La virologie : pseudoscience au service de la domination

[Source : unpeudairfrais.org]

Par Jan Morvan, Fortuné Roussel et Patrick Visconti

Le spectacle se présente comme une énorme positivité indiscutable et inaccessible. Il ne dit rien de plus que « ce qui apparaît est bon, ce qui est bon apparaît ». L’attitude qu’il exige par principe est cette acceptation passive qu’il a déjà en fait obtenue par sa manière d’apparaître sans réplique, par son monopole de l’apparence.

La société du spectacle, Guy Debord, 1967

Il y a plus de cent ans, le Nouveau Dictionnaire des Synonymes français d’A.-L. Sardou définissait les nuances qu’il faut saisir entre : 

fallacieux, trompeur, imposteur, séducteur, insidieux, captieux ; et qui ensemble constituent aujourd’hui une sorte de palette des couleurs qui conviennent à un portrait de la société du spectacle.

Commentaires sur la société du spectacle, Guy Debord, 1988

Tout d’abord, nous reconnaissons le rôle important de l’association RéinfoCovid dans la résistance à l’oppression covidiste que nous subissons depuis mars 2020. Ce collectif a, en effet, réalisé un travail de contre-propagande qui a permis à de nombreux francophones d’entrer dans une forme de résistance et de préserver leur corps d’une injection toxique (qui aux dernières nouvelles contient de nombreux composés toxiques, principalement métalliques, tels que baryum, chrome, titane, gadolinium, aluminium(([1] « Des composés métalliques toxiques ont été trouvés dans tous les échantillons de vaccins contre la COVID analysés par des scientifiques allemands », 25/08/2022, The Defender, https://childrenshealthdefense.org/defender/des-composes-metalliques-toxiques-ont-ete-trouves-dans-tous-les-echantillons-de-vaccins-contre-la-covid-analyses-par-des-scientifiques-allemands/?lang=fr)) ).

Cependant, la majeure partie des articles et vidéos de RéinfoCovid supposent l’existence des virus. Nous prétendons que cette théorie n’est étayée par aucun argument scientifique valable. Les analyses de contradiction de la version officielle des évènements qui, dans leur immense majorité partent de cette hypothèse virale, ne permettent pas une compréhension de la situation et sont parfois même contre-productives pour la résistance. RéinfoCovid n’est qu’un exemple parmi d’autres et nous précisons que nous n’avons pas d’hostilité particulière pour ce collectif, car notre critique est tout aussi valable pour tous les autres acteurs de la résistance au covidisme qui adhèrent à l’hypothèse virale.

Les tests PCR

Les critiques remettant en cause la pertinence des tests PCR (Polymerase Chain Reaction) sont la plupart du temps focalisées sur le nombre de cycles d’amplification. Or, la réalité n’est pas que le nombre de faux positifs augmente lorsque l’on s’approche des 35 cycles, mais que ce test n’a aucune pertinence dès le premier cycle.

Les tests PCR « COVID » sont basés sur l’article Corman-Drosten de janvier 2020 ; article publié deux jours après sa soumission au journal Eurosurveillance (deux auteurs de l’article étant membres du comité éditorial du journal).

En novembre 2020, vingt-deux auteurs dont Mike Yeadon (ancien vice-président de la Division recherche en maladies allergiques et respiratoires chez Pfizer) et Stefano Scoglio (expert en microbiologie et en naturopathie, candidat au prix Nobel de médecine en 2018, et coauteur du livre « Virus Mania »), publient un rapport(([2] « Review report Corman-Drosten et al. Eurosurveillance 2020 », 27/11/2020, https://cormandrostenreview.com/report/)) démontant point par point l’article de Drosten. Dans un résumé de ce rapport, publié sur le site de RéinfoCovid, il est écrit : « Les preuves irréfutables présentées par les auteurs rendent le test PCR du SRAS-CoV-2 inutile. »(([3] « Le test PCR actuel a-t-il une utilité ? », décembre 2020, https://reinfocovid.fr/science/utilite-test-pcr-actuel/))

L’analyse statistique réalisée par Pierre Chaillot (statisticien de formation et animateur de la chaîne YouTube Décoder l’éco) a démontré que les résultats de ces tests n’ont aucun lien avec le nombre de malades et que le taux de positivité a été augmenté artificiellement par l’élargissement du nombre de « variants » recherchés(([4] « Y a-t-il eu un déferlement de malades ? », 3e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/y-a-t-il-eu-un-d%C3%A9ferlement-de-malades:e)).

L’inventeur de la méthode PCR en 1983, Kari Mullis, est souvent cité pour avoir affirmé que ces tests ne permettent pas de détecter des virus libres et infectieux ; mais il a également expliqué son étonnement de n’avoir trouvé aucun article scientifique démontrant l’existence du virus du SIDA(([5] https://cv19.fr/2021/11/18/dr-kary-mullis-pourquoi-jai-commence-a-remettre-en-question-le-vih/)). Ajoutons que l’existence d’un seul virus n’a jamais été démontrée à ce jour.



Aucun virus n’a jamais été isolé

En mai 2020, la biostatisticienne canadienne Christine Massey a commencé à soumettre des demandes d’information de type FOIA (liberté de l’information, dans le cadre des lois de Freedom Of Infomation Act) à des organismes et agences de santé publique au Canada et de par le monde, pour tout document détenu décrivant l’isolement/la purification du prétendu « virus du COVID-19 », le SARS-COV-2. À ce jour, elle a collecté les réponses de 208 organisations de 35 pays, et aucune d’entre elles n’a cité un seul document décrivant la purification du prétendu virus à partir d’un seul échantillon de patient(([6] https://www.fluoridefreepeel.ca/fois-reveal-that-health-science-institutions-around-the-world-have-no-record-of-sars-cov-2-isolation-purification/, lire également cet interview https://cv19.fr/2021/10/13/le-virus-inexistant-une-interview-explosive-de-christine-massey/)).

Dans une forme d’activisme ironique, on trouve également cette invitation de Samuel Eckert, restée sans réponse malgré l’offre alléchante : « Vous n’y croyez pas et avez la preuve de l’existence du ”SARS-COV-2” ? Alors, empressez-vous de l’envoyer au Isolate Truth Found et vous gagnerez 1,5 million d’euros »(([7] https://samueleckert.net/isolate-truth-fund/ site censuré par Google mais pas par duckduckgo.com, idem pour les sites des docteurs en médecine Andrew Kaufman et Tom Cowan)).

En effet, si l’on s’en remet aux articles publiés (Matériel et méthodes) en décembre 2019/janvier février 2020 par les équipes chinoises et coréennes, le procédé présenté par les virologistes comme un « isolement du virus » ne correspond pas à une méthode scientifique valable. Cela a amplement été démontré par les travaux d’Andrew Kaufman, Tom Cowan, Stefan Lanka, Sam Bailey et bien d’autres(([8] https://unpeudairfrais.org/declaration-sur-lisolement-des-virus-par-morell-cowan-et-kaufman/https://unpeudairfrais.org/ressources-sur-linexistence-des-virus/)).

Les exosomes sont indiscernables des « virus »

Citons cette interview de Stefano Scoglio d’octobre 2020(([9] https://cv19.fr/2021/10/15/candidat-italien-au-prix-nobel-il-nest-pas-sur-que-ce-virus-existe/)) :

« La réalité est que le virus du SARS-COV-2 n’a jamais été isolé et testé. J’ai examiné toutes les études qui prétendent avoir isolé et même testé le virus, mais toutes ont fait quelque chose de très différent : ils ont pris le liquide pharyngé ou broncho-alvéolaire des patients, puis ils l’ont centrifugé pour séparer les molécules plus grosses et plus lourdes des molécules plus petites et plus légères, comme les prétendus virus ; ils ont ensuite pris le surnageant (la partie supérieure du matériel centrifugé) et ont appelé cette matrice extrêmement complexe « virus isolé » à laquelle ils ont ensuite appliqué la RT-PCR ».

« C’est assez technique, mais je vais essayer de simplifier : le surnageant contient de nombreux types de molécules, des milliards de micro et nanoparticules différentes, y compris ce qu’on appelle les vésicules extracellulaires (VE) et les exosomes, des particules utiles produites par notre corps et absolument indiscernables des « virus » ».

« Aujourd’hui, c’est une mission presque impossible de séparer les vésicules extracellulaires et les « virus » par les méthodes canoniques d’isolement des vésicules, comme l’ultracentrifugation différentielle, car ils sont souvent copelletés (rassemblés ensemble) en raison de leur taille similaire. »(([10] Giannessi F. et al., The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses, 2 Viruses 2020, 12, 571 ; doi:10.3390/v12050571, p.4, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7291340/)).

Les exosomes sont dotés d’une membrane du même type que celle des cellules. Véhicules de transport et d’expulsion de composants cellulaires, ils servent notamment à la communication cellulaire en transférant des ARN messagers d’une cellule l’autre (Wikipédia).

La « méthode » des virologistes

La lecture de la partie « Materials and methods » des articles de virologie laisse pantois. Les auteurs inoculent un surnageant éventuellement issu de liquide broncho-alvéolaire d’un patient aux symptômes de pneumonie, échantillon non purifié censé contenir un virus, dans une boîte de Petri en présence de cellules étrangères au prélèvement (la plupart du temps, il s’agit de cellules à capacité illimitée de division, disons tumorales de la lignée VERO issue d’un prélèvement d’épithélium de rein de singe vert africain en 1962 et répliquée depuis). Il est ajouté à cette culture : des antibiotiques toxiques particulièrement pour le tissu rénal tels que l’amphotericine B ou la gentamicine, du sérum fœtal bovin, et autres types de matériel biologique qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce qu’on appelle un « virus », et en outre dans des conditions de concentrations de milieux de culture cellulaire appauvris en substances nutritives. Le fait que ces cellules présentent des anomalies et une cytolyse élevée (effet cytopathique) à l’observation en microscopie électronique est ensuite présenté comme la preuve de la présence de virus.

De nombreux articles scientifiques présentent des micrographies censées représenter des virus, mais comment savoir s’il ne s’agit pas d’exosomes ou de cellules en dégénérescence, en sachant que le traitement des tissus pour l’analyse en microscopie électronique peut aussi largement induire des artefacts ?

Illustration tirée de l’article « Covid-19 : des images inédites du coronavirus SRAS-CoV-2 » publié en mars 2020 par Sciences et Avenir(([11] https://www.sciencesetavenir.fr/sante/le-coronavirus-covid-19-en-images_141916#animatedModal)).

Le « séquençage » génétique

Une autre « preuve » de l’existence des « virus », utilisée par les virologistes est le séquençage génétique. Pour comprendre comment est réalisé ce « séquençage des virus » à partir de cette soupe de surnageant évoquée plus haut, de ce véritable brouet grossier, nous vous recommandons cette conférence d’Andrew Kaufman(([12] Andrew Kaufman — Red Pill Expo — June 2021, https://odysee.com/@Scamdemic:7/Andrew-Kaufman-Red-Pill-Expo-2021)) qui présente la « méthode » décrite par les virologistes, censés avoir séquencé les premiers le SARS-COV-2 dans cet article intitulé « A new coronavirus associated with human respiratory disease in China » publié le 3 février 2020 dans le journal Nature(([13] https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3)).

Bien qu’il suffise de prendre connaissance de cette « méthode » pour comprendre que la virologie est une pseudoscience, Stefan Lanka a démontré son absurdité en reproduisant ce protocole fallacieux. Il a reproduit le procédé décrit dans les publications « d’isolement supposé », c’est-à-dire en présence des cellules VERO avec tous les traitements cytotoxiques pratiqués, mais cette fois sans y ajouter de prélèvement censé contenir un virus, et il a retrouvé les mêmes résultats que les virologistes (cytolyse cellulaire, micrographies censées représenter des virus, « séquençage »). En réalisant ces expériences témoins qui représentent le véritable contrôle nécessaire à toute expérimentation (qu’aucun virologiste ne prend la peine de faire), il a démontré à quel point la virologie était basée sur une fraude scientifique complète, une réelle imposture(([14] Stefan Lanka: « Virus, It’s Time To Go. », https://odysee.com/@Hmanpro:e/Time_To_Go:b, L’enterrement de la théorie virale par Joseph Stroberg, https://cv19.fr/2022/02/03/lenterrement-de-la-theorie-virale/)).

Plusieurs expériences pourraient être menées pour trancher le débat sur l’existence des « virus », une proposition a d’ailleurs été faite par plusieurs des auteurs cités précédemment en juillet 2022(([15] https://drsambailey.com/resources/settling-the-virus-debate/)). Elle reste sans réponse, ignorée et non médiatisée.

N’oublions pas, d’autre part, que l’hypothèse virale n’a aucune cohérence avec l’analyse des statistiques de la mortalité. Pierre Chaillot a démontré que le phénomène de contagion d’un département ou d’un pays à l’autre était inexistant(([16] Le mythe de la contamination épidémique, 5e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/le-mythe-de-la-contamination:e. Voir également sur la contagion interhumaine : Quelques études ayant tenté de prouver la contagion interhumaine, https://cv19.fr/2022/02/20/quelques-etudes-ayant-tente-de-prouver-la-contagion-interhumaine/)).

Certains pourraient rétorquer à ces considérations critiques en citant, par exemple, cet article de l’IHU de Marseille trouvant une corrélation entre le nombre de cycles PCR et la prétendue positivité de la mise en culture du virus(([17] Jaafar et al. 2021, Correlation Between 3790 Quantitative Polymerase Chain Reaction–Positives Samples and Positive Cell Cultures, Including 1941 Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 Isolates, https://academic.oup.com/cid/article/72/11/e921/5912603)). Mais l’apparente cohérence des résultats ne démontre en rien l’existence d’un « virus », la méthode étant fondée sur une théorie qui n’a jamais été démontrée. De la même manière, l’efficacité des traitements dits « antiviraux » contre la maladie dite COVID-19 n’est pas une preuve qu’elle est provoquée par un virus.

On peut ajouter que la présentation par de nombreuses équipes de supposés « variants » avec à chaque fois une séquence nucléotidique différente ne permet en aucune manière de conclure à l’existence des « virus ». En effet, on notera que dans ce cas, c’est la technique de séquençage des acides nucléiques (méthode de Sanger ou de Gilbert par exemple) qui prend le pas sur la notion essentielle d’isolement en amont qui se trouve de fait occultée. Une séquence d’acide nucléique et même un catalogue de séquences ne disent rien sur leur origine, par conséquent c’est la procédure d’isolement qui est essentielle et déterminante pour pouvoir conclure. Le phénomène des » variants » correspond en réalité à l’incapacité des virologistes à reproduire l’expérience de séquençage.

Reconstruction de la phylogénie basée sur les « génomes » du « SRAS-CoV-2 » récupérés chez 1041 patients. Graphique tiré de l’article : « Clinical outcomes in patients infected with different SARS-CoV-2 variants at one hospital during three phases of the COVID-19 epidemic in Marseille », France, Hoang et al. 2021. doi: 10.1016/j.meegid.2021.105092

La virologie est une pseudoscience. Et il n’y a pas besoin d’être virologiste pour le comprendre. Pas plus qu’il ne faut être expert en licornes, pour savoir qu’elles n’existent pas. Il y a un « consensus scientifique » des virologistes sur l’existence des « virus » tout comme il y a un consensus des multimilliardaires sur les bienfaits du capitalisme. Un chercheur payé pour développer des plantes OGM croit que ces plantes sont un progrès pour l’humanité, sinon il aspire à changer de métier.

[Voir aussi le dossier Vaccins et virus]

Mais alors, de quoi ces gens sont-ils malades ?

La première réponse est fournie par Pierre Chaillot : il n’y a pas eu d’augmentation extraordinaire de malades ou de décès avant l’arrivée des vaccins.

Si l’on tient compte de l’évolution de la pyramide des âges, on constate que l’année 2020 est la 6e année la moins mortelle de l’histoire de France(([18] « Y a-t-il eu une hécatombe quelque part ? », 1er épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/y-a-t-il-eu-une-h%C3%A9catombe-quelque-part:5)). Il n’y a pas eu de saturation hospitalière(([19] « Y a t il eu la saturation hospitalière annoncée ? », 2e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/y-a-t-il-eu-la-saturation-hospitali%C3%A8re:0)), mais c’est la codification des malades de l’OMS utilisée à l’hôpital et la tarification à l’acte qui expliquent ces pseudo chiffres à propos desquels le gouvernement nous ordonne de ne pas débattre(([20] La bureaucratie sanitaire au centre de la fraude, 4e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/la-bureaucratie-sanitaire-au-centre-de:e)).

Sur la période du premier confinement, on constate des augmentations anormales de la mortalité qui peuvent être expliquées par les mesures gouvernementales : la surmortalité à domicile (5000 décès) par l’abandon de soin, la surmortalité hospitalière (7000 décès) par une prise en charge trop tardive, et la surmortalité dans les EHPAD (5000 décès) par l’augmentation de l’utilisation de molécules pour « accompagner » la fin de vie du type Rivotril(([21] « Morts sous protection sanitaire », 6e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/morts-sous-protection-sanitaire:e)).

Deuxièmement, il ne faut pas inverser la charge de la preuve. Ce n’est pas à ceux qui prétendent que la théorie virale est une imposture de présenter une théorie alternative expliquant la maladie, mais aux virologistes de démontrer que la leur est juste.

Enfin, s’il fallait creuser une autre piste, on pourrait par exemple s’interroger sur le fait que les symptômes attribués au « virus » qui n’existe pas sont identiques à ceux d’une exposition aux ondes électromagnétiques, dont la 5G(([22] Rubik et Brown 2021, Evidence for a connection between coronavirus disease-19 and exposure to radiofrequency radiation from wireless communications including 5G, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/)). D’autre part, il existe une corrélation temporelle et géographique entre les lieux d’apparition de ces malades et l’implantation de la 5G(([23] voir le livre de Tom Cowan à partir de la page 21, https://unpeudairfrais.org/wp-content/uploads/2022/06/Le-mythe-de-la-contagion-Tom-Cowan.pdf)).

[Voir aussi :
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Paquet d’ondes radio
La maladie des ondes radio : l’histoire de l’électrohypersensibilité
Plus de 2 000 études documentaient les effets nocifs des ondes avant 1972]

Correspondance entre les effets biologiques de l’exposition aux rayonnements de communication sans fil et les manifestations de la COVID-19. Tableau tiré de l’article de Rubik et Brown 2021, Evidence for a connection between coronavirus disease-19 and exposure to radiofrequency radiation from wireless communications including 5Ghttps://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/.

Mais à n’en pas douter, il ne faut pas s’attendre à des financements publics ou autres permettant d’orienter les recherches vers ce type d’explication de la santé dégradée des populations. L’occasion est trop belle avec cette hypothèse virale pour ceux qui dirigent le monde de pouvoir ainsi exercer un contrôle renforcé totalitaire des populations, de trouver un débouché illimité pour les injections de BigPharma par la production d’une sorte de marché captif et aussi d’occulter toutes les agressions de la société industrielle sur la santé des peuples par les innombrables pollutions dont elle est à l’origine.

L’ultime soutien à la thèse virale : le gain de fonction

De quoi s’agit-il ? La recherche médicale en « gain de fonction » consiste à modifier le génome d’un agent pathogène afin d’en augmenter la transmissibilité et la virulence, en l’occurrence il s’agira, dans la situation actuelle, de supposés « virus ». L’objectif annoncé est de mieux comprendre la pathogénicité de ces organismes, de leur interaction avec des hôtes potentiels et l’environnement et par cette stratégie, d’être prêts de manière plus efficace à faire face à de nouvelles pandémies. En clair, l’objectif déclaré est de créer des agents plus pathogènes que ceux présents hypothétiquement dans la Nature afin de produire des vaccins par anticipation censés protéger au mieux les populations. Ainsi, on n’hésiterait pas à modifier un » virus » de chauve-souris afin de le rendre transmissible à l’homme (zoonose) et à éventuellement lui adjoindre des séquences d’autres » virus » très délétères afin de le rendre plus agressif avec l’objectif d’avoir à disposition le plus souvent un vaccin où sera prévue cette évolution naturelle potentiellement menaçante de la pathogénicité(([24] Gain-of-Function Research: Ethical Analysis, Selgelid 2016, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4996883/.)).

Le prix Nobel de médecine 2008, Luc Montagnier, fut un des premiers à déclarer sur Cnews en avril 2020 que, grâce aux travaux d’un de ses collègues mathématicien, Jean-Claude Pérez, et à ceux de chercheurs indiens qui avaient étudié de très près la séquence du SARS-COV2, il s’avérait que des séquences du HIV y étaient présentes, allant donc dans le sens d’une création humaine dans le laboratoire P4 de Wuhan(([25] https://www.leparisien.fr/societe/coronavirus-et-vih-pourquoi-la-theorie-du-pr-luc-montagnier-est-invraisemblable-17-04-2020-8301387.php)).

Nous ne tiendrons pas compte du dénigrement méprisant des commentaires journalistiques à l’égard de Luc Montagnier dans ses affirmations, ce n’est bien sûr pas le sens de notre propos. Notre mépris à l’égard de cette profession sous contrôle oligarchique ne doit pas faire de doute, et l’objet de notre critique se situe ailleurs : l’hypothèse virale sous-jacente.

Aux États-Unis, cette affirmation d’un « virus » produit artificiellement par gain de fonction, selon toute probabilité dans le laboratoire de Wuhan, acquit de plus en plus de poids au niveau des courants d’opinion critiques de la version officielle de la pseudo pandémie ou « plandémie ». Il s’agit des courants d’opinion, animés par des personnalités qui ont en effet très tôt courageusement dénoncé la dramatisation de la présentation officielle de la « plandémie ». Ils se sont faits l’avocat des traitements précoces et des prises en charge alternatives de la maladie « COVID », et surtout ont dénoncé le caractère criminel des vaccinations et les tendances totalitaires des États qui les mettaient en place de manière toujours plus coercitive. Et il faut admettre que c’est tout à leur honneur et que cela permit en partie de mettre en garde une fraction des populations.

Exemple de 2 épisodes de l’émission « The Highwire » présentée par Del Bigtree dans lesquelles il est question de « gain de fonction »(([26] https://thehighwire.com/videos/the-investigation-into-covid-19s-origin-takes-new-twist/https://thehighwire.com/videos/shocking-gain-of-function-admission-by-faucis-nih/)).

L’organisation de Robert Kennedy Jr, Children Health Defense(([27] https://childrenshealthdefense.org/defender/documents-reveal-disturbing-details-gain-of-function-experiments/)), et de nombreux médecins et chercheurs tels que Robert Malone, Steve Kirsch, Joseph Mercola ou encore des journalistes critiques à forte audience tels que Matthew Del Bigtree avec son site The Highwire, Joe Rogan et son podcast à succès, ou encore Jeremy Hammond ont contribué à développer cette vision alternative à la version officielle. Cette dénonciation a connu un aspect plus strictement politique avec par exemple les auditions du Sénateur Rand Paul à l’encontre d’Anthony Fauci, l’ancien directeur du CDC, qui aurait délibérément aidé à financer ce type de recherche à Wuhan. Nul doute évidemment du caractère criminel de ce Fauci et de son organisation en lien avec la Fondation Gates et des forces qui n’œuvrent pas vraiment au bien de l’Humanité.

La seule question à poser à toutes ces personnalités, engagées de manière très honorable dans la dénonciation des dangers de la vaccination (innombrables effets secondaires pouvant mener à de graves infirmités, pathologies chroniques, voire la mort), c’est d’accepter d’apporter la preuve de la validité de cette notion de « virus » produit artificiellement par gain de fonction (échappé par accident ou volontairement selon les interprétations) dès lors qu’aucun « virus » n’a jamais pu être isolé. Par conséquent, puisqu’il n’y a pas eu d’isolement de « virus », comment peut-on produire ce type de recherche à partir de « virus » identifiés antérieurement, pour les rendre plus agressifs et délétères avec une stratégie qui sera honnête ou criminelle.

Il y a un réel problème de logique de base dans cette conception et il est à craindre que cette vision ne fasse, parmi les rangs des gens qui se posent des questions à travers le monde, que renforcer la terreur en validant de nouveau et en renforçant l’hypothèse virale. L’aspect ouvertement contre-productif de ces présentations des faits ne peut qu’éloigner toujours plus de la conscience de l’aspect central de l’imposture virologique qui pourra continuer ainsi à perdurer et nous entraîner toujours plus vers un monde de contrôle totalitaire à la déshumanisation accélérée pour le plus grand profit d’une pseudo élite criminelle.

Nous nous ne prononcerons pas, à ce stade, sur l’honnêteté intellectuelle de ces personnalités d’ailleurs aux caractéristiques fort diverses : manipulation/opposition contrôlée ou ingénuité par absence de curiosité et ignorance ou encore crainte de se décrédibiliser aux yeux du plus grand nombre(([28] https://viroliegy.com/2022/10/24/its-gain-of-fiction-story-time-with-rfk-jr-and-friends/)). Mais la question mérite d’être posée, elle est essentielle à la production d’un examen critique solide dans un monde où la fausse science sacralisée est l’outil majeur de la coercition.

La jeune fille à la licorne — 1604-1605 — Le Dominiquin.

Jan Morvan, Fortuné Roussel et Patrick Visconti.





Nanotechnologie et « vaccins »

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

Nanotechnologie et « vaccins » : ou bien nous sommes informés ou bien nous ne voulons pas être informés !

Adresse MAC

Nous avons examiné, dans un article précédent, ce que voulait dire l’adresse MAC. MAC = Media Access Control. C’est un code de 48 bits, permettant d’identifier un appareil qui se connecte à un réseau IG local ou à Internet. Ce code est divisé en 6 blocs de 2 caractères décimaux d’accès. Les trois premiers sont connus sous le nom de O.U.I. (Organisation Unique Identifiée)

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X]

Les trois suivants sont appelés NICS (Network Interface Controller Specific). Tout cela constitue le numéro de série ou l’identifiant de l’appareil lui-même. Dans le contexte des « vaccins anti Covid », le code MAC signifie le code qui valide des adresses MAC sur un réseau sans fil Bluetooth.

Ces adresses MAC, contrairement à celles d’un appareil normal, se caractérisent par l’absence d’identifiant connu du fabricant. En d’autres termes, ils sont inconnus. Cela peut être vérifié en consultant toutes les bases de données des fabricants d’appareils électroniques. Ces adresses MAC n’existent donc chez aucun des fabricants.

En activant la fonction Bluetooth de votre téléphone portable, vous pouvez constater qu’apparaissent des codes MAC des appareils qui se trouvent dans votre environnement, des appareils connus et aussi des inconnus… On retrouve donc éventuellement son imprimante, son casque, une enceinte acoustique, d’autres téléphones… Quant aux adresses MAC inconnues, elles sont dynamiques ou variables. Leur période de diffusion est également variable. Des spécialistes de ces questions, comme Germàn Sarlangue, Julien Devilleger et d’autres, ont observé que ces codes étaient à mettre en lien avec les injections d’ARNm de Pfizer et Cie… Ils ont également remarqué que ce phénomène MAC n’existait pas lorsqu’il était recherché sur les personnes non « vaccinées ».

Il est à remarquer que les dernières mises à jour d’Androïde, désactivent dans certains cas, cette fonction sur le téléphone. Pour inverser ce phénomène, vous devez désactiver les options de développement du téléphone et vérifier en revanche que les options liées à Bluetooth ne sont pas désactivées, en particulier l’option d’affichage MAC sans nom. Sur les téléphones Apple, vous pouvez également vérifier si les applications du scanner BLI sont installées.

Maintenant, faites cette expérience : recherchez un tronçon de route à faible trafic et à faible vitesse et où il n’y a pas de circulation piétonne dans la zone.

Activez la fonction Bluetooth de votre téléphone en bordure de cette route. Vous allez découvrir qu’une adresse MAC va apparaître sur l’écran de votre téléphone, lorsque la personne présente dans son véhicule a été « vaccinée » ; puis, cette adresse va progressivement disparaître avec l’éloignement de son véhicule. Si, dans certains cas, l’adresse MAC n’apparaît pas, c’est que la personne présente dans son véhicule n’a pas été « vaccinée » ou que la dose d’oxyde de graphène n’a pas encore été suffisante pour déclencher l’autofabrication du système intracorporel de nanocommunication…

En 2021, un ami était convié aux obsèques d’une personne que l’on enterrait suite à une mort brutale par AVC. Arrivé au cimetière où avait lieu la cérémonie, il recevait une alerte sur son téléphone portable lui indiquant la détection d’adresses MAC : il y en avait cinq ! Il conservait une sauvegarde de cette preuve pour un article qu’il devait publier lui aussi sur un média indépendant. Vaccinés, même si vous êtes morts et enterrés, le code MAC continue d’émettre ses chiffres jusqu’au moment où le graphène sera dégradé par le temps, les substances environnementales, ou le feu d’une crémation future !

Comme la plupart des lecteurs, je me suis interrogé sur la réelle capacité des nanotechnologies à pouvoir constituer un véritable réseau fonctionnel et suffisamment indépendant en énergie pour fonctionner. Les découvertes dans le domaine de l’infiniment petit et l’alimentation électromagnétique à partir d’ions et non plus d’électrons — comme pour notre cerveau qui consomme très peu d’énergie — nous font entrer dans un monde que peu de personnes soupçonnent. L’ignorance est la première force de ceux qui ont fomenté ce plan machiavélique. 

Outre l’oxyde de graphène qui a été observé dans les 4 vaccins mentionnés, le Dr Campra a identifié, dans ces produits expérimentaux à ARNm, environ 110 éléments différents par l’observation microscopique et la spectrométrie des sérums.  

Des nanorouteurs ou nanosenseurs 

[Voir aussi :
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique]

Définition : Le routeur est un appareil permettant la communication entre un objet connecté et Internet. Dans ce cas qui nous intéresse ici, l’objet connecté n’est autre que la personne inoculée puisque le routeur a été introduit dans son corps par la « vaccination ». On dit « Nano », parce qu’il s’agit d’un objet miniaturisé capable de passer par l’aiguille d’une seringue.

Les routeurs observés dans les sérums fonctionnent sans fil et peuvent être connectés à des appareils compatibles. Les routeurs sans fil font office d’interrupteurs réseau permettant aux appareils de communiquer entre eux et d’échanger des informations. 

Ils émettent des adresses MAC qui peuvent être enregistrées via des technologies sans fil Bluetooth sur des téléphones portables et à l’aide d’une application, comme on l’a vu. L’adresse MAC permet d’identifier l’objet — ici la personne — qui est porteuse du nanorouteur. À partir d’expertises contrôlées, Maître Brusa confirme que les personnes vaccinées sont porteuses d’une adresse MAC évolutive. Le lecteur pourra également visionner le film produit par Pierre Barnérias, Hold On, qui met en exergue une expérience montrant la présence de nanorouteurs chez les personnes vaccinées. 

[Voir :
Maître Brusa a fait confirmer par constat d’huissier la présence de code alphanumérique chez les vaccinés]

Le Dr Campra nous a donné une collection d’images de nanorouteurs/nano senseurs capturés à partir de son travail sur les vaccins Pfizer et Cie… et datées de novembre 2021. 

Pourquoi les personnes non injectées, mais testées ont-elles fait également l’objet de cette étude ? Parce que la suspicion de présence de nanotechnologies dans les écouvillons destinés au prélèvement nasal pour effectuer un test PCR Covid était importante. Les tests réalisés sur certaines personnes non vaccinées, mais prélevées pour un test PCR ont émis également un code MAC, mais il faut noter que tout dépend de la façon dont ont été réalisés ces tests. Dans tous les cas, les signaux alphanumériques ne se sont pas révélés comme constants dans le temps et leur apparition s’est avérée brève. 

Comme à chaque fois, les médias subventionnés dénigrent ces informations, sans enquêter, sans aucune expérimentation, mais seulement sur la base de ce qui est officiellement déclaré par les laboratoires, fabricants, commerçants et indirectement décisionnaires publics sur les AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) à travers les ex-employés qui sont disponibles dans les agences de régulation sanitaire partout dans le monde (pantouflage). 

Des nanoantennes et des nanoantennes plasmoniques 

Définition : Les nanoantennes permettent notamment de détecter des biomolécules avec une sensibilité exaltée, de contrôler les processus d’émission moléculaire, d’induire des élévations locales de température ou de piéger des micro-organismes vivants. 

Les points quantiques, utilisés dans l’industrie pharmaceutique « aussi appelés boîtes quantiques », sont des nanocristaux semiconducteurs, faisant généralement de 2 à 10 nanomètres de diamètre (10-50 atomes), qui sont capables de convertir un spectre de lumière entrant en une fréquence d’énergie différente. 

« Ces cristaux artificiels sont fabriqués à une échelle suffisamment petite pour faire émerger des effets de mécanique quantique. Les points quantiques ont des propriétés électroniques et optoélectroniques uniques qui permettent d’ajuster leurs niveaux d’énergie avec leur longueur d’onde ou leur couleur ». 

Les antennes plasmoniques/optiques permettent une localisation de l’énergie électromagnétique à l’échelle du nanomètre, bien en dessous de la limite de diffraction. Cette propriété ouvre de nouvelles voies pour la manipulation de la lumière aux échelles nanométriques, et porte de nombreuses promesses pour exalter les efficacités d’émission optique et de photodétection, notamment pour les applications de l’optique vers la biologie : la biophotonique. 

Les nanoantennes servent à la fois de capteur et sont aussi destinées à amplifier les signaux de communication pour transmission de données à un serveur extérieur, celui qui est précisément contrôlé par ceux qui ont introduit ces biotechnologies dans les sérums. 

« Les nanoantennes de large bande jouent un rôle potentiel dans le champ nanophotonique. Récemment, les nanoantennes optiques plasmodiques fabriquées à l’aide de nouvelles nanoparticules métalliques ont engendré un grand intérêt, pour la recherche, eu égard à leur capacité de positionner et d’améliorer, drastiquement, les champs électromagnétiques à leur surface ».

On peut en déduire que ce sont des antennes conçues spécifiquement pour le contexte des réseaux de nanocommunications intracorporelles et qui corroborent parfaitement les découvertes antérieures portant sur les nanorouteurs et le domaine des biosenseurs (Cf. : Haes, AJ, Van Duyne RP, 2002). 

Les vaccins permettraient donc d’injecter un nanopuzzle de nanotechnologies pouvant servir d’interface pour un réseau de nanocommunications introduit dans le corps humain. 

Il est techniquement possible aujourd’hui d’absorber et d’utiliser des ondes électromagnétiques produites par le corps humain.

Ces antennes peuvent également agir comme ponts rectificateurs du courant alternatif/continu et impliqueraient un autoassemblage pour interagir avec d’autres nanotechnologies présentes dans les sérums vaccinaux. 

Il est également possible de fabriquer un hydrogel pour nanotechnologies, à savoir une solution aqueuse qui permet de protéger les nanotechnologies contre une dégradation trop rapide par le système immunitaire. Il offre potentiellement un second avantage, celui de créer un environnement favorable pour faciliter la communication entre les différents éléments (nanotechnologies) contenus dans les « vaccins ».

[Voir aussi :
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux]

Les codecs – codeurs-décodeurs et les portes logiques

Dans le cas d’un nanoréseau intracorporel, les nanocodecs ont pour fonction de communiquer avec le nanoréseau de l’extérieur, c’est-à-dire au travers d’une plateforme où sont transmises les informations dans un réseau sans fil. 

Les (nano) portes logiques sont généralement des composants élémentaires d’un circuit numérique. Il existe usuellement sept portes logiques de base (AND, OR, XOR, NOT, NAND, NOR et XNOR) qui fonctionnent sur une base binaire (0 ou 1) et qui peuvent permettre, dans le cas qui nous intéresse, de crypter les nanocommunications entre les nanotechnologies inoculées aux personnes et un serveur à distance. Elles fonctionnent donc en réseau avec les codecs.

Oxyde de graphène 

L’oxyde de graphène supplante le silicium utilisé dans les semi-conducteurs, car sa capacité de conduire le courant électrique et sa capacité à capter ou à émettre un rayonnement électromagnétique focalisent les recherches et placent le graphène au cœur de la 4e révolution industrielle. Il représente le matériau idéal pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme humain, vont permettre de mesurer des critères biologiques préprogrammés et transmettre le résultat sans connexion filaire. 

Comme le rappelle le docteur en physique Gabriel Baumgartner, voici quelques caractéristiques des nanoparticules de graphène : 

Très grande résistance mécanique et grande capacité à conduire le courant (100 fois plus conducteur que le cuivre) et l’énergie thermique.

La nanoparticule de graphène monocouche peut franchir n’importe quelle barrière (hématoencéphalique, placentaire…) du fait de son épaisseur infinitésimale et s’intercaler dans n’importe quel tissu biologique.

Ses particules ont la capacité de capter ou d’émettre un rayonnement électromagnétique. Cette propriété permet de comprendre pourquoi le graphène constitue le matériau idéal pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme, vont mesurer des paramètres biologiques et transmettre le résultat sans connexion filaire.

La matière première pour élaborer ces complexes microstructurés que l’on retrouve dans les vaccins contre Covid est l’oxyde de graphène dont la présence est essentielle pour l’autoassemblage de ces complexes, mais également pour la communication sans fil avec un serveur externe. 

Les corps flagellaires

À l’occasion de ces travaux de recherche pour comprendre la présence de ces substances non déclarées dans les « vaccins » antiCovid, on a également observé des corps flagellaires composés de perles, des petites sphères de taille similaire, surmontées d’une sphère plus grande. La forme de ces corps flagellaires rappelle celle d’une bactérie de type « Streptococcus », cependant, après avoir comparé toutes les espèces du genre, aucune ressemblance concluante n’a été trouvée. C’est en réalité des nanorobots autonomes autopropulsés, plus précisément il s’agit de « nageurs de rotors colloïdaux anisotropes » liés à l’ADN, composés de particules colloïdales paramagnétiques de taille différente ou similaire, comme indiqué dès 2008 par Tierno, P et al. dans leur publication Magneticly Actuated Colloidal Microswimmers ou encore en 2010 dans Controlled Swimming in Confined Fluids of Magnetically Actuated Colloidal Rotors. La littérature scientifique abondante ne manque pas sur ces sujets qui sont pourtant globalement ignorés du grand public. 

Les nanopoulpes de graphène ou hydres 

Les Docteurs Franc Zalewski en Pologne et Dr Carrie Madej aux États-Unis ont tous deux observé dans les vaccins à ARNm un organisme qui s’apparente à un parasite, surnommé respectivement « La chose » et « Hydra Vulgaris ».

Dr Franc Zalewski en Pologne et Dr Carrie Madej aux USA ont…


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Ces chercheurs ont finalement compris qu’il s’agissait d’un autoassemblage de nanotubes de carbones via un phénomène appelé la teslaphorèse, à savoir un assemblage réalisé à partir d’ondes électromagnétiques (comme par exemple celles de la téléphonie mobile). 

Ces formes de vie artificielle ne sont pas uniquement composées de graphène (carbone), mais s’apparentent à une forme de vie hybride qui fait intervenir une structure ADN. 

En 2013, Dasgupta, K. et coll. expliquaient qu’au cours de leurs travaux cherchant à mettre au point une méthode économique de production de nanotubes de carbone (NTC) à partir de carbone, ils avaient observé que dans leur synthèse en « lit fluidisé », le graphène se « transformait en structures de type pieuvre de carbone »…

Il est donc probable que l’utilité de ces nanopoulpes dans les vaccins consiste à fournir des relais électromagnétiques de communication. Il est également possible qu’ils aient d’autres fonctions qui restent à découvrir, notamment si leur composition est hybride à base de carbone et d’ADN. 

Les particularités de la bio-informatique, qui nous intéressent pour ce dossier, relèvent de la capacité à programmer des cellules pour une fonction particulière. L’utilisation d’une puce à ADN ou biopuce est en plein développement comme le disait Baptiste Waldner dans son ouvrage « Nano-informatique et Intelligence Ambiante : Inventer l’Ordinateur du XXIe Siècle ». Le principe d’une telle puce repose sur la particularité de reformer spontanément la double hélice de l’acide désoxyribonucléique (ADN) face au brin complémentaire. Les quatre molécules de base de l’ADN ont en effet la particularité de s’unir deux à deux. Si un patient est porteur d’une maladie, les brins extraits de l’ADN d’un patient, vont hybrider avec les brins d’ADN synthétiques représentatifs de la maladie. 

Mais, il faut le souligner ici, cette biotechnologie utilisée pour le traitement de pathologies graves, peut également être détournée pour pirater le programme de la vie. Et c’est bien de cela dont il est question avec la « vaccination » de masse. 

Le média Technocracy News publiait il y a un an une information retrouvée dans un Talk Show (Ted Talk) daté de 2017 où le Dr Zaks — médecin chef de Moderna — expliquait la nécessité de « pirater le logiciel de la vie » en modifiant le code génétique des êtres humains. Cette logique transhumaniste qui paraît si claire à ceux qui, unilatéralement, ont décidé de la promouvoir et de l’imposer aux autres choque les esprits conscients et responsables. 

Un serveur relié à un superordinateur quantique du type D-Wave, récemment acquis par la Commission Européenne ou encore par Google, est en mesure de suivre 7 milliards d’individus injectés et ayant embarqué des nanotechnologies via la « vaccination » pour créer un WBAN. 

Les nanobatteries injectées dans le corps évoluent dans les fluides corporels et utilisent les ions disponibles dans le corps humain. 

Mais les nanobatteries au graphène peuvent fonctionner de manière différente notamment grâce aux ondes électromagnétiques que l’on retrouve partout dans notre environnement, particulièrement celles produites par les réseaux téléphoniques sans fil. Un corps biologique situé dans un environnement électromagnétique va voir apparaître en son sein des courants induits correspondants aux fréquences de cet environnement. Certaines personnes y sont par ailleurs très sensibles, nous le savons. 

Si l’oxyde de graphène offre une bonne capacité d’absorption des ondes 5G, comme l’a prouvé Mik Andersen, il s’appuie sur les travaux de Ameer et Gul (2016) intitulés « Influence of Reduced Graphene Oxide on Effective Absorption Bandwidth Shift of Hybrid Absorbers », pour conclure également d’une bonne absorption des ondes 2G, 3G et 4G. 

Il existe une abondante littérature scientifique qui démontre l’implication directe de l’ADN autoassemblé pour créer des systèmes informatiques et nanotechnologiques, également à travers des cristaux d’ADN. Jackson T et coll. expliquent qu’il est permis de construire de nouvelles nanoparticules qui jouent des rôles intermédiaires entre les ordinateurs électroniques et les systèmes biologiques. 

Des dispositifs nanoélectroniques basés sur l’ADN synthétique sont bien embarqués dans les vaccins Pfizer et Cie… Bien que non mentionnés dans la composition du vaccin, en raison d’un vide juridique probablement entretenu (La législation n’a pas évolué depuis 20 ans), ces dispositifs sont inoculés à l’insu des personnes « vaccinées ». 

Nanotechnologie et « vaccins » : ou bien nous sommes informés ou bien nous ne voulons pas être informés : transhumanisation et nanoréseaux…

Il existe une connivence évidente entre les fabricants qui ont bénéficié des autorisations de mise sur le marché pour leurs produits, et un projet mondialiste piloté par un petit nombre de personnes influentes qui mettent en œuvre un projet longuement préparé et sans limites de moyens.

Composants du nanoréseau au plan intracorporel

  1. Nanotubes de carbone (CNT) et dérivés (SWCNT, MWCNT) 
  2. Points quantiques de graphène (GQD) 
  3. Nageurs hydrogels 
  4. Nanoantennes fractales en graphène 
  5. Nanorouteurs ou nanocontrôleurs 
  6. CODEC ou Nanointerface 

Topologie de nanoréseau 

  1. Nanonodes (GQD, Hydrogel nageurs, Nanotubes, Fibres) 
  2. Nanocapteurs (circuits de nanotubes, nanofeuillets de graphène) 
  3. Nanocontrôleurs (circuits de nanorouteurs QCA) 
  4. Nanointerface (circuits QCA nanoCODEC) 

Les GQD (points quantiques de graphène) 

« Les points quantiques de graphène sont des morceaux de graphène ou d’oxyde de graphène à l’échelle micro-nanométrique avec des formes circulaires, hexagonales, triangulaires qui résultent de la décomposition ou de l’oxydation de nanofeuillets de graphène. Loin d’être un défaut du réseau, ils jouent un rôle fondamental, puisque leur taille leur permet de fonctionner ou d’opérer comme des nanoantennes. De plus, ils circulent à travers le système sanguin, les artères, les veines, capillaires, servant de marqueurs électriques, mais aussi biologiques, car ils absorbent les protéines et autres composants présents dans le sang. » 

(source : lilianeheldkhawam.files.wordpress.com)

Un fichier externe contenant une image, une illustration, etc. Le nom de l'objet est fchem-07-00399-g0001.jpg

L’interface humain-machine avec transmission de données est une nano-interface dotée d’un circuit QCA (quantum-dot cellular automata) plus complexe, qui contient une nanoantenne pour émettre et recevoir des signaux TS-OOK (On Off Keying). Avec une forte probabilité, ils disposent d’un codec pour crypter les paquets de données et les retransmettre à l’extérieur grâce aux nanocapteurs et nanorouteurs. 

Le nanorouteur n’a pas besoin de processeur pour fonctionner, car l’architecture QCA (points quantiques) lui permet de fonctionner à une fréquence d’horloge tout comme le ferait un processeur d’ordinateur. De cette façon, les signaux sont transmis au nanorouteur le plus proche afin d’optimiser le nanoréseau et d’éviter la saturation du signal. Pour cette raison, plusieurs de ces composants sont protégés grâce à l’hydrogel qui se trouve dans les sérums.

 Du point de vue fonctionnel, les propriétés semi-conductrices, des points quantiques de graphène, leur permettent d’élaborer un réseau sans fil au travers duquel ils peuvent moduler et, encore plus, réussir à neuro-moduler — tels des nanotransducteurs — avec une plus grande efficacité que les feuilles d’oxyde de graphène, les schémas de comportements humains. 

Selon Andersen, les photographies obtenues, à partir des analyses de sang, démontrent la présence de nanoantennes fractales de graphène cristallisé, de nanonageurs en forme de rubans d’hydrogel, l’oxyde de graphène, et finalement, de points quantiques de graphène. Conformément à toutes les preuves produites et à tous les faits déclinés, il peut être affirmé que cet écosystème de graphène, dans le corps humain, est conçu pour la réception de signaux électromagnétiques au travers des nanoantennes fractales de graphène et de leur propagation au travers des points quantiques de graphène avec un double objectif. 

Le premier : l’administration potentielle de substances étrangères et leur libération en fonction de cibles biologiques — à savoir, des organes déterminés du corps humain. 

Le second : la modulation des neurones et d’autres tissus du corps humain sont ciblés afin qu’ils puissent être télécontrôlés au moyen de micro-ondes et d’émissions d’ondes (5G). 

Finalement, les nageurs, en forme de rubans d’hydrogel, possèdent une fonction motrice reconnue qui opère en couplage avec des ondes électromagnétiques ou des champs électromagnétiques — afin de libérer leur charge pharmacologique ou pharmacogénétique. 

En d’autres termes, les dominants léo Straussiens du NOM, cherchent à prendre le contrôle totalitaire de chaque personne, en utilisant des biotechnologies totalement inconnues du public. Puisque la plupart de ces éléments se dégradent dans la durée, notamment sous l’effet du système défensif de l’organisme, les promoteurs du transhumanisme ont donc prévu des « vaccinations » à répétition, sous prétexte sanitaire, invoquant l’arrivée de nouveaux variants toujours plus dangereux et menaçants les uns que les autres ! 

La solution radicale au problème consiste donc à refuser la « vaccination ». Bien entendu, vous êtes « libre » de choisir de rester un esclave lié à sa chaîne numérisée, intracorporelle.

« Ils cherchent à prendre le contrôle de chaque personne en utilisant des biotechnologies inconnues du public » 

Ceux qui pensent que les épisodes de Covid ou d’une autre épidémie relèvent du passé, vont être surpris dans les semaines et mois à venir. Bill Gates qui fait partie des instigateurs de ce projet, annonce de nouvelles épidémies, non parce qu’il prophétise, mais parce qu’il en est assurément l’un des instigateurs. 

Ces faits étant inavouables, les maîtres du jeu devaient s’appuyer sur la manipulation de l’opinion publique. Beaucoup se sont longtemps demandé pourquoi Bill Gates qui n’a aucune compétence en matière de santé avait investi à ce point, comme on l’a vu dans un autre article, dans les vaccins. Décidément, on comprend mieux le lien entre biologie et informatique — dont il est professionnel — lorsqu’on sait ce que contiennent les vaccins. 

Communication avec l’extérieur et utilisation du protocole OS TOOK 

Toujours à partir des travaux de Mik Andersen dont une traduction est proposée sur le site de Xochipelli dans la section intitulée « Réseaux de nano-communications sans fil pour les nanotechnologies dans le corps humain », nous proposons quelques explications. 

Akyildiz, I.F. ; Jornet, J.M. ; Pierobon, M. (2010) ont montré que les points quantiques de graphène servent à propager des communications sans fil dans le corps humain et à moduler le système nerveux central. Ils affirment que :

« Réduire l’antenne d’un dispositif sans fil classique à quelques centaines de nanomètres nécessitait l’utilisation de fréquences de fonctionnement extrêmement élevées, ce qui compromettrait la faisabilité de la communication électromagnétique sans fil entre nanodispositifs. C’est pour cette raison que fut adoptée l’utilisation du graphène afin de fabriquer des nanoantennes capables de surmonter cette limitation ». 

Cela confirmait dès 2010 que le graphène était le bon matériau pour propager des signaux dans ce contexte de la communication sans fil à l’intérieur du corps humain. De plus, les basses fréquences sont moins nocives que les hautes fréquences pour l’organisme et le métabolisme. Aussi, les nanoantennes en graphène fractal observées dans les échantillons de sang permettent la réception et la transmission des signaux de communication avec le réseau de points quantiques GQD en graphène, dispersés dans le corps via la circulation sanguine. 

La propagation des réseaux de nanocommunication sans fil, des nanoantennes et des nanocapteurs requiert des protocoles de routage pour les réseaux de nanocapteurs sans fil dans l’IoNT (The Internet of Nano Things) ou l’internet des nano-objets.

Le schéma de routage IoNT (Internet of Nanothings) assure la livraison des paquets de données à la nano-interface de la passerelle, qui est chargée de transmettre/répéter les informations à l’extérieur du corps, en incluant dans son en-tête l’identification MAC, nécessaire pour différencier l’origine des données. La traçabilité de chaque individu était donc possible, de même que l’action sur un dispositif individuel, c’est-à-dire que ce qui survient chez un individu peut ne pas survenir chez un autre équipé du même dispositif. Nous connaissons encore peu ce qu’il est possible de réaliser avec ces dispositifs, mais rendre les gens malades de manière ciblée et différente (cœur, cerveau, foie, système immunitaire…) est techniquement possible, ce qui permet de mieux dissimuler des actes illicites, immoraux et meurtriers. Mais lorsqu’on en vient à considérer la vie comme un simple matériau, la suppression de la vie n’est alors plus considérée comme immorale par ceux-là mêmes qui tiennent les commandes numériques d’un tel système !

Le graphène peut être programmé et contrôlé comme s’il s’agissait d’un logiciel.

Sources : Abadal, S. ; Liaskos, C. ; Tsioliaridou, A. ; Ioannidis, S. ; Pitsillides, A. ; Solé-Pareta, J. ; Alarcon E. ; Cabellos-Aparicio, A., 2017 

Puisque la vaccination ne pouvait être rendue obligatoire, il était donc prévu de la coupler à un pass identitaire et à la suppression de la monnaie scripturale envisagée pour la fin 2022. Enfin, coupler le pass à un moyen unique de paiement numérique via un dispositif intracorporel (micropuce/Tag) supprimerait toute possibilité d’achat ou de vente à ceux qui refuseraient la « vaccination ». Le marquage du bétail humain est un système qui contrôle infailliblement la vie de l’esclave soumis et la mort de celui qui veut passer dans le « camp » des rebelles ! 

Explication de la neuromodulation et contrôle à distance du cerveau humain 

Qu’entend-on par neuromodulation et contrôle à distance du cerveau humain. Les nanotubes de carbone et l’oxyde de graphène traversent la barrière hématoencéphalique et contribuent à modifier les synapses ainsi que la croissance des cellules neuronales. L’oxyde de graphène a une affinité avec les cellules du cerveau et avec le cœur, car ces deux organes, de par leur activité, génèrent un faible champ électromagnétique. Ces champs méritent encore d’être explorés, de même que la toxicité de ces nanotechnologies sur le cerveau humain. 

Mik Andersen nous explique que la neuromodulation et la neurostimulation sont possibles grâce aux nanotubes de carbone (graphène sous forme tubulaire), qui agissent comme des électrodes activant des régions spécifiques du cerveau ; ils peuvent également être utilisés comme une interface neuronale capable de se connecter à des réseaux de nanocommunication sans fil inoculés, dont les points quantiques de graphène (GQD), les nanoantennes en graphène et tout un réseau pour lequel il existe un logiciel de simulation, des protocoles de routage, des protocoles MAC. Les WBAN utilisent déjà ces technologies et il existe une littérature abondante sur le sujet.

La communication moléculaire intégrée avec des nanotubes de carbone ayant la capacité d’interagir dans des nanoréseaux sans fil de capteurs neuronaux est une réalité scientifique comme le montrent notamment les travaux de Abd-El-atty, SM et coll. en 2018 : « la communication moléculaire (CM) est considérée comme une approche prometteuse pour transmettre des informations dans le nanoréseau intracorporel. Dans ce contexte, l’utilisation de nanomachines dans le nanoréseau facilite les opérations de traitement, d’actionnement de logique et de détection. En outre, les nanomachines ont la capacité d’échanger des informations lorsqu’elles sont interconnectées par le biais du nanoréseau. Un simple nanoréseau intracorporel peut être réalisé en connectant un groupe de nanomachines artificielles/synthétiques ou biologiques pour exécuter des tâches et des fonctions complexes dans le corps humain, telles que le diagnostic et les traitements biomédicaux, ou la transduction des signaux neuronaux et le contrôle neuronal… Les nanotubes de carbone facilitent l’interaction moléculaire entre les cellules vivantes, y compris les neurones, par une interconnexion basée sur des commutateurs stables pour l’amarrage des molécules… Les nanotubes de carbone (NTC) ont la capacité de reconnaître la libération de molécules de neurotransmetteurs dans le système nerveux du nanoréseau. »

« Un simple nanoréseau intracorporel peut être réalisé en connectant un groupe de nanomachines artificielles/synthétiques ou biologiques pour exécuter des tâches et des fonctions complexes dans le corps humain. » 

La seule communication électromagnétique pour la surveillance du système nerveux central et particulièrement du tissu neuronal n’est pas suffisante. Pour le bon fonctionnement du réseau intracorporel et de cette surveillance de l’activité neuronale, il faut lier la communication moléculaire et électromagnétique dans une approche hybride. 

En 2004, Roman C et coll. expliquaient :

« Nous proposons et simulons un capteur à nanotube de carbone très sensible, capable de transposer la liaison protéine-ligand, ou plus généralement la reconnaissance macromoléculaire, à une variation de fréquence d’un courant électrique ».

Il s’agit de la base sur laquelle est construit le modèle hybride de communication moléculaire-électromagnétique, démontrant que leur interaction, leur transduction ou, si vous préférez, la traduction des signaux moléculaires en fréquences et en impulsions de courant électrique est possible. 

Andersen conclut que « cela permet de déduire que le but ultime d’une partie importante des recherches sur les nanotubes de carbone et leurs dérivés est la neurostimulation/neuromodulation. Autrement dit ces technologies présentes, mais non déclarées dans les pseudos vaccins contre la Covid, ont pour but de contrôler — au moins partiellement — le fonctionnement du cerveau des personnes inoculées. Il ne s’agit en rien, ni de santé, ni de science-fiction, mais d’une réalité technologique bien réelle. »

Avec la découverte des nanotechnologies dans les « vaccins anti Covid » (à ARNm et à adénovirus), on peut affirmer que la « vaccination » de masse contre la Covid n’était qu’un prétexte et un moyen de contourner le consentement libre et éclairé des personnes. Le contenu des produits injectés aux populations représente un viol de la personne, une menace contre l’intégrité physique et psychologique et contre la liberté de penser et d’agir. 

Conclusion 

A la lecture de ce dossier, on comprend que l’épidémie de SARS-COV-2 n’était pas un accident, mais un événement volontairement provoqué, pour l’introduction de ces biotechnologies dans les « vaccins » disponibles en Occident. Cela requerrait, en effet, des années de recherche et de minutieuse préparation. L’épidémie (et non la « pandémie »), a été créée de mains d’hommes et propagée de manière volontaire dans le seul but de faire « vacciner » la population mondiale. 

Il s’agit d’une arme biotechnologique qui a deux fonctions majeures : 

La première était certainement, de tuer aléatoirement, par l’incompatibilité naturelle des organismes qui réagiraient aux contenus des « vaccins ». Ces personnes seraient tout bonnement jugées indésirables, voire, opposantes au système, selon des critères, eux aussi aléatoires, définis par ceux-là même qui ont mis en place cette horreur. Dans ce lot, les plus fragiles seraient également menacés, à savoir les personnes âgées, les personnes malades et les enfants, en un mot : les « inutiles » ou les « substituables ». 

La seconde fonction consistait à prendre le contrôle des survivants en faisant d’eux les « transhumains », une nouvelle génération d’esclaves, par la prise de contrôle de leur cerveau, en manipulant leurs pensées et leurs émotions. Il ne s’agit pas d’un scénario de science-fiction, mais bien d’une réalité technologique financée par la troïka dominante, riche, puissante et assoiffée de domination sur ses congénères. 

En couplant la « vaccination » au mode de paiement numérique, qui deviendra le seul mode de paiement théoriquement prévu à la fin 2022, ils rendront obligatoire de manière indirecte, la « vaccination » et l’empoisonnement des personnes.

Tout cela n’aurait pas été possible si les individus libres et conscients, refusant d’être les jouets de la manipulation par la peur, avaient d’emblée contesté cette stratégie : tout le système de santé, les écoles, les administrations, les entreprises, l’armée, la police ont collaboré comme un seul homme, à ce plan machiavélique ! Les acteurs du monde médical intervenant dans les médias inféodés pour les besoins de la propagande, seraient grassement payés par l’immense fortune des maîtres qui engageaient ce plan de mise au pas de toute l’humanité ainsi dressée à sa complète soumission… Certains d’entre eux seraient même décorés de la Légion d’honneur ! Plus qu’aucune guerre, ce plan était fait pour répandre la mort déclinée en plusieurs versions (santé, économie, répression) et ferait un nombre de victimes qui allait se chiffrer par des millions d’individus.

L’instauration d’une dictature mondiale reste la finalité d’une humanité dénaturée et sous contrôle technologique. Humainement parlant, les chances de sortir de ce piège sont infimes, car elles reposent sur le réveil des populations qui n’a pas encore eu lieu massivement. L’humanité n’a jamais été autant menacée que par elle-même…

Ceux qui ont entrepris cela ont profité de l’ignorance et d’une énorme méconnaissance de la part de la communauté médicale et sanitaire en matière de bio-informatique, de nanotechnologies et de chimie quantique pour mettre en œuvre l’agenda 2030. 

Cependant, nous disposons de suffisamment d’éléments dans ce dossier pour comprendre ce qui se trame. Il reste pourtant difficile au plus grand nombre d’admettre qu’une telle entreprise soit possible et c’est de cela que nos oppresseurs tirent un énorme avantage. J. Edgar Hoover, directeur du FBI de 1924 à 1972, affirmait : « L’individu est handicapé en se retrouvant face à face avec une conspiration si monstrueuse qu’il ne peut croire qu’elle existe ». C’est précisément sur la base de ce constat qu’ils comptent réussir l’imposition de la « vaccination » mondiale et ses conséquences funestes. La dissimulation, le mensonge et la technologie sont au cœur de cette manipulation sans précédent dans l’Histoire. 

Si l’on souhaite vraiment connaître le fond de la pensée de nos « nouveaux maîtres », il est impératif d’examiner celle, toxique, de l’historien Yuval Noah Hariri, un des acteurs et grand partisan du « Great Reset » mis en avant sur la scène internationale — qui justifie « la surveillance biométrique de l’être humain » et affirme avoir « besoin de réécrire le code du vivant » ou encore que « les humains sont des animaux que l’on peut pirater ». De l’eugénisme aux thèses totalitaires, il n’y a qu’un pas très vite franchi !

Avec l’Hybridation de l’ADN synthétique et du graphène dans le corps humain, des preuves commencent à pointer et nous espérons qu’elles inciteront les citoyens à ne pas se faire « vacciner ». Car une chose est certaine — alors que nous ne sommes plus en phase épidémique — c’est que la « vaccination » de masse va repartir de plus belle en France et partout ailleurs et qu’elle prendra une forme indirecte obligatoire, car ce rituel de « vaccination » est destiné à devenir permanent, définitif. Sachons-le une bonne fois pour toutes : la « vaccination » sera finalement obligatoire, répétitive et permanente, faute de quoi, le système immunitaire naturel pourrait à tout moment compromettre ce marquage du « bétail humain ».

C’est la raison pour laquelle une guerre civile sera, elle aussi, obligatoire, inévitable : on ne peut pas obliger quelqu’un à mourir ou à porter dans son corps une chaîne invisible le maintenant dans un esclavage irréversible, sans s’attendre à ce qu’il cherche à défendre sa vie et sa liberté ! Tous ces criminels qui ont pensé une telle horreur sont de parfaits inconscients : ils s’imaginent qu’ils vont triompher sans problèmes alors qu’ils vont entraîner dans leur délire une destruction totale de leur monde pervers ! Que ce moment vienne sans tarder afin de retrouver la liberté sacrée de la vie qui est une manifestation de la conscience intériorisée.

[Voir aussi :
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène ?
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de « neuromodulation » à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G]

Sources : Se reporter pour plus de détails et pour les photos au « Dossier N°4, Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés », de Laurent Aventin, Santé publique, PhD Mai 2022.

DOSSIER n°4 — Kaya Team Universe

Voir également : « Les implications de l’adresse MAC des injectés aux vaccins covid », 10 octobre 2022 : Mik Andersen, auteur de Corona2Inspect.net

www.bitchute.com

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2022




Attention aux accusations de dérives sectaires contre les éveillés : la menace de la Miviludes

Par Nicole Delépine

De retour de la magnifique rencontre de Saintes où plus d’un millier de personnes ont, le 28 oct 2022, partagé dans cette conférence-débat leur soif de savoir, leur soif de rencontres humaines dans une ambiance chaleureuse et familiale formidable1, j’ai été surprise de voir dans l’article de sud-ouest qui lui était consacré, un encart faisant l’écho des récriminations de deux associations de Saintes, alertant le maire de la présence de « Reinfocovid » qui « serait suivi pour dérives sectaires » ! 2

J’ai cru qu’il s’agissait d’une calomnie isolée, mais le 3 novembre 2022, je suis tombée sur cette annonce d’une secrétaire d’État annonçant de prochaines « assises contre les dérives sectaires et le complotisme ». Bingo !

Depuis que le mur du pouvoir se fissure, celui-ci dégaine une nouvelle arme pour faire peur et surtout faire TAIRE. Inquiet de l’accumulation de preuves sur la gestion catastrophique et malhonnête de la crise covid, et l’accumulation de mensonges, de contre-vérités et de décisions délétères pour le peuple, la DIVERSION se prépare.

