qui se lèvent trop tôt.

En résumé :

  • Aucun de ces volontaires, 100 au total, n’avait la « grippe », à l’exception de quelques-uns qui avaient été sélectionnés à dessein pour tester les questions d’immunité et à des fins de contrôle.
  • Des expériences préliminaires utilisant une culture pure du bacille de Pfeiffer, pulvérisée en quantité modérée dans les narines de quelques volontaires, n’ont pas donné de résultats.
  • Dix-neuf volontaires ont reçu une très grande quantité d’un mélange de treize souches différentes du bacille de Pfeiffer.
  • Des suspensions de ces organismes ont été pulvérisées à l’aide d’un atomiseur dans le nez et dans les yeux, puis dans la gorge, pendant que les volontaires inspiraient.
  • Selon leurs estimations, ils ont utilisé quelques milliards de ces organismes sur chacun des volontaires, mais aucun d’entre eux n’est tombé malade
  • Ils ont recueilli le matériel et les sécrétions muqueuses de la bouche, du nez, de la gorge et des bronches de personnes atteintes de la maladie et les ont transférés à des volontaires.
  • Dans cette expérience particulière avec dix volontaires, chacun a reçu une quantité relativement faible de sécrétions de mucus, environ 1 cm3 pulvérisé dans chaque narine et dans la gorge, en inspirant, et sur l’œil.
  • Aucun de ces dix volontaires n’est tombé malade et une partie de la même substance a été filtrée et instillée à d’autres volontaires, mais n’a produit aucun résultat
  • Ils ne disposaient d’aucun critère de grippe, mais sélectionnaient des donneurs dans un foyer distinct ou une épidémie de la maladie, parfois une épidémie dans une école avec 100 cas, parmi lesquels ils choisissaient quatre ou cinq cas typiques afin d’éviter les erreurs de diagnostic de la grippe.
  • Craignant que le délai de 4 heures entre le prélèvement et l’utilisation des échantillons n’ait interféré avec la transmission, les échantillons ont été prélevés et utilisés dans un délai d’une heure et demie.
  • Chacun des 10 volontaires de cette expérience a reçu 6 cm3 de la substance mélangée décrite précédemment
  • Ils l’ont reçu dans chaque narine, dans la gorge et en ont avalé une partie, mais aucun d’entre eux n’est tombé malade.
  • Craignant [que le problème ne vienne de] la solution saline dans le mélange suivant, ils l’ont éliminée comme variable ainsi que toutes les autres influences extérieures.
  • Lors de l’expérience suivante, ils ont utilisé de petits cotons-tiges au bout de bâtonnets et ont transféré le matériel directement de nez à nez et de gorge à gorge, en utilisant un tube West pour la culture de la gorge, afin d’obtenir le matériel non seulement des amygdales, mais aussi du nasopharynx postérieur.
  • Dix-neuf volontaires ont été utilisés et aucun n’est tombé malade.

Lorsque Rosenau dit qu’aucun n’est tombé malade, il le précise soigneusement :

  • Après avoir reçu le matériel, les volontaires ont été isolés sur l’île de Gallops
  • Leur température a été prise trois fois par jour et ils ont été soigneusement examinés.
  • Ils ont fait l’objet d’une surveillance médicale constante et ont été gardés pendant une semaine entière avant d’être relâchés.
  • Certains ont été réutilisés pour d’autres expériences.
  • Tous les volontaires ont reçu au moins deux, et certains trois piqûres, comme ils l’ont dit.
  • L’expérience suivante a consisté en des injections de sang
  • Ils ont pris cinq donneurs, cinq cas de grippe à un stade précoce de la maladie, et ont prélevé 20 cm3 de la veine du bras de chacun d’entre eux, soit un total de 100 cm3, qui ont été mélangés et traités avec 1 pour cent de citrate de sodium.
  • Dix cm3 du sang total citraté ont été injectés à chacun des dix volontaires et aucun d’entre eux n’est tombé malade.
  • Du mucus provenant des voies respiratoires supérieures a été recueilli et filtré.
  • Ce filtrat a été injecté à dix volontaires, chacun recevant 3,5 cm3 par voie sous-cutanée, et aucun des volontaires n’a été malade.
  • L’expérience suivante visait à imiter la manière naturelle dont la grippe se propage par contact humain.
  • Voici le processus décrit par Rosenau :

    1. Le volontaire a été conduit au chevet du patient
    2. Il a été présenté et s’est assis à côté du lit du patient.
    3. Ils se sont serré la main et, conformément aux instructions, il s’est approché le plus près possible du patient et ils ont parlé pendant cinq minutes.
    4. À la fin des cinq minutes, le patient a expiré aussi fort qu’il le pouvait, tandis que le volontaire, une bouche en face de l’autre (conformément à ses instructions, environ 5 cm entre les deux), recevait ce souffle expiré et inspirait en même temps que le patient expirait.
    5. Ils ont répété cette opération cinq fois, et l’ont fait assez fidèlement dans presque tous les cas.
    6. Après avoir fait cela cinq fois, le patient a toussé directement dans le visage du volontaire, face à face, cinq fois différentes.
    7. Le volontaire a ensuite rencontré neuf autres patients à différents stades de la maladie et le processus décrit ci-dessus a été répété dans son intégralité avec chacun d’entre eux.

  • Les dix volontaires qui ont passé du temps avec les dix patients ont été surveillés de près pendant sept jours — et aucun d’entre eux n’est tombé malade de quelque manière que ce soit.
  • Après avoir entrepris les diverses expériences décrites ci-dessus et les résultats négatifs obtenus, Rosenau admet qu’il s’est senti plutôt surpris et quelque peu perplexe, et qu’il n’était pas sûr de la prochaine voie à suivre.
  • Lors d’autres expériences, environ trente-six heures après l’inoculation, la moitié des personnes exposées ont eu de la fièvre et des maux de gorge, avec la présence de streptocoques hémolytiques, qui ont été considérés sans aucun doute comme l’agent causal.
  • Tous les cliniciens qui ont vu ces cas en consultation ont convenu avec les chercheurs qu’il s’agissait de cas ordinaires de maux de gorge.
  • Un des médecins, qui avait prélevé du matériel sur six hommes en bonne santé censés être aux premiers stades de la grippe, est lui-même tombé malade de la grippe alors que les six hommes sont restés en bonne santé.
  • Le Dr McCoy, qui, avec le Dr Richey, a mené une série d’expériences similaires sur l’île de Goat, à San Francisco, a utilisé des volontaires qui n’avaient pas du tout été exposés à l’épidémie ; il a également obtenu des résultats négatifs et n’a pas été en mesure de reproduire la maladie.
  • La conclusion finale de Rosenau :

« En fait, nous sommes entrés dans l’épidémie avec l’idée que nous connaissions la cause de la maladie et que nous étions tout à fait sûrs de savoir comment elle se transmettait d’une personne à l’autre. Si nous avons appris quelque chose, c’est peut-être que nous ne sommes pas tout à fait sûrs de ce que nous savons sur la maladie. »

Les expériences de Rosenau ne sont que l’une des nombreuses tentatives de transmission d’un « virus » à l’homme qui ont échoué, que ce soit de manière « naturelle » ou expérimentale. Comme indiqué précédemment, d’autres expériences ont été menées sur la côte ouest, à Angel Island, et ont également donné des résultats négatifs. De nombreuses autres études menées au début du XXe siècle ont abouti aux mêmes conclusions. L’une d’entre elles est décrite dans ce résumé d’une étude datant de 1921 :

https://scholar.google.com/scholar?cluster=15073126220601141127&hl=en&as_sdt=0,28#d=gs_qabs&u=%23p%3Dh6eO0W-ALtEJ

Études sur la grippe III. Tentatives de culture de virus filtrables à partir de cas de grippe et de rhume

Sara E Branham, Ivan C Hall – Journal des Maladies Infectieuses, p. 143-149, 1921

« Ces expériences n’apportent aucune preuve à l’appui de la théorie selon laquelle la cause du rhume ou de la grippe est un virus filtrable. En essayant de cultiver des virus filtrables à partir des sécrétions nasopharyngées dans les cas de rhume et de grippe, on n’a pas trouvé de corps dans les “cultures” qui n’auraient pas été trouvés dans celles de personnes normales, dans les contrôles de tous les milieux simples examinés et sur les lames vierges3. Il est reconnu que des expériences négatives, limitées à la tentative de culture d’un virus filtrable, et n’incluant aucune tentative de reproduction de la maladie chez les animaux, n’offrent pas de preuve concluante qu’un tel virus n’est pas impliqué. Aucune conclusion ne peut être tirée en ce qui concerne la grippe, en raison du petit nombre de cas examinés et du fait que les échantillons n’ont pas été prélevés pendant les premiers stades de la maladie. Cependant, les résultats uniformément négatifs obtenus avec un nombre important et représentatif de rhumes ne sont pas sans signification ».

Il existe de nombreuses preuves à l’encontre du mythe de la contagiosité. Les chercheurs ont essayé à plusieurs reprises de transmettre des « virus » invisibles d’homme à homme, sans succès. C’est parce que ces premières expériences ont échoué, niant le mythe de la transmission de maladies d’homme à homme, que ces types d’études sur des sujets humains ont été jugés contraires à l’éthique et ont finalement été interrompus. Au lieu de cela, la preuve de l’existence de « virus » a été apportée par des maladies créées expérimentalement par des injections non naturelles de tissus animaux broyés et mélangés à des produits chimiques/additifs toxiques dans le cerveau, les yeux, le nez, la gorge, les veines, etc. d’autres animaux. Comme la virologie ne permettait pas de démontrer la transmission de maladies d’homme à homme, ils ont décidé de tromper les crédules et les ignorants en créant des maladies expérimentales par la torture d’animaux. Manifestement la voie bien plus « éthique ».

Traduction Jean Bitterlin 21 avril 2024


1 NdT : ViroLIEgy est le titre du site de Mike Stone, LIE signifie « mensonge » en anglais, il a donc détourné le mot « virologie » pour en faire la « science du mensonge

2 NdT : date de l’article inconnue mais date vraisemblablement de l’année 1918 ou 1919

3 NdT : il s’agit des lames utilisées en microscopie




Censure France — le cauchemar d’Orwell en passe de devenir réalité

[Source : crashdebug.fr]

Si nous ne faisons rien, toutes les opinions alternatives seront bannies en France.

Signez d’urgence la pétition !


Madame, Monsieur,

Notre pays est en train de rompre avec près de 80 ans de libertés d’expression en instaurant un véritable Ministère de la Censure.

Avec sa nouvelle agence VIGINUM, l’État est en train de développer à grande vitesse une effrayante machine de censure et de surveillance des citoyens.

Si nous ne faisons rien, les analystes et médias indépendants seront bientôt totalement empêchés de VOUS informer sur les sujets sensibles.

Et vous, en tant que citoyen curieux, vous serez systématiquement fichés pour les opinions « incorrectes » que vous exprimerez sur les réseaux, y compris sous pseudonyme et pire encore, vous serez associés aux opinions de vos proches, contacts ou simplement ceux avec qui vous discutez en ligne !

Vous doutez de l’innocuité d’un vaccin ? Fiché !

Vous vous interrogez sur la corruption des grands lobbies ? Fiché !

Vous avez un avis « différent » sur les gilets jaunes, la révolte des agriculteurs ou la guerre ukrainienne ? Fiché !

Et votre vie pourra alors BASCULER.

Ceci n’est pas une exagération, et je vais vous le démontrer dans une seconde.

Je m’appelle Guy de la Fortelle, je suis analyste indépendant et cofondateur du média Tocsin, avec la journaliste Clémence Houdiakova.

Je lance aujourd’hui un appel urgent à tous ceux qui veulent défendre la liberté d’expression.

Je vous demande de signer notre grande pétition pour dire NON au Ministère de la Censure en France.

Car si vous jetez un œil à l’actualité de la liberté d’expression, vous voyez que tous les signaux sont au rouge écarlate :

  • Le 14 février dernier, l’Assemblée nationale a rétabli l’article 4 liberticide de la « loi sur les dérives sectaires » (Olivier Véran lui-même l’a reconnu en traitant le Pr Raoult de « gourou qui porte la blouse comme Raël porte la tunique » : l’objectif est bien de punir les « opinions dissidentes en médecine ») ;
  • La veille, le 13 février, le Conseil d’État a sommé l’Arcom, l’Autorité qui régule radios et télévisions en France, de mieux contrôler l’orientation idéologique de CNews — comme si c’était le rôle de l’État de décider quelles idées sont dignes d’être « vues à la TV » !
  • En ce moment, aussi, sont réunis les « états généraux de l’information » voulus par Emmanuel Macron. L’un de ses objectifs est de mettre au pas les réseaux sociaux contre les soi-disant « fake news ». Et savez-vous à qui E. Macron a confié la direction de ces états généraux ? Au secrétaire général de Reporter Sans Frontières, l’homme qui a cherché à censurer CNews !
  • Et le 17 février dernier est entré en vigueur le DSA, le Digital Service Act, une loi européenne voulue par Thierry Breton pour mieux censurer sur les réseaux sociaux, et en particulier Twitter (X), qui persiste à promouvoir la liberté d’expression sur sa plateforme.

Mais il y a encore pire.

Le plus inquiétant, c’est ce que vient daccomplir lagence d’état Viginum, bras armé du nouveau Ministère de la Censure.

Le 12 février dernier, Viginum a publié un rapport qui a permis au gouvernement de fermer immédiatement une vingtaine de chaînes d’informations sur Telegram.

Ce qui était reproché à ces chaînes, c’était de diffuser des informations pro-russes sur la guerre en Ukraine. 

Selon le rapport, ces chaînes Telegram posaient problème, car elles « présentent positivement l’invasion russe aux populations occidentales » et « dénigrent l’Ukraine et ses dirigeants, régulièrement présentés comme “corrompus”, “nazis” ou “incompétents”.

Officiellement, l’objectif est de lutter contre “l’ingérence étrangère” sur l’information.

Mais cela fait penser aux méthodes du parti communiste chinois, qui empêche ses citoyens d’accéder aux informations occidentales sur Internet.

Dans une vraie démocratie, n’est-ce pas au citoyen libre de se faire sa propre opinion, à partir de toutes les sources d’information possible ?

D’ailleurs, sur le conflit en Ukraine, qui a désinformé qui ?

