« Primum non nocere » : que nenni ! Un coup d’État politico-financier sous prétexte sanitaire ?

Par Catherine Teilhet, retraitée des services informatiques de la Ville de Paris.

2020-2021

2022




L’empire du faux

[Extraits de lincorrect.org]

Par Arthur de Watrigant

Il y a quelques semaines, Le Monde, en partenariat avec les chercheurs de l’Ircam, un centre de recherche scientifique, d’innovation technologique et de création musicale fondé par Pierre Boulez, annonçait une petite révolution technologique : « L’appel du 18 juin du général de Gaulle reconstitué pour la première fois »Comme chacun sait, il n’existe aucun enregistrement du fameux appel mais grâce à un procédé informatique qui utilise l’intelligence artificielle, appelé voice cloning, l’un des grands moments de notre histoire sera « recréé ». Je ne sais pas vous, mais l’idée m’excite autant que la création de Skynet dans Terminator. Pour nous rassurer, le quotidien nous affirme que ce projet « doit nous pousser à nous interroger sur la puissance et les limites de l’intelligence artificielle ».

(…)

Une « vivante leçon » qu’ils disent. Non camarade, il n’y a rien de vivant là-dedans, ni de « reconstitution » d’ailleurs, mais une représentation, c’est là toute la différence. Mais vous le savez et on vous voit venir avec vos grosses pompes orthopédiques de rééducateurs.

(…)

Et là on ne parle que d’audio, l’image ne va pas tarder. Le discours de de Gaulle ne déplaira à personne mais la suite ? Imagine-t-on une « reconstitution » du faux procès de Louis XVI.

(…)

S’il y a bien quelque chose que le cinéma nous a appris, c’est la puissance de l’image. C’est son génie et sa limite. C’est une illusion et donc une emprise. L’image, le son, le mouvement nous happent pour le pire ou le meilleur, au service de l’édification spirituelle ou morale mais aussi des passions humaines. Il n’y a pas meilleur médium pour inoculer de la propagande. Avec l’arrivée de l’IA conjuguée à l’histoire, la distance qu’induit l’art disparaît. L’illusion du réel, donc du vrai, n’en est que plus dangereuse.

D’une illusion à la falsification, la frontière se révèle bien poreuse. (…)




Corruption des élites : la guerre des mondialistes

[Source : Chaîne officielle TVL]

C’est une guerre hors limite ! Une guerre par infiltration plutôt que par invasion, une guerre révélée par les événements en Ukraine : la subversion de nos institutions par les élites mondialistes se déploie dans tous les domaines. Leur objectif consiste à établir une gouvernance mondiale de nature religieuse, totalitaire et technocratique, fondée sur les ruines des nations et des peuples. Pour y parvenir, la manipulation mentale et des techniques d’ingénierie sociale neutralisent toute volonté de résistance. Mais pour l’analyste économique, Stanislas Berton, le règne des mondialistes touche à sa fin. Une théorie qu’il développe dans son dernier ouvrage : « L’Homme et la Cité » tome III. Pour éviter leur victoire, il invite les Français à la prise de conscience des réalités et cela commence par ouvrir les yeux ! Comme le disait Georges Bernanos :

« Les Français ne peuvent pas être sauvés, car ils passent leur temps à se mentir à eux-mêmes ».

[Voir aussi :
Un choix déterminant
Humanisme Nouvel-Âge vs Christianisme
Une emprise sur l’Humanité
Réenchanter le monde
France, relève-toi !
L’épée, le bon grain et l’ivraie
Vers l’IA ou vers l’Humanité
Mourir libre ou vivre esclave
La fin de la mondialisation
Manifeste pour un nouveau monde]




Les Nations-Unies sous le contrôle des oligarques

[Source : stopworldcontrol.com via Ciel Voilé]

Les Nations unies déploient actuellement l’Agenda 2030, avec les fameux « objectifs de durabilité ». Ce projet mondial vise à transformer complètement tous les aspects de l’existence humaine : alimentation, sexualité, famille, travail, finances, santé, éducation, tout ! Il est censé mettre fin à la pauvreté, à la faim, aux inégalités, aux maladies et à bien d’autres maux. Un ancien directeur exécutif qui a travaillé à l’ONU pendant deux décennies raconte une histoire différente. Il explique que l’ONU est contrôlée par des criminels qui l’utilisent pour s’enrichir et asservir l’humanité.
Călin Georgescu décrit le processus d’infiltration et de prise de contrôle mondial des Nations unies par les oligarques, notamment Klaus Schwab et le Forum économique mondial (WEF).



[Clin d’œil de Joseph : Conakry en Guinée est son lieu de naissance.]




Le cirque de Davos

[Source : Vivre sainement]




ANDRÉ BERCOFF humilie JULIEN PAIN sur son interview ratée de KLAUS SCHWAB

[Source : TRED]




Les médias

Le journalisme actuel expliqué de l’intérieur. (Humour caustique !)

[Source : Franjo via profession-gendarme.com]

Toute ressemblance avec une ou plusieurs entités existantes est totalement fortuite.




L’effondrement, et après ? (Partie 2)

[Ce texte fait suite à Heurs et malheurs de la France]

Par Bernard Thoorens

Avec la dégradation généralisée des valeurs morales et spirituelles, de la culture, de la vie politique, des institutions, des conditions de vie, je pense que nous sommes dans un monde qui touche à sa fin. Le Malin, quelle que soit sa nature et quelles que soient nos croyances, a toujours existé et a toujours été à l’œuvre, destructrice. En particulier, de tout temps il s’est manifesté au sein de l’humanité du côté des puissants qui veulent régenter la société contre son gré. De l’autre côté, il y a les peuples qui endurent et qui souffrent. C’est inhérent à notre condition de vie sur Terre.

Mais aujourd’hui, à la faveur d’un capitalisme débridé et de catalyseurs puissants, la mondialisation et le numérique, les forces du mal sont devenues hégémoniques. Elles s’exercent particulièrement au travers de multinationales prédatrices (Big Pharma, Big Techs, armement, (dés)information, fonds spéculatifs…). Derrière ce cartel funeste opèrent des familles régnantes de longue date, Rockefeller, Rothschild, Carnegie, Windsor, etc., et aussi de nouveaux entrants, ultra-riches psychopathes tels que Bill Gates, Jeff Bezos, Mark Zuckerberg, dont on voit bien les desseins liberticides ou mortifères. Aux tenants de ce haut de pyramide sont affiliés des lieutenants qui s’imaginent faire partie du gotha et ne sont en réalité que des marionnettes que l’on manipule. En France, ils s’appellent Macron, Attali, Fabius, Drahi, et eux-mêmes drainent leurs cliques de laquais, y compris au sein même de nos représentants nationaux et locaux, qui exécutent les ordres par lâcheté, intérêt ou idéalisme aveugle.

Par ailleurs, nous autres, les milliards de terriens — qui ne « sommes pas des êtres humains vivant une expérience spirituelle, mais des êtres spirituels vivant une expérience humaine », comme le disait si justement Pierre Teilhard de Chardin — nous sommes nés libres pour accomplir notre vie terrestre. Croyants ou non, nous ne demandons rien de plus que de pouvoir suivre nos chemins de vie dans le monde où nous vivons, notre monde.

Notre monde, partagé entre démocratures, dictatures et états totalitaires, engagé dans des voies purement matérialistes, court après un « progrès » effréné dont l’aboutissement naturel est le transhumanisme. L’homme augmenté sera surpuissant, mais docile et entièrement sous contrôle, asservi. La population pourra ainsi être privée de liberté, exploitée, réduite en esclavage. Avec l’élimination des inutiles (les retraités, les malades et les simples d’esprit) qui constituent un manque à gagner, et la confiscation des richesses au profit de la caste régnante, ce sera l’aube du Nouvel Ordre Mondial auquel tant de nos dirigeants contemporains aspirent.

Tout dans notre environnement démontre, pour qui veut bien ouvrir les yeux, la convergence des moyens déployés vers cet objectif ultime. Déstabilisation des états souverains (législations supranationales, soutien au terrorisme, corruption des dirigeants), captation des richesses publiques (privatisations forcées, vente d’entreprises stratégiques) et privées (prédation par les multinationales, destruction des petites entreprises et de l’entrepreneuriat individuel), écoute et surveillance des populations (réseau Échelon, réseaux de satellites, intelligence artificielle et exploitation des data par les Facebook, Google et consorts), dénigrement, ostracisation, et parfois aussi assassinat des personnalités honnêtes dénonçant les dérives, remplacement des monnaies fiduciaires par une monnaie unique dématérialisée et centralisée permettant le contrôle des populations, armes psychotroniques (à énergie dirigée, permettant de contrôler les foules), eugénisme (chosifier, sélectionner l’humain, réduire la population mondiale), géo-ingénierie (manipulation du climat avec le programme HAARP), empoisonnement généralisé des sols (pesticides), de l’air (chemtrails et chembombs), de la mer (pollutions massives au mercure et aux plastiques [PFAS]), de l’environnement général (profusion d’ondes électromagnétiques) et finalement de toute la chaîne alimentaire, maladies qui en découlent et explosent (trisomie, autisme, cancers, maladies auto-immunes), guerres et génocides, destruction des religions et des valeurs traditionnelles, nivellement par le bas de l’éducation, démantèlement des services publics (SNCF, École, Poste, Sécurité Sociale, hôpitaux), dégradation des communs (faune, flore, eau, air…), désinformation et manipulation des populations par les gouvernements et leurs médias subventionnés, brevetage du vivant, division et opposition des communautés, crédit social (pour les Européens, le pass numérique est une première étape), désintégration de la cellule familiale, promotion des modes de vie alternatifs (LGBTQ), de la pornographie et des changements de sexe dès le plus jeune âge.

Comment ne pas voir, devant une telle profusion et une telle diversité d’exactions, une volonté d’asservir l’humanité ?

À mon sens notre avenir est tracé, des événements graves continueront de survenir dans les mois et les années à venir, qui risquent de mettre à mal notre intégrité, notre liberté, nos vies.

Face à cela, n’attendons rien des politiques en place, ni de leurs opposants, ni d’un sauveur providentiel. Le système est arrivé à un tel niveau de corruption et de désagrégation qu’un sauveur ne peut plus émerger. Ne comptons que sur nous-même, notre famille, nos amis, nos réseaux de solidarité, notre Dieu. Ne craignons pas l’avenir, l’adversité, la critique, la discrimination, l’injustice, la persécution, c’est notre condition d’humains. Restons libres, droits, unis, solidaires. Faisons notre part avec courage, charité et espérance. Vivons pleinement, accomplissons notre vie terrestre et vivons notre vie spirituelle : soyons en harmonie avec la nature et avec Dieu.

Ainsi, de même que nos pensées négatives de vengeance, jalousie, défiance… alimentent un égrégore qui a une influence sur les comportements et les pensées de nos contemporains, de même, notre générosité, notre bienveillance, notre amour ont un effet bénéfique sur notre entourage immédiat et lointain. Comme nous l’ont enseigné nos parents, continuons de pratiquer et de prôner l’exemplarité.

Viendra un temps, pour nous ou nos enfants, de reconstruire ce qui aura été détruit.

… Ou pas. Peut-être sera-ce la fin du monde tel que nous le connaissons, qui de toute façon n’a pas vocation à perdurer, contrairement à nos âmes qui elles, sont éternelles.




Pour nos enfants et leur avenir, stoppons la marche vers l’état policier à la chinoise

Par Nicole Delépine

Protéger vos enfants, conseils pratiques de R J Kennedy et de son équipe

Les Américains comme les Européens, dans le cadre de la normalisation de l’Occident aux ordres de la mondialisation de Davos et cie, voient leurs libertés chèrement acquises depuis deux siècles, fondre au soleil malgré leur inscription dans le marbre de la Déclaration des droits de l’homme et la chartre de l’ONU.

L’équipe de l’avocat RJ Kennedy, président du Children’s Health Defense, a publié fin décembre quelques conseils aux parents pour tenter de préserver leurs enfants des ravages de la pensée unique et de la manipulation à l’école, ou via le cinéma, les séries, et les réseaux sociaux. Nous vous partageons ici quelques extraits de leurs suggestions, vous invitant à lire la totalité du texte de « the defender » :

Pour nos enfants et leur avenir, stoppons la marche vers l’état policier à la chinoise

Voici quelques propositions à l’intention des parents pour aider les enfants à résister à la pression de la « conformité » proposées dans l’article de The Defender1.

The Defender revient sur les contraintes imposées aux familles depuis le début de la crise covid « de la part des gouvernements, des écoles, des fondations, de Big Tech, de Big Pharma et d’autres pour détourner, blesser ou détruire l’esprit et le corps des enfants ».

Pour les auteurs de cet article, ces agressions contre les enfants — et adultes — sont le reflet d’un programme de contrôle à long terme largement financé visant à la mise en œuvre des identités numériques, du scoring social et de « la surveillance et le suivi complet de chaque être humain grâce aux mécanismes déjà en place ».

Lors du rassemblement « Defeat the Mandates »2 en janvier 2022, le président de la Children’s Health Defense, Robert F. Kennedy Jr, a affirmé : « ils viennent pour nos enfants ». Et malheureusement les pouvoirs publics ont poussé avec l’aide de trop d’organisations à l’injection des nourrissons, des enfants de maternelle et des étudiants harcelés tout au long de l’année.

Ces injections sont à l’origine de complications graves, mais restent recommandées par nos gouvernants malgré les preuves accablantes que ces vaccins devaient être retirés du marché de toute urgence. Les parents cherchent donc des solutions pour épargner leurs enfants.

Choisir l’enseignement à domicile

Dans une série en neuf parties écrite au début de l’année, la journaliste Corey Lynn, de Corey’s Digs, a décrit les efforts globaux d’ingénierie sociale — « formation à l’obéissance » — déployés de manière coordonnée dans 110 pays, en partie par le biais de programmes scolaires d’« apprentissage social et émotionnel ».

Mis en œuvre par des éducateurs, des conseillers et d’autres professionnels dans « les écoles publiques, les écoles à charte, les programmes extrascolaires, les camps d’été, les écoles virtuelles et l’enseignement à distance », l’objectif est, selon Lynn, « de former les esprits, de réguler les émotions, de contrôler les comportements, d’inculquer des croyances tordues et de constituer une main-d’œuvre obéissante ».

La cinglante dénonciatrice de l’éducation Charlotte Thomson Iserbyt, ancienne conseillère politique principale du ministère américain de l’Éducation, aujourd’hui décédée, a décrié « l’abrutissement délibéré de l’Amérique » et a retracé le passage du système éducatif « de l’académie à la modification du comportement » depuis au moins 1965.

Même les écoles privées, sous la coupe de l’Association nationale des écoles indépendantes [National Association of Independent Schools], semblent avoir perdu tout vestige d’« indépendance », les contrats d’inscription interdisant aux parents de « [voicing] désaccord profond avec la politique ou les programmes de l’école, sous peine d’expulsion ».

En réponse à l’imposition désastreuse par les écoles de mesures telles que l’apprentissage à distance et le masquage en 2020, un nombre record de familles se sont tournées vers l’enseignement à domicile aux USA, avant COVID-19, environ 3,4 % des enfants d’âge scolaire étaient scolarisés à domicile, mais au début de l’année scolaire 2020-2021, l’estimation du Bureau du recensement des États-Unis était passée à 11,1 %. L’enseignement à domicile est aujourd’hui la forme d’enseignement qui connaît la plus forte croissance aux États-Unis.

Arrêtez l’empoisonnement 3

(…) Une masse critique de parents vient à considérer les vaccins comme un « truc d’escroc », comprenant que les promesses de sécurité des vaccins étaient fausses et empreintes de conflits d’intérêts bien avant l’arrivée des vaccins contre la COVID-19 — et en fait, depuis le tout début des programmes de vaccination des enfants.

Les auteurs conseillent également aux parents désireux d’effectuer le propre parcours nutritionnel et sanitaire de leur famille « constateront qu’il est peut-être à leur portée de réduire, voire d’éliminer complètement, l’exposition de leurs enfants à d’autres poisons courants tels que les additifs alimentaires, le glyphosate, les pesticides organochlorés et organophosphorés et les médicaments en vente libre comme l’acétaminophène, dont les dangers sont largement sous-estimés ».

Réduire le temps passé devant l’écran

Les Américains parlent de déficit des enfants du temps passé avec la nature.4

« Avec l’aggravation des habitudes des enfants face aux écrans au cours des dernières années, le déficit de nature est devenu un “sujet brûlant. Des chercheurs inquiets décrivent également comment les écrans supplantent des “activités bénéfiques pour le développement aussi fondamentales que le sommeil, l’activité physique, les interactions familiales et la lecture de livres ».

L’addiction aux écrans ou aux médias sociaux

Aux USA, The Defender met en lien les conséquences toxiques des addictions aux écrans avec les insomnies, les troubles de l’alimentation et les suicides, etc. Sont apparues des poursuites judiciaires alléguant que les sociétés de médias sociaux déploient « agressivement » des algorithmes conçus pour rendre les enfants et les adolescents dépendants.

ÉVITER LA CONTAMINATION PAR LES RÉSEAUX DE PSEUDO-TROUBLES DU GENRE

L’article insiste aussi sur le rôle majeur des dits « influenceurs sociaux » qui joueraient un rôle important dans l’apparition d’une épidémie de « dysphorie de genre » qui évolue à toute vitesse et du jour au lendemain pour certains enfants, même très jeunes, en même temps que certains de leurs petits camarades et depuis quelques années également dans notre France jusque-là relativement épargnée5. Catherine Austins, de « Financial Rebellion » et du Solari Report, explique que :

« Les enfants sont la cible de certaines des personnes les plus puissantes et des technologies les plus dangereuses de la planète ».

C’est aux parents de « comprendre cela et de les protéger ».

Apprenez aux enfants à utiliser de l’argent comptant, pas du plastique

Il serait très important d’expliquer à toutes les générations, mais en particulier aux jeunes, de l’utilisation de la monnaie numérique qui permettrait le contrôle total de toutes les transactions et aux banques centrales d’activer et de désactiver l’argent des gens à volonté.

Malheureusement, les jeunes générations se dirigent résolument vers cette vision dystopique. Selon une étude réalisée par Capital One en 2021, les milléniaux « délaissent de plus en plus les dépenses en espèces » au profit des systèmes de paiement numériques.

« Mme Fitts est une fervente partisane de la revitalisation de l’utilisation de l’argent liquide.

Les parents peuvent aider en étant eux-mêmes des modèles d’argent liquide, mais aussi en faisant en sorte que leurs enfants “commencent à manipuler de l’argent liquide dès leur plus jeune âge”.

En 2015, la rédactrice en chef Janet Bodnar du Kiplinger’s Personal Finance a estimé que “l’utilisation d’argent comptant est le meilleur moyen d’amener les jeunes esprits à penser sagement à l’argent”, y compris les adolescents plus âgés qui peuvent bénéficier de “la discipline de la gestion d’une réserve d’argent réel”.

Mme Bodnar a rejeté comme imparfait l’argument parental selon lequel le plastique peut enseigner aux enfants la “responsabilité financière”.

Un expert britannique en mathématiques a déclaré au Guardian en 2021 : “Être capable de manipuler de l’argent et d’acheter quelque chose soi-même est très spécial : cela renforce votre confiance avec l’argent.” »

Ne tombez pas dans les pièges de la santé mentale

Comme l’a récemment souligné The Defender, la surveillance psychiatrique du berceau à la tombe est un « outil furtif de contrôle social, et risque également d’avoir des conséquences stigmatisantes et potentiellement mortelles comme le surdiagnostic, la surmédicalisation et la surmédication. »

Selon la CCDH :

« Le dépistage de la santé mentale pose aux jeunes étudiants des questions embarrassantes, personnelles et potentiellement bouleversantes que les psychiatres ont formulées de telle manière qu’aucun étudiant ne pourrait échapper à l’étiquette de malade mental à un moment ou à un autre de sa scolarité. »

La CCDH ajoute : « Ces questionnaires peuvent déboucher sur une intervention psychologique ou psychiatrique dans la vie d’un enfant et de sa famille — souvent contre leur gré ou sous la menace. »

Il faudrait « s’unir pour faire expulser le dépistage psychiatrique des écoles ».

Cessez de financer l’ennemi

L’auteure Naomi Wolf a récemment bravé l’université de Yale, en démontrant que « le vaccin contre la COVID-19 imposé par l’université transforme les étudiants en “otages médicaux” et constitue un trafic d’êtres humains. »

Dans son compte rendu de la visite à Yale, Mme Wolf décrit les conversations avec les parents, qui ont déclaré que « leurs enfants les avaient suppliés de ne pas parler, de ne pas appeler le doyen, de ne pas plaider en leur faveur pour les protéger de ces injections, de quelque manière “que ce soit”, par crainte de représailles et d’expulsion. »

Les parents ont le devoir de s’assurer que leurs jeunes comprennent ce qu’ils échangent contre le prestige — y compris, potentiellement, leur santé, leur fertilité future ou leur vie.

(…) les parents qui donnent à leurs étudiants actuels ou futurs la permission et le courage de fuir tout établissement d’enseignement supérieur qui se montre prêt à les empoisonner et à les priver de leurs libertés constitutionnelles peuvent offrir à leurs enfants une leçon de vie encore plus puissante.

Dites non à la grille de contrôle

Selon les mots de M. Kennedy :

« Nous pouvons dire non à la conformité avec les vaccins pour le travail, non à l’envoi des enfants à l’école avec des tests et des masques forcés, non aux plateformes de médias sociaux censurées, non à l’achat de produits des entreprises qui font faillite et cherchent à nous contrôler. Ces actions ne sont pas faciles, mais vivre avec les conséquences de l’inaction serait bien plus difficile. En faisant appel à notre courage moral, nous pouvons arrêter cette marche vers un État policier mondial. »

La source originale de l’article intégral est The Defender
Copyright © Children’s Health Defense, The Defender, 2023


1 Par Children’s Health Defense Mondialisation.ca, 07 janvier 2023 The Defender, 22 décembre 2022

2 Contre les obligations. S’opposer aux obligations vaccinales.

3 https://nouveau-monde.ca/stop-a-la-roulette-russe-pour-les-petits-via-linjection-covid/

4 En 2006, l’auteur Richard Louv a inventé le terme « trouble déficitaire de la nature » dans le sous-titre de son livre « Last Child in the Woods » : la « génération branchée » a imprudemment privilégié les écrans au détriment du temps passé dans la nature

5 L’auteur Abigail Shrier recommande dans son livre, « Irreversible Damage: The Transgender Craze Seducing Our Daughters », de ne pas donner de smartphone à sa fille.




De guerre en guerre

[Source : histoireetsociete.com]

Le “parti poutinien s’est réveillé en France”, voici comment quelques articles à charge ont salué ce livre en témoignant du fait qu’il n’y avait plus pour ces gens-là (le parti de l’OTAN) le moindre espace de débat d’idées. Sans être même en guerre, le parti de l’OTAN, sa censure, en sont à ressusciter l’index Vatican: : si vous êtes contre la guerre, vous êtes “poutinien”, le mal. En considérant les individus désignés à la vindicte publique, j’ai pensé que le fait d’être juif, surtout si on est athée, peut parfois favoriser un certain courage face à tous les négationnismes. En effet si dans le parti “poutinien”, est-ce un hasard si c’est un descendant de Nizan (Todd), Arno Karsfeld, et maintenant Edgard Morin qui s’élèvent contre la manière dont le bellicisme occidental met ses pas dans ceux du nazisme? En matière de réhabilitation du nazisme, il n’y a pas que l’Ukraine où l’on constate d’étranges complaisances, la réhabilitation y compris en Amérique latine et même en Yougoslavie, en Pologne est allée loin derrière l’OTAN et les USA. Déjà plutôt que de répondre à des faits, comme nous l’avons expérimenté nous-mêmes, le parti de l’OTAN, le négationnisme sans frein, a trouvé sa réponse: le parti “poutinien” se réveillerait. Quelle honte, d’abord aller jusqu’à nier des faits manifestes, ensuite de s’attaquer ainsi à l’honneur de ceux qui osent dans ce consensus indigne défendre leur refus de la guerre, du racisme, de la xénophobie. Je vais me précipiter pour acheter et lire ce livre. En attendant, ce critique qui évoque Romain Rolland lui aussi à sa manière dénonce cet unanimisme qui rappelle les temps sinistres du fascisme, la toute puissance de celui qui crie “Vive la mort” et qui sort son revolver quand on prétend ne pas contribuer à la propagande de guerre. Ces intellectuels-là ont d’autant plus de courage qu’à l’inverse de Romain Rolland, il n’existe plus de parti communiste capable de s’opposer à la guerre fasciste, la lâcheté règne en maître chez les “élites” soumises aux médias. (note de Danielle Bleitrach pour histoireetsociete)

08.01.23 – Paris, France – Alain Refalo

Edgar Morin, que l’on ne présente plus, 101 ans, publie ces jours-ci un livre décapant sur la guerre, plus exactement sur les guerres, celle qu’il a vécue et celle d’aujourd’hui. Résistant, ayant combattu les armes à la main le nazisme, on ne suspectera donc pas le célèbre sociologue et philosophe d’être un « pacifiste », appellation péjorative inlassablement reprise pour discréditer toute personne qui s’élève contre les horreurs de la guerre ou tout simplement contre toute guerre. Et pourtant, ce livre, écrit dans un style incisif, bourré de références historiques précises, est un véritable plaidoyer contre la guerre, celles du passé comme celles du présent, et surtout contre celle, mondiale, qui risque d’advenir.

Son récit commence par rappeler le bombardement par l’armée allemande de la ville de Rotterdam auquel ont répondu, au nom de la lutte contre l’ordre nazi, les bombardements de plusieurs villes allemandes, faisant des centaines de milliers de morts. Il précise que « lors du débarquement allié en Normandie, soixante pour cent des morts civiles normandes furent dues aux bombardements libérateurs.  C’est bien plus tard, précise-t-il, – depuis l’invasion de l’Ukraine – que monta en moi la conscience de la barbarie des bombardements accomplis au nom de la civilisation contre la barbarie nazie ». Pour ma part, c’est la première fois que j’entends un penseur français dénoncer la « barbarie » des bombardements des Alliés pendant la Seconde Guerre mondiale. Edgar Morin considère qu’il s’agit bien là de « crimes de guerre systémiques ». Ce qui l’amène à conclure que « si juste que fut la Résistance au nazisme, la guerre du Bien comporta du Mal en elle. »

Remontant dans le temps, Morin évoque « l’hystérie de guerre » survenue durant la Première Guerre mondiale, constituée de « la haine de l’ennemi et de sa totale criminalisation ». Il remarque que « le mensonge de guerre est l’un des aspects les plus odieux de la propagande de guerre ». Passant en revue quelques-uns de ces mensonges de l’Histoire, en URSS et en Chine, Morin ne peut que constater que « toute guerre, y compris l’actuelle, favorise des mensonges de guerre plus ou moins énormes ».

Son indignation se veut plus insistante quand il dénonce la criminalisation de tout un peuple que l’on retrouve en période de guerre. Il précise qu’il a « toujours rédigé des tracts clandestins antinazis, jamais antiallemands ou antiboches ». Cette criminalisation est un fait marquant et continu de l’histoire des nations en guerre. Elle entraîne les pires crimes contre les civils commis par des soldats, en toute légitimité et en toute impunité. Morin est catégorique : « Toute guerre, de par sa nature, de par l’hystérie qu’entretiennent gouvernants et médias, de par la propagande unilatérale et souvent mensongère, comporte en elle une criminalité qui déborde l’action strictement militaire ». C’est ce que les « pacifistes » ont toujours dit…

Morin n’est pas en reste avec la guerre actuelle. S’il condamne les manipulations, les mensonges et les crimes de guerre commis par les Russes en Ukraine, il remarque qu’en Ukraine, « la prohibition de la littérature russe, Pouchkine, Tolstoï, Dostoïevski, Tchekov, Soljenitsyne compris, est un signe très alarmant d’une haine de guerre non seulement contre un peuple, mais également contre sa culture ». Notre solidarité avec l’Ukraine ne doit pas nous aveugler, au point d’occulter les mensonges et les manipulations à l’œuvre aussi dans ce pays agressé.

Edgar Morin poursuit son regard sur les guerres passées et présentes en soulignant son expérience des « radicalisations qui ont déclenché le pire des atrocités de guerre et se sont terminées par les issues les plus tragiques ». Que ce soit en ex-Yougoslavie ou en Palestine, il montre que la radicalisation est indissociable de la criminalisation qui ne peut qu’engendrer des horreurs incommensurables. Tout particulièrement, il évoque la guerre d’Algérie, en précisant le rôle historique de la France dans le déclenchement des évènements et leurs développements meurtriers jusqu’à aujourd’hui. En Ukraine, selon Morin, les mêmes processus sont à l’œuvre faisant craindre « une nouvelle guerre mondiale ».

Dans son analyse de l’histoire récente de l’Ukraine, Morin est bien obligé de constater les parts d’ombre qui existent dans les choix effectués par les dirigeants ukrainiens, souvent sous l’influence grandissante des États-Unis. Ainsi comment ne pas être choqué par la décision de la municipalité de Kiev, après la révolution de 2014, de débaptiser l’avenue « de Moscou » pour l’appeler avenue « Bandera », du nom du nationaliste ukrainien qui approuva l’extermination des Juifs de Kiev en 1941. Aujourd’hui encore, Edgar Morin remarque qu’il existe « une complaisance au banderisme, et surtout une hystérie hypernationaliste antirusse qui a prohibé la langue, la littérature, la musique russes ».

Son livre se termine par un vigoureux plaidoyer pour la paix, avec des accents qui rappellent les exhortations lucides de Camus durant la guerre d’Algérie. Il s’étonne d’ailleurs que « si peu de voix s’élèvent dans les nations les plus exposées, en premier lieu européennes, en faveur de la paix ». Edgar Morin est particulièrement sévère envers ceux qui font la guerre par procuration, en livrant des armes, tout en étant sûr qu’elle ne les affectera pas sur leur sol. « Parler de cessez-le-feu, de négociations, est dénoncé comme une ignominieuse capitulation par les belliqueux, qui encouragent la guerre qu’ils veulent à tout prix éviter chez eux ». La négociation est désormais une priorité. D’ailleurs, Morin voit des signes de « réalisme » des deux côtés, y compris chez Poutine.

