Pfizer rançonne les gouvernements !

[Source : https://crowdbunker.com/@laVerite]






Comprendre qu’il n’y a jamais eu de « crise covid » autre qu’artificiellement créée

Par BS

Pierre de Décoder l’Eco a publié un document fondamental pour comprendre qu’il n’y a jamais eu de « crise covid », comme indiqué par Marc Girard dans plusieurs articles. Le délire se reprend avec intensité (variant OMICRON), avec la dévaccination des vaccinés 2 doses dans les prochaines semaines (désactivation du pass sanitaire selon 2 échéances), avec la menace de vaccination des 5 – 11 ans, avec les émeutes dans certains Dom-Tom, l’obligation de tests (avec autotests) pour les enfants de sixième (qui va évidemment se transformer en pass vaccinal pour aller à l’école dès que la vaccination des moins de 12 ans sera autorisée par l’UE)… etc..

La vidéo dure 8 minutes, elle fût publiée le 23 novembre et détaille les informations chiffrées les plus significatives du récent rapport de l’Agence Technique de l’Information sur l’Hospitalisation (ATIH) consacré à la Covid-19. Ce rapport officiel indique que le Covid n’a représenté que 2% de l’activité hospitalière sur l’année 2020 et que l’hôpital a fonctionné en sous-régime. Pierre utilise également les données fournies par un autre rapport de l’ATIH détaillant l’activité hospitalière totale pour montrer que l’hôpital n’a jamais été débordé à cause d’un petit coronavirus.

À la différence de Géodes de Santé Publique France sur lequel s’est basé le décompte des morts du covid du croque-mort Jérôme Salomon, l’ATIH ne reprend que les patients dont le motif d’hospitalisation est spécifique à la Covid-19. L’analyse de Pierre permet de chiffrer les conséquences des mesures prises par le gouvernement conseillé par le Conseil Scientifique (déprogrammation de soins, confinements, non-prise en charge des patients en urgence, etc.) : 

une activité hospitalière en baisse de 10% sur l’année 2020 incluant une baisse de 50% pour le mois d’avril 2020 (celui du 1er confinement, montrant un pic de mortalité) avec un taux de prise en charge Covid sur ce mois qui présente un maximum de 7,6% des admissions, taux inclus dans un taux de prise en charge total qui chute de moitié par rapport aux années précédentes. Que sont devenue les personnes qui auraient statistiquement dues être prises en charge pour les pathologies habituelles sur cette période ?

La vidéo a été publiée à la fois sur YouTube et Odysee (Odysee échappe à la censure).

L’activité hospitalière en 2020 : la vraie version (Pierre Chaillot de Décoder l’Eco – 23/11/21 – 8 minutes 25) :



Version texte (via France Soir) :

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/lactivite-hospitaliere-en-2020-la-vraie-version

L’agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH) a sorti un rapport d’analyse sur l’impact de la Covid-19 sur les hospitalisations durant l’année 2020. Ce rapport a notamment révélé que durant l’année 2020, les hospitalisations pour cause de Covid-19 n’ont finalement représenté que 2 % de l’activité hospitalière sur l’année. La lumière a été faite sur ce rapport lorsque Martin Blachier l’a évoqué sur LCP, émission Ça vous regarde du 09 novembre 2021. La presse s’est bien évidemment empressée d’enterrer les résultats de ce rapport pour éteindre cet incendie qui menaçait de brûler l’histoire officielle.

Ce rapport a été enterré un peu vite et, surtout, l’autre rapport concernant l’activité totale des hospitalisations en 2020 a été passé sous silence. Nous allons voir que, non seulement l’activité Covid-19 à l’hôpital est très loin d’avoir ressemblé à l’image que les médias ont voulu véhiculer, mais qu’en plus, l’hôpital français n’a jamais été autant sous-utilisé qu’en 2020.

L’activité Covid-19 de l’hôpital finalement faible sur l’année

La première révélation de l’étude de l’ATIH est le nombre d’hospitalisations pour cause Covid-19 en 2020. Sur l’ensemble de l’année, 217 974 patients ont été hospitalisés pour cette cause (Figure 1).

Ce nombre est étonnamment assez éloigné de ce que l’on peut trouver sur Géodes, le portail des statistiques du ministère de la Santé, sur lequel on trouve 277 821 en 2020 (Figure 2). Il semble manquer 60 000 hospitalisations dans le rapport de l’ATIH, soit 20 % du total. Cependant, à la page 20 du rapport, dans la partie Sources et Méthodes, on peut lire « La population d’étude est constituée des patients hospitalisés en 2020 pour une prise en charge de la COVID-19. […] Les hospitalisations de patients testés positifs à la COVID-19 mais asymptomatiques 16 ou dont le motif de recours à l’hospitalisation de court séjour n’était pas la COVID-19 ne sont pas intégrées au champ d’analyse. » Ainsi, l’ATIH, contrairement au ministère de la Santé, ne compte pas comme « Covid-19 » les patients hospitalisés pour une jambe cassée, mais déclarés malades a posteriori de la Covid-19. Il est intéressant de savoir que ces patients représentent 20 % des statistiques officielles, soit un patient sur cinq.

Au bilan, ces hospitalisations Covid-19 représentent 2 % de l’activité hospitalière sur l’année (Figure 3). Une activité assez insignifiante au regard de ce que gère l’hôpital avec ses 11 millions d’hospitalisations annuelles.

Les seules statistiques qui augmentent sont les durées d’hospitalisations et les nombres de décès des patients Covid par rapport aux autres patients.

Cependant, comme nous l’avons vu, les personnes hospitalisées pour Covid-19 sont les personnes âgées (Figure 4). Il paraît donc normal (voire rassurant) d’avoir plus de décès pour les hospitalisations Covid-19 de patients de plus de 80 ans, que pour les ruptures des ligaments croisés après un match de football de patients de moins de 40 ans.

À ce stade, il convient de rappeler que chaque année, plus de la moitié des décès français (donc plus de 300 000) ont lieu à l’hôpital (Figure 5). L’hôpital est le principal lieu de décès des Français, et c’est le signe qu’ils sont pris en charge, pas que l’hôpital est un lieu dangereux.

Concernant la durée des hospitalisations et la part des décès (Figure 6), nous avons montré à de nombreuses reprises que les patients Covid-19 n’ont pas eu de soins précoces de la part de leur médecin (puisque c’était déconseillé, voire interdit). Ils sont arrivés à l’hôpital dans un état fortement dégradé et il est normal qu’ils y soient restés plus longtemps et soient plus souvent décédés que pour une grippe prise en charge précocement. Cela ne prouve pas la dangerosité de la maladie, mais celle de l’interdiction de soin.

En plus de montrer que la Covid-19 a finalement peu pesé sur l’activité hospitalière sur l’année, il convient de rappeler que l’activité hospitalière n’a jamais été aussi faible que pendant cette année 2020. Toutes les déprogrammations ou les évictions de patients du fait de la politique de non prise en charge ont eu un effet déplorable sur l’organisation du soin. Cette non prise en charge est mesurée dans l’autre rapport de l’ATIH sur les hospitalisations totales.

Sur l’année, l’hôpital a accueilli 1,3 million de patients en moins, représentant 2,2 millions de séjours en moins. Cela représente un recul de plus de 10 % à chaque fois, et autant de personnes qui n’ont pas été prises en charge et soignées.

La presse s’est évidemment fait l’avocat du gouvernement en nous expliquant que ces chiffres annuels de faible activité totale ou Covid ne représentent pas les pics énormes qui ont eu lieu pendant les vagues. Heureusement, l’ATIH nous permet de vérifier tout cela.

L’activité Covid-19 de l’hôpital finalement faible pendant les vagues

Les fiches synthétiques de l’ATIH nous permettent de mesurer l’activité hospitalière mois par mois et de la comparer à l’activité liée à la Covid-19. Le nombre de séjours liés à la Covid-19 représente donc 1,3 % des séjours sur l’année, mais selon les mois cette part a pu varier entre 0 et 7,5 % (Figure 8).

Ainsi, au plus fort de l’activité Covid, cette dernière n’a représenté que 7,5 % de l’activité hospitalière en avril 2020. C’est déjà peu, mais encore à nuancer. En effet, les mesures de confinement et d’annulation de tout le reste de l’activité ont drastiquement diminué l’activité hospitalière à cette période.

L’activité hospitalière d’avril 2020 est 50 % inférieure à l’activité normale de cette période, comme en témoignent les courbes de 2018 et 2019 (Figure 9). Ainsi, 7,5 % de Covid dans un contexte où l’hôpital ne fonctionne qu’à mi-régime, signifie que l’activité Covid n’a représenté au maximum que 3,7 % d’une activité normale.

Il n’y a donc jamais eu d’impact de la Covid pour faire déborder l’hôpital. Non seulement à aucun moment l’hôpital n’a débordé, mais il a fonctionné en sous-régime toute l’année, et l’impact de la Covid est insignifiant quel que soit le moment.

L’activité Covid-19 de l’hôpital finalement faible partout

Les fiches synthétiques de l’ATIH nous permettent de mesurer l’activité région par région pour savoir si finalement la crise hospitalière a eu lieu quelque part, puisque au niveau de la France, elle n’a eu lieu à aucun moment.

On observe alors que la région ayant la part d’hospitalisations Covid la plus forte est l’Île-de-France, avec 2,2 % d’hospitalisations Covid (Figure 10). Ainsi, même au niveau régional, on est incapable de trouver un hôpital qui déborde à cause de la Covid-19.

En revanche, on note une correspondance quasi-parfaite entre la part de Covid-19 déclarée et la sous-activité de l’hôpital. Plus l’hôpital a déclaré une part importante de Covid-19 et plus son activité a en fait baissé en 2020.

On note également que cet ordre correspond parfaitement à l’affiliation au pouvoir des grands dirigeants des services de santé de ces territoires, avec en premier lieu les Parisiens bien évidemment.

En conclusion, nous pouvons dire que nous avons montré dans de nombreux articles et vidéos que la mortalité sur l’année 2020 ne peut en aucun cas être attribuable à la seule Covid et est bien trop faible pour justifier la moindre mesure coercitive. Grâce à l’ATIH, nous savons dorénavant qu’il en est de même pour les hospitalisations. Le catastrophisme médiatique est toujours une mise en scène justifiant la répression.

Toutes ces statistiques proposées par l’ATIH ne font que nous confirmer que nous faisons face depuis deux ans à des choix idéologiques, politiques ou financiers de la part des décideurs, qui n’ont rien à voir avec la santé des Français.

Auteur(s): Pierre Lecot, pour FranceSoir


Gabriel Attal, à propos de ce rapport

https://francais.rt.com/france/92634-attal-reconnait-que-chiffre-2-patients-admis-hopital-cause-covid-juste

Interrogé sur le plateau du talk-show On est en direct le 13 novembre, le porte-parole du gouvernement a reconnu que le chiffre portant à 2% le nombre de patients Covid admis à l’hôpital en 2020 était «juste» mais a voulu tempérer son interprétation.

Invité de l’émission On est en direct (France 2) le 13 novembre, Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, s’est exprimé au sujet d’un rapport de l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH) établissant à 2% le nombre de patients admis à l’hôpital pour cause de Covid-19.

«Tout ça pour ça ? Pour si peu de gens !», s’est alors étonné l’animateur de l’émission Laurent Ruquier en référence aux restrictions sanitaires inédites prises durant l’année 2020. Si Gabriel Attal a en conséquence reconnu que «ce chiffre est juste», il a cependant tenu à tempérer les interprétations à en tirer. Selon lui, le rapport expliquerait également «qu’il y a eu une tension très forte à l’hôpital du fait du Covid».

Gabriel Attal a estimé que les 2% des patients hospitalisés en 2020 pour prise en charge du Covid-19 représenteraient en réalité une moyenne de personnes «ayant franchi la porte de l’hôpital sur l’année». Il a souligné notamment l’apparition «de moments de saturation des hôpitaux sur trois mois, peut-être quatre mois sur les douze mois de l’année». «Ce chiffre ne donne pas le nombre de jours d’hospitalisation», a-t-il assuré, précisant que ces patients étaient selon lui «restés beaucoup plus longtemps».

Fondée en 2000, l’ATIH est un établissement public à caractère administratif placé sous la tutelle des ministres chargés de la santé, des affaires sociales et de la sécurité sociale. Publié le 28 octobre 2021, son rapport sur l’activité hospitalière 2020 liée au Covid-19 a été beaucoup commenté, notamment par les opposants aux mesures restrictives, jugées disproportionnées.

Mais du côté du gouvernement, la ligne directrice reste inchangée : répondant à la journaliste Léa Salamé, toujours sur le plateau d’On est en direct, sur la question d’un éventuel reconfinement, Gabriel Attal a ainsi fait savoir qu’il ne fallait «jamais rien exclure par principe». «Cette épidémie continue de surprendre le monde entier», a-t-il argumenté, assurant toutefois que pour le moment il n’était «absolument pas question d’un reconfinement dans notre pays, parce qu’on a ce taux de vaccination très élevé».

Articles de Marc Girard les plus importants consacrés à la crise covid

Été 2020 : https://www.rolandsimion.org/coronavirus-mortalite-epidemiologie-fake-intimidation/

Novembre 2020 : https://www.rolandsimion.org/un-commentaire-sur-le-re-confinement/

L’accélération du délire de ces derniers jours est une preuve supplémentaire que le but du gouvernement n’a AUCUN RAPPORT avec la santé publique.




Comment échapper à Google

[Source : Comment échapper à Google – Aube Digitale]

PAR JADE

[Ndlr : pour échapper vraiment à Google, il faut aussi :
– ne pas inclure de publicités Google sur son propre site ;
– ne pas y ajouter d’outils statistiques Google ;
– n’utiliser aucun des autres outils et applications de Google (comme Hangouts, GMail, Google Maps, Google Translate, Navigateur Internet Chrome, etc.).]

Faites-vous partie des 94% d’internautes qui n’en ont aucune idée ?

Google Search détient une part du marché américain de la recherche en ligne d’environ 70 %, voire 94 % si l’on ajoute Google Images, Google Maps et YouTube, propriété de Google (voir le graphique ci-dessus).

Si vous faites partie de ces 94 %, il y a une mauvaise nouvelle pour vous.

Comme l’a récemment découvert un célèbre podcasteur américain, Google « cache en effet des informations » à ses utilisateurs. Ce phénomène est connu depuis de nombreuses années, mais il est devenu particulièrement évident et grave pendant la pandémie de coronavirus.

En fait, la censure exercée par Google est devenue si grave qu’aujourd’hui, les internautes avancés utilisent Google principalement pour surveiller l’ampleur actuelle de la censure, et non pour effectuer des recherches. Le Dr Robert Epstein, chercheur américain, a appelé cela l’effet de manipulation des moteurs de recherche (SEME).

Il convient de noter que la censure de Google n’affecte pas seulement les résultats de recherche, mais aussi les suggestions de recherche. En d’autres termes, Google manipule d’abord ce que vous recherchez, pour ensuite manipuler les résultats que vous obtiendrez. Cela vaut la peine d’essayer vous-même pour en apprécier l’effet (voir ci-dessous).

Que vous cache Google ? En bref, il cache les « sources ne faisant pas autorité ». En d’autres termes, ils cachent des choses que les personnes au pouvoir ne veulent pas que vous sachiez ou auxquelles ils ne veulent pas que vous réfléchissiez.

Ce n’est pas si surprenant, étant donné que Google était à l’origine un projet de recherche et de démarrage financé et soutenu par les services de renseignement et l’armée américains pour « conserver la supériorité en matière d’information ».

En fait, Google Search est devenu une bibliothèque de prison en ligne.

Heureusement, il existe quelques alternatives à Google Search, mais pas autant qu’on pourrait le croire. En fait, il n’existe actuellement que deux véritables alternatives à Google Search.

Ces deux alternatives sont Bing de Microsoft et le moteur de recherche russe Yandex.

Le fait que Microsoft, en tant que société monopolistique, et Yandex, en tant que fournisseur russe, proposent des résultats de recherche plus ou moins non censurés est quelque peu ironique, et chacun d’entre eux peut avoir ses propres raisons de le faire. Mais ce sont actuellement les seules véritables alternatives à Google.

Mais qu’en est-il des nombreux autres moteurs de recherche indépendants ? La vérité est que la plupart d’entre eux ne sont ni indépendants, ni même de véritables moteurs de recherche, car ils s’appuient simplement sur les résultats fournis par Google ou Bing.

Par exemple, Startpage ne fait que fournir les résultats de recherche de Google.

DuckDuckGo, Yahoo, Qwant, Ecosia, Swisscows, MetaGer et d’autres moteurs de recherche s’appuient principalement sur Microsoft Bing, bien que certains d’entre eux puissent ajouter quelques autres sources contextuelles ou d’importantes fonctions de confidentialité. Mais pour la plupart des recherches, vous obtiendrez simplement les résultats de Bing.

Si Bing décide un jour d’appliquer une censure de type Google (ou s’il y est contraint), les internautes occidentaux avertis devront soit s’en remettre à Yandex, soit créer enfin un moteur de recherche indépendant, réel et non censuré.

Sinon, le web va devenir un endroit assez sombre, littéralement.

Une dernière chose : YouTube. YouTube appartient aussi à Google (depuis 2006).

C’est pourquoi il est devenu de plus en plus difficile de trouver des vidéos YouTube sur des « sujets controversés ». Dans de nombreux cas, ce que vous recherchez a peut-être déjà été supprimé par YouTube, mais même si ce n’est pas le cas, il ne s’affiche pas dans les résultats de recherche et les recommandations hautement censurés de YouTube.

À la place, il faut utiliser un moteur de recherche alternatif basé sur Bing – qui indexe les vidéos YouTube de manière indépendante – puis rechercher le sujet en ajoutant « site:youtube.com ».

Ou, mieux encore, utiliser d’emblée une plateforme vidéo alternative, comme Odysee, Bitchute, Rumble, Brighteon, DTube, ou même Archive.org.

Les producteurs vidéo indépendants doivent eux aussi se tourner de plus en plus vers ces plateformes alternatives, car créer des vidéos sur YouTube revient aujourd’hui à construire un château de sable trop près de l’eau.

Pour en savoir plus sur les sources de médias en ligne, les moteurs de recherche, les bloqueurs de publicité, le contournement des paywalls et la censure, voir Utilisation avancée des médias en ligne : sept recommandations.

Google vs Yandex

Le moteur de recherche russe Yandex semble manipuler les suggestions de recherche à l’inverse de Google. Par exemple, lorsque vous recherchez « vaccin Pfizer », les deux premières suggestions de recherche sont actuellement « décès liés au vaccin Pfizer » et « effets secondaires du vaccin Pfizer ». Pendant ce temps, sur Google, « vaccin Pfizer » est automatiquement complété par « près de chez moi », « rappel », « approbation de la FDA », « pour enfants » ou « efficacité ».

« Vaccin Pfizer » : Yandex vs Google

Google vs Bing

Coronavirus : une « pandémie planifiée » (Bing) ou des « outils de planification » (Google) ?

Coronavirus : Google vs Bing

Littérature

Vidéo : Google vs Bing

Une « compilation de mèmes » sur les différences entre Google et Bing. (2019)

https://www.youtube.com/embed/9aIBpbjM-9A

Traduction de Swprs.org par Aube Digitale




Les effets « directs et collatéraux » des écrits de A. Bensaada et de A. Merdaci

Par DJERRAD Amar

Finalement, c’est la vérité ! Les publications de Ahmed Bensaada (livres et articles) sur les « printemps arabes » — et leurs dessous idéologiques et financiers que programmes des officines occidentales en particulier américaines par la NED et françaises — ont vraiment fait beaucoup de « victimes » algériennes (et étrangères) ayant échoué dans la déstabilisation de l’Algérie par pseudos-hirak interposés. Des « victimes » de tous les bords idéologiques y compris « gauchistes ». Sa publication sur le hirak et ses manipulateurs cachés, intitulée « Qui sont ces ténors autoproclamés du hirak en Algérie », est celle qui a mis « le feu aux poudres » par les révélations et preuves irréfutables qu’elle contient. C’est dès l’annonce de la sortie du livre et son titre que des voix trépidantes sonnent la charge contre la personne de Bensaada ! Ce livre foudroyant (que la plupart des médisants non pas lu) a agi, en effet, comme un « lance-pierre ayant brisé la vitrine fumée » faisant apparaître la tromperie cachée ou comme le projecteur d’un chalutier faisant sortir différentes sortes de poissons (les gros surtout) à la surface de la mer. Une « mer » agitée et trouble ou nageaient les corrompus, les envieux, les cupides, les vaniteux, les prédateurs, les opportunistes, les cauteleux, les « applaventristes » et les félons !

Une réplique au livre, par des preuves, aurait été salutaire, acceptable et rassurante, mais à ce jour personne n’a fourni la moindre contre-preuve à ses révélations. On y avance des « certitudes » fondées sur des affirmations crasses, des carabistouilles, des suppositions et surtout sur des attaques ad personam, basses, épidermiques, jusqu’à attenter à son honneur et à sa probité, visant à le discréditer, le dévaloriser au lieu de réfuter, par des preuves, son argumentation documentée. De « complotiste » à « agent » des « service » algériens et/ou de la France, de traître aussi ! Il ne manquait que la qualification de « funeste coléoptère ». Enfin si, on l’a traité de « doubab » (mouche électronique) « bossant pour régime ». Non seulement lui, mais aussi, les auteurs de la préface/postface et son éditeur algérien ! C’est bébête, méchant et frustrant surtout quand cela vient de gens qui se prétendent « intellectuels » ! Des publications de cette qualité informationnelle, ça « s’analyse » et non « parcouru des passages » ou « non encore lu ». La logique intellectuelle impose des réponses avec une approche intellectuelle et non pas par des réactions hargneuses et injurieuses, qui égarent ! En vérité, des enrôlés dans la catégorie opportuniste des « gaucho-islamo-bobo » algérois ! Bensaada traître ? Raisonnons par l’absurde : à la limite, qui est patriote : celui qui « bosse » pour un « régime » de son pays, quel qu’il soit, ou celui qui « bosse » pour des états étrangers contre son pays dans le but de semer le désordre ? « La première des vertus est le dévouement à la patrie. » disait N. Bonaparte ; ainsi que ce proverbe arabe qui leur sied parfaitement :

« les armes du sage sont sa science et sa langue, celles de l’hypocrite la calomnie et la médisance ».

Toutes ces attaques démontrent, a contrario, la pertinence et la profondeur de l’ouvrage, mais aussi l’engagement douteux des mis en cause et leurs porte-voix. Totalement déroutés, frustrés par l’échec et surtout démasqués, ils se sont livrés, alors, à un travail de sape ignoble, à un degré d’aliénation tel qu’ils osent traiter de « renégat » leurs concitoyens qui défendent leur pays oubliant qu’eux le trahissent ouvertement en servant de relais à la politique de pays étrangers hostiles ; de la France en particulier !

Oui un livre-enquête foudroyant, ayant anéanti tout espoir de « coup de force » qui a semé la panique dans ces milieux, embusqués, en faisant mal à beaucoup de ces manipulateurs internes et externes ! Il a surgi tel un couperet, avec des preuves irrécusables (tirées des documents officiels de la NED/CIA et des câbles wikileaks), impliquant des personnalités et ONG algériennes dans la tentative de manipulation du hirak pour le détourner de ses revendications originelles en collusion avec des officines occidentales, la nébuleuse islamiste internationale que représente Rachad et le mouvement séparatiste MAK, suivant des agendas étrangers dans un but hégémonique ! Plus précisément, ses publications, qui consacrent une large partie aux extraits de rapports d’organismes étrangers, dévoilent les liaisons de ces « ténors autoproclamés… » (qu’il cite) avec notamment la NED américaine qui les finance. Dans son « Huit ans après : la » printanisation » de l’Algérie », il cite la Ligue algérienne des Droits de l’homme (LADDH) ; le Collectif des Familles de Disparus en Algérie (CFDA) en liaison avec « SOS Disparus » qui mènent souvent leurs actions ensemble avec « Soumoud » et « Djazaïrouna » ; le RAJ (rassemblement-actions-jeunesse). Dans un autre article, il dévoile le financement de Radio M (de El Kadi Ihsane), où active K. Drareni, par Canal France International sous la coupe du Quai d’Orsay… Pour en faire quoi ? De l’aumône ? Pour leurs beaux yeux ? L’anthropologue américaine Adrienne Pine dit à ce sujet :

« une fois que les gens acceptent de l’argent, ils acceptent les conditions qui vont avec… »

Il est vrai que les travaux de recherche de Bensaada sont assez offusquant et tranchant pour susciter pareilles réactions agressives !

Bien plus ! Au-delà des informations vérifiables qu’il renferme, le livre met aussi à nu un système médiatique corrompu, une espèce de journalistes, surtout du privé. Leur insolence est poussée jusqu’à considérer que tout « ennui » judiciaire d’un journaliste, d’un activiste politique félon, comme une volonté « politique » d’empêcher la vérité et la liberté d’expression (y compris dans les cas de diffamation, d’injure et d’atteinte à la sécurité de l’état !). Tous savent qu’ils sont face à des preuves avérées qui ne sortent pas d’une imagination débridée.

Omar Zelig (de son vrai nom Luc Chaulet) connu dans certains milieux algérois influents et sa clique font partie du microcosme algérois agissant. Certains (dont Rachid Malaoui le chef SNAPAP, un syndicat « autonome » algérien) ont même osé se réunir dans l’enceinte du Parlement français autour de la députée Marie-George Buffet (surnommée la « ‘Tartarine » par Bensaada) pour le projet de « faire tomber le pouvoir en Algérie » dans l’espoir de faire le bonheur d’un peuple dont elle ne connaît rien. Omar Zelig lui intervient, en s’annonçant en fin de parcours, lorsque la messe est dite ! Par son « post » – seulement « de 4 lignes » (dit-il) sur les réseaux sociaux – souhaitant que l’on se débarrasse de Ahmed Bensaada ainsi que du site d’information « Lapatrienews » – il annonce bien sa couleur, jusque-là dissimulée, mais d’importance, car il dévoile qu’il fait bien partie de cet amas politico-idéologique décrit par Bensaada. Comme tous les autres de son bord, nous n’avons pas vu à ce jour un écrit de son cru critiquer dans les règles de la science, les travaux de Bensaada Ahmed, ce « consultant canadien » (comme il le qualifie) qui doit être moins « patriote » que Chaulet Luc ! Quand on se prétend « homme public », on mesure ses mots destinés au public en les assumant ainsi que les répliques, au lieu de croire avoir dit une banalité ! M. Bensaada, lui aussi homme digne, ne laisse pas passer, à notre connaissance, sans réplique ce genre de « post » : « Si la fin de Belhimer pouvait nous débarrasser de ses dommages collatéraux type Bensaada, Lapatrie, la paranoïa et autres consternations du Boulevard des martyrs, ça serait bien, mais on n’ose plus rêver ». Ce qu’il a fait avec les moyens et l’intelligence qu’il a par un article qui semble l’avoir fortement incommodé ! Mais c’est l’article de Abdellali Merdaci intitulé « Ahmed Bensaada et les “dommages collatéraux” : Les songes d’une nuit d’automne d’Omar Zelig-Chaulet » (publié par des sites en Algérie relayé par le site canadien « nouveau-monde.ca ») qui l’a le plus ébranlé au point d’y voir des atteintes à sa personne et sa celle de compagne Mouffok / journaliste (un crime de « lèse-majesté » de l’avis de Bensaada ; « témoigne de l’arrogance des Chaulet-Zelig-Mouffok qui considèrent qu’écrire sur eux est un délit » selon Merdaci), nécessitant une plainte ; sans percevoir que leur « réponse est nettement injurieuse » selon Merdaci. La réponse de Merdaci et celle de Bensaada ne se sont pas fait attendre « la réponse du berger à la bergère » !

Ayant lu et relu son écrit doctement rédigé, on ne trouve aucune diffamation, injure ou insulte. Le professeur Abdellali Merdaci est bien connu pour sa haute culture, rarement égalé, en sa qualité de linguiste, écrivain, critique et historien de la littérature, auteurs de nombreux ouvrages, études et articles de presse. Ni dans ceux du Dr Bensaada qui n’est pas du tout le genre « bobo gauche caviar » comme beaucoup de ses détracteurs, mais un intellectuel, respectable et modeste, de haut niveau ayant reçu plusieurs distinctions honorables pour ses travaux de recherches des mains de hautes personnalités respectables notamment canadiennes ! M. Bensaada est chercheur et enseignant en retraite, mais encore en activités universitaires. Il est titulaire d’un doctorat en physique de l’Université de Montréal (Canada) et auteur de plusieurs ouvrages en plus d’une quantité d’articles sur la physique, la pédagogie et la communication dont certains sont traduits en plusieurs langues. On peut citer « Arabesque$ — enquête sur le rôle des États-Unis dans les révoltes arabes » (2015), « La face cachée des révolutions arabes » (2012, Éditeur : Ellipses (Paris) ; « Le développement économique de l’Algérie » (2011, Éditeur : Casbah Éditions (Alger). Un peu de respect pour eux comme ils ne cessent de l’être pour les autres !

On voit apparaître subitement une mobilisation de toute une faune de « supporters » agressifs, la plupart des inconnus, sans qualités intellectuelles, qui expriment leur solidarité par des commentaires futiles apparemment sans connaître les tenants et les aboutissants de la chose. Par parti-pris, par affinité ou en partisan, que l’on peut considérer compréhensible !

Ces choses se règlent par la sagesse, des débats fructueux et non par des invectives, voire des injures ou bien la censure des commentaires suivie du blocage des contradicteurs ou des menaces de procès (comme le fait Zelig). Quand on ne supporte pas la contradiction, mieux vaut éviter de s’engager dans ce genre de choses. Bensaada aurait alors engagé des dizaines de plaintes et aurait arrêté d’écrire !

Voyons ce que pense celui qui a eu déjà maille à partir avec Bensaada (pour cause de son livre et ses articles) en l’occurrence Ali Bensaad enseignant universitaire en France. Il écrit ce commentaire en soutien à Zelig « quand on écrit dans un journal des services renseignements cela renseigne d’où on écrit ». C’est stupide de la part d’un « professeur » d’une université française ! Pourquoi « d’où on écrit ? » pourquoi « d’où ». Logiquement, il aurait dû écrire cela renseigne « pour qui on travaille » ! Passons ! Il ne cite pas ce « journal ». Quel est donc ce journal « des services de renseignements ? » « El Moudjahid », c’est celui du gouvernement et Bensaada n’y a jamais écrit un seul article. « l’Agence presse service » (APS), c’est une agence d’information d’État et Bensaada n’y a jamais écrit non plus ! Tous les autres journaux et sites d’infos sont privés et Bensaada n’y a jamais adressé un écrit. Le Dr Ahmed Bensaada publie ses articles, défendant l’Algérie, exclusivement sur son Blog et n’importe qui est libre de les relayer, de les proposer, d’en faire la synthèse ou les signaler sans même demander son autorisation ! C’est le propre des intellectuels ! Ils sont d’ailleurs relayés par beaucoup de sites d’informations étrangers dont africains, libanais, canadiens, français et traduits dans plusieurs langues. Cela renseigne en quoi ? Ali Bensaad a-t-il la capacité de faire de même ? Par contre, il ne cesse d’être sollicité par des médias français hostiles pour dénigrer et taper sur l’Algérie tout en soutenant les prises de positions françaises et marocaines (il doit être plus patriote que Ahmed Bensaada peut-être) ! Dans son cas cela renseigne « pour qui il bosse » contre son pays ! Cela s’appelle comment ? Ali Bensaad, par ses écrits, soutient bec et ongles tous ceux qui s’emploient à la déstabilisation de l’Algérie dès les débuts du hirak ! Voici comment il « analyse », l’Algérie, le « régime » et sa politique dans cette vidéo. Des « printanistes » aux islamistes de Rachad en passant par les « 3issabistes » (la bande mafieuse en prison ou en sursis), les MAKistes ainsi que leurs soutiens ; les journalistes bobos d’Alger souvent des pseudo-gauchistes souillés ! D’où sa « solidarité » quand l’un d’eux se trouve dans l’embarras parmi eux Omar Zelig ou El Kadi Ihsane avec sa Radio M et d’autres : « Ma solidarité avec Ghania Mouffok et Omar Zelig et mon dégoût de la déjection écrite par le Merdaci…Ihsane El Kadi n’a pas été moins malmené je lui exprime également ma solidarité » Dans sa dernière intervention sur une chaîne, on peut le dire, du gouvernement et des « services » français RFI, il dit, avec cynisme ceci, au moment où Macron agresse l’Algérie, « les propos d’Emmanuel Macron ont été une bouée de sauvetage pour le régime algérien » tout en n’omettant pas de soutenir le Maroc. Enfin, mieux vaut ignorer avec dédain cet infâme pour sa vilenie et sa félonie !

Pour terminer, il est bon de rappeler que « la colère est mauvaise conseillère », car les réactions irréfléchies qu’elle entraîne peuvent susciter d’autres réactions plus embarrassantes et préjudiciables. Nous avons observé que Ahmed Bensaada ne réplique que rarement, mais quand il le fait, c’est pour mieux compromettre les détracteurs insolents avec d’autres faits ! C’est ce qui est arrivé à El Kadi avec sa radio M lorsqu’il l’a traité, comme ça, de « barbouze », alors qu’il n’a jamais été cité dans ses écrits ! Sa réponse a été immédiate, lui révélant l’origine de ses financements entre autres ! Même pour ceux cités, il n’a fait que révéler l’essentiel sur eux sans aller jusqu’à les briser ! On dit qu’« agir dans la colère, c’est s’embarquer dans la tempête. ».

La « recherche académique » est le métier du Dr Bensaada. Il s’est engagé dans la défense de l’Algérie des prétentions néfastes des forces étrangères hostiles. Il le fait (avec d’autres) de façon raisonnable et remarquable, ne cherchant ni la provocation ni l’humiliation des vis-à-vis, mais, comme il le dit, à dévoiler des complots funestes, à réveiller certaines consciences égarées, à susciter le débat dans le but de protéger le pays. Il affirme n’avoir révélé que quelques faits et gestes d’Algériens dans ce large complot ! Ce qui suppose qu’il est en possession encore, sans aucun doute, de preuves pouvant rendre des implications plus visibles et plus compromettantes ! Dans ce sillage Omar Zelig a fait un geste aussi vain qu’inutile en provoquant méchamment et gratuitement quelqu’un qui ne lui a rien fait et qu’il n’a jamais cité dans ses écrits !

Il nous semble, amicalement, que certaines personnes feraient mieux de s’apaiser en se faisant carrément oublier ! C’est plus sage et plus raisonnable ! Que leur reste-t-il comme autres « arguments » après avoir épuisé le lexique des qualificatifs méprisants ? Absolument rien ! Sauf à nous raconter des contes à dormir debout, après avoir compté le nombre de vendredi passés depuis le début du Hirak (les marcheurs sortaient le vendredi), comme le fait leur « ami » l’islamiste Dhina dans chacune de ses vidéos : « Salam, nous sommes le 24 septembre 2021, correspondant au 126e vendredi… ». Ridicule !

Le complot contre l’Algérie a bien échoué définitivement et il serait vraiment stupide de s’entêter à vouloir persister à atteindre un objectif qui a échoué lamentable. C’est comme cogner pieds nus contre un mur pour le détruire ! Marcel Pagnol illustre cela ainsi :

« Ne pas atteindre son but, c’est grave, c’est une grande déception, mais atteindre un but tout à fait opposé, réussir pour ainsi dire à l’envers, c’est la preuve la plus éclatante que l’on est un véritable idiot ».

D.A




La désintégration de l’État français démontrée par son culte du mensonge et du secret

Par les Gilets Jaunes de la Victoire

[Illustration : Montre molle au moment de la première explosion, peinture de Salvador Dali, 1954]

Le mensonge



Le secret

Petit rappel

À l’origine de la création du « secret défense » y étaient classées principalement :

  1. les attaques venant d’une puissance ou de plusieurs puissances étrangères ;
  2. les attaques intérieures venant de groupes installés sur notre territoire ;
  3. les attaques venant de l’extérieur et de l’intérieur, par exemple la cinquième colonne dans les années quarante.

La Direction du renseignement et de la sécurité de la défense.

Depuis près de 150 ans, la DRSD, Direction du renseignement et de la sécurité de la Défense, travaille à protéger notre pays.

Quelles étaient ses missions jusqu’à il y a peu :

« La mission de contre-ingérence de la DRSD comporte deux volets : “renseigner” (identifier les vulnérabilités et renseigner sur les menaces) et “protéger” (contribuer aux mesures de protection et d’entrave). Elle se décline en trois domaines :

La contre-ingérence des forces : il s’agit de prévenir et rechercher les atteintes aux forces armées, par des mesures de contre-ingérence, pour s’opposer à toute menace pouvant prendre la forme d’activités de terrorisme, d’espionnage, de subversion, de sabotage ou de crime organisé. Dans ce cadre-là, la DRSD contribue à assurer la protection des personnes habilitées au secret Défense ou à des zones, des matériels ou des installations sensibles. Ainsi, elle met en œuvre la procédure d’habilitation aux différents niveaux de classification des informations sensibles (“confidentiel Défense”, “secret Défense”, ou “très secret Défense”). Le service participe aussi à la répression du commerce illicite des matériels de guerre, armes et munitions.

La contre-ingérence économique : l’action de la DRSD, s’applique aux industries en lien avec la Défense nationale ou présentant un intérêt pour celle-ci, ainsi qu’aux instituts de formation et de recherche en lien avec la Défense. Elle consiste à déceler et neutraliser toute menace contraire aux intérêts nationaux et à la souveraineté nationale, résultant de l’activité, légale ou non, d’États, de services de renseignement ou de concurrents étrangers au profit d’intérêts extérieurs pouvant affecter le secret de la Défense nationale, le potentiel scientifique et technique de la Nation, les intérêts ou le patrimoine matériel et immatériel des entreprises ou organismes liés à la Défense.

La contre-ingérence cyber : la DRSD cherche à identifier, dans le cyberespace, les vulnérabilités et menaces susceptibles de porter atteinte aux personnes, matériels et informations sensibles du ministère. Elle privilégie l’anticipation et s’appuie sur ses moyens propres (recherche humaine et technique, sources ouvertes et investigations numériques) et sur ceux des partenaires que sont l’ANSSI, le COM CYBER (CALID) 7 ou les autres acteurs du renseignement (DGSE, DRM). Par ailleurs, la DRSD contribue à la lutte informatique défensive du ministère en protégeant les systèmes d’information et ceux de l’industrie de Défense. Ces actions peuvent revêtir un caractère préventif (sensibilisation, inspections, alerte) voire curatif (analyse des cyberattaques, encadrement de la reprise d’activité).

La DRSD est présente sur tous les théâtres d’opérations extérieures (OPEX) où les forces françaises sont engagées. En amont d’une opération, elle évalue les vulnérabilités des installations avec des audits de sécurité et conseille le commandement sur les mesures de prévention à prendre pour les diminuer. Durant l’opération, la DRSD poursuit son action avec des entretiens de recrutés locaux ou encore des investigations sur des faits de sécurité. L’objectif est d’établir les mesures nécessaires d’entrave aux menaces pour la protection des capacités opérationnelles des forces armées. Plus de 100 militaires de la DRSD ont été projetés en 2013, dans le cadre de la protection des forces françaises déployées en OPEX. »

Wikipédia (([1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Direction_du_renseignement_et_de_la_s%C3%A9curit%C3%A9_de_la_D%C3%A9fense))

Site officiel :

https://www.drsd.defense.gouv.fr/la-direction/

Qui décide de classifier des documents en Secret Défense ?

https://www.defense.gouv.fr/sga/le-sga-en-action/droit-et-defense/secret-defense/secret-defense

Modifications récentes.

Récemment et très curieusement, le gouvernement a procédé à de nombreuses modifications dans les articles concernant le Secret Défense comme le démontre incontestablement le lien suivant

http://www.sgdsn.gouv.fr/missions/proteger-le-secret-de-la-defense-nationale/

Communiqué de Presse très inquiétant publié le jeudi 3 juin 2021 par l’Association des archivistes français.

https://www.archivistes.org/Communique-de-presse-nuit-noire-sur-les-archives

Commentaire : il n’y probablement pas de fumée sans feu, malgré ce que peut dire les soi-disant débunkers
https://fr.style.yahoo.com/coronavirus-emmanuel-macron-n-class%C3%A9-090502944.html

Le classement en Secret Défense de la gestion de l’épidémie de Coronavirus pose de très graves problèmes.

1) Si le virus est d’origine naturelle, et s’est propagé sur l’ensemble de la planète, il n’y a rien à cacher, au contraire il est nécessaire de tout publier pour que les chercheurs puissent à la fois mieux connaître le virus, comprendre sa propagation et travaillent, ainsi, dès maintenant, à la prévention de la prochaine crise sanitaire.

2) Si le virus n’est pas naturel, et a été fabriqué en laboratoire, comme le pense le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, Henrion-Caude, ancienne de l’INSERM, le professeur Fourtillan et plusieurs autres scientifiques de haut niveau, qu’il provient d’une fuite accidentelle de laboratoire, ou provoqué sciemment, c’est du pareil au même. Il est indispensable de tout publier.

3) Ce classement est inédit dans l’histoire. À ce jour, c’est le premier virus et la gestion de la crise sanitaire qui en résulte qui sont classés Secret Défense par l’état français. Si ce classement a été réalisé par le pouvoir c’est obligatoirement que celui-ci a des choses inavouables et très importantes pour sa sécurité à dissimuler.

4) C’est une épine mortelle dans le pied du gouvernement Macron et de ses complices. Tant que la vérité sur ce virus et sa gestion n’aura pas été révélée au peuple, à qui ils la doivent, ils seront accusés de falsification et de manipulation.

Conclusion

Depuis près de deux ans, la population a souffert dans sa chair, physiquement et psychologiquement. Elle a subi des contraintes et des privations de liberté. Pendant le confinement des parents, des amis sont morts sans que l’on puisse leur rendre un dernier hommage. Les enfants doivent encore obligatoirement porter un masque pour aller à l’école, et depuis l’éducation nationale et les responsables de cette situation, ne se posent toujours pas la question de sa nocivité à long terme. Quant aux « vaccins », ils ont été proposés au public sans que toutes les phases d’essais soient terminées, ils sont donc expérimentaux :
https://nouveau-monde.ca/oui-les-vaccins-sont-experimentaux-contrairement-a-ce-que-lafp-et-j-mansour-affirment-dans-leur-fast-check/
et de plus extrêmement dangereux :
https://nouveau-monde.ca/vaccins-covid-19-effets-secondaires-alarmants-decouverte-de-constituants-non-declares/.

Qui peut faire confiance à une telle engeance ?

Maintenant un conseil pour ceux qui n’ont pas encore compris ce qui se trame derrière leur dos, il serait bon qu’ils méditent cette phrase :

Les gogos et les imbéciles n’apprennent pas de leurs erreurs, mais au contraire ils les répètent.




Reiner Fuellmich invité à Varsovie : un « Nuremberg 2.0 » à l’initiative d’intellectuels polonais

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Le 15 novembre dernier, Me Reiner Fuellmich, fondateur de la Corona Ausschuss (comité Corona) et ancien candidat à la chancellerie pour le nouveau parti politique allemand DieBasis, a été l’invité d’une commission d’enquête parlementaire polonaise sur le Covid-19. À Varsovie, il a ainsi participé à l’inauguration du projet « Nuremberg 2.0 », à l’initiative de cette même commission, qui se trouve être un think-tank d’intellectuels polonais. On y retrouve par exemple Grzegorz Braun, le professeur Mirosław Piotrowski, Paweł Skutecki et Me Jacek Wilk, secondés par les avocats Arkadiusz Tetela, Krzysztof Łopatowski et Jarosław Litwin.

Avec l’aide de Reiner Fuellmich et du comité Corona avec lequel il travaille depuis maintenant des mois, ils prévoiraient des actions en justice contre ce qu’ils appellent « le nouveau totalitarisme ».

La commission d’enquête et le projet « Nuremberg 2.0 »

La conférence a duré trois heures et a été transmise en direct sur YouTube. Un doublage en anglais est disponible.

En description de la vidéo, le projet est ainsi présenté :

« Une initiative citoyenne née tant de l’urgence du moment que d’un cri du cœur. L’objectif est de pousser les Polonais conscients et responsables à rassembler la documentation qui décrit les délits, violations du droit, abus et omissions des autorités et à témoigner au sujet des tragédies individuelles dont le public général n’est peut-être pas au courant aujourd’hui…

[…] Nous allons nous-mêmes rassembler et classer la documentation ; nous préparons des actions en justice où les accusations sont spécifiées, et nous agirons en justice contre les fauteurs directs ou indirects des délits en question. Nous dresserons également des archives de documentation professionnelle, sur lequel fondement nous publierons des annales juridiques intitulées « Les annales Nuremberg 2.0 » ».

Ce projet a été lancé suite aux « décisions du gouvernement polonais, et plus spécifiquement celles du ministère de la Santé et des agences qui lui sont subordonnées, qui ont causé de graves préjudices et injustices, dont la plupart des victimes sont des Polonais – des citoyens de la République de Pologne. » Concernant son titre, qui ne manquera pas d’interloquer certains lecteurs, les auteurs précisent qu’il « fait référence aux procès que rapportent les livres d’histoire, où le système NSDAP du Troisième Reich a été poursuivi pour les délits perpétrés par ceux qui portaient les politiques et ordonnances mises en œuvre par ledit système. Le nom du projet est purement symbolique ».

Déclaration de Varsovie contre le nouveau totalitarisme

Le lendemain de la conférence, les porteurs du projet prennent la plume pour rédiger un premier manifeste, synthèse qui marque les débuts de l’enquête avec force. Une chose est sûre : ils veulent marquer l’Histoire. Nous avons traduit ce manifeste, et vous proposons de le lire intégralement ci-dessous :

Étant réunis en ce mois de novembre 2021 dans la capitale polonaise, Varsovie, nous adressons aujourd’hui au monde entier ce message très important et très urgent. Il est évident pour nous que l’humanité se retrouve à ce jour en face du plus grand défi de toute son histoire. Des grandes multinationales, ayant leurs activités surtout dans les domaines numérique, bancaire et pharmaceutique, ont entrepris une grande réfection de notre monde, et ce faisant, détruisent d’une manière sans précèdent la santé, les richesses et la vie de milliards de personnes. Dans le but d’élargir leurs domaines d’influences et leurs acquis, les groupes mondialistes centrés sur l’idéologie du sanitarisme, ont commencé – avec préméditation – des agissements criminels ayant pour but de provoquer le chaos mondial, avec comme résultat des importants mouvements sociaux, des problèmes économiques et des guerres sanglantes. Il est établi à ce jour que le remède prévu contre une telle situation devrait être le contrôle politique et financier strict imposé aux populations, sous le prétexte d’un faux souci de préservation de la santé, d’équilibre économique et de sécurité. Les gouvernements de plusieurs pays, étant sous l’influence des globalistes, luttent contre leur propre population, à une échelle jamais connue auparavant. Ces gouvernements sont devenus ainsi les superviseurs locaux des groupes d’oppression, groupes criminels et internationaux. Les gouvernements ont, dans la majeure partie, monopolisé la sphère médiatique et ont obtenu ainsi la soumission, le contrôle et la coercition, effondrant par là même les lois fondamentales et les libertés individuelles en se servant du mensonge, de la terreur et de la peur. Les effets néfastes de ces agissements se sont fait connaître à travers l’augmentation du nombre des décès, à travers l’activité économique détruite,  au travers de difficultés d’accès aux soins. La violation systématique du secret médical et de l’intimité suscite beaucoup d’inquiétude. En même temps, se profilent à notre horizon, des dangers encore plus importants. À ce jour, nous ne connaissons pas d’effets à long terme des expérimentations médicales imposées par les gros groupes pharmaceutiques. Nous ne savons pas non plus quelle sera l’ampleur des dégâts causés par cette limitation artificielle d’activité économique et des relations interhumaines.

C’est depuis la capitale polonaise, ayant fait l’expérience des deux périodes totalitaires du XXe siècle, que nous appelons toutes les personnes de bonne volonté à se réunir ensemble au-delà de toutes les divisions, et ceci devant l’asservissement qui s’approche rapidement de nous tous.

La vie humaine ne peut être régie par aucune idéologie qui menacerait la dignité de la personne humaine, la vérité et les lois naturelles.