  • N’est-ce pas plutôt le ministre qui disait que les sanctions allaient “mettre à genoux l’économie russe” ?
  • Ou certains généraux de plateaux TV, qui nous assuraient que l’armée russe était tellement arriérée qu’elle était obligée de récupérer des puces électroniques sur des frigo ?
  • Ou encore ceux qui garantissaient que la contre-offensive allait permettre à l’Ukraine de récupérer triomphalement la Crimée ?

Ce qui est visé par Viginum, ce n’est pas tant l’ingérence étrangère que notre accès à “un autre son de cloche” sur l’information !

La preuve : les chaînes Telegram pro-russes n’ont pas été fermées à cause du seul conflit en Ukraine. Ce qui est leur est reproché, c’est aussi de contester le “narratif officiel” sur tous les sujets.

C’est écrit noir sur blanc dans le rapport de Viginum :

“Ces chaînes publient également sur dautres thématiques proches des sphères complotistes francophones qui tendent à remettre en cause la parole politique, les médias ou encore les différentes décisions prises au sein des organisations internationales comme lOTAN, lONU ou lUE par exemple”

Donc, que ces chaînes soient ou non financées par le Kremlin est accessoire pour Viginum et le système de censure gouvernemental.

Sous prétexte de supposée “ingérence étrangère”, le pouvoir cherche manifestement à faire taire les opinions qui le dérangent.

Et pour cela, l’État français dispose désormais d’une arme redoutable à sa disposition, avec l’Agence Viginum.

Cette “arme de guerre” a été créée en 2021 par le gouvernement Emmanuel Macron, par simple décret, sans même passer par le Parlement.

La CNIL avait alors exprimé de lourdes craintes, car l’agence s’est vu octroyer le droit, via la surveillance des réseaux sociaux, d’obtenir une fiche précise de vos opinions en croisant tout ce que vous dites sur Facebook, Twitter (X), YouTube, etc., et de communiquer tout cela à d’autres services de l’État.

Vous avez “aimé” l’opinion d’un opposant au président Macron ? Viginum le sait.

Un petit pouce bleu pour soutenir le professeur Raoult ? Viginum le sait.

L’agence peut faire le compte de vos “mauvaises opinions”.

Et conduire à vous faire censurer.

Ce sera pire encore si elle vous considère comme quelqu’un de trop “influent”. Qui sait, dans ce cas-là, si vous n’aurez pas le droit à la “totale” ? (contrôle fiscal, fermeture de votre compte bancaire, poursuites judiciaires, etc..)

Viginum est un véritable cauchemar pour nos libertés.

Mais pourquoi cette agence n’a pas fait parler d’elle avant, alors qu’elle a été créée il y a deux ans ?

La raison est qu’elle était dirigée jusqu’à l’été dernier par un haut fonctionnaire apparemment intègre, Gabriel Ferriol.

Problème : il n’était pas suffisamment agressif contre certains mouvements d’idées, alors il a été viré.

C’est écrit noir sur blanc dans la Lettre A, et cela fait froid dans le dos :

“Sa relecture en profondeur des notes d’analyse produites par le service et les modifications apportées jusqu’à en dénaturer le fond — notamment en minimisant l’influence de mouvances d’extrême droite complotiste — ont progressivement créé un malaise” (Lettre A)

Maintenant qu’il est parti, nous pouvons craindre le pire, et c’est pourquoi je vous demande de signer d’urgence notre grande pétition :

JE SIGNE LA PÉTITION CONTRE LA SURVEILLANCE GÉNÉRALISÉE :

NON AU MINISTÈRE DE LA CENSURE

La censure d’une vingtaine de chaînes Telegram n’est que le début.

Avec les pouvoirs dont dispose Viginum, tout est désormais possible contre les opinions divergentes de l’idéologie dominante.

Je vous donne quelques exemples :

  • Si le mouvement des agriculteurs dégénère, on pourra dire que la déstabilisation vient de Russie ou de Chine pour mieux organiser une censure de masse ;
  • Même chose avec des informations critiques sur l’état réel de nos banques ou les risques pesant sur nos assurances vie (saviez-vous qu’en 2023, les Français avaient retiré 27 milliards de ce placement ?). Pourquoi ne pas censurer les informations sur ces sujets, dès lors que “l’intérêt national supérieur” est en jeu ?
  • Même problème avec le sujet très sensible de l’immigration : saviez-vous que l’ancien patron de Frontex, un haut fonctionnaire français passé par l’ENA, a déclaré, je cite, “La Commission européenne voit l’immigration illégale comme un projet et non pas comme un problème”. À quand la censure de ce propos sur toutes les plateformes, au motif qu’il ferait “le jeu des mouvances complotistes ou d’extrême droite” ?

“Qui veut tuer son chien l’accuse d’avoir la rage” disait l’adage.

Aujourd’hui, si vous êtes critique vis-à-vis des vaccins Covid, si vous avez un doute sur le narratif climatique, ou si vous êtes contre le wokisme à l’école, vous êtes forcément d’extrême droite ou complotiste, et donc forcément coupable de désinformation.

Je n’exagère pas. Quand France Inter demande à un Prof de Sciences-Po de définir la désinformation, voici sa réponse : 

“Vous avez de la droite identitaire, de la droite nationale-populiste, de la ‘réinformation’. Tout cela constitue un réseau : Papacito, TV Libertés, Réinformation TV, Thierry Casasnovas, Silvano Trotta, etc.”

Et puisque ces opinions sont qualifiées de “désinformation”, l’État se donne le droit de les censurer, et s’est organisé pour le faire massivement avec Viginum.

Et vous pouvez être certain que la censure ne touchera pas seulement les opinions “politiquement incorrectes”.

La censure sera utilisée, aussi, pour écarter les informations qui gênent le pouvoir en place.

Si vous ne me croyez pas, c’est écrit noir sur blanc sur le site de France Inter :

“En 2017, l’entre-deux-tours de la présidentielle est perturbé par ce qu’on appelle les ‘Macron Leaks’. Il s’agit de la fuite de dizaines de milliers de courriers électroniques du mouvement En Marche ! d’Emmanuel Macron. C’est justement pour contrer ce genre d’attaques numériques venues de l’étranger que le gouvernement français a décidé de mettre en place Viginum”*

Problème : personne n’a pu prouver que ces Macron Leaks venaient de l’étranger.

Ce qui est certain, c’est que leur contenu était très gênant pour le pouvoir, qui a donc décidé de se doter des outils pour les censurer !

C’est chose faite avec Viginum, et c’est pour cela que je vous demande d’agir maintenant.

Signez notre grande pétition, Non au Ministère de la Censure en France, et transférez-la à tous vos contacts.

Je compte sur vous : ce sont nos libertés les plus fondamentales qui sont en jeu.

Guy de la Fortelle

Co-fondateur de Tocsin

JE SIGNE LA PÉTITION CONTRE LA SURVEILLANCE GÉNÉRALISÉE :

NON AU MINISTÈRE DE LA CENSURE

Source : Tocsin-media.fr




Le programme de domination mondiale et la fin de l’Humanité

[Source : https://stopworldcontrol.com/fr]

Le programme de domination mondiale

[Extraits. Voir l’article au complet sur le site source.]

Par David Sorensen

« Toutes vos pensées, vos sentiments et vos rêves seront enregistrés 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. »1

IDA AUKEN, ANCIENNE MINISTRE DE L’ENVIRONNEMENT, DANEMARK

« La 5G peut insérer des pensées et des sentiments dans tout le monde. Elle sera le système nerveux central de la société. »2

SEBASTIÁN PIÑERA, ANCIEN PRÉSIDENT DU CHILI

« Nous verrons tout ce qui se passe à l’intérieur de votre cerveau. »3

NITA A. FARAHANY, PROFESSEUR DE PSYCHOLOGIE

Ceci n’est pas un article superficiel qui vous laisse à la recherche de réponses, mais d’un rapport approfondi qui vous permet de comprendre pleinement ce qui menace notre monde. Utilisez la table des matières (en haut à gauche) pour naviguer. Toutes les références se trouvent à la fin de ce rapport. Prenez le temps de lire ce rapport révélateur jusqu’à la fin, car les informations qu’il contient sont cruciales.

« NOUS FAÇONNONS L’AVENIR DU MONDE »

Chaque année, les gens d’affaires les plus riches du monde, les industriels les plus puissants et les politiciens les plus influents se réunissent au Forum Économique Mondial de Davos, en Suisse. Ensemble, ils discutent de la manière dont ils vont « améliorer l’état du monde ». Le fondateur et président du FÉM, Klaus Schwab, déclare fièrement : « Nous façonnons l’avenir du monde. »4 Ils ne vous consultent pas, bien sûr, pour savoir si leurs idées vous intéressent. Non, ils vous disent simplement ce qu’ils font pour transformer radicalement tous les aspects de votre vie. 

Leurs objectifs officiellement publiés incluent l’enregistrement de toutes vos pensées, émotions et rêves 24 heures sur 24 et 7 jours sur 75, le suivi de tout ce que vous faites, achetez, portez et mangez6, et l’insertion de pensées et d’émotions dans votre esprit7.

TOUT DOIT CHANGER8

Le mot clé de leur vocabulaire est « crise ». Selon eux, les crises sont innombrables dans le monde entier : crises sanitaires, crises sociales, crises financières, crises énergétiques, crises climatiques… rien que des crises, partout, tout le temps9. La seule façon de résoudre toutes ces crises, disent-ils, est de transformer radicalement tous les aspects de l’existence humaine : l’alimentation, le logement, les soins de santé, la sexualité, l’agriculture, l’éducation, la finance, les voyages, la technologie… tout doit être revu pour « sauver la planète ». 

(…)

COMMENT ILS VEULENT « SAUVER LA PLANÈTE » (…)

INJECTIONS CONSTANTES (…)
CRÉDIT SOCIAL (…)
VILLES INTELLIGENTES (…)
MOUVEMENT LIMITÉ (…)
CONTRÔLE FINANCIER (…)
CENSURE (…)
PAS DE PROPRIÉTÉ PRIVÉE (…)
BLOQUER LE SOLEIL (…)
PAS DE DROITS PERSONNELS (…)
SEXUALITÉ POUR LES ENFANTS (…)
NORMALISER LA PÉDOPHILIE (…)
TRANSGENDÉRISME DE MASSE (…)
TOUT LE MONDE DEVIENT UN CYBORG (…)
ÉLITES SURHUMAINES (…)
L’IA PREND LE DESSUS POUR LA PLUPART DES EMPLOIS (…)
CONTRÔLE COMPLET PAR L’IA. (…)
TRANSPARENCE DES CERVEAUX (…)
CONTRÔLE MENTAL (…)
ALIMENTS ARTIFICIELS (…)
PAS DE PERSONNES AGÉES (…)

Il y a beaucoup, beaucoup plus, mais cet aperçu donne une idée générale de leurs idées « brillantes » qui vont très certainement « sauver la planète » et « améliorer l’état du monde ». D’autres concepts sont : limiter les contacts humains en faisant en sorte que l’école, les réunions, les achats, le culte, la socialisation, etc. se déroulent en ligne, où la vie doit être vécue derrière un écran ; rendre permanente l’utilisation de masques faciaux étouffants, autant que possible ; pousser l’humanité à passer sa vie dans un faux royaume virtuel — comme le MetaVerse — et la convaincre que c’est tellement mieux que la réalité. Éliminer la consommation de viande ; limiter les voyages en avion à un court séjour par an ; limiter drastiquement l’achat de vêtements ; et ainsi de suite.

L’ENREGISTREMENT DE VOS PENSÉES

Les globalistes informent le monde de leur objectif ultime : « Vous ne posséderez rien, vous n’aurez aucune vie privée et vous serez heureux ». Cette situation est présentée comme une heureuse « utopie » dans un billet rédigé par Ida Auken, une Young Global Leader (jeune leader globale) du Forum Économique Mondial. Ida Auken a été nommée ministre de l’Environnement au Danemark pour promouvoir ce programme. Elle a écrit cet article du point de vue d’une citoyenne d’une ville intelligente, qui s’exclame à quel point il est merveilleux de ne rien posséder, et quel rêve le monde est devenu, maintenant que tout le monde vit dans des villes intelligentes. 

Voici une citation directe de l’article :

« De temps en temps, je suis contrarié par le fait que je n’ai pas de véritable vie privée. Je ne peux aller nulle part sans être enregistré. Je sais que, quelque part, tout ce que je fais, pense et rêve est enregistré. J’espère seulement que personne ne l’utilisera contre moi. En fin de compte, c’est une belle vie. »41

QU’EST-CE QU’UNE VILLE INTELLIGENTE ?

(…)


Ce programme est déployé dans le monde entier et l’objectif est de faire de chaque ville une ville intelligente, que ce soit en Amérique du Nord ou du Sud, en Asie, en Europe ou en Afrique. Quel est le but recherché ? C’est simple : l’argent, le pouvoir et le contrôle. Les technologies de collecte de données seront utilisées pour recueillir des quantités astronomiques de données personnelles de chaque habitant, ce qui est considéré comme la nouvelle richesse de l’avenir. Alors que dans le passé, la terre ou l’or étaient considérés comme les biens les plus précieux, aujourd’hui, ce sont les données. Plus les multinationales recueilleront de données personnelles sur l’humanité, plus elles auront de pouvoir. Bill Gates, par exemple, a investi dans l’achat de 24 800 acres de terrain en Arizona, pour construire une ville intelligente pouvant accueillir 80 000 personnes. Cette ville s’articulera autour de centres de données où seront stockées toutes les informations personnelles des résidents.44

RENDRE LA VIE NUMÉRIQUE

Le Forum Économique Mondial promeut la quatrième révolution industrielle, ce qui signifie que toute vie sur Terre doit être transformée en une expérience numérique, même l’expression de l’humanité elle-même. Lors de la conférence annuelle de Davos, un conseiller du FÉM, le professeur Yuval Noah Harari, a fait la déclaration suivante :

« Dans un avenir proche, l’humanité sera gouvernée par des entités plus différentes de nous que nous ne le sommes des chimpanzés. »

(…)

Ils envisagent que l’intelligence artificielle devienne le directeur de nos vies, parce qu’elle nous connaîtra mieux que nous ne nous connaissons nous-mêmes. Les gens n’auront plus besoin de faire appel à la sagesse ou aux conseils divins pour prendre des décisions cruciales, mais l’IA nous dira tout ce que nous avons besoin de savoir. Par exemple, qui épouser, où vivre, quoi acheter, pour qui voter, et tout le reste de notre vie. Elle acquerra ces connaissances grâce aux technologies de surveillance omniprésentes 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, qui enregistrent les moindres détails nous concernant.47

Dans un sens, l’IA deviendra le nouveau « Dieu » : elle sera omniprésente et saura tout sur tout le monde.