« J’ai écrit ce texte pour que ces leçons de quatre-vingt années d’histoire puissent nous servir à affronter le présent en toute lucidité, comprendre l’urgence de travailler à la paix, et éviter la tragédie d’une nouvelle guerre mondiale », nous dit Edgar Morin dans son ouvrage. C’est un livre éminemment pédagogique, autant pour les jeunes générations que les anciennes. Edgar Morin propose un regard neuf, original et salvateur sur la guerre en Ukraine à l’aune de sa propre expérience, de ses recherches, de sa grille de lecture toujours aussi féconde. Loin de la pensée unique qui s’exprime dans les médias toujours préoccupés de commenter la guerre « en direct », Morin, avec tout le recul nécessaire, nous invite à décentrer notre regard pour voir autrement l’événement qui s’inscrit dans une continuité historique qu’il expose avec brio.

On ne peut donc que conseiller la lecture de cet ouvrage, ni pessimiste, ni optimiste, mais profondément réaliste. Il y a urgence, clame Morin : « Cette guerre provoque une crise considérable qui aggrave et aggravera toutes les autres énormes crises du siècle ». La paix dans la justice, dans la reconnaissance mutuelle, tel est le combat prioritaire d’aujourd’hui. Car « plus la guerre s’aggrave, plus la paix est difficile, plus elle est urgente ». Comme Romain Rolland en son temps, Edgar Morin se situe au-delà de toutes les haines pour penser un avenir délivré de la malédiction de la guerre. Il nous invite à agir lucidement et vigoureusement en faveur d’une paix juste et durable en Europe.

L’article original est accessible ici


Alain Refalo
Militant de la non-violence et de l’écologie depuis 35 ans, cofondateur du Centre de ressources sur la non-violence de Midi-Pyrénées (en 2003). Professeur des écoles depuis 1990, Initiateur, en octobre 2008, du mouvement des enseignants-désobéisseurs du primaire pour résister aux attaques portées contre l’école de la République.

https://alainrefalo.blog/




Le « Covid-19 » n’existe pas, sauf en tant qu’association de malfaiteurs

[Source : strategika.fr via RI]

Par Michael Bryant

Michael Bryant est un journaliste indépendant et un chercheur qui se concentre actuellement sur les questions relatives à la liberté en matière de santé. Son travail est publié sur HealthFreedomDefense.org.

Traduction : Strategika

Le phénomène COVID ne peut être compris sans comprendre l’effondrement financier sans précédent qui menace l’ensemble du système financier mondial.

L’histoire de la pandémie du COVID-19 n’a pas de sens si on la considère sous l’angle de la santé, de la sécurité et de la science. En revanche, si on la considère sous l’angle de l’argent, du pouvoir, du contrôle et du transfert de richesse, tout est parfaitement logique.

Les confinements, les muselières obligatoires, la distanciation antisociale et la pléthore de mesures complémentaires n’ont rien fait pour protéger ou améliorer la santé publique – ils n’ont jamais été conçus pour le faire.

[Voir aussi :
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Les nombreuses obligations nées au début du scénario Covid-19 ont toutes été conçues pour briser délibérément l’économie mondiale et écraser les petites entreprises, ainsi que pour briser l’esprit et la volonté des gens, détruire le tissu social, afin de “reconstruire une société meilleure” conforme aux visions dystopiques des psychopathes qui mènent cette guerre des classes.

Le résultat souhaité est une utopie de milliardaires, dans laquelle ils posséderont et contrôleront la planète sous la forme d’un fief techno-féodal où l’humanité sera marquée numériquement est régulée comme du bétail dans une technocratie super-surveillée.

Ce que cette crise fabriquée camoufle commodément, c’est que nous sommes au milieu d’un effondrement économique total planifié – un effondrement qui était inévitable.

L’activation de la fraude COVID est devenu nécessaire lorsque les marchés mondiaux ont été confrontés à une crise aiguë de la dette à l’automne 2019, crise qui est apparue sur des marchés auparavant essentiellement liquides : les marchés des pensions, les marchés monétaires et les marchés des changes.

Les gouvernements occidentaux se sont précipités pour sauver ce système en décomposition, endiguer ce glissement de terrain cataclysmique, renflouer les investisseurs à grande échelle et installer de manière proactive une infrastructure de sécurité afin de contrôler l’inévitable désordre social résultant de cet effondrement. Cette opération serait suivie d’une réinitialisation financière mondiale, après une période d’hyperinflation, détruisant à la fois la valeur de la dette et les créances papier correspondantes.

Le système financier était déjà à un stade avancé de déclin à l’automne 2019, comme l’illustre la prise de contrôle du marché Repo par la Fed en septembre pour court-circuiter la Repocalypse. Cet effondrement a commencé pour de bon en 2008/09 et les tentatives des quinze dernières années pour sauver ce système économique corrompu n’ont fait que retarder l’inévitable.

À l’automne 2019, la crise a recommencé à s’etendre rapidement.

Une baisse spectaculaire de la production industrielle a caractérisé la crise bancaire d’août 2019 – la crise dite du Repo – lorsque les banques ont commencé à refuser les titres de la dette souveraine américaine comme garantie pour les prêts au jour le jour, obligeant la Réserve fédérale à intervenir et à imprimer de l’argent pour couvrir cette pénurie massive.

Le marché Repo est le marché sur lequel les banques empruntent de l’argent chaque jour afin de disposer d’un certain pourcentage d’actifs liquides à la fin de chaque journée pour pouvoir répondre à certaines exigences fiduciaires.

Vers la mi-septembre, la Fed a commencé à injecter 10 à 20 milliards de dollars par jour sur le marché des pensions pour maintenir les taux d’intérêt à un bas niveau, afin que les banques puissent emprunter l’argent nécessaire pour rester en activité. Cependant, ce n’était toujours pas suffisant.

Début mars, la Fed injectait 100 milliards de dollars sur le marché Repo afin d’endiguer cette crise majeure.

Tout le monde à Wall Street était chargé d’une énorme dette et retenait les liquidités américaines afin d’assurer le service de cette dette, refusant de financer les achats de devises étrangères, puis de devises américaines, alors que le marché Repo se bloquait à un taux d’intérêt de 10 % sur les prêts Repo au jour le jour. Les obligations du Trésor américain et même les billets de banque américains étaient rejetés comme garantie pour les opérations de pension.

En mars 2020, la crise de liquidité s’est propagée des marchés des courtiers primaires (les banques TBTF et les fonds spéculatifs ont été renfloués en septembre) vers toutes les autres actions, matières premières, obligations, obligations adossées à des prêts, titres adossés à des prêts hypothécaires, fonds communs de placement, fonds négociés en bourse, ainsi que divers systèmes de Ponzi tels que les produits dérivés structurés, négociés sur des plateformes propriétaires représentant jusqu’à plusieurs milliers de milliards de dollars.

Lorsque les bons du Trésor américain sont devenus illiquides en raison de la croissance exponentielle de la dette publique – mais surtout privée – en dollars, alors même que la FED absorbait les liquidités des marchés financiers, l’enfer s’est déchaîné.

Le château de cartes qui s’écroulait depuis six mois n’a pas pu être arrêté, si bien que l’hystérie du COVID a été fabriquée pour couvrir ce qui représente 10 à 15 000 milliards de dollars de renflouement de la FED en espèces et en actions via les opérations permanentes d’open market (POMO) – une façon élégante de dire que la FED achète des bons du Trésor, injecte de l’argent sur les marchés financiers et donne des garanties de valeur des garanties utilisées dans les produits dérivés structurés.

Le tour final, actuellement en cours, consiste pour les banques centrales (Fed) à racheter toutes les dettes toxiques et sans valeur des fonds spéculatifs et des banques, y compris les 1,5 quadruple milliards de produits dérivés, puis à transférer la dette au Trésor public en tant que dette souveraine. Ils imprimeront ensuite de l’argent à l’infini, ce qui est déjà en cours, pour assurer le service de cette dette fictive afin de faire couler le dollar via l’hyperinflation, puis saisiront les États-Unis et tous les autres détenteurs de dettes en dollars sans valeur.

C’est ça le tour : une hyperinflation mondiale pour vaporiser les actifs des masses et des États afin de remettre les actifs publics aux investisseurs privés. Cela permet à la classe dirigeante d’éponger les biens (petites entreprises en faillite, maisons saisies, etc.) afin de s’approprier sans limite tout ce qui existe dans le monde.

L’arrivée de l’”urgence” Covid-19 a fourni la justification et l’opportunité de geler l’effondrement bancaire américain par des injections massives de liquidités. Quelque 8 à 10 trillions de dollars ont été versés aux banques américaines jusqu’en mars 2020, avec un stimulus économique supplémentaire de 5 trillions de dollars promis par la Fed.

La croyance en une urgence médicale mondiale, à partir de mars 2020, était un résultat de la manipulation des médias de masse, des techniques de conditionnement comportemental et de l’ingénierie sociale. Tout cela a été rendu possible grâce à une programmation institutionnelle et à des messages médiatiques envahissants, empêchant les processus cognitifs de base et éliminant les possibilités de pensée critique.

A côté de ce bombardement médiatique incessant et écrasant prônant la théorie d’un virus pandémique mortel, aucune autre explication n’a été autorisée à exister dans les médias ou la conscience publique.

Sans la menace telle qu’un “virus tueur”, cet effondrement financier massif aurait immédiatement provoqué la panique et menacé la crédibilité du dollar. Sans l’écran de fumée du Covid-19, ce système de Ponzi généralisé et le transfert de richesse historique en cours seraient vus pour ce qu’ils sont : un vol opéré par l’aristocratie financière.

L’opération Covid : Le cheval de Troie pour inaugurer le nouvel ordre mondial

Comme l’a illustré la “guerre contre le terrorisme”, ces événements sont construits pour exploiter autant de lignes d’opportunité que possible. Avec la “pandémie de Covid” remplaçant la fausse “guerre contre le terrorisme”, une autre “crise mondiale” instrumentalisée se transforme miraculeusement en une opportunité pour la classe dirigeante.

Alors que la nécessité immédiate était de stopper l’hémorragie du système financier mondial, de nombreux autres objectifs étaient et sont servis par cette opération à multiples facettes. Rien de tout cela n’est accidentel. Tout cela est caché au grand jour, planifié et exécuté, comme en témoignent de multiples exercices de simulation tels que “Event 201” et de nombreux documents tels que “l’Agenda 2030 pour le développement durable”.

L’opération Covid elle-même couvre de nombreux objectifs :

  • Préemption et le camouflage des raisons de l’implosion économique susmentionnée ;
  • Accélération du plus grand transfert de richesse vers le haut de l’histoire humaine ;
  • Justification et ancrage de l’État de biosécurité, y compris la surveillance par l’IA dans de multiples secteurs de la société ;
  • Renforcement et enrichissement du cartel des technologies de pointe, par le biais d’applications de suivi, de la prolifération et de la normalisation des médias sociaux et des plateformes de communication en tant qu’intermédiaires” dans tous les domaines de la vie. Evolution de toute la vie sociale vers l’impératif technologique – les repas commandés via DoorDash, les réunions sur Zoom, l’augmentation des dépenses via Visa/MasterCard en commandant des biens en ligne avec Amazon, les films via Netflix, etc. ont tous été imposés à un public mondial crédule et largement soumis pendant la tyrannie Covid ;

  • Création de “la pandémie” comme mécanisme financier. Les pandémies fabriquées sont devenues des opportunités d’investissement gigantesques qui augmentent la richesse des milliardaires et consolident davantage leur pouvoir ;
  • Expansion de l’industrie de la santé publique dans tous les domaines de la vie publique et économique. L’industrie de la santé est désormais directement liée aux marchés mondiaux et aux conglomérats financiers et est devenue l’un des instruments financiers les plus importants pour les investisseurs ;
  • Création d’un système de “gestion de la santé” bio-médical entièrement nouveau et lucratif afin d’introduire et de codifier un modèle médical bio-technique en mettant l’accent sur des “vaccins” ARNm téléchargeables “révolutionnaires” ;

  • Expansion et normalisation de l’utilisation des cartes d’identité numériques, y compris les passeports vaccinaux, en les reliant à une monnaie numérique de la Banque centrale (CBDC) ;
  • Système de revenu de base universel (UBI), permettant de suivre les achats, les interventions médicales, les “choix de vie”, etc. pour nous inciter à adopter les comportements “souhaités” ou nous exclure complètement du système, à leur gré ;
  • Réorganisation, privatisation et réduction des services publics sous le prétexte de les rendre “plus agiles” pour les “urgences publiques” ;
  • Conditionner le public à des “états d’urgence” perpétuels pour le préparer à la mise en œuvre de “l’Agenda 2030 pour le développement durable”.

Le mot de la fin

Nous vivons le plus grand crime organisé mondial depuis la Seconde Guerre mondiale. Certains l’ont compris. D’autres sont encore endormis ou traumatisés, alors que le tissu social est réduit en miettes et que le monde qui les entoure est complètement transformé.

Les élites financières savent qu’elles ont accumulé d’énormes dettes et déficits impayables. Elles savent que les promesses de retraites et d’avantages sociaux ne pourront pas être payées. Elles savent que le système a atteint son Waterloo et que l’agitation sociale est inévitable.

Ils savent qu’ils doivent agir rapidement et de manière globale pour détourner cet effondrement afin de protéger le Léviathan financier dont dépend leur capacité à maintenir leur pouvoir et leur contrôle.

En d’autres termes, le Covid-19 n’était pas une urgence médicale généralisée, mais un système de blanchiment d’argent, une opération psychologique de masse et un écran de fumée pour une révision et une restructuration complètes de l’ordre mondial social et économique actuel.

Covid-19, l’événement médiatique, était le cheval de Troie construit pour introduire une transformation complète de notre société.

Covid-19TM, l’opération, n’a jamais été un événement épidémiologique, c’est un modèle économique destiné à augmenter les portefeuilles des super-riches.

Le “Covid 19” n’existe pas, sauf en tant qu’association de malfaiteurs.




L’enfumage statistique covidien en France

[Source : Sud Radio]




La président suisse (enfin) sur la sellette pour ses manipulations au cours de la crise Covid !

[Source : anthropo-logiques.org]

Par Jean-Dominique Michel

Alain Berset, président de la Confédération helvétique et ministre de la santé, incarne à mes yeux toute la veulerie de la politique actuelle.

Menteur, manipulateur, abuseur à ses heures perdues (en paroles comme lorsqu’il a envoyé un commando lourdement armé intimider une ex-maîtresse devant son enfant terrorisé, âgé de 4 ans – avant de nommer le coordinateur de cette lamentable opération à la tête de Swissmedic !), il aura bradé les intérêts du pays au plus offrant, entre WEF, fondations du sociopathe Bill Gates, BlackRock/Vanguard et autres Big Pharma…

  • Pour lire « Il faut sauver le soldat Berset » sur l’Impertinent média : cliquer ici.

En mentant de surcroît à la population tout au long de la crise Covid : l’épidémie n’était en réalité pas plus grave qu’une grippe habituelle selon les dernières estimations et les mesures présentées comme sanitaires se sont avérées n’avoir jamais eu aucune utilité probante.

Ceci alors qu’on savait très bien ce qu’il convenait de faire !

Berset a remisé les bonnes réponses au placard tout en imposant des trains de mesures absurdes et destructrices, en se réfugiant derrière le paravent qu’elles étaient légèrement moins féroces qu’ailleurs… alors qu’elles n’auraient jamais dû être imposées !

  • Pour lire « Bilan des mesures anti-Covid par le n°1 mondial de l’épidémiologie » sur Anthropo-logiques : cliquer ici.

Il aura été le destructeur servile du pays, suivant une feuille de route dont on ne peut plus aujourd’hui imaginer qu’elle n’existerait que dans l’esprit de « complotistes » : la réalité des multiples conspirations mises en œuvre dans le cadre de la crise Covid est en train d’apparaître au grand jour à la faveur notamment des Twitter Files…

  • Pour voir « Conseil Scientifique Indépendant n°86 « Complotistes » « antivax » et autres outils de contrôle de la pensée » : cliquer ici.

Utilisant une presse de connivence (privée comme publique) pour manipuler l’opinion, Berset a agi d’une manière dont la fourberie (déjà révélée en son temps par le CEO de Ringier) estomaque.

  • Pour lire « Suisse: complicité mise à nu entre le groupe de presse Ringier et la politique Covid des autorités » sur Covidhub.ch : cliquer ici.

Il faut être naïf (ou déconnecté du réel) comme un socialiste pour ne pas le voir !

Je suis convaincu qu’il finira en prison, les turpitudes actuellement révélées n’étant qu’un amuse-gueule face à l’ensemble de ses tromperies.

  • Pour lire « Une épidémie… de mensonges (ou les informations-bidon du Covid) » sur Anthropo-logiques : cliquer ici.
  • Pour lire « Le président visé par une plainte pénale pour abus d’autorité » sur L’Impertinent média : cliquer ici.

Que sa chute prochaine nous éduque collectivement à repérer et barrer la route sans états d’âme à la manipulation ! Ainsi qu’aux lamentables compromissions qui les permettent, des parlements en passant pas les sociétés médicales jusqu’aux médias…

  • Pour lire l’article de la Radio télévision suisse « Balthasar Glättli: « Il est maintenant difficile pour Alain Berset de garder de la crédibilité » : cliquer ici.
  • Pour signer la pétition « Appel à la démission d’Alain Berset » : cliquer ici.



Des machines et des profs

À l’heure où les individus seraient trop nombreux sur cette belle planète et qu’à l’aide de funestes injections on en diminuerait le nombre, on découvre manquer de médecins puis de profs, et au-delà de supprimer leur domaine de compétence, on fait semblant de les remplacer par une pseudo intelligence artificielle

Il est temps de tous se lever contre cette imposture qui consiste à faire croire que des machines (créées par l’h) pourraient le remplacer

Que cette belle tribune de Karen Brandin en appelle d’autres pour finalement hurler tous ensemble que l’Homme n’est pas une machine et que son enseignement comme ses soins ne peuvent être que donnés directement par lui et non par des robots délivrés par des machines, souvent bloquées d’ailleurs ce qui fait espérer la disparition rapide de leur hégémonie.

Réagissons par notre propre expérience et accumulons les témoignages

MERCI À KAREN ET À TOUS CEUX QUI VONT SOUTENIR SON BEAU COMBAT

Diffusez, partagez, commentez !

Nicole Delépine

Par Karen Brandin

J’étais encore au tout début de mes études lorsque cette formule, qui allait devenir par la suite célèbre, une phrase au moins autant citée que détournée depuis : « Il faut dégraisser le mammouth, » a été prononcée par Claude Allègre, alors ministre de l’Éducation nationale. À l’époque, je n’y avais prêté qu’une attention distraite, mais pour autant je n’y avais pas seulement vu la promesse d’une diète économique sévère, mais aussi en filigrane, la menace à peine voilée d’une sorte de mutilation à venir.

J’avais cette image, qui m’est restée d’ailleurs, de ce corps massif de l’Instruction, un corps enseignant robuste, riche, fibreux et complexe dont on allait finalement s’évertuer à arracher des lambeaux entiers de « matière ». En premier lieu desquels, ceux attachés aux disciplines estimées superflues ou élitistes dont les langues mortes bien sûr.

En tout égoïsme, il faut bien reconnaître que cela me rassurait. Je me disais que quand bien même la « bête » agonisante n’aurait un jour plus que la peau sur les os, il resterait toujours le squelette ; à savoir le socle des disciplines fondamentales. Ces disciplines intouchables et sacrées, dont les mathématiques faisaient, feraient forcément partie. Pas une seconde alors, j’aurais imaginé que le sacrifice irait jusqu’au désossement final et que les maths, comme du reste la philosophie ou la littérature, seraient vaporisées, vidées de leur « substantifique moelle ».

Depuis plus de dix ans1, nous sommes quelques-uns à alerter régulièrement sur cette entreprise de destruction massive et l’hémorragie scientifique qui ne manquera pas d’en résulter. Mais puisque l’on est seuls, puisqu’on est fous et qu’ils sont si nombreux, et puisque surtout, l’on est pris au piège du redoutable courant des baïnes de la « désinstruction nationale »2 selon le terme de René Chiche au point d’être empêchés de lutter efficacement contre cet Enseignement de l’Ignorance parfaitement décrit par Jean-Claude Michéa3 dans un essai prophétique du même nom, le temps semblait peut-être venu finalement de suivre les recommandations des sauveteurs en pareil cas : arrêter de lutter ; se laisser dériver, quitte à échouer sur un autre rivage que celui de l’enseignement.

Se laisser dériver pour ne pas se noyer dans une mer de désillusions et de trahisons successives.

Et puis comme souvent dans ces moments de découragement et de fatigue, on croise comme un fait exprès, des regards d’élèves plus confiants que d’ordinaire, plus pressants aussi ; des jeunes gens qui comptent sur vous pour les amener à bon port, malgré le gros temps. Ces jeunes qui s’en remettent à nous aussi pour témoigner de leur détresse tant on est loin en réalité de l’inévitable : « pas de soucis » dont ils nous abreuvent pourtant à longueur de journée.

Car, des soucis, il y en a. Il y en a même beaucoup pour ces lycéens, pris dans les mailles du filet des réseaux sociaux, empêtrés dans des applications en tous genres, tout cela au beau milieu d’une débauche de : « trucs de fou », « t’as capté ? », « j’avoue » ou encore : « t’es aigri ? » Il s’agit donc de les défendre sans nier pour autant qu’il faut chaque jour lutter plus âprement que la veille pour obtenir d’eux une phrase, une majuscule, un quantificateur ou un seulement un symbole de ponctuation. Pour les sourires, il faut moins insister. Heureusement.

Quant aux équivalences, aux implications… Ces règles de logique élémentaires sont presque toujours des vœux pieux désormais.

En plus des regards, on croise aussi des textes, des articles qui vous réconfortent ou vous révoltent et ce faisant, sont autant d’aiguillons qui vous poussent une nouvelle fois à alerter.

Cette fois, c’est un article extrait du Figaro-Etudiant daté du 11/01/234 5 qui a, par une citation, changé ma lassitude en colère, car voici ce que l’on peut y lire, à propos d’un logiciel d’intelligence artificielle, commandée par le ministère de l’Éducation nationale, qui viendra en complément du cours conventionnel dès la rentrée 2023 :

« Les études réalisées dans ce domaine (ndlr : les sciences cognitives) nous permettent de mieux comprendre comment le cerveau apprend la langue et les mathématiques pour proposer une pédagogie qui optimise l’assimilation des connaissances », indique Thierry de Vulpillières, le directeur général et cofondateur d’ÉvidenceB, Avant d’ajouter :

« Le propre de l’algorithme de l’IAc’est de chercher à susciter le goût de l’effort et l’envie de réussir chez l’élève. Le pousser à réussir un exercice et à accéder au niveau suivant qui sera plus difficile. »

Il faut être lucide. Certains se disent sans doute que cet assistant d’éducation sera une sacrée aubaine, surtout que désormais, lorsque l’on est fonctionnaires et que l’on a du temps libre, on peut, si on le désire, se découvrir une âme de… chauffeur de bus6. Et çà, c’est vraiment bien parce que cela permettra de rencontrer les élèves dans un contexte différent, plus détendu par exemple. Finie aussi à terme sans doute, l’obligation ringarde du bac+5 pour prétendre à une mission d’enseignement puisque, à défaut d’avoir un pilote dans l’avion, il y aura, quoiqu’il en coûte, une machine dans la classe.

Non, il n’y a pas à dire ; il est vraiment sympa ce président et puis il faut reconnaître qu’il pense à tout. Un vrai père de famille. Il y a eu les vœux tout d’abord, charmants et tellement réalistes :

« Nous avons aussi commencé de raviver la confiance dans notre Éducation nationale, notre santé en nous appuyant sur l’énergie et le dévouement de nos enseignants et de nos soignants. Nous poursuivrons avec ardeur durant l’année qui s’ouvre, par des choix clairs, forts, et un travail au plus près du terrain.

Dans les prochains mois, dans nos salles de classe, dans nos hôpitaux, comme chez nos médecins en ville, vous verrez les premiers changements tangibles de la rénovation de notre école et de notre santé. »

Comprendre (car avec le Gaulois réfractaire et potentiellement complotiste, il faut être prudent et surtout « pédagogue ») : on tend vers une école sans profs et un hôpital sans médecins.

Alors bien sûr, cela peut sembler étonnant de prime abord, un peu suspect même, mais pourtant ce sera bien mieux comme çà ; vous verrez. Un peu de patience que diable. Rome ne s’est pas détruite en un jour.

Vous savez, c’est le fameux : « plus vite et plus fort »… dans le mur, dont nous sommes désormais coutumiers.

Et donc après ces vœux de « Bonne Année, » voici, alors que ce n’est même plus Noël, ce magnifique cadeau numérique, un cadeau high-tech, plus autonome encore que Kwyk, et qui entre nous, a autrement plus d’allure que la boîte de masques offerte l’hiver dernier. Plus d’allure même que la dizaine d’autotests gratuits.

Trêve d’ironie…

Car dieu merci, à côté de ces personnes heureuses de déléguer, consentantes finalement dans l’expropriation massive de leurs compétences, il se trouve encore des gens qui, à la lecture de cet extrait, ont comme moi, envie de pleurer d’indignation et de tristesse.

Mais clairement ce ne sont pas les plus nombreux, car l’éducation nationale, c’est moralement 800 000 personnes. Alors je veux bien que cela n’ait pas été un nombre suffisant pour s’opposer à la réforme Blanquer qui allait fatalement détruire le lycée, mais on a un peu de mal à le croire quand il a suffi du courroux d’une poignée de salariés de TOTAL pour bloquer tout un pays. On sait tous pourtant que l’union fait la force ; dommage que ce principe pourtant simple ait été oublié à l’époque, car clairement, ce n’était pas un petit groupe de profs courageux du Sud-Ouest7 qui allait à lui seul pouvoir faire bouger les choses.

Dans un monde non pas idéal, mais juste équilibré, dans une école du Sens, nous n’aurions rien à craindre d’un tel logiciel et surtout pas une concurrence loyale ou déloyale, car il n’y aurait, de la part des élèves, aucune adhésion possible.

Le goût de l’effort, le charme de la controverse, l’éveil de la curiosité, parfois celui d’une passion quand on a la chance de pouvoir la susciter, résultent toujours d’une rencontre humaine, d’un échange avec une personnalité atypique ou attachante. Mais cette interaction autrefois recherchée avec l’enseignant est aujourd’hui trop souvent redoutée, évitée.

En effet, la réforme du lycée, en atomisant les sections et avec elles la notion même de « classe », a emporté du même coup cette complicité qui reste le propre de l’homme et qui faisait tout l’intérêt et la richesse de ce métier. Désormais, tout se perd, rien ne se crée plus, mais se négocie. Le lycée, loin de rassurer, inquiète et ce que l’on veut plus que tout quand on est élève, c’est le quitter.

La réforme Blanquer devait, nous avait-on dit, « bâtir » des ponts entre les disciplines, faire la part belle à la transversalité des savoirs. Elle a, au contraire, érigé des murs dignes des plus redoutables entreprises de fortification. Seuls les plus aguerris, en refusant cette obscurité forcée, cette forme d’austérité du savoir, ont réussi à percer quelques meurtrières…

Le maître-mot désormais dans ce lycée désincarné aux allures de start-up, est : la concurrence, mais sans la stimulation ; la compétition, mais dans tout ce qu’elle peut avoir de malsain.

Une concurrence féroce entre les établissements tout d’abord, mais aussi entre les disciplines, qui avec le temps, sont victimes de leur réputation, car ceux qui ont essuyé les plâtres de cette réforme maudite, parlent et mettent en garde « les 2007 » comme ils disent. Il faut alors redoubler d’énergie pour s’attirer les faveurs des élèves qui ont tôt fait de vous menacer d’abandonner en terminale votre matière si les notes sont trop basses ; si s’inscrire n’est pas assez « rentable » tout simplement.

Quant à penser que le choix des spécialités est motivé par un intérêt réel pour la matière, cela relève du fantasme. En terminale d’ailleurs, on voit se multiplier des couples improbables comme svt/ses choisis pour des raisons strictement « comptables. »

Comme si cela ne suffisait pas, charge en outre aux enseignants estimés trop exigeants de se faire pardonner d’éventuels écarts de conduite en osant les notes « justes » et donc peut-être faibles. Il s’agira alors, pour compenser, de multiplier les devoirs-bonus, ceux de rattrapage ou de leçon histoire d’appâter, d’adoucir le chaland et éviter par là même, les foudres de parents prompts à accuser de plomber, sans y penser, le dossier de leur enfant au risque de compromettre son avenir.

Concurrence entre les élèves enfin, tétanisés par la présence du contrôle continu, rendus intolérants et irritables par cette pression constante de la note ; ces jeunes gens, redevenus pour quelques jours spontanés et gais lorsqu’il s’agissait d’évoquer la coupe du monde de foot, vont désormais jusqu’à taire leurs objectifs d’études pour ne pas donner d’idées aux copains devenus de fait, des rivaux potentiels. Car en embuscade, règne le redouté ParcourSup et son diktat.

C’est parce que le lycée est devenu un lieu où se côtoient et s’ignorent toutes les formes d’agressivité et toutes les sources de frustrations que l’on peut légitimement craindre que l’école hybride prônée par J. Attali soit bel et bien à la porte. C’est aussi pour cela qu’il y a tout à craindre de cette initiative d’une contention numérique de plus en plus envahissante.

Et les maths dans tout cela puisque, avec le français, ce sont elles qui sont visées ? Puisque ce sont elles que nous ne sommes apparemment plus capables de transmettre, au point d’avoir besoin d’aide. Puisqu’en outre c’est bien là mon seul domaine de compétence et que les mathématiques, objets de toutes les détestations, sont au cœur de tellement d’attentions supposées qu’on leur a même consacrées en novembre 2022 des « Assises. »

Et « assis », il s’agissait de l’être confortablement pour entendre Christophe Besse (Directeur de l’Institut national des sciences mathématiques et de leurs interactions — CNRS) remercier, après un bilan chiffré pourtant tragique concernant notamment la sous-représentation des maths pures (section 25) avec l’effondrement drastique du nombre de postes qui en l’espace de dix ans a été divisé par 4,5, Mr Pap N’Diaye pour son engagement. Mais lequel ?