Il est urgent d’informer tout le monde de cette nouvelle dérive du pouvoir, jeunes y compris qui doivent sortir de leur isolement transitoirement protecteur, et de s’opposer de toutes nos forces au système de délation digne des régimes de Vichy, de l’Union soviétique ou le nazi. Relisons Orwell et battons-nous.

Si nous alertons suffisamment contre cette nouvelle attaque de la liberté d’expression, ils reculeront d’autant plus que la Miviludes s’est souvent fait critiquer, a été parfois condamnée en justice et ne jouit pas d’une bonne réputation.



RETOUR SUR SCÈNE DE LA MIVILUDES

La MIVILUDES est la « Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires » ? En clair c’est donc une arme du pouvoir exécutif pour imposer ses choix contre ses opposants.

L’argument d’urgence serait l’augmentation des signalements :

« les confinements répétés et l’angoisse du décompte des morts ont perturbé de nombreux Français. Pour le plus grand bonheur de personnes malintentionnées. En 2021, les saisines de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) ont atteint des sommets. Elles se dénombrent à 4 020 ».3

Notons que vu le nombre de personnes affectées profondément par ces confinements absurdes et injustifiés4, le sommet n’est pas l’Everest dans un pays de 67 millions d’habitants et l’explosion fait pschitt…

Le journal 20 MN ose écrire :

« La pandémie a charrié dans son sillage son lot de complotistes et d’antivax. Un terreau fertile pour le développement de solutions alternatives » qui n’ont aucun fondement scientifique ».

Nous espérons pour eux qu’ils sont bien payés pour tous répéter le même crédo. N’ont-ils pas appris à lire les publications des agences officielles de la FDA, de la MHRA ou de l’EMA qui additionnent plus de 70 000 morts reconnus liés aux injections expérimentales pour une pseudo grippe qui tue en 32 mois a tué moins de 0,000 825 de la population mondiale et essentiellement les personnes âgées dans les pays les plus vaccinés.

Combien de ces donneurs d’alerte sont-ils traités d’« antivax », alors qu’ils sont seulement dubitatifs envers ces injections expérimentales qui ne sont pas des vaccins, et même parfois très provax (comme le Pr Perronne) ont-ils sauvé de vies en les faisant échapper à ces toxiques ? Évidemment le projet des sept milliards d’injectés en a pris un coup et les fidèles de Schwab tentent d’y remédier. Trop tard ! Et comme disait notre avant-dernier prix Nobel de médecine (2008) le Pr Montagnier, les non injectés sauveront l’Humanité.

« Sonia Backès, secrétaire d’État en charge de la citoyenneté, annonce que le gouvernement va organiser des “assises des dérives sectaires et du complotisme”. Objectif : améliorer les signalements à la Miviludes du voisin, du collègue de travail, etc. qui sombrerait dans ces dérives sectaires ou le complotisme…

Nous voilà dans l’ordre moral et politique, dans le contrôle de tous par tous, dans le retour de l’inquisition, dans un fascisme qui ne dit pas son nom »5.

Orwell était visionnaire et les évadés des régimes des pays de l’Est tremblent…

Mme Backès essaie-t-elle de régler ses problèmes personnels, puisqu’elle rappelle candidement que sa mère était membre de la scientologie.6 Trop proche des présumés coupables du futur de la dénonciation, elle devrait comme dans tout bon policier être éloignée de l’enquête pour absence d’objectivité liée à ses antécédents. Les dires de la secrétaire d’État sont particulièrement inquiétants, choquants :

« Dérives sectaires : les saisines de la Miviludes atteignent un nouveau record ! »

Au lendemain de la publication du rapport de la Miviludes, qui fait état de 4 020 signalements en 2021 (+33,6 % par rapport à 2020), S. Backès regrette que « tout ne soit pas signalé ». « Beaucoup de choses passent sous les radars, et on ne sait pas exactement combien de personnes sont réellement concernées » par les dérives sectaires, poursuit-elle. Le dernier chiffre connu date désormais de « quelques années » et fait état de « 500 000 personnes touchées », selon la secrétaire d’État.

« S. Backès s’est dite particulièrement inquiète des “dérives liées à la santé”. “On parle de gens qui se décrètent naturopathes et qui vendent des soins alternatifs aux soins traditionnels et vérifiés”.

Nous aussi sommes inquiets de la disparition de la médecine traditionnelle, individuelle et de la dictature des protocoles qui suppriment tout recours aux traitements éprouvés pour imposer des molécules chères, inefficaces et souvent toxiques. » 7

Il est bien triste que Mme Backès ne souligne pas le sectarisme des médias et du pouvoir qui ont vendu pour vérité révélée les mensonges du Lancet sur la chloroquine de mai 2020 dont l’auteur principal était une actrice porno reconvertie8 9 10. La démonstration du mensonge organisé sur lequel le ministre Véran s’était appuyé pour interdire la chloroquine n’a pas conduit ce dernier à supprimer son ukase mortifère.

Donc où sont les données « vérifiées » de la médecine traditionnelle devenue menteuse, trompeuse, manipulatrice et a de fait perdu la confiance des patients ? Justement les données officielles répandues sur les médias à longueur de journée sans avis contradictoire ne furent jamais vérifiées, telle la soi-disant contamination des grands-parents par les enfants, la soi-disant efficacité des pseudovax, etc. Les résultats affluent (y compris de Pfizer), qui démentent ce que le discours quotidien a martelé dans les têtes des téléspectateurs…

« “La difficulté survient lorsqu’il y a emprise mentale et mise en danger”, poursuit-elle, déplorant par ailleurs les conséquences financières liées à ces dérives. “Derrière, il y a incitation à acheter l’appareil qui fait des jus de légumes, puis la vidéo de ces gourous 2.0 finit par devenir payante”, précise S. Backès, dont la mère a appartenu à la secte de l’Église de la scientologie. “Je sais comment ça se passe, je sais comment on y rentre, je sais comment ils maintiennent les gens sous emprise et je sais toute la difficulté d’en sortir”, explique-t-elle… »

Oui, mais qui a eu emprise de fait sur des milliards de personnes dans le monde, manipulées par les gouvernements qui appliquent les recommandations de l’OMS ? 11 Oui, il y a eu manipulation, emprise, mais à grande échelle et avec des conséquences monstrueuses, au regard desquelles les appareils de jus de légumes sont peanuts. Au 2 novembre 2022, d’après l’OMS, 12 861 382 558 doses de vaccin ont été administrées pour un coût d’environ 250 milliards de dollars, sans effet bénéfique prouvé sur l’épidémie et associés à de très nombreux effets secondaires dont des décès et des handicaps durables, selon les données publiées par les agences officielles (VAERS pour la FDA, EudraVigilance pour l’EMA, MHRA pour les Anglais, etc..)

Qui regarde la lune et qui regarde le doigt qui la montre ?

Des Assises organisées début 2023

Dans ce contexte, des « Assises des dérives sectaires et du complotisme » seront organisées « début 2023 » autour des acteurs de la lutte contre ces phénomènes. Le but, précise Sonia Backès, c’est de réaliser « un état des lieux » et d’aboutir « à un plan d’action très clair ». Parmi les pistes envisagées, la secrétaire d’État dit vouloir simplifier les procédures de signalement, qui consistent actuellement à « remplir un formulaire sur le site de la Miviludes ». Si elle fait parallèlement l’état des lieux des résultats de la politique sanitaire, cela ne sera pas triste…

« Est-ce que c’est suffisant ? Je ne crois pas », ajoute-t-elle. « On a besoin d’une plus grande proximité, de sensibiliser les gens qui sont autour de nous, les gendarmes, les services de proximité pour signaler plus facilement », indique Sonia Backès, qui n’exclut pas de faire évoluer l’arsenal législatif autour des dérives sectaires.

C’est grave, car qui déciderait le cas échéant de définir un « avis » comme dérive sectaire ? Tous ceux qui ont dit que le confinement était inutile se sont révélés avoir eu raison, comme pour l’inefficacité des pseudovax et leurs dangers.12

De fait, nous sommes des milliers, voire des millions à pouvoir signaler à cette dame les énormes dérives sectaires des journaux, des médias et des politiques qui nous ont si bien manipulés que des milliards d’entre nous ont accepté la piqûre infernale, dont on ne connaît pas encore aujourd’hui la totalité des composants, ni la réelle finalité des piquouseurs. On pourrait l’informer déjà par plein de mails ou de lettres avant qu’elle ne coure le danger de séances publiques qui démontreront ces manipulations perverses que peut-être elle ignore.

Alors pourquoi cette réapparition brutale d’une instance contestée et quasiment disparue en octobre 2022 ?



La Miviludes, le complotisme et les dérives sectaires (référence à son rapport annuel 2021)

La Miviludes est-elle réellement indépendante ?

https://www.association-sante-naturelle.info/revelation-pourquoi-la-miviludes-sacharne-contre-la-sante-naturelle/

« LA MIVILUDES EST-ELLE INFORMÉE DE NOTRE PLAINTE QUI VISE LES DÉRIVES SECTAIRES “D’EN HAUT” ?

Est-ce que cela ne vaut que pour les “complotistes” (terme soudainement devenu à la mode, sur toutes les lèvres pour pouvoir discréditer ceux qui osent réfléchir) et non pas pour les comploteurs ? La pensée complexe est-elle désormais interdite ?

Puis ce serait bien entendu à cause des “complotistes” que la population présente un niveau de troubles dépressifs extrêmement élevé depuis le début de la crise, notamment de graves poussées suicidaires chez les jeunes.

Ce ne sont pas les “complotistes” qui ont déclaré des confinements forcés pour toute la population. Ce ne sont pas les “complotistes” qui ont forcé les enfants et les adultes à porter des masques, que même le COVARS a du mal à justifier aujourd’hui.

Ce ne sont pas les “complotistes” qui ont refusé le soin et interdit les traitements efficaces.

Ce ne sont pas les “complotistes” qui ont utilisé une politique de stigmatisation des non injectés pour forcer à se soumettre à une expérience médicale. Tout cela serait bien entendu l’œuvre des “complotistes”. »

L’inversion accusatoire est parfaitement pratiquée :

Putsch média se penche aussi sur cet inquiétant projet de la lutte contre « les dérives sectaires et le complotisme et ce plan d’action. Comment on agit ? »13 selon la secrétaire d’État

« Sonia Backes fait référence à deux choses qui semblent très distinctes. D’une part, l’emprise sectaire qui représente aujourd’hui, d’après la Secrétaire d’État, un enjeu majeur de santé publique et de lutte contre le séparatisme”.

D’autre part, il semble beaucoup plus difficile d’appréhender avec objectivité la notion de complotisme, arme fatale du gouvernement, et de certains grands médias et de sachants pour dénigrer de nombreux acteurs de la santé, de la société civile ainsi que certains médias indépendants, jugés complotistes pendant la crise sanitaire ».

Sonia Backes s’appuie sur ce rapport de la Miviludes 14pour lancer cette idée des « Assises des dérives sectaires et du complotisme ».

Pour le président de la Miviludes, Christian Gravel, le « complotisme » ressemble à cette novlangue qui veut sans l’avouer clairement accuser ceux qui ont dénoncé le caractère véritablement « sectaire » des décisions de l’OMS et le forum de Schwab, appliquées aveuglément par la France.

RESTER LIBRE EST UN CHOIX ET UN COMBAT DE TOUS LES INSTANTS

Notons que contrairement à ce qu’ont raconté tous les médias et trop de citoyens soumis, nous aurions pu, comme la Suède, garder notre liberté de penser et donc de choix et de résistance aux mesures délirantes, tels le confinement, la fermeture des écoles et le masque, et l’injection quasi forcée, et avec des résultats sanitaires meilleurs que les nôtres.

Le rapport de la Miviludes analyse donc la crise en ces termes :

« La crise sanitaire a constitué un catalyseur à travers une prolifération de nouveaux acteurs, plus discrets, maîtrisant le web et ses codes, sachant contrôler les esprits, en exploitant les peurs, la perte de repères, la recherche de solutions simples face à des questionnements existentiels, par définition complexes. Les délinquants experts en manipulation savent, pertinemment, instrumentaliser les vicissitudes de nos concitoyens. »

« la crise engendrée par la COVID-19 a déstabilisé de nombreuses personnes en perte de repères dans une société complexe, interconnectée où l’information côtoie la désinformation. La MIVILUDES s’est retrouvée confrontée à des saisines, reflet d’une véritable crise sociale teintée d’isolement, de questionnements, de colères et de craintes ».

L’opposition entre information et désinformation précise l’objectif de ce rapport15 : le complotisme, « notion voisine » du sectarisme. Ce rapport pointe les réseaux sociaux comme principaux accélérateurs de ces « dérives sectaires ».

LE COMPLOTISME VU PAR LA MIVILUDES

« Le complotisme est un mode de pensée antisystème qui s’appuie sur des arguments non falsifiables, c’est-à-dire qu’ils ne peuvent être ni prouvés ni récusés, ou sur une vérité partielle, soumise à une interprétation rationnelle, mais erronée (…) »

La revanche contre les élites comme argument de base !

« Les théories complotistes constituent un discours de revanche contre les élites et contre le système socio-économique dans lequel l’individu vit. Plus celui-ci est indigné de sa situation, plus il trouvera un écho à sa colère dans le complotisme. Si le système est perçu comme injuste, la théorie venant le discréditer sera accueillie positivement. Plus généralement, le manque de confiance dans les élites dirigeantes et le sentiment d’une prétendue opacité de la vie publique ébranlent fortement la confiance de l’individu envers les institutions. Celles-ci sont alors considérées comme immorales et illégitimes ».

Ainsi sans trembler semble-t-il, les rédacteurs de ce rapport nient tout simplement l’opacité de la vie publique, qualifiée de « prétendue » à l’heure où la confiance en les médias en France a chuté derrière des pays supposés dictatoriaux et que la censure est non seulement effective, mais revendiquée par les médias et les grands réseaux comme Facebook, twitter et YouTube.

Ce déni de réalité, caractéristique de la coupure entre pseudoélites au pouvoir, et le peuple est la base de la césure actuelle et de l’aveuglement des dirigeants, coupure illustrée par l’énorme taux d’abstention aux élections.

EN FAIT POUR LA MIVILUDES, LE COMPLOTISME C’EST REFUSER LES UKASES ET LES AFFIRMATIONS SANS PREUVE DU POUVOIR ET DE SES RELAIS.

Ce rapport ne trace aucune frontière bien définie entre la liberté de pensée et les dérives sectaires. Il fait bien le parallèle avec les reproches faits aux médecins poursuivis devant les conseils de l’ordre régionaux. Et les condamnations tombent comme celles du Dr Gayet radié16, et aussi celles des enseignants-chercheurs comme Vincent Pavan, auteur du livre passionnant et instructif, « le débat interdit »17, privé de salaire pendant un an par son université (entre autres nombreuses victimes).18

LA LIBERTÉ DE PENSER ET DE PARLER, D’INFORMER AU CŒUR DU DÉBAT19

L’article 10 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, l’article 9 de la convention européenne des droits de l’homme assurent de ces droits de base constitutionnels bafoués sans vergogne depuis bientôt trois ans. La liberté d’expression

fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et consacrée depuis par toutes les déclarations des droits fondamentaux. Elle est inscrite dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789 :

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ».

Droit fondamental repris par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 :

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier :

« C’est la liberté la plus fondamentale, car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques. ».

Or depuis deux ans on assiste à une offensive gouvernementale, des médias et des géants d’internet sans précédent contre ce droit fondamental de l’homme qui constitue de plus un moteur fondamental de la connaissance scientifique.

Éloge du doute et des débats

Ce qui sépare la science de la religion est le doute. Les croyants en une religion révélée ignorent le doute, passent leur temps à fourbir le dogme qui est immuable et déclarent hérétique toute interrogation sur celui-ci. Les scientifiques tentent d’organiser de manière logique les faits avérés ; ils doutent en permanence de leurs « consensus scientifiques » qu’ils savent éphémères et reconnaissent que les progrès naissent des contradictions entre les théories et les faits avérés. Niels Bohr se réjouissait de l’apparition de tout nouveau paradoxe qui constituait pour lui les prémices de nouvelles découvertes scientifiques. Pour ces raisons la censure qui vise à supprimer le doute est profondément antidémocratique et aussi fondamentalement anti-scientifique.

LA MILIVUDES A DE LOURDS ANTÉCÉDENTS

Rappelons quelques exemples :

UNE VICTOIRE DES KINÉSITHÉRAPEUTES EN 2017

« Dans le combat juridique mené conjointement par FasciaFrance (ex-Association Nationale des Kinésithérapeutes Fasciathérapeutes-ANKF) et la société Point d’appui pour faire retirer la fasciathérapie du guide “Santé et dérives sectaires” publié en 2012 par la MIVILUDES, la cour administrative d’appel de Paris a rendu le 07 décembre 2017 l’arrêt suivant : “Les informations concernant la fasciathérapie ne doivent plus figurer dans le guide ‘Santé et dérives sectaires’ publié par la mission interministérielle de vigilance contre les dérives sectaires (MIVILUDES) en avril 2012.”20 (…)

« La justice reconnaît ainsi clairement que la MIVILUDES a commis une erreur d’appréciation et de jugement concernant la fasciathérapie et qu’elle a ainsi porté atteinte aux praticiens exerçant cette approche. FasciaFrance se réjouit donc de cette décision qui rétablit l’honneur des centaines de professionnels de santé qui exercent quotidiennement la fasciathérapie dans le respect de leur métier et de la confiance des patients. »

UNE NOUVELLE CONDAMNATION DE LA MIVILUDES EN 2018 POUR SA PROPAGANDE CONTRE LA SANTÉ NATURELLE 21

Le 13 juillet 2018,La Mission française de lutte contre les sectes (Miviludes) a encore été condamnée par les tribunaux français, pour sa propagande contre la santé naturelle.

« En 2017, la Justice l’avait déjà condamnée pour avoir dit du mal de la fasciathérapie — une thérapie naturelle très sérieuse pratiquée par des kinésithérapeutes. Cette fois, la Miviludes s’en est prise à la “médecine anthroposophique”… et mal lui en a pris ! Car cette médecine naturelle n’a rien de clandestine. Pratiquée par des docteurs en médecine, elle est parfaitement intégrée aux systèmes de santé de l’Allemagne, de l’Autriche ou de la Suisse.

Mais voilà, cette médecine a la particularité d’être holistique. Contrairement à la médecine officielle, elle n’est pas purement “biomédicale”. Elle prend en compte toutes les dimensions de l’être humain : biologique, bien sûr, mais aussi psychologique et même spirituelle. Pour la Milivudes, cela suffit à la rendre suspecte… et à la classer dans sa liste officielle des thérapies “à risque de dérive sectaire”.

Exactement comme l’a fait l’Allemagne nazie le 9 juin 1941, lorsqu’elle a interdit des pratiques “spirituelles” comme… l’anthroposophie et même l’agriculture en biodynamie !

Car il est très important de connaître ses ennemis. Dans ma dernière lettre, je vous ai parlé des Big Business, ces multinationales qui contribuent à ruiner notre santé : Big Pharma, Big Agra, Big Food et Big Chemical. Mais ces Big Business ne pourraient rien sans de solides complicités chez les décideurs politiques et administratifs.

La Miviludes en est un cas d’école… tout simplement ahurissant. Le “naturel”, voilà l’ennemi de la Miviludes

Mais heureusement, la Justice française a condamné la Miviludes dans un jugement rendu le 20 avril dernier 2018 !

Tout ce qui est naturel peut cacher des dérives sectaires”. Voilà, mot pour mot, ce qu’a dit sur Europe 1 le précédent président de la Miviludes, George Fenech22. Au moins, les choses sont claires.

Voilà pourquoi la Miviludes qualifie de “méthode à risque de dérive sectaire” des pratiques comme :

L’EMDR, une technique psychologique validée scientifiquement par l’INSERM et recommandée par des grands médecins comme le regretté David Servan-Schreiber ;

La gemmothérapie, un remède traditionnel issu des “plantes médicinales” ;

La sophrologie, une simple méthode de relaxation ;

Et même la médecine ayurvédique, pratiquée en Inde depuis des millénaires et reconnue par l’Organisation Mondiale de la Santé pour ses bienfaits !

Et le plus révoltant, c’est l’aveuglement de la Miviludes face aux vraies menaces.

Les “salons zen” et les cours de yoga, voilà l’ennemi de la Miviludes

Voici le gros titre du journal Le Monde, le jour où la Miviludes a rendu son rapport :

La santé et le bien-être, des domaines particulièrement sujets au risque de dérives sectaires”. Dès l’introduction du rapport, le président Serge Blisko insiste sur “la nécessaire défense de la pensée rationnelle”, notamment face aux “dérives sectaires dans le domaine de la santé où les pseudothérapeutes déviants sont toujours plus nombreux et imaginatifs”.

J’ai lu le rapport en intégralité, et il contient un nombre de bêtises invraisemblable :

Ainsi, en lien avec la question de l’exploitation animale et du véganisme se développe une forme d’extrémisme, comme dans le domaine de l’écologie le mouvement de deep ecology, qui peuvent mettre en danger les adeptes et particulièrement les enfants.”

Attention donc, aux “écolo” et aux végans »… et attention aussi aux très dangereux « Salons ZEN » :

« La promotion des nouvelles pratiques alimentaires se fait largement par Internet et les réseaux sociaux, mais aussi dans les salons bio-zen. (…) Ces salons ouvrent aussi leur espace à de véritables charlatans et à des méthodes dangereuses pour la santé dès lors qu’elles sont mises en œuvre par des personnes qui n’ont pas de connaissances médicales sérieuses ».

Autre menace dans le viseur de la Miviludes, les psychothérapeutes (…).

Alors bien sûr, les charlatans et les gens sans scrupule, cela existe, dans la médecine naturelle comme ailleurs… mais cela n’en fait pas des dérives sectaires pour autant !

Pour la Miviludes, pourtant, même le yoga et de méditation sont terriblement suspects !

« Aujourd’hui, la mode pour la méditation et le yoga et la demande qu’elle crée s’élargit à de nouvelles catégories de personnes, ouvrant des opportunités à des individus sans formation et sans scrupule. » Et des énormités comme celle-là, il y en a sur des pages et des pages.

(…) Guillaume Chopin, Association Santé Naturelle »

Même Libération en 2019 évoque la disparition de la Milivudes :

Sectes : la Miviludes va-t-elle disparaître ?

DES TENSIONS

Depuis le printemps 2020, la Mission est intégrée au Comité interministériel de Prévention de la délinquance et de la radicalisation (CIPDR) au sein du ministère de l’intérieur.

« Matignon confirme que la mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires sera rattachée début 2020 au ministère de l’Intérieur. Pour les acteurs du secteur, cela revient à faire disparaître la Miviludes. »

DU VENT DANS LES VOILES

France Inter citait un acteur associatif : « Depuis quelques semaines presque plus personne ne répond. C’est l’omerta, mais les choses sont déjà pratiquement faites. La Miviludes va être purement et simplement dissoute au sein du ministère de l’Intérieur ». Une information confirmée à la radio par un membre de cabinet ministériel. La Miviludes devrait être fusionnée avec le Comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation (CIPDR), selon la radio.

Recommandations de la Cour des comptes

Contacté par Check News, le ministère de l’Intérieur confirme que la Miviludes sera bien rattachée, début 2020, au ministère de l’Intérieur. Mais refuse de parler de « disparition ».

En plus de son rattachement à l’Intérieur, la Miviludes sera bien fusionnée avec le secrétariat général du comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation (SG CIPDR) : « les champs d’intervention de ces deux organismes ne se recouvrent pas totalement, mais ils ont pour important point commun la lutte contre les nouvelles formes de radicalité et certains phénomènes d’emprise et d’enfermement », selon Matignon.

C’est donc sans surprise que les conseillers de la Miviludes ont appris leur « fusion » avec le SG-CIPDR lundi 30 septembre ».

Mais en 2021 la ministre Schiappa nomme une présidente et renforce les moyens, le confinement ayant aggravé les dérives selon elle.23 06/04/2021

Elle déplore que « de nouveaux gourous » se servent du Covid pour accroître leur influence.

« Vous avez de nouveaux gourous qui se servent de la pandémie pour prêcher des mesures soi-disant de bien-être, mais qui sont des mesures de sujétion psychologique, voire de captation d’argent ou de biens », a dénoncé Marlène Schiappa sur Franceinfo. Elle estime que « plus de 500 nouveaux petits groupes sectaires ont proliféré à la faveur du confinement ». Les dérives sectaires touchent 140 000 personnes, dont 90 000 enfants.

Je multiplie par dix les moyens de la Miviludes : ils sont maintenant d’un montant de 1 million d’euros pour accompagner notamment les associations ». Une magistrate, Hanène Romdhane, a été nommée à la tête de la Miviludes. « Sa nomination a notamment pour but de donner une suite judiciaire à l’ensemble des signalements effectués auprès de la Miviludes : 3 000 rien que sur l’année 2020 dont 40 % dans le domaine de la santé », selon le communiqué.

MAIS EN JUIN 2022

Miviludes : la lutte contre les dérives sectaires a disparu de l’organigramme du gouvernement

Déjà menacée de disparition fin 2019, la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires n’est mentionnée nulle part dans les attributions des différents ministères publiées aujourd’hui au journal officiel 24 :

« C’est une suppression de fait. »

OCTOBRE 2022 — Le syndrome Renaissance ?

La MIVILUDES disparaît quasiment, absorbée dans un ministère non précisé et en octobre, branle-bas de combat la secrétaire d’État anciennement liée via sa famille à la scientologie annonce des grandes décisions. Que s’est-il passé à OK Coral ?

Et vous qu’en pensez-vous ? Comme Annette ?

@Annette_LEXA

« je sais pas vous, mais moi, j’ai le sentiment d’être contrainte de vivre dans une secte géante depuis 2 ans 1/2. Si on prend les critères de la #MIVILUDES, le gouvernement actuel coche toutes les cases ».

En tous cas ? les internautes ont rapidement réagi avec une longue liste de #balancetoncomplotiste dont je vous livre quelques exemples :

PLUS NOUS INFORMERONS DE CE PROJET TOTALITAIRE, MOINS ILS POURRONT LE METTRE EN PLACE

D’autant que bien des Français se demandent ce que deviendront les délateurs des soi-disant complotistes qui finalement auront eu raison : le pseudovax ne protège pas de la contamination, a des effets secondaires importants, etc.

INFORMONS !





Déliquescence d’un système en sénescence !

Billet de DJERRAD Amar

Ni sur le bombardement des civils au Donbass,

Ni sur le bombardement de la centrale nucléaire et la magouille onusienne qui s’en est suivie,

Ni sur l’envoi des céréales en priorité aux atlantistes au lieu des pays pauvres,

Ni pour empêcher (ou mettre en garde) la « bombe sale » signalée par Moscou,

Ni sur l’attaque de drones contre plusieurs navires russes qui assuraient la sécurité du couloir céréalier,

… l’ONU n’est intervenue !!

Et… subitement Antonio Guterres — sans honte et avec audace — sort de sa léthargie, sitôt que la Russie a déclaré suspendre sa participation à l’accord sur les céréales, en annonçant être « profondément préoccupé » par l’avenir de l’accord sur les céréales, multiplie « les contacts intenses » afin d’inciter la Russie à revenir sur sa décision.

Bien entendu, parce que les céréales allaient à 96 % aux Occidentaux et non aux pays pauvres !

Nous entrons dans le siècle de la déliquescence d’un système et des bouleversements géopolitiques sans précédent !

Les peuples savent que cette organisation onusienne a perdu son sens pour s’être laissée pervertir en instrument au service du Grand Capital, comme le sont toutes les organisations internationales, y compris droits de l’homme jusqu’à l’AIEA. La plupart dépendantes des multinationales, leurs donatrices. L’ONU et ses institutions ne servent plus qu’à produire des alibis contre les pays ciblés ; les ONG et les « journalistes » font dans l’espionnage et la tromperie ; la CPI s’utilise pour criminaliser les dirigeants indociles ; le FMI sert à ruiner et à gager les pays ; la presse dite « mainstream » se consacre à la manipulation, la tromperie et le contrôle de l’opinion ; l’OTAN se réserve pour l’agression et la dévastation.




COVID19 = ARNAQUE UNIVERSELLE

[Source : businessbourse.com]

Pourquoi les chercheurs et les journalistes ont-ils autant traîné pour poser les bonnes questions ? Vous aurez bientôt tous les détails, c’est affligeant !!!

« À une époque de tromperie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire »

George Orwell

Alors que nous approchons de la troisième année de la « crise de Covid », l’histoire de Covid autrefois inattaquable — rapportée et répétée par les politiciens, les mandarins de la santé publique et tous les médias grand public — a été remplacée par des contradictions et des incohérences.

L’histoire originale de Covid, racontée par des « experts » de la santé et des représentants du gouvernement, a parlé d’un agent pathogène particulièrement virulent qui a assiégé la planète en 2020 et s’est propagé très rapidement, terrorisant, infectant et tuant des gens en masse.

C’était l’histoire d’un « événement de niveau pandémique » au cours duquel les gens ont été invités à rester chez eux, des secteurs entiers de la société ont été contraints de fermer et les humains ont été invités à faire tout leur possible pour éviter tout contact les uns avec les autres.

C’était une histoire d’écoles fermées, d’entreprises fermées, d’églises fermées et d’hôpitaux complètement débordés.

Dans les chapitres suivants, l’histoire de Covid est passée de vérités à toute épreuve, « Suivez la science », à des définitions en constante évolution, « La science évolue ». D’innombrables aspects du récit « officiel » ont changé du jour au lendemain. Peu à peu, l’histoire est devenue pleine de pages de statistiques douteuses et d’intrigues toujours changeantes.
Que penser de toutes ces contradictions et mutations ministérielles ?

Bientôt, la seule certitude dans le récit de Covid est devenue son incertitude.

Tenter de donner un sens à l’énigme Covid a rapidement nécessité de naviguer dans un labyrinthe complexe de tromperies, de manipulations, d’obscurcissements et de dissimulations. Séparer les faits de la fiction devenait chaque jour plus difficile.

Alors que la plupart ont persisté avec le scénario médiatique et les décrets gouvernementaux, certains ont commencé à remarquer les nombreuses anomalies et ont commencé à poser des questions.

La question la plus criante était simplement : « Pourquoi personne n’a-t-il été autorisé à poser des questions ? » Une fois cette boîte de Pandore a été ouverte, un flot de questions a fusé.

Pourquoi les médias ne posaient-ils aucune question ? Pourquoi tous les pays riches fonctionnent-ils tous de manière très coordonnée ?

Avons-nous été alertés de cet « événement de niveau pandémique » par nos observations et expériences directes ?

Étions-nous entourés de personnes malades, dans nos maisons, nos quartiers et nos lieux de travail, qui succombaient à un virus à propagation rapide et dangereux ?

Si nous étions vraiment dans une pandémie aux proportions bibliques, y aurait-il autant de discussions sur les détails épidémiologiques ?

« Si vous devez être persuadé, rappelé à l’ordre, mis sous pression, incité, contraint, intimidé, abusé socialement, culpabilisé, menacé, puni et criminalisé. Si tout cela est considéré comme nécessaire pour obtenir votre conformité, vous pouvez être absolument certain que ce qui est promu n’est pas dans votre meilleur intérêt ».

Ian Watson

Pour vendre la « Covid Story », une campagne de marketing de masse dotée de sa propre nomenclature a été lancée. Le battement de tambour constant du cri de bataille de Covid est devenu incontournable, ressemblant à de la propagande de qualité militaire plutôt qu’à des messages de santé publique.

  • Ces mots d’ordre et cris de ralliement Covid étaient-ils destinés à servir la santé publique ou étaient-ils simplement conçus pour être obéis ? D’où viennent ces idées et ces phrases ?
  • Pourquoi les médias et le gouvernement ont-ils attisé sans relâche la peur et l’anxiété du public ?
  • Pourquoi des millions ont-ils été dépensés pour des équipes de gestion comportementale ?
  • Comment l’expression « la nouvelle normalité » est-elle apparue dans les premières semaines de la pandémie ?
  • Une manipulation psychologique soutenue a-t-elle été utilisée pour créer la peur et contraindre le public ?
  • Les symptômes de Covid étaient-ils vraiment uniques ou étions-nous conditionnés à croire qu’il y avait une nouvelle maladie ?
  • Les statistiques sur les décès de Covid ont-elles été manipulées pour créer la perception d’une crise ?
  • Les confinements étaient-ils une question de protection ou de contrôle social ?
  • Les confinements ont-ils réduit les décès ou provoqué une augmentation de la mortalité ?
  • Y a-t-il jamais eu des preuves de « propagation asymptomatique » ou cela a-t-il été exagéré pour effrayer le public ?
  • Comment est-on passé de « deux semaines pour aplatir la courbe » à des « lois d’urgence permanentes » ?

« Les hôpitaux et les médecins s’enrichissent d’une population de masse malade. »

L’une des premières méthodes de la campagne Covid utilisée pour alerter le public de la prochaine tempête de maladies graves était centrée sur la conviction que les hôpitaux allaient être submergés par une cascade de personnes infectées par le Covid.

« Deux semaines pour aplatir la courbe » est devenu un cri de ralliement national.

Le public a été inondé d’histoires de couloirs d’hôpitaux débordés et d’unités de soins intensifs submergées. Des hôpitaux de fortune ont été rapidement construits pour accueillir les infectés excédentaires. Les médias inconditionnels ont amplifié ces histoires créant un climat de panique et d’hystérie généralisé.

Était-ce vrai ?

  • Les hôpitaux américains étaient-ils vraiment débordés ? Que disent les données ?
  • Les hôpitaux de NYC ont-ils été débordés au printemps 2020 ?
  • L’hôpital d’Elmhurst, « l’épicentre de l’épicentre », débordait-il au printemps 2020 ?
  • Les unités de soins intensifs étaient-elles submergées de patients ?
  • Les hôpitaux américains étaient-ils plus occupés en 2020 qu’ils ne l’étaient en 2019 ?
  • Les hôpitaux sont-ils régulièrement débordés pendant la saison du rhume et de la grippe ?

« La peur est un marché. Instiller la peur chez les gens a aussi des avantages. Pas seulement en termes de consommation de drogue. Les personnes anxieuses sont plus faciles à gouverner. »

Au fur et à mesure que la pandémie s’accélérait, le « bilan des morts de Covid » est devenu un marqueur quotidien martelé par les mégaphones des médias corrompus et les tableaux de bord de la mortalité.

Des récits horribles de la « première vague » de décès de Covid ont été diffusés sur tous les canaux médiatiques au même rythme. Des histoires poignantes de morgues débordantes et de camions réfrigérés remplis de cadavres de Covid ont saturé les nouvelles du soir. Alors qu’une explication plus simple pour ces camions était facilement disponible, un média docile et complice s’est bouché les oreilles et a continué à fabriquer l’hystérie de masse.

Là encore, toutes les questions susceptibles de semer le scepticisme ont été tenues à l’écart du débat public.

Mais cette marche de la mort annoncée était-elle vérifiable ou était-ce encore une autre caractéristique de la campagne sur la peur du Covid ?

  • Le nombre de décès et les certificats de décès de Covid étaient-ils exacts ou les décès de Covid ont-ils été artificiellement gonflés ?
  • Quel était l’âge moyen des décès de Covid et comment cela se compare-t-il à l’espérance de vie normale ?
  • Quel pourcentage de décès de Covid provenaient de personnes qui avaient déjà plusieurs comorbidités ?
  • Les photos de cercueils de Bergame, en Italie, en mars 2020, utilisées pour terrifier le monde, étaient-elles authentiques ?
  • Pourquoi CNN a-t-elle rapporté qu’un garçon géorgien de 7 ans est mort de Covid lorsqu’il s’est noyé dans une baignoire après une crise ?
  • Combien de décès de Covid dus à des « blessures intentionnelles et non intentionnelles, empoisonnements et autres événements indésirables » ont été placés dans le décompte des décès du CDC COVID ?
  • Pourquoi 14 369 décès par blessures, 1 265 décès dus à des chutes, des décès par noyade et des suicides ont-ils été répertoriés dans le décompte des décès de Covid-19 ?
  • Pourquoi le CDC a-t-il changé les méthodes d’enregistrement exclusivement pour les décès de Covid et cela a-t-il gonflé le nombre de décès de Covid ?

« L’une des leçons les plus tristes de l’histoire est la suivante : si nous avons été dupés assez longtemps, nous avons tendance à rejeter toute preuve de la tromperie. Nous ne sommes plus intéressés à découvrir la vérité. »

Alors que le prétendu naufrage de la « première vague » s’est calmé et que le nombre de corps n’a pas atteint les totaux prévus, le récit a brusquement changé.

« The Covid Death » a été remplacé par « The Covid Case » comme principal vecteur de peur. Ce qui définissait un « cas Covid » semblait généralement à gagner. Les définitions de « cas » allaient de toute personne « suspectée d’avoir Covid » à celles qui étaient « positives », comme établi par les tests PCR.

Nulle part dans les médias, on ne pouvait trouver un journaliste curieux qui remettrait en question ce que cela signifiait d’être un « cas probable ». Même lorsque la PCR est devenue une caractéristique courante de la vie quotidienne, la validité de son utilisation en tant qu’outil de diagnostic n’a jamais été examinée par aucune source grand public.
Ces comptages de cas et les méthodes utilisées étaient-ils fondés sur une base scientifique solide ?

  • Le Covid-19 était-il un nouveau virus ?
  • Comment le processus d’examen par les pairs de la publication critique sur les tests PCR Covid n’a-t-il duré qu’une journée ?
  • Les résultats du test PCR Covid étaient-ils exacts ?
  • Le nombre de cas et les diagnostics de Covid étaient-ils exacts ?
  • Les tests PCR ont-ils été utilisés de manière trompeuse pour inventer des « cas » Covid ?
  • Pourquoi la définition d’un « cas » Covid a-t-elle été modifiée ?

« La grande industrie pharmaceutique a besoin de personnes malades pour prospérer. Les patients, et non les personnes en bonne santé, sont leurs clients. Si tout le monde était guéri d’une maladie ou d’une maladie particulière, les sociétés pharmaceutiques perdraient 100 % de leurs bénéfices sur les produits qu’elles vendent pour cette maladie. Cela signifie que c’est parce que la médecine moderne est si étroitement liée à la culture des profits financiers, c’est une industrie de la maladie plus qu’une industrie de la santé. »

Une fois qu’il a été fermement établi dans l’esprit du public qu’une menace pathogène se cachait juste devant leur porte, un barrage incessant de messages, d’éclairage au gaz et de coercition a éclaté sous tous les angles.

Le monde entier a été informé à plusieurs reprises que le seul salut pour l’espèce humaine était un produit médical expérimental génétiquement modifié, concocté à « Warp Speed » par des sociétés pharmaceutiques géantes. Ceci, seulement ce médicament pourrait sauver l’humanité de la catastrophe.

Comme de nombreuses autres facettes de l’histoire de Covid, l’histoire de Big Pharma et de leurs potions magiques s’est révélée après un examen plus approfondi. Plusieurs questions se sont posées :

  • Si Big Pharma est vraiment dans le domaine de la santé publique, quel est son bilan historique en matière de protection de la santé publique ?
  • Quels sont les antécédents de Pfizer en matière de fraude et de corruption ?
  • Est-ce que Big Pharma a recueilli tous les processus de la FDA et a vérifié s’ils étaient réglementaires ou orientés politiquement ?
  • Big Pharma contrôle-t-il le CDC ?
  • Big Pharma influence-t-il les essais cliniques ?
  • Les essais cliniques de Pfizer pour les vaccins Covid ont-ils été correctement menés ?
  • Pourquoi la FDA a-t-elle tenté de dissimuler les données des essais du vaccin Covid pendant 75 ans ? Qu’ont révélé les données de l’essai ?
  • Pourquoi la FDA a-t-elle refusé de rendre publique sa surveillance de la sécurité des vaccins ?
  • Comment le CDC a-t-il décidé que les essais cliniques de Pfizer s’avéraient un vaccin « sûr et efficace » ?

« Je suis pour la vérité, peu importe qui la dit. Je suis pour la justice, peu importe qui est pour ou contre. Je suis un être humain, avant tout, et en tant que tel, je suis pour qui et quoi que ce soit qui profite à l’humanité dans son ensemble. »

Malcolm X

Lorsque le déploiement à très grande échelle des vaccins expérimentaux contre le Covid a été lancé, une campagne obligatoire faisant taire toutes les voix qui osaient remettre en cause l’impératif vaccinal a été mise en place. Même ainsi, certaines voix d’appréhension se sont glissées entre les mailles du filet. Beaucoup de ces voix étaient parmi les praticiens médicaux les plus renommés dans leur domaine.

Pourquoi leurs voix n’ont-elles pas été autorisées dans les conversations grand public ?

  • Pourquoi des milliers de médecins dissidents ont-ils été censurés et réduits au silence ?
  • Pourquoi les médecins qui ont parlé du traitement précoce ont-ils été vilipendés et censurés ?
  • Les vaccins Covid étaient-ils nécessaires, efficaces ou sûrs ?
  • Les vaccins Covid arrêteraient-ils les hospitalisations ou les décès ?
  • Les preuves de préjudices et d’événements indésirables graves des essais cliniques ont-elles été dissimulées ?
  • Pourquoi les médias ont-ils gardé le silence sur les dangers potentiels du vaccin Covid ?
  • Les gens ont-ils reçu un consentement éclairé approprié pour les vaccins Covid ?
  • Que disaient plusieurs études dès 2020 sur les vaccins Covid et les lésions microvasculaires ?
  • Pourquoi des scientifiques indépendants n’ont-ils pas été autorisés à examiner les flacons de vaccin à ARNm ?
  • Y avait-il un lien entre l’inflammation cardiaque et les vaccins Covid ?
  • Pourquoi les enfants ont-ils été ciblés pour la vaccination alors qu’on savait qu’ils étaient à risque zéro de la maladie en question ?
  • Y avait-il des médecins qui appelaient à l’arrêt du programme de vaccination contre le Covid ?

Alors que les employés des hôpitaux étaient idolâtrés comme des héros, des rapports ont commencé à fuir laissant entendre que ce qui s’était réellement passé à l’intérieur de ces établissements médicaux était contraire au récit soutenu des médias. Au fur et à mesure que de plus en plus d’histoires faisaient surface, les soupçons se sont intensifiés selon lesquels cela faisait également partie de la mythologie de Covid.

Des questions concernant les traitements dans les hôpitaux et les maisons de retraite ont émergé et des allégations d’intérêts financiers se sont matérialisées.

  • Les hôpitaux ont-ils été incités à fabriquer des patients Covid ?
  • Quels étaient les protocoles de traitement de l’hôpital Covid ?
  • Les hôpitaux ont-ils été incités à mettre les patients Covid sous ventilateurs et à utiliser le Remdesivir ?
  • Ces incitations et protocoles ont-ils mis les gens en danger ?

« Le silence face au mal est en soi un mal. »

Dietrich Bonhoeffer

Dans les premiers chapitres de l’histoire de Covid, peut-être qu’aucun autre scénario n’a piégé notre imagination et tiré sur nos cordes sensibles comme le schibboleth « Sauver grand-mère ». On nous a dit que « Covid-19 » ciblait les personnes âgées et les malades et de multiples rapports du monde entier ont révélé un schéma cohérent de la façon dont les situations horribles se sont déroulées dans les établissements de soins de longue durée.

Au fur et à mesure que de plus amples informations sur cette pièce du puzzle sordide de Covid faisaient surface, de plus en plus de questions se sont posées.

Des milliers de personnes âgées sont-elles décédées à cause du Covid ou à cause de la gestion de leur traitement de fin de vie a-t-elle été retirée les mettant activement dans une situation qui a assuré leur mort ?

  • Qu’est-ce qu’ils voulaient dire quand ils ont dit « prendre soin des personnes âgées ? »
  • Comment ont-ils « pris soin des personnes âgées au Canada ? » Au Royaume-Uni ? En France ? Dans le Maryland ? Dans le Massachusetts ? À Washington DC ? Au Mississippi ? À New York ? Dans le New Jersey ? Au Minnesota ? Dans l’Indiana ? En Louisiane ? Au Michigan ? À Rhode Island ?
  • Les conditions pour des taux de mortalité élevés dans les foyers de soins ont-elles été créées exprès ?

« Je vis à l’ère de la gestion, dans un monde d’“administrateurs”. Le plus grand mal ne se fait plus maintenant dans ces sordides “tanières du crime” que Dickens aimait à peindre. Il ne se fait même pas dans les camps de concentration et de travail. Dans ceux-ci nous voyons son résultat final. Mais il est conçu et ordonné (ému, secondés, portés et minutés) dans des bureaux propres, tapissés, chauffés et bien éclairés, par des hommes tranquilles au col blanc, aux ongles coupés et aux joues bien rasées, qui n’ont pas besoin d’élever la voix. »

CS Lewis

Toutes les histoires complexes nécessitent un casting de personnages et la Chronique de Covid n’était pas différente. Neil Ferguson et Christian Drosten ont joué des rôles de soutien importants dans les coulisses tandis que d’autres, comme Anthony Fauci et Bill Gates, ont occupé le devant de la scène. Au fur et à mesure que nous avancions dans le récit de Covid, nous avons « appris à connaître » ces personnalités à travers les portraits peints par des médias uniformément déférents.

Ces images de notre casting de personnages de Covid étaient-elles des représentations exactes ? Que savions-nous vraiment d’eux ?

  • Que prédisaient les modèles informatiques originaux de Neil Ferguson sur les décès de Covid et quel était son bilan bien documenté ?
  • Comment ses prédictions calamiteuses et inexactes ont-elles joué un rôle aussi central dans la détermination de la politique gouvernementale ?
  • Qui est Christian Drosten et comment a-t-il développé le désormais célèbre test Covid PCR ?
  • Qui est le vrai Anthony Fauci ?
  • Quel rôle Anthony Fauci a-t-il joué dans la crise du VIH/sida ?
  • Étant donné que Bill Gates n’a aucune formation médicale, pourquoi a-t-il joué un rôle aussi central dans la détermination de la politique gouvernementale ?
  • Comment Bill Gates a-t-il su en 2019 que les vaccins seraient « l’un des meilleurs achats » en 2020 ?
  • Comment Bill Gates a-t-il utilisé les investissements médicaux pour transformer 10 milliards de dollars en 200 milliards de dollars ?
  • Pourquoi la Fondation Bill et Melinda Gates a -t-elle investi 55 millions de dollars dans les actions de BioNTech en août 2019 ?

« Ils n’ont pas vu que la mondialisation n’était qu’une tactique pour arracher le pouvoir des États-nations aux conglomérats internationaux. Une fois que le pouvoir a été siphonné au peuple et que le contrôle démocratique a été contourné, la capacité d’affirmer la gouvernance mondiale sans aucune retenue démocratique était disponible. »

James Tunney

Enfin, pour comprendre la totalité de l’histoire de Covid, il est nécessaire de comprendre comment l’industrie de la santé publique est inextricablement liée aux marchés financiers mondiaux et fonctionne en fonction des exigences de ces conglomérats financiers. Les pandémies fabriquées sont désormais considérées comme l’une des plus grandes opportunités d’investissement pour accroître la richesse des milliardaires et consolider leur pouvoir.

L’industrie médicale n’est plus un système dont l’objectif principal est de servir la santé et le bien-être du public. C’est un système dont la fonction principale est d’être un instrument financier pour les investisseurs. Les politiques actuelles qui définissent l’industrie médicale sont conçues pour servir des agendas socio-économiques et politiques qui profitent à ces mêmes élites financières.

L’ensemble de la « crise de Covid » était-il une véritable urgence sanitaire ou était-ce un programme ancré dans la peur d’enrichir les poches de Big Pharma et de leurs investisseurs riches ?
Là encore, les médias grand public restent consciencieusement silencieux, refusant de poser les questions les plus élémentaires :

  • À qui appartient Big Pharma ?
  • Est-ce une coïncidence si l’urgence de santé publique de Covid a créé plus de 500 nouveaux milliardaires et coïncidé avec l’un des plus grands transferts de richesse vers le haut de l’histoire de l’humanité ?
  • Pourquoi les grandes banques ont-elles été renflouées à l’époque de Covid alors que les petites entreprises ont été laminées ?
  • Comment les travailleurs du monde entier ont-ils perdu 3,7 billions de dollars pendant la pandémie tandis que les milliardaires du monde entier ont gagné 3,9 billions de dollars pendant la pandémie ?
  • Est-il possible de « suivre la science » si la science est contrôlée par l’argent ?
  • Qu’a dit le chef du FMI sur le sort de l’économie mondiale et des vaccins ?
  • Qu’est-ce que la Grande Réinitialisation ?
  • Que sont les monnaies numériques des banques centrales ?

Après une plongée plus profonde dans l’histoire du Covid, on se demande si même un seul volet de l’histoire résiste à l’examen. Trois ans plus tard et les débris de la fusillade des politiques de Covid continuent de s’accumuler. Chaque jour qui passe, de plus en plus de trous apparaissent dans le récit officiel et de plus en plus d’admissions sont révélées alors que les responsables se précipitent pour éviter de rendre des comptes.

Alors que la poussière retombe à la suite du carnage de Covid, nous nous posons une dernière question :

« Est-ce que l’intégralité de l’histoire du Covid était un mensonge ? »

Source : zerohede




Sauvez Poutine !

1

Nous avons appris de source « sûre » que le beau-frère du cousin d’une secrétaire travaillant à la Maison Blanche aurait entendu un haut gradé raconter qu’un de ses officiers aurait rapporté que Poutine aurait demandé l’asile politique aux USA2.

En journalistes professionnels soucieux de vérifier l’information, nous avons cherché à croiser nos sources.

Notre correspond local a immédiatement contacté un journaliste au Washington Post qui a confirmé que l’information était plus que probablement exacte mais que ce ne serait pas le beau-frère du cousin mais le beau-frère d’une cousine à moins que ce ne fut la belle-sœur d’un cousin.

Une preuve de plus de l’importance de tout vérifier dans ce monde de désinformations véhiculées par les complotistes d’extrême-droite antisémites post-fascistes.

Ce que ne manquent pas de faire au quotidien l’ensemble des journalistes mainstream de notre belle démocratie.

Nous avons immédiatement contacté l’ambassade de Russie et n’avons pas été surpris par leur réponse.

Ceux-ci nous ont rapporté, je cite :

« Il n’existe aucun Poutine en Russie ! »

Une preuve de plus de leurs mensonges !

Flash back

Comment en sommes-nous arrivés à une situation telle que le dictateur sanguinaire, l’ogre de Sibérie, le dépeceur de Volgograd, l’odieux Poutine, en arrive à demander l’asile politique chez nos gentils alliés américains ?

Tout ceci a débuté il y a quelques mois lorsque les russes ont commencé à bombarder la centrale nucléaire de Zaporijjia3, centrale qu’ils contrôlaient.

Ouest-France4 (avec AFP) :

« La centrale de Zaporijjia est au cœur des inquiétudes ces derniers jours. Aux mains des Russes, elle fonctionne désormais avec des risques de fuites radioactives et d’incendie… Les troupes russes ont bombardé le site « à plusieurs reprises au cours de la dernière journée. »

Les murs du Kremlin avaient tremblé ce jour là tant Poutine était hors de lui, traitant ses généraux de débiles profonds.

L’histoire aurait pu s’arrêter là mais que nenni.

Voici que ces mêmes russes sabotent leurs propres gazoducs à n’en point douter !

Libération5 (mais aussi tant d’autres) nous a éclairé :

« Gazoduc Nordstream : des détonations enregistrées avant les grandes fuites en mer Baltique Parmi les hypothèses crédibles, celle du sabotage par les Russes eux-mêmes pour faire encore monter le prix du gaz sur le marché mondial.»

Ils ont bien essayé de dire que ce n’était pas eux et ont eu l’audace de raconter que le sabotage avait été accompli avec le soutien du Royaume-Uni.

L’accusation est à ce point débile et délirante que notre Première Ministresse Élisabeth Born a déclaré6 :

« Il y a une enquête en cours et je ne crois pas ce qui a été dit (par les russes) ce matin. »

Il y a des évidences qui sont bonnes à répéter.

De source aussi vérifiée que la demande d’asile de Poutine7, celui-ci aurait alors déclaré lors du sabotage :

« Mais bande de cons, vous auriez pas pu fermer le robinet pour priver l’occident de gaz au lieu de faire sauter ce truc qui nous a coûté des milliards ! »

8

Devant la réaction de ses conseillers, ou plutôt l’absence totale de réaction (imaginez le cerveau d’Homer Simpson), celui-ci se serait arraché de nouveaux cheveux.

Ce qui nous échappait hier est ainsi devenu limpide aujourd’hui.

Nous nous étions interrogés depuis des années sur sa calvitie mais elle s’explique totalement à la lumière des événements des derniers mois.

Hélas, la spirale infernale n’a pas pris fin !

Début octobre, une attaque du seul pont reliant la Crimée à la Russie s’est produite.

Une fois de plus, la presse occidentale n’est pas tombée dans le piège.

Comme le Nouvel-Obs9, pardon l’AFP, qui a précisé :

« Explosion sur le pont de Crimée : la présidence ukrainienne suggère une « piste russe »

« C’est en Russie qu’il faut chercher les réponses », a déclaré Mykhaïlo Podoliak, conseiller de Volodymyr Zelensky. »

Vladimir Poutine, affalé sur son canapé, a reçu une fois de plus ses conseillers et leur aurait dit avant même qu’ils n’ouvrent la bouche :

« J’imagine que le sabotage du pont c’est vous aussi ! »

Ceux-ci auraient répondu fièrement :

« Oui comme ça les Ukrainiens ne pourront pas l’emprunter pour envahir la Crimée. »

Poutine s’apprêtait à dire qu’ils n’avaient pas besoin de passer par la Russie pour aller en Crimée et qui leur suffisait de prendre la route, mais il renonça par manque d’énergie.

Nous pouvions imaginer que cette succession d’actes complément débiles de la part des russes prendrait fin mais c’était sans compter sur le dernier événement que nous vous relatons fidèlement avec l’aide de la presse française.

L’attaque de navires russes à Sébastopol

Le Huffingpost10 nous rapporte (avec l’AFP) :

(Je rappelle que les journaux français ne diffusent QUE de l’information « vérifiée »,
« sourcée » « AFP », afin de ne pas désinformer le public.
Ce qui n’est pas le cas, hélas, de torchons comme France-Soir
qui utilise des journalistes et des enquêteurs indépendants.)

Je cite le Huffpost :

« Une attaque de drones en Crimée, accuse l’armée russe.

L’armée russe a annoncé avoir repoussé, ce samedi 29 octobre, une attaque de drones massive sur sa flotte dans la baie de Sébastopol, en Crimée annexée. Une attaque que l’armée de Vladimir Poutine a imputée à l’Ukraine et à la Grande-Bretagne et qui a endommagé un navire.

La Défense britannique a réagi en dénonçant de « fausses informations » destinées à « détourner l’attention », tandis qu’un responsable ukrainien a suggéré qu’une « manipulation négligente d’explosifs » par les forces russes était à l’origine de l’incident. »

Les militaires russes sont tellement nuls que, cette fois-ci, ils ont endommagé un de leurs navires en manipulant des explosifs.

Poutine a tout de suite téléphoné aux généraux leur demandant si ils étaient au service de la Russie ou de l’OTAN.

Ceux-ci auraient répondu :

« Ne croyez pas la propagande occidentale.
Ces explosions ne sont pas accidentelles mais volontaires afin de déstabiliser l’ennemi.
Nous avons appris de l’Histoire et afin de ne pas être pris au dépourvu (comme les français en 1940), nous avons décidé de commencer à saborder la flotte comme à Toulon en 1942. »

La goutte de trop pour Vladimir Poutine qui aurait immédiatement utilisé le téléphone rouge pour appeler Biden:

« Je ne suis plus en sécurité dans mon propre pays, mon chauffeur risque de lancer ma voiture dans un mur pour éviter qu’un extrémiste ukrainien ne cherche à me rentrer dedans. Je ne vois qu’une solution, quitter ce pays de fous et demander l’asile politique à l’axe du bien qui lui, au moins, n’agit jamais contre son propre camp. Je vois tous les jours à la TV française des hommes politiques se réjouir de l’inflation de 10% et de l’augmentation de plus de 400% du prix de l’énergie. Nous voyons bien qu’ils sont au service de leur peuple et ne rechignent pas à serrer la ceinture de leurs compatriotes pour la victoire du « bien ». »

C’était donc les dernières informations du jour.

Quant à savoir si les gentils américains auront la gentillesse de l’accueillir comme ils ont recueilli les gentils nazis utiles après-guerre, c’est une autre histoire.

Nous ne manquerons pas de vous en dire plus lorsque nous n’en saurons pas plus comme nos confrères.

Merci

Alain Tortosa11
30 octobre 2022.
https://7milliards.fr/tortosa20221030-sauvez-le-soldat-poutine.pdf





Attention, les enfants restent menacés d’injections du faux vax anticovid inefficace et dangereux !

Attention, les enfants restent menacés d’injections du faux vax anticovid inefficace et dangereux 1

Par Nicole Delépine

Malgré les révélations inattendues de Pfizer au parlement européen avouant publiquement que la transmission du virus n’a jamais été étudiée dans les essais, les mondialistes tentent rapidement de pérenniser la vente de milliards de dollars de vaccin, avant que la population ne soit complètement réveillée. On apprend que la commissaire européenne poursuivie pour manque de transparence dans les contrats avec les firmes tente de réintroduire le pass vaccinal. Course de vitesse !

En France lors du récent congrès de pédiatrie français début octobre 2022, le Pr Fischer a regretté que les petits Français aient échappé en grand nombre à l’injection toxique.

Selon le groupe Telegram, la présidente de la Société française de pédiatrie s’est dramatiquement trompée ou a volontairement menti dans le but d’encourager les injections du sérum de Pfizer sur les enfants français.2 3 Par exemple, concernant les risques d’effets secondaires, selon TF1, elle avait indiqué aux journalistes du Monde :

« Dans le cas de porteurs de maladies chroniques, le débat sur la balance bénéfices-risques chez l’enfant ne tient plus, puisque le bénéfice est largement supérieur aux effets secondaires du vaccin ». Et d’ajouter que « ces enfants ont été vaccinés sans hésitation ».

Comment pouvait-elle évaluer cette balance bénéfices-risques, alors que ces vaccinations n’ont commencé aux États-Unis que l’été dernier et que, selon Pfizer, les essais cliniques ne s’étaient faits que sur 8 souris ? 4

Et comment pouvait-elle évoquer un quelconque bénéfice alors que les enfants ne risquent presque rien du covid, et que ces faux vaccins sont incapables de protéger les injectés de la maladie et leurs contacts de la transmission ?

D’autre part, en décembre 2021, sur France-Inter (* à partir de la minute 31), elle a affirmé qu’on attendait les résultats de la pharmacovigilance américaine concernant les effets secondaires sur la tranche d’âge des 5-11 ans… alors que la France avait déjà fait injecter le sérum adulte de Pfizer sur plus de 22 490 enfants, dont plus de 4500 petits de moins de 5 ans !5

Aux USA comme en UE, les autorisations pour injecter les enfants de six mois à 5 ans viennent d’être accordées. Nous devons absolument nous opposer à la pseudo vaccination inutile et dangereuse. Combien de complications graves ou de morts pour rien ? Ou plutôt pour les bénéfices des entreprises, de leurs actionnaires et de leurs complices (médecins, journalistes et politiques corrompus) et la manipulation des populations en vue de leur réduction.

Covid : l’EMA autorise la vaccination des enfants d’au moins 6 mois avec Moderna et Pfizer (Leparisien.fr)6 7

Onze mois après avoir autorisé la vaccination pour les 5-11 ans, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a recommandé d’étendre l’utilisation des vaccins Comirnaty (de Pfizer) et de Spikevax (de Moderna) contre le coronavirus.

Une première en Europe. Ils pourront désormais être utilisés chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ans pour le produit de Pfizer, et pour ceux âgés de 6 mois à 5 ans pour celui de Moderna.

Un comité d’experts convoqué par l’agence américaine des médicaments avait donné son accord, en juin, à la vaccination des très jeunes enfants. En Europe, les doses des deux vaccins dans ces nouvelles tranches d’âge plus jeunes « seront plus faibles », prévient l’EMA dans un communiqué publié ce mercredi. « Chez les enfants de 6 mois à 4 ans, Comirnaty peut être administré en primo-vaccination consistant en trois doses, les deux premières doses sont administrées à trois semaines d’intervalle, suivies d’une troisième dose administrée au moins 8 semaines après la deuxième dose », explique le comité d’experts.

En ce qui concerne le vaccin de Moderna, « chez les enfants de 6 mois à 5 ans, il peut être administré en primo-vaccination consistant en deux doses à quatre semaines d’intervalle », détaillent-ils. L’EMA s’appuie sur une étude menée chez des enfants de 6 mois à 4 ans qui a montré que la réponse immunitaire à la dose la plus faible de Pfizer « était comparable à celle observée avec la dose la plus élevée chez les 16 à 25 ans ». De même pour une étude du vaccin Moderna « qui a montré que la réponse immunitaire à la dose la plus faible chez les plus jeunes était comparable à celle observée avec la dose la plus élevée chez les 18 à 25 ans ».

Des effets secondaires comparables aux adultes

Selon l’EMA les effets secondaires les plus courants pour les deux vaccins, chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ou 5 ans, sont « comparables à ceux observés dans les groupes d’âge plus âgés ». L’EMA précise que « l’irritabilité, la somnolence, la perte d’appétit, les éruptions cutanées et la sensibilité au site d’injection sont des effets indésirables fréquents chez les enfants âgés de 6 à 23 mois avec Pfizer, tandis que l’irritabilité, les pleurs, la perte d’appétit et la somnolence étaient des effets indésirables fréquents chez les enfants âgés de 6 à 36 mois avec Moderna ». Pour les deux vaccins, les effets secondaires se dissipent plusieurs jours après la vaccination. l’EMA considère donc que « les bénéfices l’emportent sur les risques ». Ces vaccins sont jugés « efficaces pour prévenir les maladies graves, les hospitalisations et les décès associés au Covid-19 ».

Mais comment l’EMA peut-elle énoncer de pareils mensonges alors que les données de l’OMS montrent que loin de diminuer la mortalité les faux vaccins paraissent l’augmenter ?

L’EMA prévient que « conformément au plan de surveillance de la sécurité de l’UE pour les vaccins coronavirus », ces deux produits sont « étroitement surveillés » et soumis à plusieurs activités qui s’appliquent spécifiquement aux vaccins Covid-19.

Les recommandations de l’EMA seront désormais transmises à la Commission européenne, qui rendra des décisions finales applicables dans tous les États membres de l’UE, précise le communiqué. L’EMA a averti le mois dernier que la pandémie de Covid-19 était « toujours en cours » et a exhorté les pays à instaurer des programmes de rappels de vaccins avant l’hiver.

L’EMA ment en prétendant que la pandémie est toujours en cours alors qu’elle n’est responsable que de 3 % de la mortalité européenne quotidienne globale.

UNE HISTOIRE DE GROS SOUS #LesPierresCrieront

Quelques heures seulement après que le vaccin ait été ajouté au calendrier de vaccination des enfants aux USA, le tarif de la dose de vaccin #Pfizer est passé à 130 $. Prix de vente en augmentation de 500 % par rapport au prix initial de 20 $. Pfizer réalise ainsi une marge de 10 000 % sur le coût de fabrication.