(…)

CHANGEMENT CLIMATIQUE

L’expression magique pour forcer l’humanité à se doter de villes intelligentes est le « changement climatique ».52 Les globalistes prétendent que le climat est déréglé parce que les gens voyagent trop loin de chez eux et pratiquent trop d’activités de plein air qui provoquent des émissions nocives de CO2. C’est pourquoi ils veulent ajouter des traceurs dans tous nos téléphones et nos vêtements, et finalement à l’intérieur de nos corps—pour surveiller la quantité de carbone que nous émettons.53

Peu importe les innombrables usines qu’ils ont construites et qu’ils construisent encore, qui émettent des quantités inimaginables de gaz toxiques. Peu importe les mégapoles qu’ils veulent construire pour remplacer les verts pâturages. Peu importe que ces milliardaires utilisent tous des jets privés qui émettent des quantités insensées de CO2 dans l’atmosphère.

(…)

DOMINATION DU MONDE

La sordide roue du Forum Économique Mondial montre l’objectif final de la Grande Réinitialisation, ou la révision radicale de tous les aspects de l’existence humaine : la domination totale du monde. 

Sur cette roue, nous voyons les sujets suivants :

✔︎ Gouvernance mondiale 

✔︎ Gouvernance d’entreprise 

✔︎ Gouvernance de l’Internet 

✔︎ Identité numérique 

✔︎ Économie numérique

(…)

Ils veulent également relier chaque personne sur Terre à une « identité numérique », qui inclura son statut vaccinal.

Tous ceux qui ne sont pas à jour de leur énième injection de rappel peuvent être exclus des banques, d’Internet, des soins de santé, du travail, des transports, des rassemblements, etc.56 Nous avons pu constater les tests effectués lors de la première pandémie, où seuls les vaccinés étaient autorisés à voyager ; en Israël, les personnes non vaccinées n’ont pas pu entrer dans les supermarchés ; au Nigeria, les personnes non vaccinées n’ont pas pu accéder aux services bancaires. La même chose a été testée en Australie, en Nouvelle-Zélande, au Canada, aux Pays-Bas et dans d’autres pays. D’innombrables personnes ont perdu leur emploi parce qu’elles n’étaient pas complètement vaccinées. Au Brésil, le président Lula a déclaré que seules les personnes entièrement vaccinées pouvaient bénéficier d’une aide financière pour leurs enfants.

Que signifie être « entièrement vacciné » ? Cela signifie que plusieurs fois par an, vous êtes tenu de recevoir tous les nouveaux vaccins proposés par le gouvernement. Si vous manquez une seule injection, même si vous en avez déjà reçu vingt, vous redevenez une personne « non vaccinée » sans aucun droit.57

(…)

UN MONDE DE FOLIE TOTALE

Au cours de la pandémie, nous avons vu à quel point ces milliardaires sont complètement fous, par la façon dont ils ont imposé—littéralement—une folie hallucinante à la population mondiale. Voici quelques illustrations de ce à quoi ressemble le monde lorsque ces fous sont aux commandes…

(…)

Détruire la sexualité masculine et féminine, tout en imposant agressivement à l’humanité une confusion identitaire dévastatrice, sous couvert d’« inclusion ».

(…)

Il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup plus à montrer ici, mais ces exemples servent d’illustration de base de l’exécution dans le monde réel du programme du Forum Économique Mondial, de l’Organisation Mondiale de la Santé, des Nations Unies et de tous leurs alliés dans le monde entier. N’oubliez pas qu’ils présentent ces changements radicaux dans la société humaine comme absolument essentiels pour « sauver la planète », « améliorer l’état du monde » et « assurer la sécurité de tous »…

QUI EST VRAIMENT DERRIÈRE TOUT CELA ?

Lorsque l’on regarde ces projets insensés, on se demande qui peut bien être à l’origine d’une telle folie. Pour trouver la réponse, il faut regarder derrière le rideau du théâtre public mondial.

Nous devons comprendre que les organismes publics sont en réalité la vitrine d’entités qui opèrent en coulisses.

Cela a été expliqué lors d’un Grand Jury international composé de onze avocats et d’un juge, au cours duquel le programme officiel de domination mondiale par les élites financières a été révélé par d’anciens agents de l’Organisation Mondiale de la Santé, des Nations Unies, de l’armée américaine et britannique et des agences de renseignement. L’un des témoins experts était Alex Thomson, un ancien agent de l’agence britannique de renseignement sur les communications, le GCHQ, l’agence partenaire de la NSA (National Security Agency des États-Unis). En tant qu’officier de renseignement, Alex a pris connaissance de la stratégie britannique de domination du monde. Il a expliqué au Grand Jury comment le monde est dirigé par de puissantes entités financières qui ne se montrent jamais au public et qui contrôlent le FÉM, l’OMS, l’ONU, le FMI, l’UE, la BRI, etc.

(…)

Tout au long de l’histoire de l’humanité, des psychopathes ont aspiré à dominer le monde : les pharaons égyptiens, les empereurs romains, les tsars russes, les rois européens, etc.

Pendant des milliers d’années, la liberté n’a jamais existé sur terre, car le monde entier a toujours été gouverné par des tyrans qui opprimaient le peuple. En Europe, ces dirigeants vivaient dans de luxueux châteaux, tandis que les paysans travaillaient dur dans les champs. La majeure partie de ce qu’ils produisaient allait aux riches tyrans.

(…)

En réalité, les dirigeants n’ont jamais renoncé à leur pouvoir ; ils ont simplement manipulé les élections afin de positionner leurs marionnettes politiques, qui dansent sur leurs ficelles.58

(…)

LES DIRIGEANTS CACHÉS DU MONDE

En menant leurs opérations en coulisses, les dirigeants pouvaient se protéger de la colère du public. Mais ils avaient également besoin de se protéger des poursuites des gouvernements, et ils se sont donc créé ce qu’on appelle des « États souverains ». Un État souverain est une petite zone qui n’est pas soumise aux lois du pays et qui est, par essence, intouchable.

Un exemple de ce genre d’État souverain est la Banque des Règlements Internationaux (BRI), qui supervise plus de 50 banques centrales, ce qui en fait l’une des entités financières les plus puissantes au monde.

La BRI est devenue une entité souveraine et intouchable en 1987 grâce à l’accord de siège négocié avec le Conseil Fédéral suisse. Cet accord comprend les éléments suivants :59

✔︎ Inviolabilité totale de tous les bâtiments de la BRI, ainsi que des terrains situés en dessous et autour d’eux, quel qu’en soit le propriétaire.

✔︎ Immunité totale de poursuites et d’actions pénales et civiles pour la banque en tant que telle.

✔︎ Pas de paiement de taxes sur les transactions et les salaires du personnel.

✔︎ Pas de divulgation aux gouvernements concernant les activités de la BRI.

✔︎ N’est soumise à aucune juridiction.

Un État souverain encore plus puissant est la City de Londres, une zone d’un mile carré au cœur de la ville de Londres.

(…)

Étonnamment, l’État souverain le plus important au monde est l’État de la Cité du Vatican. Alors que le Vatican se présente au public comme une institution religieuse, il est en réalité à la tête du réseau financier mondial.

(…)

L’archevêque Carlo Maria Vigano a dénoncé les abus sexuels et la corruption financière au Vatican. Il met également en garde l’humanité contre leur programme de domination mondiale.

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La grande majorité de l’humanité—et même la plupart des dirigeants politiques—n’ont aucune idée de l’existence même de ces États souverains, et encore moins de leur pouvoir sur le monde. Tout ce que nous connaissons et voyons, ce sont les personnalités publiques—comme les politiciens et les hommes d’affaires—qui ne sont que les marionnettes de ces marionnettistes cachés. Leur force réside dans l’obscurité. En restant cachés à la vue de l’humanité, ils sont en mesure d’opérer sans être surveillés, sans avoir à rendre des comptes à la population.

[Voir aussi :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

Le rapport « Preuves du Grand Jury » constitue une bonne source d’information sur le programme de domination du monde par des dirigeants cachés. Ce rapport contient les témoignages d’experts d’anciens membres des services de renseignement britanniques, de la marine britannique, du corps des marines américains, de l’Organisation Mondiale de la Santé, des Nations Unies et du CDC, qui ont témoigné devant un grand jury international composé de 11 avocats et d’un juge au sujet du programme de domination du monde.

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QUI SONT CES DIRIGEANTS ?

Qui sont les dirigeants de ces États souverains et qui sont les entités qui travaillent pour eux dans les nations du monde ? Ce réseau mondial est généralement appelé l’État profond, le gouvernement de l’ombre, la cabale, les 1 %, les lignées sataniques, les Illuminati, les élites, les rois, la noblesse noire, la mafia khazarienne, etc. Il s’agit d’anciennes dynasties royales et de lignées qui remontent à des centaines, voire des milliers d’années. Pour en savoir plus sur ces familles néfastes—qui elles sont, d’où elles viennent et comment elles opèrent—je recommande l’ouvrage classique de Fritz Springmeier, « Bloodlines of the Illuminati » (Les lignées des Illuminati). Cet ouvrage de référence très apprécié est disponible en téléchargement sur le site web de la CIA. Il révèle des informations sur les lignées des États-Unis d’Amérique qui exercent leur influence dans le monde entier.

Bloodlines of the Illuminati, volumes 1, 2 et 3, par Fritz Springmeier.

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Une autre ressource qui fait autorité et qui se concentre davantage sur les familles européennes est « Les 13 lignées sataniques », du journaliste d’investigation Robin de Ruiter, qui a prédit avec précision la pandémie de Covid en 2008. Cet ouvrage en quatre volumes a été interdit en France, mais il est publié dans 100 pays et langues.

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Parmi les familles criminelles, citons Rockefeller, Rothschild, Warburg, DuPont, Russell, Onassis, Collins, Morgan, Kennedy, Van Duyn, Li, Astor, Vanderbilt, Bauer, Whitney, Duke, Oppenheimer, Grey, Sinclair, Schiff, Solvay, Sassoon, Wheeler, Todd, Clinton, Taft, Goldschmidt, Wallenberg, Guggenheim, Bush et bien d’autres encore.

Il y a aussi les familles royales, comme la Maison de Habsbourg, l’une des dynasties les plus importantes de l’histoire européenne, qui a régné sur la majeure partie de l’Europe.

D’autres familles royales sont la Maison de Windsor (Royaume-Uni et Commonwealth), la Maison d’Orange-Nassau (qui joue un rôle central dans la politique et le gouvernement de l’Europe), la Maison de Schwarzenberg (l’une des maisons nobles européennes les plus en vue), etc. Nombre de ces familles sont liées génétiquement, car elles sont toutes convaincues qu’elles ont un patrimoine génétique différent de celui du reste de l’humanité et qu’elles ont donc le droit de régner sur chacun d’entre nous. C’est un fait établi qu’ils considèrent le public comme leur « bétail » ou « cheptel ». Pour eux, l’humanité n’est qu’un troupeau d’animaux qu’ils doivent gérer.

À la tête de toutes ces familles se trouve ce que l’on appelle la « tête du serpent », la noblesse noire ou les lignées jésuites/papales, dont le siège se trouve dans l’État de la Cité du Vatican. L’une des plus importantes est la maison Orsini, qui descend de la dynastie julio-claudienne de la Rome antique. Vous trouverez beaucoup plus d’informations à ce sujet dans les ouvrages de référence susmentionnés, sur le site néerlandais Ellaster.nl (traduisez les pages à l’aide de Google translate) et sur Internet, en utilisant le moteur de recherche non censuré Qwant.

LE SOMMET DE LA PYRAMIDE

Les familles cachées qui opèrent à l’intérieur des États souverains constituent-elles le plus haut niveau de la pyramide du pouvoir qui contrôle le monde ? Non. Il y a plus à révéler. Ce prochain niveau d’information peut être particulièrement difficile à comprendre pour certains lecteurs, car il est très éloigné de ce monde — littéralement. Afin de vous aider à comprendre la réalité de ce que vous êtes sur le point d’apprendre, je vais d’abord vous donner quelques informations historiques de base. Lorsque nous examinons l’histoire du monde, une chose ressort :

Dans toutes les cultures, partout sur Terre, une chose a toujours été au cœur de chaque société : le culte des entités démoniaques.

(…)

Les nombreux noms confirment l’adoration mondiale de cette entité démoniaque.

Il s’agit d’histoire humaine fondamentale que chacun d’entre nous devrait connaître. Lorsque l’on voyage dans le monde, on peut souvent voir les vestiges architecturaux des sacrifices humains à différents endroits. En Amérique du Sud, les pyramides aztèques, par exemple, marquent le paysage. Au sommet de ces pyramides, des êtres humains étaient sacrifiés à des forces spirituelles obscures. En Europe, ce sont les druides qui s’en chargeaient ; en Afrique, les chamans ; en Égypte, les grands prêtres, etc. Le sacrifice humain est au cœur de la plupart des cultures du monde.

Avec la propagation du christianisme, cette horrible pratique a été abolie dans la sphère publique, mais elle n’a pas été éradiquée de la société. Au contraire, de nombreux serviteurs du royaume des ténèbres ont continué à pratiquer ces rituels en secret. Et c’est là que nous arrivons au sommet de la pyramide du pouvoir mondial…

(…)

Un exemple a été révélé par Ronald Bernard, un ancien banquier qui a travaillé à un niveau élevé de l’imperium financier mondial.63

(…)

La motivation derrière la pratique cruelle du sacrifice humain est qu’en échange de l’offrande d’êtres humains (en particulier de bébés et d’enfants) aux forces démoniaques, les élites reçoivent le pouvoir et la richesse du royaume des ténèbres.

Ronald Bernard a refusé de participer à cette horreur et a quitté le monde des élites financières dirigeantes. Il a été torturé à mort, puis a vécu une EMI (expérience de mort imminente) et est miraculeusement revenu à la vie à l’hôpital. Après avoir servi le côté obscur, Ronald a senti qu’il lui avait été donné une seconde chance de réparer les dommages qu’il avait causés à l’humanité. Il consacre désormais sa vie à la création d’un système financier alternatif, qui peut aider les gens à échapper aux systèmes tyranniques des élites.