Mr Besse affirmera quelques instants plus tard sans forcément trop y croire que : « Tout le monde aime les maths, mais ne le sait pas » (à tenter auprès des élèves, pourquoi pas ? mais j’ai quand même quelques contre-exemples en tête), avant d’oser un slogan pour le moins inattendu : « Le monde a envie de maths, » qui n’est pas sans nous rappeler le malaisant : « On a très envie de vous » des Jeunes avec Macron. J’étais finalement plus à l’aise avec la version initiale : « J’ai très envie de vous emmerder. »

Toujours est-il que bien que je sois convaincue de la sincérité de ce monsieur, si je devais consacrer un défenseur des maths, c’est vers le prix Nobel de physique Alain Aspect que je me tournerais bien plus volontiers, car il parle de « travail », « d’effort », « du désir de comprendre », « d’envie », « de passion et de patience » ; pas de compétitivité, d’objectifs à atteindre, d’entreprises à conquérir ou de parts de PIB :

Alors oui, sans surprise, les maths agonisent ; elles dépérissent et comment pourrait-il en être autrement lorsque en terminale, ce sont rien de moins que 9 grands thèmes qui doivent être « traités » (bâclés) en l’espace de quelques mois, l’épreuve de spécialité étant programmée mi-mars (du 20 au 22 mars 2023 plus exactement). Une aberration de plus de cette réforme en tous points absurde qui verra son funeste apogée à compter du 19 juin avec l’imposture du Grand Oral, changé en mauvais concours d’éloquence, car, à compter de cette année, les élèves n’auront plus le droit d’utiliser le tableau comme support pour leur exposé. Il ne manquerait plus qu’il y ait du contenu !8

On veut de l’artificiel. C’est pourtant facile à comprendre.

Le fait est qu’il est bien difficile de s’arranger avec la réalité, car les maths sont et resteront une discipline littéraire avant d’être numérique et surtout une discipline du temps long, même si c’est impopulaire dans une société où il faut aller vite, où tout se règle à grand coup de QCM et où il est mal vu de discuter, d’argumenter, de démontrer.

Les notions en maths ont besoin d’infuser ; elles sont besoin d’être observées dans différents milieux, différents contextes. Les objets mathématiques, bien qu’abstraits, ont besoin d’être manipulés. Quant aux erreurs, il leur faut de la place pour être commises puis réparées, car plus que tout, ce sont elles qui sont riches d’enseignement et conduisent à une compréhension complète et définitive. Ce sont elles qui nous font progresser que l’on soit prof ou élève.

Ce temps, nous l’avons bien compris, on ne veut pas nous le donner et en réalité, on ne souhaite pas nous le rendre. En dédommagement, on préfère investir dans une IA qui promet de nous en faire gagner, en l’optimisant.

Mais tutelle ou pas, le programme est tellement démesuré à défaut d’être ambitieux, que cela contraint, condamne à un enseignement dégradé et maltraitant auquel on a honte de participer ; que l’on a honte de dispenser, faute de le cautionner.

Un enseignement présenté de plus en plus fréquemment en « séquences » avec des thèmes tronçonnés, un programme parcouru de manière aléatoire, sans souci de cohérence, à raison du rythme infernal d’une notion par semaine, ne laissant de fait aucune chance aux élèves d’assimiler les outils abordés de manière pérenne.

C’est quoi le concept exactement quand, en première, on consacre quelques heures à l’aspect local de la dérivation avant d’enchaîner la semaine suivante sur la trigonométrie, suivie des probabilités, de l’aspect global de la dérivation puis enfin du produit scalaire ? Qu’est — ce qui peut bien motiver la décision de traiter les primitives en octobre et la continuité en janvier ? Je ne comprends pas.

Les défenseurs de cette stratégie suggèrent que cela rend les choses plus digestes ; sauf que les maths sont faites de structures et de correspondances.

Alors bien sûr, il y a toujours des élèves dociles ou résignés, souvent indifférents en réalité, qui ingurgitent la mixture sans passion et sans haine ; mais pour d’autres, en revanche plus impliqués, ces sauts de puce permanents exaspèrent et découragent.

Alors de grâce, STOP à cet enseignement, « ambiance Tontons Flingueurs » avec des chapitres éparpillés façon puzzle.

Car si l’on a bien une certitude, c’est que l’on est en train de dégoûter durablement ces jeunes de cette discipline alors que dans le même temps les effectifs fondent comme neige au soleil. Et ce n’est pas cette n-ième manipulation de l’1 h 30 de maths citoyennes (???) obligatoire en première à compter de la rentrée 2023 qui changera quoi que ce soit. Que cet ajustement de dernière minute ait les faveurs de Monsieur Pierre Mathiot (l’atout Blanquer à l’époque), directeur de Sciences-Po Lille, devrait suffire à inquiéter.

Quant à baisser encore le degré d’exigence en maths complémentaires et donner un accès plus large à cette option indépendamment du cursus de première, personne ne sera dupe de cette augmentation artificielle des effectifs.

Mettez fin à l’obligation d’abandonner une spécialité en terminale et l’on retrouvera les filles que tout le monde semble s’inquiéter de voir disparaître alors que l’on sait bien que les facs de médecine recommandent en grande majorité d’abandonner la spé maths au profit du couple physique/svt.

En mathématiques, on l’aura compris les effets de la réforme sont donc dramatiques et les conséquences dans le supérieur vont être dévastatrices avec, à terme, la fermeture en cascade de classes préparatoires9 d’ores et déjà largement boudées par les élèves. Comment reprocher cette frilosité à des jeunes gens bien conscients que le lycée ne joue plus de tout son rôle de tremplin vers le supérieur ?

Quant à former des ingénieurs de qualité, autonomes et créatifs, il ne faudra plus y compter. Tout au plus, par le conditionnement mis en place dans le secondaire, cette méthode globale appliquée aux maths et le « savoir-reproduire » à défaut de « savoir-faire », on peut espérer obtenir des promotions de « magasiniers de luxe ». À voir ensuite si les grands groupes, si courtisés, s’en contenteront ou s’ils préféreront eux aussi, des employés virtuels…

Mais il convient de relativiser, car après tout, des maths pour quoi faire10 ? Alors que vous pouvez être ministre de l’Économie et des Finances et ne pas savoir ce qu’est un hectare. Alors que vous pouvez gouverner un pays de 67 millions d’habitants en maîtrisant seulement trois chiffres : 4-9-3.

Nous sommes donc fin prêts à entonner avec les Goguettes (en trio, mais à quatre)11:

« Dans l’instruction, c’est la fin de l’abondance ; c’est la ruinance, c’est la ruinance. Mais nous en France, on a pris un peu d’avance ; c’est la ruinance, c’est la ruinance. »

Karen Brandin
Enseignante en structure indépendante
Docteur en théorie algébrique des nombres





Christine Deviers-Joncour : « Les citoyens se croyant protégés par leurs gouvernants réalisent aujourd’hui que ce sont leurs pires ennemis ! »

[Source : lemediaen442.fr]

Son nom ne vous est pas inconnu, cette femme a défrayé la chronique de toute la presse française dans les années fin 90- début 2000.
Connue sous le sobriquet de « la putain de la République », Christine Deviers-Joncour réapparaît dans la lumière par le biais de l’écriture.
A l’occasion de la sortie de son dernier roman In silico, Christine, comme elle aime se faire appeler, nous a accordé un entretien sincère et émouvant laissant transparaître une femme forte, pleine de conviction et assoiffée de liberté. Une bouffée d’oxygène loin des médisances du passé !

[Voir aussi :
C. Deviers-Joncour : Aucune injustice ne peut durer pour l’éternité
Le pacte avec Satan : le pouvoir absolu sur l’humanité
Les mots de Christine Deviers Joncour sur Attali, le Covid et le plan de dépopulation
Lettre ouverte à Éric Zemmour
Nos bourreaux ne se cachent même plus !
La guerre du Bien contre le Mal
Les dessous nauséabonds de la République — L’indécente arrogance des riches et des puissants…]


« J’entendais leur mépris pour le peuple et leur fameux projet concernant une dépopulation à venir pour soi-disant « sauver la planète » car, disaient-ils, le peuple pollue et pour la plupart, les citoyens sont des « inutiles ». »

Le Média en 4-4-2 : Bonjour Christine et merci d’avoir accepté l’invitation du Média en 4-4-2. Vous venez de publier votre dernier roman, In Silico, la cité des abysses, dont l’intrigue se déroule dans un monde de science-fiction pas si loin de la réalité…Votre héroïne, Elem, habite au 65e étage dans un 40 mètres carrés. Elle utilise sa carte de crédit et un lecteur d’empreintes pour y accéder. Dans son appartement, se trouve sur un mur « un orifice pour assurer sa protection et sa sécurité. » Il lui faut sa « carte magique » pour se doucher, utiliser sa cafetière. Cette carte fait également office de carte Vitale et lui est indispensable pour avoir « un toit, de l’eau et du confort ». Et pour couronner le tout, Elem a une puce implantée à son poignet pour avoir accès à son lieu de travail… On se croirait en plein 1984 de George Orwell ! Est-ce que, comme lui à son époque, vous voyez notre société plonger vers ce monde du tout-contrôle ? 

Christine Deviers-Joncour : Merci pour votre invitation. J’ai écrit ce livre en 2012. Et à cette époque je n’imaginais pas une seconde que nous allions vivre une période aussi sombre. Juste une précision : le terme in silico est un terme utilisé en informatique et bio-informatique. Je crois que c’est là mon vrai premier roman. Aucune référence à mon expérience personnelle passée, contrairement aux autres livres. Et c’est sans doute là que je me suis sentie le plus libre. Mais forte de mon expérience, de ce que j’ai vécu pendant quelques années si proche du pouvoir, il y avait des choses que je brûlais d’évoquer. Sous la forme de fiction ce fut plus facile et même assez grisant. Il est vrai qu’à une période de ma vie où j’ai dû côtoyer le pouvoir d’un peu trop près, j’assistais souvent à des discussions qui ne laissaient aucun doute sur leurs intentions. J’entendais leur mépris pour le peuple et leur fameux projet concernant une dépopulation à venir pour soi-disant « sauver la planète », car, disaient-ils, le peuple pollue et, pour la plupart, les citoyens sont des « inutiles ». Je ne pouvais imaginer à l’époque que cela deviendrait réalité. Mais je sentais bien que l’avenir s’assombrissait. Je n’avais pas lu 1984 de George Orwell à l’époque. J’ai depuis comblé cette lacune. Mais pour répondre à votre question : oui, il décrit ce monde du tout-contrôle dans sa fiction et en ce qui nous concerne ce n’est malheureusement plus de la fiction, mais une terrible réalité dans laquelle nous sommes en train de sombrer, si nous ne nous ne réagissons pas. Et il y a urgence !

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« Cette poignée de psychopathes inhumains, avides de pouvoir et de richesse s’effondrera tôt ou tard ! »

Le Média en 4-4-2 : Face à cette urgence, comment réagir ? Comment faire prendre conscience à nos concitoyens de cet immense danger ? Car, comme décrit dans votre roman, le pouvoir opère depuis très longtemps une manipulation de la masse, qui n’en est pas consciente.

Christine Deviers-Joncour : Oui, cette manipulation de masse a été sciemment mise en place depuis très longtemps. Au lieu de Grand Reset, je préfère Grand Réveil ! Peu à peu les gens s’informent et comprennent  que nous sommes sur un volcan. Nous n’avons plus besoin de livres d’Histoire. L’Histoire est un flux qui nous nourrit de vérités, de faussetés que nous trions comme d’antiques chercheurs d’or que les évènements rongent car, par tous les canaux, surtout par ceux d’une propagande excessive, ridicule, les réalités viennent à nous, jour après jour, comme autant de coups de boutoir, comme autant de vagues qui finissent par faire du sable des falaises les plus dures. Nous vivons comme les anciens dieux qui observaient les Grecs et les Troyens et intervenaient dans leurs combats. Nous aussi nous observons et nous intervenons. Le Net est un rugissement de révélations et de colères. Et il est difficile de gouverner en le négligeant. Cette poignée de psychopathes inhumains, avides de pouvoir et de richesse s’effondrera tôt ou tard ! Patience…. On dit que In silico est prophétique ! Alors lisez jusqu’au bout et vous verrez la fin de ce cauchemar dans la Cité des Abysses ! C’est la fin que je nous souhaite !

Le Média en 4-4-2 : Effectivement, c’est un roman plein d’espoir et nous n’allons pas dévoiler la fin inattendue de cette histoire. Mais vous qui avez été l’observatrice, l’objet voire la confidente de certains de ces psychopathes, ne pensez-vous pas que pour certains d’entre eux leur part d’humanité est tellement enfouie que c’est là la faille. Et qu’au lieu de s’en éloigner, il suffirait de rallumer cette flamme, comme pour Wendel !

Christine Deviers-Joncour : L’amour peut engendrer des miracles ! Rare, mais possible… (rires) ! Pour gagner l’estime et se battre dans l’arène, l’homme s’est détourné de sa vraie nature, de son essence profonde. En retrouvant cette essence, ses vraies richesses intérieures lui seraient révélées. Réconcilié avec lui-même, il y gagnerait une communication plus simple et plus humaine. Que chacun agisse en accord avec sa nature profonde, avec son âme et tout en restant soi-même, chacun danserait ainsi avec l’autre dans la créativité et dans un magnifique mouvement d’évolution. Malheureusement pour eux, ces gens de pouvoir sont infirmes, sans empathie, sans humanité et la frontière est fragile avec la criminalité. Cela devient flagrant ces dernières années Covid. Les citoyens se croyant protégés par leurs gouvernants réalisent aujourd’hui que ce sont leurs pires ennemis !

Le Média en 4-4-2 : Puisque nous évoquons la relation entre vos deux personnages principaux, pouvez-vous nous parler du choix de leurs prénoms ? Elem, prénom turc qui signifie Dieu, et Wendel, prénom allemand qui signifie « errer »…

Christine Deviers-Joncour : En ce qui concerne Elem, ce nom est tiré du dictionnaire elfique de Tolkien qui signifie : fine, délicate, élégante. Quant à Wendel, j’ai inventé ce prénom et je vous remercie de me donner son origine. Sans dévoiler qui est notre héros, « errer » lui convient parfaitement, mais je ne peux en dire davantage. Le lecteur comprendra ! Néanmoins, les prénoms n’avaient pas pour but de définir leurs caractères propres et leurs parcours. Mais en ce qui concerne Wendel, je suis très touchée par cette référence…

« Le peuple devient du bétail manipulé, sans bientôt plus aucun libre arbitre »

Le Média en 4-4-2 : Comme quoi, si le hasard existe, il fait bien les choses ! A la seconde lecture de votre roman, et en gardant en tête qui en est l’auteur, on se demande où est la frontière entre la fiction et la réalité, notamment en ce qui concerne le contrôle total de la population. On se doute que vous ne pouvez pas révéler tout ce que vous avez entendu en étant « si proche du pouvoir »… Avez-vous écrit une fiction pour être en quelque sorte « plus libre » ?

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Christine Deviers-Joncour : Probablement oui, on peut ainsi dire des vérités sans interdit, ni barrière ! Dans l’histoire, deux lieux se chevauchent : d’une part, une ville futuriste, inhumaine et expérimentale très cruelle pour les citoyens, non loin de ce que nous vivons depuis quelque temps, et de l’autre, le pays des rêves pour survivre pour inventer une autre vie possible dans une sorte de réel imaginaire. Effectivement, tout au long de l’histoire, on peut se demander où est le réel et où est l’imaginaire ? La plus parfaite illusion d’un monde vaut la réalité, mais à la condition d’en ignorer la nature. Voyez ce que nous sommes en train de vivre au quotidien : les libertés sont grignotées chaque jour davantage, notre constitution bafouée, les élections truquées, les interdictions en rafale. Le peuple devient du bétail manipulé, sans bientôt plus aucun libre arbitre. Covid et injections meurtrières, dépopulation, chômage et tout ce qui en découle ! Les angoisses et la tristesse, la peur du lendemain et d’un futur sombre, la peur pour nos enfants. Que nous reste-t-il ? Rêver ? Oui sans doute. Là on ne peut ni nous le prendre, ni le taxer, ni nous l’interdire ! Et c’est gratuit ! Chimère, utopie ? Gérard de Nerval disait : « Le rêve est une seconde vie …» Pourquoi pas ? Que risquons-nous ? Et souvent les rêves deviennent réalité. Dans tous les cas, c’est là quelque chose d’insondable qui imprègne toutes choses de sublime. Et quelquefois ce qui est de l’ordre du sublime devient visible.

« J’ai aujourd’hui gagné ma liberté et je suis fière du combat que j’ai mené »

Le Média en 4-4-2 : On sent dans vos réponses beaucoup de sagesse et de spiritualité, une Christine totalement éloignée de la Christine de la presse à scandale, « La putain de la République ». Pouvez-vous nous raconter l’histoire cachée de ce titre? Et comment passe-t-on de cette image publique peu flatteuse et lourde à porter à celle d’un écrivain plein de possibilités, libre si j’ose dire?

Christine Deviers-Joncour : Ce nom peu flatteur me fut donné par la juge Eva Joly des mois avant de me connaître ! A travers moi, elle voulait s’attaquer à Roland Dumas alors président du Conseil Constitutionnel, quatrième homme d’État. Grand bourgeois, grand érudit, et collectionneur il n’avait pas que des amis au sein du parti socialiste. Et de plus, on ne lui avait pas pardonné, du temps où il était au Quai-d’Orsay, sa politique pro-palestinienne, pro-russe, etc. Il savait tout cela et m’en parlait à l’époque. Et puis, ce fut le scandale de « l’affaire des frégates de Taïwan », baptisée JUDICIEUSEMENT : « Affaire Dumas-Deviers-Joncour ». Quatre milliards de francs de l’époque détournés sur un contrat d’État et une vingtaine de morts, malheureux témoins des détournements. Je fus le fusible désigné pour protéger cette corruption. Mais je n’ai pas baissé les bras et j’ai bataillé. J’ai appelé ça, ma « drôle de guerre à moi ». L’ennemi était de taille : politiques, presse, journalistes, juges, avocats véreux et la Justice … qui n’en avait que le nom ! Je fus la toute première en 2001 à oser dénoncer la corruption politique en France ! Prison, contrat sur ma vie, menaces. L’argent qui me fut reproché n’était pas pour moi… Je l’ai rendu en intégralité à la Justice. Je suis la dernière survivante de cette affaire que le juge Van Ruymbeke désigna comme le plus gros scandale de la 5e république en rétrocommissions et nombre de morts, malheureux témoins. Sachez que dans ces affaires, à ce niveau-là, il faut toujours des fusibles… je fus l’un d’eux. Ce malheureux titre dont on m’a affublée aurait dû être : « Putain de République » ! Trop compliqué et dangereux, je n’ai pas pu à l’époque pour de multiples raisons ! Mais le peuple commence enfin à ouvrir les yeux sur la corruption et les mensonges et manigances de leurs « élites » et ce, à tous les niveaux. Il était temps ! La vraie Christine est celle qui écrit. Et ce depuis toujours. Cela m’a aidée aussi à me défendre dans cette horrible période grâce à de nombreux essais. Libre ? Ô combien ! Quand vous avez passé cinq années dans Paris affublée d’un gilet pare-balles et sur un vélo en sens interdit pour me protéger… J’ai aujourd’hui gagné ma liberté et je suis fière du combat que j’ai mené. Libre oui ! Loin de tout… ce qui permet de les observer à la loupe bâtir d’improbables cathédrales sur des socles de poussière. Ils sont pathétiques. Alors j’ai continué à écrire et illustrer aussi… Et c’est dans l’écriture que j’ai trouvé mon second souffle, car écrire est une façon de hurler en silence et de chasser les démons.

Le Média en 4-4-2 : Et à quel prix ! Une liberté que vous avez arrachée du plus profond de vos tripes. Et en même temps, des décennies plus tard, lorsque vous évoquez Roland Dumas, on sent un profond respect, une admiration étouffée. Pour autant, il n’était pas un enfant de chœur, avocat reconnu, franc-maçon, membre du Grand Orient de France, sans compter son passé politique et il a été le bras droit de François Mitterrand. Êtes vous objective lorsqu’il s’agit de Roland Dumas ?

Christine Deviers-Joncour : Je garde de cet homme le meilleur : une immense et insatiable culture, l’esthète, le talentueux chanteur d’opéra ténor méconnu, le tribun hors norme, le passionné de musique et d’art, polyglotte, six langues et se mettait au persan, capable de parler par exemple l’allemand avec l’accent berlinois ou l’accent autrichien à Vienne. Intarissable sur l’Histoire de l’art ou de la littérature. Un des derniers meilleurs ministres des Affaires étrangères, et de loin ! Quand on voit ceux qui défilent sous les lambris du Quai-d’Orsay ces dernières années. Grandeur et décadence. Un personnage à multiples facettes. Pendant dix années j’ai côtoyé cet homme et tenté sans cesse de me mettre à niveau, consciente de mes lacunes. Il m’a appris et communiqué cet appétit de connaissance… dans tous les domaines. Et cela est précieux et je l’en remercie. Je fus aussi touchée par sa sensibilité extrême, mais troublée aussi par son implacable dureté. Un jour, il m’avoua que je fus la seule femme auprès de qui il n’avait ressenti ni ennui ni lassitude… Ce fut pour moi un magnifique compliment. Multiples facettes oui, ange et démon. Franc-maçon oui… comme tous ceux qui font carrière, ne soyons pas naïfs ! Et puis comme tout homme de pouvoir quand ils se sentent en danger, ils n’hésitent pas à pratiquer la politique de la terre brûlée pour se protéger. Il déclara sans vergogne qu’il ne me connaissait pas ou à peine. Brutal, injuste et douloureux. Il a 100 ans cette année. Laissons-le en paix. Dieu reconnaîtra les siens..

« Imaginez, juste un instant, les Russes installant des bases militaires aux frontières des États-Unis ! »

Le Média en 4-4-2 : En plus de l’écriture, vous vous engagez dans le milieu caritatif notamment auprès de Novopole, une association qui apporte son aide aux Russophones de la région du Donbass. Vous n’avez donc pas découvert il y a quelques mois les atrocités menées par le régime ukrainien dans cette région… Comment percevez-vous cette opération menée par Vladimir Poutine, notamment au niveau géopolitique ?

Christine Deviers-Joncour : En 2014 je fus mise en contact avec des gens qui se mobilisaient pour apporter une aide au peuple russophone de l’Est de l’Ukraine, le Donbass en particulier,  pilonné sans cesse par les ukro-nazis de Kiev. Touchée et émue par ce peuple en souffrance, je me suis approchée de tous ces gens de bonne volonté. N’ayant pas de moyens financiers, j’ai exécuté plusieurs illustrations sur ce drame qui furent mises aux enchères à Genève par une association ; les ventes ont permis de récolter un peu d’argent pour les aider. Vous pouvez les voir sur mon site internet. À cette époque, nous espérions en priant pour que la Russie vienne leur porter secours et stopper ce carnage aux portes de l’Europe. Les accords de Minsk n’étant pas respectés, nous étions très inquiets devant ces bombardements permanents, ces pilonnages et ces enfants massacrés et surtout ce silence radio assourdissant de tous les médias occidentaux ! Mais il a fallu du temps pour que cette aide tant espérée arrive enfin. En prévision de sanctions des États-Unis et de l’Union européenne inévitables, la Russie a dû s’y préparer durant ces huit années. Le 21 février 2022, trois jours avant l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le président de la fédération de Russie, Vladimir Poutine, déclarait lors d’une allocution télévisée : « L’Ukraine, ce n’est pas seulement notre voisin mais c’est également une partie de notre histoire, de notre espace culturel ». Avant d’ajouter que « l’Ukraine contemporaine a été entièrement et complètement créée par la Russie, plus exactement par la Russie communiste, bolchévique ». Imaginez, juste un instant, les Russes installant des bases militaires aux frontières des États-Unis ! Il y aurait fort à débattre mais je ne suis pas experte en géopolitique et ce n’est pas le propos ici !

« J’ai lourdement payé pour avoir vu de très près ! »

Le Média en 4-4-2 : En retraçant l’ensemble de votre parcours, avez-vous des regrets, des remords ? Auriez-vous fait des choses différemment ?

Christine Deviers-Joncour : Des regrets, oui, bien sûr. Qui n’en n’a pas… Des remords ? oui, d’avoir fait de mauvais choix : ainsi ma vie a été conduite pour l’amour de mes deux fils qui ont eu chacun des pères peu responsables et défaillants et qui eux aussi en ont souffert. J’ai dû alors prendre la relève. J’ai dû assumer les rôles de père et de mère. Je me suis donc battue. Seule. Donc mes regrets sont là : les mauvais choix quant à mes deux époux et pères de mes fils. Pour autant, j’ai eu une vie chaotique mais je ne regrette rien. Je me suis frottée à la vraie vie, aux combats, aux difficultés et j’ai réalisé depuis longtemps dans quel monde nous vivions avec ses injustices et ses dérives. Je suis  témoin de ce que sont vraiment nos gouvernants et du système qu’ils ont instauré. J’ai lourdement payé pour avoir vu de très près ! À refaire ? oui sans aucun doute. Pour le meilleur et pour le pire. Je ne suis pas ressortie de ce cauchemar indemne, c’est un fait, les cicatrices trop profondes ne se refermeront pas. Mais j’ai acquis une force qui me permet de regarder ce monde dans lequel nous vivons avec une grande lucidité et sans surprise, ni panique. Alors j’écris… Que mon expérience puisse aider les gens à ouvrir les yeux.

En fait, nous vivons deux apocalypses : tout d’abord celle de la fin d’un monde qui se détruit tout seul par ses excès, le fameux « hubris » qui est la faute fatale qui culbute les hommes qui s’y abandonnent, les empires qui s’étendent trop et deviennent ingérables. L’apocalypse où tombent les masques ! Et enfin l’apocalypse du renouveau que tous les enfants de ce siècle, qui part si mal, ont envie de créer ! « Les affaires, sont les affaires… », disent certains. L’harmonie universelle  leur est supérieure. Le choix est fait !

« Les peuples doivent impérativement continuer à se lever, réagir pour mettre fin à ce délire, à cet assassinat planétaire perpétré par une poignée de nuisibles, complètement fous et dégénérés »

Le Média en 4-4-2 : Merci Christine pour le temps que vous nous avez consacré ! Merci pour cet émouvant et captivant entretien. Nous vous laissons le mot de la fin pour que vous puissiez par exemple nous dire ce qu’on peut vous souhaiter pour la suite.

Christine Deviers-Joncour : Mon souhait ? que les peuples retrouvent enfin un monde apaisé et la sérénité ! Que nos enfants soient protégés de ces satanistes qui opèrent et complotent depuis trop longtemps… Que justice soit faite contre ces criminels ! Quant à moi, que je puisse à travers l’écriture continuer ce combat avec tant d’autres qui se battent aussi. L’ordre mondial actuel ne peut plus se perpétuer de la sorte ! Il est un problème crucial pour l’humanité, un problème qui doit être impérativement et au plus vite résolu. Les peuples doivent impérativement continuer à se lever, réagir pour mettre fin à ce délire, à cet assassinat planétaire perpétré par une poignée de nuisibles, complètement fous et dégénérés.




Bilan et perspectives de la Secte SHAA (Davos 2023)

Par Lucien SA Oulahbib

1) Définitions ; 2) Bilans ; 3) perspectives

1) SHAA : Secte Scientiste Hygiéniste Affairiste Alarmiste

1/a : Secte

À la différence de la Caste qui regroupe des individus cooptés selon divers critères, la Secte y ajoute le fait d’être ouverte à tous à partir du moment bien sûr où ses principes sont non seulement sus, mais crus (au sens d’être reliés — relegere — dans un ordre imposé, souverain, au sens de Carl Schmitt, sur [auf] toute vérité : césure ami/ennemi). Par contre il est interdit d’en sortir sous peine de perdre non seulement toutes ses positions, mais aussi d’être vilipendé, poursuivi, jusqu’à ce que mort sociale s’ensuive (voire suicide assisté), surtout si le « poste » occupé (le point d’intersection dans la Matrice) était important au sens de croiser plusieurs fils d’influence jusqu’à faire réseau ayant un poids donné. En un mot l’apostasie est interdite dans la Secte alors que sortir d’une caste marginalise seulement sans autre stigmatisation qu’une perte de privilèges.