« De quoi stimuler les revenus pendant des années malgré une demande plus faible. »8 9

LE PASS VACCINAL BASE SUR UN MENSONGE, ARNAQUE MONDIALE 10

Auditionnée au Parlement européen ce 10 octobre 2022, Janine Small, chargée auprès de Pfizer des marchés internationaux du laboratoire, a été interrogée par le député néerlandais Rob Roos :

« Le vaccin Covid de Pfizer a-t-il été testé sur l’arrêt de la transmission du virus avant d’être mis sur le marché ? Si non, veuillez le dire clairement. Si oui, êtes-vous prêt à partager les données avec ce comité ? Et je veux vraiment une réponse franche, oui ou non, et j’ai hâte de la recevoir. »

« Un seul but : forcer les gens »

« Savions-nous l’effet sur l’arrêt de l’immunisation [lapsus avec le mot “transmission”, ndlr] avant la mise sur le marché ? Non », a répondu Small, expliquant que Pfizer avait « vraiment dû avancer à la vitesse de la science ». Elle a ensuite mis en avant les investissements risqués — à hauteur de 2 milliards — pour la recherche et le développement du vaccin. »

En réalité Pfizer avait avancé à la vitesse du commerce pour être le premier sur le marché à proposer quelque chose sous le nom de vaccin !

Rob Roos a médiatisé cette « révélation », diffusant sur les réseaux sociaux le message suivant :

« Lors de l’audience sur le Covid, le directeur de Pfizer admet : le vaccin n’a jamais été testé sur la prévention de la transmission. “Se faire vacciner pour les autres” a toujours été un mensonge. Le seul but du passeport Covid : forcer les gens à se faire vacciner. Le monde doit savoir. Partagez cette vidéo ! »

Dans la vidéo, M. Roos ajoute : Je trouve que c’est choquant et même criminel.

En un peu plus de 24 heures, la vidéo a été vue près de 10 millions de fois sur Twitter. D’innombrables articles, vidéos et publications sur tous les réseaux sociaux ont relayé cette information dans de nombreuses langues.

Évidemment cette autorisation d’injecter les enfants de six mois à 5 ans, en plus des plus grands, désespèrent tous les citoyens protecteurs des enfants en commençant par tous ceux qui depuis deux ans et demi tentent d’avertir le peuple des dangers majeurs des injections ARNm.

Selon le Pr Henrion-Caude, ce qui s’est passé aux USA : DES MOUTONS DE PANURGE ?

«  Ce soir 15/15 médecins-experts ont transformé leur serment d’Hippocrate en serment d’hypocrites Sans la moindre contestation, ils ont enchaîné les “yes” au CDC pour ajouter le vax COVID au calendrier de vaccination des 5-11 ans A écouter PATHÉTICODRAMATIQUE 11

Par quelle sidération collective, ont-ils pu zapper le fait que ce vax n’empêche pas la transmission ? Que les risques pour les enfants sont dans ces produits et non dans le COVID, car ils ont une immunité naturelle ? Et que les expériences du faux vaccin au Costa Rica saturent d’enfants les hôpitaux ? »

ALEXANDRA HENRION-CAUDE EXPOSE LES ÉVÉNEMENTS RÉCENTS DU COSTA RICA

Les autorités rapportent une centaine d’enfants hospitalisés avec fermeture nationale de toutes les écoles pour virus respiratoire 12 ainsi qu’une comparaison inquiétante entre août 2021-juillet 2022 et août 2020-juillet 2021 :

  • – une baisse des naissances : -452
  • – une hausse des décès de nourrissons : +90
  • – une hausse des décès d’enfants pour mille naissances : 9,8 contre 7,5613

« Pourtant » voici la réalité du Costa Rica en matière de vaccination :

  • pour les adultes : 87 % une dose, 81 % 2 doses (50 % 3 doses, 9 % 4 doses) 14
  • Pour les jeunes : Une incitation qui a commencé dès janvier 2022 15
  • Une relance faite pour les 190 000 enfants vaccinés entre 5 et 11 ans (20/04)
  • Une arrivée massive de 300 000 doses pédiatriques Pfizer (8/09).

Une nouvelle explication pédagogique (19/09) suivi, il y a 1 semaine, d’une mise en œuvre chez les tout-petits 6mois-5ans (3/10)16.

Et commentaire terrible :

les enfants peuvent être injectés sans la nécessité d’un consentement écrit des parents au Costa Rica. Juste un adulte (n’importe lequel), un carnet de santé et une carte d’identité.17 Des réactions locales ? Alexandra Henrion nous invite à les aider

OUI ! AIDEZ-LES SVP ! un appel à solidarité internationale de médecins, car ils campent 24 h/7 jours/7 devant le Président LIEN : https://t.me/wch_org/1859 18

ET un appel à sauver les enfants aujourd’hui :

https://t.me/alexandrahenrioncaude

UNE COURSE DE VITESSE ENTRE LES MONDIALISTES QUI ACCÉLÈRENT L’AGENDA ET LE MONDE QUI SE RÉVEILLE

En UE, l’injection toxique est autorisée chez les plus de six mois en même temps que la commissaire est de plus en plus acculée en justice pour les contrats abusifs passés en secret avec Pfizer.

AINSI CRISTIAN TERHES APPELLE À LA DESTITUTION D’URSULA VAN DER LEYEN POUR CORRUPTION AGGRAVÉE

Commentaire du YouTube le 19 oct. 2022 :

La vérité va exploser dans quelques jours sur les contrats entre Pfizer et la Présidente de la commission européenne Ursula van der layen qui espèrerait un conflit nucléaire avec la Russie pour éviter de parler de la corruption la plus importante de toute l’histoire de l’humanité.

Ursula von der Leyen doit être destituée immédiatement sans condition de toutes ses fonctions comme présidente de la Commission européenne » en raison de l’enquête ouverte pour se présenter aux interrogatoires, fournir les SMS et les documents de négociations. Elle doit préparer son procès et son passeport doit lui être retirée pour éviter qu’elle s’échappe dans un paradis fiscal qui n’extrade pas. (https://www.eppo.europa.eu/en/news/on…»

le Bureau du procureur européen , l’EPPO, a lancé le 17 octobre l’eurodéputé roumain au Parlement de l’UE :

Les contrats entre Pfizer et la commission européenne aux clauses abusives et secrètes sont inacceptables :

  • Commande ferme avec paiement en avance pour 4 milliards de doses
  • Commande obligatoire non annulable d’un montant de 70 milliards dont 35 milliards « négocié » directement par un échange de SMS entre Ursula van der layen et Albert Bourla
  • Augmentation du prix de la dose de 15 à 20 EUR totalement injustifiée
  • Non responsabilité des effets secondaires de Pfizer
  • En cas de versement d’indemnité, l’Union Européenne versera seule
  • En cas de procès contre Pfizer, l’Union Européenne paiera les avocats de Pfizer
  • une probable commission estimée en milliards pour Ursula, sa famille et les fonctionnaires qui ont validé le contrat.

Cristian Terhes met en garde contre un crédit social à la chinoise en Europe (https://t.me/kompromatmedia/1434) Ursula a bel et bien mené des négociations avec son grand ami Albert Bourla (https://t.me/kompromatmedia/1486), en infraction des règles mêmes de la Commission dont elle est présidente, a relevé l’eurodéputée Virginie Joron (https://twitter.com/v_joron/status/1570339024128315393), qui a fouillé le rapport de la Cour des comptes de l’UE (https://www.eca.europa.eu/Lists/ECADocuments/).

Mais ce n’est pas tout. L’entre-soi oligarchique de Bruxelles est étonnant : Entre autres, Heiko, époux d’Ursula, est directeur médical de la biotech Orgenesis (https://fr.wikipedia.org/wiki/Orgenesis), avec le même actionnaire que Pfizer : Vanguard Group.

Demande de destitution immédiate.

Christine Cotton biostatisticienne depuis 1995, ayant pratiqué 23 ans dans l’industrie pharmaceutique insiste sur le fait que la plus grosse arnaque de l’essai Pfizer n’est pas l’absence d’étude de la transmission (car c’est USUEL), mais qu’il n’y ait PAS mesure des ANTICORPS à 3 mois post dose 2… pour ne pas montrer que ça CHUTE 19 20

CHUTE à 56 jours post DOSE 2 !

Et comme Pfizer savait que les anticorps baissaient, dès décembre 2020, ils étudiaient déjà un BOOST !?!?! comme indiqué dans l’avis de la HAS de décembre 2020.21

Donc on ne mesure pas ce qu’on ne veut pas voir, on prépare 1 BOOST et on le vend 6 mois après !

D’AUTRES VOIX S’ÉLÈVENT AU PARLEMENT EUROPÉEN

EXCLUSIF — TOUT EST BASÉ SUR UN GIGANTESQUE MENSONGE !

Christine Anderson

le 21 oct. 2022 :

« Révélation sur la réalité de la situation et sur les produits injectables expérimentaux. Christine Anderson, Député européen et membre de l’équipe d’investigation sur les contrats signés entre Ursula von der Layen et Pfizer pour 70 milliards qui permet une augmentation des prix de 15 à 150 EUR la dose. La plus grande escroquerie de l’histoire de l’humanité et un empoisonnement encouragé. À partager ! »



Partout les citoyens s’inquiètent

22

Des mamans, des collectifs, des papas s’inquiètent et se mettent en lien 23

« Nous venons de créer l’Union pour la santé et la protection des enfants24, regroupant

– collectif de santé pédiatrique
– collectif des psys
– collectif des orthophonistes
– SOS éducation
– mamans louves
– enfance et liberte

Nous sommes en lien +++ avec beaucoup de parlementaires. Pour mettre au point des actions.

Voici une nouvelle explication des raisons qui poussent les pédiatres à promouvoir les injections géniques anti-Covid sur les enfants… »

Martine Leonard [23/10/2022 15 h 54]

[Transféré de Stock infos PEC]

⬆️ Les Collectifs des Parents En Colère de France entrent en action et en appellent aux associations, collectifs, parents, grands-parents, personnels médico sociaux, enseignants ou toutes personnes soucieuses du bien-être des enfants, à se joindre à cette action nationale auprès des établissements scolaires de toute la France afin d’affirmer notre détermination de refus de l’éventuelle réitération de mesures sanitaires et notamment le port du masque.

Nous avons constaté et sommes intervenus auprès de plusieurs établissements déjà qui ont fait appliquer en leur sein différentes mesures, se basant sur un protocole, qui n’a pas de valeur juridique et contrevient à la loi.

Nous en appelons à la solidarité pour faire cesser cette maltraitance !

Cette action vise à montrer notre détermination à protéger nos enfants, la force que nous représentons dans notre union pour cette action et notre étendue sur tout le territoire français.

Nous organisons deux réunions en visioconférences les mardi 25 et mercredi 26 octobre afin de répondre à vos questions.

« Pour nos enfants et parce que de l’union de chacun de nous donnera la puissance à cette action : rejoignez-nous dès maintenant pour entrer dans l’action sur le fil Telegram dédié : https://t.me/PECACTIONMASQUES2022 ou contactez-nous ici 👉pec.collectifs.actions@proton.me »

Les enfants comptent sur nous…

Ils sont notre avenir. Protégeons-les !

ESPOIR

L’État d’Alberta s’excuse auprès des non-vax et tance le WEF alors que New York doit réhabiliter ses salariés non vaccinés. 25 26

C’est au niveau local que les batailles contre la doxa officielle du Covid modifient petit à petit les rapports de force. Après la Floride, l’État d’Alberta au Canada prend une position claire contre la discrimination des non-vaccinés par la voix de sa nouvelle première ministre Danielle Smith.

Et L’Italie va réintégrer les suspendus et rembourser les amendes chez les non-vaccinés de plus de cinquante ans qui avaient résisté.27

LE MONDE SE RÉVEILLE : INFORMONS, PROTÉGEONS LES ENFANTS !





Nouvelle note sur les manifestations

Par Joseph Stroberg

Plus d’un an après Note sur les manifestations sous le règne du NOM, un bref rappel sur les forces en présence :

Du côté du Nouvel Ordre Mondial

Celui qui contrôle l’approvisionnement alimentaire contrôle les gens

Du côté des gens ordinaires




Marc-Gabriel Draghi : « La révolte des peuples devra être massive, spontanée et solidaire pour réussir »

[Source : lemediaen442.fr]

Marc-Gabriel Draghi est spécialiste de l’histoire du droit. En fin observateur, il a suivi en 2020 la mise en place de la dictature sanitaire et son caractère disproportionné édicté par les gouvernements contrôlés par l’oligarchie financière. A la lecture de son dernier ouvrage « Le Grand Reset en marche ! 2020 : an 1 du Nouvel Ordre Mondial », on pourrait se dire que notre mise en esclavage est presque consommée. Et pourtant, le Nouvel Ordre Mondial est bel et bien fragilisé dans sa mise en place finale, car les peuples n’ont plus le choix, s’ils veulent continuer d’exister. Great Resist contre Great Reset !


“Il s’agit d’un projet de domestication pure et simple des individus à l’échelle planétaire, afin d’obtenir un abaissement total de la condition humaine, au profit du marché”

Le Média en 4-4-2 : Bonjour, Marc-Gabriel, et merci d’avoir accepté notre invitation à un entretien autour de votre dernier ouvrage « Le Grand Reset en marche ! 2020 : an 1 du Nouvel Ordre Mondial ». Celui-ci est une synthèse d’articles que vous avez écrits en 2020 et il nous permet de « comprendre comment notre monde a basculé définitivement dans ce que Emmanuel Macron a appelé « Le monde d’après… ». Et dès votre introduction, vous annoncez très clairement la couleur : « L’année 2020 nous a prouvé qu’il n’y avait pas de complot. Il y a un programme, un plan minutieux énoncé clairement et officiellement par l’oligarchie financière transnationale depuis des décennies. » Pouvez-vous nous résumer ce programme qui est bel et bien en marche ?

Marc-Gabriel Draghi : Le programme politique derrière le slogan de Grande Réinitialisation est en définitive l’instauration du Nouvel ordre mondial. Pour être plus clair, il s’agit d’un projet de domestication pure et simple des individus à l’échelle planétaire, afin d’obtenir un abaissement total de la condition humaine, au profit du marché. D’un point de vue historique, il s’agit de la victoire finale du monde de l’argent contre les institutions protectrices des individus, la famille et la Nation, qui doivent être désormais totalement liquidées. Le Great Reset est l’application concrète de la volonté de l’hyper classe mondialisée (dont le Forum économique mondial et Klaus Schwab sont les symboles). L’establishment, par ce nouveau paradigme, vise à accélérer les tentatives d’asservissement des populations à leur profit, tout en leur faisant croire que la construction de ce Monde d’Après (Build Back Better) est réalisée pour leur propre bien (sécurité, liberté, santé, survie de la planète, etc.).

La Grande Réinitialisation se structure autour de différentes phases de sidération des peuples (contrôle par la peur). De la pandémie à la guerre, en passant par le climat, les pénuries, etc., l’establishment maîtrise l’Agenda (horizon 2030) et, après avoir créé les problèmes, impose ensuite les solutions (vaccins, pass sanitaire-carbone, rationnement, crédit social, monnaie numérique de banque centrale, etc.). On l’a constaté à l’occasion du narratif covidien, ce programme politique est exécuté par la quasi-totalité des « décideurs » mondiaux (plus spécifiquement en Occident).

Ainsi, presque officiellement, par le quoi qu’il en coûte, les taux négatifs, puis l’hyperinflation, les véritables dirigeants sont désormais les firmes obscures du capitalisme financier (BlackRock pour ne citer qu’elle) qui, par la dette et la concentration totale du capital, dictent les actions à entreprendre aux gouvernements mondiaux et autres grands acteurs (firmes transnationales, ONG, institutions internationales). Le Grand Reset est la proclamation de la victoire du grand capital nomade et apatride sur les populations.

 

Le Média en 4-4-2 : Concernant BlackRock, une des firmes qui dirigent donc ce monde, vous écriviez en janvier 2020 que vous ne voyiez pas le « navire Macron » couler suite au scandale BlackRock en pleine crise des retraites et du mouvement des Gilets Jaunes. Nous sommes nombreux à percevoir Macron comme « un obligé des grandes puissances financières » qui sont encore derrière lui et qui le soutiennent toujours. Comment celles-ci ont-elles réussi à le sauver et à le reconduire pour cinq ans malgré les nombreux scandales et révélations ?

Marc-Gabriel Draghi : Les puissances financières qui soutiennent Macron ont simplement détourné l’attention du grand public par l’intermédiaire des médias de masse (TV, grande presse) en soulevant des sujets peu importants, mais crispants, servant à faire diversion et à diviser (LGBTisme, wokisme, faits divers, etc.). De plus, la pandémie, qui est parvenue à « hypnotiser » une large partie de la population, a également permis à Macron de sauver sa tête. Sans cette crise sanitaire organisée, qui nous a tous préoccupés à des degrés divers sur les atteintes aux libertés publiques les plus élémentaires (confinements, couvre-feu, fermetures de certaines activités, vaccinations, passes, etc.), il n’est pas certain que l’illusion Macron aurait perduré dans un contexte social tendu (réactivation des Gilets Jaunes).

Le Great Reset, proclamé en mars 2020, a vraisemblablement sauvé Macron, en sidérant aussi les franges de la population les plus contestataires. Emmanuel Macron, qui se présente lui-même comme le « hedge » (couverture) de David de Rothschild, fédère autour de lui les grandes puissances d’influence qui comptent dans la gestion des « affaires » en France (lobby bancaire, américain, israélien…). Les BlackRock, Vanguard, etc., actionnaires majoritaires de la plupart des grands groupes français (CAC40, médias, construction, agroalimentaire, etc.) ont la capacité d’imposer une narration médiatique moins défavorable à Emmanuel Macron. Car sans parler des interrogations sur l’organisation des scrutins de cette année 2022, Macron au printemps dernier, a été élu par défaut, face à une opposition politique inconsistante et à côté de la plaque sur la plupart des grands sujets. Les Zemmour, Le Pen, Mélenchon se sont tous couchés et rangés derrière la posture belliciste et otanesque de Macron, sans parler de leurs programmes économiques et politiques qui ne posent jamais les vraies questions de souveraineté et se résument à des demi-mesures.

Néanmoins, même avec ce « narratif » médiatique très favorable, l’ancien associé-gérant de chez Rothschild et Young Global leader de 2016 est sorti fragilisé des élections (notamment les législatives). Son maintien à la tête de l’Élysée n’est rendu possible que par l’obéissance grandissante des populations et leur acceptation du récit médiatique qui leur est proposé (sanitaire, guerrier, énergétique, climatique, etc.)

« L’effondrement financier va intervenir en cette fin d’année 2022 ou au cours de l’année 2023 »

Le Média en 4-4-2 : Cette obéissance des populations permet également à l’oligarchie de poursuivre son programme notamment au niveau économique. En mars 2020, vous écriviez que « avant un grand effondrement sous contrôle, les nations du monde vont connaître des épisodes d’inflation, puis d’hyperinflation ». Où en sont-ils selon vous dans leur programme ? Quand vont-ils ordonner et provoquer l’effondrement général de l’économie mondiale ?

Marc-Gabriel Draghi : On peut présupposer que l’effondrement financier (grand krach c’est-à-dire l’éclatement des différentes bulles : immobilier, marchés actions, produits dérivés, cryptomonnaies, Tech et surtout obligataire) va intervenir en cette fin d’année 2022 ou au cours de l’année 2023. Cela serait assez logique, puisque tout est en place au niveau du narratif (crise énergétique/économie de guerre selon Macron). Aujourd’hui on parle d’inflation (10 à 20 % officiellement), mais demain nous pourrions voir des taux approchant et même dépassant les 50 %. Certains pays connaissent déjà cette situation. Le cataclysme financier devrait donc intervenir entre 2022-2024 comme l’avait d’ailleurs théorisé Piero San Giorgio dans son best-seller « Survivre à l’effondrement à l’économique ».

“Nous allons clairement avoir le choix dans les mois qui viennent, soit l’esclavage total du Nouveau monde numérique à la devanture verte, soit la plus grande révolte de l’histoire humaine (Great Resist) face à la conspiration criminelle la plus vaste de l’histoire”

Le Média en 4-4-2 : Quels conseils pouvez-vous nous donner pour nous préparer à cet effondrement financier, que ce soit au niveau économique, logistique ou humain ? Mais d’ailleurs, est-ce irréversible ? On imagine que oui, vu l’échéance que vous nous annoncez…

Marc-Gabriel Draghi : Oui l’effondrement est désormais irréversible. Il a même déjà commencé il y a plusieurs années. On le constate notamment avec la destruction des services publics et le colossal transfert de richesse au profit de l’establishment transnational. Il sera officialisé sous peu. Pour s’y préparer d’un point de vue financier, je recommande une débancarisation par la transformation de son épargne en monnaie fiat, en stocks de métaux précieux (argent, or). Plus spécifiquement l’argent métal (actif sous-évalué et populiste par excellence), car c’est par lui que se fera la destruction de la Bête (système financier alchimique). Pour l’or, ce dernier va jouer un rôle important dans le reset monétaire international, donc ceux qui en détiendront un peu seront certainement favorisés.

Au niveau de la sécurité individuelle, il est, à mon sens, préférable de fuir les futures smart cities (grandes métropoles) en cas de troubles graves. Il est plus facile de s’organiser dans les villes petites et moyennes et à la campagne. Le contrôle social et politique sera aussi moins important. Cependant si l’on est à la campagne, il faut disposer de biens à forte valeur d’usage (filtres à eau, batterie nomade avec petit panneaux photovoltaïques, outils, armes, serre, potager, chauffage au bois, stocks de nourriture, etc.). Et enfin il faut avoir un groupe élargi d’amis/famille et impérativement s’entendre avec ses voisins. On ne résistera pas seul avec son revolver magnum et un bunker. S’organiser, échanger en réseau comme le fait notamment le Collectif Réinfo Covid depuis deux ans. Ce sont des conseils de bon sens, mais qui peuvent constituer les premières protections contre l’effondrement.

[Voir aussi ce que propose Alexandre Juving-Brunet en France
(Quelques vidéos en ordre chronologique) :
Résilience et Résistance pour la France
Arrêtez de subir ! Agissez pour reprendre votre liberté maintenant !
Devenez la Force qui se dressera quand le vent de l’Histoire va souffler
Le FRANC LIBRE : deux mois plus tard. Point de situation et perspectives
Le Franc Libre : présentation de la série fiduciaire
Lancement de la BFL — Banque de France Libre
Quelle souveraineté sans liberté ?
Les Francs Libres sont prêts]

La question politique du Monde d’Après se fera autour de la reconstruction après destruction (Build Back Better). C’est à la fois un défi et une chance pour notre génération. Nous allons clairement avoir le choix dans les mois qui viennent, soit l’esclavage total du Nouveau Monde numérique à la devanture verte (CBDC [cryptomonnaie], crédit social, pass carbone, etc.), soit la plus grande révolte de l’histoire humaine (Great Resist) face à la conspiration criminelle la plus vaste de l’histoire. C’est à nous de choisir. Et qu’on se le dise, la France et surtout son peuple auront un rôle politique important à jouer. Ce n’est pas pour rien que l’élite nomade et apatride cherche à tout prix à ancrer Macron au plus haut sommet de l’État. Il est le grand liquidateur et il ne reculera devant rien pour appliquer la Grande Réinitialisation de ses maîtres.

Le Média en 4-4-2 : Avec ces « liquidateurs » qu’il a placés dans de nombreux pays, « le capitalisme financier anglo-saxon veut notre mort, car il sait que dans nos esprits latins nous détenons la clé, celle qui peut détruire le projet de mise en esclavage et de domination mondiale de nos Shylock (usuriers) modernes ». L’effondrement est irréversible, mais ce n’est pas pour autant qu’ils vont atteindre leurs objectifs… Quelle est cette clé que nous possédons et que nous devons absolument utiliser ?

Marc-Gabriel Draghi : L’argent métal qui est notre vraie monnaie historique (synonyme de liberté), mais aussi notre histoire qui nous permet de nous définir comme Nation. Ce sont pour moi les deux armes à utiliser contre la Bête de l’Événement.

« Les populations sacrifient elles-mêmes leur dernière liberté financière sur l’autel de la facilité et du confort »

Le Média en 4-4-2 : Concernant l’argent liquide, vous écriviez en octobre 2020 que ce « dernier bastion de liberté financière va nous être retiré par l’establishment. Et c’est par l’illusion de la cryptomonnaie que nous allons voir disparaître le dernier vestige de l’arme monétaire ». Deux ans plus tard, où en sont-ils dans leur processus de disparition de l’argent liquide ?

Marc-Gabriel Draghi : La disparition de l’argent liquide en France, et plus globalement en Occident, se fait de manière naturelle. Depuis 2020 et un rapport officiel de la Banque de France sur l’usage des espèces : le nombre de DAB [distributeur automatique de billets] a baissé de 3,2 % et 4 % en 2019 et 2020. Il y a une altération constante de l’accès aux espèces pour la population : 52 451 DAB en décembre 2018 à 48 710 en décembre 2020.

De plus, par leurs politiques et règles adressées aux usagers, les banques limitent de plus en plus les dépôts et les retraits de cash avec des montants de plus en plus bas. Mais c’est surtout l’usage des espèces chez les consommateurs qui est en chute libre. Dans nos pays latins, c’est le secteur privé qui va être et est chargé de faire disparaître les espèces (grandes multinationales, banques commerciales). Le krach financier qui vient va également avoir pour conséquence possible des Bank Run. Des gens vont vouloir malgré l’inflation, disposer d’espèces en cas de pénuries diverses. On le voit aujourd’hui avec l’essence, la peur du manque conduira des masses à retirer leur argent des comptes bancaires dans la plus large mesure possible. 

Les sociétés feront ensuite des ristournes pour un achat effectué de manière dématérialisée. De même pour ce qu’il restera des petits commerçants qui pourraient voir ces services de paiement numérique faciliter les paiements des petites sommes (c’est déjà le cas), en plus de bénéficier d’une garantie de sécurité (plus de vols ou fraudes). En réalité depuis une décennie au moins, par l’usage intempestif de la carte bancaire (aller chercher du pain-boire un café), les populations sacrifient elles-mêmes leur dernière liberté financière sur l’autel de la facilité et du confort.

« Les mois et années qui viennent, seront, quoi qu’il arrive, faits de sueur et de sang, donc autant que cela soit à notre bénéfice et/ou celui de nos enfants »

Le Média en 4-4-2 : Vous nous expliquez que « nos politiques ont compris qu’ils allaient devoir se montrer encore plus subtils et malins pour continuer à tromper la partie amorphe et contenir la colère du peuple éveillé ». Ils vont donc détourner l’attention vers « de faux débats qui favorisent les luttes horizontales (guerres raciales, confessionnelles, etc.) » pour ne pas que le peuple se penche sur la « question de la dette, qui n’est jamais remise en question » et qui est selon vous « le point crucial ». Comment expliquer à notre entourage que cette dette est un instrument pour nous contrôler et nous faire culpabiliser ? Peut-on d’ailleurs la remettre en cause ?

Marc-Gabriel Draghi : La question de la Dette (qui est le cœur de notre système financier actuel et l’arme de nos élites nomades) est à la fois complexe et simple. La seule façon de l’appréhender est de faire un effort intellectuel pour la compréhension des vrais rapports de force. La perception des conséquences sur le long terme de la Dette est presque un travail de l’âme, un rapport au temps, il s’agit de comprendre comment on peut vendre une chose qui n’appartient qu’à Dieu, et qui est gratuit en réalité (le temps). On ne peut pas obliger quelqu’un à s’éveiller sur ces questions, si ça ne vient pas de sa propre volonté personnelle. Je conseille cependant le travail de l’ex-trader Anice Lajnef qui arrive parfaitement à vulgariser et expliquer les conséquences de la Dette sur nos sociétés politiques. La Dette peut du jour au lendemain être remise en cause. La question fondamentale que l’on doit se poser collectivement est : qui doit payer prioritairement la facture de l’effondrement ? Les peuples ou les élites corrompues ? Le Capital ou le Travail ? Les modalités (liquidation, annulation) sont secondaires. Mais oui, la Dette, donc la question monétaire, peuvent être posées à tout moment par la masse (peu vraisemblable) ou un petit groupe de personnes motivées et au service de l’intérêt général, ou un homme seul bien guidé.

Détruire la Dette perpétuelle et éternelle sera un mal pour un bien. De toute façon les mois et années qui viennent, seront, quoi qu’il arrive, faits de sueur et de sang donc autant que cela soit à notre bénéfice et/ou celui de nos enfants. Si l’on se défait de la Dette, on retire l’arme la plus puissante à nos ennemis de l’hyper classe. C’est la question d’aujourd’hui et de demain. La culpabilité et la charge des intérêts doivent changer de tête…

Le Média en 4-4-2 : Ce petit groupe de personnes motivées pourrait d’ailleurs être inspiré d’aller « prendre d’assaut la Banque centrale européenne de Francfort ». Pouvez-vous expliquer pourquoi à celles et ceux qui n’ont pas encore lu votre ouvrage ? Ce serait aussi l’occasion d’expliquer le rapport entre cette Banque centrale et la repentance éternelle…

Marc-Gabriel Draghi : La Banque centrale européenne est à la fois le vrai lieu institutionnel des décisions monétaires/économiques, mais aussi un symbole. Si des Gilets Jaunes ou une manifestation internationale de grande ampleur ciblait ce lieu de pouvoir, l’hyper classe et son narratif (l’Europe protège et elle est aimée des Européens) seraient attaqués en plein cœur. Le principal responsable de l’effondrement économique de l’Europe est bien la BCE par l’intermédiaire de l’euro. Et cette institution est surtout un lieu symbolique que je compare à la prison de la Bastille de 1789, pour le pouvoir nomade et apatride qui dirige les Européens. Si les peuples veulent changer le narratif, il est impératif de dépasser le cadre des protestations nationales. De plus comme je l’explique dans le livre, les dirigeants de la BCE et de l’euro système dans leurs discours relaient les mantras de l’oligarchie en imposant une Dette perpétuelle, qui est elle-même légitimée par une repentance éternelle (mais envers qui ?). Pour les détails et la réponse à cette question, je préfère garder le suspens et laisser les futurs lecteurs découvrir ce qu’il en est… La plupart auront déjà deviné de qui je parle…

Le Média en 4-4-2 : « La société du futur qui va nous être proposée repose sur des principes assez simples : travail, salariat, discipline, consommation, surveillance et censure généralisée. » Tout ceci est bien entendu présenté dans un joli emballage : c’est pour notre bien et pour la planète, si bien que nous ne sommes qu’une petite part de la population à y voir un énorme danger. Comment se fait-il d’ailleurs que l’énorme arnaque ne saute pas aux yeux d’un plus grand nombre ? Ou pourquoi, nous qui sommes qualifiés de « complotistes », avons-nous compris l’entourloupe ?

Marc-Gabriel Draghi : La plupart des éveillés le sont en raison de multiples facteurs. Il est difficile de définir quel élément a permis à un individu de ne plus avaler la propagande et le lavage de cerveau médiatique (événement tragique, éducation, sentiment de déclassement, bon sens, capacité d’analyse, instinct, etc.). La propagande est paradoxalement à la fois grossière et sophistiquée. Elle permet aussi de diviser et complexifier les problématiques et situations, ce qui pour la plupart d’entre nous entraîne un sentiment de surcharge cérébrale qui a pour conséquence de choisir le confort du narratif officiel. La peur, comme l’a évoqué Yuval Noah Harrai, est aussi un des facteurs essentiels de manipulation des masses. Le déclin de la spiritualité (la vraie, pas le marqueur identitaire de certains groupes religieux en voie de développement) dans nos sociétés modernes explique aussi le poids de la peur de la mort chez la plupart des individus. Pandémie, guerre, destruction de la planète et misère sont des sujets de « récits » efficaces pour imposer et accroître le contrôle des populations. Apprendre à ne plus avoir peur n’est pas un exercice facile et anodin. C’est souvent la foi en un Dieu ou en la Providence qui permet de s’extraire de nos petites conditions matérielles. Étrangement, dans nos sociétés alchimiques (magiques), c’est la matière qui nous empêche de lever la tête et de garder notre esprit clair.

« Tout (libertés, niveau de vie, etc.) sera sacrifié, justifié et légitimé sur le thème du climat »

Le Média en 4-4-2 : Après avoir agité depuis deux ans la peur du Covid, celle de la guerre, des pénuries, et on en oublie, les voici jouer la carte du réchauffement climatique. Le sujet est bien entendu travaillé depuis bien longtemps et les populations semblent être prêtes à avaler le narratif et à accepter de nouvelles restrictions et pertes de liberté… Comment voyez-vous cette partie « climatique » du programme de Klaus Schwab et ses amis ?

Marc-Gabriel Draghi : Le climat et les politiques zéro carbone sont les thèmes centraux du Grand Récit Davosien des futures années. Tout (libertés, niveau de vie, etc.) sera sacrifié, justifié et légitimé sur ce thème. Ce narratif est pourtant ancien, il a été développé depuis les années 70, à la suite des premières crises énergétiques (1973-1979) comme je l’ai expliqué dans mon premier ouvrage. Après le cataclysme financier, tout notre système politico-financier pourrait être structuré autour de l’Agenda Vert. On a déjà les prémices actuelles avec les ESG, les NAC, crédits carbone portés par la City et Wall Street ou encore les débats autour du futur Green Pass (pass carbone). L’oligarchie et leurs valets, les Mark Carney, Al Gore, John Kerry, etc., vont légitimer l’effondrement financier qui vient par la surconsommation et la mort prochaine de la planète. Alors qu’en vérité, la Terre ne va pas mourir, c’est le système capitaliste nomade et apatride qui sème le chaos, la destruction, le gaspillage et la pollution. Et évidemment ce système de concentration des richesses au profit des 0,1 % ne va évidemment pas être remis en cause. Il va au contraire se renforcer. L’objectif final est d’écraser les peuples avec ce motif vert culpabilisant et génocidaire (0 carbone = mort), au profit de l’hyper classe tout en sauvegardant ce système destructeur fondé sur l’hubris et la corruption.

Le Média en 4-4-2 : Un des objectifs de l’oligarchie est donc de liquider ce qu’il nous reste de liberté, et de propriété ! Sous couvert d’une « fausse annulation des dettes contre droit de propriété », l’oligarchie va donc nous retirer progressivement notre droit de posséder une terre ou un bien immobilier. Selon vous, quand cette spoliation mondiale de la propriété va-t-elle réellement commencer ? Et comment vont-ils s’y prendre ?

Marc-Gabriel Draghi : La spoliation mondiale a déjà commencé à l’occasion du covid avec l’énorme concentration du capital (notamment via les gestionnaires d’actifs comme BlackRock et The Vanguard Group). Cependant dans le narratif davosien, c’est bien la Grande Dépression 2.0 et la Guerre latente qui servira de motif à la Grande Spoliation. Nous sommes déjà entrés dans le récit de l’économie de guerre. L’hyper classe, grâce à l’hyperinflation, aux pénuries, aux rationnements, nous proposera comme solution les CBDC (monnaie numérique de banque centrale), le revenu universel et la fin de la petite propriété privée. Mais je le répète tout cela est un programme politique. Tout ne se passera pas comme l’agenda le souhaite. Il y aura des adaptations et même des reculs sur certains points. Le contrôle de l’information va également être un facteur clé pour la réussite du Great Reset. L’espoir d’une résistance des peuples n’est pas mort. Loin de là. Chaque jour des gens se rendent compte des manipulations de l’hyper classe. Le Great Reset peut très bien échouer partiellement et/ou totalement.

« La guerre des prochains mois sera sur le contrôle total de l’information, comme l’a prophétisé Schwab dans son dernier ouvrage. Attendons-nous à des vagues de censure sans précédent ».

Le Média en 4-4-2 : Dans les pays occidentaux, l’oligarchie contrôle la colère des peuples avec « du pain et des jeux ». En effet, beaucoup de nos concitoyens ont compris tout ou une partie du programme, mais ne veulent pas réagir, car finalement, ils ne sont pas si mal que ça dans leur vie actuelle. Avec la crise financière à venir, la classe moyenne va glisser dans la pauvreté et va donc se réveiller : comment nos élites ont-elles préparé cette révolte ?

Marc-Gabriel Draghi : Les élites ont déjà tout prévu. En contrôlant la narration, ils vont imposer des rationnements pour soi-disant éviter les pénuries, mais surtout les révoltes. Et ce rationnement (prise de contrôle) nécessitera la mise en place d’un système de crédit social couplé à une identité numérique et l’instauration progressive des monnaies numériques de banque centrale. C’est déjà le cas au Sri Lanka. Le gouvernement, influencé par le Forum Économique mondial, utilise déjà les QR Code testés grâce au covid pour organiser le rationnement du carburant. La révolte des peuples devra donc être massive, spontanée et solidaire pour réussir.

Mais surtout c’est le contrôle du narratif, du récit et donc de l’information qui va être important dans les mois qui viennent. Le discours alternatif et résistant du genre Réinfo Covid ne doit plus exister. Ils essaieront de censurer toujours plus de contenu en le motivant sur le contexte de guerre (agents russes, terrorisme, appel à la haine). C’est pourquoi il est important d’aider massivement et de relayer nos médias indépendants et alternatifs comme vous, Le Média en 4-4-2. La guerre des prochains mois va vous concerner prioritairement, elle sera sur le contrôle total de l’information, comme l’a prophétisé Schwab dans son dernier ouvrage. Attendons-nous à des vagues de censure sans précédent. 

« Le Great Resist face au Great Reset commence et le plus dur est devant nous »

Le Média en 4-4-2 : Merci, Marc-Gabriel, pour le temps que vous nous avez consacré ! On espère que notre entretien donnera envie à nos lecteurs d’en savoir plus en se plongeant dans vos travaux. Nous vous laissons le mot de la fin.

Marc-Gabriel Draghi : Je vous remercie pour cet entretien et je vous encourage dans votre travail de résistance. Le Great Resist face au Great Reset commence et le plus dur est devant nous… Cependant nous n’avons pas d’autres choix que celui de lutter contre l’instauration du Nouvel Ordre Mondial. Il en va de la survie de nos nations, familles, et même pour certains d’entre nous de nos vies… Merci.

Retrouvez Marc-Gabriel Draghi sur son compte Twitter, ainsi que ses articles sur le site Géopolitique Profonde.

Pour se procurer l’ouvrage : « Le Grand Reset en marche ! 2020 : an 1 du Nouvel Ordre Mondial »




De la « dénazification » à la « désatanisation » de l’Ukraine : vers une « guerre sainte » ?

[Source : conscience-du-peuple]

Par Isabelle

D’une guerre territoriale et idéologique, on passe à ce qui semble être une guerre religieuse, une « guerre sainte ». Ceci est un basculement majeur à mon sens.

Aleksey Pavlov, secrétaire adjoint du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie a déclaré que la « désatanisation » de l’Ukraine, où des centaines de sectes seraient désormais actives, devient de plus en plus urgente.

Pavlov a conclu que les nouvelles autorités « ont transformé l’Ukraine d’un État en une hypersecte totalitaire ». De plus, assure le responsable russe, la Révolution de la dignité, que la propagande russe et Pavlov lui-même continuent d’appeler un coup d’État, a été à l’origine de l’émergence de nombreuses sectes en Ukraine.

Les combattre, selon un responsable du Conseil de sécurité, est l’un des buts de la guerre sanglante déclenchée par les Russes.

« Je crois qu’avec la poursuite de l’opération militaire spéciale, il devient de plus en plus urgent de procéder à la dé-satanisation de l’Ukraine, ou, comme l’a dit avec justesse le chef de la République tchétchène 👉Ramzan Kadyrov, sa “dé-satanisation complète” », a-t-il a dit.

Le responsable russe a également déclaré que 👉« l’Église de Satan s’est répandue dans toute l’Ukraine », qu’il a qualifiée de « l’une des religions officiellement enregistrées aux États-Unis ».

Pavlov n’a pas nommé le nombre exact de sectes en Ukraine, mais, selon son estimation, on parle de centaines.

Les satanistes ukrainiens, selon lui, « appellent à tuer tous les Russes ».

https://tass.ru/politika/16150577 [Site de l’Agence TASS. Traduction automatique remaniée :

25 octobre, 13:19

L’appareil du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie considère qu’il est de plus en plus urgent de procéder à la “désatanisation” de l’Ukraine

Le secrétaire adjoint du Conseil de sécurité, Oleksiy Pavlov, a souligné que « l’Église de Satan » qui s’est répandue dans toute l’Ukraine est l’une des religions officiellement enregistrées aux États-Unis »

MOSCOU, 25 octobre. /TASS/. 

La « désatanisation » de l’Ukraine — où opèrent désormais des centaines de sectes — devient de plus en plus urgente, a déclaré Aleksey Pavlov, secrétaire adjoint du Conseil de sécurité russe, dans un article pour aif.ru.

« Je crois qu’avec la poursuite de l’opération militaire spéciale, il devient de plus en plus urgent de procéder à la désatanisation de l’Ukraine, ou, comme le chef de la République tchétchène Ramzan Kadyrov l’a dit avec justesse, à sa ‘désatanisation complète' », a-t-il noté.

M. Pavlov a souligné que le nombre exact de sectes en Ukraine est inconnu, mais qu’il se chiffre en centaines. Selon lui, certaines d’entre elles ont été créées « en ayant été préconçues pour un objectif et un troupeau spécifiques », d’autres « ont simplement existé en tant que succursales de mécènes plus riches », et d’autres « même comme une sorte de société par actions fermée avec quelques centaines d’adhérents locaux ».

M. Pavlov a spécifiquement souligné que l’« Église de Satan », qui s’est « étendue à toute l’Ukraine », est « l’une des religions officiellement enregistrées aux États-Unis ». Faut-il s’étonner qu’en 2015 à Kiev, un groupe de païens ait brisé et profané une croix de culte érigée pour le 1000e anniversaire du repos du saint égal aux apôtres, le grand-duc Vladimir, le baptiste de Russie ? », s’est-il interrogé.

Le secrétaire adjoint du Conseil de sécurité a cité d’autres exemples, notamment des « appels à tuer tous les Russes » et des « incitations à la corruption ». « Tout ce satanisme trouve une réponse et un soutien vivants auprès des autorités officielles ukrainiennes », a-t-il déclaré.

Les origines du sectarisme

Pavlov a expliqué que le nombre d’adhérents à des sectes religieuses s’est multiplié en Ukraine depuis les années 1990, selon lui, une puissante impulsion à cela a été le coup d’État de 2014 à Kiev, après lequel « les cadres mis au pouvoir par Washington mettaient en œuvre des tâches déversées depuis l’autre côté de l’océan. »

« L’un d’eux consistait à reformater l’esprit des citoyens ukrainiens, à les forcer à abandonner des traditions séculaires et à interdire les vraies valeurs de la foi orthodoxe, de l’islam et du judaïsme. En utilisant la manipulation des réseaux et les psychotechnologies, les nouvelles autorités ont transformé l’Ukraine d’un État en une hypersecte totalitaire », a déclaré le secrétaire adjoint du Conseil de sécurité russe.

En outre, a-t-il poursuivi, « les personnes au pouvoir à Kiev ont été les premières à se transformer en fanatiques militants dont les opinions sont à l’opposé de celles des gens normaux. »

Pour ce qui est du présent, le secrétaire adjoint du Conseil de sécurité russe a également attiré l’attention sur les symboles utilisés par les formations nationalistes en Ukraine. On y trouve des signes de fascistes et d’associations racistes, entre autres.]




D’ici 2028, BlackRock et Vanguard posséderont « presque tout »

[Suite de Black Rock : un problème majeur pour l’humanité]

[Source : mondialisation.ca]

On a vu que BlackRock et Vanguard, possèdent à la fois Big Pharma et la grande majorité des médias de masse.

Les « nouvelles » télévisées sont constamment interrompues par des publicités présentant les derniers médicaments proposés par Big Pharma, puisque c’est Black Rock et Vanguard qui décident tout et qui tiennent à vous laver le cerveau en permanence…

Leur couverture collective des événements mondiaux s’articule toujours et en permanence autour de la même propagande mensongère. 

Black Rock a dernièrement englouti des biens immobiliers à un prix bien supérieur au prix demandé. C’est une des raisons pour lesquelles les prix de l’immobilier n’ont jamais été aussi élevés. 

« C’est une redistribution de la richesse, et ce n’est pas la richesse des riches qui est redistribuée », a tweeté le compte @APhilosophae. « C’est la classe moyenne américaine normale, la richesse du sel de la terre qui se dirige vers les mains des entités et des individus les plus puissants du monde. Le véhicule financier traditionnel a disparu pour toujours. » 

Un rapport de Bloomberg affirme que ces deux sociétés en l’an 2028 auront ensemble des investissements d’un montant de 20 000 milliards de dollars. Cela signifie qu’elles posséderont presque tout. 

« Vous ne serez plus propriétaire de rien et vous serez heureux ! »

En réalité, BlackRock et Vanguard sont, comme on l’a déjà vu, la propriété de quelques grandes familles qui font pression pour un Nouvel Ordre Mondial et il semblerait qu’elles soient sur le point d’atteindre leur objectif par la destruction des systèmes financiers mondiaux, l’accaparement de tous les biens immobiliers, et prochainement l’abolition totale de la propriété privée. 

Big Pharma est une autre partie importante de ce processus, car l’industrie continue à produire des médicaments et des vaccins qui permettent de contrôler la population mondiale et d’en éliminer une grande partie devenue inutile pour le Capitalisme autosuffisant…

Pour parvenir à leur fin, les médias devaient jouer ce rôle important de la manipulation des masses, du mensonge avéré, de la falsification de toutes les données statistiques y compris scientifiques, jusqu’à ce qu’il soit déjà trop tard. Nous en sommes là aujourd’hui, alors que le système financier mondial vacille volontairement, réclamant et faisant tout son possible maintenant pour obtenir une guerre, de préférence nucléaire, justifiant cette chute irréversible qui n’est pas un accident, mais qui était sciemment prévue pour « éclaicir » la Planète d’une surpopulation devenue problématique à gérer !

Deux tours de pouvoir dominent l’avenir de l’investissement et abolissent toute concurrence. 

Le fondateur de Vanguard, Jack Bogle, considéré comme le créateur du fonds indiciel, soulève la question de savoir si trop d’argent se trouve entre trop peu de mains, BlackRock, Vanguard et State Street Corp. 

Cela représente environ 20 % de la propriété de cet oligopole de trois sociétés, déclarait M. Bogle lors d’une intervention le 28 novembre au Council on Foreign Relations à New York.  

Vanguard est sur le point de transformer ses 4 700 milliards de dollars d’actifs en plus de 10 000 milliards de dollars dès 2023, tandis que BlackRock pourrait atteindre cette marque deux ans plus tard, contre près de 6 000 milliards de dollars aujourd’hui, selon les projections de Bloomberg News basées sur les taux de croissance annuels moyens des actifs des sociétés sur les cinq dernières années. 

Les investisseurs, des particuliers aux grandes institutions telles que les fonds de pension et les fonds spéculatifs, ont afflué vers ce duo, séduits en partie par leurs fonds à faible coût et l’étendue de leurs offres. 

Selon les estimations de Jim Ross, président de la division mondiale des ETF de State Street, les actifs mondiaux des ETF pourraient atteindre 25 000 milliards de dollars américains d’ici 2025. Cette seule somme représenterait des milliards de dollars supplémentaires pour BlackRock et Vanguard, sur la base de leur part de marché actuelle. 

« La croissance n’est pas un objectif, et nous ne faisons pas de projections sur la croissance future », a déclaré John Woerth, porte-parole de Vanguard, à propos des calculs de Bloomberg.

La domination de BlackRock et Vanguard soulève des questions sur la concurrence et la gouvernance. Selon une étude de l’université d’Amsterdam, ces sociétés détiennent plus de 5 % de plus de 4 400 actions dans le monde.

Cela met les régulateurs mal à l’aise, et Kara Stein, commissaire de la SEC, s’est interrogée en février : « La concentration de la propriété affecte-t-elle la volonté des entreprises de se faire concurrence ? » 

Pour l’instant, la progression du duo semble irrémédiable, et les avantages qu’ils ont apportés avec les investissements à faible coût pourraient l’emporter sur certains des problèmes structurels. 

« Étant donné qu’ils sont devenus si importants parce que leurs frais sont si faibles, c’est le genre de monopoles qui ne m’empêche pas de dormir la nuit », a déclaré Thaler. Bloomberg.com

L’économie mondiale a été détournée et l’humanité kidnappée par un récit complètement faux. 

Les actions des plus grandes entreprises du monde sont détenues par les mêmes investisseurs institutionnels. Ils sont tous propriétaires les uns des autres, avons-nous déjà dit. Cela signifie que des marques « concurrentes » ne le sont pas vraiment, puisque leurs actions sont détenues par exactement les mêmes sociétés d’investissement, fonds de placement, compagnies d’assurance, banques et, dans certains cas, gouvernements. 

Cette organisation est devenue le Gouvernement du monde

Bloomberg appelle Black Rock « la quatrième branche du gouvernement », car c’est la seule agence privée qui travaille directement avec les banques centrales. Black Rock prête de l’argent à la banque centrale tout en étant son conseiller ! Elle développe également les logiciels utilisés par la banque centrale. De nombreux employés de BlackRock sont passés par la Maison-Blanche avec Bush et Obama. Son PDG. Larry Fink peut donc compter sur un accueil favorable de la part des dirigeants et du petit monde des politiques. 

Larry Fink ne tire pas les ficelles lui-même, car Black Rock est également détenue par des actionnaires dont le plus gros est Vanguard ! Or, Vanguard est une société privée : les actionnaires sont donc officiellement inconnus ! 

90 % des médias internationaux sont détenus par neuf conglomérats médiatiques.

Qui sponsorise les organisations et les agences de presse produisant nos informations ? Avec Project Syndicate, nous découvrons que ce sont la Fondation Bill et Melinda Gates, la Fondation Open Society et le Centre européen du journalisme. Les sociétés qui fournissent les nouvelles sont payées par des organisations à but non lucratif, appartenant à la même élite qui possède également l’ensemble des médias. Il y a également une partie de l’argent des contribuables qui est utilisée pour les payer. Au final tout converge d’une façon ou d’une autre vers ce duo infernal Black Rock/Vanguard.

Ce sont d’énormes sociétés d’investissement qui déterminent le cours des flux d’argent. Elles sont les personnages principaux de la pièce à laquelle nous assistons : le véritable gouvernement qui gouverne ! 

La sénatrice Elizabeth Warren voulait que Black Rock soit placé sous surveillance fédérale comme l’une des entités financières désignées comme « trop grosses pour faire faillite », car elles nous entraîneraient tous dans leur chute, disait-elle. 

Black Rock travaille avec le gouvernement américain. Elle a été la société choisie par l’administration Obama pour faire le ménage après la crise financière de 2008, en rachetant des actifs toxiques que la Fed n’était pas légalement autorisée à acheter. Ce sont les dirigeants de BlackRock qui ont proposé la réinitialisation économique qui est entrée en vigueur en mars 2020 aux USA, lorsque la banque centrale a renoncé à son indépendance historique et a accepté de joindre la politique monétaire à la politique budgétaire. 

Black Rock l’avait proposé en 2019, mais la COVID-19 a créé l’occasion rêvée : une urgence pour laquelle un « expert indépendant » pouvait être nommé par la banque centrale afin d’éviter une crise budgétaire. 

Black Rock a été nommé expert indépendant. Il a également remporté un contrat sans appel d’offres pour gérer une caisse noire de 454 milliards de dollars, en l’utilisant comme levier pour plus de 4 000 milliards de dollars de crédit de la Réserve fédérale. Black Rock joue donc sur les deux tableaux, en achetant principalement ses propres fonds pour le compte de la banque centrale. 

Le PDG de BlackRock, Larry Fink, s’est porté candidat au poste de secrétaire au Trésor lorsqu’il semblait que Hillary Clinton pourrait être présidente. Il a brièvement fait partie d’un comité consultatif pour Donald Trump et a été fortement promu au poste de secrétaire au Trésor dans l’administration Biden. L’ancien chef de cabinet de Fink chez Black Rock, Adewale « Wally » Adeyemo, est désormais secrétaire adjoint au Trésor américain. Brian Deese, ancien cadre de BlackRock, est le principal conseiller économique de M. Biden ; Michael Pyle, ancien cadre de BlackRock, est le principal conseiller économique de la vice-présidente Kamala Harris.

Un article de Vassar dit ouvertement : 

« Des directions imbriquées, des portes tournantes de personnel et des participations de participations financières relient les médias d’entreprise à l’État, au Pentagone, aux fabricants de défense et d’armes et à l’industrie pétrolière. »

2017 : Black Rock prend les commandes à l’Élysée 

Sarkozy était le président des riches. Macron est, quant à lui, le président des ultrariches. Le 22 janvier 2018, il offrait un dîner à Versailles, avec l’argent des contribuables, aux représentants de 140 multinationales, juste avant de s’envoler à Davos, comme eux, pour discuter de changement climatique. Mais son favori est le PDG de BlackRock : Larry, ou plus exactement Lawrence Fink ; il offre au gouvernement le mode d’emploi pour faire accepter aux Français le remplacement progressif, à dose homéopathique, de leur retraite par des actions dans les entreprises, en commençant par les cadres puis en élargissant avec un système « universel ». 

De cette façon, les fonds de pension, des retraités américains et anglais ont perdu en 2008 les économies qu’ils avaient investies en Bourse. Investir en actions est ce qui est prévu depuis l’élection d’Emmanuel Macron le 7 mai 2017. Le 6 juin 2017, le PDG de BlackRock était reçu à l’Élysée. Le 17 octobre 2017, le Comité action publique 2022 (une trentaine « d’experts », dont Jean-François Cirelli, président de BlackRock France) travaillait sur la réforme de l’État. Objectif : tendre vers 100 % de démarches administratives numérisées à l’horizon 2022. C’est pour simplifier ! Quant à ceux qui n’ont pas compris les démarches à effectuer ou qui n’ont pas internet, qu’ils ne comptent plus être conseillés par des êtres humains. Le 25 octobre 2017, Lawrence Fink revenait à l’Élysée avec son équipe… 

BlackRock fait voter la loi Pacte 

Le 22 mai 2019 était votée la loi Pacte (Plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises). Quel rapport avec les retraités ? L’épargne des retraités sera pompée pour être transférée aux entreprises « pour financer l’innovation et la croissance de demain ». Les quinquagénaires au chômage auront des revenus d’actions au moment où leur retraite s’éloignera d’eux de plus en plus. Bien entendu, les investissements seront moraux : ils se feront dans « la transition vers zéro émission nette de gaz à effet de serre ». Black Rock est prête à tous les élans lyriques pour faire passer la pilule. Son site parle d’un véritable « mouvement tectonique des flux de capitaux », de « décarbonisation », disons d’une philanthropie verte au service du portefeuille. Après le vote de la loi Pacte, le 10 juillet 2019, BlackRock & Cie étaient de retour à l’Élysée. Le 1er janvier 2020, Jean— François Cirelli, à la tête de BlackRock France, était nommé officier de la Légion d’honneur (page 5 de la liste de la promotion). 

Dernière étape de la stratégie de BlackRock en France

La « réforme » transformant les économies des retraités en fonds de pension devait passer en douce dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS), sous la forme d’un amendement de dernière minute — un discret « cheval de Troie ». Si les députés se montraient trop réticents, le 49.3 serait utilisé. S’ils songeaient à déposer une motion de censure (Art. 49. de la Constitution) pour ne pas avoir trop l’air d’une chambre d’enregistrement, Emmanuel Macron dégainerait le premier. Il dissoudrait « tout de suite » l’Assemblée (Art. 12. de la Constitution). 

En réalité l’Assemblée n’est pas prête à déposer une motion de censure. Elle devrait recueillir une majorité absolue, soit 289 suffrages (Nupes, RN et Les Républicains), ce qui est peu probable. Il faut se rappeler la dernière déculottée de l’Assemblée. Elle a eu lieu le 27 juillet, dans le cadre des débats sur le projet de loi de finances rectificative. Les députés avaient voté contre l’avis du gouvernement un déblocage de 500 millions pour les retraités. 

Bruno Le Maire demandait une seconde délibération. Un nouveau scrutin a donc eu lieu et l’amendement de réécriture du gouvernement était adopté (224 pour, 121 contre). Les retraités n’ont pas eu leurs 500 millions. La Nupes et le RN ont voté contre, tandis que Les Républicains ont voté pour. Les députés ont donc le droit de voter, mais seulement si le gouvernement est d’accord. Sinon ils revotent. Emmanuel Macron n’a rien à craindre d’une telle Assemblée Nationale et les retraités rien à en attendre. 

Qu’il y ait une motion de censure déposée par les députés suivie de la dissolution du gouvernement ou « tout de suite » une dissolution de l’Assemblée par le président, cela ne change strictement rien, puisque dans les deux cas, il faudrait refaire des élections législatives. Alors, pourquoi cette comédie ? 

D’abord, Macron n’aime pas qu’on lui résiste et puis, avec le flingue de BlackRock sur la tempe, il n’a pas vraiment le choix. Afin de ridiculiser le processus dit démocratique, avant de le supprimer totalement, il a confié les négociations à Élisabeth Borne. « On a fait le choix du dialogue et de la concertation », a-t-elle expliqué. « Le dialogue ne viendra pas de notre côté », a-t-elle ajouté, révélant, par ce lapsus, sa conception de la concertation. Elle souhaitait une « entrée en vigueur de la réforme à l’été 2023 ». On ne peut pas mieux dire que le vote de l’Assemblée est acquis d’avance. 

Mais pourquoi tant de soumission de la part des députés ? De nouvelles élections risqueraient de rebattre les cartes avec un risque élevé de perdre sa place, pour chacun des députés. Or, l’indemnité parlementaire de base est de 5 623,23 €, l’indemnité de résidence de 168,70 € et l’indemnité de fonction de 1 447,98 €, soit un total de 7 239,91 € par mois. L’Assemblée Nationale est une organisation parasite qui ne sert pas les intérêts du bien commun, mais qui est au service de la tyrannie de l’État profond jacobin. 

Jean-Yves Jézéquel

À  suivre …

Sources :

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2022




Black Rock : un problème majeur pour l’humanité

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

Pendant trois ans, nous avons observé le théâtre des opérations coronavirus, nous les avons analysées, commentées, disséquées, mais que se passait-il en coulisse ? Qui était derrière tout cela, qui tirait de très loin les ficelles dans la plus opaque invisibilité ? Oui, d’une certaine manière, on l’a déjà dit dans les derniers articles : la haute Finance internationale et le cénacle privé de quelques milliardaires aux ordres du Nouvel Ordre Mondial ! Mais comment tout cela a-t-il pu si efficacement fonctionner ? Nous allons descendre au dernier sous-sol de cette surprenante organisation, car il y a encore des choses que nous devons mieux comprendre.

Le simple fait de se pencher un peu plus attentivement sur cette organisation de la haute finance mondiale, transnationale, nous permet de déceler ce qui est invisible aux yeux du grand nombre, et répond non seulement aux « comment » se font les crises, mais aussi aux « pourquoi » elles ravagent l’humanité en ne servant que la cause exclusive des plus riches !

Examiner les méthodes Black Rock, c’est aussi comprendre la logique d’extermination qui est en route depuis au moins 1976 (Les accords de la Jamaïque exclusivement en faveur des mafias financières mondiales).

Crise « sanitaire »

Début 2020, la crise de la Covid-19 engendrait un désastre sanitaire, par le mensonge scientifique érigé en vérité médicale, mais surtout un désastre économique absolu. Toute personne sensée se demandait « pourquoi volontairement provoquer un tel désastre économique à l’occasion de ce qui était présenté comme une « pandémie » ? Où était la logique réelle d’autant plus que ces mesures de destruction étaient largement imposées contre tout bon sens ! 

La toute première réponse à faire à cette question, c’est qu’à cette occasion, Black Rock engrangeait des sommes astronomiques records !

Cette organisation mafieuse, comme nous allons le voir, gère désormais plus de 7 800 milliards de dollars !

Bien entendu, inspirée par Machiavel, elle assure hypocritement vouloir mettre sa fortune au service de la lutte contre le réchauffement climatique : une parfaite supercherie puisque nous savons ce que deviennent systématiquement les accords internationaux sur le sujet ! 

C’est donc la crise du Coronavirus et le cirque qu’elle a engendré avec elle, qui a provoqué l’effondrement des marchés, au premier semestre 2020, et qui a fait grossir subitement et démesurément cette entreprise. Au troisième trimestre, elle encaissait presque 129 milliards de dollars. Black Rock gère désormais 7 808 milliards de dollars d’encours. Un record absolu. À titre de comparaison, c’est deux fois le PIB de l’Allemagne, presque trois fois celui de la France ! Une réelle anomalie et un réel danger pour tout ce qui appartient au vivant dans ce monde…

« La pandémie a créé cette peur de l’avenir, et la réponse est un taux d’épargne plus élevé en Amérique, et un taux d’investissement plus élevé à long terme », explique Larry Fink, PDG de BlackRock.

(Voir « Sources » en fin d’article)

Cette organisation de haute finance transnationale faisait un bénéfice de 1,36 milliard de dollars au dernier trimestre 2020 et une croissance de 20 % de son cours en Bourse, depuis le début de l’année 2020 marquée pourtant par le massacre généralisé du monde. 

Réchauffement climatique

Début 2020, dans sa traditionnelle lettre à ses grands clients, Larry Fink assurait mettre le réchauffement climatique au sommet de ses priorités. « Nous estimons que l’investissement durable représente désormais le meilleur gage de robustesse pour les portefeuilles des clients », écrivait-il. Selon lui, le changement climatique constitue une « crise beaucoup plus structurelle et de plus long terme », que n’importe quelle crise économique. 

Fin octobre 2020, Black Rock appelait à une standardisation du reporting des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) par toutes les entreprises. « Les investisseurs et les autres parties prenantes ont besoin d’une image plus claire de la façon dont les entreprises gèrent le développement durable aujourd’hui et planifient l’avenir », martelait le financier. 

C’est ce que décrit la dernière enquête de Majority Action sur les votes aux Assemblées générales. Cette ONG regardait de près les votes des grandes sociétés de gestion comme BlackRock, Vanguard ou encore Fidelity. Et selon ces données, ces derniers continuaient de voter contre les résolutions actionnariales pour le climat et à soutenir les dirigeants des grands groupes quelle que fut leur politique environnementale. BlackRock se défend en disant que sa politique consiste à voter contre les administrateurs, plutôt que pour les résolutions climatiques et déclare l’avoir fait pour 49 entreprises dont les progrès sur le climat n’étaient pas suffisants ! On devrait gober ce discours et leur donner le Bon Dieu sans confession !

JP Morgan Chase voulait que la banque aligne ses financements sur les objectifs de l’Accord de Paris, en arrêtant de soutenir les énergies fossiles, par exemple. Cette résolution aurait été adoptée si BlackRock et Vanguard l’avaient soutenue, mais ce ne fut pas le cas. 

Industrie pharmaceutique

Qui sait que les grands groupes pharmaceutiques comme les médias grand public appartiennent majoritairement à BlackRock et à Vanguard ? L’industrie pharmaceutique, dans l’affaire coronavirus, a mis en danger la santé publique au lieu de l’optimiser ! Les médias grand public ont été des complices consentants dans la diffusion d’une honteuse propagande hautement mensongère. Ce récit falsifié a égaré le public et alimenté une peur totalement construite sur des mensonges avérés ! 

Vanguard est le plus grand actionnaire de BlackRock. 

Ce que le New York Times et une majorité d’autres médias traditionnels ont en commun avec Big Pharma, c’est qu’ils sont majoritairement détenus par BlackRock et le groupe Vanguard, les deux plus grandes sociétés de gestion d’actifs au monde. Il est aussi important de souligner que ces deux sociétés forment un monopole secret possédant pratiquement tout ce qui est commercialisé sur Terre.