Le témoignage très révélateur de Ronald Bernard est visible dans la vidéo suivante, qui a été visionnée par environ 90 millions de personnes dans le monde.

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Les informations communiquées par Ronald Bernard sont confirmées par d’anciens directeurs de la CIA, du FBI, de la police, de la gendarmerie, de l’armée, des détectives, des témoins oculaires, des juges et de nombreuses victimes survivantes dans notre rapport sur les abus sexuels et les meurtres commis par des fonctionnaires de haut rang. J’ai également en ma possession plusieurs lettres personnelles de femmes qui ont échappé aux cercles cruels des élites, où elles ont été violées des milliers de fois.

Nathalie Augustina était un mannequin de mode mondialement connu, dont l’esprit a été contrôlé par la CIA pour en faire l’esclave sexuelle des élites les plus élevées : familles royales, chefs d’État, commandants militaires, célébrités d’Hollywood, etc. Elle décrit son histoire dans un livre néerlandais écrit par le journaliste Robin de Ruiter. 

Une autre victime survivante et témoin oculaire (anonyme) m’a également envoyé plusieurs lettres. Leur lecture est extrêmement perturbante, mais j’ai décidé d’en inclure une petite partie dans ce rapport, car ces témoignages révèlent une réalité cachée dont l’humanité doit prendre conscience de toute urgence. Je vous prie de comprendre qu’il est possible que vous ressentiez une dissonance cognitive ou un effet Semmelweis en lisant ces informations. Il s’agit de mécanismes psychologiques qui s’activent inconsciemment pour nous protéger des nouvelles informations qui remettent en cause nos croyances actuelles.

Nous nous cachons la tête dans le sable
parce que la réalité est trop effrayante.

(…)

Rien de ce que cette dame m’a écrit n’était totalement nouveau, car j’ai lu des révélations similaires dans de nombreuses publications, par des enquêteurs reconnus qui avertissent l’humanité depuis des décennies. J’ai également vu plusieurs vidéos contenant des témoignages d’autres personnes ayant échappé à ce sombre réseau de dirigeants mondiaux. C’est pourquoi je sais que ces informations sont authentiques et exactes.

Dans une autre lettre personnelle que j’ai reçue d’une autre victime survivante, Nathalie Augustina, j’ai lu certains détails qui expliquent le lien entre les humains criminels et les entités spirituelles supérieures, qui les utilisent à des fins bien plus néfastes que la simple corruption financière et le pouvoir politique mondial. Ce que Nathalie décrit a été révélé dans le passé par plusieurs chercheurs et dénonciateurs, mais je l’ai néanmoins trouvé profondément troublant, car elle révèle la réalité substantielle du mal. C’est une chose de connaître le concept abstrait du mal ; c’en est une autre de découvrir à quel point les forces des ténèbres sont réelles. Elles sont très bien organisées et opèrent de manière extrêmement stratégique. Voici un extrait des lettres que Nathalie m’a adressées :

(…)

Toute personne souhaitant vérifier ces informations peut regarder les vidéos de ce rapport, télécharger les documents PDF, lire les livres et faire ses propres recherches sur Internet en utilisant le moteur de recherche non censuré Qwant et la plateforme vidéo BitChute. Si vous souhaitez en savoir plus sur la réalité du cannibalisme dans le royaume des ténèbres, je vous invite à consulter notre rapport sur les abus commis par de hauts fonctionnaires.

J’ajouterai ici un élément qui confirme la nature cannibale des élites. À Hollywood, des soirées exclusives ont récemment été organisées par Marina Abramovic. Certaines photos de ces soirées ont été divulguées, et vous pouvez les voir dans le rapport ci-dessous. En raison de leur caractère graphique, je les ai dissimulées. Pour voir les images, cliquez sur le lien. Mais si vous êtes très sensible, ne l’ouvrez pas.

Cliquez pour voir les images qui prouvent la nature satanique des élites.

[NDLR : voir le site source pour ces images]

Ce que vous voyez sur ces images n’est que la partie superficielle et de bas niveau montrée au public. Nous ne pouvons même pas imaginer ce qu’ils font en secret. Les témoignages ne lèvent que brièvement le voile sur ce royaume des ténèbres. Une fois que l’on sait à quel point ces entités sont maléfiques, on comprend pourquoi elles n’ont aucun problème à imposer une tyrannie inhumaine à l’humanité. Il est essentiel que nous ayons le courage de partager ces informations avec le monde.

L’humanité ne souffre pas seulement de politiciens et de banquiers corrompus, elle est attaquée par le mal à l’état pur. Au sommet, il y a des entités spirituelles obscures qui ne sont que la continuation d’anciennes pratiques de culte des démons et de sacrifices humains. 

DÉCONNECTER L’HUMANITÉ

Ce qu’il faut comprendre cependant, c’est qu’à côté de ces forces obscures, il y a aussi un Créateur qui est le donateur et l’origine de tout ce qui est bon, qui est du côté de l’humanité, pour nous délivrer du mal.

Au cours des dernières décennies, une opération stratégique de contrôle de l’esprit a été menée à l’échelle mondiale contre les habitants de ce monde, afin d’éloigner la grande majorité d’entre eux de la Source de toute vie. Lorsque les gens sont déconnectés de Dieu, qui seul est plus grand que le royaume du mal, ils sont plus faciles à contrôler et à asservir. Les personnes spirituellement ignorantes sont impuissantes. Il est impératif que nous nous réveillions de cet état de cécité spirituelle induite par le lavage de cerveau et que nous retournions au Donneur de toute vie, qui peut nous donner le pouvoir et nous guider pour délivrer l’humanité des forces des ténèbres. Cela n’a rien à voir avec la religion, mais est aussi fondamental pour notre existence que 1+1=2. Nous savons tous qu’il y a le bien et le mal. Il ne s’agit cependant pas d’une vague « énergie », mais il existe des entités personnelles, tout comme nous sommes des êtres personnels. Il est absurde de reconnaître l’existence d’un mal intense, tout en niant la réalité du domaine de la vie, de l’amour, de la bonté et de la vérité.

PYRAMIDE DU POUVOIR

Le diagramme suivant présente une vue d’ensemble de la structure du pouvoir mondial du mal et de la corruption, qui a pénétré tous les aspects de la société humaine. Je le révèle dans l’espoir qu’il contribuera à la chute mondiale de ces réseaux néfastes, car leur première force est l’ignorance de la population. Tant qu’ils peuvent opérer en dehors de la conscience du public, ils peuvent continuer à agir sans restriction. C’est pourquoi j’implore tous ceux qui liront ce rapport de ne pas hésiter à le partager, mais d’avoir le courage de le diffuser largement, car c’est ce qui finira par briser la mainmise de ces réseaux sur l’humanité. Tant qu’ils peuvent opérer dans l’obscurité totale, c’est-à-dire que personne ne peut les voir, ils peuvent poursuivre leurs opérations sans limites. Une fois que la lumière sera faite, c’est-à-dire que le monde en prendra conscience, ils ne pourront plus se cacher et devront répondre de leurs innombrables crimes contre l’humanité et l’ensemble de la création.

LE NIVEAU LE PLUS BAS

Le niveau le plus bas de la structure du pouvoir criminel mondial est constitué par les forces de l’ordre, qui sont utilisées pour contrôler le public sous le prétexte fallacieux de « faire respecter la loi ».

(…)

Regardez des images de violences policières scandaleuses dans le monde entier et apprenez comment vous pouvez vous opposer à ce comportement criminel de « fonctionnaires » corrompus si vous connaissez les droits que Dieu vous a accordés.

TÉLÉCHARGER LA VIDÉO

Afin d’avoir la mainmise sur l’application de la loi, les dirigeants veillent à positionner ou à contrôler les chefs de police. Il existe plusieurs façons de les contrôler, mais la méthode préférée consiste à les rendre complices d’abus d’enfants et de traite d’êtres humains. Notre rapport susmentionné sur les abus sexuels commis par de hauts fonctionnaires révèle combien de chefs de police sont impliqués dans la maltraitance des enfants et la traite des êtres humains. Michel Nihoul, membre du célèbre gang Dutroux en Europe, qui organisait le trafic d’enfants pour le gouvernement et la famille royale, a déclaré dans une interview à Der Spiegel en 2001 :

« Je contrôle le gouvernement. Tout le monde a des dossiers compromettants les uns sur les autres, qui peuvent être utilisés comme levier au bon moment. »66

Cela explique pourquoi des enquêtes vraiment importantes sur des opérations de haut niveau de traite des êtres humains sont toujours annulées, une fois que l’enquête commence à découvrir les vrais coupables.  

Au-dessus des forces de l’ordre, il y a les juges pénaux, qui répriment les honnêtes gens tout en protégeant les grands criminels.

(…)

LE MONDE EST UN THÉÂTRE

La conclusion de ce rapport est que nous devons nous réveiller à la réalité du fonctionnement du monde. Depuis l’Antiquité, il existe des puissances qui souhaitent dominer totalement le monde. Elles opéraient autrefois au grand jour, mais au fur et à mesure que l’humanité augmentait en nombre, elles ont été contraintes de se réfugier dans les coulisses, où elles ont régné sur le monde par le biais d’opérations secrètes.

Cela signifie que le monde est essentiellement une scène de théâtre, avec des acteurs qui jouent pour le public, tandis que les contrôleurs tirent les ficelles en coulisses.

Avec l’émergence de technologies de surveillance et de contrôle incroyablement puissantes et le déploiement de ces systèmes dans le monde entier, les dirigeants visent une nouvelle ère où ils n’auront plus besoin de se cacher. Leur stratégie consiste à asservir complètement chaque âme sur Terre grâce à des systèmes de contrôle omniprésents et globaux tels que les cartes d’identité numériques, les monnaies numériques, les passeports vaccinaux, les scores de crédit social, le contrôle mental 5G, le suivi des émissions de carbone, l’IA, etc. Ces systèmes rendront la vie impossible à quiconque se révolte, assurant ainsi un règne sans heurts aux tyrans.

En Chine, c’est déjà le cas, et de nombreux Chinois ne semblent même pas conscients de la façon dont ils sont réduits en esclavage.

Ils sont nés dans cette immense prison à ciel ouvert et n’ont aucune idée de ce que signifie la liberté. Tant qu’ils s’amusent et qu’ils mangent, ils se sentent bien. Un esclave mental total a perdu la capacité de penser au-delà des barreaux de sa cage. Les dirigeants ont testé ce système en Chine et prévoient maintenant de l’exporter dans le monde entier. Mais ils ont fait un mauvais calcul… au cours des dernières années, des centaines de millions de personnes dans le monde se sont éveillées à ce programme néfaste et commencent à s’y opposer.

L’HUMANITÉ SE RÉVEILLE

Ceci m’amène à la fin de ce rapport, avec de bonnes nouvelles pour l’avenir. Il ne s’agit pas d’une publication isolée, car d’innombrables révélations similaires sont faites dans le monde entier. Il est clair que le vent tourne et que l’humanité commence à ouvrir les yeux sur ce qui se passe dans le monde depuis des siècles. Le développement des technologies de la communication s’avère être un outil incomparable pour donner du pouvoir aux gens. Les réseaux sociaux ont été créés par les dirigeants comme un système d’espionnage et de contrôle du peuple, mais ils ont également mis le meilleur outil de tous les temps entre les mains du public pour le partage de l’information.

Cela a déclenché un incroyable réveil de masse dans le monde entier, au cours duquel des centaines de millions de personnes intelligentes, conscientes et bienveillantes découvrent comment le monde fonctionne réellement.

Les tyrans s’en sont rendu compte trop tard et tentent maintenant désespérément de censurer toute vérité. Mais rien ne peut arrêter le tsunami d’éveil qui s’est déclenché et qui a inondé le monde ces dernières années. Notre Annuaire Mondial de la Liberté ne montre qu’une petite partie de ce qui se passe dans le monde, mais il contient déjà plus de 800 organisations qui révèlent la vérité à l’humanité. Et ce n’est que la première vague. Bien d’autres événements se produiront dans un avenir proche.

Un nombre critique de personnes dans le monde se sont éveillées et, à partir de maintenant, chaque nouvelle tentative des dirigeants cachés de réduire l’humanité au silence ne fera que les desservir de plus en plus.

Les dirigeants de l’ombre ont été démasqués. Des millions de guerriers courageux se dressent contre leur système mondial de tyrannie, d’abus, de torture et de tromperie. Un nouveau jour se lève et un monde meilleur se profile à l’horizon. Je demande à tous ceux qui liront ces lignes de ne pas se rendre coupables de soutenir l’ancien système du mal en ayant peur de partager ce rapport révélateur. C’est ce qui les a maintenus au pouvoir pendant si longtemps : le refus des gens d’exposer ce mal à l’humanité. Nous devons être des êtres humains courageux et compatissants qui feront tout ce qu’il faut pour mettre fin au règne de ce système cruel et corrompu. Vous trouverez ci-dessous une liste de choses que vous pouvez faire pour contribuer à la solution des horreurs que vous venez de lire. 

COMMENT POUVONS-NOUS ARRÊTER CELA ?

ÊTRE COURAGEUX

(…)

INFORMER LE PUBLIC

(…)

DISTRIBUER DES DÉPLIANTS

(…)

TÉLÉCHARGER DES FLYERS ET DES AFFICHES

INFORMER LES AUTORITÉS

(…)

S’IMPLIQUER

(…)

RÉSISTER

(…)

ÊTRE INDÉPENDANT

(…)

CONNECTER

(…)

SE PRÉPARER

(…)

CONNAÎTRE LA LOI

(…)

PRIER

(…)

SOUTENIR

(…)

SOUTENIR STOP WORLD CONTROL


RÉFÉRENCES


La fin de l’Humanité

[Voir aussi, du même auteur :
Israel — Le mystère dévoilé — Un film documentaire de David Sorensen,
Comment les Villes Intelligentes vont enfermer l’humanité dans des camps de concentration à ciel ouvert
et :
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen]




Paul Watzlawick et les pathologies occidentales

Par Nicolas Bonnal

La guerre contre la Russie devait être la solution : elle est devenue le problème. L’Europe technocratique supranationale devait être la solution : elle est le problème. Le vaccin devait être la solution : il est devenu le problème. On continue ?