1/b : Scientiste

Scientiste ne désigne pas le terme de « scientifique » comme dans sa traduction anglaise, mais plutôt l’idée, réductrice, que seul le consensus serait le critère abouti de vérité en matière de certitude logique (saisir la composition de tout réel — d’imaginaire à matériel), alors que le consensus n’en est qu’un des buts rationnels (donner plus de sens au monde et donc le partager) surtout à plus long terme, le temps que le filtre historique ait fait le tri. Ainsi du temps de Galilée il y avait « consensus » pour considérer que c’était plutôt le soleil qui tournait autour de la terre ; ou au XVIIe siècle que le « phlogistique » expliquerait le phénomène de la combustion…

Ce terme de scientisme désigne donc plutôt une confusion entre ce qui est devenu certain au fil du temps (où la Certitudo) et ce qui reste encore provisoire nécessitant débat entre opinions, points de vue, etc.) (où la Disputatio) ; aussi l’idée de « croire » à « la » Science, à « la » Médecine (comme dans Le malade imaginaire magistralement analysé par Molière – qui ne fait hélas toujours pas partie du Panthéon) s’avère être un oxymore en ce sens où il s’agit de prouver en science que  tel procédé à la fois fonctionne et prévoit que dans les mêmes conditions initiales le résultat attendu corresponde, et non pas que les prévisions, seules, fassent office de preuve : en un mot, seules les observations vérifiables comptent en dernière instance (climat compris) ; en aucun cas les modélisations seules, car celles-ci présupposent d’une part des moyennes qui, d’autre part, ne tiennent pas en compte d’éléments au départ epsilon mais qui tel le battement d’aile d’un papillon peut induire à terme (par addition incrémentale ou infinitésimale démultipliée) la catastrophe (au sens de René Thom). Ainsi qui aurait pu penser que l’assassinat de l’archiduc autrichien allait aboutir à la conflagration non seulement de 1914, mais aussi de 1939 jusqu’à sa résurgence actuelle dans le conflit OTAN-Russie (tout en sachant qu’il s’agit de gradations, intégrations par paliers et non pas de corrélations directes) ? Ou que la manipulation génique d’un « virus » en vue d’un gain de fonction ait pu créer les conditions d’un « Grand Reset » comme le déclament, eux-mêmes, certains membres de la Secte ?…

1/c : Hygiéniste

Prosaïquement, il s’agit de l’idée, scientiste (réductrice, supra) qu’en saisissant puis éradiquant un phénomène pathogène dans sa « racine » on puisse l’épurer, et ce de manière strictement exogène (politique du « zéro covid »), c’est-à-dire sans tenir compte des capacités intrinsèques de l’organisme touché par ce pathogène à réagir. Certes, cette  « idée » peut se comprendre d’une part lorsque l’élément pathogène est isolable et repérable et d’autre part lorsque l’organisme touché a besoin d’être aidé pour se défendre, d’où de plus en plus la constatation que c’est bien l’hygiène et non pas l’hygiénisme qui en écartant les éléments empoisonnant bien plus l’organisme que le fortifiant a permis d’asseoir sur de meilleures bases ce que Claude Bernard appelait « le silence des organes » même si cette formule doit être bien sûr complexifiée en musique des organes (ou la compréhension du biotope et de sa cosmologie, supra). Mais cela n’a aucun sens lorsque d’une part il serait prétendu qu’on puisse se substituer à cette capacité, naturelle, de défense et d’anticipation (bien savoir manger, se reposer, aimer) et que d’autre part il serait sous-estimé que ce phénomène pathogène est lui-même l’intersection d’autres phénomènes en inter-rétro-action avec tout un biotope, sans parler de son environnement strictement physico-chimique (et pour une grande part cosmique d’où l’influence — encore à découvrir — de notre univers en expansion sur la création atomique permanente composant nos cellules, ces microcosmes…). Pour preuves enfin, les approches délétères de ladite « crise sanitaire » d’aujourd’hui bien résumées par les analyses d’un Perronne et de diverses autorités interviewées dans le seul organe de presse encore lisible en France à savoir FranceSoir

1/d : Affairiste

Encore plus succinctement, se dit de toute activité humaine dont le but s’avère uniquement logiquement lucratif écartant tout côté rationnel c’est-à-dire faisant en sorte que les moyens justifient la « fin » pensée non plus en termes de bien commun public, etc., mais uniquement en termes de gain narcissique dépassant alors tout égocentrisme et égoïsme vers un égotisme exacerbé au sens non pas stendhalien, mais démesuré du terme : s’étalant  ainsi sans vergogne sur tous les étals des miroirs médiatiques et/ou des écuries d’Augias et autres salons bien plus épicés que feutrés, mais à la mode ; tout en sachant que certains vampires détestent la lumière, surtout lorsqu’ils sont dans leur état initial… Tout cela aboutissant à un pouvoir d’achat incommensurable, certains segments de la Secte dépassant de loin le budget annuel d’un État (en perdition) comme la France… Comment dans ces conditions ne pas comprendre, surtout en ces périodes de basse eau éthique (la croyance idéologique l’ayant remplacé définitivement) que des Dorian Gray pullulent partout, mais avec, de plus en plus, un visage d’ange ?…

1/e : Alarmiste

Relevons seulement (tant la « vraie » littérature sur ce sujet est de plus en plus abondante) l’énormité des catastrophes annoncées (des villes inondées, la biodiversité en péril, des morts par millions) et qui justifient l’actuelle campagne régressive/répressive à l’encontre du moteur thermique (alors que le moteur électrique est loin d’être « propre ») et sert bien plus à conditionner façon expérience de Milgram, à l’instar des catastrophes dites sanitaires (bien plus syndémiques et « plandémiques » qu’endémiques)… Avec comme conséquences l’accroissement de l’anxiété, le refus de procréer désormais en Occident, le suicide larvé en un mot posé comme plaisir ultime…

2) Bilans

Même s’il est toujours aléatoire d’établir des congruences vérifiables entre des séries d’événements qui semblent distincts les uns des autres, il s’avère qu’en situation systémique liée à l’intégration à la fois mondialiste (échanges divers depuis la Renaissance) et globaliste (division internationale du travail liée au poids grandissant du modèle de la Firme qui n’est pas seulement un concept des Guignols), les interactions coordonnées entre plaques financières, économiques et politiques sont décelables, déjà dans leur accélération, avec les sommes astronomiques en jeu, les effets de pouvoir et de prestige qui en résultent… avec les débordements occurrents, déductibles, malgré les bonnes volontés dites « anti-corruption », mais toujours contournées parce que l’eau affairiste arrive toujours à ses fins lorsque les limites eschatologiques traditionnelles (dont la probité éthique) se sont effondrées. Celles-ci sont remplacées maintenant par la croyance scientiste (supra) dans l’absolutisme totalitaire, mais maquillé et malaxé dans de l’eau de rose médiatique, ce qui a beaucoup de succès parce que tout un chacun reste obnubilé dans l’ensemble par les courbes esthétisées des prédictions multiformes et leurs contreparties boursières et/ou fiscales (la Présidente de la Commission européenne gagnant plus de 36 000 euros par… mois). Chaque élément de la blockchain mise en place espère pouvoir tirer son épingle numérique du jeu avant qu’il ne soit trop tard (trop star : étoile filante, supernova puis trou noir…).

D’où l’accord de principe à accélérer dans « l’horreur » affairiste (supra) via le démembrement des nations, genres, corps débités en segments cibles particules… Quitte à articuler les crises : sanitaire, climatique, guerrière, avec à chaque fois la montée aux extrêmes : effondrement du système immunitaire en vue, du système énergétique donc économique, enfin amorce vers la guerre totale au sens théorisé par Clausewitz…

3) Perspectives

Les courants idéologiques de la Secte SHAA (si rétrogrades dans leur agressivité à l’instar d’un Cohn-Bendit de plus en plus pathétique) entrecroisent encore dans leur apparence plastique tout un faux progressisme idéaliste et un pseudo libéralisme purement logique ou affairiste (supra) alors qu’ils ont désormais bel et bien failli (aucun intellectuel de renom pour le premier courant, hormis peut-être un Emmanuel Todd qui semble avoir découvert à nouveau l’eau tiède récemment ; ne parlons pas du second enferré dans ses chiffres et courbes…), mais telle la lumière des étoiles mortes qui nous arrive encore aujourd’hui, ces courants idéologiques, ayant abandonné l’esprit scientifique et créatif au sens goethien (articulant art et science) sont devenus, depuis longtemps au fond (depuis peut-être les années 30 avec la montée en puissance de la notion de propagande dans la communication) les courroies de transmission chics (soft et smart power) de la Secte SHAA tant celle-ci par les pouvoirs immenses et globaux, l’argent prodigieux, le prestige mondial qu’elle détient (tout en contrôlant nombre de places institutionnelles ou retraites dorées) apparaît comme ce dernier « horizon indépassable » que Sartre crut voir dans le marxisme-léninisme puis maoïste, ses descendants l’apercevant aujourd’hui dans cet entrecroisement hybride actuel entre ces deux courants autrefois ennemis aujourd’hui interchangeables celui du nihilisme antirationnel démembrant avec la froideur de « l’expert » policier l’intériorité singulière des corps (nations, genres, organes) tout en restaurant leur façade façon village « BFMkine ».

La perspective serait alors de contrecarrer leur nouvelle Tour de Babel… Comment ?… Surtout à l’ère du narcissisme affairiste exacerbé… Néanmoins une chose semble sûre :  la Secte aurait mangé tout son pain blanc.




Colloque interdisciplinaire « Corruption et fraude dans la crise COVID depuis 2020 »

[Source : kairospresse.be]



Corruption systémique et endémique des systèmes de santé

Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé, auteur du livre Covid : anatomie d’une crise sanitaire (éd. Humensciences), expose depuis mars 2020 tous les aspects de corruption systémique et les mensonges dans les systèmes de santé. Il est membre du CSI (Conseil Scientifique Indépendant).

Alors que l’instrumentalisation des politiques sanitaires au service d’intérêts prioritaires autres que ceux de la population est connu de longue date comme un problème systémique, la crise du Covid a été l’occasion d’une étonnante amnésie collective (à moins qu’il se soit agi d’un interdit) à ce sujet. Ceci pendant que les processus de corruption directs et indirects se diffusaient largement à d’autres milieux, posant désormais la question de leur possible endémicité au cœur de notre société.

Site : https://anthropo-logiques.org/



Corruption statistique

Pierre Chaillot, chercheur, auteur de la chaîne Décoder l’éco, analyse régulièrement les manipulations dans les interprétations statistiques, notamment dans ses interventions au CSI (Conseil Scientifique Indépendant)La crise Covid : épidémie de la peur et du mensonge propagée par le virus statistique. Depuis 2 ans, un déferlement continu de chiffres bien choisis a accompagné chaque phase de l’histoire : prédictions catastrophistes sur la base de modèles imaginaires, changements de définitions, oubli ou sélection orientée des éléments de comparaison, utilisation sans filtre de données non contrôlées… Toute publication a dû se conformer au postulat initial : un virus mortel circule mondialement, toutes les mesures mises en place sauvent des vies, tout particulièrement les vaccins sûrs et efficaces. Pour certains ce prisme de lecture sacrifiant tout principe déontologique a permis un enrichissement jamais égalé, pour d’autres, l’asservissement d’une population reconnaissante envers ses sauveurs, et pour les derniers le sentiment du devoir accompli en protégeant la plèbe d’une vérité trop rassurante face au danger. 

Chaîne Décoder l’éco



Corruption mathématique et épidémiologique

Vincent Pavan, docteur en mathématiques, enseignant à l’Université d’Aix-Marseille, est co-auteur du livre Le débat interdit (Trédaniel). Il est intervenu dès mars 2020 pour dénoncer les fraudes mathématiques ayant préexisté aux décisions politiques sur les confinements et a déposé plusieurs plaintes en justice. Il est membre fondateur du CSI(Conseil Scientifique Indépendant).

Dans un grand nombre de secteurs différents, la crise liée au COVID a révélé des fonctionnements totalement corrompus. Peu de secteurs institutionnels auront pu échapper à une déliquescence complètement de leur éthique, leur déontologie ou leurs principes.

Ainsi en France la médecine a‑t-elle abandonné son serment d’Hippocrate, sous pression d’un Conseil de l’Ordre retrouvant là son fonctionnement collaborationniste originel.

De la même manière, la justice administrative, prise entre son devoir de service de l’exécutif et son rôle de protection des libertés publiques, a résolument choisi de cautionner les décisions administratives plutôt que la protection des droits de l’Homme, quand bien même son devoir sacré consistait précisément en la protection contre le fonctionnement du totalitarisme.

Au premier plan de la corruption, l’Université est également devenue l’alliée objective du régime totalitaire, non seulement en cautionnant le scientisme déliquescent des experts officiels de l’État, mais également en s’attaquant aux chercheurs capables de délivrer une pensée critique maîtrisée s’opposant à la narration idéologique du pouvoir.

Dans notre intervention, nous montrons que les idéologues du régime ont tenté de corrompre la science attachée à la modélisation mathématique du réel pour tenter de faire croire à l’existence de raisons épidémiologiques fiables et objective aux privations absurdes de liberté qui ont été décidées dans de nombreux états occidentaux.

À l’aide de présentations truquées, d’algorithmes détournés et d’utilisation frauduleuse du langage mathématique, ils ont sciemment fraudé les principes de la science pour contrefaire des résultats qu’ils savaient parfaitement invalides. Servis aux médias et à la représentation politique qui les a acceptés sans discuter, ces résultats ont permis que s’installent dans l’imaginaire collectif des croyances infondées qui polluent encore aujourd’hui, et peut-être pour longtemps, la représentation de la syndémie de Sars-Cov‑2. En montrant de façon détaillée où se situent les pires impostures scientifiques des membres du conseil scientifique français, nous établissons que la corruption de la science a constitué l’une des pires falsifications de l’histoire, que l’Université et les chercheurs, dans leur grande majorité ont accepté sans sourciller.



Corruption informatique

Emmanuelle Darles, docteur en informatique, enseignante à l’Université de Poitiers, auteur du livre Ne touchez pas à nos enfants. Emmanuelle a présenté ses travaux au Sénat en France, qui refuse de les rendre publics. Elle participe régulièrement au CSI (Conseil Scientifique Indépendant).

Au cours de ces dernières décennies, nous avons assisté à une volonté de modéliser le monde en vue de le réduire à quelques algorithmes. Durant cette crise, plusieurs mesures sanitaires (confinement, masques, …) ont été prises sur la base de ces calculs qui s’inscrivent allègrement dans la réduction du vivant et de sa complexité. Cette présentation adresse un état des lieux de la corruption informatique dans ce contexte ainsi que les failles conceptuelles des méthodes qui ont été utilisées qui ont conduit à une atteinte des libertés fondamentales individuelles.

Site : https://www.emmanuelle.darles.fr/



Comment en sommes-nous arrivés là. Histoire d’une lente corruption

Olivier Soulier, médecin homéopathe, chercheur, fondateur de la médecine du sens, fondateur du Syndicat Liberté Santé, intervient régulièrement au CSI(Conseil Scientifique Indépendant) dont il est aussi membre fondateur.

Ce qui se produit actuellement n’a pas commencé en 2020 ou 2019, ni même dans les vingt dernières années.

C’est un long processus d’envahissement de la médecine humaniste par la médecine chimique, business et corruptive depuis un siècle, alliée et gouvernées par des forces essentiellement financières. Cette présentation retrace les lignes principales, ce qui permet de mieux comprendre le comment, le pourquoi et les forces en présence.

Site : https://www.lessymboles.com



Corruption philosophique et psychologique

Ariane Bilheran, normalienne, docteur en psychopathologie, co-auteur du livre Le débat interdit (Trédaniel) et Les chroniques du totalitarisme (2021). Elle est intervenue dès le début de la crise pour expliquer les mécanismes de manipulation de masse, et la dérive totalitaire en cours. Elle a notamment participé en tant qu’experte au Jour 4 du Grand Jury du Dr Reiner Füllmich, au CSI (Conseil Scientifique Indépendant) et a interviewé Vera Sharav pour diffusion en France.

La dérive totalitaire actuelle suppose un endoctrinement des masses à l’idéologie ainsi qu’une corruption radicale de notre rapport métaphysique au monde et au savoir. Fonctionnant au mensonge, le phénomène totalitaire ne se légitime que par la fraude sur les premiers principes dans les domaines dont il s’empare : fraude langagière, fraude épistémologique, fraude politique, fraude juridique, fraude morale et fraude psychique. Cette fraude repose sur une conception erronée et réduite de l’être humain et de sa relation au monde, afin de lui supprimer ses droits fondamentaux.

Site : https://www.arianebilheran.com



Corruption médiatique

Slobodan Despot est éditeur, traducteur, romancier, directeur de la lettre magazine L’Antipresse, journaliste et écrivain. Il a proposé dès le début de la crise en 2020 un autre regard médiatique qui analyse en particulier le traitement de l’information par les médias de masse.

Comment se protéger du Covid ? En coupant la télévision ! » Sous cette boutade se cache une effrayante réalité : pour la première fois dans l’histoire, une pandémie a fait davantage de dégâts dans les têtes que dans les corps, intimidé davantage par les récits et les projections qu’on en faisait que par ses effets physiques. La compréhension de cette séquence dystopique impose donc un réexamen fondamental de nos systèmes d’information transformés en outils d’intimidation et de contrôle des masses.

Site : l’Antipresse



Corruption juridique

Virginie de Araujo-Recchia, avocate au Grand Jury du Dr Reiner Füllmich a déposé de nombreuses plaintes dont une plainte pour « dérives sectaires », impliquant des faits « d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse », ainsi que de « complicité d’empoisonnement et de génocide ».

Autant nous assistons à l’inversement des valeurs au sein de nos sociétés occidentales, autant nous assistons à l’inversement de la hiérarchie des normes juridiques.

En effet, force est de constater que les grands principes juridiques applicables, en toutes circonstances, au sein/au cœur de toute société civilisée, sont désormais foulés au pied au détriment de l’intérêt des peuples et corrélativement au seul profit de la finance internationale mondialiste détenant notamment les groupes pharmaceutiques impliqués.

La fraude est commise sous l’égide de fondations, d’agences et de groupes de réflexion internationaux et au travers de la corruption des médias grand public et des plateformes numériques complices du cloisonnement de l’information et par conséquent d’un obscurantisme décomplexé.

Ainsi, une réglementation technocratique pullulante, incohérente et déracinée se substitue aux normes supérieures avec les conséquences désastreuses que nous connaissons.

Règne désormais un mépris total du droit à la vie, du principe de la dignité humaine, de la sacralité de l’esprit et du corps jusqu’à atteindre l’environnement du fœtus et le génome de l’être humain.

Ces questions nous mènent à la croisée du droit et de la philosophie.

Liste de ses actions : https://dar-avocats.com/actualites/



La corruption des philosophes et des intellectuels

Mehdi Belhaj Kacem, philosophe, auteur de Colaricocovirus — D’un génocide non conventionnel (éditions Exuvie)

Ce livre a été écrit avec la volonté de dresser un constat sur la crise du Covid-19 en adoptant un regard à la fois philosophique et politique. En effet, cette crise a bouleversé le monde entier dans ses fondements et comme jamais auparavant.



La corruption des esprits : comment les nouvelles grandes puissances financières contrôlent la narration du Covid et menacent la démocratie

Laurent Mucchielli est sociologue, directeur de recherche au CNRS, auteur de La doxa du Covid (Bastia, éditions Éoliennes, 2022, 2 tomes, 128 et 566 pages).






Comment nous sommes manipulés, comment nous en protéger

[Source : covidhub.ch via Profession Gendarme]

Les deux scientifiques exposent les méthodes du « piratage » de l’être humain annoncé par Yuval Noah Harari. « Il faut les connaître avant de pouvoir les désactiver. »

Cette conférence-dialogue débute par l’extrait d’une déclaration limpide de Yuval Noah Harari, historien, auteur du best-seller Sapiens et maintenant conseiller de Klaus Schwab, le président du Forum économique mondial.

Harari affirme que l’humain serait «piratable», par l’insertion de puces «sous la peau»… Au vu des évènements de la crise covid, il est permis de se poser la question: les humains ont-ils été piratés? Quelles sont ces techniques de piratage et surtout comment s’en protéger ?

Bientôt tous connectables ?

Lucien Cerise (diplômé en philosophie et sciences humaines, spécialisé dans le langage et l’épistémologie) et Philippe Bobola (physicien, biologiste, anthropologue et psychanalyste, spécialisé notamment en nanotechnologies) ont exposé les mécanismes souvent ignorés qui nous transforment en objets connectables.

Ces outils permettent de manipuler et programmer les perceptions et les comportements, qu’ils soient individuels ou collectifs. S’y ajoutent les méthodes subtiles pour nous les faire accepter.

Désamorcer la programmation de l’esprit

La vérité libère, expliquent-ils. Ou du moins, elle rend possible de comprendre à qui et à quoi nous avons affaire, première étape nécessaire pour reprendre le contrôle de nos destinées.

C’est avec ces deux éminents spécialistes que nous naviguons dans les eaux troubles du contrôle mental et de la programmation de l’esprit. Ces méthodes qui, disent-ils, font partie des armes secrètes des États, doivent absolument être exposées à la connaissance du public pour pouvoir désactiver leur potentiel destructeur et rendre aux humains leur libre arbitre.

[Voir aussi :
Comment fonctionne le contrôle mental réel
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Le contrôle mental au temps du Covid
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Les 4 niveaux de contrôle comportemental autoritaire et la valeur de votre esprit unique
Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous
Le contrôle des émotions et des pensées par la technologie
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction
https://www.medias-presse.info/controle-mental-a-distance-regardez-cette-experience-filmee-en-1964/169418/]




La vérité sur le Covid avec Jean-Michel JACQUEMIN-RAFFESTIN

[Source : Nicolas Dupont-Aignan]

Jean-Michel JACQUEMIN-RAFFESTIN est l’auteur de « Ne leur pardonnez pas ! Ils savent très bien ce qu’ils font ». Il dévoile le résultat de son travail sur les sujets suivants :
– La vérité sur l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine ;
– La manipulation des tests covid ;
– Y a-t-il eu une épidémie ?
– Les conséquences de la vaccination.




Fouler aux pieds le drapeau français : une euthanasie mentale

Par Lucien SA Oulahbib

Certains s’étonnent encore (ce qui interroge) d’observer ou subir ces scènes hallucinantes montrant des sbires, à uniforme pourtant légal, fouler aux pieds et de manière ostentatoire le symbole de la République Française alors que cet outrage est puni par la loi (code pénal : section 11 : De l’outrage au drapeau tricolore (Article R645-15)), ce qui impliquerait déjà de relever les numéros des sbires en question et de les poursuivre.

Ensuite, et répétons-le, rien d’étonnant cependant à cela : il s’agit pour le Pouvoir (au service de la Secte Davos ou SHAA) de bien montrer que le seul drapeau qui vaille est celui de l’UE, comme ne cesse d’ailleurs de l’afficher dans sa bonté incommensurable le Président actuellement en Poste en plaçant à plusieurs reprises (sous l’Arc de Triomphe ou lors d’allocutions officielles) le seul drapeau étoilé.

La France est en effet désormais, et ce selon les traités plaçant le Droit de l’UE au-dessus du Droit français, l’une de ses « étoiles » (mortes, mais brillant encore) et qui, de ce fait, doit dorénavant plier de plus en plus ses lois y compris suprêmes sous l’aulne du droit supérieur européen, conformément à la nouvelle hiérarchie des normes ; à l’exception certes de quelques dérogations (qui ne mangent pas de pain) comme l’organisation institutionnelle de telle ou telle structure, la date des élections, les rôles des instances décisionnelles… Mais cette « autonomie » ne change en rien les principes de subordination, accordés en effet légalement par les pouvoirs français élus, aux directives européennes. Celles-ci régissent désormais toutes les décisions fondamentales (comme le marché de l’énergie) et s’affirment de plus en plus en lieu de droits à intégrer, si ce n’est pas encore le cas, dans le corps juridique localement situé.

Banal. Ce qui l’est moins et apparaît encore choquant pour certains c’est bien l’affirmation brutale, spectaculaire, qu’il en est désormais ainsi, d’où l’impossibilité symbolique d’arborer de plus en plus le symbole du drapeau français, alors que cette interdiction de facto s’avère en réalité illégale. Mais le Pouvoir y voit plutôt une marque politique (et non pas légale) de sédition. Ce qui implique d’accentuer la mise au ban de tous ceux s’affichant avec le drapeau français hors des événements sportifs, ce qui est par ailleurs assez conforme avec cette coutume issue de la gauche assimilant ce symbole à celui des « Versaillais » ayant écrasé la Commune de Paris, et préférant donc plutôt les drapeaux rouge et noir, et, aujourd’hui, divers drapeaux verts…

Cette mise à l’index du drapeau (affiché cependant encore sur les officines officielles, mais aux côtés du drapeau européen ce qui fait qu’il apparaît plutôt comme une effigie bien plus locale que souveraine) et, de fait, cette mise au ban allant jusqu’à la mort sociale (médiatique, institutionnelle…) des individus et structures qui le déploieraient en tant qu’unique symbole de ce qu’ils veulent être collectivement s’apparente à l’identique (avec les mêmes sbires) à ce qui se passe encore dans les domaines sanitaires et scientifiques (injections, climat, théorie du genre, racialisme…) alors que ce qui est très strictement illégal, y compris du point de vue du droit européen, est de forcer, même indirectement, à injecter des substances, à mutiler des corps en leur retirant des organes sains, sous peine de lourdes sanctions….

D’où la nécessité pour le Pouvoir de la jouer aux interstices en n’empêchant pas officiellement les refus les critiques, sauf cependant pour ses fonctionnaires (d’où les soignants « suspendus »), mais en les bloquant officieusement par le bannissement de facto, la mise au pilori médiatique, l’assaut permanent de sbires, incompétents pour certains, qui, auréolés d’une surface médiatique ou institutionnelle officielle, vont s’arroger l’entièreté de l’expertise et de son autorité alors qu’il n’est rien comme l’ont montré avec brio les Perronne et Raoult dont les analyses sont jour après jour vérifiées : les traitements précoces sont bien plus efficaces que ces injections expérimentales qui suscitent de plus en plus des excès « inexpliqués » d’effets secondaires et même de morts dans des tranches d’âge en pleine force vitale.

Ne parlons même pas des errements en matières énergétiques et environnementales tant il s’avère que la même manipulation sévit, mais ce plus en amont et plus profondément, partant d’éléments réels comme la pollution ou les changements permanents quoique cycliques des événements climatiques, pour en faire des prévisions spéculatives qui ne correspondent en rien ou si peu aux observations hic et nunc.

Mais la plupart des dits défenseurs du drapeau se présentant avec superbe « souverainistes » ou « insoumis » (MDR) ont avalisé les propos anti-scientifiques et obscurantistes des représentants de la Secte concernant injections, muselières, CO2, etc., se cantonnant pour les premiers à la défense de frontières « nationales » pourtant mises à bas par l’Union Européenne qu’ils avalisent, n’opérant même pas, pour les seconds, une fronde qui a tout de même amené le Royaume-Uni également travailliste, à s’en affranchir, même si la politique actuelle du « Royaume » encore sous la coupe anglo-saxonne de la Secte, va toujours à l’encontre des intérêts de ses peuples.

D’ailleurs, il est à observer que sa sortie de l’UE n’empêche pas ses errements géopolitiques cherchant coûte que coûte à empêcher (y compris par le sabotage de gazoducs) l’émergence d’une alternative non seulement géopolitique (séculaire ou le refus d’une alliance euro-asiatique), mais géo-symbolique ou l’animosité de plus en plus antirationnelle envers tout modèle prétendant s’appuyer sur le droit naturel (Locke doit se retourner dans sa tombe) et sur les données scientifiques contemporaines spécifiant que la distinction entre les sexes n’est pas seulement une donnée anatomique, mais psychologique (Nuttin, 1980, p. 166) d’où l’impossibilité de toute manipulation dite « trans-humaniste ».

Mais comme les prétendus défenseurs du drapeau français restent encore sous le giron pseudo défensif d’une vision rétrécie (racialiste) du Politique (réduit également souvent à un passéisme et à des illusions perdues), la Secte (des Nouveaux Dévorants) a de plus en plus de beaux jours devant elle ; pour preuve le peu de succès des actuelles manifestations contre sa dictature même plus romaine, mais totalitaire…




Heurs et malheurs de la France (Partie 1)

Par Bernard Thoorens

En 50 ans la France est passée du 2e au 7e rang de l’économie mondiale. L’influence française dans les affaires du monde, autrefois majeure, est aujourd’hui insignifiante. Le niveau de vie de la population s’est fortement dégradé. La France compte aujourd’hui 12 millions de pauvres, sous le seuil de pauvreté officiel (INSEE) de 1102 €. 1.5 millions de seniors vivent dans la précarité, pas encore retraités mais rejetés du marché du travail. 4 millions de personnes sont mal logées, 300 000 sans domicile.

Comment peut-on imaginer que depuis une cinquantaine d’années, les présidents successifs, qui tous nous présentaient des programmes de mandature prometteurs, n’ont réussi qu’à détériorer la situation de la France et à appauvrir les Français, à dégrader leurs conditions de vie ?

En égrenant les questions du « s’il était président », on se rend bien compte que pour traiter la majorité des problèmes que nous subissons, il suffirait de revenir à la situation antérieure.

Mais du même coup, ce constat pose la question de l’intention. Pourquoi, dans ce pays clamant les Liberté, Égalité, Fraternité, a-t-on pris des mesures privilégiant les riches et appauvrissant les classes moyennes et les pauvres ? S’il s’agissait d’améliorer nos conditions de vie, pourquoi nos dirigeants ont-ils persévéré à les dégrader ? Pourquoi, de droite comme de gauche ont-ils mené cette politique désastreuse pendant des décennies ?

À ces questions, on ne peut pas concevoir autre chose qu’une politique délibérée, menée au détriment des Français. Les mensonges et les manipulations de ces dernières années l’ont bien montré.

Il suffit de se rappeler certains discours présidentiels pour comprendre leur but : ce sont des politiciens élitistes, acquis aux thèses mondialistes, qui ne rêvent que de Nouvel Ordre Mondial et ne s’en cachent pas. Et l’on voit bien qu’avec l’Europe, même si celle-ci a été à l’origine de certaines avancées, la France a perdu une grande partie de sa souveraineté.

S’il était président…

« Il » est une personne quelconque, désignée, à la manière de la démocratie athénienne, pour diriger le pays. Douée de bon sens, d’empathie pour autrui, d’amour de la France et préoccupée du bien commun, elle n’aurait « fait » ni l’ENA ni aucune grande école où l’on apprend l’orgueil : être les meilleurs, réussir dans la vie, faire partie de l’élite. Elle serait détachée des honneurs et de l’argent qui corrompent. Ces seuls critères suffiraient à la désigner président(e).