La dignité est un signe intrinsèque, inné et naturel de l’Homme, indépendant du contexte social et historique. Pour cette raison la personne humaine ne doit pas être traitée comme un objet manipulable ni comme un moyen pour un but quelconque – comme ceux prévus par les idéologies totalitaires. La dignité de la personne humaine reste une source de droits fondamentaux de base, inviolables, comme le droit à l’autodéfense, loi de la liberté et de la propriété, le droit à la vérité et au travail… La vie humaine ne peut en aucun cas devenir l’objet de restrictions, de manipulation ni d’exploitation. Nous soulignons avec insistance que le mensonge propagé actuellement via les médias et même via des milieux scientifiques, appelle le retour à la vérité entendue comme la cohérence entre la réalité perçue et la réalité vécue. Cela sera un processus long et difficile, néanmoins personne n’est dispensé du devoir de recherche de la vérité objective. La désinformation et la pseudoscience (également à l’échelle globale) doivent aujourd’hui éveiller non seulement une grande inquiétude, mais également une condamnation. Le relativisme conduit inéluctablement à l’asservissement et au totalitarisme. À notre avis, toutes les lois doivent absolument respecter la loi naturelle, qui offre à toute autre réglementation une dimension morale qui lui permet de servir le réel bien de l’Homme. En revanche, le positivisme juridique qui est contraire aux exigences de la loi naturelle, n’a pas de valeur d’engagement moral. L’injuste loi statutaire devrait être mise en question par la voie de la désobéissance civile, et même être considérée comme caduque. Le droit à la désobéissance aux lois est une caractéristique de droit subjectif devant l’autorité.

Il est de notre devoir de résister à l’autorité qui abuse de ses prérogatives, de même qu’il est nécessaire de lutter contre la dictature sous toutes ses formes. Nous ne protestons pas uniquement contre les différentes formes de harcèlement, mais avant tout contre la puissance tyrannique qui n’a pas de nom, mais qui gouverne aujourd’hui le monde de la finance, des médias, de la surveillance policière et de la politique. La dignité humaine, la vérité et la loi naturelle ne pourront pas, à titre définitif, perdre contre le nouveau totalitarisme. Restons fermement aux côtés des valeurs humaines les plus précieuses. Soyons unis, gardons courage et soyons actifs. Nous gagnerons !

Auteur(s): FranceSoir




PCB : Le pseudo-pape en appelle à Big Tech pour imposer une censure totalitaire

Par Élie, Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

François Bergoglio s’est expulsé de l’Église en raison des crimes et des hérésies les plus graves commis contre les vérités fondamentales de la foi et de la morale. Il n’est donc pas un pape valable. Il occupe illégitimement la papauté. Il cherche à diaboliser l’Église avec l’esprit qui le domine.

Depuis le 17 octobre, à travers le soi-disant Synode sur la synodalité, il a promu de façon manipulatoire un esprit d’autodestruction de l’Église dans chaque diocèse, dans chaque paroisse et en chaque catholique. Il commet les crimes les plus graves de l’histoire de l’Église. Ce trompeur religieux répète constamment des phrases sur la tolérance et l’écoute du Peuple de Dieu… D’un autre côté, il a utilisé le terrorisme de la vaccination au Vatican même en tant que précédent pour tous les États ! Il promeut désormais également la censure totalitaire sur Internet. Il s’est avéré être un dictateur despotique qui ne tolère pas la moindre manifestation de vérité, de justice ou de liberté. Trois gardes suisses ont quitté le Vatican de Bergoglio en signe de protestation.

Citation de la presse : 

« Dans son message vidéo du 16 octobre, le (pseudo) pape a appelé les géants de la technologie – Big Tech – à accélérer la censure des fake news, des discours de haine, des théories du complot et de la manipulation politique, et au nom de Dieu il leur a demandé de mettre un terme à leur propagation. »

Commentaire : Qu’est-ce que Bergoglio considère comme des fake news (fausses nouvelles), des discours de haine, des théories du complot et des manipulations politiques ? Tout ce qui est encore vrai sur Internet est étiqueté par lui avec ces termes péjoratifs. Pourtant, lui-même diffuse effrontément de vraies fake news, qui ont un impact catastrophique ! Pourquoi Bergoglio veut-il supprimer complètement la voix de la vérité ? Parce que de plus en plus de scientifiques et de médecins rapportent les vraies statistiques et l’impact tragique de la vaccination expérimentale forcée. Ces experts sont devenus la voix de la conscience de l’humanité et perturbent les plans des satanistes contemporains, qui, avec Bergoglio, sont à l’origine de la pseudo-pandémie. Bergoglio est le faux prophète de l’Apocalypse !

[Note de Joseph : le rôle du faux prophète de l’Apocalypse colle mieux à Bill Gates si la religion mondiale dont il est question n’est ni le New Age (Nouvel-Âge) qui n’est pratiqué ou suivi que par une minorité d’êtres humains, ni le catholicisme (romain ou orthodoxe), ni aucune des autres religions traditionnelles. La seule réalité d’extension mondiale à notre époque qui puisse s’apparenter de très près à une religion par le comportement des fidèles, des dévots ou des adorateurs de ses miracles est le scientisme technologique (voir : La religion de l’Antéchrist).
Voir aussi : Bill Gates a-t-il demandé à Bergoglio de fermer l’Église catholique ?
et Qui est l’Antéchrist ?]

Comment une personne qui promeut un programme génocidaire peut-elle être considérée comme un pape ? Bergoglio est un hérétique public qui nie l’essence du christianisme ! Il proclame un anti-évangile pro-vaccin et pro-climat (Gal 1:8-9). Il a trahi le Christ et l’Église, et conduit l’humanité à l’autodestruction en abusant de l’autorité ecclésiastique suprême. La tragédie est que les évêques et les prêtres tolèrent cela, et ne se sont pas levés pour défendre les fondements de la foi et de la moralité sur lesquels repose l’Église. Ses activités sont des crimes scandaleux, mais la plupart des catholiques ne veulent ni le voir, ni l’entendre. Ils tolèrent et soutiennent ses hérésies, la rébellion contre Dieu et les manifestations visibles de diabolisation. Comment appeler ce menteur professionnel, cet imposteur religieux et ce criminel par le titre de « Saint-Père », et le reconnaître étant comme le Vicaire de Jésus-Christ sur Terre ?! C’est une moquerie brutale et une insulte envers notre Sauveur ! Se soumettre à Bergoglio signifie renoncer publiquement à Jésus-Christ !

L’un des trois gardes suisses qui ont quitté le Vatican a déclaré ouvertement : « Le Vatican … trahit les catholiques fidèles ainsi que la doctrine officielle de l’Église ».

Citation de la presse : 

« Dans son message vidéo, Bergoglio a également demandé à tous les grands laboratoires pharmaceutiques ‘de faire un geste d’humanité et de permettre à chaque être humain d’avoir accès aux vaccins’. »

Commentaire : Comment un crime contre l’humanité peut-il être considéré comme étant un geste d’humanité ? Le garde qui a refusé la vaccination obligatoire au Vatican a déclaré : « Un catholique fidèle a l’obligation morale d’éviter les interventions médicales liées à l’avortement ». Les vaccins expérimentaux à ARN messager contre le Covid contiennent des tissus arrachés à un bébé vivant à naître avant qu’il ne soit tué. Le pseudo-pape promeut avec véhémence la vaccination expérimentale, et donc le meurtre des enfants à naître. De plus, en faisant la promotion des vaccins à ARNm, il favorise un changement dans le génome humain, ainsi qu’un puçage progressif couplé à un génocide planifié. Bergoglio pèche publiquement contre le 5e commandement « Tu ne tueras point ! », commettant ainsi des crimes contre Dieu et l’humanité !

Citation de Bergoglio : 

« Nous devons ajuster nos modèles socio-économiques pour qu’ils aient un visage humain ».

Commentaire : Bergoglio parle de modèles à visage humain et promeut en fait la diabolisation de l’humanité.

Le membre de la Garde suisse témoigne : « Ce que nous vivons (au Vatican, en lien avec la vaccination obligatoire) n’a rien d’humain, et encore moins de chrétien ! ».

Chaque évêque, prêtre et croyant doit comprendre qui est Bergoglio. Celui qui le considère comme un Pape légitime et refuse de voir ou d’entendre parler de ses crimes, a déjà publiquement renoncé à notre Sauveur, Jésus-Christ, par cette attitude. Bergoglio ouvre la voie de Judas, qui conduit ceux qui se soumettent à lui à la destruction éternelle. Bergoglio ne sert pas Dieu, mais sert publiquement le diable, qui est le père du mensonge et un meurtrier (Jn 8). Chaque évêque, prêtre et croyant aujourd’hui doit appeler la vérité la vérité, un crime un crime, une hérésie une hérésie, et un pseudo-pape un pseudo-pape ! Sinon, c’est qu’il a renoncé à la voie de la vérité, et est sur le chemin de la perdition !

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr                 + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires

Le 26 octobre 2021

Le pseudo-pape en appelle à Big Tech pour imposer une censure totalitaire




Vax ou pas vax ?




Discours de Robert F. Kennedy, Jr. et de Catherine Austin Fitts à Milan, Italie le 13 novembre

[Source : Childrens’ Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu)]

Discours de Robert F. Kennedy, Jr. (vidéo + script)



Discours de Catherine Austin Fitts, The Solari Report (vidéo + script)



Robert F. Kennedy, Jr. — Transcript :

« Aucun gouvernement, dans l’histoire de l’humanité n’a jamais renoncé volontairement au pouvoir.

Le pouvoir qu’ils nous ont pris, au cours de ces 20 derniers mois, ils ne le rendront jamais.

Ils nous ont enlevé notre liberté d’expression. Ils ont fermé les églises. Ils ont supprimé les procès avec jury contre les entreprises, peu importe leur négligence, peu importe leur imprudence, peu importe la gravité de votre blessure, vous ne pouvez pas poursuivre cette entreprise.

Ils ont supprimé nos droits de propriété aux États-Unis, ils ont fermé un million d’entreprises, pendant un an, sans compensation équitable et sans procédure régulière.

Ils ont supprimé notre droit d’être libre, à l’abri des perquisitions et des saisies sans mandat, et de la surveillance par le gouvernement.

Aux États-Unis, tous ces droits sont énumérés dans notre Déclaration des droits de la Constitution des États-Unis.

Parmi les plus importants de ces droits, après le droit à la libre expression, qui a disparu, il y a le droit de pouvoir participer à l’élaboration des règles.

Donc quand le gouvernement veut passer une loi, il doit publier la loi proposée. Il doit expliquer la base scientifique de cette loi. Il doit faire une analyse bénéfice/risque de cette loi et l’expliquer au public. Et puis nous avons des commentaires, auxquels tout le public peut participer. Et puis nous avons une audience, où les personnes qui s’opposent à la loi, comme moi, peuvent apporter leurs propres scientifiques, experts, et études scientifiques, et tout est transparent, tous ces garde-fous ont été effacés. Aujourd’hui, la loi est dictée par un homme présenté comme le meilleur médecin d’Amérique, Anthony Fauci.

Au mois de mars, Tony Fauci a dit au monde que les masques ne marchaient pas. C’était sans valeur scientifique. Deux mois plus tard, il a ordonné à tous les Américains de mettre un masque. Il ne nous a donné aucune étude scientifique qui l’ait fait changer d’avis. Il nous a simplement dit « au vu de cette nouvelle loi, faites ce qu’on vous dit »…

Tous ces droits, pour lesquels les fondateurs de notre pays, sont morts, en sacrifiant leurs biens ou leurs moyens de subsistance, pour nous donner une Déclaration des droits, et tous ces droits, en 20 mois, ont été oblitérés, enlevés au peuple américain et pas seulement aux Américains. C’est un coup d’état global contre la démocratie libérale à travers la planète.

Tous ces droits qui nous ont été retirés, le gouvernement nous a dit que c’était temporaire, que c’était seulement deux semaines que ça serait fini. En vérité, vous pouvez tous voir ce qui se passe. Ils prennent ces droits et ils ne les rendront jamais, à moins que nous ne les forcions.

Le Pass Sanitaire est leur coup d’état. Le Pass Sanitaire est la façon dont ils consolident leur pouvoir sur vos vies.

Le Pass Sanitaire n’est pas une mesure de santé publique. C’est un outil de contrôle totalitaire, de vos transports, de votre compte en banque, de vos mouvements ; chaque aspect de votre vie.

Et ce n’est pas une idée nouvelle.

C’est la même idée qu’ils ont utilisé en Allemagne en 1937, il ont émis un pass pour les gens qu’ils voulaient contrôler.

Quand le gouvernement sud-africain de l’apartheid, a voulu contrôler la population noire d’Afrique du Sud, quelle a été la chose la plus importante qu’il a faite ? Ils ont émis un pass.

Je veux que vous demandiez, à toutes les personnes de la presse journalistique, qui sont ici aujourd’hui, si le pass sanitaire concerne la santé publique, pourquoi ce n’est pas le ministère de la santé qui le délivre ?

Il est délivré par le ministère des finances. Nous prennent-ils pour des idiots ?

C’est un moyen de contrôler votre argent. Une fois que vous avez ce pass, et qu’ils ont la monnaie numérique, si quelqu’un vous dit de ne pas quitter Milan, et que vous partez en voyage à Bologne, votre argent ne fonctionnera pas à Bologne. Si le gouvernement vous dit de ne pas acheter de pizza, il peut faire en sorte que votre pass ne vous permette pas d’acheter une pizza, il peut contrôler tous les aspects de votre vie.

Ils vous disent que nous avons besoin d’un p pour nous assurer que tout le monde se fait vacciner. Mais ils admettent que le vaccin n’empêche pas la transmission. Le vaccin ne vous empêche pas de contracter la maladie. Le vaccin ne peut pas arrêter la pandémie. Alors pourquoi ont-ils besoin de nous faire vacciner si le vaccin n’arrête pas la transmission ?

Je vais vous le dire dans deux minutes, je vais parler du vaccin.

Les gens qui disent que je suis contre les vaccins, je ne suis pas contre les vaccins. Je suis seulement contre les mauvais vaccins.

Et je ne vais pas vous dire ce que pense Robert Kennedy. Je vais vous dire ce que Pfizer a dit à la FDA des Etats-Unis.

Pfizer est la seule entreprise à avoir un vaccin approuvé aux Etats-Unis.

Et Pfizer était censé faire une étude de trois ans, mais ils l’ont réduite à six mois. Et ensuite ils ont donné des vaccins à tous le groupe témoin.

Pourquoi ont-ils fait ça ? Pourquoi ont-ils arrêté l’étude après 6 mois ?

Parce qu’ils ont appris que les anticorps disparaissent en 6 mois et que le vaccin ne protège plus.

Ils ont donc dû y mettre fin en 6 mois. Ils ne pouvaient pas faire ce qu’ils avaient prévu, trois ans.

Ils ont pris tous leurs dossiers pour ces 6 mois et les ont remis à la FDA.

Le tableau le plus important est celui qui vous indique la mortalité toutes causes confondues. Combien de personnes sont mortes dans le groupe vacciné ? Combien sont mortes dans le groupe placebo pendant cette période de 6 mois ? Ce tableau est appelé « S4 » vous pouvez tous le regarder.

Voici ce que disent les chiffres.

Il y avait 22 000 personnes, dans le groupe vacciné, sur une période de 6 mois, une est décédée du COVID.

Dans le groupe placebo, le groupe témoin, sur 22 000 il y a eu 2 personnes qui sont mortes du COVID en 6 mois.

Cela a permis à Pfizer de dire au public américain que le vaccin est efficace à 100%, parce qu’il y a eu 2 mort au lieu de 1, soit 100% d’augmentation.

La plupart des Américains et des Italiens, lorsqu’ils entendent dire que le vaccin est efficace à 100%, pensent que si je prends le vaccin, j’ai 100% de chances de ne pas mourir du COVID.

Ce que cela signifie [en réalité], c’est qu’ils doivent administrer 22 000 vaccins pour protéger [supposément] une personne contre le COVID.

Ce que cela signifie, c’est qu’ils doivent s’assurer que le vaccin lui-même ne tue pas une personne, car s’il en tue une, cela annule tous les bénéfices.

Voici ce qui est important.

Dans le groupe vacciné, 20 personnes sont mortes en 6 mois, toutes causes confondues, 20 sur 22 000.

Dans le groupe témoin, seules 14 personnes sont mortes sur 22 000.

Cela signifie que si vous prenez le vaccin, vous avez 48% plus de chances de mourir au cours des 6 prochains mois que si vous ne le prenez pas.

Ce sont les chiffres de Pfizer, pas les miens.

Voici comment les gens sont morts.

Dans le groupe témoin, 1 personne est morte d’une crise cardiaque.

Dans le groupe vacciné, 5 personnes sont mortes d’une crise cardiaque en 6 mois.

Cela signifie que si vous faites le vaccin, vous avez un risque de 500% d’avoir une crise cardiaque fatale dans les 6 mois.

Cela signifie également, que pour chaque personne sauvée de la mort par le COVID, le vaccin tue 4 personnes d’une crise cardiaque.

Ce n’est pas une bonne politique de santé publique.

La santé publique est censée sauver des vies.

C’est pour contrôler, contrôler notre société et contrôler nos enfants.

Et la seule raison pour laquelle les gens ne comprennent pas ce que je viens de dire, et que les gens soutiennent encore le vaccin, la seule raison, est la manipulation par la peur.

Ce sont des mathématiques simples. N’importe qui peut le vérifier, si vous le faites, vous aurez encore plus peur du vaccin que vous n’avez peur du covid.

Le gouvernement, et les compagnies pharmaceutiques, ont une méthode pour éteindre le cerveau des gens, afin qu’ils ne puissent plus faire de simples mathématiques.

Et leur outil, c’est la peur. La peur nous empêche d’exercer notre esprit critique. Elle nous permet de croire que si nous faisons simplement ce qu’on nous dit, c’est le seul moyen de sauver nos vies. Cela s’appelle le syndrome de Stockholm. Et les ravisseurs enferment un pays entier pendant un an, et les gens deviennent reconnaissants envers leurs ravisseurs. Et pensent que la seule façon de sortir d’ici vivant est de faire preuve une obéissance absolue.

Je vais faire une autre remarque. Combien de personnes ici ont entendu parler de l’Event 201 ?

Si vous n’en avez pas entendu parler, vous devriez aller le voir sur YouTube.

L’event 201, est une simulation d’une pandémie de Coronavirus. Elle s’est produite à New York en octobre. Nous savons maintenant, qu’un coronavirus circulait à Wuhan le 12 septembre 2019. Ainsi, un mois plus tard, une pandémie de coronavirus a été simulée à New York.

Nos hôtes, les personnes qui ont participé à cet événement, étaient les grandes entreprises de médias sociaux, les entreprises de médias. Et Johnson and Johnson, la plus grande entreprise de vaccins, a accueilli trois personnes. Un est Bill Gates.

Le deuxième, George Gao, qui est à la tête du CDC chinois, et la troisième, Avril Haines, la directrice adjointe de la CIA.

Et Avril Haines est aujourd’hui, l’espionne numéro un des Etats-Unis. Elle est à la tête de l’agence de sécurité nationale de Joe Biden. Donc elle est passée d’Event 201 à devenir la plus grande espionne de notre pays.

Parce que la CIA ne fait pas de santé publique, la CIA a fait un coup d’État.

Entre 1947, et l’année 2020, la CIA a été engagée dans 73 coups d’états, la plupart d’entre eux contre des démocraties. 1 tiers des pays du monde.

Eh bien, si vous regardez l’Event 201, il n’y avait aucune discussion sur la santé publique.

Personne ne parlait de comment apporter de la vitamine D à tous les gens. Comment faire pour que les gens perdent du poids ? Comment s’assurer qu’ils mangent bien ? Comment trouver des médicaments réutilisables pour soigner les gens ? Comment mettre les malades en quarantaine ? Comment préserver les droits constitutionnels ? Pas un mot n’a été dit sur la santé publique.

Au contraire, ce dont ils ont parlé, c’est comment utiliser la pandémie, comme un prétexte pour installer un contrôle totalitaire et pour déconstruire la démocratie.

Ils ont passé un quart de la journée, à discuter de la manière de s’assurer que personne n’est autorisé à répandre la rumeur, selon laquelle la pandémie de coronavirus est générée en laboratoire, nous sommes en octobre 2019.

Et ils parlent de comment confiner la population, comment la forcer à prendre des vaccins expérimentaux. Comment s’assurer que les Noirs ne commencent pas à résister, car dans notre pays, les Noirs sont très méfiants à l’égard de l’establishment médical et ils étaient très inquiets de notre résistance.

Quand j’ai fait des recherches pour mon livre, ce que j’ai appris, c’est que l’Event 201 n’était pas unique. Nous avons trouvé 20 simulations de pandémie distinctes commençant en 2020.

La seule chose qu’ils avaient en commun, la plupart d’entre eux, Bill Gates a été impliqué, Tony Fauci a été impliqué et tout le monde, la CIA a été impliqué et la CIA a écrit le script, des fonctionnaires de la CIA ont participé à chacune de ces simulations de pandémie.

Elles impliquent des centaines de personnes. Elles étaient menées secrètement, par des travailleurs américains de première ligne, et elles formaient la police, les systèmes hospitaliers et les services publics en Europe, en Italie, en Allemagne, au Canada et en Australie, tous en même temps, à réagir à une pandémie. Il ne s’agissait pas d’une réponse de santé publique. Il s’agissait d’une réponse visant à utiliser la pandémie pour autre chose.

Ils s’exercent donc, encore et encore et encore, à utiliser une pandémie comme prétexte pour imposer des contrôles totalitaires et pour anéantir la démocratie libérale sur toute la planète.

Une des expériences qu’ils utilisent, s’appelle l’expérience de Milgram, c’était une expérience de la CIA en 1957. Et ce que la CIA a découvert, c’est que si un puissant responsable médical, ordonne aux gens de faire quelque chose de mal, c’est-à-dire quelque chose qui viole leur conscience, qui viole leurs valeurs fondamentales, 67% des gens, obéiront à l’autorité, plutôt qu’à leurs valeurs.

Et 67% des gens, seront hypnotisés par la peur, ils obéiront à une position d’autorité, à une figure d’autorité.

Mais 33% des gens n’obéiront pas. Et vous êtes les 33%.

Notre mission est de sortir de là aujourd’hui. Et de tendre la main à nos frères et soeurs, les gens qui sont encore hypnotisés, et de leur dire que nous allons nous battre pour leur liberté, jusqu’à ce qu’ils soient capables de se battre eux-mêmes.

Nous devons tendre la main quand nous partirons d’ici aujourd’hui, à tous nos frères et soeurs, les 67% qui sont encore hypnotisés, et nous devons leur dire, que vous devez aimer votre liberté plus que vous avez peur d’un germe.

Cette année, nous avons assisté à la destruction de la Constitution américaine. Cette Constitution a été écrite par un groupe de personnes, qui ont compris qu’il y a des choses pires que la mort.

Et ils ont mis leur vie en première ligne, leurs biens, leurs carrières, leurs moyens de subsistance, pour se battre pour la liberté, et pour se battre pour ces droits que nous avons perdus au cours des mois précédents.

Et maintenant c’est notre travail. Et c’est le travail de tout le monde dans cette foule de sortir et de se battre pour résister, résister, résister, résister…

Et de réclamer à notre gouvernement, de réclamer nos vies pour nos enfants, pour notre pays et pour toutes les générations futures et je peux vous dire que je serai à vos côtés. Et si je dois mourir pour ça, je mourrai la tête haute. »

Catherine Austin Fitts — Transcript :

« C’est tellement merveilleux de retourner à Milan, et de voir tant de gens qui célèbrent la liberté, merci…

Je voyage et je communique dans le monde entier, et dans le monde entier les gens apprécient la lutte acharnée du peuple italien, et la clarté de votre lutte contre le pass sanitaire.

Le pass sanitaire n’a rien à voir avec la santé. En août 2019, les banquiers centraux du monde entier se sont réunis aux États-Unis, à Jackson Hole, et ont voté en faveur d’un plan « Going Direct Reset ». (remise à zéro directe 00:41)

Ce plan a été conçu par un groupe de banquiers centraux travaillant par l’intermédiaire du Blackrock investment Institute.

Dans le cadre de ce plan Going Direct, les banques centrales ont injecté d’importantes sommes d’argent dans certains secteurs de l’économie, depuis deux ans.

L’argent a commencé à être injecté en septembre 2019. Et en mars, l’arrêt de l’économie a permis à l’économie de faire du shopping.

Les petites entreprises, et les agriculteurs ayant fermé leurs portes dans le monde entier, l’argent était disponible pour acheter des actifs à des prix dérisoires.

Les banquiers centraux ont pu centraliser le contrôle, d’énormes quantités de richesses.

Mais surtout, ils ont pu briser l’équilibre du pouvoir que nous avons depuis plus de 100 ans.

Depuis de très nombreuses générations, il existe un équilibre du pouvoir entre les banquiers et l’électorat.

Les banquiers dirigent la politique monétaire, et les gens votent pour leurs représentants qui dirigent la politique fiscale.

Et maintenant les banquiers centraux veulent contrôler les deux, dans un coup d’état financier.

Depuis de nombreux siècles, ce n’est pas la première fois que les lois de la peste sont utilisées pour centraliser le contrôle

Le contrôle des transports, le contrôle du travail, le contrôle des banques, mais cette fois, c’est différent. S’ils arrivent à créer un système de transaction financière entièrement numérique, ils peuvent nous ramener à l’esclavage.

Le pass sanitaire n’est qu’une partie de la mise en place d’un système de transactions financières, qui mettra fin aux monnaies pour la population générale.

Les banquiers centraux auront le contrôle direct de votre et de mon compte bancaire et ils pourront prélever des impôts quand ils le voudront et les augmenter quand ils le voudront.

Pendant de nombreuses années, ils ont utilisé le principe « diviser pour régner » pour centraliser le contrôle.

Les hommes contre les femmes, les noirs contre les blancs, et maintenant les vaccinés contre les non vaccinés.

Mais lorsqu’ils contrôleront les comptes bancaires des vaccinés et des non-vaccinés, ils dépouilleront chacun d’entre nous de tous les actifs et de toutes les richesses familiales.

Notre plus grande richesse, où est notre plus grande richesse ? Notre plus grande richesse, ce sont nos enfants. Pour construire une grande civilisation, il faut un enfant à la fois.

Alors nous nous levons et nous célébrons et nous nous battons pour la liberté, mais plus que tout, nous nous battons pour les enfants.

C’est donc un grand privilège pour moi, de passer le micro à quelqu’un qui a fait plus que n’importe quel homme sur la planète, pour défendre et protéger et se battre pour nos enfants et leur avenir. Un homme qui n’a pas besoin d’être présenté. Quelqu’un peut-il deviner de qui je parle ?

Je vous demande donc de l’inviter au micro, en lui exprimant ce que vous ressentez vis à vis de la liberté ! »




France, relève-toi !

Par Joseph Stroberg (depuis le Québec). Mise à jour 11/07/2024

Que vous soyez de la France elle-même, de la Nouvelle-France (le Québec), de Belgique, de Suisse, du Luxembourg, de Guinée, du Cameroun, du Gabon ou de n’importe quel autre pays ou région du monde qui parle cette merveilleuse langue qu’est le Français, vous vous trouvez de facto marqués par une vibration particulière, celle d’une terre sacrée dont le plus grand destin reste à accomplir. Pour comprendre ce pays et la nation qui l’habite, il est nécessaire de plonger dans ses racines historiques et occultes — occultes, car occultées, oubliées, négligées et même dénigrées, couvertes par l’ombre qui a envahi la terre. Pour découvrir sa destinée et sa prochaine mission, il est indispensable de dévoiler les causes de cet obscurcissement, car si le voile assombrit, la lumière au contraire révèle.

La France est l’héritière des Celtes et des druides aussi bien que de peuples migratoires divers issus d’Orient, des chamanes qui les accompagnaient, des Grecs implantés en Provence, des Romains, mais aussi des juifs et des premiers chrétiens qui sont venus s’installer dans ses terres méditerranéennes accueillantes au climat si propice. Le Français actuel est loin d’être un pur Gaulois, mais se trouve être un sang mêlé, un croisement de multiples ethnies et esprits du monde, au carrefour de plusieurs mers et d’un océan. Par sa géographie, la France dessine et représente symboliquement à la fois le sceau de Salomon ou l’étoile de David à six branches, et la Croix christique dont les deux branches orthogonales se croisent en sa capitale, Paris. La France est l’épouse d’Israël et a été désignée « Fille aînée de l’Église » du Christ, car cette église faite d’êtres humains de chair et de sang (et non de pierres) — selon la signification originelle du mot qui signifie « assemblée de fidèles » — est la conjointe spirituelle du peuple hébraïque dont on dit le Christ issu (bien que certains le voient de souche… gauloise ! Voir Jésus le Gaulois ?).

Pas plus le Christ que d’autres saints hommes ou sages du passé ne sont venus créer des religions, mais ils ont seulement montré aux êtres humains comment se relier au divin, à leur nature spirituelle ou à leur essence. Les religions ont été plus tard créées chaque fois par des individus de plus en plus éloignés des enseignements transmis par ces saints et ces sages. Puis elles ont été utilisées par des individus peu scrupuleux comme instruments de contrôle. Enfin, elles ont fini par être détruites ou suffisamment dénigrées pour qu’une trop grande partie de l’Humanité perde conjointement tout lien avec la dimension divine ou spirituelle, pendant que la presque totalité du reste tombait dans la superstition. Un aboutissement de ces tendances s’est vu récemment avec la crise artificielle Covid vécue par l’Humanité. Celle-ci a été rendue possible, car le cœur et l’esprit des êtres humains ont été obscurcis. Ces derniers sont majoritairement devenus matérialistes et ont adopté des comportements qui tendaient à progressivement les abaisser plus bas que les animaux au lieu de les maintenir dans les sphères de conscience les plus hautes.

L’Humanité a été manifestement abusée, manipulée, abaissée par des êtres qui sont parvenus à lui faire croire l’inverse de la réalité, faisant passer notamment la laideur pour la beauté, la haine pour l’amour, la guerre pour la paix, le mensonge pour la vérité… et réciproquement, dépassant même la vision orwellienne négative présentée dans le roman dystopique 1984. Le moment charnière à partir duquel tout a basculé a été celui du « siècle des Lumières », celui où l’Humanité a cru être définitivement sortie des prétendues ténèbres du Moyen-âge (après la Renaissance), alors que dans le même temps elle entamait sa longue et implacable descente dans le scientisme matérialiste, remplaçant les aspirations à l’élévation des âmes et des consciences par un désir de progrès et de confort matériels. La fausse lumière artificielle des machines est venue assombrir le cœur et l’intellect des Hommes pendant que celle de l’Esprit se retirait ou ne brillait plus qu’en un nombre trop réduit d’êtres humains dispersés ici et là sur la surface de la Terre. Comme les Hommes se coupaient progressivement de leur âme et de la Conscience, perdant du même coup la connaissance intime de leur immortalité spirituelle, ils ont développé la peur de la mort physique et de la maladie. Les plus psychopathes d’entre eux sont tellement dominés par cette peur qu’ils recherchent l’immortalité grâce aux machines (notamment par le transhumanisme) et au scientisme dans le domaine médical (avec les manipulations génétiques).

Les individus qui se sont trop coupés de leur âme sont devenus comme des coquilles vides que nulle expérience matérielle, nulle émotion, nulle drogue, même celles qui procurent les sensations les plus intenses (mais toujours passagères) ne parviennent à combler. De même, nul vaccin et nul médicament ne parvient à annuler leur peur de la maladie et de la mort. Éloignés de toute source divine ou spirituelle, ils ne savent plus par eux-mêmes ce qui convient à leur organisme, à leur personnalité et à leur psychisme. En conséquence, il acceptent sans discussion et sans discernement les nombreux poisons offerts par la civilisation matérialiste :

  • alimentaires (par les pesticides agricoles, par les additifs tels que les conservateurs, les édulcorants, les épaississants, par les processus industriels qui détruisent les nutriments, etc.) ;
  • cosmétiques (y compris avec les parfums artificiels) ;
  • ménagers (avec notamment les nombreux toxiques contenus dans les produits de nettoyage) ;
  • atmosphériques (produits de la combustion des dérivés du pétrole, y compris les matières plastiques, et chemtrails) ;
  • dans l’eau des villes, des mers, des océans et des rivières (où se déversent égouts, engrais et pesticides lessivés de sols agricoles, et polluants divers) ;
  • psychologiques et psychiques (par les émissions de télévisions abrutissantes et déshumanisantes, par la propagande de peur, par la désinformation, par la propagation de la haine, par la stimulation de la colère et de la violence…) ;
  • électromagnétiques (Wi-Fi, Bluetooth, 2G, 3G, 4G, 4G+, 5G…), électriques et magnétiques (par les lignes à haute tension et l’électricité sale) ;
  • médicaux (par les médicaments chimiques artificiels et les vaccins de toutes sortes) ;
  • etc.

Et logiquement, chaque poison et chaque manque de nutriment essentiel les rend chaque fois un peu plus malades, et ceci de manière de plus en plus chronique ou radicale lorsqu’ils s’ajoutent les uns aux autres et sont permanents ou ne parviennent pas à être éliminés suffisamment rapidement du corps. (Voir aussi La nature et le but de la maladie).

En conséquence de cette plongée dans les ténèbres matérialistes et la peur, les êtres humains ont accepté en masse de se laisser asservir et dominer, de se retrouver confinés, vaccinés par des poisons, distanciés les uns des autres, jusqu’à se méfier de tous et de tout sauf de ce en quoi et de ceux en qui ils ne devraient pas avoir confiance (les élites et leurs ordres), jusqu’à se dénoncer, jusqu’à s’assassiner pour de simples différents…

Il est temps maintenant que la France accepte son héritage et son destin en réunissant l’Étoile de David et la Croix du Christ pour en chasser les ténèbres, ceci par un réveil spirituel, une élévation de la conscience de la Nation, l’accueil de tous les résidents et leur assimilation à partir du moment où ils acceptent eux-mêmes cet héritage, cette destinée et cette mission, ceci quelle que soit leur religion, quelle que soit leur ethnie et quel que soit leur pays d’origine. La France a été historiquement le berceau de génies dans tous les domaines (mathématiques, arts, philosophie, stratégie militaire, médecine, etc.) et de nombreux saints. Elle dispose toujours de ce potentiel créateur, à l’image d’une femme qui n’attend que son époux revienne pour pouvoir de nouveau enfanter. Celui-ci s’était égaré dans des chemins de guerres et de conquêtes, mais il revient.

Dans le passé, la France a toujours eu besoin d’une femme ou d’un homme providentiel pour se relever. Comme ceci fait partie de sa personnalité depuis des siècles, depuis même l’époque gauloise, il en sera probablement de même cette fois-ci. Cependant, elle vit une situation telle que découvrir celle ou celui-ci sera sans doute son plus grand défi, car les Français ont perdu confiance en trop grand nombre dans la politique, l’économie et le monde des médias dominants et par conséquent dans tout candidat(e) qui serait lié(e) à l’un ou à l’autre de ces domaines.

Peu de Français sont maintenant attirés par les politiciens, par les journalistes et par les riches du monde financier ou économique. Il sera difficile à quelqu’un de ces milieux de passer pour la Femme ou l’Homme providentiel attendu(e) ou espéré(e). Il lui faudrait alors sans doute mieux mettre son potentiel (réseaux, aptitudes politiques ou économiques, fortune ou ressources diverses…) à disposition d’un simple Français, Gilet Jaune ou sans la moindre étiquette, pauvre et représentatif du peuple et validé ou accueilli par ce dernier.

Étant donné le matérialisme dans lequel a été plongée la France, elle ne pourra probablement se relever que par un être humain providentiel qui en représente l’opposé. Le plus difficile sera de le découvrir et de s’assurer que celui-ci dispose des qualités de cœur et d’esprit propices au travail de collaboration et de guidance inspiratrice qui sera nécessaire avec tous les Français pour redresser le pays, pas seulement sur un plan matériel, mais surtout sur un plan spirituel, et en particulier pour ce qui est du rayonnement de la France dans le monde et de son influence salvatrice. Celle-ci passera en particulier par tous les pays francophones qui gagneront aussi à participer à ce destin commun afin qu’ensuite naisse un réel Nouveau Monde, mais pas celui prévu par les élites globalistes.




Pr. Luc Montagnier : « Il y a des gens qui meurent des effets du vaccin ». MàJ

[Source : sudradio.fr]

[Illustration : Le Pr Luc Montagnier invité d’André Bercoff dans « Bercoff dans tous ses états” sur Sud Radio]

[Mise à Jour : voir plus bas]

Le Pr Luc Montagnier, biologiste, virologue et Prix Nobel de médecine en 2008, était l’invité d’André Bercoff le 17 novembre 2021 sur Sud Radio dans son rendez-vous du 12h-14h, « Bercoff dans tous ses états ».

Pour le professeur Luc Montagnier, « on est dans une situation très sérieuse« . « Pour parler de l’origine du virus« , explique-t-il, « on ne la connaît pas encore dans les détails mais on commence à avoir une idée« . « On peut penser qu’il y a des choses imprévues, non attendues par les chercheurs chinois« , juge le virologue. « C’est une affaire chinoise au départ. Ils ont, très probablement, travaillé sur des schémas provenant des virus des chauves-souris. Mais bien sûr, il y a des constructions nouvelles à partir de la chauve-souris qui permettent le passage à l’homme« , juge le biologiste.

« Il y a une grosse participation, au moins financière, américaine probablement aussi technique, dans cette affaire« , explique le professeur Luc Montagnier. « Au début on a un virus chinois et après on a autre chose. C’est-à-dire on a des nouveaux variants qui apparaissent à partir du virus chinois mais qui sont assez éloignés de sa structure de départ« , explique le virologue au micro de Sud Radio. « L’affaire n’est pas close et bien sûr, plus le temps passe, plus les gens parlent« . « Nous allons peut-être finir par savoir la vérité. ça va prendre du temps« , juge-t-il.

Pour le Pr. Luc Montagnier toute mort par un médicament doit être comptée sérieusement

« On est quand même dans une situation très sérieuse à l’heure actuelle. Parce que ces nouveaux variants donnent des effets secondaires« , explique le biologiste. « Même le virus de départ donne des effets secondaires, et des effets immédiats qui sont supportables si on peut dire mais ensuite, il provoque des myocardites, des effets cardio-vasculaires et qui tuent. Il y a des gens qui meurent de ces myocardites, un des effets du vaccin« , juge le professeur Luc Montagnier

« Médecin-chercheur de formation, j’ai mon éthique« , explique le professeur Luc Montagnier. « Toute mort par un médicament, un vaccin, doit être comptée comme quelque chose de sérieux et quand il y a plusieurs morts, c’est vraiment un problème« , juge le virologue. « Je ne supporte pas l’idée qu’on dise que dans le rapport bénéfices-risques, vous avez des risques mais le rapport bénéfices est bien meilleur pour les autres« , explique le biologiste au micro de Sud Radio. « Ce n’est pas vrai parce que beaucoup de souffrance vient de cette conception« .

« Maintenant, vous avez l’effet des prions »

Aujourd’hui, « on en est à la troisième phase » pour le professeur Luc Montagnier. « La première phase, c’est les effets secondaires assez communs mais qui ne durent pas très longtemps mais qui donnent déjà des morts« , explique-t-il. « Vous avez ensuite les effets cardio-vasculaires« , continue le biologiste. « Et maintenant, vous avez l’effet des prions« , explique le professeur Luc Montagnier.

« Ce sont d’autres morts qui arrivent, et ces gens sont morts de la maladie de Creutzfeld  Jacob« , explique le professeur Luc Montagnier au micro de Sud Radio. « Cette maladie est très rare, normalement, quand elle est sporadique, c’est un cas sur un million« , explique-t-il. « Là, c’est un groupe de 7 personnes indépendantes les unes des autres avec des médecins différents qui sont atteints de cette maladie. Le facteur commun est qu’ils ont été vaccinés par deux doses de vaccin Pfizer« , continue le virologue. « C’est à la deuxième dose que ça apparaît des petits signes et puis les signes généraux de la maladie apparaissent« . « On ne peut pas prouver que c’est causé par les vaccins« , explique-t-il, « mais il faut quand même regarder cette hypothèse« . « Parce que le seul facteur commun entre ces personnes c’est d’avoir été vacciné par le même vaccin« .

Cliquez ici pour écouter l’invité d’André Bercoff dans son intégralité en podcast.


[Source : Video CNews]

Témoignage de Marc Doyer


[Mise à jour :]

[Source : francesoir.fr]

Pr Luc Montagnier : des cas de Creutzfeldt-Jakob liés au vaccin contre le Covid ?

Luc Montagnier, sur le plateau de FranceSoir.Neyer Valeriano / FranceSoir

Auteur(s): FranceSoir

C’est à nouveau pour endosser le costume de « lanceur d’alerte » que le professeur Luc Montagnier est de retour chez FranceSoir. La première fois que le prix Nobel de médecine 2008 s’était rendu sur notre plateau, il avait expliqué que le virus du Covid-19 était issu d’une manipulation en laboratoire. La seconde, il avait averti que les vaccins contre le Covid-19 auraient de graves effets secondaires. Deux hypothèses balayées d’un revers de main par l’intelligentsia à l’époque. Depuis, le temps, l’analyse et l’information ont donné du crédit à ces analyses.

Cette fois, le professeur de médecine, âgé de 89 ans mais « toujours actif intellectuellement » et prompt à donner son avis, surtout « s’il y a des vies humaines en jeu », alerte sur les liens entre les vaccins et des cas de maladies à prions.

« Mortelles et non curables »

De quoi s’agit-il exactement ? « Une maladie à prions est une protéine qui change de conformation. […] La pathologie [intervient] quand la protéine prend une forme anormale. C’est une sorte d’aplatissement de la structure, ce qu’on appelle des Beta sheets. À ce moment-là, cette structure devient insoluble dans les cellules et ne fonctionnent plus », détaille Luc Montagnier. Pour le dire plus simplement, les maladies à prions se caractérisent par une dégénérescence du système nerveux central. « Elles sont mortelles et non curables ».

La plus connue d’entre elles est celle de Creutzfeldt-Jakob, qui est attachée à un scandale sanitaire survenu en France au début des années 1980. « 120 enfants sont morts de cette maladie. Pourquoi ? Parce qu’ils avaient reçu une injection d’hypophyses prélevées chez des personnes âgées dans une maison de retraite. »

Mais quel est le lien avec les vaccins Covid-19 ?  L’ancien chef du service Sida et rétrovirus à l’Institut Pasteur explique : « Grâce à une étude en Espagne, on a montré que l’aluminium présent dans les vaccins pouvait, par lui-même, induire des maladies à prions. » Or, il est fort probable qu’il y ait de l’aluminium dans les vaccins Covid. Au même titre que dans les vaccins contre la grippe. « Je me demande si les maladies à prions développées par certaines personnes âgées sont liées aux injections répétées contre la grippe, car on se vaccine contre la grippe tous les ans. » Accumulant ainsi de l’aluminium dans le cerveau.

« Il faut cesser le vaccin. Le plus tôt sera le mieux »

À l’heure actuelle, le professeur Montagnier affirme avoir détecté de façon formelle cinq cas de maladies à prions chez des personnes jeunes et en bonne santé, quelques semaines après avoir reçu des injections Pfizer. Et selon lui, il pourrait y en avoir « des dizaines et des dizaines ». « Il y a des gens qui décrivent le même phénomène que moi, mais ils disent : « Cela ne peut pas être le vaccin. » C’est une folie. C’est le vaccin. Il faut le cesser. Le plus tôt sera le mieux. On sauvera des vies. Surtout à l’heure où l’on parle de vacciner des enfants. »

Pourtant, Luc Montagnier est loin d’être un « anti-vax ». Pour lutter contre le Covid-19, il conseille d’utiliser le vaccin BCG (contre la tuberculose) – lequel n’est plus obligatoire en France depuis 2007 – car il stimule l’immunité cellulaire. « À Mayotte, où le BCG est toujours obligatoire, il y avait très peu de cas de Covid-19 jusqu’au moment où les autorités françaises ont décrété qu’il fallait utiliser les vaccins ARNm. À partir de ce moment-là, il y a eu un pic du nombre de cas. »

Le professeur compte envoyer le résultat de ses recherches à l’éditeur (rédacteur en chef) du BMJ (British Medical Journal), à travers une lettre cosignée avec un groupe de chercheurs. Seront-ils entendus, cette fois ?



Auteur(s): FranceSoir




E. Zemmour et autres candidats : dites la vérité sur pseudovax et pass !

Par Nicole Delépine

Serait-il anxiogène de parler des vrais problèmes sanitaires aux Français ? De qui se moque-t-on ?

Résumé

Tous les candidats doivent se positionner sur le pseudo vaccin, sujet éminemment politique, non sanitaire puisque outil du contrôle social à la chinoise via le pass :

  • Informer du caractère expérimental de l’injection génique
  • Informer des effets secondaires nombreux et graves
  • Informer de l’incertitude de l’efficacité des injections géniques
  • S’opposer à toute mesure discriminatoire entre vax, non vax une dose, etc. Le 2 doses de plus de 65 ans devient un non-vax pour le gouvernement et les statistiques hospitalières et sans pass
  • S’opposer à toutes les mesures liberticides inefficaces et se conformer à l’attitude suédoise ou de Madagascar dont les résultats Covid sont bien meilleurs que les nôtres.

Pourquoi Zemmour refuse-t-il le vrai débat sur la dictature sanitaire et le Frexit ?

Bien triste que les conseillers solides de Z aient été écartés et que ce dernier n’ait pas eu l’intelligence de se rapprocher de Florian Philippot, entre autres, dont la position sur la dictature sanitaire a le mérite de la clarté.

Dommage qu’il n’ait pas pris clairement position pour le Frexit, préalable indispensable à l’indépendance de la France et évidemment à une politique sanitaire libérée des décisions de la commission de Bruxelles qui a acheté du Remdesivir(([1] Un demi-million de doses acheté le 8 octobre 2020 alors que le laboratoire Gilead et l’OMS savaient que le traitement incapable de diminuer la mortalité Covid était responsable de complications majeures)) quand il était établi que ce produit était inefficace et toxique et qui se bat par tous les moyens pour imposer aux populations européennes des vaccins expérimentaux qui se révèlent chaque jour un peu plus incapables d’arrêter l’épidémie.

Ces silences qui en disent long le condamne à perdre les voix de nombreux citoyens qui lui faisaient confiance.

Après avoir écouté le TV liberté et celui de RadioCourtoisie de Pierre C du 16 novembre(([2] Loibre journal du droit et des libertés du 16 novembre 2021 : « Eric Zemmour n’a pas dit son dernier mot »)), fort intéressantes par ailleurs, je reste sidérée de l’argument utilisé par Z. et ses soutiens pour ne pas parler du drame de la situation sanitaire, et plus ou moins accepté par P et ses interviewers.

Certes P. et O. ont insisté sur l’impérieuse nécessité que Z s’empare rapidement du côté liberticide des décisions pseudo médicales du pseudovax et du pass, (heureusement), mais l’absence de prise en compte du drame international qui se joue sur la santé humaine, via les injections géniques fut très insuffisant.

Zemmour et tout autre candidat doivent exiger très clairement la suppression immédiate du pass, outil de discrimination inacceptable et du passage vers la société à la chinoise.

Résumons : Z. n’est pas gêné par le pass sanitaire pourtant copier-coller du pass nazi et des privations et interdictions aux juifs, ici remplacés par les non-vaccinés. Le même scénario du totalitarisme, inventer un ennemi et s’en servir de bouc émissaire pour aveugler les foules se reproduit.

Écoutons le consultant et analyste politique Mathieu Slama dans sa tribune du figaro du 15 novembre :

« S’il y a une leçon que nous pouvons retenir de cette pandémie, c’est que celle-ci agit comme un laboratoire géant où les mesures les plus liberticides sont testées, approuvées puis généralisées. Le confinement, le couvre-feu, le masque en extérieur, le pass sanitaire : toutes ces mesures insensées et attentatoires à l’État de droit se sont progressivement normalisées à mesure qu’elles duraient dans le temps et s’étendaient géographiquement. Le confinement a commencé en Chine, puis a contaminé l’Italie et la France ; le pass sanitaire a d’abord été mis en place en Israël avant de contaminer l’Europe entière. »(([3] Mathieu Slama: «Le non-vacciné est le bouc émissaire de la crise sanitaire» (lefigaro.fr) ))

Il est inutile de préciser qu’un tel monde qui enferme les citoyens selon qu’ils sont vaccinés ou non est un monde inacceptable et contraire à tout notre héritage démocratique.