On va voir plusieurs aspects du problème (vous savez, « la solution c’est le problème »). Le légendaire Paul Watzlawick avait souligné le caractère gothique de nos monstrueux systèmes de « santé » : la multiplication par trente des dépenses médicales a créé les conditions d’un effondrement humain : faible, endetté, complexé, le citoyen serait bon pour les abattoirs de la postmodernité et pour soixante vaccins par an. Tournant le dos aux enseignements de Jünger (dans les années cinquante — voyez mes textes) ou de Rudolf Steiner (dans les années vingt), le petit blanc occidental se donne aux monstres et aux charlatans des hôpitaux (Debord, Commentaires) pour un oui ou pour un non.

Deux caractères m’enchantent chez Watzlawick, sa culture littéraire qui est la mienne — et son humour. Pour Watzlawick la solution est souvent le problème : et la presse britannique découvre l’écrasante défaite aujourd’hui de l’Ukraine et de l’OTAN face à l’ours d’argile russe… Toutes les solutions de nos technocrates et politiciens froncés n’ont fait que créer de nouveaux problèmes sans jamais rien solutionner. Ce Watzlawick est un sage taoïste ironisant face au triomphe apocalyptique-millénaire des bureaucrates.

Mais laissons-lui la parole.

Faites vous-même votre malheur, début du livre :

« Ce que les directeurs de zoo pratiquent dans leur modeste domaine, les gouvernements modernes tentent de l’accomplir à l’échelle nationale : confits dans la sécurité, il faut que les citoyens mènent une existence dégoulinante de bonheur du berceau jusqu’à la tombe. Pour atteindre ce noble objectif, il faut, entre autres choses, entreprendre et mener sans relâche l’éducation du public pour lui permettre d’accéder à des niveaux toujours plus élevés d’incompétence sociale. Il ne faut donc pas s’étonner de voir l’accroissement vertigineux des sommes consacrées dans le monde à la santé publique et aux diverses entreprises à caractère social. »

L’ironie dénonce cette attitude protectrice (cf. Tocqueville) qui débouche sur ses conséquences tragi-comiques et catastrophiques :

« Donnons quelques exemples : le total des dépenses de santé des États-Unis s’est élevé de 12,7 milliards de dollars en 1950 à 247,2 milliards en 1980. Les seules dépenses de médicaments et d’articles médicaux sont passées de 3,7 milliards à 19,2 milliards pendant la même période. Et les dépenses de Sécurité sociale ont connu une évolution aussi faramineuse, passant de 23,5 milliards en 1950 à 428,4 milliards en 1979 (24). Pour prendre un seul exemple européen, les statistiques actuelles font apparaître en Allemagne de l’Ouest une dépense quotidienne de 450 millions de DM pour le système de santé, c’est-à-dire trente fois plus qu’en 1950. Elles montrent aussi que l’on compte à tout moment une moyenne de 10 millions de personnes malades en République fédérale et que le citoyen moyen d’Allemagne de l’Ouest engloutit trente mille comprimés dans le cours de sa vie. »

On répète parce que c’est drôle : « le citoyen moyen d’Allemagne de l’Ouest engloutit trente mille comprimés dans le cours de sa vie. »

Et vous ? Et moi ?
Certes un système aussi tragicomique ne peut être interrompu. Il doit aller au bout comme le Titanic de la « civilisation » moderne dont a parlé Jünger dans son Rebelle :

« Que l’on imagine ce qui nous arriverait en cas de ralentissement, voire ce qu’à Dieu ne plaise ! — d’inversion de cette tendance. Des ministères entiers et toutes sortes d’autres institutions monstrueuses s’effondreraient, des pans entiers de l’industrie feraient faillite et des millions d’hommes et de femmes se retrouveraient au chômage. Pour participer à la lutte contre l’éventualité d’un tel désastre, j’ai conscience du rôle modeste mais réel que peut jouer ce petit livre. »

La clé c’est ça. L’État moderne rend le citoyen nul et incapable, dépendant jusqu’au suicide — Tocqueville toujours et cette puissance publique, ce souverain qui nous enlèvera le trouble de penser et la peine de vivre, qui nous débarrassera, dit Pearson vers 1990 du fardeau de la personnalité :

« L’État moderne a si grand besoin de l’impuissance et du malheur toujours croissant de ses citoyens qu’on ne peut laisser la satisfaction d’un tel besoin à la seule initiative individuelle, quelles qu’en soient les bonnes intentions. Comme dans tous les autres domaines de la vie humaine, le chemin de la réussite passe ici par la planification et le dirigisme de l’État. Être malheureux est certes à la portée du premier venu. »

Après l’art de se rendre malheureux devient une occupation à plein temps, via la pharmacie ou les livres de « développement personnel » (défense de rire) :

« Mais se rendre malheureux, faire soi-même son propre mal heur sont des techniques qu’il faut apprendre : à cet apprentissage-là, quelques coups du destin ne suffisent pas. Or, même dans les écrits des professionnels (c’est-à-dire des psychiatres et des psychologues), les renseignements utiles sont rares et le plus souvent fournis au hasard, en dehors de toute intention de l’auteur… »

Mais venons-en à l’oncle Sam.

Dans son guide non conformiste pour l’usage de l’Amérique, Watzlawick règle ses comptes avec la matrice de Palo Alto qui fit sa fortune et sa célébrité. Le bouquin est en effet un règlement de comptes digne de figurer dans le répugnant brûlot de Philippe Roger sur les antiaméricains de tout poil, qui comme on sait ont perdu la partie en France et en Europe — car plus l’Amérique sombre et devient folle (militairement, démographiquement, politiquement, culturellement et économiquement), plus elle fascine et domine les esprits européens réduits à l’état de zombis et de suicidaires bellicistes-écologistes. Il reste aux politiciens européens à liquider la population locale sur ordre des labos, des GAFAM et des fonds de pension US (merci aux dibbouks de Kunstler et à cette volonté du Tikkoun olam qui devait réparer le monde — sont-ils stupides ou vraiment mal intentionnés ?). Le problème est qu’en réduisant la population de leurs ouailles ici comme au Japon (-800 000/an depuis le vaccin) les « élites » américaines détruisent aussi leur capacité de nuire à l’échelle planétaire. Mais quand on dispose d’indices boursiers éternellement stratosphériques (quarante fois la valeur de 1980 quand l’or entre-temps n’a que triplé, et cinq fois celle de 2009), on peut tout se permettre, pas vrai ?

On sait que fille de l’Europe l’Amérique l’a toujours voulue détruire (le vieux continent est devenu une vieille incontinente), ce qui est devenu possible à partir de la Première Guerre Mondiale. Ruinée et dépeuplée par cette guerre, l’Europe devient une colonie US, achève de se ruiner avec la Deuxième Guerre Mondiale qui se fait sur ordre américain (voir Frédéric Sanford, Barnes, Preparata, etc.) et ensuite peu à peu dépose les âmes et les armes. Elle n’est qu’un ombre et la construction européenne apparaît pour ce qu’elle est : une déconstruction sur ordre « anglo-saxon », qui aujourd’hui revêt un caractère haineux et carrément exterminateur.

Je reviendrai sur la lucidité des grands écrivains américains quant à la faculté de nuisance US qui est apparue dès la première moitié du dix-neuvième siècle : de Poe à Lovecraft en passant par Twain ou Hawthorne, il n’est pas un grand esprit US qui n’ait vu la catastrophe matérialiste et illuministe arriver : même Walt Whitman (voyez mon texte) en avait très bien parlé, une fois raccrochés ses crampons de moderniste. Après la guerre de quatorze poursuivie pour les banquiers et la possession de la terre feinte, écrivains et dernières élites de souche anglo-saxonne culturelles décampent et vont sur l’Italie ou Paris ; et pendant que Stefan Zweig dénonce l’américanisation-uniformisation du monde (il dit bien que c’est la même chose), uniformisation qui repose sur le matérialisme, l’abrutissement et l’industrie culturelle (quelle alliance de mots tout de même), le banquier américain commence sa conquête de l’Europe, celle qui ravit nos leaders.

Donc dans son livre sur l’Amérique Watzlawick insiste sur la haine du père. Pays de grand remplacement et d’immigration, l’Amérique désavantage le père à partir des années 1870-1880.

« Les relations avec le père géniteur sont toutes différentes. Au début de son traité The American People, devenu un classique, l’anthropologue britannique Geoffrey Gorer analyse le phénomène typiquement américain du rejet du père, et l’attribue à la nécessité, qui s’imposait pratiquement à chacun des trente millions d’Européens qui émigrèrent aux États-Unis entre 1860 et 1930, de s’adapter aussi vite que possible à la situation économique américaine. Mais, en s’efforçant de faire de ses enfants (généralement nés aux États-Unis) de “vrais” Américains, il devint, pour ces derniers, un objet de rejet et de dérision. Ses traditions, ses connaissances insuffisantes de la langue et surtout ses valeurs constituaient une source de gêne sociale pour la jeune génération qui fut, à son tour, victime de la réprobation de ses enfants. »

Oui l’homme immigré est toujours désavantagé et ne peut plus éduquer ses enfants, car il ne maîtrise pas assez la nouvelle langue et sa nouvelle sous-culture de sport, de consommation ou de télévision. Lipovetsky en avait bien parlé pour les Maghrébins en France. Dans la démocratie cool et nihiliste qu’il décrit, les parents n’ont plus droit de cité (sic). Comme dit ailleurs Guy Debord, on ressemble à son temps plus qu’à son père. Le grand livre de Booth Tarkington, la Splendeur des Amberson, mal adapté sur ce point essentiel par l’agent communiste et New Deal Orson Welles, en parle de ce grand remplacement. La technologie actuelle accélère l’inadaptation paternelle.

Mais le maître enfonce encore le clou :

« Ce rejet du père comme symbole du passé va de pair avec la surestimation des valeurs nouvelles et donc de la jeunesse. Le trentième anniversaire est cette date fatidique qui vous met au rebut du jour au lendemain, et mieux vaut ne pas parler du quarantième. Il en va de même avec l’engouement pour tout ce qui est nouveau, et tire sa qualité de cette nouveauté, même s’il s’agit d’une vieillerie sortie tout droit du magasin de friperie. »

La société de consommation s’impose et impose la rapide consommation sexuelle ou autre des femmes (Ô James Bond et le Tavistock Institute !) et des hommes (aujourd’hui confondus dans le sac unisexe) :

« Les slogans proclament imprimés sur les emballages des produits du supermarché même si l’on peut supposer, à juste titre, que farine ou aspirine, il s’agit toujours du même produit. Et le modèle de l’année d’un type d’automobile doit se distinguer du précédent, au moins par une enjolivure, même si ce qui importe, la technique de construction, n’a pas changé depuis des années. »

L’idéal totalitaire va s’imposer : on oublie la famille et on impose un groupe manipulé par un conditionnement ou un danger extérieur (pensez à ces films des années 70 qui bâtis sur l’implosion terminale de la famille imposent la naissance d’un groupe tenu par la peur et l’obéissance à un prêcheur ou un chef-clone issu du Deep State) ; Watzlawick encore :

« A cette foi utopique en l’avenir et au rejet du passé s’ajoute un autre élément, déjà évoqué : l’égalité et la stéréotypie, une éducation fondée sur l’intégration à la communauté. Cette félicité à venir devra être partagée à parts égales, il ne saurait être question de privilèges individuels. Depuis le jardin d’enfants, on inculque aux Américains qu’ils font partie d’un groupe, et que les valeurs, le comportement et le bien-être de ce groupe sont prépondérants. Toute pensée individuelle est répréhensible, sans parler d’une attitude non conforme. Les enseignants s’adressent à leurs élèves comme à un collectif, en se servant du mot class : Class, you will now write a composition about…, et cette entité amorphe qu’est la classe commence sa rédaction. Alors qu’un Européen ne supporte pas d’être pris pour Monsieur Tout-le-Monde, le souci majeur d’un Américain est de ne pas dévier des normes du groupe. »

Ce groupe totalitaire et festif, abruti et bien soumis a donné en Europe les fous de Bruxelles et cette communauté européenne qui nous promet guerre, misère, Reset et totalitarisme informatique.

Mais venons-en au dernier point, le plus tragi-comique : « Il suffit d’insister ».

On sait que l’occident ne veut plus s’arrêter quel que soit le sujet : sanctions, guerres, guerre mondiale, sanctions, dette, propagande, vaccin, sanctions, Reset, mondialisme, féminisme, antiracisme, immigration sauvage, sanctions toujours (treize doses pour rien), Europe, etc. Et s’il y a des problèmes, c’est qu’il n’y a pas assez de tout cela. C’est qu’on n’a pas assez insisté, comme dit notre psychologue et humoriste, qui semble avoir été doté d’une double personnalité.

On l’écoute (extrait de son extraordinaire « Faites vous-même votre malheur ») :

« Cette formule apparemment toute bête : “il suffit d’insister”, est l’une des recettes les plus assurément désastreuses mises au point sur notre planète sur des centaines de millions d’années. Elle a conduit des espèces entières à l’extinction. C’est une forme de jeu avec le passé que nos ancêtres les animaux connaissaient déjà avant le sixième jour de la création… »

La solution souvent n’est plus adaptée ; mais au lieu de le reconnaître, on INSISTE. Watzlawick :

« L’Homme, comme les animaux, a tendance à considérer ces solutions comme définitives, valides à tout jamais. Cette naïveté sert seulement à nous aveugler sur le fait que ces solutions sont au contraire destinées à devenir de plus en plus anachroniques. Elle nous empêche de nous rendre compte qu’il existe — et qu’il a sans doute toujours existé — un certain nombre d’autres solutions possibles, envisageables, voire carrément préférables. Ce double aveuglement produit un double effet. D’abord, il rend la solution en vigueur de plus en plus inutile et par voie de conséquence la situation de plus en plus désespérée. »

On répète, car on boit du « petit laid » : « D’abord, il rend la solution en vigueur de plus en plus inutile et par voie de conséquence la situation de plus en plus désespérée. »

Le maître autrichien poursuit :

« Ensuite, l’inconfort croissant qui en résulte, joint à la certitude inébranlable qu’il n’existe nulle autre solution, ne peut conduire qu’à une conclusion et une seule : il faut insister. Ce faisant, on ne peut que s’enfoncer dans le malheur. »

Watzlawick redéfinit ce phénomène :

« Ce mécanisme, depuis Freud, assure l’existence confortable de générations de spécialistes qui ont toutefois préféré à notre “il suffit d’insister” un terme de consonance plus scientifique : névrose. »

Ensuite il reformule cette aberration du comportement qui est l’essence du comportement apragmatique contemporain :

« Mais qu’importe le terme, pourvu qu’on ait l’effet. Et l’effet est garanti aussi longtemps que l’étudiant s’en tient à deux règles simples. Premièrement, une seule solution est possible, raisonnable, autorisée, logique ; si elle n’a pas encore produit l’effet désiré, c’est qu’il faut redoubler d’effort et de détermination dans son application. Deuxièmement, il ne faut en aucun cas remettre en question l’idée qu’il n’existe qu’une solution et une seule. C’est sa mise en pratique qui doit laisser à désirer et peut être encore améliorée. »

Nous allons à la catastrophe. Mais ce n’est pas grave. Ils trouveront bien quelque chose…




Selon le Dr Michael Nehls, les vaccins anticovid ont transformé les gens en zombies décérébrés

[Source : makismd.substack.com]

Michael Nehls est un médecin allemand titulaire d’un doctorat en génétique moléculaire.