  • Il rendrait à la France sa souveraineté en la faisant sortir de l’Union Européenne. Nos contributions à l’UE ont dépassé de très loin les bénéfices que nous en avons tirés, en particulier le développement économique (faiblesse des investissements, désindustrialisation, coût de l’énergie) et la paix ; nous nous trouvons embarqués dans un conflit que nous n’avons pas voulu, qui risque fort de nous mener à une guerre de haute intensité.
  • Il reconstruirait des relations internationales justes. Fini la Françafrique qui dure encore aujourd’hui, les accords multilatéraux en notre défaveur, les leçons de morale aux dirigeants étrangers, les accords avec les pays finançant le terrorisme.
  • Il ferait sortir la France de l’OTAN. S’abriter sous le parapluie d’une organisation américano-internationale qui mène une guerre contre la Russie par Ukraine interposée est dangereux. Surtout nous avons acquis notre indépendance stratégique grâce à la dissuasion nucléaire et cet argument se suffit à lui-même.
  • Il fixerait l’ensemble des mandats à 5 ans, non renouvelables afin de déprofessionnaliser la vie politique, assortis d’une procédure de destitution et rendus inamovibles par une inscription de ces règles dans la constitution.
  • Il ramènerait le train de vie de l’État à un niveau minimal et le soumettrait au vote parlementaire.
  • Il rendrait la vie publique irréprochable en supprimant les conflits d’intérêts, le pantouflage, le conseil par des organismes étrangers, les revolving doors, le clientélisme.
  • Il instituerait le Référendum d’Initiative Citoyenne.
  • Il relancerait le réacteur nucléaire de quatrième génération Astrid permettant de fermer le cycle de l’atome et d’éviter le stockage profond des déchets.
  • Il reconstruirait la Santé publique avec les hôpitaux, les Ehpads, la médecine de ville.
  • Il abolirait la financiarisation de l’hôpital. Le critère décisif est la santé du patient, pas le coût de journée.
  • Il rendrait la Sécurité sociale plus juste en revenant à une gestion paritaire, en assurant le financement des régimes spéciaux exclusivement par les bénéficiaires des régimes spéciaux, en lui permettant d’engager des poursuites en cas de fraude.
  • Il reconstruirait l’École publique en recentrant l’éducation sur les apprentissages de base et la citoyenneté. L’école prépare à mener sa vie d’adulte, elle doit apporter à chacun une profondeur de réflexion, une culture, une autonomie, une maturité physique, psychique et spirituelle.
  • Il reconstruirait la recherche publique. La recherche dont les bénéfices profitent aux Français ne doit pas être soumise à des intérêts privés.
  • Il rendrait sa liberté à l’École libre. Le choix d’élever ses enfants dans la religion doit être respecté.
  • Il reconstruirait une société civile morale et saine.
  • Il favoriserait l’égalité des sexes.
  • Il fixerait les droits et les devoirs des immigrés.
  • Il reconstruirait une Justice efficace, indépendante en supprimant le ministère de la Justice (séparation des pouvoirs), en la dotant des moyens nécessaires à sa mission.
  • Il rendrait aux représentants de la nation leur pouvoir législatif, supprimerait l’article 49.3 et supprimerait l’influence des lobbys.
  • Il renationaliserait les autoroutes, l’électricité, le gaz, l’eau, l’armement qui sont des biens publics et non et non soumis à des intérêts privés.
  • Il supprimerait l’utilisation des pesticides, favoriserait la culture bio non intensive et la biodiversité (agriculture, forêt, milieu aquatique).
  • Il reconstruirait l’industrialisation de la France. La qualité, l’innovation, l’autonomie ne peuvent pas être obtenues par de la sous-traitance low cost et en bradant notre savoir-faire.
  • Il rendrait la TVA variable en fonction de la valeur ajoutée des produits, de la nourriture, des équipements, des consommables. Ex. : légumes bio et locaux à 0 %, sodas à 80 %, produits ultra transformés à 100 %.
  • Il favoriserait la réduction de consommation d’énergie dans les transports, l’habitat et l’industrie.
  • Il restaurerait les critères essentiels de qualité des produits, de durabilité, de réemploi.
  • Il rendrait les transports collectifs de proximité gratuits (trajets pour se rendre au travail).
  • Il simplifierait le millefeuille administratif, générateur de lourdeurs et de gaspillage.
  • Il conduirait la décentralisation à son terme pour un rééquilibrage des territoires.
  • Il rendrait les médias indépendants des intérêts tant privés que publics pour une information transparente et libre d’accès.
  • Il fixerait une fiscalité juste (impôt sur le revenu pour tous, droits de succession supprimés pour les petites successions).
  • Il favoriserait l’accès au logement pour tous, en particulier au logement individuel et il supprimerait la spéculation immobilière.
  • Il lutterait réellement contre les trafics (humain, armes, drogue, animaux, organes, enfants).
  • Il proposerait un moratoire sur les sujets polémiques (éoliennes, bassines, urbanisation, 5G), commanderait les études scientifiques indépendantes nécessaires, les rendrait publiques et soumettrait les décisions au législateur.
  • Il réglerait par la concertation les nombreux problèmes relatifs au déploiement des thèmes cités ci-dessus.

En un mot il rendrait à la France sa grandeur et aux Français leur fierté.




Appel à la réunion des résistances

[Source : Jean-Dominique Michel]

Que l’année 2023 — année de tous les dangers mais aussi de tous les possibles — soit cette de la mise en échec de l’agenda pervers de pouvoirs et d’élites dégénérées…
… au profit du monde à naître, un monde où il fasse bon vivre et qui soit respectueux de la valeur de dignité infinie sertie au cœur de chaque être humain !

[Voir aussi :
Comment s’unir]




Rencontre entre Guy Boulianne et le général Dominique Delawarde

[Source : Guy Boulianne]

Rencontre entre le journaliste indépendant Guy Boulianne et le général de l’armée française Dominique Delawarde. Cette conférence eut lieu samedi le 7 janvier 2023 à 11H (Montréal) — 17H (Paris).
Information : https://www.guyboulianne.info/?p=79933






« Cause inconnue » : L’exploration pionnière d’Ed Dowd sur les morts subites après le lancement des vaccins contre la COVID

[Source : mondialisation.ca]

Ce qu’Ed Dowd a fait dans son livre, « Cause Unknown: The Epidemic of Sudden Deaths in 2021 and 2022 » [Cause inconnue : L’épidémie des morts subites en 2021 et 2022], nous encourage à faire preuve de curiosité et de scepticisme face à ce moment sans précédent, où de nouveaux produits pharmaceutiques peu testés sont injectés à la majorité des habitants de la planète.

Note de la rédaction [de Mondialisation.ca] : Il s’agit de la postface du nouveau livre d’Edward Dowd, « Cause Unknown: The Epidemic of Sudden Deaths in 2021 and 2022 » (Cause inconnue : L’épidémie des morts subites en 2021 et 2022).

Par Ed Dowd et Gavin de Becker
The Defender

Une petite expérience de pensée :

Imaginez que des milliers de jeunes Américains en bonne santé meurent soudainement, de façon inattendue et mystérieuse, puis continuent de mourir à un rythme alarmant et croissant. (Il était une fois), cela déclencherait une enquête urgente des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) pour déterminer la cause des décès.

Imaginez que des responsables de la santé publique attentifs et curieux découvrent que les défunts ont tous ingéré à plusieurs reprises un médicament nouveau et peu connu. Ensuite, les fonctionnaires déterminent avec certitude que le médicament que ces enfants ont pris a un mécanisme d’action clair pour provoquer une inflammation du cœur et d’autres lésions cardiaques chez certaines personnes.

Ils apprennent que les responsables de la santé publique d’autres pays ont constaté la même chose et ont cessé de recommander ce même médicament aux jeunes. Ensuite, certains des conseillers scientifiques les plus anciens et les plus vénérés du gouvernement américain recommandent publiquement l’arrêt du médicament pour les jeunes.

Enfin, des milliers de médecins du monde entier signent des pétitions et écrivent des articles d’opinion pour s’opposer à ce médicament pour les jeunes. Des experts des universités de Harvard, Yale, MIT, Stanford et Oxford viennent exprimer leurs préoccupations.

Hélas, cette expérience de pensée ne nécessite aucune imagination, car c’est exactement ce qui s’est produit – à l’exception de la partie concernant les fonctionnaires attentifs et curieux des CDC qui se sont précipités pour enquêter. J’ai dû inventer cette partie.

Dans le monde d’avant COVID-19, les journalistes curieux ne se seraient-ils pas lancés à la poursuite d’une telle histoire, et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis n’aurait-elle pas suspendu l’administration du nouveau médicament mystère jusqu’à ce qu’une enquête approfondie soit terminée ?

Et surtout, un tel médicament ne serait-il pas rapideme

D’une certaine manière, ces questions sont devenues rhétoriques.

Mais pas pour Edward Dowd. Son exploration pionnière de ces tristes morts subites a précédé de plusieurs mois l’article du Wall Street Journal (WSJ) sur une énigme mortelle à laquelle sont confrontées les compagnies d’assurance.

Apparemment, au fur et à mesure de la progression de la vaccination de masse en 2021, les demandes d’indemnisation pour excès de décès chez les Américains en âge de travailler ont triplé. Compte tenu de la relation temporelle, pourrait-il y avoir un lien entre les vaccins et ces décès ?

Apparemment non, car l’article du WSJ ne mentionne même pas la vaccination de masse parmi les causes à prendre en considération :

  1. Traitement médical retardé à partir de 2020
  2. La crainte des gens de se faire soigner
  3. Difficulté à trouver des rendez-vous
  4. La toxicomanie et autres problèmes de société
  5. Les gens ne prennent pas soin d’eux-mêmes
  6. Long COVID
  7. Effets à long terme non encore connus de COVID-19
  8. Des personnes qui meurent plus tard « à cause des dégâts causés par la COVID sur leur corps »

Les numéros 1, 2 et 3 sont tous des sous-ensembles du même concept : l’impact des confinements et de la peur. Les numéros 6, 7 et 8 sont tous des sous-ensembles du même concept : l’impact de la maladie COVID-19.

En dehors de l’abus de drogues et de la difficulté à obtenir des rendez-vous chez le médecin, est-ce que quelque chose d’autre s’est produit en 2021 qui pourrait peut-être, possiblement, m’appeler fou, mériter d’être pris en considération ?

Les assureurs ont attribué la plupart des décès excédentaires en 2021 aux problèmes cardiaques et circulatoires, aux troubles neurologiques et aux accidents vasculaires cérébraux. C’est une coïncidence, apparemment, que presque tous leurs clients décédés venaient de se faire injecter un produit connu pour provoquer des problèmes cardiaques et circulatoires, des troubles neurologiques et des attaques.

L’incompréhension des PDG et des experts du secteur de l’assurance interrogés pour l’article du WSJ était compréhensible, car, vous savez, comment diable les décès pourraient-ils être liés à un tout nouveau médicament, jamais utilisé auparavant, qui a été testé au minimum, précipité au maximum, administré en masse et, oh oui, et au fait, connu pour causer les problèmes médicaux dont mouraient leurs clients ?

(Si vous avez le moindre doute sur le fait que les vaccins à ARNm provoquent des problèmes cardiaques, consultez l’annexe quatre, page 190, pour un échantillon de 100 articles publiés sur les lésions cardiaques provoquées par les vaccins chez les jeunes.)

Veuillez pardonner trois autres questions rhétoriques :

  • Les Américains n’ont-ils pas beaucoup d’excellentes raisons de se méfier des grandes entreprises pharmaceutiques ?
  • Pourquoi l’industrie pharmaceutique se voit-elle accorder le type de confiance auparavant réservé aux entreprises qui n’ont pas un long passé de fraude criminelle ?
  • Qu’est-ce qui se passe avec ça ?

Un peu d’histoire récente pertinente : En 2021, un jury a reconnu Elizabeth Holmes coupable de fraude médicale. Au cours du procès, elle a admis que son entreprise effectuait des tests médicaux en utilisant les mêmes vieilles machines qui étaient censées être remplacées par sa remarquable nouvelle technologie.

Bien que des personnes aient reçu des résultats médicaux frauduleux et incorrects, l’engouement des médias pour Mme Holmes et Theranos a entretenu la fraude pendant des années, à tel point que la société a finalement été évaluée à 9 milliards de dollars. Ce n’est pas une faute de frappe.

Theranos n’aurait pas été possible si les médias étaient sceptiques ou même curieux lorsqu’il s’agit de médecine et de technologie médicale.

En parcourant ces quelques exemples de promotion par les médias, pensez que le Vioxx, les opioïdes et les vaccins contre la COVID-19 ont tous été introduits dans notre société sur un coussin moelleux de louanges médiatiques, sans examen ni scepticisme.

USA Today :

« Elizabeth Holmes est grande, intelligente et célibataire. Eh bien, peut-être pas vraiment célibataire. Je suppose qu’on peut dire que je suis marié à Theranos, dit Holmes en riant. Seulement, elle ne plaisante pas… Alors que Holmes est milliardaire sur le papier, rien ne semble moins l’intéresser….

« Nous réussissons si, personne par personne, nous contribuons à changer leur vie, déclare Mme Holmes, qui possède une voix douce mais impérieuse qui incite l’auditeur à se pencher comme s’il attendait des ordres de marche. »

New Yorker :

« Bien qu’elle puisse citer Jane Austen par cœur, elle ne consacre plus de temps aux romans ou aux amis, ne sort pas avec des hommes, ne possède pas de télévision et n’a pas pris de vacances depuis dix ans…

Dit-elle : J’ai fait quelque chose, et nous avons fait quelque chose, qui a changé la vie des gens […]. Je préfère de loin vivre une vie qui a un but plutôt qu’une vie dans laquelle je pourrais avoir d’autres choses mais pas cela. »

CNN :

« L’entreprise qu’elle a fondée a le potentiel de changer les soins de santé pour des millions d’Américains. »

Forbes :

« Elizabeth Holmes, 30 ans, est la plus jeune femme à être devenue milliardaire indépendante – et elle l’a fait quatre fois. Ce qui nous anime, c’est la conviction que l’accès à des informations sanitaires abordables et en temps réel est un droit humain fondamental, et c’est un droit civil, dit-elle. »

Comme les médias pouvaient difficilement changer de cap après tout ce culte, ce n’est pas un journaliste qui a défait l’arnaque Theranos. C’est John Ioannidis, professeur à Stanford, qui a accepté de signaler publiquement que Theranos n’avait publié aucune recherche évaluée par des pairs sur ses produits.

(Pour nous ramener un instant au présent, ce même John Ioannidis, médecin, scientifique et épidémiologiste estimé, a été parmi les premiers et les plus virulents critiques des politiques de confinement. Pour cela, il a été la cible d’excoriations et d’annulations par les médias et la cabale médicale/pharmaceutique. Ne vous avisez pas de nous réveiller de notre rêve fiévreux de la COVID-19, professeur !)

Revenons à Theranos : La société a tenté de renforcer sa crédibilité en faisant visiter ses installations par le vice-président Biden. Afin de dissimuler les véritables conditions de fonctionnement du laboratoire, Mme Holmes et son équipe ont créé un faux laboratoire que le vice-président a pu visiter.

L’affaire Theranos devrait nous rappeler que 25 % des médicaments approuvés par la FDA sont ensuite retirés du marché – ils ne peuvent donc pas tous être des médicaments miracles. Pourtant, quoi que dise aujourd’hui un bureaucrate de la santé publique, les médias d’information le répètent, le défendent, puis le consacrent comme un fait.

Jamais leur manque de scepticisme et de curiosité à l’égard de leurs principaux sponsors n’a été aussi visible qu’au cours des deux dernières années, pendant lesquelles ils n’ont cessé de promouvoir et de répéter comme un perroquet les fausses allégations de l’industrie pharmaceutique concernant les nouveaux vaccins et le nouveau traitement contre la COVID-19 de Pfizer, les fausses allégations sur l’ivermectine et toutes les autres fausses allégations de l’industrie pharmaceutique et du gouvernement.

Le véritable journalisme étant absent, nous vivons impuissants dans un monde de conformité plutôt que de science.

Voici un voyage rapide à travers une histoire intentionnellement oubliée : Après l’approbation du Vioxx par la FDA, il y a eu de nombreux litiges liés au fait gênant que le médicament doublait le risque de crise cardiaque. Combien de litiges ?

Oh … 27 000 d’entre eux, mais qui compte ? Le risque de crise cardiaque semble familier, étant donné que des centaines d’études ont maintenant montré que les vaccins à ARNm augmentent le risque de mort cardiaque chez les jeunes hommes. Mais encore une fois, qui compte ?

Merck a finalement été contraint de retirer le Vioxx du marché, et a été condamné à payer des amendes pénales de près d’un milliard de dollars pour avoir exagéré la sécurité du médicament avec un refrain désormais familier : « sûr et efficace ».

Comme aujourd’hui, alors que les CDC et la FDA reçoivent des centaines de milliers de rapports d’effets indésirables des vaccins contre la COVID-19 (par exemple, myocardite, accident vasculaire cérébral, caillots sanguins, décès), Merck a déclaré jury après jury que les décès par crise cardiaque n’avaient absolument rien à voir avec son médicament miracle.

Ils ont intenté des procès comme… eh bien, comme une entreprise pharmaceutique, accusant les plaignants de falsifier les données. Pot/bouilloire.

Lorsqu’un jury a accordé 253 millions de dollars à une veuve, Merck a fait appel, et cette décision a été annulée.

Une série d’autres procès ont suivi, Merck gagnant certains, perdant d’autres – jusqu’à ce qu’une action collective conclue que Merck avait violé la loi en vendant un médicament qui était impropre à la vente, parce que, vous savez, il doublait le risque de crise cardiaque, ou quelque chose comme ça. Et puis…

Merck a accepté un règlement de masse de 4,85 milliards de dollars pour mettre fin à des milliers de poursuites individuelles. Et puis…

Merck a annoncé un règlement avec le bureau du procureur des États-Unis, résolvant l’amende de 950 millions de dollars qui avait été infligée à la société.

Est-ce que ça s’est terminé ? Non, le litige avec sept États reste en suspens aujourd’hui. Mais la vraie chute est…

Le Vioxx revient sur le marché. Oui. Nous pouvons nous attendre à des reportages à couper le souffle sur un autre médicament miracle (probablement renommé), sûr et efficace.

L’histoire du Vioxx n’est pas un récit édifiant ; il s’agit plutôt d’un événement régulier. Un groupe de scientifiques inquiets a écrit à ce sujet en 2017 :

« Pour augmenter la probabilité d’approbation du Vioxx par la FDA, le géant pharmaceutique Merck a utilisé des méthodologies défectueuses et biaisées vers des résultats prédéterminés pour exagérer les effets positifs du médicament. »

Vous voulez dire exactement comme toutes les autres grandes entreprises pharmaceutiques font avec tous les autres médicaments ?

« La manipulation de Merck comprenait également un modèle d’écriture fantôme d’articles scientifiques. Des documents internes révèlent que dans 16 des 20 articles relatant les essais cliniques du Vioxx, un employé de Merck figurait initialement comme auteur principal de la première version. »

Vous voulez dire comme toutes les autres compagnies pharmaceutiques le font avec tous les autres médicaments ?

Un membre de la FDA témoignant de l’incapacité de l’agence à rappeler rapidement le Vioxx a déclaré que cela équivalait à laisser « deux à quatre gros-porteurs » s’écraser chaque semaine pendant cinq ans.

L’analogie avec un gros avion de ligne est à nouveau d’actualité aujourd’hui, et une action de la FDA ne semble pas en vue.

Ce qu’Ed Dowd a fait dans ce livre nous encourage à apporter notre propre curiosité et notre scepticisme à ce moment sans précédent, où de nouveaux produits pharmaceutiques peu testés sont injectés à la majorité des gens sur Terre, des milliards de doses jusqu’à présent, 4 millions de plus chaque jour, incluant de plus en plus d’enfants, même des nourrissons, autorisés par une FDA qui s’est efforcée de garder secrètes les données des essais cliniques de Pfizer.

Pour être plus précis, la FDA était parfaitement disposée et heureuse de divulguer les informations au public, mais elle a demandé 55 ans pour le faire. Pour être encore plus précis, la FDA (rejointe par son partenaire, Pfizer) a ensuite demandé au tribunal de lui accorder 75 ans pour divulguer toutes les informations.

Le fait que la FDA se soit tant battue pour cacher au public les résultats de Pfizer en matière de sécurité vous intrigue-t-il ?

N’attendez aucune réponse de la FDA, désormais dirigée par un homme nommé Robert Califf. En raison de ses conflits avec Big Pharma, M. Califf ne pourrait même pas siéger à un comité consultatif de la FDA, mais il en est néanmoins le commissaire, qui en est à son troisième tour de service à la FDA parce que, eh bien, la porte tournante tourne vite, et lui aussi.

M. Califf a présidé à l’approbation par la FDA de l’utilisation de l’oxycodone chez les enfants dès 11 ans, de médicaments à forte dose d’hydrocodone et aussi du médicament Addyl qui a été rappelé par la suite, parmi plusieurs autres. Pour chacune de ces approbations, la FDA a passé outre son propre comité consultatif d’experts, et M. Califf a donné son approbation.

M. Califf a fondé un groupe pour réaliser des essais cliniques, et plus de la moitié de ses 230 millions de dollars de financement provenaient de … Big Pharma. Presque fini. M. Califf a également été payé en tant que consultant par les 15 plus grandes entreprises pharmaceutiques. Et enfin, bien sûr, il était un pom-pom girl pour le Vioxx.

Alors bien sûr, il est le commissaire de la FDA.

Et ne vous attendez pas non plus à beaucoup de curiosité ou de scepticisme de la part de la directrice des CDC, Rochelle Walensky. La voici en mars 2022, faisant preuve d’une crédulité délibérée à l’égard des allégations de l’industrie pharmaceutique :

« Je peux vous dire où j’étais quand CNN a annoncé que le vaccin était efficace à 95 %. Tant d’entre nous voulaient être pleins d’espoir, tant d’entre nous voulaient dire, ok, c’est notre ticket de sortie, ok, maintenant nous avons fini.

« Je pense donc que nous avons peut-être fait preuve de trop peu de prudence et de trop d’optimisme pour certaines bonnes choses qui nous sont arrivées. Je le pense vraiment. Je pense que nous voulions tous que ce soit fini.

« Personne n’a parlé de déclin de leur efficacité, lorsque vous savez, oh ce vaccin va fonctionner. Oh bien, peut-être que ça va s’estomper [laughs], ça va s’estomper.

« Personne n’a dit ce qui se passerait si… [the vaccine is] n’était pas aussi puissant contre la prochaine variante. »

Elle ne pouvait pas prévoir que les vaccins seraient moins efficaces contre les nouvelles variantes ? Vous voulez dire, comme le fait le vaccin contre la grippe chaque année depuis des décennies ?

Elle ne pouvait pas prédire que le vaccin s’affaiblirait, comme le vaccin contre la grippe le fait chaque année depuis des décennies, comme même les vaccins contre la rougeole et le tétanos ?

Le Dr Walensky a été chef du service des maladies infectieuses dans un hôpital où je ne voudrais jamais être un patient si elle est chef du service des maladies infectieuses. Mais de qui je me moque, elle ne retournera pas dans cet hôpital ; il est plus probable qu’elle rejoigne le conseil d’administration de Pfizer. L’ancien commissaire de la FDA, Scott Gottlieb, est déjà là à l’attendre.

La phrase d’accroche du Dr Walensky, « Trop peu de prudence et trop d’optimisme », pourrait être un texte de la chanson la plus célèbre des CDC, Safe and Effective [sûr et efficace].

Pour mieux comprendre comment l’agence conclut toujours que chaque vaccin est sûr et efficace, prenons l’exemple d’un vaccin si ancien que tous ses facteurs de risque sont déjà connus : le vaccin contre la variole.

Sur le site des CDC, ce matin :

« Le vaccin antivariolique est sûr, et il est efficace pour prévenir la variole. »

Voyons ce que signifie « sûr » pour les CDC :

Effets secondaires graves du vaccin antivariolique :

  • Problèmes cardiaques
  • Gonflement du cerveau ou de la moelle épinière
  • Maladies cutanées graves
  • Propagation du virus à d’autres parties du corps ou à une autre personne. [huh?]
  • Réaction allergique grave après la vaccination
  • Infection accidentelle de l’œil (qui peut provoquer un gonflement de la cornée, entraînant une cicatrisation de la cornée et la cécité).

Les risques d’effets secondaires graves du vaccin antivariolique sont plus importants pour :

  • Les personnes présentant trois des facteurs de risque suivants pour les maladies cardiaques : hypertension artérielle, hypercholestérolémie, diabète
  • Les personnes souffrant de problèmes cardiaques ou de vaisseaux sanguins, y compris l’angine, une crise cardiaque antérieure ou d’autres problèmes cardiaques
  • Les personnes souffrant de problèmes de peau, comme l’eczéma
  • Les femmes enceintes ou qui allaitent.

Cela fait beaucoup de personnes qui risquent un gonflement du cerveau, des problèmes cardiaques et la cécité, sachant que des millions d’Américains ont eu des crises cardiaques « ou d’autres problèmes cardiaques », que 17 millions d’Américains sont enceintes ou allaitent, que 31 millions souffrent d’eczéma, 34 millions de diabète, 76 millions de cholestérol et 109 millions d’hypertension artérielle.

Décrivant les personnes susceptibles de subir les effets secondaires graves du vaccin antivariolique, sûr et efficace, les CDC inclut les personnes ayant des « antécédents familiaux de problèmes cardiaques ».

Vous ne connaissez pratiquement personne qui n’entre pas dans cette catégorie ?

Ainsi, alors que les CDC déclarent définitivement que « le vaccin antivariolique est sûr », il exclut ensuite la majorité des Américains pour lesquels il pourrait être sûr.

Il est clair que le terme « sûr » n’a pas la même signification pour tous les experts. Voici, par exemple, l’avis de la Clinique Mayo sur le même vaccin que les CDC qualifient de sûr :

« Il peut parfois provoquer des effets secondaires graves, comme des infections du cœur ou du cerveau. C’est pourquoi le vaccin n’est pas administré à tout le monde. À moins d’une épidémie de variole, les risques du vaccin l’emportent sur les avantages pour la plupart des gens. »

Mais Gavin, puisqu’il n’y a pas d’épidémie de variole, pourquoi s’inquiéter de ce qui est sur le site des CDC ? Parce que… attendez de voir… les CDC font actuellement la promotion active de ce même vaccin antivariolique pour prévenir la variole du singe, et près d’un million d’Américains ont déjà eu ce plaisir. (Je suppose que ce sont les personnes sans antécédents familiaux de problèmes cardiaques.)

Et pourquoi avoir un seul vaccin contre la variole quand on peut en avoir deux ?

Vous savez maintenant que lorsque les CDC dient « sûr et efficace », c’est parce que les CDC n’ont jamais rencontré un vaccin qu’ils n’aimaient pas. C’est un système de croyance, pas une science.

En lisant attentivement l’analyse détaillée d’Ed Dowd sur les nouveaux décès excédentaires et les handicaps les plus élevés jamais enregistrés chez les Américains, j’ai été frappé par le fait qu’il ne nous demande jamais de le croire sur parole et qu’il nous présente toujours les sources originales sous les yeux.

Malgré tout, et bien qu’il s’agisse d’un analyste brillant qui aborde ce sujet de manière impartiale, peut-on vraiment se fier aux conclusions d’Ed Dowd plutôt qu’à celles des célèbres et puissants Drs. Fauci, Califf, Bourla et Walensky ?

C’était ma dernière question rhétorique.

La source originale de cet article est The Defender
Copyright © Ed Dowd et Gavin de BeckerThe Defender, 2023




« Asservissement » gratuit

[Source : LHK]

Par Liliane Held-Khawam

Le cadeau du Nouvel An : Asservissement en téléchargement gratuit !

Ses justifications « scientifiques » de la pédophilie (viol compris)
n’auront pas empêché le « père de la sexologie » Alfred Kinsey
de faire la Une du Time en août 1953
Avec cela vous comprenez mieux les décisions choquantes de modifications de certaines lois qui réduisent drastiquement les protections de nos mineurs.

Chères lectrices, chers lecteurs,

Je voudrais tout d’abord vous souhaiter une excellente année 2023!

J’espère que malgré tous les clignotants qui passent au rouge, vous trouverez bonheur, santé et paix intérieure.

A titre personnel, j’aime particulièrement le passage de Jean 14 qui dit: « Que votre coeur ne se trouble point. » C’est à mon avis LE conseil le plus utile en ces moments troubles.

Cela ne signifie nullement de faire l’autruche et de pratiquer ce que d’aucuns appellent le déni actif. Ignorer la réalité afin de veiller sur son coeur est pour le moins inutile.

La clé serait à mon sens de s’informer pour se faire une image, présente et future, du modèle organisationnel global. Puis, malgré les dangers potentiels réels qui guettent, empêcher son coeur de se troubler.

Dans le but d’informer au-delà de toutes relations commerciales, l’éditeur et Vincent Held ont décidé de mettre à disposition le PDF de Asservissement. Ainsi, personne ne pourra dire qu’il ne connaissait pas les concepts pathologiques, pour ne pas dire plus, de ce que certains ont prévu pour la société.

asservissement

Ces individus qui bénéficient de moyens historiques foulent au pied l’humanité, la vie qu’elle porte, et toutes formes de respect et de libertés.

De fait, quelques individus, légitimés par des pseudo-scientifiques financiarisés, se considèrent comme des dieux qui ont le droit de disposer des populations pour satisfaire leurs besoins personnels largement pathologiques et pervers.

Prendre en otage l’humanité entière pour pratiquer des expérimentations dangereuses n’a certainement pas à ce jour de qualificatifs dans le dictionnaire. Il faut bien se souvenir, qu’avant les expérimentations covidiennes, d’autres ont eu lieu. Exemple.

Au départ, il y a un professeur de psychologie, Helmut Kentler. Il travaille à Berlin dans un centre de recherche sur l’éducation et se spécialise sur la sexualité infantile. Dans les années 1970, c’est un chercheur respecté qui prône l’émancipation sexuelle dans ses livres et sur les plateaux de télévision allemands. À la même époque, c’est avec l’assentiment des autorités locales qu’il décide de mener à bien une expérience « scientifique » pour laquelle il décide de placer des enfants berlinois sans domicile fixe auprès de pédophiles. Certains « parents d’accueil » ont déjà un casier judiciaire, mais les autorités, là aussi, ferment les yeux. Helmut Kentler justifie son expérimentation par sa conviction que les enfants sont placés dans des familles aimantes et que les rapports sexuels entre enfants et adultes ne sont, selon lui, pas malsains. https://www.ladepeche.fr/2020/06/30/le-scandale-des-enfants-places-chez-des-pedophiles,8956682.php

De fait, nous vivons une situation historique que certains biblistes pourraient identifier en tant que « temps de la fin ». Car à tous les problèmes posés par le Nouveau Monde dont l’ordre se heurte de manière frontale à l’ordre divin, s’ajoutent des menaces tangibles provenant du Système solaire et de ses décharges considérables d’énergie…

https://video.wordpress.com/embed/2eXQ5ltG?cover=1&preloadContent=metadata&useAverageColor=1&hd=1Les ondes de choc solaires peuvent anéantir le monde moderne Suspicious0bservers

Et malgré tout ce qui précède et malgré certaines informations , difficiles à digérer, de Asservissement, je vous souhaite de continuer de bénéficier de votre Paix intérieure.

Avec mes cordiaux messages.