La France n’a pas attendu l’Autriche pour mener une politique culpabilisatrice et discriminatoire vis-à-vis des non-vaccinés. La figure du non-vacciné est devenue au fil des mois, à mesure que la politique vaccinale devenait de plus en plus autoritaire, une sorte de citoyen à part, réduit à son statut sérologique et diabolisé en permanence par un pouvoir qui en a fait le bouc émissaire de la crise. Cela ne doit rien au hasard, et relève d’une stratégie méthodiquement pensée et mise en place.

Chaque crise a donc son coupable désigné. « Les persécuteurs, écrit Girard, finissent toujours par se convaincre qu’un petit nombre d’individus, ou même un seul peut se rendre extrêmement nuisible à la société tout entière, en dépit de sa faiblesse relative ».

Les contextes changent, mais les mécanismes anthropologiques perdurent. La crise du Covid-19 n’y échappe pas. Face à une épidémie sans fin et un climat de peur savamment entretenu par les gouvernements pour favoriser l’acceptabilité de leurs mesures liberticides, les non-vaccinés sont devenus les boucs émissaires de la crise sanitaire, ceux par lesquels l’épidémie perdure et « rebondit » (selon le mot consacré).

Emmanuel Macron et son gouvernement ont délibérément construit cette figure de bouc émissaire, qualifiant tour à tour les non-vaccinés d’égoïstes, d’irresponsables, leur faisant endosser la responsabilité d’un éventuel reconfinement, les ostracisant par le moyen du pass sanitaire. Le discours est clair : si l’épidémie repart, c’est la faute des non-vaccinés ; si nous devons reconfiner ou fermer des commerces, ce sera votre faute. Quant au pass, il agit comme une sorte de certificat de pureté et de vertu, séparant les purs (vaccinés) des impurs (non-vaccinés), les vertueux des immoraux, les responsables des irresponsables. Il matérialise la stratégie du bouc émissaire en marginalisant socialement, de manière concrète, ceux qui sont rendus responsables du malheur.

En désignant à la foule un bouc émissaire, le gouvernement a agi de manière cynique et irresponsable, encourageant les divisions, le ressentiment et la violence verbale. En concentrant la colère des gens sur les non-vaccinés, il s’est exonéré de toute responsabilité dans la conduite de la crise, détournant le regard des gens sur ses propres insuffisances au détriment d’une partie de la population. Obnubilés par l’« irresponsabilité » des non-vaccinés, nous avons fini par oublier que dans une crise, la responsabilité incombe d’abord aux gouvernants.

La stratégie macronienne est une stratégie de division et d’hystérisation qui aboutit, à chaque crise, à la désignation d’un coupable et à la mise en place d’une politique répressive à l’encontre d’une partie de la population.

La société sécuritaire et répressive est une société de la recherche permanente du coupable. C’est une société fragmentée, divisée, injuste et inégalitaire. D’une certaine manière, la crise sanitaire a rendu visible ce qui était jusqu’alors moins visible, mais tout aussi prégnant.

Rappelons-le : on ne saurait faire durablement société dans la recherche permanente d’un coupable. La stratégie du bouc émissaire est une solution de court terme, mais qui menace notre société libérale et démocratique dans ses fondements mêmes.

Comme le rappelle René Girard, « on ne manquera pas de faire remarquer qu’un bouc émissaire, aussi puissamment rejeté puis adulé soit-il, ne saurait éliminer la peste ».

ANXIÉTÉ ET VACCINATION, LA POLITIQUE DE L’AUTRUCHE ET DE LA POUSSIÈRE SOUS LE TAPIS

Le grand argument de Z. pour éviter de discuter des décisions majeures du gouvernement sur la santé des Français serait de ne pas être « anxiogène » pour ne pas diviser. Vous rigolez ?

Faire peur aux vax qui formeraient un ensemble homogène. Plus c’est gros plus ça passe… Eh bien non, sinon pourquoi changer de mentor, le mensonge est déjà arrivé à un degré de perfection.

Ça ressemble comme deux gouttes d’eau à l’attitude d’Édouard Philippe et d’Olivier Véran avec les patients qui toussent et respirent mal. Restez chez vous avec du Doliprane. Et plus tard si besoin dans les EHPAD et parfois à domicile, le tranquillisant et somnifère Rivotril qui vous endormira pour l’éternité. Circulez, il n’y a rien à voir.

Le peuple vacciné serait rassuré comme veut nous le faire croire Véran ou Castex, et serait serein pour les autres sujets ?

Peut — être quelques bobos parisiens de ses proches adeptes hypnotisés par France info ou la télévision officielle, le Monde, Libé ou le Parisien, le pensent-ils, mais pas la masse du peuple dont la majorité des vaccinés sont des malgré nous(([4] Les « malgré nous » de 2021 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
« Finalement qui fera céder nos gouvernements amoureux du totalitarisme ?
Ce ne sont pas les « antivax » seuls qui vont faire craquer Macron et ses affidés, mais l’ensemble des mis à l’écart, discriminés que sont les non-vaccinés, associés aux victimes des injections répétitives (et les familles des victimes décédées ou handicapées).
Ils seront de plus en plus nombreux : encore debout : « les malgré nous », ou parfois estropiés.
Ils défileront, car, contrairement à ce qu’ont espéré les initiateurs de ce massacre à la piquouse, les transgénisés ne se retournent pas contre les « non transgénisés ».)) qui n’ont accepté les injections que sous la contrainte (les adultes pour travailler et les jeunes pour faire du sport avec les copains, aller en boîte, etc… et aussi la honteuse pression de certains proviseurs et celle des autres élèves, la force du groupe hélas manipulé)…

Les autres sujets ne seraient-ils pas anxiogènes ?

Au passage, il est drôle ou tragique de sous-entendre que le problème des migrants, des murs de l’Europe (Trump rigole) de la guerre chine-usa, qui menacent, ne sont pas angoissants… Non, seulement le problème du Covid angoisserait ces bienheureux vaccinés, qui du coup seraient divisés et ne voteraient pas Z… ? Qui peut penser qu’un être intelligent peut soutenir de bonne foi ce genre de raisonnement ou bien faut-il ne pas contrarier une petite catégorie de Français pro-macronistes dupes de sa gestion de crise ?

Pourquoi ce déni, ce silence, cet abandon des soignants, des pompiers et de tous les « malgré eux » de 2021 qui se sont fait extorquer leur consentement, harceler jusqu’à ce qu’ils cèdent alors que le harcèlement moral constitue un délit… ?

CRISE PUREMENT POLITIQUE QUI DEMANDE DES RÉPONSES POLITIQUES

La crise actuelle du Covid n’est pas sanitaire, mais politique, si jamais elle a été quelque temps autre chose. Un problème politique nécessite une prise en charge politique et singulièrement par les candidats à l’élection présidentielle.

Le délire a décidément envahi beaucoup d’esprits autrefois brillants et a entretenu la confusion. Il ne faudrait pas parler de l’extorsion de consentement à des millions de français, ni de la situation médicale que bon nombre découvrent après l’injection, même si ce ne sont pas que des décès.

Non Mr Z, il n’y a pas deux groupes de français et si P. conseille justement à Z de s’intéresser aux six millions de français vaccino prudents, il a tort de les séparer sur le papier avec les pourcentages de voix possibles, car franchement la palette des situations est large et les millions sont sûrement beaucoup plus que six !

Entre le vaccino-prudent qui a pu résister aux pressions et le vacciné à l’insu de son bon droit pour une, puis deux, puis trois injections en attendant l’abonnement bisannuel, il n’y a pas de fossé. Tous ensemble dans la même galère, les vax tombant en plus dans celle des effets secondaires, ne serait-ce qu’une grande fatigue qui dure plusieurs mois et des nouveaux « non-vax » sans pass s’ils rechignent à l’injection suivante.

Et tous ces gens-là seraient « contents » qu’on ne parle pas de leurs problèmes ! On rêve de tant d’illusions et de validation du discours présidentiel de la prétendue satisfaction des vaccinés !

On retombe vite dans le camp des vaccino-prudents, à isoler comme en Autriche ?

C’est oublier que dès que la troisième injection va s’imposer, le résistant à la multi piqûre sera réintégré dans la case des non-vax pestiférés et se retrouvera sans pass. Dès le 15 décembre, le retraité double vax ne pourra pas plus voyager et redeviendra dans les additions mensongères des médias un « non vax », surtout s’il est hospitalisé.

Lorsqu’on regarde les courbes de mortalité de l’OMS, on remarque que les campagnes de vaccination sont suivies d’une explosion de cas et de morts pendant 30 à 60 jours. (cf. courbes de l’OMS de mars 20 à mars 21)

Afin de ne pas compter l’hécatombe post vaccinale les agences gouvernementales classent les victimes des effets toxiques survenus avant le quinzième jour post seconde injection dans les non-vax.

C’est d’ailleurs par ce tour de passe-passe que l’on trouve tant de prétendus non vax à l’hôpital s’ils arrivent avant la fin de la deuxième semaine de leur deuxième injection. Pas belle la vie ?

Une conclusion :

Si Z. a séduit un temps bon nombre de Français par son franc-parler et sa façon de dire ce qu’il pense véritablement indépendamment des conséquences électorales, il va les perdre rapidement s’il se trahit lui-même en devenant un candidat comme les autres, girouette sensible aux sondages et autocensurée.

On se rappelle Marine Lepen qui à mon sens n’a pas perdu l’élection à cause d’un dialogue peu convaincant avec M (la forme), mais bien à cause du fond, car elle a écouté les conseillers obnubilés par les sondages au lieu de Philippot, et a renoncé au Frexit et à la sortie de l’euro. Trahison et conséquence : échec. Au diable, les communicants !

Si Z raisonne sur les voix qu’il pourrait perdre en parlant politique vaccinale, conséquences délétères des injections avec ses traînées d’effets secondaires, c’est qu’il est devenu un candidat banal et que l’abstention et M seront encore les grands vainqueurs.

Est-il temps qu’il se reprenne et qu’il vire ses conseillers vieux caciques, qui ne cherchent que des postes et non le bonheur des Français ? Qu’il appelle vite Philippot qui a tout compris du coronacircus, et quelques autres comme JF Poisson par exemple et d’autres conseillers écartés. Florian Philippot est lucide, clair depuis plus d’un an et mobilise de nombreux militants. Que Z. fasse un ticket avec lui, hypothèse qui séduirait sûrement les électeurs. À quoi correspond ce rejet de F. Philippot extrêmement sérieux et qui connaît les dossiers ?

La dictature prétendument sanitaire n’est que politique :
il faut stopper l’essai thérapeutique mondial en cours

Sur le fond, contrairement à ce qui s’est murmuré dans lesdites émissions du 15 du novembre, Z. ou tout autre candidat qui sortirait du chapeau (encore le temps ?) doit bien évidemment se positionner sur ce pseudovax.

LE PSEUDOVAX EST L’OUTIL POLITIQUE (QUI PERMET LE PASS ET LE PROJET TOTALITAIRE SUR TOUS SUJETS (PASS CARBONE, ETC.) ET DONC, DOIT ÊTRE SUPPRIME MAINTENANT

Il ne s’agit en aucun cas de médecine, même pour ceux qui l’ont cru un temps. On a le droit de se tromper, mais pas de s’enferrer, surtout quand on aspire à de hautes fonctions.

Que Z. se soit vacciné ou pas (on n’aurait jamais dû le savoir, argument électoral maladroit et appel à violer le secret médical(([5] Nous dit-il s’il souffre du SIDA ou d’une leucémie ? Il faut faire taire tous ceux qui se croient obligés de nous donner leur statut vaccinal, ce qui décrédibilise d’emblée tout ce qu’ils vont dire ensuiteStop exhibition !)) ), il devrait demander un moratoire rapide devant l’accumulation de décès et d’effets dits indésirables graves révélés par le VAERS pour les USA dépendant de la FDA et des CDC et par EudraVigilance pour l’UE, l’ONS et MHRA pour la Grande-Bretagne. Notons que toute déclaration mensongère au VAERS est passible de poursuite en justice. On peut donc y accorder une certaine confiance et les milliers de décès accumulés exigent ce moratoire.

Rappelons que le vaccin H1N1 a été stoppé après 53 décès. Le vaccin contre la grippe aviaire également après quelques décès et le vaccin contre le rotavirus après quelques invaginations chez les bébés. De façon systématique, tous les essais thérapeutiques sont stoppés au moins provisoirement habituellement après le premier mort.

Ici nous sommes à près de 30 000 décès validés par l’UE et environ 17 000 aux USA. N’est pas angoissant ? Si, alors ne surtout pas en parler. Vite un doliprane. FRANCHEMENT INACCEPTABLE DE TOUT CANDIDAT : CETTE FOLIE DOIT CESSER.

Et rappelons que l’épidémie ne tue plus et depuis plusieurs mois

Pseudo vaccin expérimental et Pfizergate : informez les citoyens

Éric Z. aurait dû en tant qu’éventuel président, rappeler aux Français le caractère expérimental des injections géniques et des doutes sur les conséquences délétères déjà décrites dans les documents officiels de Pfizer il y a un an et confirmées dans la vie réelle actuelle (voir les tableaux de l’agence officielle EMA et son site effets secondaires des médicaments EudraVigilance).

Des problèmes neurologiques graves, voire des maladies de la vache folle (voir les vidéos de Marc Doyer qui a réveillé Pascal Praud et le récit de son épouse atteinte de la vache folle), aux myocardites dont on découvre chaque jour l’ampleur. Et surtout de l’avenir incertain sur la fertilité des futures générations, dont les troubles menstruels si fréquents des femmes et des petites filles, la raréfaction des spermatozoïdes dans le sperme des donneurs potentiels laisse mal augurer de leur avenir familial.

Le Pfizergate est un problème politique(([6] Un contrat Pfizer-CEE a peut-être fuité, les européens apprécieront – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Le 2 novembre 2021, des révélations publiées dans le British Medical Journal (BMJ)(([7] Covid-19: Researcher blows the whistle on data integrity issues in Pfizer’s vaccine trial | The BMJ)) ont pointé du doigt de potentielles défaillances, des falsifications de données et des problèmes de sécurité au sein de Ventavia Research Group, l’un des sites choisis par le laboratoire Pfizer pour mener ses essais cliniques du vaccin anti-Covid Comirnaty®.

Ces révélations se basent sur le témoignage de Brook Jackson, ancienne directrice régionale au sein de Ventavia Research Group, l’un des sous-traitants du laboratoire Pfizer chargé d’évaluer l’efficacité du vaccin Comirnaty contre la Covid-19. Selon elle, Ventavia Research Group aurait commis des manquements lors de ses tests, « falsifié des données » et « tardé à assurer le suivi des effets secondaires ».

Dans son mail envoyé à la FDA, Brook Jackson accuse Ventavia d’une douzaine de pratiques douteuses dont elle aurait été témoin. Parmi ses accusations, elle relate entre autres :

  • Des participants étaient placés dans un couloir après l’injection et non surveillés par le personnel clinique.
  • Un manque de suivi en temps opportun des patients ayant subi des événements indésirables.
  • Des écarts de protocole non signalés.
  • Des vaccins qui n’étaient pas conservés à des températures appropriées.
  • Des échantillons de laboratoire mal étiquetés.
  • Un ciblage du personnel de Ventavia pour signaler ce type de problèmes.

Selon le BMJ, l’ancienne directrice régionale de Ventavia Research Group aurait « fourni des dizaines de documents internes à l’entreprise, de photos, d’enregistrements audio et d’e-mails ». Pour autant les sociétés Ventavia et Pfizer n’ont pas réagi à ces révélations ».

Les agences FDA et EMA font le gros dos. Les politiques se taisent. Et Z. dont on attendait la différence aussi !

Comment les candidats, dont Z. peuvent-ils passer sous silence ces mauvaises pratiques qui mettent en jeu la vie de milliards d’individus ?

Il aurait dû présenter aux futurs électeurs le passé dramatique de Pfizer de nombreuses fois poursuivi pour faux et informations erronées aux usa avec des milliards versés aux victimes. Le Pfizergate actuellement dévoilé devrait être traité par Z. tellement la gravité des faits découverts (essai clinique truqué en résumé) est capitale pour le choix éclairé des Français.

Comment Z. et d’autres commentateurs, dont certains a priori sincères, peuvent-ils dire que chacun est libre de se faire vacciner ou pas ?

Fabuleuse manipulation mondiale

Justement ils ne sont pas libres, mais manipulés toute la journée, en plus de ceux dont le consentement est extorqué. Ne faisons ni l’autruche ni la vierge effarouchée et regardons la réalité en face.

Libre ? Belle pétition de principe qui ne serait vraie que s’il y avait consentement ÉCLAIRÉ et LIBRE.(([8] Consentement éclairé du patient : définition et prérequis
Avant de donner son consentement aux soins, le patient doit bénéficier d’informations loyales, claires et adaptées à son degré de compréhension de la part des équipes soignantes et médicales tout en étant libre de toute pression ou contrainte. Donner son consentement éclairé implique de connaître les alternatives thérapeutiques envisageables, c’est-à-dire les autres moyens de traiter le(s) problème(s) de santé rencontré(s) avec leurs avantages et leurs inconvénients… C’est sur la base de cet échange que le patient pourra accepter ou refuser ce que préconisent les professionnels de santé. Ces derniers devront obligatoirement respecter la volonté du patient.
Consentement libre et éclairé du patient (définition) – Désignation personne de confiance (France-assos-sante.org) )) Or sur quoi se fonde ce soi-disant choix répété à l’envi sur toutes les ondes alors qu’il y a TROMPERIE du matin au soir sur la réalité de l’essai en cours sur les citoyens supposés libres et devenus cobayes soumis ?

En résumé, les candidats doivent se positionner sur le pseudo vaccin, sujet éminemment politique puisque outil du contrôle social à la chinoise

  • Informer du caractère expérimental ;
  • Informer des effets secondaires nombreux et graves ;
  • Informer de l’incertitude de l’efficacité des injections géniques ;
  • S’opposer à toute mesure discriminatoire entre vax, non-vax, une dose, etc. ;
  • S’opposer à toutes les mesures liberticides inefficaces et se conformer à l’attitude suédoise ou de Madagascar dont les résultats Covid sont bien meilleurs que les nôtres ;
  • S’opposer fermement à toute obligation vaccinale et tout particulièrement celle des enfants qui ne risquent rien du Covid, mais beaucoup de l’injection ;
  • Imposer au gouvernement via la pression populaire et médiatique la liberté de prescription des médecins pour les traitements précoces ;
  • Exiger la réintégration immédiate des fonctionnaires suspendus de façon honteuse et sans but sanitaire aboutissant à fermer encore davantage de lits hospitaliers au moment où on en a (peut-être) le plus besoin ;

Et quand on entend V. Pécresse, X. Bertrand et trop d’autres se prononcer pour l’obligation vaccinale et même l’enfermement des non-vax, on se dit qu’ils ont aussi oublié les traités signés par la France comme la convention d’Oviedo qui rappelle les engagements des nations pour le code de Nuremberg.(([9] Notre expérience de la violation des lois éthiques de Nuremberg – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Ceux — là seront vite éliminés de la course à l’échalote. Au moins, espérons-le.

Qu’Éric Zemmour, tous les élus, tous les citoyens relisent au moins la déclaration d’Helsinki et le code de Nuremberg et en fassent état !

Non, tout ceci n’est pas dépassé si nous ne voulons pas sombrer dans une société sauvage.

Rappelons les articles 8 et 14 de la déclaration d’Helsinki à laquelle les promoteurs d’essai prétendent se conformer.

« Si l’objectif premier de la recherche médicale est de générer de nouvelles connaissances, cet objectif ne doit jamais prévaloir sur les droits et les intérêts des personnes impliquées dans la recherche. Art. 8

… Les médecins qui associent la recherche médicale à des soins médicaux devraient impliquer leurs patients dans une recherche uniquement…. si les médecins ont de bonnes raisons de penser que la participation à la recherche ne portera pas atteinte à la santé des patients concernés. Art. 14 »

Passer à côté de ce rôle politique indispensable et laisser faire ce gouvernement liberticide en approuvant passivement sa politique sanitaire est une position complètement inacceptable pour le citoyen moyen. Si Z. veut faire plaisir à quelques bobos parisiens, qu’il n’oublie pas, le Paris riche n’est pas la France et ne suffira pas à son élection d’autant que cet électorat constitue le socle des voix de M. Et ceci est valable pour tous les candidats bien sûr.

À bon entendeur, salut.





Algérie : les tribulations tartarinesques de Marie-George Buffet

[Source ahmedbensaada.com]

Par Ahmed Bensaada

[Ndlr : le titre fait allusion à Tartarin de Tarascon d’Alphonse Daudet]

Le rôle des syndicats dans les « regime change »

Voici donc la « Tartarine » du palais Bourbon, alias Marie-George Buffet, qui organise, le 15 octobre 2021, un colloque sur l’Algérie, au sein même de l’Assemblée nationale française (sic!).

Était-ce pour commémorer le 17 octobre 1961, date du massacre et de la noyade de centaines de manifestants algériens pacifiques?

Était-ce à l’occasion du 67e anniversaire de la révolution algérienne qui a été déclenchée un certain 1er novembre 1954?

Mais non, pas du tout.

Pourtant ces dates étaient si proches et la grande majorité des invités au colloque étaient Algériens.

Que nenni! Bien au contraire!

La « Tartarine » a réuni un aréopage de droitdelhommistes douteux, de sécessionnistes véreux, de syndicalistes fantoches et autres adeptes d’un Hirak frelaté pour… « renverser un pouvoir autoritaire » en Algérie!

Post de Marie-George Buffet

Rien que ça! Même pas peur, la « Tartarine » va-t-en-guerre, en mal de conquêtes coloniales et encadrée par ses sbires!

Par souci d’honnêteté intellectuelle, il a fallu – hélas – me soumettre au supplice de l’écoute de ces deux heures et quelques de parlotte insipide ponctuée de lieux communs, de poncifs et d’accusations puériles. Et tout ça dans une langue française si torturée qu’elle aurait fait pâlir d’envie Chalghoumi en personne.

Et si on se demandait pourquoi le Parti communiste n’en finit pas de péricliter, on a maintenant la réponse. Au lieu de s’occuper des vrais problèmes des Français, madame la députée discutaille avec des estafiers – dont elle ne connait certainement pas les accointances et qu’elle présente comme le « peuple algérien » – pour s’ingérer dans les affaires d’autres pays que le sien. D’ailleurs, n’est-ce pas elle qui a battu le record du plus mauvais score du parti communiste dans une élection présidentielle?

Évolution des résultats du PCF aux élections présidentielles de 1969 à 2007

S’est-elle au moins rendu compte que l’évènement a été filmé en direct par la chaine de télévision islamawiste « Al Magharibia » qui appartient au fils du fondateur du Front islamique du Salut (FIS), ce parti qui a été à l’origine de la décennie noire et qui a causé la mort de plus de 200 000 personnes? Sait-elle au moins que ce média collabore directement avec les trois composantes majeures du Hirak frelaté qui militent pour le « regime change » en Algérie, à savoir les « ONGistes droitdelhommistes », les « makistes séparatistes » et les « islamawistes offshore »? Ou veut-elle les utiliser pour mener à bien son projet de renversement de pouvoir?

Le colloque de Marie-George Buffet a été filmé et retransmis en direct par la chaine islamawiste Al Maghribia

Dans ce qui suit, nous allons tenter d’aider la « Tartarine » à faire connaissance avec quelques-uns de ses convives.

A- Les ONGistes droitdelhommistes

Commençons par le maitre de cérémonie, M. Ali Ait Djoudi, président de l’ONG « Riposte Internationale » qui distribuait la parole à tout le monde, même à la députée communiste qui les avait invités (!).

Comme on peut le constater dans l’image qui suit, le logo de cette « ONG » présente des similitudes de couleur qui ne font aucun doute sur son affiliation identitaire.

Comparaison entre le drapeau de Bessaoud-Bénet et le logo de « Riposte internationale »

On remarque donc que les quatre couleurs (en comptant celle des lettres du milieu) présentes dans le drapeau identitaire (kabyle et/ou amazigh) de Bessaoud-Bénet ont été reprises dans le logo de l’ONG, pour affirmer le supposé séparatisme ethnique et politique avec le reste de la population algérienne.

Une question évidente se pose : est-ce que cette « ONG » accepte en son sein des militants autres que des Kabyles/Amazighs « pure laine »?

Si oui, pourquoi ces couleurs. Si non pourquoi ce racisme.

Mais cela n’est pas étonnant si on tient compte du fait que Ali Ait Djoudi est un militant vétéran du Mouvement culturel berbère (MCB) tout comme son ami Ferhat Mehenni, le chef des sécessionnistes kabyles, président du Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie (MAK).

Ferhat Mehenni et Ait Ali Djoudi

D’autre part, lorsque « Riposte Internationale » a déposé un « rapport sur les violations des libertés en Algérie » auprès du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme à Genève, le 15 septembre 2020, les militants n’arboraient ni le drapeau algérien, ni la banderole de l’ONG, mais bel et bien le drapeau de Bessaoud-Bénet.

Seul le drapeau de Bessaoud-Bénet est brandi par « Riposte Internationale »

Les noms de « Riposte internationale » et de « Ait Ali Djoudi » se retrouvent dans une multitude de pétitions droitdelhommistes internationales ou contre l’État algérien. Ils ont appuyé (et probablement initié) la résolution du Parlement européen contre l’Algérie du 25 novembre 2020 (lire mon article sur le sujet).  On les retrouve aussi dans cette déclaration hostile à l’Algérie parrainée par « Project on Middle East Democracy » (POMED) qui date du 28 juin 2021.

Il est intéressant de savoir que POMED fait partie de l’arsenal d’organisations américaines dédiées à l’« exportation » de la démocratie comme la National Endowment for Democracy (NED), l’International Republican Institute (IRI), le National Democratic Institute for International Affairs (NDI), Freedom House (FH), la United States for International Development (USAID) ou l’Open Society Foundations (OSF) du milliardaire américain, George Soros. Il a été montré que ces organisations ont été impliquées dans les révolutions colorées et le mal nommé « printemps » arabe (pour plus de détails, lire mon livre « Arabesque$ »).

Il est aisé de vérifier que le POMED travaille de concert avec Freedom House et est financièrement soutenu par l’OSF. En 2016, par exemple, POMED a reçu une subvention de 550 000$ de la Fondation Open Society. POMED est également financé par la NED. (Pour plus d’informations sur POMED, le lecteur est invité à lire mon article sur le sujet).

Rappelons toutefois que POMED s’intéresse fortement à la « démocratisation » de l’Algérie. Elle a déjà organisé deux évènements spécialement dédiés au Hirak algérien les 15 avril et 19 juin 2019.

Sur les deux documents cités précédemment (Parlement européen et POMED), on retrouve « Riposte internationale » parmi les signataires, de concert avec divers organismes algériens dont la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH), le Collectif des familles de disparus en Algérie (CFDA), le Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (SNAPAP) et la Confédération générale autonome des travailleurs en Algérie (CGATA). Les deux premiers sont financés par la NED et il sera plus longuement question du SNAPAP et de la CGATA dans la prochaine section de cet article.

On retrouve aussi parmi les signataires des ONG internationales comme « Article 19 », CIVICUS, Human Right Watch (HRW), Reporters sans Frontières (RSF), la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) ou Amnesty International.

Ces ONG sont toutes financés par l’OSF de Soros. En plus, RSF et Article 19 sont aussi financés par la NED; Article 19 reçoit également des subventions de Freedom House, de l’USAID et du Département d’État américain.

Lorsque le directeur d’une ONG égyptienne (financée par la NED) fut condamné par contumace en août 2020 par un tribunal égyptien dédié aux « affaires terroristes », un appel à la solidarité a été émis par la FIDH. Il a été signé par toutes les ONG citées précédemment. Les noms de Ali Ait Djoudi (Riposte Internationale), Nacera Dutour (CFDA) et Rachid Malaoui (SNAPAP et CGATA) figuraient dans la même liste que d’« illustres » personnalités du monde de la « démocratisation made in USA » : Issandr Amrani, directeur régional du programme MENA de l’OSF, Carl Gershman, président de la NED, Jeffrey Feltman, ancien sous-secrétaire d’État américain pour les affaires du Proche-Orient ou Tamara Cofman Wittes, ancienne sous-secrétaire d’État adjointe au Département d’État, récemment nommée par le Président Joe Biden au poste d’administrateur adjoint pour le Moyen-Orient de l’USAID.

On pouvait aussi lire les noms de quelques sinistres rescapés du Conseil National Syrien (CNS) comme Bassma Kodmani, Burhan Ghalioun ou Radwan Ziadeh, bien connus de la NED et du Département d’État.

À propos de ces ONG, notons la présence, parmi les invités au palais Bourbon, de M. Madjid Bencheikh, professeur de droit et, accessoirement, ancien président d’Amnesty International Algérie.

Ali Ait Djoudi n’a pas raté l’occasion d’inviter son ami Hacène Hirèche, un de ses anciens collègues du MCB, militant berbériste de la première heure et formateur des makistes.

Un autre convive « de marque », l’avocat Salah Debouz, était présent à ce consistoire de boutefeux. Ce trublion en robe noire, qui s’est illustré par la défense des militants sécessionistes de la région du M’zab, a été président la LADDH (une de ses trois ailes).

Salah Debouz (à gauche) et Ferhat Mehenni (au centre) : le bras du second serrant l’épaule du premier!

La solidarité sécessionniste kabylo-mozabite n’est pas qu’une vue de l’esprit : Debouz-Mehenni, khawa-khawa (frères, frères)!

Nacera Dutour a aussi été invitée par la Tartarine. Comme expliqué dans un précédent article, la présidente du CFDA est probablement la personne qui a reçu le plus de financement de la NED.

Janvier 2015 : Nacera Dutour reçoit le prix Matoub Lounes (avec, en prime, le drapeau Bessaoud-Bénet!)

N’oublions pas de préciser que la plupart des personnes citées auparavant est abonnée aux plateaux de la chaine islamawiste Al Magharibia, celle qui a filmé ce colloque.

B- Les syndicalistes fantoches

En plus de ces ONGistes droitdelhommistes, enrubannés dans des étendards tricolores mêlant les couleurs de Marianne et de Bessaoud-Bénet, on remarque la curieuse présence de syndicalistes français appartenant à l’union syndicale « Solidaires ».

Stéphane Enjalran (« Solidaires ») et Rachid Malaoui

Mais que diable viennent-ils faire dans cette réunion qui n’a de colloque que le nom? Certes, ils accompagnaient le « syndicaliste en chef » Rachid Malaoui question de lui donner un peu plus d’assurance, mais quand même. Délaisser les graves problèmes des « Gilets jaunes » et de toute la classe ouvrière française pour venir palabrer sur le « renversement du pouvoir autoritaire » en Algérie a quelque chose d’insolite. Mais comme le hasard n’existe pas en politique, c’est en grattant un peu qu’on arrive à démêler l’écheveau de la conspiration.

Le financement du SNAPAP

Commençons par le commencement.

Rachid Malaoui, président du SNAPAP et de la CGATA, a d’étroites relations avec l’« American Federation of Labor and Congress of Industrial Organizations » (AFL–CIO) , la plus grande fédération de syndicats des États-Unis et tout particulièrement avec sa branche internationale, le « Solidarity Center ». Pour illustrer cette connexion, citons une anecdote qui est loin d’être anodine.

En 2011, le SNAPAP a été membre la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) qui a orchestré l’embryon de « printemps » algérien. Certainement briefée par le SNAPAP, la directrice du Département international du l’AFL-CIO, Cathy Feingold, écrivit deux lettres au Président Abdelaziz Bouteflika dans le but d’épauler Malaoui. Dans celle du 4 mars 2011, elle lui a fait part de son inquiétude concernant la violence policière contre les « manifestants pacifiques » en Algérie en précisant que « nous notons avec une vive préoccupation que, parmi les personnes blessées récemment, figurait le dirigeant syndical M. Rachid Malaoui président du secteur public de l’union syndicale nationale autonome du personnel d’administration publique (SNAPAP) ». Dans la seconde, datée du 14 octobre 2011, le nom de M. Malaoui « militant CNCD de premier plan », y est cité trois fois. Et madame Feingold semblait connaitre moult détails sur l’activisme politique algérien (Cliquez sur ce lien pour lire ces deux lettres).

Cathy Feingold, directrice du Département international du l’AFL-CIO

De nombreuses publications ont dévoilé la collaboration active de l’AFL-CIO avec la CIA et le Département d’État américain. Selon Kim Scipes, professeur d’histoire à Purdue University Northwest :

« Tout au long de son histoire, l’AFL-CIO a mené un programme de travail réactionnaire dans le monde entier. Il a été établi sans équivoque que l’AFL-CIO a travaillé pour renverser des gouvernements démocratiquement élus, collaboré avec des dictateurs contre les mouvements ouvriers progressistes et soutenu les mouvements ouvriers réactionnaires contre les gouvernements progressistes ».

Viscéralement anticommuniste, l’AFL-CIO s’est tellement acoquinée avec la CIA que cela lui a valu le surnom on ne peut explicite de « AFL-CIA ».

Comme expliqué dans de nombreux articles, le Solidarity Center est un des quatre satellites de la NED avec le NDI, l’IRI et le « Center for International Private Enterprise (CIPE) ».

Les quatre satellites de la NED

Malaoui a toujours nié recevoir (ou avoir reçu) une quelconque aide financière du Solidarity Center.  Dans sa remarquable thèse de doctorat intitulée « Les syndicats autonomes en Algérie », Karim Maïche rapporte les propos de Malaoui: « Nous sommes autofinancés, nos membres contribuent chacun à hauteur de 80 DA par an ».

Maïche mena son enquête sur le financement du SNAPAP en interviewant Selim Mecheri, un de ses activistes de longue date. Sa réponse était explicite :

« Ah, les pays étrangers. Pour nous, il était nécessaire d’obtenir de l’aide du Solidarity Center parce que sinon nous n’aurions pas eu la chance de sortir [d’Algérie]. Par exemple, je n’ai pas les moyens de sortir sans invitation de ces organisations internationales. Je ne veux pas cacher le fait que mon salaire ne suffit pas, ni non plus les ressources financières de mon organisation […] ».

La collaboration du SNAPAP avec le Solidarity Center n’est pas uniquement financière, comme on peut le constater, par exemple, dans le rapport annuel 2013 de l’organisme américain :

« L’année dernière en Algérie, le Solidarity Center et le Syndicat national autonome des travailleurs du secteur public (SNAPAP) ont entrainé un réseau de 32 militantes et formé le Réseau régional algérien d’autonomisation juridique des femmes (RAWLEN). Les femmes ont mené des cercles d’étude sur la peur, l’exploitation et les droits juridiques et humains des femmes dans 12 provinces, touchant plus de 600 femmes marginalisées et vulnérables ».

Par ailleurs, le nom de Rachid Malaoui est cité dans plusieurs câbles Wikileaks. Dans celui intitulé « Algeria and MEPI – Moving forward » daté du 26 avril 2009 et portant la référence 09Algiers415_a, on peut lire :

« En outre, nous avons demandé un financement au MEPI [The U.S. –Middle East Partnership Initiative] pour un projet du Solidarity Center travaillant avec les syndicats algériens, ainsi qu’une petite subvention pour le SNAPAP, le plus grand syndicat algérien autonome (c’est-à-dire non affilié au gouvernement). Le Solidarity Center est actuellement le meilleur véhicule pour un engagement soutenu avec les syndicats autonomes, mais l’exercice de petites subventions SNAPAP est un effort pour renforcer la capacité organisationnelle et de collecte de fonds d’un syndicat avec peu ou pas d’expérience dans l’un ou l’autre domaine. En cas de succès, la subvention SNAPAP pourrait conduire à un engagement direct plus important, bien que dans un avenir lointain, sans un responsable de la mise en œuvre de MEPI comme intermédiaire ».

Le câble 08ALGIERS661_a du 5 juin 2008, montre que Malaoui avait (a toujours?) ses entrées à l’ambassade des États-Unis à Alger. En effet, le document mentionne des discussions directes avec les diplomates américains sur la situation sociale et politique en Algérie :

« Le leader syndicaliste Rachid Malaoui du syndicat autonome SNAPAP nous a dit le 28 mai que le mécontentement vis-à-vis des performances des équipes de football n’était qu’une excuse pour déclencher une émeute. Les bases sous-jacentes des émeutes, a-t-il dit, étaient les frustrations refoulées de la société algérienne […]. Alors que les émeutes semblent avoir été déclenchées spontanément, il pense que les individus attendaient une occasion d’exprimer leur frustration élevée face à la vie en Algérie ».

Un troisième câble daté du 20 mars 2008 et portant la référence 08ALGIERS332_a est exclusivement consacré aux « syndicats libres ». Le nom de Malaoui y est cité sept fois et SNAPAP 6 fois. On peut y lire :

« Lors d’une réunion le 19 février, Rachid Malaoui, président de l’une des deux versions du Syndicat national autonome des employés de l’administration publique (SNAPAP), nous a dit que le gouvernement algérien prônait un « faux nationalisme » afin de détourner l’attention de ses échecs ».

Le reste est très instructif mais serait top long à discuter dans le cadre de cet article. Il montre cependant, de manière non équivoque, que Malaoui et son syndicat – tout comme les ONGistes algériens – discutaient allégrement, entre autres, des affaires politiques et sociales de l’Algérie avec les diplomates étasuniens au sein même de l’ambassade des États-Unis à Alger.

Outre le Solidarity Center, l’ouvrage de Karim Maïche mentionne les relations du SNAPAP avec différentes organisations internationales dont l’union syndicale « Solidaires », ce qui explique donc leur présence à un colloque organisé en France par une élue française. D’ailleurs, est-ce par pur hasard si les deux représentants de « Solidaires », Boualem Hamadache et Stephane Enjalran, étaient assis à côté de Rachid Malaoui lors de cet évènement?

Les syndicalistes invités par M.G. Buffet : Boualem Hamadache, Stéphane Enjalran et Rachid Malaoui

« Solidaires » et « quituquistes »

Il faut reconnaitre que « Solidaires » a été très actif contre l’Algérie non seulement pendant le Hirak, mais aussi bien avant comme nous allons le démontrer.

Ainsi, on peut lire dans une de leurs déclarations « pro-Hirak » publiée le 22 février 2021 (2e anniversaire du soulèvement populaire) :

« Il y a deux ans, la population manifestait contre la cinquième candidature à la présidence du très vieillissant Bouteflika, homme de paille des généraux qui ont pris le pouvoir dans les années 90. Les clans qui se partagent le pouvoir avaient été contraints de renoncer à cette candidature, mais les précédentes élections ont été une mascarade en termes de participation et de candidats (des clans militaires) ».

Le style et la terminologie utilisés dans ce communiqué officiel n’est pas sans nous rappeler l’empreinte des « islamawistes offshore » et des « ONGistes droitdelhommistes », adeptes de la « phase de transition » et du « Yetnahaw gaâ » (ils doivent tous partir). Cela est à des années-lumière du langage syndical coutumier, celui qui défend les intérêts des ouvriers et qui se bat pour ses acquis sociaux.

Mais ce qui attire le plus l’attention c’est cette allusion aux années 90, c’est-à-dire la décennie noire, le « quituquisme » et son corollaire l’absolution des djihadistes de leurs crimes terroristes.

Mais cela n’est pas nouveau pour « Solidaires », bien au contraire. Cette union syndicale a des relations très étroites avec les théoriciens du « quituquisme » et ses adeptes les plus teigneux.

En effet, dans le supplément à sa revue « Expression Solidaire » d’octobre 2015 de 128 pages exclusivement consacrées à l’Algérie (sic!), la parole est donnée à une dizaine de personnes dont François Gèze, Omar Benderra, Salima Mellah et Stéphane Enjalran.

Les trois premiers, François Gèze, Omar Benderra, et Salima Mellah sont membres de l’association « Algeria-Watch » fondée dans les années 90 par des journalistes algériens exilés en Allemagne.

Sur le site de l’association, on obtient un peu plus d’information :

« Algeria-Watch est une association de défense des droits humains en Algérie. Créée en 1997 en Allemagne, elle a rapidement dépassé le cadre germanophone et développé des activités en langue française. Depuis janvier 2002, elle existe également en France, où elle a constitué une association (loi de 1901) du même nom ».

Le recensement d’Algeria-Watch par le « Courrier international » précise qu’il s’agit d’un « webzine » qui « rassemble d’une manière générale des tendances hostiles au pouvoir en place à Alger, des islamistes modérés aux démocrates convaincus ».

Courrier International : description d’Algeria-Watch

Ainsi, pour figurer sur le site de cette association, il suffit juste d’être hostile au pouvoir algérien. Et cela dure depuis les années 90!

Aucune place à tous ceux qui défendent l’État-Nation, même pendant les moments difficiles que vit l’Algérie. Non, il faut juste être hostile, comme ceux qui vocifèrent « madaniya, machi aaskaria » (civil et non militaire) et surtout pas ceux qui scandent « djeich chaab, khawa khawa » (armée peuple, frères frères)!

C’est pour cette raison que mes écrits et mes livres ne sont jamais repris par ce site, malgré mes dizaines d’articles sur le sujet, lus et traduits en plusieurs langues. Par contre, tous ceux qui me tombent dessus à bras raccourcis sont les bienvenus et y ont bien entendu une place de choix.

Algeria-Watch, qui se targue d’être « une association de défense des droits humains », oublie que la liberté d’expression et d’opinion fait partie intégrante des droits humains.

« Algeria Watch », « Al Karama », « Rachad » et le djihadisme international

La description du « Courrier international » parle d’ouverture vers « des islamistes modérés ». La réalité est toute autre.

Regardons cela de près. Sur le site du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme, on peut encore trouver un document qui a pour titre « Observations d’Al Karama for Human Rights et Algeria-Watch sur le troisième Rapport périodique de l’Algérie au Comité des droits de l’homme de l’ONU – Audience du 23 juillet 2007 ».

Ce document montre un travail synergique entre la Fondation « Al Karama » et « Algeria-Watch» qui a pour but le dénigrement systématique de l’Algérie auprès des instances internationales ou des pays étrangers. Une recherche rapide sur le site d’Al Karama révèle des dizaines d’occurrences sur cette collaboration dont plusieurs d’entre elles traitent de la défense d’anciens dirigeants du FIS (Front Islamique du Salut).

Selon les documents publiés sur son site (en 2016), les membres fondateurs de la Fondation « Al Karama » sont Abderrahman Al Nuaimi, Rachid Mesli et Abbas Aroua. Mourad Dhina, son directeur exécutif, à rejoint la fondation en 2007.

Discuter de la fondation « Al Karama » nécessiterait certainement plusieurs articles. Ce qu’il faut retenir c’est que cet organisme fraye avec la nébuleuse djihadiste internationale. Son fondateur, Abderrahman Al Nuaimi, a été accusé en 2013 « de financer Al Qaida » et tous ses avoirs ont été gelés par les États-Unis.

Le communiqué de presse du Département du Trésor américain mentionne que :

« Nuaimi est un financier et facilitateur terroriste basé au Qatar qui a fourni de l’argent et un soutien matériel et a transmis des communications à al-Qaida et à ses affiliés en Syrie, en Irak, en Somalie et au Yémen pendant plus d’une décennie. Il était considéré comme l’un des partisans qatariens les plus en vue des extrémistes sunnites irakiens ».

Dans un article de 2018 du journal suisse « Le Temps » consacré aux islamistes pro-Qatar dont fait partie Al Nuaimi, on peut aussi lire :

« On ne parle pas ici de djihadistes de bas étage ou de jeunes fanatisés devant leur ordinateur. Mais d’intellectuels de l’islamisme radical, bien connectés à l’international, y compris en direction de groupes armés ».

C’est d’ailleurs cette même année que la fondation « Al Karama » et son président-fondateur Al Nuaimi ont été placé sur la liste qatarie du terrorisme.

Pour revenir au Hirak frelaté et une de ses composantes majeures, les « islamawistes offshore », il est facile d’établir la relation entre la fondation « Al Karama » et le mouvement « Rachad ». En effet, les membres fondateurs d’Al Karama (excepté Abderrahman Al Nuaimi) sont aussi membres fondateurs de « Rachad ».

Pour compléter la liste, on peut se fier au document publié sur le site officiel de « Rachad » :

Liste des membres fondateurs de « Rachad »

On remarque donc que ces deux entités possèdent des portes tournantes entre elles et, donc, travaillent de concert.

Il existe aussi des relations directes entre « Algeria Watch » et « Rachad » comme on peut le constater lors des rencontres conjointes, comme, par exemple, dans ces vidéos de Omar Benderra avec Mourad Dhina (sur Rachad TV) ou avec un autre membre de « Rachad », Yahia Mekhiouba (vidéo publiée sur « Algeria Watch »).

Accusé par l’Algérie « d’enrôlement dans un groupe terroriste armé actif à l’étranger », Mourad Dhina fut arrêté à Paris en 2012 en vue d’une éventuelle extradition vers l’Algérie. Un « comité de soutien pour la libération de Dr. Mourad Dhina » composé de 20 membres fut constitué. Parmi les noms de ces personnes, on retrouve ceux de Abderrahman Al Nuaimi, François Gèze, Habid Souaidia (dont il sera question ultérieurement) et Hakim Mutairi (aussi orthographié Hakem Al Mutairi) qui est un activiste salafiste, membre fondateur et chef du parti koweitien « hizb al-umma » (Parti de la communauté des croyants).

Selon l’opposant turc Abdallah Bozkurt, Al Mutairi « est un prédicateur salafiste et radical dont les opinions sont similaires à celles d’Al Qaïda et de l’État islamique en Irak et en Syrie (ISIS). Il a été accusé d’avoir canalisé des ressources financières vers des djihadistes en Syrie, d’abord vers Ahrar Al Cham et plus tard vers le Jabhat Al Nosra ».

C’est d’ailleurs pour ses activités délictueuses qu’Al Mutairi a été surnommé le « parrain de l’extrémisme dans le Golfe arabe »

Pour la gouverne de la « Tartarine », c’est ce même prédicateur qui a applaudi et justifié l’horrible décapitation de feu Samuel Paty. Intéressant, non?

En avril dernier, le tribunal pénal du Koweït a condamné Al Mutairi à une peine de prison à vie pour un complot visant à déstabiliser la sécurité dans la région du Golfe.

À la parution de mon livre « Qui sont ces ténors autoproclamés du Hirak? », les premiers à avoir réagi de manière violente et sordide ce sont les « adeptes » de Rachad. Non satisfaits de leurs sempiternelles logorrhées fétides, ils ont décidé de répondre à mon ouvrage en réunissant un groupe de piètres « experts » avec, à leur tête, Moncef Marzouki, le « tartour (pantin) de Carthage » en personne. Cette réponse, qui s’est plus attaquée à ma personne qu’au contenu de mon livre, s’est avérée d’une navrante médiocrité. Néanmoins, à force d’écrire pour ne rien dire et de griffonner des inepties, on finit toujours par faire des révélations intéressantes pour autrui. Ainsi, on apprend dans ce livre collectif (p. 308) que « Rachad » avait eu des contacts directs avec Rachid Maloui – tout comme avec « Algeria Watch » – et ce, bien avant le Hirak.

Mensonges, manipulations et diffamations

Né à Casablanca (Maroc) et militant d’extrême gauche, le nom de François Gèze est surtout relié aux Éditions La Découverte dont il a été directeur et qu’il a utilisé comme « machine à laver » pour « blanchir » les crimes des djihadistes algériens et les mettre sur le dos de l’institution militaire algérienne.

Cela a commencé en 2000 avec la publication de « Qui a tué à Bentalha » par Nesroulah Yous, avec la collaboration de Salima Mellah (tiens, tiens…).

(Petite remarque : Nesroulah Yous était invité à la grand-messe de la Tartarine au palais Bourbon).

Nesroulah Yous invité au colloque de M.G. Buffet organisé à l’Assemblée nationale française

En 2001, c’est au tour de « La sale guerre » de Habib Souaïdia, un ex-miliaire algérien, de se prêter à l’entreprise de blanchissage – salissage orchestrée par François Gèze. Un vrai succès de librairie : 72 000 exemplaires vendus et plusieurs éditions en d’autres langues.

Sauf que ce brûlot a révélé les dessous d’une entreprise professionnelle de désinformation nommée le « quituquisme ».

Vu les compétences d’écriture limitées de l’ex-militaire, un coauteur a été recruté. Il s’agit du journaliste Mohamed Sifaoui qui, malheureusement pour eux, n’a pas voulu marcher dans les combines de la « machine à laver ».

