Pédosatanisme, sujet tabou et étouffé par les médias ?

[Sources : Alexandre Lebreton et archive.org]

La journaliste Élise Lucet, dans un magistral aplatissement médiatique, semble avoir tout oublié du contenu de la célèbre investigation de Pascale Justice. Vous pourrez constater par vous-mêmes s’il s’agit simplement d’un « réseau de prostitution » en visionnant l’intégralité du documentaire (suivi d’un débat historique) le plus censuré de France :



Viols d’enfants : la fin du silence ? est un reportage télévisé suivi d’un débat, diffusé en 2000 sur France 3 dans l’émission Paroles d’enfants, réalisé par les journalistes Pascale Justice, Stéphane Taponier et Cécile Toulec. Présenté par Élise Lucet, le document enquête sur une affaire judiciaire classée sans suite à propos d’un potentiel réseau pédophile à caractère sectaire.

Reportage : Suite aux troubles comportementaux et aux aveux progressifs de ses deux enfants Marie et Pierre, une mère décide de porter plainte contre son mari pour inceste et appartenance à une secte pédophile. Le reportage propose une chronologie de l’enquête judiciaire avec les témoignages de Marie et de sa mère, mais aussi des représentants de la justice impliqués dans l’instruction. Après trois ans d’enquête et de doutes sur la véracité des aveux de Marie, la plainte aboutit sur un non-lieu. Commentaire sur des images factuelles, alternant avec les interviews de Marie et sa mère, de Pierre SABOURIN, psychiatre, psychanalyste et thérapeute familial, de l’avocate de la mère des enfants Catherine LARDON GALEOTE, de Nicole TRICART, chef de la brigade de protection des mineurs de Paris, de Christiane BERKANI, premier juge d’instruction au Tribunal de Grande Instance de Paris, et de Georges GLATZ, fondateur du comité international pour la dignité de l’enfant

Débat : Élise LUCET reçoit des invités pour débattre autour du reportage « Parole d’enfants » sur les aveux des enfants victimes de viol, les efforts faite par la justice pour recueillir les aveux des enfants dans les meilleures conditions, et sur l’existence de réseaux pédophiles en France. Les invités sont Jean Yves le GUENNEC, commissaire principal, chef de la sûreté départementale des hauts de Seine, Frédérique BREDIN, députée de Seine-Maritime, Martine BOUILLON, substitut du procureur au tribunal de Bobigny, Martine NISSE, thérapeute familiale et Georges GLATZ, comité international pour la dignité de l’enfant.

Transcription partielle :

– Voix off : Des deux enfants, c’est surtout l’aînée, Marie (pseudonyme) qui raconte. Ici, elle nous parle de son père et des lieux où il les aurait emmenés.

– Marie (en train de dessiner) : Il y avait un endroit à Paris, dont lui était le chef. Il disait qu’il était un grand mage et qu’il s’appelait « Bouknoubour ». Dans cet endroit, ils portaient des grandes robes blanches avec des bords dorés (elle dessine ici un personnage portant une toge avec sur le buste un triangle dans un cercle). Puis ils faisaient des prières, ils violaient les enfants, ils leur faisaient peur… Il y avait plusieurs autres personnes qui nous violaient, ils nous endormaient avec des espèces de bouillies. Ils nous attachaient aussi sur des tables puis nous frappaient ou ils nous mettaient des aiguilles auprès des yeux pour nous faire croire qu’ils voulaient nous crever les yeux.

– Journaliste : Est-ce qu’ils vous faisaient réellement du mal ? Est-ce qu’ils vous donnaient des coups ? – M : Oui, ils nous frappaient…
– 
J :
Qu’est-ce que tu nous as dessiné Pierre (pseudonyme) ?
– 
Pierre (qui dessine tout en pleurant) :…
Y’avait des monstres… C’était horrible… Ils m’ont violé…

– J : Ils t’ont violé ? C’est quoi violer Pierre ?

– P : C’était toucher le zizi… jouer avec… faire des… J’avais 6 ans, je comprenais pas encore ce qu’ils faisaient…
(…)
Marie (qui dessine également en pleurs) :
Ils les tuaient…

– J : Ils tuaient les enfants ?

– M :oui…

– J : Comment tu le sais ça ?

– M : Parce que je l’ai vu… C’était des petits enfants qui étaient un peu arabe ou des choses comme ça…. Ils leur coupaient la tête…

– J : Quand tu voyais qu’ils coupaient la tête à un enfant, c’était la vérité, ça se passait devant toi ou ça aurait pu être un film ?

– M : Non, c’était pour de vrai, parce que les enfants criaient. Et puis après ils nous disaient qu’ils allaient nous couper la tête aussi, alors ils nous mettaient pareil sur ça… Et après on avait très peur et on croyait qu’on était mort…

– J : Mais pourquoi ils faisaient ça ces gens-là ?
– 
M :
Je sais pas, parce qu’ils sont méchants, ils sont fous ! Je sais pas pourquoi ils faisaient ça, ils sont méchants ! Nous on n’a rien fait, on était des enfants (Marie est en pleurs).

– Voix off : Dès juillet 1996, dès les premières révélations, la mère confie les enfants à un pédopsychiatre qui a déjà traité des cas semblables. Durant trois ans, c’est avec des dessins que le Dr Sabourin a recueilli leur témoignage. Des dizaines de dessins, des dizaines d’heures d’écoutes qui ont forgé sa conviction : il croit les enfants.

– Dr Sabourin : Bien sûr, je crois qu’ils ont vécu des choses incroyables, très difficiles à synthétiser pour eux et à mettre en scène. Ils ont tous les deux une capacité personnelle à les dessiner, ce qui n’est pas toujours le cas…

– Voix off : Marie a dessiné une immense statue plantée, dit-elle, au milieu de la salle de cérémonie. Puis elle a dessiné le pendule et la roue qui auraient servi à des séances d’hypnose sur les enfants, et toujours les déguisements, de grandes capes rouges ou blanches, et des crucifix. Nous avons soumis au Dr Sabourin le dernier dessin que Marie nous a fait.

– Dr Sabourin : Dans ses dessins récents, je retrouve plusieurs thèmes… 4 thèmes qui existaient déjà, où on a une cérémonie avec des gens qui sont visiblement déguisés, avec des croix sur les épaules, ce qu’on retrouve ici (montrant d’autres dessins), on en a trois ici… et le crucifix ici, c’est un crucifix très spécial… Elle disait que c’était un crucifix entouré d’herbe. Alors d’où a-t-elle sorti ça ?! Je n’en sais rien… Est-ce que c’est son imagination, est-ce que c’est une enfant qui délire ? Je ne le crois pas… C’est-à-dire que face à ce type de choses extrêmement précises et surprenantes, moi j’ai plutôt tendance à dire que c’est un élément de la mémoire qui réapparaît. Toujours lorsqu’il s’agit d’un enfant et bien sûr quand il s’agit d’un adolescent ou d’un adulte, ces mémoires de traumatismes précoces sont en mille morceaux. Et c’est avec beaucoup de difficultés, avec beaucoup d’émotions, beaucoup de tensions intérieures et de craintes — ce sont des enfants qui ont peur, ils sont sous la terreur — qu’ils arrivent à livrer un petit passage, un petit morceau de souvenir, ce qui laisse tout le monde sidéré. On se dit : mais enfin, comment se fait-il qu’ils n’aient pas parlé plus tôt ? Comment se fait-il qu’ils ne puissent pas décrire cela tout comme un adulte qui décrirait un scénario, c’est là le gros travail des thérapeutes et des policiers (…)

– Voix off : C’est une véritable organisation impliquant de nombreux adultes que décrivent ces enfants ; et s’ils sont incapables d’indiquer le lieu des cérémonies, en revanche Marie nous a dessiné un plan très précis de l’immeuble et de ses sous-sols.

– Marie (décrivant son dessin) : Alors on arrive en voiture ici… On tournait à un rond-point. Il y avait un groom qui venait nous ouvrir la porte. Ensuite on rentrait dans endroit qui semblait être un hôtel assez chic. Il allait chercher les clés et ensuite on continuait dans un couloir jusqu’à un ascenseur. Ensuite on descendait dans un labyrinthe où il faisait froid, il faisait noir, et ça avait l’air d’être un sous-sol. Ici, il y avait un vestiaire où on allait pour s’habiller avec les vêtements blancs et rouge, ensuite on allait ici : une salle où ils violaient les enfants. Ici c’était la partie où il y avait surtout les filles qui violaient les garçons et mon petit frère, puis ici c’était les hommes qui violaient les filles. Ensuite ici, c’était une grande salle, comme une grande grotte en forme de cathédrale ou de crèche et il y avait beaucoup beaucoup de monde. Il y avait aussi ici une très très grande statue d’un dieu africain ou noir, et quand il grognait, les gens mettaient de l’argent dans de grandes corbeilles qui circulaient. Autour de cette statue, il y avait des cendres, avec des têtes d’enfants sur des piques dans ces cendres…

– Voix off : Des têtes d’enfants au bout de piques… Des têtes d’enfants dont Marie nous dit qu’ils auraient été décapités sous ses yeux, et qu’on retrouve dans plusieurs de ses dessins. Pour accéder à ces sous-sols, Marie décrit en surface un immeuble, une sorte de grand hôtel avec tapis rouge face à un rond-point dans Paris ou sa région. Un bâtiment chic orné d’un perron en arrondi (…)

– Marie (parlant de son père) : Comme il nous violait aussi chez lui, il y avait quelqu’un qui venait à la maison et il se déshabillait. Ils nous mettaient leur zizi dans notre bouche et ils nous filmaient, ou alors, avec mon frère, ils nous disaient de faire des choses…

– Journaliste : Et tout ça ils le filmaient ?
– 
M :
Oui ils filmaient… et après ils amenaient les cassettes dans un endroit qui était je pense à Paris, où il y avait plein de livres sur le sexe et tout ça… et ils déposaient les cassettes là-bas. (…)

– Voix off : Le cadre sectaire et les faits décrits par les enfants sont-ils donc crédibles ou inimaginables comme l’a écrit la juge d’instruction ? Nous avons posé la question à Paul Ariès, sociologue spécialiste des sectes et de la maltraitance des enfants, qui a mené des études pour le ministère de la santé. Nous lui avons soumis l’ensemble des déclarations de Pierre et Marie :

– Enregistrement de Marie : Ils faisaient des prières, ils disaient qu’ils étaient des « pures femmes », ils disaient qu’un jour tous les gens de cette planète s’étaient éparpillés sur la terre et que maintenant il fallait qu’ils les rassemblent, le peuple… en fait il y avait un espèce de dieu, un messager des dieux… qui venait leur dire qu’il fallait bientôt partir sur leur planète ou un truc comme ça…

– Paul Ariès : Moi j’aurais tendance à dire que ce qui nous est raconté ici est complètement inimaginable, c’est à dire qu’un enfant ne peut pas l’imaginer, un enfant ne peut pas l’inventer. Premier élément, ce sont ces éléments de doctrine. C’est-à-dire que nous faisons partie — si l’on se situe du point de vue des adeptes de ce groupe — nous faisons partie d’une élite qui provient d’une autre planète et qui est pour l’instant sur terre et qui sera bientôt appelée à partir. Ça fait partie globalement du fond commun de toutes sortes de réseaux aujourd’hui. La nécessité de tuer quelqu’un pour le sauver ou pour sauver l’humanité. Il y a également toutes sortes de rites où l’on nous parle à un moment donné de ces hommes en disant que ce sont des « pures femmes ». Alors ça c’est quelque chose que l’on trouve relativement fréquemment dans la littérature, la femme est celle qui féconde, ce qu’il faut faire ici, c’est arriver effectivement à féconder ce que l’on appelle « l’Homonculus », c’est à dire le sur- homme. Il me semble que l’on se trouve ici finalement à un croisement entre deux types de réseaux : d’un côté des réseaux soucoupistes — qui croient aux extra-terrestres — et puis d’un autre côté des réseaux de magie sexuelle, et on sait que ces connexions s’établissent de plus en plus.

– Enregistrement de Marie : Il y avait des gens qui avaient des espèces de… pas des masques de plongées, mais des espèces de lunettes avec un truc sur la bouche (masques à gaz ?)… habillés avec des blouses. Et il y avait une table avec dessus des mains d’enfants découpées, une tête d’enfant et puis des espèces de… je sais pas si c’était des boyaux… des trucs comme ça. Et ils mettaient ces choses, les mains et tout ça, dans des bocaux.

– Paul Ariès : Ces mains coupées dans des bocaux, c’est quelque chose qui existe… Alors là encore, il y a plusieurs interprétations possibles. L’on peut avoir tout simplement des pratiques de type cannibalisme, l’objectif étant d’arriver à augmenter sa propre puissance, apprendre aussi à souffrir, j’allais dire apprendre à faire souffrir pour devenir plus puissant…




Adrénochrome et théorie du genre : les enfants cobayes

[Source : GÉOPOLITIQUE PROFONDE]

[NDLR Le terme plus approprié qu’adrénochrome mentionné par Alain Escada est la parabiose hétérochromique]




Les deux armes de la Macronie pour naufrager la résistance

[Source : Le Courrier des Stratèges]




Sang d’enfants et adrénochrome : la parabiose hétérochronique est une pratique de gens riches

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

Jeudi soir, dans l’émission Touche Pas à Mon Poste de Cyril Hanouna, l’ancien dealer Gérard Fauré, connu pour avoir affirmé qu’Eric Dupont Moretti était l’un de ses meilleurs clients à qui il fournissait de la cocaïne, était invité pour commenter l’affaire Palmade. Gérard Fauré est rapidement passé à des sujets plus délicats comme l’adrénochrome et les sacrifices d’enfants. Selon les propos de Gérard Fauré, des sacrifices d’enfants sont pratiqués pour transfuser du sang de jeunes enfants à des personnalités richissimes en quête de cure de jouvence d’un genre particulier. Le micro de Gérard Fauré a été coupé quand il a commencé à parler de Macron et l’émission s’est terminée dans la confusion générale. Depuis, un torrent de critiques s’abat sur cette émission accusée d’avoir exposé des théories « complotistes » et « antisémites ». Un classique.

Il reste à essayer d’y voir clair. L’utilisation du mot adrénochrome pour évoquer une consommation de sang d’enfants a fait son apparition depuis plusieurs années. L’acteur Jim Caviézel (qui a incarné Jésus-Christ dans le film La Passion) a explicitement évoqué le fait que des gens de Hollywood consommaient de l’adrénochrome.

Une certaine confusion peut exister, qui facilite la critique, car l’adrénochrome est le nom donné à une substance chimique commercialisée en toute légalité et qui n’a pas de lien avec du sang d’enfant.

Pour être précis, il faudrait parler de parabiose hétérochronique. Cette expression désigne bien l’utilisation de sang « jeune » pour servir de cure de jouvence. Une pratique jusqu’ici assumée par de nombreuses personnalités de la jet set sans qu’on se préoccupe trop de l’origine de ce sang « jeune ».

Regardez d’abord cet extrait d’une ancienne émission. Antoine de Caunes en parle ouvertement.

Une simple et rapide recherche permet de retrouver différents articles de la presse mainstream évoquant ce sujet.

Le magazine belge Le Vif parle même de « vampirisme médicalisé » pour évoquer la parabiose hétérochronique pratiquée par le milliardaire Peter Thiel « avide de sang ».

« S’il y a une chose qui excite vraiment Thiel, c’est la perspective de transfuser le sang de jeunes personnes dans ses propres veines », écrit le journaliste Bercovici qui avait réalisé une interview de ce milliardaire.

Suite à l’émission TPMP et aux propos de Gérard Fauré, le journal Le Monde a aussitôt dégainé les anathèmes destinés à clore le débat : ces théories sont complotistes et antisémites. Mais le même journal Le Monde a bien lui aussi évoqué précédemment, le 10 juin 2014 pour être précis, la parabiose hétérochronique.

Le journal Le Monde évoquait bien le sang comme « un élixir de jouvence » et les recherches menées sur les effets du « sang jeune ».

Le Monde écrivait bel et bien que « certaines stars du rock se sont laissées tenter par des transfusions pour rajeunir ».

Certes, Le Monde ne parlait pas de sacrifices d’enfants pour récolter ce sang « jeune ». Mais pourquoi serait-il loufoque ou antisémite de penser que les personnes voulant tester les effets de cet « élixir de jouvence » ne se fourniraient pas toutes par des circuits légaux. Ceux qui croient à cet « élixir de jouvence » voudront sans doute que le sang provienne de très jeunes enfants. Ce ne sont donc pas des voies légales qui vont permettre de l’obtenir.

Ajoutons qu’il existe suffisamment de faits avérés démontrant la participation de gens du monde des affaires, du spectacle ou de la politique à des activités et des rituels de type occultiste, maçonnico-sataniste.

Il est donc bien naturel que les Français réclament d’en savoir plus sur ces horreurs.




Les vérités bien cachées sur la guerre d’Ukraine orchestrée par les Khazars

[Source : numidia-liberum via profession-gendarme.com]

Par Biblicism Institute

La vérité sur le conflit avec la Russie. Et la mort imminente du dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale

 « En temps de guerre, la vérité est si précieuse, qu’elle doit toujours être protégée par un rempart de mensonges. »

Winston Churchill

Le conflit actuel entre les États-Unis et la Russie est dû à une raison simple : les Ashkénazes, également connus sous le nom de Juifs ashkénazes. Ils ont de nombreux comptes à régler avec la Russie.

[Note de Joseph : Tant que l’Humanité se polarisera sur le corps, sur la personnalité et/ou sur la prétendue « race » au détriment de l’esprit ou de l’âme, les conflits existeront.
D’un point de vue eschatologique, la destinée de l’Humanité est de sortir du matérialisme qui d’après plusieurs traditions découle d’une influence non humaine, celle des dieux serpents, des démons, des dragons ou encore des anges déchus. En termes plus modernes ou ufologiques, on parle plutôt d’entités intraterrestres ou extraterrestres, comme des Reptiliens ou des Dracos. Le chef de tels êtres a été désigné comme étant le roi ou le prince de ce monde, et dénommé Satan, Lucifer ou le Diable par les chrétiens. Et bien entendu, s’il est réel, l’Humanité abandonnée à elle-même n’aura quasiment aucune chance de se libérer tant et aussi longtemps qu’une masse critique d’êtres humains ne transcendera pas sa nature animale pour atteindre sa dimension divine ou bien sans le concours d’êtres hors du commun tels que le Christ si jamais il revient. Car notamment ce Satan joue sur l’orgueil, la peur de la mort, les désirs sexuels, le besoin de sécurité… des individus pour les éloigner de leur âme et en faire des psychopathes narcissiques, les meilleurs serviteurs humains qu’il puisse trouver. Et ces derniers ne se trouvent certes pas seulement parmi les élites ashkénazes ou khazares, même s’ils peuvent s’y trouver de manière plus concentrée qu’ailleurs parce que le prince de ce monde aurait jeté son dévolu sur cette branche humaine particulière. Aucune ethnie, aucune idéologie, aucune religion, aucun mouvement humain n’est à l’abri. Et des victimes des actes de tels individus alors coupés de leur dimension divine se trouvent partout.]

Vengeance 1

Permettez-moi de transmettre un peu de tableaux chronologiques alors que nous nous plongeons dans le fond du conflit.

Les Ashkénazes sont les descendants des Gentils (Goy) Ashkénazes, les Japhetites :

« Les fils de Japhet étaient Gomer, Javan… Les fils de Gomer : Ashkenaz, Riphath et Togarmah. » Genèse 10:2,3

« Par ceux-ci étaient les îles des Gentils divisées dans leurs terres ; chacun selon sa langue, selon sa famille, selon sa nation. » Genèse 10:5

C’est un peuple turc résilient et itinérant. Les Ashkénazes ont le don de se réinventer. Ils sont d’abord apparus dans les annales mondiales en tant que Scythes ou Sakadéens, selon la phonétique régionale, et ils étaient réputés notoirement barbares,

« En qui il n’y a ni Grec, ni Juif, ni Circoncision, ni Prépuce, ni Barbare, ni Scythe, ni esclave, ni libre ; mais Christ y est tout, et en tous.. » Colossiens 3 : 11

Le mot Scythe ou Sakadéen vient du mot Saka — avec sa racine verbale iranienne Sak, signifiant errer. L’Empire iranien, alors nommé Parthie et attenant à la Scythie, a influencé ce mot.

Les Scythes ont colonisé l’Eurasie centrale qu’ils ont conquise avec leur frère Gentil Togarmath et divers autres cousins, s’étendant sur une vaste étendue de terre qui englobait, mais sans s’y limiter, des parties de la Turquie et de l’Iran actuels. Leur frère Gentil, Riphath, ainsi que les descendants de leur oncle Javan se sont installés en Grèce.

Plus tard, ils se sont réinventés et se sont installés sur une terre qu’ils appelaient Khazaria — du mot Qasar, avec sa racine turque Qaz, signifiant errer — suite à l’éclatement de l’empire des steppes de la Turquie occidentale. Ensuite, le pays s’est converti en masse au judaïsme/pharisaïsme, entre 740 et 920 apr. J.-C., juste pour rester indépendant des deux empires concurrents de l’époque, le christianisme et l’islam.

« Le judaïsme était la religion qui faisait le plus de prosélytisme », a expliqué l’historien juif Shlomo Sand. « La conversion de masse la plus importante s’est produite au 8e siècle, dans l’immense royaume Khazar entre les mers Noire et Caspienne. »

(([1] Comment fut inventé le peuple juif
Antisionisme/antisémitisme : Shlomo Sand adresse une lettre ouverte à Macron, « inculte politique> »
L’Ancien Testament et le génocide))

Puis, Sviatoslav Ier de Kiev détruisit la Khazarie vers 1048 et l’absorba dans la Russie de Kiev, un territoire qui deviendra plus tard une partie de l’Empire russe.
Dans la Russie impériale, les Ashkénazes étaient étroitement contrôlés et enfermés dans la zone de résidence, qui, selon Wikipédia, « était une région occidentale de l’Empire russe avec des frontières variables qui existaient de 1791 à 1917 où la résidence permanente des Juifs était autorisée, et au-delà de laquelle la résidence juive, permanente ou temporaire, était pour la plupart interdite. »

Un traitement pour lequel les Ashkénazes — alias le peuple « Jamais oublier, jamais pardonner », sauf lorsqu’ils commettent eux-mêmes des crimes contre l’humanité — n’ont jamais disculpé la Russie.

Juifs ashkénazes khazars 1878

Attendant leur heure, ils ont nourri leur haine et comploté leur vengeance avec une nouvelle réinvention. Ils sont devenus le pouvoir derrière les odieux bolcheviks qui ont pris le contrôle du gouvernement russe dans les années 1910, tué 66 millions de chrétiens, dont 200 000 membres du clergé chrétien, et détruit 40 000 églises.(([2] Document le plus controversé de l’histoire d’Internet : L’histoire cachée de la mafia khazare incroyablement perverse
– « L’antisémitisme » en Union soviétique
Comment les juifs de Harvard pillent la Russie
En 1994, les juifs Chabad ont comploté pour exterminer les Slaves (partie 2)
Journaliste israélien : Les pires meurtriers du XXe siècle étaient Juifs !
La Clé du Mystère (Partie 4). LE COMMUNISME, MOYEN DE CONQUÊTE JUIVE
– Le rôle juif dans la révolution bolchevique
– LECTURE ESSENTIELLE. La Controverse de Sion
Les juifs russes considèrent les goyim comme leur propriété
– Poutine et ses juifs (partie 1)
Poutine et ses juifs (partie 2)
Que disent Jésus, Einstein, Voltaire, Soljenitsyne, Goethe, Liszt sur l’antisémitisme ?
Russie. Le « meurtre rituel juif » de la famille impériale russe
– Russie. Les atrocités inimaginables commises par les Juifs bolcheviques contre les Gentils : des preuves irréfutables.
Soljenitsyne condamne l’influence juive sur le peuple russe
Vladimir Poutine : « 80 à 85 % des bolcheviques au pouvoir en URSS étaient juifs. »))

Soljenitsyne avec Poutine

« Vous devez comprendre que les principaux bolcheviks qui ont pris le contrôle de la Russie n’étaient pas des Russes », a révélé le célèbre écrivain chrétien russe Alexandr Soljenitsyne. « Ils détestaient les Russes. Ils détestaient les chrétiens. Poussés par la haine ethnique, ils ont torturé et massacré des millions de Russes sans la moindre once de remords humains. Ceci ne doit pas être surestimé. Le bolchevisme a commis le plus grand massacre humain de tous les temps. Le fait que la majeure partie du monde ignore et ne se soucie pas de cet énorme crime est la preuve que les médias mondiaux sont entre les mains des perpétrateurs ».

La grande majorité de ces bolcheviks vicieux étaient des juifs ashkénazes tels que Vladimir Lénine, Léon Trosky, Lev Kamenev, Gregory Zinoviev, Yakov Sverdlov et Grigory Sokolnikov. Ils ont été financés par des banquiers ashkénazes de New York et de Londres(([3] STUPÉFIANT. La City de Londres, aux mains des juifs, est le centre mondial de blanchiment de l’argent sale)), tels que Rothschild Bank et Jacob Schiff of Kuhn and Loeb & Co. qui ont eux-mêmes défendu l’idéologie destructrice de l’ashkénaze Karl Marx, et ont trouvé rentable d’investir dans la conquête désastreuse de la Russie par les communistes, tout en gagnant des dollars dans le processus en pillant le pays via des agents bien placés qui seront plus tard connus sous le nom d’« oligarques ».

L’ensemble de l’empire soviétique russe s’est effondré en 1991. Ainsi, les Ashkénazes ont réussi à mettre la Russie à genoux.

Le Round 1 de la vengeance a ainsi été accompli.

Vengeance 2

La Khazarie chevauchait l’Ukraine et la Crimée

Aujourd’hui, la Russie est sous le feu des critiques pour le conflit en Ukraine. Un conflit déclenché par la néoconservatrice ashkénaze Victoria Nuland au département d’État américain, avec son mari ashkénaze Robert Kagan(([4] – La guerre sans fin : une juteuse affaire de famille (sioniste)
–  Une revenante : Victoria Nuland)) travaillant en arrière-plan via des organisations puissantes telles que Project for a New American Century, la Brookings Institution et le Council on Foreign Relations. L’ashkénaze George Soros a également contribué financièrement à la « révolution » ukrainienne de Maïdan.

« De nombreux participants aux manifestations » EuroMaidan « de Kiev étaient membres d’ONG financées par Soros et / ou ont été formés par les mêmes ONG dans les nombreux ateliers et conférences parrainés par la Fondation internationale de la Renaissance (IRF) de Soros et ses divers instituts d’Open Society. et fondations », a écrit William F. Jasper dans The New American. « L’IRF, fondée et financée par Soros, se vante d’avoir donné » plus que toute autre organisation donatrice « à la » transformation démocratique « de l’Ukraine. »

En d’autres termes, les Ashkénazes — ou les néo-et-vrais-cons [néoconservateurs] américains qui sont majoritairement juifs — aiguillonnent l’ours russe en excitant le chien américain. Le chien ne peut pas vraiment refuser de réagir parce que le groupe de pression juif AIPAC le tient par la laisse, soudoyant à la fois les républicains (Trump inclus) et les démocrates, qui ne sont que des putains politiques prêtes à trahir leur pays et à risquer la paix du monde. Et rappelez-vous, l’AIPAC est contrôlé par de puissants chefs d’entreprise américains ashkénazes. Découvrez comment les Juifs ashkénazes ont conquis l’Occident.

Leur seul but est de détruire à nouveau la Russie en allumant un incendie dans son ventre, l’Ukraine. Un incendie qu’ils prévoient de propager en Russie proprement dite par la guerre économique et militaire — un peu comme ce qu’ils ont fait à l’Allemagne avec le boycott économique de 1933 suivi d’un conflit militaire total. Pourquoi ?

1. Parce que la Russie a eu le culot de se relever de ses cendres encore chaudes induites par les Ashkénazes.

2. Parce que la Russie a eu la témérité d’arrêter leurs agents mafieux bien placés connus sous le nom d’« oligarques », dont beaucoup ont fui le pays vers l’Israël de l’apartheid(([5] Israël est un refuge sûr pour les escrocs juifs
–  Comment les pédophiles juifs se cachent de la justice en Israël
–  La Maffia israélienne. Trafic d’organes humains et Pédophilie
–  Les malfrats israéliens dépouillent des milliers d’Américains et d’Européens, grâce à des gouvernements complices
–  À quel point la guerre contre la Russie est-elle juive ? Soyons honnêtes sur ceux qui en font la promotion)), à partir duquel ils ne peuvent plus violer la Russie et voler ses ressources pour enrichir encore plus l’élite juive.

3. Parce que la Russie a eu l’audace d’entraver la guerre américaine contre la Syrie, qui a été orchestrée par l’AIPAC au profit d’Israël, un ignoble pays d’apartheid qui escroque encore et encore le peuple américain.

4. Parce que, comme l’explique David Sant, « la position de la Russie en tant que membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU avec droit de veto est une épine dans la patte de la bête atlantiste depuis la guerre froide. La volonté de la Russie d’utiliser son armée pour défendre ses alliés en Syrie, en Ukraine et en Arménie présente un facteur de risque incontrôlable pour l’hégémonie (sioniste) anglo-américaine. Ils ne peuvent pas le tolérer. La Russie a utilisé son veto au Conseil de sécurité à plusieurs reprises pour bloquer le bellicisme américain. »

5. Parce que la Russie menace la domination juive ashkénaze du dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale et émise par la Réserve fédérale contrôlée par les juifs : un monopole que la Russie est en train de défaire avec sa réémergence mondiale inattendue, en particulier en Europe, en Asie et au Moyen-Orient où le commerce avec la Russie contourne le dollar américain. Un tel retour de l’ours russe est quelque chose que l’élite juive essaie d’empêcher depuis la dissolution de l’Union soviétique. Ils ont été implacables dans leurs efforts pour maintenir le pays en érigeant des murs économiques et, plus tard sous Poutine, des sanctions paralysantes pour empêcher un tel scénario. Anuradha Chenoy explique :

« … Le gouvernement des États-Unis, en tant qu’émetteur de la monnaie de réserve mondiale, ne s’intéresse qu’à une chose : la prolifération du dollar américain. Ce seul fait est tout ce qu’il faut saisir pour vraiment comprendre la politique étrangère américaine.

Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Cela signifie que le gouvernement américain, en collusion avec la Réserve fédérale, a la capacité d’imprimer le dollar américain à volonté… et peut exporter son inflation vers le reste des nations du monde. Toute nation qui souhaite s’engager dans le commerce international, y compris l’achat de matières premières telles que le gaz naturel ou le pétrole, doit maintenir d’énormes réserves de dollars américains pour ses achats.

Le monde, en effet, agit comme une éponge pour absorber l’inflation américaine, permettant au gouvernement américain d’accumuler des déficits obscènes qui permettent un budget militaire massif et enrichissent une très petite partie de la population américaine au détriment non seulement de la population mondiale, mais aussi de la classe ouvrière américaine.

Quant à toute nation qui veut se libérer du dollar américain, nous ne savons que trop bien ce que les États-Unis lui réservent… C’est là qu’intervient la Fédération de Russie. Si l’on veut vraiment comprendre pourquoi l’establishment américain déteste la Russie sous Vladimir Poutine, il suffit de comprendre le rôle du dollar dans le monde. La Russie est une menace directe pour la prolifération du dollar américain.

Pour sa part, la Fédération de Russie est devenue assez résiliente au cours des 20 dernières années et beaucoup moins sensible à toute pression ou influence extérieure… La Russie est une nation souveraine qui n’est pas intimidée par les États-Unis.

Les États-Unis ne peuvent pas simplement lancer une frappe militaire contre la Fédération de Russie comme ils l’ont fait en Irak et en Libye et dans de nombreux autres pays qui ont rejeté l’hégémonie du dollar. La Russie a désormais le pouvoir d’empêcher la prolifération du dollar américain. Pour revenir à l’analogie de l’éponge : la Russie réduit la taille de l’éponge. Cela laisse le gouvernement américain avec un nombre de plus en plus petit de pays vers lesquels exporter l’inflation en dollars. Plus l’éponge devient petite, plus la politique étrangère américaine devient désespérée, alors que les dirigeants américains essaient par tous les moyens de préserver leur emprise sur la puissance mondiale… »

…. Tout cela au profit d’une petite élite juive et de leur pays d’apartheid qui leur sert de refuge au cas où les choses cesseraient soudainement d’aller dans leur sens. L’apartheid israélien n’existe pas en tant que foyer pour tous les Juifs à cause du soi-disant antisémitisme mondial, comme ils le prétendent, mais c’est :

a) le protecteur de la Réserve fédérale contrôlée par les Juifs — l’agence d’espionnage d’Israël, le Mossad, espionne les politiciens américains et les fait chanter avec leur linge sale, en même temps que l’AIPAC les soudoie sans vergogne, assurant ainsi la domination juive sur le dollar américain, la monnaie de réserve actuelle du monde ;

b) l’exécuteurchargé de détruire tout pays qui refuse d’utiliser le système financier judéo-américain et son dollar fiduciaire comme principal outil de commerce ;

c) le sanctuaire pour les criminels élitistes juifs — en particulier lorsqu’il y aura une véritable révolution américaine, similaire à ce qui s’est passé en Russie sous Poutine, qui cible les oligarques juifs détruisant l’économie américaine pour s’enrichir.

Par conséquent, parce que la Russie est une menace pour l’emprise de l’élite juive américano-ashkénaze sur le pouvoir mondial, elle est ciblée. Et ce qui suit a été lancé :

1) une guerre économique de la terre brûlée contre le pays afin de le détruire intérieurement ;

2) l’OTAN empiétant sur les frontières de la Russie, contrairement aux accords précédents, pour mieux lui faire la guerre dans un futur proche ;

3) les dirigeants juifs ukrainiens et leurs bataillons néonazis commettant des crimes de guerre et le nettoyage ethnique des Russes dans la région ukrainienne du Donbass en quête d’indépendance, qui est habitée principalement par des Russes, afin d’inciter la Russie à une opération militaire pour protéger ses compatriotes russes là-bas, puis les vilipender et imposer des sanctions économiques plus paralysantes.

La vengeance Round 2 est en cours.

Vengeance 3

Après la destruction de la Khazarie, un grand nombre d’Ashkénazes se sont dispersés à l’Est et à l’Ouest à travers l’Europe et se sont réinventés en tant que Juifs errants ou Juifs errants (Khazars/Sakadéens ou Scythes). Cette étiquette n’avait rien à voir avec un désir de Palestine, mais un désir de Khazarie ou peut-être un désir d’une nouvelle terre, n’importe quelle nouvelle terre. Voici un extrait de Wikipédia :

« En 1903, Theodore Herzl a présenté le programme de l’Ouganda britannique [comme foyer juif] au sixième congrès sioniste à Bâle.

À la fin des années 1930, la Ligue sioniste britannique a envisagé un certain nombre d’autres endroits où une patrie juive pourrait être établie. La région de Kimberley en Australie a été envisagée jusqu’à ce que le gouvernement Curtin (en fonction : 1941-1945) rejette la possibilité.

Avec le soutien du Premier ministre de Tasmanie de l’époque, Robert Cosgrove (en poste depuis 1939), Critchley Parker proposa une colonie juive à Port Davey, dans le sud-ouest de la Tasmanie. Parker a arpenté la région, mais sa mort en 1942 a mis fin à l’idée.