« Les actions des plus grandes sociétés du monde sont détenues par les mêmes investisseurs institutionnels. Ils sont tous propriétaires les uns des autres. Cela signifie que les marques « concurrentes », comme Coke et Pepsi, ne le sont pas vraiment, puisque leurs actions sont détenues par exactement les mêmes sociétés d’investissement, fonds d’investissement, compagnies d’assurance, banques et, dans certains cas, gouvernements. 

Les petits investisseurs sont détenus par de plus gros investisseurs. Ces derniers sont détenus par des investisseurs encore plus importants. Le sommet visible de cette pyramide ne comporte que deux sociétés : Vanguard et Black Rock. »

Non seulement ces deux sociétés possèdent la majorité des actions de presque toutes les grandes entreprises, mais aussi les actions des investisseurs dans ces entreprises. Cela leur donne un monopole complet. Ce mastodonte mondial, détenu par des mondialistes fait pression pour une « Grande Réinitialisation », incluant le transfert de la richesse et de la propriété des mains du plus grand nombre vers celles d’un très petit nombre. 

Vanguard

Il est intéressant de noter que Vanguard est le principal actionnaire de BlackRock, depuis mars 2021.

Vanguard elle-même, en revanche, a une structure d’entreprise « unique » qui rend sa propriété plus difficile à discerner. Elle est détenue par ses différents fonds, qui sont à leur tour détenus par les actionnaires. En dehors de ces actionnaires, elle n’a pas d’investisseurs extérieurs et n’est pas cotée en bourse. 

« L’élite qui possède Vanguard n’aime apparemment pas être sous les feux de la rampe, mais bien sûr, elle ne peut pas se cacher de qui veut bien creuser. Les rapports d’Oxfam et de Bloomberg indiquent que 1 % de la population mondiale possède plus d’argent que les 99 % restants. Pire encore, Oxfam affirme que 82 % de l’argent gagné en 2017 est allé à ces 1 %. »

Ces deux sociétés d’investissement, Vanguard et BlackRock détiennent un monopole dans toutes les industries du monde et elles sont, à leur tour, détenues par les familles les plus riches du monde, dont certaines sont de la famille royale d’Angleterre et autres monarchies prospères de l’Occident…

Un simple regard rapide sur l’identité de ces familles, démontre que Rothschild Investment Corp. et Edmond de Rothschild Holding sont très largement présentes dans ce consortium financier à long terme. Rothschild est également très présent dans ces familles qui dominent la Terre. On y trouve encore la famille Orsini, la famille américaine Bush, la famille royale britannique, la famille du Pont, les Morgan, les Vanderbilt et les Rockefeller, comme principaux propriétaires de Vanguard. 

Ainsi donc, BlackRock/Vanguard possèdent Big Pharma.

Selon Simply Wall Street, en février 2020, BlackRock et Vanguard étaient les deux plus grands actionnaires de GlaxoSmithKline, avec respectivement 7 % et 3,5 % des actions. Chez Pfizer, la propriété est inversée, Vanguard étant le premier investisseur et BlackRock le deuxième plus grand actionnaire.

BlackRock et Vanguard, individuellement et ensemble, possèdent suffisamment d’actions à tout moment pour être certains qu’ils contrôlent à la fois Big Pharma et les médias de masse centralisés, et bien plus encore. 

Médias

Vanguard et BlackRock sont les deux principaux propriétaires de Time Warner, Comcast, Disney et News Corp, quatre des six sociétés médiatiques qui contrôlent plus de 90 % du paysage médiatique américain. 

BlackRock et Vanguard forment un monopole secret qui possède à peu près tout ce qui existe sur Terre… À eux deux, 

« ils possèdent des participations dans 1600 Srms américaines qui, en 2015, avaient des revenus combinés de 9,1 trillions de dollars. Si l’on ajoute le troisième plus grand propriétaire mondial, State Street, leur propriété combinée englobe près de 90 % de toutes les Srms du S&P 500. » 

Les médias grand public aux mains de Black Rock/Vanguard, ont très largement contribué à supprimer les informations sur les anciens médicaments facilement disponibles qui se sont avérés très efficaces contre la Covid-19. En ce qui concerne le New York Times, en mai 2021, BlackRock est le deuxième plus grand actionnaire avec 7,43 % du total des actions, juste après The Vanguard Group, qui possède la plus grande partie (8,11 %). 

Outre le New York Times, Vanguard et BlackRock sont également les deux principaux propriétaires de Time Warner, Comcast, Disney et News Corp, quatre des six sociétés de médias qui contrôlent plus de 90 % du paysage médiatique américain.

Inutile de dire que si vous contrôlez autant de médias, vous pouvez contrôler des nations entières par le biais d’une propagande centralisée soigneusement orchestrée et organisée, déguisée en journalisme.

BlackRock et Vanguard forment un monopole caché sur les avoirs mondiaux et, grâce à leur influence sur nos médias centralisés, elles ont le pouvoir de manipuler et de contrôler une grande partie de l’économie et des événements mondiaux, ainsi que la façon dont le monde perçoit tout cela. 

BlackRock annonçait en 2018 qu’il avait des « attentes sociales » de la part des entreprises dans lesquelles il investit et il faisait connaître son rôle potentiel en tant que plaque tournante centrale dans la « Grande Réinitialisation » et son plan mondialiste.

Black Rock sape consciencieusement la concurrence en détenant des actions dans des entreprises concurrentes et ce groupe financier brouille les frontières entre le capital privé et les pouvoirs publics en travaillant en étroite collaboration avec les régulateurs. BlackRock/Vanguard et leurs propriétaires mondialistes sont en mesure de faciliter la « Grande Réinitialisation » et la révolution dite « verte », qui font toutes les deux, partie du même plan du pillage des richesses. 

Le monde appartient à BlackRock et Vanguard ! 

Il est important de noter que BlackRock travaille également en étroite collaboration avec les banques centrales du monde entier, y compris la Réserve fédérale américaine, qui est une entité privée et non fédérale. Elle prête de l’argent à la banque centrale, agit en tant que conseillère auprès d’elle et développe le logiciel de la banque centrale.

BlackRock/Vanguard possèdent également des actions d’une longue liste d’autres sociétés, dont Microsoft, Apple, Amazon, Facebook et Alphabet Inc. Comme l’illustre le graphique du réseau de propriété de BlackRock et Vanguard, présenté dans l’article de 2017 « These Three Firms Own Corporate America » de The Conversation, il serait presque impossible de les énumérer toutes. 

Comment pouvons-nous lier BlackRock/Vanguard — et les familles mondialistes qui les possèdent — à la Grande Réinitialisation ? En l’absence d’une confession publique, nous devons examiner les relations entre ces énormes sociétés appartenant aux mondialistes et considérer l’influence qu’elles peuvent exercer à travers ces relations. Comme l’a noté Lew Rockwell :

« Lorsque Lynn Forester de Rothschild veut que les États-Unis soient un pays à parti unique (comme la Chine) et ne veut pas que les lois sur l’identification des électeurs soient adoptées aux États-Unis, afin que davantage de fraudes électorales puissent être perpétrées à cette fin, que fait-elle ? »

Elle organise une conférence téléphonique avec les 100 plus grands PDG du monde et leur demande de qualifier publiquement de « Jim Crow » l’adoption par la Géorgie d’une loi anticorruption et elle ordonne à ses PDG consciencieux de boycotter l’État de Géorgie, comme nous l’avons vu avec Coca-Cola et la Major League Baseball et même la star hollywoodienne Will Smith. 

Dans cette conférence téléphonique, nous voyons des nuances de la Grande Réinitialisation, de l’Agenda 2030, du Nouvel Ordre Mondial. L’ONU veut s’assurer, tout comme le fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, Klaus Schwab, qu’en 2030, la pauvreté, la faim, la pollution et la maladie ne seront plus un fléau pour la Terre !!!

Pour y parvenir, l’ONU veut que les impôts des pays occidentaux soient répartis entre les méga-corporations de l’élite pour créer une toute nouvelle société. Pour ce projet, l’ONU dit que « nous avons besoin d’un gouvernement mondial, à savoir l’ONU elle-même ». 

La fausse pandémie de COVID-19 a été orchestrée par l’OMS, c’est-à-dire par l’ONU, pour faire naître ce Nouvel Ordre Mondial, et en corollaire la « Grande Réinitialisation ». Et au milieu de tout cela, le centre vers lequel se dirigent tous les flux de la richesse mondiale, c’est tout bonnement BlackRock et Vanguard !

Dans notre monde, nous voyons d’innombrables marques, noms, logos qui semblent tous se concurrencer les uns les autres. Il y a pléthore de sociétés dans les domaines de l’habillement, de l’alimentation, du voyage, de la technologie, de l’agriculture, de la finance. Pepsi Cola et Coca-Cola sont théoriquement concurrentes sur le territoire des sodas !

Samsung et iPhone sont théoriquement concurrents dans le domaine des smartphones !

Les ordinateurs Mac et PC se disputent théoriquement la plus grande part du marché des ordinateurs personnels !

Facebook et Twitter se livrent théoriquement une concurrence féroce pour obtenir la plus grande audience dans les médias sociaux… !

En réalité, aucune de ces sociétés n’est en concurrence l’une avec l’autre. Ce n’est qu’une façade pour les consommateurs maintenus volontairement dans l’ignorance. Certes, ces marques étaient en concurrence dans le passé, mais il y a belle lurette que le scénario s’est modifié. La masse des braves gens n’est considérée purement et simplement que comme un troupeau d’esclaves qui sont là uniquement pour servir les intérêts de ces maîtres et Seigneurs tout-puissants qui ont décidé de supprimer une bonne partie du troupeau refusant la totale soumission…

Aujourd’hui, toutes ces grandes marques qui semblent être en concurrence sont essentiellement détenues par une seule et même société : Black Rock/Vanguard. 

BlackRock/Vanguard est la seule entité financière au monde qui possède virtuellement toutes les grandes industries de la Planète, qu’il s’agisse de l’industrie pharmaceutique, des médias d’information, des hôpitaux, de la technologie, du voyage, de l’alimentation, de l’exploitation minière, du gaz, du pétrole, de la banque … Tout a été confisqué entre les mains de quelques-uns, les autres ne sont que des figurants !

Pratiquement tout ce que vous mangez, ce que vous buvez, ce avec quoi vous vous habillez, dormez, conduisez, voyagez, lisez, regardez, écoutez, communiquez, travaillez, tout cela est la propriété d’un petit groupe d’individus : la ploutocratie, les très riches, les maîtres du monde, ceux qui décident si vous devez vivre ou si vous devez mourir et le pire c’est que l’immense majorité des humains ne le sait toujours pas !

La stratégie de Black Rock/Vanguard était simple :

« Nous allons acquérir la majorité des actions de toutes les entreprises sur le marché boursier, puis acquérir les actions des autres entreprises qui possèdent le reste des actions. Nous aurons ainsi la propriété complète de tout, ce qui nous permettra ensuite de contrôler le monde, en lui imposant notre seule et unique loi de domination incontestable. »

C’est ainsi qu’ils ont pu contrôler tous les hôpitaux, les médias, les compagnies aériennes, en pleine fausse pandémie. Déclencher une fausse pandémie était un jeu d’enfant : ceux qui se trouvaient au sommet de ce monopole financier mondial n’avaient juste qu’à dire un mot et tous les médias inféodés, les grands hôpitaux, les compagnies aériennes, les hôtels, une pléiade d’autres entreprises avec les Gouvernements eux-mêmes, se mettaient au garde-à-vous pour obéir à ces ordres incohérents du masque obligatoire, du confinement forcé, d’une fausse « vaccination », des tests bidons obligatoires, la suppression et l’interdit criminel d’un usage par les médecins eux-mêmes de tous les traitements naturels qui fonctionnaient parfaitement, mais qui échappaient au monopole des mondialistes ploutocrates, du massacre des économies locales afin de réaliser ce pillage pour instituer enfin une seule économie mondiale, sans broncher, sans sourciller, sans hésiter… Les médecins récalcitrants seraient interdits d’exercice de la médecine par les Ordres de Médecins collaborateurs dévoués à cette caste criminelle ! Le Vatican lui-même recevait la visite des Ploutocrates quelques jours avant la déclaration de guerre contre l’humanité et le pape se mettait à genoux en s’exécutant et en condamnant puis en sanctionnant tous ceux qui, dans l’État du Vatican, ne se feraient pas « vacciner », ou ce qui revient au même, ceux qui refuseraient d’être marqués du signe de la Bête ! (Cf., www.mondialisation.ca du 22 août 2021, « Le covidisme, le vaccinalisme et le pape »)

De plus, la plupart des nations sont structurées comme des sociétés à but lucratif ! C’est pourquoi elles sont elles aussi détenues par cette ploutocratie, et n’ont plus d’autre choix que celui de se plier aux ordres de leur « propriétaire » : Black Rock/Vanguard.

BlackRock/Vanguard possède virtuellement le monde entier tel que nous le connaissons. Cela permet à un petit groupe de pervers de manipuler toute l’humanité, de faire ce qu’il veut, où il veut, quand il veut.

Des médecins sauvant la vie de patients ont été renvoyés de leurs hôpitaux, et l’utilisation de traitements efficaces a été interdite dans pratiquement toutes les nations du monde.

Un ordre a été donné, et les innombrables serviteurs de Black Rock/Vanguard ont exécuté les ordres sans discuter !

Conclusion

Peu nombreux sont ceux qui pouvaient se rendre compte qu’il était parfaitement possible, pour ces gens-là, de déclencher une fausse pandémie et tout ce qui allait s’en suivre ! On traitait aussitôt les gens lucides et éveillés de « complotistes » ou de « délirants ». 

Lorsque vous comprenez comment le monde est structuré, en constatant qu’une ploutocratie possède pratiquement tout dans le monde ; lorsque vous discernez sa mainmise sur les gouvernements, alors vous comprenez à quel point il est très facile d’organiser une fausse pandémie, et une brutale tyrannie de masses.

L’un des objectifs principaux de la fausse pandémie était, dans un premier temps, de renforcer le monopole de ce petit groupe de personnes. Ces personnes ont exigé des « confinements » qui ne pouvaient que détruire les petites entreprises dans le monde entier, afin que les milliards de consommateurs quittent ces entreprises indépendantes pour les mégas entreprises du système dominant. Le jeu pervers mis en route était diabolique et d’une efficacité redoutable : personne n’y voyait que du feu !

Les petits magasins, les petites entreprises locales se mettaient à l’arrêt obligatoire ; les petites épiceries devaient fermer pendant un an, de sorte que la population mondiale allait se procurer sa nourriture dans les supermarchés seuls autorisés à rester ouverts, et qui sont la propriété effective de ces criminels. Ils ont gagné des milliards de dollars pendant que les petits commerçants et toute l’organisation des économies locales sombraient dans la ruine assurée entraînant avec elle un désastre humain concomitant. Tous les secteurs préservés étaient exclusivement ceux qui avaient un lien direct avec la puissance financière de la ploutocratie BlackRock/Vanguard !

Souvenez-vous : aucune des grandes corporations, grandes surfaces, ne devait fermer pendant le « confinement ». Elles sont toutes restées ouvertes, dans le monde entier. Seuls, les petits commerces drainant quotidiennement quelques clients étaient contraints de fermer sous prétexte sanitaire, alors que les supermarchés qui sont fréquentés par des milliers de personnes, n’étaient pas concernés par l’impératif sanitaire !

Comment des masses de gens ont-elles accepté, sans se poser de questions, une telle folie « pour leur sécurité », tout en traitant ceux qui étaient lucides de « complotistes » ou de « délirants » ? 

Il va de soi que notre monde est ouvertement attaqué par un très petit groupe de personnes démesurément riches, qui collaborent entre elles pour prendre le contrôle absolu de tout ce qui n’est pas encore entre leurs mains.

Ces tyrans de la finance sont derrière les organisations comme l’O.M.S., qui est détenue et utilisée par ces criminels, pour exécuter leur programme de domination mondiale, sous le couvert d’urgences sanitaires, qu’ils fabriquent en utilisant des tests frauduleux, la manipulation des données, la suppression des traitements, et la psychose de masse par le biais des médias inféodés manipulant la peur à souhait.

Ce sont les mêmes qui sont également à l’origine du Forum économique mondial et des Nations unies, qui prétendent améliorer l’état du monde, alors qu’en fait leur objectif est de terminer la prise de pouvoir totale sur l’ensemble de l’humanité, en exigeant que toutes les ressources, toutes les informations, tous les gouvernements, tous les pouvoirs, toutes les industries soient remis entre leurs mains pour un Nouvel Ordre Mondial totalitaire.

Nous devons impérativement boycotter tout ce qui vient de ces tyrans. Regardez le film MONOPOLY, et les preuves du GRAND JURY, vous serez convaincus ou déniaisés.

Les petites entreprises doivent se connecter entre elles pour construire des réseaux parallèles hors domination des Black Rock/Vanguard. 

Entraînez-vous à faire vos achats en toute sécurité dans un vaste réseau de commerces non conformes, qui n’exigent pas l’imposture d’un statut « vaccinal » bidon. 

Ne regardez que « local », car le local n’intéresse pas le mondial. Trouvez des agriculteurs, des éleveurs, des bouchers, dans votre environnement local et achetez directement auprès d’eux. Organisez la démonétisation, un type d’échanges qui permet de sortir des monnaies dette…

Créez votre propre existence en vous émancipant du système tout entier. Que la justice soit soucieuse de ce qui est juste et que la vérité soit la seule préoccupation de ceux qui vont défendre les humbles en recherchant ce qui est vrai et non pas en appliquant des lois qui ont toutes été imposées par la caste des ploutocrates. Black Rock/Vanguard vous tient en laisse : coupez la laisse sans tarder et reprenez votre liberté d’être vivant souverain. Vous n’avez qu’un seul maître : Mère Nature et la Surconscience qui l’habite !

Pour faire obstacle à cette crise artificielle, organisée, nous devons comprendre qui sont les réels acteurs de cette mise en scène criminelle ; d’où viennent ces dictats hautement néfastes et pourquoi ces faux récits, cette falsification de la science, ce narratif mensonger, sont sciemment créés en amont de tout ce qui vient ensuite détruire le monde. 

Comme l’indique le rapport de décembre 2020 de Global Justice Now intitulé « L’histoire horrible de Big Pharma », nous ne pouvons tout simplement plus permettre aux laboratoires pharmaceutiques – « qui ont une longue expérience de la priorité donnée au profit des entreprises sur la santé des gens » – de continuer à dicter les réponses à la COVID-19. 

Jean-Yves Jézéquel

[Voir aussi :
Qui possède le monde ?
Les 4 firmes qui possèdent les USA
Qui sont les responsables de la crise mondiale Covid-19 ?]

Sources :

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2022




« Il faut continuer à exciter les foules pour obtenir la soumission »

[Source : Epoch Times France]

Diplômée de l’École normale supérieure (Ulm), Ariane Bilheran est philosophe, psychologue clinicienne et docteur en psychopathologie.

Spécialiste de l’étude des manipulations, de la perversion, de la paranoïa et du harcèlement, elle a publié de nombreux ouvrages consacrés à ces thématiques.

Les 24 et 25 septembre 2022, Ariane Bilheran participait à un colloque sur la crise sanitaire organisé à Peyrolles-en-Provence (Bouches-du-Rhône).

L’objet de ce colloque consistait notamment à proposer une analyse critique des décisions politiques prises pendant la crise ainsi qu’à étudier le rôle de la fraude et de la corruption dans les sphères juridique, philosophique, psychologique, médiatique et scientifique.

Lors de son intervention, Ariane Bilheran a détaillé les modalités d’exercice de la corruption philosophique et psychologique dans le cadre du phénomène totalitaire.

« Le phénomène totalitaire fonctionne à l’idéologie. L’idéologie est une croyance qui n’est ni logique ni ne correspond à la réalité de l’expérience. C’est un discours dogmatique, sectaire auquel on va faire en sorte que les gens adhèrent par la propagande de masse », souligne la philosophe.

Si la fraude et la corruption constituent des instruments sur lesquels l’idéologie doit s’appuyer pour asseoir son emprise sur les individus et la société, Ariane Bilheran observe que l’expansion du phénomène totalitaire requiert également l’adhésion pleine et entière des individus qui y sont confrontés.

Un consentement qui peut notamment être obtenu par la manipulation des émotions et le recours à des mécanismes de répétition grâce au concours des médias.

« Le totalitarisme consiste à faire en sorte que les masses croient un certain discours et règlent leurs comportements par rapport à ce discours. On va veiller à ce que les individus, par l’intermédiaire des médias notamment, n’aient plus accès à leur esprit critique et soient conduits, au nom du bien commun, à commettre des actes qu’ils n’auraient jamais commis en d’autres circonstances », explique l’auteur de l’ouvrage Le Débat interdit.

Pour Ariane Bilheran, le discours proposé aux masses est d’ailleurs voué à évoluer et à investir d’autres champs afin de permettre au pouvoir totalitaire de maintenir son ascendant sur la population.

« Il faut continuer à exciter les foules et à entretenir la peur pour pouvoir obtenir la soumission. Si on fige un seul discours, au bout d’un moment le cerveau humain est fait de telle façon qu’il va commencer à interroger ce discours figé. Il va sortir de la peur, de la sidération et commencer à interroger ce discours qui va lui paraître totalement irrationnel et paradoxal », observe Ariane Bilheran.

« Aujourd’hui, nous voyons apparaître des discours dont la structure et la forme semblent similaires à propos de l’écologie, de l’énergie, de la guerre, etc. Cette structure est la suivante : il y a un danger terrible qui nous menace gravement et qui justifie la mise en place de mesures d’exception qui aliènent nos droits et autorisent le sacrifice d’une partie de la population », ajoute-t-elle.

Si les discours évoluent, la culpabilisation des foules auxquelles ils sont destinés en constitue toujours un élément majeur.

« Nous devenons tous des coupables en puissance, des coupables de consommer de l’énergie, des coupables d’émettre du carbone, des coupables de vivre. Tout ceci fait partie de la logique totalitaire. »

Selon Ariane Bilheran, l’irruption du phénomène totalitaire peut aussi être vu comme le symptôme d’une société malade, qui a depuis longtemps perdu ses valeurs et ses repères.
« Tout ceci est l’indication d’une décadence morale majeure, mais qui vient signer quelque chose qui était déjà là. »

Retrouvez le témoignage intégral d’Ariane Bilheran dans la vidéo.

0:00 Introduction
04:26 Pourquoi le phénomène totalitaire doit-il nécessairement s’appuyer sur la corruption et la fraude pour se déployer ?
12:52 En quoi le phénomène totalitaire actuel diffère-t-il de ceux qui l’ont précédé ?
17:04 L’idéologie transhumaniste sous-tend-elle le phénomène totalitaire moderne ?
22:53 Comment s’explique la passivité des intellectuels confrontés au phénomène totalitaire ?
28:08 L’allègement des mesures sanitaires est-il simplement temporaire ?
32:00 Le langage de nos dirigeants dans le cadre de la crise énergétique est-il similaire à celui qu’ils ont tenu pendant la crise sanitaire ?
35:25 En quoi le phénomène totalitaire est-il « un moment nécessaire » auquel l’humanité serait périodiquement confrontée ?
40:55 Pourquoi notre civilisation ne serait-elle plus viable ?
45:35 Si le moment totalitaire est de toute façon inéluctable, en quoi est-il nécessaire de mener un travail intérieur ?
50:42 Conclusion

[Voir aussi :À
« Il faut manipuler 2 émotions pour obtenir une soumission psychique » – Ariane Bilheran, Vincent. Pavan
Ariane Bilheran : « Seuls 3 types de profils résistent au déferlement totalitaire »
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
La fabrication des perceptions]




La guerre, la propagande, et l’aveuglement

Par Thierry Meyssan

La propagande rend stupide. Nous savons que les nationalistes intégraux ukrainiens ont commis d’abominables massacres, particulièrement durant la Seconde Guerre mondiale. Mais nous ignorons ce qu’ils font à nos portes depuis trente ans, notamment la guerre civile qu’ils conduisent depuis huit ans. Notre propre stupidité nous permet de supporter les cris de guerre de nos responsables politiques aux côtés de ces criminels.

Slava Stetsko, la veuve du Premier ministre nazi Yaroslav Stetko, a ouvert les sessions de 1998 et de 2002 de la Verkhovna Rada.

Lorsque survient une guerre, les gouvernements croient toujours qu’ils doivent renforcer le moral de leur population en les abreuvant de propagande. Les enjeux sont tels, la vie et la mort, que les débats se durcissent et les positions extrémistes font recette. C’est très exactement ce à quoi nous assistons ou plutôt la manière dont nous nous transformons. Dans ce jeu, les idées défendues par les uns et les autres n’ont aucun rapport avec leurs présupposés idéologiques, mais avec leur proximité du pouvoir.

Au sens étymologique, la propagande, c’est juste l’art de convaincre, de propager des idées. Mais à l’époque moderne, c’est un art qui vise à reconstruire la réalité pour dénigrer l’adversaire et magnifier ses propres troupes.

Contrairement à une idée répandue en Occident, ce ne sont pas les nazis ni les Soviétiques qui l’ont inventée, mais les Britanniques et les États-Uniens durant la Première Guerre mondiale (([1] « Les techniques de la propagande militaire moderne », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 16 mai 2016.)).

Aujourd’hui, l’OTAN coordonne les efforts en la matière depuis son Centre de communication stratégique de Riga (Lettonie)(([2] « La campagne de l’OTAN contre la liberté d’expression », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 5 décembre 2016.)). Il identifie les points sur lesquels il veut agir et organise des programmes internationaux pour les mener à bon port.

Par exemple, l’OTAN a identifié Israël comme un point faible : alors que l’ancien Premier ministre Benjamin Netanyahu était un ami personnel du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, son successeur Naftali Bennett, reconnut le bien-fondé de la politique russe. Il conseilla même de restituer la Crimée et le Donbass et, surtout, de dénazifier l’Ukraine. L’actuel Premier ministre, Yaïr Lapid, est plus hésitant. Il ne veut pas soutenir les nationalistes intégraux qui massacrèrent un million de juifs peu avant et pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais il veut aussi rester en bons termes avec les Occidentaux.

Pour ramener Israël dans le droit chemin, l’OTAN tente de persuader Tel-Aviv qu’en cas de victoire russe, Israël perdrait sa position au Moyen-Orient(([3] « L’Iran, Israël et la Russie », Voltaire actualité internationale, n° 11, 21 octobre 2021.)). Pour cela, il diffuse le plus largement possible le mensonge selon lequel l’Iran serait l’allié militaire de la Russie. La presse internationale ne cesse de prétendre que, sur le champ de bataille, les drones russes sont iraniens et bientôt les missiles à moyenne portée le seront aussi. Pourtant Moscou sait fort bien fabriquer ces armes et n’en a jamais demandé à Téhéran. La Russie et l’Iran ne cessent de démentir ces allégations. Mais les responsables politiques occidentaux, s’appuyant sur la presse et non pas sur la simple réflexion, ont déjà pris des sanctions contre les marchands d’armes iraniens. Bientôt Yaïr Lapid, fils du président du mémorial Yad Vashem, sera cerné et contraint de se ranger du côté des criminels.

Les Britanniques, quant à eux, excellent traditionnellement dans l’activation de médias en réseau et dans l’enrôlement des artistes. Le MI6 s’appuie sur un groupe de 150 agences de presse travaillant au sein du PR Network(([4] « Le Réseau de propagande de guerre anti-russe », Réseau Voltaire, 25 mars 2022.)). Ils convainquent toutes ces sociétés de reprendre leurs imputations et leurs slogans.

Le fondateur du nationalisme intégral ukrainien, Dmytro Dontsov, éprouvait une haine obsessionnelle contre les juifs et les Tsiganes. Durant la Guerre mondiale, il quitta l’Ukraine pour devenir administrateur de l’Institut Reinhard Heydrich. C’est cette institution, basée en Tchécoslovaquie, qui fut chargée de planifier l’extermination de tous les juifs et de tous les Tsiganes lors de la Conférence de Wannsee. Il finit ses jours paisiblement aux États-Unis.

Ce sont eux qui vous ont successivement convaincu que le président Vladimir Poutine était mourant, puis qu’il était devenu fou, ou encore qu’il rencontrait une forte opposition chez lui et qu’il allait être renversé par un coup d’État. Leur travail se poursuit aujourd’hui avec les interviews croisés de soldats en Ukraine. Vous entendez les soldats ukrainiens dirent qu’ils sont nationalistes et les soldats russes qu’ils ont peur, mais doivent défendre la Russie. Vous entendez que les Ukrainiens ne sont pas des nazis et que les Russes, vivant sous une dictature, sont contraints de se battre. En réalité, la plupart des soldats ukrainiens ne sont pas« nationalistes » au sens de défenseurs de leur patrie, mais « nationalistes intégraux » au sens de deux poètes, Charles Maurras et de Dmytro Dontsov(([5] « L’idéologie des bandéristes ukrainiens », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 21 juin 2022.)). Ce n’est pas du tout pareil.

Ce n’est qu’en 1925 que le pape Pie XI condamna le « nationalisme intégral ». À cette époque Dontsov avait déjà écrit son Націоналізм (Nationalisme) (1921). Maurras et Dontsov définissent la nation comme une tradition et pensent leur nationalisme contre les autres (Maurras contre les Allemands et Dontsov contre les Russes). Tous deux abhorrent la Révolution française, les principes de Liberté, Égalité et Fraternité et dénoncent sans relâche les juifs et les francs-maçons. Ils considèrent la religion comme utile à l’organisation de la société, mais semblent agnostiques. Ces positions conduisent Maurras à devenir pétainiste et Dontsov hitlérien. Ce dernier s’enfoncera dans un délire mystique varègue (Viking suédois). Le pape suivant, Pie XII, abroge la condamnation de son prédécesseur, juste avant que la guerre n’éclate. À la libération, Maurras sera condamné pour intelligence avec l’ennemi (lui qui était germanophobe), mais Dontsov fut récupéré par les services secrets anglo-saxons et s’exila au Canada, puis aux USA.

Quant aux soldats russes que nous voyons interviewés lors de nos journaux télévisés, ils ne nous disent pas qu’ils sont contraints de se battre, mais, qu’à la différence des nationalistes intégraux, ils ne sont pas fanatiques. Pour eux, la guerre, même lorsqu’on défend les siens, est toujours une horreur. C’est parce qu’on nous répète à l’envi que la Russie est une dictature que nous comprenons autre chose. Nous n’acceptons pas que la Russie soit une démocratie parce que, pour nous, une démocratie ne peut pas être un régime autoritaire. Pourtant, par exemple, la Deuxième République française (1848-1852) était à la fois une démocratie et un régime autoritaire.

Nous sommes faciles à convaincre parce que nous ignorons tout de l’histoire et de la culture ukrainienne. Tout au plus savons-nous que la Novorossia fut gouvernée par un aristocrate français, Armand-Emmanuel du Plessis de Richelieu, ami personnel du Tsar Alexandre Ier. Il poursuivit l’œuvre du prince Grigori Potemkine qui voulait édifier cette région sur le modèle d’Athènes et de Rome, ce qui explique qu’aujourd’hui encore la Novorossia est de culture russe (et non pas ukrainienne) sans jamais avoir connu le servage.

Le mémorial de Bibi Yar à Kiev. 33 771 Ukrainiens juifs y furent fusillés en deux jours, les 29 et 30 septembre 1941 par les Waffen SS ukrainiens et les Einsatzgruppen de Reinhard Heydrich. Ce massacre fut célébré comme une victoire par les nationalistes intégraux. Aujourd’hui, le gouvernement ukrainien a nommé la grande avenue qui y conduit du nom du nationaliste intégral Stepan Bandera, « en honneur » du plus grand criminel de son histoire.
Quelques mois après son élection, le 6 mai 1995, Leonid Kouchma, le second président de la nouvelle Ukraine, se rendit à Munich pour rencontrer Slava Stetsko, la veuve du Premier ministre nazi ukrainien. Il accepta l’introduction dans la nouvelle Constitution d’une référence explicite au nazisme : « préserver le patrimoine génétique du peuple ukrainien relève de la responsabilité de l’État » (sic).+

Nous ignorons, en Ukraine, les atrocités de l’entre-deux-guerres et de la Seconde Guerre mondiale, et avons une vague idée des violences de l’URSS. Nous ignorons que le théoricien Dontsov et son disciple Stepan Bandera n’ont pas hésité à massacrer tous ceux qui ne correspondaient pas à leur « nationalisme intégral », les juifs d’abord dans ce pays khazar, puis les Russes et les communistes, les anarchistes de Nestor Makhno, et bien d’autres encore. Les« nationalistes intégraux », devenus admirateurs du Führer et profondément racistes, sont revenus sur le devant de la scène avec la dissolution de l’URSS(([6] « Ukraine : la Seconde Guerre mondiale ne s’est jamais terminée », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 26 avril 2022.)). Le 6 mai 1995, le président Léonid Kuchma se rendit à Munich (dans les locaux de la CIA) pour rencontrer la cheffe des nationalistes intégraux, Steva Stesko, la veuve du Premier ministre nazi. Elle venait d’être élue à la Verkhovna Rada (Parlement), mais n’avait pas pu y siéger, car ayant été déchue de la nationalité ukrainienne. Un mois plus tard, l’Ukraine adopta son actuelle constitution laquelle dispose en son article 16 que : « préserver le patrimoine génétique du peuple ukrainien relève de la responsabilité de l’État » (sic). Par la suite, la même Steva Stetsko ouvrit par deux fois la session de la Rada, concluant ses interventions du cri de guerre des nationalistes intégraux : « Gloire à l’Ukraine ! ».

L’Ukraine moderne a patiemment construit son régime nazi. Après avoir proclamé le « patrimoine génétique du peuple ukrainien », elle a promulgué diverses lois. La première n’accorde le bénéfice des Droits de l’homme par l’État qu’aux Ukrainiens, pas aux étrangers. La seconde définit ce que sont la majorité des Ukrainiens et la troisième (promulguée par le président Zelensky) qui forment les minorités. L’astuce est qu’aucune loi ne parle des russophones. Par défaut, les tribunaux ne leur reconnaissent donc pas le bénéfice des Droits de l’homme.

Depuis 2014, une guerre civile oppose les nationalistes intégraux aux populations russophones, principalement celles de Crimée et du Donbass. 20 000 morts plus tard, la Fédération de Russie, appliquant sa « responsabilité de protéger », a lancé une opération militaire spéciale pour appliquer la résolution 2202 du Conseil de Sécurité (Accords de Minsk) et mettre fin au martyre des russophones.

Le président Zelensky et son ami, Benjamin Netanyahu. Ce dernier fait aujourd’hui du soutien à l’Ukraine son principal thème de campagne électorale. Netanyahu est le fils du secrétaire particulier de Zeev Jabotinsky ; une personnalité ukrainienne qui fit alliance avec les nationalistes intégraux contre les bolchéviques. Il tenta de mettre la communauté juive ukrainienne au service de ces antisémites, mais fut unanimement dénoncé au sein de l’Organisation sioniste mondiale dont il devint un administrateur.

La propagande de l’OTAN nous abreuve des souffrances réelles des Ukrainiens, mais elle fait l’impasse sur les huit ans de tortures, de meurtres et de massacres qui ont précédé. Elle nous parle de « nos valeurs communes avec la démocratie ukrainienne », mais quelles valeurs partageons-nous avec les nationalistes intégraux et où est la démocratie en Ukraine ?

Nous n’avons pas à choisir entre les uns et les autres, mais uniquement à défendre la paix et donc les Accords de Minsk et la résolution 2202.

La guerre nous rend fous. Il se passe alors un renversement des valeurs. Les plus extrémistes triomphent. Certains de nos ministres parlent « d’étouffer la Russie » (sic). Nous ne voyons pas que nous soutenons les idées contre lesquelles nous croyons combattre.

Thierry Meyssan





Pierre Jovanovic : La FRANCE S’ENFLAMME

[Source : Planetes360]






Lettre aux médias aveugles

Par Éric Zemmour

Pourtant, souvenez-vous, vous ne vous êtes jamais privés d’interpréter des faits divers pour en tirer des conclusions politiques.

Lettre aux médias aveugles

Paris, le 19 octobre 2022

Chers journalistes indignés,

Lola est morte il y a à peine quatre jours et déjà, nombre d’entre vous ne parlent plus du comment ni du pourquoi de la tragédie qu’elle a vécue, que sa famille continuera à vivre jusqu’à la fin de ses jours et que tant de nos familles connaîtront demain si l’on ne fait rien. 
Cela fait à peine quatre jours, et vous changez déjà de sujet. 

Lola n’est pas encore enterrée, et vous parlez déjà de stratégie politico-médiatique, « d’extrême-droite » et de récupération.

C’est la litanie des grands mots et des grandes indignations : récupération, instrumentalisation, manipulation. La litanie des colères surjouées et des imprécations surfaites. Du ministre de la Justice à vos confrères de France Inter, c’est la même rengaine, la même ritournelle, le même cinéma.

Que nous reprochez-vous donc ? 

D’avoir eu le cœur brisé par le calvaire de la petite Lola ; de l’avoir dit, de l’avoir crié, de l’avoir hurlé. 
D’avoir été révulsés, d’avoir été désespérés, d’avoir été indignés. 
Oui, on s’est indigné. 
On s’est ému. 
On s’est révolté.

Mais c’est toujours la même histoire qui recommence, les mêmes recettes, les mêmes imprécations, les mêmes intimidations, les mêmes inhibitions, le même calendrier. 
D’abord, vous êtes vous-mêmes sidérés par la violence du réel, alors les Français ont le droit à 24 heures d’émotion légitime sans que vous ne leur jetiez l’anathème. 
C’est notre tarif, c’est notre lot. 
Cela ne durera pas.

Puis vous comprenez que cette violence a des causes, vous comprenez que les Français vont comprendre, alors vous reprenez la main. 24 heures d’émotion, pas davantage. Vous sonnez la fin de la trêve. Elle n’a que trop duré à votre goût.

Vous fermez les portes, vous taisez les noms des coupables, vous interdisez l’interprétation, vous menacez, invectivez, dénoncez. 

Vous changez la focale : le sujet n’est plus cette pauvre Lola, ses souffrances, son martyre, la barbarie de sa tortionnaire, mais la récupération par ces infâmes, ces « charognards », ces « vautours ».
Et les charognards, dans votre bouche, ce ne sont pas les assassins mais ceux qui les combattent. Quand les sages Français montrent la lune, les cyniques de plateaux préfèrent regarder le doigt.

Dénoncer et arrêter les assassins, cela ne vous intéresse pas : vous faites de la politique. 

Quand Jérémie Cohen, un autre fils, un autre frère, un autre martyr, a perdu la vie après avoir été tabassé par des barbares, vous avez fait l’omerta sur sa mort. 
J’ai été le seul à en parler. 
Vous avez hurlé à la récupération.

Le père de Jérémie Cohen lui-même est intervenu. Il vous a supplié d’arrêter avec cette accusation, en vous disant qu’il fallait en parler, qu’il souffrait du silence, que c’était même lui qui m’avait contacté pour me demander d’intervenir. 
Vous ne l’avez pas écouté. 

Quand Evelyne Reybert, Patrick Jardin, et tant d’autres parents de martyrs m’ont demandé de faire la lumière sur les causes de la perte de leurs enfants, vous ne les avez pas entendus.

Où est l’indécence quand l’un de vos confrères du Monde qualifie Patrick Jardin de « haineux » parce qu’il dénonce le djihad qui lui a volé sa fille ? 
Où est la morale quand vous cachez aux Français le meurtre de Sarah Halimi lors de la campagne de 2017 pour « ne pas faire le jeu de Marine Le Pen » ?
La douleur des martyrs ne vous touche pas : vous faites de la politique.

Paul Valéry disait : « la politique, c’est l’art d’empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde ». Oui, décidément, vous faites de la politique. 
Vous ne faites même que cela. 

Vous faites de la politique et vous nous reprochez d’en faire. Non seulement, vous limitez notre droit à l’émotion, mais vous nous interdisez le droit d’analyser, d’interpréter, de comprendre et donc d’agir. Vous nous interdisez de chercher les causes qui éviteraient que de telles tragédies se reproduisent.

Et le pire, c’est qu’avec beaucoup de Français, vos injonctions fonctionnent.
Parce que vous leur faites peur, parce que vous les intimidez, parce que vous leur faites croire que la morale est de votre côté et que l’indécence est du côté de ceux qui pleurent.

Pourtant, souvenez-vous, vous ne vous êtes jamais privés d’interpréter des faits divers pour en tirer des conclusions politiques.

Pour éviter la mort des petits Aylan, nous avez-vous dit, il fallait ouvrir nos frontières aux migrants. 
Pour qu’il n’y ait plus de Georges Floyd, il fallait désarmer la police. 
Pour rendre justice à Adama Traoré, Zyed et Bouna, et tous les autres, il fallait traquer le « racisme systémique » de la police et de la République. 

Faire la Une de tous vos journaux sur le petit Aylan en culpabilisant l’Europe entière, c’était sensibiliser à la cause migratoire. 
Parler quatre jours du meurtre d’une enfant par une clandestine, c’est de la récupération politique.

Il y aurait donc des morts qui mériteraient l’interprétation et d’autres qui ne mériteraient que le silence. On les trierait selon quel critère ? L’âge ? La nationalité ? La couleur de peau ? Celle de l’agresseur ? Il y aurait donc des émotions et des interprétations autorisées et des émotions et des interprétations interdites. 

La vérité, c’est que vous voulez garder le monopole de l’émotion et de l’interprétation. Vous seuls avez le droit d’interpréter. Quand nous interprétons, nous récupérons.

La « récupération », c’est l’interprétation interdite. 
Le chantage à la récupération, c’est la loi de l’omerta.

Chers journalistes, je vous le demande : de quelle récupération parlez-vous ? Y a-t-il une campagne électorale ? Y a-t-il quelque chose à gagner ? Quand des parents de victimes, quand certains de vos confrères courageux dénoncent les mêmes causes que nous, sont-ils des charognards eux aussi ?

Ne croyez-vous donc pas aux combats sincères ? 
Ne savez-vous donc pas que chacun d’entre nous porte comme une blessure au fond de lui chacune des agressions, des attaques, des meurtres, de nos frères et de nos soeurs ? 
Ne voyez-vous donc pas que ce sont ces tragédies qui nous obligent à nous battre ? 
Ne comprenez-vous donc pas que nous manquerions à notre devoir si nous nous taisions ? Que notre seule et unique espérance est qu’il n’y ait plus d’autres martyrs ?

Je veux le dire à tous ceux que vous intimidez : nous avons le droit de pleurer le martyre de cette pauvre enfant. Plus encore, nous avons le devoir de combattre les causes de son meurtre et d’empêcher les suivants.  

Parce que Lola aurait pu être notre fille, notre sœur, notre enfant. Oui, notre fille, notre sœur, notre cousine, auraient pu être martyrisées de la même façon, parce que la barbarie frappe les Français au hasard.

Aujourd’hui, les parents de Lola sont touchés, meurtris, dévastés à jamais. Mais demain, comme hier, ce seront d’autres parents qui pleureront la mort d’une enfant, d’autres maris qui pleureront la mort d’une femme, d’autres fils et filles qui pleureront la mort d’une mère.

La tristesse de la tragédie arrivée à Lola appartient évidemment à ses parents, à sa famille, et nous nous inclinons respectueusement devant elle.

Mais la mort de Lola nous concerne tous, car elle n’est pas arrivée par hasard et peut toucher demain chacun d’entre nous.

Nous n’avons pas le droit de nous taire, même si nous n’avons que des coups à prendre, c’est le rôle des lanceurs d’alerte : parce que nous savons que ces meurtres sont évitables, parce que nous connaissons leurs causes et parce que nous connaissons les moyens de les éviter. 

Nous ne vous en voulons pas parce que vous nous insultez. Nous vous en voulons parce que vos intimidations font que nous continuons d’enterrer des Français qui n’auraient jamais dû perdre la vie.

Éric Zemmour

Copyright Parti Reconquête





Le fait et l’interprétation du fait

Par Alain Tortosa

De l’art de raconter des histoires diamétralement opposées.
L’impossible vérité ou l’impossible volonté ?

1

Nous l’avons vécu pour le Covid avec les morts causés « par la maladie » ou les morts causés « par le vaccin ». Depuis quelques mois avec « l’agression de la Russie contre l’Ukraine » selon les Occidentaux ou « la lutte contre les nazis » selon Poutine.

Des « vérités » diamétralement opposées se télescopent sur une base factuelle identique.

Ici les exemples ne manquent pas :

  • Les accords de Minsk.
  • La maternité de Marioupol.
  • Le bombardement de la centrale nucléaire de Zaporijjia.
  • Le sabotage du gazoduc Nordstream.
  • L’explosion du pont qui relie la Russie à la Crimée.
  • Etc.

Je pourrais vous en citer des dizaines d’autres n’ignorant pas que la propagande est réelle de part et d’autre. Les uns affirmant que l’autre fait de la propagande tandis que l’autre camp affirme exactement le contraire. Est-ce à dire que la vérité avec un grand V n’existerait pas ?

La propagande, la corruption et le mensonge

Les historiens (pour le long terme) et les journalistes (à court terme) devraient être indifférents à la propagande et au mensonge.

Adrien Goetz aurait dit :

« L’histoire est un mensonge raconté par les vainqueurs ».

Est-ce à dire que la Vérité avec un grand V ne peut exister ou serait-elle interdite ?

Dans les faits l’historien ou le journaliste qui s’approcherait ou toucherait la vérité serait condamné à la solitude, à la vindicte médiatique, voire condamné.

Un monde manichéen

Quel que soit le conflit, hormis quelques pourritures conscientes de l’être et d’agir en conscience, l’écrasante majorité des individus a « la chance d’être du côté du bien ».

Rendez-vous compte du bol que l’on a, nous français !

Dans le conflit opposant actuellement les USA à la Russie (ces simples mots faisant de moi un traître complotiste), nous, Français, avons la « chance » d’être du côté du « bien ».

Si vous allez interroger les Russes, ceux-ci vous diront la même chose, ils aussi ont la « chance » d’être aussi du côté du « bien ».

Cette simple réflexion devrait être de nature suffisante à douter et nous permettre d’affirmer que le bien et le mal, « c’est plus compliqué que ça ».

Il n’y a aucune place pour la nuance dans notre société.

Le « journalisme » d’aujourd’hui n’est plus qu’un outil de propagande
au service d’une idéologie, d’un mensonge d’État.

Ce manichéisme est logiquement exacerbé en temps de guerre.

Et ce n’est donc pas un hasard si notre « Président » affirme que « nous sommes en guerre » contre le Covid, en « guerre » contre le réchauffement climatique…

Ni un concours de circonstances si nous avons eu un « conseil de défense » pour lutter contre quoi me direz-vous… contre un virus !

Sur ces deux sujets, le terme de « guerre » relève sans aucun doute de la manipulation, du mensonge, obligeant la bipolarisation du fait. Les « pour » la politique du gouvernement, les « gentils » et les « contre », qui sont donc des « méchants ».

C’est finalement aussi simple à comprendre qu’un film de Disney.

M. Macron n’a pas affirmé en revanche que nous étions en « guerre contre la Russie », car pour le coup c’eut été factuellement la 3e guerre mondiale. C’est d’autant plus cocasse que la France a déclaré la guerre à la Russie en armant l’Ukraine, en la finançant et en mettant en œuvre des « sanctions » (mieux vaut en rire) contre la Russie. Nous agissons comme si nous étions en guerre, mais ne pouvons pas le verbaliser sans déclencher un conflit mondial.

Dans une « guerre », il y a uniquement des « patriotes » et des « traîtres »,
point de neutralité possible, point de débat, point de compromis.

  • Être contre les mesures dictatoriales inédites dans l’histoire de France mises en œuvre pour la plandémie Covid fait de tout un chacun, un complotiste et un traître, un ennemi de la France et de son peuple ainsi qu’un assassin potentiel de grands-parents comme cela a été affirmé maintes fois avec le concours de la « science ».
  • Être contre les mesures dictatoriales présentes et futures pour lutter contre « le réchauffement climatique » fait de tout un chacun un complotiste et un traître, un ennemi de la France, de l’ensemble des humains de la planète et même de toute vie terrestre avec le concours de la « science ». Tout est dans la « finesse » comme vous pouvez le voir.
  • Être contre les mesures prises pour lutter contre « l’odieux Poutine » fait de tout un chacun un traître, un ennemi de la France, de son peuple, mais aussi un ennemi des libertés et de la démocratie avec le concours des « experts ».

Nous vivons dans les années 50 en plein Maccarthysme !

Dès lors que l’on parle de guerre, dès lors que l’on introduit la notion de « vérité gouvernementale », toute nuance et toute Vérité objective devient de fait interdite et condamnable.

La simple désignation de l’ennemi («virus », climat, Russie, etc.) est de nature suffisante
à avoir la CERTITUDE que vous ne pourrez plus disposer
d’une information honnête ni d’une liberté d’expression.

Donc quand Macron nous dit « Nous sommes en guerre », vous SAVEZ que vous pouvez arrêter votre télé et que 100 % (je dis bien 100 % et non 99 %) de « l’information » que vous recevrez sur ces sujets sera un mensonge ou à minima une interprétation de la vérité !

L’information multiple

Certains (naïfs ou voulant faire l’autruche…) peuvent croire que nous vivons dans un monde où nous croulons sous l’information.

Dans les faits c’est exactement le contraire.

L’information mondiale (occidentale) mainstream dispose de 3 sources :

  • United Press (USA).
  • Reuters (Allemagne ou Royaume-Uni).
  • AFP (France).

Une écrasante majorité de journaux se contente de faire un simple copier-coller de « l’information » sans la moindre contre-enquête, critique, commentaire, questionnement ou interprétation négative.

Que vous achetiez l’Humanité, Libération, le Monde, le Figaro, Valeurs actuelles (pour ne citer qu’eux) vous ne constaterez aucune divergence de fond concernant ces 3 thèmes où « nous sommes en guerre »,

Ce fait devrait aussi être de nature suffisante pour vous convaincre que vous ne recevez pas de « l’information », mais de la « propagande » dès lors que la source est unique et totalement orientée sur un seul modèle.

C’est d’autant plus vrai que vous ne verrez pas dans la presse occidentale une information venant des agences de presse russes (Itar Tass ou Ria Novosti) ou chinoises (Xinhua) hormis dans les cas où cette information pourrait servir à les disqualifier.

L’interdiction de la chaîne RT (Russia Today) est à mettre au crédit de la thèse du « Ministère de la Vérité » et de la propagande.

Le « pluralisme » doit s’arrêter aux frontières
de ce qui est admis comme vrai par la France et les Occidentaux.

Il est du devoir de l’État de « protéger » le peuple fragile et manipulable afin d’éviter qu’il ne soit « contaminé ».

La censure est présentée comme un outil de défense de la démocratie ET de la liberté d’expression.
« Si nous laissons les extrémistes (les contradicteurs) s’exprimer,
cela conduira à la dictature et donc à la suppression de la liberté d’expression.
Il faut donc la limiter pour la préserver ». CQFD !

Je n’ai pas entendu l’ensemble de la presse française s’indigner lors de la fermeture de RT. C’est plutôt le contraire auquel nous avons assisté hormis quelques déclarations timides, histoire de faire croire qu’il existait encore un semblant de liberté d’expression en France.

J’entends déjà les aveuglés du système dire que la liberté existe en France, une preuve étant que je peux écrire et diffuser ce texte. Autorisé « oui », mais uniquement dans un cercle le plus restreint possible. Il ne sera JAMAIS repris et diffusé dans les médias mainstream ou uniquement pour le fact-checker et disqualifier l’auteur sans démontrer quoique ce soit.

Pourquoi ne tuent-ils pas Facebook, Twitter et compagnie ?

Ces réseaux sociaux font peur de toute évidence. Et c’est bien pour cela que de nouvelles lois permettant plus de censure voient le jour.

Les organes de « vérification de l’information » qui ont fleuri sont des outils afin de « protéger » les crétins que nous sommes qui pourraient croire une vérité autre que celle qui nous vient d’en haut comme une bouillie prémâchée.

Sans compter les hordes de trolls grassement payés par des officines gouvernementales pour répandre la « vérité » sur les réseaux sociaux, dénoncer et censurer les déviants. Plus vous risquez de toucher un plus grand nombre et plus vos comptes seront définitivement fermés. Dans « ce monde merveilleux de la censure pour le bien commun », les médias se sont réjouis de voir le compte d’un Président des USA élu démocratiquement censuré puis définitivement fermé !

Alors, pourquoi ne pas interdire simplement les réseaux sociaux ?

En premier lieu parce que cela se verrait un peu trop. On veut bien adopter les pratiques d’une dictature à la chinoise avec contrôle total de la population, mais il faut que cela reste quand même discret. Je vous rappelle que nous sommes les « démocrates » et les « gentils » et ce que nous produisons comme répression de la liberté d’expression est uniquement pour le bien de tous.

Dans les dictatures, ils peuvent faire exactement la même chose, mais « contre le peuple », les pourritures, alors que nous c’est « pour le peuple » !

Ce n’est quand même pas si difficile de comprendre, non ?

Si les réseaux sociaux ne sont pas fermés (on sait le faire avec l’exemple de RT), c’est qu’ils permettent de répertorier facilement les leaders d’opinion (les « antifrançais, les déviants »).

Mais aussi qu’ils permettent de toucher et « d’informer » (ou manipuler selon le point de vue) tous celles et ceux qui ont délaissé les médias classiques.

Selon le site presse-citron.net2, 33 % des jeunes utiliseraient TikTok3 pour s’informer.

Et de préciser :

« … près de 20 % de vidéos contenaient de fausses informations. Concrètement, lorsque les utilisateurs effectuent des recherches sur des thèmes du moment tels que la guerre en Ukraine, les fusillades dans les écoles américaines, ou les vaccins contre le covid, ils tombent sur des informations erronées et/ou trompeuses »

Une information « erronée » ou « trompeuse » étant bien sûr une information non disponible sur les médias mainstream, car contraire à la doxa.

« Les experts ont parlé, la science a parlé, il y a consensus », donc taisez-vous !

Il est donc indispensable que nos gouvernements œuvrent pour « ré-informer » tous ces jeunes manipulés et manipulables.

Pas uniquement des corrompus

Nous pouvons constater que ceux qui délivrent une information conforme à la doxa ne sont pas forcément conscients ou corrompus.

Il y a ceux qui savent ou qui soupçonnent délivrer une information assez éloignée de la vérité, mais qui n’ont pas le courage d’ouvrir leur gueule de peur d’être « démissionnés ». Souhaitons qu’ils soient rattrapés un jour par leur conscience ou la justice des hommes.

Restent les journalistes de « bonne foi », mais qui ont totalement oublié leur métier.

À force d’entendre et répéter la même histoire, histoire qu’ils peuvent croire issue de sources différentes alors même que l’AFP est leur unique source « d’informations », ils peuvent finir par croire que l’opinion est partagée, le fameux « consensus » qui nous a été répété durant la crise Covid. Pour le climat, les journalistes disent toujours « tous les scientifiques sont d’accord pour dire » ce qui est un mensonge et une manipulation des masses.

De plus, dès lors qu’il n’y a aucune place pour la contradiction, que cette opposition s’apparente à une forme de traîtrise allant à l’encontre de l’intérêt du pays, il est difficile de se remettre en question. Tout naturellement on invite sur les plateaux les « bonnes » personnes. Si l’on ajoute enfin le fait que cela fait 30 ans que son métier de journalisme se borne à être un passeur de messages, la remise en question n’en serait que plus violente.

La vérité n’existerait pas, quid du fait ?

Même s’il peut y avoir une forte propension à vouloir nier le fait qui irait à l’encontre du récit national, il n’en demeure pas moins vrai qu’il finit tôt ou tard par apparaître ou vous péter à la gueule.

Dans le cadre du Covid on pourrait par exemple tenter de nier une surmortalité depuis l’avènement des injections, mais cela ne peut durer éternellement. Le fait sera ainsi confirmé, mais il y aura alors différentes interprétations quant aux causes.

Pour les uns, il ne fera aucun doute que la cause en est le Covid ou le réchauffement climatique avec les chaleurs de l’été (y compris en Islande). Quant aux autres, ils attribueront l’augmentation au fait que cette surmortalité n’était pas présente avant les injections ou qu’elle ne se voit pas dans les franges de la population non vaccinée ou dans les pays qui ont pas ou peu injecté.

On pourrait voir les mêmes causes ou effets concernant l’Ukraine et Nordstream :

D’aucuns pourront nier dans un premier temps que le gazoduc a fait l’objet d’un sabotage, mettant en avant la thèse de l’accident pour être finalement obligés de reconnaître qu’il y avait bien sabotage. Le fait étant admis, on se concentrera alors sur son interprétation.

Quand un Président ukrainien mis en place par l’administration américaine, qui plus est mauvais acteur jouant du piano avec sa bite dans un talk-show, corrompu, probablement accroc à la cocaïne, qui donne des médailles à d’anciens nazis, demande aux Américains de faire des frappes nucléaires (il suffit de l’écouter mot pour mot) préventives sur la Russie (tout ceci est factuel et donc « complotiste ») puis annonce que les Russes ont « encore » provoqué un crime contre l’humanité en Ukraine que se passe-t-il ?

Les « journalistes » occidentaux :

  • Vont-ils chercher à confirmer, à croiser l’information ?
  • Vont-ils enquêter personnellement sur place ?
  • Vont-ils contre-enquêter pour identifier les vrais auteurs si les faits sont avérés ?
  • Vont-ils s’assurer qu’il ne s’agit pas d’une attaque sous faux drapeau ?
  • Vont-ils prendre en compte la crédibilité du déclarant et son passif ?
  • Vont-ils rectifier l’information et souligner alors le mensonge de Zelensky ?

Absolument pas ! Ils vont présenter cette déclaration comme une information fiable, un fait avéré indiscutable !

Attendez, j’en ai une bonne pour celles et ceux qui douteraient de l’horreur de Poutine. Voici ce qui est repris de nos jours par l’AFP comme « vérité ».

Je cite :

« Un responsable de l’ONU a affirmé que la Russie utilisait le viol comme « stratégie militaire » en Ukraine — fournissant aux soldats de la drogue pour agresser sexuellement des civils.

« Quand vous entendez des femmes témoigner sur des soldats russes équipés de Viagra, c’est clairement une stratégie militaire », a déclaré à l’AFP Pramila Patten, représentante spéciale de l’ONU sur les violences sexuelles dans les conflits4 »

(Pour le coup je vous mets le lien, vous risqueriez de ne pas me croire.

Vous noterez que le soldat russe, incompétent et non motivé comme il se doit, enrôlé de force dans une guerre qui n’est pas la sienne, sans chaussettes5, a aussi la malchance de « bander mou ». Autant la logistique ne suit pas pour la nourriture ou l’essence, mais pour le viagra aucun problème !

En revanche le soldat ukrainien ne viole pas lui, quand bien même il aurait une croix gammée tatouée sur le torse et qu’il aurait dit que les russophones étaient des sous-hommes à exterminer.)

Je ne sais pas si l’information sur le Viagra a été reprise sur LCI, mais cela ne m’étonnerait guère.
(Je suis encore naïf l’information a bien été reprise6.)
Ils seraient capables d’en faire des heures sur la monstruosité du régime sans avoir procédé à la moindre enquête.

« Moi j’ai entendu dire que Giorgia Meloni, élue « post-fascite » mangeait des enfants ! » Devrais-je passer cette « information crédible » à l’AFP afin qu’elle la relaye ?

Il faut dire qu’il y a encore quelques semaines, voulant dénoncer la propagande pro-russe qui annonçait qu’il y avait des manifestations contre la dictature et la vie chère en France, LCI avait « rectifié » la « propagande russe » affirmant en direct à l’antenne qu’il n’y avait AUCUNE manifestation ce samedi à Paris ! Les gars incapables de vérifier s’il y a des manifestants à 500 mètres de chez eux ! Et lorsque leur mensonge a explosé à leur gueule, nous avons eu droit à une petite excuse de 30 secondes puis ils ont expliqué, nouveau mensonge à l’appui, que c’était une manifestation contre le passe-sanitaire et non l’inflation.

Toujours rajouter du mensonge par-dessus du mensonge
même ou surtout lorsque l’on est pris en plein flagrant délit.

Qui peut encore croire au journalisme ?

Un travail « sélectif »

L’objet du journalisme n’est plus la recherche de la Vérité, mais une sélection d’informations qui visent à nourrir la thèse autorisée. Ils auront une « légère tendance » à ignorer les informations qui défendraient la thèse inverse.

Prenons quelques exemples :

Au mois d’août 2021, j’étais présent pendant les manifestations contre le passe-sanitaire à Toulon.

De mémoire de Toulonnais, il n’y avait jamais eu autant de personnes dans la rue. Pas un mot dans les médias locaux comme France 3 ou BFM Toulon, pas même la présence de journalistes.

En revanche, pour une manifestation de chauffeurs de taxi avec une dizaine de participants, ils sont là. Il y a donc une volonté affichée de ne PAS rapporter les faits et de manipuler les téléspectateurs.

Quid du scandale du Lancet ?

Le Lancet qui est censé être une publication scientifique médicale honorable, une des plus grandes de la planète, publie une étude sur l’inefficacité et la dangerosité de l’hydroxychloroquine. Les médias s’emparent de l’affaire et en font les gros titres, le gouvernement utilise alors cette « étude » pour faire interdire cette molécule qui était en vente libre depuis des dizaines d’années.

Des scientifiques (pardon des « complotistes ») s’emparent du sujet et amènent la preuve que cette étude n’en est pas une, mais un FAUX. Pesez mes mots, le Lancet laisse publier un FAUX grossier. Au point qu’ils n’ont de choix que de faire amende honorable et la retirer (à ma connaissance les auteurs n’ont pas été poursuivis ou condamnés).

Les médias se sont-ils emparés du sujet pour crier au scandale pendant des semaines ? Non !
Ont-ils entamé une réflexion, invité d’autres intervenants que ceux qui crachaient sur la molécule ? Non !
Ils ont continué à inviter les mêmes comme des Karine Lacombe, ayant des conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique et faisant la promotion d’une molécule concurrente inefficace dont la toxicité était avérée.

Hier j’ai pu voir en live sur BFM le soin qui était mis pour ne pas écorcher la propagande :

Interrogée sur l’évacuation de civils par les Russes en Ukraine (Kherson), la journaliste explique que les Russes reculent, ce qui est conforme au récit, les Russes ne pouvant gagner cette guerre ! J’imagine que la suite aurait été de dire « pourritures de Russes qui évacuent les civils pour raser la ville ! » Et voilà que cette journaliste, inconsciente de son erreur, annonce que les « ukrainiens tirent sur les infrastructures (là c’est OK) et sur les hôpitaux » ! Écran noir instantané, elle n’a même pas eu le temps de prononcer une syllabe de plus.

Nous avons ici encore les faits et l’interprétation des faits.

Les faits :

  • La journaliste n’avait pas terminé ses propos, avait de toute évidence d’autres informations à fournir et n’a pas pu poursuivre.
  • Il n’y a pas que « l’immonde poutine » qui ciblerait les civils, mais aussi les « gentils ukrainiens » qui bombardent sciemment d’autres Ukrainiens, qui plus est malades ou blessés.