Il a publié deux articles avec des lauréats du prix Nobel.

D’après Wikipedia :

« Le livre de Michael Nehls, The Indoctrinated Brain (Le cerveau endoctriné), a suscité une vive controverse en raison de ses affirmations audacieuses concernant les effets des vaccins à ARNm COVID-19 sur la cognition et l’autonomie humaines. Nehls suggère que ces vaccins, parmi d’autres pressions modernes, font partie d’un assaut global de manipulation de l’esprit humain, visant à faciliter un contrôle gouvernemental accru sur les individus. Ses théories s’alignent sur des récits conspirationnistes plus larges, qui ont été diffusés par le biais de diverses plateformes connues pour héberger ce type de contenu.

Les travaux de Nehls ont été présentés lors d’une discussion avec Tucker Carlson, où il a exposé son point de vue sur la manipulation de la mémoire et de la cognition humaines par la peur, suggérant un effort délibéré pour contrôler la population. En outre, les théories de Nehls ont été citées par des sites conspirationnistes tels qu’Infowars dans un article intitulé “Molecular Geneticist Explains How mRNA Vaccines Were Designed to Conquer the Human Mind” (Un généticien moléculaire explique comment les vaccins ARNm ont été conçus pour conquérir l’esprit humain), ce qui associe encore davantage ses travaux à des récits marginaux.

En outre, The Indoctrinated Brain a été publié par Skyhorse Publishing, une société qui a l’habitude de publier des ouvrages à caractère conspirationniste. Skyhorse Publishing s’est fait une réputation en acceptant des auteurs que d’autres maisons évitent, y compris des personnalités qui ont propagé des informations erronées, notamment de fausses théories sur les vaccins contre le coronavirus. Cette toile de fond place le travail de Nehls dans un contexte spécifique de littérature controversée.

Si les hypothèses de Nehls ont été soutenues par certains cercles, notamment par des personnalités telles que Naomi Wolf et Stephanie Seneff, elles n’ont pas été largement acceptées par la communauté scientifique dominante. Les principales organisations de santé, dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), continuent de soutenir la sécurité et l’efficacité des vaccins COVID-19, réfutant les allégations selon lesquelles ils seraient des outils de manipulation gouvernementale.

Le débat autour de The Indoctrinated Brain illustre la tension entre les théories marginales et le consensus scientifique établi, soulignant les défis de la communication en matière de santé publique et de la lutte contre la désinformation à l’ère du COVID-19. »

[NDLR La véritable science ne fonctionne pas sur la base du consensus (qui n’est lui-même pas un argument scientifique, pas davantage que la notoriété du supposé scientifique), mais sur le doute, la remise en question permanente des connaissances en fonction des nouvelles expériences et des nouvelles données observationnelles, et le respect de la méthode scientifique. Par contre le scientisme moderne (que l’on voit notamment fleurir en climatologie et en médecine) s’appuie sur un consensus guidé ou imposé par la finance et la politique et promu par les médias mainstream (et dans certains cas par des médias alternatifs).]

Michael Nehls est né en 1962. Après un doctorat en médecine et une thèse en génétique moléculaire, il a mené, au sein de grands groupes privés, des recherches sur les solutions médicamenteuses des maladies dites « de civilisation » (diabète, obésité, maladies du cœur, excès de cholestérol). Il a publié plus de cinquante articles scientifiques et travaillé comme directeur de recherche dans plusieurs universités et sociétés privées en Allemagne et aux Etats-Unis. En 2007, ayant lui-même retrouvé la santé grâce à des solutions non médicamenteuses, il quitte ses fonctions et poursuit en tant que chercheur et auteur indépendant. Il a publié quatre livres à succès, dont deux sur Alzheimer.

(Actes Sud)

[Voir aussi :
Rudolph Steiner avait prévu en 1917 un vaccin qui priverait l’Homme de son âme]

Partout dans le monde, les performances mentales diminuent, en particulier chez les jeunes, tandis que les taux de dépression augmentent de façon spectaculaire. Une personne sur quarante souffre aujourd’hui de la maladie d’Alzheimer, et l’âge d’apparition de la maladie recule rapidement. Mais les causes ne sont pas éliminées. S’agit-il d’une coïncidence ? « The Indoctrinated Brain » présente un mécanisme neurobiologique puissant et largement méconnu, dont les multiples perturbations, passées le plus souvent inaperçues, sont à l’origine de ces évolutions catastrophiques. Dans ce livre, le Dr Michael Nehls, médecin et généticien moléculaire de renommée internationale, expose une chaîne de preuves stupéfiante qui suggère que derrière ces nombreuses influences négatives se cache une attaque ciblée et magistralement exécutée contre notre individualité, dans le but de priver les gens de leur capacité à penser par eux-mêmes. Mais il n’est pas trop tard. En révélant ces processus qui endommagent le cerveau et en décrivant des contre-mesures applicables individuellement, Nehls apporte de la lumière et de l’espoir à ce chapitre funeste de l’histoire de l’humanité. La question de savoir si notre espèce sera capable de préserver son humanité et son pouvoir créatif, ou si elle les perdra irrémédiablement, ne sera rien de moins que décidée à notre époque.

https://michael-nehls.com/


Bonus






Explosion de cancers vaxinaux aux USA, selon le CDC




Refusons la tyrannie pseudo-sanitaire que l’OMS veut nous imposer

[Publication initiale : profession-gendarme.com]

Par Dr Gérard Delépine

Durant la crise Covid, l’OMS a été l’instigatrice de mesures contraires aux libertés et aux données de la science. Elles se sont révélées inefficaces contre la maladie, extrêmement dommageables pour les populations qui y ont été soumises et source de profits colossaux pour les élites.

Mais l’OMS, institution non démocratique, non élue et financée à plus de 80 % par des groupes d’influence privés, veut recommencer et, pour y parvenir plus facilement, disposer de pouvoirs supranationaux qui lui permettraient d’imposer une dictature mondiale totale au service de Big Pharma, des GAFAM et des milliardaires.

Les dramatiques échecs des recommandations OMS contre le Covid

Les chiffres de l’épidémie de Covid, publiés par l’OMS et mis en courbe par l’université J. Hopkins, montrent qu’aucune des mesures contraignantes de l’OMS (confinements, obligations du port des masques, pass, obligations vaccinales) n’a été efficace contre la maladie. 939 000 scientifiques et médecins de tous les pays du monde l’avaient clairement annoncé par la déclaration du Great Barrington1.

Nous avions, dès le 27 mars 2020, dénoncé l’imposture des confinements aveugles2 3 4 5. La comparaison des données des Pays-Bas (non confinés) et de la Belgique (sévèrement confinée) a depuis illustré leur nocivité tant sur la recrudescence des infections que sur la mortalité. Avant le confinement, le nombre de contaminations journalières et la mortalité par million étaient semblables dans ces deux pays voisins semblables par leurs démographies et leur mode de vie. Le confinement a fait exploser les contaminations puis la mortalité en Belgique, tandis qu’elles augmentaient deux fois moins aux Pays-Bas non confinés.

Nous avions aussi rappelé6 que la littérature internationale7 montrait que le port généralisé du masque ne protège pas des infections virales. Les données OMS l’ont confirmé : lors du pic d’Omicron les français, soumis à l’obligation du masque ont souffert de 50 % de plus de contaminations journalières/million que les Suédois, non masqués (6000/M versus 4000/M).

Les pseudo vaccins recommandés par l’OMS, et présentés par notre ministre de la santé comme très efficaces, ont été incapables de prévenir la transmission de l’épidémie comme chacun a pu l’observer autour de soi et comme le montrent les comparaisons des données OMS entre les pays très vaccinés et les autres :

Et, contrairement à la propagande de l’OMS et des gouvernements occidentaux, les pseudovaccins n’ont pas non plus protégé les populations ni des formes graves, ni de la mort8 9 :

L’OMS a également prétendu que les traitements précoces étaient inefficaces et milité pour leur interdiction, alors que l’usage du traitement Raoult a sauvé les populations des pays qui l’ont utilisé comme la Côte d’Ivoire, le Sénégal ou l’Algérie (ou la proportion de plus de 65 ans est égale à celle de la France)

Totalement inefficaces les recommandations de l’OMS ont été de plus extrêmement dommageables pour les populations qui les ont subies.

Les confinements ont été source de troubles psychologiques graves persistants10 11, de retards scolaires12, de retard de traitements13, de pertes économiques sans précédent14 et d’un endettement colossal15, d’une aggravation mortifère de la famine en Afrique16.

Les masques ont souvent aggravé les infections respiratoires.

Les pseudo vaccins ont été responsables de nombreuses complications en particulier cardiaques (myocardites), neurologiques, de troubles menstruels et de morts subites.

Les mesures Covid de l’OMS ont permis un enrichissement colossal des milliardaires17.

La fortune des milliardaires dans le monde a augmenté en 19 mois de pandémie Covid plus qu’au cours de toute la décennie précédente.

De mars 2020 à octobre 2021, la fortune des milliardaires français a augmenté de 86 %. Les 5 premières fortunes de France ont gagné 173 milliards d’euros et doublé ainsi leur richesse d’avant le début de la pandémie. Ils ont ainsi capté l’équivalent des trois quarts des 240 milliards du « quoi qu’il en coûte »18. Les 5 milliardaires français les plus riches possèdent désormais autant que les 40 % de leurs compatriotes les plus pauvres.

Avec les milliards d’euros engrangés en 19 mois par les milliardaires français, on aurait pu quadrupler le budget de l’hôpital public ou distribuer un chèque de 3500 euros à chaque Français.

La politique de l’OMS est dictée par ses financeurs privés

Lors de sa création par l’ONU en 1948, l’OMS était financée uniquement par les états en fonction de la fortune et de la population de chaque pays. Mais progressivement les principaux états contributeurs, déçus des politiques adoptées, ont diminué leurs contributions tandis que des entités privées (dont des laboratoires pharmaceutiques, Bill Gates et les fondations Gavi et Bill Melinda Gates prenaient le relais.

Lors de l’exercice 2022-2023, seulement 16 % des ressources de l’OMS provenaient des contributions obligatoires des États membres19 tandis que Bill Gates y participait pour près de 40 %, directement ou indirectement, par ses fondations. Bill Gates est devenu le premier financeur de l’OMS et son influence sur les décisions de l’organisme est d’autant plus importante que la majorité de ses contributions sont fléchées, destinées uniquement à un but précis (pour Bill Gates les vaccinations, si possibles obligatoires, pour toutes les maladies, partout et toujours).

German Velasquez, ancien directeur à l’OMS déclarait à l’occasion d’un entretien sur la politique OMS contre le paludisme20 :

«  Les acteurs privés, comme la Fondation Bill et Melinda Gates, ont pris le contrôle de l’organisation. »

En mars 2020, Tim Schwab21 a souligné les risques moraux de la Fondation Gates qui a donné des centaines de millions de dollars à des sociétés dont elle détient des actions ou des obligations, dont Merck, Sanofi, Lily, Pfizer, Novartis, Teva qui font de plus partie des plus grandes entreprises du monde, telles que GlaxoSmithKline qui développent de nouveaux vaccins et médicaments.

Lionel Astruc estime :

« Une telle participation financière devrait être soumise à un droit de regard des États et des citoyens, tant son pouvoir est grand et sa menace lourde sur nos démocraties »22.

Lors d’une interview au Spiegel23 l’épidémiologiste Tom Jefferson, démontrait les conséquences de la privatisation de l’OMS lors de la crise de la grippe H1N1 :

« Une des caractéristiques les plus ahurissantes de cette grippe, et de tout le roman-feuilleton qui en a découlé, est que, année après année, des gens émettent des prévisions de plus en plus pessimistes. Jusqu’à présent, aucune ne s’est jamais réalisée et ces personnes sont toujours là, à répéter leurs prédictions. Par exemple, qu’est-il arrivé avec la grippe aviaire qui était censée tous nous tuer ? Rien. Mais, ce n’est pas cela qui arrête ces gens de faire leurs prédictions. Parfois, on a le sentiment que c’est toute une industrie qui se prête à espérer une pandémie… L’OMS et les responsables de la santé publique, les virologistes et les laboratoires pharmaceutiques ont construit tout un système autour de l’imminence de la pandémie. Beaucoup d’argent est en jeu, ainsi que des réseaux d’influence, des carrières et des institutions tout entières ! Et il a suffi qu’un des virus de la grippe mute pour voir toute la machine se mettre en branle… « Ne trouvez-vous pas frappant que l’OMS ait modifié sa définition de la pandémie ? L’ancienne définition parlait d’un virus nouveau, à propagation rapide, pour lequel l’immunité n’existe pas, et qui entraîne un taux élevé de malades et de décès. Aujourd’hui, ces deux derniers points sur les taux d’infection ont été supprimés, et c’est ainsi que la grippe A est entrée dans la catégorie des pandémies ».