L’oblast autonome juif créé dans l’Extrême-Orient russe en 1934 représentait une approche soviétique pour fournir une patrie juive. »

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, un grand nombre se sont assimilés à contrecœur dans toutes les Amériques. Cependant, la grande majorité a émigré en Palestine où ils ont créé de nombreux groupes terroristes tels que Irgun, le Stern gang, et Haganah.. Ils ont terrorisé la population palestinienne, tué des milliers de personnes et forcé des centaines de milliers de personnes à quitter leurs maisons et à se réfugier dans les pays arabes voisins. Par conséquent, ils ont volé la Palestine et l’ont rebaptisée Israël afin de se réinventer en tant qu’Hébreux et tromper les chrétiens crédules en Occident.

« Il est certain qu’il n’y a pas de continuum ethnique ou racial entre les israélites bibliques et les Khazars (ashkénazes) qui dirigent l’État juif », a écrit Gilad Atzmon, écrivain et musicien juif.

Dans leurs pays d’adoption en dehors d’Israël, y compris les États-Unis et l’Europe, les Ashkénazes sont devenus des puissances financières et influentes, non pas parce qu’ils sont juifs — au fond, la majorité d’entre eux ne sont vraiment pas religieux du tout et s’en fichent — mais parce que ce sont des rapaces avisés. Ils ont beaucoup appris de leur errance à travers l’histoire. Ce sont les ultimes nomades.

Était-ce dans l’esprit de Poutine ?

Se pourrait-il qu’après deux échecs idéologiques successifs sous les formes du communisme et la destruction actuelle au ralenti du sionisme en Israël, quelque part au plus profond de l’esprit des dirigeants ashkénazes purs et durs se trouve un plan pour une nouvelle réinvention ?

Cette réinvention sera-t-elle la reconquête de leur Khaganat Khazar — une terre située au plus profond de la Russie et englobant l’Ukraine et la Crimée ? Est-ce pour cela que Poutine a soudainement rattaché la Crimée à la Russie ?

Se pourrait-il que le plan des Ashkénazes soit de reprendre et de réinstaller leur ancienne Khazarie après la chute probable de l’apartheid Israël ? Est-ce la raison pour laquelle le président dûment élu de l’Ukraine a été destitué de force en 2014 afin d’installer un gouvernement fantoche avec un nouveau Premier ministre nommé Arseni Iatseniouk, qui, selon The Guardian, essayait de cacher ses racines juives ?

Arseni Iatseniouk a ensuite été remplacé par un autre Juif, Volodymyr Groysman, avec un président juif sniffeur de coke [une tantouse idole des télévisions occidentales] Volodymyr Zelensky, un comédien cochon et grossier (voir la vidéo ci-dessous), qui aurait été « élu » (qui a volé 850 millions de dollars au Trésor ukrainien) ; faisant ainsi de l’Ukraine à ce moment-là le seul pays au monde, en dehors d’Israël de l’apartheid, dont le président et le Premier ministre étaient tous deux juifs, indiquant ainsi la direction vers laquelle le pays se dirigeait. D’ailleurs, Zelensky ne s’en cache pas, il a déclaré :

« L’Ukraine deviendra le Grand Israël ».

[Comment Zelensky, à gauche, joue du piano]

Wayne Madsen explique la conspiration derrière ce concept ukrainien du Grand Israël :

« L’histoire explosive du Times of Israël sur les racines khazares des Ashkénazes a également révélé qu’Israël, sachant qu’un État palestinien est inévitable, compte tenu de la pression croissante de l’Europe, se prépare à transférer des colons ashkénazes de Cisjordanie en Ukraine. Les recherches avancées d’Israël en génétique ont abouti à l’établissement d’une lignée ADN directe entre les Ashkénazes d’Israël et les Khazars qui ont été dispersés à travers l’Europe centrale et orientale après que la Russie a conquis l’empire khazar au 11e siècle…

En Ukraine, le soi-disant “deuxième Israël” (le magnat milliardaire juif ukrainien), Ihor Kolomoisky et Kiev ont enrôlé un certain nombre d’anciens membres des Forces de défense israéliennes dans leurs bataillons de volontaires, y compris le bataillon (nazi) Azov. L’une des unités israéliennes est connue sous le nom de “Casques bleus de Maïdan” et est commandée par un Israélien utilisant le pseudonyme “Delta”. Si Israël n’avait pas intérêt à étendre son influence en Ukraine, il pourrait facilement empêcher ces unités de se rendre en Ukraine…

Certains russophones du Donbass se méfient des intentions des pro-israéliens au sein du gouvernement de Kiev. Curieusement, Kolomoisky a recruté un certain nombre de néonazi de l’ouest de l’Ukraine et d’Europe pour combattre dans ses bataillons dont les organisations de droite ont toujours souscrit à l’idée d’une future “bataille royale” entre la Russie et les restes de la Khazarie en Israël, en Ukraine, en Pologne et dans la République de Géorgie pour venger la défaite de la Khazarie au XIe siècle face à l’Empire russe. »

Il est tout à fait possible que les Israéliens ne soient pas seulement intéressés par la vengeance et la réinstallation des voleurs de terres juifs (c’est-à-dire des colons) de la Cisjordanie de Palestine dans une région du Donbass ethniquement nettoyée et exempte d’indigènes russes, en particulier lorsque l’establishment juif d’Israël a juré qu’il n’y aura jamais d’État palestinien, et encore moins d’expulser les voleurs de terres juifs des terres volées en Cisjordanie.

Leur plan ouvertement discuté pour que les voleurs de terres israéliens se « réinstallent » en Ukraine pourrait être une couverture pour le but plus néfaste de reconquérir l’ensemble de leur Khaganat Khazar où une grande partie de la population juive d’Israël de l’apartheid, en particulier ceux qui n’ont pas de double passeport de leurs pays d’origine, migrera une fois que la Grande Guerre éclatera au Moyen-Orient.

« En regardant en arrière dans l’histoire, il faut admettre que ces terres sont les anciennes terres ancestrales de la Khazarie juive, c’est-à-dire Israël, capturées par la Rus’ de Kiev (l’ancien État de Russie avec la capitale à Kiev) au Xe siècle », a pontifié il y a 25 ans le rabbin Menahem Mandel Schneerson, un aspirant Messie trompeur. « Les Slaves sont des hôtes temporaires sur ces terres et sont susceptibles d’être expulsés. Nous reviendrons sur ce territoire et construirons la Grande Khazarie — l’État juif — sur ces terres fertiles de la même manière qu’il y a 50 ans, nous avons créé Israël, en évinçant les Palestiniens. Les Israéliens s’installeront partiellement ici et nous chasserons le bétail slave loin au nord, au-delà de Moscou. Il y aura un petit Territoire du Nord, une réserve avec une population compacte — une réserve, comme les réserves indiennes en Amérique. »

Mais les Juifs ashkénazes seraient-ils d’accord avec juste l’Ukraine — moins la Crimée, le Donbass et le Sud (tous les territoires russes avant 1922, habités par des Russes de souche et récemment annexés à la Russie proprement dite par vote populaire) — comme nouvelle base à partir de laquelle ils projetteraient de détruire leur perpétuel ennemi russe, ainsi que tous les autres ennemis imaginaires, et de préserver leur emprise sur le système financier mondial en utilisant leur émission par la Réserve fédérale de dollars américains fiduciaires comme monnaie de réserve mondiale incontestée ?

Vengeance Round 3 ? Niet.
ET L’ARROGANCE S’ARRÊTE ICI

La cabale juive contrôlant le monde financier occidental pensait que la patience russe face à leur agression incessante en Ukraine pour déstabiliser leur pays était une faiblesse, et donc une erreur de calcul.

« C’est un fait qu’au cours des 30 dernières années, nous avons patiemment essayé de parvenir à un accord avec les principaux pays de l’OTAN concernant les principes d’une sécurité égale et indivisible en Europe », a déclaré Poutine en février 2022. « En réponse à nos propositions, nous avons invariablement été confrontés soit à des tromperies cyniques et à des mensonges, soit à des tentatives de pression et de chantage, tandis que l’alliance nord-atlantique continuait de s’étendre malgré nos protestations et nos inquiétudes. Sa machine militaire est en mouvement et, comme je l’ai dit, s’approche de notre frontière même. »

Maintenant, la Russie a agi, et après une longue hibernation, l’ours s’est réveillé avec fureur. Poutine a ordonné à son armée de libérer la région du Donbass des Ukronazis et de démilitariser et dénazifier entièrement l’Ukraine (c’est-à-dire que la région du Donbass sera coupée de l’Ukraine et deviendra indépendante tandis que l’Ukraine doit être ramenée dans l’orbite de la Russie et loin du contrôle juif).

Le Juif nazi-sioniste immoral :
le président ukrainien Zelensky,
Secteur Droit, au défilé de la « fierté gay »

« L’opération militaire spéciale du président Poutine pour défendre le peuple du Donbass contre une offensive générale imminente du régime néonazi de Kiev est non seulement pleinement justifiée en droit international par l’article 51 de la Charte des Nations Unies, mais elle est pleinement cohérente avec la praxis militaire et la doctrine de la légitime défense des États face à une menace imminente émanant d’un État voisin ou de forces ennemies », explique Heinz Dieterich, directeur du Centre des sciences de la transition (CTS) de l’Université métropolitaine autonome à Mexico et coordinateur du World Advanced Research Project (WARP).

Et si les conspirateurs sionistes/néocons et leurs politiciens occidentaux achetés et payés n’ont pas clairement compris le message, Poutine a fait cette déclaration sans équivoque :

« Je voudrais maintenant dire quelque chose de très important pour ceux qui pourraient être tentés d’interférer dans ces développements de l’extérieur. Peu importe qui essaie de nous barrer la route ou, a fortiori, de créer des menaces pour notre pays et notre peuple, ils doivent savoir que la Russie réagira immédiatement, et les conséquences seront telles que vous n’en avez jamais vu dans toute votre histoire. Peu importe comment les événements se déroulent, nous sommes prêts. Toutes les décisions nécessaires à cet égard ont été prises. J’espère que mes paroles seront entendues. »

« J’ai vu la prospérité des méchants… Leur force est ferme… L’orgueil leur sert de collier ; La violence les couvre comme un vêtement… C’est ainsi que sont les méchants — toujours sans souci alors qu’ils continuent d’amasser des richesses… Sûrement (Seigneur) Tu les places sur un sol glissant… Comme ils tombent soudainement et sont détruits, complètement emportés par des terreurs ! » Psaume 73:2,4,6,12,18,19

CONCLUSION : LA RUSSIE ET LE $ US

La Russie est dans le collimateur des barons voleurs juifs (alias les « élites » occidentales) depuis plus d’un siècle, et sa survie même dépend de sa capacité à repousser de toutes ses forces.

En fait, en affrontant les supplétifs néonazis ukrainiens formés par Israël de cette cabale juive satanique qui espère soumettre le monde et détruire le fondement chrétien de la civilisation occidentale, la Russie ne se bat pas seulement pour elle-même, mais pour l’Occident et toute l’humanité.

« La dictature des élites occidentales vise toutes les sociétés, y compris les citoyens des pays occidentaux eux-mêmes », a déclaré Poutine.

« C’est un défi pour tous. Ce renoncement complet à ce que signifie être humain, le renversement de la foi et des valeurs traditionnelles et la suppression de la liberté en viennent à ressembler à une “religion à l’envers” — le pur satanisme. Dévoilant de faux messies, Jésus-Christ a dit dans le sermon sur la montagne : “C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.” Ces fruits vénéneux sont déjà évidents pour les gens, et pas seulement dans notre pays, mais aussi dans tous les pays, y compris de nombreuses personnes dans le monde. Ouest lui-même. »

Avec une victoire de la Russie commencera la destruction du système financier par lequel cette mafia juive contrôle et influence le monde. Le Russe Andrei Bezrukov, membre du Présidium du Conseil de politique étrangère et de défense, est d’accord :

« Je veux dire que l’Occident a réussi à nous entraîner dans cette guerre. Peu importe comment nous avons essayé de résister, c’est leur victoire tactique. Ils ont réussi à heurter deux nations fraternelles l’une contre l’autre.

De cela, nous pouvons tirer la conclusion suivante — maintenant nous avons été pratiquement contraints, surtout après le dernier paquet de sanctions, dans une position où nous n’avons pas d’autre choix que de restructurer totalement notre économie, notre système financier et, en substance, notre politique intérieure.

Le fait est qu’en gagnant tactiquement et en réussissant à nous quereller avec le peuple ukrainien — la guerre, naturellement, est le niveau ultime de querelle — ils n’ont pas compris qu’en faisant cela, ils ont totalement détruit le système même qu’ils avaient construit dans le monde. Ce n’est pas encore visible, mais dans quelques mois, leurs chaînes financières coupées, leurs messages idéologiques brisés et leur système de sécurité brisé deviendront apparents. »

Bloomberg semble être du même avis et conclut comme suit :

« Expulser la Russie du système mondial critique — qui gère 42 millions de messages par jour et sert de bouée de sauvetage à certaines des plus grandes institutions financières du monde — pourrait se retourner contre lui, faisant grimper l’inflation, poussant la Russie à se rapprocher de la Chine et protéger les transactions financières de l’examen minutieux de l’Occident. Cela pourrait également encourager le développement d’une alternative SWIFT qui pourrait éventuellement nuire à la suprématie du dollar américain. »

Et lorsque le FMI se joint au chœur selon lequel les sanctions contre la Russie pourraient se retourner contre la position du dollar américain dans le monde, alors la situation devient vraiment grave.

« Le premier directeur général adjoint du FMI, Gita Gopinath, a averti que les sanctions occidentales contre la Russie, et plus précisément la confiscation des réserves libellées en dollars et en euros détenus par la Banque centrale russe, pourraient se retourner contre eux en rendant les autres banques centrales étrangères plus réticentes à détenir une si grande quantité de leurs propres réserves de change en dollars et en euros », a écrit Zero Hedge.

Prenant les choses d’un cran, Poutine a officiellement décrété qu’à partir du 1er avril 2022, la Russie n’acceptera que des roubles, de l’or ou des bitcoins comme paiement pour les exportations d’énergie vers des pays « inamicaux ».

« Si Poutine applique sa demande d’accepter uniquement les roubles, l’or ou le bitcoin pour les exportations d’énergie, le dollar perd instantanément une utilité significative dans le monde », a écrit Mike Adams. « Les pays qui souhaitent acheter de l’énergie à la Russie — qui comprend la plupart des pays européens — devront d’abord acheter des roubles, puis échanger des roubles contre de l’énergie. Cela donne aux roubles un soutien instantané aux matières premières… La dernière décision de Poutine menace l’avenir même de la monnaie dollar (fiat) et pourrait signifier le début de la fin pour le dollar. »

« Celui qui creuse une fosse y tombera et celui qui roule une pierre, elle retombera sur lui. » Proverbes 26:27


ADDENDA
Un rapide récapitulatif des sionistes ukrainiens

Par Pepe Escobar

Seuls les cerveaux morts à travers l’OTANstan — et il y en a des hordes — ne sont pas au courant de Maidan en 2014. Pourtant, peu de gens savent que c’est alors le ministre ukrainien de l’Intérieur Arsen Avakov, ancien gouverneur de Kharkov, qui a donné le feu vert à un groupe de 12 000 paramilitaires pour matérialiser des hooligans de football de la Sect 82 qui ont soutenu le Dynamo Kiev. C’est ainsi qu’est né le bataillon Azov, en mai 2014, dirigé par Andriy Biletsky, alias le Führer blanc, et ancien chef du gang néonazi des patriotes d’Ukraine.

Avec l’agent de l’OTAN Dmitro Yarosh, Biletsky a fondé Pravy Sektor, financé par le parrain de la mafia ukrainienne et milliardaire juif Ihor Kolomoysky (plus tard le bienfaiteur de la méta-conversion de Zelensky de comédien médiocre à président médiocre).

Il se trouve que Pravy Sektor était farouchement anti-UE — dites-le à Ursula von der Lugen — et politiquement obsédé par l’idée de relier l’Europe centrale et les pays baltes dans un nouvel intermarium sordide. Surtout, Pravy Sektor et d’autres gangs nazis ont été dûment formés par des instructeurs de l’OTAN.

Biletsky et Yarosh sont bien sûr des disciples de Stepan Bandera, collaborateur nazi notoire de la Seconde Guerre mondiale, pour qui les Ukrainiens purs sont proto-germaniques ou Scandinaves, et les Slaves sont Untermenschen.

Azov a fini par absorber presque tous les groupes néonazis en Ukraine et a été envoyé pour lutter contre le Donbass — leurs acolytes gagnant plus d’argent que les soldats réguliers. Biletsky et un autre dirigeant néonazi, Oleh Petrenko, ont été élus à la Rada. Le Führer blanc était autonome. Petrenko a décidé de soutenir le président Porochenko. Bientôt, le bataillon Azov a été incorporé en tant que régiment Azov à la Garde nationale ukrainienne.

Ils se sont lancés dans une campagne de recrutement de mercenaires étrangers — avec des personnes venant d’Europe occidentale, de Scandinavie et même d’Amérique du Sud.

Cela était strictement interdit par les accords de Minsk garantis par la France et l’Allemagne (et aujourd’hui de facto disparus). Azov a mis en place des camps d’entraînement pour adolescents et a rapidement atteint 10 000 membres. Erik « Blackwater » Prince, en 2020, a conclu un accord avec l’armée ukrainienne qui permettrait à son équipe renommée, Academi, de superviser Azov.

Ce n’est nul autre que la sinistre distributrice de biscuits Maidan, la virago Vicky « Fuck the EU » Nuland, qui a suggéré à Zelensky — tous deux, soit dit en passant, juifs ukrainiens — de nommer le nazi avoué Yarosh comme conseiller du commandant en chef des forces armées ukrainiennes, le général Valerii Zaluzhnyi. L’objectif : organiser une guerre éclair sur le Donbass et la Crimée — la même guerre éclair dont le SVR, les renseignements étrangers russes, a conclu qu’elle serait lancée le 22 février, propulsant ainsi le lancement de l’opération Z.

Tout ce qui précède montre qu’en Ukraine, il n’y a aucune différence entre les néonazis blancs et les al-Qaïda/ISIS/Daesh de couleur brune. Ainsi les néonazis sont tout aussi « chrétiens » que les takfiris salafistes djihadistes d’ISIS sont « musulmans ».

Lorsque Poutine a dénoncé une « bande de néo-nazis » au pouvoir à Kiev, l’humoriste (qui sait jouer du piano avec son sexe et qui sait danser en tenue cuir et avec des talons hauts, d’où son succès en Occident) a répondu que c’était impossible car il était juif. Absurdité. Zelensky et son patron Kolomoysky, à toutes fins pratiques, sont des sionistes.

Alors même que des branches du gouvernement des États-Unis admettaient les néonazis retranchés dans l’appareil de Kiev, la machine Exceptionnaliste (US) a tout simplement fait disparaître le bombardement quotidien du Donbass pendant 8 ans. Ces 14 000 victimes civiles n’ont jamais existé.

SOURCE : State of the Nation


NOTES de H. Genséric




Le combat de Cassandre face à la déchristianisation de la France

[Source : medias-presse.info]

Entretien en Suisse avec Cassandre Fristot

Abrutissement et appauvrissement planifié et généralisé, extinction des traditions, remplacement des populations autochtones au moyen de l’avortement, de la stérilisation, de l’euthanasie et de l’immigration de masse. Autant de faits objectifs, qui se résument en un mot, résonnant jusqu’au fond de chaque conscience occidentale : DÉCHRISTIANISATION.

Dans cette belle entrevue menée le 4 février dernier par Haltérophilo, Cassandre Fristot, responsable Civitas Grand Est, nous redonne à tous le courage nécessaire pour nous engager dans le combat final pour la survie de notre Civilisation avec force et vigueur.

[Voir aussi :
Le faux combat contre « l’antisémitisme » de pompiers pyromanes]






Les vraies raisons de la guerre mondiale

[Source : GÉOPOLITIQUE PROFONDE]




« Dieu et la Vraie Science. »

« La crise du Saint Covid a enfin permis de les réconcilier. Amen ! »

Par Alain Tortosa

Il fut un temps lointain où chacun regardait l’autre d’un sale œil.
Le bon vieux temps où l’église brûlait des « scientifiques » est révolu.

Puis vint le temps où la « science » s’est vengée et a tué Dieu à coup d’équations différentielles.

Étions-nous condamnés à les voir s’entre-déchirer pour l’éternité ?

Nous aurions pu le craindre, mais c’était sans compter la venue du Saint Covid. Amen mes frères !

Ses débuts ont été difficiles, au point que les mécréants et les impies s’en donnaient à cœur joie.

Mais quelle est cette nouvelle Religion dont la Sainte Parole est répandue par les membres de l’Église du Coronavirus ?

Voici les principales Tables de la loi que je rappelle aux âmes égarées :

  • Le coronavirus tu craindras.
  • Hommes femmes et enfants il détruira.
  • Le Saint Masque te protégera.
  • L’isolement social tu chériras.
  • Les faux dieux, vendeurs de remèdes miracles, tu rejetteras.
  • La Sainte Ampoule tu t’injecteras jusqu’à trépas
  • Les impies tu terrasseras.
  • Le blasphème tu chasseras.

Cette nouvelle Religion intégrative, qui n’est qu’Amour, a immédiatement connu impiété et sacrilèges.

Sachez que je répugne à les citer, mais comment combattre le Malin sans le nommer ?

Ces profanateurs de Vérité ont tout osé :

  • Affirmer que le coronavirus n’était pas plus dangereux qu’un autre virus.
  • Certains illuminés sont même allés à affirmer qu’il n’existait pas, pas plus que les autres virus.
  • Leur folie est telle qu’ils ont crié haut et fort que non seulement le Saint Masque ne protégeait pas du Malin, mais que celui-ci était dangereux. Allant même jusqu’à traiter de malveillante la maman aimante qui protégeait son enfant des griffes du diable.
  • Aveuglement sans limites, bascule dans un univers totalement incohérent dans lequel le Saint Confinement ne servirait à rien et aurait des conséquences dramatiques.
  • Pire encore, ces adorateurs de divinités païennes faisaient la promotion de pilules miracles, quasi gratuites tels les bonimenteurs du passé.
  • L’inimaginable, le summum de l’horreur fut franchi quand ils accusèrent la Sainte Ampoule de n’avoir aucun effet protecteur et pire encore, qu’elle pouvait rendre stérile ou tuer les personnes jeunes en bonne santé, y compris des enfants.

Nous aurions pu nous croire au siècle des Lumières ainsi nommé par des historiens alors qu’il n’était que ténèbres.

Nous savons tous que ces assassins, ces incroyants ont du sang d’innocents sur les mains.

La situation aurait pu basculer dans le chaos, l’Armageddon était à nos portes !

Allions-nous assister à la fin de l’humanité du fait de ces hordes barbares adoratrices du démon et de l’ogre Poutine ?

Les Saints hommes qui nous protègent, nos fous de Dieux comme Bill Gates, Georges Soros, Klaus Schwab, David Salomon1, ou notre bon Monarque Emmanuel premier, seraient-ils impuissants à les combattre et les renvoyer dans la fange dont ils n’auraient jamais du sortir ?

Allions-nous assister à la victoire du Mal contre le Bien ?

Je vais être honnête avec vous.

Nous sommes passés à deux doigts de l’Apocalypse.

Mais c’est dans les situations les plus désespérées que le meilleur de l’humain se révèle.

Toutes les bonnes volontés de notre chère planète se sont mises à travailler ensemble, main dans la m…
Non, pardon, j’oubliais les gestes barrières et la distanciation.
Accolades, embrassades et serrages de mains appartiennent à l’obscurantisme du monde d’avant.

Cela me fait penser aux orgies, comment les nommer autrement, organisées par ces monstres qui en plein Saint Confinement se réunissaient sans porter le Saint Masque pour ripailler dans des parcs sans le moindre geste barrière.
J’étais horrifié en les apercevant et en même temps terrifié qu’ils ne provoquent la mort de mes enfants protégés par leurs deux Saint Masques.

Ces « choses » — comment les appeler des hommes ? — se faisaient la bise et des câlins pour défier Dieu.
Auraient-ils oublié la Tour de Babel ?
Nul doute que celui-ci a dû les rappeler à lui depuis, à Satan devrais-je dire !
Comment un être d’amour pourrait-il accueillir de telles immondices en son royaume de bonté ?

Alors que la fin était proche, les hommes politiques, prêts à sacrifier leur carrière comme à leur habitude, n’ont pas hésité une seule seconde.
Ils se sont levés tel un seul homme, la main ne tremblant pas, pour balayer en une seconde des siècles de Constitution, de Droits de l’Homme et de Code civil pour protéger les citoyens d’eux-mêmes.
Adieu codes, traités internationaux, lois, jurisprudences et prétendus droits de l’homme !

J’en avais la larme à l’œil…
Quel merveilleux spectacle de voir la Cour européenne des droits de l’homme, le Conseil constitutionnel, le Conseil d’État, tous les députés, sénateurs, juges, policiers, et j’en passe, tous unis dans un objectif commun, faisant table rase du passé et de sa dysharmonie !

Que ceux que j’oublie me pardonnent, nous saurons nous les remémorer quand cela sera rendu possible.
Oui, tous ont été unis pour nous sauver malgré nous, unis comme jamais.

Ce merveilleux travail, pardon, cet acte d’amour, n’aurait été rien sans l’action admirable de mes amis, pardon de mes frères, journalistes.
Ici aussi seule la solidarité a joué.

Il n’y avait plus de grands propriétaires de groupes de presse et d’obscurs pigistes.
La communion était parfaite, une harmonie que l’on ne peut voir qu’une fois par millénaire ou au jardin d’Éden.
De AP, de l’AFP, de Reuters, tous tenaient ce même discours d’amour responsable entonné par les politiques.
Comment rester de marbre avec cette disparition totale de la concurrence et de la critique ?
Plus de journaux d’extrême gauche, de gauche, de droite ou d’extrême droite.
Non, tous unis pour répandre la bonne parole, la parole de la Sainte Église de la Vérité et aider les âmes perdues.

Je remercie spécialement les vérificateurs de l’information, les factcheckers qui ont fait et font un travail formidable pour lutter contre ces immondes complotistes qui se repaissent du malheur des autres et de la souffrance.
C’est aussi en voyant le Diable que l’Amour avec un grand « A » prend tout son sens. Amen !

Il y a aussi les petites mains, minuscules et pour autant vitales qui ont répondu à l’appel de la Foi et de la solidarité.
Comment ne pas remercier tous ces héros de l’ombre ?

Je pourrais vous citer tous les patrons de bar, les restaurateurs, petits commerçants, cinémas, théâtres, je ne peux tous les bénir, tant ils sont nombreux.

Tous ont fièrement interdit l’accès à leurs établissements aux criminels non masqués, adultes et enfants, empêché quiconque de rentrer sans pass sanitaire, test PCR ou preuve d’injection de la Sainte Ampoule.
Sans eux, nous aurions assisté à des scènes d’horreur et de carnage faisant passer le Bataclan ou les Walking-Dead pour une kermesse bon enfant.

Je vous rappelle que ces pourritures d’antivax n’avaient et n’ont aucune conscience.

Ils sont prêts à voler, tuer, violer au nom de leur prétendue « liberté » comme nous l’a rappelé Saint Michel d’Onfray lors d’un prêche.
Comment oser revendiquer le droit de tuer son voisin innocent désarmé, protégé uniquement d’un Saint Masque et de multiples doses de la Sainte Ampoule ?!

Jamais je ne pourrais pardonner la sauvagerie de leurs crimes tel ce pauvre homme entièrement vacciné et protégé par la Sainte Ampoule, tué froidement par un chauffagiste antivax2 (fait divers largement relayé par la presse).
Sans ces assassins le Malin eut été vaincu en quelques semaines…

Nous le savons tous !
Nous ne pouvons blâmer nos autorités, nos gouvernements qui faisaient leur possible pour nous protéger, nous les brebis égarées.
Chaque échec est 100 % imputable aux mauvais citoyens et certainement pas à notre bon clergé.

Nous savons que le Saint Confinement, le Saint Masque, la Sainte Mixture Divine a sauvé des millions de vies, mais ces monstres continuent de nier la Vérité !

Mais je digresse, je digresse et j’oublie l’essentiel.
La science !

Oui la science nous a sauvé mes frères et mes sœurs. Amen !

« Gloire au tout puissant, gloire à la Sainte Ampoule ! »

La Sainte Science qui hier combattait farouchement la Foi
telle une âme errante est venue à notre secours. Amen !

Merci l’OMS, merci Pfizer, merci Moderna, merci le ministère des Solidarités et de la Santé, merci les ARS, merci l’Ordre des médecins, merci l’Ordre des pharmaciens, merci le ministère de la Vérité, merci les médecins de plateau, merci mes frères. Amen !

Vous nous avez permis d’accéder à la Vérité, au Consensus Scientifique, à la Lumière divine !

Vous êtes sortis de ce sectarisme, de cette stupidité, de ces dogmes dans lesquels vous étiez enfermés.
Vous étiez aveuglés par la « preuve », aveuglés par l’hypothèse, aveuglés par l’expérimentation, aveuglés par l’absence d’a priori, aveuglés par une neutralité objective et aveuglés par des dogmes d’honnêteté ou d’absence de conflits d’intérêts…

Mais la lumière divine vous est enfin apparue et vous avez ouvert les yeux, compris que la Science était au service de la Foi, de la Vérité et non l’inverse.

La Vérité ne dépend plus des scientifiques, mais de la parole sacrée de l’Église du Coronavirus

La Science n’est que le doigt, l’instrument du Divin. Amen mes frères !

Quel pas immense pour notre démocratie !
Nous ne sommes plus esclaves de leurs fausses vérités païennes.
La Vérité est proclamée par la Foi qui guide le peuple !

Alors vous, les vrais scientifiques, vous vous êtes mis au travail afin de démontrer la Vérité.
Vous avez conduit de nombreuses études et expériences pour prouver par exemple l’efficacité du Saint Masque.

Un être de Foi n’a pas besoin de démonstrations, s’il en est, mais vous avez travaillé pour sauver les âmes perdues des incroyants.

Vous avez étudié le plus honnêtement possible l’efficacité du Saint Masque.

Ne riez pas mes frères qui avaient été touchés par la grâce divine, vous SAVEZ qu’il protège, nul besoin de démonstration scientifique pour accéder à la Vérité.
Mais je vous rappelle que ces Saints hommes travaillaient à apporter la lumière à ces ordures de complotistes, corps biologiques vivants, mais sans âme.

Quel courage, quelle abnégation !
Oh ! la vie n’a pas été un long fleuve tranquille, croyez-moi.
Tantôt il leur fallait balayer des siècles de recherches, d’expériences et d’études publiées.
Tantôt leurs recherches ne donnaient pas les résultats escomptés et ils parvenaient à des résultats apparemment opposés aux Tables de la Loi, preuve de quelque erreur, nul n’est parfait en ce monde hormis la Sainte Ampoule !

Croyez-vous qu’ils ont baissé les bras ?
Croyez-vous qu’ils ont renoncé ?
Non, mes frères :

  • Au nom de la vraie Science, ils ont rédigé des conclusions à l’opposé de leurs trouvailles, conscients de leurs erreurs évidentes.
  • Au nom de la vraie Science, ils ont éliminé les données erronées qui contrariaient les dogmes de la Foi.
  • Au nom de la vraie Science, ils ont publié, de vraies études avec des données divines.

Les Scientifiques de l’Église n’ont pas œuvré dans le vide.
Enfin la Science et la Foi parlaient à l’unisson. Amen mes frères !

Mais ils ne se sont pas arrêtés sur le chemin pour transmettre la bonne parole et répandre la Vérité.

Si d’aventure ils ne disposaient d’aucune étude publiée, par exemple qui prouve que la Sainte Injection protège des contaminations…

  • Allaient-ils annoncer sur les plateaux télé qu’ils ignoraient si cela fonctionnait ?
  • Allaient-ils battre retraite ?
  • Allaient-ils fuir tels des lâches ?
  • Allaient-ils renoncer ?
  • Allaient-ils donner du grain à moudre aux complotistes ?

Non, mes frères !
En gardiens fidèles de la Foi et des Écritures Sacrées, ceux-ci n’ont pas hésité à piétiner leurs serments et affirmer :

« Les études prouvent. »
Amen !

Et ce quand bien même nulle ne l’indiquait.
Ils sont allés au-delà de l’orgueil des hommes voulant défier Dieu.
Ces Scientifiques, ces médecins, ces héros, ces Saints Hommes, nous ont sauvés du mécréantisme.

Il n’est que justice qu’ils soient aujourd’hui récompensés par des Légions d’honneur, bien maigre récompense au regard de leur héroïsme !

Et c’est là la beauté de l’histoire, la morale de la vie, le jugement de Dieu !

Les grands hommes, les grands scientifiques sont récompensés pour avoir mis leur Science au service de la Vérité tandis que les pourritures de complotistes sont exclus ou condamnées par leur ordre.

Ces médecins véreux qui n’affirment qu’en se référant à des études…
Cela pourrait passer encore.
Mais non !
Ces athées ne croient qu’aux études dans lesquelles les auteurs n’ont aucun conflit d’intérêts et pour lesquelles il n’existe aucun biais majeur.
Qu’ils ne s’étonnent pas de devoir subir les foudres du Créateur de la Sainte Ampoule !

Ceci relève de la même absence de déontologie que les prétendus journalistes de France-soir pour ne citer qu’eux, qui diffusent des informations après avoir enquêté par eux-mêmes.
Ne riez pas, je n’invente rien.
On croit rêver, les bras m’en tombent !

Rendez-vous compte qu’ils ne font pas comme leurs collègues croyants qui, avec professionnalisme et déontologie, ne publient QUE des informations vérifiées relayées par l’AFP !
Une information garantie estampillée « approuvée par le ministre de la Vérité » compatible avec les Saintes Écritures.
Certaines âmes perdues se demandent si les vrais journalistes vérifient les dépêches AFP.
Blasphémateurs, la Vérité de la Foi n’est pas source de questionnements ou de doutes.

J’ai honte quand je pense à ces malades qui publient n’importe quoi.

Nous vivons une époque formidable.

J’espère que vous êtes conscients de la chance que vous avez de participer à ce Grand Tout.

C’est la première fois dans l’histoire de l’humanité que nous pouvons assister à une telle solidarité, à une telle fraternité d’action et de pensée.

La vraie Science et les Saintes Écritures avancent de front vers la Lumière. Amen !

Tous unis dans un seul but : répandre la Vérité.

Merci aux hommes d’influence, merci aux autorités scientifiques, merci aux hommes de sciences, merci aux médecins, merci aux politiques, merci aux autorités judiciaires indépendantes de tout libre arbitre, merci à tous du plus grand au plus petit pour votre action au service de la Foi et de la Vérité de la Sainte Ampoule.

  • Sans vous, nous aurions étés balayés par le Coro-Malin.
  • Sans vous, ce serait le chaos instauré par les complotistes.
  • Sans vous, l’immonde Poutine rayerait la planète.
  • Sans vous, mon petit neveu prisonnier d’un corps de fille, victime du satanisme de ses géniteurs, ne pourrait pas changer de sexe à 4 ans.
  • Sans vous, des femmes, pardon des individus au sexe non déterminé par la naissance, qui ne veulent plus de leur futur bébé conçu lors d’un acte contre nature avec un complotiste, ne pourraient avorter à 8 mois de grossesse et seraient obligées d’enfanter une créature satanique.
  • Sans vous, les hommes de valeur, les Saints gardiens de la Foi, dont la vie est si chère dans nos cœurs, ne pourraient pas se servir en organes en Ukraine.
  • Sans vous, l’amour si pur entre un homme de la Sainte Église du Coronavirus et un enfant ne pourrait être légalisé.
  • Sans vous, le changement climatique, avertissement divin, ne saurait être inversé et supprimerait toute vie sur Terre.