Après avoir remis sa copie, Sifaoui s’est rendu compte que Gèze avait par la suite manipulé son texte. Il déclara alors :

« On a tordu mon texte en occultant certains passages, en en rajoutant d’autres. En mettant toujours au conditionnel certains faits exacts – toujours des exactions commises par les islamistes – et en faisant passer pour des affirmations ce qui ne constitue que des hypothèses (la responsabilité de l’armée dans des massacres de civils) ».

Il a aussi accusé l’éditeur « d’avoir systématiquement supprimé les passages du manuscrit qui allaient « dédouaner les islamistes et occulter leurs crimes » au nom d’un « parti-pris idéologique » », tout en qualifiant Habib Saouaïdia, de « mythomane venu en France pour régler des comptes avec sa hiérarchie ».

Ébranlé par toutes ces accusations qui remettaient en cause sa stratégie, Gèze portant plainte contre Sifaoui pour « diffamation ».

Il fut platement débouté par le tribunal qui jugea que :

« les éléments produits aux débats permettent de démontrer que Habib Souaïdia, au printemps 2000, a livré à ses interlocuteurs des versions différentes, que de nombreuses modifications ont affecté le manuscrit livré par Mohamed Sifaoui à l’éditeur, et surtout que ces modifications ont eu pour résultat d’atténuer la responsabilité des groupes islamistes pour aggraver celle des militaires »

Et en ce qui concerne les responsabilités, le tribunal a été très clair :

« François Gèze et les Éditions La Découverte sont accusés d’avoir manipulé Habib Souaïdia et Mohammed Sifaoui, en intervenant sur le témoignage du premier et le manuscrit du second, pour réaliser un ouvrage partisan, volontairement défavorable pour l’armée et exonérant les islamistes ».

Malgré la mise en évidence de ces manipulations et de ces mensonges, le livre de Souaïdia est encore régulièrement cité par les adeptes de « Rachad » qui ne se lassent pas de le brandir comme la preuve par 9 du « quituquisme ».

Dans le volet « mensonges, manipulations et diffamations », François Gèze n’est pas le seul à y exceller. Stéphane Enjalran, le quatrième contributeur de la revue « Expression Solidaire » de 2015, n’a rien à lui envier.

Stéphane Enjalran, syndicaliste « Solidaires »

Tout d’abord, ce syndicaliste est lui aussi un « quituquiste » comme on peut s’en rendre compte en parcourant un de ses deux articles figurants dans la revue.

« On se rappelle aussi de l’assassinat des moines de Tibhirine en 1996 et du fait que les médias français commencent seulement à prendre au sérieux l’hypothèse de la responsabilité de l’armée algérienne dans ce drame, responsabilité pourtant hautement probable mais jusque-là étouffée ou évoquée à demi-mot, l’événement étant au mieux présenté comme un « accident » ».

Et à propos de l’Algérie, notre syndicaliste n’y va pas de main morte :

« Ce qu’il faut appeler par son nom, une dictature. « Dictature » : le mot peut sembler exagéré, voire dévoyé, tant l’ignorance est grande dans nos pays de la situation réelle en Algérie, encore présentée comme le modèle de « résistance au terrorisme » et donc comme un rempart contre ce fléau, qu’il soit réel ou fantasmé ».

Un vrai clone de François Gèze!

Mais ce n’est pas tout. Ce syndicaliste fantoche, qui prétend défendre la veuve et l’orphelin, montre son vrai visage digne de la Stasi.

En citant mon livre « Arabesque américaine », édité à Montréal en 2011, il se permet de dire :

Supplément à Expression Solidaires, journal édité par l’Union syndicale Solidaires, octobre 2015, page 48 (Extrait)

Soit Enjalran fait preuve d’une ignorance crasse, soit il est malhonnête. En ce qui me concerne, je pense que les deux qualificatifs s’appliquent admirablement bien à cet individu. Voilà pourquoi :

  • 1-     La NED et le Solidarity Center n’appartiennent pas « à l’oligarque israélo-américain d’origine hongroise, George Soros », mais au gouvernement américain.
  • 2-    La relation entre le SNAPAP et le Solidarity Center a été clairement établie au début de cette section.
  • 3-    Les mots « juif », « hébreu », « sémite » et « antisémite » n’ont jamais été écrit dans mon livre « Arabesque américaine ».
  • 4-   Le mot « Israël » a été écrit 2 fois dans le cadre de ses relations avec l’Égypte.
  • 5-    George Soros y est présenté comme « milliardaire américain » et non comme « israélo-américain ».

Cela prouve juste que, comme la majorité de ceux qui me critiquent, Enjalran n’a jamais lu mon livre. Pour défendre Rachid Malaoui, il aurait dû critiquer le contenu de mon ouvrage et faire un effort intellectuel. Mais non! Il est plus facile de me coller une étiquette « antisémite ». La « Reductio ad Hitlerum » dans sa plus simple expression : c’est plus facile et ça peut rapporter gros.

En fait, on se rend compte que cet article est, à une phrase près, le copié-collé d’un autre publié en 2013 :

« Algérie 2013 : la poursuite des violations des libertés syndicales par le pouvoir » (Extrait du Rapport CISA 2013)

En comparant les deux versions, on remarque en effet un petit ajout dans celle de 2015 : l’allusion à l’antisémitisme. La Stasi dans ses œuvres!

En ce qui concerne l’ingérence étrangère, il ne faut pas aller très loin pour la prouver. Enjalran lui-même étant un étranger, que vient-il faire dans les affaires de l’Algérie? N’a-t-il pas assez d’ouvrage avec les problèmes abyssaux de la classe ouvrière française? Ou rêve-t-il encore du « temps béni des colonies »? D’autre part, s’est-il posé la question pourquoi avoir organiser un colloque sur l’Algérie en France, au sein même de l’Assemblée nationale française? Ça s’appelle comment ce truc, M. Enjalran?

Un syndicaliste qui ne connait pas le rôle néfaste du Solidarity Center et de l’AFL-CIO dans plusieurs régions du monde, en particulier en Amérique du Sud, en Pologne, à Hong Kong et même en France ne mérite pas d’appartenir à un quelconque syndicat.

Une petite suggestion, monsieur le syndicaliste fantoche : pourquoi ne pas vous informer auprès de votre ami Dan Gallin (voir plus bas dans ce texte), lui qui a eu maille à partir avec l’AFL-CIO et qui connait si bien George Soros?

SNAPAP, CGATA et les confédérations syndicales internationales

Selon Karim Maïche,

« le SNAPAP travaille en étroite collaboration avec d’autres syndicats autonomes et organisations de la société civile telles que la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH), le Collectif des familles de disparus en Algérie (CFDA) et SOS Disparus (SOS Disparus) ».

Comme expliqué auparavant, ces organismes « autochtones » algériens sont tous financés par la NED. Cela explique aussi la présence de certaines personnes comme Nacera Dutour ou Salah Debouz à ce colloque

Concernant les organisations syndicales étrangères, Malaoui a déclaré qu’il n’avait aucune difficulté à s’en rapprocher :

« […] Les étrangers ne sont pas dupes. […] Ils savent reconnaître les vrais syndicats de faux. Quand tu es crédible, tu adhères facilement »

En fait, Malaoui fait semblant de ne pas comprendre que certains organismes internationaux ont des agendas précis pour l’Algérie et qu’en politique, la philanthropie n’existe pas. Chaque dollar investi doit rapporter gros et, comme le dit le dicton, c’est celui qui paie l’orchestre qui choisit la musique.

En ce qui concerne leurs relations avec les confédérations internationales, le SNAPAP est affilié à l’UITA (Union Internationale des travailleurs de l’alimentation, de l’agriculture, de l’hôtellerie, de la restauration, du tabac et des branches connexes) et le CGATA avec la CSI (Confédération syndicale internationale) .

Il faut savoir qu’il s’agit de mastodontes : l’UITA revendique 10 millions de membres provenant de 130 pays, alors que la CSI en compte quelques 168 millions répartis dans 155 pays. Il faut aussi préciser que l’UITA ainsi que l’AFL-CIO sont membres de la CSI.

Le « Courrier fédéral » de la Fédération nationale des industries chimiques (FNIC) de la CGT (n°580 du 30 novembre 2018) donne des informations très intéressantes au sujet du CSI.

Le CSI est né en 2006 de la fusion de la CISL (Confédération Internationale des Syndicats Libres) et de la CMT (Confédération Mondiale du Travail). Dès son origine la CISL était par principe anticommuniste et antisoviétique.

« Les grandes sociétés multinationales, les gouvernements des pays occidentaux américains et européens, les services d’intelligence comme la CIA ou le MI5 britannique, contribuèrent matériellement et financièrement au développement de la CISL ».

On y apprend aussi que la CSI/CISL a soutenu l’écrasement et la destruction de la Libye ainsi que l’intervention étrangère en Syrie et qu’elle reste dirigée par les syndicats des pays riches tout en entretenant des relations étroites avec les entreprises et les institutions financières.

« Outre la continuité qu’elle incarne avec la CISL, la CSI défend des positions identiques sur le plan syndical et les piliers de son organisation sont rigoureusement les mêmes ».

Pour abonder dans le même sens que cette revue syndicale, sachez que Cathy Feingold, la directrice du Département international du l’AFL-CIO, (celle qui avait pris la défense de Rachid Malaoui en écrivant deux lettres au Président Bouteflika en 2011) a été nommée Présidente adjointe du CSI (ITUC en anglais), en décembre 2018.

Cathy Feingold, présidente adjointe du CSI

Rachid Malaoui est décidément entre de bonnes mains, que ce soit à l’AFL-CIO ou au CSI.

« Solidaires », Dan Gallin et George Soros

Dan Gallin est un militant trotskyste dont la vie est un vrai roman d’aventure. Fils d’un diplomate roumain en poste à Berlin durant la 2e guerre mondiale, il obtint une bourse en 1949 pour étudier aux États-Unis. Contraint de quitter le pays à cause de ses activités politiques, il s’installa en Suisse où il y termina ses études universitaires. Après de nombreuses expériences politiques, il décida de s’impliquer dans le syndicalisme qu’il décrit comme « la première et peut-être la dernière ligne de résistance ouvrière ».

Gallin a été secrétaire général de l’UITA de 1968 à 1997, soit près de trois décennies, battant tous les records de longévité à ce poste.

Après cette longue carrière, il créa le « Global Labour Institute (GLI) », une fondation qui a pour objectif « de promouvoir la solidarité internationale entre les organisations syndicales et entre celles-ci et d’autres organisations et mouvements de la société civile dans le but de parvenir à une société mondiale démocratique et durable, fondée sur les principes de justice sociale, de liberté et d’État de droit ».

D’après le « Courrier fédéral » cité précédemment, cette fondation « est liée, entre autres, à l’Open Society du milliardaire George Soros ».

Peut-être doit-on conseiller à Stéphane Enjalran, ce syndicaliste qui se fait passer pour un bisounours, de consulter ses « collègues » de la CGT pour lui expliquer ce que veut dire être financé par Soros?

On peut se rendre compte de la proximité entre Gallin et Soros en lisant l’article que le premier a écrit pour défendre le second.  Intitulé « La sale guerre contre George Soros », il a été publié en 2018 sur le site du GLI.

Le texte est une vraie déclaration d’amour pour George Soros, son concept de « société ouverte » (Open Society), sa générosité démesurée et son combat contre « les ennemis de la démocratie ».

Il en profita pour écorcher tous ceux qui osent tenir tête au milliardaire américain, tout en évoquant le sempiternel argument d’antisémitisme. (Tiens, ça nous rappelle Stéphane Enjalran).

Gallin a tenté de faire passer Soros pour mère Thérèsa, tout en excellant dans le Russia-bashing et le China-bashing. Il a justifié le coup d’état de l’Euromaïdan (Ukraine 2013-2014) et a reproché au président Vladimir Poutine d’avoir sauvé « une autocratie meurtrière en Syrie en prolongeant une guerre civile qui jette des millions de réfugiés sur la route de l’exil […] ».

Mais aucun mot sur les néo-nazis qui ont fait la sale besogne en Ukraine, ni sur ces pays occidentaux qui ont financé le djihadisme et la destruction systématique de la Syrie.

On aurait cru entendre un des pires faucons « neocons » américains!

Et dire que ce type prétend avoir défendu, pendant 29 ans, les intérêts de millions d’ouvriers à travers le monde contre des patrons capitalistes de la trempe de Soros! On aura tout vu.

Cette histoire me fait penser à certains de nos trotskystes algériens tels que Hocine (Patrick) Belalloufi ou Ihsane El Kadi. On jurerait qu’ils ont été formés par le trotskyste en chef, Dan Gallin en personne.

Mais, vous allez me dire, que vient faire Dan Gallin dans notre sujet?

D’après certains observateurs avertis de la scène syndicale française, l’union syndicale « Solidaires » collabore fortement avec le GLI de Dan Gallin. On peut s’en rendre compte lors d’évènement organisés conjointement comme, par exemple, cette « Université d’automne francophone » (2017) ou cette « International Labour University » (2019).

Comme on peut le constater, Dan Gallin et Stéphane Enjalran ont participé à ces deux rencontres.

Si le GLI s’occupe de la formation des syndicalistes de « Solidaires », on doit s’attendre à ce que ces derniers partagent les idées développées par Dan Gallin dans sa lettre « d’amour » à Soros. On comprend alors l’acharnement maladif de Stéphane Enjalran et de ses « collègues » contre l’Algérie, tantôt en soutenant Rachid Malaoui, tantôt en recyclant la clique des « quituquistes ».

La photo ci-dessous montre Dan Gallin et Annick Coupé lors de l’Université d’automne francophone de 2017.

Dan Gallin et Annick Coupé, Université d’automne francophone (2017)

Annick Coupé est une militante syndicale qui a été porte-parole de « Solidaires » de 2001 à 2014.

Dans le supplément de la revue « Expression Solidaire » évoquée précédemment, Rachid Malaoui exprime ses remerciements à « Solidaires » et à Annick Coupé:

« Solidaires est à nos côtés depuis longtemps et j’espère bien pouvoir un jour exprimer de vive voix à Annick Coupé nos remerciements pour son soutien inconditionnel ».

Et la boucle vient d’être bouclée.

Avant de clore cette investigation, il est important de mentionner un détail révélateur concernant Dan Gallin. Dans une longue interview, il reconnait sa préférence durant la guerre d’indépendance de l’Algérie :

« En 1954, la guerre d’Algérie éclate et la plupart de mes reportages portent sur cette guerre. Maposition, qui est devenue la position de l’ISL (Ligue socialiste indépendante), était bien sûr pour le mouvementindépendantiste, mais pas pour le camp des vainqueurs. J’ai soutenu le Mouvement nationalalgérien (MNA) dirigé par Messali Hadj. J’avais rencontré Messali, et j’avais été impressionnépar la dignité modeste du fondateur du mouvement indépendantiste algérien, mais mesprincipaux contacts étaient les syndicalistes de l’Union messaliste des travailleurs algériens(USTA), fondée en février 1956, et j’ai reconnu en eux la détermination révolutionnaire,l’internationalisme et l’esprit d’indépendance qui est toujours ce qu’il y a de mieux dans lemouvement ouvrier. Ce sont les qualités qui ont assuré leur destruction ».

Dan Gallin était donc « messaliste » et ne portait pas le FLN dans son cœur si on en croit la virulence des termes utilisés pour le qualifier dans le reste de l’entrevue.

Il est quand même décevant d’être, une vie durant, immanquablement dans tous les mauvais camps!

Organigramme des groupes présents au colloque de M.G. Buffet et de leurs accointances politico-financières

C- Conclusion

Le colloque organisé par Marie-George Buffet, députée et ancienne ministre, au sein même de l’Assemblée nationale française n’est pas un évènement banal, bien au contraire.

1-     Tout d’abord, le lieu choisi marque l’implication d’une institution politique majeure du Parlement français. Et, vu les récentes sorties médiatiques belliqueuses du président Macron et de quelques-uns de ses ministres, il ne serait pas étonnant que cette réunion ait reçu l’aval du gouvernement français.

2-    Le timing choisi (2 jours avant la commémoration des évènements sanglants du 17 octobre 1961) reflète la volonté de passer sous silence un des crimes d’états français les plus abjects contre des manifestants pacifiques algériens.

3-    Les personnes invitées à ce « colloque » ne sont pas les « acteurs et les actrices du mouvement du peuple algérien pour la démocratie » tel que mentionné dans le post de la députée communiste. Ce sont les représentants de groupes spécifiques qui dirigent le Hirak frelaté, à savoir des « makistes séparatistes », des « ONGistes droitdelhommistes » et des « syndicalistes fantoches » ayant des liens solides avec les « islamawistes offshore ». Ces groupes travaillent de concert pour la division et la « printanisation » de l’Algérie.

Qu’aurait pensé Mme Buffet (et le gouvernement français) si un député algérien avait réuni à l’Assemblée populaire nationale algérienne (APN) des représentants du mouvement séparatiste corse ou des membres de l’ « Opération Azur » qui ont fomenté un coup d’État en France?

4-   Certains invités sont des militants ou sympathisants « makistes séparatistes » qui œuvre à la partition de l’Algérie, sur le modèle du projet du « Grand Moyen-Orient ».

5-    La plupart des invités et les organismes auxquels ils appartiennent ont applaudi la destruction de la Libye et de la Syrie et travaillent d’arrache-pied pour la destruction de l’Algérie.

6-   Les syndicalistes invités travaillent de concert avec des confédérations de travailleurs ouvertement et historiquement anticommunistes. Qu’en pense la militante communiste, celle qui a représenté le PCF à l’élection présidentielle?

7-    Ces syndicalistes font la promotion du « quituquisme » et collaborent avec des groupes qui en ont fait un fonds de commerce lucratif.

8-   Ces syndicalistes et les « ONGistes droitdelhommistes » sont financés et/ou ont des liens étroits avec des organismes américains spécialisés dans la déstabilisation et la destruction de pays ciblés. Cela n’a absolument rien à voir avec la démocratie.

9-   Ces « quituquistes » coopèrent activement avec des prédicateurs ou des entités directement et notoirement impliquées dans le djihadisme international.

Le colloque a eu au moins un côté positif. Il a, en effet, permis de révéler la collusion entre des personnes et des organisations qui se sont liguées contre l’Algérie lors des différents moments difficiles de sa jeune histoire. Elles ont œuvré à la destruction de l’idée de l’État-Nation lors de la guerre de libération et l’ont combattu jusqu’au Hirak, en passant par la décennie noire.

Pour éviter d’en faire partie, Marie-George Buffet réussira-t-elle à se débarrasser de son ridicule costume de la « Tartarine » du palais Bourbon pour celui de la députée française? Elle pourra ainsi s’occuper de ce pourquoi elle a été élue, c’est-à-dire des problèmes du peuple français et non de ceux des autres peuples.




Syndromes néo-nazis à SciencePo chez Mélenchon (et « systématiquement » ailleurs)

Par Lucien Samir Oulahbib


En voulant inscrire dans la Constitution la possibilité de « choisir » d’être un homme ou une femme (même pour les nouveau-nés ?) Mélenchon milite, de manière désormais sans ambages, pour la manipulation génitale des corps. Il veut imposer d’autre part le métissage généralisé sous peine d’être exclu socialement (dans un premier temps). Voilà pourquoi son nazisme (national-socialisme) est « néo »: il y aura bien intervention physique sur les corps dès l’enfance (modification hormonale) ; et toute une rééducation mentale sera effectuée à divers niveaux (importation de la révolution culturelle maoïste) à commencer sans doute (mais déjà là) par la commémoration de la défaite des Sarrasins devant Charles Martel (pour la regretter), puisque — comme Hitler — Mélenchon ne cesse de s’en lamenter. L’islam aurait pu être « une chance civilisationnelle pour la France », dit-il sans cesse. Et il n’est en effet pas trop tard pour rattraper le temps perdu comme on peut s’en apercevoir de plus en plus chaque jour dans les rues de nos villes…

Quant au reste de la rééducation, Mélenchon ne sort pas des vieilles antiennes léninistes, exportant sur les boucs émissaires habituels les maux permanents des sociétés (injustice, corruption…). Staline y ajoutait le Juif, suivant ici Hitler. Mélenchon remplace seulement le terme par « sioniste » et défile par exemple sans souci avec ceux qui veulent les rejeter à la mer ou les exterminer.

Il faut prendre toute cette affaire de plus en plus au sérieux : l’anathème « extrême droite », par exemple, que Mélenchon peut rétorquer chaque fois qu’il est tancé sur ces trois sujets (manipulation génitale, métissage imposé, islam salvateur) ne tient pas, car il provient de ces gens qui comme lui confondent volontairement toute critique démocratique avec l’extrême droite et cette dernière avec le nazisme et le fascisme.

L’extrême droite comme son nom l’indique est la frange radicale de ce qui est appelé la droite en ce qu’elle milite pour un régime fort défendant une culture initiale qui se distingue de la « massification » abrutissante et pour ce faire prétend jusqu’à aller faire taire le parlementarisme jugé trop « bavard » selon l’expression bien connue de Donoso Cortès.

Le fascisme prend en compte cet aspect anti-parlementariste, mais il ne s’agit pas pour lui de lutter contre la massification : il s’agit plutôt de s’en servir via les « faisceaux » tout en purifiant le corps social de ses rebuts afin de renouer avec la grandeur romaine d’autrefois qui pouvait d’ailleurs appeler en son sein des dictateurs afin de « conduire » le peuple.

Quant au nazisme, la notion de purification est cruciale afin de purger le terme « nation » de ces éléments qui en pervertissent le sédiment bio-ethnique initial et cela se fait grâce au « socialisme », celui de l’État total qui régit tout jusqu’au plus profond de l’intime, d’où la nécessité également d’un eugénisme et de la destruction des éléments jugés corrupteurs.

Pour le néonazisme, la purification mentale se fait par la manipulation génitale et l’eugénisme idéologique en sélectionnant la race des éléments supérieurs au sens où ils ont la bonne couleur de peau (non blanche), le bon discours (effacement de tout ce qui est occidental et autodafé mental et médiatique), le bon sexe (trans permanent), la bonne hygiène au sens large (jusqu’à réguler ton taux de carbone jugé nocif pour « Gaïa »). Le néo-nazisme est également un néo-paganisme.

À cela s’ajoute la purification hygiéniste et scientiste générale qui vise à voir les corps comme étant de la matière malléable selon les desiderata étatistes du moment tel qu’éradiquer tout « cas » provenant d’une interaction avec un « virus », alors que ce dernier est un élément permanent et que le premier ne doit pas être confondu avec l’état de malade (2% des hospitalisations en France en 2020 pour la C-19, 5% en soins intensifs. Et parmi ces 2 %, 11 % de ces 5 % sur ces 2 % sont décédés faute de soins précoces, soit en prorata : epsilon). Le plus à « gauche » militent pour que les profits des affairistes bénéficient aussi à leurs ouailles (revendications également des fascistes et des nazis qui voulaient mettre leurs gens à la tête des firmes). Mélenchon milite certes contre le « pass » de la discrimination dite « sanitaire », mais ce uniquement parce qu’il ne veut pas laisser ce terrain à « l’extrême droite », pas plus qu’au « Gilet Jaune », ce qui fait qu’il a tué ce dernier en permettant à la violence ultragauche de s’épanouir avec sa bénédiction. Et aujourd’hui, il cherche à parasiter la révolte contre le « pass », mais pour des raisons purement tactiques : ne pas laisser le peuple choisir ses propres dirigeants en bon léniniste qu’il est resté (ainsi les soviets étaient expurgés des éléments pourtant choisis par la base, mais jugés anti-bolcheviques).

Dans ce contexte, il n’est pas étonnant que les Milices dites « Antifa » ne supportent pas dans les Universités et Instituts que leur classification par couleur de peau — allégeance à l’effacement culturel et à l’autodafé mental — soit contestée, d’où les interdictions et purges permanentes comme SciencePo vient de l’établir à l’encontre du directeur de Valeurs Actuelles, le tout dans l’indifférence générale, tant, et ce plus largement encore, ce néonazisme débarrassé de ses vieux oripeaux qui désignaient de façon trop primaire le « Juif » ou le « bourgeois » montre maintenant du doigt le « sioniste », le « blanc hétéro-normé » et le » non-vacciné » comme étant ses nouveaux ennemis à écarter en attendant le moment où il sera possible de les parquer (« confiner »). Ce régime maoïste songe même à les mettre à mort.

Il existe donc une différence de degré et non de nature entre les différentes couleurs (« arc-en-ciel ») de ce néonazisme qui trie par couleur de peau, sexualité, risque de contamination idéologique et physique. Le port volontaire de la muselière pour certains est le signe par excellence de ce souhait de soumission qui n’est pas pour déplaire aux partisans d’une emprise plus « religieuse » sur les corps (au sens littéral : religare : relier, lier, les corps et donc âme et conscience également) à l’emprise cybernétique, les numérisant jusqu’à leur faire oublier tout angle droit, base fondamentale qui permet pourtant (chez Pythagore déjà) de distinguer des lignes formant socle et par là édifier une vision. Aujourd’hui, le néonazisme milite pour son Grand Remplacement par une succession d’images sans scénario : montagnes de corps sans organes, mais (dé)branchés. Triomphe de l’art contemporain qui avait déjà dessiné toutes ces prémisses, celles de ce « sans » scénario se qui se traduit en « trans »(e) perpétuel(le) sous électrochoc permanent.

Le 17/11/2021




Vaccination et taux d’incidence, l’escroquerie se poursuit. La vaccination n’est PAS de nature à diminuer l’épidémie en France

Par Alain Tortosa,

No Département Couverture Incidence
77 Seine-et-Marne 64,9 81,06
91 Essonne 65,8 75,41
60 Oise 67,2 71,87
85 Vendée 84,7 140,37
65 Hautes-Pyrénées 85,2 130,05
75 Paris 92,1 134,53
(*)Ces données ont été extraites sur geodes.santepubliquefrance.fr le 17 novembre 2021.

  • Couverture vaccinale des personnes complètement vaccinées selon le sexe (%) hommes et femmes 2021-11-15
  • Taux d’incidence — Semaine glissante — tous âges
  • Le tableau ci-dessus se suffit à lui-même…

    Les médias et médecins malhonnêtes ou corrompus ne se privent pas de citer les départements avec un taux de vaccination faible ET avec un taux d’incidence élevé pour manipuler le peuple et vendre de la vaccination « indispensable ».

    Ils ne se privent pas de dire que les pays européens qui subissent une nouvelle vague ont les taux de vaccination les plus faibles.

    Les informations qu’ils citent sont exactes, mais ils « oublient » de parler de tous les départements dans lesquels c’est exactement l’inverse.

    Bien entendu, ils passent sous silence les Pays-Bas ou nous expliquent, comme de bien entendu, que la situation n’est pas comparable avec la France comme elle n’a jamais été comparable avec la Suède.

    Raison pour laquelle je ne parlerai ici que de la France.

    De plus je n’ai pas retenu les départements d’outre-mer, car on pourrait me rétorquer « densité de population » ou « circulation du virus », « isolement ». ou « taille des cocotiers »…

    Nous voyons sur ce tableau que des départements les moins vaccinés, avec moins de 70 % de couverture vaccinale, ont des taux d’incidence parmi les plus faibles au tour de 70-80. Départements qui pour autant ont une forte densité de population.

    Tandis que des départements avec une couverture vaccinale de plus de 80 % ou même 90 % de la population (chiffre délirant s’il en est) ont des taux d’incidence de 130-140 soit presque deux fois plus.

    Nous pourrions débattre du peu de manque de fiabilité du taux d’incidence ou même de la manipulation des chiffres par le gouvernement, mais ce n’est pas le propos de mon petit papier.

    Le fait est que c’est le taux d’incidence qui est utilisé par la dictature pour nous priver toujours plus de libertés et nous obliger à nous injecter de l’ARNm expérimental.

    En résumé, sur les données gouvernementales, il n’y a strictement aucune corrélation en France métropolitaine entre le taux d’incidence (marqueur décisionnel) et le taux de vaccination.

    Donc selon les données gouvernementales la vaccination N’EST PAS de nature à diminuer l’épidémie, affirmer le contraire est un mensonge.

    Merci

    Alain Tortosa.

    17 novembre 2021

    https://7milliards.fr/tortosa20211117-vaccination-incidence-mensonge.pdf




    Pascal Jouary : « Le secret-défense autour de la gestion du Covid ne sera levé que dans 50 ans ! »

    [Source : Sud Radio]

    Avec Pascal Jouary, journaliste, auteur de « Secret-défense : le livre noir », une enquête sur 40 affaires entravées par la raison d’État, aux éditions Max Milo.




    Un contrat Pfizer-CEE a peut-être fuité, les européens apprécieront

    [Source : AIMSIB]

    Par Encéphalix

    Ne soyons pas naïfs, tout circule sur le Net, vrais pépites comme faux grossiers susceptibles de fausser toutes les analyses. Nous savons que certains « services » hostiles à nos politiciens européens ne se privent pas d’utiliser la crise de la Covid pour « aider » à la manifestation de la vérité et augmenter l’embarras de nos lamentables dirigeants politiques actuels. Voici la probable version non caviardée du contrat commercial de Novembre 2020 liant l’Union Européenne à Pfizer-BioNTech pour la délivrance des vaccins contre la Covid-19 (1). Si nous nous trompons, l’AIMSIB s’excusera platement auprès de tous les belligérants cités dans cet article, mais il faudra naturellement pour nous convaincre produire le contrat original que même les membres de la commission du contrôle budgétaire européen n’ont jamais pu consulter (2). On s’est demandé longtemps qui avait pu signer pour l’Europe un engagement aussi mirobolant pour les firmes et aussi incroyablement défavorable aux Européens, vous comprendrez beaucoup mieux en fin d’article. Encéphalix s’est penché longuement sur la centaine de pages de ce contrat, ce qu’il y a trouvé ne va pas vous laisser de marbre, en voici les éléments les plus saillants. La grande manipulation à marche forcée… Bonne lecture.

    [Voir aussi :
    PfizerLeak : les contrats Pfizer et leurs clauses surprenantes
    et
    Conflits d’intérêt et corruption à l’Agence Européenne du Médicament (EMA)]

    Introduction

    Ce « contrat d’achat anticipé » aurait été signé le 20 novembre 2020 pour une durée de 24 mois.

    Capt. écran p.1

    Dispositions générales

    Dès la 2e page de ce document, il aurait été convenu que les seuls changements qui pourront y être apportés seront d’ordre pratique et n’altèrera pas matériellement le risque, le coût ou la responsabilité des parties:

    Capt. écran

    Trad: « Il est entendu que tout changement fait sera d’ordre pratique et n’altèrera pas matériellement le risque, le coût ou la responsabilité des parties. Dans le cas où des modifications substantielles sont demandées, les parties discuteront de leur impact de bonne foi »

    La commission européenne aurait pré-commandé à la date de la signature 200 millions de doses et pris une option pour 100 millions de doses supplémentaires.

    Capt. écran
    Cap. écran

    Trad: « Sur la base de ce contrat d’achat anticipé, la Commission Européenne mandate le contractant (=Pfizer-BioNTech) pour qu’il s’engage à produire et livrer en priorité 200 millions de doses du vaccin qui sera commandé par les Etats membres participants (via des formulaires spécifiques de commande de vaccins) au prix et conditions, incluant le calendrier de livraison, conclu dans cet accord d’achat anticipé »…/…Les parties reconnaissent que la Commission souhaitera peut-être passer une commande supplémentaire pour un maximum de 100 millions de doses du vaccin. »

    Premiers paiements effectués par l’Union Européenne

    Afin de garantir, l’accès aux vaccins, la Commission aurait versé un acompte de 700 millions d’euros correspondant à 3.50€H.T. par dose :

    Capt. écran

    Trad: « Afin de garantir aux Etats membres participant le droit d’acquérir des doses de vaccins dans un laps de temps donné et à un certain prix et conditions, la Commission payera un acompte. »

    Capt. écran

    Trad: « La Commission accepte de payer un paiement initial de 700 millions d’euros (correspondant à 3.50€ par dose multiplié par 200 millions) au contractant (=Pfizer-BioNTech). Ce paiement d’avance sera un acompte pour garantir le volume commandé à l’article 1.5.2, et devra etre considéré comme un acompte sur le prix [des vaccins] tel que défini ci-dessous. »

    Les doses, à quels prix

    Le prix qui aurait été négocié dépend du nombre de dose.

    Pour les 200 millions pré-commandées, la moyenne serait à 15.50€ H.T.par dose avec une répartition :
    – 17.50 € H.T. pour les doses comprises entre 0 et 100 millions
    – 13.50 € H.T. pour les doses comprises entre 100 et 200 millions.

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    Toutefois, les doses supplémentaires ne seraient pas payées au prix attendu de 13.50€ H.T mais :
    – 15.50 € H.T. pour chaque dose supplémentaire si la commande est passée dans les 3 mois après l’accord initial de mise sur le marché
    – 17.50€ H.T. pour chaque dose supplémentaire si commande >3mois après accord initial de mise sur le marché mais avant la fin de ce contrat d’achat anticipé.

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     Cet accord ne semble pas favorable à la commission et aux Etats membres puisqu’ils payent au prix fort les doses supplémentaires au-delà de l’accord initial de 200 millions de doses.

    Livraison et répartition des vaccins

    La livraison des doses de vaccins a été négocié avant qu’ils ne soient mis sur le marché avec un nombre croissant de doses :
    – 25 millions dernier trimestre 2020
    – 40 millions 1er trimestre 2021
    – 60 millions 2e trimestre 2021
    – 75 millions 3e trimestre 2021

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    Retrait possible des engagements de commandes

    On apprend ainsi que si l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle (AMMc) intervenait après le 15/08/2020, chaque partie signataire pouvait se retirer de l’accord. 
    Si l’AMMc était pas accordée au 15/08/2021 mais que Pfizer-BioNTech était dans l’incapacité de délivrer la moindre dose de vaccin au 15/11/2021, les deux signataires pouvaient se retirer de l’accord.

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    Traduction : « Si l’autorisation n’est pas accordée au 15 août 2021, la Commission et le contractant (=Pfizer-BioNTech) auront le droit de mettre fin à ce contrat d’achat anticipé. »

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    Traduction : « Si l’autorisation est accordée au 15 août 2021, mais qu’au 15 novembre 2021 le contractant est dans l’incapacité de fournir la moindre dose commandée pour des raisons techniques ou autres, la Commission et le contractant auront le droit de mettre fin à ce contrat d’achat anticipé. »

    La date limite de délivrance de la totalité des doses

    Celle ci semble arrêtée au 31/05/2022, on ignore donc si un second contrat a été signé pour la période ultérieure.

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    Trad: « Dans le cas où le contractant est dans l’incapacité de fournir la totalité des doses commandées au 31 mai 2022, la Commission et le contractant auront le droit de se mettre fin à ce contrat d’achat anticipé. »

    Les états européens sans aucune marge de manœuvre

    Comme cité plus haut, la commission européenne aurait négocié directement les conditions d’achat et de répartition des doses vaccinales. Les Etats auraient ensuite l’obligation d’acheter la quantité allouée par la commission et ne pourraient pas négocier directement avec le fabricant :

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    Trad: « La Commission sera seule responsable du processus d’approvisionnement et de la conclusion de ce contrat d’achat anticipé incluant les responsabilités découlant de la conduite des négociations. »

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    Traduction : « Il revient au Etats membres participants, et non à la Commission, d’acquérir les doses de vaccin auprès du fabricant sur la base de ce contrat d’achat anticipé sauf accord contraire. Toutes les politiques de vaccination resteront donc l’affaire des Etats membres participants. »

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    Trad: « Les Etats membres participants commanderont pour 200 millions de doses de vaccin au total en accord avec la répartition communiquée par la Commission au contractant (=Pfizer-BioNTech) conformément à l’article 1.6.3, en envoyant au contractant un exemplaire rempli de l’annexe 1 au format papier ou par email au format PDF dans les 10 jours ouvrables après que la Commission a communiqué la répartition. Ce bon de commande de vaccin devra être signé par un représentant autorisé de l’Etat membre participant et le contractant. »

    D’après ce document, les Etats ne peuvent pas annuler leurs commandes si les délais de livraison ne sont pas respectés :

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    Trad: « Tout échec pour fournir des doses selon les dates de livraison estimées comme indiquées ci-dessus ne donnera pas le droit aux Etats membres participants d’annuler leur commande quelque soit la quantité du produit sauf disposition décrite dans l’article 1.6.3. »

    De plus, les commandes ne pourraient être annulées uniquement que dans l’éventualité où la Commission n’a pas exercé son droit à suspendre cet accord commercial.

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    Trad: « Pour éliminer tout doute, les Etats membres participants n’auront pas le droit de résilier un bon de commande de vaccin dans les scénarios (iii), (v) ou (vi) ci-dessus si la Commission n’a pas exercé sont droit à mettre fin à cet accord d’achat anticipé. »

    Don et revente des vaccins sur avis favorable de Pfizer

    La revente ou le don de doses de vaccin serait possible dans des conditions strictes. Les Etats membres pourraient revendre ou donner des doses à des pays tiers uniquement si Pfizer-BioNTech accepte. Par ailleurs, il serait possible de revendre ou d’allouer des doses à des Etats membres qui ont signé cet accord ou qui font parti de l’espace économique européen à condition qu’ils aient signé un accord équivalent à un bon de livraison directe de Pfizer-BioNTech.

    Capt. écran

    Trad: « La Commission communiquera au contractant (=Pfizer-BioNTech) la répartition des doses commandées conformément à la commande initiale ainsi que chaque dose supplémentaire parmi les Etats membres participants. Chaque Etat membre participant aura le droit de les revendre ou les donner aux pays tiers dans le besoin ou des institutions publiques, contribuant ainsi à un accès aux vaccins global et juste à travers le monde. Le droit de revendre ou donner les doses en excès nommées dans la phrase précédente sera sujet à l’accord du contractant… »

    Capt. écran

    Trad: « Nonobstant ce qui précède, les doses en excès peuvent être revendues ou réattribuées par les Etats membres participants à d’autres pays membres de l’Union Européenne ou revendues à des Etats de l’espace économique européen, le cas échéant, chaque Etat membre de l’UE devra avoir rempli un bon de commande de vaccin et acceptera par écrit d’être lié par les mêmes conditions pour ces doses réaffectées et chaque Etat membre de l’espace économique européen aura conclu un accord équivalent à un bon de commande de vaccin en cas de livraison directe par le contractant (=Pfizer-BioNTech), et devra accepter par écrit d’être lié par la clause d’indemnité/dédommagement de l’article…. »

    Immunité totale de Pfizer-BioNTech en cas de dommages

    En cas d’effet indésirable, Pfizer-BioNTech serait dégagé de toute responsabilité : « La commission déclare […] que:

    L’utilisation de ces vaccins produits grâce à cet accord se fera dans les conditions d’une épidémie qui requière une telle utilisation, et donc que l’administration de ces vaccins se fera sous la seule responsabilité des Etats. Chaque Etat indemnisera et dégagera le contractant (=Pfizer-BioNTech), ses affiliés, sous traitants, distributeurs, employés […], de toute responsabilité encourue dans le cadre de la défense des réclamations de tiers (y compris les honoraires raisonnables d’avocats et autres dépenses) concernant les préjudices, dommages et pertes tels que définis à l’article 1.12.2 découlant de ou se rapportant à l’utilisation et au déploiement du vaccin ».

    Capt. écran

    Ce qui est appelé « pertes » dans cet accord concerne les décès, les blessures physiques, mentale ou émotionnelle, la maladie, le handicap, la perte ou dommage à la propriété, les pertes économiques ou l’interruption de son travail/business :

    Capt. écran

    Ainsi, les Etats endosseraient l’entière responsabilité de l’utilisation de ces vaccins et des indemnisations qui pourront en découler

    Capt. écran

    Trad: « Les Etats membres participants acquérant un vaccin seront responsables de leur déploiement et de leur utilisation selon leurs stratégies nationales de vaccination, et assumeront toute responsabilité associée avec un tel usage et déploiement. Ceci doit s’étendre à et inclure toute indemnisation du fabricant de vaccin selon les termes et conditions du contrat d’achat anticipé concerné pour la responsabilité relative à l’utilisation et déploiement de vaccins normalement supporté par un tel fabricant. »

    Capt. écran

    Traduction : « Considérant la nature sans précédent de la situation COVID-19 actuelle et les circonstances exceptionnelles dans lesquelles les vaccins doivent être livrés, les parties s’accordent explicitement à ce que le contractant (=Pfizer-BioNtech) et ses affiliés ne soient tenus pour responsable d’aucun préjudice à l’exception de préjudices supportés par la Commission et les Etats membres participants prouvés comme une conséquence directe d’une violation par le contractant ou ses affiliés de ses obligations dans le cadre de ce contrat d’achat anticipé ou d’un bon de commande de vaccins, et que le contractant et ses affiliés ne pourront être dans aucun cas responsables des retards de livraison, pertes de revenu, pertes économiques prévues, pertes d’entreprises, pertes de profit, pertes de bonne volonté, atteintes à la réputation, pertes liées à la crise économique ou coût d’approvisionnement alternatif. »

    De plus, le montant [des indemnités] payées par un Etat membre participant en vertu de l’article 1.12 ne serait pas recouvrable auprès du contractant [=Pfizer-BioNTech] sauf si un tribunal juge que le laboratoire a commis une violation de ce contrat d’achat anticipé

    Capt. écran

    Trad: « Les montants payés par un Etat membre participant selon l’article 1.12 ne sont pas recouvrables auprès du contractant (que la réclamation d’une partie tierce résulte ou non d’une rupture de contrat par le contractant) si la plainte concerne une rupture des dispositions de ce contrat d’achat anticipé ou d’un bon de commande de vaccin par le contractant sauf s’il existe un jugement définitif par un tribunal compétent qu’aucune indemnisation n’est due au contractant conformément à cet article 1.12 auquel cas toute indemnisation correspondante déjà payée par un Etat membre participant pourra être totalement remboursée par le contractant. »

    Cette immunité serait levée si ces « pertes » sont la conséquence d’une violation substantielle des bonnes pratiques de fabrication conduisant à un produit défectueux obligeant les autorités à faire un rappel de produits défectueux, suspendre la distribution des vaccins ou retirer l’AMMc.

    Capt. écran

    Traduction : « Une telle indemnisation ne sera pas disponible pour [Pfizer-BioNTech + affiliés] dans la mesure où (i) les pertes ont été causées par une faute intentionnelle, comme définie à l’article 1.12.3, de [Pfizer-BioNTech] ; ou (ii) les pertes ont été causées par une violation substantielle des bonnes pratiques de fabrication (telles qu’appliquées au moment de la fabrication) avant certification du lot de vaccin selon les exigences énoncées au Titre IV de la directive 2001/83/EC, conduisant à un défaut de qualité dans le vaccin au moment de chaque livraison et aboutissant à une décision par les autorités compétentes de rappeler ou suspendre la distribution du vaccin, ou à un retrait ou une suspension de l’autorisation par la Commission européene. »

    Retrait européen des vaccins

    Si un retrait des vaccins devait avoir lieu, les Etats doivent saisir le comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’agence européenne du médicament (EMA) pour avoir un avis scientifique afin de savoir si le retrait du marché du vaccin par les autorités était justifié. Le contractant (Pfizer-BioNTech) doit être inclus dans le processus.

    Capt. écran

    Traduction : « Les Etats membres participants devront, nonobstant les compétences et responsabilités des autorités de régulation compétente, impliquer le CHMP de l’agence européenne du médicament dans tous les cas de rappel ou de suspension de la chaine d’approvisionnement des vaccins à cause d’une suspicion de manquement aux bonnes pratiques de fabrication, et chercheront sans délai un avis scientifique du CHMP pour déterminer si un rappel ou une suspension de la chaine d’approvisionnement était justifié, et devront soumettre toutes les informations nécessaires au CHMP. Le contractant devra être impliqué dans le processus conformément aux procédures applicables. »

    Cette disposition peut sembler légitime mais condamne absolument toute résolution du conflit en faveur des populations: Pfizer y représenterait ses intérêts industriels et en face,  on confierait à l’EMA , bastion profondément pénétré par l’influence déraisonnée des pharmaceutiques, la tâche de représenter les intérêts européens sans aucune représentation de la CEE. Risible mais ce n’est pas tout, si Pfizer est poursuivi la CEE doit pourvoir intégralement au paiement de ses frais d’avocats. Les états peuvent mandater un expert indépendant que Pfizer a le droit de récuser, obligeant à la désignation d’autant d’expert jusqu’à ce que Pfizer l’accepte. Et l’Europe a signé sans barguigner une disposition aussi scélérate…

    Qui a signé seule ce contrat pour l’Europe ?

    C’est Stella Kyriakides qui aurait signé au nom de la Commission Européenne et pour les Etats membres qui s’y sont associés.

    Capt écran

    On se souvient des soupçons très lourds et immédiatement étouffés de corruption qui a touché cette commissaire européenne à la santé (3), seuls les médias « étrangers » ont publié l’affaire, toute la presse européenne ayant choisi d’en taire le scandale.

    On comprend mieux désormais pour quel « service » Monsieur et Madame Stella Kyriakides aurait reçu 4M€  de prêt sur un compte familial sans même tenter de dissimuler cette somme dans un quelconque paradis fiscal

      Conclusion

    Pfizer et BioNTech auraient donc obtenu un contrat commercial faramineusement avantageux pour eux. Le prétexte de la pandémie COVID 19 leur auraient permis d’être dégagé de toute responsabilité et de ne pas indemniser les victimes d’effets indésirables lors de cette phase 3 d’essai clinique en population générale. Les Etats supporteront le coût des indemnisations à moins de réussir à prouver que le laboratoire a commis une faute intentionnelle ou que les produits étaient défectueux. Sur ce dernier point cela sera proche de l’impossible tant les éléments de défense que pourraient évoquer le laboratoire pharmaceutique seront nombreux : rupture de la chaine du froid, erreur lors de la dilution, utilisation de 3 doses alors que le protocole n’en prévoit que 2, mélange entre les vaccins anti covid sur le marché, délai entre les deux doses non respecté…

    Qui se saisira à l’avenir du problème crucial des lots vaccinaux supertoxiques écoulés sur le marché mondial (4)(5) sans que Pfizer ni l’EMA ne s’en préoccupe? 

    Encephalix
    Novembre 2021

    Notes et sources

    (1) https://www.aimsib.org/PDFs/Contrat-PFIZER-1618676600910_APA-BioNTech-Pfizer.pdf
    (2) https://www.aimsib.org/2021/01/24/hesitants-a-la-vaccination-anti-covid-voila-qui-va-vous-decider/
    (3) https://www.aimsib.org/2021/05/16/corruption-et-gestion-de-la-covid-19-on-y-est/
    (4) https://www.covid-factuel.fr/2021/11/02/vaccins-anti-covid-les-evenements-graves-ne-concernent-ils-que-quelques-lots/
    (5) https://theexpose.uk/2021/10/31/100-percent-of-covid-19-vaccine-deaths-caused-by-just-5-percent-of-the-batches-produced/




    Le peuple palestinien face aux équivoques du « monde libre » et à la félonie du « monde arabo-monarchique »

    Par DJERRAD Amar

    À la veille de la conférence de la « Ligue arabe » qui est programmée en Algérie, un article initialement publié en 2012(([1] sur les sites suivants :
    https://libnanews.com/hy/le-peuple-palestinien-face-aux-equivoques-du-monde-libre-et-a-la-felonie-du-monde-arabo-monarchique-par-djerrad-amar/
    http://www.lequotidien-oran.com/?archive_date=2012-12-10&news=5176416
    https://www.legrandsoir.info/le-peuple-palestinien-face-aux-equivoques-du-monde-libre-et-a-la-felonie-du-monde-arabo-monarchique.html)), mais qui n’a pas perdu de son actualité.


    Par cette agression sanglante et incessante, sur Gaza, contre les Palestiniens, un peuple spolié de sa terre par un « Israël » factice encrassé par une idéologie colonialiste et fasciste que soutient par allégeance et ressemblance un Occident à histoire jalonnée de contradictions, surtout de déshumanisation, on doit retenir la résurgence sinon la persistance des idéologies extrémises et nihilistes entraînant de récurrentes ruptures d’équilibre qui se manifestent par des souffrances et des incertitudes.