LHK




Soyons dignes de Soljenitsyne, dénonçons l’énorme machine totalitaire du mensonge

[Source : RL]

Par Bernard GERMAIN

« Je n’ai pas la force, tout petit individu que je suis, de m’opposer à l’énorme machine totalitaire du mensonge, mais je peux au moins faire en sorte de ne pas être un point de passage du mensonge. »

Ainsi s’exprimait Alexandre Soljenitsyne, célèbre opposant au régime stalinien de l’URSS.

Sa vie fut un exemple, du début à la fin.

Décoré pendant la Seconde Guerre mondiale pour son courage et sa bravoure au combat, il commit, après la fin du conflit, « l’erreur » de critiquer Staline dans une correspondance personnelle et fut condamné pour « activité contre-révolutionnaire » à huit ans de détention dans un camp de travail.

Libéré en 1953, il fut placé en relégation dans un village du Kazakhstan et ne put rentrer en Russie qu’en 1959, après avoir été réhabilité par la Cour Suprême.

Il publia en 1962 Une journée d’Ivan Denissovitch, racontant le quotidien des camps.

Ce livre fit l’effet d’une bombe car c’était le premier ouvrage révélant l’existence de ces camps dans la « patrie du socialisme ».

Malgré la « déstalinisation », il continua d’écrire, notamment sous la forme de « samizdats » (écrits interdits distribués sous le manteau en URSS).

Auteur des célèbres ouvrages Le pavillon des cancéreux et L’archipel du goulag, il reçu en 1970 le Prix Nobel de Littérature.

Déchu de sa nationalité par le régime, il fut obligé de s’exiler pendant 20 ans. D’abord en Europe, mais principalement aux USA, dans le Vermont.

Gorbatchev le réhabilita en 1994, lui permettant de revenir terminer sa vie dans sa patrie.

Il nous a quittés en 2008, laissant derrière lui l’image d’un homme droit et inflexible, inlassable combattant de la liberté et remarquable écrivain qui contribua à faire connaître et à dénoncer le système concentrationnaire de l’Union soviétique.

Certains lecteurs se demanderont peut-être pourquoi je parle de cela ?

La réponse est toute simple : parce que nous vivons dans une société où existe à nouveau « une énorme machine totalitaire du mensonge ».

Chaque jour nous en apporte la preuve :

  • L’essentiel de la presse est dans les mains de quelques milliardaires, tel Xavier Niel – mondialiste convaincu – qui ne cessent d’intoxiquer les citoyens avec les thèses issues de Davos dont l’objectif est indiscutablement de détruire nos nations européennes.
  • Cette même presse est aux ordres des thèses immigrationnistes, depuis les accords de Marrakech (2018), sommée qu’elle est d’avoir un discours pro-immigration sous peine de perdre ses subventions (nos impôts) qui sont les conditions de sa survie, car elle n’a plus que très peu de lecteurs.
  • L’essentiel des médias participent également à diffuser les mensonges d’État, comme c’est le cas avec la crise de l’énergie que nous vivons actuellement, dont les véritables raisons ainsi que les responsables sont soigneusement cachés à la population.
  • Enfin, ils dissimulent également toutes les agressions dont sont victimes nos concitoyens, jour après jour, sur l’ensemble du territoire. Il y a quelques temps, on nous endormait avec le « sentiment d’insécurité ». Mais l’extension du problème à l’ensemble du territoire national, en relation avec une immigration totalement incontrôlée, oblige à nier tout simplement l’existence de ces agressions qui se soldent par des morts et des blessés chaque jour qui passe. Ou à observer un silence absolu sur le sujet.

Quant aux partis politiques, aucun ne dénonce ces faits (sauf ceux « d’extrême droite », comme ils disent).

Enfin, les individus qui dénoncent courageusement cette situation du pays et les affres qu’il subit sont impitoyablement dénoncés, salis, traînés en justice et même violentés pour certains.

L’objectif est limpide : faire taire les opposants par tous les moyens.

Le dernier exemple en date étant Michel Houellebecq qui a osé dire tout haut ce que les Français pensent tout bas : ils souhaitent le départ des immigrés, notamment musulmans.

Pour avoir osé dire cela, plainte a été déposée contre Michel Houellebecq par la Grande Mosquée de Paris, à laquelle d’autres bien-pensants ne manqueront pas de venir s’ajouter.

Lorsque la curée s’annonce, la meute arrive…

Et si tout cela ne suffit pas, et que les Français descendent collectivement dans la rue pour protester, le régime allié à l’extrême gauche envoie ses milices antifas et autres black-blocs afin de terroriser ceux qui auront eu le courage de manifester.

Lorsque nous mettons tous ces éléments bout à bout, on ne peut qu’aboutir à la conclusion qu’une « énorme machine totalitaire du mensonge » existe bel et bien dans notre pays.

Il faut être aveugle ou complice pour le nier.

On me rétorquera peut-être qu’il n’y a pas de camp de travail ou de concentration dans notre beau pays de France et que mon propos est donc outrancier.

J’objecterai qu’il y en a déjà eu et qu’aucune garantie n’existe que cela ne se verra plus.

Par ailleurs, on peut briser la vie de quelqu’un en le tuant socialement.

Combien « d’opposants » ont déjà perdu ainsi travail, famille et réputation ?

Parmi les complices d’aujourd’hui, on retrouve ceux qui, hier, condamnaient Alexandre Soljenitsyne qui osa dénoncer la « patrie du socialisme » et sa « machine totalitaire du mensonge ».

Ceux-là sont d’ailleurs bien silencieux sur leurs positions d’hier.

Cela n’empêche nullement, aujourd’hui, les mêmes de nous dénoncer et vouloir nous détruire.

Alors faisons comme Soljenitsyne.

Même si nous sommes « petits » et avec « peu de force »… dénonçons inlassablement le système des bien-pensants, ainsi que leurs exactions, et « faisons en sorte de ne pas être un point de passage du mensonge ».

Au reste, les mois qui viennent pourraient bien montrer que nous sommes nombreux à refuser d’être « des points de passage du mensonge ».

Les bien-pensants et les complices sont en droit de s’inquiéter…




Julian Assange : « Les journalistes sont des criminels de guerre »

[Source : profession-gendarme.com]

[NDLR Du moins les journalistes poussant à la guerre, mais pas ceux qui s’élèvent contre.]

[Source :] Lionel Labosse

Julian Assange, Trafalgar Square, Londres, 8 Octobre 2011, manifestation Stop The War Coalition Source : https://www.youtube.com/watch?v=bqr6F…

Traduction sous-titrée : Telegram Brainless Chanel Lionel Labosse : http://www.altersexualite.com/ Telegram : https://t.me/LionelLabosse

Traduction de l’extrait : « Dans les démocraties, ou les pseudo-démocraties dans lesquelles nous vivons, les guerres sont le résultat de mensonges. La guerre du Vietnam et les pressions en faveur de l’intervention des États-Unis ont été le résultat des incidents du golfe du Tonkin, un mensonge.

Chacun sait que la guerre en Irak est la conséquence d’un mensonge. Les guerres en Somalie sont le résultat de mensonges. La Seconde Guerre mondiale et l’invasion allemande de la Pologne ont été le résultat de mensonges soigneusement construits.

C’est la guerre des médias. Interrogeons-nous sur les médias complices, qui sont la majorité de la presse de grand chemin : quel est le nombre moyen de morts attribué à chaque journaliste ?

Quand on comprend que les guerres sont le résultat de mensonges colportés auprès de la population britannique, de la population américaine et de la population de toute l’Europe et d’autres pays, alors qui sont les criminels de guerre ?

Ce ne sont pas seulement les dirigeants, ce ne sont pas seulement les soldats, ce sont les journalistes ; les journalistes sont des criminels de guerre.

Et alors qu’on pourrait penser que cela devrait nous conduire à un état de désespoir, que la réalité qui est fabriquée autour de nous est construite par des menteurs, est construite par des gens qui sont proches de ceux qu’ils sont censés combattre, cela devrait nous conduire aussi à une interprétation optimiste parce que si les guerres peuvent être commencées par le mensonge, la vérité peut être commencée, la paix peut être commencée par la vérité. »

Source : Youtube




L’état de contrôle – Le film

[Source : Vivre sainement via Profession Gendarme]

Carte d’identité et passeport numériques, CBDCs, contrôle total.






Les mensonges professionnels : un outil d’auto-génocide de l’individu et de l’Humanité

Par Patriarcat Catholique Byzantin


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« Le diable est un menteur et un meurtrier ».

(Jn 8, 44)

« Et ce n’est pas étonnant ! Car Satan lui-même se transforme en ange de lumière. Il n’est donc pas étonnant que ses ministres se transforment eux aussi en ministres de justice, dont la fin sera conforme à leurs œuvres ! »

(2Cor 11:14-15)

Leur fin sera en enfer !

« Dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge ».

(Ap 22:15)

À qui sert Internet, Google, les réseaux sociaux et les médias de masse ? À l’Esprit de vérité, ou à l’esprit du mensonge ?

Les créateurs des médias sociaux disent que publier la vérité est ennuyeux pour les gens. Les gens veulent entendre des mensonges. Ils ont admis publiquement que c’est la raison pour laquelle le rapport entre la vérité et le mensonge dans les médias est de 1 contre 6. Cependant, ceux qui ont reçu le mensonge comme étant le leur, le considèrent comme la vérité et ne veulent pas admettre qu’ils ont été trompés. De plus, ils diffusent même ce mensonge comme étant la vérité. Les grands médias d’aujourd’hui, et en particulier Internet, sont contrôlés par ceux qui servent l’esprit de mensonge et de mort. L’ensemble du système antichrétien actuel est construit sur un mensonge. L’Écriture prévient :

« Le malin viendra avec la puissance de Satan… Il usera de toute espèce de tromperie diabolique pour tromper ceux qui sont sur la voie de la perdition, parce qu’ils refusent d’aimer et d’accepter la vérité qui les sauverait. Et c’est pourquoi Dieu les livrera à la puissance de la tromperie, et ils croiront au mensonge ».

(2Th 2:9-11)

Cet avertissement s’applique également à l’Église catholique actuelle, qui n’aime ni ne sert la vérité. Au contraire, elle promeut et aime les hérésies et les mensonges grossiers, comme nous le voyons avec l’actuel pseudo-pape François et ses adhérents corrompus dans la hiérarchie qui est concentrée au Vatican et en Allemagne.

Une loi spéciale agit sur l’homme : même s’il a été trompé mille fois, il continuera à croire aux mensonges. En revanche, il doutera toujours de la vérité, et s’il est obligé de souffrir pour elle, il s’en offusquera et la rejettera. Pourquoi ? Parce qu’il est préoccupé par son propre ego, qui est la source du mal. Le cœur du premier homme a été infecté spirituellement par le père du mensonge (cf. Jn 8, 44), le serpent infernal (Gn 3, 13). La personne qui est sous l’influence de l’ego ne veut pas que la Vérité incarnée la délivre du mensonge et lui accorde la vie éternelle. Elle ne veut même pas admettre que le mensonge avec lequel elle s’est unie lui fait du mal non seulement à elle, mais aussi aux autres. L’homme est fortement enclin au mensonge et à l’auto-illusion. Il défendra jusqu’à la mort ceux qui le flattent et le trompent, et haïra ceux qui lui disent la vérité.

Comment est-il possible qu’il y ait des lois aujourd’hui selon lesquelles des enfants peuvent être volés à n’importe quelle famille ? Jusqu’à tout récemment, si un enfant était volé à ses parents, une recherche mondiale était lancée immédiatement. Si le criminel était retrouvé, il recevait la punition la plus grave. De plus, comment est-il possible que l’on ne puisse pas dire, à partir des textes des nouvelles lois, qu’ils ont intégré le crime programmé ? Même les meilleurs avocats ne sont pas en mesure de le détecter, et diront très honnêtement : « C’est une excellente loi ». En fait, cette loi possède un programme de criminalité codé.

L’ancien président de la République tchèque, V. Klaus, a refusé de signer cette loi dotée du titre manipulateur « sur la protection sociale et juridique des enfants », que l’ONU a tenté d’imposer pendant trois ans. Les médias l’ont présenté comme un cynique qui ne se souciait pas des enfants, ni même des orphelins. Mais il protégeait en fait les enfants. Il savait très bien ce que contenait cette loi insidieuse, c’est pourquoi il s’y est opposé à plusieurs reprises. Mais il était impuissant contre la campagne médiatique. La loi a finalement été appliquée. Quel système insidieux de mensonges ! Si un avocat avertit ouvertement contre les abus de la loi, ces abus ne sont toujours pas stoppés et cet avocat sera soumis à une persécution. L’un après l’autre, les États adopteront ensuite la loi malveillante. Comment peut-il être possible qu’un véritable mot d’avertissement contre le crime n’ait pas de force ? La question du vol des enfants n’est-elle pas la chose la plus sensible ?

La nouvelle législation internationale, avec ses conventions, ses résolutions et ses recommandations, défend fanatiquement les privilèges pour toutes les orientations sexuelles possibles. Ceux-ci incluent désormais non seulement les homosexuels, mais aussi les pédophiles, les transsexuels, les zoophiles, les sadomasochistes et les meurtriers sexuels. Une de ces personnes ayant cette soi-disant orientation sexuelle innée a tranché la gorge de plus de cinquante femmes. Néanmoins, ces personnes déviantes sont toujours considérées comme des victimes innocentes et lésées. Cette fausse opinion publique a été créée exprès. Celui qui les appelle par leur nom propre sera puni en tant que « -phobe » criminel. La loi permet désormais à une personne d’être poursuivie pour de simples soupçons selon lesquels elle pense de manière critique par rapport à un sodomite, une personne transsexuelle ou « Q » (queer). Sous ces pseudo-juges, l’accusé n’a plus le droit à la présomption d’innocence. Il peut être puni sous le titre d’homophobie ou de personne qui déteste les queers, et risque jusqu’à trois ans de prison. La législation actuelle privilégie l’immoralité et promeut officiellement les crimes commis contre les enfants ! Et ces mensonges législatifs sont mis en œuvre sous les concepts positifs des « droits des enfants » ou de « l’intérêt supérieur de l’enfant ». Il s’agit, en fait, d’une injustice cynique et du meilleur intérêt à détruire l’enfant ! Ces pseudo-lois révèlent à quel point un mensonge peut être suggestif. Cette soi-disant législation internationale n’est pas fondée sur la vérité ou la justice, mais sur les mensonges et la promotion les plus grossiers de crimes entraînant le génocide de l’humanité : la réduction de la population à un soi-disant milliard idéal d’individus.

Aujourd’hui, le mensonge absurde et stupide appelé idéologie du genre est extrêmement rampant. Les enfants dans les écoles et les jardins d’enfants sont obligés de penser qu’ils ne sont pas un garçon ou une fille, mais qu’ils peuvent choisir qui ils veulent être. Ensuite, ils sont obligés de croire qu’ils ne sont certainement pas qui ils sont. L’enfant subit un traumatisme psychologique et est constamment opprimé par l’idée d’être confronté à un processus de mutilation, se terminant par une chirurgie de changement de sexe.

Cette folie est soutenue par le pseudo-pape François. Il a exhorté de manière suggestive les parents irlandais à ne pas dire à leurs enfants la vérité selon laquelle on leur avait menti à l’école. Quelles atrocités sont alors officiellement perpétrées sur les enfants mineurs à cause de ce mensonge maléfique ! Par exemple, une fillette de 15 ans a subi cette opération contre la volonté de ses parents. Immédiatement après la chirurgie, l’esprit de mensonges semblait s’écarter d’elle et elle s’est retrouvée victime d’une tragédie de la vie. Cette fille a fini par se suicider. Les États-Unis ont adopté ces jours-ci une loi stupide et sadique sur le soi-disant droit des enfants à changer le sexe dès l’âge de douze ans ! De plus, les écoles subissent une pression psychologique afin de promouvoir le transsexualisme. Le fruit de cette loi sera un crime de masse commis contre les enfants, et le suicide de la nation. Le président russe a déclaré à propos des architectes du N.O.M., qui font la promotion de cette atrocité, qu’ils sont devenus complètement fous et que ce satanisme est programmé.

Les États individuels sont obligés d’adopter une idéologie du genre suicidaire sous la pression de sanctions économiques ou autres. Un certain président en Afrique a déclaré : Nous sommes prêts à manger de l’herbe, mais nous n’accepterons pas de compromis concernant cette condition suicidaire. Malheureusement, peu de présidents ont un tel bon sens ou un tel courage pour défendre la vérité et la vie. Et si l’un d’eux le possède, les médias de masse commenceront le lavage de cerveau avec des mensonges suggestifs, et la majorité trompeuse de la société finira par se retourner contre leur libérateur. C’est ce qui s’est produit, par exemple, avec le Premier ministre Fico en Slovaquie, lorsqu’il a ouvertement déclaré que la Slovaquie n’adopterait jamais la convention d’Istanbul, qui légalise l’idéologie du genre et le vol d’enfants liés à la création de ce que l’on appelle le GREVIO. Ils ont organisé un coup d’État contre lui, ont choisi une victime sacrée et, en deux soirées, l’ont forcé à démissionner avec l’aide de la jeunesse organisée et trompée. Le mensonge a donc prévalu, et celui qui souhaitait le bien-être des jeunes fut hué par ces jeunes manipulés comme s’il était un criminel.

Qui manipule la jeune génération ? Les médias sociaux, en particulier. Les jeunes reçoivent de ceux-ci des fragments d’information et ne peuvent plus penser par eux-mêmes. Ils acceptent tout simplement, passivement, et deviennent les victimes de mensonges programmés de façon systématique. Ils vivent une vie plus irréelle que réelle.

Le soi-disant traité de Lisbonne est une moquerie grandiose de la vérité, de la justice et de la moralité. La vérité a été échangée contre des mensonges et la justice a été échangée contre l’injustice. Lorsque l’Irlande a rejeté le traité de Lisbonne au cours d’un référendum, elle fut contrainte de procéder à un deuxième référendum.

Chaque mot de la loi doit être défini avec précision afin d’en éviter une mauvaise utilisation. Cependant, la législation supranationale a commencé à utiliser des termes ambigus qui ont ouvert la porte aux mensonges et aux crimes professionnels. L’ancien président de la République tchèque, V. Klaus, a déclaré : « Vous ne découvrirez ce qu’était réellement cette loi-ci ou cette loi-là, qu’au moment où vous vous retrouverez devant un tribunal ».En d’autres termes, vous ne pouvez pas le dire d’après le libellé de la loi elle-même.

Il y a environ 20 ans, des organisations supranationales telles que l’ONU, l’OMS, l’UE et le Conseil de l’Europe, ont commencé à exiger que la législation des États individuels soit soumise à de soi-disant résolutions, recommandations et conventions. Un préambule fut ajouté aux lois des États, déclarant que la pseudo-législation internationale était prioritaire. En pratique, il s’agit d’une fraude colossale et des crimes judiciaires les plus grossiers.

Ces pseudo-lois utilisent intentionnellement trop de mots, de sorte que la grande quantité de texte rend ces lois peu claires. Les députés n’ont souvent même pas le temps de les lire avant de les voter. Personne ne sait alors ce qu’il approuve. En fait, ce sont des fraudes mortelles. Les députés votaient parfois chaque jour dix amendements de loi différents.

Une autre forme de manipulation trompeuse se produisit, par exemple, dans le cas de la Convention d’Istanbul qui, avec l’utilisation de formulations trompeuses sur la lutte contre l’abus des femmes, a secrètement légalisé une idéologie de genre ainsi que le mécanisme GREVIO destiné à voler les enfants à leurs parents. Les représentants de l’État ont dû voter à ce sujet en même temps que sur une série de lois sur les pêcheries, donc personne n’avait anticipé un tel mensonge et telle une manipulation.

Environ 60 à 100 enfants, volés à leurs familles, se suicident chaque année en Norvège. Néanmoins, ce mécanisme criminel continue de courir et la couverture médiatique de ces crimes contre les enfants est interdite sous peine de sanctions. Lorsque la police tenta de pénétrer dans une maison en Finlande afin de voler des enfants à une famille, le père tua les enfants et se suicida de désespoir afin d’échapper à la tyrannie de la justice pour mineurs. L’éducation favorise la démoralisation des jeunes de façon systématique. Un certain nombre d’écoles en Angleterre ont été soumises à une expérience criminelle au cours de laquelle le transsexualisme a été fortement imposé aux enfants. En conséquence, environ 98 % des enfants avaient des pensées suicidaires, et certains ont même tenté de se suicider.

Les soins de santé ont été exploités à l’échelle mondiale afin d’introduire une vaccination expérimentale à travers des mensonges professionnels.

Pourquoi Dieu a-t-il permis à tout cela de se produire ? La Bible donne la réponse : les gens n’ont pas aimé la vérité. Ils veulent être trompés. Mais derrière le mensonge, il y a l’esprit des mensonges et de mort, Satan. Les gens ont abandonné Dieu ; ils ont abandonné les lois de Dieu et introduit des pseudo-lois de genre. Le Seigneur annonce par le prophète :

« La Terre est souillée sous ses habitants, car ils ont transgressé les lois (de Dieu), changé l’ordonnance (de Dieu), brisé l’alliance éternelle. Par conséquent, la malédiction a dévoré la terre et ceux qui y habitent sont désolés. Par conséquent, les habitants de la Terre sont brûlés et peu d’hommes sont laissés ».

(Isa 24 : 5-6)

Dieu a averti à plusieurs reprises les gens par les prophètes, les menaçant de punition. Si la nation se repentait, la punition était évitée. Aujourd’hui, l’humanité ouvre la voie à son propre auto-génocide à la suite de l’abandon de Dieu et du rejet de Ses lois. Les paroles de Jésus-Christ s’appliquent ici :

« À moins que vous ne vous repentiez, vous périrez tous ! »

(Lk 13:3)

Que tout le monde se repente donc dans sa vie personnelle. La base pour ceci est l’autocritique et une réserve de temps pour la prière. Il s’agit de la communication verticale avec Dieu. Dieu donnera de la lumière et de la force à ses guerriers dans la vraie prière. Si l’humanité reste passive, les mensonges professionnels la détruiront. Derrière les mensonges, il y a le père des mensonges — Satan — et ses serviteurs, les architectes du Nouvel Ordre Mondial. Il est à présent grand temps de commencer à se battre pour la vérité ! Par où commencer ? Commencez à lutter contre vous-même, en vous-même ! Ensuite, vous pourrez démasquer les mensonges professionnels dans le monde et surmonter l’esprit des mensonges et de mort.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMR + Timothée OSBMR
Évêques secrétaires

Le 17 décembre 2022




GRAVES DANGERS DU MONDIALISME

[Source de l’illustration : casimages.com]

Par Colonel AMIOT Jacques

Je ne prétends pas avoir raison ; cet écrit, comme les autres, n’est qu’un résumé de mes réflexions. Il y a cependant une constante ; comme les précédents, il est en opposition totale à Macron, son gouvernement, les médias aux ordres, et à tous les traîtres qui détruisent la France. Ils devront un jour prochain répondre de leurs méfaits, car ils savent ce qu’ils font.

Il ne faut rien attendre des grands médias subventionnés, car ils appartiennent à ceux qui ont propulsé Macron au pouvoir.

Pour les internautes, notamment ceux qui font partie depuis peu de ma liste de diffusion, je joins deux écrits qu’ils pourront lire s’ils le souhaitent. Cependant il est possible de se contenter du présent document, qui est une synthèse de mes différents écrits. Elle présente l’évolution de ma réflexion, de plus en plus axée sur les menées nuisibles du mondialisme qui sont à la source de tous les graves problèmes subis par le monde occidental, et à l’origine de conflits.

Dans un premier temps (à partir de 2012), mes écrits se sont principalement rapportés aux dangers de l’immigration, notamment islamique.

J’en fais un résumé très succinct :

  • La laïcité chère au Français vole en éclats sous la pression de l’immigration incontrôlée, notamment islamique. L’Islam n’est pas qu’une religion ; c’est une idéologie totalitaire (loi islamique).
  • Progression rapide du nombre de musulmans en France (1,23 % de la population en 1968 et 11,94 % en 2009 ; chiffres officiels) ; depuis l’INSEE ne fait plus ce type de statistiques !
  • Naïveté du peuple et de nos dirigeants, principalement de gauche. Laxisme de ces derniers, malgré les alertes des services de renseignements et même de musulmans lucides, notamment des femmes.
  • Attitude incompréhensible de nos dirigeants, d’autant que les islamistes ne cachent pas leur volonté d’islamiser le monde.
  • Manipulation et fanatisation des jeunes par les imams et autres prédicateurs (large diffusion de versets vindicatifs du Coran, de sourates…). Rejet de la civilisation et des valeurs occidentales.
  • Importance des minorités agissantes capables de manipuler les masses (communisme, fascisme, et maintenant islamisme).
  • Tolérance inacceptable de l’implantation de « zones de non-droit », appelées pudiquement « zones sensibles ».

Je joins cependant ce premier écrit de 2012, pour ceux qui seraient intéressés :

Réflexions sur l’islamisme à l’intention des naïfs

Lorsqu’un problème me préoccupe, je mets généralement mes idées sur le papier afin de mieux les structurer. C’est ce que je fais ci-après de manière résumée à propos de l’islamisme, car je pense que la laïcité chère aux Français va voler en éclat sous la pression de cette idéologie dans les prochaines décennies en raison de la naïveté du peuple et surtout d’une grande partie des hommes politiques notamment de gauche qui porteront une lourde responsabilité.

Mon propos n’est pas guidé par des idées racistes ou d’ordre confessionnel. J’ai souvent voyagé et je respecte les religions, croyances, modes de vie des pays que j’ai visité : Afrique du Sud, Birmanie, Cambodge, Chine, Inde, Mexique Népal, Thaïlande, Vietnam… ainsi que de nombreux pays musulmans (Égypte, Jordanie, Maroc, Tunisie, Turquie…).

Ce que j’ai constaté dans beaucoup de ces pays c’est, qu’en temps qu’étranger, il était très prudent de respecter les règles et coutumes sinon on risquait de graves ennuis et je constate qu’en France comme dans beaucoup de pays occidentaux on peut par contre braver les règles, traditions et coutumes, fouler aux pieds les symboles sans beaucoup de risques. Cela me paraît très dangereux, car je pense qu’une nation ou une civilisation qui ne défend pas ses valeurs et ne fait pas respecter les règles qu’elle s’est données coure à sa perte.

La démocratie, la liberté d’expression, d’agir, de se comporter c’est bien, mais il y a de mon point de vue des limites à ne pas dépasser, car le laxisme à toujours conduit à de graves désillusions.

Je pense qu’en France on fait preuve de beaucoup de naïveté et je vais revenir un peu sur l’histoire récente pour étayer mon propos.

Dans les années 30 du siècle dernier, on pensait beaucoup au progrès social, je pourrais presque dire qu’une grande partie du peuple et beaucoup d’hommes politiques ne pensaient qu’à ça (Front populaire…). Pourtant les services de renseignement savaient que les troupes de l’Allemagne nazie allaient tôt ou tard déferler sur notre territoire ; ils en avaient informé nos dirigeants, mais ces derniers étaient bien trop occupés à essayer de satisfaire les aspirations sociales du peuple pour les écouter. Dans cette période le summum de la naïveté, de la bêtise et de la lâcheté a été incarné par Daladier lorsqu’il a signé bien inutilement les accords de Munich avec Hitler en automne 1938. On sait que Daladier a subi la pression de son homologue anglais Chamberlain, mais des hommes d’État dignes de ce nom devraient savoir prendre leurs responsabilités et écouter les agents payés pour les informer surtout quand il y a péril en la demeure comme c’était le cas. On connaît la suite et on ne s’en serait pas sorti sans l’intervention massive des forces alliées.

Pendant la Guerre froide, la naïveté d’une partie du peuple et des hommes politiques (principalement de gauche) a été au-delà du ridicule. Beaucoup croyaient au « petit jésus soviétique », de la volonté de paix des soviets à la réussite économique et sociale du régime. Dans les armées, on était un peu informé de la réalité des choses par les services de renseignement, que ce soit des plans d’invasion de l’Europe de l’Ouest à la pauvreté en passant par la répression, le goulag… Il a fallu attendre la chute du mur de Berlin pour que beaucoup comprennent ; et encore, ils n’ont pas tous compris !

Dans cette période de Guerre froide, nous avons eu la chance d’être protégés par le parapluie nucléaire de l’OTAN qui a réussi à dissuader les soviets. Sans lui notre invasion programmée serait rapidement devenue réalité.

Bref, j’ai le sentiment que l’histoire se renouvelle et qu’aujourd’hui une grande partie du peuple et beaucoup de dirigeants font preuve d’une grande naïveté par rapport à l’islamisme.

L’islamisme ce n’est pas une religion, ce n’est pas l’islam ; c’est une idéologie politique qui, comme toutes les idéologies, porte en elle la volonté de domination, d’occupation et qui de ce fait me paraît aussi dangereuse que le fascisme ou le communisme même si le mode d’invasion est différent. Comme le danger est différent puisqu’il est insidieux et surtout interne ce n’est ni une intervention extérieure ni l’OTAN qui pourra nous en préserver.

Pourtant il semble bien que les services de police et de renseignement avertissent les politiques. Par exemple on a pu voir circuler sur Internet une vidéo intitulée « rapport DGSE » tout à fait claire à ce sujet. Ce n’est pas un hoax (canular), car elle n’est pas répertoriée comme telle et on peut toujours la visionner en tapant : « rapport DGSE » sur Google. La personne qui parle se sachant filmée fait une présentation pondérée, mais j’aimerais en privé savoir ce qu’elle pense vraiment.

De nombreuses personnalités tirent également la sonnette d’alarme y compris des musulmans et notamment des femmes cultivées très réalistes par rapport à l’islamisme dont elles connaissent bien les dangers. L’intervention à l’automne de l’Iman de Drancy est très instructive à ce sujet on peut la trouver sur Internet en tapant sur Google « Iman de Drancy ».

Si on fait quelques recherches sur Internet, on s’aperçoit d’ailleurs que les islamistes ont clairement annoncé leur intention de dominer l’Europe, voire le monde.

Les radicaux utilisent les aspects guerriers et vindicatifs de nombreuses sourates du Coran et des hadiths pour fanatiser les masses musulmanes et provoquer le rejet et même la haine des « infidèles » occidentaux.