Alors
Merci, merci, merci mes frères.
Amen !

Mais attention le combat contre les forces du mal est sans fin.
Les complotistes, les faux « scientifiques » espèrent convaincre que leur « vérité scientifique » a une valeur et qu’elle pourrait fragiliser les Tables de la Foi !
Leur naïveté est pitoyable…

Ils continuent à lutter, jour après jour, depuis des mois, sans relâche, tels des rats dans une cave cherchant à grignoter les doigts d’un jeune enfant, pour « démontrer ».

Mais bande de fous païens inconscients, la Foi, la Vérité de la Sainte Ampoule ne peut avoir tort !

Quand allez-vous ouvrir les yeux et le comprendre ?
Vos gesticulations et vos « démonstrations » sans fin ne touchent que vous !
Alors, ouvrez les yeux, abandonnez votre combat pitoyable, et rejoignez la lumière.

Alain Tortosa3 croyant de la première heure.
9 février de l’an IV de la Vérité Révélée.
Https://7milliards.fr/tortosa20230209-dieu-lascience-covid.pdf





Une performance satanique primée aux Grammy Awards, sponsorisés par Pfizer (et quelques autres)

[Source : leblogdejeannesmits]

Ils cochent toutes les cases, et ça paie. La couple de chanteurs Sam Smith (qui se dit non-binaire) et Kim Petras (« homme devenu femme ») a remporté le Grammy Award du meilleur duo pop pour leur chanson Unholy (impie, maléfique…) à la mise en scène satanique. La cérémonie des Grammy Awards a eu lieu dimanche soir à la Crypto.Com Arena de Los Angeles grâce au parrainage officiel d’IBM, Google Pixel, Mastercard, Grey Goose, Amazon Music, JBL, City National Bank, United Airlines, Hilton, People, Frontera, FIJI Water et SiriusXM. Non mentionnés sur la liste mais partenaires financiers : les laboratoires Pfizer dont les téléspectateurs ont vu le logo s’afficher lors de la transmission de l’événement, et qui ont confirmé leur participation.

Ajoutez que Jill Biden en personne était présente et qu’elle a remis le trophée de la meilleure chanson, et vous verrez que la boucle était bouclée entre pouvoir commercial, pouvoir pharmaceutique et pouvoir politique qui soutiennent toutes les inversions.

La mise en scène mêlant imagerie diabolique et chorégraphie lascive pour illustrer Unholy (le texte de cette chanson « délicieusement débauchée », dixit un critique américain, s’adresse aux enfants pour leur dire que leur papa est parti commettre l’adultère dans un club pendant que maman reste à la maison) a déclenché la colère de nombreux chrétiens aux Etats-Unis, évidemment accusés par la presse mainstream d’« ultra-conservatisme » voire de mépris pour la communauté LGBT.

Il n’est sans doute pas utile de décrire dans le détail la « performance » qui montre Sam Smith déguisé en diable à cornes (et qui a reçu son prix vêtu d’une sorte de cappa magna détournée) et entouré de femmes exécutant une danse obscène, tandis que Kim Petras suit le spectacle depuis une cage avec d’autres choristes non moins obscènes, le tout sur fond de flammes et de lumière rouge. Tout cela est parfaitement visible ici, affichage du logo Pfizer compris.

Le magazine Newsweek apporte cette intéressante information : ayant contacté Pfizer pour savoir si la société avait effectivement sponsorisé la chanson, étant donné notamment que le logo était apparu juste après la diffusion de Unholy, la réponse officielle a été rapide, précisant : « Nous avons parrainé l’ensemble de l’événement des Grammy’s, pas une prestation particulière. Au-delà de cela, nous ne faisons aucun commentaire sur nos initiatives destinées à sensibiliser le public » (« raise awareness »).

Autrement dit : oui, nous avons payé, et nous cultivons le secret quant à nos entreprises de sensibilisation. Sensibilisation à quoi ? Au talent artistique ? Sûrement pas, il se suffit à lui seul, non ? A un sujet « sociétal », alors ? C’est en ce sens que le mot est habituellement employé. Et ici, il s’agit clairement de soutenir, fût-ce globalement à travers les Grammy, une manifestation particulièrement perverse de l’idéologie du genre et du refus des règles morales de base.

On notera surtout que Pfizer ne se distancie en rien de la chanson et de sa mise en scène. Qui ne dit mot consent, surtout s’agissant d’une émission publique et tous publics qui a attiré des commentaires négatifs.

A Pfizer, il faut d’ailleurs ajouter tous les sponsors de cette « atrocité ».

C’est le mot choisi par Mgr Joseph Strickland, évêque de Tyler au Texas, qui a réagi sur son compte Twitter : « Cette atrocité devrait être dénoncée par tous les artistes musicaux de la nation. Mais au lieu de cela, il y a une symphonie du silence. La dépravation dans notre nation atteint des niveaux dévastateurs. Nous devons implorer la miséricorde de Dieu. »




Ramzan Kadyrov : Les masques sont tombés

[Source : reseauinternational.net]

Le chef de la Tchétchénie, Ramzan Kadyrov, a souligné à juste titre la caractéristique clé de la confrontation cognitive : l’Occident s’est amené à un état où il est très difficile de lui reprocher quoi que ce soit de compréhensible pour les gens normaux.

Selon lui :

« Les masques sont tombés.

Maintenant, il ne fait plus aucun doute que presque tous les pays européens sont adeptes du satanisme.

À Copenhague, le Saint Coran a de nouveau été brûlé.

Le satanisme et le nazisme dans ces pays se cachent maintenant derrière la « liberté d’expression ». Tout comme il y a un siècle, Hitler a été le premier à se cacher derrière la culture d’une race pure et la purification de la société.

Et quels que soient les efforts déployés par les dirigeants européens pour se distancier de telles comparaisons aujourd’hui, elles sont là – le même fléau fasciste se développe en Europe comme au siècle dernier.

Il y a une douzaine d’années, lorsque de tels cas étaient sporadiques, nous pensions encore naïvement qu’il ne s’agissait que d’une petite partie de la société qui devenait folle d’une certaine manière.

Mais maintenant, c’est devenu si fréquent et si systématique qu’il n’y a plus aucun doute : l’Europe attise délibérément l’inimitié religieuse, en utilisant des méthodes provocatrices pour encourager les musulmans à défendre à tout prix les Saintes Écritures, pour ensuite les accuser de crimes.

Et le plus intéressant est qu’ils ne peuvent être affectés par aucune des réactions de colère ou de représailles.

En les traitant de sous-hommes, en les insultant, en les méprisant ? Ils en seraient ravis. Brûler le drapeau de leur pays ? Cela a déjà été fait, ils ne se soucient pas de leur propre drapeau. Profaner quelque chose de sacré pour eux ? Y a-t-il « quelque chose de sacré » pour eux ?

Les dirigeants hypocrites et cyniques de ces pays ont encore le culot de nier qu’ils s’attaquent aux sentiments religieux des gens, et pas un mot sur le fait que de telles actions de porcs ont lieu sous l’œil vigilant de la police, et donc avec la permission de ces mêmes autorités.

C’est de la duplicité pure et simple.

Pour ma part, j’ai trouvé une solution et je veux la transmettre à tous les satanistes d’Europe : chaque fois que vous insultez notre religion avec des caricatures et des autodafés de Coran, nous sommes de plus en plus convaincus que l’OTAN doit être écrasé par tous les moyens.

L’Europe, c’est l’OTAN.

Et maintenant, les chiens de l’OTAN sont dispersés tout le long de la ligne de contact en Ukraine, où nous écrasons cette racaille satanique. Est-ce à cause de l’opération spéciale en Ukraine que vous violez le sacré ?

J’ai longtemps dit que cette guerre était sacrée pour les musulmans et maintenant il n’y a plus de doute.

Les masques sont tombés. »

source : Politikus

traduction Avic – Réseau International




Corruption des élites : la guerre des mondialistes

[Source : Chaîne officielle TVL]

C’est une guerre hors limite ! Une guerre par infiltration plutôt que par invasion, une guerre révélée par les événements en Ukraine : la subversion de nos institutions par les élites mondialistes se déploie dans tous les domaines. Leur objectif consiste à établir une gouvernance mondiale de nature religieuse, totalitaire et technocratique, fondée sur les ruines des nations et des peuples. Pour y parvenir, la manipulation mentale et des techniques d’ingénierie sociale neutralisent toute volonté de résistance. Mais pour l’analyste économique, Stanislas Berton, le règne des mondialistes touche à sa fin. Une théorie qu’il développe dans son dernier ouvrage : « L’Homme et la Cité » tome III. Pour éviter leur victoire, il invite les Français à la prise de conscience des réalités et cela commence par ouvrir les yeux ! Comme le disait Georges Bernanos :

« Les Français ne peuvent pas être sauvés, car ils passent leur temps à se mentir à eux-mêmes ».

[Voir aussi :
Un choix déterminant
Humanisme Nouvel-Âge vs Christianisme
Une emprise sur l’Humanité
Réenchanter le monde
France, relève-toi !
L’épée, le bon grain et l’ivraie
Vers l’IA ou vers l’Humanité
Mourir libre ou vivre esclave
La fin de la mondialisation
Manifeste pour un nouveau monde]




Pour Kémi Séba, « les élites sont notre problème », quel que soit le pays

[Source : Club Infos]

Kémi Séba fait de très lourdes révélations.

https://youtu.be/sGrQATmzp1Q



Restez couchés : Avis de recherche !

[Source : Ma France]

C’est arrivé juste devant toi, t’étais où, t’as même pas bronché



 Brunolelosq 




Les mensonges professionnels : un outil d’auto-génocide de l’individu et de l’Humanité

Par Patriarcat Catholique Byzantin


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« Le diable est un menteur et un meurtrier ».

(Jn 8, 44)

« Et ce n’est pas étonnant ! Car Satan lui-même se transforme en ange de lumière. Il n’est donc pas étonnant que ses ministres se transforment eux aussi en ministres de justice, dont la fin sera conforme à leurs œuvres ! »

(2Cor 11:14-15)

Leur fin sera en enfer !

« Dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge ».

(Ap 22:15)

À qui sert Internet, Google, les réseaux sociaux et les médias de masse ? À l’Esprit de vérité, ou à l’esprit du mensonge ?

Les créateurs des médias sociaux disent que publier la vérité est ennuyeux pour les gens. Les gens veulent entendre des mensonges. Ils ont admis publiquement que c’est la raison pour laquelle le rapport entre la vérité et le mensonge dans les médias est de 1 contre 6. Cependant, ceux qui ont reçu le mensonge comme étant le leur, le considèrent comme la vérité et ne veulent pas admettre qu’ils ont été trompés. De plus, ils diffusent même ce mensonge comme étant la vérité. Les grands médias d’aujourd’hui, et en particulier Internet, sont contrôlés par ceux qui servent l’esprit de mensonge et de mort. L’ensemble du système antichrétien actuel est construit sur un mensonge. L’Écriture prévient :

« Le malin viendra avec la puissance de Satan… Il usera de toute espèce de tromperie diabolique pour tromper ceux qui sont sur la voie de la perdition, parce qu’ils refusent d’aimer et d’accepter la vérité qui les sauverait. Et c’est pourquoi Dieu les livrera à la puissance de la tromperie, et ils croiront au mensonge ».

(2Th 2:9-11)

Cet avertissement s’applique également à l’Église catholique actuelle, qui n’aime ni ne sert la vérité. Au contraire, elle promeut et aime les hérésies et les mensonges grossiers, comme nous le voyons avec l’actuel pseudo-pape François et ses adhérents corrompus dans la hiérarchie qui est concentrée au Vatican et en Allemagne.

Une loi spéciale agit sur l’homme : même s’il a été trompé mille fois, il continuera à croire aux mensonges. En revanche, il doutera toujours de la vérité, et s’il est obligé de souffrir pour elle, il s’en offusquera et la rejettera. Pourquoi ? Parce qu’il est préoccupé par son propre ego, qui est la source du mal. Le cœur du premier homme a été infecté spirituellement par le père du mensonge (cf. Jn 8, 44), le serpent infernal (Gn 3, 13). La personne qui est sous l’influence de l’ego ne veut pas que la Vérité incarnée la délivre du mensonge et lui accorde la vie éternelle. Elle ne veut même pas admettre que le mensonge avec lequel elle s’est unie lui fait du mal non seulement à elle, mais aussi aux autres. L’homme est fortement enclin au mensonge et à l’auto-illusion. Il défendra jusqu’à la mort ceux qui le flattent et le trompent, et haïra ceux qui lui disent la vérité.

Comment est-il possible qu’il y ait des lois aujourd’hui selon lesquelles des enfants peuvent être volés à n’importe quelle famille ? Jusqu’à tout récemment, si un enfant était volé à ses parents, une recherche mondiale était lancée immédiatement. Si le criminel était retrouvé, il recevait la punition la plus grave. De plus, comment est-il possible que l’on ne puisse pas dire, à partir des textes des nouvelles lois, qu’ils ont intégré le crime programmé ? Même les meilleurs avocats ne sont pas en mesure de le détecter, et diront très honnêtement : « C’est une excellente loi ». En fait, cette loi possède un programme de criminalité codé.

L’ancien président de la République tchèque, V. Klaus, a refusé de signer cette loi dotée du titre manipulateur « sur la protection sociale et juridique des enfants », que l’ONU a tenté d’imposer pendant trois ans. Les médias l’ont présenté comme un cynique qui ne se souciait pas des enfants, ni même des orphelins. Mais il protégeait en fait les enfants. Il savait très bien ce que contenait cette loi insidieuse, c’est pourquoi il s’y est opposé à plusieurs reprises. Mais il était impuissant contre la campagne médiatique. La loi a finalement été appliquée. Quel système insidieux de mensonges ! Si un avocat avertit ouvertement contre les abus de la loi, ces abus ne sont toujours pas stoppés et cet avocat sera soumis à une persécution. L’un après l’autre, les États adopteront ensuite la loi malveillante. Comment peut-il être possible qu’un véritable mot d’avertissement contre le crime n’ait pas de force ? La question du vol des enfants n’est-elle pas la chose la plus sensible ?

La nouvelle législation internationale, avec ses conventions, ses résolutions et ses recommandations, défend fanatiquement les privilèges pour toutes les orientations sexuelles possibles. Ceux-ci incluent désormais non seulement les homosexuels, mais aussi les pédophiles, les transsexuels, les zoophiles, les sadomasochistes et les meurtriers sexuels. Une de ces personnes ayant cette soi-disant orientation sexuelle innée a tranché la gorge de plus de cinquante femmes. Néanmoins, ces personnes déviantes sont toujours considérées comme des victimes innocentes et lésées. Cette fausse opinion publique a été créée exprès. Celui qui les appelle par leur nom propre sera puni en tant que « -phobe » criminel. La loi permet désormais à une personne d’être poursuivie pour de simples soupçons selon lesquels elle pense de manière critique par rapport à un sodomite, une personne transsexuelle ou « Q » (queer). Sous ces pseudo-juges, l’accusé n’a plus le droit à la présomption d’innocence. Il peut être puni sous le titre d’homophobie ou de personne qui déteste les queers, et risque jusqu’à trois ans de prison. La législation actuelle privilégie l’immoralité et promeut officiellement les crimes commis contre les enfants ! Et ces mensonges législatifs sont mis en œuvre sous les concepts positifs des « droits des enfants » ou de « l’intérêt supérieur de l’enfant ». Il s’agit, en fait, d’une injustice cynique et du meilleur intérêt à détruire l’enfant ! Ces pseudo-lois révèlent à quel point un mensonge peut être suggestif. Cette soi-disant législation internationale n’est pas fondée sur la vérité ou la justice, mais sur les mensonges et la promotion les plus grossiers de crimes entraînant le génocide de l’humanité : la réduction de la population à un soi-disant milliard idéal d’individus.

Aujourd’hui, le mensonge absurde et stupide appelé idéologie du genre est extrêmement rampant. Les enfants dans les écoles et les jardins d’enfants sont obligés de penser qu’ils ne sont pas un garçon ou une fille, mais qu’ils peuvent choisir qui ils veulent être. Ensuite, ils sont obligés de croire qu’ils ne sont certainement pas qui ils sont. L’enfant subit un traumatisme psychologique et est constamment opprimé par l’idée d’être confronté à un processus de mutilation, se terminant par une chirurgie de changement de sexe.

Cette folie est soutenue par le pseudo-pape François. Il a exhorté de manière suggestive les parents irlandais à ne pas dire à leurs enfants la vérité selon laquelle on leur avait menti à l’école. Quelles atrocités sont alors officiellement perpétrées sur les enfants mineurs à cause de ce mensonge maléfique ! Par exemple, une fillette de 15 ans a subi cette opération contre la volonté de ses parents. Immédiatement après la chirurgie, l’esprit de mensonges semblait s’écarter d’elle et elle s’est retrouvée victime d’une tragédie de la vie. Cette fille a fini par se suicider. Les États-Unis ont adopté ces jours-ci une loi stupide et sadique sur le soi-disant droit des enfants à changer le sexe dès l’âge de douze ans ! De plus, les écoles subissent une pression psychologique afin de promouvoir le transsexualisme. Le fruit de cette loi sera un crime de masse commis contre les enfants, et le suicide de la nation. Le président russe a déclaré à propos des architectes du N.O.M., qui font la promotion de cette atrocité, qu’ils sont devenus complètement fous et que ce satanisme est programmé.

Les États individuels sont obligés d’adopter une idéologie du genre suicidaire sous la pression de sanctions économiques ou autres. Un certain président en Afrique a déclaré : Nous sommes prêts à manger de l’herbe, mais nous n’accepterons pas de compromis concernant cette condition suicidaire. Malheureusement, peu de présidents ont un tel bon sens ou un tel courage pour défendre la vérité et la vie. Et si l’un d’eux le possède, les médias de masse commenceront le lavage de cerveau avec des mensonges suggestifs, et la majorité trompeuse de la société finira par se retourner contre leur libérateur. C’est ce qui s’est produit, par exemple, avec le Premier ministre Fico en Slovaquie, lorsqu’il a ouvertement déclaré que la Slovaquie n’adopterait jamais la convention d’Istanbul, qui légalise l’idéologie du genre et le vol d’enfants liés à la création de ce que l’on appelle le GREVIO. Ils ont organisé un coup d’État contre lui, ont choisi une victime sacrée et, en deux soirées, l’ont forcé à démissionner avec l’aide de la jeunesse organisée et trompée. Le mensonge a donc prévalu, et celui qui souhaitait le bien-être des jeunes fut hué par ces jeunes manipulés comme s’il était un criminel.

Qui manipule la jeune génération ? Les médias sociaux, en particulier. Les jeunes reçoivent de ceux-ci des fragments d’information et ne peuvent plus penser par eux-mêmes. Ils acceptent tout simplement, passivement, et deviennent les victimes de mensonges programmés de façon systématique. Ils vivent une vie plus irréelle que réelle.

Le soi-disant traité de Lisbonne est une moquerie grandiose de la vérité, de la justice et de la moralité. La vérité a été échangée contre des mensonges et la justice a été échangée contre l’injustice. Lorsque l’Irlande a rejeté le traité de Lisbonne au cours d’un référendum, elle fut contrainte de procéder à un deuxième référendum.

Chaque mot de la loi doit être défini avec précision afin d’en éviter une mauvaise utilisation. Cependant, la législation supranationale a commencé à utiliser des termes ambigus qui ont ouvert la porte aux mensonges et aux crimes professionnels. L’ancien président de la République tchèque, V. Klaus, a déclaré : « Vous ne découvrirez ce qu’était réellement cette loi-ci ou cette loi-là, qu’au moment où vous vous retrouverez devant un tribunal ».En d’autres termes, vous ne pouvez pas le dire d’après le libellé de la loi elle-même.

Il y a environ 20 ans, des organisations supranationales telles que l’ONU, l’OMS, l’UE et le Conseil de l’Europe, ont commencé à exiger que la législation des États individuels soit soumise à de soi-disant résolutions, recommandations et conventions. Un préambule fut ajouté aux lois des États, déclarant que la pseudo-législation internationale était prioritaire. En pratique, il s’agit d’une fraude colossale et des crimes judiciaires les plus grossiers.

Ces pseudo-lois utilisent intentionnellement trop de mots, de sorte que la grande quantité de texte rend ces lois peu claires. Les députés n’ont souvent même pas le temps de les lire avant de les voter. Personne ne sait alors ce qu’il approuve. En fait, ce sont des fraudes mortelles. Les députés votaient parfois chaque jour dix amendements de loi différents.

Une autre forme de manipulation trompeuse se produisit, par exemple, dans le cas de la Convention d’Istanbul qui, avec l’utilisation de formulations trompeuses sur la lutte contre l’abus des femmes, a secrètement légalisé une idéologie de genre ainsi que le mécanisme GREVIO destiné à voler les enfants à leurs parents. Les représentants de l’État ont dû voter à ce sujet en même temps que sur une série de lois sur les pêcheries, donc personne n’avait anticipé un tel mensonge et telle une manipulation.

Environ 60 à 100 enfants, volés à leurs familles, se suicident chaque année en Norvège. Néanmoins, ce mécanisme criminel continue de courir et la couverture médiatique de ces crimes contre les enfants est interdite sous peine de sanctions. Lorsque la police tenta de pénétrer dans une maison en Finlande afin de voler des enfants à une famille, le père tua les enfants et se suicida de désespoir afin d’échapper à la tyrannie de la justice pour mineurs. L’éducation favorise la démoralisation des jeunes de façon systématique. Un certain nombre d’écoles en Angleterre ont été soumises à une expérience criminelle au cours de laquelle le transsexualisme a été fortement imposé aux enfants. En conséquence, environ 98 % des enfants avaient des pensées suicidaires, et certains ont même tenté de se suicider.

Les soins de santé ont été exploités à l’échelle mondiale afin d’introduire une vaccination expérimentale à travers des mensonges professionnels.

Pourquoi Dieu a-t-il permis à tout cela de se produire ? La Bible donne la réponse : les gens n’ont pas aimé la vérité. Ils veulent être trompés. Mais derrière le mensonge, il y a l’esprit des mensonges et de mort, Satan. Les gens ont abandonné Dieu ; ils ont abandonné les lois de Dieu et introduit des pseudo-lois de genre. Le Seigneur annonce par le prophète :

« La Terre est souillée sous ses habitants, car ils ont transgressé les lois (de Dieu), changé l’ordonnance (de Dieu), brisé l’alliance éternelle. Par conséquent, la malédiction a dévoré la terre et ceux qui y habitent sont désolés. Par conséquent, les habitants de la Terre sont brûlés et peu d’hommes sont laissés ».

(Isa 24 : 5-6)

Dieu a averti à plusieurs reprises les gens par les prophètes, les menaçant de punition. Si la nation se repentait, la punition était évitée. Aujourd’hui, l’humanité ouvre la voie à son propre auto-génocide à la suite de l’abandon de Dieu et du rejet de Ses lois. Les paroles de Jésus-Christ s’appliquent ici :

« À moins que vous ne vous repentiez, vous périrez tous ! »

(Lk 13:3)

Que tout le monde se repente donc dans sa vie personnelle. La base pour ceci est l’autocritique et une réserve de temps pour la prière. Il s’agit de la communication verticale avec Dieu. Dieu donnera de la lumière et de la force à ses guerriers dans la vraie prière. Si l’humanité reste passive, les mensonges professionnels la détruiront. Derrière les mensonges, il y a le père des mensonges — Satan — et ses serviteurs, les architectes du Nouvel Ordre Mondial. Il est à présent grand temps de commencer à se battre pour la vérité ! Par où commencer ? Commencez à lutter contre vous-même, en vous-même ! Ensuite, vous pourrez démasquer les mensonges professionnels dans le monde et surmonter l’esprit des mensonges et de mort.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMR + Timothée OSBMR
Évêques secrétaires

Le 17 décembre 2022




Rockefeller, Rothschild, Morgan : le Deep State sort de l’ombre

[Source : zejournal.mobi]

Ce n’est que ces dernières années que parler de « l’État profond » et d’une organisation secrète dirigeant les États-Unis est devenu de mauvais goût pour les Américains. Avant cela, diverses tentatives ont été faites pour parler du rôle des Rockefeller, des Rothschild, des Morgan. Mais maintenant, les joueurs sont complètement sortis de l’ombre. Une tentative de comprendre les subtilités de la gouvernance américaine, en rappelant les concepts de base, a été effectuée par le politologue et publiciste Igor Pshenichnikov.

Cet article a été publié en deux parties que nous réunissons en un seul texte

La question de savoir s’il existe une sorte de pouvoir caché aux États-Unis dirigeant réellement le pays et en partie le monde entier, et celle de déterminer qui tire les ficelles de la gestion du président lui-même et du congrès, ont fait l’objet, dans les années 70 et 80 du siècle dernier, de nombreuses discussions dans les journaux américains. L’apogée de ces débats fut la publication en 1980 du livre – encore populaire à ce jour – des politologues américains, Leonard Silk et Mark Silk : « American Establishment », dans lequel les auteurs – père et fils -, s’efforcent de comprendre le mécanisme de prise de décision gouvernementale aux États-Unis.

La légende est ancienne mais les « haut-parleurs » sont nouveaux

C’est l’ancien président américain, Donald Trump, qui est devenu le principal défenseur de la théorie du complot de « l’État profond » des temps modernes. Et, soyons honnêtes, après les tentatives à grande échelle pour éliminer Trump, l’on n’a pas de mal à y croire. 

Mais revenons à l’essentiel. Le « deep state » (État profond, comme on l’appelle en Amérique), l’establishment libéral, l’élite mondialiste, le « marais de Washington » (selon les termes de Trump) sont toutes des définitions différentes d’un même thème et qui apparaît souvent sous ces définitions dans la presse actuelle.

Les auteurs du livre « The American Establishment » ont donc révélé au monde les cinq plus grandes « institutions » qui gouvernent selon eux l’Amérique : l’Université de Harvard ; le journal The New York Times – soit dit en passant, c’est le NYT qui a formé le régime de Kyiv aux relations presse ; la Fondation Ford ; le groupe de réflexion Brookings Institution ; le Council on Foreign Relations, une structure privée qui détermine de facto la politique étrangère des États-Unis. Remarque importante : Le Council on Foreign Relations entretient des liens étroits avec la fameuse « Commission trilatérale ». Celle-ci est une sorte de club rassemblant les plus grands banquiers et entrepreneurs, ainsi que les principaux politiciens des pays occidentaux. Elle vise à « rechercher des solutions aux problèmes mondiaux » …

Ainsi, il en ressort clairement que « l’État profond » consiste en un groupe de « citoyens » qui, ensemble se distinguent par de sérieuses capacités d’analyse et de prévision. Ce sont des « maîtres de l’argent » (les plus grands banquiers siègent à Wall Street à New York) et les propriétaires de sociétés transnationales (STN). Ces plus grands entrepreneurs ont le pouvoir politique ou ont un pouvoir réel sur ceux qui ont formellement le pouvoir politique. En outre, « l’État profond » regarde bien au-delà des frontières nationales des États-Unis.

Passons maintenant aux personnalités

De diverses sources, on peut recenser des informations sur les membres composant cet « État profond», même si, bien sûr, l’on doit s’attendre à ce que toutes ces personnalités soient les premières à nier l’existence d’une sorte de pouvoir secret et d’implication dans les affaires du pays. 

Les finances sont commandées par les familles qui ont créé le système de la réserve fédérale. Ce sont les « maîtres de l’argent » : les Rockefeller, les Rothschild et les Morgan. Parmi ces familles, les Rockefeller se distinguent particulièrement. Ils furent à l’origine de la création du « Club de Rome », qui tint ses premières réunions dans leur domaine familial à Bellagio en Italie. Et leur complexe de Pocantico Hills est devenu le « nid familial » de la « Commission trilatérale » déjà mentionnée.

En même temps, ces familles ne se contentent pas de gouverner les flux financiers mondiaux, Elles possèdent les plus grandes STN. Il est difficile pour un non-initié de trouver des informations dans l’imbrication du capital bancaire et industriel. Juste pour comprendre l’échelle mondiale des « intérêts » du clan Rockefeller, vous pouvez retenir les noms de certaines des entreprises qui sont sous son contrôle. Ce sont Exxon Mobil, Chevron Texaco, BP Amoco, Marathon Oil, Freeport McMoRan, Quaker Oats, ASARCO, United, Delta, Northwest, ITT, International Harvester, Xerox, Boeing, Westinghouse, Hewlett-Packard, Pfizer, Motorola, Monsanto, General Aliments et bien d’autres.

Mais il serait incorrect de « raccrocher » aux familles citées uniquement la composante financière et industrielle de « l’État profond ». On sait qu’au fil des ans, des membres de la famille Rockefeller ont été à l’origine de la destitution et de la nomination de dirigeants de divers États, ainsi que de coups d’État anodins … L’un des membres les plus célèbres du clan, Nelson Rockefeller, qui a été vice-président des États-Unis en 1974-1977, dans une interview au magazine Playboy, avait décrit le credo de sa famille comme suit : « Je crois vraiment à la planification, à la planification économique, sociale, politique, militaire, mondiale ».

Avec une mise à niveau

De toute évidence, beaucoup de choses ont changé depuis la rédaction de « The American Establishment ». Certaines personnes sont parties, et de nouvelles sont arrivées. Et, probablement, tout n’est pas si plat et linéaire. La vérité, bien sûr, est beaucoup plus compliquée. Et plus effrayante. Les « institutions » ci-dessus ne se limitent pas aux forces qui souhaitent influencer la politique intérieure et étrangère des États-Unis. La présidence Trump a montré que les plus hauts gradés de l’armée et les dirigeants de la communauté du renseignement américain, qui ont activement participé à la lutte contre Trump aux côtés du Parti démocrate, font partie intégrante de « l’État profond ».

Trump lui-même a pointé du doigt des hauts responsables de la CIA, du FBI et du ministère de la Justice qui enquêtaient conjointement sur ses « liens » avec le Kremlin. Ils n’ont rien trouvé, ni présenté quoi que ce soit au public. Cependant, les « enquêteurs » ont réussi à réduire à néant les relations entre les États-Unis et la Russie. Dans le même temps, le caractère unilatéral des activités des services spéciaux était évident. Ils ont méprisé Trump, mais ont fermé les yeux sur les méfaits évidents d’Hillary Clinton liés à sa correspondance officielle. Comme il l’a indiqué, Trump a regretté que le « département de la justice de l’État profond » n’ait pas pris de mesures contre la « malhonnête Clinton ».

Dis que je suis parti

La discussion soulevée par Trump sur l’influence de « l’État profond », sur tout et tout le monde en Amérique, a suscité un énorme intérêt pour ce sujet dans la société américaine. Mais la presse libérale a commencé à réfuter l’existence de tout pouvoir secret.  Il est devenu clair que « l’État profond » était très inquiet. 

The National Interest, considéré comme un magazine libéral analytique, a organisé un symposium par correspondance sur le thème « L’État profond existe-t-il ? ». Cela a abouti à une série d’articles par des « experts et analystes » bien connus. La « mousse aux lèvres », ils ont réfuté la théorie de l’existence d’un « État profond » aux États-Unis …

Voici comment, par exemple, John Deutch, directeur du renseignement central américain sous le président Clinton, a commenté ce sujet : « Les partisans les plus paranoïaques du président Trump disent que le nouvel État profond est une résistance organisée des responsables du gouvernement fédéral qui sont déterminés à saper sa présidence. Pas étonnant que les employés fédéraux, principalement dans les agences civiles, n’aiment pas les politiques de Trump, en particulier celles qui nécessitent des coupes budgétaires et d’autres restrictions. Mais qualifier cette résistance d’organisée est exagéré. En effet, il est ridicule d’affirmer que l’escalade des fuites de fonctionnaires mécontents qui entendent influencer la politique est la principale preuve de l’existence de l’État profond… Voici mon conseil. Lorsque vous entendez le terme « gouvernement fantôme », changez de chaîne ou éteignez la radio, ou si vous voyez un article comme celui-ci, tournez la page ».

Seul consensus, et rien de plus

Les auteurs des articles de The National Interest ont fait valoir que les hauts fonctionnaires adhèrent à l’unanimité au « consensus général » sur ce que devrait être la politique du pays après la fin de la guerre froide. Par exemple, ce consensus unit tous les fonctionnaires, quelle que soit leur affiliation partisane, et il est à la base du fait que la classe politique américaine dirige le pays dans la même direction choisie depuis longtemps. Et, disent-ils, en cas d’échecs, cette classe politique, sur la base d’un consensus inébranlable, corrige les erreurs qui peuvent être commises au sein du pouvoir exécutif ou législatif. Et dans le cas de Trump, par exemple, c’est ce consensus des politiciens américains qui a freiné les initiatives du président, et pas du tout une sorte d’« État profond ». Emma Ashford, experte du Cato Institute, écrit : « Le problème n’est pas, comme le prétend Trump, que « l’État profond » fasse dérailler son agenda politique. Il s’appuie sur des conseillers qui s’accordent eux-mêmes sur un consensus de politique étrangère post-guerre froide. Et jusqu’à ce que ce consensus soit modifié, la politique étrangère américaine continuera de suivre la même voie cohérente, quelle que soit l’administration ».

Contre les travailleurs ?

Rejoignant la vague de dénégations de l’idée de l’existence de « l’Etat profond », un autre expert, professeur à l’université du Texas, Michael Lind, est même prêt à admettre qu’il existe une « conspiration des élites transatlantiques », mais selon lui, il n’y a pas d’« Etat profond » secret. Toujours dans The National Interest, il écrit qu’après la fin de la guerre froide, le grand capital des deux côtés de l’Atlantique, afin d’augmenter ses profits et de renforcer son contrôle, a tenté de freiner les travailleurs et leurs syndicats. A cette fin, « les élites transatlantiques… ont restructuré le système de gouvernance de la société afin de minimiser la responsabilité démocratique. Pour ce faire, ils ont déplacé la prise de décision du législatif vers l’exécutif et le judiciaire au sein de l’État-nation. Et ils ont créé les conditions pour diverses prises de décision au sein de l’État-nation, à travers des organisations telles que l’Union européenne, qui sont assez isolées des électeurs ».

Cette révolution oligarchique venue d’en haut après la fin de la guerre froide peut être qualifiée de conspiration, mais ce n’est pas une conspiration étatique profonde. « C’était un programme mené au grand jour par Bill Clinton, George W. Bush et Tony Blair en collaboration avec des dirigeants centristes européens. Ils ont réussi à atteindre leurs objectifs : affaiblir l’influence économique et le pouvoir politique de la majorité ouvrière aux États-Unis, en Grande-Bretagne et dans d’autres pays occidentaux », écrit Michael Lind. Une révélation intéressante. Mais cela ne fait rien pour réfuter l’existence d’un complot appelé « l’Etat profond ». De plus, cela prouve que cet « état profond » n’est pas américain, mais supranational.

Et alors ?

L’existence d’un « État profond » est unanimement réfutée par la presse libérale américaine, qui tente de ridiculiser ceux qui croient le contraire. Cet « État profond » essaie de toutes ses forces de prouver qu’il n’existe pas. 

Le premier problème urgent auquel est confronté ce conglomérat de forces – qui ne recherchent pas la lumière et la publicité, mais contrôlent toute la vie américaine et tentent de contrôler le monde entier – est de maintenir sa superstructure visible à la Maison Blanche : c’est-à-dire l’administration actuelle, que ce soit celle de Biden ou de quelqu’un d’autre.