    Ce qui se déroule dans le monde arabe, avec cette tempête controuvée baptisée « Printemps arabe », ne saurait être dissocié des crises économiques cycliques du Grand capital et de ses conséquences sociales, politiques et institutionnelles. La solution de ce Capital, pour surmonter ses crises, a toujours été, au travers de son évolution historique, de conquérir encore plus d’espaces économiques par la force des armes, sinon par des artifices de plus en plus subtils. Ainsi, il est passé de l’esclavagisme au colonialisme, puis au néo-colonialisme pour aboutir au chemin inverse dans une tentative de recolonisation et Dieu seul connaît la suite. Comme le monde a changé grâce à la Science et la Technologie, leurs stratégies, leurs tactiques, leurs moyens et leurs procédés ont également changé, mais pour les mêmes buts et les mêmes objectifs issus d’idéaux, qui eux n’ont pas changés, même dissimulés dans de grossiers sophismes.

    Dans ce jeu de partage et de domination du monde, on a imposé un « État » factice, un corps étranger, là où les richesses pétrolières sont abondantes, presque simultanément avec la création d’« États arabes » liges sous forme d’oligarchies héréditaires où la puissance de l’argent est prépondérante ; de grandes ploutocraties rigides et féroces : un « État d’Israël » sans foi ni loi jouant le rôle de gendarme du Moyen-Orient et des Émirats/roitelets — liges dévoués à leurs protecteurs qui leur assurent la pérennité de leurs dynasties.

    Depuis les accords secrets de Sykes-Picot de 1916 et la Déclaration Balfour de 1917 — qui aboutit à la partition de la Palestine en « deux États juif et arabe » en 1947 — le monde, en particulier le Moyen-Orient, n’a cessé de connaître l’instabilité. L’ensemble des peuples arabes et musulmans refusent à ce jour cette injustice, d’inspiration opportuniste sioniste, décidée dans le sillage du démantèlement de l’Empire ottoman suite à sa capitulation.

    La question palestinienne reste, depuis, la pomme de discorde entre un monde occidental, pro-Israélien et pro-sioniste, à histoire sulfureuse jalonnée d’immoralité, qui ne s’est pas guéri de ses velléités colonialistes et un monde anticolonialiste et anti-impérialiste, dont les Arabes, qui refusent cette hégémonie inhumaine contraire à la morale et à la raison. « Les splendeurs et les horreurs de demain résident dans les décisions ou éclairées ou malavisées d’aujourd’hui. » (Yves Breton)

    l’Organisation de la Conférence islamique (OCI), créée en 1969, devenue « de la coopération » en juin 2011 (certainement pour accabler la Syrie qu’elle suspend d’ailleurs 1 mois et demi après) avec 57 États membres regroupant plus de 2,5 milliards des musulmans à travers le monde (dont un des buts est de « soutenir la lutte du peuple palestinien et l’aider à retrouver ses droits et à obtenir, par la diplomatie, les territoires revendiqués comme leurs ») avec aussi sa soixantaine Conférences islamiques au Sommet et sa quarantaine de Conseil des Ministres des ministres des AE [Affaires Étrangères], ainsi que la Ligue dite des « États arabes », créée en 1945 regroupant 22 États arabes (dont l’objectif est d’« d’unifier la “nation arabe”, de défendre les intérêts des États membres, de faire face à toute ingérence des puissances dans la région ») avec sa trentaine de sommets, dont 12 en « urgence » concernant la Palestine, n’ont toujours pas réglé le problème de colonisation de la Palestine. 60 années de tergiversations pour aboutir à l’effet inverse avec plus de colonies, plus de morts, plus d’instabilité, plus de divisions, plus de domination. L’Occident « des lumières » qui a imposé la « liberté » et « l’égalité » ne veut pas voir chez les autres peuples les mêmes injustices qu’il a subies. Il y trouve, par contre, un prétexte pour plus d’iniquité et de supériorité. Nietzsche y voyait déjà, dans « Le Déclin de l’Occident » une décadence par une crise d’une civilisation malade. « On veut la liberté aussi longtemps qu’on n’a pas la puissance ; mais si on a la puissance, on veut la suprématie », affirme-t-il.

    Les Arabes qui voulaient l’Union pour imposer « une force de proposition et d’impulsion » se sont avérés, avec le temps, profondément divisés, incapables d’une quelconque initiative, même de paix. Plus grave, ils se servent désormais de leurs propres « Organisations » pour nuire à leurs membres au profit de ceux qu’ils prétendent combattre ! La limite de la perversion. Deux visions politiques antinomiques s’affrontent. L’une « pro-occidentale » que mène l’axe monarchique, l’autre plus « indépendantiste » que mène l’axe républicain. D’où leur putréfaction et leur neutralisation.

    Dès lors, la question palestinienne ne saurait, désormais, être réglée par les Arabes. Il devient impossible, voire dangereux pour eux, qu’ils prennent en charge le problème de colonisation de la Palestine ; du moins dans leur configuration politique actuelle basée sur la félonie. Seuls les Palestiniens, unis, sont à même de trouver la solution à leurs tourments selon leurs intérêts exclusifs. Se voir dicter les choses par certains États arabes, spéculateurs, opportunistes et corrompus, pour de l’argent, est une tactique perdante qui mène à la faillite. La preuve, 60 ans déjà sans arriver à un semblant de paix ! Même le projet d’une reconnaissance pourtant « partielle » s’était vu « torpiller » par des actions d’apparences pour la « cause », mais qui en fait va dans le sens d’une dilution de la Palestine et de son peuple, du moins d’envoyer la « question » aux calendes grecques en attendant, peut-être, le fait accompli, c’est-à — dire quand tout sera fini.

    Plusieurs régimes arabes vivent et se maintiennent grâce à ce statu quo sur la Palestine. Ils useront de tous les artifices, dont financiers et politico-socio-religieux, pour que leur problème ne se règle pas. Bien plus, ils s’emploient à neutraliser tous les États arabes et autres de l’axe de la résistance au sionisme en leur fomentant des « révolutions » dites « printemps arabe » sur des principes aux antipodes des fondements de leur régime ! Les pétromonarchies du Golfe, en particulier l’Arabie Saoudite et le Qatar sont la cause des désespoirs du monde arabe, de leur impuissance pour leur félonie, leur corruption et leur illégitimité.

    La puissance d’un pays se constate plus par la faiblesse de l’adversaire. C’est le cas d’Israël, une entité de 7 millions d’habitants (avec un PIB de 245 milliards de dollars), face à un monde arabe composé de 24 pays regroupant 400 millions de personnes (avec un PIB de 2,4 billions de dollars) ! Un « monde arabe » — factice, car plein de contradictions, d’adversités et de disparités — inconciliable. Un simple exemple économique : le PIB de l’Arabie Saoudite est de 560 milliards de dollars (2011), Mauritanie 4 milliards. Le Qatari jongle avec un PIB par tête de 76 000 dollars pendant que le Palestinien se débat avec 1000 dollars et sans perspective.

    Il est étrange d’observer que, subitement, un « printemps arabe » se déclenche presque simultanément, en l’espace de moins de 2 ans dans plusieurs pays arabes. Les « vraies » révoltes, pour dégager les régimes vassaux à l’occident, vite confisquées ou contenues, ont été accompagnées des révoltes « fabriqués » dans les États à régimes hostiles à Israël et à l’hégémonie occidentale créant ainsi, avec l’accaparement des médias lourds du monde, la plus grande diversion, confusion et manipulation ! Les pétromonarchies du Golfe ont été les pourvoyeuses de fonds, de chair à canon et les guides dans l’endoctrinement, par la religion, pour imposer l’idéologie rétrograde wahabo-salafiste. La Palestine n’est, pour eux, rien d’autre qu’un faire-valoir, un paravent qui assure la pérennité de leur dynastie.

    La dernière agression contre Gaza en est un des exemples, sinon l’exemple le plus significatif qui montre, le vrai visage, la putréfaction de ce « monde arabe ». Les occidentaux soutiendront encore et toujours Israël tant qu’il est utile aux dictatures arabes qui s’en servent pour détourner l’attention de leur peuple dans le sens qu’ils le souhaitent, tant que le tourment des palestiniens leur reste imputable à cause de leur division et ce, quelle que soit la justesse de leur cause et quelle que soit aussi la barbarie des israéliens. Les 3 morts israéliens comptent plus que la centaine de morts et le millier de blessés palestiniens. Pendant que l’on assassine des enfants, que l’on tue des femmes, la presse française titre « Israël tire sur des bureaux du Hamas ». Quelle déchéance ! À chaque fois qu’il y a poussé de violence par Israël cela se termine par 1, 2, 3 morts israéliens contre des centaines de morts palestiniens et c’est toujours ces derniers qui sont fautifs avec cet occident dépravé ! De quel côté et la terreur et le terroriste ? Ils n’oseront pas dire la vérité de crainte des lobbies sionistes.

    Sitôt que les israéliens se trouvent en difficultés ou embourbés par leurs provocations, ils demandent vite à leurs protégés occidentaux, en particulier les États-Unis, le Royaume uni, la France, l’Allemagne, de les sortir. Mais les choses ont évolué en pire puisque ce sont maintenant les Arabes — par lâcheté, déshonneur, indignité et absence de solidarité — qui sont chargés maintenant de mettre fin aux risques d’enlisement des sionistes d’Israël. Surtout après qu’ils ont eu la surprise d’une riposte par missiles sur leurs colonies, jusqu’à Tel-Aviv, créant la panique générale ! Une équation nouvelle s’impose donc.

    Des informations, rapportées par Al Manar font état que c’est Israël qui aurait demandé au félon Qatari de charger le frère musulman Morsi de faire pression sur son équivalent le Hamas pour une trêve. Mais lors de la visite du ministre Qandil les différents groupes de la résistance palestinienne auraient refusé. Ceci montre que le Hamas n’est pas le seul sur la scène. En assassinant un leader militaire d’importance (Al Djaabari) qui fera escalader les choses vers un conflit armé — dont ils ont programmé qu’il aboutirait à l’anéantissement, à jamais, de la cause palestinienne — les stratèges sionistes en ont eu pour leurs frais ! C’est les habitants israéliens aussi, dont Netanyahou lui-même, qui passent la nuit dans les abris ; c’est les bâtiments officiels qui sont touchés par les missiles, c’est un F16 qui se fait abattre et les pilotes disparus, par une résistance pourtant sous embargo, même alimentaire, depuis une décennie.

    Ce seraient donc nos bienfaisants pourvoyeurs de fonds et de logistiques, pour les rebelles qui détruisent la Syrie, qui se seraient précipités au Caire pour faire pression sur Hamas afin d’arrêter les tirs de missiles, et ce, selon certains analystes, pour éviter des déclarations qui offusqueraient leur maître d’une part et pour donner à leur ami israélien une carte favorable à sa campagne électorale d’autre part notamment l’acceptation par le Hamas d’une trêve « sans conditions » qui « craindrait une opération terrestre après l’anéantissement de ses bases de lancement de missiles ».

    Si une dizaine de simples missiles « fadjr 5 » ont créé l’affolement en Israël, que dire si des centaines de ces redoutables missiles iraniens, de haute technologie, s’abattent sur les Israéliens ?

    Incontestablement, le « Dôme de fer » n’est plus désormais qu’une imposture, qu’un « couscoussier » et l’entité sioniste sera dorénavant à la portée de tous les missiles de la résistance ; un colosse aux pieds d’argile. Et dire que ces bandits sionistes veulent attaquer ce pays qui peut en faire une bouchée y compris les roitelets du golfe !

    Même si la réaction limitée de la résistance palestinienne ne peut ébranler un régime fasciste surarmé que soutient tout l’occident, il demeure que les sionistes ont été surpris par la réaction farouche qui a mis à néant la fable de leur invincibilité. D’où cette diversion par la « fausse victoire du Hamas ». Passons !

    En fait, ce qui a été obtenu de l’accord du Caire est d’abord un droit basique inaliénable qui ne devrait pas constituer un élément de négociation. Où est donc cette victoire quand vous obtenez le droit de manger, de boire, etc. après vous en avoir privé par un embargo illégal et inhumain ? C’est une des tactiques ignobles des sionistes qui n’ont d’humain que l’apparence. Ils trompent le monde en montrant qu’ils sont vertueux alors qu’ils ne font que restituer, par la pression, un droit. Comme si on vous autorisait à mettre un pantalon après vous avoir mis nu ! Un commentateur éclairé compare cet « accord » du Caire à cette histoire de Jeha (personnage légendaire de contes et anecdotes populaires au Maghreb) : à chaque assemblée des gens d’un douar, un villageois ne cesse de perturber les débats avec ses sempiternelles lamentations sur ses conditions de vie en particulier l’exiguïté de son gourbi. Il avait âne, un bouc, 2 chèvres et 2 moutons. Jeha connu pour sa sagesse et ses capacités à résoudre les problèmes intervient en lui promettant de résoudre son problème en 5 jours à condition qu’il respecte à la lettre ses recommandations. La 1re du 1er jour est qu’il doit mettre, dans son gourbi, tous ses animaux. Le paysan s’exécuta. Le lendemain il s’en plaint pour avoir vécu un « enfer » surtout à cause de l’âne. Jeha l’autorise au 2e jour de sortir l’âne. Le lendemain il s’en plaint de l’odeur du bouc, mais il est « mieux qu’hier ». Jeha le débarrasse du Bouc. Le 3e jour il déclare « commencer à respirer » et ce jusqu’à le débarrasser de tous les animaux. Au dernier jour le paysan annonce, avec soulagement, avoir « passé la nuit la plus paisible de ma vie » ! Conclusion du commentateur : « croire qu’une réunion de 2 jours entre les représentants des spoliateurs sionistes et des hypocrites puissent apporter un rayon de lumière aux Palestiniens est une vue de l’esprit ».

    Au-delà du gain politique et stratégique, les palestiniens savent mieux que quiconque qu’ils n’ont encore rien obtenu de leurs droits fondamentaux légitimes qui leur terre, leur droit au retour. Le combat demeure entier face à la réalité et les leçons à tirer après chaque action et épreuve.

    La réalité et que les Palestiniens pouvaient régler leur problème avec Israël si leurs congénères arabes, du golfe en particulier, avaient cette volonté. La même volonté et promptitude qui a permis, par leur « Ligue », de se réunir plusieurs fois en quelques mois, dont 2 fois en 24 heures, pour décider d’une série de sanctions contre la Syrie pour faire tomber son régime qui se trouve être le nœud gordien politique des sionistes sur la Palestine avec l’Iran et le Hezbollah. Contre Israël, il suffit de se réunir une seule fois prendre des mesures radicales, comme menacer l’occident par l’arme du pétrole (proposition de l’Irak), pour voir, par enchantement, le problème réglé définitivement ! Ce n’est pas dans leurs intérêts… « stratégiques ».

    Serait bien naïf celui qui attend des organisations dites « arabes » ou « islamiques » une quelconque prise de position contre Israël et ceux qui les soutiennent tant que des États perfides œuvrent pour leurs intérêts personnels ; qui pour accaparer le pouvoir (les frères musulmans), qui pour perpétuer leur dynastie (les ploutocraties du golfe) qui, tel un Cheval de Troie, rêve en « Otanien », de devenir le nouvel Ottoman des Arabes !

    Tous sont d’accord avec ce projet « Nouveau Moyen-Orient » américano-sioniste qui devait ôter toute puissance aux Arabes en les pulvérisant en petits États sur des bases religieuses, sectaires et ethniques pour en faire des peuplades amorphes et obéissantes. La Palestine étant la question nodale qui unie, il fallait donc anéantir toute forme de résistance à son sujet.

    Il faut comprendre la visite, autorisée par Israël, du cheikh qatari plus comme une tentative alléchante de corrompre la résistance armée, en espèce et en nature, pour l’emmener à abandonner le combat de leurs ascendants qu’un acte de bienfaisance visant à soutenir une cause et à rebâtir une ville martyre. N’est-il pas bizarre que ce soit au lendemain de cette visite qu’Israël assassine un important responsable de la résistance, « récalcitrant » ?

    La leçon est que rien ne vaut la lutte armée contre un colonisateur en comptant sur ses propres forces, unies, avec les aides d’amis sûrs. C’est pénible, coûteux, long, mais l’issue est certaine. Les exemples dans le monde ne manquent pas. Il reste, cependant, ces deux pétromonarchies perfides qui constituent l’obstacle majeur des arabo-musulmans qu’il faudra, par tous les moyens réduire, car ne cessant pas d’affaiblir la large coalition anti-sioniste en la simplifiant à une coalition « sunnite » inopérante pour enterrer, définitivement, la lutte d’un peuple pour un État viable.

    Des palestiniens, victimes permanentes des exactions d’un « Israël » — englué dans les contradictions d’une idéologie colonialiste et fasciste — avec la bénédiction de l’Occident et de certains états arabes sans que l’on reconnaisse leur droit à se défendre, les voilà défier par eux-mêmes et par les armes leur bourreau en mettant à nu, irrémédiablement, sa vulnérabilité. Pour le faire, ils n’avaient pas eu besoin de l’aval de la « Ligue arabe » ou de son soutien. Ils avaient compté sur leurs propres forces soutenues par leurs amis… non arabes. Il ne reste donc aux Arabes, encore fidèles, aux musulmans sensés et aux pays épris de paix et de liberté qu’à accabler ces scélérats pour les neutraliser, à jamais, avec leur funeste idéologie.

    Il faut croire que le sionisme est arrivé au point nodal de son évolution historique dont il est impératif d’exploiter la situation pour en faire un moment de rupture. Le monde est assez convaincu qu’il est face à un gouvernement israélien hypocrite, paranoïaque et usurpateur que pilotent des bandits sans origines et sans vertus, sous tutelle de lobbies influents dotés de moyens redoutables et immoraux.

    L’offensive doit être engagée, à notre avis, sur trois directions : économique, politique, médiatique.

    • Lier les intérêts économiques des Américano-sionistes et de certains pays européens au règlement définitif et juste du problème palestinien. Lier toute adversité par des conséquences économiques. L’arme la plus décisive est celle du pétrole/gaz qui a donné ses preuves par le passé.

    • L’action politique doit passer par la refondation des institutions arabes, les regroupements régionaux d’intérêts communs en intégrant sans attendre l’Iran, l’offensive diplomatique doit viser la réorganisation des instances et organisations internationales qui se caractérisent par leur partialité tout en améliorer les politiques intérieures afin d’enlever tout prétexte sur la question des droits de l’homme.

    • L’action médiatique et fondamentale pour contrer leur propagande. Elle doit se faire en anglais, espagnol, français et viser à démystifier le sionisme en dévoilant son vrai visage, c’est-à — dire une idéologie coloniale inhumaine qui ne survie que par l’agression et le mensonge. Elle doit toucher les opinions occidentales qui influent sur les décisions politiques.

    Toute chose a ses limites. Les limites de l’adversité et du chantage des États sont leurs intérêts qui peuvent être compromis par les excès de celui qu’ils sont censés protéger.

    La Palestine vient d’être admise à l’ONU, comme État observateur non membre, avec 138 voix pour, 9 voix contre et 41 abstentions (dont 4 pays africains). Une autre victoire d’importance. Un cauchemar pour les sionistes d’Israël et d’Amérique. Quelques jours avant, il était inimaginable que des missiles palestiniens s’abattent aux portes de Tel-Aviv, montrant que désormais aucune ville ne sera à l’abri en cas d’agression. La Syrie, le Hezbollah et l’Iran (ainsi que d’autres) restent, en le réaffirmant à toutes les occasions, leurs soutiens puissants et inconditionnels. Les États du golfe, surtout les pétromonarchies saoudiennes et du Qatar restent les seuls États à l’origine du malheur arabe, par leur félonie, qui empêche toute évolution et émancipation. Les délégués du Qatar et de l’Arabie Saoudite qui ont montré leur « indignation » devant les crimes de l’armée israélienne lors de la dernière réunion des ministres des Affaires étrangères de la « Ligue arabe » est de la pure comédie. C’est lors de la réunion du 13 novembre 2012 au Caire que le Ministre des AE Tunisien, et non moins gendre de Ghannouchi, réplique à son homologue algérien ainsi — alors qu’il s’adressait au Ministre Qatari auquel il demandait des « solutions concrètes dans le soutien à Gaza » — comme un ignorant et un « brosseur » : « En cinquante ans, qu’a-t-elle donc fait l’Algérie pour la cause palestinienne ? ». Mal lui en a pris, il a reçu la foudroyante réponse suivante : « À ceux qui s’interrogent où était l’Algérie, je répondrai que nous n’avions pas à renvoyer un ambassadeur sioniste qui ne rêve même pas de mettre les pieds chez nous. Devons-nous par exemple cesser d’exporter notre gaz à l’État sioniste ? Devons-nous expulser les bases américaines et celles de l’OTAN de nos territoires dont nous avons juré qu’ils n’y mettront jamais les pieds ? Dites-nous ce que nous devons faire, partir au djihad contre Israël ? C’est ce qu’il y a de plus facile pour un algérien libre, mais garantissez nous votre non-trahison, assurez nous que vous ne nous poignarderiez pas dans le dos comme à chaque fois… garantissez nous l’ouverture de vos frontières et nous… Nous avons été éduqués dans la haine du sionisme et vous avez été éduqué dans la trahison ».

    La levée complète du blocus sur Gaza est une exigence non négociable et indiscutable ! qu’est-ce que c’est ce monde qui ferme les yeux sur une immoralité et une illégalité imposée par un ramassis des voyous, colonialistes, sans origines et mercenaires, sur un peuple chez lui, qui ne fait que défendre sa terre et sa dignité ? Sinon, il faut dissoudre toutes ces institutions dites « internationales » en se retirant au plus vite, car complice d’une idéologie qui sème le désordre et la désolation là où elle s’y introduit !

    Il appartient, impérativement, au Monde de l’équité et de la liberté de riposter pour extirper, sans appréhensions, cet « abcès purulent », de la planète, que condamnent la raison et l’histoire. Ils l’avaient fait pour les systèmes et idéologies qui visent la domination et l’avilissement de l’homme, pourquoi pas pour le sionisme qu’il faut en urgence mettre au rebut de l’Histoire !

    Djerrad Amar




    Le seul choix qui nous reste : l’esclavage ou la liberté

    [Source : Dr Mercola]

    Analyse par le Dr Joseph Mercola — 31 octobre 2021

    Les toilettes intelligentes utiliseront les empreintes digitales anales.

    La « plandémie » et le Grand Réveil

    Bref aperçu :

    • Catherine Austin [Catherine Austin Fitts] a passé des décennies à dénoncer la corruption et la fraude dans le système bancaire et gouvernemental, et la corruption et la fraude sont les éléments moteurs de la pandémie COVID.
    • Nous assistons à un transfert de milliards de dollars de passifs envers les familles pour des soins de santé, d’invalidité, de compensations salariales, de chômage et de décès parce que les injections COVID sont obligatoires tandis que les laboratoires, les médecins et les entreprises ont été affranchis de toute responsabilité.
    • À ce jour, il n’y a aucune obligation vaccinale légalement valide. Les injections sont toujours sous autorisation d’utilisation en urgence, et il n’y a pas de document officiel du gouvernement, que ce soit sous forme législative, de loi ou de règlement, qui accorde une base légale à l’obligation. L’Administration Américaine de la Sécurité au Travail et de la Santé n’a pas non plus publié de règle concernant l’obligation vaccinale par des entreprises privées.
    • Les passeports vaccinaux créent une plate-forme pour un système de transactions numériques qui documente et retrace toutes les transactions. Une fois combinés avec une monnaie numérique contrôlée par une banque centrale, ils auront la possibilité de bloquer les transactions.
    • Pour empêcher la mise en œuvre finale de ce système de contrôle planifié, nous devons être prêts et disposés à faire des sacrifices à court terme. Nous devons être prêts à dire « Non, je ne me soumettrai pas, quelles qu’en soient les conséquences », ou nous perdrons même nos libertés les plus fondamentales.

    [Voir aussi :
    Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait »
    Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
    L’heure de la justice]

    Habituellement, mes conversations avec des experts sur la pandémie COVID tournent autour de l’infection et de son traitement. L’interview d’aujourd’hui avec le gourou de la finance Catherine Austin Fitts s’attaquera le sujet de la COVID sous un angle différent.

    Austin Fitts a passé des décennies à dénoncer la corruption et la fraude dans le système bancaire et gouvernemental, et la corruption et la fraude sont les éléments moteurs de la pandémie COVID.

    « J’ai eu une carrière très réussie à Wall Street, puis je suis allée brièvement à Washington et j’ai été atterrée par la corruption hypothécaire et je suis partie », dit-elle. « J’ai créé mon propre cabinet, qui a très bien marché, et j’ai été prise dans un litige avec le gouvernement fédéral.

    Cela était dû en partie à la découverte que les principaux médias étaient une entreprise criminelle. J’ai décidé pendant cette période que j’arrêterai d’essayer de discuter de quoi que ce soit avec des gens par le biais des médias. En fait, je répondrai que directement aux questions des gens. Ce processus de ne répondre que constamment aux questions des gens… s’est transformé en deux entreprises, dont l’une était une entreprise de conseils en investissements, lancée en 2007.

    J’ai découvert que bon nombre des problèmes financiers et de nombreuses difficultés financières auxquels mes clients étaient confrontés étaient vraiment générés par la santé, et que nombreux d’entre eux provenaient de blessures vaccinales et d’effets indésirables des vaccins. Je ne suis plus conseillère en investissements… je de donne pas de conseil individuel en investissement.

    Mais ce que j’ai découvert c’était qu’il était absolument impératif, si vous vouliez aider les clients à réussir à construire leur bien-être financier familial, d’intégrer les investissements dans la santé et le bien-être aux investissements dans les questions financières. J’avais des gens qui me disaient qu’ils mettaient des millions de dollars dans leur compte d’actions, mais qui n’avaient pas les moyens de se payer de la nourriture bio ou biodynamique.

    J’ai l’air de, es-tu folle ? Donc il y avait une intégration qui devait se produire. À cause des extraordinaires dépenses liées aux blessures vaccinales et aux événements indésirables, cela m’a amenée à beaucoup m’intéresser aux vaccins. J’ai passé de nombreuses années à lire et à étudier ce qui se passait et pour quelles raisons les mensonges étaient si gros ».

    Selon Austin Fitts, votre santé et vos finances personnelles ne peuvent tout simplement pas être séparées. Les deux sont vraiment comme les deux faces d’une même pièce et les personnes qui n’apprennent pas à naviguer à travers les mensonges des industries médicales et financières peuvent se retrouver en très mauvaise situation, tant du point de vue de la santé que du point de vue financier.

    La fraude de l’injection

    Un des crimes les plus odieux de cette pandémie est l’obligation de ces injections COVID expérimentales tout en donnant simultanément aux sociétés pharmaceutiques une immunité complète. Elles ne sont responsables de rien, peu importe combien de personnes sont blessées ou meurent. Une personne peut être forcée à prendre cette injection et souffrir d’une invalidité permanente nécessitant des millions de dollars de soins, et le patient doit en assumer les coûts, quand bien même il a été contraint.

    « Au début de la pandémie COVID-19 j’ai publié un article intitulé « La Fraude de l’Injection »(([1] The Injection Fraud – It’s Not a Vaccine – Solari Report))» dit Austin Fitts, « et j’ai passé en revue tous les différents problèmes de responsabilité.

    L’objectif des formulaires COVID-19 que nous avons publiés sur notre site Internet est d’essayer de ramener la responsabilité là où elle devrait être, parce que vous observez un transfert de milliards de dollars qui incombent aux familles pour des soins de santé, d’invalidité, de compensations salariales, de chômage, de décès, etc.,etc.. Le transfert des engagements financiers sur les particuliers est extraordinaire.

    Ce que nous essayons de faire avec les formulaires COVID-19 c’est de donner aux personnes des formulaires qu’ils pourraient utiliser dans les négociations avec leurs employeurs et leurs écoles pour essayer de les tenir pour responsables du consentement éclairé… Ensuite il passe en revue les questions de soins de santé, les questions de handicap, les questions de compensations salariales, les questions d’assurance-vie…

    Ce processus a commencé par quelque chose appelé le formulaire de déclaration de situation financière familiale. Nous avions de nombreux abonnés dont les épouses voulaient recevoir l’injection.

    Il était très important pour moi de donner aux gens un formulaire qu’ils pourraient parcourir avec leur conjoint et m’assurer qu’un événement indésirable impactant le conjoint ne se traduirait pas en faillite pour la famille parce qu’il y a des mesures que les gens peuvent prendre pour protéger la famille de la catastrophe financière s’ils sont assez stupides pour aller prendre une de ces injections.

    Donc cela a commencé avec le formulaire de déclaration de situation financière familiale, puis il s’est traduit en formulaire pour employé et pour l’université, et des abonnés m’ont dit qu’ils étaient en mesure de dissuader leurs employeurs d’exiger l’injection après qu’ils aient examiné ensemble le formulaire.

    C’est incroyable parce que les employeurs et les universités ne font que mentir aux gens que ce soit au sujet des événements indésirables et des risques potentiels, ou de ce qu’est la loi.

    Je mets au défi tout employeur qui essaie de dire qu’ils imposent ceci alors qu’ils sont encore sous autorisation d’utilisation d’urgence, de produire un document du gouvernement, qu’il s’agisse d’une disposition légale ou réglementaire, qui dit qu’ils ont une base juridique pour le faire. Pour autant que je sache, l’OSHA (Occupational Safety and Health Administration — Sécurité au Travail et Administration de la Santé) n’a rien publié à ce jour. »

    Y a-t-il un chantage conspirationniste en cours ?

    Alors que je pense que de nombreux employeurs et d’administrateurs d’écoles sont tout simplement ignorants et ont été victimes de la campagne de propagande la plus réussie de l’Histoire moderne, Austin Fitts soupçonne qu’ils savent exactement ce qu’ils font.

    « Je ne pense pas qu’il s’agisse de propagande », dit-elle. ‘Je pense qu’ils subissent une pression terrible à la fois du gouvernement et des banques… Je pense qu’il y a dans les coulisses un chantage conspirationniste RICO (Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act — Loi fédérale conçue pour combattre le crime organisé aux États-Unis — NdT) en cours.

    Je pense qu’ils le comprennent. Et je pense qu’ils sont sérieusement menacés par le système bancaire. Si vous regardez la pression la plus forte que nous voyons, elle vient des banques centrales et du côté de la finance.

    Depuis un an j’ai passé beaucoup de temps avec les Médecins pour l’éthique COVID à apprendre ce que ces médecins et scientifiques savent, ce qu’il y a dans cette injection COVID et ce qu’elle fait. Il y a toute une partie des ingrédients dont nous ne savons toujours pas ce qu’ils sont.

    Et, j’ose le dire, je crois que c’est relié à la raison pour laquelle les directeurs des banques centrales insistent tant. Je pense que ces gars dépendent vraiment du réseau intelligent et d’une technologie effrayante pour les aider à passer aux dernières étapes du contrôle financier, qui est, je pense, ce pour quoi ils font pression. »

    Il ne reste plus qu’un seul choix : l’esclavage ou la liberté

    Pour empêcher la mise en œuvre de ce système de contrôle planifié, nous devons être prêts à faire des sacrifices à court terme. Tout le monde doit être prêt à dire « Non, je ne me soumettrai pas, quelle qu’en soit la conséquence, que vous m’enleviez ma pension de retraite, que vous me licenciez, que vous me discréditiez et que je ne puisse plus jamais travailler dans ma profession ». C’est cela qu’il faudra pour garder même nos libertés les plus fondamentales.

    S’ils arrivent à imposer les passeports (les pass sanitaires — NdT), je dirais que, d’un point de vue pratique, nous perdons notre capacité à arrêter les monnaies numériques des banques centrales (MNBC – NdT). Donc, quoi que nous fassions, il nous faut arrêter les pass. Les pass leur donnent le genre de contrôle dont ils ont besoin sur les transactions numériques et financières ce qui ensuite mène aux MNBC. — Catherine Austin Fitts

    Comme l’a relevé Austin Fitts :

    « Il s’agit d’esclavage ou de liberté. Si vous regardez ce qu’ils préparent, ce qu’ils visent, c’est une grille complète de contrôle financier et technologique. Ceci est de l’esclavage. Je veux dire, lorsque le Forum Économique Mondial dit, nous sommes en 2030 et vous n’avez pas de biens, qu’est-ce qui n’est pas clair là-dedans ? Vous n’avez pas de biens signifie que vous êtes un esclave ».

    D’après les statistiques fédérales aux États-Unis, la richesse de la moitié inférieure de la population a augmenté durant la pandémie à cause de l’inflation immobilière. « Je peux vous assurer que ceci est une ruse », dit Austin Fitts. En ce qui concerne les liquidités, environ 70 à 80 % des Américains n’ont pratiquement pas de réserve d’argent liquide.

    « C’est parce que ce que nous avons vu est un effort énorme pour… mettre en faillite la population et les gouvernements afin qu’il soit plus facile pour les directeurs des banques centrales de prendre le contrôle. C’est ce que j’ai écrit depuis 1998 que ceci est un coup d’État financier.

    En ce moment le coup d’État financier est en train d’être consolidé, où les directeurs des banques centrales ne servent que de juridiction sur le Trésor et les recettes fiscales. Et s’ils peuvent obtenir les passeports avec la MNBC (rappel : Monnaie Numérique des Banques Centrales — NdT) alors il sera possible que les impôts soient retirés de nos comptes et que l’on prenne nos actifs.

    Donc, nous sommes en présence d’un véritable coup d’État, et c’est pourquoi, si vous jetez un coup d’œil sur l’ensemble de la population, nous sommes les gars qui construisent la prison. Nous avons le pouvoir d’arrêter cela. »

    Les raisons pour lesquelles nous devons rejeter les passeports vaccinaux

    Je soupçonne que les MNBC sont au cœur de ce complot, et je crois fermement que les cryptomonnaies décentralisées telles que les Bitcoins sont une alternative puissante et importante pour contrer le contrôle des banques centrales sur le système financier. Austin Fitts n’est pas d’accord, soulignant que toutes les cryptomonnaies fonctionnent sur des systèmes contrôlés par le système de gouvernance existant.

    « Je crois que toute technologie blockchain (une blockchain permet de stocker et d’échanger de la valeur sur Internet sans intermédiaire centralisé — NdT) dans le système de gouvernance actuel est un danger’, dit-elle. « Ayant plaidé pour le Ministère de la Justice durant 11 ans sur les questions financières et les questions d’argent, je pense qu’ils ont la capacité d’exercer un contrôle remarquable sur n’importe lequel d’entre eux… je veux dire, ils contrôlent le matériel informatique, les satellites, les câbles… et beaucoup de gens croient que les cryptomonnaies actuelles sont bien plus privées que je pense qu’elles ne le sont ».

    Bien que le gouvernement ne contrôle pas les clés privées et les éléments décentralisés, ils ont toujours encore bon nombre de moyens d’accéder aux données privées de personnes ciblées. « J’ai vu plein de gens être assignés à comparaître et voir le FBI débarquer à leur porte, et c’est incroyable ce qu’ils choisissent de transmettre et de coopérer », dit Austin Fitts. En bref, la capacité du gouvernement de mettre à exécution une menace lorsqu’ils veulent quelque chose de vous est profonde, ce qui rend presque impossible toute résistance.

    « Maintenant, je crois toujours que nous avons le pouvoir de renverser cela complètement, dit-elle. « Je veux néanmoins mentionner une chose, parce que la chose importante, notre point à risque, ce ne sont pas les MNBC. Il leur faudra un certain temps pour imaginer les MNBC. Notre point à risque se sont les passeports vaccinaux.

    S’ils obtiennent les passeports, alors je dirais que, d’un point de vue pratique, nous perdons notre capacité à arrêter les MNBC. Donc, quoi que nous fassions, nous devons arrêter les passeports. Les passeports leur donnent le type de contrôle dont ils ont besoin sur les transactions numériques et financières ce qui conduit alors aux MNBC ».

    Le passeport vaccinal est un ticket d’entrée pour l’esclavage financier

    Comme l’explique Austin Fitts, les passeports vaccinaux créent une plate-forme pour un système de transactions numériques qui documente et trace toutes les transactions. Une fois combinés avec une monnaie numérique contrôlée par une banque centrale, ils auront la possibilité de bloquer les transactions.

    Si le gouvernement ne veut pas que vous achetiez quoi que ce soit à plus de 8 km de votre domicile, ils ont la capacité de vous empêcher de le faire. S’ils ne veulent pas que vous achetiez des pizzas, ils ont la capacité de vous empêcher d’acheter des pizzas.

    « Donc c’est l’Étape 1 pour la construction de cette grille de contrôle. Si vous allez sur solari.com et cliquez sur Cash Friday — qui est une campagne que nous menons pour inciter tout le monde à faire ses dépenses à l’aide d’argent liquide les vendredis — vous allez voir une vidéo de 56 secondes du directeur général de la Banque des Règlements Internationaux expliquant comment avec la MNBC ils auront la capacité de mettre en application toutes les règles qu’ils veulent créer sur les MNBC et votre argent.

    C’est très effrayant et cela communique le contrôle qu’ils pensent qu’ils vont avoir lorsque ceci sera terminé. Mais pour obtenir ce contrôle, vous avez d’abord besoin que l’ensemble du système de passeport voie le jour. C’est en gros la grille d’information sur laquelle les MNBC peuvent ensuite se brancher…

    Si vous avez un système de passeport qui est en place qui peut littéralement arrêter vos transactions financières à moins que vous n’ayez un autre rappel, imaginez, avec les MNBC, il peut arrêter toutes vos transactions. Il peut changer le montant de l’argent. Il peut retirer de l’argent de votre compte bancaire. En d’autres mots, ce n’est plus une monnaie. C’est un crédit que la société stocke et la société contrôle tout…

    Les passeports sont déjà là. Nous devons arrêter cela maintenant. J’ai vu des applications de passeport qui montrent que les gens reçoivent huit rappels ou plus. Qui va s’inquiéter au sujet des MNBC si vous avez eu deux de ces injections et huit rappels ? Je veux dire, la question est : serez-vous encore en vie à ce moment-là ? Je ne sais pas ».

    Que pouvez-vous faire maintenant ?

    Donc, comment le citoyen moyen peut-il résister à ce plan diabolique ? Une des stratégies serait de déménager dans un État ou un pays qui a rendu illégal les obligations de détenir un passeport vaccinal. Une autre stratégie est de simplement refuser le passeport, quelles qu’en soient les conséquences.

    Cela vaut également pour ceux qui ont eu une ou deux injections COVID. Pour que le passeport reste valide, vous devrez prendre des rappels. Combien êtes-vous prêt à en prendre ? Combien de fois êtes-vous prêt à risquer votre santé et votre vie ? À un moment donné il vous faudra prendre la même décision que tous ceux qui ne sont pas vaccinés — la liberté ou l’esclavage.

    Ce que cela signifie c’est qu’il nous faudra également créer des systèmes alternatifs et parallèles pour tout ce dont on nous privera d’accès si nous n’avons pas de passeport vaccinal valide. Cela inclut l’éducation, la production alimentaire, toutes sortes de services, les soins de santé et l’économie.

    Ces systèmes parallèles seront de toute façon cruciaux, puisqu’il semble que les programmes sociaux — Sécurité Sociale, Medicare et Medicaid — n’auront plus d’argent en 2028. Et, à mesure que ces programmes disparaissent, ils feront couler l’industrie pharmaceutique avec eux, puisqu’ils sont la première source de revenus des sociétés pharmaceutiques.

    « J’ai découvert qu’il y avait toute une communauté de gens qui vivaient en VL (véhicule de loisir, véhicule aménagé avec à l’intérieur un espace de vie — NdT) tout simplement parce qu’ils ne faisaient confiance à aucune juridiction. Ils voulaient avoir la possibilité de se lever et de partir, et ce groupe est en progression constante.

    Donc, mon sentiment c’est que nous devons dire non, et nous devons faire tout ce que nous pouvons faire. J’ai pris cette décision lors du litige auquel le gouvernement était partie prenante parce que j’étais absolument convaincue que si je continuais à dire non, il y avait de fortes chances que je puisse être tuée. J’ai été empoisonnée en maintes occasions, donc j’ai eu affaire à un harcèlement assez grave.

    Tout ce que je peux vous dire c’est qu’avoir dit non s’est avéré être la chose la plus intelligente que je n’aie jamais faite. Je ne dis pas que ce n’est pas difficile. C’est exceptionnellement gênant. Je suis passé de personne nantie à une personne ayant à vivre des périodes de pauvreté extrême. C’était assez horrible.

    Mais en même temps, vous sortez de l’autre bout et c’est une belle vie. C’est juste une belle vie que d’être libre … Je ne pense pas qu’il y ait un autre moyen de parvenir à une vie libre et inspirée que de s’y lancer. Il vous faut dire non. Et si nous ne disons pas non, nous allons être des esclaves. Franchement, je préfère être morte que de prendre ces injections. Dieu sait ce qui s’y trouve. »

    Il n’y a pas de vaccination obligatoire aux États-Unis

    Récemment, le président Biden a publié une directive présidentielle inconstitutionnelle selon laquelle les entreprises de 100 employés ou plus sont tenues de rendre obligatoire l’injection de tous les membres du personnel. L’amende peut s’élever jusqu’à 700 000 dollars par infraction.

    De telles grosses amendes pourraient rapidement mettre en faillite toutes les entreprises hormis les plus riches si elles ne s’y conforment pas. Néanmoins, même ici, il y a le choix, parce qu’en l’état actuel des choses, il n’y a pas de règle ou de loi LÉGALE dictant des règles en matière de vaccination pour les entreprises privées.

    « Ceci est un génocide », dit Austin Fitts. ‘Il n’y a pas de règle d’urgence temporaire OSHA (Occupational Safety and Health Administration — Administration de la Sécurité au Travail et de la Santé — NdT). Il n’y a pas de document. Si je suis une entreprise et que vous n’avez pas de loi, pas de règlement, pas de règlement d’urgence — vous ne pouvez pas légiférer par conférence de presse, et vous ne pouvez pas appliquer des sanctions pécuniaires à partir de rien.

    Je ne sais pas sur quelle base juridique vous pouvez appliquer une sanction pécuniaire civile à une violation d’une loi non existante et d’une règle non existante. Maintenant, je ne suis pas en train de vous dire que vous ne pouvez pas trouver un juge et le menacer et l’effrayer afin qu’il adhère à cela. Mais je dois vous dire, s’il y a quelque chose qui vaut la peine d’être plaidé, c’est bien cela.

    Mais voyons si une entreprise peut exister en tant que sujet politique. Si toutes les entreprises dans le Monde sont en fait captives du chantage de l’organisation SPECTRE — parce que ça tourne vraiment en James Bond — (alors), personne ne peut représenter l’actionnaire, parce qu’ils ne peuvent pas dire non au crime organisé.

    Alors nous n’avons plus d’économie. Nous n’avons plus de marché boursier. Nous n’avons plus de pays. Nous n’avons plus de civilisation. Nous n’avons plus qu’une mafia, n’est-ce pas ? Tout a disparu.

    Donc, pour moi, je ne peux songer à quelque chose de mieux à plaider que de savoir si oui ou non nous allons avoir une loi. Si tout n’est que la règle de la mafia, il n’y aura pas d’entreprises. Il n’y aura pas de marché boursier. Il n’y aura pas de système financier. Et bon nombre d’entre nous vont mourir.

    Donc je pense qu’il va nous falloir décider si nous voulons ou non avoir un État de Droit… Je ne crois pas que le crime organisé avec toute sa force coercitive ait le pouvoir de tout saboter pendant que les gens se dressent. »

    Qui est derrière tout cela ?

    Quant à savoir qui est derrière cette gigantesque manipulation, c’est difficile à dire. Je pense que le plus proche que nous puissions arriver sur l’identité de ces criminels ce sont les actionnaires privés de Vanguard [Ndlr : et de Blackrock], parce que Vanguard possède la plupart des entreprises du Monde. Austin Fitts pense que ce sont les propriétaires privés des banques centrales. Elle explique :

    « Vanguard appartient essentiellement à elle-même. Donc la question est qui la contrôle dans les coulisses ? J’ai un livre en ligne intitulé « Dillon Read et l’Aristocratie des Profits Boursiers ». J’ai essayé par trois fois de le publier en version papier et à chaque fois j’ai été menacée. La dernière fois ils ont menacé quelqu’un de ma famille.

    Donc je l’ai laissé en ligne. (Dans ce livre), je raconte l’histoire de comment j’ai été une associée et membre du conseil d’administration de Dillon Read. À un moment donné, j’ai été surprise par leur choix du prochain président de la compagnie. (Il y avait) là (dans cette compagnie — NdT) un merveilleux associé dont le père avait dirigé la compagnie autrefois, alors je lui ai dit ‘Je suis surprise de ce choix. Ce n’est pas du tout un « gars de Nick » (Nick étant l’ancien président — NdT)

    Nick Brady, le PDG de la compagnie, était allé (avait été élu — NdT) au Sénat pendant un moment, c’est pourquoi ils amenaient un autre président. Et mon associé a dit, ‘Nick ne l’a pas choisi. Les Rothschild l’ont choisi’. J’ai dit, ‘Attends une minute. Nous sommes propriétaires de l’entreprise. Qu’est-ce que les Rothschild ont à voir avec nous ? Et il m’a simplement regardée et a roulé les yeux… et est parti comme si j’étais la personne la plus stupide d’Amérique. 

    Le surnom d’Austin Fitts donné par le comité qui dirige le Monde est “Mr Global”. Elle reconnaît qu’elle ne comprend pas complètement comment ça fonctionne au sommet, mais elle sait que la prise de décision est très centralisée, qu’elle est probablement gérée par le comité, et que les membres (du comité — NdT) sont tenus au secret pour une durée de 50 ans.

    Depuis la Deuxième Guerre Mondiale, il y a une quantité d’argent énorme qui disparaît de manière constante à cause du système financier’, dit-elle. ‘C’est presque comme si la planète est une REIT (real estate investment trust — société d’investissement immobilière). Je n’oublierai jamais la scène du film ‘Jupiter Ascending’ où la princesse d’une galaxie lointaine regarde cette Terrienne et lui dit ‘La Terre n’est qu’une toute petite partie d’une société bien plus grande’.

    En fait, si vous regardez le système financier, c’est comme ça que ça marche — comme si tout le monde était forcé à produire ce dividende et qu’il (le système financier — NdT) devient très dysfonctionnel à cause du secret.

    Maintenant on m’a dit à plusieurs reprises — et j’ai tendance à le croire — que les personnes qui dirigent littéralement ce que la plupart des gens appellent l’État Profond ont essayé de comprendre comment ils pourraient augmenter la transparence et ils se heurtent à tellement de problèmes de responsabilité que tout simplement ils abandonnent.

    S’il y a une solution dont nous avons tous besoin, c’est d’apporter une énorme transparence et réduire le risque avec les personnes au sommet. Parce que je pense qu’une des raisons pour lesquelles ils poussent au contrôle complet c’est… qu’ils peuvent alors gérer les choses de manière centralisée avec l’intelligence artificielle…

    Le contrôle complet c’est : vous êtes sur un réseau intelligent qui est sous surveillance 24/7 (24 h/24, 7 jours/7 — NdT) et qui vous soumet à toutes sortes de propagande et de contrôle de l’esprit, et ils ont le pouvoir d’effacer votre compte si vous ne vous comportez pas bien. Ceci peut être géré par logiciel, l’IA (Intelligence Artificielle — NdT) et un réseau intelligent (grâce au passeport vaccinal et la MNBC)…

    Je le décrirais comme un système d’esclavage… Ils peuvent littéralement garantir un être humain et le connecter au système bancaire, et ils peuvent arrêter toute révolution violente une fois qu’ils ont en gros numérisé et mis tout le monde sur un système de contrôle des transactions financières…

    Je pense que c’est une terrible erreur. Mais je pense qu’ils… ne savent pas quoi faire d’autre. Si nous arrivons à nous sortir de cela, premièrement, nous devons simplement dire non et refuser de rentrer dans la boîte. L’autre (deuxièmement — NdT) c’est qu’il nous faut apporter de la transparence là où nous pouvons tous changer. Parce qu’il nous faut une réinitialisation. Si nous continuons comme nous le faisons, ça ne marchera pas. »

    Il nous faut une réinitialisation, mais pas de ‘la grande réinitialisation’

    Ils sont nombreux à avoir souligné que c’est une inéluctabilité mathématique que le système financier des banques centrales s’effondre. Vous ne pouvez pas accumuler des dettes à perpétuité. Ce n’est tout simplement qu’une question de quand. Comme l’a fait remarquer Austin Fitts, nous avons actuellement un retour sur investissement négatif.

    Mais le système financier peut certainement être remanié pour un retour sur investissement positif. Néanmoins, pour faire cela, nous ne pouvons pas permettre aux sociétés de fonctionner au-dessus de lois. Elle explique :

    « À l’heure actuelle, nous avons une doctrine juridique qui dit qu’aussi longtemps qu’ils peuvent se faire de l’argent, ils sont plus ou moins libres d’agir au-dessus des lois. L’économie doit être subordonnée à la société. Vous ne pouvez pas laisser votre vie économique déterminer la primauté du droit. Et donc, nous avons pratiquement donné une immunité juridique aux grandes banques internationales, et à travers elles, aux entreprises.