L’interprétation du fait :

  • Les aveuglés pourraient parler « d’accident », que la coupure ne prouve pas l’intention.
  • À ceux-ci je répondrais que tous ceux qui racontent une histoire différente (comme Anne-Laure Bonnel) sont interdits d’antenne. Mais aussi que cette synchronisation est étrange. Enfin que le journaliste sur le plateau soit immédiatement passé au sujet suivant sans dire : « Oh mince on a perdu notre correspondante, on va essayer de la contacter ». ni : « Vous avez entendu ce qu’elle vient de dire, un truc énorme, les Ukrainiens bombardent sciemment leurs propres civiles ».
    (Information inédite pour les journalistes, mais pas pour ceux qui ont accès à l’information sur l’Ukraine.)
  • Strictement RIEN de la sorte, on passe vite fait à un autre sujet qui n’a rien à voir. Et quand bien même ils reviendront ou reviendraient sur le sujet, ils s’arrangeraient pour que cette réalité de bombardements ukrainiens contre des Ukrainiens soit la faute aux Russes. Russes qui, s’ils avaient fait cela, seraient menacés une fois de plus de sanctions pour crime contre l’humanité.

Tout ceci prouve que l’objet du journalisme n’est pas de rechercher la vérité, mais de faire le passeur d’assiettes, de raconter un récit qui lui a été dicté. Il doit tout faire pour rendre le discours crédible quitte à faire du révisionnisme historique et accuser l’adversaire de faire ce qu’il pratique tous les jours.

Si la vérité n’existe pas, quid de l’interprétation ?

Nous assistons de plus en plus à un effacement du fait au profit de l’interprétation comme cité dans les exemples précédents.

C’est ainsi que Poutine :

  • « Après avoir bombardé la centrale nucléaire qu’il contrôle7 »
  • « Après avoir détruit son propre gazoduc. »
  • « Après avoir fait exploser le seul pont qui existe entre la Russie et la Crimée. »

Les journalistes, à bout d’arguments un peu logiques pouvant justifier le geste, déduiront que l’individu est un malade mental ou qu’il a fait cela pour faire accuser les gentils (nous) qui ne sont pas tombés dans le panneau !

On en est là, sur l’interprétation des faits !

Nous sommes entrés dans une ère où la vérité ne se démontre plus, mais s’interprète,
une ère dans laquelle l’affirmation s’autosuffit.

Les exemples sont légion pour le Covid où les « vérificateurs de l’information » nous ont dit la vérité en allant interroger des experts en accord avec eux-mêmes ?

« Est-il vrai que le vaccin ne protège pas de la contamination comme l’affirment les complotistes ? »
« Nous sommes allés interroger le docteur machin, expert reconnu (mais aussi payé par l’industrie) qui a affirmé que c’est faux. »
« Le vaccin divise par 12 le risque de contamination8. »
« Nous avons donc la preuve que le vaccin protège des contaminations »

À aucun moment le journaliste ne va poser la question des sources ou des hypothèses qui permettent à l’expert d’arriver à ces conclusions.

Nous, ceux qui désiraient savoir, savions que c’était un mensonge. Nous savions que Pfizer n’avait pas étudié la protection. Cela a été confirmé il y a quelques jours par le laboratoire lui-même devant la Commission européenne. [Voir Maintenant qu’il est enfin reconnu officiellement que les vaxins anticovid n’empêchent pas la transmission, quelles sont les suites possibles ?]
La réalité du mensonge est devenue médiatique, mais pour autant on s’en fout !

« Tous vaccinés tous protégés ? ».

Le passe-sanitaire a été mis en place sur une escroquerie connue de tous y compris de Véran. Le Conseil d’État9 a publié le 2 avril 2021 une décision (avec les données fournies par M. Véran) précisant :

« Les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contribuer à sa diffusion. »

Aujourd’hui, proportionnellement, il y a officiellement plus de cas, plus d’hospitalisés et plus de morts du Covid parmi les vaccinés que les non-vaccinés, n’en déplaise aux covidistes.

Et n’en déplaise au covidistes, un vaccin « efficace » n’est pas censé provoquer de nombreux morts de la maladie parmi les vaccinés (je ne parle pas des effets secondaires).

Et sauf bug de ma mémoire, je rappelle aussi à celles et ceux qui veulent l’ignorer que dans l’étude Pfizer qui a permis la commercialisation des injections, il y avait moins de malades du Covid dans le groupe des vaccinés, mais qu’il y avait plus de morts (toutes causes) dans ce même groupe que dans le groupe témoin10.

Pour le sabotage du gazoduc, ça va être pareil :

« Les USA ont-ils saboté le gazoduc ? »

« Nous sommes allés interroger le gouvernement US qui a dit que ce n’était pas lui ».
(Même s’ils avaient dit qu’il n’y aurait jamais de Nordstream 2, qu’ils en ont la capacité technique, qu’ils ont déjà saboté des pipelines russes par le passé.)
« Donc ce n’est certainement pas les USA, mais probablement Poutine qui a oublié qu’il pouvait fermer le robinet. »

Ici encore le journaliste ne demandera pas à l’expert les éléments ou les sources lui permettant de parvenir à sa conclusion.

Faire une enquête !

Cela peut sembler fou, mais il existerait une solution bien étrange pour parvenir à la vérité, enquêter !

Il y a plusieurs façons de résoudre une énigme :

  • Le faisceau d’indices concordants.
  • Les preuves matérielles.
  • Les témoins.
  • Les menteurs.
  • À qui profite le crime ?

Toutes ces méthodes sont balayées par la foi « nous pensons que » et « si tout le monde pense la même chose c’est que c’est vrai ».

Celui qui pense autrement est « sénile », « fou », « déviant », « illuminé », « complotiste », « traître »
et quand cela ne suffit pas il est « d’extrême droite et antisémite ».
C’est l’argument journalistique choc et généralement unique,
utilisé pour « démontrer » que l’autre a tort
et qu’il ne faut surtout pas l’entendre et débattre.
L’enquête s’arrêtera là où l’on demandera à un « expert » de confirmer cette « réalité ».

Alors que c’est le b-a-ba du journalisme.

Écouter, ne pas rejeter, aucun a priori, enquêter à charge et à décharge,
puis informer objectivement sans prendre parti.

Le « déviant » sera bien entendu accusé d’être contre les droits de l’homme ou la démocratie.

Droits de l’homme et démocratie qui ont promu le confinement et un apartheid contre les non-vaccinés avec la bénédiction du Conseil Constitutionnel ou de la Cour européenne des droits de l’homme. Imaginez un pays ennemi qui aurait fait de même, c’eût été le tollé médiatique et le concert des vierges effarouchées pendant des mois.

Enquêter ne semble plus exister

Pourtant l’on sait aujourd’hui (mais pas sur l’instant du fait de l’absence de journalistes) que les USA avaient sciemment menti sur les armes de destructions massives ou les prétendus bébés koweïtiens arrachés des couveuses par les barbares de Saddam Hussein. Nous savons aussi que les USA auraient dû être condamnés moult fois pour crime contre l’humanité comme, par exemple, l’autoroute de la mort11 en Irak avec 80 km de voitures calcinées avec femmes et enfants cherchant à fuir la guerre.

Nous savions en 2015 que l’État ukrainien était gangrené par des nazis12, nous savions qu’il tuait sciemment les civils ukrainiens russophones dans le Donbass13, que les Russes étaient considérés comme des sous-hommes. Ne comptez pas sur moi pour vous mettre de multiples références, il suffit de 5 minutes de recherche sur Internet pour trouver les articles de journaux mainstream qui sont devenus amnésiques. Vous pouvez aussi lire mes innombrables textes consacrés à ces sujets.

Nous savons aussi que Pfizer est multirécidiviste dans la falsification de données, la corruption de scientifiques et de médecins et qu’il a été condamné à des milliards de dollars d’amende ou de transaction pour éviter les procès.

Et cela n’empêche pas de faire du révisionnisme et d’affirmer que « Poutine est le méchant », les « USA les gentils » comme « Pfizer est un gentil qui a sauvé des millions de personnes grâce à son injection expérimentale ».

Je ne prétends pas que Poutine est le gentil, mais il est peu probable qu’il soit plus pourri que les USA.

Et si vous ne me ferez pas dire que la Russie est une démocratie, soyez bien convaincus que je dirais que la France n’en est pas une non plus.

La vérité n’est plus issue d’un travail d’enquête,
mais uniquement d’une conviction basée sur la doxa du moment.

Vérité impossible, faits impossibles ?

Tout dépend si l’on se pose la question d’un point de vue pratique ou théorique.

Pratiquement la vérité est quasi impossible à obtenir pour les raisons citées précédemment. D’une part parce qu’elle pourrait être en contradiction ou en opposition avec le discours officiel (basé sur la « science » ou les « experts »), une forme de « traîtrise » et de l’autre parce que les vainqueurs écrivent l’histoire et les mythes.

Aucun travail objectif ne saurait remettre en doute le récit historique de notre pays ou de la planète !

  • Les USA ont-ils provoqué la première ou la Deuxième Guerre mondiale ?
  • Le 11 septembre était-il une attaque terroriste ?
  • Pétain a-t-il sauvé des juifs ? De Gaule était-il un saint ? (c’est théorique, là j’aurais peur du procès.)
  • Gandhi était-il un héros de la paix ou est-ce un mythe ?
  • Pasteur était-il un escroc ? Les vaccins sont-ils efficaces ?
  • Etc.

Poser sereinement ces questions frise le ridicule, vous en conviendrez…

Je ne dis pas que les interrogations précédentes sont fondées (pas folle la guêpe), mais une enquête dont les conclusions seraient diamétralement opposées à la « vérité » ne saurait aboutir et se répandre.

Si d’aventure [elle le faisait], une campagne de dénonciation, de dénigrement, voire même de procès, se mettrait en branle quand bien même les conclusions seraient historiquement et factuellement exactes.

Le fait est que la Vérité est INTERDITE,
car elle ne saurait déroger aux mythes ou à des intérêts politiques ou financiers.

Vérité sur un plan théorique

Prenons l’exemple du gazoduc russe.

Pourrait-on arriver à une (quasi) certitude concernant l’origine du sabotage ?

  • Sur un plan théorique : Pourquoi Poutine aurait-il saboté son propre gazoduc alors que :
    • Il a coûté des milliards de dollars.
    • Il en a construit un deuxième malgré les oppositions des USA.
    • Il se priverait d’un moyen de chantage.
    • Il se priverait d’une manne financière importante.
    • Il pourrait mettre en concurrence des pays demandeurs (exemples : Allemagne et Chine) et donc faire monter les enchères. En multipliant les clients, on augmente sa sécurité.
    • Il avait la possibilité et il avait déjà fait usage de ce moyen de chantage en ouvrant ou fermant tout simplement le robinet.
    • Il a depuis proposé aux Européens d’avoir du gaz via la Turquie.
    • Il vend du gaz liquéfié aux Européens.

La seule hypothèse serait sa « folie » d’un point de vue psychiatrique où la volonté de rendre coupable les USA, mais en sciant la branche sur laquelle il est assis, ce qui relèverait aussi de la psychiatrie.

  • Sur un même plan théorique : Pourquoi Biden aurait-il saboté les pipelines ?
    • Parce que son administration et lui-même l’avaient promis.
    • Parce que les USA n’en sont pas à leur coup d’essai en matière de sabotage de pipeline russe.
    • Parce que des explosifs avaient déjà été trouvés par les Suédois en 2015.
    • Parce que cela contraint les Allemands d’acheter du gaz américain 4 fois plus cher (et tellement plus polluant).
    • Parce que cela « libère » les Allemands de leur dépendance à la Russie.
    • Parce que cela augmente leur dépendance à l’OTAN et aux USA.
    • Parce que la guerre froide n’est pas terminée et que les États-Unis veulent détruire la Russie.La seule hypothèse contre serait que cela pourrait conduire à la 3e guerre mondiale.
  • Sur un plan technologique :
    Il est facile d’enquêter sur les capacités techniques de la Russie à mener à bien l’opération. Les Américains ont la technologie, c’est certain. Quant aux Russes, c’est moins sûr et d’autant plus que l’Occident les décrit aux abois depuis des mois.
  • Sur la faisabilité :
    C’est une des zones les plus surveillées de la planète. Capteurs sous-marins, capteurs thermiques, sous-marins, bateaux de reconnaissance, radars, avions, hélicoptères, drones, etc.
    Il est virtuellement impossible que les Russes puissent entreprendre une telle opération (longue à mettre en œuvre) sans que les alliés s’en rendent compte ni éveiller les soupçons.
  • Sur l’analyse factuelle :
    Les Américains se sont livrés à ce type d’exercice de sabotage de gazoducs.
    Des hélicoptères américains ont survolé le pipeline ces derniers mois.
    Il y a eu des exercices militaires des Américains dans la zone.
    Ils se sont arrêtés aux points des explosions.
  • Sur les preuves :
    Une telle opération nécessite de puissants moyens matériels et une coordination de nombreux participants.
    Il n’est pas possible de mener à bien ce sabotage sans des ordres venus de haut, et donc impossible que ce soit une initiative personnelle.
    Dans l’hypothèse d’une action américaine, l’ordre n’aurait pu venir que de la CIA ou de la maison blanche.
    Dès lors il y a de très nombreux témoins, de très nombreux échanges de mails entre les intervenants.
    Cela veut dire que des enquêteurs ou des journalistes qui s’en donnent les moyens peuvent parvenir à assembler suffisamment de preuves, de faits, pour identifier le ou les coupables.
    Si les Occidentaux avaient des preuves solides sur la culpabilité russe, ils ne se priveraient pas de les communiquer au public.

Ceci pour dire que l’on peut savoir avec certitude (et non de simples affirmations gratuites ou hypothèses) qui a mandaté le sabotage. Ce n’est qu’une question de volonté.

Le fait que les pays qui ont mené leur enquête n’arrivent qu’à la conclusion que c’est un sabotage sans citer le nom des coupables. Qu’il l’ont mené séparément et non conjointement et que les Russes étaient interdits d’enquête, constitue un faisceau de présomption de plus en défaveur des américains.

Même quand la vérité explose, elle est niée

C’est encore comme pour le Covid, si on n’enquête pas à charge et à décharge, si l’on fabrique des vérités uniquement à coup d’affirmations, c’est une façon d’avouer que l’on ne cherche pas la Vérité, mais à manipuler l’opinion.

Comme le triple mensonge de l’asymptomatique positif potentiellement tueur de grand-mère, de la prétendue absence de traitements, mais surtout de la protection des non-vaccinés par les vaccinés qui est une manipulation programmée. Sans ce mensonge hier dénigré, mais aujourd’hui reconnu par les vérificateurs de l’information, il n’y aurait JAMAIS eu de vaccination obligatoire pour les soignants et assimilés ni le passe vaccinal.

Les journalistes présentent-ils massivement des excuses ?
Les médecins présentent-ils des excuses ?
Les politiques présentent-ils des excuses ?
Les soignants suspendus qui n’ont pas fait de faux passe, comme leurs collègues, sont-ils réintégrés ?
Non.
Il est désormais officiel que la vaccination ne protège pas ni les vaccinés ni les non-vaccinés et pourtant l’obligation vaccinale demeure.

Pourquoi ?
Pour les punir, pour bien montrer à tous les autres lâches ce qui arrive quand on désobéit et quand on ouvre sa gueule !

Il n’y a RIEN de sanitaire dans ces décisions uniquement politiques. Nous voyons donc que lorsqu’une vérité connue et cachée au peuple depuis le début vous éclate à la gueule alors on la cache sous un tapis.

Le plus extraordinaire est que l’on pourrait aussi s’excuser auprès de ceux que l’on nomme complotistes. Ces mêmes médias sont encore en train de les accuser de travestir la vérité, allant même jusqu’à dire « non non on a jamais dit que ça empêchait les transmissions ».

Même pris la main dans le sac d’une petite vieille, ils continuent à mentir !

Les journalistes ne sont plus des diseurs de vérité,
ils ne sont même plus des camoufleurs,
ils sont devenus sciemment des fabricants de mensonges.

Pour résumer

Nous vivons dans :

  • Un monde dans lequel l’affirmation d’un animateur vaut plus que celle d’un scientifique qui base ses conclusions sur des études.
  • Un monde dans lequel on ne demande pas à un « spécialiste » (alors que c’est obligatoire) les conflits d’intérêt qu’il pourrait avoir avec le gouvernement ou l’industrie pharmaceutique.
  • Un monde dans lequel on ne demande pas à un témoin d’où vient sa source et si elle est crédible.
  • Un monde dans lequel on se contente de lire les conclusions d’une étude quand bien même l’étude dirait le contraire.
  • Un monde dans lequel on accuse l’ennemi de réécrire l’histoire alors même que l’on écrivait le contraire quelques années auparavant.
  • Un monde dans lequel les détracteurs sont qualifiés d’illuminés, de complotistes et j’en passe.
  • Un monde dans lequel on cherche à faire croire à l’opinion publique que les opposants sont marginaux, ultra-minoritaires alors qu’ils sont juste privés de parole.
  • Un monde dans lequel les « erreurs de casting » entraînent le bannissement. Régulièrement un invité dit le contraire du discours officiel et n’est plus jamais réinvité.
  • Un monde dans lequel les journalistes ne vérifient jamais l’information qui les arrange.
  • Un monde dans lequel les journalistes affirment que tel ou tel n’a pas le droit d’affirmer une opinion contraire à la doxa, sortant de leur rôle de journaliste, de témoin.
  • Un monde dans lequel un journaliste de terrain qui a passé des années au Donbass est qualifié de pro-russe ou pro-poutine dès lors que son discours est en opposition au discours officiel,
  • Un monde dans lequel la parole d’un journaliste de plateau a plus de valeur que celui de terrain.
  • Un monde dans lequel les journalistes cachent sciemment des faits dont ils ont connaissance.
  • Un monde qui ne recherche absolument pas la vérité.
  • Un monde qui cache la vérité.
  • Un monde qui fabrique une vérité alternative conforme au discours officiel.

Merci.

Alain Tortosa14
20 octobre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221020-verite-faits-journalistes.pdf





De la déshumanisation à la soumission : l’horreur du massacre de Lola qu’il faudrait taire, comme celles d’autres victimes, dont celles de l’injection forcée, si vite oubliées

[photo :
Bouquet de fleurs et message de condoléances à la famille :
« Repose en paix Lola, courage pour la famille »,
le 17 octobre 2022, devant l’immeuble à Paris 19e où vivait Lola, 12 ans,
trois jours après la découverte de son corps dans une malle. © AFP]

Par Nicole Delépine

Pour Lola et tous ces enfants morts de la déliquescence de notre société disloquée, chaotique1

ET L’INSULTE MÉDIATIQUE INSUPPORTABLE À CES MORTS2 3: « FAUT-IL EN PARLER ? »

En hommage à Lola monstrueusement assassinée et considérée comme objet abandonné dans une valise, tentons de protéger les enfants partout dans le monde et singulièrement chez nous, de la sauvagerie qui se développe rapidement sous toutes ses formes, de la plus sanglante, à la maltraitance institutionnelle, soi-disant sanitaire (masques, tests PCR, etc.) et injections morbides et inefficaces anticovid menant parfois à la mort pour un pass ou une inscription au sport…

Les enfants ne sont pas des objets

Ce monde où les humains sont devenus cobayes, objets d’une expérience à échelle mondiale, où leurs vies comptent si peu dans l’inconscient collectif, qu’on peut retrouver une petite fille dans une valise sans que des millions de personnes se lèvent tout de suite en une immense procession silencieuse près de la rue Manin et du parc des Buttes Chaumont…

La violation d’un sanctuaire, l’enfance sacrée

Oui, je ne peux qu’associer la souffrance la plus extrême des parents de Lola à celles des parents de tous ces sacrifiés du covid, de la honteuse manipulation des peuples et de leur abominable soumission à la doxa de la tv et autres médias collabos jusqu’aux journaux féminins et télévisuels.

Ils nient l’horreur du supplice de Lola, la banalisent jusqu’à se demander « s’il faut en parler » et tentent de transformer son martyr en « faits divers ». Les mêmes nient aussi les conséquences tragiques des injections géniques quitte à discuter sur le nombre de décès déclaré par les agences… (En tout état de cause, un médicament préventif ne devrait pas en entraîner UN SEUL).

D’autres, dans le déni absolu de l’horreur indicible, tentent d’utiliser le martyr de Lola pour combattre des « ennemis politiques ». Mais le principal ennemi actuel n’est-il pas notre inconscience collective de la dégradation de notre société qui discoure des heures pour une gifle ou un ordre d’aller dans sa chambre à un enfant, et laissent évoluer la folie collective, nourrie chaque jour par les intégrismes de tout poil, l’islamisme, le covidisme, mais aussi les verts de plus en plus bruns silencieux tant pour Lola que pour les pseudovaccins tueurs.

Oui les tueurs sont dérangés psychiquement, mais a-t-on jamais vu un assassin « normal » ? La réticence trop répandue à honorer le martyr de Samuel Paty est une démonstration supplémentaire de la soumission à la déchéance sociale.

L’horreur indicible du meurtre subi par Lola est inimaginable et dire qu’on « comprend les parents » est une marque de compassion louable, mais à distance de la réalité tant c’est impossible. Les parents des enfants cancéreux que nous avons soigné sans toujours leur sauver la vie savent ce qu’est ce parcours cruel, ce long chemin qui leur enlève leur enfant et ne peuvent jamais oublier. Peuvent-ils même se reconstruire un jour dans le souvenir de l’enfant disparu et la certitude de l’avoir accompagné avec tout l’amour du monde ?

Comment les parents de Lola obligés de subir cette épreuve en une nuit pourront-ils revivre un jour, et de même les parents obéissants ayant fait injecter leur enfant ? Est-ce seulement envisageable ?

Que dire de plus que les autres « Humains » qui ont déjà rendu hommage à Lola, comment décrire l’indicible douleur à cette annonce et la difficulté, voire l’impossibilité de regarder la photo de cette magnifique petite fille privée de vie au seuil de son adolescence. Un dessin hommage de @bloglaurel (merci à vous Laurel). Nous manquons de mots devant l’indicible.

La soumission globale à l’ensauvagement général incorpore ces injections tueuses dans notre société malade. Chaque jour de nouveaux appels à stopper ce délire tueur4. Chaque jour de nouveaux appels à rétablir l’autorité et la sécurité.

Rappelons les décès de nombreux adolescents (sportifs pour un grand nombre) via quelques exemples récoltés sur Telegram. Ne les oublions pas, ces victimes d’une société soumise, aveugle, obéissante. Le massacre des innocents des sociétés anciennes nous sidère à nouveau.

UNE ÉPIDÉMIE DE COÏNCIDENCES CHEZ LES ENFANTS/ADOLESCENTS, [01/07/2022 23:47]5
CLASSIFICATION DU MODE DE DÉCÈS COMME NATUREL, ACCIDENTEL, HOMICIDE OU INDÉTERMINÉ

Comment pourrait-il y avoir entraves à enquête ?

« 1- Les tristes annonces des décès des enfants et adolescents sont publiées dans la rubrique « faits divers ».
2- La publication est rapidement archivée.
3- Le fact checker déclare l’absence de lien de causalité, sans enquête, sur le principe de l’opinion.
4- Des autopsies sont refusées si la mort de l’enfant semble de cause naturelle.
5- Production de Faux certificat de décès ou parcellaire.
6- La police pourrait porter des accusations criminelles dans les cas où elle croit qu’il y a eu un acte répréhensible, mais lorsqu’un enfant meurt dans des circonstances qui ne semblent pas être un homicide, il est extrêmement rare que cela se produise. En dehors du cadre de l’homicide il est rare qu’il y ait enquête.
7- Si un enquêteur décide tout de même de mener une enquête, il est sanctionné. »

https://www.cbc.ca/news/canada/ottawa/helen-grus-suspended-ottawa-police-vaccine-status-1.6398984

Donc, les enfants meurent tranquillement dans leur sommeil, sur le terrain ou de causes inconnues…. et personne ne cherchent !?6

UNE ÉPIDÉMIE DE COÏNCIDENCES CHEZ LES ENFANTS/ADOLESCENTS, [01/07/2022 23:54]

Groupe destiné à recenser les effets secondaires graves à très graves, médiatisés sur les enfants et adolescents :

15/05/2022 deux soignantes sauvent un nourrisson dans le TGV
https://www.letelegramme.fr/bretagne/deux-soignantes-sauvent-un-nourrisson-dans-le-tgv-entre-paris-et-brest-15-05-2022-13028256.php

16/05/2022 Une fillette de 15 mois décède
https://www.lavoixdunord.fr/1180165/article/2022-05-16/sebourg-helicoptere-intervient-enfant-decedee-220516

28/05/2022 Un adolescent en urgence absolue après un arrêt cardiaque
https://www.ladepeche.fr/2022/05/28/haute-garonne-un-adolescent-heliporte-en-urgence-absolue-apres-un-arret-cardiaque-10323544.php

29/05/2022 Une adolescente fait un malaise
https://www.ledauphine.com/faits-divers-justice/2022/05/29/l-adolescente-fait-un-malaise-lors-d-une-randonnee

02/06/22 Une collégienne de 12 ans dans un état grave après un malaise cardiaque à la piscine
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/arthez-de-bearn-une-collegienne-de-12-ans-dans-un-etat-grave-apres-un-malaise-cardiaque-a-la-piscine-1654184880

15/05/2022 une fillette manque de se noyer dans une piscine son père la ranime grâce aux pompiers
https://www.ledauphine.com/faits-divers-justice/2022/05/15/une-fillette-manque-de-se-noyer-dans-une-piscine-son-pere-la-ranime-grace-aux-pompiers

08/05/2022 Un enfant de 11 ans meurt d’une chute accidentelle
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/un-enfant-de-11-ans-meurt-d-une-chute-accidentelle-aux-martres-d-artiere-1651997543

30/04/2022 un adolescent de 15 ans décède après un malaise cardiaque lors d’un entraînement de foot https://www.vosgesmatin.fr/faits-divers-justice/2022/04/30/contrexeville-un-adolescent-de-15-ans-decede-des-suites-d-un-malaise-cardiaque-lors-d-un-entrainement-de-foot

09/10/2021 Un adolescent de 17 ans est décédé brutalement au cours d’une séance de sport.
https://www.dna.fr/faits-divers-justice/2021/10/09/un-lyceen-meurt-brutalement-durant-le-cours-de-sport

10/02/2022 Jakob Simard, 12 ans, doit la vie à la rapidité d’exécution d’un professeur d’éducation physique, à la présence d’un défibrillateur à la polyvalente des Quatre-Vents et à l’efficacité des ambulanciers.… https://www.letoiledulac.com/actualite/la-rapidite-dexecution-a-sauve-jakob/

20/01/2022 Un élève de 13 ans a été victime d’un malaise cardiaque,
https://www.ladepeche.fr/2022/01/20/montauban-lado-reanime-par-les-secours-en-plein-college-10058647.php

02/12/2021 La mort subite du jeune sportif de 13 ans
https://www.larepubliquedespyrenees.fr/pyrenees-atlantiques/pau/la-mort-subite-du-jeune-sportif-au-coeur-des-preoccupations-du-comite-64-de-rugby-7198956.php

05/05/2022 Près de Lyon : L’enfant de 11 ans, victime d’un malaise cardiaque mardi matin alors qu’il se trouvait à l’école, est décédé.
https://www.lyonmag.com/article/122795/pres-de-lyon-l-enfant-victime-d-un-malaise-cardiaque-a-l-ecole-est-decede

Des articles se retrouvent souvent dans la rubrique « faits divers », dans les journaux locaux et sont vite cachés dans les archives.

04/03/22 Une petite fille de 9 ans est morte ce vendredi matin dans la cour de récréation
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/nice-deces-d-une-fillette-de-9-ans-dans-la-cour-de-son-ecole-apres-un-malaise-cardiaque-1646393276

25/02/2022 Le bébé décédé à Troyes n’avait pas bu d’alcool et n’avait pas été secoué
https://www.20minutes.fr/faits_divers/3242235-20220225-troyes-non-ce-bebe-n-est-pas-decede-apres-avoir-absorbe-de-l-alcool-ou-ete-secoue

17/02/2022 Un adolescent se plaint de maux de tête, il meurt quelques heures après d’une hémorragie cérébrale
https://www.public.fr/News/Un-adolescent-se-plaint-de-maux-de-tete-il-meurt-quelques-heures-apres-d-une-hemorragie-cerebrale-1700012

11/02/22 Drame un adolescent de 16 ans est décédé après une chute à ski
https://www.lejsl.com/faits-divers-justice/2022/02/12/un-ado-decede-apres-une-chute-sur-une-piste-de-ski

12/02/2022 Doublement vacciné au Pfizer, décès d’un collégien de 16 ans sous respirateur artificiel
https://www.zinfos-moris.com/Covid-19-Doublement-vaccine-au-Pfizer-deces-d-un-collegien-de-16-ans-sous-respirateur-artificiel_a27915.html

05/11/2021 Un garçon de 16 ans fait un malaise cardiaque après le vaccin contre le Covid-19.
https://lopinion.com/articles/actualite/10480_toulouse-un-garcon-de-16-ans-fait-un-malaise-cardiaque-apres-le-vaccin-contre-le-covid-19

UN POINT COMMUN ENTRE LA TRAGÉDIE DE LOLA ET CES ENFANTS « MORTS DE COÏNCIDENCE » :
ILS NOUS EXPLIQUENT QU’IL NE FAUT PAS EN PARLER

ALORS, PARLONS-EN !





Robert Kagan, bourreau du monde libre

Dans le cadre des relations contre nature entre l’État sioniste et le régime ukro-nazi de Kiev, nous republions afin de mieux les dénoncer, eu égard au peuple juif, ce texte courageux et brillant du journaliste Jürgen Caïn Kulbel sur Robert Kagan, l’un des pires straussiens du Deep State états-unien. 

Ce groupuscule criminel, disciple du philosophe Léo Strauss, qui œuvre en sous-main depuis des années au sein des différentes composantes de l’État US (Pentagone, CIA, département d’État) a fini à force de manipulations et d’acharnement à prendre le pouvoir. Le Deep State, c’est eux. La volonté de détruire la Russie avec la guerre d’Ukraine, c’est aussi eux. La gouvernance mondiale, c’est encore eux.

À l’heure où la guerre en Ukraine fait rage, ce n’est pas un hasard si Blinken et Nuland, tous deux d’origine juive ukrainienne, sont là où ils sont dans l’organigramme US : ils sont aujourd’hui avec Robert Kagan (le mari de Nuland) et Paul Wolfowitz, les straussiens les plus fanatiques. Ils ont tous du sang sur les mains. La seule comparaison qui vient à l’esprit à leur égard, ce sont les SS. En effet, ces disciples du philosophe Léo Strauss, pour qui il valait mieux être Hitler que tomber dans ses mains, appliquent tous rigoureusement sa doctrine à la lettre : pour ne plus jamais être à nouveau des victimes, il vaut mieux devenir des bourreaux, faisant des straussiens l’incarnation du mal absolu.

La Rédaction.


[Source : voltairenet.org]

Les divagations de Robert Kagan

Jürgen Cain Külbel réagit aux propos de Robert Kagan selon qui l’expansionnisme serait inscrit dans l’ADN des États-Unis. Il rappelle que ce pays s’est construit sur le massacre des Indiens et que l’actuelle administration se réclame de philosophie post-fasciste de Leo Strauss.

Par Jürgen Cain Külbel

ROBERT KAGAN : « L’ESPRIT AMÉRICAIN FAIT PARTIE DE L’ADN DES ÉTATS-UNIS »

« Il nous est impossible de fermer la bouche des autres » dit un dicton japonais de ceux qui se vantent de tout savoir, ont la langue trop bien pendue, et se livrent à un verbiage stupide. Ce dicton s’applique fort bien à ces néoconservateurs qui feignent d’ignorer le monde, persistent dans leurs sottises malgré le déclin de George W. Bush et de ses Républicains, et continuent à publier leurs radotages dans les colonnes du Washington Post et leurs divagations intellectuelles dans la presse à sensation, comme le Weekly Standard. Ces néoconservateurs envoient des inepties dans l’esprit de leurs compatriotes et des habitants du globe, à travers les médias et avec l’aide de ces journaleux qui font partie du paysage de la presse néoconservatrice dans tous les pays du monde.

On a pu le voir dernièrement, de manière absurde, avec le publiciste états-unien Robert Kagan. Cet ancien membre du Carnegie Endowment for Peace [« La Fondation Carnegie pour la paix internationale », Réseau Voltaire, 25 août 2004.] publie une tribune mensuelle dans le Washington Post. Il a aussi travaillé, de 1984 à 1998, comme conseiller au Council on Foreign Relations(([1] « Comment le Conseil des relations étrangères détermine la diplomatie US », Réseau Voltaire, 25 juin 2004.)). Il a publié, le 16 octobre 2006, une analyse abominable dans la gazette New Republic sous le titre « Cowboy Nation ».(([2] Kagan, Robert : Cowboy Nation – The New Republic Online, October 16, 2006 ; http://www.carnegieendowment.org/publications/index.cfm?fa=view&id=18796&prog=zgp&proj=zusr))

Kagan, ce « connaisseur du monde », essaye d’expliquer la mainmise états-unienne sur le soleil, la lune et les étoiles, le pétrole, bref le monde. Il prétend que les USA ont, depuis leur création, suivi leurs penchants expansionnistes, impérialistes et évangéliques : 

« Depuis que le premier pèlerin a posé le pied sur le continent — il y a 400 ans — l’Amérique a été une puissance expansionniste et n’a cessé de l’être, et ce, sur le plan territorial, économique, culturel et géopolitique. Les États-Unis d’Amérique n’ont jamais été une puissance du statu quo, mais toujours une force révolutionnaire. Le besoin de s’ingérer dans les affaires des autres n’est ni un phénomène moderne ni une trahison de l’esprit américain. Il fait partie de l’ADN de l’Amérique. »

C’est le summum de l’arrogance ! Selon lui, « l’esprit américain » serait inscrit héréditairement dans l’ADN états-unien. Kagan, « le souffleur » de Bush serait-il devenu généticien, ou aurait-il acquis, contrairement à ses « collègues » scientifiques qui ne veulent absolument pas partager ses inepties, de nouvelles connaissances dans ce domaine des sciences modernes ? En aucun cas ! Celui qui pense que cet homme est mégalomane, ou fou à lier, ou simplement stupide parce qu’il voudrait convaincre ses compatriotes et quelques Européens par un mode de pensée simpliste se trompe gravement !

Le simplisme démagogique des fantaisies génétiques de Robert Kagan n’est pas un « faux pas ». Comme dans toute idéologie fasciste, les sottises de Kagan sont associées à des théories pseudo scientifiques racistes, sociales darwinistes, néo-malthusiennes, et autres piliers de soutien indispensables à la politique étrangère agressive de tels États. De nos jours, l’anti-islamisme poussé à l’extrême fournit les moyens d’une terreur effrénée contre toutes les forces progressistes. Déguisé sous des prétextes de « lutte contre le terrorisme international », de « démocratisation » des régions « incultes », « l’esprit de conquête américain » devrait en fait s’appeler, correctement traduit : « colonisation et soumission » au profit des trusts militaro-industriels et pour des raisons géostratégiques. Rien de nouveau : Hitler avait envoyé ses guerriers vers l’Est, soi-disant parce que « le peuple allemand manquait d’espace ». « Nous voulons chevaucher vers les pays de l’Est, » disait-on à l’époque, pour repousser la « marée asiatique ». Les grands consortiums étaient les gagnants.

« NOUS NE SOMMES PAS DES ÂMES PACIFIQUES »

Le rêveur impérialiste Kagan n’a pas eu peur non plus, dans sa récente philippique, de dénaturer l’histoire, pour faire croire au lecteur naïf que :

« des colonisateurs britanniques s’efforçaient d’exterminer presque tous les indigènes d’Amérique longtemps avant la fondation de l’État (USA). Les Américains se sont installés avec violence entre 1740 et 1820 et aussi vers 1840 jusqu’à l’extermination des Indiens et l’éviction de la France, de l’Espagne et de la Russie. Il serait extraordinaire de croire que les premiers Américains aient conquis tout le pays et le pouvoir sans vraiment le vouloir ».

Donc, ce sont les Britanniques et pas les Américains qui ont décimé les Indiens nord-américains. Les ancêtres des actuels Américains, si l’on en croit Kagan, se sont seulement « multipliés ». Malin, Monsieur le néoconservateur, mais c’est un mensonge éhonté : il y avait, en 1600, environ 1,5 à 5 millions d’Indiens qui vivaient en Amérique du Nord. En 1608, dans l’actuelle Virginie, débarquèrent plusieurs navires avec 900 colonisateurs anglais qui devaient s’établir pour le compte d’une société commerciale de Londres. Ils fondèrent Jamestown, la première colonie anglaise en Amérique du Nord. La moitié des colons succomba cependant aux conditions de vie indescriptibles et, sans l’aide des Indiens, les autres n’auraient pas survécu non plus. Londres envoya d’autres colons avec l’ordre de faire rentrer des profits. Ils commencèrent alors à chasser les Indiens de leurs champs, à brûler leurs villages, et à utiliser les Indiens comme esclaves. De nombreux colons arrivèrent et ils achetèrent les terres des Indiens. Si ces derniers refusaient de partir, l’armée états-unienne réglait l’affaire en organisant des massacres terrifiants.

Conséquence : le scalp d’indien devint également une marchandise capitaliste ; en 1760, les autorités payaient 134 $ pour un scalp d’homme et 50 $ pour celui d’une femme. Les chasseurs de buffle professionnels abattirent en quelques années 7 millions de bisons et ils privèrent ainsi les indigènes de leur base alimentaire. Les bouchers gardaient seulement la peau et la langue et ils laissaient pourrir les cadavres. Les bisons ayant été exterminés en 1874, les Indiens furent menacés de famine et de mort ; il était dorénavant facile de les soumettre. La convoitise des terres, de l’or, de l’argent, du charbon, des trésors qui avaient été découverts sur les territoires des Indiens étaient, pour les Américains, la véritable raison de poursuivre la conquête et d’achever le génocide des indigènes. Beaucoup moururent de la variole que l’homme blanc avait introduite et propagée délibérément. Le Professeur Eva Lips (1906-1988), directrice de l’Institut Julius Lips pour l’ethnologie de Leipzig, a résumé la chose ainsi : 

« nous savons ce qu’étaient ces marchands de peaux criminels, avec leurs barils de whisky et le principe du gouvernement et du Ministère de la Défense qui déclarait les Indiens nord-américains comme ennemis. Nous connaissons les contrats de cession frauduleux qui ont dépouillé les Indiens de leur liberté, de leur terre et de leur base alimentaire, et nous connaissons aussi le proverbe du temps des pionniers : “Seul un Indien mort est un bon Indien.” »(([3] Lips, Eva : Das Indianerbuch, VEB F. A. Brockhaus Verlag Leipzig, 1965.))

Les derniers Indiens furent repoussés dans des camps de concentration, ou dans des réserves offrant des conditions de vie misérables. Là-bas beaucoup succombèrent à l’alcool ou moururent le cœur brisé.

L’auteur états-unien Henry Miller (1891-1980) nous a fourni des renseignements sur ces « Américains », qui ont perpétré ces actes inhumains. L’auteur a défini ses compatriotes dans son ouvrage The Air-Conditioned Nightmare (Le Cauchemar climatisé, paru en 1945) et il nous en fait une description totalement à l’opposé de celle que veut nous vendre Kagan :

« L’Amérique, tout le monde le sait, est faite de gens qui ont voulu fuir des situations. L’Amérique est par excellence la terre des expatriés, des fugitifs, des renégats, pour user d’un terme énergique. Quel monde merveilleux, neuf et entreprenant nous aurions pu faire du continent américain si nous avions vraiment coupé les ponts avec nos congénères d’Europe, d’Asie et d’Afrique, si seulement nous avions eu le courage de tourner le dos au passé, de repartir de zéro, d’éliminer les poisons qu’avaient accumulés des siècles d’amère rivalité, de jalousie et de différends. On ne fait pas un monde nouveau en essayant simplement d’oublier l’ancien. Il faut pour faire un monde nouveau un esprit neuf et des valeurs neuves. Peut-être notre monde américain a-t-il commencé dans ce sens, mais ce n’est plus aujourd’hui qu’une caricature. Notre monde est un monde d’objets. Il est fait de conforts, de luxes ou sinon du désir de les posséder. Ce que nous redoutons le plus, en face de la débâcle qui nous menace, c’est de devoir renoncer à nos gris-gris, à nos appareils et à tous les petits conforts qui nous ont rendu la vie si inconfortable. Il n’y a rien de brave, de chevaleresque, d’héroïque, ni de magnanime dans notre attitude. Nous ne sommes pas des êtres amis de la paix ; nous sommes timides, pleins de suffisance, nous avons perpétuellement la tremblote et le cœur sur les lèvres. »(([4] Le Cauchemar climatisé de Henry Miller, Édition Gallimard, 1954))

Miller se plaignait que les émigrants avaient fait table rase des idéaux du siècle des Lumières européen et qu’ils n’avaient pas trouvé le courage de créer une nouvelle manière plus moderne du vivre ensemble en société.

Ce regard sur l’histoire était nécessaire pour mieux comprendre Robert Kagan et « son mystère de la masse héréditaire », car toute l’énergie criminelle que ses ancêtres avaient déployée contre la vie humaine – ici je ne parle que des indigènes exterminés, sans inclure les meurtres américains de l’histoire moderne (les Japonais, les Vietnamiens, les Afghans, les Irakiens, etc. massacrés) – devrait, logiquement, compléter sa thèse de recherche. Sa théorie selon laquelle l’esprit américain ferait « partie de l’ADN des États-Unis » devrait être complétée par le « deliquente nato », le criminel né. Le médecin italien Cesare Lombroso, professeur de médecine légale, de psychiatrie et fondateur de l’anthropologie criminelle (« Scuola positiva di diritto penale »), avait déjà publié en 1876 son ouvrage « L’Uomo delinquente » (L’Homme délinquant), dans lequel il décrivait le criminel comme un type humain particulier à classer entre les aliénés et les primitifs. Il avançait, à l’époque, la thèse selon laquelle la parenté directe de l’homme contemporain avec un ancêtre agressif, non domestiqué par la culture, apparaît clairement chez certaines personnes dans leurs caractéristiques physiques.

Avec son bavardage pseudo scientifique, Robert Kagan n’a vraiment pas rendu service à ses compatriotes ; au contraire : il se révèle même, dans ce cas concret, comme un antiaméricain invétéré pour qui la réputation de ses concitoyens compte manifestement pour rien, et qui aspire seulement à influencer les masses pour imposer ses objectifs politiques.

LA MONTÉE DES NÉOCONSERVATEURS

Jetons d’abord un coup d’œil sur l’histoire politique américaine la plus récente, pour dévoiler la charlatanerie intellectuelle de Kagan et des néoconservateurs.

George W. Bush a accédé au pouvoir en automne 2000, par des élections douteuses, et il s’est aussitôt entouré d’un groupe de gens appartenant au centre des néoconservateurs, fondé dans les années soixante-dix, un courant intellectuel rallié par « un petit groupe d’auteurs, de reporters médiatiques,de forces politiques motrices, et d’universitaires extrêmement influents » selon James Zogby, président de l’AAI (Arab American Institute). Ils obtinrent des postes gouvernementaux : Dick Cheney, l’homme aux mains barbouillées de pétrole devint vice-président, Donald Rumsfield, le fanatique de la guerre en Iraq, secrétaire à la Défense et le va-t’en guerre Paul Wolfowitz, son adjoint ; l’abominable John Bolton fut nommé sous-secrétaire d’État chargé des questions de désarmement, le menteur Richard Perle, directeur de l’American Defense Policy Board, et Kristol, déjà mentionné, devint conseiller du président.

Il y a en ce moment une valse des postes, mais la politique de la « junte de Bush » a été, dès le début, une politique impérialiste, arrogante et unilatérale, selon la définition de l’ancien « agent secret » du service britannique et auteur anglais de romans policiers, John le Carré. Les néoconservateurs ont pris en main les rênes de la politique du gouvernement Bush, « du pays de Dieu », et ils ont cherché à imposer leurs projets mondiaux, concoctés dans leurs think tanks depuis la fin de la guerre froide : un monde unipolaire, les États-Unis en position de superpuissance, une doctrine militaire « anticipatrice » avec des opérations de guerre ciblées, la négation du droit international et des accords internationaux.

L’industrie pétrolière américaine était alors dans l’impasse. Les réserves pétrolières du pays paraissaient devoir être épuisées dans les dix années à venir et les réserves mondiales, qui se trouvent en Asie Centrale, en Iraq, en Iran et en Arabie Saoudite, étaient vitales pour le marché mondial de l’énergie. Bush, le millionnaire texan, le représentant de la puissance des trusts du pétrole, a créé, avec son gouvernement, la base idéologique et politique pour exécuter les visées géostratégiques du lobby pétrolier. Le projet mondial impérialiste des néoconservateurs, en sommeil pendant des années, a tout à coup donné satisfaction aux convoitises néocoloniales de l’économie pétrolière : la carte mondiale pourrait changer en fonction de la carte pétrolière. Bush a auprès de lui Cheney, un expert en opérations militaires et en renseignements, un millionnaire du pétrole qui rejette de toutes les façons l’ordre mondial basé sur le droit international. Il a, depuis toujours, cherché à imposer la démocratie à l’américaine dans le monde entier, si besoin par la force d’une armée dotée de moyens de haute technologie.

Wolfowitz n’a jamais caché son néoconservatisme extrémiste. En 1992, il a rédigé le document définissant la vision stratégique d’une superpuissance états-unienne visant à maintenir sa supériorité militaire sur ses rivaux, comme l’Allemagne et le Japon, et capable de mener plusieurs guerres simultanément(([5] Voir « La doctrine stratégique des Bush », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 9 juillet 2004.)). Quelques jours avant l’élection présidentielle, en septembre 2000, la droite néoconservatrice publiait un rapport de 80 pages Rebuilding Americas Defenses : Strategies, forces and Resources For a New Century, une variante plus raffinée du rapport de Wolfowitz, et qui disait clairement ce qui viendrait après la prise du pouvoir : développement des forces armées états-uniennes, développement de nouvelles armes atomiques, établissement de bases militaires en Asie, guerres contre l’Iraq, l’Iran et la Corée du Nord. Le document précisait en outre : « le processus de transformation durera probablement longtemps à moins que ne survienne un événement effroyable qui servira de catalyseur — comme un nouveau Pearl Harbor » — ou un 11 septembre 2001 !

Wolfowitz désigna les coupables, trois jours après les attentats : Oussama Ben Laden, Al-Qaïda, Saddam Hussein. Vouant une haine invétérée à Saddam, il avait déjà insisté, en 1991 et en 1998, pour l’éliminer du pouvoir. L’adversaire numéro un, Ben Laden et Al-Qaida, a été créé chez les Talibans. La guerre d’Afghanistan, prélude à la « guerre mondiale contre le terrorisme », est un maillon dans la chaîne des plans du groupe pétrolier Unocal, qui voulait construire un gazoduc et un pipeline du Turkménistan vers le Pakistan, à travers l’Afghanistan. Mais le régime des Talibans avait contrecarré le projet. Hamid Karzai, le président afghan, marionnette des États-Unis et ancien consultant de l’Unocal, a par la suite, en mai 2002, signé le contrat pour la construction du tracé.

Des preuves établissant un lien entre les attentats terroristes et l’adversaire numéro deux, Saddam Hussein, n’ont jamais été produites par le Pentagone et pas davantage des documents qui montreraient un lien entre l’Iraq et son prétendu programme de construction d’armes de destruction massive et le terrorisme. Des « preuves » ont été fabriquées et l’invasion de l’Iraq a été décidée. Wolfowitz a expliqué par la suite que l’existence des armes de destruction massive iraquiennes n’a jamais été la raison la plus importante de la guerre menée par les États-Unis, mais seulement le prétexte, parce que « c’était la raison que chacun pouvait saisir ».

LES ÉLÈVES MODÈLES DE HITLER

Le mouvement néoconservateur est une école philosophique élitiste. Les adeptes s’appellent des « straussiens », parce qu’ils se soumettent corps et âme au dogme de Leo Strauss (1899-1973). Strauss a été soutenu en 1934 par Carl Schmitt, le « Kronjurist » de Hitler, pour l’obtention d’une bourse à la Rockefeller Foundation. Arrivé aux États-Unis en 1938, il enseigna ensuite durant des décennies à l’University of Chicago. Leo Strauss resta fidèle, jusqu’à sa mort en 1973, à son maître national-socialiste Carl Schmitt.

Strauss et Schmitt transmettaient dans leurs « enseignements » une vision absolutiste de la vie, au prétexte que, sous de telles conditions, l’esprit pourrait triompher. Carl Schmitt, guide spirituel du Führerstaat de Hitler, professait un césarisme libéré des normes et des institutions, un signe précurseur du national-socialisme : 

« C’est sur l’égalité de race que reposent le contact permanent entre le führer et ses partisans ainsi que leur fidélité mutuelle. Seule l’égalité de race peut empêcher que le pouvoir du führer ne devienne tyrannie et arbitraire. »

Leo Strauss suivit le dogme de son maître. Les deux haïssaient le « monde moderne ». Strauss exigeait un système totalitaire directement gouverné par les philosophes, le respect de leurs structures mentales, une philosophie d’élite. Il croyait avoir trouvé, lui seul, la vérité, les messages dissimulés à l’intérieur de la « grande tradition ». Depuis Platon, en passant par Hobbes jusqu’à Locke, il n’y a pas de Dieu, la morale est un préjugé pitoyable, car une société ne se fonde pas seulement sur la nature. Il dédaignait les philosophes « Modernes », mais prenait très au sérieux les « Anciens ». Il invitait à les comprendre, « en comprenant l’auteur tel qu’il se comprenait lui-même », en opposant « l’immoralité » libérale des temps modernes à une philosophie de la vertu et du bon sens. L’égalitarisme libéral, mal principal des temps modernes, rend selon Strauss, la philosophie, la créativité, l’héroïsme, l’autorité et toutes les qualités « élitistes » absolument impossibles. Le philosophe était pour lui un « surhomme », le gardien de l’enseignement ésotérique abandonné.

Strauss, le « grand prêtre des ultraconservateurs », comme l’a appelé The Observer britannique, écrivait à son maître Schmitt : « C’est parce que l’homme est par nature mauvais qu’il a besoin de domination ». Des philosophes élitistes peuvent prendre le pouvoir, selon Strauss, s’ils « manipulent les masses au moyen de la religion », bien que les « vrais hommes intelligents » sachent que la religion n’est qu’une « tromperie des masses ». Avec le refus des principes du Droit naturel, il est de votre devoir de législateurs absolus de tromper et de mentir à la « masse populaire », d’utiliser la religion et la politique comme moyens de transmettre des légendes, et de maintenir le peuple « commun » dans un état de servitude. Les tromperies doivent cependant rester secrètes pour préserver le contrôle. La religion était pour Strauss l’opium du peuple.

Les États-Unis eux-mêmes sont, pour Strauss et ses élèves, un objet de haine : un « nouveau Weimar », une faiblesse, la répétition pathétique de l’Allemagne « libérale démocratique » de Weimar. L’Amérique a été fondée par un petit nombre de réalistes désabusés, qui sont partis du principe que « la vérité, Dieu et le Droit naturel sont inexistants », affirmait le juif « conservateur » Strauss de la République de Weimar. Cependant ils admettaient que cela concernait seulement leurs propres rangs (ésotériques), parce qu’ils savaient qu’ils ne pouvaient pas l’exiger de « la masse », du peuple « stupide ». C’est pourquoi ils ont continué de vendre au peuple la Vérité, Dieu et la Loi (exotériques), car une société sans valeurs communes et sans « vérité » leur semblait ingouvernable. La « masse stupide » doit croire à « quelque chose » pour pouvoir être guidée par l’élite vers des tâches « héroïques » qui devraient les mener ensuite à quelque chose de « grandiose ». Pour Strauss, c’étaient des valeurs esthétiques qui résistent au nihilisme général. L’Amérique libérale était moralement en déclin, incapable d’autorenouvellement. Il exigeait un patriotisme basé sur la vertu des citoyens, afin que les Américains puissent défendre leur train de vie contre leurs ennemis.

Seymour Hersh, doyen du journalisme d’investigation états-unien en avait parlé, en mai 2003, et il avait décrit dans The New Yorker, comment cette « bande de straussien » — dont Paul Wolfowitz, aujourd’hui président de la Banque mondiale — avait préparé la guerre contre l’Iraq. Ce groupe a adopté les objectifs straussiens, à savoir que « tromperie et supercherie sont la norme dans la vie politique ». Strauss avait en effet enseigné à ses élèves que la politique est mieux pratiquée par un roi ou un tyran, lequel est conseillé par un petit nombre de maîtres élitistes qui n’ont pas de scrupules pour tromper à tout moment leurs sujets. Pour Jeffrey Steinberg, rédacteur de l’Executive Intelligence Review publiée par l’ennemi juré de Bush, Lyndon LaRouche, Leo Strauss est « le parrain fasciste des néoconservateurs ».

Le professeur Allan Bloom, compagnon de route et élève modèle de Leo Strauss, était, jusqu’à son décès en 1992, le leader intellectuel des néoconservateurs états-uniens. Dans son pamphlet « The Closing of the American Mind » (1987) (en français : L’Âme désarmée), il écrivait que « les sciences perfectionnées par les émigrants européens en Amérique auraient pitoyablement perverti la démocratie américaine, en inculquant aux responsables l’esprit de la rationalité critique ». Par cette déclaration il ne portait pas seulement le mythe de la fondation des États-Unis au summum, mais il indiquait aussi que l’Amérique est la patrie du « Bien » et que le « Mal » se trouve ailleurs. L’idéologie manichéenne des néoconservateurs, dominée par un dualisme entre le « Bien » et le « Mal », devenait transparente.

Déjà dans les années soixante-dix, pendant la Guerre froide, l’Union soviétique était pour les néoconservateurs le « l’Empire du Mal », parce qu’elle avait refusé aux juifs russes l’émigration vers Israël. La terminologie triviale de l’administration Bush — « l’axe du Mal », les États « consentants » et les États « indignes » et « celui qui est n’est pas avec nous est contre nous » — a justement ces traits manichéens. Et, quand Robert Kagan pense que les Européens vivent sur Vénus en rêvant de la paix éternelle, tandis que les Américains viennent d’une autre planète et vivent dans la dure réalité et les pièges de la politique internationale, dans la guerre de tous contre tous, il rend hommage à ses maîtres Strauss et Bloom.

Celui qui croit que Bush est un étourdi ne se trompe que de peu, car le rôle straussien qu’il joue est tromperie, ruse et séduction et vaut largement un Oscar politique. « La force de la religion », que l’administration néoconservatrice a ancrée dans la politique états-unienne, est le contraire de la constitution classique de la séparation de l’Église et de l’État. Elle oriente actuellement les masses, comme l’a voulu Leo Strauss. George W.Bush était heureux à son quarantième anniversaire, car « Jack Daniels m’a quitté et Jésus Christ est venu ». Dorénavant « sa foi » le laisse clairement différencier « entre le Bien et le Mal », car « Dieu a un plan pour son pays et pour lui personnellement ». Il mènera « un combat grandiose » (il a vite appris à éviter le mot « croisade »), « par lequel le bien primera sur le mal », car « les États-Unis sont appelés à conduire le monde vers la paix », parce que « l’appel historique fut envoyé au pays digne ». Cet appel est une « guerre qui a été imposée à l’Amérique » et, pour cette mission, Bush cherche le réconfort et la confiance dans la prière qui lui donne aussi le courage de défendre la « Terre Promise »« pour créer sur le Mont du Temple à Jérusalem les conditions qui permettront le retour du Christ ». Les Américains croyants se laissent bercer par ces paroles enivrantes.

Les disciples actuels de Leo Strauss croient pourtant que leur force est dans « l’intellectualisme » ; néanmoins ils savent aussi remarquablement comment relier avec agressivité la philosophie de leur maître avec leurs propres affaires et leurs convoitises : Cheney s’emploie à arracher au Proche-Orient son pétrole, Rumsfeld aspire à un pouvoir hégémonique, Wolfowitz est le grand espoir des extrémistes de la droite israélienne, et Condoleezza Rice veut démocratiser le Proche-Orient par la guerre dans le but d’offrir à l’État d’Israël une paix durable.

Tous les « objectifs » ne doivent cependant pas être nécessairement atteints par la guerre. Les néoconservateurs de Washington ne sont pas obsédés par l’idée de la guerre, car la guerre est pour eux leur destin ! « Les straussiens ne croient pas à un ordre mondial pacifique ». D’où leur méfiance à l’égard de l’ONU dont ils souhaitent la disparition. Ils excluent un ordre mondial basé sur le droit international. Les États ont des ennemis (Strauss) qui doivent être traités comme tels, et la consolidation du pouvoir impérialiste des États-Unis est la priorité, car les néoconservateurs ont « l’objectif héroïque » d’apporter la démocratie américaine « exceptionnelle » au monde, la Pax Americana du vingt et unième siècle, et ils sont fermement convaincus que les valeurs de l’Amérique sont uniques et supérieures et qu’elles séduisent le monde. Ceux qui ne sont pas convaincus pourront être secourus par des interventions militaires, car, selon Robert Kagan : 

« Les États-Unis exercent un pouvoir dans un monde hobbesien, dans lequel chacun combat contre l’autre et où nous ne pouvons pas compter sur des règlements internationaux et le droit international ».

Un straussien l’a exprimé plus clairement dans The Observer : 

« Si nous acceptons une nouvelle guerre de Cent Ans, elle aura lieu » !

Robert Kagan l’impérialiste, ne cesse d’écrire : 

« Le besoin d’expansion des États-Unis et la tendance à la domination ne sont pas une trahison de notre propre nature – ils sont notre nature. Cette conviction mène à la suivante : que les intérêts des États-Unis ne se distinguent pratiquement pas de ceux du reste du monde et que les USA ont joué un rôle particulier, voire unique comme accélérateur de la transformation de l’humanité. Si nous avons du succès ou si nous échouons, nous resterons toujours une nation « dangereuse »- dangereuse pour les tyrans et pour ceux qui ne partagent pas notre compréhension du libéralisme, – y compris les Américains – qui craignent l’esprit de guerre et qui préfèrent un ordre mondial qui ne serait pas érigé autour d’une Amérique dominante tenant le monde sous son hégémonie. »

Une nation « dangereuse » surtout pour la population de ce monde : au cours de plus de 100 guerres d’agression depuis la fondation des États-Unis, les Américains ont tué avec leurs propres armes des millions d’hommes. Ils ont décapité, démembré des femmes et des petits enfants sans défense, massacré avec du Napalm et incinéré ou réduit des êtres humains à des ombres avec leur bombe atomique…

Jürgen Cain Külbel

Traduction
JPH
Monica Hostettler





L’attaque sous faux drapeau, une spécialité américaine

Par Jean-Michel Grau

Depuis les guerres du Vietnam et d’Irak, en passant par la crise de Cuba, l’empire US s’est fait une spécialité de l’attaque sous faux drapeau. Pour créer le chaos partout dans le monde, afin d’assurer ensuite la « pax americana », garante de sa suprématie par la force du dollar américain sur la planète, en d’autres termes, par l’organisation du monde selon les règles américaines.

C’est cette organisation qui est en train de prendre fin aujourd’hui avec la guerre en Ukraine et la mise en place d’un monde multipolaire sous l’hospice de la Chine et de la Russie avec l’OCS.(([1] Organisation de Coopération de Shanghaï))

Pour bien comprendre en quoi consistent les attaques sous faux drapeau, dont les US n’ont pas l’exclusivité dans l’Histoire, mais dont on peut quand même leur attribuer la paternité dans la majorité des cas recensés depuis 1960, rien ne vaut quelques exemples, tous reconnus d’ailleurs depuis, par les services secrets américains.

Nous développerons ici quatre cas emblématiques des attaques sous faux drapeau américaines depuis 1960, mais il en existe encore beaucoup d’autres.(([2] Daniele Ganser, les guerres illégales de l’OTAN, Éditions Demi-Lune))

Le projet d’attaque américaine sous faux drapeau à Cuba

Voici probablement le projet d’attaque sous faux drapeau le plus monstrueux jamais imaginé. Il est l’œuvre de l’état-major militaire américain.

Comme l’a admis le gouvernement américain, des documents récemment déclassifiés montrent qu’en 1961, les chefs d’état-major interarmées américains ont approuvé un plan visant à faire exploser des avions américains, à l’aide d’un plan élaboré impliquant l’échange d’avions, ainsi qu’à commettre des actes terroristes sur le sol américain, puis à rejeter la faute sur les Cubains, afin de justifier une invasion de Cuba pour renverser son Premier ministre Fidel Castro.

« Le Pentagone, qui est qualifié aujourd’hui encore par les médias de masse de “ministère de la Défense” mais qui devrait plutôt être désigné comme “ministère de l’attaque” si l’on se base sur les faits historiques, voulait une invasion de Cuba et la chute de Castro. »

« Ceci ressort d’un plan hautement confidentiel surnommé “Opération Northwoods”, daté du 13 mars 1962, qui n’a jamais été mis en œuvre. L’opération Northwoods a été signée par le plus haut général du Pentagone, le chef d’état-major interarmées Lyman Lemnitzer, sous les ordres directs du Secrétaire à la Défense McNamara. Les documents, à l’époque classés top secret, offrent une perspective rare et accablante sur l’activité guerrière illégale aux États-Unis. Le plan prévoyait de faire sauter des avions et des bateaux du Pentagone et de commettre des attentats terroristes aux USA afin d’attribuer la responsabilité de ces crimes à Fidel Castro. Dans l’optique d’une stratégie de la tension, de telles attaques sous faux pavillon devaient répandre peur et effroi dans la population américaine. Sous l’emprise de la colère et en état de choc, les citoyens américains auraient alors approuvé une invasion de Cuba, d’après ce que prévoyait le Pentagone. »

« Sans que quiconque au sein du Congrès soit au courant, Lemnitzer et l’état-major interarmées ont secrètement franchi la limite de l’État de droit », critiqua le journaliste américain James Banford, qui permit au public d’accéder aux documents secrets de l’Opération Northwoods. « Au nom de l’anticommunisme, les militaires ont proposé une guerre terroriste secrète et sanglante contre leur propre pays, afin de mettre l’opinion publique de leur côté dans la Guerre folle qu’ils voulaient mener contre Cuba. »(([2] Daniele Ganser, les guerres illégales de l’OTAN, Éditions Demi-Lune))

Ce plan échafaudé par le président Eisenhower à la fin de son mandat devait déboucher six mois plus tard sur la crise des missiles russes de Cuba en réponse aux missiles américains mis en place en Turquie, menant le monde au bord d’une troisième guerre mondiale…

L’attaque américaine sous faux drapeau au Vietnam

La NSA admet avoir menti sur ce qui s’est réellement passé dans l’incident du golfe du Tonkin en 1964, en manipulant des données pour faire croire que des bateaux nord-vietnamiens avaient tiré sur un navire américain, le Maddox, afin de créer une fausse justification de la guerre du Vietnam. Le président Lyndon Johnson affirme le 4 août que les États-Unis ont été agressés dans le golfe du Tonkin par le Vietnam du Nord, ce qui par la suite s’est avéré un mensonge. Gene Poteat, l’analyste en chef de la CIA à l’époque démasqua le mensonge de guerre de l’administration Johnson, concluant des données disponibles qu’il est « impossible que des torpilles aient été tirées sur les contre-torpilleurs ».

Il ajoute qu’il était assez clair que le Président Johnson et son secrétaire d’État à la Défense Mc Namara voulaient la guerre. Il n’y eut jamais d’enquête sur l’incident.