Le deuxième problème non moins urgent de « l’État profond », c’est l’existence d’une Russie indépendante, qui défend les valeurs traditionnelles et qui est le fleuron de toutes les forces mondiales opposées à l’hégémon, lequel professe presque ouvertement le « satanisme » dans ses diverses manifestations. 

La bataille va donc s’engager. Mais pour ce faire, « l’État profond » devra agir et se montrer. Par conséquent, il ne pourra pas cacher ses « oreilles », peu importe ses efforts.  Ainsi, de temps en temps, nous aurons l’occasion de mieux le connaître.   

– Source : Tsargrad TV (Russie)




Selon un pasteur nigérian, la plupart des gens sur les réseaux sociaux sont possédés par des esprits maléfiques

[Source : afrikmag.com]

Le pasteur populaire nigérian et producteur de films, Mike Bamiloye, a affirmé que les anges déchus ont actuellement pris le contrôle des médias sociaux.

« Les anges déchus ont envahi les réseaux sociaux. Utiliser la plateforme pour corrompre l’esprit humain. Beaucoup de femmes et d’hommes sont désormais possédés par des esprits maléfiques. Par leurs publications et images sur les réseaux sociaux, vous les reconnaîtrez. »

[Voir l’article complet sur afrikmag.com]




Karl Zéro balance tout !

[Source : Les Incorrectibles]
POUR VOIR LA SUITE DE LA VIDÉO NON-CENSURÉE : https://utreon.com/v/3IuJzKyRRnu?t=2691

Karl Zéro est l’invité d’Éric Morillot à l’occasion du lancement de sa web TV : https://www.karlzero.tv (média dédié à la lutte contre la #pédocriminalité).




La plus grande réinitialisation — Le film

L’ascension de la Bête.

[NDLR Si la vidéo manifeste un problème technique à environ 1 h 29 min, relancer son affichage, et positionner son curseur vers 1 h 30 pour pouvoir voir la suite.]



VO : https://odysee.com/@FlowerPower2:e/THE-GREATEST-RESET-FULL-MOVIE:cclub de romekissingerklaus schwabla plus grande réinitialisationvatican

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X
Sur la nanotechnologie et l’hydrogel :
Nanotechnologie et « vaccins »
Micropucage des enfants et nanotechnologies dans les injections anti-Covid : une réalité qu’ils ne cachent plus
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique]
Nanoparticules et nanotechnologies
La nanotechnologie dans les vaccins
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
Sur le graphène :
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Dossier 5G et ondes pulsées
Sur le transhumanisme :
Obsession vaccinale et transhumanisme
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Yuval Noah Harari, le gourou liberticide qui chuchote à l’oreille de Klaus Schwab
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
Preuve que la pandémie a été planifiée avec un but
« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019
Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !]




Discours d’Alexandre Douguine sur le conflit mondial

[Voir aussi :
« Alexandre Douguine n’est pas un nationaliste russe, bien au contraire »
Alexandre Douguine : « La Russie est en train de créer un champ de résistance mondial »]

Transcription en Français

Nous sommes bien sûr dans une guerre très réelle. Cette guerre n’est pas seulement une guerre d’armées, d’hommes. C’est aussi une guerre de l’esprit. C’est très important.

Nous pouvons dire ceci : nous voyons une confrontation horizontale, notre armée contre nos opposants, nous contre l’OTAN (bien sûr, pas contre l’Ukraine, ça va sans dire). Mais il y a une autre dimension à cette guerre : la verticale. C’est une guerre du Paradis contre l’Enfer. C’est une guerre des armées angéliques. C’est une guerre de l’armée de l’Archange Michel contre le Diable. Cette dimension verticale est l’idéologie, le royaume des idées. C’est le royaume de l’esprit dans lequel cette guerre, sa principale substance, se déploie. Et le discours de notre président le 30 septembre a évoqué la nature satanique de la civilisation occidentale. Ce n’est pas une métaphore.

Aujourd’hui, le Saint-Patriarche, dans son merveilleux sermon, a fait une légère allusion au personnage qui se tient de l’autre côté, qui définit, inspire, organise nos ennemis. Ce personnage est très proche : nous ne savons pas l’époque, personne ne sait, même pas le Fils de l’Homme, [quand aura lieu] la fin des temps. Mais nous pouvons savoir par les signes combien elle est proche. À cet égard, il est très important [de réaliser] que nous sommes confrontés à une idée.

L’Occident est une idéologie. Le libéralisme, le globalisme, le sécularisme, le posthumanisme sont des idéologies. C’est le royaume des idées, pas celui de la matière, des corps et de la technologie. Par-dessus tout, il s’agit d’un mensonge absolu : c’est le renversement des vraies proportions de l’esprit, des idées, des fondations religieuses. C’est pourquoi deux idées, deux armées (parce que les anges et les Esprits sont des idées), sont en train d’entrer aujourd’hui en collision : les Esprits et les idées, les anges et les démons.

Le champ de bataille est juste l’Ukraine. D’un côté, nous sommes la Sainte Russie, comme le dit Sa Sainteté le Patriarche, et nous sommes confrontés aux forces d’un mal historique mondial absolu. Par conséquent, nous parlons de plus en plus souvent d’Armageddon, de fin des temps et d’Apocalypse. Tout ceci prend place devant nos yeux. Nous prenons part au dernier (ou peut-être l’avant-dernier — personne ne sait) et très important conflit. Sans une dimension spirituelle, idéologique et intellectuelle, nous ne pouvons pas gagner.

Et ici je voudrais attirer l’attention sur une chose très importante : le sécularisme au sujet duquel Sa Sainteté le Patriarche a parlé. Le fait est que l’ennemi est venu vers nous avant qu’il ne se révèle face au LGBT, au transhumanisme — cette civilisation ouvertement satanique et anti-humaine contre laquelle nous sommes aujourd’hui en guerre —, cet ennemi qui est alors venu de manière neutre. Il a dit : quittons le paradis, quittons Dieu au nom de l’Homme, au nom de la Terre. Et nombreux sont ceux qui l’ont cru.

Averroès a eu l’idée de deux vérités : la théologie a été construite sur l’une d’elles, et l’étude du monde, la société humaine, la nature, sur une autre, autonome. Ensuite, le sécularisme et l’humanisme ont émergé, et il a été dit : « L’éternité est fort loin, nous vivons dans le temps [présent] ». Et graduellement, pendant que nous vivons dans le temps, avec seulement des préoccupations matérielles, essayant d’arranger le monde selon les principes libéraux, communistes ou nationalistes, nous nous éloignons de plus en plus profondément de Dieu, de plus en plus loin. Nous n’étions pas en train de sombrer à l’horizon, nous le faisions sous l’horizon. Nous nous enfoncions dans les abysses de l’enfer. Si ce n’est pas avec Dieu, alors c’est avec le Diable. Et c’est pourquoi l’Évangile dit « Ton “oui“ doit être “oui“ et ton “non“ doit être “non“ ».

L’Église de Laodicée est réprimandée pour être tiède, ni froide, ni chaude. C’est le mélange sous lequel l’humanisme, le sécularisme, le mondialisme, le progrès économique, le confort et le capitalisme sont apparus dans le monde. Ils ont dit : ne nous occupons pas de Dieu, mais seulement de choses terrestres. Et il s’est avéré que lorsque nous étions détournés de Dieu, nous ne traitions pas de choses terrestres, mais de choses souterraines.

Il est impossible de se tenir sur ce plan horizontal. Et il impossible de défaire celui que nous combattons aujourd’hui sans l’aide de Dieu, sans affirmer cette dimension verticale, spirituelle, céleste, chrétienne, profonde, angélique de l’être — sans quoi nous ne pouvons vaincre.

Il nous semble que nous nous opposons normalement à la pathologie, mais nous ne vaincrons jamais à moins de défendre la Vérité — la plénitude de l’enseignement du Christ, les enseignements religieux des autres traditions — à moins de défendre la verticale Divine. C’est la chose la plus importante. En conséquence, la science, la politique, la constitution et l’idéologie doivent être basées sur cette verticale.

La science, si elle n’est pas basée sur le Christ, sur la Vérité, sur la moralité, est déjà diabolique. Il n’existe rien de neutre. Il y a une bataille entre le Ciel et l’Enfer. Et nous sommes la Sainte Russie, comme sa Saintetaé le Patriarche l’a dit dans son message, en mots magnifiques. Dans la prière nous disons : Nous sommes la Sainte Russie. Mais sommes-nous de tels saints ? Regardez-vous, regardons-nous. Si nous ne sommes pas pour la Sainte Russie et ne nous dirigeons pas vers la sainteté, nous n’y parviendrons pas.




De la « dénazification » à la « désatanisation » de l’Ukraine : vers une « guerre sainte » ?

[Source : conscience-du-peuple]

Par Isabelle

D’une guerre territoriale et idéologique, on passe à ce qui semble être une guerre religieuse, une « guerre sainte ». Ceci est un basculement majeur à mon sens.

Aleksey Pavlov, secrétaire adjoint du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie a déclaré que la « désatanisation » de l’Ukraine, où des centaines de sectes seraient désormais actives, devient de plus en plus urgente.

Pavlov a conclu que les nouvelles autorités « ont transformé l’Ukraine d’un État en une hypersecte totalitaire ». De plus, assure le responsable russe, la Révolution de la dignité, que la propagande russe et Pavlov lui-même continuent d’appeler un coup d’État, a été à l’origine de l’émergence de nombreuses sectes en Ukraine.

Les combattre, selon un responsable du Conseil de sécurité, est l’un des buts de la guerre sanglante déclenchée par les Russes.

« Je crois qu’avec la poursuite de l’opération militaire spéciale, il devient de plus en plus urgent de procéder à la dé-satanisation de l’Ukraine, ou, comme l’a dit avec justesse le chef de la République tchétchène 👉Ramzan Kadyrov, sa “dé-satanisation complète” », a-t-il a dit.

Le responsable russe a également déclaré que 👉« l’Église de Satan s’est répandue dans toute l’Ukraine », qu’il a qualifiée de « l’une des religions officiellement enregistrées aux États-Unis ».

Pavlov n’a pas nommé le nombre exact de sectes en Ukraine, mais, selon son estimation, on parle de centaines.

Les satanistes ukrainiens, selon lui, « appellent à tuer tous les Russes ».

https://tass.ru/politika/16150577 [Site de l’Agence TASS. Traduction automatique remaniée :

25 octobre, 13:19

L’appareil du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie considère qu’il est de plus en plus urgent de procéder à la “désatanisation” de l’Ukraine

Le secrétaire adjoint du Conseil de sécurité, Oleksiy Pavlov, a souligné que « l’Église de Satan » qui s’est répandue dans toute l’Ukraine est l’une des religions officiellement enregistrées aux États-Unis »

MOSCOU, 25 octobre. /TASS/. 

La « désatanisation » de l’Ukraine — où opèrent désormais des centaines de sectes — devient de plus en plus urgente, a déclaré Aleksey Pavlov, secrétaire adjoint du Conseil de sécurité russe, dans un article pour aif.ru.

« Je crois qu’avec la poursuite de l’opération militaire spéciale, il devient de plus en plus urgent de procéder à la désatanisation de l’Ukraine, ou, comme le chef de la République tchétchène Ramzan Kadyrov l’a dit avec justesse, à sa ‘désatanisation complète' », a-t-il noté.

M. Pavlov a souligné que le nombre exact de sectes en Ukraine est inconnu, mais qu’il se chiffre en centaines. Selon lui, certaines d’entre elles ont été créées « en ayant été préconçues pour un objectif et un troupeau spécifiques », d’autres « ont simplement existé en tant que succursales de mécènes plus riches », et d’autres « même comme une sorte de société par actions fermée avec quelques centaines d’adhérents locaux ».

M. Pavlov a spécifiquement souligné que l’« Église de Satan », qui s’est « étendue à toute l’Ukraine », est « l’une des religions officiellement enregistrées aux États-Unis ». Faut-il s’étonner qu’en 2015 à Kiev, un groupe de païens ait brisé et profané une croix de culte érigée pour le 1000e anniversaire du repos du saint égal aux apôtres, le grand-duc Vladimir, le baptiste de Russie ? », s’est-il interrogé.

Le secrétaire adjoint du Conseil de sécurité a cité d’autres exemples, notamment des « appels à tuer tous les Russes » et des « incitations à la corruption ». « Tout ce satanisme trouve une réponse et un soutien vivants auprès des autorités officielles ukrainiennes », a-t-il déclaré.

Les origines du sectarisme

Pavlov a expliqué que le nombre d’adhérents à des sectes religieuses s’est multiplié en Ukraine depuis les années 1990, selon lui, une puissante impulsion à cela a été le coup d’État de 2014 à Kiev, après lequel « les cadres mis au pouvoir par Washington mettaient en œuvre des tâches déversées depuis l’autre côté de l’océan. »

« L’un d’eux consistait à reformater l’esprit des citoyens ukrainiens, à les forcer à abandonner des traditions séculaires et à interdire les vraies valeurs de la foi orthodoxe, de l’islam et du judaïsme. En utilisant la manipulation des réseaux et les psychotechnologies, les nouvelles autorités ont transformé l’Ukraine d’un État en une hypersecte totalitaire », a déclaré le secrétaire adjoint du Conseil de sécurité russe.

En outre, a-t-il poursuivi, « les personnes au pouvoir à Kiev ont été les premières à se transformer en fanatiques militants dont les opinions sont à l’opposé de celles des gens normaux. »

Pour ce qui est du présent, le secrétaire adjoint du Conseil de sécurité russe a également attiré l’attention sur les symboles utilisés par les formations nationalistes en Ukraine. On y trouve des signes de fascistes et d’associations racistes, entre autres.]




Lola, martyr de la « schizophrénie de l’islam » et de notre modernité à l’agonie

Par Lucien SA Oulahbib

Selon un intervenant sur radio Notre Dame (à 2:04), l’assassine de Lola aurait été en quelque sorte submergée par ses tergiversations scandant sa dite « sortie » de l’islam telles que l’évangélisme protestant, la franc-maçonnerie, jusqu’au satanisme, le tout sur fond de traumatisme infantile (viol) purgé par le sacrifice d’un autrui, Lola, incarnant au plus près ce que l’on aurait aimé être, mais que l’on ne pourra jamais devenir…

Un paradoxe tragique donc, maelström du Mal transfiguré par le martyr d’une Lola qui, cependant, c’est ici l’hypothèse, incarnerait aussi et sans doute surtout (mais cela n’a pas été évoqué dans cette émission) une « schizophrénie de l’islam » — d’où vient l’assassine — et théorisée par la regrettée Anne-Marie Delcambre ; en ce sens où l’interdit de quitter cette emprise, singulière (la soumission, totale, à la Loi) est si fort qu’il plonge en quelque sorte l’esprit, déjà traumatisé dans ce cas présent par un viol, en une souffrance telle qu’il n’y a pas d’autre issue, du moins sans prise en charge par autrui, que de l’évacuer, la refouler, par un dédoublement, une « dissociation » de personnalité, bien analysés par Pierre Janet (et qu’a repris Hitchcock dans Psychose et Vertigo).

Ainsi, en tentant, traumatisée par un viol, de survivre tout de même par une errance spirituelle, tentant toujours d’échapper, mais en vain à la contradiction intrinsèque à l’islam qui exige de l’individu qu’il se soumette, intégralement, à la Loi (incarnée en plus par les parents sources de son viol) cela exacerberait toute nature humaine ainsi en émoi et faite surtout de passions et de leurs conflits en vue de leur harmonisation avec, dans, contre le monde et aussi contre Dieu (le défi d’Ève soutenue par Adam, le refus de Moïse de sacrifier son peuple au moment du veau d’or). Mais de là à passer au dédoublement total, il y a là un pas qu’il n’est pas aisé d’éluder, surtout en faisant absolution de son passé cultu(e)(r)el.

Et c’est bien là le nœud du problème, qu’exacerbe l’islam (il ne le crée pas, le singularise seulement) du fait de sa demande singulière de soumission intégrale plongée et martelée dans un univers de liberté en expansion. Or, on ne peut compenser, pour certains, cette métallurgie mentale moderne que par un excès de mystique, d’adoration, permanente (bien étudié dans De l’angoisse à l’extase par Pierre Janet dans le cas de Madeleine), ce qui implique le retrait du monde comme le font certains de nos moines et sœurs ; ou alors, comme on le voit dans nos sociétés sécularisées, par l’abandon de soi dans la charité intégrale, mais aussi dans le désir, pétri de prestige et de puissance excitante qui vise à faire partager sa vision y compris délirante (aujourd’hui l’alarmisme catastrophiste, hygiéniste et eugéniste) et ce, mais c’est là où le bât blesse, jusqu’à obliger autrui à y adhérer sous peine de mort sociale…

Seulement ce besoin de « partage » devient si isotrope, est en effet si exigeant qu’il impose alors de voir son incarnation partout. D’où cette volonté de modeler le réel et en particulier le corps des femmes, mais aussi de tous, puisque cela ne concerne ici pas seulement l’islam (qui l’exacerbe plutôt), mais toute une modernité soumise au joug d’une technostructure globale qui va jusqu’à effacer numériquement les corps tout en les masquant s’ils ont le malheur encore de bouger hors programme de fixation, car depuis la psychose Covid-19 ce qui compte dans les salles de commandement couvrant la planète entière c’est ce que l’on voit et contrôle dans un zapping permanent, tout mouvement autre devant être suspecté (complotiste ou pas) puis dé (cons) truit.

Cette soumission torride à la Loi, dans ses atours à la fois traditionnels et hyper-technicistes, se voit certes aussi chez les fondamentalistes religieux (juifs, évangélistes…) qui semblent en retour s’être islamisés (revenir à la soumission stricte faute de mieux afin d’échapper aux errances de l’autre bord techniciste du transhumanisme délirant) par peur peut-être aussi d’admettre en son fond la double nature conflictuelle de l’Humain : à la fois vie (passions que la raison harmonise) et divin (âme), dualité déjà pourtant là dans la Genèse (Gen, II-19) et s’articulant également politiquement à la troisième nature, celle de l’appartenance politique (politeia) à telle destinée, évolutive et non plus autarcique (Renan versus Aristote…).

Ce qui nécessite un conflit spirituel supplémentaire/supérieur avec cette loi humaine, ici et maintenant, et qui, par exemple, demande que… l’on reparte dans son pays d’origine, surtout si l’on ne fait que seulement projeter jusqu’à la déviance criminelle son mal-être, sa schizophrénie, dans le pays d’accueil…

Mais comme dans ces pays dits « d’origine », y sont souvent comprimés, contraints, voire empêchés (de façon mafieuse en plus) les besoins de liberté et d’affrontement permanent avec le divin – pardonnés par la rémission du péché originel qu’apporte Christ (le fait d’avoir le droit désormais de croquer dans le Fruit de la Connaissance du Bien et du Mal, mais ce en n’oubliant pas de le faire également par le Christ puisque l’on n’arrive au Père que par lui, Jean -14-6…) —, alors nombre d’échappés de l’islam ET ayant goûté en Europe, aux USA (guère ailleurs…), en France à la saveur de la liberté, voulue par le divin, ces échappés contraints viennent y errer (lorsqu’ils ont été en plus traumatisés) en schizophrènes zombis, l’inconscient désormais détaché du subconscient jusqu’à oublier l’instant passé (comme l’ont théorisé Deleuze et Foucault adeptes de cette schizophrénie élevée au rang de philosophie de vie…). Ceci n’empêche cependant pas la responsabilité légale puisque l’assassine était entourée de complices, jusqu’à vouloir se débarrasser « communautairement » du corps au sens de héler ceux qui lui ressemblaient pour l’aider…

Ce sont ainsi des morts-vivants volontaires qui se nourrissent également des contradictions internes de tous ces pays occidentaux habités désormais spirituellement par des ersatz de philosophie spirituelle et sociale tant la destruction de l’enseignement et l’implosion des grandes institutions sont devenues les deux mamelles de l’effondrement, de la décadence au ralenti (tel un taureau touché succombant en tombant lentement dans la poussière), d’autant que les responsables de ce double assassinat mental sont toujours et de plus en plus aux commandes…

Ou, là encore, une autre schizophrénie volontaire et qui s’attache cette fois plutôt aux autochtones qui préfèrent s’y soumettre servilement par syndrome de Stockholm exacerbé, mais en le subsumant, le légitimant par ce sentiment obséquieux de fausse supériorité, une déviation narcissique de plus puisqu’en se voyant dans le miroir de son mobile et d’Internet l’impression se fige dans l’idée que l’imaginaire s’y échappant peut se substituer, seul, au réel politique économique d’un tel effacement désormais à grande vitesse de l’Histoire terrestre, de plus en plus de pays allant voir ailleurs malgré l’horreur que représente d’autres modèles prétendument alternatifs…

Une illusion qui a vu par exemple les doctes byzantins pourtant assiégés discuter du sexe des anges, et, aujourd’hui, les « Occidentaux » discuter de « l’identité de genre » alors que leur identité tout court s’efface sous leurs yeux comme si elle n’avait jamais été mais seulement existé…

Pourtant, si une pierre existe elle n’EST pas, disait le vieux Kant en phrasant peut-être sur l’« Être ou ne pas être » de Shakespeare ; mais ce n’est pas dans la schizophrénie d’une nostalgie que cela se résout, plutôt dans l’action originale et audacieuse… Nous en sommes (peut-être pas) si loin…




Les nazis ont-ils gagné la guerre ?

« Le Maître du haut château1 »
Les nazis ont-ils gagné la guerre ?

À Shanti…

Typiquement le genre de titre qui pourrait réjouir certains complotistes et conforter les hypnotisés sur ma « folie » déviante.

Pour celles et ceux qui l’ignorent, « Le maître du haut château », « The man in the high castle » est un roman écrit en 1962 par Philip K. Dick. Je vais ici vous parler de la série télévisée inspirée du livre actuellement disponible sur le bouquet Amazon Prime, merci Jeff2, toujours là pour aider !

Les lignes qui suivent vont donc vous révéler certaines intrigues de la série et j’invite tous ceux qui seraient désireux de la voir (en gardant tout le suspens) de ne pas lire les paragraphes consacrés.

« Le maître du château. »

L’intrique se déroule dans les années 1960 principalement sur le territoire des États-Unis. La différence de taille, par rapport à notre époque, est que les nazis et les Japonais sont sortis vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale.

Le territoire Nord-Américain est ainsi divisé en 3 parties :

  • L’est pour le Reich.
  • L’ouest pour l’empire du Soleil levant.
  • Et une zone neutre sans droit, en son centre.

Un des points intéressants de la série est qu’elle ne fait pas dans le manichéisme de base cher à Disney ou à Hollywood. Les pourritures ne le sont pas tant que ça, et ils sont parfois plus humains que les résistants américains.

Je ne doute pas que vous appréciez me voir vous narrer une série, mais vous aurez bien compris que l’objectif de mon texte n’est pas là.

Les « valeurs » du Reich après guerre

Il est de bien entendu que les nazis ont exporté leurs « idéaux ». Être juif sur ce territoire relève de la folie, les noirs étant quant à eux considérés comme des sous-hommes à la limite de l’animal.

Dans ce monde « idyllique et harmonieux » (pour les Aryens), point de souffrances, point d’inutiles, points de handicapés, point de violence (autre que celle du régime).

Comme « au bon vieux temps », les inutiles sont éliminés pour leur « bien » et le bien du Reich. L’objet de ce nettoyage ne se veut pas uniquement eugéniste, mais a pour but d’éviter la déchéance et la souffrance à tous ces malheureux de la vie.

Le « Service de Santé du Reich » est donc là pour « abréger les souffrances » des malades mentaux, des handicapés moteurs et de tout individu qui serait condamné par une maladie incurable.

Cette composante « humaniste » et « généreuse » est affirmée par la propagande nazie et développée dans de nombreux ouvrages « scientifiques et philosophiques ».

« Thomas Smith. », citoyen du Reich.

Dans la série, il est le fils aîné de l’Obergruppenführer John Smith, un nazi haut placé fidèle à sa patrie qui n’hésite pas à faire tuer et torturer quand cela est nécessaire pour le bien de la patrie.

Thomas est un bon petit, d’une quinzaine d’années, dévoué et intègre, membre actif comme il se doit des jeunesses hitlériennes, fier de sa famille, de son pays et de son papa.

Tout irait pour le mieux quand, lors d’une visite de routine, le médecin de famille (aussi haut gradé) découvre que Thomas souffre d’une maladie génétique neurodégénérative pour laquelle il n’existe aucun traitement. Il est condamné à relativement court terme.

John et sa femme évoluent alors dans leur mentalité. Les lois « généreuses et humanistes » du Reich voudraient que Thomas soit immédiatement euthanasié avant que les symptômes handicapants et la souffrance ne fassent leur apparition.

Pour eux, leur fils doit vivre, ils sont et demeurent avant tout des parents, nazis ou pas. Ils prévoient ainsi de le faire partir pour un voyage d’études en Amérique du Sud où il « disparaîtrait » suite à un « enlèvement ».

Mais le médecin de famille, conscient de son devoir, explique au père que s’il ne dénonce pas lui-même son fils aux autorités, il s’en chargera. N’ayant plus d’échappatoires, l’Obergruppenführer tue le médecin et camoufle sa mort en crise cardiaque.

Thomas serait ainsi sauvé !

Jusqu’au moment où le drame se produit… En voyant son père en direct à la télé à Berlin, récompensé d’avoir sauvé le Reich et ses valeurs, Thomas comprend son devoir et commet l’irréparable.

Il se dénonce volontairement auprès du Service de Santé du Reich qui vient le chercher à son domicile pour le tuer « humainement ».

Cet enfant est à ce point fier de sa patrie, fier de sa famille, à ce point imbibé des « valeurs » du Reich, qu’il va « volontairement » se faire éliminer pour ne pas devenir un parasite inutile à la patrie.

Ainsi ni lui ni sa famille ne seront les témoins de sa déchéance. Il vit donc son suicide assisté comme un acte de bravoure dont toute la famille pourra être fière.

** fin de l’évocation de la série **

« Remercions le ciel de ne pas vivre dans un tel monde de nazis. »

Les alliés ont gagné la Deuxième Guerre mondiale, les nazis ont perdu et la dictature immonde d’Hitler s’en est allée.

Nous avons la chance de vivre dans une « démocratie » si loin des « valeurs immondes véhiculées par l’idéologie nazie » (quand bien même elle est partagée par de nombreux Ukrainiens nostalgiques du Reich).

Point d’eugénisme dans notre pays et notre belle Europe !

Euh, vous en êtes bien sûr ?

95 % des grossesses conduiraient à un avortement en cas de détection de trisomie3.

Je vous rappelle que le diagnostic de trisomie n’est pas une science totalement exacte, mais un faisceau d’indices plus ou moins forts. Ce qui veut dire que chaque année des enfants désirés et en pleine santé sont privés du droit à la vie.

C’est d’autant plus paradoxal que le nombre de lois pour respecter la dignité et les conditions de vie des handicapés ne faire que croître. Que de campagnes de lutte contre la discrimination alors que dans le même temps il y a une politique eugéniste organisée et valorisée.

Il y aurait 450 naissances d’enfants trisomiques par an en France. La prévalence de la maladie serait 1 sur 700 à 800 grossesses.

Notons qu’il y a eu en France en 2020, 222 000 interruptions de grossesse4 pour 697 000 naissances5, soit un total de 919 000 grossesses.

Selon l’OMS :

« Environ 73 millions d’avortements provoqués ont lieu chaque année dans le monde6. »

Il devrait y avoir environ 1100 naissances trisomiques par an (sans tenir compte des fausses couches).

« Une étude publiée par la revue European Journal of Human Genetics estime qu’entre 2011 et 2015, il y a eu chaque année 8 000 naissances d’enfants porteurs de trisomie 21 en Europe. Sans interruption médicale de grossesse, ce chiffre aurait atteint 17 331 naissances7. »

Sur 4 ans notre société a donc empêché la naissance d’environ 8 000 enfants « pas comme les autres ».

L’Islande un exemple à suivre ? Le magazine « génétique8 », qui se targue d’être le premier site de « Bioéthique » (je ne sais pas si il faut en rire ou en pleurer).Celui-ci note les « progrès » citant par exemple le Danemark où « 95 % des bébés porteurs de trisomie 21 sont avortés ». Quant à l’Islande, pays de grands espaces et d’harmonie, « aucune naissance de bébé trisomique n’a été recensée depuis 2017 ».

Rappelons que l’avortement, en l’occurrence le meurtre, si il est pratiqué sur un fœtus viable, est autorisé jusqu’à la naissance pour les bébés qui seraient trisomiques.

Comment appelez-vous le fait de sélectionner volontairement les enfants à naître
selon leurs caractéristiques génétiques sinon de l’eugénisme ?

Ah bien sûr, c’est pour éviter des souffrances… mais n’est-ce pas le même principe évoqué dans la série « le maître du haut château » ?

« Nous ne sommes pas comme des nazis, nous ne tuons pas des personnes dans la fleur de l’âge, en bonne santé physique. Et encore moins des malades mentaux ! »

Comment puis-je oser une telle question alors que nous vivons en France et en Europe dans les patries des droits de l’homme !

Pour autant, le 7 mai 2022 les services de santé belges ont « assassiné » à sa « demande », une jeune femme de 23 ans9

  • Cette femme était-elle en fin de vie ? NON !
  • Cette femme avait-elle une perte d’espérance de vie ? Non !
  • Cette femme avait-elle une maladie physique incurable ? NON !
  • Cette femme avait-elle des souffrances physiques ? NON !

Cette femme témoin de l’attentat en 2016 dans l’aéroport de Zaventem n’y avait pas été blessée.

Le média précise :

« Au printemps dernier, sa demande d’euthanasie a été acceptée par la Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie, au motif d’une “souffrance psychique irrévocable et permanente. Elle est morte entourée de sa famille »

Cela veut dire que cette jeune femme souffrait d’un trouble de stress post-traumatique !

Elle avait ce que l’on nomme une maladie psychiatrique ou mentale selon le vocabulaire, maladie exacerbée par le traumatisme de l’attentat.

Notre société a accepté la mise à mort d’un humain
« à sa demande » pour maladie psychiatrique.

Libre arbitre ?

Je vous rappelle que pour tout traitement, et je précise bien « traitement » et non « mise à mort », le consentement libre et éclairé du patient doit être obtenu.

(Vous n’imaginez pas ma souffrance en écrivant ces lignes.)

Le Conseil national de l’Ordre des Médecins10 précise :

« … Le majeur sous tutelle.
S’il est apte à exprimer sa volonté, son consentement doit être recherché. S’il est hors d’état de consentir aux soins en raison d’une altération de ses facultés mentales, le tuteur prend alors le relais, mais de façon encadrée. »

Nous avions à faire, sans l’ombre d’un doute, à une personne suicidaire, souffrant de trouble mental et sa demande a été acceptée par notre société.

Ce que certains nomment « suicide assisté » me laisse aussi perplexe d’un point de vue psychiatrique.

Pourquoi cette personne qui aurait fait la demande à plusieurs reprises selon les médias ne s’est-elle pas suicidée ? Il ne s’agit ici nullement d’une personne âgée grabataire, en soin palliatif ou inconsciente, mais d’un être humain physiquement « fonctionnel ».

Celle-ci avait d’ailleurs remplacé sa photo de profil Facebook11 le 11 mars par une photo gaie et pleine de vie.

Pourquoi a-t-elle fait appel aux autorités pour mettre fin à ses jours ?

Les méthodes ne manquent pas, des plus brutales en sautant du 8e étage ou sur les rails d’un train, aux plus douces comme l’ingestion de médicaments causant la mort. Je suis certain qu’il existe une multitude de sites expliquant avec moult détail comment se donner la mort efficacement et sans souffrance.

L’interrogation est d’autant plus forte qu’elle aurait fait une tentative de suicide12 en 2020. De plus elle aurait refusé13 de rejoindre un groupe de soutien pour les victimes de l’attentat afin de se faire aider.

D’un point de vue psy, il est intéressant de se demander si sa demande était profondément ancrée en elle ou si elle constituait en un appel à l’aide ? Une fois sa demande d’euthanasie active lancée, difficile de revenir en arrière !

Elle est certainement passée du stade de « femme sans espoir et sans but hormis une souffrance éternelle » à « femme avec un nouveau sens à sa vie, celui de la reconnaissance de sa souffrance et se faire tuer par la société ».

J’ai l’intime conviction que la bataille d’expert qu’elle a dû mener a rendu cette jeune femme « vivante ». Elle a donc été tuée par la société alors qu’elle n’avait pas été aussi vivante depuis des années ! Il est délirant de voir que les psychiatres chargés d’analyser sa demande n’aient pas perçu (ou qu’ils aient ignoré) ces faits.

Il est merveilleux de constater comment ces prétendus médecins ont trouvé la solution finale pour transformer leur incompétence en succès.

Alors que ces « soignants » devraient présenter des excuses en disant
« nous sommes impuissants, notre savoir est de paille,
nous ne savons pas soulager la souffrance
et nous allons nous battre pour progresser ! ».
Ceux-ci présentent comme une « victoire » le fait de dire
« Nous allons tuer un être humain pour abréger ses souffrances
comme on abat un cheval ! ».

Un cas isolé ?

Depuis les années 2000, date de la légalisation de l’euthanasie en Belgique, le nombre ne fait qu’augmenter avec un total de 2 699 euthanasies déclarées ! Soit un doublement depuis 2012.

La commission précise qu’un tiers des tués avait moins de 60 ans, soit 869 personnes !

Les données indiquent aussi que 50 souffraient uniquement d’affections psychiatriques. Si l’on rajoute les personnes souffrantes de troubles physiques ET psychiques, 20 % soit 540 personnes de plus, alors on peut affirmer le nombre d’euthanasies pour des personnes impactées par des troubles psy à 600, soit 22 % du total !

600 personnes ne bénéficiant pas d’un jugement objectif, car altéré par des troubles psy,
ont été autorisées à se faire tuer depuis la légalisation de l’euthanasie.

Et si on tuait aussi les enfants ?

« Il y a un an était promulguée la loi du 28 février 2014 « modifiant la loi du 28 mai 2002 relative à l’euthanasie, en vue de l’étendre aux mineurs ». La Belgique devenait ainsi le premier et seul pays au monde à autoriser l’euthanasie de mineurs sans qu’aucune condition relative à l’âge de ceux-ci ne doive être rencontrée.

Réalisez-vous, pesez-vous les mots que vous venez de lire ?

« Aucune condition relative à l’âge »

Et de rajouter :

« Certains s’en sont félicités, rappelant le rôle « pionnier » joué par la Belgique dans la mise en place d’un cadre légal pour l’euthanasie, présentée comme ultime “acte d’humanité” dont tout patient, majeur ou mineur, devrait pouvoir bénéficier14. »

« Rôle pionnier ! »
« Ultime acte d’humanité ! »

Ceci voudrait donc dire (comme dans cette série avec les nazis) qu’il serait non pas uniquement légal, mais « humain » de tuer un enfant de 10 ans en dépression prolongée suite à une rupture amoureuse !

Vous pourriez me dire que j’exagère et je vous dirais de revenir lire ce texte dans 5 ans. Si nous n’avons pas vaincu le satanisme, il est probable que cela sera devenu monnaie courante.

Je suis bon prince, je vais faire évoluer mon scénario :

Imaginons que non loin de cette femme de 23 ans légalement tuée, il y eut le jour de l’attentat (elle avait alors 16 ans), un enfant de 10 ans avec ses parents. Ses parents, qui plus est sa seule famille, sont déchiquetés par l’explosion sous ses yeux. Lui a le bras arraché et en plus du stress post-traumatique il a d’énormes douleurs « physiques » fantômes dans le bras que les antidouleurs ne soulagent pas. Deux ans après l’accident, il demande alors à être euthanasié, il aurait alors 12 ans.