    Le modèle d’entreprise actuel, tel qu’il existe actuellement, ne marche pas. Ce que nous observons c’est la destruction de la société afin qu’il puisse continuer à fonctionner. Franchement, vous ne pouvez pas avoir une économie ou une société en bonne santé si le secteur financier est dominant plutôt que subordonné. Le système financier devrait servir la société et la civilisation, et non l’inverse. »

    Des signes d’un changement positif

    Cependant, il y a des signes d’un réel changement — un changement positif. Austin Fitts fait remarquer, pour la première fois de sa vie, elle voit des personnes extrêmement talentueuses et bien éduquées qui ont toujours été réticentes à faire des vagues disant qu’elles veulent sortir (du système — NdT) ; elles préfèrent mourir plutôt que d’être réduites en esclavage par le crime organisé.

    « Je me rappelle d’un scientifique et médecin vraiment formidable me disant, ‘Je suis prêt à commencer une toute nouvelle civilisation’. Il y a une vague de talents et de solennité que je n’ai jamais vue et qui dit ‘Je préfère faire partie de la nouveauté. J’en ai marre de celle-ci.

    Donc je vois une formidable cassure — et non simplement un refoulement — de la part de personnes qui veulent être partie prenante de quelque chose de civilisé. Elles réalisent que la corruption a atteint un point où il est inutile d’essayer de s’entendre ou d’être au milieu de la route ou de suivre…

    Le défi pour nous tous est comment pouvons-nous basculer nos économies et notre épargne retraite pour financer la création de cette nouvelle capacité ? D’une part, vous avez des étudiants qui quittent l’école et qui doivent faire l’école à la maison. D’autre part, vous avez des enseignants qui quittent l’école parce qu’ils ne veulent pas recevoir l’injection.

    Nous devons créer des entreprises et des réseaux et des sites web qui nous aident à nous rencontrer. Si ce processus se déroule dans un esprit d’entreprise, il pourrait être très positif et très excitant.

    C’est ce que je vois dans les nouveaux médias. Mais cela doit également se produire dans les services de santé et dans l’éducation, et il faudra que suffisamment de personnes réalisent que le Titanic est en train de couler. Il n’est pas possible de revenir en arrière. Elles pourraient tout aussi bien récupérer quelques planches et commencer à construire des arches.

    Sans intégrité il n’y a pas de civilisation. Donc, si vous voulez faire partie de quelque chose qui a de l’intégrité, vous ne pouvez pas rester (dans l’ancien système). Je le répète, il n’y a pas de juste milieu… Je dis, dites oui à la science, dites oui à l’intégrité, dites oui à la loi.

    La situation de chaque personne est différente, mais trouvez un moyen de traduire ce oui en quelque chose de productif. Soyez utile. C’est ce que j’ai essayé de faire. J’ai eu une vie merveilleuse en tant que banquier d’affaires, mais je me suis réveillée et je ne pouvais plus (continuer)… j’ai fait des transactions portant sur des milliards de dollars. Je ne savais pas faire un plan financier pour quelqu’un qui avait 25 000 dollars.

    Donc j’ai commencé par simplement répondre aux questions des gens et ces questions ont évolué jusqu’à devenir deux entreprises, le Solari Report et le Solari Investment Advisory Services (pour cette dernière ‘Service de Conseils en Investissement — NdT). Cela a pris de nombreuses années, mais je n’ai fait qu’essayer d’être utile. Donc chacun d’entre nous doit commencer par là.

    Nous devons nous demander ‘quelle compétence ai-je’ ? Quelles compétences puis-je acquérir ? Dans quelles compétences puis-je évoluer ? Et comment puis-je servir les gens autour de moi ? Que puis-je faire pour être utile ? Et nous partons de là.

    Mais vous devez choisir l’intégrité et la civilisation ou choisir d’être un esclave du crime organisé. Vous devez faire ce choix. Et voulez-vous savoir ? C’est un choix dangereux. J’ai failli ne pas y arriver. Mais comme je l’ai dit à mon ancien collègue, je préfère mourir dans le désert que d’être dans des endroits souterrains avec vous les gars. »

    Traduction Jean Bitterlin, le 12 novembre 2021




    Le rapport qui ne change rien et dont les médias ne parlent pas. Le Covid a officiellement représenté 2 % des hospitalisations en 2020

    Par Alain Tortosa

    Un rapport totalement officiel de l’ATIH(([1] https://www.atih.sante.fr/sites/default/files/public/content/4144/aah_2020_analyse_covid.pdf
    [voir aussi : Martin Blachier en mode retournage de veste puissance 1000, Il doit sentir le vent tourner… Nous aurait-on menti à l’insu de notre plein gré ?])) fait couler de l’encre dans la sphère dite « complotiste », mais il est passé sous silence dans les médias mainstream. Il énonce que le Covid a représenté 2 % des hospitalisations et 5 % des soins critiques en 2020.

    À ma connaissance, seul Pascal Praud sur Cnews et, étrangement, Martin Blachier sur LCP, en ont parlé.

    Mais le sujet est suffisamment dangereux et épineux pour que les « vérificateurs » de l’information de checknews(([2] https://www.liberation.fr/checknews/est-il-vrai-que-les-patients-covid-nont-represente-que-2-du-total-des-hospitalisations-en-france-en-2020-20211111_BEEG2I2RTRAX7O3Q5LD2D33J4I/)) s’en emparent.

    Il est intéressant de constater que le mode opératoire des « vérificateurs » est toujours le même, aussi bien chez les décodeurs de France-info que chez le checknews de Libération.

    Le titre sera quasi toujours le même « C’est vrai, mais c’est faux ! »
    Les premières phrases seront généralement de nature à dédouaner le peuple de s’intéresser au sujet.

    « Dormez sur vos deux oreilles, on s’occupe de tout ».

    Ils savent très bien que la majorité des gens se contente de titres et ne vont pas au bout, raisons pour lesquelles ils insistent sur les premières phrases choc.

    Résumons-le déroulé de l’argumentaire de Libération sur ce fameux rapport « vrai, mais faux ».

    Le 2 % initial devient 4 % de la durée, pour ne retenir au final que les pics et arriver à la conclusion que les Covid ont occupé plus de 100 % des réanimations.
    Le « journaliste » concluant quand même que 110 % c’était un peu exagéré.

    La conclusion est donc que 2 % ne reflètent pas la réalité d’une saturation des réanimations à 100 %.
    Nous sommes donc bien dans le « c’est vrai, mais c’est faux ».
    Et il n’est donc pas utile de perturber le public avec cela, mieux vaut se focaliser sur la 5e vague…

    Je voudrais néanmoins souligner quelques faits :

    • Si seuls certaines périodes et certains lieux ont connu une saturation des hôpitaux et des réanimations et si la moyenne des patients Covid n’est que de 2 % des hospitalisations et 5 % des soins critiques… C’est bien la preuve que la quasi-totalité des régions françaises et/ou la quasi-totalité de l’année… les hôpitaux étaient vides de patients Covid ! Dans ces conditions : Pourquoi paniquer les Français 24 heures sur 24 depuis mars 2020 ? Pourquoi leur faire croire que TOUS les hôpitaux étaient au bord de la saturation dans TOUTES les régions ? Et donc pourquoi confiner nationalement, pourquoi faire des restrictions nationales ?
    • Notons aussi que certaines régions comme l’Île-de-France ou le Nord semblent avoir eu plus de cas, plus de morts que d’autres régions. Il est possible de se poser des questions sur des conflits d’intérêts de tel ou tel. Pourquoi une inégalité aussi flagrante dans des régions alors même que l’on ne cesse de nous dire que le virus circule partout et tout le temps ?
    • Libération oublie aussi de dire que le nombre de patients hospitalisés pour Covid est un faux. Je ne perdrai pas mon temps à retrouver les sources… Le fait est que l’État a officiellement reconnu qu’il n’était pas en capacité de distinguer un patient hospitalisé pour Covid dans une unité Covid d’un patient positif à un test et présent dans l’hôpital. Si on ajoute le fait que 90 % des personnes positives à un test PCR étaient asymptomatiques, qu’il y avait souvent un facteur 10 entre le taux d’incidence gouvernemental et le taux d’incidence relevé par le réseau Sentinelles, et si nous tenons compte du fait qu’une majorité écrasante de patients Covid avaient de lourdes comorbidités, nous pouvons aisément dire que seules 10 % des hospitalisations pour Covid l’étaient réellement. Nous pouvons donc affirmer que les patients Covid n’ont pas représenté 2 % des hospitalisations de 2020, mais 0,2 % !
    • Concernant les soins critiques. J’invite mes lecteurs à se pencher sur mes précédents textes à ce sujet. Je dénonçais ce scandale dès novembre 2020. Je vous rappelle que le gouvernement n’a cessé de nous fournir ce qu’il appelait le pourcentage de personnes en réanimation. Or le chiffre du nombre de personnes en réanimation n’a JAMAIS été fourni, seul le nombre de personnes en soins critiques. Pour calculer le pourcentage d’occupation, le gouvernement a toujours divisé le nombre de personnes en soins critiques par le nombre de lits de réanimation disponibles. Le hic est qu’il y a en France environ 5000 lits de réanimation pour 15 000 de soins critiques. Il est dès lors très facile de dépasser les 100 % d’occupation en divisant par 5000 au lieu de 15 000. Si l’on tient compte du nombre de personnes en soins critiques au pic de l’épidémie et qu’on le divise par le nombre total de lits de soins critiques, alors on constate que le taux d’occupation en soins critiques n’a JAMAIS dépassé les 37 % ! Si nous ajoutons à cela que des personnes en fin de vie étiquetées Covid étaient en soins critiques et que l’on affirme raisonnablement que pour la moitié d’entre elles le Covid n’était pas la cause principale de lit de soins critiques, alors on peut affirmer avec une énorme marge de sécurité que le Covid n’a utilisé que 18 % des lits de soins critiques au PIC de l’épidémie, soit environ 2,5 % de moyenne nationale annuelle.

    Et des journalistes débiles ou corrompus continuent à dire que le Covid a fait 118 000 décès en France en oubliant de mentionner que c’est sur 2 saisons et que la plupart étaient des personnes en fin de vie !

    Les droits de l’homme ont été détruits, nous avons été privés de libertés et nous le sommes encore. Nous avons été confinés ou placés sous couvre-feu. Des masques aussi inutiles que dangereux ont été imposés y compris à nos enfants. Nous subissons un passeport vaccinal pour nos besoins de la vie courante. Nous sommes obligés à une injection génique expérimentale.

    Et ce pour quoi ?

    • Pour une maladie qui a représenté 0,2 % des personnes hospitalisées !
    • Pour une maladie qui a au maximum représenté 2,5 % des soins critiques avec un pic au pire de l’épidémie de 18 % des lits de soins critiques !
    • Pour une maladie dont l’âge médian des décès était de 84 ans et dont les traitements efficaces ont été et sont encore interdits.

    C’est sans doute cela que les médias considèrent comme n’étant « rien » et qu’il est donc inutile d’en faire les grands titres ! C’est donc sur une base de propagande mensongère que nous demeurons en dictature.

    Alain Tortosa.

    12 novembre 2021
    https://7milliards.fr/tortosa2021112-la-fausse-pandemie-chiffres-officiels.pdf





    Argentine : Une journaliste s’emporte contre la vaccination… « Vous réalisez ce qui se passe dans le monde aujourd’hui ? Je vous le dis, Ils sont en train de tuer énormément de gens ! Beaucoup de médecins sont complices de ce chaos humain !!! »

    [Source : businessbourse.com]

    « Ceux qui meurent ne meurent pas seulement du Covid… Énormément de médecins sont complices et un jour, on saura tout…Et même si je perds mon emploi, je vous dis que ils nous font peur à longueur de journée… Quand il y aura une énorme réaction, la société changera… Arrêtez de les écouter, avec toutes leurs mauvaises nouvelles ! Attention à ces médias corrompus qui nous bernent, Faites gaffe par rapport à tout ce que vous écoutez ou lisez…Restez calmes et surtout n’ayez plus peur du Covid !!! »




    Le nazisme d’aujourd’hui et ses trois nouvelles branches (néo-léninisme, djihadisme, scientisme hygiéniste)

    Par Lucien Samir Oulahbib

    Contrairement aux idées reçues, le nazisme originel reprochait moins au marxisme et au bolchevisme leur critique acerbe du capitalisme et du libéralisme, mais le fait qu’ils oubliaient d’en dénoncer le caractère essentiellement « juif » (abordé tout de même par Marx dans sa « Question juive ») ; d’où la dénonciation du « judéo-bolchevisme » qui aurait détourné, trahi en quelque sorte les idéaux communs antilibéraux au sens d’assujettir l’individu à l’État « national » prolétarien que devient aussi d’un certain côté l’URSS de Staline (« socialisme dans un seul pays »), d’où les accointances entre ce dernier et Hitler. Staline avait d’ailleurs permis à ce que secrètement les forces spéciales allemandes s’entraînent sur le sol russe, tout en faisant de plus en plus la chasse aux juifs (quitte à leur reconnaître le droit d’avoir un « État » en 1947, tout en aboutissant, en 53, au dit « complot des blouses blanches »).

    Aujourd’hui, le fait que de plus en plus les individus soient classés et attaqués, y compris violemment, en fonction de leur couleur de peau, de leur position critique vis-à-vis de l’islam (islamophobie), du climat (« négationnisme »), de la santé (complotisme et conspirationnisme) relève finalement d’une idéologie globale. On peut caractériser dorénavant et également celle-ci de (néo)nazie au sens non pas dudit « point Godwin », mais du fait qu’elle ne regroupe pas seulement des suprématistes « blancs ». Cependant, elle représente aussi tout courant qui met en avant une couleur de peau et une « conception du monde » aux préceptes sacralisés et dont la critique nécessite une répression sévère, voire annihilante, comme le réclame de plus en plus ce qu’il est possible de nommer désormais (puisqu’elle abat ses cartes) la néonazie-sphère française dont par exemple un Patrick Cohen, un Christian Barbier, un certain « Tonneau » (percé), une Annie Hidalgo et tant d’autres (tels ces remugles staliniens sortis d’un Jurassic Park « déconstruit ») en sont de plus en plus les chantres aux propos violents et de plus en plus exterminateurs.

    Cette néonazie-sphère encourage par exemple le fait d’attaquer violemment des réunions qu’elles soient liés à une rencontre autour du climat comme récemment en Allemagne, autour de la liberté de critiquer l’islam (comme l’indique Didier Lemaire), sans oublier bien sûr les attaques incessantes à l’encontre des réunions de Zemmour (encouragées par Hidalgo), de Marine Le Pen (mais aussi naguère à l’encontre des déplacements de Sarkozy lorsqu’il tenait des propos fermes sur ces sujets). Elle encourage aussi la diabolisation accentuée envers tous ceux qui critiquent la montée en puissance du scientisme hygiéniste symbolisée par la mise à l’Index des professeurs de médecine Perronne et Raoult et la manipulation statistique à marche forcée à l’encontre des traitements précoces et des chiffres réels sur LA maladie, et les effets secondaires liés aux injections expérimentales actuelles (Médiapart en tchékiste patenté par exemple).

    Ces exemples montrent de plus en plus plusieurs choses : d’une part une méconnaissance globale (vu le niveau intellectuel de plus en plus faible des « élites » animant cette néonazie-sphère) des idéologies de leurs racines et leur manifestation, d’autre part le fait que ces dernières évoluent, se transforment et passent dans leur contraire supposé.

    Ainsi droite, extrême droite, fascisme, nazisme ne sont pas divers points s’accentuant d’un même continuum contrairement à ce que la vulgate stalinienne et sartrienne a pu ébaucher dans les années 30-60. Schématiquement énoncé, la droite en ses diverses composantes s’appuie également et en premier lieu sur la notion de liberté plus ou moins « ouverte » ou « mixte » (au sens aristotélicien) selon les tendances. Alors que ladite extrême droite rompt totalement avec cette idée d’ouverture, préfère plutôt la fermeture en la justifiant par les notions de tradition non plus évolutive, mais rigide, débouchant sur la préservation impérieuse du socle ethnique « originel », le tout en tentant de dépasser les césures élite/peuple, gauche/droite dans une conception du « social » bien plus étatiste que nationaliste en réalité. En effet, ce qui a pu donner le fascisme, le nazisme et le pétainisme (ces trois branches ayant chacune leur spécificité) se rassemble autour de deux idées fortes : extirper l’idée de liberté au sein du « social » afin de mieux protéger l’ethnie, collectiviser peu à peu toute la société civile en plaçant à sa tête des éléments sûrs afin de renforcer l’ethnie, et, pour ce faire, éliminer tout élément étranger au socle ethnique fondamental en particulier les juifs pour le nazisme et dans une certaine mesure pour le fascisme et le pétainisme, car si ces derniers avaient pour objet d’écarter les juifs y compris « nationaux » des affaires de l’État, ils ne voulaient pas les liquider comme le firent les nazis (et les staliniens d’un certain côté), même si à la toute fin du régime de Vichy le poids grandissant de la Milice fait que Laval se fait directement complice de l’extermination, rompant dans ce cas avec les courants maurrassiens anti-germains qui préférèrent peu à peu s’agréger à la mouvance gaullienne.

    Le néo-léninisme, le djihadisme et le scientisme hygiéniste ressuscitent en quelque sorte, avec des nuances bien sûr, le socle fondamental du nazisme basé sur le remplacement (des juifs par les Aryens), l’épuration (mise à l’écart des écrits jugés contraires à l’enseignement officiel), l’assainissement (mise à l’écart de populations susceptibles de contaminer celles qui sont déclarées « saines » et qu’il faut protéger).

    Ces trois branches agrégées désormais au néonazisme vont en effet appuyer le remplacement des autochtones par des « indigénistes » qui ainsi se vengent du supposé mal « absolu » des premiers. Elles vont également réclamer, exiger et finalement obtenir peu à peu l’effacement de tout ce qui peut rappeler un passé glorieux puisqu’il est censé avoir été établi uniquement par la domination et la servitude. Et d’autre part, ces trois branches vont, dans la foulée, réclamer, exiger et finalement obtenir de plus en plus l’épuration des administrations et des institutions de la « société civile », en particulier de tout élément hostile à leur idéologie globale basée de plus en plus sur la couleur de peau, le catastrophisme multiforme, et l’hygiénisme scientiste, ce triptyque fondamental du nazisme canal historique :

    « (…)il existe entre nous et les bolchevistes plus de points communs que de divergences, et tout d’abord le véritable esprit révolutionnaire que l’on trouve en Russie comme chez nous, partout du moins où les marxistes juifs ne mènent pas le jeu. J’ai toujours tenu compte de cette vérité et c’est pourquoi j’ai donné l’ordre d’accepter immédiatement dans le parti tous les ex-communistes. Les petits-bourgeois sociaux-démocrates et les bonzes des syndicats ne pourront jamais devenir de véritables nationaux-socialistes ; les communistes toujours. » (Hermann Rauschning, Hitler m’a dit, Paris, éditions Pluriel, 1979, pp. 190-191).

    Traduit aujourd’hui, cela implique la convergence effective de ces trois branches (néo-léninisme, djihadisme hygiénisme, scientiste affairiste), ne serait-ce le fait qu’aucune exaction djihadiste n’est formellement non pas « condamnée », mais expliquée dans ses profondeurs (sinon par le « déséquilibre » et la « mauvaise » lecture de l’islam dans le texte), y compris lorsque des délits et crimes mériteraient bien plus que des propositions de circonstance (« agrandir les trottoirs », « leur laisser le temps d’apprendre nos codes »). Idem pour le catastrophisme dit « écologiste » censé être l’apanage du seul « Occident », alors que le président du régime maoïste, premier pollueur de la planète, n’était même pas présent à leur cérémonie annuelle et que les chiffres sont tout autant truqués qu’exagérés. Et même chose pour l’hygiénisme scientiste qui aujourd’hui cherche également à masquer son affairisme exacerbé par des menaces supplémentaires de ségrégation et d’internement, bref, de purification biologique, et ce malgré les scandales à répétition (caviardage, truquage, expérimentations sauvages ou à la va-vite à l’instar du Pfizergate). Le tout permet d’écarter tout élément qui refuse d’appartenir à cette nouvelle race métaphysique néonazie dont le néo-léninisme et le catastrophisme sont les branches actives et qui peuvent même afficher des visages d’ange alors que par exemple les « violences faites aux femmes » dénoncées par ces derniers ne désignent jamais leurs alliés objectifs du djihadisme qui, comme le dit Didier Lemaire, pousse pourtant ses victimes à s’exclure, à fuir dans une sorte d’émigration intérieure si elles ne veulent pas être violentées ou poussées au suicide (comme pour Mila encore actuellement).

    Aussi faut-il être de plus en plus sans concession : si l’on vous traite de « facho » rétorquez « néonazi » — tendance djihadiste, hygiéniste, néo-léniniste — c’est selon, tout dépend de la prothèse milicienne qui viendra perturber votre geste de citoyen français, celui de débattre, de critiquer, d’applaudir qui bon vous semble. Ne vous laissez surtout pas intimider par des créatures qui certes vont vous rétorquer qu’il n’y a ni Goulag ni Shoah, sauf que d’une part ces horreurs n’apparaissent ni en 17 ni en 33, et que les assassinats djihadistes atteignent désormais plus de cent mille tués au niveau mondial, et d’autre part la forme d’extermination que peut prendre ce néonazisme peut être plus subtile basée par exemple sur l’implosion, la soumission, le démembrement, l’autodestruction, l’expérimentation queer et autres injections le tout sur plusieurs années voire décennies…




    Derrière la « guerre cognitive » de l’OTAN : une « bataille pour votre cerveau »

    [Source : La chaîne humaine (lachainehumaine.com)]

    Par Jeanne Traduction



    Les nouvelles formes de guerre

    Les gouvernements occidentaux de l’alliance militaire de l’OTAN développent des tactiques de « guerre cognitive » , utilisant les menaces supposées de la Chine et de la Russie pour justifier la conduite d’une « bataille pour votre cerveau » dans le « domaine humain » , pour « faire de chacun une arme. »

    L’OTAN développe de nouvelles formes de guerre pour mener une « bataille pour le cerveau » , comme le dit l’alliance militaire.

    Le cartel militaire de l’OTAN dirigé par les États-Unis a testé de nouveaux modes de guerre hybride contre ses adversaires autoproclamés, notamment la guerre économiquela cyberguerrela guerre de l’information et la guerre psychologique.

    Aujourd’hui, l’OTAN met au point un tout nouveau type de combat qu’elle a baptisé « guerre cognitive ». Décrite comme une « militarisation des sciences du cerveau« , cette nouvelle méthode consiste à « pirater l’individu » en exploitant « les vulnérabilités du cerveau humain » afin de mettre en œuvre une « ingénierie sociale » plus sophistiquée.

    Jusqu’à récemment, l’OTAN avait divisé la guerre en cinq domaines opérationnels différents : air, terre, mer, espace et cyber. Mais avec son développement de stratégies de guerre cognitive, l’alliance militaire discute d’un nouveau niveau, le sixième : le  » domaine humain. « 

    Une étude de 2020 parrainée par l’OTAN1 sur cette nouvelle forme de guerre explique clairement : « Alors que les actions menées dans les cinq domaines sont exécutées afin d’avoir un effet sur le domaine humain, l’objectif de la guerre cognitive est de faire de chacun une arme. »

    « Le cerveau sera le champ de bataille du 21e siècle », souligne le rapport. « Les humains sont le domaine contesté » et « les conflits futurs se produiront probablement parmi les gens numériquement d’abord et physiquement ensuite, à proximité des centres de pouvoir politique et économique. »

    Si l’étude soutenue par l’OTAN insiste sur le fait qu’une grande partie de ses recherches sur la guerre cognitive est conçue à des fins défensives, elle concède également que l’alliance militaire développe des tactiques offensives, en déclarant : « L’humain est très souvent la principale vulnérabilité et il convient de le reconnaître afin de protéger le capital humain de l’OTAN, mais aussi de pouvoir tirer parti des vulnérabilités de nos adversaires. »

    Dans une révélation qui fait froid dans le dos, le rapport dit explicitement que « l’objectif de la guerre cognitive est de nuire aux sociétés et pas seulement aux militaires. »

    Avec des populations civiles entières dans le collimateur de l’OTAN, le rapport souligne que les armées occidentales doivent travailler plus étroitement avec le monde universitaire pour armer les sciences sociales et humaines et aider l’alliance à développer ses capacités de guerre cognitive.

    L’étude décrit ce phénomène comme « la militarisation des sciences du cerveau ». Mais il semble évident que le développement de la guerre cognitive par l’OTAN conduira à une militarisation de tous les aspects de la société et de la psychologie humaines, des relations sociales les plus intimes à l’esprit lui même.

    Cette militarisation globale de la société se reflète dans le ton paranoïaque du rapport parrainé par l’OTAN, qui met en garde contre « une cinquième colonne intégrée, où chacun, à son insu, se comporte selon les plans de l’un de nos concurrents ». L’étude indique clairement que ces « concurrents » censés exploiter la conscience des dissidents occidentaux sont la Chine et la Russie.

    En d’autres termes, ce document montre que les figures du cartel militaire de l’OTAN considèrent de plus en plus leur propre population nationale comme une menace, craignant que les civils ne soient de potentielles cellules dormantes chinoises ou russes, de redoutables « cinquièmes colonnes » qui remettent en cause la stabilité des « démocraties libérales occidentales. »

    Le développement par l’OTAN de nouvelles formes de guerre hybride intervient à un moment où les campagnes militaires des États membres ciblent les populations nationales à un niveau sans précédent.

    Le Ottawa Times a rapporté en septembre dernier que le Commandement des opérations conjointes de l’armée canadienne a profité de la pandémie de Covid-19 pour mener une guerre de l’information contre sa propre population, en testant des tactiques de propagande sur des civils canadiens.

    Des rapports internes parrainés par l’OTAN suggèrent que cette divulgation ne fait qu’effleurer la surface d’une vague de nouvelles techniques de guerre non conventionnelles employées par les armées occidentales dans le monde entier.

    Le Canada accueille le « Défi innovation de l’OTAN » sur la guerre cognitive

    Deux fois par an, l’OTAN organise un « événement de terrain » qu’elle qualifie de « défi de l’innovation ». Ces campagnes, organisées alternativement au printemps et à l’automne par les États membres, font appel à des entreprises privées, à des organisations et à des chercheurs pour aider à mettre au point de nouvelles tactiques et technologies pour l’alliance militaire.

    Ces défis reflètent l’influence prédominante de l’idéologie néolibérale au sein de l’OTAN, les participants mobilisant le marché libre, les partenariats public-privé et la promesse de prix en espèces pour faire avancer le programme du complexe militaro-industriel.

    Le défi Innovation de l’automne 2021 de l’OTAN2 est organisé par le Canada et s’intitule « La menace invisible : Outils pour contrer la guerre cognitive ».

    « La guerre cognitive cherche à changer non seulement ce que les gens pensent, mais aussi la façon dont ils agissent », a écrit le gouvernement canadien dans sa déclaration officielle sur le défi. « Les attaques contre le domaine cognitif impliquent l’intégration de capacités de cybernétique, de désinformation/misinformation, de psychologie et d’ingénierie sociale. »

    Le communiqué d’Ottawa poursuit : « La guerre cognitive positionne l’esprit comme un espace de combat et un domaine contesté. Son objectif est de semer la dissonance, de susciter des récits contradictoires, de polariser l’opinion et de radicaliser les groupes. La guerre cognitive peut inciter les gens à agir d’une manière qui peut perturber ou fragmenter une société autrement cohésive. »

    Des responsables militaires canadiens soutenus par l’OTAN discutent de la guerre cognitive lors d’une table ronde

    Un groupe de défense appelé l’Association OTAN du Canada s’est mobilisé pour soutenir ce défi de l’innovation, travaillant en étroite collaboration avec des entrepreneurs militaires pour inciter le secteur privé à investir dans de nouvelles recherches au nom de l’OTAN – et de ses propres résultats.

    Bien que l’Association canadienne de l’OTAN (NAOC) soit techniquement une ONG indépendante, sa mission est de promouvoir l’OTAN, et l’organisation se vante sur son site Web : « La NAOC entretient des liens étroits avec le gouvernement du Canada3 , notamment avec Affaires mondiales Canada et le ministère de la Défense nationale. »

    Dans le cadre de ses efforts pour promouvoir le Défi d’innovation de l’OTAN du Canada, le NAOC a organisé une table ronde sur la guerre cognitive4 le 5 octobre.

    Le chercheur qui a rédigé l’étude définitive sur la guerre cognitive parrainée par l’OTAN en 2020, François du Cluzel, a participé à l’événement, aux côtés d’officiers militaires canadiens soutenus par l’OTAN.

    Le panel était supervisé par Robert Baines, président de l’Association OTAN du Canada. Il était animé par Garrick Ngai, un responsable du marketing dans l’industrie de l’armement qui est conseiller auprès du ministère canadien de la Défense nationale et vice-président et directeur du NAOC. 

    M. Baines a ouvert l’événement en indiquant que les participants discuteraient de « la guerre cognitive et du nouveau domaine de concurrence, où les acteurs étatiques et non étatiques cherchent à influencer ce que les gens pensent et comment ils agissent ». Le président du NAOC s’est également réjoui des « opportunités lucratives pour les entreprises canadiennes » que promettait ce défi d’innovation de l’OTAN.

    Un chercheur de l’OTAN décrit la guerre cognitive comme « un moyen de nuire au cerveau »

    Le panel du 5 octobre a débuté avec François du Cluzel, un ancien officier militaire français qui, en 2013, a contribué à la création du NATO Innovation Hub (iHub), qu’il dirige depuis lors depuis sa base de Norfolk, en Virginie.

    Bien que l’iHub insiste sur son site Web, pour des raisons juridiques, sur le fait que les « opinions exprimées sur cette plateforme ne constituent pas des points de vue de l’OTAN ou de toute autre organisation », l’organisation est parrainée par le Commandement allié Transformation (ACT), décrit comme « l’un des deux commandements stratégiques à la tête de la structure de commandement militaire de l’OTAN. »

    L’iHub agit donc comme une sorte de centre de recherche ou de groupe de réflexion interne à l’OTAN. Ses recherches ne constituent pas nécessairement une politique officielle de l’OTAN, mais elles sont directement soutenues et supervisées par l’OTAN.

    En 2020, le commandant suprême allié Transformation (SACT) de l’OTAN a chargé du Cluzel, en tant que responsable de l’iHub, de mener une étude de six mois sur la guerre cognitive.

    M. du Cluzel a résumé ses recherches lors du panel d’octobre dernier. Il a commencé ses remarques en notant que la guerre cognitive « est actuellement l’un des sujets les plus chauds pour l’OTAN » et « est devenue un terme récurrent dans la terminologie militaire ces dernières années ».

    Bien que français, M. Du Cluzel a souligné que la stratégie de guerre cognitive « est actuellement développée par mon commandement ici à Norfolk, aux États-Unis. »

    Le responsable iHub de l’OTAN s’est exprimé à l’aide d’une présentation PowerPoint, et a commencé par une diapositive provocatrice décrivant la guerre cognitive comme « une bataille pour le cerveau. »

    « La guerre cognitive est un nouveau concept qui commence dans la sphère de l’information, c’est une sorte de guerre hybride », a déclaré M. du Cluzel.

    « Cela commence avec l’hyper-connectivité. Tout le monde a un téléphone portable », a-t-il poursuivi.
    « Cela commence par l’information car l’information est, si je puis dire, le carburant de la guerre cognitive. Mais cela va bien au-delà de la seule information, qui est une opération autonome – la guerre de l’information est une opération autonome. »

    La guerre cognitive recoupe les entreprises Big Tech et la surveillance de masse, car « il s’agit de tirer parti du big data », explique du Cluzel. « Nous produisons des données partout où nous allons. Chaque minute, chaque seconde, nous allons en ligne. Et c’est extrêmement facile de tirer parti de ces données pour mieux vous connaître et utiliser ces connaissances pour changer votre façon de penser. »

    Naturellement, le chercheur de l’OTAN a affirmé que les « adversaires » étrangers sont les agresseurs supposés qui utilisent la guerre cognitive. Mais dans le même temps, il a précisé que l’alliance militaire occidentale mettait au point ses propres tactiques.

    Du Cluzel a défini la guerre cognitive comme « l’art d’utiliser des technologies pour modifier la cognition de cibles humaines ».

    « Ces technologies, a-t-il noté, intègrent les domaines des NBIC – nanotechnologies, biotechnologies, technologies de l’information et sciences cognitives. L’ensemble forme une sorte de cocktail très dangereux qui permet de manipuler davantage le cerveau », a-t-il ajouté.

    Du Cluzel a poursuivi en expliquant que cette nouvelle méthode d’attaque exotique « va bien au-delà » de la guerre de l’information ou des opérations psychologiques (psyops).

    « La guerre cognitive n’est pas seulement une lutte contre ce que nous pensons, mais c’est plutôt une lutte contre la façon dont nous pensons, si nous pouvons changer la façon dont les gens pensent », a-t-il déclaré. « C’est beaucoup plus puissant et cela va bien au-delà de la [guerre] de l’information et des opérations psychologiques ».

    De Cluzel poursuit : « Il est crucial de comprendre qu’il s’agit d’un jeu sur notre cognition, sur la façon dont notre cerveau traite l’information et la transforme en connaissance, plutôt qu’un jeu uniquement sur l’information ou sur les aspects psychologiques de notre cerveau. Ce n’est pas seulement une action contre ce que nous pensons, mais aussi une action contre la façon dont nous pensons, la façon dont nous traitons l’information et la transformons en connaissance. »

    « En d’autres termes, la guerre cognitive n’est pas seulement un autre mot, un autre nom pour la guerre de l’information. C’est une guerre contre notre processeur individuel, notre cerveau. »

    Le chercheur de l’OTAN a souligné que « cela est extrêmement important pour nous, les militaires », car « cela a le potentiel, en développant de nouvelles armes et de nouveaux moyens de nuire au cerveau, d’engager les neurosciences et la technologie dans de très nombreuses approches différentes pour influencer l’écologie humaine… car vous savez tous qu’il est très facile de transformer une technologie civile en une technologie militaire. »

    Quant à savoir qui pourraient être les cibles de la guerre cognitive, du Cluzel a révélé que tout le monde est sur la table. « La guerre cognitive a une portée universelle, en commençant par l’individu jusqu’aux États et aux organisations multinationales« , a-t-il déclaré. « Son champ d’action est global et vise à prendre le contrôle de l’être humain, civil comme militaire. » 

    Et le secteur privé a un intérêt financier à faire progresser la recherche sur la guerre cognitive, a-t-il noté : « Les investissements massifs réalisés dans le monde entier dans le domaine des neurosciences laissent penser que le domaine cognitif sera probablement l’un des champs de bataille du futur. »

    Le développement de la guerre cognitive transforme totalement le conflit militaire tel que nous le connaissons, a déclaré M. du Cluzel, en ajoutant « une troisième dimension de combat majeure au champ de bataille moderne : à la dimension physique et informationnelle s’ajoute désormais une dimension cognitive. »

    Cela « crée un nouvel espace de compétition au-delà de ce que l’on appelle les cinq domaines d’opérations – ou domaines terrestre, maritime, aérien, cybernétique et spatial. La guerre dans l’arène cognitive mobilise un éventail plus large d’espaces de combat que ne peuvent le faire les seules dimensions physique et informationnelle. »

    En bref, les humains eux-mêmes sont le nouveau domaine contesté dans ce nouveau mode de guerre hybride, aux côtés de la terre, de la mer, de l’air, du cyberespace et de l’espace.

    L’étude de l’OTAN sur la guerre cognitive met en garde contre la « cinquième colonne embarquée »

    L’étude menée par François du Cluzel, responsable du Hub d’innovation de l’OTAN, de juin à novembre 2020, a été parrainée par le Commandement allié Transformation du cartel militaire, et publiée sous la forme d’un rapport de 45 pages en janvier 2021 (PDF)5.

    Ce document glaçant montre comment la guerre contemporaine a atteint une sorte de stade dystopique, autrefois imaginable uniquement dans la science-fiction.

    « La nature de la guerre a changé », souligne le rapport. « La majorité des conflits actuels restent en dessous du seuil de la définition traditionnellement admise de la guerre, mais de nouvelles formes de guerre sont apparues, comme la guerre cognitive (CW), tandis que l’esprit humain est désormais considéré comme un nouveau domaine de la guerre. »

    Pour l’OTAN, la recherche sur la guerre cognitive n’est pas seulement défensive, elle est aussi très offensive.

    « Développer des capacités pour nuire aux capacités cognitives des adversaires sera une nécessité », indique clairement le rapport de du Cluzel. « En d’autres termes, l’OTAN devra obtenir la capacité de sauvegarder son processus décisionnel et de perturber celui de l’adversaire. »

    Et n’importe qui peut être la cible de ces opérations de guerre cognitive : « Tout utilisateur des technologies modernes de l’information est une cible potentielle. Il vise l’ensemble du capital humain d’une nation » , ajoute sinistrement le rapport.

    « Outre l’exécution potentielle d’une guerre cognitive en complément d’un conflit militaire, elle peut également être menée seule, sans aucun lien avec un engagement des forces armées », poursuit l’étude. « De plus, la guerre cognitive est potentiellement sans fin puisqu’il ne peut y avoir de traité de paix ou de reddition pour ce type de conflit. »

    Tout comme ce nouveau mode de combat n’a pas de frontières géographiques, il n’a pas non plus de limite de temps : « Ce champ de bataille est mondial via internet. Sans début ni fin, cette conquête ne connaît aucun répit, rythmée par les notifications de nos smartphones, en tout lieu, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. »

    L’étude parrainée par l’OTAN note que « certains pays de l’OTAN ont déjà reconnu que les techniques et technologies neuroscientifiques ont un fort potentiel d’utilisation opérationnelle dans diverses entreprises de sécurité, de défense et de renseignement ».

    Elle parle de percées dans les « méthodes et technologies neuroscientifiques » (neuroS/T), et précise « l’utilisation des résultats et des produits de la recherche pour faciliter directement les performances des combattants, l’intégration d’interfaces homme-machine pour optimiser les capacités de combat des véhicules semi-autonomes (par exemple, les drones), et le développement d’armes biologiques et chimiques (c’est-à-dire les neuroarmes) ».

    Le Pentagone fait partie des principales institutions qui font avancer ces recherches inédites, comme le souligne le rapport : « Bien qu’un certain nombre de nations aient poursuivi et poursuivent actuellement des travaux de recherche et de développement neuroscientifiques à des fins militaires, les efforts les plus proactifs à cet égard ont peut-être été menés par le ministère de la défense des États-Unis, les travaux de recherche et de développement les plus notables et les plus rapides étant menés par la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) et l’Intelligence Advanced Research Projects Activity (IARPA) ».

    Selon l’étude, les utilisations militaires de la recherche en neurosciences et technologies de l’information comprennent la collecte de renseignements, la formation, « l’optimisation des performances et de la résilience du personnel de combat et de soutien militaire » et, bien sûr, « l’utilisation directe des neurosciences et des neurotechnologies à des fins militaires. »

    Cette militarisation des neurosciences et des neurotechnologies peut être et sera fatale, a clairement indiqué l’étude parrainée par l’OTAN. La recherche peut « être utilisée pour atténuer l’agression et favoriser les cognitions et les émotions d’affiliation ou de passivité ; induire la morbidité, le handicap ou la souffrance ; et « neutraliser » les adversaires potentiels ou provoquer la mortalité » – en d’autres termes, pour mutiler et tuer des gens.

    Le rapport cite le général de division américain Robert H. Scales, qui résume la nouvelle philosophie de combat de l’OTAN : « La victoire se définira davantage en termes de capture de l’avantage psychoculturel plutôt que géographique. »

    Et tandis que l’OTAN développe des tactiques de guerre cognitive pour « capturer le psycho-culturel », elle arme aussi de plus en plus divers domaines scientifiques.

    L’étude parle du « creuset des sciences des données et des sciences humaines », et souligne que « la combinaison des sciences sociales et de l’ingénierie des systèmes sera essentielle pour aider les analystes militaires à améliorer la production de renseignements. »

    « Si la puissance cinétique ne permet pas de vaincre l’ennemi, la psychologie et les sciences comportementales et sociales connexes sont appelées à combler le vide. »
    « L’exploitation des sciences sociales sera centrale dans l’élaboration du plan d’opérations du domaine humain« , poursuit le rapport. « Il soutiendra les opérations de combat en fournissant des plans d’action potentiels pour l’ensemble de l’environnement humain environnant, y compris les forces ennemies, mais aussi en déterminant les éléments humains clés tels que le centre de gravité cognitif, le comportement souhaité comme état final. »

    Toutes les disciplines universitaires seront impliquées dans la guerre cognitive, et pas seulement les sciences dures. « Au sein de l’armée, les compétences en anthropologie, ethnographie, histoire, psychologie, entre autres, seront plus que jamais nécessaires pour coopérer avec les militaires », indique l’étude parrainée par l’OTAN.

    Le rapport s’achève sur une citation inquiétante : « Les progrès réalisés aujourd’hui dans les domaines des nanotechnologies, des biotechnologies, des technologies de l’information et des sciences cognitives (NBIC), dopés par la marche apparemment imparable d’une troïka triomphante composée de l’intelligence artificielle, du Big Data et de la « dépendance numérique » civilisationnelle, ont créé une perspective bien plus inquiétante : une cinquième colonne embarquée, où chacun, à son insu, se comporte selon les plans de l’un de nos concurrents. »

    « Le concept moderne de la guerre n’est pas une question d’armes mais d’influence », posait-il. « La victoire à long terme restera uniquement dépendante de la capacité à influencer, affecter, changer ou avoir un impact sur le domaine cognitif. »

    L’étude parrainée par l’OTAN se termine ensuite par un paragraphe final qui indique sans ambiguïté que l’objectif ultime de l’alliance militaire occidentale n’est pas seulement le contrôle physique de la planète, mais aussi le contrôle de l’esprit des gens :
    « La guerre cognitive pourrait bien être l’élément manquant qui permet de passer de la victoire militaire sur le champ de bataille à un succès politique durable. Le domaine humain pourrait bien être le domaine décisif, dans lequel les opérations multi-domaines permettent d’obtenir l’effet souhaité par le commandant. Les cinq premiers domaines peuvent donner des victoires tactiques et opérationnelles ; seul le domaine humain peut donner la victoire finale et complète. »

    Un officier canadien des opérations spéciales souligne l’importance de la guerre cognitive

    Lorsque François du Cluzel, le chercheur de l’OTAN qui a mené l’étude sur la guerre cognitive, a conclu ses remarques dans le cadre du panel de l’Association canadienne de l’OTAN du 5 octobre, il a été suivi par Andy Bonvie, un commandant du Centre canadien d’entraînement aux opérations spéciales.

    Fort de plus de 30 ans d’expérience au sein des Forces armées canadiennes, M. Bonvie a parlé de la façon dont les armées occidentales utilisent les recherches menées par M. du Cluzel et d’autres, et incorporent de nouvelles techniques de guerre cognitive dans leurs activités de combat.

    « La guerre cognitive est un nouveau type de guerre hybride pour nous », a déclaré Bonvie. « Et cela signifie que nous devons examiner les seuils traditionnels de conflit et comment les choses qui sont faites sont vraiment en dessous de ces seuils de conflit, les attaques cognitives, et les formes non cinétiques et les menaces non combatives pour nous. Nous devons mieux comprendre ces attaques et adapter leurs actions et notre formation en conséquence pour pouvoir opérer dans ces différents environnements. »

    Bien qu’il ait présenté les actions de l’OTAN comme étant « défensives », affirmant que les « adversaires » utilisaient la guerre cognitive contre eux, Andy Bonvie a été sans ambiguïté sur le fait que les armées occidentales développent elles-mêmes ces techniques, afin de conserver un « avantage tactique. »
    « Nous ne pouvons pas perdre l’avantage tactique pour nos troupes que nous plaçons à l’avant, car il s’étend non seulement sur le plan tactique, mais aussi sur le plan stratégique », a-t-il déclaré. « Certaines de ces différentes capacités dont nous disposons et dont nous bénéficions tout à coup pourraient être pivotées pour être utilisées contre nous. Nous devons donc mieux comprendre la rapidité avec laquelle nos adversaires s’adaptent aux choses, puis être en mesure de prédire où ils vont dans le futur, afin de nous aider à être et à maintenir l’avantage tactique pour nos troupes à l’avenir. »

    La guerre cognitive est la forme de manipulation la plus avancée à ce jour

    Marie-Pierre Raymond, un lieutenant-colonel canadien à la retraite qui occupe actuellement le poste de « scientifique de la défense et gestionnaire de portefeuille d’innovation » pour le programme d’innovation pour l’excellence et la sécurité de la défense des Forces armées canadiennes, a également rejoint le panel du 5 octobre.

    « Il est loin le temps où la guerre était menée pour acquérir plus de terres » , a déclaré Raymond. « Maintenant, le nouvel objectif est de changer les idéologies des adversaires, ce qui fait du cerveau le centre de gravité de l’humainEt cela fait de l’humain le domaine contesté, et l’esprit devient le champ de bataille. »

    « Lorsque nous parlons de menaces hybrides, la guerre cognitive est la forme de manipulation la plus avancée vue à ce jour », a-t-elle ajouté, notant qu’elle vise à influencer la prise de décision des individus et « à influencer un groupe d’individus sur leur comportement, dans le but d’obtenir un avantage tactique ou stratégique. »

    Raymond a noté que la guerre cognitive recoupe aussi fortement l’intelligence artificielle, le big data et les médias sociaux, et reflète « l’évolution rapide des neurosciences comme outil de guerre. »

    Raymond aide à superviser le Défi innovation automne 2021 de l’OTAN au nom du ministère de la Défense nationale du Canada, qui a délégué les responsabilités de gestion au programme Innovation pour l’excellence et la sécurité de la défense (IDEaS) de l’armée, où elle travaille.

    Dans un jargon très technique, Mme Raymond a indiqué que le programme de guerre cognitive n’est pas uniquement défensif, mais aussi offensif : « Ce défi appelle une solution qui soutiendra le domaine humain naissant de l’OTAN et fera démarrer le développement d’un écosystème de la cognition au sein de l’alliance, et qui soutiendra le développement de nouvelles applications, de nouveaux systèmes, de nouveaux outils et concepts menant à des actions concrètes dans le domaine cognitif. »

    Elle a souligné que cela « nécessitera une coopération soutenue entre les alliés, les innovateurs et les chercheurs pour permettre à nos troupes de combattre et de gagner dans le domaine cognitif. C’est ce que nous espérons voir émerger de cet appel aux innovateurs et aux chercheurs. »

    Pour susciter l’intérêt des entreprises pour le défi d’innovation de l’OTAN, Mme Raymond a déclaré : « Les candidats bénéficieront d’une visibilité nationale et internationale et recevront des prix en espèces pour la meilleure solution. » Elle a ensuite ajouté de façon alléchante : « Les candidats pourraient également en bénéficier en leur donnant potentiellement accès à un marché de 30 pays. »

    Un officier militaire canadien appelle les entreprises à investir dans la recherche de l’OTAN sur la guerre cognitive

    L’autre institution qui gère le défi d’innovation de l’OTAN de l’automne 2021 au nom du ministère de la Défense nationale du Canada est le Commandement des forces d’opérations spéciales (CANSOFCOM). 

    Un officier militaire canadien qui travaille avec le COMFOSCAN, Shekhar Gothi, était le dernier panéliste de l’événement organisé par l’Association OTAN du Canada le 5 octobre. M. Gothi est l’ « officier d’innovation » du COMFOSCAN pour le sud de l’Ontario.

    Il a conclu l’événement en lançant un appel aux entreprises pour qu’elles investissent dans la recherche sur la guerre cognitive de l’OTAN.

    Le Défi Innovation semestriel fait « partie du rythme de combat de l’OTAN », a déclaré M. Gothi avec enthousiasme.

    Il a fait remarquer qu’au printemps 2021, le Portugal a organisé un défi d’innovation de l’OTAN6 axé sur la guerre dans l’espace.

    Au printemps 2020, les Pays-Bas ont accueilli un défi d’innovation de l’OTAN7 axé sur le Covid-19.