On me dit quelquefois que le christianisme a été aussi très agressif et très vindicatif. J’en conviens, qui n’a pas entendu parler des guerres de religion, des croisades, de l’inquisition ? Mais ce qui m’inquiète c’est le présent et surtout l’avenir et pas ce qui s’est passé il y a plusieurs siècles.

On me dit aussi que beaucoup de musulmans veulent vivre paisiblement ; c’est peut-être vrai, ceux qui sont venus il y a plus de cinquante ans en France avaient la volonté de s’intégrer (mon père en a embauché dans sa petite entreprise), mais il est certain que leurs petits enfants ne sont pas tous dans les mêmes dispositions d’esprit.

On me dit également que les islamistes radicaux sont en petit nombre ; oui, pour l’instant. Au début du 20siècle, les communistes étaient peu nombreux en Russie, mais en 1917 ils ont imposé un régime dictatorial qui a duré plus de 70 ans ; la première fois que le parti fasciste s’est présenté aux élections en Allemagne il a obtenu un peu plus de 2 % des voix. On connaît la suite.

Il me paraît particulièrement dangereux de minimiser voire d’ignorer la capacité de nuisance des activistes. On devrait se souvenir de ce qu’est capable de réaliser une petite minorité déterminée et agissante face à une masse passive. On sait très bien que dans les banlieues les radicaux sont très actifs notamment envers les jeunes qui depuis toujours ont été la cible privilégiée des idéologues (jeunesses communistes, jeunesses hitlériennes…). On entendra certainement un jour parler des jeunesses islamistes, d’ailleurs elles existent déjà dans certaines banlieues même si elles ne sont pas encore structurées et si les médias ignorent leur existence.

Il y a quelques années on n’entendait pas parler des revendications des musulmans, mais maintenant elles sont très nombreuses et le plus souvent à caractère religieux. Elles ne peuvent que s’accroître et devenir systématiques avec l’augmentation continue de la population musulmane et l’oreille attentive d’une partie des pouvoirs publics. La volonté, qui fait tache d’huile, manifestée par les musulmans radicaux de modifier les règles du jeu, notre culture et notre mode de vie est évidente. Il n’y a même pas besoin d’aller dans les banlieues chaudes pour s’en rendre compte. Cela ne me plaît pas et je fais le raisonnement, que certains trouveront peut-être basique, mais qui me paraît logique, que c’est à ceux qui viennent en France, souvent pour profiter d’avantages, de s’adapter à notre culture et pas l’inverse.

Je suis peu pratiquant, mais je constate que la France, comme beaucoup de pays d’Europe occidentale, a une culture façonnée depuis deux millénaires par l’influence du christianisme (la séparation de l’église et de l’état depuis plus d’un siècle n’y change rien), que ce soit au niveau du mode de vie, des traditions ou de l’architecture (églises, cathédrales, abbayes, monastères…) ; même dans la nature (que je fréquente beaucoup) on rencontre de multiples témoignages de notre passé chrétien (croix, calvaires, chemins de croix, chapelles,), au bord des chemins, au sommet des collines et même des montagnes… Il suffit de regarder une carte IGN au 1/25000 pour s’en rendre compte. Je m’estime tolérant, mais cependant je n’accepte pas l’idée d’une modification en profondeur de notre mode de vie, de notre patrimoine historique et en définitive de notre culture ; je pense que je ne suis pas le seul.

En France le laxisme des autorités me révolte. Les agressions de lieux de culte chrétiens, de cimetières… se multiplient sur notre propre territoire pratiquement dans l’indifférence. Sans beaucoup de réactions on peut brûler le drapeau, diffuser une photo (de plus primée par la FNAC) d’un énergumène se torchant avec, siffler l’hymne national, vendre des milliers de disques de rappeurs vomissant leur haine du pays où ils vivent, sans parler des casses, agressions multiples… qui sont presque toujours l’œuvre de populations issues de l’immigration principalement musulmane. Quand une nation laisse profaner ses symboles, il y a du souci à se faire. Dans beaucoup de pays étrangers, on emprisonne pour beaucoup moins que ça.

Toutes les exactions n’émeuvent pas beaucoup les médias qui systématiquement ignorent ou minimisent les forfaits commis. Ils sont beaucoup plus prompts à relayer les réactions d’indignation du MRAP, de SOS racisme et autres associations bienpensantes quand un « jeune » (fautif) est soi-disant agressé par la police, par exemple à l’occasion d’une course poursuite qui se termine mal pour le ou les fuyards.

Même si les médias n’en parlent pas on sait que la persécution des chrétiens dans le monde est en nette augmentation notamment dans les pays musulmans et il apparaît que ce sentiment antichrétien s’insinue dans la population musulmane vivant en France.

« L’invasion islamique » est de plus largement favorisée par le soutien de nombreux élus de gauche : Delanoë à Paris, Aubry à Lille, Ries à Strasbourg et tous les autres, sans parler de Vauzelle président de la région PACA qui se déclare fier d’être président d’une grande région musulmane ! On croit rêver. Que cherchent-ils ? L’anéantissement de notre civilisation ? Pour la remplacer par quoi ? Sans une vive réaction, un jour, peut être pas très éloigné, un énergumène de ce type pourra se dire fier d’être président d’une grande république islamique.

Il existe en France de vastes zones de non-droits où les forces de l’ordre ne peuvent pas pénétrer sauf en masse à l’occasion d’opérations trop rares et où se développe une économie souterraine florissante. Là aussi ces zones sont occupées pour une grande part par une population issue de l’immigration et les émeutes qui y éclatent régulièrement à propos de n’importe quel prétexte sont le résultat d’une tension constante générée par des populations non intégrées et qui pour beaucoup ne souhaitent pas l’être. J’estime que cela est inadmissible dans un état de droits et que c’est une preuve supplémentaire de notre incapacité à gérer un volume trop important d’immigrés.

Nous sommes de plus dans une situation économique difficile, nous avons un chômage trop élevé et certainement pas la capacité de donner du travail à une masse très importante d’immigrés souvent sans qualification attirés par nos avantages sociaux, la possibilité de se faire soigner et opérer gratuitement… ce qui représente un énorme gouffre financier. Tous les jeunes issus de l’immigration sans travail qui traînent dans les banlieues sont des proies faciles pour les islamistes radicaux.

Il n’existe pas de chiffres officiels, mais en 1968 les musulmans représentaient environ 1,2 % de la population, 3,6 % en 1988 et plus de 10 % en 2009. C’est une progression trop importante et si on trace une courbe sur un graphique on constate qu’elle est très ascendante ; elle ne peut continuer qu’à monter fortement en raison de deux facteurs qui se conjuguent : l’immigration et la natalité importante chez les musulmans ; en effet, même si cette dernière a un peu diminué elle reste beaucoup plus élevée que dans la population de souche. Le pourcentage de musulmans en France va donc devenir très important et dans quelques décennies il risque fort de dépasser les 50 %.

Or on sait très bien qu’au-delà d’un certain pourcentage il n’y a plus intégration, mais juxtaposition de cultures. Je ne suis pas historien, mais il me paraît clair que la juxtaposition de cultures sur un même territoire aboutit le plus souvent à des conflits graves d’autant qu’il y a d’un côté des islamistes activistes animés d’un esprit de domination et de l’autre des citoyens déterminés à ne pas se laisser submerger. Un sentiment hostile à l’Islam se développe en France en réaction à sa pénétration et on ne peut pas exclure sa radicalisation au détriment des musulmans qui souhaitent s’intégrer ; une action provoque toujours une réaction, c’est une loi générale.

Les mentalités des communautés sont beaucoup trop divergentes pour pouvoir espérer sur le long terme une coexistence pacifique. Certains leaders politiques d’autres pays ont eu le courage de déclarer que le multiculturalisme était un échec ; je partage cet avis.

Un des pays où les musulmans sont les plus nombreux est l’Inde (plus de 100 millions), mais il y a en face plus d’un milliard d’hindous et il est évident que les autorités indiennes n’ont pas du tout l’intention de se laisser déborder par leur minorité musulmane comme c’est le cas en occident.

Il y a eu en France dans un passé récent des flux migratoires importants notamment d’Italiens, mais la culture de ces populations est très proche de la nôtre et en une génération elles se sont totalement intégrées ; ce ne sera pas le cas des populations islamiques pour qui le religieux à une grande importance. À peine libérés de leurs dictateurs, les peuples du sud de la Méditerranée portent largement en tête des élections les partis islamistes et les futurs dirigeants déclarent vouloir gouverner selon la Charia, mode de gouvernance totalement opposée à notre conception laïque.

Comment en occident laïque et notamment en France concevoir l’existence d’un parti religieux ? C’est pourtant ce qui nous attend avant que ce parti, s’appuyant sur le nombre, devienne dominant parce que l’on n’aura pas su limiter l’immigration et obliger les populations issues de cette immigration à s’adapter à nos principes et valeurs et que par naïveté, faiblesse et bêtise on les aura laissés imposer leur culture, leur mode de vie et leur religion.

Pour éviter ce scénario pessimiste il faudrait prendre rapidement un certain nombre de mesures : limitation importante de l’immigration notamment en provenance d’Afrique ; imposer aux musulmans de s’adapter à nos règles et à notre mode de vie et pas l’inverse même si on peut accepter quelques adaptations ; faire preuve d’une très grande fermeté face aux exactions et provocations diverses, en particulier donner le choix à ceux qui manifestent leur haine de la France entre de sévères sanctions ou le départ vers des pays où ils se sentiront mieux ; surveiller étroitement les meneurs et prédicateurs islamistes et les sanctionner sans faiblesse où leur demander de faire le choix d’un autre pays ; ne plus accepter l’inacceptable c’est-à-dire l’existence de zones de non-droit « gouvernées » par des populations issues de l’immigration où la propagande bat son plein comme les trafics de toutes sortes…

En fait je ne crois pas à la volonté des politiques et surtout pas à ceux de gauche qui au contraire font tout pour accélérer le mouvement et qui feront preuve d’une grande complaisance avec l’Islam s’ils reviennent au pouvoir.

L’histoire se renouvelle et les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets. Dans les années 30 du siècle dernier, le peuple et nos dirigeants voulaient à tout prix la paix avec l’Allemagne, mais par naïveté et lâcheté on a eu la guerre. Aujourd’hui on ne veut pas froisser les musulmans, on ne veut pas enflammer les banlieues…, alors par naïveté et faiblesse on n’agit pas et on laisse la situation se dégrader. Cette attitude ne nous mettra pas à l’abri de graves difficultés, bien au contraire.

Comme on le voit, les données en ma possession ne m’incitent pas à l’optimisme pour l’avenir. Je souhaite me tromper et je suis preneur d’arguments crédibles et solides infirmant mon analyse, mais de grâce en évitant les affirmations lénifiantes et fallacieuses du « politiquement correct » que l’on entend trop souvent.

Début 2016 ma réflexion s’est modifiée sur un point essentiel, par la lecture d’un document de deux pages que j’ai souvent cité « l’heure de vérité » du père Henri Boulad. J’ai découvert que je faisais une grosse erreur en distinguant l’islamisme et l’Islam.

En effet, le père Henri Boulad souligne avec justesse que le problème se situe dans les fondamentaux de l’Islam. Je joins ce document, à relire éventuellement :

[Au lendemain des attentats de Paris du 13 novembre 2015]

L’HEURE DE VÉRITÉ

Lettre sereine aux musulmans ouverts, modérés et libéraux:

J’imagine votre embarras et votre confusion face à cette horreur, que vous condamnez sans doute du plus profond de vous-mêmes. Vous sentez bien cependant que c’est l’islam lui-même qui est incriminé, car c’est bien aux cris d’ «Allahou akbar» que s’est perpétuée cette tragique agression.

N’essayez surtout pas d’exonérer l’islam de ce qui s’est passé. Ne continuez pas à répéter ce refrain bien connu, suite à toutes les horreurs commises par les islamistes dans le monde : «Tout ça n’a rien à voir avec l’islam». Ne criez surtout pas à l’« amalgame », manière élégante de dédouaner l’islam des violences récurrentes perpétrées en son nom.

C’est incongru d’affirmer que tout ce qui se passe comme atrocités au nom de l’islam n’a rien à voir avec l’islam. Un certain occident « libéral » et une certaine Eglise catholique, tous deux partisans de l’ouverture et du dialogue, ne cessent de ressasser de tels slogans, sans chercher à aborder les vrais problèmes, dans un dialogue franc et ouvert.

L’« heure de vérité » a sonné, et il est grand temps de reconnaître que l’islam a un problème. Un problème qu’il doit avoir le courage de regarder en face et de tenter de résoudre en toute objectivité et lucidité. Ce n’est pas en enfouissant sa tête dans le sable qu’on peut espérer trouver une solution.

Je ne doute nullement de la sincérité et la bonne volonté des musulmans ouverts et modérés. Mais là n’est pas la question. On peut être pleinement sincère tout en étant dans l’erreur.

Il est trop facile pour les musulmans d’incriminer l’occident « corrompu » et «impérialiste» comme étant la source de tous leurs maux. Il est trop facile d’accuser ceux qui instrumentalisent l’islam pour leurs propres intérêts. C’est dans l’islam même que gît le problème. Les musulmans ont toujours eu tendance à chercher des boucs émissaires partout, sauf en eux-mêmes. Il est grand temps qu’ils se posent certaines questions cruciales et se rendent compte que «le ver est dans le fruit.» S’ils condamnent et rejettent ce radicalisme barbare qui les embarrasse, qu’ils fassent un petit effort pour en chercher la cause.

Ils découvriront alors que la cause se trouve dans les textes fondateurs de leur religion – Coran, Sunna, Hadiths – qui regorgent d’appels à l’intolérance, au meurtre et à la violence. Ces textes sont encore enseignés aujourd’hui à l’Azhar, la plus haute instance de l’islam sunnite, chargé de la formation des prédicateurs et ulémas à travers le monde. Cette doctrine atteint le petit peuple à travers les prêches du vendredi – souvent incendiaires – et rejoint les élèves via les manuels scolaires.

Vers le septième siècle, l’islam a eu le choix entre la voie mystique, modérée et ouverte, celle de La Mecque, et la voie violente, radicale et conquérante, celle de Médine. Il a malheureusement opté pour la seconde, en privilégiant les versets médinois aux mekkois, dans la fameuse doctrine de «l’abrogeant et de l’abrogé» (An nâsékh wal mansoukh).

Pour éviter alors que quiconque ne revienne sur cette décision, les ulémas de l’époque ont décrété que « la porte de l’ijtihad » était désormais close. Ce qui signifie que tout effort de réflexion critique susceptible de remettre en question une telle décision était pour toujours interdit.

Les nombreuses tentatives de réforme de l’islam, tout au long de son histoire, se sont heurtées à ce décret considéré comme immuable et irréversible. Le grand cheikh soudanais, Mahmoud Taha, pour avoir proposé d’inverser la doctrine de l’abrogeant et de l’abrogé, en privilégiant les versets mekkois aux médinois, a été pendu sur la grande place de Khartoum, le 18 janvier 1985.

L’islam est dans la souricière, une souricière dans laquelle il s’est lui-même mis. Une souricière dont il ne parvient pas à sortir. Tel est le drame qui met les musulmans dans une angoissante situation.

«Les nouveaux penseurs de l’islam» – comme on les appelle aujourd’hui – rêvent d’une réforme et d’un islam compatible avec la modernité. Les émouvantes tentatives d’un homme aussi brillant qu’Abdennour Bidar n’en sont qu’un exemple. Malheureusement, la pensée de ces hommes courageux ne fait pas le poids face à l’islam rigoureux et borné qui domine depuis quatorze siècles.

J’imagine à quel point cela doit être douloureux pour ces penseurs, qui aimeraient tant trouver une issue à l’impasse dans laquelle ils se trouvent.

L’Église est passée par la même crise. Mais elle est parvenue à la dépasser grâce au Concile Vatican II. Il est grand temps que l’islam en fasse autant et procède au même aggiornamento. Vœu pieux? Utopie, wishful thinking ?… L’islam peut-il se réformer sans se dénaturer ?

[NDLR Vatican II a cependant ouvert la porte à la Franc-Maçonnerie qui a depuis lors infiltré l’Église Catholique Romaine et contribué à détruire ses fondements et encore davantage l’enseignement du Christ.]

Je ne le pense pas. Mais c’est aux musulmans eux-mêmes de répondre.

Henri Boulad,
Le Caire, 14 novembre 2015

En particulier, il rappelle qu’il y a 14 siècles l’Islam a fait le choix de la voie Médinoise expansionniste et agressive au détriment de la voie Mecquoise pacifique, et qu’il n’est jamais revenu sur ce choix. 

Par ailleurs, il suffit de lire le Coran, même très superficiellement, pour se rendre compte que son contenu (versets, sourates…) est particulièrement agressif. Les égorgeurs musulmans, qui sévissent régulièrement dans notre pays, ne font qu’appliquer certains de ses préceptes ; ce que font semblant d’ignorer « nos élites politiques », les médias…

À partir de cette époque, j’ai approfondi mes connaissances, notamment par la lecture de plusieurs livres. Je cite les principaux :

« L’Islam à la conquête de l’Occident » de Jean-Frédéric Poisson qui traite principalement des organisations islamiques internationales comme l’OCI (l’Organisation de la Coopération Islamique), fondée en 1969 ; « Islam » d’Annie Laurent ; « soufi ou mufti » d’Anne-Marie Delcambre ; « décomposition française » de Malika Sorel ; « Le Projet des Frères Musulmans » d’Alexandre Del Valle et Emmanuel Razavi.

Un autre livre m’a paru d’un très grand intérêt : « L’Islam mis à nu par les siens ». Il s’agit de textes et de prises de position de nombreux érudits musulmans ou ex-musulmans (femmes et hommes), qui ont analysé en profondeur le Coran et la vie de Mahomet ; édifiant !

À cette époque j’ai aussi commencé à être sensibilisé au mondialisme par des échanges avec des internautes et la lecture d’autres livres, principalement : « la Super-classe mondiale contre les peuples » de Michel Geoffroy ; « de Tragédies en Espérances — nos illusions de Justice, de Liberté et de Démocratie » de Joseph Plummer.

Par toutes les informations que j’ai recueillies, j’ai (entre autres) découvert un fait très important : l’immigration de masse, notamment islamique, est une arme utilisée par les mondialistes pour détruire les nations souveraines, qui sont le principal obstacle à la mise en place d’une gouvernance mondiale.

Michel Geoffroy écrit : « L’immigration de peuplement est le brise-glace du mondialisme, car elle permet de disloquer les États-nations en s’attaquant à leur homogénéité et à leur identité ». La France en est l’exemple type.

Je suis toujours surpris quand j’entends dire que Macron est incompétent. Je pense personnellement qu’il est très compétent pour la mise en œuvre de la mission qui lui a été assignée par ses mentors : détruire la France en tant que nation souveraine. Macron n’aime pas la France, ses actes et ses paroles (souvent prononcées à l’étranger) le prouvent.

Par ailleurs on sait que le milliardaire Soros, mondialiste bien connu, finance largement les ONG qui transportent illégalement des migrants de l’Afrique vers l’Europe.

Après l’immigration je passe rapidement à un deuxième volet des menées mondialistes : le pseudo-réchauffement climatique.

Depuis plusieurs années, je suis des cours d’astronomie, ce qui me permet d’avoir quelques notions sur ce sujet :

Dans environ 5 milliards d’années, le soleil va exploser ; il ne restera que quelques résidus du système solaire dans notre univers ; nous ne sommes pas concernés ; (tout naît, tout vit, tout meurt).

Avant cela, dans quelques millions d’années, il fera très chaud sur la terre, il n’y aura plus de vie, sauf peut-être quelques bactéries ? Nous ne sommes pas concernés.

Nous sommes un peu concernés par le réchauffement du système solaire, inexorable, mais très lent, qui n’empêche pas les fluctuations climatiques de moyen terme d’une planète, dues à d’autres facteurs (par exemple pour la terre, variation de son ellipse autour du soleil, variation de son inclinaison, précession ; voir les paramètres de Milankovitch). Ainsi il y aura d’autres changements climatiques importants (glaciations, grandes périodes de réchauffement ; sans parler des cycles beaucoup plus courts qui ont toujours existé).

L’homme n’est rien par rapport aux forces de la nature ; aussi le GIEC est composé d’incompétents, manipulés par des lobbyistes (constructeurs d’éoliennes par exemple), qui distillent la peur pour mieux vendre leur « camelote », nuisible et très peu utile. Si un faible réchauffement provoqué par l’homme existe (ce qui est très contestable et contesté par de nombreux scientifiques), il est principalement provoqué par les activités de très grandes entreprises ; armateurs de tankers très pollueurs par exemple.

Je suis, par contre, préoccupé par les graves problèmes de pollution, surtout engendrés par la mondialisation ; pollution des terres, de l’air, des mers, des rivières. Mais c’est un autre débat.

J’en arrive à une partie très importante, particulièrement démonstrative des visées des mondialistes : la pseudo pandémie Covid 19, fabriquée de toutes pièces. Il y a beaucoup à dire et je vais essayer de résumer.

Dès le mois de janvier 2020, j’ai été surpris par la décision de madame Buzyn de classer l’hydroxychloroquine comme produit dangereux, alors que cette molécule est utilisée depuis des décennies, notamment en Afrique, comme traitement antipaludéen.

Au mois de mars, j’ai compris qu’il y avait « anguille sous roche » quand Véran a interdit aux médecins généralistes l’utilisation des soins précoces.

Dès lors, j’ai suivi les choses de près, notamment en étudiant les statistiques et principalement celles diffusées régulièrement par le général Delawarde.

Je ne vais pas revenir sur tous les aléas que nous avons subis (confinements inutiles, masques inutiles puis obligatoires… bref, le grand folklore macroniste).

Assez rapidement je me suis rendu compte de deux faits importants :

En premier lieu la faible mortalité au plan mondial ; les décès ne concernaient que des personnes âgées déjà affaiblies par des comorbidités, les jeunes n’étant pas touchés. Ceci malgré l’augmentation factice du nombre de décès ; on se souvient que beaucoup de malades décédés avec la Covid étaient classés décédés de la Covid ; c’est peut-être encore le cas.

Au final la mortalité n’a pas été plus importante que celle due à une mauvaise grippe, mais certains gouvernements, notamment celui de la France, faisaient tout pour faire peur à leur population afin de pouvoir la soumettre.

En second lieu, la différence très importante de mortalité entre les pays qui utilisaient les soins précoces et ceux, comme la France, qui les refusaient. Par exemple, à ce jour, on peut constater par une petite recherche sur Internet que les États-Unis ont un nombre de décès beaucoup plus élevé que celui de l’Inde alors qu’ils ont environ 4 fois moins d’habitants. Pourtant en Inde il y a une grande promiscuité et le système de santé n’est pas très performant ; mais ils ont utilisé largement l’Ivermectine. Je pourrais citer beaucoup d’autres exemples.

Le refus du gouvernement français d’utiliser les soins précoces me choquait, et j’ai commencé à en comprendre la raison quand j’ai appris qu’il ne pourrait pas imposer un « vaccin » s’il admettait l’existence d’une possibilité de soigner les malades en début de l’infection. À l’évidence l’obligation vaccinale était prévue dès le début 2020 ; il était donc nécessaire pour nos dirigeants d’affirmer qu’il n’existait pas de possibilités de soins.

Le 12 juillet 2021, Macron a prononcé une allocution à la télévision au cours de laquelle il a annoncé l’obligation vaccinale pour les soignants, les pompiers… et pratiquement toute la population, car sans « vaccin » on ne pouvait même pas aller boire un verre dans un café.

Cette allocution a provoqué ma colère et quelques jours après j’ai adressé un courrier à Macron, Castex et Véran en les accusant d’être des criminels.

Il est en effet évident que le refus de laisser les médecins prescrire les soins précoces a provoqué le décès d’un grand nombre de nos concitoyens. On peut retrouver cette lettre sur Internet (colonel Amiot Jacques Besançon).

Je sais que mon courrier est arrivé aux instances gouvernementales, car plus de 6 mois après j’ai été sanctionné par la ministre des armées (retrait de l’Honorariat). L’Honorariat est une distinction honorifique ; on ne m’enlevait donc rien d’important, mais j’ai cependant contesté la décision auprès du tribunal administratif de Paris. J’ai adressé mes arguments au mois de juillet 2022 et, à ce jour, il n’y a pas de réaction du ministère des armées.

La sanction pratiquement insignifiante au regard de la gravité de mes accusations, et le fait que le ministère n’ait pas encore réagi, pratiquement 6 mois après, me paraissent significatifs de l’embarras des autorités pour trouver des arguments à m’opposer ; d’autant qu’il est de plus en plus évident que les soins précoces sont sûrs et d’une grande efficacité. C’est maintenant une certitude.

Si j’avais à écrire ce courrier aujourd’hui, je serais encore plus virulent. Il me faudrait aborder la dangerosité des « vaccins » ; nous sommes malheureusement qu’au début des graves effets secondaires, que tentent de cacher le gouvernement et la plupart des médias. Mais la vérité finira par éclater.

Il me faudrait aussi aborder les liens étroits entre la Macronie et la société Mac Kinsey, elle-même en lien avec la société Pfizer… On nage en plein cloaque ; je sais bien qu’il y a peu d’enfants de chœur en politique, mais je crois que l’on atteint des sommets.

Malgré les graves effets secondaires engendrés par les « vaccins » le gouvernement continue à en faire la promotion ; on croit rêver. Il doit y avoir un gros stock de doses à écouler !

Le conflit en Ukraine est tout à fait révélateur de ce que beaucoup appellent la 3guerre mondiale ; celle des mondialistes contre les nations souveraines. Je vais beaucoup résumer, car j’ai récemment évoqué le sujet dans un écrit intitulé « évolution ».

Après la chute de l’URSS, on a cru à la paix mondiale, mais on se trompait lourdement, car les mondialistes étaient déjà à l’œuvre, notamment dans leur fief aux US.

Les promesses de l’Occident n’ont jamais été tenues, comme celle faite à Gorbatchev de ne pas étendre l’OTAN vers l’Est ; au contraire, les bases militaires de cette organisation encerclent pratiquement la Russie.

Les accords de Minsk signés en 2014, que l’Allemagne et la France devaient faire respecter, étaient un piège. Madame Merkel a admis récemment (début décembre 2022) qu’il n’était pas prévu par l’Occident que ces accords soient appliqués. De son propre aveu, ils ont été signés que dans le but de donner du temps à l’Ukraine pour se préparer à la guerre contre la Russie. Quelle duplicité de l’Occident ! On peut aisément vérifier sur Internet (Merkel accords de Minsk).

Hollande a récemment confirmé ces aveux. Tout se passe comme si l’Occident, principalement les US, mais aussi l’Allemagne, la France…, cherchait la confrontation. C’est très dangereux, car l’Occident ne me paraît pas en position de force, d’autant que sa politique provoque un rapprochement entre la Russie et la Chine.

Ce conflit profite aux US, mais est destructeur pour les pays européens, dont la bêtise est incompréhensible. Comment comprendre ce suicide de nations européennes si ce n’est en raison de l’adhésion au mondialisme de leurs dirigeants ?

Comme je l’ai déjà exprimé, le mondialisme est une « maladie » de l’occident où se trouvent les personnages les plus « vénéneux » de cette caste (Schwab, Soros, Gates, Fauci, Biden, Harari, Attali, Macron…). Il apparaît clairement que de nombreuses nations ont compris le danger mondialiste ; elles s’allient et se dressent pour y faire face (les « BRICS » et toutes les nations qui les rejoignent).

On vit une période très troublée, angoissante pour beaucoup, nous subissons des restrictions, une baisse de pouvoir d’achat et j’estime que les menées des mondialistes en sont les principales causes. À mon avis beaucoup de problèmes pourraient être réglés si l’Occident arrivait à se débarrasser du mondialisme.

Je pense par exemple que l’invasion islamique, qui présente un très grave danger pour l’avenir de notre pays, pourrait être combattue ; ce qui suppose bien sûr la disparition préalable de l’Union européenne telle qu’elle existe actuellement, mondialiste et corrompue.

À la place de Macron et de son gouvernement de traîtres, un président déterminé et bien entouré pourrait agir efficacement pour faire respecter notre identité.

Il ne s’agit pas dans mon esprit d’une « chasse aux sorcières », car il y a des musulmans qui souhaitent vivre en paix en France ; il s’agit de séparer le bon grain de l’Ivraie. Je l’ai déjà écrit, dans sa petite entreprise, mon père a employé dans les années 50 des Algériens qui ne posaient aucun problème. Dans son livre « Islam », Annie Laurent souligne le fait que de nombreux musulmans sont les victimes d’une idéologie.

Quelles dispositions faudrait-il prendre ? Je cite les principales : limiter drastiquement l’immigration notamment islamique ; réduire très fortement les prestations sociales pour les immigrés, car elles constituent un grand appel d’air (beaucoup ne vivent que de ces prestations) ; justices sévères pour les délinquants (prison ou exclusion) ; surveillance étroite des imams ; interdiction stricte de la charia (application de nos lois, règles et coutumes) ; « grand nettoyage » d’une ou deux « zones de non-droit », éventuellement par l’armée ; je pense que les autres auraient compris et se nettoieraient d’elles même, avec un peu d’aide si nécessaire…

La France est en déclin dans presque tous les domaines : économie, industrie, éducation, justice… ; le redressement sera difficile ; mais il est surtout urgent qu’elle retrouve sa souveraineté, son unité et son identité, sources de dynamisme.

Cependant rien ne pourra se faire tant qu’elle sera sous la coupe du mondialisme ; il faut donc s’en libérer. Le combat pour la survie est là.




La paix autour du sapin. Comment expliquer à sa vieille tante qu’on ment sur les chiffres à la télé… en 5 minutes !

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Pour passer un Noël paisible sous le sapin. J’ai testé l’hiver dernier, ça a marché!


En cette période de fêtes, vous allez peut-être retrouver des proches qui ne comprennent pas votre attitude, en particulier les aînés. Vous aimeriez leur démontrer que vous avez raison de douter du discours officiel et que vos actions ne sont pas égoïstes, au contraire vous vous souciez de leur santé. Malheureusement, leur principale source d’information est la télévision et elle vaut parole d’évangile. Elles n’ont ni la patience, ni les capacités de lire les excellents articles scientifiques que vous avez décortiqués. Elles pensent que vous êtes fou et extrémiste.