Au nom de quoi les « gentils enculés » lui refuseraient-ils ce geste « d’ultime humanité » à l’âge de 16 ans ?

Ils « sauraient », comme pour la jeune fille de 23 ans, que sa souffrance serait « irrévocable » alors même qu’il aurait encore 70 ans d’espérance de vie !

Mais pourquoi n’accéderaient-ils pas à sa demande « légitime » et « légale » de mise à mort ?

Pente savonneuse, une euthanasie « humaine » ?

Le doigt a été mis dans l’engrenage et il est à prévoir que des enfants de cinq ans à l’espérance de vie longue comme le bras seront euthanasiés tôt ou tard. J’écris « seront » en priant que ce ne fut pas déjà le cas…

Celles et ceux qui font les malins aujourd’hui en pérorant :

« Je ne veux pas de déchéance, je veux être euthanasié sur le champ si je deviens grabataire. »

… n’ont pas été confrontés à la réalité de la mort.

Croyez bien qu’au moment où celle-ci s’approchera à grands pas, ils seront nombreux à regretter leur joli papier de décision purement intellectuelle.

Combien de petits cancéreux demandent leur mise à mort ou renoncent à vivre parce que le personnel soignant leur a bien fait comprendre qu’ils sont foutus, qu’ils dérangent, qu’ils coûtent une fortune à la société ou qu’ils font souffrir inutilement leurs parents désespérés ?

Hormis des cas exceptionnels, il est possible de soulager la douleur physique. Donnez de l’espoir ou ne serait-ce que de l’amour dans le présent et aucun de ces enfants ne demandera à en finir !

Une euthanasie « humaine » ? (bis)

Je vais sortir un instant du cas de cette pauvre victime d’une barbarie digne des plus grands nazis pour me focaliser sur les cas où elle pourrait avoir un sens.

Il est bien entendu qu’elle ne saurait être une assistance au suicide comme dans le cas de cette jeune femme qui avait toute la vie devant elle.

Alors existe-t-il des cas où le principe de l’euthanasie serait valide tout en ne tombant pas dans l’idéologie nazie ?

La douleur physique ?

Je vous rappelle que la douleur est aussi ce qui nous rend vivants, c’est aussi elle qui nous rappelle que l’on n’a pas basculé dans l’au-delà. Il existe de nombreux malades qui ne veulent par hurler à la mort, mais veulent continuer à ressentir, à être dans le présent et non dans un coma dont ils ne sortiront jamais vivants.

Donc une douleur physique ne saurait conduire à une euthanasie « humaine » que s’il n’est pas possible de la rendre supportable ET que « l’espérance de vie est résiduelle », comme le dirait ce « cher » Dr Alexandre15 probablement pro-euthanasie.

Si la personne en question peut être efficacement soulagée ou que son espérance de vie est importante alors il serait criminel de la tuer. Qui sait si le lendemain du meurtre ne verrait pas poindre un remède contre sa maladie ou contre sa souffrance physique ? Je parle bien sûr d’euthanasie et non pas d’une assistance à la mort pour les dernières minutes de vie. On ne laisse pas une personne mourir asphyxiée, on va abréger ses souffrances (exemple).

La douleur psychologique ?

Ce n’est pas moi, thérapeute, qui nierait la souffrance psychologique qui peut être terrible.

Je constate qu’il est relativement rare d’entendre parler de personnes qui se suicident, car elles ont physiquement trop mal. Nous ne sommes pas inondés de ce type de faits divers dans les médias.

C’est donc bien une preuve empirique que l’euthanasie telle qu’elle est proposée en Belgique ne saurait être légitime. Et ce, quand bien même, comme je viens de l’écrire, la souffrance psychique peut être infernale comme en témoigne le nombre de suicides.

Ici encore il ne saurait être moral d’aider une personne à se suicider dès lors qu’il existerait des molécules ou des thérapies à même de la soulager. Pour les autres cas, nous ne pouvons échapper au critère de l’âge et de l’espérance de vie.

La réalité d’aujourd’hui n’est pas celle de demain et c’est bien pour cela que l’euthanasie sur cette jeune femme était simplement criminelle.

Peut-être que maintenir en vie une personne souffrant de démence sénile peut questionner sur l’humanité de l’acte dès lors que le processus est irréversible et que la personne est en fin de vie (biologique). Mais c’est une autre paire de manches pour une personne jeune souffrant de troubles psys.

Vous pourriez me rétorquer la souffrance de ceux que l’on appelle « fous », ceux qui ont quitté probablement définitivement la réalité. Notez que ce « probablement » n’a rien d’anecdotique et si aujourd’hui la médecine est à l’âge de pierre notamment sur les traitements contre la schizophrénie, rien ne garantit qu’un miracle ne se produise dans 5 ans. Il est donc moralement inacceptable de tuer un être humain dont l’avenir n’est pas écrit.

Si d’aventure vous me parlez de souffrances insupportables et impossibles à soulager pour des « fous » réellement incurables, qui ont perdu le contact avec la réalité… … Pouvez-vous me dire en quoi votre euthanasie différerait des lois hitlériennes ?

Nous voyons que si l’usage de l’euthanasie est plus que délicat
pour des personnes souffrant de maladies physiques incurables,
l’application devient tout simplement impossible
dès lors que l’on aborde la souffrance psychique.

Ces lois belges n’ont, de fait, pas à rougir de la comparaison avec les lois du 3e Reich, elles sont simplement inhumaines et criminelles.

Quelle différence entre cette jeune fille (et tous les autres) et Thomas Smith de la série ?

Tous deux ont « décidé » « volontairement » de mettre fin à leurs jours. Une parce qu’elle ne voyait pas de sortie et l’autre parce qu’il avait été manipulé par la Société.

Comment un collège de médecins belges a-t-il pu affirmer qu’elle avait une « souffrance psychique irrévocable et permanente » ?

Quel médecin peut prétendre savoir qu’un trouble post-traumatique serait irréversible ?

Autant pour la schizophrénie, cela peut se discuter, mais là c’est une folie !

Combien de millions de personnes qui font une tentative de suicide et qui se « ratent » ne recommencent jamais ?

Faudrait-il les aider à mourir au nom de cette morale déviante avant qu’elles ne retrouvent un sens à leur vie et une sérénité ? Arrêtez, vous allez finir par rendre jaloux ce brave Adolf !

Cette jeune femme en souffrance pouvait signifier une forme de « consentement », mais que faire des fous qui hurlent 24 heures sur 24 dans leur tête ? Je dis « hurle dans leur tête », car la psychiatrie propose la camisole chimique.

Ne devrions-nous pas aussi les euthanasier par « humanité » ?

Nous vivons désormais dans une société qui admet
que l’on puisse tuer une personne qui souffre de pathologie mentale !

Au même titre que les nazis, allons-nous appeler cela de « l’humanisme », de la « compassion », voire même de « l’amour » ?

Vous appelez cela comment, vous ?

Je n’ai d’autre vocabulaire que celui de meurtre « prémédité » !

Soulager les souffrances, oui, tuer, non !

Que reste-t-il de notre humanité ?

Psychologie du « tueur »

« Je te tue pour ton bien, par bonté d’âme ! »

  • Comment un soignant ou un médecin a-t-il pu factuellement injecter la substance mortelle dans le corps de cette femme en bonne santé dont le corps ne demandait qu’à vivre ?
  • Qu’a-t-il ressenti au moment de pousser sur le piston ?
  • Qu’a-t-il ressenti en voyant la substance mortelle se répandre dans son sang ?
  • Quel a été son sentiment quant le cœur s’est arrêté, une plénitude suite au « devoir accompli » ?

Autant la mise à mort d’un psychopathe violeur et tueur d’enfants peut s’entendre et ne pas trop révulser, autant je suis plus perplexe sur l’effet psychologique lors de la mise à mort d’une jeune adulte en bonne santé et qui plus est innocente de tout crime et victime d’un attentat.

Comment ne pas vomir ses tripes après un tel acte ?

J’imagine aisément ce « médecin » (un médecin ne donne pas la mort) « humaniste » qualifier de barbares les États américains qui pratiquent la peine de mort par injection létale !

Après de tels faits, il ne faut pas s’étonner des expériences menées par les médecins nazis en Allemagne ou après guerre aux USA.

L’inversion des valeurs

Comme les nazis, le vocabulaire est toujours bien choisi alors que dans les faits c’est uniquement pour cacher le monstrueux de la chose.

La manipulation des foules et l’inversion des valeurs sont le leitmotiv.

Covid :

Les médecins qui ont continué à voir leurs patients, qui les ont soignés (et surtout guéris), qui ont bravé les interdictions de leur donner des molécules utilisées sans danger depuis des dizaines d’années, qui ont préféré les soigner que les finir au Rivotril, qui ont été réticents à l’idée de leur injecter des substances expérimentales… sont aujourd’hui poursuivis par leur hiérarchie pour « mise en danger » de leurs patients alors qu’eux, ont respecté leur serment d’Hippocrate.

Avortement :

C’est évidemment la même rhétorique qui est utilisée pour discréditer les mouvements antiavortement. Le discours est bien huilé, « Vous voulez que des femmes violées gardent leur bébé » ou « Vous voulez que des milliers de femmes soient mutilées dans des caves ou meurent dans des avortements clandestins ».

Ah oui ?

Pourriez-vous me dire combien d’entre elles parmi les 200 000 avortements pratiqués en France chaque année ont été violées ? Quant aux femmes mutilées ou mortes dans des avortements clandestins, c’est aussi con et malhonnête que l’argumentaire pour l’adoption par des couples homosexuels « Ah ou vous préférez que l’enfant soit battu dans un couple avec un homme et une femme plutôt qu’il reçoive l’amour de 2 papas ? »

D’abord j’aimerais disposer de chiffres fiables (et non de propagande) sur le nombre de morts ou de mutilations réelles avant l’avortement légal, mais surtout le nombre de morts et de mutilations réelles (exemple : retirer l’utérus) pour des avortements légaux et là on pourra commencer à causer !

Évidemment, il existe des cas où l’avortement est inévitable, mais les avortements économiques sont légions (la famille n’a pas les moyens ou les conditions) et criminels, car ils le sont contre la volonté de la femme ou du couple !

À noter aussi que l’avortement pour choix du sexe16 semble faire son chemin. Ce phénomène touchait essentiellement la Chine et l’Inde et semble se répandre en Europe. Le prolongement légal du délai légal d’avortement est de nature à encourager cette pratique, l’échographie à partir de la 14e semaine étant très fiable. Mais c’est oublier le test d’ADN fœtal17 qui peut être fiable dès la 8e semaine.

On ne peut pas balayer d’un revers de main 200 000 vies (n’appelons pas ça un humain pour ne pas compliquer le débat) qui sont démembrées vivantes et sans anesthésie, car ne « ressentant pas la douleur » (officiellement) et dont les pièces détachées sont revendues18 une fortune pour faire des vaccins, des médicaments ou même des cosmétiques19.

« Des États américains, avec le soutien des Églises chrétiennes, ont passé des lois permettant l’inhumation des fœtus avortés. Des partisans de l’avortement ont cependant engagé une lutte juridique pour contrer cette démarche20

Les milieux favorables à l’IVG affirment que les restes des enfants avortés ne devraient pas être traités comme des restes humains, mais comme le résidu d’une amputation. »

C’est qui les tueurs, les monstres et c’est qui les défenseurs de la vie et de la dignité humaine ?

Éducation :

À écouter ces psychopathes, le « bon » parent serait celui qui explique la « foufoune sexuelle21 » à ses enfants de 5 ans en leur montrant à quel endroit se trouve le clitoris et à quoi il sert. À quand les travaux pratiques ?

Les autres étant de bien entendu, des maltraitants, des intégristes religieux qui ne savent pas ce qui est bon pour eux.

Genre :

Et que dire de ces bouchers apprentis sorciers barbares qui se prétendent médecins et font croire à des personnes fragiles qu’elles peuvent factuellement changer de sexe ?! Elles mentent et manipulent en leur laissant croire qu’un homme biologique peut devenir femme biologique et inversement. Ils infligent des souffrances physiques terribles et torturent ces personnes en apportant des modifications physiques de leurs corps sans la moindre possibilité de retour en arrière. Non seulement ils infligent dans le temps des douleurs physiques, mais ils les privent définitivement de tout plaisir sexuel naturel. Les ersatz de vagin ne sont que des plaies béantes sans muqueuses et les pénis artificiels ne pourront avoir une érection naturelle et donner du plaisir.

La folie est telle qu’il sera désormais interdit de proposer à ces personnes en souffrance des psychothérapies pour les aider à se trouver. Il y a combien de personnes parmi elles, mal dans la peau, et de personnes qui seraient réellement d’un autre sexe dans leur tête ? Dans ce monde délirant, celles et ceux qui luttent contre cette folie, contre la propagande dans les écoles, contre des mutilations d’enfants dès l’âge de 3 ans, sont considérés comme des transphobes, des intolérants, et autres fascistes.

Euthanasie :

Et là on nous refait le même coup pour l’euthanasie. Les « monstres », les « inhumains », les « arriérés », c’est ceux qui refusent que l’on tue des humains ! Nous le voyons dans ce fait divers monstrueux dont nous avons connaissance, tuer à sa « demande » une jeune femme de 23 ans qui souffre de maladie mentale devient un geste d’une merveilleuse humanité.

On arrête quand de se foutre de notre gueule ? C’est quoi ce monde de merde où toutes les valeurs sont inversées ?

L’être humain a-t-il un avenir ?

Tout est mis en œuvre pour détruire ce qui faisait de l’humain un animal à part.

Que reste-t-il d’une société qui ne protège pas les plus faibles, que penser de l’eugénisme des trisomiques, d’IVG après 6 mois alors que le bébé est viable, que dire de personnes âgées terminées au Rivotril pour leur « bien », qui mutile des humains pour changer leur nature biologique ou désormais tuer des humains en grande souffrance psychologique au lieu de leur apporter amour et soutien ?

Pour le Covid les valeurs prônées étaient le sacrifice des enfants au bénéfice annoncé des vieux qui étaient éliminés dans les maisons de retraites, privés de soins.

Il faut dire que désormais rien n’interdira la vente de compost à base d’humains. On pourrait alors affirmer que cette jeune femme ne serait pas morte pour rien.

Je croyais naïvement que notre devoir d’humains
en pleine possession de nos capacités intellectuelles
était de protéger les plus faibles et les plus vulnérables,
pas de les éliminer !

Pour en sortir, il faudrait que les peuples ne se contentent pas d’écouter la propagande, mais se forgent leur propre opinion. L’information foisonne, il suffit d’aller la chercher et de dénouer le vrai du faux.

Regardez les interdits lors du Covid à l’égard des non-vaccinés, c’était l’exact copier-coller, mot pour mot, des mesures contre les juifs durant vichy22. Cette simple affirmation factuelle étant de nature à me faire qualifier, comme il se doit, d’extrême droite ou d’antisémite par le tribunal de la décadence.

Que reste-t-il des libertés ? Il ne reste de notre démocratie que le nom !

Alors :

Les nazis ont-ils gagné la guerre23 ?

  • Censure à outrance, fermeture des médias russes.
  • Médias nationaux financés par l’État ou la fondation Gates.
  • Création de fait d’un Ministère de la Vérité, toute opinion contraire à la doxa relevant du complotisme et de la désinformation.
  • Suppression du parlement et de l’indépendance des juges.
  • Gouvernement supra national européen non élu.
  • Réécriture permanente de l’histoire.
  • Destruction du sacré, démantèlement de la cellule familiale et de toutes les valeurs passées.
  • Gestation pour autrui avec marchandisation du vivant.
  • Promotion de la théorie du genre.
  • Scandales pédophiles à n’en plus finir.
  • Création d’une nouvelle « science » qui ne peut avoir tort.
  • Éradication de la fraternité, l’autre, le différent étant un ennemi à combattre qui mérite sa déchéance.
  • Suppression de libertés individuelles au profit de la nation.
  • Cobayes humains avec les vaccins expérimentaux. (Nous ne sommes pas des barbares l’Australie rembourse les frais d’obsèques24 en cas de décès dû au vaccin).
  • Apartheid pour les non-vaccinés, boucs émissaires « emmerdés » par leur « Président ».
  • Valorisation du transhumanisme25 avec ses demi-dieux et ses « inutiles ».
  • Interdiction d’exercer pour les soignants et pompiers non injectés.
  • Soutien indéfectible aux Ukrainiens y compris leurs milices nazies et leur volonté affichée publiquement de génocide des habitants du Donbass26, considérés comme une « sous-race ».
  • Euthanasie légalisée ou sous le manteau.
  • Eugénisme.
  • IVG jusqu’à la naissance.
  • Etc.

Je vous laisse répondre à la question sur la victoire supposée des nazis.

Alors ce soir je hurle de colère, je pleure de tristesse et de rage.

L’eugénisme et l’élimination des faibles sont présentés comme « l’ultime acte d’humanité ».

J’ai honte, oui j’ai honte de faire partie de la même espèce génétique que tous ces apprentis Mengele qui massacrent les valeurs humaines jour après jour.

Un être humain s’en est allé, il a été arraché à notre Terre nourricière
comme on arrache un fœtus trisomique
du ventre de sa mère pour le priver de force vitale.
Ce renoncement à le soulager de son vivant,

ce terrible aveu d’impuissance, est présenté comme « l’ultime acte d’humanité »,
tel un frère cherchant à camoufler son sororicide.

Merci

Alain Tortosa.
9 octobre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221009-maitre-haut-chateau-nazis-guerre.pdf





Intelligence Artificielle : Un regard séculaire sur l’antéchrist numérique

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Brandon Smith − Le 12 aout 2022 − Source Alt-Market

Pourquoi les globalistes ont-ils une obsession profondément enracinée pour l’intelligence artificielle (IA) ? Qu’y a-t-il dans la quête fervente d’un cerveau autonome numérisé qui les plonge dans des crises d’extase ? S’agit-il uniquement de ce que l’IA peut faire pour eux et leur programme, ou y a-t-il également un élément « occulte » plus sombre dans le concept qui est si attrayant ?

Le Forum Économique Mondial, une organisation dédiée au programme globaliste de la « grande réinitialisation », à la quatrième révolution industrielle et à l’« économie partagée », consacre une grande partie de sa réunion annuelle à Davos, en Suisse, à des discussions sur l’IA et l’expansion de son influence sur la vie quotidienne.

Les Nations unies organisent des sessions politiques approfondies sur l’IA et consacrent une énergie considérable à l’établissement de « règles éthiques » pour le développement et l’utilisation de l’intelligence artificielle. Au cœur des efforts de l’ONU se trouve l’affirmation que seule l’ONU est qualifiée pour dicter et contrôler les technologies de l’IA, pour le bien de toute l’humanité, bien sûr. Selon les livres blancs de l’ONU, la gouvernance de l’IA devrait être pleinement effective d’ici 2030 (toutes les institutions globalistes ont fixé l’année 2030 comme date cible pour tous leurs projets).

Une autre organisation moins connue mais importante est le World Government Summit qui se tient chaque année à Dubaï. De nombreux dirigeants et représentants nationaux ainsi que des PDG d’entreprises et des célébrités participent à ces sommets. Les principaux sujets abordés lors du WGS sont généralement la propagande sur le changement climatique, la centralisation de l’économie globale, le transhumanisme et l’IA.

La plupart des discussions publiques sur l’IA tournent autour de récits positifs ; nous sommes censés être convaincus des nombreux et grands progrès que la technologie de l’IA apportera. Parmi ces « avantages » figurent les modifications transhumanistes de la santé, les implants informatiques dans le corps ou le cerveau, et même les nanorobots qui pourraient un jour être suffisamment avancés pour modifier nos cellules mêmes. En d’autres termes, pour bénéficier de l’IA, nous devons devenir moins humains et plus machines.

D’autres avantages supposés nécessitent une vaste gamme de nouveaux systèmes (dont certains sont en cours de construction) qui permettraient aux algorithmes de surveiller toutes les facettes de nos vies. Les globalistes font souvent référence à ces systèmes comme à « l’internet des objets » — Chaque appareil que vous possédez, la voiture que vous conduisez, chaque ordinateur, chaque téléphone portable, chaque caméra de surveillance, chaque feu rouge, tout serait centralisé dans un seul réseau d’IA au sein d’une ville, et chaque ville serait connectée en une grande toile d’araignée à une base de données nationale d’IA.

L’internet des objets est régulièrement mentionné en lien avec la gouvernance du changement climatique et les restrictions de carbone. L’objectif est clair comme de l’eau de roche : les gouvernements et les élites du monde des affaires veulent pouvoir surveiller chaque watt d’énergie que vous utilisez chaque jour. Ce type d’informations sur l’ensemble du spectre permet de dicter plus facilement nos décisions et notre accès aux biens et services. Ils auraient un contrôle total sur toute personne vivant dans ces « villes intelligentes ». Votre vie entière, chaque seconde, serait observée et scrutée.

Mais comment cela pourrait-il être possible ? Des millions et des millions de personnes vivant au jour le jour, cela fait BEAUCOUP de données à passer au crible pour trouver ceux qui ne suivent pas les règles. C’est l’une des raisons pour lesquelles les globalistes salivent devant les technologies de l’IA : c’est le seul outil disponible pour collecter et délimiter des données de masse en temps réel.

On s’efforce déjà d’utiliser des systèmes d’IA pour prédire les crimes avant qu’ils ne se produisent (pré-crime). Ces expériences sont plutôt exagérées car elles ne prédisent pas réellement des crimes spécifiques ou n’identifient pas des criminels spécifiques. Elles utilisent plutôt une analyse statistique pour prédire les zones d’une ville où certains crimes sont le plus susceptibles de se produire. Il n’est pas nécessaire d’avoir recours à l’IA pour cela, n’importe quel policier ayant travaillé assez longtemps dans une ville peut vous dire quand et où certains crimes sont le plus susceptibles de se produire.

De façon hilarante, les algorithmes d’IA ont récemment été accusés de « partialité raciale » en ce qui concerne les zones qu’ils sélectionnent pour la prédiction de la criminalité, car ces zones se trouvent souvent dans des quartiers à prédominance noire et les criminels les plus prédits sont souvent de jeunes hommes noirs. Ainsi, les ordinateurs ont été accusés de profilage racial tout comme de nombreux policiers sont accusés de profilage racial.

Une autre contradiction classique de la gauche politique : Ils adorent l’idée de restrictions du changement climatique, le transhumanisme, et même la surveillance par l’IA quand cela les arrange, mais un ordinateur ne se soucie pas de vos sentiments et il ne se soucie pas des tabous sociaux. Seuls les chiffres l’intéressent.

Et c’est là que nous entrons dans les plus grands dangers inhérents à l’IA. Imaginez un monde microgéré par un algorithme froid et mort qui ne vous voit que comme une seule des deux choses suivantes : Une ressource ou une menace.

La prédiction de la pré-criminalité est un non-sens ; les algorithmes surveillent les habitudes et les schémas et les êtres humains ont tendance à briser brusquement les schémas. Les gens sont affectés par les événements de crise de différentes manières qu’il est impossible de prévoir. Il y a beaucoup trop de variables et il n’y aura jamais de système capable de prédire l’avenir, mais cela ne va pas empêcher les globalistes d’essayer de forcer le trait.

La gouvernance de l’IA est inévitable selon les institutions globalistes – Elles prétendent qu’un jour, l’intelligence artificielle sera utilisée pour gouverner des sociétés entières et infliger des punitions sur la base de modèles scientifiquement efficaces. Ils agissent comme si c’était la voie naturelle de l’humanité et que nous ne pouvions pas l’éviter, mais en réalité, il s’agit d’une prophétie auto-réalisatrice. Ce n’est pas nécessairement censé se produire, mais c’est conçu pour se produire.

Les partisans de l’IA affirment que les algorithmes ne peuvent pas agir avec les mêmes préjugés que les humains, et qu’ils seraient donc les meilleurs juges possibles du comportement humain. Chaque décision, de la production à la distribution, en passant par les soins de santé, la scolarité et l’ordre public, serait gérée par l’IA afin de parvenir à une « équité » ultime.

Comme indiqué plus haut, ils se sont déjà heurtés à l’obstacle des probabilités statistiques et au fait que, même si l’on laisse l’IA prendre de manière autonome des décisions dénuées d’émotions, des millions de personnes considéreront toujours ces décisions comme biaisées. Et, d’une certaine manière, ils auraient raison.

La décision la plus logique n’est pas toujours la plus morale. En outre, une IA est programmée par son créateur et peut être conçue pour prendre des décisions en tenant compte des préjugés de ce dernier. Qui programme l’IA ? Qui peut dicter son codage ? Des élitistes globaux ?

Et c’est ici que nous arrivons à l’élément plus « spirituel » de la question de l’IA par rapport aux globalistes.

Il y a quelques années, j’ai écrit un article intitulé « Luciférisme : un regard laïque sur un système de croyance globaliste destructeur« . Mon objectif dans cet article était d’exposer les nombreuses preuves que les globalistes sont en fait une sorte de culte de psychopathes organisés (des personnes sans empathie qui prennent plaisir à détruire dans un but de gain personnel). J’ai conclu que les globalistes ont effectivement une religion, et que leur système de croyance fondamental est, selon les preuves, le luciférisme.

Oui, je suis sûr qu’il y aura des opposants qui se moqueront de cette notion, mais les faits sont indéniables. Il y a un élément occulte distinct dans le globalisme, et le luciférisme apparaît constamment comme la philosophie de base. Je pense avoir expliqué cela de manière assez efficace dans l’article et je ne vais pas répéter toutes les preuves ici ; les gens sont invités à le lire s’ils le souhaitent.

J’ai écrit d’un point de vue laïc parce que le luciférisme est une idéologie intrinsèquement destructrice, même lorsqu’on la considère en dehors du prisme de la croyance chrétienne. Au-delà de cela, il y a des éléments psychologiques qui doivent être abordés et que le christianisme ignore souvent. La philosophie luciférienne est faite sur mesure pour les personnes narcissiques et sociopathes. La racine du culte concerne des êtres humains « spéciaux » qui ne sont pas entravés par les limites de la conscience, de la morale ou de l’éthique. Le manque d’empathie est considéré comme un avantage pour le progrès et le but ultime du luciférisme est la divinité – une personne devenant comme un dieu, que ce soit en étant adulée par les autres, par le pouvoir d’influence ou par des méthodes technologiques permettant de prolonger la vie et les capacités.

Mais qu’est-ce que cela a à voir avec l’IA ?

Je crois que les globalistes considèrent l’IA avec une telle vénération parce qu’ils pensent qu’il s’agit d’une nouvelle forme de vie, ou d’une forme ultime de vie – une vie qu’ils créent (comme les dieux créent la vie). Et, si vous y pensez symboliquement, cette nouvelle « vie » est en fait faite à l’image de ses créateurs : Elle n’a aucune empathie, aucun remords, aucune culpabilité, aucun amour. Par manque d’un meilleur mot, elle est sans âme, tout comme les psychopathes globalistes sont sans âme.

Si nous devons considérer l’IA en termes religieux pour un moment, l’IA est une sorte d’antithèse à la figure du Christ. Le Christ représente une forme omnisciente d’amour ultime et de sacrifice ultime de soi, selon la doctrine chrétienne. Je ne pense pas qu’il existe un mot pour désigner ce que l’IA représente en définitive. Le seul terme qui semble convenir est « Antéchrist » : L’œil qui voit tout. Le règne d’une super-intelligence dépourvue d’humanité.

Pour être clair, je ne crois PAS aux concepts de fin du monde décrits par ceux qui adhèrent aux interprétations les plus populaires de l’Apocalypse. Je pense que le monde change. Je pense que les empires s’élèvent et tombent et que cela peut souvent être considéré comme la « fin du monde » alors qu’il s’agit simplement de la fin d’une époque. Ceci étant dit, je crois de tout cœur à l’existence du mal ; le mal étant défini comme des actions délibérément trompeuses ou destructrices pour un bénéfice purement personnel ou organisationnel, comme le meurtre ou l’asservissement. Le mal existe bel et bien et est un élément observable de la vie humaine.

Il existe également des traits de l’humanité qui mènent au bien, qui nous empêchent de nous autodétruire lorsque nous les écoutons. La conscience, la raison, la sagesse et souvent la foi peuvent constituer un bouclier contre les mauvaises actions pour la majorité d’entre nous. Si nous n’avions pas ces piliers dans notre psyché, nous nous serions anéantis depuis longtemps. Mais il y a ceux qui n’ont pas de conscience, qui n’ont pas d’empathie et qui méprisent ces traits comme étant « limitatifs ».

L’IA est conçue par ce genre de personnes. Et peut-être qu’elles ne provoqueront pas la « fin du monde » dans les termes que nous comprenons communément (ou en termes bibliques), mais au fil du temps, elles pourraient supprimer tout ce qui rend l’humanité digne du monde. D’une certaine manière, il s’agirait d’une apocalypse. Ce serait un cauchemar vivant dirigé par des personnes psychopathes utilisant une intelligence artificielle sociopathe, encourageant et permettant activement aux masses d’abandonner leurs corps humains pour devenir des monstruosités numériques et des chimères technologiques.

En cas de succès, ce serait vraiment la souillure ultime de la nature, ou de la conception de Dieu si c’est ce en quoi vous croyez. La quête de la divinité ne vaut pas la peine pour la plupart d’entre nous, mais pour les globalistes, c’est le rêve d’une époque, et ils feront TOUT pour y parvenir.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Selon Mgr Viganò, Le Great Reset (ou Réinitialisation) est une religion

[Source : Civitas]

[Voir aussi :
UDT Civitas 2022 : transcription de la conférence de Mgr Viganò et de ses réponses aux questions des participants]

[Voir aussi :
Une emprise sur l’Humanité
Monseigneur Viganò : « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’État mondial »
Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Fuellmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». Seconde partie
Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]




Il est temps de tout dévoiler !

LE FILM ÉVÈNEMENT DE STEMMER



[Note de Joseph : dans l’Apocalypse de Jean, il est question de la Bête de la Terre à deux cornes (ou pouvoirs, sur le plan symbolique). Elle peut représenter à la fois l’informatique basée sur le silicium, l’élément électropositif le plus abondant de la croûte terrestre, et le pays qui l’a fait naître et qui a créé Internet, les États-Unis.
Voir aussi :
Exorcisme et « vaccins » anti-Covid
Rudolph Steiner avait prévu en 1917 un vaccin qui priverait l’Homme de son âme
Sous le signe de Baal : Eustace Mullins et le culte noir des vaccins
La nanotechnologie dans les vaccins
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist
L’épée, le bon grain et l’ivraie].




PCB : À partir de l’histoire des élections papales, des hérésies et du schisme

Par Patriarcat Catholique Byzantin



La forme d’élection du Pape a varié au cours de l’histoire

1) Le droit de désignation :

Le Pape vivant désignait son successeur. Un exemple est l’apôtre Pierre, qui a ordonné ses successeurs Clément, Linus et Cletus comme évêques de Rome. Cette pratique a été rétablie par le pape Symmaque en 499. La désignation a été pratiquée lors de l’élection de Félix IV (526-530), Boniface II (530-532), Vigilius (537-555).

2) Le Pape était élu par le clergé et le peuple :

Dans sa Lettre à Antonianus, saint Cyprien écrit à propos du pape Cornelius : « Il fut élu pape par le témoignage de la plupart des membres du clergé, par le vote du peuple, avec le consentement des prêtres âgés et des hommes de bien. » Toute la communauté chrétienne participait donc à l’élection. Ce fut la pratique dominante au cours des trois premiers siècles.

3) Le pape était choisi par la famille Théophylacte :

La papauté fut laissée entièrement à la merci du patricien romain Marozia. Jean X (914-928), Léon VI (928), Étienne VII (928-931) et Jean XI (931-935), qui était le propre fils de Marozia, lui doivent leur élection. Son second fils, Albéric II (932-954), nomma également plusieurs papes par la suite. Il veilla à ce que son fils dépravé de 18 ans, Octave, soit élu pape, adoptant le titre de Jean XII (955-964).

4) Le pape est élu par les cardinaux :

Nicolas II publia le décret d’élection du pape en 1059. Les évêques cardinaux devaient d’abord se consulter et choisir un candidat approprié. Ils devaient ensuite inviter le clergé à se prononcer et, enfin, solliciter le consentement du peuple romain. Les cardinaux n’étaient donc pas les seuls à voter, mais ils avaient également besoin du consentement du clergé et du peuple.

5) Le Pape était proclamé par le peuple :

C’est ainsi que Grégoire VII (1073-1085) fut élu. Lors des funérailles du pape précédent, la foule avait crié : « Que Hildebrand soit notre pape ! ». La pression du peuple était si forte que, contrairement aux lois et coutumes ecclésiastiques, ce moine devint pape.
Une élection similaire eut lieu en 236. Dans le temple où devait avoir lieu l’élection papale, une colombe descendit soudain du ciel sur la tête de Fabian. Tout le peuple s’exclama avec enthousiasme et d’une seule voix : « Digne (axios) ! ». Le peuple s’empara de ce chrétien et l’installa en tant qu’évêque de Rome.

6) Le pape est élu par les cardinaux mais en fait sous l’influence de puissantes dynasties :

Par la suite, l’élection du pape fut fortement influencée par les puissantes familles Colonna et Orsini.
Aujourd’hui, l’ensemble du Vatican bergoglien est dirigé par des francs-maçons. Ces hommes en tablier portant l’emblème du compas utilisent diverses procédures ecclésiastiques pour poursuivre leurs objectifs, dont l’élection d’un pape.

7) L’élection extraordinaire :

Des conditions extraordinaires exigent un mode d’élection extraordinaire afin de permettre l’élection d’un véritable Pape au lieu d’un hérétique ou d’une personne soumise au système de domination maçonnique.
La réglementation actuelle, qui stipule que seul un cardinal peut être élu Pape, n’est pas un dogme de l’Église.
Il est également important de savoir que l’Église est construite sur le fondement des apôtres et des prophètes (Ep 2,20). Lorsque la structure humaine entame un processus d’autodestruction, Dieu dans Sa providence intervient dans l’élection papale de manière inhabituelle. C’est ce qui s’est passé le 14 octobre 2019, alors que l’Église orientale célèbrait la fête du voile protecteur de la Mère de Dieu. Après une mûre délibération et des prières, huit évêques du rite oriental ont élu et proclamé un pape valable. Dans la situation actuelle, tout le système moralement corrompu du Vatican n’offre plus aucun espoir de choisir un Pape véritable, et François Bergoglio est un Pape non valable pour ses hérésies. L’archevêque élu n’a pas encore accepté publiquement l’élection, mais ne l’a pas non plus rejetée.

Schisme

L’histoire de l’Église a connu un certain nombre de schismes. Examinons-en quelques-uns :

1) Le schisme d’Acacia, dû à l’hérésie du monophysisme, depuis l’époque du pape Félix II (483-492).
2) Le Grand Schisme de 1054 et l’émergence de l’Orthodoxie
3) Le schisme protestant de 1521 et la montée du protestantisme.

Il faut distinguer entre un schismatique qui s’est séparé du Pape visible et un hérétique qui s’est séparé du Christ. Un schismatique peut être sauvé, mais un hérétique endurci ne le peut pas.