    M. Gothi a rassuré les investisseurs en leur disant que l’OTAN se pliera en quatre pour défendre leurs résultats : « Je peux assurer à tous que le défi d’innovation de l’OTAN indique que tous les innovateurs conserveront le contrôle total de leur propriété intellectuelle. L’OTAN ne prendra donc pas le contrôle de cette propriété. Le Canada non plus. Les innovateurs conserveront le contrôle de leur propriété intellectuelle. »

    Ce commentaire était une conclusion appropriée au panel, affirmant que l’OTAN et ses alliés du complexe militaro-industriel cherchent non seulement à dominer le monde et les humains qui s’y trouvent avec des techniques de guerre cognitive troublantes, mais aussi à s’assurer que les entreprises et leurs actionnaires continuent de profiter de ces efforts impériaux.

    Jeanne Traduction

    Sources :

    Source de l’article : https://thegrayzone.com/2021/10/08/nato-cognitive-warfare-brain/




    Covid-19 : dérive totalitaire et psychopathologie collective

    [Source : Anthropo-logiques]

    J’ai eu l’occasion d’effectuer une présentation la semaine passée au Conseil scientifique indépendant sur ce thème, développé peu auparavant dans un article sur ce blog intitulé « Viol des esprits et psychose de masse« .

    La plupart de nos concitoyens n’arrivent en effet pas à comprendre ce dans quoi nous sommes réellement engagés. Dans un état d’esprit présentant les caractéristiques croisées d’un état hypnotique et psychotraumatique (allant jusqu’au fameux « syndrome de Stockholm »), ils s’illusionnent majoritairement sur le fait que nous sommes dans une simple parenthèse de limitation de nos droits fondamentaux due à une terrible pandémie. Cette limitation et les mesures de contrainte, brutales, qui nous sont imposées servant à nous protéger le temps que passe cette menace et que nous puissions revenir « au monde d’avant. »

    Cette erreur de perspective est tellement massive (mais aussi tellement grave) que j’ai repris les analyses des meilleurs auteurs sur cette question et sorti (comme toujours) les critères d’évaluation validés en la matière. Lesquels montrent que nous sommes déjà profondément engagés dans une dérive totalitaire, bien plus loin que nous pouvons pour la plupart d’entre nous le penser.

    Comme toujours, je demande à mes lecteurs ou interlocuteurs de ne surtout pas me croire sur parole, mais d’avoir le courage d’affronter les éléments et analyses que je soumets à leur compréhension. Lesquels éléments et analyses proviennent bien sûr de sources bien plus compétentes et reconnues que je le suis moi-même.

    Voici donc la vidéo, avec le fichier (en format pdf téléchargeable) de cette présentation :



    • Présentation au format pdf, pour télécharger : cliquer ici.

    Cette présentation a été précédée d’une intervention passionnante de Patrice Gibertie, historien et auteur d’un blog hautement recommandable, sur le thème  « Approche géopolitique et géographique des traitements : du paracétamol au Molnupiravir ».


    [Voir aussi :
    Crise Covid : comment sortir de l’hypnose négative ? – Du problème aux solutions
    LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse
    Alexandre Boisson, ex-policier du GSPR : Covid-19, manipulation des foules & résilience alimentaire
    Comment la peur court-circuite le raisonnement
    William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
    Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
    Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
    Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »
    Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave (arianebilheran.com)
    Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
    « Covid 19, un virus et des hommes » : petit essai de psychopathologie apocalyptique
    Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
    Les mécanismes des régimes totalitaires
    Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
    Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
    La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
    Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose
    Comment on manipule pour avoir le consentement
    Le contrôle mental au temps du Covid
    Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid
    Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain
    Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !
    Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie
    De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
    Éteignez la télévision – La programmation neurolinguistique a été utilisée contre les populations dans de nombreux pays et le Royaume-Uni pourrait être aux commandes
    Soumission à l’autorité : l’obéissance n’est pas ce que Stanley Milgram croyait
    Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés
    Le cerveau électronique
    Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
    Covid-19 : La destruction systématique de la psyché humaine
    Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population]




    Quelques députés européens s’élèvent contre les mesures discriminatoires covidiennes

    [Source : Quadrillage Traduction]

    Les députés européens se positionnent contre le pass vert sanitaire — Conférence de presse du 28 octobre 2021 à Bruxelles



    Transcription et traduction par Quadrillage Traduction

    Cristian TERHES — Roumanie

    Déjà en ligne. Tout va bien. Cool. Eh bien, merci beaucoup d’être à nouveau ici avec nous. Une semaine s’est écoulée depuis la dernière conférence que nous avons tenue à Strasbourg, où nous avons fait part de nos profondes inquiétudes quant à ce qui était prévu au Parlement, en particulier la décision du Bureau des dirigeants du Parlement de priver pratiquement tout le personnel, nos assistants et nous-mêmes en tant qu’élus directs par les citoyens européens, toutes ces personnes vont être privées de leurs droits fondamentaux, le droit de travailler, le droit de décider ce qu’elles veulent faire de leur propre corps. Et néanmoins, dans notre cas, le droit que nous avons et les immunités parlementaires que nous avons en tant qu’élus par le peuple de ne pas être influencés de quelque manière que ce soit lorsque nous accomplissons notre mandat. Donc chacun d’entre nous qui sommes présents ici et beaucoup d’entre nous sont à la maison pour nous soutenir, nous avons cette situation de pandémie, beaucoup d’entre nous à cause de toutes ces mesures sont à la maison, mais ils sont tous derrière nous. Nous sommes donc à nouveau ici aujourd’hui pour exprimer exactement ce qui s’est passé. Chacun d’entre nous va présenter de son point de vue ce qui s’est passé au cours de cette semaine au Parlement, et quel est le plan en cours. J’ai à ma gauche, ma collègue d’Italie, Francesca Donato, ma collègue d’Allemagne, Christine Anderson, une autre collègue du groupe similaire. Et à ma droite, j’ai mon collègue de Croatie, Ivan SINCIC. Et une autre collègue de Croatie, KOULOKTSIC;. Est-ce correct ? Oui, en fait c’est Mislav KOLAKUSIC;. Je sais que c’est difficile avec tous ces noms, mais ce qui est amusant c’est que nous sommes du même côté, venant de pays différents, et nous soutenons exactement la même chose, le respect des droits fondamentaux de chaque personne travaillant pour le Parlement et de chaque citoyen européen. Donc, sans plus attendre, j’aimerais que ma collègue Christine Anderson prenne la parole.

    Christine Anderson — Allemagne

    Oui, bonjour. Tout d’abord, merci beaucoup à tous ceux d’entre vous qui se sont donné beaucoup de mal pour nous exprimer leur soutien dans une quantité écrasante de courriels. Merci beaucoup. Nous faisons cela pour vous. Dans toute l’Europe, les gouvernements ont fait des efforts considérables pour que les gens soient vaccinés. On nous a promis que les vaccinations allaient changer la donne et restaurer notre liberté. Il s’avère que rien de tout cela n’était vrai. Le vaccin ne vous rend pas immunisé. Vous pouvez toujours contracter le virus et vous pouvez toujours être contagieux. La seule chose que ce vaccin a faite à coup sûr, c’est de déverser des milliards et des milliards de dollars dans les poches des entreprises pharmaceutiques. J’ai voté contre le certificat vert numérique en avril dernier. Malheureusement, il a été adopté malgré tout, ce qui montre bien qu’il n’y a qu’une minorité de députés européens qui défendent vraiment les valeurs européennes. La majorité des députés européens, pour des raisons que je ne connais pas, soutiennent manifestement l’oppression du peuple tout en prétendant sans vergogne le faire pour le bien du peuple. Mais ce n’est pas le but qui rend un système oppressif, ce sont toujours les méthodes par lesquelles le but est poursuivi. Chaque fois qu’un gouvernement prétend avoir à cœur l’intérêt du peuple, il faut y réfléchir à deux fois. Dans toute l’histoire de l’humanité, il n’y a jamais eu d’élite politique sincèrement préoccupée par le bien-être des gens ordinaires. Qu’est-ce qui nous fait croire que c’est différent aujourd’hui ? Si le siècle des Lumières a apporté quelque chose, c’est certainement ceci : ne prenez jamais pour argent comptant ce qu’un gouvernement vous dit. Remettez toujours en question tout ce qu’un gouvernement fait, ou ne fait pas. Cherchez toujours les arrière-pensées et demandez toujours Cui Bono à qui cela profite. Lorsqu’une élite politique fait pression à ce point et recourt à l’extorsion et à la manipulation pour arriver à ses fins, vous pouvez presque toujours être sûr que votre intérêt n’est certainement pas celui qu’elle avait à cœur. En ce qui me concerne, je ne me ferai pas vacciner avec quoi que ce soit qui n’a pas été correctement examiné et testé et qui n’a pas montré de preuves scientifiques solides que les avantages l’emportent sur la maladie elle-même ni sur les effets secondaires à long terme dont nous ne savons rien à ce jour. Je ne serai pas réduite à un simple cobaye en me faisant vacciner avec un médicament expérimental. Et je ne me ferai certainement pas vacciner parce que mon gouvernement me le demande et me promet qu’en échange, il me donnera la liberté. Soyons clairs sur un point : PERSONNE NE M’ACCORDE LA LIBERTÉ puisque JE SUIS UNE PERSONNE LIBRE. J’ose donc prendre le risque que la Commission européenne et le gouvernement allemand me jettent en prison, m’enferment et jettent la clé si ça leur chante. Mais vous ne pourrez jamais me contraindre à me faire vacciner si le citoyen libre que je suis choisit de ne pas se faire vacciner. Enfin, je voudrais que vous réfléchissiez à cette question. L’utilisation obligatoire du certificat vert numérique porte atteinte à tout ce que les Européens défendent. Elle viole les droits fondamentaux garantis par la Constitution et constitue le premier pas vers l’insupportable système de crédit social chinois. Je ne tolérerai jamais cela. Je ne supporterai jamais cela. Merci.

    Francesca DONATO — Italie

    Merci.

    Merci, Christine. Je suis d’accord avec presque tout ce que vous avez dit, mais ce que je veux ajouter ici, c’est que ce dont nous discutons aujourd’hui et ce qui devrait nous inquiéter n’est pas une question d’être pour ou contre les vaccins Covid. La question aujourd’hui est de savoir si nous sommes censés laisser les citoyens européens sans la sauvegarde de leurs droits fondamentaux et précisément le droit d’avoir un emploi, d’être traité de manière égale par les institutions sans aucune discrimination et le droit de protéger l’intégrité de leur corps en choisissant une liberté complète, celle d’accepter ou non un traitement sanitaire. Tous les citoyens doivent être libres de choisir les risques qu’ils veulent courir pour leur propre santé et ceux qu’ils ne sont pas prêts à affronter. L’obligation de faire fonctionner les certificats Covid n’est qu’une extorsion du consentement à un choix personnel sur son propre corps et viole les droits de l’homme tels qu’ils sont inscrits dans la charte européenne et dans de nombreuses lois de l’UE. Nous sommes ici pour appeler au respect des valeurs fondamentales européennes et de la liberté, à la non-discrimination, et à la dignité humaine. Si nous acceptons le mandat d’un certificat numérique pour l’exercice de nos droits fondamentaux, nous ne bénéficierons plus de ces droits en tant qu’êtres humains, mais nous serons soumis à l’autorisation de certaines autorités pour vivre notre vie en liberté. Est-ce là le modèle de société dans lequel nous voulons vivre ? Est-ce là l’Europe que nous avons été élus pour représenter ? Les droits de l’homme sont-ils facultatifs selon nos valeurs fondamentales ? Ma réponse est NON, NON, NON ! !! Nous avons reçu notre mandat directement des citoyens européens et nous leur devons un respect total avant tout autre sujet privé ou public. Personne, aucune instance n’est légitimée à nous empêcher d’exercer notre mandat sauf si nous commettons un crime et que le Parlement tout entier décide de révoquer l’immunité diplomatique que les traités nous accordent. Le Bureau du Parlement ne peut pas violer les garanties de nos députés pour quelque raison que ce soit, et il ne peut pas non plus restreindre les droits des travailleurs européens. Nous défendrons nos droits et vos droits par tous les moyens, qu’ils soient juridiques, politiques ou physiques. L’heure n’est plus à la peur et à l’hésitation. Aujourd’hui, il est grand temps d’être courageux et unis. C’est ce que nous sommes. Merci,

    Ivan SINCIC — Croatie

    Merci beaucoup, mes chers collègues. Cette semaine encore, nous sommes ici pour dire non à la discrimination et non à la ségrégation. Nous sommes ici pour défendre les droits fondamentaux et les droits de l’homme. Je vais le répéter. Le certificat vert numérique est illogique, il n’est pas scientifique et il est inutile pour résoudre cette crise. Au contraire, il donne aux personnes qui le portent un faux sentiment de sécurité, qu’elles ne peuvent pas être infectées elles-mêmes ou infecter les autres. De plus en plus de données scientifiques et d’expériences quotidiennes le confirment. La DGC ne concerne pas ici notre santé. Il s’agit de politique. Il s’agit de droits. Partout en Europe, des politiques ont été mises en place qui ont volé la vie normale des gens. Les gouvernements font de plus en plus de chantage aux citoyens. Le gouvernement croate admet ouvertement que les DGC ne sont qu’une pression supplémentaire sur ceux qui ne veulent pas se faire vacciner pour une raison quelconque. Vous ne pouvez pas avoir une vie normale si vous n’avez pas de DGC. Vous ne pouvez pas avoir vos libertés si vous n’avez pas de DGC. D’un autre côté, les personnes en bonne santé sont privées de leurs libertés et de leurs droits constitutionnels. Ils ne vont pas arrêter, mes amis. Il faut les arrêter. Cela ne va pas s’arrêter tout seul. Cela va s’étendre. Cela viendra à votre porte. Il fera chanter votre vie, chaque partie de votre vie. C’est pourquoi nous disons continuellement non. Nous avons nos droits inaliénables. Cela signifie que personne ne peut nous les enlever. Nous avons des documents internationaux tels que la Convention d’Oviedo, le Code de Nuremberg, les résolutions des Conseils de l’Europe, ou divers types, les conventions de bioéthique, etc. Ces documents ne signifient-ils plus rien ? N’ont-ils pas été, au moins pour certains d’entre eux, ratifiés par notre Parlement ? N’ont-ils pas été un standard immuable ? Depuis des décennies ? Bien sûr que si. Et les constitutions nationales ? N’ont-elles pas plus de valeurs ? Si, elles en ont. Et nous avons même des décisions de cours constitutionnelles en Europe qui montrent que tout cela est mauvais et que les libertés ne peuvent pas être supprimées et que les amendes qui ont été imposées aux citoyens qui voulaient simplement être libérés de la nature obligatoire de tout cela, que ces amendes doivent être supprimées et que l’argent doit être rendu à ces citoyens.

    Ces documents et normes que j’ai mentionnés sont toujours en vigueur. Ils n’ont pas été retirés du pouvoir simplement parce qu’un gouvernement a fait pression avec une politique différente. Ils sont toujours en vigueur et ils le seront toujours. Et nous nous battrons pour ces normes et documents, et nous les invoquons. Une autre norme que nous avons est que les citoyens européens ont le droit de choisir leur propre thérapie pour n’importe quelle maladie, y compris le Covid 19. Ils ont le droit, en consultation avec leur médecin, avec leur médecin de famille, de faire les meilleurs choix pour leur santé. Qu’il s’agisse d’un vaccin ou d’un traitement, ou de tout ce qui sera inventé. C’est votre propre choix en tant que patient. Aucun gouvernement ne peut vous contraindre à choisir un certain type de produit médical. Le certificat vert numérique est un problème européen. Ce n’est pas seulement un problème de l’Italie ou de la Lituanie ou du Parlement européen maintenant, le bâtiment du Parlement européen. C’est un problème européen. C’est un problème commun. Ce n’est pas le problème d’un seul pays européen. C’est un problème qui nous concerne tous. Cela ne sera pas limité, comme je l’ai dit, à un seul pays, cela viendra à votre porte. Et plus tôt nous dirons non, plus fort sera le message que nous enverrons. J’appelle tous les peuples libres d’Europe à résister à la DGC partout où ils le peuvent. Luttez pour vos droits.

    Merci ;

    Cristian TERHES

    Nous avons été élus par le peuple. C’est ce que dit le Traité. Mais nous ne devons pas oublier que nous sommes élus ici POUR les gens. Nous devons avoir à l’esprit le meilleur intérêt des gens, parce que c’est la raison pour laquelle ils nous ont élus ici au Parlement européen. Tous ces dirigeants du Parlement européen aiment se féliciter eux-mêmes, chaque fois qu’ils vont en conférence de presse pour dire que c’est l’institution la plus démocratique de l’Union européenne. La question qu’il faut leur poser est la suivante : est-ce vraiment le cas ? Avez-vous dit à ces personnes au Parlement européen quand vous avez décidé de supprimer leurs droits fondamentaux, pourquoi vous l’avez fait ? Vous voyez, nous avons tous ces traités, comme l’a dit mon collègue, selon lesquels aucun traitement médical ne doit vous être imposé à moins que vous n’en décidiez librement et en connaissance de cause. Maintenant, il est clair que ce qu’ils font maintenant pour conditionner les acteurs du Parlement, pour avoir ce certificat vert, viole la liberté des gens de choisir avec quoi ils veulent être vaccinés ou testés ? Mais il y a l’autre aspect, et la question que j’ai adressée non seulement à vous, au Parlement, mais à chaque citoyen européen, de demander à votre propre gouvernement. Avez-vous été correctement informés de ce qui se passe ? Parce que nous avons eu beaucoup de débats au début de cette année au Parlement où nous avons demandé un accès complet au contrat signé entre ces sociétés qui produisent les vaccins et l’Union européenne. Et je cite un article d’EUROACTIV qui dit ce qui suit, article du 22 janvier 2021 qui dit ce qui suit :  « le contrat signé entre l’entreprise pharmaceutique et la Commission européenne en novembre 2020 a été mis à disposition mardi dans un format rédigé après que l’entreprise ait accepté d’ouvrir le contrat à l’examen ». Quoi ? Quoi ? Vous imposez donc un produit médical aux citoyens européens. Nous avons découvert qu’ils savaient ce qu’il y a dans ce contrat, pas seulement eux, mais nous, nous ne le savons pas. Donc après beaucoup de pression au Parlement, comme le dit l’article, ces contrats ont été divulgués à nous et au public. Et je veux vous montrer certaines de ces pages. Et vous me direz s’il est acceptable que les citoyens européens soient exposés à cette situation où ils ne peuvent pas venir travailler, où ils ne peuvent pas entrer dans un magasin, où ils ne peuvent pas aller à l’école avec leurs enfants, où ils ne peuvent pas se déplacer librement d’un pays à l’autre à moins d’être vaccinés avec l’un de ces produits. Voilà donc les contrats qui ont été divulgués par la Commission avec l’approbation de l’entreprise. C’est du jamais vu. Et je vais juste vous montrer les pages. Ce sont les pages, vous voyez. (Les articles des pages sont entièrement noircies, NDLR).

    Rires du public.

    Ils appellent ça la transparence de nos jours…

    C’est donc le principe fondamental de la démocratie. Je vous demande, les gars, est-ce de la transparence ? Est-ce que vous voyez quelque chose ? Parce que nous ne voyons rien ! L’argent des citoyens européens a été donné par Ursula von Der Leyen à ces entreprises. Que s’est-il passé avec cet argent ? Où est-il ? Pourquoi ne sont-ils pas disponibles pour le peuple et totalement transparents ? Pour que nous sachions tous ce qui se passe. La différence entre la tyrannie et la démocratie est très simple : lorsque le gouvernement sait tout sur vous, c’est la tyrannie. Je sais ce que c’est que de vivre dans la tyrannie. Quand vous savez tout sur votre gouvernement, c’est la démocratie. C’est pourquoi nous sommes en train de faire l’éloge de cette institution. C’est l’institution la plus démocratique de l’Union européenne et même nous, les députés, élus directement par le peuple, pour le peuple, nous n’avons pas été en mesure de voir dans ce contrat. Donc comme nous l’avons dit la semaine dernière, nous sommes là pour vous et nous nous battrons pour vous. Je sais que beaucoup d’entre vous luttent dans toute l’Europe et que beaucoup d’entre vous travaillant pour les institutions européennes luttent en ce moment. Mais un ancien président américain a dit que la liberté était à une génération de l’extinction. Nous vivons ce genre de moment maintenant, et c’est notre devoir et notre appel à combattre la liberté. Merci.

    Eamonn KELLY — République d’Irlande

    Mon nom est Eamonn Kelly. Je suis l’attaché de presse pour aujourd’hui. Je demande à tous les journalistes ici présents, et seulement aux journalistes, s’il vous plaît, car c’est une conférence de presse, de lever la main. Dites-moi votre nom, votre organisation médiatique, et je prendrai une question. Donc tous les journalistes présents ici, pouvez-vous s’il vous plaît lever la main ? De la bonne volonté, s’il vous plaît.

    Journaliste 1

    (Présentation inaudible). Il est clair qu’autour du passeport vert dans toute l’Europe, d’accord, il est clair que vous n’en voulez pas. Avez-vous une idée d’une alternative que vous voulez proposer, ou pensez-vous que nous devrions juste faire comme si rien ne se passait et vivre notre vie normalement et en ce qui concerne l’obligation de vaccination, le pass vert est aussi un test pour être testé. Vous n’êtes pas obligé de vous faire vacciner. Vous pouvez vous faire tester, notamment au Parlement européen où vous avez le privilège d’avoir des tests gratuits, ce que d’autres personnes n’ont pas, ne pensez-vous pas que ce serait une alternative pour vous de passer un test ? Merci.

    Francesca DONATO

    Merci. Eh bien, le fait est qu’il n’est pas vrai que dans toute l’Europe nous avons des certificats Covid exigés pour exercer notre liberté. Le certificat Covid a été introduit par ce Parlement juste pour favoriser la libre circulation entre les Etats membres au moment où les frontières étaient fermées à cause de la propagation de la pandémie. Et c’est la raison pour laquelle le Parlement a voté cette mesure avec la garantie de ne permettre aucune discrimination entre les citoyens et surtout pour les citoyens non vaccinés. Ce que nous voyons aujourd’hui est un abus de ce certificat, une distorsion de son objectif initial. Et l’alternative est de laisser les gens libres d’exercer leurs droits, leurs droits à la libre circulation, le droit au travail, le droit de vivre une vie pleine et entière dans la dignité, parce que les tests sont un traitement médical et nous ne pouvons pas être forcés même à faire des tests toutes les 48 heures, parce qu’imposer des tests seulement aux personnes non vaccinées est juste une discrimination parce que cela introduit une sorte de présomption, une présomption absolue d’être infectieux pour les personnes qui ne sont pas vaccinées, ce qui est totalement infondé du point de vue scientifique, parce que les personnes non vaccinées sont très souvent immunisées contre le Covid pour la guérison ou en tout cas, sont des personnes saines, parfaitement saines. Et le risque d’être infecté n’est pas lié au fait d’être vacciné ou non. Donc il n’y a aucune base légale ou scientifique pour cette mesure.

    Eamonn KELLY

    Merci beaucoup. Puis-je avoir d’autres journalistes ici avec des questions, s’il vous plaît ? Eh bien, puis-je demander au journaliste en ligne là-bas de l’ANSA de lever la main et de poser une question.

    Cristian TERHES

    Oui, je vois qu’il y a une question de Laura ZORMOZA. Je vais lire la question à haute voix. « Je me demandais si les intervenants prévoient une action contre le Parlement européen ou quelles sont les prochaines étapes pour ce groupe ? »

    Nous avons déjà eu deux conférences de presse et je dirais que ce n’est que le début de ce qui va arriver. Et comme nous l’avons dit aujourd’hui, nous utiliserons tous les outils démocratiques disponibles pour lutter pour les droits de chacun. Néanmoins, nous ne devons jamais oublier que nous sommes censés vivre dans une Union européenne où la liberté doit être considérée comme un droit fondamental et inaliénable. Personne ne devrait négocier sur nos libertés. Et nous en sommes à un point où même dans cette maison, au Parlement européen, un petit groupe de personnes a décidé unilatéralement que les députés, nos assistants et les employés du Parlement, beaucoup d’entre eux travaillent pour ces institutions, pour ces institutions depuis des décennies. Mais malheureusement, beaucoup d’entre eux ont des problèmes de santé. Et je veux lire ce qu’une personne travaillant pour le Parlement m’a envoyé, et je pense que beaucoup d’Européens peuvent ressentir la douleur de cette personne. Cette personne nous a écrit et nous a dit : « Je vous écris parce qu’on m’a reconnu une grave maladie neurodégénérative. Pour cela, j’ai évité de me faire vacciner. Je ne souhaite pas que ma maladie s’aggrave et que je perde mon fragile équilibre de santé que j’ai à peine atteint jusqu’à présent. Selon la communication du Secrétaire Général du Parlement européen envoyée hier, je devrais être testé une à deux fois par semaine avec toutes les conséquences liées à la détresse. Ont-ils pensé au fait que des personnes comme moi, désireuses de travailler, d’être actives, se découragent et s’épuisent devant les complications d’un laissez-passer vert ? “Nous passons toutes ces résolutions en plénière où nous reconnaissons tous les droits des personnes qui sont malades, qui ont différents handicaps. Beaucoup d’entre eux travaillent pour cette maison. Ils veulent servir les citoyens. Donc ce qui a été imposé hier ici, cela affecte leur droit fondamental. Donc, pour répéter ce que j’ai dit, nous ferons TOUT ce qu’il faut pour nous battre pour la liberté de chaque citoyen européen.

    Eamonn KELLY

    Merci beaucoup. Je voudrais demander à Pietro de l’ANSA, l’agence italienne. Vous avez la main levée. Si vous pouvez essayer de faire fonctionner votre micro, nous serons heureux d’entendre votre accent transalpin. Essayez juste ce micro…

    Pouvez-vous appuyer sur le bouton ‘parler’ et ne soyez pas timide.

    Pietro (Journaliste 2)

    Vous m’entendez maintenant ? OK. Bonjour à tous. Une question très rapide. Vous avez parlé du personnel du Parlement européen, et je me demandais si vous avez un contact direct avec l’une des organisations ou l’Union et si vous avez une idée des personnes qui pourraient être affectées par cette décision ?

    Cristian TERHES

    Je peux répondre rapidement à cette question. Oui. Nous avons été contactés par de nombreux syndicats du personnel, et il y a de nombreuses discussions entre les membres du personnel, et nous verrons comment cela va évoluer. Mais je dois vous dire que les gens sont très inquiets, les personnes en bonne santé ou celles qui ont certains problèmes de santé sont toutes inquiètes parce que ce mandat conditionne leur droit fondamental au travail. Ils réalisent, OK, nous acceptons cela maintenant. Mais où cela va-t-il s’arrêter ? Que vont-ils nous imposer ensuite ? Nous venons de recevoir un message de quelqu’un qui a dit que même les grands-parents et les parents ne pourront pas amener leurs enfants dans un jardin d’enfants que nous avons ici près de chez nous, à moins qu’ils n’aient un certificat vert. Ainsi, même dans le cadre de la loi belge, ces règles ne sont pas appliquées pour une raison ou une autre. Le Parlement européen veut donner l’exemple d’une institution totalitaire à ses employés.

    (inaudible)

    Exactement.

    Eamonn Kelly

    Bien. Y a-t-il d’autres journalistes présents ici ? D’autres questions en ligne, s’il vous plaît ?

    OK. Merci beaucoup à tous d’être venus. Juste un dernier commentaire de la part de Madame…

    Christine ANDERSON

    J’aimerais également faire un commentaire sur la question du collègue italien. Vous vous posiez la question à savoir si les tests n’étaient pas un problème, si nous pouvions le faire. Je m’oppose fermement à cette idée, car vous devez certainement reconnaître que le fait de tester les personnes non vaccinées n’est qu’un moyen de faire pression sur ces personnes pour qu’elles se fassent finalement vacciner. Cela n’a aucun sens, puisque, comme je l’ai souligné, même les personnes vaccinées seront infectieuses. Donc, si vous êtes vraiment soucieux d’arrêter la propagation de ce virus, alors vous devez tester toutes les personnes, point final. C’est pourquoi les tests sont inacceptables. Merci.

    Eamonn KELLY

    Désolé. D’autres questions ? Eh bien, c’est seulement pour les journalistes, s’il vous plaît. Donc je suis désolé pour ça. Il n’y a personne d’autre en ligne. Et je voudrais remercier tout le monde d’être venu, tous les journalistes qui sont venus et nos courageux députés européens qui ont pris position, qui veulent être des gens libres dans un pays libre. Merci beaucoup à tous. Et bonne continuation.




    La société française vire-t-elle à la société chinoise, sans l’accord des citoyens ? Entre fraude Pfizer et G20 en jet

    Par Nicole Delépine

    Un beau combat citoyen pour une triste issue à ce jour : « urgence sanitaire » prorogée jusqu’en juillet 2021 ? Le vote du 5 novembre redressera-t-il la barre en rendant l’honneur à notre chambre des députés ?

    En France, l’épidémie est terminée depuis plusieurs mois

    L’existence d’une épidémie ne doit pas se mesurer sur des tests non fiables qui donnent une majorité de faux positifs, mais sur l’incidence des malades (ceux qui ont des signes et qui consultent leurs médecins) et sur la mortalité constatée. Or le réseau Sentinelles démontre chaque jour que l’épidémie de coronavirus est terminée (incidence de 5/100000 habitants) et que les virus qui courent comme à chaque automne sont des VRS ou des métapneumovirus :

    De même la mortalité quotidienne rapportée publiée par l’OMS est descendue à une moyenne de 25/jour soit 2 % la mortalité globale :

    Mais l’Assemblée nationale a prorogé le 4 novembre à 3 h du matin l’état d’urgence sanitaire

    et en même temps remis en selle les amendements supprimés par le Sénat, comme la suppression du secret médical qui permettra aux directeurs d’école (qui n’avaient rien demandé) de connaître le statut vaccinal des élèves. Ils étaient 275 présents.(([1] Si la Constitution est réécrite un jour il faudra légiférer entre autres, sur les quorums et les séances de nuit et sur les procédures accélérées sans aucun fondement. Le casier judiciaire vierge devrait être exigé comme il l’est pour les fonctionnaires et les procédures judiciaires en cours devraient faire discuter la poursuite de la mission parlementaire pendant le temps du litige. Comment peut-on être à la fois interdit de diriger une entreprise et voter pour décider du sort de 67 millions de personnes ? Sans parler des mis en examen pour des charges plus lourdes, etc.))

    «Chèque en blanc au gouvernement» ? L’Assemblée vote le projet de loi de «vigilance sanitaire» — RT en français

    Le texte a été approuvé par 147 voix contre 125 et deux abstentions. Il a effacé les modifications des sénateurs qui vont revoir ce nouveau texte ce jour avant une lecture finale le vendredi 5 novembre.

    IL EST ENCORE TEMPS DE JOINDRE VOS DÉPUTÉS

    L’opposition critique à juste raison un « chèque en blanc au gouvernement » et cette loi comme un « outil de la société du contrôle permanent »

    Le vote pour la présidentielle sera donc réalisé, s’il a lieu, sous régime d’exception (qui devient progressivement la règle) et les manifestations soumises au bon vouloir du gouvernement. Nos députés ont-ils vraiment voulu cela ?

    Un combat citoyen, des lettres via la poste, des mails, des appels téléphoniques et des manifestations

    Des milliers de Français les ont joints par mail ou téléphone ou lettre postale pour exprimer leur rejet de l’état d’urgence pour une épidémie terminée, des décisions inadaptées comme le masque à nouveau chez les enfants qui ne sont jamais gravement malades du covid et ne transmettent le virus, ni aux autres enfants, ni aux adultes ou l’exigence d’un passe sanitaire pour consulter à l’hôpital….

    Ils en ont assez des mesures liberticides sans aucun fondement sanitaire. Les tribunaux sont noyés sous les plaintes classées le plus souvent sans suite, mais cachant mal la poussière sous le tapis. Alors cela doit cesser avec le vote de la loi dite de vigilance ou pas, le gouvernement doit stopper ces mesures impopulaires. Quelques députés ont exprimé ce ras-le-bol y compris ceux qui pendant un temps ont soutenu le confinement, le masque et la vaccination.

    Entre G20 tout puissant et Pfizergate, qui gagnera ?

    Mais les accidents majeurs et si nombreux des pseudo vaccins covid explosent pendant que les scandales liés à la mascarade covid se multiplient. De Fauci le Mr vaccin des USA pris la main dans le sac de mensonges sur sa participation financière aux recherches de Wuhan sur les gains de fonction (augmentation de la virulence des coronavirus), au Pfizergate sur le trucage des essais thérapeutiques initiaux, et des contrats opaques signés avec l’UE et en particulier la lause excluant par avance toute action en justice contre les laboratoires fabricant les vaccins

    https://twitter.com/i/status/1456268394190151690

    Le Pfizergate(([2] « Pfizergate » ? Révélations sur des essais cliniques falsifiés par le triptyque Pfizer — Ventavia — FDA (francesoir.fr) ))

    Évidemment le géant Pfizer qui espère atteindre les 36 milliards de dollars grâce à ses injections géniques ne fait pas ses essais lui-même, il sous-traite !

    Une fraude de grande ampleur, impliquant la société pharmaceutique Pfizer, son sous-traitant, la société Ventavia Research Group chargée des essais cliniques, et la Food and Drug Administration (FDA), a été révélée par le British Medical Journal, revue classiquement considérée comme sérieuse et fiable.(([3] Covid-19 : Researcher blows the whistle on data integrity issues in Pfizer’s vaccine trial
    BMJ 2021 ; 375 doi : https://doi.org/10.1136/bmj.n2635 (Published 02 November 2021) ))

    Pfizer opère « à la vitesse de la science » disait Albert Bourla en 2020 le PDG de Pfizer. Qu’est— ce que cela veut dire finalement si ce n’est que la science n’est plus la science, mais du business.

    Un directeur régional du sous-traitant Ventavia Research Group, a déclaré au British Medical Journal que la société Ventavia qui assurait les essais cliniques, avait falsifié des données, enlevé l’anonymat des profils, employé des vaccinateurs insuffisamment formés, et tardé à assurer le suivi des effets indésirables signalés dans l’essai pivot de phase III.

    Les essais cliniques s’effectuent sur 44 000 personnes et sur 153 sites dans le monde, dont trois sites de l’entreprise Ventavia au Texas. Pour certains chercheurs, la rapidité a peut-être été obtenue au détriment de l’intégrité des données et de la sécurité des participants. Le personnel chargé des contrôles de qualité était submergé par le nombre de problèmes qu’il découvrait. Après avoir les avoir signalés à plusieurs reprises à Ventavia, la directrice régionale, Brook Jackson, a envoyé une plainte par courriel à la Food and Drug Administration (FDA).

    Dans cette lettre, Mme Jackson a énuméré plusieurs problèmes dont elle avait été témoin :

    • l’absence de sérieux dans la manipulation des vaccins, qui ne sont pas conservés à la bonne température et mal étiquetés.
    • l’absence de suivi des patients.

    Rappelant que toute personne signalant un effet secondaire doit être contactée dans les 24 heures, elle fait mention de plusieurs personnes qui ont effectué des signalements, mais jamais recontactées.

    Cette lettre mentionne également des employés, ciblés par Ventavia pour avoir signalé des problèmes et qui ont appelés au silence par la FDA, avant d’être rapidement licenciée… Mais elle est partie avec de nombreux documents qu’elle a remis au BMJ d’où son article explosif.

    Le double aveugle et l’anonymat des participants à l’essai ne sont pas respectés, mais la FDA avertie n’en tient aucun compte pour donner son feu vert à l’AMM. Il est clair que la science est oubliée.

    Ces révélations ont été confirmées par plusieurs employés de Ventavia et discréditent le récit officiel « d’essais menés avec une vitesse spectaculaire et inédite, sans rien concéder aux exigences de rigueur, de sécurité et d’intégrité scientifique ». Bref elle démontre une gigantesque manipulation mondiale avec les conséquences que l’on connaît d’ores et déjà avec les nombreux morts et malades du vaccin.

    Un tel scandale devrait évidemment être dénoncé sur les ondes et dans les parlements de tous les pays afin de faire stopper cette expérimentation à grande échelle. Un moratoire s’impose pour le moins. Notre ministre qui a stoppé net l’utilisation de la chloroquine par suite d’un article mensonger dans le Lancet (rapidement démasqué et retiré), saura-t-il enfin prendre une mesure sanitaire véritable en stoppant le massacre ?

    Les milliardaires du G20 versus les peuples réveillés par le monde

    Nous sommes actuellement dans une course de vitesse entre les milliardaires et dirigeants à leur botte réunis en ce moment au G20 via des jets privés multiples (près de 200, paraît-il) « pour sauver la planète » via le Grand Reset de Klaus Schwab, et des peuples qui se réveillent partout dans le monde, protestent, manifestent, et découvrent peu à peu l’ampleur des mensonges. Récemment par exemple, la confirmation d’un nombre réel très inférieur aux chiffres annoncés de morts du covid en Italie, mais aussi dans d’autres pays, dont les USA et l’Angleterre.

    Qui gagnera ? l’avenir de l’Humanité est en jeu et il serait grand temps de stopper les injections toxiques menaçant notre ADN avant que trop d’humains n’aient été contaminés.





    Réponse du philosophe Mehdi Belhaj Kacem à la Lettre du maire de Turenne

    [Source : passe-murailles-correze.org]

    Par Mehdi Belhaj Kacem

    Cher Monsieur le maire de Turenne, Yves Gary du nom,

    Un ami m’a envoyé hier soir votre lettre intitulée “le mot du maire”. Je me suis esclaffé en la lisant. Je ne suis manifestement pas le seul, car, dès le lendemain matin, je me suis aperçu que votre lettre circulait énormément sur les réseaux. Il est donc de mon devoir de vous l’apprendre : vous êtes d’ores et déjà la risée de centaines de milliers de français.

    Je me présente d’abord à vous. Je réside à Turenne depuis près de vingt-cinq ans maintenant, dans une maison qui est un héritage familial. Je suis écrivain et philosophe de mon état, j’ai publié plus d’une trentaine d’ouvrages, dont une bonne partie chez de grands éditeurs (Gallimard, Grasset, Fayard, Stock…). Mon troisième roman, Vies et morts d’Irène Lepic, écrit à vingt-et-un ans, est considéré aujourd’hui par des milliers de personnes comme l’un des meilleurs romans des années quatre-vingt dix. Michel Houellebecq, devant un parterre de VIP de l’art contemporain, a dit que j’étais le seul écrivain de sa génération aussi bon que lui. J’ai été le premier philosophe à avoir droit à un colloque à 39 ans à l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm, qui a produit 90% des grands philosophes en France depuis deux siècles, alors que je suis un parfait autodidacte (bac+0). Alain Badiou m’a publiquement présenté il y a quinze ans comme l’un des deux philosophes les plus doués de ma génération, et l’anthropologue de renommée internationale David Graeber, mort prématurément l’année dernière à Venise, disait partout autour de lui que j’étais le plus grand philosophe vivant, et beaucoup de monde pense comme lui. Un grand poète américain, Steve Light, a écrit qu’on n’avait jamais vu, de toute l’histoire de la philosophie, un tel ratio entre invention conceptuelle systématique, et autodidactisme. Je pourrais continuer comme ça pendant des pages et des pages. Comme le dit un très grand médecin lanceur d’alerte sur la situation, le Dr Roger Hodkinson, dont vous devriez prendre de la graine : “I am proud of my fuckin C.V.”.

    Je m’excuse donc de me faire mousser de la sorte; ce n’est pas très élégant. Mais, quand je m’adresse à des personnes comme vous, je me sens obligé de le faire, pour que l’interlocuteur comprenne qu’il n’a pas exactement affaire à celui que le bon peuple appelle “Joe le clodo”. Vous parlez de votre lettre de “compétence”, sans nous en dire davantage (doux euphémisme); je suis donc obligé, en préambule aux discussions avec les personnes comme vous, d’avancer mes titres de noblesse sous ce rapport, c’est-à-dire des capacités d’analyse et de réflexion que toutes les personnes, à point nommé, compétentes, reconnaissent à mon sujet.

    On se demande d’abord, à la lecture de votre lettre, quel est le vôtre, de titre de “compétence”. Si celui-ci repose sur le fait d’ouvrir les grands quotidiens, d’écouter France-ceci ou France- cela, ou de regarder BFMTV ou France 2, vous êtes effectivement mal parti. En 2021, ce n’est pas comme cela que l’on s’informe, mais en allant à la source; croire qu’on apprend quoi que ce soit en consommant les médias de masse, c’est comme être, en termes d’information, un néandertalien quand apparaissent les Cro-magnons, ou se battre avec un gourdin quand on vient d’inventer les armes à feu.

    C’est l’explication la plus plausible : cela fait plus d’un an et demi que la majorité de nos concitoyens sont coupés de toutes leurs capacités cognitives par la propagande incessante dont les inondent les médias de masse, subventionnés par l’État et détenus par les huit familles les plus riches de France. Ces médias, et depuis longtemps, n’ont plus pour fonction d’informer les gens, mais simplement de se faire les porte-voix du gouvernement. Toutes les considérations dont vous gratifiez votre public reposent donc sur le crédit que vous accordez à ce que raconte celui-ci. Vous supposez, en somme, qu’il dit, depuis un an et demi, la vérité. Or, c’est le contraire. Ce gouvernement a menti sur absolument tout. Ce gouvernement n’est plus qu’à son tour qu’un outil au service d’institutions supranationales comme l’OMS, ou de multinationales, comme Pfizer. Saviez-vous que notre président de la République avait négocié, du temps où il travaillait pour la banque Rothschild, un contrat à hauteur de 10.000.000.000 de dollars entre Nestlé et… Pfizer (vous avez dit “compte offshore”?)? Saviez-vous que son épouse détenait quantité d’actions dans la même entreprise? Saviez-vous que c’était Pfizer qui alimentait le compte Suisse de Cahuzac, et probablement de nombre de membres du Parti Socialiste, celui qui veut nous pousser à la vaccination obligatoire? Saviez- vous que Pfizer est l’entreprise pharmaceutique la plus corrompue et la plus condamnée en justice de tous les temps (plus de quarante verdicts négatifs, plus de 5.000.000.000 de dollars de dommages et intérêts versés en tout)?

    [Voir :
    France : mensonges et manipulation pour faire croire à l’efficacité de la vaccination anti-covid
    Quatre gros mensonges sur l’épidémie et le confinement
    De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne
    Mensonges des responsables américains du groupe de travail COVID
    Révélations sur les mensonges et manipulations de l’OMS – ÉNORME !
    Chaque nouveau mensonge couvre le mensonge précédent
    COVID19: Débunkage du narratif officiel
    Piqûre de rappel : Pfizer et les pharmaceutiques au pouvoir]

    Vous commencez votre lettre en disant que nous espérions, au printemps, que le covid 19, si vous me passez l’expression, nous lâcherait un peu la grappe. Las! Dites-vous : il y a eu la quatrième vague. Désolé de vous détromper : il n’y a pas eu de quatrième vague, parce qu’il n’y en a pas eu de troisième, qu’il n’y en a pas eu de deuxième, qu’il n’y en a pas eu de première; et que, en réalité, il n’y a jamais eu de “pandémie” du tout, sauf dans quelques cerveaux malades, notamment ceux qui dirigent l’OMS, probablement l’organisation politique la plus criminelle de tous les temps.

    Il n’y a pas eu de “pandémie”, et ce sont les chiffres officiels qui le disent. Tapez “morts covid” sur Google, vous tomberez sur le chiffre, au jour où je vous écrit, de 4.800.000 de la population mondiale, c’est-à-dire environ 0,04% de celle-ci, ce qui est dérisoire. C’est d’autant plus dérisoire quand on connaît la moyenne d’âge des victimes : 84 ans. C’est-à-dire des gens qui ont largement dépassé leur espérance de vie. Je dis “largement”, car chez nous, pays occidentaux (France, Italie…), l’espérance de vie est de 82 ans, et c’est pourquoi nous avons pris plus “cher” (0,14/0,15%) que beaucoup de pays plus pauvres, où l’espérance de vie est, bien sûr, beaucoup plus courte.

    [Voir :
    Covid-Arnaque : il n’y a pas de pandémie — une vision britannique de l’imposture
    « Surmortalité Covid » en 2020 ? C’est la démographie, idiot !
    Les données INSEE démontrent qu’il est impossible d’avoir 30 800 morts en plus en France en 2020 à cause du COVID-19!
    La déclaration gonflée des décès dus au COVID est une véritable conspiration
    Mortalité toutes causes confondues pendant la COVID-19 : Pas de fléau et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement
    Covid : du mythe aux statistiques, les vérités cachées !
    Les 30 faits vitaux COVID que vous devez savoir pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers]

    Ceci pour simplement vous faire réaliser que, depuis un an et demi, beaucoup de monde, à commencer par les médias de masse centralisés, et vous à leur suite, “raisonnent” sur une chimère sémantique pure et simple : “il existe un virus dévastateur qui atteint la planète entière, tuant 0,04% de sa population, essentiellement des personnes ayant dépassé de très loin leur espérance de vie.” C’est une phrase littéralement vide de sens, et pourtant c’est sur elle que se fondent tous les “discours” du type de celui que vous tenez dans votre lettre, et dont on nous harcèle depuis plus d’un an et demi. Tout étudiant en philosophie de première année sait que, si la prémisse est fausse, le reste du discours est faux aussi.

    La chose, en réalité, va beaucoup plus loin, dans ce qui est la plus grande et la plus grave manipulation politique de masse qui ait jamais été perpétrée dans notre histoire. Là encore, ce sont les documents officiels qui le disent. Je me permets de vous renvoyer à ce lien : https://bit.ly/3GETZ5t

    [Voir :
    Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
    Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
    Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes]

    Il s’agit du compte-rendu détaillé de Santé Publique France sur la crise-du-covid entre mars 2020 et mars 2021. Je vous conseille de lire les 68 pages en entier, mais si le temps vous manque, vous pouvez vous contenter de “sauter” à la page 43. Vous y découvrirez ce chiffre ahurissant : sur la centaine de milliers de supposés morts-du-covid, seuls 14471 sont véritablement morts du seul covid. Les autres, en réalité, sont morts d’autre chose : cancer, leucémie, diabète, insuffisance cardiaque, etc. Donc : les 0,04% de morts du terrible virus sont, en réalité, plus proche de 0,004% : autant dire rien. Car les chiffres officiels des autres pays disent strictement la même chose : par exemple du CDC aux Etats-Unis, qui ont pareillement établi que, sur tous les morts officiellement déclarés du covid, seuls 6% d’entre eux étaient “sans comorbidités”, c’est-à-dire que 94% d’entre eux sont morts de tout à fait autre chose.

    Aussi, au niveau de la “compétence” et de la rigueur argumentative, est-il très malvenu de votre part de comparer la situation présente avec la diphtérie, la tuberculose, la rougeole ou la poliomyélite : ces maladies étaient, de fait, massivement létales; le covid 19, en réalité, ne tue quasiment personne, mais porte l’estocade à des personnes qui avaient déjà dépassé leur espérance de vie.

    Vous dites ensuite, sur cette fausse base, que seule la vaccination de masse permettra d’acquérir “l’immunité collective” (notion dénuée de toute pertinence scientifique, comme le savent les gens réellement compétents). Hélas pour vous, tous les pays qui ont massivement vacciné, comme Israël ou Gibraltar, ont vu leurs taux de mortalité décoller verticalement, ainsi que leurs taux d’infection au covid (la seule solution? Une troisième dose, après que les deux premières aient si bien marché! Et une quatrième, une cinquième, une sixième…). Aussi vous trompez-vous quand vous dites que seule la vaccination de masse permettra de sortir de la pandémie : d’abord, il n’y a jamais eu de pandémie, sinon une pandémie de mensonge, de terreur, d’abrutissement et de manipulation; ensuite, les “vaccins”, qui ne méritent même pas ce nom, sont non seulement inefficaces, mais dangereux. Je vous le démontre plus loin, chiffres officiels à l’appui, contre votre négationnisme bravache à ce sujet.

    [Voir :
    Pourquoi faire croire à une efficacité à 90 % des pseudovaccins ? Énorme fake à visée parlementaire ?]