Lors de la crise H1N1, l’OMS et les gouvernements n’avaient pas réussi à convaincre les populations de la réalité du danger et de l’utilité des vaccins, car les médecins étaient septiques et les médias partagés. Leurs bénéfices des milliardaires ont été moindres qu’espérés, mais ils en ont tiré les enseignements. Lors du Covid, ils contrôlaient totalement l’information officielle et ont disqualifié et/ou interdit les médecins prudents qui s’exprimaient.

L’argent est une drogue très addictive et les super riches en veulent toujours plus. Ils poussent l’OMS à s’arroger encore plus de pouvoir pour asservir davantage et mieux bâillonner les populations lors de la prochaine prétendue épidémie. C’est le but réel des modifications que l’OMS veut apporter au traité sanitaire international (RIS).

Les propositions totalitaires mondiales de l’OMS24 25 26

Le neuvième cycle de négociations sur l’accord mondial de prévention contre les pandémies a commencé le 25 mars 2024. Le directeur de l’OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus a présenté son projet de Traité contre les Pandémies et un nouveau règlement sanitaire international prévoyant des transferts majeurs de souveraineté des pays membres vers l’OMS afin de lui permettre de décider d’une politique sanitaire mondiale contraignante à appliquer partout.

1°) Ce projet veut rendre obligatoires les décisions de l’OMS qui jusque-là n’étaient que des recommandations non contraignantes.

2°) Son article 4 veut limiter la souveraineté des états en stipulant « le droit souverain des États n’existe que dans la mesure où les activités des États ne nuisent pas à leurs populations, ni aux autres pays ».

3°) Son article 15 confierait au Directeur général le pouvoir exorbitant de décider seul s’il y a une urgence sanitaire et de son ampleur avec une vaste extension des éventualités pour justifier une urgence, incluant non plus seulement les pandémies, mais aussi le changement climatique, la perte de diversité…

4°) L’article 18 du règlement sanitaire international (RSI) permettrait à l’OMS :

  • – d’exiger des examens médicaux ou une vaccination ou toute autre mesure prophylactique, et d’en rechercher les preuves ;
  • – de placer en quarantaine les personnes suspectes ou leur appliquer d’autres mesures sanitaires, d’isoler ou de traiter les personnes affectées ;
  • – de rechercher les contacts des personnes suspectes ou affectées ou de les soumettre à un dépistage.

Ces propositions supprimeraient en pratique le consentement libre et éclairé des citoyens aux soins et la liberté de prescription des médecins

5°) Les articles 1 et 2 du traité évoquent les « produits de santé » sur lesquels l’OMS aura une autorité totale de se substituer aux agences sanitaires nationales en s’arrogeant :

  • – Le droit de choisir les produits de santé, alors même que plusieurs contributeurs de l’OMS sont très liés à l’industrie pharmaceutique.
  • – De dresser et publier une liste des produits de santé nécessaires. Détablir et publier des spécifications pour la production des produits de santé nécessaires.
  • – D’élaborer des lignes directrices adéquates à l’intention des autorités de réglementation pour l’homologation rapide des produits de santé (…).
  • – De créer une base de données sur les matières premières et les fournisseurs éventuels.
  • – De créer une bibliothèque des lignées cellulaires pour accélérer la production et l’homologation des produits biothérapeutiques similaires et des vaccins.
  • – De passer en revue et mettre à jour la liste des autorités afin de faciliter les homologations qu’elle jugerait utiles.

6°) L’article 44 et l’article 18 du règlement sanitaire international institueraient une censure mondiale pire que celle qu’on a subie depuis le Covid.

En vue de « contrer la diffusion d’informations erronées ou non fiables » et « combattre les informations fausses et trompeuses ou la désinformation ». La définition des informations « fausses et trompeuses ») serait celle de l’OMS :

« [des informations] qui font “obstacle à l’adhésion aux mesures sociales (…) et qui sapent la confiance envers la science et les institutions de santé publique”. »

L’OMS veut ainsi s’ériger ainsi en juge de la vérité scientifique, grand prête du crédo officiel, pouvant décréter hérétique et censurer toute opinion qui serait contraire aux intérêts de ses financeurs, comme l’a fait d’ailleurs fait en France le gouvernement Macron avec son « conseil scientifique Covid » dont les délibérations sont toujours protégées par le secret défense.

Contre l’OMS, réaffirmons partout nos droits fondamentaux !

Lors d’une conférence de presse à Genève le 28 mai 2023, l’Alliance internationale pour la justice et la démocratie a alerté :

« La centralisation du pouvoir dans les mains de l’OMS menace la démocratie ».

Le président Macron, Ursula von der Leyen et le gouvernement américain actuel sont favorables à ces textes liberticides qui vont être reproposés au vote le 26 mai 2024. S’ils étaient acceptés, nous n’aurions plus de recours légaux.

Si nous voulons refuser que notre santé et nos libertés fondamentales dépendent du bon vouloir de l’OMS, des entreprises privées et des milliardaires qui la financent et qui l’inspirent, c’est maintenant que nous devons nous battre !

Les menaces que ce projet de traité font peser sur nos libertés paraissent autrement plus importantes que la discrimination capillaire qui a récemment occupé nos parlementaires ! Exigeons que l’Assemblée Nationale en débatte, que le Sénat crée une commission d’enquête et/ou que la décision soit soumise à référendum.

Nous ne sommes pas seuls à nous battre pour défendre les libertés fondamentales des citoyens : le Syndicat Liberté Santé27, Bon sens,le Collectif des 300, des juristes français et lInternational Association of Lawyers for Human Rightset bien d’autres au travers le monde se sont déjà mobilisés.

De nombreux pays ont d’ailleurs déjà refusé de donner leur accord aux propositions autoritaires de l’OMS : dont plusieurs nations africaines avec l’Ouganda comme tête de file, mais aussi l’Iran, la Malaisie, l’Estonie, les Philippines et le Brésil28.

Le ministre britannique adjoint aux Affaires étrangères, Andrew Mitchell, a déclaré au Telegraph « qu’il bloquerait toute loi empêchant le Royaume-Uni d’établir sa propre politique de santé ».

Le Sénat de l’État de Louisiane a adopté à l’unanimité le projet de loi 133, une déclaration claire de souveraineté contre l’agenda de l’ONU, de l’OMS et du FEM.

« Aucune règle, réglementation, frais, taxe, politique ou mandat de quelque nature que ce soit de l’Organisation mondiale de la santé, des Nations Unies et du Forum économique mondial ne sera appliqué ou mis en œuvre par l’État de Louisiane ou par toute agence, département, conseil, commission, subdivision politique, entité gouvernementale de l’État, paroisse, municipalité ou toute autre entité politique ».

Informons nos élus pour qu’ils prennent conscience du problème et qu’ils persuadent notre gouvernement d’adopter une attitude semblable. La France ne peut pas abandonner le premier terme de sa devise : LIBERTÉ.

Lire ou écouter aussi :

Appel solennel de N. Farage ex-député européen Nigel Farage plaide pour que tout le monde dise non au Traité sur la pandémie de l’OMS :

« Il s’agit littéralement d’un traité mondialiste qui enlève le pouvoir à l’État-nation. Nous ne devrions pas verser d’argent à cette épouvantable organisation. »

« Là où le Professeur Perronne pourrait aller plus loin, c’est que c’est vrai pour l’environnement, pour les antibiotiques, c’est vrai pour tout !»

@DIVIZIO1

alerte sur l’élargissement considérable du champ d’action de l’OMS dans le cadre de son action #OneHealth. De la…

Et bien d’autres. Le combat est international. Poursuivons-le et nous le gagnerons !





La pierre angulaire de Big Pharma

Par Joseph Stroberg

Sur quoi reposent les larges bénéfices financiers de l’industrie pharmaceutique mondiale ?

Réponse : sur la croyance en l’existence de méchants ou vilains virus et autres germes ou microbes dont l’existence serait simplement vouée à emmerder l’Humanité et accessoirement les animaux et les végétaux en les rendant malades.

Pourquoi ?

Parce que cette croyance permet de vendre des antiviraux, des antibactériens, des vaccins et des pseudo vaccins.

Qu’est-ce qui finance en grande partie la formation universitaire des médecins ?

Réponse : l’industrie pharmaceutique.

Qu’est-ce qui subventionne largement les médias mainstream ?

L’industrie pharmaceutique.

Qu’est-ce qui a permis la justification soi-disant scientifique des mesures « sanitaires » [lire « totalitaires »] ?

La croyance en l’existence de méchants virus.

Qu’est-ce qui a tout intérêt à étouffer les effets secondaires de ses poisons pétrochimiques (appelés « médicaments » et « vaccins ») ?

L’industrie pharmaceutique.

Qu’est-ce qui a tout intérêt à étouffer le nouveau paradigme médical (aux sources anciennes) qui s’appuie sur la théorie du terrain ?

L’industrie pharmaceutique.

Qu’est-ce qui n’est pas prêt de favoriser la reconnaissance de la réfutation scientifique de la théorie des germes et de sa fille virale ?

L’industrie pharmaceutique.

Qu’est-ce qui gagne à entretenir la peur de virus augmentés créés en labos P4, au besoin via le concours de « résistants » ou prétendus tels ?

L’industrie pharmaceutique.

Qu’est-ce qui s’effondrerait si les êtres humains réalisaient qu’ils peuvent être leur propre médecin selon la manière dont ils corrigent leurs déséquilibres divers (par excès ou déficiences) à l’origine première de leurs maladies ?

L’industrie pharmaceutique.

Conclusion

La croyance dans les méchants virus et germes représente la pierre angulaire de Big Pharma. Faites tomber cette pierre et l’édifice s’effondre, entraînant dans sa foulée la chute du Nouvel Ordre Mondial.

[Voir le dossier
Vaccins et virus]




La fin prochaine du libre arbitre humain ?

[Source : marie-claire-tellier]

Traduction MCT

Par Dr Preston James

Le gouverneur Jesse Ventura a présenté une émission télévisée sur les conspirations, dans laquelle il a abordé la question des tours et des transmissions ELF. Dans cette émission, il a laissé entendre qu’un contrôle mental intensif était probablement mis en œuvre par leur utilisation. Les ELF ont d’abord été utilisées pour communiquer à travers le sol avec les sous-marins, comme les ondes P.

Voici un rapport alarmant datant de 1994 sur la technologie Blood Crystal et l’opération Crimson Mist. Ce rapport a été largement ignoré malgré son importance.

Technologie du cristal du sang :
https://prepareforchange.net/2024/04/04/operation-crimson-mist-rwanda-zombie-electronic-elf-genocide-of-1994

[Voir aussi :
Opération Crimson Mist]

Il est probable que cette technologie des cristaux du sang ait été remplacée par des molécules de nanocarbone autoassemblées pouvant servir d’émetteurs-récepteurs et par d’autres nouvelles technologies de nano-émetteurs-récepteurs dans le système sanguin. Ces technologies n’ont pas été utilisées dans tous les vaccins CV, mais chaque fabricant disposait de sa propre technologie et les vaccins obligatoires ont probablement permis de tester de nombreuses technologies similaires différentes afin de déterminer laquelle était la plus efficace pour chaque population. Certaines peuvent être affinées pour des populations génétiques spécifiques liées à l’appartenance ethnique. Si c’est le cas, une grande partie du déploiement actuel est utilisée pour le déterminer.

L’hypnotisation d’environ la moitié ou plus des masses en Amérique est probablement due au déploiement de certaines de ces technologies nano/ELF top secrètes. L’objectif de ceux qui déploient ces armes anti-humaines contre les masses est essentiellement de neutraliser ou d’arracher l’âme des cibles, puis de leur substituer une pensée de groupe qui les rend contrôlées en masse et, dans certains cas, « hissées comme des abeilles à miel », souvent complètement hypnotisées par les mensonges déployés par le gouvernement américain.

Dans un État que je connais, certains pensent que la plupart des vaccins envoyés pour être utilisés et qui devaient rester congelés ont été décongelés et éliminés, puis remplacés par des flacons de solution saline afin d’être payés.

Ces technologies ont été conçues pour réduire et/ou éliminer le libre arbitre de l’homme et pour infiltrer et détourner de grandes masses et populations. Ces technologies sont prétendument utilisées aujourd’hui pour contrôler l’esprit des masses et pour modifier l’ADN humain sous une nouvelle forme. Il s’agit peut-être de la première étape de l’élimination de 90 %, puis de 95 % de la race humaine par la cabale et de la transformation des 5 % restants en créatures non humaines à base de silicium qui ne peuvent pas penser de manière indépendante.

Les micro-ondes ont été utilisées pour la première fois pendant la Deuxième Guerre mondiale par les Japonais contre les chasseurs-bombardiers américains, mais leur capacité d’altitude était limitée. Les Soviétiques ont récupéré les scientifiques nazis spécialisés dans l’armement EMF et ont développé de nombreuses applications EMF différentes, dont certaines incluent des machines de haute technologie pour le contrôle de l’esprit et le sommeil.

Ross Addey, un médecin américain, a acheté une machine russe Lida et l’a utilisée à des fins expérimentales :
https://constantinereport.com/cia-mind-control-history-uclas-dr-w-ross-adey-brain-telemetry

Des armes EMF sophistiquées ont été utilisées pendant la guerre du Golfe pour vaincre facilement la Garde républicaine, qui avait la réputation d’être bien arrosée et de se battre avec acharnement.

Cette opération, baptisée « Voix de Dieu », a inséré la voix de leur dieu directement dans leur tête, leur ordonnant de se rendre pour le rencontrer personnellement.

Lorsqu’ils se rendaient, et qu’ils étaient essentiellement « mesmérisés en masse », ils étaient enterrés dans des fosses communes à l’aide d’un bulldozer. Cette technologie a été mise de côté parce que ceux qui l’ont déployée ne voulaient pas que nous, le peuple, sachions qu’elle existait.

Plus tard, pendant la guerre du Golfe, de petites sphères appelées « poppers » ont été installées au sommet de bâtiments et de véhicules américains et utilisées pour transmettre des ondes électromagnétiques de contrôle mental de masse afin de soi-disant pacifier les masses. Ces sphères ont échoué et n’ont fait que donner des maux de tête aux soldats américains ; elles ont donc été retirées et considérées comme un échec. Il semblerait que les systèmes de téléphonie cellulaire et Wi-Fi aient été remplacés et se soient révélés bien plus efficaces.