Le Concile de Vatican II, avec ses hérésies codées, a mis les catholiques sur une fausse piste qui ne mène pas au salut. Le voyage synodal de Bergoglio mène donc à la fondation d’une anti-Église du Nouvel Âge : la synagogue de Satan. Il créera une fausse unité parmi les païens, les satanistes et les apostats catholiques et non-catholiques. Tous ceux qui n’aiment pas la vérité s’uniront au sein de cette anti-Église.

Par contre, tous ceux qui cherchent la vérité, qu’ils soient catholiques ou non-catholiques, sont unis en Christ. Ils s’opposent au système de la mondialisation, à l’idéologie du genre, à la numérisation de l’être humain, à la vaccination dangereuse, au puçage et à la diabolisation.

Papes légitimes et illégitimes

Le premier pape illégitime fut le martyr Hippolyte (217-235), suivi de Novatien (251-258) et d’Ursinus (366-367). Une période particulière de l’histoire est représentée par la double papauté. Un pape était à Rome, l’autre à Avignon. Bien que la chrétienté ait connu plusieurs fois auparavant la lutte entre papes et antipapes, les conflits n’ont jamais duré aussi longtemps et il n’a jamais été aussi difficile de savoir où et qui était le véritable pape. Tous deux bénéficiaient du soutien de saints célèbres. L’Europe était divisée ; certains reconnaissaient l’un, d’autres l’autre. Ironiquement, ce n’est que lorsque l’hérésie du conciliarisme a été abordée au Concile de Constance (1414-1418) que le schisme a été surmonté par l’élection de Martin V.

Pourquoi ces divisions ont-elles eu lieu ? Elles étaient un appel à la repentance, notamment en raison de la vie mondaine des prélats. Cependant, ils ne se repentirent. Cela conduisit finalement au schisme protestant initié par Martin Luther, cent ans après la période des trois papes.

Actuellement, nous nous trouvons dans une situation absurde. Aujourd’hui, se séparer de Bergoglio, qui occupe le trône papal, n’est pas un schisme, car celui que l’on appelle François est un archi-hérétique. Il ne veut pas quitter sa fonction, donc tout véritable catholique fidèle au Christ doit quitter Bergoglio et le bergoglianisme.

Du point de vue de l’histoire, nous évaluons également l’Église actuelle. Au cours de l’histoire, il n’est jamais arrivé que le chef de l’Église détruise systématiquement les piliers fondamentaux de la foi et de la moralité, et convertisse en masse les catholiques, sous couvert d’obéissance, non pas à l’orthodoxie ou au protestantisme, mais au satanisme ! Cela implique de privilégier l’idéologie du genre, les LGBTQ, l’idolâtrie de Pachamama et le mariage homosexuel. Ce n’est plus le vrai Vatican catholique, c’est la Babylone spirituelle, la prostituée de l’antéchrist ! Elle élimine systématiquement les derniers vestiges de la vraie foi, qui est la condition pour être sauvé.

L’Église du Christ ne peut pas être dirigée par un archidiacre et ses successeurs, même si les frères maçons assureraient facilement leur élection selon la devise de Bergoglio : fratelli tutti ! Ils contrôlent déjà de facto le Vatican et les élections papales. Après le départ de Bergoglio, il y a soit l’option A, c’est-à-dire le successeur de Bergoglio qui suit ses traces, soit l’option B, c’est-à-dire un pape extérieurement vrai qui légalisera la déchéance de Bergoglio. Mais il existe également une autre option. Effrayer les fidèles avec la pensée du schisme n’est rien d’autre que de les manipuler pour qu’ils aient peur de se séparer de l’apostasie. Le but de l’être humain consiste à sauver son âme, pas de rester dans une structure qui a visiblement trahi le Christ et ses enseignements, et qui est placée sous la malédiction de Dieu, l’anathème (voir Gal 1:8-9). Si l’option se réalise de manière extraordinaire avec un Pape qui s’opposera aux hérésies du bergoglianisme, les catholiques sincères auront une porte de sortie. Mais ils doivent être prêts à la persécution et au martyre.

Le continent américain offre un grand espoir, car l’Europe a déjà été empoisonnée par les hérétiques allemands qui ont perdu la raison et promeuvent le mariage sodomite. Ce fascisme religieux allemand a également promu les hérésies du Concile de Vatican II. Nous en récoltons à présent les fruits.

Nous appelons les évêques et les prêtres catholiques des États-Unis et de tous les États d’Amérique centrale et du Sud : luttez pour une véritable réforme ! Séparez-vous de Bergoglio et de son parcours synodal apostat, et reconnaissez un véritable Pape qui assurera un processus de renouveau sur le continent américain. Ce réveil s’étendra ensuite aux autres continents.

Les catholiques sincères risquent de succomber à la démagogie de l’évêque auxiliaire Schneider, qui condamne ostensiblement les hérésies mais promeut l’hérétique Bergoglio comme étant le chef visible de l’Église. Il influence surtout les prêtres de la Fraternité Saint-Pie X. En réalité, il est en conflit direct avec son fondateur, Mgr Marcel Lefèbvre, qui a été le premier à s’opposer clairement au Concile hérétique. Vatican II a également été clairement condamné par l’ancien nonce américain, Carlo Maria Viganò. Schneider, en revanche, ne parle que de changements cosmétiques, mais défend catégoriquement le Concile.

Que disait l’abbé Lefebvre à propos du Concile ? « Nous refusons et avons toujours refusé de suivre la Rome des tendances néo-modernistes qui se sont manifestées clairement au sein du Concile de Vatican II et, après le Concile, dans toutes les réformes qui en sont issues. »

Nous nous appuyons sur l’histoire et la situation actuelle, et nous appelons tous les catholiques sincères à prier. Prions le Saint Rosaire chaque jour, si possible de 20 à 21 heures. Prions en unité à l’intention du vrai Pape catholique et pour que les évêques du continent américain franchissent une étape de foi afin de sauver l’Église.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Evêques secrétaires




Un point de vue russe sur l’Occident et la situation en Ukraine

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Andrei (The Saker)

(…)

Le récit « les glorieux Ukrainiens sont en train de gagner » a maintenant presque officiellement disparu (même le NYT a changé d’avis) et plus personne de sensé ne débite ces absurdités. La réalité est que les Ukrainiens perdent, en moyenne, environ un bataillon par jour, et c’est pourquoi ils envoient maintenant des civils à peine formés à l’Est : la plupart des unités de combat ukrainiennes (souvent très bien formées et courageuses) sont même mortes, prisonnières, portées disparues ou dans des « chaudrons » (réels ou sous la puissance de feu) sans aucune chance de s’échapper.

Il est maintenant indéniable que ce qui a commencé comme une opération militaire spéciale (SMO) s’est transformé en une guerre ouverte et à grande échelle entre l’Occident consolidé (alias l’Empire anglo-sioniste) et la Russie : l’Empire a maintenant « frappé » la Russie avec tout ce qu’il avait à part une attaque militaire directe. L’armée ukrainienne (forte de plus de 200 000 hommes à l’origine), sans doute la plus puissante force militaire de l’OTAN (qui est par ailleurs principalement composée de petites « armées de parade » complètement épuisées !), surtout avec le soutien total de l’Occident (renseignements, armes, argent, politique, etc. etc.) est en train d’être « démilitarisée » et « dénazifiée » par une force militaire russe largement supérieure (mais pas en taille : La Russie n’a utilisé qu’une fraction de sa pleine puissance militaire). L’issue de cette affaire ne fait aucun doute.

Cette réalité a été pleinement acceptée par la société russe, qui soutient désormais le Kremlin (à plus de 80 %), lequel n’a pas caché qu’il était désormais engagé dans une guerre existentielle contre l’Occident. C’est le cas depuis au moins 2013, mais maintenant les ratios originaux (environ 80% d’information, 15% d’économie et 5% de militaire) sont passés à ce que j’appellerais une « guerre totale par procuration ».
Les fous purs et durs de l’Occident (les néoconservateurs américains, le Royaume-Uni, la Pologne et les 3 états baltes) s’efforcent de déclencher une guerre totale entre l’OTAN et la Russie et, jusqu’à présent, les eurolemmings veules les ont laissés fixer l’ordre du jour, aussi suicidaire que cela puisse être pour l’UE et l’OTAN. Franchement, mon dégoût pour l’Europe occidentale est total – je n’ai jamais eu d’illusions sur les « nouveaux » Européens – et tout ce que je peux dire, c’est qu’ils se méritent tous amplement ce qui leur arrive. Tout ce que je peux dire, c’est ceci : continuez à agir comme des nazis et vous serez dénazifiés. C’est vraiment aussi simple que cela.

Les dirigeants de l’Empire savent qu’ils ont perdu une fois de plus, et ils se réfugient dans leurs mécanismes habituels d’adaptation : l’auto-gratification idéologique et le déni profond, profond. Alors que l’UE commet un suicide économique, politique et social pur et simple, l’administration Biden est devenue « full woke », comme l’a fait l’Amérique corporative (c’est-à-dire les États-Unis, bien sûr, et non le continent américain) : les soi-disant « minorités » sont maintenant enfoncées dans la gorge collective du peuple américain, quelle que soit la taille ou l’étrangeté desdites « minorités ». Cela est particulièrement frappant dans le type de publicités que les sociétés américaines produisent désormais à l’unanimité. Je pense, par exemple, aux femmes noires morbidement obèses en couches (!!!) prenant des « poses de ballerine » que YouTube montre désormais régulièrement. En regardant ces publicités, on pourrait croire que les Noirs aux États-Unis occupent tous les postes d’autorité et de prestige, que la plupart des femmes américaines sont lesbiennes et que des millions d’enfants américains (et même des nourrissons !) ont besoin de changer de sexe de toute urgence (regardez l’excellent documentaire « What is a Woman ? » pour voir à quel point tout cela est devenu insensé). Quand je vois cette folie collective, je ne peux m’empêcher de me demander si l’Amérique n’essaie pas délibérément d’énerver la grande majorité des Américains et de déclencher une sorte de crise interne majeure et violente.

Entre-temps, les Russes adoptent de nouvelles lois contre la propagande de l’homosexualité : alors que, par le passé, cette propagande n’était interdite que si elle s’adressait aux enfants, elle est désormais étendue à l’ensemble de la population russe. Pour clarifier les choses : La Russie n’interdit pas les homosexuels et leurs pratiques sexuelles, aussi pathologiques soient-elles, restent totalement légales. Mais ce que la Russie fait, c’est refuser de considérer l’homosexualité comme une « variation normale et naturelle de la sexualité humaine » (Wikipedia). En d’autres termes, les Russes considèrent toujours l’homosexualité comme un trouble psychologique qui peut mériter la compassion, mais pas l’affirmation (et encore moins l’encouragement). Puisque l’« inclusion » et la « positivité » sont désormais des « valeurs » occidentales clés, c’est également un message de la Russie : gardez vos woke-freaks et leur idéologie pour vous, nous ne voulons rien de tout cela !

En attendant, les Eurokrainiens prévoient maintenant d’interdire et de détruire plus de 100 000 000 d’exemplaires de livres en langue russe. Hitler serait fier. Les Eurolemmings n’ont rien à en dire. Vous savez, le truc « #cancelRussia » (qui désigne à la fois les Russes eux-mêmes et la culture russe sous toutes ses formes) et tous ces trucs du genre « c’est bien quand on le fait » ou quand on parle de nos « dictateurs ».

Le Blitzkrieg économique occidental contre la Russie a totalement échoué et la plaisanterie en Russie est que si McCain a dit un jour que « la Russie est une station-service déguisée en pays » avec mépris, « Biden » dit maintenant la même chose, mais avec une profonde envie.

Pour notre patrie

Je pourrais continuer encore et encore, mais l’essentiel est là : l’Occident a déclaré une guerre totale à la Russie (et, de facto, à toute la zone B) et la Russie l’a accepté. Depuis plus d’une décennie, l’Occident s’efforce de réveiller et de provoquer le proverbial ours russe et ces efforts ont finalement porté leurs fruits : l’ours est maintenant sorti, et il est très, très en colère. Pour clarifier, je ne fais pas allusion aux anciens intégrationnistes atlantiques comme Medvedev, qui fait maintenant son « coming out » en tant que partisan d’une ligne dure souverainiste eurasienne (il se prépare clairement pour une future élection présidentielle et dit toutes les « bonnes choses »), mais au peuple russe, qui est maintenant dans ce que j’appelle en mode « Seconde Guerre mondiale » totale (« Lève-toi, immense pays »  et tout ça). À droite, le genre d’images qui circulent actuellement sur l’internet russe et qui expriment la conscience que l’Europe n’a jamais été vraiment dénazifiée, du moins pas dans les pays occupés par les États-Unis.

La Russie est à présent déterminée à terminer ce vilain travail, une fois pour toutes. Vous voulez « annuler la Russie » ? Dans vos rêves seulement, mais la Russie peut, et va, « annuler le nazisme » une fois pour toutes. 1000 ans de cette merde, ça suffit !

Depuis les premières croisades jusqu’à l’invasion de l’URSS par l’Europe unie sous le commandement d’Hitler, l’Occident a toujours eu une sorte d’idéologie pour justifier ses guerres d’agression impérialiste. Ce qui est intéressant, c’est qu’aujourd’hui, au lieu de justifier ses actes d’agression au nom d’une religion ou d’une idéologie prétendument universelle, les élites occidentales (et, hélas, une grande partie de sa population) ont enfin montré leur vrai visage, qui est le suivant :

  • Un racisme anti-russe virulent dans sa forme la plus pure (là encore, Hitler serait fier).
  • Un satanisme pur et ouvert sous l’étiquette de l’idéologie « Woke » (la dernière idéologie occidentale, semble-t-il), axé sur la destruction de la famille et, en particulier, des enfants (les satanistes savent qu’ils ne peuvent rien faire contre le Créateur de tous, c’est pourquoi ils essaient d’exprimer leur haine et leur vengeance contre Ses créatures, en particulier les enfants).
  • La haine ouverte et même « en pleine figure » envers tous ceux qui s’opposent à cet agenda (comme le révolutionnaire français Louis Antoine de Saint-Just a déclaré : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté »).

La vérité est que le véritable Occident, celui qui est né du Moyen-Âge (et *non* des civilisations romaine ou grecque !) a toujours été dirigé par des voyous cyniques et malfaisants. Dans le passé, ces voyous ont toujours dissimulé leur véritable vision du monde et leur programme sous toutes sortes de prétextes pieux, maintenant sa seule « idéologie » restante est la haine pure et le wokisme (la même chose, en fait).

Je soutiens qu’il est impossible de prédire ce qui va se passer dans les mois et les années à venir – il y a simplement trop de variables qui peuvent affecter dramatiquement notre avenir. Ce qui a commencé comme une opération militaire spéciale (par opposition à une opération d’armes combinées) s’est maintenant transformé en ce que l’on pourrait appeler la troisième ou même la quatrième guerre mondiale (selon vos définitions). Cette guerre durera plusieurs années, à moins, bien sûr, que les néoconservateurs et les fous qui leur sont associés au sein de l’UE n’arrivent à leurs fins et ne déclenchent un conflit nucléaire : dans ce dernier cas, elle sera courte et définitive.

Pour l’instant, l’accent est mis sur le Donbass et le sud de l’Ukraine, mais nous devons comprendre deux choses à ce sujet :

Les Ukronazis et leurs patrons de l’OTAN ont déjà perdu cette guerre depuis longtemps, et tout ce que font l’Occident et ses marionnettes nazies à Kiev, c’est essayer de prolonger cette guerre ingagnable aussi longtemps que possible pour faire tuer ou mutiler un maximum d’Ukrainiens, détruire le plus possible l’Ukraine et faire « payer le prix fort » à la Russie pour sa victoire (tout à fait inévitable) sur le champ de bataille. Quel paradoxe ! Les « agresseurs » russes font tout leur possible pour sauver le plus grand nombre possible d’Ukrainiens (même au prix de leur propre vie !) ainsi que ce qui reste de l’infrastructure ukrainienne après 30 ans d’« indépendance », tandis que les « défenseurs » et même les « alliés » occidentaux de l’Ukraine veulent en faire un paysage lunaire désolé couvert de cadavres.

Ce n’est pas une guerre à propos de l’Ukraine, du moins plus maintenant, c’est maintenant une guerre pour l’avenir du continent européen et même le futur ordre international. Comme je l’ai déjà dit à de nombreuses reprises, les Russes ont pleinement l’intention de dénazifier au moins l’ensemble du continent européen, de préférence par des moyens économiques et politiques, mais aussi, si nécessaire, par des moyens militaires. Pourquoi ? Parce que l’Occident n’a laissé à la Russie aucun autre choix. Pour la Russie et, je dirais, pour l’ensemble de la zone B, le choix est à la fois dur et simple : la souveraineté véritable et totale (économique, bien sûr, mais aussi culturelle, spirituelle et civilisationnelle) ou l’asservissement.

En d’autres termes, ce n’est pas une guerre que la Russie peut se permettre de perdre et le peuple russe le sait.

La dernière fois, la Russie a perdu environ 27 millions de personnes, tandis que la Chine en a perdu environ 35 millions. Soit un total de 62 millions de personnes, dont environ deux tiers de civils. Gardez ces chiffres à l’esprit lorsque vous observez la modernisation rapide et assez radicale des forces armées russes et chinoises (entre parenthèses, les Chinois ont également « compris » et soutiennent pleinement la Russie, tout comme les dirigeants chinois, même s’ils essaient de faire profil bas pour le moment et de laisser la Russie porter le fardeau d’être en première ligne de cette guerre : en d’autres termes, les Chinois gagnent du temps, dont ils ont franchement besoin pour atteindre la parité, voire mieux, avec les États-Unis et leurs protectorats en Asie, comme Taïwan, le Japon, la République de Corée ou l’Australie. Les Russes le comprennent également, car ils se sont eux-mêmes trouvés dans une position similaire entre 2000 et 2018. Mais ils savent que le dragon chinois devra se « réveiller » complètement, plus tôt que tard.

Oui, je sais, la plupart des gens en Occident ne le savent pas, ou s’en moquent, mais l’important, maintenant, n’est pas ce que les gens en Occident ne savent pas, mais plutôt ce que les peuples de Russie et de Chine savent et comprennent très bien. Seul un fou furieux douterait ou ne tiendrait pas compte de la détermination qui réside au plus profond de l’âme des peuples russe et chinois à ne plus jamais permettre à l’Occident de les subjuguer. Jamais.

(…)

Ce qui précède ne commence même pas à couvrir tous les développements étonnants qui ont eu lieu au cours des derniers mois. Non seulement il y a eu des changements vraiment énormes à l’intérieur de la Russie (et ils ne font que s’accélérer), mais aussi en Amérique latine, en Afrique et au Moyen-Orient. Et je reviendrai sur tous ces sujets dans un mois environ, lorsque je reviendrai à la rédaction de blogs à plein temps. D’ailleurs, dans un mois environ, bon nombre des choses que j’ai mentionnées ci-dessus deviendront encore plus évidentes pour tous, et plutôt que d’essayer d’établir un « fait X », nous pourrons en discuter et l’analyser, sa réalité étant déjà bien établie.

(…)

Andrei

(…)

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




PCB : Les changements irréversibles de François Bergoglio : un chemin qui mène à l’enfer

[Voir aussi sur bcp-video.org]

Par Patriarcat Catholique Byzantin

Le pseudo-pape Bergoglio a déclaré qu’il ne partirait pas tant qu’il n’aurait pas apporté de changements irréversibles.
La question essentielle est la suivante : Bergoglio est-il un véritable pape auquel les catholiques sont tenus d’obéir en toute conscience ? Non, il ne l’est pas ! Le fait est que c’est un hérétique qui détruit les fondements de la foi, et donc aucun catholique ne peut lui obéir ! Si quelqu’un lui obéit, il trahit le Christ et ses enseignements !



Chaque catholique doit savoir que selon Gal 1: 8-9, Bergoglio est sous un anathème multiple de Dieu – une malédiction – pour avoir prêché un faux évangile, et est par le fait même expulsé de l’Église catholique. S’il continue d’occuper la plus haute fonction, c’est parce que les évêques et les prêtres sont incapables d’appeler la vérité la vérité, ou une hérésie une hérésie, et d’en tirer une conclusion adéquate. Ils sont donc impliqués dans son crime. Ils expriment même leur unité avec cet hérétique à haute voix au cours de la messe, tous les jours, et sont incapables d’effectuer même un tout petit changement consistant à prier en silence après la consécration, comme c’était la pratique dans la messe latine. Ce faisant, ils éviteraient de proclamer leur unité avec ce pape invalide.
Que signifient les changements irréversibles dont Bergoglio parle ?

Bergoglio abolit le premier et le plus grand commandement du Décalogue. Des dizaines de milliers de martyrs ont préféré subir la torture et la mort les plus cruelles plutôt que de laisser tomber un seul grain d’encens devant les idoles et de trahir le Christ. Bergoglio, en revanche, intronise publiquement le démon Pachamama, légalisant ainsi l’idolâtrie païenne et le satanisme ou, en d’autres termes, le culte des démons, en tant que nouvel enseignement de l’Église. Nous demandons : est-ce son affaire privée, ou est-ce un acte ex cathedra de foi et de morale ? L’idolâtrie publique n’est en aucun cas l’affaire privée de celui qui agit comme Pape. Par cet acte, Bergoglio s’est avéré être un hérétique, et donc un pape non valable. Par conséquent, toutes ses actions sont nulles et non avenues. Si un catholique est assez aveugle pour prétendre, contrairement aux Écritures et à la tradition de l’Église, que Bergoglio est un pape légitime, il nie le dogme de l’infaillibilité papale.

Après que Bergoglio ait abusé de l’autorité papale et commis une idolâtrie publique, tous les catholiques qui le reconnaissent en tant que pape doivent considérer son apostasie publique comme étant un enseignement de l’Église. Cela signifie qu’ils ne doivent plus se repentir des péchés contre le Premier Commandement, mais doivent prendre le chemin de l’anti-repentance, c’est-à-dire approuver l’idolâtrie. Cette élimination du repentir rend les changements de Bergoglio irréversibles.

Quiconque se repent des péchés d’idolâtrie ou de sodomie est en rébellion ouverte contre le soi-disant pape actuel. Une telle personne sera sûrement punie par la secte Bergoglienne pour cela. Ces prêtres ou évêques seront même démis de leurs fonctions. C’est un non-sens ! C’est la preuve que la secte bergoglienne occupant les plus hautes fonctions de l’Église n’est pas l’Église du Christ, mais la pseudo-église de l’Antéchrist – la synagogue de Satan (Apoc 3). La mission de l’Église du Christ consiste à proclamer la repentance. Jésus a dit :

« Il faut prêcher la repentance pour le pardon des péchés… »

(cf. Lc 24, 47).

Aujourd’hui, tout le Vatican est gouverné par l’esprit de l’Antéchrist, avec les francs-maçons. Cet esprit ne travaille plus secrètement, mais ouvertement. Bergoglio a tenu des réunions avec des francs-maçons au sein même du Vatican. Ils le considèrent comme leur chef spirituel. Il a pleinement adopté leur programme et le met activement en œuvre. Sous la menace de sanctions, il fait pression en faveur d’une dangereuse vaccination à ARN messager, fait appliquer l’Agenda 2030, tient des conférences promotionnelles transhumanistes au Vatican, des forums sur le climat, etc.

La promotion de l’homosexualité par Bergoglio, et même la légalisation des mariages de ces déviants, choque même les gens en dehors de l’Église ! Nous demandons à chaque évêque catholique, à chaque prêtre et à chaque croyant : la sodomie est-elle un péché très grave, ou est-elle en harmonie avec l’Écriture et la Tradition de l’Église ? La réponse est claire : la sodomie est en contraste frappant avec l’Écriture et la Tradition. Son approbation par l’Église revient à mélanger un puissant poison et de l’eau claire, la lumière et les ténèbres, le Christ et Bélial.

Si cette immoralité est légalisée, ce contre quoi la Parole de Dieu met en garde en parlant non seulement du feu temporel (2P 2:6), mais aussi du feu éternel (Jude 1:7), toutes les lois morales seront annulées. Les évêques et les prêtres en Allemagne ont déjà commencé à bénir les mariages sodomites dans les églises. Bergoglio l’approuve par son silence délibéré. De même, le Concile de Vatican II, avec Jean XXIII et Paul VI, a approuvé en silence les hérésies longtemps condamnées du modernisme, déguisées plus tard en la soi-disant méthode historico-critique. En conséquence, toutes les écoles théologiques et toute l’Église ont été infestées immédiatement après le Concile.
En légalisant la sodomie, l’Église bergoglienne a radicalement changé sa mission, et a cessé d’être l’Église. Elle dit aux sodomites que leur perversion est voulue par Dieu. C’est pourquoi ils ne doivent plus, et même ne peuvent pas, se repentir. Il ne reste plus qu’à accompagner les sodomites sur le chemin de l’enfer. Par analogie, Bergoglio applique ce principe de négation du péché et de repentance à tous les péchés. Il nie ainsi la nécessité d’un Sauveur ! Personne dans la secte de Bergoglio n’a donc une chance de sauver son âme immortelle !

Avec son encyclique Pascendi Dominici Gregis de 1907, saint Pie X condamnait catégoriquement le modernisme au sein de l’Église. Cela a conduit à un réveil spirituel. Il était associé à la dévotion au Sacré-Cœur, aux premiers vendredis, etc.

En revanche, le moderniste Angelo Roncalli, Jean XXIII, a nommé des théologiens libéraux en tant que modérateurs du Concile de Vatican II. Les décrets hérétiques du synode amazonien et l’acte de sorcellerie effectué avec Pachamama dans les jardins du Vatican aujourd’hui, sont la continuation des documents hérétiques et du faux esprit du Concile. Ce démon, à qui l’on offrait autrefois des sacrifices humains, a été intronisé dans la Basilique Saint-Pierre. Si l’un des évêques accepte les changements irréversibles de Bergoglio, il finira comme l’apôtre Judas.

Bergoglio opère des changements irréversibles dans tous les domaines. Il a changé les dogmes et les commandements de Dieu avec une approche dite dynamique. En légalisant la sodomie, il a changé les mœurs. Il a procédé à des changements de personnel irréversibles en nommant des évêques et des cardinaux homosexuels, hérétiques ou idolâtres. Il a fait vacciner tout le Vatican à l’aide d’un vaccin expérimental, il l’a donc soumis à un anti-baptême satanique. Cela aussi est un changement irréversible.

Néanmoins, certains prêtres et évêques disent : Il y a toujours eu des crises dans l’histoire, mais nous devons rester fidèles au Saint-Père, et vous voyez, l’Église est encore là aujourd’hui.

Nous répondons : l’Église du Christ sera toujours là, quoique dans les catacombes. Aujourd’hui, cependant, la structure de l’église est occupée par la secte de l’Antéchrist sous l’hérétique Bergoglio.

Un pape a-t-il été hérétique dans le passé, comme Bergoglio ? Oui, c’était Honorius I, au 7e siècle. Il a été excommunié à titre posthume de l’Église en tant qu’hérétique. Cependant, ses hérésies du monothélisme, comparées aux hérésies de Bergoglio, ressemblaient à une piqûre de moustique par rapport à la morsure d’un serpent venimeux mortel. Mais encore une fois, il a été suivi par de vrais papes catholiques parce que la structure de l’Église était encore vraiment catholique. Aujourd’hui, cependant, alors que le Vatican est déjà sous l’emprise des francs-maçons, c’est-à-dire le Nouvel Ordre Mondial, une nouvelle structure ecclésiastique a été construite et dotée d’un autre esprit que celui du Christ (cf. Rm 8, 9). Tout ce système fait en sorte qu’après Bergoglio, la structure apostate ne pourra plus élire un vrai pape catholique. Par conséquent, une chose est nécessaire : se séparer de cette structure bergoglienne, non seulement à l’intérieur mais aussi à l’extérieur. Il ne sert à rien de s’attendre à ce que cette structure soit relancée à l’avenir. Le bergoglianisme est comme le naufrage du Titanic. La seule échappatoire consiste à monter à bord des canots de sauvetage à temps, et de quitter le Titanic. Ce n’est pas l’Église du Christ, mais une église profonde (Deep Church).

Si vous, les évêques actuels, ratez cette occasion et négligez de franchir une étape historique et de conduire le peuple dans ces canots de sauvetage, vous serez responsables de tous ceux qui couleront dans le lac de feu avec le Titanic bergoglien. Vous devez montrer un véritable repentir ! La situation a déjà été rendue beaucoup plus facile pour vous par un témoin courageux du Christ, qui a créé une alternative. Il s’agit de Carlo Maria Viganò, l’ancien nonce américain. Si seulement il était rejoint au moins par vous, les évêques retraités. Bergoglio ne peut plus vous punir. Faites ce pas au moins pour votre propre salut et pour donner le bon exemple. En vous séparant d’un hérétique, vous n’abandonnerez pas l’Église du Christ ; au contraire, vous ferez un geste de fidélité au Christ et à son Corps mystique, son Église saignante.

Quelles sont les options pour vous ?

La première option consiste à sombrer avec Bergoglio et son parcours synodal, tout en prétendant jusqu’au dernier souffle que tout va bien. Dans le document maçonnique « L’instruction permanente de l’Alta Vendita », les catholiques avaient depuis longtemps été ridiculisés pour avoir cru qu’ils marchaient sous la bannière des clés de Pierre, tout en marchant sous la bannière maçonnique.

La deuxième option consiste à se séparer au plus vite de Bergoglio et de son chemin irréversible menant à la destruction, et de rejoindre Сarlo Maria Viganò. Mgr Williamson et Mgr Lenga le soutiennent également publiquement. L’archevêque polonais a appelé les fidèles à se préparer pour les catacombes. Il leur conseille de trouver un vrai prêtre catholique qui célébrerait la messe pour eux et chez eux, les églises étant occupées par le système bergoglien au service de l’Antéchrist.

Chers évêques, la solution consiste à choisir la deuxième option, car ces changements irréversibles conduisent à la damnation éternelle.

Le Fils de Dieu s’est fait homme et, par sa mort, nous a ouvert les cieux éternels. Cependant, ceux qui acceptent les changements irréversibles de Bergoglio, rejetant ainsi la repentance, ne seront pas sauvés.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Évêques secrétaires

Le 9 juin 2022




Conférence sur HAARP et sujets connexes

[Source : Guy Boulianne]




Aide à l’euthanasie pour les pauvres au Canada. Vite la dépopulation !

[Source : olivierdemeulenaere]

Par Olivier Demeulenaere

Si vous êtes pauvre, l’État canadien paie votre suicide ! Mi-mai 2022, le Canada annonce l’aide à l’euthanasie pour les pauvres (l’aide au suicide assisté pour les pauvres), comme « moyen de lutte contre la pauvreté insoutenable ». Le gouvernement Trudeau va payer les pauvres qui souhaitent mourir pour ne plus souffrir de la pauvreté !

Non, non, vous ne rêvez pas. Alors qu’il suffirait que les cinq hommes les plus riches du monde partagent leur fortune pour éradiquer la pauvreté dans le monde, étant donné que notre société est gouvernée par une cabale d’élites sectaires, individualistes et égoïstes, dénuées d’humanité et qui plus est adeptes du luciférisme et du satanisme, il n’en est rien. Ils font carrément mieux et plus simple : l’invention de l’euthanasie pour les pauvres !

Le plan de dépopulation mondiale de l’élite et de sa secte fétiche, la franc-maçonnerie, doit accélérer, voyez ! Entre les dangereux complotistes anti-vaxx qui refusent de se faire injecter le vaccin, les vaccinés qui se réveillent à cause des complotistes qui font trop de bruit et les chemtrails qui ne font pas assez d’effets puisque nous sommes trop résistants, des cafards quoi, eh bien il faut user de tous les moyens possibles pour accélérer la dépopulation ! Alors des pauvres, qui ne servent à rien en plus d’être un fardeau pour la société, bon ben bon débarras !

Soyez-en sûrs, c’est exactement comme cela que pensent les élites. N’hésitons pas à parler de démocide (la mort par l’État). [Ndlr : en fait, ceci signifierait plus exactement « mort du peuple »]

Nous vous redirigeons de ce pas vers un très bon article sur le sujet, qui relate bien le caractère dystopique et immoral de cette nouvelle annonce qui s’ajoute à la longue liste de changements sociétaux luciféro-satanistes effectués par la cabale depuis le début de la plandémie (pseudo-pandémie) de covid-19 :

Trop pauvre pour vivre dans la dignité ? Pas de problème, le Canada invente l’euthanasie des pauvres.

Plus d’infos :

* Canadians Turn to Euthanasia as Solution to Unbearable Poverty

https://www.telesurenglish.net/news/Canadians-Turn-to-Euthanasia-as-Solution-to-Unbearable-Poverty-20220523-0013.html

* Le gouvernement de Justin Trudeau a imaginé une nouvelle solution diabolique pour résoudre les divers problèmes de la société : l’euthanasie

https://guyboulianne.com/2022/05/25/le-gouvernement-de-justin-trudeau-a-imagine-une-nouvelle-solution-diabolique-pour-resoudre-les-divers-problemes-de-la-societe-leuthanasie/amp/

Mensonges d’États, le 3 juin 2022

Rappels :

Ils ne veulent pas éliminer la pauvreté. Ils veulent éliminer les pauvres.

Les mondialistes sont entrés dans la phase meurtrière du Grand Reset. Est-ce que vous vous souvenez des prévisions démographiques de Deagel ? Elles prennent désormais tout leur sens

« La grande question politique et économique du XXIe siècle sera de savoir pourquoi nous avons besoin des humains. Ou du moins, pour quelle raison avons-nous besoin de tant d’humains ? »

PLANDEMIE – Gates, Soros, Rockefeller, Buffet, Bezos : l’idéologie néo-malthusienne des élites globalistes

Quand Klaus Schwab se félicitait d’avoir « pénétré » les gouvernements avec ses « Young Leaders » : Macron, Trudeau, etc.

Le dernier tango Trudeau-Soros




Pierre Hillard à la journaliste Ying Huang : « Le mondialisme est d’essence satanique »

[Source : NTD Français]

Pierre Hillard, essayiste & docteur en science politique est l’invité de Ying Huang.

« Le mondialisme c’est une pensée finalement d’essence satanique mais avec des guerres internes donc cela ne peut que finir en catastrophe. Le communisme c’est la version parachevée du mondialisme. Le mondialisme c’est quelque chose de profondément satanique de destruction du genre humain, de son abaissement moral, un collectivisme, un traçage dans tous les domaines, enfin un esclavage via l’intelligence artificielle, via le numérique. »




La fabrique des faux souvenirs et le dossier MK-Ultra

[Source : E&R]

Par Laurent Guyénot

Souvenir de Satan

Paul Ingram était un officier de gendarmerie respecté dans sa petite ville proche de Washington. Il vivait paisiblement avec sa femme et ses cinq enfants, et toute la famille fréquentait une église évangélique. Vers 1980, ses deux filles, Ericka et Julie, se mirent à fréquenter les retraites organisées par l’Église. C’est dans cette atmosphère charismatique de quête compétitive de l’Esprit saint et de combat contre le démon qu’Ericka eut son premier « flashback » d’abus sexuel.

Quelque temps après, d’autres « souvenirs » ayant émergé, Ericka raconta à sa mère, Sandy Ingram, qu’elle avait été régulièrement violée par son père et par ses deux frères aînés. Les viols avaient cessé, dit-elle, en 1975, lorsqu’elle avait eu neuf ans. Confronté par sa femme, Paul Ingram nia tout.

Puis c’est Julie qui commença à avoir des « souvenirs ». À son tour, elle confessa à sa mère qu’elle avait été molestée par son père et son frère aîné, jusqu’à l’âge de treize ans. Les deux filles firent des déclarations à la police : elles parlèrent alors d’avoir eu des relations sexuelles vaginales, orales et anales avec leur père, sous la contrainte, et ce, jusqu’à leur adolescence.