Mais lorsqu’on demanda à Mc Namara en 1999 si « l’attaque » du 4 août s’était produite, il admit : « Ce que je pense est clair : elle n’a jamais eu lieu. »(([3] Peter Lennon, The attack that never was. The Guardian, 17 Avril 1999))

Les US vont bombarder le Vietnam sans mandat de l’ONU lors d’une guerre illégale d’agression. La guerre tuera trois millions de Vietnamiens et 58 000 soldats américains.

L’attaque américaine sous faux drapeau en Irak

Les États-Unis ont faussement accusé l’Irak d’avoir joué un rôle dans les attentats du 11 septembre — comme le montre un mémo du secrétaire d’État à la défense — comme l’une des principales justifications du lancement de la guerre en Irak. Même après que la Commission du 11 septembre ait admis qu’il n’y avait aucun lien, Dick Cheney a déclaré que les preuves sont « accablantes » qu’Al-Qaïda avait des relations avec le régime de Saddam Hussein, que Cheney avait « probablement » des informations dont la Commission ne disposait pas, et que les médias ne « faisaient pas leurs devoirs » en rapportant de tels liens. De hauts responsables du gouvernement américain admettent désormais que la guerre en Irak a été lancée pour le pétrole… et non pour le 11 septembre ou les armes de destruction massive. Malgré les affirmations antérieures de « loups solitaires », de nombreux responsables du gouvernement américain affirment aujourd’hui que le 11 septembre était un acte de terrorisme parrainé par l’État, mais que l’Irak n’était pas l’État qui soutenait les pirates de l’air. De nombreux responsables américains ont en effet affirmé que le 11 septembre était une opération sous faux drapeau menée par « des éléments dévoyés » (sic) du gouvernement américain.(([4] https://globalresearch.ca/53-admitted-false-flag-attacks/5432931))

Les attaques américaines sous faux drapeau en Europe

« Un ancien Premier ministre italien, un juge italien et l’ancien chef du contre-espionnage italien admettent que l’OTAN, avec l’aide du Pentagone et de la CIA, a mené des attentats terroristes en Italie et dans d’autres pays européens dans les années 1950 et a accusé les communistes, afin de rallier le soutien des populations à leurs gouvernements en Europe dans leur lutte contre le communisme. Comme l’a déclaré un participant à ce programme autrefois secret :

« Il fallait attaquer des civils, des gens, des femmes, des enfants, des innocents, des inconnus éloignés de tout jeu politique. La raison en était très simple. Ils étaient censés forcer ces gens, le public italien, à se tourner vers l’État pour demander une plus grande sécurité. »

Ils auraient également mené des attaques terroristes en France, en Belgique, au Danemark, en Allemagne, en Grèce, aux Pays-Bas, en Norvège, au Portugal, au Royaume-Uni et dans d’autres pays.

Les attentats sous faux drapeau perpétrés conformément à ce programme comprennent entre autres : le meurtre du Premier ministre turc (1960), des attentats à la bombe au Portugal (1966), des attentats terroristes en Turquie (1971), l’attentat de Brescia (1974), les fusillades d’Istanbul (1977), l’enlèvement et le meurtre du Premier ministre italien Aldo Moro (1978), l’attentat à la bombe dans la gare de Bologne (1980) et la fusillade et le meurtre de 28 clients dans le comté du Brabant, en Belgique (1985). »(([4] https://globalresearch.ca/53-admitted-false-flag-attacks/5432931))

Autant d’attentats faisant des centaines de morts et de blessés graves.

Odessa, la prochaine attaque sous faux drapeau ?

Alors qu’aujourd’hui la guerre en Ukraine fait rage, menée contre la Russie par l’OTAN finançant et manipulant le gouvernement ukrainien, et qu’on s’achemine lentement mais sûrement vers un désastre total pour l’armée ukrainienne et les mercenaires de l’OTAN, se pose la question d’une attaque sous faux drapeau des forces de l’OTAN.

À ce sujet, il n’est pas inutile de rappeler les récentes attaques sous faux drapeau en Ukraine avec les massacres ukro-nazis mis sur le dos des Russes à Boutcha, dans une manipulation sommaire de cadavres exhumés ainsi que le sabotage de Nord Stream par l’OTAN, mis aussi sur le compte des Russes en représailles, alors qu’il suffisait juste pour ceux-ci de fermer les robinets…

À l’heure où la débandade finale approche pour l’Ukraine et l’OTAN, il reste donc encore à cet avatar armé américain une ultime carte à jouer : celle de l’action terroriste sous faux drapeau.

N’ayant jamais été capables de gagner une guerre depuis 1945, mis à part celle de l’île dérisoire de la Grenade en 1983, il ne reste plus aux Américains que la déstabilisation des États et le terrorisme pour maintenir encore la suprématie de leur monnaie de singe dans le monde. Avec la guerre d’Ukraine, on est en train de clore ce long chapitre sanguinaire, dans ce qui risque d’être une sorte de baroud d’honneur avec une dernière attaque sous faux drapeau. La ville « candidate » à cette attaque paraît toute trouvée : Odessa.

Odessa reste aujourd’hui la seule ville que ne contrôlent pas encore les Russes pour boucler la mer Noire. En lançant un missile nucléaire tactique sur Odessa entre Steadfast Noon(([5] http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2022/10/11/steadfast-noon-23381.html)) cette semaine, qui arrive à point nommé pour préparer ce nouveau coup fourré, et les mid-terms de début novembre, le Deep State US a un argument en or pour entrer en guerre contre la Russie « en représailles », et court-circuiter du même coup les élections avec la loi martiale en les reportant sine die pour cause de guerre.

Ville martyre depuis que les ukro-nazis, qui ont pris le pouvoir avec le coup d’État de Maidan en 2014, ont perpétré des massacres contre la population civile,

« Odessa est un objectif prioritaire des Russes qui prévoient d’y mener une offensive entre la fin 2022 et début 2023. C’est également pour cette raison qu’en juillet 2022, a été formée “la brigade Odessa”. Elle est l’une des 16 brigades composées de citoyens du sud de l’Ukraine, formées depuis mars 2022 et destinées à être opérationnelles dès maintenant, avec l’ambition de libérer les villes de Nikolaiev à Odessa. »(([6] Jacques Baud, Opération Z, Max Milo))

Il est donc tentant pour le Deep-State américain de jouer la carte de l’attaque sous faux drapeau à Odessa, sachant que cette ville stratégique est dans la ligne de mire des Russes. S’agira-t-il d’une attaque nucléaire tactique ou d’une « bombe sale », nul n’a la réponse à ce jour, mais ce risque est loin d’être exclu. Difficile de dire en effet quel est le rapport de forces de ces fous furieux que sont les straussiens au sein du Pentagone, de la CIA et du Département d’État. Il ne faut pas oublier qu’avec cette guerre d’Ukraine, les straussiens du Deep-State aux ordres de l’oligarchie ploutocrate anglo-saxonne jouent leur va-tout. Ils n’en ont pas d’autres à leur disposition. S’ils ne gagnent pas cette guerre : plus de Great Reset, plus de monnaie numérique, plus de gouvernance mondiale.

Dans ce combat de titans, la responsabilité de la Russie est énorme. Elle n’a pas le droit à l’échec, mais possède plusieurs atouts dans sa manche pour gagner :

1) Son économie dynamique, renforcée par les sanctions. De quoi alimenter son armée pléthorique en matériel de pointe. Pour rappel, sa dette est dérisoire comparée aux dettes faramineuses britannique, française, américaine et japonaise : le rapport avec son PIB est de 13,8 %, celui de la Grande-Bretagne de 85,5 %, de la France de 98 %, des États-Unis de 107 % et du Japon… de 250 % !

2) Elle a l’appui stratégique, économique et financier de la Chine, ce qui n’est pas rien, ainsi que celui des autres membres de l’OCS dans le cadre des nouvelles routes de la soie.

3) Elle est l’un des principaux fournisseurs de matières premières du monde dont l’Europe ne peut se dispenser comme on va le voir cet hiver…

4) Enfin, elle possède un armement sophistiqué de premier ordre avec ses missiles hypersoniques capables d’anéantir n’importe quelle capitale occidentale sans être détectés. Les scientifiques américains reconnaissent à ce sujet qu’il leur faudra au moins dix ans avant de rattraper leur retard sur les Russes.(([7] https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/06/08/la-russie-et-larme-hypersonique-les-aleas-de-la-strategie-du-fort-au-fou/))





Du Saint-Empire romain germanique au Saint-Empire germano-atlantiste ou le IVème Reich (III)

[Source : reseauinternational.net]

Par Bertrand Hédouin.

3e épisode

Comme le Beaujolais nouveau, le IVème Reich est arrivé !

Le IVe Reich se nomme également le Saint-Empire germano-atlantiste.

Saint parce que, comme le Vatican avait soutenu le IIIe Reich et l’Allemagne hitlérienne contre l’URSS et les pays du Pacte de Varsovie(([1] Pacte de Varsovie https://fr.wikipedia.org/Pacte_de_Varsovie)) pendant la Seconde Guerre mondiale, ce dernier soutient aujourd’hui inévitablement le camp atlantiste (États-Unis, Union européenne et OTAN) contre la Russie, non pas contre le communisme, mais contre le Russe. Il soutient donc le IVe Reich. Tout ceci est cohérent.

Je vous rappelle qu’il est commun en Euro-Amérique de souffrir du suprématisme anthropologique.

Le dimanche 27 février 2022, dans son discours d’investiture en tant que Chancelier allemand, Olaf Scholz annonce au Bundestag la politique générale de l’Allemagne sous ses auspices. Pour reprendre un titre de l’Opinion, le Chancelier « annonce dans son discours les défis du tournant stratégique opéré par l’Allemagne ». Nous comprenons que cela a lieu dans le cadre du Great Reset.(([2] https://legrandcontinent.eu/fr/2022/02/28/le-jour-ou-la-politique-etrangere-allemande-a-change))

Olaf et son grand-père à gauche. « Hey ! Vous ne trouvez pas qu’on se ressemble, moi et papi ? (photo depuis anti-chief/livejournal.com

Toujours à ce propos, Olaf est effectivement le petit-fils d’un haut gradé SS de l’armée nazie pendant la Seconde Guerre mondiale, Fritz von Scholz. Il était Gruppenführer, ce qui équivaut au grade français de général de division. Les « lobotowokés » de Wikipédia n’en parlent évidemment absolument pas.(([3] https://fr.wikipedia.org/Fritz_von_Scholz))

Un des défis d’Olaf Scholz est le réarmement de l’Allemagne face à « l’agression » russe en Ukraine (en fait face à la réaction russe devant les provocations et les plans, notamment de l’Allemagne). Pour cela est spécialement créé un fonds de 100 milliards d’US Dollars qui doit financer ce réarmement. Il s’agit d’une dérogation aux règles budgétaires fixées par la Constitution allemande. Il est prévu d’acheter du matériel militaire avant tout aux États-Unis comme, par exemple, 35 des très fameux F35. Le matériel sera conventionnel dans la mesure où l’Allemagne peut profiter de l’armement nucléaire américain basé sur son sol.(([4] https://www.lesechos.fr/guerre-en-ukraine-lallemagne-va-deroger-a-sa-constitution-pour-investir-dans-son-armee
https://www.deutschland.de/une-enveloppe-de-100-milliards-deuros-pour-la-bundeswehr))

Ce réarmement est nécessaire et urgent… évidemment face à « l’agression » russe.

Le Fonds spécial doit contribuer à une « Bundeswehr performante et moderne. Elle va vraisemblablement devenir la plus grande armée conventionnelle au sein du système européen de l’OTAN ». « Avec le budget 2022 et le fonds spécial pour la Bundeswehr, nous veillons à la sécurité en ces temps incertains, tout en posant les jalons d’un nouvel élan vers l’avenir », annonce Scholz.(([5] https://www.bundesregierung.de/discours-scholz-bundestag))

Excusez-moi d’insister, mais tout cela est prévu dans le cadre du Great Reset pour l’avènement du Gouvernement mondial des malades psychiatriques dont nous avons déjà parlé dans les précédents épisodes. L’Allemagne, notre voisin, vient de voter un énorme budget pour créer l’armée du IVe Reich. Il y a peut-être de quoi réagir plutôt que de l’accompagner avec entrain comme le fait Macron.

« Ach so, Klaus ! Es ist wunderbar ! »
[« Ah oui, Klaus ! C’est merveilleux ! »]

Klaus, j’ai failli t’oublier ! Excuse-moi (Klaus Schwab — Forum économique mondial de Davos, un des gourous de toute cette lourde mise scène). Comme tu as pu concevoir l’armement atomique pour l’Afrique du Sud sous apartheid, tu réalises dorénavant la même chose maintenant en Europe. C’est grandiose !

SI cela arrivait, les Russes vont de nouveau raccompagner chez eux les néonazis comme en 1944, mais il serait dommage pour nous, au moins en France, de ne pas participer avec les Russes à ce type de raccompagnement maintenant que nous savons. Ah oui, mais j’oubliais ! Le suprématisme anthropologique ! Oui, c’est effectivement un poids pour notre réaction collective. C’est vrai, nous sommes supérieurs, j’avais oublié !

En tous les cas, de toute évidence, le discours d’Olaf officialise le IVe Reich qui se forme en fait depuis déjà quelque temps, notamment à partir de Bruxelles et son armée d’experts « lobotowokés ». Dès 2014, Olga Tchetverikova, professeur émérite russe de relations internationales et de l’histoire des religions, nous parlait déjà de ce nouveau Reich dans une interview donnée à un canal de télévision russe, en 2014 (!) et non en 2022.(([6] Entretien avec Olga Tchetverikova datant du 11 juin 2014 retranscrit et diffusé sur le fameux portail orthodoxe russe « Moscou, Troisième Rome » (en russe) https://3rm.info/na-ukraine-uzhe-stroitsya-chetvertyy-reyh-olga-chetverikova. Je reprends cette interview dans la postface de la traduction de son précieux ouvrage qui peut et qui doit nous aider à guérir de notre mal : Le Vatican, totem moralisateur du Nouvel Ordre Mondial, octobre 2022. L’interview est retranscrite en français dans le prochain épisode de notre série.))

Olga Tchetverikova dans les studios de Den TV

Outre le contenu du discours de Scholz qui est un recueil évident de thématiques fascistes, le « jeu scénique » de Scholz est la copie conforme de certains discours prononcés par Adolf Hitler, tant pour ce qui concerne la gestuelle que pour la rythmique et les intonations. Ben oui après tout ! Ça avait bien marché alors, pourquoi ça ne remarcherait pas maintenant ? Scholz s’est mis à faire du théâtre. Bon, encore un peu de persévérance et il pourrait à terme produire quelque chose de pas totalement abject.

Récemment, le 1er juin 2022, dans une émission politique russe, nous pouvons effectivement voir les deux compères, d’un côté Hitler et de l’autre Scholz, sur des écrans mis en parallèle sur le plateau prononcer leur discours et comparer les comportements et attitudes. Cette émission très intéressante en début de soirée débute sur le thème du discours de Scholz et de la nouvelle fascisation-émancipation de l’Allemagne.

Dès le lendemain, il n’était déjà plus possible de voir l’émission dans sa forme originale, à savoir que l’écran représentant Hitler a été depuis brouillé. Dommage parce que c’était absolument génial. Je vous donne le lien de l’émission concernée.(([7] https://all-make.net/minut-ot/01/06/2022 (2ème écran vers le bas) ))

Vous vous doutez bien qu’accéder à l’information russe n’est plus tout à fait du goût de nos chers dirigeants démocrates. C’est ainsi qu’il peut être difficile de regarder sur internet une émission russe, qui plus est politique, en passant par nos Google et autres moteurs. Je n’ai aucun problème pour le faire. Avoir un VPN aide à ce que le flux ne soit pas trop lent ou instable. Ensuite, vous rejoignez à partir des Google et autres https://dzen.ru. Dans la barre de recherche, vous copiez-collez l’adresse URL de l’émission que je fournis en notes, vous cliquez sur OK et le tour est joué. Et c’est encore parfaitement légal, ne vous inquiétez pas.

Dzen.ru

Pour le sujet « Olaf, Hitler et le IVe Reich » et le spectacle qui nous intéresse ici, il s’agit du début de l’émission. Si vous parlez ou comprenez le russe, il est intéressant de regarder l’émission en son entier, voire de regarder régulièrement cette émission pour pouvoir vous détacher quelque peu de l’outrancière désinformation euro-américaine.

Vous remarquerez que Scholz ne joue pas aussi bien que jouait Hitler. Il semble un peu « woké », un peu abruti, ne faisant que lire un texte que l’on a disposé devant lui pour qu’il n’y ait pas d’écart avec le discours qui aura été consciencieusement élaboré, évidemment, par des experts. Cela lui donne la possibilité de se concentrer sur ses gestes et son intonation.

C’est d’ailleurs dorénavant la méthode de travail de tout notre petit monde politique et journalistique qui déshumanise l’être humain, tout comme peuvent le faire les smartphones utilisés pour penser à notre place. Le sens des propos se retrouve dans les mouvements de bras et de mains peu cohérents et peu expérimentés. Le transhumanisme est parfaitement lancé (en Euro-Amérique, mais pas seulement) et tout cela est parfaitement pensé et prévu dans le cadre du Great Reset, justement parce que les nouvelles générations en donnent la possibilité (cf. instrumentalisation et manipulation de l’être humain, spécialité des espèces nazies et néonazies).

Ainsi, en 2022, l’Allemagne peut de nouveau s’émanciper et vouloir reprendre la forme de Reich à partir de l’institution européenne qui, comme on l’a rappelé précédemment dans les premiers épisodes, a été créée par un haut dignitaire nazi allemand promu par les Américains. Rien n’a changé en Occident depuis un siècle et demi, c’est l’immobilité parfaite, celle des suprématistes anthropologiques.

L’Allemagne et les États-Unis se tiennent toujours la main et avancent gaiement, comme si de rien n’était, vers la création de l’État mondial fasciste (le peuple ne représentera plus qu’un grand ensemble de consommateurs dégénérés jetables). Pour ce faire, ils veulent tuer le Russe qui les gêne par son autonomie matérielle et spirituelle. Seules l’Amérique du Sud et l’Amérique centrale, l’Afrique et l’Asie ne veulent pas suivre ces « tout-puissants », soit 82 % de l’humanité, face à la « Communauté mondiale » représentant 18 % de cette même Humanité.

« C’est ç’la, oui, mais encore… » (photo depuis www.27avril.com)

Le 10 juin 2022, Olaf Scholz a entrepris une visite dans les Balkans. Ça, c’est original ! Comme Hitler l’avait fait en 1938 dans le contexte des Accords de Munich ! Quel talent ! En effet, il a exigé de la Serbie qu’elle se plie à cette « Communauté internationale » et qu’elle reconnaisse le Kosovo État indépendant, le Kosovo restant « en même temps » le berceau de la nation serbe, bien évidemment. Comme on dit, « on ne refait pas l’histoire ! ». Ainsi, à cette condition, la Serbie pourra entrer dans l’Union européenne, ou plutôt dans le IVe Reich.

Il est grand temps pour les pions Macron ou Karl Nehammer, chancelier fédéral d’Autriche, de quitter le bateau vérolé. Même Mario Draghi, connu pour aimer lécher les mondialistes anglo-saxons, vient de faire le premier pas pour prendre ses distances, lorsqu’il a demandé au Président italien Sergio Mattarella sa démission du poste de Premier ministre le 14 juillet 2022. Sa démission sera finalement acceptée et effective le 21 juillet 2022. Qu’est-ce que cela peut annoncer de bon !

Le 11 juin 2022, Ursula von der Leyen s’est rendue à Kiev pour discuter de l’adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne alors que la plupart des membres de l’Union y sont opposés. Le sujet va être de nouveau débattu à la Commission européenne le 17 juin 2022. La Commission européenne a recommandé aux États membres d’accorder à l’Ukraine le statut de pays candidat à l’adhésion.

Dès septembre 2022, le duo Scholz-von der Leyen remet ça avec encore plus de sauce.

Scholz persévère. Le vendredi 16 septembre, il déclare : « Notre armée doit devenir le pilier de la défense conventionnelle en Europe »(([8] https://www.lefigaro.fr/l-Allemagne-doit-devenir-la-force-armee-la-mieux-equipee-d-europe-declare-scholz/2022/09/19)). À côté de cela, les nombreuses fondations et think tanks spécialisés en géopolitique n’en finissent pas de se demander s’il s’agit de la bonne solution pour arriver à détruire la Russie. Quel plaisir de voir les suprématistes anthropologiques se regrouper et s’adonner au travail ! Il est très possible qu’au bout d’un certain temps, ils soient obligés de se soigner.

Le 15 septembre, Ursula von der Leyen se rend de nouveau rapidement à Kiev pour rencontrer Zelensky et lui réitérer le soutien de l’Union européenne « aussi longtemps qu’il le faudra » (donc le soutien au régime fasciste en place à Kiev). N’oublions pas qu’elle est avant tout médecin et est aidée dans ses discours et ses positions en matière de géopolitique par le Haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité qui n’a en fait que le rôle d’un consultant auprès de ceux qui veulent bien encore l’écouter, à savoir Josep Borrell Fontelles. Sous son air quelquefois narquois et désabusé, nous sommes sûrs qu’il trouvera toujours son réconfort avec las patatas fritas et la cerveza. Hein, Josep, qu’en dis-tu ? La vie est tellement belle avec tes conseils !

Ursula von der Leyen prononce un discours devant le Parlement européen ce même 15 septembre. « La solidarité de l’Europe avec l’Ukraine (nazie, jaune et bleue comme l’Europe – NDA) demeurera indéfectible ». Elle a exhorté les États membres à ne pas relâcher la pression sur la Russie.

« Chers Députés européens, comprenez bien que Arbeit macht frei ! »

Vous remarquerez en passant l’aspect purement providentiel de la couleur de sa veste et de son polo, de la couleur du drapeau de l’Union européenne et du drapeau ukrainien. L’harmonie parfaite règne à Bruxelles et à Kiev.

Dans son tweet du 17 septembre, Ursula écrit : « La matière première alimentera notre avenir. Mais quelques pays contrôlent désormais les approvisionnements et la transformation. Nous ne devrions pas tomber dans les mêmes vieilles dépendances. Je vais donc présenter une loi sur les matières premières critiques. Avec des projets stratégiques sur l’extraction, le raffinage, la transformation et le recyclage ».(([9] https://twitter.com/vonderleyen))

Indépendance, ne plus dépendre de la Russie en matière d’approvisionnement (quitte à avoir faim et froid pendant un moment), se servir de l’énergie sur le territoire même de la Russie… Tant qu’à faire.

Cela suppose donc que le Reich détruise et envahisse la Russie. Il n’y a pas d’autre alternative à son plan. Ensuite, elle reprend quasiment mot pour mot les propos et plans du célèbre nazi allemand Alfred Rosenberg pendant la Seconde Guerre mondiale. Je vous renvoie à l’article paru sur ReseauInternational le 27/04/2022, « L’Ukraine nazie : tout se prépare officiellement depuis 1941 avec Alfred Rosenberg »(([10] https://reseauinternational.net/lukraine-nazie-tout-se-prepare-officiellement-depuis-1941-avec-alfred-rosenberg)). Ursula, qu’est-ce que tu peux manquer d’imagination (ou de savoir) !

Il paraît clair aujourd’hui que nous avons tous les éléments montrant l’évolution de la construction d’un système dictatorial promu par nos malades psychiatriques occultes que les « lobotowokés » ne peuvent pas, par définition, freiner ou contredire, car ils sont leurs produits mêmes. De très nombreuses personnes ne verront pas non plus la nécessité de lutter contre ces malades, sachant que leur seul intérêt est de continuer à pouvoir se faire de temps en temps un barbecue dans le jardin et de regarder paisiblement et grassement la télé qui lobotomise. « Que l’État fasse ce qu’il veut, bon sang ! Nous avons d’autres choses à penser ! »

Il reste les gens qui observent, les gens conscients. Ce seront les seules personnes pour lutter contre cette mort psychique assurée. Mais qui dit lutter dit se regrouper, non pas se regrouper virtuellement, même par téléphone, mais physiquement, peu importe les convictions politiques et les couleurs de peau. Se regrouper pour travailler : « Comment va-t-il être possible de mettre fin au pouvoir que sont décidées à détenir des strates sociales euro-américaines malades et meurtrières au niveau international ? ».

Pas mal comme programme, vous ne trouvez pas ? Il y a du pain sur la planche. Est-ce que cela va pouvoir commencer à nous occuper avant la fin 2022 ? Je rappelle que 2022 est une année charnière, une année butoir pour nos malades occultes, comme avaient été un moment butoir le siècle dernier 1973 pour choquer les mentalités euro-américaines. Nous sommes les rejetons de ces chocs psychologiques et, je précise, cela ne veut pas dire que nous soyons obligatoirement tous sérieusement choqués.

Le 7 octobre a été une superbe journée pour l’aide des euro-américains prodiguée aux ukronazis. Ursula von der Leyen annonce une mise à disposition de deux milliards d’Euros à l’Ukraine nazie. On n’aura rien demandé au préalable aux contributeurs citoyens européens.

Le même jour, Macron annonce la création d’un fonds grâce auquel l’Ukraine pourra se recharger en armements européens. La somme n’est que de 100 millions d’Euros. En même temps, « la France ne souhaite pas une nouvelle guerre froide et s’efforce de mettre fin au conflit en Ukraine », notamment grâce à ses différentes livraisons de systèmes d’artillerie Caesar, produit de Nexter, « canon de 155 mm monté sur camion capable de tirer 6 coups par minute à une distance de 40 km ».

C’est merveilleux, les Caesars sont mis gratuitement au service des ukronazis travaillant pour les suprématistes américains, les superviseurs du nazisme et du néonazisme dans le monde (l’Ukraine ne pourra jamais les rembourser pour peu que l’État ukrainien existe encore à terme).

Un petit Caesar pour défendre la démocratie !

Le 25 octobre 2022 se tiendra à Berlin sous la gouverne du Chancelier Scholz la Conférence internationale de Berlin qui aura pour thème « Les instruments d’aide à long terme de l’Ukraine ». On ne discutera pas de nouvelles garanties de la part de Kiev. Nous pouvons ainsi affirmer que la guerre entre l’Union européenne et la Russie est dorénavant directe, comme avec les États-Unis et l’OTAN.

Encore une fois, l’Allemagne décide pour l’Europe, toutes deux dépendant des États-Unis, notamment des straussiens(([11] https://www.scienceshumaines.com/leo-strauss-et-la-politique-de-l-empire-americain)) qui s’occupent de la politique internationale (Blinken, Nuland).

Macron chante et confirme être prêt à continuer de fournir des armes au régime nazi kiévien. La déclaration de guerre de la France à la Russie est aussi directe, même si non prononcée. Il est prévu d’envoyer de 6 à 12 nouvelles batteries Caesar en Ukraine, au départ prévues et commandées par le Danemark. Cela s’appelle… ? Oui, « CO-LLA-BO-RA-TION » ! Gagné !

Toujours le même jour, le 7 octobre, le ministre des Affaires étrangères polonais et abruti Mateusz Morawiecki propose, tout guilleret, de partager les actifs gelés russes entre Kiev et l’Union européenne (350 milliards d’Euros). Les Européens commencent à tirer la langue. Cela rappelle le très bon récit soviétique « Les douze chaises » d’Ilf et Petrov (1928) à partir duquel ont été réalisés de très bons films : « Monsieur, je ne mange pas (depuis) six jours ».(([12] https://www.dailymotion.com/video/x29edfh))

L’attentat contre le pont de Crimée commis le 8 octobre 2022, organisé par les services spéciaux de Kiev, met un terme à l’hystérie des présidents et Premiers ministres financiers euro-américains. Ils ont depuis cessé de piailler.

No comment !

Ces piailleurs et piailleuses semblent jouer le tout pour le tout, ne plus pouvoir revenir en arrière. Effectivement, cela me paraît difficile. Ils mènent ainsi une politique jusqu’au-boutiste dirigeant les populations européennes vers la guerre, donc vers l’extermination. À moins de s’attaquer à ces piailleurs et piailleuses avant qu’il ne soit trop tard et ne pas attendre les Russes comme en 1944-1945 contre Hitler. Du copier-coller, 1945 et 2022. Cela est de NOTRE responsabilité, pas de celle des Russes, encore moins de Manu et de son mari professeur de théâtre (qui ne porte pas plainte contre ces affirmations pour ne pas avoir à se mettre à poil au poste de police, ce qui rendrait parfaitement publique la chose).

Je suis certain que nous pouvons encore agir face à un ordre qui nous pousse au fond du trou parce que cet ordre lui-même, notamment face à la Russie et à la Chine, est en train de disparaître.

Dans le prochain épisode, je reprends l’interview de Olga Tchetverikova du 11 juin 2014 dont j’ai parlé précédemment.

Bertrand Hédouin, responsable du projet Acte Eurasia





Non à une guerre qui n’est pas la nôtre !

De grandes manifestations unitaires pour la paix ont lieu en Allemagne. Et nous, que faisons-nous ?

Comme boomer, j’ai souvenir de périodes difficiles survenues pendant les Trente Glorieuses, tellement idéalisées comme des moments de paix, de détente, de joie. Pourtant ces années ne furent pas toujours si faciles et ne correspondent en rien à l’image d’Épinal que les médias aiment imposer.

Le souvenir des monstrueux drames d’Hiroshima et Nagasaki encore très récents était omniprésent. Puis la guerre d’Indochine, dans laquelle seuls les militaires de carrière et les engagés volontaires combattaient, planait dans l’atmosphère.

La guerre du canal de Suez (1956) puis la crise des missiles russes à Cuba ravivèrent le spectre de l’holocauste nucléaire.

La guerre d’Algérie (1954-1962) vint brouiller nos vies :

période douloureuse pour nous tous qui vivions dans la crainte de l’appel d’un des jeunes de la famille ou des amis à rejoindre le contingent (Français effectuant leur service militaire alors obligatoire), d’autant plus que les métropolitains n’avaient aucune raison ni envie d’aller se battre contre les Algériens dont beaucoup travaillaient en France et faisaient partie de la famille francophone. Les harkis qui sillonnaient, mitraillette en main, le boulevard parisien que je traversais pour aller à l’école nous montraient que la guerre, la vraie, n’était pas si lointaine. Angoisse omniprésente.

Les années 1950-1960 n’avaient rien à voir avec le climat d’hostilité entre générations que les médias suscitent aujourd’hui. Bref, globalement on s’aimait tous bien et on ne comprenait absolument pas pourquoi il faudrait « tirer » sur nos frères. Au bled, certains appelés nouaient des relations fraternelles avec les villageois pour lesquels cette guerre de l’autre côté de la Méditerranée était aussi incompréhensible que pour nous en métropole. Certains médecins avaient même fait le projet de s’installer dans ce pays chaleureux.

Pour les appelés, « l’objection de conscience » — refus d’utiliser les armes — était passible de prison jusqu’en 2011 lorsque la Cour européenne1 reconnut ce statut.

J’ai le souvenir aigu de multiples manifestations (dont on trouve peu de traces sur le web) qui réunissaient des centaines de milliers de travailleurs de tout âge et niveau social et de sensibilités politiques différentes, scandant « Paix en Algérie », des dizaines, puis centaines de milliers de gens unis pour faire cesser ce qu’on appelait pudiquement « les évènements ».

La manifestation du 8 février 1962 reste inscrite dans nos mémoires en raison d’une répression policière brutale entraînant 8 morts,2 dont celle d’un adolescent de 15 ans. Nous avions beaucoup couru pour échapper aux policiers soudain déchaînés (j’étais avec une femme enceinte de sept mois dont l’état nous avait préoccupés).

L’énorme hommage de centaines de milliers de personnes (plus d’un million contrairement aux quelques chiffres sur Internet) dans un silence absolu pendant des heures et des heures, de la République au Père-Lachaise, fut l’électrochoc supplémentaire, accélérant probablement les accords d’Évian un mois plus tard.

Ces accords furent-ils accélérés en raison de la situation politique explosive ? En tout cas, ils furent bâclés, abandonnant honteusement trop de harkis au massacre en Algérie et conduisant à l’exode des pieds-noirs menacés, parfois assassinés, laissant tout derrière eux leurs biens et surtout leur cœur. Les historiens pourront un jour évaluer les conséquences des évènements successifs, car 60 ans plus tard, la douleur reste vive et l’objectivité encore trop absente.

L’indépendance aurait pu être négociée dans de bien meilleures conditions pour tous si on avait eu la sagesse d’éviter cette guerre ! Mais il est malheureusement vrai que la majorité des divorces se passent mal.

Tout ceci pour rappeler que quand un peuple n’en peut plus de la guerre, il sait le dire.

Les Trente Glorieuses3 l’ont été pour l’économie, mais n’ont pas constitué une période d’insouciance ou d’abondance (nous travaillions souvent sans nous plaindre plus de 48 heures par semaine) que certains décrivent actuellement. La classe moyenne comptait ses sous chaque jour pour être sûre de « finir le mois ». Certes on trouvait du travail, souvent dur et loin du domicile. Cela apparaissait comme « normal ».

Le message antiguerre fut repris en 68 par les jeunes en colère qui criaient « faites l’amour, pas la guerre »

Quand, à la suite du massacre de Charlie en 2015, le peuple fut appelé à manifester, des millions de Français furent aussi au rendez-vous. Faut-il attendre souffrance, inquiétude, angoisse et morts supplémentaires pour sortir en nombre et imposer le point de vue du peuple aux dirigeants dont les intérêts ne sont pas les nôtres ?

Mais la politique est faite par ceux qui ne vont pas au front et finissent par s’entendre pendant que les « rien » ou les sans dents se tuent pour les intérêts des puissants qui réécrivent l’histoire ensuite pour la peindre en leur gloire.

Qui peut croire que ce soient les malheurs des Ukrainiens qui fassent pleurer Biden et les dirigeants européens alors que le Donbass, en violation des accords de Minsk certifiés par la France et l’Allemagne, était bombardé depuis 2014, entraînant des milliers de morts, et que les attaques quotidiennes au Yémen, en Arménie et ailleurs les laissent indifférents ? Ne soyons pas naïfs et soyons des grains de sable pour sauver l’Humanité.

Un peu comme en ce moment, l’épouvantail de la bombe atomique faisait avaler beaucoup de manipulations aux citoyens. L’Homme change peu, même les dirigeants qui se basent sur les enseignements de Machiavel pour instiller « la peur ».

Alexis Poulin
@Poulin2012 12 OCT

Macron :

« nous sommes en guerre »

Les Français :

« nous sommes en grève »

La campagne de grève mondiale appelle à une « riposte unifiée contre l’agenda mondialiste ». • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org)

Un peu d’espoir vient de ces propositions de « riposte mondiale » dans ce monde de dingues où un sénateur ose dire qu’il ne faut pas augmenter les salaires puisqu’il va y avoir la guerre mondiale !!!!!! Fameuse parole  !! les twittos lui répondent intelligemment que, dans ce cas, autant en profiter. Que font les psy ?

LES FRANÇAIS REFUSENT LA GUERRE DE L’OTAN ET DES USA CONTRE LA RUSSIE

Les sanctions décidées sans concertation avec les peuples par la commissaire non élue de l’UE et par certains chefs d’État, dont le nôtre (sans avis du Parlement), n’ont fait que ruiner l’UE et les populations menacées de froid, de famine, de pénuries d’essence, etc. cet hiver. Et E. Macron a avoué que nous payons le gaz des USA quatre fois plus cher que le gaz russe (interview sur France 2 le 12 octobre 2022).

Et tous nos concitoyens que l’on peut entendre sur les marchés, dans les magasins, ou sur les réseaux chantent un air différent : cette « guerre », non déclarée, mais qui ruine nos armées et le pays tout entier, et nous désigne comme ennemis, ne nous concerne pas, en tous cas pas plus que la guerre au Yémen ou en Arménie.

Et ce d’autant que certaines cruelles vérités commencent à sortir !

« Les militaires ukrainiens de la 25e brigade de l’UFC ont affirmé que leurs commandants militaires ordonnent de tuer des civils dans les villages et de tuer des militaires ukrainiens blessés qui demandent leur évacuation. Les militaires ukrainiens refusent d’aller en guerre avec un tel commandement. En entrant dans le village — tirez sur tout le monde : un tel ordre a été reçu par les militaires ukrainiens de la 25e brigade des forces armées ukrainiennes pendant l’une des batailles. Selon eux, ils ont tué des civils, même des femmes et des enfants, jeté des grenades dans des caves où les gens se cachaient.

Mais ils ont décidé de parler de ces atrocités uniquement parce que leurs commandants les ont laissés sur la ligne de front et ont ordonné d’achever leurs collègues blessés pour ne pas organiser une évacuation. https://southfront.org/in-video-ukrainian-servicemen-reveal-crimes-of-their-command/ Silvano trotta sur Telegram »

🔴🇲🇫 Aberrations gouvernementales : est-ce que les Français savent ?

« Est-ce que les Français savent que les Chinois achètent le gaz russe et le revendent à l’Europe 4 fois le prix ?? »
« L’Arabie Saoudite a négocié le pétrole russe et le revend aux occidentaux au prix fort. »

@rec0nciliati0n #nicolasdupontaignan #sudradio #jacquesbaud ♬ son original – Rec0nciliati0n


Mais comment peut-on être aussi bêêêtes ?🤦😩😩😩

Militant.André.D @Circonscripti18‬

💥 #Ukraine️ ⚡ @BFMTV@LCI‬@France2tv@TF1‬ , des milliers d’épouses ukrainiennes👇 témoignent que leurs maris mobilisés tués sur le front ont été déclarés « libérés » pour retenir leurs salaires ou bien « déserteurs » par le régime de #Kyiv pour ne pas payer leurs compensations. pic.twitter.com/3xg2THwkRd 13/10/2022 07:43‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬

La révolte quotidienne des Allemands

Si les nouvelles étaient moins censurées sur les médias, on pourrait suivre la révolte des Allemands opposés à la guerre et aux sanctions qui ruinent leurs économies, etc. Chaque jour dans de nombreuses villes y compris les petites. Qu’attendons-nous ?

DEVONS-NOUS NOUS UNIR LE TEMPS NÉCESSAIRE PAR DES MANIFESTATIONS NOMBREUSES PACIFIQUES DANS TOUTES LES VILLES DE FRANCE ET PERMANENTES, TANT QUE LA PAIX NE SERA PAS ACTÉE, TANT QUE NOS LIVRAISONS D’ARMES NE CESSERONT PAS ?

Et si le chef de l’État a des doutes sur le choix des Français par rapport à ses engagements guerriers qu’il organise un référendum sur la volonté des Français de faire la guerre à la Russie. Comme le maire de Callac qui refuse de demander à ses administrés par référendum leur avis sur l’arrivée de migrants, il est probable qu’E. M. en connaît d’avance le résultat ! Un débat au Parlement serait le bienvenu !

UNE GRANDE MARCHE UNIE CONTRE LA GUERRE ?

Battons-nous pour la paix et l’amélioration des conditions de vie. N’est-il pas temps que des millions d’entre nous, étiquetés droite, gauche, centre, ou blanc, vert, rouge, violet orange ou jaune se réunissent dans une grande marche contre la guerre ?

Les médias répètent que la majorité des Français sont du côté des « Ukrainiens ». Peut-être, mais desquels, les victimes de la comédie jouée par un acteur payé par l’OTAN et les USA dont les femmes révèlent que celui-ci les a trompés et laissées sans ressource ?

Nous avions eu l’habitude de ces montages, de ces images extraites d’autres guerres, et présentées comme l’actuelle. Ces falsifications sont vite démasquées sur le web, mais les téléspectateurs des chaînes d’info auront eu le temps d’être manipulés, mais exceptionnellement réniformés.

Mais les Allemands manifestent


Dans ce contexte de résistance internationale aux visées des mondialistes dans lesquelles s’inscrivent le scénario covid, puis la crise en Ukraine avant celle de l’énergie, il est intéressant de s’intéresser aux suggestions de résistance d’autres humains, nos frères d’infortune.

La campagne de grève mondiale appelle à une « riposte unifiée contre l’agenda mondialiste »

Tous les dimanches à 20 heures. À l’heure de Londres, Global Walkout annonce une nouvelle « étape » ou action que les gens peuvent entreprendre pour se dégager de l’agenda mondialiste et entraver sa progression.

Il est temps de prendre des mesures pratiques — individuellement et collectivement — pour faire obstacle à l’agenda mondialiste et nous donner les moyens de créer la vie que nous voulons vivre, selon Reignite Freedom.

Ainsi, le 4 septembre, l’équipe de Reignite Freedom — dont le Dr Peter McCullough, le Dr Robert Malone, le président de Children’s Health Defense, Robert F. Kennedy, Jr. et huit autres éminents critiques de l’agenda mondialiste — a lancé une grève mondiale.

Tous les dimanches à 20 heures, heure de Londres (14 heures ET), Global Walkout annonce une nouvelle “étape” ou action que les gens peuvent entreprendre pour se dégager de l’agenda mondialiste et entraver sa progression.

« Beaucoup d’entre nous, moi y compris, avons inconsciemment souscrit au mondialisme en acceptant les commodités qu’il nous offrait à travers la communication technologique et la facilité des opérations bancaires », a déclaré Monica Smit, responsable de la campagne Global Walkout, dans la vidéo d’introduction de la Global Walkout.

Smit, qui a fondé et dirige Reignite Democracy Australia, (Ré-enflammer la démocratie en Australie) a déclaré :

« Si nous voulons repousser stratégiquement le mondialisme, nous devons montrer l’exemple et nous désenchaîner lentement.

“Nous avons déjà le pouvoir. Nous sommes déjà assez nombreux. Nous devons juste agir à l’unisson… Un pas après l’autre, nous nous efforcerons progressivement de nous déconnecter de l’agenda mondialiste.”

Selon son site Web, les personnes qui prennent des mesures pratiques peuvent créer un élan suffisant pour « créer des barrages » dans l’agenda mondialiste :

« Lorsque des millions de personnes dans le monde agiront à l’unisson, nous deviendrons une force efficace qui ne pourra être ignorée.

Avec un nombre suffisant de personnes, la famille de la marche mondiale peut commencer à s’engager dans des actions significatives qui encourageront les entreprises et les gouvernements à prendre note et à considérer notre point de vue.

Si nos actions peuvent affecter directement le portefeuille des mondialistes, ils n’auront peut-être pas d’autre choix que d’écouter. »

Inspiré par le convoi des camionneurs canadiens pour la liberté médicale

« Le Convoi canadien a été la source d’inspiration de [for creating the Global Walkout] », a déclaré Smit auLe Défenseur. « Je me suis dit : “Imaginez que nous fassions ça partout dans le monde en même temps.” »

Elle a ajouté :

« Le plus important, c’est que tout le monde peut participer, peu importe où il vit, ce qu’il fait ou quel est son mode de vie. Cela demande très peu d’énergie mais peut avoir un impact énorme si on le fait à l’unisson au niveau mondial.

Vous pouvez participer à chaque étape dans la mesure où vous vous sentez à l’aise. Si vous n’aimez pas une étape, vous n’êtes pas obligé de la faire. Si vous aimez l’étape suivante, faites-la. »

Outre Smit, Kennedy, McCullough et Malone, les membres de l’équipe de lancement de Reignite Freedom sont les suivants :

La grève mondiale : étape par étape

Global Walkout, qui a jusqu’à présent annoncé quatre étapes, annoncera la cinquième le 2 octobre. Voici comment se présente la campagne jusqu’à présent :

Étape 1 : Garder l’argent liquide : L’étape 1, annoncée le 4 septembre, conseillait aux participants d’utiliser l’argent liquide autant que possible.

Un document imprimable suggère aux participants d’utiliser cette amorce de conversation : “J’ai payé en liquide aujourd’hui pour une raison” :

« 1. Pour économiser à cette entreprise de l’argent sur les frais de transaction

2. Donner à cette entreprise plus de contrôle sur ses bénéfices

3. SOUTENIR l’économie et la communauté locales

4. Pour garder mes achats et ma localisation anonymes

5. Pour garder l’argent comptant vivant ! »

Le site web comprend également un document que les entreprises peuvent utiliser pour expliquer aux clients pourquoi elles les encouragent à payer en espèces :

« 1. Nous économiserons instantanément de l’argent sur les frais de transaction.

2. Si nous pouvons économiser de l’argent, nous pouvons garder notre personnel employé et redonner à notre communauté locale.

3. Nous aurons davantage de contrôle sur nos bénéfices.

4. Les petites et moyennes entreprises comme celle-ci font partie intégrante de la prospérité et de la croissance de notre économie locale et de notre communauté.

5. Ça aide à garder l’argent comptant en vie ! »

Étape 2 : Achetez local : Étape 2 Dans le cadre de cette campagne, annoncée le 11 septembre, les participants sont invités à :

« localiser et soutenir autant que possible les épiceries et marchés familiaux. Essayez d’acheter des produits cultivés localement pour soutenir les communautés agricoles et les marchés de votre région. Si vous vivez en ville, recherchez les produits frais qui sont cultivés dans votre région. »

Le Global Walkout a fourni ces conseils :

« 1. Si vous avez le temps, faites des recherches sur ce qui est cultivé dans votre région.

2. Recherchez les épiceries familiales locales ou les magasins de fruits et légumes. Demandez-leur quels produits sont d’origine locale et achetez ces produits.

3. Renseignez-vous sur la date du prochain marché dans votre région, et sur sa fréquence. Essayez d’y aller autant que possible et achetez suffisamment de produits frais pour tenir jusqu’au prochain jour de marché.

4. Si vous entamez une conversation avec les propriétaires ou le personnel du magasin, dites-leur pourquoi vous êtes là et pourquoi vous faites l’effort d’y faire vos achats. C’est un excellent moyen d’engager la conversation et ils l’apprécieront. »

Le site web comprenait également un document que les participants pouvaient partager avec d’autres personnes pour expliquer l’importance de soutenir les agriculteurs locaux et les petites entreprises.

Troisième étape : laisser tomber les médias grand public : Annoncé le 18 septembre, L’étape 3 invitait les participants à :

« se désabonner de tous les médias grand public. Supprimez les applications de votre téléphone, de votre ordinateur portable et de votre tablette et désuivez tous leurs médias sociaux et leurs chaînes YouTube. Essayez d’éviter les médias grand public pendant au moins une semaine, même si le titre est intriguant. »

Le site Web de la Marche mondiale comprend un document que les participants peuvent partager avec d’autres personnes et qui explique « pourquoi réduire la consommation des médias grand public est une bonne idée » et propose trois suggestions pour accomplir la troisième étape :

« 1. Supprimez toutes les applications des médias grand public de votre téléphone, tablette, ordinateur portable et ordinateur. Désabonnez-vous des paiements mensuels si vous êtes inscrit à l’un d’entre eux.

2. Veillez également à supprimer ou à masquer les applications d’information génériques préinstallées sur votre téléphone et vos appareils.

3. Évitez autant que possible le clickbait. Nous savons tous qu’ils créent des titres qui sont trompeurs. Ne cliquez pas dessus. »

Étape 4 : Soutenir les petites banques : L’étape 4 de la Grève mondiale, annoncée le 25 septembre, demande aux participants de soutenir les petites banques en transférant autant de comptes que possible vers un syndicat ou une banque locale.

Selon le site web de Global Walkout :

« Les petites banques soutiennent davantage les entreprises familiales locales. Si vous y investissez votre argent, vous aidez l’économie locale dans son ensemble.

Si suffisamment de gens retirent leur argent des grandes banques, celles-ci auront moins de contrôle.

Dans certains cas, les petites banques sont moins contrôlées par les grandes entreprises et le gouvernement.

Nous ne sommes pas certains de ce que l’avenir nous réserve. Nous savons que les mondialistes tentent d’instaurer une carte d’identité numérique et une société sans argent liquide. Cette mesure à elle seule ne l’empêchera pas, mais c’est un début. »

Le site Web comprend un document que les participants peuvent utiliser lors de conversations avec le personnel de leur nouvelle et ancienne banque pour expliquer pourquoi ils optent pour des banques plus petites.

En conclusion, il faut sérieusement refuser que notre pays s’engage dans une guerre qu’il n’a pas voulue, qui ne le concerne pas. Combien d’entre vous s’étaient-ils intéressés à la guerre dans le Donbass depuis 2014 ou bien aux enfants décharnés du Yémen qui reçoivent sur leurs têtes des bombes françaises ? On ne peut s’occuper de tout, certes, et c’est pour cela par exemple que je n’écris en général que sur les problèmes médicaux.

Mais pourquoi éviter des injections morbides et laisser quelques mondialistes entraîner les peuples vers l’extinction ? Alors battons-nous ensemble pour nos enfants, petits-enfants et générations futures. La Terre survivra quoiqu’en pensent les écolos, ce sont les Humains qui sont en cause et pourraient disparaître.


1 Estimant que :

« l’opposition au service militaire motivée par un conflit grave et insurmontable entre l’obligation de servir dans l’armée et la conscience d’une personne, constituait une conviction atteignant un degré suffisant de force, de sérieux, de cohérence et d’importance pour entraîner l’application des garanties de l’article 9. »

2 Non compris un blessé qui décédera trois mois plus tard

3 Les Trente Glorieuses : 1945 à 1975 après la fin de la Seconde Guerre mondiale. Cette période coïncide avec une reprise économique et des changements sociaux rapides, ce qui justifie sa caractérisation comme un « âge d’or », ce qu’il ne fut que pour les capitalistes et non la classe moyenne.




Voici pourquoi l’Ukraine n’est pas un nouvel Afghanistan

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Batiushka

Il y a un vent d’est qui arrive tout de même. Un vent tel qu’il n’en a jamais soufflé… Il sera froid et amer… et bon nombre d’entre nous risquent de se flétrir devant son souffle. Mais c’est néanmoins le vent de Dieu, et une terre plus propre, meilleure et plus forte se trouvera au soleil lorsque la tempête aura disparu.

Son dernier arc, Sir Arthur Conan-Doyle, octobre 1917

L’Afghanistan, pays pauvre et montagneux, se trouve au centre du cœur de l’Eurasie. Autour de lui, dans le sens des aiguilles d’une montre, se trouvent la Russie et l’Asie centrale russe, la Chine, le sous-continent indien et l’Iran. En raison de sa position géographique et malgré son terrain inhospitalier et la pauvreté de ses ressources naturelles, l’Afghanistan a été au centre de guerres depuis la première des trois guerres afghanes britanniques de 1839, qui a échoué. Les 16 500 envahisseurs de l’armée victorienne furent alors massacrés par les Afghans, laissant moins de dix survivants. Depuis lors, le site est connu comme « le cimetière des empires ».

C’est ici que l’Empire britannique a été vaincu au 19e siècle, que l’empire soviétique a été vaincu au 20e siècle et que l’empire américain a été vaincu au 21e siècle, dont une nouvelle phase de la défaite a été vue de façon si spectaculaire à Kaboul en août 2021.

Ces trois empires ont perdu parce qu’ils ont essayé d’imposer une idéologie athée de facto à une société strictement traditionnelle, qui tient sincèrement à ses croyances musulmanes, aussi étrangères qu’elles puissent paraître aux envahisseurs athées britanniques, soviétiques ou américains. Lorsqu’un peuple adhère avec ferveur à ses propres traditions et valeurs civilisationnelles, il ne peut être vaincu par personne. C’est pourquoi on dit que l’Afghanistan est facile à pénétrer, mais qu’il est très difficile d’en sortir. Ainsi, les Américains se sont enfuis, tout comme les Britanniques avant eux.

Cela nous rappelle le vieux proverbe russe : « Ne touche pas et ça ne sent pas ». En d’autres termes, laissez les Afghans, dans leur immense diversité, se gouverner eux-mêmes. En fait, il faut laisser tout le monde se débrouiller tout seul dans son immense diversité. Mais c’est une chose que les impérialistes de toutes sortes ne comprennent pas. Pour eux, par définition : « Notre taille convient à tous ».

L’Ukraine est totalement différente de l’Afghanistan. Tout d’abord, elle ne se trouve pas au centre de l’Eurasie. La moitié orientale a toujours fait partie intégrante de la Russie européenne jusqu’à ce que, en 1922, Lénine décide, pour des raisons de manipulation politique, de la donner à la moitié occidentale afin de contrôler cette dernière. Quant à la moitié occidentale, elle est elle-même divisée en différentes parties, mais une grande partie de la moitié occidentale de la moitié occidentale, reprise à la Pologne en 1939, est clairement proche des frontières d’une civilisation différente — la civilisation occidentale. En effet, ce quart occidental, que l’on peut vaguement appeler « Galicie orientale », a changé de mains entre la Pologne (civilisation occidentale) et la Russie (civilisation chrétienne orthodoxe) à de nombreuses reprises au cours des siècles.

Les Ukrainiens aiment se rencontrer, plaisanter, chanter et danser. Ils aiment aussi le spectacle extérieur et la décoration. On les accuse parfois de superficialité, de matérialisme et de ce faux sentiment d’être dans leur bon droit auquel les provinciaux sont tentés de céder. Leur tentation est de dire : L’Amérique est avec nous. Gloire à l’Ukraine ! Les meilleurs Russes postsoviétiques disent : Dieu est avec nous. Gloire à Dieu ! Il y a une différence. Si tous les Russes disent la même chose, ils gagneront, tout comme les Afghans ont gagné contre les athées. Quand un peuple adhère avec ferveur à ses propres traditions et valeurs civilisationnelles, en gardant sa propre identité, il ne peut être vaincu par personne. Le Vietnam l’a prouvé.

Ainsi, nous avons deux pays bien différents et incomparables : L’Afghanistan au centre du centre et l’Ukraine sur les marges occidentales – ce que signifie son nom même. Les Afghans vivent dans des montagnes inaccessibles, les Ukrainiens dans des steppes ouvertes. Les Afghans ont une identité très forte, même si, comme d’autres montagnards, comme dans les Highlands écossais ou les Alpes suisses, ils sont divisés en clans tribaux farouchement différents et guerriers et en langues différentes selon la vallée où ils vivent. Cependant, les Ukrainiens, sur leur terre ouverte, sont ballottés d’un côté et de l’autre, en grande partie en fonction de la meilleure offre, de la façon dont le vent souffle et de la marée.

Les États-Unis n’ont cessé d’essayer de découper, d’occuper et de contrôler des morceaux marginaux de l’Eurasie, des îles comme l’Islande, les îles britanniques et l’Irlande, le Japon, les Philippines et Taïwan, des péninsules comme la Corée du Sud, le Sud-Vietnam et l’Europe occidentale. En 1975, ils ont été humiliés et chassés de l’Asie du Sud-Est lorsque Saïgon a enfin été libérée. D’autres régions ils occupent, comme Taïwan et la Corée, sont menacées. En 2021, après avoir osé occuper non pas une zone marginale, mais le centre même du cœur de l’Eurasie en Afghanistan, ils ont été humiliés et chassés. C’était un exemple classique d’orgueil démesuré. « Nous sommes américains, nous pouvons tout faire ». En fait, ce n’est pas le cas.

Aujourd’hui, les États-Unis tentent de s’accrocher à l’Europe occidentale en renforçant sa frontière littérale, l’Ukraine. Il s’agit de l’une des dernières tentatives américaines pour garder le pouvoir en Eurasie. Les États-Unis craignent l’Eurasie, car l’Eurasie est beaucoup plus forte qu’eux et les États-Unis sont isolés sur leur grande île, placée, comme pour une quarantaine, entre l’Atlantique et le Pacifique. Un jour, ils seront contraints à contrecœur d’admettre que l’Eurasie est géographiquement indivisible, quels que soient leurs efforts pour la diviser politiquement et l’occuper militairement. Ils se retireront alors dans l’isolement de leur grande île, rejetée par l’Afro-Eurasie, l’Océanie et l’Amérique latine, et commenceront à faire un très sérieux examen de conscience de leur propre histoire. Cela s’appelle la repentance.

Les États-Unis s’étendent vers l’est, de l’autre côté de l’Atlantique, depuis plus de trois générations maintenant. Ils contrôlent le Royaume-Uni depuis 1942, d’où ils ont envahi le reste de l’Europe occidentale en 1944 et envahi l’Europe centrale depuis 1989, en utilisant des élites fantoches, en commettant des assassinats et en truquant les élections. Le Portugal sous Salazar, l’Espagne sous Franco, l’Italie sous tous les fraudeurs possibles, la Grèce sous les Colonels, la France après avoir déposé le dernier Français, de Gaulle, le Royaume-Uni sous les Conservateurs, ne sont que des exemples de leurs manipulations. La liste des assassinats américains est sans fin : Dag Hammarskjold, Aldo Moro, Olof Palme.

Exactement une génération après avoir pris le contrôle de l’Europe centrale en 1989, les États-Unis tentent depuis 2014 de s’étendre en Europe de l’Est. Nous sommes maintenant à un point irréversible. Les livres d’histoire seront écrits comme des événements « avant 2022 et après 2022 ».

Aujourd’hui, l’Ukraine est en train d’être démilitarisée et dénazifiée. Comme la Crimée, les deux provinces du Donbass sont presque libérées, ainsi que les deux provinces de Kherson et de Zaporozhie. On ne sait pas jusqu’où ira la Fédération de Russie, mais la menace existentielle que représente pour elle une Ukraine gouvernée par les États-Unis est en train d’être écrasée. Pour l’instant, le régime fantoche de Kiev, c’est-à-dire les États-Unis, « n’est pas prêt à parler à la Russie ». Et pourtant, la diplomatie, qui aboutira à une division équitable de l’Ukraine, est la seule façon de s’en sortir. Un ancien ministre roumain des affaires étrangères vient de le dire très bien, en parlant des « frontières contre nature » de l’Ukraine actuelle, qui sont à l’origine de tous les problèmes et ont fourni aux États-Unis leur excuse pour cette terrible guerre.

S’il n’y a pas de pourparlers de paix, l’Europe occidentale fera faillite, gèlera, mourra de faim — et se révoltera ensuite contre ses seigneurs féodaux américains qui tyrannisent leurs États vassaux européens depuis leurs camps fortifiés : Ansbach, Stuttgart, Wiesbaden, Vicence, Bondsteel, Ramstein, Aviano, Lakenheath, Mildenhall, Rota, Souda Bay, etc.

Car le véritable centre des choses aujourd’hui n’est pas la guerre par procuration entre la Russie et les États-Unis qui se déroule sur les champs de bataille de l’Ukraine et d’ailleurs, de la Syrie à l’Arménie, c’est l’Europe occidentale. Cette péninsule ne peut plus continuer à avoir un esprit colonial. Elle doit devenir suffisamment civilisée pour se rendre compte qu’elle n’est qu’une partie de l’Eurasie. Elle est séparée des États-Unis par bien plus que l’océan Atlantique. C’est un monde à part. Ce n’est que lorsque l’Europe occidentale comprendra cela qu’elle survivra. Son plan de survie et son destin consistent à devenir une partie, une partie importante, mais toujours une partie seulement, de l’Eurasie. Elle doit cesser de regarder vers l’ouest, vers la mer vide, et se tourner vers l’est, vers la terre peuplée.

Après de nombreuses années de tergiversations politiques plutôt stupides, le Belarus a reconnu que son destin se trouve en Eurasie. Le Kazakhstan tergiverse encore, mais il est en train de reconnaître la réalité. La nouvelle Ukraine le reconnaîtra aussi. La Hongrie est déjà sur le point de le faire. Une grande partie de l’Europe centrale et du Sud-Est, notamment, mais pas seulement, les Balkans le reconnaîtront presque certainement avec le temps. Il restera alors à des pays comme les États baltes, la Pologne, la République tchèque, la Slovaquie, la Croatie, la Slovénie, les pays nordiques et toute l’Europe occidentale située à l’ouest de l’ancienne ligne du Pacte de Varsovie, jusqu’aux îles britanniques, à l’Irlande et même à l’Islande, à faire fonctionner leurs cerveaux et à suivre.

Comme nous l’avons dit, nous avons deux pays tout à fait différents et incomparables : L’Afghanistan au centre du centre et l’Ukraine dans les marches – ce que signifie son nom même. Les Afghans sont des musulmans farouchement traditionnels, les Ukrainiens sont plutôt des amateurs de plaisirs heureux. Cependant, ils ont une chose en commun : ils sont tous deux des cimetières d’empires. L’Afghanistan est le cimetière de trois empires. L’Ukraine, plus précisément, est le cimetière de deux empires, l’empire nazi et l’empire néonazi.

Batiushka

Recteur orthodoxe russe d’une très grande paroisse en Europe, il a servi dans de nombreux pays d’Europe occidentale et j’ai vécu en Russie et en Ukraine. Il a également travaillé comme conférencier en histoire et en politique russes et européennes.

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




Les nazis ont-ils gagné la guerre ?

« Le Maître du haut château1 »
Les nazis ont-ils gagné la guerre ?

À Shanti…

Typiquement le genre de titre qui pourrait réjouir certains complotistes et conforter les hypnotisés sur ma « folie » déviante.

Pour celles et ceux qui l’ignorent, « Le maître du haut château », « The man in the high castle » est un roman écrit en 1962 par Philip K. Dick. Je vais ici vous parler de la série télévisée inspirée du livre actuellement disponible sur le bouquet Amazon Prime, merci Jeff2, toujours là pour aider !

Les lignes qui suivent vont donc vous révéler certaines intrigues de la série et j’invite tous ceux qui seraient désireux de la voir (en gardant tout le suspens) de ne pas lire les paragraphes consacrés.

« Le maître du château. »

L’intrique se déroule dans les années 1960 principalement sur le territoire des États-Unis. La différence de taille, par rapport à notre époque, est que les nazis et les Japonais sont sortis vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale.

Le territoire Nord-Américain est ainsi divisé en 3 parties :

  • L’est pour le Reich.
  • L’ouest pour l’empire du Soleil levant.
  • Et une zone neutre sans droit, en son centre.

Un des points intéressants de la série est qu’elle ne fait pas dans le manichéisme de base cher à Disney ou à Hollywood. Les pourritures ne le sont pas tant que ça, et ils sont parfois plus humains que les résistants américains.

Je ne doute pas que vous appréciez me voir vous narrer une série, mais vous aurez bien compris que l’objectif de mon texte n’est pas là.

Les « valeurs » du Reich après guerre

Il est de bien entendu que les nazis ont exporté leurs « idéaux ». Être juif sur ce territoire relève de la folie, les noirs étant quant à eux considérés comme des sous-hommes à la limite de l’animal.

Dans ce monde « idyllique et harmonieux » (pour les Aryens), point de souffrances, point d’inutiles, points de handicapés, point de violence (autre que celle du régime).

Comme « au bon vieux temps », les inutiles sont éliminés pour leur « bien » et le bien du Reich. L’objet de ce nettoyage ne se veut pas uniquement eugéniste, mais a pour but d’éviter la déchéance et la souffrance à tous ces malheureux de la vie.

Le « Service de Santé du Reich » est donc là pour « abréger les souffrances » des malades mentaux, des handicapés moteurs et de tout individu qui serait condamné par une maladie incurable.

Cette composante « humaniste » et « généreuse » est affirmée par la propagande nazie et développée dans de nombreux ouvrages « scientifiques et philosophiques ».

« Thomas Smith. », citoyen du Reich.

Dans la série, il est le fils aîné de l’Obergruppenführer John Smith, un nazi haut placé fidèle à sa patrie qui n’hésite pas à faire tuer et torturer quand cela est nécessaire pour le bien de la patrie.

Thomas est un bon petit, d’une quinzaine d’années, dévoué et intègre, membre actif comme il se doit des jeunesses hitlériennes, fier de sa famille, de son pays et de son papa.