J’ai cru comprendre que des expériences étaient menées dans le domaine de la physique des particules quantiques et de l’enchevêtrement de particules sur de longues distances. Cela s’appelait la présence partagée et pouvait théoriquement produire des populations « hives », facilement contrôlées à distance par une psychotronique inductive de très haute technologie. Il est assez facile d’introduire ces nanoparticules dans les masses humaines en utilisant des aliments et des boissons. Certains ont émis l’hypothèse que les nanoplastiques désormais endémiques dans les aliments et les boissons comprennent des circuits secrets qui peuvent servir d’émetteurs-récepteurs.

Les pulvérisations massives de baryum et de nanoaluminium par les chemtrails sont certainement très suspectes et beaucoup de ceux qui savent qu’on leur a dit que c’était pour empêcher la surchauffe de la terre n’acceptent pas cette histoire de couverture.

Ce qui est vraiment triste, c’est qu’une nation comme l’Amérique et les pays de l’Union européenne soient infiltrés et détournés par les plus hauts responsables de la RKM. Ils ont pu le faire en capturant et en détournant le système de fabrication de l’argent et en le convertissant en un système de dette FIAT portant intérêt, dans lequel ils peuvent émettre ou imprimer tout l’argent dont ils ont besoin pour distribuer et prendre le contrôle. Cela leur a permis d’acheter, de corrompre et/ou de compromettre la plupart des hauts responsables des entreprises et des gouvernements et de transférer ou de voler subtilement et secrètement la richesse gagnée par les travailleurs américains.

À moins que la RKM ne soit chassée du pouvoir avec ses principaux représentants, comme beaucoup le pensent, il est probable que le libre arbitre et l’indépendance des âmes humaines prendront fin, ce qui semble être leur objectif.


L’histoire du contrôle de l’esprit par la CIA

Le Dr W. Ross Adey et la télémétrie cérébrale à distance
à l’Université de Californie à Los Angeles

Par Alex Constantine

« En 1984, le Dr Ross Adey, chef de la recherche au Pettis Memorial Veterans Hospital de Loma Linda, en Californie, a obtenu de collègues soviétiques ce que l’on appelle un “mini-émetteur de pic-vert”, baptisé LIDA et apparemment mis au point par Lev Rabichev et ses collègues en Arménie soviétique (voir les informations sur les brevets). Le LIDA fonctionnait sur une fréquence de 40 MHz et bombardait le cerveau d’ondes radio de basse fréquence. Il a été utilisé à titre expérimental par les Russes pour remplacer les tranquillisants et leurs effets secondaires indésirables. Les ondes radio pulsées étaient censées “stimuler le courant électromagnétique du cerveau et produire un état de transe”. »1

Dr Ross Adey

Opération Paperclip (NASA Space Nazi Folk)
Financement du Dr Adey par la CIA

« … Ross Adey, qui a reçu des fonds de la CIA, a découvert que les micro-ondes modulées, manipulées de diverses manières, pouvaient avoir un effet ou provoquer des “schémas électriques spécifiques” dans le cerveau humain, et que chez les sujets, les réponses représentant le conditionnement pouvaient être “améliorées en façonnant les micro-ondes avec une variation rythmique d’amplitude correspondant aux fréquences de l’EEG”. »2

Dr Ross Adey

La CIA et le contrôle électromagnétique de l’esprit

Le Dr Ross Adey, anciennement du Centre de recherche sur le cerveau de l’Université de Californie du Sud et aujourd’hui à l’École de médecine de l’Université de Loma Linda, en Californie, a travaillé sur le tristement célèbre projet Pandora de la CIA. Ses recherches ont porté sur l’induction de modifications comportementales spécifiques par des moyens électromagnétiques, ainsi que sur l’induction d’événements d’efflux3 de calcium pour interférer avec les fonctions cérébrales — ce que l’on appelle « l’arme de la confusion » (plus récemment, le Dr Adey a mis en garde contre les risques biologiques des émissions électromagnétiques des téléphones portables).

Les recherches menées par le Dr Adey au Brain Research Center ont montré l’existence d’une réaction biologique aux rayonnements électromagnétiques. Cette réaction dépend de la fréquence, de l’amplitude et de la dose du rayonnement micro-ondes utilisé.

Dans les années 1980, le Dr Adey a réalisé des expériences cruciales en utilisant des ondes porteuses micro-ondes modulées par des ondes ELF pour modifier les réactions des tissus cérébraux. Il a réalisé des expériences sur des tissus cérébraux de chat, montrant que la liaison des ions calcium aux sites neuronaux était affectée par de faibles champs électromagnétiques. Ces champs avaient une fréquence et une amplitude similaires aux champs produits dans le corps des mammifères et détectés par les électroencéphalogrammes (EEG).

Le Dr Adey a démontré qu’un champ de 147 mégahertz (MHz), d’une intensité de 0,8 milliwatt par centimètre carré au niveau du tissu, provoquait un efflux ou une libération d’ions calcium du tissu cérébral irradié. Cette réponse ne se produit que lorsque la modulation ELF de l’onde porteuse micro-ondes a une amplitude modulée de 6 à 20 hertz (Hz). La stimulation maximale des neurones a eu lieu à 16 Hz, mais de part et d’autre de ce paramètre de fréquence, il n’y a pas eu d’effet.4

Deuxièmement, la police s’est vu accorder l’utilisation exclusive de la gamme de fréquences micro-ondes de 450 MHz. C’est exactement la fréquence utilisée par le Dr Ross Adey, l’expert en contrôle mental de la CIA, dans ses expériences sur la modification du comportement. Il semble que la police ait l’usage exclusif de cette fréquence de contrôle mental et qu’elle dispose d’un vaste réseau d’antennes pour la diffuser dans tout le pays. Très utile pour le contrôle mental de masse en cas d’urgence. Adey a découvert qu’en utilisant une intensité de 0,75 mW/cm2 de micro-ondes à modulation d’impulsions à une fréquence de 450 MHz, il était possible d’utiliser une modulation ELF pour contrôler tous les aspects du comportement humain. Le quartier général de la police du Sussex est relié à des caméras de télévision en circuit fermé (CCTV) réparties dans toute la ville. Certaines de ces caméras sont équipées de dispositifs de télémétrie à micro-ondes qui pourraient facilement être utilisés pour diffuser cette fréquence. Les grandes antennes qui encadrent la ville pourraient également être utilisées.5

En utilisant mon détecteur de micro-ondes, j’ai découvert que les téléphones portables récents émettent un signal micro-ondes modulé par impulsion d’environ 0,75 mW/cm2 au niveau de l’écouteur. C’est peut-être une coïncidence, mais c’est exactement l’intensité requise pour le contrôle du comportement, comme l’a découvert le Dr Ross Adey, le pionnier du contrôle de l’esprit par micro-ondes. En théorie, un signal ELF pourrait donc être ajouté au réseau de micro-ondes afin de transmettre un modèle de comportement précis à chaque utilisateur de téléphone portable au Royaume-Uni. En cas d’émeutes généralisées, la possibilité de diffuser des stimuli comportementaux pour apaiser tous les utilisateurs de téléphones portables du pays s’avérerait utile. Comme les utilisateurs de téléphones portables appartiennent généralement à la classe moyenne, cela signifie que les autorités disposent d’une méthode utile pour contrôler le comportement des principaux électeurs. Les faisceaux porteurs de micro-ondes sont parfaits pour transmettre le potentiel d’excitation de la docilité à l’utilisateur du téléphone afin qu’il reste servile en cas de problème. Lorsqu’aucun signal ELF n’est émis, le téléphone agit d’une manière totalement différente sur le comportement des humains. Dans ce cas, le téléphone à micro-ondes provoque la libération d’ions calcium par les neurones, ce qui rend l’utilisateur fatigué et irritable et, en cas de stress, susceptible de provoquer des explosions émotionnelles telles que la rage au volant.

Le système TETRA émet des impulsions à 17,6 Hz et diffuse à 400 MHz, ce qui correspond essentiellement au projet Pandora financé par la CIA à la fin des années 60 et au début des années 70. Le Dr Ross Adey, chercheur en chef du projet Pandora, a transmis aux principaux chercheurs britanniques une vidéo qui prouve que non seulement le système TETRA provoque une zombification ELF par la libération massive d’ions calcium dans le cortex cérébral et le système nerveux, mais que les ions calcium activés provoquent également des perturbations hormonales massives qui entraînent des déséquilibres frénétiques et des états émotionnels et physiques…….

L’utilisation du système TETRA par la police conduira à des officiers contrôlés psychotroniquement qui peuvent être totalement contrôlés dans n’importe quelle situation et qui sont très utiles pour les états de chaos économique ou social où un comportement extrême et violent est nécessaire sans aucun scrupule conscient ou moral — ce que l’on appelle les robots policiers.6

L’une des premières voix à s’élever en Occident pour exprimer son inquiétude a été celle du professeur Ross Adey. Intéressé dès son plus jeune âge par la radio et le développement des radars, il a obtenu son diplôme de médecine en Australie pendant la guerre, puis s’est rendu à Oxford pour étudier la physiologie du cerveau. Il a été nommé professeur à l’université de Californie en 1954 et, en 1961, il a rejoint l’Institut de recherche sur le cerveau nouvellement créé. En 1965, il a été nommé directeur du nouveau laboratoire de biologie spatiale. Les projets sur lesquels ses équipes ont travaillé étaient liés à l’activité cérébrale du personnel militaire, y compris les effets des rayonnements ELF et micro-ondes pulsés, et ont été financés par la NASA, l’ARPA, la NSF, l’USAF et l’USN. Depuis lors, il est resté à la pointe de la recherche sur ces questions. Il a récemment déclaré : « Je serais très inquiet de voir une radio portable Tetra de quatre watts contre ma tête jour après jour ».

Quelle est donc la cause de cette inquiétude ? Au milieu des années 1960, Adey et ses collègues ont révolutionné notre compréhension du fonctionnement des cellules cérébrales. Au cours des 20 années suivantes, de nombreux articles ont été publiés, montrant que les champs électromagnétiques ELF affectaient la façon dont les ions calcium se déplacent dans le tissu cérébral et la façon dont cela affecte le fonctionnement interne des cellules. Les cellules vivantes sont entourées d’une membrane protectrice solide (la peau) et communiquent avec le monde extérieur par l’intermédiaire de brins de protéines chargés électriquement qui dépassent de leur surface. Ceux-ci transportent des signaux à l’intérieur de la cellule, où ils régulent la croissance, le développement et la division cellulaire. En 1976, il a été démontré que les effets des champs électromagnétiques de faible intensité se produisaient dans la gamme ELF, avec un pic entre 12 et 20 Hz environ. Les effets sont apparus plus clairement lorsque les signaux ELF ont été modulés en amplitude sur les micro-ondes, comme ceux utilisés par les combinés TETRA. Les micro-ondes pénètrent le tissu cérébral et « transportent » effectivement les impulsions ELF au plus profond du cerveau. Il existe également de nombreuses preuves que de faibles niveaux de micro-ondes pulsées peuvent provoquer la rupture de la barrière hématoencéphalique et permettre aux toxines d’atteindre le cerveau.7

[Voir aussi :
Technologies de contrôle mental
Un neurologue de la DARPA avertit sur le contrôle mental
Robert Kennedy Jr. explique comment la CIA a utilisé des expériences de contrôle mental pour apprendre à contrôler les masses
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Implants numériques et contrôle mental]





Cardiologues et cancérologues reconnaissent en privé que depuis les « vaccins », c’est une hécatombe

Aux Etats Unis les données sont publiques : 66 % de décès cardiaques en plus

[Source : pgibertie.com]

Par Patrice Gibertie

@EthicalSkeptic

Mort subite d’origine cardiaque chez les personnes plus jeunes, en hausse de 66 % (21 sigma), la mortalité liée à l’abus de drogues étant supprimée des données. C’est austère, mes amis. Les anecdotes ne sont pas fausses. Si vous êtes un consommateur de drogue occasionnel et que vous avez reçu le vaccin à ARNm, consultez immédiatement votre médecin.

Pour ceux qui ne savent pas lire les graphiques, la création de ces données commence le 26 décembre 2020, 12 jours après le déploiement du vaccin auprès des professionnels de la santé et des personnes à risque. Il ne s’agissait pas uniquement de personnes âgées.

À la semaine 39 2023, la mort cardiaque subite chez les jeunes s’élevait à 930 décès par semaine. Il s’agit de 131 000 jeunes morts, dont une partie était des consommateurs de drogues occasionnels qui n’avaient aucune idée que leur cœur avait été endommagé/affaibli par le vaccin à ARNm.

Cela n’inclut pas les décès d’usagers d’héroïne, de fentanyl et de méthamphétamine. Le 131K inclut les décès survenus en fumant un J, en buvant une bière ou en étant décédés, mais « ayant déjà pris de la drogue » — mais pas au moment de leur décès.

Félicitations à Chris Cuomo @ChrisCuomo pour avoir montré notre analyse des tendances américaines en matière de décès par néoplasmes selon les codes CIM : C00-D48, 15-44 ans dans sa discussion.

Dr JF Lesgards Marseille
@marseille_jeff

Cardiologues & cancérologues reconnaissent en privé que depuis les « vaccins », c’est une hécatombe. Mais ils savent que s’ils parlent, ils sont finis. Même si cette tyrannie est organisée en très haut lieu, ne pas alerter les Français fait que nous avons cessé d’être une société.




« La France est en train d’être effacée ! »

[Source : Les Incorrectibles via lesmoutonsenrages.fr]

Dans cet épisode, Éric Morillot et Pierre Jovanovic discutent du paysage médiatique, des vaccins et du dernier livre de Jovanovic. Ils abordent également l’existence du Christ, les travaux de la CIA, l’homosexualité dans le clergé, les actualités de l’Église et le conflit Israël-Palestine.

  • 0:00 Introduction et discussion avec Pierre Jovanovic
  • 6:20 Discussion sur le paysage médiatique et l’impact des vaccins
  • 12:30 Présentation du dernier livre de Pierre Jovanovic et discussion sur l’écriture
  • 35:03 Discussion sur les travaux de la CIA et la croyance religieuse
  • 41:21 Discussion sur l’homosexualité au sein du clergé et les abus sexuels au Vatican
  • 48:42 Discussion sur les actualités de l’Église et la vaccination
  • 1:02:12 Discussion sur le conflit Israël-Palestine et le rôle des médias
  • 1:20:00 Discussion sur l’importation du conflit israélo-palestinien en France et la critique d’Israël