Paul Ingram fut arrêté. Il nia les faits et dit qu’il ne comprenait pas pourquoi ses filles l’accusaient. Mais il ajouta une phrase curieuse : « Je ne crois pas que j’ai une face obscure (a dark side). » Cette phrase lui était inspirée par la mythologie de son église, qui enseignait que le diable peut manipuler notre « face obscure » et nous faire accomplir des choses que nous oublions ensuite. C’est cette phrase qui perdit Ingram, d’autant plus qu’il la répéta plusieurs fois. Paul Ingram fut interrogé par des inspecteurs persuadés de sa culpabilité.

C’est alors qu’une chose extraordinaire se passa : Paul Ingram n’était plus très sûr de son innocence. Il commença à prier pour demander à Dieu de lui révéler ce qu’il avait fait. Et il obtint des visions dans lesquelles il se vit violer ses filles. Durant les interrogatoires, il arrivait à Ingram de partir dans une sorte de transe légère, et d’en rapporter des visions qu’il interprétait comme des « souvenirs » et qui étaient consignées comme des aveux.

Entre temps, les deux filles continuaient de « se rappeler » : elles racontèrent d’abord que d’autres hommes de la ville, notamment deux amis de leur père, les avaient violées et torturées en groupe. Ensuite, elles parlèrent d’avoir été forcées de participer à des rituels sataniques nocturnes, qui réunissaient des dizaines de personnes et où leur père jouait un rôle de prêtre ; entre autres horreurs, des bébés étaient rituellement tués et mangés. Au fur et à mesure qu’il était interrogé sur ces horreurs, Paul Ingram priait pour « se rappeler » … et confessait.

Il fut seul sur le banc des accusés, car aucun indice ou aveu ne permit d’inculper d’autres personnes. Et, maintenant convaincu de sa « face obscure », il plaida coupable du viol de ses filles. Vers la fin du procès, cependant, il se rétracta ; soudainement, il venait de réaliser que ses visions n’étaient pas de vrais souvenirs, que les viols, les tortures et les rituels sataniques n’avaient jamais eu lieu ailleurs que dans la tête de ses filles et dans la sienne. Mais ses aveux antérieurs pesaient trop lourd : en avril 1990, il fut condamné à vingt ans de réclusion.

Si le procès avait eu lieu deux ou trois ans plus tard, Paul Ingram n’aurait peut-être pas été condamné, car il aurait entendu parler des « faux souvenirs ». Ce phénomène étant maintenant mieux connu, les bavures judiciaires se font plus rares.

L’histoire de la famille Ingram a été largement suivi par les médias américains et a fait l’objet d’un excellent livre, Remembering Satan, de Lawrence Wright, et plus récemment d’un remarquable film de 33 minutes par Nick Nerburn, PAUL : The Secret Story of Olympia’s Satanic Sheriffvisible sur Vimeo.

La famille Ingram dans les jours heureux

Histoires vraies de faux souvenirs

Les faux souvenirs sont un phénomène qui a pris une dimension vertigineuse aux États-Unis avec la vogue des psychothérapies régressives (Recovered Memory Therapies), qui ont en commun de chercher la clé des problèmes psychologiques présents dans les souvenirs traumatiques refoulés de l’enfance, et d’utiliser pour cela l’hypnose ou des techniques approchantes, qui provoquent un état de conscience modifiée, hautement suggestible. Le phénomène touche très majoritairement des femmes.

Voici l’histoire typique d’Olivia McKillop. Dans les années 1970 Olivia avait toujours été une enfant heureuse et épanouie. Pourtant, durant sa dernière année de lycée, elle sombra dans une dépression et entama une thérapie avec Tricia Green. Dès la fin de la première séance, sans qu’Olivia ait évoqué le moindre abus de la part de ses parents (elle se plaignait plutôt d’avoir été trop protégée et choyée), la psychothérapeute Tricia Green lui confia un livre destiné aux adultes qui ont subi des abus sexuels durant leur enfance mais l’ont oublié. Ce livre était The Courage to Heal, de Ellen Bass et Laura Davis, paru en 1988 et vendu à plus de deux millions d’exemplaires.

Sous l’influence de cette lecture et des questions orientées de sa psy aux séances suivantes, Olivia se sentie entraînée dans un autre monde. « Progressivement, j’ai commencé à voir ma famille comme vraiment abusive et dysfonctionnelle. » Puis Tricia Green la conduisit à travers des séances de visualisation guidée, pour « faire remonter le passé ». Elle se concentra sur une scène banale de son enfance : un jour à la garderie, un réparateur était venu s’occuper du piano. « Et soudainement, j’ai visualisé qu’il se couchait sur moi. J’imaginais cet homme en train d’enlever mon pantalon et mon pull et se mettre à me lécher et à m’embrasser partout. »

Ce « flashback », comme l’appela sans hésitation Tricia Green, bouleversa Olivia. Après cette séance, Olivia acheta d’autres livres sur les abus sexuels, le refoulement et les souvenirs « récupérés ». Elle en fut profondément affectée. « Lorsque je me rendis à mon rendez-vous suivant, j’avais endossé l’identité d’une “rescapée de l’inceste” [incest survivor], et il n’y avait plus de retour possible. »

Au fil des séances, de nouveaux « flashbacks » l’assaillirent. « Finalement, je me suis mise à croire que j’avais été molestée par six hommes en tout, y compris mon grand-père, mon père et mon frère Jerry. » Olivia passa ainsi deux ans en thérapie. Elle quitta ses études et déménagea loin de ses parents. Toute sa vie et l’image qu’elle se faisait d’elle-même étaient maintenant dominées par la certitude d’avoir subi d’atroces sévices sexuels de la part de sa propre famille.

Un premier doute sérieux la frappa lorsqu’un enfant se confia à elle (elle était, cet été-là, animatrice dans un camp d’enfant) : « Mademoiselle, mon Papa fait quelque chose de mal avec moi, parce qu’il dort avec moi dans mon lit. » En regardant cet enfant, Olivia réalisa que, dans son enfance, elle n’avait jamais éprouvé la souffrance et la confusion qu’elle lisait maintenant dans ce visage. Grâce au soutien de quelques amis qui, la connaissant depuis longtemps, ne croyaient pas une seconde à ses histoires d’abus sexuel, Olivia parvint à retrouver sa raison et prit conscience d’avoir été manipulée par sa thérapeute. Lorsqu’elle entendit parler du phénomène des « faux souvenirs », ce fut une révélation. Aujourd’hui, elle a renoué avec ses parents et son frère, qui lui ont pardonné ses accusations.

Son cas est tout sauf rare. Des dizaines d’autres sont rapportés dans le livre de Mark Pendergrast, Victims of Memory, le plus complet des livres publiés sur le phénomène des « faux souvenirs » [1]. D’autres cas sont rapportés dans Le Syndrome des faux souvenirs, écrit par Elizabeth Loftus, spécialiste de la mémoire et présidente de l’American Psychological Association avec l’aide de Katherine Ketcham [2].

Aucun des auteurs qui ont exploré et dénoncé le phénomène des faux souvenirs induits par régression hypnotique ne remet en question l’ensemble des témoignages de victimes d’inceste, ni même le fait que des souvenirs d’abus sexuels dans l’enfance puissent être réellement enfouis pour surgir brutalement à la conscience à l’âge adulte. Le phénomène a été documenté et théorisé par Pierre Janet entre 1885 à 1887. Il est bien illustré par l’histoire de Marilyn Van Derbur, Miss America 1958, qui, à l’âge de 24 ans, a retrouvé spontanément (sans hypnose) les souvenirs des abus sexuels de son père depuis l’âge de 5 ans. Son histoire, qu’elle révéla publiquement en 1991, fit les premières pages de journaux et encouragea nombre de victimes d’inceste à rompre le silence. Voici comment elle explique sa dissociation dans son autobiographie Miss America By Day :

« Le matin, j’étais la jeune fille joyeuse, pétillante, respectée, disciplinée, hautement morale. C’était la réalité pour moi, l’enfant du jour. L’enfant heureux était réel. Mon esprit avait trouvé un moyen de prendre les souvenirs et les sentiments de terreur, d’humiliation, de rage, d’impuissance et de désespoir et de les compartimenter dans une autre partie de mon cerveau, de mon corps et de mon âme. La seule façon de survivre face à une autre nuit était de ne pas me souvenir de ce qu’il s’était passé. Comment pourrais-je passer une journée à l’école en jouant avec mes amis, en répondant aux questions posées par le professeur, en rentrant à vélo à la maison ? Comment pourrais-je survivre à une routine quotidienne si je me souvenais de ce qui m’attendait la nuit ? […] Sans m’en rendre compte, je me suis battu pour garder mes deux mondes séparés. Sans jamais savoir pourquoi, je faisais en sorte, dans la mesure du possible, que rien ne passe entre le cloisonnement que j’avais créé entre l’enfant du jour et l’enfant de la nuit. »

Ce n’est qu’à l’âge de 24 ans que les souvenirs de « l’enfant de la nuit » lui sont revenus. il fait peu de doute que cette histoire est véridique (voir les vidéos sur son site www.missamericabyday.com). Mais il faut noter que Marilyn Van Derbur n’a pas eu besoin de l’hypnose pour se souvenir. Les souvenirs sont remontés naturellement, lorsqu’elle a en quelque sorte décidé qu’elle était mûre pour les affronter.

Il faut se garder de généraliser, mais ce qui est en cause dans la controverse sur les faux souvenirs, ce sont les visions obtenues par des techniques de « régression » relevant de l’hypnose, généralement accompagnées de suggestions de la part de thérapeutes. Ce qui est également en cause est une conception quasi informatique de la mémoire humaine, très éloignée du modèle développé par Janet. Selon Janet, la « dissociation » ne s’apparente pas à l’enregistrement de souvenirs préservés de façon fidèle dans l’inconscient ; il s’agit plutôt de contenus psychiques chargés d’émotions négatives, qui prennent une vie autonome sous le seuil de la conscience ordinaire. Par ailleurs, Janet n’a jamais utilisé ni recommandé l’hypnose pour retrouver des souvenirs, car l’on s’avait déjà à son époque que l’hypnose pouvait générer de faux souvenirs.

Le scénario classique en question est le suivant. Une jeune femme consulte un psychothérapeute pour un problème relativement bénin (crise conjugale, problème de poids, dépression, etc.). Le psy, adepte de la théorie selon laquelle l’inceste explique tout, influence sa cliente dans ce sens et l’encourage à retrouver des « souvenirs refoulés », la soumettant pour cela à des conditionnements émotionnels divers, et souvent à des séances d’hypnose. La patiente finit par produire des « souvenirs » d’inceste. Au fil des séances, de nouveaux souvenirs apparaissent, de plus en plus atroces, allant éventuellement jusqu’à des scènes de viols collectifs, de meurtres rituels, de cannibalisme. Les thérapeutes qui accompagnent les patientes dans cette descente aux enfers soutiennent que les scènes visualisées correspondent à des événements réels de la vie de la patiente, dont le souvenir aurait été massivement « refoulé » (repressed). Mais loin d’avoir résolu son problème initial, la patiente se transforme en victime paranoïaque, et il n’est pas rare qu’elle finisse à l’hôpital psychiatrique, après avoir traîné ses proches au tribunal sous les accusations les plus horribles.

Certaines de ces patientes, de plus en plus nombreuses à mesure que le phénomène des faux souvenirs a été mieux connu, finissent par remettre en doute leurs « souvenirs » et parfois se retournent en justice contre leurs thérapeutes. Comme Olivia McKillop, elles passent du camp des incest survivors à celui des retractors. Selon leurs psychothérapeutes, elles ont cédé à la pression sociale et à la honte. Fuyant devant leur réalité intérieure et familiale, elles préfèrent retourner dans le « déni », sorte de refoulement bis.

Mais les « rétracteurs », eux, ne voient pas les choses ainsi : elles pensent avoir été victimes de manipulation mentale de la part de leurs psychothérapeutes. Les « flashbacks » qu’elles ont pris un temps pour des souvenirs réels n’étaient en fait que des productions de leur esprit, déclenchées par suggestion hypnotique, mais aussi par leur propre désir de satisfaire leur thérapeute et de trouver une explication à leur problème. Nombre des ces ex-patientes (ce sont très majoritairement des femmes) se sont regroupées en association et publient une lettre d’information, The Retractor.

Le débat est loin d’être clos. Peu de psychothérapeutes ont fait amende honorable. La plupart crient au complot, et s’efforcent de convaincre leurs patientes que les gens qui parlent de « faux souvenirs » sont motivés par une idéologie réactionnaire et veulent perpétuer le déni de l’inceste. La False Memory Syndrome Foundation est accusée d’être une couverture pour les pédophiles. Tout au long des années 1990, le sujet a secoué et divisé la profession des psychiatres et psychothérapeutes, qui restent encore incapables, d’un côté comme de l’autre, de donner une explication pleinement satisfaisante des phénomènes.

Depuis 1994, plusieurs livres ont commencé à répercuter l’opinion des sceptiques, à explorer l’hypothèse des « faux souvenirs ». Il ne s’agit pas, pour leurs auteurs (comme Elizabeth Loftus ou Mark Pendergrast), de nier la réalité des abus sexuels d’enfants. Cette réalité est courante et effrayante, et personne ne cherche à la minimiser. Précisément, soulignent ces auteurs, la mascarade des faux souvenirs d’inceste nuit fortement au combat légitime des vraies victimes d’inceste. Il ne s’agit pas non plus d’affirmer que tous les souvenirs obtenus sous hypnose sont faux, mais d’aborder le phénomène avec beaucoup plus de prudence.

Mon mensonge. Une histoire vraie de faux souvenir, de Meredith Maran (2010)

Souvenirs programmés

Voici un autre récit de « rétracteur », tiré comme celui d’Olivia McKillop du livre de Mark Pendergrast.

« Laura Pasley est l’une des premières à avoir gagné son procès contre son thérapeute, Steve. Elle était allée le consulter pour tenter de résoudre sa boulimie et son obésité. “Dès ma première séance, en 1985, Steve me demanda si j’avais jamais été abusée sexuellement. Je lui ai dit que c’était le cas. Lorsque j’avais neuf ans, à la piscine, un garçon que je ne connaissais pas avait mis son doigt dans mon vagin, à travers mon maillot de bain, sous l’eau.” Mais cet incident, qui avait fortement marqué Laura et dont elle se rappelait parfaitement, n’intéressait guère Steve. “Il m’a dit que je devais découvrir des choses enfouies plus profondément. Il m’a dit que, puisque j’avais un trouble alimentaire, cela signifiait automatiquement que j’avais été sérieusement molestée. Nous sommes donc partis à la recherche de souvenirs enfouis.” »

De relaxations en visualisations, les « souvenirs » ont effectivement commencé à émerger. Laura fit bientôt apparaître dans son esprit des visions de sa mère pénétrant ses organes sexuels avec ses doigts, puis avec un cintre. Son thérapeute lui conseilla de participer à une thérapie de groupe qu’il dirigeait. L’effet de groupe est propice aux flashbacks. Il s’y produit une forme de transe collective, où les « souvenirs » et les ressentiments de chacun stimulent les autres. « J’avais ces flashbacks horribles de recevoir des lavements froids et des objets divers insérés dans mon vagin. Une autre fois, je vis mon frère et ses amis me pendre par les pieds. […] Finalement, je vis des scènes de viol collectif et de viol par des animaux. » L’état de santé de Laura ne s’arrangeait pas. Mais Steve la rassurait : il fallait que son état empire avant de s’améliorer.

Comme bien d’autres, Laura commença à s’éveiller de ce cauchemar lorsqu’elle entendit parler des « faux souvenirs ». « C’était comme si une lumière s’était allumée dans ma tête. Lorsque j’ai réalisé ce qui s’était passé, j’ai appelé un bon psychologue. Je lui ai dit : “Ces flashbacks semblaient si réels ; ils étaient vraiment réels.” Elle me répondit : “Ils étaient réels, mais pas la réalité.” Je n’ai jamais oublié ces paroles. » Laura passa le mot aux autres femmes du groupe. « Maintenant, nous avons toutes arrêté, sauf une fille, qui est vraiment un cas tragique. Elle a accusé sa mère de rituel satanique, et d’avoir assassiné sa sœur jumelle à la naissance. Peu importe qu’il n’y eût qu’une seule naissance enregistrée sur le certificat : elle pense que la secte satanique a trafiqué le certificat. »

Aussi incroyable que cela paraisse, des cas comme ceux d’Olivia McKillop et de Laura Pasley se comptent par dizaines de milliers aux États-Unis. Beaucoup ont d’abord accusé leurs parents, encouragés par leurs psychothérapeutes qui considèrent cette démarche comme libératrice. Et bon nombre sont allés jusqu’à les attaquer en justice. Il y a dix ans à peine, plusieurs de ces procès ont abouti à des condamnations de parents, sur la base exclusive de « souvenirs » déclenchés sous hypnose vingt ou trente ans après les faits supposés.

L’un des cas les plus célèbres trouve son origine dans des souvenirs « retrouvés » par Eileen Franklin en 1988, concernant le meurtre de son amie Susan Nason en 1969. Eileen et Susan avaient alors 8 ans ; elles habitaient dans le même quartier et jouaient souvent ensemble. Susan fut retrouvée assassinée, le crâne défoncé par une pierre. On ne retrouva jamais le meurtrier… jusqu’à ce qu’Eileen, 20 ans plus tard, eut un flashback soudain dans lequel elle vit son propre père, George Franklin, violer et assassiner son amie Susan. Son témoignage, basé exclusivement sur des « souvenirs retrouvés » en thérapies, et jamais corroboré par le moindre indice, a suffi à faire condamner son père.

Dans certains de ces procès, le jury a été impressionné par le fait que les accusations émanaient de plusieurs personnes. Ce fut le cas de la famille Souza, qui aboutit à l’emprisonnement pour 9 et 15 ans d’un couple de 61 ans. Tout commença par les accusations d’une de leurs filles, Shirley Ann, qui se « souvint » en thérapie avoir été sexuellement molestée par eux durant son enfance. Suspectant que ses parents avaient peut-être, par la suite, aussi molesté ses deux enfants (leur petits-enfants), Shirley Ann traîna ces derniers chez un psychothérapeute pour enfants. Celui-ci conclut simplement que les enfants étaient victimes d’une pression anormale de la part de leur mère. Dépitée, Shirley Ann les emmena alors chez un autre psy, qui lui donna le diagnostic qu’elle cherchait : ses enfants montraient les symptômes d’abus sexuels. Après quelques séances, les enfants commencèrent à avoir des cauchemars à connotation sexuelle. Bientôt, ils étaient mûrs pour témoigner au procès. Nancy, 4 ans, déclara que ses grands-parents mettaient « toute leur main » dans son vagin, et même « leur tête ». Elle décrivit une machine grande comme une pièce entière, avec des mains qui « faisaient mal », que ses grands-parents actionnaient en appuyant sur un bouton. Cindy, sa sœur de 5 ans, raconta d’autres horreurs du même genre. Aucune trace physique d’abus ne fut relevée sur ces enfants. Pourtant, le jury déclara les Souza coupables.

Aujourd’hui, les condamnations de ce type sont plus rares. Le travail d’information de la False Memory Syndrome Foundation a porté ses fruits, et presque tous les États d’Amérique se sont dotés de lois interdisant à une Cour de prendre en compte des souvenirs obtenus sous hypnose. Cela ne règle que partiellement le problème, parce qu’il suffit à une plaignante de ne pas évoquer l’origine hypnotique de ses « souvenirs » pour que ceux-ci soient recevables, et parce que le pouvoir de suggestion ne se limite pas à l’hypnose au sens strict, comme on peut le voir dans l’histoire des Ingram, où ce sont plutôt les pratiques de l’évangélisme charismatique qui sont en cause.

Souvenirs d’abus rituels sataniques

Dans les années 90, le thème des rituels sataniques est apparu de plus en plus fréquemment dans les « souvenirs retrouvés ». Dans leurs « flashbacks », des centaines de patients ont vu des scènes d’une obscénité et d’une violence inouïes, se passant dans un cadre diabolique. Sous hypnose, ils se « remémoraient » avoir subi, dans leur enfance ou leur adolescence, des sévices et des tortures atroces au cours de rituels sataniques impliquant de nombreuses personnes de leur famille ou de leur entourage.

Sur la base de tels témoignages, la rumeur s’est répandue qu’un vaste réseau sataniste sévissait en Amérique ; leurs rituels comportaient notamment des tortures horribles, des viols collectifs et la consommation de chair humaine, notamment celle de bébés qu’ils assassinaient devant leur mère. Ils possédaient des techniques de manipulation mentale leur permettant de faire oublier à leurs victimes tout ce qu’elles subissaient dans ces rituels nocturnes, de sorte que celles-ci menaient une vie d’apparence normale durant le jour.

La rumeur, relayée par les grands médias, prit une ampleur telle que le FBI fut mis sur l’affaire. Aucune trace n’a pu être trouvé des dizaines de milliers de fœtus et de bébés que les satanistes étaient réputés avoir massacrés. Mais, bien sûr, cela ne fit qu’agrémenter la rumeur du soupçon de la complicité du FBI.

La touche satanique des souvenirs récupérés avait été introduite en 1980 par un livre retentissant, Michelle Remembers. Michelle Smith, une femme de vingt-sept ans, souffrait d’une dépression consécutive à trois fausses-couches, lorsqu’elle consulta le psychiatre Lawrence Pazder. Au bout de quatre ans de thérapie, Michelle commença à « se rappeler », dans une forme de transe hypnotique, des scènes dignes d’un film d’horreur. Encouragée par l’écoute attentive, fascinée et crédule de son psychiatre, elle finit par se convaincre qu’elle avait subi, lorsqu’elle avait cinq ans et durant plus d’une année, des sévices sexuels et des tortures entre les mains d’une secte satanique, menée par le diable en personne, et dont sa mère (décédée à l’époque de la thérapie) aurait été membre. « Ses souvenirs profondément enfouis, restés virtuellement intacts durant vingt-deux ans, ont fait surface avec une pureté qui est un phénomène en soi », commente le docteur Pazder. Entre autres choses, Michelle aurait été enfermée nue dans une cage pleine de serpents, ou encore enterrée vivante dans une tombe ; elle aurait été témoin du massacre de plusieurs bébés et de fœtus humains, et elle aurait été forcée de commettre des actes sexuels d’une rare obscénité. Après chaque événement, un mécanisme de refoulement programmé par la secte serait entré en action, si bien que Michelle aurait continué une vie d’apparence normale et aurait tout oublié jusqu’à sa vingt-septième année (tandis que ses deux sœurs, elles, n’ont jamais rien remarqué). Michelle Remembers fut un immense succès de librairie, et fut largement responsable de la satanic panic des années 90. C’est le livre qui convainquit Ericka Ingram des pratiques sataniques de son père.

Certaines églises évangéliques américaines, obsédées par le démon, ont fait grand usage des souvenirs récupérés de SRA (Satanic Ritual Abuse). Plusieurs psychothérapeutes qui ont aidé des patients à produire des faux souvenirs de satanisme étaient des pasteurs évangéliques, ou pratiquaient dans un cadre religieux. Parmi la littérature chrétienne, on retiendra Dance With the Devil, un témoignage par Audrey Harper, une chrétienne born-again qui se « rappelle » avoir été plusieurs fois fécondée pour mettre au monde des bébés destinés à être consommés lors de rituels sataniques.

Souvenirs de vies passées … et futures

La vogue des régressions hypnotiques a produit d’autres phénomènes que des faux souvenirs d’inceste. Aux États-Unis, un vaste courant psychothérapeutique pratique les régressions dans les « vies antérieures ». L’Association of Past-Life Therapists (Association des thérapeutes de vies antérieures) compte plus de mille adhérents, mais les thérapeutes qui pratiquent occasionnellement les régressions dans les vies antérieures se comptent pas dizaines de milliers. Ces techniques de régression arriveraient, selon certaines sources, au troisième rang des thérapies alternatives [3].

La vogue a pénétré massivement en France dans les années quatre-vingt. Patrick Drouot, son importateur le plus connu, estime avoir fait effectuer des « retours » à environ 2 500 personnes, parmi lesquelles quelques célébrités comme Sheila, qui en tira un livre. Drouot aurait formé plus de 400 personnes à ce métier d’avenir. Bien entendu, il connaît ses propres vies antérieures. « À une époque où le temps existait hors du temps », il a volé sur un cheval ailé, à la rencontre de démons et autres êtres fantastiques. Il a parlé avec la déesse de la Lune à la peau bleu. Il a été aigle (« Comment vous faire part de ce sentiment de liberté que j’ai éprouvé quand le vent a caressé mes plumes ? »). Plus récemment, il y a 9 000 ans, il fut Rwhall, le valeureux guerrier [4]. Dans Nous sommes tous immortels, un livre qui s’est vendu à 350 000 exemplaires et lui a valu 60 000 lettres, il se présente sous les traits de la druidesse Govenka, expertes en cristaux magiques.

La version réincarnationniste des régressions mémorielles est un sous-produit de la vogue des psychothérapies dynamiques. Typique est le parcours du Dr Brian L. Weiss, psychiatre de Miami et auteur du livre à succès De nombreuses vies, de nombreux maîtres. Au départ, Weiss s’intéressait à l’utilisation de l’hypnose pour retrouver des souvenirs d’enfance refoulés. Une de ses patientes, Catherine, souffrait de diverses phobies : « Elle avait peur de l’eau, peur de s’étouffer en prenant des pilules, peur des avions, peur du noir, et enfin la mort l’épouvantait. » [5] Elle avait aussi des cauchemars. Le Dr Weiss tenta l’hypnose, dans l’espoir de déceler des souvenirs d’enfance refoulés qui pourraient expliquer ses troubles. Quelques épisodes traumatiques émergèrent dans un premier temps, mais sans effet thérapeutique notable. Il tenta donc de remonter plus loin dans la petite enfance. « Petit à petit, je ramenais donc Catherine à l’âge de deux ans, mais aucun souvenir significatif ne lui revint. Lorsque je lui ai ordonné, avec clarté et fermeté, de “retourner à l’époque où ses troubles avaient débuté”, j’étais bien loin de me douter de ce qui allait suivre. » En effet, Catherine visualise alors une scène qu’elle situe en 1863 av. J.-C. Puis défilent des « souvenirs » d’autres vies.

Enthousiaste, Weiss profite de l’occasion pour se renseigner sur ses propres vies antérieures : « Puisque Catherine avait reconnu sa nièce dans une vie antérieure, je ne pus résister à la tentation de lui demander si j’avais déjà fait partie de son entourage. J’étais curieux de connaître le rôle que je jouais dans ses souvenirs. » Docile, comme tout sujet sous hypnose, Catherine lui invente aussitôt un rôle : « Vous êtes mon professeur. Assis sur un rocher, vous commentez un livre. Vous êtes vieux et vous avez des cheveux gris. Vous portez une tunique blanche – une toge – à bande dorée. […] Nous sommes en 1568 avant J.-C. » [6]

La « thérapie des vies antérieures » a donné naissance à un curieux développement, consistant à projeter les patients, non pas dans leurs vies passées, mais dans leurs vies futures. Le Dr Helen Wambach, pionnière de la réincarnothérapie dans les années 70, se livra dans les dernières années de sa carrière à quelque 2 730 « progressions » dans l’avenir, fascinée par le fait que tous les sujets « progressés« dans une vie future entre les années 2100 et 2300 rapportaient des visions similaires, d’ « un monde effrayant dévasté par un holocauste nucléaire et par la pollution, et vide de végétation », la moitié d’entre eux se retrouvant « dans des colonies spatiales en orbite autour de la terre  » [7]. Récemment, c’est Bruce Goldberg qui s’est spécialisé dans les « progressions », guérissant ses patients en décelant les causes futures de leurs présentes maladies. Depuis 1977, il « aide des patients à surmonter des habitudes, des phobies et d’autres séquences auto-destructrices qui ont commencé dans une vie future ». Dans son livre Past Lives, Future Lives, reconnaissant qu’il est plus difficile de faire « progresser » des patients que de les faire « régresser », il explique cela par le fait que nous avons tous été « programmés pour croire que le futur n’est pas encore arrivé ». Luttant contre ce préjugé, Goldberg parvient à projeter un jeune homme en 2542. Il est alors Zeku, fils d’un savant du nom de Lus-Lus qui avait pour mission de construire une ville sous la mer. Comme on s’en doute, à cette époque, des changements notables ont eu lieu dans les domaines des transports : selon Zeku, « on pouvait être téléportés d’un endroit à un autre, ce qui consistait à désassembler les molécules de votre corps et à les réassembler au centre de transfert de votre destination ». À l’occasion, Goldberg réussit le tour de force de changer le futur. Ainsi, un de ses patients, Pete, a commis en 2088 une erreur gravissime dans l’usine nucléaire où il travaillait alors, causant un véritable désastre écologique. Mais, grâce à cette « progression », non seulement Pete va mieux mais, lorsqu’il sera ingénieur nucléaire en 2088, il fera plus attention, « s’accordant à une fréquence différente » pour éviter la désastreuse boulette [8].

Souvenirs d’abductions extraterrestres

Cette visite guidée dans la foire grotesque des faux souvenirs n’est pas terminée. Il nous faut encore mentionner une dernière variante de cette vaste mouvance des psychothérapies régressives : les souvenirs de rapts extraterrestres.

De quoi s’agit-il ? De souvenirs, là encore. Et d’un phénomène bien plus proche des faux souvenirs d’inceste qu’il n’y paraît au premier abord. Des Américains par dizaines de milliers se sont rappelé, généralement lors d’un traitement par hypnose, avoir été « enlevés » (ou « kidnappés », ou « ravis », trois traductions possibles du mot anglais abducted) par des extraterrestres. Ils rapportent avoir été aspirés dans leurs engins spatiaux pour y subir des expériences bizarres, qui comportent généralement des manipulations chirurgicales ou sexuelles. Bien souvent, ces souvenirs font irruption sans qu’on puisse les mettre sur le compte d’une suggestion de la part du psy hypnotiseur, ou d’une croyance prédisposante du sujet hypnotisé. John Mack, professeur de psychiatrie à Harvard, est l’un des principaux vulgarisateurs de ce phénomène. Il raconte dans Dossier extraterrestre le cas typique d’une femme qui était allée consulter un thérapeute dans l’espoir de retrouver des souvenirs d’inceste ou d’abus sexuel. Après plusieurs séances d’hypnose, aucun souvenir de ce type n’était « remonté » [9]. Au lieu de cela, elle se rappela avoir été enlevée par des extraterrestres lorsqu’elle avait six ans. Le phénomène est donc en tous points similaire aux premières apparitions de souvenirs de vies antérieures, apparus sur les divans de psy qui cherchaient des souvenirs de traumatismes enfantins. D’ailleurs, John Mack croit tout aussi fermement en la vérité des « souvenirs récupérés sous hypnose » : il a lui-même retrouvé les souvenirs d’une de ses vies antérieures en Russie au XVIe siècle, au cours de laquelle son fils fut décapité par les Mongols [10].

Dans de nombreux cas de souvenirs de rapts extraterrestres s’ajoute toutefois une composante particulière, absente des souvenirs de vies antérieures : l’entrée en thérapie et l’émergence des souvenirs sont précédées de disjonctions étranges de la mémoire. Le scénario typique est le suivant : une personne, en train de conduire sa voiture ou de vaquer à une autre occupation, aperçoit soudain une soucoupe volante dans le ciel, ou bien un extraterrestre assis à ses côtés, ou encore entend un bruit assourdissant, tandis que le paysage se modifie mystérieusement. Après cela, elle ne se souvient plus de rien. Elle revient à la conscience plusieurs heures après (quelquefois, mais plus rarement, plusieurs jours après), à des kilomètres de l’endroit où elle a disjoncté, avec une amnésie totale de ce qui s’est passé entre-temps (phénomène du missing time). Il arrive même qu’elle ne se rende compte que plus tard qu’il y a un trou béant de plusieurs heures dans sa mémoire (par exemple, qu’elle a mis deux heures de trop pour rentrer chez elle). En outre, elle souffre de troubles psychologiques divers. C’est alors qu’elle fait appel à un psychothérapeute. Elle parvient alors, à l’aide de l’hypnose, à combler ce trou de mémoire : elle se « rappelle » son enlèvement par des extraterrestres.

Voici par exemple un cas rapporté en 1989 au Kansas. Deux femmes étaient en voiture lorsqu’elles aperçurent un OVNI, qui semblait stationnaire par rapport à elles, même lorsque la voiture tournait (elles notèrent que la Lune, en revanche, se déplaçait normalement dans leur champ de vision). Elles observèrent l’OVNI pendant une heure environ. Soudain, une boule de lumière descendit, en émettant un cône de lumière. Les deux femmes se parlèrent pour vérifier qu’elles voyaient la même chose. La seule chose dont elles se souviennent ensuite, c’est de s’être garées, très troublées et épuisées, réalisant qu’elles avaient mystérieusement « perdu » deux heures. Elles souffrirent ensuite d’insomnie, d’anxiété et d’irritabilité. Elles croyaient n’être pas sorties de leur voiture et n’avoir rien vu d’autre que l’OVNI, jusqu’à ce qu’elles se soumettent chacune à une régression hypnotique. Celle-ci fit émerger un scénario d’abduction avec au moins 40 corrélations directes entre leurs « souvenirs » respectifs. Elles avaient d’abord été contactées télépathiquement par deux êtres, qui les rassurèrent. Puis elles étaient sorties en flottant hors de leur voiture, en position assise, avant de se retrouver mystérieusement dans un vaisseau circulaire qui ne comportait pas de porte. Elles furent attachées et examinées.

Généralement, de tels « souvenirs » produisent un profond malaise, car les extraterrestres de ces « rencontres du quatrième type » sont pour le moins ambivalents. Sur la base des témoignages hypnotiques de ses patients abductees, John Mack, tout comme Budd Hopkins et David Jacobs, considère que « le phénomène des abductions est lié, d’une manière essentielle, à un programme de croisement génétique visant à produire des enfants hybrides aliens/humains » [11]. Beaucoup d’abductees ont vu, dans les vaisseaux spatiaux, des bocaux contenant des fœtus humains ou hybrides flottant dans du liquide. La plupart des abductees ont en même temps compris que le but de ces expérimentations est lié à l’échec de l’espèce humaine actuelle.

Il faut insister sur le fait que, dans la majorité des cas, les témoignages d’enlèvements par des extraterrestres ne sont que des « souvenirs » retrouvés après une période d’amnésie et que, dans 75 % des cas, ces « souvenirs » sont produits sous hypnose. Dans les 25 % de cas de souvenirs spontanés, ils sont très vagues et flous et ne comportent pas de scénarios complexes comme les souvenirs produits sous hypnose. Un abductee résume bien la chose :

« Pour la plupart d’entre nous, cela a commencé par les souvenirs. Bien que certains se rappelaient des bribes de leurs expériences, plus généralement il nous fallait aller les chercher là où elles étaient, enfouies dans une forme d’amnésie. Et quels sentiments ambivalents nous avons éprouvé en découvrant ces souvenirs ! Presque sans exception, nous avons été terrifiés en revivant ces événements, comme submergés par leur impact. Mais il y avait aussi de l’incrédulité. Cela ne peut pas être vrai. Je dois rêver, ça ne peut pas arriver. Alors commencèrent les alternances de doute et de certitude, tandis que nous essayions d’incorporer ces souvenirs dans le sens que nous avons de qui nous sommes et de ce que nous savons. »

Le postulat nécessaire pour expliquer les souvenirs d’abduction refoulés puis retrouvés est que les extraterrestres provoqueraient chez leurs cobayes une amnésie partielle de façon à leur faire oublier l’épisode. Mais une autre hypothèse mérite considération : celle selon laquelle les « souvenirs » seraient des « faux », des fabrications, des produits de l’hypnose. Pour nombre de cas, cette deuxième hypothèse est la seule possible, car des éléments essentiels du témoignage sont matériellement impossibles : par exemple, une personne se rappelle que des extraterrestres lui ont enfoncé des appareils dans le ventre, ou lui ont découpé le crâne, ou encore lui ont enlevé un œil pour le remplacer, mais les examens médicaux ultérieurs contredisent tout cela. Les comportements loufoques de ces extraterrestres sont, de plus, en décalage avec leur niveau technologique supposé ; les examens médicaux consistent le plus souvent à tâter et gratter la surface du corps, enfoncer des aiguilles et placer des implants (jamais détectés ensuite) à l’aide d’un long tube. Ajoutons que, lorsque les séances d’hypnose sont répétées, les « souvenirs » de l’enlèvement se complexifient indéfiniment et finissent généralement par se contredire.