Tout irait pour le mieux quand, lors d’une visite de routine, le médecin de famille (aussi haut gradé) découvre que Thomas souffre d’une maladie génétique neurodégénérative pour laquelle il n’existe aucun traitement. Il est condamné à relativement court terme.

John et sa femme évoluent alors dans leur mentalité. Les lois « généreuses et humanistes » du Reich voudraient que Thomas soit immédiatement euthanasié avant que les symptômes handicapants et la souffrance ne fassent leur apparition.

Pour eux, leur fils doit vivre, ils sont et demeurent avant tout des parents, nazis ou pas. Ils prévoient ainsi de le faire partir pour un voyage d’études en Amérique du Sud où il « disparaîtrait » suite à un « enlèvement ».

Mais le médecin de famille, conscient de son devoir, explique au père que s’il ne dénonce pas lui-même son fils aux autorités, il s’en chargera. N’ayant plus d’échappatoires, l’Obergruppenführer tue le médecin et camoufle sa mort en crise cardiaque.

Thomas serait ainsi sauvé !

Jusqu’au moment où le drame se produit… En voyant son père en direct à la télé à Berlin, récompensé d’avoir sauvé le Reich et ses valeurs, Thomas comprend son devoir et commet l’irréparable.

Il se dénonce volontairement auprès du Service de Santé du Reich qui vient le chercher à son domicile pour le tuer « humainement ».

Cet enfant est à ce point fier de sa patrie, fier de sa famille, à ce point imbibé des « valeurs » du Reich, qu’il va « volontairement » se faire éliminer pour ne pas devenir un parasite inutile à la patrie.

Ainsi ni lui ni sa famille ne seront les témoins de sa déchéance. Il vit donc son suicide assisté comme un acte de bravoure dont toute la famille pourra être fière.

** fin de l’évocation de la série **

« Remercions le ciel de ne pas vivre dans un tel monde de nazis. »

Les alliés ont gagné la Deuxième Guerre mondiale, les nazis ont perdu et la dictature immonde d’Hitler s’en est allée.

Nous avons la chance de vivre dans une « démocratie » si loin des « valeurs immondes véhiculées par l’idéologie nazie » (quand bien même elle est partagée par de nombreux Ukrainiens nostalgiques du Reich).

Point d’eugénisme dans notre pays et notre belle Europe !

Euh, vous en êtes bien sûr ?

95 % des grossesses conduiraient à un avortement en cas de détection de trisomie3.

Je vous rappelle que le diagnostic de trisomie n’est pas une science totalement exacte, mais un faisceau d’indices plus ou moins forts. Ce qui veut dire que chaque année des enfants désirés et en pleine santé sont privés du droit à la vie.

C’est d’autant plus paradoxal que le nombre de lois pour respecter la dignité et les conditions de vie des handicapés ne faire que croître. Que de campagnes de lutte contre la discrimination alors que dans le même temps il y a une politique eugéniste organisée et valorisée.

Il y aurait 450 naissances d’enfants trisomiques par an en France. La prévalence de la maladie serait 1 sur 700 à 800 grossesses.

Notons qu’il y a eu en France en 2020, 222 000 interruptions de grossesse4 pour 697 000 naissances5, soit un total de 919 000 grossesses.

Selon l’OMS :

« Environ 73 millions d’avortements provoqués ont lieu chaque année dans le monde6. »

Il devrait y avoir environ 1100 naissances trisomiques par an (sans tenir compte des fausses couches).

« Une étude publiée par la revue European Journal of Human Genetics estime qu’entre 2011 et 2015, il y a eu chaque année 8 000 naissances d’enfants porteurs de trisomie 21 en Europe. Sans interruption médicale de grossesse, ce chiffre aurait atteint 17 331 naissances7. »

Sur 4 ans notre société a donc empêché la naissance d’environ 8 000 enfants « pas comme les autres ».

L’Islande un exemple à suivre ? Le magazine « génétique8 », qui se targue d’être le premier site de « Bioéthique » (je ne sais pas si il faut en rire ou en pleurer).Celui-ci note les « progrès » citant par exemple le Danemark où « 95 % des bébés porteurs de trisomie 21 sont avortés ». Quant à l’Islande, pays de grands espaces et d’harmonie, « aucune naissance de bébé trisomique n’a été recensée depuis 2017 ».

Rappelons que l’avortement, en l’occurrence le meurtre, si il est pratiqué sur un fœtus viable, est autorisé jusqu’à la naissance pour les bébés qui seraient trisomiques.

Comment appelez-vous le fait de sélectionner volontairement les enfants à naître
selon leurs caractéristiques génétiques sinon de l’eugénisme ?

Ah bien sûr, c’est pour éviter des souffrances… mais n’est-ce pas le même principe évoqué dans la série « le maître du haut château » ?

« Nous ne sommes pas comme des nazis, nous ne tuons pas des personnes dans la fleur de l’âge, en bonne santé physique. Et encore moins des malades mentaux ! »

Comment puis-je oser une telle question alors que nous vivons en France et en Europe dans les patries des droits de l’homme !

Pour autant, le 7 mai 2022 les services de santé belges ont « assassiné » à sa « demande », une jeune femme de 23 ans9

  • Cette femme était-elle en fin de vie ? NON !
  • Cette femme avait-elle une perte d’espérance de vie ? Non !
  • Cette femme avait-elle une maladie physique incurable ? NON !
  • Cette femme avait-elle des souffrances physiques ? NON !

Cette femme témoin de l’attentat en 2016 dans l’aéroport de Zaventem n’y avait pas été blessée.

Le média précise :

« Au printemps dernier, sa demande d’euthanasie a été acceptée par la Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie, au motif d’une “souffrance psychique irrévocable et permanente. Elle est morte entourée de sa famille »

Cela veut dire que cette jeune femme souffrait d’un trouble de stress post-traumatique !

Elle avait ce que l’on nomme une maladie psychiatrique ou mentale selon le vocabulaire, maladie exacerbée par le traumatisme de l’attentat.

Notre société a accepté la mise à mort d’un humain
« à sa demande » pour maladie psychiatrique.

Libre arbitre ?

Je vous rappelle que pour tout traitement, et je précise bien « traitement » et non « mise à mort », le consentement libre et éclairé du patient doit être obtenu.

(Vous n’imaginez pas ma souffrance en écrivant ces lignes.)

Le Conseil national de l’Ordre des Médecins10 précise :

« … Le majeur sous tutelle.
S’il est apte à exprimer sa volonté, son consentement doit être recherché. S’il est hors d’état de consentir aux soins en raison d’une altération de ses facultés mentales, le tuteur prend alors le relais, mais de façon encadrée. »

Nous avions à faire, sans l’ombre d’un doute, à une personne suicidaire, souffrant de trouble mental et sa demande a été acceptée par notre société.

Ce que certains nomment « suicide assisté » me laisse aussi perplexe d’un point de vue psychiatrique.

Pourquoi cette personne qui aurait fait la demande à plusieurs reprises selon les médias ne s’est-elle pas suicidée ? Il ne s’agit ici nullement d’une personne âgée grabataire, en soin palliatif ou inconsciente, mais d’un être humain physiquement « fonctionnel ».

Celle-ci avait d’ailleurs remplacé sa photo de profil Facebook11 le 11 mars par une photo gaie et pleine de vie.

Pourquoi a-t-elle fait appel aux autorités pour mettre fin à ses jours ?

Les méthodes ne manquent pas, des plus brutales en sautant du 8e étage ou sur les rails d’un train, aux plus douces comme l’ingestion de médicaments causant la mort. Je suis certain qu’il existe une multitude de sites expliquant avec moult détail comment se donner la mort efficacement et sans souffrance.

L’interrogation est d’autant plus forte qu’elle aurait fait une tentative de suicide12 en 2020. De plus elle aurait refusé13 de rejoindre un groupe de soutien pour les victimes de l’attentat afin de se faire aider.

D’un point de vue psy, il est intéressant de se demander si sa demande était profondément ancrée en elle ou si elle constituait en un appel à l’aide ? Une fois sa demande d’euthanasie active lancée, difficile de revenir en arrière !

Elle est certainement passée du stade de « femme sans espoir et sans but hormis une souffrance éternelle » à « femme avec un nouveau sens à sa vie, celui de la reconnaissance de sa souffrance et se faire tuer par la société ».

J’ai l’intime conviction que la bataille d’expert qu’elle a dû mener a rendu cette jeune femme « vivante ». Elle a donc été tuée par la société alors qu’elle n’avait pas été aussi vivante depuis des années ! Il est délirant de voir que les psychiatres chargés d’analyser sa demande n’aient pas perçu (ou qu’ils aient ignoré) ces faits.

Il est merveilleux de constater comment ces prétendus médecins ont trouvé la solution finale pour transformer leur incompétence en succès.

Alors que ces « soignants » devraient présenter des excuses en disant
« nous sommes impuissants, notre savoir est de paille,
nous ne savons pas soulager la souffrance
et nous allons nous battre pour progresser ! ».
Ceux-ci présentent comme une « victoire » le fait de dire
« Nous allons tuer un être humain pour abréger ses souffrances
comme on abat un cheval ! ».

Un cas isolé ?

Depuis les années 2000, date de la légalisation de l’euthanasie en Belgique, le nombre ne fait qu’augmenter avec un total de 2 699 euthanasies déclarées ! Soit un doublement depuis 2012.

La commission précise qu’un tiers des tués avait moins de 60 ans, soit 869 personnes !

Les données indiquent aussi que 50 souffraient uniquement d’affections psychiatriques. Si l’on rajoute les personnes souffrantes de troubles physiques ET psychiques, 20 % soit 540 personnes de plus, alors on peut affirmer le nombre d’euthanasies pour des personnes impactées par des troubles psy à 600, soit 22 % du total !

600 personnes ne bénéficiant pas d’un jugement objectif, car altéré par des troubles psy,
ont été autorisées à se faire tuer depuis la légalisation de l’euthanasie.

Et si on tuait aussi les enfants ?

« Il y a un an était promulguée la loi du 28 février 2014 « modifiant la loi du 28 mai 2002 relative à l’euthanasie, en vue de l’étendre aux mineurs ». La Belgique devenait ainsi le premier et seul pays au monde à autoriser l’euthanasie de mineurs sans qu’aucune condition relative à l’âge de ceux-ci ne doive être rencontrée.

Réalisez-vous, pesez-vous les mots que vous venez de lire ?

« Aucune condition relative à l’âge »

Et de rajouter :

« Certains s’en sont félicités, rappelant le rôle « pionnier » joué par la Belgique dans la mise en place d’un cadre légal pour l’euthanasie, présentée comme ultime “acte d’humanité” dont tout patient, majeur ou mineur, devrait pouvoir bénéficier14. »

« Rôle pionnier ! »
« Ultime acte d’humanité ! »

Ceci voudrait donc dire (comme dans cette série avec les nazis) qu’il serait non pas uniquement légal, mais « humain » de tuer un enfant de 10 ans en dépression prolongée suite à une rupture amoureuse !

Vous pourriez me dire que j’exagère et je vous dirais de revenir lire ce texte dans 5 ans. Si nous n’avons pas vaincu le satanisme, il est probable que cela sera devenu monnaie courante.

Je suis bon prince, je vais faire évoluer mon scénario :

Imaginons que non loin de cette femme de 23 ans légalement tuée, il y eut le jour de l’attentat (elle avait alors 16 ans), un enfant de 10 ans avec ses parents. Ses parents, qui plus est sa seule famille, sont déchiquetés par l’explosion sous ses yeux. Lui a le bras arraché et en plus du stress post-traumatique il a d’énormes douleurs « physiques » fantômes dans le bras que les antidouleurs ne soulagent pas. Deux ans après l’accident, il demande alors à être euthanasié, il aurait alors 12 ans.

Au nom de quoi les « gentils enculés » lui refuseraient-ils ce geste « d’ultime humanité » à l’âge de 16 ans ?

Ils « sauraient », comme pour la jeune fille de 23 ans, que sa souffrance serait « irrévocable » alors même qu’il aurait encore 70 ans d’espérance de vie !

Mais pourquoi n’accéderaient-ils pas à sa demande « légitime » et « légale » de mise à mort ?

Pente savonneuse, une euthanasie « humaine » ?

Le doigt a été mis dans l’engrenage et il est à prévoir que des enfants de cinq ans à l’espérance de vie longue comme le bras seront euthanasiés tôt ou tard. J’écris « seront » en priant que ce ne fut pas déjà le cas…

Celles et ceux qui font les malins aujourd’hui en pérorant :

« Je ne veux pas de déchéance, je veux être euthanasié sur le champ si je deviens grabataire. »

… n’ont pas été confrontés à la réalité de la mort.

Croyez bien qu’au moment où celle-ci s’approchera à grands pas, ils seront nombreux à regretter leur joli papier de décision purement intellectuelle.

Combien de petits cancéreux demandent leur mise à mort ou renoncent à vivre parce que le personnel soignant leur a bien fait comprendre qu’ils sont foutus, qu’ils dérangent, qu’ils coûtent une fortune à la société ou qu’ils font souffrir inutilement leurs parents désespérés ?

Hormis des cas exceptionnels, il est possible de soulager la douleur physique. Donnez de l’espoir ou ne serait-ce que de l’amour dans le présent et aucun de ces enfants ne demandera à en finir !

Une euthanasie « humaine » ? (bis)

Je vais sortir un instant du cas de cette pauvre victime d’une barbarie digne des plus grands nazis pour me focaliser sur les cas où elle pourrait avoir un sens.

Il est bien entendu qu’elle ne saurait être une assistance au suicide comme dans le cas de cette jeune femme qui avait toute la vie devant elle.

Alors existe-t-il des cas où le principe de l’euthanasie serait valide tout en ne tombant pas dans l’idéologie nazie ?

La douleur physique ?

Je vous rappelle que la douleur est aussi ce qui nous rend vivants, c’est aussi elle qui nous rappelle que l’on n’a pas basculé dans l’au-delà. Il existe de nombreux malades qui ne veulent par hurler à la mort, mais veulent continuer à ressentir, à être dans le présent et non dans un coma dont ils ne sortiront jamais vivants.

Donc une douleur physique ne saurait conduire à une euthanasie « humaine » que s’il n’est pas possible de la rendre supportable ET que « l’espérance de vie est résiduelle », comme le dirait ce « cher » Dr Alexandre15 probablement pro-euthanasie.

Si la personne en question peut être efficacement soulagée ou que son espérance de vie est importante alors il serait criminel de la tuer. Qui sait si le lendemain du meurtre ne verrait pas poindre un remède contre sa maladie ou contre sa souffrance physique ? Je parle bien sûr d’euthanasie et non pas d’une assistance à la mort pour les dernières minutes de vie. On ne laisse pas une personne mourir asphyxiée, on va abréger ses souffrances (exemple).

La douleur psychologique ?

Ce n’est pas moi, thérapeute, qui nierait la souffrance psychologique qui peut être terrible.

Je constate qu’il est relativement rare d’entendre parler de personnes qui se suicident, car elles ont physiquement trop mal. Nous ne sommes pas inondés de ce type de faits divers dans les médias.

C’est donc bien une preuve empirique que l’euthanasie telle qu’elle est proposée en Belgique ne saurait être légitime. Et ce, quand bien même, comme je viens de l’écrire, la souffrance psychique peut être infernale comme en témoigne le nombre de suicides.

Ici encore il ne saurait être moral d’aider une personne à se suicider dès lors qu’il existerait des molécules ou des thérapies à même de la soulager. Pour les autres cas, nous ne pouvons échapper au critère de l’âge et de l’espérance de vie.

La réalité d’aujourd’hui n’est pas celle de demain et c’est bien pour cela que l’euthanasie sur cette jeune femme était simplement criminelle.

Peut-être que maintenir en vie une personne souffrant de démence sénile peut questionner sur l’humanité de l’acte dès lors que le processus est irréversible et que la personne est en fin de vie (biologique). Mais c’est une autre paire de manches pour une personne jeune souffrant de troubles psys.

Vous pourriez me rétorquer la souffrance de ceux que l’on appelle « fous », ceux qui ont quitté probablement définitivement la réalité. Notez que ce « probablement » n’a rien d’anecdotique et si aujourd’hui la médecine est à l’âge de pierre notamment sur les traitements contre la schizophrénie, rien ne garantit qu’un miracle ne se produise dans 5 ans. Il est donc moralement inacceptable de tuer un être humain dont l’avenir n’est pas écrit.

Si d’aventure vous me parlez de souffrances insupportables et impossibles à soulager pour des « fous » réellement incurables, qui ont perdu le contact avec la réalité… … Pouvez-vous me dire en quoi votre euthanasie différerait des lois hitlériennes ?

Nous voyons que si l’usage de l’euthanasie est plus que délicat
pour des personnes souffrant de maladies physiques incurables,
l’application devient tout simplement impossible
dès lors que l’on aborde la souffrance psychique.

Ces lois belges n’ont, de fait, pas à rougir de la comparaison avec les lois du 3e Reich, elles sont simplement inhumaines et criminelles.

Quelle différence entre cette jeune fille (et tous les autres) et Thomas Smith de la série ?

Tous deux ont « décidé » « volontairement » de mettre fin à leurs jours. Une parce qu’elle ne voyait pas de sortie et l’autre parce qu’il avait été manipulé par la Société.

Comment un collège de médecins belges a-t-il pu affirmer qu’elle avait une « souffrance psychique irrévocable et permanente » ?

Quel médecin peut prétendre savoir qu’un trouble post-traumatique serait irréversible ?

Autant pour la schizophrénie, cela peut se discuter, mais là c’est une folie !

Combien de millions de personnes qui font une tentative de suicide et qui se « ratent » ne recommencent jamais ?

Faudrait-il les aider à mourir au nom de cette morale déviante avant qu’elles ne retrouvent un sens à leur vie et une sérénité ? Arrêtez, vous allez finir par rendre jaloux ce brave Adolf !

Cette jeune femme en souffrance pouvait signifier une forme de « consentement », mais que faire des fous qui hurlent 24 heures sur 24 dans leur tête ? Je dis « hurle dans leur tête », car la psychiatrie propose la camisole chimique.

Ne devrions-nous pas aussi les euthanasier par « humanité » ?

Nous vivons désormais dans une société qui admet
que l’on puisse tuer une personne qui souffre de pathologie mentale !

Au même titre que les nazis, allons-nous appeler cela de « l’humanisme », de la « compassion », voire même de « l’amour » ?

Vous appelez cela comment, vous ?

Je n’ai d’autre vocabulaire que celui de meurtre « prémédité » !

Soulager les souffrances, oui, tuer, non !

Que reste-t-il de notre humanité ?

Psychologie du « tueur »

« Je te tue pour ton bien, par bonté d’âme ! »

  • Comment un soignant ou un médecin a-t-il pu factuellement injecter la substance mortelle dans le corps de cette femme en bonne santé dont le corps ne demandait qu’à vivre ?
  • Qu’a-t-il ressenti au moment de pousser sur le piston ?
  • Qu’a-t-il ressenti en voyant la substance mortelle se répandre dans son sang ?
  • Quel a été son sentiment quant le cœur s’est arrêté, une plénitude suite au « devoir accompli » ?

Autant la mise à mort d’un psychopathe violeur et tueur d’enfants peut s’entendre et ne pas trop révulser, autant je suis plus perplexe sur l’effet psychologique lors de la mise à mort d’une jeune adulte en bonne santé et qui plus est innocente de tout crime et victime d’un attentat.

Comment ne pas vomir ses tripes après un tel acte ?

J’imagine aisément ce « médecin » (un médecin ne donne pas la mort) « humaniste » qualifier de barbares les États américains qui pratiquent la peine de mort par injection létale !

Après de tels faits, il ne faut pas s’étonner des expériences menées par les médecins nazis en Allemagne ou après guerre aux USA.

L’inversion des valeurs

Comme les nazis, le vocabulaire est toujours bien choisi alors que dans les faits c’est uniquement pour cacher le monstrueux de la chose.

La manipulation des foules et l’inversion des valeurs sont le leitmotiv.

Covid :

Les médecins qui ont continué à voir leurs patients, qui les ont soignés (et surtout guéris), qui ont bravé les interdictions de leur donner des molécules utilisées sans danger depuis des dizaines d’années, qui ont préféré les soigner que les finir au Rivotril, qui ont été réticents à l’idée de leur injecter des substances expérimentales… sont aujourd’hui poursuivis par leur hiérarchie pour « mise en danger » de leurs patients alors qu’eux, ont respecté leur serment d’Hippocrate.

Avortement :

C’est évidemment la même rhétorique qui est utilisée pour discréditer les mouvements antiavortement. Le discours est bien huilé, « Vous voulez que des femmes violées gardent leur bébé » ou « Vous voulez que des milliers de femmes soient mutilées dans des caves ou meurent dans des avortements clandestins ».

Ah oui ?

Pourriez-vous me dire combien d’entre elles parmi les 200 000 avortements pratiqués en France chaque année ont été violées ? Quant aux femmes mutilées ou mortes dans des avortements clandestins, c’est aussi con et malhonnête que l’argumentaire pour l’adoption par des couples homosexuels « Ah ou vous préférez que l’enfant soit battu dans un couple avec un homme et une femme plutôt qu’il reçoive l’amour de 2 papas ? »

D’abord j’aimerais disposer de chiffres fiables (et non de propagande) sur le nombre de morts ou de mutilations réelles avant l’avortement légal, mais surtout le nombre de morts et de mutilations réelles (exemple : retirer l’utérus) pour des avortements légaux et là on pourra commencer à causer !

Évidemment, il existe des cas où l’avortement est inévitable, mais les avortements économiques sont légions (la famille n’a pas les moyens ou les conditions) et criminels, car ils le sont contre la volonté de la femme ou du couple !

À noter aussi que l’avortement pour choix du sexe16 semble faire son chemin. Ce phénomène touchait essentiellement la Chine et l’Inde et semble se répandre en Europe. Le prolongement légal du délai légal d’avortement est de nature à encourager cette pratique, l’échographie à partir de la 14e semaine étant très fiable. Mais c’est oublier le test d’ADN fœtal17 qui peut être fiable dès la 8e semaine.

On ne peut pas balayer d’un revers de main 200 000 vies (n’appelons pas ça un humain pour ne pas compliquer le débat) qui sont démembrées vivantes et sans anesthésie, car ne « ressentant pas la douleur » (officiellement) et dont les pièces détachées sont revendues18 une fortune pour faire des vaccins, des médicaments ou même des cosmétiques19.

« Des États américains, avec le soutien des Églises chrétiennes, ont passé des lois permettant l’inhumation des fœtus avortés. Des partisans de l’avortement ont cependant engagé une lutte juridique pour contrer cette démarche20

Les milieux favorables à l’IVG affirment que les restes des enfants avortés ne devraient pas être traités comme des restes humains, mais comme le résidu d’une amputation. »

C’est qui les tueurs, les monstres et c’est qui les défenseurs de la vie et de la dignité humaine ?

Éducation :

À écouter ces psychopathes, le « bon » parent serait celui qui explique la « foufoune sexuelle21 » à ses enfants de 5 ans en leur montrant à quel endroit se trouve le clitoris et à quoi il sert. À quand les travaux pratiques ?

Les autres étant de bien entendu, des maltraitants, des intégristes religieux qui ne savent pas ce qui est bon pour eux.

Genre :

Et que dire de ces bouchers apprentis sorciers barbares qui se prétendent médecins et font croire à des personnes fragiles qu’elles peuvent factuellement changer de sexe ?! Elles mentent et manipulent en leur laissant croire qu’un homme biologique peut devenir femme biologique et inversement. Ils infligent des souffrances physiques terribles et torturent ces personnes en apportant des modifications physiques de leurs corps sans la moindre possibilité de retour en arrière. Non seulement ils infligent dans le temps des douleurs physiques, mais ils les privent définitivement de tout plaisir sexuel naturel. Les ersatz de vagin ne sont que des plaies béantes sans muqueuses et les pénis artificiels ne pourront avoir une érection naturelle et donner du plaisir.

La folie est telle qu’il sera désormais interdit de proposer à ces personnes en souffrance des psychothérapies pour les aider à se trouver. Il y a combien de personnes parmi elles, mal dans la peau, et de personnes qui seraient réellement d’un autre sexe dans leur tête ? Dans ce monde délirant, celles et ceux qui luttent contre cette folie, contre la propagande dans les écoles, contre des mutilations d’enfants dès l’âge de 3 ans, sont considérés comme des transphobes, des intolérants, et autres fascistes.

Euthanasie :

Et là on nous refait le même coup pour l’euthanasie. Les « monstres », les « inhumains », les « arriérés », c’est ceux qui refusent que l’on tue des humains ! Nous le voyons dans ce fait divers monstrueux dont nous avons connaissance, tuer à sa « demande » une jeune femme de 23 ans qui souffre de maladie mentale devient un geste d’une merveilleuse humanité.

On arrête quand de se foutre de notre gueule ? C’est quoi ce monde de merde où toutes les valeurs sont inversées ?

L’être humain a-t-il un avenir ?

Tout est mis en œuvre pour détruire ce qui faisait de l’humain un animal à part.

Que reste-t-il d’une société qui ne protège pas les plus faibles, que penser de l’eugénisme des trisomiques, d’IVG après 6 mois alors que le bébé est viable, que dire de personnes âgées terminées au Rivotril pour leur « bien », qui mutile des humains pour changer leur nature biologique ou désormais tuer des humains en grande souffrance psychologique au lieu de leur apporter amour et soutien ?

Pour le Covid les valeurs prônées étaient le sacrifice des enfants au bénéfice annoncé des vieux qui étaient éliminés dans les maisons de retraites, privés de soins.

Il faut dire que désormais rien n’interdira la vente de compost à base d’humains. On pourrait alors affirmer que cette jeune femme ne serait pas morte pour rien.

Je croyais naïvement que notre devoir d’humains
en pleine possession de nos capacités intellectuelles
était de protéger les plus faibles et les plus vulnérables,
pas de les éliminer !

Pour en sortir, il faudrait que les peuples ne se contentent pas d’écouter la propagande, mais se forgent leur propre opinion. L’information foisonne, il suffit d’aller la chercher et de dénouer le vrai du faux.

Regardez les interdits lors du Covid à l’égard des non-vaccinés, c’était l’exact copier-coller, mot pour mot, des mesures contre les juifs durant vichy22. Cette simple affirmation factuelle étant de nature à me faire qualifier, comme il se doit, d’extrême droite ou d’antisémite par le tribunal de la décadence.

Que reste-t-il des libertés ? Il ne reste de notre démocratie que le nom !

Alors :

Les nazis ont-ils gagné la guerre23 ?

  • Censure à outrance, fermeture des médias russes.
  • Médias nationaux financés par l’État ou la fondation Gates.
  • Création de fait d’un Ministère de la Vérité, toute opinion contraire à la doxa relevant du complotisme et de la désinformation.
  • Suppression du parlement et de l’indépendance des juges.
  • Gouvernement supra national européen non élu.
  • Réécriture permanente de l’histoire.
  • Destruction du sacré, démantèlement de la cellule familiale et de toutes les valeurs passées.
  • Gestation pour autrui avec marchandisation du vivant.
  • Promotion de la théorie du genre.
  • Scandales pédophiles à n’en plus finir.
  • Création d’une nouvelle « science » qui ne peut avoir tort.
  • Éradication de la fraternité, l’autre, le différent étant un ennemi à combattre qui mérite sa déchéance.
  • Suppression de libertés individuelles au profit de la nation.
  • Cobayes humains avec les vaccins expérimentaux. (Nous ne sommes pas des barbares l’Australie rembourse les frais d’obsèques24 en cas de décès dû au vaccin).
  • Apartheid pour les non-vaccinés, boucs émissaires « emmerdés » par leur « Président ».
  • Valorisation du transhumanisme25 avec ses demi-dieux et ses « inutiles ».
  • Interdiction d’exercer pour les soignants et pompiers non injectés.
  • Soutien indéfectible aux Ukrainiens y compris leurs milices nazies et leur volonté affichée publiquement de génocide des habitants du Donbass26, considérés comme une « sous-race ».
  • Euthanasie légalisée ou sous le manteau.
  • Eugénisme.
  • IVG jusqu’à la naissance.
  • Etc.

Je vous laisse répondre à la question sur la victoire supposée des nazis.

Alors ce soir je hurle de colère, je pleure de tristesse et de rage.

L’eugénisme et l’élimination des faibles sont présentés comme « l’ultime acte d’humanité ».

J’ai honte, oui j’ai honte de faire partie de la même espèce génétique que tous ces apprentis Mengele qui massacrent les valeurs humaines jour après jour.

Un être humain s’en est allé, il a été arraché à notre Terre nourricière
comme on arrache un fœtus trisomique
du ventre de sa mère pour le priver de force vitale.
Ce renoncement à le soulager de son vivant,

ce terrible aveu d’impuissance, est présenté comme « l’ultime acte d’humanité »,
tel un frère cherchant à camoufler son sororicide.

Merci

Alain Tortosa.
9 octobre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221009-maitre-haut-chateau-nazis-guerre.pdf





Verte est l’arnaque

[Source : ZE journal]

Par La Plume du Citoyen

Pour mieux comprendre le jeu sournois dans lequel ils tentent de nous entraîner.

« Réchauffement climatique – Enquête sur une manipulation mondiale ». Ce livre démontre implacablement et froidement ce qui apparaît de plus en plus comme une manipulation mondiale protéiforme…

Invité du grand entretien de la matinale Ligne Droite au micro de Clémence Houdiakova et de Nicolas Vidal

Dans une interview explosive, Alban d’Arguin dénonce le traitement fait du réchauffement climatique et la « manipulation » qui l’accompagne. Il est question notamment des origines du GIEC et de son rôle dans la panique autour du réchauffement climatique. Une analyse à contre-courant de ce que l’on entend partout. L’auteur bat en brèche également les accusations de complotisme et de climato-scepticisme entendu partout et tout le temps.

https://www.youtube.com/embed/VlGRnxi4fdg

La température moyenne mondiale n’a pas de sens

Comment flinguer l’énorme narratif de la propagande climatique en une simple phrase.


– Source : La Plume du Citoyen




Dépistage du cancer du sein : les mensonges d’Octobre Rose

[Source : Jérémie Mercier]




Octobre Rose, l’arnaque continue

[Source : jeremie-mercier.com]

Par Jérémie Mercier

Comme chaque année, « Octobre Rose » revient.

Des femmes (surtout mais aussi des hommes) mettent un T-shirt rose, font une course et donnent quelques euros « pour lutter contre le cancer du sein ». D’autres, pleines de bonnes intentions achètent des petits rubans roses pour « soutenir la recherche contre cette satanée maladie ».

J’ai déjà expliqué pourquoi ce « dépistage du cancer du sein » était une arnaque dans deux autres articles : https://www.jeremie-mercier.com/octobre-rose-la-totale-arnaque/ (interview du cancérologue Gérard Delépine) et https://www.jeremie-mercier.com/depistage-organise-du-cancer-du-sein-inutile-et-dangereux/ (interview de la radiologue et présidente de l’association « Cancer Rose » Cécile Bour)

Cette année, j’en remets une couche, avec 2 vidéos.

• Dans la première, je rappelle qui est derrière Octobre Rose (pas des gens qui vous veulent du bien !) et pourquoi le dépistage du cancer du sein est inutile et dangereux (…) :



L’industrie de la maladie (et en particulier celle du cancer) prend les gens pour des imbéciles de façon assez incroyable…

• Dans la 2e vidéo, je rediscute avec Gérard Delépine (cancérologue avec lequel nous dénoncions l’arnaque Octobre Rose déjà en 2018) de sa position en 2022 et nous apportons quelques éclairages sur les autres dépistages de cancer (prostate, thyroïde, col de l’utérus). La vidéo est visible uniquement sur CrowdBunker pour le moment (à cause de ma punition par YouTube 🤬)

(Vidéo en début d’article)

Après ça, je pense que tu vas arrêter de courir en rose 😅

Sinon, je t’invite si ce n’est déjà fait à rejoindre mon Club Privé Santé, afin de réellement redevenir acteur et responsable de ta santé. Pour rejoindre le Club Privé Santé, c’est par ici : https://bit.ly/ClubPriveSante

Attention aux faux messages santé de l’industrie de la maladie et j’espère pouvoir t’aider à reprendre le contrôle sur ta santé par des approches intelligentes et efficaces !

Dis-moi en commentaire après avoir jeté un coup d’œil à la liste des prochains experts en santé naturelle que je vais inviter quelle(s) thématique(s) tu souhaiterais que j’aborde plus tard 🙂




Lancement de la BFL — Banque de France Libre

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]

https://banquedefrancelibre.fr/

[Voir aussi :
Le Franc Libre : présentation de la série fiduciaire
Le FRANC LIBRE : deux mois plus tard. Point de situation et perspectives
Devenez la Force qui se dressera quand le vent de l’Histoire va souffler
Franc Libre et tournée CSP : point de situation
Résilience et Résistance pour la France]




L’énergie c’est la vie

Nous devons augmenter la consommation d’énergie à l’échelle mondiale pour sauver la planète et ses habitants !

Vous aurez bien compris qu’une fois de plus je vais exposer une théorie à contre-courant de la pensée unique qui défend la décroissance à tout prix.

Ne nous méprenons pas, alors que les lobbies dits « écologiques » voient la consommation d’énergie comme diabolique, j’affirme qu’il ne faut pas confondre celle-ci et son usage. De même que l’argent n’est qu’un outil, il en est de même de l’énergie.

De l’énergie quasi infinie

Je ne reviendrai pas sur ce sujet que j’ai déjà développé dans mes textes et aussi dans mon ouvrage,1 mais la notion d’énergie finie relève probablement d’un mensonge véhiculé aussi bien par les faux « écolos » que par le capitalisme.

Les premiers ont besoin d’une énergie rare et chère pour en limiter son usage « pour sauver la planète » quant aux seconds aussi, mais cette fois-ci pour maximiser les profits.

Dans les faits, il n’y a toujours pas eu le fameux pic de production pétrolier que l’on nous promet depuis 50 ans et qui relève plus du mythe que de la science, et ce pour plusieurs raisons :

  • Il est probable que le pétrole ne soit pas du déchet de dinosaures, mais abiotique (une matière première comme une autre aussi vieille que la Terre).
  • Quand bien même, il est possible que nous continuions à en trouver en allant le chercher plus loin.
  • Nous maîtrisons les surgénérateurs nucléaires qui pourraient utiliser les tonnes de plutonium que nous avons produites et ainsi avoir de l’énergie à volonté pendant des siècles.

On peut aussi « creuser » (c’est le cas de le dire) du côté de la géothermie à très haute température qui pourrait fournir une énergie quasi infinie.

[Note de Joseph :
Par nature et en essence, la matière est limitée (dans le temps et dans l’espace). L’énergie que nous pouvons en tirer est donc limitée. Et si l’on se borne à la matière purement terrestre et à l’énergie reçue du Soleil par la terre, la quantité d’énergie disponible est encore plus limitée. Même si le pétrole adiabatique relève de réalité et non de pure théorie infondée, il existe alors aussi en quantité d’autant plus limitée qu’il ne représente qu’une minuscule partie de la matière terrestre. Quant à utiliser la chaleur de la croûte terrestre (par un recours massif à la géothermie), cela reviendrait à refroidir légèrement la Terre.
Pour obtenir de plus importantes quantités d’énergie, de manière plus réellement quasi illimitée, il faudrait la puiser ailleurs que dans la matière, par exemple dans le vide lui-même (cf. énergie du vide ou du point zéro).]

Le réchauffement climatique

Ici encore je ne vais pas revenir sur cette arnaque qui veut nous faire revenir à l’âge de pierre. Le climat de la Terre est cyclique et nous serions dans une phase de réchauffement totalement naturelle. Regardez comment les milliardaires de la planète (et les banques) investissent massivement au niveau de la mer. Croyez-bien que s’il existait le moindre risque de montée des eaux, ceux-ci ne prendraient pas de tels risques et les assureurs ne suivraient pas.

De plus la chaleur c’est la vie, et celle-ci a été d’autant plus féconde sur la planète que la température était élevée. Si en revanche nous allions vers un refroidissement généralisé et l’avancée des glaciers, ce serait une autre paire de manches et pour le coup une catastrophe sans nom.

Il y a 20 000 ans2 (une goutte d’eau dans l’océan de la Terre), tout le nord de l’Europe, dont le Royaume-Uni, était sous la glace.

Nous avons donc de la chance si le climat allait en se réchauffant !

La fausse crise énergétique en Europe

Le titre se suffit à lui-même pour prouver que c’est une arnaque géo -économico-politique. S’il y avait une crise de production, celle-ci serait mondiale et non ciblée sur l’Europe de l’Ouest.

L’explosion des prix et la raréfaction sont purement politiques3 :

  • Diminution du parc nucléaire.
  • Arnaque des énergies renouvelables qui produisent aléatoirement ou quand on n’en a pas besoin. Le solaire ne fonctionne que la journée s’il fait vraiment beau. L’éolien c’est aussi principalement le jour.
  • Embargo (officiel) sur les hydrocarbures russes.
  • Spéculations à outrance pour faire augmenter les prix.
  • Et maintenant sabotage (probablement par les USA) du gazoduc Nordstream 1 puis 2 qui permettaient à l’Europe de recevoir du gaz russe bon marché.

Quant au prix, il relève aussi directement de décisions politiques. Pourquoi EDF est-elle obligée de fournir de l’électricité à perte à des opérateurs privés qui la revendent une fortune ? Pourquoi d’un coup notre électricité à 70 % nucléaire coûterait-elle 20 fois plus cher du fait d’une augmentation du prix du gaz, sinon une décision purement politique ? Pourquoi la France devrait-elle offrir du gaz ou de l’électricité à une Allemagne privée de gaz russe ?

Pour ce qui est des centrales nucléaires françaises à l’arrêt, il y a celles qui sont à l’arrêt en révision comme tous les ans durant l’été et celles qui nécessitent le remplacement préventif de tubes qui auraient des microfissures dans la partie non radioactive de l’installation (production de vapeur)... Si d’aventure elles ne sont pas toutes en route cet hiver au moment de l’arrivée du froid, la raison n’en sera QUE politique !

Bref la France n’a strictement AUCUNE raison de manquer d’électricité cet hiver et pourtant on nous prépare tous les jours à des coupures.

La guerre du « bien contre le mal », des « USA contre Poutine » est une guerre économique anti-écologique

Les lobbies écologiques allemands ont été infiltrés par Gazprom, poussant à la diminution du nucléaire, poussant à l’augmentation du prix de l’électricité, poussant à la mise en œuvre d’énergies intermittentes, poussant à la bascule de l’électrique vers le gaz pour de nombreux industriels, etc.

Le gaz russe est ainsi devenu indispensable pour les Allemands alors qu’il est négligeable pour la France. Cette dépendance de l’Allemagne et de l’Europe à l’égard du gaz russe, et donc de la Russie, est totalement inacceptable pour les USA aussi bien d’un point de vue économique que géostratégique.

Le contenu de pétroliers est transvasé en pleine mer. Le pétrole parcourt des milliers de kilomètres supplémentaires via l’Inde ou les pays arabes de l’OPEP pour revenir en Europe. Du gaz liquéfié aussi bien russe qu’américain navigue sur les océans. La production de gaz de schistes, probablement la plus polluante dans l’état actuel de la science, explose aux USA. Les USA ont certainement fait sauter les pipelines4 Nordstream 1 et 2 déversant des milliers de m3 de méthane dans l’atmosphère. Et attention, n’imaginons pas que cet état de fait durerait uniquement pendant le conflit ukraino-russe.

Les USA veulent que l’Europe, en tous les cas ce qu’il en restera après la crise, soit 100 % dépendante d’eux-mêmes pour sa survie. Nous touchons du doigt à quel point ils n’en ont rien à faire de l’écologie.

Le plus délirant est que ces mêmes « écolos » soutiennent « la guerre juste » contre Poutine. Ils soutiennent une Ukraine qui est un des pays les plus corrompus de la planète, qui piétine les accords de Minsk depuis 2014, qui bombarde sa population russophone avec pour objectif affiché de l’exterminer ou de la faire fuir en Russie, qui utilise des milices non pas pro-nazies mais réellement nazies.

L’Allemagne et donc l’Europe pourraient mourir ou tout du moins s’africaniser :

« Crise de l’énergie : un industriel allemand sur dix réduit sa production ! La hausse des coûts de l’énergie atteint 600 % dans certains secteurs, poussant les industriels à ralentir ou fermer leurs lignes de production. Les secteurs de la métallurgie, de la chimie, du verre ou du papier sont particulièrement touchés5. »

Croissance économique et consommation d’énergie

Nous pouvons voir que la consommation d’énergie primaire augmentait très faiblement jusqu’à la révolution industrielle, le charbon puis le pétrole6.

Alain Grandjean7 nous dit :

« Avant d’aller plus loin, situons par quelques chiffres les ordres de grandeur en matière de taux de croissance mondial du PIB par habitant. Cette croissance a été nulle jusqu’à la révolution industrielle. Sur le XXe siècle, elle a été de l’ordre de 1,6 % par an. Nous avons souvent en tête des chiffres plus élevés ; c’est d’une part parce que c’est en général la croissance du PIB total qui est commentée et d’autre part parce que pendant les “trente glorieuses” elle a été plus forte. »

« Historiquement, la croissance du PIB est intrinsèquement liée à la croissance de la consommation d’énergie. L’activité économique des hommes dépend de machines qui consomment de l’énergie.

Les êtres humains produisent beaucoup moins d’énergie que leurs machines qui sont présentes dans tous les secteurs de l’économie. La croissance économique que nous connaissons depuis deux siècles a été à l’évidence rendue possible par l’invention des machines et l’exploitation des énergies fossiles.

La corrélation de la croissance du PIB et de la croissance de la consommation d’énergie est très frappante, comme le montre le graphique ci-après (sur 30 ans, mais le parallélisme des courbes s’observe sur 150 ans) ;

Plus fondamentalement, ce qu’on appelle “activité économique” c’est la transformation de matières en biens et services utiles à l’homme, qui consomme nécessairement de l’énergie. Il ne s’agit donc pas d’une simple corrélation ; les liens entre énergie et PIB sont consubstantiels. »

L’industrialisation, et donc une croissance de la consommation d’énergie, a permis de faire chuter les coûts !

« Le prix de l’eau à Paris a été divisé par 150 entre 1850 et 1950 ; le prix de la bicyclette courante a été divisé par 20 entre 1895 et 1974 ; le prix de l’ampoule électrique a été divisé par 15 entre 1910 et 1974 ; le prix d’une voiture courante a été divisé par plus de 10 entre 1914 et 1980, celui de la petite calculatrice de poche, dont le prix a été divisé par 50 entre 1971 et 1982. »

Le graphique ci-dessous montre que le PIB croît parallèlement à la consommation d’énergie par habitant.

Exceptions de corrélation entre croissance du PIB et augmentation de la dépense d’énergie

Nous avons pu assister ces dernières années à une poursuite de l’augmentation de PIB dans certains pays comme la Suisse alors même que la consommation d’énergie baissait légèrement.

Il serait audacieux, pour ne pas dire faux, d’imputer cette seule baisse à une augmentation de rendement (ex ampoules basse tension, véhicules qui consomment moins, maisons plus isolées…)

Cela pourrait s’expliquer en partie par un différentiel de temps entre la production du gain et le gain lui-même. Ce que je pourrais illustrer par l’inertie. Quand vous coupez l’énergie d’un TGV, celui-ci continue de rouler pendant des kilomètres.

Mais j’explique surtout cela par l’exportation de la consommation d’énergie dans les pays asiatiques. Si vous faites fabriquer par un tiers et que vous empochez les bénéfices de cette production déportée alors, effectivement, vous allez moins consommer localement. Il faudrait donc pour avoir la réponse exacte mesurer l’empreinte énergétique de chaque habitant.

Le « vol » de PIB et de richesse

Faisant suite au chapitre précédent il peut y avoir des pays qui augmentent leur consommation d’énergie, mais pas ou peu leur PIB par habitant. Ce que l’on pourrait nommer nos « colonies énergétiques ». Nous exportons pollution et production chez les pauvres tandis que nous empochons les bénéfices. De fait les pays qui diminuent en apparence leur consommation énergétique sans s’appauvrir ne font que l’exporter et volent la richesse de ces pays producteurs. Ce que d’aucuns nomment « la malédiction des ressources ».

Quid de la crise de 29 ?

S’il est bien une période de grave récession et de pauvreté, c’est bien la crise de 1929.

Nous pouvons voir sur le graphique suivant, la chute évidente de consommation d’énergie sur la période.

Ces données confirment que l’énergie c’est la vie et la richesse. C’est grâce à cette augmentation de PIB qu’une classe moyenne a pu apparaître. Auparavant seule une classe aristocratique ultra minoritaire (et du clergé) bénéficiait de la richesse d’un pays. Aujourd’hui les milliardaires sont au moins aussi riches sinon plus, mais cette explosion de la consommation d’énergie a permis l’émergence de la classe moyenne. C’est celle-ci qui est principalement visée par le Grand Reset !

Ce n’est pas non plus un hasard si l’espérance de vie a explosé grâce à la diminution de la pénibilité du travail (principalement dans les pays riches), l’accès à l’eau potable, à des sanitaires décents, de la nourriture abondante (et non avariée), etc.

[Note de Joseph : ce sont probablement surtout l’hygiène, une nourriture saine et une vie psychologiquement et psychiquement satisfaisante qui augmentent l’espérance de vie. L’utilisation de machines n’y change pas grand-chose, d’autant plus lorsque l’usage de ces dernières et des substances manipulées est dangereux et susceptible de produire des accidents de travail, voire de plus larges catastrophes comme cela est arrivé maintes fois en un siècle.]

Qu’est devenu le rêve du progrès ?

Dans les années 1960, les enfants rêvaient de fusées, de voitures volantes, de vitesse, de performances et de projets grandioses.

[Note de Joseph : et ceux qui ont fait des cauchemars autour des bombes nucléaires, des invasions d’insectes mutants, des zombies produits suite à des expériences biologiques, de la mort de leurs parents dans des accidents d’avion, de train ou de voiture… ? Quel est le bilan du « progrès technologique » depuis deux siècles ? Une libération de l’Humanité ou au contraire son asservissement croissant à la matière, à la technologie, et à une élite psychopathe ?]

Du rêve directement corrélé à un accroissement de la consommation d’énergie, en l’occurrence d’énergie fossile.

[Note de Joseph : des cauchemars directement corrélés à un accroissement inconsidéré, immodéré et immature de la consommation d’énergie et de produits matériels fabriqués en dépensant de l’énergie.]

Le rêve américain était illustré par une maison individuelle, de l’électroménager qui libérait du temps, une voiture individuelle par habitant et des highways synonymes de liberté.

Quelle est la proposition, le « rêve écologique » ?

Mme la Maire de Poitiers, membre de EELV déclarait en 2021 :

« L’avion “ne doit plus faire partie des rêves d’enfants” ».8

(Vous remarquerez mes nets progrès, j’aurais pu écrire « connasse », mais je me suis abstenu.)

Alors le « rêve écologique », c’est quoi de nos jours ?

  • Des appartements chauffés à 19 °C pour ceux qui auront les moyens.
  • Une voiture individuelle remplacée par des transports en commun (dans les zones où il y en a).
  • Une diminution des vitesses des voitures et des trains.
  • Une interdiction de l’habitat individuel qualifié de « non-sens écologique » par la ministre du Logement9.
  • Une interdiction de circulation dans les centres-villes (agréable, mais incompatible avec une activité économique).
  • Supprimer les barbecues « symboles de virilité »10.
  • Des déplacements à vélo en plein hiver par le froid.
  • Plus d’avions.
  • Plus de bateaux et encore moins de croisières.
  • Plus de voyages.
  • Plus de découverte du monde et d’autrui.
  • Plus de rêves…
  • Sans compter le fascisme végan. Bref, une vie au 18e siècle chez les amish !

[Note de Joseph : les amish sont-ils plus malheureux que les Occidentaux « normalisés » grands dépensiers de technologie et de biens de consommation quand ce n’est pas de drogues diverses délivrées légalement par Big Pharma ou illégalement par les dealers ?
Les écologistes ont perçu des limites du modèle consumériste et de la croissance économique. Une partie d’entre eux perçoivent aussi la futilité de nombreux loisirs humains et le gaspillage de ressources impliqué par ces derniers, comme ceux liés au tourisme. Cependant, ils continuent généralement eux aussi à miser sur des technologies, en l’occurrence prétendument « vertes ».
L’Homme est-il fait pour consommer des produits, des substances et de l’énergie à tout va ? Ou bien a-t-il de plus nobles objectifs tels que créer la beauté ? Est-il un consommateur ? Ou un créateur ? De qui ou de quoi est-il l’image ?]

En revanche, autant il est criminel pour eux de créer des barrages qui permettent de réguler les débits, empêcher les inondations, fournir de l’eau potable ou pour l’agriculture durant les sécheresses, ou de l’énergie hydraulique… autant les éoliennes sont « merveilleuses pour l’environnement ».

À les écouter, il n’y aura plus que des charrues tirées par des chevaux, un éclairage à la bougie et un chauffage avec du bois… et encore si ce n’est pas interdit comme le suggérait11 une ancienne ministre.

Visiblement ils ne doivent pas savoir que des sans-abri meurent de froid tous les ans dans des rues et que je n’ai pas entendu parler d’hécatombes de SDF par grandes chaleurs.

Une émission du France Info du 30 septembre dernier expliquait comment France 2 avait été COUPABLE cet été de présenter une « découverte de la Corse en bateau de croisière » alors que ce type de tourisme tue la planète !

Présenter des touristes au mois de novembre à la terrasse d’un café ou d’un restaurant devient tout aussi immoral alors que la Terre se meurt ! Il faudrait dire en lieu et place :

« Quelle horreur, il fait anormalement chaud au mois de novembre, c’est bien la preuve que nous allons tous mourir ! »

Alors quel est notre avenir ?

Vivre une vie artificielle dans des cages insalubres comme dans le film « Ready Player One12 » ? Découvrir le monde avec un casque de réalité virtuelle ?

J’ai de la peine pour ces « écolos-fascistes ».

Comment est-il possible qu’ils aient une telle haine de l’humain ?!

« L’homme est mauvais, le progrès est mauvais,
seule la nature (pourtant d’une cruauté inouïe) mériterait de survivre. »

Dans ces conditions il devient « logique » de tuer Dieu, la famille, de faire la promotion de la théorie du genre, valoriser le transsexualisme, l’avortement à terme et je ne sais quels autres délires…

[Note de Joseph : la nature d’une cruauté inouïe ? Est-elle vraiment cruelle ? Ou bien est-ce l’image que s’en font certains êtres humains qui ne comprennent pas vraiment sa « nature » (son essence) ou son dessein ? Une personne ou une entité est par définition « cruelle » lorsqu’elle aime à voir souffrir, à torturer. La cruauté part de l’intention de faire du « mal ». Est-ce que la nature à une telle intention ? De qui provient cette nature ? Quelle est l’intention de ce qui (ou de celui qui) l’a créée ?]

C’est ainsi que le mâle blanc, patriote, croyant, hétérosexuel, amateur de barbecue représente désormais le mal absolu qu’il faut éradiquer ou émasculer.

Espérance de vie et énergie

Il suffit d’avoir des yeux pour constater que le pétrole, l’énergie nous a permis de doubler l’espérance de vie à la naissance, passant de 40 à 80 ans.

Source Ined13

Alors même que l’espérance de vie au Burundi14 n’est que de 61 ans.

Même en France plus on est riche et plus on vit vieux :

« Cet écart s’élève même à 13 ans selon la dernière enquête de l’Insee. Ainsi entre les 5 % des Français les plus aisés vivront en moyenne jusqu’à 84,4 ans tandis que les 5 % les plus pauvres vivront en moyenne jusqu’à 71,7 ans. Chez les Françaises, cet écart est plus faible : 8 ans séparent les plus aisées des plus pauvres15 ».

Le modèle amish proposé par les écolos nous ferait retomber à 30 ans d’espérance de vie s’il était généralisé sur l’ensemble de la planète. Parce que même les amish bénéficient de la richesse et des progrès techniques.

Il serait malhonnête de nous faire croire que celles et ceux qui sont en dehors de la civilisation vivent au 18e siècle. Regardez les documentaires du genre « Seuls en Alaska16 » et vous pouvez y voir des outils électroportatifs, des tentes en plastique, des batteries, des panneaux solaires, des armes modernes et même des bateaux à moteur, scooters des neiges et autres hydravions. Sans compter que ces personnes n’hésitent pas à se rendre à l’hôpital quand c’est nécessaire. Tout ceci ne serait pas possible sans l’énergie et les progrès qu’elle a permis.

Le progrès et l’énergie ne sont pas mauvais contrairement à la doxa climato-dictatoriale

Ils sont la solution à quasi tous les problèmes.

[Note de Joseph : la solution à des problèmes dont ils sont en bonne partie la cause ? Est-ce que la véritable solution à une maladie se trouve dans la technologie ou bien dans la correction de la cause qui a produit cette maladie ? Est-ce qu’une société malade du matérialisme peut trouver son remède dans la matière ?]

En revanche une énergie de plus en plus rare et onéreuse conduira à une accélération de la destruction de la terre et des écosystèmes.

Croyez-vous que lorsque l’on crève de faim et que l’on n’a pas d’argent pour nourrir ou soigner sa propre famille on se préoccupe d’écologie, de développement durable et de pollution ?

Pensez-vous qu’un mineur dans une mine d’or en Afrique ou en Amazonie va se préoccuper de la quantité de mercure qu’il va déverser dans l’eau ?

Croyez-vous qu’un pêcheur qui n’arrive pas à nourrir sa famille, au sens propre du terme, va prendre soin de rejeter à l’eau les petits poissons pour ne pas épuiser les ressources ?

Imaginez-vous une usine de vêtements au Bangladesh s’inquiéter des produits chimiques qui tuent ses ouvriers ou polluent le sol ?

L’écologie c’est un truc de riches qui n’ont que ça à penser
et pas un truc d’une population qui cherche à survivre !

L’hypocrisie des « écolos » est sans limites… Ceux-ci parlent d’énergies dites « renouvelables », d’éoliennes, de panneaux photovoltaïques ou de voitures électriques

Mais sont-ils à ce point ignorants ou naïfs qu’ils ne puissent imaginer que leur technologie « verte » utilise massivement les progrès et principalement l’industrie chimique, industrie qu’ils détestent le plus au monde ?!

Je suis le premier à cracher sur la société de consommation, sur la folie de la croissance infinie et c’est pourtant cette société de consommation, cette course effrénée à l’innovation qui fait qu’il existe des IRMs, des voitures avec ABS, des smartphones dont la puissance de calcul est inouïe ou Internet.

Sans le progrès, sans Gutenberg, je ne serais pas sur un ordinateur à écrire ce texte et les résistants seraient totalement isolés.

[Note de Joseph : Le piège de l’écriture]

Ce n’est pas l’homme qui est mauvais, ce n’est pas la croissance qui est mauvaise, ce n’est pas le progrès qui est mauvais, mais un ultralibéralisme en roue libre et sans contrôle qui corrompt sans en payer le prix.

Le gaspillage énergétique

Mon texte ne porte pas sur ce sujet, bien qu’il soit une réalité.

Je suis le premier à qualifier de délire des avions17 qui tournaient à vide durant la plandémie pour ne pas perdre des créneaux horaires dans les aéroports !

Et aujourd’hui le tribunal de la morale « écolo-criminelle » hurle sur les joueurs du PSG qui se déplacent en avion privé oubliant de fustiger Wonder Le Yen pour des vols de 19 minutes18 !

Ces mêmes « écolos » qui étaient bien silencieux pour parler d’écologie durant le Covid et bien silencieux pour parler d’écologie durant le conflit ukrainien.

Alors oui, il est folie de changer de lave-linge tous les deux ans, oui il est folie d’avoir 20 paires de Nike, oui il est folie d’acheter des tomates bio qui viennent d’Amérique du Sud, comme il est folie de mettre à la casse un véhicule en parfait état de marche ou réparable pour acheter une voiture dite « propre ».

Oui ce n’est que folie !

Pour autant, même s’il est arbitraire de définir une dépense énergétique « bonne », il n’en demeure pas moins vrai que l’accroissement de la dépense énergétique mondiale est bénéfique pour les humains dans un monde démocratique.

L’énergie EST la solution pour résoudre un maximum de problèmes !

Oui une énergie de plus en plus rare et chère ne peut conduire qu’à la pauvreté, la famine, l’injustice sociale et à une accélération de la destruction de la planète, voire même à une guerre.

N’est-ce pas une guerre de l’énergie (notamment) initiée par l’OTAN que se livrent les Américains et les Russes ?

Au contraire, une énergie abondante et peu onéreuse est synonyme de paix, de progrès social et de protection de la nature.

Prenons quelques exemples…

L’énergie permet de :

  • Résoudre les problèmes de sécheresse et de manque d’eau par la désalinisation et la dépollution.
  • Résoudre les problèmes d’inondation par des barrages et des retenues d’eau.
  • Résoudre les problèmes de production alimentaire. Avec de l’énergie, on rend fertile un désert. Et donc résoudre les problèmes de famine.
  • Résoudre les problèmes de pollution.
  • Résoudre les problèmes de chauffage dans les pays froids et de climatisation dans les pays chauds.

Et j’en passe…

L’énergie est un moteur de l’égalité sociale

Au nom de quelle morale fasciste faudrait-il que seuls les Occidentaux de la deuxième partie du 20e siècle nés avant l’an 2000 bénéficient des avantages procurés par l’énergie (du pétrole) et donc du PIB ?

Au nom de quelle morale un ouvrier thaïlandais ou un mineur chinois n’aurait-il pas droit aussi à son appartement, sa voiture, son chien, ses Nike et sa télé ?

Pourquoi les écologistes fascistes auraient-ils le droit de dire « nous on y a un droit, mais c’est hors de question pour les autres »

Croyez bien que si le niveau de vie était identique dans les pays pauvres comme dans les pays riches, la population n’accepterait pas que des usines crachent la mort…

Avec une énergie bon marché et donc abondante, on lutte efficacement contre la surpopulation

Non pas en vendant des vaccins expérimentaux, non pas en fabriquant des fours crématoires alimentés au gaz russe, mais en enrichissant les pauvres.

En 2016 (je me suis placé volontairement avant la plandémie Covid), le taux de natalité19 en Allemagne était d’environ 1,59, soit bien inférieur au nombre nécessaire pour maintenir la population. Au Burundi20 le taux de fertilité était de 5,70 naissances par femme.

Les pays riches ne cessent d’avoir une baisse de natalité tandis qu’elle explose dans les pays les plus pauvres. Donc plus le pays est riche, plus il a un PIB important, plus il a accès à l’énergie et moins il y a de naissances. L’équation est donc simple, permettez à un pays d’avoir un accès à une énergie abondante et peu onéreuse, plus son PIB augmentera, plus la classe moyenne s’élargira, plus elle possédera un capital, et moins il y aura de naissances. Faites l’inverse, faites de l’Europe un pays d’Afrique et vous verrez une explosion de la démographie !

La Corée du Nord comme exemple à suivre ?

La politique menée en Europe et en France conduit inexorablement à transformer l’Europe et la France en Corée du Nord si la folie persiste et que le peuple ne se lève pas.

Cette diminution délirante d’émission de CO2 conduit à une éradication de toute production industrielle et donc à la mort du pays.

Je vous rappelle que seule l’Europe connaît une diminution de sa consommation d’énergie, celle-ci continuant à augmenter fortement dans le reste du monde21.

Le peuple européen privé d’énergie bon marché sera pauvre, réduit en esclavage par la dictature des Soros et Cie tandis qu’une élite corrompue pourra rouler en Ferrari et acheter des sacs Louis Vuitton.

Attention cette hypothèse demeure valable si l’ensemble de la planète n’est pas transformée en zone Afrique. Une masse d’esclaves n’est pas suffisante pour faire avancer le progrès et la technologie.

Une classe moyenne de consommateurs est indispensable pour entretenir un marché de la consommation, une concurrence, des flux financiers, des scientifiques de haut rang et de la recherche et développement.

Réduire l’intégralité de la population terrienne en esclaves qui ne posséderont rien et seront heureux22 serait une impasse pour les nantis.

À moins d’une catastrophe mondiale, la consommation d’énergie va continuer à croître.

« La forte hausse de la demande d’énergie dans l’ensemble des pays “hors OCDE” (+70 % entre 2018 et 2050) s’explique par “une forte croissance économique, un accès accru à l’énergie et une croissance démographique rapide”. Mais dans les pays développés de l’OCDE, la consommation d’énergie devrait également continuer à croître d’ici le milieu du siècle (+15 %). Elle le ferait à un rythme plus modéré que dans les pays en cours de développement en raison de “la plus faible croissance économique et démographique et des progrès en matière d’efficacité énergétique”. Mais il n’est pas question de stabilisation de la demande d’énergie et encore moins de baisse dans les pays développés.23 »

Si vous ne voulez pas une récession mondiale, une famine et des guerres nous devons augmenter notre production et notre consommation d’énergie soit exactement le contraire de la proposition « écologique ».

Pour résumer :

L’énergie c’est la vie, du bon usage de cette énergie.

Le développement du PIB corrélé à une baisse de la consommation énergétique relève de la manipulation ou de l’utopie.

D’autant plus irréaliste face aux défis qui se présentent sur la planète.

L’automatisation, le déploiement du numérique, la robotisation, devrait contribuer à faire exploser les besoins en énergie.

Il est illusoire (et stupide) de parler de décroissance. Donc la question qui demeure ne porte pas sur la notion de volume, mais d’une production « la moins sale possible ».

Le modèle dit « vert » d’énergies prétendument renouvelables basées sur des ressources primaires limitées (terres rares), relève de l’escroquerie. Cette arnaque repose tant sur le volume de production, sur leur durée de vie, leur « recyclage », que sur leur aspect prétendument non polluant qui conduit à exporter leur pollution dans les pays pauvres.

Plus il y aura d’énergie, plus il y aura de richesse partagée et plus il sera possible d’investir dans un progrès permettant de moins polluer à la production, mais aussi de dépolluer.

La dépollution relève principalement ou quasi exclusivement d’un problème économique d’accès à une énergie bon marché.

L’avenir peut être technologique, énergivore et radieux.

Cela ne tient qu’à nous. Nous avons le choix entre « Terminator24 » et « À la poursuite de demain25 ».

Merci.

Alain Tortosa.

3 octobre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221003-pour-une-augmentation-de-la-consommation.pdf





Pour relever la médecine, supprimer radicalement la bureaucratie qui l’étouffe

L’exemplaire sacrifice du Pr Humbert de Besançon

Par le Docteur Gérard Delépine

Une collègue m’envoie un résumé d’une conférence récente donnée par le pr Perronne :

Les facteurs de l’affaiblissement de la médecine française Ou Qu’est-ce qui fait que la médecine française a vu son niveau et la qualité des soins autant baisser ?

Extraits : 

Le Pr Christian Perronne aborda tout de suite le problème par cette phrase :

« On a coupé les crédits », on a imposé le numerus clausus. Depuis le Président Sarkozy, « l’hôpital est vu comme une entreprise qui doit rapporter ». Il y a eu la « fermeture massive de lits, la suppression d’emplois », le « non-remplacement des arrêts maladie et des congés maternité ». Et récemment, la « suspension des soignants non vaccinés ».

Pendant ce temps « on réalise des audits très onéreux par des cabinets privés ». Bill Gates, ce pauvre « philanthrope dans le besoin » aurait reçu un chèque important… On assiste à des « tentatives d’interdire les prescriptions hors AMM ». La médecine, (nous le savons, mais il nous est interdit de le dire) est sous l’influence de l’industrie pharmaceutique. « La prévention n’est plus enseignée », si ce n’est les vaccins auxquels très peu d’heures sont consacrées.