Je vous propose une astuce qui a fonctionné avec ma tante Renée qui a 86 ans et qui fait partie de la catégorie de personnes pour qui la modernité s’est arrêtée à la fin des années 70, sans qu’on sache trop pourquoi. Elle écrit sa liste de courses en sténo, est incapable d’utiliser un smartphone et à chaque visite elle vous torture en essayant de vous faire réparer un vieil appareil. Vous avez déjà expliqué 1000 fois qu’une adresse email ne correspond pas à une adresse physique où il y a un fonctionnaire qui va recevoir le paquet qu’elle vous demande d’envoyer à travers l’écran. Peine perdue. Quant à l’info, c’est uniquement au JT, entre l’inspecteur Derrick et une place au soleil, avec une préférence marquée pour les faits divers tragiques et les nouvelles angoissantes.

En contraste, vous êtes devenu un complotiste aguerri, rien ne vous échappe plus. Vous en êtes au 5e niveau de lecture des diverses manipulations de la mafia mondiale. Vous avez écouté Raoult et lu les bouquins de Perronne et vous savez que la CIA contrôle les agences de presse et les publications scientifiques.

Problème : vous avez 5 minutes pour essayer de tendre un pont au-dessus du gouffre abyssal entre les mondes dans lesquels vous vivez, afin de les rassurer et de passer un Noël paisible. La mission urgente est de démolir 60 ans de crédulité absolue dans les infos de la télé.

Voici ce qui a marché avec ma tante Renée :

Je l’ai invitée à regarder deux vidéos sur mon ordinateur (pas le téléphone c’est trop petit). Et je lui ai dit ceci :

Moi : Viens je vais te montrer un exemple. Tu vas voir qu’ils cachent des choses à la télé et qu’ils mentent sur les chiffres, ça ne prend que deux minutes.

Tante Renée : Bon, mais pas plus de deux minutes

Moi : Tu connais Kennedy, l’ancien président des États-Unis ?

Tante Renée : « Oui, bien sûr » (ouf !)

Moi : « Tu te souviens, après la guerre, on a construit un mur à Berlin pour arrêter les communistes et Kennedy était venu prononcer un discours historique pour défendre la démocratie » Le fameux « Ich bin ein Berliner » (imitez si vous le pouvez, c’est plus convaincant).

Tante Renée : oui, oui ça me dit quelque chose

Moi : Et bien, il a un neveu qui s’appelle Robert Kennedy Junior. C’est le fils de son frère Robert Kennedy, celui que l’on a aussi assassiné un peu plus tard.

Tante Renée : ah oui je me souviens, mais je ne connais pas son fils.

Moi : Normal, les médias ne veulent pas qu’on en parle. Et bien en 2020, Robert Kennedy Junior, le neveu, est aussi allé à Berlin, pour la plus grande manifestation en Europe depuis la fin de la guerre. Dans les traces de son oncle, il a aussi prononcé un discours historique pour défendre la démocratie. Kennedy Junior a dénoncé le fait que les gouvernements ont profité de la pandémie pour raboter les libertés des gens et mettre la main sur leurs biens. Alors que les cartels Pharma et les investisseurs privés se sont enrichis.

Tu en as entendu parler ?

Tante Renée : non, pas du tout. Jamais

Moi : et bien regarde, ici il y a la vidéo sur le site de Kennedy (montrer cette vidéo)

Et ici, il y a les images de centaines de milliers de personnes dans la foule. En tout, il y en avait peut-être plus d’un million. (monter l’autre vidéo)

Tante Renée : ah oui. Je ne savais pas du tout, c’est curieux.

Moi : Tu ne penses pas que normalement, c’est une information qui aurait dû sortir au JT ? Une manifestation de plus d’un million de personnes avec le neveu de l’ancien président des États-Unis.

Tante Renée : Si si, bien sûr.

Moi : Et tu sais ce qu’on a dit au JT en Allemagne ? Ils ont dit qu’il y avait 38 000 personnes, des manifestants d’extrême droite et ils n’ont pas parlé de Kennedy. Voilà ils ont « gommé » tous ces gens pacifiques, comme s’ils n’avaient pas été là. Pourtant, toutes ces personnes étaient dans la rue, on en a les images !

Alors, si l’on arrive à faire passer de trucs aussi gros, tu imagines à quel point, ils sont capables de mentir sur tout le reste. Par exemple sur les chiffres de la santé pour vendre des vaccins ?

Tante Renée : Ah oui, vraiment c’est incroyable. Tu as raison, ce n’est pas normal. Ça va, j’ai compris.

Moi : Merci, je suis contente que tu aies pris la peine de regarder cela avec moi.

… Prenons l’apéritif !

Bon, c’est un exemple. Évidemment pour moi, c’est d’autant plus facile que j’ai participé à cet évènement et que j’ai pu y ajouter des photos personnelles. L’important c’est de partir d’une référence positive, ancrée dans le passé de la personne et de la relier à une démonstration imagée de la mauvaise foi des médias.

Voilà, j’espère au moins vous avoir fait sourire et si jamais vous faites le test et que cela marche, n’hésitez pas à m’en faire part dans les commentaires [ici : https://sentadepuydt.substack.com/p/la-paix-autour-du-sapin-comment-expliquer].

Joyeuses fêtes à tous !




Selon un pasteur nigérian, la plupart des gens sur les réseaux sociaux sont possédés par des esprits maléfiques

[Source : afrikmag.com]

Le pasteur populaire nigérian et producteur de films, Mike Bamiloye, a affirmé que les anges déchus ont actuellement pris le contrôle des médias sociaux.

« Les anges déchus ont envahi les réseaux sociaux. Utiliser la plateforme pour corrompre l’esprit humain. Beaucoup de femmes et d’hommes sont désormais possédés par des esprits maléfiques. Par leurs publications et images sur les réseaux sociaux, vous les reconnaîtrez. »

[Voir l’article complet sur afrikmag.com]




Avertissement aux vautours et aux chacals, vous qui dépecez la France

[Source : michelledastier.com]

Par Michelle d’Astier de la Vigerie

J’ai 81 ans, mais je ne veux pas mourir sans avoir vu ce que Dieu m’a promis ! J’aime trop la France, que l’on désintègre et dont on assassine l’âme, pour ne pas avoir l’envie criante de voir balayée la bande de vautours et de chacals qui la dépècent.

Pourtant, depuis plus de vingt ans, j’avais envie d’être en Haut, car je commençais à trouver cette terre moche à mourir par rapport à celle que j’avais connue et que j’avais parcourue de long en large. Et surtout la France dont je voyais la dégringolade morale face aux valeurs judéo-chrétiennes qui lui avaient forgé des fondements de saphir, la métamorphosant en une nation à l’identité unique, qui rayonnait dans le monde entier par sa culture et son intelligence.

Un joyau…

Depuis longtemps, je la voyais progressivement s’écrouler dans tous les domaines où elle étincelait. Alors j’avais envie de ne plus être là, et de rejoindre ma demeure céleste, auprès de mon merveilleux Père. J’avais suffisamment vécu.

Mais quand la pandémie a éclaté, quelque chose m’a alertée, et donné l’envie de me lever et d’agir, avec les armes dont je disposais. J’avais une guerre à faire ! Car après un bien court temps de sidération, j’ai vite réalisé que le Pouvoir nous disait tout et son contraire, volontairement, et dans un but que je distinguais encore mal. Cela paraissait si monstrueux que des hommes prétendant notre bien s’ingénient à nous faire du mal, et même à tout faire pour nous rendre fous !

QUOI ? N’étaient-ce pas les Français qui les avaient élus, qui les payaient, qui leur obéissaient, dans la certitude d’être ainsi « protégés » !

C’EST LE CONTRAIRE QUI S’EST PRODUIT, DE PLUS EN PLUS VISIBLEMENT !

MAIS POURQUOI CELA A-T-IL FONCTIONNÉ DANS UNE APATHIE QUASI GÉNÉRALE ?

Même si les vautours et les chacals en position de pouvoir avaient corrompu secrètement, mais méthodiquement, depuis des décennies, tous les postes et organismes décisionnaires, cela allait apparaître presque soudainement, provoquant la stupeur même de ceux qui avaient les yeux ouverts, tant cela dépassait l’entendement.

Car il n’est rien de caché qui ne doive être découvert, rien de secret qui ne doive être connu et mis au jour.

Luc 8:17

Même s’ils avaient muselé par avance tous les médias, même s’ils savaient faire taire ceux qui tentaient de dire la vérité, par la manipulation de l’information, par le mensonge, par la censure, par la terreur, voire par l’assassinat… AU FINAL, TOUT LE MONDE POUVAIT SAVOIR, au moins ceux qui avaient l’amour de la vérité. Car les « lanceurs d’alerte » se sont vite multipliés. Il était facile de vérifier s’ils étaient des « complotistes » — mot dont la signification (= ceux qui soupçonnent l’existence d’un complot) a vite été déviée en : « illuminés dangereux, répandant des fake news », ou bien, au contraire, des gens soucieux de dire la vérité, pour avertir et sauver.

Qu’ils soient journalistes, avocats, juristes, médecins, scientifiques, ou simples citoyens ulcérés et lucides, ou encore simplement des chrétiens qui entendaient la voix du Seigneur, il s’est levé une armée de HÉROS, les résistants de la première heure.

EN TOUT TEMPS D’HORREUR, CE SONT LES HÉROS QUI SE LÈVENT, FÛT-CE AU PRIX DE LEUR VIE !

Oh ! Jamais je n’ai pensé que cela allait durer. Je me disais que les Français allaient tous se lever, face aux ordres aberrants et contradictoires qu’on leur donnait, d’autant que les justifications « scientifiques » que leur présentaient les « médecins de plateau » étaient systématiquement démenties par de multiples spécialistes internationaux qualifiés, dont des sommités françaises respectées dans le monde entier pour leur savoir, leur expérience et leur travail. Mais aussi démenties, et de plus en plus fortement, par les chiffres, les preuves et les faits.

Encore fallait-il vouloir entendre !

Pourquoi les Français allaient-ils à la queue leu leu se faire piquer avec un produit dont ils ne savaient rien et se mettaient-ils à mordre férocement ceux qui tentaient de les avertir, devenant pour beaucoup des moutons enragés, complices d’un Pouvoir qui ne se cachait même pas de les mépriser ?

Comment le corps médical pouvait-il aussi, pour une grande partie, devenir complice d’un génocide programmé ? Pourquoi des toubibs Bac + 10 ou plus ne s’étaient-ils pas levés, ensemble, quand on leur avait interdit brutalement l’utilisation de médicaments ayant fait leur preuve depuis des décennies, et même l’autorisation de soigner ? Comment pouvaient-ils ne pas s’étonner qu’on leur propose, un an plus tard, des milliers d’euros par jour pour injecter un produit expérimental, dont ils ne connaissaient qu’une faible partie de la composition ? Pourquoi leur proposait-on jusqu’à 120 euros pour une seule injection, alors qu’ils touchaient 6 €30 pour un vaccin classique ? Qu’est-ce qui les a aveuglés : le lucre ? La naïveté ? La peur ? Le conformisme ? L’incapacité d’imaginer qu’ils pouvaient être manipulés par l’État, par leur ministre, par les ARS, par les préfets et par leur Conseil de l’Ordre ? Certains étaient-ils des complices conscients ? Comment ne se sont-ils pas levés lorsque Macron a déclaré la mise à la porte brutale, sans salaire, sans indemnités, sans inscription possible au chômage, sans RSA pour des milliers de leurs confrères dont, souvent, ils connaissaient la probité et la qualification, en plus des milliers et milliers de ces auxiliaires si précieuses qui clamaient déjà depuis des années leur détresse face à un système oppresseur écrasant, de par son mille-feuille administratif : parmi eux, bien sûr, les infirmières, les aides-soignantes, les urgentistes…

Et les pompiers ? Et les gendarmes ?

Combien en tout ? 15.000 ? 100.000 ? 300.000 ? Ne parlons pas des ricochets ravageurs provoqués par cette folie de destruction. Aujourd’hui, c’est tout le système de santé qui est par terre. Et demain ? Les faillites en cascades (ça a commencé) ? La famine ? Des émeutes sanguinaires ? La guerre civile ?

Je ne fais qu’effleurer les énormes plaies qui sont apparues brutalement sur tout le système régalien français. L’Éducation Nationale, la Police, la Justice… Donc sur les fonctions vitales d’une nation jusqu’alors civilisée. Elles broient les familles en sabrant l’autorité des pères, des mères et toutes les autorités ; en semant la confusion dans les identités conférées par amour par un Dieu trois fois saint, avec toutes leurs démoniaques théories du genre, avec la légalisation des meurtres par l’avortement et par l’euthanasie…

Quel tsunami d’ordures !

ET CELA NE LEUR SUFFIT PAS !

Les mêmes maintenant démantèlement ma France en organisant des pénuries en tout genre : énergie, alimentation, matériaux…, fragilisant ainsi les emplois, les entreprises, et la nation tout entière.

S’ARRÊTERONT-ILS JAMAIS ?

OUI !

Tout cela se voit désormais à l’œil nu et chacun devra rendre des comptes devant Dieu.

41 Le Fils de l’homme enverra ses anges, qui arracheront de son royaume tous les scandales et ceux qui commettent l’iniquité :
42 et ils les jetteront dans la fournaise ardente, où il y aura des pleurs et des grincements de dents.
43 Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père. Que celui qui a des oreilles pour entendre entende.

Matthieu 13

QU’A-T-ON FAIT À MA FRANCE ? POURQUOI LA DÉCHIQUETER AINSI ?

Un virage fulgurant a été pris avec la macronie, même si, à l’évidence, la destruction de ma nation était programmée de longue date. Beaucoup de gens lucides le répètent : » la France est foutue ! »

NON ! MA FRANCE N’EST PAS FOUTUE ! CAR MON DIEU EST VIVANT !

Il est écrit que chacun de nos cheveux est compté. Dieu ne compterait-il pas chaque minute de travail de ceux qui font vivre ce pays depuis des siècles ni chaque larme de détresse de ceux qui aujourd’hui n’en peuvent plus ?

1 À vous maintenant, riches ! Pleurez et gémissez, à cause des malheurs qui viendront sur vous.
2 Vos richesses sont pourries, et vos vêtements sont rongés par les teignes.
3 Votre or et votre argent sont rouillés ; et leur rouille s’élèvera en témoignage contre vous, et dévorera vos chairs comme un feu. Vous avez amassé des trésors dans les derniers jours !
4 Voici, le salaire des ouvriers qui ont moissonné vos champs, et dont vous les avez frustrés, crie, et les cris des moissonneurs sont parvenus jusqu’aux oreilles du Seigneur des armées.
5 Vous avez vécu sur la terre dans les voluptés et dans les délices, vous avez rassasié vos cœurs au jour du carnage.
6 Vous avez condamné, vous avez tué le juste, qui ne vous a pas résisté.

Jacques 5

Je n’aurais pas dû être surprise par l’écroulement accéléré du pays. De multiples prophéties, reçues en direct ou venant de prophètes solides, avaient annoncé que des temps apocalyptiques arrivaient sur le monde, selon ce que la Bible avait déjà annoncé plusieurs millénaires auparavant, et en particulier sur la France.

En sus, j’étais préparée. J’en avais tant vu défiler, déjà, de ces hommes de Pouvoir, en voyant, de près, leur médiocrité grandissante ! Comme ancienne journaliste, je voyais depuis longtemps l’avilissement professionnel de la plupart des médias par leur dépendance à l’argent sale. Les quotidiens qui avaient fait l’admiration de tous quand j’étais jeune, je les voyais s’avilir, ne plus avoir la passion de la vérité, et devenir les laquais d’un pouvoir corrompu.

À 81 ans, bien des choses ont changé dans mon regard sur la vie et sur ma propre vie, surtout depuis que je me suis convertie en février 1992. Un an plus tard, je devenais une servante du Dieu Très-Haut, et je parcourais le monde pour prêcher la bonne Nouvelle, avec la passion des Écritures.

Les Écritures, la Parole de Dieu : c’est bien le seul repère pour connaître la VÉRITÉ dans ce monde devenu fou, où le mensonge règne en maître absolu dans toutes les strates de la société, y compris dans le monde médiatique, scientifique et médical, et particulièrement dans les allées du Pouvoir.

MAIS POURQUOI TANT D’ACHARNEMENT POUR DÉTRUIRE, PARTICULIÈREMENT, LA FRANCE ?

Voici ce qu’il m’est donné d’annoncer :

VOUS TOUS, LES VAUTOURS, LES CHACALS, ET TOUS VOS COMPLICES, CES AVIDES, COMME VOUS, DE L’ARGENT, DE LA GLOIRE ET DU POUVOIR, piétinant ceux-là mêmes qui vous ont fait confiance : VOTRE TEMPS EST TERMINÉ ! Et ce, quel que soit le niveau d’action où vous œuvrez : localement, régionalement, nationalement, et même internationalement…

Rappelez-vous ce qui est écrit en Jacques 5 : « leur rouille dévorera vos chairs comme un feu ». CRAIGNEZ DIEU !

Car en touchant à la France, c’est à Jésus-Lui-même que vous vous attaquez. La France, tout comme Israël, est la prunelle de Ses yeux, car cette nation a été fondée sur une alliance éternelle avec notre Sauveur. Vous, les iniques, les assoiffés de gloire et de pouvoir, vous qui piétinez les racines judéo-chrétiennes du pays en promulguant ou en acceptant des lois abominables, vous êtes des usurpateurs, et vous vous croyez forts, car vous ne connaissez pas Celui qui a vaincu le Monde (Jean 16:33).

Cela englobe l’Église tiède qui s’est faite couleur couleuvre en pensant pouvoir garder ses privilèges terrestres et sa tranquillité au prix de compromis, mais qui a perdu son sel et sa lumière. Tu seras la première jugée, et cela a commencé !

Le temps que Dieu a donné jusqu’ici, dans Sa longue patience et Son amour, c’était pour en sauver le plus possible pour l’Éternité, ceux qui se repentiraient et croiraient en l’œuvre de la Croix ! Il y en aura encore, mais ce sera sans toi, Église tiède que Dieu vomit de sa bouche, à moins que tu ne te repentes !

C’en est fini. La puanteur de l’iniquité touche le ciel et la terre vomit ses habitants !

17 La terreur, la fosse, et le filet, Sont sur toi, habitant du pays !
18 Celui qui fuit devant les cris de terreur tombe dans la fosse, Et celui qui remonte de la fosse se prend au filet ; Car les écluses d’en haut s’ouvrent, Et les fondements de la terre sont ébranlés.
19 La terre est déchirée, La terre se brise, La terre chancelle.
20 La terre chancelle comme un homme ivre, Elle vacille comme une cabane ; Son péché pèse sur elle, Elle tombe, et ne se relève plus.

Esaïe 24

Un décret céleste est promulgué. Il est irrévocable.

Dieu vous a donné du temps pour vous repentir, mais écoutez :

Arrêtez, et sachez que je suis Dieu : Je domine sur les nations, je domine sur la terre. –

Psaume 46:10

Il vous reste peu de temps. Mais certains ont encore le choix :

J’en prends aujourd’hui à témoin contre vous le ciel et la terre : j’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité,

Deutéronome 30:19

CHOISIS !

[Voir aussi :
JE SUIS EN COLÈRE, par Michelle d’Astier de la Vigerie]


Un commentaire de Magisaci

MERCI Michelle pour cet avertissement.
Que Le couperet tombe sur toutes ces lois iniques et les coupe en pièces au nom de Jésus-Christ qui est ROI de la FRANCE.
Les discussions des Français (les non-convertis sont plus lucides que certains chrétiens) tournent autour des mauvaises lois, et de la mauvaise gestion du pays, ils se rendent compte que le mal est appelé bien et le bien est appelé mal. Ceux qui se sont fait injecter ont des doutes, la plupart n’en veut plus.
Les chrétiens ! il y a ceux qui font confiance au gouvernement. J’ai beau leur rappeler toutes les lois iniques, le Rivotril sur les personnes âgées, etc., ils sont comme anesthésiés et aveuglés. Beaucoup de gens suivent à la lettre tout ce qui se dit aux informations (comme pour les élections, ils ont descendu Monsieur Fillon en un rien de temps).
Il y avait un slogan pendant les manifestations qui disait : éteignez vos télés, allumez vos cerveaux.




Comment les faussaires de gauche tuent l’information (Boutcha, Paris…)

Par Lucien SA Oulahbib

Qui se souvient de « Jayson Blair » ce journaliste du New York Times ayant plagié et inventé des évènements ? Ou encore de la manière dont ce même « journal » a par contre occulté les affaires sulfureuses du fils Biden sans oublier son rôle clé et encore actuel sur l’accusation contre Trump de collusion avec la Russie, sans parler de l’assaut du Capitole et de toute la mascarade Covid-19 ?…

Eh bien, ce même fleuron réitère en se targuant d’une enquête de « huit mois » sur ce qui se serait « vraiment » passé à Boutcha en s’appuyant sur des documents fournis par les services zélinskystes, tout en apportant l’ultime preuve :

« (…) à chaque fois, ou presque, qu’un civil meurt à Boutcha, son téléphone est utilisé pour passer des appels en Russie. Cela se passe dans les minutes qui suivent les meurtres. Et tous les coups de fil sont passés à des proches de membres du 234e régiment. Les soldats russes ont interdiction d’utiliser leurs téléphones personnels ou d’appeler leurs familles. Ils se sont donc servis des appareils de leurs victimes pour rassurer leurs femmes ou leurs parents. (…) »

Là, relevons quelques perles : généralement les téléphones ont un code d’accès, et surtout il aurait fallu indiquer à quelle date ces appels auraient été passés alors que l’on sait selon les dires mêmes du maire de Boutcha qu’il n’y avait pas de cadavres dans les rues lorsque les soldats russes se sont retirés (lire à ce propos la longue enquête effectuée à l’époque par FranceSoir sur cette question).

Mais comme l’OTAN s’enlise dans le Donbass, et que les affaires sulfureuses du fils et du clan Biden s’amplifient (en Ukraine y compris), sans oublier l’escroquerie à grande échelle d’une plateforme affairiste (FTX) très proche des démocrates (mais cela n’a pas empêché sa mise en valeur par le même NYT), il fallait bien allumer un contre-feu afin de détourner l’attention sur un média en perdition, quitte à alimenter la détestation antirusse. Celle-ci est assez semblable au fond à celle qui est toujours alimentée, y compris en France, autour d’Israël depuis sa création (Le Clézio en avait fait même ses choux gras distribués au bac de français ces derniers temps), ce qui accentue la division en France et débouche sur l’animosité à sens unique contre les Juifs de France et empêche ainsi toute intégration et assimilation d’une population d’origine musulmane élevée dans de tels mensonges.

Mensonges alimentés également par toute une gauche de plus en plus putride qui voile ses liens avec la vraie « extrême droite » palestinienne (dont un de ses membres a été accueilli en grande pompe récemment) qui a fricoté naguère avec le nazisme, puis avec le totalitarisme soviétique, ensuite khomeyniste (ces « amis » de Soral soutenant le Hamas et le Djihad islamique), et aujourd’hui néo-léniniste (Nupes). Et cette gauche totalitaire en vient maintenant à suspecter la moindre manipulation d’un « loup solitaire » versus celle des services secrets turcs (dernière en date trois assassinats de Kurdes en plein Paris, pourquoi Kurdes si le seul « racisme » était la motivation ?) la corrélant misérablement avec les souverainistes français, cette dite fameuse « extrême droite » que cette gauche fétide appelle sans cesse à dissoudre, alors que ses propres nervis dits « antifa » (ou nettoyeurs vérificateurs) au service de la macronie et de ce qui l’a précédée (l’affairisme sarkoziste sauce hollandaise) salissent, tabassent, détruisent non seulement des concepts, mais aussi des librairies à l’instar de leurs lointains prédécesseurs tchékistes.

Au fond, la vérité éclate sur cette « gauche » affairiste (dernier élément en date la corruption au Parlement européen), hygiéniste (le matraquage autour d’infections qui auraient pu être soignées précocement), au scientisme désormais illuminé (la moindre critique étant maraboutée « complotiste » c’est-à-dire « impure »), considérant la moindre injection et son flash comme la drogue underground du moment à ne pas rater, comme le révèle piteusement Onfray dans son dernier mea culpa ; ou encore véhiculant un prophétisme se métamorphosant en climatologie « people » à la moindre hausse ou baisse des températures (moins 55° actuellement aux USA) et alors que les observations (et non les projections spéculatives) montrent que la prudence doit rester de mise quant aux liens supposés « causaux » entre gaz à effet de serre, météo et climat.

Et plus le fracas sur le Réel (énergies, inflation…) provoqué par une gauche bien nourrie par les émoluments de la République française (si généreuse pour ses ennemis et les non-citoyens, tout en laissant ceux-ci mijoter dans l’injustice européenne et onusienne, les parquant en France avec l’aval du Conseil Constitutionnel français) est retentissant, plus il s’avère douloureux pour un peuple laissé à l’abandon. Celui-ci se clochardise de plus en plus aux dires des organismes de charité, tout en étant constamment harcelé, violé, massacré, et raillé également puisqu’il se laisse faire par tout un tas d’abrutis, à commencer par ce goal argentin qui n’a de cesse de traîner dans la boue l’avant-centre français Mbappé pendant que la gauche dite française n’en dit bien sûr pas un mot ou presque.

À vrai dire, « nous » avons en France et dans le monde ce que nous méritons : une élite médiocre sinon nulle. Mais très maligne, mesquine, nihiliste, cynique, qui peut mener à l’effondrement final comme en 40… Tant et si bien d’ailleurs qu’il ne s’agit même plus pour certains de se demander s’il va venir puisqu’il est déjà là, mais que cela ne se voit pas encore…




Selon Me Virginie Araujo, les injections anticovid ont violé la dignité humaine

[Source : RL]

Par Jacques CHASSAING

Rappelons que cette avocate, qui s’est opposée d’emblée à la tragédie de la gestion du coronavirus-Covid en France, a payé un lourd tribut à l’oligopole : arrestation matinale devant ses enfants suivie d’une garde à vue humiliante et puante de 60 heures. 

Heureusement, Virginie a pour mari Sébastien1, un homme qui force l’admiration, à l’instar d’un certain Christophe Dettinger qui a pris la défense et la protection d’une femme jetée à terre et frappée par des forces de l’ordre.

Là s’arrête la comparaison, car Maître Virginie de Araujo-Recchia et son époux connaissent les rouages du droit. 

À Lisbonne, récemment, lors d’une rencontre internationale, organisée par Ariane Bilheran et Vincent Pavan2 (Réinfo Liberté), elle a apporté une importante contribution sur le plus grand scandale en cours de la gestion manipulée du coronavirus-Covid.

En tant qu’avocate en France, elle a fait le point juridique des actions engagées pour le compte de particuliers et d’associations.

Actions aussi en tant qu’avocate internationale auprès de la Cour Pénale de l’opinion publique Le Grand Jury.

Extraits des points d’argumentation développés par l’avocate :

  • c’est un coup d’État mondial de l’oligopole d’organisations supranationales pour installer le contrôle social dans chaque nation ;
  • manipulation mentale de la population par diverses mesures non démocratiques ;
  • atteintes aux libertés publiques et droits fondamentaux inaliénables ;
  • actions contraires aux principes de la médecine ;
  • port des masques inutiles ;
  • confinements forcés ayant entraîné des suicides et des états dépressifs ;
  • des tests non fiables ;
  • obligation et incitation à des produits expérimentaux (substances géniques appelées vaccins) portant atteinte à la vie des citoyens ;
  • décès, souffrances dues aux nombreux effets indésirables menant à des handicaps ;
  • autres traitements à preuve scientifique d’efficacité ont été écartés et décrédibilisés par une collusion entre gouvernements, groupes pharmaceutiques et médias ;
  • les premiers décès suite aux injections de substances géniques Covid-19 auraient dû entraîner la cessation immédiate de l’expérimentation à grande échelle.

Me Virginie Araujo-Recchia se livre alors à la démonstration de la négation des lois non écrites de la nature humaine et de l’inversion de la hiérarchie des normes juridiques. 

Elle développe le principe du respect de la dignité humaine qui exige de sauvegarder la personne humaine contre toute forme d’asservissement ou de dégradation. La personne doit rester maître de son corps et d’elle-même.

« par conséquent, toute violence, toute discrimination à l’encontre de personnes qui refusent de se faire injecter une substance expérimentale, surtout lorsque le produit pharmaceutique en question est inefficace et nocif, voire mortel, viole tous les principes rattachés au respect de la dignité humaine. 

Le principe de la résistance à l’oppression appartient aux lois non écrites de la nature humaine et préexiste logiquement à l’État et à sa norme fondamentale et suprême… il est du devoir de chaque individu de résister à l’oppression »

Et de rappeler Cicéron et Antigone, de Sophocle.

L’avocate énumère ensuite les très concrètes actions et leurs fondements juridiques à l’encontre de tous ceux qui ont organisé et orchestré la peur et la répression autour du Covid. Les juridictions judiciaires et administratives sont visées, jusqu’au Conseil constitutionnel. Un feu d’artifice de responsabilités attribuées !

Virginie de A-R poursuit :

« la sénatrice Éliane Assassi évoque un manque de transparence évident ».

Le logo du ministère des Solidarités et de la Santé était le même que celui de McKinsey pour les besoins de la gestion orientée du Covid. 

En fait, ce sont des copiés-collés qui ont été adaptés à chaque pays.

« D’après nos informations, des dizaines de consultants de McKinsey étaient à l’Agence de Santé publique. McKinsey y est couramment appelé La Firme. »

McKinsey est tentaculaire et relié aux laboratoires pharmaceutiques et certaines  fondations lucratives :  

« ce qui expliquerait  pourquoi certains États occidentaux ont adopté les mêmes mesures liberticides et criminelles. Un article, paru dans Vox, explique comment McKinsey s’est introduit dans le monde de la Santé publique mondiale ».

Il est aussi question de United, de la Fondation Gates.

« Le défi est d’essayer de suivre l’argent et de comprendre les relations entre les bailleurs de fonds comme Gates, les sociétés de conseil et l’OMS. »

Au total, 43 minutes d’arguments indispensables à connaître pour le combat contre le totalitarisme qui se verrouille en France :


(1)

(2)

« Il faut manipuler 2 émotions pour obtenir une soumission psychique »