Il faut enfin verser au dossier les explications saugrenues et souvent contradictoires que fournissent aux abductees les êtres étranges qui les kidnappent et les tripotent, et qui ont, selon les « souvenirs », des aspects divers (les spécialistes distinguent plusieurs types d’extraterrestres, parmi lesquels les « petits gris », petits avec une grosse tête, les « scandinaves », longilignes aux cheveux blonds, les « reptiliens », avec leur peau écaillée, et, plus rarement, les « gnomes » ou trolls, sortes de nains barbus ; on a vu également des extraterrestres poilus avec des pieds de boucs et, plus rarement encore, des sortes de bonhommes Michelin). La plupart ne font que répéter des clichés qui semblent tout droit sortis de mauvais livres [12].

Tous les problèmes qui rendent douteuse l’origine extraterrestre des entités apparaissant dans les « souvenirs » retrouvés d’abduction ne doivent pas nous masquer le fait que ces « souvenirs » présentent des aspects paranormaux, et que le mystère de leur nature véritable reste à élucider [13]. En premier lieu, le fait que les souvenirs présentent des thèmes récurrents, même chez les abductees n’ayant au préalable aucune culture ufologique, pose problème. La même remarque vaut pour les « souvenirs » de rituels sataniques ; c’est d’ailleurs cette forte impression de recoupements entre les « souvenirs » qui a convaincu beaucoup de gens de l’existence d’un réseau satanique pratiquant les rituels en question.

Il y a aussi le fait, déjà signalé, que les abductions sont souvent liées à des apparitions d’OVNI, parfois attestées par plusieurs témoins indépendants. C’est le cas, par exemple, dans la fameuse histoire du pont de Brooklyn, traitée par Budd Hopkins dans son livre Witnessed, traduit en français sous le titre Enlèvements extraterrestres. Les témoins parlent [14]. Plusieurs témoins, dont un diplomate et ses deux agents de sécurité, ont vu Linda Cortile sortir par la fenêtre d’un appartement au douzième étage, en flottant dans un rayon de lumière. Linda et ses kidnappeurs, décrits comme trois hommes de petite taille, furent soulevés dans une soucoupe volante orange, qui s’éloigna ensuite. La voiture du diplomate, ainsi que celle d’un autre témoin, s’étaient brusquement arrêtées lorsqu’était apparu l’OVNI.

Mentionnons encore un élément récurrent des abductions, le syndrome de l’embryon ou du fœtus manquant (Missing Embryo/Fetus Syndrome, ou ME/FS) : la femme abductée ressent, après son expérience, tous les symptômes de la grossesse. Cela peut la perturber considérablement, notamment si elle n’a pas eu de rapports sexuels pouvant expliquer une grossesse. Un test sanguin confirme la grossesse. Puis, soudain, dans un délai de moins de trois mois, la grossesse apparente disparaît, sans qu’il y ait de fausse couche. Ou bien, si la femme décide d’avoir un avortement, le médecin qui pratique l’avortement est ébahi de constater qu’il n’y a pas de fœtus. « Le Missing Fetus Syndrome est arrivé si souvent à des abductees qu’il est maintenant considéré comme l’un des effets les plus communs de l’expérience d’abduction », commente John Miller, médecin par ailleurs hostile à l’hypothèse extraterrestre.

MK-Ultra selon Alexandre Breton

Résumons. Nous avons mis en évidence trois phénomènes dans lesquels sont produits, par hypnose dite « régressive », de prétendus « souvenirs » : 1) d’abus traumatiques durant l’enfance ; 2) de vies antérieures ; 3) d’enlèvements par des extraterrestres. De nombreux points communs existent entre ces phénomènes. Un spécialiste a relevé quarante-quatre éléments parallèles entre les souvenirs d’abus sexuels et les souvenirs d’abduction (il en a déduit que ces derniers ne sont que des souvenirs d’abus sexuels déguisés).

Ces trois types de pseudo-souvenirs doivent être confrontés si l’on veut qu’une lumière puisse être apportée sur leur nature véritable. Je n’ai fait ici que jeter les bases d’une telle étude comparative. Il est évident qu’on est là à la frontière de la parapsychologie, un domaine qui relève de ce qu’on nommait, à l’époque où de grands savants s’y intéressaient, la métapsychique (psychical research pour les Anglais).

Mais je voudrais surtout insister maintenant sur une importante leçon pratique à tirer de ce dossier : le scepticisme s’impose lorsque des phénomènes de « souvenirs retrouvés » sont invoqués dans le dossier MK-Ultra, comme c’est le cas dans le livre d’Alexandre Lebreton, MK – Abus rituels et contrôle mental, un livre qui produit plus de confusion que d’éclaircissement par son manque de discernement.

Lebreton fait une grande place aux souvenirs d’abus sexuels retrouvés lors de séance de thérapie hypnotique. Il n’est pas troublé par le fait que, dans la plupart des cas de ce type, les « souvenirs retrouvés » vont s’élaborer au fil des séances. La patiente va d’abord se persuader qu’elle a vécu « des trucs incestueux », et après s’être documentée, finit par se souvenir de programmation Monarch. Ainsi Lebreton rapporte au sujet de Brice Taylor, traitée par la thérapeute Catherine Gould, « qui l’a beaucoup aidée. Ce sont d’abord les abus sexuels dans l’enfance qui sont remontés, puis les souvenirs d’abus rituels sataniques et enfin les mémoires concernant la programmation MK ».

Jamais Lebreton ne considère la possibilité que de tels « souvenirs » soient au contraire le produit d’un trouble de la personnalité, aggravé par des pratiques dangereuses d’hypnothérapies. N’est-ce pas pourtant une hypothèse à prendre en compte ? On admet facilement que certaines de ces patientes qui élaborent des scénarios complexes d’abus durant leur petite enfance ont réellement été abusées d’une manière plus classique, et qu’un traumatisme ait causé une fragilité. Parfois, le traumatisme ne se situe pas dans l’enfance. Ainsi en est-il de Claudia Mullen, mentionnée par Lebreton : j’apprends, en quelques clics, que ses « souvenirs » d’enfance sont « remontés » après que, ayant subi un viol à l’âge adulte, elle entra en thérapie en 1992 avec Valérie Wolf. Cette dernière estima qu’elle avait les symptômes du survivant d’inceste, la mit sous hypnose, et l’aida à produire les « souvenirs » souhaités. Dans certaines conditions, un traumatisme physique avec hospitalisation peut déclencher des troubles mentaux, qui vont s’aggraver en thérapie : « En 1985 et en 1987 Brice Taylor, écrit Lebreton, a eu deux graves accidents. Ce sont les chocs provoqués par ces accidents qui ont commencé à faire remonter les souvenirs de son passé… beaucoup de souvenirs. »

Loin de moi l’idée que tous les « souvenirs » produits sous hypnose s’expliquent facilement. Chaque cas est particulier, et certains sont extrêmement troublants, démontrant des facultés et des fragilités de l’âme humaine qui sont hors du commun. Mais ce qui frappe, c’est au contraire l’empressement des auteurs de littérature à succès à faire rentrer tous les cas dans un grand sac unique auquel ils attachent l’étiquette qui leur plaît – l’étiquette MK-Ultra dans le cas de Lebreton. Lebreton s’inscrit dans une école lancée par un livre paru en 1995, dont le titre français est L’Amérique en pleine transe-formation, et dont le sous-titre anglais est The true life story of a CIA mind control slave. Dans ce livre, Mark Phillips raconte comment il arracha Cathy O’Brien et sa fille d’un réseau gouvernemental qui avait fait d’elles des esclaves sexuelles. Sur la page Amazon du livre on lit que « C. O’Brien est une ancienne victime des expériences gouvernementales américaines de contrôle de l’esprit et a pu recouvrir ses « mémoires » grâce aux travail et soutien de son compagnon Mark Phillips. » Les « expériences gouvernementales » pratiquées sur Cathy depuis son plus jeune âge aurait fractionné son esprit en personnalités multiples, de sorte que, écrit-elle : « J’avais une personnalité pour la pornographie, une personnalité pour la bestialité, une personnalité pour l’inceste, une personnalité pour résister aux horribles abus psychologiques de ma mère, une personnalité pour la prostitution, et le reste de « moi » fonctionnait un peu « normalement » à l’école. » Cathy, donc, fonctionnait à peu près normalement à l’école, c’est pourquoi ni ses proches ni elle-même n’avaient rien remarqué. La manière dont Phillips aida Cathy à « récupérer » ses souvenirs est sans surprise :

« Mon plus grand défi était d’apprendre à contrôler l’état de transe constant de Cathy pendant qu’elle mettait ses souvenirs par écrit. […] grâce à mes propres recherches intensives en hypnothérapie, j’ai appris à contrôler les états de transe de Cathy. Je considérais cela comme une façon de la déshypnotiser. J’en vins à être considéré par les médecins de santé mentale comme un « expert » dans l’application de cet outil clinique peu utilisé pour récupérer la mémoire. »

Phillips est souvent décrit comme « un familier de la CIA », mais rien n’étaye cette prétention, et son récit me fait l’impression d’un tissu d’affabulations de la part d’un personnage trouble, qui ne cache d’ailleurs pas ses fréquentations criminelles. Il me semble probable que c’est Phillips, et non la CIA, qui a fait de Cathy O’Brien son esclave par l’hypnose, dans un but à la fois narcissique et mercantile.

Le manque de recul critique de Lebreton par rapport à ce cas et tant d’autres provient en partie de sa conception de la mémoire humaine sur le modèle du disque dur d’ordinateur, programmable et compartimentable :

« Nous pouvons ainsi comprendre que l’esprit d’un individu est potentiellement programmable tel un ordinateur avec des fichiers et des codes d’accès. Ce phénomène de fracturation de la personnalité est la pierre angulaire des abus rituels car il « déverrouille » la psyché qui devient alors accessible pour y intégrer une programmation. »

Mais les limites de Lebreton viennent surtout du paradigme religieux qui domine sa vision du monde, et que résume bien cette phrase : « La puissance spirituelle ne peut venir que de deux sources : Jésus-Christ ou Satan… ». Mon expérience me dit qu’on ne peut attendre aucune rationalité sérieuse de la part de quelqu’un qui pense ainsi. C’est le problème que j’ai évoqué dans ma critique du film Out of Shadow [15]. Le paradigme de Lebreton, emprunté à un traditionalisme d’inspiration évangélique, détermine son regard sur les religions non chrétiennes. Son chapitre 2 est un bric-à-brac informe de clichés assimilant toutes les religions antiques au satanisme, « sans oublier le druidisme celtique », et la gnose, bien sûr, et ainsi de conclure que MK-Ultra n’a rien inventé. Ainsi, « le Livre des morts égyptien est un des premiers écrits faisant référence à l’utilisation de l’occultisme pour de la manipulation mentale ». Ou encore : « Le culte à Mystères d’Éleusis utilisait dans ses rituels une potion sacrée appelée Kukeon qui contenait de l’ergot de seigle et qui se rapprochait beaucoup du LSD actuel (puissant hallucinogène). » Et ce grotesque contresens : « Dans le texte Gnostique intitulé Gospel of Phillip (sic), il est mentionné que « Dieu est un mangeur d’homme. C’est pour cette raison que les hommes sont (sacrifiés) à lui ». » Avec une telle méthode, on pourrait facilement démontrer que les chrétiens mangent des bébés. Comme tous les chrétiens arque-boutés sur « la parole de Dieu », Lebreton a intériorisé la jalousie du dieu des Juifs : « Le polythéisme des Mésopotamiens, des Sumériens, des Assyriens, des Perses et des Babyloniens était complètement lié aux entités démoniaques. » Il assimile tout ça à la « religion sans nom », autrement dit le satanisme. C’est en effet Satan qui gouverne le monde, par les Illuminati :

« Satan aurait donc un plan établi pour régner sur terre et il utiliserait certains humains (lui vouant un culte) comme catalyseurs pour mettre en place son projet terrestre, des humains passés par la contre-initiation, une inversion de la sanctification aboutissant à des pouvoirs et des connexions d’ordre surnaturel… Il est intéressant de noter ici que la franc-maçonnerie se réfère également à de mystérieuses entités d’une autre dimension qui inspirent (pour ne pas dire qu’elles dictent) ses propres actions pour la mise en place de l’Ordre mondial. / Les Illuminati, ou encore ceux qui composent « l’élite dirigeante » de la planète, semblent eux aussi avoir très vite compris l’avantage qu’ils pouvaient retirer de ces techniques pour dominer le monde. En fait, les Chrétiens auront reconnu que derrière ces techniques et ces tortures abominables, se cache la main de Satan, qui veut réduire l’humanité en esclavage, et se faire adorer comme Dieu, sous la forme de l’Antichrist (sic) annoncé par la Bible. »

Remarquons que, si Lebreton déteste toutes les religions sauf le christianisme, le judaïsme ne semble pas lui poser de problème. Il fait l’impasse sur les rituels juifs sataniques, qui ont pourtant fait l’objet de travaux historiques, notamment par Ariel Toaff dans The Bloody Satanic Sacrifice Rituals of the Jewish Race (lire cet article de Ron Unz). Rien non plus, évidemment, sur la circoncision au huitième jour, véritable rite traumatique.

Par un autre réflexe qui ne surprend pas, Lebreton projette son prisme satanique sur les nazis. Comme dans Out of Shadows, on a droit à l’amalgame entre Paperclip et MK-Ultra. L’ayant lu dans toutes ses sources, Lebreton est convaincu que MK-Ultra est peuplé de nazis, et ignore qu’à sa tête se trouvait un fils d’immigrants juifs hongrois (Sidney Gottlieb, Joseph Scheider de son vrai nom), et que parmi ses collaborateurs figuraient des gens comme John Gittinger, Harris Isbell, James Keehner, Lauretta Bender, Albert Kligman, Eugene Saenger, Chester Southam, Robert Lashbrook, Harold Abramson, Charles Geschickter et Ray Treichler – tous juifs [16]. Voici un échantillon des méthodes de raisonnement de Lebreton. Ils nous informe que les nazis mettaient du fluor dans l’eau des camps de concentration. « Les nazis n’utilisaient évidemment pas ce produit pour améliorer la santé dentaire de leurs prisonniers, bien sûr que non, cette médication massive des réserves d’eau en fluor servait à stériliser les prisonniers et à les abrutir pour s’assurer de leur docilité. » Lebreton ne réalise même pas qu’il se contredit avec la phrase qui suit immédiatement : « Le chimiste Charles Perkins fut un des premiers à dénoncer les effets nocifs de la fluoraison de l’eau potable dans un essai qu’il publia en 1952. »

Les arguments de Lebreton sont souvent de ce niveau, et rendent son livre inutilisable. Encore un exemple : dans son premier chapitre, portant sur l’Institut Tavistock, Lebreton se base sur des auteurs comme John Coleman et Jim Keith, adeptes des théories les plus délirantes. Il reprend au premier l’idée que le succès des Beatles est un complot Illuminati, ou que Jimmy Carter était un « candidat Mandchou » programmé par son psychiatre de Tavistock. Lorsqu’il cite (de seconde main) des savants impliqués dans la recherche sur la psyché humaine, Lebreton leur fait des procès d’intention, comme si toute recherche sur la manipulation mentale était ouvertement ou secrètement au service de la manipulation mentale. Par exemple, il cite William Sargant, qui explique les principes du lavage de cerveau dans The Battle for the Mind : A Physiology of Conversion and Brain-Washing (1957), en laissant entendre que ce professeur recommande ou expérimente le lavage de cerveaux, ce qui est totalement faux, comme il est facile de le vérifier. Avec de telles méthodes, on pourrait facilement « démontrer » que Lebreton fait lui aussi l’apologie de la manipulation mentale. Et d’ailleurs, il me semble bien que, comme toute la sous-culture américaine qu’il recycle, son livre a un côté manipulatoire et donc contreproductif par rapport à son objectif affiché. Certes, tout n’est pas à jeter dans ce livre, et il aurait pu faire une synthèse utile s’il était deux fois moins épais et se limitait aux informations puisées dans des sources crédibles.

Laurent Guyénot

Notes

[1] Mark Pendergrast, Victims of Memory, Harper Collins, 1996.

[2] Elizabeth Loftus et Ketcham, Katherine, Le Syndrome des faux souvenirs, Éditions Exergue, 1997.

[3] Érik Pigani, Psi. Enquête sur les phénomènes paranormaux, Presses du Châtelet, 1999.

[4] Cité par Djénane Kareh Tager dans L’Actualité Religieuse, n° 143, 15 avril 1996, p. 20.

[5] Brian L. Weiss, De nombreuses vies, de nombreux maîtres, J’ai lu, 2015, pp. 12-13.

[6] Weiss, De nombreuses vies, de nombreux maîtres, pp. 29-30.

[7] National Enquirer, mai 1982, cité dans Paul Edwards, Reincarnation : A Critical Examination, Prometheus Books, 1996, p. 90.

[8] Chet B. Snow, Mass Dreams of the Future, McGraw-Hill, 1993, pp. 92-96.

[9] John Mack, Dossier extraterrestres, Presses de la Cité, 1995.

[10] Reincarnation International, juillet 1994, cité dans Paul Edwards, Reincarnation : A Critical Examination, Prometheus Books, 1996.

[11] Sauf mention contraire, les informations qui suivent sont tirées de C.D.B. Bryan, Close Encounters of the Fourth Kind, Knopf, 1995, volumineux rapport journalistique d’un colloque américain organisé par la prestigieuse université de M.I.T. en 1992.

[12] Bien entendu, le fait qu’une partie au moins des « souvenirs » d’enlèvements par des extraterrestres ne soit pas matériellement crédible ne prouve pas que la vie extraterrestre n’existe pas, ni même que les extraterrestres ne soient pas parmi nous (d’une manière générale, la non-existence de quelque chose ne peut jamais être prouvée, qu’il s’agisse des extraterrestres, de la réincarnation ou des licornes, mais la charge de la preuve revient aux tenants de l’existence). Simplement, il faudrait trouver d’autres preuves. Les apparitions d’Ovnis ne font guère l’affaire, puisque rien ne prouve non plus qu’elles soient d’origine extraterrestre.

[13] Pour une analyse objective et documentée du phénomène, aucun auteur ne vaut Jacques Vallée. Lire par exemple : Autres dimensions, Robert Laffont, 1989, J’ai lu, 1991.

[14] Budd Hopkins, Enlèvements extraterrestres. Les témoins parlent, Rocher, 1998.

[15https://www.egaliteetreconciliation…

[16] Larry Romanoff, “CIA Project MK-Ultra,” https://www.unz.com/lromanoff/cia-p…




Lumière sur les bals masqués de l’UNICEF pour « sauver » les enfants

[Source : apar.tv]

L’UNICEF représente les Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF). Sa mission est de “répondre aux besoins des enfants et des femmes des pays en voie de développement”. Apparemment, une autre mission est d’organiser des bals masqués effrayants mettant en vedette des célébrités vêtues de costumes sataniques.

Par Anna Summer

Le dernier bal masqué qu’à tenu l’UNICEF à Clifton’s Republic à Los Angeles était au delà de toute réalité. Alors que l’objectif annoncé de l’événement est de recueillir des fonds pour les enfants, un bref coup d’œil au symbolisme qui entoure la fête suggère un autre objectif : célébrer la culture tordue de l’élite occulte. En effet, l’événement mettait en vedette des célébrités et des fêtards dans un décor inspiré de Eyes Wide Shut (un film sur des orgies à base de rituels magiques dans les sociétés secrètes élitistes)… pour aider les enfants.

Le couturier August Getty est venu à la fête en ressemblant à un super-héros satanique que j’ai surnommé Goatman. L’inscription “les enfants d’abord” derrière lui sont plutôt inquiétants
Le couturier August Getty est venu à la fête en ressemblant à un super-héros satanique que j’ai surnommé Goatman. L’inscription “les enfants d’abord” derrière lui sont plutôt inquiétants

Selon le site officiel

Le bal masqué de l’UNICEF est l’événement philanthropique emblématique de l’UNICEF Next Generation. Des invités masqués, vêtus de leurs plus beaux apparats, dansent toute la nuit pour célébrer et soutenir le travail de l’UNICEF qui sauve des vies. Plus de 800 leaders, innovateurs, célébrités et mécènes émergents du monde entier assistent chaque année au bal masqué de l’UNICEF.

Le bal masqué

Tout comme la plupart des grands événements hollywoodiens, le bal de l’UNICEF est précédé d’un événement qui se déroule sur un tapis rouge où d’illustres invitées se pavanent avec leurs talons Louboutin, leurs robes Versace et… des masques sataniques. Tout cela pour les enfants affamés, bien sûr.

Getty était également présente au bal de l’an dernier. Voyons voir si son masque était moins satanique.
Getty était également présente au bal de l’an dernier. Voyons voir si son masque était moins satanique.
Lydia Hearst portait une robe avec une croix inversée claire et saillante – le symbole principal associé au satanisme
Lydia Hearst portait une robe avec une croix inversée claire et saillante – le symbole principal associé au satanisme
Et non, ce n’est pas une “coïncidence”. Voici une photo qui figure sur son compte Instagram
Et non, ce n’est pas une “coïncidence”. Voici une photo qui figure sur son compte Instagram

Lydia Hearst est l’arrière-petite-fille du magnat des médias William Randolph Hearst – l’un des hommes les plus puissants et influents du 19ème siècle. C’était un membre éminent de l’élite occulte. Voici quelques citations à son sujet :

« William Randolph Hearst Jr. était un franc-maçon 33ème degré et un homme très puissant dans le monde des médias. » – B. Huldah, The JFK Files.

« Illuminatus William Randolph Hearst a beaucoup aidé Anton LaVey. Son Avon Publishing publia sa Bible satanique en 1969 (elle fut publiée pour la première fois en décembre 1969). Depuis lors, il aurait fait l’objet de plus de 30 impressions. Le livre suivant de LaVey, The Satanic Rituals, a également été publié par Hearst Avon en 1972. Il parle du pouvoir que les sacrifices sanglants confèrent au magicien. Les journaux de Hearst lui ont également fait de la publicité. » – Fritz Springmeier, The Illuminati Formula to Create a Mind Control Slave.

Compte tenu de ces faits, la croix inversée a désormais un sens.

Prêt à rencontrer les autres invités ?

Renee Olstead portait un masque vénitien qui figurait dans le film Eye Wide Shut de Stanley Kubrick
Renee Olstead portait un masque vénitien qui figurait dans le film Eye Wide Shut de Stanley Kubrick
Le plancher est un damier qui est en fait un motif ritualiste maçonnique
Le plancher est un damier qui est en fait un motif ritualiste maçonnique
Une bien étrange combinaison
Une bien étrange combinaison
Le photomaton de l’an dernier
Le photomaton de l’an dernier
Les invitations à l’événement présentent un dessin dualiste sous l’œil qui voit tout
Les invitations à l’événement présentent un dessin dualiste sous l’œil qui voit tout

Une courte vidéo (ci-dessous) faisant la promotion du bal de l’an dernier a quelque peu provoqué des frissons. Elle commence avec des images d’enfants dans les pays en voie de développement. Puis, de la musique est jouée alors que nous voyons de riches socialistes boire et danser déguisés en démons.

Un site internet effrayant

Un coup d’œil sur le site officiel de l’événement montre clairement qu’il est inspiré à 100% par l’élite occulte et ses rituels. Le site vous accueille avec cette image.

Des yeux qui clignent bien flippants – le symbole classique d’un seul œil
Des yeux qui clignent bien flippants – le symbole classique d’un seul œil

L’onglet “Tenue” du site web est en fait une page d’intérêt avec des images qui sont censées inspirer les fêtards. Le thème de cette année était “Surréalisme post-moderne”. Cependant, en regardant les images qui ont été sélectionnées, il y a clairement un thème plus spécifique qui est actif : L’élite occulte. On dirait sérieusement une méga-édition des Images symboliques du mois trouvées sur le site Vigilant Citizen (la source de l’article, ndlr).

Une capture d’écran de la page Pinterest de l’UNICEF. Les yeux et l’esprit monarque dominent le symbolisme partout
Une capture d’écran de la page Pinterest de l’UNICEF. Les yeux et l’esprit monarque dominent le symbolisme partout

Plus bizarre encore, la page Pinterest de l’UNICEF présente plusieurs photos du bal masqué de 1972 organisé par Hélène De Rothschild. Il y a quelques années, j’ai publié un article sur cet événement, expliquant en quoi il s’agissait d’un “plan” aux yeux du symbolisme de l’élite occulte actuelle.

La page Pinterest créée par l’UNICEF présente de multiples photos du bal masqué des Rothschild, dont celle d’Hélène de Rothschild portant des ramures gigantesques
La page Pinterest créée par l’UNICEF présente de multiples photos du bal masqué des Rothschild, dont celle d’Hélène de Rothschild portant des ramures gigantesques
Ici, elle est toute vêtue de son costume. Comme c’est charmant
Ici, elle est toute vêtue de son costume. Comme c’est charmant

Tout comme les fêtes “modernes” de l’élite occulte, le bal des Rothschild mêlait subtilement le “surréalisme” au satanisme et à des allusions de cannibalisme.

La fête mettait en vedette des cadavres fictifs sur la table du souper
La fête mettait en vedette des cadavres fictifs sur la table du souper
Et plein de bébés démembrés. Une organisation comme l’UNICEF devrait-elle s’inspirer d’un tel événement ?
Et plein de bébés démembrés. Une organisation comme l’UNICEF devrait-elle s’inspirer d’un tel événement ?
Le deuxième mets du menu est “Imbroglio de cadavres exquis”. Les élites ont un certain penchant pour le cannibalisme
Le deuxième mets du menu est “Imbroglio de cadavres exquis”. Les élites ont un certain penchant pour le cannibalisme

Voici d’autres images présentées sur la page Pinterest de l’UNICEF

Tilda Swinton dans une séance photo effrayante. Tel qu’expliqué dans cette édition de SPOTM, l’ensemble de la séance photo était rempli d’images MK Ultra
Tilda Swinton dans une séance photo effrayante. Tel qu’expliqué dans cette édition de SPOTM, l’ensemble de la séance photo était rempli d’images MK Ultra
Cette création d’Alexander McQueen (le designer occulte préféré de l’élite) est 100% en lien avec le contrôle mental de type “Monarch”
Cette création d’Alexander McQueen (le designer occulte préféré de l’élite) est 100% en lien avec le contrôle mental de type “Monarch”
Dans cette édition de SPOTM, j’ai expliqué comment ce défilé de mode, qui s’est déroulé dans une salle d’opération factice, était entièrement consacré au symbolisme MK Ultra
Dans cette édition de SPOTM, j’ai expliqué comment ce défilé de mode, qui s’est déroulé dans une salle d’opération factice, était entièrement consacré au symbolisme MK Ultra
La page Pinterest présentait également cette publicité Gucci qui est fortement inspirée par le symbolisme occulte connu sous le nom de la Main des Mystères
La page Pinterest présentait également cette publicité Gucci qui est fortement inspirée par le symbolisme occulte connu sous le nom de la Main des Mystères

En bref, la page de l’UNICEF dit essentiellement : « Nous adhérons pleinement à la culture tordue de l’élite occulte ». Certains pourraient dire : « Tout va bien, tant que c’est pour les enfants ». L’UNICEF fait-elle vraiment tout cela pour les enfants ?

Programme de l’UNICEF

Alors que l’objectif de base de l’UNICEF était de fournir une aide d’urgence temporaire aux enfants victimes de la Seconde Guerre mondiale, c’est devenu un élément permanent du système des Nations Unies quelques années plus tard. Depuis lors, sa mission a progressivement changé, abandonnant le rôle de sauver les enfants d’une mort certaine pour celui de “défenseur de leurs droits”.

Les critiques de l’UNICEF affirment que l’agence et Bellamy ont contribué à la crise en se concentrant sur les causes politiques et en détournant l’UNICEF de son “activité principale” d’assurer la survie des enfants.

Richard Horton, rédacteur en chef de la prestigieuse revue médicale The Lancet, a publié un éditorial cinglant qui qualifie la réalisation de Mme Bellamy de “honteuse”.

« L’”approche fondée sur les droits” de Mme Bellamy (qui met l’accent sur les “droits” des enfants plutôt que sur leur simple survie physique), a également été dévastatrice pour les enfants, dont environ 10 millions meurent de causes évitables avant l’âge de cinq ans chaque année. », a dit M. Horton.

La mise en œuvre par l’UNICEF de sa vision des “droits de l’enfant” est également vulnérable aux critiques. En fait, le plan stratégique à moyen terme de l’UNICEF est davantage un projet d’ingénierie sociale selon des lignes féministes radicales. Le plan stipule que « L’UNICEF plaidera en faveur de réformes juridiques et de l’adoption de politiques et de programmes qui amélioreront la condition des filles et des femmes tant dans la famille que dans la société », Wendy McElroy, UNICEF’s ‘Rights’ Focus Is All Wrong

Alors que l’organisation se “dissimule” sous le masque de l’amour et de la charité, son vrai visage a été révélé par d’innombrables controverses impliquant arnaques, corruption, enfants, etc.

L’UNICEF a souvent été critiqué pour avoir empêché des millions d’orphelins d’être adoptés par des familles en occident. D’autres groupes affirment que l’UNICEF est devenu le partenaire de certaines des organisations de type “planning familial” les plus célèbres du monde en matière de “distribution de contraceptifs, de prestation de services d’avortement et de stérilisation”.

En 2014, l’Association des médecins catholiques du Kenya a accusé l’UNICEF d’avoir mené un « exercice secret de stérilisation massif » lorsqu’un agent anti-fertilité a été découvert dans le vaccin antitétanique administré à 2,3 millions de filles et de femmes.

En février 2018, l’UNICEF a admis ne pas avoir protégé les enfants victimes d’abus sexuels commis par le personnel des Nations Unies.

L’agence des Nations Unies pour l’enfance a reconnu les insuffisances de son aide humanitaire aux enfants qui prétendent avoir été violés et abusés sexuellement par des soldats de la paix français en République centrafricaine.

Une déclaration de l’Unicef des Pays-Bas est la première reconnaissance publique de l’incapacité récente de l’agence à apporter son soutien à certaines des victimes d’abus présumés commis par des soldats de la paix dans ce pays africain. Elle intervient alors que le secteur de l’aide et l’ONU font l’objet d’un examen de plus en plus minutieux en raison de leurs manquements dans la gestion de leurs agissements sexuels internes par leur propre personnel.

L’Unicef a été chargé de superviser l’aide apportée aux enfants qui ont déclaré avoir été maltraités par des soldats de la paix. / The Guardian, « Unicef admits failings with child victims of alleged sex abuse by peacekeepers »

En mars 2018, l’UNICEF a signé les “Directives techniques internationales sur l’éducation sexuelle” qui demandent aux enfants de pouvoir “décrire les réactions des hommes et des femmes à la stimulation sexuelle” et “résumer les éléments clés du plaisir sexuel”. Certains groupes ont accusé l’UNICEF de vouloir “sexualiser les enfants”.

Le document promeut également l’idée que l’“identité du genre” d’une personne peut ne pas correspondre à son sexe biologique. L’UNICEF veut qu’on explique cela aux enfants dès la maternelle, en faisant valoir qu’ils devraient « réfléchir à ce qu’ils pensent de leur sexe biologique en rapport avec leur genre ». Cela devrait-il vraiment être une priorité dans le monde d’aujourd’hui ?

En conclusion

Cet article a passé en revue des célébrités paradant dans des cornes du diable et des croix inversées à l’eugénisme social dans les pays en voie de développement. Le lien entre ces deux mondes séparés est clair : l’élite occulte. Alors que, sous couvert de charité, un programme très spécifique est mis en œuvre dans les pays les plus pauvres du monde, cette même organisation organise des fêtes inspirées par les bals pseudo-sataniques des Rothschild.

Tout ce que vous avez à faire est de relier les points pour comprendre qui se cache vraiment derrière les masques.

Sources :

http://www.unicefmasqla.org/

http://www.fawkes-news.com/2018/11/un-regard-sur-le-symbolisme-satanique.html

Vidéo :

[1] UNICEF Masquerade Ball 2017 Sizzle Reel – UNICEF USA / Vimeo

Capture d’écran du film Eyes Wide Shut
Capture d’écran du film Eyes Wide Shut



La révolution catholique romaine continue

[Source : bcp-video.org]

L’intention cachée du symposium du Vatican sur la prêtrise

Les 17 et 19 février, un symposium sur la théologie de la prêtrise s’est tenu au Vatican. Tôt ce mois-ci, cependant, « l’Église synodale » allemande a voté en faveur de la soi-disant bénédiction de l’Église sur le pseudo-mariage de personnes de même sexe ! Il ne s’agit pas seulement un schisme ; il s’agit d’une présentation publique du satanisme synodal, de l’apostasie du Christ et de l’adoption d’un agenda antiévangélique (GAL 1: 8-9), entraînant une malédiction et une expulsion de l’Église du Christ. Bergoglio a approuvé cette décision suicidaire du chemin synodal allemand, lors du symposium, par son silence notoire !

Quel était le but caché de ce symposium sur la prêtrise ? L’élimination de la prêtrise sacramentelle. D’abord par l’abolition du célibat, puis par l’ordination de féministes et de sorcières en tant que prêtresses de Satan pour l’anti-église synodale du nouvel âge. 

En ce qui concerne la crise de la prêtrise, elle trouve ses profondes racines dans l’esprit du second concile de Vatican. La doctrine orthodoxe a été remplacée par les hérésies du modernisme, la mission a été remplacée par une anti-mission caractérisée par un dialogue interconfessionnel, la résistance à l’esprit du monde a été remplacée par l’unité avec elle à travers l’Aggiornamento. Ce poison spirituel du concile de Vatican II paralyse la prêtrise et le catholicisme. Quelle est la solution ? Le repentir. Afin d’appeler la vérité la vérité, l’hérésie une hérésie, le pape non valable un pape non valable, et afin de se séparer de lui et du Vatican apostat, qui est déjà pleinement contrôlé par les francs-maçons. 

Il est nécessaire qu’au moins quelques évêques courageux et qui sont fidèles au Christ reconnaissent dès que possible le pape orthodoxe et valable qui arrêtera ce processus de diabolisation et prennent des mesures vers une véritable restauration de l’Église. Aujourd’hui, Dieu place cette exigence, contraignante en âme et conscience, sur chaque véritable évêque catholique. 

+ Élie 
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin 

+ Méthode OSBMr                      + Timothée OSBMr 
Evêques secrétaires 


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