« Depuis 1920, Big Pharma, (et d’abord Rockefeller), a fait en sorte que toutes les facultés de médecine qui ne mettraient pas en avant la chimie soient fermées. Les dénigrements virent le jour, suivis de l’interdiction pour les autres approches ». Il y eut les « ordonnances Juppé en 1996, la loi Bachelot en 2009 ». Voilà ce qui fut débattu en ce 26 septembre 2022. (…)

[Voir aussi :
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910
Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio]

Le Pr Perronne parla de la « raréfaction des médecins de ville », de la difficulté à trouver un médecin référent. Il faut aussi penser aux déserts médicaux et se poser la question du pourquoi (…) Fini pour beaucoup, le temps où la médecine était une vocation et où le médecin ne comptait pas ses heures, se levait la nuit et continuait à aller en visite le week-end. On recherche la qualité de vie, et on s’engage dans d’autres activités tout en étant installés. Ceci pourrait expliquer la pénurie de médecins. »

Tout ceci est vrai, mais il faut affronter les énarques qui nous musellent pour effacer trente ans et plus de destruction systématique.

Et ma collègue de rajouter entre autres :

« L’informatique tend à remplacer le contact humain, ce qui plaît aux jeunes qui feront l’avenir ».

LA PÉNURIE DE MÉDECINS EST LIÉE À LA PERTE DE LA LIBERTÉ DE SOIGNER12

Sept à dix ans d’études pour être les robots obéissants, esclaves de bureaucrates, souvent énarques jaloux de notre rapport privilégié avec les patients, un monde encore d’humanité et de confiance malgré toutes les faillites. Un autre monde dont certains doivent cauchemarder la nuit pour vouloir à ce point le détruire.

Je ne crois pas que les « jeunes » soient si accrochés à l’informatique, car ils en ont vite assez de passer leur temps sur l’ordinateur pour tous les traçages qu’on leur impose. Interrogez nos jeunes infirmières ou médecins, la réponse sera claire. Beaucoup avaient et ont encore la « vocation » comme en témoignentces étudiants qui passent deux voire trois fois le concours d’entrée en médecine. Ils en rêvaient depuis leur enfance et ils vont parfois jusqu’en Roumanie ou en Belgique pour concrétiser leur rêve. En France, parfois pour une place juste après le dernier des reçus, on leur dit, « c’est sage-femme ou kinési ou rien ». La vocation…

Mais l’essentiel n’est pas là et pour compléter ce que dit C. Perronne, lorsqu’il qui cite les lois destructrices depuis 1996, le problème majeur du médecin est qu’il n’est plus libre d’exercer la médecine.

DES RÉFÉRENCES MÉDICALES OPPOSABLES AUX RÉFÉRENTIELS IMPOSENT ET AUX CONTRÔLES DES CAISSES D’ASSURANCE MALADIE, DE LA HAS ET DES ARS VOIRE DE L’IGAS3

Chaque jour le conseil de l’ordre convoque un nouveau médecin accusé d’avoir guéri des malades de covid19, en utilisant le traitement interdit par le gouvernement, et le menace de radiation ou de suspension4.Et récemment, des médecins prescrivant la vitamine C se retrouvent aussi à risque de procès ordinaux !

Le millefeuille des agences alourdit le carcan mis en place depuis les années 90 avec les « références médicales opposables » au début des années 1990. Le terme d’evidence-based medicine (EBM) « médecine fondée sur les preuves » apparait alors au Canada, concept repris de la médecine nazie. Ce concept a officiellement pour objectif de soigner « conformément aux données acquises de la science », grande mystification doublée de savantes manipulations des médecins et des citoyens.

Des agences5 se multiplieront comme des petits pains ayant pour mission d’établir et de diffuser des recommandations de pratiques cliniques (référentiels qui deviendront vite les « protocoles ») mises à jour théoriquement selon les avancées de la recherche scientifique, et de fait selon l’influence de plus en plus majeure des lobbies au service de Big Pharma qui dictent de plus en plus ouvertement les articles que les (jadis) grandes revues scientifiques peuvent publier67. Elles permettent aussi de caser d’anciens conseillers ministériels avec des salaires invraisemblablement supérieurs ceux de la fonction publique.8

Tout est résumé ici :

Dr Guillaume BARUCQ généraliste à Biarritz
@GuillaumeBarucq‬

Mon grand-père a fait sa médecine générale en 7 ans et ils faisaient tout à l’époque, même les accouchements. Aujourd’hui on voudrait nous imposer 10 ans d’études pour suivre des arbres décisionnels et déléguer toujours plus de tâches. 27 09 2022

UN EXEMPLE CARICATURAL DU RÔLE NOCIF DES ARS 9
LES MALHEURS DU PR HUMBERT ET DE SES PATIENTS

Laissez-moi vous conter l’histoire d’un professeur de dermatologie très renommé à l’étranger et en France, le Pr Humbert10 dont la carrière et la réputation ont été détruites par l’ARS locale qui a imposé les fameuses réunions de concertation multidisciplinaires dictant les traitements choisis par l’INCa et non par l’intérêt premier des patients.

Dès les années 2014 et 2015, le professeur s’inquiète des dérives thérapeutiques que subissent ses patients à la suite des fameuses réunions multidisciplinaires imposées par les plans cancer, et pense en parler à l’ARS locale pour améliorer les choses. Inconscience bienveillante du médecin qui se jette dans la gueule du loup en toute innocence.

En effet des patients qui jusque-là auraient bénéficié d’une chirurgie première de leur lésion tumorale à la suite de leur consultation avec le professeur, sont intégrés dans des essais thérapeutiques de chimiothérapie première, laissant à leur tumeur le loisir de grossir si la molécule prescrite s’avère inefficace. Et quand un cancer grossit…

Il s’en inquiète, car ces décisions sont prises en RCP 11 hors de son avis et de celui des patients de son service. Que peut-il faire ? Ces RCP sont imposées et toutes puissantes via l’INCa et ses prérogatives. 12

L’Institut National du Cancer (INCa)13 joue un rôle capital dans le traitement du cancer en France. Depuis sa création, on est passé en France d’une médecine individuelle, fruit de la relation médecin/patient fondé sur le colloque singulier à une médecine collective revendiquée par les instances ministérielles qui en ont décidé sans les patients ni les médecins. L’Inca, via les plans cancer successifs, impose de fait le monopole de la prise en charge des cancéreux, au détriment de la liberté « thérapeutique » et du meilleur choix de traitement par le médecin pour son patient.

Il viole ainsi l’indépendance du médecin inscrit dans le code de déontologie, tout en lui laissant sa responsabilité individuelle en cas de procès. Il dépossède de plus le malade de son propre choix parmi l’éventail des solutions, car que ce soit en ville ou en public, tous les acteurs du traitement du cancer, médecins cancérologues, chirurgiens, radiothérapeutes sont soumis aux diktats de cette agence nommée par le gouvernement, et obligés d’appliquer les ordres (appelés « recommandations ») de gestionnaires qui ne voient jamais de malades.

Nos diplômes ne valent plus rien depuis cette dictature de l’INCa dont l’application des référentiels et inclusions dans les essais, études pivots ou « protocoles » est validée par la HAS et contrôlés par les ARS. Ils veulent transformer les vrais médecins par des officiers de santé obéissants aux ordres en attendant de les remplacer par des robots à l’intelligence artificielle qui recrachera ce qu’on aura mis dans la machine. Les chatbots psychiatres sont déjà à l’œuvre.14

La dictature de l’INCa impose de fait l’application des référentiels et inclusions des patients dans les essais, études pivots ou « protocoles ». Cette obéissance est validée par la HAS et contrôlée par les ARS. En cas de « désobéissance » d’un médecin, s’il est installé en libéral, il perdra son autorisation de pratiquer la cancérologie, lui ôtant de fait son droit d’exercer et s’il est hospitalier, il sera exclu, via le chef de pôle, l’ARS locale et le centre national de gestion qui entérinera les desiderata de l’agence de santé.

Le médecin reconnu coupable « d’incapacité à travailler en collectivité » ne pourra plus, de fait, exercer son métier de cancérologue et seulement se réfugier dans l’accompagnement que d’autres que lui font aussi bien.

Que de soignants, de compétences et de savoir-faire perdus !15

Si l’ensemble de l’établissement où se tient la réunion de concertation multidisciplinaire ne respecte pas les « quotas » imposés par les décrets de 2007 sur l’application des lois sur l’exercice de la cancéro-hématologie des plans cancer, l’interdiction pour l’établissement de poursuivre la spécialité cancérologie tombera avec le refus d’accréditation.

Les quotas portent par exemple sur le nombre de prostatectomies pratiqué par un service de chirurgie urologique par an. Si le service a réalisé moins que le nombre annuel d’interventions exigées, il perdra son autorisation l’année suivante s’il n’a pas corrigé la situation. Cachez votre prostate en novembre ou décembre, car le directeur fait trop souvent pression sur les chirurgiens pour inciter à la chirurgie (plutôt que la radiothérapie ou l’expectative discutées autrefois) afin de conserver son autorisation d’ouverture de la structure ! Il y a des quotas pour le nombre de malades soignés par radiothérapie, ou le nombre de séances de chimiothérapie ambulatoire, etc.

La politique fusion-acquisition est largement favorisée par ces quotas aboutissant à la fermeture des petits établissements les plus humains et bien souvent les plus sûrs. L’argument du « plus on en fait, mieux on le fait » avancé pour justifier ces quotas n’est guère crédible, car ils sont calculés par établissement et non pas par praticien ; un gros centre où travaillent dix spécialistes pourra facilement dépasser le seuil minimal qu’un petit établissement ne pourra atteindre même si son unique spécialiste opère personnellement trois fois plus de patients que ses confrères du grand centre.

Et si vous l’expliquez et vous plaidez pour perte de chance de survie de vos malades, ce sera vous le vilain petit canard qui sera sermonné par l’ARS et si vous insistez, suspendu, ou interdit, par le conseil de l’Ordre au service du nouvel Ordre médical. Le cas du PR Humbert est explicite. Lisez et signez la pétition16 de ses patients scandalisés comme celle du Dr Djikeussi. C’est l’ARS et/ou l’Inca qui choisit ses alliés, affidés qui vont casser services et praticiens au gré de leurs choix.

Le professeur estime que tout a commencé en 2014-2015. « À ce moment-là, tout allait bien, j’étais chef de service depuis vingt-cinq ans, j’avais réussi à faire de Besançon le plus grand service de dermatologie de France. On avait créé un laboratoire universitaire et un centre de recherche reconnu internationalement. »

C’est à cette époque, dit-il, qu’il a eu connaissance de “plaintes” de malades. “Je me suis impliqué et j’ai effectivement constaté de graves dysfonctionnements dans certaines unités” du service. C’est là, dit-il, qu’aurait débuté “la conjuration” menée par “certains collègues”. Un “harcèlement” qui aurait pris plusieurs formes : “On m’a supprimé ma secrétaire, on a retiré les chaises installées en face de ma salle de consultation pour les patients. Je n’ai plus d’internes…”17

Une “cabale” qui l’a conduit à démissionner de son poste de chef de service… “C’était le plus grand service de dermatologie de France. C’est devenu le plus petit.”18

LE PROFESSEUR HUMBERT VICTIME DES QUOTAS ET DES CHOIX DES RCP AU SERVICE DU POUVOIR

Le professeur Humbert est compétent en médecine, mais pas assez en bureaucratie, et n’a pas initialement imaginé le rôle donné aux ARS de destruction de la bonne médecine humaine et individualisée comme il l’applique depuis toujours au grand bonheur de ses patients19. Il ne pouvait pas y croire !

Cette destruction programmée et en cours depuis les années 90 prend maintenant de grandes proportions et aboutira bientôt au niveau zéro de notre système de santé comme de trop nombreux malades en font l’expérience quotidienne20. De plus en plus de patients opérables avec de petites tumeurs du sein, de l’os, des muscles, de la peau, etc.. sont inclus d’emblée sans choix éclairé dans “le protocole” qui est de fait l’essai en cours dans lequel le robot-oncologue se doit d’inclure le plus possible de patients pour être considéré comme un “bon” médecin », avec nominations, etc. à la clef.

Combien de malades se voient-ils en ce moment proposer une « immunothérapie » toxique hors de prix et souvent inefficace, alors qu’une chirurgie bien faite aurait guéri le patient. Ceci se voit particulièrement dans les tumeurs bénignes qui ne nécessitent aucune chimiothérapie.

Pr Humbert : « J’étais un chef de service qui dérange » au CHRU de Besançon21

Publié le 27/03/2017 — Mis à jour le 17/04/2019

À la suite de la plainte pour diffamation du CHRU de Besançon annoncée vendredi 24 mars 2017 contre le Professeur Humbert qui avait relevé « des dysfonctionnements », ce dernier s’estime « victime de harcèlements » à son tour de la part du CHRU.

Parole contre parole

« Cela ne me dérange pas, car c’est déjà dans l’esprit de la direction de me stigmatiser, de me cibler et cela va permettre de donner les éléments de vérité ». Il ajoute que « Je n’ai tenu aucun propos diffamatoire, tout ce que j’ai indiqué se trouve confirmé. En revanche, les propos de madame la directrice et de monsieur le président, eux, sont contredits par les éléments dont j’ai pu avoir connaissance du rapport » en précisant « sur le bien-fondé de mes signalements et de mes alertes ».

Maître Kabbouri, avocate du Professeur Humbert mentionne qu’« une plainte a été déposée auprès des services de police de Besançon pour fait de harcèlements moraux contre le CHU et certains professionnels de santé en février 2016. » Elle ajoute que « mon client n’a jamais été entendu dans le cadre d’une procédure pour harcèlement par les services de police, ni d’internes, ni de médecins, ni de la direction, il n’y a jamais rien eu ».

LE PR HUMBERT ET LA CHAMBRE DISCIPLINAIRE DE L’ORDRE RÉGIONAL DES MÉDECINS

L’Agence Régionale de Santé avait saisi l’Ordre pour « infractions au code de déontologie médicale ». Le professeur explique que :

« cette procédure fait suite à des pressions que je subis depuis de nombreux mois. En tant que chef de service, à l’époque, un certain nombre de lettres de plaintes ont été reçues. J’avais constaté des dysfonctionnements et des anomalies. »

Une « focalisation sur moi »

Le Professeur raconte : 

« au lieu de me soutenir, de suivre avec moi les corrections nécessaires et de déclarer les effets indésirables graves à l’Agence de santé comme c’est le devoir de la direction », précise-t-il, « on s’est focalisé sur moi pour obtenir ma démission de chef de service. »

Il justifie que :

« J’étais un chef de service qui dérange. J’ai été président de la commission médicale d’établissement du CHU, je dois dire que c’est grâce à mes efforts que le CHU a aujourd’hui un budget en équilibre. Nous avons fait créer 600 postes pendant cette période-là. Et donc cela engendre des inimitiés auprès d’administrations. »

Philippe Humbert ajoute :

« il y a eu un retard dans les alertes, dans le signalement, dans la prise en compte de celles-ci, puisqu’on était focalisé sur une médiation, puis une enquête IGAS ». « Rien que de prononcer le nom de RCP invalide, c’était quelque chose qui aurait dû immédiatement alerter le réseau OncoIie (Oncolie réseau de cancérologie de Franche-Comté) qui est le fer de lance de réseau 3 C22. »

Harcèlement des internes « infondé »

Le Professeur estime que les accusations portées à son encontre sont « complètement infondées et opportunistes ». Il précise que ce sont « des textes dont je n’ai jamais eu connaissance jusqu’à présent »(…)

Il se défend :

« J’ai toujours été apprécié par les médecins qui viennent à mes côtés d’ailleurs, de Chine, du Maroc, d’Algérie, du Brésil. C’est moi qu’ils choisissent dans le service. Je n’ai jamais été maltraitant, cela fait partie de la cabale comme monsieur le recteur me l’avait indiqué, cela fait partie d’une conjuration de faire ce genre de propos ». (…)

Des témoignages de patients…

Pour donner suite à la plainte pour diffamation annoncée par Chantal Carroger, directrice du CHRU de Besançon, à l’encontre du Professeur Humbert, trois patients et une collègue ont envoyé à maCommune.info des mails de « soutien » à l’ancien chef du service dermatologie et témoignent.

Madame Alev, une patiente, se plaint de « dysfonctionnements » de l’hôpital et a souhaité dans un courrier du 7 juillet 2016 adressé à la directrice de l’hôpital que « le professeur puisse exercer son métier dans les meilleures conditions ».

Nadine, une autre patiente, qualifie le professeur d’« une gentillesse incroyable, à l’écoute de mon parcours difficile ».

Bernadette, quant à elle, reproche à la directrice du CHRU de « se contenter de transmettre mon témoignage de satisfaction au Professeur Humbert sans aborder les erreurs commises par les autres médecins concernés ».

Évelyne, une ancienne collègue du professeur, affirme qu’il « est proche de ses patients, constamment soucieux de leur bien-être ».

Le professeur Philippe Humbert, poursuivi pour diffamation par son employeur, l’hôpital bisontin, a été condamné à verser 8000 € d’amende, dont 4000 €, avec sursis23 pour avoir « porté atteinte à l’honneur et à la considération » du CHU Minjoz. Le professeur Humbert doit également vers 2 000 € de dommage et intérêt à l’hôpital.

Le praticien dénonçait des dysfonctionnements au sein du CHU Minjoz dans le livre Hôpitaux en détresse, patients en danger24. L’hôpital avait donc pris la décision de porter plainte contre lui pour diffamation.

L’audience du 27 septembre dernier avait été le théâtre de longs débats et avait été mise en délibéré jusqu’à ce jour. La condamnation du professeur Humbert est sévère puisqu’elle est allée au-delà des réquisitions du parquet qui requérait 10 000 € d’amende avec sursis.

Pour le professeur Humbert, cette condamnation est « le prix de la vérité et de la défense des malades ».

Condamnation dont il a fait appel et qui met en suspens son application. Le professeur est donc pour l’instant toujours autorisé à travailler.

Une autre procédure disciplinaire est également en cours à son égard. Le ministère de la Santé et celui chargé de la Recherche et des Technologies ont lancé une action pour donner suite au harcèlement prétendu de collaborateurs du professeur quand il était chef de service à l’hôpital de Besançon.

LE HARCÈLEMENT, TECHNIQUE DEVENUE CLASSIQUE À L’ HÔPITAL PUBLIC

Les enquêtes montrent que, dans tous les pays, le harcèlement moral et le risque suicidaire prédominent dans le secteur de la santé

Par Marie-France Hirigoyen, Christiane Kreitlow et Christelle Mazza25

Le suicide par défenestration du cardiologue Jean-Louis Mégnien le 17 décembre 2015 à l’Hôpital européen Georges-Pompidou a suscité une vague d’émotion dans le monde hospitalier et est venu rappeler la triste réalité du harcèlement moral.

Car, si la France a été un des premiers pays à bénéficier d’une loi très complète contre le harcèlement moral, cette problématique reste malheureusement peu prise en compte dans les entreprises privées et encore moins dans le secteur public. (…)

Pour rappel, le harcèlement moral consiste en une violence subtile, insidieuse, d’autant plus dangereuse qu’elle est quasi invisible. Il s’agit, de façon plus ou moins consciente, de disqualifier, d’isoler, de dégrader une personne et d’attaquer son travail. Il ne s’agit pas d’un conflit, mais d’une guerre d’usure pour soumettre ou détruire un individu.

Un comportement systématisé

En France, le harcèlement moral est défini par les textes comme :

« un ensemble d’agissements répétés qui ont pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail susceptible de porter atteinte aux droits du salarié et à sa dignité, d’altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel ». (…)

« Dans le harcèlement moral, il ne s’agit nullement d’une maladresse ou d’un accident, mais d’un comportement délibéré ou tout du moins systématisé. En ce qui concerne les harceleurs, ils sont rarement tout à fait conscients de la gravité de leurs agissements.

Dans cette forme de violence grave, les troubles ne résultent pas uniquement de l’agression elle-même, mais surtout de la situation d’impuissance dans laquelle les personnes ciblées sont placées et qui est aggravée par le silence de la hiérarchie. La négligence à ne pas traiter le harcèlement moral conduit les victimes à un sentiment de profonde injustice. L’ostracisme — ou mise en quarantaine — vient menacer les besoins sociaux fondamentaux de tout individu, le maintien de l’estime de soi, le sentiment de contrôle et le besoin de reconnaissance. »

Culture de la rentabilité

Les enquêtes montrent que, dans tous les pays, le harcèlement moral et le risque suicidaire prédominent dans le secteur de la santé. Le monde hospitalier public est passé d’une culture de service public à une culture de la rentabilité avec des indices de performance et un management par objectif, générant souvent des conflits éthiques entre le corps médical et la direction.

Tout est comptabilisé, y compris les productions scientifiques. La loi Hôpital, patients, santé et territoire du 21 juillet 2009 a considérablement modifié le système de gouvernance des hôpitaux, laissant le directeur tout-puissant dans la gestion du personnel et de l’établissement. Mais ce fonctionnement laisse de côté la part humaine de chacun qui ne peut pas toujours être objectivé.

« Un management trop axé sur des procédures standardisées ne régule pas les luttes d’influence et les abus de pouvoir. Or, quand tout le monde est sous pression, le risque est grand de vouloir s’affirmer aux dépens des autres et d’utiliser des procédés déloyaux comme le harcèlement moral. »

Le suicide du PR Mégnien26 n’a pas changé la donne, ni les articles qui ont suivi. Le drame du PR Humbert en est une nouvelle démonstration. Le système de santé français ne pourra pas remonter la pente sans supprimer aux agences de santé leurs pouvoirs dictatoriaux sur les médecins, ni supprimer les nombreux observatoires, agences multiples qui détournent les moyens tant humains que matériels des besoins des hôpitaux

IL faut soutenir le PR HUMBERT emblématique des médecins cliniciens privés de leurs possibilités de soigner chaque malade individuellement dans le respect du serment d’Hippocrate.





La théorie du genre a-t-elle transformé en profondeur nos sociétés occidentales ?

Par Nicole Delépine, pédiatre cancérologue

Georgia Meloni élue en Italie serait-elle réactionnaire, car opposée à la théorie du genre ?

Il est désormais de notoriété médiatique que considérer qu’un homme est un homme et une femme est une femme est conservateur. Et comme a expliqué A Buzyn : « un oncle peut être la mère… ». D’ailleurs, regardez les cartes d’identité instituées par l’UE avec un être humain d’un nouveau genre si l’on peut dire sans humour déplacé. Quant aux Polonais, Hongrois ou Russes, puisqu’ils ne cautionnent pas cette théorie, ils ont déjà subi la même qualification de réactionnaire dans nos médias.

D’où vient la théorie du genre ? 1

Pour comprendre ce qui nous est arrivé en seulement quelques années, de la falsification de nos cartes d’identité et des carnets scolaires de nos enfants (avec parent 1 et parent 2 et bientôt parent 3) en fonction des progrès d’une prétendue science, je me suis finalement décidée à étudier les différents aspects et conséquences de cette fameuse théorie qui régit maintenant les écoles, universités, hôpitaux, livres, et théâtre. Ne va -t-on pas jouer Roméo et Juliette entre deux homosexuels et représenter Blanche-Neige par un Africain noir ? Ils ont bien le droit de jouer des pièces de théâtre, mais pourquoi se moquer des auteurs classiques, tout casser, tout salir, tout déconstruire ?

Il faudra approfondir les fondements et les conséquences de cette « révolution » sociétale, mais voici déjà quelques éléments pour ceux qui comme moi, avaient considéré qu’il en allait de la liberté de chacun et n’ont pas cherché plus loin. En fait c’est notre liberté, notre équilibre mental et celui de nos enfants qui sont menacés de disparaître en moins d’une génération les bases des sociétés humaines, par la volonté sectaire de ces déconstructeurs.

Cette fumeuse théorie a progressivement et insidieusement envahi, depuis les années 1980, l’enseignement à l’école publique — plus obsédée par la formation des jeunes à la sexualité diversifiée et aux notions de genres (masculin, féminin, neutre, trans ou autre) — qu’à l’écriture et au calcul. L’enseignement universitaire en est transformé avec l’exclusion des voix divergentes (ou seulement ouvertes à la discussion), interdites de conférence à Science Po ou à Grenoble et Clermont-Ferrand. Quant à la désastreuse écriture inclusive, dans une époque où l’orthographe a perdu pied et où 9 % des jeunes sont illettrés2, n’en parlons même pas…

La théorie du genre a imprégné en une trentaine d’années le contenu des séries et des films, particulièrement sur Netflix, dans lesquels doivent nécessairement figurer les symboles des minorités : un handicapé, un individu d’origine africaine, un couple d’homosexuels féminins ou masculins, si possible un transgenre, en tentant de n’oublier aucune minorité. Seul l’Asiatique est le plus souvent ignoré.

[Voir aussi :
Vague de poursuites à l’encontre de psychiatres et de médecins qui ont approuvé les mutilations et les chirurgies transgenres
Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition
La transsexualité dénoncée par une transgenre repentie
Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION]

Les discours politiques doivent faire preuve de bienveillance envers ces minorités agissantes pour être considérés comme bien-pensants, appartenir au camp du bien et donc être présentables dans les médias. Les émissions des chaînes publiques supposées être neutres comme France Info, France Culture, France Inter et autres éliminent soigneusement les interlocuteurs non politiquement corrects, appauvrissant ainsi leur contenu et limitant tout débat démocratique. Les autres discours, comme ceux de Mme Meloni (et bientôt même de Madame Badinter ?) sont rapidement taxés de réactionnaires, puis d’homophobie, d’extrême droite, de fasciste ou post fasciste ou pourquoi pas d’antisémite.

Définition : le genre comme la conduite sexuelle qu’on choisit d’adopter, en dehors de notre sexe de naissance

John Money sexologue et psychologue néo-zélandais, spécialiste de l’hermaphrodisme3 à l’université américaine Johns Hopkins, a défini en 1955 le genre comme la conduite sexuelle qu’on choisit d’adopter, en dehors de notre sexe de naissance4, après avoir étudié des cas d’enfants nés intersexués.

Test in vivo sur des jumeaux nés en 1966

La première expérimentation de la théorie du genre avait pourtant bien mal commencé, aboutissant à une catastrophe sur un couple de jumeaux nés garçons, 5 dont les parents avaient été convaincus par John Money d’élever l’un des deux comme une fille. Les parents de jumeaux âgés de huit mois souhaitaient les faire circoncire, mais l’un d’eux, Bruce subit la brûlure de son pénis à la suite d’une cautérisation électrique. John Money sauta sur l’occasion, espérant démontrer que le sexe biologique ne serait qu’un leurre et proposa aux parents désespérés d’élever Bruce comme une fille, sans jamais lui révéler son sexe de naissance.

Bruce-Brenda recevra des hormones, subira l’ablation des testicules, sera élevée en fille avec robes et poupées. Tout se passa, semble-t-il, assez bien pendant l’enfance, si bien que son initiateur crut à une réussite et publia de nombreux articles à la gloire de sa « découverte » et même un livre en 1972, Homme-femme, garçon-fille, dans lequel il affirma que ce serait l’éducation et non le sexe de naissance qui détermine si l’on est homme ou femme.

Mais le réel revint au galop 

À l’adolescence, la voix de « Brenda » devint grave et elle fut attirée par les filles. Les parents avouèrent la mystification. Elle eut le courage et la force de caractère pour renoncer à ses hormones femelles et reçut de la testostérone, hormone mâle.

« Dès lors, Brenda redevient un homme, David, auquel on recréa chirurgicalement un pénis et retira les seins. Ce dernier se mariera même à une femme, à l’âge de 24 ans. Mais cette expérience identitaire hors norme a laissé des dégâts irréparables chez les jumeaux. Brian se suicide en 2002 et David en mai 2004. »

LES DÉGÂTS EN MÉDECINE D’UN MARCHÉ PROMETTEUR

Il faudrait plus d’un petit article pour décrire la longue liste de drames, conséquences de cette négation du réel et des extraordinaires instrumentalisations de la folie collective, de la manipulation des jeunes, puis des enfants et de leurs parents par l’appât du « fric » et aussi de la jouissance de pouvoir sur les autres êtres humains. Se prendre pour Dieu, remodeler ce qui serait une erreur de fabrication et en même temps devenir super riche, quel bel avenir pour des chirurgiens dégoûtés des mesquineries bureaucratiques et pour les pédiatres et endocrinologues frustrés par la routine grise quotidienne. Jouer à Dieu, qui y résisterait ?

Collusion de l’argent et des intérêts politiques et psychiques. Les « spécialistes » endocrinologues, dealers de drogues hormonales d’une clientèle devenue captive à vie et les chirurgiens plastiques peu regardants sur les ablations d’organes sexuels, puis les reconstructions en fonction des souffrances de l’individu maltraité (sous prétexte de répondre à ses pulsions du moment). Après trente ans de business majeur, les scandales commencent à apparaître. Nous y reviendrons. 6

Par exemple celui de la « clinique transgenre pédiatrique » du centre médical de l’Université Vanderbilt qui « soulève de graves préoccupations morales, éthiques et juridiques qui font l’objet d’une enquête judiciaire ».

Depuis le 1er janvier 2017, conformément à la Loi Obama « sur les soins abordables » (Obamacare), les compagnies d’assurance américaines sont tenues de couvrir les frais médicaux des personnes qui veulent changer de sexe. Le reportage de Walsh a mis en évidence que Vanderbilt « drogue, castre chimiquement, et effectue des doubles mastectomies sur des mineurs », et calme l’opposition parmi ses médecins par « des menaces et de la coercition », emploie des militants transgenres pour assurer la conformité du personnel, et le fait à des fins lucratives.

Walsh a rappelé les prix de diverses opérations : 40 000 $ pour la « reconstruction thoracique » de femme à homme, 20 000 $ pour une vaginoplastie, et jusqu’à 100 000 $ pour les chirurgies complètes de femme à homme. L’ensemble de ces problèmes justifie l’enquête judiciaire en cours.

Aux USA, le coût des médicaments et des interventions chirurgicales peut atteindre 200 000 $ 7pour un seul « patient ».

La propagande d’identité trans est maintenant une mode qui cible spécifiquement les jeunes

« Es-tu un enfant qui souffre de dysphorie de genre et qui a besoin de produits chimiques bloquant la puberté ? Selon la clinique d’identité sexuelle Tavistock de Londres, la plupart des enfants en ont besoin. Et elle a fonctionné en toute impunité de 1983 jusqu’au mois dernier. La clinique a récemment été fermée par le NHS, alors que les enquêtes se multiplient et que le public s’indigne des allégations selon lesquelles Tavistock diagnostiquait au hasard des troubles de l’identité sexuelle chez les enfants, même s’ils étaient normaux.

Le concept de transsexualité étant largement promu par les médias d’entreprise, les parents gauchistes, les enseignants des écoles publiques et de nombreux gouvernements occidentaux, il n’est pas étonnant que tant d’enfants commencent à ressentir le besoin de rejoindre la tendance et de signaler leur vertu. En général, la plupart des enfants veulent rendre les adultes qui les entourent heureux et la pression pour se conformer aux modes en matière d’identité sexuelle est immense. Tavistock, la seule clinique de changement de genre et de sexe en Grande-Bretagne, est passée d’environ 130 enfants patients par an en 2010 à près de 2400 en 2021. »

Le féminisme des années 80 déclinant, les néoféministes se sont saisies des délires de la théorie du genre pour alimenter leur discours à une époque où la contraception, le large droit à l’avortement, et l’élargissement de la place des femmes en politique et dans l’entreprise stérilisaient leurs discours.

Bienvenue la théorie du genre, et peu importe les nombreuses vies gâchées qu’elle engendrera. Car le mal être de ces enfants est à terme habituellement aggravé par les mutilations et les traitements qu’ils subissent et les conduits à un risque important de suicide. Une étude libanaise 8 montre que 55 % des participants transgenres avaient des pensées suicidaires actives contre 0 % chez les témoins. Dans la population trans, le passage à l’acte « suicide » dépasse 40 % 9 soit dix fois plus que la population standard et 2 fois plus que les bisexuels ou homosexuels.

Ils ne se seraient peut-être moins suicidés si au lieu de leur faire croire que les transformer les rendrait heureux, on leur avait appris que le bonheur nécessite l’acceptation de soi tel qu’on est (et tel que l’on naît ?) et aider avec des prises en charge psychologiques et/ou psychiatriques de qualité.

LES DÉGÂTS À L’ÉDUCATION NATIONALE

C’est environ 2014 que les dégâts dans l’Éducation Nationale apparaissent avec une première tentative de stopper le mouvement appelé pudiquement « abc de l’égalité » conduisant à l’intrusion dans l’école publique de discours qui n’ont rien à y faire.

Théorie du genre : des élèves absents du fait d’une étrange rumeur (lefigaro.fr)

Une tentative de résistance apparaît dans les médias via le site internet du mouvement « JRE2014 » : « une action nationale inédite pour sauver nos enfants », explique le tract :

« Vous justifierez l’absence de votre enfant le lendemain par le motif: “journée de retrait de l’école pour l’interdiction de la théorie du genre dans tous les établissements scolaires”,

« Le ministre de l’Éducation nationale, Vincent Peillon, sur les traces de son prédécesseur Luc Chatel veut généraliser et officialiser l’enseignement de la théorie du genre (…) à la rentrée 2014 (…) Des centaines d’écoliers sont déjà victimes de ces programmes à titre expérimental », développe le texte en référence aux ABCD de l’égalité, lancés conjointement par Vincent Peillon et Najat Vallaud-Belkacem, dans dix académies.

« D’ores et déjà, des militants du lobby LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transsexuels) s’invitent en classe », explique-t-il. « L’éducation de nos enfants nous appartient », martèle le tract qui milite pour le retour d’« un ministère de l’instruction publique ». Sur le site, une soixantaine de contacts locaux assurent le relais du message en région ».

Commandé par Najat Vallaud-Belkacem, un rapport vise à « lutter contre les stéréotypes », notamment à l’école.10

Une infiltration douce et discrète de l’école avec des termes trompeurs

 « Le rapport “lutter contre les stéréotypes filles-garçons, un enjeu d’égalité et de mixité dès l’enfance”, du Commissariat général à la stratégie et à la prospective remis à Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes, ne contient aucune proposition détonante. »

« Cela résonne plus joliment que les oukases à la Peillonqui voulait s’appuyer sur la jeunesse pour changer les mentalités ! », commente Olivier Vial, porte-parole de l’Observatoire de la théorie du genre. C’est juste un début de propagande douce : on va essayer, par une série de micro-incitations insidieuses, de guider le comportement des gens et de remplacer peu à peu un modèle de société par un autre.

NOUS SOMMES EN 2014

Les controversés « ABCD de l’égalité », censés lutter contre le sexisme, arrivent dans 600 classes. 11 ÉLÈVES COBAYES SUR DÉCISION DES « ÉLITES »

Les « ABCD de l’égalité » : le ministre de l’Éducation nationale, Vincent Peillon, et sa collègue des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, portent conjointement cette expérimentation.

Au total, dix académies volontaires, soit plus de 600 classes, sont concernées par ce dispositif visant à « déconstruire les stéréotypes de genre » et à « transmettre, dès le plus jeune âge, une culture de l’égalité et du respect entre les filles et les garçons, en agissant sur les pratiques des acteurs de l’éducation et sur les préjugés des élèves ». Objectifs affichés : sensibiliser les élèves aux représentations et aux rôles assignés aux filles et aux garçons, et agir ainsi sur les orientations professionnelles que l’on sait sexuées » (…), démarche plus globale se proposant d’agir sur les mentalités, et dont l’école est un volet.

Olivier Vial, président du syndicat de droite UNI, invite à la vigilance, comme des responsables de l’Association des familles catholiques, qui craignent à l’école une démarche de déconstruction des repères transmis par les parents.

Des heures de formation spécifiques

En 2014, plusieurs milliers d’élèves, de la maternelle au CM2, ont fait l’apprentissage de cette « égalité », via des séquences pédagogiques mises en œuvre par les enseignants.

Exemple d’une séquence pédagogique autour des « représentations esthétiques de l’enfant, de la femme et de l’homme » au fil des siècles, du portrait par Rigaud de Louis XIV portant des talons hauts, au smoking pour femme d’Yves Saint Laurent en 1966 ; ou cette réflexion sur « la figure de la belle » dans les contes.

Objectifs: démontrer aux enfants que les notions de féminin et masculin évoluent suivant les sociétés et les époques.

Pour les deux ministères, le but est de « sensibiliser les élèves aux représentations, aux rôles assignés aux filles et aux garçons » et d’aider les enseignants dans cette tâche en offrant « des entrées au sein de programmes officiels existants: sciences, éducation physique et sportive, maîtrise de la langue, histoire… ». 12

Néanmoins, il semble bien que selon les enseignants bénéficiant d’une certaine liberté dans leur classe, le message ait été plus ou moins doux, limité pour certains à tenter de limiter utilement certaines idées préconçues. Par exemple les filles sont aussi capables de faire de hautes études scientifiques que les garçons.

Finissons pour ce jour par une chronique de Russie rapporté par Boris Karpov dans la série « valeurs occidentales » : La littérature pour enfants a fait son chemin vers les histoires transgenres de la maternelle : le portail des enseignants du Royaume-Uni recommande My Sister Daisy comme une excellente lecture pour expliquer les problèmes d’identité de genre aux enfants.

« Tu es sûr d’être une fille ? J’ai demandé. — J’ai un ami qui est à la fois un garçon et une fille, tu dois lui parler comme “ils” et “eux”. “Je suis sûr ! Je suis une fille ! Et je m’appellerai ‘elle’ et ‘elle’, as-tu dit. Maman et papa pensaient que j’étais un garçon quand je suis né, mais ils avaient tort. Je sais qui je suis et je sais que je suis une fille.”

Le portail du blog des enseignants de littérature pour enfants dit que c’est un excellent livre pour les parents ou les enseignants pour parler aux enfants des questions d’identité de genre et de pronoms.

C’est l’histoire vraie d’une famille où le deuxième enfant est conscient d’être transgenre. L’auteur lui-même élève un tel bébé. Selon l’histoire, le frère aîné devra s’habituer au fait que son frère est désormais une sœur. Après que le garçon ait été envoyé à la maternelle, il a dit qu’il était maintenant une fille nommée Daisy” ».

Huit ans après l’arrivée des ABC de l’égalité, il sera capital de faire le point sur ses effets dans le monde réel. Suite à venir…





Mise au point de Reiner Fuellmich — 28 septembre 2022

[Source : Jocelyne Pauliac Traduction ]


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[Voir :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]




Stratégie du choc et ingénierie de la soumission : vers un « blackout » programmé au service du Reset ?

[Source : LHK]

Par Vincent Held

C’est comme on le sait à l’auteur canadien Naomi Klein que l’on doit la notion de « stratégie du choc », à laquelle elle a consacré un livre éponyme paru en 2007. Pour expliciter cette notion de « stratégie du choc », Naomi Klein commence par décrire la méthodologie des célèbres expériences de « contrôle mental » que la CIA avait élaborées à partir des années 1950 :

« La torture, ou « l’interrogatoire coercitif » comme on l’appelle à la CIA, est un ensemble de techniques conçues pour plonger les prisonniers dans un état de choc et de désorientation grave et les forcer à faire des concessions contre leur gré. La logique de la méthode est exposée dans deux manuels de l’agence qui ont été déclassifiés à la fin des années 1990. On y explique que la façon de vaincre les résistances des « récalcitrants » consiste à provoquer une fracture violente entre le prisonnier et sa capacité à comprendre le monde qui l’entoure.« 

L’essentiel étant de faire en sorte que le prisonnier prenne « peur au point de perdre toute capacité à penser de façon rationnelle et à protéger [se]s intérêts ». Plongé dans un état « d’apathie » et de « paralysie psychologique », la personne concernée devient alors « une page blanche ouverte à toutes les suggestions ». C’est « le point de frappe idéal pour le bourreau, [le moment] où le sujet est le plus susceptible de coopérer ».

Pour Naomi Klein, des techniques de « fabrication du consentement » basées sur cette approche n’ont depuis lors cessé d’être appliquées à grande échelle à des populations entières, aux quatre coins du monde. Les séances d’électrochocs infligées aux cobayes involontaires de la CIA deviennent ainsi une allégorie de la manière dont les maîtres du jeu politique imposent leurs choix à des populations entières, en exploitant délibérément des situations traumatisantes. Comme lors des attentats du 11 septembre :

« Les attentats terroristes […] provoquèrent un choc différent de ceux qu’on imaginait dans les pages du manuel [d’interrogatoire de la CIA], mais leurs effets furent remarquablement similaires : profonde confusion, peur et angoisse extrêmes, régression collective. À l’image d’un interrogateur qui s’érige en « figure paternelle », l’administration Bush ne tarda pas à exploiter cette peur pour camper le rôle du parent protecteur, prêt à défendre par tous les moyens « la patrie » et ses « enfants » vulnérables. »

Dans idéal, il faudra que le « choc psychologique » et « la peur » qui paralysent la volonté des populations et les renvoie à l’état « d’enfants dépendants » s’accompagnent de mesures « d’isolement » physique et social :

« La privation de stimuli provoque une régression en empêchant le sujet d’avoir des contacts avec le monde extérieur, ce qui l’oblige à se replier sur lui-même. En même temps, la présence de stimuli bien dosés pendant l’interrogatoire fait en sorte que le sujet en régression tend à voir en l’interrogateur une figure paternelle. »

Il nous faut ici remarquer que cette « privation de stimuli » qui mène à la « régression » psychologique du sujet n’est pas sans évoquer l’effet des « mesures de confinement » (ou « lockdowns ») qui ont été imposées à des millions d’individus de par le monde ces deux dernières années.

« A l’origine, au XIXème siècle, le terme « lock-down » désignait […] une cheville utilisée pour tenir ensemble les poutres d’un radeau […] Ce n’est que dans les années 1970 que le terme « lockdown » a commencé à être utilisé pour signifier un état de confinement prolongé dans les prisons et les hôpitaux psychiatriques. » (The Guardian, « Les significations changeantes du terme lockdown », avril 2020)

De fait, ces véritables mesures d’incarcération à domicile auront eu pour principal effet observable d’empêcher les personnes concernées « d’avoir des contacts avec le monde extérieur » – et ce parfois de nombreuses semaines durant (comme en France en 2020)… Couplées à la désorientation causée par la peur d’une épidémie aussi redoutable (en apparence) que mystérieuse (modes de transmission inconnus), cet isolement et cette claustration arbitrairement imposés ont ainsi causé des dégâts psychologiques fort bien documentés…

En novembre 2020, le ministre de la Santé français constatait une explosion des « syndromes dépressifs » et autres « états anxieux » parmi ses administrés. Une évolution causée en particulier, d’après ses propres dires, par « le confinement ». Or c’est bien lui qui avait présidé audit confinement (long de 7 semaines !) quelques mois auparavant…

En résumé : c’est en apeurant et brutalisant les populations – puis en adoptant une attitude protectrice, qu’on les convainc de « coopérer » à des politiques qui vont directement à l’encontre de leurs propres intérêts – et même de leur simple bien-être physique et mental. En leur offrant ponctuellement des marques de compréhension – voire même de compassion – ainsi qu’une porte de sortie de crise (p.ex. un miraculeux vaccin « qui va permettre d’éviter un nouveau confinement »), la figure tutélaire qui préside aux sévices se transforme comme par enchantement en une « figure paternelle ». Si tout le monde « joue le jeu » tout se passera bien, nous prendrons bien soin de vous. Dans le cas contraire, on peut tout aussi bien retourner à la case torture. A vous de voir…

Les manuels d’interrogatoire de la CIA nous fournissent ainsi une clé de compréhension décoiffante pour expliquer le but véritable des « confinements sanitaires » qui auront été mis en œuvre avec tant de zèle sur tous les continents. Il est ainsi parfaitement envisageable que ces quarantaines généralisées, souvent imposées avec une brutalité impitoyable, aient en réalité participé d’une véritable ingénierie de la soumission. Les personnes traumatisées (à des degrés divers) par les rigueurs du « lockdown » se trouvant dès lors plus vulnérables aux « suggestions » du pouvoir politique, en particulier en matière vaccinale.

Mais comment revenir à la case « confinement », alors même que les tout nouveaux vaccins « omicron » seront prêts pour l’automne et qu’ils seront bien évidemment présentés comme efficaces (quoique sans avoir jamais été testés sur des humains) ? Quel « choc » suffisamment brutal pourrait-on alors bien administrer à un public qui manifestement se montre de plus en plus récalcitrant, afin de le convaincre de tendre à nouveau le bras pour une énième piqûre salvatrice ? D’autant plus que l’objectif affiché est aujourd’hui de passer à deux injections au cours de la saison froide !

L’enthousiasme de la population pour les piqûres semble connaître un petit coup de mou. Il est vrai que « le virus » s’avère moins létal qu’escompté. Et que la fréquence – et la sévérité – des « effets secondaires » liés aux injections précédentes commencent à être relativement bien connues…
En Allemagne, seules les personnes vaccinées au cours des trois derniers mois pourront désormais être considérées comme étant parfaitement « à jour » (frisch geimpft) en termes de statut vaccinal. Il s’agira donc de se faire vacciner deux fois au cours de la saison automne-hiver. Les critiques parlent de « vaccination-en-continu » (Dauerimpfen).
« Les ‘boosters’ [doses de rappel] sont recommandés au plus tard six mois après la vaccination complète – et le certificat covid demeurera valide pour un délai supplémentaire de trois mois après cela. »
(Ursula von der Leyen, 16 décembre 2021)

Face à ces ambitions vaccinales sans cesse croissantes, la solution qui permettra de « vaincre les résistances des récalcitrants » (elles aussi croissantes) pourrait bien venir d’un événement dont on tend à fortement sous-estimer la violence pour les populations appelées à le subir…

L’hypothèse du blackout se précise

Dans un article intitulé « Un blackout coûterait de nombreuses vies », la Frankfurter Allgemeine Zeitung se penchait récemment sur le « scénario de crise » d’une petite région rurale du Sud de l’Allemagne, le district de Rheingau-Taunus. Prenant au sérieux un récent audit commandé par les autorités locales à des spécialistes de la sécurité énergétique, le quotidien de référence allemand nous détaillait les désagréments que causerait dans cette région « une panne de courant complète » :

« Que faire si les stations-service ne fournissent plus de carburant faute d’électricité, si les réseaux de téléphonie et de téléphonie mobile tombent en panne, si les groupes électrogènes de secours se vident faute de diesel et si les chauffages tombent en panne sur tout le territoire ? […] À peine deux heures après le début de la coupure, de nombreux systèmes d’incendie et d’alarme ne fonctionneront plus et le réseau mobile sera en panne. Après huit heures, la radio numérique des services d’urgence sera également hors service. Au plus tard lorsqu’après 24 heures, les premières stations d’épuration du district cesseront également de fonctionner. […]

Des coupures de courant de courte durée, par exemple dans le cadre d’un rationnement, sont supportables. Mais un véritable blackout aurait des conséquences auxquelles le district ne pourrait que difficilement se préparer. Ce sera alors une autre vie, difficilement imaginable aujourd’hui. »

L’analyse prédisant en outre « plus de 400 morts dans les 96 premières heures » de la panne, dont 300 patients d’hôpitaux et 140 « autres décès ». Or, on parle bien ici d’un territoire minuscule (de la superficie d’un petit canton suisse), et peuplé de moins de 200’000 habitants !

Parmi les facteurs qui contribuent à l’engorgement des hôpitaux au cours d’un blackout prolongé, l’on compte : les incendies (p.ex. liés à l’usage de réchauds de secours, bougies et autres matériels inflammables), les accidents (notamment de circulation – il n’y a plus de signalisation) et autres hypothermies (liée à l’arrêt du chauffage – et pas seulement des chauffages électriques !). Des phénomènes qui, conjugués à la baisse (éventuellement drastique) de la capacité de prise en charge hospitalière, ne peuvent que contribuer à accentuer le coût humain de ce qui, a priori, pourrait passer pour une bête panne d’éclairage et de réfrigérateur.

On peut également se demander ce qu’il pourrait advenir dès la première nuit de coupure dans des villes déjà modérément sûres en temps normal telles que Paris, Londres, Berlin… Dans son célèbre « discours de Harvard » de 1976, Soljénitsyne relevait déjà la situation quelque peu bancale des États-Unis à cet égard :

« Le centre de votre démocratie et de votre culture est-il privé de courant pendant quelques heures, voilà que soudainement des foules de citoyens américains s’y livrent au pillage et au grabuge. »

Or il apparaît qu’aujourd’hui, même en Suisse :

« Il faut se préparer à des scénarios extrêmes, prévient le directeur général de la police Fredy Fässler. En cas de coupure du réseau, il est ’envisageable que la population se rebelle ou qu’il y ait des pillages’. » (Interview du président de la Conférence des directeurs cantonaux de justice au quotidien au quotidien Blick, 20.08.22)

Gageons alors qu’en cas de panne d’électricité de plusieurs jours, les habitants de bien des grandes villes européennes n’oseraient plus même mettre le nez dehors, indépendamment des éventuelles coupures d’eau courante et des problématiques de chauffage (et de cuisson) auxquelles ils pourraient dès lors se retrouver très rapidement confrontés…

Quoiqu’il en soit, le « choc psychologique » lié à un blackout prolongé serait assurément considérable. L’engorgement des hôpitaux, en particulier, permettrait de justifier aisément (et sans doute avec l’assentiment de vastes pans de la population « en état de choc ») de nouveaux « durcissements des mesures » en matière de « lutte contre le covid ». Dans ce contexte, le « traçage numérique complet » de la population déjà acté en Suisse par exemple (et qui permettrait de détecter sans l’accord des intéressés les « contacts avec des personnes infectées »), ainsi que la surveillance automatisée du « respect des gestes barrières » dans les lieux publics (gares, trains, supermarchés…), pourraient subitement devenir acceptables pour nombre de citoyens désorientés.

Outre d’éventuelles restrictions dans l’accès à l’argent liquide (réputé vecteur de microbes), de nouvelles contraintes pourraient être appliquées en particulier aux non-vaccinés, p.ex. en termes d’accès aux stations-service (comme ce fut le cas en Slovénie à l’automne 2021), voire même de prélèvements fiscaux.

On notera par ailleurs que le récent appel à la « responsabilité citoyenne » d’Emmanuel Macron en matière de consommation d’énergie (assorti de la menace d’user de « contrainte » si les efforts consentis devaient être jugés insuffisants) pourrait subitement s’imposer comme une évidence. Et ce, indépendamment du caractère quelque peu infantilisant de cette approche supposément basée sur « la solidarité ».

Les appels d’Olivier Véran (encore lui !) à consentir un « effort citoyen » basé sur « de petits gestes » à réaliser « au quotidien » s’apparente fortement à une technique de manipulation bien connue des psychologues sociaux (et en outre très utilisée en marketing) : celle dite du « pied dans la porte ». On notera également qu’il n’est pas question ici d’encourager le public à réduire ses factures d’électricité (ce qui pourrait bien être la motivation réelle de nombre d’auditeurs), mais bien de soutenir la collectivité en faisant quelque chose de « bon pour nos réserves [énergétiques] » et de « bon pour la planète » (ce qui renvoie aux notions de « requête socialement valorisante » et « d’attribution d’une étiquette d’altruisme », cf. ci-dessous).
Dans son ouvrage de référence sur les techniques de manipulation, le Prof. Guéguen présente la technique du « pied-dans-la-porte », les « requêtes socialement valorisantes » et « l’attribution d’une étiquette d’altruisme » comme autant de méthodes visant à obtenir « la soumission librement consentie » d’une partie de la population-cible qui, en l’espèce, sera dès lors « engagée » en faveur de la logique de rationnement esquissée par le gouvernement. Le fait d’insister sur le caractère volontaire de la démarche et de montrer que l’on se satisfera de toute contribution (« Il n’y a pas de petit geste. Chaque énergie [sic] économisée aujourd’hui, c’est une énergie dont nous serons sûrs de pouvoir disposer à l’automne et l’hiver prochains […] ces gestes du quotidien ont un très fort impact ») participant quant à eux de ce que l’auteur appelle « la soumission par induction sémantique » (cf. en particulier la technique du « Même un sou nous suffira »). Il apparaît donc qu’Olivier Véran applique ici des techniques standard de manipulation prévues pour « impliquer » le public et l’engager dans un « engrenage ». Une approche qui, en l’occurrence, pourrait bien préparer le terrain pour la phase plus « coercitive » de l’exercice déjà évoquée par le président français…
Face « à la pénurie de gaz » qu’il anticipe pour l’hiver, le gouvernement suisse aura pour sa part d’ores et déjà officiellement annoncé une limite de chauffage à 19 degrés le cas échéant. Un chiffre a priori peu inquiétant, mais qui pourra toutefois très certainement être revu à la baisse en fonction des conditions météorologiques.
En Suisse, des coupures de courant forcées et ciblant spécifiquement « certains utilisateurs » ont déjà été pratiquées des mois durant par la société Romande Énergie « en vue d’atténuer les pics de consommation ». Sans que cela pose de problème juridique, manifestement. Et si l’on coupait purement et simplement le jus (pour quelques heures, par exemple) aux clients qui consomment trop ?

Même des mesures aussi invasives que les « délestages » – soit des coupures de courant planifiées de plusieurs heures d’affilée – d’ores et déjà annoncées en Suisse ainsi qu’en France (cf. ci-dessous), ne manqueraient dès lors pas d’être accueillies de bonne grâce par bien des gens. Du moment qu’il s’agit d’éviter le blackout et son cortège de misères…

Se pourrait-il alors que les « confinements énergétiques » prennent le relais des « confinements sanitaires » ? On notera que cette hypothèse, qui n’était qu’une « rumeur de web » jusqu’à il y a peu, semble aujourd’hui en voie d’être adoptée par les médias officiels !

Enfin, un tel événement pourrait également représenter l’opportunité rêvée (les banques étant fermées et les bancomats hors-service) de procéder à des confiscations de l’épargne similaires à celles déjà réalisées à Chypre en 2013 (et qui auront été débattues dans le cas de la Grèce en 2015). Une mesure d’expropriation parfaitement légale donc, et dont France Stratégie nous expliquait il y a quelques années de cela qu’elle représenterait « la solution la plus évidente » au problème de la dette européenne…(([1] « Comment assurer la résorption des dettes publiques en zone euro ? », France Stratégie, Note d’analyse d’octobre 2017))

Une « pandémie de cyberattaques » comme catalyseur de la nouvelle normalité énergétique ?

« Il se peut que la Russie soit en train de planifier une cyberattaque contre nous. Et comme je l’ai dit, les capacités de la Russie en matière de cyberguerre sont tout-à-fait conséquentes – et ça va arriver. » (Joe Biden, 22/05/2022)

Il est impressionnant de constater à quel point les préoccupations du président américain rejoignent aujourd’hui celles du président du World Economic Forum, qui s’intéresse tant depuis plusieurs années au danger « effrayant » que représenterait pour nos sociétés « une pandémie de cyberattaques » :

« Nous avons prêté une attention insuffisante au scénario effrayant d’une cyberattaque d’envergure, qui provoquerait l’arrêt complet des approvisionnements énergétiques, des transports, des services hospitaliers – de notre société tout entière ! L’épidémie de covid passerait pour une perturbation mineure en comparaison d’une cyberattaque d’envergure. » (Extrait de l’allocution de Klaus Schwab à l’occasion de l’événement « Cyberpolygon 2020 », le 8 juillet 2020)

Une sombre prophétie qui, aujourd’hui, semble justement à deux doigts de se concrétiser par le truchement de la confrontation avec la Russie dans l’affaire ukrainienne…

Les menaces transparentes du président du Conseil de sécurité russe de recourir à des cyberattaques pour mettre hors ligne les centrales nucléaires européennes s’insèrent parfaitement dans le « scénario effrayant » dépeint par Klaus Schwab en juillet 2020.

Il n’est à cet égard pas anodin de constater que les exercices Cyberpolygon sont organisés par Sber Bank (le n°1 bancaire russe) et que les autorités du pays y sont également activement impliquées (le premier ministre Mikhail Mishushtin ayant notoirement participé à l’événement « Cyberpolygon 2021 », en compagnie de nombreux autres officiels russes – et de Klaus Schwab, bien évidemment). Or, si le « Cyberpolygon » vise à « renforcer la cybersécurité », il n’en inclut pas moins l’organisation de « cyberattaques à grande échelle » :

« Le 9 juillet 2021, le Forum économique mondial et ses partenaires ont simulé une cyberattaque mondiale. L’exercice de formation, organisé pour la troisième fois cette année, impliquait une simulation de cyberattaque à grande échelle sur la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise et la réponse en temps réel à celle-ci, le scénario étant qualifié de cyberpandémie. » (Extrait d’une question posé par le député de l’AfD Christine Anderson à la Commission européenne le 20.10.2021)

Un état de fait confirmé non seulement par le commissaire européen Thierry Breton dans sa réponse à l’interpellation de Christine Anderson que nous venons de citer – ainsi que par le quotidien autrichien Die Presse, mais encore par le World Economic Forum lui-même sur une page (désormais supprimée de son site, mais toujours visible dans les archives du web) consacrée à l’exercice « Cyberpolygon 2020 » :

« Même les entreprises dont la cybersécurité repose sur des technologies de pointe ne sont pas à l’abri des cyberattaques. Dans de tels cas, les équipes d’intervention doivent être prêtes à réagir rapidement et efficacement. […] Cette année à Cyber Polygon, notre objectif est de simuler des situations très réalistes permettant à nos participants de traverser une crise sans dommage et de discuter avec des leaders mondiaux de la manière de prévenir et de gérer de telles situations dans la réalité. »

En tout état de cause, force est de constater que le « scénario effrayant » auquel le Prof. Schwab consacre tant de soins – avec les coupures d’électricité prolongées et autres interruptions de services critiques qu’il comporte – se prêterait particulièrement bien au déploiement d’une « stratégie du choc » au sens où l’entend Naomi Klein. Le « traumatisme » général causé par la violence de l’événement permettant, le cas échéant, de projeter des populations entières dans un univers de surveillance, de pénuries, de rationnements et de taxation « éco-citoyenne » à la tête du client, auxquels il s’agirait dès lors de se soumettre sans faire de vagues. Entre deux piqûres, cela va de soi.

Vincent Held

https://reorganisationdumonde.com/produit/asservissement/

BONUS VIDÉO – BANQUES CENTRALES, CYBERATTAQUES & MONNAIES NUMÉRIQUES

Comme l’aura relevé le très fin Éric Verhaeghe, les banques centrales pourraient également mettre à profit un scénario de « cyberattaques » pour introduire leurs fameuses « monnaies numériques » (on notera à toutes fins utiles que la Banque de Russie participe activement aux exercices Cyberpolygon, avec comme objectif assumé d’introduire un rouble numérique intégralement traçable). Il est également de fait que la BCE présente son « euro numérique » comme « une solution de secours pour les paiements électroniques qui peut continuer de fonctionner même quand les services [bancaires] ne sont plus disponibles », en particulier du fait de « risques de cybersécurité »… (([2] «  Report on a digital euro », European Central Bank, October 2020))





Avec des œufs durs on ne fait pas d’omelette, plutôt une salade composée…

Par Lucien SA Oulahbib

Et c’est ce qui manque, partout, comme si l’alternative était la fusion ou chacun chez soi… Prenez par exemple les supposés « amoureux de la France » pourquoi ne viennent-ils pas aux réunions organisées par Philippot le samedi toutes les trois semaines pour exposer, jouer leur composition ? Eh bien non, les rancœurs recuites, les prétentions à croire qu’il suffit de s’énoncer « chef » pour l’être, on est bien loin de cette salade composée en passe de gagner en Italie, Suède, Danemark, le tout malgré les jeteurs de sorts (extrême droite, fasciste, antisémite, complotiste…).

Tout avait mal commencé sans doute. Les tentations totalitaires de l’UE sont très mal perçues ou minorées (« vous allez voir ce que vous allez voir », alors que la BCE peut couper le robinet d’euros à tout instant) ; et ces « amoureux » n’ont même pas la position somme toute équilibrée d’une Ségolène Royale question conflit Moscou-Kiev, c’est dire…

Ne parlons pas de la manipulation hygiéniste qui n’est jamais attaquée bille en tête par ces partisans d’œufs durs (et d’un p’tit noir Gaston !) se remémorant avant d’aller au taf le temps des caravelles des Trente Glorieuses des Blousons Noirs et du yé-yé (« Et Dieu créa la femme“).

Cette nostalgie encore pérenne envers les sixties reste toute mignonne, mais ne fait pas avancer d’un pouce le schmilblick. Pendant ce temps l’arrivée au bord du précipice s’accélère et pour les partisans du “progrès” ce dernier consiste justement à s’y précipiter… Sous sédatif assisté le cas échéant, particulièrement les “sans dents” et “gens de rien”…

C’est bien sûr pitoyable. Toutes ces luttes d’ego, doublées ces temps-ci de crêpage de chignons et autres torgnoles insoumises, les Français restent des Gaulois qui attendent toujours le “sauveur suprême”, même s’ils chantent pour certains qu’il n’y en a pas… Qu’à cela ne tienne ! Car, comble du vice, et pour s’assurer qu’il ne puisse en émerger un, tout sera fait pour lui scier la branche, même si l’on est assis dessus, la connerie étant la chose au monde la mieux partagée.

Au lieu de sonner le tocsin, d’organiser des comités de Salut Public partout, d’organiser des manifestations devant un Parlement inutile, alors que la guerre contre la Russie a été déclarée, les “amoureux de la France” agitent leurs maigres deux œufs durs respectifs dans leurs guerres picrocholines, cassant les saladiers de peur qu’une composition niçoise basque ou lyonnaise émerge, à la recherche hypothétique d’une salade jacobine parisienne, qui a fait pourtant son temps ; d’où d’ailleurs leur frilosité à soutenir les référendums dans le Donbass… (Alors qu’en Corse et en Nouvelle-Calédonie…).

Misère des coqs solitaires. Et des poules mouillées.




4 heures avec Dre Nicole Delépine

[Source : CANALJAC-K]

Le 16 septembre 2020, la Dre Nicole Delépine, cancérologue et pédiatre retraitée, ancienne cheffe de clinique, apporte son commentaire avec 2 ans ½ de recul sur les propos qu’elle avait tenus le 3 avril 2020, dans une entrevue avec André Bercoff à SudRadio.
Les points traités sont :

  • nouveauté du coronavirus chinois, mais faible mortalité
  • efficacité de l’hydroxychloroquine, associée à l’azithromycine
  • hypocrisie des médecins hospitaliers et leur peur de la hiérarchie
  • refus de soin et injection Rivotril par décrets ministériels
  • médecine théorique, bureaucratique et quantitative contre médecine d’Hippocrate
  • les milliards attendus par Big Pharma du Remdésivir et des vaccins anti-Covid
  • l’inutilité et la toxicité des injections expérimentales pour les enfants et ados.



Pour montrer la cohérence de leur parcours professionnel et de leurs alertes sur la destruction du système de soins en France, diffusion de 6 reportages et entretiens avec la Dre Nicole Delépine et son mari, le Dr Gérard Delépine, entre 2000 et 2018 :



Source de l’entrevue du 3 avril 2020 à SudRadio :
https://www.youtube.com/watch?v=rO_K-yp6LDQ
Adresse de N. Delépine le 10 décembre 2020 via Réinfocovid :
https://odysee.com/@Reinfocovid:2/nicole-del-pine-laissez-les-enfants:8
Site Internet des Drs Nicole et Gérard Delépine :
https://docteur.nicoledelepine.fr/