    Vous demandez, ce qui prouve en tout cas que vos yeux, eux, n’ont pas attrapé le covid : “comment peut-on sérieusement continuer à parler d’un vaccin expérimental alors qu’il a été injecté à près de la moitié de la population mondiale sans ou presque d’effets secondaires?” Comment, en effet? Eh bien, très simple : en lisant ce qu’écrivent les gens d’Astrazeneca, Pfizer, Moderna et Johnson sur leurs sites respectifs : que les vaccins sont en phase 3 (rats de laboratoire habituellement), et que ces expérimentations prendront fin en 2022 ou en 2023, c’est selon. Les gens de Moderna vont jusqu’à écrire : “notre vaccin est un système d’exploitation somatique, dont le but est de pirater vos fonctions biologiques”, sic. Que la moitié de la population mondiale se soit faite injecter, le plus souvent sous le chantage et la contrainte à peine détournée, vous empêche de vous rendre à la terrible évidence : nous assistons en effet à la plus gigantesque expérimentation médicale jamais tentée sur l’humanité. Tôt ou tard, la finalité réelle de cette expérimentation ne pourra que sauter à vos yeux si éclairés. Comme le disait Coluche : “Ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison”.

    Mais la phrase, de toute votre lettre, qui m’a le plus fait pouffer, c’est celle qui dit : “sans ou presque d’effets secondaires”. Ah booooon? Là encore, il suffit de se fier aux chiffres officiels, et à rien d’autre. Eudravigilance, le site européen de pharmacovigilance, avançait, début octobre, les chiffres suivants : 27.222 morts, près de 2.300.000 d’effets secondaires, dont la moitié graves (et, soyons clairs : “graves”, en pharmacovigilance, signifie : “handicap à vie”). On peut dire que l’adverbe de votre phrase prend tout son sel à la lumière de ces chiffres dûment sourcés… vous avez dit “compétence”?

    [Voir :
    TÉMOIGNAGES | Les effets secondaires graves du vaccin contre le Covid-19
    Plus d’un million d’effets secondaires du vaccin en Europe reconnus par l’OMS
    Sir Christopher Chope sur les effets secondaires de la « vaccination » anti-Covid : « du jamais vu »
    Sous-déclarations des effets secondaires liés à l’injection anticovid en Europe
    Vaccins COVID – des millions d’effets secondaires
    Où en sont les effets indésirables des « vax » anti-Covid ?
    Vaccins Covid-19, effets secondaires
    Effets secondaires et décès liés aux injections expérimentales anticovid.
    Effets catastrophiques de la piqûre anti-Covid
    Quelle est l’ampleur des effets secondaires des pseudo-vaccins anticovid ?]

    Mais ce n’est pas tout. Car tous les spécialistes d’enquêtes de pharmacovigilance vous diront que seuls 1 à 10% des effets secondaires sont réellement rapportés; en sorte qu’il faut au moins multiplier les chiffres obtenus officiellement par dix pour s’approcher, et seulement s’approcher, de la vérité. Nous avons donc les plus solides raisons rationnelles de penser que, dans les pays de l’U.E. (Angleterre non comprise donc, où les chiffres officiels sont terrifiants aussi), il y a eu au minimum 270.000 morts, et 21.000.000 millions de handicapés à vie. C’est-à-dire, d’ores et déjà, dans la seule Europe, beaucoup plus de victimes des vaccins que du malheureux covid 19 dans le monde entier. Je me permets à ce sujet de vous renvoyer à ce lien, une petite vidéo que j’ai faite avec une amie, devant cette organisation criminelle qu’est l’Ordre des médecins, qui persécute les médecins qui osent soigner leurs patients et dire la vérité sur ce qui nous arrive depuis un an et demi :

    https://odysee.com/@belhajkacem.mehdi:8/t_file6034928538396658340:1

    [Voir :
    Appel à la dissolution de l’ordre des médecins
    Les médecins sont tombés dans un trou noir]

    Mais, au fait, ces effets secondaires, quels sont-ils? Comme le dit le très courageux Dr Ochs, le risque du vaccin est 40 fois plus élevé pour les moins de cinquante ans que le covid lui-même. Que dire de nos adolescents, qu’on vaccine en masse depuis la rentrée, contre une maladie pour laquelle ils ne risquent rien? Que dire de nos enfants, à qui on s’apprête de faire la même chose (le même dr Ochs en tire la conclusion qui s’impose : “infanticide”)? Vous êtes bien sûr de votre adverbe? N’y a-t-il pas une petite puce qui commence à vous démanger l’oreille?

    Car voici en quoi consistent ces effets secondaires : des AVC; des myocardites (en particulier chez les jeunes et les adolescents, ce qui est aberrant); des péricardites; des thromboses; des troubles neurologiques graves; des troubles gastro- entériques graves; des troubles neurologiques graves; la paralysie de Bell; le syndrome de Guillain-Barré; des convulsion violentes; des fausses couches (une fois sur huit…); des épilepsies; des nécroses; des zonas; des cécités; des surdités; et la liste est loin d’être exhaustive… Je peux vous envoyer des listes kilométriques de sportifs de haut niveau décédés suite à des complications cardiaques, ou dont la carrière est finie suite aux injections. Je ne sais pas comment vous faites pour ne pas entendre parler de ce phénomène “étrange” que rapportent toutes les presses régionales : le nombre inusité d’adolescents qui font des malaises cardiaques pendant qu’ils font du sport au collège ou au lycée.

    [Voir :
    Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulés]

    Mais même si je m’écarte des données officielles édifiantes, et que je regarde simplement autour de moi, où l’enthousiasme pour le “vaccin” n’est pas de mise, j’ai constaté : un homme de 42 ans, père de trois enfants, mort d’un arrêt cardiaque après l’injection; un militaire de 25 ans, un athlète qui ni ne fumait ni ne buvait, qui a subi un AVC après l’injection, et dont la carrière est finie; une femme de la soixante, qui développe depuis l’injection un asthme très brutal et persistant; un ami qui a subi une diarrhée virale très pénible après l’injection. Mais l’effet secondaire le plus systématique et répandu, qui donne d’innombrables témoignages sur les réseaux, c’est la grave perturbation des cycles menstruels chez les jeunes femmes et les adolescentes. J’ai discuté avec une jeune femme de 25 ans (non vaccinée), qui m’a confirmé que toutes ses amies vaccinées avaient de gros problèmes de règles. Et j’ai aussi échangé avec une adolescente (non vaccinée), qui m’a dit elle aussi que toutes ses amies vaccinées avaient de gros soucis de “ragnagnas”, comme elle dit dans son langage fleuri. Dans les pays où on a commencé à vacciner les enfants, comme les Etats-Unis, on rapporte des cas de saignements vaginaux chez des fillettes, ou même des nourrissons de sexe féminin. (A raison inverse, on mentionne de nombreux cas de femmes ménopausées depuis des années… et qui ont recommencé à avoir leurs règles.) Il n’y a pas besoin d’être madame Irma pour savoir ce que les conséquences, en termes de fertilité, représenteront pour toute une génération. Je suis sûr que vous avez des fils et/ou des filles, voire des petits enfants. J’espère que votre enthousiasme vaccinal s’arrêtera à temps pour que vous sauviez votre lignée. De même, et puisque vous avez une confiance si aveugle dans les “vaccins”, et que vous êtes donc plus que probablement injecté, pourquoi ne pas faire les tests suivants : le test de d-dimère (qui mesurera les taux de micro- caillots sanguins que vous avez dans le sang); le test de sérologie (pour regarder voir où en est votre système immunitaire); et un test d’électro- magnétisme (si, si, ce n’est pas une thèse “complotiste”, de nombreuses études scientifiques ont démontré que les vaccinés étaient “magnétisés”). Je le répète : puisque vous êtes si confiant dans ces “vaccins”, pourquoi ne pas faire ces trois tests? Mais je préfère être honnête avec vous : il est presque impossible que vous n’ayiez pas une très mauvaise surprise au moins en les faisant tous les trois…

    [Voir :
    Étude sur la vaccination des enfants : les effets secondaires graves sont dissimulés
    Note sur les fake news relatives aux chiffres concernant les effets secondaires des thérapies géniques chez les enfants de 0 à 17 ans]

    Aussi, à vous qui n’avez pas froid aux yeux pour colporter les énormités des médias et d’un gouvernement criminel, mensonger et corrompu, je tiens à vous prévenir que je n’ai pas ma langue dans ma poche. Le Dr Michael Yeadon, rien moins que l’ancien vice-directeur de Pfizer, et scientifique de haut niveau (biologie), parle depuis un an et demi déjà de “troisième guerre mondiale”; j’ai lancé, dans un entretien donné il y a huit mois au journal Times of Israël, l’expression “première guerre civile mondiale”, qui a été depuis reprise par des centaines de milliers de personnes; et, depuis quelques mois, je ne recule plus devant l’expression suivante : “génocide non conventionnel”, comme on parle de “guerre non conventionnelle”. C’est-à-dire qu’il n’y a plus besoin d’utiliser des mitrailleuses, des chambres à gaz ou des machettes; il suffit d’imposer des confinements, des masques et des “vaccins”. Les confinements ont d’ores et déjà détruit les vies de milliards de personnes dans le monde (dont une qui m’était extrêmement proche, qui s’est suicidée à cause du premier), alors qu’ils n’ont aucune utilité sanitaire avérée; les masques, inefficaces et toxiques lorsque portés trop longtemps, ont d’ores et déjà traumatisé une génération entière d’enfants et d’adolescents; enfin, les vaccins ont d’ores et déjà fait, dans le monde entier, incommensurablement plus de victimes que le misérable, et à la vérité presque inoffensif, virus qu’ils sont censés combattre.

    [Voir :
    Covid : la validité de l’imposition du port du masque s’effondre à son tour !
    La science est concluante : les masques et les respirateurs n’empêchent PAS la transmission des virus
    Le masque : un lent assassinat collectif monté sur des mensonges, une muselière anti-sociale pour esclaves consentants
    Le paradigme du confinement s’effondre
    Effets nocifs des masques
    Coronavirus : et si les masques faisaient plus de mal que de bien ?
    Une mise au point sur les masques & lettre adressée au président du Sénat
    Les mesures prises contre la propagation de l’épidémie ont-elles vraiment sauvé des vies ?
    LES CONFINEMENTS SONT CATASTROPHIQUES PARTOUT DANS LE MONDE
    “STOP ! Manipulations, masques, mensonges, peur…” un collectif international de professionnels de santé dénonce des “mesures folles et disproportionnées”]

    Génocide, oui, et le plus grand, peut-être, de tous les temps, dans la mesure où, s’il s’avérait que le “vaccin” avait pour fonction de modifier le génome humain, non seulement il serait le plus grand en quantité, mais il le serait aussi en qualité : il serait le génocide le plus littéral qui fut jamais. Exagération? Pourquoi est-ce que de nombreux survivants de la Shoah (Véra Sharav, Rabbi Hillel Handler, Hagar Schafrir, Sorin Shapira, Mascha Orel, Morry Krispijn, Shimon Yanowitz, Hila Moscovich, Tamir Turgal, Amira Segal, Jacqueline Ingehoes, Andrea Dresher, Edgar Siemund, etc.) disent-ils la même chose que moi, que des millions de français, et des centaines de millions de personnes dans le monde?

    [Voir :
    « Halte à l’holocauste du Covid ! » lettre ouverte de survivants de la Shoah
    Appel solennel de survivants de l’Holocauste à la Cour Pénale Internationale pour un arrêt de la « vaccination » anticovid
    La Dictature médicale Secrète : Entretien historique entre la rescapée de l’holocauste Vera Sherav et l’avocat Reiner Fuellmich]

    Votre lettre se termine, sans doute pour caresser votre belle âme, par les compliments de rigueur aux soignantes et aux soignants. Pourquoi n’avez-vous pas un seul mot pour les 350.000 mille d’entre elles et eux qui ont perdu leur emploi depuis le 15 septembre, sans indemnités ni chômage, bref qui sont littéralement jeté(e)s à la rue, au seul prétexte d’avoir refusé de se faire vacciner? Comment pouvez-vous, sans mourir de honte, vous féliciter de ce que fait l’hôpital public français, alors qu’on est, très sciemment, en train de le démembrer et de le détruire à petit feu (ça a commencé il y a des décennies en réalité)?

    [Voir :
    Effondrement prévisible du système de santé du Québec ?
    Le troublant Accord signé par la France en décembre 2019 confirme le pouvoir mondial de l’OMS. Fin probable de l’hôpital public…
    La destruction de notre système de soin et les mesures sanitaires détruisent notre économie
    Covid et saturation des hôpitaux : les plans de restructurations de l’hôpital public sur le banc des accusés]

    Aussi, me permettrai-je d’arroser l’arroseur que vous êtes : ce qui est “délétère et irresponsable”, ce ne sont certainement pas les lanceurs d’alerte dans mon genre, qui dénoncent, avec le grand avocat allemand Reiner Fuellmich, le “plus grand crime contre l’humanité jamais commis”, mais des gens irréfléchis et mal informés dans votre genre. Faire preuve d’humilité, admettre qu’on s’est trompé (parce qu’on a été trompé), présenter des excuses, ouvrir les yeux : voilà une petite quantité de choses que vous pourriez faire pour ne pas rester, aux yeux de l’histoire, comme le sont restés les responsables politiques de 1939-45 en France sous l’occupation allemande et le gouvernement de Vichy : ce qui se passe en ce moment est en tous points homothétique à ce qui s’est passé à cette époque là, sauf qu’aujourd’hui c’est à bien plus grande échelle (ce que disent tous les survivants de la Shoah que je vous ai mentionnés plus haut). De nous deux, c’est moi qui suis pleinement responsable, en risquant ma réputation et peut-être ma vie pour réveiller le maximum de gens sur la réalité de ce qui est en train de se passer à échelle mondiale, et dont la présente lettre ne vous délivre qu’un petit bout de l’iceberg. Il faut que vous sachiez que je suis si horrifié par la situation que nous vivons dans le monde entier depuis deux ans, que je passe littéralement douze heures par jour à m’informer et me documenter sur la situation. Si, donc, vous voulez vous éveiller de votre “sommeil dogmatique”, comme disait Kant, je me tiens à votre entière disposition : j’habite à seulement une centaine de mètres de la mairie.

    [Voir :
    Reiner Fuellmich : avocats et médecins contre l’arnaque du COVID-19!
    L’heure de la justice
    Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
    Reiner Fuellmich : « Ce n’est pas un accident : cette crise n’a toujours rien de sanitaire »
    Whitney Webb descend Google, Epstein, Gates et toute la Silicon Valley lors d’une interview avec l’avocat Reiner Fuellmich]

    Mehdi Belhaj Kacem

    P.S. : je suis désargenté en ce moment, mais, dans dix jours, je n’hésiterai pas à faire des centaines d’impressions de la présente lettre pour la distribuer dans tout le village. Certaines de mes vidéos ont fait plus de 500.000 vues chacune sur les réseaux, donc réveillez-vous avant que je ne vous fasse une trop grande publicité, déjà que votre lettre a involontairement fait de vous une star sur les réseaux, sans doute dans votre ignorance la plus complète. Je ne désespère pas de vous réveiller complètement, et de faire que Turenne se transforme en village d’Astérix, qui résiste à l’Empire… vous verrez que la comparaison est tout sauf exagérée…




    QAnon, mouvement manipulé par le régime communiste chinois ?

    [Source : theepochtimes.com]

    Une note des services de renseignement français, dont les éléments les plus saillants viennent d’être publiés dans les colonnes du JDD, jette une lumière crue sur la mouvance QAnon en France. On y découvre l’anatomie complexe d’une nébuleuse agrégeant des convictions diverses et d’apparence incompatibles, dans un corps protéiforme allant de la lutte contre les sociétés secrètes à la recherche de spiritualité, en passant par des groupuscules semi-militaires dont certains membres vont aujourd’hui, d’après la note, jusqu’à préparer des « projets de coup d’État et d’autres actions violentes ».

    Les multiples comptes de réseaux sociaux des relais de QAnon en Occident varient dans leur style, mais se rejoignent sur certains éléments-clés, dont l’idée qu’un pouvoir corrompu œuvre au niveau mondial à la manipulation et l’asservissement des populations. Les multiples théories et rumeurs alimentant cette galaxie ont séduit aussi bien une large frange de survivalistes voyant dans notre mode de vie actuel une folie insoutenable, que des citoyens ne trouvant d’explication possible à l’absurdité du développement du monde que dans l’existence de forces liguées pour le mal de l’humanité.

    L’ancien président Donald Trump a d’abord bénéficié, puis subi le fait d’être l’homme dit providentiel de la mouvance QAnon : les premiers patriotes conservateurs emmenant le mouvement ont progressivement été débordés par des messages de plus en plus radicaux, ce qui a offert aux opposants de Trump les munitions pour le qualifier, lui, d’agitateur et de danger pour la démocratie, et eux, d’extrémistes irrationnels.

    Or, lorsqu’on observe l’évolution de QAnon, on est frappé de voir, sur le courant de 2020, émerger progressivement des rumeurs de plus en plus diverses et de moins en moins étayées, appuyées par un véritable matraquage sur Facebook. Les révélations factuelles de l’affaire Epstein et de l’implication du clan Clinton dans un trafic sexuel organisé ont ainsi progressivement été élargies, déformées, jusqu’à conduire à des accusations sans aucun élément tangible pour les soutenir. Dans le même temps, une version techno-ésotérique de l’idéal marxiste de lutte des classes s’est insinuée dans les réseaux QAnon, avec une identification du mal chez un « autre » représenté par la classe bourgeoise mondialiste des puissants.

    L’observation de cette inquiétante inflexion trouve un éclairage particulier à la lecture du remarquable rapport « Les Opérations d’influence chinoise » de l’Institut de Recherche Stratégique de l’École Militaire. Celui-ci révèle que la Chine est l’acteur étatique « le plus impliqué dans l’amplification des récits QAnon sur Facebook ». Début 2021 par exemple, plus de la moitié des publications QAnon sur Facebook étaient ainsi originaires de Chine. Ceci éclaire brutalement l’évolution de QAnon, au point que le rapport reprend à son compte les conclusions de ses collègues du Soufan Center, pour qui, à travers QAnon, « l’objectif de la Chine est très probablement de semer la discorde et la division au sein de la population ».

    [Voir aussi :
    Les Opérations d’influence chinoises
    Q-Anon a une ressemblance frappante avec la psy-op bolchevique des années 1920 connue sous le nom d’opération Trust
    Note sur la lecture des événements]

    Après le niveau élémentaire de l’infiltration, qui par la corruption et la propagande fait taire toutes les voix critiques, le « raffinement » de la stratégie guerrière du Parti communiste chinois se poursuit donc avec des niveaux secondaires et tertiaires : le régime chinois alimente avec son armée d’internautes des mythes urbains et diversions publiques qui ont le considérable avantage d’occuper les esprits. Cette stratégie permet aussi d’accumuler, petit à petit, tout le combustible pouvant permettre une flambée de guerres civiles dans les pays occidentaux. Démonstration sur le terrain : les partisans QAnon considèrent les progressistes et les électeurs de gauche comme des gens corrompus et dangereux contre qui il faut lutter ; ceux-ci considèrent les QAnon comme des extrémistes qu’il faut enfermer. Le mal est toujours chez l’autre. Pour le régime chinois, il n’est donc plus aujourd’hui nécessaire de soutenir un camp « ami » contre un autre : il est beaucoup plus efficace de pousser tous les camps à s’opposer l’un à l’autre de manière irréconciliable, jusqu’à l’autodestruction. Peu importe le sujet, qu’il s’agisse de lutte des femmes, de lutte des minorités sexuelles ou ethniques, de lutte des modestes contre les nantis : tant que la lutte des classes peut exister, elle peut être amplifiée, hystérisée par l’armée des trolls du Parti jusqu’à faire abandonner toute raison et mener à la censure outrée de toute idée différente.

    Ceux et celles qui refusent d’être les marionnettes d’une « doxa », d’un « diktat », d’un « patriarcat » devraient donc aussi prendre garde à ne pas devenir eux-mêmes, involontairement, les idiots utiles de forces étrangères hostiles. C’est dans la capacité à voir que les opinions sont fragiles et ne définissent pas en profondeur qui nous sommes, que se trouve peut-être une partie du chemin vers plus de tolérance et de compréhension d’autrui… et vers l’identification des vrais ennemis.




    Christine Anderson, députée allemande : « Je ne serai pas réduite à un simple cobaye en me faisant vacciner avec un médicament expérimental… »

    [Source : nicolasbonnal.com (wordpress.com]

    Par Nicolas Bonnal

    Lucifer peut-il encore perdre la partie ? Des députés européens protestent contre les passeports vaccinaux. Christine Anderson, députée allemande : « Je ne serai pas réduite à un simple cobaye en me faisant vacciner avec un médicament expérimental, et je ne me ferai certainement pas vacciner parce que mon gouvernement me le demande et me promet qu’en échange, je serai libre. Soyons clairs sur une chose : personne ne m’accorde la liberté, car je suis une personne libre. Alors, je défie la Commission européenne et le gouvernement allemand : jetez-moi en prison, enfermez-moi et jetez la clé si vous voulez. Mais vous ne pourrez jamais me contraindre à me faire vacciner si la citoyenne libre que je suis choisit de ne pas l’être. » Cerise sur le bateau : « Dans toute l’histoire de l’humanité, il n’y a jamais eu d’élite politique sincèrement préoccupée par le bien-être des gens ordinaires. »

    Donc des députés se réveillent. Rassurez-vous, ils ne sont que cinq, dont Christine.

    WATCH: MEPs Protest Vaccine Passports – OffGuardian (off-guardian.org)

    Dans les dernières éditions de Cette semaine dans la nouvelle normalité , nous mentionnions un groupe de députés européens qui ont tenu une conférence de presse où ils s’opposaient à la vaccination obligatoire et au « Pass vert ».

    Le 28, cinq de ces mêmes députés ont tenu une autre conférence de presse, et bien que tout cela mérite d’être regardé (intégré ci-dessus), le point culminant est sans aucun doute la députée allemande Christine Anderson qui parle pendant deux des minutes les plus vraies de l’histoire de l’UE :

    Partout en Europe, les gouvernements se sont donné beaucoup de mal pour faire vacciner les gens. On nous avait promis que les vaccinations changeraient la donne et qu’elles restaureraient notre liberté… il s’avère que rien de tout cela n’était vrai. Cela ne vous rend pas immunisé, vous pouvez toujours contracter le virus et vous pouvez toujours être contagieux.

    La seule chose que ce vaccin a fait à coup sûr était de déverser des milliards et des milliards de dollars dans les poches des sociétés pharmaceutiques.

    J’ai voté contre le certificat vert numérique en avril, malheureusement il a néanmoins été adopté, et cela montre simplement qu’il n’y a qu’une minorité de députés européens qui défendent vraiment les valeurs européennes. La majorité des députés européens, pour des raisons que je ne connais pas, soutiennent évidemment l’oppression du peuple tout en prétendant – sans vergogne – le faire pour le bien du peuple.

    Mais ce n’est pas le but qui rend un système oppressif, ce sont toujours les méthodes par lesquelles le but est poursuivi. Chaque fois qu’un gouvernement prétend avoir à cœur l’intérêt du peuple, il faut y réfléchir à deux fois.

    Dans toute l’histoire de l’humanité, il n’y a jamais eu d’élite politique sincèrement préoccupée par le bien-être des gens ordinaires. Qu’est-ce qui nous fait croire que c’est différent maintenant ? Si le siècle des Lumières a apporté quelque chose, c’est bien ceci : ne prenez jamais pour argent comptant ce que vous dit un gouvernement.

    Remettez toujours en question tout ce qu’un gouvernement fait ou ne fait pas. Cherchez toujours des arrière-pensées. Et demandez toujours « cui bono ? », à qui cela profite-t-il ?

    Chaque fois qu’une élite politique pousse un programme aussi fortement et recourt à l’extorsion et à la manipulation pour obtenir ce qu’elle veut, vous pouvez presque toujours être sûr que votre intérêt n’est certainement pas ce qu’elle avait à cœur.

    En ce qui me concerne, je ne me ferai pas vacciner avec quoi que ce soit qui n’a pas été correctement examiné et testé et qui n’a pas montré de preuves scientifiques solides que les avantages l’emportent sur la maladie elle-même en termes d’effets secondaires possibles à long terme, dont nous ne savons rien à ce jour.

    Je ne serai pas réduite à un simple cobaye en me faisant vacciner avec un médicament expérimental, et je ne me ferai certainement pas vacciner parce que mon gouvernement me le demande et me promet qu’en échange, je serai libre.

    Soyons clairs sur une chose : personne ne m’accorde la liberté car je suis une personne libre.

    Alors, je défie la Commission européenne et le gouvernement allemand : jetez-moi en prison, enfermez-moi et jetez la clé si vous voulez. Mais vous ne pourrez jamais me contraindre à me faire vacciner si la citoyenne libre que je suis choisit de ne pas l’être.




    Alexandre Boisson, ex-policier du GSPR : Covid-19, manipulation des foules & résilience alimentaire

    [Source : Nexus]

    Entretien avec Alexandre Boisson, ex-policier, expert en sécurité, qui nous livre son analyse de la crise sanitaire et les pistes de solutions qu’il envisage pour anticiper et prévenir les troubles majeurs.

    https://youtu.be/74GTZeuc_yI

    Alexandre Boisson a été membre du Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR) de 2002 à 2011, sous Chirac et Sarkozy. Avec le déclenchement de la guerre en Libye, il a décidé de quitter ses fonctions parce qu’il n’était plus en accord avec le pouvoir qu’il défendait. Il nous explique dans cet entretien comment d’après lui les Français sont maltraités psychologiquement depuis 18 mois. Co-fondateur des associations SOS Maires et Existence B, conseiller des Brigades Dicrim, il milite aujourd’hui pour une résilience alimentaire et une autogestion individuelle et collective.

    Il va bientôt commencer un tour de France pour aller à la rencontre des porteurs de solutions et partager avec nous leurs connaissances et savoir-faire, en plus de ses interventions auprès des élus qui souhaitent prévenir plutôt que guérir…

    – Pour soutenir Alexandre Boisson dans son nouveau projet
    – Découvrir la chaîne YouTube d’Alexandre Boisson
    – Son site internet

    Les associations qu’il cite :
    – SOS Maires : https://sosmaires.org
    – Brigade Dicrim : https://www.brigade-dicrim.fr
    – Existence B : https://www.existenceb.fr
    – Université francophone de l’autonomie alimentaire :
    http://www.autonomiealimentaire.info

    [Voir aussi
    Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
    Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
    Comment on manipule pour avoir le consentement
    Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
    Les mécanismes des régimes totalitaires
    LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse]




    Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »

    [Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

    « En contexte totalitaire, les pervers sont autorisés à assouvir leurs pulsions de contrôle et de domination »

    Ariane Bilheran

    Ariane Bilheran est diplômée de l’École Normale Supérieure (Ulm), psychologue clinicienne et Docteur en psychopathologie.

    Spécialiste de la psychologie du pouvoir, elle a prononcé des conférences en France et à l’étranger sur les thèmes de la paranoïa, de l’emprise, du harcèlement, de la manipulation et de l’autorité.

    Elle a également publié de nombreux ouvrages consacrés à la littérature, la poésie, la philosophie ou la psychologie.

    Au cours de sa carrière, Ariane Bilheran est intervenue en tant que consultante et a dispensé des formations dans différentes entreprises ou institutions. Elle a aussi été amenée à produire des expertises judiciaires dans le cadre de procès portant sur des cas de harcèlement ou d’emprise devant les juridictions civiles et pénales.

    Depuis 2015, Ariane Bilheran réside en Amérique du Sud où elle poursuit son activité clinique ainsi que son travail de recherche et d’écriture, tout en consacrant une part de son temps à des actions agricoles et humanitaires.

    Nous l’avons rencontrée afin d’évoquer la crise sanitaire sous un autre angle, au croisement de la psychologie, de la psychopathologie et de la philosophie.

    Que dit cette crise de notre société ? Les mesures mises en place dans le cadre de la lutte contre l’épidémie participent-elles d’une logique totalitaire ?

    Comment expliquer le fait qu’une grande part de la population française se soit accommodée des différentes politiques restrictives de liberté adoptées ?

    Quelle peut-être l’issue des divisions et des fractures engendrées par les mesures prises pendant la crise sanitaire ? Quelles vertus cultiver pour retrouver le chemin de l’harmonie ?

    Découvrez le point de vue d’Ariane Bilheran dans la vidéo.

    Retrouvez les articlesateliers et conférences d’Ariane Bilheran sur son site : https://www.arianebilheran.com/

    [Voir aussi :
    Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »
    Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave (arianebilheran.com)
    Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
    Les mécanismes des régimes totalitaires
    De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
    Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
    Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
    La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
    Le contrôle mental au temps du Covid]




    La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 2)

    Par Arthur Firstenberg

    Auteur de The Invisible Rainbow: A History of Electricity and Life
    [L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie]

    [Voir :
    La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 1)
    La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 3)]

    Il n’y a pas de réponse à la dose pour le rayonnement des micro-ondes

    La vente des téléphones portables est, et a toujours été, basée sur des mensonges et des tromperies. Le plus gros mensonge est que ce sont des appareils de « faible puissance » et que cela les rend sûrs. C’est un double mensonge. C’est un mensonge parce qu’ils ne sont pas de faible puissance. Si vous mettez un téléphone portable — n’importe lequel — dans votre main ou à côté de votre corps, vous êtes bombardé par plus de micro-ondes provenant de votre téléphone que vous n’en recevez de n’importe quelle tour de téléphonie cellulaire, et par dix milliards de fois plus de micro-ondes que vous en recevez du soleil, de la Voie lactée ou de toute autre source naturelle. Les directives d’exposition établies par la Federal Communications Commission reflètent cette réalité : les tours de téléphonie cellulaire sont autorisées à exposer votre corps à un taux d’absorption spécifique de 0,08 watt par kilogramme, tandis que les téléphones cellulaires sont autorisés à exposer votre cerveau à un taux d’absorption spécifique de 1,6 watt par kilogramme, soit vingt fois plus.

    Et c’est un mensonge, car les appareils de faible puissance ne sont pas plus sûrs que les appareils de forte puissance. La raison en est que les champs électromagnétiques ne sont pas des toxines au sens ordinaire du terme, et que la règle de toxicologie selon laquelle une dose plus faible est une dose plus sûre ne s’applique pas aux micro-ondes. Comme l’a écrit Allan Frey en 1990 :

    « Les champs électromagnétiques ne sont pas une substance étrangère aux êtres vivants comme le plomb ou le cyanure. Avec les substances étrangères, plus la dose est grande, plus l’effet est grand – une relation dose-réponse. Les êtres vivants sont plutôt des systèmes électrochimiques qui utilisent les CEM de basse fréquence dans tous les domaines, du repliement des protéines au fonctionnement du système nerveux, en passant par la communication cellulaire. Pour modéliser la façon dont les CEM affectent les êtres vivants, on peut les comparer à la radio que nous utilisons pour écouter de la musique… Si l’on impose à la radio un CEM ou une harmonique convenablement accordée, même s’il est très faible, il perturbera la musique. De même, si nous imposons un signal CEM très faible à un être vivant, il a la possibilité d’interférer avec une fonction normale s’il est correctement accordé. C’est le modèle que de nombreuses données et théories biologiques nous disent d’utiliser, et non un modèle toxicologique. »

    L’étude la plus approfondie de l’effet de la barrière hématoencéphalique, découvert par Frey en 1975, a été menée à l’université de Lund, en Suède, à partir de la fin des années 1980, avec diverses sources de rayonnement micro-ondes et, plus tard, dans les années 1990 et 2000, avec de véritables téléphones portables. Ils ont découvert que non seulement il n’y a pas de relation dose-réponse, mais qu’il existe une relation dose-réponse inverse pour ce type de lésion. Ils ont exposé des rats de laboratoire à ce qu’on appelle aujourd’hui le rayonnement des téléphones cellulaires 2G, puis ils ont réduit le niveau de puissance du rayonnement de dix fois, cent fois, mille fois et dix mille fois. Et ils ont constaté, à leur grande surprise, que les dommages les plus importants à la barrière hématoencéphalique ne se produisaient pas chez les rats exposés à la puissance maximale, mais chez les rats exposés à des téléphones dont le rayonnement avait été réduit par un facteur de dix mille ! Cela équivaut à tenir un téléphone portable à plus d’un mètre de distance de son corps. Le chef de l’équipe de recherche, le neurochirurgien Leif Salford, a averti que les non-utilisateurs de téléphones cellulaires subissaient les dommages causés par les téléphones cellulaires de leurs voisins, et que cette technologie était « la plus grande expérience biologique jamais réalisée dans le monde. »

    Dans une autre série d’expériences, publiée en 2003, l’équipe de Salford a exposé de jeunes rats à ce qu’on appelle aujourd’hui un téléphone cellulaire 2G, une seule fois pendant deux heures, soit à pleine puissance, soit à deux niveaux différents de puissance réduite, et les a sacrifiés 50 jours plus tard pour examiner leur cerveau. Ils ont constaté qu’une seule exposition à un téléphone cellulaire ordinaire fonctionnant à la puissance normale avait détruit de façon permanente jusqu’à 2 % de presque tous les rats. Les neurones endommagés dominaient l’image dans certaines zones de leur cerveau. Lorsque la puissance du téléphone a été divisée par dix, elle a provoqué des lésions cérébrales chez tous les rats. Lorsque la puissance du téléphone a été divisée par cent, ce type de lésions cérébrales permanentes a été observé chez la moitié des animaux exposés.

    Dans des expériences encore plus poussées, publiées en 2008, les chercheurs ont exposé des rats à un téléphone portable pendant deux heures une fois par semaine pendant un an, en utilisant toujours ce qu’on appelle aujourd’hui un téléphone portable 2G. Les rats exposés souffraient de troubles de la mémoire, qu’ils aient été exposés à un niveau de DAS de 60 milliwatts par kilogramme ou de 0,6 milliwatt par kilogramme. En d’autres termes, la réduction du niveau de puissance par un facteur de cent n’a pas rendu le téléphone portable moins dangereux.

    L’absence de relation dose-effet a été signalée à maintes reprises. Le physicien Carl Blackman a passé une grande partie de sa carrière à l’Agence pour la protection de l’environnement à déterminer pourquoi non seulement des fréquences particulières, mais aussi des niveaux de puissance particuliers des rayonnements de radiofréquences provoquent l’écoulement du calcium hors des cellules du cerveau. Ross Adey, de l’UCLA, Jean-Louis Schwartz, du Conseil national de recherches du Canada, et Jitendra Behari, de l’université Jawaharlal en Inde, ont fait le même constat. Le généticien Sisir Dutta, qui a étudié le même phénomène à l’université Howard en 1986, a constaté des pics de flux de calcium à des niveaux de DAS de 2 W/kg et 1 W/kg, ainsi qu’à 0,05, 0,002 8, 0,001, 0,000 7 et 0,000 5 W/kg, avec un certain effet jusqu’à 0,000 1 W/kg. L’effet à 0,000 7 W/kg de DAS était quadruple de l’effet à 2,0 W/kg, en d’autres termes, une réduction de 3 000 fois du niveau de puissance a entraîné une augmentation de 4 fois de la perturbation calcique. La fréquence était de 915 MHz, la même que celle qui sera utilisée plus tard pour les téléphones portables.

    Dans les années 1960 et 1970, Maria Sadchikova et ses collègues soviétiques ont examiné des centaines de travailleurs exposés à des micro-ondes sur leur lieu de travail et ont systématiquement constaté que les travailleurs les plus malades étaient ceux qui étaient exposés aux niveaux de puissance les plus faibles et non les plus élevés.

    Igor Belyaev, de l’université de Stockholm, a constaté que les effets génétiques se produisaient à des fréquences spécifiques et que l’ampleur de l’effet ne changeait pas avec le niveau de puissance sur 16 ordres de grandeur, jusqu’à 0,000 000 000 000 000 001 watt par centimètre carré, un niveau qui est un quadrillion de fois inférieur à ce qu’un téléphone portable envoie au cerveau.

    Dimitris Panagopoulos, de l’université d’Athènes, a constaté que les mouches des fruits exposées à un téléphone portable pendant une minute par jour pendant cinq jours avaient une progéniture 36 % moins nombreuse que les mouches qui n’étaient pas exposées du tout. Lorsqu’il les a exposées au téléphone pendant six minutes par jour pendant cinq jours, le nombre de leur progéniture a diminué de 50 à 60 %. Et l’effet maximal s’est produit lorsque le téléphone cellulaire se trouvait à environ 30 cm des mouches, et non lorsqu’il touchait la fiole dans laquelle se trouvaient les mouches. Dans des recherches plus poussées, il a montré que l’effet était dû aux dommages causés à l’ADN et à la mort consécutive des cellules par le rayonnement.

    Dans une autre expérience, le collègue de Panagopoulos, Lukas Margaritis, a exposé des mouches à fruits à diverses fréquences de rayonnement RF à des niveaux d’exposition allant de 0,000 1 watt par kilogramme à 0,04 watt par kilogramme, et a constaté que même une seule exposition à l’une de ces fréquences, à l’un de ces niveaux de puissance, pendant seulement 6 minutes, entraînait la mort d’un nombre important de cellules ovariennes.

    Dans le cadre d’une autre étude, l’équipe de Margaritis a exposé des mouches à fruits à un téléphone portable pendant 6 minutes, 12 minutes, 6 minutes par jour pendant 3 jours ou 12 minutes par jour pendant 3 jours. Dans chaque cas, le téléphone a triplé ou sextuplé le nombre de cellules ovariennes mortes. L’équipe a ensuite testé d’autres sources de micro-ondes pendant 10 à 30 minutes par jour, pendant 9 jours au maximum, et a constaté que chacune d’entre elles réduisait le nombre de descendants de 11 à 32 %. Le téléphone cellulaire et le téléphone sans fil ont eu l’effet le plus important, mais le WiFi, le babyphone, le Bluetooth et le four à micro-ondes ont également réduit considérablement la fécondité des mouches.

    Les effets sur les insectes sont si évidents que même un lycéen peut facilement les démontrer. En 2004, Alexander Chan, élève de deuxième année au lycée Benjamin Cardozo de Queens (New York), a exposé quotidiennement des larves de drosophiles à un haut-parleur, un écran d’ordinateur et un téléphone portable dans le cadre d’un projet scientifique et a observé leur développement. Les mouches qui ont été exposées au téléphone portable n’ont pas développé d’ailes.

    Que faisons-nous à la nature ?

    Nous perturbons et désorientons non seulement les oiseaux, mais aussi, comme on le découvre actuellement, les insectes. Il semble que toutes les petites créatures dotées d’antennes les utilisent pour envoyer et recevoir des communications électroniques — des communications qui sont perturbées et noyées par les communications beaucoup plus puissantes de nos appareils sans fil.

    Lorsque les abeilles domestiques exécutent leur danse de l’agitation pour s’informer mutuellement de l’emplacement des sources de nourriture, il ne s’agit pas seulement d’une danse visuelle, mais aussi d’une danse électromagnétique. Pendant la danse, elles génèrent des signaux électromagnétiques avec une fréquence de modulation comprise entre 180 et 250 Hz. Ils envoient également un autre type de signal, appelé signal « stop », d’une durée pouvant atteindre 100 millisecondes, à une fréquence de 320 Hz. Le signal d’arrêt est utilisé lorsque la colonie a déjà trop de nourriture, et il amène les danseurs à s’arrêter de danser et à quitter la piste. Uwe Greggers, de la Freie Universität Berlin, a découvert que les abeilles se mettent à marcher et à bouger activement leurs antennes en réponse à des champs électromagnétiques générés artificiellement qui imitent ces signaux naturels, même en l’absence de tout repère visuel ou auditif. Les abeilles dont il avait retiré les antennes ou qu’il avait enduites de cire ne répondaient pas à ces signaux.

    La pollinisation dépend également de la communication électromagnétique — entre les abeilles et les fleurs. Les abeilles portent une charge positive sur leur corps du fait qu’elles volent dans le champ électrique atmosphérique global, tandis que les fleurs, étant reliées à la terre, portent une charge négative. Dominic Clarke, de l’université de Bristol, a prouvé que cela facilite non seulement le transfert du pollen des fleurs aux abeilles, mais aussi que les abeilles sentent et sont attirées non seulement par les couleurs des fleurs, mais aussi par les modèles distincts de leurs champs électriques. Le champ électrique d’une fleur diminue immédiatement après avoir été visitée par une abeille, et les autres abeilles « voient » cela et ne visitent que les fleurs dont le champ électrique est robuste. Alors que les abeilles mellifères voient les champs avec leurs antennes, les bourdons les voient plutôt avec les poils qui recouvrent leur corps et qui font d’eux des créatures si particulières, mais qui fonctionnent aussi comme une sorte d’antenne.

    En 2007, le biologiste allemand Ulrich Warnke a publié une importante brochure en anglais et en allemand intitulée Bees, Birds and Mankind : Destroying Nature by “Elektrosmog” (Bienen, Vögel und Menschen : Die Zerstörung der Natur durch ‘Elektrosmog’). Il y rappelle qu’il n’y a que deux forces à longue portée — la gravité et l’électromagnétisme — qui façonnent tout dans l’univers, y compris nos corps, et que nous ignorons ce fait à nos risques et périls. L’électricité est le fondement de la vie, a-t-il averti, et « cette destruction du fondement de la vie a déjà anéanti à jamais de nombreuses espèces. » Nous ne pouvons pas immerger notre monde, a-t-il dit, dans une mer de rayonnements électromagnétiques jusqu’à 10 000 000 000 fois plus puissants que les rayonnements naturels avec lesquels nous avons évolué sans détruire toute la vie. Il a résumé les recherches que lui et d’autres ont effectuées sur les abeilles à miel. Il n’est pas étonnant, écrit Warnke, que les abeilles disparaissent partout dans le monde.

    Elles ont commencé à disparaître à l’aube de l’ère de la radio. Sur la petite île située au large de la côte sud de l’Angleterre, où Guglielmo Marconi a envoyé la première transmission radio longue distance au monde en 1901, les abeilles ont commencé à disparaître. En 1906, l’île, qui accueillait alors la plus grande densité de transmissions radio au monde, était presque vide d’abeilles. Des milliers d’entre elles, incapables de voler, ont été retrouvées rampantes et mourantes sur le sol à l’extérieur de leurs ruches. Des abeilles saines importées du continent ont commencé à mourir dans la semaine suivant leur arrivée. Au cours des décennies suivantes, la maladie de l’île de Wight s’est répandue, en même temps que la radio, dans le reste de la Grande-Bretagne, ainsi qu’en Italie, en France, en Suisse, en Allemagne, au Brésil, en Australie, au Canada, en Afrique du Sud et aux États-Unis. Dans les années 1960 et 1970, son nom est devenu « maladie de la disparition ». Elle est devenue urgente à la fin des années 1990, avec la révolution du sans-fil, et est devenue une urgence mondiale en 2006, lorsqu’elle a été rebaptisée « syndrome d’effondrement des colonies ». Aujourd’hui, non seulement les abeilles domestiques, mais aussi toutes les abeilles sauvages sont en danger d’extinction.

    Non seulement les amphibiens disparaissent, mais un grand nombre d’espèces d’amphibiens se sont déjà éteintes, même dans les régions les plus éloignées et les plus vierges du monde — vierges, bien sûr, à l’exception des tours de communication et des stations radars émettant des micro-ondes. Les amphibiens sont les plus vulnérables de toutes les catégories d’animaux de la planète aux rayonnements électromagnétiques, et leur nombre diminue et s’éteint depuis les années 1980. Lorsque j’ai étudié la question en 1996, toutes les espèces de grenouilles et de crapauds du parc national de Yosemite étaient en train de disparaître. Dans la réserve de la forêt nuageuse de Monteverde, au Costa Rica, le célèbre crapaud doré, très protégé, s’était éteint. Huit des treize espèces de grenouilles d’une réserve de forêt tropicale brésilienne avaient disparu. La célèbre grenouille gastro-intestinale d’Australie a disparu. Soixante-quinze espèces de grenouilles arlequin colorées qui ornaient autrefois les cours d’eau des régions tropicales de l’hémisphère occidental ont disparu. Aujourd’hui, plus de la moitié des espèces connues de grenouilles, salamandres et caeciliens (amphibiens ressemblant à des serpents), soit 4 300 espèces, ont disparu ou sont menacées d’extinction.

    En 1996, lorsque les tours de téléphonie mobile ont envahi les régions reculées des États-Unis, des grenouilles mutantes ont commencé à apparaître par milliers dans les lacs, les cours d’eau et les forêts du Midwest américain. Leurs pattes déformées, leurs pattes supplémentaires, leurs yeux manquants, leurs yeux mal placés et autres erreurs génétiques effrayaient les écoliers en excursion.

    En 2009, Alfonso Balmori, biologiste de la faune sauvage, a réalisé une expérience simple et évidente sur le balcon d’un appartement de Valladolid, en Espagne, non loin d’une antenne relais, une expérience qui a permis de prouver ce qui se passait : il a élevé des têtards dans deux réservoirs identiques, sauf qu’il a drapé sur l’un d’eux une fine couche de tissu tissé de fibres métalliques, qui laissait passer l’air et la lumière, mais empêchait les ondes radio. Les résultats ont choqué même Balmori : en l’espace de deux mois, 90 % des têtards dans le réservoir sans blindage étaient morts, contre seulement 4 % dans le réservoir blindé.

    Des expériences similaires de blindage ont confirmé, à la pelle, ce qui arrive aux oiseaux et à nos forêts.

    Des scientifiques de l’université d’Oldenburg, en Allemagne, ont été choqués de constater, à partir de 2004, que les oiseaux chanteurs migrateurs qu’ils avaient étudiés n’étaient plus capables de s’orienter vers le nord au printemps et vers le sud-ouest en automne. Soupçonnant que la pollution électromagnétique pouvait en être responsable, ils ont fait pour leurs oiseaux ce que Balmori a fait pour ses têtards quelques années plus tard : ils ont protégé la volière des ondes radio pendant l’hiver avec des feuilles d’aluminium. « L’effet sur les capacités d’orientation des oiseaux a été profond », ont écrit les scientifiques. Au printemps suivant, les oiseaux se sont tous orientés vers le nord.

    En 2007, dans un laboratoire d’arrière-cour situé au pied des montagnes Rocheuses du Colorado, Katie Haggerty a décidé de réaliser la même expérience avec des plants de tremble. Elle voulait savoir si les ondes radio étaient responsables du déclin des trembles dans tout le Colorado, qui avait commencé en 2004. Elle a fait pousser 27 peupliers : neuf sans aucun écran, neuf avec un écran de fenêtre en aluminium autour de leurs pots qui empêchait les ondes radio, et neuf avec un écran en fibre de verre qui empêchait autant de lumière, mais laissait entrer toutes les ondes radio. Deux mois plus tard, les nouvelles pousses des trembles protégés par un écran radio étaient 74 % plus longues et leurs feuilles 60 % plus grandes que celles des trembles protégés par un écran factice ou sans écran. Et à l’automne, les arbres protégés avaient de grandes feuilles saines aux couleurs d’automne brillantes pour lesquelles les trembles sont célèbres : orange vif, jaune, vert, rouge foncé et noir. Les arbres sans bouclier et avec bouclier factice avaient de petites feuilles d’un jaune et d’un vert ternes, couvertes de zones grises et brunes de pourriture. La seule chose qui avait changé dans les montagnes Rocheuses du Colorado en 2004 était l’installation d’un nouveau système de communication d’urgence appelé Digital Trunked Radio System, composé de 203 tours radio dont les transmissions couvraient chaque centimètre carré de l’État.

    (à suivre) 




    Yussef Hindi, invité de Richard Boutry sur La une TV, donne son avis sur Florian Phillipot et François Asselineau

    [Source : Pascal P.]




    Crise Covid : comment sortir de l’hypnose négative ? – Du problème aux solutions

    [Source : profession-gendarme.com]

    Par Jérémie Mercier

    https://youtu.be/XP220kpDQXQ

    Pour ce 13ème numéro de « Science en Conscience » pour ReinfoCovid, Jérémie Mercier reçoit Pascal Sacré, médecin anesthésiste-réanimateur belge spécialisé en soins intensifs.
    Formé en hypnose médicale et ericksonienne, il a pour projet l’apprentissage des outils hypnotiques ericksoniens dans la gestion du stress pour les personnels hospitaliers.

    Nous échangerons en direct lundi 4 octobre à 21h sur le thème :
    « Crise Covid : comment sortir de l’hypnose négative ? – Du problème aux solutions »

    Crédit musique générique : Erik Baroux

    ► Retrouvez ReinfoCovid sur le site : http://reinfocovid.fr/

    ► Retrouvez Jérémie Mercier sur son site : https://www.jeremie-mercier.com/
    et sur son groupe Telegram : https://t.me/DeconfineTaSante